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40 ANS - Magazine Constas

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1. Centre national _ de conduite d engins de chantier 1050 chemin B lair Ouest Saint Jean Chrysostome Qu bec G6Z 2L2 418 834 0311 1 866 366 6661 N N N to Lo mM e 30 www acrgtg gc ca est de passer dans la gestion des infrastructures d un processus budg taire annuel une planification finan ci re long terme Par la suite Jennifer Keesmat de l Office for Urba nism et aussi consultante pour le Regina Downtown Plan a compar deux paradigmes L ancien exigeait toujours plus automobiles et donc plus de routes plus d difices plus de villes centr es sur l automo bile avec toujours de plus grandes distances et donc plus d infrastructures Le nouveau paradigme consiste en une population plus dense qui profite de rues d difices de villes con ues pour les gens avec par cons quent de plus petites distances parcourir et moins d infrastructures Sur les mod les de programmes d infrastructures et de gouvernance Le pr sident de l Association canadienne de la construc tion Wayne Morksy a d clar quant lui que PACC sou tenait avec vigueur la cr ation d un groupe de travail ind pendant mandat par le gouvernement f d ral pour identifier les besoins actuels et futurs en infrastructures pour tablir les priorit s nationales en mati re d inves tissements et pour revoir les mod les de financement Ce groupe de travail ferait aussi des suggestions
2. a 2 Lo Q a c o E 3577318 ACRGTQ num ro 15 avril 2011 M JEAN LECLERC EXCAVATION AVRIL 7 JOURN E CONF RENCES CATIA Campus Longueuil Universit de Sherbrooke Gabrielle Boudreault par t l phone au 418 529 2949 ou au 800 463 4672 ou par courriel au gboudreault acrgiq qc ca 11 12 amp amp 13 46 Congr s annuel de l AQTR Montr al AQIR Pour info aqtr qc ca 12413 Formation sur la Gestion des r clamations et litiges dans le domaine de la construction k e H tel Hyatt Regency Montr al Pour info InstitutCanadien com Construction 13 Journ e conf rences O N z so O to m Entrepreneur g n ral 435 rue Fichet Beauport Qu bec QC G1C 6Y2 Nouveaux d fis r T 418 663 3698 F 418 663 7101 Courriel jle jle inc com HONNEUR SRE JOU aae auxquels font face les www jle inc com propri taires et exploitants de carri res et de sabli res m 58 Best Vestern H tel Universel Drummondville Gabrielle Boudreault par t l phone au 418 529 2949 ou au 800 463 4672 ou par courriel gboudreault acrgiq qc ca ACI Qu bec amp est de l Ontario Colloque Le b ton et le d veloppement durable Universit laval 21 International Concrete Repair Institute SECTION DU QU BEC en collaboration avec l COIF DE TECHNOLOGIE SUP RIEURE QUIPEMENTS POUR LA PR PARATION DES SURFACES DE B TON
3. 3820063 www acrgtg gc ca neurs qui avaient obtenu les contrats de r alisation Les contrats d quipement taient g r s Montr al jusqu la phase d installation o le chantier prenait le relais l poque il y avait des villages c t des campe ments pour accueillir les familles des cadres La SEBJ devait donc fournir des coles des loisirs des soins Tout cela co tait tr s cher mais c tait la condition pour que les cadres viennent s installer Radisson le village de LG2 a t cr de toutes pi ces Autour de l actuel projet Eastmain il n y a plus de village Aujourd hui c est plus difficile de faire monter des jeunes couples parce que souvent les deux ont un emploi une profession On aura des c libataires ou des couples qui acceptent la s paration quelque temps Maintenant on monte travailler l haut quel ques semaines puis on redescend pendant les cong s p riodiques Ce ne sont plus de longues p riodes de s paration Un exemple international Longtemps ce fut l Europe dont lectricit de France qui servait d exemple commente Philippe Mora On peut penser que la r ussite du projet Manic a permis des firmes d ing nieurs de d velopper une expertise dont la Baie James a b n fici et qu elle a permis de d velopper Aujourd hui Hydro Qu bec est devenue LA r f rence en hydro lectricit au niveau mondial et le projet de la Baie James y a
4. envers l employeur Atelier G Documents d ing nierie des r gles ma triser non improviser Atelier H Comment optimiser 7h30 8h 30 Es i 2 VENDREDI 13 MAI 2011 Inscription et d jeuner Atelier K Le conflit d int r ts et vous Atelier L La gestion de la qualit volue et vous Atelier M Diff rends et conflits apprenez les r soudre Atelier N Contr ler les risques sur le terrain c est possible D ner conf rence Attitude passion et d termination Conf renci re Chantal Petitclerc Atelier O Un cadeau J accepte ou pas J en donne ou pas Atelier P Les approches TRIZ et C K soyez inventif face aux probl mes techniques Atelier Q Parler en public ou l art de vendre une id e Atelier R En p riode de changement Profitez en pour progresser Il peut tre difficile de vous pr parer aux emb ches que la vie peut r server votre entreprise Cautionnement Aviva nous comprenons le caract re unique de vos besoins c est pourquoi nous vous conseillons et vous proposons des cautionnements personnalis s qui contribueront vous donner un avantage par rapport vos concurrents sur le march de la construction Cautionnement Aviva est l un des fournisseurs de cautionnement les plus fiables et les plus r put s au Canada Pour savoir quel cautionnement nous pouvons vous proposer quelle que soit la cat gorie d affaires discutez en avec vo
5. l exemple d une approche innovatrice de mise en commun de fonds publics et priv s dans le but de d velopper un projet majeur d infrastructures hydrauliques Pour sa part Senkhar Angepat sp cialiste des march s financiers la banque RBC a fait un survol du march canadien des PPP en 2010 2011 Toujours dans ce contexte la pr sentation de la firme KPMG a rappel que l id e d un PPP est d uti liser l expertise et les ressources du secteur priv pour r pondre aux besoins du secteur public ou pour atteindre des objectifs politiques Le but principal d un projet en PPP est de trouver des solutions en combinant les avantages du secteur public avec ceux du secteur priv L objectif n est donc pas comme le craignent certains la privatisa tion de services publics essentiels Participant au m me atelier Stephen Liddington de PPP Canada est venu pr senter cette soci t d tat cr e en 2009 dont le mandat est de d velopper le march cana dien en vue de partenariats public priv pour la r alisation d infrastructures d int r t public Le maire de Montr al M G rald Tremblay tait pr sent l v nement En plus de prendre part aux diverses activit s du Sommet M Tremblay a agi comme mod rateur et conf rencier l atelier portant sur la partici pation citoyenne et les processus de planification Il a pr sent les outils et les organismes montr alais favori sant la consultation publique te
6. prises par les autres firmes M Marceau r pond que le panorama est encourageant L instauration ec A de mesures destin es r duire les risques mentionn l entreprise a effectu deux simula Demathieu amp Bard d accident est rentable pour tout le monde tions d accidents en interaction avec les services un bel exemple Les travailleurs vitent les risques de blessures d urgence ambulanciers Il fallait r cup rer un suivre et les entreprises y gagnent en productivit bless l aide de grues tour et nos employ s croyaient qu il s agissait d un v ritable accident Nous avons donc t m me d observer les r actions et les fa ons de faire des employ s afin de corriger les lacunes Au lendemain de l obten tion du prix Robert Giroux a fait parvenir une lettre aux fournisseurs C tait pour les remercier de leur collaboration En effet les bonnes performances que nous affichons r sul tent des efforts soutenus de toutes les parties impli qu es dans les projets La s curit Cest une question qui touche tous les interve nants conclut il Invit commenter les initiatives pos es par l en treprise laur ate Paul Marceau vice pr sident aux op rations de la CSST ne tarit pas d lo ges envers elle Notre mission est d amener les milliers de travailleurs de la construction int grer les mesures de sant et de s curit dans leur gestion quotidi
7. travaillais la division Contrats de la Direction de l Approvisionnement Tout tait faire les documents d appels d offres n existaient pas se souvient Philippe Mora qui tait charg de l octroi de contrats et de la gestion de l approvisionnement lors du projet de la Baie James Structure composite la SEBJ rassemblait de nombreuses comp tences multiples et trang res Nous venions les uns et les autres de toutes sortes d horizons professionnels et g ographiques Beaucoup de gens comme moi venaient de l tranger il fallait apprendre se conna tre et travailler ensem ble cette poque au Qu bec on publiait des docu ments bilingues Je travaillais sur les textes l gaux des contrats je r digeais la version fran aise des documents et un de mes coll gues anglophones pr parait la ver sion anglaise Robert Boyd le pr sident d alors nous demandait de faire un pot commun de toutes nos connaissances comme un seul homme afin de cr er un esprit d en treprise Tous les contrats de construction d quipe ments de turbines d alternateurs passaient par la voie des appels d offres Il fallait rassurer ceux qui allaient ONT D COMPOSER AVEC DES TEMP RATURES EXTR MES ARCHIVES HYDRO QU BEC PHOTO DE GAUCHE VUE A RIENNE DU VILAGE DE RADISSON ARCHIVES HYDRO QU BEC LES ENTREPRENEURS ET LEUR PERSONNEL re 18 travailler pour le projet de l
8. 8 de la Loi sur la transparence et l thique en mati re de lobbyisme rs 54 www acrgtg gc ca Par Christian Croteau La corporation Pakatan Meskanau qui g re le prolongement de la route 1 38 en Basse C te Nord a obtenu l aval du minist re des Transports pour la construction d un trac d une quarantaine de kilom tres entre La Romaine et Kegaska Les communaut s innues de Natashquan et de La Romaine ont galement accept le projet Les travaux pourraient d buter au printemps La firme Roche a r alis le trac Celui ci comporte une douzaine de ponts ainsi que des ponceaux qui seront construits sur un sol de roc et de tourbi res Plusieurs ponts vont tre des ponts de type acier bois qui sont plus faciles construire Mais certains ponts vont devoir possiblement tre faits en b ton ce qui implique d amener une usine de b ton portative sur place indique le charg de projet Claude Lavall e Le d boisement et la construction s amorceront apr s l approbation des plans et devis et l obtention de tous les permis n cessaires Selon Claude Lavall e il sera difficile de s en tirer pour moins de 50 millions de dollars On parle effectivement d un peu plus de 1 million du kilom tre r gle g n rale Reste voir les difficult s particuli res qu on va rencontrer dit il Le minist re des Transports a aussi approuv le trac d une trentaine de kilom tres
9. Vers la fin des ann es 1980 un des l ments importants qui est venu s ajouter au projet est l identifica tion d une fosse d alimentation des esturgeons jaunes dans la rivi re des Prairies videmment c est venu modifier les plans originaux qui comportaient des piliers tous les trente m tres a aurait voulu dire construire exactement dans la zone des esturgeons et le minist re des Trans ports a donc d identifier d autres solutions pour franchir la rivi re sans perturber le fond du cours d eau raconte le pr sident et directeur g n ral de Concession A25 Cette particularit est donc venue s ajouter au raccordement long de 7 2 kilom tres qui comprend trois principales composantes La premi re tant la construction sur trois kilo m tres des voies et des structures de lauto route et des voies de service entre le boulevard Henri Bourassa et la rive sud de la rivi re des Prairies boulevard Gouin sur le territoire de la Ville de Montr al La seconde composante est la construction du pont autoroutier de 1 2 kilo m tre au dessus de la rivi re des Prairies alors que la derni re est la construction des voies et structures de l autoroute et des voies de ser vice entre la rive nord de la rivi re des Prairies boulevard L vesque et l autoroute 440 sur le territoire de la ville de Laval galement sur une longueur de trois kilom tres Pont haubans videmment le principal d fi de constructi
10. avril 2011 Mais comment Ren L vesque qui est l origine de la nationalisation de l lectricit aurait il pu s oppo ser un projet comme celui de la Baie James Pour L vesque ajoute Jean Claude Rivest le projet de Mon sieur Bourassa s inscrivait dans la continuit de la nationalisation de l lectricit Bourassa et L vesque se rejoignaient par leur loyaut au Qu bec Si Bourassa tait f d raliste Cest parce qu il croyait que c tait pr f rable c est le mot qu il employait pour le Qu bec Quelques ann es plus tard Ren L vesque d montra au profit de Robert Bourassa qu un politicien peut aussi tre un gentilhomme On est en 1979 le P Q est au pouvoir Ren L vesque est maintenant pre mier ministre et l inauguration de la premi re centrale du complexe La Grande approche Ren L vesque se souvient l ex conseiller furieux s aper oit qu on a oubli d inviter l ancien premier ministre Il engueule le ministre responsable et insiste pour que cette faute soit r par e Monsieur Bourassa qui n tait pas encore sorti de l esp ce de purgatoire politique qui avait suivi sa d faite de 1976 arrive seul dans son avion priv sans garde du corps Et plut t que d aller d ner avec les dignitaires et les VIP il choisit de se rendre la Mais comment Ren L vesque qui est l origine de la nationalisation de l lectricit aurait i
11. dont celui de la conception et la construc tion Kiewit Parsons dit M Toutant Kiewit est reconnu au Canada comme un chef de file dans les secteurs de l ing nierie de la construction et des mines L entreprise peut compter sur l expertise et sur les installations du groupe qui a son si ge social au Nebraska au centre des tats Unis Kiewit r alise des projets incluant des autoroutes 44 www acrgtg gc ca des ponts des r seaux de transport public le d veloppe ment de sites miniers l exploitation de mines ciel ouvert des centrales hydro lectriques des centrales oliennes des barrages ainsi que des installations industrielles L entreprise s est donc vu confier le design build du parach vement de l autoroute 25 Kiewit Parsons tait donc chez lui avec ses res ponsabilit s et ses objectifs En tant que ma tre d ouvrage l entrepreneur a fix ses propres objectifs de performance Description Le projet remonte aussi loin qu au d but des ann es 70 alors que le minist re des Trans ports avait m me achet les terrains n cessai res pour combler ce lien routier manquant Lors de l inauguration du tunnel Louis Hip polyte Lafontaine en mars 1967 le plan de d veloppement pr voyait d j de poursuivre le lien pour traverser la rivi re des Prairies J ai m me vu des plans de l poque avec un pont Il y avait alors norm ment de piliers dans la rivi re raconte M Toutant
12. notre industrie de figurer au premier rang mondial des constructeurs et des innovateurs pour ce type d ouvrage sans compter tout ce qu il implique de sp cialit s de services et d quipements connexes dans la grande cha ne de l industrie Les membres de l ACRGTQ sont en mesure et en droit de s afficher avec honneur ici et aux quatre coins du monde comme appartenant au leadership mondial des constructeurs d ouvrages de pro duction ou de transport d nergie C est ce que le dossier de ce num ro tentera de nous rap peler grands traits Car si l on me permet de citer Frie drich Nietzsche f conder le pass en engendrant l avenir tel est le sens du pr sent Disponible sur www acrgta qc ca Diane Lemieux et la CCQ La ministre Th riault a enti rement confiance en Mme Diane Lemieux tout juste nomm e la pr sidence de la Commission de la construction du Qu bec Elle a le mandat de me faire des recommandations s il y a des changements apporter Elle doit galement contribuer assainir les acteurs de l industrie en mettant en valeur les meilleures pratiques dans la construction dit Mme Th riault qui n carte pas des modifications la Loi R 20 On peut se poser des questions sur cette loi l pour savoir s il n y a pas de choses revoir et Diane Lemieux doit se pencher sur le dossier pour me faire ses recommanda tions explique Mme Th riault La CCQ qui a un r le dans
13. ts pr vus du d veloppement nucl aire servaient d talon pour valuer la faisabilit et la d sirabilit de nouveaux am nagements hydro lectriques L conomiste et haut fonctionnaire Jacques Parizeau qui deviendra ministre des Finances du gouvernement p quiste de Ren L vesque dans les ann es 1970 puis son tour premier ministre du Qu bec dans les ann es 1990 est l un des principaux tenants de cette approche se rem more t on dans les archives du temps Attraits du nucl aire Outre les arguments de modernit qui militent alors en faveur du nucl aire Gil ne fallait pas laisser passer l oppor tunit de ma triser cette technologie d avenir appel e se 20 Arpentage de construction Gestion de donn es captage photogramm trique et orthophotoplan 1 888 937 5081 ecceterra com 3827322 1150 rue Valet L Ancienne Lorette Qu bec G2E 5Y9 T 866 861 9877 e F 418 861 9875 G NIE CIVIL GRANDS TRAVAUX e Excavation Routes et terrassement e Ponts et structures e R seaux d gout et d aqueduc DYNAMITAGE CONCASSAGE MARITIME e Mines e Carri res e Transport e Carri res e Sabli res e Travaux e G nie civil e Routes divers e Consolidation Granulats de roc tout type www constructionpolaris com 3827290 d velopper dans les soci t s modernes il y avait gale ment ceux de la proximit et de la disponibilit de la res source En
14. COLE DE TECHNOLOGIE SUP RIEURE Pour info Pierre H bert Cell 514 891 6626 Fax sans frais 1501 629 3692 Courriel icri quebec gmail org MAI 5 6 amp 7 Congr s de l Union des municipalit s du Qu bec au Centre des Congr s de Qu bec 26 Qu bec Les grands prix d excellence en transport Pour info aqtr qc ca du service la clientele sur NOUS pour un service sur mesure et mati res de g ogrilles g omembranes membranes bentonitiques g ocellules syst mes drainants murs de sout nement et plus encore Les g otextiles et les gabions ne sont que quelques uns des produits sp cialis s que nous distribuons Comptez aussi alv olaires barri res flottantes Innoyex VW 1201 chemin Industriel L vis Qu bec 418 836 1333 1877 836 1333 innovex ca rhi 3569487 EL Le N De toutes pi ces E s2 e 74 Un grand choix d inventaire qui fera toujours la diff rence 9651 boul M tropolitain Est Anjou 514 355 2383 e MIT 657 2203 BOULONSPLUS NET
15. Ces politiques devaient au d part tre adopt es avant le 1 septembre 2010 mais la Zoi 18 a prolong ce d lai au 1 janvier 2011 Diff rents types de mesures doivent tre pr vues dans ces politiques soit e des mesures visant s assurer que les soumissionnaires un appel d offres ne communiquent pas ou ne tentent pas de communiquer avec un membre du comit de s lection dans le but de l influencer e des mesures favorisant le respect des lois visant lutter contre le truquage des offres e des mesures visant assurer le respect de la Zoi sur la transparence et l thique en mati re de lobbyisme e des mesures ayant pour but de pr venir les gestes d inti midation de trafic d influence ou de corruption e des mesures ayant pour but de pr venir des situations de conflit d int r t et e des mesures ayant pour but de pr venir toute autre situation susceptible de compromettre l impartialit et l objectivit du processus de demandes de soumissions et de la gestion du contrat qui en r sulte Ces politiques doivent tre accessibles sur le site Internet des organismes Concr tement les politiques contiendront des mesures s adressant leurs lus et employ s et visant assurer la confidentialit des informations obtenues lors d un pro cessus d appel d offres et le respect de l galit des sou missionnaires et de la transparence du processus d octroi de contrat Ces politiques co
