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1. insecticide et de carburant Par ailleurs il importe de contr ler soigneusement le d bit et la taille des gouttelettes surtout lors des applications sous faible volume Les changements de d bit peuvent tre dus l effet des produits chimiques en particulier de certains solvants sur diff rents l ments tels que les 13 joints ou une pression insuffisante la buse Pour r duire le risque de pannes sur le terrain il faut d terminer l effet des nouvelles formulations sur les divers mat riaux utilis s pour la construction de ces types de mat riel La contenance des r servoirs d insecticide et de carburant d pend des taux d application et de la consommation de carburant 3 4 G n rateurs d a rosols Le mat riel d application d a rosols est con u et fabriqu express ment pour les pulv risations spatiales contre les moustiques adultes et autres insectes en vol son utilisation dans les programmes de lutte antivectorielle a pris de l ampleur ces derni res ann es Les g n rateurs d a rosols mont s sur v hicule sont particuli rement utiles pour r duire les populations de moustiques adultes dans les zones urbaines et suburbaines o les voies d acc s sont satisfaisantes Ils peuvent tre employ s conjointement avec des g n rateurs d a rosols port s sur le dos ou la main dans les zones qui ne peuvent tre int gralement trait es au moyen de machines mont es sur v hicule En ra
2. la main Les taux d application varient selon les lieux et les esp ces mais on a constat que pour lutter efficacement contre les larves de moustiques il fallait pr voir de deux cinq poissons au m Les r sultats ont t encourageants dans des localit s isol es de certains pays comme l Iran o l on a observ une r duction de l end micit palud enne depuis que l on a recours aux poissons larvivores 4 2 Moyens cologiques Les mesures cologiques de lutte antivectorielle comprenant la r duction des sources de vecteurs par limination des g tes larvaires la gestion des eaux de mani re les rendre impropres la reproduction des vecteurs et d autres mesures am lioration de l habitat par exemple dont le but est de pr venir la reproduction des vecteurs ou de diminuer les contacts homme vecteur Les dangers potentiels que repr sentent les g tes larvaires artificiels ct naturels de vecteurs du paludisme et d autres maladies associ es la pr sence de l eau sont souvent une source de pr occupations en parti culier lors des travaux d irrigation et d am nagement de retenues Il faut donc veiller ce que ces travaux soient correctement planifi s et ex cut s Il faut aussi effectuer des tudes afin de d terminer comment modifier les structures existantes et concevoir les structures nouvelles pour r duire au minimum la prolif ration des vecteurs L application de ces mesures exige souven
3. est encore employ pour des op rations de lutte antivectorielle Prenant acte du sch ma d valuation de l efficacit et de la s curit d emploi des agents biologiques de lutte contre les vecteurs de maladie reproduit l annexe 1 du rapport d un pr c dent comit d experts de POMS 7 le Comit a estim qu il tait difficile au stade actuel d identifier des probl mes parti uliers de s curit li s l application d agents de lutte biologique Il a n anmoins fait observer que les agents de lutte biologique qu ils se pr sentent sous forme de particules ou soient solubles dans l eau peuvent contenir des prot ines et tre antig niques Leur contact peut par con s quent provoquer des irritations cutan es ou respiratoires ou des r ac tions allergiques chez certains individus Ces inconv nients obligeront peut tre modifier lavenir les appareils utilis s Il se peut aussi qu ils imposent le port de v tements protecteurs du type d crit plus haut section 5 1 Diff rentes mesures d am nagement du milieu construction de barrages et de r seaux d irrigation par exemple peuvent avoir une influence positive ou n gative sur la pr sence et la densit des vecteurs en milieu tant rural qu urbain Afin de r duire au minimum les effets n gatifs une coop ration troite entre les diff rentes autorit s respon sables est essentielle en particulier lorsque les mesures prises risquent de cr er des co
4. g tation et dans les habitations pour lutter contre des cibles d termi n es Ces renseignements joints aux donn es concernant la sensibilit des vecteurs aux insecticides devraient faciliter le choix rationnel d une strat gie tenant compte de facteurs tels que la taille des gouttelettes le volume d application la concentration d insecticide et les conditions m t orologiques les plus favorables L pandage a rien d a rosols tr s faibles doses s est r v l efficace dans la lutte contre les mouches ts ts des formulations huileuses d insecticides ayant t utilis es raison d environ 10 g ha Il conviendrait d tudier l efficacit d applications spatiales analogues d autres formu lations y compris les poudres mouillables et les insecticides micro encapsul s 6 Pour tre efficaces les applications d a rosols en plein air doivent tre effectu es au moment opportun par rapport aux facteurs m t oro logiques et au comportement du vecteur en vol Si l pandage se fait par une l g re brise dans des conditions d inversion thermique l a rosol est dispers mais des gouttelettes demeurent dans l habitat du vecteur En milieu urbain les traitements doivent tre planifi s avec le plus grand soin car la forme et la disposition des difices influent beaucoup sur les d placements d air et cela vaut aussi pour les zones rurales o la v g tation en bordure des cours d eau
