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APPORT DE RECHERCHE - Société canadienne d`hypothèques et

1. na es 68 9 1 1 1 1 6 4 Dandekar needed aes ae 70 Crit res de qualit 4 deux niveaux risque lev et faible risque pour la r tilisajon de ats s NH Nes ee 74 Normes un niveau recommand e en mati re de r utilisation de Peau 76 Abr viations 0 17 2 e e 0 Association canadienne des eaux potables et us es AE E A E SA appareil d puration marine e American National Standard Institute AL a ea 2 1400 azote total AR ees ee ee azote total Kjeldahl BN icc her eda bet ok thes hae een ele Bureau de normalisation du Qu bec CF ase a ee ee coliformes f caux OT cern odes oe eda ee pe ee een be carbone organique total COV ree re ee ee eee ee ee ee ee compos organique volatil CT a ee ee eee er re ee coliformes totaux OBO 55 oo seca demande biochimique d oxyg ne DBOC 2 demande biochimique en oxyg ne des mati res carbon es D demande chimique en oxyg ne ENP aes a thoxylates de nonylph nol eee ee eee eee ee fonctionnement et entretien ia le io m tres cubiques RS 7 ee Erig ce ait eue milligrammes par litre PR beak ents ammoniac dde ob bd or es nitrate NOW RA National Onsite Water Recycling Association NPP a
2. 516 3 Nour Gates du Su es 8 E 5 5 8 6 Colombie Britannique 16 Floride 26 Arabie Saoudite le du Prince douard Italie national 5 91 L CE EC LC EL CCE EC SE 50 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 4 4 Comparaison des normes Nous avons tudi les normes de 30 organismes P chelle internationale en on Le cl des codes des organismes utilis s est pr sent e au tableau 32 Nous pr sentons dans les lignes qui suivent un Le tableau 33 pr sente les crit res relatifs la DBO examen des normes existantes l chelle pour les m mes organismes internationaux num r s au tableau 32 Onze organismes ne poss dent pas de normes relativement la DBO Sur les 30 organismes 10 ou un sur trois noncent internationale et proc dons une comparaison de celles ci Les tableaux qui suivent visent illustrer les points suivants e V rification si l organisme poss de ou non une limite l gard des contacts directs inf rieure ou une norme relative au param tre concern gale 10 Seulement huit organismes appliquent e Degr de traitement le plus courant pour deux normes selon que les contacts sont directs ce param tre On indique galement si ou indirects On notera qu
3. APPORT DE RECHERCHE NORMES DE REUTILISATION DE L EAU ET PROTOCOLE DE MISE L ESSAI S RIE SUR LA MAISON ET LES COLLECTIVITES 7 SAINES li i SCHL CMHC AU C UR DE L HABITATION Canada LA SCHL AU CCEUR DE LHABITATION La Soci t canadienne d hypoth ques et de logement SCHL est l organisme national responsable de l habitation Forte de plus d un demi si cle d exp rience la SCHL collabore avec les organismes communautaires le secteur priv les organismes sans but lucratif et tous les paliers gouvernementaux afin de trouver des solutions novatrices aux probl mes actuels en mati re d habitation de pr voir les besoins de demain et d am liorer la qualit de vie de tous les Canadiens Dans toutes les r gions du pays la SCHL aide les Canadiens a disposer d une vaste gamme d options de financement novatrices et abordables Par ses activit s de recherche la SCHL contribue a la prosp rit du secteur de l habitation Elle collabore avec ses partenaires provinciaux et territoriaux les organismes non gouvernementaux et le secteur priv dans le but de mettre en uvre le plan d action du gouvernement f d ral en mati re d habitation et par le fait m me elle aide les Canadiens de tous les milieux avoir acc s des logements de qualit prix abordable De plus la SCHL travaille de concert avec ses partenaires gouvernementaux et le secteur de l habitation pour acc
4. douard Crit res de qualit de Azote total mg A L Phosphore total mg P L DBO TSS mg L mg L Alberta exigence minimale traitement primaire suivi d un entreposage de sept mois Saskatchewan Permis d irrigation pour cultures non vivri res et a lt 200 lt 100 lt 100 terrains de golf Irrigation agricole Cultures non vivri res Irrigation agricole Cultures vivri res sauf cultures racines et denr es mang es crues lt 1000 lt 23 max lt Irrigation des terrains de golf lt 400 Manitoba Irrigation des parcs terrains de golf et jardins lt 200 EE le du Prince douard Moyenne g om trique M diane Coliformes f caux ou coli Deux chantillons cons cutifs 2 2 2 Etats Unis C est aux Etats Unis E U que l on compte le plus grand nombre de normes chaque Etat d finissant ses propres directives r glements et programmes de contr le La norme la plus connue est la Title 22 de la Californie dont s inspirent de nombreuses normes nord am ricaines et trang res En Californie 18 hausse de la demande d eau a entra n la multiplication des installations de r cup ration et de r utilisation des eaux us es En 1987 plus de 200 stations de traitement des eaux us es taient en fonction pour un volume de r utilisation d environ 330 millions m an Asano T et coll 1992 L eau r cup r e se
5. son usine e Le processus v rifie galement que l quipement est conforme aux exigences de la norme NQ 3680 910 concernant les l ments m caniques et lectriques e Les tests sont effectu s conform ment l annexe A si le fabricant n a pas obtenu la certification NSF ANSI 40 e Les tests sont effectu s conform ment l annexe B pour tous les fabricants afin d valuer une ann e compl te de fonctionnement sous des conditions climatiques moyennes pour le Canada Le processus de production est v rifi l usine deux fois par ann e e Au moins cing syst mes d puration install s sont visit s annuellement des fins d chantillonnage et d analyse des effluents Le fait d tendre la v rification des installations en lui adjoignant un programme sur le terrain semble raisonnable essai en situation r elle tout en tant probablement jug acceptable par le BNQ et le march au Qu bec et dans le reste du Canada On pourrait envisager d adopter un volet de cet ordre dans le cadre d un programme permanent de v rification sur le terrain pour les syst mes d j v rifi s Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai La combinaison des deux protocoles comporterait les avantages suivants e Les organismes de r glementation pr f reront probablement la p riode d essai de 12 mois comparativement aux six mois de la norme NSF ANSI e Les crit res d
6. waterrecycling treatmenttechnology pdf International Maritime Organization IMO 1977 Recommendation on International Effluent Standards and Guidelines for Performance Tests for Sewage Treatment Plants Minist re de Environnement Minist re des affaires municipales et de la M tropole 2003 Proc dure d analyse des technologies de traitement en eau potable NSF International 2001 Protocol for the Verification of Wastewater Treatment Technologies NSF International American National Standard 1999 ANSI NSF Standard 40 Residential Wastewater Treatment Systems NSF International USEPA 2000 Protocol for the Verification of Residential Wastewater Treatment Technologies for Nutrient Reduction NSF International USEPA 2002 Verification Protocol for Secondary Effluent and Water Reuse Disinfection Applications Water Quality Protection Center 84 NSW Health 2000 Domestic Greywater Treatment Systems Accreditation Guidelines NSW Health 2002 Greywater Reuse in Sewered Single Domestic Premises U S Coast Guard Department of Transportation 2001 33 CFR Part 159 Discharge of Effluents in Certain Alaskan Waters by Cruise Vessel Operators 64803 Visitez notre page d accueil l adresse suivante www schl ca 11 03 05
7. automatiques sur pont roulant e turbidit ne d passe pas les valeurs suivantes une moyenne quotidienne de 2 uTN 5 uTN plus de 5 du temps dans une p riode de 24 heures et 10 uTN en tout temps ou 1 y a eu passage par une membrane de microfiltration de nanofiltration ou d osmose 46 invers e apr s quoi la turbidit ne d passe aucune des valeurs suivantes 0 2 uTN plus de 5 du temps dans une p riode de 24 heures et 0 5 uTN en tout temps et C Il y a eu d sinfection par l une des deux techniques suivantes 1 une m thode de d sinfection au chlore fournissant une concentration de chlore totale de 450 mg min L avec une dur e de contact modal d au moins 90 minutes d apr s un d bit de pointe par temps sec ou 2 une m thode de d sinfection qui lorsque combin e avec un traitement par filtration a d montr quelle atteint une inactivation des virus de l ordre de 5 log Le California State Department of Health Services CDHS reconnait et encourage l utilisation des lignes directrices Ultraviolet disinfection guidelines for drinking water and water reuse Directives de d sinfection par ultraviolets pour l eau potable et la r utilisation de l eau comme moyen ad quat de tester et de valider les syst mes de d sinfection afin d atteindre une inactivation des virus de l ordre de 5 log La concentration m diane des coliformes totaux mesur e dans les effluents d sinfect s
8. d puration de classe IV coliformes f caux pour les syst mes d puration de classes II IV et V La norme du BNQ NQ 3680 910 est la seule norme qui stipule des exigences relativement aux organismes coliformes Param tres additionnels bruit bruit maximal de 60 dB mesur 1 2 m 4 pi au dessus du niveau du sol dans les quatre directions 90 180 270 et 360 une distance de 6 m 19 12 pi du syst me de traitement Caract ristiques cl s respect du protocole NSF ANSI 40 et accr ditation par NSF International c d norme reconnue pour le march am ricain d exportation e prolonger les essais sur le terrain afin d valuer les variations saisonni res climatiques Le protocole Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai de certification du BNQ NQ 3680 915 Caract ristiques des influents pour la norme NQ 3680 910 n cessite pour la v rification du rendement sur le terrain un Dans le cas d un test de 12 mois la chantillonnage allant de cinq dix syst mes concentration des eaux us es en DBOC doit install s afin de s assurer que ces syst mes se situer entre 100 et 300 mg L tandis que fonctionneront de la mani re exp riment e pour le TSS elle doit varier de 100 350 sur les lieux d essai Il s agit de confirmer mg L Pour les syst mes de classe IV les la fiabilit sur le terrain ce qui est souvent valeurs de phosphore total doiv
9. es crues non commerciales seulement Lavage des v hicules chasse d eau des toilettes et des urinoirs climatisation et autres utilisations urbaines avec acc s humain quivalent ou exposition l eau Compactage du sol contr le de la poussi re lavage du gravier et fabrication du b ton Irrigation des gazonni res des sylvicultures et des autres secteurs o l acc s humain est interdit ou limit Dans certains cas on n a pas pu examiner les normes les directives ou les r glements Toutefois le manuel de PUSEPA Water Reuse Guidelines indique bien qu un tat donn applique certaines normes et certains parcs e r sidences e protection incendie plans d eau d coratifs lavage des v hicules e climatisation commerciale terrains de jeux e chasse d eau des toilettes programmes de contr le en mati re d eau r cup r e Ces normes sont r sum es au tableau 21 et se rapportent g n ralement aux applications de r utilisation urbaine sans acc s limit e construction irrigation paysag re e cours d cole e climatisation e fontaines d coratives terrains de golf protection incendie 27 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 21 Caroline du Sud tat CT 11 Hawai Or gon et Caroline du Sud Protocole de contr le Directives sugg r es Ent rovirus TSS DBO UFP 40 L mg L mg L Turbidit S
10. essai de la norme NSF ANSI 40 se rapportent la qualit secondaire des effluents et non pas tertiaire Bien qu un moindre nombre d chantillons soient pr lev s comparativement la norme NSF ANSI 40 il serait possible d ajouter des chantillons si n cessaire e Combiner la norme du BNQ NQ 3680 910 annexe B avec l inspection annuelle d un minimum de cing syst mes d puration install s r pondrait aux pr occupations des organismes de r glementation exigeant une p riode d essai sur le terrain e Seule la norme du BNQ NQ 3680 910 exige un contr le des coliformes pour les syst mes d puration de classe III IV et V Cette exigence est absente de la norme NSF ANSI 40 e Ce caract re hybride constituerait la colonne vert brale du protocole Il serait alors possible de lenrichir en lui ajoutant des chantillonnages suppl mentaires ou des param tres si la nitrification devient une pr occupation pour respecter les normes tablies par un organisme de r glementation ou les souhaits du fabricant 77 9 Bibliographie G n ralit s Asano T D Richard R Crites et G Tchobangolas 1992 Evolution of tertiary treatment in California Water Environment Technology vol 4 n 2 6 p Chemical Market Reporter Online 1998 Nonylphenol 28 septembre 28 1998 http www chemexpo com news PROFILE980928 cfm Environnement Canada et Sant Canada 2001 Rapport d valuation
11. la turbidit des effluents pouvant varier autant que n cessaire pour que le traitement soit jug conomiquement applicable mais sans d passer 2 u TN en moyenne quotidienne 5 uTN plus de 5 du temps ou 10 uTN en tout temps Lexp rimentation comprendra trois s ries de test chaque s rie consistant en une p riode de fonctionnement continu entre deux cycles k cons cutifs de lavage par retour d eau 47 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai e Si le promoteur souhaite proposer une valeur de temps de concentration diff rente de celle qui est nonc e dans les directives NWRI AWWARE il devra ex cuter un nombre suffisant de s ries de test pour pouvoir produire une courbe de relation dose effet en ce qui concerne la r duction des virus La courbe illustrera la valeur requise des param tres auxquels la concentration de virus viables dans les effluents d sinfect s est ramen e 1 100 000 de la concentration dans les influents en amont du filtre Le promoteur soumettra l approbation du CDHS sa proposition avant d entreprendre la d monstration du test de rendement Pour qu il soit jug acceptable en vue du traitement des eaux us es des fins de r utilisation le dispositif doit combiner la fois une technique de filtration et une technique de d sinfection 48 4 Bref compte rendu de l atelier 4 1 Objectifs de l atelier L atelier a eu lieu
12. rience pilote 3 Technologie de validation chelle r elle 4 Technologie prouv e Caract ristiques des influents e non applicable Caract ristiques des effluents qualit d eau potable Documentation fournie par le fabricant rapport technique 45 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 3 10 tat de Californie Division de l eau potable et de la gestion environnementale Rapport sur les technologies de traitement pour la r cup ration de l eau ao t 2003 Selon la norme Title 22 titre 22 il faut appliquer des techniques de coagulation et de filtration par le sable et les faire suivre par une d sinfection pour traiter les eaux us es en vue d une r utilisation de l eau Pour qu une eau soit jug e apte une application de r utilisation elle doit tre consid r e d sinfect e par recyclage tertiaire Conform ment aux California Water Recycling Criteria on consid re qu une eau est recycl e par d sinfection tertiaire si 165 eaux us es ont t oxyd es et que le traitement a respect les conditions suivantes 4 1 y a eu coagulation et passage par des sols naturels non remu s ou un lit de milieu filtrant selon les exigences suivantes e un d bit ne d passant pas 5 GPM pi dans les syst mes de filtration sous pression ou par gravit mono double ou multicouches ou ne d passant pas 2 GPM pi dans les filtres retour d eau
13. un faible nombre parmi ceux que nous avons relev s avaient t con us pour tester et v rifier le rendement des syst mes avant leur installation sur le terrain Nous avons relev neuf protocoles d essai Ces protocoles concernent une grande vari t de techniques de traitement des eaux us es depuis les syst mes r sidentiels autonomes de r cup ration de l eau jusqu aux appareils d puration marine en passant par 165 syst mes de r cup ration de l eau potable et les dispositifs de d sinfection Ce document fournit un aper u des ressources mat rielles requises pour les protocoles d essais sur le terrain et en laboratoire ainsi que des co ts estimatifs aff rents On a organis un atelier r unissant des repr sentants du gouvernement et de l industrie afin de discuter des normes en mati re de qualit de l eau et des protocoles de v rification des applications de r utilisation de l eau au Canada Au terme des travaux un consensus a merg l gard d une norme deux niveaux risque faible et risque lev Parmi les applications faible risque on a d sign la chasse d eau des toilettes et l irrigation souterraine c est dire des applications peu susceptibles d occasionner un contact avec les humains En ce qui concerne les applications risque lev on a retenu la lessive et l irrigation de surface am nagement paysager soit les applications avec contact probable avec les humai
14. vement des perturbateurs endocriniens la maison constitueraient une m thode plus efficace et plus efficiente d limination que d essayer de traiter les rejets d effluents de mani re centralis e sur des volumes plus grands et plus dilu s 7 Installations d essais existantes et co ts des protocoles 7 1 Mat riel de v rification ressources des installations et co ts Le tableau 45 pr sente une liste de ressources utiliser dans le cadre des protocoles de v rification technologique en laboratoire et sur le terrain Il serait souhaitable que des installations d essai l instar des installations illustr es dans la photo la page 71 disposent d eaux us es de source collective principalement r sidentielle donc qu elles soient vraisemblablement situ es sur les lieux d une petite station municipale d puration Les eaux us es brutes tir es des conduits d influents de la station municipale seraient collect es par pompage au moyen d un conduit collecteur menant chacun des emplacements d essai On utiliserait une pompe de puisard d eaux us es pour mati re solide de 2 po semblable ce que l on trouve dans les stations de pompage r sidentielles et non pas une pompe broyeuse Sur chaque emplacement un robinet vanne pneumatique contr l par ordinateur servirait doser les installations d essai de fa on syst matique Conform ment au protocole d essai tertiaire USEPA ETY les
15. 12 14 mois pour le protocole USEPA ETV prolong par un essai sur le terrain additionnel de six mois sur le mod le du protocole du BNQ Cl ment Audet Coordonnateur BNQ Norme NQ 3680 910 clement audet bnq qc ca t l 418 652 2238 poste 2541 http www bnq qc ca 69 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 46 Inclus dans le co t Dur e du test Estimation des co ts 70 Co ts des essais de v rification Protocole Protocole de la norme NSF ANSI 40 Protocole USEPA ETV Protocole BNQ Fonctionnement quotidien de Fonctionnement quotidien de Fonctionnement quotidien de la la station soutien sur le terrain analyses en laboratoire validation des donn es contr le de la qualit sur les lieux d exp rimentation installation et mise hors service Les essais se d roulent sur une p riode de six huit 6 8 mois et comportent un minimum de 96 chantillons d influents et d effluents Test sur le terrain de six a huit mois sous des conditions contr l es appliquant un protocole visant simuler la production r sidentielle d eaux us es Environ 83 000 pour l ensemble de la dur e du test de six huit mois y compris les tests l chantillonnage les analyses et la production du rapport la station soutien sur le terrain analyses en laboratoire validation des donn es contr le de la qualit sur les lieux d exp
16. 2 en remplacement du TSS lt 5 en remplacement du TSS 10 Coliformes f caux UFC 100 mi lt R sidu de chlore lt 200 lt 200 0 1 a 1 04 La m diane est fond e sur des donn es obtenues conform ment au protocole d essai USEPA ETV ou partir d au moins cinq chantillons pr lev s sur une p riode de 30 jours f Au Canada certaines autorit s l gislatives comme le Manitoba consid rent les coli et les coliformes f caux comme des indicateurs de rechange quivalents pour mesurer la qualit de l eau en fonction de la pr sence de pathog nes On recommande la chloration tout au moins comme mesure secondaire de d sinfection afin de maintenir un r sidu de chlore l int rieur du syst me de distribution 8 2 T che 2 Protocoles de v rification recommand s Apr s examen des protocoles de v rification on a tabli que trois protocoles de premier plan ANSI NSF 40 le protocole USEPA ETV et la norme du BNQ NQ 3680 910 qui est obligatoire au Qu bec pourraient servir de mod les 18 cr ation d un protocole qui satisferait aux exigences voqu es lors de l atelier Les crit res essentiels de ce protocole serait que le test ait une dur e dau moins 12 mois afin de tenir compte des variations saisonni res qu il comprenne deux volets d essai tant en laboratoire que sur le terrain et qu il soit conforme aux crit res r glementaires internationaux quivalence avec les
