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1. NYGI NE SOCIALE ET M DECINE DU TRAVAIL SANT PUBLIQUE V T RINAIRE MALADIES VIRUS UNIT S PROVISOIREMENT RATTACH ES AU BUREAU DU DIRECTEUR G N RAL PLANIFICATION SANITAIRE NATIONALE COORDINATION DES PROGRAMMES VALUATION DES PROGRAMMES DIVISION DE ENSEIGNEMENT D LA GESTION DIVISION DU BUDGET DUCATION SANITAIRE M DICAL ET LT POLEUTION DE TAIR A OA ADMINISTRATIVE ET 665 FINANCES PARAM DICAL BACT RIENNES EAU 0 ET DU PERSONNEL k 2 HYGI NE DES PLANIFICATION ET MALADIES LABORATOIRES DE QUARANTAINE BOURSES D TUDES COLLECTIVIT S ET EX CUTION GESTION CARDIO VASCULAIRES SANT PUBLIQUE INTERNATIONALE HABITAT DU PROGRAMME P TO VE HYGI NE 566168 76 APP ROVISION RECHERCHES ET HYGI NE DENTAIRE DE LA MATERNIT RME L PRE NEMENTS PUBLICS INFORMATIONS CONF RENCES ET FINANCES ET ET DE L ENFANCE EN EAU TECHNIQUES SERVICES INT RIEURS COMPTABILIT MALADIES BIOLOGIE DU SANT MENTALE SOINS INFIRMIERS PARASITAIRES MILIEU SERVICE M DICAL COMMUN ORGANISATION DES LUTTE CONTRE NUTRITION SOINS M DICAUX LES VECTEURS PERSONNEL RADIATIONS ET ADMINISTRATION MAL ADIES Y N RIENNES EAUX ISOTOPES DE LA SANT PUBLIQUE ET TR PON MATOS
2. ANNEXES Membres et Membres associ s de l Organisation mondiale de la Sant au 30 septembre 1963 Composition du Conseil ex cutif Tableaux et comit s d experts R unions constitutionnelles et r unions de comit s d experts et de groupes consultatifs 1 janvier 30 septembre 1963 Calendrier provisoire des r unions constitutionnelles de POMS en 1964 Organisations non gouvernementales qui entretiennent des relations officielles avec l OMS au 30 septembre 1963 Budget ordinaire de 1963 Structure du Secr tariat du Si ge au 30 septembre 1963 Effectif et r partition du personnel ee R partition du personnel d apr s la nationalit au 30 septembre 193 Etat d avancement de l radication du paludisme en 1963 Bourses accord es par sujets d tude et par R gions du le d cembre 1962 au 30 septembre 1963 CARTE Bureaux r gionaux de l OMS et zones qu ils desservent IV Pages 80 83 88 94 95 102 108 117 125 134 141 147 148 149 1
3. R gions 1 M diter Total 5 A 5 d 5 Pacifi Afrique Am riques SAES Europe Rs 16 29 10 35 14 21 125 2 10 53 3 70 A 1 4 x 5 4 4 18 44 11 92 17 22 204 6 44 7 11 5 6 79 2 2 1 1 19 1 22 8 45 8 30 5 7 103 27 13 14 17 21 2 104 10 46 6 6 7 75 z 38 59 14 23 27 19 80 5 5 21 3 34 2 13 2 10 5 1 33 7 18 2 31 5 4 67 2 3 28 6 6 45 6 6 2 6 4 2 26 1 3 14 2 20 2 19 1 9 5 3 39 1 29 13 23 8 4 78 6 2 6 2 10 26 1 8 1 45 6 4 65 2 2 5 5 7 21 13 73 24 136 38 36 320 84 239 59 312 92 88 874 73 46 60 41 48 55 162 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 R gions Sujets d tude M diter Total Afrique Am riques AR Europe 5 Ca nn Maladies transmissibles Pal dis mecs LE nn ARE ne 39 4 26 24 24 55 172 Maladies v n riennes et tr pon matoses 4 2 1 T TUD ICUIOSERE EE TER A ER RARE MR 9 5 4 12 2 F 39 Autres maladies transmissibles 9 7 12 19 9 10 66 Services de laboratoire 11 19 7 33 11 4 85 Chimioth rapie antibiotiques 1 1 TOTAL POUR LES MALADIES TRANSMISSIBLES 68 39 49 90 47 77 370 Pourcentage 33 12 38 18 21 42 23 M decine clinique sciences m dicales fondamentales et enseignement m dical et param dical M DECINE CLINIQUE
4. 50 Chapitre 11 Information NE A E NS AR ATP 52 Chapitre 12 Questions constitutionnelles financi res et administratives Questions constitutionnelles et juridiques Questions financi res Questions admunistratives AE SET NP RO ee DEN RE end 54 Chapitre 13 Coop ration avec d autres organisations 57 PARTIE II LES R GIONS Cipire AI R vion africaines EE RE RE de enr ete ed et A ue 65 Chapitre 15 R gion des Am riques 4 70 Chapitre 16 R gion de l Asie du Sud Est 75 I 62191 Chapitre 17 R gion europ enne Chapitre 18 R gion de la M diterran e orientale Chapitre 19 R gion du Pacifique occidental ee Projets en cours d ex cution en 1963 D DL PARTIE II LISTE DES PROJETS Afrique ee ee Am riques Asie du Sud Est ee Europe ee ee ee ee M diterran e orientale 0 Pacifique occidental DS Projets interr gionaux
5. 7 qui a accompagn l quipe de 2 z vaccination s entretient avec des Ce ERE 5 p lerins s La population est au d but tr s E h sitante Le premier volontaire E est un lama qui habite derri re le temple bouddhiste voisin L Encourag par l exemple du lama un jeune p lerin du nord ouest du pays s avance LUTTE ANTIVARIOLIQUE AU N PAL Malgr les difficult s dues aux diverses pr ventions des habitants contre la vaccination le projet pilote ex cut avec l aide de l OMS dans la vall e de Kathmandou progresse fermement Ces photographies ont t prises lors d une visite de l quipe de vaccination dans la ville de Bodhnath important lieu de p lerinage pour les bouddhistes Ces deux enfants paraissent plus intrigu s qu effray s par l exp rience qu ils viennent de vivre L quipe est bient t pleinement occup e bien que certains des volontaires soient encore visible ment inquiets SERVICES DE SANT EN TURQUIE Les photographies ci dessous illustrent quelques aspects de trois projets par lesquels le FISEetl OMS aident le Gouvernement turc d velopper ses services de lutte antituberculeuse de lutte contre la l pre et de protection maternelle et infantile Epreuve de tuberculinisation pratiqu e sur des coliers au centre de vaccina tion par le BCG de Mamak faubourg d Ankara Radiographie de masse d enfants au centre de Mamak In
6. l entomologie Les cours ont permis de former 139 cadres professionnels 15 fonctionnaires de l OMS 23 boursiers de POMS venus de Birmanie d lrak du Liban de Libye du Pakistan de Somalie et du Soudan et 101 tudiants de la R pu blique Arabe Unie ainsi que 168 agents subalternes 71 bour siers venus d Arabie Saoudite de Jordanie du Liban du Lib ria de Libye du Nig ria de Somalie du Soudan de Syrie de Tunisie et du Y men et 97 tudiants de la R publique Arabe Unie L enseignement tait donn au laboratoire de lutte contre les insectes de Dokki Le Caire et sous l autorit de son Directeur les stages pratiques s accomplissaient dans une zone voisine du centre peupl e d environ 27 000 habitants En plus de ses travaux d enseignement le personnel du centre a effectu un certain nombre d tudes entomologiques et pid miologiques sur le paludisme dans la R publique Arabe Unie et il a r dig des manuels destin s la formation d entomolo gistes l radication du paludisme ainsi qu un manuel de reconnaissance g ographique EMRO 22 Conseiller en ducation sanitaire ao t 1958 fin 1963 B Donner des directives pour le d veloppement de l ducation sanitaire dans la R gion EMRO 43 Services consultatifs 1958 au del de 1965 B Fournir aux pays de la R gion des services consultatifs touchant les questions pour lesquelles il n existe pas de conseiller r gional et lorsq
7. R GION EUROP ENNE 81 europ ens en particulier chez les jeunes Les partici pants ont tudi les moyens d encourager les pays unir leurs efforts pour lutter contre les maladies v n riennes et ils ont examin la possibilit de ren forcer les mesures de sant publique d j en vigueur en donnant plus d importance leurs aspects sociaux et ducatifs et en am liorant la l gislation antiv n rienne Gr ce l action concert e de tous les pays qui ont particip au plan d radication du paludisme en Europe continentale la transmission a t interrompue en 1962 dans cette r gion Des mesures pr liminaires ont t prises en vue de la d livrance d une attestation officielle d radication du paludisme aux pays dans lesquels celle ci a t r alis e En outre la liste distincte sur laquelle figurent les pays o n a jamais s vi le paludisme indig ne ou qui Pont limin avant 1953 s est consid rablement allong e Des programmes d radication sont encore en cours dans d autres parties de la R gion en Turquie par exemple l ex cution du programme s est poursuivie avec l assistance du FISE et de POMS le programme pr radication mis en uvre au Maroc avec assis tance de l OMS a beaucoup avanc et un programme analogue a t mis en route en Alg rie Le centre international de pr paration l radica tion du paludisme de Belgrade a apport une importante contribution a
8. mettre au point un texte de loi sur l enregistrement des naissances et des d c s et a donn pour diverses cat gories de personnel sanitaire des conf rences sur les applications de la statistique et les proc d s d enregistrement des faits d mographiques Ghana 18 Essai de sel m dicament juin 1959 fin 1963 CSEP D montrer que l administration de sel m dicament peut efficacement interrompre la transmission du paludisme dans une zone d Afrique Ghana 25 Formation d infirmi res visiteuses oct 1961 fin 1965 AT Former des infirmi res visiteuses qui seconderont les infir mi res de la sant publique dans la mise en place d un service de soins domicile faisant partie d un plan g n ral d hygi ne rurale La formation portera notamment sur la pr vention l ducation sanitaire et les soins infirmiers domicile Ghana 27 Enseignement infirmier sup rieur 1961 7965 B Cr er en liaison avec l Universit du Ghana une cole sup rieure d infirmi res qui aura pour objectif initial de former des monitrices pour les coles d infirmi res de sages femmes et d infirmi res de la sant publique Ghana 29 Plan d ensemble pour l approvisionnement en eau et la construction d un r seau d gouts dans la zone m tropolitaine d Accra Tema 1963 d c 1965 Fonds sp cial des Nations Unies Pr parer un plan d ensemble pour l approvisionnement en eau et la construction d
9. y 8 lieu d esp rer que tous les tablissements universitaires et post universitaires finiront par dis poser des enseignants et du mat riel n cessaires pour assurer chaque pays et chaque territoire le personnel sanitaire dont il 8 besoin Au cours de ces derni res ann es plusieurs coles de m decine ont t cr es la plus r cente en Malaisie tandis qu un grand nombre d coles de m decine et de soins infirmiers ainsi que des tablissements de formation en sant publique ont re u une assistance ext rieure et se d ve loppent rapidement L OMS a notamment maintenu son aide des coles de m decine du Cambodge et de la Malaisie et des instituts de sant publique en Chine Ta wan aux Philippines et dans la R publique de Cor e De ce fait il est devenu essentiel dans de nombreux pays de proc der une valuation des besoins actuels et futurs en personnel m dical et param dical et d examiner comment ces pays seront en mesure d y faire face principalement par leurs propres moyens Les pays en voie de d veloppement en particulier ne peuvent se permettre de perdre du temps par manque de planification Le programme des bourses d tudes 8 continu s amplifier et des bourses de longue dur e ont de nouveau t accord es en vue d tudes de niveau universitaire Ecole de M decine des les Fidji Les bourses d tudes attribu es sont indiqu es dans l annexe 12
10. Archives hospitali res Un consultant a t charg pendant une semaine la fin de janvier 1963 de donner des avis sur le syst me d archives m dicales utiliser au Queen Elizabeth Hospital de Kowloon Philippines L pre Un consultant a t charg en juillet et ao t 1963 de proc der une premi re valuation d taill e du programme de lutte antil preuse et de formuler des recom mandations pour sa continuation En m me temps une enqu te par chantillonnage a t effectu e dans une zone d end micit choisie par l quipe consultative OMS pour la l pre voir le projet interr gional 54 R publique de Cor e Production de vaccin BCG Un consultant a t charg pendant six semaines de mai juillet 1963 d tudier les installations et l organisation du laboratoire de production de vaccin BCG R publique du Viet Nam Services de laboratoire En janvier et f vrier 1963 un technicien de laboratoire a aid le Gouvernement mettre en place le mat riel offert par l Agency for International Development des Etats Unis d Am rique pour un laboratoire d enseignement de la microbiologie R publique du Viet Nam Lutte contre la tuberculose Un consultant a t charg de mars septembre 1963 de conseiller le Gouvernement pour la planification et l organisation du programme national antituberculeux d tudier les r alisations du projet de lutte contre la tuberculose b n fi
11. Luxembourg 4 Bourses d tudes B Pollution de 1 8 deux semaines psychanalyse deux mois Luxembourg 5 Hygi ne du milieu 1962 7965 B Etudier le probl me de l vacuation des immondices et de certains d chets solides a origine industrielle et agricole en vue de pr venir la pollution des ressources hydrauliques du pays Luxembourg 6 Organisation et l gislation hospitali res 1962 B Un consultant de POMS a fait trois s jours au Luxembourg au cours du quatri me trimestre de 1962 ppur y tudier lorga nisation et la r glementation des h pitaux notamment des services hospitaliers sp cialis s des maisons de convalescence des dispensaires g riatriques des maisons de sant et des foyers pour les vieillards 1 8 galement tudi l organisation interne des h pitaux et la coordination des activit s hospitali res Son rapport a t soumis au Gouvernement Malte 3 Bourses d tudes B Radiologie cinq mois Maroc 1 Lutte contre les ophtalmies transmissibles 1953 AT FISE Organiser une campagne nationale de lutte contre le trachome et la conjonctivite saisonni re en utilisant toutes les possibilit s offertes par les services de sant ruraux apr s leur r organisation effectuer dans les r gions de forte end micit et dans les coles des enqu tes sur le terrain qui serviront de base l action future Maroc 2 Lutte contre les maladies v n riennes ao t 1954 AT FISE Dim
12. nagement de r seaux de distribution d eau pour les villages pour ce qui est de l vacuation des excreta des m thodes satis faisantes ont t mises au point dans la zone de d monstration mais n ont pas encore t tendues d autres r gions Enfin du point de vue de la formation professionnelle la cr ation de la zone de d monstration s est r v l e tr s utile Birmanie 44 Renforcement des services de sant pid miologie janv d c 1961 juillet 1963 fin 1966 AT Cr er un centre d pid miologie la Direction de la Sant Rangoon en vue d tudier la r partition des maladies trans missibles dans le pays et de mettre au point des mesures de lutte r organiser les services de laboratoires de sant publique de Rangoon Birmanie 56 Soins infirmiers Services consultatifs mars 1959 fin 1966 AT Aider la Division des Soins infirmiers de la Direction de la Sant relever le niveau de l enseignement dans les coles d infirmi res et de sages femmes notamment dans les coles rattach es aux h pitaux de district Birmanie 59 Ecole de M decine Mandalay nov 1959 fin 1965 B Relever le niveau de l enseignement de certaines disciplines l Ecole de M decine de Mandalay Birmanie 70 Services de sant ruraux f vr juin 1963 B Pendant quatre mois un consultant OMS a donn des avis sur l organisation de cours d orientation pour les m decins municipaux e
13. Afghanistan Afrique du Sud Albanie Alg rie Allemagne R publique f d rale d Arabie Saoudite Argentine Australie Autriche Belgique Bi lorussie RSS de Birmanie 7 Bolivie Br sil Bulgarie Burundi Cambodge Cameroun Canada Ceylan Chili Chine Chypre Colombie Congo Brazzaville Congo L opcldville Cor e Republique g de Costa Rica 2 C te d Ivoire Cuba Dahomey Danemark El Salvador Equateur Espagne Etats Unis d Am rique Ethiopie Finlande France Gabon Ghana Gr ce Guatemala Guin e Ha ti Haute Volta Honduras Hongrie Indes 27 Indon sie Irak Iran Irlande Islande Isra l Italie Jama que Japon Jordanie Kowe t Laos Liban Lib ria 19 avril 1948 7 ao t 1947 26 mai 1947 8 novembre 1962 29 mai 1951 26 mai 1947 22 octobre 1948 2 f vrier 1948 30 juin 1947 25 juin 1948 7 avril 1948 1er juillet 1948 23 d cembre 1949 2 juin 1948 9 juin 1948 22 octobre 1962 17 mai 1950 6 mai 1960 29 ao t 1946 7 juillet 1948 15 octobre 1948 22 juillet 1946 16 janvier 1961 14 mai 1959 26 octobre 1960 24 f vrier 1961 17 ao t 1949 17 mars 1949 28 octobre 1960 9 mai 1950 20 septembre 1960 19 avril 1948 22 juin 1948 ler mars 1949 28 mai 1951 21 juin 1948 11 avril 1947 octobre 1947 16 juin 1948 21 novembre
14. Sofia du 25 au 29 septembre 1963 EURO 225 Cours d ducation sanitaire 1963 7964 B Il s agit de mettre en place des moyens de formation l duca tion sanitaire plus particuli rement pour les m decins EURO 230 S minaire sur les probl mes de sant publique relatifs au logement Madrid 22 avril 17 mai 1963 B Ce s minaire avait pour objet de r unir des administrateurs de la sant des ing nieurs sanitaires des architectes des socio logues des urbanistes et des directeurs d administrations publiques pour qu ils fassent le point de la situation dans les pays d Europe et des Am riques en ce qui concerne les pro bl mes de sant publique relatifs au logement les objectifs et imp ratifs de la construction de logements les crit res d valua tion des logements existants et le r le des services et institutions sanitaires dans ce domaine L OMS a envoy Madrid six consultants et quatre conseillers temporaires et elle a pris sa charge les frais de trente deux participants venus des pays suivants Alg rie Argentine Belgique Br sil Bulgarie Colombie Danemark Equateur Espagne Finlande France Gr ce Irlande Italie Maroc Norv ge Panama Pays Bas P rou Pologne Portugal R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni Su de Suisse Tch coslovaquie Turquie Uruguay Venezuela et Yougoslavie L Espagne POIT 1 Agency for International Development des Etats Unis d Am rique
15. Une bourse de six mois a t accord e au titre de ce projet qui a b n fici d une aide en personnel et sous d autres formes de 1953 1962 Chine 6 Enseignement infirmier Ta wan mai 1952 7966 AT China Medical Board Relever le niveau de l enseignement infirmier et am liorer les services infirmiers en cr ant une cole d infirmi res rattach e l H pital universitaire de Ta peh Chine 7 Eradication du paludisme Ta wan mai 1952 1964 CSEP AID Achever l radication du paludisme Ta wan par l emploi d insecticides action r manente et de m dicaments antipalu diques et par l application d un syst me efficace de surveillance Chine 17 Lutte contre la tuberculose Ta wan B FISE Une bourse d un an a t accord e au titre de ce projet qui a b n fici d une aide en personnel et sous d autres formes de 1956 1960 Chine 20 Sant mentale Taiwan oct 1955 fin 1966 B Ex cuter un programme de sant mentale mettant principa lement l accent sur la guidance infantile et sur les h pitaux psychiatriques publics Chine 27 Institut de Sant publique Ta wan ao t 1958 7964 B China Medical Board AID Renforcer la formation pratique des tudiants l Institut de Sant publique notamment en mati re d pid miologie et de sant publique Chine 34 Lutte contre le trachome Ta wan 1960 fin 1967 B FISE R duire dans les zones de faible end mic
16. des entretiens pr liminaires avec les membres des deux soci t s nationales d immunologie existantes soit celles des Etats Unis d Am rique et du Royaume Uni au sujet de l organisation ventuelle d une soci t internationale d immunologie L OMS a galement conclu avec plusieurs 18 ratoires d Australie des Etats Unis d Am rique de France d Italie du Royaume Uni de Suisse et de Tch coslovaquie des accords en vue de la fourniture de services contractuels en mati re de recherche sur les processus immunologiques qui jouent un r le impor tant dans l immunoprophylaxie et l immunoth rapie l immunopathologie ainsi qu l gard des antig nes tissulaires de la transplantation et de l immunologie du cancer et de l immunochimie Pr parations pharmaceutiques Lors de la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant de nombreuses d l gations ont insist sur la n cessit d assurer un contr le efficace des pr parations pharmaceutiques tant import es que produites sur place Certains orateurs ont attir l attention de l Assembl e sur les probl mes que pose dans les pays qui ne poss dent pas les moyens n cessaires pour un tel contr le importation de pr parations pharma ceutiques qui se r v lent inf rieures aux normes admissibles sur le march int rieur du pays de fabrication Apr s discussion l Assembl e 8 adopt une r solu tion WHA16 38 priant le Conseil ex cut
17. des fournitures et du mat riel Un compte rendu du travail accompli dans les les Cook les les Fidji les les Gilbert et Ellice les Nouvelles H brides dans le Protectorat britannique des les Salomon et au Samoa Occidental figure dans le Rapport annuel pour 1961 1 A Tonga le s rologiste de l OMS a aid le Gouvernement organiser une zone pilote dans laquelle le personnel national a t form l pid miologie au diagnostic et au traitement du pian ainsi qu aux techniques recommand es pour la lutte antipianique On a proc d une enqu te clinique sur les 5875 habitants de la zone pilote et une enqu te s rologique sur les enfants de 2 14 ans La proportion importante de sujets s ror acteurs trouv s parmi les groupes les plus g s a r v l que les cas de pian avaient t fr quents et le nombre des cas contagieux a permis de penser que la transmission se poursuivait encore Le nombre des sujets titre s rique lev indiquait d autre part l existence de cas latents susceptibles de rechutes Une campagne d examen et de traitement de masse a t entreprise 61 887 personnes au total y compris les habitants de la zone pilote ont t examin es et trait es soit 89 9 de la population on a trouv des cas de pian volutif chez 2 2 des personnes examin es dont 0 03 taient des cas contagieux Le projet a fourni aux quipes nationales et au personnel sanitaire local l occasion d
18. domicile Il portait sur l organi nisation et la gestion de ces services le personnel qu ils utilisent leurs fonctions et leur coordination avec les autres services de sant la coop ration entre les infirmi res des soins domicile et les autres agents sanitaires ainsi que sur la formation donner aux infirmi res pour ce genre de travail Les stagiaires au nombre de dix huit venaient des pays Suivants Br sil Chine Ta wan Chypre Espagne Gr ce Indon sie Iran Japon Pakistan Pologne Portugal R publique de Cor e Tha lande la Trinit et Yougoslavie L OMS leur a accord des bourses a envoy un consultant charg d aider organiser et donner le cours ainsi que deux conseillers temporaires pendant une semaine qui ont particip certains travaux inscrits au pro gramme Des fonctionnaires du Bureau r gional de l Europe ont donn des conf rences d introduction et dirig les discussions de groupe Interr gional 187 Cours en langue fran aise pour ing nieurs sanitaires Naples 10 janv 27 juillet 1963 B Compte sp cial pour l approvi sionnement public en eau Un cours post universitaire a t organis en collaboration avec l Universit de Naples pour dix ing nieurs sanitaires parlant fran ais et venant des pays suivants Br sil Cameroun Ha ti Italie le Maurice Mexique Pays Bas R publique f d rale d Allemagne et Venezuela Ce cours comprenait des conf rences des
19. leur sujet Rome 18 25 f vrier 1963 D J D Brandner Directeur adjoint Atlas Chemical Industries Inc Wilmington Delaware Etats Unis d Am rique Professeur S Dalgaard Mikkelsen D partement de Pharma cologie et de Toxicologie Ecole royale de M decine v t ri naire et d Agriculture Copenhague Danemark Professeur A C Frazer D partement de Biochimie m dicale et de Pharmacologie Ecole de M decine de l Universit de Birmingham Angleterre 1 Emp ch d assister la r union ANNEXE 3 151 Professeur H van Genderen Institut de Pharmacologie v t rinaire de l Universit nationale d Utrecht Pays Bas M B E Harper Division des Produits chimiques Soci t Unilever Londres Angleterre Professeur K Lang Directeur de l Institut de Chimie physiolo gique Universit de Mayence R publique f d rale d Alle magne Dt P R A Maltha Koninklijke Industrieele Maatshappij Noury en Van Der Lande Deventer Pays Bas M F A Morecombe Mallinckrodt Chemical Works St Louis Missouri Etats Unis d Am rique M L L Ramsey Chef du Service des Additifs alimentaires Division des Denr es alimentaires Administration des Den r es alimentaires et des M dicaments D partement de la Sant de l Education et de la Pr voyance sociale Washington Etats Unis d Am rique Professeur J F Reith D partement de Chimie alimentaire et de Toxicologie Universit nationale d Utrecht Pays Ba
20. qu un strict contr le de l eau utilis e joint l am lioration des m thodes de culture peuvent avoir pour effet de r duire ou d an antir la population de mollusques vecteurs tout en per mettant une augmentation sensible de la production agricole Toutefois si ces mesures se sont r v l es efficaces dans une zone restreinte pour emp cher la propagation de l infection chez l homme on peut encore se demander si elles seraient galement utiles et conomiquement r alisables sur de plus vastes tendues Les tudes entreprises ont montr qu aux Philippines la bilhar ziose posait un probl me bio social extr mement complexe dont la solution d passe le cadre de la science m dicale et exige un effort soutenu et coordonn de la part des diverses institutions int ress es Philippines 12 Institut d Hygi ne Universit des Philippines Manille juillet 1953 7966 AT Universit Johns Hopkins Fondation Rockefeller Renforcer le corps enseignant de l Institut d Hygi ne en lui permettant d acqu rir une plus grande exp rience de l enseigne ment gr ce des changes de professeurs entre l Institut et l Ecole d Hygi ne et de Sant publique de l Universit Johns Hopkins Philippines 43 Assainissement Services consultatifs juin 1953 mars 1961 sept 1962 B R organiser les r gionaux services d assainissement centraux et Philippines 51 Cours d assainissement juin 1958 196
21. tudes de soins infirmiers deux bourses de douze mois m decine douze mois ophtalmologie douze mois techniques de laboratoire m dical douze mois Sarawak 5 Eradication du paludisme oct 1961 2968 CSEP AT Eliminer le paludisme de tout le pays Ce projet est la suite du projet pilote de lutte antipaludique lanc en 1952 sous le m me num ro d ordre Singapour 4 Institut de Sant publique janv 1956 fin 1966 B FISE Cr er pour une population d environ 125000 personnes habitant proximit de l Institut des services de protection maternelle et infantile de soins dentaires pour les coliers et d ducation sanitaire donner l Institut des cours des tu diants en m decine et un enseignement post universitaire aux dipl m s en sant publique de l Universit de Singapour ainsi qu des tudiants originaires d autres pays de la R gion ainsi que des cours pour visiteuses d hygi ne inspecteurs sani taires et autres cat gories de personnel auxiliaire Singapour 8 Enseignement infirmier juin 1952 fin 1966 AT Elever le niveau de l enseignement infirmier et am liorer la qualit des services infirmiers Singapour 14 Service d accouchements domicile pour l le enti re janv 1959 fin 1965 B Etendre toute l le le contr le des m thodes d accouchement donner des cours d entretien aux sages femmes dipl m es op rer la fusion du service des accouchements
22. vacuation Hygi ne rurale voir Sant rurale Hygi ne scolaire voir Sant scolaire Hygi ne sociale et m decine du travail voir M decine du travail Hypertension 34 IATA Association du Transport a rien international 21 IBRO Organisation internationale de Recherches sur le Cerveau 60 IMCO Organisation intergouvernementale consultative de la Navigation maritime 60 Immunologie 47 48 Incaparina 71 Inde 3 6 7 16 18 19 22 25 26 31 33 36 37 40 59 75 76 77 78 108 111 114 Indian Council of Medical Research 112 Indon sie 3 75 77 108 114 115 Industrialisation 58 Information 52 53 Insecticides essai sur le terrain 143 r sistance des insectes 4 18 25 27 72 Voir aussi Dichlorvos DDVP Malathion Pesticides Institut africain de D veloppement et de Planification cono miques 58 69 Institut asiatique du D veloppement et des Plans cono miques 58 77 Institut de Recherche des Nations Unies pour le D veloppement social 58 Institut interam ricain de l Enfance 71 Institut international de Planification de l Enseignement 58 Institut latino am ricain de Planification conomique et sociale 70 Institutions sp cialis es 24 59 60 Voir aussi sous les noms des diff rentes institutions Inter American Development Bank 58 71 72 Irak 30 84 85 86 125 127 Iran 9 17 19 21 26 34 35 45 83 84 85 128 Irlande 33 121 Islande 122 Isra l 9 10 14 15 28 29 31 33 84
23. Aedes aegypti a t confirm e pendant l ann e La campagne men e contre ce moustique en Argentine atteint maintenant sa phase finale La Guyane britannique qui tait exempte d Aedes aegypti depuis plusieurs ann es a t r infest e en 1962 on a constat en 1963 que l infestation avait pris de vastes proportions Georgetown et qu elle s tendait galement plusieurs autres localit s du pays Dans la plupart des pays et territoires de la zone des Cara bes les campagnes sont entrav es principalement par la r sistance du vecteur aux insecticides base d hydrocarbures ce qui dans certains cas contraint d interrompre le programme Des tudes ont t entreprises en vue de trouver une solution ce probl me L OPS et POMS ont donn des avis quatorze pays sur divers aspects de la lutte contre la l pre En ao t POPS a patronn un s minaire sur la planification et l organisation de la lutte antil preuse qui s est tenu Cuernavaca Mexique avec la participation de l prologues d pid miologistes et d administrateurs de la sant publique venus de vingt et un pays et territoires En ce qui concerne la variole il n a t enregistr que 194 cas pendant les huit premiers mois de 1963 ce qui repr sente la fr quence la plus faible depuis vingt ans Deux pays seulement ont t touch s le Br sil avec 160 cas et l Equateur avec 34 En Equateur la campagne d radication sou
24. Ecole de Sant publique et r unir les premiers l ments d un corps enseignant plein temps Costa Rica 24 Laboratoire de diagnostic des maladies virus sept 1962 1965 B OPS Organiser un service de diagnostic des maladies virus au laboratoire de sant publique du Minist re de la Sant Costa Rica 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique dix mois organisation de l enseignement de la m decine et en particulier de la microbiologie cinq semaines Cuba 3 Services de sant publique avril 1955 janv 1957 juin 1959 7965 AT FISE R organiser les services sanitaires aux chelons central inter m diaire et local et cr er dans une province des services de sant int gr s Cuba 4 Enseignement infirmier 1961 7972 AT Organiser une cole nationale d infirmi res en vue de pr parer des infirmi res des postes d enseignement et de surveillance dans d autres coles d infirmi res et dans les services de sant Cuba 5 Eradication du paludisme 1957 2969 B Organiser et ex cuter un programme d radication du palu disme Cuba 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique dix mois et demi lutte contre la l pre deux semaines El Salvador 8 Bourses d tudes B Enseignement de la m decine douze mois nutrition une bourse de deux mois et demi une de neuf mois sant publique v t rinaire trois mois et demi El Salvador 19 S
25. Programme pr radication 1962 CSEP Mettre en place 165 moyens techniques administratifs et op ra tionnels n cessaires pour l ex cution d un programme complet d radication du paludisme d velopper simultan ment les services de sant ruraux de mani re qu ils puissent collaborer efficacement ce programme Ce projet fait suite l enqu te pr radication qui a t effectu e entre juillet 1959 et mars 1962 Arabie Saoudite 5 Assainissement deuxi me tape oct 1958 fin 1965 AT Cr er au Minist re de la Sant Er Riad un service d assai nissement charg de coordonner les travaux des diverses sections de l administration nationale qui s occupent de l assainissement Arabie Saoudite 13 Lutte contre la tuberculose zone pilote nationale d Er Riad f vr 1963 fin 1965 B Cr er Er Riad un centre antituberculeux qui formera du personnel pratiquera des preuves la tuberculine en vue de d terminer les taux d infection et fera la d monstration des mesures de contr le en vue de d terminer celles qui sont le plus indiqu es pour l agglom ration d Er Riad et pour les secteurs ruraux avoisinants ult rieurement le programme de lutte sera tendu d autres r gions du pays Arabie Saoudite 15 Ecole d assistants sanitaires et de techniciens de l assainissement Er Riad f vr 1959 7964 B Former des assistants sanitaires et des techniciens de l assai nissemen
26. Une autre activit importante pour la recherche est l examen p riodique des connaissances dans les diff rentes branches m dicales cet examen est effectu lors de r unions de recherches auxquelles participent des experts renomm s Dix neuf r unions de groupes scientifiques et autres r unions de recherche ont e lieu de janvier septembre 1963 L OMS accorde deux cat gories de bourses de formation pour la recherche l une destin e de jeunes chercheurs l autre des chercheurs exp riment s Au cours des neuf premiers mois de 1963 treize de ces bourses ont t accord es de jeunes chercheurs et six des chercheurs exp riment s L change de donn es et d observations entre hommes de science est un facteur important dans la recherche Aussi POMS a t elle toujours servi de centre de r union pour les sp cialistes du domaine biom dical La convocation de groupes scientifiques et de r unions de recherche de diverses sortes qui permet de rassembler de nombreux hommes de science sous un seul toit a accru le r le de l Organi sation cet gard En outre un programme sp cial a t labor pour permettre des chercheurs de se rendre mutuellement visite et m me de travailler ensemble Au cours des neuf premiers mois de 1963 vingt trois subventions ont t accord es cette fin portant ainsi soixante neuf le total des subventions de ce genre depuis 1958 Les b n ficiaires apparte naient
27. acqu rir des connaissances utiles sur les techniques de la lutte antipianique ainsi qu une exp rience pr cieuse des campagnes ex cut es l chelon national il a galement contribu augmenter l int r t du public pour les programmes sanitaires du Gouvernement Le traitement de masse de la population ram nera la fr quence des cas de pian un niveau qui devrait permettre aux services de sant ruraux d y faire face mais il sera n cessaire de continuer les op rations de surveillance et le contr le post cure pour parvenir l limination compl te de la maladie Toutes les zones connues d end micit du pian dans le secteur du Pacifique qu englobe cette R gion except la partie portugaise de Timor sont maintenant couvertes par des programmes de traitement de masse Des dispositions ont t prises pour que l quipe de POMS retourne dans le Pacifique sud pendant le dernier trimestre de 1963 afin d aider les gouvernements atteindre l objectif de la seconde phase du projet c est dire ma triser compl tement le pian et en r aliser finalement l radication dans les zones o la maladie tait end mique auparavant WPRO 37 Centres de la poliomy lite juin 1956 mai 1963 B Une bourse de six mois a t accord e au titre de ce projet qui avait b n fici de bourses d tudes et d une aide entre 1956 et 1962 1 Actes off Org mond Sant 114 96 WPRO 50 Bourses d tudes
28. ces facteurs dans la pr vention du vieillissement pr matur L OMS prend une part de plus en plus active aux efforts accomplis pour que l habitat satisfasse aux r gles de l hygi ne Un s minaire interr gional Am riques Europe sur les probl mes de sant publique relatifs au logement s est tenu Madrid en avril Les discus sions ont principalement port sur la d finition des probl mes de sant publique que pose l habitat sur les normes appliquer aux nouvelles habitations sur l valuation des logements existants et sur le r le des diff rents services et organismes sanitaires En mars a eu lieu Vienne une conf rence technique europ enne sur les statistiques de morbidit organis e avec l assistance de l OMS Les m thodes couramment employ es pour l valuation de la morbidit et des niveaux de sant dans 18 collectivit ont t pass es en revue et elles ont fait l objet d une tude critique en ce qui concerne leur utilisation et ses limites La conf rence a examin en particulier les nouvelles m thodes susceptibles d tre appliqu es ainsi que l influence de l volution de la situation pid miologique en Europe sur le r le d volu aux statistiques sanitaires Un symposium sur la lutte antiv n rienne qui s est tenu Stockholm en septembre a examin les probl mes que pose la fr quence accrue des infections gonococciques et syphilitiques dans de nombreux pays 80
29. d accorder une attention particuli re aux moyens pratiques d aider les pays en PROTECTION ET PROMOTION DE LA SANT 35 voie de d veloppement organiser des services de sant mentale dans le cadre de leurs services g n raux de sant publique et de bien tre L OMS a aid un certain nombre de gouvernements de ces pays d terminer leurs besoins et leurs res sources en mati re de protection de la sant mentale et laborer un programme de sant mentale C est ainsi que des administrateurs de la sant publique de la C te d Ivoire o un consultant de POMS avait s journ plusieurs mois la fin de l ann e 1962 se sont rendus dans le pays de ce consultant en Europe pour y poursuivre les discussions et tudier sur place les services psychiatriques Le but des consultations de ce genre est de permettre aux pays en voie de d ve loppement d adapter utilement chez eux lexp rience acquise dans les pays d velopp s Une s ance de la conf rence des Nations Unies sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es voir aussi page 57 a t consacr e aux probl mes de sant mentale On y a admis que l volution conomique et sociale acc l r e sans accro t e n cessai ement la fr quence des troubles mentaux pouvait faire appa ra tre de nombreux cas qui sans elle auraient pass inaper us 1 8 t galement soulign qu il convena
30. de donner aux pays int ress s des avis sur la formation des statisticiens sanitaires Un symposium sur l exploitation des services d approvisionnement en eau et des r seaux d gouts a t organis Medellin Colombie sous les auspices de POPS et de l Inter American Development Bank avec la participation de cinquante ing nieurs sp cialis s Un autre symposium consacr l utilisation de canalisa tions d eau en mati re plastique s est tenu Caracas Venezuela et un cours de br ve dur e sur l am nagement des adductions d eau a t donn S o Paulo Br sil L OPS a aid sept pays mettre au point leurs demandes d assistance au Fonds sp cial des Nations Unies en vue de la cr ation d instituts d enseignement et de recherche dans le domaine du g nie sanitaire Le Fonds sp cial a d j accept de financer un projet de ce genre l Universit nationale de Colombie Lutte contre les maladies transmissibles ou radication de ces maladies Les campagnes d radication du paludisme ont continu progresser Entre le lef janvier et le 30 septembre 1963 de nouvelles zones sont entr es dans la phase de consolidation en Bolivie en Colombie au Costa Rica en Equateur au Guatemala au Honduras au Nicaragua et au P rou La population globale des secteurs ayant atteint la phase de consolidation se chiffrait 35 067 000 personnes en septembre 1963 contre 30 410 000 la fin de 1962 c
31. ensemble du pays notamment en ce qui concerne la sant et le bien tre des m res et des enfants int grer plus troitement les services de sant dans les autres activit s visant lever le niveau de vie et obtenir 18 collaboration de 18 population Somalie 11 Lutte contre la tuberculose mars 1960 fin 1965 AT FISE Cr er Mogadiscio un centre pour y faire 18 d monstration des techniques de lutte antituberculeuse et pour y former du personnel sanitaire local mettre en uvre dans les r gions avoisinant Mogadiscio un programme antituberculeux com prenant notamment la vaccination de masse par le BCG le d pistage par examen des crachats et par contr le radiologique et le traitement domicile tant dans les populations s dentaires que chez les nomades 132 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Somalie 12 Lutte contre la bilharziose d c 1962 mars 1963 AT L OMS a fourni durant trois mois les services d un consultant charg d valuer la propagation de la bilharziose en Somalie et de donner des avis sur les m thodes de lutte employer Somalie 13 Services sanitaires de base mars 1962 7965 AT Etablir une zone rurale de d monstration qui permettra de donner une formation pratique aux l ves du projet Somalie 8 Formation de personnel sanitaire qui b n ficie d une aide de l OMS Cette exp rience doit aussi renseigner sur les possi bilit s de cr ation d un service int gr de sa
32. expos s dans un article du Bulletin de l OMS Poliomy lite Les pays diff rent fortement du point de vue des tendances de la morbidit poliomy litique selon que des vaccinations de masse notamment au moyen de vaccin vivant y ont t ou non pratiqu es L o des campagnes de masse ont t ex cut es le nombre des cas et des d c s diminue chaque ann e jusqu devenir bien souvent n gligeable Au contraire en l absence de campagne de vaccination on rel ve des taux de morbidit lev s ou en progression malgr 16 recul du nombre total de cas l chelle mondiale de 30 795 cas en 1961 22 368 cas en 1962 Les pays o l on constate un fl chissement sensible de la morbidit poliomy litique de 1961 1962 et pendant les six premiers mois de 1963 comprennent le Canada le Danemark les Etats Unis d Am rique Isra l la Nouvelle Z lande la Pologne la Suisse et la Yougoslavie En Tch coslovaquie aucun cas de poliomy lite paralytique n a t signal depuis juillet 1960 poque laquelle s est achev e la campagne de 2 Work T H 1963 Bull Org mond Sant 29 59 74 MALADIES TRANSMISSIBLES 15 vaccination de masse Un rapport sur les vaccinations de masse pratiqu es en Croatie avec un vaccin base de virus vivant att nu a paru dans le Bulletin de POMS En revanche un grand nombre de pays en voie de d veloppement o les vaccinations antipoliomy li tiques ont
33. fond sur la cutir action a t propos il est actuellement mis l preuve dans plusieurs zones d end micit En Rhod sie du Sud un essai sur le terrain 8 permis de comparer aux analyses de f ces et 18 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 d urine la cutir action la m thode d immuno fluorescence ainsi qu un nouveau test dit de fiche plasmatique L OMS collabore avec la London School of Hygiene and Tropical Medicine l valuation de importance m dicale et sanitaire de la bilharziose en Afrique orientale Des tudes sur Bilharzia haematobia ou Schistosoma haematobium sont en cours Mwanza Tanganyika elles s tendront ult rieurement Schistosoma mansoni La mise au point de meilleurs m dicaments antibilharziens s impose d urgence et la valeur des pr parations actuellement utilis es demande tre pr cis e De concert avec le British Medical Research Council l OMS a donc charg un centre de chimio th rapie install Tanga Tanganyika de proc der des essais cliniques et des exp riences sur le terrain Les m dicaments connus sont compar s dans des conditions soigneusement contr l es et de nouveaux compos s qui paraissent prometteurs seront soumis des preuves analogues Infections dues des filaires L onchocercose pr occupe de plus en plus les autorit s de bien des pays d Afrique et des Am riques Non seulement des enqu tes pid miologiques ont r v
34. la campagne mondiale d radication du paludisme prouvent un besoin commun former mieux et en plus grand nombre le personnel n cessaire Plusieurs mesures ont t prises cette fin deux centres internationaux de forma tion ont t cr s en Afrique un cours international pour entomologistes a t organis dans la R gion du Pacifique occidental et un centre r gional de formation a ouvert ses portes Manille D int ressants pro grammes nationaux de formation existent en Asie du Sud Est et il faut esp rer qu un plus grand nombre de pays de la R gion seront en mesure de profiter des bourses qui leur sont offertes pour des candidats qualifi s La coordination inter pays assur e par diverses r unions r gionales ou interr gionales est une illustration de la coop ration internationale qui conditionne le succ s des activit s patronn es par FOMS Les septi mes congr s internationaux de m decine tropicale et du paludisme qui se sont tenus Rio de Janeiro ont constat les progr s appr ciables accomplis vers l radication mondiale du paludisme On y a galement not l application croissante des m thodes immunologiques et discut de la r sistance aux m dicaments Dans la lutte contre les autres maladies transmissibles les rapports re us des diff rentes R gions font aussi tat de r sultats encourageants Le pian par exemple peut tre consid r comme pratiquement limin de Ceylan et il a subi un te
35. lectriques usage m dical la cr ation d ateliers sp cialis s les proc d s de r paration et d entretien des appareils radiologiques et le renforcement de la protection contre les rayonnements ionisants SEARO 42 Protection contre les radiations d c 1959 mars 1960 f vr 1963 fin 1965 B Donner des avis aux pays de la R gion sur toutes les questions de sant publique int ressant la protection contre les radiations SEARO 50 R organisation des relev s et rapports sanitaires ruraux janv 1961 fin 1966 B Mettre au point dans certains centres de sant ruraux un syst me de relev s et de rapports sanitaires ruraux et former du personnel pour la r union le d pouillement et la pr sentation des statistiques d mographiques et sanitaires l chelon des centres de sant ruraux En 1963 on s est pr occup surtout de r organiser le syst me de relev s et de rapports concernant la protection maternelle et infantile SEARO 60 S minaire r gional sur les statistiques sanitaires statistiques hospitali res Bangkok 11 22 d c 1962 B Ce s minaire avait pour objet d inventorier les m thodes actuellement en usage pour la tenue des archives hospitali res et l tablissement des relev s concernant les donn es recueillies dans les h pitaux ainsi que de formuler pour ces archives et ces relev s des principes uniformes applicables dans les pays de la R gion Ont particip ce s minaire vingt
36. mettre au point un syst me de notification et d acheminement des rapports et laborer un plan long terme en vue de la lutte contre les principales maladies transmissibles Viet Nam 15 Administration hospitali re ao t 1960 janv 1961 juin ao t 1962 juillet 1963 7965 B Mettre au point un r seau hospitalier couvrant l ensemble du pays normaliser les archives hospitali res et tablir un syst me de classification des fiches des malades Viet Nam 16 Paludisme Programme pr radication mars 1959 CSEP AID Former du personnel national et faire des pr paratifs en vue de la mise en uvre d un programme d radication du paludisme Viet Nam 17 Distribution de produits pharmaceutiques ao t 1961 fin 1964 B Am liorer la distribution des fournitures m dicales et des produits pharmaceutiques aux h pitaux centres de sant et tablissements analogues ainsi que les dispositions en vigueur concernant l entretien du mat riel m dical organiser un syst me d achat centralis pour les fournitures m dicales et pr parer des nomenclatures normalis es pour celles ci ainsi que pour le mat riel et pour les produits pharmaceutiques PROJETS INTERR GIONAUX Interr gional 51 Equipe consultative pour les tr pon matoses 1959 B Etudier la nature la diffusion et la gravit des tr pon matoses end miques afin de r unir des donn es sur lesquelles fonder les programmes de sant publique value
37. mi res auxiliaires de la sant publique Au Nig ria des infirmi res de la sant publique re oivent une formation dans le cadre du projet de d veloppe ment des services de sant ruraux qui b n ficie d une aide de POMS Au Ghana l ex cution du program me de formation d infirmi res visiteuses se poursuit On se propose de cr er des centres d enseignement infirmier sup rieur afin d assurer la formation de monitrices de surveillantes et d administratrices A cet effet l OMS pr te son concours aux pays dont les universit s sont dispos es cr er des d partements de soins infirmiers et qui disposent en outre d un nombre suffisant de candidates poss dant une instruction ad quate On peut citer titre d exemple l cole sup rieure d infirmi res que POMS aide actuellement cr er l Universit du Ghana et qui devait inaugurer ses cours en octobre 1963 Au d but cette cole s occupera de la formation d infirmi res monitrices qui enseigneront dans les coles d infirmi res et de sages femmes L Universit d Ibadan au Nig ria a accept d organiser sur une base inter pays des programmes d enseignement infirmier en langue anglaise et des n gociations se poursuivent actuel lement avec l Universit de Dakar pour l organisation de cours analogues en fran ais Des bourses d tudes accord es par POMS permettront un certain nombre de candidates venant d autres pays d
38. pid mique d Afrique ont re u une aide pour l organisation de programmes nationaux de lutte contre cette forme de m ningite Chol ra L OMS a pr t son concours au laboratoire de lysotypie des vibrions chol riques Calcutta pour l tude pid miologique des r centes pouss es de chol ra El Tor Le laboratoire a fait fonction de centre international de r f rence Les pr paratifs d essais pratiques contr l s de vaccins antichol riques qui doivent tre faits Calcutta sont tr s avanc s on utilisera notamment du vaccin sec pr par aux Etats Unis d Am rique 5 Lapeyssonnie L 1963 La m ningite c r bro spinale en Afrique Gen ve 5 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 De son c t le Laboratoire international d Etalons biologiques de Copenhague se pr pare proc der des tudes concert es de laboratoire sur les vaccins Un num ro sp cial du Bulletin de l OMS 8 t consacr au chol ra Peste Une recrudescence de la peste s est manifest e dans quelques pays Des enqu tes sur la fr quence et la diffusion de la maladie dans les Am riques et dans d autres r gions d end micit sont envisag es L pre Au cours du premier semestre de 1963 l quipe consultative interr gionale pour la l pre a proc d des enqu tes sur la fr quence globale dans les r gions de Shwebo et de Myingyan en Birmanie Elles serviront de base pour faire le point des r sultats obte
39. t rares enregistrent un accroissement de la morbidit Bien que la diminution de la morbidit polio my litique r sultant de vaccinations avec un vaccin vivant confirme la valeur de ce genre de vaccin plusieurs probl mes relatifs son utilisation demeurent encore non r solus Aux Etats Unis d Am rique et au Canada par exemple quelques cas de poliomy lite paralytique dus au virus du type 3 se sont produits au cours du second semestre de l ann e 1962 la suite de l administration de vaccin vivant En d pit d une enqu te approfondie on n a pu ni exclure ni confirmer une relation de cause effet entre les cas en question et la vaccination Aucun incident analogue n a t signal dans les autres pays qui ont proc d des vaccinations de masse mais toute campagne d immunisation exige manifestement une surveillance tr s attentive H patite virus On ne saurait mettre en doute l importance consid rable et sans cesse croissante de l h patite virus du point de vue de la sant publique cependant les donn es de morbidit et de mortalit concernant l h patite et ses s quelles diff rent tel point selon les pays qu il est actuellement impossible d analyser valablement la distribution de la maladie En outre de nombreuses caract ristiques pid miologiques de lPh patite virus demeurent obscures Dans le dessein de rassembler des informations plus exactes POMS a proc d un
40. tre prise en charge compl tement par les autorit s nationales Pakistan 30 Enseignement infirmier Pakistan oriental janv 1958 fin 1968 B FISE Renforcer les programmes d enseignement et de formation professionnelle destin s au personnel infirmier et aux sages femmes Pakistan 33 Institut de Sant publique Pakistan oriental oct 1961 1965 AT Etablir des d partements d pid miologie et de bact riologie l Institut de Sant publique de Dacca Pakistan oriental Pakistan 36 Eradication du paludisme 1961 7974 CSEP AID Proc der par tapes l radication du paludisme dans tout le pays Le programme d radication fait suite une enqu te pr radication qui a t men e en 1959 et 1960 avec l aide de POMS Pakistan 39 Lutte contre la l pre nov 1961 fin 1965 B FISE Entreprendre la lutte contre la l pre Ce projet qui fait suite aux visites faites en 1959 et 1960 par des consultants court terme envoy s par POMS int resse plus particuli rement le Pakistan oriental o la l pre constitue un s rieux probl me de sant publique Pakistan 42 Appareils de proth se 1961 fin 1966 AT FISE Installer un atelier de fabrication d appareils de proth se et apprendre des ouvriers confectionner des corsets orthop diques et d autres appareils de proth se Pakistan 43 Statistiques d mographiques et sanitaires janv 1961 juin 1964 AT R organiser et am lior
41. troitement coordonn s avec les activit s d ploy es par les services de d velop pement communautaire de la sant publique de la pr voyance sociale et de l ducation en vue de pro mouvoir la pu riculture et l conomie m nag re Le personnel sanitaire de l le Maurice a b n fici d une formation en mati re de nutrition qui a t assur e par un nutritionniste de la sant publique fourni par POMS au Kenya une formation analogue est donn e par une quipe de POMS charg e d effec tuer de vastes enqu tes sur la nutrition dans diff rentes parties du pays Une enqu te de ce genre a t entre prise dans la R publique Centrafricaine en collabo ration avec la FAO et le FISE Un plan tabli conjoin tement par POMS la FAO le FISE et 18 London School of Hygiene and Tropical Medicine pr voit l application d un programme d ducation en mati re de nutrition la fois la London School et l Ecole de M decine de lUniversit d Ibadan Nig ria L OMS prendra sa charge les frais d un certain nombre de participants ces cours L tablissement Accra de la Commission mixte FAO OMS CCTA de l Alimentation et de la Nutrition pour l Afrique constitue un r sultat particuli rement marquant de la coop ration internationale dans ce domaine Des arrangements sp ciaux ont t conclus pour financer l envoi de certaines cat gories de personnel op rationnel conform ment la r solu
42. vingt sept pays L OMS ne s est pas born e favoriser les contacts personnels entre hommes de science elle envisage galement d autres activit s tendant am liorer entre eux les changes d id es Elle a commenc tablir un r pertoire mondial des institutions de recherche et des chercheurs D autre part on s efforce de faire le point des grands probl mes mondiaux de sant qui ne sont pas ou ne paraissent pas devoir tre explor s suffisamment dans le cadre national afin de d terminer la part que POMS pourrait prendre leur solution L un des principaux probl mes l tude est celui que pose la r union l exploitation et la diffusion de renseignements sur les probl mes sani taires et les recherches biom dicales d importance mondiale Il est manifeste que seule une action internationale peut permettre de mener cette t che bien Le Comit consultatif de la Recherche m dicale a tenu en juin 1963 sa cinqui me session au cours de laquelle il a pass en revue les cinq ann es du pro gramme de recherche de l OMS et formul des direc tives pour le d veloppement futur de ce programme Le Comit a galement tudi les rapports des groupes scientifiques sur la cellule diplo de humaine les an mies m galoblastiques l valuation de l innocuit et de l efficacit des pr parations pharmaceutiques la biologie de la reproduction humaine l emploi de facteurs biologiques dans la lutte con
43. 124 Viet Nam R publique du 90 quipe consultative 20 45 135 141 s minaire OPS Cuernavaca Mexique 72 Leptospirose 10 Leuc mies 11 33 r union de coordonnateurs et de chercheurs Gen ve 36 143 Liban 51 84 125 129 Lib ria 16 20 65 67 68 98 Libye 32 83 84 129 130 132 Ligue des Soci t s de la Croix Rouge 61 Logement voir Habitat et logement Luxembourg 122 Lymphome malin 14 Macao 20 Madagascar 66 67 69 98 99 Maladies virus 12 16 tudes comparatives 11 laboratoires de diagnostic et de recherches Br sil 104 Costa Rica 105 R publique Arabe Unie 131 Tunisie 133 Maladies bact riennes 19 20 Maladies cardio vasculaires 12 33 34 37 45 80 118 Maladies chroniques non sp cifiques du poumon symposium Moscou 118 Maladies diarrh iques 19 20 Ceylan 111 Guatemala 73 Iran 45 85 P rou 73 quipe consultative 19 85 141 Maladies intestinales 31 77 78 cours T h ran 19 Maladies mentales voir Psychiatrie Sant mentale Maladies parasitaires 17 19 Maladies quarantenaires voir Quarantaine internationale Maladies rhumatismales voir Rhumatisme Maladies transmissibles 6 21 28 44 Albanie 120 Viet Nam R publique du 88 140 Maladies v n riennes 7 9 12 Cara bes zone des 102 Chine Ta wan 136 Maroc 122 symposium Stockholm 8 80 119 Malaisie 4 14 20 30 56 88 89 90 138 Malathion 4 143 Maldives les 115 Malformations cong nitales
44. 128 129 Italie 10 26 122 Jama que 72 106 Japon 18 88 137 INDEX Jordanie 3 15 35 83 84 85 125 129 Journ e mondiale de la Sant 36 52 53 Kenya 66 67 68 69 98 Kourou Papua et Nouvelle Guin e 91 Kowe t 44 129 Laboratoires 29 65 66 88 102 117 Albanie 120 Birmanie 110 Br sil 104 Cambodge 136 Congo Brazzaville 66 Costa Rica 105 Honduras britannique 106 Iran 128 Laos 137 Maroc 122 Nig ria 66 99 Philippines 139 R publique Arabe Unie 131 Sierra Leone 66 100 Togo 66 Tunisie 133 Viet Nam R publique du 135 Laboratoires formation de techniciens 29 85 125 Cambodge 136 Laos 137 Sierra Leone 100 Laboratoires et centres de r f rence 29 42 cancer 33 immunologie 48 leptospirose 10 maladies virus 12 13 14 r union des directeurs des centres de r f rence des virus des voies respiratoires et des ent rovirus Gen ve 12 maladies bact riennes et diarrh iques 19 rickettsioses 12 16 s rologiques 8 10 Lait hygi ne 9 26 Laos 32 89 137 138 L gislation sanitaire Ghana 97 Singapour 140 L pre 20 72 76 90 103 Birmanie 109 Cambodge 90 Cameroun 96 Chine Ta wan 90 135 Chypre 127 Cor e R publique de 90 136 Inde 77 111 Indon sie 114 Lib ria 98 Malaisie 90 138 Mexique 106 N pal 115 Pakistan 130 Philippines 90 135 Sierra Leone 100 Singapour 90 140 Tha lande 115 Togo 101 Turquie
45. 1966 B OPS Fonds sp cial pour l approvisionnement public en eau FISE Organiser am liorer et d velopper un r seau complet de services de sant r gionaux et locaux tout d abord dans neuf tats et par la Suite dans tout le pays Mexique 23 Institut national de la Nutrition 1963 7965 AT Etudier les habitudes alimentaires de la population afin d am liorer son tat nutritionnel et former le personnel technique et auxiliaire de l Institut national de la Nutrition Mexique 29 Lutte contre la l pre nov 1960 7968 B FISE Ex cuter un programme national antil preux faisant appel des m thodes et techniques modernes Mexique 30 Ecole de Sant publique mai 1954 1965 B Renforcer l enseignement donn par l Ecole de Sant publique de l Universit de Mexico Mexique 35 Enseignement du g nie sanitaire 1955 7967 B Organiser des cours post universitaires pour ing nieurs l Ecole sanitaire de l Universit de Mexico et l Universit de Nuevo Le n Mexique 38 Lutte contre la tuberculose juin 1960 1965 8 AT FISE D terminer la fr quence globale et les autres caract ristiques pid miologiques de la tuberculose pr parer une campagne antituberculeuse nationale former du personnel cr er des centres pilotes Mexique 53 Eradication du paludisme 1956 7965 AT OPS Fonds sp cial du paludisme FISE Eliminer le paludisme de tout le pays Le programme com prend des projets pil
46. A quelques exceptions pr s les op rations anti paludiques se sont d roul es conform ment aux plans tablis mais aucun pays n a encore atteint le stade d attestation de l radication Le programme ex cut en Chine Ta wan reste le plus avanc de la R gion mais la phase d entretien a d tre ajourn e de juin 1963 fin 1964 par suite de l apparition r cente de quelques foyers de transmission Sur les cinq programmes d radication du paludisme Born o du Nord Chine Ta wan Philippines les Ryu Kyu et Sarawak deux seront entrav s par une nette insuffisance de cr dits gouvernementaux en 1964 et c est galement le manque de fonds qui dans le cas d un troisi me pro gramme retarde la mise en uvre d un nouveau plan d op rations d ensemble Des probl mes administratifs ont g n certains programmes pr radication En revanche les deux projets pilotes d radication lanc s en 1960 et en 1961 en Malaisie et dans le Protectorat britannique des les Salomon ont donn des r sultats encourageants en ce qui concerne l interruption de la transmission Dans les pays en voie de d veloppement dans la R gion plus de 40 des enfants sont infect s de bacilles de la tuberculose quand ils parviennent l ge de quatorze ans 2 5 des adultes pr sentent des voiles lors de lexamen radiologique des poumons et non moins de 5 pour mille de la population pro pagent l infection Le taux moyen de
47. Afin de r duire dans les r gions d end micit le risque de propagation de la variole d un pays lautre l OMS a recommand que les pays voisins coordon nent leurs campagnes nationales d radication et synchronisent autant que possible les op rations Cette r gle a t adopt e par des groupes de pays d Afrique occidentale C te d Ivoire Ghana Haute Volta Lib ria et Mali et d Asie Afghanistan Inde N pal et Pakistan oriental qui ex cutent actuellement des programmes concert s de lutte ou d radication La Dix Septi me Assembl e mondiale de 18 Sant sera saisie d un rapport d taill sur le programme d radication de la variole pour toute l ann e 1963 Les travaux patronn s par POMS sur l pid miologie et immunologie de la variole ont fourni d utiles indications qui devraient permettre de mieux organiser les campagnes d radication On a essay de retrouver le virus dans Pair qui circule autour des varioleux atteints de nombreuses l sions buccales mais on n y est pas parvenu m me dans un rayon de 15 ou 20 cm Par contre l op ration r ussit r guli rement dans les draps et couvertures des malades L OMS soutient en outre Madras des essais contr l s de chimiopro phylaxie sur les contacts familiaux les r sultats obtenus jusqu ici sont satisfaisants Des pr paratifs ont t faits en vue de r unir en janvier 1964 un comit d experts qui tudiera les nombreux
48. Am iique a pr t son concours pour vingt quatre programmes ainsi que pour les centres internationaux de pr paration l radication du paludisme de la Jama que et des Philippines Un rapport d taill sur l tat d avancement du pro gramme d radication du paludisme int ressant la totalit de l ann e civile consid r e sera pr sent la Dix Sspti me Assembl e mondiale de la Sant en mars 1964 1 1 Le rapport correspondant pour 1962 a t publi dans les Actes officiels N 127 annexe 8 CHAPITRE 2 MALADIES TRANSMISSIBLES Tuberculose L OMS a fourni en 1963 une aide trente sept pays en vue de la mise au point de programmes nationaux de lutte antituberculeuse Les indications qui suivent tir es de quelques uns des rapports re us en 1963 permettent de se faire une id e de la diversit des projets qui ont b n fici de l assistance de l Organisa tion Dans le programme pilote de lutte antituberculeuse Chypre 96 des l ves des coles ont t test s lors d une enqu te tuberculinique effectu e dans les tablissements scolaires de Nicosie on a constat cette occasion que le taux d infection tait extr mement faible 1 2 seulement chez les enfants g s de six douze ans En Ethiopie l OMS pr te son concours depuis 1959 pour la mise en uvre d un programme antituberculeux int gr dans le service de sant publique pendant cette p riode 114 575 perso
49. Arabie Saoudite 85 126 Autriche 120 Bir manie 110 Cara bes zone des 102 C te d Ivoire 96 Dahomey 96 Gabon 96 Ghana 97 Guin e 97 Hon duras 106 Inde 111 113 Indon sie 114 115 Kenya 98 Mali 99 Maroc 122 Nig ria 99 Ouganda 100 Pakis tan 130 Philippines 89 139 S n gal 100 Sierra Leone 100 Somalie 132 Togo 101 Tonga les 140 Voir aussi G nie sanitaire Mati res us es vacuation Assainissement techniciens voir Personnel sanitaire auxiliaire Assembl e mondiale de 18 Sant Dix Septi me 16 28 42 56 Assistance d urgence 56 59 Yougoslavie 61 Assistance technique voir Programme largi d assistance tech nique Association du Transport a rien international IATA 21 Association interam ricaine de G nie sanitaire 119 Association internationale de Logop die et de Phoniatrie 60 Association internationale des Soci t s de Microbiologie 11 Association nationale su doise contre les affections cardiaques et pulmonaires 43 Ath roscl rose 12 34 45 Australie 14 135 Autriche 120 Banque internationale pour la Reconstruction et le D veloppe ment 58 60 71 Basutoland 67 95 B timent du Si ge voir Si ge de l OMS b timent BCG quipe d valuation R gion de l Asie du Sud Est 108 Voir aussi Vaccination et vaccins Bechuanaland 95 Belgique 35 120 Bibliographie de pid miologie du cancer 1946 1960 50 Biblioth conomie m dicale congr s Washin
50. B FISE Faire conna tre les m thodes modernes de lutte contre la l pre notamment les m thodes de d pistage de traitement domicile et de surveillance des contacts former du personnel et tendre le programme de lutte toutes les r gions d end micit de la Tha lande 116 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Tha lande 38 Ecole de Sant publique Bangkok B Une bourse de douze mois pour l tude du g nie sanitaire a t accord e au titre de ce projet pour lequel POMS a envoy du personnel et fourni du mat riel entre d cembre 1955 et mars 1962 Tha lande 42 Programme national de lutte antituberculeuse Projet pilote oct 1958 fin 1968 AT FISE Cr er un centre pid miologique de la tuberculose et mettre en uvre dans une zone bien d limit e et particuli rement peupl e de Bangkok un programme communautaire de d pistage et de traitement des tuberculeux ult rieurement ces services de lutte seront tendus l ensemble de l agglom ration urbaine tandis que l on mettra sur pied pour la r gion environnant Bangkok un projet pilote antituberculeux en vue d tablir un programme provincial type en outre on formera du personnel pour l ex cution du programme Tha lande 43 Lutte contre le trachome juillet ao t 1959 avril 1961 fin 1965 B FISE D terminer la nature et 165 variations saisonni res des infec tions bact riennes de la conjonctive et leur rapport avec la fr quence et la gra
51. Bureau r gional Pendant l ann e examin e de vastes projets de zones pilotes ont t mis en uvre au Ghana Madagascar au Nig ria et au Swaziland et une assistance a t accord e pour le renforcement de diverses activit s se rattachant la lutte antituber culeuse au Basutoland au Kenya et dans l le Maurice Des n gociations taient d autre part en cours pour la mise en train de projets dans cinq autres pays Le FISE accorde son appui plusieurs de ces projets de lutte antituberculeuse Des dispositions ont t prises pour permettre l quipe consultative interr gionale pour les tr pon matoses d entreprendre une enqu te au Nig ria oriental et on envisage d entreprendre au Togo une tude pid miologique et s rologique de caract re restreint dans le cadre du programme de lutte contre les tr pon matoses L Organisation a continu de fournir son assistance pour l ex cution du programme d radication de la variole entrepris en 1961 en C te d Ivoire et au Mali Au Lib ria o un programme a t mis en uvre en 1962 avec laide de POMS une enqu te destin e d terminer le degr d immunit variolique de 18 population de la zone de Monrovia s est termin e en f vrier 1963 et on a entrepris une campagne de vaccination contre cette maladie Hygi ne du milieu LOMS a intensifi pendant la p riode examin e Paide accord e pour l laboration de programmes d appro
52. Ethiopie 25 Equipe de direction des centres de sant 1962 1965 B FISE Encadrer et diriger le personnel semi qualifi et auxiliaire des centres de sant et donner des avis sur les plans d ensemble pr voyant des services int gr s assur s par l interm diaire des centres de sant Ethiopie 29 Cours de formation de techniciens de radiologie janv 1963 d c 1964 AT FISE Former des techniciens de radiologie dont le pays a le plus grand besoin en raison du d veloppement de ses tablissements de m decine et de sant publique Ethiopie 200 Bourses d tudes B Etudes de m decine pro longation de trois bourses pendant douze mois gyn cologie et obst trique douze mois Ethiopie 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine pro longation de cinq bourses pendant douze mois Irak 11 Eradication du paludisme 1957 au del de 1965 B CSEP FISE Extirper le paludisme de l ensemble du pays largissement du programme de lutte antipaludique auquel POMS collabore depuis 1952 Irak 15 Lutte contre la bilharziose nov 1955 milieu de 1965 AT Mettre au point des m thodes efficaces de lutte contre la bilharziose notamment en ce qui concerne la prophylaxie dans les zones r cemment mises en valeur proc der des tudes pilotes d assainissement sur divers syst mes d irrigation Irak 18 Lutte contre les ophtalmies transmissibles janv 1961 1965 B FISE Mettre au point des m thodes eff
53. GION DE LA M DITERRAN E ORIENTALE Le d veloppement de la R gion de la M diterran e orientale sur le plan conomique et social s est accompagn dans nombre de pays d une augmen tation du budget consacr aux activit s sanitaires et plusieurs gouvernements ont demand l aide de l OMS pour l laboration et l valuation de pro grammes sanitaires nationaux et l organisation d enqu tes L OMS a d autre part continu pr ter son concours pour le renforcement des services de sant afin que ceux ci soient en mesure de contribuer de fa on appropri e au d veloppement g n ral des pays int ress s L am lioration des moyens de formation rev t cet gard une importance primordiale car la p nurie aigu de personnel qualifi notamment de m decins demeure le principal obstacle au progr s sanitaire dans la R gion Afin de rem dier cette situation l OMS aide les gouvernements cr er et renforcer les coles de m decine notamment en envoyant des professeurs ext rieurs et d autres cat gories d enseignants et en accordant des bourses pour des tudes universitaires et post universitaires Soixante six tudiants venant d Arabie Saoudite de Chypre de Jordanie de Libye de Somalie et du Y men ont re u en 1963 des bourses de POMS en vue d tudes universitaires de m decine En Tunisie l OMS accorde son aide pour la cr ation d une nouvelle cole de m decine Un groupe d ex
54. Kuala Lumpur Malaisie Hong Kong et Lagos et en septembre un stage pour adminis trateurs nationaux de programmes d radication du paludisme a t organis Manille Un premier cours de perfectionnement en pid miologie et m thodologie pid miologique 8 t donn Gen ve en 1963 Les experts paludologues de POMS qui ont suivi ce cours formeront ensuite de la m me fa on les cadres de leurs R gions respectives Le programme de bourses de POMS pour l change de travailleurs scientifiques a de nouveau permis de hauts fonctionnaires sanitaires de divers pays qui incombe la responsabilit des campagnes d radication du paludisme de se rendre l tranger pour suivre l ex cution de programmes et visiter des centres scientifiques 3 4 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Si des progr s consid rables vers l radication du paludisme ont pu tre accomplis dans de nombreux pays il existe des secteurs par exemple en Am rique centrale en Am rique du Sud et dans la p ninsule indochinoise o les m thodes normales d attaque l aide d insecticides effet r manent ne se sont pas r v l es efficaces Pour surmonter la difficult on a recouru des distribu tions g n rales de m dicaments l emploi de larvi cides dans certains cas et de nouveaux insecticides Les essais pratiques de malathion et de dichlorvos qui ont eu lieu au cours de l ann e en Ouganda et au Nig ria
55. Pollution du milieu Polluants microchimiques du milieu Les dangers de la contamination de l air du sol de l eau et d s aliments par des mati res radioactives sont devenus si manifestes que des efforts consid rables ont t d ploy s pour les valuer en revanche l introduction dans le milieu des nombreux compos s organo chimiques synth tis s par l homme des fins sp ciales 8 beaucoup moins attir l attention peut tre parce que ses cons quences sont moins specta culaires Des centaines de corps organiques nouveaux sont lanc s chaque ann e plusieurs d entre eux sont tr s stables et beaucoup sont employ s dans le monde entier ls comprennent de nouvelles mati res plastiques et des plastifiants des d tergents et solvants synth tiques des additifs incorpor s aux aliments aux carburants ou aux alliages et des pesticides Les produits chimiques synth tiques sont de plus en plus utilis s pour le m nage les accessoires et objets 22 HYGI NE DU MILIEU 23 d ameublement les v tements et les mat riaux de construction Beaucoup de ces produits p n trent directement ou indirectement dans les aliments d autres peuvent atteindre les eaux superficielles ou souterraines d autres encore se dispersent dans l atmosph re Il conviendrait d entreprendre des recherches sur les cons quences que peut avoir pour la sant l introduction croissante de produits organo chimiques de
56. Venezuela 10 Bourses d tudes B Archives m dicales un mois et demi g nie sanitaire dix mois et demi laboratoires de sant publique quatre mois m decine sociale et pr ventive un mois et demi organisation de l enseignement de la m decine une bourse d un mois et demi une de douze mois organisation de l enseignement de la m decine en particulier de la m decine sociale et pr ventive sept semaines organisation de l ensei gnement dentaire trois bourses de deux semaines statistiques sanitaires neuf mois et demi Venezuela 14 Enseignement infirmier avril 1959 7967 AT OPS Renforcer les coles nationales d infirmi res en pr parant des monitrices en am liorant les possibilit s de formation pratique et en compl tant le programme d tudes par des cours sur les soins infirmiers de sant publique ainsi que sur l enseignement et l encadrement du personnel Venezuela 19 Ecole de Sant publique 1962 7967 B Am liorer l enseignement en mati re d ducation sanitaire donn l Ecole de Sant publique de l Universit centrale du Venezuela Caracas ASIE DU SUD EST SEARO 3 2 Equipe d valuation des campagnes BCG Bir manie avril 1962 avril 1963 B Une quipe r gionale de POMS compos e d un m decin d une infirmi re de la sant publique et d un statisticien a fait le point de la campagne nationale de vaccination par le BCG examin les techniques utilis
57. action dans ce domaine l OMS a cr cette ann e un Tableau d experts de la Pollution de l Air et elle a pr vu qu un comit d experts se r unirait en octobre 1963 pour examiner les normes d exposition aux polluants atmosph riques et celles applicables leur rejet ainsi que les m thodes de mesure et d ana lyse Ce comit passera galement en revue les princi paux probl mes de pollution atmosph rique pr sen tant une importance internationale et il examinera les progr s accomplis jusqu ici en vue de leur solution D autres questions seront tudi es notamment les crit res relatifs l appr ciation de la qualit de l air et les moyens de lutter plus efficacement contre la pollution ainsi que les modalit s d une collabo atin internationale en particulier par la mise en commun des r sultats des recherches et enqu tes effectu es dans tous les pays Membres LOMS collabore troitement avec plusieurs organismes internationaux qui s int ressent la lutte contre la pollution de lair et notamment en Europe avec lOrganisation de Coop ration et de D velop pement conomiques le Conseil de l Europe et la Commission conomique des Nations Unies pou l Europe CEE Pollution de l eau Il est incontestable que la pollution des eaux de surface et souterraines a atteint l heure actuelle dans les r gions les plus peupl es et les plus industrialis es des proportions telles qu elle m
58. ann e elle a accord une attention sp ciale l abus des m dicaments appartenant aux groupes des barbituriques et des amph tamines et la mastication habituelle de feuilles de 81 L avis de l Organisation sur les propri t s chimiques pharmacologiques et cliniques de drogues pouvant engendrer la toxicomanie est souvent sollicit par les autorit s nationales ainsi que par les organes des Nations Unies charg s du contr le des stup fiants D troites relations de travail ont t maintenues avec ces derniers l Organisation fournit surtout une assistance technique pour le contr le des stup fiants notamment par l attribution de bourses pour des tudes sur le traitement et la r adaptation des toxicomanes LOMS a galement particip la deuxi me mission d enqu te de l Organisation des Nations Unies sur le contr le des stup fiants dans la R gion de la M diterran e orientale au premier cycle d tudes des Nations Unies sur les probl mes des stup fiants dans les pays en voie de d veloppement en Afrique ainsi qu la pr paration d autres conf rences r gionales sur la toxicomanie et les mesures prendre pour pr venir et combattre celle ci Un article d crivant les m thodes de laboratoire et les m thodes cliniques pour la d termination des propri t s toxicomanog nes des substances effet morphinique a paru dans le Bulletin de l OMS 1 Voir Actes off Org mond Sant 129
59. associ est devenu Membre de plein exercice le 7 mars 1963 d autre part le Kenya et l le Maurice ont t admis au mois de mai 1963 en qualit de Membres associ s par la Seizi me Assembl e mondiale de 18 Sant L Organisation a continu adapter ses travaux aux changements rapides qui surviennent dans la structure socio conomique des divers pays de fa on assurer l int gration des activit s de sant publique dans les programmes nationaux de d veloppement g n ral Par suite du renforcement des activit s de l Organi sation des Nations Unies dans le domaine social et du transfert d une partie croissante des fonctions ainsi assum es ses commissions r gionales les travaux de la Commission conomique pour l Afrique CEA ont acquis pour POMS une importance accrue Les questions d int r t commun comprennent la cr ation de services sociaux notamment dans les zones rurales le logement l assainissement le d veloppement com munautaire la condition de la femme et les statistiques Planification et organisation des services de sant L organisation des services de sant continue b n ficier d une priorit de premier rang dans les demandes d assistance adress es par les gouver nements POMS Pendant la p riode examin e des conseillers OMS en sant publique ont aid les minist res de la sant organiser des services sani taires dans les pays suivants Burundi Haute Vol
60. carbamates est r versible Aussi les r sultats de l analyse des pr l vements sanguins d pendent ils de la dilution de l chantillon et de la concentration du substrat L un des laboratoires qui collaborent avec POMS a r cemment mis au point une technique radiom trique qui r duit les effets de ces deux facteurs En 1963 cette technique a t perfectionn e pour pouvoir tre utilis e sur le terrain et elle fera prochaine ment l objet d un article dans le Bulletin L OMS a Organisation mondiale de la Sant 1962 Normes pour les pesticides Gen ve deuxi me dition HYGI NE DU MILIEU 27 d autre part accord une assistance un laboratoire yougoslave pour l tude du mode d action des insecticides base de carbamates Les tudes sur les m thodes d application des pesticides y compris les molluscicides se sont poursuivies et le Comit d experts des Insccticides s est r uni en novembre 1963 afin de mettre jour les normes existantes et de faire des recommandations sur la normalisation des nouveaux types de mat riel et sur les recherches compl mentaires entreprendre En ce qui concerne la d sinsectisation des a ronefs POMS s est efforc e de faire adopter 8 m thcde dite cales enlev es d sinsectisation effectu e entre 16 verrouillage des portes et le d collage sur les appareils assurant des liaisons internationales Elle 8 donn aux gouvernements des conseil
61. d velopper le service de p diatrie de l h pital du centre de sant de Kalutara coordonner les activit s pr ventives et curatives de protection infantile dans cet h pital et dans la population am liorer les services infirmiers de sant publique au centre de sant et former diff rentes cat gories de personnel sanitaire une fois ces objectifs atteints am liorer les services de p diatrie dans un certain nombre d h pitaux de province et les coordonner avec les services de protection infantile des zones rurales Ceylan 37 Sant mentale Colombo nov 1955 janv 1956 ao t 1960 nov d c 1961 janv 1963 milieu de 1965 B Renforcer les services de sant mentale en donnant au per sonnel de sant une formation en mati re de psychiatrie Ceylan 53 Soins infirmiers Services consultatifs juillet 1960 fin 1966 B Cr er une cole sup rieure d infirmi res dont les programmes r pondent aux besoins des services sanitaires coordonner tous les programmes d enseignement infirmier de base et de formation d infirmi res auxiliaires et leur donner l extension n cessaire instituer au D partement de la Sant une section des soins infirmiers qui sera responsable de l administration g n rale de l enseignement infirmier Ceylan 55 Ecole de physioth rapie Colombo oct 1958 f vr 1963 B Ce projet avait pour but de former des physioth rapeutes pour les services de m decine physique et de r a
62. de la R publique RADICATION DU PALUDISME 5 Dominicaine et de la Zone du Canal de Panama y ont galement assist Bogota en Colombie a eu lieu la troisi me r union des directeurs des services nationaux d radication du paludisme d Am rique du Sud et la troisi me conf rence interterritoriale du paludisme pour le sud ouest du Pacifique s est tenue Honiara dans les les Salomon britanniques Une initiative int ressante en mati re de coordina tion a t prise la huiti me conf rence des ministres de la Sant de l Am rique centrale et du Panama les participants ont propos l organisation d un service d radication du paludisme de l Am rique centrale les gouvernements int ress s mettant en commun leurs ressources techniques et conomiques pour extirper la maladie de cette zone On trouvera l annexe 11 la liste des soixante et un pays o des programmes d radication du paludisme taient en cours au 30 septembre 1963 et des vingt trois pays ex cutant des programmes pr radication ou menant d autres op rations antipaludiques avec l aide de POMS Plusieurs de ces programmes ont galement b n fici de l assistance d autres organismes des Nations Unies ou d institutions bilat rales le FISE a envoy des fournitures destin es trente trois programmes antipaludiques dont vingt deux dans les Am riques et l Agency for International Development des Etats Unis d
63. decine g n rale qui selon lui m riteraient d tre tudi es Laboratoires de sant publique Comme les ann es pr c dentes les travaux de POMS dans ce domaine ont port principalement sur les probl mes administratifs et techniques r soudre pour mettre en place des services efficaces et peu co teux Vingt trois pays ont b n fici de l assistance de POMS pour la cr ation la gestion et le d veloppement de laboratoires la formation de personnel et l organisa tion de banques du sang Beaucoup d autres activit s int ressant les services de laboratoire ont t entreprises dans le cadre de diff rents projets notamment de ceux ayant trait am nagement des collectivit s rurales Enfin le mat riel et les manuels de pratique du laboratoire ont fait l objet d tudes sp ciales Dans la R gion de la M diterran e orientale le cours organis pour pr parer des techniciens de labo ratoire aux fonctions d instructeurs s est poursuivi En Asie du Sud Est comme dans la R gion pr cit e l assistance aux gouvernements en mati re de laboratoires de r f rence et de services de formation sera d sormais facilit e plusieurs postes de conseillers r gionaux pour l organisation des laboratoires ayant t cr s cette ann e Une enqu te sur les moyens de formation de personnel de laboratoire dans douze pays d Afrique occidentale centrale et orientale a montr clairement que le manque d
64. deux mois statistiques sanitaires trois mois virologie deux mois et demi Finlande 14 Psychiatrie infantile 1959 7964 B D velopper et am liorer les services de guidance et de psy chiatrie infantiles France 28 Bourses d tudes B Assainissement un mois construction des h pitaux un mois coxarthropathie six semaines pid miologie un mois fonctionnement des h pi taux un mois guidance infantile deux bourses d un mois hygi ne mentale un mois lutte contre la tuberculose deux bourses d un mois lutte contre le cancer un mois sant publique quatre bourses d un mois th rapie psychiatrique et neuroleptique un mois Gr ce 6 1 Lutte contre Ia tuberculose 1952 1968 AT Am liorer les statistiques de morbidit tuberculeuse organiser un projet long terme de zone pilote devant tre mis en uvre dans la zone de d monstrations de sant publique de Larissa o dans le cadre d un programme d ensemble de sant publique les connaissances et les ressources actuelles seront utilis es de mani re aussi efficace et aussi conomique que possible pour venir bout du probl me de la tuberculose ce projet permettra en outre de former du personnel national Gr ce 17 Enseignement infirmier et administration des services infirmiers 1956 71964 AT Former l tranger des infirmi res qui exerceront des fonc tions d administration et d enseignement dans une cole sup r
65. dipl me de sant publique DPH B Attribuer des bourses des candidats venus de divers pays de la R gion afin de leur permettre de poursuivre l Universit de Singapour des tudes sanctionn es par le dipl me de sant publique WPRO 59 Bourses d tudes Ecole de M decine des les Fidji d c 1960 8 Accro tre les effectifs d assistants m dicaux et dentaires dans les services de sant des les du Pacifique sud en accordant des bourses pour des tudes l Ecole de M decine des les Fidji WPRO 70 Premier s minaire r gional sur les services de sant ruraux Taichung Ta wan 21 nov 5 d c 1962 AT Ce s minaire avait pour objet l tude des diverses conceptions et pratiques pr valant dans la R gion en ce qui concerne les servi ces de sant ruraux des changes de vues sur l administration de ces services la mise au point des principes directeurs n cessaires leur planification leur gestion et leur valuation la recherche des ressources locales nationales ou ext rieures qui pourraient favoriser le d veloppement de la sant rurale et la d termination de zones se pr tant une action concert e entre des organismes sanitaires et d autres institutions fonctionnant l chelon local Les questions discut es comprenaient la mesure dans laquelle les besoins sanitaires globaux des populations rurales taient satisfaits et l orientation des efforts ult rieurs les principa
66. e par OMS aide faire fonctionner les services de sant Burundi 3 Hygi ne de 8 maternit et de l enfance 1963 fin 1965 B FISE Organiser les services de protection maternelle et infantile et former du personnel auxiliaire Burundi 5 Formation de personnel sanitaire auxiliaire 1963 fin 1965 AT Organiser un cours pour le personnel sanitaire auxiliaire qui comportera des stages de formation pratique dans la zone de d monstration de Kitega Burundi 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois Cameroun 2 Paludisme Programme pr radication d c 1962 fin 1970 CSEP AT D velopper l organisation d un service antipaludique et favo riser la mise en place d un r seau serr de services de sant ruraux Un projet pilote et une enqu te pr radication ont t entrepris de 1958 1962 Cameroun 10 Services de sant publique R publique f d rale d c 1961 7964 AT R organiser les services de sant du pays L OMS fournit cet effet des m decins qui pr teront leur concours aux services du Cameroun occidental anciennement Territoire du Cameroun du Sud Cameroun 15 Lutte contre la l pre mars avril 1963 B FISE Un consultant a t envoy au Cameroun pendant cinq semaines pour proc der une valuation du probl me de la l pre et pour donner des avis sur le d roulement de la campagne de lutte antil preuse Son rapport a t soumis au Gouver
67. es qui pr sente un int r t plus imm diat pour Papplication du R glement figure d sormais en premi re place et est suivie des notifications Les notes pid miologiques sur les maladies quarantenaires ont t toff es et les notes pid miologiques sur les pouss es de grippe ont continu para tre Apr s avoir disparu pendant plusieurs ann es le chol ra a de nouveau t signal en Birmanie en Malaisie Singapour et en Tha lande D autre part Hong Kong Macao et le Sarawak ont connu de nouveau de petites pouss es de chol ra El Tor Le fait que la variole a t introduite en Pologne et en Su de par la voie des airs et que la maladie n a t diagnostiqu e que sur le troisi me ou le quatri me sujet contamin a mis en relief les dangers que continueront courir les pays depuis longtemps indemnes tant que la variole s vira dans de nombreuses parties du monde et que des personnes ne seront pas prot g es par la vaccination MALADIES TRANSMISSIBLES 21 Apparemment teinte depuis plusieurs ann es la peste a t signal e en Bolivie en Iran au Nyassaland et au P rou la R publique du Viet Nam a notifi plus de cas qu en 1962 Aucun cas de fi vre jaune n a t signal d une ville ou d une agglom ration attenante un port ou un a roport En 1963 encore ann e 1382 de l h gire aucun cas de maladie quarantenaire ne s est d clar lors du P lerinage de La Mecq
68. es transplantables de tissu tumoral et le centre europ en pour la fourniture d animaux porteurs de tumeurs ont poursuivi leur activit en 1963 en particulier dans le domaine de l enseignement Faisant suite aux travaux du Comit d experts de la Chimioth rapie du Cancer en 1961 et conform ment ses recommandations une valuation des progr s r alis s en ce domaine depuis la r union du Comit a t op r e L OMS a continu de collaborer avec PUnion internationale contre le Cancer et le Conseil interna tional des Soci t s d Anatomie pathologique Maladies cardio vasculaires Les lacunes de nos connaissances sur l tiologie de la plupart des maladies cardio vasculaires constituent encore un obstacle la lutte contre ces maladies L Organisation continue donc d encourager Pinten sification des recherches dans ce domaine 34 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Une m thode mise au point ces derni res ann es pour le classement par ordre de gravit des l sions ath romateuses observ es l autopsie a t appliqu e un grand nombre de pi ces anatomiques pr lev es sur des cadavres appartenant six groupes d mogra phiques europ ens ces observations permettront d tablir une relation entre l ath roscl rose de l aorte et des coronaires et divers facteurs cliniques bio chimiques et ext rieurs On r ussit galement iden tifier de mieux en mieux ces l sions chez les membres vi
69. est r uni au Bureau r gional d Alexandrie du 20 au 23 ao t 1963 et le Sous Comit B au Palais des Nations Gen ve les 28 et 29 ao t 1963 Les Etats suivants taient repr sent s au Sous Comit A Chypre Ethiopie France Irak Iran Jordanie Kowe t Liban Libye Pakistan R publique Arabe Unie Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord Somalie Soudan et Tunisie Au Sous Comit B taient repr sent s les Etats suivants Chypre Ethiopie France Iran Isra l et Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord L Organisa tion des Nations Unies le Bureau de l Assistance technique 16 FISE l Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour les R fugi s de Palestine dans le Proche Orient ainsi que la FAO taient repr sent s 18 r union du Sous Comit laquelle ont galement assist des repr sentants ou des observateurs d une organisation intergouvernementale et de six organisa tions internationales non gouvernementales A la r union du Sous Comit B assistaient des repr sentants de huit organisations non gouvernementales et du Centre international de l Enfance Le D F Grundy Sous Directeur g n ral a repr sent le Directeur g n ral aux r unions des deux sous comit s En ex cution de la r solution WHA7 33 chaque sous comit 8 d sign un repr sentant qui tait charg de prendre contact avec le Directeur r gional pour harmoniser les d cisions et pour
70. est tenue en juin Rome a pass en revue le programme de travail ex cut conjointement par la FAO et POMS conform ment aux recommandations de la premi re conf rence mixte de 1955 Les participants ont propos que le champ d activit du Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires englobe les substances qui sont ajout es aux aliments destin s aux animaux les pro duits d emballage et les substances non nutritives incorpor es intentionnellement aux aliments Conform ment aux propositions qui avaient t formul es en octobre 1962 la conf rence mixte FAO OMS sur les normes alimentaires 18 Commis sion du Codex Alimentarius a tenu sa premi re session Rome en juin 1963 La Commission a charg plu sieurs pays et institutions internationales d j fami liaris s avec ce genre de travail d tablir des projets de normes Elle 8 galement ent rin 18 recommanda tion de la deuxi me conf rence mixte FAO OMS sur les additifs alimentaires tendant faire du Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires l organe consultatif de la Commission du Codex Alimentarius pour toutes les questions scientifiques qui concernent les additifs alimentaires L valuation de la toxicit des r sidus de pesticides dans les aliments a fait l objet de discussions une r union mixte du Comit FAO sur l Emploi des Pesti cides en Agriculture et du Comit OMS d experts des R sidus de Pesticides qui do
71. et qui se poursuivent dans un certain nombre de pays Putilisation d un vaccin dess ch s est traduite par une am lioration notable de la qualit des vaccina tions et par une augmentation du nombre des per sonnes vaccin es surtout dans les zones rurales o l absence de moyens de r frig ration avait constitu un obstacle majeur Les autorit s sanitaires de l Arabie Saoudite ont d clar qu aucune maladie quarantenaire n avait t constat e lors du P lerinage de La Mecque en mai 1963 Ce r sultat pourrait tre d l am lioration progressive mais constante des mesures sanitaires appliqu es dans la R gion et des conditions qui y pr valent puisque sur les millions de p lerins qui se rendent La Mecque plus du quart viennent de pays autres que l Arabie Saoudite mais situ s pour la plupart dans la R gion Les projets de lutte contre les ophtalmies trans missibles entrepris avec l aide de POMS ont t continu s en Irak en Jordanie au Soudan et en Tunisie et un nouveau projet a d marr en Iran La bilharziose constitue encore un grave probl me de sant publique dans la R gion et de nouveaux foyers sont d couverts dans des pays que l on croyait indemnes A titre dexemple on peut citer une zone du Liban irrigu e par un canal dont les eaux viennent de la rivi re Litani dans un village l infection a t diagnostiqu e chez le tiers des habitants g s de 10 19 ans L OMS a donn des
72. ex cution en Tunisie d un projet de chimioprophylaxie b n ficiant de l assistance de POMS ces recherches ont abouti de fa on g n rale la conclusion inattendue qu il n existait que tr s peu d cart en ce qui concerne la fr quence de la tubercu lose crachats positifs entre le groupe ayant re u de lisoniazide et le groupe placebo Toutefois l analyse des urines a montr que moins d un cinqui me de l effectif du groupe cens avoir re u de l isoniazide avait en fait pris le m dicament Aucune de ces enqu tes n a donc permis d apporter une solution au probl me op rationnel 6 MALADIES TRANSMISSIBLES 7 Une autre tude effectu e par le centre de chimio th rapie de la tuberculose de Madras qui b n ficie de l aide de POMS sur le traitement intermittent de la tuberculose pulmonaire s est r v l e d un grand int r t pour la recherche On 8 compar les r sultats d un traitement domicile comportant l administra tion deux fois par semaine d isoniazide en association avec la streptomycine et d un traitement quotidien l isoniazide en association avec l acide para amino salicylique et les constatations faites ont t publi es dans le p riodique Lancer Les recherches de ce genre visent elles aussi trouver une m thode permettant d obtenir la pers v rance et la r gularit indispensables dans l auto m dication Il semble en juger par le
73. exercer des fonctions d administration et d enseignement dans la nouvelle cole et dans les coles d enseignement infirmier de base existant actuellement Espagne 20 Approvisionnement en eau et vacuation des eaux us es 1958 fin 1963 B Organiser des cours d assainissement l Ecole d Ing nieurs de l Universit de Madrid Espagne 22 Services de statistiques sanitaires 1960 B D velopper les services nationaux de statistiques et cr er un nouveau d partement de biostatistique l Ecole nationale de Sant publique de Madrid Espagne 23 R adaptation des enfants physiquement diminu s 1959 1964 AT FISE Elaborer un programme national de r adaptation des enfants physiquement diminu s cr er des centres de formation profes sionnelle et d velopper les services en faveur des enfants physi quement diminu s dans l ensemble du pays Espagne 26 Programme d ducation sanitaire 1960 7964 8 Am liorer et d velopper les services d ducation sanitaire y compris ceux que concerne le projet d enseignement de la nutrition b n ficiant de l aide de la FAO et du FISE Finlande 12 Bourses d tudes B Biophysique deux mois chimie clinique deux mois ducation sanitaire une bourse d un mois une de deux mois ergoth rapie quatre mois microbiologie quatre mois neurologie trois mois r adapta tion six semaines r adaptation psychique un mois soins infirmiers de sant publique
74. informations n cessaires la planification et l ex cution des programmes de pr vention des troubles mentaux et de traitement des malades mentaux Les discussions ont port sur les questions suivantes enqu tes sur des populations enti res ou des groupes sp ciaux de population tudes sur les sujets en traitement dans les tablissements psychiatriques enqu tes r trospectives et prospectives tudes sur les cohortes et tudes de contr le ult rieur Des communications ont t pr sent es sur la port e de l pid miologie psychiatrique ainsi que sur les tudes effec tu es en Asie dans ce domaine et sur les techniques st tistiques fondamentales L OMS a pris sa charge les frais de voyage et de s jour des vingt cinq participants qui venaient de dix sept pays des R gions de l Asie du Sud Est de la M diterran e orientale et du Paci fique occidental Interr gional 78 Eradication du paludisme Consultants tech niques 1959 CSEP Fournir des avis d expert sur la pr paration des programmes d radication du paludisme aider les gouvernements valuer ces programmes et leur donner des conseils sur certains pro bl mes techniques particuliers Interr gional 79 Eradication du paludisme Programme de formation de stagiaires internationaux 1958 CSEP Former aux techniques de l radication du paludisme des paludologues des entomologistes des ing nieurs sanitaires des techniciens de l a
75. juillet 1962 fin 1963 AT Apporter des am liorations la ville de Puerto Cort s en ce qui concerne l utilisation des terrains le drainage l approvi sionnement en eau et l vacuation des mati res us es Honduras britannique 5 Services de sant publique 1962 1966 8 FISE Elever le niveau des services de sant publique du pays en am liorant la formation du personnel infirmier et des sages femmes traditionnelles ainsi que le fonctionnement des services ruraux r organiser le laboratoire central de sant publique Jama que 4 D partement de m decine pr ventive University College of the West Indies 1963 2965 B OPS Organiser un d partement de m decine pr ventive l Fcole de M decine de l University College of the West Indies afin d int grer la m decine sociale et la sant publique dans le pro gramme g n ral d tudes d s la premi re ann e Jama que 7 Bourses d tudes B Administration de la sant publique deux bourses de douze mois m decine clinique cancer des organes g nitaux de la femme deux mois Jama que 16 Approvisionnement public en eau dans les zones rurales 1963 1965 B Organiser lapprovisionnement en eau de 50 de la popu lation rurale Jama que Bourses d tudes AT accord es au titre du projet Antilles britanniques 9 Maladies v n riennes deux mois technologie des banques du sang trois mois Mexique 15 Services de sant des tats 1962
76. l l existence de nouveaux foyers mais encore le d veloppement rapide des r seaux d irrigation offre de nouveaux g tes larvaires aux simulies et contribue la diffusion de la maladie Les avantages de l expansion conomique pourraient se trouver consid rablement r duits si faute de pr ter une attention suffisante aux questions de sant publique on laissait l infection suivre son cours et provoquer la c cit dans une forte proportion de 18 population Adultes ou larves les simulies sont tr s sensibles au DDT il est donc possible de lutter contre elles quand l tendue de vol de l esp ce en cause est limit e comme c est le cas pour Simulium neavei En revanche les campagnes de grande envergure soul vent encore beaucoup de probl mes dans les vastes zones infest es par 5 damnosum vecteur grande tendue de vol et dont 165 caract ristiques cologiques fondamentales restent mal connues Aussi POMS soutient elle les recherches d un certain nombre d institutions dont POrganisation de Coordination et de Coop ration pour la Lutte contre les Grandes End mies OCCGE qui s int resse aux g tes larvaires de S damnosum Le service de l onchocercose de l OCCGE en Haute Volta tudie actuellement les possibilit s de lutte biologique contre les stades aquatiques des simulies moyennant l am nagement de divers mod les de d versoirs il essaie d autre part diff rents sch mas de traitement larvicide Pou
77. la p riode de transition entre l ge pr scolaire et l ge scolaire et la p riode de la pubert et de l adolescence o se posent les probl mes de fin de scolarit Au nombre de vingt cinq les participants repr sentaient les pays suivants Autriche Belgique Bulgarie Danemark Espagne Finlande France Gr ce Hongrie Irlande Islande Luxembourg Norv ge Pays Bas Pologne Portugal R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni Su de Suisse Tch coslovaquie Turquie Union des R publiques socialistes sovi tiques et Yougoslavie La FAO et l UNESCO avaient envoy des observateurs L OMS a pris sa charge les frais des participants et a envoy un consultant et cinq conseillers temporaires Une r union de planification laquelle assistaient ce consultant et quatre conseillers temporaires avait eu lieu en d cembre 1962 EURO 52 Cours d anesth siologie Copenhague 1956 1964 AT Stimuler le d veloppement et am liorer la qualit des services nationaux d anesth siologie en instituant des cours pour la formation du personnel m dical EURO 52 RC Cours d entretien pour anesth siologistes Copen hague 19 31 ao t 1963 AT Ce cours s adressait d anciens stagiaires de l OMS qui avaient suivi entre 1956 et 1958 l un des cours annuels du centre de formation anesth siologique de Copenhague L OMS a envoy un consultant et deux conseillers tempo raires et accord des bourses dix n
78. le plan d un r seau de services sanitaires de base qui va tre ex cut pratiquement sans modi fications notamment en ce qui concerne les centres de sant ruraux Le statisticien a aid le Minist re de la Sant organiser un service de statistiques sanitaires et en coordonner les activit s avec celles du Bureau central de Statistique Jusqu la date o l assistance de l OMS a cess ce service s est occup surtout des statistiques de malades hospitalis s des donn es provenant de tous les h pitaux y compris ceux des missions et des entre prises industrielles de trois des neuf r gions du pays ont t rassembl es et il est pr vu que d s le d but de 1966 les statis tiques des admissions pourront tre tablies pour l ensemble du pays Des travaux statistiques relatifs aux h pitaux centres de san t et maternit s ainsi qu au personnel sanitaire ont galement t entrepris Les proc d s d enregistrement et de tenue des dossiers vont tre am lior s pour que l on puisse rassembler des donn es sur les consultations externes et les soins d obst trique domicile les maladies d claration obligatoire et l activit des inspecteurs et ing nieurs sanitaires Un mod le de fiche a t tabli pour les dispensaires de protection infantile et le statisticien OMS a pr t son concours pour plusieurs enqu tes et divers projets op ra tionnels soutenus par l Organisation Il a en outre aid
79. ments de diagnostic et de rep rer les groupes vuln rables Ce type de recherche est de ceux qu une organisation internationale comme POMS est particuli rement apte mener bien L Organisation a t en mesure de rep rer plusieurs zones en Europe o 80 et plus des d c s peuvent tre suivis d autopsie situation probablement unique au monde Le mat riel est pr lev suivant un protocole uniforme et envoy au laboratoire de Malm Su de aux fins de classement par ordre de gravit des l sions L analyse statistique des donn es est assur e par POMS Les discussions techniques qui ont eu lieu lors de la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant ont r uni cent quatre vingts participants de quatre vingt un pays et huit organisations non gouvernementales Elles ont permis de larges changes de vues sur la pr paration du m decin l action pr ventive et sociale dans la pratique courante Le m me sujet formul de fa on l g rement diff rente a t soumis un comit d experts qui a examin les moyens d associer plus troitement la pratique de la m decine pr ventive l activit th ra peutique de tous les m decins qui entrent en contact personnel avec la population un moment o l OMS s efforce de contribuer adapter le r le du m decin aux besoins d une soci t en pleine volution les con clusions formul es par le comit d experts prennent une signification particuli re S il comprend et appl
80. miologiques sur l pid mie de polio my lite qui a clat en janvier 1962 fournir les moyens mat riels n cessaires pour traiter et r adapter les malades atteints de formes paralysantes et mettre en uvre un programme de vaccination destin pr venir la maladie Ceylan 66 Etude des maladies diarrh iques sept 1963 7966 B Proc der des tudes long terme sur l pid miologie et la pr vention des maladies diarrh iques Ceylan 69 Formation et services p diatriques juillet sept 1963 B L OMS a fourni pendant trois mois un consultant qui tait charg d aider l Universit de Ceylan organiser l enseignement de la p diatrie sociale aux tudiants en m decine Le consultant a tudi l organisation locale des services charg s de la promotion et de la protection de la sant des enfants et proc d une valua tion des cours de p diatrie universitaires et post universitaires Il a aid am liorer l enseignement de la p diatrie sociale et cr er des services p riph riques de p diatrie pour former du personnel Ceylan 200 Bourses d tudes B Technique des appareils d lectrologie m dicale six mois Ceylan 201 Bourses d tudes AT Dentisterie douze mois nutrition douze mois soins infirmiers douze mois soins infirmiers psychiatriques quatorze mois Inde 53 Centre de chimioth rapie de la tuberculose Madras d c 1955 fin 1968 AT British Medical Res