16. Guise La Prairie QC J5R 5W6 3577823 3567528 l sagit l commente le maire de R gina Pat Fiacco du premier v nement de cette nature L objectif du Sommet continue le maire est d tablir un partenariat entre les divers intervenants Le Sommet explorait cinq th mes majeurs le financement la participation des citoyens lin novation la d finition des besoins et les divers mod les de programmes d infrastructures et de gouvernance Participant l atelier portant sur le financement des infras tructures le Dr John R Bartle de l Universit du Nebraska Omaha a expliqu que le d fi consiste investir de fa on efficace et opportune dans les infrastructures pour que nos investissements accroissent la richesse collective r pondent au contexte politique et restent respectueux de l environnement Il s est pench galement sur les avanta ges et les inconv nients des partenariats public priv Les PPP ont des caract ristiques propres chacune des parties a quelque chose apporter leur relation continue permet d acqu rir une certaine flexibilit lorsqu il s agit de faire des changements les risques et les responsabilit s quant au financement et au succ s des op rations sont partag s les projets sont souvent int gr s design construction entretien financement etc Lors du tour de table la pr sentation de Can Xiao du Water Service Department de la ville de Phoenix a donn
17. Robert tu gardes Jean Claude Le projet de la Baie James est central dans la carri re poli tique du d put de Mercier Aujourd hui avec l coule ment du temps et l esp ce d amn sie qu il entra ne in vitablement on a sans doute oubli plusieurs des pol miques et des conflits que ce projet a entra n s au del m me des fronti res du Qu bec On ne sait plus quel point cette entreprise a constitu un v ritable d fi politique et combien sa r a lisation fut pleine de rebon E dissements JEAN ClauDE RIVEST Pourquoi la Baie James Monsieur Bourassa raconte le s nateur Rivest y pensait depuis longtemps De 1966 1970 alors simple d put de opposition il a fait plu sieurs discours partout au Qu bec dans lesquels il sou lignait l importance du d veloppement hydro lectrique pour l conomie de la province C tait d j un d put m diatis identifi en tant qu conomiste En d cembre 1969 toujours simple d put Robert Bourassa rencontre le pr sident d Hydro Qu bec Roland Giroux 1913 1991 et d cide de faire du projet de la Baie James et du d ve loppement hydro lectrique en g n ral l un des th mes centraux de sa campagne la chefferie et un peu plus tard de la campagne lectorale qui l a men au pouvoir Son id e commente le s nateur Rivest est que l on avait une carte conomique jouer et C tait l nergie Gr ce nos ressources
18. Saint Pierre me Th riault responsable de la Commission de la construction du Qu bec CCQ et de la R gie du B timent RBQ savait pertinemment bien ce qui lat tendait lorsqu elle a pris la t te du minist re du Travail Il faut d terminer comment faire pour regagner la confiance des gens comment faire pour que la R gie du b timent et la Commission de la construction jouent plei nement leur r le dans ce mandat dit la ministre Ces deux entit s l ont un r le tr s important jouer au c ur du monde de la construction Ce sont des acteurs importants Mais on ne peut pas penser regagner la confiance de la population envers l industrie de la construc tion en ne comptant que sur ces deux acteurs l poursuit Mme Th riault Au cours des prochains mois les principaux partenaires du minist re comme les entrepreneurs et les constructeurs de routes et de grands travaux du Qu bec le monde syndical et les professionnels seront interpell s pour partager cette responsabilit dit la ministre Ce sont donc 189 personnes qui auront pour mandat de pr venir et de lutter contre le trafic d influence la corruption et la collusion par l interm diaire de mesures d information de v rification et de contr le La ministre Th riault en a fait l annonce en f vrier aux c t s du ministre Robert Dutil ministre de la S curit publique Le commissaire la lutte contre la corruption aura lobliga tion
19. Savard D gelis les 11 lectriciens de l atelier de remise neuf de disjoncteurs qui cessera ses activit s le printemps prochain seront r affect s l entretien de l ensemble des installations sur le territoire t miscouatain l heure actuelle cette t che est la responsabilit des quipes mobiles de Rivi re du Loup Toutefois aucune r duction de personnel n est pr vue Les neuf lectriciens en place continueront de faire l entretien des installations dans la MRC des Basques au Kamouraska et Rivi re du Loup Le maire de Rivi re loup Michel Morin met toutefois quelques r serves On n a pas de garantie Et c est pour a que je vais faire un retour au niveau du conseil municipal ditil De son c t le maire de D gelis Claude Lavoie se r jouit du maintien des effectifs au poste Madawaska Il d plore tout de m me la fermeture de l atelier qui aura un impact sur les fournisseurs locaux Source Radio Canada ca Amendes doubl es pour les conducteurs en exc s de vitesse dans les zones de travaux routiers Le ministre des Transports du Qu bec M Sam Hamad rappelle aux usagers de la route que depuis le jeudi 10 mars les amendes sont doubl es pour quiconque d passe la limite de vitesse affich e dans les zones de travaux routiers titre d exemple voici les montants des amendes auxquelles s exposeront les contrevenants dans une zone de travaux o la vi
20. a donc fallu construire des routes des villages ou des campements des infrastructures des a roports parce que la plupart des travailleurs arrivaient en avion Il y avait dun c t les campements des travailleurs de la construction avec des dortoirs deux par chambre Et en annexe quelques kilom tres les villages o se logeaient les cadres et leurs familles avec des coles un h pital des services administratifs m decins professeurs pisci nes ar nas etc tous ces services tant gratuits se souvient il Je suis arriv La Grande 3 l poque on n avait pas encore d enfants Mon pouse tait enseignante B TONNAGE AU PIED DE L VACUATEUR DE CRUES DE LGS ARCHIVES HYDRO QU BEC E l cole primaire du village On revenait deux fois par ann e on passait six mois l haut sans quitter le site C tait dans le contrat Habituellement on sortait aux f tes de d but d cembre la mi janvier Puis on repartait en t par roulement On en parle encore c tait une des plus belles p riodes de notre vie M me si tout le monde travaillait 60h par semaine 10h par jour pendant 6 jours On avait des loisirs on faisait m me du ski alpin avec sou vent de la neige artificielle fabriqu e comme aujourd hui dans les grands centres par des canons neige mais aussi parce que malgr le froid il ny avait pas toujours de la neige L activit des chantiers fonctionnai
21. d quipement est ce que j allais trouver des usines suffisamment importantes capables de r pondre la demande certaines entreprises qu b coises commen aient se tourner vers l Europe pour aller chercher de l acier Et m me en termes d ouvriers com p tents allais je avoir assez de soudeurs de haut niveau ou bien serais je oblig l aussi d aller en chercher ailleurs La vie de chantier Mais la SEBJ avait de bons atouts Des projets comme la Baie James ce n est pas tous les jours qu on en r a lise Ce fait a permis d attirer de grandes entreprises internationales heureuses de pouvoir amener ses qui pements leurs ing nieurs et leurs cadres Cela permet en m me temps un transfert de connaissances et d ex pertises qui s enrichissent mutuellement La SEBJ s occupait de l intendance en prenant en charge le maximum de contingences Cela nous a demand une norme organisation pour structurer le transport et l accueil des compagnies et de leurs tra vailleurs Tout tait r serv Les avions appartenant la SEBJ toute arriv e sur les sites tait comptabilis e et g r e par la SEBJ La SEBJ avait ses propres employ s qui ne repr sen taient qu une poign e des travailleurs du projet les autres travailleurs taient embauch s par les entrepre Construction de nouvelle centrale Rapides des C urs pour Hydro Qu bec environ 70 km au nord de La Tuque Mauricie de 2006 2008
22. d une ligne de transmission de 315 kilovolts du c t ouest de la rivi re en amont comman dait d autres param tres de s curit pour le bon fonction nement du chantier de construction La fa on que Kiewit a choisi pour franchir cet obstacle tait de construire deux grands portiques avec rails qui font 600 m tres de part et d autre du pont Les grues pouvaient donc circuler sur toute la longueur du pont ce qui a vit l utilisation des grues fl ches qui pr sentent davantage de danger en cas de basculement explique Daniel Toutant Expertise Comme pour toute premi re l inexp rience en mati re de construction de ponts haubans a influenc l volution des travaux surtout au d but du chantier La productivit a connu certaines faiblesses avec le ferraillage des pyl nes qui retiennent les c bles haubans Il y avait norm ment d acier d armature des conduits pour la post tension transversale il y avait aussi des manchons pour accueillir des c bles Heureusement tr s rapidement la vitesse de croisi re s est accentu e r v le Daniel Toutant D s la premi re ann e d exploitation pr vu indique M Toutant 25000 v hicules par jour franchiront Le pont comprend aussi une portion conven Prairies par cette infrastructure PO numero l5 avril 20 1 Pour la pose des c bles comme l expertise tait aussi inexistante les ouvriers qu b cois ont pu compter su
23. donn s l industrie en faisant du perfec tionnement des salari s leur priorit e Michel Fournier est pr sident directeur g n ral du Fonds de formation de l in dustrie de la construction FFIC 450 682 1 150 WWwWwW 00uorealu Car DZ 1 800 249 2579 gcargom doudreau car o com 10 C0m m 39 Questions Par M Isabelle Landry Impacts des nouvelles Politiques de gestion contractuelle publics Apr s la Loi sur les contrats des organis mes publics entr e en vigueur le 1 octobre 2008 ce sont deux projets de lois qui sont venus modifier diver ses dispositions l gislatives cet gard en 2010 Il s agit plus pr cis ment de la Loi modifiant diverses dispositions l gis latives concernant principalement le processus d attribution des contrats des organismes municipaux ci apr s la Loi 1 et de la Zoi modifiant diverses dispositions l gislatives en mati re municipale ci apr s la Loi 18 9 ann e 2010 a vu se modifier le paysage l gislatif en mati re d octroi de contrats par les organismes La Loi 1 obligeait les villes assujetties la Loi sur les cit s et villes les municipalit s r gies par le Code municipaP la Communaut m tropolitaine de Montr al la Commu naut m tropolitaine de Qu bec et les soci t s de trans port en commun cr es en vertu de la Zoi sur les soci t s de transport en commun se doter d une Politique de gestion contractuelle
24. effet il n tait pas question de laisser aux autres cette industrie prometteuse surtout qu un de ses grands avantages r sidait dans la possibilit d implanter les cen trales tout pr s des grands centres urbains qu elles taient appel es desservir Il en r sultait deux atouts majeurs pour un vaste territoire sauvage comme le Qu bec soit de ne plus miser sur des barrages hydro lectriques lointains et de ne plus d pendre d un r seau de transport fragilis par son tendue De cette fa on on se rapprocha it des consommateurs r sidentiels et industriels majoritairement regroup s dans le sud du Qu bec On pr servait par la m me occasion les paysages et les cours d eau du Nord Justement parmi les arguments favorables soulev s on note certains l ments chers au discours cologiste comme aux revendications d autonomie des peuples autochtones touch s D une certaine fa on les partisans au sein du gouvernement qu b cois d siraient calmer la critique GENTILLY 2 UNIQUE CENTRALE NUCL AIRE OP RATIONINELLE AU QU BEC 26 environnementaliste qui qualifiait les projets nordiques d Hydro Qu bec de plaie d gypte Autant au pays qu l tranger la crainte voulant que le gigantisme des am na gements hydro lectriques de la soci t d tat constituerait une menace pour l cosyst me du Nord qu b cois s tait r pandue La mise en place d tudes d impacts pr alables et d une poli
25. es devrait se mainte nir au dessus de 145 millions En 2020 sur les 150000 travailleurs la proportion des 55 ans et plus sera de plus de 17 Au Qu bec la population en ge de travailler atteindra les 5 millions pour amorcer un d clin d s 2013 Et compter de 2016 il y aura 8 jeunes pour chaque groupe de 10 per sonnes en ge de prendre leur retraite Depuis 2001 50000 travailleurs sont entr s dans l indus trie avec un dipl me Apr s cinq ans 25 d entre eux travaillaient dans un autre secteur d activit cause des p nuries de main d uvre 55000 travailleurs non dipl m s ont aussi joint l industrie suite louverture des bassins De ce nombre 41 avait quitt l industrie apr s la m me p riode de temps Cons quemment le grand d fi de l industrie pour les dix prochaines ann es sera de r pondre un volume de travail lev dans un contexte de raret de main d uvre Ayant fait ces constats des questions se sont impos es aux repr sentants de l industrie avons nous les moyens de lais ser partir cette rel ve que nous avons form e Quand notre main d uvre aura t elle le temps de se perfectionner si les p riodes sans travail sont de courte dur e Est ce que nos centres de formation pourront accueillir notre client le qui est appel e tre plus diversifi e si on en croit les sp cia listes en d mographie partir de ces r flexions des enjeux et des pistes de solutio
26. et proc der des tests hydrauliques et g olo giques Sept ann es d tudes sur le terrain de 1964 1970 seront n cessaires pour valuer tout le potentiel hydrauli que de la baie James IL TAIT UNE BAIE La construction du Qu bec modeme ac mmienc ROBERT BOURASS ET LA RIETAMES Entretien avecle s nateur Jean Claude Rivest LA SEBJ ET LES ENTREPRENEURS Les premiers pas d une longue alliance V NEMENT BAIE JAMES M DIAS ET POLITIQUE Un t moignage de Pierre Gravel journaliste ATTRAITS ET M FIANCE mer gp Le lobby pronucl aire s oppose au nom de 7 odernite 464 M CONVENTION DE LA BAIE JAMES ET DU ROR j QU B COIS 35 ANSI DEJA Souvenirs du repr sentant du gouver nor TES JA Sessie Ty 5 Fj La survie conomique du Qu bec D s octobre 1970 Hydro Qu bec demandait deux firmes ke d ing nieurs de d finir le meilleur site Rousseau Sauv 0 Warren RSW qui proposait La Grande et Asselin Beno t i Boucher Ducharme et Lapointe ABBDL qui d fendait le secteur NBR Les conclusions de ces tudes ont convaincu Robert Bourassa d aller de l avant avec le projet des barra ges de la baie James Le 30 avril 1971 un an jour pour jour apr s son lection et devant 5000 partisans r unis au Colis e de Qu bec le premier ministre Robert Bourassa lance son projet dam HV TRE ZAR nagement Pour Robert Bourassa ces grands travaux sont le premier ministre
27. marrage d un projet pour lequel on n avait pas demand leur avis relate M B chard La planification long terme d Hydro Qu bec du d veloppement du territoire de la Baie James a donc t int gr e dans la Convention Mais la fin de la phase IT Hydro Qu bec a mis fin tous les travaux parce qu on ne trouvait pas d entente avec les Cris poursuit il Ceux ci poursuivaient en justice le gouvernement du Qu bec pour le non respect de certai nes obligations d finies dans la Convention C est le grand chef cri Ted Moses qui a pris sur lui d essayer de repartir ACRGTQ num ro 15 avril 2011 le d veloppement de la baie James et de n gocier une nouvelle entente qui deviendra ce qu on a appel La Paix des Braves en f vrier 2002 C est gr ce la Paix des Braves qu on a pu se mettre d accord pour r aliser le projet de l am nagement hydro lectrique de l Eastmain 1 et de faire les tudes pour le projet de l Eastmain 1 Sarcelle Rupert et donc de repren dre le d veloppement hydro lectrique du territoire mais aussi le d veloppement de la r gion tourisme explora tion mini re exploitation foresti re etc On a convenu avec les Cris de ne plus cr er de grandes zones d ennoiements comme pour les premiers r servoirs des phases I et IT et qu on utiliserait davantage la topogra phie du terrain pour cr er des r servoirs plus naturels peu de pr
28. nerg tiques on pouvait donner un avan tage concurrentiel majeur au Qu bec Les ann es 1970 sont celles de la crise du p trole Bourassa tait conscient des besoins immenses en nergie de la Nouvelle Angle terre L exportation en lectricit c tait de l argent pour financer l ducation et la sant M Bourassa avait tabli de bonnes relations avec les gens d Hydro Qu bec en particulier Robert Boyd et Roland Giroux Roland Giroux se rappelle le s nateur Rivest tait un homme absolument remarquable qui on ne rend pas suffisamment hommage C tait un financier tr s connu aux tats Unis et en Europe Londres Paris D sseldorf Robert Boyd tait ing nieur et s occupait des aspects techniques tandis que Giroux allait chercher du financement On lui faisait confiance l tranger Mais c est Robert Bourassa qui a fait de la Baie James un projet politique Paul Desrochers minence grise du 15 S premier gouvernement Bourassa a jou aussi un r le cl C est lui se souvient Jean Claude Rivest l organisateur de la grande r union partisane tenue Qu bec durant laquelle on fit l annonce du projet de la Baie James il avait une grande exp rience comme organisateur poli tique et avait nolis des autobus Il y a avait plus de 5000 personnes ce jour l le 30 avril 1971 lorsque le premier ministre pronon a son discours au petit Colis e de Qu bec L v
29. par pouss e E 4 Forage par Injection de coulis poin onnement Service de fusion 2 Forage par tunnelier a 270 rue Brunet Mont St Hilaire Qu bec J3G 4S6 lt T l 450 446 8144 Fax 450 446 8143 Daniel Di Chiaro cell 514 269 6402 ddichiaro foraction ca www foraction ca NS e trait pr curseur aura sa suite quelque 17 accords compl mentaires entre 1978 et 2002 dont le plus r cent a t baptis la Paix des Braves On parle donc ici d un exemple de saines rela tions entre les peuples et les communaut s qui composent le tissu soci tal du Qu bec Ainsi la CBJNQ offrait lavan tage de relever deux d fis la fois D une part satisfaire aux revendications des Cris et des Inuits qui en retiraient une r elle reconnaissance d autogestion instauration de municipalit s commis sions scolaires services sociaux etc de m me que la protection du milieu naturel et des opportunit s de d veloppement cono mique Autant de mesures assurant le maintien de la sp cificit des Cris et des Inuits au sein de l ensemble qu b cois REPR SENTANT DU GOUVERNEMENT DU QU BEC L POQUE JOHN CIACCIA SE SOUVIENT DE L IMPORTANCE DE LA D autre part la Convention CONVENTION DE LA BAIEJAMES POUR rendait possible la mise en LES PARTIES CONCERN ES valeur par l tat qu b PHOTO WAAP COM cois du territoire occup par les Autochtones Il faut rappeler que n ayant pas
