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cadre de gestion environnementale et sociale

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1. Le Pr sident de s ance me x 175 MINISTERE DE L ECONO MIE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS REPUBLIQUE GABONAISE ET DE LA PROSPECTIVE COMMISSION NATIONALE DES TIPPEE Union Travail Justice L ATELIER ue DE RESTITUTION DES RAPPORTS DE SECRETARIAT PERMANENT GE RO a INNEMENTALE ET SOCIALE CGES DE CA PRE DE POLITIQUE D DE ee ees CR PROJET DE DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 Fonction T l phone E mail Signature MRA at i Fe Wen ne O GU amp S 81 je La Envivoune 04 2560 Aacespmane fnat masa A Tayna D yak Lom 2 i D ue 24 lt gt 7 DES v 176 MINISTERE DE L ECONOMIE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS ET DE LA PROSPECTIVE COMMISSION NATIONALE DES TIPPEE L ATELIER NATIONAL DE RESTITUTION DES RAPPORTS DE SECRETARIAT PERMANENT D A PROJET DE DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 REPUBLIQUE GABONAISE Union Travail Justice T l phone E mail Signature a henla x dh wel amp Ge vu Mi LE Eisi KoUHBA CAMEE HiChele ore DE Dec Rural 28 urboun MBADINGA MATE ANGA SUN or Kal oe L In Melan w 060121 44 OV SASSY N dN oud udea OG Ses
2. 102 9 9 1 Co ts des tudes et mesures d accompagnement 102 9 9 2 Des co ts de Suivi Evaluation des activit s du PDIL c ccccccccccececececececececececececececececececsceesecesecasasaees 102 9 9 3 Co ts de mesures de Formation et de Sensibilisation un 102 ANNEXE 1 FORMULAIRE DE SELECTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE cscececscscs sosesososososenonenenon 106 ANNEXE 2 LISTE DE CONTROLE ENVIRONNEMENTAL ET SOCIAL J ececececesecesesesesssesssssssssssssssssasaaesananene 108 ANNEXE 3 CLAUSES ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES A INSERER DANS LES DAO ET LES MARCHES DE TRAVAUX 109 ANNEXE 4 TDR TYPE POUR LA REALISATION D UNE ANNEXE 5 TERMES DE REFERENCE POUR L ELABORATION DU CGES ANNEXE 6 REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ccsesscccssccecsesessececececeeseseseccescecseseaeceeececseseaaececececeesesaseeeeeeeeeneaaeea ANNEXE 7 COMPTE RENDUS DES CONSULTATIONS ET RENCONTRES INSTITUTIONNELLES see 128 ANNEXE 8 PERSONNES RENCONTREES cccccccccscececececececececececececececececscecececacscacacacaceceeacscacecacasacaeaeassseeseseseaeanenaes 162 TABLEAUX Tableau 1 Synth se des principales contraintes au niveau des infrastructures urbaines 53 Tableau 2 Synth se des impacts nt I eds 69 Tableau 3 Impacts n gatifs communs tous les micro projets en phase de 74 Tableau 4 Impacts n gatif
3. Bos en E an nt a AR RE TE RED ME a Se ent ne 58 CONSULTATIONS PUBLIQUES sise see dites et esse 59 5 1 OBJECTIFS DES CONSULTATIONS DU PUBLIC cccccesessscesecececsessecececececseneaeceeccecsesssaeeeeececseseaaeseseeeceeneaaees 59 5 2 ETENDUE DES CONSULTATIONS DU PUBLIC ET ACTEURS CONCERNES essences 59 2 6 5 3 METHODOLOGIE ET THEMATIQUE DISCUTEE ccccsessscecececeesesnececeeccecsesseaeceeccecsenssaeceeccecsessaasseeeeeeeeneaaees 59 5 4 SYNTHESE DES CONSULTATIONS LORS DE L ELABORATION DU CGES 59 5 5 SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS ISSUES DE L ATELIER DE RESTITUTION DU 61 5 6 INTEGRATION DES RECOMMANDATIONS DANS LE CGES cccscssssssssssessssssssssssssssessessssssssssssssesessesseseeeees 5 7 PLAN DE CONSULTATION POUR LA MISE EN UVRE DU PDIL II x 5 7 1 CONTEXTE ET OBJECTIF DU PLAN DE CONSULTATION cccccccccccccccccccccccocecocececooecooeeo000000000000000000 5 7 2 MECANISMES ET PROCEDURES DE CONSULTATION esse 5 7 3 STRATEGIE 574 ETAPES CONSULTATION ame tentes te OD Tie 5 1 5 PROCESSUS DE CONSULTATIONS tasse ete ann 23 5 7 6 DIFFUSION DE L INFORMATION AU PUBLIC ccecssssececececsessccecececeesenssaececececseaaececececsensaaeceeececeessaseeeees 5 7 7 RECUEIL
4. N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 09 04 2015 R ve B atrice MBOUMBA n e ESSONGUE Chef service provincial culture des 07 08 49 03 revemboumbal 5 yahoo fr arts et Education Populaire 06 23 66 48 2 09 04 2015 Gabriel BOUESSI Culture des arts et Educ Pop 07 47 3439 knoxgabriel yahoo fr 3 09 04 2015 Eug nie BIKENE Agent Alphab tisation 07 31 72 39 4 09 04 2015 Yvette MOUKAGA KEBA Agent Culture et arts 07 71 36 97 5 09 04 2015 Marie Solange BOULINGUI ZOUNNON Agent Culture et arts 07127796 boulinguim yahoo fr 6 09 04 2015 Judica l OSSA Agent Culture et arts 07 47 79 62 7 09 04 2015 Martine SOWA ONIVI Agent Culture et arts 05 24 83 86 8 09 04 2015 Mireille Ghislaine BIVIGOU Culture arts et ducation civique 07 77 22 40 mireillegbivigou yahoo fr 9 09 04 2015 Pierrick W BIYOGHE Agent Culture et arts 07 98 03 22 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A PORT GENTIL N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 10 09 04 2015 Alix AVORE ONANGA Agent Culture et arts 06 60 12 37 11 09 04 2015 Yves IBINGA MOUKAGA Agent Culture et arts 07 91 77 35 12 09 04 2015 Alfred Gislain Agent Culture et arts 05 37 53 42 13 09 04 2015 Claude S verin MAILAT MOUTSINGA Chef de service Urbanisme 04 34 66 65 Cs mailatm gmail com 14 09 04 2015 Franck Simplice BOUBALA Chef de service L gislation et 05 45 6425 Contentieux LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A PORT G
5. t AA mener eae Baca Sor R 15 CADRE BIOPHYSIQUE ET SOCIOECONOMIQUE DU PAYS ccccccccccccccocccococccooccccoccooeeccooecccuuccee 17 3 1 BREVE PR SENTATION DU PAYS SR hate nn tit na ae Was 17 3 2 SITUATION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DANS LES COMMUNES CIBLEES PAR LE PROJET 17 3 2 1 Las Commune eters 17 32 23 L acommune de Lambar n z sesso sses sees A seha seed een nn tn et 22 3 2 3 Laicommune de Franceville regien eds 2 te in al 0430034 26 3 2 4 La commune de MakoKk U v s Bac Wael ne tees 30 3 2 5 La commune de Koulamoutou nr a sede C 34 3 2 0 La communede Moila isc se tsu t usines ee lai ne hess 37 3 2 7 e EN r ek ENA 39 32 82 La commune de Port Gentil sas ne ie M ed ag ene Bae h 40 32 9 2 LG COMMUNE d OYeMiz stesse 46 3 3 DEFIS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX AU NIVEAU DANS LES VILLES CIBLEES PAR LE PDIL II 50 3 2 1 Insuffisances de la planification urbaine et des infrastructures municipales 50 3 2 2 Occupation anarchique de l espace urbain ss 50 3 2 3 Probl matique de la gestion des eaux us es domestiques 50
6. D charge publique de Mindoub au 5e Arrondissement satur e continue recevoir des d chets de tout genre sans aucun traitement entrainant une pollution du bras de mer La Lou o il n y a plus de vie il y a quelques d cennies on p chait dans ce cours d eaux des poisons huitres crevettes etc Risques de pollution de tous ordres industrielle rejets hors normes atmosph rique circulation sonore A roport d chets plastiques du sol et des eaux etc R aliser des ouvertures de voies d acc s au niveau des zones non sous int gr es Probl mes fonciers de la commune Libreville ne dispose plus de r serves fonci res et connait de s rieux probl mes Privil gier l acquisition de terrain par achat des tiers pour trouver des sites 154 d extension avec des risques de conflits fonciers avec les collectivit s locales voisines Ntoum d implantation des r alisations du Projet Indemniser les victimes et les accompagner dans le recasement en cas 4 expropriation pour d utilit publique Capacit s de la commune dans la gestion de projet Il existe un plan d am nagement du Quartier qui exprime les besoins collectifs communautaires des populations Assurer la formation des populations sur l entretien et la maintenance des ouvrages Rentabiliser les infrastructures et motiver les personnes charg es du suivi et de la maintenanc
7. Liste de contr le environnemental et social Pour chaque infrastructure urbaine propos e remplir la section correspondante de la liste de contr le Le tableau du PGES pr sente plusieurs mesures d att nuation celles ci peuvent tre amend es si n cessaire Activit MICRO PROJET Questions auxquelles il faut r pondre OUI NON Si OUI Mise en uvre et exploitation des infrastructures Y aura t il perte de v g tation quelconque pendant la construction et l exploitation a t il des services ad quats pour l vacuation des d chets pr vus pendant la l exploitation Les d tritus g n r s pendant la mise en uvre et l exploitation seront ils nettoy s et limin s cologiquement Les quipements et mat riel de s curit et de secours en cas d accident seront ils disponibles pendant la mise en uvre et l exploitation Y a t il des risques de pollution des eaux souterraines ou superficielles par les activit s du micro projet a t il des zones cologiques sensibles dans les environs de la zone d exploitation qui pourraient tre impact s n gativement a t il des impacts sur la sant des populations riveraines et celle du personnel de mise en uvre et d exploitation a t il des impacts visuels caus s par les travaux a t il des odeurs pouvant provenir du rejet des d chets des activit s du projet a t il des tablissements humains ou de
8. Zone inondable quartier Poitier e du 4 Arrondissement eaux stagnantes dE Es p Route en pav par PDIL I voierie en pav zone inondable Ouvrage de franchissement dans un quartier du 4 Arrondissement droite d potoir sauvage de d chets 3 2 9 La commune d Oyem Situation administrative Oyem est la capitale de la province du Woleu Ntem situ e au Nord du Gabon et le chef lieu du d partement du Woleu frontali re avec le Cameroun le Congo et la Guin e Equatoriale Oyem r side le Gouverneur de la province du Woleu Ntem ainsi que le Pr fet du d partement du Woleu sans oublier le Maire qui g re la commune Population La ville d Oyem regroupe 36 quartiers et compte une population pr s de 60 000 habitants Les principales communaut s ethniques sont les Fangs et les Haoussa Sur le plan administratif la ville d Oyem dispose des principaux services d concentr s du Tr sor des Travaux Publics de l Agriculture des Eaux et for ts de l Habitat du cadastre et de l Urbanisme pour n en citer que ceux l Relief Oyem est une ville au relief constitu d un plateau d une altitude moyenne comprise entre 600 et 700 m tres au sol dominance cristalline Climat A l image de la province de Woleu Ntem le climat de la ville d Oyem est de type quatorial On distingue deux saisons pluvieuses et deux saisons s ches qui s alternent entre elles La moyenne pluvi
9. coles primaires Mouila compte les tablissements secondaires tels Le Lyc e Public Jean Jacques BOUKAVEL et Les coll ges Saint 37 Gabriel et Val Marie de renomm e qui furent longtemps les fleurons de l ducation de la jeunesse gabonaise Bon nombre de personnalit s gabonaises sont issues de ces institutions La ville de Mouila abrite les services administratifs d centralis s dans diff rents secteurs Comme structures de sant Mouila poss de le Centre de Sante Urbain et le Centre Hospitalier R gional La Banque Internationale pour le Commerce et Industrie du Gabon BICIG dispose d une succursale A Movila est implant e une brasserie de la Soci t des Brasseries du Gabon SOBRAGA y existe un a roport pour le transport a rien Contraintes environnementales et sociales de la ville de Mouila D versement anarchique des ordures dans les conduits d eaux Absence de voies d acc s 4 certains quartiers sous int gr s Occupation anarchique de la voie publique Occupation irr guli re des terres Beaucoup d inondations pendant la saison des pluies D ficit d adduction d eau et d lectricit dans certains quartiers Manque d entretien des r seaux de drainage des eaux de ruissellement Inondations de certains quartiers e D versement anarchique des ordures dans les conduits d eaux March au Bord de Route nationale dans la Ngouni Etablissement scolaire r alis par PDIL I Mouila 38 3
10. quateur Il est limit au Nord Ouest par la Guin e Equatoriale au Nord par le Cameroun l Est et au Sud par le Congo et l Ouest par l oc an Atlantique sur 800 km de c te Le territoire gabonais compos de plus de 80 de for t dense se trouve entre 2 15 Nord et 4 Sud de latitude et entre 8 30 Ouest et 14 30 Est de longitude Au plan administratif le pays est subdivis en neuf 09 provinces qui pr sentent chacune des caract ristiques particuli res l Ogoou Maritime l Ogoou Ivindo le Moyen Ogoou le Haut Ogoou le Woleu Ntem l Ogoou Lolo la Ngouni la Nyanga et l Estuaire La population de la R publique Gabonaise est estim e 1 547 685 habitants pour une superficie de 267 667 km2 soit une densit moyenne de 5 6 habitants km l une des plus faibles d Afrique La majorit de la population est concentr e autour des principaux p les conomiques du pays comme Libreville Port Gentil et Franceville 84 de la population gabonaise est urbaine Dans l ensemble la population est essentiellement jeune 45 des habitants ont un ge compris entre 15 et 49 ans et 40 ont moins de 15 ans On note une pr dominance des femmes qui repr sentent 52 de la population L esp rance de vie est de 62 ans pour les femmes et 57 ans pour les hommes L esp rance de vie est de 62 ans pour les femmes et 57 ans pour les hommes L indice synth tique de f condit par femme est estim 4 Le taux d acc
11. Ce 177 ONAISE MINISTERE DE UECONOMIE DE LA PROMOTION DES gene e INVESTISSEMENTS ET DE LA PROSPECTIVE Union Travail Justice COMMISSION NATIONALE DES TIPPEE L ATELIER NATIONAL DE RESTITUTION DES RAPPORTS DE CA ON ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE CGES UAT PERMAN ENT DE POLITIQUE DE REINSTALLATION CPR PROJET DE DEVELOPPEMENT DES za INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 LISTE DE PRESENCE Nom et Pr nom D partement Fonction T l phone Signature N Maire DE lg AEREE gt L Houwaniss lt TTSOPRU LT M 2o Se pRance i AG 27 26 072 Neona ob 28 2326 S az 3649 us MIRME GRATIS Mans MMRE ADIOINT OFSITL TA d O4YENM lt sa Chal J 66 95 o Rx Hain re E Ma ledo 0 2 92 6e 2 2 ONG OF gen euneut Pau Aeneme ue 2 Cau yahoos ASS ECMIMNI NE 178 REPUBLIQUE GABONAISE MINISTERE DE L ECONOMIE DE LA PROMOTION DES Union Travail Justice INVESTISSEMENTS ET DE LA PROSPECTIVE COMMISSION NATIONALE DES TIPPEE _ L ATELIER NATIONAL DE RESTITUTION DES DE CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIAL DORE RIRE PERMANENT _ ET DE CADRE DE POLITIQUE DE REINSTALLATION CPR PROJET DE DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 LISTE DE PRESENCE Nometer nom
12. Loi n 13 93 du 26 ao t 1993 relative la protection et l am lioration de l environnement MEFEFEPN Loi n 16 93 portant code de l environnement en r publique gabonaise AVENOT Aim F lix 2010 La d centralisation territoriale au Gabon le Harmattan Paris 246 pages Direction G n rale de la Statistique et des Etudes Economiques Juillet 2009 Annuaire statistique du Gabon 2001 2007 N 11 245 pages GANARDEAU Valery 2010 La d centralisation au Gabon une r forme inachev e le Harmattan Paris 246 pages Les cahiers de l mergence Gabon Juin 2013 Infrastructures routes et transports 7 pages Martin D et AL 1981 Les sols du Gabon P dogen se R partition et Aptitudes Note explicative n 92 ORSTOM Paris 66 pages Organisation Mondiale de la Sant Bureau r gionale de l Afrique 2007 Strat gie de coop ration de POMS avec les pays 2008 2013 Gabon 25 pages PUGEAULT Serge Chapitre II La vie des institutions r gionales et locales l tranger L administration locale au Gabon In Annuaire des collectivit s locales Tome 5 1985 pp 43 56 URL http www persee fr web revues home prescript article coloc 0291 4700 R publique du Gabon 2011 Etude conomique et sectorielle D veloppement du secteur priv 31 pages R publique du Gabon Minist re de la Planification et de la Programmation du D veloppement D cembre 2005 Document de Strat gie de Croissance et de R duction de la P
13. information l ducation et la communication pour le changement de comportement CCC doivent tre ax es principalement sur les probl mes environnementaux li s aux micro projets du PDIL II ainsi que sur les strat gies adopter pour y faire face Ces interventions doivent viser modifier qualitativement et de fa on durable le comportement de la population communale Leur mise en uvre r ussie suppose une implication dynamique des services municipaux et de toutes les composantes de la communaut Dans cette optique les lus locaux et leurs quipes techniques doivent tre davantage encadr s pour mieux prendre en charge les activit s de CCC La production de mat riel p dagogique doit tre d velopp e et il importe d utiliser rationnellement tous les canaux et supports d information existants pour la transmission de messages appropri s Les m dia publics jouent un r le important dans la sensibilisation de la population Les structures f d ratives des ONG les comit s locaux les chefs de quartier et autres OCB devront aussi tre mises contribution dans la sensibilisation des populations Tableau 26 Information et Sensibilisation Acteurs concern s Th mes Quantit e Populations e Campagnes d information et 10 campagnes dans e Membres des Conseils municipaux de sensibilisation sur la nature chaque villes e Associations locales comit s des travaux l implication des locaux chefs de quartiers ONG acteu
14. latrines cases communautaires cases moulin case de couture lavoirs lavoirs avec bornes fontaines cl tures dalots et aires de jeu Avant le lancement du PDIL 1 le Gouvernement a labor et pr sent le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES qui devait r gir le Projet en mati re de crit res de s lection de sous projets compatibles aux politiques de sauvegarde environnementale et sociale de la Banque Mondiale et aux politiques lois et r glementations environnementales du Gabon Une valuation environnementale et sociale sommaire a t r alis e pour chacun des projets et microprojets financ s par les fonds du PDIL Dans le cas des microprojets il a t fait plusieurs remarques concernant la n cessit de proc der des am nagements compl mentaires pour prendre en consid ration les impacts environnementaux n gatifs Toutefois certaines recommandations n ont pu tre mises en uvre pour diverses raisons La performance en mati re de respect des sauvegardes est variable d un Plan d Am nagement Concert de Quartier PACQ l autre Ainsi Franceville la performance est satisfaisante 74 des recommandations appliqu es tr s insatisfaisante Port Gentil o dans le PACQ de la Balise 90 des recommandations n ont pas t appliqu es D une mani re g n rale sur l ensemble du PDIL la performance peut tre consid r e comme tant mod r ment satisfaisante Des tudes d i
15. Am nager des parcelles viabilis es dans les zones potentielles d extension de la ville Sensibiliser la population en vue de l acquisition de titre de propri t Indemniser les personnes ayant perdu des terres constructions plantations arbres fruitiers etc Accompagner les populations en cas de d placement et les r installer dans des zones de recasement Respecter la proc dure en mati re d expropriation d claration d utilit publique valuation des impenses contact et n gociation avec la personne concern e paiement d indemnisation et accompagnement la r installation Renforcer les moyens humains services techniques municipaux et les quipements de la commune et des Mairies d arrondissement en mati re de gestion des ordures et d entretien des ouvrages R habiliter les infrastructures existantes dispensaires coles lavoirs abris bus etc et construire des cases communautaires dans les quartiers Impliquer les Chefs de quartiers et les groupements d int r t communautaire dans le suivi et la maintenance des infrastructures Identifier les personnes vuln rables en fonction des zones d intervention et en cas de d placements ou de pertes d actifs les accompagner et les r installer dans des zones disposant de minimum de commodit s sant cole march eau lectricit etc par exemple dans les zones perdues Compte rendu des consultations publiques et rencontres insti
16. Il n est pas envisag que la r alisation des divers quipements et infrastructures socio conomiques pr vus puisse donner lieu des acquisitions de terrains qui entra nent des pertes d espaces de propri t s et ou d activit s conomiques au d triment des populations environnantes y compris leur d placement ventuel 121 III Objectifs et r sultants attendus de la mission La pr sente tude a pour objet d laborer le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES dans le but de d terminer un processus de s lection environnementale et sociale qui permettra aux structures charg es de la mise en uvre du projet de disposer d un cadre pour pouvoir identifier valuer et att nuer les impacts environnementaux et sociaux potentiels des activit s pr vues au stade de planification ainsi que les arrangements institutionnels de mise en uvre de surveillance et de suivi Le CGES fournira des informations par rapport aux terrains qui devraient tre acquis et des populations d placer si n cessaire Ces informations permettront d laborer un CPR conform ment la politique nationale de la R publique Gabonaise et aux Directives de ses Partenaires Techniques et Financiers notamment la Politique Op rationnelle 4 12 R installation Involontaire de la Banque Mondiale Entre autres ces politiques indiquent qu en cas de d placement involontaire de populations les proc dures de r installation doivent tre ac
17. L am nagement des march s en fonction de la nature des produits et des denr es n est pas toujours de mise ce qui rend complexe l entretien des lieux souvent utilis s la fois plusieurs fonctions pas toujours compatibles 52 Tableau 1 Synth se des principales contraintes au niveau des infrastructures urbaines Sous composantes Contraintes majeures Voirie Impraticabilit en p riode d hivernage Inaccessibilit des zones desservies Inondations cr es par les routes existantes Perturbations de la libre circulation et des activit s Occupation ill gale des emprises Adduction eau Perturbations en cas de travaux de r habilitation sur une conduite d AEP Desserte des quartiers p riph riques March s et quipements collectifs Perturbation et nuisances des quartiers Occupation temporaire de certains sites agriculture ateliers garages etc Ecoles D gradations de b timents D ficit d adduction d eau potable Latrines insuffisantes et inad quates s paration en fonction du sexe D ficit d clairage public Ins curit Environnement insalubre tas ordures proximit Absence de cl ture Centres de Sant D gradations Ruines Inondation environnement insalubre Baisse du taux de fr quentation D ficit d adduction d eau potable D ficit d clairage public Absence de cl tures Pas de syst me efficient de gestion des d chets biom dicaux Acc s
18. Les personnes vuln rables sont les jeunes filles m res d munies les femmes d munies les jeunes non scolaris s les handicap s les personnes du 3 me ge les indigents les drogu s les malades mentaux les veuves et orphelins les enfants de dans la rue les enfants en conflit avec la loi Contraintes environnementales et sociales de la ville de Port Gentil e Occupation anarchique de l espace urbain par les habitations pr caires e Pollution due la forte activit industrielle 42 Nuisances sonores olfactives Destruction de la mangrove et d esp ces v g tales end miques comme le NIAOULET la prolif ration des plans d eau artificiels l rosion c ti re due certains facteurs D barcad res exploitation de sable la mauvaise gestion des d chets les inondations dues la topographie du terrain l affleurement de la nappe phr atique Axe routier propos au pavage dans le cadre du PDIL II quartier Poitier du 4 Arrondissement 43 S w 8 Les populations en action de remblaie au 4 Arrondissement dans une zone inond e Entretien avec le Maire Installations de fortune sur l emprise d un axe dans le quartier Poitier 4 une conduite de la SEEG ses V R EL i maisons quartier Poitier Ouvrages de franchissement en bois r alis s par les populations pour acc der leurs 44
19. Veiller au respect des normes de r alisation des ouvrages D velopper des outils de sensibilisation des populations pour un bon usage des ouvrages Synth se appr ciation du projet Le PDIL est un bon projet un projet louable qui contribue au renforcement de la d centralisation par la r alisation d infrastructures locales la cr ation d une main d uvre locale et la formation de jeunes aux petits m tiers Aussi le PDIL va permettre de r soudre les probl mes d inondation par l am lioration du syst me de drainage des eaux et de r duire les vecteurs de maladies Synth se des pr occupations et craintes L absence d valuation du projet sa fin Le manque d optimisation des ressources des collectivit s locales d faut de p rennisation des infrastructures r alis es Une insuffisance de capacit s dans le domaine de l assainissement et de la gestion des documents administratifs municipaux Le cloisonnement des diff rents services publics et synergie entre les diff rents intervenants L clatement en plusieurs directions des diff rents services charg s de la d centralisation Le respect du cadre l gislatif et r glementaire r gissant le domaine de l environnement La prise en charge des personnes impact es par le projet Les doublons intervention de plusieurs projets dans le m me domaine et au niveau d une m me population L encadrement sur le terrain de cette bonne politique du
20. a roport Entretenir les r seaux de canalisation des eaux pluviales Mettre en place un syst me de gestion des ordures Associer le service du Cadastre dans l attribution des terres Installer des d adduction d eau Aider la construction d cole vers l a roport r seaux Capacit de la commune dans la gestion de projet Faible capacit de la commune Manque de mat riel lourd engins tracteurs bulldozer etc Insuffisance de ressources financi res et d expertise pour la mise en uvre de la politique sociale municipale Renforcer les capacit s de la commune Capacit s et r les dans la gestion environnementale et sociale Les diff rents services ont des pr occupations environnementales mais pas d expertise en la mati re y a une politique sociale municipale qui consiste assister les sinistr s en cas d inondation et les personnes frapp es de calamit s Renforcer les capacit s en mati re de gestion environnementale et sociale Appuyer financi rement 1 politique sociale du Maire Former les techniciens locaux en r installation de populations d plac es Implication dans le suivi de la mise en uvre du projet L implication des services techniques locaux Impliquer tous les services techniques provinciaux selon les besoins La gestion des conflits dans la commune Il fonctionne trois 3 niveaux autour du Chef de quartier autour du Maire et au
21. adduction d eau et d lectricit dans les quartiers encore sous int gr s Livrer les ouvrages du PDIL 1 afin qu elles puissent tre entretenus Achever les travaux de pavage d j engag s sur des ruelles Installer des bacs ordures travers les quartiers Am nager et lotir des zones d habitation avant leur occupation anarchique par les populations Favoriser la r solution des conflits l amiable autour du chef de quartier ou du Maire de la commune Aider arr ter le ph nom ne de l rosion hydrique dans certains quartiers Aider la construction d un cimeti re municipal Lambar n Autonomiser les communes en mettant leur disposition le mat riel la logistique n cessaire Former et renforcer les capacit s des diff rents acteurs en gestion environnementale et sociale _Impliquer les diff rents services techniques provinciaux comp tents Comptes rendus des rencontres institutionnelles et consultation publique MOUILA 27 03 1015 Institutions Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations acteurs Maire de la Appr ciation sur le La gestion des infrastructures Confier la gestion des Commune de projet non encore livr es du PDIL1 structures aux Mairies Mouila membres Dans le cadre du Les inondations Accompagner les routes du conseil PDIL1 Mouila L adduction d eau et paver de canalisation municipal b n fici des d lectricit
22. analyse de ces politiques est pr sent e ci dessous PO PB 4 01 Evaluation Environnementale L objectif de la PO 4 01 est de s assurer que les projets financ s par la Banque sont viables et faisables sur le plan environnemental et que la prise des d cisions s est am lior e travers une analyse appropri e des actions et leurs probables impacts environnementaux OP4 01 para 1 Cette politique est d clench e si un projet va probablement entra ner des risques et des impacts environnementaux potentiels n gatifs dans sa zone d influence La PO 4 01 couvre les impacts sur l environnement physique air eau et terre le cadre de vie la sant et la s curit des populations les ressources culturelles physiques et les pr occupations environnementales au niveau transfrontalier et mondial Les aspects sociaux r installation involontaire peuples indig nes ainsi que les habitats naturels la lutte antiparasitaire la foresterie et la s curit des barrages sont couverts par des politiques s par es ayant leurs propres exigences et proc dures Le projet est interpell par cette politique car certaines activit s pr vues doivent faire l objet d une tude ou d une notice d impact environnemental et social PO PB 4 11 Ressources Culturelles Physiques Cette politique proc de une enqu te sur les ressources culturelles potentiellement affect es et leur inventaire Elle int gre des mesures d att nuation quand
23. coles centres de sant march s etc peut avoir des incidences environnementales ou sociales soit individuellement soit de mani re cumulative dans les quartiers cibles du projet En phase d exploitation gestion il se posera la cruciale question de la gestion des infrastructures r alis es qui peuvent occasionner des nuisances si des mesures idoines ne sont pas prises entretien de la voirie nettoiement balayage entretien des caniveaux curage entretien des march s nettoiement et gestion des d chets solides gestion des d chets biom dicaux dans les centres de sant hygi ne et assainissement au niveau des coles etc Toutefois les sites devant accueillir les sous projets n tant pas encore totalement retenus et les travaux r aliser pas pr cis ment d crits cette tape de pr paration du projet il est envisag de pr parer un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES pour faire en sorte que les pr occupations environnementales et sociales des futures activit s du projet soient bien prises en compte Le CGES du PDIL IT permettra de guider la gestion environnementale et sociale des activit s et sous activit s susceptibles d tre appuy es par le projet et d aider assurer la conformit aussi bien avec la l gislation environnementale nationale qu avec les exigences des Politiques de Sauvegarde de la Banque mondiale Le CGES comprend une analyse du cadre institutionnel et juridique environn
24. par les notables et le Maire de l arrondissement concern e le quatri me niveau en cas d chec du troisi me fait intervenir le Pr fet ou la Gendarmerie e sile requ rant n est pas satisfait il peut saisir la justice Ces voies de recours recours gracieux pr alable sont encourager et soutenir tr s fortement 65 6 IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX POSITIFS ET NEGATIFS POTENTIELS DU PROJET 6 1 Les impacts environnementaux et sociaux positifs potentiels 6 1 1 Impacts positifs potentiels globaux communs tous les micro projets Les r alisations pr vues dans le cadre du PDIL II sont d une grande utilit dans la mesure o elles vont permettre aux Communes b n ficiaires confront es au ph nom ne d urbanisation incontr l e de disposer d infrastructures de base n cessaires au bien tre de leurs populations Am lioration du cadre et des conditions de vie De mani re globale le PDIL IT permettra de renforcer l acc s durable aux infrastructures pour les populations des quartiers pr caires dans les 9 capitales provinciales du pays Les r alisations du Projet vont fournir des avantages sociaux significatifs aux b n ficiaires en am liorant leurs conditions de vie et leur environnement Il contribuera aussi la r duction de la pauvret au sein des populations urbaines par la cr ation d emplois court terme Le projet aura pour effet de r duire les inondations d am liorer l acc s
25. Exploitation e Attrait d insectes dans les maisons mitoyennes en saison hivernale e Non fonctionnalit des installations due un d faut d ex cution des travaux ou l absence d implication des services de la SEEG dans la conception la mise en uvre et le suivi e R installation des populations indemnis es sous ou proximit des lignes de moyenne et haute tension Pollution de l air avec les gaz issus des transformateurs usag s e Pollution de l environnement avec les lampes basse consommation usag es Tableau 11 Impacts n gatifs potentiels des travaux de lutte contre les rosions Phase Impacts n gatifs potentiels D sagr ments li s l absence de campagnes d information sensibilisation des populations et Construction ee R d un plan de d viation de la circulation Exploitation Risque d actes de vandalisme vol de grillage et de moellons en cas de non surveillance Tableau 12 Synth se de l appr ciation des impacts potentiels des sous composantes Cat gories de sous projets Impacts Positifs Impacts N gatifs des rues Majeurs Majeurs e Ecoles Majeurs Mineurs e Centres de sant Majeurs Mineurs e March s et gares routi res Majeurs Mod r s e Drainage pluvial Majeurs Mod r s e R seau d adduction d eau Majeurs Mod r s R seaux lectriques Majeurs Mod r s e Lutte contre les rosions Majeurs Mod r s 76 6 3 Mesures d att nuation des impacts n gatifs po
26. Inondation et ravinement Besoins d adduction d eau et d lectricit et d assainissement pluvial D ficit de routes secondaires Enclavement des quartiers terres par les populations Informer sensibiliser et n gocier avec les populations en cas d impact de d placement Am liorer le cadre de vie Les capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains Faiblesse des moyens financiers de la Mairie Manque de formation du personnel municipal moyens limit s en environnement et social faut renforcer les moyens financiers de la Mairie Former ses personnes ressources en gestion environnementale et sociale La gestion des conflits dans la commune Conflits base autour des chefs de quartiers et des maires choix de sites d j occup s faut r soudre les conflits la base autour des chefs de quartiers et des maires _ Choisir les sites non occup s Les personnes class es vuln rables Prise en charge des personnes vuln rables Ch meurs sans emploi Personnes g es sans soutien Veuves et les veufs Accorder un soutien consistant aux personnes vuln rables Les besoins en formation Renforceme nt de capacit s Formation dans le domaine de l environnement de la Fiscalit des projets et dans le domaine social Former les agents techniques en gestion environnementale en
27. Mettre en place des syst mes performants de gestion des ordures m nag res Am lioration de la sant publique et des activit s Assurer un meilleur acc s aux structures sanitaires int rieures et ext rieures en proc dant la restructuration Assurer l acheminement rapide des moyens de secours en cas de sinistre socio ducatives is ens 2 gt e Faciliter et s curiser l acc s aux structures d ducation et de formation Tableau 22 Mesures de bonification des impacts positifs potentiels des infrastructures et quipements Sous composantes Attentes et Suggestions Pavage des rues e Drainage pluvial e Voies de d viation e Eclairage public e Information de la SEEG avant travaux e Sensibilisation des riverains avant travaux e Avertissements des occupants avant travaux e Entretien et gestion apr s les travaux March s et gares e Sensibilisation des populations bien avant les travaux routi res e N gociation avec les riverains limites horaires gestion des lieux etc e Mettre en place un syst me de gestion des ordures m nag res e Point d eau e Eclairage Latrines suffisantes et tenant compte du sexe e Garderie d enfants pour les vendeuses tudier la faisabilit e Entretien et gestion apr s travaux cr ation de Groupement d Int r t Communautaire Ecoles e Point d eau Latrines suffisantes et tenant compte du sexe 82 e Electri
28. Pilotage du PDIL Renforcement de l expertise environnementale et sociale de l UCP PDIL II L UCP PDIL II dispose d j d un Expert en Sauvegardes Environnementales et Sociales ESES en fonction la CN TIPPEE et qui a d j re u une formation cet effet et d une Sociologue qui a exerc dans le cadre du PDIL 1 Ces deux experts ont pour r le d assurer la fonction environnementale et sociale du projet Toutefois pour mieux renforcer cette fonction et l int gration de l environnement dans la mise en uvre des activit s le PDIL II devra renforcer leurs capacit s particuli rement celles de la Sociologue mais aussi de l expert Responsable du Suivi Evaluation Tableau 24 Termes de R f rences de l ESES du PDIL II Phase de pr paration du projet e Remplissage des formulaires de s lection et classification environnementale des activit s choix des mesures d att nuation propos es Classification environnementale des activit s Suivi de la validation en rapport avec la DGE Pr paration du projet de TDR pour les activit s n cessitant une EIES s par e Appui au recrutement de consultants et bureaux d tudes qualifi s pour mener les EIES si n cessaire Appui la diffusion des rapports d EIES aux institutions appropri es qui sont accessibles au public Int gration des mesures environnementales et sociales dans les dossiers d appel d offres et de travaux e Suivi de la validation
29. TRAITEMENT ET RESOLUTION DES DOLEANCES eee seseecereneneseceesenennnsse IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX POSITIFS ET NEGATIFS POTENTIELS DU 6 1 LES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX POSITIFS POTENTIELS 0ssssssssssssssssssssssesvsssessssseseeeees 66 6 1 1 IMPACTS POSITIFS POTENTIELS GLOBAUX COMMUNS A TOUS LES MICRO PROJETS ue 66 6 1 2 IMPACTS POSITIFS DES EQUIPEMENTS ET MICRO EQUIPEMENTS D ACCESSIBILITE ET DE MOBILITE URBAINE 66 6 1 3 IMPACTS POSITIFS INFRASTRUCTURES DE SERVICES COMMUNAUTAIRES DE BASE eee 6 1 4 IMPACTS POSITIFS DES RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D ADDUCTION D EAU ET 6 1 5 IMPACTS POSITIFS DE LA LUTTE CONTRE LES FACTEURS DE DEGRADATION DU CADRE DE 6 1 6 IMPACTS POSITIFS DE L APPUI INSTITUTIONNEL DU RENFORCEMENT DES CAPACITES CONCEUSION sech S eee EE T EA E Le Re RE ne 6 2 LES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX NEGATIFS POTENTIELS s0ssssssssesssssssssssssssssesssesesseees 6 2 1 IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS COMMUNS A TOUS LES MICRO PROJETS EN PHASE DE TRAVAUX 6 2 2 IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS DES EQUIPEMENTS ET MICRO EQUIPEMENTS D ACCESSIBILITE ET DE MOBILIT URBAINE SRL denr es mate msi 72 6 2 3 IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS DES INFRASTRUCTURES DE SERVICES CO
30. _ le projet a renforc la projet sa fin sa fin 157 territoriales et de la d centralisation du Minist re de l int rieur d centralisation avec la r alisation d un certain nombre d infrastructures locales la cr ation d une main d uvre locale la formation de jeunes aux petits m tiers ma onnerie construction de briques etc ce qui a permis aux jeunes d voluer dans des secteurs d activit s Manque d optimisation des ressources des collectivit s locales d faut de p rennisation des infrastructures r alis es Optimiser les ressources du projet Eviter le d tournement des objectifs du projet sur des bases politique ou politicienne Eviter de personnaliser les r alisations Les capacit s des communes dans la gestion de projet Une insuffisance de capacit s dans le domaine de l assainissement inondations et des difficult s dans la gestion des documents administratifs municipaux Registres Actes de naissance etc Une insuffisance de capacit s dans le domaine de la gestion des documents administratifs municipaux Renforcer les capacit s des municipalit s dans la d centralisation appropriation des r glementations Renforcer la capacit des municipalit s dans la gestion administrative R le et responsabilit dans la gestion des infrastructures locales Cloisonnement des diff rents services publics Eclatement en plusieurs directions
31. e Nuisances dues aux activit s et aux d chets de chantiers e Risques d accidents li s aux activit s de chantier e D veloppement de maladies au niveau des populations et des ouvriers e D gradation de vestiges culturels e Conflits sociaux en cas de non emploi local ou de travaux etc Mesures d att nuation propos es e Pollution de l air Mener une campagne de communication et de sensibilisation e D gradation des sols avant les travaux e Pressions sur les ressources en eau e Veiller au respect des mesures d hygi ne et de s curit des e Abattage d arbres d alignement et pertes de installations de chantiers v g tation Proc der la signalisation des travaux Perturbation de la libre circulation et des activit s e Veiller au respect des r gles de s curit lors des travaux SsOCIOECONOMIAUES e Assurer la collecte et l limination des d chets e Perte de biens et de sources de revenus 9 R 6 e Mener des campagnes de sensibilisation hygi ne s curit s des Impliquer troitement les Mairies d arrondissement dans le suivi de la mise en uvre Respecter les proc dures de chance find en cas de d couverte de vestiges culturels Employer la main d uvre locale en priorit dont les femmes non respect des us et coutumes e Proc der au choix judicieux des sites d implantation e R installation involontaire d placement pertes de Indemniser les personnes affect es
32. et ce sur une base permanente et en adoptant des m thodes scientifiques et modernes e la Convention d Aarhus 1998 sur l acc s a l information la participation du public au processus d cisionnel et l acc s la justice en mati re d environnement ratifi e en 1997 dont l objet de sensibiliser le public aux pr occupations environnementales en favorisant l acc s l information et sa participation au processus d cisionnel 55 4 3 Cadre institutionnel de gestion environnementale et sociale du projet 4 3 1 Le Minist re de la For t de l Environnement et de la Protection des Ressources Naturelles La gestion environnementale et sociale du projet interpelle plusieurs institutions publiques nationales notamment le Minist re de la For t de l Environnement et de la Protection des Ressources Naturelles qui d finit la politique en mati re de protection de l environnement et de promotion du d veloppement durable L ex cution de la politique environnementale incombe la Direction G n rale de l Environnement et de la Protection de la Nature DGE qui veillera l application du code de l environnement et des diff rents arr t s li s l valuation environnementale Dans le cadre du PDIL la DGE proc dera i la validation des EIES et assurera le suivi environnemental et social de la mise en uvre 4 3 2 Les structures de mise en uvre du PDIL La mise en uvre rationnelle du PDIL s
33. formation des agents environnementale et sociale des projets urbains Le PDIL I aid la mise en place de groupements d int r t communautaires GIC dans les quartiers pour assurer la et GIC Renforcer la collaboration entre la Mairie et les services techniques provinciaux 145 gestion et le suivi des infrastructures et quipements communautaires r alis s M canismes locaux des conflits dans la Il n y a pratiquement pas de conflits fonciers entre la Mairie et les populations En cas de conflits les populations peuvent compter sur les bons offices des chefs Renforcer la sensibilisation des populations sur les enjeux fonciers Vulgariser les textes r glementaires en mati re de gestion fonci re commune de quartiers qui peuvent jouer le r le de m diateur Si une solution n est pas trouv e les parties en conflits sollicitent souvent l arbitrage du Tribunal Les personnes vuln rables en Pr voir des mesures particuliers les veuves et les d accompagnement des orphelins sont surprot g es par personnes vuln rables et tenir la loi qui reste tr s rigoureux le compte de leur respect de ses dispositions en pr occupations acc s au P la mati re Les traditions sont logement aux services galement cette loi sociaux de base activit s vuln rables D ailleurs la Fondation de Madame la Premi re Dame du Gabon s investit beaucoup en faveu
34. g n ral et 452 au second degr technique 46 Les principales contraintes identifi es dans le secteur de l ducation et de la formation sont de plusieurs ordres effectifs pl thoriques insuffisance des coles et de classes tous les niveaux ins curit li e l absence de cl ture insuffisance d eau et d lectricit dans certains tablissements la v tust des b timents etc Sant Au plan sanitaire la commune dispose du Centre hospitalier r gional RHRO 1 centre de sant communal ancien h pital 01 cantre de sant maternelle et infantile SMD 09 infirmeries 08 dans les coles et 01 a la halte garderie 01 base pid miologique et de lutte contre les grandes end mies 01 centre de traitement ambulatoire et 01 office pharmaceutique national Dans le priv on compte 01 tablissement public CNSS 02 cliniques 09 cabinets de soins infirmiers 01 tablissement de soins ONG 02 pharmacies 05 d p ts pharmaceutiques et 01 laboratoire d analyses D une mani re g n rale les tablissements sanitaires sont souvent en rupture de m dicaments et petit mat riel A cela s ajoutent les nombreuses difficult s li es a l approvisionnement en m dicaments par l antenne provinciale de l office pharmaceutique national Sous un autre registre l insuffisance de personnel qualifi permanent et d quipements ad quats se fait sentir tous les niveaux particuli rement dans les tablissements publi
35. gique Version finale novembre 2013 131 pages Programme ART GOLD GABON Document de Marketing Province du Woleu Ntem Juillet 2009 PNUD 57 Programme ART GOLD GABON Document de Marketing Province du Woleu Ntem Juillet 2009 PNUD 57 Pages Profil pid miologique de la province d Ogoou Ivindo 127 Annexe 7 Compte rendus des consultations et rencontres institutionnelles Compte rendu de la rencontre avec l quipe du Projet CN TIPPEE 23 03 15 Institutions acteurs Avis sur le Projet Pr occupations craintes Suggestions recommandations CNTIPPEE Unit Un projet dont la Dur e pr vue pour la Revoir la dur e de la mission de coordination du philosophie demeure et mission de collecte de de collecte de donn es de PDIL II reste toujours celle du donn es de terrain 15jrs terrain PDIL 1 Financ 100 est insuffisante pour Assurer la repr sentativit en par la Banque Mondiale visiter les neufs villes visitant six 6 villes au lieu de le projet est encore en provinciales quatre 4 phase d identification L accessibilit dans Rencontrer n cessairement le Nous avons souhait certaines Provinces Minist re de l Environnement acc l rer le processus afin Les 4 villes retenues Arr ter les villes visiter en de rendre le PPA disponible repr sentatif visiter est insuffisant non relation avec le secr taire permanent de la CN TIPPEE Synth se des
36. gique de Croissance et de R duction de la Pauvret Il convient l encore de souligner que les plans et projets susmentionn s n ont t que partiellement mis en ceuvre faute de financement cons quents 4 2 Cadre juridique de gestion environnementale et sociale 3 2 1 Textes nationaux Le code de l environnement Les l ments de base de la l gislation contenue dans i la Loi 002 2014 portant Orientation du D veloppement en r publique gabonaise et ii la Loi 007 2014 relative la protection de l environnement qui d terminent les principes g n raux qui doivent fonder la politique nationale en mati re de protection et d am lioration de l environnement Elle tend notamment la pr servation et l utilisation durable des ressources naturelles la lutte contre les pollutions et nuisances l am lioration et la protection du cadre de vie la promotion de nouvelles valeurs et d activit s g n ratrices de revenus li es la protection de l environnement l harmonisation du d veloppement avec la sauvegarde du milieu naturel Le code de l Environnement comporte les d crets suivants en rapport avec le PDIL e D cret n 539 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant les Etudes d Impact sur l Environnement D cret n 541 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant l limination des d chets D cret n 542 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant le d versement de certains produits dans les eaux superf
37. l importance de l impact Ils fournissent une description sommaire des tats et des contraintes et permettent d observer le progr s r alis ou la d gradation subit dans le temps ou par rapport des cibles Ils r v lent des tendances pass es et servent dans une certaine mesure d instruments de pr vision En tant que tels ils constituent une composante essentielle dans l Evaluation Environnementale et Sociale du PDIL IT Indicateurs d ordre strat gique suivre par VESES de VUCP Les indicateurs strat giques suivre par l ESES de l UCP sont les suivants e Recrutement des Experts Environnement et Social au niveau des Equipes Mobiles Effectivit de la s lection environnementale et sociale et de la r alisation des EIES NIES Nombre de sous projets ayant fait l objet d une EIES NIES avec PGES mis en uvre Nombre de s ances de formation sensibilisation organis es Nombre de mission de suivi valuation environnemental Indicateurs suivre par les bureaux de contr le lors des travaux Au niveau de chaque composante les indicateurs ci dessous sont propos s suivre par les Bureaux de Contr le et les Consultants mais aussi si possible des services et comit s locaux e Effectivit de l insertion de clauses environnementales dans les dossiers d ex cution Efficience des syst mes d limination des d chets issus des travaux de chantier d entreprises respectant les dispositions environnement
38. lectricit ni eau potable Besoins des populations qui sont nombreux r gionale et de la Mairie qui a un service social Construire des nouveaux canaux Port Gentil Capacit s de la Manque de personnel qualifi Renforcer les capacit s des commune dans la Manque de moyens logistiques gestions de la Mairie gestion de projet Le personnel est faible en Que la Mairie renforce sa Capacit s de la capacit environnementale collaboration avec les commune dans la Affaires sociales gestion Construire une structure environnementale et sociale des projets urbains pluridisciplinaire quip e et avec du personnel Bac aviation Massuku et du centre social du littoral Personnes vuln rables Les populations tr s pauvres personnes du 3 ge d munies ou conomiquement faibles indigents handicap s jeunes filles m res chefs de familles nombreuses enfants abandonn s personnes vivant avec le VIH Service Provincial de la Culture des Arts et de l ducation civique Perception du Projet Bon projet qui peut aider la construction d un b timent pour les services de la culture et un centre de lecture et d activit s culturelles Les sites sacr s sont constitu s de cimeti res de Ntch ngu de Lazaret Pax et celui de Gabon T l com Le patrimoine culturel est compos de temples de Bwiti et d lombo ainsi que d glises catholiques pentec tiste protestante et veill es
39. municipalit dans la gestion des d chets l laboration des textes de r glementation la mise en place de cadre de concertation la gestion des plaintes des populations li es aux probl mes environnementaux et sociaux nuisances pollutions sonores occupation ill gale de l espace etc Eviter les doublons Mener des tudes sociales Informer les populations locales du projet Favoriser l information pr coce des diff rents services comp tents pour plus d efficacit dans les interventions Direction g n rale de la soci t d nergie et d eau du Gabon SEEG Appr ciation sur le projet Le PDIL est un bon projet que nous avons le plaisir d accompagner lors de sa premi re phase Encadrement sur le terrain de cette bonne politique du PDIL Structuration des actions du projet Information et la communication Encadrer les actions du projet sur le terrain dans l int r t des populations Faire du PDIL2 un projet int gr Il faut mettre l accent sur l information et la sensibilisation des populations b n ficiaires Gestion des r seaux d lectrification Probl me de mobilisation du financement n cessaire Forte volution d mographique Habitations spontan es Accessibilit aux quartiers sous int gr s Aider la mobilisation des fonds n cessaires l investissement dans ce secteur Organiser occupation des sols par les populations Cr er l access
40. res et les quipements servant au transport et la pose du b ton doivent tre lav s dans des aires pr vues cet effet Lutte contre les poussi res L Entrepreneur doit choisir l emplacement des concasseurs et des quipements similaires en fonction du bruit et de la poussi re qu ils produisent Le port de lunettes et de masques anti poussi res est obligatoire 116 Annexe 4 TDR type pour la r alisation d une EIES 1 Introduction des TDR Les termes de r f rence doivent avoir une introduction dans laquelle le Consultant devra pr senter L objet du projet et le lieu o il se d roulera la justification juridique de l tude d impact environnemental et social et indiquer le Bureau d tude ayant en charge la r alisation de celle ci le contexte de r alisation de l enqu te publique notamment les dates les populations villages et ONGs les autorit s Pr fecture Mairie qui ont t enqu t es et leurs pr occupations 2 R sum de l tude Il doit pr senter entre autres la synth se de la description du projet des impacts et du plan de gestion environnementale et sociale 3 Introduction de PEIES Elle doit pr senter les l ments du contexte g n ral de l tude qui seront d velopp s dans le rapport Il s agit notamment v de la situation au plan national et d partemental du secteur concern par le projet v des grands projets en cours de r alisation dans le D
41. rosions mettrait les populations des quartiers vuln rables en danger permanent et pourrait endiguer tous les efforts consentis dans les infrastructures routi res qui ne sauraient r sister l coulement des eaux pluviales L absence de march s et d quipements collectifs freinerait le dynamisme de l conomie locale ralentirait le processus d change d coulement des productions locales et d approvisionnement des populations en produits de premi re n cessit L absence de r seau de drainage pluvial Assainissement va accentuer les inondations r currentes dans les zones basses la d gradation du cadre de vie et de l environnement Sans drainage en plus des inondations les populations sont expos es aux d veloppements de g tes larvaires prolif ration de moustiques etc et aux maladies telles le paludisme la bilharziose la filariose l ankylostomiase les helminthiases etc L absence des r seaux lectriques risquerait de maintenir les quartiers surtout p riurbains dans l obscurit et l ins curit facteurs de plusieurs maux dont la recrudescence du banditisme tout en r duisant l exercice d activit s commerciales et artisanales de nuit Cette situation encouragerait les branchements anarchiques et frauduleux sur le r seau lectrique avec tous les risques que cela comporte 8 2 Conclusion pus 001 CR 2 og amp Une telle situation de ne rien faire constituerait ains
42. s de gestion de la commune Renforcer les capacit s des services techniques en mati re de gestion environnementale et sociale Aider l application des textes r glementaires r gularisation fonci re Informer les services comp tents SEEG Urbanisme temps et les impliquer dans la mise en uvre et le suivi Mat rialiser les installations des r seaux eau et lectricit existantes dans les zones devant abriter les sites des r alisations du projet Prendre en charge les d penses occasionn es par des interventions sur les r seaux eau et lectricit faire un devis par le SEEG Impliquer le service de la Culture et les populations en cas de d localisation de tombes ou de d couverte de vestiges afin de se conformer la fois la loi et aux coutumes Insister sur l int gration de l clairage publique l extension des r seaux eau lectricit assainissement et drainage dans la construction des routes en pav R aliser des passerelles dans les quartiers pr caires sous int gr s Construire des exutoires dans les quartiers non desservis de r seau d assainissement pour viter la prolif ration de fosses septiques et la d f cation dans la nature sources de pollution et de maladies Rendre moderne les cimeti res municipaux acc s clairage entretien etc Eviter autant que possible que les terrains occup s par les r alisations du projet empi tent sur les sites culturels et les tombes
43. seau d adduction d eau et d assainissement Pauvret des m nages commune essentiellement rurale e Prise en charge des personnes vuln rables jeunes filles m res personnes g es veuves personnes handicap es orphelins enfants en difficult etc e Ch mage et sous emploi des jeunes habitat des quartiers sous int gr s gauche M thiu Oyem et droite Nzouma Makokou 48 FE talages et petit commerce informel aux abords du march d Oyem lt Cab 1 Route lat ritique d grad e rosion dans le quartier p riph rique de 49 3 3 D fis environnementaux et sociaux au niveau dans les villes cibl es par le PDIL II Les villes cibl es par le Projet savoir les neufs capitales provinciales que sont Libreville Oyem Makokou Franceville Port Gentil Lambar n Mouila Koulamoutou Tchibanga travers leurs quartiers pr caires sont soumises aux contraintes urbaines suivantes 1 un d veloppement incontr l sous l effet de la pression d mographique ii le d veloppement de plusieurs activit s socio conomiques surtout commerciales et artisanales informelles occasionnant souvent l occupation de la voie publique iii l extension urbaine anarchique et incontr l e 3 2 1 Insuffisances de la planification urbaine et des infrastructures municipales L accroissement d mographique rapide et spontan dans les v
44. tapes d intervention suivantes i collecte et analyse des documents du projet et d autres documents strat giques ii rencontres avec les acteurs institutionnels principalement concern s par le projet iii consultations des populations des quartiers potentiellement cibl s par le Projet iv visites de terrain dans les zones d intervention du projet La pr sente tude du CGES a t effectu e sur une p riode de deux 2 mois Le Consultant s est appuy sur une quipe de Personnes Ressources au niveau locale et international qui l ont aid notamment dans la collecte de l information de terrain la conduite des consultations et des rencontres institutionnelles 14 2 DESCRIPTION DU PROJET 2 1 Objectif du g n raux du Projet Le Projet de D veloppement des Infrastructures Locales Phase 2 PDIL ID a pour objectifs principaux i d am liorer l acc s durable aux infrastructures pour les populations de neuf 9 villes du Gabon en l occurrence les villes de Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga et Koula Moutou notamment pour les habitants des quartiers d favoris s et ou pr caires ii d am liorer l environnement commercial et financier des PME par le renforcement de leurs capacit s techniques et manag riales et iii Renforcer et reformer les municipalit s afin d am liorer leur capacit op rationnelle leur gouvernance afin de mieux les pr parer as
45. 000 techniques e Suivi des mesures environnementales ommuna e Bureaux de e Suivi des normes d hygi ne et de s curit contr le et PME e Politiques de Sauvegarde de la BM e Information et Sensibilisation Populations Campagnes d information et de 20 campagnes 2 500 000 50 000 000 Membres des sensibilisation sur les enjeux 2 dans chaque Conseils environnementaux et sociaux des travaux ville MR pee l implication des acteurs locaux Associations os iGeales comit s Sensibilisation sur la s curit et l hygi ne locaux Chefe de lors des travaux quartier ONG etc TOTAL 150 000 000 Co t total des mesures environnementales 680 000 000 FCFA NOTA Tous ces co ts devront tre inclus dans les co ts du PDIL 2 103 Tableau 31 D tails des couts indicateurs et responsables Provisions il est pr vu de r aliser environ 36 EIES 4 par 230 000 000 e Nombre ESES UCP UCP pour la municipalit A cet effet il s agira de recruter des d EIES PDIL 2 DGE r alisation et consultants pour conduire ces tudes 4 raison de r alis s Comit 5 000 000 FCFA par tude soit un co t total de en 180 000 000 FCFA provisionner La r alisation 7 ee d ventuelles EIES NIES pourrait entrainer des EIES PGES mesures comportant des co ts et qui devront tre mises en budg tis es d s pr sent par le PDIL II pour oeuvre pouvoir tre
