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EFP2015 - Les résumés

1. En conf rant ainsi plus d objectivit de fluidit etdefiabilit aux valuations cliniques des personnes expertis es cette r forme pourrait galement diminuer le nombre de demandes de contre expertises ou de surexpertises qui compliquent alourdissent et alongent les proc dures Elle serait de ce fait humainement et financi rement plus conomique que l s pratiques expertales actuelles Les psychologues clinieiens peuvent tre une valeur ajout e pourr alisercette r forme cette modernisation cette actualisation et cette fabilisation de l expertise mentale judiciaire sous condition qu ils soient bien form s et qu ils aient une exp rience professionnelle clinique de terrain importante dans l s domaines dans lesquels ils pourraient tre sollicit s pour r aliser des expertises enfants adolescents adultes personnes g es auteurs d infractions victimes malades mentaux ete En permettant de mieux rendre compte de la dimension humaine qui est a c ur de chaque proc dure cette modernisation cette fiabilisation et cette simplification sur la forme de l expertise mentale participeraient au d veloppement d une avanc e nouvelle et indiseensable dans l art dificil de rendre a justice une poque o l on a de cesse de voul
2. LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Le psychologue du travail en recrutement Dilemme entre d ontologie ef contrat de travail Johanny HOSPOD En 30 ans la situdtion des psychologues a volu La pr sence des psychologues du travail sur le march de l emploi par exemple s est consid rablement accrue Ces derniers peuvent d sormais se faire une place dans le monde de l entreprise parle biais de diff rents domaines d experlise S il est admis avec plus de facilit s par les employeurs qu un psychologue consultant en risques psychosociaux o en bilan de comp tences poss de un Code de D ontologie et est d sireux de le faire respecter cela reste beaucoup plus difficile pour un psychologue salari d une entreprise qui effectue des recrutements internes et ou externes La communication propos e essaiera de r pondre la question suivante Comment faire respecter le Code de D ontologie des psychologues lorsque l on travaille en entreprise En effet d s la signature du contrat de travail le psychologue perd une partie de son identit et devient charg de d veloppement charg de recrutement o consultant RH II n est olus totalement libre de choisir ses outils d valuation et est soumis au m me titre que les autres
3. Les praticiens delonentation dans le champ de la psychologie Quelles volutions Quel r les QUElES responsabilit s Dominique HOCQUARD Les pratiques d orientation figurent parmi l s premi res applications de la psychologie scientifique du d but du si cle dernier Con ues l origine comme des activit s expertes essentiellement prescriptives et fond e sur des logiques ad quationnistes elles s adressent alors essentiellement des jeunes qui quittent l cole En France d s l s ann es 20 c est l cole Unique et un peu plus tard la volont de coordonner les diff rents ordres d enseignement qui justifiera d installer avec les outils de la psychologie orientation au sein de l cole Du diagnostic de la psychotechnique P riode des tests la prise en compte du sujet dans son d veloppement et ses qu tes identitaires l orientation va suivre Une ongue volution li e aux progr s de la psychologie et aux nouvelles formes d organisation du travail Elle se situe aujourd hui dans des environnements culturels renouvel s et dans des contextes socio conomiques largement marqu s par l incertitude ef l appel lib ral des sujets entrepreneurs de eur vie Comment d s lors appr cierle r le d psychologue en charge de l orientation des l ves et des tudiants Que dire aussi des perspectives offertes par l s mod les et les outils qu il utilise
4. Face une sorte de sacralisation de l efficience op ratoire que permettent notamment les nouveaux outils num riques onse demandera quelles conditions l orientation initiale comme possibilit d une laboration psychologique structurante comme invitation penser son avenir Ses ressources ses exp riences et sa capacit se projeter dans diff rentes situations personnelles et professionnelles peut tre envisag e autrement que dars la forme postmoderne d un usage de sorinstrumentalis une poque o dans l champ de l orientation la psychologie est une science particuli rement expos e aux demandes oficielles dejustification et de l gitimation dela part des d cideurs politiques r fl chir aux finalit s des pratiques du psychologue pourrait s av rer tr s utile car trop sous estimerles enjeux s0Ci0 conomiques au c ur de la refondation des m liers de l ducation et de l orientation le psychologue risque de faire bon march d bien et du bien commun qu l d ciare poursuivre LES R SUM S o et citoyenne il y a sans doute la place non pas pour une nouvelle psychologie m esponsable de la psychologie consciente de ses fin s accorde dire que s orienter consiste davantage pouvoir se raconter ravers du dialogue et des interactions rechercher le sens de soi dans le co inut
5. LES R SUM S a GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 Personnalit stress et cancer Quel impact sur les prises en charge par les psychologues Yvane WIART Le sujet fait d bat dans la communaut des psychologues en particulier chez ceux qui prennent en charge des patients ainsi que leur famille Peut on s rieusement affirmer que le psychisme a un impact sur le d veloppement du cancer et pas seulement que la maladie affecte le psychisme Cette perspective peut elle aider l am lioration du soutien apport aux malades Cette conf rence se propose d aborder les principaux l ments issus de la recherche scientifique internationale permettant d avoir une vision claire des m canismes qui lient stress psychologique stress physiologique et processus de canc risation et ce sur la base de la th orie de l attachement Ainsi le stress psychique apparat comme partie prenante de la personnalit par les strat gies de coping privil gi es automatiquement mises en uvre par chacun au quotidien Ces strat gies s appuient sur des repr sentations de soi d autrui et du monde environnant directement issues des modalit s d attachement mises en place au cours de l enfance et de l adolescence Les facteurs de stress r els se r v lent alors tre d une importance bien moindre que le stress ber u les capacit s que l o
6. Face aux enjeux de l protection de l enfance Place ef fonction du psychologue C line ATTARD Cette r flexion analytique est extraite d un travail de recherche sur les pratiques d ploy es par les institutions de la protection de l enfance t notamment durant ce que l on appelle la p riode d valuation d un di danger pour l enfant Essence du travail de l aide sociale l enfance et la famille ces pratiques mettent en question l indication du signalement et ses possibles suites en termes de protection et de prise en charge Les r flexions qui en d coulent sont li es la place du psychologue et sa sp ciicit clinique au sein d un tissu social qui exclut g n ralement la demande de la famille et la d marche th rapeutique au sens classique du terme Ce travail a ainsi permis de soutenir l hypoth se que la sc ne sociale ne se d solidarise jamais d une clinique pure qui travers une lecture sp cifique de la prise en charge e des mouvements qui s y d ploient permet de recueillir des donn es relatives aux enjeux institutionnels la dynamique familiale et la prise en charge de l enfant Dans ce contexte le psychologue se trouve expos aux m andres de la violence en prise simultan ment la qu te de sens des travailleurs sociaux et aux but es psychiques des familles au regard de la fa on dont elles peuvent mettre e
7. Notre intervention aborder galement les perspectives entreprises par l tat Alg rien pour am liorer la formation des futurs psychologues Nous sommes largement ouverts une collaboration avec les chercheurs int ress s dans ce domaine aux intervenants pouvant nous apporterl enrichissement de leurs pratiques et de le rs id es La r glementation l gale de la psychologie clinique et de la psychoth rapie en Belgique Michel YLIEFF En 2014 le Parement a adopi ne loi r glkementant les professions de la sant mentale He concerne l psychologique clinigue etda psychoth rapie Cette loi Cadre comporte essentiellement des articles relatifs aux conditions d acc s la profession de psychologue cinicien et amp rl exercice de la psychoth rapie leur d finition et la cr ation d organes consultatifs le devra tre pr cis e ult rieurement par des arr t s d ex cution pris por le ministre comp tent En cons quence la loi finalis e devra entreren vigueurle 1 septembre 2016 au plus tard Apr s une synth se des principaux articles de la loi les enjeux relatifs aux futurs arr t s d ex cution seront abord s La r glementation l gale a suscit des esp rances quant l intervention financi re de la s curit sociale assurance maladie pour les prestations du psychologue clinicien Ces esp rances sont justifi es mais le chemin sera
8. Un l autre dans conventionnelles repen un enrichi extr me obligent faire ssement r ciproque place aux approches non ser les concepts de mani re innovante dans leur Ces 30 ann es am nent aussi Une ouverture incontournable aux travaux les disability studies qui nous inviten handicap es I ne s agit plus que des sp cialistes tiennent un discours sur e part active dans leur devenir avec la mais que celles ci puissent avoir Un Voil apr s 30 ans de d frichage de ce nouveau pour les ann es venir Samedi 6 juin 9h00 10h00 t Un rapport d LES R SUM S in UN dimension transdisciplinaire ternationaux en particulier if rent entre psychologues sp cialistes et personnes M es personnes handicap es ation d empowerment errain la mission qui se pr sente aux psychologues Sur les 30 derni res ann es les enjeux pour a profession se sont fortement modifi s Les psychologues du champ de l ducation et de l ducation sp cialis e auront c ur de r aliser le bilan de ces 30 ans ef d ouvrir les perspectives de leur avenir e ai 4 A SNS a FRANCOPHONES DE LA a PSYCHOLOGIE 201 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 jui 1 Petite enfance 9 Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45
9. l un des objets de l intervention du psychologue du travail est d accompagner les agents dans ce processus pour leur permettre de s extraire d Ure postion doloriste Si victimaire AUSSI ROUS leur proposons un soutien sous forme d accompagnement sp cifique Surtout lorsque nous identifions que l v nement la maladie a entrain d s pertes objectales o narcissiques que le s jet ne semble pas tre en mesure de surmonter sans un tayage au sens de Winnicott qui ont des retentissements dans sa capacit s inscrire dans une activit professionnelle Le dispositif clinique port parle psychologue du travail avec l appui conceptuel de l psychodynamique du travail pose un regard singulier sur le sujet puisqu il est actif dans son rapport au monde et l autre et l am ne reprendre la main sur sa biographie Notre clinique d accompagnement est emprunt e la psychologie clinique nous nous centrons sur les mouvements motionnels d adaptabilt pour s inscrire dans de nouvel quilibre engendr par la maladie ef pour comprendre les m canismes en jeu dans le processus de renoncement l activit professionnelle ant rieure Puis no s emprauntons da psychodynamique LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 du travail pour laborer avec le sujet les retentisseme
10. Bibliographie Vrignaud P Loarer E 2008 ests et recrutement In S lonescu et Blanchet eds Nouveau cours de psychologie Vol Psychologie sociale ef ressources humaines p 331 364 Paris PUF f m gm O ba O Ha f m E O AL C O O dm O Q A Q Q gt CD O Q gt lt lt L LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 7 La presse sp cialis e en psychologie et les psychologues T moin et acteur Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Patrick CONRATH et Delphine GOETGHELUCK revue Le Journal des Psychologues avec des repr sentants de la presse nationale et r gionale En trois d cades la psychologie aurait elle trouv une place reconnue dans les m dias I semble que oui bien que cette place soit particuli re C est celle avant tout des experts sollicit s dans des fonctions diverses commentaire chaud d v nement d actualit clairage de faits de soci t les experts son omnipr sents sur les plateaux C est celle aussi accord e au catastrophisme les cellules durgence font la une d s qu une catastrophe est annonc e l aussi l incompr hensible doit devenir lisible communicable au plus grand nombre Ce passage de l ombre la lumi re on le doit notamment aux journalistes et aux m dias qui
11. trois points le premier est la cr ation du Coll ge de psychologie du CH de Rouffach instance consultative de l tablissement en 2005 en prolongement cette exp rience concr te a pu devenir Un suppor L d cret portant l exp rimentation de le deuxi me est le Titre au niveau de la recon enfin le troisi me est l i et dans ce cadre un p se sur l obtention d e responsabilis p aliste la propagation de ce type d organisations sous forme de a structuration institutionnelle de l activit des psychologues de la FPH de psychoth rapeute inscrit dans la loi 2004 et ses d crets d application notamment naissance duti nscription de l obligation de 500 heures minimum du stage de master en psychologie tre de psychologue en tant qu quivalence pour l obtention dudit titre ation plus accrue des praticiens r f rents de stage dont l valuation u master et donc sur celle du titre de psychologue arr t du 19 mai 2006 2 Le pr sent sur le chemin de la maturation Par le titre unique de psychologue le socle la premi re pierre des Cariatides a t pos e il y a 30 ans les d crets des statuts particuliers la deuxi me il y a environ 20 ans les Coll ges certainement la 35 Pour chaque d cennie Une pierre et de longues ann es de travail de collaboration entre les org
12. LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 d tablir la validit d un outil ou de prendre une d cision individuelle appropri e partir de scores des outils standardis s l objectif de cette intervention est d essayer de poser quelques questions qui d coulent de ces volutions en prenant plus particuli rement le point de vue du praticien De ce point de vue la question de la qualit psychom lirique des tests peut tre envisag e de la fa on suivante L objectif du praticien est de prendre la meileure d cision diagnostic pronostic l gard d un individu Pour cela il peut avoir recours Un ou plusieurs test s Plus pr cis ment deux l ments relatifs l utilisation d un test interviennent dans ce processus de d cision les informations fournies par le test lui m me et les inf rences faites par le praticien sur la base de ces informations Dans cette perspective la question est de savoir dans quelle mesure l tablissement de normes garantissant une certaine qualit psychom trique des outils contribuerait am liorer les d cisions prises par les praticiens sur les individus l intervention examinera galement dans quelle mesure l offre actuelle en mati re d outils psychologiques r pond aux besoins des utilisateurs et s il est possible d aller vers une meilleure ad quation
13. psychopathologie et psychodynamique du travail sp cificit des tableaux cliniques modes d intervention centralit et r el du travail reconnaissance et utilit strat gies d fensives individuelles et collectives coop ration etc analyse des enjeux socio orgonisationnels diagnostic et part respective des enjeux personnels et collectifs effets des politiques RH possibilit s de transformation organisationnelle etc Si l intervention du psychologue clnicien trouve sa particularit dans la prise en charge th rapeutique des souffrances au travail ele se situe plus pr cis ment dans l coute et la prise en compte de l interaction qui se joue entre la dynamique subjective ef les probl matiques professionnelles C est en effet en travaillant sur le v cu subjectif branl par une dimension du travail manag riale organisctionnelle relationnelle etc et sur l ch singulier et ou collectif que cette dimension repr sente que le sujet peut selon nous se d loger d une positio troite de victime et redevenir acteur en donnant du sens sa situation et en laissant place au champ de possibles Destinataire de l expression d une souffrance et d un malaise professionnel le psychologue clnicie peut tre galement amen exercer une action de coordination selon les situations avec les diff rents acteu concern s m decin traitant psychiatre m decin du travail assistante sociale etc afin
14. Dani le DELOUVIN Psychologue clinicienne petite enfance ANA PSY pe Association Nationale des Psychologues pour la petite enfance pr sidente 1995 2008 Claire LECONTE Professeure m rite en psychologie de l ducation Universit d Lille Paule THOLLON BEHAR Psychologue docieure en psychologie responsable P le Petite Enfance ducation Centre de Formation Continue Ecole Rockefeller Lyon em Q O Q O Eas D 7 lt L Pr sentation g n rale N 2015 Quels espaces et quels mod les de pr vention Coordonn por Claire LECONTE Professeure m rite en psychologie de l ducation Universit de Lille 3 1985 2015 30 ans de vie du titre prot g de psychologue Comment son r le al volu au cours et depuis ces 30 ans En particulier en ce quiConcerne l accompagnement jeunes enfants Ont ils eux m mes volu O est ce leur environnement qui des jeunes enfants Ces l a fait exactement la m me que celle que cet enfant connaissait voici 30 ans l in Efectivement la soci t qui accompagne le jeune enfant dans son d veloppement n est plus terg n rationnel plus en zones urbaines que rurales n a plus loa place qu il avait l poque o les grands parents pouvaient Les femmes et c est une tre Un point d appui en cas de dificult s de tous ordres des jeunes parents bonne chose ont davantage de postes respo
15. O Las D 7 lt L OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 5 ducation Nationale Un statut pour tous les ges Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Jacques GARRY membre du Bureau national du SNP puis de la FFPP jusqu en 2005 co responsable de la commission ducation de la FFPP ancien psychologue du premier degr Marseille et dans le Pacifique sud Francine CORMAN Psychologue de l ducation 1 degr membre du CA de l AFPEN repr sentante de la FFRP au sein de lo commission Education de l EFPA F d ration Europ enne d Associations de Psychologues NEPES gt Network of European Psychologists in the Educational System Jacques GARRY Membre du Bureau national du SNP puis de la FFPP jusqu en 2005 coresponsable de l commission ducation de la FFPR ancien psychologue du premier degr Marseille et dans le Pacifique sud Dominique HOCQUARD Pr sident de l ACOPE Conseiller d Ori ntationPsychologue et Directeur honoraire du CIO de Metz ancien charg de cours l universit de Paris 8 Pr sentation g n rale Le statut des psychologues de l ducation nationale connait ure volution tr s importante attendue depuis des d cennies L ensemble psychologues premier et second degr s vont se retrouver dans un m me Corps avec deux champs distincts d activit s C est une avanc e fondamentale pour la econnaissan
16. j ecrutement nationale Ces volutions sont en cours de Education Nationale De lax psychologie scolaire e se sont adapt s aux volutions soci tales et aux diff rentes dispositions icip activement aux groupes de travail qui d orientation et de programmation pour la refondation de l cole de on y omt beaucoup gagn en termes de De nouvelles perspectives s offrent donc nous un seul corps de psycholog l universit Un statut reconnu pour les psychologues du premier degr une autre modal une repr sentation des psychologues Tous les ch lons de la hi rarchie de l d ON la psycho ont about ogie de l ducation i l adoption de la loi la R publique le 5 juin 2013 Les econnaissance et de l gitimit la finalisatio concours de ecrutement de psyc stagiairis ation les psycholog demeure encore quelques ince d application de ces d crets Quelles sont les perspectives soutenues par l AFP ues du 1 degr po ur l cole et ses usagers LES R SUM S ues de la maternelle t de ucation flexion ef d criture avec les repr sentants de la profession et du minist re Elles devraient aboutir d but 2016 la publication des d crets sur la constitution du corps et n des circulaires d application des d crets C est en juin 2017 que devrait avoir lieu le Ter hologues de l
17. 2 le contexte et les situations de travail d grad es 3 quatre formes de souffrance au travail 4 les actions men es par chacun des intervenants 5 Une construction empirique de l pluridisciplinarit pour prot ger la sant et le travail 6 l isolement paradoxal des diff rents intervenants dans l champ d la pr vention et de la sant au travail Un diaporama illustrant quelques situations detravailr elles dans cette confiserie compl tela pr sentation La coop ration psychologue du rravailef m decin du travail comme mode d accompagnement des agents atteints de maladies chroniques volufives Myriam FROMENT Depuis la reconnaissance l gale d tire de psychologue des modifications se sont op r es dans notre exercice professionnel tant du c t de la mar i re dont le public nous per oit que dans les liens de coop rations entre les professionnels C tte communication tentera d illustrer ces mouvements volutifs en se centrant s r Un dispositif q i est port conjointement par deux professionnels de sant au travail La singularit du travail conjoint du m decin et du psychologue du travail est l accent port sur la capacit donner Un sens la situation se d fendre de la souffrance et conjurer la maladie en mobilisant les ressources individuelles de l intelligence et de la personnalit mais aussi celles de la coop ration et du collectif
18. En 1981 ily a donc un peu plus de 30 ans Enfants en souffrance commen ait par ce livre est Un r quisitoire et d veloppait ce que la clinique de l poque avec notamment F Dolto avait dire de ces enfants maltrait s ou d laiss s l tude du Dr Turz presque 30 ans apr s 2008 a montr qu au moins 200 enfants sont tu s encore chaque ann e par leurs parents Peut tre que les familles ont chang es formes d alliance aussi mais la maltraitance est toujours l En 30 ans nous avons entendu la clinique de Dolto les diatribes contre ASE et l id ologie du maintien du lien les lois successives de r organisation de la protection de l enfance a professionnalisation des professionnels mais aussi la m diatisction des proc s d infanticide et de parents pr tendant disparul enfantau ls avaient euxm mes tu qu y a tl de chang pourles enfants en souffrance En quoi la clinique des psychologues o elle fait bouger les lignes et le regard sur la maltraitance Comment aujourd hui sans faire d inutiles r quisitoires porter un regard clinique qui fasse effet sur ces d ysfonctionnements familiaux qui vont de la d sh rence sociale la maltraitance et parfois au meurtre Cette communication sera d di e la m moire de Ren Cl ment et de Marceline Gabel Jeudi 4 juin 14h00 15h00 TRANSVERSAL Pass pr sent ef avenir
19. Rem dia tion neuropsychologique chez les enfants soufrants de troubles cognitifs LES R SUM S 52 53 53 53 54 55 55 55 56 56 58 59 59 l 62 62 Th r se RVASSEAU JONVEAUX Martine BATT Alain TROGNOI Christel JACOB Manon YZOARD Louise BERNEZ Val rie BLANC Lionel FOURE Pierre GAUDRIAUL Val rie BLANC Lionel FOURE Doroth e LECLERC Elodie MARCHIN Ruben ROSENBERG lodie MARCHIN Jean Yves CHAGNON Magali RAVIT Emmanuelle TRUONG MINH Beno t VERDON Am lie PONCHEL Sandrine CHICHERIE MAURIES Marie de MONTALEMIBERT Guillaume HERBERT St phane SOURY OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 social Justice LR Le gt lt 1 30 ans d expertise psychologique Bilan et perspectives Une avanc e permise par la reconnaissance du titre La psychologie gale volutions de la demande judiciaire adress e l expert psychologue Apports et limites de l expertise pr coce apr s 30 ans de pratique 2 Le psychologue et la prison Le psychologue en Unit Hospitali re S curis e Interr gionale Bxiste Hl une sp cificit de la dinique en milieu carc ral L exemple des Auteurs d infactions Caract re Sexuel Mise en perspective de l exercice du m tier de psychologue en milieu carc ral Privation de libert et demande de soins psychiques Pr paration la r insertion
20. Anim par Mare Jeanne ROBINEAU Quels enjeux et responsabilit s Quels droits quels devoirs quels moyens pour le psychologue Analyse de situations et r daction de quelques types d crits et ce l clairage de la d ontologie des psychologues et du cadre juridique de la Loi commune Dans sa pratique le psychologue est amen produire des crits o il engage sa responsabilit professionnelle Les diff rents documents qu il a produire peuvent tre diffusables transmissibles o non Leur forme est diverse compte rendu certificat attestation bilan d activit rapport lettre Par ces crits sont pos es la fois les questions du travail d laboration th orico clinique de l clairage d une situation de la place de la subjectivit de la demande sociale etc mais aussi celles du respect de a dignit de la personne de la confidentialit de la s curisation des donn es de la responsabilt p nale Dans l activit du psychologue la place des crits est d importance et demeure un exercice complexe ant les enjeux au quotidien les devoirs et les responsabilit s sont grands et sujets questionnements Comment concevoir une pr sentation vocation p dagogique Anim par Dani le COSTE psychologue charg e de formation l Institut National de Formation de la Police Nationale ww daniele coste free fr Objectif Comment faire en sorte Qu Un diaporam
21. Paris Descartes Amandine PEYREBR NE Laboratoire de psychologie sant et qualit de vie FA 4139 Aude RAMSEIER Psychologue et enseignante Marie THILLOT Laboratoire Adaptations Travail Individu EA 4469 Universit Universit de Bordeaux Paris Descartes Jos de VALVERDE l veprofieur Un outil de connaissance des enfants Maria PEREIRA DA COSTA Marion BOTELLA Toutefois les recherches portant sur la personna scolaire Tebbs 2010 Une approche multidim Conseiller d orientatior psychologue membre associ au LATI EA 4469 Universit Paris Descartes pour l adaptation de la p dagogie La r ussite scolaire est souvent associ e aux comp tences acad miques et l intelligence g n rale it ou les facteurs environnementaux sont plus rares mais ces travaux soulignent l importance de consid rer ces facteurs et leur impact sur la r ussite ensionnelle semble d sormais plus adapt e pour enseignement ajust au fonctionnement individ meilleurs r sultats et d tre plus engag dans son Le site web l ve profileur d velopp au sei comprendre et identifier les forces et les faiblesses des l ves et ainsi les aider r ussir l cole Un uel de l l ve lui permet g n ralement d obtenir de parcours scolaire n du laboratoire Adaptation Individu Travail est un outil d valuation destin assi
22. avoir quant au d veloppement des rythmes de l enfant biologiques mais aussi psychologiques et les conditions de leur respect afin de pr server chez cet enfant Un d veloppement harmonieux n est pas un luxe quand je vois les parents que je rencontre qui me disent tre p diatres ou m decins g n ralistes et me remercient de l apport que je leur ai fait car disentls cela va les amener changer leurs pratiques la maison o encore va les aider aider leurs patients qui viennent consulter pour des troubles du sommeil de leur enfant Oui les missions d information d ducation la sant sont des missions magistrales du psychologue pour aider les jeunes enfants bien se d velopper et bien vivre Bibliographie Des psychologues apr s des tout petits pour quoi faire Sous la direction de D Delouvin Ramornville StAgne r s coll 1001 b b s 2005 l coute des b b s t de ceux auiles entourent Actes du colloque des 20 ans de l ANA PSY pe sous la direction de S Giampino et la coordination de D Delouvin etD Ratia Armengol Ramonville SFAgne Er s coll 1001 b b s 2006 Ya Hl encore une petite enfance corps et c ur actes du colloque des 25 ans de l ANAPSYpe sous la direction de Sylviane Giampino Ramornville StAgne r s Les enfants au carr Une pr vention qui ne tourne pas rond Collectif PasdeOdeconduite Ramonville StAgne
23. ces exp riences fraternelles d accueil d analyseur des familles d accueil et pl sur les sp cificit s du lien fraternel offre configurations fraternelles particuli res us largement du placement familia mais s in peuvent galement tre appr hend es comme une forme nombre de donn es th oriques fondan resser aux configurations parti fraternelles permet aussi d interroger e Les rares en vilage SOS Cl mence DAYAN Une recherche initi e pa n retour le syst me fratern l association SOS Vilages d Enfants a t conduite de analyser les pratiques professionnelles concernant l accompagnemen Le Gall 2010 La recherche nentales pour penser les culi res des exp riences el tel qu entendu traditionnellement 2007 2010 pour mieux men s aupr s d enfants e de fatri s plac es conjointement partir de l expertise des professionnels et des t moignages des enfants il s agissait d identifier les indications et les contreindications du placement conjoint de rep rer les pobl mes etles O n fices de ce mode de aternelle Gfn de saisir d une par q q t mis en place par les professionnels pour y faire face plusieurs pistes de travai onr t d gag ss approfondir e travailler avec les parents se doter d outils d valuation de la ificult s et intervenir pr cocement former
24. r s 20H Prendre soin du jeune enfant et de son entourage Dossier coordonn par Dani le Delo vin in Psychologues et Psychologies bull n 232 232 avril 2014 Dalhlberg G Moss E Pence A 2012 Au del de la qualit dans l accueil et l ducation de la petite enfance les langages de l valuation Ramorville StAgne Er s Leconte C 2014 Des rimes de vie aux rhmes scolaires un histoire sans fin ditions PUS coll Savoirs Mieux Piaget J 1967 Biologie et connaissance Paris Gallimard Porcher A para tre De l intranqauilit la sant au travail Tholon Behar MP 2009 l analyse de la pratique dans la petite enfance un mod le socio cognitif Le journal des Psychologues n 270 LES R SUM S Led T 2 D mi Q c O Q O Q O Q O Eag D gt lt lt L OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 2 Famille et familles Des fr res et des s urs en situation singuli re E Symposia n 6 samedi 6 juin 14h80 16h30 Coordonn par Beno t SCHNEIDER professeur en psychologie de l ducation Laboratoire Interpsy EA 4432 Universit de Lorraine ww Benoit schneider univ lorraine fr Michel BOUTENQUOI MCF HDR en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franche Comt Laurent BOYER Marseille Universit EA 3279 Research Unit Marseille 13284 France Cl mence DAYAN
25. Munch C Mescl H Lieury A 2010 Kawashima vs Super Mario Should a game be seriousin order to stimulate cognitive aptitudes European Review of Applied Psychology 60 221 232 a hieu A Berardi A M Toniolo AM 201 2 l implication de la satisfaction des besoins psychologiques dans l plaisir lors de interaction avec les jeux vid o Communication a Colloque Plaisir et num rique Approches critiques des enjeux dans la cr ation les usages et les pratique Ludovia 2012 Ades Thermes 27 ao t 30 ao t auco O 2008 La m diatisation des probl matiques de la violence et de l addiction auxjeux vid o faits divers d pendance journalistique et p nurie d approvisionnement en sources Quaderni 67 19 31 Rolland J P 2004 L valuation d la personnalit Brurell s ditions Mardagar Ryan RM Rigby C S Przybylski 2006 The motivational pull of videogames a self determination theory approach Motivation amp Emotion 30 4 344 360 Selnow GW 1984 Playing videog mes the el ctronic friends Journal of communication 34 2 148156 Sherry J Greenberg B S Lucas K gt et Eachkan K 2006 Video game uses and gratifications as predictors of use and game preference In P Vorderer J Bryant dir Playing video games Motives responses and consequences p 213 224 Cresskill NJ Lawrence Erlbaum Tan J Biswas G 2007 Simulation based game learning envi
26. Plaidoyer pour une psychologie pr venante pour la petite enfance Dani le DELOUVIN Beaucoup de choses ont chang engans Y a tilavanc e Nousvivons dans Une soci t qui s emballe et se pr cipite dans des valeurs marchandes technocratiques o tout est quantii quantifiable o se d lite le lien social et dans le m me temps o la vie psychique est rabattue des comportements Si les institutions territoriales recrutent plus de psychologues ceux ci sont plus sollicit s comme des substituts psy tout faire 50 S d pannage Des psy polyvalents et format s voire rentables Serait ce l la fin des psychologues cliniciens qui uvraient depuis des d cennies dans des institutions erritoriales d di es la petite enfance Dans le cadre de l ANAPSY pe ntout cas les psychologues ont travaill depuis Toujours garantir une certaine pr vention cf les interventions r centes de Dominique Ratia Armengol Sylviane Giampino et Dani le Delouvin lors du congr s d Analyse Freudienne en mars 2015 Psychanalyse ef ducation l place d sujet dans l ducation aujourd h r De quoi parle t on quand on parle de pr vention Les textes relatifs la PMLet aux lieux d accueil ont des objectifs de pr vention clairement pr sent s ais le glissement d une pr vention pr venante au profit d une pr vention pr dictive est alarmant La loi de pr vention de la d linquance a
27. Psychologue quel Titre 30 ans plus tard bilans et d fis Lour la formation efla pratique des osychologues 2o gt A a Les R sumes Conf rences pl ni res symposiums tables rondes amp ateliers A Ei E Le f Ni a i UNIVERSIT j F d ration Fran aise Q DE LORRAINE Interpsy des Psychologues et de Psychologie OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Sommaire Conf rences pl ni res Face aux d liaisons sociales en quoi le psychologue est concern Formation Intervention Recherche Quel support pour les psychologues aujourd hui Les psychologues de l ducation de la sp cificit fran aise l Europe Approche comparative et dynamiques internationales La psychologie du travail l preuve des mutations professionnelles Maltraitance des enfants l articulation de la clinique du social et de la criminologie Pass pr sent et avenir des psychologues Le handicap et les cliniques de l extr me 30 ans d avanc es Symposia Axe ducation Olivier DOUVILLE Danielle RAPOPORT Marianne KANT SCHAPS Dominique LHUILLIER Jean Luc VIAUX Patrick COHEN Simone KORFF SAUSSE 1 Petite enfance Quels espaces et quels mod les de pr vention Le psychologue en cr che aujourd hui un soutien la r flexivit des quipes Plaidoyer pour une psychologie pr venante pour la petite enfance Co
28. Psychologue clinicienne docteur en psychologie clinique et psychopathologie CAMP de l h pital Mignot av des Bouleaux 78190 Trappes Z clemdayan hotmailcom Lise LEMOINE MCF ESPE de l Acad mie de Paris Laboratoire Interosy EA4432 Universit de Lorraine mm Lise Lemoine uni 4doraine Aurore MAZZA MAINPAIN Docteure en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franche Comt 2 Jean Pierre MINARY Professeur en psychologie sociale Laboratoire EA3188 Universit de Franche Comt L a PLESSIS tudiante AxMarseile Universit LPOLS EA 3278 13621 Ax en Provence France Anne Laure POUJOL Psychologue doctorante en psychologie Laboratoire PSYNCA Universit de Rouen 76451 MontSaintAignan onnelaurepoujol hoimaiL com Benoit SCHNEIDER Professeur en psychologie de l ducation Laboratoire Interosy EA 4432 Universit de Lorraine Beno schneider unMdorraine H l ne WILQUIN MCE AxMarseille Universit LPCLS EA 3278 13621 Aix en Provence France Pr sentation g n rale Les relations entretenues au sein de la fratrie sont souvent d cisives pour la formation d un tre humain Pour autant elles repr sentent un domaine plut t r cent de l tude de la psychologie de la famille celle ci s tant longtemps focalis e sur les relations entre parents et enfants Peu peu on nterrog sur les caract ristiques du lien fraternel en consid rant l influe
29. Q Q D 53 E D O O a Cette volont de nuire est per ue parles victimes ef le groupe social cibl comme un ou des v nements soudains ef impr visibles Ceci produit un traumatisme particulier et archa que Il porte atteinte tant la dyade m re enfant qu au parcours personnel de l individu ety apportant des d chirures profondes Or la dyade m re enfant tout comme le parcours de l volution dans la soci t se construisent lentement travers le temps et au cours dud veloppement individuel t permettent ainsi au sujet de croire en une soci t et tablir des rapports d confiance C est cette probl matique qui sera voqu e et de d velopp e avecles o tils conceptiuels de la psychanalyse Probl mataues actuelles de l prise en charge Karin TEEPE L OFPRA Office Fran ais pour l Protection des R fugi s et des Apa trides a enregistr pour 2013 66 000 demandes d asile ce Chiffre m lant nouveaux arriv s et demandes de r ouverture de dossiers D puis deux ans des directives europ ennes font l obligation aux tats Membres de l UE de fournir une aide et une assistance m dico psychologiques aux r fugi s vuln rables et particuli rement aux personnes victimes de pers cutions et de tortures Recensant l existence de seulement 5 centres de soins sp cialis s dans la prise en charge des psychotraumatis
30. Un dessaisissement complet de l approche psychopathologique Pourtant les tudes pid miologiques les plus s rieuses Mis s 2004 Georgieff 2014 montrent que la plupart de ces troubles instrumentaux s inscrivent dans l cadre de pathologies limites ou n vrotiques cat gories qui n existent pas dans le DSMet ne sont donc pas reconnues par la psychopathologie scientifique de l art de faire disparaitre un objet et um sujet Les psychologues sont alors r duits faire des tests de Al en contradiction avec les recommandations de a conf rence de consensus sur le bilan psychologique etles p dopsychiatres r diger des certificats pour la MDPH afin de permettre l acc s aux compensations du handicap pr sum ais cette controverse repose sur Uun Malentendu majeur qu il nous importe de d noncer Chagnon et coll 2014 l approche clinique est sans cesse rabattue sur une perspective tiologique psychologique in aire estim e culpabiisante des parents perspective construite en miroir des hypoth ses tiologiques neuropsychologiques quir posent sur un paradigme diff rent Orla psychopathologie clinique s inscrit dans e champ de la complexit elle admet sur le plan de la discussion tiopathog nique une polactorialit intriqu e facteurs g n tiques environnementaux cologiques ete et des boucles r troactives les effets d un syst me deviennent les Causes du syst
31. en cabinet lib ral Parcours d Exl 12 rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris et Centre Hospitalier Casanova rue Daniele Casanova 93000 Saint Denis M kiccpe orangefr Pr sentation g n rale Karin TEEPE Les traumatismes des r fugi s fuyant leur pays en raison de pers cutions politiques ou et de tortures sont sans doute ceux qui figurent parmi les pires traumatismes lorsqu ils sont voqu s Ce sont en m me temps ceux qui font surgir les r actions d vitement o de d n gation les plus fortes de la part de tiers de t moins o de l entourage suppos s manifester de l empathie Devant les dommages subis par les victimes des r actions de d n gation individuelles ou collectives massives se font jour Ce symposium rappelle et explore les m canismes psychiques l uvre chez ceux qui sont confront s aux ph nom nes de d tresse et de sid ration post raumatiques des r fugi s et rendre compte de la r alit du travail avec ces patients positionnement du h rapeute acquisition de connaissances sp cifiques notamment des probl matiques d pressives etde dissociation post traumatiques questions des maillages sociaux r ponses et attitudes du th rapeute face aux r actions de d ni L BELAROUCI expose les probl matiques de d n gation r sultant pour la soci t civile du processus de r conciliation nationale en Alg rie et d taille les eff ts s r les psychologues et sur leurs patients D SZEPIE A
32. existe d autres d marches d intervention du psychologue proche de l recherche action et que nous appelons d marches participatives L quipe choisit une probl matique en lien avec la qualit de l accueil de l nfant et de sa famille Ensuite elle met en uvre une m thodologie pour prouver ses hypoth ses observations entretiens questionnaires etc Les donn es recueilles analys es permettent d nvisager des modifications profondes et d rables des pratiques r 2 D mi Q O Q O Le psychologue n est alors pas dans un r le de prescripteur des bonnes afif des professionnelles parfois mal per u par les quipes dans la mesure o il provoque des perturbations exog nes dans le sens piag tien Piaget 1967 Dans la d marche participative l accompagne le processus de recherche de quipe qui se questionne et labore partir d une perturbation endog ne issue de ce questionnement Ce positionnementn cessite une comp tence particuli re le psychologue doit tre form l recherche l volution des pratiques des psychologues dans la petite enfance depuis 1986 5e situe sans doute dans ce passage d un r le de prescripieur un soutien lar fexivit et d accompagnement du questionnement des quipes que ce soit dans l analyse de la pratique o dans ia d marche de recherche action
33. n premier examen a t effectu a d bu Treize patients ont pu tre retest s au bout d Un an 12y Les valuations en Thet entretien semidirect et un Rorschach Les observations des psychologues cha t es par celles des psychologues psycho s des patients qui le souhaitaient par de la th rapie T1 12 comprenaient un g s ces valuations de restitution fut Exner que de celui S Progr s au Cours situations aNXIog nes aissait encore limit e igue et projective plus litatives qui tenaient compte l alcool Des repr sentations UN dehors des cadres tradition la pratique clinique sont discut s No d une approche idiographique est souli L e proposition th rapeutigue le lodie MARCHIN exemple de cette volution est pr sent Les enjeux d un ses fondements reposent s th rapeutiques de Descombey et de Monjauze Cette m thode permet Ur notre p amment la compl mentarit d une gn e pour la compr hension de ch groupe jeu de soi guli rement e telle recherche et son apport approche nomoth tique et aque cos invit s exprimer libremen t sur des LES R SUM S atique clinique et sont en lien avec les conceptions th oriques e a personne de se resituer dans son parcours de vie de se d couvrir de s tonner d accepter et de respecter la pens e de l aut
34. p nal des crimes et des d lits La mission que le juge adresse l expert psychologue va bien au del du simple bilan psychologique int gr au dossier de personnalit du mis en examen les questions pos es au psychologue qui se sont tendues aux aspects ventuellement pathologiques de la personnalit aux motivations l origine du passage l acte l volution probable du d linquant sont susceptibles d avoir une incidence sur la d termination de la culpabilit par le juge Aujourd hui la n cessit d une formation sp cifique l expertise est devenue une vidence cette formation est encore insuffisamment d velopp e pour les psychologues LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Apports ef limites de l expertise pr coce apr s 30 ans de pratique Christian BESNARD Dans une communication sur des journ es d tudes de la SFPL Soci t Fran aise de Psychologie l gale et de l universit de Rennes 2 nous expliquions dans les ann es 80 que sur une initiative du Parquet et sur le constat que la pratique expertale survenait au cours de l instruction souvent longtemps apr s le d but des r v lations tait n e l id e de l expertise en r quisition pr coce qui se mettait en place d s le d but de l enqu te pr liminaire et m me avant les auditions et les interrogatoires Notre id e tait de saisir l tat
35. un travail dedonga G rard Fourcher les ke groupe s est tend r sentation du projet au SROS de l Alsace Pour ce faire nous avons Le p res d u den ION Roland Gori SIUERPP premier rapport Psychoth ra du Minist re de la Sa tre de psychologue et des d crets des 3 fonctions publiques Par la suite ombreuses autres personnalit s organisations et syndicats comme Mme Fran oise Caron Syndicat national des psychologues M Jacques Py Soci t fran aise de psychologie M Jean Pierre Chartier F d ra e haleine avec M Norbert Hacquard Emmanuel Garcin et M ai fran aise des psychologues et psychologie M Andr Sirota et d autres en K Se D D core Psychologues freudiens FO Ila about la r daction d un t psychologues puis le 2 me Sant et psychologie destination nt l Assembl CC Titre de psychoth rap psychologie d un dispositif interm des flux la cr ation du statut de ma tre de stage et celui de praticien chercheur d exercice r gulation Cela avait permis la eute puis d nis Le r alisation de e Nationale et le S nat comme support la n gociation autour du s propositions de cr ation des Coll ges instiutionnalis s des centres de t riel mais aussi des changements dans la formation initiale doctorat
36. v nements qui s y produisent les psychologues sont sollicit s parles m dias pour apporter quelques claircissements auxauditeursett l spectateurs Psychologues sp cialistes de lafamille de criminologie de psychotraumatisme de jeux vid o et de bien d autres domaines encore sont ainsi r guli rement sollicit s par les m dias lls interviennent Glors au cours d missions th matiques o en direct propos d un v nement particulier Dans ce symposium des retours d exp riences seront pr sent s avec les pistes de r flexions qu ils suscitent chez les psychologues qui sont all s face aux m dias Le la psychologue ef les m dias Jean Pierre BOUCHARD Cette communication est un t moign ge d un longue exp rience des m dias suivi de quelques remarques qui peuvent viter certains cueils aux psychologues non familiers de l exercice J aien effet t tr s souvent invit par des t l visions journaux t l vis s reportages plateaux documentaires et des radios pour analyser d crypter o commenter des sujets touchant aux comportements humains en g n ral et criminels en particulier en France o l tranger dangerosit tueurs en s rie meurtres O assassinats de masse parricide infanticide d linquance et criminalit g n rales d linquance et criminalit sexuelles d linquance ef criminalit des jeunes d linquance et criminalit des femmes crimes passionn
37. Strat gies colaboratives du psychologue du travail avec les RH 02 Myriam HROMENT ou quel dispositif d accompagnement pour les agents Fr d ric GARCIA en situation de fagilt psychique Suzanne GLORIEUX Pr vention primaire des risques psychosociaux ef prises en charge individuelles 02 Myriam FROMENT Des briques manquantes aux perspectives Fr d ric GARCIA de pratiques pluridisciplinaires et scientifiques Suzanne GLORIEUX Trauma genre et r silience 03 Myriam FROMENT N cessit de prise en charge sp cifique dans le cadre de la sant au travail Fr d ric GARCIA Suzanne GLORIEUX Travail et Bien tre 04 C cile BAPST Pr sentation d une intervention dans une collectivit territorial LES R SUM S a GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 6 Le m tier de psychologue du travail 106 et les sp cificit s des professionnels form s au CNAM Perspective socichisiorique du d ploiement 107 Alix NIEL des psychologues du travail du CNAM L institution de dispositifs de discussion sur le travail 107 Muriel BIENVENU comme activit du psychologue du travail Note attention au travail vivant un enjeu du m tier pour le psychologue du travail 107 Christian CHATELUER La construction singuli re et collective du m tier 108 Patricia MAZZEI de psychologue clinicien du travail le r le de l association AE2 du CNAM L association Penser ensemble le travail
38. Un otammentiG diminution de ella capacit d expression t des parcours psychoth rapiques an ution de chaque patient On a observ a tent occasi on des principes fon stituent volens nolens le des sciences sociales onnellemen da NO el do actio at d un choi X e et les objectifs de vie qu on a eurs de l conom qu on uvelles nt ques fy Si ie cadre d intel Q is est il vrai ergence et l extension des addictions est un ph no ho mais c est ici l addictologie en tan ionalt que de son anthropologie igibili que do NOUS des erreurs de calculs m ne soci ta nt t que te ferpr tation des Rorschach fut mixte s n aise Lacomparaison des deux valuati inspira ons T1 Hn rapeutes Un entre es psychologues valuateurs nt aussi bien de mod le d en l anxi t F9 ef l esti o me de cessi soi aussi UNEA et12 ft apparditre cer e meilleur contr le des E des patients pa Fin tique de d part des pa nouvelles dans le Rorschach en T2 t moignaien ors des vo ients et de leur rapport particulie enrichissement des repr sentations de UTIOnNS qg t d un na UC yse CIN le Une tude t men e sur 18 patients en difficult avec l alcool qui ont entrepris une psychoth rapie dans Un des centres de l ANPAA E
39. affirm jusqu encore r cemment le cerveau des structu le prog centrale au sein au sein d le globa U CErvVeOU chitecture neuronale Cette con es endomm des r seaux neurocognitifs qui peu enclines la plastici dange du cerveau n es conitex donc a nectivit anatomique constitue le en cos d atteinte le pat urgie fonc en vue de la d tection de ces r seaux crucia Dans cette communicatii p ri et perop ratoireet est d critl enceinte norale p ogue se doit de proposer des valuation UX ag es par permetten compte jent ne pourra r cup rer oprement pa ler bas e s autonomes mais est compos de r seaux distribu s Ce sont pr cis ment ces propri C la a cComm enude leur positi La chirargi ionnelle des connexions c r brales adapt es on sont expos es les grandes lignes dela pri se en chargen des pr Critiques U s qui permettent l sion Tou efois il ication on principal e veill e SUPPDOS S Dans ce UN chelon i repose Nous discutons galement des enjeux futurs de l valuation le r le central de la r habilitation neuropsychologique postop ratoi G ndividuel europsychologique hique conceptuelle et neuroscientifique sur laqu
40. ce que ses donn es soient partag es lorsque celle ciest hospitalis e en service de psychiatrie du fait d une d mence de troubles du raisonnement de troubles de la conscience Cette personne est elle alors en mesure de consentinibrement ou de faire valoir ses droits La l gislation pr voit que les donn es constitutives du DPIsoient transmissibles uniquement aux personnes prenant en charge le patient partage d information caract re secret loi du 4 mars 2002 Or dans nombre d tablissements de sant tous les soignants ont acc s tous l s DPI Comme l explique la Commission Nationale Consultative dela D ontologie des Psychologues en 2012 dans unde ses avis il convient de prendre en consid ration le faif que des donn es psychologiques inscrites dans le dossier peuvent si elles sont reprises par d autres professionnels tre sources de m prises voire de d formations En fait les seules barri res l transmission des donn es du RIMPsy o du DPI un tiers ou encore leur interconnexion avec d autres r seaux o d a tres fichiers sont Uniquement l gislatives etr glementaires et d ontologiques Ea effetda technique informatique comporte toujours Ur risque d acc s abusifs est dificile voire impossible pour Un psychologue travaillant dans un tablissement de sant de savoir qui aura acc s ce qu il peut mettre dans le RIM Psy et le
41. conjugaux et familiaux Enfin un tudiant de fin de formation en psychologie relate le stage qu il a pu faire en PMI en 2006 or voici ce qu il dit Ainsi ce stage m a paru int ressant car il permettait la d couverte d une structure inconnue dans laquelle je ne pensais pas la pr sence d un psychologue et le point qui m a le plus tonn est le fait qu il s agissait d un travail d orientation et non th rapeutique Ce stage m offrait de d couvrir une fonction un r le de psychologue diff rent des repr sentations que je me faisais On ne peut que s interroger sur la place dans la formation des psychologues la fois de ces lieux d insertion professionnelle mais aussi des r les autres que celui consistant r aliser des prises en charge h rapeutiques Ce constat fut confirm lors de ma pr sence aux ateliers de concertation pour la efondation de l cole particuli rement celui intitul sant l cole o les seuls professionnels semble econnus taient les m decins et les infirmi res scolaires II nous a fallu intervenir syst matiquement pour appeler que les psychologues de l ducation nationale contribuent aussi la bonne sant des l ves Je montrerai qu informer en tant que psychologues les parents mais aussi les enseignants les atsem es assistantes maternelles les animateurs de centres de loisirs sur les connaissances
42. d partementaux Un des Personnes Handicap es 2008 les quipes p a base d expertises externes comm de l autonomie des ncapaci sur les baradigmes il constitue d sormais la r sul imitant o entravan oi 2005 102 est embl ma mi l important appareil l gi sposfifs en charge de l ga it Depuis le d but des ann es 2000 on assiste en France comme dans la plupart des pays occidentaux une refonte en profondeur des l gislations et di des droits et des chances slatif d ploy dans le cadre de cette r volu th oriqu ugeyrollas 1998 le hand ique elle red finit la notion de handicap e iCap ne renvoie plus Une quelconque infi ante n gative des interactions entre la person ses activit s et participations civiques ION lEs etdes d pendances tous les ges de la vie Schmitt 2007 culturelle Gohet 2007 son p rim tre en s alignant es internationaux comme la CIF et le PPH ONU 2006 OMS 2001 mi atteinte ou d ficience ur accompagner CES bou vec le G EV eversements th oriques sans pr c dent iques pour l va ne et son environnement C uridisCip inaires gis uation des besoins de compensation les Maisons D partementales support oficiel pour l valuat ateur a cr des guichets ion du handicap CNSA La recherche action conduite pa