81. n ficier tous les pays de l exp rience acquise lors des campagnes de pr vention qui sont en cours Hygi ne dentaire Les rapports des consultants envoy s par POMS Ceylan au Ghana en fran et au Nig ria au cours des trois derni res ann es attestent que les parodon topathies y sont tr s r pandues et l on peut raisonna blement admettre que ces affections constituent le principal probl me d hygi ne dentaire dans beaucoup de pays de l Afiique et de l Asie du Sud Est Cepen dant la carie dentaire pose galement un probl me de sant publique de plus en plus grave dans les pays en voie de d veloppement du fait de l accroissement des collectivit s urbaines et de l adoption d habitudes alimentaires emprunt es aux civilisations occidentales La flucruration de l eau de boisson et l ducation du public en ce qui concerne les moyens de pr vention aideraient beaucoup combattre ces affections mais il faudrait aussi augmenter d urgence les effectifs de personnel dentaire de toutes cat gories A cette fin les moyens de formation dentaire devront tre consi d rablement largis car de nombreux pays en voie de d veloppement qui jusqu ici avaient compt sur des dentistes venus de l tranger ne poss dent aucune cole dentaire Dans plusieurs pays les dentistes tudient avec un int r t croissant la possibilit d employer de fa on plus efficace et en plus grand nombre des auxiliaires qui d ch
82. oct 1955 7966 B Organiser et d velopper l enseignement infirmier tous les degr s notamment l enseignement sup rieur de mani re pr parer les infirmi res diriger des services infirmiers sp cia lis s notamment en obst trique et occuper des postes dans l administration des services infirmiers hospitaliers et de sant publique et dans l enseignement infirmier Turquie 31 Lutte contre les ophtalmies transmissibles 1955 1966 AT FISE Continuer tudier l pid miologie locale du trachome et des infections associ es mettre au point des m thodes de lutte appropri es former du personnel introduire et d velopper progressivement un syst me de lutte contre ces maladies dans les provinces m ridionales de l Anatolie Turquie 36 Bourses d tudes B Bact riologie trois mois construction des h pitaux trois semaines dermatologie deux mois hygi ne de la maternit et de l enfance deux mois r adaptation m dicale trois mois soins infirmiers de sant publique douze mois soins infirmiers psychiatriques prolon gation d une bourse pendant deux mois et demi tuberculose un mois Turquie 39 Services d hygi ne du milieu 1962 B Instituer un programme pour la formation d ing nieurs sanitaires et de personnel auxiliaire de l assainissement et r soudre des probl mes sp ciaux d assainissement tels que ceux de la pollution de l air Turquie 44 Approvisionnemen
83. organisation d une banque du sang Syrie 37 Enseignement infirmier Damas nov 1960 7972 B FISE Cr er une cole nationale d infirmi res qui permettra d assurer au pays les services d infirmi res mieux qualifi es et qui contri buera ainsi relever le niveau de l enseignement et des services infirmiers Syrie 39 Formation de techniciens de l assainissement juillet 1962 juin 1965 AT Organiser un cours de formation pour techniciens de l assai nissement Syrie 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique trois bourses de douze mois cardiologie six mois chirurgie des os douze mois lectroradiologie prolongation d une bourse pendant dix sept mois production de s rum et de vaccin douze mois soins infirmiers douze mois statis tiques deux bourses de sept mois et demi tuberculose trois mois Syrie 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique douze mois m decine radiologique douze mois soins infirmiers douze mois Tunisie 3 Lutte contre les ophtalmies transmissibles nov 1953 1964 AT FISE Mener une campagne de masse contre la conjonctivite saison ni re assurer le traitement collectif du trachome dans les coles et entreprendre un programme de recherches sur les ophtalmies transmissibles Tunisie 6 Protection maternelle et infantile deuxi me tape mai 1959 au del de 1964 AT FISE Etablir Tunis un centre de d monstra
84. ques socialistes sovi tiques et de Yougoslavie EURO 250 Conf rence technique europ enne sur les statis tiques de morbidit Vienne 11 15 mars 1963 B Il s agissait d examiner les besoins en statistiques permettant de mesurer la morbidit et les niveaux de sant ainsi que les moyens mettre en uvre pour laborer ces statistiques Apr s avoir pass en revue les m thodes couramment employ es les participants ont fait l examen critique de leur application et pr cis les limites qu elles comportent Ils ont accord une attention sp ciale aux m thodes nouvelles et aux probl mes d adaptation des statistiques l volution de la situation pid miologique en Europe L OMS a envoy Vienne un consultant et deux conseillers temporaires et elle a pris sa charge les frais de vingt cinq participants venus des pays suivants Autriche Belgique Bulgarie Danemark Espagne Finlande France Gr ce Irlande Italie Norv ge Pays Bas Pologne Portugal R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni Su de Suisse Tch co slovaquie Turquie Union des R publiques socialistes sovi ti ques et Yougoslavie L Autriche les Pays Bas et la R publique f d rale d Allemagne avaient envoy leurs frais d autres d l gu s Le Centre national des Statistiques sanitaires du Service de la Sant publique des Etats Unis s tait fait repr senter par un observateur EURO 251 S minaire sur les zones pil
85. riode allant jusqu la fin de 1963 puis soumis au Conseil ex cutif et la Dix Septi me Assembl e mondiale de la Sant et ensuite publi Le programme de recherche de POMS comprend 1 une aide la recherche m dicale 2 la prestation de services aux chercheurs 3 des stages de formation et 4 l am lioration des changes d informations entre les chercheurs L OMS soutient la recherche m dicale soit en organisant et en encourageant des recherches collec tives soit en octroyant des subventions individuelles des chercheurs Ainsi de 1958 1962 344 projets de recherches collectives ont t entrepris pendant les neuf premiers mois de 1963 vingt quatre autres projets de ce genre ont t mis ex cution et sept subventions ont t accord es des chercheurs Les services aux chercheurs comprennent des acti vit s qui bien que ne constituant pas des recherches en elles m mes sont d une grande utilit pour la conduite des investigations scientifiques Ainsi plu sieurs r unions de chercheurs ont t convoqu es en vue d une normalisation de la nomenclature des tech niques et des m thodes de travail Trente et un centres de r f rence internationaux et trente centres r gionaux ont t institu s vingt quatre autres laboratoires collaborent activement avec eux Le r seau constitu par ces centres de r f rence et par ces laboratoires s tend vingt quatre pays des six R gions de l OMS
86. seau de services ruraux qui dans la phase pr paratoire la phase d attaque et la phase de consolidation du programme d radica tion du paludisme seront charg s du d pistage et du traitement et qui dans la phase d entretien devront assurer la surveillance et prendre toutes mesures propres emp cher la r apparition de la maladie Alg rie 6 R adaptation 1963 Aider organiser des services de r adaptation pour infirmes tablir un programme national de r adaptation et former du personnel national aux techniques de r adaptation AT Alg rie 11 1 Administration de la sant publique 1963 B Organiser et mettre en route les services nationaux de sant publique et les programmes qui s y rattachent Alg rie 11 2 et 11 3 Assainissement 1963 7968 8 AT Organiser et d velopper les services et les programmes d assai nissement en s attachant plus particuli rement aux probl mes de sant publique relatifs l approvisionnement en eau l am nagement d gouts l vacuation des ordures l urba nisation et au logement Alg rie 11 4 Education sanitaire 1963 AT Encourager l ducation sanitaire dans le pays former diff rentes Cat gories de personnel sp cialis mettre au point des m thodes et des techniques d ducation sanitaire et pr parer du mat riel adapt la situation et aux besoins du pays Alg rie 11 5 Nutrition 1963 B Am liorer l ta
87. tion d eau dont b n ficieront environ deux millions de personnes et dont le co t est estim l quivalent de US 324 555 000 En mati re de formation d inspecteurs sanitaires plus de cinq cents inspecteurs dont quelques uns originaires d autres pays de la R gion ont suivi dans le cadre du projet r alis aux Philippines des cours sp cialement orient s vers les t ches pratiques et les activit s sur le terrain De r centes pouss es de maladies pid miques ont fait appara tre la n cessit de renforcer et d largir les programmes entrepris dans le domaine de l hygi ne du milieu L accroissement et la concentration d mo graphiques ainsi que le d veloppement industriel n ont cess de poser de nouveaux probl mes Quoi qu il en soit on consid re souvent que le minist re de la sant n est investi que de fonctions consultatives en ce qui concerne l hygi ne du milieu tendance parti culi rement nette dans les pays de la R gion o ce n est pas l administration de la sant publique qui prend l initiative des mesures ayant trait l assainisse ment l approvisionnement en eau et l vacuation des mati res us es 11 importe si l on veut rem dier cette situation que les directives et initiatives n cessaires manent de la direction sup rieure de ce minist re L OMS a continu d attacher une importance particuli re l aide aux tablissements d enseignement
88. tuberculose quatre mois Haute Volta 8 Administration de la sant publique d c 1961 fin 1964 AT Organiser les services nationaux de sant et cr er au Minist re de la Sant un service de statistiques d mographiques et sani taires Haute Volta 11 Enseignement infirmier mars 1962 1967 AT Am liorer l enseignement infirmier Haute Volta 200 Bourses d tudes B Soins infirmiers et obst trique trois ans Haute Volta 201 Bourses d tudes AT Soins infirmiers deux bourses de trois ans techniques de laboratoire un an Kenya 2 Assainissement sept 1960 fin 1965 B FISE Am liorer l approvisionnement en eau dans les r gions rurales concevoir et cr er de nouveaux syst mes d adduction d eau potable et d vacuation des excreta dans les Zones rurales faire mieux comprendre la population la nature des maladies que provoque le manque d hygi ne et la renseigner sur les moyens qui permettent d en viter la propagation Kenya 4 Lutte contre la tuberculose et chimioth rapie antitu berculeuse nov 1957 fin 1965 AT FISE Ex cuter un programme de lutte antituberculeuse comportant notamment le d pistage des cas l identification des contacts le traitement domicile et la chimioprophylaxie former du personnel m dical et auxiliaire et plus particuli rement le personnel auxiliaire n cessaire pour la campagne nationale de vaccination par le BCG Kenya 9 Nutrition f vr 1961
89. tudes AT voir Jama que Antilles britanniques 18 D veloppement des approvisionnements publics en eau 1962 965 AT OPS Fonds sp cial pour l approvisionnement public en eau Am liorer et d velopper les syst mes d approvisionnement public en eau existant actuellement en pr voir et en construire de nouveaux Antilles et Guyane fran aises 1 Bourses d tudes AT Maladies transmissibles deux mois et demi Antilles n erlandaises 1 Eradication d Aedes aegypti 1952 fin 1963 AT Argentine 3 Enseignement infirmier provinces de Buenos Aires de C rdoba et du Chaco janv 1957 1966 AT D velopper les coles d infirmi res dans les provinces de Buenos Aires de C rdoba et du Chaco Argentine 4 Institut national de Microbiologie mai 1959 1965 B Am liorer l efficacit et le niveau scientifique des travaux de l Institut 104 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Argentine 6 Bourses d tudes B Education sanitaire douze mois nutrition un mois et demi organisation de l ensei gnement de la m decine huit mois p diatrie clinique et sociale quatre bourses de trois mois services infirmiers deux bourses de trois mois Argentine 7 Services de sant publique province du Chaco mai 1957 1966 AT FISE Organiser dans la province du Chaco un service de sant int gr tendre les travaux d assainissement et aider former du personnel Argentine 17 Ecole de Sant publique 1
90. tudi l organisation de centres de sant ruraux dans l ensemble de l Etat et aid mettre en place un centre rural de formation professionnelle Le programme des tudes d orientation a t arr t et une premi re s rie de cours a commenc L encadrement des services ruraux de soins infirmiers a t renforc et la formation des infirmi res sages femmes auxiliaires am lior e Les objectifs principaux du projet cr ation d une zone de formation rurale et organisation de cours d orientation pour le personnel des centres de sant primaires ont t pleinement atteints Inde 136 Enseignement infirmier sup rieur janv 1962 fin 1968 B D velopper les programmes d enseignement infirmier sup rieur et am liorer les services infirmiers dans le secteur sant publique et dans les h pitaux Inde 145 Programme de sant publique Bihar janv 1958 fin 1965 B FISE Former du personnel et renforcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire Inde 146 Programme de sant publique Uttar Pradesh janv 1960 janv 1963 8 FISE Ce projet avait pour but de former du personnel et de ren forcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire de l Etat d Uttar Pradesh L OMS a envoy un administrateur de la sant publique et une infirmi re de la sant publique L assistance a port sur la cr ation de zones rurales de for mation professionnelle et
91. un r seau d gouts dans la zone m tropoli taine d Accra Tema cr er une soci t de d veloppement des ressources hydrauliques et former du personnel pour tous les secteurs de la planification de l exploitation et du financement des syst mes d approvisionnement en eau et d vacuation des mati res us es Ghana 200 Bourses d tudes B Biostatistique dix neuf mois cours pr parant au dipl me de sant publique DPH deux bourses de douze mois oto rhino chirurgie deux ans Guin e 1 Hygi ne de la maternit et de l enfance 1961 fin 1965 AT FISE D velopper les services essentiels de protection maternelle et infantile et accro tre les moyens de formation du personnel Guin e 8 Assainissement sept 1960 fin 1965 AT FISE Etudier les probl mes d assainissement qui se posent dans l ensemble du pays notamment en relation avec l approvision nement en eau potable l vacuation des excreta des eaux us es et des ordures m nag res la campagne contre les porteurs de germes les conditions de vie et ducation de la population en mati re d hygi ne Guin e 12 Lutte contre l onchocercose nov d c 1962 AT Un consultant s est rendu en Guin e en novembre et d cembre 1962 pour proc der une enqu te et pour donner des avis sur le probl me de l onchocercose 98 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Guin e 200 Bourses d tudes B Etudes param dicales trois bourses d un an
92. uvre un projet pilote d assainissement rural com prenant en particulier l tude des facteurs techniques sociaux conomiques et culturels pertinents notamment ceux qui LISTE DES PROJETS ASIE DU SUD EST 115 concernent l approvisionnement en eau et l vacuation des excreta humains dans les villages et former des agents sanitaires par le moyen de d monstrations organis es dans les villages Ce projet reprend l ancien projet Nouvelle Guin e occidentale 9 Assainissement rural Indon sie 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique une bourse de douze mois une de quatorze mois Iles Maldives 5 Administration de la sant publique oct 1959 B Etudier la situation sanitaire et former des assistants sanitaires pour le futur service de sant Mongolie 1 Renforcement des services de sant pid miologie juillet 1963 fin 1965 B Faire des enqu tes pid miologiques sur les principales maladies transmissibles s vissant dans le pays et prendre des mesures pratiques de lutte contre ces maladies Mongolie 200 Bourses d tudes B Virologie douze mois Mongolie 201 Bourses d tudes AT Chirurgie du c ur six mois N pal 1 Eradication du paludisme juin 1954 fin 1970 B CSEP AID liminer progressivement le paludisme de l ensemble du pays en commen ant par la zone centrale N pal 2 Enseignement infirmier nov 1954 fin 1968 AT Former des infirmi re
93. ventive Gen ve 13 19 ao t 1963 Dr M K Afridi Consultant honoraire paludologie Division de la Sant Minist re de la Sant du Travail et de la Pr voyance sociale Karachi Pakistan Dr A Banks Professeur d cologie humaine l Universit de Cambridge Angleterre 1 Y compris s rologie et techniques de laboratoire 2 Voir r solution WHA12 17 D P Fr our Professeur d hygi ne la Facult de M decine et de Pharmacie de l Universit de Bordeaux France Professeur L T Friberg Chef du D partement d Hygi ne l Institut Karolinska Chef du D partement d Hygi ne g n rale l Institut national de la Sant publique Stockholm Su de Professeur V V Kovanov Recteur du Premier Institut de M decine de Moscou Union des R publiques socialistes sovi tiques D 5 Z Levine Professeur honoraire de p diatrie Cornell University Medical College New York Etats Unis d Am rique D G Molina Inspecteur m dical Service national de Sant Santiago du Chili Professeur D K Ramadwar Chef du D partement de M decine sociale et pr ventive Ecole de M decine Nagpur Inde Comit d experts des Helminthiases Helminthes transmis par le sol Rio de Janeiro 26 31 ao t 1963 D P C Beaver Professeur de maladies et d hygi ne tropicales Ecole de M decine de l Universit Tulane La Nouvelle Orl ans Louisiane Etats Unis d Am rique Professeur Y Komiya
94. voir chapitre 3 page 26 ont donn quelques r sultats prometteurs mais les tudes ne sont pas termin es et il n est pas encore possible de formuler des recommandations d finitives au sujet de l utilisa tion de ces produits Deux num ros sp ciaux du Bul letin de l OMS ont t consacr s au paludisme et aux insecticides i Le Comit d experts du Paludisme qui s est r uni en septembre 1963 Rio de Janeiro Br sil a surtout examin les aspects pid miologiques des programmes d radication du paludisme notamment les mesures prendre pour emp cher sa r apparition dans les zones o il a t radiqu Le Comit qui comprenait des experts de la quarantaine internationale a formul l intention du Comit de la Quarantaine internationale des recommandations visant les mesures que pour raient prendre cet gard les administrations comp tentes il 8 galement recommand d accro tre les informations de nature pid miologique fournies p riodiquement aux gouvernements par POMS Le Comit s est longuement pench sur les probl mes que posent les zones difficiles pour l ex cution des programmes d radication il a sugg r des m thodes pratiques pour l tude des facteurs l origine de ces difficult s et pr conis toute une s rie de mesures adapt es aux diverses circonstances qui pourraient tre prises pour y rem dier Les divers crit res pr c demment formul s au s
95. vr 1956 milieu de 1964 B FISE Elaborer un programme initial pour une campagne de masse contre les ophtalmies transmissibles dans les tats o ces maladies constituent un grave probl me de sant publique donner aux 112 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 ophtalmologistes aux omnipraticiens et aux infirmi res une formation compl mentaire en ce qui concerne les mesures de lutte de fa on uniformiser les m thodes d examen de dia gnostic et de traitement mettre progressivement en train tous les chelons un programme d ducation sanitaire int gr dans l activit des services de sant existants ult rieurement dresser les plans et assurer l ex cution d un programme syst ma tique couvrant 18 totalit du pays Inde 103 Programme national de lutte antituberculeuse oct 1956 fin 1968 AT FISE Etudier pr parer et mener bien dans les r gions urbaines et rurales par l interm diaire de l Institut national de la Tuber culose des programmes types de lutte antituberculeuse fond s sur les donn es pid miologiques et les recherches sur le terrain et susceptibles d tre appliqu s l Inde tout enti re former du personnel pour l ex cution des programmes qui seront entrepris dans les quinze tats et les trois cent quatre vingts districts du pays Inde 107 Programme de sant publique Pendjab d c 1958 d c 1962 8 FISE Ce projet avait pour but de former du personnel et de renforcer
96. vrier New York 14 15 f vrier Kathmandou 14 16 f vrier Rome 18 25 f vrier Gen ve 4 8 mars Vienne 11 15 mars Gen ve 2 8 avril Bagdad 16 18 avril Gen ve 18 29 avril Prague 22 26 avril Rome 23 avril 2 mai Alep 29 30 avril Gen ve 29 avril 3 mai Gen ve 7 23 mai 5 On trouvera dans la liste des projets partie III du pr sent volume des indications sur les s minaires et les cours de formation professionnelle organis s par POMS en collaboration avec les gouvernements ou avec d autres organisations ANNEXE 4 153 R union sur la coordination de la lutte contre les grandes maladies end miques R gion africaine Conseil ex cutif trente deuxi me session Onzi me r union des directeurs des services nationaux d radication du paludisme d Am rique centrale de Cuba d Ha ti du Honduras britannique du Mexique du Panama de la Zone du Canal de Panama et de la R publique Dominicaine R gion des Am riques Troisi me r union des directeurs des services nationaux d radication du paludisme d Am rique du Sud R gion des Am riques Comit d experts de l Hygi ne de la Maternit et de l Enfance Le point de vue social dans l enseignement de l obst trique et de la gyn cologie FAO OMS Comit mixte d experts gouvernementaux sur le Code de Principes con cernant le lait et les produits laitiers FAO OMS Deuxi me conf rence mixte sur les additifs alimentaires Comi
97. 1 d esp ces du genre Salmonella en Inde et une enqu te sur la fr quence des agglutinines correspondant celles des salmonelles chez les habitants d une zone d pid mie et d une zone sans pid mie en Finlande Maladies diarrh iques L tude de l pid miologie et de la prophylaxie des maladies diarrh iques chez les nourrissons et les enfants d s r gions en voie de d veloppement a t poursuivie en 1963 En ran l quipe consultative OMS pour les maladies diarrh iques a op r pendant un certain temps dans une zone rurale des environs de T h ran et a aid laborer un programme national de recherches et de pr vention L OMS a continu soutenir aussi les projets nationaux entrepris Ceylan et au Soudan D s pr paratifs ont t faits en vue d organiser T h ran en octobre 1963 un cours interr gional sur l pid miologie et la bact riologie des 1 Pour les travaux relatifs la l pre et la tuberculose voir pages 20 et 6 5 Sharma V K amp Agarwal 5 C 1963 Bull Org mond Sant 28 225 228 5 Kaarsalo E 1963 Bull Org mond Sant 29 105 111 infections intestinales l intention de sp cialistes de ces disciplines Centres internationaux de r f rence Les centres internationaux OMS de r f rence pour les Shigellae les Salmonellue et les Escherichiae et pour la lysotypie des ent robact ries ont comme les ann es pr c dentes appuy les
98. 106 Honduras britannique 106 Inde 112 113 Kenya 98 Laos 137 Liban 129 Lib ria 98 Libye 130 Madagascar 66 98 99 Malaisie 138 Maroc 122 Mauritanie 99 N pal 115 Nig ria 66 68 99 100 Pakistan 131 Portugal Mozambique 100 S n gal 100 Sierra Leone 100 Somalie 131 132 Soudan 132 Syrie 133 Tunisie 85 cours Soissons France 40 80 117 s minaire Le V sinet France 40 80 119 120 s minaire Taichung Ta wan 134 Voir aussi Services de sant publique Sant scolaire Cambodge 32 136 Kowe t 129 Yougoslavie 32 124 cours du Centre international de l Enfance 119 hygi ne dentaire Pologne 123 Polyn sie fran aise 139 Singapour 140 s minaire Pays Bas 32 117 Sarawak 20 89 140 Secr tariat de POMS structure 55 56 156 S n gal 24 66 68 100 S rie de Monographies 50 S rie de Rapports techniques 50 S rums banques 8 16 34 pr paration 85 Albanie 120 Indon sie 114 Services de sant publique 28 32 65 70 71 75 77 78 80 83 88 117 Alg rie 81 Arabie Saoudite 126 Argentine 104 Br sil 104 Cambodge 136 Cameroun 96 Canada 104 Chili 104 Colombie 105 Cor e R publique de 137 Cuba 105 El Salvador 105 Equateur 105 Etats Unis d Am rique 105 Guatemala 105 Guyane britannique 105 Ha ti 106 Honduras 106 Honduras britannique 106 Inde 112 113 Indon sie 114 Jordanie 129 Mexique 106 Panama 106 Paraguay 106 P
99. 1960 8 avril 1957 12 mars 1948 26 ao t 1949 19 mai 1959 12 ao t 1947 4 octobre 1960 8 avril 1949 17 juin 1948 12 janvier 1948 23 mai 1950 23 septembre 1947 23 novembre 1946 20 octobre 1947 17 juin 1948 21 juin 1949 11 avril 1947 21 mars 1963 16 mai 1951 7 avril 1947 9 mai 1960 17 mai 1950 19 janvier 1949 14 mars 1947 J Libye Luxembourg Madagascar Malaisie Mali Maroc Mauritanie Mexique Monaco Mongolie N pal Nicaragua Niger Nig ria Norv ge 8 arg Nouvelle Z lande LA Ouganda Pakistan Panama Paraguay 5 Pays Bas P rou Philippines Pologne Ra Portugal que R publique Arabe Unie R publique Centrafricaine R publique Dominicaine Roumanie Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord Rwanda Samoa Occidental S n gal Sierra Leone 25 25 Somalie Soudan Su de Suisse Syrie Tanganyika Tchad Tch coslovaquie Tha lande Togo Trinit et Tobago Tunisie Turquie Ukraine RSS 0 Union des R publiques socialistes sovi tiques Uruguay Venezuela Viet Nam Y men Yougoslavie Membres associ s F d ration de Rhod sie et de Kenya a Ce Maurice le 16 mai 1952 3 juin 1949 16 janvier 1961 24 avril 1958 17 octobre 1960 14 mai 1956 7 mars 1961 7 avril 1948 8 juillet 194
100. 1961 222 2 Org mond Sant S r Rapp techn 1963 259 internationale concert e sur un projet d talon international pour le s rum antivenimeux Naja En dehors de tablissement d talons inter nationaux le Comit a formul des recommandations touchant l laboration et la revision de normes internationales applicables en ce qui concerne l eff cacit et l innocuit des substances biologiques Selon 18 pratique actuelle l OMS soumet les projets de normes des sp cialistes et leur demande de pr senter des observations dont il est tenu compte pour l tablissement des normes d finitives cette m thode a permis d obtenir de nombreux renseignements utiles Immunologie En dehors du r le traditionnel qu elle joue dans la mise au point d agents immunisants contre des maladies infectieuses toujours plus nombreuses immunologie apporte maintenant une contribution de plus en plus pr cieuse l tude de la pathog nie non seulement des maladies infectieuses et parasitaires mais aussi de certaines affections non infectieuses Les progr s r alis s dans l tude des ph nom nes cliniques notamment allergiques qui int ressent la m decine interne en anatomo pathologie dans les transplantations de tissus et les transfusions dans les recherches portant sur les possibilit s de production d anticorps efficaces contre les tissus n oplasiques et le d veloppement de la biologie mol culaire appl
101. 1963 160 financement 54 55 timbres poste 55 Voir aussi Insecticides Panama 106 Papua et Nouvelle Guin e 14 19 60 91 138 Paraguay 72 106 Pays Bas 44 122 P diatrie 76 Burundi 66 Ceylan 76 110 111 Inde 76 112 Jordanie 85 129 Nig ria 68 95 Ouganda 68 95 Philippines 139 Tha lande 76 116 cours d entretien Santiago du Chili 70 cours du Centre international de l Enfance 70 103 119 Voir aussi Hygi ne de la maternit et de l enfance P lerinage de La Mecque 12 21 84 126 P rou 3 21 70 72 73 106 107 Personnel de POMS 55 56 effectif et r partition 157 158 r partition d apr s la nationalit 159 Personnel sanitaire auxiliaire 40 41 69 76 78 Afghanistan 109 Arabie Saoudite 83 126 Burundi 66 68 96 Cambodge 136 Dahomey 69 Ethiopie 127 Irak 127 Libye 130 Maroc 122 N pal 115 Somalie 131 Syrie 133 Y men 133 s minaire itin rant en URSS 41 68 81 143 Peste 20 21 25 72 INDEX 7 Pesticides 25 26 27 r union FAO OMS sur l valuation de la toxicit des r sidus de pesticides dans les aliments 36 60 151 Voir aussi Insecticides Molluscicides Pharmacologie 46 49 Tha lande 116 Pharmacop e nternationale 48 50 Philippines 8 16 20 24 31 40 45 88 89 90 135 138 139 Physioth rapie 38 Ceylan 110 Indon sie 114 Iran 128 Japon 137 Liban 129 Pakistan 130 Philippines 139 Voir aussi R adaptation Pian 20 141 Antille
102. 37 73 86 Mali 16 65 66 67 68 69 99 Malnutrition voir Nutrition Malte 9 122 Maroc 15 38 81 122 Mati res us es vacuation 22 73 78 103 Burundi 68 Chine Ta wan 136 Dahomey 68 Espagne 121 Ghana 59 67 97 Guin e 68 Jordanie 129 Kenya 68 Lib ria 67 68 Luxembourg 122 Nig ria 68 Togo 68 symposium Medellin 72 Voir aussi Assainissement Maurice le 66 67 99 Mauritanie 32 67 99 M decine enseignement 39 40 59 68 74 78 89 102 118 Afghanistan 109 Arabie Saoudite 83 Argentine 104 Burundi 68 Chypre 83 Congo L opoldville 69 Inde 114 Jordanie 83 Libye 83 Maroc 122 N pal 115 Rwanda 68 Somalie 83 Tha lande 116 Tunisie 133 Y men 83 Yougoslavie 124 conf rence New York 39 71 Voir aussi Bourses d tudes Ecoles et facult s de m decine Ecoles et instituts de sant publique Enseignement et formation professionnelle M decine compar e 11 12 M decine des radiations voir Rayonnements ionisants M decine du travail 37 38 Pologne 123 colloque sur la protection radiologique dans l extraction et le traitement des minerais nucl aires Vienne 37 60 143 Institut Chili 37 59 71 104 symposium sur l inspection m dicale du travail Gen ve 37 60 142 M decine exp rimentale Institut Chili 105 M decine pr ventive et m decine sociale 29 32 40 86 118 Arabie Saoudite 126 Inde 111 Isra l 128 129 Jama que 106 Viet Nam R
103. Argentine 72 Cara bes zone des 72 102 Guyane britannique 72 Mexique 72 74 Surinam 107 Voir aussi Fi vre jaune A ronefs et a roports d sinsectisation 27 Afghanistan 3 16 25 75 76 108 109 Afrique Bureau r gional 69 Afrique Comit r gional 69 Afrique R gion 65 69 95 101 Afrique du Sud 13 95 Agence europ enne pour l Energie nucl aire 143 Agence internationale de l Energie atomique 24 36 37 60 143 Agency for International Development des Etats Unis d Am rique 5 67 69 70 71 74 76 83 98 119 130 134 135 Albanie 3 120 Alg rie 32 81 120 Alimentation et Nutrition Commission mixte FAO OMS CCTA pour l Afrique 36 66 Allemagne R publique f d rale d 11 13 44 120 Am riques Bureau r gional 74 Am riques Comit r gional 73 74 Am riques R gion 70 74 102 107 Andes mission commune d action aupr s des populations aborig nes 56 57 104 107 An mies 35 37 Anesth siologie cours de formation et cours d entretien Copenhague 117 Antibiotiques 8 29 47 Antilles britanniques 3 72 103 Antilles et Guyane fran aises 103 Antilles n erlandaises 103 Arabie Saoudite 83 84 85 126 Argentine 3 13 14 71 72 103 104 Arthropodes maladies virus transmises par 13 14 Asie du Sud Est Bureau r gional 78 79 Asie du Sud Est Comit r gional 77 78 Asie du Sud Est R gion 75 79 108 116 Assainissement 24 25 66 68 76 77 86 118 Alg rie 120
104. Chef du D partement de Parasitologie l Institut national de la Sant Tokyo Japon D Lie Kian Joe Professeur de parasitologie l Institut de Recherche m dicale Kuala Lumpur Malaisie Dr C Mofdi Directeur de l Institut de Parasitologie et de Paludologie Universit de T h ran Iran 3 Emp ch d assister la r union 150 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 D J Rodrigues da Silva Professeur de maladies tropicales et infectieuses Facult nationale de M decine Universit du Br sil Rio de Janeiro Br sil 3 P E Thompson Directeur du laboratoire de parasitologie D partement de Pharmacologie Parke Davis amp Co Ann Arbor Michigan Etats Unis d Am rique Dr M Vaucel Directeur g n ral des Instituts Pasteur hors m tropole Institut Pasteur Paris France Comit d experts de l Hygi ne de la Maternit et de l Enfance Le point de vue social dans l enseignement de l obst trique et de la gyn cologie Gen ve 11 17 juin 1963 3 O Avenda o Professeur d obst trique l Ecole de M decine de l Universit du Chili Santiago du Chili Professeur Brzezinski Chef du D partment de Gyn cologie et d Obst trique l Ecole de M decine Hadassah Universit h bra que J rusalem Isra l Professeur M Eghbal ant rieurement Directeur de l Ecole de M decine et Recteur de l Universit de T h ran Repr sentant de l Iran aupr s de l UNESCO Paris Fr
105. Chirurgie et m decine y compris des tudes compl tes de m decine 34 6 13 56 7 116 Anesth siologie LS 10 2 19 11 7 49 RadiGlogie 8866 3 2 7 3 4 5 19 H matologie m eene e m 7 Mes 1 2 4 2 9 Autres sp cialit s m dicales et chirurgicales 4 1 2 27 5 1 40 Total pour la m decine clinique 49 10 13 67 79 15 233 SCIENCES M DICALES FONDAMENTALES ET ENSEIGNE MENT M DICAL ET PARAM DICAL Sciences m dicales fondamentales SAS 1 1 27 3 2 34 Enseignement m dical et param dical 8 38 6 21 5 2 80 Total pour les sciences m dicales fondamentales et lenseignement m dical et param dical 8 39 7 48 8 4 114 TOTAL POUR LA M DECINE CLINIQUE LES SCIENCES M DICALES FONDAMENTALES ET L ENSEIGNEMENT M DICAL ET PARAM DICAL 57 49 20 115 87 19 347 Pourcentage 27 15 16 22 38 10 22 TOTAL G N RAL 209 327 128 517 226 184 1591 ACTES OFFICIELS DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT N 131 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 RAPPORT ANNUEL DU DIRECTEUR G N RAL A L ASSEMBL E MONDIALE DE LA SANT ET AUX NATIONS UNIES INDEX ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT GEN VE Mars 1964 INDEX Les num ros en gras indiquent les r f rences principales sous les noms des pays ils renvoient la liste des projets Additifs alimentaires 36 conf rence mixte FAO OMS Rome 36 142 Aden 126 Aedes aegypti 25 72 Antilles n erlandaises 103
106. DE L OMS EN 1963 assistance en faveur de l action de pr voyance sociale de l enseignement et de la formation professionnelle tout en maintenant son aide aux services sanitaires la session de juin 1963 du Conseil d administration du FISE les services sanitaires de base destin s aux m res et aux enfants ont re u des allocations s levant 3 829 500 soit 34 7 du total et les projets de lutte contre les maladies un montant de 52 915 700 soit 26 5 Pr s des deux tiers des sommes approuv es pour la lutte contre les maladies int ressaient l radica tion du paludisme L OMS pr pare sur l radication de cette maladie un rapport qui sera soumis la prochaine session principale du Conseil d administration du FISE Comme indique la liste des projets figurant dans la partie HI du rapport le FISE et POMS fournissent conjointement une aide des projets tr s divers concernant par exemple la tuberculose la l pre le pian et le trachome Les fait r cents int ressant l action entreprise par POMS avec la FAO et le FISE dans le domaine de la nutrition sont mentionn s au chapitre 5 page 35 OIT Parmi les activit s entreprises en collaboration avec POIT dans le domaine de l hygi ne sociale et de la m decine du travail il faut citer un symposium international mixte sur l inspection m dicale du travail voir galement page 37 DOMS a pr par un document destin la r union technique d tude
107. El Tor a t pr sent au Comit r gional en septembre A la suite des discussions techniques qui avaient eu lieu lors de la douzi me session du Comit r gional un programme inter pays d hygi ne dentaire comportant plusieurs phases a d but en juin par une enqu te sur les affections dentaires et les ressourses sanitaires dans un certain nombre de pays Le r le de l h pital dans le programme de sant publique a t le th me d un s minaire inter pays patronn par POMS qui s est tenu Manille en mai et qui 8 r uni des participants venant de douze pays de la R gion Une collaboration troite 8 t maintenue avec 165 organismes internationaux et bilat raux dont laction s exerce dans le domaine sanitaire notamment avec les bureaux r gionaux et nationaux du FISE et avec les repr sentants r sidents du Bureau de l Assistance technique L Organisation a continu entretenir des relations cordiales avec la Commission du Pacifique sud et les projets entrepris jusqu ici de concert avec elle ont donn de tr s bons r sultats Des dispositions ont t prises en vue d une participation commune toutes les r unions inter pays de caract re ducatif qui se tiendront dans le Pacifique sud L OMS prendra sa charge les d penses aff rentes aux participants et aux consultants tandis que la Commission assurera les services administratifs et pr tera le concours de ses cadres techniques Au cours de la p
108. Etude des maladies cardio vasculaires 1958 B Etude sur l enregistrement le codage et la d claration des d c s dus aux maladies cardio vasculaires comprenant des enqu tes sur la fr quence globale des cardiopathies isch miques dans certains pays d Europe dont les taux de mortalit pr sentent de notables diff rences EURO 183 Participation des s minaires et conf rences de l Organisation des Nations Unies et d autres institutions 19559 B EURO 185 Prolongement d activit s inter pays sur le plan national 1958 B Aider les gouvernements prendre des mesures appropri es pour donner suite aux programmes inter pays r alis s dans la R gion europ enne EURO 192 Epid miologie des troubles mentaux 1960 8 Faire des tudes et favoriser les changes de vues au sujet des m thodes de relev s statistiques sur la morbidit psychiatrique dans certains pays europ ens examiner comment rendre Compa rables sur le plan international 165 statistiques psychiatriques et aider des pays de la R gion enregistrer les donn es relatives la morbidit psychiatrique et valuer ses tendances EURO 195 1 Etude des services d inspection sanitaire 1961 8 Etudier dans divers pays de la R gion dont les services sont organis s de mani re diff rente les besoins en inspecteurs sani taires en techniciens de l assainissement et en personnel auxi liaire quivalent ainsi que l utilisation et la format
109. F d ration mondiale des Associations pour les Nations Unies F d ration mondiale des Ergoth rapeutes F d ration mondiale des Soci t s d Anesth siologistes F d ration mondiale des Sourds F d ration mondiale pour la Sant mentale Ligue des Soci t s de la Croix Rouge ANNEXE 7 155 Ligue internationale contre le Rhumatisme Soci t internationale pour la R adaptation des Handicap s Ligue internationale des Soci t s dermatologiques Union internationale contre la Tuberculose Organisation internationale contre le Trachome Union internationale contre le Cancer Organisation internationale de Recherches sur le Cerveau Union internationale contre le P ril v n rien et les Tr pon matoses Soci t de Biom trie Soci t internationale de Cardiologie Soci t internationale de Criminologie Union internationale de Chimie pure et appliqu e Union internationale de Protection de l Enfance Union internationale des Architectes Soci t internationale de la L pre Union internationale des Villes et Pouvoirs locaux Soci t internationale de Transfusion sanguine Union internationale pour l Education sanitaire Soci t internationale d Hydatidologie Union mondiale OSE Annexe 7 BUDGET ORDINAIRE DE 1963 Virements Virements autoris s Montant autoris s Pr visions ult rieure Montants Section Affectation des cr dits original par le suppl ment par revis s
110. FAO POMS a poursuivi l ex cution de programmes de nutrition appliqu e en Inde en Indon sie et en Tha lande en janvier 1963 elle a patronn un s minaire inter pays sur la malnutrition prot ique chez les enfants qui s est tenu Hyderabad Les gouvernements de la R gion s int ressent davantage aux probl mes de protection contre les rayonnements et la m decine des radiations POMS leur fournit ce titre des services de consultants et des bourses d tudes Le Minist re de la Sant de la Tha lande a entrepris de cr er un service de radiologie appel traiter des questions de sant li es l utili sation pacifique de l nergie atomique et l emploi des rayonnements Devant la n cessit urgente de d velopper les services g n raux de sant on a d rel guer au second plan 18116 accord e pour des besoins moins pressants sant mentale hygi ne dentaire m decine du travail Ces domaines n ont cependant pas t n glig s POMS a envoy des consultants ou attribu des bourses d tudes cinq des pays de la R gion L OMS aide galement d velopper les services d ducation sanitaire et de statistiques sanitaires sans lesquels les services de caract re g n ral ou sp cialis dont il vient d tre fait mention ne sauraient fonctionner Le renforcement des bureaux nationaux d ducation sanitaire a t poursuivi POMS s efforce aussi en coop ration avec l UNESCO de d velopp
111. FAUCHER Ha ti Dr J SHAHEEN TT Irak Professeur J GARCIA ORCOYEN Espagne z tt tt Sir George GODBER Royaume Uni de Grande DAMES CUS MSSNON Bretagne et d Irlande du Dt K SUVARNAKICH Tha lande Nord 13 S SymMAN Rapporteur Isra l D W A KARUNARATNE Ceylan 13 R VANNUGLI 4 Vice Pr sident Italie Dr 8 D B LAYTON Canada Dr J WATT Etats Unis d Am rique Dr Yong Seung LEE R publique de Cor e Professeur V M Union des R publiques Dr A NABULSI Jordanie socialistes sovi tiques 2 A dater de la trente deuxi me session Gen ve 27 28 mai 1963 Aux termes de sa r solution WHA16 11 la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant a lu le Br sil l Indon sie l Iran le Mali la Norv ge la Nouvelle Z lande les Pays Bas et le Sierra Leone comme Membres habilit s d signer une personne devant faire partie du Conseil ex cutif en remplacement des membres sortants d sign s par l Argentine le Ghana l Islande la Jordanie le Pakistan la R publique de Cor e le Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord et la Tha lande La composition du Conseil ex cutif se pr sente donc comme suit Dur e du mandat restant courir la date de cl ture de la Seizi me Assembl e D sign par mondiale de la Sant Dr A C ANDRIAMASY Vice Pr sident Madagascar ans Professeur
112. Fonds sp cial a t discut e par le Comit sp cial institu en vertu de la r solution 851 XXXII du Conseil conomique et social pour la coordination des activit s d assistance technique Les projets financ s l aide des fonds du programme largi figurent dans la liste de la partie 111 du pr sent rapport Coop ration avec diff rentes organisations Non seulement l OMS 8 particip aux programmes d action concert e int ressant plusieurs institutions mais elle a de nouveau collabor directement avec diverses organisations des Nations Unies Des exemples de cette action commune sont donn s ci dessous Organisation des Nations Unies Comme les ann es pr c dentes POMS a coop r avec l Organisation des Nations Unies des activit s techniques tr s diverses Elle 8 tabli des rapports et formul des observations sur la situation sanitaire l intention du Conseil de Tutelle et du Comit des Renseignements relatifs aux Territoires non autonomes auxquels elle 8 fourni des informations sur l volution constat e en ce qui concerne la formation de personnel sanitaire dans les territoires non autonomes La Seizi me Assembl e mondiale de la Sant a autoris la prolongation jusqu au 30 juin 1965 de l accord conclu par POMS avec l Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour les R fugi s de Palestine dans le Proche Orient et l Organisation 8 continu assurer la direction technique d
113. Le travail accompli au titre de ce projet rentre dans le pro gramme de d veloppement conomique et social de la population rurale qui b n ficie de l assistance de l Organisation des Nations Unies On envisage de cr er dans les r gions rurales quatre centres auxquels sera affect du personnel des organisations participantes Laos 12 Enseignement infirmier mars 1962 1970 AT FISE Cr er une cole d infirmi res et de sages femmes o sera form du personnel pour les services hospitaliers et sanitaires du pays qui doivent tre renforc s et am lior s Malaisie 14 Administration hospitali re mai 1956 1968 AT Etudier le syst me d administration hospitali re former des administrateurs hospitaliers non m decins dans le pays ou l tranger Malaisie 15 Archives hospitali res nov 1956 1966 AT Etudier et r organiser les syst mes d archives hospitali res et organiser un service de statistiques sanitaires cr er un service central de statistique au Minist re de la Sant et former du personnel local Malaisie 20 Projet pilote d radication du paludisme f vr 1960 1964 B CSEP Trouver une m thode permettant d interrompre la trans mission du paludisme recueillir les donn es n cessaires pour tablir des plans en vue de l radication du paludisme former du personnel Malaisie 21 Etablissements d enseignement biologie clinique nov 1960 1965 B Relever le niveau d enseig
114. Liban 129 Malaisie 138 Maroc 38 122 enfants Espagne 121 Yougoslavie 124 cours post universitaire Helsinki 118 Voir aussi Physioth rapie Proth se Recherche m dicale 42 43 45 72 73 74 87 Inde 112 114 Malaisie 138 immunologie 47 48 Voir aussi Comit consultatif de la Recherche m dicale M decine compar e Recueil international de L gislation sanitaire 50 R glement sanitaire international 20 60 Relev pid miologique hebdomadaire 20 50 R pertoire mondial des coles de m decine 39 R pertoire mondial des coles v t rinaires 12 39 50 R pertoires coles sup rieures d infirmi res pr paration 39 institutions de recherche et chercheurs 42 Reproduction humaine 31 R publique Arabe Unie 27 30 31 36 51 84 85 86 125 131 R publique Centrafricaine 66 100 R publique de Cor e voir Cor e R publique de R publique Dominicaine 107 R publique du Viet Nam voir Viet Nam R publique du R publique f d rale d Allemagne voir Allemagne R publique f d rale Ressources hydrauliques 58 143 enqu te en Inde 113 R unions constitutionnelles janvier septembre 1963 152 153 1964 calendrier provisoire 154 Rhumatisme 34 47 Rickettsioses 16 Rougeole vaccin 13 45 47 Roumanie 3 123 Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord 11 31 33 123 Russe publications en langue 50 Rwanda 24 32 65 66 68 69 100 Ryu Kyu les 18 89 139 Sages femmes
115. Mali 200 Bourses d tudes B Cours d infirmi res monitrices douze mois tudes de m decine quatre ans Mali 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine une bourse de quatre ans une de cinq ans Le Maurice 2 Lutte contre la tuberculose juin 1956 d c 1959 ao t 1960 fin 1963 AT Evaluer l ampleur du probl me de la tuberculose mettre sur pied un service complet de lutte antituberculeuse et initier le personnel local des cat gories professionnelles toutes les formes de la lutte antituberculeuse y compris les visites domicile Ie Maurice 4 Nutrition juin sept 1963 B Un nutritionniste de la sant publique a t envoy pour quatre mois l le Maurice afin d y enseigner les principes de la nutrition des sages femmes des assistantes sociales et d autres membres du personnel op rationnel De Maurice 7 Eradication du paludisme janv 1960 fin 1965 CSEP Eliminer la transmission focale tr s parpill e du paludisme et tablir la phase de consolidation du programme d radication Ie Maurice 200 Bourses d tudes B Assainissement deux bourses de quatre mois Ie Maurice 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine trois ans Ie Maurice 202 Bourses d tudes CSEP Paludisme quatre mois Mauritanie 3 Services de protection maternelle et infantile f vr 1963 fin 1965 B FISE Organiser des services de protection maternelle et infantile Mauritanie 9
116. On 8 essay diverses m thodes permettant une interpr ta tion plus objective de l lectrocardiogramme et l on 8 envisag la possibilit de proc der automatiquement l enregistrement l analyse et l interpr tation des donn es qu il fournit Dans l espoir de pr ciser le m canisme par lequel divers facteurs favorisent ou emp chent l apparition des cardiopathies on a entrepris d tudier les modifications physiologiques de l appareil cardio vasculaire dans les conditions de vie habituelles Ces recherches n cessitent la mise au point de techniques pour l valuation concomitante de plusieurs facteurs de milieu et la construction d appareils pour mesurer de fa on continue ou de fa on intermittente mais intervalles rapproch s des param tres circulatoires tels que le rythme cardiaque l lectrocardiogramme ou la pression sanguine Les tudes comparatives sur les maladies cardio vasculaires des animaux sont d crites la page 12 Des d tails concernant la r union du Comit d experts de la R adaptation des Malades cardio vasculaires figurent dans la section consacr e la r adaptation m dicale voir page 37 Les cardiopathies rhumatismales constituent toujours un probl me grave dans de nombreux pays et l OMS en collaboration avec la Soci t inter nationale de Cardiologie et des experts de tous 165 pays du monde essaie de faire le point de la situation actuelle et surtout de faire b
117. Paludisme Programme pr radication oct 1962 1972 CSEP D velopper l organisation d un service antipaludique favoriser la mise en place d un r seau serr de services de sant ruraux Mauritanie 201 Bourses d tudes AT Soins infirmiers huit bourses de deux ans Niger 8 Administration de la sant publique oct 1962 1964 AT Organiser les services de sant nationaux et cr er une section des statistiques d mographiques et sanitaires au Minist re de la Sant Niger 200 Bourses d tudes B Anesth siologie et r animation deux ans Niger 201 Bourses d tudes AT Anesth siologie deux ans tudes de m decine une bourse de deux ans une de six ans Nig ria 1 Lutte contre le pian juillet 1954 fin 1965 AT FISE Combattre le pian par un traitement de masse la p nicilline retard former du personnel d montrer l int r t d un service de sant publique rationnellement organis Nig ria 10 Services de sant ruraux Nig ria oriental nov 1957 fin 1965 AT FISE Am liorer les services de sant ruraux notamment la protection maternelle et infantile dans le Nig ria oriental Nig ria 14 Projet pilote de chimioth rapie de la tuberculose Ibadan sept 1961 fin 1965 8 FISE Mettre sur pied Ibadan un projet pilote de lutte contre la tuberculose destin en particulier mettre au point des m thodes antituberculeuses applicables aux secteurs urbains du Nig
118. University College of East Africa d velopper son enseignement p diatrique AFRO 134 Enseignement et formation professionnelle Uni versit d Ibadan Nig ria 1962 fin 1965 B Aider au d veloppement du d partement de p diatrie et d hygi ne de l enfance de l Universit d Ibadan et promouvoir l enseignement de 18 p diatrie Afrique du Sud 200 Bourses d tudes B Epid miologie cinq mois hygi ne industrielle trois mois lutte contre la tuberculose une bourse de cinq mois une de six mois r adaptation m dicale six mois sant mentale six mois Basutoland 2 Lutte contre la tuberculose mars 1962 fin 1964 AT FISE Organiser un programme de lutte antituberculeuse adapt la situation conomique et sociale du pays Basutoland 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine une bourse de cinq ans une de sept ans Bechuanaland 2 Lutte contre la mouche ts ts juin 1955 fin 1965 AT Proc der des essais d insecticides action r manente afin de trouver le meilleur moyen de combattre la mouche ts ts dans les zones atteintes d emp cher cet insecte d envahir d autres zones et de l liminer d finitivement 95 96 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Burundi 2 Administration de la sant publique juin 1962 fin 1965 AT Organiser et mettre sur pied les services de sant nationaux et former du personnel sanitaire professionnel et auxiliaire L quipe envoy
119. acquise l OMS a donc pr par pendant l ann e une analyse g n rale du probl me de la formation des auxiliaires Un nouveau s minaire itin rant interr gional a eu lieu en Union sovi tique en 1963 Il portait sur la formation du personnel de cat gorie interm diaire feldchers sages femmes techniciens de l assainisse ment assistants de laboratoires soit peu pr s l quivalent de ce que l OMS appelle auxiliaires m dicaux Les participants ont t frapp s du tr s grand nombre de personnes appartenant cette cat gorie qui re oivent actuellement une formation ou sont d j en activit en URSS pays o la propor tion de m decins par rapport la population est pour tant tr s lev e Ils ont galement not le pourcentage des professeurs par rapport aux tudiants ainsi que les moyens mat riels installations et livres dispo nibles pour l enseignement Le rapport du s minaire a t publi Voyages l tranger pour des tudes ou des changes d informations scientifiques Entre le 1 d cembre 1962 et le 30 septembre 1963 POMS a aid 2058 personnes se rendre l tranger des fins ducatives Elle a ainsi accord 1591 bourses d tudes chiffre qui s tablit 1383 pour la m me p riode de l ann e derni re et 467 bourses de paiti cipation des r unions organis es par elle Les chiffres correspondants pour les douze mois pr c dents du 17 d cemb
120. anatomo pathologistes de microbiologistes et de chimistes dans la plupart de ces pays est pr judiciable la qualit de la formation donn e au personnel national L organisation des cours pour techniciens de laboratoire demande tre revue et l on pr pare actuellement un programme cet effet En ce qui concerne les recherches sur les anti biotiques la premi re partie d une tude collective sur la m thode du disque pour les tests de sensibilit des bact ries aux antibiotiques a t achev e par les seize laboratoires qui travaillaient en collaboration les r sultats sont en cours d analyse et l on esp re qu ils serviront de base de nouveaux travaux per mettant de perfectionner cette m thode A Li ge le centre international de documentation sur les antibiotiques soutenu par POMS a continu de prendre syst matiquement contact avec des hommes de science et des laboratoires commerciaux qui travaillent 18 mise au point de nouveaux anti biotiques afin de s assurer leur collaboration Avec le concours de laboratoires sp cialis s le centre s emploie diffuser rapidement de la documentation sur les antibiotiques nouveaux Ce genre de service est tr s utile aux chercheurs car il leur permet de savoir si les antibiotiques qu ils ont d couverts sont identiques ceux qui sont d j connus et brevet s En troite collaboration avec POMS le Comit international sur les Animaux de laboratoire donne d
121. annexe 4 2 Halbach H amp Eddy N B 1963 Tests for addiction chronic intoxication of morphine type Bull Org mond Sant 28 139 173 Conform ment aux r solutions WHA15 41 de la Quinzi me Assembl e mondiale de la Sant et EB31 R6 de la trente et uni me session du Conseil ex cutif concernant le r le que doit jouer l Organisa tion dans l valuation de l innocuit et de l efficacit des m dicaments le Directeur g n ral 8 convoqu un groupe scientifique de cliniciens et de pharmacolo gistes venus de neuf pays auxquels il a demand de le conseiller sur les moyens de mettre en application les diverses recommandations figurant dans ces r solutions Le groupe qui s est r uni en mars a formul des avis sur des questions telles que le rassemblement et la transmission rapide aux autorit s sanitaires nationales des renseignements concernant les effets secondaires graves de certains m dicaments l change de renseignements sur l innocuit et l effi cacit des pr parations pharmaceutiques l laboration de crit res applicables aux tudes pr cliniques et aux essais cliniques l examen de probl mes particuliers et l am lioration des tudes universitaires et post universitaires en mati re de pharmacologie et d utilisa tion clinique des m dicaments Le rapport du groupe scientifique a t pr sent au Comit consultatif de la Recherche m dicale en juin 1963 Apr s avoir examin le
122. au Directeur r gional Washington la construction du nouveau b timent qui permettra d accueillir convenablement tous les services du Bureau sanitaire panam ricain Bureau r gional de POMS pour les Am riques a commenc la fin de l ann e Malheureusement l ann e 1963 a t marqu e par toute une s rie de catastrophes naturelles et d pid mies qui ont n cessit une aide d urgence de la part de l Organisation L OMS agissant en troite collabo ration avec la Ligue des Soci t s de la Croix Rouge a aid Cuba et Ha ti se relever du d sastre caus par la tornade qui s est abattue sur ces deux pays Des fournitures et du mat riel ont t exp di s en Yougoslavie apr s le tremblement de terre de Skoplje et des mesures d urgence ont t prises pour aider la R publique de Cor e la Malaisie et la Birmanie faire face des pid mies de chol ra L OMS a galement assur l envoi de vaccin au Y men lorsqu une pid mie de typhus s y est d clar e au mois de septembre XI lt Jai d j parl de la coop ration avec les autres institutions du syst me des Nations Unies qui s est poursuivie en 1963 comme par le pass Je voudrais toutefois mentionner ici la contribution que l Organi sation a apport e l importante conf rence convoqu e par PONU en f vrier dernier sur l application de la science et de la technique dans lint r t des r gions peu d velopp es Les interventions d
123. autre projet une aide compl mentaire en liaison avec la lutte antituberculeuse N pal 15 Enseignement de la m decine janv f vr 1963 B Afin d aider le Gouvernement dans son projet de cr ation d une cole de m decine l OMS 191 a envoy pour trois semaines un consultant qui a fait une enqu te sur les effectifs probables d tudiants et de personnel enseignant sur l organi sation de l enseignement en g n ral et sur les conditions dans lesquelles peuvent tre assur es les tudes m dicales notamment pour ce qui est du mat riel d enseignement et des cours uni versitaires pr m dicaux Ce consultant 8 galement tudi les possibilit s d extension ainsi que les charges financi res ordinaires et exceptionnelles qui en r sulteraient Son rapport et ses recommandations ont t soumis au Gouvernement n palais N pal 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois tudes de m decine deux bourses de douze mois statistiques d mographiques et sanitaires deux bourses de trois mois N pal 201 Bourses d tudes AT Analyse des denr es alimen taires douze mois Tha lande 2 Lutte contre le pian mai 1950 fin 1966 AT FISE Organiser une surveillance syst matique des cas de pian sur tout le territoire de fa on maintenir le r servoir d infection un niveau suffisamment bas pour que les services ordinaires de sant rurale puissent avoir la sit
124. avis en vue de l applica R GION DE LA M DITERRAN E ORIENTALE 85 tion de mesures destin es neutraliser ce foyer et pr venir d autres pouss es de la maladie L OMS a maintenu l aide accord e pour l ex cution de projets de lutte contre la bilharziose en Irak en Iran et dans la R publique Arabe Unie o des recher ches ont t entreprises en vue de mettre au point des m thodes la fois plus efficaces et plus conomiques pour combattre la maladie L extension de cette aide d autres pays est envisag e Dans les activit s de protection maternelle et infantile l OMS r serve une place importante la formation de personnel sanitaire C est ainsi que dans une zone semi rurale des environs de Sfax dans le sud de la Tunisie une quipe de POMS a aid tablir un centre pilote de d monstration et de formation en hygi ne de la maternit et de l enfance qui collabore avec l cole d infirmi res de Sfax pour la formation d infirmi res et de sages femmes En Jordanie POMS pr te son concours en vue d am liorer les soins p dia triques l H pital pour enfants d Amman et un cycle de cours sur l hygi ne infantile la croissance et le d veloppement des enfants ainsi que l alimen tation des nourrissons a t introduit dans le pro gramme de pr paration des infirmi res non dipl m es L exp rience a montr que des services de consulta tions externes judicieusement quip
125. centres nationaux et favoris leur coop ration Afin de faciliter l tude pid miolo gique des infections staphylococciques le centre international de lysotypie des staphylocoques Londres a pr par des lots de phages et de souches lyophilis s pour distribution aux laboratoires natio naux Dipht rie t tanos coqueluche s tudes concert es en laboratoire et sur le terrain concernant l effisacit de l anatoxine t tanique pour la pr vention du t tanos des nouveau n s se sont poursuivies en Colombie au Nig ria et dans le Territoire de la Nouvelle Guin e en collaboration avec des laboratoires du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord et des Etats Unis d Am rique en outre des essais sur le terrain ont commenc en Inde Comme par le pass plusieurs pays ont b n fici d une assistance pour entreprendre ou am liorer la production 2 vaccin associ antidipht rique anti t tanique et anticoquelucheux M ningite c r bro spinale On a continu d tudier l pid miologie de la ningite c r bro spinale dans la zone end mo pidimique d Afrique et les indications recueillies ont t publi es dans un Suppl ment au Bulletin de l OMS Une enqu te sur l efficacit de divers sulfamides pour le traitement et la pr vention a t men e bien et des dispositions ont t prises en vue de recherches pr liminaires sur un vaccin Plusieurs pays de la zone end mo
126. collaborer la formation de personnel et la pr paration de pro grammes d assainissement ont galement pr t leur concours pour l tablissement de projets d adduction d eau et d vacuation des mati res us es En outre POMS aide actuellement le Gabon la C te d Ivoire le Mali le Rwanda le S n gal et le Sierra Leone en mati re d hygi ne du milieu Soins infirmiers L OMS a accru consid rablement son aide aux gouvernements de la R gion dans le domaine des soins infirmiers Elle 8 donn des avis sur l organisation des services infirmiers et a particip l valuation des besoins en personnel Son objectif principal 8 t toutefois d am liorer l enseignement et la forma tion professionnelle tous les chelons La plupart des pays de la R gion souffrent d une p nurie d infir mi res qualifi es certains h pitaux et centres de sant disposent en fait d effectifs plus que suffisants mais ce personnel ne poss de pas les connaissances et l exp rience indispensables et il importe d am liorer lencadrement et l organisation L absence d une direction rationnelle se fait sentir galement dans l enseignement infirmier notamment dans les travaux pratiques des l ves L OMS aide donc de nombreux pays d velopper l enseignement infirmier Au Burundi par exemple l OMS a particip l laboration d un programme de formation destin la fois aux infirmi res et infir
127. consultant court terme et a pris sa charge les frais des participants SEARO 72 Statistiques hospitali res janv 1963 fin 1968 AT Aider les gouvernements de la R gion organiser un syst me efficace d tablissement et de transmission des fiches m dicales dans certains h pitaux rassembler traiter et pr senter les donn es statistiques hospitali res l chelon national et former un personnel sp cialis en mati re de relev s m dicaux et de statistiques hospitali res SEARO 76 Etudes sur les filarioses nov 1962 fin 1965 B Entreprendre de nouvelles recherches sur l pid miologie des filarioses dans les pays de la R gion afin de mettre au point des m thodes de lutte plus efficaces SEARO 94 Centre r gional de contr le ext rieur des talements de sang paludisme juin 1963 fin 1965 B CSEP Fournir les moyens mat riels n cessaires pour le contr le ext rieur des talements de sang pr lev s au cours de l ex cution des programmes d radication du paludisme dans la R gion Afghanistan 8 Lutte contre le typhus d c 1961 d c 1962 B FISE L OMS a fourni les services d un consultant durant trois semaines ainsi que le concours temps partiel de l entomo logiste affect au projet d radication du paludisme Afghanistan 11 pour des preuves de sensibilit sur le pou du corps dans la r gion de Kaboul en d cembre 1961 et d cembre 1962 Les preuves ont conf
128. courant au Si ge suivi d un stage pratique sous surveillance avant de prendre leurs fonctions On trouvera dans les chapitres 1 et 3 des indications sur les cours sp ciaux organis s pour les paludologues et les ing nieurs sanitaires La principale modification de structure apport e au Secr tariat du Si ge pendant l ann e 8 t la cr ation du Service de la Planification sanitaire nationale Avec les trois Services existants des Relations ext rieures de 56 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 la Coordination des Programmes et de lEvaluation des Programmes ce nouveau service a t rattach au Bureau du Directeur g n ral et plac sous l autorit d un directeur charg de s occuper galement de tout ce qui rel ve du Si ge dans les op rations au Congo L opoldville D autre part le Service de la Standar disation biologique a t subdivis en deux Services Pun gardant le nom de Standardisation biologique et l autre prenant celui de Service de l Immunologie La structure du Secr tariat du Si ge au 30 septembre 1963 est indiqu e l annexe 8 M canisation Le d veloppement des activit s administratives et financi res de l Organisation appelle un recours de plus en plus large aux m thodes modernes de traite ment m canique Ces m thodes mises pr c demment en application dans divers domaines sont maintenant utilis es galement pour certains travaux budg taires et l on envisage de le
129. d ex cution est en cours de r alisation L OMS sera charg e de donner des avis sur les questions sanitaires qui se poseront cette occasion et fournira cet effet les services d un conseiller pour la sant publique et d un ing nieur sanitaire qui seront r mun r s par le Fonds sp cial Comit r gional Le Comit r gional de l Europe 8 tenu sa treizi me session Stockholm du 17 au 20 septembre 1963 avec la participation des repr sentants de vingt neuf Etats Membres l Alg rie si geant pour la premi re fois en cette qualit L OIT et le FISE ainsi que deux orga nisations intergouvernementales et seize organisations 82 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 non gouvernementales entretenant des relations officielles avec POMS et le Centre international de l Enfance s taient fait repr senter Le Directeur g n ral a assist aux deux derni res s ances Le Comit r gional 8 examin le rapport annuel du Directeur r gional il a pris note avec satisfaction du d roulement du programme de OMS dans la R gion au cours de l ann e et a approuv l volution g n rale des activit s dont il lui a t rendu compte Il a ensuite discut de fa on approfondie le projet r gional de programme et de budget pour 1965 et apr s lui avoir apport quelques amendements en a approuv la transmission au Directeur g n ral La R gion euro p enne est celle qui compte la plus forte proportion de programm
130. d Am rique et de POMS c est ainsi qu a pu s instaurer la collaboration n cessaire entre les diverses institutions s occu pant de l am lioration du g nie sanitaire au Pakistan Pakistan 25 Ecole de physioth rapie Karachi janv 1956 sept 1963 B L objectif de ce projet tait de cr er une cole de physioth rapie partir de l ancien service de physioth rapie de l h pital Jinnah et de donner des l ves des deux sexes un cours complet pour permettre la mise en place de services de physioth rapie et de r adaptation dot s d un personnel entra n L OMS a envoy un physioth rapeute livr des fournitures et du mat riel et accord une bourse d tudes celle ci au titre du projet Pakistan 200 L cole de physioth rapie a ouvert ses portes en 1956 De 1956 1961 vingt physioth rapeutes sont sortis de l cole apr s des tudes d une dur e de deux ans En 1961 la dur e des tudes a t port e trois ans et onze autres tudiants ont t admis Le directeur de l cole qui avait t nomm homologue national du physioth rapeute de l OMS assume d sormais enti rement la direction Trois l ves ma tres ont t nomm s et l un d eux a re u une bourse de POMS pour se perfectionner l tranger L Universit de Karachi a reconnu le dipl me de fin d tudes de l cole qui donne droit au titre de Bachelor of Science en physioth rapie L cole peut maintenant
131. d infirmi res dipl m es l encadrement des services laisse d sirer Aussi POMS a t elle envoy une quipe professionnelle pour diriger et soutenir les auxiliaires en poste dans les centres isol s En collaboration avec le Conseil international des Infirmi res POMS a commenc r unir de la docu mentation pour la pr paration d un r pertoire mondial des coles sup rieures d infirmi res Enfin le Conseil international des Infirmi res rassemble toute une documentation sur la l gislation des soins infirmiers et de l obst trique dans les diff rents pays et POMS lui a pr t son concours cette fin Un m moire de POMS sur les lois et r glements applicables aux sages femmes 8 t pr sent une r union de la Conf d ration internationale des Sages Femmes Education sanitaire La plupart des activit s d ducation sanitaire sont ins parables des attributions r guli res des services de sant et les pays qui s emploient organiser ou renforcer chez eux ces services continuent de solliciter POMS pour qu elle les aide d velopper leurs moyens d ducation sanitaire L Organisation a t amen e ainsi conseiller les gouvernements pour la cr ation de services d ducation sanitaire au sein de leurs administrations sanitaires tant l chelon central qu celui des tats ou des provinces et pour l laboration de plans sanitaires int gr s o l action ducative ait sa place L
132. d ouvrir leurs portes et l Inde qui en avait soixante six lan dernier en compte soixante dix huit cette ann e La formation des cadres enseignants de lavenir constitue l autre face du probl me et Pon s efforce d y trouver des solutions C est ainsi qu en Europe POMS a patronn des cours sp ciaux notamment sur des disciplines m dicales relativement nouvelles et sur des sciences de base Dans la R gion des Am riques l enseignement de administration de la sant publique a t le th me des discussions du troisi me s minaire des doyens d coles de sant publique d Am rique latine auquel ont particip sous l gide de POPS des doyens et des professeurs d Argentine du Br sil du Chili de Colombie du Mexique de Porto Rico et du Venezuela Dans la R gion de la M diterran e orientale un effort particulier a t accompli pour la formation des moniteurs et enseignants charg s d instruire le personnel auxiliaire Il est int ressant et encourageant de signaler qu au cours de l ann e les premiers des assistants m dicaux qui ont quitt la R publique du Congo L opoldville apr s l accession l ind pendance pour compl ter leur formation en France ou en Suisse sont rentr s dans leur pays pourvus d un doctorat en m decine Is seront suivis d un nombre croissant de nouveaux docteurs Il faut esp rer qu ils fourniront au Congo la base dont il a besoin pour cr er sa propre infrastructure sanitaire e
133. dans chacun de ces pays d un conseiller en sant publique poss dant d j l exp rience de la planification sanitaire nationale et qui sera assist selon les besoins par des pid miologistes des ing nieurs Sanitaires des infirmi res de la sant publique et des statisticiens A l heure actuelle on pr voit que le s jour de l quipe de POMS dans les pays se limitera dans chaque cas une ann e Le conseiller en sant publique sera au service du gouver nement int ress et participera aux travaux de la commission nationale de planification ou de tout autre organisme gouvernemental analogue 1 pr tera son concours au gouvernement pour la mise au point de principes directeurs permettant d assurer la coordi nation des activit s des services de sant ruraux avec la planification l organisation et l ex cution des programmes sanitaires nationaux ainsi qu avec l action des services charg s de la lutte contre des maladies sp cifiques Des conseillers en sant publique ont d j t nomm s pour le Gabon et le Sierra Leone ils ont pris leurs fonctions la fin du mois de juillet et l on recrute pr sentement des conseillers l intention des trois autres pays Afin d aider le Gouvernement du Rwanda cr er et entretenir des services de sant publique ainsi que des services consultatifs de protection maternelle et infantile l OMS a mis 8 sa disposition une quipe consultative comprenant un conse
134. dans l extraction et le trai ment des minerais nucl aires Comit d experts des Helminthiases Helminthes transmis par le sol Comit r gional de la M diterran e orientale treizi me session Sous Comit B Groupe scientifique des an mies nutritionnelles Comit r gional du Pacifique occidental quatorzi me session Comit d experts des Statistiques sanitaires Sous Comit de la Classification des Mala dies R union pr paratoire pour la classification des troubles mentaux Comit r gional de l Asie du Sud Est seizi me session Troisi me conf rence interterritoriale sur le paludisme pour le sud ouest du Pacifique R gion du Pacifique occidental Deuxi me r union europ enne de chercheurs Etude de la fr quence de la leuc mie chez les malades irradi es pour cancer du col de l ut rus Comit d experts du Paludisme Groupe scientifique des recherches sur les an mies nutritionnelles Comit r gional des Am riques quinzi me session et XIV r union du Conseil directeur de POPS i Comit r gional de l Europe treizi me session R union sur les tudes pid miologiques combin es sur l ath roscl rose Probl mes de classement Comit r gional de l Afrique treizi me session Gen ve 24 mai Gen ve 27 28 mai Mexico 3 8 juin Bogota 10 16 juin Gen ve 11 17 juin Rome 17 21 juin Rome 24 25 juin Gen ve 24 28 juin Rome 25 juin 3 juillet Gen ve 1er 6 juillet G
135. de l OIT sur le nomadisme et la s dentarisation au Moyen Orient et en Afrique du Nord qui s est tenue Gen ve au mois d avril Elle a galement particip aux d bats sur la sant des populations indig nes lors de la r union de la Commission OIT d experts sur PApplication des Conventions et Recommandations FAO Les r unions organis es conjointement avec la FAO comprenaient la premi re session de la Com mission du Codex Alimentarius la r union mixte du Comit FAO sur l Emploi des Pesticides en Agricul ture et du Comit OMS d experts des R sidus de Pesticides la r union du Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires la r union du groupe mixte d experts de l enseignement v t ri naire et celle du Groupe consultatif FAO FISE OMS des Prot ines Des comptes rendus de ces r unions et d autres activit s conjointes des deux organisations figurent dans le chapitre 2 sous Sant publique v t rinaire et dans le chapitre 5 sous Nutrition Dans la partie 11 ainsi que dans la liste des projets partie 111 il est fait mention des programmes qui dans les R gions re oivent une aide conjointe de 18 part de la FAO et de POMS L OMS a particip la Campagne contre la Faim organis e par la FAO et elle a t repr sent e au Congr s mondial de l Alimentation qui s est tenu Washington au mois de juin UNESCO La collaboration avec l UNESCO s est poursuivie en ce qui concerne l duc
136. de dix mois nutrition deux bourses de onze mois Br sil 3 Services de sant publique neuf tats du nord est 1958 1966 B Cr er des services int gr s de sant publique dans la r gion nord est du Br sil Br sil 8 Services nationaux de laboratoires de virologie 1959 1965 AT Cr er un laboratoire de diagnostic virologique et stimuler les recherches concernant les ent rovirus et les virus transmis par les arthropodes Br sil 35 Ecole de Sant publique S o Paulo 1958 7965 8 Assurer l Ecole de Sant publique de S o Paulo un d ve loppement suffisant pour qu elle puisse servir galement de centre international de formation Br sil 42 Lutte contre Ia rage 1959 7965 B D velopper et am liorer les services antirabiques et en cr er de nouveaux constituer un centre de recherches sur la rage pour la pr paration des vaccins et la formation du personnel encou rager les travaux sur a rage Br sil 60 Enseignement infirmier Recife 1962 965 8 Am liorer l enseignement infirmier donn par l Ecole d Infir mi res de Recife Br sil 68 Lutte contre la pollution de lair et de l eau 1963 1964 AT Etudier les m thodes qui permettraient de lutter contre la pollution de l air et de l eau dans la zone de S o Paulo Br sil 200 Bourses d tudes B Education sanitaire douze mois nutrition onze mois organisation de l enseignement de la m decine un mois prote
137. de mesure de la morbidit chez les individus et dans les groupes de population Mycoses Avec l appui de l OMS cinq laboratoires ont commenc exp rimenter diverses m thodes en vue de mettre au point une preuve type de d termination in vitro de 18 sensibilit des dermatophytes 18 gris ofulvine La section de mycologie et de parasitologie du Communicable Disease Center d Atlanta Giorgie Etats Unis d Am rique est charg e de coordonner ces recherches Maladies bact riennes et diarrh iques Les maladies diarrh iques et les maladies bact riennes aigu s de l enfance telles que la dipht rie le t tanos la coqueluche la scarlatine et les infections staphylococciques figurent parmi les causes de forte mortalit infantile dans nombre de pays En Afrique centrale des pid mies de m ningite c r bro spinale se produisent annuellement Des foyers end miques de chol ra persistent en Asie et la maladie tend se r pandre dans les zones voisines La peste est toujours pr sente dans maintes localit s rurales Ces affections bact riennes et d autres encore posent un important probl me de sant publique Aussi POMS a t elle aid les gouvernements les combattre et soutenu des tudes internationales concert es visant mettre au point des mesures de lutte plus efficaces Des communications ont t publi es dans le Bulletin de l OMS relativement une tude sur la sensibilit au bact riophage 0
138. decine pr ventive Les participants ont soulign Pimportance 6 la m decine pr ventive pour le praticien lui m me et pour les programmes d enseignement de la m decine 115 ont aussi abord les probl mes de formation des tudiants en m decine et des m decins eux m mes ainsi que les moyens d aider introduire la m decine pr ventive dans leur activit professionnelle Comme par le pass POMS a encourag l enseigne ment de la m decine pr ventive en attribuant des bourses d tudes notamment des professeurs ou de futurs enseignants de cette discipline et en envoyant pendant de courtes p riodes des profes seurs en mission la demande de certaines facult s voir aussi le tableau ci dessus La s rie de cours de sant publique rurale donn s Soissons en collaboration avec le Minist re fran ais de la Sant publique et l organisation d un s minaire europ en sur l utilisation de zones pilotes comme moyen de d monstration et de formation en sant publique rurale sont d autres exemples de l activit d ploy e par POMS en faveur de l enseignement et de la formation en sant publique voir page 80 L OMS a aid un certain nombre d coles de sant publique organiser des cours sur la sant publique et sur des disciplines connexes par exemple admi nistration hospitali re et organisation des soins m dicaux hygi ne dentaire pid miologie et statis tique L ense
139. decins de cette sp cialit Pologne 20 Hygi ne dentaire de l enfant oct nov 1960 nov d c 1962 B FISE Le projet tait destin favoriser le d veloppement des ser vices d hygi ne dentaire scolaire notamment dans les r gions rurales COMS a envoy pour environ trois semaines en octobre novembre 1960 et de nouveau en novembre d cembre 1962 un consultant charg d tudier le service scolaire d hygi ne dentaire dans les r gions rurales et de donner des avis sur la fa on dont on pourrait l organiser pour assurer aux enfants des soins dentaires r guliers pendant toute leur scolarit Sept cents centres dentaires ont t cr s dans les villes et la fin de septembre 1963 deux cent quarante quipes de soins travaillaient dans les r gions rurales Le FISE a envoy quarante quatre installations de soins dentaires et trente v hicules pour les quipes des zones rurales Pologne 24 Services de statistiques sanitaires 1963 AT D velopper les services de statistiques sanitaires et am liorer la comparabilit des statistiques sur le plan national et inter national et organiser une enqu te sur la morbidit Portugal 17 Bourses d tudes B Administration de la sant publique deux mois bact riologie de la tuberculose trois mois contr le des m dicaments deux mois organisation des services de r adaptation deux mois pharmacologie deux mois s rologie des maladies v n rien
140. des pr occupations grandissantes dans plusieurs pays L OMS a collabor des enqu tes men es Singapour et en Malaisie elle a donn des conseils en mati re de r adaptation des l preux l occasion d un programme int ressant la Chine Ta wan ainsi que des indications sur les mesures de lutte antil preuse relevant de la sant publique propos de programmes pr vus au Cambodge et dans la R pu blique du Viet Nam Dans la R publique de Cor e le projet de lutte antil preuse soutenu par le FISE l OMS et d autres institutions 8 progress de fa on satis faisante et lisolement obligatoire des malades a t aboli Quant au programme philippin il a fait l objet d une premi re valuation d taill e laquelle a particip l OMS Les principaux probl mes qui restent r soudre concernent la r adaptation sociale et physique des malades et l int gration de la lutte antil preuse dans l activit des services de sant locaux Le chol ra 8 de nouveau pos un grave probl me d n la R gion Aussi longtemps qu il naura pas t totalement extirp des pays o subsistent des foyers d end mie les administrations sanitaires des pays voisins devront de toute vidence rester en tat d alerte continuer prendre des mesures nergiques d assainissement et d ducation sanitaire et en cas de n cessit lancer une campagne efficace de vaccination Un rapport sur des tudes relatives au chol ra
141. diff rents souche 19 souche Rev 1 vaccin inactiv compl men taire H38 et souche 45 20 se poursuivent dans le sud de la France Dans certains cas on a recours un vaccin bivalent qui prot ge la fois contre Brucella et contre la fi vre aphteuse La brucellose porcine pose toujours un probl me important pour la sant publique et l agriculture dans de nombreuses r gions o la brucellose des bovins a nettement r gress ou m me disparu Le micro organisme responsable de l infection porcine appartient une esp ce distincte Br suis qui ne contamine en g n ral que les porcins et les l porid s mais qui se propage parfois l homme et d autres animaux H r sulte toutefois d une tude s rologique r cente de l infection porcine en France qu il existe une corr lation entre la fr quence de la brucellose bovine et celle des s rums positifs chez les porcs On a constat galement que le nombre des s rums porcins positifs tait beaucoup plus grand que ne le donnaient penser les quelques rapports cliniques sur la brucellose por cine dans la r gion en question Il semble que l infection porcine puisse d pendre de l infection bovine mais de nouvelles tudes sont en cours pour claircir ce point Les autres tudes concernant la brucellose ont port sur la structure antig nique de Brucella et sur la nature des anticorps bloquants on 8 galement tudi les possibilit s qu offrent la bio
142. du nouveau syst me d change international d ouvrages m dicaux en double que l OMS a inaugur en 1960 et rendait compte des r sultats d j obtenus CHAPITRE 11 INFORMATION La Seizi me Assembl e mondiale de la Sant qui s est tenue en mai a permis de recueillir d int ressantes informations diffuser par les diverses voies dis ponibles elle a de plus fourni l occasion de d velopper les contacts avec les utilisateurs radio p riodiques illustr s grande presse L s principaux journaux et p riodiques d un certain nombre de pays ont accept de publier une s rie de photographies prises pendant la session de l Assembl e Nombre d entre elles ont servi illustrer les expos s de la situation sanitaire dans des pays particuliers pr sent s parles d l gu s dans le cadre de la discussion g n rale du Rapport annuel du Directeur g n ral et auxquels a t consacr e une section du num ro sp cial de Sant du Monde publi pour le quinzi me anniversaire de POMS Les commu niqu s de presse beaucoup plus d taill s que les ann es pr c dentes dont ces expos s ont galement fait l objet ont contribu int resser davantage la presse mondiale l Assembl e Pour satisfaire les demandes re ues de r seaux de radiodiffusion cent dix huit enregistrements ont t r alis s en quinze langues pendant l Assembl e et deux cents exemplaires en ont t distribu s dans le monde La
143. du Budget et approuv en s ance pl ni re aux fins de transmission au Directeur g n ral Le Comit r gional a examin les rapports pr sent s par le Directeur r gional sur la fluoruration de Peau distribu e et sur les moyens dont dispose la R gion pour la formation professionnelle du personnel sanitaire L importance des cours d entretien de la formation en cours d emploi et de la possibilit pour les agents sanitaires de poursuivre leurs tudes a t soulign e Ainsi que le Comit r gional l en avait pri lors de sa treizi me session le Directeur r gional 8 pr sent un document dans lequel figuraient les r ponses re ues des gouvernements au sujet des tudes sur le chol ra entreprises dans la R gion Les d bats ont fait appa R GION DU PACIFIQUE OCCIDENTAL 91 ra tre l int r t capital qu il y aurait poursuivre les tudes sur les porteurs de germes et sur les facteurs bio sociaux dont il faut tenir compte dans la lutte contre le chol ra On a sugg r d autre part que les Directeurs r gionaux pour le Pacifique occidental l Asie du Sud Est et la M diterran e orientale se consultent afin d tudier les moyens de renforcer l int gration des activit s antichol riques en vue de parvenir extirper la maladie de l ensemble des territoires de ces R gions Des repr sentants du Gouvernement h te ont pr sent des rapports sur le kourou maladie qui se manifeste dans une r
144. dure de d pistage de traitement et de surveillance des tuberculeux et des contacts pr sum s former du personnel Madagascar 8 Paludisme Programme pr radication juillet 1963 fin 1972 CSEP Mettre en place une infrastructure de services de sant publique ruraux qui permettra d instituer un programme d radication du paludisme s tendant tout le pays former du personnel de mani re constituer le noyau d un service antipaludique national LISTE DES PROJETS AFRIQUE 99 Madagascar 18 D veloppement communautaire 1963 fin 1965 B Organiser des services de sant ruraux dans le cadre du pro gramme de d veloppement communautaire Madagascar 200 Bourses d tudes B Chirurgie deux ans construction hospitali re et habitations deux bourses de deux mois hygi ne de l enfance dix huit mois soins infirmiers deux bourses de deux ans Madagascar 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique deux bourses de douze mois techniques de laboratoire prolongation d une bourse pendant douze mois Mali9 Assainissement avril 1963 fin 1965 B Cr er une section d assainissement au Minist re de la Sant pr parer et mettre ex cution un programme d assainissement de longue dur e et former du personnel Mali 13 Administration de la sant publique d c 1961 fin 1964 AT Faire une tude des services de sant nationaux et les r orga niser s il y a lieu
145. entreprises dans cette R gion comme dans celle du Pacifique occidental en particulier aux Philippines donnent des r sultats qui pourront aider combattre ce fl au dans la R gion africaine o il cause de graves difficult s la plupart des nouveaux Etats En 1963 l quipe consultative OMS pour la bilharziose s est rendue dans un certain nombre de pays pour lucider plusieurs questions se rapportant la transmission de la maladie dans les r seaux d irrigation comme dans les cours d eau ou mar cages naturels Des subventions ont t accord es au cours de l ann e divers laboratoires et institutions qui ont t charg s d essayer les nouvelles substances molluscicides d am liorer les pr parations qui les contiennent d en tudier les effets sur la faune et de mettre au point le mat riel d application Des progr s tr s importants ont t accomplis dans tous ces domaines au cours de l ann e Les campagnes d radication de la variole entreprises dans la R gion de la M diterran e orientale ont eu des r sultats encourageants le nombre de cas notifi s y est le plus faible que l on ait connu depuis vingt ans En Asie du Sud Est importance des projets pilotes commenc s en Afghanistan et en Birmanie prend un relief particulier si on consid re que malgr des succ s notables en certains points 40 000 cas de variole et 70 000 d c s n en ont pas moins t enregistr s dans l ensemble de la R gion e
146. et de phy siologie Directeur de l Institut de Biologie et de M decine exp rimentale Buenos Aires Argentine Professeur V R Khanolkar Directeur du Centre indien de Recherches sur le Cancer Bombay Inde Sir Samuel Manuwa Federal Public Service Commission Lagos Nig ria Professeur P G Sergiev Vice Pr sident de l Acad mie des Sciences m dicales de l URSS Directeur de l Institut de Parasitologie m dicale et de M decine tropicale Moscou Union des R publiques socialistes sovi tiques D J Shannon Directeur des Instituts nationaux de la Sant Bethesda Maryland Etats Unis d Am rique Professeur A Vartiainen D partement de Pharmacologie Universit d Helsinki Finlande D A J Wallgren Professeur honoraire de p diatrie Institut Karolinska Stockholm Su de Pr sident Annexe 4 R UNIONS CONSTITUTIONNELLES ET R UNIONS DE COMIT S D EXPERTS ET DE GROUPES CONSULTATIFS 1 janvier 30 septembre 1963 Conseil ex cutif trente et uni me session Comit permanent des Questions administra tives et financi res Conseil ex cutif trente et uni me session R union officieuse sur l tude coordonn e de la grippe animale Groupe scientifique de la nomenclature et de la classification histopathologiques des tumeurs de l ovaire Quatri me r union des directeurs de laboratoires participant au programme d valuation et d essai des insecticides R union officieuse sur les tude
147. ex cutif a soulign qu une judicieuse r partition des fonctions entre le personnel m dical et param dical d une part et les auxiliaires correspondants d autre part devrait per mettre de r aliser une double conomie conomie de personnel qualifi et conomie de temps de formation puisque le nombre des personnes exigeant une forma tion particuli rement complexe et pouss e serait r duit au strict minimum Il a aussi indiqu qu cet effet un s rieux effort de planification s impose de la part des autorit s sanitaires nationales agissant en collaboration avec les autorit s responsables de l en seignement et les organismes de planification La n cessit de former des auxiliaires d coule aussi du fait qu il faut trouver bref d lai du personnel pour P infrastructure sanitaire c est dire pour le l Organisation mondiale de 18 Sant 1963 Preparation of the physician for general practice Gen ve Cahiers de Sant publique N 20 Edition fran aise en pr paration ENSEIGNEMENT ET FORMATION PROFESSIONNELLE 41 r seau de services sanitaires l mentaires indispen sables pour l ex cution d une campagne d radication du paludisme Malgr l int r t tr s g n ral qui s est manifest l gard des projets de formation d auxiliaires on s est aper u que certains principes essentiels n taient pas encore unanimement compris Sur la base de lexp rience d j
148. f vr 1957 fin 1965 CSEP 15 Eliminer progressivement le paludisme de tout le pays la suite de la d cision prise par le Gouvernement en avril 1962 de continuer le programme en 1963 sans le personnel op rationnel que POMS y avait affect ce personnel a t retir la fin d octobre 1962 et l aide de l OMS en 1963 s est limit e aux bourses d tudes Birmanie 34 Renforcement de l assainissement mars 1956 janv 1963 AT FISE Ce projet avait pour but de cr er une zone pilote de d mons tration o seraient am lior s les services ruraux de distribution d eau et d vacuation des excreta de mettre au point cette fin des syst mes de construction simples pratiques et conomiques et de former du personnel d assainissement Deux techniciens de l OMS ont t affect s ce projet qui jusqu en septembre 1959 a b n fici galement du concours de l ing nieur sanitaire de POMS affect au projet visant l organisation de la Division de l Assainissement au Minist re de la Sant Birmanie 30 L OMS a galement envoy quelques fournitures Un compte rendu du travail accompli jusqu la fin de 1961 figure dans le Rapport annuel pour 1961 Au moment o l assistance de l OMS a cess un programme de construction de latrines et de distribution d eau dans les villages avait t labor pour la zone de d monstration Ce projet a permis d acqu rir une bonne exp rience de lam
149. formation post universitaire leur permettant d enseigner dans les coles de pharmacie assurer la recherche dans le domaine pharmaceutique et constituer un cadre de pharmaciens dipl m s destin pourvoir en personnel les d partements de pharmacie Tha lande 61 Enqu tes sur la bilharziose mars avril 1960 oct 1960 nov d c 1961 juin 1963 B Ce projet visait recueillir des renseignements sur la fr quence de la bilharziose et sur la distribution et l cologie des h tes interm diaires et r servoirs animaux probables ainsi qu mettre au point un programme de recherches permettant de d terminer les mesures de lutte employer Les enqu tes faites en 1960 et 1961 par des consultants de POMS sont d crites dans le Rapport annuel pour 1962 1 En juin 1963 un consultant de l OMS a constat au cours d une nouvelle enqu te la pr sence d esp ces d Ornithobilharzia chez les buffles Tha lande 62 Enseignement de la m decine sept 1960 milieu de 1964 B D velopper les d partements de m decine pr ventive et de m decine sociale dans deux coles de m decine de l Universit des Sciences m dicales Chulalongkorn et Siriraj Bangkok Tha lande 63 Nutrition ao t 1963 fin 1966 B FISE FAO Renforcer le D partement de la Nutrition du Minist re de la Sant publique et d velopper les travaux de laboratoire les activit s cliniques et les op rations sur le terrain en mettant notamment sur p
150. gion bien d limit e des plateaux orientaux du Territoire de Papua et Nouvelle Guin e Trois r unions ont t consacr es aux discussions techniques sur le r le des services sanitaires locaux dans la lutte contre la l pre Le Comit r gional a choisi pour th me des discussions techniques de 1964 l utilisation des statistiques dans l administration de la sant publique Le Comit r gional tiendra sa quinzi me session Manille Philippines et sa seizi me session S oul Cor e Bureau r gional Administration a pas eu de changement dans la structure organique du Bureau r gional Deux conseillers r gionaux respectivement sp cialis s dans les soins infirmiers et dans le g nie sanitaire hygi ne du milieu ont t engag s Une enqu te sur les bar mes de traitements du personnel local a t achev e et un nouveau bar me destin ce personnel est entr en vigueur le 1 juillet 1963 PARTIE III LISTE DES PROJETS PROJETS EN COURS D EX CUTION EN 1963 Cette partie du Rapport contient une liste des projets projets int ressant un pays projets inter pays et projets interr gionaux qui taient en cours d ex cution pendant tout ou partie de la p riode comprise entre le 127 d cembre 1962 et le 30 septembre 1963 En r gle g n rale il n est pas fait mention des projets en cours pour lesquels l aide accord e pendant cette p riode s est limit e des
151. l un des l ments du complexe n oplasique de la vessie La l sion ainsi transmise est un papillome et des exp riences sont en cours pour d terminer si les animaux immunis s par l agent infectieux du papillome demeurent indemnes du carcinome de la vessie A la suite de rapports signalant la fr quence lev e des maladies n oplasiques dans certaines r gions des enqu tes ont t galement organis es sur la fr quence inhabituelle des cancers de l appareil gastro intestinal des animaux et sur les cancers bucco pharyng s des 2 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 chiens le carcinome de l sophage des chats et le carcinome intestinal des ovins On peut esp rer que les r sultats de ces recherches pr liminaires fourniront une base qui permettra d entreprendre des tudes pid miologiques plus pouss es Parmi les autres recherches concernant les tumeurs des animaux il convient de mentionner celles qui portent sur l pid miologie et la transmission de la tumeur v n rienne des chiens et sur les cancers mammaires des chiennes ces recherches sont confi es un laboratoire d Angleterre Maladies cardio yasculaires des animaux Cinq pays se sont entendus pour entreprendre en commun dans les abattoirs et dans certains troupeaux une tude sur la fr quence de l ath roscl rose des porcs Plus de 1000 chantillons d aortes de porcs ont t ainsi r colt s puis class s par un groupe d anatomo path
152. la fr quence de ces maladies dans plusieurs pays Comme il est encore difficile d obtenir des r sultats compa rables POMS a organis des rencontres entre les responsables des diverses enqu tes et elle 8 attribu des bourses des cardiologues pour leur permettre de suivre des cours portant notamment sur l uniformi sation des techniques de diagnostic Les probl mes que pose le vieillissement des populations sont caract ristiques de l Europe moderne Un s minaire organis par POMS et par le Gouver nement de l Union des R publiques socialistes sovi tiques s est tenu Kiev en mai pour examiner la question de la protection sanitaire des personnes g es et des vieillards et celle de la pr vention du vieillis sement pr matur Ce s minaire 8 tudi les crit res appliquer pour distinguer le vieillissement normal du vieillissement pr matur le r le de diverses institutions dans la protection m dicale des personnes g es et des vieillards la formation de personnel pour les activit s m dico sociales se rattachant la g rontologie et la g riatrie ainsi que les probl mes que posent la mise la retraite l valuation de la capacit de travail et le placement On a soulign l influence qu exercent le travail le r gime alimentaire les activit s r cr atives et l exercice physique sur le maintien de la sant mentale et physique des personnes g es ainsi que le r le qui revient
153. la m decine pr ventive Le programme des bourses d tudes est satisfaisant on R GION DE LA M DITERRAN E ORIENTALE 87 a mentionn ce propos la n cessit d accorder des bourses de longue dur e pour faciliter les tudes m dicales de ressortissants des pays qui ne poss dent pas d cole de m decine Le besoin se fait particuli re ment sentir d une planification sanitaire rationnelle fond e sur des donn es scientifiques exactes et il con vient de veiller ce que les minist res de la sant soient repr sent s de fa on satisfaisante au sein des organismes nationaux qui dans un nombre croissant de pays de la R gion sont charg s d tablir les plans g n raux de d veloppement national Enfin les participants ont insist sur la n cessit de d velopper 18 recherche dans la R gion et sur le r le que l OMS pourrait jouer cet gard Parmi les autres questions techniques constituant des points distincts de l ordre du jour il convient de mentionner l radication du paludisme la lutte contre la bitharziose l enseignement de la p diatrie l appro visionnement en eau de boisson et la g n tique humaine Le projet r gional de programme et de budget pour 1965 8 t examin par le Comit r gional qui en 8 approuv la transmission au Directeur g n ral Les discussions techniques ont port sur l admi nistration des h pitaux Les diarrh es infantiles constituent le
154. la virologie compar e qui s est tenue New York en mars 1962 sur l initiative de POMS on a commenc tablir la nomenclature et la classifica tion des virus connus isol s sur les animaux Un questionnaire a t adress des laboratoires du monde entier pour les inviter communiquer POMS des renseignements sur les caract res physiques chimi ques biologiques et cologiques des virus animaux afin qu ils puissent tre class s dans le syst me taxono mique d j mis au point pour les virusisol ssur l homme Deux centres ont t charg s de recevoir les r ponses au questionnaire et d en faire un premier d pouille ment il s agit de lEcole de Sant publique de l Universit de Californie par l entremise de la Live stock Sanitary Association Berkeley Etats Unis d Am rique pour l h misph re occidental et de PInstitut de Recherches sur les Virus de Pirbright Angleterre pour l h misph re oriental En ao t 1963 l OMS a r uni titre officieux un groupe de virologistes qui avaient particip au XVII Congr s v t rinaire mondial Hanovre R publique f d rale d Allemagne Les participants ont pass en revue les travaux d j ex cut s par l OMS en collaboration avec la FAO et l Association inter nationale des Soci t s de Microbiologie sur la classi fication des virus animaux et ils ont choisi une douzaine de virus pour lesquels est d ores et d j possible de d signer des s
155. le plus d int r t Parmi les projets qui auront t r alis s l occasion du quinzi me anniversaire de l Organisation on peut mentionner la publication en trois langues anglais espagnol et fran ais d une brochure qui explique comment fonctionne l OMS en recourant principale ment des illustrations et tableaux divers La premi re dition de cette brochure tir e 5000 exemplaires doit tre distribu e avant la fin de 1963 Dans un grand nombre de pays les stations de radiodiffusion ont continu faire usage dans leurs programmes de la documentation produite et distri bu e par le Si ge de Gen ve Au total cent quarante enregistrements r alis s entre le 1 janvier et le 30 septembre 1963 ont t distribu s souvent en plusieurs exemplaires jusqu vingt La collaboration avec la Soci t romande de Radiodiffusion s est poursuivie par la production d une s rie de six programmes de trente minutes en fran ais sur les Pionniers de la sant publique Les trois derniers de cette s rie consacr s Koch Pinel et Ross ont t diffus s pendant les six premiers mois de 1963 La 52 INFORMATION 53 British Broadcasting Corporation collabore de son c t avec POMS pour la production d un programme de trente minutes sur le Droit la sant destin tre diffus l occasion de la Journ e des Droits de l Homme il sera distribu aux stations de langu
156. les probl mes que posent les services de lutte contre les maladies transmissibles et former des m decins sp cialis s en pid mio logie en bact riologie en virologie et dans la production de s rums et de vaccins Albanie 5 Lutte contre le cancer 1962 AT Mettre en uvre un programme sp cialis de lutte contre le cancer en cr ant un institut central dot d un quipement moderne et en formant des m decins des physiciens et des ing nieurs aux aspects m dicaux et techniques de ce programme Alg rie 1 Lutte contre les ophtalmies transmissibles 1956 AT FISE Il s agit d tablir un programme de lutte contre les ophtalmies transmissibles afin que celles ci ne constituent plus une menace pour la sant publique Les mesures prendre imm diatement comprennent l organisation d une campagne massive d auto traitement faisant appel aux m thodes d j prouv es dans une zone pilote rurale l organisation du traitement collectif dans les coles l laboration de meilleures m thodes de lutte contre le trachome et les maladies apparent es dans le milieu familial l ducation sanitaire des populations la formation du personnel sp cialis n cessaire Alg rie 2 Paludisme Programme pr radication 1963 CSEP Pr parer des services techniques administratifs et op ration nels en vue d un programme d radication du paludisme qui sera confi aux services de sant ruraux organiser le r
157. les services de sant dans les zones de d veloppement commu nautaire du Pendjab L OMS a envoy un administrateur de la sant publique une infirmi re de la sant publique une infir mi re sage femme de la sant publique et un technicien de l assainissement Lanc Patiala le projet a t transf r par la suite Chan digarh La mission OMS a aid mettre sur pied des centres de sant primaires et un syst me assurant le transfert des malades aux services comp tents organiser des cours d orientation pour le personnel sanitaire rural et former des infirmi res des infirmi res sages femmes auxiliaires et des inspecteurs sanitaires Trois zones rurales de formation ont t institu es Le r seau des centres de sant primaires et le syst me de transfert des malades sont maintenant tablis sur des bases solides et des programmes de formation appropri s ont t organis s Inde 110 3 Conseill re pour les soins infirmiers aupr s de l Etat du Pendjab ao t 1961 fin 1964 AT Inde 110 4 Conseill re pour les soins infirmiers aupr s de l Etat d Orissa oct 1962 fin 1966 AT Inde 110 5 Conseill re pour les soins infirmiers aupr s de l Etat de Goudjerate sept 1963 fin 1966 AT Organiser et d velopper l enseignement et les services infirmiers et coordonner les services d encadrement afin que les soins infirmiers et les soins obst tricaux dispens s au titre du pro gramme sanitai
158. lutte contre la maladie et l am lioration de la sant gr ce auxquels les personnes form es l Institut national d enseignement de la Sant publique pourront acqu rir une exp rience pratique organiser pour le personnel sanitaire gouvernemental une formation court terme avant pendant et apr s l emploi Cor e 16 Administration de la sant publique mars 1963 1968 B Etudier la situation sanitaire et pr parer des plans nationaux long terme renforcer l organisation et l administration des services de sant tous les chelons mettre au point et valuer le programme sanitaire national qui doit tre con u en fonction des ressources disponibles et du programme conomique et social d ensemble Cor e 19 Eutte contre la tuberculose mars 1962 1966 AT FISE Elaborer un programme complet et efficace de lutte contre 18 tuberculose de mani re limiter et finalement r soudre le probl me de sant publique pos par cette maladie Cor e 25 Services de sant locaux mars 1963 fin 1968 B FISE s Perfectionner l organisation des services de sant aux diff rents chelons dans une province choisie pour les d monstrations Chungchong Namdo afin de renforcer l action des services de sant locaux Cor e 200 Bourses d tudes B Hygi ne de la maternit et de l enfance douze mois m thodes de quarantaine quatre mois soins infirmiers de sant publique douze mois Cor e 201 Bour
