Home

Télécharger la brochure complète en format pdf

image

Contents

1. 140 entre cuisses et jambes bord avant arrondi de mani re viter une pression sur la partie inf rieure des cuisses distance entre accoudoirs au moins de 46 cm pied 5 branches si ge globalement confortable e Dossier r glable en hauteur entre 10 et 30 cm par rapport au si ge de mani re a soutenir dans le bas du dos largeur de 30 cm minimum inclinaison r glable par rapport a la surface du si ge entre 100 et 115 9 Poste de travail e Bureau r glage possible par le sujet une hauteur confortable entre 58 et 71 cm largeur telle que tous les accessoires de travail se situent une distance d atteinte confortable profondeur telle que l cran et le clavier puissent tre plac s directement face la personne entre 60 et 90 cm 125 bras e Ecran J espace en dessous du bureau suffisant pour les jambes et les accessoires tels qu appui bras et appui pied distance genoux table 20 cm bord du bureau largement arrondi pour viter les compressions locales sur l avant si possible clavier incorpor dans la table si travail uniquement avec le clavier teinte pastel mate id al hauteur r glable des diff rentes parties de couleur uniforme mate claire hauteur r glable sur 13 cm de sorte avoir un angle de 5 15 entre l il et le centre par rapport l horizontale r glage de la distance avant arri re entre 30 et 40 cm r glage de l inclinaison h
2. les lampes fluorescentes sont les lampes optimales pour les espaces de travail pour autant que leur rendu des couleurs soit bon et que les luminaires en emp chent la vision directe e Lampes halog nes e Principe r g n ration du filament de tungst ne par l interm diaire du gaz halog ne Leur dur e de vie est donc plus lev e que pour les lampes incandescence de m me que leur efficacit lumineuse e En pratique dur e de vie 2000 heures efficacit lumineuse 15 25 Im W temp rature de couleur 2900 indice de rendu des couleurs Ra 100 les allumages fr quents r duisent fortement la dur e de vie e Avantages inconvenients 120 les lampes halog nes peuvent servir de lampes d appoint dans des bureaux particuliers Elles ont les m mes inconv nients que les lampes incandescence consommation et chaleur Consulter les catalogues des fabricants pour choisir les lampes optimales en fonction de e leur efficacit lumineuse e leur rendu des couleurs e leur flux lumineux 121 FICHE 39 TYPES DE LUMINAIRES e La cat gorie de luminaires classe BZ 1 classe BZ 10 British zonal est d finie partir de la r partition de l intensit lumineuse dans le plan perpendiculaire au luminaire Les luminaires de cat gories inf rieures sont les moins divergents Sup rieures dispersent plus la lumi re e Le diagramme polaire d un luminaire montre sa r partition de l intens
3. en l absence d clairage naturel e comparaison l clairement souhait augmenter la puissance des lampes ou r duire le nombre de lampes Uniformit FICHES 37 et41 e surle plan horizontal amp variation maximale de l clairement dans le rapport 1 3 amp placer des luminaires moins puissants en plus grand nombre 43 F Etude de la situation int rieure sous l angle clairage Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s Entretien FICHE 41 e tat de propret politique de remplacement politique de nettoyage 4 Eclairage artificiel local si possible viter Luminaires FICHE 39 e type pas de vision directe de la source de lumi re remonter le luminaire hors du champ visuel am liorer l orientation Lampes FICHE 38 e type viter les lampes dont le rayonnement thermique est important incandescentes halog nes Eclairement mesurage au luxm tre sur le plan de travail en l absence d clairage naturel e comparaison l clairement souhait FICHE 36 augmenter ou diminuer la puissance de la lampe e uniformit de l clairement sur le plan de travail FICHE 37 mesurage au luxm tre en diff rents points du plan de travail AVEC l clairage naturel clairement ne peut varier par plus d un facteur 3 redisposer les sources lumineuses e uniformit des coefficients de r flexion sur le plan de travail amp
4. Basse Moyenne Hautes fr quences fr quence fr quence 125 Hz 500 Hz 2kHz 4kHz Rev tement de sol dur Li ge blocs de bois linoleum ou caoutchouc sur sol ou mur dur Fen tres verre 3 mm Grandes fen tres 7 mm Plafonnage sur fond dur Plafonnage sur vide Plafonnage suspendu au plafond avec vide important Contreplaqu sur fond dur Idem sur vide ou chevron Idem avec mat riau absorbant dans vide Panneaux bois comprim 13 mm sur fond dur Idem avec vide d air ou mont sur chevrons Carpette moyenne paisseur sur sol en b ton Feutre sous membrane perfor e sur fond dur Panneaux bois non comprim 25 mm sur fond dur Idem 80 mm Idem 25 mm sur vide Laine de verre 25 mm sur fond dur Idem 50 mm Laine de verre 25 mm sur espace vide REFERENCES 1 Br el amp Kjaer 1983 R duction du bruit Principes et pratique pp 114 121 2 Malchaire J 1994 Programmes de conservation de l audition organisation en milieu industriel Masson Paris pp 32 34 3 Occupational Safety and Health Administration 1980 Noise control A guide for workers and employers U S Department of Labor pp 64 71 104 FICHE 30 TEMPS DE REVERBERATION Teo AMELIORATION DE L ACOUSTIQUE INTERNE D UN LOCAL 1 D finition e Le temps de r verb ration Ts en secondes est le temps n cessaire pour que le niveau sonore du champ r verb r d croisse de 60 dB dans le local lorsque le bruit est brusquement interrompu
5. SCHEMA DE L INSTALLATION 22 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s l Ventilation naturelle e localisation des entr es d air organiser la circulation naturelle a partir de zones non pollu es FICHE 12 politique de nettoyage ll Ventiloconvecteurs 1 Localisation e par rapport aux postes de travail disposition uniforme dans le local quelque distance des postes de travail gt 1 m interdire de placer des dossiers ou autres sur les ventiloconvecteurs e par rapport aux plantes carter les plantes vertes FICHE 16 interdire de les poser sur les ventiloconvecteurs 2 Batteries de froid e capacit fonction des besoins thermiques du b timent e propret politique de nettoyage FICHE 10 e drains amp liminer toute stagnation d eau 3 Batteries de chaud e capacit fonction des besoins thermiques du b timent e propret FICHE 10 politique de nettoyage 4 Ventilateurs e capacit amp fonction des apports thermiques du b timent e propret politique de nettoyage FICHE 11 5 Grilles e propret corrosion obstructions politique de nettoyage et de maintenance 23 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s Ill Ventilation forc
6. clairement incident en la peignant en une teinte plus fonc e de moindre coefficient de r flexion modifier la position de travail fen tres a gauche la plupart des personnes tant droiti res 2 Eblouissement indirect Causes e reflets d une source ou surface lumineuse sur le plan de travail e en g n ral reflet d une lampe sur une table polie sur des feuilles plastiques sur un cran sur les touches d un clavier e la vision de la t che en est perturb e et il en r sulte nouveau une fatigue oculaire Rem des 118 e supprimer toute source ou surface lumineuse responsable de reflets si elle n est pas indispensable e modifier ces sources ou surfaces pour diminuer leur luminance voir point 1 e modifier la position de travail ou de l cran de mani re viter la r flexion g nante e supprimer la surface r fl chissante surface de table mate chemises en plastique mates pas de surface en verre 3 Eblouissement relatif Causes e les luminances de diff rentes zones dans le champ visuel restent tr s diff rentes malgr les mesures prises ci dessus e l oeil modifie constamment sa sensibilit lors du passage d une zone une autre il en r sulte une fatigue visuelle Rem des e modifier les sources lumineuses et les surfaces de mani re avoir des rapports de luminances inf rieurs 3 sur le plan de travail inf rieurs 10 et si possible
7. placement de stores 5 Ordre de grandeur du rayonnement thermique durant les p riodes o plaintes de SBS mesurage de la temp rature globe noir FICHE 25 ou des temp ratures planes de rayonnement avec recherche des surfaces responsables am lioration des temp ratures de surface r duction des asym tries de rayonnement entre parois verticales moins de 10 C entre sol et plafond moins de 5 C IV Vitesse de l air 1 Sources de courants d air e portes fen tres liminer toutes les causes fortuites 2 Bouches de pulsion d air e localisation par rapport au personnel e type de diffuseurs e sensation de courant d air modification du type de bouches pour am liorer la diffusion modification de l orientation de la pulsion 39 D Etude de la situation int rieure sous l angle climat Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 3 Ordre de grandeur de la vitesse de l air durant les p riodes o plaintes de SBS e si assis mesurages en dessous et au dessus du plan de travail FICHE 25 e si debout mesurages 110 cm de hauteur avec an mom tre fil chaud pendant p riodes repr sentatives modification afin que Va soit FICHE 23 id alement lt 0 15 m s au maximum 0 5 m s en pointe si sujet assis 1 m s en pointe si sujet debout mesurage des fluctuations de vitesse modification pour Supprimer les fluctuatio
8. LE SYNDROME DES BATIMENTS MALADES Sick Building Syndrome SBS Professeur J Malchaire Universit catholique de Louvain avec la collaboration de C Chasseur Dr Nolard Institut scientifique Sant publique Louis Pasteur Ce document peut tre command aupres de Institut National de Recherche sur les Conditions de Travail rue de la Concorde 60 1050 Bruxelles TABLE DES MATIERES CHAPITRE LE SYNDROME DES BATIMENTS MALADES l Bref historique Il Le Sick Building Syndrome SBS d finition Ill Les maladies li es aux b timents d finition IV Importance du probl me V Classification des sympt mes de SBS VI Relations cause effet ou associations VIII Facteurs associ s VIII Les facteurs personnels sociaux et organisationnels A Introduction B Donn es personnelles C Facteurs sociaux et organisationnels IX SBS ou Hyst rie Collective X Gestion d un probleme de SBS CHAPITRE Il PRESENTATION DE LA DEMARCHE l A qui s adresse t elle Il Objectif la pr vention Ill Structure de la d marche CHAPITRE Ill RECUEIL ET ANALYSE DES PLAINTES SYMPTOMES DE SBS l Objectifs Il Par qui Ill Comment A Liste de contr le des informations recueillir PAR PERSONNE B Synth se des donn es POUR LE GROUPE CHAPITRE IV OBSERVATION A Gestion g n rale D finition des missions Il Politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC Ill R gime d utilisatio
9. chantillonnage de lair sur filtre micropore pesage tude granulom trique et recherche des composants 90 FICHE 22 REGLEMENTATION CONCERNANT LES CONDITIONS CLIMATIQUES La r glementation belge en vigueur en 1998 sp cifie 1 des temp ratures minimales de l air e pour les travaux tr s l gers 20 C e pour les travaux l gers 18 C e pour les travaux semi lourds 15 C 2 des ambiances limites lors du travail la chaleur sur base de l indice WBGT e pour les travaux tr s l gers 30 e pour les travaux l gers 30 e pour les travaux semi lourds 26 7 e Ces limites sont d finies dans un but de protection de la sant et non dans l intention d assurer des conditions de confort e Lorsque les conditions climatiques sont en dehors de ces limites on ne peut parler de SBS tant l inconfort est important et la cause est vidente e Cependant ces limites appellent les explications suivantes e un travail s dentaire un bureau ou un ordinateur est un travail dit tr s l ger d pense nerg tique 120 watts e un travail l ger est un travail comprenant quelques d placements et ou manipulations de dossier il s agit typiquement du travail administratif et de gestion de dossiers d pense nerg tique 170 watts e un travail semi lourd est un travail comprenant des d placements plus fr quents et ou des manipulations r p t es dans des positions moins favorables classement d archives
10. demander les fiches de toxicit des produits s lectionner les produits les moins toxiques pour le personnel nettoyant pour les occupants du b timent pr voir le stockage de ces produits m thode de nettoyage aspiration lavage cirage amp revoir en fonction des activit s amp revoir le type d aspirateur quant la qualit du filtre de r tention gestion des d chets d chets p rissables cuisine caf vacuation journali re minimale d chets non p rissables papier vacuation fonction du volume d chets toxiques cartouches solvants recueil s lectif vacuation selon la l gislation poubelles forme taille localisation pr voir nettoyage et d sinfection ventuelle containers centraux pr voir des containers ferm s pr vention des rongeurs dans zone maintenue propre ventil e sp cialement gestion du probleme de vermine FICHE 19 V Politique de r novation FICHE 18 par des firmes sp cialis es amp en dehors des heures d occupation du b timent confiner les zones en r novation utiliser une ventilation locale utiliser des produits les moins toxiques mis en uvre par des techniques peu polluantes VI Politique d inspection g n rale du batiment organisation FICHES 4et5 programmation r alisation 21 A Gestion g n rale Donn es ePoints a examiner Actions Mesurages de base Mesurages sp cialis s
11. leurs circonstances de survenue afin de cerner le probl me et d orienter les rem des C est cependant une erreur assez commune que de pousser l analyse trop finement de distinguer entre hommes et femmes entre matin et apr s midi entre mercredi 11h et vendredi 9h lll STRUCTURE DE LA DEMARCHE e La d marche propos e est it rative et progressive e Au d part tape d OBSERVATION Le personnel lui m me et son encadrement direct parcourent les diff rents points repris dans la proc dure des chapitres Ill et IV et de mani re rapide simple et peu co teuse d terminent les facteurs ou aspects qui pourraient tre rapidement am lior s etceux qui n cessitent une investigation plus approfondie Cette tape devrait permettre de reconna tre les probl mes de r soudre simplement bon nombre d entre eux et d orienter les tapes suivantes e En seconde tape tape d ANALYSE si les actions envisag es ont un rapport co t b n fice a priori d favorable ou si le probl me de SBS persiste ou si pour des raisons conflictuelles cela appara t n cessaire des personnes plus qualifi es telles que les responsables techniques des b timents avec les pr venteurs de sant et s curit ing nieurs m decins ergonomes en collaboration avec le personnel et son encadrement direct parcourent nouveau la proc dure d crite aux chapitres Ill et IV de mani re plus approfondie avec
12. tirage de photocopies Dans l industrie il s agit typiquement du travail de surveillance et d alimentation d une cha ne de conditionnement industries pharmaceutique alimentaire d pense nerg tique 290 watts e Les valeurs maximales NE sont PAS des temp ratures d air mais des valeurs d un indice WBGT int grant les conditions de temp rature et d humidit Le tableau suivant donne quelques correspondances dans les cas sans exposition au soleil et sans courant d air important Une situation climatique sera donc tr s inconfortable bien avant que les valeurs limites ne soient d pass es 91 FICHE 23 INDICES DE CONFORT THERMIQUE Les indices PMV et PPD sont calcul s conform ment a la norme ISO 7730 Ambiances thermiques mod r es D termination des indices PMV et PPD et sp cifications des conditions de confort thermique Le PMV Predicted Mean Vote est un indice qui pr dit la valeur moyenne des votes d un grand groupe de personnes sur chelle de sensation thermique 7 points suivante e 3 tr s chaud 2 chaud 1 l g rement chaud e Oni chaud ni froid e 1 l g rement froid 2 froid 3 tr s froid Il est d termin en fonction des 4 param tres climatiques ia temp rature de lair ta FICHE 25 k humidit relative de l air HR FICHES 24 et 25 rayonnement thermique R FICHES 25 et 26 vitesse de lair Va FICH de la charge de travail M FICHE 22 du v tement caract ris par s
13. che l thargie ou fatigue mal de t te sympt mes grippeux avec douleurs des membres et ou fi vre difficult s respiratoires sensations d oppression thoracique Il en ressort entre autres que 80 des employ s pr sentaient au moins un sympt me et qu en moyenne 3 sympt mes taient rapport s Les sympt mes les plus fr quents taient l thargie ou fatigue 57 nez bouch 47 gorge s che 46 maux de t te 43 De telles pr valences sont assez inqui tantes Certaines sources mettent l hypoth se qu une personne sur 4 serait affect e plus ou moins par ce SBS en Su de et qu un b timent sur 3 aux USA serait malade Le SBS ne concerne donc pas seulement les immeubles de bureaux o il est le moins difficile tudier mais aussi les coles les h pitaux les maisons domestiques Selon le Center of Diseases Control des USA Kreiss 1989 50 100 000 cas de l gionnelloses Surviendraient chaque ann e aux USA et entre 1 et 27 des pneumonies seraient dues a cette bact rie 5 a 10 d entre elles seraient mortelles pour des personnes ayant des d ficiences immunitaires Blair 1996 Les fourchettes des valuations cit es ci dessus sont tr s larges et indiquent combien l importance du probl me est m connue m me dans le cas de la maladie li e au b timent la plus document e et la plus identifiable Dans le cas du SBS la situation est bien moins connue encore et il est difficile de sensibi
14. clairage direct ou tangentiel 124 e augmenter la luminance du fond plus de 10 cd m pour noyer les r flexions diffuses ceci n cessite le double r glage des luminances du fond et des lettres placer un filtre lavant de l cran de mani re emp cher ces r flexions diffuses Cependant ceci peut diminuer la lisibilit des caract res Il s agit donc d une solution en dernier recours verre antireflet limine les r flexions sp culaires filtre polarisant limine les r flexions sp culaires filtre volets miniatures canalise la lumi re renforce le contraste et r duit l blouissement 7 L implantation optimale d un poste de travail placer les crans de pr f rence l cart des fen tres de fa on telle que l axe de vision soit parall le aux fen tres situ es la gauche du sujet droitier sile sujet est dos la fen tre reflets sur l cran sile sujet est face la fen tre blouissement placer le poste la verticale du luminaire ou entre deux rang es de luminaires des stores lamelles orientables devant les fen tres sont conseill s Utiliser des luminaires de classe BZ lt 3 peu divergents FICHE 39 8 Si ge e La surface du si ge hauteur ajustable par le sujet entre 40 et 53 cm surface de taille appropri e en largeur 45 cm minimum et profondeur entre 34 et 45 cm inclinaison ajustable de mani re permettre un angle de 90
15. e par pulsion et chauffage 1 Prises d air ext rieur e localisation par rapport aux sources de pollution ext rieure localiser les prises dans un milieu sans pollution FICHE 12 viter surtout localisation pr s du sol rue grand trafic garage v g tation importante activit s agricoles levage man ge tour de refroidissement entr e de pigeons si pollution microbiologique pas totalement vitable accorder une attention particuli re la d sinfection de l installation e propret politique de nettoyage des prises d air l ext rieur et l int rieur en particulier poussi res d bris d chets d oiseaux FICHE 11 e d bit contr le des r glages et de la r gulation mesurages de d bits contr le du d bit fixe ou variable par rapport aux sp cifications 2 Rejets d air e localisation par rapport aux prises d air frais et aux entr es d air de ventilation naturelle amp localiser les rejets l oppos du b timent et en aval des vents dominants amp localiser l cart des prises d air des voisins 3 Pr filtres et filtres aux prises d air ext rieur e type de filtre FICHES 11 et 14 pr filte EU1laEU4 filtres EU5 EU 9 dans le cas de bureaux ordinaires EU10 EU14 haute efficacit salles sp ciales salles ordinateurs e v tust tanch it remplacement d chirure remplacement programme de remplacement politique de remplacement encrassement
16. t la nuit e __l humidificateur est l arr t le week end e humidificateur est arr t pendant l t pour un nettoyage approfondi amp pendant les p riodes d arr t prolong il est pr f rable de mettre le bac sec e en hiver les batteries chaudes restent parfois en fonctionnement avec humidificateur l arr t antigel amp le bac doit tre obligatoirement vid pendant les p riodes d arr t 26 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 4 Humidificateur est quip d un syst me UV de st rilisation e filtres en amont filtres nettoy s ou chang s une fois par mois de bons filtres r guli rement entretenus sont indispensables e nombre d heures maximal de fonctionnement des tubes U V e d p ts de sels sur les parois de quartz nettoyage et v rification de la conductivit de l eau 5 St rilisateur UV de l air e d p ts blanch tres sur tubes UV nettoyage et v rification de la conductivit de l eau FICHE 11 e tubes UV chang s apr s le nombre d heures maximal de fonctionnement amp changer les tubes 6 Adoucisseur d eau e absent indispensable e eau dans le r servoir de stockage contr le de la conductivit 7 Siphons d vacuation e bouch s entretien e d samorc s amp amorcage amp maintien continu de l amor age VI Humidificateur vapeur Condensa
17. tat g n ral de v tust r novation peintures et produits non toxiques FICHE 15 31 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 4 Les murs et parois e nature plafonnage papier tissus e pr sence de taches d humidit liminer fuites d eau surveiller l isolation thermique viter les condensations mesurage de l humidit relative et de la temp rature FICHE 7 temp rature des parois mesurage microbiologique r novation 5 Les sols FICHES 16 et 17 e carrelage vinyle et moquette v tust r nover propret politique de nettoyage produits de nettoyage technique produits moins nuisibles e moquette points particuliers pr sence d odeurs de solvants FICHE 15 pollution microbiologique mesurage microbiologique nettoyage sp cial remplacement moquette plus adapt e autre mat riau e pr vention de la vermine FICHE 19 programmation produits utilis s proc dure d utilisation 6 Les fen tres Stores e pr sence de stores type int rieur ou ext rieur stores verticaux orientables int rieurs ou stores voile ext rieurs tat de v tust remplacement tat de propret poussi res politique de nettoyage 32 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es
18. 24 laboratoire REFERENCES Anonyme 1995 Guide Climatisation et Sant Uniclima 92038 Paris La D fense Cedex Chasseur C Nolard N 1997 La maintenance et la surveillance microbiologique des b timents Brochure ISP mycologie Bruxelles Chasseur C Nolard N Verhaegen A M en pr paration Air conditioning in office buildings Results concerning microbiological maintenance of four humidifiers during one heating period EUR 14988 EN 1993 Biological particles in indoor environment report n 12 1 81 EUR 12294 EN 1989 Sick Building Syndrome A Practical Guide report n 4 1 36 Nolard N Symoens F Beguin H 1994 Mycological survey in dwellings and factories application to diagnosis of extrinsic allergic alveolitis In Samson RA and al eds Health Implication Of Fungi In Indoor Environments Elsevier Amsterdam 201 209 Norb ck D Edling C Wieslander G 1994 Asthma symptoms and the sick building syndrome The significance of microorganisms in the indoor environment In Samson RA and al eds Health Implication Of Fungi In Indoor Environments Elsevier Amsterdam 229 239 Paramelle B Perdrix A Lascaud D Ambroise Thomas P Aiache JM Cau G Dell Accio P 1976 Maladies des humidificateurs en milieu industriel Rev Fr Mal Resp 4 525 536 Singh J 1996 Impact of indoor air pollution on health comfort and productivity of the occupants Aerobiologia 12 121 127 10 Smoragiewicz W Cossette B
