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partie 2

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1. 720mm 860mm 5 Assemblage Suivre attentivement les directives 10mm 890mm d assemblage Veiller ce que tous les crous boulons et vis 860mm 940mm soient bien serr s 3 R glage de la bicyclette Pour que le cycliste puisse rouler en toute s curit et de fa on confortable la bicyclette doit tre bien ajust e La hauteur de la selle doit tre r gl e de mani re que lorsqu il a le pied pos plat sur la p dale au plus bas de sa course le cycliste ait le genou l g rement pli Nota Le tableau de gauche permet de d terminer la grandeur de cadre appropri e Le fabricant n est pas responsable des d faillances blessures ou dommages caus s par un assemblage incomplet ou par un mauvais entretien apr s exp dition BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Une t che un peu plus difficile 318 qui se situe pr s du sommet du niveau 3 porte sur un article concernant les couches en coton On demande au lecteur d num rer trois raisons pour lesquelles l auteur pr f re les couches en coton aux couches jetables Cette t che est relativement difficile en raison de plusieurs variables Premi rement le type d appariement est jug difficile parce que le lecteur devait donner plusieurs r ponses en faisant des d ductions partir du texte L auteur ne dit nulle part dans le texte Je pr f re les couches en coton parce que Ces
2. Cote globale et ayant trouv le nombre le plus lev avoir choisi le radio r veil correspondant Pour ces raisons la plausibilit des l ments de distraction est jug e moyennement difficile Le type d information est jug simple parce que l information demand e est une chose concrete La tache la plus difficile relative 4 ce document indice de difficult 408 niveau 5 demande au lecteur de trouver le prix moyen annonc pour le radio r veil de base ayant obtenu la meilleure cote globale Cette tache est plus difficile parce que le lecteur devait apparier quatre caract ristiques au lieu de trois il devait aussi traiter un renseignement conditionnel enfin il y avait un l ment de distraction hautement plausible dans le m me bloc que la bonne r ponse En raison de ces facteurs le type d appariement est jug relativement difficile et le type d information relativement simple tandis que la plausibilit des l ments de distraction pr sente le plus haut niveau de difficult Mesurer la num ratie dans le cadre de l ELCA D finir la num ratie dans le cadre de l ELCA La conception de la num ratie adopt e pour les besoins de l ELCA repose sur des travaux de recherche r cents men s dans plusieurs pays sur les exigences fonctionnelles de diff rents contextes de vie sur la nature des connaissances et des comp tences math matiques et statistiques des adultes ainsi que sur l application ou l utilisation
3. B t 1994 Critical Numeracy In Fine Print Vol 16 No 4 Heath S B 1980 The Functions and Uses of Literacy Journal of Communication Vol 30 pp 123 133 Kirsch LS et Guthrie J T 1984a Adult Reading Practices for Work and Leisure Adult Education Quarterly Vol 34 4 pp 213 232 Kirsch I S et Guthrie J T 1984b Prose Comprehension and Text Search as a Function of Reading Volume Reading Research Quarterly Vol 19 pp 331 342 Kirsch I 2001 The International Adult Literacy Survey IALS Understanding What Was Measured ETS Research Report RR 01 25 Educational Testing Service Princeton NJ Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Marr B et Tout D 1997 A Numeracy Curriculum Australian Association of Mathematics Teachers AAMT conference proceedings AAMT Melbourne Messick S 1989 Validity in R Linn dir publ Educational Measurement 3rd ed Macmillan New York Messick S 1994 The Interplay of Evidence and Consequences in the Validation of Performance Assessments Education Researcher Vol 32 2 pp 13 23 Mikulecky L 1982 Job Literacy The relationship between school preparation and workplace actuality Reading Research Quarterly Vol 17 3 pp 400 419 Miller P 1982 Reading Demands in a High technology Industry Journal of Reading Vol 26 2 pp 109 115 Mislevy R
4. aide d une grille de s lection inspir e de celle de Kish Canada On a employ un plan d chantillonnage probabiliste plusieurs degr s pour pr lever l chantillon partir de la base du recensement Le plan a servi constituer des chantillons distincts pour les deux langues officielles du pays l anglais et le francais De plus le Canada a accru la taille de l chantillon afin de produire des estimations concernant un certain nombre de sous groupes de population Des minist res provinciaux et d autres organismes ont commandit des chantillons suppl mentaires pour accroitre la base ou pour cibler certaines sous populations dont les jeunes de 16 24 ans au Qu bec de 16 29 en Colombie Britannique les adultes de 25 64 ans au Qu bec les minorit s linguistiques les anglophones au Qu bec les francophones ailleurs les nouveaux immigrants et les immigrants tablis les autochtones urbains et les r sidents des territoires du Nord Dans chacune des dix provinces canadiennes on a en outre divis la base du recensement en deux strates l une urbaine l autre rurale On a restreint la strate urbaine aux centres urbains d une certaine taille d termin e d apr s le recensement ant rieur Le Syst me automatis de regroupement des territoires SAR Ie de Statistique Canada a r parti le reste de la base de sondage en unit s primaires d chantillonnage UPE On a cr les UPE pour contenir une population
5. ce qui n tait peut tre pas familier ou accessible bien des adultes Mesurer la r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA D finir la r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA La r solution de probl mes fait depuis longtemps l objet de recherches psychologiques universitaires et de recherches appliqu es en ressources humaines Voici une d finition tr s g n rale de la r solution de probl mes telle qu on l entend habituellement dans le domaine de la recherche psychologique Hunt 1994 Mayer 1992 Mayer et Wittrock 1996 Smith 1991 La r solution de probl mes correspond la pens e et l action orient es vers les buts dans une situation o il n existe aucune proc dure courante de r solution La personne qui r sout des probl mes a un but plus ou moins bien d fini mais ne sait pas imm diatement comment l atteindre La non congruence des buts et des op rateurs admissibles constitue un probl me La compr hension de la situation probl matique et sa transformation progressive fond e sur la planification et le raisonnement constituent le processus de la r solution de probl mes Lorsqu on labore un cadre de travail de la r solution de probl mes en vue d une enqu te comme l ELCA l une des principales difficult s consiste adapter le mieux possible la documentation psychologique aux contraintes impos es par une tude comparative internationale grande chelle A cette fin on a d
6. et de la difficult on a divis chaque chelle de capacit s en niveaux Les chelles de litt ratie et de num ratie comportent cinq niveaux de capacit s allant du niveau 1 le plus faible au niveau 5 le plus lev Ces niveaux sont d finis comme suit niveau 1 0 225 niveau 2 226 275 niveau 3 276 325 niveau 4 326 375 et niveau 5 376 500 L chelle de la r solution de probl mes comporte quatre niveaux de capacit s allant du niveau 1 le plus faible au niveau 4 le plus lev Ces quatre niveaux sont d finis comme suit niveau 1 0 250 niveau 2 251 300 niveau 3 301 350 et niveau 4 351 500 Comme chaque niveau repr sente une progression des connaissances et des comp tences les personnes qui se situent un niveau donn poss dent non seulement les connaissances et les comp tences li es ce niveau mais aussi les comp tences li es aux niveaux inf rieurs En pratique cela signifie que les personnes dont le rendement est de 250 le milieu du niveau 2 sur l une des chelles de litt ratie ou de num ratie devraient pouvoir accomplir les t ches moyennes des niveaux 1 et 2 avec un degr de capacit s lev Sur l chelle de la r solution de probl mes un point comparable serait 275 Dans l ELCA comme dans l EIAA on d finit un degr de capacit s lev en fonction d une probabilit de r ponse de 80 PR80 Cela signifie que les personnes qui se situeraient u
7. rents paragraphes ou diff rentes sections du texte Lorsqu il int gre l information le r pondant s inspire des cat gories d information donn es dans une question pour rep rer l information correspondante dans le texte I peut alors rapprocher l information nonc e dans le texte ces diff rentes cat gories en fonction du terme de relation pr cis dans la question Dans certains cas toutefois le r pondant doit formuler ces cat gories ou relations avant d int grer l information nonc e dans le texte Outre qu il demande au r pondant d appliquer l une de ces quatre strat gies le type d appariement entre une question et le texte est influenc par plusieurs autres conditions de traitement qui contribuent la difficult globale d une t che La premi re de ces conditions est le nombre d expressions utiliser dans la recherche La difficult d une tache augmente avec la quantit d information nonc e dans la question et que le r pondant doit chercher dans le texte Par exemple les questions qui comportent une seule proposition ind pendante sont habituellement plus simples en moyenne que celles qui contiennent plusieurs propositions ind pendantes ou non La difficult augmente aussi avec le nombre de r ponses qu on demande au r pondant de donner Les questions qui demandent une seule r ponse sont plus simples que celles qui en demandent trois ou plus En outre les questions qui pr cisent le nombre de r ponses dem
8. union de famille doit traiter comparer et incorporer l information fournie dans la liste des engagements de ses parents y compris les renseignements compl mentaires ainsi que son propre agenda En l occurrence l information est surtout textuelle et sous forme de tableaux Il faut donner plus d une r ponse la question choix multiple bien que le nombre de bonnes r ponses ne soit pas pr cis Conclusion Cette annexe propose un bref aper u des cadres de travail adopt s pour mettre au point les taches qui ont servi mesurer la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques la num ratie et la r solution de probl mes lors de ELCA ainsi qu comprendre le sens des r sultats l gard des comp tences en litt ratie comparatives des adultes Ces cadres tiennent compte d une s rie de variables qui la lumi re des r sultats sous tendent l accomplissement fructueux d une vaste gamme de t ches Ensemble elles fournissent un moyen pour passer d une interpr tation des r sultats d enqu te centr e sur des taches prises isol ment ou sur un seul nombre une interpr tation permettant de d finir des niveaux de capacit s assez g n ralis s pour valoir l gard de l ensemble des valuations et des groupes Au fur et mesure qu on s int resse moins aux comportements discrets ou aux observations isol es et davantage des interpr tations significatives du rendement on obtient un niveau de mesure sup rieu
9. 1 883 unit s primaires Personnel militaire temps plein d chantillonnage couvrant tous les comt s des 50 Etats des Etats Unis plus Washington D C r sidents en tablissements Statistique Canada et l OCDE 2005 BEEN Apprentissage et r ussite Plan d chantillonnage On a demand chaque pays participant de constituer un chantillon probabiliste repr sentatif de la population nationale g e de 16 65 ans Comme les bases de sondage et les ressources disponibles variaient videmment d un pays l autre le plan d chantillonnage probabiliste utiliser a t laiss la discr tion de chaque pays Statistique Canada a examin tous les plans d chantillonnage propos s pour s assurer que les pays respectaient les normes et les lignes directrices en mati re d chantillonnage Le plan d chantillonnage de chaque pays est r sum ci dessous La taille de l chantillon et le taux de r ponse de chaque pays sont abord s dans la section suivante Bermudes On a employ un chantillon probabiliste stratifi deux degr s Au premier degr on a stratifi la liste d valuation fonci re des logements des Bermudes par paroisse c est dire par r gion g ographique A l int rieur de chaque paroisse on a pr lev un chantillon al atoire de logements avec probabilit proportionnelle au nombre de logements de la paroisse Au deuxi me degr on a s lectionn un seul r pondant admissible l
10. 2 Raisonner la lumi re du mod le situationnel 3 Planifier des actions et d autres tapes de la solution 4 Ex cuter et valuer les tapes de la solution 5 Traiter l information externe et la r troaction sur une base soutenue Daxter et Glaser 1997 pr sentent une liste semblable d activit s cognitives d sign es les composantes g n rales de la comp tence en r solution de probl mes repr sentation du probl me strat gies de r solution autor gulation et explications La r solution de probl mes analytiques dans un contexte courant mesur e par l instrument de r solution de probl mes de l ELCA met l accent sur les trois premi res composantes et dans une certaine mesure sur la quatri me BEC Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur l un des constats les plus importants des r cents travaux de recherche en psychologie cognitive est que la r solution de probl mes difficiles exige au moins une connaissance l mentaire du domaine en question La notion d un espace de probl me dans lequel la personne qui r sout des probl mes volue au moyen de strat gies de recherche ind pendantes du domaine Newell et Simon 1972 s est av r e trop simple pour d crire la mani re d appr hender une situation probl matique et la recherche d une solution Les efforts en vue d identifier une comp tence g n rale ind pendante du domaine e
11. DC g Affichage de la date et de l heure h Affichage 4 deux intensit s lamincuses i Affichage chiffres plus gros que la plupart des radios l Veilleuse ajustable suivant la clart de la pn ce Renforcement des basses S Renforcement des argus Syntonisation plus facile que la plupart des radios A Fonchonnement du r veil m me en cas de panne de Rejet d image meilleur que la plupart des radios courant L gende des inconv nients B Affiche l heure et deux heures distinctes de r veil Possible de changer l heure par accident C Captage possible d ane station diff rente chacune des b Les boutons de r glage de l heure ou le rh ostat sont plac s deux heures de r veil des endroits peu commodes en dessous ou l arri re F D Sonnerie volume r glable L gende des observations Affichage des chiffres en vert B Affichage des chiffres en bleu C Affichage cristaux liquides D Bome d antenne ext rieure E Egalisateur graphique trois positions Le lecteur de cassettes ne permet pas d enregistrer j Le lecteur de cassettes ne permet pas de rebobiner 1 R veil possible par le lecteur de cassettes Affichage plus faible que ka plupart dans une pi ce Le ketar de cassettes est plus bruyant que Ia plupart E M moire ne n cessitant pas de pele clmrage intense J Frais de manutention de 3 pour les r parations garanties F Syntonisateur mum rig
12. La dimension repose sur les grands principes li s une deux et trois dimensions des choses On doit faire appel la connaissance des dimensions lorsqu il sagit de lire ou de produire des descriptions spatiales ou num riques d objets de faire des projections ou de travailler avec des longueurs des p rim tres des plans des surfaces un emplacement etc Liaisance avec chaque dimension exige un sens des mesures rep res des mesures directes et des mesures estimatives La forme est une cat gorie qui d crit des images et des entit s r elles ou imaginaires qu on peut visualiser maisons immeubles motifs d art ou d artisanat enseignes de s curit emballages noeuds cristaux silhouettes plantes etc Lorientation et l emplacement sont des qualit s fondamentales auxquelles on a recours pour lire ou tracer des cartes g ographiques et des diagrammes Une tache de num ratie de base li e cet aspect fondamental pourrait consister identifier des formes et une tache complexe d crire la variation de la taille ou du volume d un objet dont une dimension est modifi e par exemple lorsqu on choisit entre diff rentes bo tes pour emballer certains objets Structure fonctions et relations On crit souvent que les math matiques sont l tude des structures et des relations La structure apparait comme un vaste concept qui englobe les structures qu on trouve tout autour de nous par exemple sous forme musical
13. contextes les r actions demand es la nature de l information math matique en question et les repr sentations de cette information Ces caract ristiques des t ches sont d finies ci dessous Cette conception est beaucoup plus large que la d finition de la compr hension de textes au contenu quantitatif formul e pour les besoins de l EIAA Ses concepts cl s concernent de facon g n rale la gestion d une situation et un ventail de r actions efficaces et pas seulement l application des comp tences arithm tiques Elle englobe une vaste gamme de comp tences et de connaissances et pas seulement les op rations de calcul et une foule de situations qui pr sentent diff rents types d information math matique et pas seulement ceux qui comprennent des nombres inclus dans des textes imprim s La mise au point des items visait assurer qu une certaine proportion de la banque d items imposerait aux r pondants un fardeau de lecture minimal c est dire que certains stimuli comporteraient peu ou pas de texte ce qui permettrait m me aux r pondants poss dant une maitrise limit e de la langue du test de comprendre la situation d crite D autres sections de la banque d items comprenaient des items comportant des textes essentiels plus ou moins longs selon les exigences de la situation repr sent e par l item Comme le laissent entendre la documentation et les notions voqu es plus haut la nature des r actions d une personne au
14. dacteur en chef Statistique Canada Ottawa Mme Urvashi Dhawan Biswal Ressources humaines et D veloppement des comp tences Canada Ottawa Mme Lauren Dong Statistique Canada Ottawa M Irwin Kirsch Educational Testing Service Princeton Mme Carrie Munroe Statistique Canada Ottawa M T Scott Murray r dacteur Statistique Canada Ottawa M Owen Power Statistique Canada Ottawa Mme Isabelle Recotillet Centre d tudes et de recherches sur les qualifications Marseilles M Kjell Rubenson Universit de Golombie Britannique Vancouver M George Sciadas Statistique Canada Ottawa M Albert Tuijnman r dacteur European Investment Bank Luxembourg M Ben Veenhof Statistique Canada Ottawa M Matthias Von Davier Educational Testing Service Princeton M Patrick Werquin Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques Paris M J Douglas Willms Universit du Nouveau Brunswick Fredericton Le pr sent rapport est d di la m moire de Peter B Mosenthal 1947 2004 BEEN Statistique Canada et le OCDE 2005 Apprentissage et r ussite PREMIERS R SULTATS DE L ENQU TE SUR LA LITT RATIE ET LES COMP TENCES DES ADULTES Apprentissage et r ussite est le premier rapport de l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes Il pr sente de nouvelles donn es sur la nature et l ampleur des carts en litt ratie qui existent dans les pays de l OCDE et sur