159. m dicaux se rapportant l valuation de la capacit de travail et au placement dans des postes corres pondants L OMS a envoy Kiev deux conseillers temporaires et pris sa charge les frais de vingt participants venus des pays suivants Autriche Belgique Bulgarie Danemark Finlande France Hongrie Irlande Italie Norv ge Pays Bas Pologne R pu blique f d rale d Allemagne Roumanie Royaume Uni Su de Suisse Tch coslovaquie et Union des R publiques socialistes sovi tiques Le d l gu des Pays Bas repr sentait galement la F d ration internationale des H pitaux la France avait envoy en outre un observateur EURO 247 1 Sant scolaire Cours du Centre international de l Enfance l intention de m decins Marseille et Milan 25 f vr 24 mars 1963 B L OMS a accord des bourses cinq m decins venus d Autriche d Espagne de Gr ce de Pologne et du Portugal EURO 247 2 P diatrie sociale Cours du Centre international de l enfance l intention de m decins Paris 22 avril 30 juin 1963 B L OMS a accord des bourses quatre m decins venus de Belgique d Italie des Pays Bas et de Roumanie EURO 247 3 Le m tabolisme du calcium chez les enfants Cours du Centre international de l Enfance l intention de m decins Paris 9 22 sept 1963 8 L OMS a accord des bourses cinq m decins venus du Luxembourg de Pologne de Suisse de l Union des R publi
160. n cessit d am liorer et de rationaliser leurs services de soins m dicaux et hospitaliers l OMS a entrepris une s rie d tudes internationales portant la fois sur la qualit des soins m dicaux et sur leur financement Les infor mations ainsi recueillies permettront aux adminis trations sanitaires d valuer l efficacit des services de sant par rapport leur co t L une de ces tudes porte sur le co t et le financement des services m dico sanitaires Elle a commenc par une tude pilote faite dans six pays et dont les r sultats ont t publi s dans les Cahiers de Sant publique L analyse de ces r sultats a servi tablir un question naire d taill qui a d j t envoy aux pays participants et qui fournira les l ments de base d une enqu te sur l tablissement des budgets nationaux et internationaux de la sant L OMS a lanc une autre tude internationale sur l utilisation des h pitaux et l efficacit des soins hospitaliers car on a constat que la plupart des donn es nationales relatives l utilisation des h pitaux ne se pr taient pas des comparaisons sur le plan international Gr ce aux informations qui seront recueillies au cours de cette tude les administra tions sanitaires qui se proposent de d velopper leurs services hospitaliers ou d en cr er pourront mettre profit l exp rience acquise dans d autres pays Les m thodes mises l essai en Isra l aux Et
161. n ral en mati re de nutrition L initiation aux questions nutritionnelles a continu d occuper une place importante dans nombre de programmes d hygi ne maternelle et infantile et d ducation sanitaire Les programmes de nutrition appliqu e sont tr s complexes car leur laboration et leur mise en uvre int ressent un grand nombre d organismes nationaux d institutions et de groupes sociaux Etant donn le nombre croissant de ces programmes qui sont mis 1 Metz J 1963 Bull Org mond Sant 28 517 529 2 Org mond Sant S r Rapp techn 1963 258 36 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 en uvre par des gouvernements en collaboration avec la FAO le FISE et POMS il a paru opportun de proc der une valuation des r sultits obtenus notamment en ce qui concerne les programmes dont lex cution se d roule depuis un certain temps En cons quence l OMS de concert avec la FAO a charg au cours de l ann e une quipe polyvalente d tudier sur place les m thodes et les indices les plus propres permettre l valuation des programmes La coordination l chelon international et inter pays prend de plus en plus d importance mesure que les programmes de nutrition se d veloppent en 1963 POMS avec le concours de la FAO et du FISE a organis un certain nombre de r unions pour valuer les progr s accomplis et examiner les probl mes techniques et administratifs li s aux activit s r giona
162. observateurs L OMS a pris sa charge les frais des participants l envoi de deux consultants court terme ainsi que des fournitures et du mat riel WPRO 72 Centre de pr paration l radication du paludisme Manille avril 1959 juin 1961 sept 1963 CSEP AID Enseigner la th orie et les techniques de l radication du paludisme diverses cat gories de personnel dont les pays de la R gion du Pacifique occidental et d autres R gions ont besoin Le projet a t r organis en 1963 et le premier cours de la nouvelle s rie a eu lieu en septembre et octobre 134 LISTE DES PROJETS PACIFIQUE OCCIDENTAL 135 WPRO 75 Equipe consultative r gionale pour la tuberculose juillet 1961 7966 B Aider des pays de la R gion valuer les r sultats de leurs programmes antituberculeux WPRO 79 Services consultatifs 1961 8 Assurer aux pays de la R gion des services consultatifs pour les questions qui ne sont pas du ressort d un conseiller r gional et pour lesquelles il serait difficile d obtenir les avis du Si ge Pendant la p riode consid r e les pays suivants ont b n fici d une aide de l OMS Chine Lutte contre la l pre En septembre 1963 un consultant a t charg pendant six jours d tudier la situation et de donner des avis au sujet d un programme de r adaptation l intention des malades infirmes pour lequel l aide de l OMS a t demand e en 1965 Hong Kong
163. ont identifi une nouvelle vari t de virus B qui est antig niquement diff rente de toutes les autres souches connues jusqu alors On a troitement surveill apparition de cette nouvelle souche de virus B dans d autres r gions mais aucune trace n en a encore t trouv e en dehors de Ta wan Pour ce qui est des tudes comparatives sur la grippe animale et la grippe humaine on se reportera la page 11 Autres virus des voies respiratoires Le probl me complexe des maladies respiratoires dues d autres virus que celui de la grippe est toujours tudi de tr s pr s Les enqu tes pid miologiques men es dans de nombreux pays ont confirm que chez les nourrissons et les enfants les virus paragrippaux sont la principale cause du croup Le virus syncytial des voies respiratoires est surtout lorigine de la bronchiolite et de la pneumonie tandis que les rhinovirus provoquent les affections b nignes des voies respiratoires sup rieures Chez les adultes les maladies des voies respiratoires sup rieures sont principalement dues aux rhinovirus et l importance de ces agents est plus grande dans les cas af briles que dans les cas f briles Dans les maladies des voies respiratoires inf rieures 16 tiers environ des cas paraissent dus aux myxovirus et ad novirus ainsi qu Mycoplasma Les centres OMS de r f rence pour les virus des voies respiratoires ont beaucoup contribu 8 caract risation de
164. pal 75 115 Nig ria 66 Tha lande 75 116 Tunisie 83 133 Voir aussi M decine enseignement Ecoles et instituts de sant publique 31 39 40 102 117 Afghanistan 109 Argentine 104 Birmanie 75 Br sil 104 Chili 104 Chine Ta wan 89 136 Colombie 105 Cor e R publique de 89 137 Espagne 121 Ethiopie 60 83 127 Maroc 122 Mexique 106 Pakistan 130 Philippines 40 88 89 139 Pologne 122 R publique Arabe Unie 131 Singapour 140 Tch coslovaquie 123 Tha lande 116 Turquie 124 Venezuela 107 Yougosla vie 124 s minaire itin rant en Europe 40 71 104 105 Education sanitaire 30 31 34 35 66 68 69 77 85 88 89 102 119 125 Afghanistan 109 Alg rie 120 Chine Ta wan 88 Cor e R publique de 88 Espagne 121 Japon 88 Malaisie 88 89 138 Nig ria 68 100 Pakistan 84 Philippines 88 Singapour 89 140 Soudan 84 Togo 68 101 l cole 31 77 88 El Salvador 70 72 105 Enfants cycle d tudes ONU sur les droits de l enfant 32 59 hygi ne dentaire Pologne 123 Polyn sie fran aise 139 Singapour 140 mortalit infantile 19 89 nutrition 35 128 s minaire sur la malnutrition prot ique Hyderabad 77 108 109 r adaptation Espagne 121 Yougoslavie 124 cours post universitaire Helsinki 118 sant mentale Chine Ta wan 136 Finlande 121 Isra l 128 Portugal 123 tuberculose 89 s minaire Tunis 84 126 Voir aussi Centre internatio
165. par l quipe inter r gionale consultative pour les tr pon matoses et par le laboratoire s rologique de r f rence de POMS au Statens Seruminstitut de Copenhague ont permis de surmonter les difficult s pratiques qui s opposaient encore l application efficace de cette technique aux op rations sur le terrain On labore actuellement des directives en vue de son utilisation dans les pays tropicaux et pour favoriser la concentration des op rations dans quelques laboratoires locaux de r f rence une m thode simplifi e de transport de sang s ch sur du papier buvard d j employ e dans d autres domaines 8 t mise au point Un article sur la technique des anticorps fluorescents pratiqu e sur sang dess ch et lu a t publi dans le Bulletin de l OMS Le test d immobilisation de Treponema pallidum TPI est encore trop complexe pour pouvoir tre appliqu sur une grande chelle dans les pays tropicaux mais il reste l ultime arbitre en cas de s rodiagnostic douteux des tr pon matoses On a continu rechercher des proc dures plus simples pour ce test et l on organise actuellement un essai inter national au cours duquel un certain nombre de labo ratoires importants d Europe Danemark Pologne Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord et Union des R publiques socialistes sovi tiques et des Etats Unis d Am rique mettront l preuve une technique simplifi e La r sistanc
166. pays a t plac la t te de cet tablissement L int r t que les gouvernements de la R gion portent aux soins infirmiers ressort galement du fait qu une forte proportion des demandes d assistance adress es l OMS et aux organisations fonctionnant sur la base d accords bilat raux ont eu pour objet l attribution d une aide destin e au renforcement des services infirmiers des pays en question Les normes tablies pour la formation d autres cat gories de personnel sanitaire ont t en m me temps relev es dans un certain nombre de pays C est ainsi que l Ecole de Sant publique de l Univer sit Ha l S lassi Ier en Ethiopie et l cole de techniciens de l assainissement en Arabie Saoudite qui sont l une et l autre au b n fice d une assistance de POMS ont fix des conditions plus strictes d admis sion ou ont renforc la formation scientifique de base Des progr s rapides ont t enregistr s dans les programmes d radication du paludisme en cours dans la R gion Un grand nombre d entre eux re oi vent une aide du FISE ou dans certains cas de l Agency for International Development des Etats 83 84 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Unis d Am rique L tat d avancement des pro grammes en Irak en Iran en Isra l en Jordanie au Liban et en Syrie est tr s satisfaisant toutefois des difficult s d ordre technique ont emp ch de r aliser la
167. pr parer le rapport final de Ja session Les r solutions adopt es par les sous comit s sur les sujets inscrits aux deux ordres du jour ont t identiques ou analogues quant au fond le Sous Comit B a adopt une r solution suppl mentaire concernant son lieu de r union en 1964 La discussion du rapport annuel du Directeur r gional a fait ressortir notamment les points suivants l radication du paludisme se poursuit de fa on g n rale conform ment au plan mais le probl me du financement long terme et plus particuli rement la politique du FISE cet gard donnent lieu certaines pr occupations Les pays poss dant des fronti res communes devraient coordonner leurs programmes de lutte contre les maladies transmissibles Le meilleur moyen d am liorer les conditions sanitaires de la R gion surtout dans les zones rurales consiste renforcer les mesures d assainissement et tout parti culi rement assurer l approvisionnement en eau de boisson saine Des mesures plus efficaces s imposent pour assurer le recrutement de m decins pour les zones rurales La haute priorit accord e aux programmes d enseignement et de formation professionnelle r pond aux besoins des Etats Membres mais il devient de plus en plus urgent de cr er de nouvelles coles de m decine et de reviser les programmes d enseignement des coles existantes il conviendrait en outre de faire une place plus grande l enseignement de
168. professeur d anatomo pathologie ont visit l Ecole de M decine Lady Hardinge de New Delhi l Ecole de M decine Osmania et l Ecole de M decine Gandhi Hyderabad trois coles de m decine Bombay trois Madras une Vellore et une Pondich ry Ils ont fait titre de d monstration des pr sentations communes de malades chacun d eux traitant des cas pr sent s aux tudiants sous l angle de sa propre discipline Cette m thode a t discut e avec les professeurs locaux et certains d entre eux ont pris part aux d monstrations Les professeurs en mission ont galement organis des discussions entre le personnel m dical et de petits groupes d tudiants sur les ant c dents et la recherche des ant c dents des malades ils ont galement tudi avec les professeurs des diverses coles les moyens de coordonner les programmes d enseignement de fa on associer plusieurs disciplines dans une m me s rie de conf rences Les rapports des quipes ont t transmis au Gouvernement Inde 133 1 Programme de sant publique Orissa f vr 1961 f vr 1963 8 FISE Ce projet avait pour but de former du personnel et de renforcer les services de sant dans les zones de d veloppement commu nautaire de l Etat d Orissa L OMS a fourni un administrateur de la sant publique de f vrier 1961 novembre 1962 et une infirmi re de la sant publique de la fin de mars 1961 f vrier 1963 La mission OMS a
169. programme de formation de personnel portant sur la physioth rapie ou les autres techniques de r adaptation CHAPITRE 6 ENSEIGNEMENT ET FORMATION PROFESSIONNELLE En janvier 1963 le Conseil ex cutif a termin son tude organique sur les moyens d apporter une assistance efficace en mati re d enseignement et de formation du personnel m dical aux pays ayant r cemment acc d l ind pendance ou nouvellement constitu s de fa on r pondre leurs besoins les plus urgents 1 8 examin ce probl me de mani re approfondie et a mis de nombreuses suggestions pour aider les pays et l Organisation elle m me tablir leurs programmes ducatifs L tude organique a t soumise la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant qui 8 recommand l Organisation d en tenir compte dans son programme d enseignement et de formation professionnelle Les discussions techniques la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant ont port sur l enseignement m dical et la formation professionnelle du m decin en mati re d aspects pr ventifs et sociaux de la pratique clinique De nombreux gouvernements et organisations non gouvernementales avaient fourni les donn es de base et plus de cent quatre vingts d l gu s et repr sentants de quatre vingt sept pays et de huit organisations non gouvernementales ont pris part aux discussions Cet aspect de l enseignement m dical int resse tous les pays quel
170. publique a t tudi e au cours d un s minaire r gional qui s est tenu Manille au mois de mai Dix huit participants venus de douze pays et territoires de la R gion du Pacifique occidental ont discut du r le nouveau incombant l h pital et des diff rentes mani res d adapter ses fonctions aux besoins cr s par l volution sociale et conomique ainsi que par Pac croissement de la population On a soulign gale ment cette occasion la n cessit d une planification d taill e long terme des services de sant y compris les services hospitaliers Le Comit d experts de l Exercice de la M decine g n rale qui s est r uni au mois de juillet a examin le r le de lomnipraticien et ses rapports avec la collectivit et avec les autres services de sant Les participants ont cherch pr ciser les raisons pour lesquelles les jeunes m decins sont de moins en moins attir s par la m decine g n rale ils ont soulign que lomnipraticien tait appel jouer un r le essentiel dans tout syst me de services m dicaux parce qu il a la possibilit d assurer l individu et la famille des soins tr s complets et de veiller de fa on continue sur leur sant La valeur de la m decine de groupe ainsi que la contribution que lFomnipraticien peut apporter la m decine pr ventive ont t examin es Le Comit a num r un certain nombre de questions relatives la pratique de la m
171. que soit leur niveau de d veloppement mais une attention par ticuli re a t accord e aux besoins et aux probl mes des pays en voie de d veloppement L OMS a particip aux discussions sur la formation du personnel sanitaire la conf rence des Nations Unies sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es voir aussi page 57 L OMS a pr par une analyse de l influence que peut exercer un enseignement m dical bien orient sur le d veloppement g n ral d un pays et depuis lors le Fonds sp cial des Nations Unies a d cid qu il envisagerait d aider la r alisation d un petit nombre de projets d enseignement m dical minutieu sement pr par s et conformes aux crit res approuv s Un certain nombre de pays ont demand POMS de les conseiller dans l laboration de tels projets notamment le Cameroun voir aussi page 68 et la Tunisie voir aussi page 83 Parmi les autres travaux consacr s la formation du personnel sanitaire dans les pays en voie de d ve loppement figurent plusieurs tudes relatives aux possibilit s d appliquer ces pays les conclusions du 1 Voir Actes off Org mond Sant 127 annexe 15 groupe d tude des normes minimums admissibles sur le plan international pour la formation des m decins l Organisation a en outre pr vu pour 1964 une petite conf rence interr gionale ayant pour objet de formuler les princi
172. rapport du Directeur g n ral la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant 8 r affirm dans sa r solution WHA16 36 18 n cessit de prendre au plus vite des dispositions en vue de diffuser rapidement les renseignements concernant les effets nocifs des pr parations pharmaceutiques et elle a invit les Etats Membres organiser le rasce nble ment syst matique des donn es ce sujet Conform ment ces recommandations des mesures ont t prises en vue de cr er un service assurant 18 transmission rapide des renseignements Des relations de travail ont t tablies avec la section de pharmacologie de l Union internationale des Sciences physiologiques Standardisation biologique Le troisi me Centre international d Etalons biolo giques que POMS a cr en 1962 avec le concours de la FAO au Laboratoire central v t rinaire de Weybridge Angleterre est maintenant entr en activit Il est charg de la conservation et de 18 distribution de certains talons biologiques Des dispositions ont t prises afin de permettre au nouveau centre de se familiariser avec les techniques et proc d s sp ciaux 3 Actes off Org mond Sant 127 annexe 12 46 BIOLOGIE ET PHARMACOLOGIE 47 utilis s dans l un des centres internationaux tablis de longue date celui de Copenhague Conform ment aux d cisions prises par le Comit d experts de la Standardisation biologique en 1960 et 1962 2 des
173. relatives la lutte contre les vecteurs a t distribu L envoi aux laboratoires de recherche de 18 premi re souche standard d insectes qui ait t tablie avec l assistance de l Organisation la mouche domestique SRS Musca domestica 1 8 pris beaucoup d extension pendant l ann e pr s de soixante dix lots ont t exp di s et la demande ne cesse d augmenter Des souches talons d Aedes aegypti et de Culex fatigans sont en pr paration et devraient pouvoir tre distribu es partir de 1964 L une des principales fonctions de l OMS est toujours de fournir des services aux laboratoires de recherche Outre les souches standard qui viennent d tre mentionn es et qui sont fournies sur demande l Organisation a fait r cemment pr parer quatre compos s standard marqu s par des isotopes 18 date de la r daction du pr sent rapport quinze laboratoires avaient re u des chantillons de ce mat riel de recherche biochimique Pendant l ann e on a fait pr parer par synth se une certaine quantit de l un des plus prometteurs des nouveaux insecticides base de carbamates qui sera marqu au C1 Des chantillons de ce compos ont t adress s des chercheurs qui tudient le m canisme de l intoxication par les insecticides base de carbamates L Or ganisation fournit aussi aux laboratoires int ress s 26 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 des lots d insecticides standard ainsi qu
174. res des techniciens de l assainissement des enseignants des travailleurs agricoles et des agents sociaux venant de tous les Etats arabes aux principes et aux techniques du d veloppement communautaire Il s agit essentiellement d un projet b n ficiant de l assistance de PUNESCO auquel l OMS pr te son concours en assurant l enseignement des questions sanitaires EMRO 19 Centre r gional de pr paration l radication du paludisme Le Caire janv 1959 d c 1962 CSEP Ce centre a t cr au Caire au d but de 1959 en vertu d un accord entre le Gouvernement et POMS pour aider la R pu blique Arabe Unie et les pays voisins de la R gion former du personnel aux techniques et m thodes employ es dans les programmes d radication du paludisme et pour offrir des moyens d tude et de recherche l gard des probl mes tech niques que pose l radication du paludisme dans cette R gion L OMS a envoy un conseiller principal un ing nieur sanitaire un technicien une secr taire et des consultants court terme elle a accord des allocations d enseignement et des bourses d tudes destin es au personnel national et livr des fournitures et du mat riel Entre sa cr ation et la fin de l ann e 1962 date o l aide de POMS a cess le centre a donn treize cours sept pour du personnel subalterne quatre pour des cadres un pour des techniciens de l assainissement et un autre cours consacr
175. res sages femmes auxiliaires ont t form es en plus grand nombre Le r seau de services de sant ruraux a t d velopp dans tout l Etat conform ment aux objectifs du projet Inde 149 Programme de sant publique Madhya Pradesh mai 1958 avril 1963 B FISE Ce projet avait pour but de renforcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire de former du personnel et d organiser d autres services de sant ruraux qui devaient s int grer dans les r alisations communautaires du deuxi me plan quinquennal L OMS a envoy un administrateur de la sant publique une infirmi re de la sant publique une infirmi re sage femme de la sant publique et un technicien de l assainissement elle a livr en outre des fournitures et du mat riel Le personnel envoy par l OMS a donn des avis sur l orga nisation de centres de sant primaires et de services de transfert des malades Des cours d orientation pour infirmi res sages femmes des services de sant ruraux ont t inaugur s la for mation d infirmi res sages femmes auxiliaires a t intensifi e et des cours d infirmi res sages femmes auxiliaires monitrices ont t organis s ainsi que des cours d entretien pour les sages femmes et les visiteuses sanitaires Les agents de POMS et leurs homologues ont effectu des visites de contr le dans les centres de sant primaires afin d aider d anciens tudiants tablir leur pl
176. riode consid r e les relations avec la FAO se sont resserr es et un certain nombre de projets mixtes portant sur la nutrition sont l tude Comit r gional Le Comit r gional du Pacifique occidental a tenu sa quatorzi me session Port Moresby Territoire de Papua et Nouvelle Guin e du 5 au 10 septembre 1963 Des repr sentants de neuf Etats Membres de la R gion ainsi que des Etats Unis d Am rique de la France du Portugal et du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord y ont assist Etaient galement pr sents des repr sentants de la Commission du Pacifique sud et de cinq organisations non gouvernementales entretenant des relations officielles avec POMS Le Comit r gional 8 examin en d tail le treizi me rapport annuel du Directeur r gional qui exposait le travail accompli entre le 1 juillet 1962 et le 30 juin 1963 Au cours des discussions on a soulign que la protection maternelle et infantile tait un terrain de choix pour la collaboration de sp cialistes des diverses disciplines int ress es On a galement relev l impor tance de Ja nutrition au cours des premi res ann es de la vie et le Comit r gional a recommand qu une importance toute particuli re soit accord e aux aspects nutritionnels de la protection maternelle et infantile Le projet de programme et de budget de 1965 pour la R gion du Pacifique occidental a t examin par le Sous Comit du Programme et
177. rou 107 R publique Dominicaine 107 Somalie 132 Uruguay 107 Y men 133 Voir aussi Planification sanitaire dans les pays Sant publique administration Sant rurale Si ge de POMS b timent 54 56 structure du Secr tariat 55 56 156 Sierra Leone 20 65 66 68 69 100 Singapour 20 88 89 90 135 140 Situation sanitaire dans le monde deuxi me rapport 28 50 Situation sociale dans le monde rapport de 1963 58 Soci t internationale de Cardiologie 34 38 Soci t internationale pour la R adaptation des Handicap s 38 Soci t Lion et Soleil rouges 128 Soins infirmiers 29 30 32 39 68 70 71 75 83 88 95 102 117 Afghanistan 109 Alg rie 120 Antilles britanniques 103 Argentine 103 Autriche 120 Birmanie 110 Bolivie 104 Soins infirmiers suite Br sil 104 Burundi 68 Cambodge 136 Cameroun 96 Ceylan 110 Chili 104 Chine Ta wan 88 136 Chypre 126 Congo L opoldville 69 Cuba 105 Equateur 105 Espagne 121 Gabon 96 Gambie 97 Ghana 68 97 Gr ce 121 Guatemala 105 Haute Volta 98 Inde 111 112 113 Indon sie 114 Irak 127 Iran 83 128 Italie 122 Jordanie 129 Laos 138 Libye 129 132 Malaisie 88 138 Maroc 81 122 N pal 115 Nicaragua 106 Nig ria 68 Pakistan 130 131 P rou 106 Phi lippines 139 Portugal 123 R publique Arabe Unie 125 131 R publique Centrafricaine 100 R publique Dominicaine 107 Salomon Protectorat brita
178. s dot s d un personnel suffisant et rattach s des services hospi taliers de p diatrie ou d obst trique des h pitaux pour enfants ou des maternit s peuvent mieux que des centres isol s contribuer am liorer l hygi ne de la maternit et de l enfance et r duire la mortalit Aux gouvernements qui laborent des plans long terme pour leurs services de sant POMS conseille donc de pr voir des consultations externes de ce genre En Somalie par exemple le plan sanitaire quinquennal labor avec l aide de POMS pr voit que les services de protection maternelle et infantile cr er seront rattach s aux h pitaux aux services de consultations externes et aux dispensaires En vue d un programme national d tude des maladies diarrh iques et de lutte contre celles ci en fran l quipe consultative OMS pour les maladies diarrh iques 8 proc d en 1963 des recherches dans une zone rurale proche de T h ran Une s rie d examens cliniques ont t effectu s dans quatre villages et des tudes bact riologiques et parasitolo giques ont t entreprises l H pital Firouz Abadi pr s de T h ran Le programme r gional comprend vingt projets concernant diverses activit s de laboratoire notam ment la production de vaccins de s rums et de substances pharmaceutiques ainsi que des recherches sur le contr le des denr es alimentaires et sur les m thodes de diagnostic L OMS a donn de
179. s contre des publications de POMS et 556 envoy s gracieusement Parmi les autres publications re ues on peut signaler 1600 rapports annuels de gouvernements d institutions m dicales et scientifiques etc ainsi que les notices et programmes de quelque 500 coles et facult s de m decine Un nouveau catalogue des publications de POMS 8 t publi indiquant toutes les publications parues jusqu la fin de 1962 Sous forme de suppl ment Nouvelles de la Biblioth que catalogue mensuel des acquisitions r centes 8 paru une liste revis e des p riodiques disponibles la Biblioth que elle comprend 3362 titres Au titre du programme d assistance en mati re de biblioth ques m dicales des pays de la R gion de la M diterran e orientale des experts se sont rendus au Liban en R publique Arabe Unie et au Soudan pour tudier les services existants et donner des conseils en vue de leur extension Ces missions ont visit jus qu ici trente biblioth ques m dicales r parties dans sept pays et rattach es pour la plupart une cole de m decine ou la facult de m decine d une universit Les r sultats de ces tudes ont t r capitul s dans une communication qui a t pr sent e au IIe Congr s international de Biblioth conomie m dicale r uni Washington du 16 au 22 juin 1963 et auquel POMS tait repr sent e Une autre communication pr par e pour ce congr s d crivait le fonctionnement
180. sanitaire prolongation d une bourse pendant six semaines hygi ne industrielle deux bourses de trois mois maladies professionnelles trois mois m decine tropicale cinq mois microbiologie et virologie trois mois nutrition deux bourses de trois mois pneumologie deux mois pollution de Pair trois mois protection contre les poisons industriels trois mois protection contre les radiations une bourse de deux mois une de quatre mois techniques de laboratoire trois mois virologie une bourse de trois mois une de quatre mois Pologne 15 Etablissements d enseignement 1958 B Aider les tablissements nationaux d enseignement d ve lopper la formation en sant publique du personnel m dical et param dical LISTE DES PROJETS EUROPE 123 Pologne 16 Lutte contre la tuberculose 1960 7967 AT FISE Former du personnel pour la lutte contre la tuberculose lancer ensuite dans une r gion d termin e un projet pilote de lutte contre la tuberculose afin de r duire le risque d infection notamment parmi les enfants tudier les caract ristiques pid miologiques de la tuberculose dans diff rents groupes de popu lation et valuer l efficacit de divers moyens de lutte contre cette maladie Pologne 18 Services de m decine du travail 1961 AT D velopper et am liorer les services de l Institut de M decine du Travail de Lodz am liorer les moyens de formation mis la disposition des m
181. services infirmiers Indon sie 43 Sant mentale mars mai 1963 B L OMS a envoy pour deux mois et demi un consultant qui tait charg de donner des avis sur l am lioration des services de sant mentale et des installations destin es la formation de personnel et la recherche dans ce domaine Indon sie 50 Lutte contre la tuberculose juillet 1961 7966 8 FISE Etablir un programme communautaire de d pistage et de traitement des cas qui servira de mod le pour mettre en uvre des programmes analogues dans les zones urbaines et qui per mettra de former du personnel national plus tard entreprendre un programme analogue de lutte antituberculeuse dans une r gion rurale d une autre province Indon sie 55 Renforcement des services de sant sept 1959 fin 1964 B Etablir des plans visant am liorer les services sanitaires valuer les activit s sanitaires en accordant une attention sp ciale tous les aspects de la formation professionnelle du personnel tudier les modalit s de r partition du personnel et mettre au point des proc dures administratives Indon sie 65 Ecole de physioth rapie Solo Ouest Java mars 1963 fin 1965 B Am liorer d velopper et renforcer la formation profession nelle des physioth rapeutes et donner plus d extension aux services de m decine physique et de r adaptation Indon sie 66 Assainissement Irian occidental janv 1961 fin 1965 AT FISE Mettre en
182. servis La file d attente des porteurs de bidons s est form e bien avant l aube Les chanceux emportent leurs bidons chez eux mais quand le filet d eau s arr te 9 heures les derniers arriv s n ont pas tous t servis DIE Malgr l quipement moderne de la station de filtrage du service des eaux les besoins d une population toujours plus nombreuse ne peuvent tre enti rement satisfaits STATISTIQUES SANITAIRES 45 permis d mettre des suggestions pour am liorer les syst mes de notification Comme autre aspect et non le moindre des activit s de POMS dans le domaine statistique il convient de mentionner la contribution de lOrgani sation 18 pr paration et l analyse de projets op rationnels et d tudes de laboratoire y compris les travaux entrepris au titre de la recherche m dicale C est ainsi que les m thodes statistiques modernes ont t appliqu es l organisation des enqu tes sur le pian au Nig ria aux Philippines et au Togo sur les affections diarrh iques en Iran et sur l onchocercose au Guatemala et en Afrique occidentale ainsi que des tudes sur mat riel d autopsie concernant l ath ro scl rose en Su de en Tch coslovaquie et dans l Union des R publiques socialistes sovi tiques des essais biologiques conce t s sur la bacitracine et d une tude long terme sur les facteurs dont d pend la sant des collectivit s Les techniques statis
183. soumission CHAPITRE 15 R GION DES AM RIQUES Comme les ann es pr c dentes le programme g n ral d action sanitaire internationale dans la R gion des Am riques a t financ principalement par le budget ordinaire de l Organisation mondiale de la Sant les fonds du programme largi d assistance technique le budget ordinaire de l Organisation panam ricaine de la Sant et divers fonds b n voles g r s par celle ci Afin de donner une vue plus compl te de ce pro gramme le pr sent chapitre fait tat de certaines activit s de POPS auxquelles l OMS ne participe pas directement Ce qui distingue en particulier l activit sanitaire dans la R gion des Am riques c est la place qu y occupent la planification sanitaire nationale 18 cr ation de services sp ciaux de planification au sein des minist res de la sant et la formation des admi nistrateurs sanitaires au travail de planification Cette tendance se rattache un vaste mouvement visant promouvoir dans la R gion le d veloppement coor donn de tous les secteurs conomiques et sociaux y compris le secteur sanitaire avec pour la premi re fois la pleine participation des professions m dicales et param dicales L OPS et POMS accordent l une et l autre leur aide aux gouvernements pour l laboration de plans sanitaires nationaux pour sa part POPS a octroy des bourses d tudes et procur du personnel enseignant pour un cours in
184. synth se dans le milieu humain et surtout dans l eau Nous avons besoin de renseigne ments sur les variations qualitatives et quantitatives de 18 contamination pouvant exister dans diff rents milieux Quelques travaux pr liminaires ont t accomplis pour d terminer le genre d tudes entreprendre en priorit les sources de renseignements utiles les m thodes d enqu te adopter et les moyens par lesquels l OMS pourrait collaborer un programme pouvant aboutir l tablissement de crit res pour les contaminants chimiques admissibles Pollution de lair Les augmentations spectaculaires de la mortalit que Pon a pu observer pendant et apr s des p riodes de forte pollution atmosph rique dans des groupes de population qui br lent du charbon et du mazout prouvent sans conteste l action d l t re de la pollution de Pair Cependant l identification des polluants ou des combinaisons de polluants qui peuvent tre l origine de ces d c s reste tr s incertaine La difficult d incriminer telle ou telle substance particuli re tient d une part au fait que les concentra tions augmentent simultan ment pour un grand nombre de polluants et d autre part l impossibilit dans laquelle on s est trouv jusqu ici de reproduire au laboratoire des effets cliniques couramment observ s dans la pratique au cours de p riodes de forte pollution Pour que les pays puissent se mettre d accord sur les princip
185. t d tablir une traduction provisoire du texte original puis de soumettre cette traduction pour amendements et approbation deux experts au moins dont la langue maternelle tait celle de la version tablir Aucun titre nouveau n a t publi en anglais dans la S rie de Monographies mais deux ouvrages ont paru en version fran aise La pollution de l air N 46 et les M thodes appliquer pour classer par groupes d ge les dipt res pr sentant une importance m dicale N 47 D autre part les Cahiers de Sant publique se sont enrichis de cinq nouveaux num ros en version anglaise savoir Co t et financement des services m dico sanitaires N 17 M decine et sant publique dans les r gions arctiques et antarctiques N 18 L ducation sanitaire en URSS N 19 La pr paration l exercice de la m decine g n rale N 20 La dotation en personnel des services infirmiers de sant publique N 21 En version fran aise ont paru le N 19 ainsi que deux num ros parus en anglais en 1962 L pid miologie de la pollution de lair N 15 et La place de l pid miologie en psychiatrie N 16 Le NP 15 a paru galement en espagnol ainsi que certains num ros ant rieurs Services psychiatriques et archi tecture N 1 Les services de sant en URSS N 3 La protection maternelle et infantile en URSS N 11 Les accidents de la route N 12 Quelques aspects de la lutte contre la pollu
186. talons internationaux ont t tablis pour la nystatine le vaccin anti maladie de Newcastle cinq types de s rum anti Clostridium botulinum et le s rum anti rouget du porc quant au s rum anti gangr ne gazeuse perfringens il a fait l objet d un cinqui me talonnage A sa r union de septembre 1963 le Comit d experts a tabli des talons internationaux pour deux antibiotiques la vancomycine et l amphot ricine B I a pris note de l avancement des travaux r alis s dans les laboratoires qui collaborent l tablissement d talons internationaux pour la novobiocine et les gonadotrophines extraites de l urine de la femme apr s la m nopause ainsi qu la mise au point de pr parations internationales de r f rence d un certain nombre d autres hormones et enzymes hormone de croissance humaine lysine vasopressine angiotonine r nine rythropo tine et streptokinase streptodornase Le Comit d experts a pass en revue les progr s r cemment accomplis en mati re d immunisation contre la rougeole et les tudes effectu es par divers laboratoires en vue de l tablissement d un talon international de s rum anti rougeole Ayant constat la n cessit de disposer d une pr paration internationale de r f rence du vaccin anti rougeole inactiv il a pri le Statens Seruminstitut de Copenhague de se procurer les substances voulues Il 8 d autre part approuv les propositions c
187. terrain favorable pour l tude en profondeur des rapports entre l homme d une part le milieu et la maladie d autre part En 1963 POMS a soutenu une tude g n tique des Esquimaux du nord du Groenland la population la plus septentrionale du monde On se propose de comparer ce groupe d autres groupes isol s d Esqui maux et d analyser les observations qui auront t faites sur l adaptation morpholcgique s rologique et physiologique de l organisme au milieu ext ieur L OMS a galement appuy une tude pilote sur la population de l le de Tongariki dans les Nouvelles H brides en pr vision d une ventuelle tude g n rale de cette population qui porterait notamment sur 16 r le des facteurs g n tiques dans les diff rences de mortalit et de f condit les cons quences biologiques de la consanguinit et la morbidit de populations demeur es pratiquement l tat primitif L tude comparative sur les malformations cong nitales dans diverses parties du monde qui a commenc en 1961 sous l gide de POMS s est poursuivie en 1963 avec la participation de trente cinq h pitaux appartenant seize pays d Afrique d Am rique d Asie d Australie et d Europe L OMS a galement pr t son concours pour des tudes g n tiques int ressant la population de l Andhra Pradesh en Inde et portant sur la thalass mie les d ficiences en G 6 P D et les modifications de l h mo glob
188. territoire du Lib ria former du personnel de mani re constituer le noyau d un service anti paludique national l Lib ria 22 D veloppement et gestion des services d approvi sionnement en eau Monrovia mars 1962 mars juin 1963 Compte sp cial pour l approvisionnement public en eau AID L OMS a envoy pendant un mois en 1962 un consultant qui tait charg de faire une tude sur les aspects techniques administratifs et conomiques du syst me d approvisionnement en eau de Monrovia un deuxi me consultant a s journ au Lib ria pendant deux mois en 1963 pour formuler des recom mandations sur la gestion des services d approvisionnement en eau et pour aider le Gouvernement organiser une Division des Eaux et Egouts au sein de l Administration des Travaux d Utilit publique qu il vient de cr er L Agency for International Deve lopment des Etats Unis d Am rique a nomm un adminis trateur g n ral qui dirigera la Division des Eaux et Egouts pendant deux ans L OMS a galement assur les services d une agence d ing nieurs conseils qui pr parera un rapport pr liminaire sur les probl mes techniques et pratiques que poserait le d veloppement du syst me d approvisionnement en eau de Monrovia Madagascar 7 Lutte contre la tuberculose oct d c 1960 avril 1962 fin 1965 AT Organiser un projet dans une zone pilote pour d terminer compte tenu des conditions locales la meilleure proc
189. th me choisi par les deux sous comit s pour faire l objet des discussions techniques en 1964 et la question de la sant scolaire a t retenue pour les discussions de 1965 Lors de sessions pr c dentes le Sous Comit A avait accept les invitations suivantes pour ses futures sessions au Kowe t en 1964 en Ethiopie en 1965 et au Pakistan en 1966 Le Sous Comit B se r f rant au paragraphe 2 6 de la r solution WHA7 33 a exprim l espoir que sa session de 1964 se tiendrait dans la R gion Bureau r gional Administration Aucun changement important n a t apport la structure organique du Bureau r gional mais certaines fonctions et r gles de travail ont t revis es la suite d une tude de gestion portant sur divers aspects de son organisation et des m thodes administratives appliqu es CHAPITRE 19 R GION DU PACIFIQUE OCCIDENTAL Durant la p riode dont traite le pr sent rapport les pays de la R gion du Pacifique occidental ont continu d accorder dans leurs programmes de sant publique une place de premier plan au renforcement et au d veloppement des services de sant Ils se sont pr occup s tout particuli rement des services de sant ruraux car tous les chelons le personnel int ress est conscient du fait qu un syst me rationnel de services de sant locaux est une condition essentielle pour que int gration des programmes sp cialis s s effectue de fa o
190. travaux de laboratoire et des visites sur le terrain il portait sur divers aspects du g nie sanitaire notam ment le traitement et la distribution de l eau les r seaux d gouts et l vacuation des eaux us es et la lutte contre les vecteurs Il avait t sp cialement con u pour r pondre aux besoins du programme OMS d assistance consultative aux pays en voie de d veloppement L OMS a pris sa charge les d penses des stagiaires ainsi que celles de sept conf renciers venus de France d Italie des Pays Bas de Pologne de Suisse et de Yougoslavie et les frais aff rents aux publications techniques Des professeurs de l Universit parlant fran ais ont pris part l enseignement Interr gional 191 S minaire itin rant sur la formation et l utili sation des auxiliaires m dicaux en URSS 8 25 avril 1963 AT Ce s minaire avait pour objet d tudier la formation et l utilisation du personnel sanitaire et m dical de niveau inter m diaire en URSS Le s minaire s est surtout int ress la formation des feldchers m dicaux non sp cialis s assistants m dicaux feldchers sages femmes feldchers techniciens de l assainissement et feldchers techniciens de laboratoire Les vingt et un participants venaient des pays suivants Afghanistan Argentine Bolivie Ghana Gr ce Inde Indon sie Japon Maroc N pal Nig ria Ouganda Papua et Nouvelle Guin e Somalie Soudan Tanganyika Tunisie Turquie Venez
191. une deuxi me r union officieuse de chimistes qui ont analys 165 travaux accomplis dans l intervalle et recommand les modifications apporter au manuel pr cit lors de sa prochaine revision Depuis quelques ann es on a mis au point un certain nombre de substances qui semblent devoir donner de bons r sultats contre les mollusques et qui pourraient tre utiles dans la lutte contre la bilharziose Malheureusement on s est heurt des difficult s pour trouver les pr parations qui permettraient d employer certaines des plus efficaces de ces substances nouvelles et les applications pratiques s en sont trouv es grandement compromises En 1963 POMS a fait passer en revue les molluscicides existants et les pr parations auxquelles ils peuvent donner lieu et elle 8 lanc un programme de recherches dont 16 but est d am liorer les pr parations utiliser sur le terrain On s est galement occup de la mise au point de normes qui para tront dans la prochaine dition du manuel de POMS Bien que les insecticides base de carbamates jouent un r le de plus en plus grand dans l action de sant publique ils ne sont pas sans inconv nient du point de vue toxicologique car il est difficile de d terminer lintoxication subclinique qu ils peuvent provoquer chez les mammif res En effet contrairement ce qui se passe dans le cas des compos s organo phos phor s l inhibition de l ac tylcholinest rase par les
192. virus dont on pourrait faire des souches de r f rence de POMS et les participants ont examin comment les centres de r f rence de l OMS et les autres laboratoires pourraient se procurer facile ment ces souches Des projets concernant la pr paration et l essai de r actifs ont t labor s et les tudes concert es entreprises dans les laboratoires de r f rence ont beaucoup avanc au cours de l ann e notamment en ce qui concerne les preuves de sp cificit sur les antis rums d ent rovirus et d ad novirus Ces tudes prennent de plus en plus d ampleur et la solution d au moins quelques uns des probl mes que pose la production de r actifs acceptables sur le plan inter national est maintenant en vue L OMS a mis sur pied un projet pilote ayant pour but de rassembler et de diffuser mensuellement des renseignements sur les infections virus dont les LUTTE CONTRE LA BILHARZIOSE EN R PUBLIQUE ARABE UNIE Un centre pilote de recherche et de forma tion professionnelle qui doit valuer les m thodes de lutte contre la bilharziose pour toute la R gion de la M diterran e oriertaie a t organis avec l aide du FISE et de l OMS dans deux districts irrigu s voisins d Alexandrie Kafr el Dawar et Abu Hum mus Cet instrument mesure le d bit de l eau afin de permettre de calculer la quantit de produits chimiques n cessaire pour tuer les mollusques vecteurs de l infection D nombre
193. vot 1 Conseil mentaires le Conseil ex cutif ex cutif 4 US US US US US PARTIE 1 R UNIONS CONSTITUTIONNELLES 1 Assembl e mondiale de la Sant 329 310 3 200 10 000 336 110 2 Conseil ex cutif et ses comit s 191 290 2 200 189 090 3 Comit s r gionaux a 80 600 3 820 11 500 95 920 Total de la partie I 601 200 1 580 21 500 621 120 PARTIE 11 PROGRAMME D EX CUTION 4 Mise en uvre du programme 14 683 328 139 888 95 250 14 918 466 5 Bureaux r gionaux 2 463 225 54 264 23 700 32 900 2 574 089 6 Comit s d experts 220 400 220 400 7 Autres d penses r glementaires de personnel 4 768 630 195 362 142 180 94 400 4 621 048 Total de la partie II 22 135 583 1 210 261 130 61 500 22 334 003 PARTIE IT SERVICES ADMINISTRATIFS 8 Services administratifs 1 722 427 5 995 27 350 21 700 1 765 482 9 Autres d penses r glementaires de personnel 527 790 8 785 36 620 46 700 526 495 Total de la partie IT 2 250 217 2 790 63 970 25 000 2 291 977 PARTIE AUTRES AFFECTATIONS 10 Fonds du b timent du Si ge 387 000 113 000 500 000 11 Contribution au compte sp cial pour T radi cation du paludisme 4 000 000 4 000 000 12 Bureau r gional de l Afrique Fonds du b ti Ment 100 000 100 000 13 Bu
194. 127 Gabon 96 Ghana 97 Gr ce 121 Guatemala 105 Inde 75 112 Indon sie 108 114 Kenya 98 Kowe t 129 Libye 84 130 Madagascar 98 Maurice le 99 Mexique 106 Nig ria 99 Pakistan 84 131 Pologne 123 Samoa Occidental 140 Somalie 131 Swaziland 100 Tch coslovaquie 123 Tha lande 116 Turquie 124 Viet Nam R publique du 135 140 Yougoslavie 124 centre de chimioth rapie Madras 7 111 centre de formation R gion de la M diterran e orientale 126 centre r gional d tudes pid miologiques Nairobi 67 95 cours Prague et Rome 6 68 142 quipes consultatives 67 95 135 s minaire sur la tuberculose chez les enfants Tunis 84 126 Tunisie 6 15 24 32 39 83 84 85 133 Turquie 11 44 81 123 124 Typhus 25 Afghanistan 109 UNESCO voir Organisation des Nations Unies pour l Education la Science et la Culture Union des R publiques socialistes sovi tiques 3 10 11 41 45 68 81 124 142 143 Union internationale contre le Cancer 33 61 Union internationale contre le P ril v n rien et les Tr pon ma toses 119 Union internationale de Chimie pure et appliqu e 49 60 61 Union internationale des Architectes 119 Union internationale des Sciences physiologiques 46 Union internationale pour l Education sanitaire 31 UNRWA Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour 165 R fugi s de Palestine dans le Proche Orient 59 Urbanisation 24 25 58 Urug
195. 28 395 415 3 Winkler P G 1963 Bull Org mond Sant 28 417 436 4 Nataf R Tarizzo M L amp Nabli B 1963 Bull mond Sant 29 95 103 16 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Eradication de la variole La Seizi me Assembl e mondiale de la Sant ayant t inform e en mai que des difficult s d ordre administratif entravaient encore les programmes nationaux d radication dans beaucoup de pays o 18 variole est end mique a fait appel la coop ration internationale en faveur des pays qui ont besoin d aide Certains Etats Membres ont apport d utiles contri butions sous forme de vaccins lyophilis s mais les progr s sont ralentis surtout par le manque de fonds pour l importation de v hicules et de mat riel de r frig ration et aussi dans certains cas pour l achat des appareils et des fournitures qui permettraient d acc l rer la production locale de vaccin L OMS a continu de donner des avis techniques sur l organisation des campagnes d radication d envoyer des m decins qui dirigent les op rations ou y participent et de livrer en quantit s limit es du mat riel des fournitures et des v hicules Elle a galement donn des conseils au sujet de 18 production de vaccins encourageant et soutenant 8 pr paration de vaccin lyophilis destin e remplacer ou compl ter dans les r gions tropicales et sub tropicales la production actuelle de vaccin liquide
196. 31 Tha lande 116 cours Naples 24 143 Voir aussi Assainissement Eau approvisionnement Mati res us es vacuation G rontologie et g riatrie s minaire Kiev 80 119 Ghana 16 22 24 32 34 59 65 67 68 97 Gilbert et Ellice les 134 Gr ce 3 81 121 Grippe 11 13 Groenland 37 Groupe consultatif des Prot ines FAO FISE OMS 35 60 Groupe d tude des normes minimums admissibles sur le plan international pour la formation des m decins 39 Groupe FAO OMS d experts de l Enseignement v t rinaire 12 60 151 Groupes consultatifs r unions en 1963 janvier septembre 152 154 Groupes scientifiques et groupes scientifiques des recherches 42 152 153 action de sant publique 28 an mies nutritionnelles 35 application des m thodes biotiques la lutte contre les vecteurs 27 biologie de la reproduction humaine 31 valuation de l innocuit et de l efficacit des pr parations pharmaceutiques 46 fi vre jaune en Afrique orientale 14 g n tique de collectivit s primitives 37 leptospirose 10 nomenclature et classification histopathologiques des tumeurs de l ovaire 33 nomenclature et classification histopathologiques des tumeurs osseuses 33 physiologie de la lactation 31 rapports entre la g n tique des vecteurs et la r sistance aux insecticides 25 rickettsioses chez l homme 12 16 vaccin antirougeoleux 13 Guatemala 3 45 72 73 105 Guin e 24 32 65 66 67 68 69 97 98 Guyane br
197. 5 8 FISE AID Organiser un programme de formation sup rieure l intention des inspecteurs sanitaires et proc der des d monstrations d op rations d assainissement dans une r gion sp cialement choisie Philippines 53 Eradication du paludisme ao t 1956 7969 CSEP AID Mettre en uvre le plan visant liminer le paludisme du pays Philippines 59 Soins infirmiers de p diatrie mars 1962 fin 1966 AT FISE D velopper et am liorer les services sanitaires notamment en ce qui concerne la promotion de 18 sant la pr vention des maladies et l organisation de soins infirmiers de p diatrie appropri s coordonner et int grer plus troitement tous les chelons l action des services charg s de promouvoir la sant publique de pr venir les maladies et d assurer des soins Philippines 60 Enqu te sur la nutrition et ducation nutritionnelle AT FISE FAO Une bourse de douze mois a t accord e par l OMS pour des tudes sur la biochimie de la nutrition dans le cadre de l enqu te sur la nutrition commenc e en 1960 avec l aide du FISE et de la FAO Cette enqu te a pour but de d terminer les habitudes et le r gime alimentaires de la population notam ment des m res et des enfants afin d tablir les causes des carences et des maladies dues la nutrition et de recueillir les donn es n cessaires pour l tablissement d un programme de nutrition Philippines 62 Statistiques sanitaires ju
198. 52 154 154 155 156 157 159 160 161 64 INTRODUCTION OUR orienter son action future l Organisation mondiale de la Sant doit constamment proc der une valuation objective du travail accompli aucune t che n est plus urgente mais aucune n est plus malais e En effet le programme doit tout moment assurer l quilibre entre trois objectifs principaux aider les pays r soudre leurs probl mes de sant les plus pressants soutenir leur effort de longue haleine pour le renforcement des services de sant centraux et p riph riques et assurer avec toute l efficacit souhaitable la diffusion des donn es techniques et scientifiques int ressant la m decine et la sant publique dans une soci t en volution et en d veloppement constants En outre pour valuer avec r alisme les progr s accomplis au cours d une p riode donn e il faut tenir compte des moyens financiers que POMS et les pays int ress s peuvent affecter aux programmes qu ils ont entrepris Enfin il est impossible d appr cier les r sultats obtenus sans les replacer dans le contexte enche v tr des facteurs sociaux et conomiques qui concourent de plus en plus modeler les soci t s modernes plusieurs reprises d j POMS s est efforc e de mettre au point une m thode satisfaisante d analyse et d valuation elle y voit juste titre une condition indispensable expansion harmonieuse de ses activit s Certes nous sommes
199. 6 Statistiques sanitaires zone janv 1955 B Aider les pays de la zone HI am liorer leurs statistiques d mographiques et sanitaires leur donner des avis sur la partie statistique des projets et sur la compilation des donn es destin es l laboration des programmes AMRO 93 Education sanitaire zone I 1955 mars 1963 B De 1955 mars 1963 un ducateur sanitaire envoy par l OMS a aid les pays de la zone II renforcer leurs services d ducation sanitaire et former du personnel Depuis mars 1963 ces activit s se poursuivent avec l aide de consultants op rant l chelon national AMRO 95 Assainissement zone des Cara bes mai 1956 AT OPS FISE Am liorer l assainissement dans les territoires de la zone des Cara bes en participant aux enqu tes qui pr c dent la mise en uvre des programmes d am nagement sanitaire approvi sionnement en eau vacuation des eaux et des mati res us es hygi ne des aliments etc AMRO 110 Lutte contre la tuberculose d c 1957 B Aider les gouvernements de la R gion laborer et ex cuter des programmes antituberculeux 102 LISTE DES PROJETS LES AM RIQUES 103 AMRO 112 Centre de pr paration au d veloppement commu nautaire Patzcuaro Mexique avril 1951 d c 1953 1960 1965 8 ONU OIT FAO UNESCO Organisation des Etats am ricains Former des agents du d veloppement communautaire pour PAm rique lati
200. 63 AT Un consultant court terme 8 t charg d aider l labo ration d un plan sanitaire national faisant partie int grante du plan de d veloppement conomique et social du pays Etats Unis d Am rique 10 Consultants pour les probl mes sp ciaux de sant publique mars 1958 8 Donner des avis sur des probl mes sp ciaux de sant publique Etats Unis d Am rique 12 S minaire itin rant sur la formation des m decins et du personnel de sant publique 20 avril 15 mai 1963 B OPS Neuf directeurs et professeurs chevronn s d coles de sant publique des Etats Unis d Am rique ont visit des coles de sant publique en France aux Pays Bas dans la R publique f d rale d Allemagne au Royaume Uni en Su de et en Yougoslavie afin d tudier leur organisation et leur adminis tration voir aussi le projet Canada 3 Etats Unis d Am rique 200 Bourses d tudes B Organi sation de l enseignement de la sant publique deux mois et demi Guatemala 6 Enseignement infirmier avril 1956 1964 AT Am liorer les services infirmiers nationaux en renfor ant les programmes de formation pour infirmi res dipl m es et pour le personnel auxiliaire afin de satisfaire aux besoins du pays Guatemala 8 Services nationaux de sant publique ao t 1954 7966 8 FISE R organiser les services de sant publique tous les chelons et former du personnel Guatemala 11 Lutte contre la tubercu
201. 7 41 60 72 73 74 75 76 78 81 83 84 86 89 109 160 Afghanistan 76 109 Alg rie 81 120 Arabie Saoudite 84 126 Bechuanaland 95 Birmanie 110 Bolivie 104 Born o du Nord 135 Brun i 135 Cambodge 135 Cameroun 96 Ceylan 76 111 Chine Ta wan 89 136 Chypre 125 Cor e R publique de 137 Cuba 105 Equateur 105 Ethiopie 84 127 F d ration de Rho d sie et de Nyassaland 96 Ghana 67 97 Inde 76 113 Indon sie 114 Irak 125 127 Iran 128 Isra l 128 Jordanie 125 129 Liban 125 129 Lib ria 98 Libye 84 130 Madagascar 98 Malaisie 89 138 Maroc 81 122 Maurice le 66 99 Mauritanie 67 99 Mexique 106 N pal 115 Nig ria 67 100 Ouganda 100 Pakistan 84 130 Philippines 139 Portugal Mozambique 100 R publique Arabe Unie 84 Roumanie 123 Ryu Kyu les 139 Salomon Protectorat britannique des les 89 139 Sarawak 140 Somalie 84 131 Soudan 84 132 Syrie 125 133 Tha lande 116 Togo 67 101 Tunisie 84 Turquie 81 124 Viet Nam R publique du 140 Yougoslavie 124 Zanzibar 66 67 101 conseillers et consultants 141 coordination et r unions inter pays 4 5 84 quipes r gionales consultatives et d valuation 95 108 119 125 tudes pid miologiques quipe interr gionale 142 formation professionnelle 3 5 44 67 68 81 84 95 125 127 131 132 134 141 141 142 142 143 programme d radication tat d avancement
202. 8 18 avril 1962 2 septembre 1953 24 avril 1950 5 octobre 1960 25 novembre 1960 18 ao t 1947 10 d cembre 1946 7 mars 1963 23 juin 1948 20 f vrier 1951 4 janvier 1949 25 avril 1947 11 novembre 1949 9 juillet 1948 6 mai 1948 13 f vrier 1948 16 d cembre 1947 20 septembre 1960 21 juin 1948 8 juin 1948 22 juillet 1946 7 novembre 1962 16 mai 1962 31 octobre 1960 20 octobre 1961 26 janvier 1961 14 mai 1956 28 ao t 1947 26 mars 1947 18 d cembre 1946 15 mars 1962 187 janvier 1961 1 mars 1948 26 septembre 1947 13 mai 1960 3 janvier 1963 14 mai 1956 2 janvier 1948 3 avril 1948 24 mars 1948 22 avril 1949 7 juillet 1948 17 mai 1950 20 novembre 1953 19 novembre 1947 14 mai 1954 9 mai 1963 9 mai 1963 Etat devenu partie la Convention sur les privil ges et immunit s des institutions sp cialis es et son annexe VII Sr 148 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Annexe 2 COMPOSITION DU CONSEIL EX CUTIF 1 Trente et uni me session Gen ve 15 28 janvier 1963 D sign par D sign par D M K AFR Pr sident Pakistan Dr V V OLGU IN Argentine Dr A C ANDRIAMASY Madagascar Dr T OMURA Japon Professeur E J AUJALEU France Dr Maria RUSINOWA Pologne D L Darro S n gal D J Adjei SCHANDORF Vice Pr s Ghana Dr A R FARAH Rapporteur Tunisie Dr F SeRPA FLOREZ Colombie D L
203. 958 B D velopper l enseignement donn l Ecole de Sant publique Argentine 18 Enseignement de la m decine 1958 7965 B Am liorer l enseignement de la m decine dans les Ecoles de M decine des Universit s de Buenos Aires de La Plata de C r doba et du Litoral Argentine 20 Lutte contre la tuberculose mars 1960 7965 B FISE Organiser et ouvrir un centre national de recherche et de formation consacr la tuberculose Bolivie 4 Eradication du paludisme 1956 966 AT OPS Fonds sp cial du Paludisme FISE AID Eliminer le paludisme de tout le pays Bolivie 5 Enseignement infirmier 1953 7964 B D velopper l Ecole nationale d Infirmi res cet effet former un groupe de monitrices et inscrire au programme l tude des services infirmiers de sant publique ainsi que celle des principes de l enseignement et de l encadrement du personnel Bolivie 8 Eradication de la variole 1963 7965 AT Achever la campagne de vaccination antivariolique commenc e en 1957 afin d immuniser 80 de la population Bolivie 11 Mission commune d action aupr s des populations aborig nes janv 1957 977 AT FISE ONU OIT FAO UNESCO Favoriser le d veloppement conomique et social des popu lations aborig nes des hauts plateaux des Andes de fa on faciliter leur int gration dans la collectivit nationale Bolivie 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique deux bourses
204. AC sur les mesures d urgence prises par les organisations des Nations Unies en cas de catastrophes naturelles Fonds sp cial des Nations Unies et programme largi d assistance technique en vue du d veloppement conomique En sus des deux projets qui b n ficient en Inde d une assistance du Fonds sp cial l Institut central de Recherches de G nie sanitaire Nagpur et l enqu te sur les ressources en eau du Grand Calcutta POMS 8 t charg e de l ex cution de deux autres projets recevant une aide du Fonds sp cial des Nations Unies l Institut de M decine du Travail et de Recherche sur la Pollution de Santiago du Chili et le plan d ensemble pour l approvisionnement en eau et la construction d un r seau d gouts dans la zone m tropolitaine d Accra Tema au Ghana L OMS a continu de donner des avis au Fonds sp cial sur les aspects sanitaires des demandes manant des gouverne ments et elle a charg des consultants de participer des enqu tes effectu es par le Fonds sp cial Le Conseil d administration du Fonds sp cial s est d clar dispos examiner un nombre limit de demard s de projets concernant l enseignement de la m decine voir page 39 Les ressources du programme largi d assistance technique en 1963 ont atteint pour la premi re fois le chiffre fix de 50 millions Sur la proposition du Comit de l Assistance technique le Conseil cono mique et social a d c
205. ACTES OFFICIELS DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT N 131 ACTIVIT DE L OMS 1963 RAPPORT ANNUEL DU DIRECTEUR G N RAL L ASSEMBL E MONDIALE DE LA SANT ET AUX NATIONS UNIES Le Rapport financier pour l exercice 1 janvier 31 d cembre 1963 qui constitue un suppl ment au pr sent volume est publi s par ment dans S rie des Actes officiels ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT GEN VE Janvier 1964 Liste des abr viations employ es dans les Actes officiels de l Organisation mondiale de la Sant AIEA BAT BIT BSP CAC CAT CCTA CEA CEAEO CEE CEPAL CIOMS CSEP DOAT FAO FISE FMANU IMCO OACI OIHP OIT OMM OPS UIT UNESCO UNRWA Agence internationale de l Energie atomique Bureau de l Assistance technique Bureau international du Travail Bureau sanitaire panam ricain Comit administratif de Coordination Comit de l Assistance technique Commission de Coop ration technique en Afrique Commission conomique pour l Afrique Commission conomique pour l Asie et l Extr me Orient Commission conomique pour l Europe Commission conomique pour l Am rique latine Conseil des Organisations internationales des Sciences m dicales Compte sp cial pour l radication du paludisme Direction des Op rations d Assistance technique Organisation pour l Alimentation et Agriculture Fonds des Nations Unies pour l Enfance F d ration mondiale des As
206. AO La collaboration avec une autre institution s ur l OIT a eu notamment pour objet de pr ciser au cours d un symposium mixte les fonctions et les responsabilit s des inspecteurs m dicaux du travail La question de la formation de ce personnel a galement t examin e Un groupe scientifique r uni Gen ve a fait nouveau ressortir l importance de quantit de facteurs m dicaux biologiques sociaux et culturels qui interviennent dans la reproduction humaine lui faisant ainsi prendre rang parmi les centres d int r t de la sant publique Le groupe dont les conclusions ont t ult rieu rement ent rin es par le Comit consultatif de la Recherche m dicale s est occup de l tude comparative de la reproduction de la biologie des gonades et des gam tes de la f condation et de la gestation ainsi que de 7 la biochimie des st ro des sexuels En mati re de g n tique humaine deux tudes sur des groupes primitifs m ritent d tre relev es L une porte sur les Esquimaux du nord du Groenland et l autre la fois g n tique m dicale et anthropologique IX sur les populations de l le Tongariki dans les Nouvelles H brides La s rie d enqu tes sur les populations soumises une irradiation naturelle anormalement lev e en Inde Ceylan et dans la R publique Arabe Unie s est poursuivie Abordant pr sent le chapitre des maladies chroniques et d g n ratives je voudrais souligner to
207. Agency for Inter national Development des Etats Unis d Am rique plus sp cialement en mati re de planification des services de sant publique d approvisionnement public en eau et d ducation sanitaire L OMS a de m me continu d agir conjointement avec l Organisa tion de Coordination et de Coop ration pour la Lutte contre les Grandes End mies OCCGE Comit r gional Le Comit r gional s est r uni le 23 septembre 1963 Gen ve au Palais des Nations pour sa treizi me session en pr sence des repr sentants de vingt cinq Etats Membres et de trois Membres associ s ainsi que de Organisation des Nations Unies et de POIT et des observateurs d une organisation inter gouver nementale et de quatre organisations non gouverne mentales Le Directeur g n ral a assist la s ance Les d lib rations du Comit r gional ont t suspendues 16 24 septembre les repr sentants d un certain nombre d Etats Membres de la R gion ayant quitt la s ance Faute de quorum la session a d tre ajourn e sine die Bureau r gional Administration Les plans d agrandissement du Bureau r gional ont progress de fa on satisfaisante et de nouvelles contributions b n voles ont t re ues La question du logement des membres du personnel continue de poser un probl me tr s difficile Des plans ont t tablis en vue de 18 construction de deux immeubles d habitation et les travaux ont t mis en
208. CHAPITRE 10 PUBLICATIONS ET DOCUMENTATION Pour toutes les langues il y a eu au total 176 titres publi s entre le 1er janvier et le 30 septembre 1963 y compris les livraisons successives des p riodiques mais sans compter le Relev pid miologique heb domadaire Les ditions en russe ont continu tre pr par es par le Minist re de la Sant de l Union des R publiques socialistes sovi tiques en vertu d un arrangement contractuel mais l importance des tirages a t modifi e compte tenu de l exp rience acquise Pour la premi re fois on a tabli pour les ditions russes des listes de destinataires dans plusieurs pays autres que l URSS qui utilisent le russe comme seconde langue Quatre nouveaux ouvrages ont paru ou sont en cours d impression le R pertoire mondial des coles v t rinaires premi re dition tabli en collaboration avec la FAO et publi par POMS sous les auspices des deux institutions un recueil de normes pour les r actifs mentionn s dans la Pharmacop e internationale quatri me recueil de sp cifications publi par l OMS les trois premiers tant la Pharmacop e internationale elle m me les Normes pour les pesticides et les Normes internationales applicables l eau de boisson dont une deuxi me dition est sous presse la Terminologie du paludisme et de l radication du paludisme qui remplace la Terminologie du paludisme d j ancienne d une dizaine d ann es e
209. Cambodge 136 Inde 113 Indon sie 114 Laos 138 Libye 130 Salomon Protectorat britannique des les 139 Sierra Leone 100 Singapour 88 140 Togo 101 Salomon Protectorat britannique des les 89 134 139 Samoa Occidental 6 134 140 Sang banque Syrie 133 Sant du monde 52 53 Sant mentale 34 35 71 117 118 Belgique 120 Ceylan 110 Chine Ta wan 136 C te d Ivoire 96 Gr ce 121 Indon sie 114 Iran 128 Isra l 128 Philippines 138 Portugal 123 Suisse 123 Tha lande 115 Yougoslavie 124 classification des troubles mentaux 44 8 INDEX Sant mentale suite conf rence sur les techniques d enqu te pid miologique concernant les troubles mentaux Manille 141 s minaire OPS Buenos Aires 71 Sant publique administration 28 Alg rie 81 120 Burundi 96 Cor e R publique de 137 Ethiopie 127 Ghana 97 Haute Volta 98 Laos 137 Maldives les 115 Mali 99 Niger 99 Rwanda 100 Samoa Occidental 140 Togo 101 Yougoslavie 124 s minaire itin rant en URSS 68 81 142 s minaire OPS Serra Negra Br sil 71 Voir aussi Planification sanitaire dans les pays Services de sant publique Sant publique v t rinaire 9 12 103 Voir aussi Zoonoses Sant rurale 28 30 65 66 73 75 84 88 108 Afghanistan 109 Arabie Saoudite 126 Birmanie 110 Cambodge 136 Cameroun 66 96 Congo Brazzaville 66 Ethiopie 127 Ghana 97 Gr ce 81 121 Honduras
210. Des m thodes enti rement nouvelles telles que le l chage de sujets st riles ou incompatibles destin s concurrencer les populations naturelles et l introduction de g nes pathologiques qui se propagent automatiquement ont t sugg r es pour la lutte contre les insectes On a r cemment mis au point un programme de recherches long terme tendant notamment r aliser des exp riences pilotes de lutte g n tique contre certains vecteurs importants en particulier Culex pipiens fatigans Birmanie Anopheles scutellaris les du Pacifique et gambiae et Glossina Afrique D autre part on travaille l tablissement d une nomenclature internationale ainsi que de normes pour les souches standard d insectes et la diffusion de la documenta tion sur ces sujets Il s agit l d une phase nouvelle dont l importance s accro t rapidement et qui ouvre la lutte contre la r sistance aux insecticides des perspectives d autant plus int ressantes que l emploi des moyens chimiques se heurte sans cesse de nouveaux obstacles On a continu se pr occuper du d pistage et de l valuation de la r sistance ainsi que des contre mesures prendre lorsque des ph nom nes de ce genre viennent entraver les programmes op rationneis En Am rique du Sud la r sistance d Aedes aegypti et d Anopheles albimanus aux hydrocarbures chlor s a provoqu l arr t des op rations dans certains secteurs quant
211. E J AUJALEU France ans Professeur G A CANAPERIA Italie an Professeur J DE CASTRO Br sil ans Dr L DrALLo Rapporteur S n gal an Dr A T Iran ans Dr 5 1 00 1 ans D EVANG Norv ge ans 3 A R FARAH Tunisie ans Dr L FAUCHER Ha ti ans Professeur J GARC A ORCOYEN Espagne an Dr V T HERAT GUNARATNE Rapporteur Ceylan ans De Q ee ND ND V D D Professeur M KACPRZAK Vice Pr sident Pologne an Dr J KAREFA SMART Sierra Leone ans 3 B D B LAYTON Pr sident Canada ee ans Professeur P MUNTENDAM Pays Bas ans D T OMURA Japon an Dr F SERPA FL REZ Colombie ans D Hurustiati SUBANDRIO Indon sie ans M E 8 5 Isra l an D H 8 TURBOIT Nouvelle Z lande ans Dr 8 AL WAHBI Irak an Dr J WATT Etats Unis d Am rique an Professeur V M ZbaNoY Union des R pu
212. ES ET D CHETS FOURNITURES SOUS DIRECTEUR G N RAL DIVISION DES DIVISION DE LA DIVISION DES STATISTIQUES BIOLOGIE ET DE LA SERVICES D DITION SANITAIRES PHARMACOLOGIE ET DE DOCUMENTATION D VELOPPEMENT DES SERVICES DE STATISTIQUE SANITAIRE DROGUES ENGE NORANT LA TOXICOMANIE IL GISLATIDN SANITAIRE DIFFUSION DES RENSEIGNEMENTS STATISTIQUES STANDARDISATION BIOLOGIQUE BIBLIOTH QUE ET DOCUMENTATION TUDES PID MIOLOGIQUES IMMUNOLOGIE ACTES OFFICIELS M THODOLOGIE DES STATISTIQUES SANITAIRES PR PARATIONS PHARMACEUTIQUES PUBLICATIONS TECHNIQUES Q Dr F GRUNDY 3 Dr P M KAUL 3 4 M P SIEGEL E Dr 0 v BAROYAN TRADUCTION WHO 3874 951 E961 3 SNO T 31 ANNEXE 9 157 Annexe 9 EFFECTIF ET R PARTITION DU PERSONNEL au 30 novembre 1962 et au 30 septembre 1963 Effectif 18 date du 30 novembre 962 Effectif la date du 30 septembre 1963 Compte Compte R partition sp cial Total sp cial Total Budget pour Assistance Budget pour Assistance ordinaire l radi technique ordinaire P radi technique cation du cation du paludisme paludisme Si ge Personnel international 321 342 Personnel local 364 387 685 679 6 729 729 Bureaux r gionaux Afrique Personnel international 39 43 Personna
213. Education sanitaire janv 1962 fin 1965 AT D velopper l utilisation des m thodes d ducation sanitaire dans les services de sant Nig ria 32 Paludisme Programme pr radication Nig ria septentrional nov 1962 fin 1972 CSEP Mettre en place une infrastructure de services de sant publique ruraux qui permettra d instituer un programme d radication du paludisme s tendant tout le Nig ria septentrional former du personnel de mani re constituer le noyau d un service antipaludique national Nig ria 37 Paludisme Programme pr radication Nig ria oriental mars 1963 fin 1972 CSEP Mettre en place une infrastructure de services de sant publique ruraux qui permettra d instituer un programme d radication du paludisme s tendant tout le Nig ria oriental former du personnel de mani re constituer le noyau d un service anti paludique national Nig ria 200 Bourses d tudes B Cours pr parant au dipl me de sant publique DPH douze mois ducation sanitaire douze mois inspection sanitaire neuf mois nutrition et di t tique deux ans sant mentale cinq mois Nig ria 201 Bourses d tudes AT Education sanitaire deux bourses de douze mois tudes de m decine quatre bourses de trois ans cinq de cinq ans Ouganda 12 Paludisme Programme pr radication nov 1962 1970 B CSEP D velopper les ressources techniques op rationnelles et administrativ
214. Enseignement de la m decine 1960 7967 B Aider la cr ation d une nouvelle cole de m decine Maroc 24 R adaptation des personnes physiquement diminu es 1959 7964 AT Transformer le programme initial d urgence destin aux victimes de l intoxication par le TOCP en 1959 en un pro gramme permanent de r adaptation g n rale des personnes physiquement diminu es Maroc 28 Paludisme Programme pr radication 1962 1964 CSEP Pr parer un programme d radication totale en cr ant un ensemble de services techniques administratifs et op rationnels notamment dans les r gions rurales initier le personnel m dical et param dical des services de sant publique principalement des services de sant ruraux aux principes et techniques de l radication du paludisme Norv ge 10 Bourses d tudes B Dentisterie cours pr parant au dipl me de sant publique DPH neuf mois cours pr pa rant au dipl me de sant publique MPH douze mois p dia trie trois mois Pays Bas 15 Bourses d tudes B Administration de la sant publique deux mois administration des h pitaux trente quatre bourses de cinq jours contr le des m dicaments cinq semaines sant mentale deux mois Pologne 13 Bourses d tudes B Assainissement trois mois bact ricides quatre mois bact riologie trois mois contr le des denr es alimentaires une bourse d un mois deux de trois mois ducation
215. Inde a commenc sous les auspices de POMS Il est pr vu qu au moins six professeurs de l Ecole de M decine d Edimbourg enseigneront l cole indienne pendant six ans et que plusieurs des titulaires de chaires principales s y rendront pour des p riodes plus courtes Des bourses seront accord es des membres du corps enseignant de l cole de Baroda pour leur permettre de se sp cialiser l tranger L OMS a soutenu un plan semblable visant resserrer la collaboration entre l Institut d Hygi ne de l Universit des Philippines Manille et l Ecole d Hygi ne et de Sant publique de l Universit Johns Hopkins de Baltimore Etats Unis d Am rique dans le domaine de l enseignement post universitaire La r alisation de ce plan dont il est fait mention dans des rapports ant rieurs a commenc en 1953 et est arriv e maintenant son terme Selon les appr ciations formul es par tous les int ress s il a donn des r sultats tr s satisfaisants On trouvera au chapitre 13 des renseignements sur l action commune que POMS a poursuivie en mati re d enseignement et de formation avec l Organisation des Nations Unies et d autres institutions apparent es M decine pr ventive et sant publique Un Comit d experts de la Formation professionnelle et technique du Personnel m dical et auxiliaire s est r uni en 1963 pour traiter de la stimulation de l int r t des omnipraticiens pour la m
216. MS contribuent am liorer l en seignement de la pu riculture et de la p diatrie ADN De nombreux pays connaissent de graves probl mes d alimentation et de nutrition et l OMS aide former des nutritionnistes Des paysans cambodgiens coutent une causerie sur la valeur nutritive des fruits et l gumes locaux Dans la R publique de Cor e o l OMS soutient un pro gramme pr radication du paludisme une quipe proc de une enqu te dans un village tie 2 8 5 LA T 7 a amp 4 nke t ti Le Lnssr CAN ENT G INC KHAN 1 Print mp 9 84 me srs te peer wire me RES veuves Un dentiste Minist re japonais de la Sant qui fait stage d tude dans les services dentaires et m dicaux de Nouvelle Z lande titre de boursier de l OMS pratique un examen courant Le FISE et l OMS aident le Gouver L ducation sanitaire est un l ment essentiel de la lutte Aux Philippines des inspecteurs sanitaires form s dans des cours organis s avec nement du Laos organiser une antil preuse Des agents sanitaires posent des affiches l aide du FISE et de l OMS montrent comment construire des latrines siphon dans un village de la R publique de Cor e dans les maisons rurales cole d infirmi res et de sages femmes FORMATION D AUXILIAIRES SANITAIRE
217. OMS a galement pr t son concours pour lint gration de l ducation sanitaire dans certains programmes sp ciaux notamment des campagnes visant endiguer ou radiquer les maladies transmissibles des programmes d assainis sement et des programmes de nutrition titre d exemple on peut citer la participation de POMS au SERVICES DE SANT PUBLIQUE 31 programme d ducation sanitaire que l Espagne 8 entrepris en liaison avec le projet d ducation nutritionnelle soutenu par la FAO et le FISE En outre l OMS a aid divers pays laborer des programmes de formation l ducation sanitaire s adressant aux infirmi res sages femmes et techniciens de l assainissement d j en service Pour la formation de sp cialistes l OMS 8 accord des bourses mais elle a aussi examin la possibilit d am liorer l enseignement dispens au niveau post universitaire en consultation avec les coles de sant publique et les tablissements analogues de diff rents pays parmi lesquels le Br sil le Chili la Colombie les Etats Unis d Am rique l Inde Isra l les Philippines la R publique Arabe Unie et le Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord Comme l ducation sanitaire des enfants d ge scolaire et d autres cat gories de jeunes rel ve la fois des autorit s de la sant et de celles de l enseignement l UNESCO et POMS ont collabor en vue de pro mouvoir l ducation sanitaire dan
218. P nion internationale des Architectes et l Association inter am ricaine de G nie sanitaire avaient envoy des observateurs EURO 232 Equipe d valuation de l radication du paludisme 1963 CSEP Une quipe d valuation sera envoy e dans les pays qui le demanderont pour les aider d terminer si l radication du paludisme est bien r alis e EURO 235 2 Cours de m decine des radiations pour professeurs d coles de m decine en anglais Londres 17 avril 14 mai 1963 B Ce cours s adressait aux professeurs qui enseignent la m decine des radiations dans les coles de m decine il portait sur les objectifs le contenu et les m thodes de l enseignement dont ils sont charg s et sur la mani re d int grer les cours dans le programme des tudes m dicales Les stagiaires ont t accueillis dans le Service de Physique m dicale de l H pital universitaire Middlesex de Londres L OMS a accord des bourses neuf professeurs venus de Finlande des Pays Bas de Pologne de Tch coslovaquie et de Yougoslavie EURO 240 Symposium europ en sur la lutte antiv n rienne Stockholm 24 28 sept 1963 B Le but du symposium tait d amener les administrations sanitaires des pays europ ens se faire une id e exacte des tendances actuelles et des perspectives long terme en ce qui concerne la syphilis et la blennorragie d examiner les m thodes de lutte antiv n rienne employ es dans ces pays et
219. R U G N RAL CHAPITRE 1 RADICATION DU PALUDISME De nouveaux progr s ont t r alis s en 1963 dans les phases successives de la campagne d radication du paludisme ainsi que dans les programmes pr radication En Europe continentale les derni res zones o la phase d attaque n tait pas termin e en Albanie en Roumanie en Union des R publiques socialistes sovi tiques et en Yougoslavie sont entr es le 15 janvier 1963 dans la phase de consolidation la transmission du paludisme y tant interrompue depuis assez longtemps pour que les autorit s puissent mettre fin aux pulv risations d insecticides L objectif du Plan prioritaire coordonn pour l radication du paludisme en Europe continentale est ainsi atteint puisque les quatre autres pays signataires dudit Plan la Bulgarie l Espagne la Gr ce et le Portugal taient parvenus la phase de consolida tion au cours de 1962 De nouveaux secteurs de Gr ce de Roumanie et de Yougoslavie et la totalit de l Espagne sont arriv s la phase d entretien o l radication est consid r e comme r alis e Dans la R gion de l Asie du Sud Est la phase de consolidation a commenc dans de nouvelles parties de l Afghanistan et de Ceylan et dans plusieurs secteurs de l Inde totalisant 90 millions d habitants Dans ce dernier pays le nombre des personnes ainsi prot g es s l ve maintenant 8 258 millions compte tenu de l accroissem
220. R publique Dominicaine deux bourses de dix mois AMRO 45 Services de laboratoire f vr 1955 B OPS Am liorer les services de laboratoire de la sant publique fournir une assistance aux sections de virologie et de contr le des pr parations biologiques constituer des colonies animales AMRO 47 Eradication du pian et lutte contre les maladies v n riennes zone des Cara bes nov 1954 fin 1963 B FISE D limiter les r gions touch es par le pian et d terminer les m thodes les plus efficaces pour le combattre diminuer la fr quence de la syphilis et de la blennorragie renforcer les services de laboratoire et organiser des services de lutte anti v n rienne AMRO 60 Eradication de la variole 1961 pour l radication de la variole OPS Compte sp cial Encourager la production de vaccin antivariolique lyophilis et y collaborer aider organiser ex cuter et valuer les programmes nationaux d radication de la variole AMRO 63 Ecoles d infirmi res sept 1958 B Fournir une assistance services de consultants ouvrages en espagnol etc aux pays de la R gion pour lesquels il n existe pas de projets individuels de soins infirmiers b n ficiant de l aide de l OMS AMRO 67 Enseignement de la sant publique dans les coles de m decine v t rinaire 1955 1960 1963 B Aider les coles de m decine v t rinaire de la R gion r organiser leur programme d enseignement et y i
221. S Y MEN Depuis 1956 l OMS aide le Gouvernement du Y men organiser Sana un centre de services sani taires qui sert aussi former du personnel auxiliaire notamment des aides techniciens de l assainis sement et des aides de laboratoire L homologue local du technicien de l OMS contr le le travail des l ves aides de laboratoire Sous la surveillance d un technicien de l OMS les l ves du centre pro c dent un poudrage au DDT pr s de Sana Vaccination de masse contre la variole Les l ves pr parent leur ma t riel Un instructeur montre aux l ves la technique de la vaccination antivario lique S RVIC S DE SANT PUBLIQUE 29 Une quarantaine de pays participent ces deux tudes L OMS les aide et les conseille pour 18 compilation des donn es statistiques complexes qu on leur demande de fournir A cet effet des sp cialistes se sont rendus dans cinq pays de la R gion africaine et dans deux pays de la R gion de la M diterran e orientale les bureaux r gionaux apportent aussi leur concours ces travaux Les m thodes propos es pour tude des divers syst mes d organisation des soins m dicaux personnels ont fait l objet d essais pr liminaires en Isra l et en Yougoslavie On cherche par cette tude trouver une base pour valuer le co t relatif et l efficacit de Paction des centres de sant La place de l h pital dans les programmes de sant
222. a structure du Bureau r gional Un certain nombre de postes vacants ont t pourvus notamment celui de conseiller r gional pour les laboratoires de sant publique ainsi que quatre postes de repr sentants de l OMS Afghanistan Birmanie Ceylan et Indon sie devenus vacants Les repr sentants de l OMS dans les pays jouent un r le de plus en plus important en facilitant les consultations avec les gouvernements au sujet de la pr paration des programmes en renseignant le Direc teur r gional sur les besoins et les progr s locaux en donnant des avis sur les mesures qui peuvent tre n cessaires pour faciliter l ex cution des projets et en assurant une troite liaison avec les repr sentants d autres institutions internationales bilat rales ou non gouvernementales et surtout les repr sentants r sidents de l assistance technique R GION DE L ASIE DU SUD EST 79 Le Bureau r gional 8 emm nag dans son nouveau b timent d Indraprastha Estate en novembre 1962 M Nehru Premier Ministre de l Inde l a officielle ment inaugur le 24 avril 1963 Cette nouvelle et meilleure installation des bureaux et leur conception fonctionnelle concourent accro tre l efficacit du fonctionnement administratif La plupart des dons symbolisant la culture propre aux diff rents Etats Membres de la R gion ont t re us Depuis le d but de 1963 c est au Bureau r gional de l Asie du Sud Est qu incombe l administrati
223. a wan sur la demande de l Universit nationale une tude sp ciale concernant l administration des services infirmiers a t entreprise l h pital universitaire Quant l ducation sanitaire il convient de signaler un renforcement des programmes nationaux Quelques pays ont cr des services d ducation sanitaire de base et d autres s appr tent le faire En Malaisie l OMS a aid laborer un programme de longue haleine visant la cr ation de services d ducation sanitaire aux chelons central et local D autre part l ducation sanitaire s est vu accorder une plus grande place dans divers projets sp cialis s Le resserrement de la collaboration entre les minist res de la sant et ceux de l ducation dans l tablissement de programmes d ducation sanitaire scolaire refl te l int r t croissant port cette activit La formation de sp cialistes de l ducation sanitaire va tre organis e en Chine Ta wan au Japon et dans la R publique de Cor e cette formation est d j donn e dans des conditions satisfaisantes aux Philippines o l Institut d Hygi ne de l Universit qui a organis un cours sanctionn par un dipl me sup rieur de sant publique Master of Public Health est le principal centre r gional de formation sp cialis e dans ce domaine L OMS a continu de fournir une assistance consid rable aux programmes de protection maternelle et infantile Dans l
224. a formation des ma tres Durant la p riode consid r e l OMS a accord une aide des coles de m decine dans cinq pays En Inde comme on lavait signal lan dernier un large pro gramme d assistance long terme a t mis sur pied pour l Ecole de M decine de Baroda Le premier groupe de six professeurs de l Universit d Edimbourg a commenc enseigner en juin et juillet 1963 voir galement page 40 Dans le domaine de l enseignement infirmier le bilan de l ann e coul e est de nature susciter quelque satisfaction et entretenir la confiance et il permet d esp rer des progr s encore plus importants Les demandes d assistance adress es POMS prouvent que les gouvernements de toute la R gion prennent conscience de la n cessit de former des cadres plus nombreux et mieux instruits Ce sentiment se traduit par un effort pour organiser localement l enseignement infirmier sup rieur et par un souci d analyser de r former et d am liorer les programmes existants Le d veloppement des services infirmiers dans 18 R gion s est accompagn d une modification l g re mais sensible de l orientation donn e par POMS sa contribution aux programmes d enseignement infirmier Sans n gliger l am lioration de la formation de base elle s est attach e de plus en plus d velopper l enseignement sup rieur et la formation de sages femmes et d administratrices Sil est naturel que
225. a l enseignement de la sant publique Sierra Leone 11 Assistance technique aux laboratoires avril 1961 fin 1965 B Organiser des services de laboratoire et former des techniciens au laboratoire Bo Sierra Leone 14 Formation en mati re d assainissement nov 1961 fin 1965 B FISE Former des inspecteurs sanitaires ult rieurement cr er un service de g nie sanitaire au Minist re de la Sant et pr parer un programme d assainissement de longue dur e Sierra Leone 200 Bourses d tudes B Chirurgie neuf mois cours pr parant au dipl me de sant publique DPH douze mois dipl me de m decine et d hygi ne tropicales deux ans Swaziland 2 Lutte contre la tuberculose d c 1962 fin 1965 AT FISE Etablir une zone pilote o l on appliquera des m thodes de lutte antituberculeuse pour d terminer si elles sont pratiques et acceptables dans les conditions locales Les m thodes qui auront fait leurs preuves seront ensuite employ es plus large chelle dans d autres parties du pays tandis que la zone pilote servira de centre pour les op rations Tanganyika 21 Enseignement infirmier avril 1962 1967 AT Mettre sur pied et appliquer des programmes int gr s d ensei gnement infirmier Tanganyika 200 Bourses d tudes B Chirurgie dix huit mois Tchad 14 Enseignement infirmier 1962 7966 B Cr er une cole centrale d infirmi res LISTE DES PROJETS AFRIQUE 101 Togo 1 L
226. a phase de consolidation et il a recommand de mettre en garde les gouvernements contre le danger d une reconversion pr matur e du personnel employ aux op rations d radication Au cours du d bat sur l radication de la variole le Comit r gional 8 not que presque tous les pays de la R gion ex cutaient un programme antivariolique et il a indiqu qu il y aurait int r t synchroniser les campagnes nationales sur les territoires limitrophes D autre part l radication tant principalement frein e par les difficult s qu ont les autorit s se procurer des quantit s suffisantes de vaccin actif et stable le Comit a recommand d attirer l attention de l Assem bl e de la Sant sur l opportunit d inviter instamment les pays conomiquement d velopp s fournir du vaccin lyophilis Le Gouvernement indien 8 soumis l examen du Comit r gional un document sur l approvisionnement en eau et sur l hygi ne du milieu d crivant la t che consid rable que repr sentent l approvisionnement en eau saine et l vacuation des eaux us es dans les collectivit s urbaines et rurales des pays de la R gion et faisant valoir que les infections intestinales sont une source importante de morbidit dans l Asie du Sud Est Ce document pr cisait que l Inde en ex cu tion de ses trois plans quinquennaux avait d pens pour l approvisionnement en eau des r gions rurales 150 000 000 et estimai
227. a sant publique a tudi le probl me de la bilharziose aux Philippines et examin les mesures appliqu es Sur sa recommandation le Gouvernement lan a un projet pilote en 1953 Palo Leyte oriental o l end micit tait particuli rement lev e L OMS procura les services de trois experts ainsi que des fournitures et du mat riel la Foreign Operations Administration des Etats Unis d Am rique et le Conseil philippin pour l aide des Etats Unis envoy rent galement du mat riel et des fournitures En 1957 un consultant de l OMS s est rendu sur place pour dresser le bilan des activit s et pour aider organiser le passage du stade pilote au stade op rationnel Le projet pilote a t poursuivi mais on a mis galement en uvre des pro grammes int gr s de lutte contre la bilharziose l chelle de la collectivit La FAO a envoy en 1959 un consultant en mati re d exploitation des terres et en 1960 et 1961 un ing nieur agronome L quipe OMS a particip ce projet jusqu la fin de 1960 date laquelle le personnel national a poursuivi lui m me les op rations en s appuyant sur les conseils techni niques et les valuations de l OMS Le FISE a exp di depuis 1962 du mat riel et des fournitures aux quipes consultatives r gionales L quipe consultative OMS pour la bilharziose voir projet interr gional 52 et un consultant en mati re d administration de la sant publique on
228. a tuberculose chez les enfants y compris les techniques de diagnostic et la recherche des contacts vaccination par le BCG chimioprophylaxie traite ment des primo infections pulmo ganglionnaires et des m nin gites tuberculeuses infantiles laboration de programmes nationaux de lutte contre la tuberculose et assistance interna tionale pour ces programmes Le s minaire comportait deux visites sur le terrain L OMS a pris sa charge les d penses des participants EMRO 89 S minaire mixte FAO FISE OMS sur la nutrition Le Caire 15 sept 12 oct 1963 AT FISE FAO Ce s minaire organis conjointement par la FAO le FISE et POMS groupait vingt six fonctionnaires sup rieurs de douze pays Il a tudi les questions administratives et techniques pos es par les programmes de nutrition appliqu e et notam ment la formation professionnelle en mati re de nutrition les programmes d alimentation de compl ment et la production locale et l emploi d aliments de haute valeur nutritive L OMS a envoy quatre consultants et pris sa charge une partie des d penses des participants qui venaient des pays suivants Afghanistan Irak Iran Jordanie Kowe t Liban Libye Pakistan R publique Arabe Unie Somalie Soudan et Syrie Aden 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois ducation sanitaire deux bourses de trois mois m decine tropicale trois mois Arabie Saoudite 4 Paludisme
229. abor des instituts nationaux des fabricants des sp cialistes et des commissions de pharmacop e Un texte complet sous forme polycopi e a t mis au point pour tre distribu aux Etats Membres dans les premiers mois de 1964 La liste des sp cifications propos es pour les r actifs n cessaires aux divers essais et preuves auxquels sont soumises les pr parations pharma ceutiques d crites dans la Pharmacop e internationale a t achev e et publi e C est le r sultat de huit ann es de collaboration entre de nombreux experts du monde entier parmi lesquels figurent les membres du Tableau d experts de la Pharmacop e internationale et des Pr parations pharmaceutiques La plupart des m thodes sugg r es peuvent tre appliqu es par des chimistes disposant de mat riel courant Le Centre OMS des Substances chimiques de R f rence de Stockholm a poursuivi la mise au point d talons chimiques pour un certain nombre de substances dont les caract ristiques peuvent tre d termin es par des proc d s physiques ou chimiques et qui peuvent servir de pr parations de r f rence en m decine et en pharmacie notamment en ce qui concerne l identification et l essai chimiques des st ro des hormonaux Des laboratoires de plusieurs pays ont effectu des essais concert s Un article sur la s rie OMS de substances de r f rence pour les points de fusion qui font partie de la collection de substances chimiques de r f r
230. adies n oplasiques des animaux voir page 11 Les travaux relatifs au cancer dans la R gion de la M diterran e orientale sont expos s la page 86 Le centre international de r f rence pour l histo pathologie des leuc mies ouvert Paris en 1962 a commenc changer du mat riel avec les divers centres qui coop rent avec lui Un nouveau centre international OMS de r f rence pour l histopathologie des tumeurs de l oropharynx 8 t cr Agra en Inde et il a d j entrepris des travaux pr liminaires A Oslo le centre international de r f rence pour flhisto pathologie des tumeurs du poumon a re u des communications d un grand nombre d anatomo pathologistes exp riment s ce qui lui permet d tablir la classification histologique d finitive de ces tumeurs De son c t le centre international de r f rence pour l histopathologie des tumeurs du sein Londres est en train de revoir son mat riel et de pr parer un jeu de lames qui seront envoy es de nombreux correspondants Un groupe scientifique de la nomenclature et de la classification histopathologiques des tumeursde l ovaire s est r uni en f vrier et un groupe scientifique sp cialis dans les tumeurs osseuses en ao t pour pr parer des classifications provisoires Des centres de r f rence internationaux pour ces deux cat gories de tumeurs seront prochainement institu s Le centre europ en pour 18 fourniture de souches congel
231. aines Iran 201 Bourses d tudes AT Education sanitaire trois mois enseignement en mati re de nutrition huit mois hygi ne de la maternit et de l enfance douze mois m decine clinique tropicale douze mois psychiatrie dix huit mois r adapta tion m dicale prolongation d une bourse pendant un mois sant mentale douze mois techniques de salle d op rations neuf mois Isra l 5 Eradication du paludisme 1959 7964 CSEP R aliser l radication compl te du paludisme dans le pays et emp cher la r introduction de la maladie Isra l 24 Psychiatrie et sant mentale de l enfance oct 1961 7965 B R organiser les services de sant mentale et plus sp cialement les services psychiatriques pour enfants Isra l 29 Ecole de M decine Hadassah J rusalem M decine pr ventive et m decine sociale janv 1959 fin 1963 B Fonds en d p t Am liorer et d velopper l enseignement de la m decine pr ventive et de la m decine sociale l Ecole de M decine en particulier dans le programme destin aux tudiants en m decine cr er une zone de d monstrations sanitaires et de formation professionnelle en sant publique organiser les stages pratiques des tudiants en m decine et le perfectionnement en cours d em LISTE DES PROJETS M DITERRAN E ORIENTALE 129 ploi des m decins et d autres cat gories de personnel sanitaire d velopper les projets de recherche concernan
232. air 23 r adaptation des malades cardio vasculaires 34 37 150 r sidus de pesticides valuation de la toxicit des r sidus de pesticides dans les aliments 36 60 151 sant mentale 35 standardisation biologique 47 150 statistiques sanitaires sous comit de la classification des maladies 44 71 trypanosomiase 18 variole 16 Commission de Coop ration technique en Afrique 18 36 66 69 Commission des Stup fiants ONU 59 Commission du Pacifique sud 31 89 90 134 Commission conomique pour l Afrique 24 25 58 59 65 69 86 Commission conomique pour l Am rique latine 59 Commission conomique pour l Asie et l Extr me Orient 57 59 77 86 Comit de l Industrie et des Ressources naturelles 58 Commission conomique pour l Europe 23 24 25 Commission internationale de Protection contre les Radiations 36 61 143 Commission internationale des Unit s et Mesures radiologiques 36 61 Commission permanente et Association internationale pour la M decine du Travail 61 Communaut conomique europ enne 142 Comptes sp ciaux 55 contributions diverses objet d sign 55 radication du paludisme 54 55 recherche m dicale 43 Conf d ration internationale des Sages Femmes 30 Conf d ration mondiale de Physioth rapie 118 Conf rence des Nations Unies sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es 35 57 Congo Brazzaville 66 96 C
233. aire au Minist re de la Sant pr parer un programme d assainissement de longue dur e et former du personnel d assainissement Gabon 11 Lutte contre la tuberculose juillet sept 1961 1963 fin 1964 B Cr er dans la ville de Port Gentil une zone pilote pour la lutte antituberculeuse conform ment aux recommandations d un consultant de l OMS qui a proc d une valuation de 18 situation en 1961 Gabon 16 Soins infirmiers 1962 7964 B Organiser et mettre en uvre un programme d enseignement infirmier Libreville LISTE DE PROJETS AFRIQU 97 Gambie 3 Enseignement infirmier 1962 1964 AT Organiser un programme de formation d infirmi res qui fera une place aux questions de sant publique et lever le niveau des services infirmiers Gambie 201 Bourses d tudes AT Assainissement quatre mois Ghana 1 Paludisme Programme pr radication janv 1963 fin 1970 CSEP AT D velopper l organisation d un service antipaludique et favoriser la mise en place d un r seau de services de sant ruraux Ce programme succ de au projet pilote qui s tait d roul de 1958 1962 Ghana 3 Hygi ne de la maternit et de l enfance 1963 fin 1965 B FISE D velopper 165 services de sant ruraux notamment les services de protection maternelle et infantile des zones rurales Ghana 5 Lutte contre la bilharziose nov d c 1957 mai 1959 fin 1965 AT Etudier les mollusques
234. ales sur les conclusions et les recommandations de l quipe Kenya 200 Bourses d tudes B Administration de la sant rurale trois mois administration des h pitaux deux mois et demi transfusion du sang et m decine l gale deux mois Kenya 201 Bourses d tudes AT Cours pr parant au dipl me de sant publique MPH douze mois soins infirmiers et obst trique quinze bourses de douze mois Lib ria 3 Organisation d quipes m dicales de campagne 1953 1965 AT FISE Entreprendre la consolidation du programme de lutte anti pianique qui doit galement comporter des op rations de lutte contre la l pre Le projet tend renforcer les op rations de lutte contre le pian et la l pre dans le cadre des services g n raux de sant rurale Lib ria 15 Programme d hygi ne du milieu juillet 1958 1965 8 Etudier les effets de l apparition d une r sistance la dieldrine sur le potentiel biotique des mouches domestiques au Lib ria mener bien un programme d hygi ne du milieu en vue de la lutte permanente contre les insectes vecteurs de maladies Lib ria 17 Eradication de la variole 1962 1966 B Ex cuter un programme d radication de la variole Lib ria 20 Paludisme Programme pr radication d c 1962 fin 1972 CSEP Mettre en place une infrastructure de services de sant publique ruraux qui permettra d instituer un programme d radication du paludisme s tendant tout le
235. alis es nouvelles adh sions la Convention 54 Programme alimentaire mondial ONU FAO 36 52 58 Programme largi d assistance technique 54 57 59 80 Programme et budget R gions 73 77 82 87 90 Projets valuation 70 m thodes de planification et d ex cution tude organique du Conseil ex cutif 56 Protection et promotion de la sant 33 38 Protection maternelle et infantile voir Hygi ne de la maternit et de l enfance Proth se appareils Pakistan 130 Psychiatrie 35 125 Danemark 121 Finlande 121 Isra l 128 Voir aussi Sant mentale Publications et documentation 50 51 52 77 Quarantaine internationale 20 21 Arabie Saoudite 84 126 Radiations voir Rayonnements ionisants Radiographie Afghanistan 108 Ceylan 108 Inde 108 Indon sie 108 Singapour 140 Tha lande 108 Rage 10 Br sil 104 Rapport pid miologique et d mographique 44 Rayonnements ionisants m decine 36 37 77 108 119 Inde 114 Liban 129 Singapour 135 s minaires R gions de la M diterran e orientale et de l Asie du Sud Est 142 Rayonnements ionisants protection 36 37 60 77 86 103 Tha lande 77 116 colloque Vienne 37 143 Rayons X formation de techniciens Afghanistan 108 Ceylan 108 Ethiopie 86 127 Inde 108 Indon sie 108 Irak 86 Singapour 140 Tha lande 108 R adaptation 37 38 46 86 90 Alg rie 81 120 Ceylan 111 Chili 104 Chine Ta wan 135 Gr ce 121 Japon 137
236. alnutrition prot ique dans les r gions o l on manque d aliments contenant des prot ines animales ainsi que l examen du r le des services p diatriques dans l ducation des m res en mati re de nutrition ce s minaire qui a eu lieu dans les locaux des laboratoires de recherches sur la nutrition de Hyde rabad ont assist vingt six participants venant des pays suivants 108 LISTE DES PROJETS ASIE DU SUD EST 109 Afghanistan Ceylan Inde Indon sie N pal et Tha lande ainsi que des repr sentants du FISE et de la FAO Le s minaire a recommand que les informations relatives l utilisation efficace de denr es locales riches en prot ines notamment d origine v g tale soient largement diffus es surtout parmi les p diatres et le personnel des services de protection maternelle et infantile et de vulgarisation agricole il faudrait en particulier que les services d obst trique de p diatrie et de m decine pr ventive et sociale collaborent troitement pour mettre au point des programmes nutritionnels d ensemble pour les nour rissons et les enfants Le s minaire a galement t d avis que les services de p diatrie devraient contribuer davantage l enseignement de la nutrition aux tudiants en m decine aux praticiens de m decine g n rale au personnel de 8 sant et aux m res fr quentant les h pitaux en insistant sur les soins p diatriques pr ventifs L OMS a envoy un
237. alogues ses sessions futures Les discussions techniques ont port sur lorga nisation des services de r animation et de traitement des accident s le th me choisi pour 1965 tant le suivant Organisation et fonctionnement des centres de documentation et d information sur les empoison nements Le Comit r gional a d cid d organiser galement ses sessions futures des discussions techniques officieuses sur un petit nombre de sujets d actualit Le Comit r gional a confirm que sa quatorzi me session se tiendrait Prague en 1964 et a accept l invitation que lui a faite le Gouvernement turc de tenir sa quinzi me session Istanbul en 1965 Bureau r gional Administration Si le probl me des locaux permanents du Bureau r gional n a pas encore t compl tement r solu certains progr s ont t accomplis Le Gouvernement danois a en effet d cid de c der l Organisation une parcelle adjacente au Bureau r gional qui englobe le terrain rattach aux deux b timents actuels et le tron on de route qui les s pare Depuis le d but de 1963 le russe est devenu la troisi me langue de travail de l Organisation r gionale avec l anglais et le fran ais Le recrutement de per sonnel comp tent en nombre suffisant a soulev certaines difficult s mais l utilisation de la nouvelle langue de travail a continu se d velopper r gu li rement sinon rapidement CHAPITRE 18 R
238. amment les centres ruraux de sant les h pitaux centraux et les services de laboratoire et former du personnel de sant Pakistan 200 Bourses d tudes B Gastro ent rologie trois mois m decine des radiations deux mois organisation et fonctionnement des services de pr paration de vaccins et de s rums cinq mois et demi pr paration la profession infirmi re prolongation d une bourse pendant douze mois sant rurale six semaines soins infirmiers chirurgicaux douze mois Pakistan 201 Bourses d tudes AT Biostatistique douze mois s rologie m dico l gale huit mois statistiques d mographiques et sanitaires cinq mois R publique Arabe Unie 27 Institut sup rieur de la Sant publique Alexandrie janv 1958 fin 1965 B Organiser l Institut sup rieur de la Sant publique de fa on lui permettre de s acquitter de ses t ches principales savoir am liorer les connaissances et la formation du personnel de la cat gorie professionnelle dans tous les domaines de la sant publique promouvoir les recherches et les activit s pratiques et r soudre les probl mes pratiques de sant qui se posent en R publique Arabe Unie R publique Arabe Unie 37 Laboratoire de recherches virologi ques mars mai 1960 avril 1963 7965 B Aider les Laboratoires Agouza du Caire am nager le labo ratoire central de recherches virologiques R publique Arabe Unie 38 Centre de recherches de g nie s