5. ristiques de fonctionnement Ce titre devient Caract ristiques de fonctionnement du bec 1 15 5 1 l tat neuf Note 2 en bas de page remplacer kN m par kPa 1 15 5 2 Apr s usure dans des conditions normalis es Supprimer la derni re phrase du premier paragraphe et le reste de la section 1 15 5 2 Ins rer la place Les becs de buse seront soumis intervalles de 4 litres aux essais d crits dans les sections 2 11 et 2 12 pour v rification du d bit et de la r partition volum trique du liquide jusqu ce que l usure soit telle que a le d bit d passe la limite accept e par l acheteur b la r partition du liquide s est d t rior e au del des limites acceptables c est dire quand i la largeur du palier devient inf rieure 65 de la largeur de la base i les pics et vall es d passent 30 de la hauteur du palier 1 Cette limite peut varier selon les programmes en fonction du type d insecticide de sa formulation et de son co t ainsi que du type et du co t du bec de buse utilis 40 iii les bords de la courbe sont irr guliers et pr sentent des pics ou des vall es atteignant le palier ou la base 1 16 Garnitures Ligne 5 remplacer kN m par kPa Ligne 7 supprimer le mot m talliques 1 17 Accessoires facultatifs 1 17 4 Soupape r gulatrice de pression Ligne 4 remplacer kN m par kPa 2 1 Essai d ta
6. 1211 Gen ve 27 Suisse 36 1 4 Dimensions Avant derni re ligne remplacer 69 cm par 70 cm Derni re ligne remplacer 21 6 cm par 22 cm 1 5 Poids Ligne 2 remplacer 6 8 kg par 7 kg 1 6 R servoir 1 6 1 Etanch it Ligne 2 remplacer kN m par kPa 1 6 2 Fatigue Ligne 3 remplacer kN m par kPa 1 6 4 R sistance la pression hydrostatique Derni re ligne remplacer kN m par kPa 1 7 Equipement du r servoir 1 7 2 5 Manom tre Ce paragraphe doit tre modifi comme suit Le pulv risateur devra tre muni d un manom tre mont plat de pr f rence du type mem brane avec une chelle allant de 0 700 kPa et construit en laiton en bronze ou tout autre m tal ou mat riau au moins aussi robuste et r sistant la corrosion Le logement de l l ment lastique doit tre con u de fa on emp cher qu un d p t ou une accumulation de produit n entrave le bon fonctionnement de cet l ment Dans le cas du type membrane l orifice d entr e devra comporter un filtre facilement d montable ou un autre dispositif destin emp cher l entr e des mati res en suspension Le couvre cadran devra tre incassable tanche l humidit et permettre une lecture facile de la pression r gnant dans le r servoir Un manom tre chantillon soumis aux essais d crits en 2 14 devra satisfaire aux condi tions stipul e
7. accro tre la vitesse de rotation des atomiseurs ainsi que les forces de cisaillement qui s exercent sur les gouttelettes mises de sorte que la granulom trie est plus fine que nagu re Des techniques de pulv risation par h licopt re d insecticides effet r manent mettant en uvre des dispositifs rotatifs actionn s par un moteur lectrique ont t mises au point au Nig ria pour lutter contre les mouches ts ts dans les savanes bois es et les for ts galeries o il est difficile d effectuer des pulv risations au sol C est dans une large mesure la nature de l habitat et la topographie qui d terminent le choix de telle ou telle technique ce choix peut aussi tre influenc par les m thodes traditionnelles de lutte contre les mouches ts ts telles que les pulv risations au sol effectu es d une mani re syst matique et s lective qui au Nig ria ont atteint un haut degr d efficacit 2 Il est n cessaire d am liorer le mat riel utilis pour les pulv risations par h licopt re d insecticides effet r manent afin de moins contaminer l environnement tout en d posant plus efficacement de fines gouttelettes dans l habitat des mouches ts ts On a aussi besoin d un mat riel simple et peu co teux pour r pandre des gouttelettes d a rosol partir d h li copt res et d avions en cas d pid mies de trypanosomiase mesure qu augmentent l ampleur et la complexit des op ra
8. choisis en fonction des circonstances dans lesquelles ils seront utilis s Il serait par exemple inutile d acheter des v hicules quatre roues motrices s ils ne devaient tre utilis s que dans des zones urbaines o les voies sont carrossables De m me les gros v hicules ne conviennent pas dans les r gions o les routes sont troites Les v hicules devraient autant que possible tre quip s de r servoirs suppl mentaires de carburant afin d avoir un plus grand rayon d action Ti peut en outre tre n cessaire d apporter certaines modifica tions aux v hicules pour les adapter aux besoins du programme qu il s agisse d ajouter des cabines protectrices ou des r servoirs d eau 27 Le Comit a estim qu il faudrait disposer d un petit v hicule quatre roues motrices pour transporter les appareils de pulv risation et le personnel dans les r gions difficilement accessibles L emploi d autres v hicules terrestres par exemple de v hicules amphibies trains de roues multiples a t examin par le Comit Bien que la possibilit d utiliser des v hicules amphibies pour la lutte antivectorielle n ait pas encore t tudi e de fa on approfondie il semble que ces v hicules pourraient pr senter un int r t r el dans les cas o le personnel le mat riel et les appareils de pulv risation doivent tre transport s sur des terrains difficiles et mar cageux Diff rents types d engins