43. e sur les dimensions que nous cherchons art cognition motions et comportement l va ible par l analyse des interac verbales patient psychologue ont lieu la fois dans des entretiens au jardin en contexte et visites Pour compl ter r les activit s artis la fois des appr ciations esth tiques g n rales et de la m morisation l ments artistiques tout au long de leur participation IONS valuer insi le potentiel des uvres d art par une m thodologie adapt e Lesquelles concernent de ces dimensions est Ces interactions verbales uation nos investigations des igues et culturelles des suje dans des entretiens mn moniques hors OUI s avan 2 e65 s ont t sp cialement c l tude D autre pari pour actives aux situations sociales aux p aux manifestations motionnelles des patients dans un jardin th rapeutique buisement professionnel des soignants dans les secteurs hospitaliers avec versas Sans jarain Louise BERNEZ des originalit de rendre objectives et quantifiables les donn es relatives aux ocessus cognitifs aux jugements esth tiques et Iheimer en situation de contemplation d uvres d art Une tude r alis e au CHU de Nancy l Unit Cognitivo Comportemental UCC amis en vidence un certain nombre d am liorations indirectes des conditions de travail La cr ation du ja din t
44. finir ce que pourrait tre un tel doctorat n cessairement diff rent du doctorat de recherche Il est tentant de parler d internatpour d signerla formation des psychologues s rleterrain mais cette id e s applique bien l h pital moins bien l entreprise Par ailleurs une nouvelle directive europ enne de 2018 pourrait obliger EuroPsy voluer fortement Le doctorat professionnel pourles psychologues causes et perspectives Pascal Le MALEFAN I s agira de pr senter et disc ter les raisons qui am nent aujourd hui penser un niveau doctorat pour porter le titre de psychologue en France Des perspectives seront ensuite voqu es pourrendre r alisable ce quipardft tre une nouvelle ambition pour l profession EUropsy une fape avant mise en place d un doctorat d exercice Alain SOMAD EuroPsy est Une certification pour les personnes et une accr ditation pourles dipl mes progressivement mises en place par l EFPA European federation of Psychologist Associations dans 35 pays europ ens Cette certification et accr ditation est un moyen pour valoriser l qualit des formations initiales et engager le jeune professionnel dans une r flexion supervis e d une ann e s r sa pratique Il est accompagn dans le cadre d Un groupe par des Professionnels R f rents EuroPsy Cett
45. finit la profession de psychologue sans pour autant la r glementer I tait urgent d attirer l attention des pouvoirs p blics etdes usagers sur l s dangers de cet ta de fait pressenti d s 196V par l r daction des cina articles d premier Code de d ontologie des psychologues Associant le plus grand nombre de psychologues cette t che la profession une trentaine d organisations d psychologues d cide n1995 de se donner un cadre de r f rences en r digecntet adoptant en 1996 le Code de d ontologie des psychologues lors que notre Code de d ontologie vient d tre actualis heure o les organisations se mobilisen pour le rendre opposable l heure o la profession va devoir op rer des choix d importance i semble que la d marche quasi Unitaire qui a proc d sa r daction ait tre rappel e LES R SUM S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 La situation en Belgique Marie Caroline de MURLENAERE La d ontologie des psychologues a fait l objet d une r glementation r cente en Belgique Un code est entr en application le 26 mai 2014 Un Conseil disciplinaire ainsi qu un Conseil d Appel compos s de psychologues lus sont en cours d instauration le premier traitera des plaintes d pos es l encontre de psychologues le second se prononcera sur les recours form s par ces derniers Si le Conseil disciplinai
46. gitime les fondements de l valuation continuent tre questionn s critiqu s d battus Dans ce cadre les outils standardis s tests questionnaires ont pour vocation de fournir aux psychologues les moyens de proc der des valuations rigoureuses et scientifiquement fond es Mais tous les outils ne se valent pas Ce symposium est donc l occasion de faire le point quant aux recommandations propos es au niveau international pour d finir les crit res de qualit d un outil d valuation et quant la mani re dont ces recommandations sont d cliin es en France la faveur d une initiative r cente d diteurs Bien quern cessaires et essentielles ces avanc es ne r pondent toutefois que partiellement l am lioration des pratiques d valuation Ce symposium sera donc aussi l occasion de discuter des questions auxquelles ne r pondent pas encore les recommandations et les crit res de qualit et de d battre des volutions souhaitables dans le domaine Normes ef recommandatons internationales De la qualit des fests la comp tence des diilisateurs Even LOARER Pierre VRIGNAUD f a Em O tS O Ha f m E O AL C O O dm O Q A Q Q gt vN O Q gt lt lt L On peur distinguer au niveau International deux grands Types d approches celles quis int ressent plut t la construction
47. nationale des droits de l enfant dan al spirituel et moral Une telle structure me aussi bien qu sles te enqu te a elle ructure de soutien cing domaines du pr voit la coordination ong terme Mari ann LES R SUM S ofessionnels dans e Kant pr sentera que directrice dans la cr ation depuis le 1 septembre 2014 d un service le d veloppement du bien tre des enfants et des adolescents dans la Communaut germanophone de Belgique Samedi 6 juin 13n15 14h15 2 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 TRAVAIL La psychologie du travail l preuve des mutations professionnelles Dominique LHUILLIER Professeure m rite des Universit s psychologie du travail CNAM Centre de Recherche sur le Travail et le D veloppement La psychologie du travail d s ses origines a t marqu e dans ses d veloppements et ses tensions internes par es transformations du travail et les demandes sociales li es aux volutions des contextes socio conomiques Ces rente derni res ann es ont connu de nombreuses mutations qui interpellent la fois l discipine et m tier de psychologue du travail mondialisation des march s intensification et individualisation du travail d veloppement des nouvelles technologies des activit s de service des normes et proc dures gestionnaires pr carisation de emploi et de la sant des femmes et des h
48. ont toujours pour mission principale d viter toute alt ration de la sant des travailleurs du fait de leur travail Article R4622 2 du Code du travail l augmentation des maladies et troubles professionnels a mis l accent sur la n cessit de d velopper Une approche globale de pr vention des risques tant physiques que psychologiques Devant la diminution constante des M decins du travail et la diversification des risques professionnels la pluridisciplinarit apparait dans les textes comme l l ment central de mise en uvre de la r forme La pluridisciplinarit se concr tise dans ces services par l arriv e de nouvelles comp tences dites techniques et organisationnelles article R4623 57 du Code du travail C est dans ce contexte que les Psychologues du travail ont int gr ces services Les Psychologues du travail ont ainsi mis en place leurs pratiques dans un cadre d exercice sp cifique et non balis par la discipline En accord avec les travaux de Sainsaulieu 1977 et Dubar 2003 nous pensons que ces pratiques professionnelles contribuent la construction et au d veloppement de l identit professionnelle des Psychologu es du Travailen SST M thodologie nscrit dans une d marche m thodologique plus large h se les r sultats que nous vous proposons montrent les diff rentes modalit s et pratiques d velopp es dans l prise en charge des risques psycho
49. peut que se fonder sur la discipline et cela quelle que soit l orientation de r f rence neuropsychologie psychanalyse cognitivisme comportementalisme cela ne veut pas dire recouvrement o fusion thique et psychoth rapie Philippe GROBOIS Cette intervention propose une analyse des repr sentation adopt es par les organisations professionne r glementation du tit r actions vis vis de majorit l absen les de psycho e de psychoth rapeute qui s av re tre a loi de 2004 et les d cre Un positionnement thiq ts d application qui on qui souhaiteraient en faire usage Les Organisation mati re de psyc fessionnelles des psychiatres a souvent suffisan hoth rapie de leur c t les psychologues so l Universit un enseignement de psychopathologie psychanalytique ue de leur pa ainsi q Utoproclament ce s de la psychoth rapie via les positions ogues et de psychiatres vis vis de la une v ritable catastrophe sanitaire leurs suivi en 2010 et 2012 illustrent en Ux ci comp tents e pour exercer une fonction psychoth rapique sans ainsi entretien clinique but de soutien d accompagnement o d valuation et cadre psychoth rapique ue des professionnels concern s par essence en nt encore tr s influenc s lorsqu ils ont re u formation de base jug e par eux formation sp cifig ue confondan
50. 15 16 l emprise Dialogue 3 117 3 17 Bouchard J P 2006 R former l expertise psychiatrique et l expertise psychologique un imp ratif pour la justice Le Concours m dical 128 2 97 99 Bouchard J P l indispensable r forme de Victimology 4 2 60 66 xpertise psychiatrique et de l expertise psychologique International Journal Of Bouchard J P 2008 Para uma reforma da pericia psiqui trica e da pericia psicol gica na Uni o Europeia in AC Fonseca d Psicologia e Justi a Coimbra 155 174 ed Nova Almedina Portugal Dubreuil C Un regard clinique sur l aide la d cision judiciaire in Les Cahiers Dynamiques juin 2011 Houssier F 2009 M tapsychologie de la vio 14 23 sra l L 2014 l amour de la Pendanx D 2008 ne e octobre 2008 Pinel J P 2004 Traurnatisn e Enfances amp Psy 4 45 Soulez Larivi re D Psychologie a et politiques 74 42 5 agistrat ins Viaux J L 2003 Psychologie l gale Paris d S9ISNf IDI90S DY Q Q N _ pe Q O N o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE Nancy LES 4 5 6 Jun 2015 4 L tat actuel des connaissances sur le risque en psychologie Les apports de la psychologie sociale Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Christine ROLAND L WY professeur des Universit s Laboratoire de Psychologie
51. D ol O N mi O1 o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 F d ration Fran aise des Psychologues et de Psychologie Cr e en 2003 dans une dynamique f d rative pour la profession et la discipline la FFPP rassemble des praticiens et des universitaires qui choisissent de r fl chir et d uvrer ensemble pour donner la Psychologie une visibilit une coh rence et une repr sentativit sociale La FFPP r unit les psychologues titre individuel les associations et les organisations travers la reconnaissance de la diversit des pratiques la multiplicit des m thodes la pluralit des mod les de r f rence et les sp cificit s des champs d exercice La FFPP sans tre un syndicat oeuvre la d fense collective de la profession En ce sens elle s articule la d fense des salari s par les syndicats et travaille en partenariat avec eux sur les dossiers majeurs de la profession Nos objectifs uvrer collectivement psychologues praticiens etenseignants chercheurs la d fense de la Psychologie Contribuer une structuration identitaire affirm e et visible pour la profession et la discipline D fendre la d ontologie Prot ger le titre Unique Informer des enjeux pr sents et futurs de la profession Promouvoir la qualification et l excellence de la discipline Lutter c
52. EN au niveau M2 de psychologie suivi d une ann e de titudes et questionnements concernant les conditions EN Quels int r ts pour O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 6 La psychologie du spori Un parangon de la psychologie qui t moigne depuis 30 ans de ses morcellements et de son unit Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Gilles LECOCQ ILEPS Cergy et CRP UPJV ww g lecocq ileps org Led Bemard ANDRIEU Professeur de philosophie Universit de Rouen CETAPS Z bondrieu59 orange f Armelle FAVRE Psychologue du spori ww ovr_ a yahoo fr Gilles LECOCQ ILEPS Cergy et CRP URV M o lecocq lileps org Ana lle MALHERBE Psychologue du spor Z onoelle malheroe gmail com D gt L D LL Q O Q r O Pr sentation g n rale Le d veloppement de la psychologie d Sport est contemporain des volutions des normes des pratiques et des techniques qui ont d structur les cultures sportives depuis 1985 Ainsi entre sant et ducation performance au travail et performance sportive des demandes complexes ont merg en direction des praticiens et d s chercheurs uvrant dans le champ de la psychologie d sport L objectif de ce symposium sera ainsi de montrer Dans Un premier temps les zones critiques O se sont rencontr es des professionnels venant d horizons diff rents et l gitimant
53. Fran aise de Psychologie SFP fait partie des organisations l origine de la CIT 1978 Cependant la France n apparait pas comme aussi active du point de vue de l dition et de la diffusion de recommandations Le code de d ontologie 1991 fait une courte r f rence aux tests Sous l gide de la SFP des traductions des recommandations de la CIT ont t publi es 2003 2009 Dans le domaine de l examen psychologique de l enfant une conf rence de consensus a t organis e par la FFPP Voyazopoulos et al 2011 Nous montrerons la compl mentarit de ces deux approches Il est essentiel que les outils soient valides et r pondent aux meilleures normes de r f rence Mais l outil le plus valide n est rien si l utilisateur n a pas les comp tences pour l interpr ter et en communiquer les r sultats Objectifs et vocation de la Charte des diteurs d Outils d valuation Antony ERB Pourquoi une Charte de qualit Un psychologue Un consultant Un DRH qui souhaitent utiliser aujourd hui des outils d valuation des personnes se trouvent en France face une offre importante mais h t rog ne en termes de qualit de conception et de pertinence La cr ation et le d veloppement de ces outils n cessitent le respect de r gles pr cises et Un soin tr s particulier alors que le cadre r glementaire existant tout en posant des principes utiles est sans doute ins fisant pour garantir Un
54. Lorant Royer Munch Mescl eftieury 2010 et l aide l apprentissage dans des domaines vari s telles que les sciences Tan et Biswas 2097 gt gt L 0 e Z EP lt D U O U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Cependant la pratique du jeu vid o ne se limite pas ses seuls effets D autres perspectives sont examiner l une d elle centr e sur l objet est majoritairement investie par les disciplines de conception Elle vise d finir formellement le jeu vid o en questionnantses aspects narratifs visuels et technologiques apport de la Psychologie dans ce champ jusqu ici r serv aux sciences du Design est discuter Il agit de caract riser l exp rience de jeu vid o par rapport aux autres technologies et d expliquer les h nom nes cognitifs mergeant durant l interaction immersion sensation de pr sence fictionnelle motionnelle et physique Ryan Rigby Przybylski 2006 et utilit per ue Fang Zhao 2010 Ces h nom nes qui s inscrivent durant la pratique et non plus en aval semblent expliquer une part nportante de l engagement Boyle et al 2012 a T D DO 5 Une autre approche consiste examiner les caract ristiques des joueurs Parad
55. PELT 108 AnneSyMie GR GOIRE Espace de controverses et de soutien au d veloppement du m tier 2 gt lt Axe transversal BR Politique Organisation amp Formation 1 D ontologie et r glementation 112 Approches comparatives La construction du code de d ontologie en France un historique 112 Marie Jeanne ROBINEAU La situation en Belgique 113 Marie Coroline de MURLENAERE O en est la France par rapport aux dispositions et recommandations 113 Benoit SCHNEIDER de la FEAP en mati re de d ontologie code et instance de r gulation Alain LETUVE 2 Le psychologue face aux m dias 114 Amours et d samours Le la psychologue et les m dias 114 JeanPierre BOUCHARD Les m dias 115 JeanMichel COQ Chaussetrape ou espace de diffusion pour la psychologie et les psychologues Sbectacularisation du trauma 115 H l ne ROMANO La psychologie d urgence est elle devenu un objet m diatique 3 Europsy ou doctorat d exercice 117 Un d bat en volution Le doctorat professionnel pour les psychologues causes et perspectives 117 Pascal Le MALEFAN Europsy une tape avant la mise en place d un doctorat d exercice 117 Alain SOMAT Doctorat en psychologie 118 Ingrid LUNDT Quels d fis quelles opportunit s Les voies de la revalorisation des dipl mes ef de l allongement de la formation 118 Bendt SCHNEIDER Que nous disent les comparaisons avec l tranger 4 Une page d histoire de la psychologie en Fr
56. Un bureau r gional o une association membre Cela vous permet de rencontrer vos pairs d changer avec eux de lutter contre l isolement d asseoir votre l gitimit dans l institution et d acqu rir le soutien d une communaut professionnelle Devenir membre cest participer activement en fonction de vos envies vos comp tences et de votre disponibilit la dynamique f d rative Pour accompagner l volution responsable d une profession en marche rejoignez la FFPP www psychologues psychologie net ou www ffpp net La FFPP sur Internet Un portail Wwww ffpp net ou wWww psychologues psychologie net Toutes les informations surla profession les communiqu s dela FFPP ou annoncesinterorganisationnelles les articles de F d rer l unit ou en volume complet l activit d taill e des r gions Un bulletin en ligne F d rer F d rer le bulletin des psychologues et de la psychologie Retrouvez tous les 2 mois l actualit de la profession en France et en Europe travers les articles et les br ves Un forum actif www psychologues psychologie net forum Un espace de partage et de publication ouvert tous emploi annonces et des espaces priv s d di s aux psychologues et tudiants en psychologie Master 2 et prochainement Master 1 3 Un site sp cifique d di aux formations EPEP www entretiensdelapsychologie org Retrouvez le catalogue des formations prop
57. Wagner et Pry 2012 des difficult s les principales rise respective mances dans La ma d int r t Cipa homog ne et 130 entre 90 et 110 ont ans Tous taient ement de gar ons ai t fs es processus de bas niveau comme Une d gradation de l criture sup rieur leur groupe d ge une vitesse d criture inf rieure leur groupe d ge et des probl mes orhographiques veloppement des styles d apprentissages chez les entants de 8 17 ans Effet del environnement scolaire ef de facteurs Individuels Marie THILLOT Maria PEREIRA DA COSTA Todd LUBART mat re et l impact contribuer une meil Le style d intelligence est Un concept crucial dans le domaine de l ducation cognitfs O encore de un terme g n rique cons nsuel lorsque l on pa individus ont pour traite sugg rent Un lien si pe de p dagogie niveau d inte pens e Sternberg 201 une information et r so significatif igence c ntribueraient la mani e des di En effet identifier la de ces styles sur l ducation l enseignement et l valuation dans les coles peut entre les styles d un scolaire etc De plus e don individu de nomb t la pe des caract euses d tudes ont montr que les styles sonnalit d un i os jours la majorit eure adaptation de l enfant face aux apprentissages St
58. a projet Le postula le de lu Hm me puis de l accompagner afin qu e que l addict est invit pratiquer est Un exemple ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 a m thode de l analyse conomique des co ts et b n fi les mette en uvre frappant ces cost fondamental de ces u long du processus th rape l Homo economicus cet indiv utigue un agent rationn idu que les sciences conomi dues de son P eten u des esp rances atten SOMM tant don n les ressources ation c est en dont on dispos psychoth apeultique s op re en argement le parad des agents rationnels qui com igme unifica quant leurs int r ts es m dias et les sociologues se font r guemment l c uestionner tant sur le plan de sa ra els l m CON d fini foncti itive simple ment le r sul eur mel tude clinique et projective Rorschach de l volution psychofh rapique de 13 sujets en difficult avec l alcool Pierre GAUDRIAULT Val rie BLANC Lionel FOURE Doroth e LECLERC lodie MARCHIN Ruben ROSENBERG ont effe t comp y de de fine de enti SO La m thode d in FN Mai et d bje Ctu aupr Ecolefra a th rapie En revanch M sa singulari de l vol a probl ma rement
59. agent conjointement avec le m decin du travail vis vis de l autorit territoriale il nous semble que cela concourt chahuter la position de psychologue ais elle gagne en visibilit La sp cificit du dispositif d ploy autour du sujet modifie l g rement le travail du psychologue qui s inscrit dans Un mode collaboratif mixant les regards et les approches sur la situation Le psychologue dlinicien du travail en s inscrivant dans des coop rations des collaborations et des alliances strat giques avec d autres professionnels ancre le m tier de psychologue comme une ressource sp cifique au maintien dans l emploi des personnels en situation de fragilit de sant Une vignette clinique choisie illustrera les diff rentes contraintes et tentera de rendre compte de la variabilit des situations Cette communication revient sur les strat gies collaboratives avec les RH l preuve des fondements th oriques et conceptuels en psychologie du travail Pr vention primaire des nsques psychosociaux ef prises en charge individuelles Des briques manquantes aux perspectives de pratiques pluridisciplinaires ef scientifiques Myriam FROMENT Fr d ric GARCIA Suzanne GLORIEUX La pr vention primaire des risques psychosociaux RPS se focalise sur les dimensions collectives et organisationnelles du travail et plus largement sur le travail plut t que sur l
60. ann es La prise en charge per op ratoi d vien e des patien t v ritablement acteur Pendant toute l i et cognitives qui permettront au neuropsyCho et clai r sur l efficience des fonction La r ussite d une fondamentaux qui connectivit c r b telle _interve gouvernen al Contrai n est pas organis neuronaux hautem une compensation en unit s ent dynamiques et fonctionne s repose sur une allia sein de laquelle chacun des intervenants a un r le crucial Le patient ne subit pas la chi ntervention il effectuera des valuations sensorimotrices ogue d apporter au chirurgien un tat des lieux constant ntion l O ce clam ion compl te de la fonction diminuant ainsi cognitives permanentes tout en optimisant l tendue et la qualit de la r section qualit de vie des patients et leur n s ectriques permet d op rer aux limites fonctionnelles indivi l chelo cette technique en n cortical quelles et largement augmen En cons q nce th rapeutique t le risque de s quelles uence la t es ces 15 iangulaire au urgie mais en fonctionnelles rigides et essive e savoi s mises en jeux et ce pour guider son geste en toute s curit e une Connaissance approfondie des m canismes ganisation anatomo fornctionnel rement a plasticit et la qui t
61. ces exp riences fraternelles sont habit es par les dimensions du travail et de comment l enfant accueillant devenu adolescent vit ce dispositif d accueilfamilial thode Dans le cadre d une th se de doctorai des donn es aualitatives et quantitatives ont t ecueilles aupr s de 45 adolescents accueillants g s de 11 18 ans Nous avons articul ur traitement statistique de nos questionnaires parmiesquels nous pouvons citer le Questionnaire s r les Relations Fraternelles de Cla s Poirier et Arseneault 2008 l chelle R vis e d Anx t Manifeste de Reynolds et Richmond 1978 l chelle Composite de D pression pour enfant de B mndt 1986 une analyse lexico gt m trique de l int gralit de notre corpus via le logiciel Alceste et ne analyse qualitative de contenu de quatre entretiens Dans ce cadre chaque nouvelle analyse d coulait des r sultats de la pr c dente Z R sultats M me si les enfants accueilants manifestent des scores moyens d anxi t et de d pression inf rieurs ceux de la population du m me ge nos r sultats montrent qu accueillir chez soi un enfant en p acement constitue une exp rience devie complexe notamment de parles remaniements relationnels amiliaux et personnels qu elle requiert La mani re dont
62. clinique de l activit clinique du Travail Toulouse r s LES R SUM S D S lt D Q lt Q OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 O im D X lt L LES R SUM S Notre profession son unit sa d fense ef sa promotion 30 ans olus tard Dynamique de la jeunesse o force de la moturit A NTRETIENS FRANCO R 2 PSYCHOL GIE f en g O b O Ha f am am O AL fam O O dm O Q A O Q gt CD O D gt lt lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 1 D ontologie et r glementation Approches comparatives Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00 Coordonn par Anne ANDRONIKOF psychologue professeur des Universit s Universit Paris Ouest Nanterre expr sidente de la CNCDP Anne ANDRONIKOF Psychologue Pr des Universit s Universit Paris Ouest Nanterre Ex pr sidente de la CNCDP Alain L TUV Docteur en psychologie clinique psychologue honoraire des h pitaux Marie Caroline de MURLENAERE Psychologue Commission des Psychologues Psychologencommissie Marie Jeanne ROBINEAU Psychologue tr s impliqu e par le dossier d ontologie depuis 1993 congr s Euro thique observatrice lors de l laboration de la Charte europ enne en 1995 participatio
63. coll ge etlyc es ans Un soutien penser avec des grilles de lecture permettant de penser la r f rence la loi et aux interdits y compris dans la question de la confidentialit des actions de formation des futurs enseignants sur les signes d alerte d enfants en danger des psychologues au niveau national en vue d tendre le r seau de vigilance et d intervention Fsychologie clinique dans le Champ de investigation judiciaire L exemple de la Mesure Judiciaire d hvesigation Educative ME Ravi SIVANANDA Le but de notre expos est de montrer comment lors de mesures d investigation ordonn es par le Juge des Enfants le psychologue peut et doit garantir la dimension clinique lors de son intervention avec l enfant la famille mais aussiles coll gues et le Juge des Enfants Dans Un premier temps nous d finirons le cadre particulier de la MJIE sa d finition l gale et surtout la fa on dont le psychologue intervient dans ce dispositif Nous d taillerons ce quoi le psychologue est le plus attentif en mati re de danger pour l enfant Puis nous expliciterons la mani re dont nous travaillons concr tement avec l enfant la famille et le Juge des Enfants les entretiens les bilans ventuels les visites domicile les audiences de fin de mesure ous nous attarderons sur la notion de pr transfert de Lucien ISRAEL et nous verrons comment elle se raduit
64. conditions En fonction des premi res r ponses re ues une esquisse de l tat des lieux sera propos e D S lt D Q lt Q Finalement ce symposium offre une lecture transverse de l volution du m tier de psychologue non sans rappeler avec force toute l importance du d nominateur commun que constitue le Code de d ontologie outil de r f rence pour les psychologues quelle que soit leur s sp cialit s L tat des lieux sur les conditions de travail constituera en fligrane le barom tre des psychologues en ce d but de XXE si cle mergence et volution du r le du psychologue dlinicien l coute du sujet au travail Johan PAIN Jean Claude SARDAS Cette communication a pour objectif d interroger l volution de la place et du r le du psychologue clinicien face aux probl matiques contemporaines suscit es par l interaction entre le sujet et Son travail En effet de nouvelles formes de sympi mes et de plaintes psychiques rencontr es dans la pratique clinique favorisent l mergence et le d veloppement d une clnique du sujet au travail O en ma de travail La psychopathologie du travail a t initialement fond e dans les d buts des ann es 50 dont les pr curseurs sont entre autres P Sivadon L Le Guillant et Veil et la premi re consultation en psychopathologie dutravail vu le jouren 1953 l lan Retrouv Bil
65. couvrir les 8000 agents et quipes correspondantes La Collectivit est ainsi progressivement couverte travers ces interventions aupr s d quipes alimentant des situations d r f rences souventef ct es en interne et des valuations de l ensemble des quipes de c rtaines directions dites pilotes souvent effectu es par des prestataires Lorsau elles sont effectu es en interne ces valuations et interventions utilisent g n ralement a minima des entretiens individuels des entretiens collectifs des observations des groupes de travail Une analyse plu ridisciplinaire une LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 tra abilt des d marches rapports sp cifiques et Document Unique Des questionnaires seront progressivement utilis s ainsi que l exploitation des indicateurs chiffr s Ressources Humaines et Sant recueillis depuis trois ans Parmi les m tiers qui ont le plus attir son attention individuellement et collectivement les quipes ducatives de l Aide Sociale l Enfance sugg rent fortement l aspect excessif des dichotomies voqu es Le volontarisme de ce Service et plus largement de l Autorit Territoriale ainsi que la capacit de ces agents s inscrire dans des
66. cr ations aspects horticoles paysagers out est le fruit du travail d artisans lorrains A del de l impact socio conomique ce choix a d monir sa pertinence clinique Approche neuropsyCholOgIqUe Terrain d valuation des troubles de l orientation Christel JACOB Le Plan Alzheimer 2008 2012 pr voit dans le cahier des charges des nouvelles structures l acc s un jardin sans recommandation sp cifique d am nagement favorisant l orientation spatiale pourtant r s fragjilis e par les syndromes d mentiels Un environnement tel que le jardin th rapeutique art m moire et vie permet il de soutenir l orientation spatiale des patients l objectif principal de tude JAZ TOP est d tudier l s processus spatio cogniifs impliqu s dans les d cisions d orientation et dans la repr sentation mentale d un environnement nouveau chez un groupe de suj ts atteints de a maladie d Alzheimer etun groupe de sujets g s sains Ceci travers Une t che d apprentissage de trajet au sein du jardin art m moire et vie au cours d laquelle l sujet est invit d crire voix haute le parcours ainsi qu une s rie d preuves dites de carte cognitive l objectif secondaire de tude consiste identifier les l ments du jardin et leurs caract ristiques qui ont contribu la pri
67. dans cet tablissement Notre contribution aux Entretiens francophones de la psychologie consistera mettre en vidence des options m thodologiques et des l ments de postur mobilis s pour agir dans ce contexte de crise Nous retiendrons galement quelques v nements survenus au Cours de l intervention comme manifestations visibles des transformations Note attention au travail vont Un enjeu du m fier pour le psychobgte du travail Christian CHATELLIER Dans de nombreuses situations de souffrance individuelle ou collective mais ausside conflits interpersonnels NOUS retrouvons souvent une situation de travail qui conduit Un appauvrissement de la vie subjective Le travail n est plus ressource pour le d veloppement dea subjectivit Le travail vivant c est dire ce que chacun est amen mette de l i m me ce qu il est amen cr er dans sa confrontation ad r el est au mieux rel gu dans une clandestinit individuelle au pie fait l objet d un renoncement Les professions en contact av c du public adultes o enfants sont aussi confront es ce processus Le sens LES R SUM S n 2 D X lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 se perd et la p nibilt des t ches prend alors le dessus Restaurer la place du travail vivant au sein des collectifs est
68. dans notre intervention Puis nous d ftaill rons comment nous pouvons rester dans notre posture e clinicien malgr les contraintes qui p sent sur les familles Cela passe par notre fa on de mener les entretiens mais galement de les restituer notamment l crit Q Enfin NOUS verrons comment la posture clinique s articule avec la fonction du Juge des Enfants en faisant r f rence aux m canismes du complexe d dipe d velopp par FREUD C est cette articulation LES R SUM S B 6E ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 qui produit du tiers qui peut faire sens pour les familles et les enfants et leur permettre de changer Nous en arriverons la conclusion qu un psychologue clinicien a toute sa place dans le dispositif de la MJIE non par tant pour valuer une situation de danger que pour garantir l mergence de la parole du Sujet Bibliographie Alberteau L Guide des proc dures en mati re de protection des mineurs nseignement catholique 44 Alberteau L 2009 Agressions sexuelles impliquant un ducateur in J L Pilet d Drame en milieu scolaire Paris Masson Berger M 1992 Violence et chec d Bouchard J P 2006 l expertise mentale en France entre pollution de la justice et devoir d objectivit Droit p nal Paris ditions Lexis Nexis Juris Classeur n 2 f vrier 2006 tude n 3
69. de favoriser la prise charge pluridiscioinaire Son intervention ne se limite pas du curatif mais a aussi une dimension pr ventive dans la mesure O il est apte de par ses comp tences propres tre l coute de risques d aggravation symptomatiques comme des d compensations ou de passages l acte de type suicidaire par exemple O J ao op D z D X lt L 22 Dans cette communication Nous souhaitons interroger pour finir le r le que peut jouer le psychologue clinicien dans Un processus de pr vention primaire qui consiste agir sur l organisation du travail pour anticiper les risques de voir apparofire certains dysfonctionnements et en cons quence certaines pathologies Il s agit qu il prenne sa place dans Un groupe pluridisciplinaire de pr vention pour participer en amont l valuation des situations et la r flexion sur les actions mener Cette participation requiert ele aussi le d veloppement de comp tences sp cifiques la crois e de la connaissance des dynamiques psychiques du sujet et de la connaissance de la dynamique des organisations ce qui peut passer par la mobilisation d un mod le de diagnostic articulant les enjeux du point de vue du sujet et ceux du point de vue de l organisation dans l analyse de la capacit
70. de l outilets appuientsurles analyses psychom triques De telles recommandations ont t publi es en Am rique du Nord ie American Psychological Association APA et dans plusieurs pays europ ens Le The British Psychological Society BPS Level A and LevelB standards for occupational test use Bartram 1995 1996 Dans cet esprit on peut aussi mentionner le travail entrepris depuis 1938 aux tats Unis par Oskar Buros le Mental measurement yearbook C est la d marche qui a t entreprise aux Pays Bas par le COTAN Dutch Commitee on Tests and Testing et qui est en cours par l EFPA European Federation of Psychologists Associations LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 celles qui consid rent que le processus de validation des instruments psychom ltriques doit se centrer sur leur mise en uvre l interpr tation par les praticiens et la communication des r sultats Messick 1994 Les recommandations de la Commission Internationale des Tests CIT se situent dans ce type de d marche Ces d marches tendent actuellement vers la mise en place de qualifications des utilisateurs de tests au niveau europ en La situation fran aise apparat comme paradoxale dans la mesure o la France est cr dit e de l invention du premier test stricto sensu Binet et Simon 1911 On peut galement rappeler que la Soci t
71. de nos pratiques tout au long de notre carri re Ils r pondent un besoin d volution permanente Nous allons animer l atelier en posant les jalons les points clefs utiles la compr hension de ces modalit s de formation continue tout en engageant une interaction avec es participants afn que chacun puisse en sortir clair et affiner ses attentes Nous commencerons par un bref rappel historique qui se limitera aux constructions de notre profession le temps HP le code de d ontologie afin d tayer notre postulat selon lequel la formation continue sous la forme intervision supervision analyse des pratiques est une n cessit dans notre pratique Nous ferons une br ve diff renciation de ces dispositifs intervision supervision analyse des pratiques Les diff rences et es points communs se situent essentiellement du point du vue du tiers r f rent inclus ou d centralis de la forme groupe individuel et des r f rentiels th oriques l outil principal du psychologue c est lui m me La pratique ne s labore pas seulement partir de notre cerveau cognitif du savoir th orique accumulation de connaissances et du savoir faire mais aussi partir de notre cerveau motionnel qui permet de parvenir mieux comprendre la situation percevoir sentiments et tats motionnels inclus et s en servir dans la co construction dela relation e
72. des effectifs de psychiatres en baisse importante et de psychologues en forte hausse ces deux appellations d expertise devraient tre abandonn es au profit d un concept unique d expertise mentale r alis e indiff remment par des psychiatres o par des psychologues s lectionn s comme tant bien form s professionnellement exp riment s et comp tents pour mener bien ces missions ultra cliniques Ce d cloisonn ment avec la mise en place d quelques autres grands principes cr ation d un consensus clinique etjuridique de l expertise mentale obligation de formation harmonis e et actualis e des experts prise en compte de l exp rience professionnelle de terrain des psychologues et des psychiatres en ad quation avec les types d expertises qu ils pratiquent temps pass et p riodes opportunes pour r aliser les expertises d signations individuelles des experts revalorisation des actes d expertise d veloppement de l recherche sur l experiise cr ation d instance s de contr l et de r gulation des pratiques expertales permettrait de mettre la disposition dela justice et des j sticiables des effectifs sufisants d experts de qualit sur l ensemble du territoire national m tropole et DOM TOM Cette r forme serait de nature viter des pr judices g n r s dansles affaires dites de premier plan mais aussi beaucoup Plus fr guemment dans l anonymat des affaires plus courantes 7 N O 0 Q a F O D
73. des psychologues Patrick COHEN Psychologue membre titulaire de la CRSA de l ARS PACA Patrick Cohen rappellera tout d abord les circonstances qui ont conduit Viala loi de 1988 sur le titre la reconnaissance sociale de la profession Il interrogera ensuite la place qu elle prise dans la soci t fran aise par trois abords diff rents les champs d interventions d psychologue ef les modes d exercice professionnel ef enfin une vue d ensemble de l organisation de cette profession Nous ne pourrons viter d voquer l thique l impose le scandale que consttue la fa on dont les psychologues mettent en uvre leur d ontologie l gard des usagers Nous essaierons ensuite de LES R SUM S ni res Le Q U Q O a Q D C Q O a GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 comprendre et d apporter quelques l ments de r flexion quant l cart persistant entre le matre des psychologues et l envahissement du discours psychologique dont il faut d passer le simple constat De l tat des lieuxactuel nous d roulerons quelques sc na psychologues et aussi changem volution de la a place et la responsabilt et intervention par cing propositions pour QUE survienne ent du cadre d exercice et la nouvelle sur la protection des usagers et la r glementation du code
74. dispositifs de prises en charge et ou de pr vention ont en effet permis de nombreux accompagnements individuels et diagnostics et des plans d actions collectifs Plusieurs invariants s av rent essentiels pour mettre en place des collectifs et une institution protecteurs et gagnent donc tre analys s par exemple l quilibre entre logiques d accompagnement des familles et la dimension judiciaire les dynamiques pluridisciplinaires vari es selon les app tences et profils des ducateurs et des psychologues l ind pendance technique par rapport l institution la place du secr tariat l volution des contraintes administratives et de tra abilit D S lt D Q lt Q Une fois ceux ci sufisamment act s et travaill s collectivement les questions individuelles et de travail doivent aussi tre envisag es Par exemple les probl matiques individuelles d un agent peuvent rendre le travail collectif impossible les v nements traumatiques peuvent tre d autant plus difficilement pris en charge que l v nementen l im me esten colision avec l hique professionnelle des ducateurs notamment lorsqu il s agit d agressions physiques dela part des enfants et des familles a a Afin de remplir son obligation de r sultat l Autorit Territoriale a done mis en place des valuations et des plans d act
75. donc un enjeu de sant C est aussi un enjeu de m tier pour le psychologue du travail Cette communication vise discuter cette conception du travail du psychologue l appui d interventions aupr s de professionnelles de la petite enfance partir de demandes qui portent sur l absent isme voir le d crochage professionnel de jeunes professionnelles travaillant aupr s d enfants La construction singuli re et collective du m tier de psychologue clinicien du travail le r le de l association AE2 du CNAM Patricia MAZZEI En cr ant l Association d l ves et anciens l ves de Psychologie du travail du Conservatoire National des Arts et M tiers notre pr occupation tait double d une part faire conna tre notre discipline int rieur et l ext rieur du Conservatoire National des Arts et M tiers en la faisant voir comme une discipline ancr e dans le monde du travail d autre part et c est ce qui fait l objet de tous nos efforts il nous semblait essentiel de tisser des liens entre nous l ves anciens l ves et professionnels Car comment promouvoir et faire vivre une discipline qui pr ne les valeurs du collectif si nous ne nous donnons pas les moyens de le construire par et pour nous m mes C est ainsi que nous nous sommes appuy s sur les travaux de la Clinique du travail olus principalement ceux d Yves Clot pour construire Un cadre qui nous permett
76. e d s 2008 ce jour peu de donn es sont centralis es et diff rents m tiers sont repr sent s psychologues du travail psychologues cliniciens mais aussi psychosociologues ce qui complexiie l tat des lieux Les psychologues exer ant en SST couvrent divers domaines d intervention avec des approches cliniques et sociales h t rog nes mais orient es vers les questions de pr vention de la sant au travail Cet environnement de travail reste enti rement d couvrir et construire du fait notamment de l absence de formation sp cifique ce secteur pour les psychologues et des pratiques nettement diff renci es Le Aujourd hui les psychologues de par leur comp tence et leur savoir faire enrichissent voire ransforment les pratiques d intervention des SST lls animent des groupes de travail pour la pr vention des risques dits psychosociaux pilotent des projets transverses et pl ridisciplinaires lls centrent leurs interventions et leurs entretiens individuels sur le rapport entre travail organisation du travail et sant des personnes et des collectifs Un processus de professionnalisation est en cours travers notamment a cr ation de l association Reliance et Travail une l gitimation du m tier de psychologue du travail dans la convention collective de 2013 des responsabilit s hi rarchiques confi es ais les enjeux du d veloppement d
77. en ligne des jeux vid o seront galement examin es afn d illustrer l interaction dynamique entre objet effets et individus En somme en visant l influence des caract ristiques mat rielles et humaines sur la pratique du jeu vid o la psychologie doit pouvoir apporter des l ments de compr hension importants concernant le ph nom ne d engagement vis G vis des jeux vid o f em eus O O Ha f am J O LL C O O 2 O Q A 2 Q p CO CE O D gt X lt lt L LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 Bibliographie Anderson C A Shiyuba A Ihori N Swing E L Bushman B J Sakamoto A et al 2010 Violent video game effects on aggression empathy and prosocial behavior in Eastern and western countries meta analytic review Psychological bulletin 136 2 151 173 Bean A Groth Marnat G 2014 Video gamers and personality a five factor model to understand game playing style Psychology of Popular Media Culture Boyle E A Connolly T M Hainey T Boyle J M 2012 Engagement in digital entertainment games A systematic review Computers in Human Behaviors 28 3 771 780 Carnagey N L Anderson C A 2005 The effects of reward and punishment in violent video games on aggressive affect cognit
78. en neuropsychologie charg de mission neuropsychologie pour la FFRR pr sident d Coll ge des Psychologues Ciniciens sp cialis s en Neuropsychologie Atlantique 10 rue Si helin 33200 Bordeaux M stephane soury yahoo fr Pr sentation g n rale En l space d une vingtaine d ann e l essor de la neuropsychologie a t fulgurant avec en premier ieu la multiplication des offres de formation et donc du nombre de psychologues form s dans cette sp cialit Le nombre de publications scientifiques a largement explos Les offres d emploi se sont mulipli es dans des champs de plus en plus vastes neurologie psychiatrie g rontologie enfance De nombreux professionnels non psychologues ont galement investi ce champ de la neuropsychologie Les origines d un tel d veloppement sont dificiles cerner peut tre parce qu elles sont plurifactorielles Le cerveau fascine Les mesures et les chiffres aussi La correspondance faite entre certaines capacit s ou comportements et le fonctionnement c r bral ouvre une nouvelle perspective de compr hension du psychisme humain avec oUtefois les risques d un r ductionnisme Et ce risque peut se transformer en danger l Universit o l approche clinique pourrait tre devanc e par une vision psychom lirique et c r brale du sujet et sur le terrain O l on peut cantonner le psychologue sp cialis en neuropsychologie un travail la chaine de rende
79. encore long avant leur concr tisation Bibliographie Benhalla N 2013 Expressions et caract ristiques de la n vrose en Alg rie Paris L Harmattan Bourguignon 2003 Questions thiques en psychologie Bruxelles Mardaga Gilli ron E 1983 La psychoth rapie d inspiration psychanalytique face la psychanalyse Paris Conf d ration francophone des ligues de sant mentale L tuv A 2006 OPA hostile sur la fommation des psychologues In La psychiatrie en p ril sous la direction de H Bok bza RamonvileStAgne r s Samai Haddadli D 2001 Une clinique en situation de violence socidle In Violence trauma et m moire p 155 173 CasbahAlger LES R SUM S Axe Sant 5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 4 Vieillissement Prise en charge non m dicamenteuse et pr vention Un jardin en p le g rontologique de sa conception l valuation de ses b n fices m dico psycho sociaux pour les malades d Alzheimer et leurs soignants E Symposia n 6 samedi 6 juin 14h80 16h30 Coordonn par Martine BAT professeur des universit s Universit de Lorraine Interpsy EA 4432 GRC Nancy ww Moartine Batt univ lorraine fr Martine BATT Professeur des universit s Universit de Lorraine Interosy EA 4432 GRC Nancy w Marine Bat uniorraine fr Louise BERNEZ Psychologue du travail doctorante Labora
80. est une condamnation ouvrir son champ de r fiexion l anthropologie du monde contemporain et g opolitique et une forme de recherche clinique propos de cette mati re r cente pour les cliniciens sans perdre le lien une ossature th orique pour moi la psychanalyse C est une invitation travailler avec les autres dans les quipes d abord au sein de nos propres quipes Psy Pr carit selon Un certain nombre de principes ceux du travail partenarial propos d uquelje propose 8 principes actifs pour qu il soit authentique Les enseignements et d couvertes des derni res ann es en clinique psychosociale Nous servent aussi de supports comme nos propres d couvertes mpiriques nous permettant d uvrer au del des pr jug s commun ment partag s tort souvent vis vis des humains que nous tentons d aider Cr ation d une quive mobile de Pr vention du suicide n Sarthe Tentative de r insertion de lasant mentale dans laCit Fr d ric HASSAN Fr d ric PETER En Sarthe la mortalit par suicide est sup rieure de 70 la moyenne nationale Cette donn e es stable depuis 50 ans Constatant les limites d un syst me de sant mentale tel qu tabli et souhaitant s inscrire dans
81. etles entreprises valuation du stress occupationnel au sein d une organisation publique fond e sur l analyse de donn es textuelles d employ es Violaine DURAND Christine JEOFFRION Contexte Les pr c dentes tudes surla population deftemmesemploy es notammentlestavauxde Long Harkness Long Bermbach Patterson Jordan Kahn 2005 Long Hall Bermbach Jordan Patterson 2008 soulignent l importance des variables contextuelles dans l valuation du stress au travail Objectifs L objectif de l tude est de rendre compte d une partie d un diagnostic organisationnel men aupr s d une grande Grganisation publique Celle ci porte sur l tude de deux services compos s chacun d une quinzaine d employ es amen es travailler avec des publics diversifi s M thodologie La pr sente communication est fond e sur l analyse des donn es textuelles obtenues lors de focus groups L enregistrement int gral des propos a permis de conduire l analyse via le logiciel Alceste Analyse des Lex mes Co occurents dans les nonc s Simples d nTexte Geka Dargentas 2010 LES R SUM S D S lt D Q lt Q 2 D X lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 R sultats Iceste permet de mettre en vidence 5 classes renvoyant des univers lexicaux sp cifiques Deux classes renvoient la t ch
82. exclusion croissante du march et de la vie sociale ordinaire d hommes de femmes et d enfan fera le point sur la place des psychologues cliniciens dans ces dispositifs nouveaux Vendredi 5 juin 16h30 SANT 1 7h30 Formation Intervention Recherche Quel support pour les psychologues aujourd hui Danielle RAPOPORT En 1973 l Assis fONCTIONS pour Au del du pa psychologues son adigme des services hospitaliers il est im une p riode o nombre de d cisions politiques semblent alle Psychologue pr sidente de l association Bierraitance formation et recherches s cr ent des nouvelles modalit s du rapport autrui au corps et au langage Il ance Publique H6pitaux de Paris institutionnalisait dans les services de p diatrie et F d rateurs d utopies devenues r alit s au fl de ces IS porteurs aujourd hui De quelles passeurs ou les messagers de quelle pr vention sont ils les en de p dopsychiatrie le Temps plein des psychologues en lui int grant un quart du temps de leurs des actions de Formation d Interventions et de Recherches le temps FIR tait n portant d en mesurer l impact actuel dans l encontre des progr s accomplis quatre d cennies de quels combats les ransmissions des connaissances sont ils les seignants de l aube de la vie au soir de l existence lls restentles garantis d une d marche human
83. interneta sovent t istoriquementassoci e des dispositifs de t l phonie sociale vis es humanitaire O sociale aupr s d un Public cible et avec des objectifs pr cis Inter service parents AIG petite enfance La pratique clinique du psychologue par t l phone est quant ele beaucoup plus r cente 2000 2010 et appelle d plus en plus de professionnels r chir au cadre thique d ontologique et clinique et l int r t de s appuyer sur les nouvelles technologies Dans le cadre de cette intervention nous proposons de pr senter sur la base d un t moignage de pratiques des exemples concrets de dispositifs d accompagnement psychologique mis en place au sein des entreprises avec un double focus Accompagnement distance et Accompagnement en face face Nous proposons ainsi de d velopper de fa on critique comment dans des contextes particuliers v nement potentiellement traumatique Plan de Sauvegarde de l Emploi une articulation entre Ur accompagnement distance ef nos interventions en face face vient enrichir nos modalit s d accompagnement psychologique aupr s des salari s Enfin nous verrons en quoi ces dispositifs viennent toujours interroger notre cadre clinique et d ontologique et comment in fine cela vient nourrir es autres actions de pr vention et d am lioration continue du syst me de pr vention RPS de l entreprise
84. lien avec l autor gulation sur occurence de comportements imprudents En premier leu no s v rifions sile sport risque joue un r le dans l processus de r gulation motionnelle des pratiquants et sp cifiquement chezles fuyeurs I s agit de mettre en vidence les Variations de l tat motionnel Ensuite nous v rifions si les motions n gatives ainsique les caract ristiques individuels elatives aux strat gies d autor gulotion constituent Un facteur favorisant la tendance adopter des comportements imprudents Nous avons Utilis Cing questionnaires aupr s de 47 coureurs auto et moto 47 auto 53 moto dont 89 d hommes ayant une moyenne d ge de 45 8 ans Les r sultats montrent que a r gulation motionnelle se concr tise moyen terme apr s 4jours de la course Les r sultats indiquent aussi que les coureurs de rallye de type duyeurss et alexithymigue obtiennent de l engagement dans leur activit des b n fices motionnels favorisant un quilbrage du bi r tre motionnel On a aussi constat a contribution des affects n gatifs l adoption de comportement impr dents un certain degr les caract ristiques individuelles t moignent de probl mes psychopathologiques qui seront discut s LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015