239. an de travail Dans deux coles la formation des inspecteurs sanitaires a t rationalis e et renforc e Un pro gramme pilote de construction de latrines a bien avanc et des r seaux de distribution d eau sous canalisations ont t am nag s dans plusieurs villages Les r sultats obtenus en ce qui concerne la formation de personnel infirmier et d inspecteurs sanitaires ont t satis faisants Le projet de cours d orientation pour les m decins n a pas t accept par le Gouvernement Inde 150 2 Programme de sant publique Maharashtra avril 1963 fin 1965 AT FISE Am liorer l assainissement dans les r gions rurales assurer la formation du personnel d assainissement notamment la formation de base des inspecteurs sanitaires la formation en cours d emploi des techniciens de l assainissement dans les centres de sant primaires et ruraux et les cours d orientation et cr er des zones o sera form le personnel de sant rurale Inde 151 Programme de sant publique Andhra Pradesh janv 1958 nov 1962 8 FISE Ce projet avait pour but de former du personnel et de renforcer les services de sant ruraux dans les zones de d veloppement communautaire de l Andhra Pradesh L OMS a envoy un administrateur de la sant publique une infirmi re de la sant publique une infirmi re sage femme de la sant publique et une sage femme monitrice Le personnel envoy par l OMS a aid mettre en place des centr
240. ance 3 R H Hazemann Inspecteur g n ral au Minist re de la Sant publique et de la Population Paris France Dr L M Hellman Pr sident du D partement d Obst trique et de Gyn cologie de l Ecole de M decine de l Universit de l Etat de New York Brooklyn New York Etats Unis d Am rique D J Lukas Professeur d obst trique et de gyn cologie Facult de M decine Universit Charles Prague Tch coslovaquie Professeur M K K Menon Directeur de l Institut d Obst trique et de Gyn cologie Ecole de M decine de Madras Inde Professeur W C W Nixon Directeur du Service d Obst trique University College Hospital Londres Angleterre Comit d experts du Paludisme Rio de Janeiro 12 19 septembre 1963 D M K Afridi Consultant honoraire paludologie Division de 18 Sant Minist re de la Sant du Travail et de la Pr voyance sociale Karachi Pakistan Dt R H Black Ma tre de conf rences principal de m decine tropicale Ecole de Sant publique et de M decine tropicale Universit de Sydney Australie Professeur N Duhanina Chef de la Section d Epid miologie Institut de Parasitologie m dicale et de M decine tropicale Moscou Union des R publiques socialistes sovi tiques D M de Oliveira Ferreira Directeur de la campagne de lutte contre le paludisme et d radication Rio de Janeiro Br sil 3 A Gabald n Consultant honoraire Bureau de la Paludo logi
241. ance de POMS dans une r gion de l Inde du sud carac t ris e par une fr quence globale lev e de la sensibilit non sp cifique la tuberculine H r sulte de ce rapport que la fr quence de la tuberculose a t notablement plus faible dans le groupe vaccin que dans le groupe t moin Des tudes sur la pratique simultan e de 18 vaccination par le BCG et de la vaccination anti variolique ainsi que sur les effets de 18 vaccination par le BCG sans preuve tuberculinique pr alable ont t effectu es dans le cadre de plusieurs projets b n ficiant en Afrique et en Asie de l assistance de POMS Les r sultats pr liminaires permettent de penser que ces deux m thodes pourraient tre adopt es sans incon v nient par les services de sant publique si ces conclusions devaient tre confirm es par les recherches en cours il serait possible de rendre moins co teuse la vaccination par le BCG de faciliter l int gration de cette vaccination dans les attributions r guli res des services sanitaires g n raux et d atteindre de plus larges couches de population Une analyse des cas de maladie tuberculeuse observ s parmi des sujets vaccin s par le BCG en France a t publi e dans le Bulletin de POMS Maladies v n riennes et tr pon matoses La tendance une augmentation de la fr quence de la syphilis r cente et de la blennorragie dans le monde sur laquelle les Rapports annuels pour 1961 et 1962 avaie
242. ani taire Universit d Alexandrie oct 1958 fin 1965 AT Organiser un laboratoire et un centre de recherches de g nie sanitaire et renforcer l enseignement de cette discipline R publique Arabe Unie 48 Laboratoire de contr le des m dica ments mars 1961 1964 AT Cr er un laboratoire national de contr le des m dicaments qui examinera la qualit des pr parations pharmaceutiques former du personnel technique R publique Arabe Unie 49 Projet pilote et centre de formation pour la lutte contre la bilharziose Ganv 1961 fin 1965 B FISE Exp rimenter les divers moyens de lutte contre la bilharziose afin de choisir ceux qui se pr tent l application la plus efficace et la moins co teuse dans la R publique Arabe Unie Ce projet sera amplifi de mani re aboutir la cr ation d un centre de d monstrations pratiques et de formation professionnelle pour la R gion R publique Arabe Unie 50 Enseignement infirmier ao t 1961 fin 1965 AT FISE Pr parer des infirmi res dipl m es assumer des responsabi lit s en ce qui concerne l am lioration des services infirmiers et de l enseignement infirmier dans tout le pays par le moyen d un projet pilote mis en uvre l H pital et Ecole d Infirmi res Ahmad Maher R publique Arabe Unie 200 Bourses d tudes B Diagnostic cytologique du cancer six mois fondements sociaux de l ensei gnement douze mois pr paration de vaccin antidip
243. anques de r f rence conservent actuellement sous forme congel e ou sous forme lyophilis e pr s de quatre vingts collections repr sentant des populations tr s diverses Ces centres ont en particulier proc d des enqu tes immunologiques sur diverses maladies virus poliomy lite infections arbovirus rougeole et grippe ainsi qu des recherches sur la stabilit des lipides et des pepsines du sang selon divers modes de conservation et de stockage ils ont aussi tudi dans quelle mesure le mode de conservation cong lation ou lyophilisation la temp rature et les conditions de stockage peuvent modifier le degr et la dur e de stabilit des diff rents types d anticorps pr sents dans les s rums Les r sultats pr liminaires n indiquent aucune d t rioration notable des composants sanguins ni des anticorps tudi s Les banques de r f rence des s rums participent d sormais aux enqu tes s rologiques sur les tr pon matoses que POMS ex cute ou envisage d ex cuter au Nig ria aux Philippines en Tha lande et au Togo voir page 8 La banque de r f rence de Prague conserve un certain nombre de parties aliquotes de tous les chantillons de s rums recueillis les trois banques tudient en collaboration ces l ments qui peuvent fournir des renseignements int ressants sur l tat d immunit de certaines populations au sujet desquelles on ne poss de encore cet gard que des do
244. antile combin avec l enseignement infirmier dispens aux infirmi res Protectorat britannique des les Salomon 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique six mois 140 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Samoa Occidental 3 Lutte contre la tuberculose juin 1960 fin 1963 B FISE D velopper et am liorer le dispensaire pour affections pulmo naires de l h pital d Apia et en faire un quartier g n ral pour l ex cution du programme national de lutte antituberculeuse en m me temps que le principal service du Samoa Occidental ex cuter un programme de d pistage confi une quipe mobile ayant sa base au quartier g n ral national et un programme pr ventif Samoa Occidental 6 Administration de la sant publique Services consultatifs ao t 1963 1965 B Proc der une enqu te sur les conditions sanitaires et pr parer des plans nationaux long terme en fonction des ressources disponibles et du programme conomique et social d ensemble renforcer l organisation et l administration des services de sant tous les chelons Samoa Occidental 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique deux bourses de six mois chirurgie douze mois cours pour assistants dentaires deux bourses de douze mois cours pour assistants d inspecteurs sanitaires deux bourses de douze mois cours pour assistants m dicaux deux bourses de douze mois tudes de m decine douze mois
245. argeraient le personnel qualifi de tous les soins courants Afin d aider les pays qui se proposent de former des auxiliaires dentaires l OMS a pr par des sch mas de cours en fran ais et en anglais qui seront distribu s dans les bureaux r gionaux Les sujets trait s sont notamment l hygi ne l ducation en hygi ne dentaire anatomie dentaire la physiologie l histologie g n rale et dentaire la pathologie g n rale et dentaire la pharmacologie et la th rapeutique den taires l anesth sie locale et les techniques d extraction Ces sch mas contiennent galement un suppl ment la liste de fournitures et de mat riel de dentisterie et d enseignement que POMS avait d j recommand s pour les petites coles d auxiliaires dentaires Au Soudan o la p nurie de dentistes est parti culi rement grave POMS 8 continu d accorder son aide l cole d assistants dentaires la premi re pro motion est sortie la fin de l ann e 1962 et au d but de 1963 une seconde promotion 8 commenc de suivre les cours qui durent normalement deux ans L OMS a continu collaborer avec la F d ration dentaire internationale et a t repr sent e son assembl e annuelle Stockholm des propositions y ont t formul es en ce qui concerne les activit s que POMS pourrait entreprendre notamment dans les domaines de l ducation et de la recherche dentaires Sant mentale En 1963 l OMS a continu
246. asion des repr sentants de vingt quatre pays ont entendu des communications scientifiques pr sent es par des physiciens des sp cialistes de l hygi ne industrielle des m decins des toxicologues et des techniciens de extraction et du traitement des minerais Les participants ont fait le point de la situation dans les diff rentes r gions du monde et propos des mesures visant prot ger la sant et assurer la s curit des travailleurs du secteur en question R adaptation m dicale Un comit d experts s est r uni en juillet pour faire le point des derni res connaissances acquises dans le domaine de la r adaptation des malades cardio vasculaires Il 8 tudi les divers aspects cliniques physiologiques psychologiques professicnnels et socio conomiques de la r adaptation Le Comit a estim que l adaptation psychologique du malade une affection cardio vasculaire d pendait pour une large part de son propre comportement ainsi que de celui de son m decin des autres membres de l quipe sanitaire et de sa famille 8 insist sur la n cessit d entreprendre une psychoth rapie appropri e d s 15 d but du traitement Le Comit s est pr occup des moyens d valuer la capacit de travail des malades il 8 examin en particulier les m thodes cliniques qui compl t es par des tests pratiques permettent de d terminer leur aptitude physique les probl mes pos s par l environnement et le
247. ation sanitaire voir page 31 ainsi que l enseignement sup rieur et la recherche L OMS travaille avec l UNESCO un projet de film commun pour la t l vision sur l enseignement et la formation dans leurs rapports avec la sant qui sera consacr en particulier au centre de formation en sant publique de Gondar Ethiopie et la formation d tudiants en m decine congolais en France Cette production se rattache la s rie de films sur des probl mes d enseignement et de formation profes sionnelle que parraine l UNESCO L OMS a galement t repr sent e 8 la deuxi me session du Comit consultatif international de Biblio graphie de Documentation et de Terminologie de l UNESCO AIEA Un colloque sur la protection radiologique dans l extraction et le traitement des minerais nu cl aires a t organis Vienne conjointement avec PAIEA et POIT voir page 37 et l OMS a galement particip un colloque sur les crit res pour le choix du site des r acteurs et des centres d tudes nucl aires qui s est tenu Bombay D autre part un certain nombre de r unions mixtes de planification avec l AIEA ont t convoqu es pour assurer la coordina tion des travaux d int r t commun Banque internationale pour la Reconstruction et le D veloppement Des consultations et des discussions ont eu lieu entre POMS et la Banque internationale pour la Reconstruction et le D veloppement quant aux moyens qui permet
248. ation statistique inter nationale des maladies traumatismes et causes de d c s a t poursuivie Les propositions formul es par un certain nombre de pays en vue d am liorer diff rentes sections de la Classification ont fait l objet de rapports int rimaires que l OMS a diffus s afin de favoriser les changes de vues sur le plan international et de stimuler l int r t pour la Revision De nouveaux pays ont alors pr sent leurs propres propositions ou comment celles qui leur avaient t communiqu es Dans la R gion des Am iques le comit consultatif r gional de la classification des maladies s est r uni en juin et a r dig pour ce taines pa ties de la Revision un projet glcbal fond sur les opinions mises dans divers pays de la R gion la suite des essais importar ts effectu s par le Centre latino am icain de Classement des Maladies Le Centre OMS de Classement des Maladies 0 1 65 a galement proc d de nombreuses tudes des textes propcs s et il en a fait l analyse c itique Etant donn les divergences de vues existant au sujet de la classification des troubles mentaux cette section appelle une tude sp ciale Aussi a t on convoqu en septembre une r union de psychiatres et de statisticiens sanitaires qui se sont eorc s de mettre au point une formule de compromis acceptable A sa r union d octobre le Sous Comit de la Classification des Maladies devait passer en revue les
249. ationaux sp cialis s dans les virus seront invit s participer au projet de fa on augmenter la masse des renseignements sur la distribution des maladies virus Pour commencer les rapports ne seront distribu s qu aux laboratoires participants Virus des voies respiratoires L Grippe Le r seau des centres OMS pour la grippe s est enrichi de quatre nouveaux centres nationaux Il existe maintenant soixante huit centres nationaux en plus du Centre mondial de la Grippe de Londres et du Centre international de la Grippe pour les Am riques install Atlanta Comme par le pass la collaboration entre les centres les services de sant publique et les bureaux de POMS a permis de r unir de nombreux renseignements sur les virus responsables des end mies de grippe Une importante pid mie due au virus A2 s est produite aux Etats Unis d Am rique au d but de 1963 A la m me poque des pouss es dues ce m me virus taient galement enregistr es dans plusieurs pays d Europe dont la R publique f d rale d Allemagne Un peu plus tard au cours de l hiver austral d autres pouss es dues au virus A2 ont t signal es par certains pays d Am rique du Sud notamment l Argentine le Br sil et le Chili et par l Afrique du Sud Au cours de la m me p riode le virus grippal B n a t isol que dans quelques cas sporadiques ou quelques petites pouss es localis es Des laboratoires de Chine Ta wan
250. ats Unis d Am rique et dans neuf pays europ ens sur la base d un projet pilote de port e limit e sont actuellement appliqu es sur une chelle plus vaste et l on esp re ainsi mettre au point une m thodologie susceptible d tre utilis e dans l ensemble du monde 1 Actes off Org mond Sant 122 Abel Smith B 1963 Paying for health services Organi sation mondiale de 13 Sant Gen ve Cahiers de Sant publique N 17 Edition fran aise en pr paration 28 SERVICES DE SANT RURAUX EN GR CE En vue de d velopper en Gr ce les services de sant ruraux une zone de d monstrations 8 t cr e avec l assistance du FISE et de l OMS dans le district de Larissa Thessalie qui compte 250 000 habitants Une visiteuse d hygi ne fait sa tourn e dans un village typique de la zone de d monstrations Une quipe dentaire se rend dans toutes les coles et examine de cinquante quatre vingts enfants par jour Des fillettes se rendent dans un des dispensaires Pour bien travailler l cole il faut de La visiteuse d hygi ne s est arr t e pour mobiles o tous les coliers de la zone sont soumis bonnes oreilles Un m decin v rifie examiner un nourrisson un d pistage syst matique de la tuberculose l acuit auditive d une fillette ACTION SANITAIRE DANS LA R GION DU PACIFIQUE OCCIDENTAL Dans un h pital pour enfants proche de Manille Philippines le FISE et PO
251. aux les plus urgents On continue d accorder une priorit de premier rang la formation du personnel national qu exige le nombre croissant de programmes ex cut s dans 18 R gion Des arrangements ont t conclus en vue de la cr ation de deux centres de pr paration l radica tion du paludisme destin s respectivement des participants anglophones et francophones L un de ces centres cr Lagos a d j organis quatre cours qui ont t suivis par cinquante six participants y compris des membres du personnel professionnel l autre sera ouvert Lom en 1964 Les quipes consultatives de l OMS pour la lutte antituberculeuse ont valu l importance de cette maladie et ont donn des avis sur la possibilit de mettre en uvre des programmes de lutte en C te d Ivoire au Dahomey au Mali ainsi qu au Nig ria septentrional et oriental Des plans ont t tablis en vue d assurer une assistance analogue au Burundi au Cameroun la Guin e la Mauritanie et au Togo Le centre r gional d tudes pid miologiques sur la tuberculose install Nairobi analyse les donn es statistiques et pid miologiques transmises par les quipes consultatives ou manant du personnel affect aux projets pilotes met au point des protocoles techniques pour des projets et remplit le r le d un organisme coordonnateur en maintenant une liaison avec les projets ex cut s dans les pays ainsi qu avec le
252. aux pr paratoires ont t entrepris En pr vision d un essai pratique qui aura pour cadre un atoli de l archipel Cook POMS a pr t son assistance l Universit de Bristol Angleterre pour des tudes de base sur un agent pathog ne du moustique qui semble prometteur Dans la R publique Arabe Unie des recherches effectu es dans une oasis du plateau libyen ont r v l que pour choisir les plantes dont ils se nourrissent les m les d Anopheles sergenti font preuve d une discrimination jusqu alors insoup onn e et qui facilitera peut tre beaucoup 18 mise au point de nouvelles mesures de lutte L Organisation a continu d assurer la diffusion de rapports de consultants et d tudes de collaborateurs ext rieurs afin de faciliter la mise en uvre du pro gramme de recherches concert es sur les moyens de lutte biologique et d amener de nouveaux chercheurs s int resser aux aspects biologiques d autres ques tions relatives l hygi ne du milieu Un article sur la destruction des larves d Anopheles gambiae Giles par un champignon du genre Coelomomyces a t publi dans le Bulletin de POMS 1 Muspratt J 1963 Bull Org mond Sant 29 81 86 CHAPITRE 4 SERVICES DE SANT PUBLIQUE Administration de la sant publique 18 suite d une recommandation faite en 1961 par un groupe scientifique OMS des recherches sur l action de sant publique POMS a entrepris des tudes sur les condit
253. avis techniques du Si ge ou des bureaux r gionaux Pour les projets int ressant un pays on 8 indiqu le but que se sont fix le ou les gouvernement s int ress s lors de l tablissement du projet Des pr cisions sur l aide apport e par l OMS et sur le travail accompli sont donn es pour les projets arriv s leur terme elles concernent la totalit de la p riode pendant laquelle le projet a b n fici de Passistance de POMS On n a pas fait figurer ces indications pour les projets en cours d ex cution Comme dans les pr c dents Rapports annuels on s est efforc de donner un bilan sommaire des projets pour lesquels l aide de POMS a pris fin pendant la p riode consid r e et lorsque la nature du travail le permettait d estimer ou d valuer dans quelle mesure le projet a atteint les buts qui lui avaient t fix s Cependant il n a pas t possible de le faire pour tous les projets arriv s leur terme et notamment pour ceux qui ont pris fin dans les derniers mois de la p riode examin e Les projets sont group s par R gion dans l ordre suivant Afrique Am riques Asie du Sud Est Europe M diterran e orientale Pacifique occidental Dans chaque R gion les projets qui concernent plusieurs pays viennent en t te et sont d sign s par les abr viations AFRO AMRO SEARO EURO EMRO et WPRO les projets qui concernent un seul pays suivent dans l ordre alphab tique des pays Les projets interr gio
254. ays qui manquent des moyens n ces saires pour mener bien des campagnes d radication du paludisme on entreprend des programmes pr radication qui visent organiser une infrastructure sanitaire et un service antipaludique national et cr er ainsi les bases requises pour l radication proprement dite Au 30 septembre 1963 POMS avait fourni une assistance vingt pays dont neuf en Afrique pour des programmes de ce genre La formation de personnel tant pour les quipes consultatives internationales que pour les campagnes nationales s est poursuivie dans les centres inter nationaux de pr paration l radication du palu disme de Belgrade Yougoslavie S o Paulo Br sil Kingston Jama que Lagos Nig ria et Maracay Venezuela Les quatre premiers centres ont b n fici d une aide soit de POMS soit de POPS Au centre de Lagos le premier cours a commenc la fin de 1962 Le centre international de Manille Philippines auquel POMS pr te son assistance a t rouvert en septembre 1963 les travaux de construction et d am nagement d un centre analogue Lom Togo sont tr s avanc s L OMS a aid les centres nationaux de formation en Ethiopie Inde Indon sie Iran au Pakistan oriental et occidental et au Soudan L ancien centre international du Caire en R publique Arabe Unie fonctionne maintenant comme centre national En outre des cours sp ciaux d entomologie ont t donn s
255. bliques sovi tiques ans 1 D sign par le Gouvernement du S n gal en remplacement 4 Suppl ant du Professeur G A Canaperia de M A Ciss Dia 5 Suppl ant du D E Riahy 5 Suppl ante du Professeur M Kacprzak 5 particip 18 trente deuxi me session en remplacement 5 D sign par le Gouvernement de la Colombie en remplace du Dr 5 Syman d c d le 22 mai 1963 ment du D L Pati o Camargo i ANNEXE 3 149 Annexe 3 TABLEAUX ET COMIT S D EXPERTS 1 TABLEAUX D EXPERTS Au 30 septembre 1963 des tableaux d experts avaient t constitu s pour les sujets suivants Additifs alimentaires Administration de la sant publique Antibiotiques Brucellose Cancer Chol ra Drogues engendrant la toxicomanie Education sanitaire Formation professionnelle et technique Laboratoires de sant publique L pre Maladies virus Maladies cardio vasculaires Maladies d g n ratives chroniques Maladies intestinales Maladies parasitaires Maladies v n riennes et tr pon matoses M decine du travail Pharmacop e internationale et pr para tions pharmaceutiques Pollution de lair Quarantaine internationale Radiations Rage R adaptation Recherche m dicale Sant des gens de mer du personnel m dical et auxiliaire Nutrition G n tique humaine Hygi ne de la maternit et de l enfance Paludisme Hygi ne dentaire Peste Hygi ne du milieu Immunologie Insectic
256. ca tion du paludisme approchent de la phase d entretien La lutte contre le pian sur tout le territoire de la Tha lande et Java Indon sie est assez avanc e pour tre confi e des services de sant ruraux Le vaste programme d radication de la variole qui a commenc cette ann e en Inde s ach vera dans deux ans et la phase d entretien qui suivra incombera n cessairement aux services sanitaires de base De m me pour obtenir un recul marqu de la tuberculose par l emploi de la chimioth rapie domicile comme on en a fait l essai et la d monstration dans les projets ex cut s avec l aide de POMS Madras et Bangalore on doit pouvoir compter sur la collaboration de centres de sant ais ment accessibles tous ceux qui peuvent en avoir besoin En dehors m me de l int gration des programmes sp ciaux des centres g n raux sont indispensables pour assurer des services sanitaires de base aux habitants des campagnes qui repr sentent 80 de la population de la R gion Ce lent d veloppement des services de sant ruraux est principalement imputable d une part au manque chronique de fonds et d autre part la tr s grave p nurie de personnel qualifi On notera pourtant cet gard les efforts consid rables faits par les gouver nements pour augmenter le nombre des coles de m decine et d infirmi res ainsi que le nombre de candidats form s Le Gouvernement afghan 8 d cid d
257. ce des conditions sociales sur la sant des femmes Le Comit a fait le point des connaissances actuelles sur le r le des facteurs conomiques et sociaux dans l apparition et dans le traitement des troubles obst tricaux et gyn cologiques et il a d fini les secteurs o les recherches devraient tre approfondies Il a formul des recommandations sur les moyens employer pour faire appr cier aux futurs m decins et sp cialistes pendant leur p riode de formation Fimportance des facteurs sociaux dans la m decine en g n ral et plus particuli rement en obst trique et en gyn colcgie Au cours de la conf rence sur la sant rurale r unie en avril 1963 par la Commission du Pacifique sud Papeete Tahiti le repr sentant de POMS a insist 32 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 sur l importance qu il convient de donner aux aspects pr ventifs et sociaux dans l enseignement des soins de protection maternelle et infantile La n cessit d int grer la pr vention et la m decine sociale dans la formation du personnel tous les niveaux est galement soulign e dans la s rie de cours que l Institut d Hygi ne de l Enfance de Londres avec l appui du FISE et de l OMS offre de futurs professeurs d universit et responsables de la pro tection infantile dans les pays en voie de d veloppement la demande de l Organisation des Nations Unies POMS a r dig pour le cycle d tudes ONU sur les droits
258. ce du probl me de la l pre dans les pays de la zone et pr parer des programmes de lutte antil preuse AMRO 268 Cours de p diatrie 1963 B Centre international de l Enfance Collaborer avec le Gouvernement et l Universit du Chili pour la mise au point d un cours de p diatrie sociale et clinique AMRO 269 Nutrition Services consultatifs zone I 8001 1961 8 Donner des avis sur les programmes de nutrition et sur leur int gration dans les activit s des services de sant locaux AMRO 284 Enseignement dentaire 1962 B Am liorer l enseignement dentaire dans les pays de la R gion AMRO 305 Lutte contre la l pre zone VI 1962 8 Aider ex cuter dans les pays de la zone VI des programmes antil preux faisant appel des m thodes et techniques mo dernes Ce projet continue les projets Argentine 28 et Paraguay 9 AMRO 316 Lutte contre la tuberculose zone IV 1962 8 OPS Mettre au point des programmes antituberculeux dans les pays de la zone Antilles britanniques 3 Services infirmiers ao t 1959 B Former des infirmi res am liorer et d velopper les services infirmiers Antilles britanniques 5 Bourses d tudes B Montserrat soins infirmiers de sant publique douze mois Saint Christophe soins infirmiers de sant publique dix mois Sainte Lucie g nie sanitaire douze mois soins infirmiers de sant publique douze mois Antilles britanniques 9 Bourses d
259. ce et la technique 57 Comit consultatif de la Recherche m dicale 42 46 72 composition 151 152 Comit de la Quarantaine internationale 4 20 Comit de l Assistance technique 59 Comit de l Habitation de la Construction et de la Planification 24 58 Comit des Renseignements relatifs aux Territoires non auto nomes ONU 59 Comit du D veloppement industriel ONU 58 Comit international sur les Animaux de laboratoire 29 48 61 Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires 36 60 142 150 151 Comit permanent du B timent du Si ge 56 Comit scientifique des Nations Unies pour l Etude des Effets des Radiations ionisantes 59 Comit s et sous comit s d experts 149 151 152 154 appr ciation m dicale de l tat de nutrition 35 chimioth rapie du cancer 33 drogues engendrant la toxicomanie 46 exercice de la m decine g n rale 29 149 formation professionnelle et technique du personnel m dical et auxiliaire stimulation de l int r t des omnipraticiens pour la m decine pr ventive 40 149 helminthiases helminthes transmis par le sol 18 149 150 h patite 15 hygi ne de la maternit et de l enfance le point de vue social dans l enseignement de l obst trique et de la gyn cologie 31 150 infections gonococciques 8 insecticides 25 26 27 Comit s et sous comit s d experts suite normes internationales pour l eau de boisson 24 paludisme 4 150 pollution de l
260. chimie et les propri t s des bact riophages pour caract riser les diff rentes souches Certaines souches isol es sur des porcins et que lon avait identifi es comme tant d esp ce Br melitensis se sont r v l es tre des souches de Br suis Un aper u g n ral de l tat des recherches sur les Brucella phages a t publi dans le Bulletin de 4 La campagne entreprise avec l aide conjointe de la FAO et de POMS en vue d enrayer et d extirper la brucellose des caprins dans l le de Malte s est poursuivie Pendant l ann e certaines modifications ont t apport es aux plans afin d encourager davantage les leveurs assainir leurs troupeaux en abattant les animaux infect s et produire du lait qui ne soit pas contamin par Brucella 5 Meyer M E amp Cameron H S 1963 Bull Org mond Sant 28 499 503 5 Dro evkina M 5 1963 Bull Org mond Sant 29 43 57 10 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Rage La quatri me preuve coordonn e de 86 vaccination sur l homme par des vaccins inactiv s d un pouvoir antig nique plus ou moins lev a t entreprise en Ethiopie au d but de 1963 Le plan original a toutefois d tre modifi en raison de difficult s techniques et on 8 d par cons quent 56 r signer faire une exp rience plus limit e Les tudes entreprises pour faire prolif rer le virus rabique par diverses m thodes de culture tissulaire e
261. cial ONU d experts sur le d veloppement communautaire et d un groupe d tude sur la formation d animateurs locaux du d veloppement communautaire organis Bang kok par la Commission conomique pour l Asie et l Extr me Orient CEAEO La collaboration s est poursuivie avec l Organisa tion des Nations Unies et les institutions apparent es en ce qui concerne les pr paratifs de la Deuxi me Conf rence mondiale de la Population qui se tiendra en 1965 voir aussi page 45 et POMS a particip Document ONU E 3772 57 58 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 comme les ann es pr c dentes des consultations pour la mise au point d un manuel des enqu tes sur les m nages L OMS a affect un ing nieur sanitaire aupr s du centre ONU de mise en valeur des ressources hydrau liques et elle a continu de fournir au Comit de Coordination des Etudes sur le Bassin inf rieur du M kong des avis concernant les aspects sanitaires des projets de mise en valeur des ressources hydrauliques de cette r gion Il est fait mention au chapitre 3 et dans les chapitres de 18 partie 11 de la contribution apport e aux programmes OMS d approvisionnement public en eau par la Banque internationale pour la Recons truction et le D veloppement le Fonds sp cial des Nations Unies les commissions conomiques r gionales des Nations Unies la FAO l Inter American Development Bank et d autres institutions intergou
262. ciant de l aide de l OMS d aider tablir un programme de vaccination BCG destin l ensemble du pays ainsi qu un projet de zone pilote qui comprendrait des hameaux choisis en raison de leur position strat gique Singapour Radioth rapie Un consultant a t charg de d cembre 1962 f vrier 1963 de donner des avis sur l tablis sement d un d partement de radioth rapie et sur la mise au point de services de radioth rapie Singapour Nutrition Un consultant a t charg pendant trois mois de juillet septembre 1963 d aider l Universit de Singapour et le Gouvernement introduire dans les pro grammes d tudes m dicales universitaires et post universi taires comme dans la formation du personnel sanitaire et infirmier un enseignement appliqu d hygi ne alimentaire et de donner des avis sur la cr ation d un service de la nutrition WPRO 83 Services consultatifs de protection maternelle et infantile dans le Pacifique sud avril 1962 AT Commis sion du Pacifique sud Etudier les mesures prendre au sujet de l hygi ne de la maternit et de l enfance dans certains territoires du Pacifique sud en vue de d terminer quels sont les principaux probl mes sanitaires ainsi que la morbidit et la mortalit qui peuvent tre vit es chez les m res et les enfants et de proposer des programmes de sant publique qui permettraient d am liorer la situation compte tenu des possibi
263. coles les h pi taux et les services de sant publique cr er de nouvelles coles d infirmi res dans l int rieur du pays LISTE DES PROJETS LES AM RIQUES 107 P rou 22 Services nationaux de sant publique janv 1956 7965 AT OPS FISE Renforcer l activit des services de sant publique centraux et locaux en mati re de planification d valuation et de coordi nation d velopper les services de la zone sanitaire de Junin sur le plan r gional et sur le plan local P rou 23 Mission commune d action aupr s des populations aborig nes janv 1957 AT FISE ONU OIT FAO UNESCO Favoriser le d veloppement conomique et social des popu lations aborig nes des hauts plateaux des Andes de fa on faciliter leur int gration dans la collectivit nationale P rou 30 D veloppement des approvisionnements publics en eau juillet 1960 7965 AT OPS Fonds sp cial pour l approvision nement public en eau Inter American Development Bank Par l interm diaire du Minist re du D veloppement et des Travaux publics mettre en uvre un programme national d approvisionnement public en eau plans construction fonctionnement R putlique Dominicaine 3 Enseignement infirmier ao t 1958 1965 B Renforcer l Ecole nationale d Infirmi res en pr parant des monitrices en am liorant les possibilit s de formation pratique et en d veloppant le programme d tudes de fa on y inclure des cours sur l
264. cours du Ministre de la Sant publique de Tha lande le D Phra Bamras Naradura Le Comit r gional a ent rin pour transmission au Directeur g n ral le projet de programme et de budget de la R gion pour 1964 qui pr voit un montant total de d penses de pr s de 13 500 000 y compris le co t du mat riel et des fournitures qui doivent tre fournis par le FISE Il a examin le rapport annuel du Directeur r gional sur l activit de POMS dans la R gion durant la p riode de douze mois commen ant le 1er ao t 1962 et il a tudi diverses autres questions Ayant constat que le progr s des campagnes de masse contre certaines des grandes maladies trans missibles tait en avance sur le d veloppement des services g n raux de sant le Comit r gional a estim que le renforcement de ces services de base devait passer au premier plan afin qu ils puissent prendre en charge l ex cution des programmes sp ciaux Il a recommand cette fin que les gouvernements orga 78 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 nisent m thodiquement pour cinq dix ans des programmes de formation d auxiliaires m dicaux polyvalents appel s travailler sous la surveillance du personnel qualifi Le Comit r gional a pris note avec satisfaction des progr s continus de l radication du paludisme mais il a insist sur l urgente n cessit d assurer une surveil lance efficace et continue dans les zones o s amorce l
265. couverture totale et retard l ach vement de la phase d attaque dans la partie m ridionale de l Iran ainsi que dans le nord de l Irak Au Pakistan o pr s de quatre vingt dix millions de personnes sont expos es au risque du paludisme le programme d radication se d veloppe dans de bonnes conditions En Libye o le probl me rev t moins d ampleur l radication du paludisme a t presque enti rement r alis e La Tunisie et la R pu blique Arabe Unie sont en train de mettre sur pied des services locaux de sant qui permettront de passer ensuite l application de mesures intensives d radication Des programmes pr radication ont t entrepris en Arabie Saoudite en Ethiopie en Somalie et au Soudan La formation de personnel d radication du palu disme continue progresser de fa on satisfaisante et dans deux pays les programmes ont t largis de mani re inclure une formation en mati re d du cation sanitaire au Pakistan o un premier groupe de quatorze ducateurs sanitaires ont re u une forma tion pour les programmes antipaludiques et au Sou dan o un nouveau centre de formation a t cr Les programmes d radication du paludisme ex cut s dans des pays poss dant des fronti res communes font l objet d une coordination tr s pouss e diverses r unions certaines desquelles ont particip des repr sentants de pays appartenant des R gions voisine
266. ction contre les radiations quatre mois traitement orthophonique quatre mois Canada 2 Consultants pour les probl mes sp ciaux de sant publique 1962 B Donner des avis consultatifs sur des probl mes sp ciaux de sant publique Canada 3 S minaire itin rant sur la formation des m decins et du personnel de sant publique 20 avril 15 mai 1963 B OPS Deux repr sentants d coles de sant publique du Canada ont pris part au s minaire itin rant qui leur a permis de visiter des coles de sant publique en France aux Pays Bas dans la R publique f d rale d Allemagne au Royaume Uni en Su de et en Yougoslavie voir aussi le projet Etats Unis d Am rique 12 Canada 200 Bourses d tudes B Administration des h pitaux trois mois architecture des h pitaux neuf mois organisation de l enseignement en sant publique douze mois Chili 21 Centre de r adaptation 1960 7966 AT Organiser Santiago un centre moderne de r adaptation pour le traitement des diminu s physiques et pour la formation du personnel Chili 22 Institut de M decine du Travail 961 AT Fonds sp cial des Nations Unies Cr er un institut de m decine du travail qui assurera les services n cessaires et fera fonction de centre de formation pour le Chili et pour d autres pays Chili 25 Bourses d tudes B Organisation de l enseignement de la m decine trois bourses d un mois deux de trois mois Chili 31 Ecol
267. d envisager ce qui pourrait tre fait pour les am liorer notamment du point de vue pid miologique de rechercher les moyens de renforcer l action de sant publique en accentuant son orienta tion sociale et ducative d organiser enfin une coop ration europ enne dans la lutte contre les maladies v n riennes L OMS a envoy Stockholm un consultant et deux conseil lers temporaires et elle a pris sa charge les frais de vingt participants venus des pays suivants Autriche Belgique Bulgarie Danemark Espagne Finlande France Hongrie Islande Italie Norv ge Pays Bas R publique f d rale d Alle magne Royaume Uni Su de Suisse Tch coslovaquie Turquie Union des R publiques socialistes sovi tiques et Yougoslavie La Pologne s tait fait repr senter ses frais La FAO et l Union internationale contre le P ril v n rien et les Tr pon matoses ont envoy chacune un observateur EURO 245 1 S minaire sur 18 protection sanitaire des personnes g es et des vieillards et sur la pr vention du vieillissement pr matur Kiev 14 22 mai 1963 B 1 s agissait principalement de discuter des aspects pr ventifs de la g rontologie et de la g riatrie et du r le que peuvent jouer les facteurs de la vie quotidienne dans la pr vention du vieil lissement pr matur Ont t galement examin s les sujets suivants soins m dicaux aux personnes g es probl mes li s la retraite et probl mes
268. daptation L OMS a envoy deux moniteurs de physioth rapie accord deux bourses d tudes l une d un an et l autre de deux ans et livr des fournitures et du mat riel L organisation d un enseignement de base dispens en deux ans l cole de physioth rapie de Colombo a donn des r sultats satisfaisants Cinquante deux tudiants ont t dipl m s pen dant la p riode o le projet b n ficiait de l aide de POMS Gr ce leur concours le d veloppement des services de physioth rapie a remarquablement progress dans le pays Seize autres tudiants suivent actuellement les cours de l cole Deux physioth rapeutes exp riment s qui avaient re u une formation tr s pouss e se sont sp cialis s dans l enseignement L cole est maintenant en mesure de donner ses l ves une solide formation de base en physioth rapie LISTE DES PROJETS ASIE DU SUD EST 111 Ceylan 56 Lutte contre la filariose d c 1959 avril juillet 1961 sept 1961 ao t 1963 7966 AT D velopper le programme de lutte contre la filariose et introduire toutes nouvelles mesures qui s av reraient n cessaires Ceylan 58 Eradication du paludisme ao t 1960 fin 1966 CSEP AID Eliminer le paludisme de l ensemble du pays et emp cher le retour l end micit Ceylan 63 Lutte contre la poliomy lite et r adaptation des polio my litiques avril 1962 fin 1966 AT Faire des enqu tes pid
269. de Recherches de G nie sanitaire Nagpur f vr 1961 fin 1965 B Fonds sp cial des Nations Unies Faire de l Institut central de Recherches de G nie sanitaire de Nagpur un centre important de recherches sur les probl mes d assainissement coordonner les programmes de recherche et former des chercheurs Inde 178 Production de vaccin antipoliomy litique janv 1963 1965 B Produire du vaccin antipoliomy litique virus vivants att nu s administrable par voie orale Inde 182 Renforcement des services de sant pid miologie mars 1963 fin 1968 AT Cr er ou am liorer les services d informations sanitaires des Directions de la Sant des divers tats et d velopper les instal lations du Central Institute for Communicable Diseases de Delhi en vue de l enseignement de l pid miologie Inde 183 Enseignement de la m decine Goudjerate d c 1962 1968 AT D velopper l enseignement de la m decine et la recherche m dicale l Ecole de M decine de Baroda Inde 192 Centre de m decine des radiations Bombay janv 1963 fin 1965 B Encourager l initiation du personnel m dical l application des radio isotopes dans les recherches m dicales ainsi que dans le diagnostic et le traitement des maladies humaines Inde 193 Projet pilote de lutte contre le t tanos avril 1963 1965 B Etudier l pid miologie du t tanos dans le Pendjab et exp ri menter sur le terrain les diff rents compo
270. de contr le et d radication des maladies transmissibles aux administrations g n rales de la sant au fur et mesure que leur organisation et leur dotation en personnel s am liorent et qu elles deviennent capables d assumer des responsabilit s plus tendues Des documents traitant de diff rents aspects du probl me ont t r dig s et seront soumis un groupe d experts qui se r unira dans les premiers mois de 1964 afin de formuler des directives g n rales pour le d veloppe ment des services de sant ruraux Il va sans dire qu une grande souplesse sera n cessaire pour per mettre l adaptation de ces directives aux besoins et aux coutumes des diff rents peuples int ress s D autres recherches concernant l action de sant publique sont mentionn es ci apr s dans les sections relatives l organisation des soins m dicaux et l hygi ne de la maternit et de l enfance Le Deuxi me rapport sur la situation sanitaire dans le monde 1957 1960 dont le texte provisoire avait t soumis la Quinzi me Assembl e mondiale de la Sant est paru dans la s rie des Actes officiels Un rapport int rimaire sur la p ricde 1961 1962 destin la Dix Szpti me Assembl e mondiale de la Sant en mars 1964 est en pr paration il est con u sur le m me mod le que le deuxi me rapport Organisation des soins m dicaux Etant donn que des pays de plus en plus nombreux reconnaissent actuellement la
271. de l enfant qui s est tenu Varsovie en ao t un document de base intitul La Sant droit fonda mental de l enfant Le cycle d tudes qui s est pr occup principalement des aspects juridiques et sociaux de la protection de l enfance 8 r uni des repr sentants de pays europ ens syst mes sociaux diff rents En troite collaboration avec le FISE POMS 8 continu de soutenir divers types de programmes de protection maternelle et infantile dans toutes les R gions La formation professionnelle constitue un important l ment de ces programmes au Gabon en Guin e au Laos en Libye en Pologne dans la R publique du Viet Nam et en Tunisie Pendant lann e de nouveaux projets visant organiser et d velopper les services de protection maternelle et infantile ont t lanc s avec le concours de POMS en Alg rie au Burundi au Ghana en Mauritanie et au Rwanda D autre part l Organisation a maintenu son assistance au Cambodge et la Yougoslavie pour des programmes comportant le renforcement des services de sant scolaire Sur le th me la sant de l enfant et l cole un s minaire r gional europ en organis par POMS 8 eu lieu en ao t aux Pays Bas avec 18 participation de directeurs de services de sant scolaire de m decins d coles de psychiatres de p diatres ainsi que de sp cialistes de diverses branches de la p dagogie et des soins infirmiers l cole Les discussio
272. de la Revision de la Classification internationale des maladies pr vue pour 1965 s est poursuivie Le comit consultatif r gional dont la troisi me r union a eu lieu en juin a pass en revue les observations re ues de vingt neuf pays et territoires sur les propositions relatives diverses sections de la classification Le rapport de ce comit figure au nombre des documents qui devaient tre soumis en octobre au Sous Comit de la Classification des Maladies voir page 44 Presque tous les pays de la R gion ont demand et re u des conseils sur l tude le financement la mise en place et l exploitation de services de distribution d eau Au d but de juillet 1963 l Inter American Development Bank avait approuv des pr ts d un montant global de 162 000 000 pour la construction de nouveaux r seaux et l extension de ceux qui existent d j Les pays int ress s fourniront une participation financi re gale aux cr dits qu ils recevront A la m me date le total des pr ts internationaux consentis aux pays de la R gion pour le d veloppement de l approvisionne ment en eau y compris ceux de la Banque internationale pour la Reconstruction et le D veloppe ment et ceux de l Agency for International Develop ment des Etats Unis 86 chiffrait 5249 673 812 Le plan d op rations concernant l institut de m decine du travail et de recherches sur la pollution de l air qui doit tre financ au Chi
273. de la maternit de Kandang K rbau avec les services d accouchement domicile des zones urbaines et rurales permettre aux sages femmes stagiaires d acqu rir une plus grande exp rience des accouche ments domicile notamment dans les zones rurales Singapour 15 Ecole de radiographie avril 1962 965 B Cr er une cole de radiographie afin de pouvoir faire face la demande de radiographes d ment form s et qualifi s Singapour 17 Lutte contre la l pre f vr mai 1963 B Un consultant a t charg d effectuer pendant trois mois une enqu te sur la l pre et d aider organiser un projet pilote ayant pour objet la d monstration des techniques de d pistage de traitement et de contr le ult rieur Il a tudi la l gislation concernant la l pre et il 8 propos certains amendements Singapour 200 Bourses d tudes B Hygi ne dentaire trois mois Singapour 201 Bourses d tudes AT Nutrition appliqu e et technologie des denr es alimentaires douze mois Tonga 1 Assainissement mars 1958 966 AT FISE Renforcer les services d assainissement en particulier tudier les probl mes d assainissement rural et urbain et les facteurs sociaux conomiques et culturels qui influent sur ces probl mes laborer ex cuter et valuer un projet pilote d assainissement et former du personnel Tonga 200 Bourses d tudes B Enseignement infirmier douze mois Viet Nam 3 Protection mater
274. de lutte plus efficaces Elle poursuit galement l tude de l pid miologie du chol ra Au cours de l ann e l Organisation a galement d velopp toutes les formes d assistance destin es combattre les affections diarrh iques qui restent l une des principales causes de l importante mortalit infantile des pays en voie de d veloppement Apr s avoir mis en train des projets pilotes Ceylan au Soudan et dans la R publique Arabe Unie l quipe interr gionale des affections diarrh iques s est rendue en Iran Un cours destin la fois des pid miologistes et des bact riologistes a t institu pour stimuler les programmes nationaux d tude et de prophylaxie de ces maladies En Asie du Sud Est on note avec quelque regret le retard apport l int gration dans les services g n raux de sant de certains programmes pourtant d j bien avanc s de lutte contre diverses maladies trans missibles Ce retard tient surtout la lenteur du d veloppement de l infrastructure sanitaire dans la plupart des pays int ress s La situation est peut tre plus favorable dans d autres R gions mais il ne fait pas de doute que le probl me se pose nombre de pays et m rite la plus grande attention de la part de l OMS Plusieurs de ses aspects tudi s en 1963 seront examin s par un groupe d experts au d but de 1964 Une certaine souplesse s impose en la mati re car on ne saurait envisager un syst me universe
275. des aides infirmi res de premiers secours suivi par seize infirmi res dipl m es au Lady Hardinge Hospital de New Delhi du 18 avril au 17 mai 1963 un cours de quatre semaines sur le m me sujet suivi par vingt cinq infirmi res dipl m es au Victoria Hospital de Bangalore du 3 au 28 juin 1963 L OMS a pris sa charge la moiti des frais de voyage et d entretien des participantes et l infirmi re de POMS affect e au projet Inde 136 enseignement infirmier sup rieur a pr t son concours pour l organisation et la conduite des cours Dans le cadre de ce projet dont l ex cution entreprise en juillet 1957 se poursuivra jusqu la fin de 1968 des cours d entretien seront organis s dans diff rentes r gions de l Inde Inde 99 3 Inclusion de la sant publique dans l enseignement infirmier Orissa mai 1958 fin 1964 AT Inde 99 4 Inclusion de la sant publique dans l enseignement infirmier Himachal Pradesh ao t 1961 fin 1963 AT Inde 99 5 Inclusion de la sant publique dans l enseignement infirmier Goa sept 1963 sept 1965 AT Inclure l enseignement de la sant publique dans la formation de base des infirmi res fournir aux l ves d une cole d ensei gnement infirmier de base la possibilit d observer comment se donnent les soins infirmiers et d acqu rir une formation pratique sous la direction de monitrices Inde 101 Programme national de lutte contre le trachome f
276. des h pitaux et administrateurs de la sant publique locaux ainsi qu avec des participants venus des pays suivants Chypre Inde Irak Iran Jordanie Liban Pakistan R publique Arabe Unie Syrie et Turquie L objet principal du s minaire tait de stimuler l int r t pour les divers moyens permettant de diminuer la dose d irradiation re ue par les malades et le p rsonnel m dical en radiologie m dicale et de fournir des r ponses pratiques aux probl mes qui se posent dans diff rents services et installations En plus des conf rences et des discus sions le programme comportait des d monstrations pratiques dans les services de radiologie L OMS a envoy les conf renciers et pris sa charge les frais des participants qui se rendaient dans les divers centres visit s Interr gional 112 Eradication du paludisme Equipe charg e d tudes pid miologiques sp ciales 1961 CSEP Former une quipe charg e d effectuer des tudes et des recherches pid miologiques sp ciales et d aider les gouverne ments r soudre les probl mes que pose le paludisme r siduel Interr gional 113 1 Cours international sur l pid miologie de la tuberculose et la lutte antituberculeuse Prague 24 oct 1962 24 mars 1963 B AT Un compte rendu du travail accompli au titre de ce projet figure dans le Rapport annuel pour 1962 Interr gional 113 2 Cours international sur l pid miologie de la tuberculose et la lutt
277. deux adminis trateurs de la sant administrateurs des h pitaux archivistes d h pitaux et statisticiens sanitaires venus des pays suivants Afghanistan Birmanie Ceylan Inde Indon sie N pal et Tha lande ainsi que vingt cinq observateurs venant de pays de la R gion de la R publique du Viet Nam et d institutions internationales ou d organismes bilat raux Le s minaire a recommand notamment 1 que les statistiques hospitali res soient consid r es comme un l ment important des programmes nationaux de sant publique et qu elles fassent partie int grante du syst me national de statistiques d mographiques et sanitaires 2 que l on cr e dans les grands h pitaux des services d archives m dicales plac s sur le m me plan que les autres services hospi taliers et que l OMS accorde une aide cet effet L Organisation a fourni pour ce s minaire deux consultants ainsi que la documentation de r f rence et a pris sa charge les frais des participants En outre quatre membres du personnel ont pr t leur concours sous la direction technique du conseiller r gional en statistiques sanitaires SEARO 62 S minaire inter pays sur la malnutrition prot ique chez les enfants Hyderabad 29 31 janv 1963 B Ce s minaire avait pour objet l tude des r centes d couvertes sur les aliments contenant des prot ines v g tales et pouvant tre produits localement un prix peu lev en vue de pr venir la m
278. dies diarrh iques et la lutte contre celles ci valuer l importance de ces maladies pour la sant publique leurs effets sur la sant des populations et l efficacit des mesures th rapeutiques et prophylactiques recommander des mesures de lutte appropri es donner aux gouvernements des avis au sujet de l tablissement de programmes d ensemble contre les maladies diarrh iques compte tenu de leurs services de labora toires m dicaux et de sant publique et encourager les tudes s r des probl mes pr cis relatifs ces maladies Interr gional 70 Eradication du paludisme Tableau de conseillers 1961 CSEP Disposer d un corps de paludologues pouvant tre rapidement affect s en qualit de conseillers aupr s des gouvernements pour aider la planification et la mise en uvre de programmes d radication donner des avis sur des probl mes particuliers ou remplacer les conseillers de POMS absents pour cause de maladie ou en cong Interr gional 75 2 Deuxi me conf rence interr gionale sur les techniques d enqu te pid miologique concernant les troubles mentaux Manille 4 13 d c 1962 B La conf rence avait pour objet de faire mieux conna tre l application des m thodes pid miologiques l tude des probl mes de sant mentale et de stimuler l int r t des admi nistrateurs de la sant publique et des psychiatres concernant l emploi syst matique des m thodes statistiques pour obtenir les
279. diff rence parmi les m decins l gard des activit s de notification et de d pistage La mobilit accrue de certains groupes de population et le peu d efficacit du syst me de contr le mis en place par les autorit s sanitaires sont des facteurs qui contribuent galement la propagation des infections v n riennes D cid e examiner les probl mes pos s par cet chec l OMS a organis Stockholm en septembre un symposium sur la lutte contre les maladies v n riennes auquel ont pris part de hauts fonction naires des administrations de la sant publique des pays d Europe Les participants se sont particuli re ment pr occup s du r le des adolescents des gens de mer et autres groupes itin rants dans la recrudescence des infections v n riennes L OMS accorde une attention particuli re 8 la mise au point de tests s rologiques sp cifiques simples pour le diagnostic des tr pon matoses Gr ce une s rie d tudes de nouveaux progr s ont t accomplis dans la normalisation de la technique utilisant les anticorps tr pon miques fluorescents FTA Une deuxi me s rie d essais collectifs inter laboratoires du test FTA a t organis e avec la participation de laboratoires s rologiques importants du Danemark des Etats Unis d Am rique de la France de l Inde du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord et de l Union des R publiques socialistes sovi tiques Les tudes entreprises
280. dre du plan continental pour l approvision nement public en eau et l vacuation des mati res us es Il a invit le Directeur continuer d aider les gouvernements dans la planification et le financement des adductions d eau et les soutenir galement pour l organisation la construction l exploitation et l entre tien des r seaux qui seront agrandis ou am lior s Le Comit r gional a estim que l aide aux Etats Membres pour l laboration de plans nationaux de sant et la formation de planificateurs sanitaires devait conserver une priorit de premier rang et qu il fallait s employer resserrer davantage la collaboration avec les autres institutions internationales participant l uvre de d veloppement social et conomique 74 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Le Comit r gional 8 d clar le Mexique exempt d Aedes aegypti et il a demand instamment aux autorit s des pays et territoires encore infest s d accorder la priorit indispensable aux campagnes d radication afin que la R gion tout enti re puisse tre lib r e du vecteur le plus t t possible Apr s avoir pris acte avec satisfaction de l avance ment des programmes d radication du paludisme dans les Am riques le Comit r gional 8 exprim l espoir que le FISE et l Agency for International Development des Etats Unis maintiendraient et intensifieraient leur coop ration jusqu ce que le paludisme soit compl teme
281. due des besoins En effet dans les pays en voie de d veloppement d Afrique et d Asie la population urbaine s l ve 215 millions d habitants et cro t au taux annuel d environ 4 dans les agglo m rations un habitant sur cinq seulement re oit de l eau sous canalisation son foyer et moins de 50 peuvent s approvisionner une fontaine publique situ e dans un rayon de 800 m tres autour de leurs habita tions En outre les rapports tablis sur place par le personnel de POMS indiquent que l o 125 appro visionnements publics en eau existent plus de la moiti ont un d bit insuffisant et fournissent une eau de mauvaise qualit Pour que les populations urbaines de l Afrique de l Asie et de l Am rique latine puissent avoir facilement acc s 128 postes d eau amen e sous canalisation soit dans les maisons soit des fontaines publiques proches il faudra investir au moins 400 millions de dollars par an jusqu en 1980 On ne dispose pas de chiffres exacts mais on estime que le rythme des investissements en relation avec l approvisionnement public en eau est inf rieur 50 millions de dollars par an Le chiff e de 400 millions de dollars par an repr sente 0 25 du produit national brut des pays int ress s et ce propos il convient de rappeler que selon de nombreux conomistes les investissements peuvent raisonnablement absorber jusqu environ 15 du produit national brut d un pays
282. e Nouvelle Z lande Pays Bas Pologne R publique f d rale d Allemagne Roumanie Royaume Uni Su de Suisse Tha lande treize observateurs avaient t envoy s par diverses organisations internationales L OMS a particip aux frais de la conf rence Interr gional 170 Eradication du paludisme Cours pour entomo logistes Kuala Lumpur 21 janv 16 mars 1963 CSEP Un cours th orique et pratique sur l entomologie et certains sujets connexes a t organis pour douze entomologistes des services nationaux participant des projets d radication du LISTE DES PROJETS PROJETS INTERR GIONAUX 143 paludisme dans les pays suivants Indon sie Malaisie Pakistan Philippines R publique de Cor e R publique du Viet Nam Sarawak et Tha lande L OMS 8 envoy des conf renciers accord des bourses aux stagiaires et fourni du mat riel d ensei gnement et des publications Interr gional 172 Essai de dichlorvos DDVP sur le terrain 1962 1964 CSEP Effectuer sur le terrain un essai de dichlorvos et notamment d terminer de fa on pr cise la valeur de cet insecticide pour l interruption de la transmission du paludisme Interr gional 177 Cours sur les services de soins infirmiers domicile Copenhague et Aarhus 17 avril 29 mai 1963 AT Ce cours tait destin des infirmi res qualifi es de la sant publique venues de pays qui d sirent cr er ou d velopper des services de soins infirmiers
283. e anglaise dans tout le Commonwealth britannique L UNESCO a invit en 1962 les autres membres du Conseil de l Information visuelle des Nations Unies participer dans le cadre de la d cennie pour le d velop pement la production d une s rie de programmes de t l vision sur l enseignement et la formation profes sionnelle H 8 t convenu depuis que le programme qui aura pour th me la formation du personnel de sant sera pr par conjointement par la T l vision d Alle magne occidentale l UNESCO et l OMS Des arrangements ont t pris avec une entreprise cin matographique de Yougoslavie en vue 6 la production d un dessin anim de court m trage sur la tuberculose en anglais en fran ais et en version usage international sur laquelle pourront figurer des sous titres dans d autres langues Celui ci sera distribu aux cha nes de t l vision l occasion de la Journ e mondiale de la Sant de 1964 Des n gociations ont t galement engag es avec le Conseil polonais du Cin ma Film Polski au sujet de la production d un ou deux courts documentaires sur des questions sanitaires le tournage aura lieu lors de la visite qu une quipe de cin astes polonais doit effectuer prochainement dans plusieurs pays d Afrique Le dessin anim Le verre la main continue tre demand plus de soixante cinq copies ont t vendues pendant les six premiers mois de 1963 en Europe seulement La de
284. e la population et des services qu elle requiert sur 18 structure pr voir pour le personnel infirmier et indique comment valuer et tudier les besoins en la mati re Dans les R gions de Asie du Sud Est et du Pacifique occidental des conf rences nationales et r gionales vont tre organis es pour exposer aux directeurs de services infirmiers les modalit s d appli cation des m thodes d tude recommand es Un manuel semblable concernant la dotation en per sonnel des services hospitaliers 8 t mis en chantier L Organisation conseille en outre un certain nombre de pays pour ladministration de leurs services infirmiers nationaux et r gionaux Elle 8 re u ce titre de nouvelles demandes d assistance Etant donn l importance que l on attache ac tuellement la planification sanitaire nationale il est imp ratif que les infirmi res soient pr par es jouer pleinement leur r le dans l organisation et l administration des services infirmiers Aussi POMS s emploie t elle activement promouvoir la formation de personnel d encadrement Dans la R publique Arabe Unie par exemple elle aide organiser une cole d infirmi res rattach e l H pital Ahmad Maher du Caire o l on pourra mettre l preuve des programmes am lior s et faire la d monstration de m thodes modernes d administration et d enseigne ment infirmiers La directrice de l cole et celle du service infirmier de l h pi
285. e on a isol de nombreux virus dont l un est probablement nouveau sur des moustiques captur s dans la for t ainsi que sur des sujets f briles Afin de mieux comprendre le r le que jouent les moustiques dans le cycle naturel de diff rents virus transmis par les arthropodes on a tudi le comportement des moustiques sylvicoles diff rentes heures de la journ e Les recherches sur le syndrome de Burkitt se poursuivent activement la distribution de ce lymphome correspond presque exactement celle de certains moustiques en particulier Anopheles gambiae et funestus On a tabli des cartes exactes de la zone climatique o le lymphome semble appara tre il s agit des parties de l Afrique o les pr cipitations annuelles moyennes d passent 50 cm et la temp rature moyenne des mois les plus frais s l ve plus de 15 60C Il a t galement tabli que lorsqu on trouve des lymphomes hors de cette zone les sujets atteints 1 Smith C E G McMahon D A amp Turner L H 1963 Bull Org mond Sant 29 75 80 vivent g n ralement proximit d importants r ser voirs d eau permanents On se pr pare entreprendre des tudes pid miologiques et s rologiques compara tives dans un secteur o la maladie s vit et dans des zones caract ristiques climatiques et m sologiques analogues qui en sont apparemment exemptes Au centre r gional de r f rence de Londres l examen de s r
286. e ait t limin e en tant que probl me de sant publique Toutefois elle accuse depuis une dizaine d ann es un recul spectaculaire dans de nombreux pays o labon dance des ressources a permis de mener l action antituberculeuse avec la perfection technique d sirable Quelque impressionnants que soient les r sultats obtenus dans un bon nombre des trente huit projets assist s par l OMS force est cependant de constater que la r sistance aux id es nouvelles et l aversion pour toute modification des attitudes traditionnelles freinent le rythme techniquement et administrativement possible du progr s Dans beaucoup de pays par exemple il faudrait qu une part plus importante des ressources pour l action antituberculeuse all t des activit s d int r t collectif Il faudrait aussi que cette action f t reconnue comme une attribution normale des services g n raux de sant et que les institutions existantes fussent int gr es dans le programme de sant publique dans l int r t d un rendement maximum Contre la l pre les campagnes entreprises dans l Asie du Sud Est se sont consid rablement d velopp es aussi les pays int ress s essentiellement la Birmanie l Indon sie et la Tha lande ont ils eu besoin d une assistance internationale accrue Des progr s analogues ont t r alis s dans la R gion des Am riques o des l prologues des pid miologistes et des administrateurs de la sant publique de vingt
287. e analyse pid miologique dans sept pays en prenant particuli rement en consid ration les tendances long terme la saison la r partition par groupes d ge et les conditions socio conomiques diff rentes et elle 8 compl t cette tude au moyen de demandes de renseignements adress es aux autorit s sanitaires de dix autres pays De nombreuses divergences d opinion se manifestent chez les sp cialistes au sujet des caract ristiques cliniques et anatomo pathologiques de l h patite et de ses s quelles ainsi qu propos de leur classification et des m thodes d examen c est pourquoi vingt deux cliniciens et anatomo pathologistes ont t invit s donner leur avis sur l importance des diff rents signes diagnostiques sur la conduite des examens et sur la terminologie et la classification qu il y aurait lieu d adopter Des laboratoires de divers pays ont signal l isolement de plusieurs virus soup onn s de provoquer l h patite mais il n est pas certain que ces virus soient une cause courante de la maladie Afin d lucider ce probl me d tiologie l OMS a invit treize laboratoires de virologie qui ont isol des virus possibles de l h patite lui fournir des renseignements 1Iki D et al 1963 Bull Org mond Sant 28 217 223 d taill s sur les propri t s de ces agents pathog nes et sur les recherches entreprises leur sujet Les informations recueillies sur les aspec
288. e antituberculeuse Rome 28 janv 28 mai 1963 B AT Ce cours faisait partie d une s rie de cours consacr s l ensei gnement des m thodes modernes de lutte contre la tuberculose sur le plan de la sant publique et s adressait aux personnes qui doivent participer des campagnes antituberculeuses 1 comprenait des conf rences des discussions et des d mon trations pratiques il a t organis avec la collaboration de l Institut Carlo Forlanini de Rome et suivi par onze stagiaires venus de neuf pays L OMS a accord des bourses aux stagiaires envoy onze conf renciers dont quatre fonctionnaires de l Organisation et fourni une partie du mat riel d enseignement 1 Actes off Org mond Sant 123 6 162 Interr gional 134 Symposium interr gional sur les crit res et les m thodes de mesure de la puret de l air Gen ve 6 12 ao t 1963 B Ce symposium a t r uni pour examiner les principes d apr s lesquels pourraient tre fix s des crit res de puret de l air et les m thodes permettant de mesurer celle ci Les vingt parti cipants venaient des pays suivants Belgique Canada Danemark Etats Unis d Am rique France Italie Pays Bas Pologne R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni Su de Suisse Tch coslovaquie Union des R publiques socialistes sovi tiques et Yougoslavie Le rapport du symposium a pr cis les principaux crit res appliqu s l heure actuelle et d term
289. e d autres produits analogues destin s la recherche Au titre du plan concert de POMS pour la mise au point l essai et l valuation de nouveaux insecticides dont la r alisation se poursuit depuis quatre ans huit cents pr parations au total avaient t examin es la fin de septembre 1963 Vingt neuf fabricants de produits chimiques et deux laboratoires universitaires fournissent POMS des pr parations exp rimentales aux fins d valuation Bien qu une grande partie des substances soumises pour essai doivent tre refus es pour diverses raisons notamment leur extr me toxicit pour les mammif res ou leur inefficacit contre les insectes int ressant la sant publique quatre vingt cinq produits se sont n anmoins r v l s suffisamment prometteurs pour justifier des essais pouss s en laboratoire ou sur le terrain L objectif principal du plan d valuation reste la recherche de pr parations nouvelles susceptibles d tre utilis es contre les anoph lin s adultes mais on pr te galement beaucoup d attention aux larvicides qui paraissent int ressants pour la lutte contre les anoph lin s et les culicid s Comme plusieurs de ces substances sont pratiquement d pourvues de toxicit pour les mammif res on pourrait sans danger en additionner l eau de boisson L Organisation est maintenant en mesure d essayer chaque ann e l chelon du village trois ou quatre compos s nouveaux pour ju
290. e de Sant publique 1958 7965 B Renforcer l enseignement de l Ecole de Sant publique de l Universit du Chili et d velopper ses ressources pour lui per mettre d accueillir des tudiants venant d autres pays des Am riques Chili 41 Plan national de services infirmiers 1960 7965 B Former des infirmi res et du personnel auxiliaire et renforcer les services de soins infirmiers Chili 49 Services de sant publique 1960 7967 AT FISE Mettre au point dans la partie m ridionale du pays des services de sant int gr s LISTE DES PROJETS LES AM RIQUES 105 ChiliSS Institut de M decine exp rimentale oct d c 1962 AT Pendant trois mois un consultant a aid installer du mat riel notamment des appareils de stimulation c r brale et d enregis trement au laboratoire de neuro endocrinologie de l Institut ainsi qu former du personnel technique et auxiliaire aux m thodes utilis es en neuro endocrinologie en particulier au maniement de l appareillage lectronique Colombie 4 Services nationaux de sant publique sept 1951 967 AT OPS FISE AID Am liorer la structure du Minist re de la Sant publique tendre tout le pays des services int gr s de sant d velopper les services de protection maternelle et infantile et former du personnel professionnel et auxiliaire Colombie 24 Ecole de Sant publique 1959 7965 8 Am liorer l enseignement donn l
291. e de mise en valeur des ressources hydrauliques ONU 58 143 Centre des Substances chimiques de R f rence Stockholm 48 Centre international de Documentation sur les Antibiotiques Li ge 29 Centre international de l Enfance 117 cours 68 70 95 103 119 s minaire sur la tuberculose chez les enfants Tunis 84 126 Centre latino am ricain de Classement des Maladies 44 102 Centre panam ricain des Zoonoses 72 102 Centres de vaccination contre la fi vre jaune pour les voyages internationaux 20 Centres internationaux d Etalons biologiques 20 46 47 Certificats de vaccination exig s dans les voyages internationaux 20 Ceylan 3 19 34 35 36 75 76 78 108 110 111 Chili 10 13 31 37 59 71 104 105 Chine Ta wan 13 15 88 89 90 134 136 Chol ra et chol ra El Tor 19 20 78 90 90 91 Chypre 6 83 125 126 127 CIUMR 36 61 Classement des maladies 44 71 102 Voir aussi Statistiques d mographiques et sanitaires Classification statistique internationale des maladies trauma tismes et causes de d c s huiti me revision 44 71 CODEPID 20 Codex Alimentarius Commission 36 60 Colombie 3 4 19 31 71 72 105 Comit administratif de Coordination 57 59 groupe de travail interinstitutionnel sur l habitation et les installations collectives connexes 25 58 groupe de travail interinstitutionnel sur l urbanisation 58 Sous Comit de l Enseignement et de la Formation 58 sous comit pour la scien
292. e des gonocoques la p nicilline qui a t observ e dans certains pays n est pas une des 1 Vaisman A Hamelin A amp Guthe T 1963 Bull Org mond Sant 29 1 6 causes principales de l chec de la lutte contre les infections gonococciques sa r union de novembre 1962 le Comit OMS d experts des Infections gonococciques avait recommand que l OMS patronne des tudes pour la mise au point d une m thode type de d termination de la sensibilit des gonocoques aux antibiotiques Des plans ont t tablis en vue d un essai devant tre effectu en 1963 et 1964 par des laboratoires de diff rents pays Tr pon matoses end miques L assistance que l OMS ne cesse d accorder pour des campagnes de masse contre les tr pon matoses end miques a permis de recueillir de nouveaux rensei gnements d ordre pid miologique sur les tr pon matoses tant end miques que v n riennes L quipe consultative interr gionale pour les tr pon matoses en terminant son valuation aux Philippines a signal qu environ 30 des s ror actions l antig ne lipo dique cardiolipine l cithine chez les adultes ne sont pas dues l infection tr pon mique La valeur de la technique de l antig ne lipo dique en tant que m thode de d pistage s est r v l e particuli rement limit e dans les pays tropicaux chez les enfants de moins de quinze ans L OMS pr pare l heure actuelle un rapport complet s
293. e domaine relativement nouveau il faut encore claircir bien des points de g n tique formelle de cytog n tique de g n tique des populations et de g n tique de l volution Le plan de recherches et d exp riences pilotes recommand par le groupe scientifique stimulera l tablissement d un programme international nous l esp rons f cond dans ce domaine prometteur de l action de sant publique Comme on le verra dans le chapitre consacr au paludisme des progr s appr ciables en d pit de cer taines difficult s ont t accomplis en 1963 dans la campagne mondiale d radication Dans la R gion des Am riques par exemple la phase de consolidation s est tendue de nouveaux territoires entre fin 1962 et septembre 1963 le nombre des habitants b n ficiaires s est de ce fait accru de 33 Les progr s ont galement t constants dans la R gion de la M diterran e orientale o quarante trois millions de personnes sont maintenant prot g es soit pr s de 25 de l ensemble de la population expos e contre 17 l ann e pr c dente Dans lAsie du Sud Est 44 de la population ant rieurement expos e en est la phase de consolidation dans le Pacifique occidental les programmes d radication du paludisme int ressent aujour d hui un tiers des quatre vingt un millions d habitants des zones primitivement impalud es L assistance fournie par l Organisation a naturellement vari selon la phase des op rat
294. e et de l Assainissement Minist re de la Sant publique et de la Pr voyance sociale Caracas Venezuela D J Lembrez Directeur du Service de Contr le sanitaire aux Fronti res maritimes et a riennes de la 5 e Circonscription Marseille France Professeur G Macdonald Directeur du Ross Institute of Tropical Hygiene London School of Hygiene and Tropical Medicine Londres Angleterre Dr A P Ray Directeur du programme national d radication du paludisme et Deuxi me Directeur g n ral adjoint des Services de Sant Delhi Inde Professeur I H Vincke D partement de Paludologie Institut de M decine tropicale Prince L opold Anvers Belgique Comit d experts de la R adaptation des Malades cardio vasculaires Gen ve 23 29 juillet 1963 Dr J C Banerjea Consultant et Professeur Directeur honoraire du D partement de M decine Ecole de M decine Calcutta Inde Professeur G Bi rck D partement de M decine Institut Karolinska Stockholm Su de D A L Bravo Directeur g n ral de la Sant publique Santiago du Chili Professeur H K Hellerstein Ecole de M decine de la Western Reserve University Cleveland Ohio Etats Unis d Am rique D J Kempson Maddox Sydney Australie D T A Lloyd Davies H M Senior Medical Inspector of Factories Minist re du Travail Londres Angleterre Professeur A Puhlev Cliniques th rapeutiques Institut sup rieur de M decine Sofia Bulgarie Com
295. e la R gion de suivre ces cours Education sanitaire La nomination la fin de 1962 d un premier conseiller r gional permanent pour l ducation sani taire a conduit accorder plus d attention cet aspect des travaux de l Organisation Des projets d ducation sanitaire sont en cours au Nig ria Gou vernement f d ral et au Togo Dans ces deux pays les centres de pr paration l radication du paludisme aussi bien que les services nationaux de sant peuvent b n ficier d une assistance Enseignement m dical Dans 16 domaine de l enseignement m dical POMS a continu accorder son aide au d partement de p diatrie de l Universit d Ibadan et elle participe l assistance dont le FISE fait b n ficier le d partement de p diatrie du University College of East Africa Kampala Ouganda En dehors de l aide aux coles de m decine exis tantes l Organisation s est pr occup e de la cr ation de nouvelles coles dans les cas o un enseignement de niveau universitaire serait justifi Il faut en premier lieu que les dipl m s des coles secondaires soient en nombre suffisant tant donn qu on ne peut s attendre ce que plus du dixi me d entre eux soient attir s par les professions m dicales ou param dicales Une quipe de professeurs r unie par POMS a tudi en particulier la possibilit de cr er une cole de m decine Yaound au Cameroun et des entretie
296. e la mort dans certains groupes sensibles de la population Quoi qu il en soit de nouvelles recherches seront n cessaires avant que l on puisse laborer partir de ces principes des normes internationales relatives la qualit de Pair bien que l on s accorde d j reconna tre que la pollution de l air par des substances biologiquement actives r sultant de l activit humaine devrait tre vit e au maximum Il faudrait s efforcer de ramener le degr de pollution au niveau minimum auquel n est constat aucun effet biologique ind sirable ou de le maintenir au dessous de ce niveau Dans certains pays ce niveau correspond ce que l on appelle 18 concentration maximum admissible Si ce r sultat ne pouvait tre atteint dans l imm diat des concentrations un peu plus lev es devraient sans doute tre tol r es pendant quelque temps La diversit des m thodes d chantillonnage et d analyse de m me que la vari t des modes de pr sentation des r sultats et des unit s de mesure posent un probl me qui demande une solution rapide La situation actuelle engendre la confusion et rend difficile l valuation des progi s r alis s par divers pays dans la lutte contre la pollution de l air Il est donc urgent d obtenir une plus grande uniformit sur tous ces points ainsi que dans la terminologie employ e et c est l une t che qui incombe mani festement POMS Pour orienter l
297. e qui repr sente une augmentation de 15 3 Cependant des difficult s techniques continuent de g ner les op rations dans plusieurs pays La r sistance des vecteurs aux insecticides leur irritabilit les pertes d insecticides par sorption dans les murs de pis le fait que certaines esp ces ou souches de moustiques ne piquent qu l ext rieur des habitations tous ces facteurs expliquent que l on n ait pas encore r ussi interrompre la transmission dans certains secteurs d El Salvador du Guatemala du Honduras du Mexique du Nicaragua ainsi que dans plusieurs petits foyers au Costa Rica D une mani re g n rale les zones difficiles ne se sont pas tendues exception faite de quelques districts agricoles o les insecticides ont t largement utilis s pour la protection des cultures Dans les zones o ces difficult s techniques persistent on 8 recours de plus en plus souvent des mesures compl mentaires ou des m thcdes diff rentes La chimioth rapie l une des plus largement applicables parmi les mesures compl mentaires 8 t introduite dans les programmes de masse de plusieurs pays mesure que les programmes d radication passent de la phase d attaque la phase de consolida tion les op rations de d pistage s intensifient ainsi le nombre total des lames examin es dans la R gion s est consid rablement accru au cours des deux derni res ann es Au Mexique l radication d
298. e trente minutes l un en anglais et Pautre en fran ais Deux cent cinquante deux exemplaires de ces enregistrements ont t distribu s la suite de demandes re ues de soixante treize r seaux nationaux de radiodiffusion Onze autres stations se sont d clar es pr tes laborer elles m mes des programmes pour la Journ e mondiale de la Sant La station de radio des Nations Unies New York a produit cette occasion cinq program mes en utilisant la documentation fournie par Gen ve Un programme de trente minutes L heure de la faim 8 t diffus par 18 Radio suisse de langue italienne Radio Svizzera Italiana Le num ro sp cial du magazine Sant du Monde sur 18 Campagne contre la Faim 8 re u un accueil particuli rement favorable et ses articles et illustrations ont t tr s demand s De janvier septembre huit num ros de ce magazine ont t publi s dans cinq langues anglais espagnol fran ais portugais et russe Le tirage moyen t de 100 000 exemplaires dont la majeure partie a t distribu e gratuitement il a t vendu en moyenne 5000 exemplaires de chaque num ro et le nombre des abonn s annuels atteint le chiffre de 3500 Les observations re ues montrent que les num ros consacr s un th me principal tels que La vie sur les terres glac es Le centenaire de la Croix Rouge Le quinzi me anniversaire de POMS etc sont ceux qui ont suscit
299. earch Council Indian Council of Medical Research Etudier sur les malades atteints de tuberculose et sur leurs contacts les effets de la chimioth rapie pratiqu e l h pital ou domicile d couvrir au moyen d essais comparatifs portant sur leurs effets et leur valeur le m dicament ou lassociation de m dicaments qui permettrait une chimioth rapie efficace et peu co teuse praticable domicile tudier les incidences sur la collectivit de la chimioth rapie appliqu e en grand dans les consultations externes valuer l importance de la nutrition dans la tuberculose tudier la bact riologie de la tuberculose dans le milieu local et former du personnel aux m thodes de recherche Inde 81 1 Lutte contre la l pre programme national janv 1961 1966 8 FISE Pr parer un programme de lutte antil preuse couvrant l ensemble du pays Inde 81 2 Lutte contre la l pre Srikakulam janv 1962 1966 B FISE Assurer 18 direction technique d un projet de lutte antil preuse organis et financ par le Fonds danois de Secours l Enfance et former du personnel auxiliaire pour la lutte contre la l pre Inde 84 Assainissement Uttar Pradesh mars 1958 fin 1964 AT Instituer dans une zone rurale un projet pilote pour l am lioration des syst mes d adduction d eau et d vacuation des excreta laborer et ex cuter un programme d assainissement comportant la mise au point l exploitation et l entre
300. econd l Universit de Porto Rico pour les administrateurs sanitaires appel s organiser des programmes de nutrition appliqu e et le troisi me au P rou en collaboration avec la FAO L Incaparina m lange prot ique v g tal peu co teux est maintenant produit l chelle indus trielle dans cinq pays de la R gion on pr pare actuellement cette production dans deux autres pays Avec le soutien financier de l Institut national de Sant mentale du Service de la Sant publique des Etats Unis le Bureau r gional travaille au rassemble ment m thodique l analyse et la diffusion d informations sur la sant mentale dans les diff rents pays de la R gion Le deuxi me s minaire de l Am rique latine sur la sant mentale patronn par POPS s est tenu en septembre Buenos Aires Argen tine et a t suivi par des repr sentants de tous les pays d Am rique du Sud On a continu d autre part de rassembler analyser et diffuser des donn es sur les maladies soumises d claration obligatoire et POMS a envoy dans trois des zones de la R gion ainsi que dans trois pays des consultants charg s d aider renforcer les services nationaux de statistiques d mographiques et sani taires au titre de programmes de d veloppement g n ral des services de sant publique 1 3 5 a galement donn aux pays int ress s des avis sur diff rents probl mes de statistique sanitaire La pr paration
301. ection maternelle et infantile se d veloppent gr ce l aide de POMS et on renforce leur contr le en les rattachant plus troitement aux services de sant g n raux Au titre du programme g n ral d approvisionnement public en eau POMS a fourni aide et avis quatre pays de la R gion L Alg rie a re u de l OMS agissant en troite collaboration avec le FISE une assistance pour divers projets qui doivent lui permettre de d velopper ses services de sant Un repr sentant de POMS a t nomm en Alg rie l Organisation a d autre part envoy dans ce pays un conseiller nutritionniste ainsi qu un administrateur de la sant publique qui collaborera avec le Minist re de la Sant en vue de jeter les bases d une vaste r organisation des services sanitaires du pays Des mesures ont t prises pour recruter un m decin et un physioth rapeute qui seront charg s d organiser les services de r adaptation m dicale ainsi qu un ing nieur sanitaire qui aidera former des techniciens de l assainissement pour un programme d approvisionnement en eau L OMS a continu de collaborer avec l Organisation des Nations Unies les autres institutions sp cialis es et un grand nombre d organismes intergouvernementaux Elle va pour la premi re fois participer un projet du Fonds sp cial en Europe dans la province turque d Antalya o un large programme de d veloppement conomique dont la FAO est 188601
302. elopper la formation des infirmiers des infirmi res et des infirmi res sages femmes et tudier les moyens permettant de r pondre aux besoins du pays en mati re de services infirmiers Afghanistan 44 Projet pilote de lutte contre le trachome mai juin 1958 sept 1962 fin 1966 B Etudier les aspects pid miologiques du trachome dans la province d H rat engager les op rations de lutte et amorcer un programme d ducation sanitaire portant sur les ophtalmies transmissibles par la suite on mettra sur pied compte tenu des donn es et de l exp rience ainsi obtenues un programme de lutte de plus grande envergure Afghanistan 200 Bourses d tudes B L pre trois mois Afghanistan 201 Bourses d tudes AT Enseignement de la m decine deux bourses de quatre semaines radiologie douze mois Birmanie 17 Lutte contre la l pre avril 1960 fin 1965 B FISE Elargir et renforcer le programme de lutte contre la l pre de fa on couvrir toutes les zones d end micit du pays et former du personnel cet effet 110 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Birmanie 22 Statistiques d mographiques et sanitaires Rangoon d c 1955 7966 8 Etablir un syst me permettant la notification rapide de donn es statistiques exactes am liorer l analyse des renseignements enseigner au personnel les m thodes statistiques et instituer un syst me de statistiques hospitali res Birmanie 31 Eradication du paludisme
303. ement continu donner des avis techniques pour les projets de four nitures du FISE auxquels elle n avait pas elle m me affecter de personnel L OMS 8 accept de pr ter son concours l Institut asiatique du D veloppement et des Plans conomiques qui doit tre tabli Bangkok L Institut recevra une aide du Fonds sp cial des Nations Unies et l agent d ex cution sera la Commission conomique pour l Asie et l Extr me Orient CEAEO Des contacts troits ont t maintenus avec les autres institutions C est ainsi que POMS participe en Inde un projet indo norv gien dans l Etat de Kerala et un projet de lutte contre la l pre Srikakulam l organisation et l ex cution de ce dernier tant assu r es par le Fonds danois de Secours l Enfance Comit r gional Le Comit r gional 8 tenu sa seizi me session Bangkok du 10 au 16 septembre 1963 avec la partici pation de repr sentants des huit Etats Membres de la R gion et du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord et en pr sence des repr sentants de l Organisation des Nations Unies du Bureau de PAssistance technique du FISE de la CEAEO de la FAO et de l OIT ainsi que d une organisation inter gouvernementale et de neuf organisations non gouver nementales La r union a t ouverte par le Mar chal Srisdi Dhanarajata Premier Ministre de Tha lande Les participants ont entendu la s ance d ouverture un dis
304. en ve 2 8 juillet Grn ve 8 13 juillet Gen ve 9 12 juillet Gen ve 15 20 juillet Zahl Liban 18 juillet Gen ve 23 29 juillet Gen ve 1 3 ao t Gen ve 5 9 ao t Gen ve 6 12 ao t Gen ve 13 19 ao t Gen ve 19 23 ao t Alexandrie 20 23 ao t Gen ve 20 26 ao t Vienne 26 30 ao t Rio de Janeiro 26 31 ao t Gen ve 28 29 ao t Gen ve 2 7 septembre Port Moresby 5 10 septembre Gen ve 9 12 septembre Bangkok 10 16 septembre Honiara 11 17 septembre Gen ve 12 13 septembre Rio de Janeiro 12 19 septembre Caracas 16 19 septembre Washington 16 25 septembre Stockholm 17 20 septembre Yalta URSS 22 28 septembre Gen ve 23 24 septembre 154 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Symposium sur la lutte contre les maladies v n riennes R gion europ enne Stockholm 24 28 septembre Symposium sur les m thodes de culture des vecteurs arthropodes et des agents biolo giques utilis s pour les combattre Comit d experts de la Standardisation biologique Gainesville Floride 30 sept 4 octobre Gen ve 30 septembre 5 octobre R union mixte du Comit FAO sur l Emploi des Pesticides en Agriculture et du Comit OMS d experts des R sidus de Pesticides Evaluation de la toxicit des r sidus de pesticides dans les aliments Gen ve 30 septembre 7 octobre Annexe 5 CALENDRIER PROVISOIRE DES R UNIONS CONSTITUTIONNELLES DE L OMS EN 1964 Conseil ex cutif tre
305. ence du Centre a t publi dans le Bulletin de POMS 1 Organisation mondiale de la Sant 1963 Specifications for reagents mentioned in the International Pharmacopeia Gen ve Edition fran aise en pr paration 2 Bervenmark H Diding N A amp Ohrner B 1963 WHO melting point reference substances Bull Org mond Sant 28 175 188 BIOLOGIE ET PHARMACOLOGIE 49 L OMS a continu de coop rer avec les commissions nationales qui fixent et utilisent les sp cifications et les proc d s d analyse ainsi qu avec les organisations internationales s int ressant ces questions en particuler l Union internationale de Chimie pure et appliqu e et la F d ration internationale pharma ceutique Une treizi me liste contenant cent quatre vingt quatorze d nominations communes internationales propos es pour des substances pharmaceutiques a t soumise aux Etats Membres et publi e ensuite dans le num ro d octobre de la Chronique OMS Dans divers pays un usage croissant est fait de ces d nomina tions dans l tiquetage des produits ainsi que dans la r glementation On peut ainsi pr venir plus ais ment les difficult s provenant du fait que la m me substance pharmaceutique est connue sous plusieurs noms diff rents La publication des listes a permis dans certains cas d identifier beaucoup plus facilement des substances effets secondaires dangereux et de les retirer rapidement du march
306. encore loin de poss der un syst me la fois commode et suffisamment exact mais gr ce un certain d veloppement r cent peut tre pourrons nous y parvenir plus vite que nous ne l avions pens au d but Je pense en particulier l accroissement consid rable du concours pr t l Organisation par les sp cialistes de la sant publique des sciences m dicales et des disciplines voisines Qu il s agisse de juger le pass ou d organiser lavenir leurs avis p sent d un grand poids Je voudrais souligner cet gard que pas moins de quarante comit s experts et groupes scientifiques se sont r unis Gen ve ou ailleurs dans ann e 1963 Comme on le verra dans divers chapitres du pr sent Rapport il n est pratiquement pas une seule branche de nos activit s qui nait b n fici d une fa on ou d une autre du savoir et de l exp rience de ces sp cialistes Pour ne citer qu un exemple de cette pr cieuse collaboration entre l OMS et le monde scientifique je mentionnerai ici la question de la r sistance aux insecticides probl me capital dont la solution aura de lavis g n ral une influence d cisive sur l issue de la lutte engag e contre les principales maladies transmissibles A l heure actuelle les efforts s orientent au premier chef vers la mise au point de nouvelles s ries d insecticides au moins aussi actives que les pr parations actuelles et galement acceptables en sant publique Les moyens biologiques de co
307. enseignement infirmier de sant publique et sur l encadrement du personnel R publique Dominicaine 4 Services de sant publique 1954 7967 8 FISE Renforcer les services de sant publique l chelon central et d velopper les services de sant locaux dans l ensemble du pays R publique Dominicaine 9 Bourses d tudes B Administration des h pitaux quatorze mois archives m dicales dix mois hygi ne de la maternit et de l enfance onze mois p diatrie onze mois sant publique v t rinaire onze mois R publique Dominicaine 16 Enseignement de la M decine v t rinaire 1963 7965 AT R organiser l cole de m decine v t rinaire et porter la dur e de son programme de quatre cinq ann es Surinam 51 Eradication d Aedes aegypti 1962 AT Trinit 12 Services infirmiers 1959 AT Former des infirmi res am liorer et d velopper les services infirmiers Trinit 13 Bourses d tudes B Nutrition deux bourses de douze mois Uruguay 5 Services nationaux de sant publique ao t 1955 7965 AT FISE Organiser des services de sant publique int gr s d abord dans cinq d partements puis dans tout le pays et former des travail leurs sanitaires professionnels et auxiliaires Uruguay 8 Bourses d tudes B Organisation de l enseignement de la m decine trois mois p diatrie clinique et sociale deux bourses de trois mois statistiques sanitaires neuf mois
308. ent d mographique naturel En Indon sie toute l le de Java avec sa population de plus de 60 millions d habitants en tait la phase d attaque la fin de septembre 1963 Dans les Am riques la phase de consolidation a t atteinte dans de nouveaux secteurs de la Bolivie de la Colombie du Costa Rica de l Equateur du Guatemala du Honduras du Nicaragua et du P rou et la phase d entretien dans certaines zones de l Argentine L Organisation panam ricaine de la Sant OPS a inscrit au registre des zones o l radi cation du paludisme a t r alis e les les de Carriacou de Grenade et de Sainte Lucie Dans la R gion de la M diterran e orientale de nouveaux secteurs de la Syrie sont entr s dans la phase de consolidation En Jordanie on a enregistr pour 18 premi re fois le passage de diverses zones la phase d entretien Plusieurs pays des R gions europ enne et de la M diterran e orientale ont demand POMS d valuer la situation locale afin d attester que l radication a t r alis e On 8 fait appel plus largement des quipes ind pendantes pour valuer l tat d avancement des programmes De vastes territoires pr c demment impalud s se trouvant la fin de la phase d attaque ou la phase de consolidation l attention s est port e tout par ticuli rement sur la m thodologie des op rations de surveillance l ment essentiel de la consolidation Dans les p
309. epr sentants de nombreuses disci plines ce groupe a tudi la biologie compar e et la r gulation neuro endocrinienne de la reproduction la biologie des gonades et des gam tes la f condation et la gestation la biochimie des st ro des sexuels ainsi que les facteurs immunologiques et pharmaco logiques int ressant la reproduction Des dispositions ont t prises pour r unir en d cembre 1963 un groupe scientifique des recherches sur la physiologie de 18 lactation La deuxi me tranche des tudes entreprises par POMS sur le poids la naissance s est poursuivie dans le cadre du programme de recherches consacr l action de sant publique Les travaux s effectuent en collaboration avec des institutions de plusieurs pays et ils ont notamment pour but de r unir des ren seignements sur les rapports entre l insuffisance du poids la naissance et divers facteurs conomiques et sociaux Le Comit d experts de PHygi ne de la Maternit et de l Enfance s est r uni en juin pour examiner le point de vue social dans l enseignement de l obst trique et de la gyn cologie L importance de ce sujet avait d j t soulign e par plusieurs comit s d experts mais dans de nombreux pays l enseignement de la gyn cologie et de l obst trique demeure encore strictement clinique et l tudiant en m decine ne peut acqu rir aucune exp rience des aspects g n raux des soins de maternit et notamment de l influen
310. epti me Assembl e mondiale de la Sant ayant lieu trop t t mars 1964 pour tre saisie de ce dernier rapport Questions administratives Structure du Secr tariat et personnel L effectif total du personnel est pass de 2453 au 30 novembre 1962 2630 au 30 septembre 1963 y compris les 171 agents affect s au Congo L opold ville ce qui repr sente un accroissement d environ 7 2 Les annexes 9 et 10 donnent des indications d taill es sur la r partition du personnel au 30 septembre 1963 Au cours de l ann e on s est pr occup d am liorer d une fa on g n rale les op rations de recrutement et surtout de les acc l rer notamment en ce qui concerne le personnel technique Des mesures sp ciales ont t prises afin que toutes les offres susceptibles d tre prises en consid ration puissent tre examin es au moment o des vacances de postes se pr sentent 1 Non compris le personnel de l Organisation panam ricaine de la Sant Vu les r sultats satisfaisants qu avait donn s le premier cours de formation organis en 1962 l intention de repr sentants de POMS deux cours analogues ont eu lieu en janvier f vrier et septembre novembre 1963 Au total vingt trois personnes occupant un poste de repr sentant de POMS ou pouvant tre appel es le faire y ont particip Un second groupe de treize administrateurs de la sant publique ont re u une formation sp ciale un mois de mise au
311. er l ducation sanitaire l cole On s est pr occup particuli rement de donner une valeur ducative tous les programmes de lutte contre les maladies transmissibles notamment paludisme variole tuber culose et trachome Quant aux statistiques sanitaires on cherche en particulier les d velopper dans les h pitaux Un effort sp cial de diffusion a t accompli pour faire conna tre diverses publications de POMS ainsi que toute la documentation technique qui pourrait tre utile aux travailleurs sanitaires de l Asie du Sud Est Le Bureau r gional se charge directement des ventes pour l ensemble de la R gion et fait fonction de d positaire de l OMS pour tous les pays qui la composent il a tendu son r seau de distribution en accordant des tarifs de faveur certaines cat gories d coles de m decine et d instituts de recherche ainsi qu aux personnel et institutions sanitaires de toute la R gion La coop ration avec lOrganisation des Nations Unies et les institutions sp cialis es s est poursuivie et sest m me resserr e dans certains domaines On a pu constater l utilit de r unions r guli res des repr sentants de POMS des repr sentants r sidents de lPassistance technique et des dirigeants locaux des autres institutions des Nations Unies Comme par le pass l Organisation a troitement collabor avec le FISE l ex cution d un grand nombre de projets communs Elle a gal
312. er la conservation des stocks de viande et l utilisation des sous produits ainsi que l vacuation hygi nique des d chets Une deuxi me visite est pr vue pour 1964 Arabie Saoudite 34 Services consultatifs pour l laboration des programmes sanitaires ao t 1963 2966 Fonds en d p t Aider le Conseil sup rieur de la Planification dresser des plans d action sanitaire Arabie Saoudite 200 Bourses d tudes B Etudes de m decine prolongation de trois bourses pendant douze mois lutte contre les maladies caus es par la chaleur trois mois Arabie Saoudite 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine prolongation de deux bourses pendant douze mois Chypre 1 Enseignement infirmier ao t 1962 juin 1964 AT D velopper l enseignement infirmier et les programmes de formation professionnelle afin de pourvoir le pays du personnel n cessaire pour l enseignement l administration et les soins infirmiers LISTE DES PROJETS M DITERRAN E ORIENTALE 127 Chypre 6 Lutte contre la tuberculose zone pilote nationale nov 1962 fin 1963 AT Ex cuter un programme pilote antituberculeux couvrant l agglom ration de Nicosie sa banlieue et les campagnes envi ronnantes Ce programme comprend une enqu te sur la fr quence globale de la tuberculose suivie d une campagne de d pistage de masse avec traitement des cas d couverts et si possible examen des malades fr quentant le service de consultations e
313. er les services de statistiques sanitaires LISTE DES PROJETS M DITERRAN E ORIENTALE 131 Pakistan 44 Enseignement infirmier Pakistan occidental sept 1961 milieu de 1965 AT FISE Am liorer et d velopper l enseignement infirmier Dans le cadre de ce projet l OMS pr te son aide pour l administration d une cole mod le d infirmi res cr e par le Gouvernement Pakistan 49 Centres de pr paration l radication du paludisme nov 1960 au del de 1965 CSEP Former du personnel technique pour le programme d radi cation du paludisme et effectuer des recherches sur les probl mes techniques qui se pr sentent au cours de l ex cution du pro gramme d radication Pakistan 50 Lutte contre la tuberculose zone pilote de Rawalpindi janv 1963 fin 1965 AT FISE Exp rimenter dans une zone pilote certaines m thodes de lutte antituberculeuse de fa on d terminer celles qui offrent le plus d int r t pratique et d efficacit pour 16 Pakistan et former du personnel en vue d int grer finalement la lutte anti tuberculeuse dans les activit s des services g n raux de sant publique Le centre antituberculeux de Rawalpindi assure la for mation professionnelle et les d monstrations des quipes mobiles op rent dans trois secteurs de la zone pilote Pakistan 51 Sant rurale Pakistan oriental 1963 fin 1965 B FISE D velopper les services ruraux de sant du Pakistan oriental not
314. ernationale contre le Cancer et avec le Conseil international des Soci t s d Anatomie pathologique avec la Commission permanente et Association internationale pour la M decine du Travail l occasion de deux symposiums avec la Commission inter nationale de Protection contre les Radiations pour la collecte de donn es de base concernant l exposition aux radiations avec la Commission internationale des Unit s et Mesures radiologiques pour la d termination des talons et unit s employer en radiologie m dicale enfin avec l Union internationale de Chimie pure et appliqu e la F d ration internationale pharmaceutique et le Comit international sur 165 Animaux de laboratoire PARTIE II LES R GIONS CARTE 1 BUREAUX R GIONAUX DE L OMS ET ZONES QU ILS DESSERVENT ZONE DESSERVIE AU 30 SEPTEMBRE 1963 PAR le Bureau r gional de l Afrique le Bureau r gional des Am riques BSP le Bureau r gional de l Asie du Sud Est le Bureau r gional de l Europe 16 Bureau r gional de r la M diterran e orientale le Bureau r gional du Pacifique occidental WHO 3845 9 961 N3 880 30 31 CHAPITRE 14 R GION AFRICAINE L effectif des Membres de la R gion africaine a continu s accro tre l Ouganda qui tait Membre
315. erne la chirurgie assurer la formation clinique du personnel de sant et en particulier des l ves infirmi res Gestion des d p ts de fournitures m dicales et AT Somalie 21 pharmacie oct 1962 Rationaliser les techniques pratiqu es en mati re de fourni tures m dicales et organiser la formation professionnelle de personnel auxiliaire pour la pharmacie et les d p ts de fournitures m dicales Somalie 200 Bourses d tudes B Assainissement douze mois cours d infirmi re monitrice douze mois tudes de m decine prolongation de bourses deux pendant quatre mois une pendant neuf mois six pendant douze mois une pendant quatorze mois pr paration la profession infirmi re prolon gation d une bourse pendant douze mois soins infirmiers de sant publique deux bourses de douze mois Somalie 201 Bourses d tudes AT Chirurgie cours pr pa ratoire au titre de Fellow of the Royal College of Surgeons douze mois tudes de m decine prolongation de bourses une pendant quatre mois trois pendant douze mois une pen dant quatorze mois tudes de pharmacie prolongation d une bourse pendant douze mois statistiques sept mois et demi Soudan 6 Paludisme Programme pr radication 1963 au del de 1965 CSEP Extension du r seau de services de sant ruraux et mise en place des moyens techniques administratifs et op rationnels n cessaires pour l ex cution d un programme co
316. erni res ann es Les molluscicides se sont montr s tr s actifs contre les vecteurs et il semble que la transmission ait t r duite Il ressort des exp riences de drainage que des terrains mar cageux une certaine altitude peuvent tre transform s en sols productifs tout en lib rant de Peau pour l irrigation de zones s ches On liminerait ainsi des g tes possibles de mollusques L extension de l irrigation en Rhod sie du Sud a toutefois entra n une l vation de la fr quence globale de 18 bilharziose Apr s avoir inspect deux importantes zones irrigu es dans le sud du pays l quipe a recommand des mesures de lutte Les molluscicides jouant un r le tr s important dans l action antibilharzienne plusieurs laboratoires et instituts ont b n fici de lappui de l OMS pour essayer de nouveaux produits am liorer les formules de pr paration tudier leurs effets sur la faune aquatique et perfectionner les appareils de diffusion En outre plusieurs bourses ont t octroy es des sp cialistes pour leur permettre d largir leurs recherches et une s rie de bulletins d information ont t publi s et distribu s aux int ress s Etant donn que les analyses de f ces et d urine demandent beaucoup de temps et ne fournissent pas d indications absolues la mise au point et l exp rimen tation de nouvelles m thodes de diagnostic ont t encourag es A la suite d tudes collectives un proc d