30. r alisation de travaux routiers occasionne des entraves la circulation et n cessite la mise en uvre de mesures visant en att nuer les impacts On compte parmi celles ci la diminution des entraves pendant les heures de pointe le travail de nuit et les itin raires de rechange La congestion routi re constitue pour moi une pr occupation de premier plan en raison notamment de ses r percussions sur les plans conomiques social et environnemental C est pourquoi j ai demand aux fonctionnaires du Minist re de proposer en plus des moyens d j en place des actions additionnelles qui permettront de limiter la congestion routi re a d clar le ministre des Transports l accent devra tre mis sur la coordination des diverses actions du Minist re et de ses nombreux partenaires afin de r duire les effets des chantiers routiers sur la mobilit des personnes et des marchandises Christian Croteau est conseiller en affaires publiques l ACRGTQ et r dacteur en chef adjoint de ConstAs N D LR La chronique Les mots de Sexton laquelle nos lec teurs sont si fid les fait rel che 37 OC AN CONSTRUCTION INC LE PLUS IMPORTANT FOURNISSEUR D QUIPEMENTS MARITIMES AU QU BEC Location d quipements maritimes Plus de 250 barges disponibles Dragage Quais flottants 418 694 1414 WWW GROUPOCEAN COM License RBQ 2539 4743 09 a T a D Co 9 Lo ga
31. rement cologique Selon Pierre Bert coordonnateur marketing et commer cial pour le compte de Sintra cette alternative environne mentale peut tre utilis e dans des am nagements priv s ou urbains Comme ce liant est translucide il prend la couleur des granulats qui le composent ce qui fait qu il est alors possible d effectuer des agencements int ressants comme par exemple d limiter des traverses pi tonni res des stationnements int rieurs et ext rieurs de m me que des cours de r cr ation M Bert ajoute que ce produit peut galement s av rer int ressant pour les gestionnaires de routes vertes comme les pistes cyclables La couleur neutre du V g col repr sente galement une option int ressante pour ceux qui d sirent liminer les ACRGTQ num ro 15 avril 2011 ah gl M T LORS DES TRAVAUX DE PROLONGEMENT DE LA RUE LEPIRE DANS LA R GION DE QU BEC LA FIRME LES ENTREPRISES PEB A D TOURN LA RIVI RE PERMETTANT AINSI DE CONSERVER L INT GRIT DE LA FAUNE QUI Y VI lots de chaleur dus la couleur fonc e des rev tements traditionnels Pour l instant il n est pas envisageable d uti liser ce produit pour faire des routes puisque son co t est plus lev que l asphalte On parle ici d un prix qui peut s apparenter celui du pav uni Interrog sur les perspectives d avenir du V g col Pierre Bert r pond que l entreprise travaille fa
32. t consult s avant l annonce du projet de la Baie James par le gouvernement Bourassa en 1971 et craignant pour les impacts du d veloppement hydro lectrique sur leur ter ritoire les Cris et les Inuits s y sont d abord oppos s Ils ont m me obtenu une injonction de la Cour sup rieure du Qu bec pour emp cher les travaux Bien que la d ci sion f t cass e en Cour d appel les tribunaux du Qu bec r affirment l obligation du gouvernement du Qu bec de s entendre avec les occupants de la r gion La table tait mise pour enclencher la n gociation d une entente qui s av rera historique Le d put lib ral provincial de 1973 1998 et repr sentant du gouvernement du Qu bec l po que dans ce dossier John Ciaccia a accept de replonger dans ses souvenirs Apr s sa r lection au d but des ann es 1970 le premier ministre du Qu bec Robert Bourassa avait d cid d orienter le d veloppement de la province autour du grand projet hydro lectrique de la Baie James Pour que cela puisse se r aliser il fallait s entendre avec les occu pants du territoire cibl Or les Cris et les Inuits pr ten daient avoir des droits territoriaux que leur conf rait le f d ral dans l entente qui faisait passer leurs terres de la juridiction des Territoires du Nord Ouest celle du Qu bec en 1912 Il fallait donc respecter les conditions sp cifiques ce transfert territorial sous la responsabilit de notre gouverne
33. tra vailleurs plus exp riment s Il faudra aussi trouver le moyen de rapprocher les activit s de formation des travailleurs Les fonds devront accorder une attention plus particuli re aux besoins des entreprises et la fa on d y r pondre par des formations just in time et par une meilleure coordina tion entre les intervenants du perfectionnement Il faudra aussi former et int grer les nouvelles g n ra tions X et Y ainsi que la prochaine qui s en vient la g n ration C Des g n rations qui ont des fa ons de fonc tionner et des besoins diff rents Nous devrons adapter l offre de perfectionnement en ajoutant des savoir tre tels que mieux communiquer assumer un leadership ouvert g rer une quipe de travail Il sera essentiel de s assurer que nos travailleurs sur le point de prendre leur retraite aient eu l occasion de transmettre leur savoir et leurs comp tences avant de quitter l industrie Actuellement beaucoup de formations annul es le sont en raison d un manque J de formateurs Des ressources devront tre inves LU ties pour retenir dans l industrie nos meilleurs travailleurs qui pourraient faire de bons for sl mateurs et les soutenir dans l apprentissage de leur nouveau r le Beaucoup de travail reste faire et impli quera beaucoup de monde y compris les entrepreneurs eux m mes Ils pourront comme employeur contribuer l atteinte de ces objectifs ambitieux que s est
34. 6 le nouveau gouvernement du Parti qu b cois pourtant connu pour la faveur nucl aire de certains de ses membres publie un Livre blanc sur l nergie au printemps de 1978 Le document revoit la baisse les estimations de croissance de la demande lectrique carte la construction de Gentilly 3 tout en affirmant une pr f rence l gard de la poursuite du d veloppement hydro lectrique On se contente de Gentilly 1 qu il a fallu fermer pour malfonc tion et de Gentilly 2 qu il faudra aujourd hui r nover au co t de 1 9 G apr s 30 ans de services Situ e B can cour en bordure du fleuve Saint Laurent elle produit 5 TWh quivalent de la consommation de 270000 clients r sidentiels et demeure la seule centrale nucl aire en ser vice au Qu bec On y maintient un minimum d expertise dans le domaine e Une crainte que les r cents et malheureux v nements en terre japonaise ne viendront pas essouffler N D L R En route vers le Nord pargnez temps et argent De par ses produits innovateurs ses capacit s d ing nierie interne et son expertise consid rable sur les chantiers AIL est votre partenaire de choix pour obtenir des solutions d infrastructures mini res efficaces gt Traverses pour routes et voies ferr es gt Murs rampes et murs de sout nement pour concasseur gt Portails d entr e de mine et couverts de convoyeur gt Tunnels pour pile de stockage et d vacuation gt Murs de t te et
35. E DE FORT GECRGES Biographie se ZP T i a g N en lidlie en 1933 et admis au Barreau du Qu bec en 1957 apr s avoir tudi le droit l Universit McGill John Ciaccia est surtout connu pour avoir t d put provincial de MontRoyal sous la banni re lib rale de 1973 1998 en plus d avoir t successive ment ministre de l Energie la fin des ann es 1980 et ministre des Affaires intergouvernementales de l Immigration et des Communaut s culturelles au d but des ann es 1990 Si on se rappelle du troublant pisode de la crise d Oka pour laquelle il a n goci un d nouement derri re les barricades rig es par les Autochtones l poque on se souvient moins que sa longue carri re politique a d but titre de repr sentant sp cial du gouvernement qu b cois et principal n go ciateur de la Convention de la Baie James sign e avec les Premi res Nations et les Inuits occupant le Grand Nord en 1975 que les Autochtones pouvaient exercer leurs droits Ce fut une tape charni re dans le d veloppement et l autonomie autant des peuples du Nord que de la population du Sud e Peut on consid rer cette entente comme une r f rence en la mati re 14 Il s agissait assur ment d un premier pas majeur en mati re de respect des droits des Premi res Nations C tait la premi re fois que le gouvernement signait une entente reconnaissant aux Autochtones des droits nati
36. M dias et politique Ce dernier avait proc d au lancement du projet dam nagement des rivi res de la baie James lors d une assem bl e partisane qui se tenait au petit Colis e de Qu bec le 30 avril 1971 pour souli gner le premier anniversaire de l accession au pouvoir des lib raux Un t moignage de Pierre Gravel journaliste j Libia nitian a D EAr qa E HHI 1 pren AE e Ri A ANIEL arpar era mi La bre i r riiin empirer done Huit ans plus tard apr s de nombreux soubresauts politiques et autres au del de 400 invit s ont donc t Monsieur convi s la f te la Baie Pierre Gravel tait James Tous ont t transpor journaliste au t s en avion Parmi eux des quotidien La Presse journalistes des quatre coins pendant les ann es 1970 du monde dont M Gravel gt n n Etant affect la mais galement Robert Bou d lors retir de la vie nu re a 2 l actualit conomique politique qu b coise d ici et d ailleurs M Gravel a t t moin de l volution du secteur de 3713385 3548532 JOHN DEERE Robert Bourassa avait tou jours la certitude du bien L ENSEMBLE fond du d veloppement de la Baie James malgr les difficult s Ses proches colla l hydro lectricit au Qu bec et de son expertise borateurs disent que tout au long de sa carri re M Bou rassa a conserv la convic tion profonde d avoir fait le bon choix nerg tique pour le Qu bec
37. OT QU BEC GOW 2B0 T L PHONE 418 373 2482 T L COPIEUR 418 373 2545 www dlavoie com www acrgtg gc ca r unions C tait un vendeur formidable Il est all en Alle magne en France en Angleterre l poque l Inde et la Chine n taient pas dans le portrait pour convaincre les grands industriels europ ens d investir au Qu bec Il se rendait au forum de Davos chaque ann e Il a r p t inlassablement les m mes d marches aux tats Unis Cela a ouvert la voie des investissements manu facturiers importants pour le Qu bec L autre objectif tait de former des ing nieurs Cest une firme am ricaine Bechtel qui a accompagn la naissance de l ing nierie qu b coise note Jean Claude Rivest C tait le d but de ce qu on a appel plus tard le Qu bec inc Le futur pr sident et chef de l exploitation de SNC Lavalin Guy St Pierre tait au cabinet un ministre influent sur ces questions d autant plus qu il avait une formation d ing nieur Au bureau du premier ministre explique le s na teur c est Paul Desrochers qui suivait le dos sier de la Baie James Il avait occup le poste de pr sident de la F d ration des commissions J ai fait cinq ou bec l poque se souvient le s nateur Rivest il y avait une insensibilit vidente la question autochtone En 1975 ce fut la signature de la Convention de la Baie James et du Nord qu b cois par les repr sentants de
38. PAARIS MVC VAIN a D a N O ENON ED RUCTEURS DE ROUTES ET GRANDS TRAVAUX DU QU BEC iii a E EES O E ORTE Ve r Aa pa Num ro 15 Le ou PRIX Prix Gestion Sant s curit de 4 Neo Construction D emathieu amp Bard se distingue T Des entretiens avec Jean Claude Riv st J6hn Ci ac ci CI some Pierre Gravelk tautres tenapi de l poque eefi o IL TAIT UNE BAIE ag ROBERT BOURASSA ET LA BAIE JAN ES LA SEBJ ET LES Te Men F Prix G nie voirie fen d veloppement durable 2011 Savoir faire et ing niosit au ou rendez vous e CONVENTION DE LA BAI DU NORD QU B COIS CHRONIQUES mpats des nouvelles politiques de gestion i goe Ea rel ve un HER industrie Lise Th riault rencontre ConstAs LA MINISTRE DU TRAVAIL ENTEND 7 AGIR AVEC COURAGE ET FERMETE a Dra Fiers nouveau ENTRETIEN AVEC ST PHANE GAUTHIER NOUVEAU PR SIDENT DU CONSEIL DE ACRGTQ ae Coup d il sur une premi re canadienne a LE SOMMET NATIONAL DE L INFRASTRUCTURE B Un projet Unique qui capte l attention LE PARACHEVEMENT DE L AUTOROUTE 25 VRIL 2011 A Bitumes PG y 2 Emulsions de PONN e Bitume wv NAV O S Rre m ne Scellants et Intertek Membranes Produits et M langes Sp cialis s Enrob Ti de Evotherm Valleyfield 450 377 8420 Montr al 5 14 645 169 info mcasphalt com Wwww acrgiq q
39. Robert Bourassa essentiels la survie conomique du Qu bec Au d but annonce le projet de d veloppement des ann es 1970 la consommation d lectricit augmente alors que la production stagne Le Qu bec importe 80 de son nergie et la province est d pendante d un p trole de plus en plus cher E LE hydro lectrique de la baie James AR et ct Dans le cadre de sa politique visant la cr ation de Le 100000 emplois au Qu bec le d veloppement du Cut CCC UC client E E 25 Juin 1971 le gouvernement d pose un projet de 2 SR loi cr ant la Soci t de d veloppement de la Baie James du potentiel hydro lectrique de la r gion pe D PES bl s T d SDBJ qui a pour mandat le d veloppement int gr du i de sites taient cibl s l un au sud territoire de la Baie en se dotant de filiales Ainsi lac compose des rivi res Nottaway Broadback Rupert tuelle Soci t d nergie de la Baie James SEBJ est cr e et Harricana l autre au nord compos de le 21 d cembre 1971 avec pour mission l ing nierie et la la Grande Rivi re et de la rivi re Eastmain construction des ouvrages hydro lectriques Hydro Qu bec est l actionnaire majoritaire de la soci t mite AnOire conomie et notre histoire Ut et demeure la sourcequi Hejurame oraren rene mondialldes constructeurs et des innovateurs pour d ea 5 ekore ef KOmpieniour ce quil impligte de sp cialit s de services ehdi quipements condi Le
40. S miser l impact des travaux BUREAUX SITU S MONTR AL ns J U www acrgtg gc ca CRPE aA dat re E ur iO En en ONN a ne e E o Mak ne me sur la faune environnante ce qui repr sentait un autre d fi de taille La firme a donc d d tourner la rivi re une op ration qui requ rait la pose de ponceaux d une dimension de 6 m tres par 2 m tres sur une distance de 34 m tres Ces travaux qui se sont d roul s entre ao t et novembre 2010 nous ont permis de d montrer notre savoir faire pour une r alisation pr sentant un bon coefficient de difficult Nous sommes tr s heureux d avoir obtenu ce prix une premi re pour notre firme conclut M Dionne Infrastructure de transport C est pour une r alisation effectu e dans la Mont r gie sur un pont situ au dessus de la rivi re des Hurons Saint Jean Baptiste que la firme Les Entreprises Claude Chagnon s est vu d cerner un prix G nie voirie dans la cat gorie Infrastructure de transport Le d fi consistait pomper les eaux d excavation et en assurer la filtration avant de la retourner la rivi re explique Andr Dubreuil pr sident des Entreprises Claude Gagnon Nous avons donc fabriqu un syst me de filtration avec des ballots de paille et de la pierre nette et toute l eau d excavation a t ache min e dans ce syst me M Dubreuil pr cise que la direc tion du projet a t a
41. a Baie James quant aux conditions qu ils allaient trouver l haut En effet les entrepreneurs h sitaient beaucoup soumettre des prix pour des travaux sur un terrain inconnu lointain et dans un march en pleine flamb e des prix cette poque il y avait beaucoup d ef fervescence dans le milieu de la construc tion et des salaires en particulier pr cise Philippe Mora R sultant d un continuum dont on a h rit apr s l Expo 67 les erre ments des travaux du stade olympique avaient provoqu une flamb e des prix de la construction Il y avait presque trop de travail pour la province ce qui cr e tou jours un effet inflationniste Il a donc fallu inventer des appels d offres o on tait aux entrepreneurs le souci et la responsabilit de la stabilit des prix Attirer les entreprises et l expertise Les conditions de vie l haut ne sont pas toujours des plus agr ables l hiver est tr s froid et l t tr s bref Les chaleurs intenses de l t posent un risque d incendie bon pour l environnement qui r g n re mais pas pour qui y vit Il ny a pas d humidit pendant l t la terre devient vite de la poussi re et quand il pleut de la boue La plus mauvaise saison c est l automne Autre souci les syndicats et le saccage du chantier de LG2 en mars 1974 que la Commission Cliche r glera un an plus tard Puis la r action des Autochtones N oublions pas que c est avec
42. aine saison ne fera pas exception on maintient la cadence Pr s de 4 milliards de dollars seront investis dans l ensemble du r seau On pr voit poursuivre d marrer ou terminer plus de 1645 chantiers qui se traduiront par la cr ation ou le maintien de quelque 53 600 emplois dans le but d am liorer le r seau routier et la s curit des usagers tout en consolidant la relance conomique a soulign le ministre des Transports Des grands projets tels que le parach vement des autoroutes 25 et 30 de m me que la r fection de l axe routier 73 175 dans la r serve faunique des Laurentides seront termin s ou en voie de l tre www acrgtg gc ca La programmation r gionale comportera des projets majeurs dans plusieurs r gions du Qu bec dont le prolongement des autoroutes 35 en Mont r gie et 410 Sherbrooke Au nombre de ces chantiers il est noter galement la poursuite du r am nagement de l changeur CharestRobert Bourassa Qu bec de la construction de l autoroute 85 dans le Bas Saintlaurent et de l autoroute 73 dans la Beauce De son c t le ministre MacMillan a soulign l apport important des investissements dans les conomies r gionales 60 des investissements seront consacr s des projets r alis s dans les diverses r gions du Qu bec et contribueront sans contredit au dynamisme et au d veloppement conomique ppe q de celles ci Les axes d intervention La pro
43. ande en lui m me des inves tissements dont la r gularit n cessaire est la premi re exigence d une bonne planification financi re humaine et mat rielle et donc de la bonne sant de notre industrie Le reste appar tient au d veloppement qui est li lavenir m me du Qu bec D autre part le moment de d nigrer notre sec teur d activit est effectivement bien mal choisi nous avons besoin d attirer des jeunes vers notre industrie pour en assurer la rel ve mais qui veut s y joindre dans un tel contexte Nous allons nous efforcer dans les mois venir avec des partenaires majeurs comme le Fonds de formation de l industrie de la construction et la Commission de la construction du Qu bec de valoriser notre industrie et d en faire la pro motion afin de faire savoir que nous avons une industrie passionnante et en sant Nous devons tre fiers nouveau e Monsieur St phane Gauthier est aussi pr sident de l AECQ et de TRANSELEC COMMON INC WAJAX ESTABLISHED ETABLI CEE Les GHE ARTH APERIGI Hi Reliability is the History of Quality l importance de la qualit des gammes de produits que nous offrons C est pour cette raison que Wajax est fi re d tre le nouveau concessionnaire pour Kobelco Cranes au Qu bec et dans les Maritimes Les grues Kobelco sont con ues pour l efficacit le confort la durabilit et la productivit au co t le plus bas dans l industrie Visitez une su
44. approuver cette fa on de faire inhabituelle Hydro a approuv et nous avons ainsi pu conomiser deux semaines en temps de travail et ce sans oublier les co ts de coffrage et de d coffrage de m me que le bois qui aurait d tre utilis si nous avions proc d de fa on traditionnelle Si ge social 251 Route 172 Saint Ambroise T l phone 418 672 1802 T l copieur 418 672 1856 Sans frais 1 866 672 1802 Succursale Baie Comeau Qu bec 55 boulevard Comeau T l phone 418 841 2220 T l phone 418 296 1602 T l copieur 418 875 5303 T l copieur 418 296 1604 Carl Claveau 418 955 0538 Steeve Ducasse 418 956 0160 3725874 Vente location et calibration d article d arpentage www constructioncvd com Courtier en douane Iransport pan Canacien Transitaire nie miye www acrgtg gc ca Question de formation Par Michel Fournier La rel ve un d fi d industrie l laboration des grandes orientations du perfectionnement pour les dix prochaines ann es Cette rencontre appel e Rencontre Horizon 2020 tait aboutissement d une longue et fructueuse d marche consultative initi e par le FFIC en collabo ration avec le Plan r sidentiel et la CCQ qui a permis aux participants de partager les constats que nous vous livrons maintenant 9 industrie de la construction s est r unie en f vrier dernier pour travailler en concertation D ici 2018 le volume d heures travaill