9. de terrassement sont largement utilis s lors des op rations visant r duire les sources d infestation mais cette question n a pas t examin e en d tail par le Comit 6 2 Bateaux Des bateaux sont r guli rement utilis s dans le cadre du Programme de Lutte contre l Onchocercose dans le Bassin de la Volta surtout pour le transport du personnel charg d inspecter les g tes larvaires et dans une moindre mesure pour l application de produits larvicides Dans ce dernier cas les remous cr s par l h lice suffisent disperser le produit dans l eau Cependant on ne traite partir de bateaux que les empla cements qui sont difficiles traiter par voie a rienne Des bateaux sont galement utilis s dans une certaine mesure pour la lutte contre les mouches ts ts le long des rivi res Le mat riel d appli cation brumisateurs et g n rateurs d a rosol par exemple est mont sur le bateau et l insecticide est appliqu sur la v g tation des rives Des insecticides ont galement t appliqu s contre des moustiques adultes dans des marais mangrove l aide de g n rateurs thermiques d a rosols mont s sur des bateaux des op rations larvicides men es dans le m me type d habitat se sont aussi r v l es efficaces 6 3 V hicules coussin d air Le Comit a reconnu que l emploi de v hicules coussin d air pourrait tre envisag dans les r gions o aucun autre mo
10. hicule doit tre assez puissant pour actionner la pompe ou le compresseur sans effort excessif toute surcharge risquant d abr ger sa dur e de vie utile La puissance n cessaire d pendra de la pompe ou du compresseur pr vu ainsi que du type de buse Les g n rateurs d a rosols comportant une buse injection doivent tre dot s d une pompe alternative assurant une pression d air d au moins 690 kPa la buse La pompe doit aussi fournir une pression d au moins 83 kPa au r servoir d insecticide Les buses vortex sont aliment es en air par des compresseurs rotatifs assurant une pression d au moins 4i kPa Le personnel qui travaille proximit de ces machines surtout pendant de longues p riodes doit porter des prot ge tympan en raison du niveau de bruit tr s lev Le g n rateur doit pouvoir tre ais ment mont sur le v hicule ou retir de celui ci cet effet il sera dans toute la mesure possible construit en m taux l gers Pour assurer une couverture insecticide suffisante l int rieur des logements et autres b timents ouverts lors des programmes de d mousti cation de zones habit es le mat riel doit pouvoir produire un nuage d a rosols s tendant 8 m tres au moins de part et d autre du v hicule par vent faible a Conform ment aux recommandations internationales les pressions sont exprim es ici en pascals Le pascal Pa est une unit du Syst me international gale 1
11. l est un pays semi aride o les pr cipitations qui se produisent entre novembre et mars totalisent en moyenne 500 mm par an La politique du pays en mati re de mise en valeur et de gestion des eaux n a pas t con ue pour combattre les vecteurs elle a n anmoins eu pour effet gr ce aux mesures d crites ci apr s de r duire les populations de vecteurs dont l existence est associ e la pr sence d eaux de surface La mise en valeur des ressources en eau souterraine associ e de vastes travaux de drainage a abouti l ass chement de tous les tangs et mar cages et l interruption de l coulement des eaux dans le lit des rivi res pendant la saison s che L eau est stock e dans le sous sol par recharge artificielle des nappes phr atiques ce qui rend inutiles les r servoirs d eau en surface Ces mesures ont entra n la disparition de la majorit des habitats favorables la reproduction des moustiques En mati re d irrigation on s est efforc d assurer une utilisation plus efficiente de l eau en agriculture En adoptant la place de l irrigation par gravit des dispositifs d arrosage ou de percolation on a peu pr s limin les g tes larvaires dus l intervention humaine qui taient pr c demment l origine de risques consi d rables pour la sant En alimentant en eau courante 98 des m nages on a rendu inutile le stockage de l eau usage domestique qui
12. qui conviennent le mieux aux diverses formulations Constatant qu il existe dans le monde de nombreux types de mat riel d application des pesticides le Comit a estim que leur valuation devait se faire de fa on syst matique Il a approuv un projet cet effet voir annexe 1 en recommandant qu il soit d sign par l appellation Syst me OMS pour l valuation des mat riels d application des pesticides Il est 8 propos que POMS de concert avec la FAO s emploie promouvoir la mise en uvre de ce syst me 2 3 Achat La plupart des types de mat riel d application tant utilis s la fois dans l agriculture et les programmes de sant publique le Comit a sugg r que chaque pays mette au point un syst me permettant de coordonner les achats des mat riels choisis en fonction des sp cifications pertinentes La normalisation du mat riel utilis dans une zone d ter min e pourrait faciliter le d veloppement des services de vente et d apr s vente C est aux fabricants ou leurs agents qu il appartient d assurer un approvisionnement r gulier en pi ces de rechange de rem dier aux malfa ons pendant la p riode de garantie ainsi qu tous d g ts provoqu s par un emballage d fectueux et de monter et d essayer le mat riel de fa on qu il soit pr t l usage Il a t signal qu il existe d sormais certains organismes centralis s qui peuvent tre consult s au suj
