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1 - ECOLE `AMIE DES ENFANTS` : LE CONCEPT

1. 45 Guideline 2 Aspects quantitatifs de l eau sine 46 Guideline 3 Capacit de stockage amp de distribution de l eau ses 47 Guideline 49 Guidelines lt Toilettes disent Rae in Master teens tea aires 50 Guideline 6 Contr le des maladies vecteurs sise 51 4 CALCUL DES COUTS PRESENTES DANS LE PLAN D ACTION 52 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 3 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles RESUME A l initiative de UNICEF une enqu te exhaustive a t men e par un consultant en milieu scolaire Les coles du pays ont ainsi t valu es selon les trois axes principaux que sont la disponibilit de l eau l tat des toilettes et l hygi ne en g n ral Cette enqu te avec visites inopin es a permis de recueillir des informations de grande valeur sur l tat effectif des coles fin 2009 Ainsi il ressort de ces visites deux types de constats principaux relatifs aux installations sanitaires qui sont en fait les deux faces du m me probl me d une part des installations en mauvais tat de fonctionnement du fait de mat riaux inadapt s aux contraintes techniques et de comportements des utilisateurs et d autre part des installations en nombre insuffisant face la pression des effectifs Dans le m me temps on constate galement un besoin
2. AGENT NETTOYANT CORRECT DANS LES WC papier toilette robinet seau d eau PRESENCE DE POSTERS DANS LES WC PRESENCE D URINOIRS PROPRETE ET FONCTIONNEMENT DES URINOIRS Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 44 B Calcul des statistiques par rapport aux guidelines normes Guideline 1 Aspects qualitatifs de l eau Nombre de cas de traitement de l eau par le distributeur urbain ceux de traitement par l utilisateur rural diminu des cas o malgr ce traitement les r servoirs ne sont pas couverts Au niveau slobal 53 5 10 48 cas 42 ECOLES ECOLES 112 36 gt 5 9 vs es QUALITE DE L EAU d coles qualifi es QUALITE DE L EAU d coles qualifi es ECOLES URBAINES ECOLES RURALES Le fait que dans pr s de la moiti des cas 11 n a pas t possible de contr ler l tat interne des r servoirs nous emp che d utiliser les valeurs sur l apparence de l eau dans le r servoir lignes 190 194 nous devons donc par d faut nous contenter d estimer que si le r servoir n est pas couvert l eau ne peut tre maintenue de qualit poussi res animaux et insectes vaporation du peu de chlore javel qui y aurait t vers Enfin il faut aussi noter que aussi bien dans le cas de l eau urbaine que de l eau rurale la quantit de chlore
3. R publique de Djibouti un icef 6 Minist re de l Education Nationale et Gog de l Enseignement Sup rieur Enqu te Nationale Diagnostic exhaustif en milieu scolaire Eau amp Assainissement Mars 2010 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles TABLE DES MATIERES RESUME 5 INTRODUCTION 7 SITUATION 8 1 BASEDE L TUDE ere an e nn Pt deco anus de Pete 8 2 CONSTATS VISUELS nn ne nt a ne 8 4 CONSTATS RELATIFS AUX DIFFERENTS COMPORTEMENTS 13 S RESULTATS DE L ENQUETE 14 1 Aspects qualitatifs de l eau l eau est elle potable ire 14 29 Aspects quantitatifs de l eau l eau est elle suffisante pour tous les usages 14 3 Capacit de stockage de l eau les r servoirs inner eee 14 4 Capacit de distribution de l eau nombre de points d eau ss 14 32 Promotion de F hygiene roine ne date etat ce 14 RSR ER 14 7 Le contr le des maladies vecteurs 14 H PLAN D ACTION S
4. Le D gel C est le processus par lequel une personne prend conscience de la n cessit et ou de l int r t de changer en observant et en reconnaissant que les conditions environnementales voluent effectivement toilettes sales il est temps de r agir C est une tape de rupture avec le pass En comprenant que son savoir faire ou son savoir tre sont inadapt s la nouvelle situation C est une tape d angoisse En se rassurant par le fait qu il y a plus gagner qu perdre au changement C est une tape de s curit Le Mouvement C est le processus par lequel une personne volue de l organisation ancienne vers l organisation nouvelle C est une phase d apprentissage au cours de laquelle l individu abandonne ses anciennes pratiques pour s approprier de nouveaux r flexes La Cristallisation C est le processus par lequel les nouveaux comportements et les nouvelles pratiques se consolident deviennent p rennes Cette phase permet aussi de reconna tre les progr s observ s par le passage de la situation ancienne la situation nouvelle et de les valoriser Finalement Management des directeurs n comportements favorables r sultats objectifs atteints C est probablement le plus difficile r aliser mais assur ment c est le plus gratifiant le plus p renne le plus efficient Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 25
5. Globalement le plan d action sur 5 ans repr sente un co t d environ 750 millions de Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 6 INTRODUCTION La vision d une cole d centralis e et moderne o l enfant constitue le point de mire de sa gestion vient avec l appui de l UNICEF sur fond de changement amorc par la reforme du syst me ducatif djiboutien entreprise par le Minist re de l Education Nationale Celui ci initia apr s la r union des tats g n raux de l ducation 1999 une strat gie plus globale de d veloppement de l enfant Il s agissait de relever le taux brut de scolarisation dans toutes les r gions du pays et de r duire les disparit s li es au genre Le projet cole amie des enfants s inscrit dans cet esprit Une d cennie plus tard toujours en qu te de qualit le MENESUP reste attentif toutes les valuations de performance quelles viennent de ses services ou d autres acteurs nationaux ou internationaux partenaires techniques et financiers dont l UNICEEF Ainsi le plan strat gique 2010 2020 qui d finit 6 orientations strat giques souhaite r former la gestion et le pilotage du syst me Orientation 5 tout en accroissant l efficience du syst me Orientation 6 Parmi les objectifs de ce nouveau Sch ma Directeur et qui nous int ressent directement dans ce document l am lioration de l environnement ducatif Ce diagnostic exhaustif d
6. IDE 2 Quantit d eau disponible JIDE 3 Stockage IDE 3bis Distribution IDE 4 Hygi ne JIDE 5 Toilettes IDE 6 Maladies vecteurs Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 31 CONCLUSION Les causes des dysfonctionnements actuels sont videmment techniques puisque c est la premi re chose que l on est amen constater et mesurer Mais nous avons galement constat que des causes plus profondes existent et souvent de types comportementales et ou organisationnelles En effet les meilleures installations techniques ne pourront fonctionner s il n y a pas eu une v ritable ducation des utilisateurs doubl e d une r elle volont de changement des mentalit s car 11 s agit bien de cela On s attaque l des comportements voir des r flexes mill naires d une population qui reste culturellement nomade Il faut donc s en donner les moyens et pas uniquement techniques Ainsi mettre niveau la technique et influer sur les comportements semblent constituer la solution moyen terme du probl me Toutefois on ne devra pas n gliger la capacit d valuation et de correction des actions entreprises car aucun syst me technique aussi bien con u soit il ne saurait fonctionner seul sans intervention humaine actions p riodiques d valuations et de correction Une reforme organisationnelle semble donc n cessaire afin
7. Un changement cr e des enjeux positifs pour certains et n gatifs pour d autres Les individus selon l id e qu ils se font du changement vont opter pour le comportement le plus satisfaisant pour atteindre leurs propres objectifs convergents ou divergents de la nouvelle organisation pr conis e Aussi la r ussite du changement passe par l utilisation du pouvoir des acteurs et des relations de pouvoir pour favoriser et obtenir l adh sion la nouvelle organisation Les principales r sistances au changement peuvent tre lev es d s l instant que les dirigeants du MENESUP investissent de leur temps pour d montrer persuader et finalement cr dibiliser l action de changement La meilleure mani re de vaincre les r sistances au changement est d impliquer les individus comme futurs acteurs de ce changement ils doivent disposer d une marge de man uvre suffisante et de Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 24 zones de n gociation v ritables ainsi 115 ne peuvent que contribuer favorablement par leurs comp tences et leur exp rience la r ussite de la r forme sanitaire Si changement d sir 5 changement impos Individu Victime REACTIONS Individu Acteur Acceptation D fense Refus Victime passive Victime active 4 Attitude Positive Attentisme Attitude destructive Enfin le changement se compose de 3 phases d gel mouvement et cristallisation
8. cole un gardiennage et un entretien ad quat Les sommes collect es par l cole trouveraient alors d autres destinations que encore une fois le MENESUP gagnerait d finir lui m me Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 21 Au niveau comportemental Changement des mentalit s pour parvenir des attitudes responsables Ce sont l les mesures les plus efficientes r sultats obtenus moyens engag s puisque l investissement financier est n gligeable et les r sultats visibles et durables Enfin comme dit pr c demment c est la condition indispensable de r alisation des normes car si l on peut avoir des toilettes propres bien que v tustes avec une bonne attitude il est impossible d avoir des toilettes propres m me si elles sont neuves si l on n a pas travaill sur les comportements Voici quelques actions mener afin d am liorer les comportements A EAU POTABLE et de LAVAGE de conscience de sa valeur et de sa raret Djibouti Prise de conscience par rapport aux gaspillages fr quents sous diverses formes robinets qui fuient ou tuyauterie que l on tarde r parer robinets laiss s ouverts et ou sans surveillance Formation technique des gestionnaires directeurs sur les risques sanitaires li s l eau de boisson et comment la traiter la conserver et la distribuer B TOILETTES Formation technique des gestion