46. 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Jean Fran ois MONDJO Chef de quarier 07 65 46 18 2 Agnes MAVOUNGOU Chef de quarier Lits b 07 49 26 15 3 Joseph Marie BOUNDJANG Chef de quartier Dakar 07 31 8791 4 Paul BOULENDE Chef de quartier Soka 07 79 19 25 5 Albert MOUTSOMOUKOU Chef de quartier Bakele 04 81 46 33 6 Michel LIPEME Chef de quartier adjoint 07 73 55 16 7 F licien MOUKOU Conseiller Municipal 04 52 92 88 8 Ruth MABATA Conseiller Municipal 04 23 74 05 9 Henriette MANZELA Conseiller Municipal 07 92 48 90 10 Mathilde MADEBE MAGHAMBA Maire du 1 arrondissement 07 22 60 55 06 20 86 80 11 Emile NDOUNGOU MOUKONDZEDI 1 Adjoint au Maire du 1 07 44 57 11 arrondissement 06 25 70 85 12 S bastien NDOUNGOU 1 Adjoint au Maire 2 07 25 68 47 arrondissement 13 Ad le DOUMBE 2 Adjoint au Maire 06 06 17 58 14 Marie Louise WAKONGO BIYENE 3 Adjoint au Maire 06 62 69 53 07 33 11 21 15 Lola NZENGUET 1 Adjoint au Maire 06 26 92 08 Consultations Publiques Localit de KOULA MOUTOLU Date 07 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Alph e MOUELE Conseiller Municipal 07 80 43 80 06 60 02 01 2 Paul NDINGA Conseiller Municipal 07 36 37 85 02 36 37 85 3 Roger NDOUNENI Conseiller Municipal 06 65 40 39 4 Edouard MVOUENDI Chef
47. 3 2 4 Probl matique de la gestion des eaux pluviales et des inondations 51 3 2 5 Probl matique de la gestion des d chets solides ss 51 3 2 6 D gradation de la voirie et enclavement des quartiers sous int gr s 51 3 2 7 D ficit en alimentation en eau potable 52 3 2 8 D ficit en fourniture d nergie et difficult s d acc s l lectricit 52 3 2 9 D gradation des infrastructures scolaires sanitaires et marchandes 52 CADRE JURIDIQUE INSTITUTIONNEL EN MATIERE D ENVIRONNEMENT 54 4 1 POLITIQUES ET PLANS NATIONAUX DE DEVELOPPEMENT scssssssccececsessseececcceceesseaeceeececsessaesesececeeseaaees 54 4 2 CADRE JURIDIQUE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE siennes 54 32 1 TEXLES NANON AUX en 54 3 2 2 Conventions et Accords 55 4 3 CADRE INSTITUTIONNEL DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DU PROJET us 56 4 3 1 Le Minist re de la For t de l Environnement et de la Protection des Ressources Naturelles 56 4 3 2 Les structures de mise en uvre du 56 4 3 3 Capacit s de gestion environnementale et sociale et besoins en renforcement 57 44 LES POLITIQUES DE SAUVEGARDE DE LA BANQUE MONDIALE suisses 57 4 4 1 Pr sentation et revue de l applicabilit des politiques de la Banque mondiale 57 BADE
48. Assurer une couverture sanitaire de proximit aux populations Am lioration de la qualit et de l accessibilit aux soins Meilleure prise en compte du genre dans les projets urbains Am lioration de l acc s aux services sociaux de base Am lioration de la salubrit de l hygi ne et de la s curit dans quartiers pr caires Viabilisation des zones pr caires des quartiers sous int gr s R duction des inondations et des boulements R duction des risques de propagation de maladies Am lioration des recettes fiscales des communes Renforcement des capacit s des services techniques Appui institutionnel et renforcement des capacit s des villes cibl es par le Projet et des Minist res sectoriels impliqu s dans le d veloppement urbain et des communaut s b n ficiaires e Am lioration des capacit s des services techniques municipaux et des services d concentr s e Meilleure coordination entre les services minist riels impliqu s aussi bien dans la gestion urbaine e D veloppement de partenariat entre les Villes les Communes d Arrondissements les services publics et les ONGs Associations locales e Renforcement des capacit s des PME du secteur BTP e Meilleure structuration du secteur des PME PMI e Renforcement de l acc s des PME du secteur BTP la commande publique e Am lioration des capacit s techniques financi res et institutionnelles des PME dans le domaine du BTP 6 1 7 Conclusion Les r alisations
49. Besoin d un mus e Port Gentil Probl mes environnementaux et sociaux de la Il y a des tombes sur la route de PG2 Mauvaise gestion des ordures Sensibiliser les populations sur la salubrit commune Capacit s de la Pas d expertise en mati re de Que le Service culturel soit commune dans la d placements de tombes associ d s le d but du projet gestion de projet pour sensibiliser les populations Capacit s de la Pas d expertise dans les Construire des locaux pour commune dans la domaines de l environnement abriter les services de la gestion et de la gestion de projet Culture environnementale et sociale des projets urbains Il n y a pas de Centre de Lecture et d Activit s R habiliter la case vielle d coute du Printemps Synth se des perceptions sur le projet Le PDIL est une bonne opportunit pour le renforcement de l ossature et da la viabilit des villes Les r alisations du PDIL aident beaucoup d senclaver les quartiers sous int gr s Avis favorable sur le projet Le projet va veiller au bien tre social des populations Le projet va s occuper de l am lioration du cadre de vie C est un projet qui vient en appui la mission du d partement de l Environnement Synth se des pr occupations et craintes 149 besoins des populations non satisfaits quasi permanence des inondations difficult s d approvisionnement en mat riaux de constructi
50. C avec des variations climatiques faibles mais r guli res les mois les plus frais sont ceux de la grande saison s che juin juillet ao t tandis que les plus chauds sont ceux de mars et avril correspondant la saison des pluies Cours d eau Le r seau hydrographique de Franceville est compos de cours d eau et de lacs dont les principaux sont l Ogoou d limite le d partement de la commune dans sa partie occidentale et coule du sud vers le nord tandis que son affluent la Passa traverse la commune dans toute sa partie orientale du sud est vers l ouest Les lacs Angoubou Ngwa ngwaragha Bapili et Tsibi tsibi font de Franceville un prestigieux site de vill giature Principales activit s conomiques Le secteur conomique de la commune de Franceville est domin essentiellement par l agriculture le commerce le transport les t l communications le commerce des hydrocarbures le tourisme l artisanat industries etc A l instar du pays l agriculture reste peu d velopp e dans la commune de Franceville qu il s agisse des productions vivri res manioc banane l gumes ou des cultures de rente caf Les populations pratiquent dans les cantons limitrophes de la commune une agriculture itin rante sur brulis tourn e essentiellement vers l autosubsistance avec des exploitations d une superficie moyenne cultiv e de 26 0 5 ha Aussi l absence de moyens modernes de production de centre de fo
51. Cadastre sur l occupation des terres Proc dure en mati re Pour les non d tenteurs de titre Appliquer rigoureusement la d expropriation il y a des mesures loi sur le foncier d accompagnement sociales Faire la situation fonci re au comme la compensation pr alable Absence de rigueur dans Renforcer les moyens l application l Etat fait roulants du service du souvent dans le social cadastre La non connaissance de la situation fonci re Insuffisance de moyens roulants Synth se des perceptions du Projet Un bon projet sur lequel nous comptons beaucoup pour l am lioration des conditions de vie des populations Une bonne initiative car les populations vivent dans une pr carit totale Le PDIL est un bon projet dont on a besoin Nous nous f licitons de l initiative Le PDIL est le bienvenue Le PDIL tel que pr sent est un projet salutaire pour Koula Moutou des pr occupations et craintes Adduction d eau et d lectricit et la mise en service des deux 2 ch teaux d eau Enclavement de certains quartiers Absence de maison d accueil pour les conomiquement faibles et les orphelins Faiblesse du cr dit et des moyens allou s la mission des affaires sociales Renforcement de capacit s du personnel des affaires sociales Voies secondaires sans pav es sans assainissement eaux de pluie Manque de formation en gestion environnementale et sociale Non implication du service des TP
52. Catholicisme l Islam le Protestantisme Relief le relief de Franceville est atypique et tr s accident avec une savane herbeuse au niveau des sols sablonneux qui s enchev tre avec quelques petits bosquets au niveau des sols argileux aux abords des principaux cours d eau et p riph ries des quartiers limitrophes Mangoungou Ondouama Pikas et Bakou etc Le quartier du centre ville est situ dans une cuvette vallonn e avec de petites pentes entour e d une s rie de collines Selon des tudes du Minist re de l agriculture les sols de la commune de Franceville peuvent tre class s en trois 03 types argileux sablo argileux et sableux Aussi des prospections du Minist re des mines indiquent que le sous sol de Franceville contiendrait diverses ressources mini res dont le mangan se et d autres potentialit s diverses Climat l instar du pays Franceville jouit d un climat quatorial chaud et humide et une pluviom trie caract ristique des zones quatoriales principalement marqu es par quatre saisons bien distinctes savoir une petite saison s che qui va de mi d cembre mi f vrier une grande saison de pluie qui intervient de mi f vrier mi mai une grande saison s che qui s intercale de mi mai mi septembre une petite saison de pluie de mi septembre mi d cembre La hauteur moyenne de pluie avoisine les 1 850 mm par an Les temp ratures moyennes annuelles oscillent autour de 24
53. Emmanuel Didier MBAZOGHE Adjoint Chef de quartier ADOUMA 07 17 29 76 06 32 00 23 2 Francisca ASSENGONE Chef de quartier ATSIE 07 27 14 46 06 81 15 73 3 Marie Madeleine BILOGHE Chef de quartier METERE 07 02 51 43 4 Laurent MOUELE Chef de quartier Petit Paris 1 07 55 19 57 5 Briand Emmanuel AYITA Chef de quartier Grand Village 1 07 55 16 12 6 Nic phore MIYAGOUNOU Chef de quartier Ch teau 07 45 66 13 7 Benjamin MIHINDOU Chef de quartier 04 28 30 44 MOUSSAMOUKOUGOU 8 Charles Victor NKOLO Chef de quartier ATONGOWANGA 04 03 74 41 9 M Joseph NGUEMA Chef de quartier Faisceau 07 91 3499 10 Valentin MOUIDI NGUELE Chef de quartier Grand Village 2 07 74 78 01 11 Edouard OREVOUNO Chef de quartier Centre Ville 07 90 15 26 12 Joseph BOUSSAMBA Chef de quartier Petit Paris 3 07 22 85 38 13 Anicet NGUEBA Chef de quartier Carri re 07 14 40 05 Consultations Publiques Localit de MOUILA Date 27 mars 2015 N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 KOUSSOU Chef de quartier PAMBOU 07 56 13 59 2 Innocent LETA Secr taire g n ral syndicat des commer ants 07 51 08 40 3 Mohmed MOHAMED S Q M Gabon 04 30 55 20 4 Jean Ren MABENDE Pr sident groupement des op rateurs de la 05 19 16 54 Ngouni 07 87 12 89 5 Alcide Giscard KOUMBA Pr sident syndicat des op rateurs conomiques 07 19 16 54 BOUCAVEL 06 43 58 13 6 Jean TSINDO Chef de quartier COYINA 7 Michel MOUSSIELUKY Chef de quartier MANDJI ASSANGO 8 Jean Benoit BIGOU
54. Immunod ficience Acquise Termes de r f rence Unit Nationale de Coordination du Projet Virus d Immunod ficience Humaine EXECUTIVE SUMMARY The Government of Gabon has requested a Project Preparation Facility PPF from the International Bank for Reconstruction and Development IBRD to help finance development of the project preparation costs of Local Infrastructure in its second phase PDIL IT in nine 9 cities of Gabon Development of Local Infrastructure Project Phase 2 PDIL ID main objectives i to improve sustainable access to infrastructure for the people of nine 9 project cities including the cities of Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga and Koula Moutou especially for people in disadvantaged and or precarious neighborhoods Ii improving the business and financial environment for SMEs by strengthening their technical and managerial capacities and iii strengthen and reform the municipalities to improve their operational capacity governance to better prepare them for decentralization The execution of works and infrastructure PDIL II urban roads extension rehabilitation of electricity networks water supply drainage schools health centers markets etc can have environmental or social impacts or individually or cumulatively in the target areas of the project In the operational phase Management he will ask the crucial question of management made infrastructure
55. OBIANG Chef de quartier Akournam 05 43 93 63 9 J IFOUNGA DEDA Chef au quartier Akournam 1 zone 2 07 14 48 58 10 Pierre MOUSSOUNDA Chef au quartier Agoungou 06 03 28 85 11 Mariane NGOUATO Chef de quartier Agoungou 05 28 93 50 12 Christian MBA Chef de quartier Alenakiri 1 06 26 55 96 13 Pierre KOUMBA Chef quartier Pointe Claire 07 26 37 72 14 Alain OVONO Adjoint Chef quartier Virie 1 07 53 04 72 15 Jean ESOGHO NNA Adjoint Chef quartier SNI Rails 02 13 10 28 Consultations Publiques Localit d OWENDO Date 09 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 16 Laurent NDONG ONGOUA Chef de quartier Akournam 07 18 40 66 17 Joachim NDJIKWE Chef de Cabinet du Maire du 2 arrondt 07 86 69 46 18 J Ghislain LENDE ONG environnementale Arche Nature 02 29 00 60 19 Lucien BENGA NKORERA ONG environnementale Arche Nature 06 26 63 66 20 Ange Cl ment BIYOGHE ONG environnementale Arche Nature 07 60 53 96 21 Pierre Claver OBAME ESSONE Maire du 1 arrondissement 02 29 1741 22 C lestine M INDJENDJE 2 Adjoint au Maire 07 96 15 36 23 Fid le MODOUMAT MOGUENGUI Maire 2 arrdt 07 17 59 26 24 Jean Roland EDOU ABAGA 1 Adjoint Maire 2 arrondt 07 52 30 42 25 J r me IDOUKOU 2 Adjoint Maire 2 arrondt 07 39 06 70 26 P C AULELEY ENGANDA Secr taire G n ral Mairie du ler arrdt 06 64 72 75 27 Marc Rosaire BISSAGOU Secr taire G n ral Mairie du 2 arrondt 02 38 44 91 Consultations
56. PDIL est un tr s Les lourdeurs dans la mise en Favoriser l efficacit et la Soci t civile bon projet qui place du projet qualit dans la mise en place du Association contribue au projet ONG d veloppement de nos communes qui gardent encore leurs aspects coloniaux Les probl mes Inaccessibilit de certains Etendre le r seau d adduction environnementaux et quartiers au r seau d adduction d eau aux quartiers d favoris s fonciers de la d eau R gulariser l occupation des commune Occupation anarchique des terres terres par les populations Conflits entre les droits de Sensibiliser les populations sur propri t terrienne ancestraux et le caract re national des terres ceux juridiques et officiels Aider la mise en fonction Absence de cimeti re municipal rapide du cimeti re municipale fonctionnel de Makokou Les capacit s de la Manque de capacit s de gestion Former les lus et les agents commune dans la environnementale et sociale des municipaux en gestion gestion projets urbains et de moyens environnementale et sociale de environnementale et logistiques experts en GES et en projets et en r installation sociale des projets r installation Aider la commune acqu rir urbains Absence de moyens logistiques des moyens logistiques de de gestion gestion urbaine La gestion des conflits Les conflits sont g r s trois 3 Favoriser la r solution des dans la commune niveaux successifs auto
57. Renforcer les moyens logistiques des services moyens roulants Am nager les zones sous int gr es cr er l accessibilit Prendre en compte le patrimoine culturel dans la mise en uvre du projet Pr server les lieux de cultes Eglise Mosqu e et tombe Temple des Bouthistes le Mouiri Sensibiliser les populations et n gocier avec elles au pr alable en cas d impact Appliquer rigoureusement la loi sur le foncier Organiser l occupation des terres par les populations Informer sensibiliser et n gocier avec les populations en cas d impact de d placement Choisir les sites non occup s par les populations Accorder un soutien consistant aux personnes vuln rables Former les agents techniques en gestion environnementale en fiscalit et en r installation 153 Promouvoir le droit absolu de la femme d acc der librement aux activit s productives Comptes rendus de consultation publique la commune de LIBREVILLE 10 04 2015 Institutions acteurs Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions Recommandations Commune de Libreville Conseillers techniques Services techniques municipaux Perception du Projet Grace au PDIL la commune de Libreville a mieux per u l int r t des routes en pav et nous rendons hommage au travail r alis lors de la 1 phase La p n tration et l acc s au niveau des quartiers sous int gr s ont t sensiblement am
58. activit s ayant des impacts pr judiciables iii identifier les activit s n cessitant des PGES s par s iv d crire les responsabilit s institutionnelles pour l analyse et l approbation des r sultats de la s lection la mise en uvre des mesures d att nuation propos es et ventuellement la pr paration des rapports assurer le suivi des param tres environnementaux Ce processus de screening comporte les tapes suivantes Etapes I Pr paration du microprojet dossiers techniques d ex cution des infrastructures L Unit de Coordinations du Projet UCP PROJET va assurer la pr paration des dossiers techniques des activit s r aliser en rapport avec les municipalit s concern es Pour cela dans le cadre de l Assistance Technique au projet du projet pourra s appuyer sur l Expert en Sauvegardes Environnementales et Sociales ESES et de la Sociologue d j en fonction au sein de la CN TIPPEE pour mieux prendre en compte les aspects environnementaux et sociaux dans la pr paration des dossiers techniques Etape 2 Remplissage du formulaire de s lection et classification environnementale et sociale Lors de la pr paration des dossiers techniques d ex cution l ESES va assurer le remplissage de la fiche de s lection environnementale et sociale fournie en annexe 1 en rapport avec la Sociologue de l UCP et les municipalit s des villes cibl es et proc de la s lection de l ac
59. activit s du PDIL II Le programme de suivi portera sur le suivi permanent la supervision l valuation mi parcours et l valuation annuelle La surveillance de proximit est assur e par des bureaux de contr le sous la supervision de l UCP ESES avec l implication des Mairies mais aussi des membres du Comit de Pilotage et des Experts de Sauvegardes Environnementales et Sociales de la Banque mondiale Le suivi externe devra tre assur par la DGE et les DDE dont les capacit s devront tre renforc es cet effet Le suivi et la supervision au niveau communal devront aussi tre budg tis s pour permettre la CP PDIL II et aux autres services d y participer Tous ces acteurs impliqu s dans le suivi qui n ont pas toujours les moyens logistiques appropri s devront tre appuy s notamment lors de leurs d placements En plus le projet devra pr voir une valuation mi parcours et une valuation finale la fin du projet 94 Formation des acteurs impliqu s dans la mise en uvre du PDIL II Il s agit des experts de la CN TIPPEE ESES et Sociologue des PFES des municipalit s des membres du Comit de Pilotage des Bureaux d tudes et des PME pr s lectionn es pour la mise en uvre du projet Ces acteurs ont la responsabilit d assurer l int gration de la dimension environnementale dans les r alisations des micro projets Ils assurent chacun en ce qui le concerne les tudes l ex cution le suiv
60. agents en gestion environnementale et sociale de projet Droit encore relatif de la femme d acc s libre aux activit s productives Synth se des suggestions et recommandations R aliser le PDIL Aider d senclaver les quartiers Am nager des sites usage d habitation pour accueillir les populations Cr er des voies d acc s aux quartiers encore sous int gr s Installer des r seaux d adduction d eau et d lectricit Aider lutter contre l rosion hydrique et le ravinement Renforcer les moyens mat riels et financiers de la municipalit Renforcer les capacit s techniques des agents municipaux en gestion de projet urbain Mettre l accent sur l information pr coce des populations et la sensibilisation sur l importance du projet Privil gier la n gociation avec les populations pour l acquisition des terres Faire une discrimination positive en faveur des personnes vuln rables Former nos agents en gestion environnementale et sociale de projet Former les agents municipaux en r installation de populations Etablir le droit absolu de la femme d acc der librement aux activit s productives Comptes rendus des rencontres institutionnelles des Directions Libreville 25 03 09 04 et 10 05 Institutions Points discut s Pr occupation et crainte Suggestions recommandations acteurs Direction des Appr ciation sur le Projet Absence d valuation du Faire une valuation du projet collectivit s
61. alable avec les autorit s locales Pour viter leur d gradation pr matur e l Entrepreneur doit maintenir les routes locales en bon tat durant la construction et les remettre leur tat original la fin des travaux Passerelles pi tons et acc s riverains L Entrepreneur doit constamment assurer l acc s aux propri t s riveraines et assurer la jouissance des entr es charreti res et pi tonnes des vitrines d exposition par des ponts provisoires ou passerelles munis de garde corps plac s au dessus des tranch es ou autres obstacles cr s par les travaux Services publics et secours L Entrepreneur doit imp rativement maintenir l acc s des services publics et de secours en tous lieux Lorsqu une rue est barr e l Entrepreneur doit tudier avec le Maitre d uvre les dispositions pour le maintien des acc s des v hicules de pompiers et ambulances Journal de chantier L Entrepreneur doit tenir jour un journal de chantier dans lequel seront consign s les r clamations les manquements ou incidents ayant un impact significatif sur l environnement ou un incident avec la population Le journal de chantier est unique pour le chantier et les notes doivent tre crites l encre L Entrepreneur doit informer le public en g n ral et les populations riveraines en particulier de l existence de ce journal avec indication du lieu o il peut tre consult Entretien des engins et quipements de chan
62. att nuation propos es ii le suivi et la mise en uvre des mesures d att nuation iii le renforcement des capacit s iv les estimations des co ts y relatifs ainsi que la chronologie Le PCGES sera inclus dans le Manuel d ex cution du projet Le PCGES met l accent sur les mesures d att nuation des impacts qui r sulteront de la mise en uvre des activit s du projet 9 1 M thodologie pour la pr paration l approbation et l ex cution des micro projets 9 1 1 Le processus de s lection environnementale et sociale ou screening Le processus de s lection environnementale et sociale ou screening compl te un manquement dans la proc dure nationale en mati re d valuation environnementale notamment en ce qui concerne le tri et la classification des projets Le CGES est appel combler cette lacune Les diff rentes tapes du processus de s lection environnementale et sociale sont d termin es dans les paragraphes suivants L ampleur des mesures environnementales et sociales requises pour les activit s du projet d pendra des r sultats du processus de s lection Ce processus de s lection vise i d terminer les activit s du projet qui sont susceptibles d avoir des impacts n gatifs au niveau environnemental et social y compris les activit s susceptibles d occasionner le d placement des populations ou l acquisition de terres 11 d terminer les mesures d att nuation appropri es pour les
63. caires Les collectivit s locales sont Pr voir l indemnisation des dans le processus d attribution populations impact es par le Probl mes des terres mais au bout de la projet et les accompagner environnementaux et cha ne dans le recasement trouver fonciers de commune On fait souvent de un terrain de compensation l expropriation sans en cas de d placement propri taire l gal Les populations sollicitent le Mener des enqu tes sociales service le Cadastre plus pour aupr s des populations des r gularisations fonci re b n ficiaires pour valuer le que pour des attributions niveau d acceptabilit du L am nagement foncier qui projet et les conditions de Implication dans le ST Suivi de la miseen permet V Etat de r pondre aux leur adh sion sa mise en besoins des populations en uvre 1 parcelles usage d habitation Renforcer la sensibilisation est souvent tr s couteuse des populations sur le nature du sol et lente ce qui bienfond des proc dures et retarde les op rations de des lois d guerpissement 0 Insuffisance des ressources Renforcer la collaboration Capacit s de la ne commune n gestion humaines de la commune et entre la Mairie et le service carence en instruments de de l Urbanisme de l Habitat urbaine gestion urbaine et du Cadastre Direction Perception du Projet Craintes li es la sp cificit de Eviter les d placements Provinciale de Avis favorable sur la ville dont
64. cut s a r v l que les capacit s environnementales et sociales des acteurs concern s ou impliqu s par le projet existent pour certaines institutions essentiellement la Direction G n rale de l Environnement DGE qui dispose d experts en la mati re mais les moyens mat riels de suivi n existent pas Enfin en dehors de la DGE les autres acteurs impliqu s et les collectivit s locales ne disposent pas de capacit s performantes sur la gestion environnementale et sociale des projets Dans le secteur de la D centralisation Minist re de l Int rieur Direction de l Administration territoriale Direction de l Am nagement du Territoire etc il n existe pas d experts environnemental et social ni de fonction environnementale et sociale Quant aux Municipalit s b n ficiaires des infrastructures et charg es entre autres de leur gestion du suivi des travaux dans leur localit de la sensibilisation des populations l expertise en valuation environnementale et sociale est quasi inexistante dans les 9 capitales provinciales Seule Libreville dispose d un Expert en Environnement Elles ne disposent pas de services techniques suffisamment performants et rencontrent des difficult s financi res et mat rielles exercer leurs pr rogatives en mati re d am lioration des conditions de vie des citadins et de renforcement de leur r le conomique Au total la fonction environnementale et sociale n cessite d tre ren
65. d favoris s cent manguiers oc an le bac aviation fort de l eau C te d azur Masuku etc et quelques rues carrossables Alimentation en eau toute la population de Port Gentil n a pas acc s l eau potable Il ressort que 73 des parcelles habit es sont approvisionn es en eau par la SEEG les autres 27 ne sont pas connect es au r seau SEEG La gestion de l eau est exclusivement sous le contr le de la SEEG distributeur qui dispose d un laboratoire d analyse C est dans les quartiers non lotis Fort de l eau Ile Mandji PG2 C te d azur et dans les cent manguiers que se pose avec acuit le probl me de non connexion au r seau SEEG Dans ces quartiers les populations sont oblig es de transporter de l eau sur plusieurs kilom tres En revanche d autres personnes utilisent pour leurs besoins quotidiens de l eau recueillie pendant les pluies ou encore de l eau de puits Cette eau est impropre la consommation Par ailleurs on note la pr sence accrue d installations industrielles r seau pipeline gaz et p trole des stations de stockage d hydrocarbures et une raffinerie repr sentant ainsi des dangers majeurs pour les esp ces vivantes Il est noter la menace que constitue le ph nom ne de changement climatique qui pourrait accentuer certains probl mes notamment les inondations et l rosion Par cons quent la mise en p ril des habitats des industries et des infrastructures
66. d placement pertes de biens et de sources de revenus Le choix des sites pour les micro projets va constituer une question tr s sensible au plan social car la disponibilit des lieux non occupation pas ou peu de d placement sera un crit re de s lection Toutefois malgr ces dispositions les choix des sites devant abriter les micro projets pourra d boucher sur une proc dure d expropriation et de r installation en cas d occupation m me irr guli re par des installations physiques ou des activit s socio conomiques 71 6 2 2 6 2 3 Impacts n gatifs potentiels des quipements et micro quipements d accessibilit et de mobilit urbaine Impacts n gatifs potentiels du pavage de rues principales et secondaires Pour la voirie les travaux ne concernent pas de nouvelles ouvertures il s agit de la construction en pav de voies existantes Les risques portent beaucoup plus sur la perturbation d activit s commerciales et artisanales restaurants buvettes garages ateliers kiosques divers t l centres etc que sur la d molition d habitat L imperm abilisation li e la construction r habilitation de la voirie entra nera une augmentation des d bits d eau de ruissellement vacuer ce qui peut causer des inondations dans les quartiers bas Dans les quartiers les travaux pourraient causer beaucoup de g nes et nuisances pr sence d engins en plein centre ville missions de poussi res de brui
67. d placement de populations et en r installation La commune ne dispose pas d expert en d placement de populations et en r installation Former le personnel technique de la Mairie en r installation de population Renforcer les capacit s de la Mairie en recouvrement Le genre dans la gestion des projets urbains Absence de libert et d quit dans les travaux productifs la femme a encore besoin de l autorisation de son mari pour mener des activit s source de revenu autres que l agriculture et la vente des r coltes Les femmes ont acc s aux postes de responsabilit aussi bien dans la gestion des affaires publiques que dans celle des projets il y a des femmes Adjoints Maire des femmes pr sidentes d association etc Promouvoir la libert des femmes et l quit dans l acc s aux activit s productives Direction Le patrimoine culturel Il concerne essentiellement les Pr server ces structures provinciale du dans la zone du projet structures les plus anciennes sacr es et religieuses contre patrimoine Le cimeti re municipal les impacts du projet culturel L Eglise sainte Th r se Eviter autant que possible les d Angone structures sacr es et L Eglise protestante de Nfoun religieuses Direction Gestion des r seaux Il y a une centrale de Faire des extensions des provinciale d eau d eau et d lectricit production thermique r seaux de distribution d eau et d ner
68. dans certains Faire l clairage public dans Repr sentants de la population chefs de quartiers ONG infrastructures et les femmes de certaines commodit s Nous attendons le retour effectif du projet avec _ gaiet _ de quartiers L insuffisance des passerelles Les routes secondaires non pav es Des quartiers non b n ficiaires du PDIL Dourouny et Maziassango par exemple les quartiers sous int gr s Augmenter les passerelles et des voies d acc s aux quartiers sous int gr s Partager quitablement les r alisations du PDIL entre les arrondissements 132 c ur Le PDIL est un tr s bon projet qui contribue au d senclavement de certains quartiers Des d faillances dans les travaux une buse mal faite au quartier Panbou elle est trop basse La non ouverture des march s du PDIL l expertise locale Ouvrir les march s occasionn s par le PDIL 2 toutes les comp tences locales Les probl mes environnementaux et fonciers de la commune Manque d entretien des r seaux de drainage des eaux de ruissellement d versement anarchique des ordures dans les conduits d eaux Absence de voies d acc s certains quartiers sous int gr s cause de l occupation anarchique Beaucoup d inondations pendant la saison des pluies Absence de r seau d adduction d eau Mangui Bal k et Bavanga par exemple Absence d cole Mouila vers l
69. de quartier Mikoumou 07 56 59 82 5 Maurice GHOMBI Chef de quartier Koungou 04 24 75 75 6 Emile MBOMA M Notable de Mibaka 07 23 97 59 7 Marcelle BONDIANGA Chef de quartier Adjoint 07 53 16 79 8 Marcel KIMOU Chef de quartier Litsebe 06 04 79 32 07 55 76 89 9 E MASSIMA MISSAMBOU 2e Maire Adjoint du 2 arrondissement 07 44 61 61 10 L opold TSAME 4 Maire Adjoint de la commune de 07 22 80 56 Koula Moutou 164 Consultations Publiques Localit de FRANCEVILLE Date 07 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Egide MOUTOU Secr taire G n ral Mairie 06 24 48 71 2 Josephine BAKOUDOU 2 Maire Adjoint Central 07 45 37 04 06 07 81 14 3 C lestin KAH 2 Adjoint Maire 07 70 42 62 3 arrondissement 4 ONGUINDA Chef de quartier Carri re 5 MBANI Notable quartier Bakou 6 LEMAMI Notable quartier Malebele 2 06 29 38 72 7 BOUSSOUNGOU Notable quartier Malebele 2 8 Chabanel MBOU 1 Adjoint Maire 06 10 27 42 2 arrondissement 9 Bonaventure VIRUGA Chef au quartier Sable 06 05 42 04 10 Fid le MBOU Chef au quartier Dialogue 04 06 86 37 11 Philom ne NEMBE 1 Adjoint au Maire 06 61 41 79 OLOUSSOU 3 arrondissement 12 Basile MOUDZANGA Maire 4 arrondissement 07 88 73 34 13 Jacques TOUNDE Chef quartier Mbaye 06 23 36 74 14 MADJOUPA Chef quartier Yen 06 33 88 94 15 MOUDADOU
70. des EIES et de l obtention des autorisations administratives avant les travaux Phase de suivi des travaux e Conduire le suivi environnemental et social des activit s du PDIL IT et ajustements n cessaires au besoin Veiller l application de la proc dure environnementale et sociale nationale dans les activit s Assurer la coordination du suivi de l valuation et de la supervision des diff rentes activit s Organiser les ateliers d information et de formation sur l valuation environnementale et sociale Sensibiliser les d cideurs et les responsables techniques du projet sur la n cessit de la prise en compte des questions environnementales et sociales dans les activit s e D velopper un syst me de concertation de coordination et d changes avec les institutions nationales impliqu es dans la mise en uvre et le suivi environnemental et social du projet Renforcement de l expertise environnementale et sociale des municipalit s et services techniques Il s agira de renforcer notamment dans le cadre de la composante 3 du PDIL II les services techniques municipaux et locaux pour qu elles puissent remplir correctement la fonction environnementale et sociale au sein des communes cibl es en termes de gestion entretien des ouvrages mais aussi de sensibilisation de contr le et de suivi du respect de la r glementation environnementale nationale Cette mesure vise assurer une plus grande implication des mun
71. des populations La fourniture d eau connait de nombreuses difficult s telles que la v tust du r seau de distribution et l absence d extension pour suivre le rythme de croissance rapide et irr guli re des zones d habitat les risques de pollution provenant d activit s multiformes situ es en amont de la station de pompage install e sur l le l absence de ch teau etc Les populations ont souvent recours l eau de puits et des rivi res avec tous les risques sanitaires que cela comporte Les branchements frauduleux l insuffisance d ouverture de voiries la promiscuit de l habitat Drainage pluvial Le drainage des eaux de pluies est assur par un r seau non n gligeable de caniveaux et de bassins naturels de r tention Cependant les caniveaux de la ville souffrent d un manque d entretien et constituent pour bien d entre eux des d potoirs de d chets solides et de sables qui participe la d gradation des voiries par la stagnation des eaux Assainissement d chets solides et liquides La collecte des ordures se fait par ramassage partir des points de collecte pourvus de bacs ordures et leur acheminement vers une d charge temporaire Les voies publiques les caniveaux et les zones inondables sont r guli rement remplis d ordures ce qui favorise la stagnation des eaux us es et pluviales dans de nombreux quartiers Les eaux vannes et les excr ments sont pris en charge par un syst me de pui
72. e au nord par le canton Lekabi au sud Ouest par le canton Kassa l Est par le canton Djoumou La ville de Franceville est accessible a partir de Libreville la capitale par voie terrestre par la RN3 a 761Km par voie ferroviaire le Transgabonais 660 Km ou par voie a rienne environ 1h 20mn de vol Population Franceville est 3 ville du Gabon du point de vue d mographique apr s Libreville et Port Gentil avec une population estim e 103 000 habitants source conseil municipal Elle est constitu e de plusieurs groupes ethniques Bakanigui Bahoumbou Mbahoins NDoumou Obamba T k s etc Ces populations cohabitent avec d autres groupes ethniques du Gabon et des communaut s trang res parmi lesquelles figurent camerounais congolais maliens arabes nig rians tchadiens burkinab s togolais b ninois etc Chaque groupe ethnique originaire du Haut Ogoou avait une organisation qui lui tait propre malgr quelques similitudes dans la pratique et la transmission du pouvoir traditionnel Ces organisations sociales taient pour la plupart bas es sur une chefferie avec des rites initiatiques telles que Ndjobi moungala ngoyi lissimbou etc Dans certains groupes la transmission du pouvoir se faisait de mani re lignag re et ce apr s initiation Aujourd hui cette dynamique sociale se meurt lentement avec le d veloppement des principales religions pratiqu es dans la commune de Franceville savoir le
73. et Agents En fonction des impacts identifi s et des mesures d att nuations propos es le consultant pourra se prononcer sur la mise en uvre ou non du micro projet 120 Annexe 5 Termes de r f rence pour l laboration du CGES I Contexte de la mission Le Gouvernement de la R publique Gabonaise a sollicit un Fonds de Pr paration du Projet PPF aupr s de la Banque Internationale pour le Reconstruction et le D veloppement BIRD pour contribuer au financement du co t de pr paration du Projet de D veloppement des Infrastructures Locales dans sa deuxi me phase PDIL IT dans neuf 9 villes de la R publique Gabonaise Aussi dans le cadre de la pr paration de ce projet le gouvernement Gabonais doit laborer et soumettre la Banque mondiale deux documents un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES et un Cadre de Politique de R installation CPR Ces documents devront tre rendus public aussi bien au Gabon que sur le site d information de la Banque mondiale avant l valuation du projet Pour ce faire le Gabon envisage de recruter un consultant ayant une connaissance de la r glementation nationale et ou des pays de la sous r gion et des directives de la Banque mondiale en mati re d valuation environnementale et de plan de r installation Les pr sents Termes de R f rence TDR portent sur l laboration des documents suivants i un Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES ii
74. et dans les quartiers lotis Par contre certains quartiers sous int gr s ne sont couverts par l clairage public Education Libreville compte des tablissements scolaires publics et priv s cycle complet du pr scolaire au cours moyen 2 ann e dans tous les arrondissements Les plus grands lyc es et coll ges Lyc e technique national Omar Bongo Lyc e Nelson MANDELA Lyc e L on MBA Lyc e Paul INDJENDJET NGONDJOUT ancien Lyc e d Etat de l Estuaire coll ge BESSIEUX coll ge Immacul e Conception la premi re universit du Gabon Universit Omar Bongo et des instituts sup rieurs de formation Sant Libreville est la place de grands centres m dicaux publics et priv s Centre Hospitalier et Universitaire de Libreville H pital d Instruction Militaire Omar Bongo H pital de Melen H pital de la coop ration sino gabonaise de Belle vue Centre m dical El Rapha des centres de sant dans les diff rents arrondissements des cliniques priv es des laboratoires d analyses m dicales En terme de ratio population infrastructures les normes OMS tant un h pital pour 150 000 habitants et un centre de sant pour 50 000 habitants la R gion sanitaire de Libreville Owendo pr sente une situation non satisfaisante un h pital pour 270 352 habitants et un centre de sant pour 73 732 habitants L EGEP 2005 indiquait que 43 des maladies d clar es en milieu urbain concernaient le paludisme Principale
75. et motiver les personnes charg es du suivi et de la maintenance Renforcer les capacit s de gestion et de suivi des infrastructures urbaines Privil gier l acquisition de terrain par achat des tiers Appuyer les activit s cr atrices de revenus au profit des personnes vuln rables Indemniser les victimes et les accompagner dans leur en cas d expropriation Prendre en compte l acc s des personnes handicap es dans la r alisation des infrastructures publiques urbaines rampes d acc s Prendre en compte l acc s des personnes handicap es aux infrastructures rampes d acc s Cr er des activit s cr atrices de revenus au profit des personnes vuln rables Elaborer une politique environnementale et sociale pour la municipalit Renforcer les capacit s du personnel en gestion environnementale et sociale Comptes rendus de consultation publique la commune d OWENDO 09 04 2015 Institutions acteurs Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations Maires chefs de quartiers organisations soci t civile Association ONG Appr ciation sur le projet Le PDIL tel que annonc est un bon projet qui suscite d ja une joie immense Non r alisation du projet R aliser le PDIL Les probl mes environnementaux et fonciers de la commune Enclavement des quartiers Occupation anarchique des terres Absence de voies d acc s cert
76. exploitation d un site permanent l Entrepreneur doit i r tablir les coulements naturels ant rieurs par r galage des mat riaux de d couverte non utilis s ii supprimer l aspect d labr du site en r partissant et dissimulant les gros blocs rocheux A la fin de l exploitation un proc s verbal de l tat des lieux est dress en rapport avec le Ma tre d uvre et les services comp tents Gestion des produits p troliers et autres contaminants L Entrepreneur doit nettoyer l aire de travail ou de stockage o il y a eu de la manipulation et ou de l utilisation de produits p troliers et autres contaminants Contr le de l ex cution des clauses environnementales et sociales Le contr le du respect et de l effectivit de la mise en uvre des clauses environnementales et sociales par l Entrepreneur est effectu par le Ma tre d uvre dont l quipe doit comprendre un expert environnementaliste qui fait partie int grante de la mission de contr le des travaux Notification Le Ma tre d uvre notifie par crit l Entrepreneur tous les cas de d faut ou non ex cution des mesures environnementales et sociales L Entrepreneur doit redresser tout manquement aux prescriptions d ment notifi es lui par le Maitre d ceuvre La reprise des travaux ou les travaux suppl mentaires d coulant du non respect des clauses sont la charge de Entrepreneur Sanction En application des dispositions contractuell
77. fiscalit et en r installation La prise en compte du genre dans la gestion des projets urbains hommes et femmes ont le m me droit d acc s aux responsabilit s publiques Les femmes sont impliqu es Promouvoir l autonomisation conomique de la femme et prendre en compte ses besoins sp cifiques dans le Prise en charge des besoins projet sp cifiques des femmes Le Gouverneur Avis sur le projet Adduction d eau et Am liorer de Province bon projet sur lequel nous comptons beaucoup pour l am lioration des conditions de vie des populations d lectricit Mise en service des deux 2 ch teaux d eau Accessibilit certains quartiers l approvisionnement en eau et lectricit Mettre en marche les ch teaux d eau Coordination provinciale des affaires sociales Les personnes vuln rables dans la commune Faiblesse du cr dit allou la mission des affaires sociales Manque de mat riels informatique et de moyens roulants Accessibilit au si ge zone Augmenter le cr dit allou la mission des affaires sociales Aider au renforcement des moyens mat riels de la coordination 151 inondable Prise en charges des personnes vuln rables personnes g es Handicap s physiques Orphelins Veuves et Veufs Construire un 2 me complexe social Besoin en renforcement de capacit s Insuffisance du p
78. il existe des impacts n gatifs sur des ressources culturelles mat rielles Le Gabon poss de un patrimoine culturel relativement riche mais qui n est pas sp cifiquement vis par les activit s du projet Aussi il est possible que lors des travaux des vestiges arch ologiques ou culturels soient d couverts Dans ces cas cette politique est d clench e par le projet Pour tre en conformit avec cette politique des dispositions seront prises dans le CGES pour prot ger les sites culturels et les ventuelles d couvertes arch ologiques PO PB 4 12 R installation involontaire des populations L objectif de la PO 4 12 est d viter ou de minimiser la r insertion involontaire l o cela est faisable en explorant toutes les autres voies alternatives de projets viables De plus la PO 4 12 l intention d apporter l assistance aux personnes d plac es par l am lioration de leurs anciennes normes de vie la capacit g n rer les revenus les niveaux de production ou tout au moins les restaurer La PO 4 12 encourage la participation communautaire dans la planification et la conduite de la r insertion et l octroi de l assistance aux personnes affect es ind pendamment du statut l gal du r gime foncier Cette politique couvre non seulement la r installation physique mais aussi toute perte de terre ou d autres biens causant la i r installation ou perte d abri ii perte de biens ou de l acc s aux biens e
79. install es tout le long des canaux En phase d exploitation l absence de curage et d entretien des caniveaux de drainage peut entra ner leur transformation en v ritables d potoirs d ordures et de d chets de toutes sortes emp chant m me l coulement normal des eaux de ruissellement et pouvant occasionner des inondations L absence de sensibilisation des populations riveraines et les comportements non cologiques peuvent aussi contribuer la d gradation de ces ouvrages notamment en cas de rejet des eaux us es domestiques ou m me de raccordement clandestin des fosses septiques Impacts n gatifs des travaux d adduction d eau potable Lors des travaux on pourrait craindre surtout abattage d arbres d alignement la perturbation des activit s le long de la voie publique les perturbations des voies de circulation pendant les travaux de r alisation des tranch es les perturbations dans la fourniture d eau les risques accidents de la circulation tranch es non prot g es engins etc En phase d exploitation les impacts porteront surtout sur les fuites d eau les baisses de pression les risques de succion et d introduction de pollution dans le r seau les d fauts d ex cution et les actes de vandalisme sur le r seau et de gaspillage de la ressource Impacts des travaux de r seaux lectriques En phase de travaux les impacts seront ceux d j identifi s en termes de lib ration des emprises abatta
80. l environnement Pr ciser les r les et fonctions des minist res impliqu s dans le projet Justifier les crit res qui pr sident aux choix des sites Associer les populations dans le suivi et l entretien des ouvrages et infrastructures r alis s Int grer les volets clairage public et assainissement pour mieux pr server les voies Rentabiliser les infrastructures et motiver les personnes charg es du suivi et de la maintenance Appuyer les activit s cr atrices de revenus au profit des personnes vuln rables Indemniser les victimes et les accompagner dans le recasement en cas d expropriation Prendre en compte l acc s des personnes handicap es dans la r alisation des infrastructures publiques urbaines rampes d acc s Eviter autant que possible les sites sacr s et religieux Etendre les r seaux de distribution d eau et d lectricit aux quartiers d favoris s Mettre en place des laboratoires d analyse du niveau de pollution Promouvoir l autonomisation conomique des femmes par l appui aux activit s g n ratrices de revenus AGR R habiliter les infrastructures existantes coles sant quipements collectifs etc Sensibiliser les populations sur le projet Former les jeunes dans les m tiers de BTP et recruter dans les chantiers du projet Indemniser les personnes en cas de perte de terres constructions plantations etc Respecter la proc dure en mati re d expropriation d claration d utilit pu
81. les travaux et demander les correctifs appropri s le cas ch ant e r diger le compte rendu final du programme de surveillance environnementale en p riode De plus il pourra jouer le r le d interface entre les populations riveraines et les entrepreneurs en cas de plaintes La supervision du travail des bureaux de contr le sera effectu e par l ESES de l UCP mais aussi par les experts de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale 9 7 2 Suivi environnemental et social valuation Par suivi environnemental il faut entendre les activit s d observation et de mesures visant d terminer les impacts r els d une installation comparativement la pr diction d impacts r alis e Le suivi et l valuation sont compl mentaires Le suivi vise corriger en temps r el travers une surveillance continue les m thodes d ex cution des interventions et d exploitation des infrastructures Le suivi sera r alis l externe par la Direction G n rale de l Environnement Quant l valuation elle vise i v rifier si les objectifs ont t respect s atteints et ii tirer les enseignements d exploitation pour modifier les strat gies futures d intervention Le suivi sera effectu par les services de l environnement au niveau local villes cibl es par le Projet L valuation ou audit sera faite mi parcours et la fin du projet par des consultants ind pendants 9 7 3 Comp
82. mairie de Port Gentil Population La commune de Port Gentil compte un peu plus de 150 000 habitants source Plan de D veloppement communal de Port Gentil 2013 2017 En effet 7 9 de la population du Gabon y vivent Faute de donn es officielles nous nous r f rons une tude de statistiques urbaines de la commune de Port Gentil r alis e par l ONG fran aise Toilettes du Monde en 2011 en collaboration avec la Mairie de Port Gentil Cellule Technique Municipale qui tablit que 159 354 habitants taient r partis dans 16415 parcelles dont 51 se trouvent dans des zones urbaines tandis que 49 sont dans des zones non urbanis es Avec une densit allant de 80 200 habitants l hectare Port Gentil est l une des villes les plus denses du pays et l exigu t du territoire urbain accentue le ph nom ne de densification Il en r sulte donc une pression fonci re qui oriente et mod le l extension spatiale de la ville dans des directions Ouest et Sud ouest souvent en zones inconstructibles Ethnies Port Gentil est la ville originaire des populations Oroungou et Nkomi du groupe ethnolinguistique Mi n Aujourd hui la population de Port Gentil ville cosmopolite est compos e depuis d originaires de toutes les r gions et la plupart des ethnies du Gabon en plus de nombreuses communaut s trang res originaires d Afrique centrale et de l Ouest ainsi que d Europe en majorit attir es par l industrie p
83. mais non grand pour les populations de refuser de c der les terres Discrimination dans le choix des comp tences Risque de d tournement politique des objectifs du projet Identification et la prise en charge des personnes vuln rables dans le cadre du projet Droits limit s des femmes aux activit s productives source de revenu Synth se des suggestions et recommandations Confier la gestion des infrastructures aux Mairies Accompagner les routes paver de canalisation pour viter les inondations Construire des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans les quartiers sous int gr s Faire l clairage public dans les quartiers sous int gr s Doter la commune de d engins lourds pour la gestion environnementale de la commune Former les services techniques en gestion environnementale et sociale et en r installation Choisir des entreprises comp tentes pour bien faire les travaux de construction du PDIL 2 Entretenir les r seaux de canalisation des eaux pluviales Mettre en place un syst me de gestion des ordures Associer le service du Cadastre dans l attribution des terres Ouvrir les march s occasionn s par le PDIL 2 toutes les comp tences locales Aider la construction d cole vers a roport Appuyer financi rement la politique sociale du Maire Former les techniciens locaux en r installation de populations cas de conflit favoriser la
84. meilleure collaboration Favoriser le regroupement en une seule entit les diff rentes directions charg es de la d centralisation Respecter le cadre l gislatif et r glementaire r gissant l environnement S approcher de l AGANORME pour les questions de normes de pollution Il faut l absence de toute norme nationale de pollution se r f rer aux normes internationales Cr er la synergie entre les diff rents intervenants pour plus d efficacit Aider la mobilisation des fonds n cessaires l investissement dans ce secteur Organiser l occupation des sols par les populations Am nager des voies d acc s aux quartiers sous int gr s pour l extension des r seaux d eau et d lectricit Favoriser l acc s des personnes conomiquement faibles aux r seaux d eau et d lectricit Elargir le projet aux villes secondaires comme Ntoum Impliquer les diff rents services techniques comp tents dans le projet Former les agents de la DGAT en suivi valuation de projet et en gestion environnementale et sociale Respecter les normes de r alisation des ouvrages D velopper des outils de sensibilisation des populations pour un bon usage des ouvrages 161 Annexe 8 Personnes rencontr es Consultations Publiques Localit de LAMBARENE Date 26 Mars 2015 N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1
85. n gatifs potentiels globaux pr sent s ci dessous sont communs tous les micro projets suivant les composantes environnementales et sociales e Pollution de lair Les travaux vont entrainer des missions de poussi res du fait des d versements de mat riaux sable lat rite et des terrassements d capage creusement de lit de remplissage A cela il faut ajouter les missions provenant des mouvements circulation des camions de transport des mat riaux Toutes ces activit s vont provoquer quelques rejets de particules fines polluantes dans l atmosph re mais sans grand effet n gatif majeur e D gradation des sols Les installations de chantiers temporaires avec la pr sence des camions peuvent entra ner des effets sur le sol en termes de compactage et destruction de sa structure avec les passages r p t s mais aussi de contamination par les rejets ou coulement d huiles de vidange Par ailleurs les travaux de rechargement vont n cessiter d importantes quantit s de lat rite qu il faudra pr lever sur place au niveau de carri res existantes ou ouvrir L exploitation des carri res et des zones d emprunt aura un certain impact sur les sols en termes d espaces et cr er de zones de r tention d eau stagnantes favorables au d veloppement des insectes moustiques mouche noires etc vecteurs de maladies malaria typhoide fi vre jaune etc e Pressions sur les ressources en eau Les besoins en eau des cha
86. n ral Mairie du 2 06 95 33 69 B P 170 arrondissement 13 27 03 2015 Jean Paul KOPUMBA KOUMBA Vice S nateur 2 arrondissement 07 16 75 58 B P 170 14 27 03 2015 Bernard MBENA Conseiller Municipal 1er 07 32 25 30 B P 170 arrondissement 15 27 03 2015 Jean Clair MOUNGUENGUE Agent des Eaux et For ts 07 36 1174 B P 25 16 27 03 2015 Victor TCHINGA NZENGUE Chef d Agence SEEG Mouila 07 89 53 32 B P 91 vtchinga seeg gabon com 17 27 03 2015 Solange NGOLA ler Adjoint au Maire ler 07 5108 19 B P 170 arrondissement LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A MAKOKOU N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 170 1 1 04 2015 Raymond SIMANGOYE Maire central 07 66 74 54 2 ler 04 2015 MICKSO MAILLY L andre Emery Pr fet de l Ivindo 07 90 99 00 ml andreemery yahoo fr 3 02 04 2015 Lieutenant Laurent KOMBILA Lieutenant de Police 07 28 70 51 4 02 04 2015 Daniel MEYE Chef de service Culture et Arts 06 75 26 94 Meyedaniel2004 yahoo fr 5 02 04 2015 Mo se ONKAGUI Chef de service Cadastre 07 74 08 85 Moiseonkagui gmail com 6 02 04 2015 Iris Kevin IVALA ZOGO Directeur R gional de la Sant 07 92 95 44 06 83 90 13 7 02 04 2015 Claudine AKWA NDONG Directrice Provinciale Jeunesse et 04 17 12 23 Sports LISTE DES PERSON
87. par les collectivit s locales les services forestiers en cas de d boisement d lagage etc les services miniers en cas d exploitation de carri res et de sites d emprunt les services d hydraulique en cas d utilisation de points d eau publics de l inspection du travail les gestionnaires de r seaux etc Avant le d marrage des travaux l Entrepreneur doit se concerter avec les riverains avec lesquels il peut prendre des arrangements facilitant le d roulement des chantiers R union de d marrage des travaux Avant le d marrage des travaux l Entrepreneur et le Ma tre d uvre sous la supervision du Ma tre d ouvrage doivent organiser des r unions avec les autorit s les repr sentants des populations situ es dans la zone du projet et les services techniques comp tents pour les informer de la consistance des travaux r aliser et leur dur e des itin raires concern s et les emplacements susceptibles d tre affect s Cette r union permettra aussi au Ma tre d ouvrage de recueillir les observations des populations de les sensibiliser sur les enjeux environnementaux et sociaux et sur leurs relations avec les ouvriers Pr paration et lib ration du site L Entrepreneur devra informer les populations concern es avant toute activit de destruction de kiosques commerces terrasses pav s arbres etc requis dans le cadre du projet La lib ration des emprises doit se faire selon un calendrier d fini en acc
88. pr vues dans le cadre du PDIL 1 amp II sont d une grande utilit en ce sens qu elles vont permettre aux villes cibl es confront es au ph nom ne d urbanisation incontr l e de disposer d infrastructures de base n cessaires au bien tre de leurs populations Ces l ments structurants permettront une meilleure prise en charge des probl mes urbains sociaux conomiques et environnementaux Avec ces infrastructures et quipements les autorit s communales seront dans de meilleures dispositions pour conduire des politiques dynamiques hardies et permanentes pouvant mobiliser toute la communaut autour d une ambition et d une vision partag es celle de contribuer la cr ation de communes urbaines modernes Le PDIL II contribuera ainsi de fa on significative la mise en uvre et l impulsion des politiques urbaines dans les communes cibl es par le projet dans la perspective de restaurer un cadre de vie urbain collectif stimulant pour tous o les questions d environnement de coh sion sociale et de mieux vivre occuperont une place d terminante 69 6 2 Les impacts environnementaux et sociaux n gatifs potentiels Les impacts n gatifs potentiels proviendront essentiellement de la pr paration la construction et la mise en services des infrastructures urbaines 6 2 1 Impacts n gatifs potentiels communs tous les micro projets en phase de travaux En phase de pr paration et travaux les impacts
89. proc dure et responsabilit s Etapes Responsabilit s 1 Pr paration de l activit dossiers techniques d ex cution des infrastructures ESES UCP du Projet et les municipalit s 2 Remplissage du formulaire de s lection et de classification environnementale et sociale 2 1 Remplissage formulaire 2 2 Classification du Projet et d termination du travail environnemental simples mesures de mitigation ou EIES ESES UCP et les municipalit s Validation de la classification DGE BM Ex cution du travail environnemental 4 1 Choix du consultant UCP PROJET avec appui ESES UCP 4 2 R alisation des EIES PGES Consultants en EIES 5 Examen et approbation des EIES incluant les PGES DGE and World Bank 6 Consultation et Diffusion UCP DGE Comit de Pilotage Provinces et Collectivit s locales concern es 7 Int gration des dispositions environnementales et sociales dans les dossiers d appel d offre et d ex cution des travaux ESES UCP et les municipalit s 8 Mise en uvre Prestataires sp cialis s 9 Surveillance et Suivi environnemental et social La supervision des activit s sera assur e par le Comit de Pilotage du Projet VESES les municipalit s la Banque mondiale La surveillance de proximit de l ex cution des travaux sera assur e par des Bureaux de Contr le Le suivi sera effectu par les services centraux et provinci
90. projet Les personnes class es Prise en charge des personnes Faire une discrimination vuln rables g es sans soutien veuves positive en faveur des jeunes filles m res personnes vuln rables Les besoins en Enclavement des quartiers Former nos agents en gestion formation Renforcement Occupation anarchique des environnementale et de capacit s terres sociale de projet Former les agents en r installation de populations des agents municipaux en gestion de projet ravinement La prise en compte du Le renforcement de nos Etablir le droit absolu de la genre dans la gestion des moyens mat riels et financiers femme d acc der librement projets urbains Renforcement de l expertise aux activit s productives Synth se des perceptions du Projet Le PDIL est un bon projet qui suscite une joie immense Synth se des pr occupations et craintes Non r alisation du projet Enclavement des quartiers Occupation anarchique des terres Absence de voies d acc s certains quartiers Adduction d eau et d lectricit Manque d assainissement et son corolaire l rosion et le ravinement Renforcement de nos moyens mat riels et financiers Renforcement de l expertise des agents municipaux en gestion de projet Existence de droits ancestraux sur les terres Risque de refus des populations de c der les terres au projet Prise en charge des personnes vuln rables en cas d impact de d placement Formation des