45. as une option Or malgr sa capacit tre proactive l Association n est pas ici le moteur premier et ne dicte pas les changements Par contre elle va y participer g n reusement en qualit d informatrice et de coordonnatrice avec son ouverture d esprit habituelle et suivant le r le qui est traditionnellement le sien D ailleurs nous allons continuer de rappeler qu il est faux de pr tendre qu il en co te 36 de plus au Qu bec pour faire des travaux de construction routi re J invite les lec teurs de ConstAs consulter cette tude que nous avons command e aupr s d une firme ind pendante afin d en faire la preuve Elle est disponible sur le site Internet de l Association www acretq qc ca L autre aspect de nos actions consistera sensibiliser la population faire la part des choses et viter de g n ra liser ce mest pas toute l industrie qui baigne dans la cor ruption et le crime organis Ces histoires sont de toute vidence li es une minorit ce n est pas le quotidien des organisations de notre secteur loin de l mais ils viennent cependant faire ombrage au reste de l industrie Le plus malheureux c est que pendant que l attention est dirig e vers cette minorit on ne parle pas de la comp tence des travailleurs de la qualit de nos ouvrages et des grandes r alisations de nos clients D autre part j assure galement la pr sidence de l AECQ lAs sociation d
46. avaux Culture de la vitesse Encore aujourd hui la vitesse est en cause dans plusieurs accidents qui surviennent sur les sites de travaux En 2009 pr s de 15000 constats d infraction ont t donn s aux abords des sites ACRGTQ num ro 15 avril 2011 de travaux routiers dont 72 pour exc s de vitesse Les zones de travaux routiers comportent des caract ristiques qui n cessitent que les conducteurs respectent la limite de vitesse affich e en raison notamment de la pr sence des travailleurs et de la configuration contraignante Par ailleurs le ministre a reconnu que des gains importants ont t faits au chapitre de la s curit routi re Les diff rentes actions que notre gouvernement a pos es permettent au Qu bec d enregistrer le meilleur bilan routier des 30 derni res ann es Cependant les gains en s curit routi re tant fragiles il est primordial de maintenir tous les efforts n cessaires pour faire en sorte que les routes du Qu bec soient parmi les plus s curitaires a mentionn le ministre Sam Hamad Bient t plus de travailleurs sur nos routes Le 28 f vrier dernier le ministre Sam Hamad annon ait des investissements routiers de plus de 3 9 milliards de dollars en 201 1 2012 On pr voit ainsi d marrer o compl ter plus de 1 645 chantiers qui se traduiront par la pr sence de quelque 53 600 travailleurs sur les chantiers routiers l aube de la sais
47. avit 1 Bie Lun nee Fi ui Fan Far lanta rail ire i J i kr Ton CS Le CEE T CE af elle Deul Bi n One Li ME et lev e let parni MHEAS Corn OA MES H Goa ROUE RTE se renverser En effet aucunes d n s remorques vus s en merre ersdes der guini ans d op ration Les b n tices Dour tous nos cents sont vibents Eliminar bo megut d accidents ti Dicssurss a Pro los dommages mat riels H los co ts do r paration Eviter ln pria de ra a Cons nder VOre Dore a T HON Allez de lavant Osez le changement Contactez nous maintenant d r l 819 879 6216 RAAN m7 Wles wW RE E R R E ETEN T i Fu m E u a kd hF i a Le 3831403 FIERS NOUVEAU Entretien avec St phane Gauthier nouveau pr sident du conseil de PACRGTQ Par Christian Croteau et Claude Bourget Monsieur le pr sident bien des v nements VOUS accueillent en cette ann e 2011 Comment entendez vous prendre le relais et de quoi seront faits vos prochains mois la barre du Conseil de l ACRGTO hd D une part ce qui va marquer l ann e qui vient c est que nous allons vivre un temps de changement une volont est l tr s claire du c t du gouvernement et des institutions LES ENTREPRISES 655 3555709 MICHAUDWVILLE c 270 RUE BRUNET MONT SAINT HILAIRE QC J3G 4S6 450 446 9933 du secteur de la construction d am liorer les choses car pour tous le statu quo n est p
48. c nous avons pu constater de nouveau combien nos mem bres sont fiers d appartenir au domaine du g nie civil et voirie de l industrie de la construction L ACRGTQ profitait d ailleurs de cette grande occasion pour rendre publique une s rie de capsules publicitaires sur le th me de la passion que les entrepreneurs ont pour leur profession et le sentiment de fiert qui les caract rise et les anime dans l exercice de leurs responsabilit s quotidiennes sur les plus grands chantiers du Qu bec L industrie de la construction faut il le rappeler est un moteur conomique vital particuli rement dans notre Qu bec moderne auquel les entrepreneurs aujourd hui comme hier donnent le ton Routes ponts viaducs grands ouvrages hydro lectriques lignes de transports oliennes ports et a roports voil de quelles uvres sont faites leur histoire et la n tre dans une commune aventure C est aussi pourquoi il y a lieu et sans doute plus par ticuli rement que jamais de rendre hommage au lance ment d un des plus grands chantiers que le Qu bec ait connu celui de la Baie James lanc en avril 1971 il y a 40 ans par le premier ministre d alors le tr s honora ble Robert Bourassa C est ce quoi s attache le pr sent num ro de ConstAs Ce gigantesque chantier qui fut aussi une gigantesque id e outre sa contribution notre modernit notre conomie et notre histoire fut et demeure la source qui permit
49. c ca MAGAZINE CONSTAS Association des constructeurs de routes et grands travaux du Qu bec ACRGTQ Si ge social Qu bec 435 Grande All e Est Qu bec Qu bec GIR 2J5 T l 418 529 2949 1 800 463 4672 N e 1418 529 5139 Bureau de Montr al 7905 boulevard Louis Hippolyte Lafontaine Bureau 100 Anjou Qu bec H1K 4E4 PEGA oA o 1720081862 T l c 514 354 1301 Internet www acrgtq qc ca constas Courriel g n ral constas acrgta qc ca Le magazine CONSTAS est publi trimestriellement par ACRGTQ ACRGTQ ditrice ACRGTQ R dactrice en chef M Gis le Bourque R dacteur en chef adjoint Christian Croteau Comit de r vision M Gis le Bourque Christian Croteau Guy Duchesne M Christian T treault Pierre Tremblay ing Maquette et direction artistique Claude Bourget bourget arts conseils globetrotter net Les textes et illustrations de ConstAs ne peuvent tre reproduits sans l autorisation de l ditrice Toute reproduction doit mentionner le nom de la publication ainsi que le num ro Les opinions exprim es dans ConstAs ne refl tent pas n cessairement celles de l ACRGTQ Le magazine ConstAs ne se tient pas responsable des erreurs typographiques dans les textes publicitaires Il s engage toutefois reproduire uniquement la partie du texte o se trouve l erreur La responsabilit du magazine et ou de l ditrice ne peut en aucun cas d passer le montant de l annonce Le
50. ccursale Wajax afin d en savoir plus QU BEC MARITIMES Lachine 800 361 9298 Dartmouth 800 222 9729 Qu bec 800 463 2865 Moncton 866 579 2529 3569726 Pour en savoir plus sur cette synergie hors pair d quipement d asphaltage et sur les fa ons d am liorer votre productivit 1 866 444 9944 3740427 ETELE 43 est donc le 9 juin 2007 que le gouvernement du Qu bec a s lectionn l int rieur d une entente de partenariat public priv le consortium Concession A25 pour la conception la construction le financement lex ploitation et l entretien du projet de parach vement de l autoroute 25 dans la r gion m tropolitaine de Montr al La signature de l entente de partenariat a t annonc e officiellement le 24 septembre de la m me ann e Il s agit d un partenariat d une dur e de 35 ans qui regroupe quatre joueurs majeurs soit les firmes Macquarie Kiewit Parsons Miller Paving et Transcore Le consortium est dirig par M Daniel Toutant qui assume la pr sidence et la direction g n rale de l organisation Il a accept l invitation de ConstAs de nous d crire les m thodes de fonctionnement du chantier Il faut d abord pr ciser que la t che confi e au consortium tait d am liorer le transport public entre Montr al et la Rive Nord et de fournir une route alternative au transport de marchandises C est ainsi que les partenaires ont opt pour la construction
51. consortium se chargeait des relations de partenariat de haut niveau avec le minist re L objectif commun tait l ch ancier car tout le monde en b n ficie autant les usagers que les entrepreneurs et le gouvernement affirme M Toutant Le consortium value que d s la premi re ann e d exploitation 25 000 v hicules par jour franchiront la rivi re des Prairies par cette infrastructure Entretien C est donc partir de maintenant qu entre en jeu le r le du groupe canadien Miller Paving qui a t confi l entretien et la r habilitation de l autoroute Son travail commence en mai Dans le mod le financier on a le budget pour interve nir d s la premi re journ e d exploitation L entente est sur 35 ans mais apr s la 31 ann e nous devons proc der une inspection compl te car nous devons remettre le pont au minist re en bon tat pr cise M Toutant Miller Paving est soumise l indice de roulement interna tional qui mesure le niveau de confort des automobiles sur une route L entente de partenariat fixe plusieurs exigen ces Le consortium a tout int r t offrir une installation la hauteur des attentes des usagers Nous notre but est d attirer des automobilistes alors on va s assurer d avoir un pont en tat affirme le pr sident Le financement de l entretien du parach vement de lauto route 25 se fera donc m me le p age du lien ro
52. cueils furent nombreux Monsieur reconna t le s nateur C tait un homme de son poque N oubliez pas qu il n existait pas encore de minist re de l Environnement au Qu bec avant d cembre 1970 Le premier en avoir parl c est Victor Goldbloom On tait plus sensibles ces questions chez les Anglo Qu b cois Le 15 novembre 1973 le juge Albert Malouf donne raison aux Cris et aux Inuits et ordonne lar r t complet des travaux C est le 22 novembre suivant que la Cour d appel a renvers le jugement Malouf ce qui permit la reprise des travaux mais non sans avoir branl le gouvernement et les autorit s d Hydro Qu LES EXCAVATIONS MARCHAND amp FILS INC ENTREPRENEURS G N RAUX Il se rendait au forum de Davos chaque ann e Il a Bourassa n tait pas familier avec la ques r p t inlassablement tion autochtone ou celle de l environnement les m mes d marches aux tats Unis Cela ouvert la voie LR NE TS incroyable Ren L vesque tait chef du P Q manufacturiers importants pour le Qu bec de la Convention en main Voir plus loin page 31 l entretien de Fran ois Cattapan avec John Ciaccia N D L R Il y avait aussi des partisans du nucl aire Jacques Parizeau en t te Monsieur Bou rassa raconte le s nateur Rivest a fait un truc mais ne si geait pas l Assembl e nationale Il r digeait une chronique hebdomadaire pour le Journal de Montr al Monsi
53. d une nouvelle autoroute quatre voies entre le boulevard Henri Bourassa Montr al et l Autoroute 440 Laval sur une distance de 7 2 kilom tres Mais l ne s arr te pas le d fi on doit y ajouter l am nagement d un ACRGTQ num ro 15 avril 2011 pont haubans de six voies enjambant la rivi re des Prai ries Une voie p destre ainsi qu une voie r serv e pour le transport en commun sont aussi au programme T ches respectives Pour qu un tel projet d importance fonctionne sans emb che chacun doit respecter ses r les et ses responsabilit s men tonne M Toutant D abord le consortium Concession A25 est men par Mac quarie Infrastructure Partners MIP un fonds diversifi dont le si ge social est situ New York et qui se sp cialise dans les investissements en infrastructures en Am rique du Nord MIP est g r par une filiale du Groupe Macquarie un investisseur australien gestionnaire et promoteur mondial de premier plan dans le domaine des projets d infrastruc tures Macquarie fournit donc le financement n cessaire au projet routier Il en assume le risque de l achalandage ga lement Il est le principal interlocuteur du minist re Un partenariat public priv c est officiellement un partage de risque Le consortium a pris les risques de financement de construction de d passement de co ts d ch ancier et d achalandage donc des revenus Macquarie a transf r certains risques
54. de divulguer les fa ons de faire des personnes et des entreprises malhonn tes Ainsi nous aurons les stratag mes la t l vision et les criminels en prison a d clar le ministre Dutil lors de la pr sentation de l unit L Unit permanente anticorruption dans laquelle le gou vernement du Qu bec consent un investissement de 30 millions de dollars par ann e constitue une premi re au Canada Mme Th riault note qu afin assurer la coor dination accrue et efficace de cette organisation elle regroupera les ressources provenant de diff rentes unit s d enqu te et de v rification qui sont d j en place et qui ont des responsabilit s diverses Notamment l unit comptera sur l expertise de escouade Mar teau de l unit anticollusion du minist re des Transports qui sera largie l ensemble des contrats gouvernementaux d une quipe d enqu teurs de la Commission de la construction du Qu bec puis d une autre quipe de v rification sur la ges tion contractuelle des municipalit s aux minist re des Affaires municipales des R gions et de l Occupation du territoire De plus des enqu teurs sur la malversation et la corruption de Revenu Qu bec une quipe de resserrement des v rifications pour les titulaires et demandes de licences de la RBQ font aussi partie des ressources de l unit permanente Enfin un bureau de lutte contre la corruption et la malversation sera cr Garage B tement d
55. dial lors de la pr paration d une soumission pour un organisme qui a adopt une telle politique d en prendre connaissance et de s assurer d effectuer le n cessaire pour en respecter les r gles qui peuvent varier d un organisme l autre En effet certaines de ces politiques sont plus denses et plus contraignantes et d autres sont r dig es en termes plus g n raux et contiennent des sanctions moindres en cas de d faut Il ne serait pas surprenant de voir dans le futur des organismes qui joindront leur Politi que de gestion contractuelle leurs documents d appel d offres afin de s assurer du respect des exigences qui y sont contenues La gestion contractuelle des organismes publics est un monde en constante volution et am lio ration La consultation d un professionnel du droit pour vous conseiller dans le respect de ces exigences chan geantes est certes un atout dont une entreprise soumissionnant pour des contrats aupr s des organismes publics devrait se doter e M Isabelle Landry est avocate chez Heenan Blaikie Aubut LRQ caa 2 LQ 2010H LQ 2000 S LRO TCE LRO TCE N oLRQ cet 7 Art 573 3 1 2 de la Lloi sur les cies eme One du Code municipal art 113 2 de la loi sur la communaut m tropolitaine de Montr al LR Q c C 37 01 art 106 2 de la Loi sur la communaut m tropolitaine de Qu bec LRQ c C 37 02 et art 103 2 de la Loi sur les soci t s de transport 8 ER COMEUTE 1 011 Art
56. e Pour les Autochtones l int r t tait de s ouvrir aux opportunit s offertes par la nouvelle co nomie tout en pr servant leur territoire et leur mode de vie Cela constituait en quelque sorte la suite logique de la R volution tranquille De plus il y avait n cessit de a relever le d fi d implanter des barrages et de produire de l hydro lectricit sur les rivi res du Nord avec le moins d entraves possible sur le mode de vie local Le respect de la nature et la protection de l environnement s rigeaient donc en hautes responsabilit s Des comit s consultatifs ont alors t cr s pour la Jam sie et le Nunavik La Convention de la Baie James consti tue une entente sans pr c dent au Qu bec et m me au Canada Elle a inspir et servi de r f rence de nombreux autres trait s natio naux et m me internationaux Sa signature tait n cessaire car les Autochtones craignant le pire avaient intent des proc dures l gales et obtenu une injonction contre le projet En plus de d bloquer le projet hydro lectrique de la Baie James l entente ench ssait pour la pre mi re fois la reconnaissance par les tribunaux SIGNATURE DE LA CONVENTION DE LA BAIEJAMES DE GAUCHE DROITE JEAN CHR TIEN ALORS MINISTRE DES AFFAIRES INDIENNE Bity DIAMOND GRAND CHEF DU GRAND CONSEIL DES CRIS G RARD D L VESQUE MINISTRE DES AFFAIRES INTERGOUVERNEMENTALES DU QU BEC ROBERT KANATEWATT CHEF DE LA BAND
57. e Centre F national de conduite d engins de chantier c est Pr s d un km de terrain de pratique Une centaine d engins 12 000 heures de formation pour les travailleurs de l industrie Plus de 100 l ves dipl m s chaque ann e ACRGTQ num ro 15 avril 2011 gt long terme C est l innovation qui donne les moyens de r duire les demandes d infrastructures de promouvoir l environnement de limiter les d chets d att nuer l ta lement urbain et d assurer l quit dans la fourniture de services et d infrastructures Toujours sur le th me de l innovation Wm Patrick Lucey pr sident d Aqua Tex Scientific Consulting Ltd une orga nisation qui se consacre l cologie aquatique a voqu la n cessit dun changement culturel pour r pondre aux d fis cologiques le futur de l humanit est crit non avec de l encre mais avec de l eau Sur la d finition des besoins Sur le th me de la d finition des besoins Chris Cham pion premier dirigeant de l Institute of Public Works Engineering de l Australie a soulign que partout dans le monde les infrastructures sont sous pression Le pre mier ministre australien a mis au d fi les gouvernements locaux de mettre en place une gestion durable des infrastructures Une des cl s pour atteindre cet objectif PLACEMENT EN LIGNE Inscrivez vous au WWW Cncec qc ca Pr s de 1000 travailleurs en formation sur mesure
58. e chontier Entrepesage ampa e Abrosifs Rencontre les edgences du Code du BGtiment e Certili A660 Feul tre isol Livraison el instollation rage Toile avec retardont de feu disponible Four trouver l Soluiion MegoDome qui vous conient CONTACTEZ NOUS 1 888 427 6647 ACRGTQ num ro 15 avril 2011 et il sera compos de procureurs d di s exclusivement aux dossiers de l Unit permanente anticorruption Pour le gouvernement et la ministre Th riault la cr ation de l Unit permanente anticorruption envoie un message clair la population les pratiques de corruption de col lusion et de malversation sont inacceptables et ne seront pas tol r es au Qu bec Alors s il y a des gens qui font des choses incorrectes dans l industrie de la construction on va s arranger pour les mettre K O assure Mme Th riault Des gestes et des lois Or des mesures concr tes ont d j t pos es pour clair cir le secteur de la construction a indiqu la ministre On a donn plus d outils la RBQ pour faire des com pl ments d enqu te on a impos des restrictions ou tout simplement suspendu des permis ou m me refus d met tre des permis partir du moment o les gens avaient commis des crimes explique t elle Au chapitre municipal la Loi 102 est venue renforcer les pratiques la Loi 76 a mieux encadr le processus d attribu tion des contrat et la Loi 109 vise l thique