9. construites en milieu rural sur financement AFD Celles ci sont faciles entretenir et bien a r es Cependant on regrette qu elles ne disposent pas de portes ni de s parations nettes gar ons filles ce qui est assez pr judiciable surtout pour les filles plus sensibles ce genre de questions La coop ration japonaise pour sa part a r alis des toilettes d un autre type robustes bien a r es et facile entretenir mais comportant trois d tails de conception pr judiciables la taille des trous effrayante et dangereuse pour plus d un enfant les tuyauteries en pvc encastr es il ne reste plus un robinet fonctionnel et comment les changer et enfin les urinoirs qui ne disposent pas d eau La coop ration am ricaine civile et militaire qui r nove des toilettes le fait de fa on tr s disparate certaines coles b n ficient de mat riaux de grande qualit Chabelley tandis que d autres Hol hol sont beaucoup plus mal loties avec des mat riaux qui ne r sistent pas quelques mois la pression des l ves Dans tous les cas le design et les mat riaux varient d une cole l autre Il y aurait lieu d imposer une norme On constate galement le manque de formation des directeurs qui ajoutent du javel dans le r servoir en brousse pour en purifier l eau L intention est louable mais il y a m connaissance des dosages et des fr quences d ajout du chlore ce qui est potentiellemen
10. 2 Le plan d action 2010 2015 ACTION Bloc WC pour Mouddo Guirrorri amp Ripta COUT BESOINS 7 500 000 7 500 000 Adduction d eau pour Mouddo Karta Dittilou amp Sankal 119 000 000 119 000 000 r servoirs en hauteur surpresseurs 12 150 000 12 150 000 Pose de robinetterie dans les cabines Zones Rurale 2 850 000 2 850 000 construction d installations de lavage des mains 10 000 000 10 000 000 S paration correcte des genres mur de 10m cr er INTRANTS Javel amp photochlorim tres DPD r habilitation de la robinetterie dans les cabines 4 787 250 39 000 000 8 250 000 4787 250 9 880 000 5 824 000 8 250 000 5 824 000 5 824 000 5 824 000 5 824 000 r habilitation du bloc sanitaire 55 000 000 20 000 000 20 000 000 15 000 000 portail portes m talliques pour entr es toilettes rurales 7 500 000 7 500 000 R habilitation d installations de lavage des mains 4 800 000 4 800 000 Cl tures coles urbaines modifier r servoirs suppl mentaires en hauteur surpresseurs 84 697 500 12 600 000 40 000 000 44 697 500 12 600 000 Cr ation d un autre bloc WC coles urbaines 225 000 000 60 000 000 60 000 000 60 000 000 45 000 000 Cr ation d urinoirs 14 400 000 4 000 000 4 000 000 4 000 000 2 400 000 petite adduction d eau lt 500m point d eau WC ETUD
11. Ils sont r partis en deux groupes dont ceux des filles et ceux des gar ons Ces blocs sanitaires sont compos s de cabines WC quip es de cuvettes la turque raison de WC pour 25 l ves filles WC pour 30 l ves gar ons un espace lavabos communiquant avec les cabines raison d un robinet pour 50 l ves L utilisation d urinoirs ne correspondant pas une habitude Djibouti l espace urinoirs n est pas pr voir 292 Les pr cautions prendre par les concepteurs des blocs sanitaires des l ves sont les points suivants les dimensions minima des cabines WC sont de 0 85 m en largeur 1 10 en longueur si la porte s ouvre sur l ext rieur et 1 50m en longueur si la porte s ouvre l int rieur la ventilation naturelle des locaux et la protection contre le soleil afin d viter que la chaleur et l humidit ne rendent ces locaux malsains claustras en fa ade ouverture libre sous la toiture la protection contre les eaux de pluies d bords de toiture orientation des fa ades ouvertes la visibilit des blocs permettant une surveillance facile la robustesse et la bonne fixation de tous les appareils sanitaires et conduites par exemple remplacer les lavabos par des bacs les robinets par des vannes industrielles les chasses d eau par des boutons poussoirs Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 37 Autres documents sur le
12. PROJET D AMELIORATION D ACCES AUX ECOLES Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 36 composition de la cl ture qui ne doit pas faciliter l escalade viter les hauteurs importantes du soubassement et les rebords les l ments horizontaux pouvant servir d appui les joints en relief loignement des arbres dont le tronc et les branches pourraient servir pour l escalade la r duction des espaces r siduels qui sont inutilisables pour les activit s scolaires ces espaces r sultent des distances maintenir entre les fa ades des b timents et la cl ture et aussi du fait que leur surveillance est difficile QUANTITES D EAU FOURNIR Les normes moyennes concernant l alimentation en eau des tablissements scolaires sont g n ralement tablies sur la consommation par l ve et par jour Cette consommation moyenne qui peut cependant augmenter de 20 30 pendant la saison chaude est la suivante 1 5 litre par l ve et par membre du personnel par jour pour la consommation en eau potable 6 0 litres par l ve par jour pour le lavage et les toilettes des l ves externes et ceux du personnel 504 75 litres par l ve interne et par jour y compris pour les douches LOCAUX SANITAIRES POUR LES ELEVES Les sanitaires des l ves doivent tre regroup s dans des locaux sp cifiques si possible l cart des autres b timents dans un endroit discret mais facile surveiller
13. camion citerne qui ferait les navettes n cessaires car certaines informations filtrent selon lesquelles beaucoup de camionneurs h siteraient livrer de l eau dans certains quartiers de Balbala du fait de l tat des pistes et des tarifs moins avantageux que chez certains priv s qu ils alimentent De plus cette option d investissement permettrait au MENESUP de r aliser des conomies moyen terme en desservant tout le District de Djibouti Djibouti ville Balbala Nord PK12 PK14 20 NB Ces mesures sont efficaces puisqu elles devraient permettre d obtenir des r sultats la hauteur des objectifs envisag s Toutefois l efficience de ces mesures rapport r sultats obtenus moyens engag s est faible du fait de l norme investissement de d part Par ailleurs comme nous l avons dit en introduction cette efficience peut tomber z ro si ces mesures techniques ne sont pas coupl es imm diatement par des actions d cisives dans le domaine du changement des comportements Faible efficience certes mais n cessit technique pour parvenir aux objectifs EFFICACITE PERTINENCE 7 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 17 B Au niveau organisationnel Modification des structures organisationnelles pour parvenir un r el contr le des indicateurs mise en place d un syst me Contr leur des Installations Sanitaires Equipe Mobile d Entre
14. hygi ne propret toilettes lavages mains Conseiller techniquement les directeurs pour leur permettre de r aliser les objectifs au mieux et au plus vite Moyens des CIS Un simple v hicule v hicule 4x4 type pickup semble suffisant dans un premier temps Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 18 2 Cr ation de 3 Equipes Mobiles d Entretien constitu es 1 Un plombier qualifi installations eau amp assainissement 5 ann es d exp rience 2 Un lectricien qualifi surpresseurs clairages panneaux solaires 5 ann es d exp rience Missions des EME En plus du r le de contr le du CIS les EME ont un r le cl pour permettre le succ s de cette r forme sanitaire dans les coles leur r le est primordial tel point que les lourds investissements pr c demment propos s n ont de sens que s il est mis en place une structure d entretien r paration des installations coupl e une structure de contr le n 1 responsable du maintien fonctionnel de tous les organes eau amp assainissement des coles du district de Djibouti et Arta bas e Djibouti n 2 responsable du maintien fonctionnel de tous les organes eau amp assainissement des coles du district de Tadjourah et Obock bas e Tadjourah n 3 responsable du maintien fonctionnel de tous les organes eau amp assainissement des coles du district de A
15. m me correcte vers e initialement dans un r servoir ne saurait tre une garantie de salubrit de l eau puisque le chlore s vapore Il faudrait donc contr ler le chlore r siduel l aide de tablette de DPD et s assurer quotidiennement que ce taux reste dans la tranche 0 5 1 mg litre normes OMS Ainsi au sens strict aucune cole n est qualifi e Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 45 Guideline 2 Aspects quantitatifs de l eau Nombre de cas avec pr sence de l eau tous les jours lignes 26 amp 27 dans le cas le plus d favorable en t condition que ces cas soient valid s 1 si cette quantit est jug e suffisante par le directeur pour les besoins de boissons et gestion des toilettes ligne 31 Au niveau global 31 21 7 45 cas 40 NT 2 Jus ss 24 us us M ECOLES URBAINES ECOLES RURALES Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 46 Nous n avons pas consid r le type de source d alimentation en eau pour ce calcul lignes 43 59 car le type de source ne garanti malheureusement pas la p rennit de l alimentation en eau En effet o Combien d coles raccord es un r seau urbain souffrent de p nurie alors que certaines coles rurales disposent de suffisamment d eau La quantit d eau disponible dans le District d Arta majoritairement rural est le double 80 du taux dans le District de
16. s Les directeurs et ou leur adjoint n ont plus besoin de se d placer puisque la formation vient eux et sur une base r guli re c est l option la plus confortable pour eux De m me le mat riel p dagogique affiches manuels leur est apport sur place par les quipes Option 2 Les directeurs et leur adjoints sont convoqu s aux chef lieu du District pour recevoir une formation consultant ou autre personne mandat e R unis une journ e 2 fois par an c est alors l occasion devant le formateur de partager leurs exp riences respectives afin d en tirer les enseignements et red finir chaque fois les meilleures strat gies et m thodes mettre en place pour atteindre les objectifs mesur s rappelons le par les C IS Il appartient alors aux directeurs et leurs adjoints une fois revenus dans leurs coles respectives de former les enseignants et les agents d entretien C est l option la plus conomique puisque l on conomise 3 v hicules et les quipes de formateurs A chaque fois les directeurs repartent avec du mat riel p dagogique affiches manuels Cependant bien que beaucoup moins co teuse cette option fait porter aux directeurs tout le poids de la transmission des savoirs sur place une fois revenus dans leurs coles respectives Si cette transmission n est pas satisfaisante c est tout le processus de formation et donc d atteinte des objectifs qui est compromis D PROGRAM
17. 00 01 3 342 GUELLEH BATAL 11 34 28 9 E 43 08 39 0 5 GUIRRORI N 12 03 52 3 E 4224735 4 840 HADJ DIDEH N 11 35 26 3 E 43 09 00 2 0 HANLE 11 23 58 7 E 42 04 44 1 187 HOLHOL 1121840 5 4295547 5 440 HOURYA 11 34 47 7 E 43 08 01 5 8 KALAF N 11 45 27 5 E 42 47 33 4 16 KARTA N 11 27 00 9 E 42 33 25 3 468 KHOR ANGAR N 12 23 12 7 E 43 20 03 7 15 KONTALI N 11 07 54 1 E 42 16 25 3 372 KOUTABOUYA N 11 01 13 2 E 41 57 51 0 300 LAASSA N 12 21 43 6 E 43 11 20 2 119 MOUDDO N 12 18 05 3 E 42 26 18 3 292 MOULOUD N 11 09 49 0 E 42 30 15 4 590 NAGAD N 11 31 09 6 E 43 08 07 7 35 OBOCK 1 N 11 57 53 1 E 43 17 23 0 20 2 N 11 58 04 4 E 43 17 07 3 20 OROBOR N 11 54 28 0 E 43 08 10 8 25 OULMA N 12 06 53 7 E 43 15 16 6 63 OURGANGA N 12 01 04 6 E 42 45 33 9 942 PETIT BARA N 11 22 47 3 E 42 45 22 0 585 PK 51 N 11 26 13 7 E 42 46 52 4 532 PK12 N 11 33 37 4 E 43 05 00 2 74 PK14 1193328 9 E 43 04 32 2 92 20 11 33 08 9 E 43 00 40 0 167 Q5 N 11 34 57 9 E 43 09 03 6 4 Q6 N 11 34 54 6 E 43 08 50 1 10 Q6 BIS N 11 34 50 1 E 43 08 39 0 1 Q7 11 34 30 8 E 43 08 41 2 9 Q7 BIS 11 34 11 4 E 43 08 07 4 5 RANDA N 11 50 51 3 E 42 39 45 6 880 R PUBLIQUE N 11 36 01 8 E 43 09 05 9 0 SAGALLOU 1124014 8 E 42 44 03 9 3 SANKAL 10 58 28 7 E 42