17. 2 1 Canada et Lloydminster et 28 collectivit s de taille plus faible qui irriguent au moyen d eaux us es Au Canada six provinces autorisent sous une q 5 7 forme ou sous une autre certaines pratiques de r utilisation de l eau La Colombie Britannique est la seule province qui d finit la r utilisation de Peau dans le cadre d une r glementation d taill e qui porte tant sur les acc s publics non limit s Au Manitoba on a fix des objectifs touchant la qualit de l eau pour les besoins d irrigation En Ontario il n existe pas de politique de r glementation ou de directives sur le sujet mais la province d livre a la pi ce des certifications d approbation concernant 1688041386 par irrigation d effluents secondaires d sinfect s 8 risque lev que sur les acc s publics limit s a faible risque Les trois provinces des Prairies autorisent l pandage a Pa ne ae Enfin l Ile du Prince douard a d livr des d effluents par irrigation des cultures vivri res plus de 5 700 hectares 14 000 acres tant irrigu s de PERS la r utilisation de Peau P irrigation des terrains de golf Les crit res cette mani re Tant l Alberta que la Saskatchewan touchant la qualit de Peau r glement s et adopt s ont publi des directives r gissant les pratiques E ben sont r sum s dans les deux tableaux suivants municipales en mati re d pandage des effluents
18. 20 30 10 20 30 10 TPC 20 30 10 20 30 10 us es trait es seulement dans Doit respecter pour l irrigation les secteurs les exigences de surface non desservis de rendement par un r seau ou la norme d gouts AS NZ 1547 Toutes les installations de plomberie doivent respecter la norme de la Tasmanian Plumbing Commission TPC aie 4 Victoria Territoire R glementation sur Non le d tournement direct vers les jardins des eaux us es non trait es Autorisation de d tournement direct vers les jardins des eaux us es non trait es Contr le du d tournement direct vers les jardins des eaux Non Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 2 suite Nolde E 2004 Etat ds Victoria Territoire Qualit des eaux 20 30 us es pour l irrigation souterraine Non r glement e Non r glement e Non permise Non permise Non permise Non permise R glementation de la qualit des eaux us es trait es pour les foss s Non r glement e R glementation de la r utilisation interne des eaux us es non trait es pour la chasse d eau des toilettes Non r glement e R glementation de la r utilisation interne des eaux us es trait es pour la chasse d eau des toilettes Non r glement e Exigences de qualit des eaux us es trait es pour la chasse d eau des toilettes Non r glement e Contr le de la r utilisation inte
19. 40 entre 17 het 22h test de la panne de courant d quipement panne de courant de 48 heures e test d interruption o la charge est discontinu e pendant huit jours cons cutifs avec courant lectrique suivis par une charge hydraulique de 60 et trois cycles de lavage entre 17 et 20 le dernier jour Caract ristiques des influents e Concentration des eaux us es DBOC de 100 300 mg L en moyenne sur 30 jours et TSS de 100 350 mg L en moyenne sur 30 jours Caract ristiques des effluents Il n existe pas d exigences r ussite chec ou d acceptation dans le protocole La v rification a pour objet de pr senter les r sultats obtenus pendant le test Documentation fournie par le fabricant e manuel de fonctionnement et d entretien e guide d installation guide de d pannage manuel de r paration 36 3 3 Protocole USEPA ETV Protocole de v rification des effluents secondaires et des applications de d sinfection pour la r utilisation de l eau Ce protocole est produit par le Water Quality Protection Center administr par NSF International et s inspire en partie du document du National Water Research Institute NWRI et de American Water Works Association Research Foundation AWWAREF intitul Ultraviolet Disinfection Guidelines for Drinking Water and Water Reuse 2000 Ce document a pour objet de d crire les tapes suivre pour assurer que la v rification de la technologie
20. Minist re des Affaires Municipales et de la M tropole du Qu bec Proc dure d valuation des technologies de traitement de l eau potable 45 3 10 tat de Californie Division de l eau potable et de la Gestion environnementale Rapport sur les technologie de traitement pour la r cup ration de l eau ao t 2003 46 4 Bref compte rendu de l atelier 49 MODS de atelier SR RA ne DEA eee 49 43 Partie I Normes de qualit de Peau des effluents 5 9 65 86 9 8 06 89 846 49 4 3 Applications r sidentielles autonomes pour la r utilisation de l eau 50 4 4 Comparaison des normes l chelle internationale 51 4 5 Comparaison des normes l chelle internationale avec les normes de l atelier 55 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 4 5 1 Demande biochimique d oxyg ne DBO use pus me ae 55 4 5 2 Total des solides en suspension 1 51 22e 55 4 S3 1 1 ne Ta Ee Bu Gh See de Ga bod ae 56 4 5 4 Coliformes OR deteste 56 Be he COMO reS gcse See eat ae da EE nen eran E ar 57 45 6 Pcie chlore NT oh Paes oe Laie nein Fad oe oes 57 4 6 Partie II Protocoles de v rification sur le terrain et en 13 0 3 00 6 59 5 NOWRA Mod le de code de pratique
21. Purdom C P Hardiman V Bye N Eno C Tyler et J Sumpter 1994 Estrogenic effects of effluents from sewage treatment works Chemistry and Ecology 8 275 285 Renner R 1997 European bans on surfactant trigger Transatlantic debate Environmental Science and Technology 31 316A 320A Sheahan D A D Bucke P Matthiessen J P Sumpter M F Kirby P Neall et M Waldock 1994 The effects of low levels of 176 ethynylestradiol upon plasma vitellogenin levels in male and female rainbow trout Oncorhynchus mykiss held at two acclimation temperatures Dans R Muller et R Lloyd d Sublethal and Chronic Effects of Pollutants on Freshwater Fish pp 99 112 Fishing News Books Oxford Royaume Uni Surendran S A D Wheatley et I C Meadowcroft 2004 Performance of on site greywater reclamation systems Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie 79 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Normes et lignes directrices australiennes Australian Capital Territory Government 1999 Wastewater Reuse for Irrigation Environment Protection Policy http www environment act gov au airandwater envprotectact97 environmentprotectionpolicy html Department of Primary Industries Water and Environment Environment Division 2002 Environmental Guidelines for the Use of Recycled Water in Tasmania ver
22. Tableau 9 Colombie Britannique Loi sur la gestion des d chets R glementation en mati re d eaux us es Exigences de qualit des effluents Classe Applications CF m dians DBO TSS PH Tur UFC 100 ml mg L mg L 0 uTN Urbain Parcs terrains de jeux cimeti res terrains de golf emprises routi res cours d cole pelouses r sidentielles ceintures de verdure lavage des v hicules et des all es am nagement paysager chasse d eau des toilettes protection ext rieure contre les incendies nettoyage des rues 2 2 lt 10 lt 5 52 Agriculture Aquaculture cultures vivri res consomm es crues vergers et vignobles p turages protection contre le gel cultures semenci res R cr ation Augmentation des cours d eau plans d eau artificiels 1 pour navigation et p che fabrication de la neige e Urbain R cr ation Plans d eau artificiels pour am nagements paysagers lt 200 e Chutes pour am nagements paysagers Fabrication de la neige sauf pour le ski et la planche a neige Remarque 2 a n v lt limit Acc s pu Pour les acc s publics limit s on exige que le contr le des coliformes f caux soit effectu une fois par semaine 20 Tableau 10 l eau r cup r e Applications Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Alberta Saskatchewan Manitoba et le du Prince
23. Townshend et coll 1997 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 1 3 Objectifs La SCHL a confi NovaTec Consultants Inc la t che de recueillir et de r sumer l information sur les normes en mati re de r utilisation de Peau et les protocoles de v rification des technologies de traitement des eaux tels qu ils sont utilis s de par le monde dans les diff rents pays tats et provinces Ce r sum a pour objectif d aider la SCHL laborer des normes et des protocoles applicables aux utilisations r sidentielles au Canada Les renseignements recueillis sont pr sent s en deux parties Partie I Normes de qualit des effluents selon les param tres biologiques biochimiques et physiques Parmi les param tres d sign s mentionnons le TSS le DBO le pH la turbidit les nutriants la temp rature et les bact ries Partie II Protocoles de v rification technologique en laboratoire et sur le terrain Parmi les l ments relev s relativement ces protocoles mentionnons le dosage les param tres de contr le le nombre et la fr quence des relev s la dur e des essais les caract ristiques des influents et des effluents les essais sous contrainte et les documents 4 fournir p ex les manuels de fonctionnement et d entretien les guides installation et de d pannage Les normes trait es dans le pr sent rapport portent principalement sur les applications r sidentiel
24. Valeurs m diane et maximale fond es sur au moins cing chantillons recueillis sur une p riode de 30 jours On recommande la chloration tout au moins comme mesure secondaire de d sinfection afin de maintenir un r sidu de chlore l int rieur du syst me de distribution Dans certains cas o le r seau de canalisation pourrait affecter la qualit de l eau il pourrait tre galement n cessaire de contr ler le pH Si le pH est acide cela peut corroder les conduits ce qui pourrait r duire la qualit de l eau 8 1 2 Norme unique en mati re de qualit de l eau et d applications de r utilisation Au lieu d utiliser des crit res deux niveaux on pourrait pr f rer une norme unique en mati re 74 de r utilisation de l eau dont les param tres de qualit se situeraient approximativement entre les crit res de faible risque et les crit res de risque lev pr sent s au tableau 48 tout en r servant cette norme la chasse d eau des toilettes seulement Pour les besoins de la discussion nous parlerons de crit res de qualit de l eau pour application risque moyen pr sentant une qualit de l eau sup rieure pour la chasse d eau des toilettes que celle qui est pr sent e au tableau 48 Cette solution se justifierait pour les raisons suivantes e La chasse d eau des toilettes semble l application de r utilisation de l eau la plus facilement acceptable pour le grand publi
25. autres normes accept es pour 165 besoins des march s d exportation Il est donc recommand que le protocole national de v rification en mati re de r utilisation de l eau de la SCHL int gre tout en y tant essentiellement quivalent le protocole de v rification des stations 76 de traitement tertiaire USEPA ETV de m me que la portion sur le terrain du protocole de v rification du BNQ Bien que le protocole USEPA ETV ne serve pas accorder une certification NSF ou EPA aux produits test s il suit quand m me la proc dure d exp rimentation de la norme NSF ANSI 40 sauf pour un moins grand nombre d chantillons et se d roule sur une dur e plus longue Le respect du protocole de v rification USEPA ETV pourrait permettre l acceptation des technologies certifi es par les organismes r glementaires sur le march am ricain En outre le protocole de traitement tertiaire USEPA ETV est moins co teux que le protocole NSF ANSI 40 puisque la fr quence des tests est moindre et que l information collect e permet de v rifier sil y a un effet des variations saisonni res de temp ratures sur le rendement Lapplication de la norme du BNQ NQ 3680 910 ne se limite pas des essais tenus sur une seule unit d exp rimentation Le processus de certification du BNQ comprend donc galement les points suivants e Le fabricant transmet au BNQ des donn es sur le processus de contr le de la qualit r alis
26. certification Au renouvellement de la certification les tests de 12 mois ne sont pas n cessaires si le fabricant n a apport aucune modification susceptible de changer la performance du syst me Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Lieu d exp rimentation du BNQ situ pr s de la ville de Qu bec et servant la certification des syst mes r sidentiels individuels d puration des eaux us es Ces installations qui fonctionnent depuis 2003 comportent huit stations d essai Le b timent central contient les commandes etc n cessaires la tenue des tests en conformit avec la norme NQ 3680 910 Les temp ratures annuelles varient de 17 C 1 4 F 25 C 77 avec des chutes de neige annuelles moyennes de 3 37 m tres 11 pi Installations de v rification technologique et lectrique de chaque station de traitement Sur du syst me d puration Mamquam situ es la photo on voit quatre unit s de traitement Squamish Colombie Britannique comptant partiellement enfouies en cours d essai Les cinq unit s d exp rimentation chacune tant temp ratures ext rieures annuelles varient de constitu e d un caisson de protection et d un 2 5 C 27 5 F 22 C 71 6 F avec des abri contenant les dispositifs de r glage m canique chutes de neige annuelles de 0 67 m tres 2 1 pi 71 6 Recommandations 8 1 T che I Normes rec
27. concernant la qualit des eaux de baignade 76 160 CEE stipule les param tres suivants coliformes totaux lt 10 000 100 ml E coli lt 1 000 100 ml et Pseudomonas aeruginosa lt 100 100 ml Lutilisation des eaux m nag res r cup r es des fins d irrigation est peu r pandue Nolde E 2004 En raison de l absence d exigences r glementaires en Allemagne touchant l utilisation de l eau non potable et de l absence d valuations approfondies des risques on s est entendu sur le fait de ne pas exiger de qualit sup rieure pour l utilisation des eaux m nag res r cup r es pour la chasse d eau des toilettes celles qui sont prescrites dans la Directive concernant la qualit des eaux de baignade de VUE 76 160 CEE et des Exigences de Berlin touchant la qualit des eaux m nag res Nolde S 2004 Au Royaume Uni il n existe pas de normes de qualit touchant les utilisations pour chasse d eau des toilettes ou le recyclage des eaux m nag res Surendren S et coll 2004 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 22 Normes pour le Moyen Orient Exigences de qualit Pays Applications Bact ries 551 coliformes a Irrigation des cultures vivri res consomm es crues Arabie R utilisations municipales lt 22 lt 10 Saoudite industrielles et agricoles Normes des pays europ ens et m diterran ens Applications oeufs L N mat
28. cup r e CN AS MAIS a ae EN DE a ae en esas 19 Colombie Britannique Loi sur la gestion des d chets R glementation en mati re d eaux us es 20 Alberta Saskatchewan Manitoba et le du Prince douard Crit res de qualit de Peau r cup r e need ar recrues 21 USEPA Directives en mati re de r utilisation de l eau 22 Californie Title 22 Code de r glements de la Californie 23 Arizona Code administratif de l Arizona Titre 18 Ch 11 23 Massachusetts Directives provisoires sur l eau r cup r e r vis es 24 New Jersey Eau r cup r e pour r utilisation b n fique bauche 24 Texas Chap 210 Utilisation de l eau r cup r e Sous Chap C Crit res de qualit et utilisations particuli res de l eau r cup r e 25 G orgie Directives de conception pour la r cup ration d eau et la r utilisation d eau en milieu urbain bauche 25 Etat de Washington Normes en mati re de r cup ration et de r utilisation de l eau 26 Floride Chapitre 62 610 R utilisation de leau recycl e et applications sur les terrains 26 Wisconsin Normes en mati re de r utilisation de l eau 27 Hawa Or gon et Caroline du Sud Protocoles de contr le 28
29. cutifs la fin de la p riode d essai d un an Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Param tres test s e DBO e DBOC e TSS e phosphore total e orthophosphate e azote et nitrite ATK et ammoniac pH temp rature e alcalinit bse oxyg ne dissous Param tres additionnels odeur bruit 9 1 energie Caract ristiques cl s Tests de contrainte Cinq tests de contrainte visent simuler des v nements qui ont pour effet d interrompre l coulement r gulier de l eau entrant dans une station de traitement dans des conditions de fonctionnement normal on notera qu il y a un test de contrainte de plus que pour la norme NSF ANSI 40 test des jours de lavage consistant trois jours de lavage pendant une p riode de cing jours trois cycles de lavage pendant les deux premi res p riodes de dosage chaque jour test des parents au travail pendant cinq jours cons cutifs avec 40 de la charge hydraulique entre 6 h et 9 h et 60 du d bit entre 17 et 20 On ne testera les param tres de phosphore et d azote que si le fabricant pr tend qu il y a r duction de ces nutriants sp cifiques 35 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai test de faible charge afin de v rifier le fonctionnement pendant 21 jours 50 du d bit th orique 35 du d bit est re u entre Ghet 11 h 25 entre 11 h et 16 h et
30. e e A l le du Prince douard on applique sur les terrains de golf une norme l gard de l azote total de 10 mg L et du phosphore total de 10 mg L En Afrique du Sud au Royaume Uni en Irlande du Nord et en Ecosse on stipule que l eau pour la consommation pour la pr paration des aliments la cuisine et le bain doit respecter les normes et r glements en mati re d eau potable 58 4 6 Partie Il Protocoles de v rification sur le terrain et en laboratoire Nous avons pu examiner neuf protocoles de v rification technologique Ces protocoles se rapportent a une grande vari t de technologies de traitement des eaux us es depuis les syst mes domestiques de traitement jusqu aux syst mes de d sinfection par UV en passant par les appareils d puration marine bord des navires Voici les protocoles de v rification d crits e ANSI NSF 40 Syst me r sidentiel de traitement des eaux us es EPA NSF Environmental Technology Verification Program programme de v rification des technologies environnementales EPA NSF e Directives d accr ditation des syst mes domestiques et de traitement des eaux us es avril 2000 Nouvelle Galles du Sud 2 e Directives provisoires sur l eau r cup r e r vis es e Essai des appareils d puration marine titre 46 partie 159 CFR U S Coast Guard e VIE V rification des technologies environnementales Canada Protoco
31. la mesure du profil de v locit Pendant les essais un minimum de cing d bits seront test s dans des conditions simulant au mieux les conditions en grandeur r elle Les Ex cuter des s ries de calibrage dose r ponse conditions qui doivent tre d finies pendant au moyen de la technique du faisceau l essai biologique sont l tat des surfaces de collimat pour calibrer la r ponse du MS2 quartz de la lampe UV la transmittance des UV phage la lumi re UV Chaque s rie devra dans l eau test e les densit s des organismes comprendre un minimum de cinq doses UV indicateurs la puissance de la lampe la L eau d alimentation ensemenc e devra faire temp rature le d bit de l eau la consommation l objet de rajustements afin d assurer une d nergie et la perte de charge transmittance donn e qui servira pour les tests de r activit sur le terrain essai biologique Dans le cas d une v rification d applications de L analyse biologique comprend r utilisation analyse dose d bit sera r alis e pour les transmittances suivantes NSE 2002 Tableau 27 Conditions du test UV Applications de traitement en amont Transmisttance des UV 3 4 Directives de certification Dur e des syst mes de traitement des eaux m nag res avril 2000 e 26 semaines Dosage Nombre d chantillons e Les crit res th oriques pour les syst mes de chantillons instantan s pris une fois par traitement concernent un d