19. 3 dans tout le champ visuel e en jouant sur l emplacement des sources lumineuses les couleurs coefficients de r flexion des diff rentes surfaces 119 FICHE 38 TYPES DE LAMPES e Definitions L efficacit lumineuse est le rapport entre le flux de lumi re et la puissance lectrique consomm e e Lampes incandescence Principe filament de tungst ne port tr s haute temp rature Si la temp rature augmente l efficacit lumineuse augmente mais la dur e de vie diminue En pratique dur e de vie 1000 heures efficacit lumineuse 10 Im W temp rature de couleur 2600 indice de rendu des couleurs Ra 100 e Avantages inconvenients les lampes incandescentes donnent une lumi re appr ci e lumi re rouge Cependant elles ne sont pas conomiques mauvaise efficacit et donnent lieu a une chaleur par rayonnement susceptible d tre inconfortable e Lampes fluorescentes e Principe ionisation de vapeur de mercure avec mission d un rayonnement UV transform en lumi re par le rev tement interne du tube L efficacit lumineuse et la dur e de vie sont plus importantes e En pratique dur e de vie 10000 heures efficacit lumineuse 40 80 Im W temp rature de couleur variable 3000 5000K indice de rendu des couleurs variable Ra 50 80 les allumages fr quents r duisent fortement la dur e de vie e Avantages inconv nients
20. 80 b timents industriels 0 40 60 dans l industrie lourde e Les couleurs des surfaces ext rieures Le choix des couleurs doit tre r alis de mani re obtenir une r flexion importante de la lumi re de fa on influencer l humeur et la satisfaction des occupants e Facteurs de r flexion recommand s plafonds 75 90 blancs mat parois 50 75 couleurs pastel claires parois tr s clair es couleurs plus sombres parois faiblement clair es exemple entre fen tres couleurs plus claires mobilier 20 50 couleurs pastel claires SO ase 25 Le tableau 1 donne les coefficients de r flexion de diff rentes couleurs e Couleurs et coloris Les effets psychologiques cr s par les couleurs sont la cr ation d illusions sur les distances et la temp rature et l influence sur l humeur Couleur Impression de Impression de Effet distance temp rature psychologique bleu loignement calmant 129 vert loignement tr s froid et neutre tr s calmant rouge rapprochement chaud calmant et excitant orange rapprochement tr s fort tr s chaud stimulant jaune rapprochement tr s chaud stimulant brun rapprochement tr s fort neutre stimulant violet rapprochement tr s fort froid stimulant inqui tant d courageant 6 Lumi re du jour e Les avantages de la lumi re du jour sont contact avec le milieu ext rieur le temps les variations diurnes le soleil rendu des
21. J K Tuomaala P Sepp nen O 1994 Textile wall materials and sick building syndrome Archives of Environmental Health 49 3 175 181 Jaakkola J J K Miettinen P 1995 Type of ventilation system in office buildings and sick building syndrome American J ournal of Epidemiology 141 755 765 Jones W 1990 Le syndrome des difices herm tiques sick building syndrome ou SBS M decine et Travail 145 32 39 Kreiss K 1989 The epidemiology of building related complaints and illness In Cone JE Hodgson M J eds Problem buildings building associated illness and the sick building syndrome Occupational Medicine State of the Art Reviews 4 4 575 592 Lund J Rice C 1992 Indoor air quality investigation experience with a questionnaire survey instrument App Occup Environ Hyg 7 10 682 688 Malchaire 1988 Crit res de ventilation sant hygi ne et confort Universit catholique de Louvain Unit Hygi ne et Physiologie du travail pp 13 Mikatavage M A Rose V E Funkhouser E Oestendstad R K Dillon K Reynolds K D 1995 Beyond air quality Factors that affect prevalence estimates of sick building syndrome American Industrial Hygiene Association J ournal 56 1141 1146 Moors S ed 1994 Stress et travail origines et approches Institut National de Recherche sur les Conditions de Travail 9 270 National Institute for Occupational Safety and Health 1989 Indoor air quality Selected reference
22. a priori ou m prise le probl me conduit infantiliser le personnel concern et donner ce probl me une dimension plus grande encore Alexandre et Fedoruk 1986 Bien qu un probl me de SBS puisse prendre des proportions d mesur es fuite du b timent sa dynamique est cependant diff rente de celle des maladies psychog nes de masse c d en clair des hyst ries collectives Ces derni res se d clenchent en quelques heures voire minutes sont tr s violentes avec des sympt mes tels que hyperventilation naus e syncopes qui ne se rencontrent jamais dans les cas normaux de SBS Ils consistent en une r action affective imm diate alors que dans le cas du SBS il s agit plut t d une r action de pr occupation moyen ou plus long terme On peut conclure de ce qui pr c de que les tudes pid miologiques du fait de leur rigueur scientifique ne pourront probablement jamais tablir de mani re p remptoire une association entre facteurs sociaux et organisationnels et SBS A fortiori l tablissement d une relation de cause effet est utopique N anmoins il para t de plus en plus incontestable que e le SBS r sulte de la conjonction de nombreux facteurs ambiants personnels sociaux et organisationnels 11 e le dosage des diff rents facteurs peut varier fortement d un cas l autre mais tous les facteurs sont toujours plus ou moins pr sents e c est une erreur de gestion de la pa
23. cessairement pourquoi qu en prenant certaines mesures le SBS s estompe La revue de la litt rature et la m thode d approche qui sont d crites ci apr s doivent tre comprises dans ce sens Nous parlerons donc d associations de simultan it s de concomitances entre sympt mes et facteurs de la situation de travail plut t que d effets et de causes VII FACTEURS ASSOCIES Les facteurs associ s au SBS sont multiples et peuvent tre class s en 2 grandes cat gories 1 Les facteurs ambiants e La pollution chimique qui peut tre due la pollution ext rieure aux mat riaux utilis s dans le b timent aux activit s l int rieur l installation de chauffage et ou de conditionnement d air e La pollution microbiologique avec les m mes origines possibles e Les facteurs climatiques la temp rature de l air son humidit les courants d air le rayonnement thermique e Les facteurs environnementaux l clairage le bruit le rayonnement lectromagn tique l lectricit statique 2 Les facteurs personnels sociaux et organisationnels Les diff rents points de la premi re cat gorie seront discut s dans des fiches en r f rence la proc dure de surveillance Les facteurs personnels sociaux et organisationnels sont discut s bri vement ci apr s Vill LES FACTEURS PERSONNELS SOCIAUX ET ORGANISATIONNELS A Introduction De nombreuses tudes ont recherch s il existait une simultan i
24. cliquetis lectronique et des signaux de fin de course sont ajout s s par de l cran et facile positionner au gr de l utilisateur r glage de la distance il clavier 45 50 cm forme confortable et cliquage ais surface d utilisation de la souris avec le bras au repos sur la table sans extension prolong e et r p titivit e Support papier installer un support pour le document papier pr voir la possibilit de r glage de la position la distance la hauteur l angulation perpendiculaire au regard liminer toute vibration ou oscillation localiser dans le plan de l cran et c t de sorte que soit vit e la rotation trop fr quente ou prolong e de la t te e Support des mains et bras pr voir des accoudoirs r glables en hauteur pr voir un support pour les poignets devant le clavier pas recommand si clavier moderne 4 Eclairements conseill s 5 Luminances si lecture de documents 500 lux si pas de documents 300 lux id alement luminance cran luminance clavier luminance environnement imm diat si pas possible respecter luminance cran gt 1 3 luminance environnement imm diat luminance environnement imm diat gt 1 3 et lt 3 luminance g n rale 6 Luminance de voile sur l cran due aux r flexions diffuses sur la face ext rieure de l cran modifier l emplacement relatif de l cran par rapport aux luminaires de mani re viter l
25. concentrations niveaux locaux dans le but de d terminer quantitativement les d bits d air les diff rences de temp rature les pressions requises pour am liorer la situation e suivre en routine certains indicateurs et en particulier la concentration en CO indicatrice du taux de renouvellement d air frais 4 Quels mesurages r aliser Base e COs circulation d air e temp ratures et humidit s long terme e temp ratures et humidit s locales ponctuelles Expert e d bits g n raux d bits aux bouches de pulsion reprise vitesses d air aux postes de travail rayonnement thermique concentrations de polluants pollution microbiologique niveaux sonores et fr quences clairements vibrations 5 O mesurer e dans les zones avec plaintes sympt mes et les zones sans e aux postes de travail sans interf rence de et avec les occupants e autour des sources particuli res de pollution chaleur bruit 6 Conditions valuer 87 e dans des conditions moyennes e dans les conditions les plus d favorables missions maximales ventilation minimale conditions m t orologiques extr mes Ce e selon les circonstances temporelles d apparition des plaintes sympt mesFICHE 3 7 Combien d chantillons e sur un nombre repr sentatif de situations de travail concern es Le tableau ci apr s donne le nombre de situations de travail analyser en fonction du nombre de situations de trav
26. dessus des sources e r glage correct des br leurs 0 flamme bleue de la veilleuse pour le gaz ne jamais utiliser des foyers a gaz comme moyen de chauffage e maintien des missions des foyers a bois au minimum choix ad quat de la taille et du mod le certifi et conforme 76 utilisation de foyers sans joints en asbeste inspection annuelle du syst me de chauffage central de la chaudi re et de la chemin e et r paration imm diate des parties endommag es fissures arr t obligatoire du moteur de tous les v hicules fournisseurs stationnant aux alentours et a fortiori l int rieur du b timent dans le garage dans le cas de garage unique ne pas rentrer les v hicules par l arri re dans le cas de parking pr s des habitations interdire l arr t en marche arri re l chappement vers les fen tres mise en d pression par rapport au reste du b timent de tous les locaux cuisines chaufferies garages contenant de telles sources y assurer une ventilation abondante sans recyclage sans contamination du syst me HVAC principal 2 Pollution due au tabac e Sources cigarettes cigares pipes e Effets sur la sant pour les fumeurs perturbation g n ralis e de la sant emphys me bronchite chronique probl mes cardiovasculaires cancer des poumons pour les non fumeurs expos s tabagisme passif irritation des voies respiratoires sup rieures et de
27. et autour de l h tel pr sent rent des sympt mes de pneumonie et 29 ou 34 en moururent Les analyses ont montr que la cause en tait une bact rie qui se d veloppe dans les bacs d eau des installations de conditionnement d air elle fut appel e Legionella et la maladie re ut le nom de maladie des l gionnaires ces derniers n tant en fait en rien li s l apparition de ces pneumonies Cet pisode ayant frapp les esprits de nombreuses tudes pid miologiques furent entreprises Elles r v l rent que le nombre de situations probl me avait t et tait tr s important et que dans d autres lieux des pisodes semblables s taient produits Les termes Sick Building Syndrome SBS et Building Related Illness BRI sont apparus Ils seront traduits en fran ais par syndrome des b timents malades et maladie li e aux b timents Ces d nominations ont t maintes fois critiqu es Elles sont cependant a ce point ancr es dans les habitudes qu il faut s en contenter Il LE SICK BUILDING SYNDROME SBS DEFINITION Le SBS se caract rise par un ou plusieurs sympt mes non sp cifiques touchant la peau les muqueuses le syst me respiratoire et ou le syst me nerveux central Au niveau d un b timent les personnes peuvent pr senter des sympt mes voquant des tiologies tr s diff rentes Ces sympt mes apparaissent rapidement lorsque ces personnes s journent dans le b timent et s
28. et conseillers la mission d tudier le probl me existant ou venir et de proposer les mesures de pr vention e l tude du probl me et la recherche de mesures de pr vention ne peuvent tre valablement r alis es qu avec la collaboration des personnes directement concern es Cela est plus vrai encore pour les probl mes de SBS tant donn le caract re souvent apparemment irrationnel des plaintes Il OBJECTIF LA PREVENTION Les l ments surveiller pour viter les maladies li es au b timent Ces maladies sont essentiellement li es aux agents biologiques et la pr vention consiste faire en sorte que ces agents biologiques existent le moins possible nettoyage des bacs eau des humidificateurs des moquettes limination ou contr le strict des plantes Les l ments surveiller pour liminer un probl me de SBS particulier sont nettement moins connus et beaucoup plus sp cifiques au cas rencontr L attitude la plus g n ralement adopt e et la seule d fendable est de ne pas rechercher tout prix la ou les causes mais d identifier toutes les d viations de la situation rencontr e par rapport l optimum et de tenter d y rem dier L hypoth se est donc que c est en am liorant un peu ou plus l ensemble des facteurs de la situation de travail que le probl me de SBS sera ma tris 14 ll est bien s r n cessaire de documenter les plaintes leur nature leur importance leur localisation
29. et sp cification des conditions de confort thermique Institut belge de Normalisation Bruxelles 94 FICHE 24 CARACTERISATION DE L HUMIDITE DE L AIR DIAGRAMME PSYCHROMETRIQUE L humidit de l air se caract rise essentiellement par e La pression partielle de vapeur d eau Pa en kilo pascals kPa la contribution de la vapeur d eau la pression atmosph rique e _ L humidit relative HR pourcentage de la pression partielle de vapeur d eau Pa par rapport la pression de vapeur la saturation la m me temp rature e La temp rature humide th C temp rature minimale d une nappe d eau soumise vaporation forc e dans l air consid r une temp rature et humidit donn es e Diagramme psychrom trique Le diagramme psychrom trique permet de passer d un param tre l autre Humidit relative HR SSRs Pression partielle de vapeur d eau P kPa Temp rature de lair T C Exemple Sita 30 C et HR 50 onaP 2 1kPa et t 21 C En hiver la temp rature ext rieure est basse exemple 0 c et m me par temps de brouillard humidit relative 100 la pression partielle de vapeur est faible Pa 0 6 kPa A l int rieur ta 20 d faut de sources d humidit la pression partielle de l air sera la m me 0 6 kPa et l humidit relative sera gale a 30 environ Dans les pays froids l humidit relative risque donc d tre faible a l int rieur e
30. fuites d eau de vapeur de fuel r parer e rejet des gaz de combustion l cart de l aspiration d air frais relocaliser XII R cup rateurs de chaleur e type type sans perte de charge e propret politique de nettoyage XIII Tours de refroidissement e localisation par rapport aux prises d air modifier la localisation relative politique de nettoyage et de d sinfection des tours contr le microbiologique 29 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s XIV R gime de pression entre les locaux e lair ne peut tre puls dans un local avec nuisances archivage FICHE 6 toilettes photocopieuses et passer dans des locaux de travail modifier l installation rejet total de l air extrait de locaux avec nuisances locaux polluants en d pression locaux sensibles en surpression rep rage des trajets d air par fum es amp rep rer sur un plan les diff rents r gimes de pression entre tous les locaux tenant compte des portes fen tres ouvertes cages d escaliers cages d ascenseurs cages d vacuation e si syst me HVAC le b timent doit tre en l g re surpression par rapport l ext rieur de mani re viter les entr es d air parasites d bit d air neuf sup rieur au d bit d air rejet par le syst me principal de HVAC XV Systeme de r gulation du HVAC e fo
31. l oppos des bouches de pulsion par rapport au personnel tudier et liminer tout court circuit entr e sortie e localisation par rapport aux sources de pollution FICHE 12 revoir la disposition e pr sence d crans obstacles bloquant la circulation de l air ou assurant un court circuit entr e sortie amp relocaliser les crans obstacles amp liminer tout court circuit entr e sortie e propret des bouches politique de nettoyage e d bits a chaque bouche e homog n it des d bits mesurage des d bits d air FICHE 21 amp r glage du d bit aspir r glage de la r partition entre bouches de reprise 28 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s X Recyclage d air 1 Origine de l air recycl FICHES 12 et 13 amp modifier l installation si l air est repris dans un local avec nuisances particuli res archivage 2 Chambre de m lange e propret politique de nettoyage 3 Filtres e int grit remplacement FICHES 11 et 14 e perte de charge nettoyage e propret politique de nettoyage gipas de filtre modification de l installation XI Chaudi res e conditions de fonctionnement par rapport aux sp cifications e entretien par du personnel qualifi br leurs joints fuites de CO et de gaz FICHE 15 ouvertures d air suppl mentaires e pr sence de
32. modifier les teintes de sorte que les coefficients de r flexion soient les plus proches possibles viter les surfaces de travail sombres e uniformit des luminances du plan de travail FICHES 31et41 mesurage des luminances la luminance ne peut varier par plus d un facteur 3 relocaliser les sources lumineuses locales et modifier les teintes des surfaces Entretien FICHE 41 e tat de propret politique de remplacement politique de nettoyage 44 F Etude de la situation int rieure sous l angle LA clairage Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 5 Eblouissement par vision directe de surfaces tr s lumineuses FICHE 37 e fen tres placer les postes de travail de mani re a avoir les fen tres gauche pas droite nia l arri re et surtout pas l avant e luminaires FICHE 39 amp relocaliser les luminaires de mani re a ne pas permettre la vision des sources les rehausser placer des grilles de d filement placer des crans opalins pour r duire la luminance 6 Eblouissement dans le plan frontal FICHE 37 le rapport luminance du plan de travail luminance frontale doit tre inf rieur 10 id alement 3 modifier les teintes du plan frontal ou augmenter r duire l clairement du plan frontal mesurage de la luminance frontale 7 Eblouissement indirect liminer toute surface r fl chissante verre m tal surface bril
33. moyen de contact respiration peau effets imm diats irritation des yeux et des voies respiratoires maux de t te vertiges probl mes de vision pour les solvants organiques effets neurotoxiques m moire fatigue et cancer benz ne e Actions respect total des instructions mentionn es sur les tiquettes des produits utilis s achat en quantit limit e de produits chimiques pas de stockage tiquetage rigoureux des produits toxiques vacuation en toute s curit des bo tes ou bouteilles remplies partiellement ou non de vieux produits chimiques collecte s lective des d chets utilisation du produit l ext rieur ou dans une zone bien ventil e e viter l utilisation de produits contenant du chlorure de m thyl ne peintures en a rosol d capants chimiques et si possible utilisation l ext rieur e viter l utilisation de produits contenant du benz ne interdiction de fumer e ventilation lors de l emploi de peintures 80 FICHE 16 ENTRETIEN MICROBIOLOGIQUE DE L ESPACE DE TRAVAIL 1 L espace de travail g n ralit s La qualit microbiologique de l espace de travail peut tre affect e par d es contaminations provenant de l installation de traitement d air FICHE 12 l environnement ext rieur pollen moisissures des facteurs inh rents a cet espace lui m me 2 La moquette Les moquettes peuvent la fois tre le s
34. pathologies associ es soup onn es 6 Probl mes d humidit recherche des probl mes d humidit dans le b timent infiltrations de toiture infiltrations au niveau des murs humidit ascensionnelle dans le bas des fondations condensation et ponts thermiques S gt S o gt ooe 7 Stockage des d chets e Stocker les d chets organiques de pr f rence l ext rieur du b timent et jamais plus d une semaine Dans le cas contraire choisir un local bien ventil pour cet usage Nettoyer et d sinfecter une fois par semaine minimum de pr f rence apr s le passage des services de ramassage e Contr les microbiologiques une fois par an minimum voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 8 Les humidificateurs individuels humidificateurs plac s sur les radiateurs d une installation de chauffage central ou syst mes individuels avec r servoir d eau et air puls e Ne pas n gliger l entretien de l appareil e D sinfecter et rincer le r servoir d eau r guli rement minimum une fois par quinzaine e Utiliser de l eau contenant peu de min raux Eviter que la zone autour de l humidificateur ne devienne humide Arr ter l humidificateur si probl me respiratoire 82 e Les syst mes ultrasons plus co teux mais sans r servoir d eau n exigent que peu d entretien 9 Les purificateurs d air individuel e Les appareils quip s d un filtre absolu peuvent am liorer la qua
35. perte de charge politique de nettoyage e technique de remplacement technique telle que le remplacement n occasionne pas une pollution du b timent tout entier 24 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 4 Batteries de chaud e capacit fonction des besoins thermiques du b timent e propret politique de nettoyage e contact avec l eau d humidification placement d un brise gouttelettes politique de nettoyage et de d sinfection contr le microbiologique 5 Batteries de froid e capacit fonction des besoins thermiques du b timent e propret politique de nettoyage et de d sinfection drains sans eau stagnante et avec mise l gout via un siphon 6 Ventilateur et caisson de pulsion e point de fonctionnement par rapport aux sp cifications FICHE 11 mesurage des pressions e propret du caisson et des pales du ventilateur politique de nettoyage en particulier des pales e pr sence d eau dans le caisson r parer remplacer le brise gouttelettes e corrosion d gradation remplacement 7 Conduits de distribution d air e acces pr voir des acc s de contr le e propret corrosion obstructions politique de nettoyage et de maintenance FICHE 11 rechercher les causes de salissure corrosion liminer les causes voir filtres en amont remplacement e in