18. 08 2 E 43 06 27 7 37 AD BOUYYA 11 51 56 5 E 43 00 04 0 344 ADAILOU 1195727 7 E 42 44 44 8 1008 ADOYLA 11 57 33 3 E 42 38 53 0 1001 AGNA 11 25 49 4 E 42 01 31 3 171 ALAILIDADA 12924737 1 E 42 54 00 7 390 ALI ADDE N 11 07 44 6 E 42 53 29 8 525 ALI OUNE N 11 23 32 3 E 43 08 33 9 150 ALI SABIEH 1 N 11 09 19 2 E 42 42 23 8 127 ALI SABIEH 2 N 11 09 16 1 E 42 41 58 4 726 ALI SABIEH 3 1120846 4 42242 38 6 724 ALI SABIEH 4 1120846 5 E 42 41 51 6 730 1 11 33 42 4 E 43 08 29 8 11 AMBOULI 2 11 33 53 9 E 43 08 02 1 10 ANDOLI N 12 29 43 5 E 42 59 07 9 212 ANNEXE 1 11 33 40 4 E 43 08 53 6 273 ARDO 11 49 23 1 E 42 41 16 3 548 ARHIBA N 11 34 54 5 E 43 08 25 9 5 ARTA N 11 31 17 4 E 42 50 32 5 711 AS EYLA N 11 00 15 9 E 42 06 12 7 348 ASSA GAYLA N 12 11 36 2 E 42 38 22 2 634 ASSAMO N 10 59 15 3 E 42 49 50 7 653 ASSASSAN N 12 06 43 3 E 43 09 30 3 154 11 33 28 7 E 43 07 18 0 15 11 33 00 4 E 43 06 40 7 43 11 33 39 8 E 43 06 53 0 25 B IV TOUR OSBO 11 34 04 9 E 43 06 06 7 54 B IX N 11 33 37 1 E 43 06 11 1 66 B V DOGLEH 11 34 23 5 E 43 06 39 4 20 B VI N 11 33 10 0 E 43 06 03 2 88 B VII N 11 33 10 0 E 43 06 03 2 88 BX N 11 33 43 0 E 43 05 44 3 58 11 34 16 5 E 43 05 56 2 44 B II BIS N
19. 11 33 37 2 E 43 06 46 6 31 BEYA AD N 11 13 36 1 E 42 59 18 7 351 BONDARA N 11 01 07 6 E 42 20 15 9 458 BOULAOS N 11 35 27 9 E 43 09 09 6 3 CHABELLEY N 11 29 27 4 E 43 04 29 2 139 CNPJ 11 29 27 4 E 43 04 29 2 139 CPME N 11 34 12 5 E 43 09 08 8 9 DAFO 1124703 2 E 4224945 6 30 DALAY 1195109 6 E 43 05 13 4 3 DAMERJOG 11 29 03 2 E 43 11 17 0 16 DAOUDAOUY A 1124536 5 E 42 08 27 8 141 DASBYO 1121508 1 E 42 48 00 0 578 DAY 1124707 7 E 42 38 23 5 1540 DIKHIL 1 1120629 1 E 42 22 02 7 469 DIKHIL 2 11 06 17 9 E 42922 32 7 489 DIKHIL 3 1120644 4 E 4292218 4 495 DIKHIL 4 1120620 3 E 42 21 36 5 464 DITTILOU 11 47 11 1 E 42 42 52 4 462 DORALEH N 11 35 35 9 E 43 04 11 4 20 DORRA 1220858 2 E 42 28 32 4 292 DOUDA 11 31 30 8 E 43 09 29 8 17 DOUDOUBOLOLE 11 12 47 5 42 40 03 4 591 EINGUEILA 11935118 9 E 43 08 34 8 5 FARADILE 11 13 37 2 E 42 48 07 7 593 GACHAMALEH 11 34 30 1 E 43 08 13 8 6 GALAFI N 11 41 49 5 E 41 51 40 8 121 GARENLE N 11 42 55 9 E 42 36 03 8 1065 GARSALEDABA N 11 01 21 0 E 42 10 25 6 376 GORABOUS N 11 17 17 7 E 42 13 23 7 289 GOUBETTO N 11 25 15 9 E 43
20. 5 Djibouti Ecoles Djibouti Ecoles Arta Ecoles Tadjourah Ecoles Obock Ecoles Ali Sabieh Ecoles Dikhil Ou en utilisant les inspecteurs r gionaux actuels Hi rarchie actuelle 1 5 Djibouti 1 5 Dikhil 1 5 Ali Sabieh 1 5 Tadjourah 1 5 Obock Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 20 3 Les Agents d Entretien Il importe que chaque cole dispose d un agent d entretien en charge du m nage dans les toilettes C est une t che qui ne peut en aucun cas se d l guer aux parents d l ves dont le r le doit rester au niveau du contr le Missions des agents d entretien nettoyage des toilettes sur la base de normes indiqu es par le directeur fr quence mode op ratoire produits et quantit s employer surveillance des toilettes pendant et en dehors des r cr ations surveillance qui ne se substitue pas celles des enseignants et des l ves gendarmes Moyens des agents d entretien Ces quipes pour fonctionner n cessiteront la mise en place d un budget de fonctionnement Outre les salaires les produits d entretien et autres instruments de nettoyage sont pourvoir sur une base r guli re Les frais de toilettes et la coop rative scolaire ne correspondant pas souvent des moyens financiers suffisants 1l importe que l Etat par le biais du MENESUP reprennent en main cet aspect des choses et offre chaque
21. Djibouti 42 District majoritairement urbain o La quantit d eau disponible entre deux coles de Balbala est tr s diff rente suivant leur position g ographique bien qu elles soient raccord es au m me type de source en fait la m me source Ainsi le type de source d alimentation reste une donn e technique tandis que la satisfaction du besoin en eau est tout autre chose c est pr cis ment l objet de cette ligne directrice n 2 Enfin il n existe aucun autre moyen de savoir si la quantit d eau disponible est ad quate en effet il faudrait que chaque cole dispose d un compteur d eau au niveau des toilettes qui n est jamais le cas actuellement Guideline 3 Capacit de stockage amp de distribution de l eau 1 Capacit de stockage Il faut d abord distinguer le cas des coles disposant de l eau toute la journ e de celles qui n en re oivent qu une fois par jour Dans ce dernier cas la capacit de r serve doit couvrir la totalit des besoins journaliers alors que dans le premier cas la moiti est suffisante D autre part sur la base de la norme djiboutienne besoins journaliers 6 litres par l ve et par jour les besoins journaliers des coles sont mettre en rapport avec leur capacit de r serve r elle Apr s comparaison de ces trois param tres fr quence de l eau besoins capacit de r serve r elle on d finit un indice de r serve qui vaut 1 o
22. de donner au MENESUP une r elle ma trise du syst me c est dire le pouvoir de mesurer la performance dudit syst me tout en tant capable de le maintenir en tat de fonctionnement Le d fi est donc norme mais en plus de son r le d ducation le MENESUP rend l un grand service la Sant Publique l effort n en vaut il donc pas la peine Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 33 ANNEXES 1 NORMES CONSTRUCTION DE TOILETTES DANS LES ECOLES 2 LISTE ALPHABETIQUE DES ECOLES VISITEES 3 ANALYSE DES DONNEES RECUEILLIES 4 CALCUL DES COUTS PRESENTES DANS LE PLAN D ACTION Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 34 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 35 1 NORMES CONSTRUCTION DE TOILETTES DANS LES ECOLES 1 NORMES NATIONS UNIES UNICEF amp OMS Water sanitation and Hygi ne Standards for Schools in Low cost Settings Adams Bartram Chartier Sims Extrait traduits e Guideline 1 Aspects qualitatifs de l eau L eau de boisson de cuisson celle du lavage et de l hygi ne personnelle est sans danger pour la sant e Guideline 2 Aspects quantitatifs de l eau De l eau en quantit suffisante est disponible tout moment pour la boisson la cuisson le lavage et l hygi ne personnelle e Guideline 3 Capacit de stockage amp de distribution de l eau Des lieux de stockage et des poi
23. de mise en place d un syst me de maintenance des installations sanitaires qui fait d faut actuellement coupl un renforcement des programmes de sensibilisation sur l hygi ne destination des utilisateurs et des gestionnaires de ces installations sanitaires L enqu te proprement dite a permis de parvenir aux r sultats suivants sur la base des normes Nations Unies pour les types de param tres valuer et Djiboutiennes pour les valeurs atteindre Ainsi l eau disponible dans les coles du pays ne serait aux normes de potabilit que dans 42 des cas tandis que le volume d eau disponible est satisfaisant dans 40 des cas La capacit de stockage de l eau r servoirs est satisfaisante dans la moiti des cas Par contre en termes d infrastructures sanitaires les valeurs sont plus faibles ainsi ces coles ne disposent de suffisamment de points d eau pour le lavage des mains notamment que dans 6 des cas tandis que les toilettes ne sont aux normes que dans 2 des cas On notera que 3 coles ne disposent pas de toilettes L hygi ne quant elle n est pas promue suffisamment aucune cole qualifi e car il y a insuffisance soit des points d eau lavage des mains soit de la disponibilit du savon proximit de ces points d eau et des affiches p dagogiques Enfin le contr le des maladies vecteur est satisfaisante dans 15 des cas tandis qu aucune cole rurale n est qualifi
24. e car leurs latrines s ches ne disposent de bouchon pour le trou sanitaire d coles qualifi es Qualit de Quantit Capacit de Capacit de Promotion de Toilettes Contr le l eau d eau stockage distribution l hygi ne maladies vecteurs Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 5 Afin d agir favorablement sur ces r sultants un plan d action sur 5 ann es est propos Ce plan d action propose des mesures selon trois axes principaux la mise niveau technique des infrastructures sanitaire une organisation de la gestion sanitaire des coles et des actions de sensibilisation pour am liorer les comportements des utilisateurs et des gestionnaires de ces installations Au niveau technique il y a lieu de mettre disposition des quipements fonctionnels robustes facile entretenir et nettoyer en respectant les normes djiboutiennes Cela se d cline de la fa on suivante Un vaste programme de cr ation et ou r habilitations de toilettes dans les coles une s curisation de l approvisionnement en eau potable tant quantitatif cr ation de points d eau adductions nergie solaire que qualitatif via fourniture d intrant comme le Javel La cr ation d installations de lavage des mains en nombres adapt s aux effectifs des coles et contr le que du savon est toujours disponible aupr s de ces points d eau Il s agit l d un programme de mise niveau tec
25. re NORMES accessibles odeur Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 50 Guideline 6 Contr le des maladies vecteurs Les l ves le personnel et les visiteurs sont prot g s contre les maladies vecteurs 1 Latrines s ches et WC sans fosses septique 42 des coles le calcul est ici vite fait puisque dans 100 de ces coles il pas de syst me de fermeture du trou ce qui permet aux moustiques et autres vecteurs de prolif rer et se d placer librement 2 Autres types de toilettes 58 on consid re que la propret des sols dans les sanitaires est un crit re favorisant la pr vention des vecteurs ainsi il y a 17 cas d coles r pondant ce crit re Ainsi au niveau national et tous types de toilettes confondues il y 17 cas d coles aux normes par rapport cette ligne directrice 15 On pourrait durcir ce crit re de sols propres et consid rer les cas o les enfants font leurs besoins derri re le bloc sanitaire ou ailleurs dans l cole ou en dehors et y ajouter les cas on rencontre des flaques d eau stagnante mais alors plus aucune cole ou presque ne r pondrait la norme CONTR LE DES MALADIES VECTEURS Ecoles qualifi es Toilettes sans fosse septique Toilettes fosse septique 42 des coles 58 des coles Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 51 4 CALCU