13. s enflammer au contact d un tuyau d chappement br lant Quand on utilise du mat riel mont sur v hicule il faut constamment avoir des extincteurs port e de la main 3 Le manque de robustesse et de r sistance des mat riaux de fabri cation pose un grave probl me L emploi de mati res plastiques pour r duire le poids des appareils n est admissible que si la moindre r sistance de ce mat riau par rapport celle des m taux n entra ne pas une baisse de rendement ou d efficacit 11 4 Les vibrations sont souvent tr s g nantes pour l op rateur mais on peut les att nuer en faisant fonctionner le moteur plus bas r gime 5 Il est souvent difficile de faire d marrer le moteur des machines utilis es pour les applications de pesticides On peut y rem dier en veillant ce que soient respect s les man uvres effectuer pour le d marrage et le calendrier d entretien Le manuel d instructions du fabri cant doit donner des indications claires ce sujet ainsi que des rensei gnements d taill s tant sur le moteur que sur le pulv risateur Le Comit a constat que pour diverses raisons il arrive souvent qu une machine actionn e par un moteur explosion tombe en panne et il a propos que des tudes soient entreprises pour mettre au point d autres sources d nergie pour le mat riel d application des pesticides 3 2 Pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement
14. surveillance d envisager s rieusement de rem placer chaque fois que possible les v hicules moteur par des bicyclettes dont les co ts d utilisation et d entretien sont peu pr s nuls En outre les accidents de bicyclette risquent beaucoup moins d avoir pour les individus et le mat riel les graves cons quences qu ont presque toujours les accidents de v hicules moteur L utilisation de motocyclettes a t envisag e L opinion a t expri m e que ces engins pourraient jouer un r le utile dans les op rations de lutte antivectorielle surtout pour les activit s de liaison mais on a d autre part fait observer que leur emploi pourrait tre difficile dans les zones rurales faute de services suffisants d entretien et de r paration Certains probl mes pourraient tre vit s si les int ress s taient invit s acheter leur motocyclette et recevaient une allocation chaque fois qu ils lutiliseraient dans l exercice de leurs fonctions Des pr ts pourraient en outre tre consentis pour l achat des motocyclettes Les v hicules quatre roues sont le moyen de transport le plus cou ramment utilis pour les op rations de lutte antivectorielle et de ce fait repr sentent souvent une part importante des d penses de fonctionne ment Ces v hicules servent au transport du mat riel et du personnel et aussi de plates formes pour les appareils d application de pesticides Il importe que ces v hicules soient
15. une d cision est prise quant au type de mat riel employer pour une op ration donn e il faut examiner les diverses marques et les diff rents mod les disponibles et si possible les soumettre des essais afin de voir s ils sont conformes la norme relative aux caract ristiques de fonctionnement de ce type de mat riel Dans l valuation et le choix du mat riel il convient notamment de tenir compte des points ci apr s Le mat riel doit convenir tant par son type que par sa taille au genre d op ration de lutte antivectorielle envisag Le mod le choisi les pi ces de rechange et les services d entretien doivent tre disponibles dans la zone du programme Il faut tudier les caract ristiques de fonctionnement du mat riel l atelier et sur le terrain Il faut tenir compte du co t du mat riel y compris celui des pi ces de rechange dans la zone du programme L valuation correcte du mat riel n cessite des essais effectu s la fois l atelier et sur le terrain ces essais devant tre coordonn s par POMS et ses centres collaborateurs Pour les valuations en atelier les sp cifications appliqu es doivent porter tant sur le fonctionnement du mat riel que sur la fa on dont celui ci est construit mat riaux et dimensions elles doivent tre con ues en fonction des op rations de lutte antivectorielle entreprendre et des conditions qui r gnent dans la zone du progr
16. Ce rapport exprime les vues collectives d un groupe international d experts et ne repr sente pas n cessairement les d cisions ou fa politique officiellement adopt es par l Organisation mondiale de la Sant Aspecis techniques des op rations de lutte aniivectorielle Premier rapport du Comit OMS d experts de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle Organisation mondiale de la Sant S rie de Rapports techniques 603 Organisation mondiale de la Sant Gen ve 1977 ISBN 92 4 226603 2 Organisation mondiale de la Sant 1977 Les publications de l Organisation mondiale de la Sant b n ficient de la protec tion pr vue par les dispositions du Protocole N 2 de la Convention universelle pour la Protection du Droit d Auteur Pour toute reproduction ou traduction partielle ou int grale une autorisation doit tre demand e au Bureau des Publications Organi sation mondiale de la Sant Gen ve Suisse L Organisation mondiale de la Sant sera toujours tr s heureuse de recevoir des demandes cet effet Les appellations employ es dans cette publication et la pr sentation des donn es qui y figurent n impliquent de la part du Secr tariat de l Organisation mondiale de la Sant aucune prise de position quant au statut juridique des pays territoires villes ou zones ou de leurs autorit s ni quant au trac de leurs fronti res ou limites La mention de firmes et de produits commerciaux n impl