85. ne WIQUIN Laurent BOYER Pascal OLMIER Annie VIGNERON Christophe LUXEMBOURGER Nadine DEMOGEOT Antonietta SPECOGNA L onard VANNETZEL Robert VOYAZOPOULOS O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 4 Approches diff rentes de l ducation 32 Recherche et pratique pour enfants haut potentiel et enfants tout venant l ve profileur 32 Maria PEREIRA DA COSTA Un outil de connaissance des enfants pour l adaptation de la p dagogie Marion BOTELLA Apprendre et pratiquer sa cr ativit 33 Aude RAVSEIER Des valeurs et des dispositifs en actes par la d marche des arbres de connaissance Sabine OPPUGER Performances compar es en production crite 33 Amandine PEYREBRURE d adolescents HPI et adolescents tout venant Jean No l FOUUN Maria PEREIRA DA COSTA D veloppement des styles d apprentissages chez les enfants de 8 11 ans 34 Marie THILLOT Effet de l environnement scolaire et de facteurs individuels Maria PEREIRA DA COSTA Todd LUBART La contribution du COP dans la scolarisation de l l ve haut potentiel 34 Jos de VALVERDE 5 ducation Nationale 36 Un statut pour tous les ges Un m fier ancien red finir 36 Jacques GARRY Les praticiens de l orientation dans le champ de la psychologie 37 Dominique HOCQUARD Quelles volutions Quels r les Quelles resoonsabilit s 70 ans de psychologie l cole primaire et apr s 38 Fra
86. nouvelles pratiques d accompagnement psychologique distance t l phone internet en croissance continue et comment ces derni res peuvent venir enrichir et compl ter les dispositifs classiques de soutien en face face dans la pr vention des Risques Psycho lt Sociaux RPS Maria O uazzani souligne toute importance du maintien d un cadre thique et d ontologique garant de la rigueur de ces pratiques ne comparaison sera propos e entre les dispositifs d accompagnement distance et en face face ans la lign e de la pr c dente la troisi me communication vient rappeler toute l importance du cadre hique et d ontologique pour la pratique du psychologue mais aussi la difficult pour le psychologue qui availle en entreprise le faire accepter dans certains contextes notamment lors de situations o l employeur impose ses propres outils d valuation lors de recrutements par exemple Johanny Hospod proposera diverses stes individuelles et collectives visant faire reconnaitre le Code de D ontologie des psychologues D D Sophie Bero en collaboration avec No lle Girault Lidvan et Fran ois Xavier Lesage pr sentera enfin lors de la quatri me et derni re communication l enqu te nationale qu elle coordonne et dont les objectifs sont de mettre jour les conditions actuelles de travail des psychologues et leurs ressentis face ces
87. particulier Nous d crirons ces cont quant EUX Nande du patient par exemple d engager avec le o les parents une cice du psychologue est soumis de multiples multiples des rencont es ajustemen ces lieux temporelles l urgence aintes et tenterons de d m a vitalit l inventivit qu elles obligent No clinicien interagit avec l quipe m dicale et l quipe soignante dans le but de mett ontrer comment elles peuvent cons us d crirons aussi la mani re dont ituer un atout le psychologue e en uvre les Fo conditions les plus favorables l abord des patients que sont i la complexit de ce qu ils vivent e b b et ses parents leur singularit LES R SUM S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 La place du psychologue dans un service de M decine de l Adolescent dans un centre de soins fudes Marine CORMONT Graziella GILORMINI Cr s pour r pondre aux besoins des adolescents malades les tablissements soins tudes proposent des prises en charge permettant d associer des soins avec la poursuite o la reprise d tudes adapt es en concertation avec l quipe soignante Le service de M decine de l Adolescent du CMPA de Neufmouliers en Brie se compose de 2 unit s une unit de m decine de l adolescent et une unit de double prise en charge somatique et p
88. projet de vie des AT21 d autant plus que leur esp rance de vie augmente Nous avons ainsi choisi d tudier les effets du mode d accueil sur les repr sentations du lien fraternel qu labore la fratrie d AT21 comparativement celles de leurs parents des effets du mode d accueil de l AP2T Quatre modes d accueil sont pris en compte entre insertion professionnelle en mieu ordinaire etretour en famille sans autre solution d accueil Nous formulons comme hypoth se que le degr de sartisfaction ressenti par les fr res et s urset les parents d AT21 est d autant plus lev que le degr d autonomie des A121 autoris par le mode d accueil est marqu T 2 D m Q c O Q O thode 57 parents et 43 fr res et s urs d AP T ont t interrog s dans le cadre d une tude plus arge Lemoine 2010 visant 42 jeunes adultes T21 g s de 20 35 ans Les sujets ont t interrog s pa questionnaire dans ur premier temps il leur tait demand s ils estimaient que la solution d accueil retenue pour leur f re s ur enfant leur apparaissait satisfaisante pour l AT21 puis pour euxm mes en tant que r re s ur parents puis pOur leurs enfants o leurs Parents Les s jets taient ensuite invit s justifier leu ponse Les r sultats quantitatifs ont t analys s en termes de fr quences etles donn es qualitatives l on t par analys
89. psychologue du travail Muriel BIENVENU Un des buts majeurs dela clinique d travaitest l institution du collectif comme ressource pour les diff rentes parties prenantes de l entreprise Cette communication pr sente des l ments de retour d exp rience sur l accompagnement dela direction g n rale d une clinique chirurgicale priv e 450 personnes dans sa conduite du changement Cet tablissement se trouve dans un contexte d volutions contraintes par l environnement r glementaire et conomique Il s agit d un projet de changement profond d am lioration de la performance organisationnel conomique juridique et sociale qui prend place dans un environnement social d grad La demande partir de laquelle les dispositifs d intervention se sont construits est Une demande d aide formul e parle Directeur G n ral g n rer du collectif articuler la mise en uvre de son projet strat gique une dynamique coll ctive et sortir de la crise La pr sentation s attachera l activit du psychologue pour g n rer des discussions Collectives sur le travail la hauteur des transformations et des enjeux m me d embrasser l entreprise dans sa globalit et son environnement Les d marches mises en uvre ao t 2012 janvier 2015 ont concern tous les m tiers y compris les m tiers de dirigeant d encadrant ainsiqueles praticiens en exercice lib ral
90. que ce soit Certains cependant peuvent se saisir de cette occasion pour rencontrer une part d euxm mes n glig e mise de c t masqu e voire contreinvestie De notre part cette coute de la souffrance psychique potentielle participe d une authentique d marche thique qui vise respecter le fonctionnement psychique dans sa dimension holistique et donc entendre le contenu latent sous jacent au content manifeste et bruyant de la plainte cognitive Car cette plainte singuli re fai cho l inqui tant d clin corporel inh rent auvieilissement a discontinuit qui trahitles d faillances de l int grit somato psychique Plus encore parce qu la perspective de la mort du fait dela prise d ge s es dor navant greff le spectre de la maladie d Alzh imer et du risque de perdre son autonomie physique amp psychique cette r alit psychique mobilse une probl matique d pressive majeure qu il importe de saisi dans toute sa complexit et ses risques pathologiques Les preuves projectives Rorschach et IAP peuven y contribuer de fa on tr s heuristique Je gt L D oa Q j D Bibliographie Revue Cliniques m diterran ennes 87 2013 1 On t e un enfant Revue Fran aise de Psychanalyse 7 6 2012 4 Crimes Revue Carnet Psy Num ro sp cial Criminologie p
91. r el Paris Seuil Vacheret C 2002 Pratiquer les m diations th rapeutiques en groupes th rapeutiques Paris Dunod Vanier C 2013 Naire pr matur Paris Bayarad Wiart Y 2011 l attachement un instinct oubli Paris Albin Michel Wiart Y 2014 Stress et cancer quand notre attachement nous joue des tours Louvain la Neuve De Boeck Winnicott DW 1971 Jeu et r alit L espace potentiel Paris Gallimard LES R SUM S Je gt L D o Q j D Axe Sant 5 3 Psychologie et psychoth rapie Complicit ou compl mentarit E Symposia n 6 samedi 6 juin 14h80 16h30 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Coordonn par Alain L TUV docteur en psychologie clinique psychologue honoraire des h pitaux ww olain letuve wanadoo fr Philippe GROBOIS Charg de mission psychoth rapie pour la FFPR matre de conf rences Facult des Sciences Humaines et Sociales Angers phil grosbois free fr Intissar SAHRAOUI Docteur en psychologie clinique matre de conf rences Habiit e Diriger la Recherche n science sociales Universit responsable de fili r Z intissar_omar yahoo r Michel YLIEFF bderrahmane Mira Bejaia Psychologue clinicien professeur honoraire Universit de Li ge ww VichelYief ulg ac be Pr sentation g n rale Alain L TUV Les d bats autour
92. s curit les patients b n ficient d un environnement stimulant sur le plan motionnel car il apporte du plaisir sur le pan cognitif carla m moire y est stimul e chaque pas sur le plan social car il stimule les conversations entre patients patients et soignants patients soignants et visiteurs en attirant les familles et la soci t civile Plusieurs th ses de doctorat de troisi me cycle sont en cours autour de ce lieu Parmi elles celle de Manon YZ6ard laur ate lorraine du concours Ma th se en 180 secondes en 2014 cf ci apr s la th se de psychologie de Christel Jacob en collaboration avec une quipe de Montr al cf ci apr s et une troisi me th se de psychologie r alis e par Louise Bernez qui vient de d buter sous contrat CIFRE cf ciapr s lo s ces travaux ont en commun l tude desinteractions sociales et en particulier langagi res comme m thode d acc s aux processus psychiques raison pour laquelle elles sont dirig es parles PrTrognon et Pr Ba t en collaboration tr s troite avec le Dr Jonveaux m decin chef de service hospitalier et docteur en psychologie de l universit de Lorraine et membre du GRC nterPsy Aux travaux des psychologues s ajoutent ce ux des m decins l universit de Lorraine et le CHRU donnant un cadre dans lequella pl uridisciplinarit s accomplit pleinement Enfin le troisi me volet de la collaboration est l artisanat local Que ce soit les uvres d art le mobilier o les
93. s lors e favorise la mise en vidence des origines diverses des RPS et perme co consir uites tout au long du diagnostic ce qui est essentiel pour la able d autres structures 371 397 Abric JC 1994 Pratiques sociales t repr sentations Paris Presses Universitaire de France Blaszezynski A Nower L 2002 A pathways model of problem and pathological gambling Addiction 97 5 487 499 Giurgiu D Jeoffrion C Roland L vy C et al 2015 Wellbeing and occupational risk perception among health care workers a multicenter study in Morocco and France sous presse Journal of Occupational Medicine and Toxicology Jeofrion C DupontP Tripodi D Rolandt w 2015 R pr s ntations sociales de la maladie Comparaison entre savoirs experts et savoirs profanes sous presse l Enc phale Revue de psychiatrie clinique biologique et th rapeutique Jeoffrion C Hamard J P Barr S Boudoukha AH 2014 Diagnostic organisationnel ef pr vention des risques psycho sociaux Psychology 64 2 53 62 dans un tablissement d accueil pour personnes g es l int r t d une approche mixte et participative Le Travail Humain 77 4 Jeoffrion Barr S 2011 Accompagner le processus de changement lors d une fusion r flexions autour d une exp rience d intervention psychosociale en organisation Psychologie du Travail et des Organ
94. salari s la contrainte de l employeu et sa m thodologie Sice dernier choisit d utiliser un test non adapt pour recruter ses salari s le psychologue se retrouve tirail entre l article 24 de son Code de D ontologie les techniques utilis es par le psychologue des fins d valuation de diagnostic d orientation ou de s lection doivent avoir t scientifiquement valid es et sont actualis es et la r alit de ce que lui demande son entreprise D S lt D Q lt Q Contrairement ce que pourrait penser le touvenant l amp recours au psychologue dans le champ du ravail n est pas fond sur une vocation altruiste Ce dernier est parfois engag pour ses soi disant dons de voyance En effet selon certains employeurs le psychologue aurait la capacit dex surinterpr ter es r sultats Un test de personnalit o bien de divulguer des informations parfois personnelles n ayant pas trait aux comp tences requises pour le poste Lalimite entre la vie priv e et professionnelle du candidat s en retrouverait amoindrie voire dans certains cas bafou e Entre protection du salari et informations communiquer l employeur le psychologue se trouve dans une situation d licate ef doit sans cesse se battre pour faire valoir sa d ontologie sans pour autant perdre son poste pour non respect des missions con
95. se dif renciant s individualisant Finalement l objet de cette recherche est de mieux comprendre ce qui facilite o ce qui fait obstacle au d veloppement des liens avec les pairs l ge adulte qui soient satisfaisants pour l adulte qui a une d ficience intellectuelle Led tre f re ou s ur d adulte avec Trisomie 21 Lise LEMOINE Beno t SCHNEIDER La place des fr res et s urs devenus adultes d adultes T21 AT21 a donn lieu bien moins d investigations que celes des enfants jeunes Pourtant ces relations construites durant les ann es d enfance se posent de fa on particuli re lors de la vie adulte avec le vieillissement des parents La fratrie s interroge sur sa responsabilt quant un susceptible relais quand les parents seront trop g s pour continuer accompagner leur enfant avec handicap celles et al 2007 voire seront d c d s responsabilit s financi res tut laires choix du lieu de vie lumbull Turnbull 1990 Si les tudes ant rieures ont pris en compte Un certain nombre de variables proximit g ographique des lieux de r sidence sexe des fr res et s urs caract ristiques de la famille des sujets Villeneuve Goupil et Gascon 2011 aucune tude n a explicitement pris en compte la sp cificit des modes d accueil des sujets T21 lors de leur vie adulte Or l laboration du lien fratermnelest amen tre ponctu e par le type d accueil et le
96. se son saisis du fait psy en relation avec l information d sormais en continu sur les v nements qui susciten de l motionnel de l ordre du collectif et l oppos sur la n cessit du bien tre personnel de l ordre de l individuel en t moigne la diffusion pl thorique des magazines s inspirant de la psychologie afin d augmenter leur chiffre de vente Si l on peut s en r jouir des questions demeurent Selon quelles modalit s et avec quels objectifs les organes de presse sollicitent ils les experts qui ont acc s aux m dias Comment les psychologues interviennent travaillent Fils dans les m dias quel titre Mesurentils les incidences de leurs interventions la place de l thique et de la d ontologie dans celles ci Dans quelle mesure en ccordant Une place plus importante la psychologie dans la vision du monde d aujourd hui la presse t ele jou n r le dans la diffusion des Connaissances concernant la psychologie et ventuellement pour la l gitimation de la discipline Les nouveaux moyens de communication sites forums et blogs en relais et support des organes de presse ont ils modifi s et comment les rapports entre psychologie et presse gt gt L 0 Q UO lt D U O U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY L
97. sociaux RPS Champ d action par d finition des Psychologues d Travail de SSTI Notre m thodologie recoupe des entretiens individuels r alis s aupr s de Psychologues du Travail de SSTlet des monographies r sum d intervention Cette m thodologie nous permet de mettre en vidence es pratiques d velopp es par les Psychologue du Travail de SST R sultats Les r sultats nous montrent une diversit d interventions tilis esdansla prise encharge des risques psycho sociaux diagnostics RPS groupes de parole accompagnements la r alisation du Document Unique d valuation des Risques Professionnels entretiens individuels de souffrance au travail prise en charge d salari s victimes d v nements traumatiques etc Ces interventions font l objet d une pr sentation sous forme d tudes de cas celles ci mettent en avant les aspects m thodologiques et contextuelles des interventions et donnent voir sur le r le du Psychologue au sein des SSII une comp tence experte de la sant mentale intervenant la fois en pr vention primaire secondaire ettertiaire Discussion et conclusion Ces r sultats permettent de dresser une esquisse de l identit professionnelle du Psychologue du Travail en SSI et des interventions qu il d ploie dans Un contexte pluridiscibplinaire Ils mettent galement en avant les probl matiques rencontr es par les salari s
98. sur la pr vention en particulier ici celle de la r cidive l tude des survivants exceptionnels fournit encore un t moignage impressionnant ne pas n gliger LES R SUM S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 D Bibliographie Bioy A 2009 Place du psychologue dans les nouveaux dispositifs de soins et la question de l interdisciplinarit Le Journal des psychologues 2009 3 n 266 Bowlby J 2011 Le lien la psychanalyse et l art d tre parent Paris Albin Michel Brun A 2011 Les m diations th rapeutiques Toulouse r s Catheline N 2011 Ces adolescents qui vitent de penser Pour une th orie du soin avec m diation Toulouse r s Di Giulio C Masina E 1989 Dinamiche narcisistiche come difesa della comunicazione e ostacolo al lavoro del gruppo analisi di un esperienza di formazione con medici del Servizio Sanitaria Nazionale Dynamique narcissique comme d fense q a communication et obstacle au travail du groupe Analyse d une exp rience de formation avec des m decins du Service Sanitaire National in Narcisismo Nomos Trasgressione Roma Teda Edizioni Doucet C et coll 2008 Le psychologue en service de m decine les mots du corps Paris Masson Douville O Benjamin J 2009 10 entretiens en Psychologie clinique de l Adulte Paris Dunod Raimbault G 1982 Clinique du
99. termination du handicap et valuation des b soins Action Europ enne des Handicap s Voyazopoulos R Vanne zel L Eynard LA 2011 L examen psychologique avec l enfantef l utilisation des mesures Conf rence de consensus et analyses compl mentaires Paris Dunod LES R SUM S 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 et enfants tout venant a r E Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h45 12h45 Coordonn par Maria PEREIRA DA COSTA Universit Laboratoire Adaptation Individu Travail EA 4469 M mora pereira parisdescartes fr Marion BOTELLA Laboratoire Adaptations Travail Individu EA 4469 Universit 4 Approches diff rentes de l ducation Recherche et pratique pour enfants haut potentiel Paris Descartes Soroonne Paris Cit Institut de Psychologie 71 avenue Vaillant 92100 Boulogne Bilancourt Paris Descartes Jean No l FOULIN Laboratoire de psychologie sant et qualit de vie EA4139 Universit de Bordeaux Todd LUBART em Q O Q O Lag D pas lt L Laboratoire Adaptations Trav il Individu EA 4469 Universit Sabine OPPLIGER Formatrice et artiste plasticienne charg es d enseign Paris Descartes ment la Haute cole P dagogique de Vaud en Suisse HEP Vaud Suisse Maria PEREIRA DA COSTA Laboratoire Adaptations Travail Individu EA 4469 Universit
100. traumatique comme appui de l expertise et m me de donner des indications de soins pr coces ef un avis sur la possibilit de confrontation avec le mis en cause Cette expertise permettait de rendre compte de la r alit d une effraction psychique m me dans des r v lations ardives en s appuyant sur des signes cliniques qui perdurent en raison d un tat traumatique restant en place et de donner galement un avis sur Une possibilit de construction ou de fabulations Pour nous ce n tait pas une expertise de cr dibilit c tait une expertise de rencontre avec la clinique du traumatisme et souvent de la r p tition et de la transmission et nous avons pu en constater es limites et les d rives quand elle est pos e en terme d une cr dibilit mais aussi une part d effet h rapeutique qui m rite d tre approch e i A o Q Q C on O D LES R SUM S Q Q D 5 E D O O a o 2 Le psychologue et la prison Symposia n 5 samedi 6 juin 10h16 12h15 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Coordonn par Martine BAT professeur des universit s Universit de Lorraine Interpsy EA 4432 GRC Nancy ww Mortine Batt univ lorraine fr Marie Laure ABDELKADER Psychologue CHU de Nancy Martine BATT Professeur des Universit s Adeline CHAUFER
101. un contexte o iles plaintes et les maux li s au travail s av rent en augmentation notamment au sein des cabinets de ville et aupr s de certaines institutions comme R le Emploi l APEC l s Centres M dico Psychologiques etc Bien que la prise en charge clinique des enjeux psyChiques du travail remonte pl s de 60 ans nous VOYONS ainsi merger de nouvelles demandes croissance des plaintes de harc lement moralet des cas de burn out souffrance identitaire et de ce fait de nouveaux besoins que ce soit en termes der les de connaissances o de pratiques C est dans ce cadre que nous souhaitons interogerda place gu psychologue clinicien et questionner les sp ciicit s de la praxis clinique orient e Vers le travail Celle ci n cessite selon nous Une comp tence et donc Un apprentissage dans trois grands domaines psychologie clinique et psychopathologie fondamentale diagnostic et valuation clinique diff rentielle appr hension de la dynamique subjective notamment en termes d conomie psychique de d sirs inconscients de pulsions et de modes de d fense etc LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015
102. un contexte socichistorique int r t ension de la psychanalyse vers des fonctionnements psychig psychologues sur de nouveaux terrains U UN Nouveau Ues NONN VO IQUES la part grandissante que prend la a gislation et les poltiques sociales avec les budg tisations qui y correseondent ic cliniques de mettre en place des pratiques odologiques et th oriques qui correspondent aux m me de handicap est Un concept en crise dont changeantes Aujourd hui il inclut aussi bien le handicap handicap psychique C est pourquoi il incombe aussi aux les amalgarmes que l on ret ouve dans les MDPH La notion de handicap conna t actuellement une grande extension r unissant des champs cliniques parfois h t rog l extr me la mal mes peut tre int res adie somatique les soi la p rinatalit le viei commun ces cliniques c pensable de ce qui est partageable et des concepts qui son renouvellement des points de vue lissement la pr cari sant de les rassembler dan s ce qu o ns palliatifs les maladies g n tiques n appellera les cliniques de sociale les SDF la g est la notion de l extr me car elles conduisen transposables de Les cliniques de les atteintes neurologiques ande criminalit etc Ce qu on aux fronti res de l humain Les croisements entre ces champs vont d gager des m thodes en du
103. 09 Dans ce cadre le genre masculin conduit mMinorer plus ou moins Consciemmenties dangers physiques etchimiques dansles m tiers O ils sont fortement Pa pr sents la peurqu ils entrainent dans ces m tiers et la so ffrance psychique dans les m tiers en g n ral Ce genre peut parfois entraverune acceptation imm diate d un dispositif de soutien psychologique destin viter les sympt mes posi raumatiques Au del de la prise en charge imm diate les LES R SUM S a OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 ressources personnelles sont un facteur essentiel de protection le genre masculin peut donc tre analys comme une forme de faiblesse individuelle susceptible d entrainer de plus amples dificult s psychiques pour l agent d entraver la cr ativit personnelle et donc l efficacit du dispositif propos En ce sens le genre masculin est une limite aux ressources internes r duit la capacit de s abstraire de v nement et la capacit de r silience ous reviendrons sur certaines sp cificit s li es aux m tiers de notre collectivit l tude des situations cliniques permet alors de mettre en vidence les points forts du dispositif ainsi que ses axes d am lioration La r cepiivit des agents et le syst matis
104. 2 82 Bertrand PHESANS Alain DUMEZ Christian BESNARD Marie Laure ABDELKADER Adeline CHAUFER Arnaud COLAS Marianne COUTELOUR Alexandre LANGARD Martine BAIT C line ATTARD JeanPierre BOUCHARD Laurence ALBERTEAU Ravi SIVANANDA Christine ROLANDH WY Ruxanda KMIEC J r my LEMOINE Imen ZAGHOUANI Christine JEOFFRION Jean Philippe HAMARD Lat fa BELAROUCI Dominique SZEPIELAK Karin TEEPE OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 je VS VE VV av CA LLe e 1 EVE 1 Nouvelles pratiques nouveaux enjeux pour les psychologues du travail 86 Intervention de Philippe SARNIN 86 Intervention de Daniel GILBERT 87 Intervention de Victor TROYANO 87 2 R seaux pluridisciplinarit et sant au travail 88 l action pluridiscipiinaire de la CRAMIF au sein d un collectif d ouvri res 89 Fabien GILLE vivant diverses formes de souffrance au travail La banalit de la maltraitance dans un milieu de douceurs La coop ration psychologue du travail et m decin du travail 89 Myriam FROMENT comme mode d accompagnement des agents atteints de maladies chroniques volutives L int gration des psychologues au sein des quipes 90 Charlotte BESSON des Services de Sant au Travail Interentreprises AnneSyMie GREGOIRE Les premiers retours de la construction d un r seau pluridisciolinaire 90 Annie MADR RES port e par l association Penser Ensemble le
105. 338 LES R SUM S Psychologie Neuropsychiatrie Vieillissement 10 3 245 53 Bernez L Batt M Trognon A Rivasseau Jonveaux T 2013 tude des facteurs psychosociaux du burnout de la vigueur et des troubles musculosquelettiques chez les soignants hospitaliers Psychologie du travail et des organisations 194 336 360 Counseling a Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 5 Alcoologie et addictions Pratiques psychofh rapeutiques actuelles en alcoologie Apports de la clinique et de la recherche Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Pierre GAUDRIAULT psychologue 14 avenue de Salonique 75017 Paris wpieregaud hotmail com Val rie BLANC ANPAA75 61 boulevard de Picpus 75012 Paris et 5 bis rue Maurice Rouvier 75014 Paris Lionel FOURE ANPAA75 Centre Nation 61 boulevard de Picpus 75012 Paris Doroth e LECLERC ANPAA75 CAPTA 6 bis rue Maurice Rouvier Paris 75014 Paris lodie MARCHIN ANPAAYS CAP14 bis rue Maurice Rouvier Paris 75014 Paris Ruben ROSENBERG ANPAAYS CAP14 6 bis rue Maurice Rouvier Paris 7 5014 Paris Je gt L D oa Q j D La question dE l ennui dans la th rapie de patients alcoolo d bendants Val rie BLANC Nous observons chez des patients alcoolo d pendants un sentiment d nnuiqui peut affecter les patients autant que les Hh rapeutes
106. 84 108 Fromage B 2011 L preuve des Trois Arbres bilan de situation accompagnement et d veloppement de lapersonne Paris In Press Fromage B 2012 Le bilan psychologique l aide de l breuve des Trois Arbres manu l d utilisation Paris Eurotest Gohet P 2007 Bilan de la mise en uvre de la loi du 1 F vrier 20065 et de la miseen place des Maisons D partementales des Personnes Handicap es Minist re du travail des relations sociales et de la solidarit Luxembourger C Trognon A 2011 Mutation de l identit nonciative au sein d un jeu de langage tude des formes d auto d signations dans leurs expressions verbales gest elles et extringuistiques R ducation Orthophonique 246 7 31 Morgenstern A 2010 JE comme AUTRE Miseen mots de l al rit et de l identit dans le langage de l enfant in L Dufaye L Gournay ds LAlt rit dans les th ories de l nonciation 6 115 13 5 Paris Ophrys Morgenstern A 2006 Un je enconstruction Gen se de l auto d signartion chez le jeune enfant Paris Ophrys OMS 2001 Classification internationale dufonctionnement du handicap etde l sant Gen ve OMS ONU 2006 Convention relative aux droits des personnes handicap es New York ONU Rochat P 2009 Others in Mind Social Origins of SelConsoiousness New York NY Cambridge University Press Rogers C R 1970 Le d veloppement de la personne Paris Dunod Schmitt M J 2007 D
107. C2S Cognition Sant Socialisation Universit de Reims Champagne Ardenne Z Christine Roland Levy univ reirms fr Dr Ruxanda KMIEC Psychologue docteur en psychologie Neoma Reims Wruxanda kmiec laposie net Dr J r my LEMOINE Psychologue docteur en psychologie ATER Universit de Reims Z j Lemoine8b gmail com Dr Christine JEOFFRION Psychologue maitre de Conf rences HDR Universit de Nantes Christine Jeoffron univ noantes fr Jean Philippe HAMARD Psychologue Service Pr vention Sant Centre de gestion du Doubs Fonction Publique Territoriale jeanphilippehamard gmail com Christine ROLAND L VY Professeur des Universit s Laboratoire de Psychologie C25 Cognition Sant Socialisation Universit de Reims CnampagneArdenne Z Christine Roland Lew univreims fr Imen ZAGHOUANI TER STAPS Universit de Reims 709 _imen yohoo fr Pr sentation g n rale Dans ce symposium il s agit autour de la notion de risque de montrer l tat des connaissances actuelles avec des exemples d tudes mettant en valeur diff rents champs d applications et des perspectives de pr vention Apr s avoir introduit la notion de risque en g n ral on touchera des applications tout d abord autour des repr sentations sociales en lien avec la crise conomique et financi re puis la prise de risque dans les jeux d argent autour d analyse du discours de joueurs pour passer ensuite une tude a
108. CO Accompagner l expertise ef la performance Un m ter impossible pour le psychologue du sport Ana lle MALHERBE LES R SUM S f ANR ET Es e yt E 2 SR it ie t A ds Po D o ea R A J 5 a k wa CI i Pais 4 s se art ET Y E a h A Et PAE A LS A m n EE iagi ETS Bien qu insorits dans des secteurs ef des quipes de soins Le A les psychologues y occupent une place singuli re Dans Un domaine fortement soumis aux logiques m dicales W M ils ont soutenir la question psychique et d fendre le 2e F respect de la personne dans sa dimension psychique E Cette position singuli re est en mouvance depuis 30 ans ef reste foujours interroger Taz DE LA a PSYCHOLOGIE 2015 Axe Sant mm C velopp s cliniques de o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 1 Sant mentale Nouvelles pratiques et perspectives Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Gladys MONDI RE Nicolas DAUMERIE Psychologue clinicien EPSM Lille M tropole M ndaumere epsmaile metropole f Fr d ric HASSAN M decin psychiatre CHS de la Sarthe Le Mans mm Nassan frederic gmail com Olivier JAN Psychologue clinicien centre hospitalier du Rouvray wcnolvier free fr Fr d ric PETER Docteur en psychologie CHS dela Sarthee Mans M peterrederic5 gmailcom Senj
109. Care and Treatment site Internet hHp protect able eu f Sabourin P Sandor Ferenczi un pionnier dela clinique Paris d Campagne Premi re LES R SUM S S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Q v E fe Q v LES R SUM S NTRETIENS FRANCOPHONES f DE LA ER X PSYCHOLOGIE Pi d ei FE M te Lu Le monde du travail connait de grandes trans ATIONS depuis 30 ans que les r flexions ef pratigues des psychologues accompagnent sur les dimensions XZ individuelles groupales et organisationnelles rencontr es en situations de travail x OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 1 Nouvelles pratiques nouveaux enjeux pour les psychologues du travail E Symposia n 6 samedi 6 juin 14h80 16h30 Coordonn e par Philippe SARNIN professeur de psychologie du travail et des organisations Universit de Lyon pr sident de l Association fran aise de Psychologie du Travail et des Organisations AFPTO ww philppe sarnin univyon2 fr Daniel GILIBERT Professeur en Psychologie sociale des Organisations et des Ressources Humaines Universit de Lorraine Z DonielGiibert uniMdoraine f Philippe SARNIN Professeur de psychologie du travail et des organisations Universit de Lyon pr sident de l Association fran aise de Psychologie du Travail et des Or
110. DPI d ses patients La transmission ventuelle de ces donn es risque del i chapper C est l raison pourlaauelle il st indispensable que e psychologue connaisse la l gisiation ainsi que les risques associ s l infornatisation des donn es de sant afin qu il puisse agir en toute responsabilit et r fl chir comment ajuster sa pratique professionnelle de mani re rester respectueux de la dimension psychique du sujet l Exposition aux jeux vid o quelles perspectives pourla psychologie Adeline MATHIEU Anna Maria BERARDI Anne Marie TONIOLO Lorsque l on voque l approche psychologique des jeux vid o on fait essentiellement r f rence l tude de leurs effets sur l individu Les travaux men s par l psychologie pour d terminer l impact de ce loisir sur l tre humain ont t valoris s a sein de l soci t Mauco 2008 L int r t psychologique pour les cons quences de la pr tique vid oludique a permis de mettre en vidence des effets n gatifs tels aque l adaiction Selnow 1984 Charlton 2002 et l augmentation de l agressivit Carnagey Anderson 2005 Anderson Shibuya Inori Swing Bushman Sakamoto Rothstein Saleem 2077 I a galement t observ que la pratique du jeuvid o pouvaitengendrerdeseffets positifs tels que l am lioration de l attention visuelle Green Bavelier 2003 la stimulation des fonctions cognitives
111. ES 4 5 6 JuiN 2015 TABLE RONDE Psychologue quel Titre 30 ans plus tard bilans et d fis pour les organisations de psychologues Coordonn par Beno t SCHNEIDER pr sident de la FFPP professeur en psychologie de l ducation Laboratoire Interosy EA 4432 Universit de Lorraine Z Benoit schneider univ lorraine fr lya 30 ans par l obtention d un titre prot g les psychologues franchissaient une tape essentielle de a construction identitaire de la profession Cet acquis r sultait des luttes men es par les organisations professionnelles associatives et syndicales Pour autant la profession malgr le v u formul en 2001 ors des tats G n raux n a pu mener terme son projet de rassemblement qui portait l espoir d une econnaissance plus marqu e encore de la profession et de la discipline Si les pr sents Entretiens sont l occasion comme mentionn s dans le texte de pr sentation de cette manifestation d interroger la diversit des champs professionnels de contribuer une r flexion prospective sur ses savoirs et ses pratiques ils doivent galement tre l occasion d un change entre responsables d organisations pour contribuer une analyse des capacit s d action collective des psychologues si le constat d une certaine fragmentation de nos formes de repr sentations demeure refl te t il une maladie end mique des psychologues o les facteurs explicatifs de cette fragmentation ontils
112. GREGOIRE Form s au CNAM aux th ories et m thodes de la psychodynamique Au travail clinique de l activit psychosociologie du travail les psychologues du travail se d ploient dans d nombreux secteurs Ce symposium se saisit du fil rouge propos par la FFPP avec en toile de fond le bilan de trente ans de titre de psychologue pour proposer une mise en perspective sociohistorique de ce d ploiement dans un contexte de crise sociale et conomique Lors de chaque intervention les contrib teurs claireront le cheminement singulier qui les a amen s s consir ire comme psychologue du travail t affirmer la centralit du travail Des pratiques dans le cadre d exercice en lib ral et dans la fonction publique territoriale seront port es la discussion Face la complexit des situations rencontr es les psychologues dutravail re pratiquent gu re Une psychologie appliqu e les M ories etl s m thodes d intervention transmises au CNAM sont chahut es partir de leur pratique clinique au chevet des sujets et des groupes autravail a d u c r de l activit et des organisations Ils sont ainsi t moins en y contribuant de l mergence espaces de dialogue desolidcrit de r sistance cr ative qui transforme les personnes les situations de travail fout autant qu eux m mes Is prouvent qu agir C est possible Comment les psychologues du travail pra
113. K soul ve la probl matique de la confiance rompue avec soi m me envers les autres et dans le tissu social la suite de traumatismes provoqu s par des actes terroriste Iso ligne la profondeur des dommages provoqu s en raison dela rupture de la confiance de base telle qu elle se construit au co rs des premi res ann es de la vie celles de la tr s grande d pendance du jeune enfant l autre la m re le plus souvent en d taillant le concept de la dyade m re enfant Enfn face au fractionnement traumatique du psychisme K TEEPE souligne l int r t que repr sente pour le patient une approche clinique avant tout de la symptomatologie posttraumatique plut t que de se concentrer sur les l ments du r cit traumatique proprement dit Paix sociale et d ni soci tal propos du processus r condiliaieur en Alg rie Lat fa BELAROUCI l Alg rie l instar de nombreux pays dans le monde vit depuis de nombreuses d cennies les affres du terrorisme islamique Les victimes qui ont t confront es des strat gies de d sh umanisation de destruction l anmnihilation de leur existence sont confront es ure double intentionnalit l intentionnalit des terroristes isiarnistes et l intentionnalit de l tat qui dans sa mise en place d un processus politique de r tab
114. La construction ou pl ut t 1a co construction dela pluridisciplinarit ne va pas de soi Elle passe obligatoirement par un dialogue entre les diff rents acteurs qui requiert entre autres accord sur les finalit s des actions acceptation des controverses de m tier et parfois remise en cause des mani res de faire Les psychologues cliniciens du travail sont des praticiens qui interviennent dans des milieux de travail divers ef dont les formes et conditions d exercice sont h t rog nes Iken va de m me des demandes quideur sont adress es et des interventions qu ils seront amen s b tir La plupart d entre eux interviennent d j en pluridisciplinarit ils sont en mesure d avoir un regard la fois critique et constructif pour tayer et f ire progresser cette dynamique collective LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 l action pluridisciplinaire de la CRAMIF au sein d un collectif d ouvri res vivant diverses formes de souffrance au travail La banalit de la maltraitance dans un mileu de douceurs Fabien GILLE partir d une intervention pendant une dizaine d ann es dans une fabrique de confiseries l ancienne nous allons suivre le cheminement de la r flexion d un pr venteur confront des violences et des maltra itances r p t es faites aux ouvri res De cette confrontatio
115. Nower 2002 qui distingue trois types de joueurs pathologiques avec une vision mMultifactorielle facteurs biologiques de personnalit s cognitifs et comportementaux 17 joueurs dont8 joueurs pathologiques ont particip un entretien semi irectif sur la th matique du risque dans les jeux de hasard Le discours des joueurs est organis autour de quatre th mes la caract ristique fondamentale du risque dans les jeux de hasard l envie et la pulsion de ouer le r le principal dela chance et des probabilit s dansles jeux etles cons quences relationnelles des eux Les joueurs pathologiques s v res tiennent un discours davantage orient autour des notions d envie et de pulsion jouer leur discours est signiicativement diff rent de celui d s autres joueurs Contrairement aux joueurs pathologiques les joueurs sains Ont Un discours davantage orient vers la notion de plaisir et ne per oivent pasle jeu comme une menace pour leur eg0 Cette tude soutien lune des caract ristique principales des repr sentations sociales elles sont en lien avec les conduites et les pratiques Abric 1994 O R gulation motionnelle et caract ristiques individuelles des soors risque Imen ZAGHOUANI Cette tude consiste identifier au del de l engagement dans des activit s sportives risque l infuence des variables psychologiques et motionnelles en
116. OPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 aitements cette cat gorie de scripteurs rait la qualit de sa production crite compromise par la faiblesse des processus de bas niveau d apprentissage de l crit chez les adolescents HPI en comparant leurs perfo composantes de la production crite aux performances d adol scents des processus transcriptionnels et des processus concep Vi en pa scolaris s en 6 me dans un Cing composan Les donn es son en co rs de ordi uels estl obje prin ngt deux adolescents haut potentiel intellectuel cri cas de profl cognitif h t rog ne et 20 adolescents ticip l tude Les deux groupes taient appa CO l ge urbain l chantillon res es de la production crite ont graphomotrice l orthographe Toutes les preuves ont t administr es en groupes raitement Des r sul ais partiels ordinaires i s par l ge ge moyen 11 4 tait compos majori valu es a formulation et la composition de text 25 en r v len haut potentiel a compr hension naires profil cognitif ofl cognitif lhabilet graphomotrice la qua es crits narratifs et expositi des difficult s qui affecten LES s quelque peu discordants L tude de Yates tent Un cart significatif dans es Cependant sent chez tous les enfan Liratni
117. Psychologue SMPR de Metz Arnaud COLAS Psychologue Centre P nitentiaire de Nancy CRIAVS Marianne COUTELOUR Psychologue Alexandre LANGARD Psychologue du Travail Pr sentation g n rale l intervention des psychologues pose de nombreuses questions d abord d ontologiques ensuite de l ordre du positionnement du praticien quine beutint rvenirde la mani re habituelle La premi re difficult concerne la possibilit de l instauration de l alliance h rapeutique Comment faire quipe avec un condamn Quelle r flexion instaurer Le psychologue intervenant aupr s des d tenus devra d m ler des cheveaux tr s compliqu s lLes int rvenantsilustreront diff rents aspects de cette probl matique le psychologue en Unit Hospitali re S curis e Interr gionale Marie Laure ABDELKADER Le monde carc ralet ses Usagers int rogent la soci t interpellent fascinent tout chacun a son opinion sa solUtion LA prison comme dernier maillon de la cha ne sociale o l o n rencontre toutes les mis res class es dans la rubrique des faits divers Plus particuli rement la clinique hospitali re avec des personnes plac es sous main de justice confronte le psychologue au paradoxe de la p nitence plongeant au c ur de la dialectique de l personne d tenue et malade dan gereuse et vuln rable au c ur de la violence ordinaire C est dans ce regar
118. Recherche en psychologie l gale clinique et sociale Int r t imp ratifs et limites 3 Le psychologue face au mandat judiciaire Face aux enjeux de la protection de l enfance Pace et fonction du psychologue Expert psychologue l avenir Proposition de r forme de l expertise psychologique et de l expertise psychiatrique judiciaires La fonction de conseiller technique en charge du dossier protection des mineurs au sein d un dioc se de l enseignement catholique Psychologie clinique dans le champ de l investigation judiciaire exemple de la Mesure Judiciaire d investigation Educative MJE 4 L tat actuel des connaissances sur le risque en psychologie Les apports de la psychologie sociale Qu est ce que le risque en psychologie sociale Repr sentations sociales et analyse des risques Risque dans les jeux le discours des joueurs R gulation motionnelle et caract ristiques individuelles des sports risque M thodologie de pr vention des risques psycho sociaux 5 Le traumatisme des r fugi s politiques Paix sociale et d ni soci tal propos du processus r concilateur en Alg rie Les victimes de ferrorismes et les traits particuliers du syndrome post traumatique Probl matiques actuelles de la prise en charge LES R SUM S 68 68 68 69 70 70 71 71 72 72 73 74 74 75 76 76 78 79 79 79 79 80 81 8l 8
119. Travail 3 Pratiques de pr vention et risques 92 Psychologue du travail en Service de Sant au Travail Interentreprises 93 Cl ment CHARPENTREAU Quelles pratiques d velopp es dans la pr vention des RPS G rard VALLERY valuation du stress occupationnel au sein d une organisation publique 93 Violaine DURAND fond e sur l analyse de donn es textuelles d empiloy es Christine JEOFFRION Accompagnement la conception organisationnelle 94 Ir ne COTTINJOSHI d un laboratoire haut risque biologique G rard VALLERY De la pr vention des risques psychosociaux la construction de la sant au travail 4 L volution du m tier de psychologue et de ses pratiques 96 mergence et volution du r le du psychologue dlinicien 97 Johan PANN l coute du sujet au travail Jean Claude SARDAS Une pratique singuli re le psychologue au sein des entreprises 98 Maria OUAZZANI dans le cadre de la pr vention des Risques Psycho Sociaux Comment l accompagnement psychologique distance t l phone intemet vient enrichir et compl ter les dispositifs de soutien en face face Le psychologue du travail en recrutement 9 Johanny HOSPOD Dilemme entre d ontologie et contrat de travail Conditions de travail des psychologues fran ais 99 Sophie BERJOT Leurs relations avec le v cu psychologique o lle GIRAULUDVAN Fran ois Xavier LESAGE 5 Collectivit s et sant au travail 101
120. a peut changer nos supports d intervention nos pratiques professionnelles notre cadre d intervention et notamment les r gles d ontologiques qui encadrent nos conduites professionnelles Si aujourd hui ces processus sont irr versibles il est semble til encore temps d en repenser les enjeux les risques et les opportunit s AU cours de ce symposium nous essaierons d esquisser le p rim tre de ces questions Les opportunit s du num rique pour la pratique clinique du psychologue Yann LEROUX Le num rique modifie durablement et profond ment la soci t et la culture Les pratiques professionnelles des psychologues en sont affect es loin d tre ur cbstacle les dispositifs num riques offrent de nouvelles opportunit s de travail pourles psychologues Depuis plusieurs ann es en France des psycho th rapeutes utilisent des jeux vid o dans l cadre de psychoth rapies Diff rents cadres fh orico cliniques ont t utilis s avec succ s pour traiter diff rents troubles Le mairet la visioconf rence prolongent une exp rience d j ancienne de psychoth rapie distance L r seau apporte de nouvelles possibilit s d intervention des psychologues qu il s agisse de traitement en ligne au long cours ou d intervention ponctuelle Dans le domaine du festing des changements sont galement en cours Le traitement des donn es s attomatise etles tests migrent vers les ordinateurs et les table
121. a soit une aide ef non un frein lors d une pr sentation Centres d int r ts formation de formateurs ing nierie de formation ing nierie p dagogique psychologie des apprentissages formation d acteurs de pr vention des conduites addictives pr vention des risques psycho sociaux Contenu de l int rvention Comment les laborer des diaporamas quels sont les pi ges viter partir des retours des apprenants et de ce que la psychologie cognitive nous dit sur le fonctionnement dela m moire il est possible de viser l efficacit de mobiliser l attention de notre public au lieu de le lasser II doit rester un supportet Un outil de pr sentation et non le carcan d une intervention Bibliographie Kemper G Naughton C 2006 Les secrets d une bonne pr sentation Cerveau et Psycho n 16 24 27 Jamet E 2008 Peut on concevoir des documents lectroniques plus eficaces L exemple des diaporamas Revue europ enne de Psychologie Appliqu e 58 3 185 198 Franck Frommer F 2010 La pens e Powerpoint enqu te sur ce logiciel qui rend stupide Paris ditions La D couverte LES R SUM S a GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 Intervision supervision analyse de la pratique Anim par Christine L ON GUERIN psychologue clinicienne en lib ral sur Orl ans depuis 8 ans apr s 25 ann es de travail en psychiatrie publiq
122. aines s originent dans une injonction de soins judiciaire En effet le renforcement de l incitation aux soins en milieu ferm am ne les psychologues rencontrer de plus en plus de personnes soumises des obligations et injonctions de soins assign es par a justice dans un objectif de pr vention de la r cidive Nous ne pouvons donc pas faire l impasse sur des questionnements renvoyant aux limites de l thique du psychologue quant au libre consentement du patient et la pr servation de l intimit de sa d marche Dans un tel cadre instaurer une aliance th rapeutique avec le sujet et travailler la demande s av re essentiel pour qu un travail d laboration psychique puisse ensuite s tablir L enjeu pour le psychologue va tre de tenter d amener progressivement le patient d tenu prendre conscience d une probl matique de troubles psychiques pouvant tre reconnus par rapport aux faits commis de sa souffrance o de celle qu il engendre chez les autres et verbaliser une demande d aide qui ne serait plus celle d un tiers mais la sienne l adh sion du sujet aux soins ainsi que le rep rage la compr hension de son fonctionnement mental mode relationnel et des leurs cons quences contribuera peut tre et de surcrot la pr vention de la r cidive Le travail du psychologue peut s ancrer dans une d marche d tayage afin d aider les personnes ncarc r es supporter les conditions de l emprisonnement susceptibles d avoir un e
123. alit etve ef strat gies de coping des raies dont un e f re s ur soufre de schizophr nie L a PLESSIS H l ne WILQUIN Laurent BOYER La schizophr nie touche aujourd h i environ 1 de la population Le caract re invalidant de cette pathologie influe sur l entourage du malade constituant une charge motionnelle importante L effet de la d sinstitutionalisation conduit d ailleurs souvent les patients Un retour aux sources ces derniers LES R SUM S am Q O Q O Las D gt lt lt L D ENTRETIE S FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 se tournant vers leurs parents consid r s comme les premiers aidants et le domicile familial Ce ph nom ne oblige les famil es s acclimater aux accumulation de stresseurs occupe une place importante au sein est nomm e fardeau sympt mes de la pathologie Dans la litt rature cette de ces familles e lequel influe sur la qualit de vie des familles La fratrie doit tre particuli rement consid r e En effet les premiers pisodes psychotiques laissant bien sont v cus l adolescence p riode dura m me toit Les fr res et s u s du proche souffran spec face aux dificul ateurs de ces pisodes Cette sit s engendr es par le fai nt laque uation les conduit utiliser des st d tre fr souvent pr sager d un diagnostic de schizophr n
124. an STIRN Docteur en psychologie Centre hospitalier de Rouffach Em stnsenja hotmoilf Pr sentation g n rale Gladys MONDI RE La psychiatrie repr sente Un des premiers domaines professionnels des psychologues que les ciniciens privil gient Cependant ces trente derni res ann es la psychiatrie a connu de nombreux bouleversements quitendent G largir son champ vers la sant mentale ef la cit notamment Les pratiques en ont forc ment t impact es et larepr sentation du psychologue dans son bureau qui attend que la demande merge est compl tement bouscul e par des demandes ef des pathologies en constante mutation Psychologie communauraire Vers de nouvelles pratiques pour les psychologues ciiniciens Nicolas DAUMERIE Depuis plus d une trentaine d ann e et plus encore depuis 2005 avec la oi sur le handicap psychique la cr ation des GEM le d veloppement des quipes mobiles l organisation des soins psychiatriques beaucoup chang e Avec un transfert des de citoyen Usager de service acteur de sa sant propose d apporter un clairage et de partager mon exp rience de publique de l institutionnel vers le communautaire restons psychologue de la fonction publique hospitali re ans Un parcours de soins de plus en a muta jeux de soins et des professionnels de l h pital sp cial la communaut au sens territorial du te
125. ance 119 Un hommage Serge Moscovici 5 Les psychologues confront s aux nouvelles technologies 120 Les opportunit s du num rique pour la pratique clinique du psychologue 120 Yann LEROUX L informa isation des donn es de sant 121 ise MARCHETTI Quid de l thique et de la d ontologie L exposition aux jeux vid o quelles perspectives pour la psychologie 121 Adeline MATHIEU Anna Maria BERARDI Anne Marie TONIOLO LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 6 Tests et diteurs de tests La qualit des outils d valuation des personnes tat des lieux et perspectives Normes et recommandations intemationales De la qualit des tests la comp tence des utilisateurs Objectifs et vocation de la Charte des diteurs d Outils d valuation Les besoins des utilisateurs et les avanc es scientifiques en psychom trie Deux mondes in condilables 7 La presse sp cialis e en psychologie et les psychologues T moin et acteur Avec des repr sentants de la presse nationale et r gionale anim e par les r dacteurs en chef du Journal des psychologues Table ronde Psychologue quel Titre 30 ans plus tard bilans et d fis pour les organisations de psychologues Ateliers Les crits professionnels du psychologue Comment concevoir une pr sentation vocation p dagogique Intervision supervision analyse de la pratique tudiants et
126. anisations professionnelles I reste affiner la 3 et la 4 cr er dans le futur LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 La 3 pierre semble tre l inscription officielle des Coll ges de psychologie dans l organisation hospitali re Apr s une exp rience pionni re du Coll ge de psychologie du CH de Rouffach en tant qu instance consultative de tablissement qui f tera cette ann e les 10 ann es de son fonctionnement nous pr senterons les avantages et les inconv nients d une structure aussi bien pour les psychologues que pour l tablissement ous restons persuad s que c est pr cis ment ce cadre qui a permis non seulement un Moi Peau collectif indispensable au corps professionnel dans le syst me de sant actuel tant au niveau de la econnaissance de la psychologie comme une science part enti re pourvue donc d un support h orique et m thodologique de haut niveau mais aussi du psychologue dans sa dimension collective et statutaire application effective de l autonomie du choix des outils et des m thodes de l acc s direct du diagnostic du psychologue du AR du Code de d ontologie qu individuell dans le sens de la pratique clinique et de la recherche d veloppement professionnel volution du m tier y Notons aussi qu un tel cadre permet aussi le d ploiement d autres projet