317. ervices nationaux de sant publique 1963 7967 AT OPS FISE Etablir les plans et proc der l ex cution d un programme long terme visant d velopper progressivement un r seau coordonn de services destin s assurer la promotion et la protection de 8 sant des populations urbaines et rurales Ce projet continue les anciens projets El Salvador 11 Ser vices infirmiers nationaux de sant publique et El Salvador 12 Services nationaux d assainissement Equateur 4 Services nationaux de sant publique 1953 967 B AT FISE Am liorer les services de sant aux chelons national inter m diaire et local et organiser dans la province de Manabi des services de sant int gr s Equateur 14 Eradication du paludisme 1956 1967 AT OPS Fonds sp cial du paludisme FISE AID Eliminer le paludisme de tout le pays Equateur 16 Enseignement infirmier mai 1957 965 8 Renforcer l Ecole d Infirmi res de l Universit de Guayaquil en pr parant des monitrices en am liorant les possibilit s de for mation pratique et en d veloppant le programme d tudes de fa on y inclure des cours sur l enseignement infirmier de sant publique et sur l encadrement du personnel Equateur 20 Eradication de la variole 1953 7964 AT OPS Ex cuter une campagne de vaccination de masse contre la variole ayant pour objectif final l radication de la maladie Equateur 23 Planification sanitaire nationale 19
318. es coles de m decine L OMS 8 notamment envoy au Cameroun un groupe consultatif en mati re d enseignement m dical au sein duquel taient repr sent es diverses disciplines Un autre groupe de ce genre s est rendu en Tunisie Au cours de la p riode consid r e POMS a conti nu soutenir des programmes nationaux et y participer en envoyant du personnel enseignant et des conseillers p dagogiques en octroyant des bourses pour des tudes l tranger et en organisant divers cours et s minaires Le tableau ci apr s indique le nombre de professeurs charg s de cours et autres ducateurs envoy s par l OMS dans les coles de m decine de sant publique d infirmi res et autres tablissements au cours de la p riode allant du ler janvier au 30 septembre 1963 2 Org mond Sant S r Rapp techn 1961 239 40 ACTIVIT DE 5 EN 1963 Formation de personnel qualifi Sciences m dicales 9 P diatrie et autres branches Cane 7 Sant publique et m decine pr ventive 12 Hygi ne du milieu 3 Pharmacie 1 Physioth rapie et radiographie 9 Soins infirmiers 86 Formation de personnel ete ML 13 Certaines des monitrices de soins infirmiers sont galement charg es de la formation d auxiliaires La r alisation d un plan de collaboration entre l Ecole de M decine d Edimbourg et l Ecole de M decine de Baroda en
319. es de trois consultants court terme ainsi que des fournitures et du mat riel WPRO 115 Enqu tes pid miologiques sur les maladies den taires juin 1963 1965 B Etudier les maladies dentaires et les services dentaires existants et former des sp cialistes aux m thodes d enqu te 1964 analyser les donn es fournies par les enqu tes nationales et formuler des recommandations concernant la cr ation ou le renforcement des services dentaires 1965 Australie 200 Bourses d tudes B Education sanitaire douze mois radiologie antituberculeuse et radiologie diagnostique huit mois Born o du Nord 5 Eradication du paludisme juillet 1961 7966 CSEP AT FISE Eliminer le paludisme du pays Ce programme d radication fait suite aux op rations antipaludiques qui ont b n fici de l aide de l OMS depuis juillet 1955 Born o du Nord 200 Bourses d tudes B Administration de la sant rurale quatre mois assainissement rural quatre mois hygi ne soins infirmiers de la maternit et de l enfance trois mois Brun i 3 Paludisme Programme pr radication mai 1962 1964 CSEP Rassembler les moyens op rationnels n cessaires pour la mise en uvre d un programme complet d radication qui doit commencer en 1964 Cambodge 1 Paludisme Programme pr radication 1962 1964 CSEP AT AID Amener les moyens dont on dispose sur le plan administratif et op rationnel au niveau n cessaire pou
320. es aliments 36 151 F d ration de Malaisie voir Malaisie F d ration dentaire internationale 34 F d ration de Rhod sie et de Nyassaland 17 21 96 F d ration internationale des H pitaux 119 F d ration internationale pharmaceutique 49 61 Fidji les 134 137 Fi vre jaune 13 14 21 Voir aussi Aedes aegypti Filarioses 6 18 109 Ceylan 111 Tha lande 115 service de recherches Rangoon 27 Finlande 19 33 121 FISE voir Fonds des Nations Unies pour l Enfance Fondation Ford 58 Fondation Jesperson 43 Fondation Milbank 39 71 Fondation Rockefeller 18 Fonds b n vole pour la promotion de la sant 55 Fonds danois de Secours l Enfance 77 111 Fonds de roulement 55 4 INDEX Fonds des Nations Unies pour l Enfance FISE 59 60 activit s communes 31 66 69 77 81 86 90 123 hygi ne de la maternit et de l enfance 32 66 68 70 76 hygi ne du milieu 24 77 85 maladies transmissibles 20 67 76 90 138 140 nutrition 31 35 36 66 71 74 77 86 121 126 139 paludisme 5 74 76 81 83 86 Fonds sp cial des Nations Unies 22 37 39 57 58 59 67 71 72 77 81 83 Fournitures m dicales et appare llage m dical 56 126 Somalie 132 Tunisie 133 Viet Nam R publique du 140 France 9 121 Gabon 32 65 68 69 96 Gambie 97 G n tique humaine 36 37 G nie sanitaire 24 72 103 117 Colombie 72 Inde 59 114 Mexique 106 Nig ria 99 R publique Arabe Unie 1
321. es conseils sur l levage de ces animaux qui sont de plus en plus demand s pour les travaux de recherche dans les diverses branches de 18 m decine et de 18 biologie Soins infirmiers Comme les ann es pr c dentes POMS a surtout aid les pays am liorer les soins infirmiers dispens s sur leur territoire et rationaliser l administration des services responsables Dans presque toutes les branches de l action de sant publique les services infirmiers ont un r le essentiel jouer leur dotation en personnel est donc l un des premiers objectifs de tous les plans visant constituer des services sanitaires efficaces ou renforcer ceux qui existent Le recrutement du personnel toutefois n est pas facile en raison du nombre de postes pourvoir de la p nurie universelle d infirmi res et des fonc tions toujours plus vari es qu elles doivent assumer depuis les travaux techniques relativement simples jusqu aux t ches tr s complexes comportant de lourdes responsabilit s Pour aider les administra teurs nationaux charg s de la planification des services 30 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 infirmiers l OMS a publi au cours de l ann e un manuel qui leur permettra de d terminer plus facile ment l effectif et la composition du personnel n cessaire et d utiliser au mieux les ressources disponibles Apr s un nonc de principes g n raux cet ouvrage analyse l influence des caract ristiques d
322. es dans cette campagne et aid la formation du personnel Des fournitures et du mat riel ont galement t envoy s L quipe a recommand de remplacer le vaccin liquide employ jusqu alors par du vaccin lyophilis qui se conserve mieux et donne par cons quent de meilleurs r sultats dans les pays tropicaux Des dispositions ont t prises pour donner effet cette recommandation SEARO 3 3 Equipe d valuation des campagnes BCG Indo n sie mai 1963 fin 1964 B D velopper et r organiser le programme de vaccination par le BCG et introduire l emploi de vaccin lyophilis SEARO 7 Equipe r gionale d valuation de l radication du paludisme mai 1959 fin 1965 B Evaluer objectivement l tat d avancement des programmes d radication du paludisme et tudier tout aspect particulier de la question dans les pays de la R gion selon les besoins SEARO 30 Eradication de la variole oct 1962 fin 1965 AT Aider les gouvernements de la R gion mener la lutte contre la variole en vue de son radication d finitive SEARO 38 Production de vaccin antivariolique lyophilis janv 1958 7965 B FISE Aider les gouvernements de la R gion dans la production de vaccin antivariolique sec thermostable SEARO 41 Am lioration des services de radiologie f vr 1959 avril 1963 B A l origine ce projet avait pour but de former des techniciens de divers pays de la R gion aux techniques de la radio
323. es dans une mesure suffisante pour la mise en uvre efficace de chaque phase du futur programme d radication du paludisme Ce projet succ de au projet pilote r alis de 1957 1962 Ouganda 28 Plan de d veloppement de la zone de Kibuga ao t 1963 B Am liorer la situation en ce qui concerne l assainissement approvisionnement en eau gouts et vacuation des mati res us es habitat dans le cadre du plan de d veloppement de la zone de Kibuga limitrophe de la municipalit de Kampala Ce plan est tabli avec l aide de l Organisation des Nations Unies Ouganda 200 Bourses d tudes B Cardiopathies cinq mois Ouganda 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine sept ans Portugal Mozambique 1 Paludisme Programme pr radica tion nov 1962 1968 CSEP D velopper l organisation d un service antipaludique et favoriser la mise en place d un r seau de services de sant ruraux Ce programme s inscrit la suite de enqu te pr radication qui s tait d roul e de 1960 1962 Portugal Mozambique 200 Bourses d tudes B Cours pr pa rant au dipl me de sant publique DPH douze mois R publique Centrafricaine 10 Enseignement infirmier 1963 fin 1965 AT Cr er une cole d infirmi res Bangui R publique Centrafricaine 11 Enqu te sur la nutrition juin 1963 fin 1964 AT FISE FAO Proc der une tude des maladies dues la malnutrition et mettre au po
324. es de base qui permettraient de d terminer les constituants de la pollution atmosph rique et leurs dangers potentiels l OMS a organis Gen ve un symposium sur les crit res et les m thodes de mesure de la puret de l air auquel ont pris part vingt repr sentants de pays de la R gion europ enne et de la R gion des Am riques Selon ce qu ont tabli les participants il existe quatre niveaux de concentration et d exposition auxquels on constate des effets pr cis sur la sant de l homme et sur le milieu qui condi tionne son bien tre social et conomique Jusqu ce que soit atteint le premier de ces niveaux on n observe aucun effet biologique direct ou indirect toutefois lorsque certains polluants d passent un degr de concentration d termin ils peuvent provoquer des r actions sensibles dont les effets n ont cependant pas encore t bien pr cis s vient ensuite le niveau auquel correspondent g n ralement une irritation des organes des sens des effets nuisibles sur les v g taux une diminution de la visibilit et d autres effets nocifs affectant le milieu un niveau sup rieur on peut relever une alt ration des fonctions physiologiques vitales ou des modifications susceptibles d aboutir des maladies chroniques ou une r duction de la dur e de la vie on en arrive finalement au niveau de pollution qui s il est atteint ou d pass peut provoquer des maladies aigu s voire m m
325. es de sant primaires et des services de transfert des malades organiser deux zones rurales de formation et donner des cours d orientation Les questions de sant publique ont t inscrites au programme de base de deux coles d infirmi res et la formation d infirmi res sages femmes auxiliaires a t inten sifi e Une tude approfondie de la structure et du fonction nement des centres de sant primaires a t entreprise En d pit des difficult s administratives et de la p nurie de personnel l implantation des services de sant dans les zones rurales de d veloppement communautaire a progress selon les pr visions et des am liorations consid rables ont t r alis es en mati re de formation professionnelle Inde 153 Eradication du paludisme avril 1958 fin 1968 CSEP AID Eliminer le paludisme de l ensemble du pays et emp cher le retour l end micit Inde 155 Livret explicatif pour le programme d tudes des coles d infirmi res et de sages femmes janv 1963 milieu de 1965 B R diger un livret explicatif pour le programme d tudes de soins infirmiers g n raux et d obst trique de l Indian Nursing Council Inde 170 Enqu te sur les ressources en eau du Grand Calcutta oct nov 1959 sept nov 1961 f vr 1963 7965 Fonds sp cial des Nations Unies Pr parer des rapports sur les aspects techniques et pratiques de l approvisionnement en eau et tablir des plans directe
326. es institutions des Nations Unies dans 16 domaine conomique et social et dans celui des droits de l homme durant la d cennie pour le d veloppement L OMS a particip aux travaux du Comit sp cial et elle collabore actuellement la pr paration de cette classification et la r daction du prochain rapport du Secr taire g n ral sur la d cennie Conf rence des Nations Unies sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es L OMS 8 particip la conf rence des Nations Unies sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es qui s est tenue Gen ve au mois de f vrier 1963 Elle 8 pr sent six communications sur le sujet sant et nutrition et fourni du personnel pour assurer le secr tariat technique des treize s ances officielles et officieuses consacr es ce point de l ordre du jour Les recom mandations les plus marquantes auxquelles ont abouti 1 Voir Actes off Org mond Sant 127 173 les d bats sont r sum es dans Ja section Sant et nutrition du rapport du Secr taire g n ral sur la conf rence On y souligne que les pays en voie de d veloppement ont besoin d une part de b n ficier plus largement de l aide multilat rale programme largi d assistance technique et Fonds sp cial gr ce une augmentation sensible des ressources disponibles cette fin
327. es inter pays et le Comit r gional s est demand s il conviendrait lavenir d affecter ces programmes un pourcentage pr d termin des fonds disponibles ou d amputer certains d entre eux afin de permettre la mise en uvre d un plus grand nombre de programmes dans les pays Le Comit r gional a recommand que les fonds soient affect s concur rence de 55 ces derniers et de 45 aux projets inter pays Il a d autre part pri le Directeur g n ral de tenir compte lorsqu il recommandera l allocation de cr dits cette R gion dans le cadre des budgets futurs du fait que certains pays de la R gion euro p enne ont besoin de toute l assistance que POMS est en mesure de fournir et que les activit s inter pays entreprises en Europe pr sentent un tr s grand int r t non seulement pour tous les Etats Membres de cette R gion mais aussi pour ceux d autres R gions Le Comit r gional a fait part de l inqui tude que lui inspirent les cas de variole import s diverses reprises en Europe et tant donn la fr quence des cas secondaires parmi le personnel sanitaire notam ment hospitalier il a soulign la n cessit de mesures g n rales de vaccination antivariolique Le Comit r gional a pris acte d un rapport du Directeur r gional sur certaines caract ristiques pid miologiques de la R gion et l a pri de poursuivre ces tudes et de lui pr senter des rapports an
328. es malignes aut es que la leuc mie tude descriptive des modifications h mato logiques cons cutives l irradiition tudes visant d celer la pr sence de cellules canc reuses dans le sang galement t envisag e En ce qui concerne les tudes portant sur la population des r gions o la radioactivit naturelle est lev e des enqu tes pr liminaires ont t faites Ceylan en Inde et dans la R publique Arabe Unie L OMS a continu accorder son aide 18 Com mission internationale de Protection contre les Radiations pour le rassemblement de donn es fonda mentales concernant l exposition aux radiations qui serviront de base des recommandations sur les doses maximums admissibles et d autres mesures de pro tection ainsi qu la Commission internationale des Unit s et Mesures radiologiques pour l tablissement de normes et d unit s en radiologie m dicale D troites relations de travail ont t maintenues avec AIEA et les travaux pr sentant un int r t com PROTECTION ET PROMOTION DE LA SANT 37 mun ont continu faire l objet d une planification concert e En mati re de g n tique humaine 18 mise en uvre d un programme de recherches sur la g n tique de collectivit s primitives a progress conform ment au plan g n ral trac par un groupe scientifique en 1962 L cologie relativement simple et la faible densit de ces collectivit s offrent un
329. es pays en voie de d vel ppement pour la fabrication d a liments riches en prot ines tudes concert es en vue de la normalisation des m thodes d valuation des propri t s nutritives des prot ines mesures pratiques destin es enrayer les maladies par carence prot ique et calorique innocuit des aliments riches en prot ines base de l gumineuses et autres denr es graines compte tenu des informations r centes relatives l aflatoxine substance toxique produite par une invasion fongique lors d un emmagasinage d fectueux Pour assurer une coordination permanente entre les trois institutions qui participent ce programme on a d sign au cours de l ann e un secr taire technique du Groupe consultatif des Prot ines Un groupe scientifique de l OMS s est r uni Gen ve en septembre pour passer en revue les travaux d j r alis s dans le cadre des tudes concert es sur les an mies ferriprives et pour examiner les r sultats d une enqu te pr liminaire sur l an mie m galoblas tique d origine alimentaire il a galement envisag la mise sur pied d un programme international concert de recherches en la mati re qui serait coordonn avec les tudes en cours sur les an mies ferriprives L enqu te pr liminaire qui a t men e dans vingt et un pays montre que l an mie m galo blastique rev t sans doute pour la sant publique une importance plus grande qu on ne le s
330. es pays en voie de d veloppement ces programmes peuvent utilement servir de base la mise en place progressive de services int gr s surtout en milieu rural Ils sont en g n ral tr s populaires et comme l a soulign le Comit r gional ils offrent un terrain de choix pour la collaboration entre sp cialistes des diverses disciplines int ress es Aussi plusieurs pays de la R gion se pr occupent ils de les renforcer et de les combiner avec des programmes ayant trait d autres domaines En ce qui concerne les programmes b n ficiant de l aide de l OMS les progr s r alis s ont t satisfaisants R GION DU PACIFIQUE OCCIDENTAL 89 L quipe consultative de POMS qui en collaboration avec la Commission du Pacifique sud enqu tait depuis 1962 sur la sant g n rale des m res et des enfants dans onze pays de cette partie du Pacifique a achev sa t che et pr sent ses premi res conclusions la conf rence sur l hygi ne rurale convoqu e Tahiti par la Commission L OMS envisage de fournir une aide un grand nombre des pays visit s Bien qu on ait r ussi dans la plupart des pays de la R gion r duire consid rablement la mortalit maternelle et infantile les taux de morbidit et de mortalit demeurent tr s lev s parmi les enfants d ge pr scolaire et il est n cessaire d am liorer les services de sant pour ce groupe d ge Dans le domaine de la nutrition on
331. es pro grammes sanitaires mis en uvre par l Office L OMS a pr par une documentation l intention d un cycle d tudes des Nations Umes sur les droits de Penfant et elle a continu de participer aux travaux de l Organisation des Nations Unies sur la d linquance juv nile la r adaptation des personnes physiquement diminu es ainsi que sur d autres questions sociales Elle a fourni des renseignements d ordre technique la Commission des Stup fants voir galement 16 chapitre 9 et elle a t repr sent e la douzi me session du Comit scientifique des Nations Unies pour l Etude des Effets des Radiations ionisantes L OMS a envoy un observateur la Conf rence des Nations Unies sur le Tourisme et les Voyages inter nationaux qui s est tenue Rome L Organisation recrute actuellement un agent de liaison aupr s de la Commission conomique pour l Afrique des agents de liaison ont d j t nomm s aupr s de la Commission conomique pour l Asie et l Extr me Orient et de la Commission conomique pour l Am rique latine Fonds des Nations Unies pour l Enfance L OMS 8 continu de collaborer avec le FISE divers pro grammes en faveur de l enfance notamment aux programmes concernant la protection maternelle et infantile la lutte contre les maladies transmissibles et la nutrition la suite de changements intervenus dans sa politique g n rale le FISE assure maintenant une 60 ACTIVIT
332. es repr sentants de l OMS comme les communications pr sent es par de nombreux experts ont mis l accent sur la place et le r le de la sant et de la nutrition dans l effort g n ral entrepris pour am liorer les conditions conomiques et sociales des r gions les plus d favoris es de la plan te En politique internationale l ann e 1963 s est caract ris e par une am lioration notable qui n a pas manqu de retentir sur les travaux des Nations Unies et des institutions sp cialis es De hautes autorit s ont exprim l espoir que la course aux armements se ralentissant on puisse voir se d velopper naturellement des activit s constructives qui permettront de l guer aux g n rations futures un monde o la paix et la s curit soient plus fermement assur es Parmi les hommes d Etat certains des plus minents ont express ment mentionn la sant parmi les domaines o une action internationale concert e pourrait avoir les effets les plus rapides et les plus spectaculaires Ainsi l automne 1963 a vu appara tre les signes avant coureurs d un proche largissement de l action de l Organisation mondiale de la Sant en faveur des pays en voie de d veloppement D autres indices donnent penser que l Organisation pourrait servir de base une audacieuse tentative pour mieux comprendre et ma triser les processus biochimiques qui conditionnent sant et maladie D TES Directeur g n ral XI PARTIE I APE
333. essentiel de tous ces programmes L exp rience a montr que m me avec des ressources tr s limit es il serait possible d appliquer des programmes nationaux de lutte antituberculeuse assurant l immunisation m thodique de la population expos e et la neutrali sation de la plupart des cas infectieux au moyen de la chimioth rapie Toutefois la r ussite n a pas t enti re parce que l on n est pas parvenu amener les malades s administrer eux m mes les m dicaments avec r gularit on a constat une augmentation continue du nombres des personnes qui excr tent des bacilles tuberculeux r sistants et l immunisation de la population r ceptive est souvent incompl te Aussi pour plusieurs projets ex cut s dans les pays avec l assistance de POMS a t on pr vu des recherches de caract re sociologique en vue de d couvrir les principales causes de l chec de l auto m dication Il n a pas t possible d tablir nettement le r le que des facteurs tels que l ducation et le niveau de vie ont probablement jou dans les diff rences constat es entre individus et parfois chez les m mes individus des dates diff rentes en ce qui concerne la r gularit de l auto m dication encourag e par l emploi de diverses m thodes de persuasion Un rapport final sur leffi cacit de l administration d isoniazide pour emp cher l infection de se transformer en maladie a t publi l occasion de l
334. et d autre part d accro tre leur capital humain gr ce notamment la formation de personnel de toutes cat gories Deux comit s sp ciaux ont t cr s au cours de l ann e pour donner suite aux recommandations de la conf rence un sous comit du CAC pour la science et la technique aux travaux duquel POMS a particip et un comit consultatif du Conseil cono mique et social sur l application de la science et de la technique au d veloppement Programmes d action concert e L OMS a pris part des tudes sur les cons quences conomiques et sociales du d sarmement ainsi qu aux pr paratifs de l ann e de la coop ration internationale qui doit marquer en 1965 le vingti me anniversaire de l Organisation des Nations Unies En ce qui concerne le d veloppement rural et communautaire POMS a collabor la pr paration d un rapport adress par le CAC au Conseil cono mique et social Elle a particip de nouveau au projet en cours d ex cution sous la direction de POIT pour le d veloppement conomique et social des populations indig nes des hauts plateaux des Andes ainsi qu aux travaux des deux centres r gionaux de formation cr s sous les auspices de l UNESCO le centre de pr para tion au d veloppement communautaire pour les Etats arabes et le centre r gional d ducation de base pour le d veloppement communautaire en Am rique latine et galement aux travaux d un groupe sp
335. et de la Syrie valuer leurs programmes d radication du paludisme et coordonner leurs activit s plus particuli re ment dans les zones fronti res EMRO 61 Cours pour techniciens de laboratoire mai 1962 1965 B Pr parer des techniciens de laboratoire venant d un certain nombre de pays de la R gion exercer les fonctions de moniteurs Les cours sont donn s Beyrouth Liban EMRO 63 b Cours pour infirmi res psychiatriques janv 1962 1965 B Donner une formation des infirmi res de la R gion en mati re de soins aux malades mentaux et de techniques d hygi ne mentale l H pital libanais pour troubles mentaux et nerveux Asfourieh Beyrouth EMRO 66 Habitat rural 1962 fin 1965 B Etudier des programmes de logement surtout dans les r gions rurales stimuler l int r t des administrations sanitaires et favo riser l hygi ne de l habitat 125 126 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 EMRO 75 Centre national de formation pour la lutte contre la tuberculose et programme r gional de formation janv 1962 juin 1965 B Continuation du projet Tunisie 28 en vertu duquel un centre de d monstration et de formation professionnelle pour la lutte antituberculeuse a t cr Tunis Il s agit de former dans ce centre du personnel professionnel et technique venant de pays situ s dans la R gion ou hors de la R gion en lui enseignant les m thodes de sant publique utilis es dans la lu
336. et en danger la sant et le bien tre de vastes populations De plus l extr me pollution entrave l accroissement de la productivit et par cons quent le d veloppement conomique et social 24 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Il est donc n cessaire d tudier les probl mes techniques et scientifiques pos s par l identification des nouveaux polluants organiques et inorganiques de l eau ainsi que les nouveaux proc d s de traitement qui permettraient d liminer efficacement ces substances ind sirables Les m thodes d analyse et d valuation de la qualit de l eau de rivi re ont t examin es en 1962 par le Comit d experts des Normes internationales pour l Eau de boisson mais quelques grands probl mes de pollution de port e internationale ne sont toujours pas r solus Il existe l heure actuelle un grand nombre de m thodes pour pr server la qualit de l eau mais le choix des mesures les plus opportunes ne peut gu re se faire sur la base de consid rations purement techniques surtout dans le cas des bassins fluviaux de caract re international En fait pour mettre un terme cette augmentation alarmante de la pollution de leau il faut r examiner les aspects l gislatifs et conomiques du probl me ainsi que les mesures administratives consistant par exemple cr er des organismes appro pri s de surveillance ou de contr le L OMS collabore troitement dans ce domaine avec l Organisa
337. et un pays et territoires r unis en s minaire Mexico ont examin les mesures qui pourraient tre prises de concert En Afrique on avancerait plus vite si l on trouvait le moyen d accro tre le nombre de malades qui se sou mettent un traitement r gulier mais ici comme dans d autres domaines le principal obstacle est la p nurie de personnel m dical et param dical qualifi On s efforce activement de rem dier cette situation Les recherches entreprises cet gard avec l aide de POMS portent sur des sujets tels que l inoculation et la culture de Mycobacterium leprae les essais de m dicaments la chimioprophylaxie l utilisation pr ventive du BCG la g n tique et l pid miologie de la l pre la standardisation de la l promine et les tudes s rologiques et histopathologiques VI La bilharziose continue poser l OMS dans l ordre biologique et social Pun des probl mes les plus pressants et les plus complexes Les efforts entrepris pour en venir bout ne progressent que lentement et se heurtent bien des difficult s alors que la menace s accro t en de nombreux points du globe Dans la R gion de la M diterran e orientale par exemple on a signal de nouveaux foyers en Ethiopie et au Liban Dans la R publique Arabe Unie l accroissement d mographique et le d veloppement de l irrigation aug mentent l urgence du probl me Heureusement l action men e sur place et les recherches
338. euf stagiaires venus des pays suivants Chine Ta wan Espagne Gr ce Irak Iran Isra l Japon Pologne Provinces portugaises d outre mer les du Cap Vert et Mozambique R publique Arabe Unie R publique de Cor e et Yougoslavie EURO 61 1 Cours de sant publique rurale Soissons 5 juin 5 juillet 1963 B Ce cours le cinqui me de la s rie a t donn au Centre de Sant publique rurale de Soissons en collaboration avec le Minist re fran ais de la Sant publique et de la Population et l Ecole nationale de Sant publique Le programme comportait des conf rences des d monstrations pratiques et des visites Le Directeur g n ral de la Sant de France a assist la s ance d ouverture et le Centre international de l Enfance avait envoy un repr sentant L OMS a accord des bourses quatorze stagiaires venus des pays suivants Alg rie Belgique Bulgarie Espagne Gr ce Maroc Pologne Portugal Roumanie Suisse Tch coslovaquie Turquie et Yougoslavie En outre un consultant de POMS s est rendu au Centre pour donner des avis sur le d veloppement de l action de sant mentale et pour faire le point de la situation cet gard EURO 66 3 Normes de qualit de l eau de boisson 1961 1963 B Apr s la r union de consultants sur les normes applicables l eau de boisson qui a eu lieu Copenhague en 1959 on a examin s il y a lieu d appliquer des normes en Europe Un questio
339. euve d un excellent esprit de coop ration ce qui a permis d atteindre de 95 100 des populations rurales Afin de contr ler l existence ventuelle d une relation entre la pr sence de microflaires et la fr quence locale lev e des l sions pulmonaires non sp cifiques constat e au Samoa Occidental des cas d l phantiasis caract ris s ont fait l objet d un examen radiologique sans qu une corr lation ait pu tre d cel e cet gard L OMS a galement envoy des charg s de cours et accord des bourses d tudes pour deux cours internationaux de formation organis s Prague et Rome sur l pid miologie de la tuberculose et la lutte contre cette maladie trente trois boursiers de POMS des m decins poss dant d j une certaine exp rience en mati re de tuberculose et de sant publique ont en 1963 parachev leur formation en suivant ces cours Dans les programmes nationaux de lutte anti tuberculeuse ex cut s avec l assistance de POMS la m thode g n ralement suivie consiste pr parer un plan sur la base des informations pid miologiques obtenues et des pr visions concernant les r sultats probables des op rations on proc de ensuite titre 65581 des applications limit es du programme et on apporte au plan tabli les modifications jug es n cessaires la suite de ces essais La formation d un personnel tant polyvalent que sp cialis constitue un l ment
340. eux insecticides impr gn s sur cordon ou ruban qui sont extr mement prometteurs les laboratoires essayeront ces produits contre les mouches domestiques multir sistantes en particulier dans les laiteries o il est contre indiqu de proc der des pulv risations effet r manent qui risqueraient de contaminer le lait Le programme pr voit galement une valuation de l effet des compos s les plus prometteurs sur les mouches domestiques les punaises des lits les poux et les puces et l Organisation a conclu des accords avec trois laboratoires d Am rique du Sud pour qu ils essaient contre Triatoma les compos s qui se sont r v l s efficaces contre les punaises des lits En 1963 il a t d cid que le programme d valuation porterait galement sur une nouvelle cat gorie de compos s les chimiost rilisants L Or ganisation a maintenant arr t les m thodes suivre pour l essai des produits de cette cat gorie et cinq d entre eux taient en cours d valuation la fin de septembre La toxicit ventuelle pour l homme fait l objet d une attention particuli re L dition actuelle du manuel intitul Normes pour les pesticides 1962 a t tablie par le Comit d experts des Insecticides r uni en novembre 1958 Des chimistes se sont r unis officieusement en 1961 pour r examiner ces normes et pour baucher un programme de recherches qui permettrait de les reviser En 1963 l OMS a organis
341. fin 1965 8 FISE Ex cuter une vaste enqu te sur la nutrition en vue d am liorer l tat de nutrition de la population Cette activit faisait primi tivement partie du projet Kenya 7 D veloppement communau taire y compris la protection maternelle et infantile qui b n ficiait d une assistance du FISE et qui a pris fin en 1961 Kenya 16 Etude sur 18 sant publique oct 1962 fin 1965 B D velopper 165 services de sant ruraux et les moyens de formation du personnel m dical et des auxiliaires sanitaires cr er un service d orthop die pr ventive Kenya 26 Mission d tude des approvisionnements publics en eau au Kenya mars mai 1963 Compte sp cial pour l approvisionnement public en eau FAO Trois consultants de l OMS et un consultant de la FAO ont t envoy s au Kenya de mars mai 1963 pour donner des avis sur 18 mise en place le financement l exploitation et la gestion des r seaux d approvisionnement en eau n cessaires pour l usage agricole et domestique L ing nieur sanitaire de POMS affect au projet Kenya 2 Assainissement a galement particip ces travaux Il a t nomm secr taire du comit sp cial compos de repr sentants des divers minist res et des administrations responsables de l approvisionnement en eau que le Gouverne ment a cr en vue d une collaboration avec l quipe OMS FAO L ing nieur sanitaire du Bureau r gional a pris part aux discussions fin
342. firmiers les tudes pr parant l enseignement infirmier et aux fonctions d administration ainsi qu aux diverses sp cialit s infirmi res seront sanctionn es par un dipl me sp cial L cole doit s ouvrir en octobre 1964 EURO 110 Ecoles et centres europ ens de formation en sant publique janv 1956 B Soutenir les coles de sant publique et les centres analogues de formation dans la R gion europ enne notamment au moyen d un programme d change de personnel et de voyages d tude EURO 115 Etablissements formant du personnel d assainis sement sp cialis 1956 B Renforcer l enseignement du g nie sanitaire en envoyant des conf renciers et en attribuant des bourses des membres du corps enseignant organiser et d velopper les cours de formation d ing nieurs sanitaires EURO 119 Monographie sur les services de sant en Europe 1963 B On se propose de recueillir des donn es sur l organisation technique et la structure administrative des services de sant dans les diff rents pays de la R gion et de comparer les syst mes en vigueur dans ces pays EURO 128 3 Laboratoires de sant publique 1959 7965 8 Aider d velopper les laboratoires de sant publique dans la R gion et favoriser la collaboration internationale entre eux 117 118 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 EURO 134 1 Epid miologie du cancer 1963 7964 B Il s agit d encourager des tudes pid miolog
343. formation acc l r e ont main tenant fait place des cours bien organis s et r guliers Leur nature et leur niveau varient sensiblement selon les n cessit s locales Les plus l mentaires ont pour objet de former des accoucheuses traditionnelles et les plus avanc s pr parent un dipl me d infirmi re qualifi e D une fa on g n rale on admet qu il est n cessaire d lever le niveau et d largir le programme des cours actuels d en instituer de nouveaux et d am liorer la qualit des services infirmiers mais les progr s accomplis dans ce sens demeurent in gaux Certains pays ont n anmoins pris des mesures importantes pour le d veloppement futur des services infirmiers Ainsi Singapour o POMS aide depuis un certain temps d j am liorer l enseignement infirmier de base on a proc d une analyse des besoins et des ressources en services infirmiers et l on a tabli un programme complet pour la formation de base Un rapport et des recommandations concernant la formation d aides infirmi res ont t approuv s et l on tudie galement la possibilit d organiser d autres cours notamment de soins infirmiers pour tuberculeux et de surveillance des salles ainsi que la pr paration d un manuel des techniques infirmi res D autre part une enqu te sur la formation des sages femmes Singapour et une valuation des services infirmiers en Malaisie ont t achev es En Chine T
344. fs l enseignement du g nie sanitaire AMRO 236 Evacuation des d chets et des ordures m nag res nov 1961 B Donner des avis sur les m thodes de collecte et d vacuation des d chets et des ordures m nag res ainsi que sur l organisation et l administration des services municipaux qui en sont charg s AMRO 240 S minaire sur les services infirmiers de sant publique Parac s P rou 21 avril 4 mai 1963 B Au cours de ce s minaire des infirmi res de la sant publique et des h pitaux ainsi que des infirmi res monitrices venant de pays de l Am rique du Sud ont discut des questions suivantes d veloppement des services infirmiers d termination des priorit s en mati re de planification et de direction de ces services m thodes de surveillance et formation en cours d emploi de toutes les cat gories de personnel infirmier Le s minaire comp tait quarante six participantes venant des pays suivants Argen tine Bolivie Br sil Chili Colombie Equateur Paraguay P rou Uruguay et Venezuela L OMS a assur les services de consultants et a pris sa charge les frais des participantes ainsi que les services de conf rence AMRO 262 Nutrition Services consultatifs zone IV 1956 B Donner des avis sur les programmes de nutrition et sur leur int gration dans les activit s des services de sant locaux AMRO 263 Lutte contre la l pre zone IV 1963 B Faire une enqu te sur l importan
345. ganisation d activit s analogues au Congo Brazzaville et au Togo Au Sierra Leone les laboratoires de s rologie qui avaient t primiti vement cr s pour les besoins de la campagne contre les tr pon matoses ont t transform s en laboratoires de sant publique pour assurer sur place la formation du personnel n cessaire Bien que la majeure partie des populations africaines vivent dans des zones rurales celles ci ne poss dent pas de services de sant d une qualit comparable celle des services urbains et il est donc urgent de les am liorer L OMS et le FISE apportent conjoin tement leur assistance des programmes visant d velopper les services de sant ruraux Madagascar ainsi qu au Nig ria oriental et occidental Un pro gramme analogue tabli pour le Congo Brazzaville sera tr s prochainement mis en uvre Ces divers projets comportent la cr ation de zones pilotes qui permettront d tablir des normes susceptibles d tre appliqu es ult rieurement au d veloppement des services de sant dans d autres zones des pays int ress s Ces zones pilotes offrent en outre la possibilit de donner une formation pratique au personnel sani taire tant professionnel qu auxiliaire La cr ation de comit s villageois d hygi ne facilite grandement l action sanitaire dans les zones rurales Le personnel de POMS affect des projets locaux participe aux travaux de ces comit s qui jouent act
346. ger de leur effet r manent sur les anoph lin s C est ainsi que deux carbamates et deux compos s organo phosphor s ont t exp riment s au cours des neuf premiers mois de 1963 par le service OMS d essai des insecticides Lagos Nig ria les preuves tant contr l es de pr s de mani re que tout effet toxique ventuel soit rapidement d cel Des tudes sp ciales ont galement t faites pour d ter miner si ces insecticides exercent un effet r pulsif sur les moustiques Les premiers r sultats obtenus avec les compos s organo phosphor s ont t encoura geants et font actuellement l objet d une valuation On pense pouvoir disposer prochainement d insecticides qui permettront de venir bout du probl me de plus en plus pr occupant de la r sistance des anoph lin s aux insecticides POMS fait faire actuellement en Afrique des essais pratiques grande chelle avec deux substances d j mises l preuve par le service d essai des insecticides afin de d terminer si leur emploi permettrait d interrompre la transmission du paludisme L OMS a conclu des arrangements avec les Gouvernements indien et iranien pour l essai sur le terrain d insecticides et de larvicides effet r manent dans des zones critiques o la r sistance d Anopheles emp che l emploi d insecticides base d hydrocarbures chlor s D autre part elle 8 mis la disposition de laboratoires du Danemark et d Italie d
347. gers cr s par les radiations notamment par celles qui sont associ es Putilisation m dicale des rayons X Les services charg s de contr ler les radiations ont t renforc s dans certains minist res de la sant et des services analogues ont t cr s dans quelques uns des grands h pitaux Dans ce domaine l OMS a accord son aide aux gouvernements pour l tude de probl mes sanitaires en relation avec les radiations ionisantes ainsi que pour la mise au point et le renforcement de programmes nationaux de protection L Organisation 8 fourni galement une assistance l Ethiopie pour 18 forma tion de techniciens aux m thodes de diagnostic radiologique et l Irak pour faciliter la formation de moniteurs en radiologie m dicale en diagnostic radiologique et en radioth rapie Une partie consid rable des travaux de POMS dans la R gion b n ficie de la collaboration d autres organisations internationales notamment de celle du FISE L OMS collabore avec la FAO l laboration et l ex cution de programmes de nutrition et avec POIT et Organisation des Nations Unies en ce qui concerne 165 activit s de r adaptation Un contact troit a t maintenu avec la Commission conomique pour l Afrique dont le si ge est Addis Ab ba ainsi qu avec la Commission conomique pour l Asie et PExtr me Orient Comit r gional Le Sous Comit A du Comit r gional de la M diterran e orientale s
348. gr ce au traitement de masse par 18 p nicilline jusqu limination compl te de 18 maladie organiser dans la zone du projet un service rural de sant qui poursuivra gale ment l action antipianique mener dans la zone consid r e une campagne d radication de la variole dont l ex cution sera confi e l quipe du pian Cambodge 9 Centre de formation en sant rurale Takhmau janv 1957 1967 AT FISE UNESCO AID Fondation Asie Elaborer et ex cuter pour la province un programme de sant publique complet tablir des services de sant publique mod les dans la province de Kandal utiliser le centre de Takhmau pour initier aux travaux pratiques du personnel m dical et sanitaire de toutes cat gories Cambodge 14 Laboratoire de sant publique Institut de Biologie ao t 1962 7966 AT Cr er un laboratoire central de sant publique l Institut de Biologie pr voir les mesures prendre pour l agrandissement des laboratoires de sant publique conform ment au plan quinquennal de d veloppement tabli par le Gouvernement pr parer pour l Institut un manuel portant notamment sur les m thodes et les techniques types de laboratoire organiser et assurer le fonctionnement de cours de formation s adressant diff rentes cat gories de personnel de laboratoire ainsi qu aux tudiants en m decine et aux l ves infirmi res Chine 1 Lutte contre les maladies v n riennes Ta wan B FISE
349. gramme Yougoslavie 31 Enseignement de la m decine 1962 fin 1963 B D velopper l enseignement de la m decine en organisant des r unions de formation 8 l chelon national et en envoyant des sp cialistes se perfectionner l tranger dans l enseignement de diverses branches de la m decine Yougoslavie 35 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique neuf mois chirurgie esth tique six mois h matologie six mois hygi ne dentaire deux mois lutte contre le trachome deux mois ophtalmologie trois mois orthoptique sept mois et demi sant mentale dans l industrie trois mois M DITERRAN E ORIENTALE EMRO 5 Ecole sup rieure d Infirmi res Universit d Alexandrie oct 1953 fin 1964 AT FISE Relever le niveau de l enseignement infirmier dans la R pu blique Arabe Unie et dans les autres pays de la R gion former par un programme de base de quatre ann es d tudes profes sionnelles menant un dipl me de soins infirmiers le personnel d enseignement et d administration requis en raison de l exten sion des services de sant organiser des cours de perfectionne ment pour infirmi res dipl m es et favoriser dans la R gion les tudes et les recherches concernant les probl mes infirmiers EMRO 7 Centre de pr paration au d veloppement communau taire pour les Etats arabes Sirs El Layyan janv 1953 milieu de 1965 AT UNESCO Former des m decins des infirmi
350. graphie et aux m thodes d entretien du mat riel radiologique ainsi que d aider cette fin l cole de radiographie de Colombo Ceylan Par la suite il a t d cid d largir le projet et de fournir plusieurs autres pays de la R gion des services consultatifs pour leurs installations radiologiques L OMS a envoy un ing nieur radiologiste et livr des fournitures et du mat riel L ing nieur a s journ Ceylan de f vrier 1959 juillet 1961 exception faite des mois de f vrier mai 1961 pendant lesquels il a t transf r provisoirement en Afghanistan Apr s avoir quitt Ceylan il s est rendu en Inde d ao t octobre 1961 et nouveau de mars avril 1962 en Indon sie de juillet octobre 1962 et en Tha lande de la fin d octobre 1962 avril 1963 A Ceylan 1 a aid d velopper l cole de radiographie celle ci ne compte plus que du personnel national et elle a t agr e par la Soci t des Radiographes du Royaume Uni comme tablissement pr parant l examen MSR diagnostic radio logique la date o l ing nieur a quitt l cole trente et un tudiants avaient pass cet examen avec succ s En Afghanistan en Inde en Indon sie et en Tha lande l ing nieur a examin les installations radiologiques et formul des recommandations touchant les programmes de formation de radiographes et de techniciens charg s de la r paration et de l entretien des installations
351. griculture et des For ts Bonn R publique f d rale d Allemagne D O G Fitzhugh Directeur du Service de Toxicologie Divi sion de la Pharmacologie Administration des Dem es ali mentaires et des M dicaments D partement de la Sant de l Education et de la Pr voyance sociale Washington Etats Unis d Am rique D R Goulding M decin principal Minist re de la Sant Londres Angleterre Dr Y Ikeda Chef du D partement de Pharmacologie Institut national d Hygi ne Tokyo Japon D A A Tostanovskaja Institut de Nutrition de l Ukraine Kiev R publique socialiste sovi tique d Ukraine D RK C J Truhaut Professeur de toxicologie Facult de Pharmacie Universit de Paris France Membre du Conseil sup rieur d Hygi ne publique de France Professeur S E Wright D partement de Pharmacie Universit de Sydney Australie 3 COMIT CONSULTATIF DE LA RECHERCHE M DICALE Le Comit consultatif de la Recherche m dicale a t cr en vertu de la r solution WHA12 17 Cinqui me session Gen ve 24 28 juin 1963 Dr S Adler Professeur de parasitologie l Ecole de M decine Hadassah Universit h bra que J rusalem Isra l Dr W Barry Wood jr Directeur du D partement de Micro biologie l Ecole de M decine de l Universit Johns Hopkins Baltimore Maryland Etats Unis d Am rique Professeur C H Best Institut Charles H Best Universit de Toronto Ontario Canada 1 Selon la ter
352. gt sept participants venaient des pays suivants Bulgarie Congo Brazzaville Dahomey Danemark France Ghana Gr ce Hongrie Iran Isra l Italie Kenya Madagascar Maroc Pakistan Pays Bas R publique Arabe Unie Royaume Uni Tch coslovaquie Turquie Union des R publiques socialistes sovi tiques Yougoslavie L OMS 8 pris sa charge les d penses des participants de quatre conseillers temporaires et d un consultant court terme Le Gouvernement bulgare a organis des visites sur le terrain aux environs de Varna Interr gional 89 Eradication du paludisme Centre d enseigne ment en langue fran aise Belgrade 1961 1963 CSEP Un centre a t cr Belgrade en 1961 pour former aux techniques d radication du paludisme des paludologues des 141 142 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 entomologistes des ing nieurs sanitaires des techniciens de l assainissement et d autres cat gories de personnel L enseigne ment comprenait des cours th oriques suivis de visites sur le terrain en Yougoslavie et dans d autres pays de la R gion europ enne De 1961 1963 trois cours A ont t donn s du personnel exp riment et quatre cours B du personnel d butant tous en fran ais Vingt sept boursiers de POMS ont suivi les cours A et cinquante cinq les cours B ils venaient de toutes les R gions de l OMS l exception de l Asie du Sud Est selon la r partition su
353. gton 51 Biblioth que de POMS 51 Biblioth ques de m decine R gion de 18 M diterran e orientale 51 125 Bilharziose 17 18 84 Ghana 97 Irak 85 127 Iran 85 128 Liban 84 Philip pines 138 139 R publique Arabe Unie 85 131 Somalie 132 Tha lande 116 quipe consultative 17 138 141 Biologie du milieu 27 Birmanie 20 25 31 56 75 108 109 110 BIT voir Organisation internationale du Travail Blennorragie 7 8 Bolivie 3 21 71 72 104 Born o du Nord 89 135 Bourses d tudes 3 6 17 31 39 40 41 43 44 46 67 68 69 76 81 86 87 89 accord es du 1 d cembre 1962 au 30 septembre 1963 liste 161 162 Voir aussi la liste des projets qui constitue la partie III du pr sent volume Br sil 4 13 31 72 104 Brucellose 9 Voir aussi Zoonoses Brun i 135 Budget 1963 54 155 Voir aussi Programme et budget R gions Bulgarie 3 120 121 Bulletin de l Organisation mondiale de la Sant 50 51 Bureau de l Assistance technique 59 90 Burundi 24 32 65 66 67 68 96 Cahiers de Sant publique 50 Cambodge 4 32 89 90 135 136 Cameroun 30 39 66 67 68 96 Campagne mondiale contre la Faim FAO 36 51 52 60 Canada 14 15 104 Cancer 11 12 14 33 36 43 48 86 118 143 Albanie 120 conf rence de POPS sur les recherches pid miologiques 73 Cardiopathies isch miques 80 118 CCTA 18 36 66 69 Centre de Classement des Maladies Londres 44 1 2 INDEX Centr
354. h tes interm diaires de la bilharziose et mettre au point un projet pilote de lutte contre cette maladie Ghana 10 Enqu te sur l assainissement nov 1958 fin 1963 AT Etudier les probl mes g n raux d assainissement y compris lapprovisionnement public en eau et pr parer un programme complet visant am liorer progressivement l hygi ne du milieu Ghana 11 Lutte contre la tuberculose mars 1962 1965 AT FISE Organiser un projet dans une zone pilote pour d terminer compte tenu des conditions locales la meilleure proc dure de d pistage de traitement et de surveillance des tuberculeux et des contacts pr sum s former du personnel national Ghana 13 Administration de la sant publique avril 1958 janv 1963 B Il s agissait d laborer un programme sanitaire national long terme de r diger un projet de l gislation sanitaire et de rassembler des donn es statistiques pour le Minist re de la Sant L OMS a d tach un administrateur de la sant publique de 1958 1960 et un statisticien de 1961 au d but de 1963 et accord six bourses trois de dix douze mois pour la pr paration du dipl me de sant publique DPH deux de onze mois pour des tudes de m decine tropicale et une d un mois pour des tudes d administration sanitaire des ports En outre quelques fournitures ont t livr es L administrateur de la sant publique a pr par un projet complet de code sanitaire et dress
355. hEn dai TONE re i compl te et irr versible Les autorit s du village aident l quipe La population d un village fortement de l OMS organiser l examen infest se fait inscrire pour un examen g n ral FORMATION D INFIRMI RES AUXILIAIRES EN AFRIQUE Pour aider rem dier la grave p nurie de personnel qualifi qui est l un des principaux obstacles au d veloppement des services de sant dans les pays nouvellement ind pendants de l Afrique le FISE et l OMS collaborent des programmes de formation de travailleurs sanitaires notamment d infirmi res auxiliaires BURUNDI Centre de sant de Kitega ouvert le 29 avril 1963 Les m res m nent les enfants la consultation g w Une infirmi re auxiliaire l ve du centre soigne un malade domicile L infirmi re auxiliaire est aussi une ducatrice Toute la famille coute attentivement ses conseils GHANA Des infirmi res visiteu ses sont form es l oc casion d un programme organis avec l aide de l OMS pour constituer un service de soins domicile dans les r gions rurales MALADIES TRANSMISSIBLES 13 laboratoires de r f rence ont r alis le diagnostic s rologique ou l isolement L exp rience acquise au cours des six premiers mois 8 montr comment ce projet pouvait tre am lior et l on s emploie maintenant remanier le syst me d information Les laboratoires n
356. harge de remboursement la demande d Etats Membres En outre des commandes s levant 5261 000 taient en cours d ex cution au 30 septembre 1963 elles comprenaient notamment quelques appareils de 1 Actes off Org mond Sant 129 annexe 8 radiologie ultra modernes ainsi qu une grande quantit de mat riel g n ral pour h pitaux A la fin de septembre POMS s appr tait acheter pour le compte de POIT de l quipement et des fournitures suppl mentaires pour un h pital ainsi que du mat riel pour treize dispensaires et pour cinq cliniques mobiles au titre du programme en faveur des Indiens des Andes que soutiennent en commun POIT la FAO l UNESCO l ONU et POMS Ces achats sont financ s par un don de 440 000 francs suisses que la R publique et Canton de Gen ve a fait l OIT Assistance d urgence des Etats Membres Des achats de vaccin antichol rique ont t faits charge de remboursement pour le compte de 8 Malaisie et de la Birmanie En outre des fournitures et du mat riel ont t envoy s au Pakistan la R publi que de Cor e et la Yougoslavie afin d aider ces pays faire face des besoins urgents cr s par des catastrophes naturelles ou des pid mies Etude organique sur les m thodes de planification et d ex cution des projets sa trente deuxi me session tenue en mai 1963 le Conseil ex cutif 8 examin un rapport concernant l tude organique sur les m
357. harmaceutiques Su de 11 20 45 123 Suisse 14 123 Surinam 107 Swaziland 6 67 69 100 Syndrome de Burkitt 14 Syphilis 7 8 Syrie 3 84 85 125 133 Tableaux d experts 149 pharmacop e internationale et pr parations pharmaceutiques 48 pollution de Pair 23 Tanganyika 17 100 Tchad 100 Tch coslovaquie 11 14 45 123 Terminologie du paludisme et de l radication du paludisme 4 50 T tanos Inde 114 vaccin 19 114 128 Tha lande 4 6 8 16 20 75 76 77 108 115 116 Timor portugais 90 134 Togo 8 16 20 45 65 66 67 68 69 101 Tonga les 90 134 140 INDEX 9 Toxicomanie voir Drogues engendrant 18 toxicomanie et autres drogues dangereuses Toxoplasmose 10 Trachome 15 31 Afghanistan 109 Chine Ta wan 136 Espagne 121 Inde 111 112 Tha lande 116 Tunisie 133 Turquie 124 Yougoslavie 124 Voir aussi Ophtalmies transmissibles Tr pon matoses 7 9 Cambodge 136 Nig ria 16 67 Philippines 16 Sierra Leone 66 Tha lande 16 Togo 16 67 101 quipe consultative 8 67 141 Voir aussi Pian Trinit et Tobago 107 Tri ortho cr syl phosphate intoxication par Maroc 38 122 Trypanosomiase 18 Ts ts lutte contre Bechuanaland 95 Tuberculose 6 7 20 34 53 67 72 76 78 81 84 89 90 102 103 Afghanistan 109 Arabie Saoudite 84 126 Argentine 104 Basutoland 95 Birmanie 108 Chine Ta wan 136 Chypre 127 Cor e R publique de 137 Ethiopie
358. hire Ecosse 13 T Ramos Saco Ecole de M decine v t rinaire Universit nationale de San Marcos Lima P rou Sir John Ritchie V t rinaire en chef Division de la Sant des Animaux Minist re de l Agriculture des P cheries et de l Alimentation Hook Rise Tolworth Surbiton Surrey Angleterre Professeur Y Saito Ecole v t rinaire d Azabu Fuchinobe Sagamihara Kanagawa Japon Professeur M Vandeplassche Ecole v t rinaire Universit d Etat Gand Belgique Professeur W L Weipers Directeur de l Enseignement v t ri naire Ecole v t rinaire de l Universit de Glasgow Ecosse R union mixte du Comit FAO sur l Emploi des Pesticides en Agriculture et du Comit OMS d experts des R sidus de Pesti cides Evaluation de la toxicit des r sidus de pesticides dans les aliments Gen ve 30 septembre 7 octobre 1963 Dr M G Allmark Directeur adjoint du Service des M dica ments Direction des Produits alimentaires et des M di caments Minist re de la Sant publique et du Bien Etresocial Ottawa Canada Professeur F B r Chef du Laboratoire d Hygi ne de la Nutrition Institut Max von Pettenkofer Berlin R publique f d rale d Allemagne Professeur 5 Dalgaard Mikkelsen D partement de Pharma cologie et de Toxicologie Ecole royale de M decine v t ri naire et d Agriculture Copenhague Danemark Dr H Drees Conseiller minist riel Minist re f d ral de l Ali mentation de l A
359. ht rique et anticoquelucheux treize semaines production massive de plasma et de produits sanguins deux mois et demi protection contre les radiations trois mois et demi traitement et pr vention des toxicomanies trois mois et demi R publique Arabe Unie 201 Bourses d tudes AT Chirurgie orthop dique des poliomy litiques onze mois contr le biolo gique des m dicaments cinq mois et demi enseignement de la sant publique deux mois m thodes et programmes de l ensei gnement en sant publique deux mois r adaptation m dicale prolongation d une bourse pendant un mois virologie six mois Somalie 2 Paludisme Programme pr radication mai 1962 CSEP AT Mettre en place les moyens techniques administratifs et op rationnels n cessaires pour l ex cution d un programme complet d radication du paludisme d velopper simultan ment les services de sant ruraux de mani re qu ils puissent collaborer efficacement cette action Ce programme poursuit les travaux du projet pilote d radication du paludisme juillet 1955 1962 et de l enqu te pr radication octobre 1957 1962 entrepris sous le m me num ro de projet Somalie 8 Formation de personnel sanitaire janv 1959 7965 8 FISE Reviser renforcer et r orienter les dispositions prises en Somalie pour la formation du personnel auxiliaire de sant renforcer les services r gionaux de sant et favoriser leur exten sion l
360. i les conditions d admission l cole ont t rendues plus s v res et le niveau de l enseignement a t relev Les enseignantes ont elles m mes re u une formation continue en cours de service Un programme de r organisation des stages cliniques effectu s dans les h pi taux qu utilise l cole pour l enseignement a t tabli Une monitrice iranienne a t nomm e directrice de l cole en 1961 et assume toutes les responsabilit s de direction depuis cette date Les attributions du personnel national se sont progres sivement tendues au cours de la derni re p riode d aide de POMS le personnel international n a donn que des directives limit es et les enseignantes iraniennes ont continu d am liorer le programme d tudes les r gles d admission le syst me d examens etc L cole a t agr e par le Minist re de l Educa tion pour la formation d infirmi res qualifi es Le personnel de POMS s est essentiellement occup de l cole de Rey Cependant il a eu des changes de vues avec le personnel d autres tablissements du Lion et Soleil rouges de sorte que la port e du projet s est tendue diverses autres coles d infir mi res 708 Iran38 Lutte contre la bilharziose nov 1958 milieu de 1965 AT Etudier sur place l pid miologie de la bilharziose et sa pr ven tion former du personnel mettre sur pied un programme de lutte s int grant autant q
361. icaces de lutte contre les ophtalmies transmissibles et mener bien un programme qui sera appliqu d abord dans une zone pilote et plus tard dans le reste du pays en prenant comme bases les centres situ s dans les capitales des treize provinces de l Irak Irak 35 Formation de personnel sanitaire janv 1960 1965 AT FISE Former des techniciens de l assainissement qui aideront au d veloppement des services de sant locaux Irak 37 Ecole d infirmi res Bagdad mars 1962 au del de 1965 B Former du personnel pour l enseignement et pour l adminis tration des services relever le niveau des tudes et par suite celui de la pratique des soins infirmiers Irak 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois radioth rapie douze mois Irak 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique douze mois r adaptation m dicale prolongation d une bourse pendant un mois 128 ACTIVIT L OMS EN 1963 Iran 1 b Eradication du paludisme 1957 au del de 1968 CSEP FISE AID Proc der l radication progressive du paludisme dans tout le pays au moyen de pulv risations action r manente et d autres mesures Iran 7 Institut de la Nutrition 1963 7965 AT Faire une enqu te sur la nature et la fr quence des principales maladies de la nutrition et carences alimentaires plus particu li rement chez les m res et les enfants des zones ru
362. ices cliniques europ ens qui collaborent l tude que POMS a fait entreprendre sur ce sujet depuis 1961 afin qu ils examinent de fa on approfondie l tat d avancement des travaux et qu ils d terminent la proc dure suivre au cours des pro chaines ann es pour que soit maintenue l uniformit voulue dans la collecte des donn es Ils ont galement discut de l analyse des donn es de la pr paration des rapports provisoires et d finitifs et de la possibilit d entreprendre certaines tudes annexes L OMS a pris en charge les d penses des vingt cinq participants venus des pays suivants Autriche Danemark France Gr ce Italie R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni et Tch coslovaquie Interr gional 220 Centre ONU de mise en valeur des ressources hydrauliques 1963 7964 B ONU FAO Le but de ce projet est de coop rer avec le Centre ONU de mise en valeur des ressources hydrauliques Aux termes de ce projet POMS assure les services d un ing nieur sanitaire charg de pr ter son concours ce centre ANNEXES Annexe 1 MEMBRES ET MEMBRES ASSOCI S DE L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANT au 30 septembre 1963 la date du 30 septembre 1963 l Organisation mondiale de la Sant comptait cent dix sept Membres et trois Membres associ s On en trouvera la liste ci dessous avec la date laquelle ils sont devenus parties la Constitution ou ont t admis en qualit de Membres associ s
363. ici de l envoi de trois infirmi res monitrices Coop ration avec d autres organisations Il a d j t question de la coop ration croissante avec d autres organisations internationales op rant en Afrique On attache une grande importance au maintien d une liaison troite avec la Commission conomique des Nations Unies pour l Afrique POMS a particip la cinqui me session de cette commission ainsi qu celles de son Comit permanent de la Protection sociale et du D veloppement commu nautaire de m me qu la r union du Comit permanent d orientation Comit des Six de l Ins titut africain de D veloppement et de Planification conomiques Les nombreux projets envisag s ou ex cut s avec Paide commune du FISE et de POMS donnent lieu des consultations permanentes tant officielles qu offi cieuses entre les deux organisations L OMS 8 continu de fournir des directives techniques sur les incidences sanitaires des programmes de d veloppe ment communautaire et de services sociaux qui sont ex cut s avec l aide du FISE et de l Organisation des Nations Unies Il 8 d j t fait mention de certaines des activit s communes avec la FAO L OMS a particip la dix huiti me session de la Commission de Coop ration technique en Afrique qui s est tenue en f vrier 8 Dar es Salam D autre part POrganisation a eu fr quemment l occasion de se concerter et de collaborer avec l
364. id d tendre aux ann es 1965 et 1966 le cycle de programmation biennale Le fonds de roulement et de r serve a t maintenu au niveau de 12 millions et le plafond des allocations d urgence a t fix 10 des ressources estim es pour les deux ann es 1963 1964 Les m thodes d valuation du programme largi d assistance technique ont t tudi es par le Comit de l Assistance technique lors de sa session de novembre 1962 Sur la base d un rapport pr sent par le Bureau de l Assistance technique des arrangements sont pr vus pour am liorer l valuation des activit s entreprises dans le cadre du programme largi et des rapports renfermant des analyses critiques des succ s et des checs du programme devront tre soumis r guli rement au Comit de l Assistance technique sa session de juillet 1963 le Conseil conomique et social a autoris l utilisation de fonds pr lev s sur le compte sp cial du programme largi d assistance technique pour la fourniture de personnel d ex cution titre d essai pendant la p riode 1964 1966 et il a tabli des crit res pour l approbation des demandes pr sent es cet effet Le Bureau de l Assistance technique pr parera une formule type d accord d finissant les relations entre les gouvernements b n ficiaires les organisations participantes et le personnel d ex cution La question d une fusion ventuelle du programme largi et du
365. ides Organisation des soins m dicaux Sant mentale Soins infirmiers Standardisation biologique Statistiques sanitaires Trachome Tuberculose Zoonoses 2 COMIT S D EXPERTS On trouvera ci dessous la liste des comit s d experts qui se sont r unis entre le 1 janvier et le 30 septembre 1963 Comit d experts de l Exercice de 18 M decine g n rale Gen ve 2 8 juillet 1963 Dr O Adeniyi Jones M decin de la sant publique D parte ment de la Sant publique Municipalit de Lagos Nig ria D V Djukanovi Secr taire adjoint aux Affaires sociales et sanitaires Conseil ex cutif f d ral Belgrade Yougoslavie Professeur E Martin Directeur de la Policlinique universitaire de M decine Gen ve Suisse D L Nelken Secr taire ex cutif de la Division des Etudes post universitaires Ecole de M decine Hadassah Universit h bra que J rusalem Isra l D P Pedroso Professeur d administration des h pitaux Ecole de Sant publique S o Paulo Br sil Dr Y S Raafat Directeur du Croissant Rouge gyptien Le Caire R publique Arabe Unie D G A Silver Chef de la Division de M decine sociale Montefiore Hospital New York Etats Unis d Am rique Dr B L Taneja M decin chef Irwin Hospital New Delhi Inde Comit d experts de la Formation professionnelle et technique du Personnel m dical et auxiliaire Stimulation de l int r t des omnipraticiens pour la m decine pr
366. ie o l on avait d cel un foyer pid mique actif et des tudes pid miologiques entomologiques mammalo giques et ornithologiques concernant l cologie du virus amaril et d autres virus transmis par 165 arthropodes ont t entreprises On 8 pu identifier de nombreuses esp ces de moustiques et en reconna tre une esp ce nouvelle le virus amaril a t isol chez les moustiques de la nouvelle esp ce comme chez les autres La d couverte d anticorps de la fi vre jaune dans le s rum de singes captur s dans la for t a prouv que ces animaux participent au cycle sylvestre de l infection sur certains s rums on a constat que ces singes taient galement infect s par d autres virus transmis par les arthropodes Des dispositions ont t prises pour qu une troisi me r union du groupe scientifique des recherches sur la fi vre jaune en Afrique orientale ait lieu avant la fin de 1963 afin d analyser les renseignements recueillis On a proc d des tudes comparatives sur la vaccination contre la fi vre jaune en Malaisie de sujets volontaires poss dant ou non des anticorps avant la vaccination et une communication ce sujet a t publi e dans le Bulletin de l OMS Autres virus transmis par les arthropodes Des tudes pid miologiques et virologiques sur d autres virus transmis par les arthropodes se sont pour suivies avec l aide de POMS dans plusieurs r gions En Afrique oriental
367. ied un programme de nutrition appliqu e Tha lande 65 Eradication du paludisme janv 1962 1969 CSEP AID Eliminer le paludisme de l ensemble du pays Tha lande 67 D veloppement des services de protection contre les radiations avril mai 1963 B L OMS a envoy pour un mois un consultant qui tait charg de donner au Gouvernement des avis au sujet de la cr ation d un service d hygi ne des radiations au Minist re de la Sant publique Tha lande 200 Bourses d tudes B Administration des denr es alimentaires et des m dicaments cinq semaines contr le des denr es alimentaires et des m dicaments six mois lutte contre la tuberculose quatre mois lutte contre les tr pon matoses cinq mois et demi sant mentale treize semaines techniques de laboratoire pour les maladies v n riennes quatre mois Tha lande 201 Bourses d tudes AT Dentisterie trois ans radiations et isotopes deux ans 1 Actes off Org mond Sant 123 133 EUROPE EURO 40 3 S minaire sur la sant de l enfant et l cole Noordwijk 21 31 ao t 1963 B L objet de ce s minaire tait d tudier comment on pourrait adapter l hygi ne scolaire aux conceptions pr sentes et futures en mati re de sant et d ducation et d attirer l attention sur les rapports entre l cole la famille et la collectivit Les parti cipants ont tudi plus particuli rement deux p riodes de la vie de l enfant
368. ieure d infirmi res qui sera tablie pour former des monitrices et des administratrices pour les programmes d enseignement infirmier et les services infirmiers Gr ce 20 Services de sant mentale 1956 7964 B Renforcer les services nationaux de psychiatrie notamment en ce qui concerne les m thodes appliqu es dans les h pitaux psychiatriques Gr ce 21 Bourses d tudes B Cardiologie six mois chirurgie trois mois gamma enc phalographie quatre mois h mo dynamique trois mois lutte contre le cancer deux mois psychoth rapie psychoanalytique infantile neuf mois soins pr et post op ratoires cinq mois Gr ce 23 R adaptation des personnes physiquement diminu es 1959 fin 1963 8 FISE Mettre au point et ex cuter un programme national de r adaptation Gr ce 25 Zone de d monstrations de sant rurale 1958 1966 AT Organiser des services sanitaires complets et coordonn s dans une zone rurale o l on pourrait essayer de nouvelles m thodes d administration de la sant publique donner une formation pratique toutes les cat gories de personnel de 18 sant publique et effectuer des d monstrations et des recherches Le projet pr voit l organisation d un service de statistiques d mogra phiques et sanitaires dans 18 zone de d monstrations Gr ce 34 Approvisionnement public en eau 1963 8 D velopper l approvisionnement public en eau dans une r gion en plein d veloppe
369. if la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant par sa r solution WHA16 6 a approuv pour 1963 des pr visions suppl mentaires de 438 100 portant ainsi le budget effectif 830 394 100 Il s agissait de faire face aux d penses additionnelles r sultant de laugmentation des ajustements de poste prenant effet en 1963 de l augmentation des traitements du personnel des services g n raux dans certains lieux d affectation de l augmentation des versements aux pensionn s de l Office international d Hygi ne publique des services assurer aux nouveaux Membres et aux Membres reprenant leur participation active et de lPaugmenta tion des co ts de construction du b timent du Si ge Compte tenu de ces pr visions suppl mentaires le budget total approuv pour 1963 s est lev 32 543 670 La diff rence entre ce chiffre et le montant de 30 394 100 fix pour le budget effectif soit 2 149 570 correspond la r serve non r partie qui avait t tablie par la r solution WHA1 5 42 au titre des contributions de la Chine et des Membres alors inactifs Hongrie RSS de B lorussie et RSS d Ukraine L annexe 7 indique la r partition du budget approuv entre les diverses sections de la r solution portant ouverture de cr dits les virements entre sections effectu s avec l assentiment du Conseil ex cutif et les pr visions suppl mentaires approuv es Programme largi d assistance technique Le montant a
370. if d examiner les moyens d assurer que les m dicaments export s par un pays producteur soient conformes aux r gles applicables dans ce pays en mati re de contr le des m dicaments destin s au march int rieur Il se peut qu un certain nombre de pays cherchent conclure des accords pr voyant l acceptation charge de r ci procit des certificats d analyse tablis par eux Quoi qu il en soit l examen effectu par un laboratoire officiel du pays importateur constitue le seul moyen pratique r ellement efficace de contr ler la qualit des m dicaments import s Le probl me ne saurait tre r solu en priant le pays exportateur de d liver un certificat d analyse tant donn que les fonctionnaires charg s du contr le ne sont pas toujours habilit s tablir de tels certificats en outre certains pays importateurs pourraient consid rer ces derniers comme non valables ou inacceptables Au cours de l ann e l OMS a poursuivi son assis tance dans ce domaine en proposant des sp cifications et en donnant des avis divers pays sur le contr le de la qualit des pr parations pharmaceutiques et sur l am lioration de l quipement de laboratoire n ces saire ce travail Les travaux consacr s la deuxi me dition de la Pharmacop e internationale ont continu pendant toute l ann e et les sp cifications qu elle contient ont t v rifi es en laboratoire au cours d essais auxquels ont coll
371. igine occidentale et orientale ont t analys es et ont fait appara tre des diff rences tr s sensibles dans les sch mas de f quence On a termin la pr paration d une tude pid mio logique sur le cancer de la bouche en Inde et notamment sur les rapports qui pourraient exister entre le cancer et l habitude de fumer ou de mastiquer certaines herbes Cette tude qui sera entreprise en collaboration avec des chercheurs indiens portera sur plusieurs r gions de l Inde et on pr voit de l tendre par la suite d autres r gions o la fr quence du cancer de l oropharynx est relativement lev e Un programme de recherches sur P pid miologie du cancer en Am rique latine a t labor par la conf rence de planification des recherches pid mio logiques sur le cancer organis e par POPS et qui s est tenue Lima P rou au d but de 1963 voir aussi page 73 Afin de faciliter de nouvelles tudes pid mio logiques une bibliographie de l pid miologie du cancer de toutes localisations pour la p riode 1946 1960 a t mise au point et publi e L tude internationale concert e sur la fr quence des cas de leuc mie chez les malades irradi es pour 1 Organisation mondiale de la Sant 1963 Bibliographie de l pid miologie du cancer 1946 1960 Gen ve cancer du col de l ut rus 8 t poursuivie voir ga lement page 36 En ce qui concerne les tudes comparatives sur les mal
372. ignement de la sant publique est int gr un certain nombre d autres projets qui b n ficient d une assistance de POMS et sont mentionn s dans les parties II et 11 de ce rapport Certaines sections des coles de m decine qui s occupent normalement des tudiants dispensent maintenant un enseignement post universitaire en sant publique et un certain nombre de centres de soins assurent galement une formation dans cette discipline Les doyens et professeurs d un certain nombre d coles de sant publique d Am rique du Nord ont pris part un s minaire itin rant en Europe qui leur 8 permis de visiter des tablissements homologues en Angleterre et en Ecosse en France aux Pays Bas dans la R publique f d rale d Allemagne en Su de et en Yougoslavie L OMS a particip des r unions de doyens des coles de sant publique en Am rique du Nord en Am rique latine et en Europe L enseignement de la m decine pr ventive et sociale en Inde a fait l objet d une tude g n rale La documentation pr par e pour la conf rence europ enne qui en 1961 a tudi 18 pr paration du m decin son travail au sein de la collectivit a t publi e au cours de l ann e avec diff rentes notes relatives aux discussions dans la collection des Cahiers de Sant publique Formation du personnel sanitaire auxiliaire Dans son tude organique sur l enseignement m di cal voir page 39 le Conseil
373. iller en sant publique une infirmi re de la sant publique et un ing nieur sanitaire Une quipe analogue pr te son concours au Gouvernement du Burundi Un conseiller r gional pour les statistiques d mo graphiques et sanitaires 8 t nomm en janvier 1963 L OMS a entrepris une revision des m thodes et des techniques statistiques actuellement utilis es en Afrique Le rassemblement de donn es sur le personnel de sant et les ressources disponibles dans la R gion s est poursuivi pendant l ann e Les informations obtenues seront mises profit pour la planification sanitaire et elles permettront de d terminer le type de donn es statistiques que les nouveaux services cr s dans les minist res de la sant devront s efforcer de r unir en premier lieu Un service de statistique de ce genre 8 t institu au Minist re de la Sant du Ghana avec l assistance de POMS Dans de nombreux pays de la R gion o les ressources en mati re de laboratoires sont insuffisantes on se propose d installer un r seau de laboratoires de sant publique rattach s aux services sanitaires Des visites effectu es dans douze pays ont permis de proc der une enqu te sur la situation actuelle en 65 66 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 vue de mettre au point un programme d assistance et POMS a maintenu son aide au Nig ria pour l am lio ration des services de laboratoire Des plans ont t tablis pour l or
374. illet 1961 2964 8 Inspecter et r organiser les services de statistiques sanitaires tant au Minist re de la Sant qu aux chelons provinciaux et locaux et former du personnel pour ces services d velopper et am liorer les statistiques d mographiques Philippines 63 Archives hospitali res d c 1962 7965 8 Etudier et r organiser les syst mes d archives hospitali res et former du personnel local Philippines 71 Physioth rapie et ergoth rapie juillet 1961 mars 1966 AT FISE Organiser l Universit des Philippines des cours pour la formation de physioth rapeutes et d ergoth rapeutes mettre au point des normes professionnelles permettant d assurer des prestations de haute qualit assurer la formation en cours demploi d agents semi qualifi s Philippines 75 Programme de protection maternelle et infantile ao t 1963 7965 8 Renforcer l organisation des services de protection maternelle et infantile afin d am liorer l tat de sant des m res et des enfants et de r duire leurs taux de mortalit Philippines 76 Direction et administration des laboratoires f vr 1962 1964 AT Renforcer l organisation et l administration des laboratoires Philippines 200 Bourses d tudes B Administration sanitaire urbaine et rurale trois mois ducation sanitaire douze mois immuno pathologie douze mois soins infirmiers deux bourses de douze mois Polyn sie fran aise 4 Nutri
375. iment du Bureau sanitaire panam ricain Bureau r gional de POMS a eu lieu pendant la session Selon les pr visions actuelles les locaux pourront tre occup s au printemps de 1965 Bureau r gional Administration Une vaste r organisation des activit s administra tives du Bureau sanitaire panam ricain Bureau r gional de POMS a t entreprise pendant l ann e Il s agissait d apporter certains remaniements la structure des services de Washington de m caniser un plus grand nombre d op rations administratives et de modifier en cons quence les m thodes de g stion Plus importante encore a t la d cision de centraliser Washington un grand nombre des fonctions jusqu ici d l gu es aux bureaux de zone pour les questions de personnel de comptabilit et d autres questions analogues En m me temps les attributions administratives et techniques des repr sentants dans les pays ont t tendues Les conomies ainsi r alis es permettront d accro tre l assistance technique aux gouvernements CHAPITRE 16 R GION DE L ASIE DU SUD EST La lenteur avec laquelle les services sanitaires de base se constituent surtout dans les r gions rurales emp che ceux ci de prendre en charge les op rations sp ciales de lutte contre les grandes maladies trans missibles Ces retards posent un probl me dont l acuit s est accentu e durant l ann e Dans une grande partie de la R gion les campagnes d radi
376. in des degr s fondamentaux de pollution il a galement indiqu quelles taient les tudes et les recherches n cessaires pour am liorer l action de lutte contre la pollution de Pair L OMS a envoy un consultant court terme et a pris sa charge les frais des participants Interr gional 135 3 S minaire itin rant sur l administration de la sant publique Union des R publiques socialistes sovi tiques 2 27 sept 1963 AT Ce s minaire a t organis pour permettre des administra teurs de la sant publique connaissant l anglais et s int ressant l administration et l organisation de la lutte contre les maladies transmissibles d tudier les services existant divers chelons en URSS Les participants se sont rendus Moscou Poltava et dans ses environs Kiev et Leningrad L OMS 8 pris sa charge les d penses des quatorze partici pants qui venaient des pays suivants Birmanie Bolivie Colombie Gr ce Indon sie Malaisie le Maurice Mexique Mongolie Nig ria Pakistan R publique Arabe Unie Togo et Turquie Interr gional 142 Symposium international OIT OMS sur l ins pection m dicale du travail Gen ve 18 29 avril 1963 B OIT Vingt et un inspecteurs des services de m decine du travail participaient au symposium et ont examin le r le les fonctions et les responsabilit s des inspecteurs m dicaux du travail les pouvoirs techniques et administratifs do
377. in rants interr gionaux de POMS ont visit l Union des R publiques socialistes sovi tiques le premier y a tudi la formation et l utilisation du personnel m dical auxiliaire voir galement page 41 et le second Padministration de 18 sant publique En plus des programmes interr gionaux dont on a vu plus haut des exemples POMS a continu de fournir son assistance divers pays souvent en collaboration avec le FISE En Gr ce la zone de d monstrations sanitaires de Thessalie qui b n ficie de cette aide a continu se d velopper de fa on satisfaisante Au Maroc l OMS participe depuis 1959 l ex cution d un projet destin am liorer les programmes d enseigne ment infirmier On s tait born au d part former des infirmi res auxiliaires et semi qualifi es mais le nombre des l ves poss dant le niveau d instruction g n rale requis ayant r cemment augment on a pu transformer les coles assurant une formation inter m diaire en coles d infirmi res qualifi es tout en am liorant et en largissant les activit s de formation de personnel infirmier aux chelons inf rieurs L OMS donne d autre part des avis pour la cr ation d une cole d enseignement infirmier sup rieur Cinq pays ont b n fici d une assistance de POMS pour l ex cution de campagnes contre les ophtalmies transmissibles et de programmes de lutte antituber culeuse En Yougoslavie les centres de prot
378. inaires ont t engag es en vue d organiser l Universit d Ibadan au Nig ria un centre mod le dans lequel des immunologistes venus d autres pays tabliraient et ex cuteraient un pro gramme quinquennal 48 ACTIVIT DE 45 EN 1963 Afin de satisfaire les besoins internationaux et nationaux en immunor actifs de type et de qualit appropri s POMS appuie les mesures prises par certains pays pour cr er des services producteurs comme celui qui d pend du British Medical Research Council La section de biochimie de l Universit de Lausanne en Suisse tudie actuellement la possibilit de mettre sur pied un laboratoire de r f rence pour certains de ces r actifs Des pourparlers ont t engag s en vue d adjoindre un centre OMS de r f rence pour les preuves s rologiques d auto anticorps aux laboratoires d immunologie du Middlesex Hospital Londres L OMS a appuy les efforts du Comit international sur les Animaux de laboratoire en vue de la fourniture d animaux se pr tant aux recherches immunologiques A titre de premier pas vers l tablissement d une nomenclature l OMS projette d organiser une r union scientifique sur la nomenclature des immunoglobulines l occasion de la conf rence internationale sur la formation des anticorps qui doit avoir lieu Prague en 1964 Afin de faciliter les contacts entre chercheurs dans le domaine de l immunologie POMS a pris part
379. ine Des ing nieurs sanitaires et des techniciens de l assainissement envoy s par POMS ont collabor des projets de d veloppement rural ou urbain entrepris par l Organisation des Nations Unies tels que le centre de d veloppement communautaire d Arabie Saoudite et celui de la r gion de la Gezira Wad Medani au Soudan L OMS a galement donn des avis plusieurs gouvernements sur les questions de sant publique relatives au logement dans les zones rurales et urbaines La malnutrition tout sp cialement chez les m res et les enfants pose dans 18 R gion un probl me de tr s grande importance non seulement en raison de ses effets directs mais aussi parce qu elle provoque une pr disposition aux infections bact riennes et para sitaires L OMS a pr t son concours pour la cr ation d un Institut de la Nutrition en Iran ainsi que pour 86 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 des recherches sur la nature et la fr quence des princi paux troubles d origine nutritionnelle pour l labora tion et l application de mesures visant am liorer la nutrition et pour le d veloppement de l ducation en cette mati re Un s minaire r gional mixte FAO FISE OMS sur la nutrition appliqu e s est r uni au Caire dans la seconde moiti du mois de septembre De hauts fonctionnaires des gouvernements participants ont examin les questions administratives et techniques que posent les programmes de nutrition app
380. ine en milieu paludique ainsi que pour stimuler ce genre de recherches dans cette r gion Une tude g n tique des diff rences chromosomiques existant dans divers groupes de population a d autre part t entreprise en 1963 Les observations faites sur cer tains groupes indiens doivent tre compar es avec les donn es recueillies ant rieurement l gard de popu lations europ ennes Hygi ne sociale et m decine du travail Les devoirs les responsabilit s et la formation des m decins charg s de l inspection m dicale du travail ont t tudi s Gen ve en avril au cours d un symposium organis conjointement par POIT et POMS Les participants des inspecteurs m dicaux venus de vingt pays ont d fini l objet principal de Fins pection m dicale de la main d uvre comme tant 18 protection et la promotion de la sant de tous les salari s et ils ont soulign que pour tre en mesure d accomplir sa t che avec efficacit l inspecteur m dical doit disposer de certains pouvoirs fondamen taux Il faut notamment qu il ait plein acc s aux lieux d emploi et la documentation technique concernant la production et qu il puisse proc der librement l examen des travailleurs De lavis g n ral des par ticipants il faut aussi que l inspecteur poss de en plus d une formation sp ciale dans des domaines tels que la technologie la psychologie et la sociologie industrielles l action de sa
381. infantile et des Pro fessions affili es Association internationale des Distributions d Eau Association internationale des Femmes M decins Association internationale des Soci t s de Microbiologie Association m dicale mondiale Association mondiale v t rinaire Central Council for Health Education Comit international catholique des Infirmi res et Assistantes m dico sociales Comit international de la Croix Rouge Commission internationale de Protection contre les Radiations Commission internationale des Unit s et Mesures radiologiques Commission permanente et Association internationale pour la M decine du Travail Conf d ration internationale des Sages Femmes Conf d ration mondiale de Physioth rapie Conf rence internationale de Service social Conseil des Organisations internationales des Sciences m dicales Conseil international des Infirmi res Conseil international des Soci t s d Anatomie pathologique F d ration dentaire internationale F d ration internationale de Gyn cologie et d Obst trique F d ration internationale de M decine sportive F d ration internationale des Coll ges de Chirurgie F d ration internationale des H pitaux F d ration internationale du Diab te F d ration internationale pharmaceutique F d ration internationale pour l Habitation l Urbanisme et l Am nagement des Territoires F d ration mondiale de Neurologie F d ration mondiale des Anciens Combattants
382. infirmi re de la sant publique de mars 1962 mai 1963 et un statisticien consultant pendant un mois en f vrier mars 1962 Ce programme comprenait l organisation du d pistage des cas de la vaccination par le BCG et du traitement soit domicile sous surveillance m dicale soit l h pital Des dispositions communes ont t prises par le dispensaire antituberculeux et d autres institutions dispensaires sanatoriums services de sant scolaire pour le d pistage des cas de tuberculose l application de mesures pr ventives et l envoi des malades des centres de traitement Une enqu te sur la fr quence des cas a t entreprise Diverses cat gories de personnel ont t form es et il a t constitu un embryon de service m dico social domicile On a commenc int grer la lutte antituberculeuse dans l acti vit des services de sant locaux Un syst me d enregistrement et un fichier des cas de tuberculose ont t tablis La production de films de brochures et d affiches a permis d intensifier l du cation sanitaire Kowe t 6 Statistiques d mographiques et sanitaires mars mai 1963 B Un consultant a t charg durant deux mois d tudier le fonctionnement du service de statistiques d mographiques et sanitaires du Minist re de la Sant publique de formuler des recommandations pour le d veloppement ult rieur des statis tiques sanitaires et de donner des avis au sujet de l organ
383. int des mesures de lutte contre ces maladies Rwanda 2 Administration de la sant publique Guin 1962 fin 1965 AT Organiser et mettre sur pied les services de sant nationaux et former du personnel sanitaire professionnel et auxiliaire L quipe envoy e par l OMS aide faire fonctionner les services de sant Rwanda 3 Hygi ne de 18 maternit et de l enfance 1963 fin 1965 8 FISE Organiser des services de protection maternelle et infantile et former du personnel auxiliaire S n gal 4 Hygi ne du milieu dans les r gions rurales juillet 1960 fin 1965 AT Am liorer les conditions de salubrit dans les r gions rurales par l interm diaire des services g n raux de sant rurale S n gal 200 Bourses d tudes B Techniques audio visuelles dix mois techniques de laboratoire trois semaines Sierra Leone 1 Lutte contre le pian Ganv 1956 fin 1965 AT FISE Mener une campagne antipianique former du personnel auxiliaire pour la campagne et ensuite pour les centres qui se chargent de l radication d finitive du pian et qui forment un service rural de sant complet tudier dans la mesure du possible d autres maladies notamment la l pre et appliquer des mesures curatives et pr ventives en coop ration avec les autorit s locales Sierra Leone 7 Enseignement infirmier mars 1961 1966 B Cr er une cole compl te d infirmi res et de sages femmes dont le programme d tudes comprendr
384. inuer 18 fr quence de 18 syphilis surtout chez les m res et les enfants Maroc 9 Formation de personnel de sant publique oct 1957 AT FISE D velopper pour diff rentes cat gories de personnel de sant publique les possibilit s de formation dans le nouvel Institut de Sant publique Maroc 12 Assainissement 1958 7965 AT Etablir un programme national d assainissement en cr ant cet effet une section de g nie sanitaire au Minist re de la Sant publique et former du personnel sanitaire notamment des auxiliaires Maroc 15 Bourses d tudes B Bact riologie des denr es alimentaires un mois g nie sanitaire onze mois Maroc 19 Enseignement infirmier oct 1959 7967 B D velopper et am liorer l enseignement et les services infir miers en amenant progressivement les coles d infirmi res au niveau d tablissements pr parant un dipl me d Etat en cr ant de nouvelles coles et en instituant des programmes d enseigne ment infirmier sup rieur qui pr pareront les infirmi res aux postes d enseignement d administration et de sant publique Maroc 21 Epid miologie et statistiques sanitaires 1961 8 D velopper les services nationaux de statistiques d mogra phiques et sanitaires Maroc 22 Laboratoires de sant publique 1960 7964 B D velopper les laboratoires de sant publique et plus parti culi rement le laboratoire central de sant publique de Rabat Maroc 23
385. ion de ces cat gories de personnel EURO 207 Formation des tudiants en m decine 1961 B Encourager l am lioration des tudes de m decine notamment en introduisant la m decine pr ventive et la m decine sociale tous les niveaux et dans toutes les sections du programme d tudes EURO 212 Symposium sur les maladies chroniques non sp ci fiques du poumon Moscou 10 15 d c 1962 B Il s agissait d tudier les probl mes de terminologie notam ment les d finitions de certains syndromes et les crit res de diagnostic qui se posent propos des maladies chroniques non sp cifiques du poumon et d examiner les m thodes suivre pour tudier la fr quence de ces maladies dans diff rents pays au sein de populations vivant dans un milieu diff rent Au nombre de quinze les participants venaient des pays suivants Autriche Belgique Finlande France Italie Norv ge Pays Bas Pologne R publique f d rale d Allemagne Royaume Uni Suisse Tch coslovaquie et Union des R publiques socialistes sovi tiques L OMS a pris leurs frais sa charge et a envoy Moscou un consultant et deux conseillers temporaires EURO 215 Services de statistiques sanitaires 1962 B Des tudes sur l exactitude et la comparabilit des statistiques des causes de d c s seront effectu es par les services nationaux de statistiques et coordonn es par l OMS Une r union de planification s est tenue au Bureau r giona
386. ions Pour les programmes dont l ex cution est d j bien avanc e POMS s est born e un r le de conseiller s effor ant d am liorer les m thodes d valuation et de pr parer les administrations sanitaires exercer la vigilance qui forme l essentiel de la phase d entretien Aux stades ant rieurs l assistance de POMS a consist d une mani re g n rale fournir des services consultatifs former du personnel et mettre les services de sant publique la fois nationaux et locaux en tat de jouer leur r le au cours de la phase de consolidation Quant aux pays qui ne sont pas encore pr ts lancer un programme d radication l Organisation les aide surtout mettre en place leurs propres services antipaludiques ainsi qu cr er une infrastructure sani taire g n rale de mani re leur permettre le moment venu d entreprendre les op rations avec des chances raisonnables de succ s Cette t che est normalement confi e des quipes comprenant des paludologues et des administrateurs de la sant publique Des programmes pr radication de ce type sont en cours dans la plupart des pays d Afrique surtout l o avant de s attaquer aux activit s d radication il faut d abord renforcer les services de sant Si dans un certain nombre de pays les progr s d pendent essentiellement des solutions que la recherche apportera divers probl mes techniques on peut dire que tous les Etats qui participent
387. ions en cours L OMS a continu de donner des avis aux gouvernements sur l organisation de leurs services infirmiers et la formation des infirmi res notamment sur les m thodes suivre pour d terminer le nombre et les cat gories d infirmi res n cessaires et sur l organisa tion de programmes pour la formation g n rale en cours de service et la pr paration d enseignants et de cadres administratifs Seize infirmi res recrut es sur le plan international ont t affect es divers projets d am lioration des services sanitaires et ont travaill en quipe avec des infirmi res nationales qualifi es l chelon central interm diaire ou local Les principes d administration infirmi re et les probl mes qui se posent en la mati re ont t examin s en avril l occasion du deuxi me s minaire sur les services infirmiers de sant publique que POMS a organis au P rou en collaboration avec le Gouverne ment de ce pays En plus des quarante six participants venus de dix pays quatorze infirmi res envoy es par POPS et par POMS et deux conseillers en soins infirmiers de l Agency for International Development des Etats Unis ont assist ce s minaire Plusieurs des pays participants ont sollicit depuis l assistance de POMS pour organiser des s minaires nationaux sur le m me sujet Dans le cadre des projets visant mettre en place des services de sant de base ou int gr s les pays ont t nota
388. ions sanitaires dans diverses collectivit s Ces tudes visent d terminer quels sont les principaux facteurs influant sur la sant des collectivit s en valuer la port e et mettre au point des m thodes permettant de conna tre les besoins des collectivit s dans ce domaine Un questionnaire a t r dig et on se propose de le mettre l essai dans un pays d velopp en proc dant une tude pilote int ressant une collectivit d environ 50 000 personnes POMS est entr e en pourparlers avec les autorit s sanitaires de la r gion qui 8 t provisoirement choisie Le but ultime de ces tudes qui porteront par la suite sur des r gions moins d velopp es est de fixer une s rie de normes applicables aux divers stades de d veloppement des nouveaux tats Le programme d assistance pour l tablissement des plans sanitaires nationaux a t largi pour faire face aux demandes d aide que cinq pays d Afrique ont adress es POMS pour l laboration et l ex cution d un plan g n ral de services de sant nationaux voir galement page 65 On sait que le succ s des campagnes contre les maladies transmissibles ne peut tre durable que s il existe un r seau de services de sant ruraux efficaces capables de maintenir les r sultats obtenus par ces campagnes L OMS a donc continu d tudier les moyens de d velopper les services de sant ruraux et de confier progressivement les activit s
389. iqu e notamment la g n tique et la synth se des prot ines ont abouti un tel largissement du champ d application de l immunologie que celle ci est en passe de devenir une discipline scientifique ind pen dante Les cinq groupes scientifiques qui se sont r unis Gen ve en 1962 pour tudier divers aspects de l immu nologie ont recommand la cr ation dans le cadre du programme de recherches m dicales de POMS et dans l int r t de la sant mondiale d un service d immunologie au sein du Secr tariat et d un tableau d experts de l immunologie Il a t donn suite ces recommandations par la constitution du tableau d experts et la d signation de deux m decins pour former le nouveau service L Organisation s est mise en rapport avec des soci t s et des laboratoires nationaux d immunologie dans le monde entier Un groupe scientifique sur l immunologie doit se r unir en novembre 1963 pour tudier le programme de recherches L ex cution d un programme visant combiner la formation d immunologistes dans les pays en voie de d veloppement et la cr ation de centres d immunologie a d j commenc C est en effet dans de tels centres que cette formation pourra tre assur e dans les meilleures conditions et que pourra tre constitu un noyau d immunologistes qualifi s qui se consacreront des probl mes int ressant la sant publique du pays Des n gociations pr lim
390. ique les grandes conceptions de la m decine pr ventive le m decin de l avenir nul n en doute rendra de meilleurs services largira son champ d activit trouvera plus d int r t son travail aidera lever le niveau de sant de la collectivit et apportera un pr cieux compl ment Paction de ses confr res du corps hospitalier et des services de sant publique Le comit a formul des recommandations pour une meilleure orientation du praticien au regard d un aspect trop souvent n glig de la pratique m dicale Dans un monde o les tablissements d enseignement s tendent et se multiplient le recrutement des professeurs appel s pr parer un personnel m dical et param dical toujours plus nombreux soul ve de graves probl mes cet gard je voudrais mentionner nouveau un fait int ressant d j signal l an dernier l arrangement pris avec l Universit d Edimbourg et en vertu duquel cette institution enverra en l espace de six ans une cole de m decine indienne six professeurs qui auront pour t che essentielle d lever le niveau X des tudes et de former le personnel enseignant de lavenir Des possibilit s de dispositions analogues appa raissent ailleurs ces perspectives sont d une grande importance pour les R gions si l on songe l augmen tation rapide du nombre d coles de m decine dans le monde En Indon sie par exemple sept nouveaux tablissements viennent
391. iques sur le cancer dans diff rents pays de la R gion ces tudes auront pour base les registres du cancer et les rapports des dispensaires oncologiques EURO 138 2 Cours sur l administration des services m dicaux en fran ais Universit libre de Bruxelles oct 1962 juillet 1963 B i LOMS a accord des bourses trois stagiaires venus de Gr ce de Tch coslovaquie et de Yougoslavie afin qu ils suivent le deuxi me cours sur l administration des services m dicaux donn en fran ais l Universit libre de Bruxelles et sanctionn par un dipl me Des conf renciers envoy s par l OMS ont particip la formation des stagiaires EURO 159 3 Etudes sur la lutte contre la pollution des eaux en Europe 1962 fin 1963 B Etudier la virologie des eaux et analyser l apparition des maladies ent rovirus dont la transmission est attribu e l eau d pistage des virus dans le milieu isolement des virus dans l eau et si possible identification des souches et d termi nation de leur caract re pathog ne en m me temps mettre en commun les connaissances actuelles relatives la survie du virus apr s l emploi de diff rents proc d s de traitement des eaux et notamment sa r sistance aux m thodes de d sinfection g n ralement employ es Cette tude fait suite la conf rence AIEA CEE FAO OMS sur les probl mes de la pollution des eaux en Europe qui s est tenue Gen ve en 1961 EURO 179 3
392. irm les observations faites en 1958 par un consultant de l OMS qui avait conclu l apparition d une certaine r sistance au DDT Le consultant a recommand que de nouveaux tests soient effectu s tous les deux ans au minimum dans la r gion de Kaboul et aussit t que possible ou au plus tard dans le courant de l hiver 1963 1964 dans les autres r gions il a indiqu le type d insecticide employer Kaboul et dans la r gion avoisinante en cas d pid mie de typhus Afghanistan 11 Eradication du paludisme ao t 1956 fin 1969 CSEP FISE Eliminer le paludisme de l ensemble du pays et emp cher le retour l end micit Afghanistan 13 Enseignement de la m decine janv ao t 1952 sept 1953 967 8 Cr er la Facult de M decine de l Universit de Kaboul des d partements d anatomie de physiologie de m decine pr ventive de m decine interne de p diatrie et d anatomo pathologie et former les homologues nationaux des professeurs en mission envoy s par l OMS Afghanistan 20 Production de vaccins Kaboul janv 1955 fin 1964 AT FISE R organiser tendre et am liorer les moyens de production de vaccins pour la r alisation des programmes sanitaires na tionaux enseigner du personnel local les m thodes de pr pa ration des substances biologiques Afghanistan 24 Education sanitaire oct 1958 sept 1959 mai 1962 fin 1965 B Am liorer l ducation san
393. is ans partir de 1962 la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant 8 pr vu dans la r solution portant ouverture de cr dits pour 1964 r solution WHA16 28 une somme de 5 363 000 destin e couvrir la totalit des d penses pour le programme ordinaire d radication du paludisme en 1964 Dans sa r solution WHA16 17 l Assembl e de la Sant a d autre part adress aux Membres un nouvel appel leur demandant de verser des contributions volontaires au compte sp cial pour l radication du paludisme afin de permettre l Organisation de mener bien les op rations acc l r es dont les plans ont t d j approuv s Au 30 septembre 1963 les recettes provenant de la campagne d mission de timbres poste antipaludiques lanc e par l Organisation en 1962 et laquelle ont particip cent quatorze administrations postales s levaient 172 780 En outre une somme de 32 812 a t re ue d un certain nombre de gouverne ments qui ont vers Organisation le produit des surtaxes ou un pourcentage du produit de leurs propres ventes de timbres Le montant total port au cr dit du compte sp cial pour l radication du paludisme s est lev 205 592 Fonds b n vole pour la promotion de la sant Par sa r solution EB32 R22 le Conseil ex cutif 8 cr un compte sp cial pour contributions diverses objet d sign qui est rattach au fonds b n vole pour la promotion de la
394. isation d un syst me de rapports sur les personnes enregistr es dans les centres de sant Kowe t 200 Bourses d tudes B Adrninistration de la sant publique douze mois Liban 4 Centre de sant rural deuxi me tape juillet 1960 AT Organiser un service sanitaire mod le de district appel servir ult rieurement de centre de d monstration et de forma tion professionnelle pour le personnel destin aux autres centres de sant ruraux partir de 1963 d velopper encore davantage les services de sant ruraux notamment dans la zone de d monstration Liban 7 Eradication du paludisme 1957 fin 1963 CSEP FISE Extirper le paludisme de l ensemble du pays en liminant les foyers r siduels d infection Liban 24 Utilisations m dicales des radio isotopes B Une bourse de douze mois pour des tudes de canc rologie a t accord e au titre de ce projet en 1963 Liban 31 R adaptation des personnes physiquement diminu es deuxi me tape 1963 fin 1965 B D velopper les services de physioth rapie au centre de r adap tation d Ouzai Beyrouth Liban 200 Bourses d tudes 8 Electro radiologie douze mois techniques de laboratoire deux mois Liban 201 Bourses d tudes AT Administration de la sant publique deux mois organisation du travail dans les salles d hospitalisation enseignement et pratique douze mois soins infirmiers dix mois Libye 3 Enseignement infirmier T