26. robinetterie dans les cabines zones urbaines 8 250 000 r habilitation du bloc sanitaire 55 000 000 portail portes m talliques pour entr es toilettes rurales 7 500 000 R habilitation d installations de lavage des mains 4 800 000 Cl tures coles urbaines modifier 84 697 500 r servoirs suppl mentaires en hauteur surpresseurs 12 600 000 Cr ation d un autre bloc WC coles urbaines 225 000 000 Cr ation d urinoirs 14 400 000 petite adduction d eau lt 500m point d eau WC 24 080 000 ETUDES 2010 2011 24 340 594 ETUDES 2012 2013 18 596 513 ETUDES 2014 2015 4 428 600 TOTAL MISES A NIVEAU 7 5 des co ts engager dans la p riode 10 du total pr c dent March A march ADDS 2009 Cl ture au Q2 Djibouti prix du de mur en agglom r s briques y compris poteaux cha nages 12 275 Soit un mur de s paration de 10 m pour 39 coles 10 x 12 275 FDj m Pour rehausser les cl tures en zones urbaines 12 275 FDj m soit pour rehausser de 1 5m de hauteur un mur urbain de 200 ml 12 275 x 1 5 x 200 3 682 500 FDj cl ture Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 52 Estimations amp march Combien manque t il de cabines WC pour parvenir la norme En zone urbaine Il 13 765 gar ons par flux pour 218 cabines WC soit 63 gar ons par cabines au lieu de 30 Il manque donc 241 cabines pour ramener ce taux 30 gar ons par cab
27. 10 5 0 lt 400 l ves robinet lt 100 l ves robinet lt 50 l ves robinet Cette capacit de distribution est donc hors norme djiboutienne d principalement la v tust des installations mat riaux inadapt s entretien inexistant vandalisme Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 48 Guideline 4 Promotion de l hygi ne Il serait possible de calculer une note pour chaque cole en combinant diff rents param tres comme suit 1 Promotion de l hygi ne par des cours sur le lavage des mains Cours th orique uniquement 0 25 pt d monstration par an 0 50 pt Plus de 2 d monstrations par 1 00 pt 2 Promotion de l hygi ne par l exemple de toilettes accueillantes au moment de la visite Propret du sol et du si ge WC gar ons et filles odeur correcte 1 00 pt Propret du sol et du si ge WC gar ons et filles odeur moyenne 0 50 pt L g re salet du sol ou du si ge WC gar ons et filles odeur correcte 0 50 pt L g re salet du sol ou du si ge WC gar ons et filles odeur moyenne 0 25 pt 521666 du sol ou du si ge WC gar ons et filles odeur forte 0 00 pt NB les notes obtenues dans ces deux cas s additionnent mais sont plafonn es 1 cole correcte Cependant on serait alors oblig de consid rer tout de m me des crit res liminatoires par rappo
28. 12 19 6 440 STADE 11934 34 4 E 43 08 49 7 9 TADJOURAH 1 1124658 8 E 42 53 11 2 8 TADJOURAH 2 1124727 0 E 42 52 48 4 7 TADJOURAH 3 1124721 0 E 42 53 02 5 54 WADDI 1220812 4 E 43 00 31 0 340 WEA 1123006 2 E 4225143 5 439 WEA TADJOURAH N 11 40 52 1 E 42 41 22 8 320 YOBOKI N 11 30 38 7 E 42 06 25 8 223 ZPS N 11 36 00 9 E 43 08 56 4 2 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 40 KHOR ANGAR MOULOUD 9 p Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 41 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles NORD DU PAYS SUD DU PAYS DJIBOUTI VILLE BALBALA SUD DE LA CAPITALE ALI SABIEH DIKHIL TADJOURAH OBOCK 42 3 ANALYSE DES DONNEES RECUEILLIES A Statistiques brutes NOMBRE D ECOLES 112 36 10 12 17 24 13 55 57 NOMBRE D ELEVES 53 527 37 307 2364 4 003 4 815 3 471 1 567 46 980 6 547 28 605 24 922 HANDICAPES MOTEURS 2 0 0 0 1 1 0 2 CLOTURE SATISFAISANTE 35 50 20 50 53 13 8 58 12 EAU DISPONIBLE CHAQUE JOUR 46 47 80 17 35 42 69 44 49 EAU DISPONIBLE UNE A PLUSIEURS FOIS PAR SEMAINE 36 47 10 58 41 29 8 47 25 EAU RARE OU INEXISTANTE 18 6 10 25 24 29 23 9 26 EAU SUFFISANTE 54 56 80 42 59 50 38 64 44 REMPLISSAGE AUTOMATIQUE R
29. 202 lt 30 et L4 L203 lt 25 accessibles pas ferm s voir ratios L3 L207 lt 30 et L4 L208 lt 25 privatives genre 1 242 s curis es surveill s L110 propres L286 290 si ges 312 316 sols 341 odeur culturellement appropri es L242 s paration sexes R sultats sur les toilettes WC en nombre suffisant et WC accessibles 18 sont qualifi es WC s curis s 42 sont qualifi es WC privatifs 62 sont qualifi es WC propres uniquement sur le crit re odeur 47 sont qualifi es WC propres crit res odeur propret sol amp si ge 21 sont qualifi es Ecoles qualifi es pour le crit re WC en nombre WC s curis s WCprivatifs WC propres WC propres suffisant et uniquement crit re crit res odeur accessibles odeur propret sol amp du si ge En combinant ces statistiques on parvient aux coles respectant tous ces aspects la fois en nombre suffisant et accessibles il y a 20 cas s curis es il reste 10 cas privatives ilreste 8 cas propres uniquement sur le crit re odeur il reste 4 cas propres crit res odeur propret sol amp si ge il reste 2 cas Ecoles aux normes en terme de toilettes 2 cas 2 NORME RELATIVE AUX TOILETTES O EE WC en nombre WC s curis s WC privatifs WC propres ECOLES AUX suffisant et uniquement crit
30. ES 2010 2011 24 080 000 24 340 594 24 340 594 8 000 000 8 000 000 8 008 000 ETUDES 2012 2013 18 596 513 18 596 513 ETUDES 2014 2015 4 428 600 190 507 844 19 050 784 176 970 513 17 697 051 155 121 500 15 512 150 4 428 600 97 260 600 9 726 060 53 224 000 5 322 400 5 824 000 582 400 TOTAL MISES A NIVEAU 3 les indicateurs cl s suivre Indicateurs de suivi retenus pour mesurer le niveau de r alisation par rapport aux normes Aspects qualitatifs de l eau L eau de boisson de cuisson celle du lavage et de l hygi ne personnelle est sans danger pour la sant Le traitement de l eau concerne aussi bien les coles urbaines que rurales En effet m me si le traitement est r alis par le distributeur milieu urbain celui ci vise uniquement maintenir la qualit de l eau durant son transport dans les canalisations et non pour un stockage 24h ou plus Ainsi dans toutes les coles o l eau du des r servoir s est les tests aux DPD doivent tre quotidiens 1 Le r servoir est il couvert en permanence 2 Le directeur de l cole proc de t il quotidiennement une chloration et ou contr le DPD de son eau dans le r servoir TI Aspects quantitatifs de l eau De l eau en quantit suffisante est disponible tout moment pour la boisson la cuisson le lavage et l hygi ne personnelle 1 Rece
31. ESERVOIR 53 53 60 75 65 33 46 53 53 PRESENCE D UN RESERVOIR DE STOCKAGE POUR WC 85 83 80 83 94 75 100 84 86 RESERVOIR EXISTANT MAIS SALE FUITES OUVERT HS 62 53 83 50 41 63 92 53 70 RACCORDEMENT RESEAU FORAGE 65 92 70 58 59 33 62 95 37 CAMIONS CHAMEAUX BROUETTES 22 11 10 8 12 46 46 7 37 TRAITEMENT DE L EAU 51 94 40 58 24 27 15 89 15 ENSEIGNEMENT DE LA BONNE FACON DE LAVER LES MAINS FREQUENCE 37 36 60 42 18 25 62 38 35 AUCUN ENSEIGNEMENT DE LA BONNE FACON DE LAVER LES MAINS 13 8 0 17 29 21 0 11 16 PRESENCE DE POSTERS DANS CERTAINES CLASSES 10 17 30 8 18 0 8 15 5 PRESENCE D UN DISPOSITIF POUR SE LAVER LES MAINS 78 78 80 75 71 79 85 82 74 BONNE REALITE DU LAVAGE DES MAINS eau savon rappels r guliers 13 14 10 0 0 4 8 9 16 REHABILITATION PARTIELLES DES WC REHABILITATION TOTALE DES WC NEUF WC LAVES CHAQUE JOUR WC JAMAIS LAVES IL N Y PERSONNE POUR LAVER LES WC PARENTS BENEVOLES POUR LAVER SURVEILLANCE SPECIFIQUE WC NOMBRE DE CABINES WC EXISTANTES CABINES WC FONCTIONNELLES RATIO ELEVES TTES CABINES FONCTIONNELLES G F P ECOLES SANS TOILETTES POUR ENSEIGNANTS ECOLES SANS TOILETTES SEPARATION GARCONS FILLES CORRECTE SEPARATION GARCONS FILLES INCORRECTE PROPRETE DES SOLS ODEUR SATISFAISANTE ECLAIRAGE SATISFAISANT
32. L DES COUTS PRESENTES DANS LE PLAN D ACTION 3 blocs latrines s ches 3 2 5 2006 Mouddo 3km Karta 4km Dittilou et Sankal 5 km 7000 FD par km 27 r servoirs en hauteur avec surpresseur PU 450 000 FDj 50 000 570 pour F P de robinetterie dans cabines depuis r servoir en hauteur 80 000 en Zone Rurale et 150 200 000 FDj en Zone Urbaine suivant nb robinets March 39 coles 350 euros chlorim tre Cf fournisseur 1 000 JAVEL semaine cole x 5 ans 150 000 550 pour r habilitation de la robinetterie dans cabines acier galvanis March D 22 coles March 50 coles 100 000 pour 48 coles urbaines March 23 coles 28 r servoirs en hauteur avec surpresseur PU 450 000 FDj voir d tail 160 000 FDj cole x 90 coles voir d tail 7 5 des co ts engager dans la p riode 7 5 des co ts engager dans la p riode Bloc WC pour Mouddo Guirrorri amp Ripta 7 500 000 Adduction d eau pour Mouddo Karta Dittilou amp Sankal 119 000 000 r servoirs en hauteur surpresseurs 12 150 000 Pose de robinetterie dans les cabines Zones Rurale 2 850 000 construction d installations de lavage des mains 10 000 000 S paration correcte des genres mur de 10m cr er 4787 250 INTRANTS Javel amp photochlorim tres DPD 39 000 000 r habilitation de la
33. MES SCOLAIRES ET HORAIRES Renforcement des programmes scolaires notamment en 1 et 24 ann es dans le domaine de l hygi ne l utilisation correcte des toilettes la fa on de manger Des textes et des images dans les manuels scolaires ainsi que des activit s pratiques des d monstrations et des contr les un savoir non contr l est un savoir n glig Un manuel annexe sp cifique l hygi ne en 1500 exemplaires chaque ann e pourrait tre assez efficace en plus d affiches et de mat riel p dagogique Renforcement des volumes horaires notamment 14 et 24 ann es afin de parvenir un savoir r p t chaque jour quelques minutes avant la r cr ation chaque semaine cours th orique chaque mois travaux pratiques amp d monstrations et chaque ann e E DIFFUSION DE MASSE Afin de parfaire tout cela on aura recours une diffusion de masse de l information utile promotion du civisme importance du savon destination des l ves parents et toute la communaut de mani re g n rale De cours spots t l visuels ou radiodiffus s sur une base r guli re devraient se montrer particuli rement efficaces L laboration des messages devrait tre confi e un des sp cialiste s Responsabilit s des gestionnaires directeurs L excuse souvent voqu e par les directeurs pour se d douaner de toilettes sales est le manque d eau Certains d cident alors de ferm
34. SS ES se 15 1 LES ACTIONS 15 A Auniveau techniques ss e E nl derbi ee intestins 15 B Au niveau organisationnel 18 Au niveau comportementales 22 2 LE PLAND ACTION 201022015588 ER een 26 3 LES INDICATEURS CLES SUIVRE ous sn ne a AA rss ns nr nn ten ei rte lei see tente 27 LE SUIVI DES 29 Le tableau des indicateurs 29 La valeur initiale des indicateurs suivre sise 30 Evolution pr visionnelle des guidelines en fonction des financements lib r s et ou mises niveau r alis es 31 32 ANNEXES tease sense tons fans 34 19 NORMES CONSTRUCTION DE TOILETTES DANS LES ECOLES 36 2 LISTE ALPHABETIQUE DES ECOLES VISITE ES sisi 39 3 ANALYSE DES DONNEES RECUEILLIES 43 43 B Calcul des statistiques par rapport aux guidelines normes ss 45 Guideline 1 45 erer ee etes