59. eaux e Manuel de conception des structures Volume 1 e Manuel de construction et de r paration des structures CCDG 2011 e Manuel d entretien des structures e Manuel d inspection des structures e Manuel d valuation de la capacit portante des structures Structures de signalisation ou d clairage e Manuel des structures de signalisation Inventaire inspection et entretien Publications r www publicationsduquebec gouv qc ca Qu bec o 418 643 5150 ou 1 800 463 2100 e en librairie pus 0 a e gt am UNE SYNERGIE RENTABLE www acrgtg gc ca e Z ACRGTO a un r le de premier plan dans l Industrie Que fera t elle sur ce plan LA Nous avons comme association majeure de notre secteur l oreille attentive des d cideurs ces leviers essentiels au chan gement Prenons la Zoi 73 que l on doit Sam Hamad alors ministre du travail Notre m moire d pos l Assembl nationale en mettant de l avant des aspects essentiels de la r alit a pes sur son orientation et sa teneur Chaque jour porte un exemple de cette action Les grands d cideurs ont la volont d am liorer l Industrie de m me que la perception de cette industrie mais ils ont besoin de nous les entrepreneurs qui la connaissons mieux que quiconque Notre devoir plut t est galement celui d informer Bien plus aujourd hui qu hier de toute vidence J esp re contribuer humble ment d velopper cette foncti
60. enne et c est exac tement cela qui a t mis de lavant par la direction de CDB En effet on a pu constater que 33 m thodes de travail ont t r dig es Ces derni res d crivaient le travail effectuer les risques possibles de m me que les r gles de s curit On y a galement identifi les responsables de l application de ces proc dures M Marceau ajoute que des visites quotidiennes ont t effectu es et tout ce qui tait d rogatoire a t ins crit dans un registre On a galement mis des pauses Paul Marceau Finalement assurer une bonne gestion de la sant et de la s curit au travail c est payant conclut il e sant l horaire et toute la POUR CETTE R ALISATION LES TRAVAUX SE D ROUIAIENT SUR DES PILIERS DONT LA HAUTEUR MAXIMALE POUVAIT ATTEINDRE JUSQU 70 M TRES 49 Savoir faire et ing niosit au rendez vous Par Jacques B langer emplacer un liant traditionnel fabriqu base d hydrocarbures par un produit enti rement v g tal voil le d fi qu a relev avec succ s la firme Sintra en utilisant le V g col pour la r alisation d un pavage destin son terrain de stationnement Le d fi tait de d montrer qu il tait possible d utiliser un liant translucide fabriqu partir d huiles v g tales et de r sines Nous avons galement utilis des agr gats natu rels afin de conf rer cette r alisation un caract re enti
61. entre La Tabati re et T te la Baleine Une pr sentation publique d AXOR s est d roul le 9 mars dernier Source Radio Canada ca 7 mars 2011 Dixneuf bagues et trois boucles d oreille qui provenaient du braquage de la joaillerie Harry Winston en d cembre 2008 Paris ont t retrouv es lundi dans un pavillon de Seine Saint Denis Une partie du butin du spectaculaire braquage dans la joaillerie Harry Winston le d cembre 2008 Paris a t retrouv lundi Plus de deux ans apr s les faits les enqu teurs de la Brigade de r pression du banditisme BRB ont mis la main sur dix neuf bagues et trois boucles d oreille dans un pavillon de Seine SaintDenis Une prise estim e 14 millions d euros selon la pr fecture de police de Paris PP l une des bagues de 31 carats vaudrait elle seule six millions d euros Dissimul s dans un flacon en plastique ces bijoux avait t coul s dans du b ton dans un gout de r cup ration des eaux fluviales de ce pavillon de banlieue parisienne a pr cis la PP mardi Le braquage record de la joaillerie Harry Winston avait eu lieu le 4 d cembre 2008 Quatre malfaiteurs arm s dont certains taient d guis s en femmes et connaissaient les noms de quelques employ s leur adresse personnelle et l emplacement exact des coffres forts avaient fait main basse en un quart d heure sur 85 millions d euros de bijoux dans cette joai
62. enu la fin des ann es 1980 lui donnera tristement raison Volte face Quoi qu il en soit les partisans qu b cois du nucl aire ont pr ch dans le d sert Il faut noter qu en d cembre 1969 des tudes avaient d j confirm sans l ombre d un doute que le d veloppement hydro lectrique tait plus conomique que la fili re nucl aire crira Robert Bourassa dans L nergie du Nord N anmoins le nucl aire civil est per u par certains comme une voie d avenir pour le d veloppement preuve pour la seule ann e 1970 on d nombre la construction de 37 nouveaux r acteurs entam e dans le monde tandis que 6 taient mis en service op rationnel Historiquement les cen il Construction Garnier lt e 3980 boul Leman Laval Qu bec H7E 1A1 T l phone 450 661 6470 e Fax 450 661 7167 WWW garnier cc garnier garnier cc Y VOIR CLAIR AVANT DE CREUSER TOUT TRAVAIL D EXCAVATION WE ntelligent DEVRAIT TRE PR C D C est intellig D UNE V RIFICATION Afin d viter les co ts et les retards r sultant d un dommage un r seau souterrain optez pour un r flexe intelligent informez vous SERVICE GRATUIT intop ti info info ex com eXCaVariIon 514 286 9228 gt 1 800 663 9228 wWwWW nfo ex com www acrgtg gc ca trales nucl aires se sont principalement multipli es du c t des Ftats Unis de l Europe et du Japon Au Qu bec toutefois la donne change lu en novem bre 197
63. era ses plans pour relever la cote de LG3 et construire le sur quipement de LG3 et LG4 d s la ET CHER L W T l 514 352 0100 HHI ww oeconiniosinuctuns com Lepage I AAA hd www acrgtg gc ca phase initiale De la fin des ann es 1980 au milieu des ann es 1990 la Phase 2 ach vera la r alisation des centra les de La Grande 1 La Forge 1 et 2 et Brisay Dans les faits seuls les travaux dam nagement de la rivi re La Grande ont t compl t s au cours du r gne de Robert Bourassa La production lectrique annuelle des 8 centrales du Com plexe La Grande s l ve environ 91 T rawattheures TWh et repr sente environ 43 de l lectricit consomm e au Qu bec La construction de trois nouvelles centrales entre 2003 et 2012 Eastmain 1 Eastmain 1 A et Sarcelle et la d rivation du cours sup rieur de la rivi re Rupert vers les centrales de la Grande Rivi re augmenteront de 8 3 TWh la capacit install e du complexe 17 413 MW et portant la production totale environ 99 3 TWh soit 50 de la consommation qu b coise L augmentation anticip e de la pluviosit de la r gion due au r chauffement climatique devrait augmenter cette production Vivre la Baie James AU plus fort des chantiers il y avait pr s de 10000 tra vailleurs sur le territoire de la Baie James dont 5000 sur le site m me de Radisson le plus gros campement nous explique Normand B chard Autour des centrales et des chantiers il
64. es On consid re donc que c est une premi re au Qu bec la rivi re des souligne le pr sident du consortium On a construit un batardeau pour le pilier qui est peu pr s au centre de la rivi re afin d viter son d tournement Nous avons donc am nag une structure carr e en rivi re pour assurer l tanch it du fond afin de pomper l eau et dy mettre notre fondation On a fait la m me chose pour l autre pilier indique M Toutant L autre d fi tait celui de la p riode de travail puisque l ex cution des travaux en rivi re tait impossible entre les mois d avril ao t Il a fallu trouver des techniques qui ont permis de ne pas intervenir au fond de la rivi re Nous avons donc install une jet e faites de gros granu lats cela avec toutes les pr cautions comme des filtres et des quipements pour emp cher la s dimentation pr cise t il Il tait m me impossible d ancrer des barges dans la zone d alimentation des poissons Pour l rection des seg ments sur la partie hauban e dans la port e principale le constructeur a donc proc d avec deux barges aux extr mit s Lune portait une grue et l autre le mat riel ce qui permettait ainsi de faire le tablier du pont Il a fallu ima giner un syst me de c bles qui allait presque la rive ou des bou es en dehors de la zone parce qu on ne pouvait ancrer les barges dit M Toutant Fait noter la pr sence
65. es entrepreneurs en construction du Qu bec ce qui est un avantage je crois face une situation o plus que jamais les acteurs de l industrie doivent se coordonner et r af firmer leur communaut d int r ts Cela notamment en ce qui concerne les l ments de crise et il faut bien le dire les atta ques qui fusent de toutes parts et dont la plupart mal cibl es rajoutent au malaise et d couragent jusqu aux meilleurs d en tre nous Ajoutons les sous entendus qu on nous sert de tous c t s en public et en priv et vous aurez une id e de ce que les d cideurs de l industrie doivent entendre et supporter de n gatif dans leur travail et dans leur vie quotidienne Devant ces all gations il nous faut nous reconstruire chaque jour si vous permettez le jeu de mot Cela dit a commence changer Le spectacle s essouffle et le go t de la v rit semble reprendre le dessus E hi ik R ai i F Le Da PULV RISATION D ASPHALTE ali PLUSIEURS UNIT S POUR REJOINDRE MARTIN FOUCRAULT 514 977 2067 mfoucrault michauduille com wuwuw michauduille com Nouveautes en ligne our les ouvrades routiers P 3 nn lectrotechnique e Manuel de conception d un syst me d clairage routier e Manuel de conception d un syst me de signaux lumineux Ouvrages d art e Manuel de conception hydraulique des ponts e Proc dure pour la r alisation des tudes hydrauliques e Manuel de conception des ponc
66. et de lui avoir ainsi donn un outil incomparable de d veloppement conomique assise de tout progr s selon lui pour toutes les soci t s LE SERVICE NORTRAX LA FIABILIT JOHN DEERE A 1 Lorsque vous louez un quipement Deere il n y a pas de meilleur endroit o le faire que chez Nortrax votre concessionnaire John Deere Nous avons le tout dernier mod le un faible taux d utilisation et un soutien technique sans pareil Il s agit l d une combinaison imbattable que vous ne trouverez nulle part ailleurs Personne ne va plus loin et n essaie avec plus d nergie de vous rendre productif et rentable tous les jours La construction du complexe hydro lectrique de la baie James a suscit un int r t m diatique gigantesque notamment lors du lancement des travaux en 1971 Il en fut de m me lors de l inauguration officielle des installations par Ren L vesque huit ans plus tard Mais il y eut galement quelques moments inattendus et moins connus du public dont un honneur spontan et bien m rit ce 27 octobre 1979 Robert Bourassa Le 27 octobre 1979 Robert Bourassa est invit la derni re minute l inauguration du projet du si cle un projet qu il avait pourtant lui m me lanc L ancien premier ministre se fait tr s discret Lors du repas officiel o se trouvait tout le monde il y a tous les notables du Parti qu b cois l avant sc ne dans les places principales aux tables d honneu
67. et la d ontologie tout a fait partie des actes pos s ce jour pour faire le m nage dans l industrie de la construction Je dis m nage bien que je n aime pas cette expression qui laisse supposer qu il y aurait de la poussi re tout partout lance t elle Elle esp re que ces gestes serviront rallier la population qu b coise au plan d action gouvernemental dans le domaine e Loi sur les relations du travail la formation professionnelle et la gestion de la main d uvre dans l industrie de la construction Une solution de cautionnement adapt e vos activit s Ordre des ing nieurs du Qu bec COLLOQUE ANNUEL LES 12 ET 13 MAI 2011 MONTR AL JEUDI 12 MAI 2011 7h30 8h 30 8h30 11h30 Atelier A l thique en pratique 12 h 13 h 30 14h 17h Rendez v us avec le SCENIC L ING NIEUR DE CONCEPTEUR LEADER VIN PROGRAMME Inscription et d jeuner 8 h 30 11h 30 pourquoi quand comment Atelier B Gestionnaire de projet devenez vraiment comp tent Atelier C Une recette gagnante pr venir les accidents d s la conception Atelier D Le leadership ou tre intelligent dans l action Atelier E nouvelle gestion 12 h 13 h 30 nouvelle communication D ner conf rence Dans l enfer de Port au Prince Conf rencier Marc Perreault ing 14h 17h Atelier F Le dilemme de l ing nieur salari respect de la d ontologie ou loyaut
68. eur L vesque avait un v ritable culte comme moi d ailleurs pour Roland Giroux Monsieur Bourassa demande Roland Giroux de rencontrer L vesque et de le convaincre des avantages de lhydro lectricit sur le nucl aire et de l importance du projet de la Baie James Et voil que L vesque sans m me pr venir Parizeau et l aile parlementaire du PQ publie un article appuyant le projet de la Baie James Les Excavations Marchand amp fils inc participent la construction de projets hydro lectriques industriels et miniers Depuis plus de 35 ans EMF a d velopp une expertise reconnue en excavation de masse construction de digue gazoduc travaux nordiques fourniture de b ton d asphalte d agr gats forage et dynamitage La logistique acquise permet de construire dans les d lais et les budgets pr vus peu importe le d fi ou les sp cifications de projet 3831402 a d 7 PE i E z TRAITEMENT SOLUTION EFFICACE ET FACILE D ENTRETIEN Solution r pondant aux pratiques de gestion optimales du guide de gestion des eaux pluviales du MDDEP AQUA SWIRL S PARATEUR HYDRODYNAMIQUE Permet d liminer efficacement plus de 80 des MES en plus de r cup rer les huiles et les d bris flottants AVANTAGES ET B N FICES Installation simple et rapide entra nant des conomies importantes Sans pi ces mobiles et parfaitement tanche SOLENO COM 3836129 ACRGTQ num ro 15
69. grammation des travaux routiers est r partie selon quatre grands axes d intervention la conservation des structures la conservation des chauss es l am lioration du r seau routier et le d veloppement du r seau On pr voit que plus de 2 47 G seront consacr s la conservation des actifs et l am lioration du r seau routier Les structures Les investissements dans les structures totaliseront pr s de 1 14 G permettant ainsi d intervenir sur pr s de 8 5 structures y compris 272 structures sur le r seau municipal La part la plus importante des investissements sera consacr e la lutte contre le vieillissement des ponts et des viaducs Les chauss es Cette ann e on pr voit r nover plus de 2000 km de chauss e Des investissements de 849 M sont pr vus afin de conserver la qualit de roulement des chauss es l am lioration du r seau l enveloppe allou e l am lioration du r seau s tablit pr s de 482 M Cette somme permettra de r aliser de nombreux projets visant am liorer la s curit des usagers et l efficacit des d placements routiers Le d veloppement du r seau Enfin 1 17 G seront investis dans des travaux visant principalement am liorer la mobilit des usagers du r seau et le transport des marchandises dans une perspective de poursuite du d veloppement durable du Qu bec R duire les impacts des travaux sur la congestion routi re La
70. guine De passage Mon tr al le 20 octobre 1971 le leader sovi tique donne raison au chef du gouvernement qu b cois Tant que vous aurez UNE VARI T DE PROJETS Chez Construction Garnier nous disposons de l expertise des technologies et de l quipement requis pour r aliser chacune des phases des projets de construction et de r fection qui nous sont confi s NOTRE SAVOIR FAIRE Notre quipe professionnelle a d j pu d montrer son savoir faire dans plusieurs projets de r fection et de construction Qu importe le type de projet et les mat riaux utilis s pour sa construction Construction Garnier est toujours en mesure de fournir un travail de premi re qualit UN ENGAGEMENT DE QUALIT Le respect strict des ch anciers et des r glementations en vigueur fait partie int grante de l engagement de l quipe de Construction Garnier Quel que soit le chantier nous d ployons tous les efforts n cessaires pour proposer des solutions conomiques dans le respect des normes environnementales 3828568 ACRGTQ num ro 15 avril 2011 des ressources lectriques importantes potentiellement disponibles efforcez vous de les mettre en valeur plut t que de construire des centrales nucl aires en lesquelles je n ai pas pleinement confiance et que nous construisons en URSS parce que nous n avons vraiment plus de rivi res valables harnacher rapportent les m dias Le grave acci dent nucl aire de Tchernobyl surv
71. ii 25 6 CONVENTION DE LA BAIE JAMES ET DU NORD QU B COIS 31 ENTRETIEN AVEC ST PHANE GAUTHIER NOUVEAU PRESIDENT DURCOINSEIL DE TACRO I ER ra 41 UN PROJET UNIQUE QUI CAPTE ATTENTION 44 CONSTRUCTION DEMATHIEU amp BARD SAB eI EE E E E 48 SAVOIR FAIRE ET ING NIOSIT AU RENDEZ VOUS ice 50 QUESTIONPDE FORMATIONS 53 GUESS TONSRENCARSES Se 54 SSSR 55 a cn 58 Pa LICLELCE LS lisse due RMMOUE vuel cou le de machine Ci f ri gt a e du UN E L 7 ss g E g i Mu mn me ae rothi dak i z j u a i L Lee E i F i C S vos RE Jr las d d EVER af 4 i i t icis lustre que ripete QUE ceucle de machine We Par pr Ah ia F a CRE Bm L F m re TE Lo k F y E peee pij F cr if i a EYE Fa kr aA w CA x en ur a En m E i A Dr u x TRES E i 2 4 EN EE z E ce ES ns Le AS Tnt i 4 iu sr Fe EE iia de EUX doze A J ac Vous Sine Trorrez pas toui pce que Votre CUG peut tait CONTR LER VOTRE ENVIRONNEMENT SARE TOPCON he ete atier C est le temps Exeter Toronto Ottawa Montr al 066 695 2737 www geoshack ca topconpositioning com 3DMC2 nchant s du 67 congr s de l Association des constructeurs de routes et grands travaux du Qu bec ACRGTQ tenu avec grand succ s en A d janvier dernier au Ch teau Frontenac Qu be
72. ire conna tre le produit aupr s des municipalit s et des gestionnaires d im meubles Nous comptons galement promouvoir le V g col aupr s des promoteurs immobiliers qui construisent des quartiers verts car notre solution s inscrit dans un esprit de d veloppement durable conclut il Rappelons que Sintra s est vu remettre le prix pour la cat gorie Innovation Travaux municipaux Une emprise de travail limit e et des d lais d ex cution serr s voil les deux principaux d fis qui attendaient Les Entreprises PEB lorsque cette firme de Qu bec a t appel e effectuer des travaux de voirie dans le cadre du prolongement de la rue Lepire dans le secteur de Lac Saint Charles pr s de Qu bec Il s agissait de construire un nouveau tron on de route afin de relier le boulevard Lepire jusqu au boulevard Val cartier explique Gilles Dionne Comme les d lais d ex cu tion taient tr s serr s on a fait appel nous en raison de notre expertise Nous avons galement r alis que l emprise de travail c est dire les pace dans lequel les travaux devaient tre effectu s tait assez limit e Il nous fallait en effet travailler sur un tron on de 2 kilom tres de long sans acc s lat ral De plus il fallait galement compter sur la pr sence Sima UTUIS IE V G COI UN IANT de milieux humides et on COLOGIQUE POUR LA R ALISATION DU nous a demand de mini TERRAIN DE STATIONNEMENT DE SE
73. irig e par H M Finlayson de la Shawinigan Water and Power Company compagnie priv e d lec tricit incorpor e Hydro Qu bec en 1963 lors de la nationalisation de l lectricit effectue un pre mier inventaire du potentiel nerg tique du territoire de la Baie James Cette r gion est peu accessible et habit e par quelques milliers d Autochtones en majorit de culture A crie Cest en 1965 qu Hydro Qu bec reprend les tudes IL ETAIT UNE R AIE touchant les cing grandes rivi res de la baie James ho compter de 1967 l attention se porte surtout sur l am na gement commun de trois rivi res du sud soit la Nottaway ERCE OT SR 2 Sroadback et la Rupert Ce projet connu sous l appella tion NBR pr voit la d rivation des deux premi res rivi res moderne A commenc dans la rivi re Rupert sur laquelle sept centrales seraient construites fournissant une puissance install e d environ sur les rives de 5500 MW 1 Le complexe hydro lectrique de La Grande Rivi re R alisation de la premi re phase SEBJ 1987 la Gr ande Rivier e En labsence de route reliant la baie James au reste du Qu bec des hydravions transportent les premiers explo rateurs et le mat riel de Matagami la Baie James tandis que des h licopt res permettent de survoler ce vaste territoire inexplor Des centaines dhommes partiront l aventure dans ce coin retir de la province pour arpenter le territoire