91. rapports d EIES La Direction G n rale de l Environnement DGE avec l appui des autres services techniques nationaux tel que pr vu dans le d cret sur les EIES va proc der i l approbation de la proc dure de s lection ainsi qu ii l examen et l approbation des ventuelles tudes environnementales r alis es pour les activit s class es en cat gorie B Etape 5 Enqu tes publiques Audience publique ou Consultations publiques Les dispositions de la l gislation environnementale Gabonaise en mati re d EIE doivent tre suivies notamment celles relatives la r alisation de l enqu te publique pour l explication du projet aux populations en conformit le code de l environnement mais aussi avec 4 01 d crivant les exigences de consultation et de diffusion Le processus de validation du rapport d tude ou de la notice d impact sur l environnement se d roule en deux phases l audience publique ou la consultation du public et l analyse technique L audience publique est destin e aux projets des cat gories A et B tandis que la consultation du public s effectue pour les projets de la cat gorie C Cette information du public comporte notamment i une ou plusieurs r unions de pr sentation du Projet regroupant les autorit s locales les populations les ONG et associations 11 l ouverture d un registre accessible aux populations o sont consign s les appr ciations les observations et suggestio
92. riodicit Responsables e CP et DGE Eaux Pollution et Param tres physico chimique et e Bureau de contr le perturbation des plans biologiques DBO degr de Une fois par an e ESES PDIL II d eau turbulence etc e PFES municipalit s e Comit s locaux e CP et DGE Sols Etat de pollution des Typologie et quantit des rejets solides Une fois par an sites de travaux et liquides e PFES municipalit s e Comit s locaux e Une fois par V g tation Taux d abattage Nombre d arbres coup s lors de la mois e ESES PDIL II lib ration des emprises et arbres plant s Dino e PFES municipalit s e _ Comit s locaux Patrimoine Sites et vestiges Nombre et types de vestiges d couverts Une fois par e CP et DGE culturel arch ologiques lors des travaux mois e Bureau de contr le Nombre de sites prot g s r habilit s e ESES PDIL II e PFES municipalit s e Comit s locaux Types de biens affect s par le projet e CP et DGE Activit s Nombre de personnes affect es et Une fois par e Bureau de contr le socio cono Pertes et perturbation compens es par le projet mois e ESES PDIL II miques Nombre et nature des conflits sociaux li s e PFES municipalit s aux travaux e Comit s locaux Types et qualit de gestion des d chets Niveau de respect des mesures d hygi ne et de s curit sur le site Existence de consignes s curitaires Hygi ne et sant Nombres d acteurs form s sensibilis s en e CPetDGE P
93. sociaux pollutions etc e Risques de d placement et perturbation des activit s socio conomiques Inqui tudes e Risque de conflits fonciers li s l acquisition de terra compte tenu de l occupation anarchique des terres par les populations e Prise en compte du ph nom ne d rosion avec risque d boulement et de ravinement Insuffisance des capacit s en gestion environnementale et sociale des acteurs impliqu s R organisation et appui l extension des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans certains quartiers et l clairage public e Conflits sociaux li s au mauvais choix des sites et l absence de recrutement de la main d uvre locale Identification et la prise en charge des personnes vuln rables dans le cadre du projet Prise en compte des droits et besoins sp cifiques des femmes dans les activit s du projet Probl matique de la gestion des ordures P rennisation des infrastructures moyens d entretien et de maintenance des infrastructures Respect du cadre l gislatif et r glementaire r gissant le domaine de l environnement Prise en charge des personnes impact es par le projet Eligibilit des Communes autres que les capitales provinciales du Projet Implication des diff rentes parties prenantes services techniques populations soci t civile Mairie d arrondissement chefs de quartiers autorit s administratives etc dans le processus de pr paration d ex cution des activit s et de sui
94. solution l amiable autour du chef de quartier ou du Maire Eviter l immixtion de la politique et le d tournement des objectifs du projet Prendre des mesures particuli res et soutenues l endroit des personnes vuln rables de la commune Renforcer les droits des femmes aux activit s productives Comptes rendus des rencontres institutionnelles et consultation publique OYEM 30 03 1015 Institutions Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations acteurs Mairie d Oyem Appr ciation sur le Les voies entam es et non D marrer au plus vite le Conseil projet achev es comme il est d j le PDIL2 municipal Chefs Nous saluons au cas dans le quartier de Komayat Poursuivre les travaux non de quartiers plus haut point achev es Soci t civile ONG l initiative de la Association reprise du PDIL qui nous valu beaucoup de satisfaction Les probl mes environnementaux et fonciers de la commune Enclavement et occupation anarchique de l espace Non viabilisation des terres pour l habitat Absence de r seau d adduction d eau dans certains quartiers L insalubrit des bacs ordures en d sordre dans la ville Les inondations d faut d entretien des canaux de drainage La pollution des eaux Absence de toilettes public etc D senclaver et r gulariser l occupation de I space par les populations Viabiliser les sites et installer
95. that can cause harm if appropriate measures are not taken road maintenance cleaning sweeping maintenance of gutters cleaning maintenance contracts cleaning and solid waste management management of biomedical waste in health centers hygiene and sanitation in schools etc However the sites to host the sub projects are not yet fully adopted and work to achieve not specifically described in this stage of project preparation it is planned to prepare an Environmental and Social Management Framework ESMF to ensure that environmental and social concerns of future project activities are taken into account The ESMF PDIL II will guide the environmental and social management activities and in activities that could be supported by the project and help ensure compliance with both national environmental legislation with the requirements of Policies Saving the World Bank The ESMF includes an analysis of the institutional framework and national environmental law in which the PDIL II will run The ESMF will be a Municipal Class nine provincial capitals of Gabon with a particular focus on basic infrastructure education and health social facilities commercial facilities and storm water facilities water supply drilling etc The intervention area of the project includes nine communities the 9 provincial capitals In municipalities environmental and social issues arise in terms of deficiencies in urban planning and anarchic occupation of urban s
96. tirer les enseignements d exploitation pour modifier les strat gies futures d intervention Le premier niveau du suivi concerne la surveillance_ou le contr le de proximit Le second niveau est le suivi environnemental et social Le troisi me niveau est celui de l inspection ou supervision 9 7 1 Surveillance environnementale et sociale Par surveillance environnementale il faut entendre toutes les activit s d inspection de contr le et d intervention visant v rifier que i toutes les exigences et conditions en mati re de protection d environnement soient effectivement respect es avant pendant et apr s les travaux ii les mesures de protection de l environnement prescrites ou pr vues soient mises en place et permettent d atteindre les objectifs fix s iii les risques et incertitudes puissent tre g r s et corrig s temps opportun La surveillance environnementale et sociale devra tre effectu e par les bureaux de contr le que VUCP PDIL II devra recruter avec l obligation de disposer d un Expert Environnement et Social EES qui aura comme principales missions de e faire respecter toutes les mesures d att nuations courantes et particuli res du projet e rappeler aux entrepreneurs leurs obligations en mati re environnementale et s assurer que celles ci sont respect es lors de la p riode de construction e r diger des rapports de surveillance environnementale tout au long des travaux e inspecter
97. travaux d activit s socio conomiques et de moyens d existence situ s sur les emprises ateliers garages commerces etc la g ne de circulation le bruit les poussi res les risques d accident la g n ration de d chets l occupation de terrains priv s des risques de vandalismes sur les infrastructures construites et mais aussi de frustration en cas de non utilisation de la main d uvre locale Pour souligner les probl mes environnementaux et sociaux potentiels qui pourraient d couler de la mise en uvre du Projet le CGES a aussi identifi et analys les impacts positifs et n gatifs potentiels des cat gories des sous projets ligibles au PDIL comme pr sent dans le tableau ci dessous Cat gories de sous projets Impacts Positifs Impacts N gatifs e Voirie Majeur Majeurs e utte contre les rosions Majeur Mod r s e Ecoles Majeur Mineurs e Centres de sant Majeur Mineurs e Adduction d eau potable Majeur Mineur e March s et quipements collectifs Majeur Mod r s 11 e Drainage pluvial Assainissement Majeur Mod r s e R seaux lectriques Majeur Mod r s Une partie fondamentale du CGES est le processus de s lection des sous projets screening qui d crit les proc dures d valuation environnementale pouvant tre appliqu es depuis la pr paration des projets jusqu au suivi de leur mise en uvre Une attention sp ciale sera accor
98. troli re qui apporte le plus de revenus au budget de l Etat Cours d eau Port Gentil dispose d un r seau hydrographique qui s articule autour du bassin versant du fleuve Ogoou et est expos e des ph nom nes d inondations qui par moments s apparentent des catastrophes naturelles En fait la ville comprend un espace marin sous la double influence de l Oc an Atlantique l Ouest et de la baie du Cap Lopez au nord est et un espace fluvial soumis la dynamique du delta de l Ogoou Climat la ville de Port Gentil est soumise un climat tropical chaud et humide caract ris par deux saisons une saison des pluies d octobre mai et une saison s che La temp rature moyenne de 25 c Port Gentil re oit en moyenne 2000 2200 mm d eau par an Contrairement aux autres villes Port Gentil la chaleur reste lev e toute l ann e sauf en saison s che de juin en septembre Relief Selon Nicaise Rabenkogo docteur en g ographie et am nagement de l espace Port Gentil repose sur une fl che littorale du bassin s dimentaire c tier form de sables pais La ville est b tie sur un site de 52 000 ha dont seulement 4600 sont urbanis s un m tre 1m environ au dessus du niveau de la mer Port Gentil relief bas dont l altitude varie de 3 6 m tres avec de nombreux bas fonds occup s par les eaux Selon ce chercheur et son quipe l Ogoou d verse dans l Oc an en moyenne plus de 6000 m3 s
99. 008 et 30 000 habitants en 2015 Elle est compos e en majorit des groupes ethnolinguistiques Punu Lumbou Vili Nzebi gisir et Voungou par des locuteurs d autres ethnies du Gabon et des ressortissants de pays d Afrique et d Asie Activit s conomiques La pratique de l agriculture traditionnelle itin rante sur br lis est parmi la plus performante du Gabon en termes de production de bananes plantains et de taro tandis que la culture industrielle du palmier huile et du riz se fait pr s de Tchibanga L levage du gros b tail b uf est pratiqu depuis les ann es 60 dans les savanes de la Nyanga avec plus ou moins de r ussite Au plan des infrastructures marchandes on recense deux march s municipaux Tchibanga le March Municipal situ au quartier BIBORA au 1 Arrondissement et le March Municipal situ au quartier BATSIENGUI dans le 2 Arrondissement Tchibanga est le carrefour des principaux axes routiers de la province et permet l acc s aux diff rents circuits touristiques des parcs nationaux de Moukalaba Doudou et Louango En effet partir de Tchibanga on peut aller Mayumba Moulengui Binza vers la fronti re avec le Congo Nyali Nd nd Moabi et Doussala Tchibanga dispose d un a roport secondaire public situ 5 km du centre ville sur la route de Moabi En mati re de t l communications Tchibanga a un dispositif de station du r seau Equasat de la couverture en t l phone fil
100. 2 7 La commune de Tchibanga Situation administrative Tchibanga est la ville capitale de la province de la Nyanga et le chef lieu du d partement de Mougoutsi La ville de Tchibanga est situ e au bord du fleuve Nyanga long de 350 kilom tres qui donn son nom cette province du sud du Gabon situ e 408 km au sud est de Libreville La ville de Tchibanga est divis e en 2 arrondissements regroupant au total 10 quartiers Le climat On distingue deux saisons bien marqu es une saison s che de mi mai mi octobre une saison des pluies de mi octobre mi mai avec un l ger ralentissement de d cembre f vrier La temp rature moyenne est de 25 7 C La pluviom trie de la province est la plus faible du pays avec une moyenne annuelle de 1 308 1 mm Relief la ville de Tchibanga est b tie sur la zone de la plaine de Nyanga qui ne s l ve pas au dessus de 200 m tres du niveau de la mer Les contours de la ville forment une cuvette dans un cosyst me herbeux compos de savane de plaine bord e de jach res de plantations de for ts d grad es et de for ts denses humides okoum de la plaine c ti re Cours d eau Le bassin du fleuve Nyanga y compris ses affluents draine les eaux de la quasi totalit de la province Les principales rivi res de cette r gion sont la Dounvou la Loubizi la Djoungou la Ndouma et la Loubetsi Population la ville de Tchibanga compte une population estim e 24 000 habitants en 2
101. 29 Co ts des tudes mesures d accompagnement et de suivi Activit s Quantit Co t unitaire Co t total FCFA FCFA R alisation des EIES ventuellement 36 5 000 000 180 000 000 EIES NIES Provisions pour la mise en uvre des PGES ventuels 50 000 000 Elaboration d une situation de r f rence et mise en place d une base 10 10 000 000 100 000 000 des donn es environnementales et sociales pour chaque ville Mesures de reboisement compensatoire et am nagement paysagers 50 000 000 Dotation de petits mat riels d assainissement aux mairies Forfait 50 000 000 arrondissement dans toutes les communes concern es Suivi permanent du 5 ans 10 000 000 60 000 000 Appui la DGE et services locaux de l environnement dans le suivi 10 000 000 Evaluation mi parcours et finale du PGES du PDIL II 2 15 000 000 30 000 000 TOTAL 530 000 000 Tableau 30 Co ts de mesures de Formation et de Sensibilisation Acteurs concern s Th mes Quantit Co t Co t total unitaire FCFA FCFA Formation e UCP e Formation en gestion Environnementale et e Membres du CP Sociale s lection et classification des activit s e Focaux identification des impacts choix des mesures Environnement d att nuation et suivi des indicateurs du PDIL e L gislation et proc dures environnementales lt gt Services 10 ateliers 10 000 000 100 000
102. 3 Clauses environnementales et sociales pour les travaux Les pr sentes clauses environnementales et sociales sont destin es aider les personnes en charge de la r daction de dossiers d appels d offres DAO et des march s d ex cution des travaux cahiers des prescriptions techniques afin qu elles puissent int grer dans ces documents des prescriptions permettant d optimiser la protection de l environnement et du milieu socio conomique Les clauses sont sp cifiques toutes les activit s de chantier pouvant tre sources de nuisances environnementales et sociales Elles devront tre ins r es dans les dossiers d appels d offres et dans les march s d ex cution des travaux dont elles constituent une partie int grante Les clauses sont d velopp es en d tail dans l Annexe 3 du CGES 6 3 4 Directives applicables sur Hygi ne Environnement et S curit Les entreprises contractantes devront se conformer aux exigences des directives de la Banque mondiale concernant l Hygi ne l Environnement et la S curit Des directives compl mentaires sur la protection anti incendie et de s curit figurent dans les Directives sur l environnement la sant et la s curit Environmental Health and Safety notamment les recommandations suivantes Main d uvre et Conditions de Travail et Pr vention et R duction de la Pollution 83 8 ANALYSE DES ALTERNATIVES 8 1 Situation sans projet La situation sans p
103. 6 obiangndongs gmail com 5 30 03 2015 Jean Pierre NDONG NKOUMOU Repr sentant chef de service 07 23 78 61 culture et arts 6 30 03 2015 MAGA Ma NZAMBA Responsable SEEG 07 52 42 46 tmaga seeg gabon com 169 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A MOUILA N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 27 03 2015 Pierre Claver MAGANGA Maire central 07 402929 pierreclavermagangamoussavou ya MOUSSAVOU hoo fr 2 27 03 2015 Isabelle Olga MBOUMBA 1 Adjoint au Maire 07 75 47 36 isabellemboumba gmail com MOUANGA 3 27 03 2015 J r me MADOUMA 2 Adjoint au Maire 07 840424 B P 170 Mouila 4 27 03 2015 PAPA MOUTOULI 3 Adjoint au Maire 07 76 8603 B P 430 5 27 03 2015 Gildas BOUSSAMBA Maire du ler arrondissement 07 447020 rpsbg hotmail fr 6 27 03 2015 Jean Marcel IKAPITTE Maire du 2 arrondissement 02 12 8291 7 27 03 2015 MOUDEKE MAPITA ler Maire Adjoint du 2 06 59 92 02 arrondissement 8 27 03 2015 M Francisca MOUGOULA Maire Adjoint 2 06 18 00 69 arrondissement 9 27 03 2015 Joseph MOKAMBO DIVISSO Secr taire G n ral Mairie du 07 41 90 99 ler arrondissement 10 27 03 2015 Marcel MONDJO 2 Maire Adjoint ler 07337729 B P 170 arrondissement 11 27 03 2015 MWANGUI NZODI Vice S nateur ler 07 55 97 71 arrondissement 12 27 03 2015 Jean de Dieu MOUIRI MOUITI Secr taire G
104. AGOU Chef de quartier DUROUELA 9 Fran ois MABIKA Chef de quartier MBOUKOU 10 C lestin IVOLOU Chef de quartier BAVANGA 11 Germaine NYANGUI Chef adjoint de quartier BAVANGA 12 Albert IVORA Chef adjoint de quartier MOUKOUMOUNABOUALA 13 Pierre KOUMOU Chef de quartier MANGUI BALEKA 14 MOUTENDI MOUBEYI Chef de quartier MOUTSANOU PINZA 04 42 53 03 15 M Julien IBINGA Chef adjoint quartier MANDJASSANGO 06 56 36 30 162 Consultations Publiques Localit d OYEM Date 30 Mars 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 ASSOULOU BIKORO Chef de quartier 07 29 46 56 2 Fran ois NDOUTOUME ZE ROMENEC Franz 07 39 49 51 06 88 32 61 3 Cyrille ESSONO NDONG Sachets plastiques d OYEM 07 90 50 88 06 35 63 69 4 MIAME OBAME Maire Adjoint d OYEM 07 897271 5 Florentin MBA MENGUE Conseiller du Maire Central 07 84 20 02 d OYEM 6 Michel ABA Chef de quartier 04 57 08 22 Consultations Publiques de localit de MAKOKOU Date 1 Avril 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Albert MINKO BIYOGHE 2 Maire Adjoint 2 arrondissement 07 90 51 96 2 Gilbert MBELOU Maire 1 arrondissement 02 42 54 24 3 Fulbert PWOKO 2 Maire Adjoint 07 8641 97 4 Jean Paul EBINDJI 4 Maire Adjoint 04 1 5 OUBA GARBA 1 Maire Adjoint 2
105. CP VIH ACRONYMES Banque Mondiale B timent et Travaux Publics Connaissances Attitudes et Pratiques Expert en Sauvegardes Environnementales et Sociales Communication pour le changement de comportement Cadre de Gestion Environnementale et Sociale Commission nationale des travaux d int r t public pour la promotion de l entreprenariat et de l emploi Comit de Pilotage Cadre de Politique de R installation Dossier d Appel d Offres Direction G n rale de l Environnement Directives Op rationnelles Etude d impact environnemental et social Environmental and Social Impact Assessment Environmental and Social Management Framework Association Internationale pour le D veloppement Information Education et Communication Maladie sexuellement transmissible Minist re de l Energie et des Ressources Hydrauliques Notice d Impact Environnemental et Social Nouvelles technologies de information et de la communication Organisation Communautaire de Base Objectifs du Mill naire pour le D veloppement Organisation Non Gouvernementale Plan Cadre Gestion Environnementale et Sociale Point Focal Environnement et Social Projet de d veloppement des infrastructures locales Plan local de d veloppement Plan de d veloppement strat gique Plan de gestion environnementale et sociale Petite et Moyenne Entreprise Politique Op rationnelle Plan Strat gique Gabon Emergent Soci t d Eau et d Energie du Gabon Syndrome d
106. ENTIL N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 09 04 2015 Guy RETENO NDIAYE Maire du 3 arrondissement 06 26 1094 retenondiaye gmail com 2 09 04 2015 Boniface NDJAOU Conseiller Technique 07 78 78 03 bonifacendjaou yahoo fr 3 09 04 2015 Jean Marcellin EVINDI Directeur Technique Mairie 07001027 jmevindi gmail com 4 09 04 2015 Decoopmane PAMBO Chef Cellule Municipale Technique 04 26 57 82 decoopmane yahoo fr 5 09 04 2015 Bonaventure KASSA IBINGA Maire du 4 arrondissement 05 20 77 47 173 Annexe 9 Compte rendu atelier de restitution P 2 ROJET DE DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 Atelier national de restitution des rapports du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES et du Cadre de Politique de R installation CPR Date Jeudi 09 juillet 2015 Lieu Libreville HOTEL MERIDIEN PROCES VERBAL DE CONSULTATION PUBLIQUE L An deux mille quinze et le Jeudi 09 juillet s est tenue un atelier national de consultation a ayant pour objet de restituer les rapports du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES du Cadre de Politique de R installation CPR labor s dans le cadre du PDIL C 5 LS N Wc Co wre Por La rencontr tait pr sid e par Py Lo N83 MOA D Yo c uk 2 Etaient pr sents voir liste en annexe lec her aE ER 5 1 Dg AV 2943 i
107. MMUNAUTAIRES DE BASE 72 6 2 4 IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS DES RESEAUX ASSAINISSEMENT ET D ADDUCTION D EAU ET D ELE GTRIGE LE rede 73 6 2 5 IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS DE LA LUTTE CONTRE LES FACTEURS DE DEGRADATION DU CADRE DE VIE 73 6 2 6 SYNTHESE DES IMPACTS ENVIRONNEMENTAUX ET SOCIAUX POTENTIELS unes 74 6 3 MESURES D ATTENUATION DES IMPACTS NEGATIFS POTENTIELS ET DE BONIFICATION DES IMPACTS POSITIFS 77 6 3 1 LISTES DES MESURES ATTENUATION APPLICABLES cccccccccecececececececececececececececesecsseceesseseesseeeeeeseseeeaes 77 6 3 2 MESURES DE BONIFICATION 82 6 3 3 CLAUSES ENVIRONNEMENTALES ET SOCIALES POUR LES TRAVAUX ccccccccccscececececeseceseceeeseseseseseseeseseeeees 83 6 3 4 DIRECTIVES APPLICABLES SUR HYGIENE ENVIRONNEMENT ET SECURITE 83 ANALYSE DES ALTERNATIVES cccecccccocccococccococccooccccooccoo000c0oecooo0ccoeo0ccooeooosecooosccoeosccoesecoosecooosecocnseeo OF 8 1 SITUATION SANS PROJET Sr ne A Seer ane Eee np ton Cech Eee Te 84 8 2 nn ne Sre tn S 84 PLAN CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE ececccccccccocccccocccococccoccccussa 85 9 1 METHODOLOGIE POUR LA PREPARATION L APPROBATION ET L EXECUTION DES MICRO PROJETS 85 9 1 1 Le processus de s lection environnementale et sociale ou screening 85 9 1 2
108. Mosqu e Rombitzozo Orovati Sindara Matiti 1 et 2 Ch teau d eau entre autres noms avec un habitat souvent pr caire en contreplaqu s et planches Ces habitations sont situ es globalement dans un environnement inondable insalubre dans les quartiers sous int gr s Cet environnement est d sa situation g ographique d une part et un manque 41 d assainissement d autre part L habitat pr caire est r alis partir des mat riaux l gers contreplaqu planches simples rondelles t les et des mat riaux de r cup ration vieilles t les chutes de bois vieux f ts d roul s Transport seules les voies rev tues sont desservies par les taxis et taxis bus Port Gentil ne connait le ph nom ne de transports clandestins appel s clandos Sur le plan des transports a riens Port Gentil dispose d un a roport de classe internationale accessible aux moyens courriers et desservi tous les jours matin et soir par des compagnies a riennes En ce qui concerne le transport maritime et fluvial des liaisons r guli res existent entre Port Gentil et Lambar n entre Port Gentil et Libreville entre Port Gentil et le Fernan Vaz ainsi que entre Port Gentil et Gamba pour le transport des passagers des produits p troliers et des marchandises Voirie urbaine le r seau routier urbain de Port Gentil dispose de voies principales bitum es et de voies secondaires pav es et d autres voies trac es mais sans rev tem
109. NES RENCONTREES A KOULA MOUTOU N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 07 04 2015 F lix BEFENE BIBANG Gouverneur de l Ogoou Lolo 07 89 41 44 befenebibang voila fr 2 07 04 2015 St phanie MOUWANDIJI Maire de la commune de Koulamoutou 07 92 38 19 ITSOPAULT 3 07 04 2015 Pascal ZOA MALOMBA Coordinateur Provincial des Affaires sociales 07 87 21 56 B P 193 Koula Moutou Ogoou Lolo 06 50 99 41 4 07 04 2015 Richard Andr OLOLO Directeur Provincial des Infrastructures 04 69 50 14 Ololorichard gmail com Sther NGOUBOU Chef de service PTRA 07 65 55 06 ngoubousther yahoo fr 5 07 04 2015 Edouard EKOGHA ASSA Chef d agence client le SEEG 07 18 76 30 eekogha seeg gabon com 6 07 04 2015 Jean Claude VOUMA Chef de service Culture et Arts 07 19 74 29 B P 316 Koula Moutou 7 07 04 2015 Jean OBAME Directeur Provincial Habitat Urbanisme et 07 36 92 43 Cadastre Ogoou Lolo 06 77 40 94 8 07 04 2015 Faustin MALOLA Secr taire g n ral Pr fecture Koula Moutou 07 44 13 06 06 04 07 05 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A FRANCEVILLE N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 07 04 2015 Jean Pierre MIBESSI Directeur Provincial Habitat Urbanisme 07 97 94 04 RAS jpmibessi yahoo fr et Cadastre 2 07 04 2015 Christine MOUTSINGA Coordinatrice Provinciale des Affaires 07 73 30 88 171 Sociales 3 07 04 2015 F
110. PDIL L information et la communication vis vis des populations b n ficiaires Probl me de mobilisation du financement pour l acc s des populations aux r seaux d eau et d lectricit La forte demande li e volution d mographique de la population L acc s difficile aux quartiers sous int gr s cause des habitations spontan es Le fait de limiter le projet aux seules capitales provinciales L implication des services techniques locaux et des populations dans le processus Le renforcement des capacit s des services techniques Implication de la direction g n rale de l am nagement du territoire DGAT 160 L insuffisance des structures des affaires sociales centres sociaux la base L acc s l eau le logement la taille de la famille prise en charge la prise en charge m dicale et les personnes handicap es absents dans les crit res de pauvret et de vuln rabilit Le respect des normes en mati re de r alisation des infrastructures La sensibilisation des populations Synth se des suggestions et recommandations Faire une valuation du projet sa fin Optimiser les ressources du projet Eviter le d tournement des objectifs du projet sur des bases politiques Eviter de personnaliser les r alisations Renforcer les capacit s des municipalit s dans la d centralisation appropriation des r glementations Favoriser le d cloisonnement des diff rents services publics pour une
111. PH Chef quartier Makana 06 39 50 25 Consultations Publiques Localit de FRANCEVILLE Date 07 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Edgard NDJIMBA 1 Adjoint au Maire 06 23 89 34 4 arrondissement 07 35 61 01 2 Albert ONGALLA Maire 1 arrondissement 06 14 64 71 3 Martine VOUA 1 Adjoint Maire 06 06 70 34 1 arrondissement 4 Georgette KALOUONI 2 Adjoint Maire 06 55 25 49 1 arrondissement 5 Philom ne OKONGO Chef de quartier Corniche 2 06 05 48 10 6 Philippe MBALA Chef de quartier Corniche 1 06 93 65 44 7 Jean Paul LEDAGA 1 Maire Adjoint 07 19 30 30 8 Paul MOKIAMA Surveillant G n ral Responsable Centre 07 39 86 62 Technique Municipal 05 101031 165 Consultations Publiques Localit Date 09 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Michel NZE NDONG Chef de quartier Agoungou 3 07 31 44 88 2 Germaine IPEDET Chef de quartier Virie OCTRA 07 35 71 65 3 Patrice NGALA Chef vde quartier 07 07 68 55 4 MAGANGA Chef de quartier Mbila nyambi 06 47 24 32 5 Philom ne NTERE Chef de quartier Virie 2 07 92 39 38 6 Rachel MWEMBA Chef de quartier Mbila nyambi 06 15 56 37 7 C lestine MENDOME Chef de quartier Akournam 2 07 78 13 46 8 J B NKOGHE
112. Publiques Localit de LIBREVILLE Date 10 04 2015 LISTE DE PRESENCE N Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone 1 Louis Georges OZOUAKI Conseiller du Maire de Libreville 07 15 01 33 2 Bernard LEVOSSO DGA STMI 07 28 46 48 3 Ga tan OBIANG ETOUGHE DGA Environnement 07 28 55 52 166 Rencontres institutionnelles LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A LIBREVILLE N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 2 23 03 2015 Valerie TSASSA NZENGUE Consultante en appui 07 65 19 43 Tsassa2001 yahoo fr CNTIPPEE 3 23 03 2015 Yves EWOMBA JOCKTANE CNTIPPEE 05 19 04 08 jewomba cntippee org Chef de projet 4 23 03 2015 Michel Auguste BUSAMBA Expert personne 05 19 04 10 busamba yahoo com ressource 7 23 03 2015 Richard DAMAS Secr taire Permanent 05 19 04 04 richardamasaleka gmail com CNTIPPEE 1 09 04 2015 Jean Claude MAKAYA Soci t d Energie et 07 53 66 32 d Eau du Gabon SEEG jcmakaya seeg gabon com 2 09 04 2015 Marie Th r se NGUEMA Direction G n rale de 06 26 72 37 Mtnguema65 yahoo fr Am nagement du Territoire DGAT Directeur g n ral Adjt 3 09 04 2015 Fabionne MICKOLO pse NGALENDE DGAT DA 06 03 80 36 emeryanthony gmail com 4 09 04 2015 Agathe RANOZINAULT pse DGAT DCD 06 20 39 54 agatheranozinault equipement gov MOUNGUENGUI ga 5 09 04 2015 Rodrigue MOUNGUENGUI M DGAT CSCO 04 31 00 16 rodmoungu
113. Responsabilit s pour la mise en uvre de la s lection environnementale et sociale 87 9 2 DIAGRAMME DE FLUX POUR LA PREPARATION ET LA MISE EN UVRE DES ACTIVITES DU 89 9 2 LE ONS TIREES DE LA GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DU PDIL I 90 9 3 RENFORCEMENT DE LA GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE DU s s 91 9 3 1 Mesures de renforcement institutionnel et juridique ss 91 9 3 2 Etudes mesures d accompagnement et suivi valuation 92 9 4 FORMATION DES ACTEURS IMPLIQUES DANS LA MISE EN UVRE DU 93 9 5 PROGRAMMES DE SENSIBILISATION ET DE MOBILISATION AU NIVEAU COMMUNAL 94 3 9 6 ARRANGEMENTS INSTITUTIONNELS ET RECOMMANDATIONS DE MISE EN UVRE DU CGES 95 9 6 1 Arrangements institutionnels de mise en uvre du CGES 95 9 7 Plan de surveillance et de suivi environnemental et social 98 9 7 1 Surveillance environnementale et sociale 98 9 7 2 Suivi environnemental et social valuation 98 9 7 3 Composantes environnementales et sociales suivre ere 98 9 7 4 Indicateurs de SUIVI 99 9 8 CALENDRIER DE MISE EN UVRE DES MESURES 101 9 9 COUTS DES MESURES ENVIRONNEMENTALES
114. SFG1264 Minist re de l Economie de l Emploi et REPUBLIQUE GABONAISE du D veloppement Durable Unit Travail Justice Commission Nationale des TIPPEE Secr tariat Permanent PROJET DE D VELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES LOCALES PDIL PHASE 2 RAPPORT FINAL Aout 2015 TABLE DES MATIERES ACRONYMES sisssccssssecsccsisstoossvscstsectvensossscenseensvesseesscecsuvenscedecdasesdescadsviecsedesteteodestecssbesdacssbasconsessiedsebenssede isenesest 6 EXECUTIVE SUMMARY instants diesel stascssassscessactbens ss 7 RESUME EXECUTIF a cisisssiscsscsiesscssssscssscccnsecaasesecsdsusssecsetecdsdevscsvsvesecessdcceesensesescucdescedbaaasosecsscsccoossossscbeaesensocaesseesss 10 INTRODUCTION cies sccssssesvedaasusesssdeeseossssesesseedessobuevasesusteetves T AE See ST tite tee 13 1 1 CONTEXTE ET JUSTIFICATION E B S S SA D E S EA tendue rene dette den eee ele se donn ete 13 1 2 OBJECTIF DU CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE CGES 13 1 3 METHODOLOGIE 5420592903 RS end es dure NR RAAN een dedans R NSE 14 DESCRIPTION DU PROJET sisssssssecisssesenssssstesesvssesievessosiuvensossescsssssescodsvassecsestecssbentedeviaseosevdesstsesteciesvesensoes 15 2 1 OBJECTIF DU GENERAUX DU PROJET sise ere ns 15 2 2 PRESENTATION SPECIFIQUES DU PROJET sise 15 2 3 COMPOSANTES DU PROJEL intl amer A
115. a plus tendue du Gabon et le chef lieu du d partement de l Ivindo La ville situ e 610 km de Libreville a t rig e en commune en 1975 Population La population de Makokou d environ 25 000 habitants est compos e en majorit de Kota Kw l Fangs Haoussas et autres ressortissants d Afrique centrale d Afrique de l Ouest et du d Afrique du nord tchadiens camerounais maliens mauritaniens etc Relief Sur le plan g ographique et physique Makokou pr sente un relief accident irr gulier et relativement montagneux Le sol est ferme et argilo sablonneux 30 Climat Le climat est quatorial chaud et humide avec une temp rature moyenne de 22 30 C Il est caract ris par quatre 4 saisons Une petite saison s che mi d cembre mi f vrier une grande saison des pluies mi f vrier mi mai une grande saison s che mi mai mi septembre une petite saison de pluie mi septembre mi d cembre V g tation Elle est couverte par une for t primaire secondaire voire dense dans certaines zones Il existe galement trois parcs nationaux le Parc de MWAGNA Mekambo celui de la Lop Boou et celui de l Ivindo Makokou Cours d eau Le r seau hydrographique est abondant Il est constitu principalement par le fleuve Ogoou et ses affluents Ivindo Mvoung et Okano qui partage la ville entre les deux rives gauche et droite ceintur es par la for t vierge Il existe ce
116. a r alisation d ventuelles EIES NIES pourrait entra ner des mesures comportant des co ts et qui devront tre budg tis es d s pr sent par le PDIL II pour pouvoir tre ex cut es le moment venu Pour cela il est n cessaire de faire une dotation provisionnelle qui permettra de prendre en charge de telles mesures estim es 50 000 000 FCFA Soit un total de 230 000 000 FCFA Mise en place d une base des donn es environnementales et sociales dans les villes s agira de recruter un consultant pour mettre en place une base des donn es urbaines dans les municipalit s cibl es Une provision de 100 000 000 FCFA 10 000 000 FCFA par ville permettra de prendre en charge l tablissement d une situation de r f rence la collecte des donn es la conception et l laboration d un programme informatique de gestion alimentation actualisation etc et la formation du personnel Mesures de reboisement compensatoire et am nagement paysagers Une provision de 50 000 000 FCFA permettra de prendre en charge ces reboisements et espaces verts Dotation de petits mat riels d assainissement aux mairies d arrondissement Il s agira de doter chaque commune d arrondissement cibl e par le PDIL II de petits mat riels d entretien et d assainissement brouettes r teaux pelles fourches machettes etc avec une dotation initiale de 50 000 000 FCFA au total Des co ts de Suivi Evaluation des activit s du PDIL Eval
117. activit s conomiques La description des donn es physiques devra tre sous tendue par des cartes th matiques climat v g tation g ologie et topographie Le rapport d EIES indiquera si possible les ventuelles difficult s ou lacunes et incertitudes sens es tre relev es dans la zone du projet 9 Identification et Analyse des impacts pr visionnels Cette analyse se fera suivant les l ments valoris s de l environnement sol air eau fore faune et les l ments socio conomiques emploi ducation activit s socio conomiques et en fonction des diff rentes phases du projet Cette analyse se fera sur la base d une matrice qu on indiquera Les impacts seront caract ris s suivant l intensit faible moyenne ou majeure l tendue r gionale locale et ponctuelle et la dur e longue moyenne et courte Les taux de pollution seront indiqu s en se r f rant aux normes internationales 10 Concertation avec les autorit s et populations locales Cette concertation se fera conform ment aux dispositions r glementaires fixant le champ d application le contenu et les proc dures de l tude d impact environnemental notamment celles de l audience publique section du chapitre II Indiquer les parties prenantes qui feront l objet des consultations Il s agit des autorit s et des populations locales des structures publiques directions d partementales des minist res concern s et de
118. acts cumulatifs Check list des mesures de mitigation D finition de proc dures et des responsabilit s de Gestion Environnementale et Sociale Proc dures d analyse et de s lection environnementale et sociale Programme de renforcement des capacit s de gestion environnementale et sociale Modalit s institutionnelles pour la mise en uvre et le suivi du CGES Plan de consultation des parties prenantes Calendrier d ex cution et co t R sum des consultations publiques du CGES Annexes Formulaire de s lection des microprojets Plan synth tis de gestion environnementale TDR D tail des consultations du CGES incluant les localit s dates listes de participants probl mes soulev s et r ponses donn es Grille de contr le environnemental et social comprenant la grille d impact environnemental et social et les mesures d att nuation appropri es Les clauses environnementales int grer dans les Contrats pour la Conception la Construction et l Entretien des Projets dans les dossiers d appel d offres Personnes rencontr es Bibliographie consult e 125 V Profil recherch Le Consultant doit tre un Sociologue Environnementaliste ou un Anthropologue BAC 5 minimum avec au moins 10 ann es d exp rience et ayant conduit ou particip au moins cinq 5 tudes pour l laboration de cadres de politique de gestion environnementale et sociale et de cadre de po
119. actuel peut conserver un exemplaire desdits documents Pendant la dur e du pr sent Contrat et les deux 02 ann es suivant son expiration le Contractuel ne divulguera aucune information exclusive ou confidentielle concernant les Services le pr sent Contrat les affaires ou les activit s du Client sans avoir obtenu au pr alable l autorisation crite de celui ci VIII Liste des documents consulter Sans tre exhaustif les documents ci apr s devraient tre consult s par le Consultant pour la r alisation de l tude les Directives de la Banque Mondiale en mati re de Sauvegardes Environnementales et Sociales les divers textes r glementaire relatifs aux tudes d impact au Gabon les documents et autres rapports relatifs au projet les documents d autres projets pouvant avoir une relation avec la pr sente tude 126 Annexe 6 R f rences Bibliographiques Programme Strat gique Gabon Emergent PSGE Vision 2025 et orientations strat giques 2011 2016 Juillet 2012 Minist re de la planification de la programmation du d veloppement et de l am nagement du territoire Direction g n rale de la statistique et des tudes conomiques 2004 annuaire statistiques du Gabon 1996 2000 D cret n 539 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant les tudes d impact sur l environnement D cret n 541 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant l limination des d chets Le code de l environnement
120. age march s et qui coordonneront la diffusion des informations relatives au CGES e Le Point focal Environnement PFES municipalit Le PFES des municipalit s concern es assurera le suivi des aspects environnementaux et sociaux de leurs sous composantes respectives et participera aussi l information et la diffusion du CGES au niveau des arrondissements e Les Mairies d arrondissement dans les communes cibl es Elles participeront la sensibilisation des populations aux activit s de mobilisation sociale Dans chaque Mairie d arrondissement les Maires vont mettre en place des Comit s Locaux qui vont assurer le suivi de proximit de la mise en ceuvre des recommandations du CGES et des mesures contenues dans les PGES 95 Les Comit s Locaux Ils participeront la mobilisation sociale l adoption et la diffusion de l information contenue dans le CGES et les EIES NIES etc Ces commissions participeront au suivi de proximit dans chaque commune d arrondissement et veilleront la gestion et l entretien des infrastructures Les ONG et la Soci t civile Les ONG OCB et autres organisations environnementales de la soci t civile pourront aussi participer informer duquer et conscientiser la population sur les aspects environnementaux et sociaux li s la mise en uvre du projet mais aussi au suivi de la mise en uvre des mesures du CGES Les Entreprises contractantes PME Elles doivent ex cuter les me
121. ains quartiers Adduction d eau et d lectricit Manque d assainissement et son corolaire l rosion et le ravinement Aider d senclaver les quartiers Am nager des sites usage d habitation pour accueillir les populations Cr er des voies d acc s aux quartiers encore sous int gr s Installer des r seaux d eau et d lectricit Aider lutter contre l rosion hydrique et ravinement Les capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains Moyens mat riels et financiers insuffisant Faiblesse de l expertise des agents municipaux en gestion de projet Renforcer les moyens mat riels et financiers de la municipalit Renforcer les capacit s techniques des agents municipaux en gestion de projet urbain La gestion des conflits dans la commune Les conflits se g rent autour du chef de quartier et des maires ils arrivent rarement au tribunal qui est la derni re tape L existence de droits ancestraux sur les terres Le risque de refus des Il faut mettre l accent sur l information pr coce des populations la sensibilisation sur l importance du projet En cas d opposition des populations privil gier la n gociation 156 populations de c der les terres Absence de voies d acc s certains quartiers Adduction d eau et d lectricit Manque d assainissement et son corolaire l rosion et le au
122. aire et mobile de la t l diffusion et radiodiffusion et liaison num rique Education Sant Les infrastructures ducatives comprennent les institutions pr scolaires des coles primaires et des tablissements secondaires lyc e MAVOUNDI lyc e technique de Tchibanga et le coll ge Bellevue notamment Comme structure de sant on note la pr sence de l H pital provincial et de la Pharmacie MASSANGA ainsi que le Centre Hospitalier Dr Benjamin NGOUBOU de Tchibanga De nombreux services administratifs d concentr s se trouvent Tchibanga Les voiries principales de Tchibanga b n ficient du bitume d am nagement d ouvrage de drainage d clairage public et les zones urbanis es de la commune ont un acc s l eau et l lectricit Contraintes environnementales et sociales e Impraticabilit s des routes seules 25 km bitum es Probl me de drainage pluvial Probl me d eau et d lectricit Inaccessibilit de certains quartiers services sociaux de base Assainissement d chets solides urbains 39 3 2 8 La commune de Port Gentil Situation administrative Port Gentil est la capitale de la province de l Ogoou Maritime et le chef lieu du d partement de Bendj Les 4940 ha que couvre la commune de Port Gentil ont t divis s administrativement en quatre arrondissements allant tous de la Baie du Cap Lopez vers l Oc an atlantique Tous ces arrondissements comptent au total 18 quartiers selon la
123. ales dans leurs chantiers Nombre de carri res ouvertes et remises en tat par les entreprises de BTP Niveau d application des mesures d att nuation environnementales et sociales Nombre d acteurs form s sensibilis s en gestion environnementale et sociale Nombre d emplois cr s localement main d uvre locale utilis e pour les travaux Niveau d implication des mairies et acteurs locaux dans le suivi des travaux Niveau de consensus approbation sur le choix des sites Qualit et fonctionnalit des infrastructures r alis es Nombre de campagne de sensibilisation sur le projet sur l hygi ne la s curit lors des travaux Nombre d associations locales et ONG impliqu es dans la mise en uvre et le suivi Fonctionnalit des comit s locaux R alisation du manuel d entretien des infrastructures Effectivit de la base des donn es environnementales en milieu urbain Nombre et nature de mat riel fourni aux mairies d arrondissement Nombre de personnes affect es et compens es par le projet Nombre et nature des conflits sociaux li s aux travaux Nombre d accidents caus s par les travaux Nombre de plaintes enregistr es et trait es lors des travaux R gularit et effectivit s du suivi de proximit 99 Tableau 28 Indicateurs de suivi environnemental travaux nombre de jeunes recrut s lors des travaux a Types d indicateurs El ments collecter P
124. aleur esth tique du paysage Sites historiques arch ologiques ou culturels Le micro projet pourrait il changer un ou plusieurs sites historiques arch ologiques ou culturels ou n cessiter des excavations Perte d actifs et autres Est ce que le projet d clenchera la perte temporaire ou permanente d habitats de cultures de terres agricoles de p turages d arbres fruitiers et d infrastructures domestiques Pollution Le micro projet pourrait il occasionner un niveau lev de bruit Le micro projet risque t il de g n rer des d chets solides et liquides Si l infrastructure dispose t elle d un plan pour leur collecte et limination a t il les quipements et infrastructure pour leur gestion Le micro projet pourrait il affecter la qualit des eaux de surface souterraine sources d eau potable Le micro projet risque t il d affecter l atmosph re poussi re gaz divers Mode de vie 106 Pr occupations environnementales et sociales oui non Observation Le micro projet peut il entra ner des alt rations du mode de vie des populations locales Le micro projet peut il entra ner une accentuation des in galit s sociales Le micro projet peut il entra ner des utilisations incompatibles ou des conflits sociaux entre les diff rents usagers Sant s curit Le micro projet peut il indui
125. ance des structures des affaires sociales centres sociaux la base le processus de pr paration et de r alisation du projet Veiller une r installation correcte des populations d plac es Aider la construction des centres sociaux dans les quartiers sous int gr s Crit res de pauvret et de vuln rabilit Acc s l eau le logement la taille de la famille prise en charge la prise en charge m dicale et les personnes handicap es Ajouter aux crit res de pauvret et de vuln rabilit l acc s l eau le logement la taille de la famille prise en charge la prise en charge m dicale et les personnes handicap es Service national de l hygi ne publique et de l assainissement Appr ciation sur le projet Un projet louable pour r soudre les probl mes d inondation et r duire les vecteurs de maladies Collaboration avec les diff rents services techniques comp tents Se rapprocher des services techniques comp tents et les associer dans le processus de pr paration et de mise en uvre R les et responsabilit s dans la gestion des infrastructures locales Respect des normes en mati re de r alisation des infrastructures Sensibilisation des populations v rifions le sch ma qui est fait des ouvrages nous faisons le suivi de la r alisation des ouvrages nous orientons sur le choix des infrastructures et nous disposons des outils de sensibilisation
126. ar des unit s de sant sp cialis es l Unit de recherche m dicale de Schweitzer le Service provincial de Sant Maternelle et Infantile la Base d Epid miologie et de Lutte contre les End mies le Centre de Traitement Ambulatoire l Antenne R gionale O P N le Service r gional d Hygi ne Publique et d Assainissement On note galement l existence d une pharmacie priv e ITOLA et de 9 d p ts pharmaceutiques de standing diff rent Le d veloppement de nombreuses maladies tropicales est favoris d un c t par l humidit de l environnement urbain abondance d eau et de l autre par la mauvaise gestion des d chets solides et liquides qui contribuent la prolif ration des agents pathog nes Parmi les pathologies existantes pr dominent les maladies infectieuses et parasitaires particuli rement le paludisme les infections respiratoires grippes pneumonies bronchites les diarrh es la filariose loa loa la bilharziose L une des maladies sp cifique la zone est l Ulc re de Buruli Voirie urbaine La voirie de Lambar n se structure principalement autour de la route nationale 1 qui relie Libreville aux r gions Sud du Gabon Cette route traverse les trois parties de la ville sur un tron on bitum de pr s de sept kilom tres entre les quartiers Moussa Moukougou Rive Droite et Petit Paris Rive Gauche en passant par Atongowanga Ile Centrale Le franchissement des deux bras du fleuve Ogoou s
127. ar le SEEG Impliquer le service de la Culture et les populations en cas de d localisation de tombes ou de d couverte de vestiges afin de se conformer la fois la loi et aux coutumes Synth se des perceptions du Projet Le PDIL est un bon projet qui apporte beaucoup d espoir aux populations Elle va permettre de restructurer les quartiers d sint gr s et va am liorer le cadre de vie voies d acc s lectrification extension r seau eau etc Le Projet va favoriser le d veloppement harmonieux de la ville et le d senclavement des quartiers sous int gr s C est un Projet tr s attendu par la population Synth se des pr occupations et craintes Interf rence de la politique dans le choix des sites et des quartiers prioritaires Qualit des ouvrages r aliser P rennisation des infrastructures moyens d entretien et de maintenance des infrastructures Adh sion et appropriation du projet par les populations Conflits d int r t pertes de terre d arbres fruitiers Capacit s limit es dans la gestion environnementale et sociale 143 Non implication ou m me absence d information des services mis souvent devant le fait accompli Perturbations sur les r seaux d eau Perturbation sur la fourniture d eau et d lectricit Que le projet voit le jour et ne tarde d marrer Couverture de tous les arrondissements et satisfaction des besoins surtout en eau et lectrification Enclav
128. arrondissement 07 18 11 17 6 Marcel Jean de Dieu BATTO 2 Maire Adjoint 1 arrondissement 07 88 04 09 7 Michel MBAZABOUA Secr taire G n ral Mairie Centrale 07 66 75 80 8 Elie Eric IPOTSI Soci t Eric Ressources SARL 07 03 88 88 PME gabonaise 9 Bertrand BETSAKAM Chef de Cabinet du Maire central 02 60 52 73 10 Dieudonn NDOUMA Chef de quartier Alarmitang 07 87 68 73 11 Michel AKOUMA Chef de quartier Nzing Meyong 07 16 72 68 12 Lucie MIMBE MI OSSIMA Chef de quartier Nzouma 07 88 48 79 13 ESSAME OKOUE Chef de quartier Edoung Avion 06 92 63 15 14 Mamadou Malam MBA Haoussa 02 22 99 96 15 Basile TSINGAZOKOUE Loaloa 06 49 25 88 16 Edouard ABAGHE MBA Chef de quartier Central 2 07 16 72 94 17 Dieudonn EMBOMBO Chef de quartier Epassadj 04 75 2491 18 G rome ELOUME Chef de quartier Zoatab 1 19 Ferdinand BOKOUMANY Chef de quartier MBOLO 3 20 BOUBAOTI Chef de quartier Mbolo 2 21 KOUANGA Chef de quartier Pont 22 Brice Calvin BONDA Chef de quartier Ebandangoye 2 07611811 23 Dominique MAFANGOMA Chef de quartier Ebandangoye 1 02 01 62 96 24 C Roger MASSIKAT Chef de quartier Lyoko 07 54 06 87 25 Richard BOUYEZI Chef de quartier Mbolo 1 07 21 88 63 26 Claudine NDZOGHE Chef de quartier Derri re NGOUABI 04 73 42 58 27 Aristide BEKALE Chef de quartier Edock 06 26 38 18 28 ZOUKABOTH Chef de quartier Zoatab 2 07 98 09 21 163 Consultations Publiques Localit de Koula Moutou Date 07
129. au personnel concern Responsable Hygi ne S curit et Environnement 110 L Entrepreneur doit d signer un responsable Hygi ne S curit Environnement qui veillera ce que les r gles d hygi ne de s curit et de protection de l environnement sont rigoureusement suivies par tous et tous les niveaux d ex cution tant pour les travailleurs que pour la population et autres personnes en contact avec le chantier Il doit mettre en place un service m dical courant et d urgence la base vie adapt l effectif de son personnel L Entrepreneur doit interdire l acc s du chantier au public le prot ger par des balises et des panneaux de signalisation indiquer les diff rents acc s et prendre toutes les mesures d ordre et de s curit propres viter les accidents D signation du personnel d astreinte L Entrepreneur doit assurer la garde la surveillance et le maintien en s curit de son chantier y compris en dehors des heures de pr sence sur le site Pendant toute la dur e des travaux l Entrepreneur est tenu d avoir un personnel en astreinte en dehors des heures de travail tous les jours sans exception samedi dimanche jours f ri s de jour comme de nuit pour pallier tout incident et ou accident susceptible de se produire en relation avec les travaux Mesures contre les entraves la circulation L Entrepreneur doit viter d obstruer les acc s publics doit maintenir en permanence la cir
130. aucuns en regrettent le go t d inachev et souhaitent vivement que la deuxi me phase poursuive les r alisations avec la m me philosophie et le m me enthousiasme La port e sociale du projet a t reconnue par l ensemble des acteurs en ce sens qu elle r pond parfaitement aux attentes et aspirations des populations en termes d am lioration du cadre de vie viabilisation des zones d habitation am lioration de l acc s aux services sociaux de base sant ducation eau lectricit etc d veloppement d activit s conomiques commerce services etc cr ation d emplois promotion d une main d uvre locale et la formation de jeunes aux petits m tiers d veloppement harmonieux de la ville et d senclavement des quartiers sous int gr s s curit renforcement de la d centralisation par la r alisation d infrastructures locales Toutefois des pr occupations et des craintes ont t formul es pour que la mise en uvre du PDIL II soit un succ s total tenant compte des le ons apprises des projets ant rieurement ex cut s dans ces villes Constats positifs e Effectivit des besoins en infrastructures de base notamment routes eau lectrification e Contribution significative du Projet la r duction de la pauvret en milieu urbain e Projet bien appr ci et impatiemment attendu par les acteurs et b n ficiaires Constats n gatifs e Nuisances d sagr ments lors des travaux conflits
131. aupr s desquelles celle ci se fera gt la collecte des donn es compl mentaires sur le terrain et pr ciser les m thodes les techniques et les outils utiliser gt Compilation traitement et l analyse des donn es identification et valuation des impacts gt la concertation avec les parties prenantes et indiquer les autorit s et les populations qui seront consult es gt l laboration d un plan de gestion environnementale et sociale pr sentation des mesures d att nuation gt la r daction du rapport V la dur e de l tude le calendrier de r alisation de l EIES la composition de l quipe de consultance 6 Cadre l gislatif r glementaire et institutionnel Les termes de r f rence doivent clairement indiquer que l tude se r alise conform ment au texte de loi en mati re d environnement fixant le champ d application le contenu et les proc dures de l tude ou de la notice d impact environnemental Le consultant devra citer les politiques sectorielles concern es par le projet La politique environnementale et ses strat gies La politique soci tale La politique nationale de sant La politique nationale du travail La politique en mati re de d veloppement du secteur concern Mines Hydrocarbures Energie La politique d am nagement du territoire Sch ma d am nagement du territoire Le consultant devra citer les textes l gislatifs et r glementaires nationaux et le
132. auvret 230 pages R publique du Gabon Direction G n rale de l Energie et des Ressources Hydrauliques 2009 Politique Sectorielle en mati re d Approvisionnement en Eau Potable en Milieu Rural 30 pages The World Bank Operational Manuel Bank Procedures Environmental Assessment BP 4 01 January 1999 The World Bank Operational Manuel Bank Procedures Environmental Assessment BP 4 01 Annex A January 1999 Manuel d Evaluation Environnementale Vol 1 Politiques proc dures et questions intersectorielles Banque Mondiale Secr tariat francophone de l Association Internationale pour l Evaluation d Impacts Montr al 1999 Manuel d Evaluation Environnementale Vol 2 Lignes directrices sectorielles Banque Mondiale Secr tariat francophone de Association Internationale pour Evaluation d Impacts Montr al 1999 Manuel Op rationnel de la Banque Mondiale Politiques Op rationnelles Banque Mondiale Washington 1999 Enqu te d mographique de Sant 2012 Rapport de synth se 20 pages Draft du Plan de d veloppement communal de Franceville 59 pages Plan de d veloppement communal de Lambar n D cembre 2014 86 pages Plan de d veloppement communal de Port Gentil 2013 2017 Mars 2013 141 pages Plan de d veloppement local de D partement de Bendje Juillet 2012 86 pages Strat gie nationale de d centralisation et de d concentration pour le d veloppement local 2014 2018 Diagnostic amp Cadre strat
133. aux rencontr s ainsi que les causes de ces probl mes et les r ponses apport es ces causes A cet effet le Consultant donnera un aper u du contexte cologique et social dans lequel le projet va fonctionner en milieu urbain en somme un tat des lieux exhaustif avec les interrelations des processus cologiques et sociaux Le Consultant collectera une gamme de donn es de base sur les caract ristiques biophysiques et socio conomiques des zones couvertes par le projet Sur le milieu biophysique particuli rement dans les zones cibl es par le projet le Consultant rassemblera et synth tisera l information sur le climat les ressources en eau de surface et souterraines la g ologie la topographie les sols et le processus rosion Le Consultant fera le point sur la flore la faune les habitats sensibles parcs nationaux for ts class es r serves avec les esp ces prot g es rares end miques ou menac es de disparition les zones humides les sites naturels significatifs Le Consultant pr sentera galement le milieu humain dans la zone du projet d mographie sant activit s primaires secondaire et tertiaires avec un accent particulier sur les interrelations avec l environnement et le secteur des t l communications mais aussi les questions fonci res l occupation du sol les sites historiques et arch ologiques les populations indig nes et autochtones etc e Analyse du cadre politique l gal r glementaire
134. aux de la DGE L valuation sera effectu e par des Consultants nationaux et ou internationaux mi parcours et la fin du Projet 88 9 2 Diagramme de flux pour la pr paration et la mise en uvre des activit s du Projet Etape 1 Pr paration du sous projet dossiers techniques d ex cution Etape 2 Etape 3 Remplissage du formulaire de s lection et Validation de la classification classification environnementale et sociale GE Etape 4 Cat gorie C Ex cution du travail environnemental Cat gorie B Etape 4 1 Etape 4 2 Etape 5 Choix de simples mesures Choix du consultant en cas de Examen et approbation d att nuation appliquer r alisation d une EIES EIES et PGES Etape 7 Int gration des mesures Etape 6 Consultations publiques et environnementales dans les dossiers d appel diffusion E Etape 8 Mise en uvre des activit s Etape 9 Suivi valuation 89 9 2 Le ons tir es de la gestion environnementale et sociale du PDIL I Le PDIL dans sa premi re phase avait r alis des activit s suivantes dans 6 capitales provinciales 1 am nagement en pav s et lat rite avec ouvrages d assainissement et collecteur de voiries secondaires et tertiaires ii de microprojets et infrastructures communautaires savoir passerelles escaliers all es pi tonnes gardes de corps abris bus salles de classes r habilitation d coles blocs sanitaires
135. aux services de fourniture d eau et d lectricit d am liorer les conditions de sant et d ducation dans les zones d favoris es Cr ation d emplois Durant la phase de construction r habilitation les travaux auront un impact positif par la cr ation d emplois dans les communaut s travers des travaux Haute Intensit de Main d ceuvre HIMO L augmentation du revenu r sultant de la cr ation d emplois contribuera la lutte contre la pauvret Les travaux participeront aussi la consolidation et la cr ation d emplois au niveau des Mairies d arrondissement cibl es par le projet et occasionneront une forte utilisation de la main d uvre locale et de certains ouvriers sp cialis s ma ons ferrailleurs etc Activit s commerciales et g n ration de revenus Les travaux auront un impact positif en termes d augmentation des revenus des populations travers l utilisation des mat riaux locaux pierre sable gravier lat rite ou d achat de mat riels de construction sur le march local ciment acier etc Les travaux auront comme effets induis le d veloppement du commerce de d tail autour des chantiers Dans une moindre mesure la phase des travaux aura comme effet de favoriser le d veloppement des petits commerces des femmes vente de nourriture par exemple autour des chantiers Cet impact bien que limit touche directement les populations riveraines des quartiers 6 1 2 Impacts positifs des q