36. recommand Expert e sonom tre int grateur e analyseurs de fr quences 5 Eclairage e Base aucun recommand Expert e luxmetre pour le mesurage des clairements 61 FICHE 8 RECOMMANDATIONS DES DEBITS D AIR NEUF Application alimentaire espaces publics magasins salles de spectacles ducation NORME ASHRAE 1962 1989 m h par personne m h par ae restaurant cafetaria cuisines bureaux zone d accueil salle de conf rence salon pour fumeurs ascenseur rez de chauss e sous sols tages hall auditoire salle de cours biblioth que auditoire 62 FICHE 9 MAITRISE DE LA VENTILATION 1 Priorit e Seconde m thode de pr vention am lioration apr s ma trise des sources FICHE 13 e Plus co teuse en frais r currents e A instaurer si preuve est faite de ce que le probl me SBS est dd la pollution de lair 2 Ventilation par dilution e Augmenter la quantit totale d air en circulation e par action sur les ventilateurs clapets de r glages e peut requ rir une modification de la capacit de l installation et donc de l quipement e Augmenter la proportion d air neuf r duction du recyclage e requiert une bonne qualit de l air ext rieur e peut requ rir une modification de la capacit de l installation et donc de l quipement e Am liorer la r partition de lair entre les diff rents locaux e requiert une tude s rieuse des r
37. ristiques du polluant filtrer d bit d air traiter volume des locaux performances souhait es concentrations r siduelles s curit lectrique et m canique en particulier pour les unit s portables d utilisation locale existence de proc dures d installation d utilisation de maintenance d entretien 74 caract re pratique de ces proc dures contraintes de maintenance et d entretien fr quences produits frais fixes achat et r currents nergie maintenance entretien pollution secondaire ozone tolu ne capacit a enlever les odeurs l utilisation de produits chimiques rafraichissants parfum est d conseill e parce que pollution propre parfois importante diminue la prise de conscience du probl me que l odeur r v le bruit surajout cS oS ooo 10 Installation des unit s portables d conseill es si un syst me HVAC existe utilisation dans des zones limit es pour des probl mes locaux dans des situations occasionnelles bouches d aspiration le plus pr s possible de la source de pollution ventuelle sans que l aspiration soit perturb e e bouches de rejet de l air trait vers les occupants sans cr er de courants d air inacceptables entr es et sorties libres de tout obstacle pas de court circuit entre entr es et sorties tudier le trajet de l air liminer les obstacles qui interf rent 75 FICHE 15 P
38. s chage rapide ventilation locale abondante durant le s chage aspiration avec aspirateur quip d un filtre haute efficacit sinon redispersion des poussi res intervention imm diate en cas d accident et en particulier d humidification 84 FICHE 18 RENOVATION DU BATIMENT OU CONSTRUCTIONS VOISINES 1 Constructions voisines op rations polluantes actions escavation poussi res micro organismes bruit d molition poussi res micro organismes bruit asphaltage gaz poussi res construction poussi res gaz bruit fermer les fen tres portes ouvertures quelconques r duire couper r organiser les prises d air ext rieur surveillance particuli re de l tat du syst me HVAC filtres batteries nettoyage particulier des espaces de travail 2 Batiment lui m me op rations polluantes actions r novation moquettes sols plafonds partitions meubles peinture d molition travaux divers installation de c bles confiner les espaces par des crans contre les poussi res et le bruit en coupant la ventilation g n rale ou au moins les reprises d air pr voir les op rations en dehors des heures d occupation faire effectuer les travaux par une firme sp cialis e comp tente en mati re de pollution int rieure utiliser des produits peu toxiques peintures mis en uvre par des
39. successivement au niveau du tronc de la t te et des jambes en l orientant dans le sens du courant d air rechercher cette direction en faisant pivoter la sonde et en recherchant la vitesse la plus lev e e lire les vitesses minimales et maximales les plus fr quentes pendant 5 secondes et en faire la moyenne arithm tique r p ter le mesurage en diff rents points de laire de travail calculer la moyenne arithm tique aux 3 hauteurs et noter les gammes de variation REFERENCES 1 Mairiaux Ph Malchaire J 1990 Le travail en ambiance chaude Paris Ed Masson pp 74 86 2 Norme ISO 7726 1998 Ambiances thermiques Appareils et m thodes de mesurage des caract ristiques physiques de l environnement Organisation internationale de Normalisation Gen ve 97 FICHE 26 RAYONNEMENT THERMIQUE 1 Rayonnement solaire e Le soleil est la principale source de rayonnement intervenant dans le contexte du SBS e Les diff rences ty ta d pendent de la temp rature de la vitesse du temps et de la position du soleil Les valeurs suivantes ne sont donc donn es qu a titre indicatif e rayonnement solaire direct l ext rieur ty ta 15 25 C e l int rieur d un bureau Fen tres Rayonnement Stores Distance de ty ta solaire la fen tre C 0 nul ferm es indirect ombre ferm es direct soleil ouvertes ou ferm es indirect ombre ferm es direct soleil ouvertes direct soleil 2 So
40. un bureau Afin de masquer ces bruits et en diminuer la g ne on est amen cr er un bruit de fond artificiel REFERENCE 1 Alsina D 1992 Le bruit Un casse t te C R A M France p 17 FIGURE 99 Ordres de grandeur de bruits typiques Alsina 1992 Possibilit de Sensation auditive Niveau Bruits int rieurs Bruits ext rieurs conversation sonore dB A chuchot e Tr s calme 15 Feuilles l g res agit es par vent doux dans jardin silencieux Calme 25 Conversation a voix basse Jardin tranquille a1 50m Appartement dans quartier ss A voix normale Assez calme Bureau dans quartier calme Appartement normal Bruits minimaux le jour M la rue Assez forte Bruits courants Restaurant Restaurant tranquille Rue tr s Rue tr s tranquille Grands magasins Rue r sidentielle Conversation normale Bruyant mais Appartement bruyant supportable Restaurant bruyant Circulation importante Atelier dactylo Usine moyenne Difficile P nible entendre Radio tr s puissante Circulation intense 1 m Atelier de tournage et Rue trafic intense d ajustage 100 FICHE 28 CRITERES DE CONFORT ACOUSTIQUE 1 R glementation La r glementation code sur le bien tre au travail ne concerne que le risque de surdit professionnelle des niveaux sup rieurs 85 dB A en moyenne sur la journ e Elle ne concerne donc pas le milieu tertiaire o de tels niveaux ne sont jamais rencontr s et o l
41. unit s centrales pour syst mes HVAC unit s portables pour utilisation locale e filtres plats fibres min rales animales v g tales artificielles avec mati re visqueuse efficaces contre les grosses particules peu efficaces pour les poussi res respirables qui atteignent les alv oles dans les poumons 72 e filtres manches e filtres Venturi scrubber cyclones 0 Q disponibles pour une gamme de d bits et diff rentes efficacit s un filtre plus efficace donne lieu une perte de charge plus importante et donc une r duction du d bit il faut donc revoir l ensemble du syst me HVAC lorsque l on change de type de filtre e filtres lectriques S S unit s centrales et locales pr cipitateurs lectrostatiques particules charg es dans un champ lectrique et attir es vers un collecteur filtres plats lectret avec film plastique charg de fa on permanente haute efficacit pour les poussi res respirables avec faible perte de charge efficacit chute dramatiquement avec l augmentation de la charge collect e obligation d entretien tr s fr quent toutes les 8 h production d ozone particules non collect es charg es lectriquement et susceptibles de se d poser plus facilement dans les voies respiratoires de sorte que les effets restent les m mes e appareils ions n gatifs 0 unit s portables d utilisation tr s local
42. 28 8 R verb ration e claquement de main et coute de la r verb ration FICHE 30 mesurage du temps de r verb ration e chos identification des surfaces parall les r fl chissantes amp recouvrement d un mat riau absorbant FICHE 29 e r verb ration longue placement de mat riaux absorbants FICHE 30 apres calcul e r verb ration inexistante son mat ventuellement trop d absorption d j install e revoir les mat riaux absorbants install s Choisir des mat riaux moins absorbants 42 F Etude de la situation int rieure sous l angle clairage Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 1 Eclairement souhait FICHES 35 et 36 e perception des d tails d termination de l clairement souhait en lux 2 Eclairage naturel FICHE 37 e exposition solaire viter tout rayonnement solaire direct placement de stores 3 Eclairage artificiel g n ral Luminaires FICHE 39 e type e directivit modifier pour BZ lt 4 dans les bureaux BZ lt 3 si travail sur ordinateur Lampes FICHES 35 et e type lampes fluorescentes e rendu des couleurs modifier l indice de rendu des couleurs IRC Disposition FICHES 37 et 41 e orientation par rapport aux fen tres amp placer parall lement aux fen tres R partition r partir les luminaires de fa on homog ne Eclairement mesurage au luxm tre sur les plans de travail
43. 3 2 Malchaire J 1994 Programmes de conservation de l audition organisation en milieu industriel Masson Paris pp 30 31 3 Occupational Safety and Health Administration 1980 Noise control A guide for workers and employers U S Department of Labor pp 94 103 112 FICHE 33 APPAREILS DE MESURAGE DU BRUIT 1 Microphone e Taille de 1 2 pouce de diam tre e Type champ diffus 2 Sonom tre classique pour le mesurage du niveau sonore instantan e Type plus pr cis plus co teux possibilit s plus diversifi es Il utilisation courante e Gamme dynamique des niveaux sonores 20 100 dB A chelles lin aires de 40 dB A avec recouvrement des gammes Gamme de fr quences 20 20 kHz Amortissement e mode SLOW moyenne sur 2 secondes e mode FAST moyenne sur 0 2 seconde e Filtre de pond ration e lin aire 20 20 kHz pour bruit d impact e a bruit tel qu entendu niveau sonore d exposition en dB A 3 Sonometre int grateur e Pour le mesurage du niveau quivalent NA en dB A niveau continu qui sur la m me dur e donnerait la m me nergie acoustique que le bruit consid r e M mes caract ristiques que le sonom tre classique e Mesurage du Naeg Sur une p riode quelconque r glable 4 Source talon e Source de bruit de r f rence pour talonner les appareils de mesurage habituellement de 94 dB A a 1000 Hz 5 Pour les experts appareillage sp cial e pour le mesurage
44. Boutard A Krzystyniak K 1993 Trichothecene mycotoxins in the dust of ventilation systems in office buildings Arch Occup Environ Health 65 113 117 69 FICHE 12 SOURCES INTERIEURES ET EXTERIEURES DE POLLUTION 1 Sources ext rieures Trafic dans les rues voisines gaz d chappement odeurs poussi res Parking et garages gaz d chappement odeurs Quai de chargement gaz d chappement odeurs V g tation animaux pollen poussi res microbes odeurs Stockage de d chets gouts poussi res microbes odeurs Constructions voisines gaz poussi res microbes B timents voisins gaz poussi res microbes Industries voisines gaz poussi res 2 Equipement de ventilation Gaines gaz poussi res Installation de conditionnement humidificateurs microbes Filtres poussi res Chaudi re gaz R frig rant gaz 3 Equipement int rieur e Mat riaux de construction gaz poussi res microbes e Mat riaux de recouvrement moquette faux plafonds peintures gaz poussi res microbes e Mobilier gaz poussi res e Appareils tels que photocopieuses imprimantes gaz poussi res 4 Entretien R novation peinture gaz poussi res microbes Nettoyage aspirateurs produits gaz poussi res microbes D sinfection pesticides Poubelles gaz poussi res microbes 5 Activit s humaines e Tabagie gaz poussi res Op rations de cuisson gaz poussi res Odeurs corpore
45. NE INSTALLATION DE TRAITEMENT D AIR 1 Les humidificateurs Il existe plusieurs types d humidificateurs Ce sont les humidificateurs utilisant des bacs r colteurs d eau qui n cessitent le plus d attention sur le plan microbiologique La r gularit des op rations de nettoyage et de d sinfection est primordiale e Nettoyage des bacs r colteurs d eau e Mise sec des bacs r colteurs au moins une fois par an afin de d caper les parois de tous les r sidus organiques Les surfaces de ruissellement fils Amazone nid d abeille doivent tre examin es et si n cessaire trait es ou remplac es e D sinfection de l humidificateur par chloration conseill e une fois par semaine une fois par quinzaine ou une fois par mois en fonction des r sultats des analyses microbiologiques Sont d conseill s les d sinfectants ajout s a l eau pendant le fonctionnement de l humidification e Op rations de chloration apr s forte contamination traitement de choc couper la pulsion et verser de l Hypochlorite de soude 47 50 14 raison de 1 5 pour 100 a 150 d eau faire fonctionner l humidificateur et U V pendant 30 minutes vidanger et remplir avec de l eau fra che et faire fonctionner nouveau pendant 5 min vidanger et recommencer la derni re op ration de rin age 1 2 fois traitement de choc r aliser plusieurs semaines cons cutives une fois par semaine Des contr les microbiologiques sp
46. OLLUTION PAR AGENTS CHIMIQUES 1 Pollution par les gaz de combustion e Sources e chauffages locaux au gaz mazout bois e moteurs de voitures camions l essence ou au gasoil e missions de SSH CS dioxyde de carbone CO monoxyde de carbone CO oxydes d azote en particulier NO dioxyde de soufre SO hydrocarbures divers HC poussi res suies formald hyde e Effets sur la sant e COsz rar faction de l oxyg ne somnolence maux de t te e CO carboxyh moglobine gt e NOsz gt e SO S e Actions maux de t te faiblesse vertiges naus es confusion inconscience et mort si intoxication aigu irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses affections respiratoires si exposition r p t e et continue a des faibles concentrations emphys me et maladies respiratoires si concentrations lev es irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses affections respiratoires oppressions pulmonaires fortes concentrations e pr cautions sp ciales lors de l utilisation de chauffage combustion dans des endroits non ventil s 0 0 combustible ad quat chauffage correctement r gl ouverture d une porte du local vers les autres pi ces et d une fen tre l g re ouverture e utilisation de syst mes avec vacuation vers l ext rieur e sinon installation et utilisation de ventilateurs d vacuation au
47. ROUPE 5 Statistiques de synth se 1 Donn es personnelles nombre de personnes dans chaque classe Sexe at Hommes Femmes Ages tas lt 30aNS OO un 30 40ans aa gt 40 ans Anciennet dans l entreprise a lt 2ans lt l0ans aa gt 10 ans Anciennet dans lazoneavecSBS_ an lt 3mois aa lt lan ae gt 1an Fumeurs aunn NON OUI Niveau hi rarchique as ouvriers tes employ s sales cadres inf rieurs ve Cadres sup rieurs Pr sence dans le b timent lt 50 svt gt 50 du temps Histoire personnelle ecz ma allergie rhinite asthme __ nulle ou l g re importante 2 Circonstances d apparition du SBS Synth se des commentaires FICHE 3 3 Sympt mes nombre de personnes pr sentant des sympt mes S v rit 4 Facteurs associ s e Noter le nombre de personnes mettant en cause les diff rents facteurs et r sumer les circonstances et causes invoqu es FICHE 2 Fr quence S v rit Circonstances causes souvent tr s Agents chimiques et ai i moisissures ee _ TE RS RS PS Pamp aareerar SP RS PS come ES RS PS PS CS RS RS ES rates an A D PS PS ES organisa dura Relations au travail CS PS Ress RS a CS PS PS e Approfondir le cas ch ant les facteurs sociaux et organisationnels au moyen du questionnaire pr sent la FICHE 42 22 BIBLIOGRAPHIE Alexander R W Fedoruk M J 1986 Epidemic psychogenic illness in a telephone operators building J ourna
48. S Les listes pr sent es abordent 5 points 1 le facteur ou aspect concern donn es 2 les points examiner quant ce facteur ou cet aspect 3 les actions susceptibles d tre prises en rapport avec ces points 4 les mesurages de base susceptibles d tre r alis s lors de l tape ANALYSE ou aux tapes ult rieures 5 les mesurages sp cialis s susceptibles d tre r alis s lors de l tape 3 EXPERTISE ou aux tapes ult rieures Les mesurages courants et a fortiori les mesurages sp cialis s ne se justifient que si ils sont indispensables pour d finir les actions de pr vention les plus ad quates e Les facteurs consid r s se rapportent a A la gestion g n rale d autres facteurs physiques l environnement social et organisationnel B l installation de chauffage ventilation conditionnement d air C la pollution chimique et biologique D le climat E le bruit F l clairage G H 16 e Dans chacune de ces cat gories les facteurs consid r s se rapportent aux situations susceptibles d tre rencontr es dans des immeubles de bureaux Les listes ne peuvent en aucun cas tre exhaustives e Dans certains cas des points suppl mentaires devront tre abord s les sp cialistes les identifieront et adapteront la proc dure en cons quence il n est pas indispensable qu l tape 1 OBSERVATION voire l tape 2 ANALYSE les intervenants aient connaissance et abordent ces points suppl mentair
49. ail avec plaintes Nombre de 12 15 18 19 27 44 situations avec 14 26 43 50 plaintes Nombre de toutes 10 11 12 situations tudier 8 Dur e d chantillonnage e en rapport avec le mesurage r aliser e d finie dans les normes et codes d utilisation des appareils 9 Quand mesurer e a des moments choisis al atoirement pendant les conditions d cid es ci dessus 88 FICHE 21 INTERPRETATION DES MESURAGES 1 Confort thermique FICHE 23 2 Bruit FICHE 28 3 Eclairage FICHE 36 4 CO gt 2 e objectif voir si le taux de renouvellement d air frais est suffisant e relev par tube d tecteur pompe main selon la proc dure d crite par le fournisseur ou par appareil lecture directe loin de toute source personnel machines prise de valeurs de r f rence l ext rieur pr s de la bouche de prise d air ext rieur et dans d autres locaux diff rents moments d but milieu et fin d une journ e repr sentative relev des taux d occupation des caract ristiques de fonctionnement du syst me HVAC du climat ext rieur y compris inversion de temp ratures e interpr tation concentrations tr s inf rieures a 1000 ppm le taux de renouvellement d air frais para t acceptable concentrations gt 1000 ppm probl me probable susceptible d tre d d bit d air frais insuffisant syst me mal programm dans le temps entr e
50. ait de la difficult de pr voir l absorption due l encombrement du local bureaux armoires 5 Calcul connaissant le Ts existant niveau EXPERTISE Le calcul suivant doit id alement tre men aux diff rentes fr quences centrales de bandes d octave e calcul du volume V e calcul de laire d absorption quivalente totale r elle partir du Tso mesur 0 16 V T 60mes S aopt e calcul de l aire d absorption quivalente souhaitable n cessaire pour un l ment de surface le plafond g n ralement susceptible d tre recouvert d un mat riau absorbant suppl mentaire e calcul du coefficient d absorption n cessaire pour cet l ment en divisant par sa surface e choix du mat riau d absorption Exemple Teo mes 500 H 1 Seconde Teo opt 500 Hz 0 5 Seconde local 5 x 4 x 3 60 m 0 16 60 0 on a Sa ke 10 m2 or plafond pl tre S 20m a 0 03 Sapiatond 0 6 m et murs pl tre S 54m2 a 0 03 Samu 1 6 m2 donc Sag 10 0 6 1 6 8 m AU Sa a e L P 0 5 donc Saplatond Saot 7 Sasol Samur 10 m2 S Or Splatond 20 m donc Aplafond 500 Hz 10 20 0 5 e choix mat riau panneau de bois non comprim 106 6 R duction du bruit de fond du aux sources internes trang res a l activit principale L absorption du local ayant t d termin e en fonction de l absorption optimale selon les proc dures ci dessus la r duction supp
51. amp absorption dans les gaines d aux bouches de pulsion mesurages en amont et en aval de la bouche FICHES 33 et 34 profil des bouches plus adapt e pr sence de sons purs quilibrage du ventilateur et d saccordage des surfaces mises en vibration 4 Bruits des locaux voisins FICHE 32 e bruit de fond recherche des fentes h t rog n it isolement acoustique des parois FICHE 31 essais d isolement au bruit a rien 5 Bruits de pas FICHE 32 e bruit de fond recherche des ponts acoustiques jsolement acoustique au bruit de masse essais d isolement au bruit d impact 6 Bruits particuliers FICHES 28 et 32 e ascenseurs claquements de portes placement de joints anti bruit placement de fermetures progressives 41 E Etude de la situation int rieure sous l angle bruit Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s e bruits de chasse d eau syst me d vacuation et de remplissage e bruits d escalier rev tement r silient 7 Bruits li s l activit l int rieur du local e propagation des bruits individuels t l phone voix activit ordinateurs imprimantes placement d crans armoire panneaux de 1 5 m entre postes de travail mesurage par bande d octave du bruit de fond e bruit de fond trop faible mesurage en dB A amp cr ation d un bruit de masque ramenant le bruit de fond au niveau optimal FICHE 27 et
52. aut bas perpendiculaire au regard r glage de l orientation gauche droite e Support des pieds placement d un repose pied r glable en hauteur entre 0 et 5 cm r glable en inclinaison entre 10 15 10 Le travailleur e Fatigue e Vision organisation de pauses lors d un travail requ rant des postures d favorables prolong es ou r p t es ou une activit soutenue de frappe ou de travail a la souris rotations ou changements d activit pr vus lorsque le travail requiert des postures des forces des r p titions d favorables fournir des lunettes unifocales plut t que verres bi foyer qui obligent incliner la t te pour voir correctement examen pour des probl mes de vision chez les travailleurs pr sentant des sympt mes de fatigue oculaire des sensations de br lure des irritations des yeux de vision trouble de maux de t te e Formation du personnel en ce qui concerne 11 La t che la disposition de l cran hauteur profondeur orientation le r glage des luminances du fond et des caract res le nettoyage de l cran e Le software doit tre con u de mani re faciliter le travail et permettre les initiatives touches fonctions permettant les macroop rations et dans une certaine mesure programmables par l utilisateur positionnement automatique affichage double luminance permettant de faire ressortir les parties importantes ou de diff rencier entre les
53. blissement d un mat riau en paroi simple paisseur Affaiblissement R dB Typiquement l affaiblissement R varie en fonction de la fr quence selon la figure suivante 80 70 60 50 40 30 125 250 500 1K 2K 4K Fr quence Hz e est normalement plus important aux sons aigus qu aux sons graves e Avec une chute une fr quence critique caract ristique du mat riau e L ordre de grandeur de l affaiblissement 500 Hz 108 e vaut environ 40 dB pour une paroi de 100 kg m e augmente de 4 dB si on double le poids e augmente de 4 dB si on double la fr quence 3 Types de mat riaux isolants en paroi simple e Mat riaux lourds b ton lourd e avec un poids par m et donc un affaiblissement lev e avec une fr quence critique basse et donc une chute d affaiblissement peu g nante e Mat riaux mi lourds briques et surtout pl tre e avec un poids par m et donc un affaiblissement moyen e avec une fr quence critique proche de 500 Hz et donc une chute d affaiblissement telle que la voix humaine est moins att nu e e Mat riaux l gers bois briques creuses verre e dont le poids par m et donc l affaiblissement est trop faible 4 Parois doubles e Parois constitu es de deux couches les plus d solidaris es possibles e Permettent d obtenir des affaiblissements aussi ou plus importants qu une paroi simple en b ton Exemple deux plaques de pl tre espac es de 10c