15. de rubriques repr sente un excellent l ment de distraction pour le lecteur qui ne cherche pas ou ne rep re pas le renseignement conditionnel nonc dans la question soit celui qui concerne les personnes qui perdent leur emploi en raison d une r organisation de leur service Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite L entrevue d emploi Avant l entrevue Essayez de bien vous renseigner sur l entreprise Quels produits fabrique t elle ou quels services offre t elle Quelles m thodes ou proc d s utilise t elle Ces renseignements peuvent tre trouv s dans des annuaires professionnels des r pertoires de chambre de commerce ou d industrie ou votre bureau d emploi local Renseignez vous aussi sur le poste S agit il de remplacer une personne ou de combler un poste nouvellement cr Dans quels services ou ateliers travailleriez vous Vous pouvez obtenir de la plupart des bureaux d emploi locaux des conventions collectives qui d crivent divers postes et fonctions uniformis s Vous pouvez aussi communiquer avec l organisation syndicale appropri e A l entrevue Posez des questions au sujet du poste et de l entreprise R pondez clairement et avec pr cision toutes les questions qui vous sont pos es Apportez un bloc notes ainsi que vos documents de travail et de formation Les genres d entrevue les plus courants Individuelle Se passe d explication Par jury Un certain nombre de p
16. de vos parents en juillet 1999 Henri Karine Pierre Janette Anne Fran ois Vacances N importe Rendez vous Aucun Ne peut se Doit faire un E quel jour de d affaires engage lib rer les voyage d affaires compter du la semaine les 2et 13 ment 5 20 et 24 la 1 compl te de 26 juillet sauf le juillet et entre juillet juillet mais n en jeudi et le les 27 et connaitra les dates Rendez vous 16 juillet 29 juillet exactes la veille le 11 juillet de son d part Henri Karine et Pierre pourraient arriver le jour pr vu pour la r union alors que Janette Anne et Frangois ne peuvent arriver que la veille en apr s midi et ne rentrer chez eux que le lendemain de la r union Statistique Canada et l OCDE 2005 BEEN Apprentissage et r ussite Exemple de t che suite Votre agenda juillet 1999 Juillet 1999 Jeudi 1 Rendez vous avec David Vendredi 2 Samedi 3 Dimanche 4 Lundi 5 Mardi 6 Mercredi 7 Jeudi 8 Vendredi 9 Samedi 10 Randonn e p destre C Dimanche 11 Lundi 12 Mardi 13 Mercredi 14 Jeudi 15 Vendredi 16 Samedi 17 Dimanche 18 Lundi 19 Mardi 20 Mercredi 21 Jeudi 22 Vendredi 23 Samedi 24 Dimanche 25 Lundi 26 Mardi 27 Mercredi 28 Vacances Jeudi 29 Vacances Vendredi 30 Vacances Samedi 31 Question 1 Lesquelles des dates suivantes conviendraient la r union de famille Veuillez cocher toutes les dates possibles a 4 juillet b 7 juillet 14 juillet d 18 juillet e 25 ju
17. du Canada et inversement La deuxi me notation visait principalement v rifier qu aucun pays n avait effectu une notation uniform ment diff rente de celle des autres pays Statistique Canada a calcul la fiabilit dela notation entre les pays et le Educational Testing Service de Princeton a valu les r sultats Encore une fois on a exig une exactitude rigoureuse soit une concordance de 90 pour que les notes soient jug es acceptables Chaque fois qu on a d cel un probl me l chantillon a t soumis une deuxi me notation Le tableau B5 montre le haut niveau de concordance des notes d un pays l autre BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage TABLEAU B5 Notation Fiabilit en pourcentage par domaine Domaines psychometriques Total Appariement des pays Textes suivis et R solution pays charg de la deuxi me textes sch matiques Num ratie de probl mes notation pays d origine 9o 9o 9o 96 Canada anglophone Canada francophone 95 95 92 95 Canada francophone Canada anglophone 95 97 94 95 Norvege Canada 91 93 91 92 Canada Etats Unis 94 97 E 95 tats Unis Canada 95 97 95 tats Unis Bermudes 91 94 90 Bermudes tats Unis 93 95 93 Canada francophone Suisse 95 98 97 96 Suisse Canada francophone 94 96 94 95 Suisse Italie 96 98 96 96 Italie Suisse
18. g n ral on a r parti l chantillon proportionnellement aux 22 r gions Toutefois on a sur chantillonn les r gions du Pi mont de la V n tie de la Toscane de la Campanie et de Trente en vue de produire des estimations distinctes dans ces cinq r gions Au premier degr les unit s primaires d chantillonnage taient les municipalit s l int rieur de chaque r gion g ographique on a stratifi les municipalit s selon la taille de leur population en unit s autorepr sentatives et non autorepr sentatives On a s lectionn avec certitude les unit s autorepr sentatives c est dire les grandes municipalit s et les municipalit s m tropolitaines dans l chantillon Dans la strate non autorepr sentative de chaque r gion on a s lectionn deux municipalit s avec probabilit proportionnelle la taille de la population cible Au total on a s lectionn 256 municipalit s partir des strates autorepr sentatives et non autorepr sentatives Au deuxi me degr du plan d chantillonnage on a d fini des sous listes par sexe comme unit secondaire d chantillonnage La liste lectorale de chaque municipalit s lectionn e comprenait un certain nombre de sous listes qu on a stratifi es par sexe La liste lectorale comprenait galement l adresse des r sidents italiens g s de 18 65 ans On a s lectionn syst matiquement le m me nombre de sous listes pour chaque sexe Au total on a s lect
19. jug simple parce que le lecteur devait rep rer un seul l ment d information qui tait nonc litt ralement dans le diagramme le type d information est jug relativement simple parce qu il s agissait d un montant enfin la plausibilit des l ments de distraction est aussi jug e relativement simple parce que des l ments de distraction entourent l information demand e LES HOLLANDAISES PEU NOMBREUSES AU TABLEAU Le pourcentage de femmes dans l enseignement est faible aux Pays Bas comparativement aux autres pays Dans la plupart des autres pays la majorit des enseignants sont de sexe f minin Cependant si l on tient compte des directeurs de l enseignement et des coles la proportion diminue consid rablement et les femmes se retrouvent en minorit partout Luxem Italie France Irlande Royaume Es Belgique Gr ce Dane Pays bourg Uni pagne mark Bas Pourcentage de femmes dans l enseignement maternelle et niveaux primaire et secondaire Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Une deuxi me t che de compr hension de textes sch matiques relative ce m me diagramme demande au lecteur de trouver le pays autre que les Pays Das dans lequel les femmes sont en minorit parmi les enseignants indice de difficult 234 milieu du niveau 2 Cette t che tait un peu plus difficile que la premi re car au lieu de chercher un pays et de rep rer un pourcentage le lecteur devait savoi
20. l volution de ces carts au cours de la derni re d cennie Il jette un nouvel clairage sur les facteurs qui influencent l acquisition et la perte des comp tences des adultes dans divers contextes la maison et au travail dans les sept pays ayant particip au premier cycle de collecte de donn es L tude pr sente les premi res donn es comparatives quant l incidence de l ducation structur e des adultes et de l apprentissage informel sur l offre de comp tences Elle ouvre aussi une perspective unique sur la r partition des comp tences en technologies de l information et de la communication et sur la facon dont ces dernieres ont augment la productivit et amplifie l in galit salariale Les r sultats obtenus mettent en lumiere de vastes carts en ce qui concerne le niveau moyen et la r partition d mographique des comp tences l int rieur des pays et entre eux Parmi tous les groupes d adultes on observe des comp tences faibles dans des proportions significatives quoique variables Les comp tences varient consid rablement m me des niveaux de scolarit semblables Certains pays r ussissent donc mieux que d autres inculquer des comp tences au del de la scolarit initiale Ces carts comptent car les comp tences sont troitement li es aux chances de r ussite conomique et a la qualit de la vie L am lioration des comp tences surtout chez les personnes qui accusent un d ficit
21. la population et la proximit g ographique Au troisi me degr d chantillonnage on a dress la liste des logements situ s dans les segments s lectionn s puis on a pr lev un chantillon al atoire de logements On a s lectionn un nombre gal de logements partir de chaque segment chantillonn Au quatri me et dernier degr d chantillonnage on a s lectionn au hasard une seule personne admissible dans les m nages comptant moins de quatre adultes admissibles Dans les m nages comptant quatre personnes admissibles et plus on a s lectionn deux adultes au hasard Taille de l chantillon On a recommand que l chantillon compte 5 400 unit s compl tes dans chaque langue officielle pour chaque pays qui mettait en ceuvre l valuation psychom trique compl te de l ELCA c est dire comprenant les domaines suivants compr hension de textes suivis de textes sch matiques num ratie et r solution de probl mes On a recommand que l chantillon compte 3 420 unit s compl tes dans chaque langue officielle si l valuation ne comprenait pas le domaine de la r solution de probl mes On a recommand que l chantillon compte 3 000 unit s compl tes dans le cas du Nuevo Le n au Mexique qui a valu les comp tences en litt ratie en utilisant les livrets de t ches psychom triques de l Enqu te international sur l alphab tisation des adultes EIAA Le tableau B2 montre le nombre final de r pon
22. que l information donn e et l information demand e sont pr sentes dans la tache Par exemple l un des facteurs pouvant avoir contribu la difficult de cette tache est le fait que le graphique des ventes va de 1986 1992 alors que celui des blessures va de 1983 1990 Le lecteur devait comparer l information des deux diagrammes pour la p riode comparable Feux d artifice aux Pays Bas Victimes de feux d artifice Nombre de blessures 1200 03 84 85 86 87 88 89 90 Un autre ensemble de t ches de difficult variable sur l chelle de compr hension de textes sch matiques concerne un document plut t compliqu tir d une revue de consommateurs dans laquelle on value les radios r veils La plus simple des trois t ches indice de difficult 287 niveau 3 demande au lecteur de trouver deux caract ristiques qui n appartiennent aucun radio r veil BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur de base Le lecteur doit parcourir le document pour trouver la liste des radios r veils de base puis d terminer qu un tiret repr sente l absence d une caract ristique Il doit alors rep rer les deux caract ristiques indiqu es par l ensemble de tirets Le type d appariement est donc jug relativement difficile parce quil s agit d une tache de regroupement des caract ristiques n cessitant plusieurs r ponses avec une condition ou une d duc
23. s lectionn une seule UPE avec probabilit proportionnelle la taille Au deuxi me degr du plan d chantillonnage on a pr lev un chantillon de personnes partir de chaque UPE chantillonn e On a stratifi chaque UPE s lectionn e en trois niveaux de scolarit d finis par le Registre de l ducation On a d termin la taille de l chantillon de chaque UPE s lectionn e en r partissant la taille globale de l chantillon pour chaque UPE s lectionn e avec Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite probabilit proportionnelle la taille de la population cible On a ensuite r parti l chantillon d UPE comme suit 30 96 provenant du groupe au niveau de scolarit faible 40 96 du groupe au niveau de scolarit moyen et 30 96 du groupe au niveau de scolarit lev On a exclu de l chantillon les personnes dont le niveau de scolarit n apparaissait pas sur le Registre de l ducation 84 318 personnes Nuevo Le n Mexique On a utilis un plan d chantillonnage probabiliste stratifi deux degr s l int rieur de chacune des strates On a regroup g ographiquement les 51 municipalit s du Nuevo Le n en trois diff rentes strates Strate 1 R gion m tropolitaine de recensement de Monterrey comprenant neuf municipalit s Strate 2 les municipalit s de Linares et de Sabinas Hidalgo Strate 3 le restant des 40 municipalit s du Nuevo Le n L chantillon
24. suffisante en fonction du nombre de logements l int rieur d un secteur limit et raisonnablement compact De plus l int rieur de chaque r gion g ographique on a ordonn la base du recensement selon le niveau de scolarit le plus lev avant le pr l vement de l chantillon pour s assurer que tout l ventail des niveaux de scolarit soit repr sent l int rieur de la strate urbaine on a utilis deux degr s d chantillonnage Au premier degr on a s lectionn syst matiquement des m nages avec probabilit proportionnelle la taille Au deuxi me degr l application IPAO a utilis un algorithme d chantillon al atoire simple pour s lectionner une personne parmi les adultes des m nages admissibles Dans la strate rurale on a utilis trois degr s pour pr lever l chantillon Au premier degr on a s lectionn des unit s primaires d chantillonnage avec probabilit proportionnelle la taille de la population Ooo o a Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage Aux deuxi me et troisi me degr s on a repris la m me m thode de s lection deux degr s que dans le cas de la strate urbaine Italie On a employ un chantillon probabiliste stratifi trois degr s pour pr lever un chantillon l aide de listes lectorales municipales On a stratifi le pays en 22 r gions g ographiques En
25. 3 En r ponse au souci d largir la mesure des comp tences les responsables de la mise au point de l ELCA ont entrepris de d finir des cadres de travail qui serviraient effectuer de nouvelles mesures lors des valuations comparatives des adultes Ils taient conscients du fait que la conception d un instrument valide et fiable reposait avant tout sur des bases th oriques solides repr sent es par un cadre de travail qui refl te la pens e courante dans le domaine Selon Messick 1994 un cadre de travail qui adopte une approche conceptuelle du plan d une valuation doit commencer par une d finition ou un nonc de principe g n ral qui pr cise la raison d tre de l enqu te et ce qu elle vise mesurer en fait de connaissances de comp tences ou d autres attributs puis d finir divers rendements ou comportements qui refl tent ces concepts et enfin d finir diverses caract ristiques des taches et indiquer comment on utilisera ces caract ristiques pour concevoir les taches qui feront ressortir ces comportements La pr sente annexe propose un apercu des cadres de travail utilis s pour mettre au point les t ches servant mesurer la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques la num ratie et la r solution de probl mes lors del ELCA Outre qu elle d finit ces cadres de travail la pr sente annexe propose un sch ma permettant de comprendre le sens de ce qu on a mesur lors de l ELCA et d interpr ter l
26. 3 Pour assurer un haut degr de qualit des donn es les lignes directrices relatives l ex cution de l ELCA stipulaient que chaque pays devait travailler avec un organisme ou une entreprise de collecte de donn es r put e poss der de pr f rence ses propres enqu teurs professionnels et exp riment s La m thode de r mun ration de ces enqu teurs devait favoriser une r ponse maximale Les entrevues ont t men es domicile de mani re impartiale et sans aucune pression Les pays devaient assurer la formation et la supervision des enqu teurs en mettant l accent sur le choix d une seule personne par m nage dans la mesure du possible le choix de l un des 28 livrets de t ches principales dans la mesure du possible la notation du livret de taches pr liminaires et l attribution des codes d tat Enfin on devait superviser le travail des enqu teurs en exer ant de fr quents contr les de la qualit au d but de la collecte de donn es puis moins de contr les par la suite et en offrant aux enqu teurs de l aide durant la p riode de collecte de donn es BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage Les responsables de l ELCA ont pris quelques pr cautions contre les erreurs dues aux non r ponses comme le stipulaient les lignes directrices relatives l ex cution de l enqu te Les enqu teurs avaient pour instruction
27. 93 97 93 94 Canada Bermudes es T 03 03 Canada Nuevo Le n 91 95 m 92 N ayant pas lieu de figurer 1 Textes au contenu quantitatif TABLEAU B6 R sum des op rations de notation D but de la Nombre de Temps moyen de Pays notation correcteurs notation par livret Bermudes Au milieu 5 20 min Canada Au milieu 10 13 min Italie Au d but 9 15 min Norv ge Au milieu 17 8 min Nuevo Le n Mexique Au milieu 12 n d Suisse Au d but 11 22 min tats Unis Au d but 7 12 min 1 Indique que la notation a commenc au d but au milieu ou la fin de la collecte de donn es 2 Dont 15 correcteurs deux personnes pour saisir les questions ferm es en r solution de probl mes et une personne pour saisir les feuilles de notation Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite R ponse l enqu te et pond ration Chaque pays participant ELCA a utilis un plan d chantillonnage probabiliste plusieurs degr s avec stratification et probabilit s in gales de s lection des r pondants En outre il est n cessaire de compenser les cas de non r ponse survenus divers niveaux L estimation des param tres de population et des erreurs types correspondantes d pend donc des coefficients de pond ration ou poids Tous les pays participants ont employ la m me m thode g n rale pour calculer les coefficients de pond ration mais chaque pays a labor ces coefficients en fo
28. Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur lors de l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes ELCA Apprentissage et r ussite Table des mati res Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur lors de l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes ELCA 279 Aper u 281 Introduction 281 Fchelonner les taches de litt ratie de num ratie et de r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA 282 Mesurer la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques dans le cadre de l ELCA 284 D finir la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques 284 Mesurer la num ratie dans le cadre de l ELCA 296 D finir la num ratie dans le cadre de l ELCA 296 Mesurer la r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA 307 D finir la r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA 307 Conclusion 315 Bibliographie 317 BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur lors de l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes ELCA Apercu La pr sente annexe propose un bref aper u des cadres de travail adopt s pour mettre au point et interpr ter les chelles qui ont servi mesurer la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques la num ratie et la r solution de probl mes lors de l Enqu te sur la litt
29. J septembre 2000 Leverage Points for Improving Educational Assessment Paper submitted to National Center for Research on Evaluation Standards and Student Testing CRESST as part of award R305B60002 from the U S Department of Education Office of Educational Research and Improvement Mosenthal P B et Kirsch I S 1998 A New Measure for Assessing Document Complexity The PMOSE IKIRSCH document readability formula Journal of Adolescent and Adult Literacy Vol 41 8 pp 638 657 Murray T S Clermont Y et Binkley M dir publ Mesurer la htt ratie et les comp tences des adultes Des nouveaux cadres d valuation Statistique Canada Canada 2005 Murray T S Kirsch LS et Jenkins L 1998 Adult Literacy in OECD Countries Technical report on the First International Adult Literacy Survey National Center for Education Statistics Washington DC National Council of Teachers of Mathematics 2000 Principles and Standards for School Mathematics Reston VA OCDE 1992 L illettrisme des adultes et les r sultats conomiques Paris Rutherford FJ et Ahlgren A 1990 Science for All Americans Oxford University Press New York Rychen D S et Salganik L H dir publ 2003 Key Competencies for a Successful Life and a Well Functioning Society Hogrefe and Huber Publishers Cambridge MA Senechal M 1990 Shape in L A Steen dir publ On the Shoulders of Giants New appro