32. ne doit pas d passer un NPP de 2 2 par 100 ml d apr s les r sultats bact riologiques des sept derniers jours pour lesquels des analyses ont t effectu es et le nombre total de bact ries coliformes ne doit pas d passer un NPP de 23 par 100 ml dans plus d un chantillon pour toute p riode de 30 jours Aucun chantillon ne doit d passer un NPP de 240 coliformes totaux par 100 ml Le paragraphe 60320 5 de la norme Title 22 permet l utilisation d autres m thodes de traitement pourvu qu elles soient jug es acceptables par le minist re Lorsqu un filtre autre qu un filtre couche granulaire ou qu un autre type stipul dans la norme Title 22 est propos et que l eau r cup r e doit respecter les crit res de la norme Title 22 alors le promoteur du dispositif doit proc der une d monstration au CDHS des conditions de fonctionnement propres garantir que le filtre et la m thode de d sinfection r duiront de mani re constante la concentration d un virus 1 100 000 de la concentration dans les influents et que le nombre total de coliformes respectera les crit res de la norme Title 22 Pour faire cette d monstration le filtre et le dispositif de d sinfection doivent fonctionner dans les conditions suivantes e Le filtre doit recevoir des eaux us es semblables celles que 16 syst me de traitement est cens recevoir e La vari t des qualit s des eaux us es re ues par le filtr
33. norme pour faible risque de contacts NFRC La NREC se d finit par un crit re relatif aux coliformes f caux m diane inf rieure 1 UFC 100 ml ou 2 2 NPP 100 ml avec un maximum de 14 UFC 100 ml une turbidit inf rieure 2 uTN et pas d odeur d tectable La NFRC se d finit galement par un crit re touchant les coliformes f caux m diane inf rieure ou gale 200 UFC 100 ml ou 200 NPP 100 ml avec un maximum de 800 UFC 100 ml un crit re de turbidit inf rieur uTN et pas d odeur d tectable Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Les deux normes sont assorties de recommandations touchant les param tres de DBO de pH et de r sidu de chlore dont le contr le sert s assurer que le niveau atteindre pour respecter les normes de risque sera probablement atteint Certains membres du groupe de travail taient d favorables l inclusion de ces param tres dans le contenu de la norme en particulier la DBO m me s ils figurent dans la majorit des normes internationales Bien que le groupe de travail de la NOWRA ait d cid de ne stipuler explicitement que les crit res touchant les coliformes et la turbidit il est recommand que la norme canadienne fasse galement mention des crit res de DBO et de TSS comme nous l indiquons la section 7 0 63 Tableau 44 ation de l eau et protocole de mise l essai NOWRA Normes provisoires
34. qualit Classe Application de r utilisation CF R sidu de UFC 100 ml DBO mg L SS mg L chlore libre Elimination de surface des eaux us es par aspersion par gicleurs par asp par 8 lt 10 lt 20 lt 30 gt 0 5 des am nagements paysagers et des jardins passifs Suite l introduction du Code of Practice for the Reuse of Greywater in Western Australia par le minist re de la Sant en 2003 les m nages ont trois options dont une seule est assortie de normes applicables en mati re de qualit de Peau en raison des risques de contacts humains Mars 2004 1 R cup ration manuelle au seau sans traitement pour les habitations de petite taille Les eaux us es peuvent tre r cup r es et d vers es sur les jardins Tableau 5 Classe Applications R g n ration pour contact secondaire tangs ornementaux avec acc s public Irrigation restreinte des cultures Irrigation des p turages et des fourrages Lavage grande eau et r serve en eau Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 2 Traitement primaire filtrage et ou s dimentation les eaux us es passent tout d abord dans un bassin de d cantation ou par un filtre avant d tre achemin es vers un r seau d pandage souterrain 3 Traitement secondaire les eaux us es sont trait es selon une norme lev e par le passage dans un syst me de traitement a r et peuvent ensuite tre vers es dans les ja
35. relatifs au TSS pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 Normes des organismes Crit res de turbidit UTN 3 5 7 17 18 20 21 22 23 24 25 26 27 28 Codes des organismes Cp Reese Nestes AIO Cause du Sud LOST ECS 3 85 5 5 6 6 5 es 88 E 5 E 6 Colombie Britannique 16 Floride 26 Arabie Saoudite le du Prince douard Italie national 885 Tefera EE 9 eateries LC EC 89 EE E Le tableau 37 porte sur les organismes ayant galement entre la d tection d un r sidu et un adopt une norme relativement au r sidu de r sidu d passant 1 mg L Sept organismes chlore On y observe que plus de la moiti appliquent deux normes selon qu il y a contact 50 n ont pas de norme cet gard Les direct ou indirect l gard du chlore m me si normes appliqu es se r partissent peu pr s la qualit stipul e est souvent la m me Tableau 37 Crit res relatifs au r sidu de chlore selon les organismes internationaux num r s au tableau 32 Crit res relatifs au r sidu de chlore mg L Contact direct Contact indirect Aucune norme relev e 2 3 5 6 7 9 10 13 15 18 19 20 21 22 23 26 27 54 4 5 Comparaison des normes a P chelle internationale av
36. syst me de traitement Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai On met l essai les composants m caniques mat riels et lectriques en fonction des conditions m t orologiques exceptionnelles Les tests touchant les composants mat riels se rapportent aux vibrations aux chocs au roulis la pression la temp rature et aux agents chimiques Tableau 29 Exigences de qualit des effluents pour l accr ditation des appareils d puration marine 50 mg L lorsque test en berge 100 mg L au dessus de la 45 mg L Dee Aucun visible lt 150 mg L concentration en solides A moyenne en suspension TSS suspension dans l eau ambiante sur 7 jours utilis e pour fins de chasse d eau lorsque test a bord Demande 45 mg L biochimique 50 mg L moyenne g om trique moyenne d oxyg ne DBO sur 7 jours lt 20 100ml pas plus de 10 Coliformes f caux lt 000 100 ml lt 200 100 ml lt 250 100 ml NPP de l chantillon gt 40 CF 100 ml R sidu de chlore 41 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 3 8 Bureau de normalisation du Qu bec BNQ Norme NQ 3680 910 Syst mes d puration autonomes pour les r sidences isol es Dosage Le dosage quotidien doit tre conforme a la capacit indiqu e par le fabricant 10 Le d bit doit tre r gl conform ment la charge th orique indiqu e dan
37. 0 jours Par ailleurs il peut s av rer difficile de collecter un nombre suffisant de donn es pour calculer une valeur m diane Nous sugg rons cet gard d tablir des crit res maximums ou 73 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai le BNQ a choisi 15 mg L pour son param tre de DBO tandis que pour les applications compl mentaires la valeur m diane nonc e au tableau 47 Dans le cas des applications faible risque le maximum propos pour 13 DBO et le TSS est de 30 mg L risque lev les valeurs maximales propos es de DBO et de TSS sont de 10 mg L noter que Tableau 47 Crit res de qualit deux niveaux risque lev et faible risque pour la r utilisation de l eau Faible risque Risque lev Param tres Applications Applications Chasse d eau des toilettes Irrigation paysag re surface Irrigation souterraine Lessive PS EE s faf f o Coliformes f caux 1 UFC 100 ml lt 200 lt I R sidu de chlore 0 118 1 0 Norme de turbidit mesure continuelle au moyen d instruments en remplacement de la norme du total des solides en suspension TSS Au Canada certaines autorit s l gislatives comme le Manitoba consid rent les coli et les coliformes f caux M diane Maximum Coliformes totaux comme des indicateurs de rechange quivalents pour mesurer la qualit de l eau en fonction de la pr sence de pathog nes
38. 0 normes faible risque concernant les coliformes f caux pour les applications de r utilisation de l eau De ce nombre quatre fixent une valeur sup rieure ou gale 200 UFC 100 ml Comparaison de la norme de l atelier concernant les coliformes f caux avec les Cat gorie de risque de l atelier Faible risque lt 200 UFC 100 ml Cat gorie nominale Nombre total de normes a chelle internationale On peut voir au tableau 43 que l on a relev un total de neuf normes internationales concernant le r sidu de chlore dans les applications de r utilisation de l eau De ce nombre quatre 44 pr sentent une concentration de r sidu de chlore sup rieure la norme de l atelier qui est de 2 1 mg L Risque lev lt I UFC 100 ml 51851 4 5 6 R sidu de chlore Risque lev 57 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 43 Comparaison de la norme de l atelier sur les r sidus de chlore avec les normes l chelle internationale R sidu de chlore Cat gorie de risque de l atelier Risque lev 0 1 1 0 mg L Nombre total de normes l chelle internationale Le a eo 0 0 o 0 i Autres normes e LArizona le Massachusetts et le New Jersey appliquent une norme de lt 10 mg L pour l azote total En Sicile et en Espagne on applique une norme en mati re de vers de 1 ceuf L dans Peau r cup r
39. 00 B Norme un niveau recommand e pour le protocole d essai en mati re de r utilisation de l eau lt 20 Chasse d eau des toilettes Param tres gt mo ES 2 Turbidit 0 lt lt 2 en remplacement du TSS lt 2 en remplacement du TSS remplacement du TSS lt lt 5 en remplacement du TSS lt 5 en remplacement du TSS remplacement du TSS p 2000 R sidu de chlore i l ia La m diane est fond e sur des donn es obtenues conform ment au protocole d essai USEPA ETV ou partir d au moins 5 chantillons pr lev s sur une p riode de 30 jours Au Canada certaines autorit s l gislatives comme le Manitoba consid rent les coli et les coliformes f caux comme des indicateurs de rechange quivalents pour mesurer la qualit de l eau en fonction de la pr sence de pathog nes On recommande la chloration tout au moins comme mesure secondaire de d sinfection afin de maintenir un r sidu de chlore l int rieur du syst me de distribution Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai La comparaison entre les normes propos es lors de l atelier et les normes existant l chelle internationale nous permet de tirer les conclusions suivantes e Seulement 10 des normes internationales risque lev fixent un niveau de concentration de DBO gal ou lev e La norme p
40. 2005 98025 1 0 2005 Soci t canadienne d hypoth ques et de logement Tous droits r serv s La reproduction l entreposage ou la transmission d un extrait quelconque de cet ouvrage par quelque proc d que ce soit tant lectronique que m canique par photocopie ou par microfilm sont interdits sans l autorisation pr alable crite de la Soci t canadienne d hypoth ques et de logement Tous droits de traduction et d adaptation r serv s pour tous les pays La traduction d un extrait quelconque de cet ouvrage est interdite sans l autorisation pr alable crite de la Soci t canadienne d hypoth ques et de logement Imprim au Canada R alisation SCHL Table des mati res ADF VIATIONS frire E EAA a A ads 5 RESUS 7 1 Introduction oeseri dee vee eee bk atten 3 inten vee aed 11 1 11 Information sur le clhient a ca EEA or nes 11 1 2 Historig S es esii Seams de Cerne ead eed RAR D NM MR AN De Rate 11 L3 Objectifs co iain eon Ome iw Bae Owe PERE Oe 7 Drame 12 1 4 Sources sinsin ook 5 TE A GE E a E REN E EREA E ES 12 2 Normes en mati re de r utilisation de 2 13 21 Au stralieet TASER Aide ei iE Cubs ends Monee as oe naa 13 22 Ameng edu Nord 26 os ive dudes eke Geb Vee SUES Ves ed estas itreau
41. 668 2642 ou visitez notre site Web l adresse www schl ca This publication is also available in English under the title Water Reuse Standards and Verification Protocol Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Cette recherche a t financ en partie par la Soci t canadienne d hypoth ques et de logement SCHL La qualit r dactionnelle de ce rapport son contenu et les opinions qui y sont mises sont de l auteur des auteurs La SCHL ne saurait en assumer la responsabilit et se d gage de toute obligation relativement aux cons quences r sultant de l utilisation que le lecteur pourrait faire des renseignements des mat riaux ou des techniques qui y sont d crits Catalogage avant publication de Biblioth que et Archives Canada Vedette principales au titre Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai S rie sur la maison et les collectivit s saines Rapport de recherche Publ aussi en anglais sous le titre Water reuse standards and verification protocol Comprend des r f bibliogr galement disponible sur l Internet ISBN 0 662 70264 6 No de cat NH18 27 1 2005F 1 Eau R utilisation Normes 2 Eau puration Normes 3 Eaux us es Epuration Normes I Soci t canadienne d hypoth ques et de logement Coll Ill Coll Rapport de recherche Soci t canadienne d hypoth ques et de logement TD429 W3714 2005 363 72 84
42. Liste des substances d int r t prioritaire le nonylph nol et ses d riv s thoxyl s http www ec gc ca substances ese fre pesip final npe cfm Haifeng J R Guo K Xin et J Wang 2004 The research on the wastewater reuse planning in Beijing Central Region Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Jobling S 13 Sheahan J A Osborne P Matthiessen et J P Sumpter 1996 Inhibition of testicular growth in rainbow trout Oncorhynchus mykiss exposed to estrogenic alkylphenolic chemicals Environ Toxicol Chem 15 194 202 Mars R 2004 Case studies of greywater recycling in Western Australia Proceedings of the 1st International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Nair J Oyama N et G E Ho 2004 Recycling of treated domestic effluent from an on site wastewater treatment system for hydroponics Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Nolde E 2004 Greywater recycling systems in Germany Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Okeefe E 2004 Towards national consistency for the reuse of onsite Greywater Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie
43. Normes pour le Moyen Orient 24 8 49 6 28 9 92 8809 8 8 4 1 8 88 these 29 Normes des pays europ esn et m diterran ens 3 2 4 8 29 Normes pour certaines r gions de PME 24 54 res restera 30 Normes pour certains pays d Al 99 9 99 9299 9 216 86 8 31 Norme NSF ANSI 40 Caract ristiques des effluents pour les essais de v rification 34 Conditions du test UV 37 Nouvelle Galles du Sud Crit res de v rification des applications de r utilisation de l eau Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 29 Tableau 30 Tableau 31 Tableau 32 Tableau 33 Tableau 34 Tableau 35 Tableau 36 Tableau 37 Tableau 38 Tableau 39 Tableau 40 Tableau 41 Tableau 42 Tableau 43 Tableau 44 Tableau 45 Tableau 46 Tableau 47 Tableau 48 Exigences de qualit des effluents pour l accr ditation des appareils d puration NAME nae ee ar delai ed ie eue 41 Rendement des syst mes d puration autonomes des eaux us es pour essai d une dur e de 12 mois Norme du BNQ NQ 3680 910 43 R sum des normes discut es lors de l atelier 49 Applications r sidentielles autonomes de r utilisation de Peau 50 Crit res relatifs la DBO pour les organismes internationaux nu
44. TSS uTN CT offrent une marge de s curit confortable pour la chasse d eau des toilettes e Si l on r ussit faire accepter l chelle nationale une norme r gissant les crit res en mati re de r utilisation de l eau il s agira d une premi re dans de nombreuses provinces 1 semblerait donc raisonnable d adopter pour cette premi re tape une attitude conservatrice en ce qui concerne le respect des niveaux et de la technologie de traitement et de restreindre l utilisation une application faible risque toilettes e Lutilisation de l eau r cup r e pour la chasse d eau des toilettes apportera des avantages significatifs sur le plan de la conservation de l eau Dans la mesure du possible 165 pr occupations ayant trait aux intercommunications doivent 2 2 ya tre r gl es au moyen d un vide d air entre la source d eau potable pour l eau d appoint et Peau stock e en vue d une r utilisation Le tableau 48 pr sente la norme unique recommand e pour la qualit de Peau des fins de r utilisation pour la chasse d eau des toilettes avec des valeurs m dianes de 10 10 2 0 et maximales de 20 20 5 200 pour les param tres de DBO TSS uTN CF 75 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 48 Norme un niveau recommand e en mati re de r utilisation de l eau Chasse d eau des toilettes Param tres Unit s lt lt lt
45. UV est r alis e de mani re uniforme et objective et qu un contr le de qualit ad quat prot ge l int grit des donn es NSF 2002 Dans le cadre de ce protocole le fabricant peut choisir de r aliser un test ou une combinaison de tests e V rification du dosage qui consiste d terminer le dosage efficace du syst me UV en valuant les caract ristiques hydrauliques du r acteur e V rification de la fiabilit du dosage qui comprend un entretien du quartz et un contr le de la fiabilit op rationnelle du syst me e V rification du coefficient de s curit UV du coefficient d encrassement du quartz et du coefficient de vieillissement des lampes Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Ce test de rendement n cessite galement une e l tablissement du niveau minimum technique d analyse biologique virale Cette analyse de captation transmittance ge comprend notamment les l ments suivants facteur d encrassement e S lection et r colte d un organisme microbien le contr le du syst me nergie d essai MS2 phage temp rature tension amp rage d bit e Calibrage de la dose UV c d de la r action une analyse dose d bit du MS2 phage l exposition aux UV On doit utiliser pour ce faire un collimateur 11 faut mesurer l intensit de la lumi re UV On peut alors quantifier la r action du MS2 phage en fonction de l intensit des UV
46. antes de r utilisation de Peau l int rieur de la communaut internationale ayant d fini des normes en cette mati re Des applications d irrigation souterraine et de lessive sont moins fr quentes Par irrigation souterraine on entend l application de l eau r cup r e directement hauteur des racines des plantes Il est probable que cette application est rarement consid r e comme n cessitant un haut degr de traitement puisqu on applique fr quemment des effluents de fosses septiques filtr s aux v g taux de cette mani re dans de nombreux pays et tats La r utilisation de l eau des fins de lessive est probablement moins courante puisqu elle s accompagne de contacts corporels volontaires et que instar des applications de bain il est probable qu elles attireront peu le grand public ou le propri taire occupant Applications r sidentielles autonomes de r utilisation de l eau Applications r sidentielles autonomes sugg r es par l atelier Organismes ayant nonc des normes pour ces applications Contact indirect Chasse d eau des toilettes 1 2 3 4 5 6 9 10 11 13 15 16 7 28 29 18 19 20 Contact direct Irrigation paysag re 1 2 3 4 5 6 7 9 10 12 13 14 15 17 18 19 20 22 23 24 25 26 28 29 30 avec les humains Lessive 3 9 applications commerciales seulement Codes des organismes 1 erore donnee 1 Masae 9 2168 CA Pause au su 12 Newlerey
47. c et celle parmi les applications de r utilisation r sidentielle qui pose probablement le plus faible risque de sant publique dans le cas o les crit res de qualit de l eau ne seraient pas respect s en raison d un bris d quipement Malgr le faible risque inh rent un seul territoire dans le monde Massachusetts Interim Guidelines on Reclaimed Water r vis es tableau 14 consid re que la chasse d eau des toilettes est une application faible risque de r utilisation de l eau e Lirrigation souterraine est la seule autre application faible risque jug e acceptable par les participants l atelier qui se sont r unis 4 Ottawa en juin 2003 e Dans de nombreux territoires 1 irrigation souterraine utilise des effluents de fosses septiques e La NOWRA place l irrigation souterraine sous le code de pratiques se rapportant aux sols sans traitement Dans le cadre de projets de d monstration r sidentiels de r utilisation de Peau on a jug raisonnable d tablir des crit res reposant sur des valeurs m dianes de 10 DBO 10 TSS 2 uTN et 0 CT e Compte tenu du risque de formation d un film biologique dans la tuyauterie de distribution la norme doit conserver la DBO comme param tre de la qualit de l eau Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai e Des valeurs m dianes de 10 10 2 0 et des valeurs maximales de 20 20 5 200 pour les param tres de DBO
48. ces et accessoires La disponibilit des pi ces et accessoires est fonction directe du risque et de la n cessit de conserver un approvisionnement d eau r utilis e Dans le cas des syst mes risque lev on doit pouvoir obtenir des pi ces et accessoires dans les 24 heures Capacit et redondance du syst me Par mesure de protection les syst mes communautaires doivent avoir une capacit de stockage d une journ e pour les cas o l on devrait les mettre hors fonction pour les r parer On doit galement pouvoir avoir acc s une eau potable d appoint avec vide d air pendant la dur e de l arr t La redondance est fonction du caract re critique d un proc d ou de la demande du besoin l gard du produit Plus le besoin est grand et plus n cessaire est la redondance Exigences additionnelles en mati re de traitement L utilisation propos e de l eau r cup r e peut galement imposer des exigences additionnelles quant l puration d l ments comme les m taux lourds le sodium la salinit le calcium le magn sium le p trole les graisses etc Le lavage des voitures la lessive risque de tache l irrigation et les utilisations industrielles sont des exemples d application pour lesquelles il faut valuer les besoins de traitement additionnel Contr le Il est plus fiable d utiliser des param tres pouvant tre mesur s gr ce un quipement automatique muni d une alarme lorsque l