54. cc S 54 Analyse 1 Les documents plans manuels existent ils 2 Sont ils jour volution du syst me 3 Sont ils utilis s e maintenance technique et entretien sanitaire s quence temporelle nature conformit du nouveau mat riel avec le syst me et ses sp cifications e personnel d finition des t ches formation 4 L influence des modifications dans le b timent a t elle t prise en compte e d bit dair total e r partition des d bits e circulation de lair FICHE 8 55 FICHE 4 INSPECTION DE BASE DES LIEUX DE TRAVAIL Cette liste de contr le reprend les probl mes les plus fr quents et les plus faciles a observer lors d une visite rapide des lieux 1 Anomalies dans la ventilation e diffuseurs obstru s sales ou rouill s e courants d air e pressions diff rentielles importantes sur les portes 2 Anomalies dans les espaces de travail e densit de personnes trop importante encombrement important d sordre g n ral obstacles la ventilation probl me vident de tabagisme 3 Anomalies quant l entretien e propret g n rale des sols tag res dessus des armoires fen tres luminaires taches d humidit s ch es ou non sur les plafonds la moquette tat des poubelles propret des bouches de pulsion ventiloconvecteurs obstru s 4 Anomalies par rapport l ext rieur e proximit de route grand trafic industries constructions
55. ce of personal characteristics job related factors and psychosocial factors on the sick building syndrome Scand J Work Environ Health 15 286 295 Skov P Valbjorn O Pedersen B V 1990 Influence of indoor climate on the sick building syndrome in an office environment Scand J Work Environ Health 16 363 371 Squinazi F Lanfranconi l Giard A M 1994 Confort et sant dans les b timents climatis s Proposition d un auto questionnaire utiliser par le m decin du travail Documents pour le M decin du Travail 60 341 352 Stenberg B Wall S 1995 Why do women report sick building symptoms more often than men Soc Sci Med 40 4 491 502 World Health Organisation 1990 Indoor environment health aspects of air quality thermal environment light and noise W H O pp 127 Zhu K 1993 Sick building syndrome an inappropriate term ournal of Occupational Medicine Letters to the Editor 35 8 752 19 A Gestion g n rale Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s D finition des missions Responsable g n ral gestion du b timent FICHE1 e comp tence e missions Responsables techniques de l installation de HVAC chauffage et ou ventilation et ou conditionnement d air e missions proc dures e formation e sj firme ext rieure contrat comp tence Il Politique de maintenance et d entretien du syst me HVAC e missions d
56. cifiques de l eau sont r alis s au moins tous les 15 jours une fois la situation redevenue acceptable diminuer la concentration en Hypochlorite de soude d abord par 10 Si la situation reste stable envisager d espacer les chlorations en cas de contamination persistante envisager des modifications du syst me d humidification e Entretien du st rilisateur U V nettoyage des tubes et du filtre et contr les bact riologiques r guliers de l eau la sortie du tube U V pr voir si n cessaire une vanne de purge en aval du tube pour pr l vement d eau r aliser une fois par mois quand la conductivit de l eau d concentration est satisfaisante surveiller galement le nombre d heures de fonctionnement du tube Bien entretenu ce syst me contribue efficacement renforcer les op rations pr c demment d crites 66 Contr les de l eau effectuer de mani re r guli re e Mesures physico chimique simples une fois par semaine au minimum conductivit lt 1500uS et en fonction des r sultats maintenir la quantit d eau d appoint suffisante d concentration Rep rer les traces de corrosion des parois surveillance de la formation de d p ts du pH entre 7 0 et 9 0 duret calcique e Analyses microbiologiques simples et r guli res une fois par mois au minimum Bact ries totales a 25 C lt a 50 000 ml Bact ries totales a 37 C lt a 10 000 ml Thermoact
57. couleurs de r f rence variation spatiale et temporelle de l clairement dans le local rompant la monotonie clairage horizontal au contraire de l clairage vertical habituel des luminaires effet bact ricide par les UV qu elle comprend e Les d savantages sont risque accru d blouissement et ou de reflets si les postes de travail crans sont mal dirig s le soleil claire directement certaines surfaces int rieures e Recommandations 7 Entretien orienter les postes de travail parall lement aux fen tres et jamais vers ou dos aux fen tres viter les ouvertures en plafond installer des crans de pr f rence orientables verticalement de pr f rence dans tous les cas obligatoirement dans le cas d exposition solaire directe e Le vieillissement et l accumulation de poussi res sur la lampe ou le luminaire peuvent r duire le flux lumineux et donc l clairement r sultant jusqu 50 e Recommandations entretien syst matique une fr quence fonction du risque de salissure limination imm diate des lampes donnant lieu un papillotement perceptible remplacement syst matique des lampes apr s un certain nombre d heures d s que gt 20 sont hors d usage 130 FICHE 42 EVALUATION DES FACTEURS SOCIAUX ET ORGANISATIONNELS INTRODUCTION e Cette fiche comprend une s rie de 17 aspects des conditions de travail sur lesquels il est important de r fl chir e L
58. ctueux ou insuffisant reflets temp ratures anormales courants d air anormaux pressions diff rentielles sur les portes e parcourir la liste de contr le du chapitre IV en ce qui concerne les donn es les points examiner les actions possibles les mesurages de base si n cessaire les mesurages sp cialis s si indispensable 98 FICHE 6 ZONES DU BATIMENT A SURVEILLER EN PARTICULIER 1 Locaux SSH TS OCS laboratoires zones pour fumeurs imprimeries cafetaria coins cuisine sanitaires archives locaux de stockage des d chets poubelles chaufferie stockage de peintures solvants produits de nettoyage produits chimiques pesticides e ces locaux doivent tre en d pression par rapport au reste du batiment le d bit d air puls doit tre major en fonction des risques de pollution lair de ces locaux ne peut tre recycl 2 Installations S SSH TS o syst me de ventilation surfaces textiles moquettes tentures tissus muraux surfaces horizontales tag res dessus des meubles radiateurs nouvel quipement d gazage bon fonctionnement vieil quipement bon fonctionnement poubelles locales humidificateurs locaux crans d ordinateurs imprimantes photocopieuses fen tres fuite d eau condensation 99 FICHE 7 APPAREILLAGE DE MESURAGE DE BASE ET D EXPERTISE 1 Evaluation du syst me de HVAC e Base manometr
59. des locaux contenant ces produits pendant 48 a 72 heures r duction ult rieure des missions par contr le des temp ratures et humidit 4 Pollution par l asbeste amiante e Sources mat riaux d isolation des tuyaux des chaudi res joints isolation thermique et r sistance au feu certaines peintures et produits de recouvrement certains carrelages certaines tuiles et ardoises freins de v hicules e Effets sur la sant asbestose cicatrices pulmonaires cancer des poumons et m soth liome e Actions faire appel un professionnel pour liminer ou ma triser l amiante selon les proc dures l gales et de bonnes pratiques ne jamais travailler en aucune fa on des mat riaux contenant de l asbeste couper usiner interdire toute op ration sur les freins de v hicules dans les locaux non pr vus a cet effet 5 Pollution par le radon Sources rarement les mat riaux de construction principalement l uranium pr sent dans le sol sur lequel le b timent est construit p n tration par les fissures dans les murs et les sols au travers des mat riaux non tanches 78 par les drains et les puisards d gouttage parles sols en terre battue e Effets sur la sant cancer des poumons risque plus lev chez les fumeurs e Actions Si la r gion o est situ le b timent est connue comme ayant une concentration de radon importante dans le sol v rifi
60. des mesurages si n cessaire afin nouveau de d terminer les rem des possibles ou les points approfondir e Une troisi me tape tape d EXPERTISE et ventuellement une quatri me sont entreprises parles m mes intervenants responsables techniques et pr venteurs avec l assistance de personnes de plus en plus sp cialis es sur des aspects d tect s pr c demment et de plus en plus cibl s pour la recherche de solutions de pr vention particuli res 15 e La d marche est souple et modulable en fonction de la taille de l entreprise x du temps disponible des comp tences disponibles ll n est donc pas pr cis o une tape 1 devrait finir et o l tape 2 devrait commencer D s lors qu un facteur ou aspect ne peut tre consid r valablement faute de temps de moyens ou de comp tences il doit tre trait au niveau suivant e Lors des tapes 1 OBSERVATION et ou 2 ANALYSE les plaintes sympt mes du personnel chapitre III sont recueillis mis dans leur contexte et analys s concernant leurnature leur localisation les circonstances d apparition les causes invoqu es de mani re d terminer la gravit du probl me de SBS et son tendue et d orienter la recherche de solutions e La proc dure technique chapitre IV consiste ensuite passer en revue l ensemble des facteurs ou aspects susceptibles d tre directement ou indirectement en rapport avec le probl me de SB
61. dit de l air traitement antistatique NON toxique des mat riaux 2 Rayonnement lectromagn tique Ordinateurs e distance personnes cran amp loigner le plus possible les personnes des crans sur lesquels ils ne travaillent pas utiliser du mat riel quip d crans lectromagn tiques Machines diverses amp loigner le plus possible les personnes 3 Ergonomie des postes de travail FICHE 40 plan de travail espace si ge porte documents repose pied 47 FICHE 1 RESPONSABLE GESTION DU BATIMENT 1 Comp tences requises e compr hension du fonctionnement du syst me de chauffage et ou ventilation et ou conditionnement d air syst me HVAC e capacit de lire des plans architecturaux et m caniques et de comprendre les donn es des fabricants capacit de collaborer avec les occupants du b timent autorit pour collecter les informations aupr s des occupants 0 aupr s des op rateurs du syst me les espaces de travail les quipements leur entretien nature programmation compr hension des donn es de s curit et hygi ne compr hension des mesurages des param tres de base les d bits d air g n raux ventilateurs et locaux bouches de sortie les pressions diff rentielles les param tres climatiques la concentration en CO SBS connaissance g n rale de la probl matique 2 Missions e dresser un tat de la situation du sy
62. doit constater que la pr valence de plaintes est plus lev e chez les femmes que chez les hommes 12 vs 4 dans un groupe de 4943 employ s en Su de Stenberg et Wall 1995 Ces auteurs mettent l hypoth se d un plus grand nombre de sympt mes chez les femmes Le questionnaire restait cependant relativement sommaire concernant les facteurs sociaux et organisationnels qui sont plus que probablement responsables de cette diff rence C Facteurs sociaux et organisationnels Les tudes pid miologiques rapportent une concomitance entre les sympt mes de SBS et des facteurs tels que la surcharge de travail l insatisfaction avec les sup rieurs hi rarchiques ou les coll gues Skov et coll 1989 le faible impact possible sur ses conditions de travail Nordstrom et coll 1995 soit globalement ce que l on appelle le stress au travail Nordstrom et coll 1995 Norback et coll 1990 Ce stress au travail est d fini de mani re diff rente par les auteurs Ce sujet a fait l objet d une tude et d une publication de l Institut National de Recherche sur les Conditions de Travail Moors 1994 Aussi nous contenterons nous de reprendre ici les composantes possibles du stress professionnel d crites par Baker 1989 e l environnement physique chimique et biologique e la t che la nature le rythme la charge les possibilit s d autonomie et de modifications les d lais e la structure du travail les horaires les h
63. du temps de r verb ration e etles analyses de fr quences par octave ou tiers d octave 113 FICHE 34 MESURAGE DU NIVEAU DE BRUIT 1 Choix de l appareillage de mesurage FICHE 33 e Microphone Sonom tre classique Sonom tre int grateur e Source talon 2 V rification du bon fonctionnement e Etat des piles e Etat du microphone 3 Etalonnage initial avec source talon 4 Positionnement de l appareil Sonom tre ordinaire ou int grateur pr s de l oreille du sujet e Dans n importe quelle direction 5 Mesurage pendant une p riode de travail repr sentative 6 Etalonnage en fin de mesurage e Si variation sup rieure 1 dB par rapport la valeur de l talonnage initial rejet des mesurages 7 Interpr tation Sonom tre ordinaire e gamme de variations en mode SLOW e valeur moyenne Sonom tre int grateur et exposim tre e Naeg 114 FICHE 35 UNITES D ECLAIRAGE LS Flux lumineux lumen Im ay Im 7 quantit totale de lumi re 4 mise par la source Intensit lumineuse Luminance Cd m Flux st radian 9 Eclairement r fl chi ou Candela Cd 7 Eclairement lux IX Flux lumineux TOMBANT sur 1 m du plan de travail Une lampe e met un certain flux lumineux lumens e r partit dans diff rentes directions candelas La quantit de lumi re e tombant sur une surface est l clairement en lux e r fl chie par cette sur
64. e nature du polluant par rapport aux caract ristiques du filtre pr sence d autres gaz ou vapeurs humidit concentration du polluant d bit d air traiter par rapport aux caract ristiques du filtre pr vues par le fabricant entretien caract ristique efficacit charge collect e e facteurs influen ant les performances pour les occupants d bit trait par rapport au volume total court circuit au niveau du filtre e aucun filtre chimique ne permet d liminer tous les polluants gazeux e l information est limit e sur leur dur e de vie 8 Types de filtres chimiques unit s centrales pour syst mes HVAC unit s portables d utilisation locale e filtres charbon actif efficaces m me dans les environnements humides pas efficaces pour les produits volatiles de faibles poids mol culaires efficaces contre les odeurs ce qui ne signifie pas que la concentration r siduelle en polluants est acceptable r missions possibles de solvants tolu ne exigent un syst me efficace de r g n ration e absorbants chimiques sp ciaux permanganate de potassium oxydes de Cuivre meilleure efficacit que les filtres charbon actif mais tr s sp cifiques un polluant SO NO ozone pas efficaces pour le CO monoxyde de carbone co t lev 9 Facteurs consid rer lors du choix d un filtre e sp cification concentration et caract
65. e d pend du volume du local et de l absorption des mat riaux recouvrant les parois par la formule de Sabine 0 16 V Teo Se secondes o V volume du local en m S la surface des parois sol et plafond en m2 a le coefficient d absorption moyen e Tout comme le coefficient d absorption Teo varie en fonction de la fr quence 2 Crit res e Dans les bureaux salles de cours petits ateliers le Tso doit tre e id alement compris entre 0 5 et 0 7 s toutes les fr quences e en pratique tol rance de 50 125 Hz et 10 250 Hz e Dans les usines e Tso de l ordre de 1 seconde toutes les fr quences 3 Mesurage du Tso e Le mesurage du temps de r verb ration ne peut se faire qu au moyen d un mat riel sp cialis La collaboration d un laboratoire sp cialis est requise 4 Calcul a priori de la r verb ration optimale e La proc dure consiste a e identifier tous les l ments de surface Sj e estimer partir des tables leur coefficient d absorption a 500 Hz ou toutes les fr quences a e calculer les aires d absorption quivalente de chaque l ment S ai e calculer l aire d absorption quivalente totale Sa gt S aj e calculer le volume du local V e appliquer la formule de Sabine 0 16 V 60 7 Sa 105 e Le tableau suivant est utilis Surfaces partielles Sa ae Total S a CEE e Ce calcul est g n ralement peu pr cis du f
66. e particules charg es se d posant sur un collecteur sp cial charg positivement RECOMMANDE ou sur les murs sols tables textiles crans occupants avec d gradation et salissure de ces surfaces pas efficace contre les allerg nes production d ozone e appareils hybrides 6 Recommandations pour le choix de l efficacit Rendement Circonstances remarques 20 chauffage local conditionneur d air en fa ade quelque peu efficace pour la pr vention du rhume des foins pas tr s efficace pour les particules dans les fum es de tabac 40 pr filtre dans les syst mes HVAC efficace pour poussi res et pollen en suspension r duit les salissures et taches pas tr s efficace pour les particules dans les fum es de tabac 60 idem que 40 avec meilleure protection efficace pour tous les pollens en suspension efficace pour la majorit des poussi res de combustion trafic en suspension partiellement efficace pour les particules dans les fum es de tabac 80 g n ralement utilis dans les h pitaux et espaces contr l s tr s efficace pour la majorit des poussi res 73 assez efficace pour les particules dans les fum es de tabac idem que 80 avec meilleure protection excellente efficacit pour les particules dans les fum es de tabac 7 Performances des filtres chimiques e facteurs influen ant les performances du filtr
67. e bruit est tudier comme source de g ne dans le travail 2 Confort int rieur Le confort acoustique est envisager e vis a vis des bruits internes au local li s aux activit s Afin d viter que ces bruits ne se r verb rent trop dans le local on souhaite pour les bureaux un temps de r verb ration Teo 500 Hz entre 0 5 et 0 7 seconde pour les ateliers un Tg de l ordre de 1 seconde FICHE 30 e vis a vis des sources de bruit internes non li es aux activit s ex ventilation x externes trafic Voisins ascenseurs Il s agit cette fois de bruits ambiants susceptibles de g ner le travail La norme NBN 501 401 sp cifie des limites de bruit de fond en fonction de l affectation du local et du type d environnement Quatre types d environnement sont envisag s r sidentiel a plus de 500 m d une voie de circulation importante Il r sidentiel urbain moins de 500 m d une voie de circulation importante Ill quartier commercial ou industries l g res IV centre de ville industries lourdes proximit d une autoroute ou a roport Valeurs limites du niveau de bruit de fond dB A norme NBN S01 401 bureau e direction e cadre e ordinaire dactylographie salle e ordinateur e conf rence e r union restaurant laboratoire magasins usines atelier 101 e vis vis de bruits brefs tels que bruits de pas claquement de portes On souhaite que ces bruits ne d passen
68. e but n est pas d valuer la situation par un score quelconque mais e de regarder cette situation de travail sous chacun de ces aspects e de prendre conscience de conditions non optimales e etde chercher si c est possible comment am liorer cette situation e Cette r flexion devrait tre id alement men e en concertation entre la direction au moins l encadrement direct et le personnel concern Il Liste e Autonomie individuelle 1 le travail s effectue souvent sous la pression du temps ou en fonction des ch ances ou bien les normes de production ne sont pas faciles a atteindre 2 le sujet n a pas la possibilit de varier l allure de son travail tant donn la cadence impos e par l organisation du travail 3 les t ches de cycle court sont fr quentes une t che est de cycle court lorsque la m me manipulation est r p t e apr s moins de 1 5 minutes c est dire lorsque le cycle est inf rieur 1 5 minutes e Contraintes relationnelles 1 il existe des postes de travail isol s o le travail est totalement ind pendant de celui des autres 2 les travailleurs n ont pas suffisamment l occasion de bavarder quelques instants avec leurs coll gues 3 il n existe pas de concertation de travail r guli re ou bien lorsqu il y a concertation sur le travail il est pratiquement impossible d aborder les probl mes du travail 4 les travailleurs n ont pas l occasion de s entraider lorsque c
69. e pour le mesurage des pressions diff rentielles an mometre pour les vitesses d air dans les gaines pH metre et conductim tre mesurages simples et rapides pour pr venir les risques de corrosion et corriger rapidement une d concentration d fectueuse e Expert e tubes de Pitot pour le mesurage des d bits dans les gaines e hotte Venturi pour le mesurage des d bits aux bouches de pulsion et de reprise 2 Pollution atmosph rique Base e g n rateur de fum e tubes fumig nes pour l tude des circulations d air entre et dans les locaux e tubes d tecteurs de la concentration de CO avec pompe a main v rifier que les tubes sont ad quats pour les concentrations escompt es e loupe pour l examen des poussi res Expert e tubes d tecteurs sp ciaux appropri s aux concentrations escompt es e mat riel sp cialis pour le mesurage des concentrations en CO NO O3 formald hyde microscope pour l examen des poussi res recours un laboratoire sp cialis pour l valuation de la pollution microbiologique 3 Conditions climatiques e Base e thermohygrographe pour l enregistrement de la temp rature et de l humidit long terme 1 jour 1 semaine e thermohygrom tre pour les mesurages ponctuels Expert e an mometre thermique pour le mesurage des vitesses d air aux postes de travail e thermom tre globe noir pour l valuation du rayonnement thermique 60 4 Bruit e Base aucun
70. ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s Ouverture e possible ou non fonction du syst me de chauffage e si ouverture possible pour ventilation naturelle type d ouverture ouvrant pivotant ouvrant tombant pr f rer le type ouvrant tombant avec r glage de l angle d ouverture herm ticit remplacement des joints tat de v tust remplacement e circulation d air pour assurer une ventilation naturelle ad quate viter les courants d air 7 Les peintures e anciennet e odeurs de peinture FICHE 15 vieillissement des surfaces concentration en ald hydes et solvants 8 Les postes de travail FICHES 13 et 16 e emplacement densit sur plan des lieux diminuer la densit e encombrement des surfaces rangement e propret des surfaces politique de nettoyage e produits de nettoyage produits non toxiques et non allergisants 9 Le mobilier FICHES 13 et 15 e nombre encombrement e v tust des archives rangement archivage e propret politique de nettoyage examen microscopique des poussi res 33 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 10 Les appareils polluants imprimantes photocopieuses ou autres machines e types avec missions annonc es par le fabricant FICHE 13 machines peu polluantes mesurage d missio