30. a bonne r ponse partir de l information disponible Nous envisageons ici trois variables retenues pour examiner les taches de lecture ou de litt ratie utilis es dans les enqu tes nationales et internationales le type d appariement le type d information demand e et la plausibilit des l ments de distraction Type d appariement On distingue quatre types de strat gie d appariement le rep rage le regroupement des caract ristiques l int gration et la formulation Pour les taches de rep rage le r pondant doit apparier un ou plusieurs l ments d information nonc s dans la question des renseignements identiques ou synonymiques pr sents dans le texte Les t ches de regroupement des caract ristiques invitent galement le r pondant apparier un ou plusieurs l ments d information elles different cependant des taches de rep rage du fait que le r pondant doit apparier une s rie de caract ristiques pour satisfaire aux conditions nonc es dans la question Les t ches d int gration demandent au r pondant de rapprocher deux ou plusieurs l ments d information tir s du texte selon un type de relation donn e Par exemple cette relation peut amener le r pondant rep rer des similitudes tablir une comparaison des diff rences mettre en opposition un degr trouver plus petit ou plus grand ou des relations de cause effet Cette information peut se trouver dans un seul paragraphe ou figurer dans diff
31. aches to numeracy National Academy Press Washington DC Scribner S et Cole M 1981 The Psychology of Literacy Harvard University Press Cambridge MA Steen L A dir publ 1990 On the Shoulders of Giants New approaches to numeracy National Research Council Washington D C Steen L A 2001 Mathematics and Democracy the case for quantitative literacy National Council on Education and the Disciplines Etats Unis Sticht T G dir publ 1975 Reading for Working A functional literacy anthology Human Resources Research Organization Alexandria VA Sticht T G 1978 Literacy and Vocational Competency Occasional Paper No 39 National Center for Research in Vocational Education Ohio State University Columbus OH Sticht T G janvier 1982 Evaluation of the Reading Potential Concept for Marginally Literate Adults Final Report FR ET50 82 2 Human Resources Research Organization Alexandria VA Szwed J 1981 The Ethnography of Literacy in M Whitman dir publ Writing The nature development and teaching of written communication Vol 1 Erlbaum Hillsdale NJ Tobias S 1993 Overcoming Math Anxiety Norton New York Venezky R L 1983 The Origins of the Present day Chasm between Adult Literacy Needs and School Literacy Instruction Visible Language Vol 16 pp 113 136 Collaborateur Irwin Kirsch Educational Testing Service BEEN Statistique Canada et
32. ae avec pr r glage de stations d Le volume doit tre au plus bas pour que la scenerie K Frais de manutention de 3 50 S pour les r parations G Peut capter en st r o la bande FM se fasse entendre garanties H Indicateur de puissance des piles L Fras de m mutention de 6 S pour Les r parabons gar nties Cadran de syntonrsation cllumm M Frais de manutention de 10 S pour les r parations J Arguilles bemmeuses garanties 2002 Statistique Canada Ottawa Ontario K 1A OT6 Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Une tache un peu plus difficile li e ce document se situe au bas du niveau 4 et comporte un indice de difficult de 327 Elle demande au lecteur Quel radio r veil poss dant toutes les caract ristiques est le mieux cot l gard du rendement Ici le lecteur doit apparier trois caract ristiques poss dant toutes les caract ristiques le mieux cot et rendement dont l une l am ne traiter un renseignement conditionnel Il est possible par exemple qu un lecteur ait trouv les radios r veils poss dant toutes les caract ristiques et la colonne Rendement mais qu il ait choisi le premier radio r veil de la liste en supposant qu il tait le mieux cot Dans ce cas il n a pas compris le renseignement conditionnel qui est une l gende non ant la signification des symboles Un autre lecteur peut tre all la colonne
33. ait que les membres du comit ne consid rent pas la litt ratie comme un ensemble de capacit s isol es li es la lecture et l criture mais ce qui est plus important comme l application de ces capacit s des fins pr cises dans des contextes pr cis Lorsqu on tudie la litt ratie dans des contextes divers elle devient marqu e au sceau de la diversit Premi rement les gens pratiquent la litt ratie pour r pondre diverses fins ou divers besoins Sticht 1978 Heath 1980 Cook Gumperz et Gumperz 1981 Mikulecky 1982 Ces utilisations varient selon les contextes Heath 1980 Venezky 1983 et selon les personnes l int rieur du m me contexte Kirsch et Guthrie 1984a Cette variation de l utilisation am ne les gens lire un vaste ventail de documents ayant des formes linguistiques qualitativement tr s diff rentes Diehl 1980 Jacob 1982 Miller 1982 Dans certains cas on a li ces diff rents types de t ches de litt ratie diff rentes strat gies cognitives ou habitudes de lecture Sticht 1978 1982 Crandall 1981 Scribner et Cole 1981 Kirsch et Guthrie 1984b L expression pour fonctionner dans la soci t atteindre ses objectifs parfaire ses connaissances ef accro tre son potentiel vise englober toutes les situations dans lesquelles la litt ratie joue un r le dans la vie des adultes en priv et en public de l cole au travail puis l acquisition continue du sav
34. and es sont Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite habituellement plus simples que celles qui ne le font pas Par exemple une question qui nonce num rez les trois raisons est plus simple qu une question qui nonce num rez les raisons Les taches sont galement influenc es par la mesure dans laquelle le r pondant doit faire des d ductions pour apparier l information donn e dans une question l information correspondante dans le texte et pour trouver l information demand e Type d information demand e Il s agit de la sorte d information que le lecteur doit rep rer pour r pondre correctement une question du test Plus l information demand e est concr te plus la t che est jug e facile Dans les travaux de recherche ant rieurs portant sur les valuations grande chelle de la litt ratie des adultes et des enfants Kirsch et Mosenthal 1994 Kirsch Jungeblut et Mosenthal 1998 la variable type d information tait not e sur une chelle cinq points La cote 1 repr sentait l information la plus concr te donc la plus simple traiter et la cote 5 l information la plus abstraite donc la plus difficile traiter Par exemple les questions ot le r pondant devait trouver une personne un animal ou une chose soit des noms imaginables demandaient une information tr s concr te on leur attribuait donc une valeur de 1 Celles o le r pondant devai
35. artie de l organisation Le r pondant re oit ensuite la liste suivante d tapes franchir Fixez la date de la r union e valuez les recommandations de vos parents en vue de la randonn e e Planifiez la marche suivre avant de r server votre billet d avion e R pondez aux questions de vos parents concernant le voyage en avion e R servez votre billet d avion e Veillez ce que votre billet ne comporte aucune erreur Planifiez le d placement entre la ville B et l a roport La premi re t che de ce projet soit Fixez la date de la r union constitue un bon exemple d une t che de r solution de probl mes et nous la pr sentons maintenant comme elle figurerait dans un cahier de test BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Exemple de t che Fixez la date de la r union La r union de famille devrait se tenir au mois de juillet Vous avez demand tous vos parents de vous faire part des dates qui leur conviendraient Apr s leur avoir parl vous avez dress la liste des engagements de vos parents pendant le mois de juillet Votre propre agenda est ouvert devant vous Vous constatez que certaines personnes devront arriver un jour avant la r union et quelles ne pourront rentrer chez elles que le lendemain de la r union Veuillez consulter la liste des engagements de vos parents et votre propre agenda Liste des engagements
36. au 3 demande au lecteur de consulter une page d un manuel d entretien de bicyclette et de trouver comment s assurer que le si ge est dans la bonne position Le type d information est Jug moyen parce que le lecteur devait trouver et noncer par crit deux conditions respecter De plus on ne pr cisait pas combien de caract ristiques il devait trouver parmi celles qui taient nonc es Le type d information est galement jug moyen parce qu il s agissait de trouver une condition enfin on a attribu la plausibilit des l ments de distraction une cote indiquant qu elle tait relativement simple CHOIX D UN CADRE APPROPRI LE CYCLISTE DOIT POUVOIR ENFOURCHER SA BICYCLETTE ET EN POSITION DEBOUT AVOIR AU MOINS 2 em DE JEU AU MOINS AU MOINS 2 cm rim NOTA Pour les femmes d terminer la mesure partir d un mod le pour hommes GRANDEUR APPROPRIEE AU DESSUS DE LA TIGE HORIZONTALE DE LA BICYCLETTE RESPONSABILIT S DU PROPRI TAIRE LONGUEUR GRANDEUR DEJAMBE DU CADRE DU CYCLISTE 660mm 760mm 690mm 790mm 1 Choixetachat dela bicyclette Voirsila bicyclette convient au futur propri taire Les bicyclettes sont de grosseur variable Pour assurer une s curit et un confort optimaux la selle et les LP guidons doivent tre ajust s Comme les bicyclettes sont dot es d une grande vari t d quipement et d accessoires il 760mm 840mm faut veiller ce que le cycliste sache comment s en servir
37. cation et diff rents types de nombres d terminent la quantification de diverses fa ons les nombres entiers servent de compteurs ou d estimateurs les fractions d cimales et pourcentages expriment des quantit s plus pr cises ou repr sentent les parties d un tout ce qui permet de comparer des proportions Les nombres positifs et n gatifs servent d indicateurs directionnels En plus de la quantification on utilise les nombres pour ordonner et pour identifier par exemple dans le cas de num ros de t l phone ou de codes postaux L aisance avec la quantit les nombres et les op rations sur les nombres exige un bon sens dela grandeur et de la signification de nombres tr s grands ou tr s petits et parfois le sens de la grandeur relative de diff rentes proportions La gestion de l argent et du temps aspect omnipr sent des math matiques dans la vie des adultes d pend d un sens aigu des nombres et des quantit s On doit faire preuve de jugement contextuel pour d terminer dans quelle mesure il faut tre pr cis ou quel outil utiliser calculatrice calcul mental ordinateur Une tache de num ratie de base peut consister calculer le co t d une boite de soupe en sachant que quatre boites co tent 2 00 une tache dont l exigence cognitive est lev e peut n cessiter des nombres plus pointus par exemple si l on calcule le co t d un kilo de fromage en sachant que 0 783 kg co te 12 95 euros Dimension et forme
38. cet gard reste un grand d fi relever Toutefois une politique avis e peut s av rer fructueuse Les r sultats montrent que certains pays ont r ussi atteindre des niveaux lev s de comp tences dans plusieurs domaines D autres ont r ussi am liorer les comp tences de la population entiere D autres encore ont pratiquement instaur l acquisition continue du savoir pour tous Les livres p riodiques et donn es statistiques de l OCDE sont maintenant disponibles sur www SourceOCDE org notre biblioth que en ligne Cet ouvrage est disponible sur SourceOCDE dans le cadre de l abonnement aux th mes suivants Enseignement et comp tences Demandez votre biblioth caire des d tails concernant l acc s aux publications en ligne ou crivez nous SourceOECD oecd org i wf Statistique Statistics Canada Canada www statcan ca www oecd org ISBN 92 64 01040 8 91 2005 03 2 P
39. cid de mettre l accent sur un sous ensemble essentiel de r solution de probl mes la r solution de probl mes analytiques Il faut viter de confondre notre notion de la r solution de probl mes analytiques avec le sens courant et intuitif de l expression Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite et avec la notion clinico psychologique selon laquelle la r solution de probl mes est associ e la r solution de conflits sociaux et motifs Pourtant le contexte social est tout fait pertinent pour notre d finition de la r solution de probl mes analytiques par exemple lorsqu il faut aborder un probl me interactivement et le r soudre par la collaboration Des facteurs motivants comme l int r t pour le sujet et l orientation des t ches influencent galement le processus de r solution des probl mes En revanche la qualit de la r solution est d termin e avant tout parla compr hension de la situation probl matique les processus de pens e utilis s pour aborder le probl me et l propos de la solution retenue On peut faire appel diff rents aspects pour caract riser le probl me lui m me e Le contexte peut refl ter divers domaines de nature th orique ou pratique rattach s une situation intellectuelle ou au monde r el Dans ces domaines un probl me peut s av rer plus ou moins authentique e Lampleur d un probl me est variable une personne peut s en tenir des as
40. d ductions sont un peu plus difficiles parce que le type d information demand e est une raison plut t qu une r ponse concr te Cette variable est galement jug e difficile cause de son c t abstrait Enfin la plausibilit des l ments de distraction est jug e moyenne parce que le texte contient de l information pouvant distraire le lecteur Une autre t che qui se situe au niveau 4 sur l chelle des textes suivis 338 demande au lecteur d utiliser l information contenue dans un d pliant sur les entrevues d emploi et de d crire dans ses mots une diff rence entre l entrevue par jury et l entrevue en groupe Ici la difficult ne tient pas au rep rage de l information dans le texte Au lieu de simplement rep rer un fait concernant chaque type d entrevue le lecteur doit int grer ce qu il a lu pour trouver une caract ristique qui distingue les deux types d entrevue l exp rience retenue d autres valuations de ce genre r v le que les taches demandant au lecteur de mettre en opposition des l ments d information sont plus difficiles en moyenne que celles pour lesquelles on lui demande de trouver des similitudes Le type d appariement est donc jug complexe et difficile Le type d information est galement jug difficile parce qu on demandait au lecteur de trouver une diff rence Les diff rences sont habituellement plus abstraites puisqu il s agit de rep rer des caract ristiques distinctives ou oppos es li es
41. dans ce cas un processus d entrevue La plausibilit des l ments de distraction est jug e simple parce que le texte ne contenait aucun l ment de distraction On n estimait donc pas que cette variable contribuait la difficult globale de la t che La t che la plus difficile sur l chelle des textes suivis 377 se situe au bas du niveau 5 et demande au lecteur de lire une annonce publi e par un service du personnel et de citer deux fa ons dont le CIEM un groupe d aide aux salari s d une entreprise peut aider les personnes qui perdent leur emploi par suite d une restructuration de leur service Le type d appariement est jug difficile parce que la question contenait plusieurs l ments d information que le lecteur devait garder l esprit en lisant le texte De plus le lecteur devait donner plusieurs r ponses et faire des d ductions de faible niveau partir du texte Le type d information est jug moyen parce que le lecteur cherchait un but ou une fonction la plausibilit des l ments de distraction est jug e relativement difficile Cette t che est un peu plus difficile du fait que l annonce est centr e sur des renseignements qui sont diff rents de ceux qui sont demand s dans la question Ainsi bien que les renseignements corrects se situent dans une seule phrase l information est cach e sous une s rie de rubriques d crivant les activit s du CIEM pour les employ s la recherche d un autre emploi Cette liste
42. dans le monde moderne ce ne sont pas n cessairement que les situations courantes qui font appel aux pratiques de calcul mais aussi de nouvelles situations Un autre l ment important de la d finition de la num ratie tient au r le des processus de communication La num ratie englobe non seulement la capacit d une personne d utiliser et d appliquer ses comp tences math matiques de mani re efficace et critique mais aussi la capacit d interpr ter des messages textuels ou symboliques ainsi que de communiquer au sujet de l information math matique et des processus de raisonnement Marr et Tout 1997 Gal 1997 Les d finitions de la num ratie noncent explicitement que la num ratie ne consiste pas seulement effectuer des op rations avec des nombres comme le terme le laisse entendre surtout pour ceux qui connaissent bien les conceptions de la num ratie des enfants mais qu elle englobe une foule de comp tences et de connaissances math matiques En outre au cours des derni res ann es il a beaucoup t question de la relation entre les math matiques et la num ratie et du caract re essentiel de la num ratie Frankenstein 1989 Steen 2001 Johnston par exemple soutient que Savoir calculer ce n est pas qu tre capable de manipuler des nombres ni m me poss der les math matiques apprises l cole ou l universit La num ratie suppose une connaissance essentielle qui constitue un lien ent
43. dants unit s compl tes pour la ou les langues d valuation de chaque pays participant TABLEAU B2 Taille de l chantillon selon la langue d valuation Langue Domaines Nombre de Pays d valuation d valuation r pondants Bermudes Anglais S Sc N RP 2 696 Canada Anglais S Sc N RP 15 694 Fran ais S oc N RP 4 365 Italie Italien S Sc N RP 6 853 Norv ge Bokmal S SC N RP 5 411 Nuevo Le n Mexique Espagnol S Sc Q 4 786 Suisse Frangais S SC N RP 1 765 Allemand S oc N RP 1 892 Italien S 50 N 1 463 tats Unis Anglais S Sc N 3 420 1 S Textes suivis Sc Textes sch matiques N Num ratie RP R solution de probl mes Q Textes au contenu quantitatif 2 Pourles besoins de l chelonnement des donn es d valuation psychom trique d un pays les donn es d un r pondant sont consid r es comme compl tes condition de comprendre au moins les variables du questionnaire de r f rence en ce qui concerne l ge le sexe et le niveau de scolarit Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Collecte de donn es Le plan d enqu te del ELCA combinait les techniques de l valuation p dagogique celles d une enqu te m nage afin d valuer la litt ratie et d obtenir les renseignements n cessaires pour rendre ces mesures significatives On a d abord pos aux r pondants une s rie de questions pour obtenir des renseignements contextuels et d mographique
44. de ces comp tences dans diff rentes circonstances Vu l intention g n rale de l ELCA de produire des renseignements sur un ensemble diversifi de comp tences utiles la vie le pr sent cadre de travail d finit la num ratie comme suit Connaissances et comp tences n cessaires pour g rer efficacement les exigences math matiques de diverses situations Cette d finition suppose que le concept de la num ratie est plus large que celui de la compr hension de textes au contenu quantitatif d fini par l EIA A En outre la num ratie des adultes doit tre consid r e comme diff rente d une connaissance scolaire des math matiques S il n existe pas de d finition universellement reconnue de la num ratie Baker et Street 1994 un examen de certaines perspectives concernant le sens de la num ratie des adultes montre qu elles renferment plusieurs points communs Voici deux exemples tous deux tir s de travaux men s en Australie ENEE EN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur La num ratie consiste utiliser les math matiques pour fonctionner efficacement au sein d un groupe et d une collectivit ainsi qua utiliser ces comp tences pour favoriser l volution d une personne et celle de sa collectivit Beazley 1984 Traduction libre La num ratie consiste interpr ter appliquer et communiquer une information math matique dans