49. d tectables dans quatre des sept derniers chantillons quotidiens d eau r cup r e La concentration de coliformes f caux dans quatre des sept derniers chantillons quotidiens d eau r cup r e doit tre inf rieure 200 23 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 14 Massachusetts Directives provisoires sur l eau r cup r e r vis es Directives provisoires sur la qualit de l eau _ CF R sidu de Applications m dians DBO pH idit chlore TSS AT UFC mg L 90 30 min mg L mg L 100 ml mg L R utilisation urbaine Irrigation par vaporisation des terrains de golf et des l ald e et e am nagements paysagers Exigences de contr le quot hebdo quot continu quot 2 x sem 2 x mois R utilisation urbaine P P x hebdo Exigences de contr le x sem hebdo continu quot hebdo 2 x mois ou quot Coliformes f caux La m diane des UFC 100 ml pour toute p riode de sept jours cons cutifs d chantillonnage quotidien ne doit pas d passer 14 100 ml Sauf mention contraire les recommandations touchant les coliformes correspondent aux valeurs m dianes d termin es la suite d analyses bact riologiques r alis es dans les sept derniers jours On peut utiliser soit la m thode de filtration par membrane ou celle du tube de fermentation On doit contr ler le phosphore deux fois par mois et effectuer tous les trois mois une num rat
50. de substance toxique en vertu de la Loz canadienne sur la protection de l environnement LCPE de sorte que des directives seront probablement formul es l gard de ces substances Toutefois dans leur valuation Environnement Canada et Sant Canada soulignent que l importance et la signification relatives des r ponses cestrog niques chez les organismes aquatiques pour l individu ou la population sont actuellement mal connues Compte tenu des renseignements ci dessus il est impossible de conclure que les perturbateurs endocriniens pr sents dans les applications de r utilisation de l eau comme l irrigation de surface ont un effet nocif sur l environnement Toutefois on peut mettre en pratique certaines mesures de contr le la source afin d viter de tels effets nocifs 66 Si 165 propri taires occupants sont conscients des cons quences ventuelles caus es par l limination de certains produits chimiques comme des pesticides dans la cuvette des toilettes de sorte qu ils se retrouvent dans leur syst me de traitement ils seront mieux dispos s poser des choix avis s en achetant et en liminant les produits nocifs de mani re plus cologique L ducation des citoyens quant aux risques ventuels pos s par ces substances fera beaucoup pour emp cher que ceux ci se retrouvent dans les syst mes de traitement Il est n cessaire d agir en ce sens dans l avenir le traitement et l enl
51. dis que 13 organismes direct et contact indirect Tous les organismes sur 30 43 appliquent deux normes internationaux tudi s appliquent des exigences l gard des contacts directs ou indirects que cet gard sous une forme ou sous une autre ce soit pour les coliformes f caux ou les Seize ou plus de 50 90 appliquent un crit re coliformes totaux Tableau 35 Crit res relatifs aux coliformes f caux touchant les applications avec contacts corporels directs et indirects pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 ss z o 3 Tous les organismes appliquent une norme l gard des coliformes 14 CE 23 NPP 100 ml m diane 20 lt 4 NPP 100 ml m diane 29 27 30 24 Codes des organismes 1155 568 EL LE CS a ruse ane fnwmy E 3 Nowele Gales ET dane RE LE CE LS R LE LS 8 e Coombes fier rame DE LC LS ES 9 CE LC CE CE re EE CCE E CEE 53 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Au tableau 36 on constate que 14 organismes normes cet gard la majorit appliquent un soit un peu moins de 50 nappliquent pas de crit re inf rieur ou gal 2 uTN tandis que six norme en mati re de turbidit En ce qui organismes appliquent deux normes selon qu il concerne les organismes qui ont adopt des y a contact direct ou indirect avec les humains Tableau 36 Crit res
52. documentation relativement cette norme Toutefois on a trouv des renseignements sur la loi et un r sum des normes sur le site Web www water or kr Chasse d eau des toilettes et protection Chine incendie 31 3 Protocoles de v rification technologique Pour s assurer qu un syst me de traitement et d puration des eaux us es puisse produire la qualit d eau requise celui ci doit tre v rifi Un protocole d essai permet un organisme de tester les technologies appliqu es afin de s assurer qu elles sont en mesure de traiter l eau jusqu la qualit d sir e Dans le cadre de l examen nous avons r pertori un petit nombre de protocoles de v rification technologique appliqu s dans divers endroits du monde Le protocole d essai le plus populaire et le plus largement utilis en particulier en Am rique du Nord est celui de la National Sanitation Foundation NSF et de l American National Standards Institute ANSI que l on appelle protocole de la norme NSF ANSI 40 Ce protocole a galement inspir les protocoles de traitement tertiaire r cemment labor s sous le nom EPA NSF Environmental Technology Verification ETV Ces protocoles d essai n ont pas tous t con us pour le traitement des eaux us es ou la r utilisation de l eau Dans certains cas ils visent tester des techniques de d sinfection de traitement de l eau potable et de traitem
53. dosages seraient effectu s pendant trois p riodes de trois heures au cours d une journ e donn e afin de simuler les d bits r sidentiels diurnes Des chantillonneurs automatiques pr l veraient des chantillons composites sur une p riode de 24 heures un pr l vement tant effectu dans les eaux us es brutes et dans les effluents eau r cup r e pour chaque dose environ 100 fois par jour Le syst me d alimentation lectrique 16 robinet vanne et l chantillonneur seraient install s dans des caissons protecteurs afin d emp cher que quiconque ne puisse manipuler les r glages ou les chantillons Installations d essai des technologies autonomes d puration des eaux us es au Canada Au Canada il existe actuellement deux installations visant tester les technologies autonomes de traitement des eaux us es et d livrer une certification cet gard 1 la Mamquam Wastewater Technology Test Facility Intallation de v rification technologique du syst me d puration Mamquam en Colombie Britannique et 2 l emplacement d essai du BNQ Qu bec Qu bec La Mamquam Wastewater Technology Test Facility MWWTEF qui a t construite en 2000 est situ e sur les lieux de la Mamquam Wastewater Treatment Facility Squamish Colombie Britannique C est NovaTec Consultants Inc dont les bureaux sont Vancouver C B qui est responsable de la gestion de l installation titre de sous
54. ds types autres immeubles publics de plus de 30 000 m d applications de r utilisation des eaux us es a ne re devaient disposer d une installation de Beijing Il s agit de l irrigation agricole de la a r cup ration de l eau Cons cutivement on r utilisation industrielle et de la r utilisation urbaine municipale lesquelles sont d crites ci dessous Haifeng J et coll 2004 e On rapporte qu en 1997 l pandage des effluents d eaux us es r cup r es par traitement secondaire des fins d irrigation atteignait environ 0 22 milliard de m tres r utilisation des eaux us es avaient t install s Beijing et que plus de 120 petites installations de r utilisation des eaux us es taient en fonctionnement principalement dans les h tels les universit s et les immeubles bureaux cubes dans la r gion de Beijing 30 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 25 Normes pour certains pays d Asie Exigences de qualit Pays Applications Mi Chasse d eau des toilettes snare son Irrigation paysagere de snare snr Chasse d eau des toilettes son Cor e Gicleurs so Jardinage des oe Aucune Coliformes UFC 100 ml R sidu de IA DBO L E coli UFC 100 ml 1 10448 sone sone e Lavage des v hicules On ra pas pu obtenir la
55. e 30 mg L De nombreux pays provinces ou Etats n appliquent qu une seule norme p ex lt 10 mg L et regroupent toutes les applications de r utilisation de l eau depuis la chasse d eau des toilettes l irrigation paysag re dans une seule cat gorie pour ce param tre Comparaison des normes DBO de l atelier avec les normes l chelle internationale Faible risque lt 30 mg L Inf rieure Egale Sup rieure Inf rieure Egale Sup rieure Demande biochimique d oxyg ne DBO Risque lev lt 10 mg L Faible risque On compte en tout 13 normes pour faible risque dans le monde en ce qui concerne le TSS dans les applications de r utilisation de l eau De ce nombre 46 stipulent des limites de concentration sup rieures ou gales la norme de l atelier qui est de lt 30 mg L l instar du param tre de DBO de nombreux pays provinces et Etats n appliquent qu une seule norme de TSS qui r git de nombreuses applications diff rentes 55 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 39 Comparaison de la norme TSS de l atelier avec les normes l chelle internationale Ee Total des solides en suspension TSS Cat gorie de risque de l atelier Faible risque 30 mg L Risque lev lt 10 mg L Nombre total de normes Se 7 7 2 4 a chelle internationale o o a A 1 4 5 3 Turbidite Risque lev Faible risque On obs
56. e certains organismes l organisme applique une seule norme pour comme celui de la Cor e poss dent deux normes toutes les applications quelle soit avec distinctes pour les contacts directs et les contacts contact direct ou indirect avec les humains indirects mais qu en ce qui concerne la DBO ou sil y a deux normes s par es cet gard les crit res sont les m mes pour les deux types d applications c d inf rieur ou gal 10 mg L Tableau 33 Crit res relatifs la DBO pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 mg a E EC E Codes des organismes 1 1 8 8 apine 5 11 OMS CA Pause do Su Tz Newlerey 516 3 Nour Gates du Su es 1 8 8 5 5 8 6 Colombie Britannique 16 Floride 26 Arabie Saoudite le du Prince douard Italie national 5 Te gt 91 E CS to Arizona 81 6 66 99 E 51 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai On pr sente au tableau 34 les crit res relatifs au TSS pour les applications avec contact di
57. e contr le est continu Le facteur cl est simplement l alimentation lectrique du syst me permettant son fonctionnement Tout syst me de d sinfection doit tre test entre une fois par jour et une fois par semaine selon l ampleur du risque de contacts ce qui se rapporte non seulement aux possibilit s de contacts de l utilisateur imm diat mais galement celles d autres personnes 6 Perturbateurs endocriniens et r sidus pharmaceutiques On se pr occupe de plus en plus depuis quelques temps de la pr sence de perturbateurs endocriniens et de substances action strog ne dans les effluents des stations de traitement des eaux us es Nous pr sentons dans cette section une br ve description de certains travaux de recherche sur ces perturbateurs endocriniens et un expos sur les cons quences pour les poissons se trouvant dans les cours d eau recevant ces effluents Les eaux us es qui p n trent dans les grandes installations de traitement municipales contiennent une grande vari t de produits chimiques susceptibles de perturber le syst me endocrinien notamment des strog nes naturels des strog nes pharmaceutiques des alkylph nols thoxyl s des m taux lourds des pesticides des organohalines persistants et des phytostrog nes Normalement on ne s attend pas trouver beaucoup de ces substances dans les eaux us es provenant des r sidences Ainsi les m taux lourds les organohalines et les phyt
58. e correspond aux niveaux de qualit susceptibles d tre re us lorsque l eau LA 2 z ba r cup r e est produite et ces niveaux de qualit doivent pouvoir mettre l preuve les dispositifs de traitement Des virus produits en laboratoire doivent tre LA Z ajout s aux eaux us es en amont du filtre e Des chantillons doivent tre pr lev s en amont du filtre et en aval du dispositif de d sinfection afin de d terminer le nombre d unit s de virus formant plage par volume d chantillon Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai On devra pr lever des chantillons d eaux us es en amont et en aval du syst me de traitement afin d en mesurer le TSS La turbidit des effluents sera constamment mesur e par un turbidim tre On pr l vera des chantillons des effluents d sinfect s afin de d nombrer le nombre total de coliformes Si 13 d sinfection se fait par chloration on pr l vera des chantillons en amont afin d en d terminer la concentration en ammoniac et Pon pr l vera des chantillons des effluents d sinfect s pour en mesurer les r sidus de chlore Si la d sinfection se fait par irradiation UV alors on mesurera et consignera constamment la transmittance du fluide 254 nm T et le d bit des effluents filtr s On tablira par exp rimentation la dur e de temps entre les changements de filtre c d le nombre de retours d eau
59. e doivent respecter la norme de la Tasmanian Plumbing Commission TPC 20 30 10 signifie demande biochimique d oxyg ne 20 solides en suspension 30 coli 10 par 100 ml Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 3 ACT Australian Capital Territory territoire de la capitale australienne R utilisation des eaux us es pour l irrigation Politique de protection de l environnement Exigences de qualit Applications de r utilisation CF m dians R sidu de chlore 14 99 x Turbidit UFC 100 ml 30 min mg L 9 uTN Irrigation municipale suppression de la poussi re plans d eau ornementaux lt 10 2 6 5 8 0 lt 2 acc s public non limit sauf pour l irrigation souterraine voir ci dessous Irrigation municipale suppression de la poussi re acc s public limit 99 000 2 1 6 5 8 0 pr sent Irrigation souterraine pour tous usages Horticulture lt 2 1 R sidentiel Arrosage des jardins chasse d eau des toilettes lavage des v hicules 10 6 5 8 0 lt 2 lavage des voies et des murs Initialement hebdomadaire Contr le lt 3ML an pendant 3 mois hebdo ensuite une fois par mois si n cessaire Contr le gt 3ML an hebdo hebdo Cultures vivri res en contact direct avec lt 10 6 5 8 0 lt leau p ex vaporisation Tableau 4 Australie Occidentale Directives sur l eau r cup r e Nair J 2004 Exigences de
60. e la demande II peut s av rer n cessaire que le fabricant de la technologie demande un tiers de proc der une v rification afin d obtenir toutes les donn es n cessaires et pr sente nouveau sa demande par la suite VTE Canada r valuera alors 18 technologie en fonction des donn es collect es par le tiers 40 3 7 V rification des appareils d puration marine titre 46 partie 159 United States Coast Guard garde coti re des tats Unis Le protocole de v rification des appareils d puration marine de la United States Coast Guard USCG a t labor pour permettre Paccr ditation des technologies int gr es de traitement des eaux us es bord des navires Laccr ditation atteste le fait qu un syst me de traitement est en mesure de produire des effluents de qualit lev e ce qui permet aux navires d vacuer ses eaux us es l int rieur de la limite des 12 milles Protocole d chantillonnage Le test des appareils d puration marine de type 1 se d roule bord pendant 10 jours Les chantillons sont pris quotidiennement Quatre types d chantillons sont pr lev s influents effluents eaux noires et eaux us es On analyse les chantillons selon les param tres de DBO TSS r sidu de chlore pH et coliformes Les chantillons sont pr lev s au d but au milieu et la fin d une p riode de huit heures et un chantillon est pris apr s le d bit de pointe dans le
61. eau des toilettes ou des urinoirs a Toutes Toutes Protocole de contr le a 2 sem les 2 sem les 2 sem Irrigation ou autres utilisations dans les secteurs o le public n est pas pr sent pendant l irrigation ou autres utilisations si le public ne vient pas en contact avec l eau r cup r e lt 200 lt 800 lt 5 P ex entretien des plans d eau artificiels ou des plans d eau naturels pour lesquels les contacts humains directs sont improbables Protocole de contr le hebdo Tableau 17 G orgie Directives de conception pour la r cup ration d eau et la r utilisation d eau en milieu urbain bauche Exigences de qualit R sidu de Applications 95 chlore 15 min Irrigation par vaporisation des terrains de golf des terrains de jeux ou des parcs lavage des v hicules d tect Irrigation On peut r duire le contr le des coliformes f caux si plusieurs m thodes de d sinfection sont combin es ex UV et C12 Moyenne g om trique mensuelle 25 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 18 tat de Washington Normes en mati re de r cup ration et de r utilisation de l eau Exigences de qualit Applications 8606 ml DBO Turbidit uTN vat ret max lt 2 lt 5 Irrigation Cultures vivri res et non vivri res irrigation paysag re avec acc s limit et acc s non limit Plans d eau artificiels A
62. ec les normes de Il atelier Nous avons compar les normes 4 deux niveaux labor es dans le cadre de l atelier avec les normes 1 chelle internationale 4 5 1 Demande biochimique d oxyg ne DBO Risque lev Il existe un total de 20 normes pour risque lev dans le monde en ce qui concerne la DBO dans les applications de r utilisation de l eau comme on peut le voir au tableau 38 Dans 90 des cas ces Tableau 38 Cat gorie de risque de Patelier Cat gorie nominale Nombre total de normes a a f 5 5 2 7 P chelle internationale 63 4 5 2 Total des solides en suspension TSS Risque lev Au tableau 39 on observe qu il y a en tout 13 normes pour risque lev dans le monde en ce qui concerne le TSS dans les applications de r utilisation de l eau De ce nombre 46 6 sur 13 acceptent des limites de concentration de TSS sup rieures ou gales la norme de l atelier qui est de lt 10 mg L Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai normes acceptent des limites de concentration plus grandes ou gales la norme pour risque lev de atelier qui est de lt 10 mg L Risque faible On a r pertori en tout 16 normes pour risque faible dans le monde en ce qui concerne la DBO dans les applications de r utilisation de Peau De ce nombre 37 fixent des limites de concentration en DBO plus grandes ou gales la norme pour faible risque de l atelier d
63. en mati re de r utilisation de l eau Enonciation du code Commentaires 5 4 Normes d utilisation de l eau 64 5 4 1 5 4 2 5 4 3 5 4 3 1 5 4 3 2 Eau potable Se reporter aux normes de en mati re d eau potable Norme pour risque lev de contacts Coliformes f caux valeur m diane de lt UFC 100 ml lt 2 2 NPP 100 ml aucun chantillon ne d passant 14 UFC 100 ml Turbidit lt 2 uTN contr le continu 5 4 3 3 Aucune odeur d tectable 5 4 4 5 4 4 1 5 4 4 2 Norme pour faible risque de contacts Coliformes f caux valeur m diane de lt 200 UFC 100 ml 200 NPP 100 ml aucun chantillon ne d passant 800 UFC 100 ml lt 800 NPP 100 ml Turbidit lt 5 uTN contr le continu 5 4 4 3 Aucune odeur d tectable Objet D finir des normes d utilisation de l eau relatives la r utilisation de l eau qui permettent la conception de syst mes autonomes capables de tirer profit de cette ressource Ces normes se rapportent la r utilisation des eaux us es domestiques non industrielles y compris les eaux m nag res les eaux tant utilis es au dessus du sol Les normes doivent tre appliqu es au point de d versement de m me qu tout point pr c dant une conduite de transport La raison la plus fr quemment document e de propagation des maladies par un service de distribution d eau y compris un puits est une d faillance d