71. ela s av re n cessaire 5 le travail comporte une charge motionnelle par exemple en raison des relations sociales avec les patients les clients les l ves etc e Contraintes organisationnelles 1 il arrive fr quemment que l organisation du travail et ou les proc dures de travail posent des probl mes 2 il arrive fr quemment que le travail ne soit pas bien pr par par les autres d partements 3 il arrive fr quemment que le support des autres d partements soit insuffisant 4 l outillage les machines les instruments ou le logiciel pr sentent souvent des probl mes mauvais fonctionnement d fauts pannes e int r t du travail 1 les t ches monotones sont fr quentes il s agit de t ches qui apr s peu de temps se font dans la routine 131 2 le travail est tr s morcel dans le d partement chaque travailleur apporte une petite contribution au produit du d partement 3 les travailleurs ne re oivent pas assez d informations sur le r sultat de leur travail 4 les travailleurs n ont pas ou pratiquement pas la possibilit de d terminer eux m mes leur rythme de travail 5 les travailleurs n ont pas ou pratiquement pas la possibilit de choisir leur m thode de travail dans le cadre de certaines r gles g n rales REFERENCE Cette liste a t adapt e partir de la liste propos e dans l ouvrage Moors S d 1994 Stress amp travail origines approches Bruxelles In
72. ent global E Etude de la situation int rieure sous l angle bruit 1 Criteres niveaux de bruit de fond 2 Bruits ext rieurs 3 Bruits dus a la ventilation 23 23 24 26 26 27 27 28 28 29 29 29 29 30 30 31 31 31 31 32 32 32 33 33 33 34 34 34 34 35 35 35 35 36 36 37 37 38 39 40 40 40 40 4 Bruits des locaux voisins 5 Bruits de pas 6 Bruits particuliers 7 Bruits li s l activit l int rieur du local 8 R verb ration F Etude de la situation int rieure sous l angle clairage 1 Eclairement souhait 2 Eclairage naturel 3 Eclairage artificiel g n ral 4 Eclairage artificiel local 5 Eblouissement par vision directe de surfaces tr s lumineuses 6 Eblouissement dans le plan frontal 7 Eblouissement indirect 8 Travail sur cran G Etude de la situation int rieure sous l angle facteurs physiques divers 1 Electricit statique 2 Rayonnement lectromagn tique 3 Ergonomie des postes de travail BIBLIOGRAPHIE FICHES FICHE 1 Responsable gestion du b timent FICHE 2 Analyse des sympt mes FICHE 3 Recueil et analyse des donn es existantes FICHE 4 Inspection de base des lieux de travail FICHE 5 Inspection g n rale du b timent FICHE 6 Zones du b timent a surveiller en particulier FICHE 7 Appareillage de mesurage de base et d expertise FICHE 8 Recommandations des d bits d air neuf Norme ASHRAE 1962 1989 FICHE 9 Ma trise de
73. entants du personnel Comit de pr vention et de protection le personnel technique charg du b timent firme ext rieure b introduction g n rale 0 0 Q pr sentation des objectifs pr sentation des r sultats de l analyse des donn es existantes FICHE 3 introduction au probl me de qualit de l air et de l espace de travail c discussion des activit s de routine op ration du syst me HVAC programmation fonctionnement plaintes activit s g n rales et particuli res 97 X X x nature densit d occupation machines particuli res polluants particuliers plaintes entretien des espaces de travail x x x x x stockage et vacuation des poubelles nettoyage programmation nature stockage et vacuation des produits chimiques cartouches d encre traitement anti vermine plaintes e visite de l immeuble id alement par le groupe de personnes constitu ci dessus rep rage recherche des causes recherche de solutions imm diates Pour X o x XX XX X X 4 M thode odeurs y compris de tabac conditions malsaines ou accumulation de salet s taches ou d coloration sur les murs les plafonds les sols moisissures ou taches d humidit sur les sols les plafonds sous les fen tres dans les coins traces de fum e pr s d quipements lectriques bruits inhabituels clairage d fe
74. er les concentrations principalement dans les sous sols et rez de chauss e assurer une ventilation de ces espaces vers l ext rieur v rifier les concentrations dans l eau de distribution et dans l eau locale puits 6 Pollution par le plomb e Sources anciennes canalisations d eau poussi res de trafic surfaces peintes au minium lorsque d grad es gratt es ou ponc es sans pr cautions particuli res e Effets sur la sant risque d intoxication surtout par ingestion a hautes concentrations convulsions coma et mort a faibles concentrations effets sur le cerveau le systeme nerveux central les cellules sanguines et les reins risque important pour le foetus et les jeunes enfants e Actions nettoyage particulier des entr es d air situ es face a une rue ou route avec trafic appel a des sp cialistes pour la r novation des surfaces recouvertes de peintures a base de plomb interdiction d utilisation de peintures base de plomb e v rification et r novation de l installation de conduites d eau potable base de plomb 7 Pollution par les produits d entretien e Sources peintures vernis cires d capants chimiques solvants organiques produits de nettoyage de d sinfection d graissants divers cosm tiques hobbies e Effets sur la sant 79 effets tr s variables de nuls tr s graves suivant le produit chimique sa toxicit sa concentration le
75. es e Dans d autres cas les listes seront trop compl tes les facteurs non concern s sont simplement non pris en compte e Les probl mes de pollution par le radon et l amiante NE sont PAS des probl mes de SBS quand bien m me ils repr sentent un risque majeur Ils ne donnent pas lieu aux sympt mes atypiques caract risant le SBS Ils ne sont donc pas consid r s dans le pr sent ouvrage Des informations ces sujets peuvent tre trouv es aupr s de diff rents organismes dont le Centre Scientifique et Technique de la Construction Rue Violette 21 23 1000 Bruxelles Une br ve discussion en est pr sent e la FICHE 15 Condition de mise en oeuvre Boxer 1990 e L exp rience montre que toute tentative a priori de n gation ou de minimalisation du probl me se solde non seulement par un chec mais par une amplification du probl me ce dernier tant susceptible de s aggraver dans la dimension psychosociale e Au devoir moral s ajoute donc l int r t humain voire financier d tudier un probl me de SBS de fa on objective et en toute clart d s qu il surgit e La proc dure d crite ci dessus exige donc une collaboration totale entre tous les partenaires employeur et ligne hi rarchique employ s responsables techniques pr venteurs et experts 17 CHAPITRE Ill RECUEIL ET ANALYSE DES PLAINTES SYMPTOMES DE SBS OBJ ECTIFS e Recueillir les plaintes sympt mes principaux que pr sente
76. es ne peuvent donner que des isolements faibles du fait de leur l g ret Des isolements de 40 dB ne peuvent tre obtenus qu au moyen de portes sp ciales lourdes Les points faibles sont cependant toujours e les fentes sur le pourtour placer des joints pleins obturant totalement le pourtour de la porte ferm e e la fente sous la porte la r duire au minimum par un r glage pr cis de la verticalit de la porte placer des paumelles h lico dales permettant la porte de s appuyer sur le sol quand ferm e et de s en carter lors de l ouverture les espaces derri re les chambranles ces espaces doivent tre supprim s en dressant la t te de mur au niveau de l brasement Le placement de mat riaux poreux est sans effet significatif 110 4 Cloisons amovibles pr fabriqu es e l est important d exiger au d part des mat riaux ayant un affaiblissement acoustique suffisant et dont le mode de pose garant un isolement acoustique de la classe d sir e FICHE 28 e Les points faibles sont e les raccordements en plan ou en coin entre panneaux e les raccordements au sol et au plafond e le passage par au dessus des parois lorsque elles s arr tent au faux plafond et que le faux plafond est absorbant mais non isolant e l y a donc lieu de e surveiller les raccordements entre panneaux e surveiller les raccordements haut et bas principalement dans le cas de structure en b ton pr contraint e prolonge
77. es responsables et proc dures repr ciser d finir les checklistes de proc dures et missions e programmation des maintenances entretiens pr ventifs repr ciser en ce qui concerne prises d air ext rieur filtres air batteries de chaud et froid humidificateurs courroies et ventilateur gaines de distribution bouches de pulsion et de reprise fiches d entretien et rapport FICHE 10 contr le de r gularit contr le d efficacit e gestion pr ventive installation de capteurs pour le contr le informatis des pressions niveaux temp ratures e proc dure d urgence en cas de panne Ill R gime d utilisation du syst me HVAC e heures d utilisation du syst me par rapport aux heures d occupation du local revoir selon les recommandations des FICHES 8 et 9 amp pr voir le renouvellement complet de l air du b timent avant l arriv e des occupants si utilisation discontinue revoir en fonction des conditions climatiques ext rieures e programmation des maintenances et entretiens programmer en dehors des heures d occupation amp pr voir une p riode pour le renouvellement complet de l air du b timent avant l arriv e des occupants 20 A Gestion g n rale Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s IV Politique d entretien des locaux nature et fr quence en fonction des activit s effectu es produits de nettoyage utilis s FICHE 15
78. est peu ou tr s s v re Sympt mes Fr quence d parfois souvent yeux d mangeaisons irritations br lures larmoiements nez sec irrit bouch qui coule qui saigne ternuements poitrine oppression respiration courte sifflante A ee peau s cheresse rougeur d mangeaisons ruptions t te maux de t te lourdeur difficult de concentration probl mes de m moire g n ral somnolence fatigue g n rale apathie naus es vertiges maladie grippe fi vre infections 19 4 Plaintes relatives aux conditions de travail e Ne noter que les plaintes mises spontan ment par la personne e Pour chacun des items de la liste noter e sices plaintes sont occasionnelles parfois ou fr quentes souvent e etsila personne les juge peu ou tr s graves e Pr ciser galement e les circonstances dans lesquelles elles apparaissent et e les causes invoqu es par la personne Fr quence S v rit Circonstances Causes souvent Agents chimiques et biologiques moisissures parasites Manque d air Poussi res Odeurs y compris tabac Temp rature de l air ee RS ES Courant d air Bruit Eclairage naturel artificiel Reflets crans Nature du travail Organisation du travail Relations au travail uno dns ea Respnsobines TP satsocionautavai P vues PE ES AS PS 20 B Synthese des donn es POUR LE G
79. estompent et en g n ral disparaissent d s qu elles le quittent le soir le week end ou durant les vacances Ils sont donc ind niablement li s l occupation des locaux Les plaintes sont essentiellement d inconfort et sont en rapport avec des sympt mes qui ne sont pas li s une menace pour la sant physiologique du moins court terme lll LES MALADIES LIEES AUX BATIMENTS DEFINITION Les maladies li es aux b timents different absolument du SBS Il s agit ici de sympt mes bien sp cifiques de pathologies pr cises infection asthme intoxication qui n apparaissent que progressivement et demandent un temps beaucoup plus long pour dispara tre La sant court terme est ici menac e LE PRESENT DOCUMENT S INTERESSERA ESSENTIELLEMENT AU SBS IV IMPORTANCE DU PROBLEME Burge et Hoyer 1990 ont tudi les sympt mes de SBS chez 4329 employ s dans 42 b timents administratifs au Royaume Uni Ces b timents furent choisis au hasard et n taient pas connus comme posant des probl mes de SBS Ils peuvent donc tre consid r s comme repr sentatifs des b timents ordinaires au Royaume Uni et probablement en Belgique Il en est de m me de la population tudi e Il tait demand aux employ s s ils avaient souffert plus de deux fois au cours des 12 derniers mois d un ou de plusieurs des 10 sympt mes suivants s cheresse des yeux picotements des yeux ou larmoiement nez bouch nez qui coule gorge s
80. eures suppl mentaires e l organisation du travail le partage des responsabilit s les rivalit s les relations la reconnaissance du travail r alis le respect en tant qu tre humain e l ins curit d emploi les perspectives d avenir les probl mes personnels Ainsi que le souligne le m me auteur ce stress professionnel peut avoir des effets dans les trois domaines e physiologiques r actions de stress hypertension ulc res infarctus e psychologiques insatisfaction anxi t d pression burn out e et comportementaux moindre productivit absent isme abus d alcool et de m dicaments Ces effets varient d un sujet l autre en fonction de caract ristiques personnelles et sociales type de comportement type ou non ressources personnelles pour r agir autoestime tat motionnel entourage familial Certains interpr teront plus rapidement leurs sensations comme tant une maladie ou un inconfort Certains encore attribueront plus vite cet inconfort ou cette maladie leurs conditions de travail Cependant il est essentiel que ceux qui sont en charge de r soudre ou d viter les probl mes de SBS partent du principe que les sources du stress sont NON PAS chez les travailleurs mais bien DANS le travail Si ce principe est explicitement adopt il sera plus ais de focaliser l tude sur les facteurs de stress plut t que sur les r actions individuelles de rechercher les causes
81. ez 300 Travaux de bureau de toute nature pouss e des d tails Perception pouss e des Travaux de dessin montage et v rification de petites d tails pi ces Perception tr s pouss e Montage et v rification de pi ces de pr cision fabrication des d tails d outils et de matrices lecture d instruments de mesures Perception extr mement 1000 Horlogerie imprimerie pouss e des d tails e En pratique l clairement doit tre compris entre 1 2 fois l clairement minimal e Le tableau 2 r sume les recommandations du projet de norme ISO 8995 concernant les espaces de travail o sont susceptibles d apparaitre des probl mes de SBS avec attention particuli re au travail avec ordinateur 116 d Les valeurs ci dessus sont recommand es dans des conditions normales de vision Elles sont augmenter dans les cas o e les contrastes au niveau de la t che sont tr s faibles le travail visuel est tr s critique les erreurs sont tr s co teuses rectifier la grande pr cision est requise les capacit s visuelles du travailleur sont inf rieures la normale 2 Variations significatives de l clairement Une majoration par un facteur 1 5 est n cessaire pour donner lieu une variation de l clairement qui soit reconnaissable On recommande l chelle suivante 20 30 50 75 100 150 200 300 500 750 1000 1500 2000 3000 5000 lux 3 Eclairement des surfaces avoisinantes Le rapport des claireme
82. face est la luminance en cd m2 Le contraste entre 2 surfaces s exprime simplement par le rapport des luminances des 2 surfaces L et L avec L la luminance la plus lev e si Li L lt 3 la situation est id ale lt 10 la situation est acceptable gt 10 la situation est am liorer La temp rature de couleur indique la qualit chromatique de l clairage e 2700 lumi re blanche tr s chaude rouge e 3000 lumi re blanche chaude rouge tre e 4000 lumi re blanche fra che blanche e gt 5000 K lumi re blanche proche de la lumi re de jour dite froide bleu tre L indice de rendu des couleurs de 0 100 exprime la qualit d une lumi re rendre les couleurs de la m me fa on que la lumi re du jour e Ra 91 100 excellent e Ra 81 90 bon e Ra 51 80 moyen e Ra lt 51 m diocre 115 FICHE 36 ECLAIREMENTS SOUHAITABLES 1 Eclairement de la tache e Le tableau 1 donne les clairements minimaux exig s par la R glementation du Travail en Belgique en fonction du degr de perception requis par la t che Nature du travail Eclairement Exemples de travaux correspondants minimal lux Perception g n rale 50 Sites int rieurs couloirs escaliers lieux de passages Perception l g re des 100 Travaux grossiers et intermittents inspection et comptage d tails de pi ces Perception mod r e des 200 Assemblage m canique et v rification de pi ces d tails moyennes Perception ass
83. g ne 3 Bouches de pulsion e emplacement densit proportionnelle la densit du personnel et des sources de chaleur e politique de r glage continu saison semaine jour heure d but fin e point de consigne r vision de la politique de r glage 4 Ordre de grandeur des temp ratures durant les p riodes o plaintes de SBS mesurages en continu par thermohygrographe FICHES 7et 25 mesurages ponctuels pendant p riodes repr sentatives e homog n it spatiale viter les carts sup rieurs a 2 C entre postes de travail et entre locaux e homog n it verticale mesurages ponctuels FICHES 7 et 25 10 60 110 cm de hauteur si sujets assis 10 110 170 cm de hauteur si sujets debout gradient maximal de temp rature de 2 C par m tre de hauteur revoir l isolation du sol et du plafond revoir le syst me de chauffage si par le sol ou le plafond e temp rature du sol par sonde de contact en diff rents points du sol temp rature id ale gt 21 C revoir isolation du sol revoir le syst me de chauffage si par le sol 37 D Etude de la situation int rieure sous l angle climat Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s L L LA L ll Humidit de l air FICHE 24 1 Sources internes d humidit e machines nombre emplacement quantit capotage avec vacuation de l humidit limination des missions e pe
84. gimes de pression et des circulations d air dans le b timent de mani re garder les d pressions locaux polluants et surpressions locaux sensibles e peut modifier le r gime des pressions vis vis de l ext rieur et entra ner l entr e d air non trait e peut d placer le probl me si l augmentation de la ventilation dans un local entra ne une r duction dans un autre local 3 Confinement des polluants e Confiner physiquement les machines ou locaux e portes closes fentes bouch es e v rifier les espaces au dessus des faux plafonds e Installer une aspiration locale sp ciale pr s des sources ou dans les locaux polluants e avec rejet direct l ext rieur e sans recirculation e couper le syst me de ventilation g n rale dans les locaux concern s e atout le moins couper les bouches de reprise d air e pr voir des entr es d air de remplacement suffisantes pour les d bits a extraire e Ma triser strictement le r gime de pression avec les locaux voisins et donc les circulations d air e Localiser les occupants pr s des bouches de pulsion ou vice versa en portant une attention particuli re ne pas cr er de courant d air source de g ne 63 FICHE 10 EXEMPLE DE CAHIER DE MAINTENANCE MICROBIOLOGIQUE D UNE INSTALLATION DE TRAITEMENT D AIR Un suivi sp cifique des installations de traitement d air dans les b timents est indispensable pour produire un air de qualit sur le plan micr
85. i ge de d veloppements internes de moisissures tr s sp cifiques mais galement servir de support aux spores de moisissures de bact ries et autres particules provenant de l ext rieur chaussures par exemple non entretenus ou mal entretenus elles peuvent se r v ler parfois tr s contamin es Entretien des moquettes aspiration au minimum une fois par semaine bureaux avec plus d insistance dans les lieux de passage et dans les lieux de rassemblements photocopieuse percolateur dans des lieux particuliers un r fectoire par exemple une aspiration quotidienne est conseill e l e choix du mat riel d aspiration est tr s important puissance Il en va de m me pour les produits d entretien utilis s FICHE 17 Contr le et maintien de l humidit de l air en dessous de 55 e Contr les microbiologiques a faire r aliser une fois par an ou en cas de pathologies signal es avec recherche dans la poussi re de moquettes des germes suivants moisissures m sophiles moisissures x rophiles moisissures tr s x rophiles moisissures thermophiles bact ries totales 25 et 37 C taux d endotoxines 3 Le mobilier e L empoussi rement des meubles peut tre ma tris par des nettoyages fr quents et r guliers minimum une fois par semaine Afin de faciliter ce nettoyage on vitera toute surcharge du mobilier avec des dossiers Les fauteuils avec un rev tement en tissus doivent
86. icides dans les zones affect es avec traitement minimal des surfaces expos es aux occupants selon les proc dures d crites par le fabricant par une firme sp cialis e apr s notification tr s explicite aux occupants avec a ration locale apr s usage et avant l arriv e des occupants sans contamination du syst me HVAC et du reste du b timent couper la ventilation dans l espace trait l utilisation p riodique g n rale de pesticides titre pr ventif n est pas recommand e nese justifie pas si les m thodes pr ventives ont correctement t mises en uvre SSH S S 86 FICHE 20 ECHANTILLONNAGE DE L AIR 1 A quel moment de la proc dure d analyse d un probleme de SBS e apr s la derni re tape d investigation consistant a observer rep rer les malfonctionnements et apporter les rem des imm diats e lors de la seconde ANALYSE et de la troisi me EXPERTISE tape d investigation pour l identification des probl mes moins vidents et la recherche de solutions 2 Remarque e les mesurages ne sont en g n ral pas n cessaires pour r soudre les probl mes e alors que des mesurages de base peuvent tre r alis s assez syst matiquement les mesurages sp cialis s ne seront qu occasionnels et d ment justifi s 3 Objectifs e comparer diff rentes zones du b timent pour confirmer la nature du probl me tablir la situation de base e valuer les missions
87. ifs liminer les poussi res en particulier les allerg nes et gaz pour am liorer la qualit de l air prot ger les lieux de travail contre les salissures prot ger les parties m caniques du syst me HVAC 3 Remarque la filtration n est efficace au mieux que pour les poussi res et gaz en suspension dans l air elle est donc inefficace contre les poussi res se d posant de pr f rence sur les plans et surfaces de travail telles que pollen poussi res de maisons d chets d acariens ainsi la filtration est r put e tre peu efficace pour la pr vention des maladies allergiques et asthmatiques si les allerg nes ont p n tr le b timent seul un syst me central avec filtration de tout le volume d air neuf peut s av rer efficace cet gard 4 Performances des filtres poussi res particules e facteurs influen ant les performances du filtre 0 masse et caract ristiques des particules diam tre forme nature du filtre d bit d air trait par rapport aux caract ristiques du filtre pr vues par le fabricant entretien caract ristique de perte de rendement en fonction de la charge de particules collect es e facteurs influen ant les performances pour les occupants d bit trait par rapport au volume d air et aux volumes des locaux a traiter court circuit au niveau du filtre 5 Types de filtres poussi res particules e filtres m caniques