127. ar les ECPA les ditions du Centre de Psychologie Appliqu e La nouvelle version de la WPPSI est maintenant disoonible en fran ais depuis quelques mois En quoi l valuation intellectuelle des patients de 2 ans et demi 7 ans 7 mois s en trouve telle affin e et modifi e Apr s un aper u des diff rents mod les th oriques ayant successivement model les outils mesurant l intelligence nous verrons comment la WPPSI IV en est venue int grer les notions d indice de m moire de travail MT d indice de vitesse de traitement VT d indice de raisonnement fluide IRF et d indice visuo spatial VS Nous aborderons galement les diff rents indices compl mentaires et les situations cliniques dans lesquelles ils peuvent apporter Un clairage compl mentaire la note de QIT et celles dans lesquelles ils doivent ventuellement se substituer celle ci Nous ferons galement le point sur les am liorations psychom triques apport es la batterie et les modifications ayant permis une diminution du temps total de passation Des s quences vid o seront utilis es pour illustrer les nouveaux subtests LES R SUM S
128. ara tre 2015 Abelhauser A Gori R Sauret M J 2011 La folie valuation les nouvelles fabriques d la servitude Paris Fayard Ancet P et Mazen NJ 2011 thique et h ndieap Les tudes hospitali res diti n Chagnon J Y dir 2012 45 commentaires de textes en psychopathologie psychanalytique Paris Dunod Chagnon J Y dir 2014 40 commentaires de textes fondamentaux en psychologie clinique Paris Dunod Chagnon J Y et coll 2014 Approche clinique des troubles instrumentaux dysphasie dyslexie dyspraxie Paris Dunod Chagnon J Y Cohen de Lara A 2012 Les pathologies de l agir chez l enfant Approche clinique et proj ctive Paris Duned Ciccone Korf Sausse S MissonnierS SalbreuxR Scelles R 2012 Handicap l thique dans l s pratiques liniques loulous r s Emmanuelli M et coll 2004 L examen psychologique situations m thodes tudes de cas Paris Dunod Fedida P 2001 Des bienfaits de l d pression loge de la psychoth rapie Paris Odile Jacob Gori R Del Volgo M J 2009 La sant totalitaire Paris Champ Hammarion Ravit M et coll 2013 L examen psychologique au fl des ges Paris Armand Colin Ricoeur P 1990 Soim me comme un autre Paris Seuil Verdon B 2012 Le vieillissement psychique Paris PUF Que sais je Verdon B et coll 2012 Cliniques du sujet g Pratiques psychologiques Paris Armand Colin Widl ch
129. arcia F Froment M Anton P Ehaumon E Voxevanogiou X 2014 Symposium Aluridisciplinarit ensant au travail pr vention des risques psychosociaux dimensions organisationnelles collectives ef individuelles L exemple des fonctions publiques territoriale et hospitali re 28 me Congr s de Psychologie appliqu e lAAP 8 13 j illet 2014 Paris Gu rin F Laville A Daniellou EF DuraffourgJ Kerguelen A 2001 Comprendre le travail pour le transformer La pratique de l ergonomie Lyon Editions de l Anact Sahler B Berthet M Douillet P Mary Cheray 2007 Pr venir lestress etes risques psychosociaux autravail Paris ditions Anact Sticker H J 1997 Corps infirmes et soci t Paris Dunod Terr LC 1991 Childhood traumas an o tline and overview American Journal ofPsychiatry 148 1 10 20 Thanh Huy E B 2010 Acteurs de risque p ri traumatiques psychologiques d un trouble de stress post traumatique Doctorat de Psychologie de l Universit de Toulouse hHp thesesups ups tise fr 993 T B IThaN Huy Eric paf Theis A 2006 Approche psychodynamique de la r silience tude clique projective compar e d enfants ayant t victimes de maltraitance familiale ef plac s en famille d accueil Th se de Doctorat de Psychologie Clinique de l Universit de Nancy hip docnum univalorrainetr public NANCY2 doc251 2006NAN21003_2 pdf Winnicott DW 2006 La m re s ffisamment bonne P
130. ardins th rape Utiques sur les soignants Ainsi Une indicateurs r v lateurs verbaux et para verbaux du burn out concr tement et l endroit m me o il et de satisfaction au travail permet de mettre en avant l hypoth se el e tude permettra d explorer les s exprime en signifiant l importance des jardins th rapeutiques Bibliographie Bernez L Batt Rivasseau M Haumont M C Trognon A ee 2015 II dolore negli operatori sanitari i rischi del mestier Giornale Italiano di Ricerca e Applicazioni Vol 8 1 on line febbraio http rivistedigitali erickson it counseling Jonveaux T Pop A Fescharek R Bah Chuzeville S Jacob C Demarche L Soulon L Malerba G 2012 Les jardins h rapeutiques G riatrie et g rontologie Synth se Rivasseau Rivasseau Soulon Disease Patients alerba G Bouvel B 2013 ecommandations et crit res de conception G riarri Jonveaux 1 Fescharek R Batt M Bouvel B Demarche L Jacob C et al 2013 Comment la nature est elle h rapeutique In G Pipien S Morand ds Biodiversit et sant pp 171 182 Paris Editions Buchet Chastel cologie Jonveaux T Batt M Fescharek R Benetos A Trognon A Bah Chuzeville S Pop A Jacob C Yzoard M Demarche L Healing Gardens and Cognitive Behavioral Units in the Management of Alzheimer he Nancy Experience Journal of Alzheimer Disease 34 325
131. aris Payot Wood W Eagly A H 2009 Gender Identity in MR Leary RH Hoyle ds Handbook of individual Difer nces in Social Behavior p 109 125 New York Gu ilford Press Zribi G Beauln T 2009 Les handicaps psychiques concepts approches pratiques Paris EHESP LES R SUM S D S lt D Q lt Q 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 6 Le m tier de psychologue du travail et les sp cificit s des professionnels form s au CNAM un E Symposia n 5 samedi 6 juin 10h15 12h15 Coordonn par Anne Sylie GR GOIRE psychologue du travail service inter entreprise de sant au travail AICAC 77 pr sidente PELT annesyivie gregoire yahoofr Muriel BIENVENU Psychologue du travail exercice en lib ral membre PELT Z murielbienvenu hotrnailfr Christian CHATELLIER Psychologue du travail Conseil G n ral 94 membre PELT Christian chateller wanadoo fr Anne Sylvie GR GOIRE Psychologue du travail service interentreprise de sant au travail AICAC 77 pr sidente PELT Z annesyMie gregoire yahoo fr Patricia MAZZEI Psychologue du travail secteur expertise CHSCT membre PELI pr sidente AE2 psychologie du travail CNAM mozze patricioa yahoo fr d z X lt L Alix NIEL Psychologue du travail secteur associatif membre PELT Z nicla wanadoo fr Pr sentation g n rale Anne Sylvie
132. at organique et que puissent tre r fl chies plus avant les positions internes dans lesquelles la passation d un bilan peut potentiellement placer les protagonistes La gravit potentielle du poids des conclusions de nos bilans psychologiques n cessite une telle approche car cette appr ciation fonctionnelle dynamique de l individu Un moment donn constitue souvent le socle principal de l orientation diagnostique et pronostique les bases du diagnostic diff rentiel et enfin se pose comme pr alable indispensable pour la formulation d un projet th rapeutique adapt Je gt L D o Q j D Approche clinique des troubles instrumentaux Une exigence thique Jean Yves CHAGNON Le champ des troubles instrumentaux ou des apprentissagesestl objet d intenses d bats voire pol miques entre chercheurs et cliniciens recoupant pour particles d bats entre ne psycho patho logie clinique d orientation psychodynamique et Une orientation beaucoup plus m dicalisante Dans la pratique de terrain les conceptions neuropsychologique devenues dominantes ont abo ti Un certain nombre de glissements de sens et de paradox s commenter par la confusion entre troubles non sp cifiques majoritaires et troubles sp cifiques quine peuvent tre facilement expliqu s par d autres ph nom nes dont la d ficience ou des troubles psychopathologiques ce qui aboutit
133. au sein de l association continuer faire progresser avers et les notre idisciplinarit se pose d sormais de fa on pr gnante C est parti Pluridisciplina ires Sous le 1 t moigner dut 2 mon titre Le travail affaire de ravail d articulation e r de ce constat que PELT organise en d cem ous dont les principaux objectifs sont la fo bre 2013 les premi res Rencontres de co construction avec les diff rents acteurs 3 d battre sur la n cessit et la finalit du travail en pluridisciplinarit LES R SUM S is de rer commentl s pratiques pluridisciplinaires s enrichissent et se d veloppent mutuellement A OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Deux cents personnes d horizons divers m decins du travail avocats syndicalistes inspecteurs du ravail pr venteurs ergonomes responsables RH psychologues cliniciens coachs assisteront cette journ e et la plupart d entre elles feront savoir leur souhait de continuer changer sur le sujet C est ainsi que nara l id e de construire un r seau pluridisciplinaire Depuis le d but de l ann e 2014 rois journ es Les Ateliers Pluridisciplinaires ont eu lieu regroupant en moyenne une quarantaine de personnes Ces journ es ont pour but de jeter les bases d un r seau qui permettrait aux professionnels de se retrouver pour changer et pro
134. autre va s impose d sa parole et ses ise en face de lui La clinique chologue de la rencon u re arm e ne peut contraire la rela tre une clinique en arm ion va repr senter la sc n lui une outils vont ure e formation toute sa pratique e NOUS proposerons de mener une r flexion sur la d lica intenable entre des outi ls standardis s et une rencontre qui admin e position d au m connaftre les enjeux in trapsychiques mis en dynamique par a situa toute sa cr ativit von clinique est d s lors ce qui le diff rencie d un technicien o d un istrateur de tests libre du psychologue pa pouvoir se d ployer La fois ne l est jamais Comment ne pas ion d valuation Comm ne pas n gliger les cons quences de l avis psychologique rendu dans la r alit des personnes LES R SUM S ent O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Plainte cognitive ef d pression masqu e De l int r t des preuves projecties en consultation m moire de l adulte viailissant Beno t VERDON La centration sur les performances cognitives de la plainte et de la requ te des femmes et des hommes vieilissants rencontr s dans le cadre des consultations m moire implique que les psychologues soient particuli rement en mesure de rep rer les d g ts insidieux des processus
135. bigny X garcio cg93 f Suzanne GLORIEUX M decin du travail m decin de pr vention Conseil g n ral de la SeineSairtDenis Service Sant S curit au Travail Conseil g n ral de la Seine SairEDenis PPR H tel du D partement 93006 Bobigny France SW sglorieux cg93 fr I L D Q lt Q Pr sentation g n rale Myriam FROMENT Les volutions l gislatives posent l employeur public Une obligation de r sultats s r la sant auTtravai de ses personnels l autorit territoriale se voit assigner la mission de pr server l sant physique e psychique de ses agents Dans un souci d tre en conformit avec la r glementation en viguetr les collectivit s territoriales se sont vues dans l obligation d engager des d marches de pr vention primaires centr es sur les dimensions organisationnelles et collectives en amont de toute dificult secondaires en proposant des sessions de formation et de sensibilisation des personnels et tertiaires en d ployant des accompagnements aux agents intriqu s dans des situations professionnelles ayant ur retentissement sur leur sant comme lors de situations potentiel ment traumatiques o pour favoriser le maintien dans l emploi ef pr venir les situations de d sinsertion professionnelle op Pour appr hender l sant au travail efficacement iFest n cessaire qu il y ait un engagement
136. bl me du manque de reconnaissance per ue au sein d une population f minine au le social non valoris et du r le crucial du management Darioly Schmid Mast 2011 Ces r sultats soulignent l importance des facteurs sociaux organisationnels et conomiques Accompagnement la conception organisationnelle d un laboratoire haut risque biologique De la pr vention des risques psychosociaux la construction de la sant au travail Ir ne COTTIN JOSHI G rard VALLERY Contexte ous souhaitons partager les premiers r sultats issus d un travail de recherche action dans le adre d une th se en psychologie du travail Elle porte sur une d marche de pr vention des RPS n accompagnement d un changement organisationnel Il s agit d un projet de conception n h pital public en r gion parisienne a construit Un laboratoire s curis pour l identification de act ries fortement pathog nes et contagieuses Pour le personnel cela implique des modifications ons quentes des conditions de travail ainsi qu une exposition un risque biologique accru Afin de venir l mergence de RPS dans ce contexte les acteurs internes de pr vention ont propos la mise n uvre de cette recherche action Q O O Q D D M thodologie ous nous situons dans une approche privil giant le d veloppement des ressources psychologiques et sociales Clot 2010 au del d une vision de
137. blic qui l on parle L effet loupe ou grossissant de la diffusion est important 6 Aller l essentiel tre clair dans ses propos avoir le sens de la vulgarisation tout en tant juste sur le fond C est ce que les journalistes appellent tre un bon client 7 tre mare de ce que l on dit de la fa on dont on le dit et de ce que l on choisit de ne pas dire Un propos maladroit ou inappropri peut s av rer tr s n gatif pour celui ou celle qui le tient avec l ampliication et l ind l bilt de sa diffusion et parfois de sa rediffusion 8 Connaitre et assimiler le fonctionnement des m dias Les r gles et les codes du direct des missions enregistr es des d bats de la presse crite etc ne sont pas exactement les m mes et peuvent m me tre tr s diff rents Quand c est dans la boite il est trop tard pour corriger mieux vaut donc pr venir 9 Avoir conscience que les journalistes ne sont pas n cessairement des sp cialistes des sujets qu ils traitent Les propos recueillis peuvent parfois faire l objet d interpr tations et d utilisations erron es partielles o partiales 10 viter les supports oules Cases de diffusion missions journaux etc r put s de mauvaise qualit 11 tre prudent par rapport l utilisation Gui peut tre faite du Off Les m dios Chaussetrape ou espace de diffusion pourla psychologie etles psycholog
138. canc risation bar les modifications qu il engendre dans l ensemble de l organisme so s l effet du cortisol en particulier Il joue ainsi un r le dans les mutations cellulaires dans la survie des cellules d fectueuses dans la cr ation de nouveaux vaisseaux indispensables au grossissement d l tumeur et dans l alt ration du fonctionnement immunitaire ultime barri re contre la maladie Ces informations changent la perception des malades et donc leur prise en charge Il ne s agit pas d imposer une t l analyse des personnes qui ne s interrogent pas sur leur responsabilit dans le d clenchementde lamaladie Mais il n est pas rare que certaines fassent le lien avec un stress important dans les mois pr c dant le diagnostic ou encore avec un v nement grave qui les a affect es Leur affirmer qu elles se trompent et que ce lien est impossible les maintient dans une impuissance totale face la maladie et fait courir le risque qu elles aillent trouver des r ponses aupr s d individus peu scrupuleux sachant les couter en ce sens Enfin pour les intervenants avoir connaissance de m canismes psychiques pr cis sous tendant la elation la maladie a un impact direct sur le discours appropri tenir aux patients en fonction de eur personnalit sur la compr hension de l observance par exemple sur le type de soutien apporter aux proches et enfin
139. ce de la profession de psychologue dans une structure d tat qui jusqu pr sent ignorait superbement les probl mes sp cifiques rencontr s par ces professionnels dans l exercice de eurs fonctions Le symposium a pour t che de donner la parole des coll gues qui exercent des res divers dans les deux Champs d intervention et qui questionnent l avenir de la profession au sein de l ducation nationale UN m fier ancien red finir Jacques GARRY Les psychologues du premier degr de l ducation nationale appel s commun ment psychologues scolaires ont une histoire mouvement e lls sont n s dans les espoirs de l apr s guerre plan Langevin Wallon aupr s des coles parisiennes puis de province avec pour t ches principales de participer l orientation des enfants en grandes dificult s scolaires et ou comportementales l usage des tests faisait partie de l arsenal du psychologue des coles et le minist re lui demandait surtout de remplir les nouvelles classes sp cialis es h riti res des classes de perfectionnement du d but du Xe si cle partir de 1960 les psychologues ont peu peu pris plus d autonomie en s int ressant la souffrance des enfants dans l institution largissant le champ des interventions vers les enfants stigmatis s dans les classes L int gration des handicap s fait aussi partie de l activit des psychologues scolaires Leur r le a vite t reconnu par les par
140. che tait bas sur une analyse quantitative des sujets s agissait d outils bas s sur des crit res d tude sp cifiques de la soci t Gr goire 2000 l individu ne b n ficiait pas de retours o d l ments psychologiques lui permettant une aide l introspection o analyses qualitative et personnelle des r sultats de la personne sont percevoir et comprendre e dans son volution personnelle Par exemple une chelle de Wechsler ne donne pas Un score o comprendre ses sch mes de pens es sa perception des l ments des ventuels dysfonctionnemen et m canismes de d fense Dans la pratique du bilan psychologique il est important de rappeler qu un seul test ne doit pas tre interpr t isol ment et doit toujours s inscrire au sein d un bilan complet fonction du patient lu m me de sa vie de ses attentes de ses besoins et de ce qui pourrait l aide un chiffre qui cat gorise le patient dans une case mais plut t Une analyse du fonctionnement e des particularit s de ce dernier dans sa mani re d appr hender les l ments de son environnemen De m me pour l analyse d un test du Rorschach il ne s agit pas de cat goriser le patient mais de Un mieux tre mais Uniquement une cat gorisation et une s lection des patients suivant des crit res pr tablis Tout au l
141. ci t de th rapie familiale psychanalytique d lle deFrance STFPIF C line ATTARD Psychologue clinicienne Docteur en psychologie clinique et psychopathologie celineattard gmail com Jean Pierre BOUCHARD Psychologue hors classe des h pitaux docteur en psychologie et en droit Unit pour malades difficiles UMD et unit d soins intensifs psychiatriques USIP Centre hospitalier de Cadilac surGaronne Centre d tudes et de recherches en psycho pathologie CERPP EA 4156 Universit Toulouse Jear Jaur s Institut du droit de la sant et Institut de Sciences Criminelles et de la Justice EA 4601 facult de droit de l Universit de Bordeaux Centre international de criminologie compar e CICC Universit de Montr al Canada jean _pierre_bouchard yahoo fr Ravi SIVANANDA Psychologue Service d investigation ducative Mulhouse Pr sentation g n rale Le mandat judiciaire concerne lo protection de l enfance et des enfants face aux dangers rep r s ou rep rer d se distingue de l ordonnance d expertise o le psychologue est missionn pour examiner Une personne en vue de r pondre aux questions d un magistrat Dans Un cas comme dans l autre la violence est au centr des pr occupations d une institutionnalisation hors du commun et la pluridisciplinarit peut tre interrog e ainsi que la place d psychologue sp cifi e partir de la demande sociale v hicul e parla justice
142. comme objectif principal notre Charte N N Bibliographie Pratiques de la supervision Journal des Psychologues 270 septembre 2009 Code de d ontologie des Psychologues actualis en 2012 hHp Wwww codededeontologiedespsychologues fr Charte des groupes d intervision de la Coordination FFPP Centre hHp www psychologues psychologie net index php option com_content amp view article amp id 145 charte des groupes dntervision amp catid 44 intervision amp ltemid 233 LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 tudiants et jeunes dipl m s objectif emploi Comment s y retrouver CV lettre de motivation convention fiche de poste Anim par la Coordination R gionale Lorraine de la FFPP C line PARISOT Christophe DEFERT In s P LISSIER Anne TENCE Sophie SERY Forte de son exp rience la coordination r gionale lorraine de la FFPP tient proposer un atelier sp cialement d di aux jeunes dipl m s o futurs dipl m s Chaque ann e la coordination propose une soir e d di e ce th me Les retours sont toujours positifs s appuyant sur le fait que la formation initiale n apporte pas ces l ments de pr cisions et ce retour sur exp rience Les psycho
143. communication s axera partir d exemples concrets d universitaires praticiens qui tendent trouver une j ste balance entre savoirs Savoir tre et savoir faire gr ce par exemple l utilisation des tudes de cas de patients qui permettenttant d enrichir la th orie que la pratique des tudiants futurs professionnels sp cialis s en neuropsychologie LES R SUM S Axe Sant Be existe des structures maitresses fonctionnelle l che de ors de la Chirurgie ca pas une chirurgie tun iques mais bien une chi anatom e l neuropsycho o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Prise en charge per op ratoire des patients porteurs d une tumeur c r brale Une interaction troite entre neuropsychologie clinique neurosciences cognitives ef neurochirurgie fonctionnelle Guillaume HERBERT La chirurgie du cerveau en condition veil e est devenue la th rapeutique de premi dans le cadre de la prise en charge des gliomes diffus de bas grade autorisant l tablissement de cartographies fonctionnelles per op ratoires et axonal l aide de stimulations de contr ler tout instant l express intention Le En effe a fois n diane de survie se sont vues ti derni res
144. conditions de travail qui ne sont pas toujours optimales ARNPN 20711 Nous tent rons d en faire Un tat des lieux Je gt L D o Q real D Dans Un dernier axe nous voquerons l dynamisme associatif en neuropsychologie en France En effet ces derni res ann es ont vu ndir de nombreux rassemblements de professionnels du niveau local au national anim s bar d s professionnels mu s par Une volont d changes s r leurs pratiques Ces rassemblements ont conduit la cr ation en 2014 de l Organisation Fran aise des Psychologues sp cialis s enNeuropsychologie OFPN association visant la promotion de la pratique neuropsychologique par les psychologues Wauquiez P rnici et Deininger 2014 Transmission des savoirs de l universit la pratique entre savoirs savoir te ef savoirfaire L exemple de la neuropsychalogie Marie de MONTALEMBERT La formation universitaire en ne ropsychologie connait Un essor consid rable ces derni res ann es Les formations de niveau Master 2 se dirigent ioutes vers une f sion des parcours professionnels et de recherche dans le but d former d une part des psycholog ues neuropsychologues capables de s ins rer professionnell ment en tant que praticiens ou d autre part de se diriger vers Une th se et ou de s orienter vers la recherche Michael etal 2011 l objectif de ces formations est videmment de permettre Un approf
145. cqu rir de nouvelles connaissances en psychologie vous informer sur les nouveaut s en mati re de pratiques et de recherche nourrir votre pos es la profession rencontrer ceux qui exercent le r flexion concernant les grandes questions VOS pr occupations m me m tier que vous et partagent ainsi Faisons des EPEP Un outil de formation et de constructions permanentes Un espace dynamique a FFPP et retenir votre inscription Les formations nimateur de groupes d analyse des pratiques Paris amp Le groupe d analyse des pratiques Un outil des psycho L observation projet Un outil pour les psychologues des d actualisation et d information des grandes probl matiques qui traversent nos champs professionnels Pour conna tre l ensemble des formations propos es Paris o en r gion consultez le site consacr aux EPEP vous y trouverez toutes les informations utiles tant au niveau du contenu qu au niveau pratique Certaines de nos formations sont presque compl tes n h sitez pas vous rapprocher du si ge de En r gion ogues dans les institutions structures petite enfance C se Lo crits professionnels du psychologue R cit r v lation d voilement signalement proc dure p nale R le et place du psychologue dans le pistage le signalement et l accompagnement de la victime dans la proc dure p nale V
146. crivent dans des cadres organisationnels et conomiques de plus en plus complexes et contraignants pour les salcri s Dans le cadre de ce symposium les participarnts proposent d illustrer les pratiques de pr vention que le Psychologue du travail est amen d velopper dans ce champ d action sp cifique Les contextes d intervention et les populations tudi es se veulent diversifi s er permettent d apporter n clairage compl mentaire sur les m thodologies tilis es niveaux de pr vention concern s primaire secondaire tertiaire et objectifs vis s Les participants concluent par la pr sentation d s r sultats issus des interventions men es de l identification des facteurs de risques psycho sociaux au d veloppement de ressources et strat gies individuelles Collectives et organisationnelles qui concourent la pr servation la sant au travail LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Psychologue du travail en Service de Sant au travail Interentrenrises Quelles pratiques d velopp es dans la pr vention des KRPS Cl ment CHARPENTREAU G rard VALLERY Contexte La r forme de la m decine du travail en France 2004 a marqu un tournant dans l organisation et le fonctionnement des services de M decine du Travail Si ces derniers rebaptis s Services de Sant au Travail Interentreprises SSTN
147. d tre cantonn s un r le de psychotechnicien psychom tricien r duire une personne la somme des valuations chiffr es et compar es de ses processus mentaux cognitifs et intellectuels Plus r cemment d autres professionnels comme les orthophonistes ou certains m decins ont revendiqu de b n ficier d une forma j proposer eux m mes aux patients des tests psychologiques sans pou ion de haut niveau propos de la compr hension holistique et dynamique autant du fonctionnement psychique des tenants ef des aboutissants des enjeux d une rencontre clinique Or l int r t du bilan psychologique se situe bien au del de la seule proposition diagnostig a rencontre clinique de l coute de l inqui tude et de d nis qui encore de fa on minemment singuli re peuven animer la psych de ch ue qui peut sulter de son apport original compl mentaire des expertises m dicales associ es et notamment le ep rage qu il permet de la complexit des fragilit s et des ressources qui marquent de fa on toujours singuli re le fonctionnement mental d une personne On ne peut omettre l importance majeure de a souffrance psychiques des illusions et des acun et ne manquent pas de se manifest cr s rivalisent par leur ing niosit appr hender le fonctionnement cognitif ou l tat de er l occasio
148. d COLAS Le psychologue en milieu carc ral est amen prendre en charge des personnes en situation de privation de libert Ainsi il effectue principalement des psychoth rapies avec les d tenus incarc r s Les demandes de prise en charge peuvent provenir des m decins de l quipe pluridisciplinaire ou des patients eux m mes Dans ce contexte le psychologue value l indication la psychoth rapie iljoue galement un r le tr s important dans l rep rage et la gestion deda crise suicidaire I peut galement tre salicit pour effectuer des bilans vis e diagnostique o pour Contriouer valuer l volution des prises en charge Les dificult s psychiques de ces personnes emp chent o ont emp ch un fonctionnement adapt aux niveaux familial afectif social et professionnel Ces difficult s sont parfois l origine de d lits relativement violents ou de crimes pourlesquels elles viennent demander de l aide et en raison desquels les s jets sont priv s de libert On 0bserve que la demande initiale de ces patients est d aileurs tr s r quernm nt de comprendre les d terminants de leur passage l acte La justice dans ce cadre th rapeutique joue un fortr le dansl incitation aux soins des personnes d tenues Ce q ipeut conduire parfois la tentation de consultations utilitaires susceptibles de contribuer l am nagement de peine E
149. d accueil pour personn l objectif de montrer com ment Un diagnostic organisationnel conduit au sein d un tablissement es g es ayant r cemment subi de profonds changements peut participer M thodologie de pr vention des risques psycho sociaux Christine JEOFFRION Jean Philippe HAMARD d auto valuation et sur Les moyennes aux diff participative mise en ue les pr conisations rennit des actions q gaoa de la pr vention des risque et Hospital Anxiety and Dep at de grandes disparit s en es entretiens viennent confi s psycho sociaux La m thodologie quantitative repose sur un questionnaire trois chelles valid es Job Content Questionnaire Maslach Burnout Inventory uv soient od le de diagnostic t Q v _ pe Q v Bibliographie ansf ression Scale La m thodologie qualitative repose sur l tude de documents internes l tablissement sur des entretiens semi directifs et des observations de situations de travail ents questionnaires sont plut t inf rieures aux moyennes nationales mais fon firmer le fait que la structure n est pas dans une situation critique sur le plan es RPS mais n cessite n anmoins qu un plan d actions soit mis en place La m thodologie mixte ui seront mises en place Cette recherche ntervention permet de proposer un fonction des cat gories socio professionnelles Les th mes abord
150. d social binaire entre s curit et r insertion au confluent de nombreux st r otypes et au plus proche du sujet utilis communication que le psychologue tente d in ant son Cor ce lien social en souffrance et de penser les trajectoires de vie faites de rupt ps ou les passages l acte comme outil de staurer une relation s curisante et contenante de restaurer ures de faire lien Entre faute et douleur entre corps et ch timent de cette clinique de quelle th orie de l humain Quelle th orie des syst mes Quelles pratig qui Quelle place quel r le pour le psycho par ses propres codes ses propres logiques Face ce glissement qui tend faire de la prison psychologue utilise les champs th oriques outils ses propres cultures un lieu th rapeutique comm et m thodes de mani re aq a violence agie et ou subie ues et surtout au b n fice de ogue hospitalier intervenant dans un milieu s curis r gi e une prescription de peine le hoc au hasard de la rencontre et des regards des professionnels autour fonctions de la relation qui se cr e la clinique pour le praticien est en LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 perp tuel remaniement questionnement en constante adaptation son seul fl rouge en tant le langage La maladie et les actes tra
151. dans le service Ces extraits sont choisis pour leur int r t ce qu ils peuvent susciter et r veiller des probl matiques latertes pr sentes chez ces jeunes adolescents hospitalis s Par exemple des extraits de filmstels que Pers polis Le p riljeune x Lol Le premier jour du reste de ta vie o de s ries Malcom Gl e Des clips vid os tels que Papar de La Fouine Elle me dit De Mika Beautiful de Christina Aguilera Des chansons telles que Midi vingt de Grand corps malade Sans rep re de Sniper Papaoutai de Stromae Peur d noir d Olivia R iz Par a mise en place de ce groupe nous voulons permettre une expression verbale s inscrivant dans une d marche th rapeutique valorisantla parole l laboration psychique et l change La m diation leur permet de tierc iser les choses ils se sentent alors moins en danger Le groupe n est pas centr sur la maladie Il est question d autre choses propres tout chacun ils ne sont donc pas que malades mais des sujets pensants d sirants et se projetant dans l avenir Le Psychologue cinicien l h pital g n ral Sur preseriotion m dicale Gilles MICHEL Engag dans les fonctions de Psychologue clinicien depuis l ann e 2005 dans diff rents services de m decine somatique R ducation Fonctionnell R animation Polyvalente Endocrinolo
152. de l encadren ont t vifs ongs t torftueux Une po le d cret d application lg rie nent l gal et r glem Eu la nature des liens entre psycho ces complicit et compl mentarit prendre en compte les imp ratif AD de 2010 lui aussi deux ans apr s Dans ces terg entaire de l exercice de la psychoth rapie en France mi re formulation l gale en 2004 a d tre modifi e cing ans plus tard iversations se dessinent entre autre d cret de mai 2012 semble sceller h rapie et psychologie SHe dernier entre cet exerci s thiques qui peuvent es clairer De ce et notre discipline i est cependant n cessaire de m me il est utile et n cessaire de sortir de notre cadre hexagonal LA situation en CC Ig r ren Belgique permettra non seulement d aborder l question d une ventuelle sp cidlisation encadr e de la psychologie clinique mais aussi de nous poser la question de la pertinence du cadre l gal Pour introduire ce symposi UM je propose de r glemen synth aire existant en France ce jour d ontologie en France concernant l articulation en des psychoth rapies Bien qu il y ait comme u L tiser quelques l ments prescrits par notre code de re la psychologie en tant que discipline et l exercice n lien de consubstantialit agir sur ou par le psychisme ne
153. de sens commun des risques sp cifiques a d j t explor l exploration du risque en g n ral ave la th orie des repr sentations sociales n a pas encore t r alis e L objectif est ici de mettre en vidence que le risque est objet de repr sentation sociale et que le contenu de cette repr sentation peut tre pertinent pour d crire des risques sp cifiques Une preuve associative a t utilis e et l analyse protohypique des productions verbales a permis de mettre en vidence la structure repr sentationnele du risque qui est structur e autour du terme danger Dans un deuxi me temps les composantes de la repr sentation sociale du risque ont t utilis s pour construire des chelles de caract risation de dix risques sp cifiques guerre crise pilule de 3e g n ration tra abilit alimentaire drogue alcool accidents jeux de hasard sports extr mes catastrophes naturelles l analyse de fiabilit des chelles ainsi obtenues monte des r sultats satisfaisants confirmant le pouvoir descriptif des composants de la repr sentation sociale du risque pour des situations sp cifiques de risque La discussion met l accent sur la pertinence de ces informations et leurs applications directes 7 N O 0 Q ee a F O D Risque dans les jeux le discours des joueurs J r my LEMOINE Cette tude s inscrit dans la lign du Pathways Model de Blaszczynski and
154. des blessures historiques de la ransmission aux prises d une politique de r conciliation qui impose le silence et qui tente d effacer de a vie de toute une population les v nements traumatiques v cus Le travail du psychologue est lui m me pris dans les rets de cette interdiction de parler et galement de penser Les l ments expos s ont t recueillis lors d une recherche effectu e dans le cadre d un doctorat de psychologie Les victimes de feronsmes ef les traits particuliers du synarome post raumaique Dominique SZEPIELAK Les victimes du terrorisme directe o indirecte vivent Un traumatisme r el et s v re puisque les actes terroristes visent porter atteinte la vie m me de la victime Comme tout traumatisme il perturbe l quilibre m me de la personne par l effraction produite au niveau psychologique au del des blessures physiques par la violence engendr e et retrouvent les caract ristiques des catastrophes collectives Cependant dans ces cas bien pr cis d s atteintes caus es par des attaques terroristes le contrat social se trouve bafou et malmen car ce sont d autres individus qui pour une id ologie voire un d lire s en prennent d autres aveugl ment ef dans le but justement de traumatiser AU contraire les catastrophes collectives sont g n ralement naturelles o mat rielles d origine non directement humaine sans intention directe de nuire
155. des acteurs assumer leurs r le dans l organisation Sardas Dalmasso Lefebvre 2011 Ainsi nous aurons abord les diff rents enjeux de comp tence du psychologue engag dans une clinique du sujet au travail et la question de son articulation avec les autres professionnels concern s Une pratique singuli re le psychologue au sein des entreprises dans le cadre de la pr vention des Risques PsyCho SOciaux Comment l accompagnement psychologique distance f l chone infemef vent enrichir et compl ter les dispositifs de soutien en face face Maria OUAZZANI ind pendamment du cadre l gal et des pr conisations institutionnels la pr vention des Risques Psycho Sociaux RPS a favoris la mise en place parles entreprises de dispositifs d accompagnement psychologique destination des salari s en souffrance o en dificult Le psychologue est de plus en plus sollicit par les entreprises pour accompagner ses salari s dans des contextes sensibles et selon des modalit s diff rentes accompagnement sur site distance part l phone Les sp ciicit s de l accompagnement psychologique distance ont d j fait l objet d tudes pour la plupart angle saxonnes tudes compdrativ s de Hammond GC et al ou de l University of C mbridge en 2012 EnFrance a pratique par t l phone ou
156. dition Berninger VW Swanson H L 1994 Modification of the Hayes and Hower model to explain b ginning and developing writing n E Butterfield d Advances in Cognition and Educational Practice vol 2 Children s Writing loward a Process Theory of Development of Skilled Writing p 57 82 Greenwich CT JAI Press Hayes J R Flower L 57 1980 Identifying the organization of writing processes In L W Gregg EXR Steinberg eds Cognitive processes in writing P 3 30 Hilsdale NJ Lawrence Erlbaum Liratni M Wagner A Pry R 2012 Performances d criture de 12 enfants haut potentiel intellectuel ANAE T16 1 9 Pereira Da Costa M Botell M 2014 Presentation of the website l ve profiler tool for identifying some strengihs and weaknesses of pupils 17 International Conference on Excellence on Education Boulogne Bilancourt France Soppelsa R Albaret J M 2012 Evaluation de l criture chez l adolescent Le BHK Ado In J M Albaret J Corraze eds Entretiens de Psychomotricit 2012 6 66 6 Paris Les Entretiens M dicaux Tebbs TJ 2010 Some Thoughis on the Implications of Ghassib s Theory for Gifted Education Gifted and Talented International Yates C Berninger Abbott R 41994 Writing problems in intellectually gifed children Journal for the Education ofthe Gifed 18 131 155 LES R SUM S Led r 2 D m Q c O Q O Q O Q
157. e l ambition de l Association est d dif ser Un niveau de connaissance des sp cialistes du secteur un public professionnel largi pour le b n fice du plus grand nombre Les besoins des utilisateurs ef l s avanc es scientifiques en psyChom fie Deux mondes Nn concilables Vincent BERTHET Jean Luc KOP Depuis 30 ans le domaine del valuation psychologique a beaucoup chang Du c t des praticiens de l valuation on peur relever en France le passage d un tout petit nombre d diteurs g n ralistes d outils standardis s l mergence d un grandnombre d diteurs certains encore g n ralistes mais d autres plus nombreux tr s sp cialis s Les praticiens sont donc confront s une offre pl fhorique Par ailleurs alors quelles outils standardis s ont longtemps t diffus s des utilisateurs psychologues cet Usage a tendance conndfire des exceptions de plus en plus nombreuses Enfin sur le plan de la recherche d ne parl es mod les psychom triques se sont consid rabl ment complexii s tel point qu ils sont de plus en pl s dificiles d acc s et d autre parti ne semble Toujours pas merger de consensus quant aux r ponses apporter des questions aussi centrales que celles de la mani re gt gt L 0 Q EP lt D U O U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O
158. e analyse plus juste plus interactive et donc plus appropriante du patient La restitution devient alors un r el levier Hh rapeutique Une nouvelle approche am ricaine de l valuation th rapeutique pointe cette transition du bilan psychologique une forme de psychoth rapie br ve Hinn Chudnik 2014 C est en cela que le bilan psychom trique devient un bilan th rapeutique Au del des l ments que le psychologue a pu faire jaillir des tests et bilans psychologiques c est la relationnel l change avec le patient sa compr hension et sa possibilit d appropriation des l ments qui en font Un l ment th rapeutique ZOOG TD ON Led Cette mani re d appr hender le patient dans son entit enti re et non plus seulement sur un l ment diagnostic ou de cat gorisation revoit bien la dimension globale et humaine que le psychologue doit avoir envers son patient et la pertinence d un bilan psychom trique qui devient alors un bilan th rapeutique Des enfants hors course l cole l aide du psychologue avec l Epreuve des rois Arbres Annie VIGNERON r 2 D mi Q c O Q O D s le d but de l cole n rythme d apprentissage est impos implicitement l colier La plupart des enfants s y conformentmais certains demeurent en retard s r l
159. e ann e permet gt gt L 0 Q UO lt D U 2 U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O LES R SUM S f em eus O Es O Ha f am J O LL C O O 2 O Q A 2 Q p CO CE O D gt X lt lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 d assurer le d ploiement de comp tences et de donner au jeune dipl m les moyens d affirmer une identit professionnelle tout juste naissante Enfin elle engage le jeune psychologue dans la prise de conscience de la n cessit d une pratique de formation continue sans rejeter l id e d un doctorat d exercice la certification EuroPsy apparat comme une tape incontournable permettant d associer l ensemble de la profession la socialisation professionnelle des jeunes psychologues Doctorat en psychologie Quels d fis quelles opportunit s Ingrid LUNDT Les voles de la revalorisation des dipi mes ef de l allongement de la formation Que nous disent les comparaisons avec l tranger Beno t SCHNEIDER Une r flexion sur les strat gies de la revalorisation de la profession par l allongement de la formation en France m rite d tre clair e par quelques donn es internationales et ceci de deux points de vue par la comparaison entre pays visant la formation dur e conte
160. e au quotidien jen ou presque n est connu de leurs conditions r elles d exercice OnHils la possibilit d exercer dans le espect de ces r gles de pr tique Comment vivenHils ces conditions r elles d exercice Cell s ci ont elles un impact sur leur propre sant psychologique Tell s sont Quelques ures des questions auxquelles nous enterons de r pondre par l analyse d une enqu te r alis e sur la population des psychologues fran ais Dans cette tude par le biais de multiples r seaux personnels ef professionnels Nous avons interrog plus de 2500 psychologues d ob dience et de pratiques vari es sur leurs conditions de travail mais galement sur leur sant psychologique Le stress per u burnout anxi t d pression Les r sultats mettent en vidence ne m liplicit des formations et des pratiques mais galement une grande variabilit des conditions d exercice Les liens avec la sant psychologique sontenfn pr sent s et discut s en termes de pr conisations possibles faire pour am liorer le v cu quotidien d s psychologues LES R SUM S 2 D X lt L OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE Nancy LES 4 5 6 Jun 2015 Bibliographie Biliard 1 2011 Sant mentale et travail L mergence de la psychopathologie du travail 2 d Paris La Dispute Cohen P 2009 l thique du psych
161. e d ontologie soit adopt diffus accompagn au plan institutionnel par la mise en place de la CNCDP En ce sens en mati re d thique et de d ontologie apr s l adoption d un m ta code en 1995 la F d ration a constitu et adopt un certain nombre de directives o recommandations pour fous les pays membres concernant le traitement des plaintes relatives aux conduites professionnelles logique de la m diation instances d instruction et de discipline Plus de 15 ans apr s l adoption de ces directives et recommandations il semble n cessaire d effectuer une approche diff rentielle entre notre situation et le cadre propos au niveau europ en pour en tirer quelques perspectives ou suggestions court o moyen termes Comment conduire Une d marche qui cherche laois promouvoir la reconnaissance de l d ontologie favoriser le rassemblement des organisations de psychologues autour de cet enjeu majeur pour la profession trouver des voies originales de r ponse dans le contexte organisationnel fran ais respecter et valoriser nos engagements europ ens voil quelques d fis que notre pr sentation tentera de clarifier gt gt L 0 Q ce lt D U 2 U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O LES R SUM S f am g O b O Ha f m Jm O AL f am O O d
162. e d tenue en d tention afin de pr parer au mieux un retour la vie en soci t En 2012 les dispositifs ont fait l objet d une valuation nationale de l Association Nationale pour la Formation Professionnelle des Adultes qui a salu la qualit d intervention et l engagement de l ensemble des services de formations d l gu s On peut donc d duire l importance de la mise en uvre de ces accompagnements dans des institutions qui n ont pas les ressources humaines pour ces objectifs Recherche en psychologie l gale clinique ef sociale Int r t imp ratifs ef limites Martine BATT Apporter des l ments de r ponses aux questions soulev es afin d am liorer les conditions de prise en charge psychologique des personnes incarc r es o sous main de justice concerne tout un pan de la recherche en psychologie Ce travail n cessite forc ment l acc s des terrains ferm s peu accessibles dont l organisation est r gie par des instances n cessairement rigides Ces travaux imposent une pluri et interdisciplinarit qui r unit les approches de la psychologie l gale du Droit fran ais et des sciences criminelles Quelques soient la nature o le degr d implication des personnes concern es l tude des ph nom nes de groupes et les analyses d interactions discursives sont particuli rement convoqu s Au sein du Groupe de Recherche sur les Communications Interpsy EA 4432 c est Un tel pr
163. e de contenu via une grille d analyse par cat gories th matiques construite had hoc Les r sultats quantitatifs mettent en vidence que les fr res et s urs des AT2 ins r s MO ESA et FAS per oivent majoritairement ces contextes de vi comme adapt s et ce d autant plus que ce mileu est proche d un mode d insertion ordinaire L accueil en famille ne leur appardft pas tre ure solution satisfaisante Les parents des AT21 xins r s manifestent globalement lEs m mes tendances mais ils per oivent ces contextes de vie Comme plus adapt s pour l AP2T que ne l stiment les fr res et s urs ils estiment galement que ces solutions sont pl s adapt es pour euxm mes que pour leurs autres enfants Les r sultats qualitatifs viennent pr ciser ces r sultats et contribuer mettre jour 1 des diff rences de sensibilit entre fratrie etbarents pour expliciter les degr s de satisfaction partag s 2 des diff rences de points de vue avec une expression plus directe de la fratrie pourtraduire les dificult s de prise en charge familiale de lAP2T 3 une difficult apparente pour latratrie aborder la question de l avenir de leur fr re o s ur 121 C est la prise en compte de ces diff rents aspects qui peut contribuer faire merger la sp cificit de la position fraternelle Qu
164. e de lAdolescent 47 Marine CORMONT dans un centre de soins fudes Graziella GILORMINI Le Psychologue clinicien l h pital g n ral Sur prescription m dicale A7 Giles MICHEL Personnalit stress et cancer 48 Yvane WART Quel impact sur les prises en charge par les psychologues LES R SUM S a GE 3 Psychologie et psychoth rapie Complicit ou compl mentarit thique et psychoth rapie Psychoth rapie R alit et perspective en Alg rie La r glementation l gale de la psychologie clinique et de la psychoth rapie en Belgique 3 Vieillissement Prise en charge non m dicamenteuse et pr vention 50 50 5l 5l 52 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Philippe GROBOIS Intissar SAHRAOUI Michel YLIEFF Un jardin en p le g rontologique de sa conception l valuation de ses b n fices m dico psycho sociaux pour les malades d Alzheimer et leurs soignants Le jardin th rapeutique Impact cognitif motionnel et comportemental sur les malades et leur environnement Le programme JAZ Jardin Alheimer Un prototype exporter Approche neuropsychologique Terrain d valuation des troubles de l orientation Appr ciation artistique et effets sur la m moire et les motions puisement professionnel des soignants dans les secteurs hospitaliers avec versus sans jardin 4 Alcoologie et addictions Pratiques psychot
165. e de tisser ces liens et de d velopper l entraide un cadre qui nous offre la possibilit de collaborer d changer et de cultiver la controverse par le partage des exp riences et le travail collectif partir de l analyse des actions concr tes men es sur le terrain et en nous r f rant aux diff rentes instances du m tier et aux concepts centraux de collectif et d activit nous tenterons de montrer comment nous parlicipons la construction individuelle et collective du m tier de psychologue clinicien du travail en articulant activit s et r flexions sur ces activit s l association Penser ensemble le travail PELI Espace de controverses ef de soutien au d veloppement du m tier Anne Sylvie GR GOIRE La construction d une identit de m tier renvoie l existence d un collectif o peuventse socialiser les uestions pos es par la pratique Pour soutenir cette construction et le d veloppement d un m tier qui ir alors en devenir l association Penser ensemble le travail a t cr e en 2001 par des psychologues ravail dipl m s du CNAM Celle ci a pour but la promotion la r alisation la diffusion de l activit ofessionnelle des psychologues du travail praticiens en clinique du travailet le d veloppement des anges et controversent entre eux Depuis sa cr ation la notion de pr tique professionnelle y est trale Elle se retrouve au c ur des pr sentations mensuell s d prat
166. e dissociation et de saisissement sont bien connus et d crits pour les victimes de violences et d agressions sexuelles mais comportent des effets sp ciiques dans le cas des r fugi s politiques C est entre autres la faveur des exigences de la directive europ enne demandant d identifier individuellement les demandeurs d asile vuln rables que des actions de formations sp cifiques pour diff rentes cat gories de professionnels au contact quotidien avec les r fugi s ont fait appara tre une fois de plus l ampleur des m connaissances des manifestations des traumatismes des r fugi s l effort de formation et de connaissance fournir pour les psychologues est norme L EFPA dont la FFPP est le epr sentant pour la France a reconnu cette dificult en cr ant Un groupe de travail sp ciique pour es Droits de l Homme afin de soutenir les psychologues qui se saisissent de ce sujet Comme toujours orsqu il est question de traumatisme soin et droit la reconnaissance du pr judice par la soci t civile sont troitement li s Les soignants ont besoin de mieux conndfiire la symptomatologie post raumatique et de d velopper leur fa on de travailler et leur style afin de soutenir les personnes en souffrance Dans ce contexte et dans le cadre d un projet europ en un questionnaire PROTECT a t d velopp par 13 centres de soins e
167. e et aux cycles de travail 32 Les trois autres classes renvoient espectivement la r mun ration et la reconnaissance au respect et la r glementation au soutien social 68 L Univers lexical r pertorie dans ces derni res des facteurs p riph riques l activit telles que la valorisation la r tribution l information les relations sociales la communication la consid ration La classe concernant la r mun ration est pr dominante 86 l ventail lexical renvoie la peur du ch mage au manque d argent la d consid ration Les salaires faibles les frais quotidiens les contrats pr caires l ins curit sont largement voqu s Le tableau de cooccurrences issu de l Analyse Factorielle des Correspondances AFC montre une imbrication troite entre la r mun ration et la econnaissance regroup es en une seule et m me classe et r v le une forte corr lation entre cet univers et celui du respect Discussion et conclusion Une premi re phase du diagnostic avait permis de mettre en vidence des facteurs d alerte concernant es RPS L analyse lexicale du corpus issu des focus groups est venue renforcer cette premi re phase La r f rence la pr carit est en effet Un message cl des entretiens Le manque de respect dans a communication reste central surtout avec la hi rarchie La combinaison de ces facteurs pose clairement le pro
168. e la profession restent d finir En effet quelle place pour la clinique Quelle ind pendance du psychologue dans Un contexte o le m decin du travail a pour esponsabilt de coordonner l quipe pluridisciplinaire Comment construire et prendre place dans ce secteur marchand et politique Cette communication discutera de l int gration des psychologues en SST et des actions mises en uvre pour contribuer au chantier pluridisciplinaire de lasant au travail es premiers retours dela construction d un r seau pl idiscibinaire port e par l association Penser Ensemble le fravail Annie MADRI RES Penser Ensemble le Travail PEL association de psychologues du travail dipl m s du CNAM s est constitu e en 200T1 autour de buts pr cis La promotion 1a r ailisation et la diffusion de l activit professionnelle des psychologues du travail Hraticiens en clinique du travailet l d veloppement des changes entre eux psych notamment les diverses r flexions deses membres il apparof ologues du travai pr sen En 2007 PELT organise un emier co loque destin exclusivement aux IFs agit alors de se retrouveret s i ations de pratiques alis es mensuelleme nierroger m tie e ind dep Us en plus Que Si res iSpensa ble la question du travail en plu sur le m tier Par l suite t nt