17. Le Comit a not qu il existe actuellement des pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement qui sont extr mement fiables du fait qu ils sont fabriqu s conform ment la Norme WHO EQP 1 R3 De nouvelles am liorations ont t apport es ces pulv risateurs apr s que des usagers eurent signal les points faibles de certains de leurs l ments On a notamment install un manom tre plus robuste accru la r sistance chimique certains solvants gr ce l emploi d un nouveau mat riau pour la garniture du couvercle de r servoir et modifi la fixation inf rieure des bretelles pour viter que le pulv risateur ne repose sur celles ci Le principal d faut de ce type de mat riel reste la diminution de la pression la buse pendant la pulv risation Le r gulateur de d bit disque n est pas g n ralement utilis par le personnel de terrain Il a t sugg r de mettre au point un r gulateur et un manom tre robustes afin d am liorer l efficience des pulv risations et de r duire le risque de conta mination pour l op rateur Du fait que certaines pi ces subissent une forte usure les ateliers et les quipes de pulv risation doivent observer un calendrier syst matique d entretien pr ventif de telle sorte que les becs de buse les joints et les soupapes soient remplac s temps 3 3 Brumisateurs moteur port s sur le dos Les brumisateurs moteur port s sur le dos conviennent aux a
18. able de la peson doit s FSU des l ments suivants du programme Formation th orique et pratique du personnel tous les niveaux direction cadres et agents pulv riseurs Installations appropri es pour l entretien et les r parations elles doivent tre pr vues dans le plan du programme Ateliers dot s d un personnel d ment form dont certains membres accompagneront les quipes de pulv risation sur le terrain pour y effectuer les r glages et petites r parations Le directeur du programme doit veiller ce que le contrat d achat du mat riel pr voie un approvisionnement suffisant en pi ces de rechange et ce que celles ci soient disponibles chaque fois que c est n cessaire Les op rations de lutte antivectorielle de grande envergure n cessiteront peut tre la cr ation d un service d approvisionnement et de distribution pour garantir que le mat riel et les pi ces de rechange n cessaires sont disponibles 10 3 MAT RIEL D APPLICATION DES PESTICIDES PROBL MES ET PROGR S 3 1 Introduction Le Comit a pass en revue les divers types de mat riel utilis s pour les applications de pesticides dans les op rations de lutte antivectorielle en se pr occupant plus particuli rement des probl mes que pose leur emploi et des progr s r alis s r cemment en vue d y rem dier Parmi les mat riels actionn s manuellement le plus r pandu est le pulv risateur pression pr
19. alable qui est utilis dans les programmes de lutte antipa ludique Bien entretenu ce mat riel donne des r sultats satisfaisants pendant dix ans ou plus dans les conditions d emploi sur le terrain Il subsiste n anmoins quelques probl mes m me avec les meilleurs mod les actuellement disponibles section 3 2 Le Comit a not que du mat riel actionn manuellement est aussi utilis pour les op rations de lutte contre les mouches ts ts surtout au Nig ria o les mesures adopt es comportent l application d insecticides effet r manent dans les p tes o les mouches se reposent pendant la saison s che Les pulv risateurs pression pr alable et jet continu sont pr f rables pour ce travail mais ils sont malheureusement difficiles obtenir l heure actuelle Le mat riel motoris continue poser des probl mes A l exception des quelques mod les qui pourraient tre jug s acceptables les machines utilis es comportent un ou plusieurs des d fauts suivants 1 Le mat riel est souvent trop lourd pour pouvoir tre utilis de fa on commode surtout dans les r gions o le r seau routier est m diocre 2 Avec le mat riel actionn par un moteur explosion il y a risque d incendie et plusieurs accidents se sont d ailleurs d j produits Ce risque est particuli rement grand dans le cas des machines port es la main ou sur le dos le carburant peut d border d un r servoir mal con u et