136. ayant tendance augmenter les contacts avec les jeunes filles et femmes au sein de la population locale dans les zones de travaux D gradation de vestiges culturels Au plan culturel il est sugg r que le projet vite les sites culturels sources de conflits sociaux Il est possible lors des fouilles que des vestiges culturels soient d couverts sur les sites Dans ces cas de d couverte fortuite les Entreprises de travaux devront s engager avertir imm diatement les services du Minist re charg de la Culture et les travaux seront orient s conform ment leurs directives Conflits sociaux en cas de non emploi des locaux ou de non respect des us et coutumes Les travaux n cessiteront de la main d uvre locale particuli rement au niveau du pavage des rues avec la m thode HIMO ce qui constituera une source potentielle d augmentation des revenus des populations au niveau local La non utilisation de la main d uvre r sidente dans les travaux pourrait susciter des frustrations ou des conflits sociaux ce qui peut nuire la bonne marche des travaux L insuffisance de recrutement de la main d uvre au niveau local est un impact n gatif potentiel de l ex cution des travaux ce qui pourrait constituer un obstacle majeur l appropriation de l infrastructure Aussi le non respect des us et coutumes locales par le personnel peut aussi entra ner des conflits avec les populations locales R installation involontaire
137. beaucoup d attentes de la part des populations c est un projet phare qui peut booster le d veloppement dans les quartiers d favoris es C est un projet qui a bien volu un projet tr s porteur surtout en am nagement routier en adduction d eau potable et en lectricit mais il n est pas all terme Nous esp rons qu il y aura une phase de mise en uvre Les populations sont en droit d esp rer Synth se des pr occupations et craintes La non implication des municipalit s et l absence de synergie autour du projet La politisation de la gestion du projet L insuffisance du r seau d adduction d eau et d lectricit La non livraison et l absence entretien des ouvrages du PDIL1 Les travaux de pavage non achev s Les probl mes de gestion des ordures dans la commune L occupation anarchique des terres par les populations Les risques potentiels de conflits fonciers Le ph nom ne de l rosion hydrique avec risque d boulement dans certains quartiers Manque de cimeti re municipal Lambar n Insuffisance de moyens mat riels logistique des services techniques provinciaux L insuffisance des capacit s en gestion environnementale et sociale Synth se des suggestions et recommandations Impliquer et cr er de la synergie autour du projet Mettre des ing nieurs des Travaux publics dans les Mairies autour des Maires pour g rer le projet Installer des r seaux d
138. blique valuation des impens s contact et n gociation avec la personne concern e paiement d indemnisation et accompagnement la r installation Identifier les personnes vuln rables en fonction des zones d intervention et leur fournir appui et assistance Veiller la protection du patrimoine culturel lors des travaux 5 5 Synth se des recommandations issues de l atelier de restitution du CGES Le CGES fait l objet d un atelier de restitution tenu Libreville le 9 juillet 2015 et regroupant les repr sentants des neuf 9 villes cibl es mais aussi les services techniques de l environnement des ONG voir PV en annexe A l issue de cet atelier les recommandations suivantes ont t faites Laisser aux communes la gestion des infrastructures Assurer un meilleur suivi des infrastructures 61 Raccourcir les d lais pour une r alisation rapides des projets Doter les communes d instruments de planification Mener des programmes de restructuration et d am nagement plan d urbanisme Actualiser les donn es et les textes juridiques dans les rapports Elargir la dotation d infrastructures d autres types d quipements cimeti res etc Doter les municipalit s de moyens logistiques camions pennes chargeuses etc Renforcer les capacit s des Cellules Techniques Municipales En conclusion les participants ont globalement appr ci le PDIL 2 5 6 Int gration des recommandations dans le CGES Tou
139. caments Direction Appr ciation sur le Manque de plateau sportif un Construire un plateau sportif provinciale de la projet 1 seul stade en tat de multifonctionnel pour la Jeunesse des Le PDIL est un bon d labrement trop avanc pour jeunesse terrain de football de Loisirs et du projet mais manque toute la province pas de terrain basket de hand ball et de volet Sport d appui aux de basket de hand ball de volet 139 infrastructures de Une jeunesse qui ne s panouit sports et de jeunesse pas qui n a pas d opportunit de se former dans des disciplines sportives Synth se des perceptions du Projet Le PDIL est un tr s bon projet qui contribue au d veloppement du cadre de vie de nos communes qui gardent encore leurs aspects coloniaux Un projet salutaire qui va aider encadrer le d veloppement socio conomique de la commune _ Un tr s bon projet que nous attendons avec bonheur Synth se des pr occupations et craintes Mauvaise planification des travaux du PDIL 2 Lourdeurs dans la mise en place du projet Inaccessibilit de certains quartiers au r seau d adduction d eau Non fonctionnalit du cimeti re municipale de Makokou Occupation anarchique des terres par les populations Conflit entre les droits de propri t terrienne ancestraux et ceux juridiques et officiels Risque de r sistance des populations l expropriation au nom des dr
140. cation dans le suivi de la mise en uvre du projet le genre et les personnes vuln rables l exp riences en mati re de r installation les m canismes locaux de participation du public les m canismes locaux de r solution des conflits la situation fonci re dans les communes les pr occupations besoins attentes et craintes vis vis du PDIL 2 les recommandations et suggestions 5 4 Synth se des consultations lors de l laboration du CGES Processus de consultation Des s ances de consultations avec les parties prenantes et les acteurs int ress s ont t organis es en vue de les informer sur le projet d une part et de recueillir leurs points de vue d autre part La d marche utilis e au cours de ces consultations consistait 1 pr senter le PDIL II et ses composantes objectifs activit s envisag es zones d intervention etc ii recueillir les points de vue les pr occupations et les suggestions et recommandations mises au cours des diff rents entretiens L information et la consultation sur le pr sent CGES ont t organis es comme suit e rencontres institutionnelles au niveau national avec les acteurs principalement interpell s par la mise en uvre du Projet Minist re charg de l Environnement de l Urbanisme de la D centralisation et des Collectivit s territoriales du Patrimoine Culturel la SEEG des Affaires sociales de l Am nagement du territoire de l Assainissement e
141. ccompagner et les r installer dans des zones disposant de minimum de commodit s sant cole march eau lectricit etc par exemple dans les zones perdues Prise en compte du Genre dans la gestion des projets urbains L approche Genre est assez bien int gr e dans la gestion des projets urbains par exemple la Ville a r alis des infrastructures sp cifiques aux besoins des femmes lavoirs et moulins manioc Tenir compte des besoins sp cifiques des femmes Services provinciaux Perception du Projet Le PDIL est un bon projet qui Interf rence de la politique dans le choix des sites et des quartiers prioritaires Impliquer les services techniques comp tents dans la mise en uvre et le suivi 142 Habitat Urbanisme et Cadastre Affaires Sociales Culture SEEG apporte beaucoup d espoir aux populations Elle va permettre de restructurer les quartiers d sint gr s et va am liorer le cadre de vie voies Contr le de la qualit des ouvrages r aliser P rennisation des infrastructures Adh sion et appropriation du projet par les populations Conflits d int r t pertes de terre d arbres fruitiers du Projet Tenir compte dans les crit res de choix des sites des quartiers pr caires r ellement sous int gr s Sensibiliser les populations sur le projet Former les jeunes dans les m tiers de BTP et recruter d acc s dans l
142. complies de mani re satisfaisante avant le d marrage des travaux afin de r tablir les revenus et pr server le niveau de vie des personnes d plac es ou affect es travers la restauration des actifs affect s leur co t de remplacement Le Consultant r alisera le CGES et le CPR en concertation avec l ensemble des acteurs et partenaires concern s par le projet au niveau de la R publique Gabonaise Minist re de 1 Economie Minist res des Infrastructures Communes concern es Minist re en charge de l Environnement Minist re en charge des Collectivit s locales Organisations et Associations locales ONG et tous autres services et projets impliqu s dans les questions d impact social et environnemental L tude sera conduite de fa on participative sur la base de consultation syst matique des diff rents partenaires afin de favoriser une compr hension commune des probl matiques du secteur des t l communications L tude privil giera une d marche participative permettant ainsi d int grer au fur et mesure les avis et arguments des diff rents acteurs notamment les populations urbaines IV T ches du Consultant Le Consultant devra e pr parer un Cadre de Gestion Environnemental et Social CGES identifiant les politiques et proc dures qui seront utilis es pour g rer les impacts environnementaux et sociaux du projet e pr parer un Cadre de Politique de R installation CPR pour pallier les impacts n gatifs p
143. connait toutefois une expansion dans la rive droite La rive gauche cuvette de savanes form e des tangs marigots et flots des for ts ne souffre d aucun encombrement Agriculture La majorit des personnes qui pratiquent l agriculture traditionnelle itin rante sur br lis pour l autosubsistance sont les femmes et des populations de plus en plus g es En mati re d agriculture moderne l Institut gabonais d appui au d veloppement IGAD encadre 28 agriculteurs mara chers et vivriers sur 23 8 hectares et la production de 1500 ufs par jour par 1800 poules dans deux b timents d levage La Caisse de stabilisation et de p r quation CAISTAB dont la d l gation provinciale est Mouila coordonne toutes les activit s y relatives en caf et cacao sur 80 hectares Olam entretien des plantations de palmiers huile quelques kilom tres de la ville de Mouila Commerce La ville de Mouila est tr s tendue et poss de de nombreux march s l instar du March Municipal situ au carrefour des jeunes et du March Municipal situ la place des f tes Grand March dans le 1 arrondissement et du March Municipal situ l entr e de l h pital dans le 2 arrondissement et centres commerciaux Situ e sur la route nationale N1 la ville de Mouila est un point de passage majeur pour le voyage et le commerce notamment vers et en provenance du sud du Gabon Education En mati re de structures scolaires en plus d
144. constitue un trait d union ou facteur entre les nombreuses populations utilisant son eau pour la vaisselle la lessive le lavage de v hicules et le bain En dehors de la Ngouni rivi re poissonneuse prenant sa source dans le massif du Chaillu et terminant sa course dans le fleuve Ogoou Mouila est parcourue dans chacune de ses rives par un canal reliant marigots et lacs a la rivi re r tr cissant ainsi tout risque d inondation Habitat La ville de Mouila est scind e en deux par une rivi re rive droite les b timents administratifs rive gauche les h tels et restaurants La rive gauche est largement ouverte sur la plaine et la savane ainsi que vers d autres localit s de la province par le canton Ngouni centre les d partements de tsamba Magotsi et la Mougalaba alors qu elle converge par une for t ombrophile dans sa rive droite aux cantons Dibadi et Dikoka Mouila est une ville moderne aux constructions parfois archa ques h ritage de la coloniale lesquelles impriment l il un certain contraste sur un terrain partout plat et bien trac sous un ciel toujours lourd de nuages Population Avec pr s de 33 000 habitants en 2015 dont les originaires sont les Tsogo les Apindji les Punu les Eshira les Mouila est la sixi me ville la plus peupl e du Gabon derri re la commune d Oyem Frein e dans sa conqu te de la nature par une for t ombrophile giboyeuse et survol e par une gente ail e tr s diversifi e Mouila
145. consultants nationaux ou internationaux en valuation environnementale et sociale Tableau 25 Th mes de formation et acteurs cibl s Acteurs concern s Th mes de formation UCP PDIL II e Formation en valuation Environnementale et Sociale Membres du CP s lection et classification des activit s identification des Points Focaux Environnement et impacts choix des mesures d att nuation et d indicateurs Suivi normes hygi ne et s curit Politiques de Sauvegardes de la Banque mondiale Social des municipalit s e Elaboration des TDR pour les EIES NIES Services techniques municipaux et e S lection de mesures d att nuation locaux e L gislation et proc dures environnementales nationales Bureaux de controle e Suivi des mesures environnementales Entreprises de BTP z 93 9 5 Programmes de sensibilisation et de mobilisation au niveau communal Accompagnement social Dans un souci d appropriation et de p rennisation des acquis du projet par les communaut s de base dans les municipalit s cibl es l UCP PDIL IT en rapport avec les mairies devra pr voir d accompagner le processus de pr paration et de mise en uvre des activit s du PDIL II par des s ances d information de sensibilisation et de formation pour un changement de comportement L ESES et l expert Sociologue de l UCP PDIL IT devront coordonner la mise en uvre des campagnes d information et de sensibilisation aupr s des commune
146. cs Il est aussi d plorer l absence de g riatrie Les principales maladies rencontr es sont le paludisme les infections respiratoires les maladies de la peau les syndromes diarrh iques les infections sexuellement transmissibles IST Eau potable et lectricit La ville d Oyem poss de des r seaux d eau et d lectricit acceptables avec clairage public dans les quartiers urbanis s Voirie Le r seau routier de la ville d Oyem est compos de deux types de voie savoir les routes bitum es observ es dans le centre ville et le tron on reliant les localit s de Bitam et Mitzic avec un lin aire d environ 50 km Les voies secondaires lat ritiques et non lat ritiques faisant au total pr s de 100 km lin aires relient le centre ville aux diff rents quartiers de la p riph rie de la ville d Oyem Cette insuffisance de la voirie entraine l enclavement des quartiers sous int gr s et rend difficile l acc s aux infrastructures communautaires de base R seau lectrique clairage public existe des r seaux d lectricit et d clairage public principalement au niveau du centre ville et les quartiers proches du centre ville Cependant le taux de desserte est relativement faible dans les quartiers p riph riques sous int gr s o l on note des branchements anarchiques Alimentation en eau A l image du r seau lectrique la couverture en eau potable conna t des insuffisances dans les quar
147. ctures sanitaires est qu elles sont toutes vieillissantes notamment dans le secteur public et hors normes Tr s peu de ces structures disposent de l quipement ad quat du personnel requis et des m dicaments en quantit suffisante Les structures publiques et priv es sont renforc es par les centres m dicaux des grandes multinationales et entreprises pr sentes dans la ville mais pas accessibles toute la population Les pathologies rencontr es et les plus r currentes par tranche d ge dans la commune sont Pour les 0 59 mois la grippe les diarrh es aig es les gastro ent rites le Paludisme toute forme confondue les Mycoses les Rhinopharyngites Pour les 5 14 ans la grippe le paludisme les diarrh es les mycoses les helminthiases intestinales plaies gale la dr panocytose Pour les 15 49 ans le paludisme toutes formes confondues la diarrh e le rhumatisme articulaire le Sida l Hypertension art rielle les IST les maladies bucco dentaires le diab te Pour les 49 ans et plus le paludisme toutes formes confondues la diarrh e le rhumatisme articulaire le Sida l Hypertension art rielle l insuffisance r nale En effet la forte pluviom trie occasionnant les mont es des eaux les fortes inondations les r seaux de canalisation pluviale insuffisants et non entretenus sont responsables de la prolif ration des vecteurs des maladies diarrh iques du paludisme Par ailleurs la ne
148. culation et l acc s des riverains en cours de travaux L Entrepreneur veillera ce qu aucune fouille ou tranch e ne reste ouverte la nuit sans signalisation ad quate accept e par le Ma tre d uvre L Entrepreneur doit veiller ce que les d viations provisoires permettent une circulation sans danger Repli de chantier et r am nagement R gles g n rales A toute lib ration de site l Entrepreneur laisse les lieux propres leur affectation imm diate Il ne peut tre lib r de ses engagements et de sa responsabilit concernant leur usage sans qu il ait formellement fait constater ce bon tat L Entrepreneur r alisera tous les am nagements n cessaires la remise en tat des lieux Il est tenu de replier tous ses quipements et mat riaux et ne peut les abandonner sur le site ou les environs Une fois les travaux achev s l Entrepreneur doit i retirer les b timents temporaires le mat riel les d chets solides et liquides les mat riaux exc dentaires les cl tures etc ii rectifier les d fauts de drainage et r galer toutes les zones excav es iii nettoyer et d truire les fosses de vidange S il est de l int r t du Maitre d Ouvrage ou des collectivit s locales de r cup rer les installations fixes pour une utilisation future l Entrepreneur doit les c der sans d dommagements lors du repli En cas de d faillance de l Entrepreneur pour l ex cution des travaux de remise en tat ceux ci so
149. d chets dangereux Impacts n gatifs potentiels des march s et gares routi res En phase de travaux les impacts n gatifs potentiels sont ceux d finis au 7 2 1 En phase op rationnelle les quipements commerciaux march s gares routi res etc vont g n rer des quantit s importantes d ordures m nag res mati res biod gradables sachets plastiques et papier d emballage etc ce qui peut contribuer la pollution de l environnement Si des mesures ad quates de collecte et de traitement de ces d chets ne sont 72 6 2 4 6 2 5 pas prises les effets n gatifs indirects sur la sant humaine seront galement importants Les march s et gares routi res peuvent servir galement de lieux de d veloppement du banditisme de la prostitution et de propagation des IST VIH SIDA cause du brassage humain important qu ils exercent En plus l absence de dispositions d entretien ou le mauvais fonctionnement des dicules publics peuvent conduire un tat de d gradation environnemental pr judiciable dans ces lieux publics et causer des nuisances et des maladies Impacts n gatifs potentiels des r seaux d assainissement et d adduction d eau et d lectricit Impacts sociaux n gatifs des ouvrages de drainage Concernant le drainage pluvial les travaux de r habilitation des caniveaux vont perturber certaines activit s commerciales restaurants kiosques etc et artisanales garages magasins etc
150. d e aux mesures tenant compte des exigences des Politiques de Sauvegarde Le CGES permettra aux institutions UCP la DGE les Collectivit s locales etc charg es de la conduite du projet d valuer de fa on large et prospective les impacts environnementaux et sociaux des activit s futures et d laborer des mesures d att nuation ou de compensation sur la base d indications claires pr cises concises et op rationnelles Pour renforcer la gestion environnementale et sociale du PDIL le CGES pr vu i Des mesures d att nuation des impacts des travaux y compris les Directives Environnementales pour les Entreprises contractantes et les Directives applicables sur Hygi ne Environnement et S curit ii Des mesures en cas de d couvertes arch ologiques iii Des mesures de renforcement institutionnel Renforcement de l expertise environnementale de la Cellule de coordination qui assure la pr paration et mise en uvre du projet iv Des mesures de renforcement technique Provision pour la r alisation des EIES les am nagement paysagers l appui aux communes pour l entretien des infrastructures Suivi et Evaluation des activit s du projet v L information des acteurs impliqu s dans la mise en uvre du projet et la sensibilisation des populations Les valuations environnementales faire pour les activit s du projet devront tre en conformit avec la l gislation environnementale nationale ainsi qu a
151. d j occup s par les populations source potentielle de conflit foncier Favoriser la r solution l amiable des conflits fonciers autour du chef de quartier ou du Maire central Pr voir une indemnisation et des mesures d accompagnement acceptables pour les personnes impact es R server en cas d impact du projet sur elles une prise en charge soutenue aux personnes vuln rables Former les agents municipaux et les agents des services techniques d concentr s en gestion environnementale et sociale en r installation de populations et en maintenance de projets urbains Favoriser la promotion de l autonomisation conomique des femmes et l acc s aux des ressources collectives Impliquer tous les services techniques locaux comp tents dans le suivi de la mise uvre en particulier le cadastre les travaux publics la Mairie les agents de s curit la Justice et les M dias Aider construction d un mus e et d une maison de culture R habiliter le centre hospitalier r gional CHR qui a d j une grande capacit d accueil Favoriser la mise en place des pharmacies d approvisionnements en m dicaments dans la commune Construire un plateau sportif multifonctionnel terrain de football de basket de hand ball et de volet Comptes rendus des rencontres institutionnelles et consultation publique FRANCEVILLE 07 04 1015 Institutions Points discut s Pr occupations et cra
152. dans le processus de mise en uvre du projet Accroissement rapide de la population et l extension rapide des quartiers Difficult s d alimenter les zones situ es en hauteur Prise en compte du patrimoine culturel Pr servation des lieux de cultes et des tombes Absence d information et de sensibilisation pr alable des populations Absence de rigueur dans l application de la loi sur le foncier l Etat fait souvent dans le social Insuffisance de moyens roulants des services techniques Occupations anarchiques de terres Risques potentiels d opposition des populations au nom de droits ancestraux Choix de sites d j occup s par les populations Prise en charge des personnes vuln rables Formation dans le domaine de l environnement de la Fiscalit des projets et dans le domaine social Faible autonomisation de la femme Synth se des suggestions et recommandations Am liorer l approvisionnement en eau et lectricit par la mise en marche des ch teaux d eau D senclaver les quartiers d acc s difficile Construire une maison d accueil pour les personnes conomiquement faibles et les orphelins Augmenter le cr dit et les moyens allou s la mission des affaires sociales Renforcer les capacit s du personnel en ducation sp cialis e et en assistance sociale Mettre des pav es sur les voies secondaires et un r seau d assainissement urbain d eau de pluie Former le personnel en gestion environnementale et sociale
153. davantage complexe l acc s de certains op rateurs conomiques aux financements dont ils ont besoin La commune compte galement trois 3 stations de vente d hydrocarbures La commune de Franceville b n ficie d axes routiers bitum s en majeur partie Le transport terrestre urbain et interurbain des personnes comme des biens y est assur par des taxis minibus ou camions appartenant des op rateurs conomiques priv s Au plan du transport a rien le Transgabonais et l a roport international de Mvengu dont le trafic est en constante volution compl tent la gamme des moyens de transport dont dispose Franceville En mati re de communication Franceville dispose de deux 2 bureaux de la poste de deux 2 stations d audio visuelles que sont la Radio Masuku RTG chainel et Nkusu communication Tandis que dans le domaine des t l communications la desserte est assur e par quatre compagnies de t l phonie qui relient les abonn s entre eux et au r seau international et contribuent galement l essor de l conomie locale Cependant le co t de la communication t l phonique reste lev malgr les baisses enregistr es ces derni res ann es si bien que la p n tration de l internet demeure tr s faible et le nombre de m nages disposant d un ordinateur encore marginal L adduction d eau potable de la commune de Franceville est assur e partir de l eau de l Ogoou par la SEEG qui distribue aussi
154. de produit L Entrepreneur doit installer ses entrep ts de combustible de lubrifiants et de produits p troliers une distance d au moins 200 m des plans et cours d eau Les lieux d entreposage doivent tre localis s l ext rieur de toute zone inondable et d habitation Les lieux d entreposage doivent tre bien identifi s pour viter des collisions entre les v hicules de chantier et les r servoirs de produits p troliers L Entrepreneur doit prot ger les r servoirs de produits p troliers et les quipements de remplissage par une cuvette pour la r tention du contenu en cas de d versement accidentel Tous les r servoirs doivent tre ferm s quand ils ne sont pas utilis s L Entrepreneur doit informer et sensibiliser son personnel i quant aux consignes particuli res suivre afin d viter tout risque de d versement accidentel lors de la manipulation et de l utilisation des produits p troliers et ii sur les mesures d interventions mettre en place en cas de sinistre afin d viter tout d versement accidentel Mesures en cas de d versement accidentel de produits p troliers L Entrepreneur doit pr parer un plan d urgence en cas de d versement accidentel de contaminants et le soumettre au Ma tre d uvre avant le d but des travaux Les mesures de lutte et de contr le contre les d versements de produits contaminants sur le chantier doivent tre clairement identifi es et les travailleurs doivent
155. dentifi es localisation caract ristiques etc et des fiches d enqu tes ii missions pr paratoires dans les sites de projet et de consultation iii annonces publiques iv enqu tes publiques collecte de donn es sur les sites de projets et validation des r sultats 64 5 7 6 Diffusion de l information au public Apr s approbation par le gouvernement et par la Banque Mondiale le pr sent CGES sera publi dans le journal officiel de la R publique Gabonaise et dans l Info Shop de la Banque Mondiale Par ailleurs le rapport sera disponible pour consultation publique dans les communes cibl es par le projet et PUCP 5 7 7 Recueil traitement et r solution des dol ances Sur le recueil des dol ances un cahier tabli cet effet sera mis la disposition du public en permanence aupr s de chaque commune concern e par les travaux Une information du public sur la permanence des recueils sur ce cahier sera entreprise notamment par des organismes ONG sp cialis s en la mati re M canismes de r solution amiable Les m canismes suivants sont propos s pour r soudre les conflits qui peuvent na tre e le premier niveau de r solution est assur par le chef de quartier assist par les notables e le second niveau en cas d chec du premier est assur par le Maire de l arrondissement concern par le conflit e le troisi me niveau en cas d impasse des deux premiers niveaux le Maire central assist
156. des d chets dangereux travaux Tableau 17 Mesures d att nuation des impacts n gatifs potentiels de march s et gares routi res Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation Construction e D placement involontaire de Voir mesures g n rales d att nuation populations ou d activit s conomiques Impliquer les marchands b n ficiaires la conception des e G n ration d ordures lors des travaux talages et cantines de construction e Pollutions et Nuisances d gradation du cadre de vie e Non utilisation de la main d uvre locale Exploitation e Absence de raccordement aux r seaux Pr voir des emplacements de collecte des d chets solides d eau lectricit assainissement Mettre en place une organisation autonome de collecte en e Pollutions et nuisances du site et du rapport avec les commer ants milieu environnant dues la g n ration D limiter les march s et instaurer un horaire d ouverture de d chets solides et liquides issus des et de fermeture sue marchandes Affecter des agents de s curit e Risques sanitaires avec la vente de e RS produits et aliments non hygi niques Sensibiliser les usagers sur la s curit et la vente de produits aliments hygi niques e Non fonctionnalit des quipements due un d faut d ex cution des travaux Tableau 18 Mesures d att nuation des impacts de la r habilitation des r seaux d eau potable Phase Impacts
157. des diff rents services charg s de la d centralisation Favoriser le d cloisonnement des diff rents services publics pour une meilleure collaboration Favoriser le regroupement en une seule entit les diff rentes directions charg es de la d centralisation Direction g n rale de l Environnement de Libreville Proc dure EIES Respect du cadre l gislatif et r glementaire r gissant le domaine de l Environnement Se focaliser particuli rement sur le Manuel de proc dure Respecter le cadre l gislatif et r glementaire R le dans le suivi des EES Prise en charge des personnes impact es par le projet Prendre des mesures compensatoires l endroit des personnes impact es par le projet R le d accompagnement dans la pr paration dans le Suivi et dans l valuation Normes de pollution Le respect du cadre l gislatif et r glementaire de l Environnement l agence nationale de normalisation AGANORME qui s occupe de ces questions de seuil de pollution S approcher de Se r f rer aux normes internationales l absence de toute norme nationale R le dans la gestion du cadre de vie Synergie entre les diff rents intervenants Cr er la synergie entre les diff rents intervenants 158 Doublons intervention de plusieurs projets dans le m me domaine et au niveau d une m me population Nous accompagnons la
158. des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans les quartiers Mettre plus de rigueur dans la gestion des ordures Bien entretenir le r seau de canalisation des eaux de ruissellement Veiller la d pollution des eaux Construire des toilettes publiques Les capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains D ficit des moyens financiers de la commune D ficit en logistique de la Mairie notamment en mat riels lourds Subvention est trop limit e par rapport l immensit des demandes Renforcer les capacit s financi re de la Mairie d Oyem Renforcer les moyens logistiques de la Mairie d Oyem 135 La gestion des conflits dans la commune Risque potentiel de r sistance des populations c der les terres occup es ill galement Elle faite travers les trois 3 niveaux suivantes autour du chef de quartier autour du Maire central et devant les juges au tribunal Favoriser la r solution l amiable des conflits autour soit du chef de quartier ou autour du Maire Les personnes class es comme vuln rables Le sort des personnes vuln rables en cas d impact jeunes filles m res personnes g es sans soutien jeunes ch meurs veuves R server une prise en charge soutenue aux personnes vuln rables Besoin en formation renforceme de capacit s La formation d expert en
159. des travaux de soins e Pr voir dans le projet des mesures d accompagnement raccordement e Non utilisation de la main aux r seaux d eau lectricit et assainissement quipement d uvre locale programme de gestion et d entretien e Mener des campagnes de sensibilisation sur les IST VIH SIDA e Impliquer troitement les services communaux dans le suivi de la mise en uvre e R habiliter les carri res et autres sites d emprunts e Respect des esp ces prot g es notamment les arbres e R aliser les travaux en concertation avec les districts sanitaires e Risques sanitaires li s e Veiller l laboration d un plan de gestion des d chets m dicaux et une mauvaise gestion des son effectivit d s l ouverture de la structure Exploitation d chets biom dicaux e Absence de mesures Fournir des contenants et des quipements de protection aux travailleurs et formation d taill e sur les proc dures de fonctionnement 78 d accompagnement quipement biom dical e personnel de sant raccordement aux r seaux d eau et lectricit Non fonctionnalit des quipements due un d faut d ex cution des minimisant les risques d exposition aux d chets dangereux Mener un large programme de sensibilisation une gamme de partenaires sur les risques et les impacts potentiels des d chets dangereux provenant des centres de sant Assurer un traitement cologique in situ
160. difficile R seaux lectriques Faible capacit des infrastructures production Augmentation rapide de la consommation li e au d veloppement urbain entrainant ainsi la saturation des infrastructures et du r seau Faiblesse dans l entretien des infrastructures faiblesse de la capacit manag riale de la soci t en charge de la distribution de l nergie satisfaire la forte demande en provenance des quartiers habitat dispers Branchements clandestins et anarchiques R currence des accidents lectrocution entrainant mort d homme Desserte des quartiers p riph riques 53 4 CADRE JURIDIQUE ET INSTITUTIONNEL EN MATIERE D ENVIRONNEMENT Le pr sent chapitre d crit le cadre juridique et institutionnel national et pr sente un aper u des politiques de sauvegardes environnementales et sociales de la Banque mondiale applicables au projet 4 1 Politiques et Plans nationaux de d veloppement Le Gabon a labor plusieurs documents de strat gies en relation avec les questions environnementales et sociales au premier rang desquels on compte e le Plan Strat gique Gabon Emergent le Plan d Action National de Lutte contre la D gradation des Terres le Plan National d Action pour l Environnement 1994 2000 le Programme Sectoriel For t et Environnement le document de Strat gie Nationale et Plan d Action sur la Biodiversit le Plan National de D veloppement Sanitaire le Document Strat
161. duit des boissons gazeuses et de la bi re Au niveau transports en ce qui concerne le transport routier Oyem se situe sur un axe principal en rapport avec la fronti re du Gabon avec le Cameroun et par lequel transite des produits agricoles et de p che sans oublier les produits manufactur s en provenance des march s frontaliers d Abang Minko o localement appel march mondial et de Ky Ossi du Cameroun d une part et d Ebebiyin et de Mongomo en Guin e Equatoriale Aussi Oyem dispose d un a roport public desservit par les compagnies a riennes locales pr s de trois 3 jours par semaine Sur le plan de la conservation de la biodiversit et du tourisme qui y est li Oyem est un centre majeur de gestion du Parc National de Mink b qui dans son sein un sanctuaire de biodiversit Education La ville compte dans le primaire et le pr primaire 10 coles pour le public 09 coles catholiques 03 coles protestantes et 09 coles au niveau du priv la c Le niveau secondaire on compte plusieurs lyc es et coll ges publics 02 lyc es 01 CES et au niveau confessionnel 01 lyc e catholique 01 lyc e protestant et 01 lyc e priv Dans le domaine de la formation professionnelle on note la pr sence d un centre de formation technique professionnelle CFTP et de 03 tablissements priv s Les effectifs en termes d l ves sont estim s 1242 au pr primaire 7832 au primaire 7352 au second degr
162. e gmail com 6 09 04 2015 Jean Paul TSAMBI DGAT CSLato 06 05 31 09 dolhatsaye gmail com 7 09 04 2015 St phanie NSE OBIANG DGAT CE DES 06 34 58 08 asdridense yahoo fr LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A LIBREVILLE suite N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 24 03 2015 Michel ONDO NDONG Minist re de l Int rieur Conseiller Technique 2 24 03 2015 Chim ne NTOUGOU Direction G n rale de l Environnement et de la Protection de la Nature DGEPN Chef de service Environnement rural et urbain 3 24 03 2015 Yasmine IZANGAUD Agent DGEPN 4 10 04 2015 Michel MBADINGA Directeur G n ral Adjoint des 06 77 17 71 Mbadinga_002 yahoo fr MBADINGA Affaires Sociales 07 88 53 88 5 10 04 2015 Brice EFFA NTO O Responsable du complexe 03 43 13 40 briceeffantoo yahoo fr social Beno t MESSANI 6 10 04 2015 Christine BINDANG Coordinatrice Provinciale des 07 47 64 14 bindangchristine yahoo fr affaires sociales de Estuaire 7 10 04 2015 M lanie MBADINGA Directeur des Affaires 07 85 52 49 mmatsanga yahoo fr MATSANGA Sociales 06 07 27 79 8 10 04 2015 Constance Ir ne KENGUEL Directeur G n ral des 04 42 73 08 constancekenguel yahoo fr Affaires Sociales 9 10 04 2015 F licien KASSA M VOUBOU Chef de service national 07 33 13 53 Kasavubu2005 yahoo fr d Hygi ne l Institut 02 13 64 74 d Hygi ne Publi
163. e Difficult s d alimenter en eau les zones situ es en hauteur Pr servation des lieux de cultes et des tombes 35 D ficit d entretien des canalisations D faut de cimeti re enterrement de morts le long des rues ji Probl me d accessibilit du la d gradation des voies sous l effet de l rosion 36 3 2 6 La commune de Mouila Situation administrative La ville de Mouila qui couvre une superficie de 38 Km2 est la capitale provinciale de la Ngouni 4e r gion du Gabon et chef lieu du d partement de la DOUY A ONOYE La ville de Mouila dont les premiers b timents administratifs datent de 1913 a t cr e en 1904 par l administration militaire coloniale fran aise et a t ancienne capitale de l Afrique quatoriale fran aise de 1939 1945 La commune de Mouila compte dix sept 17 quartiers onze 11 dans le ler Arrondissement Climat La temp rature moyenne annuelle de Mouila est de 26 3 Celsius et on y enregistre 1800 millim tres de pr cipitations Elle est situ e entre 1 52 de latitude sud et 11 01 de longitude est a 88m d altitude par rapport au niveau de la mer Cours d eau la ville est travers e en sym trie par la rivi re Ngouni qui a donn son nom la province La Ngouni grand affluent de la rive gauche du fleuve Ogoou avec ses 460 Km de longueur et 150m de largeur de par son unique pont en plein cceur de la ville et son d bit de moins de 900m3 s
164. e Exploitation e D gradation pr matur e mauvaise ex cution et salissures dues une absence d entretien Tableau 5 Impacts n gatifs sp cifiques de la construction des coles Phase Impacts n gatifs potentiels Pollutions et nuisances lors des travaux pendant l ann e scolaire d chets bruit etc Construction e Non utilisation de la main d uvre locale e Absence de mesures d accompagnement quipement personnel enseignants toilettes Exploitation fonctionnelles raccordement aux r seaux d eau et d lectricit etc Risque d hygi ne publique en l absence d entretien e Mauvaises odeurs des latrines insalubres en l absence d entretien D veloppement de maladies diarrh iques dues l insalubrit des latrines Tableau 6 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques de la construction des centres de sant Phase Impacts n gatifs potentiels e Pollutions et nuisances lors des travaux d chets bruit etc Construction e Perturbation des activit s de soins lors des travaux indisponibilit des salles de soins e Non utilisation de la main d uvre locale e Risques sanitaires li s une mauvaise gestion des d chets biom dicaux are e Absence de mesures d accompagnement quipement biom dical personnel de sant Exploitation p 7 wens raccordement aux r seaux d eau et lectricit e Non fonctionnalit des quipements due un d faut d ex cution des travaux 74 Tableau 7 Impacts n gatifs pote
165. e La situation actuelle se r sume de la mani re suivante en termes de principales sp culations Salade Oseille Tomate Ma s Piment Folon Aubergine Gombo Aubergine Gombo L levage des porcs est actuellement exp riment par un particulier La p che artisanale est une activit ancestrale pratiqu e depuis belle lurette par les Oroungou habitants de cette localit mais peu peu cette activit est pass e majoritairement entre les mains des expatri s b ninois et togolais principaux r sidants des deux villages de p cheurs Matanda et Cap Lopez La for t est quasiment inexistante dans les limites actuelles de la commune de Port Gentil On retrouve tout de m me dans certaines zones un peu de mangrove et d arbres aquatiques gnaoul pendo qui ne constituent pas des essences exploitables pour la transformation Le secteur p trolier l intense activit p troli re Port Gentil a favoris la cr ation d une multitude de soci t s de prestation de services p troliers Habitat Sur le plan urbain Port Gentil pr sente un espace industrialo portuaire aux pointes Clairette et Akosso combl d infrastructures publiques et d habitations a r es ainsi qu un espace r sidentiel qui se fond dans un tissu urbain fragment avec des r sidences assainies cit s CFG SOGARA Shell et ELF TOTAL pr s du littoral sans oublier SATOM Houagni et Divoungui et la zone des quartiers populaires Balise Grand village
166. e Renforcer les capacit s de gestion et de suivi des infrastructures urbaines Capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains La Ville dispose de services techniques municipaux dont les moyens sont tr s limit s par rapport la demande sociale Insuffisance des moyens de gestion et de suivi Mener des campagnes de sensibilisation des populations sur les textes r glementaires et les proc dures en mati re de gestion fonci re M canismes locaux des conflits dans la commune Le Chef de quartier qui est l acteur de proximit peut intervenir en cas de conflit puis les Mairies d Arrondissement ensuite la Ville et l Agence d urbanisme Au sommet c est le tribunal qui tranche si le conflit n est solutionn Personnes vuln rables Personnes handicap es Veuves et orphelins sans soutien Jeunes filles m res Sinistr s La gestion des personnes vuln rables n est pas un domaine r serv la commune L Etat intervient dans l action sociale Prendre en compte l acc s des personnes handicap es dans la r alisation des infrastructures publiques urbaines rampes d acc s Appuyer les activit s cr atrices de revenus des personnes vuln rables Prise en compte du Genre dans la gestion des projets urbains On ne fait plus de diff rence entre les hommes et femmes pour la gestion publique Synth se des perceptions du Pro
167. e dans les eaux superficielles ou souterraines dans les gouts foss s de drainage ou la mer Les points de rejet et de vidange seront indiqu s l Entrepreneur par le Ma tre d uvre Gestion des d chets solides L Entrepreneur doit d poser les ordures m nag res dans des poubelles tanches et devant tre vid es p riodiquement En cas d vacuation par les camions du chantier les bennes doivent tre tanches de fa on ne pas laisser chapper de d chets Pour des raisons d hygi ne et pour ne pas attirer les vecteurs une collecte quotidienne est recommand e surtout durant les p riodes de chaleur L Entrepreneur doit liminer ou recycler les d chets de mani re cologiquement rationnelle L Entrepreneur doit acheminer les d chets si possible vers les lieux d limination existants Protection contre la pollution sonore L Entrepreneur est tenu de limiter les bruits de chantier susceptibles d importuner gravement les riverains soit par une dur e exag r ment longue soit par leur prolongation en dehors des heures normales de travail Les seuils ne pas d passer sont 55 60 d cibels le jour 40 d cibels la nuit Pr vention contre les IST VIH SIDA et maladies li es aux travaux L Entrepreneur doit informer et sensibiliser son personnel sur les risques li s aux IST VIH SIDA Il doit mettre la disposition du personnel dans des endroits discrets coffrets dans les toilettes des pr s
168. e chantier e D veloppement de maladies au niveau des populations et des ouvriers e D gradation de vestiges culturels e Conflits sociaux en cas de non emploi local ou de non respect des us et coutumes e R installation involontaire d placement pertes de biens et de sources de revenus Tableau 4 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques des travaux de pavages des rues Phase Impacts n gatifs e G n ration d normes quantit s de d chets solides d blais d molition etc e Pollution du milieu par les rejets solides et liquides issus du chantier e Nuisances sonores bruits et vibration occasionn s par les engins e Pollution de l air par les poussi res et missions gazeuses D versements accidentels d hydrocarbures d huiles de vidanges entretien engins e Risque de perturbation d activit s conomiques le long des emprises e Risque de destruction de cl tures de maisons situ es dans l emprise e G nes et nuisances au trafic routier caus es par les activit s de pr paration et de chantiers Construction e Perturbation de la circulation pendant les travaux et des acc s riverains e Occupation non autoris e de sites priv s pour les bases de chantier e Perturbation des r seaux des concessionnaires eau t l phone lectricit e Non utilisation de la main d uvre locale e Augmentation des risques d accidents de la circulation e Augmentation des conditions d coulement des eaux pluviales le long de la voirie urbain
169. e fait sur deux ponts Le premier ouvrage sur le bras Nord entre la Rive Droite et l le centrale appel le pont d Adouma est long de 450 m tres et le deuxi me entre l le et la Rive gauche le pont d Isaac couvre 420 m tres chaque pont ayant une emprise d environ 10 m tres Dans l ensemble les liaisons vers les diff rents quartiers sont bitum es hormis les nouvelles voies d extension R seau lectrique clairage public L acc s l nergie lectrique est difficile dans de nombreuses zones p riph riques o des populations ne disposent pas d lectricit Le r seau ne couvre que les axes centraux Pour beaucoup l approvisionnement se fait donc de fa on informelle et anarchique aupr s de revendeurs Les syst mes de branchements pr caires risque toiles d araign es sont souvent observ s au niveau des m nages pauvres ou ceux tr s loign s du centre ville ou des poteaux lectriques Cette pratique les populations concern es des menaces d lectrocution et d incendie La ville est quip e de lampadaires pour l clairage public mais la majorit des quartiers sont mal desservis par ce r seau Alimentation en eau L adduction en eau potable de la ville est faite par la SEEG travers la station de pompage situ e sur l le et le forage situ au quartier petit paris 3 L approvisionnement en eau potable dans la Commune demeure l un des probl mes majeurs du quotidien
170. eau des agglom rations et la travers e des villages Les conducteurs d passant ces limites doivent faire l objet de mesures disciplinaires pouvant aller jusqu au licenciement La pose de ralentisseurs aux entr es des agglom rations sera pr conis e Les v hicules de l Entrepreneur doivent en toute circonstance se conformer aux prescriptions du code de la route en vigueur notamment en ce qui concerne le poids des v hicules en charge L Entrepreneur devra en p riode s che et en fonction des disponibilit s en eau arroser r guli rement les pistes emprunt es par ses engins de transport pour viter la poussi re plus particuli rement au niveau des zones habit es Mesures de transport et de stockages des produits p troliers et contaminants L Entrepreneur doit transporter les produits p troliers les lubrifiants et les autres mati res dangereuses de fa on s curitaire dans des contenants tanches sur lesquels le nom du produit est clairement identifi La livraison doit tre effectu e par des camions citernes conformes la r glementation en vigueur et les conducteurs doivent tre sensibilis s sur les d g ts en cas d accident 113 Les op rations de transbordement vers les citernes de stockage doivent tre effectu es par un personnel averti Les citernes de stockage doivent tre tanches et pos es sur des surfaces prot g es disposant d un syst me de protection contre des panchements intempestifs
171. ement de plusieurs quartiers sous int gr s o l acc s demeure tr s difficile Erosion boulement ravinement et stagnation des eaux pluviales zones boueuses rendent difficile l acc s dans certains quartiers et pose un probl me de s curit Insalubrit d versement anarchiques des d chets dans la nature par la population est source de nuisance et de risque de propagation de maladies L habitat dispers rend difficile la couverture et la fourniture d eau et d lectricit dans certains quartiers p riph riques o les populations ont souvent recours des branchements anarchiques Mauvaise gestion gaspillage d eau des bornes fontaines publiques Enterrement des morts derri res les maisons Construction anarchique par les populations l insu des services techniques comp tents application du sch ma d urbanisation de la ville Insuffisance des capacit s technique de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains Faiblesse des moyens d intervention mat riel et quipement de la commune pour assurer la gestion environnementale et sociale des projets Synth se des suggestions et recommandations compte dans les crit res de choix des sites des quartiers pr caires r ellement sous int gr s Sensibiliser les populations sur le projet Former les jeunes dans les m tiers de BTP et recruter dans les chantiers du projet Renforcer les capacit
172. ement scolaire salubrit hygi ne s curis la qualit de l enseignement et les conditions de travail pour les instituteurs et d tudes pour les l ves La construction de nouvelles coles et ou de nouvelles classes de m me que les quipements scolaires ne peuvent qu tre b n fique pour le syst me ducatif Ainsi le Projet permettra d impulser un d veloppement quantitatif et qualitatif du syst me ducatif Les travaux de construction participeront aussi la consolidation et ou la cr ation d emplois au niveau des communes La r alisation de sanitaires avec points d eau dans les coles va contribuer lutter contre le p ril f cal de renforcer l hygi ne du milieu scolaire d viter les sources de d veloppement et de propagation de maladies etc Ces quipements sanitaires vont d velopper chez les l ves une plus grande prise de conscience en mati re d hygi ne et d assainissement individuel et collectif Centres de Sant La r alisation de Centres de Sant et leur quipement permettront d assurer une bonne couverture sanitaire de proximit aux populations Ces activit s vont participer de mani re active l atteinte des Objectifs du Mill naire pour le d veloppement OMD notamment la r duction de la mortalit infantile et l am lioration de la sant maternelle et la lutte contre les IST VIH SIDA le paludisme et les autres maladies Les infrastructures de sant auront donc plusieurs
173. emental national dans lequel le PDIL II s ex cutera Le CGES aura une port e municipale neuf capitales provinciales de la R publique Gabonaise avec un focus particulier sur les infrastructures de base les quipements sociaux ducatifs et sanitaires les quipements marchands et les quipements de drainage pluvial d adduction d eau de forages etc La zone d intervention du projet comprend neuf communes les 9 capitales provinciales Dans les communes la probl matique environnementale et sociale se pose en termes d insuffisances de la planification urbaine et de l occupation anarchique de l espace urbain pr sence de nombreux garages ateliers et commerce le long des voies urbaines de contraintes fonci res insuffisances des r serves communales mais aussi de d ficience des services de base gestion des eaux us es domestiques gestion des eaux pluviales inondations gestion des d chets solides et d un manque criards d infrastructures socio conomiques coles centres de sant s march s etc Le contexte politique l gislatif et r glementaire du secteur environnemental et des secteurs d intervention du PDIL est marqu par l existence de documents de planification strat giques l chelle nationale Plan d Action National pour l Environnement Cadre Strat gique de R duction de la Pauvret etc ainsi que des textes pertinents au plan l gislatif et r glementaire Loi de protection de l e
174. en cas de destruction de biens biens et de sources de revenus ou de pertes d activit s selon les dispositions et proc dures pr vues dans le CPR Tableau 14 Mesures d att nuation sp cifiques des impacts de la r habilitation de la voirie Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation e n i it 1 2 gi lee ye ee 9 de d chets solides e Pr voir des dispositifs de d viation pour d als cm Juon etc TENN maintenir la circulation des biens et des Pollution du milieu par les rejets solides et liquides personnes issus du chantier dig y rae ee Arroser les surfaces sources de poussi re e Nuisances sonores bruits et vibration occasionn s 2 surtout en saison s che les engins Construction s Rue e Prendre des pr cautions n cessaires pour e Pollution de l air par les poussi res et missions bare 9 viter les d versements de mat riaux oe accidentels e D versements accidentels d hydrocarbures d huiles de vidanges entretien engins e Pr voir les travaux de drainage et situer les eden NE Se exutoires de mani re viter les inondations e Risque de perturbation d activit s conomiques le long des emprises Respecter la r glementation sur l ouverture et 77 Risque de destruction de cl tures de maisons situ es dans l emprise G nes et nuisances au trafic routier caus e
175. ence d ateliers de fabrication de meubles en rotin atelier d art qui offrent des produits de sculpture en bois et fer de peinture sur toile et autres objets d art en pierre de Mbigou Il existe un village artisanal au quartier Alibadeng et un march artisanal situ au centre ville de Libreville Le commerce A Libreville au niveau local se pratique le commerce en d tail en demi gros et en gros de produits vivriers locaux banane plantain manioc taro igname patate douce ma s arachides et quelques l gumes locaux principalement dans les march s les produits alimentaires import s dans les grandes surfaces commerciales riz viande poulets conserves mati res grasses huiles beure margarine boissons fruits et l gumes les hydrocarbures p trole essence gazoil dans les stations d essence les mat riaux de construction les biens d quipement les machines et autres produits chimiques acides d tergents et peintures dans les quincailleries les produits pharmaceutiques dans les pharmacies Les produits export s sont principalement le p trole le mangan se l uranium caf cacao La voirie Le r seau urbain de pr s de 905 kilom tres de lin aires comprend des voies en pav notamment dans certains quartiers sous int gr s des voies bitum es et des voies non bitum es en zone suburbaine Bien que d fectueux dans certains quartiers p riph riques le r seau urbain est bitum et comprend une voie
176. ent Les voies peu praticables en toutes saisons Les principales contraintes sont manque d entretien des voies la construction des voies ne r pond pas aux caract ristiques climatiques de Port Gentil les routes ne sont pas suffisamment bomb es pour viter la stagnation des eaux de pluies inexistence de la canalisation pour certaines voies l troitesse des voies le non respect des limites parcellaires aux abords des routes ne favorise pas l am nagement des trottoirs l obstruction des voies secondaires par les riverains Assainissement gestion des d chets solides et liquides Port Gentil dispose de r seau d assainissement d eau de pluies et de drainage compos de canaux caniveaux et ponts entre autres principaux ouvrages Port Gentil poss de un syst me de ramassage d ordures m nag res collect es par une entreprise commise la t che et stock es une d charge R seau lectrique clairage public la ville de Port Gentil est lectrifi e pr s de 60 Tandis que les 40 restants constitu s essentiellement des quartiers sous int gr s sont priv s d extension du r seau lectrique Pour s approvisionner en lectricit les populations ont recours aux branchements anarchiques sur plusieurs kilom tres avec tout ce que cela comporte comme risques En ce qui concerne l clairage public tous les grands axes en disposent d j Toutefois certaines zones en sont d pourvues notamment les quartiers
177. er les emprises des e Optimiser les trac s et desservir le r seaux lectriques et g n ration de d chets maximum de quartiers v g taux e Proc der des plantations r paratrices en G n ration de d blais d excavation des sols lors cas d abattage d arbres Construction de la r alisation du c blage e R utiliser au maximum les d blais une Difficult s de circulation des v hicules non motoris s dans les emprises en raison des droits de passage insuffisants ou entrav s Densification temporaire des ruelles et inaccessibilit de certains quartiers du fait de la fois les c bles install s R guler la circulation et mettre en place un dispositif de signalisation e Eviter d aligner les lignes haute tension dans les zones d habitations 80 circulation pendant les travaux Bruits vibrations et missions de poussi re lors des travaux Risques d accidents li s aux travaux D sagr ments li s l absence de campagnes d information sensibilisation et d un plan de d viation de la circulation Eviter les raccordements anarchiques sur le r seau lectrique Privil gier l utilisation de c blage souterrain Soulever au maximum possible les poteaux et lignes lectriques Installer les emprises lectriques en dehors des chemins d acc s Minimiser le nombre de travers es des voies de communication Eviter que les c bles lectriques ne traversent les b timents et les c
178. erres par les populations l espace Synth se des perceptions du Projet Nous saluons au plus haut point l initiative de la reprise du PDIL qui nous a valu beaucoup de satisfaction lors de la premi re phase Synth se des pr occupations et craintes Implication des institutions sacr es et religieuses dans la mise en uvre du projet Probl mes d acc s aux r seaux d eau et d lectricit Branchements anarchiques au r seau lectriques de loi sur l environnement et du cadre de vie Inexistence de laboratoire au niveau local pour pouvoir appr cier le niveau de pollution Mauvaise gestion des ordures Occupation anarchique de l espace des terres Inondations li es au d faut d entretien des canaux de drainage Pollution des eaux Absence de toilettes publiques Ach vement des voies entam es et par le PDIL1 D ficit des moyens financiers et mat riels de la commune Risque potentiel de r sistance des populations a c der les terres occup es ill galement Prise en charge des personnes vuln rables en cas d impact Manque de formation en d placement de populations et en r installation Faiblesse des capacit s en gestion de la Mairie _ Restriction de libert dans l acc s des femmes aux travaux productifs Synth se des suggestions et recommandations Eviter autant que possible les sites sacr es et religieuses Etendre les r seaux de distributi
179. ersonnel Renforcement de capacit s du personnel Renforcer les capacit s du personnel en ducation sp cialis e et en assistance sociale Service provincial des travaux publics TP Appr ciation sur le projet Le PDIL est un bon projet dont on a besoin Des voies secondaires sans pav es Absence d assainissement eaux de pluie Absence de r seaux d adduction d eau et d lectricit Mettre des pav es sur les voies secondaires Installer un r seau d assainissement urbain d eau de pluie Elargir les r seaux d eau et d lectricit Capacit s et r les dans la gestion environnementale et sociale Manque de formation en gestion environnementale et sociale et le renforcement des moyens logistiques d intervention du service Non implication du service des TP dans le processus de mise en uvre du projet Capacit s limit es pas d expertise en GES Former le personnel en gestion environnementale et sociale Renforcer les moyens logistiques du service moyens roulants Impliquer le service des TP dans tout le processus de mise en uvre du projet Service provincial d nergie et d eau du Gabon SEEG Appr ciation sur le projet On se f licite de l initiative Le PDIL est bienvenue La communication avec les populations faut mettre beaucoup l accent sur la communication Gestion des r seaux d lectrification et d eau Centrale de production d lectr