45. des situations courantes afin de jouer pleinement de mani re essentielle et efficace un vaste ventail de r les dans la vie D partement de I ducation du Queensland 1994 Traduction libre Sur le plan de la port e g n rale toutes ces d finitions sont tr s semblables celles de la compr hension de textes suivis et de la compr hension de textes sch matiques formul es pour les besoins de l ELCA et pr sent es dans une section ant rieure Bon nombre de conceptions de la num ratie mettent l accent sur l application et l utilisation pratiques ou fonctionnelles des connaissances et des comp tences math matiques pour composer avec la pr sence d l ments math matiques dans des situations r elles Les adultes sont cens s maitriser plusieurs fa ons de r agir avec souplesse une situation math matique en vue d atteindre un objectif selon les besoins et les int r ts d une personne dans un contexte donn maison collectivit travail etc ainsi que son attitude et ses croyances l gard de la num ratie Gal 2000 Coben O Donoghue et FitzSimons 2000 La num ratie ne se limite donc pas l application des comp tences arithm tiques l information contenue dans des imprim s qui tait valu e dans le cadre de l EIAA La num ratie des adultes englobe galement le sens des nombres ainsi que des comp tences en estimation en mesure et en statistique Etant donn le r le envahissant de la num ratie
46. donn de l chelle est capable d accomplir avec la m me comp tence toutes les t ches qui se situent ce point de l chelle Pour les besoins de l ELCA comme pour ceux de l EIAA on a d termin qu une personne qui se situe un point donn de l chelle de capacit s avait 80 96 des chances de r pondre correctement aux 1tems qui se situent ce point Tout comme les adultes au sein de chaque pays participant l ELCA sont chantillonn s partir de la population d adultes vivant dans des m nages chaque t che con ue et utilis e dans l valuation repr sente un type de t che chantillonn e partir du domaine ou du concept d fini 1ci Elle est donc repr sentative d un type donn de t che de litt ratie de num ratie ou de r solution de probl mes qui est li des contextes pour adultes Lorsqu on regarde la r partition des t ches le long de chacune des chelles une question vidente se pose qu est ce qui distingue les taches qui se situent au bas de chaque chelle de celles qui se situent au milieu et au sommet de l chelle Les t ches qui se situent peu pr s au m me endroit sur chaque chelle ont elles en commun un ensemble de caract ristiques qui leur conf re un niveau de difficult semblable M me un examen superficiel des items r v le que les taches qui se situent au bas de chaque chelle diff rent de celles qui se situent au sommet Afin de repr senter cette progression de la complexit
47. duelles qui ont t identifi es comme des tapes franchir dans le cadre de leur projet par exemple planifier une r union de famille ou r nover un pavillon En incorporant les t ches individuelles dans le contexte d une action on obtient une grande authenticit contextuelle M me si elles font toutes partie d un projet coh rent et exhaustif les taches individuelles sont concues pour tre r solues ind pendamment les unes des autres et sont appel es varier en complexit et en difficult globale pour les adultes Comme l valuation des comp tences en r solution de probl mes a des origines relativement r centes il convient de rendre compte en d tail du processus de construction Le tableau A1 pr sente un aper u des tapes de la r solution de probl mes qui correspondent aux diverses tapes susmentionn es Il num re divers aspects et composantes de chacune des tapes de la r solution de probl mes La construction d une banque de t ches d valuation qui correspondraient ces cinq tapes comportait elle m me plusieurs tapes Premi rement il fallait choisir des projets pertinents qui conviendraient aux adultes ayant des ant c dents scolaires variables et qui s appliqueraient au plus grand nombre possible de personnes au sein du groupe cible Puis les concepteurs devaient tablir et d finir la situation probl matique et une s quence d actions correspondant au mod le Troisi mement ils de
48. e dans la nature et dans les mouvements de la circulation Senechal 1990 soutient que notre capacit de reconnaitre d interpr ter et de cr er des structures est essentielle pour appr hender le monde qui nous entoure La capacit humaine d identifier des relations et d analyser sous tend le raisonnement math matique Lalg bre au Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite del de la manipulation symbolique offre un outil servant repr senter des relations entre des montants au moyen de tableaux de graphiques de symboles et de mots La capacit de g n raliser et de caract riser des fonctions et des relations entre des variables est essentielle la compr hension des analyses conomiques politiques ou sociales m me les plus simples Une tache de reconnaissance de structure relativement simple pourrait consister demander quelqu un de d crire la structure d une suite de nombres ou de formes donn s ou dans un contexte fonctionnel comprendre la relation entre des listes de variables par ex le poids et le volume de certains objets laborer une formule pour un tableur imposerait la personne un niveau d exigence plus lev Donn es et hasard Les donn es et le hasard recouvrent deux sujets connexes mais distincts Les donn es reposent sur des grands principes tels que la variabilit l chantillonnage l erreur ou la pr vision et sur des sujets statistiques co
49. e B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage TABLEAU B7 Variables de r f rence par pays Source des chiffres de Pays population de r f rence Variables de r f rence Bermudes Recensement de 2000 Age sexe niveau de scolarit Canada Chiffres de population du Province aire g ographique de recensement juin 2003 recensement RMR AR ge sexe Italie Enqu te polyvalente ISTAT R gion age sexe niveau de scolarit de 2002 situation face l emploi Norv ge Registre norv gien de l ducation ge sexe niveau de scolarit version de 2002 Nuevo Le n Recensement de la population et Age sexe niveau de scolarit Mexique des logements 2000 Suisse Enqu te suisse sur la population R gion linguistique ge sexe niveau active ESPA de scolarit statut d immigrant tats Unis Current Population Survey R gion de recensement statut de r gion enqu te sur l tat de la population statistique m tropolitaine MSA age sexe 2003 suppl ment de mars race ethnicit statut d immigrant Le tableau B8 r sume la taille des chantillons et les taux de r ponse de chaque pays participant TABLEAU B8 Taille de l chantillon et taux de r ponse R sum Taille de Nombre de Taux de l chantillon r pondants r ponse Population initial Unit s personnes personnes g e de 16 personnes de hors de 16 de 16 Pays 65 ans 16 65 ans cha
50. e de sondage et les exclusions par rapport la population cible de chaque pays TABLEAU B1 Base de sondage et exclusions par rapport a la population cible Pays Base de sondage Exclusions R sidents en tablissements visiteurs aux Bermudes personnes s journant moins de six mois Liste d valuation fonci re e liste jour de tous les logements situ s aux Bermudes Bermudes Canada Base de donn es du Recensement de la R sidents long terme en tablissements population et du logement en date du membres des forces arm es personnes 15 mai 2001 vivant dans des r serves indiennes e m nages d nombr s au moyen du r sidents de r gions peu peupl es questionnaire complet du recensement chantillon de 20 96 Italie Liste lectorale liste de personnes de Aucune 18 ans et plus qui sont des r sidents de l Italie et qui ont des droits civils Norv ge Registre norv gien de l ducation R sidents permanents en tablissements version de 2002 personnes pour qui le niveau de scolarit atteint est inconnu Nuevo Le n Base de donn es du Recensement R sidents permanents en tablissements Mexique de la population et du logement ann e membres de la marine mexicaine de r f rence 2000 Suisse Registre des num ros de t l phone R sidents en tablissements personnes priv s septembre 2002 vivant dans des r gions tr s isol es personnes sans num ro de t l phone priv tats Unis Base ar olaire
51. e personne tente de g rer une situation de num ratie ou d y r agir parce qu elle veut satisfaire un besoin ou atteindre un objectif Quatre types de buts et d objectifs sont d crits ci dessous Force est de constater qu ils ne sont pas mutuellement exclusifs et qu ils peuvent correspondre aux m mes th mes math matiques sous jacents Vie quotidienne Les taches de num ratie qui se pr sentent dans des situations courantes sont souvent des t ches de gestion auxquelles une personne fait face dans sa vie personnelle et familiale D autres sont li es des passe temps ainsi qu au perfectionnement et aux int r ts personnels I peut s agir des t ches suivantes r gler des questions d argent et de budget comparer des prix g rer son temps personnel prendre des d cisions en mati re de d placements planifier des vacances faire des calculs dans le cadre de passe temps comme la courtepointe ou le travail du bois jouer des jeux de hasard comprendre des statistiques et des r sultats sportifs lire des cartes g ographiques et utiliser des mesures dans le cadre d activit s m nag res comme la cuisine ou le bricolage Iravail Au travail on fait face des situations composante quantitative qui sont souvent plus sp cialis es que celles qui se pr sentent dans la vie quotidienne Dans ce contexte une personne peut acqu rir de bonnes comp tences pour g rer des situations plus pointues dans l application de th mes mat
52. e pertinente sont incapables d approfondir la situation probl matique et de planifier syst matiquement une solution elles doivent plut t proc der par tatonnements Celles qui connaissent d j tr s bien la tache sont en mesure de l aborder de mani re syst matique Laptitude mentale g n rale mesur e par des t ches de raisonnement n intervient dans aucun de ces cas Lorsque la tache est moyennement famili re la personne qui r sout des probl mes celle ci peut mettre en ceuvre des strat gies de raisonnement analytiques L approche adopt e pour l valuation de la r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA est fond e sur la notion de taches moyennement famili res Dans un contexte assez familier les probl mes r soudre sont suffisamment peu explicites pour ne pas tre percus comme des taches purement routini res En revanche les connaissances pr alables sp cifiques au domaine sont assez limit es pour faire des techniques de raisonnement analytiques le principal outil cognitif de r solution des probl mes D finir les caract ristiques des t ches Comment d finir des probl mes r els contextualis s et les transformer en un ensemble de t ches d valuation Apr s avoir pass en revue les diverses approches adopt es lors de recherches ant rieures pour mesurer la r solution de probl mes les concepteurs de l ELCA ont opt pour une approche par projet L approche par projet peut s av rer un instr
53. en raison du contexte ou du contenu retenu pour l valuation On a retenu les six cat gories suivantes de contexte ou de contenu pour adultes e Vie familiale documents portant sur les relations interpersonnelles les finances personnelles le logement et l assurance e Sant et s curit documents portant sur les drogues et l alcool la pr vention et le traitement des maladies la s curit et la pr vention des accidents les premiers soins les urgences et les mesures prendre pour rester en sant e Vie sociale et collective documents portant sur les ressources communautaires et les moyens d information e Economie de la consommation documents portant sur le cr dit et les op rations bancaires l pargne la publicit les achats et les biens personnels e Travail documents portant sur diverses professions en g n ral mais pas sur des cas particuliers la recherche d un emploi les finances et la vie professionnelle Loisirs et d tente documents portant sur les voyages les activit s r cr atives et les restaurants Documents ou textes S il ne fait aucun doute qu une valuation de la litt ratie doit porter sur des documents divers la diversit et les caract ristiques sp cifiques des textes qui entrent dans la conception des t ches sont essentielles la conception et l interpr tation des r sultats qui sont produits Pour les besoins de l ELCA on a tabli une distinction essentielle en
54. ersonnes vous posent des questions et comparent ensuite leurs opinions sur votre canditature En groupe Apr s avoir cout un expos sur le poste et les fonctions en compagnie d autres candidats vous participez une discussion en groupe Apres l entrevue Notez les principaux points qui ont t discut s Comparez les questions qui vous ont caus des difficult s et celles qui vous ont permis de faire valoir vos points forts Une telle revue vous aidera vous pr parer de futures entrevues Si vous le d sirez vous pouvez en discuter avec l agent de placement ou l orienteur professionnel de votre bureau d emploi local BENEE EN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Caract riser les t ches de compr hension de textes sch matiques L chelle de compr hension de textes sch matiques comporte 54 taches ordonn es le long de l chelle de 500 points Ces 54 t ches comprennent 19 items tir s de l EIAA et 35 nouvelles t ches mises au point pour les besoins de l ELCA L indice de difficult de ces t ches varie de 157 444 L une des t ches de niveau 1 indice de difficult 188 demande au lecteur de d terminer partir d un diagramme le pourcentage d enseignants en Gr ce qui sont des femmes Le diagramme pr sente le pourcentage d enseignants de divers pays qui sont des femmes En fonction des variables retenues le type d appariement est
55. es cette tache n exige pas qu on effectue un calcul exact mais une approximation qui devrait se situer l int rieur de limites raisonnables vu Une tache de num ratie un peu plus difficile situ e au sommet du niveau 2 indice de difficult 275 pr sente aux adultes le diagramme d un conteneur sur lequel se trouvent quatre marques ou lignes on demande aux r pondants de tracer sur le conteneur une ligne la hauteur du tiers La ligne du haut est marqu e 1 alors que celle du milieu est marqu e Les deux autres lignes sont sans marque l une est situ e mi chemin entre 1 et et l autre mi chemin entre la ligne marqu e et le fond du conteneur Pour r pondre correctement le r pondant doit tracer sur le conteneur une ligne entre la ligne marqu e et la ligne au dessous la hauteur du quart mais cette ligne n est pas marqu e 14 il faut le d duire Ici le contexte peut tre moins familier pour le r pondant mais encore une fois l image visuelle est simple et r aliste et ne comporte pratiquement pas de texte Il ne s agit pas d crire un symbole ou un texte mais simplement de tracer une ligne un certain endroit sur le dessin du conteneur Pour accomplir correctement cette tache le r pondant doit poss der une certaine connaissance pratique des fractions et le sens des proportions il doit connaitre les symboles et S savoir ordonner les fracti
56. es niveaux sur chacune des chelles Elle emprunte abondamment des chapitres plus d taill s qui ont t r dig s au sujet de l ELCA Murray Clermont et Binkley sous presse chelonner les t ches de litt ratie de num ratie et de r solution de probl mes dans le cadre de l ELCA Les r sultats de l ELCA sont pr sent s sur quatre chelles deux chelles de litt ratie textes suivis et textes sch matiques une chelle de num ratie et une chelle de la r solution de probl mes chacune allant de 0 500 points On peut imaginer ces taches dispos es le long de leur chelle respective en fonction de leur difficult pour les adultes et du niveau de capacit n cessaire pour accomplir correctement chaque t che Dans l ELCA la m thode employ e pour mod liser ces continuums de difficult et de capacit est la th orie de la r ponse l item TRI La TRI est un mod le math matique servant estimer la probabilit pour une personne donn e d accomplir correctement une tache donn e tir e d une banque de t ches Murray Kirsch et Jenkins 1998 BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Sur l chelle la valeur attribu e chaque item est li e au rendement d chantillons repr sentatifs d adultes des pays participants l gard de cet item Elle repose sur la th orie selon laquelle une personne qui se situe un point
57. esting Service ETS ont collabor pour mettre au point et mener une tude comparative internationale de la litt ratie Statistique Canada et l OCDE 2005 BEEN Apprentissage et r ussite L Enqu te internationale sur l alphab tisation des adultes EIAA tait la premi re enqu te comparative men e aupr s d adultes pour tudier la r partition de la litt ratie parmi les pays participants En 2000 on a publi dans un rapport final OCDE et Statistique Canada 2000 les r sultats de trois cycles d valuations auxquels avaient particip quelque 23 pays ou groupes linguistiques repr sentant un peu plus de 50 96 du PIB mondial Si l EIAA a jet une base importante pour les enqu tes comparatives internationales men es aupr s des adultes on a cependant exprim le besoin d ajouter des l ments mesurer Les administrations publiques et les d cideurs tenaient de plus en plus savoir quelles autres comp tences taient n cessaires une personne pour participer pleinement et fructueusement une soci t moderne et la soci t pour relever les d fis d un monde en volution rapide Un projet concu cette fin intitul D finition et s lection des comp tences DeSeCo a t men sous l gide de la Suisse Son objectif consistait d finir d un point de vue th orique un ensemble de comp tences cl s qui sont essentielles une vie r ussie et la bonne marche de la soci t Rychen et Salganik 200
58. eurs 4 Base de sondage 15 Saisie des donn es 5 Plan d chantillonnage 16 Codage 6 Pr l vement d un chantillon 17 Notation 7 Plan d valuation de la litt ratie 18 Fichier de donn es de ELCA 8 Questionnaire de r f rence Format et v rification 9 Livrets de taches 19 Pond ration 10 Exigences relatives aux instruments 20 Estimation pour faciliter le traitement des donn es 21 Confidentialit 11 Collecte de donn es 22 Documentation relative l enqu te 12 Strat gie de prise de contact avec 23 Enqu te pilote les r pondants Plan d valuation Les pays participants l exception de l tat du Nuevo Le n au Mexique ont mis en uvre le plan d valuation de l ELCA Le Nuevo Le n a mesur les comp tences en litt ratie en utilisant les instruments d valuation de l Enqu te internationale sur l alphab tisation des adultes EIAA Dans le cas de l ELCA et de l EIAA un plan d valuation de blocs incomplets quilibr s BIE a t utilis pour mesurer les diff rents domaines de Statistique Canada et l OCDE 2005 Lo ee Apprentissage et r ussite comp tences Le plan BIE comprend un ensemble de t ches d valuation organis es en sous ensembles de taches ou en blocs Chacun des blocs contient un ensemble d items d valuation d un des domaines de comp tences et couvre un large ventail de niveaux de difficult de facile difficile Les blocs d items sont leur tour rassembl s en
59. formelle de retourner plusieurs reprises chez les m nages non r pondants afin d obtenir le plus de r ponses possible De plus on a demand tous les pays de s assurer que les adresses fournies aux enqu teurs taient aussi compl tes que possible afin de r duire les probl mes ventuels d identification des m nages On a demand aux pays de remplir apr s la partie principale de l enqu te un questionnaire d valuation afin de montrer qu on avait bien suivi les lignes directrices ainsi que pour cerner les probl mes de collecte qui avaient pu survenir Le tableau B4 pr sente des renseignements sur les entrevues tir s de ce questionnaire TABLEAU B4 Renseignements sur les enqu teurs Taille Nombre de Nombre de moyenne de Pays langues d enqu teurs l affectation Exp rience des enqu teurs Bermudes 1 105 40 Ind termin e Canada 2 317 62 Enqu teurs professionnels poss dant au moins deux ans d exp rience Italie 1 150 45 Enqu teurs professionnels dont la plupart poss daient au moins deux ans d exp rience Norvege 1 320 30 Seulement le tiers des enqu teurs poss daient au moins deux ans d exp rience les autres ont t form s sp cialement pour cette enqu te Nuevo Le n Mexique 1 209 29 Environ 70 des enqu teurs poss daient deux ans d exp rience Suisse 3 110 60 Ind termin e Etats Unis 1 106 64 Enqu teurs professionnels dont environ le quart ne poss daient aucune exp rience ant rieu