20. amme D s que le mat riel a subi avec succ s les essais en atelier il doit tre valu sur le terrain afin de d terminer s il convient l usage qui en sera fait dans la zone du programme et s il sera efficace contre le vecteur A ce propos le Comit a sugg r que des recherches soient effectu es en vue d am liorer les m thodes et les mat riels servant appr cier les effets des op rations de lutte sur les populations d arthropodes vecteurs et plus particuli rement en vue de mettre au point de meilleures techniques d chantillonnage pour la d tection des populations de faible densit Il importe que les r sultats des valuations faites en atelier et sur le terrain soient communiqu es avec toutes suggestions concernant d ven tuelles am liorations au fabricant et aux centres collaborateurs C est l un moyen important d obtenir une am lioration de la conception et du fonctionnement du mat riel d application des pesticides L exp rience montre en effet qu une grande partie du mat riel produit n est pas d une qualit technique satisfaisante et que bien souvent le fabricant ne donne pas l acheteur des instructions ad quates concernant l emploi l entre tien et les r parations De nombreuses formulations de pesticides ayant un effet nocif sur les composants du mat riel le Comit a propos que des essais soient effectu s en vue de d terminer quels sont les types de mat riel
21. ant par contact direct avec les insectes que pour les applications effet r manent gr ce au d p t des gouttelettes de forte taille Dans les pays en d veloppement les a ronefs ne sont pas beaucoup utilis s pour la d moustication sauf en cas d urgence lors d pid mies transmises par des vecteurs On a recours divers types de mat riel dont les rampes de buses les atomiseurs rotatifs et les dispositifs chappement thermique L atomiseur rotatif est le dispositif qui convient le mieux pour la production d a rosols mais il est co teux l achat et au montage sur l a ronef et si ce dernier ne peut se d placer qu assez lentement la taille des gouttelettes obtenues ne permettra pas de lutter efficacement contre les moustiques 17 Le Comit a tudi la question de emploi d a ronefs pour combat tre les maladies transmises par les moustiques en cas d urgence et il a constat que si l on dispose assez g n ralement d a ronefs de divers types en revanche le mat riel d application n cessaire fait sou vent d faut Les programmes de lutte contre les mouches ts is au moyen d a ro nefs ont pris de l extension depuis une dizaine d ann es Pour effectuer des applications successives d a rosols 25 30 um de DM on a large ment recours des bimoteurs quip s d atomiseurs rotatifs actionn s par le vent Ces bimoteurs se d placent 250 km h environ ce qui a permis d
22. areils d application rev t une grande importance dans les op rations de lutte contre les vecteurs Pour que les op rateurs puissent v rifier leurs caract ristiques de fonctionne ment en cours d emploi le Comit a recommand de les munir d instru ments de contr le tels que d bitm tres manom tres etc 3 La plupart des pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement ne comportent ni r gulateur de pression ni manom tre car ces instruments sont relativement co teux et fragiles Il faudrait mettre au point un r gulateur de pression et un manom tre robustes pour ces pulv risateurs 4 La plupart des appareils motoris s utilis s pour l application des pesticides sont actionn s par des moteurs explosion ce qui est l origine de pannes fr quentes dans les zones isol es o les moyens d entretien et de r paration sont limit s Il est recommand de rechercher pour ces appareils d autres sources d nergie 5 Les buses utilis es pour la production d a rosols sont souvent lourdes et volumineuses Il faudrait proc der des tudes en vue de mettre au point des buses convenant pour les g n rateurs d a rosols portatifs 30 6 Il convient de poursuivre les efforts entrepris pour mettre au point un mat riel permettant de produire et de diss miner des gouttelettes d insecticide dont la taille puisse tre maintenue dans une fourchette troitement d termin e Il serait souhai
23. ation de l habitat ont t appliqu es avec succ s en beaucoup d endroits Il faudrait envi sager d employer plus largement ces m thodes dans les programmes de lutte contre les vecteurs 17 Etant donn que dans certains pays on s est servi avec succ s de poissons larvivores contre les larves de moustiques le Comit a recommand la mise au point de mat riels de nature faciliter une pro duction rapide un transport s r et une diss mination efficace de grandes quantit s de tels poissons pour la lutte antivectorielle 18 Les agents de lutte biologique peuvent tre d t rior s lors de lapplication par les forces qui en assurent la dispersion par l exposition 32 des temp ratures lev es et par d autres facteurs Il faudrait donc pr alablement v rifier que les mat riels d application conviennent bien cet usage 19 Les structures artificielles qui modifient les conditions d coule ment des eaux peuvent influer sur la reproduction de nombreuses esp ces vectrices et r servoirs de maladies Le Comit a recommand d entre prendre des recherches pour d terminer comment on pourrait modifier les structures existantes et concevoir des structures nouvelles de fa on r duire au minimum la reproduction des vecteurs 20 Il faudrait tudier les moyens de r duire le risque de contamina tion grave encouru par les travailleurs lors du m lange des formulations d insecticides et du remplis