35. ans une bassine commune 50 IV 5 hygi ne Des affiches faisant la promotion de l hygi ne sont elles pr sentes dans ou proximit des toilettes 6 V 1 Toilettes Y a t il assez de toilettes fonctionnelles ouvertes et non bouch es 18 V 2 Toilettes Les toilettes sont elles correctement s par es entre gar ons et filles 62 3 Toilettes Y a t il une surveillance sp cifique des toilettes pendant et en dehors des r cr ations 42 V 4 Toilettes Les toilettes sont elles propres sols si ges murs urinoirs et avec une odeur correcte 21 VI 1 Vecteurs Les bouchons des latrines s ches zones rurales sont ils en place 0 VI 2 Vecteurs Y a t il des flaques d eau stagnante dans l cole 4 VI 3 Vecteurs Y a t il des besoins qui sont fait l ext rieur des toilettes 90 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 30 Evolution pr visionnelle des guidelines en fonction des financements lib r s et ou mises niveau r alis es ACTION Ecoles de Mouddo Guirrorri amp Ripta bloc WC BESOINS 7 500 000 7 500 000 Adduction d eau pour Mouddo Karta Dittilou amp Sankal 119 000 000 119 000 000 r servoirs en hauteur surpresseurs 12 150 000 12 150 000 Pose de robinetterie dans les cabines Zones Rurale 2 850 000 2 850 000 construction d installations de lavage des mains 10 000 000 10 000 000 S paration correcte des genres mur d
36. ce de portes dans 7 des cas Impossibilit de se laver les mains en sortant des toilettes car le nombre de points d eau fonctionnels robinet qui marche et qui d livre de l eau est trop souvent insuffisant et le savon presque toujours absent des environs de ces points d eau Le savon qui n est pas disponible dans les toilettes ni en aucun point de l cole se trouve parfois enferm dans le bureau du directeur on ne compte plus les fois o ils nous ont affirm qu ils sont pr t le donner aux enfants pour peu que ces derniers en face la demande improbable Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 8 trop nombreuses coles ne disposent pas de cl ture herm tique 65 qui a pour cons quence que les toilettes sont parfois publiques y alors impossibilit de les maintenir propres et parfois simplement en tat de fonctionnement Le cas des coles urbaines est particulier puisque outre les cl tures souvent existantes celles ci sont des passoires ce qui aggrave les difficult s puisque les toilettes deviennent parfois les toilettes du quartier et notamment la nuit Vandalisme et vols ex surpresseurs Balbala sont alors in vitables Exemple de cl ture pas efficace Pourtant les cl tures font partie des normes djiboutiennes et peuvent tre utilis es plus d un titre Hadj Dideh sont principalement les petits 1 re ann e qui font
37. e 10m cr er INTRANTS Javel amp photochlorim tres DPD r habilitation de la robinetterie dans les cabines 4 787 250 39 000 000 8 250 000 4787 250 9 880 000 5 824 000 8 250 000 5 824 000 5 824 000 5 824 000 5 824 000 r habilitation du bloc sanitaire 55 000 000 20 000 000 20 000 000 15 000 000 portail portes m talliques pour entr es toilettes rurales 7 500 000 7 500 000 R habilitation d installations de lavage des mains 4 800 000 4 800 000 Cl tures coles urbaines modifier r servoirs suppl mentaires en hauteur surpresseurs 84 697 500 12 600 000 40 000 000 44 697 500 12 600 000 Cr ation d un autre bloc WC coles urbaines 225 000 000 60 000 000 60 000 000 60 000 000 45 000 000 Cr ation d urinoirs 14 400 000 4 000 000 4 000 000 4 000 000 2 400 000 petite adduction d eau lt 500m point d eau WC ETUDES 2010 2011 24 080 000 24 340 594 24 340 594 8 000 000 8 000 000 8 080 000 ETUDES 2012 2013 18 596 513 18 596 513 ETUDES 2014 2015 TOTAL MISES A NIVEAU EVOLUTION PREVISIONNELLE DES GUIDELINES JIDE 1 Qualit de l eau 4 428 600 FIN 2009 4 428 600 19 050 784 209 558 628 2010 17 697 051 194 667 564 2011 15 512 150 170 633 650 2012 9 733 260 107 065 860 2013 5 322 400 58 546 400 2014 582 400 6 406 400 2015
38. e capacit de stockage suppl mentaire cuisine et boisson Construire des installations de lavage des mains robustes et en nombres suffisants 1 jet pour 50 l ves les tuyaux pression seront obligatoirement en acier galvanis de diam tre connu pour sa robustesse Des receveurs en b ton remplaceront les lavabos trop fragiles Id alement des lignes de 5 10 robinets seront implant es en sortie imm diate des toilettes avec vacuation reli e au r seau d assainissement ou la fosse s che Ces lignes de robinets de type opercule comporteront des vannes d arr ts de type quart de tour Remplacer la robinetterie dans les cabines par des tuyaux galvanis s 2 puis d rivations en et robinets types opercules et non quart de tour Toute la robinetterie sera choisie parmi les mat riaux les plus robustes les robinets en gt afin de limiter le gaspillage de l eau Inutile de r parer les chasses d eau dans les cabines la qualit des mat riaux disponibles et les contraintes qu elles subissent de la part des l ves le tout alli la difficult de trouver de la main d uvre qualifi e pour les r gler ou les r parer rend cette d pense totalement inutile Toutes les canalisations seront d bouch es des cailloux et autres d tritus qu elles contiennent et la bonne vacuation jusqu au puisard ainsi que le bon tat des installations de d assai
39. e l alimentation en eau potable et assainissement dans les coles primaires de Djibouti vient donc apporter sa pierre l difice global d indicateurs permettant au MENESUP d avoir une vision claire de la situation pr alable indispensable toute action efficace Ainsi pour valuer la situation actuelle quoi de mieux que des visites impromptues dans toutes les coles du pays avec mesure de param tres sur une base objective ce fut l enqu te men e fin 2009 Ensuite vient le temps du d pouillement et de la comparaison des valeurs obtenues par rapport des niveaux guides ou des normes ex normes djiboutiennes en mati re de construction scolaire Les r sultats bruts sont pr sent s dans ce rapport Vient enfin le temps de l interpr tation l analyse des causes et la recherche de solutions aux d fis qui ne manquent pas de surgir L exercice est fastidieux mais oh combien gratifiant Le sentiment de pouvoir apporter sa modeste contribution la construction du Capital Humain de la R publique de Djibouti Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 7 I LA SITUATION ACTUELLE 1 Base de l tude Les donn es pr sent es dans ce document sont issues d une enqu te exhaustive dans les 112 coles du pays Un questionnaire combinant des questions poser aux directeurs et des informations collecter visuellement dans les toilettes a servi de source de donn es Ces vale
40. e par jour pour le lavage et les toilettes des l ves externes et ceux du personnel Sachant qu en plus cette consommation moyenne peut cependant augmenter de 20 30 pendant la saison chaude on arrive un besoin journalier de plus de 9 litres par l ve et il faudrait en plus tenir compte du personnel Dans ce cas au niveau global 52 cas positifs 46 Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 47 Norme djiboutienne espace lavabos communiquant avec les cabines raison d un robinet pour 50 l ves Utilisons la norme au sens large et recherchons les cas o il existe un lavabo mais aussi de simples robinets raccord s un r servoir que ce soit dans le local toilettes hors cabines ou juste sa sortie Ajoutons galement les cas o une installation de lavage de mains de l UNICEF est pr sente Au niveau global sur 112 coles Nombre de robinets en tat de marche 74 dont 17 UNICEF soit 1 robinet pour 723 l ves nombre d coles avec moins de 400 l ves par robinets 29 cas positifs 26 e nombre d coles avec moins de 100 l ves par robinets 13 cas positifs 12 nombre d coles avec moins de 50 l ves par robinets 7 cas positifs 6 On ne consid re pas les ventuels robinets l int rieur des cabines pour la toilette intime CAPACITE DE DIS TRIBUTION DE L EAU NORME lt 50 l ves par robinet 30 25 20 15
41. e tels comportements m riteraient peut tre d tre reconnus et r compens s On constate galement qu il n y a pas de corr lation entre la propret des toilettes et leur tat de v tust anciennet en effet souvent on a constat des toilettes v tustes plus propres que certaines r cemment r nov es parfois neuf l infrastructure est une chose et la volont et ou capacit de les maintenir propres est une autre La gestion financi re des frais de toilettes et de coop rative semble disparate d une cole l autre puisque certaines directrices disposent d assez d argent pour offrir syst matiquement du papier toilette comme palliatif aux cailloux Q6 bis alors que d autres non Il est vrai que les recettes r elles peuvent varier significativement d un quartier l autre de la capitale Cependant une r glementation de l utilisation de ces fonds avec explicitation des priorit s d utilisation pourrait apporter des r sultats int ressants la question enseignez vous la bonne fa on de se laver les mains la plupart r pondent par l affirmative alors qu en creusant un peu l on constate qu il n y a pas ou peu de d monstrations que le lavage des mains avant de manger se fait parfois sans savon parfois dans une bassine commune dont l eau doit tre saum tre en fin de lavage il semblent donc qu une partie des directeurs ne sachent pas eux m mes q
42. ent pouvoir tre transmis leur hi rarchie pour f licitations sanctions Si l hygi ne dans les coles primaires de Djibouti est retenue comme une priorit nationale par le MENESUP tous doivent jouer le jeu il doit y avoir un arbitre un syst me de r compenses pour les meilleurs ainsi qu un syst me de sanctions pour ceux qui auraient refus de jouer convenablement Dans chaque situation probl matique le CIS devra pouvoir valuer que le directeur nesaitpas besoin de formation nepeutpas besoin de mise niveau technique des installations ne veutpas probl me de motivation Encore une fois le CIS devra bien distinguer les cas manifestes de n gligence de la part des directeurs des cas de force majeur Enfin afin que les directeurs acceptent cette responsabilit suppl mentaire en fait elle fait d j partie int grante de leur responsabilit de chef d tablissement 11 importe qu ils soient associ s d s le d part tous les processus de sensibilisation Il s agit d un v ritable management des directeurs qu il faut mettre en place ceci pour lutter contre les diff rentes r sistances au changement que l on pourrait rencontrer 12 peur de perdre certains privil ges acquis psychologique qu engendre tout changement crainte de l inconnu atteinte au besoin de s curit risque de sanctions la perception diff rente du changement n cessaire