88. informations venant de l ordinateur et celles fournir par l utilisateur indication des erreurs ou localisation directe par double luminance de l endroit o est l erreur m moire de quelques pages 126 e possibilit s d autocorrections autres qu imm diates e possibilit s de choix de proc dures ordre al atoire des entr es 127 FICHE 41 RECOMMANDATIONS CONCERNANT L ECLAIRAGE L clairage doit tre tel que soient assur s e la s curit visuelle e les performances visuelles en fonction des exigences de la tache e le confort visuel avec une sensation de bien tre Pour ce faire les param tres suivants sont a consid rer le niveau d clairement la diffusion et l uniformit de cet clairement l absence d blouissement la qualit de la lumi re son rendu des couleurs les couleurs des surfaces la contribution de la lumi re du jour e l entretien 1 L clairement souhaitable FICHE 36 2 Diffusion de la lumi re e L clairage direct 90 ou plus vers la surface e risque d tre plus blouissant e donne lieu a des zones d ombres tr s tranch es e convient pour les talages salles d exposition e L clairage indirect 90 r fl chi par les surfaces e donne lieu trop peu de zones d ombre et donc de relief e co te cher e convient pour des applications sp ciales e L clairage mixte 75 vers le bas 25 en indirect e donne lieu aux contrastes et au relief op
89. inomyc tes suivant les esp ces ces valeurs sont fournies et utilis es par le laboratoire de mycologie de l ISP et ne peuvent pas tre extrapol es des r sultats obtenus avec d autres protocoles d analyses et de pr l vements e Analyses microbiologiques approfondies un bilan annuel est conseill ou en cas de pathologies signal es ce bilan doit tre int gr un examen approfondi de l ensemble de l installation et du b timent tout entier voir galement FICHE 16 l examen de l humidificateur comprend des analyses d eau et de surfaces les organismes suivants et leurs toxines sont recherch s de mani re approfondie bact ries totales et sp cifiques thermoactinomyc tes fonge totale et sp cifique endotoxines ATP protozoaires et microfaune 2 Les filtres FICHE 14 e V rifier si le type de filtres correspondant une efficacit d finie a t choisi en fonction de l usage pour lequel on le destine Pas de filtre ou uniquement des filtres proscrire pour des bureaux de type EU1 EU4 pose de filtres plus performants en fonction de l activit de travail et de la puissance de l installation Filtres de type EU5 F40 50 pour les bureaux ce sont les EU7 80 85 EU6 F65 d efficacit opacim trique les plus utilis s EU7 F85 pour ce type d environnement EU8 9 F95 Filtres de type EU10 a EU14 filtres a tr s haute efficacit pour salles sp ciales
90. ion e humidit des lieux contr le de l humidit mesurage de la temp rature et de l humidit par thermohygrographe FICHE 7 examen microbiologique des archives de l air ambiant e tat des documents revoir le classement 15 Les fumeurs FICHE 15 e politique d finition d une politique de gestion du tabagisme e nombre de fumeurs campagne de sensibilisation e cendriers nettoyage politique de nettoyage vacuation dosage CO CO2 dans l air FICHE 21 filtres charbon actif 16 Les humidificateurs internes avec r servoir FICHE16 e emplacement nombre amp r duction progressive et remplacement par une technique d humidification plus saine e propret en attendant nettoyage syst matique avec d sinfectant tude microbiologique 17 Coins cuisine caf e emplacements e propret politique de nettoyage e d chets vacuation poubelles 36 D Etude de la situation int rieure sous l angle climat Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s Temp rature de l air 1 Sources internes de chaleur e machines nombre emplacement puissance Capotage avec vacuation de la chaleur r duction de la puissance install e e personnel densit r partition r partition homog ne amp r duction de la densit 2 Sources de chauffage convectif radiateurs e emplacement sous les fen tres r partition homo
91. iser de pr f rence des caract res fonc s sur fond clair 2 Qualit de l cran Astigmatisme et focalisation les points formant les caract res doivent tre ronds et pr cis sinon flou et difficult d interpr tation Lin arit la forme des caract res leur grandeur et leur alignement doivent tre les m mes quel que soit l emplacement sur l cran Luminance des caract res la m me en tout point de l cran e Chargement continu de l cran sans clignotements Stabilit de l image Absence de rayons X e S curit r sistance m canique raccordement lectrique Luminances de fond et des caract res e contraste 5 1 3 1 entre caract res et fond e possibilit de r glage s par de la luminance des deux 3 Caract ristiques des accessoires Clavier AZERTY 123 e Souris J largeur inf rieure a 42 cm soit l cartement normal des coudes plat ou l g rement incurv ou inclin de 7 9 paisseur au centre environ 3 cm couleurs claires et mates les touches deviennent l usage brillantes les rendre mates au moyen de sticks en fibres de verre lettres grav es noires sur fond clair trois ensembles de touches de couleurs pastel diff rentes clavier alphab tique clavier num rique et touches fonctions rep res grav s sur certaines touches pour permettre la frappe l aveugle claviers lectroniques requ rant une pression et des d placements r duits Un
92. iser la participation du personnel dans l investigation En informer et impliquer directement le Comit de P r vention et de P rotection et ou les repr sentants des travailleurs Informer clairement compl tement et imm diatement le personnel des r sultats des investigations des actions qui sont envisag es des tapes qui seront parcourues Lutter ainsi efficacement contre le d veloppement de rumeurs qui pourrissent le probl me Il est conseill de constituer un groupe de travail dirig par le coordinateur d fini au point 3 et regroupant des membres du personnel concern de la direction et de la gestion du b timent Faire de m me avec les m dias si ces derniers sont inform s Neutraliser le risque d informations erron es de source s re en donnant une information claire et directe D signer une seule personne pour ces contacts Ne pas se pr cipiter vers LA solution qui r soudrait d finitivement le probl me Les probl mes de SBS ayant la plupart du temps des causes multiples attendre les conclusions d ensemble pour pr senter les actions envisag es Des conclusions pr matur es et erron es font perdre toute cr dibilit et jettent la suspicion Si malgr toutes les actions techniques le probl me subsiste et ou qu un diagnostic de stress est port en assumer la responsabilit en recherchant les causes et en cherchant les liminer 12 9 Garantir l anonymat lors d
93. it lumineuse dans toutes les directions Exemple Classe BZ 2 Classe BZ 5 e En pratique plus la distribution est grande lat ralement plus le risque d blouissement par vision directe est lev e pour des bureaux BZ lt 4 e en industrie BZ lt 7 e travail devant cran BZ lt 3 e Au contraire les luminaires de classe faible peu divergents sont susceptibles de donner lieu un clairement non uniforme sur tout le local s ils sont trop espac s les uns des autres 122 FICHE 40 TRAVAIL SUR ORDINATEUR La fiche concerne non seulement les PC standard mais tout poste de travail avec cran non standard 1 Caract ristiques de l cran Diagonale 14 15 17 Largeur variable de 16 40 cm en g n ral 21 cm Hauteur variable de 4 35 cm en g n ral 15 cm Nombre de lignes 6 80 moyenne 24 Nombre de caract res par ligne 20 80 moyenne 80 soit en g n ral 1920 caract res sur l cran Forme des caract res matrice de 5 x 7 points ou de 7 x 9 points ce qui donne une impression de ligne plus continue Dans tous les cas la hauteur minimale des caract res doit tre gale 3 mm la distance verticale 0 5 1 fois la hauteur et la distance horizontale 0 25 0 5 fois cette hauteur Eviter e la couleur rouge pour le fond de l cran et les caract res la couleur bleue pour les caract res plus de 4 couleurs diff rentes sauf dans les applications de CAO Util
94. l int rieur d un local e caract ris s par leur coefficient d absorption a a 0 rien n est absorb et tout le bruit est r verb r Exemple b ton lisse a 100 tout est absorb Exemple porte ouverte e l absorption est en g n ral meilleure hautes fr quences il est donc plus facile de r duire les bruits aigus que les bruits graves 2 Types de mat riaux absorbants e Mat riaux absorbants poreux laine de verre de roche mousses plastiques bois expans e caract ris s par une tr s haute absorption hautes fr quences une absorption nettement plus faible basses fr quences e l absorption basses fr quences peut tre augment e en utilisant des panneaux poreux semi rigides plac s 20 40 cm de la paroi arri re c est le cas en g n ral de faux plafonds acoustiques e Mat riaux membranes et r sonateurs panneaux l gers en bois verre m tal e caract ris s par une faible absorption hautes fr quences une absorption plus lev e basses fr quences e Mat riaux membranes recouverts d un mat riau poreux e caract ris s par une absorption plus gale toutes les fr quences e Remarque le li ge n est pas un tr s bon mat riau absorbant Il sera utilis principalement sous les machines pour liminer la transmission des vibrations au sol mat riau r silient 103 3 Coefficients d absorption de mat riaux classiques
95. l mentaire du bruit de fond ne peut tre obtenue que par traitement des sources de ce bruit de fond e Sources internes photocopieuses e localisation l cart des postes de travail e choix d un mat riel moins bruyant e traitement acoustique circonstanci e Bruit de ventilation e am lioration des bouches de sortie de mani re viter la cr ation de bruit de turbulence sur les ailettes e traitement acoustique INTERNE des gaines d air de mani re a r duire la propagation du bruit du ventilateur REFERENCES 1 Malchaire J 1994 Programmes de conservation de l audition organisation en milieu industriel Masson Paris p 35 107 FICHE 31 MATERIAUX ISOLANTS ACOUSTIQUES 1 D finition e Un mat riau isolant emp che le bruit de passer d un local l autre e L isolement entre deux locaux est l att nuation du bruit d un local l autre II varie en fonction de l ensemble de la structure et de tous les mat riaux s parant les deux locaux e L affaiblissement acoustique est une caract ristique intrins que d un mat riau e L isolement entre deux locaux est fonction e de l affaiblissement des mat riaux de la paroi commune de celui des mat riaux des parois lat rales des surfaces de ces parois lat rales et de la paroi commune du type de raccordement entre ces parois de l homog n it des surfaces pr sence de portes fentes trous l ments faibles 2 Affai
96. l of Occupational Medicine 28 1 42 45 Apter A Bracker A Hodgson M Sidman J Leung Wing Yan 1994 Epidemiology of the sick building syndrome J Allergy Clin Immunol 94 277 288 Baker D 1989 Social and organisational factors in office building associated illness In Cone J E Hodgson M J eds Problem buildings building associated illness and the sick building syndrome Occupational Medicine State of the Art Reviews 4 4 607 624 Blair C H 1996 Legionella makes a comeback Twenty years after killing 34 conventioneers at a Philadelphia hotel legionnaires disease is worrying health officials again Occupational Health and Safety 65 9 67 69 Boxer P A 1990 Indoor air quality A psychosocial perspective ournal of Occupational Medicine 32 5 425 428 Burge H A Hoyer M E 1990 Indoor air quality App Occup Environ Hyg 5 2 84 93 CEN Draft 1993 Ventilation for buildings Design criteria for the indoor environment pp 60 Caisse nationale suisse d assurance en cas d accidents 1991 S curit au travail Humidification de l air C N A pp 8 Goyer N Nguyen Van Hiep 1989 Strat gie d tude de la qualit de l air dans les difices bureaux Institut de Recherche en Sant et en S curit du Travail du Qu bec pp 34 Jaakkola J J K Miettinen P 1995 Ventilation rate in office buildings and sick building syndrome Occupational and Environmental Medicine 52 709 714 Jaakkola J
97. la ventilation FICHE 10 Exemple de cahier de maintenance microbiologique d une installation de traitement d air FICHE 11 Entretien microbiologique d une installation de traitement d air FICHE 12 Sources int rieures et ext rieures de pollution FICHE 13 Ma trise des sources de pollution nuisance FICHE 14Filtres de poussi res et de gaz FICHE 15 Pollution par agents chimiques FICHE 16 Entretien microbiologique de l espace de travail FICHE 17 Moquettes FICHE 18 R novation du b timent ou constructions voisines FICHE 19 Gestion du probl me de vermine FICHE 20 Echantillonnage de l air FICHE 21 Interpr tation des mesurages FICHE 22 R glementation concernant les conditions climatiques 40 40 40 41 41 42 42 42 42 43 44 44 44 44 46 46 46 46 FICHE 23 Indices de confort thermique FICHE 24 Caract risation de l humidit de l air Diagramme psychrom trique 98 FICHE 25 Mesurages des parametres climatiques FICHE 26 Rayonnement thermique FICHE 270rdres de grandeur de niveaux sonores FICHE 28 Crit res de confort acoustique FICHE 29Mat riaux absorbants acoustiques FICHE 30 Temps de r verb ration ts am lioration de l acoustique interne d un local FICHE 31Mat riaux isolants acoustiques FICHE 32Am lioration de l isolement acoustique FICHE 33 Appareils de mesurage du bruit FICHE 34 Mesurage du niveau de bruit FICHE 35 Unit s d clairage FICHE 36Eclairements souhaitables FICHE 37Eblouissement
98. lante rendre les surfaces mates d placer les surfaces brillantes hors du champ visuel 8 Travail sur cran FICHE 40 e position des crans les positionner parall lement et l cart des fen tres e reflets identifier et supprimer toute source lumineuse se r fl chissant sur l cran modifier l emplacement de l cran ou de la source e luminance de voile liminer toute r flexion diffuse sur l cran e qualit amp choisir des crans avec r glage des luminances des caract res et du fond s par ment former les travailleurs 45 F Etude de la situation int rieure sous l angle clairage Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s e uniformit FICHE 41 le rapport entre les luminances moyennes de l cran et des Surfaces avoisinantes doit tre inf rieur a 10 et id alement a 3 mesurage des luminances respectives r gler la luminance moyenne de l cran ou celle des surfaces amp utiliser des teintes de forces peu pr s identiques dans le champ visuel de travail e entretien propret 46 G Etude de la situation int rieure sous l angle facteurs physiques divers Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 1 Electricit statique e d clenchement d ordinateur e d charge lors d un contact m tallique mesurage de l humidit de l air amp augmentation de l humi
99. le personnel dans les zones o existe un probleme de SBS e Recueillir les avis du personnel sur les causes possibles ou les l ments qu il estime devoir tre modifi s e Resituer ces plaintes sympt mes et avis dans le contexte de travail Il PAR QUI e Parune personne qui a la confiance de toutes les parties e de l employeur et des responsables techniques quant son objectivit e du personnel quant son objectivit et sa confidentialit e qui saura faire la synth se des donn es et participer activement au groupe de travail g rant le probl me de SBS lll COMMENT e En recueillant aupr s du personnel collectivement ou individuellement au cours d un interview les informations ci apr s 18 A Liste de contr le des informations a recueillir PAR PERSONNE 1 Caract ristiques personnelles e Sexe e Age e Anciennet dans l entreprise e Anciennet dans la zone avec SBS e Localisation de l emplacement principal de travail sur le plan du b timent e Fumeur NON O oul O e Niveau hi rarchique Ouvrier O Employ O Cadre inf rieur O Cadre sup rieur O e Pr sence dans le b timent lt 50 O gt 50 O e Histoire personnelle d ecz ma allergie rhinite ou asthme nule O l g re O importante O 2 Circonstances d apparition du SBS 3 Sympt mes Ne noter que les sympt mes occasionnels parfois et fr quents souvent dont la personne se plaint spontan ment et pr ciser si la g ne qu elle prouve
100. let formulaire ISP Mycologie 963 sert indiquer toutes les op rations maintenance r parations arr t du groupe de pulsion La date et le nom de l op rateur y sont galement consign s 64 PLANNING DE MAINTENANCE MICROBIOLOGIQUE Formulaire ISP Mycologie 961 Type de filtres Remplacement des filtres pr vu les Nettoyage caissons ventilateurs et batteries pr vu les Nettoyage gaines principales pr vu les Nettoyage bouches pulsion pr vu les Nettoyage jectoconvecteurs pr vu les Autre gt Z 2 Type humidificateur Pr sence adoucisseur St rilisateur UV s utilis s lt ke D Q D Q D g S D O 2 D sinfection en continu ou par doses quantit s de produits et fr quence Mesure de la conductivit de l eau pr vue les Mesure de l appoint en eau pr vue les Autre Autre Autre Date de remise en route de l humidification Date de l arr t de l humidification Nettoyages pr vus les D sinfection par chloration pr vue les D sinfection par autre s biocide s indiquer le s noms s pr vue le Nettoyage filtre UV pr vu les Autre Autre Contr les microbiologiques et physico chimiques de routine de l eau pr vus tous les Nombre d analyses sp cifiques de l eau pr vues au hasard pendant la saison de chauffe Contr le microbiologiques annuel complet pr vu le 65 FICHE 11 ENTRETIEN MICROBIOLOGIQUE D U
101. liser les directions des entreprises au co t que cela repr sente e Le co t du traitement des b timents et donc de la pr vention est relativement facile valuer frais d tudes am liorations techniques frais d entretien et de surveillance e Par contre le co t de l absence de pr vention reste discutable productivit r duite absent isme accru indemnisation des victimes frais d assurances soins de sant support s par la collectivit d pr ciation de la valeur du b timent L pisode du Berlaimont Bruxelles contribuera peut tre faire changer les choses Quoiqu il s agisse en 1997 d un probl me d amiante essentiellement ce b timent tait connu bien avant la d couverte de l amiante pour ses probl mes climatiques chimiques d clairage bref ses probl mes de SBS V CLASSIFICATION DES SYMPTOMES DE SBS Les sympt mes du SBS peuvent tre class s en 5 cat gories 1 Les sympt mes affectant les muqueuses et les voies respiratoires sup rieures e irritation s cheresse des yeux du nez de la gorge e picotements des yeux larmoiements congestions nasales e toux ternuements saignements du nez e voix enrou e ou modifi e 2 Les sympt mes affectant le syst me respiratoire profond e oppressions thoraciques respirations sifflantes asthme essoufflements 3 Les symptomes affectant la peau e s cheresse d mangeaisons ruptions 4 Les sympt mes affectant le syst me ner
102. lit de l air mais leur utilisation ne doit pas inciter la n gligence e L ajout de charbon actif peut galement am liorer la qualit de l air pollu par la fum e de cigarette ou par certains produits organiques volatils produits entre autres par de nouveaux mat riaux 10 Contr les microbiologiques bilan annuel e e bilan permet de contr ler visuellement et l aide de pr l vements microbiologiques sp cifiques l ensemble de l espace de travail du b timent ainsi que l installation de traitement d air FICHE 11 e Ce bilan est r aliser une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es et de plaintes e En plus d un examen visuel minutieux ce bilan repose sur des analyses climatiques et des analyses microbiologiques de l air des surfaces des poussi res de moquettes du terreau des plantes vertes des archives etc 11 Informations e ISP Institut Scientifique de la Sant Publique Louis Pasteur Section Mycologie 14 rue Juliette Wytsman B 1050 Bruxelles Chef de Section Dr N Nolard T l 02 642 55 17 Personnes contacter air conditionn Dr C Chasseur 02 642 55 10 amp Mme A M Verhaegen 02 642 51 24 laboratoire REFERENCES 1 Anonyme 1983 Respiratory illness associated with carpet cleaning at a hospital clinic Virginia MMWR 32 29 378 384 2 Beguin H Nolard N 1996 Prevalence of fungi in carpeted floor environment analysis of dust samples f
103. lles Cosm tiques Activit g n rale d placement papier gaz poussi res Archives poussi res microbes 6 Accidents e Incendie gaz poussi res e Fuites d eau microbes 70 FICHE 13 MAITRISE DES SOURCES DE POLLUTION NUISANCE 1 Priorit e Premi re m thode de pr vention am lioration envisager e M thode la plus efficace e M thode la moins co teuse long terme 2 Elimination ou r duction des sources e Interdire ou limiter la tabagie des zones pourvues d une ventilation sp ciale sans recyclage de l air e Choisir des machines mat riaux g n rant moins de pollution nuisance photocopieurs imprimantes sources de chaleur sources de bruit sources lumineuses moins divergentes e Relocaliser les machines mat riaux g n rateurs de pollution nuisance dans des zones inoccup es mieux ventil es sans recirculation de lair al cart Modifier la r partition du personnel dans les espaces de travail e Am liorer le stockage des produits polluants Etanch iser avec un produit non polluant lui m me tout mat riau susceptible d mettre des gaz polluants tels que compos s organiques volatiles formald hyde e Eliminer toute source d humidit pouvant conduire au d veloppement de microbes et d insectes 71 FICHE 14 FILTRES DE POUSSIERES ET DE GAZ 1 Priorit deuxi me priorit apr s ma trise vigoureuse des sources FICHE 9 2 Object
104. m e L effet est susceptible d tre ruin si les deux plaques sont solidaris es par des supports rigides ponts acoustiques 109 FICHE 32 AMELIORATION DE L ISOLEMENT ACOUSTIQUE 1 Perte d affaiblissement par des fentes trous Il est indispensable de supprimer ou de r duire au minimum les trous les fentes ou les l ments de faible affaiblissement les passages de canalisation en particulier de gaines de conditionnement d air les bo tes lectriques les fentes autour des portes et fen tres les espaces derri re les chambranles de portes Il faut donc soigner la FINITION Ces fentes et trous doivent tre colmat s avec des mat riaux isolants b ton pl tre et non des mat riaux absorbants 2 Vitrages simples et doubles Le vitrage simple est de poids par m trop faible paisseur 3 5 mm que pour donner des affaiblissements sup rieurs 30 dB 500 Hz Le vitrage double thermique offre peu d avantages du fait d une paisseur de l espace interm diaire limit e 10 12 mm Les ch ssis le poids total et l herm ticit des vitrages doubles sont cependant tels que les isolements acoustiques sont nettement meilleurs Un isolement important sera obtenu par un survitrage c d deux ch ssis simples espac s de 10 15 cm pour constituer une paroi double Des vitrages acoustiques sp ciaux sont galement disponibles 3 Portes Les portes ordinaires en nid d abeill
105. n du syst me HVAC IV Politique d entretien des locaux V Politique de r novation VI Politique d inspection g n rale du b timent B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air ono uuu BR BPWNON YN FF Pe 10 10 11 14 14 14 15 17 19 20 20 20 20 21 21 21 23 l Ventilation naturelle Il Ventiloconvecteurs Ill Ventilation forc e par pulsion et chauffage IV Ejectoconvecteurs V Humidificateur avec bac r colteur d eau VI Humidificateur a vapeur VII Bouches de pulsion Plenum VIII D bits IX Reprises d air dans les locaux X Recyclage d air XI Chaudi res XII R cup rateurs de chaleur XIII Tours de refroidissement XIV R gime de pression entre les locaux XV Syst me de r gulation du HVAC C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution 1 Les locaux 2 Le milieu ext rieur 3 Les plafonds faux plafonds 4 Les murs et parois 5 Les sols 6 Les fen tres 7 Les peintures 8 Les postes de travail 9 Le mobilier 10 Les appareils polluants imprimantes photocopieuses ou autres machines 11 Les plantes vertes 12 Les bacs a d chets 13 les documents 14 L archivage 15 Les fumeurs 16 Les humidificateurs internes avec r servoir 17 Coins cuisine caf D Etude de la situation int rieure sous l angle climat I Temp rature de l air Il Humidit de l air Ill Rayonnement thermique IV Vitesse de l air V J ugem