180. ervatifs contre les IST VIH SIDA L Entrepreneur doit informer et sensibiliser son personnel sur la s curit et l hygi ne au travail doit veiller pr server la sant des travailleurs et des populations riveraines en prenant des mesures appropri es contre d autres maladies li es aux travaux et l environnement dans lequel ils se d roulent maladies respiratoires dues notamment au volume important de poussi re et de gaz mis lors des travaux paludisme gastro ent rites et autres maladies diarrh iques dues la forte prolif ration de moustiques aux changements de climat et la qualit de l eau et des aliments consomm s maladies s vissant de mani re end mique la zone L Entrepreneur doit pr voir des mesures de pr vention suivantes contre les risques de maladie i instaurer le port de masques d uniformes et autres chaussures adapt es ii installer syst matiquement des infirmeries et fournir gratuitement au personnel de chantier les m dicaments de base n cessaires aux soins d urgence Par ailleurs l entrepreneur est tenu de signer une convention m dicale d urgence avec un tablissement sanitaire de r f rence dans la localit o s ex cutent les travaux afin de permettre une prise en charge rapide et efficace des bless s en cas d accidents graves Voies de contournement et chemins d acc s temporaires 115 L utilisation de routes locales doit faire l objet d une entente pr
181. es femmes divorc es malades du SIDA enfants de la rue handicap s etc sont particuli rement pr occupantes Franceville avec la r currence et l amplification de certaines vuln rabilit s Principales contraintes environnementales et sociales dans la commune de Franceville e Enclavement de plusieurs quartiers sous int gr s o l acc s demeure tr s difficile e Erosion boulement ravinement et stagnation des eaux pluviales zones boueuses rendent difficile l acc s dans certains quartiers et pose un probl me de s curit e Insalubrit d versement anarchiques des d chets dans la nature par la population est source de nuisance Risque de propagation de maladies paludisme diarrh e IST VIH SIDA etc e Couverture et la fourniture d eau et d lectricit dans certains quartiers p riph riques Branchements anarchiques et frauduleux sur le r seau lectrique 28 e Mauvaise gestion gaspillage d eau des bornes fontaines publiques e Enterrement des morts derri res les maisons d Poteaux lectriques SEEG arbre fruitiers manguiers et maison sur l emprise de a route amp a R seau eau mal enterr travers par la route We ye j gt Sacs de sables pour lutter contre les rosions Route d grad e 3 2 4 La commune de Makokou Situation administrative Makokou qui veut dire Rocher en Kota est la capitale de la province de lOgoou vindo l
182. es le non respect des clauses environnementales et sociales d ment constat par le Ma tre d uvre peut tre un motif de r siliation du contrat L Entrepreneur ayant fait l objet d une r siliation pour cause de non application des clauses environnementales et sociales s expose a des sanctions allant jusqu a la suspension du droit de soumissionner pour une p riode d termin e par le Maitre d ouvrage avec une r faction sur le prix et un blocage de la retenue de garantie R ception des travaux Le non respect des pr sentes clauses expose l Entrepreneur au refus de r ception provisoire ou d finitive des travaux par la Commission de r ception L ex cution de chaque mesure environnementale et sociale peut faire l objet d une r ception partielle impliquant les services comp tents concern s Obligations au titre de la garantie Les obligations de l Entrepreneur courent jusqu la r ception d finitive des travaux qui ne sera acquise qu apr s compl te ex cution des travaux d am lioration de l environnement pr vus au contrat d Clauses Environnementales et Sociales sp cifiques Signalisation des travaux L Entrepreneur doit placer pr alablement l ouverture des chantiers et chaque fois que de besoin une pr signalisation et une signalisation des chantiers longue distance sortie de carri res ou de bases vie circuit utilis par les engins etc qui r pond aux lois et r glements en vigu
183. es chantiers du projet lectrification extension r seau eau etc Capacit des La Mairie ne dispose de Mettre en place une cadre communes dans la services municipaux elle locale pour impliquer tous les gestion de projet collabore avec acteurs intervenant dans le l administration services techniques provinciaux pour la r alisation de ses projets d veloppement urbain Renforcer les capacit s de gestion de la commune Capacit s et r les dans la gestion environnementale et sociale Capacit s limit es dans la gestion environnementale et sociale Renforcer les capacit s des services techniques en mati re de gestion environnementale et sociale Aider l application des textes r glementaires r gularisation fonci re Implication dans le suivi de la mise en uvre Non implication ou m me absence d information des services mis souvent devant le fait accompli Le PDIL I pavage de routes avait caus des perturbations sur les r seaux d eau Perturbation sur la fourniture d eau et d lectricit Informer les services comp tents SEEG Urbanisme temps et les impliquer dans la mise en uvre et le suivi Mat rialiser les installations des r seaux eau et lectricit existantes dans les zones devant abriter les sites des r alisations du projet Prendre en charge les d penses occasionn es par des interventions sur les r seaux eau et lectricit faire un devis p
184. es dans les quartiers d favoris s L objectif de cette composante est d accro tre l acc s des services am lior s dans les quartiers mal desservis Les investissements permettront d am liorer la mobilit urbaine le drainage l assainissement l eau l lectricit et les infrastructures de sant et d ducation dans les quartiers faible revenu sp cifiques tout en am liorant le contr le de l rosion des terres les march s et les installations collectives pour la population en g n ral Cette composante aura trois sous composantes e la mise en uvre d un programme d investissement prioritaire pour assurer une meilleure int gration des quartiers de projet avec le reste de la ville dans le prolongement des travaux mis en uvre dans les quartiers cibl s sous PDIL1 e l am liorations des infrastructures et service e des plans locaux de d veloppement PLD pour les quartiers cibl s par le projet y compris la mise jour des PLD existants pour les quartiers cibl s par le PDIL 1 e la pr paration de plans de d veloppement strat gique PDS Composante 2 US 15 million Appui institutionnel et renforcement des capacit s 15 L objectif de cette deuxi me composante du projet est de renforcer les capacit s des municipalit s en mati re de planification programmation la gestion des services de base des infrastructures et maintenance les mesures de protection environnementale et sociale et la collecte des recet
185. es dans sa deuxi me phase PDIL II dans neuf 9 villes de la R publique Gabonaise la premi re phase s tant achev e en d cembre 2011 Toutefois La r alisation d infrastructures urbaines pr vues dans le cadre du PDIL II voiries r seaux lectriques adduction d eau potable drainage pluvial construction d coles et de centres de sant etc peut avoir des impacts environnementaux et sociaux n gatifs et exiger ainsi l application des directives op rationnelles de protection environnementale et sociale si des mesures de pr vention ne sont pas inscrites au pr alable dans la conception des sous projets les proc dures de gestion et de contr le Sous ce rapport il a t requis la pr paration du pr sent Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES 1 2 Objectif du Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES L objectif du CGES est d orienter le projet en mati re environnementale et sociale parce qu ce stade du projet les sites sp cifiques des investissements financ s par le projet ne sont pas connus Pour cela il s agira d identifier les risques associ s aux diff rentes interventions du projet et de d finir les proc dures et les mesures d att nuation et de gestion qui devront tre mises en uvre en cours d ex cution du projet Il s agira plus sp cifiquement de e faire une description de l tat initial de la r gion en mettant l accent notamment sur l tat du mili
186. es de d chets le type de collecte envisag le lieu de stockage le mode et le lieu d limination iii le programme d information et de sensibilisation de la population pr cisant les cibles les th mes et le mode de consultation retenu iv un plan de gestion des 109 accidents et de pr servation de la sant pr cisant les risques d accidents majeurs pouvant mettre en p ril la s curit ou la sant du personnel et ou du public et les mesures de s curit et ou de pr servation de la sant appliquer dans le cadre d un plan d urgence L Entrepreneur doit galement tablir et soumettre l approbation du Ma tre d uvre un plan de protection de l environnement du site qui inclut l ensemble des mesures de protection du site protection des bacs de stockage de carburant de lubrifiants et de bitume pour contenir les fuites s parateurs d hydrocarbures dans les r seaux de drainage associ s aux installations de lavage d entretien et de remplissage en carburant des v hicules et des engins et aux installations d vacuation des eaux us es des cuisines description des m thodes d vitement et de r duction des pollutions des incendies des accidents de la route infrastructures sanitaires et acc s des populations en cas d urgence r glementation du chantier concernant la protection de l environnement et la s curit plan pr visionnel d am nagement du site en fin de travaux Le programme de gest
187. es lampes basse consommation 81 6 3 2 Mesures de bonification g n rales Les mesures de bonification suivantes sont propos es pour renforcer l impact positif des acticit s qui seront mises en uvre par le PDIL II Tableau 21 Mesures de bonification g n rales Impacts positifs potentiels Activit s g n ratrices de revenus pour les populations locales au cours des travaux Mesures de bonification Favoriser le recrutement au niveau local et tenir compte du Genre Encourager l emploi des ouvriers locaux clause dans le contrat Encourager l tablissement des contrats avec les associations de jeunes des quartiers riverains Possibilit de nouveaux emplois avec la soci t de gestion et d entretien des infrastructures Encourager l emploi des PME locales par la sous traitance de certaines activit s Appuyer la formation des PME et leur faciliter l acc s aux cr dits Intensification des activit s conomiques et commerciale autour des chantiers restauration etc Bon niveau de service des infrastructures Am nager des aires sp cifiques et organiser les activit s autour des chantiers pendant les travaux Assurer l entretien courant et p riodique des infrastructures Pr servation de l environnement notamment l hygi ne du milieu Am liorer la s curit des biens et des personnes et le cadre de vie des populations notamment en restructurant la zone d intervention
188. es soient contamin es par les latrines et les fosses septiques non tanches L vacuation des eaux m nag res lavage et eaux de cuisine se fait en majorit sur la voie publique ou dans les caniveaux de drainage pluvial ce qui contribue consid rablement la d t rioration de l environnement et la d gradation de la voirie 50 3 2 4 Probl matique de la gestion des eaux pluviales et des inondations L urbanisation excessive et souvent non planifi e des zones d habitation a entra n une augmentation des surfaces imperm abilis es et cons cutivement aux programmes de construction et de r fection de routes et de stabilisation de trottoirs Ces actions ont eu comme cons quence d accro tre les surfaces imperm abilis es r duisant ainsi tr s fortement la capacit d infiltration des eaux pluviales Cette situation conjugu e la forte pluviom trie et au sous dimensionnement et ou au mauvais fonctionnement ensablement pr sence de d chets solides etc des caniveaux de drainage pluvial voire m me leur inexistence a t l origine de nombreux cas d inondation Par ailleurs les ouvrages de drainage pluvial souffrent d un d faut d entretien mais surtout d un comportement non cologique des populations riveraines rejets des eaux domestiques et d chets solides raccordements clandestins des eaux us es favorisant ainsi des obstructions qui rendent difficiles l coulement des effluents vers les e
189. es sont propos es dans le CGES pour permettre au projet d tre en conformit avec les politiques d clench es Les activit s du pouvant entra ner des d placements de populations ou des pertes d activit s le projet a labor un Cadre de Politique de R installation CPR en document s par Les cat gories d quipements sociaux ducatifs des salles de classes des locaux communaux des maisons des jeunes des stades municipaux auront des effets n gatifs relativement mineurs En revanche les travaux de voiries des caniveaux des march s des gares routi res des espaces verts des postes de sant auront des impacts n gatifs mod r s ou majeurs En revanche les projets d coles centres de sant et autres n auront pas d effets n gatifs significatifs M me s ils permettent d am liorer le cadre et les conditions de vie la mise en uvre de ces projets pourraient tout de m me avoir des incidences n gatives sur le cadre de vie en milieu urbain si des dispositions d accompagnement ne sont pas prises Le CGES du PDIL II pr voit ces mesures d accompagnement pour liminer ou au moins att nuer les impacts n gatifs et les nuisances Les impacts environnementaux et sociaux n gatifs du projet proviendront surtout des travaux de construction pouvant entra ner l rosion du sol la pollution du sol et de l eau la perte de v g tation abattage d arbres la perturbation du cadre de vie d chets issus des
190. estion environnementale et sociale le suivi Evaluation de la mise en uvre L UCP PDIL IT va galement assurer la dotation de petits mat riels d entretien et d assainissement aux mairies d arrondissement Elle assurera la diffusion du CGES et des ventuelles EIES NIES et participera aussi au suivi environnemental et social e L Expert en Sauvegardes Environnementales et Sociales ESES de l UCP PDIL II L ESES remplira les fiches de s lection environnementale et proc dera la d termination des cat gories environnementales appropri es en rapport avec la DGE II effectuera galement le choix des mesures d att nuation appropri es en cas de non n cessit d laborer des PGES pour les micro projets Il assurera aussi la coordination du suivi des aspects environnementaux e La DG Environnement Le DGE i validera la classification environnementale des activit s ii assurera pour le compte du CP la coordination du suivi environnemental des activit s du PDIL IT mais aussi l approbation des ventuels PGES ainsi que l adoption et la diffusion des informations issues du CGES et des EIES NIES au niveau des acteurs intentionnels e Les Municipalit s cibl es par le projet Les Mairies cibl es par le Projet d signeront des Points Focaux Environnement PFES municipalit parmi leurs Services Techniques Communaux qui assureront le suivi des aspects environnementaux et sociaux relatifs aux micro projets voiries drain
191. et administratif Le Consultant pr sentera une synth se de la politique nationale de protection de l environnement de mani re g n rale Le Consultant pr sentera aussi les principaux textes l gislatifs r glementaires et administratifs de la R publique Gabonaise se rapportant a la gestion de l environnement et des ressources naturelles et aux proc dures d tudes d impact environnemental et social mais aussi au foncier aux proc dures d expropriation de r installation et de d dommagement compensation et les analysera en rapport avec les politiques de sauvegarde de la Banque mondiale Apr s examen le Consultant recommandera si n cessaires des mesures appropri es pour renforcer le cadre politique l gal et r glementaire surtout les proc dures d tudes d impact et les proc dures de r installation pour mieux garantir l efficience de la mise en uvre du CGES e Identification et valuation des impacts positifs et n gatifs majeurs du projet Le Consultant valuera les impacts positifs et n gatifs majeurs des composantes et des investissements types ligibles du projet et en mettant un accent particulier sur l identification et valuation des changements positifs et n gatifs provoqu s par le projet par rapport aux situations de base milieu physique biologique humain socioculturel activit s conomiques opportunit s d emploi etc notamment en milieu urbain et rural En phase de construction comme lor
192. etien ne sont pas prises les effets n gatifs indirects sur la sant des l ves seront galement importants L absence de dispositions d entretien ou le mauvais fonctionnement des dicules latrines pleines et naus abondes peuvent conduire un tat de d gradation environnemental pr judiciable en milieu scolaire et causer des nuisances et des maladies parmi des l ves En plus l absence d une s paration entre gar ons et filles peut provoquer des situations d incitation aux abus sexuels viol Impacts n gatifs potentiels des centres de sant Les structures sanitaires bien que de petite taille produisent des d chets notamment biom dicaux qui s ils ne sont pas bien g r s peuvent poser des risques importants au plan sanitaire sp cifiquement les aiguilles et tous les d chets contamin s notamment par des produits sanguins La production de d chets biom dicaux par les infrastructures sanitaires constitue un impact important si ces d chets ne sont pas correctement collect s et trait s Avec ces d chets il y a galement un risque de propagation des IST VIH SIDA et d autres maladies nosocomiales si les pr cautions n cessaires d hygi ne hospitali re n cessaires ne sont pas prises Aussi le risque de survenue de ces maladies peut tre accru si le personnel m dical manque de vigilance dans la manipulation des d chets biom dicaux La construction de centres de sant doit int grer un syst me de gestion de ces
193. eu physique biophysique et les caract ristiques sociales e identifier les enjeux environnementaux et sociaux majeurs dans les municipalit s de mise en ceuvre du projet 13 e identifier les forces et faiblesses du cadre institutionnel et juridique en mati re d environnement chez les principaux acteurs de mise en uvre du projet e identifier les risques environnementaux et sociaux et proposer des mesures concr tes de gestion des risques et des impacts associ s aux diff rentes interventions du projet e laborer un Plan cadre de gestion environnementale et sociale PCGES avec toutes les dispositions institutionnelles de mise en ceuvre assorti d un budget Le CGES inclut un processus de s lection environnementale et sociale qui permettra aux institutions charg es de la mise en ceuvre du PDIL de pouvoir identifier valuer et att nuer les impacts environnementaux et sociaux potentiels des activit s du projet au stade de planification Le CGES prendra en compte les exigences des politiques de sauvegarde de la Banque Mondiale tout en respectant les lois Gabonaises en mati re de gestion environnementale et sociale Le CGES d termine aussi les dispositions et responsabilit s institutionnelles 4 prendre durant la mise en ceuvre du PDIL II y compris celles relatives au renforcement des capacit s mais aussi les activit s de suivi Le CGES inclura un PGES pour assurer une mise en ceuvre efficace des activit s Ce PGES sera inclus dan
194. eur 112 Mesures pour les travaux de terrassement L Entrepreneur doit limiter au strict minimum le d capage le d blaiement le remblayage et le nivellement des aires de travail afin de respecter la topographie naturelle et de pr venir l rosion Apr s le d capage de la couche de sol arable l Entrepreneur doit conserver la terre v g tale et l utiliser pour le r am nagement des talus et autres surfaces perturb es L Entrepreneur doit d poser les d blais non r utilis s dans des aires d entreposage s il est pr vu de les utiliser plus tard sinon il doit les transporter dans des zones de remblais pr alablement autoris es Mesures de transport et de stockage des mat riaux Lors de l ex cution des travaux l Entrepreneur doit i limiter la vitesse des v hicules sur le chantier par l installation de panneaux de signalisation et des porteurs de drapeaux ii arroser r guli rement les voies de circulation dans les zones habit es s il s agit de route en terre iii pr voir des d viations par des pistes et routes existantes dans la mesure du possible Dans les zones d habitation l Entrepreneur doit tablir l horaire et l itin raire des v hicules lourds qui doivent circuler l ext rieur des chantiers de fa on r duire les nuisances bruit poussi re et congestion de la circulation et le porter l approbation du Ma tre d uvre Pour assurer l ordre dans le trafic et la s curit sur les rou
195. ex cut es le moment venu Pour cela il est n cessaire de faire une dotation provisionnelle qui permettra de prendre en charge de telles mesures estim es 50 000 000 FCFA Soit un total de 230 000 000 FCFA Reboisement Ces espaces vont concerner certains projets coles 50 000 Nombres de ESES UCP UCP compensatoire centres de sant gares routi res etc recevant du sites rebois s PDIL 2 DGE s et espaces public Comit verts Pilotage Communes Renforcement Il s agit d un appui aux communes en petit mat riel 100 000 000 e Nombre ESES UCP UCP de capacit s d entretien et de gestion des infrastructures et de PDIL 2 DGE des communes quipements march s gares voiries etc qui commune Comit Las seront r alis s Une dotation de 5 000 000 fcfa peut 5 ee tre retenue par commune soit environ 50 000 000 dep fcfa ype de mat riel fourni Suivi pour le suivi il est propos 90 000 Nombre de ESES UCP UCP PDIL e un suivi durant la phase de pr paration du mission de DGE Comit projet par l Expert Environnement et supervision Pilotage Social de l UCP au moins tous les 3 mois et de suivi Communes soit un co t de 60 000 USD e Un appui la DGE et aux services locaux dans le suivi externe deux fois par ann e soit 30 000 USD Evaluation Il s agit du recrutement d un Consultant pour une 30 000 Nombre de ESES UCP UCP PDIL valuation mi parcours fin 3 me ann e et une mission Comit a
196. express Libreville des boulevards des rues et des ruelles Trois ponts sont en train d tre construits trois grands carrefours sur la voie express aux charbonnages l entr e du quartier Nzeng Ayong et Transport Les moyens de transport Libreville sont constitu s de voitures et cars qui servent au transport des personnes et des camions aux marchandises Les bus de la Soci t Gabonaise de Transport public SOGATRA les taxis bus et les taxis assurent le transport des populations en circulant sur les axes routiers de la ville En zone p riph rique circulent les v hicules de transport suburbains appel s commun ment clandos Pour le transport et circulation par voie a rienne Libreville dispose de l a roport international L on MBA Le transport par voie maritime et fluviale est assur partir des ports d Owendo d ACAE et mole Drainage pluvial Le r seau d assainissement de Libreville est constitu par les caniveaux buses et autres dalots qui facilitent le drainage des eaux de pluie Libreville est constitu e de 23 sous bassins 18 versants avec des dimensions tr s vari es Le mode de drainage pr valant concerne l coulement naturel des eaux dans le thalweg Le lin aire de r seaux primaires et secondaires disponibles s l ve 108 km dont seuls 2 km ont t r cemment am nag s dans le cadre du Canal de Batav a quelques 100 km sont l tat naturel 4 Des dalots et un canal e
197. fication raccordement au r seau ou panneaux solaire e Gardiennage Logement d astreinte e Sensibilisation pour la gestion apr s les travaux e Participation communautaire da la gestion e Implication des Associations de Parents d l ves e Responsabiliser les l ves dans l hygi ne et la salubrit mise en place d un comit d hygi ne et d assainissement et la surveillance des coles journ e de propret etc e Entente avec les mouvements sportifs de quartiers utilisant les coles pendant les vacances e Entretien et gestion apr s les travaux Centres de Sant e Point d eau Latrines suffisantes et diff renci es malades accompagnants sexes e Electrification raccordement au r seau ou panneaux solaire e Sensibilisation pour la gestion apr s les travaux e Entretien et gestion apr s les travaux Adduction eau e Contr le de la qualit des eaux e D rivations de conduite pour viter de p naliser les habitants e Sensibilisation des usagers e _ Etroite collaboration avec le SEEG R seaux lectriques e Information et sensibilisation sur les fraudes de raccordement au r seau e Information et sensibilisation sur les risques li es l lectricit e Tarification incluant une tranche sociale pour les personnes vuln rables e Entretien et gestion apr s les travaux Drainage pluvial e Sensibilisation e Entretien et surveillance Lutte contre les e Sensibilisation rosions e Entretien et surveillance 6 3
198. forc e au sein de ces institutions pour garantir la durabilit des activit s du Projet Dans cette perspective les capacit s des agents de ces diff rentes institutions devront tre davantage renforc es notamment sur le plan du suivi environnemental et social des activit s Recommandations pour la gestion environnementale du PDIL Pour atteindre ce but le CGES sugg re de renforcer les mesures d appui institutionnel et technique de formation et de sensibilisation pour renforcer les capacit s des structures et des ressources humaines Ces actions d appui technique de formation et de sensibilisation visent i rendre op rationnelle la strat gie de gestion environnementale du PDIL 11 favoriser l mergence d une expertise locale et des professionnels en gestion environnementale et sociale iii lever le niveau de conscience professionnelle et de responsabilit des employ s dans la gestion environnementale iv prot ger l environnement urbain la sant et la s curit des populations b n ficiaires 4 4 Les Politiques de Sauvegarde de la Banque mondiale 4 4 1 Pr sentation et revue de l applicabilit des politiques de la Banque mondiale Les activit s du projet dont le financement est assur par la Banque mondiale seront n cessairement soumises aux Politiques de Sauvegarde de cette institution La pertinence de chacune des dix Politiques de Sauvegarde a t v rifi e en relation avec le projet Dans ce qui sui
199. galement des probl mes d accessibilit g ographique et financi re car bon nombre de femmes habitent des zones loign es et m me enclav es La rupture des stocks de m dicaments et dispositifs m dicaux essentiels dans les formations sanitaires est fr quente Voirie La voirie de Makokou est constitu e de voies bitum es au centre ville et de voies en lat rite dans les quartiers p riph riques En mati re de transport terrestre des taxis aux couleurs vert et blanc desservent le centre ville et les quartiers accessibles Des cars et bus circulent en interurbain Les voies de communications sont insuffisantes et le plus souvent en mauvais tat Les d placements l int rieur de la province se font par voies terrestre fluviale et ferroviaire L a roport accueille les vols de compagnies a riennes deux 2 fois par semaine Activit s conomiques L agriculture est tr s peu d velopp e La superficie des sols cultiv s est relativement faible En g n ral la m thode utilis e est la culture sur brulis Les principales cultures sont la banane le manioc le ma s et la canne sucre L levage est une activit qui n a pas encore un d veloppement avanc Mais 1l existe quelques particuliers qui l vent des moutons cabris et poules destin s la vente La p che est un secteur qui pourrait connaitre un d veloppement assez constant Mais c est une p che artisanale avec un apport d par
200. ge d arbres perturbation d activit s commerciales ou artisanales creusement de foss s et de tranch es pouvant tre dangereux pour les pi tons etc En phase d exploitation on craindra surtout les risques d incendie d accident br lures ou d lectrocution Impacts n gatifs potentiels de la lutte contre les facteurs de d gradation du cadre de vie Impacts n gatifs potentiels des travaux de lutte contre les rosions La stabilisation des sites d rosion pourrait si l on n y prend pas garde entra ner des inondations dans les zones basses cause de l augmentation des surfaces stabilis es ne s agit point de stabiliser les sites pour inonder d autres Il s agit de mener une conception globale de la stabilisation qui int gre une protection des sites menac s et une canalisation des eaux de ruissellement vers un exutoire appropri 73 6 2 6 Synth se des impacts environnementaux et sociaux potentiels Tableau 3 Impacts n gatifs communs tous les micro projets en phase de travaux e Pollution de l air e D gradation des sols Pressions sur les ressources en eau e Abattage d arbres d alignement et pertes de v g tation e Perturbation de la libre circulation et des activit s socio conomiques e Perte de biens et de sources de revenus e Nuisances dues aux activit s et aux d chets de chantiers e Risques d accidents li s aux activit s d
201. gie Production d eau en quantit et d lectricit SEEG suffisante avec une marge Satisfaire la demande sociale Projet d extension du r seau est d eau et d lectrification en perspective Sensibiliser davantage les Quelques probl mes de populations sur les distribution demandes non branchements anarchiques satisfaites Branchements anarchiques au r seau lectriques Direction Proc dure EIES Elle est encadr e par le code de Consulter les populations provinciale de l environnement notamment la pour recueillir leurs avis sur le l Environnement loi 1693 D cret 593 sur les projet tudes d impact Respecter le code de l environnement Consulter les populations locales R le dans le suivi des EES Notre r le consiste dans le contr le du respect de la loi sur l environnement Non respect de la loi sur Veiller au respect de la loi sur l environnement et sur le cadre de vie 136 l environnement Norme de pollution Inexistence de laboratoire au niveau locale pour appr cier le niveau de pollution Les pr l vements faits sont achemin s Libreville pour analyse Construire un laboratoire Oyem pour analyser le niveau de pollution R le dans la gestion du cadre de vie Nous jouons un r le de surveillance et de contr le Mauvaise gestion des ordures Occupation anarchique de Mettre plus de rigueur dans la gestion des ordures R glementer l occupation des t
202. hloration ou autre proc d approuv par les services environnementaux et sanitaires concern s Si l eau n est pas enti rement conforme aux crit res de qualit d une eau potable l Entrepreneur doit prendre des mesures alternatives telles que la fourniture d eau embouteill e ou l installation de r servoirs d eau en quantit et en qualit suffisantes Cette eau doit tre conforme au r glement sur les eaux potables Il est possible d utiliser l eau non potable pour les toilettes douches et lavabos Dans ces cas de figures l Entrepreneur doit aviser les employ s et placer bien en vue des affiches avec la mention EAU NON POTABLE Gestion des d chets liquides Les bureaux et les logements doivent tre pourvus d installations sanitaires en nombre suffisant latrines fosses septiques lavabos et douches L Entrepreneur doit respecter les r glements sanitaires en vigueur Les installations sanitaires sont tablies en accord avec le Ma tre d uvre Il est interdit l Entrepreneur de rejeter les effluents liquides pouvant entra ner des stagnations et incommodit s pour le voisinage ou des pollutions des eaux de surface ou souterraines L Entrepreneur doit mettre en place un syst me d assainissement autonome appropri fosse tanche ou septique etc L Entrepreneur devra viter tout d versement ou rejet d eaux us es d eaux de vidange des fosses de boues d hydrocarbures et de polluants de toute natur
203. i ou le contr le environnemental la supervision des micro projets La formation vise renforcer leur comp tence en mati re d valuation environnementale de contr le environnemental des travaux et de suivi environnemental afin qu ils puissent jouer leur r le respectif de mani re plus efficace dans la mise en uvre des micro projets Dans chaque municipalit cibl e il s agira d organiser un atelier communal de formation qui permettra aux structures impliqu es dans la mise en uvre et le suivi des travaux de s impr gner des dispositions du CGES de la proc dure de s lection environnementale et des responsabilit s dans la mise en uvre Les sujets seront centr s autour i des enjeux environnementaux et sociaux des travaux d infrastructures et les proc dures d valuation environnementale ii de l hygi ne et la s curit des travaux de construction r habilitation et iii des r glementations environnementales appropri es La formation devra permettre aussi de familiariser les acteurs sur la r glementation nationale en mati re d valuation environnementale les directives et les outils de sauvegarde de la Banque Mondiale les bonnes pratiques environnementales et sociales le contr le environnemental des chantiers et le suivi environnemental Des formateurs qualifi s seraient recrut s par l UCP PDIL II qui pourra aussi recourir l assistance de la DGE pour conduire ces formations si besoin avec l appui de
204. i un frein la volont et la politique d am lioration du cadre et des conditions de vie dans les neufs capitales provinciales du Gabon Dans z uerait u u lt itiqu urtout u initiativ le m me temps elle marquerait un manque de volont politique et surtout un rejet des initiatives de lutte contre la pauvret en milieu urbain Autrement dit l option absence du PDIL II signifierait u itique urbai itieuse t u u l abandon d une politique urbaine sociale ambitieuse Cela correspondrait un refus clair de donner aux autorit s communales la possibilit et la responsabilit de valoriser leur cadre de vie En somme l option sans projet renforcerait le processus de paup risation et de marginalisation des populations urbaines et p riurbaines en m me temps qu elle exacerbe le processus de d t rioration de vi vie au niveau unes l environnement et du cadre de vie au niveau de ces communes 84 9 PLAN CADRE DE GESTION ENVIRONNEMENTALE ET SOCIALE L objectif du Plan Cadre Gestion Environnementale et Sociale PCGES pour le projet est de d crire les m canismes institutionnels relatifs 1 la M thodologie pour la pr paration l approbation et l ex cution des micro projets processus de s lection environnementale ou screening devant permettre l identification des impacts environnementaux et sociaux potentiels pouvant d couler des activit s du projet et la mise en uvre des mesures d
205. iales et Centre social de Port Gentil projet Projet bienvenu Port Gentil C est louable Les rues pav es sont bonnes C est une bonne initiative On remercie le ciel Un projet qui tend am liorer les conditions de vie des populations La r sistance des populations si elles ne sont pas sensibilis es Que le projet ne s arr te pas aux bonnes promesses La r sistance des populations si elles ne sont pas sensibilis es Que le projet ne s arr te pas aux bonnes promesses Qu il y ait un foss entre la conception du projet et sa r alisation bout Que les affaires sociales soient impliqu es au d part du projet pour faire les recensements et discuter avec les populations pour les sensibiliser Probl mes environnementaux et sociaux de la commune La nappe phr atique est proche de la surface du sol Pollution et d p ts d ordures spontan s Probl mes d vacuation d eau et de cours d eau obstru s par les poubelles Les incendies et les pluies Poursuivre les activit s du projet Impliquer les affaires sociales recensements et sensibilisation des populations affect es Renforcer les capacit s du personnel de la coordination 148 provoquent des ravages dans les quartiers d favoris s et o les maisons sont vielles Non respect des normes en mati re d habitat Certains quartiers comme c te d Azur menac s par l rosion Quartiers sans
206. ibilit aux quartiers sous int gr s Favoriser l acc s des personnes conomiquement faibles aux r seaux d eau et d lectricit Direction de l am nagement du territoire Appr ciation sur le projet Nous nous r jouissons de l initiative d un tel projet le PDIL Le fait de limiter le projet aux seules capitales provinciales Relogement des futures personnes d placer Partage des documents du projet Implication des services techniques locaux Elargir le projet aux villes secondaires comme Ntoum Trouver un site de relogement pr alable aux futures personnes impact es Faire partager les documents de l tude du projet aux diff rents services techniques Impliquer les diff rents services techniques locaux dans le projet R les et responsabilit s dans la gestion des infrastructures locales Renforcement des capacit s des services techniques Implication de la direction g n rale de l am nagement du territoire DGAT FORMER les agents de la DGAT en suivi valuation de projet et en gestion environnementale et sociale de projet Direction g n rale des affaires Appr ciation sur le projet Le PDIL est un bon Non aboutissement du projet Veiller l quilibre social Impliquer les populations dans 159 sociales projet Non implication des populations dans le processus R installation des populations en bonne et due forme Insuffis
207. ibuer renforcer le d s quilibre spatial entre la grande ville de Port Gentil et les autres villes de la Province Gamba et Ombou relativement sous quip es en infrastructures urbains drainage des eaux pluviales extension des r seaux eau et lectricit Contribuer r duire les disparit s entre les villes en tudiant la possibilit d int grer les communes de Gamba et Ombou parmi les b n ficiaires du PDIL II 146 Probl mes environnementaux et fonciers de commune La Mairie de Port Gentil dispose de capacit s en gestion spatiale mais celles ci sont renforcer Mettre en place une cadre locale pour impliquer tous les acteurs concern s Renforcer les capacit s de la commune en GES Implication dans le suivi de la mise en uvre Faible mise contribution de l expertise du service de l Am nagement du Territoire par la Mairie en mati re de gestion spatiale Amener les collectivit s locales s entourer de l expertise des services techniques provinciaux afin de mieux g rer le projet Appuyer la commune dans l laboration d outils de gestion spatiale Urbanisme Perception du Projet Pauvret et vuln rabilit des Mener des tudes techniques Habitat et Le PDIL est un populations de qualit pour les sous Cadastre bon projet car il projets qui seront r alis s par permet d am liorer le PDIL II l accessibilit et la beaut des quartiers pr
208. icielles souterraines et marines e D cret n 653 PR MEFEPEPN du 21 mai 2003 relatif la pr paration et la lutte contre les pollutions par les hydrocarbures et autres substances nuisibles La proc dure nationale d valuation environnementale et sociale Cette proc dure est d termin e par le D cret N 000539 PR MEFEPEPN du 15 juillet 2005 r glementant les Etudes d impact sur l Environnement Dans le cadre de cette tude le promoteur ou son mandataire est tenu de soumettre l avis de projet l administration de l Environnement dans le but d laborer les directives sp cifiques l tude d organiser aux fins d laboration des directives sp cifiques la visite du site d implantation du projet de pr senter le projet aux populations en utilisant des moyens de communication simples concrets et accessibles d organiser aux fins ci dessus sp cifi es des consultations publiques dont la notification doit tre faite par voie d affichage ou par tout autre moyen audiovisuel d tablir les proc s verbaux des s ances de consultation sign s selon le cas par l autorit locale ou par le Ministre charg de l Environnement ou leurs repr sentants En relation avec les secteurs d activit s du PDIL sont obligatoirement soumis une les projets suivants travaux d adduction d eau et assainissement y compris les canalisations installations 54 hospitali res d une capacit gale ou s
209. icipalit s dans la r alisation des micro projets initi s localement Au sein de chaque municipalit il sera proc d la d signation d un Point Focal Environnement et Social PFES municipalit au sein des services techniques pour suivre ces aspects environnementaux et sociaux Les services techniques 91 locaux notamment les Directions Provinciales de l Environnement devront aussi b n ficier de ces mesures de renforcement de capacit s en gestion environnementale et sociale Renforcement de capacit s des mairies d arrondissement en mat riel d entretien Dans chaque mairie d arrondissement cibl e il sera mis en place un Comit Local de D veloppement Ces comit s locaux devront b n ficier de programmes d information et de sensibilisation sur les enjeux environnementaux et sociaux du PDIL et sur les outils de sauvegarde CGES CPR Le PDIL devra les impliquer dans le suivi de proximit et surtout les doter en petits mat riels d entretien et de gestion pour qu ils puissent assurer avec l appui des chefs de quartiers et autres associations locales de quartiers la gestion de la salubrit de la voirie et l entretien des caniveaux de drainage et les autres infrastructures locales Renforcement des capacit s des PME du secteur BTP et des bureaux de contr le Dans le cadre des activit s de la composante 4 les PME du secteur des BTP devront aussi b n ficier de mesures de formation sensibilisation sur la gestio
210. icit ancienne Poubara demande en lectricit largement sup rieur l offre Accroissement rapide de la population et l extension rapide des quartiers Difficult s d alimenter les zones situ es en hauteur demandes d adduction isol e habitat dispers Favoriser l investissement de VEtat dans le secteur am nager les zones sous int gr es cr er l accessibilit etc Etendre les r seaux d eau et d lectricit Sensibiliser davantage les populations sur la gestion de l eau et de l lectricit Direction provinciale de la Culture Appr ciation sur le projet La prise en compte du patrimoine culturel lieux de cultes et de tombes Eglise Mosqu e et tombe Temple des Bouthistes le Mouiri Le reste du patrimoine tel que le Mont iboudji sont dans les grottes hors du p rim tre communal Prendre en compte le patrimoine culturel dans la mise en uvre du projet Le patrimoine culturel dans la zone du projet Pr servation des lieux de cultes et des tombes Absence d information et de sensibilisation pr alable des Pr server les lieux de cultes Eglise Mosqu e et tombe Temple des Bouthistes le Mouiri Sensibiliser les populations et n gocier avec elles au pr alable en cas d impact Service Textes sur le foncier Absence d information et de Informer et sensibiliser les 152 provincial du sensibilisation des populations populations
211. ie repose sur quatre 4 fondations 1 le D veloppement durable ii la Gouvernance iii le Capital humain et iv les Infrastructures Des infrastructures de base de qualit constituent aujourd hui un facteur critique de comp titivit d une Nation Le PSGE pr voit un effort massif de d veloppement des infrastructures qui se d cline travers trois objectifs strat giques 1 d senclaver le Gabon et moderniser les infrastructures de transport 2 d velopper une offre d lectricit durable diversifi e et accessible pour tous 3 construire des infrastructures num riques de rang mondial L ambition du Gabon Emergent est d offrir un cadre de vie sain tous les Gabonais La solution moyen et long terme reste cependant l am lioration du cadre de vie travers une Politique de r habilitation des quartiers pr caires et des programmes de relocalisation dans le cadre de plans d am nagement urbains r nov s En effet le Gabon est un pays fortement urbanis et le profil urbain du pays ira en s accroissant Il s est d velopp aujourd hui un cadre de vie inad quat n e d une urbanisation galopante avec le d veloppement habitats pr caires sur des espaces non am nag s et non dot s en infrastructures ad quates Pour relever ce d fi le gouvernement gabonais a sollicit et obtenu aupr s de la Banque Mondiale le financement de la deuxi me phase du Projet de D veloppement des Infrastructures Local
212. ilisation de la main d uvre locale Exploitation e D gradation de l environnement e Assurer le curage et l entretien p riodique des caniveaux pollution des milieux naturels et des de drainage exutoires incommodit pour le e Sensibiliser la population locale sur l utilisation correcte voisinage odeurs en cas de mauvais des ouvrages choix des exutoires e Assurer la surveillance technique des r seaux e Risques pour la sant publique e Eliminer les raccordements ind sirables pid mies chol ra diarrh es en cas de e S assurer de l entretien des exutoires des caniveaux rejets de d chets solides et liquides e Eviter les d versements de d chets et de produits toxiques branchements clandestins d eaux us es dans le cours d eau dans les canaux de drainage e Stocker et vacuer la d charge autoris e tous les produits e Mauvaise utilisation des caniveaux et d excavation leur transformation en d potoirs e Stabiliser les engins pour viter l rosion et l boulement d ordures en l absence de programme des berges et talus d entretien et de sensibilisation des populations e Risques d inondation en cas de sous dimensionnement des canaux de drainage e Mal fonctionnement des ouvrages d un d faut d ex cution des travaux Tableau 20 Mesures d att nuation des impacts n gatifs potentiels des travaux de r seaux lectriques Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation Abattage d arbres pour lib r
213. illes d intervention du Projet rendu quasiment non op rationnels les outils de gestion spatiale et d urbanisme plans d urbanisme et d am nagement du territoire quand bien m me ces instruments auraient ils t con us pour la plus part d entre elles Il s en est suivi un accroissement des besoins en infrastructures et quipements communautaires collectifs coles dispensaires march s transport de voiries etc services sociaux de base eau potable lectricit assainissement drainage pluvial etc sans commune mesure avec les moyens et les possibilit s des communes Cette situation a favoris l implantation des populations dans des zones impropres l habitat zones d rosion zones d inondation etc en absence de tout contr le de l administration locale ou des municipalit s concern es ce qui pose de s rieux probl mes d ins curit de pollution et de nuisances de toute sorte notamment d exposition aux catastrophes naturelles faut cependant souligner la faible ma trise de la gestion fonci re et la complexit de questions relatives aux statuts des r serves fonci res 3 2 2 Occupation anarchique de l espace urbain Les enqu tes men es sur le terrain ont r v l une part importante de l habitat irr gulier en milieu urbain dans toutes les villes cibl es par le Projet Face aux difficult s que rencontrent l Etat et les communes satisfaire les demandes pressantes les populations s
214. impacts positifs sur la sant publique notamment l am lioration de la qualit et de l accessibilit aux soins notamment dans le domaine de la sant maternelle l augmentation et la diversification de l offre de services et de soins la r duction de la mortalit et la morbidit maternelle par l am lioration des consultations pr natales l am lioration de la prise en charge des soins de premier recours l am lioration des conditions de travail des agents de Sant etc March s et quipements collectifs gares routi res etc La construction de gares routi res permettra d augmenter les capacit s d accueil des infrastructures marchandes mais surtout d am liorer la qualit des services par la cr ation d un cadre d activit satisfaisant pour le commerce hygi ne salubrit et de r duire l occupation anarchique de la voie publique qui cause beaucoup de nuisances aux usagers et aux populations riveraines Par ailleurs la r alisation de ce type d infrastructures permettra aux collectivit s locales d am liorer leurs recettes fiscales des communes et de mieux assurer les conditions de distribution et de vente des produits dans les centres urbains 6 1 4 Impacts positifs des r seaux d assainissement et d adduction d eau et d lectricit Ouvrages de drainage pluvial La r habilitation du syst me de drainage pluvial permettra de renforcer l hygi ne du milieu de r duire tr s for
215. installent en g n ral sans droit ni titre le plus souvent elles voquent le mode de gestion traditionnel des terres dans des zones impropres l habitation et g n ralement expos es l rosion Ces occupations irr guli res surprennent ainsi l administration qui ne fait que constater le fait accompli Dans ces conditions les services de base eau potable assainissement voiries lectricit ne sont g n ralement pas fournis dans ces quartiers ou l acc s m me pose probl me Les quartiers lotis plus structur s n chappent pas non plus au ph nom ne de l occupation anarchique et ill gale de la voie publique notamment avec le d veloppement du commerce la prolif ration des magasins et march s ciel ouvert gargotes et autres ateliers artisanaux Cette situation est l origine de l encombrement permanant observ dans les rues marchandes des quartiers du centre ville o l activit conomique et commerciale est fortement concentr e autour des march s g n ralement tr s exigus mal am nag s o r gnent l insalubrit et l ins curit 3 2 3 Probl matique de la gestion des eaux us es domestiques Il n existe pratiquement pas de r seau d vacuation des eaux us es Pour l essentiel l assainissement autonome est de mise toilette avec raccordement sur une fosse septique ou sur un puisard Dans les zones o la nappe phr atique est sub affleurante il est possible que les eaux souterrain
216. intes Suggestions Recommandations acteurs Mairie de Appr ciation sur le Que le projet voit le jour et Tenir compte des zones Franceville projet ne tarde d marrer r ellement prioritaires dans le membres du Le Projet va Qualit des ouvrages et les choix des sites conseil municipal favoriser le moyens d entretien et de Insister sur l int gration de lus locaux chefs d veloppement maintenance des l clairage publique de quartiers harmonieux de la infrastructures l extension des r seaux eau membres de ville Couverture de tous les lectricit assainissement et comit s de Le projet va aider arrondissements et drainage dans l ouverture des quartiers d senclaver les satisfaction des besoins des voies et construction des 140 quartiers sous int gr s Projet tr s attendu par la population quartiers int gr s dans les domaines surtout de l eau et de l lectrification routes en pav Probl mes environnementaux et sociaux de la commune Enclavement de plusieurs quartiers sous int gr s o l acc s demeure tr s difficile Erosion boulement ravinement et stagnation des eaux pluviales zones boueuses rendent difficile l acc s dans certains quartiers et pose un probl me de s curit L insalubrit d versement anarchiques des d chets dans la nature par la population est source de nuisance et de risque de propagation de maladies L habitat dispe
217. ion environnementale et sociale comprendra galement l organigramme du personnel affect la gestion environnementale avec indication du responsable charg de l Hygi ne S curit Environnemental du projet la description des m thodes de r duction des impacts n gatifs le plan de gestion et de remise en tat des sites d emprunt et carri res le plan d approvisionnent et de gestion de l eau et de l assainissement la liste des accords pris avec les propri taires et les utilisateurs actuels des sites priv s b Installations de chantier et pr paration Normes de localisation L Entrepreneur doit construire ses installations temporaires du chantier de fa on d ranger le moins possible l environnement de pr f rence dans des endroits d j d bois s ou perturb s lorsque de tels sites existent ou sur des sites qui seront r utilis s lors d une phase ult rieure pour d autres fins L Entrepreneur doit strictement interdire d tablir une base vie l int rieur d une aire prot g e Affichage du r glement int rieur et sensibilisation du personnel L Entrepreneur doit afficher un r glement int rieur de fa on visible dans les diverses installations de la base vie prescrivant sp cifiquement le respect des us et coutumes locales la protection contre les IST VIH SIDA les r gles d hygi ne et les mesures de s curit L Entrepreneur doit sensibiliser son personnel notamment sur le respect des us et cou
218. iqu e une agriculture maraich re dont les importantes sp culations sont la tomate la laitue les aubergines violettes et africaines le poireau les haricots verts l oseille le folong le gombo le piment le chou etc destin s essentiellement la subsistance et l autoconsommation Les principales cultures vivri res sont le manioc et la banane plantain Les autres plantes vivri res telles l igname le taro le ma s l arachide la patate douce la canne sucre l ananas le concombre la banane douce sont cultiv es en association dans les plantations de manioc et de bananes plantains ainsi qu avec divers arbres fruitiers dont le mandarinier l oranger le manguier l avocatier le papayer etc En zone urbaine surtout en bordure de routes se pratique la culture de plantes de d coration qui par ailleurs embellissent ces sites L levage L levage effectu Libreville est de type domestique concerne les poules coqs moutons cabris boucs ch vres et quelques canards qui ne sont pas de consommation courante mais qui sont utilis s surtout des fins rituelles On remarque tout de m me quelques fermes qui proposent des poulets de chair et des ufs L artisanat Quelques activit s artisanales sont men es Libreville s agit de menuiserie b nisterie qui propose des meubles tels des lits armoires salons tables manger chaises et fauteuils et autres produits mobiliers On note aussi la pr s
219. ire une Base Epid miologique un SMI un Centre M dical l USTM 8 Dispensaires dont 2 fonctionnels 9 infirmeries Franceville compte galement 8 structures priv es qui offrent des soins aux populations Les principales pathologies les plus courantes en 2013 sont le paludisme les infections respiratoires aig es les arthropathies la diarrh e les gastro ent rites aigue et l hypertension art rielle Education Franceville dispose de cinq pr scolaires 42 coles primaire six coll ges 10 lyc es cinq coles sup rieures et une universit Le taux de scolarisation est de 57 pour les filles et 43 pour les gar ons Habitat dominance moderne construit en mat riaux d finitifs tandis que l habitat traditionnel est b ti en mat riaux locaux banco bois t les etc Seulement en l absence d un Sch ma Directeur d Am nagement Urbain actualis et mis en uvre une grande partie de Franceville s est d velopp e sur des parcelles non am nag es et non quip es difficilement accessibles souvent en forte pente ou en zone insalubre et inondable Ces installations spontan es irr guli res et anarchiques avec le d veloppement d habitats inorganis s et pr caires se sont accompagn es d une d gradation de la qualit de l environnement cr ant un cadre de vie inad quat au d veloppement des voies de communication routes et ouvrages de franchissement d infrastructures r seaux de d
220. iron 05518030 fayelamin yahoo fr 6 Souleymane Diawara Environnementaliste Urbain 05518031 Diawara7 gmail com 7 Richard DAMAS SP CNTIPPEE 05 190404 richardamasaleka gmail com 128 Comptes rendus des rencontres institutionnelles et consultation LAMBARENE 26 03 1015 Institutions Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations acteurs Direction Appr ciation sur le La non implication des Impliquer d avantage les provinciale projet municipalit s et appropriation municipalit s et les l am nagement Le est d une du projet par celles ci populations la base du territoire de grande port e Le manque de synergie entre Sensibiliser les services Lambar n sociale et suscite l administration publique et les d centralis s et d concentr s beaucoup municipalit s autour du projet sur l importance du projet d attentes pour les L accaparement du projet par Mener une campagne populations Un les hommes politiques et non d information sensibilisation projet phare qui par des techniciens des populations la base peut booster le Contr ler et assurer le suivi d veloppement des ressources financi res dans les quartiers allou es aux municipalit s d favoris es dans le cadre du projet Capacit des L accaparement du projet par Affecter comme les communes dans la les hommes politiques et non secr taires g n raux des gestion de pro
221. ision and monitoring in conjunction with the Environment General Division DGE The environment and social measures are estimated at 680 000 000 FCFA to be included into the project costs RESUME EXECUTIF Le Gouvernement de la R publique Gabonaise a sollicit un Fonds de Pr paration du Projet PPF aupr s de la Banque Internationale pour la Reconstruction et le D veloppement BIRD pour contribuer au financement du co t de pr paration du Projet de D veloppement des Infrastructures Locales dans sa deuxi me phase PDIL II dans neuf 9 villes de la R publique Gabonaise Le Projet de D veloppement des Infrastructures Locales phase 2 a pour objectifs principaux i d am liorer l acc s durable aux infrastructures pour les populations de neuf 9 villes de projet dont les villes de Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga Koula Moutou notamment pour les habitants des quartiers d favoris s et ou pr caires ii d am liorer l environnement commercial et financier des PME par le renforcement de leurs capacit s techniques et manag riales et iii Renforcer et reformer les municipalit s afin d am liorer leur capacit op rationnelle leur gouvernance afin de mieux les pr parer 4 assumer la d centralisation La r alisation des ouvrages et infrastructures du PDIL II voirie urbaine extension r habilitation des r seaux d lectricit adduction d eau drainages
222. istoriques les chutes de Loualoua etc est plut t int gr charge du Patrimoine culturel en cas de d couverte de vestiges 138 dans les parcs situ s en zone rurale Le 2 en tant que projet intervenant uniquement en milieu urbain ne pr sente pas de pr occupations particuli res vis vis du patrimoine culturel local Direction Appr ciation sur le Le plan foncier de la zone Dresser au pr alable le plan provinciale du projet d intervention du PDIL2 foncier des zones d intervention Cadastre Un tr s bon projet du projet que nous attendons avec bonheur Textes sur le foncier Selon les textes qui encadrent le Sensibiliser les populations sur foncier les terres appartiennent la gestion fonci re l Etat Ignorance des textes sur le foncier par les populations Proc dure en mati re L expropriation est encadr e par Favoriser la n gociation vis d expropriation des textes vis des d tenteurs de droits Le conflit entre les droits de ancestraux propri t terrienne ancestraux et Indemniser et mettre en place ceux juridiques et officiels des mesures La non consistance des d accompagnement pour les indemnisations personnes exproprier Capacit s et r le dans Nous avons un service Former le personnel du la gestion contentieux qui s occupe des Cadastre en d placement et en environnementale et conflits fonciers avant qu il r installation de populations sociale de projet n ar
223. jet Nous rendons hommage au travail r alis par le PDIL lors de la 1 re phase car l acc s au niveau des quartiers sous int gr s a t sensiblement am lior avec des voies en pav plus adapt es par rapport aux pentes et fortes pluviom trie Synth se des pr occupations et craintes P rennisation des infrastructures Insuffisance des moyens de gestion et de suivi des projets Prise en charge du volet assainissement dans toute sa dimension Appropriation du Projet par les populations Prise en charge des r seaux divers volet assainissement dans toute sa dimension Ph nom nes d rosion boulement et glissement de terrain Des risques de conflits fonciers _ Epuisement des r serves fonci res et atteinte des limites d extension de la Commune 155 Prise en charge des personnes vuln rables Absence de politique environnementale et sociale ___ Faiblesse des capacit s Synth se des suggestions et recommandations Veiller la p rennisation des ouvrages Poursuivre le choix de mat riaux utilis s pour les passerelles cailloux battus et b tonnage qui sont plus adapt s relief Associer les populations dans le suivi et l entretien des ouvrages et infrastructures r alis s Associer les populations dans le suivi et l entretien des ouvrages et infrastructures r alis s Int grer le volet assainissement pour mieux pr server les voies Rentabiliser les infrastructures