64. ent de l eau bord des navires Lorsque nous disposions de renseignements assez d taill s nous avons r sum chaque protocole au moyen des cat gories suivantes dosage e dur e e nombre d chantillons e param tres test s et param tres additionnels non courants caract ristiques cl s du protocole caract ristique des influents et des effluents documentation fournir par le fabricant Dans certains cas seul un bref r sum du protocole est fourni 3 1 Norme NSF ANSI 40 Syst mes r sidentiels de traitement des eaux us es Dosage e 400 gallons par jour 1 415 L jour 1 500 gpj 5 678 L jour Dosage quotidien e 35 du d bit entre 6 h et 9 h e 25 du d bit entre 11 h et 14 h e 40 du d bit entre 17 h et 20 h Dur e Six mois et un minimum de 96 jours d chantillonnage pour r aliser le test On proc de comme suit 10 semaines d essai sous charge th orique 7 5 semaines 52 jours d essai de contrainte e 2 5 semaines 18 jours d essai sous charge th orique Nombre d chantillons e Cinq jours par semaine du lundi au vendredi Pendant la p riode d essai de contrainte on prend les chantillons le premier jour de l essai et ensuite compter de 24 heures apr s la fin du test de contrainte chaque jour pendant six jours cons cutifs La seule exception cet gard est le test de panne de courant pour lequel les chantillons sont pris seulement 48
65. ent se situer difficile sans compter qu il est galement entre 4 et 15 mg L important pour le fabricant de relever et de r soudre les probl mes sur le terrain Caract ristiques des effluents Tableau 30 Rendement des syst mes d puration autonomes des eaux us es pour essai d une dur e de 12 mois Norme du BNQ NQ 3680 910 Concentration maximale dans les effluents Coliformes f caux 1 UFC 100 ml Phosphore total mg L Traitement Non applicable Non applicable primaire Il Traitement lt Non applicable Non applicable secondaire II Traitement secondaire avanc IV Traitement tertiaire avec lt lt 50 000 enl vement du phosphate Traitement tertiaire avec d sinfection lt 50 000 Non applicable Non applicable Pour chaque param tre consid r isol ment au moins 80 des chantillons doivent tre conformes aux concentrations indiqu es dans le tableau ci dessus relativement au nombre d chantillons pr lev s Pour les coliformes f caux si l on utilise la d sinfection par rayons ultraviolets les concentrations maximales moyennes doivent tre divis es par un facteur de 10 pour tenir compte de la r activation des coliformes apr s la d sinfection 43 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Documentation fournie par le fabricant manuel de fonctionnement et d entretien e guide d installation e guide de d pannage manuel de r pa
66. entielles ne recevraient pas de d versements industriels ou institutionnels on peut s attendre que les quantit s de nonylph nol et d autres alkylph nols thoxyl s dans les effluents seront relativement faibles Les alkylph nols thoxyl s ne sont donc pas une source de pr occupation Le plus puissant produit chimique action cestrog ne tudi ce jour est le 17a thynyloestradiol qui est le composant actif dans les contraceptifs oraux Par suite de concentrations aussi faibles que 0 0003 ug L 0 002 ug L de cette substance on a constat que des truites arc en ciel males adultes produisaient des quantit s notables de vitellog nine un pr curseur de la vitellog n se chez le poisson femelle Sheahan et coll 1994 Purdom et coll 1994 Jobling et coll 1996 Dans l ensemble nous disposons de peu de donn es concernant les concentrations d alkylph nols thoxyl s et d hormones naturelles ou synth tiques capables de causer des effets nuisibles sur les poissons Il n existe pas heure actuelle de directives touchant les concentrations de ces produits dans les influents ou les effluents LUSEPA labore actuellement des crit res de qualit de l eau relativement au nonylph nol De leur c t Environnement Canada et Sant 65 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Canada 2001 ont tabli que le nonylph nol et ces thoxylates correspondent la d finition
67. erciales fabrication de neige artificielle pour utilisation ext rieure commerciale et lave auto commerciaux Sauf mention contraire les recommandations touchant les coliformes correspondent aux valeurs m d termin es la suite d analyses bact riologiques r alis es dans les sept derniers jours f Le nombre total d organismes coliformes ne doit pas d passer un NPP de 23 100 ml dans plus d un chantillon au cours de toute p riode de 30 jours Tableau 13 Arizona Code administratif de l Arizona Titre 18 ch 11 Exigences de qualit Applications CF UFC 100 mi CF UFC 100 mi ml Turbidit uTN uTN Turbidit uTN m g om etre max rene me 52 Irrigation des cultures vivri res bassins r cr atifs r sidentiel cours d cole irrigation paysag re avec acc s ouvert chasse d eau des toilettes et des urinoirs syst mes de protection incendie irrigation par vaporisation lt 10 des vergers ou des vignobles syst mes de climatisation commerciaux circuit d air ferm lavage des v hicules et des quipements et fabrication de neige Irrigation de surface d un verger ou d un vignoble irrigation d un terrain de golf et d un sn 5 sea lt 200 lt 800 lt 10 am nagement paysager acc s limit bassins ornementaux et contr le de la poussi re g 8 par Exigences de contr le quot comm Pas de coliformes f caux
68. ermettant de tester simultan ment jusqu huit syst mes d puration Le BNQ a galement conclu un accord de r ciprocit avec NSF International relativement aux essais en vertu de la norme NSF ANSI 40 Le site Web du BNQ www bnq qc ca pr sente la liste des produits certifi s par l organisme Le proc d de certification du BNQ respecte les r gles ISO qui sont reconnues l chelle internationale le Conseil canadien des normes CCN proc dant chaque ann e une v rification de l application de ces r gles au BNQ http www ccn ca 68 Toutes les donn es se rapportant la certification des syst mes sont trait es en toute confidentialit par les organismes concern s y compris l identit des clients Le fabricant re oit un rapport complet des tests de certification tandis que normalement les autorit s d accr ditation publient le nom du fabricant et 16 mod le homologu Personnes ressources Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Mamquam Wastewater Technology Emplacement d essai du BNQ en vertu de Test Facility la norme NQ 3680 910 M Troy D Vassos Ph D ing Directeur Mamquam WTTF tvassos novatec ca t l 604 873 9262 poste 309 t lec 604 873 2353 http www novatec ca Co ts du protocole de v rification Le tableau 46 pr sente 165 co ts approximatifs des essais Ces co ts se rapportent un programme de suivi annuel d une dur e de
69. erve au tableau 40 qu il existe 15 normes Il existe 14 normes pour faible risque dans le pour risque lev de par le monde en mati re de monde concernant la turbidit pour les turbidit pour les applications de r utilisation de applications de r utilisation de l eau L atelier Peau Toutes les normes acceptent des niveaux ma pas d fini une norme de turbidit faible sup rieurs ou gaux la norme de l atelier qui risque consid rant qu elle serait non applicable est de lt 2 u TN Aucun organisme n applique une norme moins s v re Tableau 40 Comparaison de la norme de turbidit de l atelier avec les normes l chelle internationale Cat gorie de risque de l atelier Faible risque aucune norme d finie Risque lev lt 2 UTN Nombre total de normes y f 14 4 l chelle internationale ww 90 o o0 vo 4 5 4 Coliformes totaux Faible risque pa F On 3 d nombr en tout 12 normes faible Risque lev f risque en ce qui concerne les coliformes totaux Le tableau 41 permet d observer qu en tout 15 a dans les applications de r utilisation de l eau normes pour risque lev existent l chelle n P q De ce nombre 17 2 sur 12 sont du m me internationale en ce qui concerne les coliformes ji ordre que la norme de Patelier Dix sur douze 83 pr sentent des crit res acceptant des nombres inf rieurs de coliformes totaux tota
70. es infrastructures Voila pourquoi la principale pr occupation dans la d finition d une norme en la mati re est le degr de probabilit que l eau puisse transmettre une maladie Comme on ne dispose pas de mat riel de tests ni de proc d s permettant de d terminer si des pathog nes sont pr sents dans l eau on utilise des substituts pour d terminer la pr sence de d chets humains et le degr de cette pr sence Cependant m me ces essais coliformes et E coli ne sont pas instantan s et prennent plusieurs jours effectuer Par cons quent on r alise normalement d autres tests pour s assurer que le niveau atteindre pour respecter les normes de risque sera probablement atteint Ces tests se rapportent la turbidit au pH aux DBO DBOC aux solides en suspension l odeur et aux concentrations de d sinfectant p ex r sidu de chlore ou intensit des UV Certains de ces tests sont instantan s et servent de mesure de contr le de la qualit du proc d Les proc d s ou les technologies devront avoir t exp riment s en vertu de protocoles propres d terminer leur performance dans une vari t de conditions de perturbation et peuvent tre assortis de conditions et de param tres de contr le afin d en assurer la conformit La U S Environmental Protection Agency USEPA a d fini des normes touchant l eau potable et couvrant une vari t de param tres Avant d autoriser un proc d de r utilisatio
71. eule la Caroline du Sud exige un contr le continu de la turbidit Source USEPA Guidelines for water reuse 2 3 Moyen Orient Europe et M diterran e Au cours de l examen nous avons inventori les normes des pays du Moyen Orient de l Europe et de la M diterran e Comme nous lavons fait pour certains tats des tats Unis certains renseignements sont tir s du manuel de PUSEPA Guidelines for water reuse L Organisation mondiale de la Sant OMS a galement d fini des normes en mati re de r utilisation de l eau qui ciblent un objectif semblable celui des directives de l USEPA en effet elles visent servir de document de r f rence pour les organismes de r glementation d sireux d laborer leurs propres r glements et programmes de contr le en mati re de r utilisation de l eau Les directives de l OMS et les autres normes de ces pays sont pr sent es aux tableaux 22 24 En Allemagne les syst mes de r cup ration des eaux m nag res doivent tre enregistr s aupr s du Bureau de la sant afin d viter les intercommunications avec le r seau d eau potable et de valider tiquetage et la coloration de la tuyauterie conform ment la r glementation Les exigences hygi niques touchant les eaux m nag res 28 r cup r es qui servent principalement la chasse d eau des toilettes s inspirent de la Directive concernant la qualit des eaux de baignade de PUE La directive
72. f Reclaimed Water Subchapter C Quality Criteria and Specific Uses for Reclaimed Water http info sos state tx us pub plsql readtacSe xt viewtac htm United States Environmental Protection Agency 1992 Manual Guidelines for Water Reuse EPA 625 R 92 004 Washington D C Utah Department of Environmental Quality Division of Water Quality 2003 Utah Administrative Code R 317 1 4 www rules utah gov publicat code htm Washington State Department of Health Washington State Department of Ecology 1997 Water Reclamation and Reuse Standards http www ecy wa gov biblio 97023 html 81 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Wisconsin Department of Commerce 2003 Wisconsin Administrative Code Chapter Comm 82 Design Construction Installation Supervision Maintenance and Inspection of Plumbing articles 82 34 82 38 82 40 82 41 et 82 70 Wyoming Department of Environmental Quality Wyoming Water Quality Regulations Chapter 21 Standards for the Reuse of Treated Wastewater http soswy state wy us RULES 2804 pdf Normes europ ennes et m diterran ennes ADAS 2001 The Safe Sludge Matrix Guidelines for the Application of Sewage Sludge to Agricultural Land www water org uk et www adas co uk matrix Agbar Foundation 2003 International Seminar on Wastewater Reclamation and Reuse September 25 26 2003 Programme and Abstracts Bahri Akissa et Francois B
73. ff rents tats et territoires appliquent une vari t de normes et d exigences en mati re d approbation obligatoire touchant la gestion des syst mes autonomes de r utilisation de l eau g n ralement ax es vers le recyclage des eaux us es allant d aucune exigence officielle jusqu des normes en mati re de r utilisation prescrites par la loi associ e des exigences touchant les essais et le contr le Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai LECET Etats et territoires australiens Contr les touchant la r utilisation des eaux us es Nolde E 2004 Nos Australie Australie Galles Queensland Tasmanie M ridionale Occidentale du Sud TPC Oui r glementer Pas dans les TPC Non autoris sauf Oui secteurs apr s un dispositif r glementer desservis par de d tournement un r seau ou un traitement d gouts Non Oui dans les S il existe un secteurs r seau d gout desservis par le syst me de un r seau drainage us es pr filtr es d gouts sanitaire doit y Pas de stockage tre reli Autorisation Non Non Aucune dur e de de stockage stockage minimale gt 24 heures est permise pour des eaux us es le d tournement non trait es des eaux us es entreposage r serv un usage ult rieur Autorisation de stockage l essai gt 24 heures des eaux us es trait es Qualit des eaux 20 30 10 20 30 10
74. heures apr s la fin du test et ensuite pendant cing jours cons cutifs 33 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Param tres test s e DBOC e TSS temp rature e pH turbidit Param tres additionnels couleur e odeur e bruit e pr sence ou absence d une pellicule huileuse et de mousse Caract ristiques cl s Essais de contrainte Les essais de contrainte visent simuler des v nements qui ont pour effet d interrompre l coulement r gulier de l eau entrant dans une station de traitement dans des conditions de fonctionnement normal test des jours de lessive quivalant trois jours de lessive pendant une p riode de cinq jours trois cycles de lessive pendant les deux premi res p riodes de dosage chaque jour test des parents qui travaillent pendant cinq jours cons cutifs avec 40 de la charge hydraulique entre 6 h et 9 h et 60 du d bit entre 17 et 20 test de la panne de courant d quipement panne de courant de 48 heures test d interruption o la charge est discontinu e pendant huit jours cons cutifs avec courant lectrique suivis par une charge hydraulique de 60 et trois cycles de lavage entre 17 h et 20 h le dernier jour Caract ristiques des influents concentration des eaux us es DBOC de 100 300 mg L en moyenne pour 30 jours et TSS de 100 350 mg L en moyenne pour 30 jours Caract ristiques des effluent
75. iculture and Aquaculture Recommended Revisions Based on New Research Evidence Task No 68 Part 1 Table of contents http www lboro ac uk well London School of Hygiene and Tropical Medicine 2000 WELL Study A Review of Policy and Standards for Wastewater Reuse in Agriculture A Latin American Perspective http www lboro ac uk well R publique de Chypre Minist re de l Agriculture des Ressources naturelles et de l Environnement Service du d veloppement de l eau 2000 Strategies to Minimize Health Risk in Cyprus Standards for Reclaimed Waters Used for Irrigation Nolde E 2004 Greywater recycling systems in Germany Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Royaume Uni Statutory Instrument 1989 No 1147 1989 The Water Supply Water Quality Regulations www hmso gov uk si sil 989 Uksi_19891147_ en_7 htm Royaume Uni Statutory Instrument 1990 The Water Supply Water Quality Scotland Regulations www hmso gov uk si sil990 Uksi_19900119_ en_2 htm Royaume Uni Statutory Instrument 2002 The Water Supply Water Quality Northern Ireland Regulations www hmso gov uk sr sr2002 20020331 htm U S Environmental Protection Agency 1992 Guidelines for Water Reuse EPA 625 r 92 004 Washington D C 247 p Water Regulation Advisory Scheme WRAS 1999 Reclaimed Water Systems Information About Ins
76. incendie climatisation commerciale lt lt 10 lt 2 2 R utilisation agricole sur cultures vivri res irrigation de surface ou par vaporisation de n importe quelle culture vivri re y compris les denr es mang es crues R utilisation r cr ative sans limitation Bassins d eau pour lequel il n y a pas de limite quant aux activit s aquatiques r cr atives avec contact corporel Sauf mention contraire les recommandations touchant les coliformes correspondent aux valeurs m dianes d termin es la suite d analyses bact riologiques r alis es dans les sept derniers jours Le nombre de coliformes f caux ne doit pas d passer 14 100 ml dans n importe quel chantillon 22 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 12 Californie Title 22 Code de r glements de la Californie Exigences de qualit Applications CT a 100 ml Turbidit uTN Cultures vivri res y compris toutes les cultures racines dont les parties comestibles entrent en contact avec l eau r cup r e Parcs et terrains de jeux cours d cole am nagements paysagers r sidentiels terrains de golf avec acc s non limit lt 22 Chasse d eau des toilettes et des urinoirs amor age 1 N des robinets de vidange eau industrielle trait e pouvant entrer en contact avec les ouvriers lutte contre les incendies de b timents fontaines d coratives lessives comm
77. ion sur plaque des h t rotrophes Tableau 15 New Jersey Eau r cup r e pour r utilisation b n fique bauche Directives de traitement des effluents CF UFC 100 ml R sidu de Applications AT 55 Turb chlore Syst mes avec acc s public Irrigation par vaporisation des terrains de golf irrigation par p 2 vaporisation des terrains de jeux as ote an et des parcs lavage des v hicules ensemencement hydraulique M diane sur sept jours Le nombre de coliformes f caux ne doit pas d passer 14 100 ml pour tout chantillon 24 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 16 Texas Chap 210 Utilisation de l eau r cup r e Sous chap C Crit res de qualit et utilisations particuli res de l eau r cup r e Exigences de qualit Applications CF 8 1 6 1 00 ml Turbidit 1 5 Irrigation r sidentielle et paysag re Irrigation des parcs publics des terrains de golf des cours d cole et des terrains sportifs Protection incendie gicleurs int rieurs ou bornes fontaines ext rieures Irrigation des cultures vivri res dont les parties lt 20 lt 3 comestibles entrent en contact direct avec l eau r cup r e Entretien des plans d eau artificiels ou des plans d eau naturels sur lesquels les activit s r cr atives entra nent des contacts involontaires avec l eau Chasse d
78. it UFC mg L mg L 30 min 90 100 ml mg L R sidentiel Arrosage des jardins Chasse d eau des toilettes en syst me ferm Municipal avec acc s public non limit Irrigation des parcs et des terrains de sports mar cages confin s et tangs ornementaux Protection contre les incendies Syst mes de gicleurs r ticul s lt 10 lt 10 lt 5 gt lt 2 de secours Situations d acc s non urgentes Chasse d eau des toilettes dans les bureaux ou usines Syst mes ferm s sans contact humain direct avec l eau r cup r e Production d aliments Cultures vivri res moins d un m tre 3 pi au dessus du sol pour consommation crue ou vente aux consommateurs sans cuisson ou sans transformation Controle de la qualit de Peau r cup r e Tableau 8 en Tasmanie Exigences de qualit CF m dians UFC 100 ml Applications DBP T mg L 90 mg L Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tasmanie Directives environnementales pour l utilisation de l eau r cup r e Contr le R sidu de chlore mg L pH 55 Turbidit Virus et parasites Alimentation indirecte d une nappe souterraine potable par pandage et injection Irrigation municipale non potable Utilisation urbaine non potable utilisation m nag re g n rale Syst mes de protection incendie et de l eau Agriculture lt 10 lt 10 5 5 8 Contact direct a
79. its de Health and Safety Code Water Code et Titles 22 et 17 de California Code of Regulations http www dhs cahwnet gov ps ddwem publications waterrecycling California Department of Health Services 2001 Title 22 California Code of Regulations Chapter 3 Water Recycling Criteria Colorado Department of Public Health and Environment Water Quality Control Commission 2000 Regulation No 84 Reclaimed Domestic Wastewater Control Regulation Florida Department of Environmental Protection 1999 Reuse of Reclaimed Water and Land Application Chapter 62 610 Georgia Department of Natural Resources 2001 Design Guidelines for Water Reclamation and Urban Water Reuse EBAUCHE www dnr state ga us dnr environ Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Hawaii State Department of Health Wastewater Branch 2002 Guidelines for the Treatment and Use of Recycled Water Chapter 3 http www state hi us doh eh wwb reuse final pdf Massachusetts Department of Environmental Protection Office of Environmental Affairs 2000 Interim Guidelines on Reclaimed Water r vis es www state ma us dep brp wwm t5regs htm New Jersey Department of Environmental Protection division of Water Quality 2003 Reclaimed Water for Beneficial Reuse EBAUCHE http www state nj us dep dwq techmans reuseman pdf Texas Natural Resource Conservation Commission 1997 Chapter 210 Use o