24. ats D autres brochures surtout celles qui d crivent l emploi du mat riel con u sp ci 9 fiquement pour les programmes de lutte antivectorielle pourraient fournir de pr cieux renseignements au fabricant ainsi qu ses ing nieurs ses vendeurs et ses repr sentants locaux Par exemple une brochure pourrait tre consacr e aux machines utilis es au sol pour l application d a rosols insecticides dans les programmes de lutte contre les moustiques adultes Il serait souhaitable que de telles brochures comprennent de nombreux graphiques et illustrations et notamment des vues clat es des machines Le Comit a sugg r d organiser des stages de formation pour les op rateurs et les m caniciens et de mettre au point en collaboration avec les fabricants des manuels r dig s en langue vernaculaire et d autres types de mat riel d instruction Les instructeurs pourraient utiliser de grands tableaux et illustrer leurs cours au moyen d auxiliaires audio visuels Les stages devraient tre consacr s en grande partie aux op ra tions sur le terrain aux r parations et l entretien 2 5 Gestion Une bonne gestion est indispensable pour assurer le succ s de tout programme de lutte antivectorielle depuis la planification et le calcul des prix de revient jusqu au choix du mat riel et des mat riaux appropri s la formation du personnel l ex cution du programme et son valuation ult rieure Le respons
25. be d au moins 20 cm de longueur 1 8 8 Dispositif de verrouillage de la poign e Ligne 2 lire le plus pr s possible de la position basse 1 9 Tube plongeant Ce paragraphe est modifi comme suit Le tube plongeant doit tre construit en laiton acier inoxydable mati re plastique etc et descendre au moins jusqu 1 cm environ du fonds du r servoir Son extr mit inf rieure doit tre coup e 45 de fa on emp cher tout blocage Il doit tre solidement attach son point d entr e dans le r servoir et en un point proche de son extr mit inf rieure 38 1 10 Cr pines Remplacer les deux premi res phrases par le texte suivant I pourra y avoir une ou deux cr pines S il y en a deux elles seront de dimensions gales et plac es en des points diff rents facilement accessibles du trajet du liquide entre l orifice du tube plongeant et l orifice d entr e de la vanne d obturation S il n y en a qu une elle pourra tre plac e dans la vanne d obturation Ces cr pines seront faites de Monel d acier inoxydable de mati re plastique de bronze ou de tout autre mat riau ayant des qualit s gales ou sup rieures de durabilit et de r sistance la corrosion Ligne 11 remplacer 2 4 mm par 2 5 mm 1 11 Tuyaux souples Modifier comme suit la premi re phrase Les tuyaux souples d usage g n ral doivent tre faits de caoutchouc naturel ou synth tiqu
26. citernes domestiques et une bonne hygi ne personnelle Il convient d encourager la ROIS participer l application de ces mesures 5 CONSID RATIONS DE S CURIT Le Comit a pris note des tudes sur la s curit d emploi des pesticides en sant publique men es dans le cadre du Programme OMS dessai et d valuation de nouveaux insecticides Il a galement examin de r cents rapports du Comit OMS d experts des Insecticides 3 4 rendant compte d tudes toxicologiques signalant les risques associ s l emploi de pesticides et recommandant des mesures de s curit particuli res Le degr d exposition des individus un pesticide et le niveau de pollution de l environnement d pendent en partie du genre d op ration ex cut e et en partie du type et des modalit s d utilisation du mat riel d application Le Comit a donc examin s par ment les probl mes de s curit li s aux diff rents types de mat riel utilis s 5 1 Moyens chimiques Les observations faites sur le terrain ont clairement d montr que les agents pulv riseurs surtout ceux qui proc dent au m lange sont davantage expos s que les autres personnels qui participent aux op ra 22 tions de lutte antivectorielle D apr s une enqu te 60 des op rateurs qui pr sentaient des signes d absorption de quantit s importantes de pesticide avaient t charg s du m lange Cela tient essentiellement ce que les produits
27. cro organismes et des n matodes dans les op rations de lutte biologique Toutefois comme les temp ratures lev es les forces de cisaillement et d autres facteurs risquent de d t riorer les agents de lutte biologique au cours de l application le Comit a jug souhaitable que l on tudie ces facteurs avant d employer ces agents En tout tat de cause rien n indique que l on puisse disposer avant plusieurs ann es des micro organismes n cessaires pour de larges applications pratiques dans la lutte biologique L utilisation des poissons larvivores demeure actuellement l chelle op rationnelle l unique moyen de lutte biologique contre les moustiques Une trentaine de pays se servent aujourd hui de poissons larvivores dans leurs programmes de lutte contre les anoph les Dans certains d entre eux des succ s limit s ont aussi t enregistr s dans la lutte contre les esp ces Aedes et Culex Des l chages massifs de poissons ont t effectu s en Iran depuis 1966 et en Afghanistan depuis 1971 Dans tout programme de lutte comportant l utilisation de poissons il faut r soudre les probl mes pratiques que posent l levage le transport et le stockage En Iran et en Afghanistan les poissons ont t lev s dans des collections d eau natur lles et artificielles La profondeur des bassins artificiels est un facteur critique car il faut prot ger les poissons du froid pendant l hiver Il s est PAIGE