169. e plus nous avons observ iant d une p dagogie alternative La contribution du COP dans la scolarisation de l l ve haut potentiel Jos de VALVERDE L l ve haut potentiel fait partie des l ves besoins ducatifs particuliers en tant que tel cet l ve questionne l ensemble de la communaut ducative Celle ci doit avoir pour ambition de se donner les moyens de l accueillir de le reconndfitre de le comprendre et de lui permettre de r ussir Si les parents les enseignants ne prennent pas en compte les caract ristiques de l enfant haut potentiel celui ci sera contraint de se conformer aux exigences d une ducation et d un enseignement qui ne correspondent pas ses besoins Du coup il risque de ne jamais d velopper son potentiel et de ce LES R SUM S A GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 fait de passer inaper u La scolarisation d un l ve haut potentiel doit r pondre deux objectifs lui apporter les savoirs dont il a besoin en tenant compte de son fonctionnement intellectuel sp cifique et aider r duire le d calage entre le domaine socio affectif et intellectuel On sait que l inadaptation scolaire est l un des facteurs d identification des enfants intellectuellement pr coces ous abordons ici la question de l aide que peuvent apporter les conseillers d orientation psychologue
170. e psychologue du sport etle m decin du sport ontils des espaces de dialogue re consiruire l articulation de ces trois temps aura pour fonction de metre enexergue cette dialectique qui es l uvre dans l s espaces de la psychologie la recherche d unit conduit da recherche d une identit singuli re qui permet de parler la premi re personne du singulier tandis que l mietternen conduit la recherche d une identit unifi e qui permet de parler la premi re personne du pl riel En LES R SUM S am Q O Q O BAL D 7 lt L 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 cela nous nous permettrons d affirmer que c est cette dialectique qui permet la psychologie du sport d tre un parangon de la Psychologie Ce sera alors Une bonne occasion d envisager des perspectives qui permettent celle ci de se doter d un ancrage culturel consistant et d une assise scientifique qui se met au service des besoins humains et soci taux Du corps vivant au corps v cu quelle psychologie du sport Bernard ANDRIEU La communication engagent au semo de pr vention des conduites dooanes Un exemple d avplcabilt et d avolcation en psychologie Armelle FAVRE Entre alliances Mh rapeutques et njonctions culturelles De quelques points aveugles delapsychologie du soort Gilles LECO
171. e reste du groupe Ceux ci s essouflent et se d couragent Ils adoptent des strat gies d vitement qui accroissent l cart avec les autres l ves Dans les missions du psychologue l cole celle qui fait l objet de la plupart des sollicitations concerne l valuation l aide de tests psychom triques Les enseignants qui font ces demandes s interrogent par rapport leurs l ves qui ne suivent pos le rythme des autres D autres investigations peuvent tre effectu es pour proposer des rem diations adapt es Une autre mission est de favoriser l mergence etla r alisation du d sir d apprendre et de r ussir lors de suivis psychologiques lors que les d marches les plus courantes partent des probl mes rencontr s d termin s parles valuations diverses l accompagnement avec l breuve des Trois Arbres s appuie sur l s ressources de l enfant et l expression de son exp rience C est une d marche holistique qui s appuie sur la psychologie humaniste de Carl Rogers et une approche ph nom nologique partir de dessins et r cits d arbres l enfant explore ses ressources et ses dificult s envisage des solutions aux probl mes rencontr s revisite son histoire distance de ses difficult s en se projetant dans l arbre et ouvre d nouvell s perspectives d volution Les tudes effectu es entre 2012 et 2014 sur deux groupes d enfants sc
172. elle des enseignants D gt ovac D I y a donc bien des t ches communes et c est sans doute l un des enjeux majeurs des n gociations avec le minist re il existe des r sistances dans la profession et au sein des organisations syndicales et professionnelles mais rien n est d finitif sur ces points Les psychologues de l ducation nationale quel que soit leur lieu d exercice sont avant tout au service des usagers de l cole publique et les souffrances se ressemblent beaucoup m me siles solutions propos es sont forc ment tr s diff rentes en fonction des ges et du lieu social avec l institution Le no veau corps doit aussi se donner pour t che et r flexion de travailler au niveau de l instif tion elle m me en offrant son expertise et ses savoirs faire aupr s des enseignants et en permettant la transformation progressive du lien d s enfants jeunes parents et professionnels dans les tablissements Enfin les psychologues devront s efforcer de participer autant que de besoin l volution de la recherche enpsychologie comme beauco p d entre euxle font d j dans le cadre institutionnel l volution encours est porteuse d espoir il est indispensable que les psychologues de l ducation dans leur ensemble participent activement ces grands changements r 2 D m Q c O Q O
173. elle elle per op ratoire tout en insistant sur Rem diafion neuropsychologique chez les enfants so ffants de troubles cognitifs St phane SOURY Depuis les ann es 1990 la pratique de la rem diation cognitive est de plus en plus pr sente dans la litt rature scientifi c r bro s s victim dyspraxie dyslexie 2005 La rem diation cognitive s inspire des principes de la par pallier bilan de contr le et de consolidation approches psychot h rapeutiques com attitudes motions ou pens es exprim 1 ducation classique Elle peut pr senter des si que les institutions ou l activit lib rale Celle ci a d abord concern les patients e de traumatismes cr niens ou d AVC Park et Ingles 200 de plus en plus importante dans la prise en charge des troubles des apprentissages de l enfant rouble d ficitaire de l attention ou de la m moire Mazeau 2005 Klinberg et al Elle occupe une place igne de base progression miltudes avec d autres parfois des mat riaux utiles pour le travail psychoth preutique partir des r sultats de recherches scienti figues et de cas cliniques NOUS Proposon me les th rapies cognitives et comportementales travers les es par l enfant en s ance la rem diation cognitive am ne s d illustrer les techniques et les perspectives de cette nouvelle pratique souvent assum e par les psycho
174. els r cidive terrorisme catastrophes naturelles o technologiques victimes troubles psychiques disparitions prises d otages maladies mentales expertises proc s p naux r formes judiciaires psychoth rapies etc Idem en presse crite Cette longue collaboration a t guid e par quelques constatations et principes personnels toujours d actualit que j aimerais faire partager En voici onze 1 La nature a horreur du vide ef siles psychologues ne communiquent pas sur les sujets qui les concernent des non psychologues peuvent le faire leur place sans les m mes comp tences LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 2 Nul n est tenu d accepter de communiquer avec les journalistes et les m dias surtout si l on n est pas l aise avec ce type d exercice Ce constat vaut aussi pour les psychologues 3 Se poser la question de savoir pourquoi on accepte de communiquer dans les m dias Cela ne doit pas tre par narcissisme o pour un autre type d int r t personnel mais pour d livrer des informations et ou des analyses utiles au grand public 4 Ne communiquer que sur des sujets de son champ de comp tence 5 Avoir conscience que ce n est pas seulement des journalistes o des animateurs qui l on s adresse mais qu au del de leurs personnes c est un large pu
175. embre dernier 89 ans C est une belle page d criture de la pens e sociale pour la psychologie traduite en de nombreuses langues par l s honneurs rendus de part et d autre de l Alantique il estsans conteste le psychologue fra ais le pl s connu aux tats Unis Docteur H noris Causa de seize universit s trang res il avait re u le prestigieux prix Balzan en 2008 et en 2007 le prix Wilhelm W ndi Wiliam James cette derni re distinction l origine de laquelle la FFPP a propos sa candidature en 2006 NOUS l avions sollicit pour rendre un hommage Daniel LAGACHE il avait soutenu sa c l bre th se sous sa direction a psychanalys son image et son public lors de notre 4 me dition des Entretiens de la psychologie en 2010 Paris nous reviendrons sur laplace quil Va occ per dans l histoire de la psychologie des ann es 50 et 60 avec Annick OHAYON Arriv Paris en 1947 parti de sa Roumanie natale l ann e d avant Serge MOSCOVICI Var s interroger sur le sens du progr s et r enchanter le monde pr curseur d une cologie politique d une psychologie desinfuences sociales et d an inconscientsociat il est Directeur d t des l EHESS l cole des Haut s tudes en Sciences sociales en 1965 et est devenu en 1976 directeur du laboratoire europ en de psychologie sociale La psychologie Aui doit tant nos invit s vont pouvoir en t moigner Denise JODELET en premier lieu il tait en effe
176. ents et les enseignants mais le plus souvent c est vers a dimension p dagogique que l institution a voulu les maintenir en les rattachant des structures de seaux d aide GAPP puis RASED Parall lement les psychologues de l ducation dans le premier degr ont lutt pour obtenir une formation de qualit qui les rapprochait de celle des autres psychologues formation de haut niveau universitaire avec titre reconnu puis statut Cette qu te est encore en cours oficiellement car le minist re a mis beaucoup de temps pour accepter ce que la pratique et les efforts de formation individuelle avaient d j fait depuis longtemps Le m pris affich pour ces professionnels dans l institution est essenti tr s durement l absence de statut de psychologue les psychologues scolaires ont le statut de professeurs des coles correspondant leur formation de base et leur place dans l cole est LES R SUM S A GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 ne preuve indubitable de ce m pris Cependant l acc s au titre de psychologue depuis 1992 a ermis une meilleure reconnaissance dans l institution en concordance avec l appui des parents et es enseignants l inscription sur les listes des professionnels ADELI 2 en fait partie Les psychologues u premier degr ont d
177. er D 1983 Les logiques de la d pression Paris Fayard LES R SUM S Axe Sant ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 o 7 Psychologue sp cialis en neuropsychologie Formation identit et pratiques novatrices E Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00 Coordonn par St phane SOURY psychologue sp cialis en neuropsychologie charg de mission neuropsychologie pour la FFPP pr sident du Coll ge des Psychologues Cliniciens sp cialis s en Neuropsychologie Atlantique 10 rue St helin 33200 Bordeaux Z stephane soury yahoo fr Sandrine CHICHERIE MAURIES Psychologue se cials e en neuropsychooge pr sidente de lOrgonisation Fan aise des Psychologues so cialis s en Neuropsychooge Z s mauries chicherie gmail com Guillaume HERBET Psychologue clinicien sp cialis en neuropsychologie Chercheur Associ INSERM Service de Neurochirurgie H pital Gui de Chauliac 80 avenue Augustin Hiche 34295 Montpellier guilaume herbet gmailcom Marie de MONTALEMBERT Maire de conf rences en Neuropsychologie Universit Poris Ouest Nanterre la D fense 200 cv de la R publique 92000 Nanterre Z mariedemontalember gmai com Am lie PONCHEL Psychologe sp cidis e en reuropsychoogEe secr taire de l Organisation Fran aise des Psychologues sp cals s en N uropsychooge mm ormele ponchel gmail com St phane SOURY Psychologue sp cialis
178. ersit d Oxford UK et pr sidente du Comit Europ en de D livrance d EuroPsy EFPA Beno t SCHNEIDER Professeur l Universit de Lorraine pr sident de la commission nationale charg e d valuer le niveau des dipl me trangers en psychologie et pr sident de la FFPP Z Benoit schneider uniworroine fr Alain SOMAT Professeur en psychologie enseignant chercheur en psychologie sociale exp rimentale directeur du laboratoire LAUREPS CRPCC Universit Rennes 2 pr sident du Comit ex cutif du CoFraDeCEuropsy Pr sentation g n rale Roger LECUYER Un accord de plus en plus large semble se d gager dans la profession pour dire que la formation professionnelle des psychologues doit tre am lior e et valoris e C est en particulier de v u des jeunes dipl m s qui se sentent souvent d munis qauand ils doivent exercer la profession en situation de responsabilit Cette id e d une formation plus professionnalisante a donn lieu au niveau europ en la mise sur pied de la certification EuroPsy La formation continue peut galementet doit jouer un r le dans la carri re du psychologue c rles connaissances M oriques ettechniques voluent mais certains pensent que cela n est pas s fisant et que le titre de docteur apporterait une forme de Valorisation certaine la profession EuroPsy et Un doctorat professionnel ont t parfois oppos s mais iln est pas Certain que ce soit juste titre Reste d
179. es enfants accueillants parlent leur exp rience montre clairement l existence d une dynamique singuli re de socialisation professionnelle an certain enlisement dans l prouv brut d une relation marqu e par des dificult s ainsi qu une mise en tension des appartenances familiales inalementnous mettonsen vidence deux postures et conceptions de l accueil LES R SUM S Q O Q O BAL D gt lt lt L iz 6E ENTRETIENS oppos es selon que les enfan s pensent et vivent le rapport l enfant accueil care ou de prestation de services Celles ci sont alors comprises comme une FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 i dans une perspective de construction chafaud e dans la cohabitation avec les enfants plac s impliquant une laboration singuli re de modalit s de faire face et d adaptation la situation d accueil ains Si l int r t d une telle reche l enfant accueilli peuvent constituer Un signal d un ri che semble vident pour comprendre l enfant accueillant nous pouvons aussi ais ment imaginer les enjeux au del d tre un simple facteur potentiel les probl mes d un sque d chec du placement Kaplan 1988 es implications du disposi i que nombre d enjeux familiaux et identitaires if pour accueil d grad pour d un enfant accueillant En ces termes
180. es membres de la famille et sur leurs relations et par suite sur les types d accompagnement que les institutions peuvent m me en place Led Ce symposium propose d aborder et d illustrer ces questions partir des apports de plusieurs travaux de recherche quelles conditions et selon quelles modalit s une exp rience fraternelle peut elle s laborer au sein d une nouvelle famille une famille d accueil que d aucun consid re comme une des figures de la pluribarentalit contemporaine Quelle exp rience fraternelle se construit entre enfants d une m me famille au sein d un dispositif de suppl ance familiale et comment peut elle tre tay e Si les fr res et s urs de personnes handicap es o malades commencent attirer l attention la prise en compte du point de vue des sujets porteurs de handicap eux m mes est d un abord plus r cent encore Comment envisager la relation fraternelle et son volution lors de l acc s la vie adulte des membres de la fratrie et quand pointe la question de la continuit de la prise en charge que peuvent assurer des parents vieilissants Comment enfin comprendre et aborder les situations de crise auxquelles sont confront s les fr res et s urs de sujets schizophr nes r 2 D m Q c O Q O Des exp riences fatemeles entre enfants accueilants et accueillis Auro
181. et le grand chantier econnaissance de la dimension partir de quelques illustrations soci t et enfin une conception renouvel e du rassemblement de la profession Vendredi 5 juin SANT 11n1512 h15 Le handicap et les cliniques de l extr me 80 ans d avanc es Simone KORFF SAUSSE y a un domaine qui a connu une voluti orff Sauss psychologue et psychan volution Pendant longtemps la possibilit d une approche psycho dynamique du handicap a t m connue mais au fl des ann es un nombre grandissant de psychologues s a fin des ann es 70 que se sontmise quel qu i favoriser alyste n place des dispositifs de prise e se propose de retracer on consid rable depuis 30 ans celui Psychologue psychanalyste membre de la SPP matre de conf rences l Universit Paris Diderot ios volutifs disparition transformation accroissement des ou changement des pratiques professionnelles riade psychologues psychologie et soci t en pointant les enjeux volutifs mais aussi des psychologues dans ce processus Enfin nous conclurons notre Un avenir radieux ces propositions porteront juridique de la psychique et la d finition du p rim tre de l innovation professionnelle place qu auront occuper les psychologues dans la du handicap Simone et leur famille en particulier av cies C m dico psycho sociale pr coce et 9
182. eux m mes volu Les conditions sociales de l exercice et les connaissances en psychologie ont t l objet de mutations indiscutables en quoi et comment nos organisations se montrent elle en capacit de les accompagner o de les orienter Quel regard porter sur l volution structurelle de nos formes de repr sentation et de d fense de la profession Comment et pour quels objectifs se retrouver pour promouvoir une psychologie au service de ses usagers Anim par Delphine GOETGHELUCK repr sentant Le Journal des Psychologues Introduction Beno t SCHNEIDER FFPP F d ration Fran aise des Psychologues et de Psychologie Les intervenants Jacques BORGY SNP Syndicat National des Psychologues Rapha l TROUILLET SFP Soci t Fran aise de Psychologie Gilles METAIS UFMICIECGT Conf d ration G n rale du Travail Senja STIRN RNP R seau National des psychologues Sandrine CHICHERIE OFPN Organisation Fran aise des Psychologues sp cialis s en Neuropsychologie f am g O b O Ha f m J O AL C O O dm O Q A Q Q gt EP e D gt lt lt L LES R SUM S N S Q Es O CO D OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE Nancy LES 4 5 6 Juin 2015 Les crits professionnels du psychologue
183. eux m mes D o vient cet ennui Dela privation d alcookpour ceux d entre eux qui sont abstinents o d une exp rience plus ancienne en rapport avec des souffrances primitive l ennui d rive du latin in odio dans la haine Les patients nous confrontant ainsi au vide abyssal des s ances Un ennui mortel QUINOUS laisserait le Choix soit de penser autre chose afin de nous distraire de nous chapper soit notre tour de tomber dans ce sentiment d ennui et dedes hair en retour o en miroir nous obligeant ainsi faire face notre impuissance et nous renvoyant notre inutilt Cet ennui mortel renverrait le th rapeute la sensation de mort psychique la cr ativit associative ne fonctionnant plus De cela r sulterait une haine dirig e contre le patient ou Contre sokm me Comment sortir de ce cercle vicieux Tout d abord en tant conscient de ce dontilest question dans ce transfert particulier Il s agirait d voquer nos contre attitudes avec le patient En effet l ennuin appartientni l r rr l autre mais peut tre envisag comme le r sultat Une Cons quence de la relation th rapeutique l ennui est alors consid r comme un sympt me in situ de la Th rapie qu il fauttravailler avecle patient afin de co construire du sens ce texte sans contexte peut tre compris comme une d fense mise en place contre l rotisme et l atirance que l on peut ressentir autant du point de
184. familles responsables sauveteurs au plus pr s de l v nement Si ces Unit s permettent des prises en charge adapt es aux manifestations cliniques des bless s psychiques elles peuvent conduire de multiples d rives Pr v us comme des dispositifs de soins ils se trouvent de plus en plus r guli rement utilis s comme des objets m diatico politiques pr ts tre d clench s si t t les LES R SUM S gt gt L 0 Q ce lt D U O U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O f em eus O O Ha f a J O LL C O O 2 O Q A 2 Q p CO CE O D gt X lt lt L OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE Nancy LES 4 5 6 Jun 2015 cam ras pr sentes et aussi vite lev s d s que les lumi res s teignent Dans un tel contexte comment le psychologue urgentiste peutil intervenir Le fait m me d associer ces deux termes psychologue et urgence estil bien pertinent lorsque l on connait tous les effets de court circuitage r fexif d un v nement traumatique Quelle place reste t il au sujet dans une soci t qui a fait du traumatisme un objet commercial et de la prise en charge des victimes une conomie morale Les propos et r flexions de cette communication s inscrivent dans une exp rience de vingt ans aupr s de victimes avec dix ans de responsabilit d une Cellule d Ur
185. ffet d vastateur surun psychisme d j fragile l offre galement aux d tenus un espace de paroles sufisarnment rassurant et contenant dans le but de favoriser l appropriation et la compr hension du sens de la peine ainsi que la prise de conscience de la port e de leurs actes et la n cessit de la sanction afin d acc der une plus grande responsabilit Le temps de l incarc ration peut galement constituer un moment f cond d laboration psychique chez des personnes qui jusquel n avaient pas parl de leur histoire En effet c est en se retrouvant isol et confront ses pens es pouvant tre sources d angoisse qu une rencontre clinique peut se mettre en place avec le s jet Q Q D 53 E D O O a Pr paration la r insertion Alexandre LANGARD Le r gime d ex cution de la peine de privation de libert concilie les int r ts de la victime la protection de la soci t et la sanction du condamn et avec lan cessit de pr parer l insertion o la r insertion de la personne d tenue et ce pour lui permettre de mener un vie responsable apr s sa sortie Cependant plusieurs tudes montrent que les personnes d tenues sortent de prison sans aucune ressource et sans orie
186. fi es si notre communication s axe dans Un Pbremier temps sur les dificult s du m tier de psychologue en recrutement ele d veloppera galement les solutions potentielles mettre en place pour faire valoir sa d ontologie que ces derni res soient individuelles appel la CNCDP intervision pour briser l isolement ou collectives cr ation d un Ordre o d une instance repr sentative permettant d asseoir l galement le Code de D ontologie d s psychologues Conditions de travail des psychologues fran ais leurs relations avec le v cu psychologique Sophie BERJOT No lle GIRAULT LIDVAN Fran ois Xavier LESAGE Les psychologues sont l dans notre quotidien personnel et professionnel pour nous accompagner nous aider NOUS supporter et ou no us soigner Leur t che est donc lourde plusieurs titres Lourde par la charge de ravail qu ele implique mais lourde galement par les responsabilit s quisont celles du psychologue dans l exercice de sa profession ef le respect du code qui lUsert de guide Outre le principe de base qui est le respect des droits dela personne le psychologue se doi d tre comp tent responsable autonome rigoureux int gre probe respeciueux du but assign entre autres qualit s professionnels indispensables la bonne pratique de sa profession ais s ils ont t form s pour d velopper ces qualit s pourles exercer et les mettre en pratiqu
187. ganisations AFPTO phiippe saniRn uNN AyoN 2 fr Victor TROYANO Psychologue Consultant Cabinet Metod PAST Universit de Lyon victortroyano metod org z o X L Pr sentation g n rale Cette table ronde souhaite engager un change entre praticiens de la psychologie du travail et universitaires sur les volutions actuelles du m tier de psychologue du travail Parmi les changements intervenus dans la profession ces derni res ann es on peut bien s r voquer le passage P le Emploi des psychologues de l AFPA le d veloppement important des interventions relatives la pr vention et la prise en charge de ce qu il est convenu de nommer les risques psychosociaux au travail Ia cr ation de postes de psychologues du travail au sein des services de sant au travail ou dans les h pitaux etc Les enjeux pour le m tier de psychologue du travail sont vari s et sensibles difficult s faire respecter les r gles de m tier dans le cas de P le Emploi n cessit de construire Un nouveau m tier dans les services de sant au travail o on trouve d autres professions m decins ergonomes psychologues cliniciens avec qui des r gles de collaboration sont aussi n gocier concurrence avec d autres professions et disciplines sur des sujets habituellement abord s par les psychologues comme les risques psychosociaux dont beaucoup de consultants sans formation la psychologie se sont empar s n ce
188. gence M dico Psychologique et de recherches ce sujet Bibliographie Bouchard J P al 2004 Psychologie et m dias entre d fiance et collaboration XX me Forum professionnel des psychologues Les sympt mes aujourd hui de la crise du sujet au malaise social La Rochelle 9 11 d cembre 2004 Romano H 2012 Sauveteurs ef v nements traumatiques Guide des prises en charge psychologiques pr coces Paris Elsevie Masson Romano H 2013 L enfant face au traumatisme Paris Dunod Romano H 2014 Aide m moire de l Urgence m dico psychologique Paris Dunod Romano H 2014 Vade mecum des psychologues rep res thiques d ontologiques administratifs et juridiques Ramonville St Agne r s Romano H 2015 Prise en charge du deuil en situation fraumatique Paris Dunod LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 3 Europsy ou doctorat d exercice Un d bat en volution Symposia n 5 samedi 6 juin 10h16 12h15 Coordonn par Roger L CUYER professeur m rite l universit Paris Descartes ancien membre du groupe de travail EuroPsy pr sident de l ACE CofFraDeC Europsy Pascal LE MALEFAN Professeur l Universit de Rouen et porteur du projet de doctorat professionnel au Syndicat National des Psychologues Ingrid LUNDT Professeur l Univ
189. gie phrologie H modialyse Neurologie Unit de prise n charge de la douleur chronique Chirurgie de l Ob sit apr s avoir travaill plus de dix ann es dans des services de psychiatrie en particulier dans la prise en charge psychique en mieu carc ral l auteur pr cisera Ge qui selon son exp rience oriente la demande des m decins soma ticiens vis vis de l intervention du psychologue clinicien au sein de leur sp cialit m dicale I s agira selon l auteur pour le praticien psychologue dene pas se laisser prendre parl assignation une place de prescription de prises en charge psychologique quiviendrait suppl er une d faillance de la prise en charge m dicale sp cialis e pour autant que faire ce peat m nager la place et la position du sujet singulier quelque soit la sp cialit m dicale par laquelle il sera sollicit Autrement dit la position thique du psychologue clinicien ne peut se d faire pour en assumer pleinement sa charge etsa fonction del thique donn e par la position subjective inh rente au v cu du dit patient qui d bordera largement son statut de malade si le praticien veut bien l i en laisser l opportunit clinique Ainsi partir de s on exp rience clinique l auteur soutiendrarla position pr c demment nonc e au travers de quelques situations de rencontres avec des patients hospitalis s dans des services de m decine dite somatique
190. gie Universit Paris Descartes mg Benoitverdon parisdescartes fr Jean Yves CHAGNON Psychologue cinicien professeur de psychologie l Universit Paris XII M jecrr yes chagnon lbertysurf Magali RAVIT Psychologue clinicienne maire de conf rences HDR l Universit Lyon 2 expert pr s la courd appelade Lyon Z Magali ravit wanadoo fr Emmanuelle TRUONG MINH Psychologue Centre Hospitalier Sud Franciien Consuttation M moire Association des Paralys s de France Z c iruongmiINh gmailcom Benoit VERDON Psychologue cinicien professeur de psychologie l Universit Paris Descartes pr sident de la Soci t du Rorschachret des m thodes proj ciives de langue fran ais benoiverdon parisdescartes f Pr sentation g n rale La pratique du bilan psychologique est l n des psychologues ou externes avec leurs Coll gues peuvent s av rer majeures et cependant ieux o les tensions internes la communaut des iches d enseignement tant elles touchent l identit m me de notre profession Il fut Une poque o les psychologues taient inqui t s s ils avaient dans l nomenclature des ecours des tests psychologiques lesquels sont r f renc s actes m dicaux Certains psychologues se sont oppos s d eux m mes l utilisation des tests d plorant le recours un objet tiers pour rencontrer un patient d non ant le risque de refusant
191. gresser sur leurs pratiques et sur leur articulation entre elles dans a conduite de leurs interventions Cette communication se fera l cho des avanc es des controverses et des interrogations qui s expriment au sein de ces ateliers ainsi que des freins et des potentiels de cette action Bibliographie Benoumeur J 2013 La pluridisciplinarit en sant travail freins ef leviers Paris L Harmattan Chaillot P 2009 Psychologue au sein d Ur Service de Sant au Travail Les cahiers des risques psychosociaux Pr venir ensemble les risques d atteinte psychologique au travail 13 89 Davezies P 2005 La sant au travail une construction collective Sant et Travail 52 24 28 De Clercq M Lebigot F 2001 Les traumatismes psychiques Paris Masson Dejours C Gernet 20127 Psychopathologie au travail Dejours C 2000 Travail usure mentale essai de psychopathologie du travail Paris Bayard Favaro M 2005 intervenir en sant mentale au travail t moignages de quatre professionnels confirm s INRS NS 256 Freud S 1916 Introduction lapsychanalyse Paris Payot Lhuillier D Clot Y 2010 Agir en clinique du travail RamonvileSt Agne r s agallon G 2012 R forme dela sant au travail trisques psychosociaux LEs cahiers des risques psychosociaux 1924 26 anzano M 2010 Les risques psychosociaux et le psycholo
192. gue du travail en Service de sant au travail Nouvelle revue de psychosociologie 10 179193 arichalar P 2014 M decin dutravail m decin du patron Paris Les Presses de Sciences Po coll Nouveaux d bats Sanson K 2006 Pluridisciplinarit int r t et conditions d un travail de partenariat Le Journal des Psychologues 9 242 24 27 Soares A 2002 Quand le travail devient ind cent le harc lement psychologique au travail Qu bee Universit du Qu bec Stevens H 2008 Quandile psychologue prende pas surle social pour comprendre et conduire d s changements professionnels Sociologies Pratiques 17 1 17 Winnicott D W 2006 La m re suffisamment bonne Paris Payot LES R SUM S D S lt D Q lt Q z o X L OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 3 Pratiques de pr vention et risques Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45 Coordonn par Cl ment CHARPENTREAU psychologue du Travail doctorant en Psychologie du Travail M decine du Travail de l Aisne rue Th odore Monod 02100 Saint Quentin clementcharmpentreau gmailcom Cl ment CHARPENTREAU Psychologue du Travail doctorant en Psychologie du Travail M decine du Travail de l Aisne rue Th odore Monod 02100 Saint Quentin mm clementcharpenteau gmai com Ir ne COTTIN JOSHI Psychologue du Travail docto
193. h rapeutique art m moire et vie er 2010 a en ffet permis Une dimin tion des contraintes directement li es l act des relations ivit des soignants Rivasseatklonveaux Batt et dl soignants soignants et entre soignants soign s sollicitant des th mes conversationnels Vari s le jardin qui corr spond une exp rience commune des gens sol 2012 201 3 Vecteur d interactions entre des unit s de soins pallia centes Lyckholm 2001 ifs pa hospitali re Bonni res Plusieurs tudes r v lent l sentimen t d chec et le manque de va rapport aux services o s op rent les avanc es h rapeurtiques les plus Mortin Prima Richard 2008 Il est par ai essentiel de leur satisfaction repose Estryn Behar icite un renforcement et un PE Re Orisation ressen i par les soignants le urs bien attes qu un des motifs sur le travail ea petite quipe a Lassauni res 2010 Batt Trogn interrogeons donc sur la sp cif cit de Une valuation de l puisement pro rois services identiques non do de travail du Niveau de stress fessionnel des trois services pro s de jardin est ainsi r alis e Une comparaison de leur environnement O leur relation leur environnement organisationnel u sein d une vaste organisation on Langard 2010 Nous nous ypiques dot s d un jardin versus du bienfaitdes j
194. h rapeutiques actuelles en alcoologie Apports de la clinique et de la recherche La question de l ennui dans la th rapie de patients alcoolo cd pendants L agent rationnel suppos des psychoth rapies de l addiction entre psychologie de la motivation et sciences conomiques du comportement tude clinique et projective Rorschach de l volution psychoth ranique de 13 sujets en difficult avec l alcool Une proposition th rapeutique le groupe jeu de soi 5 L actualit de la pratique clinique du bilan psychologique et ses enjeux thiques Approche clinique des troubles instrumentaux une exigence thique L valuation clinique dans la pratique de l expertise judiciaire Danger ou risque de la rencontre Manier les normes sans normalivit une position de psychologue Plainte cognitive et d pression masqu e De l int r t des preuves projectives en consultation m moire de l adulte vieilissant 6 Psychologue sp cialis en neuropsychologie Formation identit et pratiques novatrices tre psychologue sp cialis en neuropsychologie aujourd hui Transmission des savoirs de l universit la pratique entre savoirs savoir tre et savoirfaire L exemple de la neuropsychologie Prise en charge perop ra oire des patients porteurs d une tumeur c r brale Une interaction troite entre neuropsychologie clinique neurosciences cognitives ef neurochirurgie fonctionnelle
195. haleine nous semble fondamental pour am liorer la prise en compte des caract ristiques individuelles dans le contexte de l apprentissage scolaire Led Q 0D O OO ON oN Q Nous pr sentons ici l outil ainsi que des profils caract ristiques de diff rentes populations l ves haut potentiel l ves d crocheurs l ves tout venant Apprendre ef pratiquer sa cr ativit Des vakur et des disposiifs en actes par la d marche des arbres de connaissance Aude RAMSEIER Sabine OPPLIGER T 2 D m Q c O Q O Cette contribution s appuie s r uned marche des arbres de connaissances Authier L vy 1996 qui a t conduite dans une classe d l ves de 9 10 ans Un processus d apprentissage par d setayage progressif Laveault 2004 t men dans le but de faire concevoir des activit s de math matique et de fran ais par les l ves pour le rs pairs Des dispositifs de prod ction et d valuation ont t mis sur pied pour favoriser l mergence d processus de cr ativit chez l s l ves que no s qualiierions dans ce contexte comme tant la capacit r aliser une production qui soit la fois nouvel et adapt e au contexte dans lequel elle se manifest Lubart 2003 p 10 Nous1 d velopperons dans le cadre d une perspective situ e tele que d c
196. haut potentiel contribuer la mise en uvre des conditions de la r ussite scolaire de ces l ves contribuer au rep rage et la prise en charge des jeunes haut potentiel en dificult accompagner ces jeunes et leurs parents travers l information les conseils l coute et le SOUTIEN aider les enseignants mieux comprendrelle profil scolaire de l l ve pour faciliter le dialogue avec celui ci et sa famille ou pour faciliter la construction d un projet professionnel Pour parvenir pleinement atteindre ces objectifs il est indispensable que les conseillers puissent b n ficier d une formation sp cifique dans le domaine d haut potentiel Bibliographie Authier M L vy P 1996 Les arbres d connaissances Paris ditions La D couverte Brown A L Campione JE 1995 Concevoir une communaut de jeunes l ves le ons th oriques et pratiques Revue fran aise de p dagogie 111 11 33 Laveault D 2004 Interactions entre formation et valuation de la r gulation entre acteurs et leurs r les la r gulation des apprentissages Mesure et valuation en ducation 27 1 5167 Lubart T 2003 Psychologie de la cr ativit Paris Armand Colin Beneath B Boutard Cs Alberti C 2006 Chronosdict es Outils d valuation des performances orthographiques avec et sans contraintes temporelles du CET la troisi me ParisxOrtho E
197. hild amp Adolescent Social Work 5 4 281 298 Le Gall D 2010 l ments pour une analyse de la fraternit d accueil dans un contexte de circulation des enfants Recherches sociologiques et anthropologiques 41 2 75 95 En ligne hHp rsa revues org 275 Lemoine L 2010 l insertion professionnelle d adultes porteurs de trisomie 21 liens entre profils cognitifs contextes de vie autonomie et qualit de vie Unpublished doctoral dissertation Universit de Lorraine Nancy France Lepl ge A Ecosse E Verdier A Perneger TV 1998 The French SF 36 Health Survey Translation Cultural Adaptation and Preliminary Psychometric Evaluation Journal of Clinical Epidemiology 51 11 1013 1023 doi 10 1016 50895 4356 9800093 6 Magliano L Guarneri M Marasco C Tosini P Morosini P L Maj M 1996 A new questionnaire assessing Coping strategies in relatives of patients with schizophrenia development and factor analysis Acta Psychiatrica Scandinavica 94 4 224 228 doi 10 111 1 j 1600 0447 1996 1509853 x Scelles R 2010 Liens fraternels et handicap Toulouse r s Scelles R Picon I Dayan C 2007 Le placement conjoint de fratries Revue internationale de l ducation familiale 2 79 83 Scelles R Bouteyre E Dayan G Picon I 2007 Gro pe fratrie d enfants ayant un fr re o une s ur handicap leurs indications et leurs effets Revue francophone dela d ficience in
198. i que sur les approches et les pratiques professionnelles De nouveaux champs d interventions sont rep r s et sont l objet d appropriations progressives qui impliquent des interrogations thiques renouvel es Ces Entretiens invitent donc les psychologues l occasion de l anniversaire de leur Titre interroger la diversit des champs professionnels avec pour fl rouge une r flexion en forme de bilan qui ouvre sur une d marche prospective sur ses propres savoirs et ses pratiques C est la profession dans son ensemble praticiens et enseignants chercheurs de se saisir de son image de la rendre plus visible et plus lisible Ces Entretiens doivent donc tre une occasion majeure de d velopper une telle ambition Les Entretiens sadressent en premier lieu aux psychologues praticiens enseignants chercheurs en psychologie et tudiants en psychologie lls int resseront aussi tous les professionnels qui travaillent avec des psychologues sur le terrain o l universit dans le champ de la sant de l ducation du travail social de l entreprise et des institutions de l ergonomie de la justice du sport des transports N oubliez donc pas d inciter votre entourage s inscrire pour cet v nement majeur Comit Scientifique Comit de pilotage V ronique Grifiths Beno t Schneider Emmanuelle Truong Minh Comit de programme Christian Ballo
199. iard 2011 Durant cette p riode ce sont alors essentiellement des psychiatres form s lam decine dutravaikquiabordent ces questions e qui ouvrent la perspective d une psychiatrie du travail bartir des ann es 80 nous voyons apparcitre travers notamment l ouvrage de C Dejours Travail usure mentale lt 2008 une deuxi me fondation ouvrant par Un dialogue interdisciolinaire la voie une psyChodynamique du travail La question des ann es d apr s guerre de l adaptation de l individu Gu travail se trouve ainsi d plac e vers Un autre regard anthropologique celui des processus des dynamiques subjectives l uvre dans le travailler l volution fh orico pratique n mati re de sant mentale au travail est alors davantage d plac e du c t de la psychologie t des sciences sociales De r centes r glementations encadrent d sormais au sein des tablissements publicset priv s la pr vention durisque psychosocialet suscitentla mise en place de nouveaux modes d action et de dispositifs L Agence Nationale pour l Am lioration des Conditions de Travail pr cise que la pr vention tertiaire selon le mod le de Murphy 1988 vise prendre en charge les ravailleurs en souffrance et Gimiter les cons quences sur leur tat de sant C est ce niveau que nous pouvons situer l intervention fh rapeutique d psychologue dlinicien face la souffrance psychique au ravail Cette intervention trouve d autant plus sa place dans
200. ictimes de traumatismes quels soins R le et place du psychologue Psychologue dans la Fonction Publique Hospitali re se pr parer au concours Psychologue l H6pital Nouveaux contextes institutionnel r glementaire et juridique quelles perspectives valuateur externe des tablissements et services sociaux et m dico sociaux EssMs Retrouvez tous les renseignements pratiques et le catalogue complet des formations EPEP sur wwvw entretiensdelapsychologie org Entretiens du Psychologue et de l Enseignement en Psychologie EPEP Organisme formateur n 11 75 38 152 75 71 Avenue douard Vaillant 92774 Boulogne Billancourt Cedex 8 01 55 20 54 29 j 01 55 20 54 01 siege ffpp net LES R SUM S A NTRETIENS FRANCOPHONES K DE LA L PSYCHOLOGIE 4 2 Hi 201 9 g K Nx Le ni res Q U Q O a Q D C Q SANT ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Face aux d laisons sociales en quoi le psychologue est concem Olivier DOUVILLE Ma tre de conf rences des Universit s Laboratoire CRPMS Universit Paris Diderot Paris 7 directeur de publication de Psychologie Clinique m Olivier Douville traite embre de l Association Fran aise des anthropologues a des nouvelles situations d exil sous le coup de la menace et du d nuement dont la situation des r fugi s l
201. ie le toute la famille vit la plupart du temps sous de schizophr nie sont donc tr s souvent les premiers at gies sp cifiques pour faire Davi d implication la donc d tudier ian 2003 Gerace 1993 e s ur de patient souffrant de schizophr nie andardis s questionnaires s thode Dixfr d entendre leurs rois guestionnai de stra rouble gies psychique le FCQ pathologie m dicale R sulta ussi bien que ces fratries soient amen es viv maladie de leur fr re s ur les a qualit de vie de ces frairies ainsi e avec plus O MOINS tudes les concernant sont rares L objectif ici tait que leurs strat gies de coping au moyen de C es s urs de patients souffrant de schizophr nie ont particip cette tude H 3 F 7 ge 40 6 ans 15 5 Un entretien serni structur d environ 30 min tait propos aux participants afin souffrance et angoisses N 5 Ja suite de l entretien les participants remplissaient es Un questionnaire de recueil de donn es sociod mographiques un questionnaire de qualit de vie la SF 36 Short Form 36 Hea de coping adapt aux comportemen Hh Survey Lepl ge et al 1998 et n questionnaire Family Coping Questionnaire Mag de vie 65 36 ont t compar s ceux obtenus pour des contr les appari s selon l ge et le sexe a
202. ile de pr ciser le r le social que peuvent jouer dans ces situations les psycho sa vie du point de vue ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 d une activit c Entre aider le sujet maximiser son capital humain pour mieux l accorder aux crit res de l employabilit d marche de coaching et l accompagner r f ch tique ais pour une pratique s et de la cons quence nationale que sont les conseillers d orientation I semble qu en ce d but de p riode furieusement lib rale le psychologue ne puisse viter d conduire ure am Q O Q O Eas D pas lt L C est en 1945 et en 2007 lo Psychologues de l es psychologues de l co gales qui ont de fait red fini leur cadre ef leurs modalit s d interven R cemment l AFPEN amp par psychologues de l ducati logues de de ses actes autre s inven lectif il n est alo 70 ans de psychologie l cole primaire etanr s Francine CORMAN Si l on er au rs pas Education XXE si cle dan elle r flexion S une que le premier psychologue scolaire du 1 degr estnomm Gr nobl sur les conseils d Henri Wallon C est en 1962 qu est cr e l AFPS sso iatiomn Fran aise des Psychologues Scolaires rs de son congr s ARCACHON que l AFPS devient l AFPEN Association Fran aise des
203. individu Au del de cet objectif souvent consensuel Sahler et coll 2007 cette pr vention se heurte des dificult s r currentes pratiques et scientifiques notammentles scissions entre la pr vention primaire et l pr vention tertiaire entre le collectif et l individuel entre les l ments relatifs au travail et au hors travail Garcia et coll 2014 La n cessit de travaill r Sur l organisation de travail ne doit pas occulter l importance de prendre en consid ration des mod les prouv s de l homme au travail en pariiculier l ensembl de ses dimensions biologique psychologique sociologique et psychique Daniellou 1992 Entre autres les connaissances de l ergonomie mettent autant en avant l aspect essentiel des dimensions organisationnellkes que la variabilit humaine l absence d homme standard Gu rin er coll 2007 Prenant acte de ces dificult s le Conseil G n ral de la Seine Saint Denis a cr au sein du Service de la Sant et de la S curit au fravail le P le de Pr vention des Risques Psychosociaux charg de pilot rles pr ventions primaire secondaire et tertiaire en partenariat avec la M decine de Pr vention En particulier depuis 2010 l s prises en charge individuelles ainsi que les interventions et valuations alimentant l pr vention primaire des RPS se sont d velopp es concernant resp cliivement plusieurs centaines d agents et dizaines d quipes chaque ann e avec pour objectif pluriannuel de
204. ion and behavior Psychological science 16 11 880 889 Charlton J P 2002 A factoranalytic investigation of computer addiction and engagement British Journal of Psychology 93 329 344 Djaouti D Alvarez J Jessel P 2010 Concevoir l interactivit ludique une vue d ensemble des m thodologies de Game design Ludolovia 2010 cr ativit et interaction Ales hermes Fang X Zhao F 2010 Personality and enjoyment of computer game play Computers in industry 61 4 342 349 Gekiere C Morvan O 2004 Du dossier patient aux donn es du patient partag es une nouvelle conception de la personn et de la sant Le Concours M dical 126 24 1409 1411 Girin J 1990 L analyse empirique des situations de gestion In AC Martinet d pist mologies et sciences de gestion Paris Economica Green C S Bavelier D 2003 Action video game modifies visual selective attention Nature 423 534 537 Hartmann T Klimmt C 2006 The influence of Personality Factors on Computer Game Choice In P Vorderer J Bryant Playing video games motives responses and consequences pp 115 129 Mahwah Lawrence Erlbaum Associates Labouret O 2007 Les dangers de l informatisation des donn es personnelles en psychiatrie Leroux Y 2014 Les jeux vid o a rend pas idiot Fyp ditions Leroux Y 2012 Psychoth rapie efinternet Le Journal des psychologues 8 29 33 Lorant Royer S
205. ionnelles construites pendant leurs formations et eurs exp riences ant rieures et les contraintes actuelles en particulier financi res Porcher para tre Le risque est grand d un mal tre au travail d une perte de sens des pratiques Dalhberg Pence oss 2012 et d une d t rioration de la qualit de l accueil de l enfant et de ses parents Led La communication aura pour objectif d envisager les r les et missions du psychologue aupr s des professionnels de cr che visant une am lioration des pratiques ducatives et p dagogiques ous proposons l hypoth se suivante le psychologue peut accompagner les quipes ef les soutenir dans l objectif de la qualit de l accueil en d veloppant leur r fexivit La qualit de l accueil regroupe pour nous l ensemble des conditions garantissant le bien tre de l enfant ainsi que son d veloppement socio cognitif Sur le plan m thodologique il s agit d une approche empirique tay e sur diff rentes exp riences conduites avec des quipes La r flexivit peut s exercer dans des dispositifs plus ou moins classiques ou novateurs l analyse de la pratique Thollon Behar 2009 est sans doute la forme de travail la plus pr sente dans les structures et les demandes sont en augmentation constante Elle pr sente l int r t pour les participants de penser en quipe les situations probl mes
206. ions d velopper tout au long de la petite enfance soit jusqu 6 ans pour permettre chaque enfant de devenir cet enfan ayant plaisir apprendre avant tout lui vitant d tre tr s t t confront l e les conditions rendan Schec non constructif La cr che comme l cole maternelle doivent imp rativement devenir des lieux bienveillants des lieux est pr pond rant LES R SUM S o comme le r clame Albert Jacquard on aide l enfant s tonner s interroger questionner o encore comme le revendique Viviane Bouysse IGEN on aide l enfant passer du bien vivre au bien devenir en s appuyant sur deux id es prot ger et contenir Dans tous les cas le r le du psychologue Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Le psychologue en cr che aujourd hui Un soutien la r flexivit des quipes Marie Paule THOLLON BEHAR AU XXIe si cle c est moins le b b qui a chang que la soci t dans laquelle il nat et grandit Les multi accueils ont pris la place des cr ches classiques les gestionnaires priv s ont fait leur apparition avec les entreprises de cr che la rentabilit devient Une donn e incontournable apr s avoir t un concept tabou Face ces volutions subies les professionnels de la petite enfance vivent des situations paradoxales et des tirailements entre les Valeurs profess
207. ions dans le cadre d un dialogue socialconstant dansierespecides r gles thiques de chaque P d ofessionnel de sant qui peut l am rer de nombreux ajustements par exemple Glimiter l ampleur es effectifs concern s par des valuations afin de privil gier l aspect op rationnel des plans d actions es b n fices pour les quipes leurs suivis Elle a galement renforc la capacit des psychologues et plus largement du Service de la Sant et de la S curit au Travail intervenir ce qui peut parfois heurter les repr sentations les plus partag es du fonctionnement d ne administration notamment compte tenu de tensions partiellement in vitables que les d marches et les positionnements des intervenants en sant au travail et la protection de la sant travers le fait d permettre Chaque agent d en tre acteur entretiennent avec l ob issance inh rente fout poste dans la Fonction Publique Trauma genre ef r silience N cessit de prise en charge sp ciique dans le code dela sant au travail Myriam FROMENT Fr d ric GARCIA Suzanne GLORIEUX Le Conseil G n ral de la Seine Saint Denis est marqu par une grande vari t de m tiers plusieurs de ces m tiers impliquent in vitablement des v nements potentiellement traumatiques parfois r p t s sur l ensemble de la carri re d un age
208. iq s palliatifs p diatrie De foit depuis plus d une vingtaine d ann es les ences du psychologue se d ploient dans d nombreux Champs du somatique Dans ce cadre prescription est centrale et d licate mais nous aurons aussi la possibilit munications vari es s inscrivant dans les domaines o les psychologues ue dans let Une pratique singuli re Isabelle BULLE nimation n ona ale l adol scenten centre de soins tude la place de la aitement du cancer unservice de m decine et r animation n ona ales l objectif de notre propos sera de rendre compte de clinicien d orientation psychanalyiique qui exerce dans un n onatales Qu en est il en effet de sa place et de son el secteur on peut ais men m decins et des soignants angoisse l agressivit o autres conduites des parents face a d marche clinique propre au psychologue service de m decine et r animation imaginer que son activi le Si celui ci exerce temps partiel dans un soit circonscrite en fonction des appels des orsque ceux ci se sentent dans Une impasse th rapeutique face leur souffrance et celle de leur b b ais lorsque ce psychologue y existe temps plein peut s agir d attendre la den Comment alors repenser sa pratique l o il ne d marche psychoth rapique Dans ces services l exe contraintes spatiales en
209. ique Z johon pain mines paristech fr Jean Claude SARDAS Professeur en sciences de gestion Mines Parisl ch Centre de Gestion Scientifique M jecr claude sardas mines barisech f Pr sentation g n rale Christine JEOFFRION Ce symposium pour objectif de montrer via diverses entr es l volution du m tier de psychologue et de ses pratiques ll r unit des chercheurs et o praticiens de diff rentes sp cialit s de la psychologie mais aussi des sciences de la gestion La premi re communication donn e par Johan Pain psychologue clinicien en doctorat sous la direction de Jean Claude Sardas professeur en sciences de gestion a pour objectif d interroger la clinique du sujet au travail Apr s un rapide historique sur les diff rentes mani res dont les pathologies li es au travail ont t prises en compte depuis les ann es 1960 par des psychiatres d abord puis par la psychodynamique du travail les sp ciicit s de l intervention th rapeutique du psychologue clinicien face la souffrance psychique au travail seront pr sent es sera montr aussi le r le jou par le psychologue clinicien dans la pr vention primaire des risques organisationnels au sein d une quipe pluridisciplinaire LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 La deuxi me communication donn e par Maria Ouazzoni interroge les