224. jet par des techniciens ing nieurs des Travaux capacit s de gestion de projet publics dans les Mairies dans les provinces sont tr s peu autour des Maires pour g rer existantes le projet le temps de sa dur e avec indemnisation Capacit s et r le dans de politique Former et renforcer les la gestion environnementale capacit s des diff rents environnementale et proprement parler la acteurs publics et non publics sociale de la Direction Direction ni d expert en en gestion environnementale environnement encore moins et sociale et en suivi de formation en la mati re valuation de projet L absence dans le projet de Renforcer le personnel du renforcement de capacit s des service acteurs en gestion environnementale et sociale Personnel insuffisant Implication dans le Le manque de formation des Former et ou renforcer les suivi de la mise en techniciens municipaux et des capacit s du personnel charg uvre ing nieurs en suivi valuation du suivi valuation du projet de projet dans les Mairies Installer dans les diff rentes Mairies une cellule composite techniciens municipaux et ing nieurs pour assurer le suivi de la mise en uvre du projet Mairie de Appr ciation sur le Les lenteurs dans l volution D marrer le plus rapidement Lambar n membres du conseil communal service technique municipal association lus locaux Chefs de quartiers projet Nous sommes heu
225. l lectricit produite par le Grand Poubara Au plan touristique la commune de Franceville regorge de potentialit s consid rables En termes d infrastructures d accueil touristiques elle compte cing 05 grands h tels L coni Palace H liconia de Mbaya Lyz Aurore Evoula Palace Poubara et une quinzaine de motels totalisant ensemble plus de cinq cent quarante sept 547 chambres et pr s de deux cents 200 bars restaurants La culture altogov enne en manifestations rituelles et les c r monies d initiation donnent lieu de tr s belles danses publiques M me si l artisanat sp cialis est beaucoup moins r pandu qu autrefois dans la r gion la tradition artisanale est tout de m me encore vivante et les productions en sont diverses tissage du nattes paniers etc vannerie sculpture etc 27 La fonction industrielle est marqu e par la pr sence d industries alimentaires et diverses industries de transformation industrie de transformation Rougier Gabon et existence de plusieurs unit s de sciage et de menuiserie industrie alimentaires SBHO soci t de brasserie du Haut Ogoou usine de traitement du caf cimenterie Cimgabon boulangerie etc Sant en termes de Structures Publiques la commune de Franceville dispose d un Centre Hospitalier R gional un h pital Chinois un centre de Sant Urbain un Centre International de Recherches M dicales un Centre de Traitement Ambulato
226. l augmentation de la consommation dans les centres urbains entrainant ainsi la saturation des infrastructures et du r seau la faiblesse dans l entretien des infrastructures transformateurs r seaux etc la faiblesse de la capacit manag riale de la soci t en charge de la distribution de l nergie SEEG faire face la tr s forte demande en provenance des quartiers habitat dispers la r currence des accidents lectrocution entrainant la mort les branchements frauduleux et anarchiques etc 3 2 9 D gradation des infrastructures scolaires sanitaires et marchandes Les infrastructures scolaires sanitaires sont relativement d grad es et ne disposent pas souvent de point d eau potable de latrines suffisantes et ad quates tenant compte du sexe et d lectricit L entretien et la maintenance font g n ralement d faut Certaines ne sont pas cl tur es et des sites de proximit imm diate font souvent l objet de d potoirs sauvages d ordures Les activit s de commerces cantines kiosques bars etc et les entreprises artisanales ateliers garages etc transforment souvent les alentours en march ciel ouvert o insalubrit et ins curit perturbent la qui tude et le bon fonctionnement de ces infrastructures Pour les march s les principales difficult s r sident dans l exigu t et l insalubrit au del des questions d entretien et de s curit heures d ouverture et de fermeture
227. lace de groupes intersectoriels r f renc s aux diff rentes composantes du Projet Dans le domaine de la consultation environnementale il sera n cessaire de bien mettre en place au niveau de chaque collectivit locale un comit dont le r le sera d appuyer l institution locale dans le fonctionnement local et l appropriation sociale du projet de mobiliser aupr s des partenaires nationaux et locaux dans la mise en uvre des activit s du projet de servir de cadre de r solution l amiable d ventuels conflits fonciers ou autres Une ONG un Consultant sp cialis en valuation environnementale et sociale pourront aider faciliter la mise en place et les op rations de ces groupes sectoriels ou socioprofessionnels mais surtout veiller la qualit et l quit dans la repr sentation groupes marginalis s genre etc 5 7 4 Etapes de la consultation Le Plan de consultation peut se d rouler travers trois cheminements 1 La consultation locale ou l organisation de journ es publiques ii L organisation de Forums communautaires iii Les rencontres sectorielles de groupes sociaux et ou d int r ts 5 7 5 Processus de consultation Le processus de consultation publique devra tre structur autour des axes suivants i pr paration de dossiers de consultations publiques comprenant les rapports d tude rapports d valuation environnementale et sociale descriptif des activit s d j i
228. lan de l exploitation foresti re on note la pr sence d une soci t de transformation de bois TTIB L exploitation mini re dans la ville d Oyem concerne l extraction de plusieurs carri res de gravier dans les fonds et les berges des cours d eau riches en sable notamment dans les quartiers ENDOME NFOUL EWORMEKOC L extraction de lat rite concerne les quartiers d ANDOME ODZIP EWOTE MEKOCK Ces mat riaux sont principalement utilis s dans la construction Au plan du Tourisme le secteur reste encore relativement peu d velopp dans la ville d Oyem eu gard l importance de ses potentialit s et sites touristiques La capacit d accueil est estim e en 2009 plus de 500 chambres En mati re d Artisanat La commune d Oyem dispose de salon de coiffure des ateliers de couture des garages des cordonniers des menuisiers des microentreprises artisanales dans le domaine des BTP Contraintes environnementales et sociales de la ville d Oyem Pollution nuisance et insalubrit difficult s gestion des d chets Absence de plan d urbanisme Insuffisance de l offre de terrains viabilis s Occupation irr guli re de l espace Absence de fosses septiques et de puisards Comportements non cologiques des populations en mati re de salubrit Saturation de la d charge municipale des ordures Insuffisance du r seau routier du r seau lectrique du r seau de drainage des eaux pluviales et du r
229. le sol est constitu Pr voir les et les notices l Environnement le projet qui de sable et quasi permanence environnementales pour les de l Ogoou contribue au bien des inondations projets Maritime tre social des Crainte des difficult s Impliquer les parties populations Le projet va am liorer le cadre de vie urbain C est un projet qui aide g rer les questions environnementales d approvisionnement en mat riaux de construction en dehors de la commune prenantes et les services d concentr s Eviter la dissonance entre Libreville et les capitales des autres provinces Probl mes environnementaux et sociaux de la commune Probl mes d inondations li s au fait que la nappe phr atique est presque en surface Int grer le drainage pluvial dans la construction des voiries Capacit s de la Le constat des capacit s Renforcer les capacit s des 147 commune dans la limit es de la commune est communes en gestion de gestion de projet tabli projets Capacit s de la le Gouverneur a constitu un Renforcer les capacit s des commune dans la pool de travail sur les communes en gestion gestion infrastructures qui int gre environnementale et sociale environnementale et sociale des projets urbains l ensemble des services administratifs d concentr s pr sents Port Gentil R le de la Direction Provinciale de l Environnement par rapport au
230. les conna tre et pouvoir les mettre en uvre en cas d accident L Entrepreneur doit mettre en place sur le chantier i du mat riel de lutte contre les d versements absorbants comme la tourbe pelles pompes machinerie contenants gants isolants etc 1 du mat riel de communication radio metteur t l phone etc iii mat riel de s curit signalisation etc Protection des milieux humides Il est interdit l Entrepreneur d effectuer des am nagements temporaires aires d entreposage et de stationnement chemins de contournement ou de travail etc dans des milieux humides Protection des sites sacr s et des sites arch ologiques L Entrepreneur doit prendre toutes les dispositions n cessaires pour respecter les sites cultuels cimeti res sites sacr s etc dans le voisinage des travaux et ne pas leur porter atteintes Pour cela il devra s assurer au pr alable de leur typologie et de leur implantation avant le d marrage des travaux Si au cours des travaux des vestiges d int r t cultuel historique ou arch ologique sont d couverts l Entrepreneur doit suivre la proc dure suivante i arr ter les travaux dans la zone concern e ii aviser imm diatement le Ma tre d uvre qui doit prendre des dispositions afin de prot ger le site pour viter toute destruction un p rim tre de protection doit tre identifi et mat rialis sur le site et aucune activit ne devra s y d rouler iii
231. les quartiers sont constitu s de zones loties organis es en unit s de voisinage pour former la ville La ville de Lambar n est construite sans une planification urbanistique et fonci re du fait entre autres que le Sch ma Pr liminaire d Urbanisme labor en 1984 n ai pas t appliqu et que le Plan d Occupation du Sol soit rest en phase d tude Ecoles Au niveau de la petite enfance la Commune compte quatre 04 tablissements d di s uniquement la maternelle les affaires sociales les deux haltes garderies et un priv la c Schweitzer Au niveau du secondaire la ville comprend deux tablissements publics un lyc e et un CES qui accueillent 3 576 l ves soit 54 88 du total des effectifs du secondaire Les 2 940 restants sont partag s entre le priv religieux 45 12 le priv d ob dience catholique 13 86 et priv la c 23 47 qui d tiennent cinq 5 des neufs 9 structures de l enseignement secondaire Centres de sant La commune de Lambar n dispose de deux 2 h pitaux r gionaux dont Albert SCHWEITZER et Georges RAWIRI issu de la coop ration Gabon Autriche La ville compte aussi un 22 Centre de Sant Urbain un Centre de Sant d Arrondissement 2 Centres de Sant de quartier Trois infirmeries de Lyc e Charles M fane Adiwa et Fanguinoveny 2 infirmeries d entreprises SIAT et Sunly et 2 structures priv es Ces structures sont accompagn es dans les services de soin p
232. licien MOUNDANGA P o Culture arts et Education civique 06 36 18 85 4 07 04 2015 Gabin MBA OBAME Directeur SEEG 07 47 50 71 gmba seeg gabon com LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A PORT GENTIL N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 09 04 2015 Philibert Pr fet de Bendj 07 35 24 67 2 09 04 2015 Junior BOULIKOU SIEVANOU Sous Pr fet de Mpaga 05 36 89 00 sievanou yahoo fr 3 09 04 2015 Eug nie Marie Caroline KAMARA Secr taire G n ral de la Pr fecture 05 39 97 39 eugenienzahou yahoo fr de Bendj 4 09 04 2015 Pierre Landry NTOUTOUME Directeur Provincial de 07 41 62 04 ntoutoumlewis yahoo fr Am nagement du Territoire de l Ogoou Maritime 5 09 04 2015 Michelle ELLA MINTSA Direction de l Am nagement du 06 69 07 38 praxoella yahoo fr MIVINGA Territoire 6 09 04 2015 C me NDJOKOUNDA Direction Provinciale de 04 33 46 01 ndjocom gmail com l Environnement de l Ogoou Maritime 7 09 04 2015 Joseph MWEGAYA Directeur Provincial des Travaux 07 40 30 45 josephwegaya yahoo fr Publics de l Ogoou Maritime 8 09 04 2015 Marie Jos ROGOMBE Coordination des Affaires Sociales 07 36 19 37 de l Ogoou Maritime 9 09 04 2015 Willy EDOU MEYE Chef de Service Affaires Sociales 04 44 07 34 172 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A PORT GENTIL
233. lihoods located on the way workshops garages shops etc disturbance of traffic noise dust risk of accident and the generation of waste occupation of private land but also the risk of vandalism and frustration when local workforce is not used To highlight the potential environmental and social problems arising from the implementation of the Project the ESMF has also identified and analyzed the potential positive and negative impacts of categories of eligible subprojects PDIL as presented in the table below Categories of sub projects Positive Impacts Level N gative Impacts Level e Urban Roads Major Major e Treatment of erosion areas Major Moderate e School Major Minor e Health Centers Major Minor e Water pumping Major Moderate e Markets and utilities Major Moderate e Rain water draining Major Moderate e Electricity networks Major Moderate A fundamental part of the ESMF is the sub project selection process screening which describes the environmental assessment procedures that can be applied from the preparation of projects to the monitoring of their implementation Special attention will be given to measures taking into account the requirements of the Safeguard Policies The ESMF will allow institutions UCP the DGE and the local authorities etc responsible for the project management to evaluate so wide and foresight environmental and social impacts of future activities and to develo
234. lior Les voies en pav durent plus longtemps que les routes en terre ou en lat rite plus adapt es par rapport aux pentes et fortes forte pluviom trie Le projet suscite beaucoup d espoir chez les populations Le comportement des populations ne favorise pas la p rennisation des infrastructures Appropriation du Projet par les populations Fortes attentes des populations en termes d ouverture de voies et de construction de voiries en pav Prise en charge du volet assainissement dans toute sa dimension par le PDIL danger permanent li a l rosion risques d inondations et d accidents mortels Int gration des r seaux divers eau lectricit dans la construction de voiries Poursuivre le choix de mat riaux utilis s pour les passerelles cailloux battus et b tonnage qui sont plus adapt s relief Associer les populations dans le suivi et l entretien des ouvrages et infrastructures r alis s Permettre d avoir suffisamment de chance afin que la projet voit le jour et que toutes les activit s entam es arrivent leur aboutissement Probl mes environnementaux et sociaux de la commune Ph nom nes d rosion boulement et glissement de terrain D chets jet s dans la nature et les d chets plastiques obstruent les canaux de drainage des eaux occasionnant des inondations Bassins de r tention des eaux pluviales bouch s cause des remblais
235. litique de r installation de populations d plac es en R publique Gabonaise ou dans des pays de l Afrique subsaharienne Il devra avoir une tr s bonne connaissance des politiques de Sauvegarde sociale de la Banque Mondiale La participation l laboration de CGES et de CPR dans un projet Urbain serait un atout VI Calendrier de travail pr visionnel La dur e totale de la pr sente prestation est estim e 8 semaines VII Rapports fournir Les rapports et tous les documents que le Consultant aura produire sous support papier seront galement pr sent s sur support informatique et d pos s sous forme de Un Rapport en version provisoire du CGES sera fourni au cours de la 5 semaine apr s le d marrage des prestations en cinq 5 exemplaires et en version lectronique Ce rapport fera l objet d une validation 10 jours aussi bien par la partie gabonaise que par la Banque 4 Un Rapport en version Finale du CGES devra tre disponible au cours de la 8 semaine version papier en cinq 5 exemplaires et en version lectronique apr s prise en compte effective des observations formul es par le client et l quipe de la Banque Mondiale Propri t s des documents et produits Tous les rapports tudes ou autres produits sous forme de graphiques logiciels ou autres que le contractuel pr pare pour le compte du client au titre du pr sent contrat deviennent et demeurent la propri t du client Le contr
236. maires les coll ges Notre Dame de la SALETTE et MOUTOU MAMBOU le lyc e d tat Jean Stanislas MIGOLET et le Lyc e Scientifique et Technologique Paul KOUYA sur la route de l a roport ouvert en 2010 Sant Dans le secteur de la sant la ville h berge l H pital R gional Paul MOUKAMBI le Centre Urbain de Sant et les d p ts pharmaceutiques Forestier BIKI BAKELE et S O S BIKI Eau potable et lectricit Bien que la ville de Koulamoutou b n ficie d adduction d eau et d lectricit dans les zones urbanis es des probl mes de coupures d lectricit li es la source d approvisionnement qui est situ e 150 km et de pression d eau sont fr quents Les quartiers sous int gr s proc dent des branchements lectriques anarchiques et dangereux Voirie En ce qui concerne la voirie la ville de Koulamoutou compte de nombreuses petites art res qui non rev tues et les rares routes bitum es sont en mauvais tat car ne disposant pas de r seaux de drainage des eaux pluviales Contraintes environnementales et sociales de la ville de Koulamoutou e Occupations anarchiques de terres Risques potentiels d opposition des populations au nom des droits ancestraux Occupation anarchiques de terres Inondation et ravinement Besoins d adduction d eau et d lectricit et d assainissement pluvial D ficit de routes secondaires Enclavement des quartiers Voies secondaires sans pav es sans drainage des eaux de plui
237. mer r aliser et g rer des chantiers des infrastructures et des services notamment dans le domaine du B timent et des Travaux Publics BTP En r alit le PDIL 2 va contribuer renforcer et p renniser les acquis obtenus dans ces domaines lors de la mise en uvre de la premi re phase du PDIL Impacts du projet sur le genre et sur l am lioration de la condition des femmes Le pr sent projet pourrait contribuer renforcer la pr sence des Femmes filles dans les corps de m tiers notamment avec l introduction d un crit re genre ou d un quota genre pour garantir une participation plus effective et plus efficiente des femmes dans les activit s et le suivi 68 Tableau 2 Synth se des impacts positifs Impacts positifs Infrastructures et services urbains dans les quartiers d favoris s des villes cibles Augmentation des revenus des populations et cr ation d emplois court terme R duction du ch mage des jeunes et d veloppement de l auto emploi Utilisation de la main d uvre locale dans les travaux Am lioration de la s curit dans les coles et de la qualit des enseignements Am lioration des conditions de travail des enseignants et des l ves Am lioration des conditions de vie des populations et du cadre de vie urbain R duction de la pauvret au sein des populations urbaines Am lioration de l acc s l eau et l lectricit Am lioration de la sant des populations
238. mes et les femmes ont un acc s quitable aux postes de responsabilit dans la gestion des projets droits limit s des femmes aux activit s productives source de revenu Renforcer les droits des femmes aux activit s productives Services techniques d concentr s Appr ciation sur le projet Bon projet qui contribue au d veloppement urbain et am liore le cadre de vie Le projet est bien appr ci mais il ne s est pas poursuivi Choisir des entreprises comp tentes pour bien faire les travaux du PDIL 2 Construire des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans les quartiers sous int gr s L expropriation pour cause d utilit publique Refus d tre relog es dans les zones p riph rique et non viabilis Favoriser le relogement de proximit et sur des sites viabilis s Le m canisme de r solution des conflits C est autour du Chef de quartier autour du Maire et autour du Cadastre Les conflits arrivent tr s rarement devant le juge En cas de conflit favoriser la solution l amiable autour du chef de quartier ou du Maire Exp rience v cues de Tentative de r cup ration du S curiser le site lib r apr s r installation m me site apr s les travaux les travaux involontaire de Le d placement d un individu populations un particulier la construction d une cole dans la commune Les personnes L identification et la pri
239. mpacts environnementaux et sociaux limit es des valuations environnementales simplifi es ont t r alis es avec la supervision de l Unit Suivi Evaluation Il convient de souligner l appui particulier des missions de supervision de la Banque Mondiale dans l appropriation des m thodologies et des tudes r alis es dans ce cadre notamment dans la formulation et le suivi des recommandations pour att nuer les effets et les impacts environnementaux et sociaux Il en ressort que la syst matisation de ces tudes pour l ensemble des investissements r alis s dans le cadre du PDIL 1 t un apprentissage pour l ensemble des parties prenantes et permis un r el renforcement de capacit s ce sujet Prise en charge des aspects environnementaux Deux experts ont t recrut s le premier pour identifier au niveau des microprojets des impacts potentiels et proposer des mesures d att nuation un second pour s assurer de la mise en uvre de ces mesures et r aliser le suivi du CGES Un processus de n gociation a t men par la Cellule Technique Municipale CTM et la Ma trise d uvre Sociale MOS sans difficult s majeures Les contraintes li es un projet r alisant des am nagements en milieu urbain n avaient pas t prises en consid ration dans les profils retenus dans la composition initiale de la CN TIPPEE Ainsi l absence d un sp cialiste en Environnement tait noter Deux fortes recommandati
240. n gatifs potentiels Mesures d att nuation Construction e g n ration d importantes quantit s de Munir les travailleurs d quipement de protection d blais au cours de la r alisation des notamment les masques poussi re tranch es Proc der leur mise en d charge selon les techniques e envol et soul vement de particules fines appropri es d enfouissement sanitaire de poussi res sables e G nes et nuisances du fait des activit s de chantiers bruits et vibration e Perturbation obstruction des voies de circulation pendant la r alisation des tranch es l apport de tuyaux et l vacuation de sol excav e risques accidents pour les travailleurs et les populations lors des travaux e utilisation de la main d uvre locale Exploitation e Risque d actes de vandalisme Surveillance r guli re des fuites et autres actes de Fuite d eau potable absence insuffisance surveillance mauvaise r alisation des travaux Risques d infiltration d l ments pollution en cas de baisse de pression au niveau des joints d fectueux ou mal faits effet de succion vandalismes sur le r seau Indemniser compenser les personnes expropri es pour l implantation des ouvrages selon les dispositions et proc dures pr vues dans le CPR Mener une sensibilisation et information des membres des comit s de gestion des infrastructures sur les pr cautions prendre en mati re de protection contre les risques de contamina
241. n environnementale et sociale des chantiers de BTM l laboration et la mise en uvre des PGES Entreprises etc Les Bureaux d tudes dans le secteur des BTP pourront aussi tre convi s ces s ances de formation notamment dans le suivi de la mise en uvre des mesures environnementales et sociales 9 3 2 Etudes mesures d accompagnement et suivi valuation Les mesures de renforcement technique concernent 1 l laboration d un manuel d entretien des ouvrages caniveaux pluviaux coles et centres de sant etc et de bonnes pratiques environnementales ii une provision pour la r alisation et la mise en uvre d ventuels Plans de Gestion Environnementale et Sociale si n cessaire iii l laboration d une situation de r f rence et la mise en place d une base des donn es urbaines donn es environnementales et sociales pour les villes cibl es par le projet iv la dotation de petits mat riels d assainissement aux comit s locaux mairies d arrondissement pour la gestion de la salubrit de la voirie et l entretien des caniveaux de drainage pluvial v le suivi et l valuation des activit s du PDIL e Provision pour la r alisation et la mise en uvre des EIES NIES Des EIES pourraient tre requises pour les activit s du PDIL II relatives aux micro projets class s en cat gorie pour s assurer qu elles sont durables au point de vue environnemental et social Si la classification envir
242. n terre sont r alis s dans le cadre de l am nagement du Bassin Sainte Marie Parall lement ces ouvrages lin aires il en existe d autres plus ponctuels comme les travers es de chauss es Les inondations sont fr quentes Libreville du fait notamment de la pluviom trie lev e 3 000 mm an de la localisation des tablissements humains dans des basfonds et de l existence de plusieurs cours d eau Gestion des ordures La collecte des ordures m nag res est assur e par la Soci t de Valorisation des Ordures m nag res du Gabon SOVOG et ADEVA sous concession de la mairie de Libreville qui a mis en place un syst me de ramassage des ordures dans les diff rents quartiers et axes routiers Adduction d eau potable La ville de Libreville est maill e d un r seau d adduction d eau potable qui permet son acc s ais dans les habitations et lieux de travail Ce r seau est entretenu et maintenu par la soci t d nergie et d eau du Gabon SEEG sous concession du gouvernement Actuellement des travaux d am lioration de ce r seau sont r alis s par la pose de conduites de transport plus grand diam tre R seau lectrique et clairage public Un r seau lectrique g r par la soci t d nergie et d eau du Gabon SEEG sous concession du gouvernement permet l acc s facile l lectricit de tout usager en zone urbanis e L clairage public est r alis et assur le long des routes bitum es
243. nal communal et local tablie pour la gestion des aspects environnementaux et sociaux et en particulier pour la conduite des d tudes d impact gestion du foncier et de la r installation Les capacit s environnementales et sociales du Minist re en charge de l Environnement et de la CN TIPPEE seront analys es notamment dans ses aspects de prises en compte des aspects environnementaux et sociaux Le Consultant valuera aussi les capacit s des cadres techniques d intervention des acteurs chaque niveau institutionnel pour exercer ses fonctions de gestion suivi et valuation environnementale et sociale et identifiera les besoins de renforcement des capacit s institutionnelles dans la gestion environnementale du projet identification des formations pertinentes et si possible pr paration des modules de formation pr paration des TdR pour les tudes d impacts cahiers des charges l attention des contractants Le Consultant recommandera au besoin des mesures appropri es pour renforcer le cadre institutionnel de sauvegarde environnementale et sociale Aussi le Consultant identifiera des arrangements institutionnels appropri s instaurer entre les acteurs concern s par le projet pour mettre en application le CGES iii Plan environnemental de suivi valuation 124 Le Consultant d veloppera un programme de suivi environnemental et social qui comportera une description pr cise assortie de d tails techniques des mesure
244. ne La Mairie dispose de domaines pour faire des r servations fonci res Ainsi 2 d lib rations ont fait l objet d adoption par le Conseil municipal d lib ration N 15 15 POM DB CPOG CM SG autorisant le Maire faire une r servation fonci re sur le site dit IGUIRI et la d lib ration N 16 15 POM DB CPOG CM SG autorisant le Maire faire une r servation fonci re sur les sites dits MBEGA et OZOURI Les emprises des axes propos s au projet sont lib r es de toutes occupations gr ce au projet AFD en cours et les populations ont t indemnis es Indemniser les populations en cas d expropriation Proc der par la n gociation avec le collectif des personnes impact es pour statuer sur les indemnisations avant la mise en uvre du projet La commune dispose d une Direction technique municipale DTM dot es de moyens Renforcer les capacit s humaines techniques mat rielles et financi res des Capacit s de la lt financiers et humains services techniques commune dans la ane ei me mat riels qui g re en r gie les municipaux gestion de projet questions d entretien et de maintenance des infrastructures et quipements urbains Ilexiste c t de la DTM une Renforcer les capacit s Capacit s de la Cellule technique municipale techniques de la commune en commune dans la CTM charg du suivi des gestion environnementale et gestion projets urbains sociale
245. ne et des objectifs partag s des actions entreprises par le projet dans une logique tridimensionnelle avant le projet phase d identification et de pr paration en cours de projet phase d ex cution apr s le projet phase de gestion d exploitation et d valuation r trospective Le processus de consultation renvoie la n cessit d associer pleinement les populations dans l identification des besoins le suivi des activit s et leur valuation dans une perspective de contr le citoyen de partage des connaissances et des savoirs de participation et d efficacit sociale 5 7 2 M canismes et proc dures de consultation Les m canismes et proc dures pour l information la concertation et la n gociation mettre en place devront reposer sur les points suivants les connaissances sur l environnement des zones d intervention du Projet l acceptabilit sociale du projet Les outils et techniques de consultations devront se conformer une logique de communication ducative et de communication sociale 5 7 3 Strat gie Le d but de la planification strat gique et de la mise disposition de l information environnementale du projet devra tre marqu soit par des journ es de lancement soit par une s rie d annonces publiques Les objectifs vis s sont la mise en r seau des diff rents acteurs par rapport un ensemble de connaissances sur l environnement sur la r gion et sur le projet la mise en p
246. ns formul es par rapport au projet L ESES du PDIL en rapport avec le Charg de Communication de UCP conduiront tout le processus de consultation au niveau des villes L information du public sera la charge de l UCP 86 Etape 6 Int gration des dispositions environnementales et sociales dans les Dossiers d appel d offre et d ex cution des travaux L int gration des dispositions environnementales et sociales dans les Dossiers d appel d offre et d ex cution des travaux devra se faire selon les deux cas de figure suivants e Pour les micro projets ne n cessitant pas un travail environnemental suppl mentaire mais uniquement de simples mesures d att nuation l ESES en rapport avec les municipalit s va puiser dans la liste des mesures environnementales et sociales propos es au chapitre 7 3 ci dessus les mesures jug es appropri es pour les inclure dans les dossiers d appel d offre et d ex cution e Pour les micro projets n cessitant un travail environnemental suppl mentaire une EIES r aliser l ESES du PDIL va aider recruter un Consultant pour r aliser cette EIES et inclure les mesures environnementales et sociales propos es dans les dossiers d appel d offre et d ex cution Etape 7 Mise en uvre Surveillance et Suivi environnemental La mise en uvre des activit s sera assur e par des prestataires priv s La surveillance de la mise en uvre sera effectu e par les Bureaux de Cont
247. nt sanitaires lors des travaux Exploitation personnel enseignants toilettes fonctionnelles e Effectuer les travaux de r fection raccordement aux r seaux d eau et d lectricit etc pendant les vacances pour viter de e Risque d hygi ne publique en l absence d entretien perturber les cours e Mauvaises odeurs des latrines insalubres en l absence e Ne pas toucher aux terrains scolaires de d entretien jeu autant que possible e D veloppement de maladies diarrh iques du a l insalubrit des latrines Tableau 16 Mesures d att nuation des impacts des centres de sant Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation e Proc der au choix judicieux et motiv des sites d implantation e Elaborer et ex cuter avant le d but des travaux un plan d action pour la r installation en cas de d placement involontaire des populations selon les dispositions et proc dures pr vues dans le CPR e une campagne de communication et de sensibilisation avant les travaux e Pollutions et e Veiller au respect des mesures d hygi ne et de s curit des installations nuisances lors des travaux de chantiers d chets bruit etc e Proc der la signalisation des travaux e Perturbation des activit s e Employer la main d uvre locale en priorit Construction de soins lors des travaux e Veiller au respect des r gles de s curit lors des travaux indisponibilit des salles Assurer la collecte et l limination des d chets issus
248. nt demeure donc artisanal et contr l par quelques PME PMI ouvriers et t cherons ma ons lectriciens plombiers menuisiers peintres etc Principales contraintes environnementales et sociales dans la commune de Lambar n e Insuffisance des capacit s de la commune en gestion environnementale et sociale Insuffisance du r seau d adduction d eau et d lectricit Absence d entretien des ouvrages Probl mes de gestion des ordures dans la commune Occupation anarchique des terres par les populations Risques potentiels de conflits fonciers Ph nom ne de l rosion avec risque d boulement dans certains quartiers Inondations de certains quartiers Absence d assainissement d chets liquides Route nationale sous la menac e de l rosion Lambar n Robinet pompe manuel r alis par PDIL I Lambar n 24 es ons Occupations irr guli re sur l emprise de la voie Lambar n Borne fontaine publique en quartier p riph rique Occupation anarchique de la voie 23 3 2 3 La commune de Franceville Situation administrative Le village MASUKU nom tir des chutes MASUKU t rebaptis Franceville en 1880 par l explorateur Pierre SAVORGNAN DE BRAZZA Situ e au Sud Est du Gabon dans le d partement de la Passa dont elle en est le chef lieu et surtout la capitale provinciale du Haut Ogoou la Commune s tend sur une superficie d environ 36 547 Km Elle est limit
249. nt effectu s par une entreprise du choix du Maitre d Ouvrage en rapport avec les services concern s et aux frais du d faillant Apr s le repli de tout le mat riel un proc s verbal constatant la remise en tat du site doit tre dress et joint au proc s verbal de r ception des travaux La non remise en tat des lieux doit entra ner le refus de r ception des travaux Dans ce cas le pourcentage non encore lib r du montant du poste installation de chantier sera retenu pour servir assurer le repli de chantier Protection des zones instables Lors du d mant lement d ouvrages en milieux instables l Entrepreneur doit prendre les pr cautions suivantes pour ne pas accentuer l instabilit du sol 1 viter toute circulation lourde et toute surcharge dans la zone d instabilit ii conserver autant que possible le couvert v g tal ou reconstituer celui ci en utilisant des esp ces locales appropri es en cas de risques d rosion 111 Carri res et sites d emprunt L Entrepreneur est tenu de disposer des autorisations requises pour l ouverture et l exploitation des carri res et sites d emprunt temporaires et permanents en se conformant la l gislation nationale en la mati re L Entrepreneur doit dans la mesure du possible utiliser de pr f rence un site existant Tous les sites doivent tre approuv s par le superviseur des travaux et r pondre aux normes environnementales en vigueur la fin de l
250. nt avec leurs 2 adjoints respectifs Population La population de la commune de Koulamoutou estim e en 2012 22 362 habitants classe celle ci parmi les villes moyennes gabonaises C est une des plus petites capitales provinciales et cela s explique par son isolement dans un territoire l cart des grandes voies de communication et des principales activit s conomiques du pays Au plan de sa composition ethnique la ville compte originairement et majoritairement des groupes ethnolinguistiques Nzebis Pov s Adouma Ak l s et Massangos Relief La ville de Koulamoutou que les habitants ont pour habitude de surnommer KM city est caract ris e par un relief montagneux qui s l ve plus de 200 m et laquelle culmine le Mont Iboundji 1 575 m Climat la ville de Koulamoutou est caract ris e par un climat quatorial tr s pluvieux en saison de pluies et tr s chaud en saison s che Cours d eau la commune est travers e par la rivi re BOUENGUIDI qui s pare la ville en deux rives mais aussi par la rivi re Lolo un affluent du fleuve Ogoou Habitat Sur le plan urbain La ville s agrandit avec le projet de lotissement Koulamoutou 2 qui est en cours de r alisation sur la rive gauche et o des parcelles viabilis es sont vendues aux demandeurs pour viter une trop forte concentration de populations sur la rive droite Activit s conomiques Sur le plan de l agriculture les populations de Koulamoutou
251. nt code des P ches et de l aquaculture qui d finit les conditions d exploitation et les normes en mati re de p che et d aquaculture Cette loi r glemente les conditions d acc s aux p cheries et les normes pour la pr servation des cosyst mes marins e loi n 8 93 du 7 avril 1993 fixant le r gime juridique de la production du transport et de la distribution de l eau potable et de l nergie lectrique au Gabon e loi n 09 93 du 7 avril 1993 portant cr ation du fond sp cial de l eau e la loi sur les Parcs Nationaux 3 2 2 Conventions et Accords Internationaux Le cadre juridique se fonde galement sur les conventions et trait es ratifi es par le Gabon dont les plus pertinentes en relation avec le PDIL II sont notamment e la Convention d Alger sur la Conservation de la Nature et des Ressources Naturelles ratifi e en 1988 dont l objet est d encourager une action entreprendre titre individuel et en commun pour la conservation l utilisation et la mise en valeur des ressources en sol eau flore et faune pour le bien tre pr sent et futur de l humanit du point de vue conomique nutritif scientifique ducatif culturel et esth tique e la Convention de Paris en 1972 portant sur la protection du patrimoine Mondial Culturel et Naturel ratifi e en 1986 Elle vise tablir un syst me efficace de protection collective du patrimoine culturel et naturel d une valeur universelle
252. ntiels du projet de march s et gares routi res Phase Impacts n gatifs potentiels Construction D placement involontaire de populations ou d activit s conomiques G n ration d ordures lors des travaux de construction Pollutions et Nuisances d gradation du cadre de vie Non utilisation de la main d uvre locale Exploitation Absence de raccordement aux r seaux d eau lectricit assainissement Pollutions et nuisances du site et du milieu environnant dues la g n ration de d chets solides et liquides issus des activit s marchandes Risques sanitaires avec la vente de produits et aliments non hygi niques Non fonctionnalit des quipements due un d faut d ex cution des travaux Tableau 8 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques des ouvrages de drainage pluvial Phase Impacts n gatifs potentiels Construction G n ration de d blais au cours de la r alisation des tranch es G nes et nuisances du fait des activit s de chantiers bruits et vibration Risque de perturbation d activit s conomiques le long de l emprise Risque de destruction de cl tures de maisons situ es dans l emprise Perturbation obstruction des voies de circulation pendant la r alisation des tranch es Risques d accidents lors des travaux mauvaise signalisation des fouilles Non utilisation de la main d uvre locale Exploitation D gradation de l environnement polluti
253. ntiers vont occasionner des pr l vements soit dans les cours d eau et lacs avoisinants soit partir de la nappe forages ou par le biais du r seau de distribution Toutefois compte tenu des besoins limit s des chantiers les risques d puisement sont relativement faibles e Abattage d arbres d alignement et pertes de v g tation Les travaux se d roulant exclusivement en zone urbaine il est exclure tout d boisement de zones foresti res N anmoins la lib ration des zones d emprise pour la r alisation des infrastructures pourrait occasionner l abattage des arbres et autre v g tation le long des axes routiers pour alignement mais aussi sur certains sites coles centres de sant march s Toutefois mais ces impacts seront relativement mineurs et pourront tre att nu s par une replantation compensatoire e Perturbation de la libre circulation et des activit s socio conomiques Les travaux s accompagnent d une restriction de la circulation visant entre autres assurer la s curit des populations Tr s souvent des d viations sont cr es cet effet pour minimiser les cons quences sur la circulation Toutefois la restriction sera limit e juste autour des zones de travaux En plus les travaux peuvent occasionner une perte de revenu limit e notamment cause des d sagr ments suivants perturbation de la circulation pour les commerces perturbation des activit s commerciales marchandes et artisanale
254. nvironnement d cret sur les EIES etc 10 Pour assurer une protection et une gestion efficace de l environnement le Code de l Environnement dispose Tout projet de d veloppement ou activit susceptible de porter atteinte l environnement de m me que les politiques les plans les programmes les tudes r gionales et sectorielles devront faire l objet d une valuation environnementale EE Au niveau institutionnel des efforts ont t entrepris avec les programmes ant rieurs en termes d int gration des aspects environnementaux et sociaux dans la pr paration la mise en uvre et le suivi des projets mais aussi de renforcement des capacit s et de coordination Ce contexte restera donc tre renforc dans le cadre du PDIL II Les politiques de sauvegarde environnementale et sociale de 1 Banque Mondiale qui peuvent s appliquer aux activit s du PDIL sont la PO 4 01 Evaluation Environnementale la PO 4 11 Ressources Culturelles Physiques et la PO 4 12 R installation Involontaire des populations Les autres politiques op rationnelles 4 04 Habitats naturels 4 09 gestion des pesticides 4 11 Ressources Culturelles Physiques 4 10 Populations autochtones 4 36 For ts 4 37 S curit des barrages 7 50 Projets relatifs aux voies d eau internationales 7 60 Projets dans des zones en litige ne sont pas d clench es par les activit s du projet Des mesures sp cifiqu
255. nvironnementaux et sociaux ventuels sont consid r s comme peu importants et ne n cessitent pas de mesures d att nuation Par exemple certaines activit s de r habilitation d infrastructures pourraient tre class es C si les r sultats de s lection environnementale et sociale indiquent que ces activit s auront peu d impact sur le plan environnemental et social et que par cons quent elles ne n cessitent pas un autre travail environnemental Nota L UCP ne pourra lancer les dossiers techniques d ex cution du Projet que lorsque toutes les diligences environnementales et sociales sont effectivement prises en compte et int gr es dans les dossiers Etape 3 Ex cution du travail environnemental a Lorsqu une EIES n est pas n cessaire Dans ces cas de figure du PDIL en rapport avec les municipalit s consultent les mesures d att nuation du pr sent CGES pour s lectionner celles qui sont appropri es b Lorsqu une EIES est n cessaire L ESES du PDIL avec l appui de la DGE effectueront les activit s suivantes pr paration des termes de r f rence pour l EIES recrutement des consultants agr s pour effectuer l EIES conduite des consultations publiques conform ment aux termes de r f rence revues et approbation des EIES Les TDR d une EIES sont d crits respectivement en Annexe 4 du pr sent CGES Etape 4 Examen et approbation des proc dures de s lection des TDR et des
256. oits de propri t terrienne ancestraux Choix de sites d j occup s par les populations locales source potentielle de conflit foncier Non consistance des indemnisations accord es aux personnes impact es par des projets Prise en charge des personnes vuln rables en cas d impact du projet sur elles D ficit de capacit s d expertise et de logistiques de la commune en gestion environnementale et sociale en gestion urbaine et en maintenance Implication des acteurs dans le suivi de la mise en ceuvre du projet Manque de mus e et de maison de la culture Insuffisance des structures d accueil et faiblesse de la qualit de l offre de soins de sant Restriction de libert des femmes dans l acc s aux activit s g n ratrices de revenus et au contr le des ressources Manque de plateau sportif pour et de loisirs pour les jeunes Synth se des suggestions et recommandations Veiller une bonne planification des travaux du PDIL2 Favoriser le pragmatisme viter les lourdeurs administratives dans la mise en place du projet Favoriser l installation des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans les quartiers d favoris s Aider la mise en fonction rapide du cimeti re municipal Aider la r gularisation de l occupation des terres par les populations Privil gier le dialogue et la n gociation dans l expropriation des terres occup es par les populations Eviter autant que possible les sites
257. ollution et nuisances gestion environnementale et sociale S curit lors des Nombre d emplois cr s localement main Une fois par cadre de pee e op rations et des d uvre locale utilis e pour les travaux et mois e PFES municipalit s Perturbation et d placement lors des travaux Nombre de sites ayant fait l objet de consensus dans leurs choix Nombre de campagne de sensibilisation Nombre d accidents caus s par les travaux Nombre de plaintes li es aux discriminations culturelles religieuses ou ethniques lors des travaux Comit s locaux Ces indicateurs seront r guli rement suivis au cours de la mise en place et l avancement des micro projets et seront incorpor s dans le Manuel d Ex cution et de Suivi du PDIL 100 9 8 Calendrier de mise en uvre des mesures Le calendrier de mise en uvre et de suivi des activit s environnementales du PDIL s tablira comme populations locales durant la mise en uvre Mesures de suivi Durant la mise en uvre Tous les mois suit M rer P riode de r alisation esures ctions propos es An 1 An Voir liste des mesures d att nuation Durant la mise er en uvre a Mesures D signation des Points focaux 1 ann e avant institutionnelles Environnement et Social le d but de la mise en uvre 3 Et
258. om trique oscille entre 1600 et 2100 mm par an Cours d eau la forte pluviom trie et la configuration du relief ont favoris un r seau hydraulique dense principalement de plusieurs cours d eau irriguent la ville d Oyem Il s agit principalement de rivi res MVIE NYE MEBOGO NDAMVA MINKA et du r seau lacustre lacs NFOUA OFOUTE et RAZEL V g tation Le territoire de la ville d Oyem est constitu plus de 60 de formations foresti res Dans le centre ville on note la pr sence de quelques espaces verts Activit s conomiques Sur le plan agricole la ville d Oyem fait partie du triangle cacaoyer avec Bitam et Minvoul L Institut Gabonais d Appui au D veloppement IGAD a install autour de la ville d Oyem des maraichers qui produisent l amarante l aubergine le gombo et autres piment et tomates L agriculture traditionnelle se pratique aussi en p riph rie de la ville et produit de la banane plantain du manioc du taro de l igname de la patate douce du ma s de l arachide Ces produits agricoles sont destin s l autoconsommation et l approvisionnement du march centrale d Oyem appel March d Akouakam Sur le plan de l exploitation foresti re pas loin d Oyem se pratique la production de grumes dans les Permis Temporaires d Exploitation PTE qui y sont octroy s et alimentent quelques scieries bas es dans cette ville Dans la ville d Oyem est implant e une brasserie qui pro
259. on r sistance des populations si elles ne sont pas sensibilis es manque de structures sociales Synth se des suggestions et recommandations satisfaire les besoins des populations sensibiliser les populations sur les impacts n gatifs viter les d placements de personnes pr voir les et les notices environnementales impliquer les parties prenantes impliquer les services d concentr s de l Administration renforcement des capacit s des communes en mati re de gestion de projets et d environnement pr voir la construction de passerelles d terminer les priorit s dans le cadre du projet construire des nouveaux canaux Appui aux personnes vuln rables 150 Compte rendu des consultations publiques et rencontres institutionnelles KOULA MOUNTOU 09 04 1015 Institutions Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations acteurs Mairie Appr ciation sur le Que le projet ne voit pas le Mettre en uvre le projet Maire projet jour comme annonc repr sentants Le PDIL tel que Unsimple effet annonce populations pr sent est un chefs de projet salutaire quartiers Les probl mes Occupations anarchiques de Organiser l occupation des organisations de la soci t civile ONG etc environnementaux et fonciers de la commune terres Risques potentiels d opposition des populations au nom de droits ancestraux Occupation anarchiques de terres
260. on d eau et d lectricit aux quartiers d favoris s Sensibiliser davantage les populations sur les branchements anarchiques au respect de la loi sur l environnement Construire un laboratoire Oyem pour analyser le niveau des pollutions Mettre plus de rigueur dans la gestion des ordures R glementer l occupation des terres par les populations Assurer l entretien du r seau de canalisation des eaux de ruissellement Veiller la d pollution des eaux Construire des toilettes publiques Poursuivre les travaux non achev es du PDIL1 Renforcer les capacit s financi res et logistiques de la Mairie d Oyem la r solution des conflits autour soit du chef de quartier ou autour du Maire Assurer une prise en charge des personnes vuln rables Former le personnel technique de la Mairie en r installation de population Renforcer les capacit s de la Mairie en recouvrement __ Promouvoir la libert des femmes et l quit dans l acc s aux activit s productives 137 Comptes rendus des rencontres institutionnelles et consultation publique MAKOKOU 1 04 1015 Institutions acteurs Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions recommandations Mairie lus Appr ciation sur le Une mauvaise planification des Veiller une bonne locaux chefs de projet travaux du PDIL 2 planification du projet quartiers Le
261. on des milieux naturels et des exutoires incommodit pour le voisinage odeurs en cas de mauvais choix des exutoires Risques pour la sant publique pid mies chol ra diarrh es en cas de rejets de d chets solides et liquides branchements clandestins d eaux us es dans les canaux de drainage Mauvaise utilisation des caniveaux et leur transformation en d potoirs d ordures en l absence de programme d entretien et de sensibilisation des populations Risques d inondation en cas de sous dimensionnement des canaux de drainage Mal fonctionnement des ouvrages d un d faut d ex cution des travaux Tableau 9 potable Impacts n gatifs potentiels sp cifiques de la r habilitation de canalisation d eau Phase Impacts n gatifs potentiels Construction g n ration d importantes quantit s de d blais au cours de la r alisation des tranch es envol et soul vement de particules fines de poussi res sables G nes et nuisances du fait des activit s de chantiers bruits et vibration Perturbation obstruction des voies de circulation pendant la r alisation des tranch es l apport de tuyaux et l vacuation de sol excav risques accidents pour les travailleurs et les populations lors des travaux Non utilisation de la main d uvre locale Exploitation Risque d actes de vandalisme Fuite d eau potable absence insuffisance surveillance mauvaise r alisation des travaux Risques d infil
262. on du sch ma d urbanisation de la ville Il y a suffisamment de r serves fonci res dans les alentours imm diats des zones d habitation Des exp riences v cues dans le domaine de l expropriation pour cause d utilit publique mais indemnisation des 11 familles d plac es qui ont accept de c der des terrains lors de la construction du Mausol e du Pr sident Am nager des parcelles viabilis es dans les zones potentielles d extension de la ville Sensibiliser la population en vue de la s curisation des parcelles occup es par l acquisition de titre de propri t Indemniser les personnes qui cause du projet ont perdu des terres constructions plantations arbres fruitiers etc Accompagner les populations en cas de d placement et les r installer dans des zones de recasement Respecter la proc dure en mati re d expropriation d claration d utilit publique valuation des impenses contact et n gociation avec la personne concern e paiement d indemnisation et 141 accompagnement la r installation Capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains Insuffisance des capacit s technique de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains Faiblesse des moyens d intervention mat riel et quipement de la commune pour assurer la gestion environnementale et sociale des projets Difficul
263. on le RGPH de 2003 la Commune de Lambar n concentre environ 57 de la population migov enne et 84 de la population urbaine sur pr s 0 3 du territoire provincial La densit de la population est de 473 habitants km avec un taux de croissance de 5 12 par an en 10 ans comparativement aux donn es de 1993 La population de Lambar n est tr s jeune Les Jeunes de moins de 15 ans 42 24 alors que les plus de 50 ans ne sont que de 10 12 de la population Climat Le climat est de type quatorial caract ris par deux saisons s ches juin septembre et d cembre janvier et deux saisons de pluies f vrier juin et octobre d cembre avec des pr cipitations moyennes annuelles qui s chelonnent entre 1500 et 2400 mm Toutefois ces derni res ann es la grande saison pluvieuse est marqu e non seulement par un d marrage tardif des pluies mais aussi par des poches de s cheresse dans une p riode qui autrefois enregistrait de fortes intemp ries Les temp ratures moyennes annuelles oscillent entre 26 et 30 C avec une forte humidit atmosph rique tout au long de l ann e Les maxima moyens sont observ s en avril 31 9 C et les minima moyens en juillet ao t 18 9 C Relief et sols Le relief de la ville de Lambar n est fortement marqu par le fleuve Ogoou qui tend ses ramifications entre les collines dont les altitudes atteignent les 80 m des versants moyennement pentus de l ordre de 20
264. onnementale des activit s indique qu il faut r aliser des EIES NIES le projet devra pr voir une provision qui servira payer des consultants pour r aliser ces tudes La r alisation d ventuelles EIES NIES pourrait occasionner des mesures comportant des co ts et qui devront tre budg tis s d s pr sent par le PDIL pour pouvoir tre ex cut es le moment venu Pour cela il est n cessaire de faire une dotation provisionnelle qui permettra de prendre en charge de telles mesures e Mise en place d une base des donn es environnementales et sociales en milieu urbain Le PDIL II devra aider la mise en place d une base des donn es environnementales et sociales pour la ville cibl e par le projet pour mieux appr hender les enjeux et contraintes environnementaux lors de la r alisation de ses activit s Cette base de donn es devra permettre d tablir de r f rentiel pour mieux appr cier les impacts et les efforts fournis dans l am lioration du cadre de vie urbain e Plantations d arbres et am nagements paysagers pour certaines infrastructures Pour am liorer l environnement de certaines infrastructures r alis es coles centres de sant etc il est sugg r que le PDIL II participe la r alisation d am nagements paysagers jardins espaces verts et de plantations d arbres pour certaines infrastructures coles centres de sant gares routi res march s etc 92 e Suivi et Evaluation des
265. ons avaient t faites pour restructurer la Commission Nationale des TIPPEE notamment en renfor ant l quipe permanente avec la pr sence d un expert environnementaliste et pour la prise en compte des mesures de sauvegardes environnementales et sociales adapt es aux r alit s de terrain aux contraintes budg taires et au niveau de service souhait 90 9 3 Renforcement de la gestion environnementale et sociale du PDIL II Au vue de ce qui pr c de la gestion environnementale et sociale des activit s du PDIL II n cessite d tre renforc e par les mesures d crites ci dessous pour permettre au projet d tre en phase avec les exigences environnementales et sociales nationales et internationales 9 3 1 Mesures de renforcement institutionnel et juridique Renforcement de l expertise environnementale des membres du Comit de Pilotage du PDIL II Il s agira de renforcer les capacit s environnementales et sociales des membres du Comit de Pilotage du par des s ances de sensibilisation et d impr gnation sur les outils de sauvegarde environnementale CGES CPR Cette mesure vise mieux faire comprendre les enjeux environnementaux et sociaux du PDIL aux membres du Comit de Pilotage et de mieux les impliquer dans la supervision environnementale des activit s Par ailleurs 11 s agira d int grer le Minist re des For ts de l Environnement et des Ressources Naturelles travers la DGE dans le Comit de
266. ord avec les populations affect es et le Ma tre d ouvrage Avant l installation et le d but des travaux l Entrepreneur doit s assurer que les indemnisations compensations sont effectivement pay es aux ayants droit par le Ma tre d ouvrage Rep rage des r seaux des concessionnaires Avant le d marrage des travaux l Entrepreneur doit instruire une proc dure de rep rage des r seaux des concessionnaires eau potable lectricit t l phone gout etc sur un plan qui sera formalis par un Proc s verbal sign par toutes les parties Entrepreneur Ma tre d uvre concessionnaires Lib ration des domaines public et priv L Entrepreneur doit savoir que le p rim tre d utilit publique li l op ration est le p rim tre susceptible d tre concern par les travaux Les travaux ne peuvent d buter dans les zones concern es par les emprises priv es que lorsque celles ci sont lib r es la suite d une proc dure d acquisition Programme de gestion environnementale et sociale L Entrepreneur doit tablir et soumettre l approbation du Ma tre d uvre un programme d taill de gestion environnementale et sociale du chantier qui comprend i un plan d occupation du sol indiquant l emplacement de la base vie et les diff rentes zones du chantier selon les composantes du projet les implantations pr vues et une description des am nagements ii un plan de gestion des d chets du chantier indiquant les typ
267. os e de trois 3 tapes essentielles le niveau quartier autour du chef de quartier pour r solution l amiable le niveau municipal autour du Maire toujours pour une r solution amiable et en cas d chec ces deux niveaux pr c dents ce qui est assez rare au tribunal autour des juges pour un r glement judiciaire Favoriser la r solution des conflits l amiable autour du chef de quartier ou du Maire de la commune Les personnes dites vuln rables Elles sont compos es des personnes de 3 me ge les femmes chefs de famille sans soutien Incapacit de se relever en cas d impact sur elles Une assistance particuli re soutenue en faveur des personnes vuln rables Les besoins en formation Renforceme nt de capacit s La commune a besoin de formation et de renforcement des capacit s Former les agents en gestion environnementale et sociale 130 D ficit de formation en gestion environnementale et sociale La prise en compte du genre dans la gestion des projets urbain L approche genre est bien pr sente dans la gestion publique des affaires Les femmes jouent les premiers r les acc dent et dirigent m me des instances de d cision il y a des femmes mairesses et adjointes aux maires Encourager la dynamique du genre dans la gestion des affaires publiques Direction provinciale des travaux publics TP de Lambar n Appr cia
268. osantes environnementales et sociales suivre Lors des travaux le suivi portera sur tous les impacts potentiels identifi s et sur toutes les mesures d att nuation y aff rentes Suivi en phase de pr paration et de travaux Lors des travaux les r glements en vigueur dans le pays et en particulier ceux concernant l environnement devront tre respect s La mise en uvre du projet devra se faire dans le cadre d un plan de gestion de la qualit comprenant le respect des contraintes environnementales correspondantes aux mesures pr sent es dans le CGES Les contractants en charge de la r alisation du projet ou de certaines activit s du projet devront fournir et appliquer le r glement qui fixera e les mesures de protection de l environnement et de r duction des impacts sociaux e les r gles de s curit concernant les ouvriers 98 e les modalit s de gestion des d chets solides et liquides e les mesures de sensibilisation et de pr vention sant hygi ne s curit VIH SIDA 9 7 4 Indicateurs de suivi Les indicateurs sont des param tres dont l utilisation fournit des informations quantitatives ou qualitatives sur les impacts et les b n fices environnementaux et sociaux du PDIL IT Les indicateurs servent d une part la description avec une exactitude v rifiable de l impact g n r directement ou indirectement par les activit s des composantes du PDIL IT et d autre part la mise en exergue de