43. er les toilettes attitude sage car incapables de les laver Cependant tous n ont pas cette excuse aussi le CIS contr lera l tat des coles et l tat d avancement par rapport aux normes Ces informations lui permettront d affirmer quel point un directeur donn est responsable des mauvais comportements d hygi ne dans son cole Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 23 En effet au del de l appui technique apport par le MENESUP aux directeurs ceux ci seront alors directement responsables des mauvais comportements rencontr s chez les l ves et ou les enseignants et qui se traduisent par une mauvaise utilisation constat e par l inspecteur des infrastructures mises leur disposition Ainsi d s que cela est possible 11 incombe aux directeurs les t ches suppl mentaires suivantes Contr le quotidien de l tat des sanitaires et mesures correctives si n cessaire Contr le hebdomadaire du mode de lavage par l agent d entretien et mesures correctives si n cessaire Contr le quotidien du lavage des mains avant de manger coles cantines Mise en place coordination des quipes d l ves gendarmes et analyse mensuelle des r sultats obtenus et mesures correctives sanctions si n cessaire Enfin tout comme les l ves sont valu s par rapport des savoirs acquis les directeurs doivent tre valu s leurs r sultats dans ce domaine doiv
44. fa on individuelle et non dans une bassine commune 5 Des affiches faisant la promotion de l hygi ne sont elles pr sentes dans ou proximit des toilettes Toilettes Des toilettes en nombre suffisant accessibles privatives s curis es propres et culturellement appropri es sont disponibles pour les l ves et le personnel de l cole 1 Y a t il assez de toilettes IWC pour 25 filles 1 pour 30 gar ons 1 urinoir pour 50 gar ons fonctionnelles ouvertes et non bouch es 2 Les toilettes sont elles correctement s par es entre gar ons et filles 3 Les toilettes sont elles correctement surveill es pendant et en dehors de r cr ations 4 Les toilettes sont elles propres sols si ges murs urinoirs et avec une odeur correcte e VI Vecteurs Les l ves le personnel et les visiteurs sont prot g s contre les maladies vecteurs 1 Les bouchons des latrines s ches zones rurales sont ils en place 2 Y a t il des flaques d eau stagnante dans l cole 3 Y a t il des besoins qui sont fait l ext rieur des toilettes Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 28 4 Le suivi des indicateurs Le tableau des indicateurs Un inspecteur visitera les coles 3 fois par an 1 mois apr s la rentr e en milieu d ann e et 1 mois avant la fin des cours id alement mais pourra se contenter de 2 visites annuelles Il constatera sur le terrai
45. hnique sur 5 ans dont le co t global devrait se situer aux alentours de 700 millions de Cependant ces investissements techniques co teux n ont de sens que si d une part on organise la gestion et la maintenance de ces m mes installations et si d autre part l on agit galement et en m me temps sur les comportements des utilisateurs et des gestionnaires Ainsi au niveau organisationnel il est propos de mettre en place un syst me de contr leurs des installations sanitaires en charge de v rifier p riodiquement l tat et la fa on dont sont utilis es l ves et g r es directeurs les infrastructures mises leur disposition Pour cela ils devront mesurer l volution des indicateurs de suivi tout en ayant le pouvoir et les moyens d ordonner d ventuelles r parations Ce syst me est donc coupl avec un syst me d quipes de maintenance en charge des travaux Au niveau comportemental il est possible d influer positivement sur la situation de la fa on suivante Mise en place d quipes de formation et de sensibilisation destination des gestionnaires et des utilisateurs des infrastructures sanitaires Un renforcement des programmes et des volumes horaires d di s l hygi ne notamment destination des premi res surtout et deuxi mes ann es Diffusion de masse par le biais de m dias ayant impact sur les l ves parents et toute la communaut d une mani re g n rale
46. hygi ne sont elles pr sentes dans ou proximit des toilettes 1 V 1 Toilettes Y a t il assez de toilettes fonctionnelles ouvertes et non bouch es 1 2 Toilettes Les toilettes sont correctement s par es entre gar ons et filles 1 V 3 Toilettes Y a t il une surveillance sp cifique des toilettes pendant et en dehors des r cr ations 2 V 3 Toilettes Les toilettes sont elles propres sols si ges murs urinoirs et avec une odeur correcte 2 VI 1 Vecteurs Les bouchons des latrines s ches zones rurales sont ils en place 2 VI 2 Vecteurs Y a t il des flaques d eau stagnante dans l cole 2 VI 3 Vecteurs Y a t 1l des besoins qui sont fait l ext rieur des toilettes 1 Note de l cole sur 30 Ce tableau d valuation sp cialement con u pour l valuation sur le terrain pourra aider l inspecteur dans cette t che Chaque param tre recevra une note 1 en cas de r sultat positif et 0 le cas ch ant lissu de ses visites de terrain l inspecteur proc dera la notation des coles somme des notes avec les coefficients et le listing des notes devra tre transmis sa hi rarchie pour appr ciation et action entreprendre La valeur initiale des indicateurs suivre La derni re colonne de ce tableau des indicateurs suivre donne la valeur fin 2009 en terme de pourcentage d coles qualifi es pour le crit re Ainsi une fois les donn es de chaque cole r
47. ines Il 12 149 filles par flux pour 258 cabines WC soit 47 filles par cabines au lieu de 25 Il manque donc 229 cabines pour ramener ce taux 25 filles par cabines il faut environ 4 35 2010 pour un bloc de 10 cabines gar ons soit 105 MFDj pour parvenir la norme de 30 gar ons par cabine il faut environ 5 25 MFDj 2010 pour un bloc de 10 cabines filles soit 120 MFDj pour parvenir la norme de 30 gar ons par cabine Total de la mise aux norme terme de nombre de cabines WC 225 000 000 A ce montant il convient d ajouter une quinzaine de millions afin d ajouter des urinoirs dans les blocs toilettes ou s par ment mais aucune estimations n est disponible 160 000 FDj urinoir dans les 90 coles qui en manquent semble un montant raisonnable Estimations C Ecoles n cessitant une petite adduction lt 500m assamo 100 faradil 100 bey ad 50 wea 30 ali oun 700 galafi 80 hanl 50 daoudaouya 100 garenl 200 assa gayla 400 dorra 50 guirrori 100 ourganga 80 adailou 100 adoyla 100 ardo 200 w a Tadj 400 dafo 300 agna 300 soit 181 ml en moyenne ml 7000 FDj ml d adduction March D march ADDS 2009 de r habilitation des toilettes du CRIPEN Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 53
48. leurs besoins en dehors des trous des programmes sp ciaux de sensibilisation avec un volume horaire revu et une surveillance sp cifique semble manquer leur gard Manque de surveillance sp cifique des toilettes la r cr ation et souvent absence totale de surveillance en dehors des r cr ations on peut donc ais ment faire ses besoins o l on veut l int rieur comme l ext rieur des toilettes Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 9 affiches p dagogiques sur l hygi ne ne sont pas disponibles dans les classes et les toilettes arrive qu un manque d eau ponctuel se fasse sentir rendant les toilettes inutilisables certains directeurs ferment alors imm diatement les toilettes et envoient les enfants dans la nature alors que d autres les laissent en service et les l ves qui utilisent ces toilettes vont se servir de cailloux et d truire ainsi ces installations Le cas de W a est particuli rement regrettable car ces installations taient de grande qualit Les chasses d eau de la quasi totalit des toilettes qui en disposent sont hors service On peut donc se demander l opportunit de les installer dans nos toilettes alors qu elles sont si sensibles aux mauvais traitements et que de toutes fa ons il n y a personne pour les r gler et ou les r parer constate que le syst me d l ves gendarmes mis en place dans e
49. li Sabieh et Dikhil bas e ali Sabieh Ces quipes devraient tre plac es sous l autorit directe du CIS Leur t che quotidienne consiste pr venir les incidents entretien pr ventif et r parer tout dysfonctionnement qu ils auraient constat ou qui leur aurait t signal par les directeurs ou le CIS A terme lorsque leur mission aura t bien accept e et bien comprise on pourrait imaginer largir leur champ de comp tence et d intervention en leur demandant des actions sur les autres types d installations dans les classes dans le logement du directeur Mais il conviendrait avant cela d attendre 1 2 ann es afin que leur mission principale soit bien lanc e sauf cas d urgence manifeste l appr ciation du CIS Moyens des EME Ces quipes pour fonctionner n cessiteront la mise en place d un budget de fonctionnement Outre les salaires le carburant et autres intrants pi ces d tach es devront pouvoir tre achet s Par ailleurs ces EME devront pouvoir tres quip s des moyens suivants 1 Un v hicule 4x4 type pickup Un stock d outillage de plombier et lectricien 3 Stock de pi ces d tach es et mat riaux divers permettant des interventions 1 situ tuyaux raccords robinets r sine fibre de verre Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 19 Organigramme hi rarchique pour la gestion des sanitaires dans les coles 1
50. n l tat d avancement par rapport aux 20 indicateurs cl s retenus I 1 qualite de l eau le r servoir est il couvert en permanence 1 1 2 qualite de l eau Le directeur de l cole proc de t il r guli rement une chloration puis contr le DPD de l eau 2 1 quantit d eau Recevez vous de l eau au moins 1 fois par jour 1 II 2 quantit d eau La quantit re ue vous suffit elle pour tous vos besoins boisson cuisson lavage hygi ne 2 1 r serve en eau Poss dez vous une capacit de r serve r servoirs d un volume suffisant 6 9 1 j l ve 2 2 r serve eau r servoirs sont ils fonctionnels remplis d s que l eau arrive et raccord s aux points d eau 1 3 distribution eau Votre cole dispose t elle d au moins un robinet fonctionnel pour 50 l ves 2 1 hygi ne Le savon est il disponible tout moment dans les toilettes et pr s des points d eau 2 Y a t il assez de robinets gt l pour 50 l ves fonctionnels de l eau au robinet et accueillants IV 2 hygi ne vacuation non bouch e 1 IV 3 hygi ne Faites vous au moins 2 d monstrations par an de lavage des mains au savon 2 la cantine zones rurales le lavage des mains se fait de fa on individuelle et non dans une bassine IV 4 hygi ne commune 2 IV 5 hygi ne Des affiches faisant la promotion de l
51. naires directeurs sur la bonne fa on de laver les toilettes fr quence produits amp quantit s modes d application outils et protections en relation avec leur taux d utilisation le nombre d l ves et la quantit d eau disponible cet effet Production d un manuel d entretien et de gestion des sanitaires l usage des gestionnaires un exemplaire remettre galement chaque enseignant C HYGIENE Formation technique des gestionnaires directeurs sur la bonne fa on de se laver les mains c est loin d tre acquis A Pissu des formations les diff rents directeurs transmettront IN SITU les savoirs acquis destination des enseignants et agents d entretien leur tour les enseignants formeront les l ves Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 22 Ceci peut se r aliser de deux fa ons diff rentes selon le budget disponible Option 1 un consultant national forme 3 quipes de 2 personnes chaque quipe menant alors des actions de formation dans les coles des 2 districts dont elles ont la charge Djibouti Arta Dikhil Ali Sabieh Tadjourah Obock Cette option n cessite donc l acquisition de 3 v hicules et un budget carburant L avantage de cette option r side dans le fait qu ayant en charge une quarantaine d cole l quipe formation peut donc se rendre presque mensuellement dans chaque cole ce qui permet un suivi pr cis des activit