395. isation mondiale de la Sant Ger ve Cahiers de Sant publique No 21 Edition fran aise en pr paration L assistance de POMS a permis de nombreux pays d organiser des cours de br ve dur e et des s minaires sur diff rents aspects de l administration hospitali re au Cameroun par exemple on a donn un cours de trois semaines sur les principes et les m thodes applicables l administration des salles d h pital et l enseignement clinique de m me des cours pour infirmi res surveillantes ont t organis s dans d ff rents centres de Malaisie Comme en 1962 l OMS a aid divers pays o une r forme de l enseignement est en cours notamment en Afrique mettre au point des programmes rationnels pour la formation de base des infirmi res et des sages femmes L insuffisance des moyens disponibles pour la pratique clinique cr e souvent des difficult s Dans les coles aid es par l OMS on s emploie assurer une coop ration troite avec les h pitaux o les l ves acqui rent l exp rience pratique et l on accorde une attention toute sp ciale l enseignement clinique L OMS a continu d autre part de soutenir la formation d infirmi res et de sages femmes auxi liaires En Ethiopie par exemple on pr pare des infirmi res et infirmi res sages femmes de la sant publique pour le r seau de centres de sant ruraux Cependant comme cela se produit souvent lorsqu il y a p nurie
396. it moins de 4 la fr quence globale du trachome dans le groupe d ge o l on enregistre le pourcentage le plus lev actuellement le groupe d ge 15 20 ans o le pourcentage est de 23 4 ramener la fr quence globale et la fr quence des cas nouveaux dans les zones de moyenne et de forte end micit un niveau o cette maladie ne constituerait plus un probl me de sant publique viter toutes les complications invalidantes et les s quelles Chine 36 Approvisionnement public en eau et construction de r seaux d gouts janv 1963 7966 AT Poursuivre l application des recommandations mises en 1961 par une quipe OMS de consultants au sujet de l am lioration de l approvisionnement public en eau et du syst me d gouts reviser et amender en cas de besoin les dispositions l gislatives nationales et provinciales concernant l approvisionnement en eau des collectivit s mettre au point les techniques de finance ment et d administration des programmes d approvisionnement en eau et de construction d gouts afin d assurer leur autonomie financi re stimuler la planification r gionale en cette mati re tablir des programmes de formation et coordonner les activit s en question avec celles d autres secteurs de F conomie nationale industrie agriculture etc qui sont directement int ress s l emploi et la r partition des ressources en eau Chine 200 Bourses d tudes B Administra
397. it d experts de la Standardisation biologique Gen ve 30 septembre 5 octobre 1963 D D R Bangham Directeur du D partement des Etalons biologiques Institut national de Recherche m dicale Londres Angleterre Dr H H Cohen Chef du laboratoire de pr paration des s rums et vaccins Institut national de la Sant publique Utrecht Pays Bas 3 Krag Directeur du D partement de Standardisation biologique Statens Seruminstitut Copenhague Danemaik D R Murray Directeur de la Division des Etalons biologiques Instituts nationaux de la Sant Bethesda Maryland Etats Unis d Am rique D K Nakamura Directeur de l Institut national de la Sant Tokyo Japon 3 C Puranananda Directeur du Queen Saovabha Memorial Institute Bangkok Tha lande D G V Vygod ikov Institut d Epid miologie et de Micro biologie N F Gamaleja Moscou Union des R publiques socialistes sovi tiques Dr W W Wright Chef du Service des Recherches Division des Antibiotiques Bureau des Sciences biologiques et phy siques Administration des Denr es alimentaires et des M di caments D partement de la Sant de l Education et de la Pr voyance sociale Washington Etats Unis d Am rique Comit s mixtes Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires Sp cifications concernant l identit et la puret de certains mulsifiants et stabilisants et valuation des donn es toxico logiques disponibles
398. it lors de la mise sur pied de services de traitement de respecter les traditions culturelles locales Des travaux pr paratoires ont t faits pour la r union en octobre 1963 d un comit d experts charg d tudier la pr vention et le traitement des troubles psychosomatiques Ce comit examinera en m me temps l tiologie et l pid miologie de ces troubles ainsi que la formation des sp cialistes de m decine psychosomatique L OMS a accord une aide plusieurs pays notamment la Belgique Ceylan au Danemark et l Iran pour leurs projets de formation de per sonnel psychiatrique Le cours pour infirmi res psychiatriques de la R gion de la M diterran e orientale qui avait d but Beyrouth en 1962 s est poursuivi L OMS a continu d aider trois pays organiser leurs services de psychiatrie infantile Nutrition Le Groupe consultatif FAO FISE OMS des Pro t ines s est r uni en ao t pour faire le point en ce qui concerne le programme de production d aliments riches en prot ines Les probl mes principaux qu il a examin s sont les suivants renseignements dont on dispose l heure actuelle sur la fr quence des maladies par carence prot ique et calorique et moyens d appro fondir les connaissances dans ce domaine exp rience acquise jusqu ici en ce qui concerne les aliments riches en prot ines destin s en particulier aux nour rissons et aux jeunes enfants ressources d
399. it avoir lieu dans la premi re semaine d octobre Hygi ne et m decine des radiations et g n tique humaine Le renforcement dans le cadre des services de sant publique des programmes nationaux de protection contre les rayonnements ainsi que le d veloppement et le perfectionnement des applications m dicales des rayonnements ionisants et de la radioactivit demeurent les principaux objectifs de l OMS dans ce domaine Il est n cessaire de poursuivre l tude fondamentale des effets g n tiques et somatiques des rayonnements ionisants aussi l aide la recherche sur ces questions et sur d autres questions connexes tient elle une place importante dans le programme de POMS relatif aux radiations L tude collective sur la fr quence de la leuc mie chez les malades irradi es pour cancer du de Put rus s est poursuivie avec l appui de POMS Plus de trente services cliniques appartenant neuf pays d Europe et d Am rique du Nord participent cette tude et les donn es recueillies par eux sont cen tralis es pour exploitation et analyse Une deuxi me r union de coordonnateurs et de chercheurs travaillant en Europe s est tenue Gen ve en septembre pour tudier les moyens de maintenir l uniformit de la m thodologie et pour examiner l opportunit de diverses modifications La possibilit d entreprendre des tudes auxiliaires enqu te sur la fr quence chez les sujits irradi s de maladi
400. it l du premier des trois grands groupes d anciens assistants m dicaux pour lesquels ce programme a t organis les membres des deux autres groupes qui b n ficient de ce programme poursuivent actuellement leurs tudes Le programme d tudes m dicales degr univer sitaire qui est assur en anglais par l Ecole de M decine Hadassah de l Universit h bra que de J rusalem et qui s adresse surtout des tudiants d Af ique et d Asie est entr dans sa troisi me ann e d application Jusqu ici les r sultats ont t tr s satisfaisants Quelques pays envisagent d organiser d autres programmes similaires lintention d tudiants bour siers de l OMS mais en d finitive le probl me des tudes universitaires sera r solu par l extension des tablissements d enseignement dans les pays en voie de d veloppement tandis que les tudes l tranger seront r serv es aux activit s de perfectionnement et de sp cialisation D ici l on s efforcera de tirer le meilleur parti des possibilit s offertes par certains pays pour la formation de m decins trangers CHAPITRE 7 RECHERCHE M DICALE L ann e 1962 a marqu le cinqui me anniversaire du programme de recherche m dicale de POMS cette occasion un expos g n ral des activit s de POrganisation dans ce domaine de 1958 1962 a t soumis l examen du Comit consultatif de la Recherche m dicale 11 sera compl t pour la p
401. itaire dans le pays en g n ral d velopper l ducation sanitaire dans les coles normales donner des cours d ducation sanitaire de br ve dur e cr er et d ve lopper une section d ducation sanitaire l Institut de Sant publique de Kaboul Afghanistan 26 Sant rurale avril 1956 968 AT FISE Cr er un centre rural de formation sanitaire mettre en uvre un programme de sant et d assainissement dans les r gions rurales et encourager l action d ducation sanitaire Afghanistan 28 Ecole de techniciens de l assainissement Kaboul juillet 1955 fin 1965 AT Former des techniciens de l assainissement pour les services de sant locaux Afghanistan 31 Institut de Sant publique Kaboul avril 1956 fin 1968 8 FISE Cr er un institut de sant publique qui se chargera d tudes et de recherches et assurera la formation de personnel de sant publique Afghanistan 33 Lutte contre la tuberculose Services consultatifs juin juillet 1958 juin juillet 1961 nov 1962 fin 1967 AT D velopper et tendre les services antituberculeux mettre sur pied un programme de vaccination par le BCG et un service de traitement domicile limit s tout d abord la ville de Kaboul et aux districts environnants organiser le d pistage en fonction des possibilit s du service de traitement et former du personnel Afghanistan 35 Soins infirmiers Services consultatifs juin 1957 fin 1968 AT D v
402. itaires se tiendra Damas des administrateurs de la sant et des statisticiens de la R gion de la M diterran e orientale y feront le point de la situation actuelle essayeront de d finir les besoins futurs en mati re de statistiques d mographiques et sanitaires et arr teront des plans de travail pour l avenir Le deuxi me s minaire qui sera consacr aux enqu tes et rapports sanitaires sera organis l intention d administrateurs de la sant de la R gion du Pacifique occidental il aura essentiellement pour objet de les familiariser avec les m thodes suivies pour les enqu tes sanitaires et d examiner la nature et la valeur des rapports nationaux annuels sur la sant On trouvera au chapitre 17 page 80 quelques indications relatives la conf rence technique europ enne sur les statisti ques de morbidit qui s est tenue Vienne en mars 1963 L OMS a pr par en outre un projet de guide sur les statistiques de morbidit recueillir dans les h pitaux et elle l a diffus dans plusieurs pays pour qu il soit tudi et mis l essai dans diff rentes conditions Les observations qui seront formul es serviront mettre au point le texte d finitif Le Rapport pid miologique et d mographique 8 continu de para tre tous les mois Le recueil des Statistiques pid miologiques et d mographiques annuelles 1960 publi en octobre 1963 contient pour la premi re fois une section sp ciale sur
403. itannique 72 105 Guyane fran aise voir Antilles et Guyane fran aises Habitat et logement 24 25 58 85 125 s minaire Madrid 24 80 119 Ha ti 106 Haute Volta 16 18 65 98 Helminthiases 18 19 Inde 113 H patite virus 15 Honduras 3 72 106 Honduras britannique 106 Hong Kong 20 135 137 Hongrie 11 121 H pitaux planification et administration 28 103 Hong Kong 135 Luxembourg 122 Malaisie 138 Philip pines 139 Portugal 123 Viet Nam R publique du 140 s minaire Manille 29 90 135 Hydatidose 10 Hygi ne alimentaire voir Nutrition Hygi ne de la maternit et de l enfance 31 32 35 70 76 85 88 90 Alg rie 120 Burundi 65 66 96 Cambodge 136 Ceylan 110 Gabon 96 Ghana 97 Guin e 97 Indon sie 114 Iran 128 Jordanie 85 129 Kowe t 129 Laos 89 137 Libye 130 Mauritanie 99 Pacifique les du 135 Philippines 139 Rwanda 65 100 Salomon Protectorat britannique des les 139 Singapour 140 Somalie 85 131 Tunisie 85 133 Turquie 123 Viet Nam R pu blique du 140 Yougoslavie 81 124 quipe consultative 89 135 Voir aussi Enfants P diatrie Hygi ne dentaire 34 90 103 135 Pologne 123 Polyn sie fran aise 89 139 Singapour 140 Soudan 132 Hygi ne du milieu 22 27 67 68 77 89 Gabon 96 S n gal 100 Somalie 132 Tunisie 133 Tur quie 124 Voir aussi Assainissement Eau approvisionnement G nie sanitaire Mati res us es
404. ivante Afrique Cameroun Dahomey Gabon Madagascar Togo les Am riques Ha ti Europe Alg rie France Gr ce Maroc Turquie M diterran e orientale Iran Liban Syrie Tunisie Pacifique occidental Cambodge Laos Seize stagiaires de POMS ont galement pass avec succ s les examens de fin de cours cinq dans le cours et onze dans le cours B avant d tre affect s des projets dans les pays Un tudiant yougoslave a re u une bourse de courte dur e pour des visites sur le terrain hors de Yougoslavie Un ing nieur sanitaire de l OMS a t affect au projet et deux conf renciers de POMS ont particip l enseignement En outre il a t livr des fournitures et du mat riel compre nant des v hicules des microscopes des funettes de dissection des projecteurs du mat riel d insectarium et de la documen tation m dicale Interr gional 101 S rie de s minaires sur les r gles d hygi ne en radiologie m dicale 15 d c 1962 5 janv 1963 B Une petite quipe s est rendue dans diff rents centres des R gions de la M diterran e orientale et de l Asie du Sud Est Le Caire Alexandrie Beyrouth T h ran Karachi Lahore et New Delhi pour faire des conf rences sur des questions d hygi ne des radiations touchant notamment la radiologie m dicale aux installations radiologiques des h pitaux etc et pour en discuter avec les principaux radiologues adminis trateurs
405. l enseignement de base tende former des infirmi res sages femmes capables d assumer des responsabilit s dans le domaine des soins pr ventifs et curatifs l enseignement sup rieur n en joue pas moins un r le essentiel en ce qui concerne la formation aux soins sp cialis s et celle des administratrices et monitrices 75 76 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 dont les services infirmiers de sant publique ont le plus urgent besoin Malgr tout ce qui 8 t fait pour d velopper l enseignement m dical et infirmier on ne saurait cependant esp rer que la plupart des pays de la R gion poss dent dans un avenir pr visible un effectif suffisant de m decins et d infirmi res pleinement quali fi s Les d partements de la sant ne pourront donc assurer les services indispensables qu en recrutant de nombreux auxiliaires qui seconderont le m decin ou l infirmi re Ces auxiliaires doivent tre form s rapidement afin d tre pr ts prendre en charge l essentiel du travail courant dont ils s acquitteront sous la surveillance du personnel qualifi Des projets de cette nature sont en cours d ex cution avec l aide de POMS dans sept des neuf pays de la R gion en outre le personnel de l OMS a collabor pr s de cent stages de formation d auxiliaires Au cours de l exercice l OMS a particip l ex cu tion de 133 projets qui se r partissent comme suit radication du paludisme 9 tuberc
406. l en d cembre 1962 et six Etats Membres de la R gion participent aux travaux EURO 216 1 Cours sur l application des m thodes statistiques en m decine clinique et en sant publique en anglais Londres janv avril 1963 B Organis en collaboration avec la London School of Hygiene and Tropical Medicine ce cours avait pour objet d initier des m decins et des statisticiens sanitaires l application des m thodes statistiques dans les tudes de sant publique et dans les recherches cliniques et pid miologiques L OMS a accord des bourses quatre stagiaires venus de Finlande de la R publique f d rale d Allemagne de Su de et de Tch coslovaquie EURO 216 2 Cours sur l application des m thodes statistiques en m decine clinique et en sant publique en fran ais Bruxelles avril juillet 1963 B Organis en collaboration avec l Universit libre de Bruxelles 65 cours avait pour objet d initier des m decins et des statisti ciens sanitaires l application des m thodes statistiques dans les tudes de sant publique et dans les recherches cliniques et pid miologiques L OMS a envoy Bruxelles deux conf renciers et accord des bourses cinq stagiaires venus de Bulgarie de Pologne de Roumanie de Suisse et de Tch coslovaquie EURO 219 Cours post universitaire sur la r adaptation des enfants Helsinki 27 mai 15 juin 1963 B ONU Il s agissait de donner des physioth rape
407. l local 90 106 129 123 6 149 141 8 Am riques Personnel international 32 31 Personnel local 46 43 78 78 74 74 Asie du Sud Est Personnel international 36 36 Personnel local 112 135 148 140 8 171 161 10 Europe Personnel international 41 43 Personnel local 75 78 116 114 2 121 119 2 _ M diterran e orientale Personnel international 35 34 Personnel local 83 87 118 115 3 121 116 5 Pacifique occidental Personnel international 29 33 Personnel local 65 70 94 88 6 103 97 6 Bureaux des repr sentants de l OMS et bureaux de zone Personnel international 25 30 Personnel local 36 48 61 60 1 78 78 1 Y compris le Bureau de Liaison avec l Organisation des Nations Unies New York 158 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Effectif la date du 30 novembre 1962 Effectif la date du 30 septembre 1963 Compte Compte R partition sp cial sp cial Total Budget pour Assistance Total Budget pour Assistance ordinaire l radi technique ordinaire l radi technique cation du cation du paludisme paludisme Personnel des quipes en mission dans les pays Personnel international 882 955 Personnel local 23 31 905 417 170 318 986 470 181 335 Autres bureaux Liaison avec le FISE Pers
408. l recul en Tha lande qu il n y est plus n cessaire de proc der des enqu tes syst matiques de contr le Il est galement en r gression dans les territoires du Pacifique occidental o une exception pr s toutes les zones d end mie font l objet de campagnes de masse En Afrique les divers programmes de lutte antipianique ont amen une r duction sensible de la maladie Pour combattre la tuberculose surtout dans les pays dont les ressources financi res sont faibles la vaccination reste la meilleure m thode du point de vue du co t de la commodit et des r sultats pid miologiques C est ce que confirment les campagnes exp rimentales conduites avec grand soin dans le sud de l Inde o en huit ans le groupe de personnes vaccin es au BCG s est r v l beaucoup mieux prot g que le groupe t moin Le centre de chimioth rapie de la tuberculose de Madras a obtenu des r sultats positifs dans ses exp riences d administration intermittente de m dicaments Il en r sulte que par un traitement ambulatoire sous contr le on pourrait parer dans une certaine mesure aux deux principaux inconv nients d une autom dication prolong e la prolif ration des bacilles r sistants et les checs dus l irr gularit dans la prise des m dicaments par le malade Dans l ensemble et malgr l efficacit des m thodes disponibles on ne peut pas dire qu il existe un seul pays d velopp ou non o la tuberculos
409. la formation d infirmi res sages femmes auxiliaires ainsi que sur une enqu te par sondages sur les conditions sanitaires dans les zones rurales et les ressources dont y disposent les services de sant LISTE DES PROJETS ASIE DU SUD EST 113 Les cours d orientation destin s aux m decins ainsi que la formation des infirmi res sages femmes auxiliaires ont t am lior s et l on a jet les bases d une meilleure coop ration entre le personnel sanitaire et les services de d veloppement communautaire Inde 147 Programme de sant publique Kerala juin 1960 fin 1965 8 FISE Former du personnel et renforcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire Inde 148 Programme de sant publique Mysore janv 1958 juillet 1963 AT FISE Ce projet avait pour but de renforcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire de former du personnel et d organiser d autres services de sant ruraux qui devaient s int grer dans les r alisations communautaires du deuxi me plan quinquennal L OMS a envoy un administrateur de la sant publique et une infirmi re de la sant publique Le personnel envoy par l OMS a proc d une enqu te sur les services de sant ruraux a aid organiser des cours d orien tation ainsi qu un service d encadrement du personnel sanitaire rural et a donn des avis sur la cr ation d un district de d mons tration Des infirmi
410. la r sistance aux m mes produits qui s est manifest e chez les puces dans le sud de l Inde et chez les poux en Afghanistan elle a dans certains cas caus une recrudescence de 18 peste et du typhus L apparition d une r sistance aux compos s organo phosphor s chez Aedes nigromaculis en Californie prouve une fois de plus le caract re dynamique du probl me de 18 r sistance La mise au point de m thodes d preuve pour d terminer la sensibilit ou la r sistance de tous les vecteurs principaux aux insecticides est maintenant chose faite et l on a pr par des trousses d preuve appropri es Ces travaux ont t entrepris conform ment aux recommandations du Comit d experts des Insecticides Gr ce aux enqu tes effectu es dans le monde entier l Organisation a pu r unir depuis dix ans de nombreuses donn es sur la r sistance celles ci ont fait l objet d une analyse qui va permettre de publier un document complet sur l tat actuel de la r sistance des insectes dans le monde entier Deux s ries de circulaires d information continuent d tre publi es r guli rement l une d elles qui para t tous les deux mois r sume les derniers renseignements r unis sur la r sistance aux insecticides l autre semestrielle fournit de la documentation avec bibliographie sur les dangers des pesticides pour Phomme Enfin le premier num ro d une nouvelle s rie de circulaires d information
411. la vaccination contre la variole les fi vres typho de et paratypho des la dipht rie la coqueluche le t tanos et la poliomy lite Les donn es pr sent es pour chacune de ces maladies par continent et par pays indiquent en outre si la vaccination est obligatoire ou non quel est le plan de vaccination appliqu ainsi que le type de vaccin administr des notes donnent quelques pr cisions compl mentaires En vue d am liorer la comparabilit des statistiques sanitaires nationales relatives aux maladies transmis sibles on a proc d une analyse des m thodes suivies dans les diff rents pays pour la d claration des cas et la compilation des donn es Ce travail a montr les raisons pour lesquelles ces donn es ne sont pas parfaitement comparables d un pays l autre et ila 44 RECHERCHES SUR L RADICATION DU PALUDISME Parall lement aux campagnes d radication du paludisme l OMS patronne un programme mondial de recherches qui comprend notamment l essai de nouveaux insecticides et l tude de m thodes biologiques de lutte contre les vecteurs Case d essai construite avec l aide financi re de l OMS par l Institut tropical de Recher Lorsqu ils quittent la case apr s avoir ches sur les Pesticides d Arusha au Tanganyika Les insecticides l preuve sont absorb une dose d insecticide les pulv ris s sur les rev tements int rieurs en torchis qui sont arrach s et reconstitu s moustiques so
412. les en mati re de nutrition Un exemple en est fourni par le s minaire r gional FAO FISE OMS de nutrition appliqu e qui s est tenu au Caire dans la seconde quinzaine de septembre voir page 86 La Commission mixte FAO OMS CCTA de l Alimentation et de la Nutrition pour l Af ique a t cr e au cours de l ann e L ann e 1963 a t marqu e par la mobilisation des efforts contre la malnut ition la Campagne mon diale de la FAO contre la Faim a atteint son apog e avec le Congr s mondial de l Alimentation qui s est tenu Washington en juin et auquel POMS a parti cip La Journ e mondiale de la Sant a eu pour th me Les malades de la faim voir galement page 52 et POMS a intensifi sa coop ration au Programme alimentaire mondial ONU FAO Un m decin a t engag par POMS pour s occuper des aspects sanitaires de ce programme lequel vise d velopper les ressources alimentaires dont le r le est capital dans le d veloppement conomique et social voir aussi page 58 Additifs alimentaires A sa r union de Rome en f vrier le Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires a tabli des normes d identit et de puret applicables un certain nombre d agents stabilisants et mulsifiants ajout s aux aliments et il a formul des recomman dations en ce qui concerne les doses quotidiennes acceptables La deuxi me conf rence mixte FAO OMS sur les additifs alimentaires qui s
413. li par le Fonds sp cial des Nations Unies est maintenant sign et l institut a d j commenc ses activit s dans plusieurs secteurs Enseignement et formation du personnel professionnel et technique Afin de d terminer le nombre de m decins n cessaire et l effort qui sera demand aux coles de m decine en Am rique latine on se propose d entreprendre une tude sur les services de sant et les facteurs sociaux et conomiques prendre en consid ration cet gard Les m thodes suivre pour mener bien cette tude ont t examin es lors d une table ronde organis e New York la fin de septembre par POPS et l OMS en collaboration avec la Fondation Milbank Huit experts de l enseignement m dical de l administration de la sant publique ainsi qu en sociologie et en sciences conomiques y participaient Six doyens et cinq professeurs d coles de sant publique des Etats Unis d Am rique et du Canada ont pris part un s minaire itin rant sur l organisation et l administration des coles de sant publique en Europe visitant tour tour des tablissements d ensei gnement en Angleterre et en Ecosse en France en R publique f d rale d Allemagne aux Pays Bas en Su de et en Yougoslavie L enseignement de l administration de la sant publique a t l objet principal des discussions du troisi me s minaire des doyens des coles de sant publique d Am rique latine qui s e
414. lier et du traitement domicile dans les collectivit s Turquie 6 Services de protection maternelle et infantile 1953 1964 AT FISE Ex cuter un programme long terme d hygi ne de la maternit et de l enfance destin r duire la morbidit et la mortalit chez les m res les nourrissons et les enfants 124 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Turquie 11 Lutte contre la l pre 1961 fin 1965 AT FISE Intensifier la lutte contre la l pre Turquie 13 Lutte contre la tuberculose 1951 967 AT FISE Poursuivre la campagne de vaccination de masse par le BCG tudier par sondage la fr quence de la tuberculose dans des groupes de population expos s des conditions g ographiques climatiques sociales et conomiques diff rentes organiser une zone pilote dans la province de Yozgat Turquie 16 Ecole de Sant publique Ankara 1952 B R organiser l Ecole de Sant publique d Ankara Turquie 23 Eradication du paludisme 1957 1965 CSEP AT FISE R aliser l radication du paludisme dans tout le pays Turquie 24 Statistiques d mographiques et sanitaires 1962 8 Aider d velopper les services nationaux de statistiques sani taires afin qu ils soient en mesure de donner des renseignements sur l tat de sant des diff rentes couches de la population valuer les besoins en soins m dicaux de la population et l effi cacit des services existants Turquie 29 Enseignement infirmier
415. liqu e notamment l ducation et la formation nutritionnelles les programmes d alimentation de compl ment ainsi que la production et l utilisation sur le plan local de denr es alimentaires poss dant une grande valeur nutritive Les m thodes permettant d am liorer 18 nutrition des m res et des enfants ont tout sp cialement retenu l attention L OMS a troitement collabor avec la FAO et le FISE la pr paration de programmes nationaux dans le domaine de la nutrition Une assistance a t accord e un certain nombre de pays en vue du d pistage du traitement et des soins post cure des canc reux L Institut du Cancer cr T h ran avec l aide de POMS a t r cemment agrandi et le nombre de ses lits a doubl en outre un important service de recherche y a t rattach On se propose d utiliser cet institut comme centre r gional de formation dans la lutte contre le cancer la premi re tape de cette formation consistera dans l enseignement de la cytologie exfoliative en vue du d pistage pr coce des cas de cancer Deux instituts de la R gion participent l tude compar e entreprise avec l aide de POMS sur les malformations cong nitales Une quipe OMS de radiophysiciens s est rendue dans la R publique Arabe Unie afin de mesurer les niveaux de radiations dans la zone de Monazite pr s de Rosette Les autorit s sanitaires de la R gion ont pris des mesures en vue de r duire les dan
416. lisation de zones pilotes pour la formation en sant publique rurale Les participants ont fait le point de l exp rience qu a permis d acqu rir la cr ation de zones de d monstrations sanitaires en Europe et ont recommand d tendre ce syst me Ils ont examin le concours qu apporte POMS ces activit s et ont soulign l int r t que pr sente leur coordination avec celles qui se d roulent dans les zones de d mons trations int ressant l agriculture l ducation et le d veloppement communautaire L accent a t mis sur la n cessit de former en plus grand nombre les chercheurs sp cialis s dans les questions de sant publique dont tous les pays ont besoin quel que soit leur degr de d veloppement Treize pays ontenvoy des participants ce s minaire qui tait surtout organis l intention des b n ficiaires d une assistance au titre du programme largi d assistance technique Comme les ann es pr c dentes POMS a octroy des bourses et fourni les services de charg s de cours pour un stage de formation en sant publique rurale organis Soissons en France pendant le mois de juin Les maladies chroniques tiennent depuis plusieurs ann es une place importante dans le programme r gional Afin d accro tre les connaissances sur les cardiopathies isch miques qui sont une cause importante de morbidit et de mortalit en Europe POMS participe des enqu tes comparatives sur
417. lit s conomiques et sociales de chaque territoire WPRO 88 Premier s minaire r gional sur le r le de l h pital dans le programme de sant publique Manille 13 20 mai 1963 8 Ce s minaire avait pour objet d tudier les changements survenus dans le r le de l h pital au cours de son histoire et de d terminer quel est son r le actuel dans les pays de la R gion 11 devait aussi discuter des fonctions futures et de l utilisation des services hospitaliers dans le cadre des programmes commu nautaires de protection de la sant Les participants ont pr sent de br ves communications sur l organisation des services hospitaliers dans leurs pays respectifs et ont analys les futures fonctions de l h pital dans les programmes de sant publique Ils ont soulign la n cessit d adapter ces fonctions aux besoins nouveaux r sultant des modifications de la structure sociale et conomique de la population ainsi que de l accroissement d mographique Ils ont attir tout particuli rement l attention sur la n cessit d une planification compl te et long terme des services de sant notamment des services hospitaliers Ce s minaire r unissait dix huit participants venant des pays suivants Born o du Nord Chine Ta wan les Fidji Hong Kong Japon Laos Malaisie Philippines R publique de Cor e R publique du Viet Nam les Ryu Kyu et Singapour L OMS a pris sa charge les frais des participants les servic
418. llaboration avec des laboratoires des Etats Unis d Am rique de Hongrie du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord de Tch coslovaquie et de l Union des R publiques socialistes sovi tiques Ces laboratoires se sont mis d accord sur des techniques uniformes diff rents antig nes s rums etc pr par s par l un d entre eux leur ont t distribu s afin que luniformit et la comparabilit des r sultats soient assur es Des tudes concert es sont galement en cours sur le s rum de convalescents relevant d une affection pid mique des voies respiratoires aux Etats Unis d Am rique et sur un virus grippal du groupe isol sur des chevaux semble que cette souche soit diff rente de celle que des chercheurs tch coslovaques avaient isol e sur des chevaux en 1956 A equi Prague 1956 Bien qu elles soient l une et l autre troitement apparent es au virus de la grippe humaine aucune de ces deux souches ne semble tre pathog ne pour l homme Maladies n oplasiques chez les animaux Les tudes sur le cancer des animaux ont port plus particuli rement sur le Iymphosarcome et la leuc mie du b tail et des chiens Des enqu tes pid miologi ques effectu es dans quelques r gions sp cialement choisies des Etats Unis d Am rique et de l Europe septentrionale ont fait appara tre une distribution g ographique et par troupeaux bien d finie mais jusqu ici on n a pas pu se faire u
419. llement applicable l int gration des campagnes de masse dans l activit des services de sant g n raux Divers comit s d experts et groupes scientifiques r unis au cours de l ann e ont donn des indications utiles l OMS pour les activit s relevant sp cialement de la protection et de la promotion de la sant Je pense en particulier la r union o s est discut e Rome la question des additifs alimentaires ainsi qu aux travaux que deux groupes l un Gen ve l autre au Venezuela ont consacr aux an mies nutritionnelles la suite de ces derni res r unions un programme a t dress en vue d tudier les rapports entre l an mie m galoblastique et la carence en vitamine B et en acide folique et il a t propos de cr er des laboratoires de r f rence d organiser des cours d entreprendre des recherches etc Des progr s ont galement t r alis s dans d autres branches connexes notamment en ce qui concerne la malnutrition prot ines calories des jeunes enfants et l hypovitaminose Enfin POMS a particip la mobilisation de toutes les nergies nationales et internationales qwa voulu r aliser la FAO par sa Campagne mondiale contre la Faim La Journ e mondiale de la Sant a t consacr e en 1963 aux maladies de la faim et de la malnutrition Enfin l Organisation a contribu en ce qui la concerne au Programme alimentaire mondial entrepris conjointement par l ONU et la F
420. llou POMS au titre du programme largi d assistance technique pour 1963 premi re ann e de la p riode de programmation 1963 1964 8 t de 8 334 912 soit 17 42 du total des fonds affect s ce programme Cette somme comprend 756 990 pour les d penses d administration et des services d ex cution Au 30 septembre les allocations d urgence accord es pour des projets de POMS repr sentaient 239 880 le total des fonds allou s POMS au titre du programme s levant ainsi 58 574 792 Pour l ann e 1962 le total des fonds allou s l Organisation tait de 58 070 030 Financement du programme d radication du paludisme Du 1e janvier au 30 septembre 1963 les contribu tions volontaires au compte sp cial pour l radi cation du paludisme ont atteint 1 658 104 portant 319 484 229 le total des contributions re ues depuis le d but du programme En outre la Quinzi me Assem bl e mondiale de la Sant r solution WHA15 42 avait inscrit au budget ordinaire de 1963 un cr dit de 4 000 000 destin s au compte sp cial pour l radica tion du paludisme 54 QUESTIONS CONSTITUTIONNELLES FINANCI RES ET ADMINISTRATIVES 55 La Quatorzi me Assembl e mondiale de la Sant ayant d cid r solution WHA14 15 que les d penses d ex cution du programme d radication du paludisme dans les pays seraient incorpor es au budget ordinaire par tapes r parties sur une p riode de tro
421. lose juin 1956 7965 AT FISE Mettre ex cution un programme antituberculeux s tendant tout le pays Guyane britannique 10 Services nationaux de sant publique 1962 1966 8 FISE R organiser la structure fondamentale des services de sant tous les niveaux largir et d velopper les services aux niveaux r gional et local 106 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Ha ti 1 Eradication du pian juin 1950 1965 B FISE Eliminer le pian de tout le pays en tant que probl me de sant publique Ha ti 15 Bourses d tudes B Hygi ne de la maternit et de l enfance douze mois Ha ti 16 Services nationaux de sant publique 1957 1965 B AT OPS FISE Am liorer les services de sant l chelon central et local On pr voit d organiser des services de sant int gr s et de former du personnel dans une zone puis d tendre ces activit s d autres secteurs Honduras 4 Services nationaux de sant publique ao t 1955 1967 AT FISE R organiser et int grer les services de sant centraux cr er dans une r gion rurale sp cialement choisie un r seau de services de sant locaux des fins de d monstration et de formation professionnelle tendre progressivement tout le pays la cr ation de services locaux Honduras 7 Bourses d tudes B Administration de la sant publique une bourse de trois mois une de dix mois et demi Honduras 10 D veloppement des installations d un port
422. m riques Argentine Bolivie Br sil Colombie Costa Rica Cuba Dominique EI Salvador Equateur Grenade Guadeloupe Guatemala Guyane britannique Guyane fran aise AU 30 SEPTEMBRE 1963 R gion de l Asie du Sud Est Swaziland Afghanistan Indon sie Zanzibar Birmanie N pal Ceylan Tha lande Inde R gion europ enne Haiti Albanie Roumanie Honduras Bulgarie Turquie Honduras britannique Espagne Union des R publiques 8 Gr ce socialistes sovi tiques Mexique Portugal Yougoslavie Nicaragua Panama Paraguay P rou f Lu R gion de la M diterran e orientale R publique Dominicaine Sainte Lucie Irak Liban Surinam Iran Libye Trinit et Tobago Isra l Pakistan Venezuela Jordanie Syrie R gion du Pacifique occidental Born o du Nord Chine Ta wan Philippines Ryu Kyu les Sarawak 2 PAYS AYANT RE U ENTRE LE 1er JANVIER ET LE 30 SEPTEMBRE 1963 UNE AIDE DE L ORGANISATION POUR DES OP RATIONS ANTIPALUDIQUES AUTRES QUE DES R gion africaine Cameroun F d ration de Rhod sie et de Nyassaland Ghana Lib ria PROGRAMMES D RADICATION R gion europ enne Madagascar Alg rie Maroc Mavritanie Mozambique R gion de la M diterran e orientale Nig ria Ouganda Arabie Saoudite Soudan Togo Ethiopie Tunisie Somalie R gion du Pacifique occidental Malaisie Salomon les britanniques Viet Nam R publique du Brun i Cambodge Cor e R publique de 1 Enregistr e comme
423. mandations concernant les m thodes et les crit res appliquer pour obtenir des renseignements valables sur la morbidit et la mortalit canc reuses en Am rique latine les domaines pr cis que la recherche pid miologique devra explorer et la formation du personnel de recherche n cessaire L autre conf rence qui a b n fici d une subvention de la Division des Sciences m dicales g n rales des Instituts nationaux de la Sant des Etats Unis s est tenue en janvier 1963 pour donner POPS des avis concernant l laboration d un programme de recherches concert es sur les malformations cong nitales L tude pid miologique de 18 mortalit dans dix villes des Am riques financ e par une subvention des Instituts nationaux de la Sant des Etats Unis a progress de fa on satisfaisante au 1 septembre 1963 la moiti des r ponses au questionnaire avaient t re ues et le travail d analyse avait commenc Comit r gional La XIV r union du Conseil directeur de l Organisa tion panam ricaine de la Sant qui tait galement la quinzi me session du Comit r gional de POMS pour les Am riques s est tenue Washington du 16 au 25 septembre 1963 Tous les Etats Membres de la R gion l exception du Panama se sont fait repr senter cette session des repr sentants de la France des Pays Bas et du Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord y ont aussi particip pour le c
424. mande de clich s pour projections fixes continue s accro tre ce qui peut tre en partie attribu l augmentation du nombre d illustrations paraissant dans Sant du Monde Pendant les neuf premiers mois de 1963 46 000 photographies ont t distribu es le plus souvent en r ponse des demandes sp ciales manant de journaux de magazines et d agences photographiques Six mille de ces photo graphies ont t exp di es l occasion de la Journ e mondiale de la Sant Pendant la p riode examin e on a fait appel plus largement que d habitude des photographes professionnels pour traiter des questions telles que l hygi ne rurale en Gr ce la pollution du Rhin la lutte contre la variole au N pal les services de sant publique dans la ville de Liverpool et la campagne contre la m ningite c r bro spinale au Niger Des reportages sur le trachome Ta wan et la l pre en R publique de Cor e ont t effectu s lintention d un magazine grand tirage des Etats Unis d Am rique Une nouvelle s rie d illustrations intitul e Images de la sant publique et destin e des expositions a t pr par e et distribu e avec des titres en anglais en espagnol en fran ais et en russe ainsi qu en dition internationale pouvant porter des sous titres dans d autres langues Dans les R gions les activit s d information ont manifest les m mes tendances g n rales qu au Si ge Le
425. mati re de forma tion professionnelle allant de la simple formation d un homologue national la formation en groupes de personnel professionnel et d auxiliaires Les bourses attribu es sont indiqu es dans l annexe 12 En ce qui concerne les soins infirmiers l assistance accord e par l OMS aux gouvernements a port principalement sur l enseignement et la formation professionnelle notamment sur la mise au point de m thodes simplifi es d administration des soins et sur l am lioration de l enseignement des coles sup rieures d infirmi res et de la formation de base Bien que l activit infirmi re ne soit devenue une profession r guli re dans cette R gion que depuis quelques ann es on ne peut plus se borner d sormais former et employer du personnel infirmier car la n cessit de cr er des cours sup rieurs dans des branches sp ciales telles que les soins infirmiers psychiatriques s est d j fait sentir En Iran l enseignement dispens par l cole d Infirmi res du Lion et Soleil rouges qui b n ficie de l assistance de POMS a t port un niveau plus lev et cet tablissement 8 t officielle ment agr par le Minist re de l Education pour la formation des infirmi res qualifi es Au Soudan le travail l cole sup rieure d infirmi res de Khartoum qui b n ficie galement de l assistance de POMS progresse de fa on satisfaisante et un ressortissant du
426. mbattre les insectes nuisibles et les vecteurs de maladie pr sentent un nouveau champ d action qui s annonce prometteur Ils ont t pass s en revue par un groupe scientifique qui s est r uni Gen ve pour examiner plus sp cialement les armes que peut fournir la g n tique Une premi re application a d j permis de remporter des succ s spectaculaires Je veux parler de la m thode dite des m les st riles qui consiste st riliser par irradiation un grand nombre de m les et leur rendre ensuite la libert Ce syst me ing nieux gr ce auquel on a pu liminer la mouche du ver vis dans une grande partie du sud des Etats Unis d Am rique se fonde sur le fait que lorsqu il y a concurrence entre m les normaux et une forte proportion de m les st riles on observe une diminution rapide de l effectif des g n rations ult rieures Le m me V proc d utilisant des st rilisants chimiques donne galement de bons r sultats contre la mouche domestique dans plusieurs les de l Atlantique nord D autres possibilit s se pr sentent importer des m les d Aedes scutellaris dont les spermatozo des sont incompatibles avec les ovules des femelles locales mettre profit la st rilit des hybrides chez Anopheles gambiae et introduire des g nes d l t res dans les populations d insectes Toutefois il reste beaucoup faire avant que ces manipulations g n tiques soient possibles grande chelle Dans c
427. ment conomique et social Hongrie 6 Bourses d tudes B Endocrinologie gyn cologique et obst tricale trois mois nutrition et di t tique six mois Irlande 13 Bourses d tudes B Bact riologie un mois chirurgie de l il un mois chirurgie esth tique un mois g riatrie un mois organisation des services de maternit un mois services de m decine du travail un mois urologie un mois 122 ACTIVIT DE 8 EN 1963 Islande 7 Bourses d tudes B Hygi ne des denr es alimentaires trois mois Italie 21 Bourses d tudes 8 Bact riologie des denr es alimen taires un mois cardiologie deux mois et demi pid mio logie un mois ergoth rapie deux mois immunit cellulaire tirois mois l gislation sanitaire hospitali re un mois orga nisation des centres d oncologie un mois organisation des eoles d infirmi res une bourse d un mois une de six semaines physioth rapie six semaines techniques de l administration sanitaire six semaines transfusion sanguine deux mois Italie 23 Enseignement infirmier et administration des services infirmiers 1960 1967 B Former l tranger des infirmi res qui exerceront des fonc tions d administration et d enseignement dans la future cole sup rieure d infirmi res o l on pr parera des administratrices ct des monitrices pour les programmes d enseignement infirmier et les services infirmiers
428. ment 56 cycle d tudes sur les droits de l enfant 32 59 Programme alimentaire mondial ONU FAO 36 52 58 Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agri culture FAO 60 activit s communes 12 31 46 56 81 hygi ne du milieu 24 25 58 68 maladies transmissibles 9 10 11 50 138 normes alimentaires et nutrition 31 35 36 60 66 71 74 77 86 90 121 126 139 142 150 151 151 Campagne mondiale contre la Faim 36 51 52 60 Programme alimentaire mondial ONU FAO 36 52 58 Organisation des Nations Unies pour l Education la Science et la Culture UNESCO 58 60 117 activit s communes 25 31 53 56 57 77 103 125 Organisation intergouvernementale consultative de 18 Naviga tion maritime IMCO 60 Organisation internationale de Recherches sur le Cerveau 1880 60 Organisation internationale du Travail 60 activit s communes 25 37 56 57 86 142 143 participation des r unions 38 119 Organisation panam ricaine de 18 Sant 3 22 39 43 70 71 72 73 Comit consultatif de la Recherche m dicale 42 72 73 comit consultatif de la classification des maladies 44 71 Organisations non gouvernementales en relations officielles avec POMS 60 61 154 155 Ouganda 25 66 68 95 100 Pacifique occidental Bureau r gional 91 Pacifique occidental Comit r gional 90 91 Pacifique occidental R gion 88 91 134 140 Pakistan 10 16 56 84 85 130 131 Paludisme 3 5 31 3
429. ment des mollusques par l examen de plantes pr lev es dans un canal d irrigation Des souris sont expos es l infection Examen d un enfant dans dans une cage sp ciale descendue village fortement infest sur l eau au cours d une tude sur la transmission de l infection Le chef de la Section d Ophtalmologie LUTTE CONTRE L ONCHOCERCOSE AU SOUDAN du Minist re de la Sant accompagn par l entomologiste de l quipe OMS Connue localement sous le nom de c cit des rivi res l onchocercose est une maladie parasitaire dont recherche des larves de vecteurs sur souffrent probablement au moins vingt millions de personnes en Afrique et en Am rique Elle semble avoir gagn les rives du Jur dans la province du terrain ces derni res ann es Une enqu te a t entreprise au Soudan pour d terminer l tendue du d Equatoria probl me et organiser la lutte On pr l ve sur chacun un petit frag Nodules caract ristiques de l oncho Examen de la vue Les yeux de ce malade sont d j tr s ment de peau qui est imm diatement cercose Les deux tiers des habitants atteints mais on pourra peut tre examin au microscope du village sont infect s enrayer les progr s de la maladie wa i CES CE gt AA 5 k dki se s 2 1 F sim 7 gt he Re 7 Le re terme de l volution la c cit est
430. minologie de la FAO un groupe d experts expert panel est l quivalent d un comit d experts POMS Professeur A Biernacki Membre de l Acad mie polonaise des Sciences Directeur de la Premi re Clinique m dicale de l Acad mie de M decine Varsovie Pologne D Bier Professeur de microbiologie Ecole de M decine S o Paulo Br sil Professeur N N Blohin Pr sident de l Acad mie des Sciences m dicales de l URSS Directeur de l Institut d Oncologie exp rimentale et clinique Moscou Union des R publiques socialistes sovi tiques 2 Emp ch d assister la r union 152 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Professeur L Bugnard Membre de l Acad mie de M decine Directeur de l Institut national d Hygi ne Paris France Sir Macfarlane Burnet Prix Nobel de m decine et de physio logie Directeur du Walter and Eliza Hall Institute for Medical Research Melbourne Australie Professeur R Courrier Secr taire perp tuel de l Acad mie des Sciences Membre de l Acad mie de M decine Coll ge de France Paris France D W R 5 Doll Directeur adjoint du Service de Recherche statistique Medical Research Council Londres Angleterre Professeur H Hamperl Directeur de l Institut de Pathologie Universit de Bonn R publique f d rale d Allemagne Sir Harold Himsworth Secr taire du Medical Research Council Londres Angleterre Professeur B A Houssay Prix Nobel de m decine
431. mique et social int gr pour la zone Gezira Menagil Du point de vue de la sant publique on recommande l am lioration et 16 d veloppement des services m dicaux une action contre la bilharziose et des travaux d assainissement rural et d approvisionnement en eau dans cette zone o le r seau d irrigation couvre pr s de 800000 hectares et o vivent plus de 750 000 personnes D autre part les autorit s soudanaises ont demand conseil POMS au sujet des pr cautions prendre pour pr venir la propagation de la bilharziose dans une autre zone o l am nagement d un r seau d irrigation touche sa fin De son c t le Tanganyika se propose d agrandir les r seaux d irrigation existants et d en cr er de nouveaux ce qui rend d autant plus n cessaire l application de mesures antibilharziennes Depuis quelque temps trois petites zones irrigu es couvrant de 1600 3000 hectares taient plac es sous surveil lance l quipe consultative de l OMS s y est de nouveau rendue en 1963 Dans l une d elles des molluscicides ont t essay s avec l aide financi re de l OMS et se sont r v l s efficaces Accompagn e de consultants l quipe consultative a pass six semaines en Rhod sie du Sud en juin et juillet 1963 elle y 8 fait le point des activit s anti bilharziennes essay de nouveaux molluscicides et de nouveaux diffuseurs et analys les r sultats des exp riences de drainage de ces d
432. mment aid s renforcer leurs services de protection maternelle et infantile Plusieurs de ces projets b n ficient galement d une aide du FISE L OMS a procur des fournitures et du mat riel pour un cours d entretien de deux mois en p diatrie clinique et sociale qui a t donn Santiago du Chili sous les auspices de POPS Ce cours sera repris chaque ann e et servira de mod le pour l organisation de cours analogues dans d autres centres m dicaux de la R gion Comme autres activit s de l OPS int ressant la protection maternelle et infantile il convient de mentionner plusieurs enqu tes sur la formation des sages femmes et sur divers programmes de lutte contre les maladies diarrh iques et l aide accord e au Centre international de l Enfance de Paris pour l organisation dans la R gion d un cours de p diatrie sociale d une dur e d un mois R GION DES AM RIQUES 71 Vingt programmes de nutrition appliqu e ont t entrepris dans la R gion par les gouvernements des dix huit pays int ress s avec l aide de la FAO du FISE de POPS et de POMS Vingt cinq bourses ont t attribu es des administrateurs de la sant publique pour des tudes de nutrition et POPS a collabor la cr ation de trois nouveaux centres de formation en nutrition l un Montevideo en collaboration avec le FISE et l Institut interam ricain de l Enfance pour les enseignants des coles de service social le s
433. mois soins infirmiers deux bourses de dix mois Tunisie 201 Bourses d tudes AT Chirurgie orthop dique douze mois di t tique et nutrition humaines une bourse de six mois deux de neuf mois formation en g nie sanitaire prolongation d une bourse pendant douze mois h matologie trois mois nutrition douze mois Y men 3 Conseiller en sant publique janv 1961 fin 1965 B Cr er des services centraux de sant et de soins m dicaux et relever le niveau g n ral des services de sant publique Y men 8 Centre de sant et d enseignement sanitaire Sana Guillet 1956 fin 1966 AT Cr er Sana un centre de sant et d enseignement afin d assurer la formation pratique de personnel sanitaire auxiliaire y compris des aides techniciens de l assainissement des aides infirmi res et des aides de laboratoire faire la d monstration des techniques modernes de pr vention et de traitement de certaines maladies et de lutte contre les maladies transmissibles aider au rel vement du niveau g n ral de la sant et l organisation des services de sant publique Y men 15 Services de sant locaux Hodeida et Ta z 1963 B FISE Organiser deux centres de sant l un Hodeida et l autre Ta z assurer aux collectivit s des services sanitaires int gr s et former du personnel auxiliaire de diverses cat gories Y men 200 Bourses d tudes B Dentisterie prolongation d une b
434. mortalit par tuberculose est toujours valu 30 pour 100 000 C est dire qu il ne saurait tre question pendant 90 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 longtemps encore de ralentir l appui donn la lutte antituberculeuse dans la R gion L aide aux programmes nationaux de lutte contre la tuberculose s est poursuivie dans sept pays dont six proc dent des campagnes nationales de vaccination par le BCG Tous ces pays appliquent des mesures de d pistage et de chimioth rapie domicile qui s ten dent une fraction variable de la population mais ils semblent ne pas accorder une importance suffisante au diagnostic bact riologique la surveillance du traitement pratiqu domicile et l enregistrement des cas connus de tuberculose La campagne de d pistage et de traitement de masse du pian Tonga a t men e son terme toutes les zones du Pacifique o le pian existe l tat end mique l exception du Timor portugais ont ainsi b n fici d un traitement de masse Aucune recrudescence de la maladie n a t signal e dans les autres zones pr c demment end miques du Pacifique mais on estime qu il subsiste des poches d infection dans quelques secteurs recul s ainsi qu une r apparition persistante de quelques cas contagieux Ces foyers devront tre st rilis s avant que l radication du pian ne puisse tre consid r e comme totalement acquise La l pre suscite
435. mplet d radi cation Ce programme pr radication fait suite l enqu te pr radication effectu e entre janvier 1961 et d cembre 1962 Soudan 7 Enseignement infirmier Khartoum oct 1955 fin 1965 8 Cr er une cole sup rieure d infirmi res assurant une forma tion professionnelle de base et pr parant du personnel destin occuper des postes de direction dans le programme sanitaire du pays Des infirmi res venant de Somalie et de Libye re oivent actuellement des bourses pour suivre les cours de l cole Soudan 15 Lutte contre les ophtalmies transmissibles d c 1960 mars 1965 AT FISE Faire une enqu te sur les ophtalmies transmissibles et les combattre par un projet dont l ex cution doit commencer dans la r gion de Berber Atbara et s tendre progressivement aux r gions de forte end micit de la province du nord Soudan 17 Formation d assistants dentaires janv 1961 avril 1963 B Ce projet avait pour objectif de former des assistants dentaires afin d assurer des soins courants la population et de compenser la p nurie de dentistes qualifi s Il n existe que 30 dentistes qualifi s dont 20 exercent dans la m me r gion pour une population de 12 millions d habitants L OMS a envoy un conseiller en hygi ne dentaire et livr des fournitures et du mat riel Une cole d assistants dentaires 18 premi re du pays a t cr e et le programme des tudes mis au p
436. n phrologie prolongation d une bourse pendant six semaines p diatrie huit mois physio th rapie deux mois protection contre les radiations trois mois urologie infantile quatre mois Danemark 8 Formation post universitaire en psychiatrie 1953 1964 B Aider organiser un cours national de sp cialisation en psychiatrie pour les m decins Danemark 11 Bourses d tudes B Contr le des additifs alimentaires quatre mois physioth rapie trois mois recherche en mati re de soins infirmiers douze mois services de sant publique trois mois soins infirmiers de sant publique trois mois toxicomanie deux mois urologie trois mois Espagne 11 Lutte contre les ophtalmies transmissibles 1955 AT FISE Approfondir l pid miologie du trachome et des infections associ es en Espagne mettre au point et appliquer dans toute la zone d end micit des m thodes efficaces de d pistage et de traitement de surveillance familiale et d ducation sanitaire former du personnel Espagne 17 Bourses d tudes B Epid miologie des troubles mentaux trois mois pr vention et traitement de l alcoolisme deux semaines r adaptation quatorze mois et demi viro logie une bourse de deux mois une de quatre mois Espagne 19 Enseignement infirmier 1957 1964 B Cr er une cole sup rieure d infirmi res et renforcer les pro grammes d enseignement infirmier en pr parant des infirmi res
437. n vue de la production de vaccin ont t couronn es de succ s Une souche aviaire vivante et une souche fixe inactiv e apr s culture sur des cellules diplo des ont permis de produire des vaccins tr s actifs chez les petits animaux de laboratoire Une plus large exp rimentation de ces vaccins sur des singes a t organis e au Pakistan si elle donne les r sultats escompt s elle sera suivie d preuves sur l homme De nouvelles tudes ont t faites sur le traitement local des plaies infect es au moyen de s rum de d sinfectants et d anesth siques les r sultats de ces tudes sur animaux d exp rience ont fait l objet de trois articles publi s dans le Bulletin de l OMS 115 ont apport une nouvelle preuve de l efficacit de la protection locale que procurent le s rum antirabique et certains compos s d ammonium quaternaire tels que le chlorure de benzalkonium D autres produits chimiques mis l preuve notamment les anesth siques locaux en solution aqueuse ou isotonique les anti histaminiques et les tranquillisants se sont r v l s sans grande valeur Il est apparu toutefois que certains anesth siques locaux base d huile l huile d amande et l alcool benzylique exercent un effet protecteur marqu lorsqu ils sont inocul s par voie intramusculaire au dessus de la plaie infect e Des essais compl mentaires avec d autres substances et d autres produits biologiques sont en cours Dans l enq
438. n 1962 Les recherches prophylactiques ont abouti une importante d couverte faite en Inde dans le courant de l ann e Un produit chimique essay Madras semble avoir une nette action pr ventive lorsqw il est admi nistr l entourage d un cas Si ces r sultats se confirment on disposera d un agent chimique actif pour prot ger les contacts On pourra alors liminer ou tout au moins r duire consid rablement les risques d closions pid miques cons cutives l introduction de cas de variole dans des r gions indemnes Malheureusement le probl me des fi vres h morragiques virus frappant les enfants avant la pubert s est aggrav dans les R gions de l Asie du Sud Est et du Pacifique occidental Au cours des dix derni res ann es des pid mies ont clat plusieurs reprises dans des villes des Philippines et de la Tha lande Singapour o elles ont fait r cemment leur apparition ces fi vres ont m me atteint de jeunes adultes Plusieurs virus transmis par des arthropodes et appartenant deux groupes antig niques au moins ont t isol s sur des malades et sur des moustiques Le risque de voir ces affections se propager dans des zones o elles taient inconnues pr c demment pr occupe les autorit s sanitaires des deux R gions int ress es L OMS enqu te activement Des fi vres h morragiques ont aussi fait leur apparition dans les Am riques depuis 1955 mais les virus galement tra
439. n satis faisante En outre on reconna t de plus en plus la n cessit d une surveillance ad quate des activit s sur le terrain m me si le manque de fonds la p nurie de personnel ou linstabilit de la situation politique rendent parfois cette surveillance difficile Le d veloppement de l administration centrale de la sant publique s est accompagn dans la plupart des pays d une expansion des services compl mentaires C est le cas par exemple des services de laboratoire de sant publique L OMS a aid organiser des services de laboratoire l o il n en existait pas former du personnel technique cr er de nouveaux laboratoires de sant publique et de diagnostic et instituer un syst me de r f rence gr ce auquel les laboratoires r gionaux et ceux des h pitaux peuvent faire appel au laboratoire central Dans le projet de lutte contre les maladies transmissibles ex cut dans la R publique du Viet Nam avec l aide de POMS l organisation centrale a commenc fonctionner et on s est employ essentiellement cr er des formations pid miolo giques qui puissent d une part donner des conseils techniques pour la lutte contre les maladies trans missibles et d autre part constituer des centres de rassemblement de renseignements pid miologiques L enseignement infirmier constitue l un des domaines les plus importants de l activit de l OMS dans 18 R gion Les cours de
440. n signe de bact ri mie ou de mauvais tat g n ral On envisage donc d effectuer un essai plus tendu de ce vaccin par la technique de la scari fication D une s rie d tudes comparatives contr l es qui ont t faites en fran et en Isra l sur la vaccination de moutons et de ch vres par trois vaccins vivants att nu s souche Rev l souche 19 et Br neotomae il ressort que le vaccin de souche Rev l est celui qui 1 Hackett C J 1963 Bull Org mond Sant 29 7 41 2 Voir Actes off Org mond Sant 114 9 prot ge le mieux contre l exposition naturelle Br melitensis Les ovins et les caprins vaccin s par cette souche n excr tent que rarement des micro organismes dans le lait et le mucus vaginal ne sont pas sujets l avortement et ne pr sentent pas d autres signes cliniques de la maladie D autres exp riences pratiqu es avec un vaccin inactiv de souche Br melitensis ladjuvant tant une mulsion d eau dans lhuile ont galement prouv le pouvoir anti g nique de cette pr paration mais comme dans les essais ant rieurs il s est produit une r action locale vive et persistante au point d inoculation Quant aux vaccins pr par s avec d autres adjuvants qui avaient l avantage de ne produire aucune r action locale grave ils ne se sont pas r v l s suffisamment puissants du point de vue antig nique D autres essais comparatifs effectu s sur le b tail avec quatre vaccins
441. nal de Enfance Hygi ne de la maternit et de l enfance P diatrie Sant scolaire Enseignement et formation professionnelle 39 41 53 57 58 59 60 71 72 81 83 86 89 90 125 138 Voir aussi Bourses d tudes Ecoles et facult s de m decine Ecoles et instituts de sant publique M decine ensei gnement Personnel sanitaire auxiliaire Soins infirmiers Epid miologie services nationaux Birmanie 110 Inde 114 Indon sie 114 Mongolie 115 Equateur 3 72 105 Ergoth rapie Japon 137 Philippines 139 Espagne 3 31 121 Etats ayant r cemment acc d l ind pendance et pays en voie de d veloppement 35 39 41 57 66 Voir aussi OPEX Etats Unis d Am rique 11 13 14 15 25 28 31 44 105 contribution au compte sp cial pour la recherche m dicale 43 Instituts nationaux de la Sant du Service de la Sant publique 43 71 73 Ethiopie 6 10 13 14 30 60 83 84 86 127 EURATOM Communaut europ enne de l Energie atomique 143 Europe Bureau r gional 82 Europe Comit r gional 81 82 Europe R gion 80 82 117 124 FAO voir Organisation des Nations Unies pour l Alimentation et l Agriculture FAO FISE OMS Groupe consultatif des Prot ines 35 60 FAO OMS Comit mixte d experts des Additifs alimentaires 36 60 142 150 151 FAO OMS Groupe d experts de l Enseignement v t rinaire 12 60 151 FAO OMS r union mixte sur l valuation de la toxicit des r sidus de pesticides dans l
442. naux viennent en fin de liste Sous le titre Bourses d tudes il est uniquement fait mention des bourses accord es du 197 d cembre 1962 au 30 septembre 1963 et qui ne font pas partie de l aide apport e un projet plus vaste Un tableau de toutes les bourses accord es du 15 d cembre 1962 au 30 septembre 1963 class es par sujets d tude fait l objet de l annexe 12 Les dates du d but et de la fin de chaque projet sont indiqu es entre parenth ses la suite de son titre si la date limite est encore impr cise elle figure en italique Les noms des autres institutions participantes qu elles aient fourni des fonds ou non sont donn s la suite des indications concernant l origine des fonds Parmi les abr viations employ es on peut citer B budget ordinaire CSEP compte sp cial pour l radication du paludisme AT programme largi d assistance technique AID Agency for International Development des Etats Unis d Am rique On trouvera la signification des autres abr viations dans la liste qui figure la page ii 94 AFRIQUE AFRO 26 Bourses d tudes pour des cours au Centre inter national de l Enfance B Protection de la m re et de l enfant Paris 15 oct 23 d c 1962 bourses pour deux stagiaires venant du Burundi et de la R union D veloppement et comportement de l enfant Paris 7 janv 17 f vr 1963 bourse pour un stagiaire venant du Togo Hygi
443. nclure la sant publique et la m decine pr ventive Un s minaire destin aux professeurs d coles de m decine v t rinaire directement responsables de l enseignement de la sant publique et de la m decine pr ventive s est tenu Mexico du 25 au 31 ao t 1963 les discussions ont port sur la teneur des cours et le nombre minimum d heures requis L OMS a procur des consultants court terme des fournitures et du mat riel et a pris sa charge les frais de trente cinq participants qui venaient des pays suivants Argentine Br sil Canada Chili Colombie Equateur Etats Unis d Am rique Guatemala Mexique Paraguay P rou R publique Dominicaine Uruguay et Venezuela AMRO 76 Production et essais de vaccins juillet 1954 Aider les laboratoires producteurs de vaccins dans la R gion des Am riques assurer des normes lev es d activit et d inno cuit AMRO 81 Centre panam ricain des Zoonoses d c 1956 AT OPS Service de Sant publique des Etats Unis d Am rique Fondation Kaiser Aider les pays de la R gion cr er ou am liorer les services et les programmes nationaux de lutte contre les zoonoses entreprendre des recherches dans ce domaine AMRO 85 Centre latino am ricain de Classement des Maladies avril 1955 8 Am liorer les statistiques de mortalit en Am rique latine de fa on les rendre plus compl tes plus exactes et plus compa rables entre elles AMRO 8
444. ne El s agit d un projet principalement financ par l UNESCO mais auquel l OMS apporte une aide active pour les questions de sant AMRO 142 Probl mes de sant publique pos s par les rayon nements ionisants oct 1958 B OPS Donner des conseils et de l aide aux d partements de la sant publique d Am rique latine pour la protection contre les rayon nements ionisants AMRO 143 Statistiques sanitaires zone IV juillet 1956 8 AMRO 144 Statistiques sanitaires zone I janv 1958 8 Aider les pays de ces zones am liorer leurs statistiques d mo graphiques et sanitaires leur donner des avis sur la partie statis tique des projets ainsi que sur la compilation des donn es statistiques pour l laboration des programmes AMRO 185 Soins m dicaux et organisation hospitali re 1961 B OPS Am liorer les soins m dicaux et l organisation hospitali re dans les pays de la R gion AMRO 188 Sant publique v t rinaire zone III sept 1957 8 AMRO 189 Sant publique v t rinaire zone V mai 1957 8 Donner des avis consultatifs aux pays de ces zones dans le domaine de la sant publique v t rinaire AMRO 205 G nie sanitaire zone 11 1962 8 OPS AMRO 206 G nie sanitaire zone III 1962 B OPS D velopper les programmes ruraux et urbains d approvi sionnement en eau ainsi que les programmes d assainissement dans les pays de la zone Jusqu 1961 il s agissait de projets relati
445. ne id e claire de l tiologie de ces maladies il a toutefois t possible d obtenir dans plusieurs laboratoires de Su de et des Etats Unis certains indices de l intervention d un agent assimilable aux virus Des exp riences de longue dur e sur la transmission provoqu e du cancer sont en cours dans un laboratoire de la R publique f d rale d Allemagne D autre part POMS a soutenu aux Etats Unis d Am rique des tudes h matologiques et pathologiques en rapport avec l h r dit canc reuse et linfluence de certains facteurs antig niques En f vrier 1963 un groupe d pid miologistes s int ressant la canc rologie compar e s est r uni titre officieux New York afin d tablir un programme d tudes sur les tumeurs des animaux qui sont apparent es aux n oplasmes malins chez l homme A la suite des recommandations de ce groupe des recherches ont t entreprises sur la fr quence du carcinome de la vessie dans plusieurs r gions o des cas d h maturie enzootique manifestations cliniques ont t souvent observ s chez les bovins 1 semble que cette derni re maladie ne soit pas toujours accompagn e d une d g n rescence canc reuse de la vessie En outre on a dress les plans d une tude biochimique sur les m tabolites de lurine chez les bovins indemnes et malades En Turquie un laboratoire qui collabore aux travaux sur ces questions a signal la transmission la peau des veaux de
446. ne scolaire Marseille et Milan 25 f vr 24 mars 1963 bourses pour deux m decins venant du Dahomey et de Mada gascar P diatrie sociale Paris 22 avril 30 juin 1963 bourses pour deux m decins venant du Burundi et du S n gal Prophylaxie et traitement de 18 tuberculose chez les enfants C te d Ivoire 8 20 juillet 1963 bourses pour deux stagiaires venant du Niger et du Togo AFRO 53 Centre pid miologique r gional de la tuberculose Nairobi juin 1960 B Aider la planification technique de projets antituberculeux la pr paration de protocoles techniques et la coordination de projets valuer analyser et enregistrer les donn es pid miologiques et statistiques provenant des projets antituberculeux de la R gion et aider la planification la coordination et Panalyse des travaux de recherche sur le terrain AFRO 87 Centre d enseignement infirmier sup rieur en langue anglaise 1962 fin 1965 B AFRO 88 Centre d enseignement infirmier sup rieur en langue fran aise 1962 fin 1965 B Aider d velopper l enseignement infirmier sup rieur dans un pays de langue anglaise et dans un pays de langue fran aise o l on puisse obtenir le concours des universit s et o existent d j de bonnes installations pour l enseignement appliqu et l entra nement pratique Les cours s adressent aux infirmi res de la sant publique aux infirmi res monitrices de soins g n rau
447. nelle et infantile d c 1954 71966 AT FISE AID Cr er un service de protection maternelle et infantile dans le cadre des services g n raux de sant publique et de soins m di caux en am liorant et en d veloppant les installations existantes former du personnel pour ce service et former du personnel venant de pays avoisinants dont les probl mes de protection maternelle et infantile sont analogues ceux qui se posent au Viet Nam Viet Nam 7 Lutte contre la tuberculose janv 1958 7966 AT FISE AID Mission conomique fran aise Cr er le noyau d un service national antituberculeux qui s attachera surtout l action pr ventive et de sant publique terminer l installation d un dispensaire antituberculeux Saigon et l int grer dans l organisation existante poursuivre l ex cution du projet de vaccination par le BCG b n ficiant de laide commune du FISE et de POMS et l int grer dans le service national de lutte antituberculeuse Viet Nam 11 Statistiques d mographiques et sanitaires d c 1960 fin 1964 B D velopper et am liorer les statistiques d mographiques et sanitaires tous les niveaux de l administration sanitaire et organiser la formation de personnel national notamment en statistique m dicale Viet Nam 14 M decine pr ventive janv 1960 fin 1965 B FISE Cr er un service de lutte contre les maladies transmissibles tudier la situation locale en ce qui concerne ces maladies
448. nement Cameroun 16 Soins infirmiers oct 1962 fin 1965 AT FISE Elaborer des plans d enseignement infirmier Cameroun 200 Bourses d tudes B Hygi ne de la maternit et de l enfance douze mois hygi ne de l enfance prolongation d une bourse pendant deux mois et demi Cameroun 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine une bourse de six ans deux de sept ans Congo Brazzaville 200 Bourses d tudes B Etudes de m de cine une bourse de deux ans et demi une de trois ans et demi Congo Brazzaville 201 Bourses d tudes AT Administration des h pitaux douze mois C te d Ivoire 9 Sant mentale oct d c 1962 AT Un consultant a t envoy pour deux mois en C te d Ivoire afin d y tudier les probl mes de sant mentale et de donner des avis sur l organisation des services de psychiatrie et de sant mentale Son rapport qui comporte des recommandations visant l organisation de services de sant mentale Abidjan et dans les zones rurales ainsi que la formation de personnel a t soumis au Gouvernement C te d Ivoire 12 Assainissement janv 1963 fin 1965 AT Creer une section d assainissement au Minist re de la Sant former du personnel de l assainissement et mettre en uvre un programme d assainissement de longue dur e s tendant l ensemble du pays C te d Ivoire 14 Eradication de la variole 1961 1963 B Du vaccin antivariolique a t f
449. nement de l Institut de Recherche m dicale et r organiser son cours de biologie clinique Malaisie 24 Administration de la sant publique rurale Kuala Lumpur f vr 1960 d c 1963 B D velopper et am liorer les services sanitaires notamment dans les zones rurales Malaisie 29 Lutte contre la l pre mai nov 1963 B Un consultant a t charg de proc der une enqu te sur la l pre et sur les services antil preux de donner des avis touchant les principaux probl mes rencontr s lors de l enqu te notamment ceux que pose la r adaptation des sujets gu ris et de formuler des recommandations concernant le renforcement et l extension du programme de lutte contre la l pre Malaisie 30 Education sanitaire Services consultatifs janv 1962 7965 B Proc der une enqu te sur l action d ducation sanitaire men e l chelon national et l chelon des tats en vue de d terminer si les m thodes d ducation sanitaire utilis es actuel lement sont efficaces et de recommander les am liorations n cessaires Malaisie 32 Enseignement infirmier ao t 1962 1966 AT Evaluer les programmes d enseignement des soins infirmiers ainsi que les besoins et les ressources en services infirmiers d velopper les programmes et les exercices cliniques correspon dants de mani re faire face aux besoins du pays en personnel infirmier am liorer la qualit des services et de l enseignement infirmie
450. nes L OMS 8 envoy un ing nieur sanitaire livr des fournitures et du mat riel et accord une bourse d tudes de douze mois Trois autres bourses ont t pr vues sur le contingent g n ral de bourses attribu au Pakistan L ing nieur sanitaire de POMS a donn des avis sur 18 concep tion des travaux d adduction d eau dans les zones rurales et il a proc d en collaboration avec l ing nieur sanitaire affect au projet EMRO 56 Approvisionnement public en eau une tude sur l approvisionnement en eau dans les villes Au cours de la p riode d aide de POMS un cours a t donn sur la conception et l exploitation des r seaux de distribution d eau et un certain nombre de s minaires ont t organis s L OMS a accord des bourses quatre ing nieurs pour des tudes de g nie sanitaire trois d entre eux ont t nomm s ensuite d importants postes officiels Des progr s consid rables ont t r alis s dans l ex cution d un programme d adduction d eau et de mise en place de r seaux d gouts dans les zones urbaines et dans les zones rurales Un d partement autonome de g nie sanitaire a t cr en 1961 Les travaux pr vus par le projet ont t facilit s par la cr ation d un office mixte du g nie sanitaire groupant des repr sentants du Minist re des Travaux publics du Minist re de la Sant publique de l Agency for International Development des Etats Unis
451. nes M me la temp rature de P tuve 37 50 C le vaccin s alt re assez rapidement Il y a donc lieu de poursuivre les travaux d exp rimen tation en vue de mettre au point un produit plus stable Leptospirose Donnant suite aux recommandations formul es par un groupe scientifique des recherches sur la leptospirose en f vrier 1962 les laboratoires d sign s ont pr par de nouveaux s rums de r f rence pour plusieurs s rotypes D autres s rums ont t pr par s pour remplacer les r serves puis es ou alt r es et des essais concert s sont en cours On a dress un tableau o sont indiqu es les associations h tes s rotypes et leur r partition g ographique dans le monde ce tableau est actuel lement examin par les laboratoires participants en vue de sa publication La FAO et POMS soutiennent conjointement en Isra l en Italie et dans d autres pays des tudes sur les exigences m taboliques et nutrition nelles des leptospires sur les modifications de leur structure antig nique par culture en pr sence de s rums homologues et sur la vaccination de l homme et des animaux Des mesures pr liminaires ont t prises en vue d tablir en Union sovi tique un nouveau laboratoire FAO OMS de r f rence pour la leptospirose ce laboratoire serait charg de fournir des produits biologiques talons et des souches de r f rence ainsi que d organiser des stages de formation l intention de sp cialis
452. nes quatre mois services psychiatriques deux mois Portugal 19 Formation d infirmi res de la sant publique 1961 1964 B Am liorer et d velopper les services infirmiers de sant publique et les programmes d enseignement en envoyant des infirmi res se pr parer l tranger occuper des postes d ensei gnement et d administration dans les services infirmiers de sant publique Portugal 23 Sant mentale de l enfant 1961 fin 1963 B Am liorer les services de sant mentale destin s aux enfants Portugal 26 Administration des h pitaux oct 1962 AT Am liorer l organisation et l administration des h pitaux Portugal 30 Enseignement infirmier sup rieur 1963 AT Cr er Lisbonne une cole sup rieure de soins infirmiers Roumanie 1 Bourses d tudes B Epid miologie et bact rio logie des infections intestinales un mois maladies cardio vasculaires six mois microscopie lectronique deux bourses de douze mois ophtalmologie deux bourses de cinq mois pr paration de s rums deux mois Roumanie 3 Eradication du paludisme 1959 d c 1962 CSEP Le projet visait les objectifs suivants tendre le syst me de surveillance active toutes les r gions o le paludisme est end mique concentrer la phase d attaque finale de la campagne d radication sur les zones o la transmission a t observ e et proc der une valuation des op rations de surveillance pendan
453. nn es fragmentaires MALADIES TRANSMISSIBLES 1 Maladies parasitaires Bilharziose En raison surtout du d veloppement de l irrigation la fr quence de la bilharziose s est sensiblement accrue dans certaines zones d end micit et l OMS s est largement employ e trouver des moyens d enrayer cette tendance Les quipes OMS qui op rent dans divers pays ont continu d identifier et d analyser les conditions et les facteurs qui favorisent la diffusion de la maladie et elles ont pu sugg rer certaines m thodes de lutte Toutefois l application de ces mesures d pend des autorit s charg es des programmes de conservation des eaux et d irrigation et l on a consacr beaucoup de temps et d efforts leur faire comprendre la n cessit de pr voir des cr dits pour combattre la bilharziose Plusieurs organismes nationaux et internationaux demandent maintenant conseil POMS sur les dispositions envisager dans l tude des projets d irrigation Afin d amorcer cette collaboration et de faciliter les changes de vues avec les services comp tents des zones d end micit POMS a particip au Ve Congr s de la Commission internationale des Irrigations et du Drainage tenu Tokyo en mai 1963 o elle a pr sent une communication technique sur la lutte contre la bilharziose dans les r seaux d irrigation Bien que les m thodes d action ne soient pas encore tout fait au point les progr s accom
454. nnaire a t envoy tous les pays de la R gion afin de conna tre leur opinion sur les normes en vigueur et un consultant de l OMS a analys les r sultats de cette enqu te EURO 77 1 Etablissements d enseignement infirmier sup rieur 1954 1964 B Aider d velopper les programmes d enseignement infirmier sup rieur dans la R gion en pr parant des infirmi res au moyen de stages d tude l tranger occuper des fonctions d admi nistration et d enseignement dans les coles sup rieures d infir mi res EURO 77 2 Ecole internationale d enseignement infirmier sup rieur en fran ais Lyon nov 1962 967 B Ce projet a pour but la cr ation d une cole sup rieure d infr mi res o l on pr parera des infirmi res venues de pays euro p ens et extra europ ens des fonctions de direction dans un certain nombre de branches sp cialis es des soins infirmiers l enseignement l administration des services infirmiers et la recherche EURO 77 3 Ecole internationale d enseignement infirmier sup rieur en anglais Edimbourg 1963 B Le but est de cr er dans le cadre de la section infirmi re de l Universit d Edimbourg une cole internationale d enseigne ment infirmier sup rieur o l on pr parera des infirmi res venues de pays europ ens et extra europ ens des postes de responsa bilit dans un certain nombre de branches sp cialis es des soins in
455. nnes ont t examin es dont 9386 ont t reconnues atteintes de tuberculose Dans l Inde l Institut national de la Tuberculose assure avec l aide de POMS la formation de personnel et tablit les programmes antituberculeux destin s l ensemble du pays En 1963 cet institut a form cent quarante m decins techniciens de laboratoire techniciens de radiologie assistants statisticiens techniciens de 18 vaccination par le BCG et organisateurs en mati re de traitement Dans la R publique de Cor e la distribution gratuite de m dicaments tous les malades en application du programme national de lutte antituberculeuse a eu pour effet de sextupler ou presque le nombre des malades trait s qui 8 pass de 17000 en juillet 1962 plus de 100 000 vers le milieu de 1963 En Somalie le premier programme de vaccination par le BCG dans les coles a t achev pendant l ann e et 8350 l ves sur un total de 10 536 ont t soumis au test 3310 sujets se sont r v l s n gatifs et 3296 d entre eux ont t vaccin s Au Swaziland o l ex cution d un programme pilote a t amorc e des photographies a riennes de l ensemble du pays ont t prises r cemment en vue du choix des zones dans lesquelles diff rentes m thodes de lutte pourraient tre objectivement compar es En Tha lande la campagne de d pistage est peu pr s termin e dans la province de Chiengma les chefs de village ont fait pr
456. nnique des 1165 139 Sierra Leone 100 Singapour 88 140 Somalie 132 Soudan 83 132 Syrie 133 Tanganyika 100 Tchad 100 Tha lande 115 Togo 101 Trinit et Tobago 107 Turquie 124 Venezuela 107 Yougoslavie 124 cours pour infirmi res psychiatriques Beyrouth 35 125 cours sur les services domicile Copenhague et Aarhus 143 coles internationales Edimbourg et Lyon 117 Ecole sup rieure d Infirmi res Alexandrie 30 125 s minaire Paracas P rou 70 103 Soins m dicaux 28 29 103 Arabie Saoudite 126 Somalie 132 Y men 133 cours sur l administration des services m dicaux Bruxelles 118 Somalie 6 83 84 85 131 132 Soudan 17 19 25 34 51 83 84 85 132 Standardisation biologique 46 47 Statistiques d mographiques et sanitaires 44 45 65 71 72 77 85 102 103 108 118 125 Alg rie 120 Arabie Saoudite 126 Argentine 71 Birmanie 110 Bolivie 71 Chili 71 Colombie 71 Espagne 121 Ethiopie 127 Ghana 65 97 Gr ce 121 Haute Volta 98 Inde 112 Kowe t 129 Malaisie 138 Maroc 122 Mexique 71 N pal 115 Niger 99 Pakistan 85 130 Philippines 139 Pologne 123 Syrie 85 Turquie 124 Viet Nam R publique du 140 conf rence technique Vienne 80 119 Statistiques pid miologiques et d mographiques annuelles 1960 44 Statistiques hospitali res 109 Tha lande 116 s minaire Bangkok 108 Stup fiants 46 Substances pharmaceutiques voir Pr parations p
457. nomique La premi re dition du R pertoire mondial des coles v t rinaires a t publi e en anglais au cours de l ann e par les soins de la FAO et de l OMS Cette publication est calqu e sur le mod le des deux r pertoires celui des coles de m decine et celui des coles dentaires qui ont d j paru On y trouve des indications d taill es sur les conditions d admission de cent quatre vingt une coles sur leurs programmes d tudes leur financement et les autorit s dont elles rel vent Le R pertoire indique galement pour chaque 1 Edition fran aise en pr paration pays le nombre des v t rinaires en exercice lPimportance des promotions annuelles ainsi que l effectif de la population et du cheptel L attention du lecteur est sp cialement attir e sur la p nurie de v t rinaires et sur la n cessit de cr er des coles capables d en former davantage dans les r gions o ces tablissements sont trop peu nombreux ou inexistants Maladies virus Un nouveau centre r gional de r f rence pour les ent rovirus a t cr au d partement de bact riologie de l Universit de Singapour ce qui porte le nombre des centres internationaux et r gionaux vingt deux six pour les ent rovirus neuf pour les virus des voies respiratoires y compris les virus de la grippe et sept pour les virus transmis par les arthropodes Des pourparlers sont actuellement en cours au sujet de la d signa
458. ns pr liminaires relatifs l ouverture ventuelle d une autre cole Nairobi au Kenya ont d j eu lieu Bourses d tudes Aux vingt neuf bourses qu elle a attribu es pour des tudes m dicales de base l OMS en a ajout un certain nombre d autres pour la participation des cours de formation post universitaire y compris trois cours patronn s par le Centre international de l Enfance sur divers probl mes d hygi ne infantile et le cours donn Rome sur l pid miologie de la tuber culose et la lutte contre cette maladie Des adminis trateurs de 18 sant publique de pays de 18 R gion ont particip deux s minaires itin rants organis s en Union des R publiques socialistes sovi tiques en vue d tudier les questions relatives au personnel m dical auxiliaire et l administration de la sant publique Pendant la p riode consid r e vingt cinq bourses ont t accord es pour des tudes sur les soins infirmiers de base aux pays ne disposant pas de moyens locaux pour ces tudes Onze assistants m dicaux du Burundi et un assistant m dical du Rwanda ont re u en France en 1963 R GION AFRICAINE 69 une formation compl mentaire devant leur permettre de devenir des m decins dipl m s La formation du personnel sanitaire auxiliaire 8 retenu sp cialement l attention comme d habitude elle a t incluse dans la plupart des projets ex cut s dans la R gion On peut citer comme s
459. ns et de traitement pour les d ficients mentaux du Canton de Gen ve Tch coslovaquie 8 Bourses d tudes B Construction des h pi taux universitaires deux bourses de deux mois contr le des m dicaments trois mois diagnostic radiologique six semaines enseignement de la m decine six semaines enseignement infirmier compl mentaire deux mois quipement hospitalier deux bourses de trois mois formation compl mentaire en sant publique deux mois h matologie deux mois hypo thermie extracorporelle trois mois m decine interne six mois microbiologie trois mois neurologie infantile trois mois pr paration de s rums un mois psychiatrie trois mois statis tiques sanitaires trois mois stomatologie six semaines Tch coslovaquie 9 Etablissements d enseignement 1960 B Aider les tablissements nationaux d enseignement d ve lopper la formation en sant publique du personnel m dical et param dical Tch coslovaquie 10 Etude sur l pid miologie de la tuberculose et 13 lutte antituberculeuse 1960 7966 B tudier les caract ristiques pid miologiques de la tuberculose dans diff rents groupes de population afin de d terminer ceux d entre eux qui devraient retenir par priorit l attention des services antituberculeux valuer l efficacit de diverses mesures de lutte en Tch coslovaquie et proc der des essais compa ratifs sur l efficacit du traitement hospita
460. ns les zones d end micit des m thodes efficaces de d pistage et de traitement de surveillance familiale et d ducation sanitaire former du personnel Yougoslavie 16 9 Services de protection maternelle et infantile 1963 AT FISE Am liorer les services dispensant des soins aux m res et aux enfants y compris les services d hygi ne scolaire et les services de r adaptation pour enfants diminu s l chelon des r pu bliques et celui des districts Yougoslavie 20 Administration de la sant publique 1956 fin 1964 AT Former du personnel sanitaire de diverses cat gories l inten tion des instituts de sant publique fonctionnant l chelon f d ral et dans les diff rentes r publiques Yougoslavie 23 Bourses d tudes B Biochimie cinq mois di t tique trois mois hygi ne des denr es alimentaires trois semaines AT Am liorer et d velopper les programmes d enseignement infirmier et les services infirmiers en pr parant des infirmi res occuper des postes sup rieurs dans l enseignement infirmier et dans l administration des services infirmiers Yougoslavie 25 Enseignement infirmier 1959 Yougoslavie 28 Services de sant mentale 1958 fin 1963 B D velopper les services de sant mentale Yougoslavie 30 Eradication du paludisme 1959 7965 CSEP Terminer l radication du paludisme dans les zones qui se trouvent encore dans la phase de consolidation du pro
461. ns les deux pays et de montrer comment les gouvernements doivent proc der aux r alisations une fois prise la d cision de principe L Organisation aide galement les pays pr voir et obtenir des cr dits pour l tude la construction et l exploitation de r seaux d approvisionnement en eau adapt s leur situation conomique Les avantages de services d approvisionnement en eau communs c est dire de r seaux alimentant plusieurs collectivit s partir d une m me source ont t expos s lors d un s minaire interr gional qui s est tenu aux environs de Varna en Bulgarie r gion o un certain nombre de syst mes d adduction d eau desservant de petites agglom rations partir d une source centrale ont t r cemment mis en place Les responsables des approvisionnements publics en eau d un certain nombre de pays des R gions africaine europ enne et de la M diterran e orientale qui participaient ce s minaire ont chang des renseigne ments sur l organisation le financement la gestion et l exploitation des services d approvisionnement en eau communs plusieurs collectivit s Au cours de l ann e l Organisation a proc d une tude sur l approvisionnement public en eau et les am liorations envisager dans soixante quinze pays d Afrique d Asie et d Am rique latine Les donn es recueillies ont fait clairement appara tre l importance du probl me et l ten
462. ns ont port sur les rapports entre l cole la famille et la collectivit et sur les possibilit s de parvenir une meilleure coordination entre les services scolaires et les services sanitaires CHAPITRE 5 PROTECTION ET PROMOTION DE LA SANT Cancer En 1963 l OMS s est employ e surtout faire progresser les tudes pid miologiques et anatomo pathologiques Un rapport a t tabli sur l tude pilote que l Organisation avait fait entreprendre Belfast et Dublin pour d terminer l influence que la pollution de Pair et plusieurs autres facteurs tels que l usage du tabac la profession le lieu de r sidence peuvent avoir sur la fr quence du cancer du poumon L un des principaux objectifs de cette tude tait d exp rimenter et de standardiser certaines m thodes pour qu elles puissent tre appliqu es des tudes plus vastes Le rapport atteste que les m thodes employ es dont cer taines taient enti rement nouvelles ont donn toute satisfaction et peuvent tre g n ralis es sans grand changement On a donc repris ces m thodes Oslo et Helsinki pour essayer d expliquer les variations de la fr quence du cancer du poumon entre la Norv ge et la Finlande Les donn es obtenues sont en cours d analyse Les observations faites au cours des deux premi res ann es d une tude entreprise en Isra l sur la fr quence compar e du cancer dans divers groupes ethniques d or
463. nseil d administration de lInstitut international de Planification de l Enseignement cr Paris en 1963 sous les auspices de l UNESCO avec l appui de la Banque internationale pour la Recons truction et le D veloppement et de la Fondation Ford Un m decin a t nomm pour collaborer au programme alimentaire ONU FAO en ce qui concerne les aspects sanitaires des projets destin s mettre la disposition des populations les denr es alimentaires n cessaires en tant que facteur indispensable du d veloppement social et conomique Ce programme est actuellement en cours d ex cution pour une p riode d essai de trois ann es L OMS a t repr sent e la troisi me session du Comit intergouverne mental et a pr sent une communication sur la coop ration envisag e entre les institutions int ress es un certain nombre de projets lui ont t soumis pour examen technique Sur la demande du Conseil conomique et social le CAC a proc d une nouvelle tude des programmes d administration publique notamment en ce qui concerne l envoi de personnel d ex cution de direction et d administration L OMS a particip la r daction du rapport du CAC sur cette question lequel a t soumis au Conseil conomique et social lors de sa session de juillet ao t 1963 COOP RATION AVEC D AUTRES ORGANISATIONS 59 D autre part POMS collabore aux tudes actuelle ment effectu es sous les auspices du C
464. nsemble du pays Indon sie 36 Renforcement des services de protection maternelle et infantile oct 1956 d c 1957 d c 1962 fin 1966 AT FISE R organiser les services de protection maternelle et infantile du pays en assurant l int gration des soins pr ventifs et curatifs destin s aux enfants dans les h pitaux et dans les centres p ri ph riques former du personnel Indon sie 40 Production de vaccins et de s rums avril 1959 juin 1960 f vr mars 1963 AT En avril 1959 un consultant de l OMS a donn des avis l Institut Pasteur de Bandoeng sur les techniques de production de purification et de concentration des antis rums ses recom mandations ont t mises effet par le Gouvernement En f vrier et mars 1963 un autre consultant 8 proc d une valuation des possibilit s qui s offrent d am liorer et d accro tre la pro duction des anatoxines dipht rique et t tanique et il a tabli une liste du mat riel n cessaire la pr paration de produits con formes aux normes internationales L OMS a galement accord au titre de ce projet trois bourses de trois mois dont les b n ficiaires ont tudi la production des vaccins et des s rums Indon sie 41 Soins infirmiers Services consultatifs oct 1957 juillet 1959 nov 1960 fin 1966 AT Renforcer d velopper et coordonner les programmes de formation d infirmi res et de sages femmes de toutes cat gories et cr er une division des
465. nsmis par les arthropodes ne sont pas les m mes que dans le Pacifique occidental et l Asie du Sud Est Les quatre groupes scientifiques qui dans le courant de l ann e ont consacr leurs travaux respective ment aux rickettsioses humaines au vaccin contre la rougeole au trachome et la fi vre jaune ont soulign le r le fondamental que jouent les centres de r f rence pour un certain nombre de recherches Les sp cialistes de la fi vre jaune ont examin les r sultats de diverses tudes entreprises en Ethiopie notamment sur la pr sence d autres arbovirus dans la r gion Aussi ont ils recommand que l quipe thio pienne largisse le champ de ses investigations en collaboration avec les laboratoires tudiant ces virus Entebbe Dakar Paris et New York Des essais pratiques de vaccin contre la rougeole ont t men s bonne fin et semblent avoir fourni des donn es nouvelles du plus grand int r t Les recherches sur le trachome ont surtout port sur la chimioprophylaxie et la vaccination Le chol ra El Tor qui continue se propager de nouveaux territoires de l Asie du Sud Est et du Pacifique occidental soul ve un probl me de sant publique de plus en plus grave et devient une menace pour VII les voyages et les changes internationaux Aussi POMS a t elle intensifi sa participation aux recherches sur organisme pathog ne et sur les vaccins antichol riques en vue de d finir des mesures
466. nt galement une bonne immunit mais celle ci peut commencer dispara tre au bout de dix huit vingt quatre mois On a d autre part obtenu des r sultats prometteurs en administrant une injection de Vaccin tu suivie un mois plus tard d une injection de vaccin vivant L Organisation s appr te apporter un soutien important aux tudes sur les vaccins hyper att nu s et sur la vaccination associant vaccin tu et vaccin vivant Fi vre jaune Les tudes sur la fi vre jaune entreprises en Ethiopie avec l assistance de l Organisation et la collaboration de laboratoires sp cialis s d Entebbe de Paris de Dakar et de New York ont notablement avanc en 1963 Les enqu tes entomologiques et s rologiques men es dans des r gions du pays qui n avaient pas encore t tudi es ont r v l la pr sence d anticorps de la fi vre jaune chez les habitants de certains secteurs et fourni la preuve s rologique de l existence d infections 1 Voir Actes off Org mond Sant 123 13 14 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 dues des virus transmis par les arthropodes qui appartiennent au moins trois groupes antig niques diff rents Ces recherches ont permis de r unir d importants renseignements sur l cologie des virus transmis par les arthropodes qui infestent cette partie de l Afrique orientale Vers la fin de 1962 une station exp rimentale a t ouverte Manera dans le sud ouest de l Ethiop
467. nt limin de la R gion Il a en outre appel l attention des gouvernements sur la n cessit de r aliser l radication du paludisme dans les plus brefs d lais possibles En ce qui concerne la nutrition le Comit a recom mand de redoubler d efforts en vue d accro tre les moyens d action disponibles en particulier afin d inclure les mesures prendre en ce domaine dans les programmes g n raux des services locaux de sant Le Comit r gional a recommand d autre part de mettre la disposition des gouvernements en collaboration avec la FAO et le FISE davantage de services consultatifs pour toutes les questions se rapportant la production d aliments prot iques peu co teux de mani re assurer l utilisation la plus large et la plus efficace de ces aliments dans les groupes de population sous aliment s Le Comit r gional s est d clar satisfait des progr s accomplis dans le secteur de la recherche notamment des pr paratifs concernant l tude des programmes d enseignement de la m decine en fonction des besoins de personnel m dical Pendant la session des discussions techniques ont eu lieu sur les suggestions pour l tablissement d un plan de lutte contre les affections gastro intestinales Les discussions techniques de 1964 porteront sur la planification des mesures d radication de la tubercu lose 1 8 c r monie de la pose de la premi re pierre du nouveau b t
468. nt publique la statistique et l pid miologie 18 l gislation et l administration du travail la m decine l gale l thique m dicale et l ergologie une formation de base en s curit et hygi ne du travail Or cette formation compl mentaire est difficile acqu rir car peu de m decins chcisissent cette sp cialit m me dans les pays les plus d velopp s il a donc t sugg r que POIT et POMS pr tent leur concours en organisant des cours de formation appropri s L OMS a continu d apporter son aide l Enstitut d Hygi ne du Travail de Lodz Pologne en vue d am liorer les moyens de formation dont il dispose et elle participe en qualit d agent ex cutif un projet soutenu par le Fonds sp cial des Nations Unies et visant la cr ation d un institut de m decine du travail et de recherches sur la pollution de l air Santiago du Chili Par comparaison avec le travail accompli pour r soudre l s probl mes que posent l utilisation des radio isotopes et l exploitation des r acteurs nucl aires peu d efforts ont t consacr s sur le plan international l tude des questions de sant et de s curit soule v es par l extraction et le trait ment des minerais nucl aires Aussi l OMS s est elle associ e l AIEA et POIT pour organiser Vienne en ao t 1963 un colloque sur la protection radiologique dans l extrac tion et le traitement des minerais nucl aires A cette occ
469. nt publique dans une r gion rurale Somalie 14 Services consultatifs de sant publique mai 1961 fin 1963 B D velopper les services de sant nationaux Le conseiller en sant publique affect ce projet qui en plus a pour t che de coordonner les op rations men es en Somalie au titre des projets b n ficiant d une assistance de POMS poursuivra son activit partir de la fin de 1963 en qualit de repr sentant de l OMS Somalie 15 Formation de personnel infirmier sept 1961 fin 1968 AT FISE Mettre au point un syst me d enseignement infirmier qui puisse tre adopt dans l ensemble du pays Somalie 18 Hygi ne du milieu f vr mai 1963 B L OMS a fourni un ing nieur sanitaire qui tait charg d tudier les besoins de la Somalie dans l imm diat et long terme en mati re d hygi ne du milieu et de donner des avis au Gouvernement sur les pr visions qu il convenait de faire figurer dans son plan quinquennal de d veloppement Cet ing nieur a tudi les r seaux d approvisionnement en eau et d vacuation des mati res us es il a pr sent des recommandations sur les types d installations qui paraissent adapt s aux conditions existant dans le pays ainsi que sur l organisation des travaux de g nie sanitaire et d assainissement en g n ral Somalie 20 Organisation des soins m dicaux mai 1962 1965 AT Am liorer les services de soins m dicaux notamment en ce qui conc
470. nt 5 doivent tre investis pour pouvoir accomplir leur t che efficacement et la formation qui doit tre donn e aux m decins responsables de l inspection m dicale du travail Les participants venaient des pays suivants Australie Belgique Br sil Canada Chili Etats Unis d Am rique France Inde Mexique Norv ge Pakistan Pays Bas Pologne R publique Arabe Unie R pu blique f d rale d Allemagne Royaume Uni S n gal Tch co slovaquie Tunisie Union des R publiques socialistes sovi tiques Un repr sentant de l OIT et un observateur de la Communaut conomique europ enne participaient galement au symposium L OMS a pris sa charge les d penses de six participants Interr gional 145 Deuxi me conf rence mixte FAO OMS sur les additifs alimentaires Rome 24 25 juin 1963 B FAO L objet de cette conf rence organis e par la FAO et l OMS tait de faire le point du programme relatif aux additifs alimen taires depuis 1955 afin d obtenir un nouveau mandat des gouver nements et si possible de parvenir un accord sur les principes propos s par le Comit mixte FAO OMS d experts des Additifs alimentaires en vue de favoriser l adoption d une l gislation plus uniforme en la mati re Les participants au nombre de quarante six venaient des pays suivants Afrique du Sud Australie Belgique Canada C te d Ivoire Danemark Etats Unis d Am rique France Isra l Italie Luxembourg Nicaragua Norv g
471. nt captur s dans un dis au fur et mesure des besoins positif appel pi ge de fen tre qui comporte un r cipient d o ils sont aspir s pour tre tudi s Pr s des chutes Victoria en Rhod sie Apr s usage les pi ges de fen tre sont d contamin s et lav s puis mis s cher du Nord un consultant de l OMS tudie en plein air l cologie de Coelomomyces indicus cham pignon parasite d Anopheles gambiae chez qui on a constat qu il entra ne une tr s forte mortalit dans cette r gion PR SIDENT DE L ASSEMBL E MONDIALE DE LA SANT Le D M Majekodunmi Ministre de la Sant de la F d ration du Nig ria Pr sident de la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant tenue en mai 1963 Gen ve LUTTE CONTRE LA M NINGITE C R BRO SPINALE NIGER Depuis quelques ann es l OMS donne des avis et une aide pour le probl me de la m ningite c r bro spinale un groupe de pays d Afrique occidentale qui occupent une zone o des pid mies de cette maladie clatent r guli rement pendant la saison s che On a mis au point unc technique de traitement fond e sur l injection d une dose unique d un sulfamide retard et l on esp re qu elle pourra bient t constituer la base d un programme de masse contre cette maladie 38 5 16 m me temps des souches de m ningocoque font l obiet d tudes visant produire un vaccin car m me avec les sulfamides la mortali
472. nt d j appel l attention a persist Dans un certain nombre de r gions la fr quence de la syphilis r cente a presque atteint ou m me d pass le maximum des premi res ann es qui avaient suivi la deuxi me guerre mondiale bien qu une l g re r gres sion ait t enregistr e par la suite dans certains pays L augmentation est particuli rement marqu e dans les groupes d ge inf rieurs La recrudescence de la syphilis v n rienne et des infections gonococciques ne peut tre mise en relation avec les r actions la p nicilline d ailleurs assez rares rencontr es chez les sujets allergiques lesquels peuvent tre d sormais trait s aux antibiotiques de remplacement mis au point par des recherches cliniques les tudes n ont pas non plus r v l de modifications dans la sensibilit des tr pon mes la p nicilline La situation actuelle est donc paradoxale en ce sens qu on poss de des moyens detraitement qui tout en agissant sur 16 plan individuel ne semblent pas permettre de combattre efficacement la maladie l chelon de la collectivit Il est possible que existence de moyens th rapeutiques efficaces pour le traitement individuel ait apais la crainte que les 3 Mande R Fillastre C et Rouillon 1963 Bull Org mond Sant 28 189 215 8 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 maladies v n riennes inspiraient l homme de la rue et qu elle ait engendr une certaine in
473. nte troisi me session Comit permanent des Questions adminis tratives et financi res Conseil ex cutif trente troisi me session Dix Septi me Assembl e mondiale de la Sant Conseil ex cutif trente quatri me session Comit r gional de l Afrique quatorzi me session Gen ve 6 janvier Gen ve 14 janvier Gen ve 3 21 mars Gen ve date pas encore fix e Brazzaville septembre Comit r gional des Am riques seizi me session et XVe r union du Conseil directeur de POPS Comit r gional de l Asie du Sud Est dix septi me session Comit r gional de l Europe quatorzi me session Mexico septembre New Delhi septembre Prague septembre Comit r gional de la M diterran e orientale quatorzi me session Sous Comit Sous Comit B Comit r gional du Pacifique occidental quinzi me session Kowe t septembre Pas encore fix Manille septembre Annexe 6 ORGANISATIONS NON GOUVERNEMENTALES QUI ENTRETIENNENT DES RELATIONS OFFICIELLES AVEC L OMS au 30 septembre 1963 Acad mie internationale de M decine l gale et de M decine sociale Association du Transport a rien international Association interam ricaine de G nie sanitaire Association internationale de la Fertilit Association internationale de Logop die et de Phoniatrie Association internationale de P diatrie Association internationale de Prophylaxie de la C cit Association internationale de Psychiatrie