80. le internationale s est d roul e en deux temps D abord on a examin les normes de qualit en mati re d effluents relativement aux param tres biologiques biochimiques et physiques Pour ce faire on s est pench sur les applications municipales et r sidentielles de r utilisation de Peau notamment la chasse d eau des toilettes les bains les douches la lessive le lavage et l irrigation des am nagements paysagers et des jardins Bien qu il existe de nombreuses normes internationales en mati re de r utilisation de Peau on a d couvert que celles ci diff rent selon leur application la qualit des effluents et les programmes de contr le appliqu s Ensuite on s est appliqu relever les protocoles de v rification technologique en mati re de traitement tant en laboratoire que sur le terrain relativement aux applications de r utilisation des eaux Parmi les l ments consid r s pour ces protocoles mentionnons le dosage les param tres de contr le le nombre et la fr quence des chantillons la dur e des essais les caract ristiques des influents et des effluents les essais sous contrainte et les documents fournir p ex les Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai manuels de fonctionnement et d entretien les guides d installation et de d pannage Bien qu il existe des protocoles de contr le des stations d puration servant la r utilisation de Peau
81. le 23 juin 2003 dans les bureaux de la SCHL Ottawa 1 visait susciter la discussion entre des repr sentants gouvernementaux relativement aux r sultats provisoires de l examen des normes de qualit de l eau et des protocoles de v rification en mati re de r utilisation de l eau au Canada et den arriver un consensus sur les normes nationales et les protocoles de v rification mettre en application 4 2 Partie Normes de qualit de l eau des effluents On s est g n ralement entendu pour conclure qu une norme deux niveaux faible risque et Tableau 31 Applications Chasse d eau des toilettes risque lev serait ad quate en fonction du risque potentiel et de la probabilit que l eau r cup r e vienne en contact avec les personnes Les applications faible risque supposeraient des contacts indirects tandis que les applications risque lev impliqueraient des contacts directs avec l eau r cup r e On a jug inacceptable que Peau r cup r e concerne des applications o des robinets sont raccord s des viers des tuyaux d arrosage des douches et des baignoires ou des applications de jardinage domestique Le tableau suivant r sume les deux normes propos es et les applications retenues lors de latelier en mati re de r utilisation de l eau R sum des normes discut es lors de l atelier Applications Irrigation paysag re Param tres Unit s ir
82. le VTE Protocole de v rification des effluents secondaires et des applications de d sinfection sur la r utilisation de l eau e Traitement des eaux us es Syst mes d puration autonomes pour les r sidences isol es Bureau de normalisation du Qu bec e Proc dure 4113031756 des technologies de traitement en eau potable Minist re de l Environnement Minist re des affaires municipales et de la M tropole du Qu bec Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Les participants l atelier en sont venus la conclusion que tout protocole de v rification de technologies des eaux us es devrait comporter au moins trois caract ristiques 1 le protocole doit combiner les essais en laboratoire et sur le terrain 2 le protocole doit porter sur au moins 12 mois afin de tenir compte des variations saisonni res 3 16 protocole doit tre accept de mani re universelle lorsqu il se rapporte des produits vendus en exportation Deux protocoles de v rification parmi les neuf examin s comportaient une dur e d essai d au moins un an 1 EPA NSF Environmental Technology Verification Program 2 Traitement des eaux us es Syst mes d puration autonomes pour les r sidences isol es Bureau de normalisation du Qu bec 59 5 NOWRA Modele de code de pratiques en mati re de r utilisation de l eau Pendant la collecte des normes et des protocoles en mati re de
83. le fabricant garantie vie utile garantie e manuel d installation manuel de r paration e feuillet de rapport e manuel de fonctionnement et d entretien 38 3 5 Directives provisoires sur l eau r cup r e r vis es Massachusetts E U Dosage e non indiqu Dur e e huit semaines Nombre d chantillons e non indiqu Param tres test s e DBO turbidit e m taux e COV e CI CF ent rocoques e num ration sur plaque des h t rotrophes e MS2 coliphages cryptosporidium et giardia total des virus cultivables Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Param tres additionnels e d bit e intensit des UV r sidu de Cl Caract ristiques cl s caract riser les effluents e d monter que la station peut atteindre de mani re constante les crit res exig s relativement aux effluents e relever les param tres indicateurs les plus conomiques pour les contr les long terme 39 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 3 6 Programme de v rification des technologies environnementales VTE Environnement Canada VTE Canada est un programme qui permet de v rifier les technologies environnementales Les entreprises qui le d sirent informent VTE Canada de leur intention de faire v rifier leur technologie innovante VTE Canada value l information et prend une d cision quant la pertinence d
84. les urbaines de r utilisation de l eau comme la chasse d eau des toilettes les bains et les douches la lessive le nettoyage et l irrigation des am nagements paysagers et des potagers Nous pr sentons un ensemble d ouvrages de r f rence relativement aux normes internationales et aux protocoles de v rification d crits dans le pr sent document On 8 organis un atelier dans les bureaux d Ottawa de la SCHL r unissant des repr sentants des diff rents organismes f d raux et provinciaux du Canada concern s par les applications de r utilisation de l eau de m me que de repr sentants de NSF International NSF et de l Association canadienne des eaux potables et us es ACEPU En plus de d crire les diff rentes normes et les divers protocoles de v rification technologique existants nous pr sentons galement une liste des ressources n cessaires pour proc der la v rification technologique des applications r sidentielles au Canada y compris une estimation des co ts pour le mat riel la main d uvre les analyses et les installations 1 4 Sources Les documents sur les normes et les protocoles de v rification ont t obtenus par l entremise des organismes gouvernementaux de r glementation que ce soit sur internet ou par contact direct 2 Normes en mati re de r utilisation de Peau Nous avons trouv des normes de r utilisation de l eau applicables aux r sidences dans toutes les r gion
85. m nagement paysager R cr atif limit es AS lt 20 lt 30 lt 30 lt R cr atif non limit Bassins d closerie fontaines chasse d eau des gouts nettoyage des rues lavage contr le de la poussi re Chasse d eau des toilettes et des urinoirs Lutte contre les incendies et protection incendie Protocole de contr le continu Les minist res de la Sant et de l cologie peuvent r duire au cas par cas la fr quence des chantillons de TSS pour les applications produisant une eau r cup r e de classe A Tableau 19 Floride Chapitre 62 610 R utilisation de l eau recycl e et applications sur les terrains Exigences de qualit ae CF NPP 100 ml CF NPP 100 ml ml R sidu Applications DBOC de chlore Turbidit M diane a m d mg L 15 min mg L Chasse d eau des toilettes protection incendie contr le de 75 sous la poussi re de construction et d tection utilisations d coratives Pour installations de traitement gt 0 5 mg par jour Protocole de fonctionnement requis Analyse annuelle des param tres pour traitement primaire et secondaire de l eau potable 26 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 20 Wisconsin Normes en mati re de r utilisation de l eau Exigences de qualit Applications Irrigation Irrigation de surface ou par vaporisation de toute culture vivri re y compris les denr es consomm
86. m r s au tableau 32 51 Crit res relatifs la TSS pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 52 Crit res relatifs aux coliformes f caux touchant les applications avec contacts corporels directs et indirects pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 53 Crit res relatifs au TSS pour les organismes internationaux nim r s au tableau 32 54 Crit res relatifs au r sidu de chlore selon les organismes internationaux num r s ai DA a 54 Comparaison des normes DBO de latelier avec les normes chelle internationale 55 Comparaison des normes TSS de l atelier avec les normes l chelle internationale 56 Comparaison de la norme de turbidit de l atelier 5 2 0 0 11 6 56 Comparaison de la norme de l atelier pour les coliformes totaux avec les normes chelle interpational sue ess orn eee ea eka eer hans 57 Comparaison de la norme de atelier pour les coliformes f caux avec les normes P chelle internationale 57 Comparaison de la norme de Patelier sur les r sidus de chlore avec les normes P chelle internationale 58 NOWRA Normes en mati re de r utilisation de 1939 64 Exigences en mati re de ressources yaks ree gown
87. mettre la SCHL d largir l ensemble d j consid rable de ses travaux de recherche innovants dans ce domaine en d finissant des normes et des protocoles d essai qui faciliteront aux organismes de r glementation l adoption et l accr ditation des technologies de r utilisation de l eau dans les applications r sidentielles 1 2 Historique Au cours des derni res d cennies la SCHL a r alis un certain nombre de travaux de recherche et engag des cr dits consid rables dans les domaines de la gestion de l eau et du traitement des eaux us es pour les r sidences Parmi les principales initiatives de recherche et de d monstration mentionnons celles de la Coop rative Conservation Ottawa et de Quayside Village North Vancouver pour la r utilisation des eaux m nag res et celles de la Maison saine Toronto et des r sidences N Dillo Detah Yellowknife pour la r utilisation des eaux m nag res et des eaux noires Ces travaux ont permis de former d importantes observations quant aux aspects techniques administratifs et op rationnels qu il faut ma triser pour assurer la r ussite d un syst me de r utilisation de l eau En particulier on a relev la n cessit de d finir des normes et des protocoles d essai afin d aider les organismes de r glementation tudier et adopter des m thodes ad quates en mati re de r utilisation de l eau pour les installations r sidentielles
88. mt 129_99 htm Colombie Britannique Minist re de l Environnement des Terres et des Parcs Mai 2001 Code of Practice for the Use of Reclaimed Water A Companion Document to the Municipal Sewage Regulation Victoria Colombie Britannique Centre for Water Resources Studies Dalhousie University 1999 Reuse of Renovated Wastewater for Golf Course Irrigation Rapport pr par pour le Prince Edward Island Department of Technoloty and Environmment CWRS Internal Report No 99 5 Environnement Qu bec 2003 R glement sur la qualit de l eau potable http publicationsdu quebec gouv qc ca dynamicSearch telecharge php type 3 amp file Q_2 Q2R18_1_1 htm Marsalek J K Schaefer K Exall L Brannen et B Aidun 2002 La r utilisation et le recyclage de l eau Conseil canadien des ministres de l environnement Winnipeg Manitoba S rie d ateliers du CCME sur les sciences de Peau et les politiques Rapport n 3 57 p Normes et lignes directrices am ricaines Arizona Administrative Register 2001 Notice of Final Rulemaking Title 12 Natural resources Chapter 4 Game and Fish Commission pp 877 881 et 918 Arizona Department of Environmental Quality 2002 Arizona Administrative Code Title 18 Environmental Quality http www sosaz com public_services Title_ 18 18_table htm California Department of Health Services 2001 California Health Laws Related to Recycled Water The Purple Book Extra
89. n pour la production d eau potable on doit s assurer de la conformit ces normes La norme pour risque lev de contacts doit tre respect e par les applications de r utilisation dans les r sidences ou les immeubles bureaux o il est possible ou probable que le public entre en contact direct avec l eau r cup r e notamment pour l irrigation en surface le lavage des voitures la lessive et les bassins ornementaux Le param tre de turbidit qui vise faciliter la d sinfection et le crit re d odeur qui remplit des imp ratifs esth tiques peuvent contribuer de concert avec les param tres suivants s assurer du bon fonctionnement du syst me DBO lt 15 mg L pH de 6 9 et r sidu de chlore apr s 30 minutes de mg L ou d autres param tres de d sinfection quivalents comme l intensit des ultraviolets 253 7 nanom tres cm soit la longueur d onde la plus efficace pour tuer les bact ries Bien que la technologie utilis e puisse permettre d atteindre la norme stipul e sans l ajout d un d sinfectant l utilisation de ce dernier r pond des imp ratifs de fiabilit et d assurance de la qualit La norme pour faible risque de contacts se rapporte des applications de r utilisation o le public n entre pas en contact direct avec l eau r utilis e ou il est improbable qu il le fasse des applications particuli res en tant la chasse d eau des toilettes et ou des urinoirs et l irrigatio
90. n souterraine Les param tres esth tiques d pendent de l application et des utilisateurs mais ne sont pas exig s L absence d odeur constitue un indicateur du bon fonctionnement du syst me et elle peut contribuer de concert avec les param tres suivants s assurer du bon fonctionnement du syst me DBO et SS lt 30 mg L pH de 6 9 et r sidu de chlore apr s 30 minutes de mg L ou d autres param tres de d sinfection quivalents comme l intensit des ultraviolets 253 7 nanom tres cm soit la longueur d onde la plus efficace pour tuer les bact ries Bien que la technologie utilis e puisse permettre d atteindre la norme stipul e sans l ajout d un d sinfectant l utilisation de ce dernier peut servir confirmer la fiabilit et l assurance de la qualit ou la disponibilit du syst me en cas d urgence Autres aspects d infrastructure Intercommunications Les intercommunications sont l une des causes les plus courantes de pollution de toute conduite d adduction donn e Ces probl mes r sultent souvent d erreur de plomberie ou d une signalisation d ficiente des r servoirs et des autres raccords Tous les raccords de r utilisation doivent tre marqu s d un signe permanent et les tuyaux et robinets doivent tre chromocod s Dans la mesure du possible on am nagera un vide d air afin d viter les intercommunications Linspection par un tiers est un autre moyen de r duire les erreurs Pi
91. ne d hypoth ques et de logement SCHL et enfin les directives r vis es de USEPA Initialement le groupe de travail envisageait d employer les termes r cup ration r utilisation renouvellement recyclage etc pour d signer la norme mais il a jug par la suite que ces termes conf raient une connotation l eau trait e On a donc d cid d adopter la d signation Normes en mati re d utilisation de l eau Cependant une des premi res d cisions du groupe de travail a t de ne pas recommander de normes en mati re de r utilisation des fins d eau de boisson 61 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai La premi re version th orique proposait des normes de rendement l gard de neuf applications de r utilisation de l eau 1 Irrigation 2 Lavage des autos 3 Climatisation chauffage 4 Chasse d eau des toilettes 5 Piscines 6 Eau potable 7 Lessive 6 Eau souterraine 9 Bains douches Chacune de ces applications serait assortie d un ensemble de param tres d finissant la norme DBO coliformes totaux coliformes f caux TSS turbidit odeur couleur etc Cette proposition a t soumise au comit des codes qui a recommand deux options La premi re consistait d finir des normes plus g n ralis es fond es sur les param tres les plus courants La deuxi me consisterait cr er des normes particuli res chaque a
92. nome soit capable d atteindre le niveau exig de coliformes totaux dans les effluents m thode de la double barri re Si on utilise 16 chlore comme m thode de d sinfection secondaire un r sidu de 0 1 1 0 mg L doit tre toujours pr sent la sortie du robinet 4 Mettre en place un proc d par lequel les r serves d eau r cup r e peuvent tre r achemin es dans les syst mes de d sinfection primaire 8 1 1 Normes deux niveaux en mati re de qualit de l eau et d applications de r utilisation Le tableau 47 pr sente les deux niveaux recommand s faible risque et risque lev de normes en mati re de qualit de l eau Il pourrait tre difficile d atteindre en tout temps un niveau de tol rance z ro des coliformes totaux c d lt 1 UFC 100 ml dans le cas d un syst me autonome individuel Il est possible que des coliformes soient d tect s pour diverses raisons y compris une d faillance ponctuelle ou une erreur d chantillonnage Il est donc recommand que le niveau de bact ries coliformes soit tabli selon une valeur m diane semblable celle qui est stipul e dans la norme du titre 22 de la Californie En vertu de cette norme le niveau m dian de coliformes totaux doit tre inf rieur 2 2 NPP 100 ml ou inf rieur 1 UFC 100 ml au cours des sept derniers jours d chantillonnage et pr senter une valeur maximale de 23 NPP 100 ml pour une p riode de 3
93. ns On a jug inacceptables pour les syst mes individuels autonomes et les syst mes de traitement collectif de petite taille des applications comme le traitement de l eau brute potable l irrigation des cultures vivri res potagers les douches et les bains Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Le rapport contient galement une section soulignant l importance des perturbateurs endocriniens et des r sidus pharmaceutiques susceptibles d tre pr sents dans les effluents de source domestique et leur incidence dans le milieu r cepteur Nous pr sentons une comparaison entre les recommandations manant de l atelier d Ottawa et les normes comparables existant l chelle internationale Voici conform ment au consensus atteint lors de l atelier les normes de qualit et les applications retenues en mati re de r utilisation de l eau A Norme de r utilisation de l eau deux niveaux Faible risque Risque lev Param tres Applications Chasse d eau des toilettes irrigation souterraine Applications Irrigation paysag re surface lessive RE D M dianet TT UFC 100 ml C Norme de turbidit mesure continuelle au moyen d instruments en remplacement de la norme du total Coliformes totaux R sidu de chlore des solides en suspension TSS Au Canada certaines autorit s l gislatives comme le Manitoba consid rent les coli et les colif
94. odes DBOS total Ni 2 x T 2 2 n 0 UFC 100 ml DBOS5 dissous UFC 100 ml CF UFC 100 ml CF UFC 100 ml Irrigation des cultures susceptibles d tre consomm es crues 10 chantillons minimums Terrains de sports et parcs publics 10 chantillons minimums Zones r cr atives avec de lt 50 lt 100 acc s non limit Chypre Gi ultures pour lt 200 lt 000 consommation humaine Terrains sportifs et zones Espagne vertes avec acc s public L gumes consomm s crus Cultures sans restriction y compris l gumes consomm s crus parcs et pelouses Fruits d arbres feuilles caduques l gumes en conserve cuits et pel s ceintures de verdure terrains de soccer et terrains de golf Eaux m nag res r cup r es Allemagne pour applications non potables A a 50 _ V A ie IA UT Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 24 Normes pour certaines r gions de lItalie UFC 100 ml ae Cultures pour consommation crues et p turages Romagne Cultures sans contact avec l eau trait e lt 250 Lirrigation est interdite pour les fourrages et les cultures vivri res entrant en contact direct avec l eau trait e lt 3 000 Autres cas lt 000 absence de salmonelle lt ceuf d helminthes En Afrique d