74. istres et dirigeants du Parti qu b cois qui taient aux tables d honneur en avant de la salle se sont lev s et tir s le cou pour mieux voir ce qui se passait mentionne M Gravel Ce moment a t tr s marquant pour Robert Bourassa qui a v cu ainsi une soir e magique dans sa carri re M Gravel est convaincu que cet v nement a donn lim pression Robert Bourassa que les Qu b cois lui avait pardonn ses erreurs du pass et l aimaient encore assez pour ventuellement lui permettre de revenir en politique et lui redonner le pouvoir Ces marques de reconnaissance de la part des travailleurs ont prouv la pertinence du projet de la Baie James pour l ancien premier ministre selon Pierre Gravel C est d ailleurs la suite de cette soir e triomphale qu il a d cid de faire un retour en politique ll fut r lu en tant que premier ministre et il proc da en 1987 la seconde phase du complexe La Grande aujourd hui appel com plexe Robert Bourassa e 14 Un succes rx collectif us La EE PRIX G NIE VOIRIE EN D VELOPPEMENT DURABLE 2 G NIE CIVIL ET B TIMENTS COMAFLEZRES INDUSTRIELS LENI REALES ET MINMICENTRALES PONTS ET QUAIS Quand Technologie et Expertise tracent le chemin 24 Baie James 40 ans 5 ATTRAITS ET M FIANCE Le lobby pronucl aire s oppose au nom de la modernit Em hia D s l annonce du vaste projet hydro lectrique de la Baie James des voix s
75. l vent contre son d ploiement Depuis plusieurs ann es un lobby favorisant le d veloppement d une fili re nucl aire est actif au sein de l appareil de l tat et m me l int rieur d Hydro Qu bec D j on avait pu l entendre au moment de participer l implantation d un barrage au Labrador la fin des ann es 1960 Certains t nors du Parti qu b cois une formation politique en pleine ascension se montrent sympathiques cette alternative Les arguments de l poque se fondent sur des atouts de modernit de proximit et de sauvegarde du patrimoine naturel Par Fran ois Cattapan es recherches men es dans les archives des sites Internet d Hydro Qu bec ainsi que de Wikip dia rappellent que la construction d une centrale nucl aire au Qu bec a fait l objet de d bats pas sionn s dans les ann es 1960 et au d but des ann es 1970 En vue de r pondre la forte croissance anticip e des besoins nerg tiques de la soci t moderne de demain il y avait dun c t les partisans de cette forme d nergie novatrice et de l autre ceux en faveur de la construction de grands projets hydro lectriques D une part on misa it sur l innovation et la ma trise dune nouvelle ressource prometteuse alors que d autre part on pr f rait am liorer et d velopper une technique qui avait fait ses preuves Un peu d histoire Selon la chronologie des v nements qu il a t possible de ret
76. l pu s opposer un projet comme celui de la Baie James Pour L vesque ajoute Jean Claude Rivest le projet de Monsieur Bourassa s inscrivait dans la continuit de la nationalisation de l lectricit caf t ria avec les travailleurs C est l qu il a re u une ovation monstre Les travailleurs ont reconnu spon tan ment la paternit du projet de la Baie James un Robert Bourassa tonn d un tel accueil Lui m me ajoute le s nateur Rivest me l a avou C est ce jour l qu il a commenc croire son retour en politique Voir plus loin page 23 l entretien d Annie Saint Pierre avec le journaliste Pierre Gravel N D L R Que repr sente le projet de la Baie James dans la vie poli tique de Robert Bourassa La Baie James avait une place importante dit le s nateur Toutefois ce projet n tait pas pour lui une fin en soi La Baie James c tait l argent la richesse la possibilit d exporter de l nergie Mais Mon sieur Bourassa qui tait de centre gauch e tait aussi fier de l assurance maladie que de la Baie James Ses valeurs profondes taient sociales m me si son discours tait co nomique Il savait qu il fallait cr er de la richesse pour soutenir les programmes sociaux La Baie James C tait un instrument cl pour le Qu bec pour que la soci t qu b coise puisse r aliser ses objectifs sociaux e in 1973 la SEBJ tait une soci t naissante Je
77. la lutte l vasion fiscale pour contrer le travail au noir va intensifier ses actions souli gne Mme Th riault qui ajoute que la RBQ s inscrit gale ment dans le lot de mesures importantes qui vont faire en sorte de satisfaire les attentes gouvernementales et celles de la population LISE TH RIAULT RENCONTRE CONSTAS La ministre du Travail entend agir avec courage et fermet Une unit permanente La cr ation de l Unit permanente anticor ruption UPAC est au centre de la strat gie qui font des choses de la ministre du Travail Cette organisation incorrectes dans est inspir e des meilleures pratiques en la l industrie de mati re dans le monde et plus particuli re S il y a des gens L quipe Boisvert toujours au sommet du classement Boisvert CHEVROLET BUICK GMC la construction on ment du Department of Investigation de la CCE CS SUAE 1 877 410 9400 470 BOUL LABELLE BLAINVILLE mettre K O assure ville de New York rappelle Mme Th riault Mme Th riault Te SEUL CONCESSIONNAIRE ap isuzu Laval el Rive Nordiie Fe pemp ai ns 2 Boisvert CAMIONS 450 430 6155 470 A BOUL LABELLE BLAINVILLE 3800185 Arriv e au minist re du Travail avec le dernier remaniement du gouvernement du Qu bec Lise Th riault refuse de rester les bras crois s et compte faire la lumi re sur les all gations qui persistent dans le domaine de la construction Par Annie
78. llerie de luxe de l avenue Montaigne dans le 8 arrondissement de Paris La quasi totalit du butin retrouv e Alors que la BRB avait t rapidement saisie de l enqu te neuf personnes avaient t mises en examen et incarc r es en juin 2009 Parmi elles le chef pr sum de l quipe de malfrats g de 45 ans et d j condamn 15 ans de prison dans une affaire de trafic de stup fiants Une grande partie de la prise et 760000 euros avaient l poque t retrouv s son domicile en Seine Saint Denis Avec cette nouvelle d couverte les enqu teurs ont d sormais retrouv une grande partie des bijoux d rob s par les malfaiteurs Aucune nouvelle interpellation n a en revanche eu lieu le pavillon ayant d j t perquisitionn Seules des personnes d j en prison dans cete affaire ont t de nouveau interrog es Source Lefigaro fr Pour une cinqui me ann e cons cutive la Commission de la construction du Qu bec CCQ le Fonds de formation de l industrie de la construction FFIC ainsi que le Plan r sidentiel organisent une d marche de reconnaissance en mati re de perfectionnement Ainsi du 15 au 30 mars 2011 treize 5 Z gt auront lieu dans diff rents centres de formation professionnelle dans l ensemble du Qu bec Organis e dans le cadre de la Semaine qu b coise des adultes en formation cette tourn e r gionale honorera plus de 10000 travai
79. lleurs ayant te 09 r ussi au moins une activit de perfectionnement et plus de 300 formateurs ayant oeuvr transmettre leurs connaissances durant l ann e 2010 Au cours de ces 5 gt les travailleurs et les formateurs s tant distingu s recevront une attestation de reconnaissance et seront en nomination pour un prix PerfectAS Plus de 400 nomin s seront ainsi d voil s Parmi ces hommes et ces femmes 37 champions du perfectionnement incarnant le d passement de soi et l excellence seront honor s lors du gala PerfectAS le 16 avril prochain au Sheraton Laval Ainsi se cl turera la d marche de reconnaissance de l industrie de la construction 2011 Source Le Fonds de formation de l industrie de la construction Hydro Qu bec a confirm vendredi le 11 mars dernier qu elle investira 40 millions de dollars d ici 2015 pour permettre la r fection et la remise niveau des quipements du poste Madawaska de D gelis Le projet s accompagne d une nouvelle r partition des effectifs dans la r gion de Kamouraska Rivi re duloup T miscouator les Basques KRIB Cet investissementl est n cessaire la r fection du poste Madawaska C est une r novation lourde qui sera faite pour amener le poste dans un plan de p rennit jusqu un horizon de 2025 explique le porte parole de la direction r gionale d Hydro Qu bec pour l Est et le Nord du Qu bec R jean
80. ls que l Office de consul tation publique de Montr al la Politique de consultation et de participation publiques et la Charte montr alaise des droits et responsabilit s Jonathan Levine professeur de planification urbaine l Universit du Michigan a rappel que la participation des citoyens n est pas une fin en soi et ne doit pas contre dire l int r t public au sens large Il a conclu sa pr senta tion en mentionnant notamment que la responsabilit de la planification doit tre partag entre les citoyens et les donneurs d ouvrage ce en incluant l ensemble des objec tifs r gionaux Pour sa part Philippe Leclerc responsable de la commu nication interactive la Ville de R gina a trait de lim pact des nouvelles technologies et des r seaux sociaux sur la participation des citoyens La Ville de R gina est directement en lien avec les citoyens en utilisant les m dias sociaux La Ville est notamment active sur Face book ce qui lui permet d avoir un lien direct et en temps r el avec la population Tout en faisant un historique de l volution des communications mobiles ou autres il a rappel l auditoire que ces nouveaux m diums de com munication permettent aux utilisateurs d tre en contact avec leur ville Cet autre atelier qui portait sur l innovation permis d y voir clair sur diff rent dossiers innovateurs Le Dre Penny Burns est directrice dAMQ International une organisation australien
81. ment provincial CRAN LE PONT LE EPA LPC CAP ru FT ONE EGUIFMENT COMFANT ti TEREX PAVEUSES CEDARAPIDS rF out EU hier te dei F LES QUIPEMENTS LEFCO INC VENTE LOCATION PIECES amp SERVICE 1795 rue Guillet Laval QC H7L 5B1 514 389 8256 450 682 2783 Fax 450 682 0463 equip lefco qc ca www lefco ac ca 3557151 www acrgtg gc ca Il s agissait dabord d tablir la reconnaissance des droits territoriaux des Cris et des Inuits dans le Nord qu b cois Ensuite il fallait voir la protection du mode de vie des Autochtones bas sur une culture propre et des moyens de subsis La tance ancestraux Enfin il y avait des balises de la B apporter au d veloppement hydro lec Ta trique notamment pour un des barrages construire jug trop pr s du village de Fort George aujourd hui Chisasibi De notre c t il fallait clarifier le droit du Qu bec de proc der des travaux de construction de centrales hydro lectriques Toutefois ceci mest qu un survol car la Convention de la Baie James compte 33 chapitres et quelque 480 pages de sp cifications Ce document toff donne tous les d tails sur les droits et territoires r serv s ainsi que sur les autorisations d action et les obligations respectives Pour le Qu bec c tait de pouvoir d ve lopper les ressources de la baie James et de cr er de la richesse autour du projet cono mique du si cl
82. murs en aile gt Ponts modulaires en acier et cul es gt Syst mes de drainage de ventilation et de corridor utilitaire 3570780 1 877 245 7473 5 boul Wifrid Hamel DEC IUC GTP 214 Industries Atlantic Lt e 9 e Une force d appui T l 418 6 Fax 418 6 ail ca fr T N LQ o Profitez de votre investissement Perfectionnez Pour conna tre les services du FFIC aux entrepreneurs appelez votre agent de promotion de la formation Jean Marc Jacob au 418 951 3530 ou visitez le www ffic ca Le perfectionnement c est aussi votre affaire D FONDS DE FORMATION DE L INDUSTRIE DE LA CONSTRUCTION mw F Fii ca Ta MICHAUDVILLE pe Location ESA mA me a i A 3 e i 5 E ls _ fe i Volvo 6 x 6 A25C mur 5 LR rs pa 2e KP St i ma Pelle Komatsu PC200 avec marteau hydraulique Atlas COPCO 1700 ernimme m errer n ES o Tramac V 32 4 a a W s Pelle Caterpillar 330 _ ET I 4 avec marteau hydraulique i gt Pelle Caterpillar 330 longue port e 55 pieds r i CF i Atlas 3000 Pelle Caterpillar 320 longue port e 55 pieds ii E ini kri a ma haa mnt A T 270 rue Brunet Mont Saint Hilaire QC J3G 4S6 pr E 1 866 446 9933 poste 2220 www michaudville com Claude Lussier C 514 232 3139 clussier michaudville com 3555637 2 Z O s ING Ci Re a Forage directionnel Forage
83. n tat pratiquement neuf Il est de la respon sabilit de Miller Paving de faire un programme de surveillance et d intervention en tout temps et d assurer la s curit des usagers Un programme de suivi et de correction de l tat de la chauss e au niveau de la rugosit de l adh rence des orni res des fissures et des nids de poule est pr vu tout comme un programme d entretien de tous les l ments de l infrastructure incluant la signalisation le marquage les dispositifs de retenue les att nuateurs d impact les composantes du syst mes d clairage les cl tures les crans anti blouissement et anti bruit les foss s regards puisards conduites souterraines et ponceaux les espaces verts talus et am nagements paysagers Le d neigement et le d gla age s curitaire de la route et du pont font partie de ses responsabilit s Chacun des participants du consortium a ses propres soustraitants On parle notamment de Genivar au niveau de l ing nierie des structures autres que le pont principal Structal est aussi pr sent pour l acier du pont Holcim pour la fourniture du b ton Les haubans du pont ne sont pas fabriqu s au Canada note M Daniel Toutant mais on peut dire que 90 des co ts de construction est de l argent d pens au Qu bec soit pour les travailleurs soit pour les mat riaux www acrgtg gc ca La coordination des quipes de travail de conception et de construction s est faite par Kiewit Parsons Le
84. n ont t propos s et valid s permettant de cr er un mod le id al de perfectionnement Les travaux Qu bec ont permis de s entendre sur les orientations communes pouvant conduire la r alisation de ce mod le id al La rencontre a t un succ s puisque l ensemble des d cideurs patronaux et syndicaux de l industrie a pu posi tionner la formation et le perfectionnement comme enjeu prioritaire pour l industrie Mais ce succ s obtenu n est pas une fin en soi il repr sente plut t un point de d part pour un nouvel ch ancier de travail qui devra tre repris par les associations et organisa tions participantes dans le cadre de leur mandat respectif En ce qui a trait au FFIC une planification strat gique long terme sera propos e en cours d ann e Les objec tifs seront plus complexes qu au d but des fonds le perfectionnement est un succ s mais il ne rejoint pas tout le monde Apr s 12 ans d op ration au del de 16 de la main d u vre se perfectionne annuellement mais il y a encore des travailleurs qui ne se perfectionnent pas Et surtout il n y a toujours que 3 des entrepreneurs qui font des demandes de formation en entreprise pour leurs salari s Le perfectionnement doit maintenant tre une pr occupation incontournable pour les travailleurs et les entrepreneurs Pour y arriver il faudra notamment am liorer le contenu des formations en les rendant plus attrayantes pour les
85. n tr s gros trafic elle permet d sormais une circulation continue t comme hiver entre la baie James et le reste du Qu bec Le choix du site Si la construction de la route commence d s 1971 partir de Matagami vers le nord on ne connaissait pas sa destina tion finale Ce n est qu en mai 1972 que le gouvernement du Qu bec choisira la Grande Rivi re C tait plus facile et moins co teux de commencer par le nord explique Normand B chard Au sud vers la Rupert les sols argi leux sont plus sensibles et posent des probl mes de stabi lit Accessoirement ces r gions sont couvertes de for ts plus denses et plus riches qu il aurait fallu couper Mais r ellement la g ologie fut d terminante pour choisir le site On disposait de meilleures conditions g ologiques e Les ge gt ii 3 E PA P nn ne F Su IAE f Trn 3833385 Le 30 avril 1971 un an jour pour jour apr s son lection et devant 5000 partisans r unis ACRGTQ num ro 15 avril 2011 Autre avantage la disponibilit des mat riaux pr s des sites de digues et de barrages sur la rivi re la Grande Rivi re poursuit M B chard Nos barrages sont faits en terre et en mat riaux granulaires qui taient disponibles pr s des grands ouvrages Par exemple la moraine qu on utilise pour tanch iser les barrages est un d p t glaciaire qu on trouve en quantit s faramineuses et tr s
86. ncyclop die Cana dienne Wikip dia Acc dez une Carri re la hauteur de vos ambitions Chef de file dans le domaine de l acier d armature et de la post tension dans l est de l Am rique du Nord depuis 1948 le groupe AGF est aussi un joueur majeur dans le secteur de l chafaudage et de l acc s tant en pleine expansion AGF est continuellement la recherche de gens passionn s pour combler divers postes techniques administratifs et de main d uvre qualifi e AGF Groupe www acieragf com 3827046 Baie James 40 ans 2 ROBERT BOURASSA ET LA BAIE JAMES Entretien avec le s nateur Jean Claude Rivest Derri re le projet du si cle l on trouve un homme politique important dans l histoire du Qu bec celui qu on a surnomm le p re de la Baie James Robert Bourassa 1933 1996 premier ministre du Qu bec de 1970 1976 et de 1985 1994 ConstAs a rencontr le plus proche conseiller de Robert Bourassa au cours de ses quatre mandats le s nateur ind pendant Jean Claude Rivest Par Jean Brindamour ean Claude Rivest est n en 1943 Apr s sa ma trise en droit il a uvr pendant un an et demi au bureau de Jean Lesage alors chef de l opposition avant d entrer en 1970 comme principal conseiller politique dans le cabinet du premier ministre Bourassa alors fra chement lu C est l id e de Lesage explique le s nateur Il a dit Monsieur Bourassa
87. ne sp cialis e dans la gestion des O7 National infrastructure Surnmit Sommet national de infrastructure actifs Elle juge qu il faut cesser de consid rer le d ficit d infrastructures comme un probl me de financement Ce n est pas un probl me d argent c est un probl me d imagination Nous ne devons pas produire les m mes types d infrastructures avec des sources de financement diff rentes nous devons imaginer des infrastructures diff rentes Selon elle il faut cesser de consid rer les infrastructures comme un co t et commencer les voir comme une valeur Casey G Vander Ploeg est analyste principal en mati re de politiques la Canada West Foundation Pour lui lin novation vise cr er un espace fiscal sans se voir obli ger d augmenter de fa on drastique les imp ts et sans mettre en p ril les services essentiels On peut y arriver en r organisant les d penses en conomisant sur les co ts et en trouvant de nouvelles sources de revenus par des emprunts au secteur priv o par un partenariat C est l innovation qui permet d am liorer les liquidit s par un meilleur financement initial et par la r solution des probl mes r currents de liquidit s court terme et D couvrez notre nouveau service de EEE 3 z a mi s L k d i sh en pa SE s s _ Faites vous conna tre i Explorez les Cv A A Affichez vos offres d emploi u L
88. nement continue l ancien conseiller avait t planifi par Monsieur Desrochers pendant que Robert Bourassa et Roland Giroux taient en Europe la recherche d investisseurs Moi je les accompagnais Une vid o avait t pr par e pour cette fameuse soir e ER ENTREPRENEUR G N RAL DENIS LAVOIE ET FILS EST SP CIALIS DANS LES TRAVAUX DE G NIE CIVIL ET DE VOIRIE L ENTRETIEN ET LA CONSTRUCTION DE ROUTES LA LOCATION D QUIPEMENTS LOURDS ET DANS LE CONCASSAGE DE PIERRES DE TOUS LES CALIBRES ACRGTQ num ro 15 avril 2011 Le narrateur en tait le com dien Roland Chena il On lui avait donn lire un texte trop partisan a n allait pas C est finalement moi qui l ai r crit N oublions pas qu l poque des milliers de jeunes baby boomers arrivaient sur le march du travail La Baie James c tait a ajoute Jean Claude Rivest la priorit l conomie Les Qu b cois avaient certaines faiblesses en ce domaine Notre taux d pargne souligne t il tait trop bas Le Qu bec avait besoin d investissements trangers l poque Trudeau avait cr une commission pour le contr le des investissements trangers Ce qui compliquait inutilement les choses J ai fait cinq ou six voyages en Europe avec Monsieur Bourassa et j ai assist plusieurs ISO 9001 2008 3842188 DENIS LAVOIE ET FILS LT E 90 RUE L VESQUE SAINT LUDGER DE MIL