474. ntr le pr sente des difficult s Pour faire face aux besoins r sultant de l expansion appr ciable des campagnes antil preuses ex cut es avec laide de POMS la participation internationale s intensifie L OMS a collabor aux recherches entreprises sur le terrain dans quatre pays et qui ont pour objectif de d couvrir des armes plus efficaces contre le chol ra les autres maladies diarrh iques les filarioses la bilharziose et la fi vre h morragique Des op rations se poursuivent contre le pian les maladies v n riennes 15 trachome 18 poliomy lite et le t tanos et l on cherche en particulier renforcer les services d pid miologie de statistique et de laboratoires ainsi qu augmenter la production de vaccins Le FISE et POMS conjuguent leurs efforts depuis plus de dix ans pour assurer aux services de protection maternelle et infantile de la R gion une aide consi d rable Les succ s ont t remarquables mais parfois in gaux lorsqu il s est agi d int grer ces activit s dans le fonctionnement normal des services g n raux de sant Dans tous les d partements de p diatrie b n ficiant d une assistance de POMS la r gle est de d velopper les services p riph riques la fois en am liorant les centres de protection de l enfance et en assurant des services de consultants appartenant des d partements de p diatrie d coles de m decine Pour l Inde seule le programme FISE OMS a
475. nts on a ensuite recherch avec les autorit s nationales int ress es ordinairement par l interm diaire des bureaux r gionaux et des repr sentants de POMS 165 moyens d am liorer la distribution dans chaque R gion Les dispositions sp ciales concernant 18 R gion de l Asie du Sud Est sont d crites au cha pitre 16 page 77 Pour toutes les publications le nombre des abon nements de toutes cat gories 8 augment par rapport l ann e pr c dente Par exemple le nombre d institu tions sanitaires et de biblioth ques ayant un abonne ment global c est dire recevant tout ce que POMS publie au cours de l ann e dans une langue donn e est pass de 250 300 Le Bulletin a t envoy 1700 abonn s payants contre 1550 l ann e pr c dente si bien que compte tenu des services gratuits 3100 exemplaires de chaque num ro ont t distribu s les destinataires tant presque exclusivement des d parte ments de la sant des instituts ou biblioth ques scientifiques et des coles de m decine Le fonds de documentation m dicale et scientifique de la Biblioth que de POMS s est encore enrichi et il a t de plus en plus utilis tant par le personnel du Si ge et des bureaux r gionaux que par d autres biblioth ques m dicales Au 30 septembre 1963 la Biblioth que recevait r guli rement 2322 p riodiques m dicaux et scientifiques dont 670 seulement moyen nant paiement 1096 tant chang
476. nucl aire l EURATOM et la Com mission internationale de Protection contre les Radiations s taient fait repr senter Le colloque a fourni l occasion de proc der de larges changes de renseignements et observations l chelon international sur les dangers d irradiation associ s l extraction et au traitement des minerais nucl aires sur la toxicologie les techniques de dosage et de contr le les pro bl mes de protection des mineurs contre les radiations la surveillance m dicale et l valuation de la contamination interne ainsi que les probl mes d vacuation des d chets radioactifs L OMS a particip aux frais g n raux du colloque Interr gional 216 Colloque ATEA sur les crit res pour le choix du site des r acteurs et des centres d tudes nucl aires Bombay 11 15 mars 1963 B i L OMS a fourni les services d un consultant qui a pr sent au colloque une communication sur le r le et les responsabilit s des autorit s de sant publique en ce qui concerne le choix du site des installations nucl aires Un fonctionnaire du Bureau r gional de l Asie du Sud Est a galement assist au colloque Interr gional 217 Deuxi me r union europ enne de chercheurs Etude sur la fr quence des cas de leuc mie chez les malades trait es par irradiation pour un cancer du col de l ut rus Gen ve 12 13 sept 1963 B La r union avait pour objet de rassembler des repr sentants des serv
477. nus lors de la campagne antil preuse qui au cours des cinq derni res ann es a b n fici de l assistance du FISE et de l OMS En juillet l quipe a entrepris une enqu te analogue aux Philippines L OMS a de nouveau accord une aide un certain nombre de pays pour l organisation et la mise en uvre de programmes de lutte contre la l pre Dans certains cas ces activit s s int grent des campagnes de lutte contre d autres maladies transmissibles le pian au Lib ria au Sierra Leone et au Togo la tuberculose au N pal L OMS et le FISE ont maintenu leur aide la Tha lande pour son programme de lutte contre la l pre qui doit tre tendu toutes les r gions du pays o cette maladie existe l tat end mique L appui accord par POMS la recherche portait notamment sur des travaux de standardisation de la l promine et sur l essai de m dicaments antil preux dans cinq centres de recherche On proc de Bombay et Madras des essais visant d terminer la valeur de la chimioprophylaxie chez les sujets vivant au foyer du malade ainsi que la meilleure posologie adopter Les tudes en cours sur le r le des m canismes g n tiques dans l pid miologie de la l pre permettront peut tre de mener plus efficacement la lutte contre cette maladie et pourraient jouer en particulier un r le important dans le domaine des essais de m dicaments de la chimioprophylaxie et de l imm
478. oint Une premi re promotion de treize l ves a termin ses tudes en novembre 1962 douze autres l ves se sont inscrits en janvier 1963 La responsabilit de ce projet est assum e maintenant par l homologue national du conseiller de POMS Soudan 19 Zone de d monstrations de sant rurale f nov 1961 fin 1965 AT FISE Cr er dans le cadre d un programme pilote de d veloppement communautaire une zone de d monstrations de sant rurale El Huda dans la zone de Menagil d pendant de la r gion irrigu e de la Gezira Soudan 26 Lutte contre l onchocercose mars 1963 fin 1965 B Faire une enqu te sur la morbidit due l onchocercose dans la r gion riveraine du Nil au nord de Khartoum et dans les provinces du Bahr el Ghazal et d Equatoria de fa on d ter miner la fr quence globale et la gravit de la maladie ses inci dences conomiques et sociales et la corr lation entre l infection chez l homme et les g tes larvaires du vecteur mettre au point un programme destin combattre et pr venir l onchocercose former du personnel Soudan 28 Eradication de la variole janv 1962 fin 1965 B Mettre ex cution une campagne de vaccination de masse contre la variole l objectif final tant l limination de cette maladie Soudan 32 Centre de pr paration l radication du paludisme 1963 au del de 1965 CSEP Former du personnel technique pour le programme d radi ca
479. ois tudes de m decine une bourse de trois ans une de quatre ans une de six ans soins infirmiers de sant publique douze mois Togo 201 Bourses d tudes AT Techniques de laboratoire prolongation de trois bourses pendant douze mois Zanzibar 4 Eradication du paludisme juin 1957 d c 1968 CSEP AT FISE Proc der l radication du paludisme Zanzibar et Pemba Ce projet constitue une extension du projet de lutte antipaludique entrepris sous le m me num ro en 1957 Zanzibar 201 Bourses d tudes AT Assainissement quatre mois LES AM RIQUES AMRO 8 Eradication d Aedes aegypti zone des Cara bes 1950 AT OPS liminer Aedes aegypti des pays et territoires de la zone des Cara bes AMRO 10 Programme d enseignement de la statistique d mo graphique 1952 AT Am liorer les statistiques d mographiques et sanitaires des pays de l Am rique latine en assurant la formation de personnel technique AMRO 16 Ecoles de sant publique 1958 1959 1963 B OPS Am liorer l enseignement de la sant publique dans les pays de la R gion AMRO 18 Enseignement de la m decine mars 1953 B Fondation Milbank Fondation Kellogg Am liorer l enseignement de la m decine en Am rique latine AMRO 28 Enseignement infirmier sup rieur bourses d tudes B Soins infirmiers de sant publique Colombie trois bourses de dix mois El Salvador dix mois Equateur dix mois
480. oli dation est maintenant atteinte pour 43 3 de la population totale expos e Dans le domaine de la lutte antituberculeuse le bilan des projets ex cut s dans des zones pilotes avec l aide du FISE et de l OMS montre qu il est possible d tendre progressivement les op rations de ce type lP chelle nationale pourvu que l approvisionnement en m dicaments soit assur que les plans soient bien con us et que l organisation soit bonne surtout pour la distribution des m dicaments et pour la surveillance du traitement ambulatoire L ann e 1963 a t marqu e par l ouverture de la plus vaste des campagnes nationales d radication de la variole savoir celle de l Inde D autres pays de la R gion semblent d sormais plus fermement d cid s suivre cet exemple mais il leur faudra d velopper consid rablement leurs ressources et l organisation de leurs services avant de pouvoir s attaquer l radi cation L OMS encourage et soutient la g n ralisation de l emploi du vaccin antivariolique lyophilis car il semble que bon nombre des checs pass s soient imputables la mauvaise conservation du vaccin liquide sous les climats tropicaux La lutte contre la l pre progresse r guli rement gr ce des programmes de traitement domicile destin s aux r gions d end micit Les services de d pistage et de traitement ont t relativement faciles mettre sur pied mais l organisation du co
481. ologistes m decins et v t rinaires d apr s les crit res utilis s dans les tudes analogues sur l homme les r sultats de ce classement pr liminaire serviront arr ter le plan d une tude plus tendue et plus pouss e Hygi ne des denr es alimentaires d origine animale Des pr paratifs ont t faits pour la mise en train d un programme de travail visant simplifier les pratiques relatives hygi ne des denr es alimentaires d origine animale en particulier dans les pays en voie de d veloppement Une tude sur les sacrifices rituels d animaux pratiqu s au cours du P lerinage de La Mecque de 1963 a r v l qu environ 500 000 animaux principalement des moutons et des ch vres sont abattus au cours des trois journ es que dure le P lerinage et qu une grande partie de la viande obtenue demeure inutilis e On a donc tudi les moyens de conserver et de mettre profit ces exc dents ainsi que les sous produits de l abattage Enseignement v t rinaire Un groupe FAO OMS d experts de l enseignement v t rinaire a tenu une deuxi me r union Rome en avril 1963 Ce groupe a formul des recommandations d taill es sur l organisation des cours universitaires de m decine v t rinaire et sur l estimation du nombre minimum de v t rinaires requis en fonction de leffectif des populations humaines et animales dans des pays ayant atteint diff rents degr s de d veloppe ment co
482. ommu nautaires en raison de la p nurie de personnel qualifi former du personnel de toutes cat gories et encourager la normalisa tion des recherches portant sur les donn es existantes afin de d terminer la valeur des mesures prises en mati re de soins et de traitement Iran 37 Enseignement infirmier Ecole d Infirmi res de la Soci t Lion et Soleil rouges Rey sept 1956 juin 1963 AT R organiser l cole d infirmi res de Rey qui est un tablis sement autonome de la Soci t Lion et Soleil rouges pour y former des infirmi res et faire face l expansion des services de sant du pays A cet effet l OMS a envoy une infirmi re monitrice principale de septembre 1956 mai 1960 et d octobre 1960 juin 1963 une infirmi re monitrice m dico chirurgicale de d cembre 1956 avril 1957 de juillet 1957 juin 1960 et de juillet 1961 d cembre 1962 une monitrice de soins infirmiers de janvier 1957 avril 1958 et d avril 1959 mai 1961 une monitrice d organisation du service infirmier de janvier 1958 juin 1960 une infirmi re p diatrique d avril 1959 novembre 1960 et une infirmi re monitrice de 18 sant publique de juin 1959 juin 1961 En outre six bourses d tudes ont t accord es deux au titre de ce projet et quatre sur le contingent g n ral de bourses pour l Iran et on a livr des fournitures et du mat riel Un programme d tudes de trois ans a t tabl
483. ompte de certains territoires L Etat de la Trinit et Tobago qui tait devenu Membre de POMS dans le courant de l ann e a t admis 16 20 septembre 1963 au sein de l Organi sation panam ricaine de la Sant portant le nombre des Membres vingt trois Assistaient en outre la session des repr sentants de PONU du FISE de 18 FAO de l Organisation des Etats am ricains et de l Inter American Development Bank ainsi les observa teurs de quinze organisations non gouvernementales et d autres institutions int ress es Le Directeur g n ral tait galement pr sent Le Comit r gional a examin 16 rapport du Directeur du Bureau sanitaire panam ricain Directeur r gional de POMS Il a approuv le projet de budget ordinaire de POPS pour 1964 ainsi que le projet de programme et de budget de l OMS pour 1965 en ce qui concerne la R gion et l a transmis au Directeur g n ral pour qu il en tienne compte au moment o il pr parerait le programme et le budget de POMS pour cet exercice Le Comit r gional a pris acte en outre du projet de programme et de budget de POPS pour 1965 ainsi que du rapport du Directeur sur le programme d ex cution Apr s avoir examin le rapport du Directeur sur les travaux de l tat major de la sant qui avait t r uni conform ment la Charte de Punta del Este le Comit r gional a exprim l avis que les recom mandations de cette r union donneraient une nouvelle et p
484. on des ressources aux divers secteurs de l action sociale En outre POMS 8 particip aux pr paratifs de la Deuxi me Conf rence mondiale de la Population qui se r unira en 1965 sous l gide des Nations Unies et pour laquelle elle a t charg e d organiser deux s ances CHAPITRE 9 BIOLOGIE ET PHARMACOLOGIE Drogues engendrant la toxicomanie et autres drogues dangereuses Aux termes des conventions internationales sur le contr le de certaines cat gories de m dicaments il appartient l OMS de d cider s ils peuvent ou non engendrer la toxicomanie Au cours de la p riode consid r e le Secr taire g n ral de l Organisation des Nations Unies a re u communication d une d cision formul e l gard d une substance de ce genre dont Paction toxicomanog ne a pu tre constat e Une documentation a galement t pr par e sur un certain nombre de nouveaux m dicaments effet mor phinique elle sera soumise au Comit d experts des Drogues engendrant la Toxicomanie afin qu il formule des recommandations sur les mesures prendre leur gard dans le cadre du contr le pr vu par les instruments internationaux en vigueur L Organisation participe au syst me de contr le international des stup fiants en surveillant de mani re permanente les drogues nouvelles ou anciennes qui tombent sous le coup de ce contr le en vue de d celer leurs propri t s toxicomanog nes ventuelles Au cours de l
485. on du programme de POMS dans l Irian occidental ancienne Nouvelle Guin e occidentale qui relevait pr c dem ment du Bureau r gional du Pacifique occidental CHAPITRE 17 R GION EUROP ENNE Au cours de la p riode consid r e trente Etats Membres ont pris part aux travaux de l Organisation dans la R gion l Alg rie tant devenue Membre de POMS en novembre 1962 et la Hongrie ayant repris sa participation active en janvier 1963 Depuis quelques ann es on constate chez plusieurs Etats Membres de la R gion une nette tendance faire appel au concours de POMS pour l ex cution de vastes plans de r organisation des services de sant et de formation de personnel pour ces services Cette tendance renoncer aux projets de lutte contre des maladies d termin es et s orienter vers des pro grammes int gr s de sant publique se refl te dans le type d assistance demand POMS lequel fait appel plus encore que par le pass aux services d experts pendant une p riode prolong e C est ainsi qu en 1963 le nombre des postes impliquant un d tachement de personnel y compris ceux de repr sen tants de POMS s est lev cinquante et un alors qu il n tait que de vingt six et vingt sept respective ment en 1962 et 1961 On trouve un autre exemple de l int r t que suscite Paction g n rale de sant publique dans la r union en mars 1963 au V sinet pr s de Paris d un s minaire sur l uti
486. oncernant l tablissement d talons internationaux pour l anatoxine t tanique adsorb e et l antitoxine t tanique utilis e pour l preuve de floculation Le Comit a approuv l ex cution d tudes sur les substances utilis es pour certains talons et pr para tions de r f rence pr sentant de l int r t pour la m decine v t rinaire vaccins anti Clostridium welchii des types B et D et antis rums contre la maladie de Newcastle la maladie de Carr et l h patite canine Il a galement reconnu qu un s rum anti arthrite rhumato de serait utile pour des tudes sur les aspects immunologiques des maladies rhumatismales 11 8 not ce sujet que l Institut national de Recherche m dicale de Londres avait constitu une r serve de s rums humains pr lev s sur des malades et il a demand que les possibilit s d utilisation de cette r serve comme pr paration de r f rence soient tudi es Le Comit d experts 8 pass en revue les travaux accomplis dans les laboratoires qui collaborent 18 normalisation des s rums utilis s contre le venin de serpent et il 8 recommand deux tudes pilotes 18 premi re sur les s rums antivenimeux Bothrops et Crotalus genres qui se rencontrent dans les Am riques la seconde sur les s rums antivenimeux Echis et Bitis genres qui se rencontrent en Afrique et en Asie Il a d autre part not les progr s de l tude 1 Org mond Sant S r Rapp techn
487. ongo L opoldville 24 55 56 60 69 Congr s mondial de l Alimentation Washington 36 60 Conseil de l Europe 23 Conseil de l Information visuelle ONU 53 Conseil de Tutelle ONU 59 Conseil conomique et social ONU 56 58 59 comit consultatif sur l application de la science et de la technique au d veloppement 57 Comit de l Habitation de la Construction et de la Planifica tion 24 58 Comit sp cial de Coordination de la d cennie des Nations Unies pour le d veloppement 57 Comit sp cial pour la coordination des activit s d assistance technique 59 Commission des Questions sociales 24 Conseil ex cutif composition 148 tudes organiques 39 40 56 Conseil international des Infirmi res 30 39 61 Conseil international des Soci t s d Anatomie pathologique 33 61 Contributions recouvrement 55 Cook les 27 134 136 Coop ration avec d autres organisations 57 61 Voir aussi sous les noms des diff rentes organisations Coqueluche vaccin 19 Cor e R publique de 6 56 88 89 90 135 136 137 Costa Rica 3 72 105 C te d Ivoire 16 24 35 67 68 69 96 INDEX 3 Croix Rouge centenaire 61 Cuba 105 Dahomey 65 67 68 69 96 Danemark 14 26 35 121 D cennie des Nations Unies pour le d veloppement 53 57 D nominations communes pour des substances pharmaceutiques 49 Denr es alimentaires normes 12 36 85 Voir aussi Lait hygi ne Viandes hygi ne Deuxi me
488. onnel international 2 1 Personnel local 2 1 4 4 2 2 UNRWA 3 3 4 4 Centre international de l Enfance Paris 1 1 1 1 2342 1822 202 318 2539 1992 212 335 Personnel d tach aupr s de l OMS ou en cong sans traitement 20 24 Consultants court terme 91 67 TOTAL POUR L OMS 2453 2630 TOTAL POUR L OPS 794 798 ANNEXE 10 159 Annexe 10 R PARTITION DU PERSONNEL D APR S LA NATIONALIT au 30 septembre 1963 Pays OMS 5 Total Pays OMS OPS Total Afrique du Sud 9 2y 9 N pal 1 E 1 Allemagne R publique e 31 2 33 Nicaragua 1 1 2 Argentine 13 18 31 Nig ria 1 1 Australie 12 12 Norv ge i 15 15 Autriche 10 1 11 Nouvelle Z lande 13 1 14 Belgique 31 2 33 Pakistan 9 9 Bolivie 4 9 13 Panama 1 4 5 Br sil 23 49 72 Paraguay 2 5 7 Bulgarie 3 3 Pays Bas 39 4 43 Cameroun 1 _ 1 P rou 8 17 25 Canada 48 3 51 Philippines 18 18 Ceylan 5 2 5 Pologne 5 5 Chili 22 23 45 Portugal 8 8 Chine 27 1 28 R publique Arabe Unie 39 39 Chypre ne PA 1 es 1 R publique Dominicaine 4 2 6 Colombie 4 15 19 Roumanie i 1 1 Cor e R publique de 4 1 5 Royaume Uni de Grande Bre Costa Rica 1 8 9 tagne et d Irlande du Nord 228 12 240 Cuba me 3 3 6 Soudan 4 L 4 Dahomey 1 22 Su de 18 eu 18 Danemark 34 R 34 Suisse 58 on 58 El Salvador 1 6 S
489. ons collectives connexes qui se r unit chaque ann e La septi me r union du groupe a eu lieu Gen ve en juin avec la participation de repr sentants de Organisation des Nations Unies de POIT de l UNESCO de la FAO et de POMS ainsi que des Commissions conomiques pour l Europe et l Afrique Lutte contre les vecteurs et r sistance aux insecticides Le programme relatif la lutte contre les vecteurs et la r sistance aux insecticides a t renforc et largi Au cours de la p riode consid r e POMS 8 continu d apporter une aide financi re vingt deux laboratoires pour des recherches sur la biochimie la physiologie et la g n tique de 18 r sistance aux insecticides sur la toxicit des pesticides pour l homme ainsi que pour entretien de souches d insectes des fins de recherche et l vaiuation de nouveaux insec ticides Les rapports entre la g n tique des vecteurs et la r sistance aux insecticides ont fait l objet d une attention particuli re et un groupe scientifique a dress le bilan des recherches effectu es jusqu pr sent ce sujet Les connaissances nouvelles sur la g n tique des vecteurs permettent non seulement de mieux com prendre l origine de la r sistance aux insecticides et la fa on dont elle appara t au cours des programmes op rationnels mais elles ouvrent aussi des perspectives aux recherches sur Papplication de la g n tique la lutte contre les vecteurs
490. ont fourni 8000 pr l vements de s rum Une autre tude pid mio logique et s rologique analogue celle du Nig ria est pr vue pour 16 Togo Le succ s des campagnes de masse contre les tr pon matoses end miques et du traitement individuel de la syphilis v n rienne et de la blennorragie est d en grande partie l utilisation de PAM p nicilline G proca n e dans l huile additionn e de 2 de monost arate d aluminium et aux efforts de l OMS pour tablir des prescriptions minimums applicables MALADIES TRANSMISSIBLES 9 cette pr paration retard N anmoins pour rem dier l inconv nient de tester un grand nombre de lots et de devoir comme par le pass d terminer la dur e de la p nicillin mie au moyen d preuves sur des volon taires plut t que sur des animaux l OMS a t amen e depuis 1958 organiser de vastes recherches Apr s l tablissement d une m thode de titrage de la p nicilline s rique laquelle on peut faire confiance dans des limites pr cises ces recherches ont abouti la mise au point d un test de dur e de la p nicillin mie qui peut tre pratiqu sur le lapin Elles ont galement fourni un chantillon utilisable comme pr paration internationale de r f rence ainsi qu une base pour la revision des prescriptions minimums ant rieures relatives au PAM Des prescriptions internationales minimums concernant cette pr paration ont t tablies Un article
491. ormuler des recomman dations sur la planification et le d veloppement de la lutte antituberculeuse dans certains pays de la R gion a en faisant le point de la situation au moyen d enqu tes tuberculiniques limit es d une tude des donn es statistiques et pid miologiques et d une valuation des travaux entrepris par les instituts de la tuberculose ainsi que des programmes de lutte antituberculeuse et b en r unissant des renseignements d ordre plus g n ral personnel et cr dits disponibles priorit s accorder aux pro bl mes de sant publique etc Les projets pr voient l envoi de trois quipes compos es chacune d un m decin d un pid mio logiste d un statisticien et d une infirmi re de la sant publique les membres de deux de ces quipes sont francophones ceux de la troisi me sont anglophones Ces projets font suite aux projets AFRO 1 et AFRO 2 Equipes d enqu te sur la tuberculose qui se sont termin s la fin de 1961 AFRO 128 Centre de pr paration l radication du paludisme cours en fran ais Lom Togo avril 1963 fin 1972 CSEP Former du personnel national notamment des ressortissants des pays de la R gion toutes les techniques d radication du paludisme AFRO 130 Enseignement et formation professionnelle Uni versity College of East Africa Kampala Ouganda 1958 juin 1966 B FISE Maintenir une chaire de p diatrie et d hygi ne de enfance et aider l
492. ort du s minaire itin rant de POMS sur leducation sanitaire qui s tait rendu dans l Union des R publiques socialistes sovi tiques en 1961 a t publi pendant l ann e ainsi qu un rapport sur la conf rence interr gionale OMS OPS concernant 18 formation post universitaire du personnel de sant en mati re d ducation sanitaire qui s est tenue Philadelphie en 1962 L OMS a continu de collaborer avec l Union internationale pour l Education sanitaire qui a fait para tre en 1963 la premi re partie des actes de la 1 Organisation mondiale de la Sant 1963 L ducation sanitaire en URSS Gen ve Cahiers de Sant publique N 19 Conf rence internationale sur la Sant et l Education sanitaire r unie Philadelphie en 1962 sous les auspices de l Union internationale et de l American National Council for Health Education avec la participation financi re de POMS Hygi ne de la maternit et de l enfance On conna t encore mal l influence de nombreux facteurs m dicaux biologiques sociaux culturels et conomiques sur la reproduction humaine Pour faire le point des apports de la physiologie dans ce domaine un groupe scientifique des recherches sur la biologie de la reproduction humaine s est r uni Gen ve en avril 1963 1 avait pour t che de donner des avis POMS sur l orientation de la recherche et les principaux secteurs o son assistance pourrait tre utile Form de r
493. otes institu es aux fins de d monstration de formation et de recherche dans le domaine de la sant publique Le V sinet France 20 30 mars 1963 AT Ce s minaire avait pour objet de comparer les r alisations et d examiner les perspectives des zones pilotes de sant publique existant dans plusieurs pays d Europe la valeur des m thodes de travail de ces zones a t tudi e sous trois asp cts d monstra 120 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 tion formation pratique du personnel m dical et param dical recherche Les participants ont galement discut de l organi sation administrative de ces zones des probl mes de statistique et d valuation ainsi que de la coop ration internationale dans ce domaine L OMS a envoy au V sinet un consultant et deux conseillers temporaires et elle a pris sa charge les frais de onze partici pants venus des pays suivants Albanie Alg rie Bulgarie Espagne Finlande Gr ce Malte Pologne Turquie et Yougo slavie L Albanie la France la R publique f d rale d Allemagne et la Su de avaient envoy d autres d l gu s leurs frais Le FISE tait repr sent par un observateur Albanie 1 Bourses d tudes B Chirurgie six mois chirurgie cardio vasculaire six mois neuro chirurgie douze mois oto rhino laryngologie six mois Albanie 4 Lutte contre les maladies transmissibles 1960 AT Am liorer les m thodes de diagnostic de laboratoire tudier
494. otes qui doivent permettre d tudier de nouvelles m thodes de lutte contre le paludisme dans les zones o les op rations de pulv risation mont pas encore interrompu la transmission Nicaragua 5 Enseignement infirmier mars 1955 7965 B Renforcer l Ecole nationale d Infirmi res en pr parant des monitrices en am liorant les possibilit s de formation pratique et en d veloppant le programme d tudes de fa on y inclure des cours sur l enseignement infirmier de sant publique et sur l encadrement du personnel Nicaragua 6 Bourses d tudes B Enseignement de la m decine seize mois Panama 1 Services nationaux de sant publique ao t 1952 1967 AT OPS FISE Renforcer les services de sant l chelon central et local laborer un plan national de sant former le personnel n ces saire Panama 7 Bourses d tudes B Contr le des denr es ali mentaires et des m dicaments deux mois soins infirmiers de sant publique douze mois Paraguay 10 Services de sant publique janv 1955 7965 AT OPS FISE Organiser des services modernes et complets de sant publique l chelon national r gional et local former du personnel Paraguay 12 Bourses d tudes 13 P diatrie clinique et sociale deux bourses de trois mois P rou 15 Enseignement infirmier avril 1959 1965 B Organiser des cours compl mentaires afin de former des infir mi res monitrices et des surveillantes pour les
495. ouches de r f rence et de pr parer des s rums de r f rence Lors de cette r union on 8 constitu en outre un comit de classification des virus animaux pour l h misph re oriental qui fera pendant au comit d j form par la Livestock Sanitary Association des Etats Unis d Am rique pour l h misph re occidental Enfin il a t propos que des virologistes v t rinaires soient adjoints aux comit s mis sur pied par POMS et l Association internationale des Soci t s de Microbiologie pour l tude des groupes myxovirus et picornavirus qui comprennent la plupart des virus connus isol s sur des animaux A l heure actuelle la classification couvre principalement les virus des animaux domestiques et des animaux de laboratoire mais on se propose faire entrer progressivement les virus de tous les animaux sans exception Ces derni res ann es des virus antig niquement apparent s au virus de la grippe porcine ont t isol s sur des tres humains atteints de maladies des voies respiratoires et il a t signal que des sp cimens apparent s aux virus 8 et A2 de la grippe humaine ont t isol s sur des porcins des ovins et des bovins Il r sulte galement d observations s rologiques que le rat peut constituer un r servoir de virus grippal humain Une tude coordonn e des caract res pid miologiques des infections grippales chez les porcins et les ruminants a t entreprise en co
496. ourni au Gouvernement pour sa Campagne de vaccination C te d Ivoire 200 Bourses d tudes B Lutte contre la tuber culose trois ans nutrition douze mois sant publique douze mois Dahomey 7 Services d assainissement sept 1961 fin 1965 AT FISE Organiser des services d assainissement Dahomey 200 Bourses d tudes B Cardiologie deux bourses de douze mois cours pr parant au dipl me de sant publique DPH douze mois g nie sanitaire deux ans F d ration de Rhod sie et de Nyassaland 8 Paludisme Enqu te pr radication sept 1957 fin 1965 CSEP Ce projet est en voie d tre transform de projet pilote en un programme d enqu te pr radication s tendant toute la Rhod sie du Sud avec continuation de l tude des op rations de surveillance active dans la partie la plus m ridionale du territoire F d ration de Rhod sie et de Nyassaland 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine prolongation de deux bourses pendant deux ans une bourse de sept ans Gabon 3 Hygi ne de la maternit et de l enfance mars 1961 fin 1965 B FISE D velopper les services de protection maternelle et infantile notamment dans les r gions rurales et tablir des programmes pour la formation d infirmi res de sages femmes et d infirmi res de la sant publique professionnelles et auxiliaires Gabon 6 Hygi ne du milieu 1963 fin 1965 B FISE Cr er un service de g nie sanit
497. ours d ing nieurs sanitaires et de techni ciens de l assainissement de POMS Comme l indiquait le Rapport annuel pour 1962 plusieurs pays notamment en Afrique ont eu de grandes difficult s organiser ou d velopper leurs services d assainissement en raison du manque de personnel qualifi Pour r pondre aux nombreuses demandes d assistance qui lui sont adress es par les gouvernements l Organisation a recrut dans neuf pays diff rents dix ing nieurs civils auxquels elle a fait donner pendant l ann e universitaire 1962 1963 un cours complet de g nie sanitaire en fran ais Celui ci a eu lieu l Universit de Naples o POMS a envoy un certain nombre de charg s de cours L enseignement tait essentiellement le m me que celui dispens en italien depuis 1956 au Centre d tudes de G nie sanitaire de l Universit de Naples mais on l avait l z rement modifi de fa on mieux pr parer les ing nieurs de l OMS aux t ches qui les attendent dans les pays en voie de d veloppement L OMS a pu ainsi satisfaire toutes les demandes d assistance qu elle a re ues jusqu ici d Etats Membres d expression fran aise En juillet et en ao t une enqu te 8 t entreprise pour d terminer si l on pourrait organiser en Afrique des cours de niveau universitaire ou post universitaire pour la formation d ing nieurs sanitaires A ce titre on a visit les universit s et les coles de g nie civil d
498. ourse pendant douze mois tudes de m decine prolon gation de bourses une pendant trois mois une pendant huit mois quatre pendant douze mois une pendant quatorze mois statistiques quatre bourses de sept mois et demi Y men 201 Bourses d tudes AT Etudes de m decine prolongation d une bourse pendant douze mois pr paration la profession infirmi re prolongation de trois bourses pendant sept mois et demi PACIFIQUE OCCIDENTAL WPRO 22 Lutte contre le pian premi re phase les Fidji nov 1954 nov 1958 Samoa Occidental juin 1955 d c 1958 Protectorat britannique des les Salomon mai 1956 mars 1960 les Gilbert et Ellice janv 1957 f vr 1958 Nouvelles H brides juin 1958 mai 1960 les Cook juin sept 1960 Tonga mai 1962 janv 1963 B FISE Les objectifs de la premi re phase du projet taient les sui vants 1 diminuer la fr quence du pian dans les les du Pacifique par l examen syst matique de la population et le traitement des cas la p nicilline apr s valuation de l tendue du probl me du pian au moyen d une enqu te clinico s rologique dans une zone pilote 2 former du personnel local au diagnostic au traitement et l pid miologie du pian Cette phase a pris fin avec l ach vement de l enqu te et de la campagne de traitement de masse dans les les Tonga L OMS a envoy un m decin un s rologiste et un infirmier administrateur le FISE a livr
499. ouvrir une deuxi me cole de m decine Djalalabad en Birmanie une nouvelle cole de m decine 8 t cr e Mingaladon et une cole de sant publique et de m decine tropicale va s ouvrir la nouvelle cole de m decine de Peradeniya Ceylan prend une rapide extension L OMS a fourni des consultants ces pays pour les aider dresser leurs plans En Inde le nombre des coles de m decine est pass en un an de soixante six soixante dix huit et l Indian Medical Council a recommand que l on y admette chaque ann e un plus grand nombre d tudiants Durant l ann e universitaire en cours l Indon sie a ouvert sept nouvelles coles de m decine dont deux priv es ce qui 8 port le nombre de ces tablissements quatorze La Tha lande se pr pare ouvrir une quatri me cole de m decine Khon Kaen Au d but de l ann e 1963 POMS a envoy au N pal un consultant court terme qui tait charg de donner au Gouvernement des avis sur la possibilit de cr er une cole de m decine dans le pays L accroissement rapide du nombre des coles de m decine et des inscriptions n a pas t accompagn d une augmentation correspondante de l effectif ensei gnant Il en r sulte une baisse du niveau des tudes qui ne laisse pas d tre inqui tante aussi les gouver nements donnent ils dans leurs plans une place importante aux programmes d enseignement post universitaire et l
500. permis d aider ainsi trente cinq services de p diatrie et vingt six h pitaux de district une assistance analogue a t accord e Ceylan et la Tha lande Le manque d hygi ne et la malnutrition demeurent les grands responsables de la tr s forte morbidit qui caract rise la R gion de l Asie du Sud Est L am lio ration se poursuit lentement mais on ne discerne encore aucun signe de transformation radicale en raison de l obstacle infranchissable qu oppose le manque de fonds SERVICES DE SANT RURAUX AU PAKISTAN ORIENTAL Le FISE et l OMS aident le Gouvernement du Pakistan ex cuter un programme visant difier un r seau de centres de sant ruraux pour la partie orientale du pays et former le personnel n cessaire Une doctoresse dans son cabinet de consul Malades venues consulter au centre de tations au centre de sant rural de Masinpur Masinpur qui fonctionne depuis mars 1963 une vingtaine de kilom tres de Dacca On voit l arri re plan des dais sages fem mes traditionnelles qui suivent un cours de six mois au centre Vaccination antichol rique au centre de Masinpur Campagne de vaccination dans un village voisin Les femmes qui d sirent ne pas para tre en public sont vaccin es l int rieur de leurs maisons HE 27 s 2 Le Ministre de la Sant du N pal
501. perts de l enseignement m dical s est rendu dans ce pays au d but de l ann e pour y effectuer une enqu te et il a tabli un rapport d taill sur l emplacement le programme d enseignement et l organisation d une cole de m decine moderne que l on esp re pouvoir difier prochainement L OMS a galement pr t son concours pour la pr paration d une demande d assis tance adress e au Fonds sp cial des Nations Unies en vue du financement de ce projet Afin d assurer la nouvelle cole de m decine un personnel ensei gnant national l OMS accorde des bourses qui permettront aux b n ficiaires de suivre des cours m dicaux post universitaires Apr s la conf rence r gionale sur l enseignement m dical qui s est tenue T h ran en octobre 1962 deux pays ont organis des conf rences nationales en vue d examiner les possibilit s d am lioration et d accroissement des moyens actuels d enseignement de la m decine et POMS a conclu des arrangements sp ciaux afin d assurer aux gouvernements des services consultatifs dans ce domaine Le fait qu une grande partie des projets en cours d laboration ou d ex cution dans la R gion en 1963 soit 73 sur un total de plus de 260 aient t exclusi vement consacr s la formation professionnelle atteste l importance attach e la pr paration de personnel de sant publique D autres projets compor tent galement certaines activit s en
502. perts sur les Activit s des Organismes des Nations Unies en mati re de D veloppement industriel ainsi qu liit de l Assembl e g n rale des Nations Unies Un rapport sur les relations qui doivent exister entre les services sanitaires d une part l implantation d industries et les programmes de logement d autre part a t pr sent au Comit de l Industrie et des Ressources naturelles cr par la Commission cono mique pour l Asie et l Extr me Orient CEAEO Avec le renforcement des commissions conomiques r gionales des Nations Unies les relations entre ces commissions et l OMS ont rev tu une importance croissante surtout en Afrique L OMS 8 t repr sen t e la cinqui me session de la Commission cono mique pour l Afrique CEA en f vrier ainsi qu la r union du Comit permanent d orientation de l Institut africain de D veloppement et de Planification conomiques Elle aide l quipe de d marrage de l Institut tablir le programme d tudes et elle s occupe pr sentement de recruter un professeur qui donnera un enseignement l Institut Elle cherche galement recruter un fonctionnaire qui sera affect l Institut asiatique du D veloppement et des Plans conomiques L OMS a particip plusieurs r unions r gionales de l ONU sur l organisation et le fonctionnement des services sociaux Elle 8 pris part l laboration d un rapport des Na
503. pes fondamentaux de l enseigne ment m dical dans les pays en voie de d veloppement La pr paration des r pertoires des coles de for mation professionnelle se poursuit La premi re di tion du R pertoire mondial des coles v t rinaires 8 t publi e en anglais voir aussi page 12 La troisi me dition revis e du R pertoire mondial des coles de m decine devait para tre en anglais vers la fin de 1963 Enfin on 8 commenc r unir de la documentation pour la pr paration d un r pertoire mondial des coles sup rieures d infirmi res qui sera publi en association avec le Conseil international des Infirmi res Des dispositions ont t prises pour deux conf rences r gionales sur l enseignement m dical dont l une aura lieu en novembre 1963 dans la R gion du Paci fique occidental et l autre en 1964 dans la R gion africaine Une conf rence sur l enseignement m dical en Am rique latine s est tenue New York le 30 sep tembre sous les auspices de l Organisation panam ricaine de la Sant et avec le concours de la Fondation Milbank voir aussi page 71 Ces conf rences per mettent de confronter les tendances mondiales de l enseignement m dical avec la situation existant 8 cet gard dans les pays de la R gion Des groupes consultatifs et des quipes d ensei gnants ont t form s plusieurs d entre eux ayant pour mandat de donner des avis au sujet de la cr ation de nouvell
504. plis sont suffisants pour permettre de formuler des recom mandations touchant la planification et l ex cution de campagnes antibilharziennes cette fin un guide pour la lutte contre 168 mollusques vecteurs est en pr paration Au cours de la p riode consid r e l quipe consultative interr gionale pour la bilharziose s est rendue dans un certain nombre de pays pour y tudier la transmission de la maladie dans les r seaux d irrigation et dans les eaux courantes ou stagnantes naturelles En Iran l administration de la sant publique suit de pr s la r alisation d un vaste programme d irrigation dans la zone d end micit du Khouzistan Le personnel du projet pilote de Dezfoul qui b n ficie de l assistance de l OMS recherche les moyens d emp cher la maladie de se propager La premi re tranche des travaux d irrigation qui int resse quelque 20 000 hectares est achev e l quipe consultative est all e sur place en mars 1963 pour discuter des mesures prendre avec les autorit s de la sant publique le personnel charg du projet et les responsables de l irrigation Les travaux s tendront finalement une superficie totale d environ 100 000 hectares pour une population de plus de 500 000 personnes Au Soudan l quipe consultative a collabor avec une mission de planification des Nations Unies des enqu tes sur le terrain et l tablissement d un plan de d veloppement sanitaire cono
505. pour la Journ e mondiale de 18 Sant en 1964 est Pas de tr ve pour la tuberculose CHAPITRE 12 QUESTIONS CONSTITUTIONNELLES FINANCI RES ET ADMINISTRATIVES Questions constitutionnelles et juridiques Membres de l Organisation Apr s avoir t admis l Organisation des Nations Unies la Jama que la Trinit et Tobago et Ouganda sont devenus Membres de l Organisation mondiale de la Sant au d but de 1963 en d posant aupr s du Secr taire g n ral de l Organisation des Nations Unies un instrument officiel d acceptation de la Constitution de POMS Le 9 mai la Szizi me Assembl e mondiale de la Sant a admis le Kenya et l le Maurice en qualit de Membres associ s A la fin de septembre POMS comptait cent dix sept Membres de plein exercice et trois Membres associ s dont la liste arr t e au 30 septembre 1963 figure l annexe 1 Privil ges et immunit s Le Br sil le Japon et le Kowe t ont adh r la Convention sur les privil ges et immunit s des institutions sp cialis es et son annexe VII qui a trait express ment l Organisation mondiale de la Sant Questions financi res Budget de 1963 Par sa r solution WHA15 23 la Quinzi me Assembl e mondiale de la Sant avait fix le budget effectif de 1963 29 956 000 ce qui repr sentait une augmentation de 6 348 820 par rapport au montant correspondant pour 1962 823 607 180 Sur 18 recommandation du Conseil ex cut
506. probl mes techniques et administratifs que soul vent encore la variole et la lutte contre cette maladie 1 Voir Actes off Org mond Sant 127 annexe 16 Rickettsioses Bien que depuis quelques ann es on sache beaucoup mieux traiter et combattre les maladies rickettsies celles ci posent encore de graves probl mes dans nombre de r gions Un groupe scientifique de recherches sur les rickettsioses chez l homme qui s est r uni en juillet a tudi la distribution et l importance de ces diff rentes rickettsioses dans diverses r gions du monde ainsi que leur cologie Les participants ont examin les m thodes de diagnostic de traitement et de lutte et ils ont recommand que l OMS mette sur pied un programme complet de recherches avec cr ation d un ou deux laboratoires de r f rence Ils ont galement reconnu la n cessit de normaliser au moins jusqu un certain point les m thodes actuelles de diagnostic s rologique Banques de r f rence des s rums Les directeurs des trois banques de r f rence des s rums cr es par POMS en 1961 l Universit Vale Etats Unis d Am rique au South African Institute for Medical Research de Johannesburg et Plnstitut d Epid miologie et de Microbiologie de Prague se sont r unis en juillet pour examiner et discuter les activit s de leurs services Une mise jour des listes des collections d chantillons de s rums 8 indiqu que les b
507. publique du 140 M decine tropicale formation Birmanie 75 Tha lande 116 M decine v t rinaire 47 R publique Dominicaine 107 s minaire Mexico 102 M dicaments voir Pr parations pharmaceutiques M diterran e orientale Bureau r gional 87 M diterran e orientale Comit r gional 86 87 M diterran e orientale R gion 83 87 125 133 M kong mise en valeur du bassin inf rieur 58 Membres et Membres associ s de l OMS 54 liste 147 M ningite c r bro spinale 19 Mexique 44 71 72 74 106 Microbiologie Institut national Argentine 103 Molluscicides 17 26 27 Mongolie 115 Mortalit g n rale tudes pid miologiques 73 Mortalit infantile 19 89 Mouche domestique 25 Danemark 26 Italie 26 Lib ria 98 Mozambique 100 Mycoses 19 N pal 16 20 75 115 N phrite chronique 118 119 Nicaragua 3 72 106 Niger 65 99 6 INDEX Nig ria 8 16 19 24 25 30 34 45 47 65 66 67 68 69 95 99 100 Normes internationales applicables l eau de boisson 50 Normes pour les pesticides 26 50 Normes pour les r actifs Pharmacop e internationale 50 Norv ge 33 122 Nouvelles H brides 37 134 Nouvelle Z lande 10 14 138 Nutrition 31 35 36 52 66 71 74 76 85 89 90 103 Alg rie 81 120 Burundi 66 Espagne 121 Inde 77 Indo n sie 77 Iran 85 128 Kenya 66 98 Maurice le 66 99 Mexique 106 Philippines 139 Polyn sie fran aise 139 R publique Cent
508. ques un mois recherche nucl aire trois semaines statistiques des causes de d c s deux mois et demi variole un mois virologie un mois Autriche 14 D veloppement des services d assainissement 1960 1965 B Renforcer les services d assainissement et former du personnel Autriche 15 Enseignement infirmier et administration des services infirmiers 1961 96 8 Pr parer les infirmi res exercer des fonctions d administra tion et d enseignement dans les coles d infirmi res et occuper des postes de direction dans les services infirmiers Belgique 9 Bourses d tudes B Affections du pancr as six mois chimioth rapie du cancer trois mois pathologie cinq mois phono audiologie trois mois psychologie clinique six mois sant publique deux mois services et enseignement infirmiers quatre mois Belgique 10 Services de sant mentale 1960 96 B D velopper les services de sant mentale en donnant une formation psychiatrique au personnel des centres universitaires d enseignement Bulgarie 7 Bourses d tudes B Allergie six mois bact riologie quatre mois biochimie six mois chirurgie r paratrice quatre mois contr le des m dicaments six mois endoscopie gastro intestinale trois mois enseignement de la m decine LISTE DES PROJETS EUROPE 121 six semaines h matologie six mois histochimie deux mois m decine interne quatre mois
509. qui s est r uni la fin du m me mois voir page 42 Les recommandations du Comit consultatif de POPS ont trait trois vastes domaines int ressant directement les conditions sanitaires dans les Am ri ques recherches biom dicales sur certaines maladies et sur la malnutrition recherches fondamentales et appliqu es sur l hygi ne du milieu g nie biom dical R GION DES AM RIQUES 73 notamment en ce qui concerne l assainissement l approvisionnement en eau de boisson l vacuation des d chets l hygi ne industrielle la pollution de lair et de l eau et le logement enfin recherches biosociales et biostatistiques sur les conditions sanitaires et les aspects conomiques et sociologiques de l action sanitaire et m dicale Le Comit a examin des rapports succincts sur les activit s de recherche de POPS en 1962 et formul des recommandations concr tes en vue des travaux futurs Il a galement tabli un nouveau sch ma de recherches entreprendre sur la tuberculose Le deux tudes patronn es par POPS au Guatemala et au P rou concernant les rapports entre les affections diarrh iques et la malnutrition ont t poursuivies D autre part POPS a organis deux conf rences sur l orientation des futurs programmes de recherche L une de ces conf rences r unie Lima P rou pour tudier la mise au point d un programme de recherches pid miologiques sur le cancer a formul des recom
510. r des enqu tes sur la fr quence globale la cr ation d un centre national antituberculeux qui travaille en liaison troite avec les dispensaires les h pitaux et les autres services sanitaires notam ment ceux des coles et l introduction d un syst me uniforme pour la conservation d archives et la tenue d un registre des tuberculeux l Organisation a gale ment pr t son concours pour la formation de visi teuses d hygi ne la vaccination par le BCG et l am lioration des moyens de diagnostic Les m thodes de d pistage de traitement et de pr vention de la tuberculose en ce qui concerne particuli rement les enfants ont t discut es lors d un s minaire tenu Tunis en avril sous les auspices du Centre international de l Enfance du Gouverne ment tunisien et de POMS avec la participation des pays de la R gion ainsi que de l Alg rie du Maroc et de la Turquie Des essais encourageants ont t effectu s dans l emploi de l isoniazide ainsi que d autres m dica ments absorb s en association avec ce produit Le nouveau vaccin BCG lyophilis et thermostable est de plus en plus largement utilis dans la R gion L OMS accorde son appui aux tudes entreprises en Iran et en Isra l sur l pid miologie de la brucellose chez l homme et les animaux ainsi que sur la vacci nation des ovins et des caprins voir galement page 9 Dans les campagnes entreprises contre la variole
511. r Addis Ab ba un centre de d monstration pour la lutte anti tuberculeuse qui formera du personnel sanitaire tendre les campagnes de vaccination par le BCG d autres r gions de l Ethiopie recueillir des informations pid miologiques sur la maladie et sur la fr quence des cas nouveaux d velopper la collaboration avec les organismes de pr voyance sociale cr er en Erythr e un centre de la tuberculose des fins d enseignement et de d monstration Ethiopie 9 Centre de formation en sant publique Gondar mars 1954 1965 8 FISE AID Cr er Gondar un centre pour la formation de personnel de sant publique organiser un service de sant mod le pour la province de Beghemeder et la ville de Gondar tudier les condi tions sanitaires locales cr er les centres de formation n ces saires tendre les services de sant l ensemble du pays Ethiopie 14 b Centre de pr paration l radication du palu disme 1960 au del de 1965 CSEP AID Former du personnel auxiliaire pour le programme d radi cation du paludisme Ethiopie 14 c Paludisme Programme pr radication 1962 au del de 1965 CSEP AID Mettre en place les moyens techniques administratifs et op ra tionnels n cessaires pour l ex cution d un programme complet d radication du paludisme d velopper simultan ment les services de sant ruraux de mani re qu ils puissent collaborer efficacement ce programme
512. r sultats des travaux pr paratoires Les projets visant d velopper et am liorer les services nationaux de statistiques d mographiques et sanitaires avec le soutien de l OMS sont chaque ann e plus nombreux en 1963 de nouveaux projets de cet ordre ont t entrepris au Kowe t en Pologne et en Turquie Afin de faciliter l tablissement des projets futurs dans ce domaine on proc de actuellement une valuation des travaux accomplis ces derni res ann es Les contacts r guliers entre POMS et les commis sions nationales des statistiques d mographiques et sanitaires repr sentent une autre forme de l assistance de l Organisation ses Membres Au cours de l ann e consid r e l OMS a publi notamment des rapports sur ses activit s en mati re de statistiques d mogra phiques et sanitaires et sur les travaux de statistique sanitaire effectu s en R publique f d rale d Allemagne aux Etats Unis d Am rique au Mexique et aux Pays Bas Comme par le pass l OMS a contribu la formation statistique des agents sanitaires en accordant des bourses et en organisant des cours internationaux Divers expos s sur les m thodes statistiques ont t prononc s Belgrade lors du cours international de formation l radication du paludisme D autre part des dispositions ont t prises pour organiser deux s minaires vers la fin de 1963 Le premier qui doit porter sur les statistiques d mographiques et san
513. r assentiment ce changement de date a t notifi aux gouvernements des Etats Membres la fin de septembre CHAPITRE 13 COOP RATION AVEC D AUTRES ORGANISATIONS Dans les divers chapitres du rapport il est fait mention de la collaboration entre POMS et d autres organisations Le pr sent chapitre voquera bri ve ment certains faits nouveaux int ressant la coordina tion avec les Nations Unies tant en ce qui concerne les programmes g n raux d action concert e que les programmes de diverses organisations ou institutions du syst me des Nations Unies ainsi que la parti cipation de POMS aux travaux d organisations non gouvernementales D cennie des Nations Unies pour le d veloppement Le projet de programme auquel a contribu POMS contenant des propositions d taill es d action par tapes concernant les facteurs fondamentaux de 18 croissance conomique pendant la d cennie pour le d veloppement a t examin par le Comit sp cial de Coordination institu par le Conseil conomique et social pour s occuper particuli rement de la d cennie des Nations Unies pour le d veloppement Apr s avoir examin 16 programme et pris connaissance des obser vations du Comit sp cial sa trente sixi me session 1963 le Conseil conomique et social 8 demand au Comit administratif de Coordination CAC de lui soumettre en 1964 un projet de cadre de classification fonctionnelle des activit s d
514. r la mise en uvre d un programme complet d radication du paludisme achever une enqu te pid miologique sur le paludisme familiariser le personnel technique national avec le programme d radication Le programme pr radication fait suite aux op rations antipaludiques auxquelles l OMS a apport son aide dans le cadre d un projet portant le m me num ro depuis octobre 1950 136 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Cambodge 3 Enseignement infirmier Phnom Penh d c 1951 7965 8 FISE Plan de Colombo AID Cr er une cole d infirmi res Phnom Penh organiser la formation du personnel infirmier et des sages femmes Cambodge 4 Hygi ne de la maternit et de l enfance deuxi me tape mai 1962 fin 1966 AT FISE Elaborer un programme national d hygi ne de la maternit et de l enfance et am liorer les services d hygi ne scolaire Cambodge 5 Facult de M decine de Pharmacie et des Sciences param dicales Phnom Penh juillet 1953 7964 AT AID Mission conomique fran aise Elever jusqu au niveau professionnel l enseignement donn la Facult de M decine de Pharmacie et des Sciences para m dicales d velopper les moyens de formation du personnel auxiliaire Cambodge 8 Lutte contre les tr pon matoses sept 1959 fin 1963 B FISE Initier du personnel m dical professionnel et auxiliaire aux m thodes de lutte contre le pian r duire la fr quence des cas nouveaux de pian
515. r les autres infections dues des filaires 165 recherches ont port principalement sur la biologie et l cologie de Culex fatigans principal vecteur de la filariose urbaine Wuchereria bancrofti En outre POMS a accord des subventions pour des tudes d immunochimie sur la structure antig nique des filaires adultes ou larves notamment de celles qui sont pathog nes pour l homme et pour des tudes sur les techniques d immunodiagnostic Le service que POMS avait cr en octobre 1962 Rangoon en collaboration avec le Gouvernement birman pour tudier les moyens de lutte contre les moustiques vecteurs de la filariose 8 recueilli une importante documentation sur cette infection Rangoon et sur l cologie et la taxonomie des esp ces vectrices Ces renseignements ont t examin s par un groupe de travail technique qui s est r uni en avril Gen ve il 8 recommand d largir les investigations et de les faire porter sur d importants probl mes relatifs entomologie de C fatigans et l pid mio logie des infections dues des filaires notamment celles que transmet le vecteur en question Le Bulletin de POMS a publi des articles relatifs une tude de la mortalit naturelle de deux moustiques vecteurs en Inde C fatigans et Anopheles pedi taeniatus et aux essais de traitement de la filariose W bancrofti r alis s au Japon et aux les Ryu Kyu Trypanosomiase Conform ment au
516. r les r sultats obtenus par les campagnes de masse contre les tr pon matoses en particulier les campagnes d radication du pian tudier et valuer l application des techniques de diagnostic des tr pon matoses aux populations des pays tropicaux afin de guider le choix des tests s rologiques ordinaires et sp cifiques qui leur tour permettront de mieux conna tre la nature et l tendue de l infection Interr gional 52 Equipe consultative pour la bilharziose 1959 B D terminer la gravit du probl me pos par la bilharziose dans divers pays et en tudier les aspects pid miologiques chercher d gager les rapports existant entre l extension des travaux d irrigation et la transmission de la bilharziose faire des recommandations sur les mesures propres combattre la bilharziose et sur leur coordination notamment en ce qui concerne les questions de g nie civil Interr gional 54 Equipe consultative pour 18 l pre f vr 1960 B Aider les gouvernements effectuer une enqu te sur la fr quence de la l pre et sur les caract ristiques de la maladie valuer les r sultats des campagnes antil preuses en cours m thodes de d pistage r sultats du traitement de masse et tendue du probl me de l invalidit due la l pre Interr gional 58 Equipe consultative pour les maladies diarrh i ques 1959 7964 AT Evaluer les programmes nationaux pour l tude pid miolo gique des mala
517. rafricaine 66 100 Singapour 135 Tha lande 77 116 Programme alimentaire mondial ONU FAO 36 52 58 s minaire Le Caire 36 86 126 s minaire sur la malnutrition prot ique chez les enfants Hyderabad 77 108 109 Voir aussi Denr es alimentaires Obst trique voir Sages femmes Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour les R fugi s de Palestine dans le Proche Orient UNRWA 59 Office international d Hygi ne publique 54 Onchocercose 18 Guatemala 45 Guin e 97 Soudan 132 OPEX 58 Ophtalmies transmissibles 15 31 81 84 Afghanistan 109 Alg rie 120 Chine Ta wan 136 Espagne 121 Inde 111 112 Irak 127 Iran 128 Jordanie 129 Maroc 122 Soudan 132 Tha lande 116 Tunisie 133 Turquie 124 Yougoslavie 124 Voir aussi Trachome Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques 23 24 58 Organisation de Coordination et de Coop ration pour la Lutte contre les Grandes End mies 18 69 Organisation de l Aviation civile internationale 60 Organisation des Nations Unies 52 53 65 118 activit s communes 17 24 25 46 56 58 59 69 77 81 85 86 100 138 programmes d action concert e 24 25 57 59 conf rence asiatique de la population New Delhi 45 Conf rence mondiale de la Population Deuxi me 45 57 conf rence sur l application de la science et de la technique dans l int r t des r gions peu d velopp es 35 57 conf rence sur le commerce et le d veloppe
518. rales et des zones surpeupl es mettre au point et appliquer des mesures visant am liorer l alimentation dans divers groupes de popu lation valuation de la valeur nutritive des denr es locales encouragement la production et la distribution d aliments formation sp ciale cet gard destin e au personnel m dical infirmier et autre personnel professionnel enseignement de notions de nutrition dans les centres de sant dans les centres de protection maternelle et infantile et dans les h pitaux Iran 25 Lutte contre les ophtalmies transmissibles ao t 1963 fin 1965 AT Faire une enqu te sur les ophtalmies transmissibles et une tude pilote sur les mesures prendre dans la ville de Chiraz et le Chahrestan en vue de mettre au point des m thodes appropri es pour combattre ces maladies en Iran tendre le projet d autres r gions du pays partir de la deuxi me ann e Iran 26 Laboratoire de sant publique T h ran mars 1955 fin 1964 B Apporter des am liorations au laboratoire de sant publique de T h ran en cr ant notamment une section sp cialis e dans l analyse des denr es alimentaires et des m dicaments former du personnel technique Iran 28 Sant mentale mai 1959 fin 1964 B R organiser et int grer les services psychiatriques tous les chelons tudier s il est possible d tablir des services extra muros et d autres types de services sur de larges bases c
519. rapport sur la situation sanitaire dans le monde 1957 1960 28 50 D veloppement communautaire 57 69 Arabie Saoudite 85 Inde 112 113 Madagascar 99 Soudan 85 132 centres de pr paration 57 103 125 D veloppement et planification conomiques instituts r gionaux 58 69 70 77 Dichlorvos DDVP 4 27 143 Dipht rie vaccin 19 114 129 Discussions techniques Assembl es de la Sant 39 comit s r gionaux 74 78 82 87 90 91 Drogues engendrant la toxicomanie et autres drogues dange reuses 46 Eau approvisionnement 22 58 66 67 69 71 73 77 78 81 85 86 125 Alg rie 81 Antilles britanniques 103 Burundi 68 Chine Ta wan 89 136 Dahomey 68 Espagne 121 Ghana 59 67 97 Gr ce 121 Guin e 68 Inde 59 78 113 Jama que 106 Jordanie 85 129 Kenya 68 98 Lib ria 67 68 98 Nig ria 68 Pakistan 85 P rou 107 Togo 68 Turquie 124 centre de mise en valeur des ressources hydrauliques ONU 58 143 cours S o Paulo 72 s minaire Varna 22 141 symposium Caracas 72 symposium Medellin 72 Voir aussi Assainissement G nie sanitaire Eau de boisson fluoruration 34 90 normes 24 117 Ecoles et facult s de m decine 39 40 68 71 75 78 86 Afghanistan 75 Birmanie 75 110 Cambodge 89 136 Cameroun 68 Ceylan 75 Congo L opoldville 69 Fidji les 134 137 Inde 40 75 112 114 Indon sie 75 Isra l 128 129 Kenya 68 Malaisie 89 Maroc 122 N
520. rd de rapports cliniques de bulletins de sortie et de ta bleaux statistiques pour les malades en cours de traitement ont t labor es et mises en service Le manuel d instructions du Bureau central des Statistiques hospitali res a t revis et on a publi le rapport annuel de 1961 sur les h pitaux de femmes et d enfants Un cours de trois jours a port sur la tenue des archives hospitali res partir de janvier 1963 ces diverses activit s ont t incor por es au projet SEARO 72 Tha lande 57 Facult de M decine tropicale et des Maladies end miques ao t sept 1959 juin ao t 1961 juin 1962 juin 1963 fin 1965 B Organiser l Universit des Sciences m dicales de Bangkok une cole sup rieure de m decine tropicale et des maladies end miques et tablir le programme d tudes valuer les r sultats de l aide d j fournie par l OMS et continuer d ve lopper l activit de l cole en question Tha lande 58 D partements de p diatrie mai 1962 milieu de 1965 B Relever le niveau des services p diatriques des centres de protection maternelle et infantile de Bangkok et donner aux tudiants en m decine des deux coles de m decine Chula longkorn et Siriraj une formation pratique en mati re de promo tion et de protection de la sant des enfants Tha lande 60 Ecole de Pharmacie Bangkok nov 1962 fin 1966 B Assurer des pharmaciens et des tudiants dipl m s une
521. re 1961 au 30 novembre 1962 taient respectivement de 2286 1752 et 534 Les boursiers appartenaient 147 pays et ont tudi dans 84 autres pays On trouvera la partie III d autres renseignements sur les bourses accord es divers pays et dans le cadre de certains projets l annexe 12 contient d autre part un tat r capitulatif des bourses d tudes class es par sujets et par R gions Quelques indications int ressantes sont donn es ci apr s Activit des boursiers Etablissements d enseignement 268 17 Etablissements de recherche 42 3 Etablissements assurant des services 1150 72 Etudes universitaires 131 8 Profession des boursiers M decins oies te ns PS3 52 Infirmi res mure te 155 Techniciens de l assainissement 42 3 Autres professions 471 30 Type des tudes subventionn es Cours patronn s par l OMS 587 3752 Autres cours 4 449 28 Etudes individuelles 555 35 52 Lieu Dans la R gion du boursier 526 3352 Dans une autre R gion 1065 67 Le premier groupe de cinquante neuf assistants m dicaux passera les examens du doctorat en m de cine avant la fin de 1963 apr s avoir accompli en France trois ann es d tudes compl mentaires patron n es par POMS Il s ag
522. re atteignent un niveau uniform ment lev Inde 114 1 Enseignement de la p diatrie et services de p diatrie Kerala ao t 1958 ao t 1959 mars 1962 fin 1966 8 FISE Inde 114 2 Enseignement de la p diatrie et services de p diatrie Uttar Pradesh mai 1961 fin 1966 8 FISE Inde 114 3 Enseignement de la p diatrie et services de p diatrie Mysore oct 1961 fin 1963 8 FISE D velopper et am liorer l enseignement de la p diatrie et de l hygi ne infantile dans certaines coles de m decine Inde 121 Indian Council of Medical Research ao t 1962 fin 1966 B Cr er au si ge de l Indian Council of Medical Research New Delhi un service de statistique organiser et coordonner les travaux de recherche m dicale Inde 122 D partements sp cialis s dans les coles de m decine sept nov 1960 janv mars 1963 B Ce projet avait pour but de faire dans certaines coles de m decine la d monstration des m thodes modernes d ensei gnement int gr En octobre et novembre 1960 trois professeurs consultants de l OMS se sont rendus l Ecols de M decine Osmania de Hyderabad l Ecole de M decine de Calcutta ainsi que dans plusieurs autres coles de l Andhra Pradesh et de Calcutta pour y enseigner la physiologie la m decine pr ventive et sociale et la th rapeutique de janvier mars 1963 les professeurs de m decine pr ventive et sociale et de th rapeutique accompagn s d un
523. reau r gional de l Afrique Logement du personnel 482 000 _ 65 000 547 000 Total de la partie IV 4 969 000 113 000 65 000 5 147 000 Total des parties 1 11 111 et IV 29 956 000 438 100 30 394 100 PARTIE V R SERVE 14 R serve non r partie 2 149 570 2 149 570 Total de la partie V 2 149 570 2 149 570 TOTAL DE TOUTES LES PARTIES 32 105 570 438 100 32 543 670 3 R solution WHA15 42 R solution EB31 R10 5 R solution WHA16 6 4 R solution 832 17 et assentiment crit pr alable de la majorit des membres du Conseil ex cutif en 1 conformit avec le paragraphe 4 5 du R glement financier Annexe 8 STRUCTURE DU SECR TARIAT DU SI GE AU 30 SEPTEMBRE 1963 SOUS DIRECTEUR 3 G M RAL SOUS OIRECTEUR G N RAL BUREAU DU DIRECTEUR G N RAL DIVISION DE L INFORMATION RELATIONS EXT RIEURES LIAISON AVEC L ORGANISATION DES NATIONS UNIES SOUS DIRECTEUR GENERAL PLANIFICATION ET COORDINATION DES RECHERCHES DIVISION DE LA PROTECTION ET DE LA PROMOTION DE LA SANT DIVISION DES SERVICES DE SANT PUBLIQUE DIVISION DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE DIVISION DES MALADIES TRANSMISSIBLES DIVISION DE L HYGL NE OU MILIEU DIVISION DE L RADICATION O PALUDISME SERVICE JURIDIQUE V RIFICATION INT RIEURE DES COMPTES
524. ria et des m thodes d valuation pid miologique des op rations former du personnel Nig ria 21 Services de sant ruraux Nig ria occidental 1961 fin 1965 AT Organiser une zone pour la formation pratique du personnel sanitaire et cr er des services de g nie sanitaire au Minist re de la Sant publique L ing nieur sanitaire affect ce projet participera la formation des tudiants de l Institut de Sant publique de l Universit d Ibadan Nig ria 23 Assainissement Nig ria septentrional 1963 fin 1965 8 FISE Entreprendre des op rations d assainissement comportant l approvisionnement des campagnes en eau amen e par cana lisations partir des centres de sant ruraux des divisions d Igala et d Idoma dans le Nig ria septentrional Nig ria 24 Am lioration des services de laboratoire 1961 juin 1964 AT Cr er des services de laboratoire de sant publique am liorer les services de laboratoire dans le domaine du diagnostic viro logique et dans celui de la production des vaccins antivariolique et antiamaril Nig ria 25 Lutte antituberculeuse janv 1963 fin 1964 AT Organiser un syst me moderne de collecte d enregistrement et d valuation statistique des donn es pid miologiques dans un fichier central de la tuberculose et cr er des services de labora toire pour le diagnostic bact riologique de la tuberculose 100 ACTIVIT DE 0 45 EN 1963 Nig ria 28
525. ripoli sept 1955 au del de 1965 B FISE Organiser un programme d enseignement infirmier adapt aux besoins et aux ressources du pays afin de former des infirmi res dipl m es et des infirmi res auxiliaires pour les services de sant nationaux qui sont en voie d expansion 130 ACTIVIT DE 0 15 EN 1963 Libye 7 Ecole de techniciens de la sant Benghazi d c 1955 7965 AT FISE Former des assistants sanitaires et des techniciens de l assainis sement appel s travailler dans les centres de sant ruraux sous le contr le d un personnel dipl m former des assistants de laboratoire qui seront employ s en province dans les laboratoires de sant publique et les laboratoires des h pitaux donner une formation en cours de service aux auxiliaires sanitaires d j en fonctions former des infirmiers A long terme ce projet vise d velopper et am liorer les services de sant publique surtout dans les r gions rurales Libye 9 Eradication du paludisme avril 1960 fin 1964 CSEP AID liminer le paludisme par des pulv risations effet r manent des mesures antilarvaires la chimioth rapie et la surveillance pid miologique former du personnel Ces op rations font suite l enqu te pr radication effectu e sous le m me num ro de projet de juin 1958 septembre 1959 Libye 12 Protection maternelle et infantile Cyr na que sept 1956 juin 1965 AT FISE Cr er un cen
526. rique en janvier Addis Ab ba la premi re session du groupe de travail des probl mes de r novation urbaine et des aspects du logement int ressant lurbanisme r uni Gen ve par la Commission conomique pour l Europe et la r union d experts de la gestion des locaux d habitation et de ducation des locataires qui s est tenue en mars Wellington Nouvelle Z lande sous les auspices de l Organisation des Nations Unies Un s minaire interr gional sur les probl mes de sant publique relatifs au logement a eu lieu Madrid en avril Trente deux participants venus de divers pays d Am rique latine et d Europe y ont discut des rapports entre la sant publique et l habitation des HYGI NE DU MILIEU 25 normes applicables aux nouveaux logements des crit res d valuation des logements existants et du r le des services et organismes sanitaires dans le domaine de l habitat Toujours activement associ e au programme d action internationale concert e dans 16 domaine de l urbanisa tion POMS a pris part aux missions de planification des Nations Unies qui sont all es tudier le d velop pement de la zone m tropolitaine de Lagos de la zone Kampala Entebbe en Ouganda et de la r gion de la Gezira au Soudan La coordination de ces projets comme celle des projets int ressant l habitation a t assur e par le groupe de travail interinstitutionnel du CAC sur l habitation et les installati
527. rs gr ce une formation en cours d emploi des cours d entretien des cours sp ciaux pour les infirmi res locales qualifi es et des cours ayant pour but de pr parer le personnel infirmier occuper des postes dans l administration et dans l enseignement infirmiers Nouvelle Z lande 200 Bourses d tudes B Nutrition douze mois soins infirmiers quatre mois statistiques sanitaires quatre mois Papua et Nouvelle Guin e 200 Bourses d tudes B M decine clinique tropicale quatre mois p diatrie tropicale et admi nistration de la sant publique neuf mois Philippines 4 Sant mentale nov 1949 janv 1950 janv 1953 f vr 1957 d c 1960 1963 1965 B Mettre sur pied un programme de sant mentale couvrant l ensemble du pays Philippines 9 Projet pilote de lutte contre la bitharziose Leyte juin 1952 nov 1962 AT FISE FAO AID Ce projet visait recueillir des donn es fondamentales sur le r servoir de parasites que repr sentent l homme et les animaux domestiques ainsi que sur les mollusques vecteurs tudier sur place les facteurs cologiques et biologiques proc der une valuation des m thodes de lutte former du personnel technique local et mettre au point des plans et des techniques permettant de venir bout de la maladie sur tout le territoire philippin En 1952 une quipe OMS comprenant un parasitologue un malacologue et un ing nieur de l
528. s ont t organis es pour favoriser les changes d informations pid miolo giques et la discussion de probl mes d int r t commun notamment de ceux que pose le paludisme dans les zones fronti res L OMS a entrepris une enqu te sur l tat actuel des services de sant ruraux des pays de la R gion dans l intention d assurer le d veloppement de ces services en coordination avec les programmes d radication du paludisme La tuberculose pulmonaire ou non pulmonaire constitue encore un probl me d une importance consid rable dans de vastes territoires de la R gion o le taux de morbidit est estim approximativement 400 pour 100 000 On s efforce de substituer aux efforts dispers s de lutte antituberculeuse et aux mesures fragmentaires de vaccination des programmes nationaux coordonn s qui sont mis au point avec Paide de POMS Dans la plupart des cas on a tudi tout d abord les probl mes d ordre pratique que pose la lutte antituberculeuse dans le pays et on 8 mis ensuite l essai dans une zone pilote les m thodes propos es avant d tendre le programme l ensemble du pays L OMS a accord en 1963 son assistance dix pays de la R gion pour des enqu tes sur la fr quence de la tuberculose douze pays pour la cr ation de centres de d monstrations et sept pays pour l ex cution de projets pilotes C est ainsi qu en Arabie Saoudite en Libye et au Pakistan l OMS a collabo
529. s Dr F Ruf Chemische Fabrik GmbH Ludwigshafen am Rhein R publique f d rale d Allemagne 3 R C J Truhaut Professeur de toxicologie Facult de Pharmacie Universit de Paris France Membre du Conseil sup rieur d Hygi ne publique de France Groupe FAO OMS d experts de l Enseignement v t rinaire Rome 23 avril 2 mai 1963 Professeur D C Blood Directeur de l Ecole de M decine v t rinaire Universit de Melbourne Australie Professeur C Bressou ant rieurement Professeur l Ecole nationale v t rinaire de Maisons Alfort Seine France D E N Dafaalla Vice chancelier de la Facult des Sciences v t rinaires Universit de Khartoum Soudan D D K Detweiler Directeur du Service d Etudes cardio vasculaires compar es Ecole de M decine v t rinaire Uni versit de Pennsylvanie Philadelphie Etats Unis d Am rique Dr L C Ferguson Doyen du Coll ge des Arts et des Sciences Universit de l Etat de Michigan East Lansing Etats Unis d Am rique Professeur A Jepsen Ecole royale de M decine v t rinaire et d Agriculture Copenhague Danemark D L M Julian D partment d Anatomie v t rinaire Ecole de M decine v t rinaire Universit de Californie Davis Etats Unis d Am rique D T Lloyd Jones Directeur de l Ecole v t rinaire de l Ontario Universit de Toronto Guelph Canada D A T Phillipson Directeur adjoint du Rowett Research Institute Bucksburn Aberdeens
530. s pid miologiques en canc rologie compar e Deuxi me conf rence Inde N pal de coordination antipaludique R gion de l Asie du Sud Est FAO OMS Comit mixte d experts des Additifs alimentaires Sp cifications concernant l identit et la puret de certains mulsifiants et stabilisants et valuation des donn es toxicologiques disponibles leur sujet Groupe scientifique pour l valuation de l innocuit et de l efficacit des pr parations pharmaceutiques Conf rence technique sur les statistiques de morbidit R gion europ enne Groupe scientifique des recherches sur la biologie de la reproduction humaine Quatri me r union Irak Iran de coordination antipaludique inter pays R gion de la M diterran e orientale OIT OMS Symposium international sur l inspection m dicale du travail R union sur les tudes pid miologiques combin es sur l ath roscl rose Probl mes de classement FAO OMS Groupe d experts de l Enseignement v t rinaire R union Syrie Turquie sur l radication du paludisme dans les r gions fronti res R gions europ enne et de la M diterran e orientale R union officieuse pour l tablissement du programme de travail de l quipe de recher ches sur la filariose Rangoon Seizi me Assembl e mondiale de 18 Sant 1 Emp ch d assister la r union Gen ve 8 17 janvier Gen ve 15 28 janvier Prague 30 31 janvier Gen ve 4 8 f vrier Gen ve 4 8 f
531. s tendre ult rieurement d autres op rations administratives et financi res ainsi qu des activit s techniques d termin es Nouveau b timent du Si ge Les travaux de construction du nouveau b timent du Si ge se poursuivent quoiqu un peu plus lentement qu on ne l avait pr vu l origine Afin de tenir compte de l augmentation continue des co ts et de permettre l am nagement d un garage souterrain la Seizi me Assembl e mondiale de 18 Sant 8 port de 40 60 millions de francs suisses le montant des d penses autoris es pour la construction du b timent Le Comit permanent du B timent du Si ge cr en vertu de 18 r solution EB26 R13 8 tenu sa huiti me session en mai et son rapport a t examin par 16 Conseil ex cutif la fin du m me mois Des dispositions ont t prises en vue de lib rer les locaux actuellement lou s par POMS sur la rive gauche du lac et d occuper des bureaux proches du Palais des Nations dans un b timent provisoire construit par le Canton de Gen ve l intention du BIT L OMS participe aux frais de cette construction Fournitures m dicales Pour la p riode du 15 octobre 1962 au 30 septembre 1963 les achats de mat riel et de fournitures ont port sur 19 823 types de produits et articles Leur valeur totale s est lev e 52 541 000 dont 5245 000 pour des achats principalement mat riel et fournitures de laboratoire effectu s c
532. s autres conditions dans lesquelles s effectue le travail et les m thodes appliquer pour r duquer les malades 38 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 propos de l organisation des services de r adap tation le Comit a attir l attention sur la n cessit de former du personnel sp cialis et d organiser des cours d entretien l intention des praticiens de m de cine g n rale Il a galement jug souhaitable que le grand public et en particulier l entourage du malade acqui re une meilleure compr hension de la nature des affections cardiaques et des possibilit s qui s offrent ceux qui en sont atteints Parmi les autres questions abord es par le Comit figurent les probl mes de recherche ainsi que le r emploi et la r installa tion des malades Des repr sentants du BIT de la Soci t interna tionale de Cardiologie et de la Soci t internationale pour la R adaptation des Handicap s ont particip aux discussions L OMS a pr t son assistance quatorze pays pour l organisation ou l am lioration de leurs services de r adaptation des enfants et des adultes physique ment diminu s Au Maroc par exemple le pro gramme d urgence tabli en 1959 pour les victimes de intoxication par le tri ortho cr syl phosphate a t transform en un service permanent de r adap tation pour tous les handicap s physiques La plupart des projets qui b n ficient d une assistance comportent un
533. s avis et procur du mat riel plusieurs gouvernements en vue de la cr ation de banques de sang et de laboratoires de virologie Les cours r gionaux destin s former des techniciens de laboratoire comme moniteurs se sont poursuivis L OMS continue faire une place importante P ducation sanitaire dans la plupart des projets b n ficiant de son aide Douze gouvernements de pays de la R gion ont cr des bureaux centraux d duc tion sanitaire dont plusieurs ont leur t te des sp cialistes qualifi s et dont la plupart ont re u des bourses de POMS en vue d tudes dans cette discipline Peu de pays dans la R gion disposent des services n cessaires pour obtenir les donn es statistiques s res dont d pend la mise au point de programmes efficaces de sant publique En 1963 POMS a accord seize bourses pour des tudes statistiques dont la plupart taient destin es former des assistants statisticiens au Centre international de Beyrouth pour l Enseignement de la Statistique L OMS a galement fourni un certain nombre de gouvernements des avis en mati re de statistique Au Pakistan l aide fournie depuis 1961 par l Organisation aux services de statistiques d mo graphiques et sanitaires a permis d am liorer sensible ment les donn es statistiques En Syrie l homologue national du conseiller de POMS 8 continu apr s le d part de ce dernier organiser et d velopper les services statis
534. s britanniques 72 Cambodge 136 Cara bes zone des 72 102 Cook les 134 Fidji les 134 Gilbert et Ellice les 134 Ha ti 106 Indon sie 75 Jama que 72 Lib ria 98 Nig ria 45 99 Nouvelles H brides 134 Philippines 45 Portugal Timor 90 134 Salomon Protectorat britannique des les 134 Samoa Occidental 134 Sierra Leone 100 Tha lande 75 115 Togo 45 101 Tonga les 90 134 Voir aussi Tr pon matoses Planification sanitaire dans les pays 28 29 30 40 45 65 66 69 70 73 83 87 Arabie Saoudite 126 Cor e R publique de 137 El Salvador 105 Equateur 105 Laos 137 Samoa Occidental 140 Planification sanitaire nationale cr ation du service au Si ge 55 Voir aussi Planification sanitaire dans les pays Poids la naissance 31 45 Poliomy lite 14 15 134 Ceylan 78 111 Polluants microchimiques du milieu 22 23 Pollution de l air 23 33 58 Br sil 104 Turquie 124 Institut de Recherche Chili 37 59 71 symposium Gen ve 23 142 Pollution de l eau 23 24 58 118 Br sil 104 Luxembourg 122 Pologne 14 20 32 37 44 122 123 Polyn sie fran aise 89 139 Portugal 3 123 provinces d outre mer 20 90 100 134 Preparation of the Physician for General Practice 40 Pr parations pharmaceutiques et m dicaments 46 48 49 126 R publique Arabe Unie 131 Somalie 132 Tunisie 133 Viet Nam R publique du 140 Privil ges et immunit s des institutions sp ci
535. s journaux et les organismes de radiodiffusion constatent de la part du public un int r t croissant P gard des informations manant de POMS en stimulant cet int r t ils ont contribu susciter l appui de la population pour toute nouvelle action dans le domaine de 18 sant Dans la R gion du Pacifique occidental une s rie de cinq expos s a t pr par e l intention de la radio pour r pondre l int r t manifest par de nombreux gouvernements ainsi que par la presse et par la radio l gard du th me choisi pour la Journ e mondiale de la Sant Ces expos s ont t radiodiffus s en anglais en chinois ou en fran ais selon les pays et ils ont paru simultan ment dans 165 colonnes des journaux La Journ e mondiale de la Sant a t marqu e dans la R gion de l Asie du Sud Est par la radiodiffusion d un programme de trente minutes consacr l activit de l OMS d autre part soixante reportages illustr s au total ont t publi s dans des magazines r gionaux et inter nationaux En Europe la documentation de base relative l OMS est maintenant distribu e en dix neuf langues une assistance est fournie aux pays scan dinaves pour la pr paration de cours et manuels de bandes fixes etc destin s aux coles secondaires dans lesquelles les cours sur l uvre de l Organisation des Nations Unies et de ses institutions sp cialis es ont t rendus obligatoires Le th me choisi
536. s les coles ainsi que la pr paration des enseignants leur t che dans ce domaine Les deux organisations laborent en semble un guide destin orienter les commissions nationales charg es d int grer l ducation sanitaire dans les programmes des coles et dans la formation des ma tres Le FISE et la FAO coop rent ce travail Un avant projet a t distribu aux Etats Membres afin de recueillir leurs observations Au cours de l ann e la Birmanie l Inde les Philippines et la R publique du Viet Nam ont demand POMS de leur envoyer des conseillers et des consul tants sp cialis s dans l ducation sanitaire l cole afin d am liorer tant la pr paration des futurs instituteurs leur r le d ducateurs sanitaires que les programmes d ducation sanitaire appliqu s dans les tablissements primaires et secondaires Comme les ann es pr c dentes on s est occup de la mise au point des mesures d ducation sanitaire se rattachant certaines enqu tes et programmes sp ciaux b n ficiant de l aide de l OMS Un guide sur l ducation sanitaire dans les campagnes d radication du paludisme est en pr paration et des tudes ont t entreprises sur la possibilit d inclure lP ducation sanitaire dans les enqu tes pid miologiques sur le trachome et sur les infections intestinales ainsi que dans l valuation des programmes de nutrition appliqu e voir galement page 35 Le rapp
537. s pour les soins hospitaliers les soins domicile et l action de sant publique N pal 3 Formation d assistants sanitaires Kathmandou juin 1955 fin 1966 AT Cr er Kathmandou une cole d assistants sanitaires qui donnera une formation th orique et pratique laborer un pro gramme de services de sant ruraux qui permette d utiliser au mieux les assistants sanitaires N pal 4 Direction centrale de la Sant AT Deux bourses pour l tude des statistiques d mographiques et sanitaires l une de huit mois et demi et l autre de cinq mois et demi ont t accord es au titre de ce projet pour lequel POMS a envoy du personnel et fourni du mat riel d ao t 1957 d cembre 1961 N pal 9 Projet pilote de lutte contre la variole f vr 1962 fin 1965 B Mettre en train un projet pilote de lutte antivariolique dans la vall e de Kathmandou et largir progressivement le pro gramme lorsque la situation le permettra N pal 13 Lutte contre la l pre janv avril 1963 B L OMS a envoy pour trois mois un consultant qui tait charg d tudier la nature et l importance de la l pre dans la vall e de Kathmandou et de formuler des recommandations au sujet des mesures de lutte prendre contre cette maladie dont il a valu la fr quence globale un taux voisin de dix pour mille L Organisation a procur galement des fournitures et du mat riel On pr voit de fournir au titre d un
538. s premiers r sultats de cette tude qu il sera possible d assurer une surveillance directe de 18 chimioth rapie ambulatoire dans les programmes de traitement de masse m me dans les pays ne disposant que d un personnel sanitaire relativement peu nom breux S il devait en tre ainsi les difficult s mention n es au paragraphe pr c dent s en trouveraient att nu es Une communication rendant compte des tudes effectu es au centre de chimioth rapie de la tuberculose de Madras sur la prophylaxie et le traitement des accidents toxiques dus l isoniazide dans le traitement de la tuberculose pulmonaire a t publi e dans le Bulletin de POMS Une analyse approfondie des donn es tr s int res santes obtenues par des m thodes et des techniques uniformes lors de seize enqu tes nationales par sondage effectu es dans des pays d Afrique tropicale a mis en relief certains l ments communs dont il y aura lieu de tenir compte pour la lutte antituberculeuse dans les pays en question On a constat en effet lors de toutes ces enqu tes une haute fr quence globale de de la sensibilit non sp cifique la tuberculine ainsi que Papparition d une pharmaco r sistance il a galement t tabli que le diagnostic radiologique ne pouvait tre consid r comme parfaitement s r La r action tuberculinique constitue l indice pid miologique le plus sensible de la tuberculose et 165 recherches ont donc t po
539. s r sultats satisfaisants et pendant la principale saison de transmission de 1963 on n a enregistr dans un village isol que huit nouveaux cas d origine indig ne Les perspectives d radication compl te du paludisme dans l le Maurice sont encourageantes et l on envisage d interrompre progressivement les pul v risations d insecticides effet r manent A Zanzibar galement l valuation r cente d un projet d radi R GION AFRICAINE 67 cation du paludisme 8 donn des r sultats prometteurs et le programme atteint actuellement le stade avanc de la phase d attaque on estime que la phase de consolidation pourra tre atteinte en avril 1965 Les programmes pr radication visent instituer des services sanitaires essentiels r pondant des exigences minimums et d velopper en m me temps les services antipaludiques nationaux Neuf pro grammes de cet ordre sont entr s dans la phase op rationnelle et les n gociations relatives neuf autres plans de ce genre sont pr s d aboutir Au Ghana en Mauritanie au Nig ria et au Togo les quipes OMS collaborant ces programmes pr radication comprennent un conseiller en sant publique dont la t che consiste aider le gouverne ment doter tout le pays d un r seau de centres de sant qui servira d infrastructure au programme anti paludique et fera face dans la limite des ressources financi res nationales aux besoins sanitaires loc
540. s sa r solution EB31 R35 a d cid l tablissement de relations officielles avec quatre organisations non gouvernementales Association internationale de Logop die et de Phoniatrie l Organisation inter nationale de Recherches sur le Cerveau l Union internationale de Chimie pure et appliqu e et le COOP RATION AVEC D AUTRES ORGANISATIONS 61 Conseil international des Soci t s d Anatomie patho logique Cette d cision a port soixante et un le nombre des organisations non gouvernementales qui entretiennent des relations officielles avec POMS On trouvera l annexe 6 la liste de ces organisations Conform ment la recommandation du Conseil ex cutif r solution EB29 R56 la collaboration entre POMS et les organisations non gouvernementales a t renforc e La contribution des organisations non gouvernementales aux travaux techniques de POMS est mentionn e dans les chapitres pertinents du pr sent rapport Quelques exemples de cette coop ra tion sont donn s ci dessous titre d illustration L OMS a particip aux c l brations qui ont marqu le centenaire de la Croix Rouge et elle a colla bor avec la Ligue des Soci t s de la Croix Rouge pour fournir une assistance d urgence lors du trem blement de terre de Skoplje en Yougoslavie D autre part POMS a collabor avec le Conseil international des Infirmi res au sujet de la l gislation concernant les services infirmiers avec l Union int
541. s sur la fa on d adapter cette m thode aux conditions locales et sur les moyens d liminer les moustiques des a roports De nouveaux progr s ont t enregistr s dans la mise au point de m thodes de d sinsectisation par le dichlorvos DD VP et cet insecticide commence tre employ sur un certain nombre d appareils en service r gulier Les tudes sur la toxicit du DDVP utilis comme d sinsectisant dans les a ronefs sont maintenant achev es elles indiquent que les dosages recommand s ne pr sentent aucun danger pour l quipage ou pour les passagers Il est noter enfin que le service OMS de recherches sur la filariose cr Rangoon en collaboration avec le Gouvernement birman a men bien ses enqu tes pr liminaires et entrepris un programme de recherche tabli par un groupe de travail technique en vue de mettre au point dans les cinq ann es venir des m thodes efficaces de lutte contre Culex fatigans et contre la filariose Biologie du milieu L utilisation d agents biologiques pour la lutte contre Les vecteurs surtout dans des milieux cologiques isol s permettra peut tre d apporter une solution valable au probl me de plus en plus grave que pose la r sistance aux insecticides Pour donner suite aux recommandations du groupe scientifique des recherches sur l application des m thodes biotiques la lutte contre les vecteurs qui s tait r uni vers la fin de 1962 de nouveaux trav
542. s une r union tous les deux ans L OMS a publi une revision de la section de codage de son Code t l graphique pid miologique CODEPID et Addendum 1 la version revis e de 1961 de l Index g ographique du CODEPID Cet addendum comprend quelque neuf cents rubriques nouvelles ou amendements Des exemplaires de la section de codage revis e ont t adress s tous les pays int ress s Deux brochures traitant d aspects particuliers du R glement sanitaire international savoir les Certificats de vaccination exig s dans les voyages internationaux et les Centres de vaccination contre la fi vre jaune pour les voyages internationaux ont t mises jour et publi es Le service de renseignements pid miologiques sur les maladies quarantenaires que l Organisation assure en vertu du R glement sanitaire international est enti rement centralis Gen ve depuis deux ans Des bulletins pid miologiques tablis sur la base de communications directes entre toutes les administra tions sanitaires d une part et le Si ge de POMS d autre part sont transmis quotidiennement par radio et quelque trois mille huit cents exemplaires du Relev pid miologique hebdomadaire ont t r guli re ment distribu s Les renseignements urgents sont envoy s par t l gramme ou par courrier a rien et pr c dent ainsi l exp dition du Relev pid miologique hebdomadaire Dans ce Relev la liste des circonscrip tions infect
543. s virus et l laboration de nouvelles techniques permettant de les tudier Rougeole Les tudes sur le terrain et les tudes en laboratoire que POMS a soutenues et dont il est fait mention dans le Rapport annuel pour 1962 sont maintenant termin es leurs conclusions ont t examin es en m me temps que celles d autres tudes au cours d une r union d un groupe scientifique du vaccin anti rougeoleux qui s est tenue Gen ve du 15 au 20 juillet 1963 Il est d sormais tabli que les vaccins vivants Enders Edmonston B Etats Unis d Am rique Smorodintsev Union des R publiques socialistes sovi tiques et Biken et Denken Japon sont analogues et assurent tous une production d anticorps satisfaisante et un haut degr de protection contre l infection naturelle toutefois s ils ne sont pas administr s en association avec la gamma globuline ils provoquent trop de cas de maladie vaccinale pour que la g n ralisation de leur usage soit souhaitable Les vaccins produits partir de souches de virus hyper att nu es vaccins Schwarz Etats Unis d Am rique Milovanovi Yougoslavie et Beckenham Royaume Uni de Grande Bretagne et d Irlande du Nord ont fait l objet sur le terrain d essais de port e limit e on a constat que tout en provoquant moins souvent la maladie vaccinale ils d clenchent une bonne production d anticorps Les vaccins inactiv s administr s en trois doses assure
544. sant Du 1 janvier au 30 septembre 1963 les versements au fonds b n vole pour la promotion de la sant se sont l v s 1 173 541 ce qui a port 54 668 724 le total des contributions re ues au 30 septembre 1963 Ces versements se sont r partis comme suit entre les divers comptes du fonds Total Au 30 9 1963 depuis le d but US 5 US 5 Compte g n ral pour les contribu tions sans objet sp cifi 7 283 17 928 Compte sp cial pour l radication de la variole 532 906 Compte sp cial pour la recherche m dicale 943 481 3 343 920 Compte sp cial pour l approvi sionnement public en eau 203 035 678 035 Compte sp cial pour l assistance au Congo L opoldville 67 375 Compte sp cial pour l assistance acc l r e aux Etats ayant r cem ment acc d l ind pendance et aux Etats en voie d y acc der 16 204 25 022 Compte sp cial pour contributions diverses objet d sign 3 538 3 538 Contributions et fonds de roulement Les obligations contract es en 1963 et l tat du recouvrement des contributions et des avances au fonds de roulement la fin de lexercice seront indiqu s dans le Rapport financier qui sera nouveau publi sous forme de suppl ment au Rapport annuel du Directeur g n ral Le Rapport financier sera pr sent en m me temps que le Rapport du Commis saire aux Comptes la Dix Huiti me Assembl e mondiale de la Sant en 1965 la Dix S
545. sant publique six mois sant mentale une bourse de onze mois une de douze mois Laos 2 Laboratoire central de sant publique janv 1953 ao t 1959 nov 1960 fin 1966 AT Cr er un service de laboratoire de sant publique et former du personnel de laboratoire Laos 6 Protection maternelle et infantile sept 1959 fin 1965 B FISE D terminer les besoins essentiels du Laos en mati re de protection maternelle et infantile et instituer des programmes de formation am liorer les services de soins aux m res et aux enfants en tant que partie int grante du programme g n ral de sant Laos 9 Administration de la sant publique avril 1961 2970 AT Enqu ter sur la situation sanitaire du pays et tablir des plans sanitaires nationaux de longue haleine poursuivre un programme de travail adapt aux conditions locales et orga iser Padministration des services nationaux de sant l chelon central et local Laos 10 D veloppement rural sant publique mars 1961 970 AT FISE ONU FAO OIT UNESCO Plan de Colombo Donner des cours de formation pratique aux infirmi res et sages femmes et assurer leur perfectionnement en cours d emploi favoriser et d velopper l assainissement et poursuivre l ducation sanitaire particuli rement en ce qui concerne l hygi ne du logement les soins donner aux nouveau n s ainsi qu aux m res et aux enfants et la nutrition 138 ACTIVIT DE L OMS EN 1963
546. sants du vaccin triple pr par au Central Research Institute de Kasauli Inde 195 Cours de physique radiologique Bombay mai 1963 fin 1968 B Am liorer la formation des sp cialistes de la physique radio logique Inde 200 Bourses d tudes B Dentisterie deux bourses de deux ans planification sanitaire deux mois pr paration de vaccins antipoliomy litiques quinze mois Inde 201 Bourses d tudes AT Enseignement de la m decine douze mois pid miologie douze mois g nie sanitaire six bourses de six mois pathologie douze mois p diatrie quatre mois Indon sie 9 Lutte contre la l pre juillet sept 1955 sept 1956 71966 B FISE Pr parer et entreprendre dans le cadre des services g n raux de sant un programme de lutte antil preuse dans toutes les r gions de l Indon sie o la l pre est end mique Indon sie 29 Renforcement des services de sant pid miologie d c 1958 7965 AT D terminer par des enqu tes la distribution des maladies en Indon sie et mettre au point des mesures de lutte dans le service pid miologique du Minist re de la Sant publique et dans les services provinciaux actuellement en voie de cr ation donner des avis sur l utilisation des m thodes pid miologiques dans toutes les branches des services m dicaux Indon sie 32 Eradication du paludisme mai 1955 au del de 1969 CSEP AT AID Eliminer progressivement le paludisme de l e
547. scriptions pour l preuve de tuberculini Au centre de formation et de recherches sation dans une cole de village qui sur la l pre Ankara le directeur sert de quartier g n ral une quipe gauche et le repr sentant de l OMS en mobile de vaccination par le BCG Turquie examinent un malade nouvel lement admis Trois m res escort es par une infirmi re de l OMS quittent le centre de d monstration et de formation en hygi ne maternelle et infan tile d Ankara apr s y avoir fait examiner leurs nourrissons R GION DE L ASIE DU SUD EST 77 L OMS et le FISE poursuivent leurs efforts com muns pour am liorer l approvisionnement en eau et l assainissement des villages L un des grands pro bl mes demeure 18 fourniture d une quantit suffisante d eau saine Sa solution permettrait non seulement de diminuer la fr quence des infections intestinales mais d intensifier l action g n rale d assainissement Comme les autres ann es la somme d efforts que POMS consacre l hygi ne du milieu est sup rieure ce qu indique le total des programmes sp cialis s L Organisation continue de coop rer avec les gouver nements selon la m me orientation g n rale que ces derni res ann es les principaux domaines dans lesquels elle pr te son concours sont la formation professionnelle l approvisionnement en eau l am lio ration de lhygi ne rurale et la recherche En collaboration avec le FISE et la
548. se heurte surtout l ignorance de ce qui peut tre r alis avec les ressources existantes et une p nurie de personnel poss dant assez d exp rience en mati re de nutrition appliqu e pour donner des avis utiles L OMS s est donc efforc e surtout de favoriser l enseignement de la nutrition et d int resser davantage la population l hygi ne alimentaire Un vaste programme d informa tion 8 t lanc au cours de l ann e Des programmes de nutrition appliqu e ont atteint divers stades de pr paration au Cambodge aux Philippines et dans la R publique du Viet Nam ailleurs ils ont t entrepris en liaison avec d autres programmes sani taires par exemple avec l enseignement de lhygi ne dentaire dans un nouveau projet en Polyn sie fran aise avec l ducation sanitaire en Malaisie et Singapour et avec la protection maternelle et infantile au Laos Les commissions nationales de coordination en mati re d alimentation et de nutrition se sont r v l es des plus utiles mais il n en existe pour le moment que dans quelques pays En ce qui concerne l hygi ne du milieu un nouveau projet a t entrepris en Chine Ta wan pour donner suite aux recommandations de l quipe de POMS charg e de formuler des avis sur les aspects adminis tratifs techniques et financiers de l approvisionne ment public en eau Les autorit s ont d cid de mettre en uvre un vaste plan quinquennal d adduc
549. servait rien de d cou vrir les malades s il n tait pas possible de les soigner Un programme de traitement efficace suppose la distribution gratuite de m dicaments et une orga nisation importante Comme pour le diagnostic c est un programme int gr mis en uvre avec l aide et dans le cadre des services g n raux de sant qui constitue le moyen le plus s r et le plus conomique de remplir ces conditions Le Directeur r gional a t pri d tudier les moyens d aider les gouverne ments se procurer les stocks n cessaires de m dica ments et d encourager autant que possible la produc tion locale Le Comit r gional a fait galement observer qu il fallait organiser sans d lai la formation d auxiliaires m dicaux polyvalents et s efforcer de pr voir dans le programme de formation destin au personnel m dical et au personnel de sant de toutes cat gories une initiation la lutte antituberculeuse sans oublier le probl me essentiel que pose l organi sation d une surveillance ad quate et d une valuation m thodique Le sujet choisi pour les discussions techniques de 1964 a t l radication de la variole Il a t convenu que 18 session de 1964 du Comit r gional se tiendrait au Bureau r gional New Delhi et que celle de 1965 aurait lieu Kaboul sur l invitation du Gouvernement afghan Bureau r gional Administration Aucun changement notable n est intervenu dans l
550. ses d tudes AT Maladies parasitaires dix mois Fidji 2 Ecole de M decine des les Fidji Suva f vr 1955 1965 B China Medical Board Former des assistants m dicaux l intention des services gouvernementaux des les Fidji et des territoires voisins et renforcer le personnel de l Ecole de M decine Fidji 200 Bourses d tudes B Biologie clinique douze mois Hong Kong 200 Bourses d tudes B Projet et plan d coles dentaires quatre mois soins infirmiers dentaires prolongation de deux bourses pendant douze mois et de deux autres pendant seize mois Japon 23 R adaptation des diminu s physiques oct 1962 ao t 1963 B D octobre 1962 janvier 1963 une consultante OMS en ergoth rapie a t charg e d aider tablir des plans en vue d une extension du programme national de r adaptation des diminu s physiques am liorer et renforcer les services d ergoth rapie destin s aux adultes les plus gravement atteints et former des ergoth rapeutes La consultante a visit des centres pour adultes physiquement diminu s des centres pour enfants diminu s ainsi que des tablissements psychiatriques et des tablissements pour tuberculeux dans diverses r gions du pays Son rapport contenait des recommandations visant la mise au point d une action coordonn e en mati re d ergoth rapie pour les infirmes pour les malades des services psychiatriques pour les tuber culeux po
551. sociations pour les Nations Unies Organisation intergouvernementale consultative de la Navigation maritime Organisation de l Aviation civile internationale Office international d Hygi ne publique Organisation internationale du Travail Organisation m t orologique mondiale Organisation panam ricaine de la Sant Union internationale des T l communications Organisation des Nations Unies pour l Education la Science et la Culture Office de Secours et de Travaux des Nations Unies pour les R fugi s de Palestine dans le Proche Orient Les d signations utilis es dans ce rapport et la pr sentation des donn es qui y figurent n impliquent de la part du Directeur g n ral aucune prise de position quant au statut juridique de tel ou tel pays ou territoire ou de ses autorit s ni quant au trac de ses fronti res IMPRIM EN SUISSE I TABLE DES MATI RES Pages Introductions PER REC M CS UT RS PARTIE 1 APER U G N RAL Chapitre 1 Eradication du paludisme 3 Chapitre 2 Maladies transmissibles Tuberculose Maladies v n riennes et tr pon matoses Sant publique v t rinaire Maladies virus Banques de r f rence des s rums Maladies parasitaires Maladies bact riennes et diarrh iques L pre Quarantaine internationale 6 Chapitre 3 Hygi ne du milieu Approvisionnemen
552. ssainissement et d autres cat gories de personnel d abord dans les centres d enseignement b n ficiant d une aide internationale puis lors de l ex cution des projets d radication Interr gional 81 Voyages d tude de conseillers sur les lieux d ex cution de projets d radication du paludisme 1960 CSEP Permettre une dizaine de conseillers paludologues d exa miner sur place l ex cution de certains programmes d radication pour en tudier l organisation et le fonctionnement aider pr parer des chefs d quipes et des conseillers aux activit s d radication Interr gional 86 2 S minaire interr gional sur les services d approvisionnement en eau communs plusieurs collectivit s Varna Bulgarie 5 14 juin 1963 Compte sp cial pour l approvisionnement public en eau Ce s minaire avait pour objet de r unir les administrateurs nationaux responsables pour qu ils tudient les donn es les plus r centes concernant l organisation le financement la gestion et la surveillance des services d approvisionnement en eau communs plusieurs collectivit s qu ils changent des vues sur les m thodes permettant de stimuler la construction des installations n cessaires et d am liorer celles qui existent d j et qu ils apprennent gr ce des discussions et des observations sur le terrain quelques unes des techniques utilis es pour le d veloppement de ce type de r seaux Les vin