106. n hiver REFERENCES 1 Norme ISO 7726 1998 Ambiances thermiques appareils et m thodes de mesure des caract ristiques physiques de l environnement Organisation internationale de Normalisation Gen ve x x 95 FICHE 25 MESURAGES DES PARAMETRES CLIMATIQUES 1 Temp rature de l air ta C e Mesurages qualitatifs e au moyen d un thermohygrographe ou datalogger plac au poste de travail pendant 1 2 semaines tudier les variations au cours du temps d terminer une p riode repr sentative pour les mesurages quantitatifs e Mesurages quantitatifs e au moyen d un thermom tre mercure d un appareil lectronique ou d un psychrom tre talonn s e plac au poste de travail 1 5 m de hauteur en cartant les travailleurs e abriter le capteur du rayonnement soleil e attendre la stabilisation de l appareil 3 5 min pour un psychrom tre 8 10 min pour un thermom tre mercure quelques secondes 10 min pour un appareil lectronique e pr cision souhait e 0 2 C entre 10 et 30 C 0 5 C en dehors 2 Humidit relative de l air HR e Mesurages qualitatifs e au moyen d un thermohygrographe ou datalogger plac au poste de travail pendant 1 2 semaines tudier les variations au cours du temps d terminer une p riode repr sentative pour les mesurages quantitatifs e Mesurages quantitatifs e de l humidit relative HR avec un hygrometre placer l appareil au
107. nctionnement remise en tat e points de consigne v rification par rapport aux valeurs souhait es FICHE 9 en d bit en temp rature en humidit e r glage du temps amp programmation temporelle fonction des temps d occupation du b timent 30 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s En g n ral FICHES 5 21 1 Les locaux FICHE 4 age histoire r novation restructurations tat g n ral de v tust r novation g n rale utilisation de peintures et produits non toxiques plan orientation Nord Sud Est ou Ouest densit de personnes et d quipement par rapport aux densit s pr vues initialement revoir la r partition tude des locaux polluants FICHE 6 2 Le milieu ext rieur sur rue ou jardin si rue intensit du trafic pollution ambiante sijardin v g tation proximit type risque allergique propret l ext rieur politique de nettoyage poussi res caract risation des poussi res d chets d oiseaux aux niveaux des fen tres amp rendre impossible l acc s 3 Les plafonds faux plafonds nature plafonnage panneaux fibres pr sence de taches d humidit amp liminer les fuites d eau surveiller l isolation thermique mesurage de l humidit relative et de la temp rature FICHE 7 viter les condensations remplacement
108. ns abaisser la vitesse moyenne d autant plus que les fluctuations sont importantes V J ugement global 1 V tement e isolement en clo ajuster les v tements et former le personnel de sorte que les v tements soient perm ables la vapeur isolement 0 9 clo en hiver et 0 6 clo en t sugg rer des possibilit s d adaptation comportementale 2 Activit e s dentaire l g re moyenne lourde FICHE 22 r duire au minimum la charge de travail 3 Estimation du confort thermique FICHES 22 et 23 calcul PMV PPD par programme informatique e objectif 0 5 lt PMV lt 0 5 PPD lt 10 amp recherche de modifications apporter tous les param tres pour atteindre l objectif temp rature humidit rayonnement vitesse d air v tements 40 E Etude de la situation int rieure sous l angle bruit Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 1 Crit res niveaux de bruit de fond FICHE 28 mesurage du bruit de fond en dB A 2 Bruits ext rieurs FICHE 27 e bruit de fond FICHES 28 et 32 jsolement acoustique des portes et fen tres placement de vitrage double limination des fentes par placement de joints en caoutchouc fermeture automatique des portes vers l ext rieur essais d isolement au bruit a rien e pr sence de sons purs recherche de causes particuli res 3 Bruits dus la ventilation FICHE 30 e bruit de fond d au ventilateur
109. ns d ozone et ou solvants amp localiser dans un local s par sinon tudier la possibilit d une aspiration locale directement vers l ext rieur e v tust remplacement e propret politique d entretien e nombre encombrement revoir la localisation amp envisager un local sp cial s par e emplacement par rapport aux bouches de pulsion et de reprise placer les appareils le plus pr s possible des bouches de reprise le plus loin possible des bouches de pulsion 11 Les plantes vertes FICHE 16 e emplacement nombre r duire et mieux localiser e nature toxicit plantes non toxiques et ou allergisantes e qualit de l entretien entretien syst matique eau terreau 12 Les bacs d chets FICHES 15 et 16 e nombre e nature des d chets s paration des d chets organiques e propret politique d entretien fr quence d vacuation nettoyage 13 Les documents e nature papier ordinaire calques choix de papier e v tust des documents remplacement 34 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 35 C Etude de la situation int rieure sous l angle pollution Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 14 L archivage FICHE 16 e tat des lieux d archivage nettoyage a rat
110. nts de la t che et des alentours devrait tre e id alement lt 1 5 e en pratique lt 3 e au maximum 10 REFERENCES 1 R glement g n ral pour la Protection du Travail Minist re de l Emploi et du Travail Articles 59 62 Eclairage 2 ISO 8995 1997 Ergonomics of the visual environnant The lighting of indoor work systems International Standard Organisation Geneva 117 FICHE 37 EBLOUISSEMENTS On distingue 3 types d blouissement 1 Eblouissement direct Causes e une zone tr s lumineuse se trouve dans ou la p riph rie du champ de vision e en g n ral lampe source de lumi re surface brillamment clair e par un spot ou le soleil fen tre e la vision de la t che en est perturb e et le sujet a tendance plisser et avoir mal aux yeux Rem des e dans le cas d une source de lumi re la supprimer si elle n est pas indispensable la sortir du champ visuel en changeant l emplacement de la source ou la position de travail la remonter de sorte qu elle se trouve a plus de 45 de l horizontale par rapport au sujet la dissimuler derri re un cache opaque lui m me peint en blanc et non en noir la placer derri re un cache tr s diffusant de mani re en diminuer la luminance e dans le cas d une surface tr s lumineuse supprimer l clairement de cette surface s il n est pas indispensable r duire la luminance de la surface en r duisant l
111. obiologique C est une maintenance inad quate ou parfois m me absente qui est l origine de pollutions microbiologiques trop souvent rencontr es au cours des enqu tes r alis es dans les b timents Afin d aider au mieux les responsables de l entretien de ces installations le laboratoire de Mycologie de l ISP a labor un cahier de maintenance microbiologique Celui ci permet la fois de suivre les diff rentes tapes d entretiens sp cifiques et d en valuer l efficacit sur le plan microbiologique Une m thode de d sinfection de l eau d humidification ainsi qu un planning des contr les microbiologiques et physico chimiques de l eau r aliser sont entre autres propos s Les autres niveaux de l installation et de l espace de travail les plus sensibles sont galement signal s Ce cahier de maintenance est divis en 3 volets compl mentaires qui sont remplir en fonction du type d installation 1 Le premier volet formulaire ISP Mycologie 961 permet de faire le point en ce qui concerne l quipement de l installation de l entretien actuel et futur Les points sensibles sont mis en vidence et le planning des op rations et contr les microbiologiques de base sera d fini 2 Le deuxi me volet formulaire ISP Mycologie 962 renseigne sur les analyses d eau d humidification effectuer r guli rement lorsque l installation est quip e d un humidificateur avec bac r colteur d eau 3 Le troisi me vo
112. on isolement thermique en clo j complet veston cravate 1 clo tenue d hiver sans veston 0 9 clo chemise longue cravate 0 8 clo chemise courte sans cravate pantalon l ger 0 6 clo tenu short T shirt 0 5 clo il est d termin en fonction du m tabolisme de l isolement vestimentaire et des quatre param tres climatiques ta tr th Va Le PPD Predicted Percentage of Dissatisfied est un indice qui pr dit quantitativement le pourcentage de personnes insatisfaites car trouvant l ambiance thermique trop chaude ou trop froide et qui voteraient 3 2 2 3 La figure ci dessous donne la correspondance entre les indices PMV et PPD 92 100 90 80 70 60 50 PPD 40 30 20 10 PMV On remarque que dans la situation optimale PMV 0 ni chaud ni froid le taux d insatisfaction est de 5 parmi des personnes connaissant les m mes conditions thermiques et m taboliques le taux d insatisfaction augmente de la m me mani re si le PMV s carte de 0 vers le froid et vers le chaud Valeurs optimales pour obtenir une situation de confort thermique il est recommand que le PPD soit inf rieur a 10 ce qui correspond a un PMV compris entre 0 5 et 0 5 En plus il est recommand que la vitesse de l air reste en dessous de 0 5 m s l humidit relative soit comprise entre 30 et 60 la diff rence de
113. ordinateur 67 V rifier une fois par mois l tat des filtres d chirures humidit dans le caisson de filtration taches suspectes sur la face propre V rifier une fois par an apr s la pose des nouveaux filtres l tanch it des cadres de fixation des filtres Remplacer au minimum une fois par an les filtres de type EU7 g n ralement utilis s dans les bureaux V rifier l tat de propret de l orifice des bouches de prise d air pr sence d oiseaux et de leurs d jections et de la qualit de l environnement ext rieur imm diat proximit d une tour de refroidissement prise d air au niveau du trafic routier dans un parking R aliser des contr les microbiologiques une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 3 Les ventilateurs d extraction et de pulsion e Nettoyer le caisson de pulsion et d extraction aspirations dans le cas de couches d isolants l int rieur eau sous pression avec d tergent si les parois sont m talliques Nettoyer les pales des ventilateurs l eau chaude savonneuse au moins une fois par an siles pales des ventilateurs sont corrod es les remettre en tat ou les remplacer V rifier si le brise gouttelettes est efficace par l absence d eau ou de d p ts blancs de sels dans le caisson de pulsion R aliser des contr les microbiologiques une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies a
114. parkings 5 Anomalies climatiques e temp ratures trop lev es ou trop basses e exposition solaire sans stores e courants d air 6 Anomalies d clairage e clairements trop faibles ou trop intenses e lumi re de mauvaise qualit e reflets sur les objets ou les crans 7 Anomalies de bruits e bruits intenses anormaux sons purs ronflements e ou r verb ration importante 56 FICHE 5 INSPECTION GENERALE DU BATIMENT 1 Objectifs e vue d ensemble du b timent 0 activit s machines locaux e relev des erreurs videntes 0 ventilation facteurs physiques climat bruit clairage e relev de premiers indicateurs 0 Q circulation de l air odeurs propret des locaux et du syst me HVAC les mesurages de temp ratures d clairement de bruit ne sont pas n cessaires ce stade 2 Support e croquis ou plan du b timent dimension r duite e feuilles de relev e tableaux d crits au chapitre IV 3 Proc dure e annonce de l inspection quelques jours l avance de mani re 0 0 e r union a avec 0 0 0 encourager la participation ne pas prendre les personnes au d pourvu assurer que toutes les personnes concern es seront disponibles le responsable technique du b timent le pr venteur de s curit et hygi ne le m decin du travail le responsable du d partement les repr s
115. plut t que de vouloir apprendre au personnel faire face 10 Comme le souligne de nouveau Baker il est donc significatif de parler de facteurs sociaux et organisationnels plut t que de facteurs psychosociaux IX SBS OU HYSTERIE COLLECTIVE Face un probl me de SBS et faute d l ments objectifs susceptibles de justifier les plaintes l hypoth se spontan ment adopt e tant par les directions que par les experts techniques est celle d une r action irrationnelle et exag r e du personnel des probl mes mineurs voire d une invention pure et simple de ces probl mes Comme dit ant rieurement facteurs ambiants et personnels sociaux organisationnels sont clairement imbriqu s et dans de nombreux cas se potentialisent La dynamique d un probl me de SBS suit environ le sch ma suivant 1 certaines des causes possibles de stress professionnel ci dessus existent 2 un l ment d clenchant se produit l apparition d odeurs une maladie soudaine une coincidence telle que deux fausses couches en m me temps Quelqu un formule l hypoth se d un lien entre des probl mes de sant et les conditions de travail au sens large 3 le probleme s amplifie de plus en plus de personnes tablissent un tel lien entre leurs problemes et les conditions qui sont les leurs Des plaintes sont formul es Toute r action de personnes jouissant d un pouvoir employeur autorit experts qui minimise
116. poste de travail 1 5 m de hauteur en cartant les travailleurs abriter le capteur du rayonnement ventuel soleil attendre la stabilisation de l appareil selon le temps de r ponse de l appareil pr cision souhait e 5 1 Le psychrom tre comprend deux thermom tres l un mesurant ta et l autre ta ventil s plus de 2 m s au moyen d un dispositif m canique Le thermom tre indiquant t est recouvert d un manchon en tissu qui doit tre humidifi avant la mesure 96 3 Rayonnement thermique e Temp rature du globe noir ty C e le globe doit avoir un diam tre de 15 cm et tre peint en couleur noire mate e placer l appareil au poste de travail 1 5 mde hauteur e attendre la stabilisation de l appareil apr s 15 30 minutes selon le rayonnement mesurer e apres 15 minutes lire le thermom tre toutes les minutes jusqu stabilisation Le rayonnement doit tre constant durant cet intervalle de temps S il varie le mesurage n a aucun sens et des appareils plus sp cialis s doivent tre utilis s e Temp ratures planes de rayonnement e les temp ratures planes de rayonnement requi rent des appareils et des techniques de mesurages co teux et sophistiqu s qui ne seront pas d crits ici 4 Vitesse de l air Va m s e Seuls les an mom tres fil chaud permettent de mesurer les vitesses inf rieures 0 5 m s rencontr es dans les cas de SBS e placer la sonde au poste de travail
117. r si possible les parois au dela du faux plafond jusqu la structure a d faut pr voir des faux plafonds isolants panneaux lourds horizontaux au dessus de la paroi 5 Gaines de ventilation e Les gaines de ventilation donnent lieu a plusieurs probl mes acoustiques e diminution consid rable de l isolement acoustique de la paroi travers e e propagation du bruit venant du ventilateur e propagation du bruit d un local l autre par mise en vibration de la gaine elle m me e Afin d viter ces probl mes ou de les r duire il convient e de placer les gaines au dessus des faux plafonds e de rendre les faux plafonds isolants par l utilisation de mat riaux lourds e de couvrir l int rieur des gaines d un mat riau absorbant e d faut ou pour des raisons thermiques de couvrir l ext rieur de mat riaux absorbants 6 Isolement au bruit de masse bruit de pas chocs bruit d aux vibrations transmises la paroi e Une paroi en b ton isole parfaitement le bruit de la voix mais transmet tous les bruits de masse e L isolement au bruit de masse s obtient par e des socles antivibratoire en dessous des machines vibrantes silent blocs 0 mat riaux r silients e un rev tement de sol r silient 0 moquette mat riau caoutchouteux e un sol flottant dalle flottante parquet flottant 111 REFERENCES 1 Briel amp Kjaer 1983 R duction du bruit Principes et pratique pp 106 11
118. rcher le lien avec des ph nom nes ext rieurs climat e sympt mes n apparaissent qu une rechercher une cause imm diate telle que foi remplacement de filtre ois l fuite d eau panne e apparition r cente des sympt mes revoir les v nements r cents r novation red coration modification d quipement fuites d eau nouveaux meubles ou moquettes e sympt mes ne disparaissent que probl me li d autres facteurs que le b timent tr s lentement vacances revoir les aspects sociaux et organisationnels 2 Nature des sympt mes Suggestions _inconfort thermique revoir le fonctionnement du syst me HVAC revoir les temp ratures humidit revoir les courants d air ou zones d air stagnant revoir les gains pertes de chaleur par rayonnement e irritation congestion des muqueuses gt SUspecter la pr sence de produits irritants ou et voies respiratoires sup rieures allergiques eee ae revoir la pollution microbiologique revoir la pr sence d allerg nes pollen revoir les sources de gaz irritants formald hyde solvant e oppression essoufflement revoir la pollution microbiologique respiration sifflante voies e revoir la pollution chimique respiratoires inf rieures e maux de t te somnolence apathie revoir la pollution chimique naus es vertiges syst me _ revoir la ventilation g n rale nerveux central e plaintes g n rales sans revoir le
119. rom living rooms bedrooms offices and school classrooms Aerobiologia 12 2 113 120 3 Dybendal T Vik H And Elsayed S 1989 Dust from carpeted and smooth floors Ill Trials on denaturation of allergenic proteins by household cleaning solutions and chemical detergents Ann Occup Hyg vol 34 2 215 229 83 1 Toxicit FICHE 17 MOQUETTES e il n existe pas de preuve d finitive d un lien entre les missions chimiques de la moquette elle m me et les effets sur la sant e il existe un lien manifeste entre la pr sence de moquette et les plaintes sympt mes de SBS e ces plaintes sont attribu es 0 0 aux colles utilis es lors du placement aux produits d entretien a la r tention de poussi res et au d veloppement de micro organismes 2 Recommandations e viter l usage autant que possible de moquettes e sinon rechercher une moquette tr s serr e mettant et retenant peu de poussi res e installation 0 0 0 Q d rouler et a rer dans une zone bien ventil e avant l installation suivre les instructions de pose du fabricant utiliser des colles peu toxiques et d gazage rapide installer en dehors des heures d utilisation et bien avant l arriv e des occupants couper localement le syst me HVAC au moins pour la reprise d air a rer localement avec rejet ext rieur direct pendant 48 72h e nettoyage 0 0 nettoyage la vapeur
120. rsonnel densit r partition r partition homog ne r duction de la densit 2 Humidification d shumidification forc e FICHE 24 e point de consigne revoir le point de consigne 3 Ordre de grandeur de l humidit durant les p riodes o plaintes de SBS mesurages en continu par thermohygrographe FICHES 7 et 25 mesurages ponctuels durant p riodes repr sentatives avec hygrom tres amp humidit relative entre 40 et 60 la temp rature optimale amp r glage de l humidification d shumidification 4 Traces de condensation limination des causes fuites isolation remplacement des surfaces souill es lll Rayonnement thermique FICHE 26 1 Sources de chaleur radiante e nature emplacement puissance traitement des sources isolation crans limination progressive 2 Rayonnement de parois chauffantes tude de la temp rature de surface maximale en fonction des angles d exposition r duction des temp ratures de surface 38 D Etude de la situation int rieure sous l angle climat Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 3 Rayonnement solaire limination par stores ext rieurs ou d faut par stores int rieurs verticaux orientales ou par vitrage sp cial e stores vitrage efficacit remplacement v tust remplacement 4 Rayonnement de sources froides e fen tres en hiver
121. rt des responsables que de nier l existence et la contribution de certains facteurs e la solution d un probl me de SBS passe immanquablement par des actions sur chacun de ses facteurs Un questionnaire est pr sent la FICHE 42 pour l tude d taill e des facteurs sociaux et organisationnels X GESTION D UN PROBLEME DE SBS Baker 1989 Boxer 1990 1 Quels que soient les plaintes et les sympt mes les accepter avec calme et professionnalisme leur montrer de l int r t et la reconnaissance de leur sinc rit T moigner ainsi au personnel qu il est compris respect et pris au s rieux Accorder de l importance aussi bien aux facteurs sociaux et organisationnels qu aux facteurs ambiants Veiller ce que personne de l encadrement ou des consultants n apporte non plus de mani re pr matur e et non fond e cr dit certaines hypoth ses de causalit s Limiter le nombre d intervenants ext rieurs et rechercher la personne au sein de l entreprise qui a une bonne connaissance g n rale de la probl matique du SBS et qui pourra orchestrer l investigation et solliciter l intervention d experts si et seulement si c est n cessaire et pour des aspects particuliers Plus le nombre d experts est grand plus le risque de r colter des avis divergents augmente D autre part cette inflation est per ue par le personnel comme la preuve de l ampleur du probl me et contribue donc son amplification Maximal
122. s FICHE 38Types de lampes FICHE 39Types de luminaires FICHE 40Travail sur ordinateur FICHE 41Recommandations concernant l clairage FICHE 42E valuation des contraintes psychosociales et organisationnelles 100 102 103 106 108 110 113 115 118 119 120 121 123 125 127 128 132 135 95 CHAPITRE LE SYNDROME DES BATIMENTS MALADES Sick Building Syndrome SBS BREF HISTORIQUE Au cours des ann es 1960 s est d velopp progressivement un int r t particulier pour la qualit des espaces d habitation et de travail La tendance fut d laborer des recommandations qui ne tenaient gu re compte des aspects nerg tiques Les attitudes chang rent radicalement en 1973 la suite de l l vation des prix des produits p troliers Des campagnes de sensibilisation aux conomies d nergie par une meilleure isolation et une tanch it accrue des b timents furent lanc es et les valeurs recommand es en termes de temp ratures d air de d bits d air neuf de niveaux d clairement furent revues consid rablement la baisse Cette p riode des ann es 70 coincide avec celle o les plaintes relatives la qualit de l environnement int rieur se sont d velopp es L pisode de la convention de la l gion am ricaine Philadelphie en 1976 est certainement celui qui a r v l le probl me aupr s du public Alors que se tenait cette convention 182 ou 221 selon les sources personnes s journant dans