95. oestrog nes viennent plut t de sources industrielles On peut trouver des pesticides dans les eaux m nag res si les r sidents liminent de tels produits par la cuvette des toilettes Toutefois on peut contr ler cette source en sensibilisant les citoyens Les produits perturbateurs endocriniens les plus susceptibles de se retrouver dans les eaux us es m nag res et par cons quent dans les influents des stations d puration sont les strog nes naturels et pharmaceutiques et dans une moindre mesure les alkylph nols thoxyl s principalement les thoxylates de nonylph nol Les alkylph nols thoxyl s sont des agents de surface utilis s dans les d tergents le plus souvent pour des utilisations industrielles ou titre de produits nettoyants dans les tablissements publics On estime que 15 des alkylph nols thoxyl s utilis s aux tats Unis proviennent des activit s d entretien domestique et des produits de soins personnels Renner 1997 En ce qui concerne les thoxylates de nonylph nol ils entrent dans la fabrication de d tergents m nagers vendus dans le commerce en particulier des d tergents liquides et peuvent tre pr sents dans les shampooings les cosm tiques et les d sodorisants Environnement Canada et Sant Canada 2001 Les principaux fabricants de savon n utilisent pas les nonylph nols Chemical Market Reporter Online 1998 Comme les stations de traitement des eaux us es r sid
96. ommand es Il est recommand que les normes en mati re de r utilisation de l eau noncent des param tres la fois analytiques et mat riels Sur 16 mod le de la norme du titre 22 de 13 Californie qui exige la redondance de tous les composants critiques de traitement de sorte que 51 y a panne de quelque composant que ce soit 75 de la capacit th orique demeure et qui stipule galement que les m thodes de coagulation et de filtration sur couche granulaire ou l quivalent doivent faire partie des proc d s de traitement il est recommand que la norme nationale en mati re de r utilisation de l eau de la SCHL nonce les param tres mat riels suivants 1 Fournir la redondance pour tous les composants critiques de traitement sur le mod le de la norme du titre 22 de sorte que sil y a panne de quelque composant que ce soit au moins 75 de la capacit th orique demeure A titre d exigence de remplacement la redondance mat rielle consid rer la mise en place de dispositifs de s curit qui auront pour effet de mettre le syst me hors fonction et d activer une alarme s il y a d faillance d un composant 2 Mettre en place un dispositif de filtration permettant de r duire la turbidit un niveau inf rieur ou gal 2 uTN avant la d sinfection 3 Mettre en place deux dispositifs de d sinfection des effluents un primaire et un secondaire de sorte que chacun en fonctionnement auto
97. ormes f caux comme des indicateurs de rechange quivalents pour mesurer la qualit de l eau en fonction de la pr sence de pathog nes Valeurs m diane et maximale fond es sur au moins cinq chantillons recueillis sur une p riode de 30 jours On recommande la chloration tout au moins comme mesure secondaire de d sinfection afin de maintenir un r sidu de chlore l int rieur du syst me de distribution Dans certains cas o le r seau de canalisations pourrait affecter la qualit de leau il pourrait tre galement n cessaire de contr ler le pH En effet si le pH est acide cela peut corroder les conduits ce qui pourrait alt rer la qualit de Peau Dans la mesure du possible les pr occupations ayant trait aux intercommunications doivent A DVS fe tre r gl es au moyen d un vide d air entre la source d eau potable pour l eau d appoint et l eau stock e en vue d une r utilisation Les documents d accompagnement contenus dans ce rapport ont t fournis un groupe de travail de la National Onsite Wastewater Recycling Association NOWRA qui s affaire laborer un code de pratique mod le pour la r utilisation sur place de l eau aux tats Unis Pour le moment avril 2004 ce groupe de travail recommande une norme deux niveaux reposant sur la turbidit et la pr sence de coliformes f caux et prenant appui sur les valeurs de la DBO Par ailleurs on pourrait pr f rer 4 une norme a deux ni
98. osage hydraulique semaine de 190 238 gallons par jour soit pour une nombre ind termin maison de huit dix personnes 37 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Param tres test s Param tres additionnels e coliformes thermotol rants e On devra galement collecter des donn es sur les types de d tergents de poudre de e demande biochimique d oxyg ne DBO i S nettoyage et de produits chimiques utilis s e mati res solides en suspension SS azote total Kjeldahl ATK azote total Caract ristiques cl s par les occupants phosphate total pas de tests de contrainte e chlore libre Caract ristiques des influents e non applicable Caract ristiques des effluents Tableau 28 Nouvelle Galles du Crit res de v rification des applications de r utilisation de l eau D nombrement DBO TSS des coliformes ATK mg L mg L thermotol rants mg A L 90 des 90 des 90 des 90 des chantillons chantillons chantillons chantillons UFC 100 ml R sidu de chlore libre mg L Applications Irrigation de surface lt lt lt lt gt lt concerne 90 lt 20 max 30 lt 30 max 45 lt 30 max 100 lt 20 2 0 2 et lt 2 0 des chantillons Chasse d eau des toilettes urinoirs lt 20 max 30 lt 30 max 45 lt 10 max 30 lt 20 2 0 2 et lt 2 0 et lessive Documentation fournie par
99. our risque lev concernant la concentration de TSS pr sente un cart d environ 10 avec les normes internationales et 54 des normes internationales acceptent une concentration plus lev e Il n existe pas de normes internationales acceptant des niveaux de turbidit inf rieurs e Il existe pas de normes internationales fixant des niveaux de coliformes totaux ou f caux moins lev s e Il n existe pas de m thodes de d sinfection offrant un degr de certitude gal celui du chlore On peut utiliser l ozone et les ultraviolets pour r duire la demande de chlore mais ces substances n offrent aucune protection r siduelle e Il mexiste pas de normes internationales acceptant des niveaux de r sidu de chlore inf rieurs Introduction 1 1 Information sur le client La Soci t canadienne d hypoth ques et de logement SCHL intervient dans une grande vari t de domaines touchant l habitation depuis le soutien au financement hypoth caire jusqu l aide au logement en passant par la recherche sur les technologies de l habitation dont les Canadiens et Canadiennes auront besoin dans l avenir Depuis quelque temps la SCHL reconna t que les technologies autonomes de r utilisation de Peau pr sentent de grandes possibilit s en mati re de conservation de l eau et de r duction des besoins en infrastructures pour la distribution et l approvisionnement en eau Le pr sent rapport vise per
100. pour les cultures n tait pas le principal objet de sa responsabilit et que les applications de cette nature seraient confi es au sous comit responsable des sols Comme les applications qui restaient tudier taient r sidentielles on a conclu que la plupart n cessitaient une d sinfection jusqu un niveau de non d tection des coliformes peu pr s en m me temps le groupe de travail recevait l bauche des directives de PUSEPA en mati re de r utilisation qui formulaient la m me recommandation Cependant apr s discussion sur les applications souterraines le groupe de travail a jug que certaines utilisations individuelles pr sentaient un risque de contacts n gligeable p ex la chasse d eau des toilettes Le groupe de travail a galement conclu que la norme pourrait s appliquer aux syst mes individuels ou communautaires bien que ces derniers maient pas encore fait l objet de ses travaux Pour les utilisations communautaires on pense qu il serait pr f rable d appliquer les directives de PUSEPA Le groupe de travail a galement remarqu que la version provisoire de VUSEPA en mati re de r utilisation de l eau est extr mement faible l gard des syst mes autonomes Le tableau 44 pr sente les normes provisoires de la NOWRA en mati re d utilisation de l eau en date d avril 2004 On y trouve deux cat gories de norme 1 une norme pour risque lev de contacts NREC et 2 une
101. pplication de r utilisation Ainsi les applications de chauffage et de climatisation n cessiteraient la prise en compte de beaucoup plus d aspects comme les sels 18 corrosion etc Le groupe de travail a jug qu il serait plus pratique de d finir des normes plus g n ralis es tout en sugg rant des solutions pour certains probl mes de r utilisation devant tre r gl s au moment de la conception On a galement d cid de se concentrer sur les syst mes r sidentiels autonomes et de ne se pencher sur les syst mes communautaires ou en grappe qu apr s la publication des directives r vis es de PUSEPA 62 On a observ que les normes internationales en mati re de r utilisation de l eau sont souvent d finies sous l aspect du risque faible ou lev relativement la sant publique Par cons quent le groupe de travail a d cid de retenir deux normes g n rales 1 une norme pour risque lev de contacts corporels ou de contacts corporels possibles p ex bains irrigation etc 2 une norme pour faible risque de contacts corporels p ex irrigation souterraine ou chasse d eau des toilettes On a longuement discut des applications sans contact et de la n cessit de proc der une d sinfection pour les pratiques d irrigation souterraine ou d gouttement en surface Or le groupe de travail fut ult rieurement inform du fait que la r utilisation de l eau par irrigation du sol
102. r utilisation de l eau qui sont pr sent s dans ce document la SCHL s est vue offrir l occasion de contribuer l laboration dun mod le de code de pratiques en mati re de r utilisation de l eau pr par par la National Onsite Wastewater Recycling Association NOWRA La NOWRA est la plus grande organisation des Etats Unis se consacrant uniquement l ducation et la repr sentation de ses membres au sein de l industrie des syst mes d puration autonomes et d centralis s Fond e en 1992 en tant qu organisation sans but lucratif en vertu du code d imposition 501 C 6 la NOWRA dont le si ge social est situ Edgewater Maryland compte plus de 3 500 membres de l industrie des syst mes d puration autonomes notamment des fournisseurs de services des installateurs des fabricants des fournisseurs et des distributeurs d quipement des concepteurs de syst mes des planificateurs des ing nieurs et des repr sentants d organismes publics et d organismes de r glementation La U S EPA a accord la NOWRA une subvention pour la production d un mod le de code de performance visant les syst mes autonomes et d centralis s d puration des eaux us es qui l verait les deux grandes contraintes l gislatives et r glementaires dont fait tat le rapport au Congr s pr sent en 1997 par PUSEPA sur les obstacles freinant l utilisation des syst mes autonomes et d centralis s de traitement de
103. r oe ee ee ee eee a re ree nombre le plus probable ODR soe pe tas eens odeur fl a en er ee ee ee a meee ee ee nen Pee renee ee ere ae phosphore total SCHE citer ce een See Soci t canadienne d hypoth ques et de logement ee ee ere eee eee Te een ee eee eee Perro mati res solides en suspension DA trihalom thanes Us es hs el eee es aes ah eee total des solides en suspension DR a a a Le oo unit s formant colonies USCG once United States Coast Guard USEPA ain oooh gas eet cen den cara E United States Environmental Protection Agency UIN eee EE E ES unit s de turbidit n ph l m trique a ultraviolet DE a A E V rification des technologies environnementales RESUME La Soci t canadienne d hypoth ques et de logement SCHL a confi NovaTec Consultants Inc la tache de recueillir et de r sumer 1 information sur les normes en mati re de r utilisation de l eau et les protocoles de v rification des technologies de traitement des eaux tels qu ils sont utilis s dans les diff rents pays tats et provinces du monde Ce r sum a pour objectif d aider la SCHL laborer des normes et des protocoles applicables aux usages r sidentiels au Canada Lexploration des normes et des protocoles r gissant la r utilisation de l eau l chel
104. ration marquage le syst me doit tre muni d une plaque identification portant le nom le mod le la date de production la classification du syst me la capacit hydraulique et le num ro de certification 44 3 9 Minist re de Environnement et Minist re des affaires municipales et de la M tropole du Quebec Proc dure d valuation des technologies de traitement de l eau potable Dosage e non applicable Dur e e 12 mois pour une phase de rendement chelle r elle Nombre d chantillons e De 13 23 selon le param tre test et selon que l valuation porte sur le traitement des eaux de surface ou des eaux souterraines Le traitement des eaux de surface n cessite g n ralement davantage d chantillons que celui des eaux souterraines Param tres test s e pH e COT e alcalinit totale temp rature e turbidit calcium e coliformes f caux e absorbance des UV e duret totale e coliformes totaux e ammoniac Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai fer total e BHAA nitrite mangan se total couleur vraie nitrate solides dissous total des solides en suspension conductivit e THM Param tres additionnels aucun param tre not Caract ristiques cl s Chaque technologie de traitement des eaux est valu e en quatre phases 1 Technologie exp rimentale 2 Technologie de d monstration exp
105. rdins par aspersion ou gouttage Australie M ridionale Directives sur l eau r cup r e Effluents trait s Exigences de qualit CF m dians DBO 55 Turbidit UFC 100 ml mg L mg L uTN Suppression de la poussi re avec acc s limit s Lutte contre les incendies R g n ration pour contact primaire R sidentiel non potable Arrosage des jardins Chasse d eau des toilettes Lavage des voitures lt 10 lt 20 Nettoyage des voies et des murs Utilisation municipale avec acc s public et lieux adjacents Suppression de la poussi re avec acc s non limit s Remarques En ce qui concerne le suivi les directives donnent l indication suivante Contr ler l eau r cup r e de fa on r guli re afin de maintenir la qualit de Peau et la conformit avec le plan de gestion int gr e Tableau 6 Nouvelle Galles du Sud Sant r utilisation des eaux m nag res dans les maisons individuelles raccord es au r seau d gout Exigences de qualit SF medians DBO mg L SS mg L UFC 100 ml B Applications Irrigation souterraine Irrigation de surface Chasse d eau des toilettes Lessive Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau 7 Victoria Directives en mati re de gestion environnementale Utilisation de l eau r cup r e Contr le de la qualit R sidu Applications m dians DBO SS de chlore pH Turbid
106. rect et contact indirect On notera que ces 15 organismes 50 96 n appliquent aucune norme cet gard principalement parce qu ils ont recours un remplacement En ce qui concerne les organismes appliquant une norme la majorit noncent un crit re inf rieur ou gal cinq Cinq organismes appliquent deux normes selon qu il y a contact direct ou indirect alors que la plupart des autres contr le continu de la turbidit comme mesure de mont adopt qu une norme relativement au TSS Tableau 34 Crit res relatifs au TSS pour les organismes internationaux num r s au tableau 32 Normes des organismes Crit res relatifs au TSS mg L 1 5 8 9 10 13 18 19 21 22 23 27 28 29 30 Codes des organismes 1 1 5 8 8 apale aoaie 1 Masschusews OMS Cause du sud 12 New ersey fa Chypre Nowvele Gles du Su es 1 8 E 578 EL 6 Colombie Britannique 16 Floride 26 Arabie Saoudite le du Prince douard Italie national 8 85 i EE 91 L CE EC 9 81669 669 E 52 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Le tableau 35 pr sente les normes relatives aux inf rieur au niveau de d tection c d moins coliformes pour les applications avec contact de 2 2 NPP 100 ml tan
107. rigation souterraine de surface lessive TSS Turbidit gt Coliformes f caux UFC 100 ml lt 200 lt UFC 100 ml Coliformes totaux UFC 100 ml lt 000 lt UFC 100 ml Virus Vers Azote total Phosphore total R sidu de Cl Valeurs m dianes Normes pour la qualit des eaux de baignade 49 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 4 3 Applications r sidentielles autonomes pour la r utilisation de l eau On compte au moins 30 organismes de par le monde qui appliquent sous une forme ou une autre des normes en mati re de r utilisation de Peau Ces normes varient en ce qui concerne la qualit de l eau r cup r e et le type d applications de r utilisation L atelier a port principalement sur Putilisation de l eau r cup r e pour les applications r sidentielles Quatre applications ont finalement t adopt es par l atelier 1 s agit de la chasse d eau des toilettes et de l irrigation souterraine qui sont des exemples d applications faible risque pour la sant faibles probabilit s de contacts directs avec les humains et irrigation paysag re et la lessive comme exemple d applications risque lev impliquant de fortes Tableau 32 probabilit s de contacts directs avec 165 humains Comme on peut le voir au tableau 32 la chasse d eau des toilettes et l irrigation paysag re sont des applications cour
108. rimentation installation et mise hors service Les essais se d roulent sur une p riode de douze quatorze 12 14 mois et comportent un minimum de 52 chantillons d influents et d effluents Test sur le terrain de 12 14 mois sous des conditions contr l es appliquant un protocole visant simuler la production r sidentielle d eaux us es Environ 57 000 pour l ensemble de la dur e du test de 12 4 mois y compris les tests l chantillonnage les analyses et la production du rapport station analyses en laboratoire validation des donn es contr le de la qualit sur les lieux d exp ri mentation visite annuelle et chantillonnage d au moins cing syst mes install s et en fonctionnement Les essais qui se d roulent sur une p riode de 12 mois n cessitent au moins 400 chantillons d effluents en vertu de l annexe A et de l annexe B D autres analyses sont galement effectu es au niveau des influents Essai sur le terrain d une dur e de 12 mois dans un environnement contr l sur un lieu d exp ri mentation reproduisant les conditions de production r sidentielle d eaux us es Environ 100 000 CAN pour l ensemble de la dur e du test de 12 mois annexes et 8 plus un proc d de certification comprenant des visites annuelles des analyses etc pendant trois ans Les tests de l annexe A constituent la principale portion des co ts du protocole de
109. rissaud Setting Up Microbiological Water Reuse Guidelines for the Mediterranean CBSE 2003 Preliminary Guidelines for Using Graywater for Irrigation Conseil des communaut s europ ennes 1991 Directive 91 271 CEE du Conseil du 21 mai 1991 relative au traitement des eaux urbaines r siduaires http www admi net eur loi leg_euro fr_391L0271 html 82 International Water Association IWA 2003 Specialist Group on Water Reuse Newsletter Janvier 2003 International Water Association IWA 2002 Specialist Group on Wastewater Reclamation Recycling and Reuse Newsletter Juillet 2002 International Water Association IWA 2002 Specialist Group on Wastewater Reclamation Recycling and Reuse Newsletter Janvier 2002 Inter Islamic Network on Water Resource Development and Management INWRDAM 2001 2003 Greywater Treatment and Reuse Tufileh Jordan http web idrc da en ev 6322 201 10DO TOPIC html Kamizoulis G A Bahri E Brissaud et A N Angelakis Wastewater Recycling and Reuse Practices in Mediterranean Region Recommended Guidelines Lallana C W Krinner T Estrela S Nixon J Leonard et J M Berland 2001 Sustainable Water Use in Europe Part 2 Demand Management Agence europ enne pour Penvironnement http reports eea eu int Environmental_Issues _No_19 en tab_abstract RLR London School of Hygiene and Tropical Medicine 2000 WELL Study Guidelines for Wastewater Reuse in Agr
110. rne des eaux us es non trait es pour la lessive l exclusion des conomiseurs d eau Non r glement e R utilisation interne des eaux us es trait es pour la lessive Non r glement e Qualit des eaux us es trait es pour la lessive Nouvelle Galles du Sud Qualit non r glement e 20 30 10 20 30 10 Queensland Qualit non r glement e pour les dispositifs de d tournement dans les secteurs non desservis par un r seau d gouts Primaire Non r glement e Non r glement e Non r glement e Non r glement e Non r glement e Non r glement e Etats et territoires australiens Contr les touchant la r utilisation des eaux us es Australie Occidentale Australie Tasmanie M ridionale TPC Doit respecter les exigences de rendement ou la norme AS NZ 1547 Faible profondeur 20 30 Grande profondeur Primaire TPC AS NZ 1547 Primaire ou Primaire dispositif de d tournement Alimentation en eau par canalisations s res et suffisantes Non r glement e R glement e Non permise Non permise Non r glement e TPC Non r glement e TPC Alimentation en eau par canalisations s res et ad quates Non r glement e Pas de robinet r ticul eau potable eaux pluviales etc Non permise TPC Non r glement e Toutes les installations de plomberi