89. notablement contribu e f j q 16 0 Vente Location Service Lasers de construction instrumens c anne Lao mstrumens demeto ngi Castr thahg mememe Aarna MES siatonsro nol ees GES Pan OPrOMGEGHA DOU Des Prants ler r J Lu i Fi H p Wi i i Fii ECEAT TA al L na n al TT eja Dstibuteunautorise 3739165 SOLUTIONS gt quipement Pi ces P Service Komatsu vous offre une gamme d quipement exceptionnelle par la diversit la qualit et la technologie Les machines Komatsu sont efficaces fiables et productives ECOT3 elles sont confortables De plus la grande visibilit Certifi es silencieuses et et la robustesse de leur construction les rend encore plus s curitaires Avec le syst me Komtrax vous avec le contr le complet EQUIPEMENT CE MsS 7 R gion Est 1 800 881 9828 KOMATSU 1 888 533 3205 a Par Annie Saint Pierre 9 inauguration officielle de la centrale La Grande 2 le 27 octobre 1979 a particuli rement marqu Baie James 40 ans la carri re du journaliste Pierre Gravel Il faut se rappeler que le Parti qu b cois est alors au pou voir au Qu bec et qu il sappr te souligner officiellement la mise en marche du groupe turbines alternateurs de la centrale LG2 laquelle avait t construite sous la gouverne du Parti lib ral et du premier ministre Robert Bourassa huit ans plus t t 4 V NEMENT BAIE JAMES
90. ntiendront aussi souvent des r gles quant la nomination des membres des comit s de s lection lors d un processus d octroi de contrat avec analyse qualitative des offres soumises ACRGTQ num ro 15 avril 2011 Quant l impact de ces politiques sur les soumission naires des annexes devront souvent tre remplies lors du d p t d une soumission notamment une d claration quant l absence de collusion ou de tentative d influence d un membre du comit de s lection une d claration relative l absence de communication d influence aupr s des employ s et lus de l organisme une d claration relative l absence de conflit d int r t et une d clara tion l effet que les r gles en mati re de lobbyisme ont t respect es par exemple l obligation de s inscrire au registre des lobbyistes De plus ces politiques contiendront des mesures quant l encadrement de l ex cution du contrat notamment quant la proc dure suivre pour apporter des modifications un contrat NS Finalement ces politiques contiendront des sanctions l gard des contrevenants Quant aux soumissionnaires qui feraient d faut de respecter les r gles qui y sont contenues des sanctions telles que le rejet automatique de la soumis sion ou l impossibilit de se voir octroyer un contrat par l organisme pendant une certaine p riode de temps par exemple cinq ans pourront tre pr vues En conclusion il deviendra primor
91. ofondeur beaucoup de petites digues en profitant des bassins versants des rivi res Selon notre interlocuteur avec la Paix des Braves Ted Moses disait amener les Cris dans la modernit Il y a quelques ann es dans les communaut s cries il ny avait pas d avenir La population crie a beaucoup grandi dans les 20 derni res ann es Il y a 10000 Cris actuellement sur le territoire de la Baie James Ce sont surtout des jeunes qui veulent avoir du travail des familles un avenir Ted Moses a compris les enjeux qui pouvaient permettre sa commu naut de s en sortir Il a cr l opportunit d un essor cono mique gr ce aux retomb es conomiques du projet Les Cris ont r alis au del de 400 millions de contrats dans le cadre du projet pr cise Normand B chard Plus de 400 travailleurs Cris travaillaient pour le projet qui leur amenait des revenus des formations aux m tiers de la construction des redevances du d veloppement routes changes commerciaux Hydro Qu bec arrivait avec ses techniciens et son mat riel et c est encore le cas sauf qu on int grait les travailleurs Cris ainsi que les nouveaux entrepreneurs de cette communaut Et par le fait m me des emplois long terme dans le domaine de l environne ment se sont cr s pour les Cris e Sources Soci t d nergie de la Baie James SEBJ Soci t de d veloppement de la Baie James SDBJ Hydro Qu bec Radio Canada E
92. on du consortium est l am nagement du pont qui enjambe la rivi re Lorsque le minist re des Transports a lanc l ap pel des propositions les professionnels avaient le choix de la technologie pour franchir cette zone d alimentation pour les esturgeons jaunes de 280 m tres Nous avons r ussi le faire non seulement sans aucun pilier mais sans aucun travail de remaniement du fond de la rivi re e SURFACES DE ROULEMENT DE PONT EN PINETTE O MELEZE e PRUCHE BOIS FRANC ET BOIS MOU EN GRANDES PIECES DISPONIBLES e COMPOSANTES DE PALETTES e BOIS INDUSTRIELS ET TRAVERS e BOIS FRANC VERT HT ET SEC e BLOCS DE TREMBLE Dhane Fournier Carl Erick Ridel l phone 418 624 0404 Cell 418 953 3761 T 418 624 1008 1 1 r Le 1 3552581 A5 Il ny a eu aucune op ration dans le site en question explique M Toutant Le principe d un pont haubans a t propos Il s agit videmment de la pi ce ma tresse du projet La trav e principale de type hauban a une longueur approximative de 500 m tres et les trav es d approche de type poutres soud es ont une longueur approximative de 680 m tres Le pont haubans est d une longueur de 1 2 kilom tre et il compte 12 trav es C est le premier pont hauban qu on fait de cette envergure l au Qu bec Il y en a eu d autres comme le pont Papineau Leblanc mais il s agit plut t dun pont mixte et les port es ne sont pas les m m
93. on dans un sens nouveau adapt au temps pr sent o il faut accorder sans cesse la perception de la v rit avec la v rit elle m me La difficult est d informer la population qui ne prendra pas ses informations directement de notre bouche mais par le truchement des m dias e Que voyez vous se profiler l horizon hd D une part clairement il y a le maintien des m mes infrastructures Comme soci t nous avons commis ler EA S i E j l a E ii V ir j i A T ke ER FE Il est exclu me semble t il de revenir au pi tre tat des r seaux que nous commen ons tout juste sauver OU recr er correctement Il y a consensus social professionnel et politique sur ce point Ce travail de maintien commande en lui m me des investissements dont la r gularit n cessaire est la premi re exigence d une bonne planification financi re humaine et mat rielle et donc de la bonne sant de notre industrie KOBELCO Wajax est en affaires depuis plus de 150 ans et nous comprenons reur par le pass de ne pas pr server suffi samment nos constructions dont au premier chef nos routes et nos ponts et de les voir se d grader sans agir Il est exclu me semble t il de revenir au pi tre tat des r seaux que nous commen ons tout juste sauver ou recr er correctement Il y a consensus social profes sionnel et politique sur ce point Ce travail de maintien comm
94. on des travaux le ministre insiste sur l importance pour les usagers de redoubler de prudence Investissements routiers en 2011 2012 des chantiers pour faire avancer le qu bec Le ministre des Transports du Qu bec M Sam Hamad et le ministre d l gu aux Transports M Norman MacMillan ont annonc le 28 f vrier dernier que plus de 3 9 milliards de dollars seront investis ma 50 dans le r seau routier en 2011 2012 en incluant la contribution des partenaires Plus de 2000 kilom tres de chauss es et 875 structures seront r nov s Cette programmation s inscrit dans la poursuite du plan de redressement du r seau routier et du Plan qu b cois des infrastructures La saison 2010 2011 des r sultats significatifs La saison 2010 2017 a t tr s active et le bilan d montre que les objectifs ont t atteints et m me d pass s Pendant cette p riode la proportion de chauss es en bon tat a continu de progresser atteignant 2 2 cette ann e En ce qui a trait aux structures 66 d entre elles sont maintenant en bon tat comparativement 53 en 2006 ce qui constitue un bond de 13 s agit du meilleur bilan depuis 1999 un r sultat tangible de l engagement du gouvernement dans l am lioration du r seau routier et envers les usagers de la route a d clar le ministre Hamad Les investissements en 2011 2012 la cadence des travaux se poursuit La proch
95. onaux et ter ritoriaux Leur autod termination incluait d sormais la sau vegarde de leur mode de vie et de leur culture par des PRODUITS DISPONIBLES Notre expertise en Cautionnement Contrat permet nos courtiers et entrepreneurs de b tir de solides relations e Cautionnements contrat Cautionnements commerciaux Assurance cr dit Assurance d tournement e Assurance responsabilit des administrateurs et dirigeants Garantie ORM Habitations et automobiles de prestige gcna com ACRGTQ num ro 15 avril 2011 institutions coles langues services g r es localement D ailleurs la Convention de la Baie James a souvent t cit e en exemple En 1990 je suis m me all aux Nations Unies pour combattre une r solution qui critiquait le traite ment r serv aux Autochtones du Qu bec Les l gislateurs mondiaux ont t tellement impressionn s par le contenu de la Convention sign e 15 ans plus t t qu ils ont renvers la r solution Plusieurs pays nous ont alors approch s pour s en inspirer et d autres ententes dans l Ouest canadien ont repris des pans entiers de la Convention e Jusqu quel point l appui des communaut s concer n es tait requis 4 Cette aspect tait fondamental Il aurait t impensable d esp rer signer la Convention de la Baie James sans un appui massif sur le terrain C est pour cette raison que le trait a d abord t pr sent chacune des communau
96. opinion publique se montre pr occup e par les risques d acci dent nucl aire aussi bien que par le com plexe probl me de gestion des d chets radioactifs Sans compter qu une centrale nucl aire occasionne des rejets thermi ques qui contribuent au r chauffement de l air et de l eau Ces r alit s conduiront de nombreux tats renoncer l nergie nucl aire ei A 3 amp i mL si fi 5e E iu ni 27 Les archives consult es rappellent qu il s est op r un changement de garde la direction d Hydro Qu bec Le pr sident de 1969 1977 Roland Giroux et les commis saires Yvon De Guise et Robert A Boyd sont davantage favorables un complexe hydro lectrique dans le nord du Qu bec Le financier Giroux pr tendait ce sujet que les bailleurs de fonds internationaux sont encore tr s m fiants envers le nucl aire Si on leur apporte un bon projet hydro lectrique et celui de la Baie James en est un ils vont vite montrer o va leur pr f rence L ing nieur Boyd invoquait pour sa part l incertitude qui plane sur l nergie nucl aire Il recommandait n anmoins de maintenir une certaine expertise dans ce domaine tout en repoussant cette ch ance le plus loin possible L histoire se charge parfois d influencer le cours des choses Ainsi le premier ministre Bourassa a re u un appui inat tendu lors d une rencontre avec le pr sident du conseil des ministres de l URSS Alexis Kossy
97. pour modifier les politiques municipales provinciales et f d rales actuelles en vue de mettre en uvre un mod le de financement permanent et ad quat qui r pondrait aux futures demandes en mati re de d veloppement et d en tretien des infrastructures Pour en arriver ce Plan strat gique d infrastructure natio nale il faut acqu rir une vue r aliste de nos infrastructures actuelles C est pourquoi ACC s est jointe la F d ration canadiennes des municipalit s FCM la Soci t cana dienne de g nie civil SCGC et l Association canadienne Le maire de Montr al M G rald Tremblay tait M 7 pr sent EE ee l v nement En plus LUS de prendre part aux diverses activit s du Sommet M Tremblay a agi comme mod rateur et conf rencier l atelier portant sur la participation LE MAIRE DE MONTR AL G RALD TREMBLAY des travaux publics ACTP dans le projet de Bulletin de rendement des infrastructures canadiennes Cet outil permettra de conna tre l tat r el des infrastructures par tout au pays citoyenne et les processus de planification Plusieurs documents PDF sont anponio es sur www nisummit201 1 ca summit themes LE MAIRE PAT FIACCO AVEC LE PR SIDENT DE L ASSOCIATION DE LA CONSTRUCTION VVAYNE MORSKY ET LE MINISTRE DES FINANCES ET VICE PREMIER MINISTRE DE LA SASKATCHEWAN KEN KRAWETZ mN 39 transport intelligent IGIIT la gr
98. pr s des ouvrages D o une conomie sur le co t de transport 50 de la consommation lectrique qu b coise Le projet de la Baie James crit Robert Bou rassa lors de la campagne lectorale de 1973 sera pour le Qu bec le fer de lance de sa nouvelle conomie et de la place qu il doit occuper dans la Conf d ration canadienne et en Am rique du Nord Ce projet repr sentait pas moins de 30 milliards sur 20 ans indique Normand B chard De 1971 au milieu des ann es 1980 la Phase 1 cible la r alisation des centrales La Grande LG 2 3 et 4 On construit d abord les dizai nes de digues n cessaires pour d tourner les eaux des nombreuses rivi res de la baie James Les travaux de la centrale LG2 qui sera souterraine d butent en 1973 Elle abritera 16 grou pes de g n rateurs d une puissance de 5328 m gawatts Apr s six ans de travaux la centrale LG2 sera la premi re inaugur e le 27 octobre 1979 six mois avant l ch ance pr vue Les centrales LG3 et LG4 sont des ouvrages de moindre importance Elles accueillent respectivement douze et neuf groupes de g n rateurs soit une capacit de production d lectricit de 26 4 milliards de kilowatt heures LG3 sera mise en service le 20 juin 1982 et LG4 au d but de 1984 Parall lement de nouvelles donnes conomiques am neront des modifications au complexe Les besoins en puissance montant plus vite que les besoins en nergie Hydro Qu bec modifi
99. r L ambiance tait la f te mais c tait tout de m me calme rapporte M Gravel Locations ventes pi ces et service Nortrax Laval 450 625 3221 Brossard 450 444 1 030 EEE www nortrax com Or il rencontre furtivement Robert Bourassa dans un couloir adjacent la salle de r ception et discute un bon moment avec lui Je cause avec lui de l actualit Il avait d missionn du 3739312 20 Parti lib ral il disait avoir l impression d avoir t rejet par la population qu b coise Il tait un peu frustr de voir que son uvre lui la Baie James serait mise en vidence avec le Parti qu b cois sa t te C tait son projet et le cr dit allait aux autres raconte l ancien journaliste aujourd hui la retraite M Bourassa tait tr s tr s fier d assister cet v nement d envergure mais en m me temps il tait un peu ulc r de ne pas tre encore en poste ce moment l signale M Gravel qui soutient que l ancien premier ministre lib ral tait seul lors de la c r monie et qu aucun ancien membre J entends alors un ouvrier qui dit son voisin de table regarde c est M Bourassa et c est gr ce lui que nous sommes ici Ils se l vent pour dire bonjour M Bourassa poursuit il C est alors qu un mouvement spontan de solidarit s est produit dans la salle pour honorer la pr sence du ma tre de la Baie James 3833433 de son cabine
100. r des renforts Les experts responsables du Charles River Bridge Boston sont venus pr ter main forte Les travailleurs de Kiewit se sont galement rendus en Russie pour voir un pont de m me nature afin den rapporter rapidement la technologie sur la rivi re des Prairies C tait un peu contraignant puisque c tait une premi re On avait h te de voir comment les gens se familiarise raient avec cette technique Heureusement les taux de productivit ont t remarquables D ailleurs on livre deux mois plus t t que tionnelle mais qui comporte des poutres de 100 m tres par 3 5 m tres de haut Elles taient normes manipuler et repr sentaient aussi un certain niveau de difficult s Ces poutres ont t fabriqu es Qu bec chez Truca et achemin es par train Henri Bourassa et ensuite par camions sp ciaux jusqu au chantier Organisation du travail Le consortium se f licite videmment d avoir relev autant de d fis qui permettront au lien routier d tre en service d s le mois de mai Selon le pr sident l organisation et la planification du travail a facilit le d roulement des tra vaux Les bonnes relations entre les diff rents partenaires bas es sur la collaboration expliquent galement cette r ussite entrepreneuriale La dur e de l entente de partenariat est de 35 ans la fin de cette p riode le partenaire priv doit remettre l infrastructure au minist re des Transports dans u
101. racer c est au lendemain de la seconde tape de la nationalisation de l lectricit en 1963 qu un lobby favo risant le d veloppement de l nergie nucl aire s active l int rieur m me d Hydro Qu bec On doit se rappeler qu cette poque ils rejoignent les objectifs du gouver nement du Canada qui s inqui te de la signification poli tique et symbolique de la prise de contr le de l lectricit par la majorit francophone aux d pens du monde des affaires anglophone Le gouvernement f d ral de Lester B Pearson Ottawa redouble donc d efforts afin de partager les avantages du Canada avec les citoyens francophones du pays Ainsi la diversification des sources d nergie s adjoint une strat gie politique voque t on dans l ency clop die virtuelle Wikip dia Il semble que ces partisans du nucl aire au sein de len treprise peuvent compter sur le soutien de Jean Claude Lessard ancien haut fonctionnaire f d ral et pr sident d Hydro Qu bec de 1960 1969 Rien d tonnant ce qu il soit d ailleurs nomm membre du conseil d adminis tration d nergie atomique du Canada compter de 1963 Voil qui marquait un changement de cap majeur Hydro Qu bec o on boycottait les projets nucl aires f d raux depuis leur d but dans les ann es 1950 La faction pro nucl aire s exprime au moment de la d cision d investir dans le projet de la chute Churchill au Labrador alors que les co
102. rs de routes et grands travaux du Qu bec ACRGTQ on a proc d la remise du premier prix Gestion Sant s curit Construction Demathieu amp Bard CDB pour la rigueur de sa gestion de la sant et de la s curit de ses employ s Par Jacques B langer ACRGTQ num ro 15 avril 201 9 est sur le chantier qui comprenait les travaux consi d r s hauts risques en hauteur lors des op rations de coffrage et de d coffrage des piliers du pont de la rivi re Rouge de l autoroute 50 que l entreprise a d montr son savoir faire en mati re de pr vention Nous avons pos notre candidature au prix Gestion Sant s curit de l ACRGTQ quant au respect des politiques de tol rance z ro mises par la Commission de sant et de s curit du travail CSST pour quatre formes de danger explique Christian Landry vice pr sident de Construction Demathieu amp Bard Ces cat gories sont Danger de chute de plus de 3 m tres Danger d effondrement d un chafaudage Danger d effondrement d une excavation tranch e et enfin Danger pour la sant lors de travaux mettant des poussi res d amiante ou de silice Invit brosser le portrait du projet qui a valu la firme l obtention de ce prix M Landry r pond que plu sieurs travailleurs ont t amen s travailler en hau teur Ces travaux de coffrage et d excavation se d rou laient sur des piliers don