60. ge capacit d carterles signaux provenantde la bande voisine el de la r sistance aux interf rences provenant de signaux r fl chis par des a ronefs ou par d autressurfaces semblables M Sensibilit Qualit de la r ception d une m me o 9 O e Meilleur 4 9 Pire 8 S lectivit Qualit de la r ception par toutes les radios d une station faible voisine d une forte sur la bande 9 Qualit du son Fond e principalement sur l analyse informatique des sons produits par le haut parleur el sur des tests d coute de musique enregistr e sur disques compacts Aucun mod le n a donn de son haute fid lit rite par avance ou recul Cette caract ristique facilite le r glage de l horloge et du r veil car si on va trop loin il suffit de reculer Elo sonnerie Permet de s lectionner deux heures de r vaildistinctes station partoutes lesradios sans trop d intecf rence g dant toutes les caract risti 50 40 8x25x18 86 50 45 5x20x15 84 50 45 10x28x1382 50 30 5x28x15 79 65 15x38x1378 Marque et mod le Radios r veils RCA RP 36 Sony ICF C303 Panasonic RC X220 Realistic 272 Magnavox AJ3900 12 AB D H J L O T U 12 C E F I N T 12 AG KM O S T U 3 A G H K O T NN o0 B Pa 1 bs Radios r veils de base Realistic 263 28 18 Soundesign 3622 12 10 Panasonic RC 6064 18 15 General Electric 7 4612 13 10 Lloyds CRO001 20 15 Sony ICF C240 15 13 Emerson AK2720 19 10 5x20
61. h matiques Il peut sagir des taches suivantes remplir des bons de commande totaliser des recettes calculer la monnaie g rer des horaires utiliser des feuilles de calcul disposer et emballer des articles de formes diff rentes remplir et interpr ter des cartes de contr le effectuer et consigner des mesures lire des plans contr ler des d penses pr voir des co ts et appliquer des formules Vie sociale ou collective Les adultes ont besoin de connaitre les processus qui existent dans le monde qui les entoure par exemple les tendances de la criminalit des salaires et de l emploi de la pollution et des risques pour la sant ou l environnement Ils sont parfois appel s prendre part des activit s sociales communautaires ou politiques Ils doivent donc savoir lire et interpr ter l information quantitative pr sent e dans les m dias y compris les messages et graphiques statistiques Ils peuvent tre appel s g rer les situations suivantes organiser une campagne de financement calculer l incidence budg taire d un programme communautaire ou interpr ter les r sultats d une tude sur la plus r cente tendance en mati re de sant Formation compl mentaire Les comp tences en num ratie permettent une personne de participer des tudes compl mentaires que ce soit dans un but scolaire ou dans le cadre d une formation professionnelle au niveau des m tiers Dans un cas comme dans l autre il importe de co
62. he American Association for Applied Linguistics New York Diehl W 1980 Functional Literacy as a Variable Construct An examination of the attitudes behaviours and strategies related to occupational literacy Th se de doctorat non publi e Indiana University Dossey J A 1997 Defining and Measuring Quantitative Literacy in L A Steen dir publ Why Numbers Count Quantitative literacy for tomorrow s America College Entrance Examination Board New York Fey J T 1990 Quantity in L A Steen dir publ On the Shoulders of Giants New approaches o numeracy National Academy Press Washington DC Frankenstein M 1989 Relearning Mathematics A different third R Radical maths Free Association Books Londres Gal I 1997 Numeracy Imperatives of a forgotten goal in L A Steen dir publ Why Numbers Count quantitative literacy for tomorrows America The College Board New York pp 36 44 Gal I 2000 The Numeracy Challenge in I Gal dir publ Adult Numeracy Development Theory research practice Hampton Press Cresskill NJ pp 1 25 Gal I 2002 Adult Statistical Literacy Meanings components responsibilities International Statistical Review Vol 70 1 pp 1 25 Jacob E 1982 Literacy on the Job Final report of the ethnographic component of the industrial literacy project Center for Applied Linguistics Washington DC Johnston
63. illet 29 juillet BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Ce projet illustre bien comment la logique des actions requises est effectivement traduite en un cheminement concret d actions th matiques Lintrigue sous jacente la planification d un voyage et d une r union de famille constitue une action courante tr s repr sentative dans laquelle une vaste majorit des habitants de diff rents pays peuvent vraisemblablement se reconnaitre Les actions requises elles m mes et l ordre dans lequel elles sont accomplies peuvent s carter du mod le normatif d action compl te comme c est le cas ici Le mod le normatif sert de balise qui est adapt e chaque contexte En l occurrence par exemple la tache intitul e Evaluez les recommandations de vos parents en vue de la randonn e correspond peu pr s l tape Analyser la situation la tache intitul e Planifiez la marche suivre avant de r server votre billet d avion l tape Planifier la solution et la tache R servez votre billet d avion l tape Ex cuter le plan l exemple de t che donne une premi re id e des structures et des formats des items La t che s amorce habituellement par une br ve introduction la situation suivie de divers types et quantit s de renseignements assimiler Dans l exemple le r pondant qui veut fixer la date de la r
64. illon de 60 unit s primaires d chantillonnage UPE partir d un total de 1 883 UPE constitu es d un seul comt ou d un groupe de comt s contigus selon la taille de la population et la superficie du ou des comt s On a stratifi les UPE en fonction des caract ristiques conomiques et sociales de la population d clar es lors du recensement de 2000 soit les caract ristiques suivantes la r gion du pays le statut de r gion statistique m tropolitaine Metropolitan Statistical Area ou MSA la taille de la population les pourcentages de r sidents afro am ricains et de r sidents hispaniques ainsi que le revenu par habitant On a inclus dans l chantillon avec certitude les plus grandes UPE en fonction d un seuil de taille de la population Quant aux autres UPE on a s lectionn une seule UPE par strate avec probabilit proportionnelle la taille de la population Au deuxi me degr d chantillonnage on a s lectionn syst matiquement partir des UPE chantillonn es un total de 505 segments g ographiques avec probabilit proportionnelle la taille de la population Les segments consistent en lots ar olaires d finis par le recensement de 2000 ou en combinaisons d au BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage moins deux ilots voisins On les a constitu s pour respecter des crit res fond s sur la taille de
65. initial a t r parti aux trois strates proportionnellement au nombre de r sidences l int rieur de chaque strate Au premier degr de pr l vement de l chantillon l int rieur de chacune des strates on a pr lev un nombre al atoire de m nages Au deuxi me degr on a s lectionn dans chaque m nage une seule personne appartenant la population cible l aide d une grille de s lection inspir e de celle de Kish Suisse On a utilis un plan d chantillonnage probabiliste stratifi deux degr s On avait besoin d estimations distinctes pour les trois r gions linguistiques de la Suisse allemande francaise italienne Les trois r gions linguistiques constituent donc les strates primaires l int rieur des r gions linguistiques on a en outre stratifi la population en r gions m tropolitaines repr sent es par les cantons de Gen ve et de Zurich et le reste des r gions linguistiques Au premier degr d chantillonnage on a tir de chaque strate un chantillon syst matique de m nages partir d une liste de num ros de t l phone priv s Au deuxi me degr on a s lectionn dans chaque m nage une seule personne appartenant la population cible l aide d une grille de s lection inspir e de celle de Kish tats Unis Aux tats Unis on a employ un plan d chantillonnage probabiliste stratifi plusieurs degr s Au premier degr d chantillonnage on a pr lev un chant
66. ion math matique ou des faits connus s appliquent la situation ou au contexte Il peut tre n cessaire de faire preuve de jugement pour d terminer qu une r ponse a du sens ou non dans le contexte donn savoir par exemple qu un r sultat de 2 35 voitures n est pas une solution valide lorsqu on se demande combien de voitures sont n cessaires pour transporter un groupe La situation peut aussi comporter un aspect critique si la personne remet en question l objet de la tache la validit des donn es ou de l information pr sent e ainsi que le sens et la port e des r sultats pour elle m me sur le plan individuel et peut tre pour la collectivit dans son ensemble Communiquer quelqu un d autre au sujet de l information math matique donn e ou des r sultats d une intervention ou d une interpr tation On peut le faire oralement ou par crit il peut s agir simplement d un nombre ou d un mot ou encore d une explication ou d une analyse d taill e ou au moyen d un dessin diagramme carte g ographique graphique Type d information matb matique ou statistique On peut classer l information math matique d un certain nombre de facons et selon diff rents niveaux d abstraction Une d marche consiste se reporter aux grands principes fondamentaux du domaine des math matiques Steen 1990 par exemple distingue les six grandes cat gories suivantes quantit dimension structure forme incertitude et varia
67. ionn 1 326 sous listes par sexe 663 dans la strate des hommes et 663 dans celle des femmes Au troisi me degr du plan d chantillonnage on a pr lev syst matiquement un chantillon de personnes de 18 65 ans partir des unit s secondaires d chantillonnage Puis l tape de la prise de contact avec les m nages on a inclus dans l chantillon toutes les personnes de 16 et 17 ans vivant dans le m nage d une personne s lectionn e de 18 65 ans Norv ge partir de la version de 2002 du Registre norv gien de l ducation on a pr lev l chantillon au moyen d un plan d chantillonnage probabiliste deux degr s Le plan a permis de cr er 363 unit s primaires d chantillonnage UPE partir des 435 municipalit s de la Norv ge On a regroup ces UPE en 109 strates g ographiques Trente huit strates taient constitu es d une seule UPE qui tait une municipalit comptant une population d au moins 25 000 personnes Au premier degr de pr l vement de l chantillon on a inclus avec certitude chacune de ces 38 UPE dans l chantillon On a r parti les autres municipalit s en 79 strates Les variables qui ont servi stratifier ces municipalit s taient la structure industrielle le nombre d habitants la centralit les structures de communication les habitudes quotidiennes de d placement les secteurs commerciaux et la couverture m diatique locale partir de chacune de ces 79 strates on a
68. ir de mani re constante Mesurer la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques dans le cadre de l ELCA D finir la compr hension de textes suivis et de textes sch matiques Financ e par le National Center for Education Statistics NCES dans le cadre de son programme global d valuation de la litt ratie des adultes la National Adult Literacy Survey NALS est l tude la plus vaste et la plus compl te de la litt ratie des adultes jamais men e aux Etats Unis Kirsch e al 1993 Comme toutes les valuations grande chelle financ es par le NCES la NALS a t con ue par un comit compos d universitaires de praticiens et d administrateurs reconnus l chelle nationale qui ont adopt la d finition suivante de la litt ratie La litt ratie est la capacit d utiliser des imprim s et des crits n cessaires pour fonctionner dans la soci t atteindre ses objectifs parfaire ses connaissances et accro tre son potentiel Cette d finition r sulte du travail initial du comit d orientation de l valuation et peut servir de base pour cr er d autres aspects du cadre de travail aborder Approuv e et adopt e par les pays qui ont particip au premier cycle de l EIAA elle a galement t retenue pour les besoins de ELCA Elle comporte certaines hypoth ses formul es par les membres du comit il 1mporte donc d envisager tour tour les divers l ments de cette d finition Tou
69. l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes M thode d chantillonnage Apprentissage et r ussite Table des mati res Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes M thode d chantillonnage 319 M thodologie d enqu te 321 Plan d valuation 321 valuation de l ELCA 22 valuation de l EIAA 322 Population cible et base de sondage 323 Plan d chantillonnage 324 Taille de l chantillon 327 Collecte de donn es 328 Notation des tests 330 R ponse l enqu te et pond ration 332 Poids de population 332 Poids jackknife 332 BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes M thode d chantillonnage M thodologie d enqu te Chaque pays participant devait concevoir et mettre en uvre l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes ELCA selon les normes nonc es dans les lignes directrices du document Normes et r gles d utilisation pour l laboration et la mise en place de l Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes Ces normes tablissaient les exigences minimales concernant le plan d enqu te et la mise en ceuvre de l enqu te l gard des points suivants 1 Planification de l enqu te 13 Strat gie relative aux taux de r ponse 2 Population cible 14 Embauche formation et supervision 3 M thode de collecte de donn es des enqu t
70. livrets de taches selon un plan d valuation BIE Les r pondants n taient pas requis de r pondre l ensemble des t ches d un domaine sp cifique la place chacun des r pondants s est vu administr al atoirement un des livrets de t ches valuation de l ELCA L valuation psychom trique de l ELCA comprenaient les domaines de comp tences suivants compr hension de textes suivis compr hension de textes sch matiques num ratie et r solution de probl mes L outil d valuation consistait en quatre blocks d une dur e de 30 minutes textes suivis et sch matiques deux blocks d une dur e de 30 minutes de num ratie et deux blocs d une dur e de 30 minutes de taches de r solution de probl mes Un plan d valuation de l ELCA quatre domaines a t mis en uvre aux Bermudes au Canada en Italie en Norv ge et dans les populations francophones et germanophones de la Suisse Les Etats Unis et la population italophone de la Suisse ont mis en ceuvre un plan d valuation de l ELCA trois domaines excluant le domaine de la r solution de probl mes En plus de l valuation de ces domaines de comp tences les pays participants ont aussi valu l utilisation des technologies de l information et des communications en utilisant un ensemble de questions incorpor es au questionnaire de r f rence de l ELCA Les blocs d items d valuation ont t organis s en 28 livrets de t ches pour le plan d valuation quatre d
71. mp 65 ans 65 ans Bermudes 43 274 4 049 745 2 696 82 Canada 21 960 683 35 270 4721 20 059 66 Italie 38 765 513 16 727 971 6 853 44 Norv ge 2 945 838 9 719 16 5 411 56 Nuevo Leon Mexique 2 382 454 6 000 36 4 786 80 Suisse 1 161 735 18 282 5 010 5 120 40 tats Unis 184 260 910 7 045 1 846 3 420 66 1 Lesunit s hors du champ de l enqu te sont celles qui ont t cod es comme suit r sidents non admissibles logement introuvable logement en construction logement inoccup ou saisonnier ou unit s doubles 2 Pour les besoins de l chelonnement des donn es d valuation psvchom trique d un pays les donn es d un y y 7 r pondant sont consid r es comme compl tes condition de comprendre au moins les variables du questionnaire de r f rence en ce qui concerne l ge le sexe et le niveau de scolarit 3 On calcule le taux de r ponse en divisant le nombre de r pondants par la taille de l chantillon initial d duction faite des unit s hors champ Collaborateurs Owen Power Statistique Canada Carrie Munroe Statistique Canada Statistique Canada et l OCDE 2005 DE Annexe C Principaux participants au projet Direction et coordination de l tude internationale M T Scott Murray Directeur de l tude internationale ELCA Statistique Canada Ottawa M Yvan Clermont Coordonnateur de l tude internationale ELCA Statistigue Canada Ottawa M Patrick Werquin Coordonnateur de l tude i
72. n niveau pr cis de l chelle r aliseraient les t ches ce niveau avec une probabilit de r ussite de 80 96 Cela signifie galement que la probabilit qu elles ex cutent les taches situ es un niveau de capacit plus faible sur l chelle est sup rieure 80 96 mais pas que les personnes poss dant un niveau de capacit donn ne pourront jamais effectuer des t ches dont le niveau de difficult est plus lev elles pourraient r ussir de temps autre Cela signifie que la probabilit de succ s est relativement faible c est dire que plus le degr de difficult de la t che est lev par rapport leur niveau de capacit plus la probabilit de bonne r ponse est faible On peut expliquer ce principe l aide d une analogie La relation qui existe entre la difficult de la tache et la comp tence de la personne est comparable l preuve du saut en hauteur dans une comp tition d athl tisme l athl te essaie Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite de sauter par dessus une barre plac e de plus en plus haut Chaque athl te est comp tent une hauteur particuli re A cette hauteur la probabilit de r ussite est lev e et il peut aussi sauter presque tout le temps par dessus la barre plac e des niveaux plus bas Cependant lorsque la barre est plac e un niveau plus lev que celui o l athl te est comp tent on ne s attend pas ce qu il puisse r uss
73. naux soit un texte bref accompagn d un graphique Le niveau de difficult accru de cet item est sans doute attribuable en partie au fait que le r pondant doit formuler sa propre description au degr moyen de d pendance au texte pour comprendre le contexte auquel se rapporte le graphique ou la n cessit de comprendre l orientation des valeurs d cimales sur l axe vertical mode courant de repr sentation des concentrations de produits chimiques polluants Le lait maternel est il sans danger D epuis les ann es 1970 les scientifiques d plorent la quantit de dioxine une toxine pr sente dans le poisson p ch dans la mer Baltique La dioxine qui a tendance saccumuler dans le lait maternel peut s av rer nuisible pour les nouveau n s Quantit de dioxine dans le lait maternel 1 0 0 8 0 6 0 4 0 2 Quantit de dioxine en nanogramme gramme de graisse Le graphique montre la quantit de dioxine trouv e dans le lait maternel de femmes d Europe du Nord telle que l ont r v l e des tudes r alis es de 1975 1995 1975 1985 1995 Ann e Dans une deuxi me t che ax e sur le m me stimulus mais plus difficile on demandait aux adultes de comparer le pourcentage de variation du niveau de dioxine de 1975 1985 celui de 1985 1995 de d terminer lequel tait le plus lev et d expliquer leur r ponse Cette t che s tant av r e beaucoup plus difficile pour les adultes des pa