111. ro tre la pr sence du Canada sur le march mondial et partager son exp rience et son savoir faire dans le domaine du logement Dans tout ce qu elle fait la SCHL veille ce que les Canadiens aient acc s un large ventail de logements de qualit prix abordable et elle favorise la cr ation de collectivit s et de villes dynamiques et saines partout au pays Pour obtenir des renseignements suppl mentaires visitez le site Web de la SCHL l adresse suivante www schl ca Vous pouvez aussi communiquer avec nous par t l phone 800 668 2642 ou par t l copieur 800 245 9274 De l ext rieur du Canada 613 748 2003 t l copieur 613 748 2016 La Soci t canadienne d hypoth ques et de logement souscrit la politique du gouvernement f d ral sur l acc s des personnes handicap es l information Si vous d sirez obtenir la pr sente publication sur des supports de substitution composez le 800 668 2642 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai La SCHL contribue de diverses fa ons l am lioration des conditions de logement et de vie au Canada notamment en communiquant les r sultats de sa recherche Veuillez vous adresser la SCHL pour obtenir la liste des produits d information qu elle offre sur une vari t de sujets li s l habitation caract re social conomique environnemental et technique Pour de plus amples renseignements composez 800
112. rt principalement l irrigation agricole l irrigation des am nagements paysagers la r alimentation des nappes souterraines et des applications industrielles La U S Environmental Protection Agency USEPA a publi un manuel intitul Guidelines for Water Reuse afin d aider les organismes de r glementation concevoir programmes et r glements en mati re de r utilisation de l eau Le manuel vise galement aider les ing nieurs et les urbanistes laborer et g rer des programmes et des techniques en mati re de r utilisation de Peau Le manuel Guidelines for Water Reuse de 1992 est actuellement en cours de r vision une nouvelle version tant pr vue pour plus tard en 2004 Les tableaux 11 21 pr sentent les normes d taill es selon les tats 21 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Tableau I 1 USEPA Directives en mati re de r utilisation de l eau Directives sur la qualit de l eau E CF R sidu Applications m dians DBO pH Turbidit de chlore UFC mg L 90 30 min 100 ml mg L R utilisations urbaines non limit es Parcs terrains de jeux cours d cole r sidences chasse d eau des toilettes climatisation protection incendie construction fontaines ornementales et bassins ornementaux Tous les types d irrigation paysag re terrains de golf lavage des v hicules chasse d eau des toilettes protection
113. s Tableau 26 Norme NSF ANSI 40 Caract ristiques des effluents pour les essais de v rification pf feoeo SGD M Classe 1 Documentation fournie par le fabricant manuel de fonctionnement et d entretien e guide d installation e guide de d pannage manuel de r paration manuel du propri taire 34 3 2 Programme de v rification des technologies environnementales EPA NSF Dosage e Le programme permet de v rifier les syst mes de traitement poss dant une capacit hydraulique allant jusqu 1 500 gallons par jour Dosage quotidien e 35 du d bit entre 6 et 9 e 25 du d bit entre 11 het 14h e 40 du d bit entre 17 et 20 Dur e e 12 mois suivant une p riode de d marrage maximale de huit semaines Un essai sur une p riode d un an permet d valuer les r percussions des variations saisonni res sur le rendement Nombre d chantillons e Minimum d un chantillon par mois e Au cours des essais de contrainte compter de 24 heures suivant la fin de l essai les chantillons sont pr lev s le premier et le troisi me jour de l essai de contrainte et ensuite quotidiennement pendant six jours cons cutifs Une exception a cet gard constitue le test de la panne de courant o les chantillons sont pr lev s pendant cinq jours cons cutifs compter de 48 heures apr s 13 fin du test de contrainte e N cessite une s rie de cing chantillons cons
114. s en mati re de r utilisation de Peau 61 6 Perturbateurs endocriniens et r sidus pharmaceutiques 65 7 Installations d essais existantes et co ts des protocoles 67 7 1 Mat riel de v rification ressources des installation et co ts 67 8 Recommandations seules 73 8 1 T che 1 5 Normes recommand es 2e Ne seen Bien ee Nain 73 8 1 1 Normes deux niveaux en mati re de qualit de leau et d applications de r utilisation 73 8 1 2 Norme unique en mati re de qualit de l eau et d applications de r utilisation 74 8 2 T che 2 Protocoles de v rification recommand s 8 76 vam ADR ee REEE ER E REA 79 G n ralit sr 32 400 Sidi ae seed bated 5 ee E 79 Normes et lignes directrices australiennes ia asian pentes heat 80 Normes et lignes directrices canadiennes 8 9 pee 9 de 80 Normes lignes directrices am ricaines 1214404 8 9 81 Normes europ ennes et m diterran ennes 5224522 een leds 82 Normes du Sud Est asiatigue oses rs portaa iE here han ar des 83 Protocoles de v rification technologique 8 oe ei ceived eye ees d 84 Liste des tableaux A B Tableau 1 Tableau 2 Tableau 3 Tableau 4 Tableau 5 Tableau 6 Tableau 7 Tableau 8 Tableau 9 Tableau 10 Tableau 11 Tableau 12 Tablea
115. s 20 Dal Reel ate Bios eatin snes ees eo Reon ees eee 20 2 0 ee Ce soute 21 2 3 Moyen Orient Europe et 1 ide nie kone d bee lt 28 24 PMG Deere OU hack Od LER ce ri bees ke he 30 3 Protocoles de v rification technologiques 33 3 1 Norme NSF ANSI 40 Syst mes r sidentiels de traitement des eaux us es 33 3 2 Programme de v rification des technologies environnementales EPA NSF 35 3 3 Protocole USEPA ETV Protocole de v rification des effluents secondaires et des applications de d sinfection pour la r utilisation de Peau 36 3 4 Directives de certification des syst mes de traitement des eaux m nag res avril 2000 37 3 5 Directives provisoires sur l eau r cup r e r vis es Massachusetts 1 11 ee 39 3 6 Programme de v rification des technologies environnementales VTE Environnement Canada fiat Line ein 40 3 7 V rification des appareils d puration marine Titre 46 Partie 159 United States Coast Guard Garde c ti re des tats Unis 40 3 8 Bureau de normalisation du Qu bec BNQ Norme NQ 3680 910 Syst mes d puration autonomes pour les r sidences isol es 42 3 9 Minist re de l environnement et
116. s du monde notamment en Am rique du Nord et en Am rique du Sud en Europe et dans les pays m diterran ens en Afrique en Asie et en Oc anie Compte tenu des climats les normes de r utilisation de l eau et les installations d eau r cup r e varient grandement Les installations comprennent une vari t d utilisations m nag res et domestiques notamment la chasse d eau des toilettes le nettoyage l irrigation la lessive les bains et les douches et m me l utilisation en tant que source d eau brute potable Comme la d faillance d un syst me d puration peut entra ner des risques graves pour la sant la plupart des normes comprennent des programmes de contr le qui visent s assurer que la qualit des effluents sortant du syst me de traitement respecte la r glementation tablie et 165 normes du gouvernement concern Nous avons pr par des tableaux r sumant les normes et les programmes de contr le relev s ce qui facilite la comparaison Les tableaux pr sentent les applications de r utilisation la qualit requise de l eau r cup r e param tres biologiques biochimiques et physiques et toutes les exigences en mati re de contr le On trouvera dans la bibliographie une liste compl te des normes relev es reprenant le nom de la norme du r glement ou de la directive l organisme responsable et l ann e de publication du document 2 1 Australie et Tasmanie En Australie les di
117. s eaux us es Le Recycle Reuse Task Group groupe de travail sur le recyclage et la r utilisation dirig par Bob Lee de Loudoun County Virginie labore un code de pratiques normalis es en mati re de r utilisation de l eau Cette initiative suscite un int r t grandissant en particulier dans les secteurs o l on se voit forc de rationner la demande d eau potable La collaboration de la SCHL ce groupe de travail s est effectu e par l entremise de Troy Vassos ing de NovaTec Consultants Inc dans le but d harmoniser les efforts de normalisation de la SCHL avec le mod le de code de pratiques de la NOWRA Le groupe de travail a pour objectif d inventorier les normes en mati re de r utilisation de l eau qui favoriseraient la conception de syst mes autonomes de traitement des eaux us es capables de tirer profit de cette ressource Le groupe de travail a commenc par tudier les directives de 1992 de l USEPA en mati re de r utilisation de l eau qui relevaient onze applications g n rales et sugg raient des param tres de qualit conventionnels touchant notamment la DBO la turbidit le pH et les organismes coliformes Parmi les autres documents de r f rence examin s mentionnons les nonc s de normes de diff rents Etats notamment le Wisconsin la Californie et le Nouveau Mexique un r sum des normes appliqu es dans certains Etats provinces et pays pr par par la Soci t canadien
118. s la norme ANSI NSF 40 9 2 2 1 c d 35 du dosage de 6 h 9 h 25 de 11 h 14 40 96 du dosage de 17 h 20 Dur e e 12 mois e les six premiers mois conform ment l annexe A sur le mod le de la norme NSF ANSI 40 et les six mois suivants PA 4 conform ment l annexe B de la norme NQ 3680 910 e 12 mois cons cutifs conform ment l annexe B de la norme NQ 3680 910 pour les produits d j homologu s en vertu de la norme NSF ANSI 40 Ne sont vis s que les syst mes d puration de type I et II puisque la norme NSF ANSI 40 ne comporte que deux classes tandis que la norme NQ 3680 910 comporte cing classes pour les classes III IV et V la dur e des essais est de six mois conform ment l annexe A et six mois conform ment l annexe B 42 Nombre d chantillons Pour 165 produits d j homologu s en vertu de la norme NSF ANSI 40 l chantillonnage minimal sur une p riode de 12 mois comprendra 20 r sultats soit trois r sultats quotidiens cons cutifs la fin des 3 6 9 et 12 mois et un chantillon mensuel pour les huit autres mois la demande du fabricant on peut augmenter le nombre d chantillons pr lev s au d but du test pourvu que ces chantillons soient r partis galement tout au long de la p riode de test Annexe B norme du BNQ NQ 3680 910 Param tres test s e DBOC e TSS phosphore total pour les syst mes
119. sion 10 www dpiwe tas gov au Environment Protection Agency and Public and Environmental Health Service Australie M ridionale 1999 South Australian Reclaimed Water Guidelines Treated Effluent Ad la de Australie M ridionale http www dhs sa gov au pehs branches wastewater reclaimed water pdf Mars R 2004 Case studies of greywater recycling in Western Australia Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Surendran S A D Wheatley et I C Meadowcroft 2004 Performance of on site greywater reclamation systems Proceedings of the 1st International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie Victoria Environment Protection Agency 2002 Guidelines for Environmental Management Use of Reclaimed Water http epanote2 epa vic gov au EPA Publications nsf 716543f3e369a021 ca256aa7001e5635 64c2a15969d75e184a25 69a00025de63 OpenDocument 80 Normes et lignes directrices canadiennes Alberta Environment 2000 Guidelines for Municipal Wastewater Irrigation Municipal Program Development Branch Environmental Sciences Division Environmental Service p i iv 12 13 Colombie Britannique Minist re de l Environnement des Terres et des Parcs 1999 Regulation 129 99 Waste Management Act Municipal Sewage Regulation Victoria Colombie Britannique http www qp gov bc ca statreg reg W WasteMg
120. talling Modifying or Maintaining Reclaimed Water Systems No 9 02 04 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai OMS Health Guidelines for Use of Wastewater in Agriculture and Aquaculture Organisation mondiale de la sant Technical Report Series 778 OMS Gen ve Suisse 1989 WRe and Ecologic 2002 Study on the Application of the Competition Rules to the Water Sector in the European Community Commission europ enne Direction g n rale de la concurrence N de contrat Comp 2002 E3 S12 334052 Normes du Sud Est asiatique Haifeng J R Guo K Xin et J Wang 2004 The research on the wastewater reuse planning in Beijing Central Region Proceedings of the Ist International Conference on Onsite Wastewater Treatment and Recycling Perth Australie http www water or kr engwater general ewk_ gel_dev_heavy html http www H20 china com specialty criterion bzgf zsshyyjg htm 83 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Protocoles de v rification technologique Bureau de Normalisation du Qu bec 2000 Norme NQ 3680 910 Traitement des eaux us es Syst mes d puration autonomes pour les r sidences isol es California Department of Health Services 2003 Treatment Technology Report for Recycled Water State of California Division of Drinking Water and Environmental Management http www dhs ca gov ps ddwem publications
121. traitant de la NSF International pour les fins de r alisation des essais relatifs la norme NSF ANSI 40 et titre de laboratoire d essai ind pendant pour le programme d accr ditation de la U S Coast Guard Marine Sanitary Device MSD 33 CFR 159 015 NovaTec qui a galement particip au programme USEPA ETV titre de responsable d une station d essais donne galement acc s ses installations aux fabricants pour fins de recherche et d veloppement 67 Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai LUCE D Exigences en mati re de ressources Installation Essais sur Ressources d essais le terrain eaux 5665 Capacit de tester plusieurs unit s Echantillonnage des influents et des effluents x x 9 ES RS 5 18 quipement de contr le y compris appareil de mesure des param tres DO PH temp rature nergie et turbidit ame x Appareil de mesure du chlore si un r sidu de chlore est souhait x Composants Nombre d chantillons influents et effluents 104 20 du test Echantillonnage analytique x AQ CQ Doublons et essais blanc mensuels x Laccr ditation des syst mes par le BNQ a commenc l automne 2003 les installations d essais p
122. u 13 Tableau 14 Tableau 15 Tableau 16 Tableau 17 Tableau 18 Tableau 19 Tableau 20 Tableau 21 Tableau 22 Tableau 23 Tableau 24 Tableau 25 Tableau 26 Tableau 27 Tableau 28 Norme de r utilisation de l eau deux niveaux 8 Norme un niveau recommand e pour le protocole d essai en mati re de r utilisation EL Cay 65 ance cade Gtk 3 a et ee ORE REWER i 9 Etats et territoires australiens Contr les touchant la r utilisation des eaux us es Nolde EE TRE odoin eal one 14 Etats et territoires australiens Contr les touchant la r utilisation des eaux us es suite Nolde Bg 2004 EP TE 15 ACT Australien Capital Territory Territoire de la capitale australienne R utilisation des eaux us es pour l irrigation Politique de protection de l environnement 16 Australie Occidentale Directives sur l eau r cup r e Nair J 2004 16 Australie M ridionale Directives sur l eau r cup r e Effluents trait s 17 Nouvelle Galles Du Sud Sant R utilisation des eaux m nag res dans les maisons individuelles raccord es au r seau gout 2410 les daube de meet 17 Victoria Directives en mati re de gestion environnementale Utilisation de Peau r cup r e ire eine oe 18 Tasmanie Directives environnementales pour l utilisation de l eau r
123. u Sud au Royaume Uni en e En 2000 26 usines munies d installation Irlande du Nord et en Ecosse l eau r cup r e d puration r utilisaient environ 33 500 m peut servir la consommation humaine la d eaux us es trait es par jour tandis que la pr paration des aliments la cuisine et au bain station d puration des eaux us es de Beijing pourvu que la qualit soit conforme aux normes Gaobeidian d une capacit de un million de m et r glements en mati re d eau potable par jour acheminait ses effluents vers une centrale lectrique avoisinante des fins de 2 4 Asie refroidissement apr s traitement additionnel e A Beijing m me les applications de r utilisation Nous avons recueilli des renseignements sur i i municipale r sidentielles et commerciales le Japon la Cor e et la Chine L importance P y comprennent la chasse d eau des toilettes le de la r utilisation de l eau et des progr s des ER nettoyage des rues et l irrigation des pelouses r formes r glementaires en cette mati re dans 5 En 1987 l administration municipale de Beijing ces pays est illustr e par la nature critique des ae i 1 mettait en application une r glementation approvisionnements en eaux l int rieur de la grande ville de Beijing en Chine l heure 5 que tous les 1 comptant ne surface utile de plus de 20 000 m et tous les le i actiel es On denombre trois gran
124. ux dans les applications de r utilisation de Peau Toutes ces normes stipulent des limites de coliformes totaux dont les valeurs sont 2 fa i Beaucoup d tats am ricains n appliquent qu une seule norme c d 2 2 UFC 100 ml pour toutes les applications de r utilisation de sup rieures ou gales la norme de l atelier qui est de 0 UFC 100 ml on notera que cette valeur quivaut lt 2 2 NPP 100 ml Peau depuis la chasse d eau des toilettes l irrigation paysag re 56 Tableau 41 a chelle internationale Coliformes totaux UFC 100 ml Cat gorie de risque de l atelier Faible risque lt 200 UFC 100 mi Risque lev lt 0 UFC 100 ml Cat gorie nominale Nombre total de normes l chelle internationale 4 5 5 Coliformes f caux Risque lev On compte en tout 15 normes pour risque lev dans le monde en ce qui concerne les coliformes f caux pour les applications de r utilisation de Peau De ce nombre la totalit des 15 normes acceptent des valeurs sup rieures ou gales 13 norme de l atelier qui est de lt 1 UFC 100 ml Tableau 42 normes l chelle internationale Eup riure iteure Soe ee 91 18 1 fe fe Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai Comparaison de la norme de l atelier pour les coliformes totaux avec les normes Faible risque On observe au tableau 42 qu on a relev dans le monde 2
125. veaux de crit res pour la r utilisation de Peau une norme unique assortie de param tres de qualit se situant entre les deux niveaux de risques faibles et lev s pr sent s dans le tableau ci dessus On d signerait une telle application comme tant risque moyen et ayant une qualit plus lev e pour les utilisations de chasse d eau On consid re que la chasse d eau des toilettes est l application de r utilisation de l eau 18 plus acceptable aux yeux du grand public et qu elle pose probablement de par sa nature m me les risques les plus faibles pour la sant humaine pour le cas o les crit res de qualit de l eau ne seraient pas respect s en raison d une d faillance mat rielle Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai En outre si on r ussit faire accepter l chelle nationale des crit res de r utilisation de l eau il s agira d une premi re dans de nombreuses provinces Par cons quent se montrer un peu plus conservateurs en ce qui concerne les niveaux et la technologie de traitement et par cons quent restreindre l application une utilisation faible risque toilettes semblerait constituer une premi re tape sens e Le tableau suivant pr sente la norme recommand e de qualit en mati re de r utilisation de l eau pour la chasse d eau des toilettes avec des valeurs m dianes de 10 10 2 0 DBO TSS uTN CEF et des maximums de 20 20 5 2
126. vec l eau r cup r e de denr es consomm es crues Augmentation des cours d eau et alimentation des nappes souterraines Utilisation urbaine arrosage des jardins et chasse d eau des toilettes Aquaculture cha ne de nourriture humaine Remarques On doit contr ler p riodiquement les nutriants les mati res toxiques et 18 salinit Il semble que l Australie et la Tasmanie appliquent des normes d taill es y compris le contr le dune grande vari t de param tres tels que les coliformes f caux les r sidus de chlore la turbidit la demande biochimique d oxyg ne DBO et les mati res solides en suspension SS Les exigences en mati re de fr quence des contr les varient de continu deux fois par ann e Les applications de r utilisation se rapportent des activit s avec contacts tant directs qu indirects avec l eau r cup r e Comme on peut le voir au tableau 8 dans certains pays ou tats comme en Tasmanie il n existe pas de normes fixant des valeurs pour des param tres physiques chimiques ou biologiques pr cis toutefois on exige un contr le du param tre en question En Tasmanie on exige galement qu un contr le des virus et des parasites soit effectu au moins deux fois par ann e Normes de r utilisation de l eau et protocole de mise l essai 2 2 Ame rique du Nord par irrigation En Saskatchewan on trouve trois centres d importance Swift Current Moose Jaw 2

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