553. st tenu Serra Negra Br sil au mois de septembre A cette occasion on a galement discut de l opportunit d enseigner les sciences du comportement et les techniques de la planification dans les coles de sant publique Les participants doyens d coles de sant publique ou professeurs d administration de la sant publique venaient de l Argentine du Chili de Colombie du Mexique de Porto Rico du Venezuela ainsi que des trois tablissements du Br sil A mesure que s l ve le niveau de l enseignement infirmier de base ainsi que celui des programmes nationaux de formation d infirmi res les demandes d assistance portent de plus en plus souvent sur l tude et la revision des programmes les m thodes d admi nistration et les soins infirmiers sp cialis s notamment dans le domaine de la psychiatrie Pour ce qui est de la formation en mati re de statistiques d mographiques et sanitaires les pro grammes des coles de sant publique d Am rique latine ont b n fici du concours des boursiers rentrant de l tranger En 1963 des cours interm diaires d une dur e de six neuf mois ont t donn s vingt huit l ves Buenos Aires Argentine trente cinq Bogota Colombie et trente cinq La Paz Bolivie Auparavant il n y avait de cours analogues que dans les coles de sant publiqu du Chili et du Mexique 72 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 L OPS comme POMS ont continu
554. station de radiodiffusion des Nations Unies New York a produit dans neuf langues vingt programmes sur les travaux de l Assembl e D autre part l Assembl e de la Sant figurait au nombre des sujets trait s dans un programme tabli par l Organisation des Nations Unies et envoy de Gen ve dans vingt sept pays Les articles consacr s une maladie ou un probl me particuliers dans le cadre d une s rie dont la publication a d but en 1962 ont continu para tre ils ont suscit de la part des journaux et magazines une demande croissante de documentation et d ilustra tions Pendant les neuf premiers mois de 1963 des articles sp ciaux ont t consacr s 18 grippe la bilharziose et l volution sanitaire dans le monde pendant l ann e La Journ e mondiale de la Sant ayant pour th me Les malades de la faim a t observ e dans la plupart des pays dans le cadre de la Campagne mondiale contre la Faim En voquant ce propos le Programme alimentaire mondial ONU FAO on a pu d autant mieux souligner la relation existant entre la malnutrition chronique et la mauvaise sant et faire ressortir les effets bienfaisants de la collabo ration entre POMS PONU et ses institutions sp ciali s es et d autres organismes internationaux La radio a pour sa part consacr au th me adopt pour la Journ e mondiale de la Sant dix sept enre gistrements dont deux programmes complets d
555. sur l origine des tr pon matoses humaines a t publi dans le Bulletin de l OMS Sant publique v t rinaire Dans ce domaine on a consacr beaucoup d attention et de temps l tude comparative des maladies d g n ratives chroniques des animaux et de celles de l homme a nsi qu au groupement et 18 classification des virus animaux selon les formules adopt es pour les virus humains En outre les grandes zoonoses brucellose rage et leptospirose sont rest es au premier plan des pr occupations et des plans ont t dress s en vue de donner plus d ampleur aux travaux sur l hygi ne et la normalisation microbiologique des denr es alimentaires d origine animale Brucellose Les travaux sur la vaccination de l homme et de Panimal contre les infections Brucella melitensis ont t poursuivis et l on a obtenu quelques r sultats d finitifs en ce qui concerne les ovins et les caprins Au cours d une preuve d innocuit sur des volontaires humains on avait constat que tout en provoquant certaines r actions un vaccin vivant att nu de souche 19 BA administr par voie sous cutan e tait n an moins s r D autres preuves sur volontaires humains ont montr que ce vaccin ne provoque aucune r action f cheuse s il est administr par scarification Dans les semaines qui ont suivi l inoculation l examen bact riologique et clinique des personnes vaccin es n a r v l aucu
556. t 600 000 000 le co t des travaux n cessaires pour assurer l approvisionnement minimum de toutes les collectivit s rurales du pays Le Comit r gional a en outre t saisi de diverses questions propagation r cente du chol ra El Tor et n cessit de contr ler l efficacit du vaccin anti chol rique actuel contre cette maladie programme d immunisation de masse contre la poliomy lite ex cut Ceylan aide d urgence n cessaire la forma tion du personnel enseignant et des sp cialistes pour l enseignement post universitaire des disciplines m di cales fourniture de documentation m dicale et de mat riel pour les coles de m decine Le Comit r gional a jug que le grave probl me de la tuberculose doit retenir encore l attention Au cours des discussions techniques qui portaient sur le d pistage et le traitement domicile dans la lutte contre la tuberculose on fait observer que cette affection reste le grand probl me de sant publique de la R gion Le d bat a port essentiellement sur les moyens de tirer le meilleur parti des programmes de d pistage et de traitement pour faire reculer la maladie compte tenu des ressources financi res et humaines limit es Les participants ont estim que le d pistage devait viser essentiellement les cas cer tains de tuberculose pulmonaire infectieuse avec bacilles dans les crachats et ou caverne radiologique ment attest e mais qu il ne
557. t ne tombe gu re au dessous de 20 du nom bre de cas Les photographies ci dessous ont t prises dans un village frapp par une pi d mie au cours de la visite d un consultant de l OMS dans la R publique du Niger au d but de 1963 La posture caract ristique du jeune enfant est flasque plut t que rigide la t te nettement renvers e en arri re Ponction lombaire pour l examen du liquide c phalo rachi dien chez un cas suspect Distribution de comprim s pour l cole du village Injection d une dose de sulfamide retard un cas confirm Distribution de comprim s de sulfamide toute la population du village titre de mesure pr ventive Un cas typique de m ningite c r bro spinale caract ris par des ph nom nes de rigidit de contraction de la nuque et de rictus facial D VELOPPEMENT DES APPROVISIONNEMENTS PUBLICS EN EAU AU P ROU En collaboration avec l OPS et l Inter American Development Bank l OMS aide le Gouvernement du P rou d ve lopper les r seaux d adduction pour fournir de l eau de boisson en quantit suffisante aux millions de personnes dont le ravitaillement est encore al atoire Arequipa o la population augmente rapidement les habitants des plateaux d nud s qui entourent la ville ne peuvent s approvisionner en eau potable que trois fois par semaine pendant quelques heures L eau commence couler 6 heures Les premiers arriv s sontles premiers
558. t consultatif de la Recherche m dicale cinqui me session Commission du Codex Alimentarius premi re session R union des directeurs des centres OMS de r f rence des virus des voies respiratoires et des ent rovirus Comit d experts de l Exercice de la M decine g n rale Groupe scientifique des recherches sur les rickettsioses chez l homme R union des directeurs des banques de r f rence de POMS pour les s rums Groupe scientifique des tudes sur les vaccins antirougeoleux Premi re r union Liban Syrie sur l radication du paludisme dans les r gions fronti res R gion de la M diterran e orientale Comit d experts de la R adaptation des Malades cardio vasculaires FAO FISE OMS Groupe consultatif des Prot ines Groupe scientifique des recherches sur la g n tique des vecteurs et la r sistance aux insecticides Symposium interr gional sur les crit res et 165 m thodes de mesure de la puret de l air Comit d experts de la Formation professionnelle et technique du Personnel m dical et auxiliaire Stimulation de l int r t des omnipraticiens pour la m decine pr ventive R union officieuse sur les sp cifications et les m thodes d analyse des pesticides Comit r gional de la M diterran e orientale treizi me session Sous Comit Groupe scientifique de la nomenclature et de la classification histopathologiques des tumeurs osseuses AIEA OIT OMS Colloque sur la protection radiologique
559. t la phase de consolidation L OMS a envoy des v hicules du mat riel de pulv risation du mat riel de laboratoire et des m dicaments antipaludiques Les rapports sur la situation pid miologique dans l ensemble de la zone ant rieurement impalud e indiquent que celle ci est excellente et qu elle permettra de demander l attestation d radication du paludisme dans un avenir tr s proche Royaume Uni 13 Bourses d tudes B Administration des h pitaux une bourse d un mois une de cinq semaines dentis terie un mois ducation sanitaire deux mois enseignement infirmier une bourse de six semaines deux de trois mois hygi ne dentaire deux mois orthodontie un mois psychiatrie l gale six semaines radiographie dentaire un mois r adap tation un mois Su de 12 Bourses d tudes 8 Administration et enseignement de la sant publique douze mois approvisionnement en eau et vacuation des mati res us es un mois enseignement infir mier et administration des services infirmiers neuf mois hygi ne dentaire six semaines physioth rapie six semaines soins infirmiers psychiatriques un mois Suisse 15 Bourses d tudes 13 Administration des services infir miers trois mois et demi bact riologie neuf mois m tabo lisme douze mois r adaptation douze mois soins infirmiers six semaines Suisse 17 Services de sant mentale 1963 8 Elaborer un plan g n ral de soi
560. t appel s travailler sous le contr le d un personnel professionnel et organiser la formation en cours d emploi des auxiliaires sanitaires actuellement en fonctions Arabie Saoudite 23 Conseiller en sant publique pid miolo giste oct 1960 fin 1963 AT Cr er au Minist re de la Sant un d partement de m decine pr ventive qui aura notamment pour t che de d velopper les services statistiques et les activit s li es la quarantaine inter nationale L pid miologiste affect au projet exerce galement au Minist re des fonctions consultatives d ordre g n ral en mati re de sant publique Arabie Saoudite 28 Enqu te sanitaire nov 1962 janv 1963 B Pendant trois mois trois consultants ont men une enqu te sur la situation sanitaire et donn des avis sur l organisation des services qu exigent la promotion et la protection de la sant Arabie Saoudite 29 Services fondamentaux de sant publique et de soins m dicaux 1963 7965 Fonds en d p t FISE Cr er une organisation sanitaire provinciale un centre com munautaire type pour les questions de sant et un h pital de base dans la province orientale du pays Arabie Saoudite 32 Conservation des viandes mai 1963 1964 B Un consultant a t envoy dans le pays pour trois semaines afin d tudier s il serait possible d introduire des m thodes appro pri es d abattage pendant la saison du P lerinage de la Mecque d assur
561. t la Bibliographie de l pid miologie du cancer 1946 1960 Ce dernier ouvrage dont la pr sentation est bilingue fran ais anglais contient plus de 2600 r f rences group es par continent et par pays il comprend en outre un index des auteurs et un index se r f rant la localisation anatomique Il s agit de la quatri me bibliographie publi e par l OMS les trois pr c dentes ayant paru sous les titres suivants Publications de Organisation mondiale de la Sant 1947 1957 Bibliographie L enseignement de la m decine Bibliographie annot e 1946 1955 Bibliographie de la bilharziose 1949 1958 Des plans ont t arr t s et des dispositions prises en vue de tenir jour la bibliographie des publications de l OMS gr ce des suppl ments quinquennaux dont le premier portera sur la p riode 1958 1962 La publication d un ouvrage comme la Terminologie du paludisme et de l radication du paludisme qui tend unifier la terminologie l chelle internationale a soulev des probl mes sp ciaux Apr s un important travail de pr paration ex cut par le Secr tariat un petit comit international de r daction a t charg de mettre au point et d approuver un texte d finitif Comme il tait videmment impossible de proc der de la sorte pour plusieurs langues la fois le comit de r daction n a labor qu une version dans une seule langue Pour les autres langues la m thode suivie a
562. t la m decine pr ventive et la m decine sociale Isra l 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois administration des h pitaux quatre mois affections pulmonaires chroniques non tuberculeuses trois mois g nie sanitaire douze mois m thodes d enre gistrement et de statistique en pid miologie quatre mois pathologie buccale huit mois p dopsychiatrie deux bourses de quatre mois Isra l 201 Bourses d tudes AT Cr ation et administration de foyers pour convalescents et d institutions de r adaptation quatre mois et demi Jordanie 6 Eradication du paludisme Guin 1958 fin 1966 CSEP AT FISE AID Extirper le paludisme de l ensemble du pays et emp cher sa r introduction Jordanie 11 Lutte contre les ophtalmies transmissibles avril 1960 sept 1965 AT FISE Organiser et mettre en uvre une campagne de lutte contre les ophtalmies transmissibles comprenant des enqu tes pid miologiques des tudes pilotes et des programmes de traitement Jordanie 23 Production de vaccins 1959 964 B FISE AID D velopper la production de vaccins antidipht rique et anti t tanique et former du personnel technique Jordanie 24 H pital pour enfants Amman f vr 1961 fin 1963 AT FISE Am liorer les services infirmiers de l h pital pour enfants d Am man et donner des notions de p diatrie au personnel infirmier et auxiliaire coordonner les activit s du cen
563. t les assistants sanitaires de district afin d am liorer l encadrement des services de sant ruraux De nombreux 1 Actes off Org mond Sant 114 80 d placements travers le pays lui ont permis d tudier l organi sation de ces services et les conditions de formation des assistants sanitaires 11 s est rendu notamment au centre sanitaire de d monstration et de formation d Aung San pr s de Rangoon ainsi que dans les h pitaux d un certain nombre de districts et il s est entretenu avec le Directeur des Services de Sant le personnel de la Direction de la Sant et les fonctionnaires sanitaires de district Les programmes de formation pour m decins municipaux et fonctionnaires sanitaires de district ont t rationalis s et coor donn s et l organisation des cours donn s au centre d Aung San a t renforc e La p nurie de cadres et d auxiliaires continue de retarder l expansion des services de sant ruraux mais dans leur principe les plans de d veloppement tablis pour ces services sont satisfaisants Le rapport du consultant avec ses recommandations a t transmis au Gouvernement Birmanie 200 Bourses d tudes B Administration des h pitaux douze mois pid miologie douze mois lutte contre le trachome trois mois sant mentale douze mois techniques de laboratoire douze mois Ceylan 4 Protection maternelle et infantile sept 1955 fin 1963 AT FISE En premier lieu
564. t nutritionnel de la p pulation et s attaquer aux probl mes en relation avec la malnutrition Alg rie 11 6 Epid miologie et statistiques sanitaires 1963 AT Organiser des services de statistiques sanitaires et entreprendre les tudes pid miologiques n cessaires Alg rie 11 7 Soins infirmiers 1963 AT R organiser et am liorer les services infirmiers Alg rie 12 Protection maternelle et infantile 1963 AT R organiser et largir les activit s de protection de la maternit et de l enfance dans les centres de sant du pays mettre en place des moyens permettant de former des agents sanitaires pour l hygi ne maternelle et infantile ainsi que du personnel pour des activit s apparent es Alg rie 14 Enseignement infirmier 1963 AT Pr parer des infirmi res des fonctions d administration et d enseignement par des cours intensifs de courte dur e Allemagne 16 Bourses d tudes B Maladies cardiaques trois mois sant mentale prolongation d une bourse pendant six mois Autriche 11 Bourses d tudes B Analyse des denr es alimen taires deux bourses d un mois contr le des denr es alimen taires trois bourses d un mois enseignement de la sant publique six semaines m decine du travail deux bourses de six semaines microbiologie six semaines microbiologie des denr es alimentaires cinq semaines pharmacologie six semaines polarographie un mois probl mes biom tri
565. t proc d une analyse critique du projet en octobre et en novembre 1962 ils ont estim que le programme de recherches tait bien con u et bien ex cut et qu il constituait une base solide pour les op rations futures Ce programme a constamment b n fici de l appui nergique du Gouvernement et des autorit s locales Les objectifs fix s ont t atteints pour l essentiel et les r sul tats sont g n ralement satisfaisants Tous les facteurs pid miologiques intervenant dans la transmission de la maladie ont fait l objet d une tude approfondie notamment en ce qui concerne la biologie et l cologie du mollusque vecteur la sensibilit d Orcomelania et de ses hybrides l infection les diff rentes souches de Schistosoma japonicum le r le jou par les r servoirs animaux dans le maintien du cycle biologique du parasite et la question de l immunit l gard de 18 bilhar 21086 Le programme de formation a permis d lever le niveau des personnels professionnel auxiliaire et apparent Enfin et ceci est particuli rement important les connaissances scienti fiques acquises au cours de ces dix ans pr senteront sans doute un int r t mondial consid rable Il ressort des exp riences faites que la meilleure fa on de lutter coritre la maladie r side probablement dans l limination LISTE DES PROJETS PACIFIQUE OCCIDENTAL 139 cologique de l h te interm diaire On a notamment constat
566. t public en eau Pollution du milieu Hygi ne des collectivit s et habitat Lutte contre les vecteurs et r sistance aux insecticides Biologie du MALHEUR ER RE ET CALE tn 268 9 RUE te 22 Chapitre 4 Services de sant publique Administration de la sant publique Organisation des soins m dicaux Labora toires de sant publique Soins infirmiers Education sanitaire Hygi ne de la maternit t de l enfance sf SR MR CS A IR RL PR S o a 28 Chapitre 5 Protection et promotion de la sant Cancer Maladies cardio vasculaires Hygi ne dentaire Sant mentale Nutrition Hygi ne et m decine des radiations et g n tique humaine Hygi ne sociale et m decine du travail 33 Chapitre 6 Enseignement et formation professionnelle M decine pr ventive et sant publique Formation du personnel sanitaire auxiliaire Voyages l tranger pour des tudes ou des changes d informations scientifiques 39 Chapitres T VRecCh rchesmMmediCale Be EN ES ENG LEARN RE EE ER SRE ITR 42 8 82 Statistiques Sanitaires DT a a an ER RS TE EC a a SR 44 Chapitre 9 Biologie et pharmacologie Drogues engendrant la toxicomanie et autres drogues dangereuses Standardisation biologique Immunologie Pr parations pharmaceutiques 46 Chapitre 10 Publications et documentation RS LL
567. t public en eau 1962 Compte sp cial pour l approvisionnement public en eau Elaborer un programme pour d velopper l approvisionnement public en eau URSS 1 Bourses d tudes B Biochimie cinq mois chimie trois mois et demi chimie des antibiotiques trois mois chimioth rapie trois mois endocrinologie prolongation d une bourse pendant deux mois tude du tissu nerveux au micro scope lectronique six mois g n tique six mois microbiologie une bourse d un mois une de deux mois neurophysiologie quatre mois pharmacologie une bourse de trois mois une de six mois production et essai des pr parations virus deux mois sant publique et pid miologie trois mois statistiques sanitaires deux mois et demi virologie six mois Yougoslavie 16 4 Lutte contre la tuberculose 1961 1968 AT FISE Pr parer pour tout le pays un programme de lutte contre la tuberculose en tablissant sur le plan f d ral un projet long terme de zone pilote o seront entrepris notamment des examens syst matiques et le traitement domicile ainsi que la formation pratique de personnel yougoslave Ce projet continue celui qui sous le m me num ro a b n fici de l aide de l OMS de 1953 1960 Yougoslavie 16 5 Lutte contre les ophtalmies transmissibles 1953 1967 AT FISE Approfondir l pid miologie du trachome et des infections associ es en Yougoslavie mettre au point et appliquer da
568. t que leurs succ s seront un t moignage aussi durable qu loquent de la largeur de vues et de la g n rosit des gouvernements qui les ont accueillis Nouveaux Etats ind pendants la Jama que la Trinit et Tobago ainsi que Ouganda sont devenus Membres de plein droit de POMS tandis que la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant admettait en qualit de Membres associ s le Kenya et l le Maurice L Europe pour sa part compte deux nouveaux Membres actifs car je suis heureux de le mentionner ici la Hongrie a repris sa pleine participation partir du 1 janvier 1963 aux travaux de l Organisation et l Alg rie en adh rant POMS en novembre 1962 a d cid de rester dans la R gion europ enne Quant la R gion de l Asie du Sud Est si elle na connu aucune modification dans sa composition il importe cependant de noter que le transfert de l Irian occidental l Indon sie y a entra n une intensification des activit s de POMS Gr ce la g n reuse coop ration du Gouvernement de l Inde et aux contributions d autres gouverne ments de l Asie du Sud Est le personnel du Bureau r gional de l Organisation Delhi a pu prendre possession de ses nouveaux locaux o il jouit de conditions de travail excellentes En Afrique toutes les formalit s n cessaires au transfert de la propri t du Djou qui appartenait au Gouvernement fran ais ont t remplies et la cit a t officiellement remise
569. ta Mali Niger Rwanda et Togo des plans ont en outre t labor s pour en mettre d autres la disposition des Gouvernements de la Guin e du Dahomey et du Nig ria septentrional Bien qu elle en soit encore ses d buts dans de nombreux pays d Afrique l aide accord e pour l labo ration des programmes nationaux de planification sanitaire tient d j une place consid rable dans les activit s de l OMS qui int ressent cette R gion L OMS assume cet gard un r le consultatif la planification qui est l uvre des gouvernements est habituellement pr c d e d une enqu te pr liminaire sur la situation et les ressources existantes et elle est suivie d une valuation et de la conclusion d arrange ments qui en permettent la poursuite Dans l effort de planification l attention doit particuli rement se porter en Afrique sur les l ments suivants forma tion de cadres qualifi s pour les services de sant et cr ation ou extension des moyens d enseignement et de formation professionnelle indispensables cet effet cr ation d tablissements sanitaires appropri s centres de sant dispensaires et h pitaux et assis tance dans la lutte contre les maladies Des plans d op rations pour les programmes nationaux d organisation sanitaire ont d j t labor s de concert avec les Gouvernements du Gabon du Lib ria du Mali du Niger et du Sierra Leone ils comportent l envoi
570. tal sont toutes les deux dipl m es de lEcole sup rieure d infirmi res de l Universit d Alexardrie laquelle l OMS accorde son aide depuis plusieurs ann es Pour que les infirmi res puissent apporter une contribution maximum l action de sant il faut qu elles poss dent outre des comp tences profession nelles une bonne culture g n ralz qui leur permette de remplir leurs fonctions intelligemment Beaucoup de pays s int ressent ce probl me et deux types de programmes ont t mis l essai pour r pondre leurs besoins Avec l aide de l OMS l Universit de Bagdad en Irak a ouvert une cole d infirmi res o pendant quatre ans les l ves recevront un enseigne ment infirmier de base conduisant au dipl me de Bachelor en soins infirmiers Ce titre acad mique et professionnel permettra aux dipl m es d acc der des postes d encadrement dans les branches adminis trative et enseignante des services infirmiers Au Nig ria l OMS aide l Universit d Ibadan mettre au point un programme destin aux infirmi res et infirmi res sages femmes qualifi es remplissant les conditions d admission l universit et qui d sirent se pr parer pour des postes d administration et d ensei gnement tout en poursuivant des tudes universitaires sanctionn es par un dipl me 1 Roberts D E 1963 The sraffing of public health and outpatient nursing services methods of study Organ
571. tales des diverses parties de la paludologie parasitologie mesure du paludisme dans la collectivit humaine entomologie et chimio th rapie En outre des sections nouvelles sont consacr es aux techniques d radication du paludisme aux insecticides et au mat riel de pulv risation ainsi qu la classification et la nomenclature zoologiques Les versions espagnole fran aise et russe de la publi cation sont en pr paration L importance de la coordination entre les pays a t soulign e par la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant Dans sa r solution WHA16 23 elle a not que les objectifs du Plan prioritaire coordonn pour l radication du paludisme en Europe continentale avaient t pleinement atteints et elle a invit les gouvernements collaborer dans le cadre r gional avec les pays voisins en vue de permettre des progr s dans une vaste zone g ographique et d assurer la protection mutuelle des pays contre la r introduction de la maladie Au cours de la p riode sur laquelle porte le pr sent rapport des r unions de repr sentants de pays limitrophes ont eu lieu entre l Inde et le Pakistan l Inde et le N pal l Irak et l Iran le Liban et la Syrie la Syrie et la Turquie La onzi me r union des direc teurs des services nationaux d radication du palu disme d Am rique centrale du Mexique et du Panama s est tenue Mexico des repr sentants de Cuba d Ha ti du Honduras britannique
572. tenue par POPS et l OMS a beaucoup avanc et devrait prendre fin d s les premiers mois de 1964 Dans le cadre de la campagne nationale d radication men e au Br sil avec l aide POPS les vaccinations ont t achev es dans deux Etats et elles sont en cours dans cinq autres L OMS a continu de soutenir les programmes d radication du pian dans la zone des Cara bes et des enqu tes sur cette maladie ont t faites Antigua la Barbade et la Jama que Plusieurs gouvernements ont re u de POMS et de POPS aide et conseils pour l laboration de projets pilotes de lutte antituberculeuse l chelle nationale La fr quence de la peste 8 encore augment 265 cas ayant t signal s en Bolivie au Br sil en Equateur et au P rou pour les huit premiers mois de 1963 Comme les ann es pr c dentes le Centre panam ri cain des Zoonoses cr et administr par OPS et POMS Azul Argentine a donn des avis techniques form des sp cialistes et proc d des recherches Une recrudescence de la fi vre aphteuse a t signal e en Bolivie en Colombie en Equateur au Paraguay au P rou en Uruguay et au Venezuela tandis que les pays situ s au nord du Panama sont demeur s exempts de cette maladie Recherche Le Comit consultatif OPS de la Recherche m dicale 8 tenu sa deuxi me r union en juin 1963 et son rapport a t pr sent au Comit consultatif OMS de la Recherche m dicale
573. ternational de planifica tion sanitaire qui 8 eu pour cadre l Institut latino am ricain de Planification conomique et sociale Santiago du Chili et elle a soutenu l organisation de deux cours nationaux pour administrateurs sanitaires en El Salvador et au P rou Comme autre fait marquant dans la R gion il convient de mentionner la r union de ministres dite tat major de la sant que POPS a organis e en avril 1963 afin d orienter l action imm diate des autorit s sanitaires vers des fins telles que la lutte contre les maladies transmissibles ou leur radication l assainissement la r duction de la mortalit infantile l am lioration de la nutrition et la formation de personnel de sant Renforcement des services de sant nationaux En 1963 dix huit gouvernements ont b n fici d une aide de POMS pour des projets visant l int gration des services m dico sanitaires pr s de soixante dix consultants leur ont t envoy s et un gros effort a t fait pour la formation professionnelle tant sur place qu l tranger Plus de quatre cents bourses ont t attribu es par POPS et POMS des candidats de la R gion pour des tudes l tranger L valuation des projets retient aussi de plus en plus l attention ce titre le Bureau de l Evaluation et des Rapports cr la fin de 1962 8 fait une analyse des principes fondamentaux applicables l valuation des op rat
574. tes de l URSS et des pays voisins Hydatidose Les tudes sur la vaccination des moutons et des chiens contre l chinococcose hydatique se sont poursuivies Les r sultats obtenus dans un laboratoire de Nouvelle Z lande b n ficiant de l appui de POMS indiquent que les ufs embryonn s de cestodes autres que les chinocoques peuvent tre utilis s pour la vaccination contre cette parasitose Cette m thode a ceci d avantageux qu il est possible d obtenir d assez grandes quantit s d ufs partir de cestodes beaucoup plus gros que l chinocoque et par cons quent de produire plus facilement des quantit s suffisantes de vaccin D autres recherches ont eu pour objet l essai syst matique d anthelminthiques et d ovocides ainsi que des tudes sur les composants antig niques du parasite Toxoplasmose L OMS s efforce toujours d assurer la normalisation des techniques de laboratoire pour le diagnostic de la toxoplasmose Avec l appui de l Organisation le Statens Seruminstitut de Copenhague a r colt un lot important de s rum humain dont il a fait une pr para tion de r f rence pour les preuves s rologiques Cette pr paration a donn satisfaction dans des essais pratiqu s Copenhague mais il reste la soumettre des preuves concert es dont les plans sont l tude MALADIES TRANSMISSIBLES 11 Virologie compar e Conform ment aux recommandations d une r union officieuse sur
575. thodes de planification et d ex cution des projets Le Conseil a d cid que cette tude devrait porter en particulier sur le r le de l OMS dans la planification des projets sur les principales causes de retard dans la mise en uvre des projets et les mesures prendre pour r duire les d lais ainsi que sur les rapports existant entre l efficacit de l assistance fournie par POMS et les disponibilit s en personnel de soutien et en installations En juillet des questionnaires ont t adress s aux bureaux r gionaux afin de r unir des renseignements pr cis sur un certain nombre de projets de divers types Le retour de ces questionnaires est attendu pour d cembre 1963 date laquelle commenceront lanalyse et la mise en tableau des donn es recueillies Date de la Dix Septi me Assembl e mondiale de la Sant Par sa r solution 963 XXXVI Conseil cono mique et social a d cid en juillet 1963 que la conf rence des Nations Unies sur le commerce et le d veloppe ment se tiendrait Gen ve du 23 mars au 15 juin 1964 Etant donn que le Palais des Nations ne saurait accueillir simultan ment deux grandes conf rences le Directeur g n ral a crit aux membres du Conseil ex cutif pour proposer que la Dix Septi me Assembl e mondiale de la Sant se r unisse le 3 mars au lieu du 5 mai date que le Conseil ex cutif avait fix e sa trente deuxi me session La majorit des membres du Conseil ayant donn leu
576. tien d ins tallations sanitaires simples pratiques et peu co teuses organiser un programme d ducation sanitaire former des techniciens des sp cialistes de l assainissement et du personnel d autres cat gories Inde 91 Enseignement de la m decine pr ventive et de la m decine sociale f vr 1956 d c 1957 mars 1959 sept 1960 ao t 1961 ao t 1962 fin 1968 AT D velopper les d partements de m decine pr ventive et sociale d coles de m decine sp cialement choisies cette fin en int grant l enseignement de la m decine pr ventive dans le programme g n ral d tudes et en organisant des cours destin s initier les tudiants la m decine pr ventive et sociale cr er dans les villes et dans les campagnes des centres de formation pratique en sant publique former des homologues nationaux qui assureront la rel ve des professeurs envoy s par l OMS Inde 98 Cours d entretien pour infirmi res New Delhi 17 d c 1962 12 janv 1963 18 avril 17 mai 1963 Bangalore 3 28 juin 1963 B Trois cours d entretien de br ve dur e ont t donn s durant la p riode consid r e des infirmi res venues de diverses parties de l Inde a un cours de quatre semaines sur l administration des services infirmiers suivi par vingt deux infirmi res surveil lantes au Lady Hardinge Hospital de New Delhi du 17 d cembre 1962 au 12 janvier 1963 b un cours de quatre semaines sur la formation
577. tion Services consultatifs sept d c 1960 ao t 1963 7966 8 Mettre en uvre dans le cadre d un programme d ducation en mati re de nutrition un projet de soins dentaires curatifs et pr ventifs destin am liorer la sant dentaire des coliers Iles Ryu Kyu 1 Eradication du paludisme mai 1962 1965 CSEP Mener bien l radication du paludisme dans tout le pays en am liorant les op rations sur le terrain et les techniques de labo ratoire en coordonnant les activit s du programme et celles des services de sant ruraux et en form nt du personnel aux techniques de l radication du paludisme Protectorat britannique des les Salomon 2 Projet pilote d ra dication du paludisme sept 1961 1964 CSEP AT Commis sion du Pacifique sud Trouver une m thode permettant d interrompre la transmission du paludisme dans le Protectorat rassembler les donn es n cessaires pour la pr paration de l radication du paludisme former du personnel destin un programme d radication Il est pr vu que ce projet pilote sera suivi d une enqu te pr radication en 1964 Protectorat britannique des les Salomon 3 Enseignement infir mier nov 1959 971 B FISE Commission du Pacifique sud Ex cuter un programme d enseignement infirmier de base pour la formation g n rale des infirmi res et des assistants m dicaux ainsi qu un programme d obst trique et d hygi ne maternelle et inf
578. tion WHA15 22 de la Quinzi me Assembl e mondiale de la Sant Des cr dits ont t allou s pour l envoi du personnel suivant trois omnipraticiens pour le Burundi et autant pour le Congo Brazzaville deux techniciens de laboratoire et un obst tricien pour la Guin e un ophtalmologue et un l prologue pour le Mali un m decin et deux entomologistes pour le Nig ria septentrional un chirurgien et deux omnipraticiens pour le Rwanda trois infirmi res monitrices de la sant publique pour le S n gal une infirmi re moni trice et une sage femme monitrice pour le Sierra Leone et un moniteur d inspection sanitaire pour Ouganda On envisage d int grer ce personnel Padministration publique des pays en question N an moins ainsi que le pr voit la r solution WHA15 22 on recherchera tout particuli rement les possibilit s de combiner cette forme d assistance avec les activit s de formation du personnel m dical et auxiliaire tous les chelons cet effet l OMS a amorc des n gociations avec les gouvernements int ress s en vue d laborer les programmes d activit s et autres docu ments officiels sur la base desquels sera fourni ce nouveau type d assistance Maladies transmissibles Dans la lutte contre le paludisme l Organisation a maintenu son assistance aux programmes d radication et de pr radication Dans l le Maurice les pulv risations et le d pistage des cas actifs ont donn de
579. tion d un centre de r f rence pour 16 trachome Au cours d une r union qui s est tenue en juillet un groupe scientifique des rickettsioses chez l homme a recommand la cr ation d un r seau de laboratoires r gionaux de r f rence pour les maladies rickettsies Un article sur le r seau de centres de r f rence pour les virus a t pr par pour la Chronique OMS afin d attirer l attention des directeurs de laboratoires nationaux de r f rence pour 168 virus ainsi que d autres laboratoires comp tents sur les installations et les services que les centres de l OMS mettent leur disposition Ces centres peuvent notamment identifier des virus qui ne peuvent tre identifi s dans les laboratoires nationaux distribuer des souches types et se charger d autres travaux de r f rence courants Ils jouent un r le important aussi bien dans le domaine de la recherche que dans celui de la formation de virologistes aux m thodes de diagnostic et sont la disposition des laboratoires nationaux pour leur donner des avis sur de nombreux probl mes de virologie A la suite d une rencontre officieuse qui les a r unis pendant deux jours Montr al la fin de 1962 les directeurs des centres de r f rence sp cialis s dans les ent rovirus et les virus des voies respiratoires se sont retrouv s Gen ve du 15 au 6 juillet 1963 Au cours de cette derni re r union il a t dress une liste des souches types de
580. tion de la sant publique douze mois bact riologie surtout en mati re de virologie douze mois soins infirmiers de sant publique une bourse de trois mois deux de douze mois Chine 201 Bourses d tudes AT Bact riologie production de vaccins antipoliomy litiques douze mois fonctionnement et entretien d un syst me d gouts et d vacuation des eaux de pluie deux bourses de six mois Iles Cook 200 Bourses d tudes B Sant mentale quatre mois Cor e 4 Lutte contre la l pre nov 1961 fin 1966 AT FISE Am liorer le programme de lutte contre la l pre en coor donnant les op rations qui sont en cours en assurant l ducation sanitaire et en formant le personnel m dical et param dical affect 18 lutte contre la l pre LISTE DES PROJETS PACIFIQUE OCCIDENTAL 137 Cor e 13 Paludisme Programme pr radication sept 1962 1964 CSEP Faire le point de la situation en ce qui concerne le paludisme organiser un service national antipaludique et former du per sonnel de fa on permettre l laboration et la mise en uvre d un programme d radication Ce programme succ de l enqu te pr radication qui avait commenc en juin 1959 Cor e 15 Institut national d enseignement de la Sant publique d c 1960 7967 8 FISE Etablir deux centres de d monstration l un pour la sant urbaine l autre pour la sant rurale mettre en uvre des projets pilotes pour la
581. tion des Nations Unies et d autres institutions comme la FAO PAIEA et l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques Elle 8 notamment pris part la troisi me r union inter secr tariats sur les probl mes de la lutte contre la pollution des eaux organis e au mois de juillet par la Commission conomique pour l Europe Hygi ne des collectivit s et habitat Hygi ne des collectivit s L OMS a consid rablement accru son assistance aux gouvernements pour leurs activit s ayant trait l hygi ne des collectivit s en particulier dans la R gion africaine o beaucoup de pays nouvellement ind pendants l ont pri e de les aider laborer et mettre en uvre des programmes d hygi ne du milieu Des experts en g nie sanitaire envoy s par Organi sation sont all s au Burundi dans le Nig ria septen trional au Rwanda ainsi qu aux Philippines pour donner des avis sur les possibilit s d am lioration et d extension des services d assainissement dans le cadre des programmes sanitaires nationaux Le FISE a lui aussi beaucoup augment son appui financier ce genre d activit s notamment des projets d assainissement qui pr voient l approvision nement en eau des r gions rurales l ducation sanitaire du public et la formation d agents sp cialis s qui seront affect s aux zones rurales Des projets de cet ordre sont actuellement en cours dans les six R gions avec le conc
582. tion des eaux N 13 et R valua tion de la carence de soins maternels N 14 Douze nouveaux rapports ont t publi s dans la S rie de Rapports techniques Deux num ros sp ciaux du Bulletin ont t consacr s au paludisme et aux insecticides un au chol ra et un num ro double la trypanosomiase En outre un suppl ment en fran ais a t consacr la m ningite c r bro spinale en Afrique Une tude compar e de la l gislation relative la pollution de l air dans treize pays a t publi e dans le Recueil international de L gislation sanitaire et a fait ult rieurement l objet d un tirage part Le Deuxi me rapport sur la situation sanitaire dans le monde couvrant la p riode 1957 1960 a t publi au d but de l ann e en anglais espagnol et fran ais dans la s rie des Actes officiels 50 PUBLICATIONS ET DOCUMENTATION 51 L OMS a pr par en anglais en espagnol et en fran ais une brochure sp ciale Malnutrition et maladie qui porte le N 12 de la s rie des Etudes de base de la Campagne mondiale contre la Faim lanc e par la FAO L tude d taill e entreprise sur les listes de desti nataires des publications de POMS dans le monde entier a t achev e On 8 tabli un tat complet de tous les p riodiques et ouvrages publi s par POMS qui sont envoy s r guli rement soit titre gratuit soit des abonn s et sur la base de ces renseigneme
583. tion du paludisme Soudan 200 Bourses d tudes B Administration de la sant publique douze mois administration des h pitaux deux mois contr le des m dicaments deux mois cours conduisant au dipl me de sant publique DPH douze mois entomologie m dicale prolongation d une bourse pendant douze mois psychiatrie prolongation d une bourse pendant douze mois radioth rapie prolongation d une bourse pendant treize mois et demi statistiques deux bourses de sept mois et demi LISTE DES PROJETS M DITERRAN E ORIENTALE 133 Syrie 2 Eradication du paludisme mars 1956 au del de 1965 CSEP AT FISE Obtenir l radication du paludisme dans tout le pays o sur une population de presque 5000000 d habitants plus de 1 500 000 personnes vivent dans des zones autrefois impalud es Syrie 16 Centre de sant rural janv 1958 fin 1964 AT Fournir dans une zone d termin e des services curatifs et pr ventifs organis s de telle sorte qu ils puissent tre int gr s dans les administrations de district et de sous district ainsi que dans l administration centrale tablir un centre rural de d mons tration et de formation professionnelle pour diverses cat gories de personnel sanitaire assurer les moyens de mettre l essai diverses proc dures administratives et techniques Syrie 32 Banque du sang avril mai 1963 B Pendant un mois un consultant a donn des avis au Gouver nement sur l
584. tion est due l apparition dans certaines r gions d une tol rance accrue la chloroquine l un des principaux produits antipaludiques Des cas de cette nature ont t signal s pour la premi re fois en Colombie en 1960 et depuis lors au Br sil au Cambodge en Malaisie en Tha lande et dans la R publique du Viet Nam L OMS a continu stimuler les recherches sur l un des princi paux vecteurs du paludisme en Afrique tropicale Ano pheles gambiae qui ne constitue pas une esp ce unique mais un complexe d esp ces Les renseignements recueil lis devraient aider lucider les faits quelque peu contradictoires rapport s diff rentes poques et dans divers pays d Afrique au sujet du comportement de ce vecteur Une publication intitul e Terminologie du paludisme et de l radication du paludisme a paru pendant l ann e en anglais Elle est l uvre d un comit de r daction nomm sur la recommandation du Comit d experts du Paludisme pour mettre jour la terminologie du paludisme et y inclure toutes les nouvelles expressions int ressant les op rations et l pid miologie dont l emploi a t rendu n cessaire par le passage g n ral de la lutte antipaludique l radication De m me que dans les ouvrages pr c dents Malaria Terminology et Terminologie du paludisme publi s en 1953 et 1954 le glossaire est pr c d d un texte o sont analys es dans le d tail les notions fondamen
585. tion et de formation en mati re de protection maternelle et infantile d velopper dans le cadre du programme g n ral de sant publique les services de protection maternelle et infantile former du personnel professionnel et auxiliaire Tunisie 18 Hygi ne du milieu mai 1962 fin 1965 AT Mettre sur pied un programme national d hygi ne du milieu et former du personnel cet effet Tunisie 22 Centre d ophtalmologie Tunis nov 1957 fin 1964 B Cr er un laboratoire de virologie et former le personnel n cessaire pour l tude du trachome et des maladies associ es en Tunisie Tunisie 26 Production de m dicaments f vr mars 1963 B Pendant trois semaines un consultant 8 donn des avis au Gouvernement sur l organisation la gestion et la surveillance de services de contr le des m dicaments notamment en ce qui concerne la qualit des m dicaments et pr parations pharma ceutiques fabriqu s dans le pays Tunisie 27 Enseignement de la m decine 1961 au del de 1965 B Cr er la premi re cole de m decine du pays Tunisie 33 Service central de r paration et d entretien d appa reillage m dical janv 1963 janv 1964 AT Etudier la possibilit de mettre en place un service national central d entretien et de r paration du mat riel hospitalier Tunisie 200 Bourses d tudes B Chirurgie infantile douze mois formation en g nie sanitaire prolongation de deux bourses pendant douze
586. tions Unies sur la r partition des ressources entre les divers secteurs de l activit sociale et elle a collabor la pr paration des chapitres qui dans le Rapport sur la situation sociale dans le monde 1963 traitent des conditions sanitaires de l alimenta tion et de la nutrition Des rapports ont galement t tablis pour des r unions sur la planification du d veloppement social organis es par la CEAEO Bangkok et par la CEA Addis Ab ba L OMS a t repr sent e la premi re r union en juillet du Conseil d administration de l Institut de Recherche des Nations Unies pour le D veloppement social r cemment cr Gen ve La collaboration pour les questions d ordre ducatif avec l Organisation des Nations Unies et les institutions apparent es s est poursuivie Le Sous Comit CAC de l Enseignement et de la Formation 8 maintenant mis au point les rouages n cessaires pour assurer la coop ration sur le plan r gional et une s rie de r unions de caract re r gional auxquelles POMS a particip ont t organis es Le Sous Comit a entrepris la pr paration d un rapport inter institutions sur la formation technique en vue de l industrialisation acc l r e des pays en voie de d veloppement conform ment la demande formul e par l Assembl e g n rale dans la r solution 1824 XVII L OMS a particip cette tude Un si ge sans droit de vote lui a t r serv au Co
587. tiques ont t utilis es aussi pour l analyse des r sultats de diverses enqu tes pid miologiques notamment sur le trachome la variole et la filariose d enqu tes men es par l quipe consultative OMS pour la l pre et d tudes sur les vaccins contre le chol ra et la rougeole ainsi que dans un certain nombre de projets de recherches comme ceux ayant trait la comparabilit des m thodes appliqu es la lecture et l enregistrement de la tension art rielle aux rapports entre la duret de l eau et les maladies cardio vasculaires aux probl mes de sant publique li s l insuffisance du poids la naissance et l observation du fond de l il Les travaux statistiques s effectuent en grande partie par des proc d s m caniques Une tude de la question a r v l qu une automatisation plus pouss e pourrait donner des r sultats satisfaisants certains gards mais que d autres essais pr liminaires taient encore indispensables Parmi les documents r dig s pour l Organisation des Nations Unies figurent un expos sur les cons quences d mographiques de l action de sant publique pr par pour la conf rence asiatique de la population qu elle organise en d cembre New Delhi et un article sur la r partition des ressources et les m thodes suivre dans P tablissement des plans de sant publique qui fera partie d un rapport de l Organisation des Nations Unies sur allocati
588. tiques rattach s au Minist re de la Sant Chaque fois que cela est possible l enseignement des l ments de la statistique est inclus dans les cours de formation organis s avec l assistance de POMS L organisation d un approvisionnement public suffi sant en eau saine est une t che difficile dans une r gion dont la population s accro t rapidement surtout lorsque la quantit d eau disponible demeure tr s inf rieure aux besoins actuels et que souvent sa qualit est tout le moins douteuse N anmoins Papprovisionnement en eau a t grandement am lior dans plusieurs pays et d autres ont galement entrepris bien que sur une moindre chelle des travaux pour lapprovisionnement des collectivit s en eau saine Afin d am liorer l hygi ne du milieu POMS a accord une aide la Jordanie pour la mise en place de syst mes municipaux de distribution d eau l Arabie Saoudite pour la cr ation d un service d assainissement rattach au Minist re de la Sant la Tunisie pour Fam lioration de lhygi ne rurale Au Pakistan POrganisation et le FISE ont contribu la r alisation d quatre vingt six installations pour la distribution d eau proximit de centres de sant primaires En raison de la grande p nurie de techniciens ayant les comp tences voulues pour exploiter des r seaux modernes de distribution d eau une partie importante des projets de POMS a trait la formation dans ce doma
589. traient de renforcer la collaboration entre les deux organisations L OMS a charg un conseiller en mati re de sant publique de pr ter son concours la mission g n rale d enqu te entreprise par la Banque dans le territoire de Papua et de Nouvelle Guin e IMCO Des propositions de messages relatifs aux pratiques quarantenaires pr vues par le R glement sanitaire international ont t pr par es pour tre soumises l examen de l Organisation intergouverne mentale consultative de la Navigation maritime en vue de la revision du Code international des Signaux et l OMS a t repr sent e la troisi me session du Sous Comit de PIMCO qui proc de cette revision L Organisation a galement formul des suggestions concernant la partie sanitaire du projet de Convention de PIMCO sur la Facilitation Un repr sentant de POMS a assist aux r unions du groupe d experts charg s d tudier les moyens de faciliter les voyages et les transports et celles de son sous groupe charg des questions sanitaires OACI L OMS a t repr sent e la sixi me session de la Division de la Facilitation de l Organisation de l Aviation civile internationale qui s est tenue Mexico De nombreuses consultations ont lieu entre les deux organisations sur les probl mes d int r t commun qui rel vent du R glement sanitaire inter national Organisations non gouvernementales En janvier 1963 le Conseil ex cutif dan
590. tre de d monstration et de formation professionnelle en mati re de protection mater nelle et infantile Amman Jordanie 25 Sant publique Services consultatifs d c 1962 1965 B Organiser et coordonner les activit s des services de sant nationaux Jordanie 27 Services municipaux de distribution d eau et d va cuation des eaux us es juin 1962 1965 AT Mettre ex cution un vaste programme d approvisionne ment public en eau et d vacuation des eaux us es Jordanie 200 Bourses d tudes B Obst trique douze mois radiologie douze mois Jordanie 201 Bourses d tudes AT Education sanitaire prolon gation d une bourse pendant douze mois tudes de m decine prolongation de deux bourses pendant douze mois tudes de pharmacie prolongation d une bourse pendant douze mois ophtalmies et chirurgie oculaire douze mois pr paration du vaccin antivariolique dess ch un mois production de vaccin deux mois soins infirmiers p diatriques douze mois Kowe t 1 Lutte contre la tuberculose janv 1962 mai 1963 B L aide de l OMS devait permettre de r aliser un programme g n ral de lutte antituberculeuse en s appuyant sur le dispensaire et l h pital sp cialis et en coordonnant cette action avec celle des services de sant scolaire de protection maternelle et infantile et d autres services de sant publique L OMS a envoy un m decin de janvier 1962 mai 1963 une
591. tre les vecteurs ainsi que les rapports de consultants sur les recherches relatives aux maladies rhumatismales aux agents de pollution microchimique du milieu et l immuno logie La reproduction humaine la pollution du milieu et l valuation des pr parations pharmaceutiques ont t incluses r cemment dans le programme de recherche de POMS Le Comit consultatif OPS de la Recherche m di 42 RECHERCHE M DICALE 43 cale a tenu sa deuxi me r union Washington voir aussi page 72 Le m canisme de coordination des programmes de recherche de POPS et de POMS est maintenant solidement tabli Les Instituts nationaux de la Sant des Etats Unis d Am rique continuent soutenir certains des projets de recherches de POMS cinq subventions accord es ant rieurement ont t maintenues en 1963 Les Etats Unis d Am rique se sont engag s verser pendant cette m me ann e une nouvelle contribution volontaire de 500000 au compte sp cial de la recherche m dicale L Association nationale su doise contre les affections cardiaques et pulmonaires a accord deux bourses pour la formation de chercheurs Un don quivalant environ US 2315 plus par ticuli rement destin au programme de recherches sur le cancer 8 t fait au compte sp cial par la Fondation Jesperson au Danemark CHAPITRE 8 STATISTIQUES SANITAIRES La pr paration de 8 Huiti me Revision pr vue pour 1965 de 18 Classific
592. tre pour la d monstration des m thodes modernes de soins aux m res et aux enfants et pour la formation de sages femmes de la sant publique appel es travailler dans les centres de protection maternelle et infantile des campagnes et des villes sur l ensemble du territoire de la Cyr na que Libye 22 Lutte contre la tuberculose zone pilote nationale mars 1963 fin 1965 AT FISE Cr er un centre antituberculeux Benghazi pour former du personnel faire la d monstration des techniques antitubercu leuses et servir de base d op rations pour un projet de zone pilote faisant appel des quipes mobiles tablir un pro gramme national de lutte antituberculeuse d apr s les r sultats obtenus dans la zone pilote Libye 200 Bourses d tudes B Etudes de m decine cinq bourses de douze mois dont deux titre de prolongation et une bourse de treize mois titre de prolongation galement Pakistan 22 G nie sanitaire Pakistan occidental f vr 1957 d c 1962 AT Les buts du projet taient les suivants am liorer la salubrit au Pakistan occidental en cr ant des services sanitaires essentiels notamment pour la distribution d eau potable et l vacuation des eaux us es et des excreta tablir les plans et assurer la construction et l exploitation d ouvrages de g nie sanitaire dans le cadre de vastes programmes de bien tre social d difi cation de villes satellites et d am nagement des campag
593. ts pid miologiques virologiques cliniques et anatomo pathologiques de l h patite feront l objet d une discussion et d une mise au point au mois de d cembre de la part d un Comit d experts de l H patite Trachome L OMS a continu encourager la recherche d un vaccin antitrachomateux efficace Nombre de nouvelles souches de virus ont t isol es dans diff rentes r gions d autre part des am liorations ont t apport es aux m thodes de purification des antig nes et l adaptation des techniques d immuno fluorescence au diagnostic pr coce du trachome s est av r e utile lors des essais de vaccination On se heurte toutefois encore de multiples difficult s pour d terminer le pouvoir immunog ne respectif des souches de virus des types de vaccins et des m thodes de vaccination Gr ce ses relev s pid miologiques l OMS est en mesure de fournir aux chercheurs qu int resse la question des renseignements sur les groupes de population qui se pr tent des essais d application contr l s mais bien que les perspectives paraissent encourageantes il est encore trop t t pour pr voir en d finitive la valeur de vaccinations de masse dans la lutte contre le trachome Quelles que soient les possibilit s qu offre la vaccina tion des campagnes de traitement de grande envergure seront encore n cessaires pendant bien des ann es Pour favoriser la mise au point de sch mas de traitement q
594. tte contre la tuberculose et d aider la cr ation d une unit centralis e charg e de planifier de coordonner et de contr ler l enseigne ment EMRO 76 Pharmacie et conseiller pour la gestion des d p ts de fournitures m dicales janv 1963 1965 B Aider les gouvernements de la R gion organiser la distri bution des produits pharmaceutiques et des fournitures m dicales dans l ensemble de leurs pays respectifs ce titre l OMS aide former du personnel am liorer les m thodes d approvi sionnement de stockage et de distribution des fournitures m dicales et des produits pharmaceutiques r diger la l gis lation pharmaceutique et am liorer le contr le de la qualit et la production locale des produits pharmaceutiques EMRO 78 S minaire sur la tuberculose chez les nourrissons et les enfants Tunis 15 18 avril 1963 B Centre international de l Enfance Ce s minaire patronn conjointement par POMS et le Centre international de l Enfance Paris tait charg d tudier les moyens de prot ger l enfance contre la tuberculose en tenant sp cialement compte des conditions propres la R gion Les participants au nombre de treize venaient des pays suivants Alg rie C te fran aise des Somalis Iran Jordanie Libye Maroc R publique Arabe Unie Tunisie et Turquie Le s mi naire a trait des questions suivantes pid miologie de la tuberculose dans la R gion d pistage de l
595. u noprophylaxie Il n a pas encore t possible de transmettre la l pre des souris noires hybrides de laboratoire Les recherches s rologiques actuelles visent d terminer la r activit des s rums l preux vis vis des antig nes de bacilles tuberculeux au moyen de tests quantitatifs de fixation du compl ment pratiqu s sur du s rum de malades l promateux en traitement Quarantaine internationale Par sa r solution WHA16 34 la Seizi me Assembl e mondiale de la Sant a adopt des amendements au 1 Bull Org mond Sant 1963 28 N 3 R glement sanitaire international en particulier en ce qui concerne la notification l OMS de cas de maladies quarantenaires Ces amendements qui sont entr s en vigueur le 19 octobre 1963 modifient les d finitions des termes cas import et circonscrip tion infect e et introduisent dans le R glement une nouvelle d finition celle de cas transf r Un autre amendement a pour effet d imposer certaines obliga tions additionnelles relatives la prompte noti fication t l graphique de maladies d termin es Le Comit de la Quarantaine internationale ne s est pas r uni en 1963 La d cision de ne pas convoquer ce comit est fond e sur une r solution de la Quinzi me Assembl e mondiale de la Sant qui autorise le Directeur g n ral renvoyer la r union annuelle du Comit l ann e suivante sous r serve qu il y ait au moin
596. u Congo L opoldville de la C te d Ivoire du Ghana et du Nig ria septentrional et occidental Cette enqu te se poursuivra vraisemblablement pendant deux ans encore en s tendant d autres pays du continent africain La formation de techniciens de l assainissement pour les services locaux demeure l une des principales activit s de l Organisation Ainsi de nouveaux projets de formation ont t entrepris en Guin e au S n gal et en Tunisie dans le cadre de projets plus g n raux pour l am lioration et le renforcement des services d assainissement Habitat et urbanisation La premi re r union du Comit de l Habitation de la Construction et de la Planification constitu par le Conseil conomique et social des Nations Unies a eu lieu au mois de janvier 1963 New York Au cours de cette r union laquelle assistait un repr sentant de POMS des recommandations ont t adress es la Commission des Questions sociales et au Conseil conomique et social au sujet de la collaboration entre l Organisation des Nations Unies et les institutions sp cialis es qui s int ressent Phabitat L Organisation a continu de participer au programme d action internationale concert e dans le domaine de l habitation notamment en pr parant des documents techniques et en se faisant repr senter la r union d experts sur les probl mes de l habitat en Afrique convoqu e par la Commission conomique pour l Af
597. u te mondiale qu elle fait chaque ann e sur l pid miologie de la rage POMS 8 b n fici du concours de la quasi totalit des grands instituts et des sp cialistes qui ont bien voulu lui fournir des renseignements sur cette maladie et sur sa prophylaxie dans leurs pays respectifs Dans un institut de l Union sovi tique des tudes ont t entreprises sur l utilisation de ratons la mamelle pour la production d un vaccin antirabique inactiv qui serait exempt du facteur paralytique Les exp riences pr liminaires ont montr qu il est possible d obtenir ainsi des pr parations de virus de titre lev qui conviennent la production de vaccin Des essais organis s au Chili attestent d autre part que l on peut aboutir des r sultats du m me ordre en utilisant le cerveau de souriceaux la mamelle Il r sulte d preuves concert es effectu es sur un nouveau vaccin antirabique appel servir provisoire ment de vaccin de r f rence que ce vaccin est suffisamment actif pour tre utilis aux fins envisag es Toutefois les tests de conservation pratiqu s des 1 Dean D J Baer G M amp Thompson W R 1963 Bull Org mond Sant 1963 28 477 486 Wiktor T J amp Koprowski H 1963 Bull Org mond Sant 28 487 494 Kaplan M M amp Paccaud M F 1963 Bull Org mond Sant 28 495 497 temp ratures variables ont montr qu il ne r siste pas bien des chaleurs moyen
598. u il n est pas possible d obtenir une assistance de la part du personnel du Si ge EMRO 45 Participation des r unions ducatives avril 1959 7965 B Permettre aux pays de la R gion de participer des s minaires conf rences et cours de formation organis s dans d autres R gions et par d autres institutions EMRO 51 Centre d pid miologie et de statistique janv 1960 8 Aider l ex cution d enqu tes l occasion des projets anti tuberculeux et autres entrepris dans la R gion analyser les r sultats obtenus EMRO 55 Biblioth ques m dicales d c 1960 mars juin 1961 nov 1962 1965 B Donner divers pays de la R gion des avis sur l organisation et la gestion des biblioth ques rattach es des institutions m dicales et sanitaires former des biblioth caires sp cialis s en les familiarisant avec les caract ristiques particuli res de la biblioth conomie m dicale EMRO 56 Approvisionnement public en eau oct 1961 796 Compte sp cial pour l approvisionnement public en eau Aider les gouvernements organiser et mener leurs pro grammes d approvisionnement public en eau et les conseiller au sujet des probl mes d ordre technique juridique financier et administratif qu ils doivent r soudre EMRO 58 Equipe d valuation de l radication du paludisme avril 1961 au del de 1965 B CSEP Aider les Gouvernements de Chypre de l Irak de la Jordanie du Liban
599. u programme mondial d radication Tout en b n ficiant de l appui de POMS le centre a fait principalement appel au concours d enseignants et d agents d ex cution nationaux Au cours de ses trois ann es d existence il a form une centaine de sp cialistes venus de cinq des six R gions de POMS Ses deux derniers cours ayant eu lieu en 1963 les fonctions qu il assumait seront d sormais transf r es des tablissements de forma tion situ s dans d autres parties du monde Comme les ann es pr c dentes l enseignement et la formation professionnelle ont fait l objet de la plus grande attention En dehors des cours sur l radication du paludisme l OMS a patronn plusieurs cours portant sur diverses mati res biom trie et pid mio logie anesth siologie m decine des radiations adminis tration des services m dicaux services de soins infirmiers domicile et de concert avec l Organisa tion des Nations Unies r adaptation des enfants Si le nombre des b n ficiaires europ ens de bourses d tudes n a gu re vari au cours des derni res ann es celui des bourses octroy es des tudiants d autres R gions pour des tudes en Europe a fortement augment Il est pr vu que le nombre total des bourses administr es par le Bureau r gional atteindra pour lann e civile 1963 le chiffre sans pr c dent de plus d un millier Au cours de la p riode consid r e deux s minaires it
600. uation en main former du personnel local et int grer les op rations antipianiques dans l activit des services permanents de sant publique Tha lande 12 Lutte contre la filariose janv 1963 1966 B Evaluer la nature et l importance de la morbidit dans le sud de la Tha lande et tudier l pid miologie et la transmission de la maladie ainsi que les mesures de lutte possibles Tha lande 17 Services de sant mentale mars 1955 f vr 1957 nov 1958 f vr 1959 juin 1963 fin 1966 B Am liorer les services de sant mentale du pays Tha lande 21 Soins infirmiers Services consultatifs avril 1954 milieu de 1966 AT Coordonner d velopper et am liorer l enseignement infirmier de base et l enseignement infirmier sup rieur pour r pondre aux besoins du pays am liorer les services infirmiers notamment dans les tablissements utilis s pour l enseignement Tha lande 30 1 Lutte contre la l pre provinces du nord est oct 1955 fin 1965 8 FISE A la suite du projet pilote entrepris dans la province de Khonkaen dont l objet tait de faire conna tre les m thodes modernes de lutte contre la l pre notamment les m thodes de d pistage de traitement domicile et de surveillance des contacts former du personnel et tendre le programme de lutte toutes les r gions d end micit de la Tha lande Tha lande 30 2 Lutte contre la l pre provinces du nord mars 1962 fin 1965
601. uay 72 107 Vaccination et vaccins 44 BCG 7 84 brucellose 9 chol ra 19 45 enc phalite 14 fi vre jaune 14 hydatidose 10 leptospirose 10 poliomy lite 14 15 rage 10 rougeole 13 45 47 t tanos 19 114 trachome 15 variole 7 16 76 84 Voir aussi BCG Vaccins pr paration 85 102 109 120 associ dipht rie t tanos et coqueluche 19 BCG Cor e R publique de 135 dipht rie Indon sie 114 Jordanie 129 fi vre jaune Nig ria 99 poliomy lite Inde 114 t tanos Indon sie 114 Jordanie 129 variole 16 102 108 Nig ria 99 Variole 16 20 78 82 102 108 Bolivie 104 Br sil 72 Cambodge 136 C te d Ivoire 67 96 Equateur 72 105 Inde 75 76 Lib ria 67 98 Mali 67 N pal 115 Soudan 132 Vecteurs lutte contre 25 27 Bechuanaland 95 Lib ria 98 Venezuela 14 72 107 Viandes hygi ne 12 126 Viet Nam R publique du 4 21 31 32 88 89 90 135 140 Virologie voir Maladies virus Voies respiratoires virus 11 13 Y men 83 133 Yougoslavie 3 14 15 27 29 32 56 61 81 124 Zanzibar 66 101 Zones de d monstrations de sant rurale Gr ce 81 121 Liban 129 Somalie 132 Soudan 132 Zoonoses 9 12 72 102
602. ue Un contact permanent a t maintenu avec J Association du Transport a rien international en ce qui concerne les probl mes relevant du R glement sanitaire international CHAPITRE 3 HYGI NE DU MILIEU Approvisionnement public en eau Cinquante sept pays ont b n fici en 1963 d une aide dans le domaine 12 l approvisionnement public en eau et pour trente six d entre eux les programmes soutenus avaient pour principal objectif l am lioration d s r szaux d gt distribution Certains de ces projets ont t financ s par POPS L aide fournie rev t des aspects tr s divers puisqu elle tend la fois am liorer la construction l organisation et l exploi tation des r seaux et former le personnel n ces saire On citera titre d exemple deux projets financ s par le Fonds sp cial des Nations Unies et dont POMS est l agent d ex cution Ils comportent notamment 18 p paration de plans d ensemble pour l approvision nement en eau et la construction d gouts dans la zone urbaine du Grand Calcutta en Inde et dans la zone m tropolitaine d Accra Tema au Ghana ainsi que la c ation d une soci t d exploitation des ressources hydrauliques du Ghana la Ghanaian Water Resources Development Corporation qui b n ficiera de l aide internationale Ces deux projets commenc s en 1963 ont pour objet de stimuler le d velcppement de l approvisionnement public en eau da
603. ue possible au programme de d velop pement conomique Iran 42 Ecole de physioth rapie Chiraz sept 1961 ao t 1963 B Ce projet devait permettre de cr er une cole pour la forma tion de physioth rapeutes au centre m dical de Chiraz L OMS a envoy une monitrice de physioth rapie ainsi que des four nitures et du mat riel La monitrice de l OMS a pu am liorer et agrandir les installa tions du service de physioth rapie de l h pital de N maz e au centre m dical de Chiraz o tait install e l cole et elle a utilis celui ci pour des activit s de formation pratique et de d monstration Elle a organis un cours de trois ans pour la formation de physioth rapeutes et comme aucun homologue national n tait pr sent pour l assister au cours des deux ann es qu a dur le projet elle s est appuy e sur un conseil consultatif form de repr sentants de l cole Deux groupes de dix et de six l ves respectivement ont commenc suivre les cours en 1962 et 1963 Il a fallu interrompre pr matur ment ce projet parce que l cole n a pas b n fici de cr dits suffisants qu il n a pas t possible de trouver un homologue national et cause d autres difficult s d ordre administratif Le Gouvernement envisage toutefois de poursuivre T h ran la formation des l ves qui taient d j inscrits au cours Iran 200 Bourses d tudes B Lutte contre la tuberculose quatre sem
604. uela et Yougoslavie ils ont visit des tablissements d enseignement Moscou Leningrad Riga et Soukhoumi et ont observ le travail accompli par le personnel m dical de niveau interm diaire L OMS a pris sa charge les d penses des participants Interr gional 212 Essai de malathion sur le terrain 1962 1964 CSEP Effectuer sur le terrain un essai de malathion et notamment d terminer de fa on pr cise la valeur de cet insecticide pour linterruption de la transmission du paludisme Interr gional 213 Colloque sur ia protection radiologique dans l extraction et le traitement des minerais nucl aires Vienne 26 30 ao t 1963 B OIT AIEA Ce colloque organis par l OIT PAIEA et l OMS avait pour objet de rassembler des renseignements sur les probl mes pratiques pos s par l extraction et le traitement des minerais nucl aires ainsi que sur les normes actuelles de s curit Les cent dix neuf participants venaient des pays suivants Afrique du Sud Australie Autriche Belgique Bulgarie Canada Congo Brazzaville Espagne Etats Unis d Am rique France Hongrie Inde Iran Italie Japon Jordanie Kowe t Mexique Portugal R publique f d rale d Allemagne Roumanie Su de Tha lande et Yougoslavie Ils avaiznt t d sign s par leur gouvernement et tous avaient t invit s pr senter des commu nications En plus des trois institutions organisatrices 1 Agence europ enne pour l Energie
605. uellement un r le particuli rement important au Nig ria oriental ainsi qu au Cameroun Les activit s ainsi entreprises sont habituellement de nature apporter l ensemble de la collectivit des avantages imm diats tels que la construction de dispensaires et de centres de sant ou certaines r alisations dans les domaines de l assainissement et de l approvision nement public en eau Les activit s de protection maternelle et infantile poursuivies dans la R gion avec l assistance de l OMS contribuent au d veloppement des services de sant notamment dans les zones rurales ces activit s per mettent en m me temps d assurer la formation de personnel et l ducation sanitaire de la population d am liorer la nutrition et d intensifier la lutte contre les maladies transmissibles de l enfance A titre d exemple on peut mentionner le dispensaire de Kiheta dans le Burundi dont l ouverture en avril a marqu le d but de l ex cution du nouveau pro gramme de protection maternelle et infantile pr voyant l tablissement de toute une s rie de centres de sant ce dispensaire donne une ducation en mati re d hygi ne et de nutrition aux m res qui fr quentent les consultations pr natales et de p diatrie et il assure la formation pratique d infirmi res auxiliaires de la sant publique La plupart des projets ex cut s dans la R gion b n ficient galement de l assistance du FISE et ces travaux sont
606. ui soient plus efficaces plus simples ou plus conomiques POMS pr te son appui des tudes effectu es en Isra l et en Tunisie sur l am lio ration des m thodes de pr s lection des agents th ra peutiques en laboratoire ainsi qu des essais d appli cation au Maroc en Chine Ta wan et en Tunisie des m dicaments les plus prometteurs L Organisation aide pr sentement quinze Etats Membres mettre en uvre des programmes de lutte antitrachomateuse et plusieurs nouveaux projets sont envisag s dans un proche avenir Des tudes sont en cours sur les moyens d valuer la gravit relative des cas de trachome sur les incidences socio conomiques de cette maladie dans la collectivit et sur les m thodes d valuation des r sultats obtenus dans les programmes antitrachomateux Les articles consacr s au trachome qui ont paru dans le Bulletin de l OMS comprennent une tude sur la chimioth rapie et l antibioth rapie intermittentes par voie g n rale un compte rendu d enqu te sur 18 mor bidit due au trachome et aux autres ophtalmies trans missibles dans le district d H bron en Jordanie et un rapport sur des inoculations exp rimentales l homme de cultures de virus trachomateux auxquelles a proc d l Institut d Ophtalmologie de Tunis au cours de travaux visant mettre au point des techniques immunologiques des fins prophylactiques Bietti G B 1963 Bull Org mond Sant
607. uissante impulsion aux programmes sanitaires de la R gion 1 8 accept toutes ces recommandations voir galement page 70 comme Fexpression de la politique g n rale de FOPS et il a pri le Directeur de donner imm diatement effet la r solution XX concernant le programme de sant rurale Il a invit en outre le Directeur prendre les mesures n cessaires pour engager les gouvernements se conformer aux recommandations de l tat major concernant l radication du paludisme Afin de mobiliser des sommes plus importantes pour l am nagement d adductions d eau dans les r gions rurales le Comit r gional a vivement recommand de cr er un fonds de la sant rurale qui serait aliment par les contributions des Etats Membres et qui permettrait aux ministres de la sant dans tous les pays du continent de prendre les initiatives n cessaires la r alisation de programmes d approvisionnement en eau des zones rurales Les ressources du fonds seraient utilis es simultan ment avec les contributions vers es par les collectivit s int ress es L exp rience a montr en effet que les collectivit s rurales sont pr tes unir leurs efforts pour contribuer en nature et en esp ces l am nagement d adductions d eau et qu elles sont dispos es en outre payer l eau qui leur sera fournie Le Comit r gional a pris note avec satisfaction des travaux effectu s au cours des cinq derni res ann es dans le ca
608. ujet des programmes d radication crit res relatifs l interruption de la transmission au passage la phase de consolidation et la confirmation de l radication ont t revus et class s afin que leur application soit plus facile Le Comit a en outre indiqu les sujets sur lesquels devait porter en priorit la recherche appliqu e en mati re d radication du paludisme Ceux ci comprendront notamment 18 mise au point d une m thode simple et rapide pour l examen d une grande quantit d talements de sang en vue du d pistage des parasites la culture in vitro de parasites rythrocytaires des mammif res les rapports des facteurs g n tiques avec divers degr s de tol rance l infection paludique la fi vre associ e la parasit mie en tant qu elle constitue un moyen de d pistage l application de diverses m thodes pour d terminer sur le terrain l ge des vecteurs enfin la r alisation d am liorations dans emploi des pr para tions pharmaceutiques antipaludiques disponibles et 1 Bull Org mond Sant 1963 28 N 1 29 N 2 la recherche de nouveaux m dicaments action anti parasitaire plus efficace L OMS a fourni une assistance consid rable pour le d veloppement et la coordination des recherches sur le paludisme notamment en ce qui concerne 18 r sistance aux insecticides et aux m dicaments et la mise au point de nouvelles pr parations antipaludiques Cette orienta
609. ulose 7 l pre 7 autres maladies transmissibles 11 statistiques sani taires 7 services de sant publique et ruraux de sant 13 soins infirmiers 14 assainissement 7 assistance directe des tablissements m dicaux 8 autres services sp ciaux de sant publique 22 activit s diverses 28 Sur ce nombre on compte 13 projets inter pays L effectif du personnel de POMS affect aux op rations 8 t en moyenne de 140 L Organi sation 8 accord un grand nombre de bourses voir annexe 12 dont un tiers environ pour des tudes faire dans la R gion La lutte contre les maladies transmissibles reste la principale activit Elle a absorb environ 46 du budget r gional pour 1962 25 pour l radication du paludisme et 21 pour les autres maladies trans missibles Le programme d radication du paludisme dans cette R gion repr sente toujours par l importance de la population qu il int resse une part consid rable de la campagne mondiale laquelle participe l Orga nisation Les services nationaux sp cialis s ont acquis une exp rience consid rable et avec la collaboration du FISE de POMS et de l Agency for International Development des Etats Unis d Am rique les op ra tions progressent r guli rement dans la plupart des pays On 8 signal en 1963 une extension des zones o l on a pu cesser les pulv risations en Afghanistan Ceylan et dans l Inde si bien que la phase de cons
610. ums provenant de Tunisie a r v l la pr sence de virus transmis par les arthropodes qui sont ranger dans au moins deux groupes antig niques diff rents L OMS a soutenu les recherches pid miologiques s rologiques et virologiques entreprises dans la zone de Maprik Territoire de la Nouvelle Guin e par le personnel du centre r gional de r f rence pour l Australasie Elle a galement pr t son concours pour une enqu te pid miologique et s rologique sur les virus transmis par les arthropodes dans l Ouest australien Le centre r gional de r f rence pour l Europe centrale en Tch coslovaquie a entrepris des tudes cologiques sur le virus de l enc phalite tiques d Europe centrale Ainsi on a pu d terminer notamment la dur e de la vir mie et de la r action d immunit de diff rents vert br s h tes de ce virus De son c t le centre r gional de r f rence pour les Am riques poursuit activement ses recherches sur la fi vre h morragique pid mique en Argentine et sur l pid mie d enc phalite v n zu lienne au Venezuela Plusieurs laboratoires travaillent la fabrication de vaccins efficaces et s rs contre le virus de l enc phalite japonaise et d autres virus transmis par les arthropodes qui sont l origine de pouss es p riodiques dans diff rentes r gions du monde Les probl mes relatifs aux virus transmis par les tiques et les recherches dont ils font l objet ont t
611. upposait et qu elle est surtout fr quente chez la femme pendant et imm diatement apr s la grossesse Le m me mois POMS a organis Caracas une r union de chercheurs pour laborer un plan de recherches concert es dans les divers pays de l Am rique latine Un article sur le r le des folates dans l an mie m galoblastique a t publi dans le Bulletin L hypovitaminose A compte peut tre parmi les causes les plus importantes de c cit vitable chez l enfant dans certaines parties du monde Une enqu te pr liminaire a t effectu e en 1962 1963 dans trente neuf pays en vue de d terminer l ampleur de ce probl me En outre l OMS a accord une aide pour entreprendre en Jordanie des tudes pid mio logiques et des recherches connexes qui permettront peut tre d lucider certains aspects mal connus li s aux manifestations ophtalmiques de cette maladie de carence Conform ment une recommandation que le Comit OMS d experts sur l Appr ciation m dicale de l Etat de Nutrition avait formul e lors de sa r union Gen ve en ao t 1962 des travaux pr paratoires ont commenc en vue de la publication d un guide sur la m thodologie des enqu tes de nutrition L OMS a aid les gouvernements cr er des services de nutrition notamment en leur fournissant des services consultatifs et en participant des en qu tes ainsi qu l ducation du personnel de sant et de 18 population en g
612. ur les malades des h pitaux g n raux pour les vieil lards ainsi que la formation de sp cialistes et la cr ation d une cole d ergoth rapie Une cole de physioth rapie et d ergoth rapie a t ouverte les tudes durent trois ans Une consultante en physioth rapie a particip de mai ao t 1963 l tablissement d un programme de services de physio th rapie et l organisation d un programme de formation pour les physioth rapeutes de tous les centres pr fectoraux de r adap tation Elle a visit les centres de r adaptation et d autres tablissements r serv s aux diminu s physiques et elle a formul des recommandations visant l am lioration et l extension de ces services L Organisation envisage de renouveler son aide aux services de r adaptation Japon 200 Bourses d tudes B Administration des services infirmiers trois mois contr le des denr es alimentaires cinq mois et demi contr le des m dicaments contenant des radio isotopes trois mois contr le des stup fiants trois mois hygi ne de la maternit et de l enfance cinq mois hygi ne des ports et services de quarantaine trois mois inspection des produits pharmaceutiques six mois m thodes de purif cation des eaux cinq mois personnel de sant publique titres requis et formation douze mois statistiques d mographiques et sanitaires six mois Japon 201 Bourses d tudes AT Administration de la
613. ur les r sultats pid miologiques et s rologiques de cette enqu te Une surveillance pid miologique efficace des tr pon matoses end miques est indispensable si l on veut conserver le b n fice des r sultats d j acquis dans 18 lutte contre ces infections On tudie encore la possibilit d int grer finalement ces activit s de surveillance dans le programme g n ral des services sanitaires Cette surveillance exige galement une valuation p riodique des taux d infection fond e sur le d pistage s rologique en particulier chez les enfants et l valuation des campagnes de masse entreprises contre les tr pon matoses end miques a entra n un r examen de la signification des taux de s ror action sp cifique chez les enfants Des dispositions pr liminaires ont t prises pour l enqu te que l quipe consultative interr gionale doit effectuer au Nig ria oriental Cette enqu te et les tudes qui auront lieu ult rieurement en Afrique s inscriront dans le programme OMS d tudes pid miologiques et s rologiques sur les maladies virus Des chantillons de s rums pr lev s au hasard dans la population rurale seront galement envoy s aux banques de r f rence de s rums pour l tude des anticorps pr sents dans des conditions immunologiques et pathologiques autres que celles li es aux tr pon matoses Cette m thode a d j t utilis e en Tha lande et aux Philippines pays qui
614. urs ce sujet ainsi que sur les probl mes connexes de drainage et de construction d gouts dans la zone urbaine du Grand Calcutta Inde 175 Programme de sant publique Goudjerate juillet 1961 mai 1963 AT FISE Ce projet avait pour but de former du personnel et de ren forcer les services de sant dans les zones de d veloppement communautaire de l Etat de Goudjerate L OMS a envoy une infirmi re de la sant publique et un technicien de l assainis sement et livr des fournitures et du mat riel L aide de l OMS a port uniquement sur la partie du projet concernant les soins infirmiers et l assainissement L infirmi re de la sant publique et le technicien de l assainissement ont particip la cr ation de zones rurales de formation et l organisation de cours d orientation pour le personnel sanitaire rural ainsi qu la formation en cours d emploi des inspecteurs sanitaires Un programme de construction de latrines coordonn avec une campagne de lutte contre l ankylostomiase dans tout l Etat a b n fici d un important soutien de la population Les cours d orientation sont maintenant tablis sur des bases solides et la formation des inspecteurs sanitaires a t am lior e La preuve a t faite qu une action ducative men e par le personnel des services g n raux de sant publique aide beaucoup promouvoir l assainissement 114 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Inde 176 Jnstitut central
615. ursuivies en vue de perfec tionner l preuve tuberculinique standard recomman d e par POMS Celle ci est pratiqu e l aide de tuberculine PPD RT 23 stabilis e par addition d un d tergent non ionis On a cru tout d abord que ce stabilisant destin r duire les pertes par adsorption contribuait en outre accro tre la sp ci ficit de l preuve l gard de la tuberculose mais des tudes r centes ont montr qu il ne s agissait que d une modification insignifiante de l intensit de certaines r actions sans qu il existe de relation de cause effet entre ce ph nom ne et l origine de l ailergie Les r sultats pr liminaires obtenus en rempla ant ce stabilisant par de la g latine sont encourageants Afin d tudier s il serait possible d obtenir une distinc tion plus pr cise entre les r actions sp cifiques et non 1 Centre de chimioth rapie de la tuberculose 1963 Lancet 1 1078 Bull Org mond Sant 1963 28 455 475 sp cifiques la tuberculine des fractions de PPD ont t soumises des preuves pratiques l une d entre elles la fraction 403 8 donn des r sultats prometteurs Il convient d attacher un grand int r t du point de vue de lutilit de la vaccination par le BCG dans les pays en voie de d veloppement aux r sultats dont il est fait tat dans un rapport de contr le couvrant huit ann es d essais de BCG effectu s avec l assist
616. ute la port e des conclusions auxquelles a abouti un comit d experts de la r adaptation des malades souffrant de cardiopathies cong nitales rhumatismales ou isch miques d hypertension art rielle ou de c ur pulmonaire chronique Le comit a pr sent des faits tablissant qu une proportion lev e de personnes atteintes d affec tions cardio vasculaires pouvaient mener une vie utile et reprendre au bout d un certain temps un emploi lucratif condition que la r ducation ait t convenablement institu e assez t t apr s le d but de la maladie Il a galement d fini les grandes lignes de la r adaptation en tenant compte du type et de la gravit de l atteinte de l ge du sexe de ia formation professionnelle ainsi que de l attitude du sujet vis vis de la maladie et du travail Les enqu tes sur les l sions ath romateuses observ es l autopsie sur des personnes ayant v cu dans des milieux diff rents ont fait l objet des travaux d un groupe scientifique r uni dans le courant de l ann e 4 premi re vue leur int r t pratique pour la lutte contre l ath roscl rose qui demeure la principale cause de d c s dans un certain nombre de pays peut para tre un peu lointain Et pourtant on peut esp rer qu une tude comparative du degr de scl rose des coronaires et de l aorte en fonction des ant c dents cliniques des conditions sociales et du milieu des sujets autopsi s permettra d am liorer les l
617. utes l occasion de se familiariser avec les techniques les plus modernes dans un centre de r adaptation pour enfants physiquement diminu s o l on traite en particulier de tr s jeunes sujets L OMS a envoy un conf rencier Helsinki et accord des bourses quinze stagiaires venus des pays suivants Autriche Bulgarie Espagne Gr ce Italie Pologne Portugal R publique f d rale d Allemagne Suisse Tch coslovaquie Turquie et Yougoslavie Des repr sentants de la Conf d ration mondiale de Physioth rapie et du Bureau des Affaires sociales de Orga nisation des Nations Unies ont particip aux travaux EURO 223 1 Etude de l pid miologie et de l tiologie de 18 n phrite chronique 1962 1963 B Proc der des recherches sur une maladie r nale chronique de forme peu courante et d tiologie inconnue qui s vit l tat end mique dans certains pays du sud est de l Europe Des consultants sont all s tudier la maladie sur place et des cliniciens et anatomo pathologistes bulgares et yougoslaves ont re u des bourses pour se rendre dans diff rents instituts de n phrologie et dans des laboratoires de biologie clinique afin de se familiariser avec les m thodes de recherche sur le LISTE DES PROJETS EUROPE 119 rein et de convenir des crit res de diagnostic et de la termi nologie employer Deux conseillers temporaires de POMS ont assist au Congr s national de N phrologie qui s est tenu
618. utte contre les tr pon matoses 1956 fin 1965 B FISE Organiser un projet de lutte contre les tr pon matoses ult rieurement entreprendre des op rations de lutte contre le pian et la l pre par l interm diaire des quipes m dicales de campagne Togo 3 Paludisme Programme pr radication f vr 1962 1970 CSEP AT D velopper les ressources techniques op rationnelles et admi nistratives dans une mesure suffisante pour la mise en uvre efficace de chaque phase du futur programme d radication du paludisme Togo 8 Administration de la sant publique juin 1960 7964 AT Faire une tude sur les services de sant publique et mettre sur pied un programme de sant publique de cinq dix ann es Togo 13 Soins infirmiers 1963 fin 1965 B Organiser la formation d infirmi res et de sages femmes Togo 14 Education sanitaire janv 1962 fin 1965 AT D velopper l application des m thodes d ducation sanitaire dans le cadre des services de sant Togo 15 Programme d assainissement mars 1962 fin 1965 8 FISE Organiser au Minist re de la Sant publique une section de g nie sanitaire qui sera Charg e de planifier et de coordonner les activit s d assainissement dans le pays notamment pour les approvisionnements publics en eau et l vacuation des eaux et des mati res us es Togo 200 Bourses d tudes B Anesth siologie et r animation prolongation de quatre bourses pendant douze m
619. ux probl mes pos s par la cr ation de services de sant l intention des familles dans les r gions rurales le r le des services de sant dans l am lioration de l assainissement des r gions rurales et les mesures n cessaires pour r aliser ces am liorations les m thodes les plus efficaces pour assurer la participation des collectivit s aux programmes de sant rurale et les domaines o leur participation serait la plus utile notam ment la coop ration au niveau local des organismes sanitaires et des autres institutions tant locales que nationales ou inter nationales le degr de participation des services de sant rurale des programmes sp ciaux la mesure dans laquelle les besoins des agents ruraux de la sant en mati re de formation taient couverts ainsi que les m thodes permettant de d velopper cette formation Le s minaire r unissait vingt participants venant des pays suivants Born o du Nord Chine Ta wan les Fidji Japon Malaisie Papua et Nouvelle Guin e Philippines R publique de Cor e R publique du Viet Nam les Ryu Kyu Sarawak Singapour et Samoa Occidental On comptait galement huit observateurs venant des missions de l Agency for International Development des Etats Unis d Am rique au Cambodge aux les Ryu Kyu au Laos dans la R publique du Viet Nam et en Tha lande ainsi que de la Commission du Pacifique sud et du FISE Le Gouvernement chinois avait galement envoy trois
620. vants des collectivit s d o provient le mat riel ana tomique en question Dans la R gion africaine on tudie la possibilit d associer l tude des maladies cardio vasculaires d autres recherches teiles que les enqu tes sur la tuberculose organis es avec l aide de l OMS Des projets analogues sont l tude dans d autres R gions En plus des affe 1 5 ca dic vasculaires courantes telles que l hypertension les cardiopathies rhumatis males et l ath roscl rose ces travaux devront porter sur des maladies propres certaines r gions comme les cardiomyopathies mal d finies que l on rencontre assez fr quemment dans les zones tropicales et subtropicales On continue de mettre au point et d essayer des m thodes qui permettront d obtenir dans des collec tivit s diff rentes des donn es comparables sur 18 morbidit par maladies cardio vasculaires et sur les facteurs connexes On proc de actuellement l analyse des r sultats fournis par les tudes entreprises en 1962 sur le classement des douleurs cardiaques la mesure de la pression sanguine et les signes oculaires Huit laboratoires r partis dans le monde ont poursuivi leurs recherches en vue de mettre au point un syst me permettant de comparer les taux de cholest rol dans le sang Des projets de coop ration avec les banques internationales de s rums sont en cours afin d obtenir les s rums n cessaires pour les dosages de lipides
621. vernementales r gionales Pour ce qui est de la lutte contre la pollution de l eau et de l air l OMS collabore avec les commissions conomiques r gionales des Nations Unies la FAO la Banque internationale pour la Reconstruction et le D veloppement et l Organisation de Coop ration et de D veloppement conomiques Des tudes ont t pr par es pour le Comit de l Habitation de la Construction et de la Planification du Censeil conomique et social et les recommanda tions formul es par le Conseil ex cutif dans sa r solution EB31 R46 au sujet de proc dures efficaces pour les consultations inter institutions et pour la coordination des programmes dans ces domaines ont t communiqu es au Comit LOMS a particip un certain nombre de r unions convoqu es par l Organisa tion des Nations Unies et ses commissions conomiques r gionales pour tudier divers aspects de la question du logement voir aussi le chapitre 3 page 24 et elle 8 galement pris part l activit des groupes de travail CAC de l urbanisation et de l habitation et des instal lations collectives connexes Des consultations ont eu lieu entre le Comit ONU du D veloppement industriel et les institutions inter nationales en vue d une action coordonn e et concer t e en cette mati re L OMS a pr par des rapports sur les aspects sanitaires de la question du d veloppement industriel l intention du Comit consultatif d ex
622. visionnement en eau et elle a pr t son concours pour faciliter la mise en train des activit s de la division des eaux et gouts de l Administration des Travaux d utilit publique cr e par 16 Gouverne ment au d but de 1963 L OMS a d autre part conclu un contrat avec un bureau d ing nieurs conseils qu elle a charg d tablir un rapport sur la possibilit du point de vue technique et conomique d une extension du syst me de distribution d eau de Monrovia L enqu te sur place a d but en avril et ses r sultats permettront au Gouvernement de demander un pr t l Agency for International Development AID des Etats Unis d Am rique pour financer l tablissement des plans techniques d finitifs et la construction des gt DE L OMS EN 1963 ouvrages n cessaires l am lioration du syst me tant dans l imm diat qu long terme L OMS a envoy au Kenya une quipe de trois consultants sp cialis s dans 18 construction 16 financement l administration et le statut juridique des syst mes d approvisionnement public en eau En collaboration avec un expert de la FAO ces sp cialistes ont donn des avis au Gouvernement sur le d veloppement de l approvisionnement en eau des fins agricoles et domestiques Au Burundi au Dahomey en Guin e au Kenya au Lib ria au Nig ria septentrional et au Togo les ing nieurs sanitaires charg s par POMS de
623. visionnement public en eau Le Conseil d administration du Fonds sp cial des Nations Unies a approuv en janvier 1963 la demande d assistance pr sent e par le Gouvernement du Ghana en vue de la mise au point d un plan d ensemble pour l approvision nement en eau et 18 construction d gouts dans la zone m tropolitaine d Accra Tema Conform ment ce projet qui est dans sa phase op rationnelle POMS procure les services d un bureau d ing nieurs conseils pour l laboration de ce plan d ensemble l ex cution des tudes techniques pr liminaires et lestimation des d penses pour la premi re tape d un plan d approvisionnement en eau qui per mettra de porter la capacit quotidienne du syst me de 19 millions de gallons 40 millions ce qui correspond l estimation des besoins futurs de cette zone en 1970 L assistance apport e par POMS ce projet sera compl t e par l attribution de bourses d tudes destin es faciliter la formation des ing nieurs ghan ens qui assureront l exploitation des r seaux de distribution d eau et des gouts ainsi que par l envoi d experts charg s de donner des avis sur le programme et de faire le point des progr s r alis s L OMS a continu d aider le Gouvernement du Lib ria qui s efforce d am liorer le syst me de distri bution d eau de la ville de Monrovia Elle a donn des avis sur l exploitation et l administration de syst mes d appro
624. vit du trachome tablir un traitement mini mum par 165 antibiotiques qui soit efficace contre le type de trachome rencontr en Tha lande donner au personnel national une formation suppl mentaire qui le pr pare mieux la lutte contre les ophtalmies transmissibles entreprendre tous les chelons un programme progressif d ducation sanitaire tablir le plan d un programme de lutte plus vaste pour la zone o le trachome est end mique tudier et mettre en uvre tous les moyens conomiquement applicables qui permettent d tendre graduellement les soins donn s aux coliers et aux contacts familiaux de mani re ramener le r servoir d infection un niveau tel que les ophtalmies transmissibles ne posent plus un probl me de sant publique Tha lande 44 Statistiques hospitali res nov 1957 d c 1962 AT Ce projet avait pour but d am liorer les statistiques hospita li res et d instaurer des programmes de formation d archi vistes m dicaux et de commis statisticiens L OMS a envoy un statisticien un archiviste m dical et une st nodactylographe elle a accord trois bourses d tudes une de cinq mois et demi une de douze mois et une de vingt mois et demi et livr des fourni tures et du mat riel la fin de 1962 le programme de statistiques hospitali res en Tha lande s tendait vingt et un h pitaux totalisant 2124 lits et traitant en moyenne 48 000 malades par an Des formules standa
625. x d obst trique et de sant publique aux infirmi res chefs et aux infirmi res charg es de fonctions administratives dans les h pitaux et les services de sant publique AFRO 89 Equipe consultative pour l radication du paludisme juillet 1961 d c 1962 B Une quipe compos e d un paludologue d un entomologiste et de deux techniciens de laboratoire dot e de moyens de transport et de mat riel scientifique a men bien une tude d ensemble sur le paludisme dans le Protectorat du Bechua naland Outre une enqu te paludom trique dans les douze districts administratifs l quipe a effectu des enqu tes entomo logiques des tudes sur l organisation sanitaire de base et une estimation du co t d un programme d radication du paludisme d autre part elle a form des agents nationaux affect s l ex cution du projet antipaludique dans le Protectorat Les r sultats obtenus pr sentent une importance pratique pour les programmes d radication du paludisme dans cette partie de la R gion africaine AFRO 105 Centre de pr paration l radication du paludisme cours en anglais Yaba Lagos d c 1961 fin 1972 CSEP Former du personnel national notamment des ressortissants des pays de la R gion toutes les techniques d radication du paludisme AFRO 113 114 et 115 Equipes consultatives de lutte anti tuberculeuse 1962 71964 AT R unir les l ments n cessaires pour f
626. x recommandations du Comit d experts de la Trypanosomiase l OMS 8 accord un certain nombre de subventions pour la formation de chercheurs dans diff rents domaines techniques d immunochimie et de fractionnement des antig nes application moderne de la chimioth rapie de la trypanosomiase des animaux domestiques etc Un num ro sp cial du Bulletin de POMS a t consacr la trypanosomiase il renferme des articles traitant de divers aspects de l infection chez l homme et chez l animal domestique Helninthiases Donnant suite une recommandation de la conf rence africaine CCTA OMS sur l ankylostomiase qui s est tenue Brazzaville en 1961 l Organisation pr pare gr ce une subvention de la Fondation Rockefeller une nouvelle bibliographie sur ce sujet pour les ann es 1922 1963 Un Comit d experts des Helminthiases s est r uni en ao t Rio de Janeiro pour examiner les probl mes que posent les infections dues aux helminthes transmis par le sol Les sujets tudi s ont t les suivants facteurs r gissant la r partition et la fr quence des helminthiases pathog nicit relations entre le parasite 1 Laurence B R 1963 Bull Org mond Sant 28 229 234 5 Sasa M 1963 Bull Org mond Sant 28 437 454 3 Bull Org mond Sant 1963 28 N 5 6 MALADIES TRANSMISSIBLES 19 et l h te immunit m thodes prophylactiques et th rapeutiques actuelles et techniques
627. xternes de l h pital g n ral En liaison avec l ex cution de ce projet on poursuit une campagne s lective de vaccination par le BCG Chypre 10 Lutte contre la l pre juillet ao t 1961 d c 1962 AT Pendant deux mois en 1961 et nouveau pendant deux semaines la fin de 1962 un consultant a enqu t et donn des avis sur le probl me de la l pre Selon son rapport l radi cation de la maladie sera r alisable condition de soumettre les malades un traitement efficace d assurer la surveillance m dicale des contacts de prendre des mesures pour la d tection pr coce des cas et leur traitement imm diat et de pratiquer la chimioprophylaxie chez les enfants Le consultant 8 dress un plan d op rations qui a re u l approbation du Gouvernement Chypre 200 Bourses d tudes B Techniques de laboratoire douze mois Chypre 201 Bourses d tudes AT Education sanitaire douze mois soins infirmiers psychiatriques douze mois Ethiopie 3 Administration de la sant publique oct 1952 1965 AT Am liorer et d velopper les services pid miologiques et les services statistiques Ethiopie 6 Lutte contre la tuberculose mars 1959 fin 1964 AT FISE Elaborer et ex cuter un vaste programme national de lutte antituberculeuse enti rement int gr dans les services de sant publique du pays et con u en fonction des r sultats obtenus dans une zone pilote des environs d Addis Ab ba cr e
628. y rattachant les programmes mis sur pied au Gabon en Guin e et au Rwanda dans le domaine de la protection maternelle et infantile ainsi que les projets d assainissement int ressant la C te d Ivoire le Dahomey le Mali le Sierra Leone et le Togo et ceux qui ont trait la lutte antituberculeuse au Kenya Madagascar au Nig ria et au Swaziland Toutes ces mesures compl tent les nombreuses activit s dont il a d j t fait mention dans le pr sent chapitre en mati re de formation Assistance la R publique du Congo L opoldville L OMS a de nouveau procur la R publique du Congo L opoldville du personnel de liaison des conseillers des enseignants et un fort contingent de personnel op rationnel La formation compl men taire des assistants m dicaux s est poursuivie en France et en Suisse et des infirmiersdi pl m s ont continu s y perfectionner dans les travaux de laboratoire la radiographie la dentisterie et lento mologie Cinquante neuf membres du premier groupe d assistants m dicaux devaient obtenir leur dipl me avant la fin de 1963 On s est particuli rement efforc de renforcer les moyens de formation existant dans le pays m me et POMS a maintenu en mission six professeurs attach s la Facult de M decine de PUniversit Lovanium ainsi qu un professeur d administration hospitali re envoy L opoldville L cole d infir mi res de Lovanium a en outre b n f
629. yrie ET 2 a 2 Equateur 4 7 11 Tch coslovaquie 7 7 Espagne Le 11 5 16 Tha lande 4 4 Etats Unis 4 Am rique RR 108 69 177 Togo 1 1 F d ration de Rhod sie et de Trinit et Tobago 2 1 Nyassaland 2 2 Turquie 2 2 Finlande 4 2 4 Union des R publiques s socia France 78 p 80 listes sovi tiques 38 saa 38 Ghana 2 2 Uruguay 3 7 10 Gr ce 19 aus 19 Venezuela ND 6 1 7 Guatemala 1 28 29 Viet Nam R publique du 1 ee 1 Ha ti 20 EN 20 Yougoslavie LAA 17 as 17 Honduras 1 1 Apatrides 3 Es 3 Hongrie 1 1 D Inde 50 4 54 TOTAL 1295 336 1631 Indon sie 2 2 Irak 4 4 Iran 12 1 13 Ne sont pas compris dans les Irlande 10 1 11 chiffres donn s ci dessus Irag l 13 14 Personnel linguistique 87 4 91 Italie 2 44 44 Consultants court terme 67 14 81 Jamaique F 3 3 Personnel professionnel d ta Japon 13 13 ch aupr s de POMS ou en Jordanie 10 10 cong sans traitement 21 3 24 Liban 22 Ta 22 Agents au Congo z 171 171 Luxembourg 3 i 3 Personnel recrut localement 989 441 1430 Madagascar 1 1 Mexique 16 18 3 TOTAL G N RAL 2630 798 3428 160 ACTIVIT DE L OMS EN 1963 Annexe 11 TAT D AVANCEMENT DE L RADICATION DU PALUDISME EN 1963 1 PAYS O DES PROGRAMMES D RADICATION DU PALUDISME TAIENT EN COURS R gion africaine Afrique du Sud Maurice le R gion des A
630. zone o l radication du paludisme a t r alis e 5 Des plans ont galement t tablis pour des op rations antipaludiques au Congo Brazzaville en C te d Ivoire au Dahomey en Guin e espagnole au S n gal et au Sierra Leone ANNEXE 12 Annexe 12 161 BOURSES ACCORD ES PAR SUJETS D TUDE ET PAR R GIONS du 1 d cembre 1962 au 30 septembre 1963 Sujets d tude Organisation sanitaire et services de sant ADMINISTRATION DE LA SANT PUBLIQUE Administration de la sant publique Soins m dicaux et hospitaliers Construction d tablissements sanitaires Biblioth conomie m dicale Total pour l administration de la sant publique HYGI NE DU MILIEU Assainissement Habitat et urbanisme Hygi ne alimentaire Total pour l hygi ne du milieu SOINS INFIRMIERS Soins infirmiers Services infirmiers de sant publique Activit s m dico sociales Total pour les soins infirmiers HYGI NE DE LA MATERNIT ET DE L ENFANCE Protection maternelle et infantile P diatrie Total pour l hygi ne de Ja maternit et de l enfance AUTRES SERVICES SANITAIRES Sant mentale Education sanitaire M decine du travail Nutrition Statistiques sanitaires Hygi ne dentaire R adaptation KOA Contr le des pr parations pharmaceutiques et biologiques Total pour les autres services sanitaires TOTAL POUR L ORGANISATION SANITAIRE ET LES SERVICES DE SANT Pourcentage

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