52. nissement seront contr l s ex dalles des fosses soulev es et ou r par es arbres trop proches abattus Chaque fois que l ampleur de la t che sera prohibitive de nouvelles installations seront envisag es G n raliser les urinoirs dans les coles afin de soulager les cabines R aliser compl ter les adductions existantes de fa on que l eau parvienne jusqu aux toilettes de l cole et non seulement jusqu au village Ex Gayla Daoudaouya Parfois on parle de quelques m tres de tuyaux Adbouyy a Ecoles futures Veiller une stricte application des normes de construction M mes remarques que pr c demment et d une mani re g n rale il faut tenir compte de ce qui marche dans les coles actuelles pour r actualiser au moins tous les 2 ans les normes djiboutiennes Utilisation de mat riaux robustes et ne n cessitant que peu d entretien ex solaire tuyaux en acier galvanis G n raliser les urinoirs dans les coles afin de soulager les cabines Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 16 Cas particulier des coles rurales ne disposant pas d un point d eau dans un rayon de 500m Il n y pas de m thode miracle pour fournir de l eau une cole situ e dans une zone d favoris e hydrog ologiquement On peut cependant proposer 3 axes de travail pour am liorer la situation 1 Arr ter de construire des coles dans de
53. ntr le des maladies vecteurs 15 des coles sont aux normes d coles qualifi es Qualit de Quantit Capacit de Capacit de Promotion de Toilettes Contr le l eau d eau stockage distribution l hygi ne maladies vecteurs Des informations plus d taill es ainsi que les m thodes de calculs sont pr sents en annexe Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 14 II PLAN D ACTION PROPOSE Ce Plan d Action vise permettre aux coles de parvenir l objectif d un acc s total l eau potable et aux services d assainissement fin 2015 1 Les actions entreprendre A Au niveau technique Mise disposition d quipements fonctionnels robustes facile entretenir techniquement et nettoyer Ecoles actuelles Cr ation de toilettes l o elles n existent pas Guirrori Mouddo Ripta Remise des installations actuelles aux normes djiboutiennes en mati re de nombres de cabines par l ves et nombre de points d eau par l ves R parer rehausser ou b tir des cl tures chaque fois que n cessaire dans les coles urbaines Pour les coles rurales il est plus raisonnable d quiper les toilettes d un portail m tallique qui en interdirait l acc s en dehors des heures de cours Cr er des s parations physiques entre les toilettes gar ons et filles chaque fois que n cessaire pose remplacement de portes 12 o elles manquent ou sont ca
54. nts d eau sont disponibles dans l cole pour permettre un acc s et une utilisation convenables des fins de boisson de cuisson de lavage et d hygi ne personnelle e Guideline 4 Promotion de l hygi ne L utilisation correcte et la maintenance des installations d eau et d assainissement est garantie par le biais d une promotion durable de l hygi ne Ces installations d eau et d assainissement sont utilis es comme ressources pour permettre l am lioration des comportements d hygi ne Guideline 5 Toilettes Des toilettes en nombre suffisant accessibles privatives s curis es propres et culturellement appropri es sont disponibles pour les l ves et le personnel de l cole Guideline 6 Contr le des maladies vecteurs Les l ves le personnel et les visiteurs sont prot g s contre les maladies vecteurs 2 NORMES DJIBOUTIENNES Guide de Conception des Constructions Scolaires D finition des normes et standards Vol 1 Enseignement Primaire Extraits CLOTURES Les principaux points que le concepteur devra v rifier pour la construction de l enceinte sont la hauteur de la cl ture qui devra au minimum tre de 2 met qui devra tre adapt e aux ventuelles pentes ou irr gularit s du terrain la solidit et la durabilit des l ments de cl ture fondations structure remplissage joints BUREAU D EXECUTION DES PROJETS EDUCATION
55. nviron 10 des coles aux 34 urbaines donne d excellent r sultats sur la propret des toilettes il conviendrait de le g n raliser l chelle du pays L exemple de Q6bis est int ressant puisque cette cole pauvre en eau a tout de m me r ussi mettre en place avec succ s ce syst me Ainsi la r cr ation non seulement les gendarmes veillent ce que les l ves entrant aux WC disposent de quelques feuilles de papier toilettes afin de les dissuader d utiliser des cailloux mais en plus ils veillent ce que ces derniers se lavent les mains au savon en sortant Q6 bis 11 existe une dizaine de cas o le manque d eau est fictif puisque l eau se trouve quelques m tres dans un grand r servoir et on imagine alors mal pourquoi les directeurs n incitent pas utiliser Syst me qui consiste entre autres d l guer la responsabilit de la surveillance des toilettes aux l ves de 5 ann e durant les r cr ations Ils jouent le r le de tuteurs et veillent un certain niveau de bonnes pratiques sanitaires Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 10 davantage les toilettes disponibles voire dissuadent en les bouchant Adbouyya Certes la lutte contre les vecteurs ne doit pas tre sous estim e mais 1l y a une diff rence entre un bouchon de bois amovible et de gros blocs de pierres ou des tas de terre De nombreuses latrines s ches ont t
56. rt la norme vis e Crit res liminatoires 1 Besoins fait en dehors des toilettes environn sale ou faible utilisation WC 1 354 355 amp L283 2 Absence de cours sur le lavage des mains L126 3 Absence de toilettes fonctionnelles dans l cole L207 208 4 Dispositifs pour se laver les mains en nombres insuffisants 94 des coles Cf Guideline 3 2 5 Eau disponible moins d une fois par semaine L29 30 6 Toilettes jamais lav es L102 7 Aucun agent nettoyant dans les toilettes utilisation de cailloux feuilles de cahiers L350 351 8 Faible r alit de la pratique du lavage des mains L384 385 9 Lavage des mains sans savon 40 coles rurales L141 10 Lavage des mains dans une bassine commune 50 des coles rurales L142 11 Aucun savon disponible dans les WC ou pr s d un point d eau 88 coles L390 NB Deux de ces crit res n 4 et 11 suffisent chacun d eux liminer pr s de 90 des coles donc on peut se demander l utilit de calculer les autres crit res Combinons tout de m me ces seuls crit res N 4 assez de points d eau et N 1l du savon disponible pr s des points d eau Nous obtenons que 0 des coles ne passent le test inutile d aller au del Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 49 Guideline 5 Toilettes Doivent tres disponibles pour les l ves des toilettes en nombre suffisant voir ratios L3 L
57. s accroupis notamment Voila pourquoi des robinets poussoirs plac s cette hauteur celle d un enfant accroupis est indispensable pour l hygi ne intime NB Ces constats correspondent ce qui a t vu dans beaucoup d coles Dans chaque cas il ya des exceptions Par ailleurs nous sommes conscients que l heure de visite dans les coles influence grandement ce que l on a rencontr par terre dans les toilettes Nous avons donc tenu compte de ces petites distorsions Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 12 4 Constats relatifs aux diff rents comportements rencontr s On constate souvent soit de l impuissance face une t che crasante grosses coles ou zones rurales loign es soit un manque d implication dans la gestion des sanitaires qui comme toutes installations n cessitent une gestion ce qui implique un mode d emploi expliquer un entretien et ou des r parations des intrants comme javel savon Tout au contraire on constate que certains directeurs et surtout directrices s impliquent totalement dans cette gestion particuli re que celle des toilettes et force est de constater que les r sultats sont l Il faut aussi ici saluer le civisme de certains directeurs en brousse notamment qui ach tent du savon sur leurs fonds personnels d faut de mieux pour garantir un minimum d hygi ne chez qu ils consid rent comme leurs enfants D
58. s zones r put es sans eau Mouddo Sankal 2 R aliser compl ter les adductions d eau de fa on que l eau parvienne jusqu aux toilettes de l cole et non seulement jusqu au village voisin Ex Ali Oun eau 700m Dittilou source 4km Mouddo forage 4km 3 Prendre contact avec les 2 minist res concern s amp afin que les foreuses puissent se rendre dans toutes les r gions une piste se r pare ou se construit si besoin est Cas particulier des coles rurales disposant d un point d eau moins de 500m sans adduction Il importe que l eau parvienne jusqu aux toilettes de l cole Petite adduction entre le point d eau et les toilettes pompage solaire r servoir en hauteur _Installation r paration de la robinetterie dans les cabines et points de lavage des mains Cas particulier des coles urbaines ne disposant pas d eau malgr connexion au r seau urbain semble difficile de trouver une solution technique un co t raisonnable puisqu il faudrait que l ONEAD augmente significativement sa production via un dessalement de l eau de mer Pour les coles concern es quelques unes dans Djibouti ville mais surtout Balbala un budget de fonctionnement permettant de commander suffisamment de camions citernes semble la seule solution Cependant le ph nom ne est tel qu il pourrait n cessiter l acquisition par le MENESUP d un
59. squels la pr sente tude s appuie Manuel Ecoles Amies des Enfants UNICEF 2009 Questionnaire for National Assessment of Water Sanitation and Hygiene WASH in Primary Schools Belize Ministry of Education Belize March 2009 with support of UNICEF Belize Evaluation de l initiative Ecole amie des enfant MENESUP UNICEF Mars 2007 Bonnes pratiques sanitaires plaquette dit e par l association fran aise d urologie T moignages de toutes les personnes rencontr es MENESUP M MAHDI conseiller technique M MOUSSA BEPE M ABDILLAHI Inspecteur M ABDI DIRIR chef service enseignement de base M IDRISS AHMED chef service bureaux r gionaux ut ul UNICEF M GONZALES adjoint Repr sentante M AHMEDOU WASH Officer 3 M AHMED SAID Re AIDES USAID Dr BARNABE MINISTERE DE LA SANTE Mme FATOUMA MOHAMED Service de sant scolaire OFFICE NATIONAL DE L EAU ET DE L ASSAINISSEMENT M ABOUBAKER HASSAN Conseiller Technique du Directeur G n ral DANS LA PRES DE LA MOITIE DES ECOLES RURALES PRESIDENTS de l Association des Parents d El ves Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 38 2 LISTE ALPHABETIQUE DES ECOLES VISITEES ECOLE VISITEE Nord Est Altitude m A IV BARWAQO 11 34