103. s contribution afin de pr ciser le moindre d tail C est au bout de ce long processus que la Convention a t toff e pour atteindre 480 pages Le trait a t sign le 15 novembre 1975 par les repr sen tants des gouvernements du Qu bec du Canada et des communaut s autochtones e Croyez vous que les deux parties en tirent toujours avantage Certainement Les Autochtones qui d siraient main tenir leur mode vie traditionnel ont eu le droit et les moyens de le faire notamment gr ce un programme de revenu annuel pour vivre de la chasse et de la p che Ceux qui le souhaitaient avaient aussi la possibilit de participer au d veloppement conomique r gional par la cr ation de plusieurs entreprises et par l ex cution de travaux sur les chantiers de construction De son c t le gouvernement du Qu bec pu compl ter le plus grand projet hydro lectrique en Am rique du Nord Les b n EN PLUS DE PR SERVER LES MODES DE VIE ANCESTRAUX DES AUTOCHTONES LA CONVENTION PR VOYAIT LA PROTECTION DES RESSOURCES NATURELLES DU Nord QU B COIS fices sont encore actuels pour les deux par ties signataires de l entente e Quels souvenirs en gardez vous 35 ans apres LN Je me rappelle avoir t frapp par le fait que la question financi re tait secondaire pour les Autochtones tel point que sur deux ans de n gociations intensives cet aspect a t r gl en un apr
104. s Cris et des Inuits et le gouvernement du Qu bec Ce grand trait compte 706 pages imprim es en comparai son le trait de la Grande Paix de Montr al sign en 1701 par les Fran ais et 39 tribus am rindiennes comportait 7 pages manuscri sIX voyages tes En cette affaire un nom ressort John en Europe avec Monsieur Bourassa et j ai assist plusieurs r unions C tait un vendeur formidable Il est all en Allemagne en France en Angleterre John qui n tait m me pas ministre ce l poque l Inde et la Chine n taient pas dans le portrait pour convaincre Ciaccia Jean Claude Rivest n h site pas lui rendre hommage John connaissait tr s bien le milieu autochtone parce qu il avait occup le poste de sous ministre adjoint au minist re des Affaires indiennes et du Nord canadien son ministre tait Jean Chr tien La fameuse Convention c est John Ciaccia moment l a tout fait Ce fut probablement son Grand uvre politique L homme est d ailleurs remarquable rigoureux travailleur Bourassa avait une confiance totale en lui scolaires Il en avait gard une conscience les grands industriels u S ja i aA ue Je me souviens du jour o il est arriv dans r gionaliste C tait important pour lui que le europ ens d investir D n Qu b le bureau du premier ministre avec le texte projet de la Baie James profite aux r gions et au Qu bec ce fut le cas Mais les
105. s dans q maT cha ne d li industrie les membres de ACRGTQ sonten mesure et en Une route vers l avenir La premi re tape du d veloppement de la baie James consiste en la construction d une longue route reliant la ville de Matagami l embouchure de la rivi re la Grande Rivi re afin de permettre la machinerie et aux travailleurs d acc der par voie terrestre aux chantiers En 1971 les ing nieurs de la SEBJ profiteront des temp ratures extr mes cette latitude de 45 C 50 C entre le 50 et 55 parall le pour stabiliser la premi re route construite sur des sols gel s rappelle Normand B chard actuel directeur des Projets de l Eastmain la SEBJ Quant aux ponts ils seront faits de glace bien qu une route ouverte l ann e deviendra vite incontournable au Colis e de Qu bec le premier ministre Robert Bourassa lance son projet d am nagement Inaugur s le 20 octobre 1974 les 725 kilo m tres de la route auront t am nag s en un temps record de 420 jours les travaux taient interrompus l hiver une p riode par ticuli rement courte en raison des travaux Pour Robert Bourassa ces grands travaux sont essentiels la i survie conomique 500 tonnes Faite de gravier elle sera asphal Lab r aliser La route poss de un empattement plus large afin de supporter des poids de t e entre 1975 et 1976 Avec ses deux voies asphalt es capables de prendre u
106. s midi seulement Ce qui importait prioritairement leurs yeux c tait de pr server leur culture leur mode de vie et leur langue Et la Convention de la Baie James et du Nord qu b cois a r ussi les satisfaire cet gard Pour nous qui vivons au Sud c est une fiert de savoir que notre confort et notre modernit y sont grandement li s Quand on allume la lumi re l nergie provient majoritai rement de l bas e Il s agissait assur ment d un premier pas majeur en mati re de respect des droits des Premi res Nations C tait la premi re fois que le gouvernement signait une entente reconnaissant aux Autochtones des droits nationaux et territoriaux Contactez nous d s aujourd hui au 1 800 BOURBEAU 268 7232 pour parler l un de nos conseillers balancebourbeau com ATCO Ad dire de 3570428 ER n CRE NET F TINTERERRE I PTE EEEE KE wwuw atcosi com 1 800 575 2826 LEADER EN SI RES DE S CURIT ACIER AU QU BEC ETF PARTENAIRE DE VOS 4 AUX ROUTIERS mi ere a a PT hti DCE est votre partenaire de confiance pour la r alisation de vos projets de viaducs et de ponts Fernand Poulin estimateur 418 872 5218 ric Lesieur contr leur 418 872 5218 poste 232 1 808 route de l A roport Sainte Foy Qu bec G2G 2P7 A5 Ta N T ns PTE UNIT Fii Bureaux Mobiles Locaux Sanitaires Bureaux de Ventes Complexes 450 619 2699 1500 rue De
107. s textes d information paraissant dans le magazine sont sous la ak responsabilit de leurs auteurs et la direction ne partage pas n cessairement les opinions qui y sont mises Medias Transcontinental S E N C Editeur d l gu et directeur des ventes Yvon L Allier A18 686 3026 p251 yvon lallier transcontinental ca Conseillers publicitaires Jocelyne Bilodeau 418 686 6400 p 240 Christine St Laurent eee 0e one Paul Emile Therrien 418 686 3036 p 247 Simon Thoussaint 418 686 3036 p 249 Production Marc Andr Duquet 418 686 3036 p 273 R daction Directeur de l information Claude Bourget bourget arts conseils globetrotter net Journalistes Jacques B langer Claude Bourget Jean Brindamour Christian Croteau Fran ois Cattapan Stephan Rosa Annie Saint Pierre Chroniqueurs Michel Fournier M Isabelle Landry Mise en page et graphisme R mi Langevin Maxime Bergeron Correction d preuves Andr e Boisvert Jean Brindamour Imprimerie Imprimerie Transcontinental Qu bec ISSN 19121830 D p t l gal Biblioth que et archives Canada Biblioth que et archives nationales du Qu bec a Convention 40020392 Copyright ACRGTQ 2007 E A 5 LA MINISTRE DU TRAVAIL ENTEND AGIR AVEC COURAGE ET FERMET oo 7 1 IL TAIT UNE BAIE eee 11 2 ROBERT BOURASSA ET LA BAIE JAMES 15 3 LA SEBJ ET LES ENTREPRENEURS olll 19 4 V NEMENT BAIE JAMES oo 23 5 ATTRAITS ET M FIANCE i
108. ssur e par Jacques Houle et que les travaux se sont d roul s entre juin et novembre 2010 C est le minist re des Transports du Qu bec MTQ qui a mis l entreprise en nomination Nous sommes tr s heureux d avoir pu apporter une solution de d veloppement durable en pr servant la qualit de l eau de cette rivi re Ce n tait pas la premi re fois que nous utilisions ce proc d et nous enten dons le refaire lorsque le besoin se fera sentir conclut il Ouvrage et transport d nergie Enfin le prix dans la cat gorie Ouvrage et transport d nergie a t d cern au consortium C gerco Inter Cit qui a r alis la phase 2 du b tonnage de la centrale de l Eastmain 1 A Il fallait r aliser les travaux dans des d lais tr s courts ce qui nous a incit s trouver une fa on plus rapide d effec tuer les travaux de coffrage explique Michel Jean charg de projet Traditionnellement les coffrages sont faits partir de bois Et dans le cas de double coffrage nous devons HE si Fa pa ni g EI rm he 7 1 mil CA m P 1e ur me I pae ER y TO a mi mF ne attendre que le premier coffrage soit sec avant de proc der la seconde partie du travail Mais comme le temps pres sait j ai cherch des solutions pouvant nous permettre d ef fectuer les travaux de double coffrage en une seule coul e Ce fut possible en utilisant un support de t flon Restait convaincre Hydro Qu bec d
109. stupeur puis col re que les Cris ont appris le d marrage d un projet pour lequel on n avait pas demand leur avis Les n gociations de la Convention de la Baie James furent au bout du compte pour les Cris un d part vers la modernit En fonctions de tous ces param tres nous devions cr er des conditions de travail optimales et assumer toutes les contingences annexes de la vie sur les sites approvision nement logements campements nourriture taient four Projet actuel prolongement de l autoroute 50 Grenville Lachute Nouveau pont Aujourd hui nous assure Philippe Mora Hydro Qu bec est devenue LA r f rence en hydro lectricit au niveau mondial et le projet de la Baie James y a notablement contribu ACRGTQ num ro 15 avril 2011 nis par la SEBJ de fa on que le seul souci des travailleurs soit l accomplissement de leur contrat Il a fallu faire les routes les ponts les logements les services trouver les moyens de travailler dans le grand froid pr parer tous les plans d intendance pour encourager les entrepreneurs venir l haut et leur faciliter la vie Tout cela pour essayer de les attirer et a a march Cette h sitation des entreprises a suscit d autres craintes la SEBJ Allions nous trou ver dans la province suffisamment d entrepri ses d employ s et d expertises pour assurer les contrats Et dans le domaine de l approvi sionnement
110. t s du Nord qu b cois la fin du processus de consultation locale nous avons obtenu un appui de plus de 90 des six communaut s cries repr sent es par Billy Diamond et de 10 des 12 communaut s inuites repr sent es par Charly Watt Consid rant l approbation d une large majorit des Autochtones nous avons pu sceller l entente et proc der au d veloppement de la Baie James Le trait est toujours en force et permet de lancer d autres projets comme ceux li s au Plan Nord du gouvernement qu b cois actuel Le fait qu on ait soulign dignement le 35 anniversaire de la Convention l Assembl e nationale l automne dernier s av re tr s significatif en ce sens J tais enchant et fier de pouvoir y assister e Avec le recul auriez vous fait les choses autrement LM Vu le succ s de l op ration l poque difficile de voir comment nous aurions pu proc der diff remment Il faut rappeler que pour y parvenir nous avions labor d s 1973 un d roulement en deux grandes tapes La premi re consistait aboutir une entente de principe durant lann e suivante Le document pr liminaire de 80 pages devait ensuite tre pr sent par les dirigeants autochtones leur population Pour la seconde tape nous avions fix un autre ch ancier d un an pour arri ver une entente finale Chaque minist re impliqu 3562750 34 www acrgtg gc ca dans le projet a t mi
111. t la hauteur maximale pouvait atteindre jusqu 70 m tres ce qui levait sensiblement le facteur de risque Ce chan tier a t pour nous une belle fa on de d montrer l efficacit de la politique en mati re de sant et s curit que nous avons instaur e il y a plusieurs ann es PAUL MARCEAU VICE PR SIDENT AUX OP RATIONS Pour Robert Giroux agent de pr vention sur le chantier la qualit de gestion de ce dossier rel ve de l implica tion la fois des employ s de la CSST des syndicats et de l entrepreneur Nous avons toujours pr conis une approche proactive par le biais de formations donn es par ASP Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur de la construction l entreprise et BB Bernier Beaudry AVOCATS LAWYERS Le plus important CABINET BOUTIQUE en droit des affaires de Qu bec Chaudi re Appalaches QU BEC SAINTE MARIE SAINT GEORGES www bernierbeaudry com 3560952 48 www acrgtg gc ca les syndicats CDB a instaur une politique de gradation de mesures disciplinaires dans les cas de manquement aux directives Il sagit dune mission de billets pouvant mener la suspension voire au cong die ment de la personne fautive Christian Landry ajoute que dans le projet sus Construction NS hi rarchie a t sensibilis e suivre les consignes de s curit de pr s Interrog sur les mesures de s curit
112. t ne l avait accompagn Or au moment o MM Gravel et Bourassa conviennent qu il est temps de se joindre aux convives pour le repas officiel il se produit un v nement tout fait inattendu qui a marqu le journaliste et plusieurs per sonnalit s Nous ouvrons la porte de la salle pour se rendre nos places nous sommes au fond de la salle On entre et ce sont les ouvriers de la Baie James qui se trouvent l explique M Gravel avec beaucoup de pr cisions J entends alors un ouvrier qui dit son voisin de table Regarde c est M Bourassa et c est gr ce lui que nous sommes ici Ils se l vent pour dire bonjour M Bourassa poursuit il Spontan ment C est alors qu un mouvement spontan de solidarit s est produit dans la salle pour Mn T e m ACRGTQ num ro 15 avril 2011 honorer la pr sence du ma tre de la Baie James Il y a quelqu un qui a envoy la main et qui a dit merci M Bou rassa Quelqu un d autre a fait la m me chose la table voisine quelques personnes ont commenc applaudir et Cest devenu contagieux d une table l autre en quelques seconde seulement se souvient t il Ce qui devait tre une entr e discr te fut donc pratique ment une marche triomphale pour Robert Bourassa aux yeux du journaliste Pierre Gravel qui tait ses c t s ce moment bien pr cis de l histoire de la Baie James Il y a eu des ovations telles que les min
113. t toute l ann e plein r gime durant l t et au ralenti en hiver par des travaux d excavation et remblai de roc dont certains b tonnages sous abris chauff s l poque construire une centrale pre nait 6 7 ans aujourd hui on le fait en 4 ans De la Convention de la Baie James la Paix des Braves De ce que j ai v cu je me souviens que les Cris taient tr s peu pr sents sur les sites m mes note M B chard C tait un peuple de trappeurs qui amenaient la subsis tance aux villages Ils restaient dans leur communaut et l occasion utilisaient les nouvelles routes Je pou vais communiquer avec ceux rares l poque qui par laient l anglais N goci e de 1973 1975 la Convention de la Baie James et du Nord qu b cois CBJNQ de 1975 est la pre mi re grande entente conclue entre la Couronne et les Autochtones et sign e le 11 novembre 1975 apr s quatre ann es d efforts politiques de recours aux tribunaux et de n gociations d clench es par l annonce en 1971 de la construction des barrages voir plus loin page 31 l entre tien de Fran ois Cattapan avec John Ciaccia N D L R Il est devenu n cessaire d avoir une vision int gr e du d veloppement potentiel de tous les sites de la Baie James cela partir des ann es 1974 et 1975 quand ont d but les n gociations de la Convention de la Baie James avec les Cris m contents d apprendre le d
114. tesse affich e est de 70 km h Vitesse affich e 90 km h 55 x2 110 DON 227108 185 42 300 70 km h 100 km h 115 km h La s curit routi re partout et pour fous La mise en uvre du plan de redressement de l tat du r seau routier entrepris en 2007 se traduit par une augmentation du nombre de chantiers sur les routes multipliant les occasions pour les conducteurs de traverser des zones de travaux Malgr toutes les mesures d att nuation mises en place la travers e de sites de travaux routiers pr sente toujours un risque Nous renfor ons le Code de la s curit routi re pour mieux assurer la s curit des usagers de la route mais aussi celle des signaleurs et des travailleurs des chantiers routiers qui s exposent des risques si les conducteurs ne respectent pas la signalisation et la vitesse affich e a soulign le ministre Sam Hamad Cette nouvelle disposition du Code de la s curit routi re faisait partie des orientations propos es par le gouvernement dans le projet de loi no Z1 adopt le 10 d cembre dernier par l Assembl e nationale La mesure entrant en vigueur le 10 mars 2011 vient modifier l article 516 du Code de la s curit routi re Pr cisons que les points d inaptitude inscrits au dossier d un conducteur intercept en infraction demeurent inchang s et que les p nalit s pour les grands exc s de vitesse continuent de s appliquer dans les zones de tr
115. tique de protection de l environnement n y changeaient rien Le projet Grande Baleine ult rieurement repouss faisait particuli rement craindre aux Autochto nes de la r gion pour la sauvegarde de leur mode de vie traditionnel en plus d att nuer leurs droits ancestraux sur le territoire A ces aspects humains et environnementaux s ajoutaient d autres l ments techniques l abondance du combustible et la faible quan tit d uranium n cessaire pour produire de grandes quantit s d nergie ce qui consti tuait une alternative aux polluantes centrales E2 een ne et Historiquement qui militaient pour le nucl aire Notamment les centrales nucl aires se sont principalement multipli es du c t des tats Unis de l Europe et du Japon thermiques au charbon et au mazout Enfin une centrale nucl aire pouvait jouer un r le strat gique sur un vaste r seau de transport d lectricit comme celui d Hydro Qu bec en int grant des dispositifs de stabilisation de la tension et de la puissance qui contribuent la fiabilit du r seau Bref un moyen de ramener le contr le pr s du centre de d cision tatique M fiance Cependant les co ts de construction pour des chan tiers d envergure et requ rant un haut niveau de s cu rit combin s une hydro lectricit plut t abordable ont toujours min la comp titi vit du nucl aire au Qu bec Par ailleurs dans certains pays l
116. tre courtier Pour obtenir plus d informations sur Cautionnement Aviva appelez nous au 514 399 1326 ou allez sur www avivasurety com AVIVA Aviva et le logo Aviva sont des marques de commerce d Aviva plc et sont utilis es sous licence par Aviva Canada Inc et ses soci t s membres ne 3827272 le travail en quipe Atelier I Les affectations interna tionales pour partir du bon pied Atelier J La r troaction ou l art Pour information compl te et inscription de l influence rendez vous au www oiq qc ca Cocktail des retrouvailles Gala de l excellence Animation Alain Choquette magicien R GLEMENT SUR LA FORMATION CONTINUE OBLIGATOIRE DES ING NIEURS En vous inscrivant au Colloque de l Ordre vous prenez une longueur d avance Le R glement sur la formation continue obligatoire des ing nieurs est en vigueur depuis le 27 janvier 2011 Dor navant tout membre de l Ordre des ing nieurs du Qu bec devra accumuler au moins 30 heures de formation continue au cours d une p riode de r f rence de deux ans La premi re p riode de r f rence d butera le 1 avril 2011 Les ateliers du Colloque de l Ordre sont des activit s de formation admissibles qui vous permettront d accumuler des heures aux fins du R glement En vous inscrivant au Colloque de l Ordre vous prenez une longueur d avance 3847246 elle Joirries Baie James 40 ans Par St phan Rosa e 1950 1954 une quipe d
117. utier Et c est l que Transcore entre en jeu L entreprise de la Pennsylvanie instaure donc un syst me de p age ouvert sans arr t Sous la porte d entr e du c t de Laval des cam ras des r cepteurs et des boucles de d tection capteront le nombre d essieux du v hicule la hauteur la pr sence ou non d un transpondeur et le num ro de la plaque d immatriculation Le consortium pr conise l utilisation d un transpondeur bord du v hicule qui g re un compte d utilisateur Il est offert gratuitement Sinon les automobilistes qui circuleront sur cette nouvelle infrastructure recevront une facture la maison avec des frais de gestion D ms i Sur les portions terrestres tant du c t de Laval que de Montr al les autobus circuleront en p riode de pointe sur des voies r serv es am nag es m me les voies de service de l autoroute et ce dans les deux directions Le pont lui m me n a pas de voie r serv e pour les autobus mais il compte trois voies dans chaque direction alors que les approches terrestres n ont que deux voies cette configuration assurera une circulation fluide pour les autobus s ins rant dans la circulation l entr e du pont l utilisation du pont est gratuite pour toutes les soci t s de transport collectif PRIX GESTION SANT S CURIT DE L ACRGTQ Construction Demathieu amp Bard se distingue Lors du dernier congr s de l Association des constructeu

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