210. iques et s inscrit comme un crit re majeur pour accueillir Un nouveau membre psychologue du travail dans l association Espace collectif pour penser le travail bartir des situations concr tes l association PELT favorise l laboration du rapport subjectif des psychologues du travail Isur propre travail Ce cadre contribue ainsi les ressourcer se projeter dans de nouvelles situations de travail d velopper leur action et construire une pratique singuli re d psychologue du travail praticien en clinique du travail D Q DO C 9 D Q 5 Cette communication se donne pour Out de mettre en visibilit des controverses q i traversentdes changes entre les membres dePELT et les r gles de m tiers qui sont labor es D autre part elle discutera d s volutions de l association avec le d veloppement des rencontres pluridisciplinaires et d processus qui aboutit l adh sion de PELT lo FEPP F d ration Fran aise des psychologues et de psychologie comme reconnaissance d un ancrage des psychologues du travail praticien en clinique du travail la profession de psychologue LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Bibliographie Bellahsen M 2014 La sant mentale Vers un bonheur sous contr le Paris La Fabrique Biliard I 2011 Sant
211. iriger des recherches Universit Victor Segalen Bordeaux 2 Davezies P 2012 Enjeux difficult s et modalit s de l expression sur le travail point de vue de la clinique m dicale du travail Perspectives interdisciplinaires sur le travailef la sant Sant amp Travail n 081 janvier 2013 Davezies P 2010 Sur le rapport d autorit en clinique dutravail Contribution au s minaire Pouvoir d agir et autorit dans le ravail Universit Paris 1 Sorbonne 23 et 4 juin 2008 Publi in Fran ois Hubault d 2010 Pouvoir d agir et autorit dans le travail Toulouse Octares Davezies P 2004 Souffrance au travail le risque organisationnel Conf rence introductive aux Journ es M dicales du CISME sur le risque organisationnel Publi e dans l s Actes EN ligne hHp philbpe davezies free fr download down A utoritez ravail_2008 pdf ee Dejours C Gernet 2012 Psychopathologie du travail Paris Masson Desmarais L Lortie M 2011 La dynamique du transtert de Connaissance Perspectives centr es sur l usager Laval ditions PUL Presses de l Universit Laval Qu bec Domenech Dorca G 2012 D viances aux normes sexe et sexualit risque s Repr sentations et impact du genre dans la perception des risques sexuels Atps bdru parist0 fr fheses internet 2012PA100032 paf Freud S 1916 introduction la psychanalyse Paris Payot 1967 G
212. isante qui concerne notre soci t toute enti re et que le nouveau concept de bien raifance c Jeudi 4 j in 9h30 10h30 DUCATION les psychologues de l ducation de sp ciicit fran aise l Europe Approche comparative ef dynamig Marianne KANT SCHAPS Psychologue psycho En ce trenti me annive h rapeute membre du comit pe saire de la loi su de l ducation en concernant l implic contribu l voluti ong de la vie montr quel point France volue Manen le titre pour les psyc ation des psycholog on de la situation en suite au projet ESPI l enqu Ues a situation est diverse en France et dans d au C de l ducation e ues intemationales Psychologie de l ducation de l EFPA ESPIL men e par la commission ducation de urop ens dans l apprentissage tout au aire singuli rement de son trait d Union hologues la situation des psychologues EFPA Europe Commen tce res pays europ ens L gt l EFPA recommande entre autres le d veloppement d une s int gra bien tre physique des ac le meilleur int r t d rice surla base de la conven psychologique es l ves court te son implication en tan int gr pou ion inter SOC ivit s des psychologues dans le syst me ducatif avec celles d autres p
213. isations 17 90 107 miec R Rolandt w 2014 Risque et construction sociale une approche interculturelle Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale 107 69 99 Lemoine J Kmiec R Roland vy C 2015 Social Representation of Risk in a Gambling Context Comparing gamblers with disorders and contralled g mbl rs sous presse Journal of Gambling Studies RolandL vy C Kmiec R Lemoine J 2015 How are economic crisis and risk linked An innovative perspective of the social epresentation theory in connection with behavior sous presse Social Science Information Rolandt vwy C Lemoine J Jeofrion C 2014 Health and Well being at Work The Hospital Context European Review of Applied LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 5 Le traumatisme des r fugi s politiques Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Karin TEEPE psychologue clinicienne activit en cabinet lib ral Parcours d Exil 12 rue de la Fontaine au Roi 75011 Paris et Centre Hospitalier Casanova 6 rue Danielle Casanova 93000 Saint Denis kteepe orange fr Latefa BELAROUCI Docteur en Psychologie et Psychopathologie psychologue clinicienne Parcours d Exil 12 rue de la Fontaine au Roi 7501 1 Paris ww lotefa belarouci yoahoo fr Dominique SZEPIELAK Psychologue ww dpialo yahoo f Karin TEEPE Psychologue clinicienne activit
214. jeunes dipl m s objectif emploi Comment s y retrouver CV lettre de motivation convention fiche de poste WPPSI IV Nouvelle version de la batterie de r f rence pour l valuation intellectuelle du jeune enfant LES R SUM S 124 124 125 125 127 128 130 130 131 132 132 Even LOARER Pierre VRIGNAUD Antony ERB Vincent BERTHET JeanLuc KOP Marie Jeanne ROBINEAU Dani le Coste Christine L ON GUERIN V ronique GRIFFITHS C line PARISOT Christophe DEFERT In s PELISSIER Anne TENCE Sophie SERY Les ditions du Centre de Psychologie Appliqu e ECPA Psychologue quel Titre 30 ans plus tard bilans et d fis pour la formation ef la pratique des psychologues La sixi me dition des Entretiens francophones de la psychologie reprend le cycle des rencontres bisannuelles inaugur en avril 2004 d sormais inscrites comme Un des v nements phares de la formation continue des psychologues Cette nouvelle dition de 2015 va correspondre aux 30 ans de la reconnaissance l gale du Titre de psychologue Les volutions soci tales se sont accompagn es de changements profonds dans la fa on dont individus et groupes construisent leur relation au monde et ils posent aux psychologues de nouveaux d fis La psychologie a connu des volutions importantes et les connaissances acquises modifient en permanence notre regard sur les sujets les groupes et les institutions ains
215. l g re ou moyenne ont dire transmet extrafamiliaux de en sociologie Deux hypoth ses sont test es impose de mieux comprendre la mani re dont ila t d cid d couter ce que les personnes e de leur point de vue subjec if et r trospectif l enfance l ge adulte ceci avec une approche fait que les liens ge adulte sont d pendants de ce existence qui a t v cu d une relation seconde hypoth se concerne milieu ordinaire versus milieu sp cialis entre ce qui est v cu au ravailler ces hypoth ses Ces 23 sujets se r partisse nt en 23 adultes 20 35 ans membres 2 groupes C dans la fratrie durant l enfance la tles liens extrafamiliaux et familiaux l ge adulte la premi re concerne le sein du lieu d ducation M thode Pou L d une fatrie ont t partir de l IME les 11 autres sont rest s en mi ien semi directif ieu ordinaire jusqu leur ans Lors du premier entre les relations fraternelles et extrafamiliales encon 12 sujets ont fait leur parcours scolaire en inaire j ientation en IMPro partir de 14 r s trois reprises milieu sp cialis sont interrog es AU cours de la deuxi m es repr sentations conscientes et pr conscientes concernan e rencontre la
216. la aine nt es tapes constitutives de echerche EMILE Enfan d enfants rencontr s en ent du je puis de sa fo mMiroi me est compos e de chercheu O r o sur Une photo r fl chie esprit et la construction ginaux qui questionnen OUS je ME l quipe utomatique et en psychologie Cette tude exploratoire int resse les tite enfance soucieux d observer etde comp cocement des anomalies peuvent tre suspect es OCESSUS in que de p ues nous renseignent sur les p Ur la compr hensio identit Par exemple nous tudions tr s misses en th ories de l esprit et le langage notamment la capacit s auto d signer et entre n des op rations constitu L psyc end rS ives tant de l conscience de finement les rapports de co vol tion erminguistique en sys hologues e pour mieux agir lorsque Nos r centes analyses qui tudient ellectuels sous jacen tme es parents ains volution s et apporten entre les dans le r cit site nip eureka lorraine eu jahia Jahia Fr act alit s actu 22094 valuation psychologique des situations de handioan de l enfant et de l adolescent R sultat dE la recherche action conduite par LAPPEA avec le soutien de la CNSA L onard VANNETZEL Robert VOYAZOPOULOS pa a FO PO
217. la pr vention qui se limiterait liminer les contraintes au travail Suivant la pens e de Van Bell ghem et ak 2013 nous pensons que la construction de la sant au travail implique de d velopper les sources de satisfaction pour les salari s Entre autres une organisation saine devrait permettre aux salari s de mettre en uvre coll ctivementdes strat gies pour faire face aux contraintes in vitables de l activit S agissant d un projet de conception nous avons mis en uvre une m thodologie consistant identifier Ces ressources pour permettre au collectif de les transposer dans la nouvelle activit Le recueil des donn es se structure autour de l analyse de l activit et des repr sentations des agents Il a pris la forme d entretiens sermi directifs enregistr s pour acc der au v cu et aux repr sentations d observations du travail pour acc der au r el de l activi et de groupes de travail collaboratifs sur la base d une maquette et d enregistrements vid os R sultats interm diaires l analyse des repr sentations li es au m tier montreuneforte valorisation de l autonomie d action ginsi que l n cessit d un apprentissage permanent Or le travail dans le nouveau laboratoire peut engendrer une perte de cette autonomie cause de la rigidit des proc dures de s curit De plus es expertises acquises seront reconstruire dans la no
218. les professionnels au COMMUNICATION NoUs pr senterons ces Travaux en explic ise en charge d ouvrir d s pistes pour am liorer le dispositif Au moyen d entretiens cliniques de recherche n i y v i a a de professionnels l quipe de recherche a analys plusieurs situations de violence ce qui s tait jou dans ces crises raternelles et d utre part ce qui avait e travai parir d une analyse crit sur les liens fraternel ue de ces pratiques repenser la mani re PQ qualit des liens travail de groupe eten explorant la structuration de ce lien entre des enfan fraternels pour rep rer les et en groupe Dans cette itant le processus de construction du lien fraternel s qui ont v cu Une situation de placement Les liens fatemels etle processus de construction des lens extrafamiliaux Le point de vue d adultes qui ont une d ficience intelectuele Anne Laure POUJOL Le d veloppement de la soci t inclusive am ne les pe iens sociaux extrafamiliaux Or la litt rature rel ve l exis sonnes d ficientes intellectuelles D cr er des ence de dificult s relationnelles dans es situations de d ficience es liens se nouentet voluent Pour intellectuelle Guillemette et Boisvert 2003 Cela concernant leurs liens familiaux interdisciplinaire en psychologie e L pondre cette question qui ont une DI
219. les que les psychologues du travail les per oivent en fonction de leur secteur d activit et leur anciennet Il nous semble important de faire un tat des lieux de cette perception telle que les acteurs la vivent au quotidien et ses liens avec l exercice du m tier Intervention de Victor TROYANO Aujourd hui la position professionnelle et la posture de psychologue du travail semblent trouver une certaine reconnaissance aupr s des organisations t institutions On peut retrouver des indicateurs de cette relative reconnaissance au travers d xigences de certains appels d offre de la pr sentation d intervenants aux publics en Tant que psychologues du travail de C rtaines attentes implicites de l organisation Cela signifie Hl que les pratiques et postures du m tier sont clairement identifi es par ces interlocuteurs Bibliographie Ballouard C 2008 De l outilt des psychologues professionnels de pens e dans le champ du travail portrait Travailler 20 p 123 136 Bobilier Chaumon ME Sarnin P 2012 Manuel de psychologie du travail et des organisations les enjeux psychologiques du travail Bruxelles De Boeck Le Bianic T 2007 Pratiques et identit s professionnelles des psychologues du travail en France de l entre deux guerres nos jours Une perspective socio historique Bulletin de Psychologie 487 71 81 Manzano M 2010 Les risques psychosociaux et le psychologue d
220. leur droit de se servir de la psychologie du sport Ainsi depuis la r connaissance l gale du Titre d psychologue en 1985 deux territoires majeurs se sont d velopp s quelquefois en compl mentarit quelquefois en auftarcie cel i o lareconnaissance l gale du Titre de psychologue en 1985 fait force de Loi et celui O de nouvelles pratiques psychologiques ne se sentent pas oblig s de tenir compte de cette l gislation de 1985 Dans un deuxi me temps de quelles fa ons une d marche clinique s adapte aux exigences des cultures sportives Une confrontation entre ur d marche essentiellement centr e sur la personne et une d marche essentiellement centr e sur la performance s rhumain permettra ainsi de Caract riser es d marches d une clinique d sport Dans Un troisi me temps les nouveaux champs ouverts par la psychologie du sport qui ont permis de mettre en lumi re les points aveugles des cultures sportives Trois questions serviront d supports la d clinaison de ces points aveugles La pratique sportiv peut ell tre consid r e comme une addiction comportementale l galis e l emprise psychologique et le principe de soumission ibrement consentie que peuvent exercer des enfraineurs s r des athl tes sontils des Comp tences professionnelles o des processus pervers de manipulation En associant la pratique physique toa au long de la vie des vertus th rapeutiques l
221. lissement de la paix civile et de la s curit tente d effacer l Histoire travers LES R SUM S 2 N O 0 a a F O D OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 des lois amnistiantes qui non seulement annihilent toute possibilit de subjectivation des v nements raumatiques mais de plus favorisent la cr ation de lacunes dans la m moire individuelle et collective En effet travers la politique de la r conciliation nationale men e d s 1995 des m canismes de d ni et des processus d oubli ont t mis en place par les institutions et les gouvernants l individu dans sa dimension humaine dans sa d tresse et sa souffrance est ainsi non seulement somm d oublier les faits de violence mais aussi de taire sa souffrance En d cr tant le silence et l oubli et par l m me interdiction de savoir et de dire ces lois ne permettent pas l accomplissement du travail de sens de deuil et consolident la rupture et la destruction des liens d j mises en place par les terroristes Le ravail de sens et de m moire tant emp ch les plaies demeurent ouvertes tout comme les portes de la haine et de la vengeance cr ant ainsi une destin e pathologique travers la transmission ransg n rationnelle d une douleur sans fin l analyse de la situation de l Alg rie permettra d aborder la question
222. llective la fois D s lors il ne s agit pas se questionner au sujet des acquis qu il faudrait d fendre ce quiimmobilise le mouvement ni au sujet des gains qu il faudraitexiger ce qui rel ve de l illusion mais ce que l majorit des psychologues et chacun d entre eux sont pr ts perdre Chaque chose son prix chaque compromis comporte au moins deux parties Dans cette zone transitionnelle habit e parle psychologue l instit tior et le publi cela revient se demander quelle parie du principe de plaisir eston pr t c der au principe de la r alit afin de pr serverle principe de plaisir Ce qui somme toute ouvre le Champ de Tous les possibles ao Bibliographie Daumerie N Caria A Monchicourt C Vandeborre A 2009 Pratiques de psychologues dans des services de sant mental int gr s dans la communaut urbaine Vers Une d finition des r les du psychologue communautaire Pratiques Psychologiques mars 2009 Daumerie N Rhenter P Roelandt JL 2009 Psychiatrie et sant mentale en Europe La Documentation Fran aise n 354 Demailly L et al 2015 Les quipes mobiles de psychiatrie et le travail de disponibilit John Libbey Eurotext Douville O et al 2012 Clinique psychanalytique de l exclusion Paris Dunod Facy F et Debout M 2006 Acte
223. logues animant cet atelier partagent leurs exp riences leurs gal res et leurs erreurs leurs points faibles et points forts Chacun apportant son exp rience dans diff rents domaines d intervention FPH FPT PJJ Associations ib ral selon son anciennet N S Q Es O CO D Objectifs Permettre aux jeunes et futurs dipl m s de se pr parer au mieux la recherche d un premier emploi Contenu de l intervention 1 Pr sentation des diff rents contextes de travail du psychologue conventions concours droits et devoirs du psychologue selon le contexte d intervention 2 Comment chercher un emploi sur quels outils appuyer sa recherche p le emploi internet r SeauUX 3 changes sur l laboration du CV et de la lettre de motivation 4 changes sur comment bien pr parer un entretien d embauche quelles questions anticiper quels pi ges viter Dur e 2h00 Places maximum 30 personnes pour permettre des changes fluides Outils la pr sentation se fera l aide d Un power point permettant de structurer les changes mais laissant une grande place aux changes un document de travail crit sera mis disposition des participants document reprenant l ensemble de l intervention WPPSI IV Nouvelle version de la batterie de r f rence pour l valuation intellectuelle du jeune enfant Anim p
224. logues cliniciens sp cialis s en neuropsychologie Nous voquerons aussi la place du travail aupr s des famil recours l utilisation des logiciels sp cialis s et les perspectives offertes par la r alit virtuelle LES R SUM S es et des enseignants le OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Bibliographie Association pour le Rassemblement National des Psychologues sp cialis s en Neuropsychologie 2011 Analyse du questionnaire national des pratiques en neuropsychologie clinique En ligne hp www armpn fr wpcontent uploads 2011 06 Analyse_Questionnaire ARNPN paf Cazin D 2013 Regard critique sur la neuropsychologie clinique en France en 2012 Les Cahiers de Neuropsychologie Clinique 2 27 33 Klingbert T Fernell E Olesen PJ et al 2005 Computerized training of working memory in children with ADHD A randomized controlled trial J Am Ac Child Adolescent Psychiatry 44 2 177 186 Konofale E 2005 Le syndrome des jambes sans repos chez l enfant Lechevalier B Eustache F Viader F et al 2008 Trait de neuropsychologie clinique Bruxelles ditions De Boeck Mazeau M 2006 Neuropsychologie et troubles des apprentissages du sympt me la r ducation Paris Masson Park Norman W Ingles Janet L 2001 Effectiveness of attention rehabilitation after an acquired brain injury A meta analysis Neuropsychology 15 2 199 210 Wau
225. lois sociales et la notion de handicap Comment con oiventils et r alisentils leurs LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 valuations Quels sont leurs besoins et attentes 39 Entretiens individuels semi directifs avec des psychologues de l Education Nationale de la sant du m dico social lib raux 3 La communication des r sultats des valuations psychologiques d enfants 263 comptes rendus d valuation psychologiques ont t recueillis et tudi s via une analyse de contenu une analyse lexicom trique et des statistiques descriptives Led l ensemble a donn lieu un colloque national les 9 10 avril 2015 La pr sente communication vise pr senter les principaux r sultats de la recherche et les perspectives pour la profession dans la continuit de la Conf rence de consensus sur l examen psychologique de l enfant et l utilisation des mesures FFPP AFPEN SFP ACOP Voyazopoulos Vannetzel Eynard 2011 T 2 D m Q c O Q O Bibliographie Binet A Simon Th 1951 La mesure du d v loppe nentde l intelligence Chez les jeunes enfants CNSA 2008 Guide d Evaluation des besoins de compensation Paris La docurmentation de la CNSA Fougeyrollas P 1998 La classification qu b coise du processus de production du handicap etla r vision de la CIDIH Handicaps et Inadaptations Les cahiers du CTNERHI 79 80
226. m O Q A Q gt Q gt CD O D gt lt lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 2 Le psychologue face aux m dias Amours et d samours Symposia n 5 samedi 6 juin 10h16 12h15 Coordonn par Jean Michel COQ ma tre de conf rences l Universit de Rouen psychologue M jeon michel coq univ rouenfr Jean Pierre BOUCHARD Psychologue hors classe des h pitaux docteur en psychologie et en droit Unit pour malades difficiles UMD et unit de soins intensifs psychiatriques USIP Centre hospitalier de Cadilac sur Garonne Centre d tudes et de recherches en psycho pathologie CERPP EA 4156 Universit Toulouse Jean Jaur s Institut du droit de la sant et Institut de Sciences Crimineles et de la Justice EA 4601 facult de droit de l Universit de Bordeaux Centre international de criminologie compar e CICC Universit de Montr al Canada Z jean _oierre_bouchoard yahoo fr Jean Michel COQ Maire de conf rences l Universit de Rouen psychologue mm jeor michel cog univrouent H l ne ROMANO Docteur en psychopathologie HDR auteur d une quinzaine d ouvrage CHU Henri Mondor Cr teil mm romanohelene orange Pr sentation g n rale Dans une soci t post moderne o les sp cialistes ont pris Un r le important pour commenter et expliciter les diff rents ph nom nes et
227. marqu des d cideurs que sont les repr sentants de l Autorit territoriale et qu ils se soient dot s de comp tences au sein de leur collectivit pour mener c es d marches ce dans un contexte de dialogue social engag sur ces th mes dans des instances comme le CHSCT Comit d Hygi ne de S curit et des Conditions de Travail Nous allons dans ce symposium Vous rendre compt des interventions men es par des professionnels de sant pour des collectivit s territoriales qu ils soient en position d ext riorit l instit tion ou en exer ant en interne pour Un service de m decine autonome Ces pr sentations sont ax es sur les exp riences mises en uvre le travail alis etles avanc es sur le champ de la sant au travail pourles personnels de l fonction territoriale Pass s la moulinette du fonctionnement des Collectivit s territoriales psychologue sociale et d travail psychologue du travail m decin du travail et docteur n psychologie et ergonomie mettront en exergue les points communs et les sp cificit s de leurs actions et interrogerontles processus et leurs modalit s de travaillorsqu is sont intriqu s dans le fonctionnement de l institution Publique LES R SUM S S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Strat gies collaboratives du psychologue du travail avec les RH ou quel dispositif d acc
228. me Mieux la psychopaihologie s int resse moins au pourquoi du trouble qu aucomments du fonctionnement psychique du sujet troubl interpr t selon es coordonn es de la m tapsychologie contemporaine o psychique affectif motionnel et cognitif sont indissociablement li s L approche clinique est donc un niveaude lecture Une approche compr hensive du fonctionnement psychique du sujet c t et compl mentaire desniveaux neuropsychologiques t neurobiologiques Elle montre en particulier comment ces troubles entrent dans des syst mes d fensifs et hom ostatiques qui font souvent buter les seules perspectives r d ucarives l approche clinique via ur bilan psychologique approfondi Debray 2000 des troubles instrumentaux devient aujourd hui une exigence une urgence thique pour ne pas perdre de v e le fait Que ces troubles sont port s par des sujets vivants qui r sistent entrer dans des cadres nosologiques et des protocoles de soins pr tablis qui ne tiendraient pas compte de leur singularit l valuation clinique dans la pratique de l expertise judiciaire Danger o risque dela rencontre Magali RAVIT Les nombreux et r cents d bats concernant les risques de r cidiv s quiont donn lieu en France un certain nombre de r formes se sont inscrits dans une logique o l valuation cliniq
229. me de la mise en place sont d terminants et doivent pour cela enir compte de la question du genre notamment du genre masculin Cela n cessite d identifier au mieux les freins ventuels avant de proposer le dispositif aux agents par le biais notamment du conseil l encadrement inclus dans les prestations internes Service de la Sant et de la S curit au Travail et externes prestataire psychologue Les modalit s d interventions cliniques doivent alors volue efficacement pour permettre de prendre acte le plus rapidement de cet cueil originel Ces modalit s d interventions doivent prendre place dans le cadre de la prise de responsabilit de l employeur e d un syst me int grant un quilibre entre tous les niveaux et acteurs de pr vention Enfin la question du genre devrait interroger terme l ensemble des niveaux de pr vention la pr vention primaire des risques psychosociaux se heurte en effet galement cet cueil n z D X L L Parexemple deux autres indices au moins sugg rent la pr dominance du genre masculin la minoration du risque physique en pr sence d usagers violents le d ni d addictions et de causes partiellement inh rentes au travail Ainsi m me si les addictions doivent entrainer Une vigilance plus forte dans les ann es venir dans notre Collectivit la direc
230. ment l acte o e sujet s efface derri re ses fonctions c r brales en vacuant la subjectivit et les motions Derri re l essor de cette nouvelle pratique se joue donc Un enjeu fondamental pouvoir rester psychologue dans le champ de la neuropsychologie c est continuer d velopper une approche globale de la personne tre psychologue sp cialis en neuropsychologie aujourd hui Am lie PONCHEL Sandrine CHICHERIE MAURIES La profession de psychologue est complexe et a de multiples facettes Parmi elles s est d velopp e ces derni res ann es une nouvelle sp cialit la neuropsychologie Si la neuropsychologie en tant que champ d tudes ne peut tre revendiqu e par telle ou telle profession il nous semble que la place du psychologue clinicien dans LES R SUM S ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 D ce domaine est centrale C est en effet la seule profession qui permet d int grer selon une approche globale les traits psychopathologiques avec la dynamique motionnelle et cognitive singuli re du sujet Ainsi dans une premi re partie nous tenterons de d finir ce qui fait qu un psychologue est sp cialis en neuropsychologie s agit avant tout d un psychologue clinicien dans le sens premier du terme dont le sujet d intervention est le patient dans t
231. mentale et travail l mergence de la psychopathologie du travail Paris La Dispute Clot Y 1999 Les histoires de la psychologie du travail Approche pluridisciplinaire Toulouse Octares Clot Y 2008 Travail et pouvoir d agir Paris PUF Clot Y Gollac G 2014 Le travail peut il devenir supportable Paris Armand Colin Cru D 2014 Le risque et la r gle le cas du b timent et des travaux publics Toulouse r s Dejours C 2007 Conjurer la violence travail violence et sant Paris Payot Rivages Dejours C 2009 Travail vivant sexualit ef travail tome 1 Paris Payot Rivages Dejours C 2009 Travail vivant travail et mancipation tome 2 Paris Payot Rivages Dubost J 1987 l intervention psychosociologique Paris PUF Le Bianic T 2005 Les ing nieurs des mes Savoirs acad miques professionnalisation et pratiques des psychologues du travail de l entre deux guerres nos jours Th se de sociologie Laboratoire d Economie et de Sociologie du Travail Universit Aix arseille Il Archives ouvertes Lhuilier D 2006 Cliniques du travail Toulouse r s Linhart D 2015 La com die humaine qu travail Toulouse r s olinier P 2013 Le travail du care Paris La Dispute Hottes A 2013 Travailler quel boulot Les confits du travail Enjeux politiques du quotidien Paris Syllepse Roger J L 2007 2010 Refaire son m tier Essai d
232. mes des r fugi s politiques centres cr s pour r pondre aux dificult s sp ciiques des demandeurs d asile il est vident que l quipement se pr sente de mani re notoirement insuffisante Les associations de d fense des Droits de l Homme LDH Amnesty International ACAI ECPM FIDH CCEM Comit contre l Esclavage Moderne Reporters sans Fronti res Ligue ODEBI CIMADE pour n en citer qu une s lection sont beaucoup plus pr sentes que les offres de soins certaines d entre elles ont d ailleurs une offre de soins Ce sont donc les pr occupations juridiques et sociales qui sont projet es sur le devant de la sc ne pour cette population on ne pourrait dire la place du soin m dico psychologique mais constatons que cette place est rest e longtemps quasiment vacante Elle est pourtant essentielle Les fugi s politiques et les victimes de torture constituent peut tre le groupe de personnes vuln rables le plus expos la d n gation de leurs souffrances physiques et psychiques Les raisons en sont multipoles LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 et tiennent dans la r sonance entre l nconcevable de la torture de ses effets de terreur et de sid ration sur la victime et sur les personnes en lien avec elle Ces ph nom nes d
233. mment respecter les rythmes des enfants les plus jeunes Les apports des psychologues 2 Famille et familles Des fr res et des s urs en situation singuli re Des exp riences fatemelles entre enfants accueillants et accueillis Les fratries en vilage SOS Les liens ratemels et le processus de construction des liens extrafamilioux Le point de vue d adultes qui ont une d ficience intellectuelle tre f re ou s ur d adulte avec Trisomie 21 Qualit et vie et strat gies de coping des fatries dont un e f re s ur souffre de schizophr nie 3 L valuation et le bilan Regards crois s de psychologues et de sp cialit s Du bilan psychom tique au bilan th rapeutique Evolution des outils et de l exercice du psychologue au sein du bilan psychologique Des enfants hors course l cole l aide du psychologue avec l Epreuve des Trois Arbres EMILE et le je du miroir La construction de l identit chez le jeune enfant valuation psychologique des situations de handicap de l enfant et de l adolescent R sultat de la recherche action conduite par IAPPEA avec le soutien de la CNSA LES R SUM S 18 19 20 22 23 24 24 25 25 28 28 29 30 30 Marie Paule THOLLON BEHAR Dani le DELOUVIN Claire LECONTE Aurore MAZZA MAINPAIN JeanPierre MINARY Michel BOUTENQUOI Cl mence DAYAN Anneaure POUJOL Lise LEMOINE Benoit SCHNEIDER L a PLESSIS H l
234. mplifi des mesures de contr le social au nom de la lutte contre la d linquance le tissage fin d licat et progressif d une pr vention ouverte est devenu une v ritable nasse quiemprisonne LES R SUM S Q O Q O Eas D gt lt lt L Comment pr server des pratiques cliniques et institu B 6E ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 sp cifique des b b s des parents et des professionnels Faire acte de pr vention dans le champ de la petite en fance c est avant tout soutenir d et du La pe ien social Ni pr visibilt ni pr d terminisme donc ite enfance se trouve tre la terre d lec sa nai tion de la pr vention Oui ionnelles respectueuses partir d une coute u lien psychique ssance le b b d pend de son entourage et de la mani re dont on l aidera grandir Pr venir c est pr server aux tout petits comp des propositions d aide puissent tre accept es pour qu une alliance soup psychologue aupr s de la peti te des dificult s I faut du temps eur place de sujet en devenir contribuer les aider dans leur subjectivation prendre en II faut du temps pour tisser des liens de confiance pour que mais qu on des outils Pr venir c est d abord accueillir e soit pr t l entendre Faceauxinjonctions de
235. n la r flexion et la r daction du Code en 1996 animatrice du groupe sur l actualisation du Code en 2011 2072 Beno t SCHNEIDER Pr sident de la FFPP Pr de psychologie Universit de Lorraine Pr sentation g n rale Anne ANDRONIKOPF Contrairement la langue anglaise le fran ais fait la distinction entre thique et d ontologie La d finition respective de ces termes introduira une r flexion sur le positionnement du psychologue eu gard aux personnes qui le consultent aux lois aux droits et sa conscience La d ontologie professionnelle tout comme le m tier doit faire l objet d un apprentissage elle n est pas de science infuse et le psychologue n est pas l abri d une erreur dans l une comme dans l autre La responsabilit des organisations de psychologues est de s assurer que la d ontologie est d ment respect e ce qui offre une garantie de professionnalisme au public et Une protection aux psychologues eux m mes Le retard pris de ce point de vue par la France dans le concert international est inqui tant pour la cr dibilit des psychologues fran ais La construction du code de d ontologie en France un historique Marie Jeanne ROBINEAU La cr ation de la FFPP qui f te ses 30 ans a t l une des grandes tapes qui ont s ivi l inscription sociale de la profession de psychologue Inscription sociale marqu e par la loi de 1985 qui l galemen d
236. n danger l enfant concern Parall lement il est expos la r sonnance de cette violence familiale au sein de l institution qui l accueile et doit la fois soutenir sa capacit la g rer et la traiter Pinel 2004 LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Pour r pondre cette probl matique la m thodologie de recherche a t essentiellement de nature qualitative bas e sur la m thode des cas et sur l observation des v nements et des individus en situation Marty 2009 Ainsi partir d une approche institutionnelle dans une perspective de recherche longitudinale NOUS NOUS sommes int ress s la fa on dontles discours etles pratiques se d ployaient lorsque le professionnel se trouve confront la mise en sc ne de la violence familiale dans ses formes les plus insidieuses et les moins manifestes Ces diff rentes formes de violence qui mettent le signalement en question engagent le professionnel ef l institution vers une clinique sp cifique qui expose la violence du lien Houssier 2009 La place du psychologue qui ne rel ve pas de celle de l expert judiciaire se situe alors dans un espace interm diaire aux limites de l instit tionnalisation et de l instrumentalisation Pour maintenir une dynamique clinique tra tante il doit conserver une potentialit cr atrice au travers d u
237. n du bilan psychologique Bien des nouveaux tests qui sont humeur en quelques items ou questions Si r sister une telle pression peut institutionnellement devenir i en va cependant du respect est celle de faire reconnaitre e respecter la personne dans sa dimension psychique quels que soient les tests utilis s une authentique d marche c nique impliquant prise en compliqu de nos principes thiques et d ontologique Car notre mission premi re La pratique du bilan psychologique est une pratique de psychologue part enti re ce qui implique compte de LES R SUM S a complexit dynamique du fonctionnement psychique du sujet de contenus latents potentiellement O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 diff rents de sa plainte manifeste coute travaill e des questions qu il se pose des doutes et des inqui tudes qui le faraudent discernement de l implication personnelle propre du psychologue et non pas seulement des comp tences en passation technique d outils en d gagement de donn es quantitatives envisag es comme rendant compte des fragilit s et des ressources du patient Plus encore il est fondamental que puissent tre questionn s plus avant les facteurs psychiques susceptibles d entraver ou de mobiliser les processus de pens e facteurs nullement r ductibles aux al as du substr
238. n est n e une volont de mobiliser plusieurs corps de m tier relevant de la pr vention et Une volution de sa posture d analyse purement technique des situations de travail vers Une d marche psychosociale jusqu alors ignor e des institutionnels du domaine des risques professionnels Apr s plusieurs exp riences dans la m tallurgie puis dans Un organisme de s curit sociale CRAM en tant que contr leurs curit il est devenu psychologue du travail de terrain Il a cr sa propre structure et r alise des interventions en bin me avec ses homologues Une identit de psychologue construite autour du souci des autres au travail L centr e sur l approche du rapport subjectif au travail et orient e vers la pluridisciplinarit D S lt D Q lt Q Cette communication veut contribuer ouvrir une br che dans le mur d indif rence du sort des salari s de certaines petites entreprises TPE Des possibilit s d action encourageantes existent lorsque quelques intervenants sachanis mobilisent leur discioline respective en croisant leurs regards des regards singuliers port s sur des situations singuli res bour retrouver le sens des situations une fa on originale de soutenir la sant a travail ce ces salari s Il sera abord notamment 1 quelques chiffres sur les TPE et les AMP en France
239. n pense avoir pour y faire face et le soutien que l on croit pouvoir attendre d autrui en cas de dificult s Le style d attachement s cure s av re ainsi bien moins stress queles styles ins cures anxieux o vitant O mien em O 7e D X lt L Ce stress psychique se traduit par un stress physiologique r el m me chez ceux qui n en sont pas conscients comme les personnes souffrant de r pression affective retrouv es en priorit dans l attachement vitant Ce personnes per oivent mal les situations p nibles auxquelles elles sont confront es elles en sous estiment les effets et les baralisent Il leur est donc difficile de les r soudre voire de les fuir Se mairtenantalors en sitfuation de stress chronique Estimant devoir faire face seules elles n ont pas recours au soutien d autrui sachant que la pr sence d un tiers peut en soi Gajouter leur malaise car elles ne supportent pas d tr v es en situation de faiblesse Lorsque l on ajoute ce profil la tendance s occuper davantage d autruique de ses propres besoins on rejoint la description du profil de Type C reconnu pour pr disposer gu cancer Les recherches actuelles en biologie mol culaire entre a tres montrent quant ell s que le stress physiologique intervient tous les niveaux du processus de
240. n prison le psychologue prend en charge un chantillon tr s vari de probl matiques irencontre des d tenus pr sentant des troubles de personnalit particuli rement borderline et antisociale des probl matiques d impulsivit et de violence les d linquants sexuels constituant une grande partie de la population adress e aux psychologues Des comp tences vari es en addictologie en thropsychiatrie en criminologie en sexologie la liste n est pas exhaustive sont des atouts incontournables pourl exercice en milieu p nitentiaire tantles pathologies o les troubles qui sont expos s au professionnel sont vari s Enfin la collaboration avec des professionnels des services sp cialis s tels les CRIAVS sont recommand s LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jui 2015 Privation de libert et demande de soins psychiques Marianne COUTELOUR l analyse d une demande de soins psychiques formul e par Un patient se situe la base du travail du psychologue Tout en prenant en compte la r alit de l existence des demandes r alis es de mani re spontan e par les personnes d tenues la pratique du psychologue intervenant en mileu carc ral est marqu e par des demandes qui manent fr quemment d un tiers directeur d tablissement surveillant Conseiller P nitentiaie d insertion et de Probation etc dont cert
241. nce du groupe fraternel s est sur chacun de ses membres le lien fraternel comme matrice du lien social ou encore le lien fraternel comme exp rience singuli re dans la grande diversit des configurations d coulant du nombre de l ge du sexe des membres de la fratrie et de leur inscription dans le d sir parental Mais la prise en compte progressive et encore trop modeste de l importance de cette relation apparait d autant LES R SUM S a OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 plus n cessaire que l on consid re les situations sp cifiques et probl matiques auxquelles peuvent tre confront s les membres de la fratrie Deux types de situations justifient un regard singulier du fait de l importance que prend l exp rience fraternelle les enfants s par s de parents temporairement emp ch s dans leur fonction parentale les fr res et les s urs de personnes handicap es o confront es la maladie psychique Si les uns et les autres commencent attirer l attention l int r t des chercheurs et des praticiens s av re d autant plus justifi que ces situations se r v lent bien des gards illustratives des volutions de la famille au cours de ces derni res d cennies dans leurs dimensions d mographiques sociologiques et thiques On est donc amen consid rer les effets de ces derni res sur la psychologie d
242. ncine CORMAN 6 La psychologie du sport 39 Un parangon de la psychologie qui t moigne depuis 30 ans de ses morcellements et de son unit Du corps vivant au comps v cu quelle psychologie du sport 40 Bernard ANDRIEU La communication engageonte au sevo ae la pr vention ades oonduites aopantes 40 Armelle FAVRE Un exemple d applicabilt et d application en psychologie Entre alliances th rapeutiques et injonctions culturelles 40 Giles LECOCQ De quelques points aveugles de la psychologie du sport Accompagner l expertise et la performance 40 Ana lle MALHERBE Un m tier impossible pour le psychologue du sport 1 Sant mentale 42 Nouvelles pratiques et perspectives Psychologie communautaire Vers de nouvelles pratiques pour les psychologues cliniciens 42 Nicolas DAUMERIE quipe Mobile Psychiatrie Pr carit Quand la pr carit ne faiblit pas le travail du psychologue 43 Olvier JAN Cr ation d une quipe mobile de Pr vention du suicide en Sarthe 43 H d ric HASSAN Tentative de r inscriotion de la sant mentale dans la cit Fr d ric PETER Psychologue l h pital 44 Senja STIRI Une place construire entre l individuel et le collectif 2 Psychologues et services de somatique 46 Le psychologue l h pital g n ral Le psychologue dans un service de m decine et r animation n onatales 46 Isabelle BULLE Une pratique singuli re La place du psychologue dans un service de M decin
243. ne pratique toujours singuli re La sp cificit de cette pratique clinique est sans doute li e ce que j appellerai la tridimensionnalit permettant de recueillir et de traiter des donn es appartenant 3 registres celui de la famille celui de enfant potentiellement menac sur le plan psychique et physique et celui de l institution partir de ces trois sources il devient alors possible sous le prisme de l analyse des mouvements transf rentiels de ravailler sur une prise en charge complexe qui permet l institution de la protection de l enfance de conserver certes sa potentialit protectrice mais de soutenir aussi sa fonction th rapeutique Expert psychologue l avenir Proposition de r forme de l expertise psychologique et de l expertise psychiatrique judiciaires Jean Pierre BOUCHARD Les graves dysfonctionnements de la justice dans l affaire dite d Outreau ont fait prendre conscience au grand public du probl me des erreurs commises en mati re d expertise psy et des dramatiques cons quences humaines que peuvent ventuellement co g n rer de telles erreurs H las ces erreurs sont loin de se limiter ce s isme judiciaire tr s m diatis Aussi Une r forme r aliste de l expertise psychiatrique et de l expertise psychologique en France devrait tre rapidement mise en uvre Face l volution pr visible
244. nement catholique il est l interlocuteur privil gi des chefs d tablissements confront s une situation d enfant pour laquelle l hypoth se de maltraitance peut se poser Par son travail d valuation sa connaissance de la loi et du partenariat il guide l quipe dans le recueil des informations le lien l enfant victime et l annonce la famille concern e sauf si l int r t du mineur est en jeu Une approche clinique reconnue Son expertise vaut pour l valuation 1 Des situations d l ve approche psychop dagogique des observations des signes de mal tre dans le milieu scolaire approche articulant le d faut d int riorisation de la loi comme interpr tation des actes de transgression et permettant Un meilleur accompagnement du mineur victime et agresseur Q Q D 53 E D O O a approche clinique sp cifique vitant de banaliser les actes maltra itants et de les remettre en perspective au vu d une connaissance du d veloppement psychoaifectif des mineurs notamment en question d agressions sexuelles 2 Des situations d adulte approche du traumatisme et des effets produits penser l impensable lors de d voilement pouvant mettre en cause un membre de la communaut ducative approche d iIntervision aupr s des coll gues psychologues assurant les permanences d coute en
245. neurologiques d g n raiifs et vasculaires susceptibles d tre la source des troubles incrimin s Des comp tences en neuropsychologie s imposent donc afin de choisir avec soin les outils qui sauront rep rer au mieux les fragilt s mais aussi les ressources l uvre et contribuer tant l tablissement d une proposition diagnostique pertinente qu la r flexion sur la mise au point d un projet th rapeutique adapt Mais la clinique de la plainte mn sique d passe la seule question de la neuropsychologie cognitive En effet l impression p nible et angoissante de ne pas parvenir mobiliser ses potentialit s cognitives n est potentiellement pas sans lien troit avec la psychopathologie de la vie quotidienne notamment lorsque les r sultats au bilan neuropsychologique sont bons eten contraste de fait avec l intensit dela plainte subjective On sait qu une forte corr lation existe entre la plainte mn sique et les scores obtenus des chelles d anxi t et de d pression mais il peut s av rer n cessaire de comprendre plus avantla valeur fonctionnelle de cette plainte marqu e par l impression de perte et l angoisse de ne plus tre psychiquement autonome Bien des femmes et des hommes quiconsultent n ont jamais rencontr n psychologue auparavant et s tonnent parfois de ce moment clinique rguant de ne consulter que pour un probl me m dical qui n aurait rien voir avec quelque fragilit psychique
246. niveau de qualit ad quat La communaut scientifique internationale Universitaires et chercheurs a par ailleurs propos un certain nombre de r gles o de principes de base que les outils d valuation d vaient satisfaire Consid rant les risques importants etle danger pour les personnes et les organisations li s l utilisation d outils mal construits pl sieurs diteurs reconnus ont choisi de se regrouper et de s associer des partenaires renomm s de la communaut scientifique pour metre en avant ces r gles et ces principes en cr ant une charte de d veloppement et de diffusion d outils d valuation Pour tre efficace elle est simple et pr sente les crit res qu ils consid rent fondamentaux La charte concerne les ouiils d valuation et de d veloppement des personnes questionnaires de personnalit tests d aptitudes intellectuelles et les inventaires d int r ts professionnels Pourquoi une association LAET Association des diteurs de Tests constitue Une tape suppl mentaire apr s la Charte pour l promotion de la psychom trie en Tant qu organe officiel de repr sentation et interlocuteur des institutions publiques En d autres termes il s agit de d fendreet promouvoir une discipline scientifique indispensable mais mal connue au service d une valuation objective quitable et non discriminant
247. ns leurs travailengag aupr s de Ces personnes tr s d socialis es apparaissant souvent dr s tranges Le travail des EMPP s itHes recommandations formul es d s les ann es 1995 dans le rapport aux ministres dit de Rapport LAZARUS Le r le des psychologues est certainement diff rent d un lieu l autre parioisilest dit que ces quipes font l travail relevant ordinairement du secteur d une d clinaison l autre du travail possible d une EMPP m me s l est encadr d fini par une circulaire de 2005 en fonction de l histori du lieu des personnalit s et de leurs combinatoire favorable cr ative o scl rosante fuir Dans mon exp rience que je pense plut t favorable le r le du psychologue comporte diff rents volets clinique directe avec des personnes pr sentant comme seul point commun de ne pas tre priori des indications pour eux o pour la psychoth rapie classique clochards psychotiques o non jeunes en rrance demandeurs d asile o gens d bout s du droit d asile Une diversit de r alit s et de situations norme riche et passionnante Mais aussi des r alit s tr s rudes celle des individus en question celle de l envers deda patrie des Droits de l Homme qui nous plonge dans les logiques n gatives de notre culture et de notre organisation sociale Les psychologues avec leurfa on comme les autres professionnels des EMPP ont travailler avec cet ensemble de missions et de r alit s C
248. nsabilit qu elles n en avaie nt l poque ce qui leur impose un temps de travail certainement moins souple Mais les familles mo noparentales organis es forc ment modifi fondamentalement les attentes de ces mamans isol es autour d une femme seule sontelles aussi beaucoup plus fr quentes qu elles ne l taient alors ce qui Dani le D louvin au titre d l ANAPSYpe Association Nationale des Psychologues pour la petite enfance lance n plaidoy r pour une psychologie pr venante travers ce plaidoyer elle revendique l enfance que son action principalement que le psychologue clinicien uvre au respect du temps de sociales rie Paule Thollon Behar responsable du p le Petite Enfance ducation du centre de formation continue de l cole Rockefeller Lyon elle analyse le r le actuel du psychologue en cr che en militan ne soit ni une dide des apprentissages performants ni une aide la normalisation des conduites pour que ce r le se joue aussi dans l accompagnement et le soutien des quipes pour am liorer d veloppement socio cognitif Claire Leconte professeur m rite de psychologie de l ducation analys ant que faire se peut les conditions d accueil garantissant le bien tre de l enfant ainsi que son possible le r le de tout psychologue sans tiquette dans toutes les miss
249. nser Ensemble le Travail membre de Reliance et Travail annesyMie gregoire yahoo fr Annie MADRI RES Psychologue du travail exercice en lib ral L Atelier des M tiers 7 rue Boursault 75017 Paris vice pr sidente de Penser Ensemble le Travail Z onnie maodrieres wanadoo fr z o X L Pr sentation g n rale Annie MADRI RES La sant au travail est devenue depuis quelques ann es Une pr occupation majeure que ce soit de la part des pouvoirs publics comme de celle du monde de l entreprise et olus largement des organisations inventer des moyens de pens e et d actions pour permettre aux travailleurs de sauvegarder leur sant au travail voire de la d velopper est un des enjeux pehare pour les professionnels de la sant au travail mais aussi plus largement p ur tous celles 8F ceux quisont concern s parle s jet La pluridisciplinarit est alors convoqu e de mani re explicite l gislation et r glementation particuli rement au sein des services Interentreprises de Sant au Travail et plus oficieusement dans les autres milieux Pour que cette notion soit r ellement op rante ils agit de la d finir de mettre en visibilt les potentiels mais aussi les points de but e dans l optique de construire des dispositifs durables et satisfaisants pour ceux qui y participeront et ceux qui en b n ficieront
250. nsgressifs constituentls une demande de reconnaissance d un droit l existence Permettent ls de r inscrire la personne d tenue dans la communaut des humains EsHI l enjeu du travail du psychologue clinicien en UKSI dans l articulation entre le soin au singulier et la justice pour tous Existe t il une sp ciici de la clinique en mileu carc ral L exemple des Auteurs d nfractions Caract re Sexuel Adeline CHAUFER Depuis les ann es 1980 ef la prise en compte du discours des victimes de violences le nombre d incarc rations d Auteurs d infraction s Caract re Sexuel AICS a consid rablement augment Ainsi l nombre de condamn s sous crou pour viols agressions et atteintes sexuelles est pass de 1051 en 1980 86 0 en 2005 soit une augmentation de plus de 600 jusqu atteindre un quart de la population condamn e De nombreux chercheurs et cliniciens se sont alors int ress s la question des violences sexuelles notamment la suite de la recherche action men e par Claude BALIER et son quipe entre 1993 et 1996 La Conf rence de consensus de 2001 intitul e Psychopa hologie et traitements actuels des auteurs d agression sexuelle a permis Un tat des lieux des th ories et des pratiques en mati re de violences sexuelles et a ouvert la voie des pistes de recherche originales et de nouvelles perspectives th rapeutiques ce jour les auteurs s accorden
251. nt Ces situations soudaines se d finissent par une impr paration une effraction psychique compte tena dela peur de limpu uissance suite un v nement entrdnant Un risque vital ou de blessure s v re pour soi ou pour autrui lorsque l individu est t moin o proche de la victime DSM4V TR 2003 Ces v nements peuvent tre consid r s comme des traumatismes de type l ou Il Terr 1991 Tharh Huy 2010 c est dire correspondre respectivement un v nement unique isol et limit dans le temps o des situations qui se r p tent N otre Collectivit a misen place depuis plusieurs ann es un dispositif de pr vention du stress oost raumatique soutien d l institution dispositif de prise en charge par n prestataire sp cialis Nous pr senterons suceinct ement ses modalit s L Entre autres la question d genre repr sente une difficult r currente pour les m tiers forte connotation masculine garde parcs gouliers agents de la voirie Lidentit de genre peut tre d finie comme a d finition du soi construite en fonction de la masculini et de la f minit dans leurs perspectives sociales Domenech Dorca 2012 Les repr sentations sociales de masculinit et de f minit sugg rent l importance des conventions des normes des prescriptions des id aux ef des injonctions qui en d coulent BarusVichel Olinier 2014 DomenechDorca 2012 Wood Eagly 20