269. ours d eau R aliser tous les travaux en rapport avec les services de la SEEG Exploitation Risques d accidents lectrocution lorsque les fils lectriques sont terre Risques d lectrocution et de collision avec les objets en mouvement Modification du paysage urbain coupure de la vision par les lignes a riennes Augmentation des besoins de la consommation nerg tique Pression sur les ressources nerg tiques Accroissement des charges des communes hausse facture d lectricit Attrait d insectes dans les maisons mitoyennes en saison hivernale Non fonctionnalit des installations due un d faut d ex cution des travaux ou l absence d implication des services de la SEEG dans la conception la mise en uvre et le suivi R installation des populations indemnis es sous ou proximit des lignes de moyenne et haute tension Pollution de l air avec les gaz issus des transformateurs usag s Pollution de l environnement avec les lampes basse consommation usag es Sensibiliser les populations pour une utilisation rationnelle et s curis e de l nergie lectrique D velopper des programmes d efficacit nerg tique en milieu urbain Mettre en place un programme d exploitation et d entretien de l clairage public et du r seau lectrique D terminer un horaire d allumage et d extinction de l clairage public R cup ration et recyclage des transformateurs et d
270. ouvant tre cr s par le d placement et la r installation forc s de population r sultant de la mise en uvre du projet Il devra s assurer pour cela de leur conformit avec les politiques nationales et les directives des PTF en mati re de sauvegarde environnementale et sociale notamment celles de la Banque mondiale relatives i l valuation des impacts environnementaux PO 4 01 et ii le cadre de politiques de r installation PO 4 12 Les t ches sp cifiques propos es au Consultant sont les suivantes 4 1 Pour l laboration du CGES e Informations g n rales sur le projet activit s et composantes Le Consultant tudiera la documentation disponible concernant le projet ses composantes et son calendrier d ex cution Le Consultant d crira les diff rentes activit s pr vues dans le cadre du projet et identifiera les composantes qui risquent d avoir des impacts environnementaux et sociaux positifs et ou n gatifs au regard des sensibilit s et des enjeux environnementaux et sociaux notamment dans les zones cibl es par le projet 122 e Caract ristiques biophysiques et socio conomiques de l environnement Le Consultant pr sentera et analysera les donn es de base d ordre environnemental et social du pays notamment les zones cibl es par le projet et fera une synth se des documents r cents disponibles pour pr senter une br ve description et une analyse des principaux probl mes environnement
271. p measures mitigation or compensation on the basis of clear guidance accurate concise and operational To strengthen the environmental and social management of the PDIL the ESMF has provided i mitigation measures for the negative impacts including the Environmental Guidelines for Contracting Companies and the Guidelines Applicable for Health Environment and Safety ii measures in case of archaeological discoveries iii institutional strengthening measures Strengthening environmental expertise of UCP PDIL iv technical capacity strengthening measures Provision for the conduct of the ESIA landscaping support to municipalities for infrastructure maintenance Monitoring and Evaluation of project activities v Informing the stakeholders involved in the implementation of the project and public awareness environmental assessments to be done for project activities must be in accordance with the national environmental legislation as well as with the World Bank guidelines The ESIAs are subject to review by the World Bank To better optimize the management of environmental and social aspects of the project provisions are made in the ESMF for a Monitoring Plan that will be implemented under the coordination of the UCP PDIL by an Environment and Social Safeguards Experts to ensure the effectiveness of the inclusion of these aspects when i the preparation of technical documents and ii monitoring the work These experts will ensure the superv
272. pace presence of numerous garages workshops and trade along urban roads land constraints lack of communal reserves but also impairment of basic services management of domestic wastewater storm water flooding solid waste management and a lack of screaming socioeconomic infrastructure schools health centers markets etc The policy legislative and regulatory context of the environment sector and of the PDIL intervention areas is marked by the existence of strategic planning documents National Environment Action Plan Strategic Framework for Poverty Reduction etc as well as relevant texts at the Legislative and Regulatory level Environmental Protection Act ESIAs decree etc For protection and effective management of the environment the Environment Code provides that Any development or activity likely to affect the environment as well as policies plans programs regional studies and sector will require an environmental assessment At the institutional level efforts are still needed in terms of integrating environmental considerations into the preparation implementation and monitoring of projects but also in terms of capacity and coordination This context is therefore still to be strengthened as part of the PDIL II Environmental and social safeguard policies of the World Bank that can be applied to PDIL activities are OP 4 01 Environmental Assessment OP 4 11 Physical Cultural Resources and OP 4 12 Involunta
273. par an les mar cages occupent de vastes tendus soit pr s de 70 de l le et les rivi res m andres p n trent l le sur plus de 17 km de long Toutes choses qui constituent des facteurs de vuln rabilit de l le Mandji dont la g omorphologie littorale est favorable la submersion et l rosion Education la Commune de Port Gentil compte 25 coles primaires cycle complet dont 17 publiques et 8 priv es confessionnelles parmi lesquelles on distingue 5 catholiques une protestante une islamique et une cole de l Alliance chr tienne qui va de la 1 re la 4 me ann e Il compte galement au moins 72 coles primaires priv es la ques avec des classes pr primaires Au niveau du secondaire nous d nombrons 6 tablissements publics et 17 tablissements priv s la cs Soit au total 97 coles primaires et 23 secondaires La commune de Port Gentil compte galement 13 tablissements priv s la cs dans le second degr Charles Lwanga proximit du lyc e technique Jean Fid le Otando IPEST sur la route de Bac Aviation Lyc e Rapontchombo derri re CODEV Untel Pav s quartier Sud Louis Pasteur La Ros e Sainte Marie 40 Sant les structures sanitaires de la commune de Port Gentil Le syst me de sant est constitu de deux secteurs public et priv Tous les deux comptent 60 formations sanitaires dont 18 pour le secteur public contre 42 pour le priv La caract ristique majeure de ces stru
274. partement v de l apport du secteur concern l conomie nationale cr ation d emploi PIB paiement des taxes la justification du projet les grandes lignes phases du projet articulation du rapport de l EIES 4 Objectifs et R sultats Attendus Objectif globale Faire en sorte que le projet se mette en ceuvre conform ment 4 la r glementation en vigueur afin de pr server l environnement et la sant humaine Objectifs sp cifiques e d crire tat initial de la zone du projet e d crire les activit s du projet e identifier et valuer les impacts du projet e Consulter les autorit s locales et les populations e Elaborer le plan de gestion environnementale et sociale pr senter les mesures d att nuation e R diger et faire valider le rapport de l tude v les r sultats attendus Ils devront tre en harmonie avec les objectifs sp cifiques par exemple e l tat initial de la zone du projet a t d crit les activit s du projet ont t d crites les impacts ont t identifi es et valu es Les autorit s et les populations ont t consult es Le PGES t labor les mesures d att nuation ont t pr sent es Le rapport d tude d impact a t r dig et valid 117 5 M thodologie de r alisation du rapport et organisation de l tude la m thodologie celle ci portera sur gt la recherche documentaire tout en indiquant les structures
275. partement Fonction T l phone aa ae Fax Cer TES Count hd CEE hole di rare LO C AN A a COZ NET Clap Exe t Fes rit lt X 97A TZ SU aa 1 sexe fe CN Te EE Eyad gt amp GARANDEAD V0 CNTIPREE dns 07 A3 39 54 nent f 7 Ae GZ 13 0912 Ly LIS mau ym hd iu 4 lg OS IJ 6 DU 179 MINISTERE DE L ECO INVESTISSEME NOMIE DE LA NTS ET DE LA PR COMMISSION NATIONAL ROMOTION DES OSPECTIVE E DES TIPPEE L ATELIER NATIONAL DE RE SECRETARIAT PERMANENT CADRE DE GESTION ENVIRON ET DE CADRE DE POLITIQU PROJET DE DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES L OCALES PDIL PHASE 2 LISTE DE PRESENCE N Nom et Pr nom Fonction T l phone 2 15 13 04 5 z 05185 OY OF 0765206 I D partement 2 ES QNT IPPEE Valerie _ STITUTION DES RAPPORTS DE NEMENTALE ET SOCIALE CGES E DE REINSTALLATION CPR REPUBLIQUE GABONAISE Union Travail Justice E mail Signature BY Pees u a eE Ga 180
276. pendant des nombreux marigots et rivi res qui desservent ces principaux cours d eaux zadi Liboumba Mougnandji Nouna Education Au plan de l ducation Makokou compte 8 coles primaires publiques et 4 priv es Au niveau de l enseignement secondaire on note la pr sence d un lyc e d Etat d un Coll ge Protestant d un Coll ge Catholique et d un Coll ge public et de deux coll ges priv s la cs La formation professionnelle est repr sent e par le Centre de Formation Professionnelle et de Perfectionnement Public de Makokou Sant Dans le domaine de la sant nous distinguons l h pital d partemental l h pital R gional l H pital des grandes end mies et sept 7 d p ts pharmaceutiques Les principales pathologies sont le paludisme la diarrh e aigu gastro ent rite La pr valence du VIH passe de 2 en 2007 3 1 en 2009 PLIST enqu tes sentinelles La pr valence de la Tuberculose est de 55 pour 100 000 habitants Le taux de morbidit lev des maladies diarrh iques li l inaccessibilit l eau potable et un environnement insalubre Le taux de mortalit maternelle et p rinatale reste lev le ratio de mortalit maternelle est estim 366 d c s maternels pour 100 000 naissances vivantes Gabon 519 100 000 en 2011 Les principales causes de cette mortalit sont les h morragies de la d livrance les clampsies et les complications d avortements provoqu s y a
277. pr occupations et craintes L unit de gestion du projet consid re que le timing pour la collecte des donn es de terrain est assez limit par rapport a la dur e globale retenue pour tude SOjrs et compte non tenu des contraintes non maitris es de d placement sur le terrain Aussi l chantillon de ville propos par les consultants visiter 4 villes est jug insuffisant non repr sentatif par l quipe du Projet par rapport au nombre total des 9 villes concern es La diligence dans la saisine des autorit s impliqu es dans le programme de la mission une fois celui ci arr t Synth se des suggestions et recommandations Arr ter la liste des villes visiter en relation avec le SP CN TIPPEE D marrer le plus rapidement les rencontres institutionnelles Libreville et essayer de programmer la consultation avec la Mairie de Libreville le mercredi 25 mars Pr parer les lettres d introduction de la mission aupr s des autorit s locales afin de les saisir temps Mettre la disposition de l quipe de consultants la logistique appropri e pour lui faciliter le d placement Libreville et dans les Provinces visiter Suite la s ance de travail avec l quipe du Projet les consultants se sont entretenus avec le Secr taire de la CNTIPPEE en pr sence de Madame Val rie TSASSA Les questions abord es ont port sur e Le choix des villes visiter il est propos de re
278. pratiquent la culture itin rante sur br lis et produisent de mani re c l bre le taro blanc Sur le plan des transports la ville de Koulamoutou peut tre ralli e par le chemin de fer partir de Lastourville par voie routi re bitum e par Franceville et par voie a rienne au niveau de l a roport situ environ 7 kilom tres du centre ville Les activit s commerciales Koulamoutou sont concentr es dans les march s municipaux MOUTOU MAMBOU situ au quartier Grand Village MOUKAMBI situ au quartier BAKELE LITSEBE situ au quartier LITSEBE Carrefour MAMBENDA on compte aussi les magasins CKdo et des boutiques de gros et demi gros tenues par des mauritaniens et les commer ants d taillants des quartiers Comme la plupart des capitales provinciales du pays hormis Libreville et Port Gentil Koula Moutou est une ville administrative o l essentiel de la population active est fonctionnaire Toutefois l introduction de la culture du caf et du cacao ainsi que l exploitation du bois une chelle encore modeste a permis de dynamiser l conomie locale Au niveau des t l communications Koulamoutou dispose de point relais de liaison analogique et num rique ainsi que de la couverture internet du t l phone filaire et mobile de la t l diffusion et radiodiffusion 34 Education De nombreuses infrastructures dans le domaine de l ducation ont t construites au fil des ann es telles que les coles pri
279. projet R le majeur et fondamental car l environnement se trouve impliqu partout Pour cerner la viabilit et la fiabilit des projets l environnement doit tre impliqu Impliquer l environnement dans la mise en uvre et le suivi projet Direction Provinciale des Perception du Projet projet qui faut que les TP soient galement impliqu s pendant Travaux Publics implique les TP la phase de r alisation du de l Ogoou d s la phase de projet Maritime formulation Que les TP accompagnent les communes et que les communes travaillent en troite collaboration avec les TP dans le cadre des projets d infrastructures Probl mes d inondations et de Opter pour les routes en la nappe phr atique qui est pav s qui r sistent mieux resque en surface l eau Probl mes presq ae Pr voir la construction de environnementaux et passerelles sociaux de la p D terminer les priorit s dans commune le cadre du projet Satisfaire les besoins des populations de cette zone Capacit s de la La commune initie les projets Renforcer les capacit s des commune dans la en mati re d infrastructures communes en gestion de gestion sans informer les TP qui ont l Environnement environnementale et l expertise en la mati re sociale des projets urbains Coordination Perception du Projet Le personnel est faible Le projet doit aller jusqu au r gionale des Affaires soc
280. que et de Assainissement 168 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A LAMBARENE N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 26 03 2015 Thiery Davy BOUSSOUGOU Directeur Provinciale de 06 07 88 95 l Am nagement du Territoire du 03 37 16 47 davybouth gmail com Moyen Ogoou 2 26 03 2015 Jean Louis MINKOUE Directeur Provincial de l Habitat de 07 37 28 89 l Urbanisme et du Cadastre du 03 28 97 15 Moyen Ogoou 3 26 03 2015 Roger Val re AYIMAMBENWE Maire de la Commune de rvayima yahoo fr Lambar n 4 26 03 2015 Roger Germain EKOUME Premier Adjoint au Maire de la 07 51 02 99 NDONG commune de Lambar n 5 26 03 2015 Jean Baptiste Thierry OZOUAKI Directeur Provincial des Travaux 06 97 21 76 Jbo03 yahoo fr Publics du Moyen Ogoou 07 35 95 88 6 26 03 2015 Marius NZAOU Service Provincial de I Agriculture 06 19 54 66 mariusnzaou gmail com du Moyen Ogoou 04 39 13 10 LISTE DES PERSONNES RENCONTREES A OYEM N Date Pr noms et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 30 03 2015 Vincent ESSONO MENGUE Maire Central d OYEM 06 21 35 29 mairieoyem gmail com 2 30 03 2015 Florentin MBA MENGUE Conseiller du Maire Central 07 84 20 02 mairieoyem gmail com d OYEM 3 30 03 2015 Barnab MBANGALIVOUA Pr fet du Woleu Ntem 07 54 00 00 bmbangalivoua gmail com 4 30 03 2015 Sabin OBIANG NDONG Brigade Est Environnement 02 46 10 5
281. que par des ateliers garages et commerces constituent des facteurs de perturbation des syst mes de transport urbain A cela s ajoute le manque d entretien qui reste le d fi majeur de la gestion urbain dans ces villes Certains quartiers sous int gr s tr s enclav s sont difficiles d acc s particuli rement en p riode d hivernage o les populations vivent un calvaire insoutenable dans des zones g n ralement sans clairage public 51 3 2 7 D ficit en alimentation en eau potable Toute la population n a pas acc s l eau potable dans les communes concern es par le Projet La plus part des parcelles habit es dans les quartiers sous int gr s ne sont pas connect es au r seau SEEG qui assure exclusivement la production et la distribution d eau potable Le d ficit en alimentation en eau potable se pose avec acuit dans ces quartiers o les populations sont oblig es de transporter de l eau sur plusieurs kilom tres avec des branchements anarchiques occasionnant souvent des perturbations dans l approvisionnement et des fuites d eau Il arrive m me que des personnes utilisent pour leurs besoins quotidiens l eau recueillie pendant la pluie ou de l eau de puits impropre la consommation 3 2 8 D ficit en fourniture d nergie et difficult s d acc s l lectricit La distribution de l nergie lectrique rencontre plusieurs difficult s li es la faiblesse des capacit s de production
282. r le dans chaque ville La supervision sera assur e par VESES et les municipalit s mais aussi par les membres du Comit de Pilotage principalement impliqu s La Direction G n rale de l Environnement et les services techniques locaux vont assurer le suivi Le suivi environnemental portera sur les indicateurs d finis dans le CGES Pour cela les capacit s des structures nationales et locales devront tre renforc es en gestion environnementale et sociale Le suivi environnemental des activit s de PDIL sera men dans le cadre du syst me de suivi g n ral du programme Le suivi environnemental concerne aussi bien la phase de mise en uvre que l exploitation des ouvrages infrastructures et quipements r aliser avec l appui du projet Le programme de suivi peut permettre si n cessaire de r orienter les travaux et ventuellement d am liorer le d roulement de la construction et de la mise en place des diff rents l ments du projet Le suivi va de pair avec l tablissement des impacts et la proposition de mesures de pr vention d att nuation ou de compensation 9 1 2 Responsabilit s pour la mise en uvre de la s lection environnementale et sociale Le tableau ci dessous donne un r capitulatif des tapes et des responsabilit s institutionnelles pour la s lection et la pr paration l valuation l approbation et la mise en uvre des micro projets 87 Tableau 23 R capitulatif des ta es de la
283. r de la d fense et la protection des droits de cette cat gorie cr atrices de revenus etc Prise en compte du Genre dans la gestion des projets urbains Dans le domaine de la prise en compte du Genre dans la gestion des projets urbains la commune de Port Gentil est en avance Au plan de la gestion des projets urbains les besoins sp cifiques des femmes sont bien pris en charges construction de jardins d enfants de cr ches de lavoirs march s etc Pr fecture de Bendj Perception du Projet Surpris de l arr t des travaux PDIL I Heureux de la reprise du projet Projet b n fique aux populations des quartiers sous Que les besoins des populations de certains quartiers qui ne seront pas retenus par le projet ne soient jamais satisfaits Satisfaire les besoins des populations Sensibiliser les populations sur les impacts n gatifs poursuivre les travaux jusqu a leur terme int gr s Am nagement du Perception du Projet Situation assez plus Accorder la priorit aux voies Territoire Le PDIL est une pr occupante dans les d acc s route en pav et bonne opportunit domaines de l assainissement passerelles en int grant les pour le drainage des eaux pluviales volets assainissement renforcement de l ossature et da la viabilit des villes l extension des r seaux eau et lectricit au niveau des quartiers sous int gr s Le Projet risque de contr
284. r les pr occupations besoin attentes crainte etc des populations ainsi que leurs recommandations et suggestions a l endroit du projet 5 2 Etendue des consultations du public et acteurs concern s Dans le cadre de la mission du consultant les consultations du public tenues du 22 mars au 10 avril 2015 se sont tendues dans les communes suivantes Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga et Koula Moutou Le choix a t fait en rapport avec la Coordination du projet et l chantillonnage a port sur les 9 municipalit s cibl es par le PDIL 2 Les rencontres ont concern s les conseils municipaux largis aux organisations et Associations locales et des services et projets impliqu s dans les questions de d veloppement local Les listes des personnes rencontr es lors de ces consultations se trouvent l Annexe 8 5 3 M thodologie et th matique discut e La consultation du public a consist en des entretiens semi structur s et des focus group qui ont r uni les acteurs de la soci t civile locale Selon les cat gories d acteurs et leur domaine d intervention sp cifique les th mes majeurs suivants ont t soulev s et discut s Ces th mes ont t rigoureusement d finis et stabilis s par le consultant autour des points suivants le projet pr sentation les capacit s environnementales dans la gestion des projets les exp riences en mati re de r installation l impli
285. r leurs impacts environnementaux et sociaux un processus d valuation de revue d approbation et de suivi environnemental et social sera labor pour une mise en op ration au niveau du projet cet effet le Consultant devra vV d velopper un canevas de tri environnemental et social m canisme de tri pour aider la d termination des impacts n gatifs environnementaux potentiels durant la mise en uvre du projet vV d velopper une check list g n rique des effets environnementaux et sociaux directs indirects qui doit servir de guide pour l valuation environnementale des activit s sp cifiques du projet Ce m canisme de s lection permettra de sp cifier le processus d valuation environnementale conform ment aux proc dures existantes pour les tudes d impact du projet et d identifier les r les et les responsabilit s des institutions gouvernementales et des autres organisations impliqu es au niveau central et d centralis Le Consultant laborera une fiche environnementale qui identifiera les impacts potentiels du projet ainsi qu une matrice des impacts n gatifs pr visibles pour des activit s types du projet assortie de recommandations pour les bonnes pratiques les actions de pr vention et les mesures d att nuation appropri es ii Plan de renforcement des capacit s institutionnelles Le Consultant fera une description de la structure institutionnelle du projet au niveau national r gio
286. rainage des eaux us es et pluviales et services d assainissement beaucoup de m nages ne disposent pas de latrine voire m me de puisards et ont un acc s insuffisant l eau potable et l lectricit Ces probl mes d assainissement insuffisance de latrines publiques de d potoirs autoris s d ordures et des blocs sanitaires de bacs ordures de collecte et ramassage r guliers des ordures se posent galement avec acuit au niveau de certains espaces publics march s multipliant ainsi les risques d ins curit sanitaire et environnementale odeurs naus abondes attirant mouches rats et chiens errants Voirie urbaine En mati re de voirie et d habitat la commune de Franceville dispose d une voirie bitum e sur les principaux axes Aussi l insuffisant entretien de la voirie et r seaux divers VRD contribue la d gradation desdites infrastructures occasionnant des nids de poules et l sur le r seau routier L environnement urbain est aussi marqu par la pollution des cours d eau non am nag s qui selon les enqu tes sanitaires du Service Provincial d Hygi ne Publique et d Assainissement sont devenus des d charges non contr l es pour les populations riveraines Les personnes vuln rables selon des enqu tes nationales environ un quart de la population vit en dessous du seuil de pauvret et les conditions sociales des couches les plus vuln rables veuves orphelins filles m r
287. re des risques d accidents des travailleurs et des populations Le micro projet peut il causer des risques pour la sant des travailleurs et de la population Le micro projet peut il entra ner une augmentation de la population des vecteurs de maladies Revenus locaux Le micro projet permet il la cr ation d emploi Le micro projet favorise t il l augmentation des productions agricoles et autres Pr occupations de genre Le micro projet favorise t il une int gration des femmes et autres couches vuln rables Le micro projet prend t il en charge les pr occupations des femmes et favorise t il leur implication dans la prise de d cision Consultation du public La consultation et la participation du public ont elles t recherch es Oui Non Si Oui d crire bri vement les mesures qui ont t prises cet effet Partie C Mesures d att nuation Au vu de l Annexe pour toutes les r ponses d crire bri vement les mesures prises cet effet Partie D Classification du projet et travail environnemental e Pas de travail environnemental e Simples mesures de mitigation e Plan de Gestion Environnementale et Sociale Nota Ce formulaire est remplir en tenant compte aussi des r sultats de liste de contr le environnemental et social de l Annexe 2 ci dessous 107 Annexe 2
288. reux de recevoir le PDIL2 et nous esp rons qu il y aura une phase de mise en uvre Les populations sont en droit d esp rer Lambar n est l une des rares villes qui ont eu un citoyen lu Prix Nobel de la Paix et du projet le d veloppement petite goutte petite dose a ne marche pas Pr f rence pour des routes faites en bitume et non en pav es Difficult s de production et de distribution d eau et d lectricit Les ouvrages du PDIL 1 risquent de se d grader d eux m mes par d faut d entretien car ils ne sont pas encore livr s aux autorit s de 1 commune le projet Faire des routes en bitume en non en pav es Construire des r seaux d adduction d eau et d lectricit Faire accompagner les voiries des infrastructures de distribution d eau et d lectricit tuyaux c bles poste etc Livrer les ouvrages du PDIL 1 afin qu elles puissent tre g r s entretenus Assurer le suivi des 129 il y a une partie qui va bient t tre patrimoine de PUNESCO Donc elle m rite une belle part dans le PDIL r alisations du projet Les probl mes environnementaux et sociaux de la commune Une prise en charge de nos probl mes environnementaux et sociaux Des coles sans aires de jeu Des quartiers sans bacs ordures L inexistence de cimeti re pour enterrer les morts les morts sont enterr s soit derri re les maison
289. rive au niveau du Maire ou Doter les services provinciaux urbain du tribunal du Cadastre de la logistique Insuffisance de la logistique pour pour accompagner le projet accompagner le projet ordinateurs v hicules etc ordinateurs v hicules etc Implication dans le L implication dans le suivi doit Impliquer le Cadastre et les suivi de la mise en s ouvrir a tous les services services comp tents les travaux uvre du projet techniques locaux comp tents publics la Mairie les agents de s curit la justice et les M dias pour la communication et sensibilisation Direction Appr ciation sur le La capacit d accueil tr s limit Prendre en compte le provinciale de la sant projet des structures sanitaires La qualit assez limit des soins de sant d veloppement des structures de sant et l am lioration des offres de soins de sant Situation de la sant Makokou Insuffisance des structures d accueil et de la qualit des soins de sant Un 1 seul centre hospitalier r gional pour 42 O00hbts avec une capacit d accueil globale de 80 lits dont 18 seulement pour la maternit Pas de pharmacie d approvisionnement en m dicaments Les salles d observation ne r pondent pas aux normes de sant R habiliter le centre hospitalier qui a d j une grande capacit d accueil Favoriser la mise en place d une pharmacie d approvisionnement en m dicaments Rendre disponible des m di
290. rmation des agriculteurs la base de fertilisants et de traitements phytosanitaires minore le niveau des rendements par sp culation en de des moyennes 5 7 t ha pour le manioc 4 5 t ha pour la banane etc Les producteurs inorganis s pour la plupart ne b n ficient d aucun appui technique vu la faiblesse des moyens des structures d encadrement que sont la Direction R gionale de l Agriculture le service provincial de l agriculture et la zone agricole L levage encore pratiqu de mani re traditionnelle en libert avec comme esp ces dominantes les poules les ch vres les moutons reste donc tr s peu d velopp malgr la pr sence d une direction provinciale en charge du secteur La p che pratiqu e Franceville par un nombre relativement important de p cheurs environ 400 demeure tout aussi une p che de subsistance traditionnelle et d autoconsommation Le secteur de la P che et de l Aquaculture dispose d un effectif de deux fonctionnaires et cinq agents publics de l Etat cette direction pour principales missions l encadrement l assistance technique la formation des acteurs et la vulgarisation du secteur de l aquaculture et de la P che Le commerce Franceville repose essentiellement sur l achat et ou la vente de produits agricoles manufactur s d hydrocarbures de services etc Mais le secteur du commerce demeure tout de m me inorganis et marqu par l informel rendant
291. roissement annuel est de 2 7 Direction G n rale de la Statistique et des Etudes Economiques 2007 La population est r partie selon 48 ethnies 34 5 de Fang 17 d Aduma 14 de Bakota 10 5 d Eshira Le fran ais est la langue officielle bien que de nombreux dialectes soient couramment employ s fang t k punu nz bi Par ailleurs le Gabon dispose d une forte potentialit conomique gr ce ses nombreuses richesses provenant de ses ressources mini res p troli res et foresti res qui constituent les piliers de son conomie L exploitation du mangan se et surtout celle du p trole fournissent une part importante des revenus du pays La richesse du Gabon repose galement sur sa faune travers les parcs nationaux et sa flore avec plus de 400 esp ces d arbres et d essences d o l importance de l exploitation foresti re et le fort potentiel co touristique 3 2 Situation environnementale et sociale dans les communes cibl es par le Projet 3 2 1 La commune de Libreville Situation administrative Libreville est la capitale politique et administrative du Gabon depuis 1960 elle est galement la capitale de la province de l Estuaire C est une ville portuaire et industrielle et un p le majeur du commerce et des services li s sa fonction politique Climat A Libreville les temp ratures restent lev es toute l ann e plus de 24 C L insolation est aussi parmi les plus importan
292. rojet traduirait l absence du Projet de D veloppement des Infrastructures Locales phase 2 PDIL IT qui a pour objectifs principaux i d am liorer l acc s durable aux infrastructures pour les populations de neuf 9 villes de projet dont les villes de Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga et Koula Moutou notamment pour les habitants des quartiers d favoris s et ou pr caires ii d am liorer l environnement commercial et financier des PME par le renforcement de leurs capacit s techniques et manag riales et iii Renforcer et reformer les municipalit s afin d am liorer leur capacit op rationnelle leur gouvernance afin de mieux les pr parer assumer la d centralisation Au niveau de la voirie l absence de construction r habilitation d infrastructures routi res en pav va accentuer le probl me de la circulation urbaine et l enclavement de certains quartiers sous int gr s dans les arrondissements et les villes cibl s L absence d am nagement des quartiers d favoris s va d velopper ins curit et la promiscuit A cela s ajoute les frustrations et d sespoirs des populations qui attendent la poursuite des r alisations du PDIL I L absence des coles et centres de sant constituerait une limite s rieuse dans la politique de l ducation et la sant pour tous ainsi que le d veloppement social des jeunes et des femmes L absence d actions de lutte contre les
293. rojet et des Minist res sectoriels impliqu s dans le d veloppement urbain et des communaut s b n ficiaires Il est attendu du PDIL II un appui aux services techniques de l Etat mais surtout des municipalit s travers les Cellules Techniques Municipales ou CTM afin de contribuer une meilleure coordination entre les services minist riels impliqu s aussi bien dans la gestion urbaine que dans la gestion de l environnement Le PDIL II va appuyer le d veloppement de partenariat entre les Villes les Communes d Arrondissements les services publics et les ONGs Associations locales Le processus participatif de d veloppement local concourt la r alisation des objectifs du PDIL visant la mise en place d une strat gie de d veloppement d centralis et participatif destin e lutter contre la pauvret en milieu urbain Dans cette perspective un appui du Projet en renforcement des capacit s permettra d assurer la promotion de comp tences techniques structures techniques des Minist re charg s de la D centralisation de l Urbanisme de l Equipement de l Environnement des TP etc Renforcement des capacit s des PME du secteur BTP A travers cette composante le PDIL va aider une meilleure structuration du secteur des PME PMI et le renforcement de l acc s des PME du secteur BTP la commande publique Le PDIL permettra d am liorer les capacit s techniques financi res et institutionnelles des PME program
294. rs rend difficile la couverture et la fourniture d eau et d lectricit dans certains quartiers p riph riques o les populations ont souvent recours des branchements anarchiques Mauvaise gestion gaspillage d eau des bornes fontaines publiques Enterrement des morts derri res les maisons R aliser des voies d acc s routes en pav et des passerelles dans les quartiers pr caires sous int gr s Mettre un accent particulier sur l assainissement et le drainage des eaux dans la construction de routes en pav Construire des exutoires dans les quartiers non desservis de r seau d assainissement pour viter la prolif ration de fosses septiques et la d f cation dans la nature sources de pollution et de maladies Rendre moderne les cimeti res municipaux acc s clairage entretien etc Eviter autant que possible que les terrains occup s par les r alisations du projet empi tent sur les sites culturels et les tombes Appuyer les actions de sensibiliser des populations lors journ es citoyennes pour la pr servation de l environnement Probl mes fonciers de la commune Construction anarchique par les populations l insu des services techniques comp tents Conservation des pratiques de gestion traditionnelle des terres au d triment de la loi en vigueur beaucoup de terrains occup s ne b n ficient pas de titres fonciers et sont pas r gularis s Non applicati
295. rs locaux les enjeux etc environnementaux et sociaux e Sensibilisation sur la s curit et l hygi ne lors des travaux 94 9 6 Arrangements institutionnels et recommandations de mise en uvre du CGES 9 6 1 Arrangements institutionnels de mise en uvre du CGES Ce paragraphe d crit les r les et responsabilit s concernant la mise en uvre des mesures environnementales pr vues pour le PDIL II e Le Comit de Pilotage du PDIL Le Comit de Pilotage CP du PDIL I va assurer la supervision globale de la mise en ceuvre A ce titre il pourra inclure en son sein et responsabiliser la DGE pour la supervision des aspects environnementaux et sociaux du projet e L UCP PDIL Au sein de la CN TIPPEE l UCP d j mise en place va d signer l Expert en Sauvegardes Environnementales et Sociale ESES et la Sociologue tous deux en fonction pour assurer la fonction environnementale et sociales du projet Ces experts vont servir interface entre l UCP PDIL le Comit de Pilotage et les b n ficiaires L UCP PDIL va aussi recruter des consultants bureaux d tudes pour la r alisation d ventuelles EIES pour certains micro projets du PDIL l laboration de la situation de r f rence et la mise en place d une base de donn es environnementales et sociales pour les villes cibl es la sensibilisation mobilisation et l accompagnement social des populations la formation des acteurs en g
296. ry Resettlement of people Other operating policies 4 04 Natural Habitats 4 09 pesticide management 4 11 Physical Cultural Resources 4 10 Indigenous Peoples 4 36 Forests 4 37 Safety of Dams 7 50 Projects relating to international waterways 7 60 Projects in Disputed Areas are not triggered by the project activities Specific measures are proposed in the ESMF to allow the project to be initiated in accordance with the policies The project activities may result in displacement or loss of activities the project has developed a Resettlement Policy Framework in a separate document Categories of social amenities educational classrooms municipal premises youth centers stadiums municipal have relatively minor adverse effects In contrast road works markets bus stations parks have a negative impact moderate to major Other projects school health centers etc will not have significant adverse effects Even if they can improve the environment and conditions of life these projects will contribute to the urban life degradation if accompanying provisions are not taken The ESMF provides accompanying measures to limit pollution The negative environmental and social impacts of the project will come mainly from works and excavation through human settlements that could lead to soil erosion soil and water pollution loss of vegetation tree felling the disruption of life waste from work of socio economic activities and live
297. s conventions internationales ratifi es par le pays ayant un rapport avec le projet lt lt lt 4 5 SN devra galement rappeler les dispositions pertinentes des textes nationaux et conventions internationales concern es Un volet institutionnel qui prend en compte les institutions publiques les minist res concern es La synth se des documents normatifs qui seront annex s au rapport d EIES 7 Description du projet Elle portera sur La carte de localisation Le plan de masse des infrastructures Les alternatives du projet La justification du choix de la variante technologique retenue la justification du choix de site le processus technologique et son sch ma technologique 118 les quipements leurs dates tats d acquisition neuf ou occasion et de fonctionnement les p riodes de r vision ainsi que les quipements de protection individuelle pr sentation du bureau d tude son exp rience les r f rences de l agr ment pr sentation de la soci t son exp rience dans le domaine d tude ou dans un autre 8 Pr sentation de l tat initial du projet Le rapport pr sentera les donn es biologiques et socio conomiques de la zone du projet savoir El ments biophysiques oc anographie climat g omorphologie g ologie faune et flore marines l ments socio conomiques d mographie sociologie ducation sant transport et toutes les
298. s interdire d enlever et de d placer les objets et les vestiges Les travaux doivent tre suspendus l int rieur du p rim tre de protection jusqu ce que l organisme national responsable des sites historiques et arch ologiques ait donn l autorisation de les poursuivre Mesures d abattage d arbres et de d boisement En cas de d boisement les arbres abattus doivent tre d coup s et stock s des endroits agr s par le Ma tre d uvre Les populations riveraines doivent tre inform es de la possibilit qu elles ont de pouvoir disposer de ce bois leur convenance Les arbres abattus ne doivent pas tre abandonn s sur place ni br l s ni enfuis sous les mat riaux de terrassement Approvisionnement en eau du chantier La recherche et l exploitation des points d eau sont la charge de l Entrepreneur L Entrepreneur doit s assurer que les besoins en eau du chantier ne portent pas pr judice aux sources d eau utilis es par les communaut s locales I est recommand l Entrepreneur d utiliser les services publics d eau potable autant que possible en cas de disponibilit En cas d approvisionnement en eau partir des eaux souterraines et de surface l Entrepreneur doit adresser une demande d autorisation au Minist re responsable et respecter la r glementation en vigueur 114 L eau de surface destin e la consommation humaine personnel de chantier doit tre d sinfect e par c
299. s ONGs des leaders d opinion Les proc s verbaux et les comptes rendus de ces consultations d ment sign s par toutes les parties prenantes seront annex s au rapport 11 Plan de gestion environnementale et sociale Mesures d att nuation Il comprend les l ments ci apr s les mesures d att nuation Celles ci devront tre r alistes et en rapport avec les impacts identifi s un planning d ex cution des mesures d att nuation un tableau r capitulatif pr sentera les sources d impact les mesures d att nuation et les impacts r siduels les plans d op ration interne plan d urgence 119 un Plan de gestion des risques les co ts environnementaux Ceux ci seront indiqu s en tenant compte des mesures prises pour att nuer les effets du projet sur l environnement un plan de formation et d ducation des populations un plan de gestion des d chets un plan social un plan soci tal les organes et les proc dures de suivi un plan de fermeture et de r habilitation du site le budget relatif la mise en uvre du micro projet 12 Conclusion et Recommandations Le rapport d EIES mettra en relief un certain nombre de points saillants l attention de l administration de l environnement et de l entreprise Le consultant pourrait attirer l attention de l administration et du Promoteur sur la mise en place d une cellule HSE la formation des Cadres
300. s etc e Perte de biens et de sources de revenus Avec les travaux on pourrait craindre une expropriation fonci re un d placement recasement involontaire des populations mais aussi des pertes de terres d habitations et d activit s socio conomique 70 Nuisances dues aux activit s et aux d chets de chantiers La construction des voies va induire des g nes et nuisances bruit poussi res et production de d chets de chantier qui vont indisposer surtout les ouvriers charg s des travaux les riverains les plus proches des sites seront les plus affect s Les travaux vont g n rer des d chets de gros uvre et de second uvre Les rejets anarchiques des d chets solides et liquides issus des chantiers constituent une menace qui p se sur l hygi ne et la salubrit publique Risques d accidents li s aux activit s de chantier Pendant la phase des travaux il surviendra des risques d accidents li s aux engins instruments de chantier et la pr sence de mat riaux de construction mal prot g s ou mal utilis s Le risque de chute existe pour toutes les personnes autoris es et non autoris es sur le chantier au niveau des zones de circulation troites et encombr es D veloppement de maladies au niveau des populations et des ouvriers Au plan sanitaire 11 y a des risques de transmission des IST VIH SIDA li s la pr sence d une main d uvre trang re temporaire compos e g n ralement de jeunes hommes isol s
301. s b n ficiaires en rapport avec les PFES municipalit s notamment sur la nature des travaux et les enjeux environnementaux et sociaux lors de la mise en uvre des activit s du PDIL Dans ce processus les comit s locaux les chefs de quartiers les ONG locales et autres associations de quartiers devront tre impliqu s au premier plan Une ONG avec une expertise confirm e dans ce domaine devrait tre retenue pour effectuer ces prestations Les objectifs sp cifiques de cette prestation sont de pr parer la population assurer l entretien et la gestion des infrastructures sensibiliser les femmes l action de terrain et les soutenir dans le processus de reconnaissance de leurs droits sensibiliser la population sur les aspects d hygi ne assainissement sant sensibiliser les agents municipaux concern s par l entretien des infrastructures assurer le suivi et l accompagnement des solutions mises en place assurer l interface entre les diff rents acteurs du projet population associations mairies d arrondissement entreprises et g rer les conflits organiser des s ances d information dans chacun des arrondissements cibl s organiser des assembl es populaires dans chaque arrondissement sensibiliser les m nages par le biais des animateurs locaux pr alablement form s organiser des missions de stations radio locales mettre en place des enseignes publicitaires par arrondissement et des affichages renouvel s etc L
302. s contraintes environnementales et sociales de la ville de Libreville Insuffisants des ouvrages d vacuation des eaux pluviales Probl mes de gestion des d chets solides et liquides dans certains quartiers sous int gr s Prise en charge des r seaux divers volet assainissement dans toute sa dimension Ph nom nes d rosion boulement et glissement de terrain Probl mes d inondations dans les quartiers non structur s Epuisement des r serves fonci res et atteinte des limites d extension de la Commune Absence de politique locale en mati re environnementale et sociale 19 sf PRET Branchements clandestins eaux us es sur le r seaux de dr gt N A ainage des eaux pluviales 20 B gt DE ae Occupation de l emprise par un atelier artisanal ete Syst me de r cup ration d eau de pluie en quartier sous int gr R alisations du PDIL I voie en pav d grad e Obstruction des caniveaux de drainage pluvial par les d chets 21 1 D pop toir sauvage d ordure en plein Libreville R alisations du PDIL I passerelle en quartier sous int gr 3 2 2 La commune de Lambar n Situation administrative Lambar n est le chef lieu de la province du Moyen Ogoou situ e au centre ouest du Gabon dans l h misph re sud quelques kilom tres de l Equateur Population Elle est estim e 28 554 habitants en 2012 Sel
303. s de l exploitation une attention particuli re sera port e sur les impacts environnementaux et sociaux suivants pertes d habitat naturel et de v g tation perturbation des syst mes de drainages et de cultures effets des travers es de cours d eau d placement et pertes de terres bruit perturbation sociale risques li es au VIH SIDA etc e Des check lists de Mesures d att nuation et de bonification Elles comporteront une description de chaque mesure d att nuation en indiquant notamment le type de nuisance auquel elle rem die et les conditions dans lesquelles elle est n cessaire une description de chaque mesure de bonification apte renforcer les impacts positifs des activit s du projet Processus de consultation Pour la r alisation du CGES des s ries de consultations seront organis es avec l ensemble des acteurs dans le cadre d une large d marche participative Le Consultant identifiera l ensemble des intervenants au niveau national et local qui seront consult s et entra n s dans une dynamique de participation l laboration du CGES Minist re du l Economie de l Investissement et la Prospective Minist re en charge des Infrastructures Minist re en charge des Collectivit s locales 123 Minist re en charge de l Environnement les Organisations et Associations locales ONG et tous autres services et projets impliqu s dans les questions d impact social et environnemental Le consultant val
304. s de surveillance et de suivi des proc dures de surveillance et de suivi et d tablissement de rapports L objectif du programme est i de faire en sorte de d celer rapidement les conditions qui n cessitent des mesures d att nuation particuli res et ii de fournir des renseignements sur les progr s r alis s et sur les r sultats obtenus dans le cadre de ces mesures et de d finir des indicateurs objectivement v rifiables qui peuvent servir la fois une bonne connaissance de la situation de d part pendant la mise en uvre et la fin du projet Ce plan de suivi s int grera dans le syst me de suivi et valuation du projet Le Consultant identifiera plusieurs indicateurs cl s environnementaux et sociaux qui pourront tre utilis s pour valuer les impacts du projet Sans tre exhaustif le CGES devrait au moins comprendre les points ci apr s Liste des Acronymes Sommaire R sum en frangais et en anglais Introduction contexte du projet objectifs et m thodologie de conduite du CGES Br ve description du projet et des sites potentiels de mise en ouvre Situation environnementale et sociale dans les zones du projet Cadre politique juridique en mati re d environnement Pr sentation des politiques de sauvegarde de la Banque mondiales et analyse de concordance avec la l gislation nationale Identification et valuation des impacts environnementaux et sociaux potentiels y compris des imp
305. s le Manuel d Ex cution Toutefois le pr sent document tant un CGES il est pr vu possible de r aliser des PGES sp cifiques pour certains sous projets durant de la mise en uvre du PDIL II Les TDR de ces PGES sont d crits respectivement en Annexe du pr sent CGES 1 3 M thodologie La m thodologie pr conis e pour laborer le CGES r pond la satisfaction des dispositions des termes de r f rence des exigences du projet et des objectifs de la consultation Le CGES a t r alis en concertation avec l ensemble des acteurs et partenaires concern s par le Projet les municipalit s les Minist res charg s de l Energie et de 1 Hydraulique de l Urbanisme et de I Habitat de l Environnement et des Ressources Naturelles des Travaux Publics de la D centralisation de Am nagement du territoire des Affaires sociales de la Culture les ONG et tous autres services et projets impliqu s dans les questions d impact environnemental et social en milieu urbain L tude a t conduite de fa on participative sur la base d une large consultation des diff rents partenaires afin de favoriser une compr hension commune des probl matiques notamment en milieu urbain et afin de prendre en compte les avis les pr occupations les craintes et recommandations des diff rents acteurs parmi lesquels notamment les populations urbaines des quartiers pr caires Cette d marche participative est articul e autour des
306. s ou le long des routes Absence de r seaux d adduction d eau et d lectricit dans certains quartiers Ins curit li e l absence d clairage publique dans certains quartiers Risque d accidents avec des fils des poteaux lectriques terre dans certains quartiers Occupation anarchique des terres non am nag es Erosion hydrique et d boulement de terres Les ruelles moiti pav es non achev es Construire des coles avec aires de jeu Installer des bacs ordures travers les quartiers Aider trouver des partenaires pour la construction d un cimeti re Lambar n Installer des r seaux d adduction d eau et d lectricit dans les quartiers sous int gr s et prise en charge des fils lectriques d fectueux Aider la commune 4a am nager et viabiliser des terres des fins d habitat Arr ter le ph nom ne de l rosion hydrique avec menace d boulement dans certains quartiers Achever les travaux de pavage engag s sur des ruelles Les capacit s de la commune dans la gestion environnementale et sociale des projets urbains L occupation anarchique des terres Il existe un plan d urbanisme mais les populations s ent tent elles enl vent et jettent les bornes pour s installer Aider la commune 4a am nager et assainir et a viabiliser des espaces pour habitation La gestion des conflits dans la commune Elle est comp
307. s par les activit s de pr paration et de chantiers Perturbation de la circulation pendant les travaux et des acc s riverains Occupation non autoris e de sites priv s pour les bases de chantier Perturbation des r seaux des concessionnaires eau t l phone lectricit Non utilisation de la main d uvre locale l exploitation des carri res R aliser des ralentisseurs et installer des panneaux de limitation de vitesse Coordonner avec les concessionnaires de r seaux pour limiter la g ne par une r fection rapide Augmentation des risques d accidents de la Mener des campagnes d information et de circulation AR A sensibilisation Exploitation Augmentation des conditions d coulement des eaux le drai luvial d ploitatio ssurer le drainage pluvial des voies pluviales le long de la voirie urbaine D gradation pr matur e mauvaise ex cution et Mettre en place un syst me de nettoiement salissures dues une absence d entretien communautaire Tableau 15 Mesures d att nuation sp cifiques coles Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation e Pollutions et nuisances lors des travaux pendant l ann e e Pr voir une plantation et un mur de Construction scolaire d chets bruit etc cl ture e Non utilisation de la main d uvre locale e Pr voir des points d eau et des blocs e Absence de mesures d accompagnement quipeme
308. s potentiels sp cifiques des travaux de pavages des 74 Tableau 5 Impacts n gatifs sp cifiques de la construction des coles 74 Tableau 6 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques de la construction des centres de sante 74 Tableau 7 Impacts n gatifs potentiels du projet de march s et gares routi res 75 Tableau 8 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques des ouvrages de drainage pluvial 75 Tableau 9 Impacts n gatifs potentiels sp cifiques de la r habilitation de canalisation d eau potable75 Tableau 10 Impacts n gatifs potentiels des travaux de r seaux lectriqUes 75 Tableau 11 Impacts n gatifs potentiels des travaux de lutte contre les rosions 76 Tableau 12 Synth se de l appr ciation des impacts potentiels des sous composantes 76 Tableau 13 Mesures d att nuation g n rales pour l ex cution de tous les sous projets 77 Tableau 14 Mesures d att nuation sp cifiques des impacts de la r habilitation de la voirie 77 Tableau 15 Mesures d att nuation sp cifiques coles ccicciiicciicciiccciicciccceciceeccceee 78 Tableau 16 Mesures d att nuation des impacts des centres de sant 78 Tableau 17 Mesures d att nuation des impacts n gatifs potentiels de march s et gares routi res 79 Tablea
309. s sites d importance culturelle religieuse ou historique pr s du site de projet Si Oui s inspirer des mesures ad quates d att nuation d crite dans le paragraphe 7 3 Nota la liste de contr le environnemental et social doit aider aussi mieux appr cier les r sultats issus de l analyse du formulaire de s lection environnementale et sociale d fini en Annexe 1 ci dessus 108 Annexe 3 Clauses environnementales et sociales ins rer dans les DAO et les march s de travaux a Dispositions pr alables pour l ex cution des travaux Respect des lois et r glementations nationales L Entrepreneur et ses sous traitants doivent conna tre respecter et appliquer les 1015 et r glements en vigueur dans le pays et relatifs l environnement l limination des d chets solides et liquides aux normes de rejet et de bruit aux heures de travail etc prendre toutes les mesures appropri es en vue de minimiser les atteintes l environnement assumer la responsabilit de toute r clamation li e au non respect de l environnement Permis et autorisations avant les travaux Toute r alisation de travaux doit faire l objet d une proc dure pr alable d information et d autorisations administratives Avant de commencer les travaux l Entrepreneur doit se procurer tous les permis n cessaires pour la r alisation des travaux pr vus dans le contrat du projet routier autorisations d livr s
310. sards fond perdu et de fosses septiques 23 Agriculture L agriculture traditionnelle se pratique aussi en p riph rie de la ville et concerne la banane plantain le manioc le taro l igname la patate douce etc C est plus une agriculture de subsistance pratiqu e g n ralement par les femmes Commerce La ville de Lambar n se caract rise par sa situation de carrefour mi chemin entre Libreville Port Gentil et l arri re pays Une situation qui lui conf re un potentiel non n gligeable pour les activit s commerciales La ville dispose au total de trois march s dont le grand march communal Lalala sur l le un march d arrondissement Adouma sur la rive droite et un autre Petit pari 2 sur la rive gauche Activit s industrielles et mini res le secteur industriel Lambar n est embryonnaire et compos principalement par l huilerie de SIAT qui s occupe du raffinage de l huile rouge issue de Makouk Les scieries repr sentent la deuxi me unit industrielle de Lambar n La ville compte quatre principales usines de transformation du bois d roulage sciage SAFOR Industries Sunly Ilf Industries Bordamur IFL Gabon Rimbunan Hijau la p riph rie de la ville L industrie du bois reste le deuxi me employeur emploi salarial apr s l administration c t de ces usines on note la pr sence de l unit de production de gravier de mitonn par SOGEA Artisanat Le secteur du b time
311. se en Faire une identification vuln rables charge des personnes objective et rigoureuse des vuln rables dans le cadre du personnes vuln rables afin de projet prendre des mesures Orphelin 4 vieillards soutenues personnes sans revenus femmes chef de m nage sans soutien handicap s Les besoins en D faut de formation des agents Former les services renforcement de locaux en gestion techniques gestion capacit s environnementale et sociale environnementale et sociale Synth se des perceptions sur le Projet Dans le cadre du PDIL1 a b n fici des infrastructures et les femmes de certaines commodit s Le projet est bien appr ci mais il ne s est pas poursuivi Nous attendons le retour effectif du projet avec gaiet de c ur Synth se des pr occupations et craintes Absence de gestion des infrastructures du PDIL1 non encore livr es D ficit d adduction d eau et d lectricit dans certains quartiers et l clairage public Manque de mat riels lourds dans la commune engins tracteurs bulldozer etc Faiblesse des capacit s en mati re de gestion environnementale et social et en r installation de populations D faillances dans les travaux une buse mal faite au quartier Pambou elle est trop basse Manque d entretien des r seaux de drainage des eaux de ruissellement Inondations de certains quartiers D versement anarchique des ordures dans les conduits d eaux 134 Risque
312. stion environnementale et sociale et de moyens logistique L implication dans le suivi de la mise en uvre Tr s peu de collaboration avec les services Impliquer les travaux publics TP Am nagement du territoire Eaux et For ts Affaires sociales etc Elaborer les projets prioritaires en collaboration avec les communes Textes sur le foncier L am nagement pr alable des zones d habitation Cependant il y a suffisamment de r serves fonci res Am nager et lotir les zones d habitation avant leur occupation par les populations Proc dure en mati re d expropriation L occupation anarchique des terres Il faut que les populations r gularisent leurs situations fonci res 131 M canisme de gestion des conflits fonciers La r gularisation par les populations de leurs situations fonci re Inciter les populations r gulariser leurs situations fonci res Capacit s et r les dans la gestion environnementale et sociale Le Cadastre ne dispose pas de moyens financiers ni logistiques sont les Agences qui font tout Nous sommes bloqu s cause de l insuffisance des moyens Insuffisance des moyens de la direction provinciale Appuyer la direction en moyens mat riels techniques et financiers Synth se des perceptions du Projet Nous sommes heureux de recevoir le PDIL2 car c est un projet d une grande port e sociale qui a suscit