123. s NIOSH Cincinnati U S A pp 21 Nemery B 1990 Indoor environment and infectious disease Arbeids en Verzekeringsgeneeskunde amp Pneumologie K U Leuven Norback D Edling C 1991 Environmental occupational and personal factors related to the prevalence of sick building syndrome in the general population British Journal of Industrial Medicine 48 451 462 Norb ck D Michel I Widstr m J 1990 Indoor air quality and personal factors related to the sick building syndrome Scand J Work Environ Health 16 121 128 Nordstrom K Norback D Akselsson R 1994 Effect of air humidifcation on the sick building syndrome and perceived indoor air quality in hospitals a four month longitudinal study Occupational and Environmental Medicine 51 683 688 Nordstrom K Norback D Akselsson R 1995 Influence of indoor air quality and personal factors on the sick building syndrome SBS in Swedish geriatric hospitals Occupational and Environmental Medicine 52 170 176 Parat S Perdrix A Grillot R Croize J 1990 Pr vention des risques dus la climatisation Arch mal prof 51 1 27 35 Robson T 1990 What s the price of sick building syndrome Safety and Health 47 49 Salvaggio J E 1994 Psychological aspects of environmental illness multiple chemical sensitivity and building related illness J Allergy Clin Immunol 94 2 part 2 366 370 Skov P Valbjorn O Pedersen B V 1989 Influen
124. s aspects de bruit d clairage syst matisme e revoir les aspects ergonomiques des postes de travail revoir les facteurs de stress 53 FICHE 3 RECUEIL ET ANALYSE DES DONNEES EXISTANTES Recueil 1 Description du syst me de chauffage ventilation et conditionnement d air HVAC e plans m caniques et architecturaux e sp cifications plan de circulation d bits d air manuel d utilisation manuel de maintenance technique manuel d entretien volution dans le temps du syst me 2 Donn es d entretien et de maintenance technique du syst me HVAC e rapport de r ception d finitive tat par rapport aux sp cifications e programme d entretien et de maintenance e donn es enregistr es concernant la maintenance technique l entretien sanitaire e liste des personnes responsables description des r les formation 3 Donn es sur le b timent e affectation initiale pour laquelle le syst me HVAC fut pr vu plans architecturaux division et affectations des espaces affectations actuelles plans architecturaux actuels et volution dans le temps influence sur le syst me HVAC transformations r novations du b timent nature dates zones particuli rement risque FICHE 6 zones surpression et d pression densit d occupation des diff rents locaux 4 Donn es sur des plaintes SBS ant rieures e historique des plaintes 0 dates circonstances localisation volution issue o
125. s de gaz de combustion production de CO par certaines machines ou le tabagisme concentration ext rieure gt 400 ppm probl me de pollution ext rieure 5 Mesurages de d bits e objectif valuation des d bits par rapport aux normes comparaison entre bouches ou entre locaux r partition de lair e relev approximatif mesurage de la vitesse moyenne dans le conduit ou la bouche au moyen d un an mom tre a ailettes dans la partie la plus droite jamais dans les d flecteurs de la bouche d bit vitesse moyenne section pr cis 89 mesurage du profil des vitesses dans une partie droite d un conduit au moyen d un tube de Pitot mesurage aux bouches d aspiration ou de pulsion au moyen d une hotte Venturi et d un an mom tre thermique e interpr tation comparaison des valeurs aux donn es de la FICHE 8 6 Produits chimiques divers e recours un sp cialiste pour le dosage et l limination des formald hyde CO compos s organiques volatiles 7 Pollution microbiologique e recours un laboratoire sp cialis pour le dosage et l limination des pollen allerg nes endotoxines moisissures bact ries micro organismes 8 Poussi res approximatif examen la loupe ou au microscope des poussi res pour mettre en vidence l existence de particules anormales telles que fibres d chets organiques pr cis e recours un laboratoire sp cialis pour l
126. s muqueuses irritation respiratoire toux respiration sifflante chez les enfants infections du syst me respiratoire oneumonie augmentation de la gravit de probl mes dus l asthme probl mes cardio vasculaires cancer des poumons e Actions interdiction de fumer l int rieur en particulier en pr sence d enfants sinon locaux sp ciaux avec ventilation particuli re FICHE 8 sans recirculation de l air 3 Pollution par le formald hyde e Sources mat riaux de construction panneaux de bois comprim produits a base de r sines ur e formol panneaux de d coration mousses d isolation produits de nettoyage fum es de tabac chauffage par combustion non ventil colles et adh sifs peintures et produits de recouvrement diminution des missions avec l ge du produit 77 augmentation des missions des produits neufs si temp rature humidit et ventilation importantes e Effets sur la sant irritation des voies respiratoires sup rieures et des muqueuses probl mes respiratoires aggravation chez les sujets asthmatiques allergie chez certains sujets canc rig ne chez l animal et canc rig ne potentiel chez l homme e Actions achat de produits faible concentration en formald hyde panneaux de bois isolants achat de produits vieillis naturellement ou artificiellement d gaz s ventilation particuli re sans recyclage
127. ssoci es soup onn es 4 Les gaines Surveiller les points susceptibles de provoquer de la condensation l int rieur des gaines Am nager des points de contr les particuli rement aux endroits o sont plac s des silencieux Contr les microbiologiques une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 5 Les unit s terminales Ouvrir et nettoyer au moins une fois par an les bouches de pulsion ou d extraction et ventiloconvecteurs Contr les microbiologiques une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 6 Contr les microbiologiques bilan annuel Ce bilan permet de contr ler visuellement et l aide de pr l vements microbiologiques sp cifiques l ensemble de l installation de traitement d air ainsi que l espace de travail du b timent voir galement FICHE 16 Ce bilan est r aliser une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 68 e En plus d un examen visuel minutieux ce bilan repose sur des analyses microbiologiques de l air des surfaces de poussi res et de l eau d humidification 7 Informations e ISP Institut Scientifique de la Sant Publique Louis Pasteur Section Mycologie 14 rue Juliette Wytsman B 1050 Bruxelles Chef de Section Dr N Nolard T l 02 642 55 17 Personnes contacter air conditionn Dr C Chasseur 02 642 55 10 amp Mme A M Verhaegen 02 642 51
128. st me HVAC des locaux e revoir les proc dures de maintenance et d entretien du syst me HVAC des locaux politique des d chets politique de nettoyage politique de r novation tablir et maintenir un systeme de communication avec les occupants coordonner le personnel de maintenance et d entretien missions respectives proc dures formations e revoir et contr ler les rapports avec les sous traitants firme sp cialis e pour le syst me HVAC service de nettoyage service de gardiennage contr le de la vermine e tudier tous les projets pouvant avoir une incidence sur la qualit de vie dans le b timent modification du syst me HVAC 51 modifications architecturales r novation e organiser l inspection syst matique et r guli re du b timent e g rer les donn es enregistr es temp ratures d bits e r pondre aux plaintes et observations concernant la qualit de vie int rieure 92 FICHE 2 ANALYSE DES SYMPTOMES 1 Circonstances temporelles Suggestions e sympt mes apparaissent ou revoir le syst me de chauffage et ou ventilation empirent d s l arriv e dans le et ou conditionnement d air HVAC b timent revoir les missions de gaz qui pourraient s tre accumul es durant les p riodes de non occupation e sympt mes empirent au cours de la revoir les d bits d air susceptibles d tre journ e insuffisants e sympt mes intermittents reche
129. stitut National de Recherche sur les Conditions de Travail pp 270 132
130. t entre les sympt mes de SBS et certains facteurs dits psychosociaux Certaines ont interpr t un peu vite cette concomitance en terme de causalit Le poids de ces tudes varie tr s fortement e en fonction du nombre de personnes interrog es et ou du nombre de situations ou b timents tudi s e en fonction du type de personnes 466 personnes de la population g n rale Norb ck et Edling 1991 4953 employ s Stenberg et Wall 1995 225 femmes membres du personnel d h pitaux g riatriques Nordstrom et coll 1995 e en fonction du type de donn es r colt es les questionnaires tant chaque fois diff rents Les tudes diff rent galement par ce qu elles appellent facteurs psychosociaux Ces termes recouvrent manifestement deux types de donn es e des facteurs personnels tels que ge sexe tat civil niveau d ducation tabagie forme physique ob sit allergie au nickel m re qui fume e des facteurs sociaux et organisationnels tels que degr d insatisfaction au travail manque de collaboration au travail stress au travail B Donn es personnelles Chaque tude repr sentant un cas particulier les r sultats se contredisent immanquablement Ainsi s il est toujours pr f rable d tre non fumeur non ob se et en forme physiquement il n est cependant pas tabli que cela serait corr l avec une moindre pr valence de sympt mes de SBS Il en est de m me de l ge Quant au sexe on
131. t grit du recouvrement int rieur anti bruit pr sence de fibres remplacement e fuites d air liminer 25 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s 8 Clapets e bon fonctionnement corrosion r parer remplacer politique d entretien e propret obstructions politique de nettoyage IV Ejectoconvecteurs e bon fonctionnement propret e r parer remplacer politique de nettoyage V Humidificateur avec bac r colteur d eau 1 Mauvaise d concentration e la mesure de la conductivit de l eau a t faite il y a plus d une semaine FICHE 10 le contr le est insuffisant instaurer une fiche de contr le e pr sence de d p ts blancs de sels sur les parois dans l humidificateur arr t et nettoyage en profondeur bonne d concentration e l eau de d concentration ne s coule pas l gout au moment de l examen d bouchage de l vacuation 2 Entretien e le dernier nettoyage du bac remonte plus d un mois politique de nettoyage et d sinfections FICHES 10et11 e hypochlorite est utilis mode d utilisation concentration e des biocides sont utilis s nature efficacit liminer cet usage d faut n utiliser que des biocides non toxiques et seulement de mani re occasionnelle 3 Horaire d utilisation de l humidification e humidificateur est l arr
132. t pas le bruit de fond mergence de plus de 3 5 dB e remarque dans certains locaux le traitement acoustique est tel que le bruit de fond est tr s faible et les bruits brefs mergent On est alors amen cr er un bruit de fond artificiel destin Masquer ces bruits 3 lsolement acoustique souhaitable entre locaux e La norme NBN S01 401 stipule l isolement acoustique minimal et optimal entre deux locaux en fonction de leur affectation respective On se bornera ici r sumer les recommandations de la norme en renvoyant aux experts pour la v rification de ces isolements et la FICHE 31 pour une discussion des mat riaux isolants Local Locaux concern s voisin locaux peu peupl s locaux salles de peupl s m canogr aphie escalier ascenseur immeuble voisin locaux direction peu peupl s cadres locaux peupl s salle de m canographie REFERENCES 1 Malchaire J 1994 Programmes de conservation de l audition organisation en milieu industriel Masson Paris Chap X pp 145 151 2 NBN S01 400 1992 Acoustique Crit res de l isolation acoustique Institut belge de Normalisation 3 NBN S01 401 1987 Acoustique Valeurs limites des niveaux de bruit en vue d viter l inconfort dans les b timents Institut belge de Normalisation 102 FICHE 29 MATERIAUX ABSORBANTS ACOUSTIQUES 1 Mat riaux absorbants e Mat riaux destin s r duire la r verb ration du bruit a
133. techniques peu polluantes pr voir une ventilation locale sp ciale pendant et apr s les travaux demander les informations au fabricant concernant la vitesse de d gazage si d gazage rapide le favoriser par des temp ratures lev es une ventilation forc e importante si d gazage lent le ralentir en recouvrant par un mat riau non toxique et tanche nettoyage imm diat des locaux et des installations maintien d une ventilation forc e le plus longtemps possible avant la r utilisation du b timent surveillance des travaux de mani re viter toute interf rence avec la ventilation en cas de modifications architecturales partitions r tude de la distribution de l air et des r gimes de pression kk 85 FICHE 19 GESTION DU PROBLEME DE VERMINE 1 Nature microbes et moisissures cafards fourmis rongeurs 2 M thodes pr ventives politique de nettoyage interdiction de mati re organique dans les espaces de travail fruits pain inspection et blocage des zones de d veloppement gestion des d chets poubelles ferm es containers l cart vacuation rapide zones maintenues propres entretien des installations r paration des fuites d eau bouchage des fentes placement de barri res physiques l entr e et au mouvement de la vermine cran dans les ouvertures placement de pi ges 3 M thode curative utilisation judicieuse de pest
134. temp rature entre 1 1 m et 0 1 m du sol soit inf rieure a 3 C la temp rature de surface du sol soit comprise entre 19 et 26 C e Le programme en annexe permet de calculer ces indices Exemple travail de secr tariat 170 W en t temp rature de l air 30 pas d exposition au rayonnement solaire humidit relative de 40 tenue vestimentaire chemise courte sans cravate 0 6 Clo PMV 1 7 chaud PPD 67 la situation sera jug e tr s inconfortable pour que le confort soit assur PPD 10 il faut ramener la temp rature de l air 24 C environ 93 e Temp ratures d air optimales dans les conditions suivantes absence de sources particuli res de rayonnement e vitesse d air faibles 0 15 m s e humidit de lair normale 40 Activit Habillement Gamme de temp ratures s dentaire t 24 5 27 5 Hypoth ses e activit s dentaire 100 w l g re 170 W e habillement d t 0 7 clo et d hiver 0 9 clo e gammes de temp ratures pour PPD lt 10 REFERENCES 1 Mairiaux Ph Malchaire J 1990 Le travail en ambiance chaude Paris Ed Masson pp 108 113 2 Norme ISO 7730 1995 Ambiances thermiques mod r es d termination des indices PMV et PPD et sp cification des conditions de confort thermique Organisation internationale de Normalisation Gen ve 3 Norme belge X10 005 1986 Ambiances thermiques mod r es d termination des indices PMV et PPD
135. timal e rend le local plus accueillant 3 Uniformit de l clairage Les luminaires doivent tre choisis FICHE 39 et plac s de sorte que l clairement ne varie pas e de plus de 20 id alement sur la t che e de plus d un facteur 2 3 id alement entre la t che et l environnement imm diat A cette fin les luminaires doivent tre plac s de sorte que le rapport entre l cartement entre luminaires et la hauteur utile entre les luminaires et le plan de travail soit inf rieur une valeur limite fonction du luminaire 4 Eblouissement FICHE 37 5 Qualit de la lumi re La qualit de la lumi re est d termin e par 3 caract ristiques e La couleur apparente de la lumi re elle m me caract ris e par sa temp rature de couleur d finie la FICHE 35 e des temp ratures basses sont pr f r es lumi re chaude lt 4 500 K 128 aux faibles clairements dans les climats plus froids e des temp ratures lev es lumi re froide gt 4 500 K sont pr f r es aux clairements plus lev s gt 700 lux dans les climats plus chauds e Le rendu des couleurs d fini la FICHE 35 e la valeur minimale souhaitable est de 60 e les valeurs les plus lev es proches de 100 sont indispensables si les couleurs de s curit doivent tre reconnues ou selon les exigences de la tache 0 gt 80 magasins bureaux industrie textile du papier imprimeries peintures 0 60
136. tion dans le r seau de distribution d air gaine e le caisson situ imm diatement apr s les rampes de vapeur revoir les dispositions respectives e endroit possible de condensation amp revoir les d bits de vapeur revoir les temp ratures d air revoir l isolation des gaines VII Bouches de pulsion Plenum e localisation par rapport au personnel et orientation revoir l orientation pour une diffusion optimale et des vitesses acceptables aux postes de travail e propret corrosion obstructions politique de nettoyage et de maintenance examen microscopique des poussi res fibres FICHE 21 examen microbiologique 27 B Etude de l installation de chauffage conditionnement d air Donn es ePoints a Actions Mesurages Mesurages examiner de base sp cialis s recherche des causes limination des causes e libre circulation et r partition dans le plenum liminer les obstacles d bris VIII D bits e d bit par local en fonction de son affectation amp revoir le d bit selon les recommandations de la FICHE 8 e chaque bouche e r partition entre les bouches d blocage des bouches mesurages des d bits d air FICHE 21 e v rification des pertes de charge dans les gaines r glage du d bit total r glage de la r partition entre les diff rentes bouches IX Reprises d air dans les locaux e localisation par rapport aux bouches de pulsion localisation
137. tre entretenus comme la moquette c est dire minimum une fois par semaine Des contr les microbiologiques sont r aliser une fois par an voir bilan annuel ou en cas de pathologies associ es soup onn es 81 4 Les plantes vertes e Les plantes vertes constituent un apport non n gligeable au bien tre dans l environnement de travail Aussi ne faut il envisager leur suppression que lorsque des pathologies de type allergique sont observ es se souvenir toutefois que le trop nuit dans tout ne pas poser les plantes sur ou trop pr s des ventiloconvecteurs assurer l entretien des plantes en renouvellant le terreau chaque ann e on vite ainsi l apparition de certaines moisissures susceptibles de contaminer l air ambiant en cas de pathogies de type allergique viter notamment le Ficus benjamina asthme rhinite conjonctivite urticaire 5 Les archives e Les documents et particuli rement le papier archiv peuvent tre le si ge de contaminations microbiologiques diverses moisissures bact ries puces de papier Ramen s dans les bureaux ils deviennent une source de contaminations pouvant affecter la sant C est donc au niveau du lieu d archivage que des mesures sont prendre humidit relative maintenir en dessous de 50 a ration du local et disposition des archives e Contr les microbiologiques local d archivage et documents contamin s examiner au cours du bilan annuel ou en cas de
138. u recueil des plaintes Ce recueil doit tre r alis par une seule personne de mani re minimiser les diff rences d interpr tation Le m decin du travail est g n ralement le mieux plac pour un tel recueil Sauf en cas de pathologie manifeste il y a int r t viter que les plaignants soient vu par le m decin en milieu clinique lors d un premier entretien de mani re viter les rumeurs d hospitalisation 10 Sauf en cas de probl me manifeste susceptible de compromettre la sant court terme viter de fermer une zone de travail Une telle fermeture est interpr t e comme une reconnaissance d un probl me majeur de sant et est difficilement r versible quelles que soient les actions entreprises 11 Former le personnel valuer son environnement et y maintenir des conditions favorables tant en ce qui concerne les facteurs ambiants que les facteurs sociaux et organisationnels 13 CHAPITRE Il PRESENTATION DE LA DEMARCHE A QUI S ADRESSE T ELLE e L objectif de la d marche d crite dans cet ouvrage est de permettre aux responsables techniques des b timents et aux conseillers en pr vention qui les assistent de r soudre ou d viter un probl me de SBS e L ouvrage s adresse donc ces responsables techniques et ces conseillers en pr vention ll est bien entendu que e la responsabilit finale et les d cisions restent l employeur qui d l gue seulement ces responsables techniques
139. urces lumineuses e Les ampoules incandescence des lampes de bureau donnent lieu un rayonnement thermique important sur les parties du corps expos es bras visage e Ce n est pas le cas des lampes fluorescentes dont la temp rature superficielle est beaucoup plus basse 98 FICHE 27 ORDRES DE GRANDEUR DE NIVEAUX SONORES 1 Unit s e Le bruit est caract ris par e sa fr quence Hz gamme audible 20 20 000 Hz sons graves basses fr quences lt 400 Hz sons aigus hautes fr quences gt 1600 Hz e son amplitude en d cibels dB e En terme d exposition professionnelle l unit des niveaux sonores est toujours le dB A qui caract rise le bruit tel qu il est entendu en tenant compte de la sensibilit de l oreille humaine 2 Ordres de grandeur e La figure ci apr s caract rise quelques bruits courants en termes de fr quences et d amplitudes e La table ci apr s donne les ordres de grandeur de bruits typiques 3 Masquage e Un bruit en masque un autre d s qu il lui est sup rieur d environ 10 dB e Auditivement cependant cela n est vrai que si les deux bruits sont de m mes fr quences e Ce n est pas toujours le cas dans les bureaux et une sonnerie de t l phone sera entendue et pourra tre source de g ne quel que soit le niveau ambiant e C est par contre le cas pour la voix basse et les petits bruits associ s aux mouvements pas fermeture de tiroirs d p ts d objets sur
140. veux central e fatigue difficult s de concentration somnolence e maux de t te e tourdissements vertiges naus es 5 Les sympt mes de g ne ext rieure e odeurs d plaisantes modification du go t La classification propos e par l OMS est quelque peu plus simple 1 Sympt mes g n raux e fatigue t te lourde mal de t te e naus es vertiges e difficult s de concentration 2 Sympt mes affectant les muqueuses e d mangeaisons sensations de br lure irritation des yeux e nez irrit bouch ou qui coule e gorge s che et rauque toux 3 Sympt mes affectant la peau e peau du visage s che ou rouge e d mangeaisons sensations de br lure ou de pression sur le visage VI RELATIONS CAUSE EFFET OU ASSOCIATIONS Les tudes r alis es ont in vitablement concern certains b timents particuliers dans un certain environnement Il n est donc pas surprenant que les associations trouv es ne concernent que le ou les cas particuliers tudi s et que les r sultats des diff rentes tudes ne concordent pas toujours Ainsi le SBS ne peut tre associ la pr sence de moquette que dans les b timents qui en sont quip s et la probabilit de trouver une relation avec la s cheresse de l air est plus importante dans un pays froid que dans un pays chaud D autre part ainsi que soulign par J ones 1990 on ne conna t pas en g n ral la cause r elle du SBS et l on se contente de constater sans comprendre n

Download Pdf Manuals

image

Related Search

Related Contents

Supermicro SuperServer 6016T-NTF  Samsung ML 7300N User's Manual  User Manual - Heyden  SPS300 A/B User`s Manual  dreamGEAR Shredmaster  User's Manual  La Crosse Technology WT-5130ER User's Manual  Sanus Systems VLT15-B1 User's Manual  Guía de conexión rápida  

Copyright © All rights reserved.
Failed to retrieve file