252. ntation professionnelle De nombreux sortants de prison se retrouvent fragilis s par un manque de perspectives d avenir Derni rement l Observatoire Ntemational des Prisons et Emmaus ibidem ont nonc que l prison renforce l exclusion au lieu de r ins rer les plus pr caris s achevant ainsi de les marginaliser Cependant la m me tude ibidem a r cemment soulign le fait que l accompagnement social des publics ne pr sentait pas d sp cificit particuli re Les besoins en mati re ducative sanitaire d h bergement et de logement ceux relatifs l activit professionnelle semblent en effet universels Les services d insertion t de probation p nitentiaires SPIP sont les acteurs majeurs de ce retour en soci t et mettent en uvre des dispositifs avec les ressources accord es De l aide la d cision judiciaire l pr paration la sortie comme au maintien des liens familiaux les conseillers d insertion et de probation tendent r pondre aux diff rents besoins de la population carc rale en mati re de ins rtion kes nombreuses mesures judiciaires telles que le placement l ext rieur les obligations o bien encore le port d un bracelet lectronique offrent la personne d tenue des possibilit s d un retour en soci t N anmoins ces mesures ne permettent pas forcement d tre accompagn es vers une orientation professionnelle e
253. nts de la maladie sur les registres physique cognitif et psychique tenir Un nouveau poste La sp cificit de l accompagnement est de soutenir psychiquement l agent dans l ensemble de ces processus annonce renoncement r am nagement reprise de travail maintien et p rennit sur le poste Cette communication revient sur les fondements th oriques et conceptuels les coop rations avec la m decine professionnelle et pr ventive Quelles strat gies colabora ives le psychologue du travail doit il d ployer avec les professionnels issus d univers m tiers diff rents Quels sont d une part les retentissements des collaborations sur le cadre de travail du psychologue et sa place dans le processus et d autre part comment l accompagnement dispens emprunt des diff rentes disciplines comme la psychopathologie la psychodynamique du travail et la m decine du travail modifie Hl la pratique du psychologue du travail L int gration des psychologues au sein des quipes des Services de Sant au lravail Interentreprises Charlotte BESSON Anne Syivie GR GOIRE 2 D X lt L La r forme de la m decine du travail en 2004 a inscrit l exercice de la m decine du travail dans le cadre plus large de la sant au travail et inclut la pr vention collective men e en mode pluridisciplinaire Apr s un d marrage timide l int gration des psychologues en SSTI s est renforc
254. nus modalit s de reconnaissance autorisant l exercice par l examen des cons quences que pourrait avoir cet allongement de la formation en France sur la question de la mobilit internationale LES R SUM S 2 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 4 Une page d histoire de la psychologie en France Un hommage Serge Moscovici 4 Symposia n 6 samedi 6 juin 14h30 16h30 Coordonn par Christian BALLOUARD psychologue FFPP Denise JODELET Psychosociologue directrice d tudes honoraire l cole des Hautes tudes en Sciences sociales EHESS Nikos KALAMPALIKIS Professeur de psychologie sociale directeur du laboratoire GREPS EA4163 Universit Lyon 2 Institut des sciences de l Homme B atrice MADIOT Maire de conf rences l Universit de Picardie Jules Verne en psychologie sociale chercheure associ e au Centre Edgar Morin et au Groupe de Sociologie Pragmatique et R flexive de l Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales EHESS Annick OHAYON Maire de conf rences honoraire l Universit Paris 8 Vincennes SaintDenis enseignante l cole des Hautes tudes en Sciences socioles EHESS C est une page d histoire que nous souhaitons en couleurs cette ann e malgr le r cent liser d deuil autour d une grande figure de la psychologie fran aise avec la disparition de Serge MOSCOVICI le 16 nov
255. ogramme de recherche qui est d velopp dont nous pr senterons une des tudes en cours l objectif de cette tude observationnelle est de mettre en vidence le niveau de capacit s empathiques des auteurs de violences sexuelles travers la production d une lettre manuscrite dans diff rents contextes d laboration Le but ultime est de mettre en relation cette aptitude avec une prise en charge psychologique adapt e 7 N O 0 Q ee A F O D Bibliographie American Psychiatric Association DBSM V 1994Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux Paris Masson Arvzieu D 1985 Le moipeau Paris Dunod Balint M 1966 Le m decin son malade t sa maladie Paris Payot Bessoles P Mormont 2004 Victimologie et criminologie approches cliniques ditions Champ Social Bergeret J 1984 La violence fondamentale Paris Dunod Bergeret J 2004 Psychologie pathologique th orie ef clinique Paris Masson Bernicot J Trognon A Guidetti M Musiol M 2002 Pragmatique et psychologie Nancy PUN Code de d ontologie des psychologues Coutanceau R et al 2013 Jro bles de la personnalit Paris Dunod Cyrulnik B 1993 Les nourritures affectives Paris Odile Jacob Cyrulnik B 1989 Sous le signe du lien Paris Hachette Diatkine G 1997 Jacques Lacan Paris PUF Fodor J 1986 la modula
256. oir s Curiser de plus en plus de d cisions judiciaires en les prenant apr s expertise s ne fautl pas enfin s curiser l expertise elle m me Cette proposition de forme si elle est indispensable en France peut galement trouver une utilit dans des pays trangers la France en particulier dans certains tats membres de l Union europ enne LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 La fonction de conseiller technique en charge du dossier protection des mineurs au sein d un dioc se de l enseignement catholique Laurence ALBERTEAU Une articulation et Une intervention transversale Le dioc se de Loire atlantique a fait le choix devant l obligation l gale renforc e pour le milieu scolaire de se mobiliser en mati re d enfance en danger de sp cialiser Un psychologue Cette fonction de conseil vise tre rep r e par les partenaires comme l interlocuteur privil gi que ce soit pour les services du conseil g n ral o le parquet o l h pital Il est Un partenaire reconnu au m me titre que les autres avec cette sp cificit de psychologue Le tronc commun est de rentrer dans le cadre de la loi et de l obligation de signalement Cette d marche s articule tr s bien avec le cadre de d ontologie du psychologue article 19 et le respect de la convention des droits de l enfant AU sein de l institution enseig
257. olaris s en cole l mentaire montrent que l arbre est un support d identiication et de projection que le l ves s approprient facilement Des volutions positives se manifestent dans l attitude en classe les r sultats scolaires et l eficience cognitive pourla pluparhad entre eux Dans la premi re tude 6 enfants composant le groupe exp rimental b n ficient d un accompagnement avec l Ebreuve des Trois Arbres Les r sultats sont compar s ceux de 2 a tres groupes compos s chacun de six enfants galement l un b n ficie d enseignements par une enseignante sp cialis e l autre de h rapies en CMP Tous les enfants passent au d but et la fin de l tude n test cognitif lE WISC IV et une preuve scolaire L EPOCY Les scores des enfants du premier groupe sont significativ ermment sup rieurs Ceux des deux autres Dans la seconde tude les r sultats de l accompagnement de dixenfonts d groupe exp rimental sont compar s avec ceux de dix autres enfants qui ne b n ficient d aucun suivi Tous les enfants passent les m mes preuves que ceux de la premi re tude Les r sultats du groupe exp rimental sont sup rieurs ceux du groupe contr le Ainsi des enfants qui se sentaient hors course dans l cole mettent jour leurs ressources les exp rimentent lls sont acteurs de le r changement En d couvrant et installant leu
258. ologue dans le champ du travail in O Bourguignon d La pratique du psychologue et l thique pp 61 75 Paris Mardaga Dejours C 2008 Travail usure mentale Essai de psychopathologie du travail 4 d revue et augment e Paris Bayard Hammond GC Croudace T J Radhakrishnan M Lafortune L Watson A et al 2012 Comparative Effectiveness of Cognitive Therapies Delivered Face lo Face or Over the Telephone An Observational Study Using Propensity Methods PLoS ONE DOI 10 1371 journal pone 0042916 Jaffrin S 1992 Les services d aide psychologique par t l phone Paris PUF La sant au bout du fil 2004 La Sant de l homme n 373 septembre octobre Lentile Yaleniois J 2007 l valuation en ressources humaines in O Bourguignon d thique et pratique psychologique pp 205 2018 Paris Mardaga Levy Leboyer C 2003 L valuation du personnel Paris ditions d Organisation guyen Thanh V Haroutunian L Lamboy B 2014 Les dispositifs eficaces en mati re de pr vention et d aide distance en sant une synth se de litt rature Saint Denis Inpes Ouary A 2014 La place du psychologue dans la pr vention des risques psychosociaux Le Journal des Psychologues 314 f vrier Pr vention et aide distance en sant 2013 La Sant de l homme n 422 novembre d cembre Sardas J C Dalmasso C Lefebvre P 2011 Les enjeux psychosociaux de la
259. ommes au travail ou rel gu s hors des organisations productives Dans ce contexte les demandes sociales constituent autant d opportunit s que d cueils Opportunit s de d veloppement de la discipline qui se construit essentiellement dans l action ce qui suppose une pratique r fexive collective et des d bats sur la port e politique et citoyenne des pratiques psychologiques cueils du psychologisme qui rabat sur un sujet solipsiste le poids de la gestion de sa vie professionnelle et personnelle le poids encore de l injonction adaptative qui accompagne la valorisation du changement et la stigmatisation des r sistances au changement Id s20u219jJuoo Le Dans le permanent d bat entre les deux alternatives de la profession adapter l homme au travail ou adapter le travail l homme nous suivrons ici la voie trac e par F Tosquelles 1967 Le destin de l homme et le processus d h umanisation qui lui est propre ne se posent jamais sous le dilemme de s adapter o p rir II construit avec les autres hommes un monde dans lequel il se fera homme Vendredi 5 juin 12h15 13h15 Le SOCIAL Malraitance des enfants l articulation de la clinique du social ef de la criminologie Jean Luc VIAUX Psychologue professeur m rite Universit de Rouen Laboratoire PsyNCA baa 0 V
260. ompagnement pour les agents en situation de fragilit psychique Myriam FROMENT Fr d ric GARCIA Suzanne GLORIEUX Comment accompagner les personnels aux prises avec la maladie mentale dans Un contexte professionnel Quelles strat gies collaboratives le psychologue du travail doit il orchestrer avec ses partenaires professionnels issus de disciplines diff rentes Travailler en pluridisciplinarit au risque de perdre sa sp cificit professionnelle que la confidentialit des l ments lui chappe comme les odalit s de son cadre et dispositif de travail Soutenir une posture clinique peut relever d une gageure me au sein d un service de Sant au travail d une collectivit territoriale Si la pluridisciplinarit est une modalit l gislative et r glementaire elle ne va pas de soi Mais surtout elle bouscule nos r gles de m tier O en sommes nous aujourd hui de notre exercice professionnel de psychologue 30 ans apr s la reconnaissance l gale du titre de psychologue M M P 2 D X lt L Habituellement le psychologue est identifi pour ses comp tences en mati re d coute clinique de soutien et d tayage mis en uvre au cours des s ances r alis es pour les situations le n cessitant Or avec la pluridisciplinarit son travail se transforme En int grant des l ments issus d autres sources que celle du sujet et en portant la situation de l
261. onc jou un r le singulier et original dans l volution des pratiques et du Ositionnement de la profession dans un milieu parfois hostile lls ont t de tous les combats pour une arification du m tier et son insertion dans le tissu social Led Q 4 uellement la situation est en volution positive car le minist re de l ducation semble accepter in la cr ation d un corps de psychologues de l ducation qui soit clairement distinct des celui des enseignants De plus cette cr ation va enfin permettre de recruter des psychologues ext rieurs l institution et de tous les champs de la psychologie C est l une avanc e d cisive I y a donc de nouvelles t ches qui vont se pr senter pour les psychologues dans les tablissements scolaires de la maternelle l universit Le corps Unique de psychologues est une avanc e d cisive mais pas s ufisante I va exister dans ce corps de fonctionnaires deux types d activit s encore trop disparates savoir une pratique centr e sur l aide aux enfants en dificult ducation d veloppement et apprentissage et une autre plus ax e sur l orientation professionnelle ducation d veloppement et conseils en orientation scolaire et professionnelle bien qu il soit vident que les probl mes rencontr s dans les tablissements du secondaires ne peuvent s y r duire alors qu il y a une nette mont e du malaise de la jeunesse dans ces structures pour ne rien dire de c
262. ondissement disciplinaire tant orique que m thodologique et pratique Les Masters professionnels en neuropsychologi s inscrivent dans la transmission d une psychologie clinique Quaglino et G l Nargeot 2014 Les tudiants b n ficient ainsi d nseignements th oriques concernant les pathologies de la cognition la m thode clinique la conduite de l anamn se la construction et la r alisation du bilan neuropsychologique t la r daction du compte rendu Ces connaissances doivent constituer Un socle de savoirs n cessaires ef indispensables l ur devenir de psychologue tout em s articulant avec leur stage pratique Comment peut s op rer une transmission des savoir faire du savoir tre lorsque le savoir th orique est omnipr sent au c ur des formations et que trop souvent la transmission est coup e de toute r alit clinique Lorsque les acquis M oriques supplantent entemps en cr dits universitaires l exp rience duterrain LA formation des tudiants doit autoriser une approche int gr e de la complexit des individus et aux enseignements fondamentaux doivent r pondre la m thode clinique la construction durbilan neuropsychologique audit du patient Comment laborer Un terrain d entente entre niversitaires et praticiens afn que l tudiant puise trouver au sein des savoirs Une aptitude tre ce qu aux avoirs fh oriques l universit lui laisse une place pour tre C est autour de cette r flexion que cette
263. ong des d cennies suivantes et encore aujourd hui la norme de l utilisation des outils du psychologue est la comparaison des moyennes des normes et donc des pairs chelle d eficience intellectuelle chelles et tests de personnalit tests scolaires Depuis plusieurs ann es le psychologue a centr l analyse de ces tests vers le patient lui m me et non plus seulement envers un r f rentiel M me si ce dernier est toujours prendre en compte les Et Ce D S et d un regroupement d l ments Mais comment rendre le bilan th rapeutique au del des r sulta obtenus aux tests du bilan psychom tirique LES R SUM S S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 ne fois que le psychologue acc s ces l ments il s agit d en faire une restitution pertinente et utile our le patient Code de d ontologie des psychologues 2012 Le psychologue doit bien entendu endre des pr cautions sur le fond et la forme de sa restitution aussi bien oralement que par crit Mais urtout le professionnel doit se saisir de cet change de restitution avec le patient pour que ce dernier uisse apprendre des l ments sur lui m me les comprendre et en tirer une valeurajout e pour son volution personnelle De plus le patient peut apporter des l ments compl mentaires voir critiques sur les conclusions du psychologue Cette synth se permet un
264. ontre les m susages de la psychologie Nos actions Participation aux actions publiques et m diatiques pour d fendre la dimension psychologique Veille r flexion et actions sur les grands enjeux de la profession formation initiale textes de loi nationaux et europ ens etc Rencontres avec les Minist res pour les prises de d cisions relatives la profession et son volution Groupes th matiques lieux de d bats collectifs sur les grands dossiers de la profession d ontologie structuration professionnelle FPH champ de l ducation sant au travail enfance etc Groupes de travail en r gions organisation de manifestations locales mise en lien de coll gues d bats sur les enjeux nationaux Publication d une revue F d rer etdes lettres d informations envoy es l ensemble dela communaut professionnelle abordant les sujets actuels qui int ressent la profession Formation professionnelle par et pour les psychologues les EPEP entretiensdelapsychologie org Journ es d tudes nationales autour de grandes th matiques Rendez vous praticiens enseignants chercheurs tous les 2 ans dans le cadre d un colloque national les Entretiens francophones de la psychologie Groupes d intervision Paris et en r gions LES R SUM S OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 changes e
265. ophr nie Nos entretiens ont galement permis de souligner le caract re ill gitime que ces fratries accordaient leur souffrance psychique Aussi les psychologues actuels r auraientils pas un r le jouer dans la cr ation et le d veloppement de programmes psycho ducatifs sp cialement d di s aux fratries dans le but de permettre ces frairies de parler de leur souffrance en toute l gitimit LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Bibliographie Almodovar JP 1981 Les exp riences fraternelles dans le d veloppement de l enfant In Soul M d Fr res et soeurs p 29 43 Paris ESF Beauregard K 2003 Qualit de la relation fraternelle et adaptation des fr res et s urs plac s conjointement ou s par ment en famille d accueil Th se de doctorat Universit de Montr al Davtian H 2003 Les fr res et s urs de malades psychiques r sultats de l enqu te et r flexions Paris Unafam Dayan C Pine Jacquermin S Scelles R 2011 Le placement conjoint de fratries regards crois s de professionnels sur leur pratique Bulletin de psychologie 64 4 329 37 Guillemette F Boisvert D 2003 l entrevue de recherche qualitative avec des adultes pr sentant une d ficience intellectuelle Recherches qualitatives 23 15 26 Kaplan C 1988 The biological children of foster parents in the foster family C
266. order Simplement et parce qu on l a trop oubli toutes ces derni res ann es parce que le propri t dela vi pas cumuler les rythme est une e g n tiquement programm qui n cessite qu on le connaisse bien si on ne veut mal l enfant Ces erreurs ducatives qui vont finalement mettre connaissances sont malheureusement absentes de toutes les formations que ce soit des m decins mate des assistantes Or l analyse que j qu on a Un travail que ducation nelles des pu ricultrices sans parler des parents Comment d s lors prot ger les besoins de ces enfants en plein d veloppement j ai faite d une volution du r le du psychologue charg des jeunes enfants m indique mener y compris en la sant est une mission importante qu ils doivent s approprier efficacement la pr vention de divers troubles chez le jeune enfant e premie int gration l quipe m dicosociale s am liore et leur activit ne cesse d voluer ne s agit plus seulement de d celer les retards mais surtout de r duire les tensions et d adapter au Elle s formation initiale aupr s des psychologues pour es convaincre pour participer Dans un article datant de 1967 Kagan rappelle que la PMI Protection Maternelle et Infantile a cr poste de psychologue en 1954 Pour la petite histoire ce fut aussi mon premier poste de psycholog
267. ort du logicielalceste l analyse d s repr sentations sociales l exemplede deux tudes niques Les Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale 1 85 111 135 s MB Long B C Bermbach N Patterson K Jordan Kahn 2005 Talking about work stress Discourse analysis and Harris C Journal Related Sainsau implications for stress interventions Work amp Stress 19025 121 186 Daniels K Briner R B 2004 How do work stress and coping work Toward a fundamental theoretical reappraisal British of Guidance amp Counselling 32 2 223 234 Long B C Hall W A Bermbach N Jordan S Patterson K 2008 Gauging Visibility How Female Clerical Workers Manage Work Distress Qualitative Health Research 18 10 1413 1428 doi 10 1177 1049732308322604 lieu R 1977 l identit au travail Paris Presses de la Fondation Nationales des Sciences politiques Van Belleghem L De Gasparo S Gaillard 1 2013 Le d veloppement dela dimension psychosociale a travail In PFalzon d Ergonomie constructive pp 47 60 Paris PUF LES R SUM S D S lt D Q lt Q d z X lt L 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 4 L volution du m tier de psychologue et de ses pratiques Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Christine JEOFFRION ma tre de conf rences Habilit e Diriger de
268. os es par la FFPP dans le cadre des Entretiens de la Psychologie et de l Enseignement en Psychologie EPEP LES R SUM S o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE _W epep Entretiens Psychologue a rEnseignement Psychologie formations colloques NANCY LES 5 6 JuN 2015 journ es d tude Maintenir et d velopper chez les psychologues un haut niveau de qualification fon damentale et appliqu e Promouvoir la formation permanente et contribuer son d veloppement Pourquoi EPEP Article 2 des statuts de la FFPP Ces Entretiens du Psychologue et de l Enseignement en Psychologie ont l ambition de rassembler toutes les actions propos es par la FFPP et qui concernent la formation des psychologues La formation est un axe prioritaire de la FFPP et depuis sa cr ation nous avons patiemment d velopp des th mes de r flexion qui prennent en compte les identit s plurielles des psychologues Objectif Promouvoir la profession et la discipline l acception ancienne entre tenir signifiait se soutenir mutuellement En r actualisant cette d finition nous la d clinons dans ce vecteur privil gi d information et de formation du site des EPEP des formations pour les psychologues et par des psychologues Un catalogue virtuel et Une version papier sur demande vous invitent d couvrir nos formations Venez a
269. oute sa complexit Le psychologue sp cialis en neuropsychologie base sa pratique sur une grile de lecture sp cifique au carrefour de la psychopathologie de la psychologie cognitive de la neurologie et des neurosciences Depuis 1992 et la cr ation du premier DESS dipl me d tudes sup rieures sp cialis es l universit de Savoie la neuropsychologie est devenue une sp cialit de la psychologie part enti re D abord confin s aux services de neurologie et de g riatrie les psychologues sp cialis s en neuropsychologie montrent d sormais leurs apports dans des lieux d interventions plus vari s Nous ferons ainsi le point sur leurs domaines d interventions aujourd hui Dans une deuxi me partie nous pr senterons les dificult s rencontr es par les psychologues sp cialis s en neuropsychologie Apr s une p riode de relative facilit d insertion professionnelle due la nouveaut de cette sp cialit ils font d sormais face un march du travail peu favorable l instar de leurs coll gues psychologues d autres sp cialit s Au del du contexte socio conomique fran ais nous faisons le constat que ces difficult s pourraient tre galement li es l augmentation exponentielle du nombre de formations en neuropsyChologie ces quinze derni res ann es Cazin 2013 Ces dificult s d insertion professionnelle sont par ailleurs associ es des
270. oxalement la Psychologie a d laiss ce champ malgr les sollicitations des disciplines de conception et des Sciences de l information et de la communication Djaouti Alvarez Jessel 2010 Il est consid r ici que l interaction avec le jeu vid o est r ussie lorsque ses caract ristiques s accordent aux attentes et aux besoins des joueurs Hartmann Klimt 2006 Sherry Greenberg Lucas Lachlan 2006 La personnalit d termine une part des attentes et les besoins psychologiques des sujets Rolland 2004 I a t observ r cemment qu elle est impliqu e dans le style de jeu Bean Groth Marna 2014 Cp Nos travaux s inscrivent dans une dynamique int grative de ces trois perspectives avec pour objectif de d terminer les facteurs de personnalit qui influencent l exposition aux jeux vid o II s agit de tenir compte des caract ristiques des jeux vid o en supposant que celles ci ont des effets sp cifiques plaisant aux sujets selon leur personnalit et leurs attentes partir d une tude comparative de la personnalit des joueurs en ligne horsdigne et des non joueurs nous montrerons comment la tendance fuir la r alit la construction d une image id alis e de soi la recherche de sensations la d sinhibition sont impliqu es dans la pratique du jeu vid o en ligne Mathieu Berardi Toniolo 2012 Les attentes pouvant tre satisfaites par la sp cificit du mode
271. passation du du r seau social De plus Family Apperception Test outil syst mique projeciif pe inconscientes concernant la famille et les relations Finalement le dernier entretien de de construire le sociogramme de chaque sujet et donne ainsi des info l analyse relationnelle du sociog construits avec les membres du r seau Les met de travai ler avec les repr sentations plus echerche perme mations sur l tendue et la vari t iz re amme permet de sultats de ces trois rencontres doivent pe p rer l lectivit des liens lens familiaux et extra familiaux De plus cette recherche vise l exploration du sociales d velopp es au sein de la fratrie pendant l enfance Scelles 2010 LES R SUM S jen en les comp tences sociales metre l analyse des re les comp tences Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 effectivement utilis es pour la cr ation de liens extrafamiliaux l ge adulte Toutes les donn es recueillies sont exclusivement issues des entretiens men s avec les sujets Cette perspective doit permettre de mieux comprendre le lien entre le d veloppement des comp tences sociales et l inclusion soit de rep rer les facult s du sujet engager des relations avec autrui et participer la vie collective en s identifiant et en
272. pative coute active relation de confiance etresoectmutuelontcontribou l impelication tous les niveaux hi rarchiques de l organisation Les m thodes fond es sur cette d marche participative inscrite dans la dur e ont facilit une contribution cr atrice des acteurs dans des espaces favorisant organisation d un dialogue Davezies P 2012 et la formulation de propositions de changement co construites Des groupes de travail centr s sur une probl matique ont t institutionnalis s r flexion au niveau des supports de communication des conditions de travail refonte du journal interne constitution d un comit de r daction Une valuation du dispositif est pr vue fin 2015 Bibliographie American Psychiatric Association DSMAV TR 2003 Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux 4 me dition Paris Masson Barus Michel J Molinier P 2014 introduction Nouvelle revue de psychosociologie 117 719 http www cairn info revue nouvelle revue de psychosociologie 2014 1 bage 7 him Bulletin de psychologie 2004 Les groupes centr s focus groups num ro th matique tome 57 471 fascicule 5 Cyrulnik B 2005 R silience et d veloppement cognitif Le Cog h ron 81 112 127 DOF 10 3917 cohe l81 0112 Daniellou F 1992 Le statut de la pratique ef des connaissances dans l intervention ergonomique de conception M moir d Habilitation D
273. performances ducatives t des exigences de rentabili e enfance a engage couter a implique qu on ne sache pas l avance ce q dans Une pr sence et face manag riaux et des conceptions Consum ristes dans le champ dela g puisse se construire E re uiva se produire un accompagnement attentifs attentionn s envahissement nomb es en INjonc pete enfance pour que le tempes de l enfance soit respect ef ne soit entabilit Le champ de la tre nouveau asservi une aide la normalisation des conduites socia te dans des march s publics de rentabilit psychologie reconnu comme sciences humaines ne peut pas omnipotence de la sci nce Ou au scientisme au risque eux encore sont les psychologues cliniciens travaillant aupr s des petits enfants et de ceux qui ourent qui uvren ions de rapidit de des apprentissages performants ni d ontologique etnon insc Das soumis AUX du monde des adultes La pr vention pr venante n est pas l aide es L thique est re ne doit pas de faire chuter la dimension humaine Comment respecter les rMihmes des enfants les plus jeunes les apooris ds psychologues Claire LECONTE Pourquoi dans Une table ronde sur espaces et mod les de pr ventions chez le jeune enfan la probl matique du respect des rythmes de ces enfants ab
274. pide des gardes parc peut le sugg rer la r partition apparemment in gale de cette capacit peut alors entrainer diff rentes vigilances et diff rents accompagnements individuels pr vention tertiaire ainsi que divers renforcements individuels et collectifs pr vention secondaire afin de renforcer les facteurs de protection et de travailler les interactions entre les facteurs internes et externes Jravail ef Blen amp rre Pr sentation d une intervention dans une collectivit territoriale C cile BAPST l objectif de cette communication est de pr senter le processus l uvre ef l s r sultats provisoires d une intervention visant l am lioration du bien tre du travail Elle a t r alis e au sein d une collectivit territoriale de 350 agents situ e d ns Une ville moyenne des Pays de la Loire L intervention est fond e sur une m thodologie qualitative Un premier temps a consist en la mise en place d un comit de pilotage qui a permis de pr ciser l demandeet les moyens mis disposition Dans un second temps Un brainstorming sur le M me du bier tre au travai aupr s d un groupe h t rog ne de salari s volontaires a eu pour objectif de d gager les repr sentations li es au bien tre au travail Dans un troisi me temps cingfocus groups ont permis de pr ciser ces re
275. ppariement 1 1 issus de l chantil on de 3 6 s des familles ayant un membre pr sentant un iano etak 1996 Les scores de qualit sujets repr sentatifs de la population fran aise sans S Les pr sents r sultats t moignent d une qualit de vie psychique moins satisfaisante chez les fratries de patients souffrant de schizophr nie comparativement cel QdV psychique population g n ra strat gies de coping majoritairement EE 47 8 100 et QAdV psychique fra ces fratries sont les s e de la population g n rale tries 37 7 100 p 024 Les em ploy es par sur le maintien social 2 7 4 et cent es sur le prob me 2 3 4 permis de constater que certains th mes taient r currents dans les d trat gies de coping centr es Les entretiens nous ont galement iscours de ces fratries v cu rraumatiquede la premi re hospitalisation la stigmatisation de la pathologie du fr re de la s ur pr sence d angoisses telles quela peur de t d tre eux m mes po teurs de cel parents dans leur r le d aidan Discussion conclusio ansmettre la pathologie leurs enfants la peur te maladie psychique o encore peur de devoir prendre la suite des n Ces r sultats pr liminaires t moignent de la d tresse psychique des fr res et s urs ayant un e fr re s ur souffrant de schiz
276. pr sentations Il s est agi de recueillir les points de vue d faire appel l m moire sociale de r fl chir aux probl matiques cibl es et de co consiruire des pr conisations Sous couvert de l anonymat des personnes consult es les donn es recueillies ont t cat goris es et resttu es lors de s ances de travail avec tous les membres du comit directeur Un groupe puis avec Tous les encadrants deux groupes afin d tayer les r flexions issues des premi res investigations LES R SUM S A GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 Les donn es recueillies par brainstorming concernant les repr sentations du bien tre au travail ont t cat goris es en quatre th matiques Communication et information Organisation du travail Reconnaissance et relations de travail et Du mal tre au bien tre Les focus groups ont confirm la pertinence de ces th mes et mis en vidence des carts entre les repr sentations sociales des diff rents groupes consult s des d ficits de communication qui occasionnent des dysfonctionnements des besoins de reconnaissance et de valorisation des m tiers Des plans d actions ont pu tre envisag s out au long du dispositif et tous les niveaux hi rarchiques a D marche partici
277. quiez G Pernici M et Deininger E 2014 l Organisation Fran aise des Psychologues sp cialis s en neuropsychologie un nouveau d part Les Cahiers de Neuropsychologie Clinique 3 77 83 LES R SUM S de gt L D o Q j D SIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 NTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOG E GS OJUDS EX cp gt D N LL s2 ep LE a ad A T depuis 30 ans les psychologues interrogent leurs MA pratiques dans ce champ les volutions soci tales confrontent les psychologues de nouvelles exigences X deviennent Un enjeu de formaion gt thiques qui d valuation ef de responsabilit s FRANCOPHONES DE LA a PSYCHOLOGIE 201 A NTRETIENS Q Q D 5 E D O O a ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 o 1 30 ans d expertise psychologique Bilan et perspectives 9 Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45 Coordonn par Alain DUMEZ psychologue expert pr s la Cour d Appel de Versailles expert agr e pr s la Cour de Cassation pr sident de la CNEPSY T alaindumez free fr Christian BESNARD Psychologue psychoth rapeute expert agr pr s la Cour d Appel de Rennes charg de cours l Universit mm besnardc orange fr Alain DUMEZ Psychologue expert pr s la Cour d Appel de Versailles expert agr e pr s la Cour de Ca
278. r l APPE et acteurs associatifs du tissu social fran ois depuis janvier 2013 a n l tude tait structur e autour de a litt rature une phase de comm La phase de recherche est con rois phases indissocialb qui y si gent valuent les besoins de la personne notammen e celles des psychologues r alisant des valuations es Une phase d analyse et de syn sur nobilis la plupart des d cideurs Elle avait pour objectif d tudier la probl ma valuation psychologique des enfants et des adolescents en situation de handicap dans le nouveau panorama th orique et logistique fran ais ique de h se de npos e de trois axes probl matique de l valuation selon diff rents angles de vue Unication et Une phase de recherche proprement dite indissociables permettant de trianguler la 1 L valuation psychologique en MDPH comment les quipes pluridisciplinaires en charge de l valuation des besoins se figurent elles la nature l utilit la pertinence les limites na de l valuation psychologique Comment l Utilisent elles Qu ont elles en dire Cet axe est tudi via des Focus Group r alis s aupr s de 11 quipes de MDPH ainsi que 207 questionnaires recueillis aupr s de personnels participant des valuations d enfants et d adolescents 2 Les constats et repr sentations des psychologues comment per oiventils les changements li s aux
279. r propre rythme non en fonction d une norme pr tablie mais gr ce l exp rience v cue ils donnent du sens leur vie d colier etinstaurent un nouveau rapport l cole aux apprentissages et aux autres LES R SUM S am Q O Q O Eas D gt lt lt L o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 EMILE et le je du miroir La construction de l identit chez le jeune entant Christophe LUXEMBOURGER Nadine DEMOGEOT Antonieta SPECOGNA LO es SOI entretien to nous int ressons particu uridisciplinaire participant P a que les acteurs de la pe P des patterns oculom trig u n clairage Nouveau s communicationvise pr sente des technologies nouve de la conscience de soi che les d inv roir Identit Langage noncia us les trois mois et ten a conscience de soi et de l identit Nos ion des r cits nonciatifs chez l en lorsgue i remen processus l oeuvre fant cet estigation z l enfant tou Ei te de co mett enfant o t l av nem e recherche ent en place trois dispositifs bserve son image dans le l appu uid un montage vid oles r sultats d une recherche employan eye tracking au service de l tude du d veloppemen h o venant g de 15 48 mois La que actuellement Une ving mprendre comment s articule avaux en lien avec
280. rante en Psychologie du TravaiHrgonomie Assistance P blique HGpitaux de Paris H pital Avicenne Bobigny mm renjoshi gmai com Violaine DURAND Psychologue Sp cialit psychologie sociale et du travail consultante en lib ral Nantes Volaine durand orange f Christine JEOFFRION Maitre de Conf rences Habilt e Diriger des Recherches Psychologie sociale du travail et des organisations Laboratoire de Psychologie des Pays de Loire LPPLUPRES EA 4638 Universit de Nantes Facult de Psychologie Chemin de la Censi du Tertre BP 81227 44312 Nantes Cedex 3 pr sidente de la Coordination Pays de la Loire de la F d ration Fran aise des Psychologues et de Psychologie Z Christine jeoffiron uni nantes fr G rard VALLERY Professeur des Universit s en Psychologie du Travail et Ergonomie responsable de la so cialit Dynamiques sociales Travail et Organisations DTO directeur du Master 1 amp 2 DTO du parcours Facteurs Humains et Syst mes de Travail et du DU Stress et Sant au travail Centre de Recherche en Psychologie EA 7273 Universit de Picardie Jules Veme Chemin du Thil 80009 Amiens mm gerardvallery wanadoo Pr sentation g n rale Cl ment CHARPENTREAU Le Psychologue du travail s estinstall comme n acteurde sant reconnu dans la pr vention des risques psycho sociaux RPS Ces risques l intersection des variables individuelles et collectives s ins
281. re MAZZA MAINPAIN Jean Pierre MINARY Michel BOUTENQUOI Si les enjeux du placement familial titre permanent dans le cadre de l Aide Sociale l Enfance concernent videmment en tout premier lieu les enfants d plac s d une famille l autre l accueil constitue n anmoins ur v nement particulier au regard du syst me familial et plus encore des enfants accueillants Parnos travaux NOus avons cherch mieux saisir la singularit des exp riences fraternelles Almodovar 1981 susceptibles de se tisser entre enfants accueillants et accueillis au del des configurations relationnelles tradiionnellementissues de la filiation o de la recomposition Bien qu il soit en effet possible de rapprocher certains l ments avec ce quise passe dans d s familles recompos es la mani re de faire famille o dfratrie en famille d accueil reste singuli re Elle en diff re tout d abord sensiblement dans 1 a mesure otla personne qui s adjoint la famille n est pas un adulte n beau parent mais un enfant sans son ascendant Au del elle s en distingue aussi et surtout parle cadre de la protection de l Enfance la temporalit inh rente au dispositif d accueil et selon nous l importance de la sph re travail qui m diatise et oriente fortement les rapports entre enfants Ainsi dans la mesure o le cadre du placement s institue la crois e des sph res familiales et professionnelles nous avons cherch comprendre comment
282. re estime que le psychologue inqui t a entrav son code de d ontologie il peut d cider de sanctions disciplinaires Une alternative cette proc dure est galement propos e via la m diation cette formule vise r soudre le litige entre le psychologue et le plaignant La Commission des Psychologues est l instance officiele qui s assure de la protection du titre de psychologue et du respect du code de d ontologie en Belgique Ces deux obligations qui incombent au psychologue valent pour l ensemble de la profession ind pendamment des sp cialisations domaines d activit o statuts Cette situation sera modifi e d s l entr e en vigueur de la nouvelle loi reconnaissant la psychologie clinique et la psychoth rapie Nous retracerons l historique de ces r glementations les r sultats actuels et nos souhaits pour le futur O en est la France par rappor aux dispositions et recommandations de la FEAP en mati re de d ontologie code ef instance de r gulation Beno t SCHNEIDER Alain L TUV La FEAP F d ration Europ enne des associations de psychologues dont la France est membre par la FFPP ayant statut d ONG r pr sentaiive pr s les instances de la Communaut vise harmoniser les crit res et exigences des cursus et pratiques des psychologues en Europe La France a parall lement uvr au plan national pour que l Code d
283. re et enfin de s enrichir Chaque patient es h mes en lien avec les addictions dans une coute particuli re du groupe qui reste silencieux durant le temps d expression du participant puis chacun peut aussi en dire quelque chose Le Jeu de soi est Un outil th rapeutique qui permet d ouvrir Un espace d laboration psychique en nellement reconnus qui ne sont pas toujours adapt s pour tous en fonction des moments des demandes et des structures de personnalit Outils cr e au sein d un CSAPA dans le cadre d un travail pluridisciplinaire tel qu il est envisag en alcoologie le psychologue a particip sa cr ation et le co anime O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Cette proposition th rapeutique a montr une certaine pertinence dans l espace psychique qu elle ouvre et dans l int r t que les participants y ont manifest dans leur aventure singuli re vers eux m mes Selon nous ce jeu renvoie l espace potentiel cr atif tel qu il a t d fini par Winnicott C est enfin Un outil vivant qui se r invente chaque groupe avec les participants D autres quipes ont pu galement le faire vivre et voluer leur mani re dans d autres cadres r sidentiels psychiatrie adulte et de l adolescent Bibliographie Bernheim B D Rangel 2004 Addiction and cueriggered decision processes American Economic Review 94 5 1658 1590 Blanc V Gaudriault P 2014 Abs
284. rit de l esprit Essai sur la psychologie des facult s Paris ditions de minuit Gravier B 1993 Psyhofh rapies en prison possibilit limites valuations in B Doray JM R nnes eds Regards sur la folie p 71 76 Paris l Harmattan Grice HP 1975 Logic and onversation in P Cole et J L Morgan db Studies in syntax vol 3 Speech acts p4148 N EwYork Academic Press GrossenM Salaz r Orvig A 2005X L entretien clinique n pratique Paris ditions Belin Lacassagne 1886 Pr cis de m decine judiciaire Paris Masson arty P 1908 L ordre psychosomatique Les mouvements individuels devie et de mort D sorganisations ef r gr ssions Paris Payot et Rivages ichel L Brahmy B 2005 Guide de la pratique psychiatrique en milieu p nitentiaire Paris ditions Heures de France oeschler J 1996 Th orie pragmatique t pragmatique conversationnell Paris ArmandColin usiol M Trognon A 2000 l ments de psychopathologie cognitive le discours schizophr ne Paris Armand Colin LES R SUM S Q Q D 3 E D O O a o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 3 Le psychologue face au mandat judiciaire E Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00 Coordonn par Christian BALLOUARD psychologue Laurence ALBERTEAU Psychologue Certification EUROPSY th rapeute familiale So
285. rite dans la d marche de comm naut s d apprenants d Brown et Campione 1995 La cr ativit sera abord e comme un conceptiransversal qui s applique l apprentissage des math matiques et du fran ais Elle se d ploie de mani re individuelle o collective au niveau des projets labor s par les l ves l objectif vis de cette communication est de pr senter la d marche concr te v cue par la communaut classe afin de mettre en videnceles dispositifs autour de l arbre de connaissance qui ont favoris la cr ativit ainsi que les productions d l ves r alis es dans le cadre de l apprentissage des math matiques et du fran ais Nous voquerons galement le syst me de valeurs explicit en classe Howden Kopiec 1997 s0n r le dans l mergence dela cr ativit chez les l ves ainsi que son lien avec un climat de classe favorable aux apprentissages Performances compar es en production crite d adolescents HH et adolescents toutvenant Amandine PEYREBRUNE Jean No l FOULIN Maria PEREIRA DA COSTA L tude pr sente est consacr e l analyse des composantes de 1a prod ction crite chez des adolescents Haut Potentiel Intellectuel HPN Les mod les d apprentissage de la production crite 6 9 Berninger Swanson 1994 mettent en avant la distinction entre des processus transcriptionnels o de bas niveau ex c
286. rme Simulan ment le place des personnes vivant avec un psychique et Usagers des services de sant mentale a volu du malade ali n par sa maladie plus complexe tion du psychologue de service Sans que notre statut est chang effectivement la psychiairie et des politiques de sant mentale en France et en l organisation des services et les ti hospitalier au communautaire au sens territorial du terme HAS Territoria de soins impliquant le d veloppement d un cadre mobile et interconnect quipe p partenariat r seau pr s un bref rappel des r centes voluti Europe deux axes seront particuli fonctions du psychologue Changements des proti uri profession s vers trouble celle Je OUS ons de ement ques isation parcours nelle a pratique d un secret professionnel partag la participation la d mocratie sanitaire locale Un changement de paradigme et Un changement de positionnement Avec le d veloppement de LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 la philosophie du r tablissement et pratiques orient es vers et par le r tablissement et de l empowerment des usagers ef des aidants informations partag es expertise d exp rience pairs aidance participation active TOUS les niveaux des usagers et aidants politiques l gislatif
287. ronments Building and sustaining afish tank Communication pr sent e The First IEEE International Workshop on Digital Game andntelligent Toy Enhanced Learning Jnongli Ta wan 73 80 Vergnen gre 2007 Lefinanceur laT2A le m decin le patient l exemple de la canc rologie thoracique Revue des maladies respiratoires 24 8 216 221 LES R SUM S gt gt L 0 Q UO lt D U 2 U o a D Q a Q on Q O Ti 9 3 Q O o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 6 Tests et diteurs de tests La qualit des outils d valuation des personnes Etat des lieux et perspectives E3 Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Jean Luc KOP et Vincent BERTHET matres de conf rences Universit de Lorraine ww jean luc kop univ lorraine fr vincent berthet univ lt lorraine fr Vincent BERTHET Ma tre de conf rences Universit de Lorrain vincent berthet unilorraine f Antony ERB Pr sident de l Association des diteurs de Tests Jean Luc KOP Maitre de conf rences Universit de Lorrain Z jeamuc kop uniorroaine fr Even LOARER CNAM NETOP Pierre VRIGNAUD Universit Paris Ouest Pr sentation g n rale l valuation des personnes continue tre une activit importante pour les psychologues quels que soient leur champ d activit Et de mani re fort l
288. s COP dans la scolarisation d enfants et d adolescents haut potentiel rencontrant des dificult s ravers deux tudes de cas Comme les psychologues scolaires les conseillers d orientation psychologues ont une mission d expertise celle ci doit tre d velopp e dans le suivi du parcours scolaire de l l ve et dans le cadre de l orientation Si les conseillers sont moins concern s par le rep rage ils ont un le capital pour aider les enseignants mieux comprendre le profil scolaire de l l ve pour faciliter le dialogue avec celui ci et sa famille o pour faciliter la construction d un projet professionnel Louis Ramond 2013 ous avons fait appel deux tudes de cas Le premier cas est celui d un l ve scolaris l cole primaire et pr sentant des troubles d ficitaires de l attention avec hyperactivit Le second cas porte sur un l ve d crocheur scolaris en classe de remobilisation dans le cadre de la MLDS Mission de Lutte contre le D crochage Scolaire L exp rimentation concernant l accueil d l ves haut potentiel au centre d information et d orientation de Noisy le Sec permet de penser que l action du conseiller d orientation psychologue en direction des l ves haut potentiel pourrait se situer diff rents niveaux aider l laboration ainsi qu la r alisation des projets d orientation des jeunes
289. s formations organisations des soins soins et services Ces diff rents aspects seront discut s tant dans leurs dimensions innovantes et n cessaires que pour leurs limites et les probl matiques sp cifiques qu elles imposent notre profession quipe Mobile Psychiatrie P carit Quand la pr carit ne faiblit pas le travail du psychologue Olivier JAN Les quipes Mobiles Psychiatrie Pr carit sont implant es en France depuis la toute fn des ann es 90 diffus es plus grande chelle depuis 2015 on estime aujourd hui leur nombre environ 150 sur le territoire national fran ais J appartiens l une des premi res de ces quipes institu e en 1999 Rouen Equipes Je gt L D oa Q j D pluri disciplinaires les psychologues y travaillent avec des m decins psychiatres et des infirmiers parfois des travailleurs sociaux Ces quipes ont globalement pour mission de permettre l acc s aux soins des personnes les plus d munies en passant par des techniques d approche actives aller vers les populations cibl es employer le bas seuil travailler en lien avec l s professionnels ou b n voles ayant contact avec les SDF Un autre volet est celui de d aide aux aidants les professionnels des EMPP devant aider les intervenants des champs compl mentaires dans l aide sociale au sens large mais aussi dans des services de m decine voire de psychiatrie par exemple da
290. s Recherches psychologie sociale et du travail Laboratoire de Psychologie des Pays de la Loire Universit de Nantes Psychologue Pr sidente de la Coordination r gionale FFPP Pays de la Loire christine jeoffrion univ nantes fr Sophie BERJOT Maitre de conf rences Habilt e Diriger des Recherches Psychologie sociale Laboratoire C25 Universit de Reims Z Sophie berjot univreims fr No lle GIRAULT LIDVAN Maitre de conf rences en psychologie de la sant Laboratoire LPPS Universit Paris Descartes wnoclelidvan parisdescartes fr Johanny HOSPOD Psychologue du travail Secr taire du bureau lle deFrance de la FPR et membre de la sous commission d Usurpation du titre Z johanny hospod gmail com Christine JEOFFRION Maitre de conf rences Habilt e Diriger des Recherches psychologie sociale et du travail Laboratoire de Psychologie des Pays delc oire Universit de Nantes Psychologue Pr sidente de la Coordination r gionale FPPPays de la Loire Christine jeoffrion uninantes fr Fran ois Xavier LESAGE M decin du travail docteur en psychologie Laboratoire Epsylon CHU de Montpellier M kesage chu reims fr Maria OUAZZANI Psychologue consultante responsable du P le Accompagnement Cabinet Ps a Cabinet de consel en gestionet pr vention des Res Z mouazzani psyo fr Johan PAIN Psychologue clinicien en cabinet lib ral et doctorant Mines ParisTech Centre de Gestion Scientif
291. s cr es par les psychologues comme par exemple la Consultation m moire psycho cognitive la Structure neuropsy mobile les recherches sur le bilinguisme approuv es par les instances de l tablissement consuliatives et d cisionnelles la cr ation d une quipe de stagiaires tudiants en psychologie en termes moins de stage que de formation appliqu e la cr ation d une plateforme de formations continues en psychologie Nous aborderons bri vement ces points lors de notre communication Je gt L D oa Q j D 3 Le futur sur le route de tous les possibles reste donc la 4 pierre des Cariatides imaginer dans le futur Tout reste b tir notamment au niveau de la formation Universitaire et dela reconnaissance des praticiens autant au niveau de la formation appliqu e stages qu au niveau de la recherche clinique Pour ce qui est du Coll ge de psychologie les 10 ans d exp rience no s font entrevoir Une n cessit d affiner son r le en termes de gestion des aspects institutionnels S r cette base et en compl mentarit cela pourrait permettre par exemple la cr ction des Services de psychologie proprement dits incluant la clinique la formation et la recherche Suivant le cours logique de l histoire ilest pr voir que certaines pratiques seront dans le f tur peut tre exerc es par d autres professionnels comme la psychoth rapie qui autrefois relevai
292. s neuropsychologique et artistique conjugu es dans le jardin art m moire et vie vise solliciter de mani re r fl chie et syst martis e 2 l ensemble des capacit s cognitives et motionnelles LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Le programme JAZ Jardin Alheimer Un prototype exoorter Martine BATT Alain TROGNON Ce projet est labor conjointement parles quipes de l Universit de Lorraine laboratoire Interpsy SRC et du CHU de Nancy En effet la d marche de conception et d am nagement d un jardin th rapeutique a d but d s 2007 et a t inaugur en 2010 Le projet th rapeutique d velopp travers l utilisation de ce premier jardin th rapeutique fran ais et probablement europ en un projet Interreg se dessine destin aux personnes atteintes de maladie d Alzheimer ou de maladie apparent e MAMA et r solument inscrit d s l origine dans Un processus de recherche JAZ Jardin AlZheimer l objectif de ce projet est de conjoindre la recherche scientifique en SHS ef le soin en r pondant aux besoins des personnes atteintes de maladie neurod g n ratives tout en sollicitant les entreprises du paysage et des m tiers d art r gionaux et en cr ant une gamme adapt e l am nagement de jardins th rapeutiques en tablissements adapt s Ce jardin est prototypique car il r pond des crit res de soins o en toute