74. nction de son propre plan d chantillonnage probabiliste En g n ral chaque pays a calcul deux types de coefficients de pond ration des poids de population qui servent produire des estimations de population et des poids de r chantillonnage jackknife qui servent calculer les erreurs types correspondantes Poids de population Pour chaque enregistrement de r pondant on a tabli le poids de population en calculant d abord le poids d chantillonnage th orique Puis on a calcul un poids d chantillonnage de base en rajustant math matiquement le poids th orique en fonction de la non r ponse Le poids de base est le poids fondamental qui peut servir produire des estimations de population Toutefois afin d assurer la coh rence entre les poids d chantillonnage et les chiffres de population connus d un pays c est dire les totaux de r f rence pour les caract ristiques essentielles on a ajust les poids d chantillonnage de base en fonction des totaux de r f rence Le tableau B7 pr sente les variables de r f rence de chaque pays et la source des chiffres de population de r f rence Poids jackknife On a recommand d tablir de dix trente poids de r chantillonnage jackknife afin de d terminer les erreurs types des estimations d enqu te La Suisse a produit quinze poids de r chantillonnage jackknife Les autres pays en ont produit trente BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annex
75. nde au fil du temps Les structures additives multiplicatives et exponentielles de la variation peuvent caract riser des tendances stables les variations p riodiques d notent des cycles et les courbes de variation irr guli res voquent la th orie du chaos D crire une perte de poids constitue une tache relativement simple alors que calculer un int r t compos est une tache relativement complexe Type de repr sentation de l information math matique L information math matique inh rente une activit ou une situation peut exister ou tre repr sent e sous plusieurs formes Il peut s agir d objets concrets compter moutons personnes immeubles voitures etc ou d illustrations de ces objets Elle peut tre repr sent e au moyen d une notation symbolique chiffres lettres et signes d op ration Parfois l information math matique figure dans des formules qui constituent un mod le de relations entre des entit s ou des variables BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur En outre l information math matique peut tre cod e de mani re visuelle comme dans un diagramme on peut utiliser des graphiques et des tableaux pour pr senter une information statistique ou quantitative agr g e De m me une carte g ographique d une entit r elle par exemple le plan d une ville ou d un chantier peut contenir des donn es num riques mais aus
76. nnaitre certains aspects formels des math matiques symboles Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite r gles et formules et de comprendre certaines conventions r gissant l application des r gles et des principes math matiques Type de r action Dans diff rents types de situation r elle une personne peut avoir r agir de l une ou de plusieurs des fa ons suivantes la premi re va pratiquement de soi les autres d pendent de l interaction entre les exigences de la situation et les objectifs les comp tences les dispositions et les connaissances acquises de la personne Identifier ou rep rer dans la tache ou la situation qui se pr sente une information math matique qui est pertinente l gard d un besoin ou d un objectif R agir l information pr sente dans la situation Bishop 1988 par exemple distingue six modes d actions math matiques qui sont communs toutes les cultures compter rep rer mesurer concevoir Jouer et expliquer D autres types d actions ou de r actions peuvent entrer en Jeu comme faire des calculs mentalement ou l aide d une calculatrice ordonner ou trier estimer mesurer ou mod liser par exemple en utilisant une formule Interpr ter l information comprise dans la situation et les r sultats d une intervention ant rieure et comprendre ce qu elle signifie ou suppose I peut s agir de porter un Jugement sur la fa on dont une informat
77. nnexes tels que la collecte et l analyse de donn es les mesures courantes d une valeur centrale ou d une fourchette de valeurs ou la notion d une inf rence statistique La soci t moderne exige des adultes qu ils interpr tent et parfois m me qu ils produisent des tableaux de fr quence des diagrammes et des graphiques de base des renseignements sur des moyennes et des m dianes et qu ils reconnaissent des affirmations statistiques douteuses Gal 2002 Le hasard repose sur des grands principes li s la probabilit et aux concepts et outils statistiques pertinents Peu de choses au monde sont absolument certaines la capacit d associer un nombre la probabilit d un v nement et de ses risques ou effets secondaires constitue donc un outil pr cieux qu il s agisse du temps quil fait de la bourse des valeurs ou de la d cision de prendre un certain m dicament Dans cette cat gorie une tache de num ratie simple pourrait consister interpr ter un diagramme circulaire simple ou comprendre un nonc relatif une moyenne une t che plus complexe consisterait d duire la probabilit d un v nement d apr s l information fournie Variation Il s agit des math matiques de l volution du monde autour de nous Les organismes croissent les populations varient les prix fluctuent les objets en mouvement acc l rent et ralentissent La variation et les taux de variation nous aident d crire l tat du mo
78. nternationale ELCA OCDE Paris Notation et chelonnage de l tude internationale M Irwin Kirsch Educational Testing Service Princeton M Kentaro Yamamoto Educational Testing Service Princeton Mme Minh Wei Wang Educational Testing Service Princeton Mme Julie Eastland Educational Testing Service Princeton Responsables nationaux de l tude Bermudes M Crispin Boney Statistics Department Government of Bermuda Hamilton Canada M Jean Pignal Statistique Canada Ottawa Italie Mme Vittoria Gallina Istituto Nazionale per la Valutazione del Sistema dell Istruzione Frascati Statistique Canada et le OCDE 2005 ae C Apprentissage et r ussite Responsables nationaux de l tude Norv ge M Egil Gabrielsen Centre for Reading Research Stavanger Nuevo Le n M Edmundo Guajardo Garza Mexique Ministerio de Educaci n Monterrey Suisse M Philippe Hertig Office f d ral de la statistique Neuchatel M Philipp Notter University of Z rich Z rich Etats Unis Mme Mariann Lemke National Center for Education Statistics Washington M Eugene Owen National Center for Education Statistics Washington Experts du domaine et collaborateurs Textes suivis et textes sch matiques M Irwin Kirsch Educational Testing Service Princeton M Kentaro Yamamoto Educational Testing Service Princeton M Julie Eastland Educational Testing Service Princeton M Stan Jones Atlantic Health Promotion Re
79. oir et la participation active la vie de la collectivit Atteindre ses objectifs parfaire ses connaissances et accroitre son potentiel exprime le point de vue selon lequel la litt ratie permet de combler les aspirations personnelles celles qui sont d finies comme l obtention d un dipl me ou d un emploi et celles qui sont moins d finies et moins imm diates qui enrichissent la vie d une personne L expression dans la soci t tient compte du fait que la litt ratie offre chacun le moyen de contribuer la vie de la soci t tout en en tirant des avantages On s accorde reconnaitre que les comp tences en litt ratie sont importantes pour permettre un pays de maintenir ou d am liorer son niveau de vie et de s imposer sur un march concurrentiel de plus en plus mondial Pourtant elles sont tout aussi importantes pour la participation individuelle la vie d une soci t caract ris e par l volution technologique avec ses institutions structur es un syst me Juridique complexe et de vastes programmes gouvernementaux D finir les caract ristiques des t ches Les caract ristiques des t ches repr sentent des variables qu on peut utiliser de diverses facons pour mettre au point une valuation et en interpr ter les r sultats Selon Almond et Mislevy 1998 les variables peuvent jouer l un des cinq r les suivants limiter la port e de l valuation d finir les caract ristiques utiliser pour c
80. ollecte taient soigneusement orchestr es de mani re obtenir un nombre quivalent de r ponses compl tes pour chacun des livrets de t ches ee Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe B Enqu te sur la litt ratie et les comp tences des adultes m thode d chantillonnage Population cible et base de sondage Chaque pays participant a constitu un chantillon cens tre repr sentatif de sa population civile hors tablissement g e de 16 65 ans inclusivement Les pays taient galement libres d chantillonner des adultes de plus de 65 ans condition de satisfaire une exigence minimale quant la taille de l chantillon de personnes de 16 65 ans Le Canada a choisi d inclure dans sa population cible des adultes de plus de 65 ans Tous les autres pays ont restreint la population cible au groupe d age de 16 65 ans En raison de contraintes op rationnelles certaines exclusions par rapport la population cible taient acceptables condition que la population observ e d un pays ne diff re pas de plus de 5 96 par rapport la population cible c est a dire que le nombre total d exclusions par rapport la population cible en raison d un sous d nombrement ne devait pas exc der 5 96 de la population cible Tous les pays affirment avoir respect cette exigence Chaque pays a choisi ou constitu une base de sondage correspondant la population cible Le tableau ci dessous montre la bas
81. omaines et en 18 livrets de taches pour le plan d valuation trois domaines Les blocs d valuation ont t distribu s dans les livrets suivant un plan BIE par lequel chacun des livrets contenait deux blocs d items Ces livrets de t ches ont t al atoirement distribu s un chantillon s lectionn de r pondants De plus les activit s de collecte de donn es ont t soigneusement orchestr es de mani re obtenir approximativement le m me nombre de r ponses compl tes pour chacun des livrets de taches l exception de deux livrets de taches l int rieur du plan d valuation trois domaines contenant seulement des taches de num ratie o un nombre plus grand de r ponses completes tait requis valuation de l EIAA LEtat du Nuevo Le n au Mexique a mis en uvre le plan d valuation de PEIAA Le plan d valuation de l EIAA consistait en trois domaines de litt ratie textes suivis textes sch matiques et textes au contenu quantitatif Cet Etat a toutefois utilis le questionnaire de r f rence de ELCA L utilisation des technologies de l information et des communications a donc pu tre valu e en utilisant un ensemble de questions incorpor es au questionnaire de r f rence de l ELCA Le plan d valuation de l EIAA consistait en sept livrets de t ches comprenant chacun trois blocs d items Les livrets de t ches taient al atoirement distribu s un chantillon choisi De plus les activit s de c
82. on est jug e simple parce qu il n y a pas d autre mention d un nombre de jours sur l tiquette du m dicament ASPIRIN MEDCO 500 INDICATIONS TH RAPEUTIQUES Maux de t te douleurs musculaires et rhumatismales maux de dents et d oreilles SOULAGE LES SYMPTOMES COMMUNS DU RHUME POSOLOGIE ORALE Prendre 1 ou 2 comprim s toutes les 6 heures de pr f rence en mangeant pendant au plus 7 jours Conserver en un endroit frais et sec MISE EN GARDE Ne pas prendre en cas de gastrite ou d ulc re gastro duod nal Eviter de prendre en m me temps qu un anticoagulant ou en cas de maladie du foie ou d asthme bronchique grave Si ce m dicament est pris grosse dose pendant une p riode prolong e il peut affecter les reins Avant d administrer un enfant atteint de varicelle ou de grippe consulter un m decin au sujet du syndrome de Reyes maladie rare mais grave Les femmes enceintes et celles qui allaitent doivent consulter leur m decin avant d utiliser ce produit surtout durant le troisieme trimestre de la grossesse En cas de sympt mes persistants ou de surdose accidentelle consulter un m decin Garder hors de la port e des enfants INGR DIENTS Chaque comprim contient 500 mg d acide ac tylsalicylique Excipient c b p 1 comprim 0 Fabriqu au Canada par STERLING PRODUCTS INC 6773611079 1600 boul Industriel Montr al Qu bec H9J 3P1 Reproduit avec autorisation Une deuxi me t che de compr hensi
83. on de textes suivis demande au lecteur de lire un article sur les impatientes Cette t che se situe au milieu du niveau 2 et comporte un indice de difficult de 254 Elle demande au lecteur ce qu il peut d duire de la surface lisse des feuilles et des tiges de cette plante Encore une fois la tache amenait le lecteur rep rer une information contenue dans le texte elle est donc jug e simple en ce qui concerne le type d information La derni re phrase du deuxi me paragraphe sous la rubrique Apparence nonce La surface lisse des feuilles et la nature des tiges montrent que cette plante a grand besoin d eau Le type d information est jug moyen parce que la tache demandait au lecteur de trouver un tat La plausibilit des l ments de distraction est galement jug e moyenne parce que le m me paragraphe contenait une phrase qui pouvait distraire un certain nombre de lecteurs Cette phrase nonce Les tiges sont ramifi es et tr s juteuses ce qui en raison de l origine tropicale de cette plante la rend tr s fragile au froid Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Les taches qui se situent des niveaux plus lev s sur l chelle pr sentent au lecteur des exigences plus vari es en fonction du type d appariement demand ainsi que du nombre et de la nature des l ments de distraction pr sents dans le texte L une de ces t ches indice de difficult 281 d but du nive
84. oncevoir les t ches contr ler l assemblage des t ches en livrets ou en formulaires de test caract riser le rendement des r pondants ou leurs r ponses aux taches ou caract riser les aspects des comp tences ou des capacit s LEIAA s est concentr e sur des variables pouvant servir concevoir des t ches ainsi qu caract riser le rendement le long d une ou de plusieurs chelles de capacit s Chaque t che de l valuation t moigne d un aspect de la litt ratie d une personne Mislevy 2000 Si le but de l valuation consiste brosser un tableau aussi fid le que possible des comp tences et des capacit s d une personne le test ne peut pas comprendre un nombre infini de t ches et l on ne peut pas manipuler un nombre infini de caract ristiques de ces t ches I faut donc faire des choix au sujet des caract ristiques inclure dans le processus de mise au point du test Pour les besoins de la construction des t ches de l EIAA on a retenu les trois caract ristiques suivantes Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Contextes ou contenu pour adultes Comme les adultes ne lisent pas d crits ou d imprim s au hasard mais plut t dans un contexte donn ou pour r pondre un besoin particulier on choisit en vue de l valuation de la litt ratie des documents qui repr sentent divers contextes et divers contenus On s assure ainsi qu aucun groupe d adultes n est avantag ou d savantag
85. ons grande chelle des comp tences en r solution de probl mes comme le test projet pour Hambourg en Allemagne Ebach Klieme et Hensgen 2000 et l valuation de l tude PISA 2003 de la r solution de probl mes transdisciplinaires OCDE sous presse Pour les besoins de l ELCA quatre niveaux de comp tence en r solution de probl mes sont postul s Niveau 1 un niveau tr s l mentaire une personne peut maitriser des taches concr tes et limit es en appliquant un raisonnement pratique ax sur le contenu A ce niveau la personne fait appel des sch mas sp cifiques ax s sur le contenu afin de r soudre les probl mes Statistique Canada et l OCDE 2005 BEEN Apprentissage et r ussite Niveau 2 Le deuxi me niveau exige au minimum un niveau rudimentaire de raisonnement syst matique Les probl mes ce niveau se caract risent par des buts unidimensionnels bien d finis ils appellent l valuation de certaines solutions de rechange au regard de contraintes transparentes et explicites A ce niveau la personne fait appel des op rations logiques et concr tes Niveau 3 Au troisi me niveau de comp tence en r solution de probl mes la personne est en mesure de faire appel des op rations formelles l ordonnancement par exemple afin d int grer des buts multidimensionnels ou mal d finis et de composer avec des contraintes d pendantes multiples ou non transparentes Niveau 4 Au niveau su
86. ons en fonction de leur taille relative et les faire correspondre aux marques existantes sur le conteneur On a mis au point quelques t ches de num ratie ax es sur un bref article de journal intitul Le lait maternel est il s r au sujet des risques environnementaux et de la salubrit des aliments L article comportait deux brefs paragraphes concernant une toxine la dioxine qu on trouve dans le poisson de la mer Baltique ainsi qu un graphique barres indiquant les niveaux de dioxine observ s trois moments 1975 1985 et 1995 dans le lait maternel des femmes de l Europe du Nord Une question demandait au r pondant de d crire comment la quantit de dioxine avait vari de 1975 1995 c est dire d interpr ter directement les donn es pr sent es dans le graphique On ne lui demandait pas de calculer la variation exacte observ e au cours de chacune des p riodes mais simplement de d crire en ses propres mots la variation des niveaux de dioxine avaient ils diminu augment ou taient ils rest s inchang s Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite On a attribu cette tache un indice de difficult de 280 au bas du niveau 3 Le graphique montre clairement que la quantit de dioxine a diminu au cours de chacune des trois p riodes pourtant certains adultes ont du mal accomplir cette t che qui est fond e sur un stimulus dont la structure est courante dans les jour
87. ordonner le travail et les d lais Proc der une analyse comparative de diff rents plans reconnaitre le plan qui convient la r alisation des buts Adapter le plan aux changements de conditions e Electionner un plan Planifier la solution Ex cuter e R aliser chacune des tapes par exemple r diger une lettre remplir un formulaire le plan faire des calculs valuer les r sultats valuer si et dans quelle mesure on a atteint la cible Reconnaitre les erreurs Identifier pourquoi les erreurs ont t commises Evaluer les cons quences des erreurs Caract riser les t ches de r solution de probl mes LELCA comportait au total quatre projets dont vingt t ches consacr es l valuation de la r solution de probl mes On a ainsi produit 19 items noter qui s chelonnaient de 199 394 le long de l chelle et l instar des t ches de litt ratie et de num ratie leur emplacement tait d termin par les tendances des bonnes et des mauvaises r ponses chez les adultes des pays participants Au lieu de publier l un des quatre projets qui ont servi l ELCA nous allons d crire une chelle hypoth tique de comp tences en r solution des probl mes analytiques qui a t test e partir des donn es de l tude pilote et pr senter un exemple tir de l tude pilote qui n a pas servi l valuation principale On a d crit des mod les semblables dans le cadre de travail d autres valuati
88. otal 40 t ches de num ratie Ces taches s chelonnent de 174 380 le long de l chelle de la num ratie leur emplacement tant d termin par la fa on dont les adultes des pays participants ont r agi chaque t che On trouvera ci dessous quelques exemples de t ches qui refl tent certains aspects conceptuels de la num ratie et les principes de conception de l chelle d crits plus haut soit le calcul le raisonnement spatial et proportionnel la mesure et les connaissances statistiques La t che la plus simple sur l chelle de la num ratie 174 pr sentait aux adultes une photographie montrant deux cartons de bouteilles de Coca Cola On leur demandait de trouver le nombre total de bouteilles que contenaient les deux caisses pleines Si cette t che tait simple c est d abord parce qu elle tait emprunt e la vie quotidienne et que les objets en question taient relativement familiers pour la plupart des gens Ensuite ce qu on demandait aux r pondants tait vident et explicite cette tache faisait appel une photographie repr sentant des objets concrets et ne comportait aucun texte traiter Un troisi me facteur tenait au fait que les r pondants pouvaient accomplir la t che de diverses fa ons plus ou moins complexes par exemple en multipliant des rang es par des colonnes mais aussi par simple comptage Cette tache am ne le r pondant faire une conjecture car la totalit des bouteilles de la caisse du dess