60. ss es Fournir un stock de bouteilles de javel trimestriellement pour la chloration de l eau cet usage exclusif ainsi que des kits de test de l eau par photochlorim trie stock de 300 pastilles DPD pour 1 ann e Une formation d une demi journ e l utilisation de ce mat riel est pr voir destination de l ensemble des directeurs Equiper syst matiquement les points d eau ruraux de panneaux solaires pour se lib rer des contraintes de co t disponibilit du carburant et pi ces d tach es qui paralysent trop souvent l hydraulique rurale Munir fournir ou b tir toutes les coles d une capacit de r serve couvrant les besoins pendant les p riodes de p nurie d eau 6 9 litres par jour et par l ve pendant 48 heures maximum si besoin est Fournir toutes les coles qui n en disposent pas pour les toilettes un r servoir en fibres de verre d une capacit de 1 3 m installer sur chafaud et ce m me si ces coles disposent d j d un r servoir au 501 Munir ces r servoirs de surpresseurs solaires en zones rurales chaque fois que n cessaire pour en permettre le remplissage tandis que la distribution devra toujours tre gravitaire Pour cela les Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 15 r servoirs des toilettes seront toujours install s sur chafauds au niveau de celles ci l ventuel r servoir b ton au sol servant d
61. t dangereux eau de boisson Nous n avons pas constat l existence d un syst me organis de maintenance des installations sanitaires ce qui en cas de panne m me l g re paralyse souvent tout le bon fonctionnement des installations sanitaires Faible poids de l hygi ne sanitaire dans les programmes scolaires de l aveu m me des directeurs Le lavage des toilettes doit tre codifi et faire l objet de formations r guli res destination du personnel en charge du nettoyage Fr quences besoins possibilit s de nettoyage doivent tre d finis par crit tout comme le mode op ratoire la quantit de savon et de javel utiliser L encore une grande disparit des m thodes est rencontr e Enfin le dernier constat important est le faible nombre d coles disposant d urinoirs 18 La norme djiboutienne semble indiquer que l utilisation d urinoirs pour les gar ons ne correspondant pas une habitude Djibouti l espace urinoirs n est pas pr voir On pourrait faire remarquer que pour acqu rir une habitude il est n cessaire au pr alable d utiliser de s habituer des Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 11 infrastructures qui doivent donc avoir le m rite d exister au pr alable Cependant pour des raisons culturelles o il est d conseill d uriner debout il convient d enseigner la fa on d utiliser ces infrastructure
62. tien CIS 1 Cr ation d un poste de Contr leur des Installations Sanitaires des coles C est une t che qu il convient de cr er et pas forc ment un poste budg taire En effet en fonction de la charge de travail actuelle des diff rents inspecteurs affect s dans les districts pourquoi ne pas imaginer que cette responsabilit leur soit confi e en plus de leur travail actuel moyennant une prime motivante la hauteur de la responsabilit Il appartient videmment au MENESUP de choisir l encore l option qui lui convient le mieux Missions du des CIS Sillonner le pays ou le District afin de mesurer p riodiquement l tat d avancement des coles par rapport aux indicateurs retenus Ordonner toute intervention par les EME afin d influer positivement sur la valeur des indicateurs 1 e demander la r paration d un robinet dans telle cole d un surpresseur dans telle autre Contr ler la qualit du travail technique des EME et valuer leur performance motivation assiduit efficacit Contr ler sur le terrain l ad quation d penses engag es r parations effectu es et leur efficience Transmettre au responsable approvisionnements du MENESUP les demandes de mat riels et autres pi ces d tach es r clam es par EME Rendre compte au MENESUP de l tat d avancement des indicateurs Evaluer les performances des directeurs dans le domaine de l
63. u est la bonne fa on de se laver les mains La participation parfois exclusive des parents d l ves en brousse dans le nettoyage des toilettes doit rester exceptionnelle et ce b n volat du travail devrait tre remplac par un b n volat du contr le Evitons de d l guer des parents de brousse qui souvent n ont jamais vu de toilettes la responsabilit du nettoyage et donc de l hygi ne dans les toilettes Enqu te exhaustive eau amp assainissement dans les coles 13 5 R sultats de l enqu te Apr s traitement des donn es brutes 1l est possible de comparer les r sultats obtenus aux niveaux guides des Nations Unies et aux normes djiboutiennes le d tail des normes en annexe 1 Aspects qualitatifs de l eau l eau est elle potable 42 des coles du pays r pondent la norme 73 en zones urbaines et 13 en zones rurales 2 Aspects quantitatifs de l eau l eau est elle suffisante pour tous les usages 40 des coles du pays r pondent la norme autant en zones urbaines qu en zones rurales 3 Capacit de stockage de l eau les r servoirs Environ 50 des coles du pays r pondent la norme 4 Capacit de distribution de l eau nombre de points d eau 6 seulement des coles du pays r pondent la norme 5 Promotion de l hysi ne Aucune cole n est aux normes 6 Toilettes 2 des coles sont aux normes 7 Le co
64. u 0 si la r serve r elle est inadapt e aux besoins et la situation hydraulique de l cole voir fichier RESERVE EN EAU XLS Au niveau global 60 cas positifs 54 Nb bien noter la diff rence qui existe entre la capacit de stockage capacit du des r servoirs et le stockage effectif de l eau en effet poss der un r servoir n implique pas que celui ci contienne de l eau La faible pression du r seau de distribution urbain et les coupures d eau d une part les p nuries d eau en zones rurales ponctuelles pannes ou permanentes d autre part emp chent toute ad quation entre ces deux notions On peut palier une p nurie ponctuelle si on poss de une capacit de stockage sup rieure la dur e moyenne des coupures d eau ce qui implique de poss der une r serve de plusieurs jours dans certains quartiers urbains et de plusieurs semaines en zone rurale ce qui n est pas concevable Seule une s curisation de l approvisionnement en eau installation solaire sur un puits ou un forage productif en zone rurale ou la capacit technique et financi re de commander des camions citernes en zone urbaine semble m me de garantir un remplissage r gulier des r servoirs et donc une r elle r serve en eau effective Si on consid re la norme djiboutienne au sens strict savoir 1 5 litre par l ve et par membre du personnel par jour pour la consommation en eau potable 6 0 litres par l v
65. unies il sera possible de sommer tous les tableaux et valuer l volution des pourcentages de qualification par rapport la valeur initiale qualite de l eau r servoir est il couvert en permanence 72 2 qualite de l eau Le directeur de l cole proc de t il r guli rement une chloration puis contr le DPD de l eau 0 1 1 quantit d eau Recevez vous de l eau au moins 1 fois par jour 46 2 quantit d eau La quantit re ue vous suffit elle pour tous vos besoins boisson cuisson lavage hygi ne 54 1 r serve eau Poss dez vous une capacit de r serve r servoirs d un volume suffisant 6 9 l j l ve 50 2 r serve en eau r servoirs sont ils fonctionnels remplis d s que l eau arrive et raccord s aux points d eau 82 distribution eau Votre cole dispose t elle d au moins un robinet fonctionnel pour 50 l ves 6 1 hygi ne Le savon est il disponible tout moment dans les toilettes et pr s des points d eau 9 IV 2 hygi ne Y a t il assez de robinets gt 1 pour 50 l ves fonctionnels de l eau au robinet et accueillants vacuation non bouch e 4 IV 3 hygi ne Faites vous au moins 2 d monstrations par an de lavage des mains au savon 20 IV 4 hygi ne la cantine zones rurales le lavage des mains se fait de fa on individuelle et non d
66. urs ont ensuite t retrait es afin d en faire ressortir le sens g n ral et donc un constat de la situation effective celle qui pr vaut l instant exacte du passage du consultant Pr cisons que ces visites taient inopin es ce qui a permis d viter les distorsions de la r alit ex nettoyages de derni re minute 2 Constats visuels En plus des constats issus du questionnaire d enqu te voici quelques l ments d information compl mentaires souvent qualitatifs qui pourraient permettre d expliquer la situation actuelle des toilettes V tust g n rale des installations sanitaires dans une majorit des cas 2 3 des coles urbaines que ce soit au niveau de la robinetterie des portes si ges ou installations de lavage des mains D gradation fr quente de la robinetterie gt 3 4 des coles urbaines robinets enlev s Mat riaux souvent inadapt s ou de mauvaise qualit Toute la tuyauterie est en au lieu de l acier galvanis plus robuste et 90 des portes sont en mat riaux inadapt s m talliques donc sujettes la rouille ou en bois de faible qualit et la serrure est tr s souvent de faible qualit D sign des toilettes parfois inadapt aux contraintes hydrauliques toilettes construite avec fosse septique dans des quartiers de Balbala o l eau est r put e tr s rare ou sociales s parations par genre absente ou insuffisante dans 35 des cas absen
67. vez vous de l eau au moins 1 fois par jour 2 La quantit re ue vous suffit elle pour tous vos besoins boisson cuisson lavage hygi ne Capacit de stockage amp de distribution de l eau Des lieux de stockage et des points d eau sont disponibles dans l cole pour permettre un acc s et une utilisation convenables des fins de boisson de cuisson de lavage et d hygi ne personnelle 1 Poss dez vous une capacit de r serve r servoirs d un volume suffisant 6 9 L j l ve 2 r servoirs sont ils fonctionnels 1 remplis automatiquement lorsque l eau arrive et raccord s aux points d eau 3 Votre cole dispose t elle d un robinet fonctionnel pour 50 l ves IV Promotion de l hygi ne L utilisation correcte et la maintenance des installations d eau et d assainissement est garantie par le biais d une promotion durable de l hygi ne Ces installations d eau et d assainissement sont utilis es comme ressources pour permettre l am lioration des comportements d hygi ne 1 Le savon est il disponible tout moment dans les toilettes et pr s des points d eau 2 Y a t il assez de points d eau au moins 1 pour 50 l ves fonctionnels de l eau au robinet et accueillants vacuation non bouch e 3 Faites vous au moins 2 d monstrations par an de lavage des mains au savon 4 la cantine zones rurales le lavage des mains se fait de

1 - ECOLE `AMIE DES ENFANTS` : LE CONCEPT

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