293. sa p atique clinique n clairan hach etau TAT uti subjectivit Ce posi de l examen psychologique expertal I se cliniques en m me tem is s en psychopat C est donc dans cet entre deux entre la clinique et le juridique entre l objectif et inicien est pris Les m thodes projective d cart lement int ressant puisque leu de standardisation et donc d objeciivation enten onnement en ion judiciaire et d autre part le positionnement c sp d valuations qui donnent une scientificit l expertise arit s de la subjectivit soutenue par un discours o la e scientifique n cessaire et sufisante La connaissance donner relief et perspective aux effe is demeure profond ment humaine tout autant qu inaccessible s crasant d une paradoxale et alit du pr venu re inique e subjectif que ici comme un point de jonction et s m thodologies s appuient a fois sur des crit res ps que ces oulils nous penson US hologie adulte permettent u ionnement permet ainsi au Clinicien de rester dans le objectivement le fonctionnement psychique du sujet ne lecture lors Manier les normes sans NormotMil une positione psychologue Emmanuelle TRUONG MINH Les demandes d valuat ion faites aux psycho ogues traversent leurs pratiques Question de pr senter Un cas d expertise judiciaire afn d en clairer les njeux thiq
294. sant au travail des mod les d analyse l action sur l organisation Revue Fran aise de Gestion 37 214 69 88 University of Cambridge 2012 Therapy over the phone as effective as face to face study suggests A new study reveals that cognitive therapy over the phone is just as effective as meeting face to face September 29 LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 5 Collectivit s et sant au travail 8 Symposia n 4 vendredi 5 juin 14h15 16h15 Coordonn par Myriam FROMENT psychologue du travail praticien en clinique du travail Service Sant S curit au Travail Conseil g n ral de la Seine Saint Denis PPRS H tel du D partement 93006 Bobigny mfroment cg93 fr C cile BAPST Psychologue sociale et du travail Md pendante Conseil et accompagnement individuel et organisationnel 17 av des Celtes 44510 Le Pouliguen Cjb boapst gmail com Myriam FROMENT Psychologue du travail praticien enclinique du travail Service Sant S curit au Travail Conseil g n ral de la Seine Saint Denis PPRS H tel du D partement 93006 Bobigny France Z moment co9s fr Fr d ric GARCIA Pr venteur en charge des risques psyChosociaux docteur en psychologie ergonomie Conseil g n ral dela SeineSaint Denis Service Sant S curit au Travail Conseil g n ral de la Seine SaintDenis PPRS HGtEI du D partement 93006 Bo
295. se de d cision d orientation des sujets et la cr ation d Une repr sentation de cet environnement l analyse porte la fois sur les comportements nombre d erreurs d orientation durant l apprentissage de trajet par exemple ainsi que sur le discours Appr ciation aristique ef effets surla m moire et les mo ons Manon YZOARD Au CHRU de Nancy t cr un jardin th rapeutique offrant aux patients atteints de la maladie d Alzheimer la possibilit de l utiliser en acc s libre et ainsi d y c toyer la nature en plein c ur de ville Le jardin art m moire et vie en plus de sa dimension v g tale int gre une dimension artistique par l introduction d uvres d art qui y sont permanentes LES R SUM S Je gt L D C3 Q j D O ahan a O N D gt lt A a GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA Le protocole de recherche JAZ ART a pour objectif de circonscrire les PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 vertus d tayage psychologique esp r par l ar de l art chez les patients lors de promenades vis e th iste lors de la phase de concep apeuliques ion peut tre mis jou es interrelations endue poss jardin contexte lors de deux D une pari pour recueilli approfondir l valuation Notre m thode a pou conduites inte En effet celle ci a t cibl
296. soit dans le dessein d une d un enfant qui les bouleverse profond m panouissemen les enjeux SP Les CAMSP ont t cr s dans l espr obale des enfants et part de soutenir des pa eurs parents con ents dans leur action ent dans leur narcissisme et leur identit et les tapes de cette it de partir d une posture thique auiconsiste pen desa posion SUB ne approche psychc dyna u champ d nterven grandissant pour q ngagement des ON S OUVA ective mai ser que Tout tre humain aussi d muUNI soiHI que s encore fout QU i y int ressent C est vers n charge des enfants handicap s proposer une aide ront s un handicap ducative aupr s et d autre part de des potentialit s de l enfant gravement limit es par le handicap que chose die y af quelqu un pour l entendre l auteur a contribu d velopper ot rit uestion du hand icap dons paral lemen s agit maintenant partir des recherches th o nnovantes et de forger des outils m th caract ristiques du handicap Mais la n la d finition est malais e et les fronti res physique que l handicap mental et le psychologues de d noncer les confusion otion Se mique des personnes en situation de handicap I s est alors Consti ntaux psychologues Cette volution s inscrit dans
297. ssation pr sident de la CNEPSY Z claindumez fee f Bertrand PHESANS Psychologue expert pr s la Cour d Appel de Paris expert agr e pr s la Cour de Cassation pr sident de la CEPCARP mm bohesans teaser r Une avanc e permise par la reconnaissance du fre La psychologie gale Bertrand PHESANS Pr sentation de la psychologie l gale autour d s grandes dates de son volution En 1986 circulaire Badinter en 1990 reconnaissances des examens et expertises psychologiques et non plus seulement m dico psychologique Llen 1992 cr ation de la SFPL Soci t Fran aise de Psychologie L gale en 1997 reconnaissance de la psychologie l gale par insertion de sa ubrique dans le Code de Proc dure P nale en 2006 cr ation de la CEPCARP Compagnie des Experts Psychologues pr s les Cours d Appel dela R gion Parisienne et en 2008 cr ation de a CNEPSY Compagnie Nationale des Experts Psychologues volutions de la demande judiciaire adress e l expert psychologue Alain DUMEZ En rente ans le nombre de psychologues inscrits comme experts sur les listes tablies par les cours d appel st pass de quelques dizaines plus de 500 La demande judiciaire d expertises psychologiques n a cess d augmenter tant dans le domaine civil des s parations conjugales coniictuelles de l enfance en danger de l estimation des pr judices psychiques que dans le champ Z
298. ssit de mieux d montrer les comp tences sp cifiques des psychologues du travail Ces enjeux et questions n cessitent de d battre sur les Cadres d exercice faire respecter par les psychologues dutravail Les organisateurs de cette table ronde solliciteront des praticiens pour apporter leurs t moignages et leurs r flexions sur ces sujets Les impacts sur la formation des psychologues du travail seront aussi examin s que ce soit a niveau de la formation initiale pour prendre en compte ces nouveaux enjeux et d velopper les comp tences n cessaires mais aussi en formation continue encore peu d velopp e pour l s psychologues du travail LES R SUM S A OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 5 6 Ju 2015 Intervention de Philppe SARNIN Les psychologues du travail ont une histoire professionnelle complexe et des pratiques diversifi es La diversit de ces pratiques est interrog e sur les facteurs explicatifs possibles mais aussi par rapport aux valeurs et r gles professionnelles qui peuvent n anmoins permettre de conserver une unit ce m tier et faciliter sa reconnaissance par le reste de la soci t Intervention de Daniel GILBERT Nous nous baserons sur les r sultats d une enqu te portant sur les volutions du m tier tel
299. ster les enseignants o les conseillers d orientation dans cette LES R SUM S ca ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 optique Pereira Da Costa Botella 2014 II a t d velopp pour maintenir l attention des l ves durant la r alisation de t ches cognitives conatives et motionnelles Au travers d une interface graphique dynamique des aspects vari s sont valu s potentiels raisonnement style de pens e style apprentissage int r ts acad miques et capacit s motionnelles Le profil de l l ve est directement sent sous un format simple pour l l ve o Un peu plus complet pour l enseignant El ve Ofileur n a pas pour objectif de remplacer un bilan psychologique complet de l l ve mais de mettre disposition des enseignants un outil d valuation rapide et rigoureuse du profil multivari de l l ve in de leur donner des informations essentielles pour la connaissance de l l ve Ensuite il appartient l enseignant d ajuster son enseignement au profil sp cifique de chaque l ve Actuellement El ve rofleur est d velopp pour des coll giens mais notre ambition est de d velopper cet outil sur des ves de primaire et des lyc ens Nous souhaitons galement adapter le contenu des cat gories p ciiques de la population l ves d crocheurs enfant haut potentiel l ves en grande ficult scolaire Ce travail de longue
300. sychiatrique Il accueille des patients atteints de pathologies chroniques diab te maladies endocriniennes m taboliques dr panocytose l adressage des adolescents atteints de maladies chroniques que nous accueillons est r alis par les centres hospitaliers qui les prennent en charge depuis la d couverte de la maladie l indication est le plus souvent motiv e par la non compliance du patient au traitement mais recouvre g n ralement des dificult s psychologiques sociales et familiales complexes Dans chacune des deux unit s le psychologue rencontre les patients assiste aux commissions d admission et re oit avec le m decin p diatre l adolescent et sa famille avant Une possible admission et pendant le s jour II fait le lien avec le m decin psychiatre et participe l laboration du projet de soins en quipe Je gt L D oa Q j D Quelle prise en charge psychologique peult on alors penser pour ces adolescents hospitalis s en centre de soins tudes Les entretiens individuels men s avec ces patients ont montr leurslimites et no s ont amen penser une prise en charge en groupe avec m diation Ainsi le groupe MP3 est un atelier th rapeutique hebdomadaire o nous proposons des extraits vid o et musicaux partir desquels nous changeons sur ce quia t compris et ce sur QUOI Nous pouvons r fl chir Cet atelier s adresse aux adolescents hospitalis s
301. sychologue en Alg rie est tenu de suivre dans son activit le code de d ontologie Je gt L D oa Q j D otre pays a v cu une d cennie noire du terrorisme qui a engendr diff rents troubles psychiques parfois graves quel dispositif prodigu par l tat alg rien dans les Universit s pour une meilleure formation des futurs psychologues en cas de catastrophe de traumatisme En ce qui conceme notre pratique aupr s des tudiants au centre d aide psychologique universitaire CAPU ensemble des enseignants intervenants ont tabli un r glement int rieur inspir de la r glementation interne de l universit d Alger la capitale Ce r glement est t blipour une meilleure coordination entre les membres de l quipe et Un meilleur rendement concernant le cadre administratif le fonctionnement le cadre clinique Des r unions de supervision se tiennent tous les 15 jours la fin de chadue ann e universitaire un rapport annuel est r dig afin de restituer toutes les activit s assur es parle CAPU Dans n tre pratique clinique nous nous r f rons au cadre th orique psychanalytique eten particulier celui de l psychoth rapie d inspiration psychanalytique PIP pour la prise en charge des patients et des tudiants Et pour l examen psychologique NOUS avons recours aux techniques projectives la figure de Rey pour la m moire et auxtests d inteligences
302. t reposant la fois sur un appareil conceptuel et une m thodologie d intervention particuliers LES R SUM S A GE ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 Psychoth rapie R alit et perspective en Ag rie Intissar SAHRAOUI La pluparts des pays Maghr bins ont eu un d veloppement palpable et positif dans le domaine de la prise en charge des troubles psychologiques en se basant sur l ouverture des formations sp cialis es en psychologie l universit notamment la psychologie clinique qui s occupe de la personne en souffrance afn de la soulager et de la rendre quilibr e En Alg rie la plupart des patients pr sentant une souffrance psychique consultent d embl e le psychiatre qui prescrit un traitement m dical M me s il est bien observ parle patient le r sultat n est pos toujours satisfaisant J ai travaill durant dix ans comme psychoth rapeute titre priv puis enseignante Universit O je poursuis cette pratique aupr s des tudiants dans le cadre d une cellule d aide psychologique La probl matique qui se pose pour les praticiens qui sont dans le milieu hospitalier ou titre priv est application de la r glementation quel est le contenu de la r glementation alg rienne de 2008 concernant es consultations de psychologie Est elle praticable sur le terrain afin de prendre en charge les patients Est ce que le p
303. t de l exercice m dical exclusif et qui aujourd hui est pratiqu e surtout por les psychologues En continuit avec l id e princeps du Titre Unique de psychologue qui so us tend Une formation parla recherche et pour la recherche un doctorat unique semble tre indispensabl non seulement pourpermettre un cadre de pens e plus libre pour les psychologues mais aussi pour remettreles salaires au niveau dela formation re ue et surtout pour ouvrir de nouvelles portes l volution dela carri re professionnelle Toutefois cette volution aussi bien de la discipline de ses pratiques que des responsabilit s plus importantes du psychologue responsabilit des cliniques des services cr ation de structures t de projets divers d veloppement de la recherche clinique en psychologie y compris la cr ation d un Programme de recherche hospitalier en psychologie au niveau national avec des possibilit s de financements se doit de respecter les changements aussi biendu cadre dans lequel il se d ploie iche syst me de sant que de l volution parall le d s autres m tiers Il ne peut se faire dans l ignorance des changements soci taux et de l place de l autre puisque c est cet autre qui porte l image etla reconnaissance de ce que nous sommes Elle he peut non plus se passer nidu collectif ni de l individuel 30 ans apr s le titre et derses suites le futur se pense aujourd hui en termes de la pens e individuelle et de la pens e co
304. t de notre pratique Le mare mot de notre pratique est la relation Toute notre pratique est empreinte de notre identit et qu un travail d laboration en supervision intervision soit Un besoin fondamental et Un devoir thique se comprend ais ment s agira d interroger et se laisser interroger sa place son ressenti ses choix La pratique n est pas statique si le savoir universitaire est essentiel il n est pas au premier plan dans note pratique Si le psychologue besoin d une formation Universitaire solide pour tre expert sa pratique n est pas scientifique conforme des exigences d objectivit mais de l ordre d Un art bricolage t grant connaissances v cus exp rientiels r sonnances Chaque situation rencontr e est diff rente et terroge chaque instant notre propre fonctionnement et l articulation entre le cognitif et l motionnel Pour illustrer cela nous nous engagerons dans la pr sentation des exp riences que nous avons men es dans a Coordination du Centre Nous pr senterons rapidement la cr ation des groupes d intervision au seinde la Coordination le besoin auquel ils pondent briser l isolement ouvrir les fronti res int r champs professionnels avoir un espace de confidentialit absolue Les l ments qui ont t pens s par la Coordination pour assurer eur fonctionnement et leur p rennit sont pr sent s dans la Charte Les groupes d intervision sont une forme de protection du psychologue et ce que pose
305. t de r pondre aux besoins universels d j voqu s De plus on constate que les conseillers d insertion et de probation se retrouvent relativement isol s dans leurs pratiques chelle de l tablissement dans lequel ils exercent et au nombre de personnes d tenues en suivi Dans les ann es 1990 la politique de gestion d l gu e mise en place par l Administration p nitentiaire dans certains centres p nitentiaires a permis l arriv e de services de formations priv s afn d apporter Un soutien dans la mission de r insertion des personnes d tenues Pour proposer aux personnes d tenues une r flexion sur leur projet professionnel en b n ficiant d un accompagnement personnalis des psychologues du travail sont intervenus dans les centres de d tention le but principal LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 tant de d velopper des projets professionnels pour permettre la personne d tenue de pr parer sa sortie aussi bien d un point de vue social que professionnel Avec un double objectif pour amener la personne d tenue vers un retour une utilit sociale de mani re rompre son isolement Le projet professionnel individualis de r insertion d marre donc d s entr e de la personn
306. t rassemblements inter organisationnels avec nos partenaires associatifs et syndicaux pour parler d une voie commune face aux interlocuteurs d cisionnaires D fense de la position fran aise en Europe au sein de l FPA European Federation of Psychologists Associations www efpa eu o la FFPP repr sente la France Soutien de la d ontologie de la profession financement de la Commission nationale consultative de d ontologie des psychologues CNCDR www cncdp f Actions sp cifiques pour les tudiants en psychologie participation aux journ es d tude aide la cr ation d un r seau professionnel Forum pour discuter changer et pourles recherches d emploi portail de la FFPP www psychologues psychologie net forum La F d ration pourquoi adh rer La FFPP ne peut exister et agir sans l engagement et la disponibilit de tous ceux qui s impliquent avec elle D fendre la profession un co t Les cotisations permettent de contribuer la professionnalisation du si ge assurer les d placements des b n voles les plus engag s dans la diversit de leurs missions en France et en Europe assurer le dynamisme du site de la F d ration diffuser de la documentation assurer le fonctionnement de la CNCDP D s votre adh sion vous devenez membre de l association et vous obtenez la possibilit de vous engager dans les groupes de travail et de rejoindre
307. t sur le fait qu il n existe pas de profil type de l Auteur de Violence Sexuelle AVS Cependant des l ments provenant des champs psychiatrique iminologique et social semblent tre communs un grand nombre d AVS ce qui permet alors voquer une psychopathologie et des dispositions de personnalit particuli res chez ces sujets insi la question des soins aux Auteurs d infraction s Caract re Sexuel AICS s est d abord pos e n prison Les cliniciens qui se sont int ress s cette population en milieu carc ral se sont rapidement per u que les protocoles de soins classiques reposant notamment sur la souffrance ef la demande u patient ainsi que sur la neutralit bienveillante du th rapeute ne fonctionnaient pas o autrement tne convenaient pas Il tait donc n cessaire et urgent de r fl chir des dispositifs de soins sp cifiques in de pouvoir prendre en charge aussi cette cat gorie de d tenus gt N je o Q C o O D aaao ao De nombreux protocoles de soins sp cifiques ont alors vu le jour dans les tablissements p nitentiaires avec des modalit s th rapeutiques et des outils extr mement vari s les quipes ayant fait preuve d une grande cr ativit clinique pour s adapter c tte nouvelle population Mise en perspective de l exercice du m tier de psychologue en Milieu carc ral Amau
308. t viennent interroger notre philosophie nos valeurs notre thique et notre d ontologie En effet le psychologue travaillant dans Un p le de psychiatrie de p dopsychiairie doit renseigner ses actes effectu s En outre lorsqu il re oit Une personne en premi re intention il doit d s le premier entretien coder un diagnostic ou Un motif de recours aux soins partir de la CIM 10 Cela va impacter a relation qui s engage entre cette personne et le psychologue Labouret 2007 psychiatre estime que ce recueil ali re ef attaque le travail relationnel l autre devient un objet identifier ef tiqueter d embl e dans Un mod le r ducteur qui ne tient aucun compte de l intersubjectivit Une autre probl matique thique est celle du secret professionnel et du consentement de la personne selon son Code de d ontologie le psychologue doit informer la personne qui le consulte de ce qu il va noter dans son dossier et des personnes qui y auront acc s La personne peut alors consentir ces modalit s o non La CNIL va dons le m me sens 2007 l information d livr e au patient sur ses droits doit tre claire et compl te quant aux finalit s ef fonctionnalit s du dossier m dical informatis ais est ce vraiment Un consentement libre et clair quand la personne n a pas libert de refuser cet aspect pour pouvoir acc der aux soins Qu en stil du consentement deda personne
309. tellectuelle 18 31 43 Rexhaj S 2012 Les strat gies de copingchezles proches aidants de personnes atteintes de schizophr nie M moire de Master in dit Lausanne Universit de Lausanne Thomas J 1998 Faut il placer les fratries en familles d accueil In B Camdessus d La fratrie m connue p 139 156 Paris ESF Turnbull A P Turnbull H R 1990 Families professionals and exceptionality A special partnership Colombus Ohio Merril Villeneuve M Goupil G Gascon H 2017 Relations l ge adulte entre l s personnes pr sentant une d ficience intellectuell t leur fratrie Revue francophone dela d ficience intellectuelle 22 98 1 Winance M 2004 Handicap et normalisation Analyse des transformations du rapport la norme dans les institutions et les interactions Politix 17 66 201 227 LES R SUM S Led T 2 D m Q c O Q O Q O Q O Eag D gt lt lt L 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 3 L valuation et le bilan Regards crois s de psychologues et de sp cialit s Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00 Coordonn par Antonietta SPECOGNA ma tres de Conf rences en psychologie Universit de Lorraine Pascal OLIVIER Psychologue clinicien et psychoth rapeute dipl m de l cole de Psychologues Praticiens exer ant en cabinet lib ral et en ins
310. tervenir en bin me dans les 48 72 heures ise en charge globale La prise en charge peut tre m dicale ef psychoth rapeurtique En fonct U CL G pour valuer le potentiel suicidaire degr de risque d urgence et de dangerosit et proposer une P de l intensit de la crise suicidaire e geste autoagressif suicidologie Facy D mod le s inspire des l quipe s inscrit dans l esprit elais vers une structure de soin crise et de soutien Schmitt 2012 s ebout 2006 psychique comme fonction de la san ici dans un cadre inh intersubjectifs Il interv s inscrit dans u exp riences on le patient est suivi de fa on intensive jusqu l organisation d un vocation chronique CMP lib ral Il s agit d une intervention de talant sur plusieurs semaines dont le but est triple valuer diff rer jusqu la lev e de la constriction suicidaire et engagement dans le soin de la psychiatrie dite communautaire s inspirant des volutions de la Le but est de r investir la cit et de proposer une lecture du soin t le ne se r duisant plus une m dicalisation stricte Le menta nglo saxonnes N erlandaises et Italiennes Le psychologue se pose abituel I intervient au domicile lieu propice l observation des habitus et des liens sera l outil premi ient en bin me perme
311. ticiens en clinique du travail tentent de r tablir les promesses du travail et de renforcer ou r tablir les dynamiques coll ctives face aux pratiques d individualisation d s questions pos es par travail et l emploi Sera ensuite interrog e la construction singuli re et collective du m tier de psychologue du travail praticien _en clinique du Aravail au travers d une pari des actions men es dans le cadre de l association AF2 l ves et anciens l ves en psychologie du travail du CNAM et d autre pari des controverses etr gles de m tiers labor es dans l association Penser ensemble le travail LES R SUM S D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Parspeciive sociohistorigue du d nioiement des psychologues du avai du CNAM Alix NIEL l objet de cette intervention est d essayer de poser des jalons contribuer dessiner pour mieux la comprendre l articulation au fil des 3 derni res d cennies des enseignements de psychologie du ravail des Arts et M tiers des pratiques des professionnels qui en sont issus face un contexte socio conomique tr s mouvant Depuis 1985 le monde du travail est travers d une addition de r volutions d marr es la d cennie pr c dente qui aura peu ou prou marqu e les destin es individuelles Les impacts psychiques sur les travailleurs se faisant sen
312. timpensable de rendre hommage Serge MOSCOVICI sans la solliciter Nikos KALAMPAUKIS qui a coordonn le dernier ouvrage e concernant B atrice MADIOT pour nous rendre compte de l h ritage intell ctuel de ce grand homme LES R SUM S gt gt L 0 Q ce lt D U 2 U o a D Q a Q N Q O Ti 9 3 Q O o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 5 Les psychologues confront s aux nouvelles technologies Symposia n 2 jeudi 4 juin 16h30 18h30 Coordonn par Patrick COHEN psychologue membre titulaire de la CRSA de l ARS PACA Anna Maria BERARDI Psychologue Yann LEROUX Gamer psychologue et psychanalyste CMPP A Boulot P rigueux lise MARCHETTI Psychologue membre de la CNCDP Centre Hospitalier de Verdun SaintMihiel Universit de Lorraine Adeline MATHIEU Psychologue Anne Marie TONIOLO Professeure de psychologie Universit de Lorraine Nancy Pr sentation g n rale Les nouvelles technologies scandent parfois marche forc e les volutions de la soci t Aucun domaine aucun champ n chappe cette dynamique et il est l gitime de s interroger sur l impact qu elles peuvent avoir pour les psychologues AU cours de ce symposium NOUS verrons en quoi cel
313. tinence ennui et d pend nce Cliniques 7 53 65 Demeulenaere P 2003 L homo oeconomicus enqu te sur laconstitution d un paradigme Paris PUF Quadatrige Descombey J P 2005 L conomie addictive Paris Dunod Gerrad Bill d 1993 The Economies of Rationality London Routledge Heidegger M 1992 Les concepts fondamentaux de la m taphysique monde finitude solitude Paris Gallimard Hispard E Marchin E Mazi V 2008 Le jeu de soi Une proposition fh rapeutiquede groupe dans le cadre d un CCAA Alcoologie et addictologie 30 2 187 190 iler WR Rollinick S 2006 L entretien motivationnel aider la personne engagerl changement Infer ditions Monjauze M 1999 La part alcoolique dur soi Paris Dunod Thurin JM 2005 Le changement de paradigme dans la recherche en psychoth rapie Pour la recherche 44 2 4 Zarca J Monjauze M 2002 Au c ur de l incoh rence les alcooliques au Rorschach Bulletin de Psychologie 55 2 177 1885 LES R SUM S Je gt L D oa Q j D O mien em O e D X lt L D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 6 L actualit de la pratique clinique du bilan psychologique et ses enjeux thiques fesl E Symposia n 5 samedi 6 juin 10h15 5 12h15 Coordonn par Beno t VERDON psychologue clinicien professeur de psychologie Institut de Psycholo
314. tion des parcs a t la premi re en partenariat avec le Service de la Sant et de la S curit au Travail l aborder frontalement sensibilisation change de pratiques r glement De m me la mise en vidence et en d bat de l exposition des agents aux violences physiques dans le cadre de l valuation des Risques entraine progressivement une volution des pratiques professionnelles de ces agents plus long terme et sous r serve de fortes vigilances thiques la question de la r silience es appr hendable dans ce contexte de pr vention des risques professionnels psychosociaux En lien troit avec le d veloppement cognitif Cyrulnik 2005 cette capacit peut tre envisag e comme UN processus dynamique qui d signe la reprise de d veloppement d une personne confront e un traumatisme ayant n cessit dans un premier temps une r sistance ce trauma initial impliquant alors l inexistence d un effondrement durable et dans Un deuxi me temes l inscription dans l laboration de ce trauma La r silience doit tre comprise comme la r sultante de l interaction des ressources du sujet tant interne capacit s fonctionnement intrapsychique relevant de la personnalit sous jacente qu externes environnement familial social cette construction d butant d s la naissance et se poursuivant tout au long de la vie Theis 2006 Comme une approche diff rentielle ra
315. tir peu peu mergera la notion de sant mentale dans l emploi Pour faire face ces nouvelles preuves des cadres juridico politigues ou gestionnaires se mettent en place Le Conservatoire National des Arts et M tiers qui enseigne fous et partout a t et reste un lieu privil gi de recherches sur l homme au travail En psychologie du travail il a largement marqu les d cennies ant rieures 80 tout en participant au dynamisme du groupe professionnel des psychologues Apr s 1985 il volue de la chaire de psychosociologie et formation en entreprise g r e par P Guoguelin vers la A psychopathologie et psychodynamique initi e en 1990 par C Dejours est ainsi rejoint le courant clinique dominant Puis se constitue une chaire de clinique du travail en 2005 sous la responsabilit de Y Clot D S lt D Q lt Q l empreinte de ces enseignements sur des g n rations de psychologues mais aussi dans la soci t est issue de plusieurs grandes disciplines psychologie des organisations psychosociologie psychanalyse psychiatrie mais aussi ergonomie Les diff renciations Mh oriques etm thodologiques sont nombreuses Les positionnements dans les m tiers et les structures vont tre vari s et volueront sensiblement dans les ann es 2000 L institution de dispositifs de discussion surle travail comme activit d
316. titution formateur en Psychologie et en Psychoth rapie enseignant l Universit de Psychologie de Paris 8 enseignant IFSI Z contact cabinetpsy com Christophe LUXEMBOURGER Nadine DEMOGEOT Antonietta SPECOGNA Matres de Conf rences en psychologie Universit de Lorraine Site Lib ration CLSHNancy et ESPE de Lorraine 57950 MontignyLesMetz Interpsy EA 4432 MSH Lorraine USR 3267 Z christophe luxembourger uniorraine fr Annie VIGNERON Psychologue scolaire doctorante universit d Angers sousla direction de Benat Fromage laboratoire LPPL UPRES EA 4638 Z opa vigneron sf fr L onard VANNETZEL Psychologue chef de projet de la recherche action r dactieuren chef adjoint revus ANAE membre fondateur de lAPPEA Robert VOYAZOPOULOS Psychologue de l ducation nati nale chef de projet de la recherche action enseignant l EPP Paris membre fondateur de l APPEA Du bilan psyChom trique au bilan th rapeutique Evolution des ous et de l exercice du psychologue au sain du bilan psychologique Pascal OLIVIER AU d but du XX si cle lors de la cr ation des outils psychom triques Alfred Binet avait un objectif de diagnostic quand il cr a la premi re chelle de mesure de l intelligence Binet Simon 1951 Cette derni re a d puis t d velopp e approfondie et Uniformis e par de nombreux auteurs dont le c l bre Daniel Wechsler Le but de cette d mar
317. toire INTERPSY GRC E A 4432 Universit de Lorraine N ncyF54015 Contrat CIFRE Institution d exercice R travailler EGP Z louise bernez retravaillerorg Christel JACOB Psychologue sp cialis e en neuropsychologie CHU de Nancy d ctorante Laboratoire INTERPSY GRO E A 4432 Universit de Lorrairne Nancy F54015 US mchristeljacob unvlorain f Th r se RIVASSEAU JONVEAUX M decin Chef de service Unit Cognitivo Comportementale et responsable Centre M moire de Ressources et de Recherche de Lorraine CHRUNancy docteur den psychologie chercheur associ e laboratoire INTERPSY GRC E A 4432 Universit de Lorraine Nancy F54015 mm tjonveaux chunancy f Alain TROGNON Professeur des universit s laboratoire INTERPSY GRC E A 4432 Universit de Lorraine Nancy F54015 Ain Trognon uniMorraine fr Manon YZOARD Doctorante contractuelle charg e d enseignement laboratoire INTERPSY GRC E A 4432 Universit de Lorraine Nancy F54015 Z Manon yzoard uniorraine fr Le jardin th rapeutique Impact cognitif motionnel et comportemental sur les malades ef leur environnement Th r se RIVASSEAU JONVEAUX La conception d un jardin th rapeutique repose sur l int gration du projet th rapeutique d une quipe donn e un lieu pr cis avec ses atouts et ses contraintes La r daction du cahier des charges doit prendre en compte ces diff rentes composantes Les approche
318. ttant d embl e la confrontation des analyses et des ressentis n suivi bref mais i h rapies se confronte une alliance th rapeutique rapidement d ploy e et intense Cette alliance er sur lequel via l einf hlung des ph nom nologues Jonckheere 2009 se fondera la ntense s appuyant essentiellement sur les facteurs communs des confiance Celle c peut tre le seul clinicien de soutenir l anxi t inh rente la prise en Charge d s individus hau t risque suicidaire Psychologue T h pitol Une place construire entre l individueletle collectif Senja STIRN levier permettant au patient de diff rer ses plans autolytiques et au 1 Le pass sur les traces d un chemin En 2005 apr s avoir t approuv par les instances de l h pital inclus dans le Projet d tablissement inist re de la sant et approuv par la BRAS de l Alsace ainsi quete Je Coll ge de psyohologie du CH de Rouffach esha premi re structure en France cr e en termes d une des instances consult tives de l ta de certaines personnalit s de la profession et du R seau national des psychologues RNP qui au niveau blissement La cr ation ne serait possible sans l implication pr alable national avaient n goci une inscription du Projet de psychologie dans le cadre du Plan sant mentale 2005 08 et au niveau r gional a p d abord men
319. ttes Le num rique n affecte pas uniquementles pratiques des psychologues en offrant de nouveaux moyens d intervention ll est l toile de fond sur laquelle se d tache la rencontre du psychologue avec son client est important que les psychologues prennent conscience du fait que le transvasement de la culture dans l Internet affecte profond ment le champ clinique f am g O b O Ha f Jm O AL fam O O dm O Q A Q Q gt vN e Q gt lt lt L LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Ju 2015 informatisation des donn es de sant Quid de l fhique ef de la d ontologie lise MARCHETTI L informatisation des donn es de sant devient la norme dans le milieu hospitalier du fait du Programme de M dicalisation des Syst mes d informatisation PV SP du Recueil d Informatisation M dicalis es en psychiatrie RIM sy du dossier informatis du patient DPN du dossier m dical personnel dossier m dical informatis accessible via internet Diff rents dispositifs pr voient que les donn es concernant chaque patient soient transmises nominativement au D partement d information M dicale DIM de tablissement de sant Or ces nouvelles r glementations obligations professionnelles ne vont pas de soi e
320. u travail en service de sant au travail Nouvelle Revue de Psychosociologie 10 179 193 Saccomanno B 2011 interm diation la crois e des logiques d acteurs les psychologues du travail Formation Emploi T14 D 39 54 Scheller L Arbib R Dr et L Re re E 2006 Psychologue du travail ThGpital Un m tier impossible o en construction Nouvelle Revue de Psychosociologie 1 13 29 LES R SUM S D S lt D Q lt Q 65 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 2 R seaux pluridisciplinarit et sant au travail E Symposia n 3 vendredi 5 juin 9h00 11h00 Coordonn par Annie MADRI RES psychologue du travail exercice en lib ral l Atelier des M tiers 7 rue Boursault 75017 Paris vice pr sidente de Penser Ensemble le Travail ww annie madrieres wanadoo fr Charlotte BESSON Psychologue du travail Service de Sant au Travail AMIEM membre de Reliance et Travail charlotte besson amiem org Myriam FROMENT Psychologue du travail Conseil G n ral 93 membre de Penser Ensemble le Travail mm mfoment co9s fr Fabien GILLE Pr venteur psychologue du travail exercice en lib ral Afrade Conseil 43 rue de Launay 91240 Saint MichelSurOrge membre de Penser Ensemble le Travail gille fabien195 orange fr Anne Sylvie GR GOIRE Psychologue du travail Service de Sant au Travail AICAC pr sidente de Pe
321. uard Patrick Cohen Christine Jeofrion Roger L cuyer Magali Manzano Gladys Mondi re arin Teepe Membres du comit scientifique arie France Agnoletti Anne Andronikof Martine Batt Jean Yves Baudouin Catherine Bungener Dana Castro Dani le Coste Elisabeth Demont Jer me Dinet Ewa Drozda Senkowska Val rie Fointiat Jacques Garry Pierre Gaudriault Marie Christine Gely Nargeot Daniel Gilibert Marie Claude Guette arty Brigite Guinot Johanny Hospod Jean Luc Kop FHorence Labrell Claire Leconte Pascal Le Malefan V ronique Le Mezec Tamara Leonova Jo lle Lighezzolo Michel Nicolas Marie Claude Mietkiewicz H l ne Romano Philippe Sarnin R gine Scelles Alain Somat Claire Syvestre Toussaint Youssef Tazouti Virginie Tschemodanov Comit d organisation Responsable du comit C line Parisot Jeannine Accoce Magalie Caillot Jean Camus Mathieu Cerbai St phanie Claudel Patrick Cohen melne Dautel Christophe Defert Andr Ginel Brigitte Guinot Jean Luc Kop Karine Lapique adeleine Le Garf Daniel Le Garf Marie Claude Mietkiewicz Eva Miraucouri Madeleine Ostrowski Germain Parisot In s Pelissier Laura Pisasco Dechoux Manuel Rodriguez Moartin Kelly Rouvevrollis Yoanne Sanchez Benoit Schneider Sophie Sery Youssef Tazouti Virginie Tchemodanov Karin Teepe Anne Tenc Infographie communication Germain Parisot gt C D D ai D
322. ue Vice pr sidente de la Coordination FFPP Centre lors de sa cr ation et pendant deux ans et depuis toujours membre du bureau participe un groupe d intervision depuis 2006 Co anim par V ronique GRIFFITHS psychologue Orl ans p le sant Or liance depuis 2006 formatrice SOS Amiti Centre et membre de la Commission de Formation depuis 2005 pr sidente de la coordination FFPP Centre 2008 2012 toujours membre du bureau participe un groupe d intervision depuis 2006 Places une vingtaine de personnes sous la forme d changes avec le groupe D EP Q j 2 o l atelier se veut r pondre au mieux aux attentes des participants 1 Pr sentation de l objectif de l atelier pr sentation de l exp rimentation de mise en place de groupes d intervision en R gion Centre discussion historique et exp rientielle de l int r t des pratiques de supervision intervision de leur compl mentarit dans la pratique professionnelle du psychologue L 2 Tour de table invitation pr ciser leurs attentes pour l atelier 3 Ontils une exp rience d intervision de supervision que peuvent ils en dire ce que a leur apporte eurs manques Les concepts dhintervision supervision analyse des pratiques s interp n trent lls ont des fonctionnements h t rog nes mais aussi des objectifs communs l actualisation de nos connaissances interrogation et l approfondissement
323. ue en 1980 Or Kagan pr cise alors que si le nombre de psychologues n a pas volu leur conf rence intitu mieux l enfant ses conditions de vie ignale ainsi qu il Le 19 octobre 2009 Pierre Suesser pr sident du syndicat national des m decins de PMI fait Une e Pr vention psychologique et petite enfance pratiques de la P conclut sa conf n est videmme fondamentale dans la pr vention psychologique en l ceci dans le cadre d une journ e de perfectionnement des p dopsychiatres d exercice public Certes il voque a pr sence du psychologue au sein de l quipe mais au m me titre que le conseiller conjugal I nt pas question de revendiquer pour le psychologue une place par ence en disant que notre rencontre d aujourd hui s av re bel et bien n cessaire et faveur du jeune enfant et de sa famille dans une telle quipe mais il est important tout simplement d y revendiquer SA place D ailleurs dans un document de conseil g n ral de pr sentation des missions de la PMI on ne peut que constater qu la question qui LES R SUM S O5 ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Jun 2015 pouvez vous rencontrer la PMI le psychologue apparat en dernier dans la liste apr s la liste des personnels m dicaux et param dicaux apr s les assistants sociaux et apr s les conseillers
324. ue semble parfois initi e par les enjeux s curitaires L essor donn la prise n compte globale et singuli re du LES R SUM S O mien en O e D X lt L a GE sujet criminel s est parois l id e d sopilante d une pr diction du passa vu s amoindrir au p Force est de constater qu consistent parfois en une e certaines logiques viction des particu seule objectivit semble repr sen oft de l valuation de crit res compo ge l acte suivant de pr s le principe de pr caution ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 tementaux avec er la garanti du fait criminel n cessite des m thodologies pou clinique q La place de l expertise psychologique dans le champ judiciaire est ainsi de nature plus d un titre de plus en plus convoqu e elle est tout aussi au c ur de ce paradoxe se trouve galement l appr ciation de la personn qu il convient d valuer dans un souci d objectivit et d objectivation de la subjectivit dans ce p Uisid re d route fascine ma unique olongement le dispositif expertal est la crois e d un jeu de positi d une pari le discours juridique et l institu impliqu dans la rencontre avec un suj bien durement critiqu e le non ves se pr s particuli rement au Rorsc psychodynamique dela champ de
325. ues Jean Michel COQ ntervenir sur Une chaine radiophonique o t l visuell place le psychologue dans une position d expert qui lui impose d apport r au grand public Un clairage sur des faits de soci t des aits divers des catastrophes nationales ou internationales enun langage simple et accessible au plus grand nombre Dans ce cadre le psychologue peut se sentir pi g par une demande du journaliste qui attend souvent une r ponse courte et concise Le psychologue prend alors le risque de donner une r ponse parcellaire qui peut lui parditre r ductrice et qui n apporte pas les nuances qu iso Raiterait donner son propos ais les m dias constituent aussi un formidable moyen de diffusion de la psychologie etde la pratique du psychologue ilserait dommage que ce dernierse prive de cet outil de Communication u del des enjeux narcissiques bien ph m res qu il peutrepr senter l invitation faite au psychologue de donner Un avis de sp cialiste comporte toujours un risque dontil est important qu il soit conscient lorsqu il accepte le jeu m diatique Spectaculorisation du tauma La psychologie d urgenceestelle devenu un objet m diatique H l ne ROMANO La reconnaissance de la r alit des blessures psychiques potentiellement ind ites par Un v nement traumatique a conduit la m liplication des dispositifs de prise en charge des personnes impliqu es victimes
326. ues et Entre commande soci tale eftinjonction institutionnelle quelle place estllaiss dans cet acte singulier dificile et complexe la personne r ue ce qu elle dit ce qu e des psychologues autour s actualisent aujourd hui dans le contexte de la notamment ceux du Champ de la neuropsycho Parce que q i es e psychologue est engag dans un es tests les normes et l cart la norme avec le plus de rigueur lusions qui peuvent lui faire oublier que la rencontre avec le de l valuation et de le tait Les questionnements teint la psychom trie sont d j anciens ogie pression valua e pratique qui l invi L ive et de la multipl Is se coloren sciences humaines et qui pa une rencontre intersubjective Dans une soci t o la s duction du objectivable nous ossaile est il possible de ga fait toute la finesse de notre m Parce que le psychologue en pratique est engag dans la re flexion thique sur le sens de son acte et sur la mani peser sur la personne ass destin e prot ger le psy partir de laquelle toute sa tier ation e dont son rega s d ambivalence tet ication des outils e manier les mod les cognitifs possible il est pris dans nombre ient bien que fortement born e chiffre de la technicit et de der une position clinique de doute celle h rit e des l
327. une offre de soin adapt la ruralit du d partement l ARS des Pays de Loire a souhait la cr ation de cette quipe Appartenant au CHS de la Sarthe l nouvel entit baptis e quibe Mobile de Pr vention Suicide s inscrit dans Ur soin r solument extrahospitalier Compos e d un psychiatre d un psychologue de 3 infrmiers et d une secr taire elle peut intervenir dans tout le d partement l quipe ne remplace pos l existant Eletente plut t de repenser l offre de soin en fonction des particularit s d un territoire La Sarthe est un d partement constitu d une m tropole Le Mans regroupantia moiti de la population et d une zone exclusivement rurale sans aire rbaine str cturante la population g e e isol e Le m decin g n raliste y est souvent l unique acteur du soin Constatant que la sant mentale peine se d velopper en dehors de la m tropole il s agit d aller vers la demande l ouele surgit LES R SUM S Axe Sant OS ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 Juin 2015 Dans ce cadre com n professionnel m d ise suicidaire peut n ment travaillons nous concr tement ical m decin g n raliste en priorit ou param dical un b n vole associatif Un mploy intervenant dans le champ de l aide CUC SSIAD confront s une personne en tat de ous contacter l quipe s engage in
328. upr s de sportifs pratiquant des sports extr mes sportifs de diff rents ges des enfants et des adultes en France ef en lunisie Nous ferminerons ce symposium avec une pr sentation m thodologique qui vise la pr vention des risques psychosociaux en montrant comment un diagnostic organisationnel il s agit d un tablissement d accueil de personnes g es peut participer la pr vention des risques psyCho lt sOcCiIaux Nous concluons ce symposium par une synth se g n rale qui permettra de montrer comment les travaux pr sent s peuvent contribuer la pr vention des risques tant dans des contextes sp cifiques que de mani re g n rale LES R SUM S Q ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 Qu est ce que le risque en psychologie sociale Christine ROLAND L VY Cette communication introduira le symposium avec une pr sentation des diff rents volets de l analyse du risque dans Une perspective psycho sociale Ainsi il s agira autour de la notion de risque de montrer l tat des connaissances actuelles avec des exemples d tudes mettant en valeur diff rents champs d applications et des perspectives de pr vention en terme de prise de risque au travail dans les sports sensation forte o dans le cas de joueurs sains et pathologiques Repr sentations sociales et analyse des risques Ruxanda KMIEC Si le savoir
329. urop ens pour victimes de tortures Il s agit d un outil de sensibilisation et de d tection d ventuelle vuln rabilit en direction des professionnels non seulement des psychologues court et facile manier afin d tre en mesure d orienter les r fugi s vers des prises en charge m dicales et psychoth rapeutiques adapt es Ce questionnaire a t d velopp face l ensemble des dificult s qui ont t d crites exhaustivement dans le Protocole d Istanbul le texte qui tait destin servir de manuel pour toutes les personnes cr ant un lien professionnel avec les r fugi s La contribution d crit les probl matiques de la prise en charge psychologique des demandeurs d asile en France et souligne son clairage pour la clinique de traumatisme 7 N O 0 Q ae em a F O D Bibliographie Altounian J Ll intraduisible Deuil M moire Transmission BUNOD Alfounian V Alfounian J M moires du G nocide Arm nien H ritage Traumatique et Travail Analytique Paris PUF Confusion de langues entre l adulte et l enfant Le langage de la tendresse et celui de la passion 1933 in RsyChanalyselV Paris Payot Duterte P Terres Inhumaines Un m decin face la torture Paris JE Latt s Ferenczi S Journal Clinique janvier octobre 1932 Paris Payot PROTECT Process of Recognition and Orientation of Torture Victims in European Countries to Facilitate
330. urs et chercheurs en su icidologie Paris EDK Furtos J 2008 Les cliniques de la pr carit Paris Masson Jonckeere P 2009 Psychiatrie ph nom nologique Argenteuil Le Cercle Herm neutique diteur ercuel A Arveiller J P 2011 Sant mentale et pr carit Sainte Anne Lavoisier Schmitt L 2012 Psychoth rapie de soutien Paris Masson LES R SUM S Axe Sant W lrOoit o ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuiN 2015 2 Psychologues et services de somatique Le psychologue l h pital g n ral 9 Symposia n 1 jeudi 4 juin 10h46 12h45 Coordonn par Gladys MONDI RE Isabelle BULLE Psychologue clinicienne Maternit r gionale universitaire Nancy wi oule moternite chu nancy f Marine CORMONT Psychologue clinicienne Psychologue clinicienne Gilles MICHEL Yvane WIART Graziella GILORMINI Pr sentation g n rale diff ren comp hospita s plans cancer al g n ral les psycho ier la question de la SOIN Docteur en psychologie chercheur l Universit Paris Descartes logues ont t Psychologue hospitalier docteur en psychologie psychoth rapeute ouv leur place le plussouvent parles recommandations des de d battre partir de interviennent souvent la r ad prise en charge psychol Le psychologue dans COM og
331. ution graphique et orthographe principalement et des processus conceptuel o de haut niveau planiication formulation r vision Ces deux groupes de processus entrent en comp tition dans la gestion de l production crite si bien que la qualit des textes crits mais aussi la quantit de texte produit d pendent largement de la mafrise d s processus de bas niveau Chez le scripteur d butante co t temporel et cognitif du traitement des processus transcriptionnels serait l une des raisons pour lesquelles l gestion deleur production crite est essentiellement consacr e la mise en texte avec ne planification etane r vision particuli rementr duite Le manque de maitrise voire les dificult s de gestion des habilet s transcriptionnell s caract riseraient galement une partie des personnesHPl Is ensuit qu en d pit de capacit s g n rales reconnues comme LES R SUM S am Q O Q O Eas D pas lt L o sup rieures connaissances raisonnement strat gies de t ve travaux dans le domaine sont peu nombreux et leurs r su Be les concluent que le probl me ta l objectif principal de l tude est de d velopper la connaissance et criture n est pas pr ninger et Abbott 1995 montre que les enfants et adolescents HPI pr sen habilet s de bas niveau par rapport aux enfants ordinai ENTRETIENS FRANC
332. uvell activit La particibation des agents au travail de conception de l organisation du travail dans le nouveau aboratoire a permis d tiliser leur expertise pour anticiper les contraintes impr vues Ainsi nous avons identifi pr cis ment Certaines tensions relatives aux exigences de s curit Concr tement des compromis ont t trouv s par les d bats entre l encadrement et les agents LES R SUM S Concl D ENTRETIENS FRANCOPHONES DE LA PSYCHOLOGIE NANCY LES 4 5 6 JuN 2015 usion Cete en pe d marche vise laborer les conditions de d veloppement des ressources psychosociales rmettant Une participation active des agents dans la conception des processus de travail les concernant Les contraintes et ressources de l activit ont ainsi pu tre prises en compte d s l tape de conception organisationnelle Bibliog raphie Clot Y 2010 Le travail c ur Pour en finir avec ls risques psychosociaux Paris ditions La D couverte Geka diachro Harknes Darioly A Schmid Mast M 2011 Facing an incompetent leader The effects of a nonexpert leader on subordinates perception and behaviour European Journal of Work and Organisational Psychology 20 2 239 265 Dubar C 2003 La crise d s identit s L interpr tation d une mutation Paris Presses Universitaires de France 27 dition Dargentas M 2010 L app
333. vue d patient que de celui du M rape te o au contraire l enn i serait mis en lieu et place de la manifestation de la haine afin de palier toute manifestation d agressivit de rejet o d abandon Quelques vignettes cliniquesll streront ce questionnement l agent rationnelsupoos des psychofh rapies de l adaicion entre psychologie de la motivation et sciences conomiques du comportement Lionel FOURE Dans le champ addictologique anglosaxon les pratiques psychoth rapiques n ont cess d voluer au cours des trente derni res ann es d veloppantdes mod les le plus souvent int gratifs dont la psychologie de la motivation est le ressort ultime l objectif est d aider le client prendre les d cisions susceptibles de LES R SUM S Axe Sant que nous aimerions q La techn o ui rendre son autonomie et le cont ique de la balan elle est indiscutablement calqu e s benefit analysis servant tabli echniques est que l addi es attributs ne sont pas sans d finissent comme ca Devenir abs fait tout bien consid r volution du champ classique il se pourrait que les th ories de la d cision nos pratiques et plus ne faisons q inent o r dui u accueill ce d cisi nel ir ct reste culant au m re sa con a d si appele ieux son int r t com on ur abilt d un Out
334. yle d intelligence est f rents concepts des styles d apprentissage 2 correspond la mani re pr f rentiel que les udre une t che De n des tudes environnement Kolb 2006 Nous avons voulu tudie Pour l tude comparative nous avons choisi trois diff rents niveaux scolaire CE2 C d valuer le d veloppement des styles d intelligence et de leurs interact que la personnalit la cr ativit les habilet s cognitives De plus nous rois niveaux dans trois coles utilisant des p dagogies diff rentes N 35 n 61 Classique Nous avons valu leur raisonnement cognitif NNAT cr atif EPOC Lubart Besan on Barbot 2011 leur style de l inventaire des styles de pens e de Stern de Kolb 1999 Les r sultats ont montr s des diff re concernant les styles d apprentissage en fonction du niveau de des performances cr atives plus lev es chez les enfants b n fi berg r vis 2007 nces signifi inventaire istques telles que l ge le ndividu interagit avec son sitoutes ces interactions voluaient et comment 1 et CM2 afin ions avec des facteurs tels avons vu des enfants des Montessori n 45 Freinet aglieri 1998 leur potentiel pens e et d apprentissage respectivement des styles d apprentissage C catives entre les types de p dagogie s enfants D

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