89. ous n est pas visible mais comme l indique le faible niveau de difficult de la tache cette caract ristique ne pr sentait pas un probl me pour la vaste majorit des adultes de tous les pays participants Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Une deuxi me t che galement tr s simple exigeait des adultes qu ils lisent un court texte rapportant les r sultats d une lection qui opposait trois candidats et de d terminer le nombre total de votes exprim s Cette t che indice de difficult 192 se situe au niveau 1 de l chelle de la num ratie Encore une fois on mettait les r pondants dans un type de situation r aliste en leur pr sentant une information num rique simple sous forme de colonnes montrant le nom de chaque candidat etle nombre de votes obtenus par chacun La t che ne comportait aucune autre information num rique pouvant constituer un l ment de distraction Pour trouver le nombre total de votes exprim s lors de l lection il suffit d effectuer une seule addition ce que la question rend explicite par l emploi du mot cl total et le calcul porte sur des nombres entiers relativement peu lev s Une t che de num ratie plus complexe situ e au milieu du niveau 2 indice de difficult 248 am ne les adultes regarder un indicateur de niveau d essence Cet indicateur comporte trois lignes ou coches dont l une est marqu e F pour full plein une aut
90. p rieur de comp tence la personne est m me de comprendre dans son ensemble un syst me d tats des probl mes et des solutions envisageables Ainsi la coh rence de certains crit res l interd pendance de s quences multiples d intervention et d autres m tacaract ristiques d une situation probl matique peuvent tre consid r es syst matiquement C est galement ce stade que la personne est en mesure d expliquer comment et pourquoi elle est arriv e une solution donn e Ce niveau de comp tence exige une pens e critique et une certaine part de m tacognition L exemple ci dessous illustre la r alisation concr te d un projet Le projet en question exclu de l instrument final de l ELCA consiste ex cuter une t che typique de la r solution de probl mes Il s agit de planifier un voyage et une r union de famille Dans l introduction au projet le r pondant prend connaissance du r sum suivant o sont d crits le sc nario et le probl me global Imaginez que vous habitez la ville A Vos parents sont parpill s aux quatre coins du pays et vous aimeriez organiser une r union de famille qui durera une journ e Vous d cidez de vous r unir dans la ville B facilement accessible pour tous Comme vous et vos parents aimez tous la randonn e p destre vous d cidez de pr voir une longue randonn e dans un parc provincial pr s de la ville B Vous avez accept de prendre en charge la plus grande p
91. pects limit s et concrets d une t che planifier et ex cuter des actions complexes ou valuer des s quences d actions multiples e Le probl me peut comporter un but bien ou mal d fini des contraintes transparentes explicites ou non un nombre restreint d l ments ind pendants ou un grand nombre d l ments interd pendants Ces caract ristiques d finissent la complexit du probl me La connaissance du contexte que poss de la population cible le fait que le probl me porte sur des t ches concr tes ou des actions complexes la mesure dans laquelle le but est bien d fini la transparence des contraintes le nombre d l ments que la personne qui r sout des probl mes doit prendre en compte et l ampleur de leur interd pendance voil autant de caract ristiques qui d terminent le niveau de comp tence n cessaire pour r soudre un probl me donn La difficult empirique c est dire la probabilit de trouver une solution correcte d pend de la relation entre ces caract ristiques du probl me d une part et le niveau de comp tence des sujets de l autre Les processus cognitifs actionn s au cours de la r solution d un probl me sont divers et complexes et sont plut t organis s de mani re non lin aire Ces processus comportent notamment les cinq l ments suivants 1 Chercher l information puis la structurer et l int grer en une repr sentation intellectuelle du probl me mod le situationnel
92. quatre projets restent confidentiels en pr vision d une utilisation future BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Bibliographie Almond R G et Mislevy R J 1998 Graphical Models and Computerized Adaptive Testing TOEFL Technical Report No 14 Educational Testing Service Princeton NJ Daker D et Street B 1994 Literacy and Numeracy Concepts and Definitions in T Husen et E A Postlethwaite dir publ Encyclopedia of Education Pergamon Press New York Beazley K 1984 Education in Western Australia Report of the Committee of Inquiry into Education in Western Australia Education Department of Western Australia Coben D O Donoghue J et FitzSimons G E dir publ 2000 Perspectives on Adults Learning Mathematics Theory and Practice Kluwer Academic Publishers Londres Cockcroft W H 1982 Report of the Committee of Inquiry into tbe Teaching of Mathematics in Schools HMSO Londres Cook Gumperz J et Gumperz J 1981 From Oral to Written Culture The transition to literacy in M Whitman dir publ Writing The nature development and teaching of written communication Vol 1 Erlbaum Hillsdale NJ Crandall J d cembre 1981 Functional Literacy of Clerical Workers Strategies for minimizing literacy demands and maximizing available information Paper presented at the annual meeting of t
93. r Messick 1989 Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Notes en fin de texte 1 On a retenu le crit re de 80 96 en s inspirant de la documentation concernant la maitrise de l apprentissage pour refl ter un niveau de rendement auquel une personne est jug e apte ou comp tente Certains ont soutenu qu il s agissait d une norme trop lev e et qu il fallait fixer la probabilit de r ponse 60 96 voire 50 96 Or le fait d abaisser les crit res 50 96 signifierait qu un adulte devrait accomplir des taches a un niveau de capacit s donn avec un degr d exactitude de 50 96 ce qui est loin d tre une norme suffisante Ferait on confiance un dentiste qui r parerait la bonne dent 5096 du temps Combien d employeurs embaucheraient une personne en sachant qu elle a une chance sur deux d accomplir ses taches correctement Dans l EIAA la compr hension de textes au contenu quantitatif tait d finie comme sult connaissances et comp tences n cessaires l application des op rations arithm tiques s par ment ou successivement des nombres contenus dans des imprim s C est la premi re fois qu on value la r solution de probl mes dans le cadre d une enqu te internationale portant sur les comp tences des adultes Il y aura sans doute d autres cycles de l ELCA et certains pays voudront peut tre mesurer la r solution de probl mes au moyen de ces documents Il importe donc que ces
94. r qu une minorit signifie moins de 50 Puis il devait passer en revue les pourcentages pour trouver les pays dans lesquels le pourcentage de femmes parmi les enseignants tait inf rieur 50 96 De plus il devait se rappeler la condition autre que les Pays Bas autrement il aurait pu choisir ce pays au lieu de la bonne r ponse Par cons quent le type d appariement est jug moyennement difficile le type d information simple parce que l information demand e est un pays ou un lieu etla plausibilit des l ments de distraction relativement simple parce que des l ments de distraction entourent l information demand e Une t che un peu plus difficile indice de difficult 295 milieu du niveau 3 demande au lecteur de regarder des diagrammes concernant les feux d artifice aux Pays Bas et de r diger une br ve description du lien qui existe entre les ventes et les blessures partir de l information fournie Ici le lecteur doit examiner et comparer l information contenue dans les deux diagrammes et l int grer en faisant une d duction concernant la relation entre les deux ensembles d information La tache est jug e relativement difficile en fonction du type d appariement Le type d information est aussi jug relativement difficile parce que l information demand e est une tendance ou une similitude dans les donn es La plausibilit des l ments de distraction est jug e moyennement difficile principalement parce
95. ratie et les comp tences des adultes ELCA L laboration d un cadre de travail semble rev tir une importance capitale dans une approche conceptuelle de la mesure Entre autres l ments le cadre de travail doit comprendre une d finition convenue de ce qu il faut mesurer et le choix des caract ristiques retenir dans la conception et l interpr tation des taches Dans la pr sente annexe nous d crivons ces caract ristiques pour chaque mesure mais nous donnons galement des exemples d item et pr cisons les caract ristiques qui la lumi re des r sultats contribuent la difficult des items Ensemble ces renseignements fournissent un moyen pour passer d une interpr tation des r sultats d enqu te centr e sur des t ches prises 1sol ment ou sur un seul nombre une interpr tation permettant de d finir des niveaux de capacit assez g n ralis s pour valoir l gard de l ensemble des valuations et des groupes Introduction En 1992 l Organisation de coop ration et de d veloppement conomiques OCDE a conclu que la faiblesse des niveaux de litt ratie constituait l chelle internationale une grave menace pour les r sultats conomiques et la coh sion sociale OCDE 1992 Or l absence de donn es internationales comparables a compliqu l analyse des probl mes de litt ratie observ s dans les pays industrialis s et emp ch les d cideurs d en tirer des lecons Statistique Canada A et Educational T
96. re en mati re d enqu te Comme condition de leur participation ELCA on a demand aux pays de saisir et de traiter leurs fichiers en utilisant des m thodes qui assuraient une coh rence logique et des niveaux acceptables d erreur dans la saisie des donn es Plus pr cis ment on leur a demand d effectuer une v rification compl te des notes saisies en entrant chaque enregistrement deux fois afin de r duire les taux d erreur au minimum l exactitude de la notation des tests tant essentielle pour assurer un haut degr de qualit des donn es il fallait exercer un contr le int gral par double saisie Chaque pays devait galement coder l industrie la profession et le niveau de scolarit l aide des codes types suivants la Classification internationale type par industrie CITT la Classification internationale type des professions CITP et la Classification internationale type de l ducation CITE Statistique Canada a fourni des codes pour toutes les questions ouvertes et les pays ont requ des directives pr cises relativement au codage de ces questions Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Pour am liorer la comparabilit de l analyse des donn es on a demand chaque pays participant l ELCA de sch matiser son ensemble de donn es national sous forme de disposition d enregistrement tr s structur e et uniformis e Outre qu elle pr cisait la position le format et la long
97. re est marqu e E pour empty vide et la troisi me se situe au milieu entre les deux Une ligne repr sentant l aiguille de l indicateur montre un niveau qui se trouve peu pr s mi chemin entre la coche du milieu et la coche marqu e F montrant ainsi que le r servoir est environ aux trois quarts plein La directive nonce que le r servoir peut contenir 48 gallons et demande au r pondant de d terminer combien de gallons il reste dans le r servoir Cette tache est emprunt e un contexte quotidien et am ne le r pondant interpr ter une pr sentation comportant une information quantitative mais pratiquement pas de texte ni de nombres Aucune information math matique n est pr sente part celle qui est fournie dans la question Ce qui rend cette tache plus difficile que les deux pr c dentes est le fait que le r pondant doit d abord estimer le niveau d essence restant dans le r servoir en convertissant l emplacement de l aiguille en une fraction Puis il doit d terminer combien de gallons cette fraction repr sente par rapport la capacit de 48 gallons nonc e dans la question ou la directive Cette t che l am ne donc effectuer plus d une op ration pour arriver une bonne r ponse sans pr ciser le type BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur d op ration N anmoins comme bien d autres taches de num ratie courant
98. re les math matiques et le monde r el dans toute sa diversit Johnston 1994 Traduction libre Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite Bon nombre d auteurs soutiennent qu en abordant les comp tences fonctionnelles on doit aussi tenir compte d attitudes et de croyances habilitantes Dans le domaine des comp tences math matiques des adultes on s attend l aisance avec les nombres ou la confiance dans les comp tences math matiques car ces caract ristiques ont une incidence sur la mise en pratique effective des comp tences et des connaissances Cockroft 1982 Tobias 1993 la br ve d finition de la num ratie formul e pour les besoins de PELCA et pr sent e plus haut s ajoute une d finition plus large des pratiques de calcul formul e par l quipe d valuation de la num ratie de l ELCA pour servir de base la mise au point des items de num ratie de l ELCA On met en uvre les pratiques de calcul lorsqu on g re une situation ou qu on r sout un probleme dans un contexte r el il s agit de r agir l information sur des notions math matiques pouvant tre repr sent es de diverses fagons et de mettre en uvre une gamme de connaissances de facteurs et de processus babilitants Cette conception des pratiques de calcul suppose que pour valuer la num ratie des adultes il est n cessaire de produire des t ches et des items qui varient selon les
99. s auteurs appellent documents graphiques documents locatifs et documents remplir Deux des trois chelles de litt ratie utilis es dans EIAA reposaient sur la distinction entre textes continus et textes non continus Les t ches situ es le long BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur de l chelle des textes suivis taient ax es sur des textes continus alors que celles situ es le long de l chelle des textes sch matiques taient ax es sur des textes non continus L chelle des textes au contenu quantitatif comprenait la fois des textes continus et des textes non continus La caract ristique distinctive de cette chelle tenait au fait que les r pondants devaient cerner et ex cuter une ou plusieurs op rations arithm tiques fond es sur l information contenue dans les textes Dans l ELCA on a remplac cette chelle par l chelle de la num ratie dont nous traiterons en d tail plus loin dans la pr sente annexe Processus ou strat gies Cette caract ristique des t ches a trait la facon dont le r pondant traite le texte pour r pondre correctement une question ou une directive Elle comprend les processus utilis s pour rapprocher l information nonc e dans la question l information donn e de l information n cessaire contenue dans le texte la nouvelle information ainsi que les processus n cessaires pour rep rer ou formuler l
100. s sur leur scolarit leurs activit s de lecture la maison et au travail leur situation par rapport au march du travail leur utilisation des technologies de l information et de la communication leur participation la formation continue et une auto valuation de leur niveau de litt ratie Une fois le questionnaire de r f rence rempli l enqu teur a remis au r pondant un livret comprenant six t ches de lecture simples t ches pr liminaires Le r pondant qui r ussissait ce premier test recevait un autre livret renfermant un nombre beaucoup plus important de t ches tir es d une banque d items group s par blocs Chaque livret renfermait deux blocs qui repr sentaient environ 45 items L valuation n tait pas minut e et on a exhort le r pondant essayer chaque exercice On lui a donc accord le maximum de chances pour faire preuve de ses comp tences m me si ces derni res s av raient faibles La collecte de donn es dans le cadre de l ELCA a eu lieu entre l automne de 2003 et le d but du printemps de 2004 selon le pays Le tableau B3 pr sente les p riodes de collecte de donn es de chaque pays participant TABLEAU B3 P riode de collecte de donn es Pays P riode de collecte Bermudes mars a aout 2003 Canada mars a septembre 2003 Italie mai 2003 a janvier 2004 Norvege janvier a novembre 2003 Nuevo Leon Mexique octobre 2002 a mars 2003 Suisse janvier a novembre 2003 Etats Unis janvier a juin 200
101. search Center Yarmouth Num ratie M Iddo Gal University of Haifa Haifa Mme Mieke van Groenestijn Utrecht University of Professional Education Utrecht Mme Myrna Manly El Camino College Palos Verdes Mme Mary Jane Schmitt TERC Cambridge M Dave Tout Language Australia Melbourne M Yvan Clermont Statistique Canada Ottawa M Stan Jones Atlantic Health Promotion Research Center Yarmouth BEEN Statistique Canada et le OCDE 2005 Annexe C Principaux participants au projet Experts du domaine et collaborateurs R solution de probl mes M Eckhard Klieme German Institute for International Educational Research Frankfurt M Jean Paul Reeff LIFE Research and Consult Bonn Mme Anouk Zabal LIFE Research and Consult Bonn Questionnaire de r f rence Mme Lynn Barr Telford Statistique Canada Ottawa M Stan Jones Atlantic Health Promotion Research Center Yarmouth M Trevor Williams WESTAT Rockville Equipe d enqu te analystes et quipe de production Mme Danielle Baum Statistique Canada Ottawa M Richard Desjardins Statistique Canada Ottawa Mme Sylvie Grenier Statistique Canada Ottawa M John Leung Statistique Canada Ottawa Mme Carrie Munroe Statistique Canada Ottawa M Owen Power Statistique Canada Ottawa Statistique Canada et le OCDE 2005 a a Apprentissage et r ussite Auteurs M Yvan Clermont Statistique Canada Ottawa M Richard Desjardins r
102. si une information qu on peut quantifier ou math matiser Enfin une personne peut tre appel e extraire une information math matique de divers types de textes suivis ou sch matiques de formes pr cises par exemple des d clarations de revenus Les t ches de num ratie fonctionnelle portent sur deux sortes diff rentes de texte La premi re comporte une information math matique repr sent e sous forme textuelle c est dire accompagn e de mots ou d expressions ayant un sens math matique On peut citer comme exemples l utilisation de chiffres en toutes lettres par exemple cinq au lieu de 5 de termes math matiques de base par exemple fraction multiplication pourcentage moyenne proportion ou d expressions plus complexes par exemple le taux de criminalit a chut de moiti qu il faut interpr ter Dans le deuxi me type de texte l information math matique est exprim e en notations ou symboles r guliers nombres signes plus ou moins symboles d unit s de mesure etc mais elle est entour e d un texte qui malgr sa nature non math matique doit aussi tre interpr t afin de fournir une information et un contexte suppl mentaires On peut citer l exemple d un bordereau de d p t bancaire comportant un texte et des directives dans lesquels sont inclus des nombres correspondant des montants mon taires Caract riser les t ches de num ratie Pour les besoins de l ELCA on a retenu au t