313. sumer la d centralisation 2 2 Pr sentation sp cifiques du Projet De fa on sp cifique le Projet se propose d appuyer les efforts du Gouvernement visant i am liorer la qualit des quipements et micro quipements d accessibilit et de mobilit urbaine ii am liorer les capacit s techniques et financi res des PME programmer r aliser et g rer des chantiers de B timent et Travaux Publics BTP iii am liorer les capacit s techniques financi res et institutionnelles des PME programmer r aliser et g rer des infrastructures et services et iv financer des infrastructures et quipements socio conomiques dans les villes ligibles du Projet Certaines activit s qui seront financ es dans le cadre du projet notamment celles relatives la construction d infrastructures pourraient avoir des effets n gatifs sur le milieu environnemental et social et exiger ainsi l application des directives op rationnelles de protection environnementale et sociale C est donc dans ce contexte que le pr sent Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES t pr par pour faire en sorte que les pr occupations environnementales et sociales des activit s du projet soient bien prises en compte depuis la planification jusqu la mise en uvre et le suivi valuation 2 3 Composantes du Projet Le Projet comprend trois 03 composantes principales Composante 1 80 millions US Infrastructures et servic
314. sures environnementales et sociales et respecter les directives et autres prescriptions environnementales contenues dans les march s de travaux et les DAO Les Bureaux d tudes et de contr le Ils doivent assurer le contr le de l effectivit et de l efficience de l ex cution des mesures environnementales et sociales et du respect des directives et autres prescriptions environnementales contenues dans les march s de travaux 96 Tableau 27 Institutions responsables de la mise en uvre Mesures Domaines d intervention Responsable Ex cution Contr le Supervision et suivi Mesures Mesures d att nuations g n rales et Entreprises Bureaux de CPet DGE d att nuation sp cifiques des impacts n gatifs des Contr les ESES PDIL II travaux de construction et de PFES municipalit s r habilitation Comit s locaux Mesures de remise en tat des carri res Mesures de gestion des d chets de chantier mesures de s curit etc Mesures de repli nettoyage des chantiers Etudes mesures R alisation de EIES NIES Consultant ESES PDIL II CP et DGE compl mentaires revue priori par la Banque mondiale Provision pour la mise en uvre des ESES PDIL UCP PDIL II CP et DGE mesures issues des EIES NIES Il PFES municipalit s Comit s locaux Plantation d arbres et am nagement Entreprises Bureaux de CPet DGE paysagers Contr les ESES PDIL II PFES municipalit s Comit s locau
315. t iii perte de sources de revenus ou de moyens d existence ind pendamment du fait que les personnes affect es doivent rejoindre un autre emplacement La construction d infrastructures urbaines pourrait occasionner une r installation pertes de biens et d actifs c est pourquoi le projet a labor un Cadre de Politique pour de R installation CPR en document s par pour tre conforme avec cette politique 4 4 2 Conclusion Les activit s qui d clenchent les politiques sus indiqu es doivent tre consid r es par le projet Ainsi un Cadre de Politique de R installation des Populations CPR a t labor en document s par pour prendre en compte les exigences de la PO PB 4 12 Quant la PO PB 4 11 Patrimoine culturel le respect des proc dures en cas de d couverte chance finds permettra d tre en conformit avec cette politique Les politiques op rationnelles restantes ne sont pas d clench es par le projet 58 5 CONSULTATIONS PUBLIQUES 5 1 Objectifs des consultations du public L objectif g n ral des consultations du public est d assurer la participation des populations au processus de planification des actions du projet et la prise en compte de leurs avis dans le processus d cisionnel Il s agit plus exactement e d informer les populations sur le projet et ses activit s e de permettre aux populations de se prononcer d mettre leur avis sur le projet e d identifier et de recueilli
316. t il est pr sent une analyse succincte des Politiques de Sauvegarde qui indique la conformit du PDIL IT et des activit s pr vues avec lesdites Politiques Il faut souligner que les Politiques de Sauvegarde de la Banque mondiale concernent la fois la gestion des ressources naturelles et les aspects sociaux C est pourquoi le Cadre de Gestion Environnementale et Sociale CGES s est galement focalis e sur ces questions relatives l environnement du cadre de vie aux ressources naturelles et au cadre socio conomique Les politiques de sauvegarde environnementale et sociale de la Banque Mondiale comprennent la fois les Politiques Op rationnelles OP les Directives Op rationnelles DO et les Proc dures de la Banque PB Les politiques de sauvegarde environnementale et sociale sont les suivantes e 4 01 valuation environnementale e 4 04 Habitats naturels 57 PO 4 09 Gestion des Pesticides PO 4 11 Ressources Culturelles Physiques PO PB 4 12 R installation involontaire PO PB 4 10 Populations autochtones PO PB 4 36 For ts PO PB 4 37 S curit des barrages PO PB 7 50 Projets affectant les eaux internationales PO PB 7 60 Projets en zones contest es Les politiques de sauvegarde environnementale et sociale qui peuvent s appliquer au projet sont la PO PB 4 01 Evaluation Environnementale la PO PB 4 11 Ressources Culturelles Physiques la PO PB 4 12 R installation Involontaire L
317. t s de gestion et de maintenance des infrastructures urbaines Renforcer les moyens humains services techniques municipaux de la commune Renforcer les quipements de la commune notamment en mati re de gestion des ordures et d entretien des ouvrages Renforcer les capacit s techniques de la commune en gestion environnementale et sociale Renforcer les moyens logistiques mat riels et les quipements de Commune et des Mairies d arrondissement R habiliter les infrastructures existantes dispensaires coles lavoirs abris bus etc et construire des cases communautaires dans les quartiers Impliquer les Chefs de quartiers et les groupements d int r t communautaire dans le suivi et la maintenance des infrastructures M canismes locaux des conflits dans la commune Les m canismes locaux de gestion des conflits font intervenir les niveaux suivants progressivement jusqu r solution du probl me et satisfaction des diff rentes parties concern es chef de quartier Maire d arrondissement Maire de Ville Cadastre Tribunal Informer et sensibiliser les populations sur les textes r glementaires en vue de leur application conforme Personnes vuln rables Ce sont les personnes conomiquement faibles personnes handicap es veuves orphelins etc Identifier les personnes vuln rables en fonction des zones d intervention et en cas de d placements ou de pertes d actifs les a
318. tc e rencontres avec les lus locaux au niveau des communes b n ficiaires Maires de Ville Maires d arrondissement Conseillers municipaux Conseillers techniques Chef de Quartier ONG OCB organisations de jeunes et de femmes etc e rencontres institutionnelles au niveau local avec les services provinciaux de l administration d concentr e e visites de terrain et des sites d intervention des sous composantes voiries 59 D une mani re g n rale les populations urbaines sont conscientes que l habitat insalubre est facteur de mauvaise sant de d gradation du cadre de vie et de pollution nuisances de l environnement Pour l essentiel les acteurs et b n ficiaires des infrastructures et quipements r aliser voirie drainage coles r seaux lectriques adduction d eau potable centres de sant march s et quipements collectifs lutte contre les rosions etc ont globalement appr ci le projet dans ses objectifs d am lioration du cadre et des conditions de vie des populations des quartiers pr caires des 9 capitales provinciales du pays En effet toutes les cat gories d acteurs rencontr s aussi bien dans le cadre des consultations publiques que pour les rencontres institutionnelles affirment que PDIL est un bon projet qui rencontre l adh sion totale des populations b n ficiaires En effet les r alisations de la premi re phase ont t globalement bien appr ci es par tous m me si d
319. tement les inondations sources de d veloppement et de propagation de maladies hydriques et celles dues aux insectes vecteurs moustiques etc de d t rioration des conditions de vie des populations et de pertes de biens d viter la pollution de la nappe et autres sources d eau par les eaux us es etc Adductions d eau potable Dans le cadre de la politique de g n ralisation de l eau potable l ensemble des citoyens et notamment des populations faible revenu le projet pr voit l extension du r seau d adduction d eau afin de permettre aux populations urbaines de b n ficier de branchements en eau des co ts incitatifs Les branchements sociaux repr sentent une strat gie visant am liorer l acc s des plus d munis une eau de qualit ce qui offre une alternative l installation de bornes fontaines publiques mal g r es source de gaspillage d eau les branchements sociaux permettront galement d am liorer la p nibilit des travaux f minins domestiques et d engendrer un gain de temps par la r duction du temps passer la borne fontaine 67 R seaux lectriques La pr sence de l lectricit dans les activit s du Projet permet le renforcement de la s curit dans les communes par la baisse des agressions des accidents d lectrocution li s aux branchements anarchiques sur le r seau le d veloppement d activit s nocturnes et notamment les activit s commerciales augmenta
320. temental tr s irr gulier surtout dans le d partement de l Ivindo Elle reste li e aux saisons Les activit s commerciales Makokou tournent autour des trois 3 march s le march central celui de Mbolo et enfin celui de Zouatab D autres activit s commerciales sont men es en dehors de ces march s par les commer ants mauritaniens tchadiens maliens et camerounais et d autres m caniciens tailleurs ferrailleurs et autres d taillants de produits agricoles et de premi re n cessit 31 Dans le domaine du tourisme H tel Ivindo et 8 motels se partagent les capacit d h bergement de la ville de Makokou Alimentation en eau et lectricit En ce qui concerne l acc s l eau et l lectricit les trois quarts 3 4 des m nages sont fournis par la SEEG et les quartiers am nag s disposent d clairage public Les quartiers p riph riques sont d pourvus d eau et d lectricit et n ont pas d clairage public Habitat L habitat est regroup le long des axes routiers ce niveau les constructions modernes sont tr s rares G n ralement les maisons sont en terre battue en planche et recouverte de t le ou de paille La ville de Makokou abrite trois 3 soci t s dans l activit bois un 1 parc bois et deux 2 usines de transformation Il n y pas de banques classiques Makokou y a un service de poste Contraintes environnementales et sociales de la ville de Makoko
321. tenir Libreville Lambar n Makokou Port Gentil Oyem ou Franceville La proposition de Franceville est justifi e par son caract re atypique et sa sensibilit environnementale et sociale assez particuli re tendu relief v g tation habitat rosion etc et qui influent sur les m canismes d entretien et de maintenance des ouvrages e La prise en compte dans la pr sentation des tudes des communes d Owendo et d Akanda pour arriver au total 8 communes sur 11 au lieu de 6 villes sur 9 e n cessit de saisir les services d concentr s d faut de renseignement convenable des fiches de profit aupr s des Mairies souvent confront es des difficult s d expertise e La mise disposition des consultants progressivement de la liste des quartiers visiter Concernant la dur e de la mission par rapport au contrat il est retenu d examiner la question avec le Consultant principal Liste de pr sence N Pr nom et Nom Structure Fonction T l phone Adresse E mail 1 Clair MBOUROU Consultant environnementaliste 07 589213 clairmbourou yahoo fr Val rie Tsassa NZENGUI Consultante appui CNTIPPEE 07 65 19 43 tsassa2001 yahoo fr 2 3 Yves EWOMBA JOCKTANE CNTIPPEE Charg de projet 05 190408 jewomba cntippee org 4 Michel Auguste BUSAMBA Expert Personne ressource 05 190410 busanba yahoo com Mohamadou Lamine Faye Socio conomiste Env
322. tentiels et de bonification des impacts positifs Le pr sent chapitre comprend i des listes de simples mesures d att nuation pour viter ou r duire les impacts n gatifs mais aussi ii de bonification des impacts positifs potentiels lors de la mise en uvre des micro projets du PDIL IT iii des Clauses environnementales et sociales int grer lors des travaux 6 3 1 Listes des mesures d att nuation applicables Suivant les r sultats de la s lection et de la classification des micro projets certaines activit s du PDIL II pourraient faire l objet d un Plan de Gestion Environnementale et Sociale PGES avant tout d marrage ou d un Plan d Action pour la R installation PAR en cas de d placements involontaires d localisation de personnes pertes de biens etc Ces tudes environnementales et sociales d termineront plus pr cis ment pour chaque sous composante la nature des mesures appliquer En cas de non n cessit d laborer de telles tudes de simples mesures environnementales et sociales r aliser aussi bien lors de la phase de construction qu en p riode d exploitation pourront tre appliqu es suivant les listes de mesures propos es ci dessous Les listes de mesures suivantes sont propos es pour att nuer les impacts n gatifs identifi s Tableau 13 Mesures d att nuation g n rales pour l ex cution de tous les sous projets Impacts n gatifs potentiels
323. tes le sable le ciment et les autres mat riaux fins doivent tre contenus herm tiquement durant le transport afin d viter l envol de poussi re et le d versement en cours de transport Les mat riaux contenant des particules fines doivent tre recouverts d une b che fix e solidement L Entrepreneur doit prendre des protections sp ciales filets b ches contre les risques de projections manations et chutes d objets L Entrepreneur peut am nager des zones secondaires pour le stationnement des engins qui ne sont pas autoris s stationner sur la voie publique en dehors des heures de travail et de l emprise des chantiers Ces zones peuvent comporter galement un espace permettant les travaux de soudure d assemblage de petit usinage et de petit entretien d engins Ces zones ne pourront pas stocker des hydrocarbures Tout stockage de quelque nature que ce soit est formellement interdit dans l environnement imm diat en dehors des emprises de chantiers et des zones pr d finies Mesures pour la circulation des engins de chantier Seuls les mat riels strictement indispensables sont tol r s sur le chantier En dehors des acc s des lieux de passage d sign s et des aires de travail il est interdit de circuler avec des engins de chantier L Entrepreneur doit s assurer de la limitation de vitesse pour tous ses v hicules circulant sur la voie publique avec un maximum de 60 km h en rase campagne et 40 km h au niv
324. tes municipales Cette composante aura cinq sous composantes l appui au renforcement des capacit s pour les municipalit s participantes dans la gestion financi re la collecte des recettes les achats et la planification urbaine le renforcement des capacit s et des efforts pour impliquer d autres parties prenantes du projet dans les communes cibl es y compris les organisations communautaires les ONG pour am liorer la gouvernance locale l appui au renforcement des capacit s des entit s du gouvernement central impliqu es dans la gestion urbaine en termes de formation d assistance technique et la contribution limit e l quipement et des biens etc la formation et le soutien au renforcement des capacit s pour le secteur priv surtout pour les PME impliqu es dans la mise en uvre du projet la campagne de communication men e avec les ONG locales pour les informer et les inciter adopter l approche participative d finir dans le contexte du projet Composante 3 5 millions US Gestion Coordination Suivi et Evaluation Cette composante financera les co ts de gestion du projet audits suivi et valuation des activit s du projet la formation et les co ts de la surveillance des mesures de protection de l environnement 16 3 CADRE BIOPHYSIQUE ET SOCIOECONOMIQUE DU PAYS 3 1 Br ve pr sentation du pays Le Gabon est un Etat de l Afrique centrale qui est situ dans le golfe de Guin e et cheval sur l
325. tes du pays avec plus de 1500 heures Cette r gion de l estuaire est caract ris e par une pluviom trie tr s importante 2000 3800mm avec 170 200 jours de pluie Relief La ville de Libreville fait partie de l ensemble du socle arch en de nature cristalline et cristallophyllienne Cours d eau Parmi les cours d eau les plus connus Libreville on peut citer l Arambo la Nomba Batav a A l origine la ville tait sur une bordure c ti re qui s enfonce plus de 10km vers les terres Population Libreville a toujours t la ville la plus peupl e du Gabon Sa population est estim e 797 003 habitants en 2012 Libreville est la localit d origine des populations Mpongw Benga et S kiani du groupe linguistique Omi n C est aussi un p le d attraction par rapport l exode des jeunes Les sources des donn es indiqu es ci dessous sont fournies dans les r f rences bibliographiques en annexe 17 Habitat Libreville abrite tous les minist res les si ges des banques du pays de certaines grandes entreprises Le centre ville abrite des immeubles usages administratifs commerciaux r sidentiels et les quartiers d habitation Dans les quartiers p riph riques l habitat est compos de maisons en planches t les parpaings tuiles et bois travaill de villas d immeubles d habitation et de b timents administratifs Activit s conomiques Agriculture En zone p riurbaine est prat
326. tes les recommandations formul es ci dessus ont t prises en compte aux niveaux suivants 1 dans les listes des mesures d att nuation 11 dans la proc dure de s lection environnementale et sociale iii dans les programmes de renforcement des capacit s formation et sensibilisation et iv dans le plan de suivi et les arrangements institutionnels de mise en uvre et de suivi Photos des consultations publiques et des rencontres institutionnelles Rencontre la Pr fecture de Port Gentil Rencontre la Mairie de Port Gentil Les populations en action de remblaie dans un quartier du 4 Arrondissement Entretien avec le Maire D te Consultation publique la Mairie de Franceville lus locaux chefs de quartiers et services techniques 62 Consultation publique Makokou tenu Libreville le 9 juillet 2015 63 5 7 Plan de consultation pour la mise en uvre du PDIL II 5 7 1 Contexte et Objectif du Plan de consultation Le Plan cadre de consultation publique ambitionne d assurer l acceptabilit sociale du projet l chelle communautaire en mettant tous les acteurs dans un r seau de partage de l information aussi bien sur l environnement que sur le projet proprement dit Le plan ambitionne d amener les acteurs avoir l chelle des collectivit s une vision commu
327. tiers L Entrepreneur doit respecter les normes d entretien des engins de chantiers et des v hicules et effectuer le ravitaillement en carburant et lubrifiant dans un lieu d sign cet effet Sur le site une provision de mati res absorbantes et d isolants coussins feuilles boudins et fibre de tourbe ainsi que des r cipients tanches bien identifi s destin s recevoir les r sidus p troliers et les d chets doivent tre pr sents L Entrepreneur doit ex cuter sous surveillance constante toute manipulation de carburant d huile ou d autres produits contaminants y compris le transvasement afin d viter le d versement L Entrepreneur doit recueillir traiter ou recycler tous les r sidus p troliers les huiles usag es et les d chets produits lors des activit s d entretien ou de r paration de la machinerie lui est interdit de les rejeter dans l environnement ou sur le site du chantier L Entrepreneur doit effecteur les vidanges dans des f ts tanches et conserver les huiles usag es pour les remettre au fournisseur recyclage ou aux populations locales pour d autres usages Les pi ces de rechange usag es doivent tre envoy es la d charge publique Les aires de lavage et d entretien d engins doivent tre b tonn es et pourvues d un ouvrage de r cup ration des huiles et graisses avec une pente orient e de mani re viter l coulement des produits polluants vers les sols non rev tus Les b tonni
328. tiers p riph riques sous int gr s avec des raccordements anarchiques au r seau Drainage pluvial Le r seau de drainage des eaux pluviales est observable sur les principales voies butin es de la ville d Oyem L absence de canalisation dans les quartiers sous int gr s favorise le ph nom ne d rosion A cela s ajoute l obstruction des voies d eau cause de l occupation anarchique de l espace par les populations ce qui explique la stagnation des eaux rendant difficile l accessibilit dans ces quartiers Assainissement d chets solides et liquides Le r seau d assainissement est relativement faible et se limite dans centre ville et quartiers avoisinant En mati re de gestion des d chets le syst me pr sente beaucoup d insuffisance et la Mairie ne dispose pas de moyens pour assurer une gestion ad quate Activit s conomiques Les principales activit s conomiques pratiqu es dans la ville sont l agriculture la p che l exploitation foresti re le commerce le tourisme l extraction mini re et l artisanat La ville d Oyem est essentiellement agricole Les principales sp culations qu on y cultive sont la banane douce et plantain le manioc l arachide le taro la tomate etc C est g n ralement une agriculture de subsistance qui occupe principalement les femmes 47 La p che est pratiqu e l image de toute la province au niveau des tangs dans certains quartiers de la ville Au p
329. tion des eaux et sur les bonnes pratiques en mati re d utilisation des points d eau 79 S assurer une participation et une organisation suffisantes de la communaut pour que la planification et la gestion du syst me d approvisionnement en eau soient efficaces et que la distribution de l eau soit quitable Assurer la surveillance autour des captages Discuter et d finir de fa on concert e le syst me de redevances des bornes fontaines Tableau 19 Mesures d att nuation sp cifiques des impacts des ouvrages de drainage pluvial Phase Impacts n gatifs potentiels Mesures d att nuation Construction e G n ration de d blais au cours de la e Am nager des voies d acc s devant chaque habitation au r alisation des tranch es moins tous les 50 m e G nes et nuisances du fait des activit s e Am nager des voies d acc s temporaires vers les de chantiers bruits et vibration habitations riveraines lors travaux e Risque de perturbation d activit s e Proc der l enl vement et vacuation des d chets r sidus conomiques le long de l emprise de curage et d blais vers les lieux autoris s par la mairie e Risque de destruction de cl tures de centrale maisons situ es dans l emprise e Perturbation obstruction des voies de circulation pendant la r alisation des tranch es e Risques d accidents lors des travaux mauvaise signalisation des fouilles e ut
330. tion des revenus et culturelles La pr sence d nergie lectrique dans les habitations permettra d am liorer les conditions de vie sant s curit utilisation des quipements lectrom nagers tout en r duisant les risques d incendies dus l utilisation des bougies ou de lampes p trole Les travaux pr vus dans ce domaine permettront aussi d utiliser la main d uvre locale 6 1 5 Impacts positifs de la lutte contre les facteurs de d gradation du cadre de vie Lutte contre les rosions Les travaux de stabilisation concernant la lutte contre les rosions vont permettre de consolider et de prot ger plusieurs habitations menac es d effondrement Les populations victimes de ces rosions vivent dans la hantise de voir s crouler leurs habitations tout moment surtout pendant la saison des pluies Avec le projet les op rations de stabilisation des sols berges bassins versant etc contribueront la viabilisation de certaines zones pr caires situ es dans les quartiers sous int gr s 6 1 6 Impacts positifs de l appui institutionnel et du renforcement des capacit s Le PDIL II a pr vu des mesures d am lioration des capacit s des services techniques municipaux et des services d concentr s des prestataires priv s et des autres acteurs en mati re de gestion urbaine et en suivi environnemental et social des activit s Appui institutionnel et renforcement des capacit s des villes cibl es par le P
331. tion sur le projet Je connais bien l volution du PDIL pour avoir t l un des premiers le recevoir Le projet a bien volu mais il n est pas all terme Ailleurs au Benin au Togo au Mali ce genre de projet est all de bout en bout C est un projet tr s porteur surtout en am nagement routier en adduction d eau potable et en lectricit Intrusion des politiques dans le projet La lenteur dans l ex cution du projet Le bilan du PDIL 1 a t il t fait Eviter des politiques dans le projet Eviter les lourdeurs administratives dans la mise en place et l ex cution du projet Travailler avec les techniciens les professionnels locaux qui connaissent mieux le terrain Capacit s des communes dans la gestion de projet Autonomisation des communes par la dotation en mat riels Autonomiser les communes en mettant leur disposition le mat riel la logistique n cessaire Capacit s et r les dans la gestion environnementale et sociale Pas de mat riels de logistique si un arbre tombait par exemple sur la route je n ai m me pas de tron onneuse pour lib rer la voie Nous n avons ni politique ni expert environnemental Renforcement de capacit s en gestion environnementale et sociale Doter les Travaux publics d quipements lui permettant d accomplir correctement sa mission Doter le service des capacit s en ge
332. tivit pour voir si ou non un travail environnemental et ou social est requis La l gislation environnementale Gabonaise n a pas tabli une classification environnementale des projets et sous projets Aussi pour tre en conformit avec les exigences de la Banque mondiale notamment 4 01 les trois cat gories suivantes sont propos es Cat gorie A Projet avec risque environnemental et social majeur certain Cat gorie Projet avec risque environnemental et social majeur possible ou risques mineurs cumulatifs de multiples sous projets Cat gorie C Projet sans impacts significatifs sur l environnement La validation de la s lection environnementale et sociale est assur e par la Direction G n rale de l Environnement DGE 85 Toutefois il faut souligner que le PDIL a t class en cat gorie B Sous ce rapport aucune activit de cat gorie issue du processus de s lection ne sera financ e dans le cadre du projet La cat gorie veut dire que leurs impacts environnementaux n gatifs potentiels sur les populations humaines ou les zones d importance cologique sont sp cifiques pour un site et peuvent tre att nu s dans l imm diat Les activit s du projet class es comme n cessiteront un travail environnemental soit l application de mesures d att nuation simples ou soit la pr paration d une EIES simplifi e La cat gorie indique que les impacts e
333. tour du Cadastre si c est un conflit foncier Si le Cadastre tranche il renvoie le dossier au Maire qui convoque nouveau les mis en cause pour boucler le conflit Les conflits arrivent tr s rarement devant le juge Risque d immixtion de la politique dans le projet La discrimination dans le choix des comp tences Risque de d tournement des objectifs du projet En cas de conflit favoriser la solution l amiable autour du chef de quartier ou du Maire Eviter l immixtion de la politique dans le projet Favoriser l expertise locale et la soci t civile sans discrimination Eviter le d tournement des objectifs du projet Les personnes class es comme vuln rables Les personnes abandonn es orphelin total vieillards personnes sans revenus Faire une identification objective et rigoureuse des personnes vuln rables dans le 133 femmes chef de m nage sans soutien handicap s Identification et prise en charge des personnes vuln rables cadre du projet Prendre des mesures particuli res et soutenues l endroit des personnes vuln rables de la commune Les besoins en renforcement de capacit s La formation et le renforcement de capacit s en gestion environnementale et sociale Former les services techniques provinciaux de Mouila en gestion environnementale et sociale Le genre dans la gestion des projets urbains D une mani re g n rale les hom
334. tration d l ments polluants en cas de baisse de pression au niveau des joints d fectueux ou mal faits effet de succion Tableau 10 Impacts n gatifs potentiels des travaux de r seaux lectriques Phase Impacts n gatifs potentiels Construction Abattage d arbres pour lib rer les emprises des r seaux lectriques et g n ration de d chets v g taux G n ration de d blais d excavation des sols lors de la r alisation du c blage Difficult s de circulation des v hicules non motoris s dans les emprises en raison des droits de passage insuffisants ou entrav s 75 e Densification temporaire des ruelles et inaccessibilit de certains quartiers du fait de la circulation pendant les travaux Bruits vibrations et missions de poussi re lors des travaux e Risques d accidents li s aux travaux D sagr ments li s l absence de campagnes d information sensibilisation et d un plan de d viation de la circulation e Risques d accidents lectrocution lorsque les fils lectriques sont terre e Risques d lectrocution et de collision avec les objets en mouvement e Modification du paysage urbain coupure de la vision par les lignes a riennes e Augmentation des besoins de la consommation nerg tique e Pression sur les ressources nerg tiques e Accroissement des charges des communes hausse de facture d lectricit
335. triels pr par s par la Cellule de Coordination du Projet CCP Le CP comprend les repr sentants des institutions suivantes Le Ministre en charge de l conomie ou son repr sentant Pr sident Le Ministre en charge de l int rieur Vice pr sident La Pr sidence de la R publique Membre Le Minist re en charge de l conomie Membre Le Minist re en charge de la pauvret Membre Le Minist re en charge du Budget Membre Le Minist re en charge de l Environnement Membre Le Minist re en charge de l Int rieur de la S curit Publique de l Immigration et de la D centralisation Membre Le Minist re en charge des PME PMI Membre Le Minist re en charge de la ville L association des Maires du Gabon 2 Membres La CNTIPPEE Secr taire de session Le Comit de pilotage se r unira au moins une fois par trimestre ou plus souvent si n cessaire et sera appuy dans toutes ses fonctions par l Unit de Gestion du Projet UGP la CNTIPPEE La Commission Nationale des TIPPEE a t cr e par d cret n 000007 PR MPPD du 6 janvier 2006 portant cr ation organisation et fonctionnement Elle est sous la tutelle du Minist re en charge de P Economie 56 4 3 3 Capacit s de gestion environnementale et sociale et besoins en renforcement Evaluation des capacit s de gestion environnementale et sociale L analyse de la gestion environnementale tir e des programmes ant rieurement ex
336. ts et de vibrations encombrement urbain ins curit et risque d accident perturbation de la circulation perturbation de la fourniture d eau et d lectricit etc En phase d exploitation les difficult s de mobilisation des ressources financi res humaines et mat rielles pourraient entra ner le manque d entretien de la voirie et sa d gradation pr matur e Impacts n gatifs potentiels des infrastructures de services communautaires de base Impacts n gatifs potentiels sur les coles Le non respect des normes pour le choix des sites peut avoir des cons quences n gatives en termes de fr quentation scolaire surtout pour les jeunes filles en cas d loignement par rapport aux habitations Aussi le choix du site d implantation des classes peut porter sur une zone risque terrains inondables ou comportant des risques de glissements d charges d saffect es bordures de route grande circulation etc ce qui va augmenter les risques d accident les retards dans la scolarit des enfants en cas d inondation etc En phase de fonctionnement les coles vont devenir des lieux de g n ration de quantit s importantes d ordures m nag res ventes d aliments papiers provenant des activit s scolaires etc ce qui peut contribuer la pollution de l environnement L cole constitue un regroupement d une population particuli rement vuln rable certaines affections Si des mesures ad quates d hygi ne et d entr
337. tte augmentation de l Hypertension art rielle et le diab te sont provoqu es la mauvaise hygi ne alimentaire le stress L incidence lev e des IST et la pr valence lev du VIH SIDA 8 1 sont dues la pauvret les m urs tabou id es pr con ues la faible utilisation des moyens de contraception et la pr cocit des rapports sexuels Bien que n tant pas une pathologie les grossesses pr coces environ 523 grossesses pr coces chez les jeunes filles et les adolescentes en 2011 dont l ge varie entre 9 15 ans constituent un r el probl me de sant publique D une mani re g n rale les infrastructures du secteur public souffrent de nombreux dysfonctionnements insuffisance et v tust de locaux accessibilit difficile aux soins due loignement et au mauvais tat des voies d acc s Activit s conomiques Dans un contexte de crise mondiale le Gabon n est pas rest en marge car une baisse de l activit conomique se fait ressentir depuis ces derni res d cennies dans la Commune de Port Gentil poumon de l conomie Gabonaise L agriculture ce secteur est peu d velopp Port Gentil du fait des conditions peu favorables du sol inondations nappe phr atique moins de m En dehors d AGRIPOG qui pratiquait la culture hors sol avec des r sultats mitig s quelques petits mara chers se sont install s dans certaines zones libres de la ville En 2010 ils taient une quarantain
338. tumes des populations de la r gion o sont effectu s les travaux et sur les risques des IST et du VIH SIDA Emploi de la main d uvre locale L Entrepreneur est tenu d engager en dehors de son personnel cadre technique le plus de main d ceuvre possible dans la zone ot les travaux sont r alis s A d faut de trouver le personnel qualifi sur place il est autoris d engager la main d uvre l ext rieur de la zone de travail Respect des horaires de travail L Entrepreneur doit s assurer que les horaires de travail respectent les lois et reglements nationaux en vigueur Toute d rogation est soumise l approbation du Maitre d ceuvre Dans la mesure du possible sauf en cas d exception accord par le Maitre d ceuvre l Entrepreneur doit viter d ex cuter les travaux pendant les heures de repos les dimanches et les jours f ri s Protection du personnel de chantier L Entrepreneur doit mettre 4 disposition du personnel de chantier des tenues de travail correctes r glementaires et en bon tat ainsi que tous les accessoires de protection et de s curit propres leurs activit s casques bottes ceintures masques gants lunettes etc L Entrepreneur doit veiller au port scrupuleux des quipements de protection sur le chantier Un contr le permanent doit tre effectu cet effet et en cas de manquement des mesures coercitives avertissement mise pied renvoi doivent tre appliqu es
339. tutionnelles 4 PORT GENTIL 09 04 1015 144 Institutions acteurs Points discut s Pr occupations et craintes Suggestions Recommandations Conseil municipal de Port Gentil Mairies d Arrondissement et services techniques municipaux Perception du Projet Les r alisations du PDIL aident beaucoup d senclaver les quartiers sous a une forte demande de construction de nouvelles routes en pav Craintes d tre cart des villes qui seront retenues pour b n ficier des r alisations du Inscrire l intervention du PDIL II dans le prolongement des activit s r alis es par le PDIL I dans la m me philosophie le m me lan et le m me int gr s PDIL II enthousiasme Enclavement de plusieurs Pr voir un syst me quartiers sous int gr s o d vacuation des eaux l acc s demeure difficile pluviales canalisation Probl mes d inondation chaque fois qu on fait des r currente cause de la nature routes Probl mes du relief qui est bas et plat dans R aliser des passerelles de environnementaux et sociaux de la commune les quartiers sous int gr s en particulier dans le 2 Arrondissement Ins curit des populations li e aux branchements lectriques anarchiques op r s par ces derni res occasionnant souvent mort d homme par lectrocution franchissement dans les quartiers coup s par des cours d eau Probl mes fonciers de la commu
340. u e Inaccessibilit de certains quartiers au r seau d adduction d eau Occupation anarchique des terres Conflits entre les droits de propri t terrienne ancestraux et ceux juridiques et officiels Absence de cimeti re municipal fonctionnel Mauvaise planification des travaux du PDIL 2 Inaccessibilit de certains quartiers au r seau d adduction d eau Occupation anarchique des terres par les populations Conflits fonciers Photos des consultations et situation environnementale dans la commune Makokou Station de captage d eau de la SEEG sur le fleuve Cimeti res aux abords de la route 32 Cimeti res au bord de la route 33 3 2 5 La commune de Koulamoutou Situation administrative Le nom de la capitale de la province de l Ogoou Lolo en m me temps chef lieu du d partement de la LOLO BOUENGUIDI Koulamoutou qui proviendrait du mot KOLOMOTO qui signifie personne g e ou a n en langue gh vov parl e par les pov s La province Ogoou Lolo d sign e administrativement par G7 comme septi me province du Gabon et le d partement de la LOLO BOUENGUIDI dont Koulamoutou est le chef lieu Les principaux quartiers de Koulamoutou sont Grand Village MENAGE BAMBOMO BABAMBO BOUVENDO MANDJI KOUNGOU BAKELE LITSEBE MAYANG La ville de Koulamoutou est administr e par une quipe municipale compos e de 11 membres constitu s d une Maire principale et 4 adjoints ainsi que de 2 Maires d arrondisseme
341. u 18 Mesures d att nuation des impacts de la r habilitation des r seaux d eau potable 79 Tableau 19 Mesures d att nuation sp cifiques des impacts des ouvrages de drainage pluvial80 Tableau 20 Mesures d att nuation des impacts n gatifs potentiels des travaux de r seaux eu ai 80 Tableau 21 Mesures d bonificatiow g n rales 82 Tableau 22 Mesures de bonification des impacts positifs potentiels des infrastructures et guipe ments Ts ee Re tete En et ne ee ns E ne 82 Tableau 23 R capitulatif des tapes de la proc dure et 88 Tableau 24 Termes de R f rences de l ESES du PDIL IT 91 Tableau 25 Th mes de formation et acteurs cibl S ciiciiiiciiiiciiciicciiccicciccr icin 93 Tableau 26 Information et Sensibilisation 94 Tableau 27 Institutions responsables de la mise en uvre 97 Tableau 28 Indicateurs de suivi environnemental 100 Tableau 29 Co ts des tudes mesures d accompagnement et de suivi 103 Tableau 30 Co ts de mesures de Formation et de Sensibilisation 103 Tableau 31 D tails des couts indicateurs et responsables 104 BM BTP CAP ESES CCC CGES CN TIPPEE CP CPR DAO DGE DO EIES ESIA ESMF IDA IEC MST MERH NIES NTIC OCB OMD ONG PCGES PFES PDIL PLD PDS PGES PME PO PSGE SEEG SIDA TdR U
342. uation du co t du suivi pour le suivi il est propos un suivi permanent durant toute la phase du projet soit un co t annuel de 60 000 000 FCFA pendant 5 ans Par ailleurs le PDIL devra pr voir un appui la DGE pour 10 000 000 FCFA dans le cadre du suivi soit un co t total de 70 000 000 FCFA Evaluation du co t de l valuation pour l valuation on retiendra une valuation mi parcours et une valuation la fin du projet soit un montant de 30 000 000 FCFA Co ts de mesures de Formation et de Sensibilisation Formation s agira d organiser des ateliers communaux 01 dans chaque ville soit 10 au total qui vont regrouper l ensemble des acteurs techniques concern s par la mise en uvre des mesures environnementales du CGES Une provision de 100 000 000 FCFA 10 000 000 FCFA par atelier permettra le recrutement d un consultant formateur l laboration et la diffusion des modules de formation les frais d organisation d atelier salle mat riels et pause d jeuner et les frais de transports des participants Information et Sensibilisation Il s agira de recruter un Consultant national pour mener des activit s d information et de sensibilisation des populations et des structures organis es au niveau de chaque commune d arrondissement cibl e par le projet Il est pr vu 20 campagnes de sensibilisation 2 par ville pour un montant global forfaitaire de 50 000 000 FCFA 102 Tableau
343. udes et R alisation des EIES pour certaines 1 ann e ou mesures activit s du PDIL II avant la mise en 9 d E See n De Dotation de petits mat riels d assainissement aux mairies d arrondissement Reboisement compensatoire et Apr s les am nagement paysagers travaux Base de donn es Formation Formation des PFES en gestion 1 ann e environnementale des projets Sensibilisation Sensibilisation et mobilisation des 1 ann e et Suivi Suivi environnemental et de proximit surveillance a Supervision environnementale du PDIL II Evaluation finale fin 5 me ann e Nota Bene le PDIL devra tablir un cadre de concertation entre le projet et la Direction G n rale de l Environnement 101 9 9 Co ts des mesures environnementales et sociales Au total les co ts estimatifs des mesures environnementales et sociales s l ve 680 000 000 r partis comme ci dessous Ces co ts sont d taill s dans les tableaux 31 ci dessous avec les indicateurs et les responsables d ex cution et de suivi 9 9 1 9 9 2 9 9 3 Co ts des tudes et mesures d accompagnement R alisation et mise en uvre des EIES NIES il est pr vu de r aliser environ 36 EIES 4 par municipalit cet effet il s agira de recruter des consultants pour conduire ces tudes raison de 5 000 000 FCFA par tude soit un co t total de 180 000 000 FCFA provisionner L
344. uera les m canismes et les processus participatifs au niveau national et local et la participation des b n ficiaires soci t civile institutions publiques secteur priv dans la mise en uvre des actions du projet Le Consultant recommandera au besoin des mesures appropri es pour renforcer les processus de consultation e D finition de proc dures et des responsabilit s de Gestion Environnementale et Sociale Le Consultant d finira les proc dures et les responsabilit s de gestion des pr occupations environnementales et sociales afin de s assurer que le projet est conforme aux politiques et r glements de la R publique Gabonaise et aux politiques de sauvegarde de la Banque Mondiale Ces proc dures d finiront les mesures techniques et institutionnelles faisables et conomiques et susceptibles de ramener les effets potentiellement tr s n fastes sur l environnement des niveaux acceptables et de renforcer les impacts positifs du projet afin d en accro tre la performance environnementale La pr paration d un tel processus inclura au moins les sous t ches suivantes i M thodologie de tri environnemental et social et de s lection des activit s du projet En consid rant le caract re multisectoriel et pluridisciplinaire du projet et le fait que la nature de tous les investissements ainsi que les zones d ex cution ne sont pas encore exactement connus l heure actuelle pour permettre d identifier et d appr cie
345. ugg re que ses activit s soient conformes et coh rentes par rapport l action du Gouvernement dans les secteurs concern s tant au niveau central que local Dans ce sens e au niveau national le PDIL est supervis par un comit de pilotage pr sid par le Minist re de l Economie de l Emploi et du D veloppement Durable et compos des repr sentants d sign s des minist res impliqu s dans le projet des Mairies cibl es de la Soci t Eau et Electricit SEEG du Gabon etc Le secr tariat de ce comit est tenu par la CNTIPPEE qui assure la fonction d Unit de Coordination du Projet e au niveau local 9 villes cibl es par le projet il sera mis en place des comit s locaux de suivi ou Cellules Techniques Municipales des activit s du PDIL II Le comit local sera pr sid par la Mairie de la Ville et compos des repr sentants techniques des minist res concern s des repr sentants des comit s de quartiers des zones d intervention du projet de la soci t civile Le Comit Pilotage CP La coordination g n rale du PDIL est assur e par un Comit de Pilotage CP pr sid par le Minist re en charge de l Economie et dont le secr tariat est assur parc la CN TIPPEE La mission du CP est de garantir l engagement des pouvoirs publics l atteinte des r sultats du projet veiller au fonctionnement et la viabilit du projet selon la programmation retenue analyser et commenter les rapports trimes
346. uipements et micro quipements d accessibilit et de mobilit urbaine Pavage de rues principales et secondaires La voirie constitue un l ment essentiel et participe l embellissement en milieu urbain Le projet permettra aux villes cibl es de disposer de routes praticables toute l ann e La mise en place des infrastructures routi res et des ouvrages d art qui les accompagnent permet de rendre le trafic en milieu urbain plus fluide et les d placements plus conomiques Les impacts positifs li s la voirie concernent principalement l am lioration du cadre de vie des populations En effet la construction la r habilitation et ou l extension de la voirie communale permet un acc s plus ais aux march s le d veloppement des activit s commerciales un transport de personnes et des biens mieux organis facilite l acc s aux services de base ducation sant services communautaires am liore la salubrit et la s curit par l accessibilit renforc e dans quartiers pr caires camions de ramassage des ordures ambulances pompiers etc Les activit s de pavage peuvent aussi avoir un impact positif sur l augmentation des revenus des populations par la cr ation d emplois dans les travaux de chantiers HIMO 66 6 1 3 Impacts positifs infrastructures de services communautaires de base Ecoles Les activit s pr vues par le Projet dans le domaine des coles contribueront am liorer l environn
347. un Cadre de Politique de R installation CPR Cette assistance technique sera financ e par les fonds de ce PPF II Pr sentation du Projet PDIL II Le Projet de D veloppement des Infrastructures Locales phase 2 PDIL II a pour objectifs principaux i d am liorer l acc s durable aux infrastructures pour les populations de neuf 9 villes de projet dont les villes de Libreville Port Gentil Oyem Franceville Lambar n Mouila Makokou Tchibanga et Koula Moutou notamment pour les habitants des quartiers d favoris s et ou pr caires ii d am liorer l environnement commercial et financier des PME par le renforcement de leurs capacit s techniques et manag riales et iii Renforcer et reformer les municipalit s afin d am liorer leur capacit op rationnelle leur gouvernance afin de mieux les pr parer assumer la d centralisation De fa on sp cifique le Projet se propose d appuyer les efforts du Gouvernement i am liorer la qualit des quipements et micro quipements d accessibilit et de mobilit urbaine ii am liorer les capacit s techniques et financi res des PME programmer r aliser et g rer des chantiers de B timent et Travaux Publics BTP iii am liorer les capacit s techniques financi res et institutionnelles des PME programmer r aliser et g rer des infrastructures et services et iv financer des infrastructures et quipements socio conomiques dans les villes ligibles du Projet
348. un ensemble de plateaux et de zones basses dont certains sont forts risques d inondation Le site a une structure tripolaire la rive droite au Nord l le au Centre la rive gauche au Sud On note la pr sence de deux 2 types de sols argileux et granites entra nant dans certains quartiers une circulation interne difficile Cours d eau les ressources hydrographiques consid rables sont constitu es d eau de surfaces fleuve Ogoou La ville est organis e autour de trois zones bien distinctes d limit es par les deux bras du fleuve Ogoou Il s agit de la rive droite du c t de Libreville l le centrale et la rive gauche du c t de Fougamou Le premier arrondissement comprend la rive droite partie 1 moins d velopp e et la moins peupl e de Lambar n et l le noyau de la ville est la plus d velopp e Le deuxi me arrondissement lui est constitu de la rive gauche V g tation La v g tation est arbor e et herbac e Le couvert v g tal de la ville et ses environs est relativement abondant et est surtout constitu d esp ces prot g es telle l andok mais aussi d essences commercialisables telles que l Okoum dont la production alimente les diff rentes unit s artisanales de transformations du bois et en produits forestiers non ligneux tels que les mangues sauvages Irvingia gabonensis les noisettes Coula edulis etc Habitat et urbanisme Dans le cadre d un am nagement coh rent
349. up rieure 200 lits infrastructures d ducation d une capacit gale ou sup rieure 1000 l ves ou tudiants am nagement des zones urbaines ou aux installations de relogement des populations grandes routes en milieu urbain d une emprise sup rieure ou gale 5 hectares La liste ne mentionne pas explicitement les infrastructures suivantes les r seaux lectriques lectrification les march s et gare routi res et la lutte contre les rosions En plus consid rant les capacit s requises pour les coles gt 1000 l ves et les structures sanitaires gt 200 lits il est vident que le PDIL ne va pas r aliser de telles infrastructures pour les municipalit s En fin toute tude d impact doit tre transmise en quinze exemplaires au Ministre charg de l Environnement pour examen technique la r ception des conclusions de l tude le Ministre dispose d un d lai de trente jours pour donner son avis l autorit comp tente Autres textes nationaux de gestion environnementale et sociale Par ailleurs d autres textes nationaux dans les domaines li s l environnement concernent cette tude Il s agit e de la loi n 0016101 portant code forestier de la r publique gabonaise qui organise les conditions d exploitation et d am nagement du domaine forestier au Gabon Le code fixe les r gles d abattage et d acquittement de la taxe li e aux produits forestiers e la loi n 015 2005 porta
350. ur du conflits autour du chef de chef de quartier autour du Maire quartier ou du Maire central central et autour du juge au tribunal Le risque de r sistance des populations l expropriation au nom des droits de propri t terrienne ancestraux Les personnes g es Prendre en charge de mani re Les personnes class es Les enfants soutenue les personnes comme vuln rables Les ch meurs vuln rables affect es par le Les veuves et veufs sans soutiens Projet Les orphelins sans soutien Besoin en Manque de formation en gestion Former les lus et les agents formation renforceme environnementale et sociale municipaux en gestion nt de capacit s gestion urbaine maintenance environnementale et sociale de d placement et r installation de projets gestion urbaine populations maintenance et r installation de populations Le genre dans la Les hommes et les femmes ont un Favoriser la promotion de gestion des projets acc s quitable aux r les et l autonomisation conomique urbains responsabilit s dans la gestion des femmes par l appui aux publique activit s g n ratrices de Restriction de libert d acc s aux revenus et l acc s aux activit s productives et au ressources collectives contr le des ressources collectives Direction Patrimoine culturel Le patrimoine sites Se rapprocher des services en provinciale de la Culture dans la zone du projet g ographiques monuments h
351. utre la fin du projet soit un total de d valuation Pilotage 15 000 USD valuation Commiin s Ateliers Il s agira d organiser des ateliers communaux 01 100 000 Nombre ESES UCP UCP PDIL formation dans chaque ville soit 9 au total qui vont 000 d atelier tenu Comit regrouper l ensemble des acteurs techniques Pilotage concern s par la mise en uvre des mesures Nombre de Communes environnementales du CGES Une provision de 100 000 000 FCFA 10 000 000 FCFA par atelier participants et 10 millions d impr vus permettront le form s recrutement d un consultant formateur l laboration et la diffusion des modules de formation les frais d organisation d atelier salle mat riels et pause femmes d jeuner et les frais de transports des participants Campagnes Il s agira de recruter un Consultant national pour 50 000 000 Nombre de ESES UCP UCP PDIL d information mener des activit s d information et de s ance d IEC Comit et de sensibilisation des populations et des structures Pilotage sensibilisation Organis es au niveau de chaque commune Nombre de Communes d arrondissement cibl e par le projet Il est pr vu 20 campagnes de sensibilisation 2 par ville pour un personnes touch es montant global forfaitaire de 50 000 000 FCFA 104 ANNEXES 105 Annexe 1 Formulaire de s lection environnementale et sociale Partie B Identification des impacts environnementaux et sociau
352. ux ou les concessionnaires agr es et contract es par l Etat Dans tous les cas la plupart du mat riel de collecte tracteurs camion bennes bacs etc sont v tustes ou inutilisables panne manque de carburant etc Par exemple la d charge publique de Libreville situ Mindoub au 5e Arrondissement est satur e mais continue recevoir des d chets de tout genre sans aucun traitement pas de tri entrainant une pollution du bras de mer La Lou o il n y a plus de vie alors qu il y a quelques d cennies on p chait dans ce cours d eaux des poisons huitres crevettes etc Dans les autres villes d faut de d charge contr l e les ordures sont d vers es dans les zones d rosion souvent en dehors de l espace habit e de la ville Mais il arrive souvent qu on rencontre des d potoirs un peu partout galement dans les zones perdues de la ville 3 2 6 D gradation de la voirie et enclavement des quartiers sous int gr s En dehors des centres villes la voirie urbaine des quartiers sous int gr s est caract ris e par un tat de d gradation avanc e notamment la voirie en terre ou en lat rite qui se transforme en bourbier quasi impraticable en p riode de pluies Dans des quartiers en hauteur collines et bassins versants ce sont les boulements et les ravinements qui constituent la menace permanente Il faut galement souligner que l habitat irr gulier l occupation anarchique de la voie publi
353. vec les politiques op rationnelles de sauvegarde environnementale et sociale de la Banque mondiale qui s appliquent au projet Les EIES sont revues par la Banque mondiale Pour mieux optimiser la gestion des aspects environnementaux et sociaux du projet il a t propos dans le CGES un Plan de Suivi qui sera ex cut sous la coordination de la Cellule de mise en uvre du PDIL par des Experts de Sauvegardes Environnementales et Sociales au niveau de l UCP PDIL et des Experts dans les communes pour garantir l effectivit de la prise en compte de ces aspects dans les 100 communes lors i de la pr paration des dossiers techniques et ii du suivi des travaux Bureaux de contr le effectueront la surveillance Le suivi sera assur par la Direction G n rale de l Environnement DGE Les mesures environnementale et t sociales sont estim es 680 000 000 FCFA qui seront int gr s dans les co ts du projet 12 1 INTRODUCTION 1 1 Contexte et justification En 2009 le gouvernement du Gabon a d fini une nouvelle vision conomique avec l adoption du Plan Strat gique Gabon Emergent PSGE visant faire du Gabon un pays mergent d ici 2025 L objectif de cette strat gie est de r duire la pauvret acc l rer la croissance partager la prosp rit accro tre la comp titivit devenir un centre d excellence et mettre en valeur les avantages comparatifs du Gabon au plan r gional et international Cette strat g
354. vi des r alisations du Projet 60 Qualit des ouvrages et respect des normes en mati re de r alisation des infrastructures Choix des entreprises non qualifi es Nuisances d sagr ments lors des travaux conflits pollutions s curit accidents etc Risques de d placement involontaire et perturbation des activit s socio conomiques D marrage tardif des travaux du Projet Recommandation G n rales Renforcer les capacit s techniques mat rielles et logistiques des Mairies ville et commune d arrondissement pour une bonne gestion des projets prenant en compte la dimension environnementale et sociale Renforcer les capacit s des diff rents acteurs impliqu s dans la mise en uvre du Projet en gestion de projet et en gestion environnementale et sociale Impliquer les diff rents services techniques provinciaux comp tents et les services municipaux dans le suivi des travaux Pr voir les mesures de chantier en phase de construction nuisances sonores syst mes de balisage pour les engins syst mes sanitaires pour viter de polluer l environnement Veiller la gestion des d chets des eaux us es des sanitaires et excr tas et tenir compte des questions d hygi ne s curit et environnement en phase d exploitation Pr voir une provision pour l administration pour le suivi environnemental et social Pr voir les mesures adapt es pour les chantiers de r novation Tenir compte du cadre r glementaire et du code de
355. x Pr occupations environnementales et sociales oui non Observation Ressources du secteur Le micro projet n cessitera t il des volumes importants de mat riaux de construction dans les ressources naturelles locales sable gravier lat rite eau bois de chantier etc N cessitera t il un d frichement important Diversit biologique Le micro projet risque t il de causer des effets sur des esp ces rares vuln rables et ou importants du point de vue conomique cologique culturel Y a t il des zones de sensibilit environnementale qui pourraient tre affect es n gativement par le micro projet for t zones humides lacs rivi res zones d inondation saisonni res Zones prot g es La zone du micro projet ou de ses composantes comprend t elle des aires prot g es parcs nationaux r serves nationales for ts prot g es sites de patrimoine mondial etc Si le micro projet est en dehors mais faible distance de zones prot g es pourrait il affecter n gativement l cologie dans la zone prot g e P ex interf rence avec les vols d oiseau avec les migrations de mammif res G ologie et sols y a t il des zones instables d un point de vue g ologique ou des sols rosion glissement de terrain effondrement y a t il des zones risque de salinisation Paysage esth tique Le micro projet aurait t il avoir un effet adverse sur la v
356. x Dotation de petits mat riels ESES PDIL II CP et DGE d entretien et d assainissement aux PFES municipalit s Le Fournisseurs mp mairies d arrondissement Comit s locaux Mesures de suivi B ESES PDIL II CP et DGE ureaux de ss A PFES municipalit s Suivi environnemental permanent Contr les es Comit s locaux Banque Mondiale ESES PDIL II CP et DGE Evaluation CGES permanent mi PFES municipalit s Consultants parcours et finale Comit s locaux Banque Mondiale Formation Evaluation environnementale et ESES PDIL II CP et DGE h f Me he onsultants sociale des projets Suivi et Ex cution PFES municipalit s des mesures environnementales Comit s locaux Banque Mondiale IEC Campagne de communication et de Comit s ESES PDIL II CP et DGE Sensibilisation sensibilisation avant pendant et apr s locaux PFES municipalit s Mobilisation les travaux chefs de Comit s locaux Plaidoyer Sensibilisation et plaidoyer sur les quartiers Banque Mondiale enjeux environnementaux et sociaux ONG des sous projets Associations locales 97 9 7 Plan de surveillance et de suivi environnemental et social Le suivi et l valuation sont compl mentaires Le suivi vise corriger en temps r el travers une surveillance continue les m thodes d ex cution des interventions et d exploitation des infrastructures Quant l valuation elle vise i v rifier si les objectifs ont t respect s et ii
357. xutoires Cette situation est la base de l entassement de d chets de toutes sortes qui constituent une des causes majeures d insalubrit en milieu urbain dont le r cepteur privil gi est la voirie urbaine et les caniveaux de drainage pluvial Dans certaines communes le d bordement des eaux de ruissellement expose les zones vuln rables des inondations r currentes n cessitant des ouvrages d envergure de protection 3 2 5 Probl matique de la gestion des d chets solides Dans le domaine des d chets solides la gestion reste pr occupante dans presque toutes les villes cibl es par la Projet Malgr les efforts conjugu s des services techniques municipaux et de l Etat la collecte s effectue de fa on irr guli re et non syst matique les syst mes ne sont pas toujours adapt s les moyens mat riels quasiment insuffisants et souvent inappropri s pratiquement toutes les communes ont recours des d charges plus ou moins contr l e pour Libreville et Port Gentil sauvages pour le reste pour l limination des d chets solides L intervention rare des associations de quartiers se situe uniquement au niveau de la pr collecte acheminement des ordures des domiciles vers des points de regroupement ou zones de transfert ou l instauration des journ es citoyennes premier mercredi de chaque mois sont encourager Le transfert des d chets solides vers les d charges est effectu par les services techniques municipa

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