103. t d abord La htt ratie est ici on emploie le terme litt ratie de pr f rence lecture parce qu il est susceptible de communiquer plus pr cis ment un public profane ce que l enqu te mesure Par lecture on entend souvent le simple fait de d coder ou lire voix haute alors que les enqu tes men es aupr s des adultes visent mesurer une r alit plus vaste et plus profonde Les chercheurs qui tudient la litt ratie dans certains contextes ont observ que selon les cultures et les groupes on semblait privil gier diff rentes sortes de pratiques en mati re de litt ratie Sticht 1975 Heath 1980 Szwed 1981 Heath par exemple observe que la pratique de la lecture peut constituer une fin en soi ou servir de mode d interaction sociale de moyen d information d aide m moire de substitut de messages oraux de moyen d archivage ou de confirmation personnelle Le fait qu on lise diff rents documents dans des buts diff rents suppose un ventail de capacit s dont ne t moigne pas n cessairement le fait de signer son nom de compter un certain nombre d ann es de scolarit ou d obtenir un r sultat du niveau de la 8 ann e lors d un test scolaire de compr hension de lecture BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur L expression Ja capacit d utiliser des imprim s et des crits attire l attention sur le f
104. t susceptible de guider les syst mes dynamiques l intelligence op rative au sein du cadre de la recherche en r solution de probl mes complexes ont galement t infructueux seule une partie du rendement de ces syst mes peut tre transf r e un autre syst me Funke 1991 En revanche des recherches r alis es aupr s des l ves de la troisi me la douzi me ann es ont r v l que l aptitude r soudre des probl mes s am liorait manifestement dans des conditions de formation bien rod es et qu il tait possible de r aliser un transfert appr ciable entre diff rents probl mes Reeff e al 1989 1992 1993 Regenwetter 1992 Regenwetter et M ller 1992 Stirner 1993 La r solution de probl mes d pend de la connaissance des notions et des faits connaissance d clarative ainsi que des r gles et des strat gies connaissance proc durale dans un domaine donn S il est vident la lumi re des recherches pass es que la connaissance d clarative du domaine probl me peut favoriser consid rablement la r ussite des strat gies de r solution de probl mes la connaissance proc durale est tout aussi essentielle La quantit de connaissances pr alables pertinentes dont on dispose peut galement expliquer le rapport entre l intelligence et le rendement en r solution de probl mes pr sent dans les travaux de Raaheim 1988 et Leutner 1999 Les personnes n ayant absolument aucune connaissance pr alabl
105. t trouver des objectifs des conditions ou des buts demandaient des types d information plus abstraits Comme elles taient jug es plus difficiles on leur attribuait une valeur de 3 Les questions qui demandaient au r pondant de trouver un quivalent taient jug es les plus abstraites on leur attribuait donc une valeur de 5 Dans ce dernier cas l quivalent tait habituellement un terme ou une expression que le r pondant ne connaissait pas et pour lequel il devait d duire une d finition ou une interpr tation partir du texte Plausibilit des l ments de distraction Il s agit de la mesure dans laquelle l information contenue dans le texte poss de une ou plusieurs caract ristiques en commun avec l information demand e dans la question mais sans satisfaire enti rement aux exigences de la question Les taches sont jug es le plus simples lorsque le texte ne comporte aucun l ment de distraction Elles ont tendance devenir plus difficiles mesure que le nombre d l ments de distraction augmente que les l ments de distraction poss dent plus de caract ristiques en commun avec la bonne r ponse et qu ils figurent plus pr s de la bonne r ponse Par exemple les taches sont habituellement jug es plus difficiles lorsqu un ou plusieurs l ments de distraction r pondent une partie mais non la totalit des conditions nonc es dans la question et qu ils figurent dans un paragraphe ou une section du texte a
106. tes r ponses condition qu elles soient accompagn es d une justification raisonnable et des calculs pertinents Les r pondants taient libres d effectuer le calcul leur mani re mais pouvaient aussi utiliser un tuyau financier qui accompagnait la publicit et pr sentait une formule pour estimer la valeur d un investissement apr s un certain nombre d ann es Ceux qui employaient la formule devaient assimiler l information nonc e dans le texte aux variables de la formule principal taux d int r t et p riode puis effectuer les calculs n cessaires et comparer le r sultat au montant qu on obtiendrait si le montant de 1 000 tait doubl Tous les r pondants pouvaient utiliser une calculatrice de poche fournie au moment de l valuation Cette tache s est av r e difficile parce qu elle portait sur des pourcentages et que le calcul avec ou sans la formule exigeait qu on int gre plusieurs tapes et plusieurs types d op ration Pour effectuer les calculs sans la formule il tait n cessaire de comprendre la m thode de calcul des int r ts compos s Cette tache permettait aux r pondants de recourir diff rentes strat gies de raisonnement y compris des m thodes non structur es ou de leur cru Pourtant l instar de la tache qui consistait comparer des taux de variation elle exigeait le recours une information math matique formelle et une compr hension approfondie de m thodes de calcul peu courantes
107. tion Rutherford et Ahlgren 1990 d crivent des r seaux de notions connexes nombres formes incertitude donn es r capitulatives chantillonnage et raisonnement Dossey 1997 cat gorise comme suit les comportements math matiques en mati re de compr hension de textes au contenu quantitatif repr sentation et interpr tation de donn es sens des nombres et des op rations mesure variables et relations formes g om triques et visualisation spatiale et hasard L quipe d valuation de la num ratie de l ELCA s est inspir e de ces cat gorisations et d autres cat gorisations troitement li es par ex National Council of Teachers of Mathematics 2000 pour en arriver un ensemble de cinq notions fondamentales qui selon elle caract risent les exigences math matiques que les adultes doivent satisfaire dans diverses situations en ce d but du XXI si cle BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur Quantit et nombre Selon Fey 1990 la notion de quantit proc de du besoin de quantifier le monde qui nous entoure en utilisant des attributs comme les suivants longueur surface et volume des cours d eau ou des masses continentales temp rature humidit et pression atmosph rique populations et taux de croissance des esp ces amplitudes des mar es revenus ou b n fices d entreprises La notion de nombre est fondamentale pour la quantifi
108. tion de faible niveau Le type d information est jug relativement simple parce qu il s agit de trouver des caract ristiques du radio r veil et la plausibilit des l ments de distraction est aussi relativement simple parce que certaines caract ristiques ne sont pas li es aux autres radios r veils S RIE 1 VALUATIONS Pr sent s par cat gories et l int rieur de chacune par ordre de cote globale Les carts de 4 points ou moins au niveau de la cole ont ate jug s n gligeables Marque et mod le Si vous ne pouvez trouver un mod le donn pri re d appeler le fabricant Les num ros de t l phone des fabricants figurent la page 736 Prix Prix de vente conseill par le fabricant ou prix de d tail approximatif suivi du prix moyen annonc Dimensions Aucentim tre pr s a Cote globale Refl te les r sultats de tous les tests et valuations Une radio parfaite aurait une cote de 100 points Commodit L valuation de cet aspect complexe tient compte d l ments tels la lisibilit de l affichage la faciit de syntonisalion et der clage ainsi quela pr sence oul absence de caract ristiques utiles Rendement Appr ciation globale refl tant les r sultats des tests de sensibilit et de s lectivit de la facilit de syntonisation dutaux de captage capacit de recevor la station qui a la plus grande puissance de diffusion entre deux qui mettent la mame fr quence du rejetd ima
109. tre les textes continus et les textes non continus Ordinairement les textes continus sont form s de phrases organis es en paragraphes Dans ces textes l organisation tient la disposition des paragraphes aux alin as et la ventilation du texte en une hi rarchie signal e par des rubriques qui permettent au lecteur de reconnaitre l organisation du texte Les textes sont class s le plus souvent selon le but de l auteur ou le type de texte Pour l EIAA ces cat gories sont les suivantes exposition description argumentation et instructions Les textes non continus sont organis s diff remment des textes continus de sorte qu ils permettent au lecteur d employer des strat gies diff rentes pour y acc der et en extraire de l information En surface ces textes semblent pr senter de nombreux principes d organisation ou formats diff rents tableaux horaires diagrammes graphiques cartes g ographiques formulaires etc Toutefois on dit que le principe d organisation de ces types de texte que Mosenthal et Kirsch 1998 appellent textes sch matiques pr sente l une des quatre structures de base suivantes liste simple liste combin e liste crois e ou liste imbriqu e Ensemble ces quatre types de document constituent ce que les auteurs appellent des documents matriciels soit des textes non continus pr sentant des rang es et des colonnes bien d finies Ils sont aussi troitement li s d autres textes non continus que ce
110. ueur de chaque champ la disposition d enregistrement internationale comprenait une description de chaque variable et indiquait les cat gories et les codes fournir pour cette variable D s la r ception du fichier d un pays Statistique Canada a effectu une s rie de contr les d intervalle pour garantir la conformit avec le format prescrit ainsi que des contr les de coh rence et de flux de donn es des fichiers re us En cas d anomalies on signalait les probl mes aux pays et on leur demandait de pr senter des fichiers pur s Notation des tests Dans chaque pays les personnes charg es de la notation ont recu une formation intensive relativement la notation des r ponses aux questions ouvertes l aide du manuel de notation de l ELCA On leur a galement fourni un outil pour saisir les questions ferm es Pour favoriser l exactitude de la notation et la comparabilit entre les pays les responsables de l ELCA ont install un panneau d affichage lectronique permettant aux pays de poser leurs questions en mati re de notation aux sp cialistes des domaines et ces derniers de communiquer leurs d cisions Tous les pays avaient acc s ces renseignements et pouvaient rajuster leur notation en cons quence Pour assurer davantage l exactitude on a contr l de deux fa ons la qualit de la notation effectu e par les pays Premi rement l int rieur d un pays au moins 20 96 des tests ont d faire l objet d
111. ument puissant lorsqu il s agit d valuer les comp tences en r solution de probl mes analytiques dans des contextes r els et courants et ce pour plusieurs raisons Il est la fois important et pertinent pour la vie professionnelle et priv e de l adulte que celui ci puisse r soudre des probl mes dans un contexte de projet De plus l approche par projet a t appliqu e avec succ s dans d autres valuations grande chelle et elle peut se r aliser en tant qu outil de type crayon papier ce qui a une importance d terminante pour Statistique Canada et l OCDE 2005 Apprentissage et r ussite les enqu tes contemporaines grande chelle En outre l approche par projet utilise diff rentes tapes de la r solution de probl mes pour orienter la mise au point des items de test proprement dits Dans la foul e de P lya 1945 1980 le processus de r solution de probl mes a souvent t r duit aux tapes suivantes e D finir le but e Analyser la situation et construire une repr sentation mentale Concevoir une strat gie et planifier les mesures prendre e Ex cuter le plan en y incorporant le contr le et s il y a lieu la modification de la strat gie e valuer le r sultat Les diverses tapes d finissent le cours de l action d un projet courant chacune de ces tapes correspondent un ou plusieurs items ou t ches Ainsi les r pondants ex cutent les t ches indivi
112. une deuxi me notation Les lignes directrices relatives la deuxi me notation l int rieur d un pays stipulaient une deuxi me notation de toutes les grandes parties des livrets au d but du processus afin de cerner et de corriger le plus grand nombre possible de probl mes de notation Dans un deuxi me temps les correcteurs devaient s lectionner une plus petite partie d un autre tiers des livrets de notation La derni re tape consid r e comme une mesure de contr le de la qualit consistait noter nouveau et r guli rement une petite partie des livrets jusqu la fin du processus de deuxi me notation Les deux ensembles de notes devaient concorder dans une proportion d au moins 95 96 pour qu on puisse passer l tape suivante du traitement En fait dans la plupart des cas la fiabilit de la notation l int rieur d un pays tait sup rieure 95 96 Lorsqu il y avait des erreurs on a demand au pays de reprendre les livrets et de noter nouveau toutes les questions pr sentant des probl mes et tous les tests not s par un correcteur probl matique Deuxi mement on a effectu une deuxi me notation internationale Dans une proportion de 10 96 l chantillon de chaque pays a fait l objet d une deuxi me notation par les correcteurs d un autre pays Par exemple un chantillon des livrets de t ches des tats Unis a t soumis une deuxi me notation par les personnes qui avaient not les livrets en anglais
113. utre que celui ou celle qui contient la bonne r ponse Les t ches sont jug es le plus difficiles lorsque deux ou plusieurs l ments de distraction poss dent la plupart des caract ristiques de la bonne r ponse et qu ils figurent dans le m me paragraphe ou bloc d information que la bonne r ponse Caract riser les taches de compr hension de textes suivis L chelle de compr hension de textes suivis comporte 55 t ches ordonn es le long de l chelle de 500 points de ce nombre 19 t ches sont tir es de l EIAA et 36 nouvelles t ches ont t con ues et mises au point pour les besoins de l ELCA Lindice de difficult de ces taches varie de 169 439 Lune des taches les plus simples indice de difficult 188 niveau 1 consiste pour le r pondant lire une tiquette de m dicament afin de d terminer le nombre maximal de jours de prise du m dicament En fonction des variables retenues le type d appariement 288 Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur est jug simple parce que le lecteur devait rep rer un seul l ment d information qui est nonc textuellement sur l tiquette du m dicament L tiquette ne fait qu une seule r f rence au nombre de jours et ce renseignement figure sous la rubrique Posologie Le type d information est jug simple parce qu on demandait un certain nombre de Jours et la plausibilit des l ments de distracti
114. vaient constituer une banque d items correspondant chaque tape et faisant appel certains processus il fallait notamment mettre au point les bonnes r ponses et les l ments de distraction pertinents pour les items choix multiple et tablir une cl de correction et des guides de notation pour les t ches ouvertes BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur TABLEAU A1 R solution de probl mes tapes et mesures prendre Fixer les buts Reconnaitre les buts atteindre et pr ciser les motifs importants de la d cision Reconnaitre les buts souhaits contradictoires et ceux qui sont compatibles Attribuer des priorit s aux buts souhaits D finir les buts Analyser e S lectionner obtenir et valuer l information la situation De quelle information a t on besoin quelle information est d j disponible laquelle manque toujours et laquelle est superflue O et quand peut on obtenir l information Comment faut il interpr ter l information e Identifier les personnes poss dant les connaissances et les comp tences n cessaires qui doivent participer la r solution du probleme e Choisir les outils utiliser Reconnaitre les conditions contraintes temporelles par exemple dont il faut tenir compte Reconnaitre les tapes suivre D cider de la s quence des tapes par exemple les questions l ordre du jour Co
115. x exigences math matiques et autres d une situation d pend essentiellement de la mise en application de diverses bases de connaissances habilitantes compr hension du contexte connaissances et comp tences dans les domaines des math matiques de la statistique et de la litt ratie de processus de raisonnement ainsi que de son attitude et de ses croyances l gard de la num ratie Les pratiques de calcul d pendent en outre de l int gration des connaissances et des comp tences math matiques avec des comp tences et des strat gies plus vastes en litt ratie et en r solution de probl mes ainsi qu avec l exp rience et les comportements acquis qu un adulte apporte chaque situation Il est clair que les pratiques de calcul consistent tenter d accomplir une tache de mani re autonome sans la d l guer ni la g rer en faisant volontairement abstraction de son contenu math matique BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur D finir les caract ristiques des t ches Pour mettre au point et repr senter les t ches de num ratie con ues pour les besoins de l ELCA on a retenu quatre caract ristiques cl s des pratiques de calcul le type d objet ou de contexte le type de r action le type d information math matique ou statistique et le type de repr sentation de cette information Chacune d elles est d crite ci dessous Type d objet ou de contexte Un
116. x13 61 Gran Prix D507 15 10 5x18x10 54 Radios r veils avec lecteur de cassettes General Electric 7 4965 60 50 10x30x1585 4 v wv12 ADGHKOST BE Panasonic RC X250 1 10x33x1376 v v 12 AGKORU bc AH Sony ICF CS650 75 65 15x28x1574 Y wv 12 GRU cfi AF H Soundesign 3844MGY 40 30 13x30x1362 3 GK JS U F G I M 1 Discontinu et remplac par RC X260 prix courant de 79 et prix vente moyen annonc de 60 Caract ristiques communes tours Permet de sommeiller environ 8 min Conserve les heures m mons es pendant les pannes de courant de courte dur e Sauf indication contraire fous om Une alimentation de secours pour la m moire de la pendule et du r veil Affichage en rouge de chiflres de 1 cm de haut P riode maximale de 60 min de musique pour vous emdoemir avec arr t automatique Rappel de sonnerie L gende des avantages h d b c 10x20x1074 5x20x13 68 5x20x13 67 5x20x13 66 5x18x13 64 5x18x15 63 DO AN OOOO lolo I d 99 e alo S y Q C C lt i Po e A M Iw o e e S Sans sonnerie la radio est be seul r veil Sans vovant de sonnerie Pas de rappel de sseneric Pas de recul mpide pour le r glage de l heure Pas d avance lente mi de recul rapide pour le r glage de heure Prise d couteurs ec Chroeom tre de sieste f Entr e audio pour lecteur de cassettes oa de
117. ys participants on lui a attribu un indice de difficult de 377 sur l chelle de la num ratie Ici l information n cessaire est int gr e au graphique et exige une certaine part de transformation et d interpr tation Pour arriver une bonne r ponse le r pondant doit prendre en compte le taux de variation exprim en pourcentage et pas seulement la valeur absolue de la variation En outre il doit composer avec des pourcentages d entit s inf rieures un c est dire les valeurs d cimales sur l axe vertical et savoir que la base de calcul de la variation en pourcentage varie d une paire l autre Il semble que la n cessit de prendre en compte ces caract ristiques de la t che d employer des m thodes math matiques formelles ou de composer avec la notion abstraite de taux de variation ajoute consid rablement la difficult de ce genre de t che La t che de num ratie la plus difficile de cette valuation indice de difficult 380 niveau 5 pr sentait aux adultes une publicit selon laquelle il est possible pour un investisseur de doubler en sept ans un montant investi au taux d int r t fixe de 10 96 par ann e On demandait aux r pondants s il tait possible BEEN Statistique Canada et l OCDE 2005 Annexe A Une approche conceptuelle pour comprendre ce qui a t mesur de doubler en sept ans un montant de 1 000 investi ce taux et d tayer leur r ponse par leurs calculs On a accept diff ren

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