28. dopt les amendements ci apr s la norme WHO EQP 1 R3 Les modifications en question ne portant la plupart du temps que sur quelques mots le Comit a d cid simplement d en donner la liste au lieu de publier in extenso le texte r vis qui constitue la Norme WHO EQP 1 R4 Pour permettre au lecteur de reconna tre plus facile ment les changements tous les l ments nouveaux introduits dans la Norme ou les passages de celle ci qui ont t modifi s sont imprim s ci apr s en italique E o E Les num ros de section et de paragraphe et les indications de ligne s appliquent la Norme WHO EQP 1 R3 telle qu elle figure aux pages 95 120 de la deuxi me dition de Mat riel de lutte contre les vecteurs 8 Eoo k 1 2 Mat riaux de construction Paragraphe 4 ligne 4 supprimer le mot m talliques Paragraphe 4 avant derni re ligne remplacer de laiton de bronze de cuivre ou de Monel par de laiton de bronze de cuivre de Monel ou de mati re plastique Paragraphe 5 premi re ligne lire Tous les joints d acier inoxy dable a Norme WHO EQP 1 R4 approuv e le 13 septembre 1976 par le Comit OMS d experts de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle b Pour obtenir le texte de la Norme WHO EQP 1 R3 s adresser Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle Mat riel Planification et Op rations Organisation mondiale de la Sant
29. e des appareils qui dans le monde entier pourraient tre utilis s en cas d pid mies propag es par des vecteurs 4 MOYENS DE LUTTE NON CHIMIQUES Les m thodes chimiques de lutte antivectorielle continueront tre appliqu es dans un avenir pr visible mais le Comit a constat que le public est de plus en plus sensibilis aux dommages que risque de causer l environnement une utilisation peu judicieuse des pesticides Par ailleurs d autres moyens de lutte sont devenus n cessaires du fait de 19 lapparition d une r sistance aux insecticides chez les vecteurs et de Paugmentation du co t des pesticides chimiques depuis quelques ann es Dans les ann es qui viennent il sera de plus en plus n cessaire de pr voir des op rations de lutte antivectorielle comportant une combinaison judicieuse de m thodes biologiques chimiques et cologiques 4 i Moyens biologiques La mise au point de m thodes biologiques de lutte contre les mous tiques suscite un int r t croissant depuis quelques ann es Les travaux de laboratoire ont r v l l efficacit potentielle de nombreux protozoaires bact ries champignons virus et n matodes et il semble que les essais pratiques auxquels ont t soumis certains de ces agents aient donn des r sultats extr mement encourageants D une mani re g n rale le mat riel et les techniques con us pour l application des pesticides conviennent aussi pour la diffusion des mi
30. e ou de vinyle et r sister aux formulations de pesticides ou d huiles sp cifi es par l acheteur Condition 1 supprimer la colonne Mati re plastique Condition 2 supprimer la colonne Mati re plastique rem placer 2800 kN m par 2800 kPa Condition 3 supprimer la colonne Mati re plastique remplacer 2800 kN m par 2800 kPa et 1000 kN m par 1000 kPa Condition 4 supprimer la colonne Mati re plastique remplacer 455 kN m par 455 kPa 1 12 Raccords pour tuyaux souples Ligne 6 remplacer kN m par kPa 1 13 Vanne d obturation 1 13 1 Construction Ligne 4 lire facilement accessibles en vue de neftoyages fr quents et rempla ables sans outils sp ciaux 1 13 5 Etanch it En a et b remplacer kN m par kPa 39 1 14 Lance 1 14 1 Description Aux lignes 9 10 lire la pression de fonctionnement maximale pr vue On peut facultativement utiliser une garniture fournie la demande de l acheteur pour garantir la totale tanch it 1 15 Buse Le titre de cette section devient Buse jet plat en ventail 1 15 1 Description La derni re phrase devient On pourra facultativement utiliser des garnitures en poly thyl ne ou autres mat riaux qui sont fournies la demande de l acheteur 1 15 3 Dimensions Ce titre devient Dimensions du bec 1 15 5 Caract
31. es particules de pesticides mises lors des applications sous VUF afin de pouvoir d terminer plus s rement la s curit demploi d une m thode donn e Le Comit a reconnu que l utilisation d appareils moteur expose les op rateurs des risques suppl mentaires ils peuvent par exemple tre bless s par les parties de l appareil qui sont en mouvement ou tre br l s Les tuyaux d alimentation en carburant doivent donc tre r gu li rement contr l s et s il y a lieu remplac s afin de r duire les risques de fuite et d inflammation Il faudrait d autre part que les constructeurs d appareils portatifs moteur tudient la possibilit de placer le r servoir de carburant aussi loin que possible du moteur et de bien prot ger le tuyau d chappement Afin d am liorer la s curit et le confort de l op rateur il conviendrait aussi de r duire les bruits et les vibrations produits par les moteurs qui actionnent la soufflerie des pulv risateurs port s sur le dos Lorsque le niveau sonore proximit de l oreille est sup rieur 90 db l op rateur devrait porter des prot ge tympan Toutes les personnes qui utilisent ou entretiennent des appareils servant l application de pesticides devraient porter des v tements protecteurs dont le type d pendra de l tat physique de la formulation utilis e comme il est indiqu dans la Classification recommand e des Pesticides en fonction des Dangers qu ils pr se
32. espondent exactement la fourchette granulom trique applicable ces cibles les insecticides auront une plus grande efficacit biologique les doses n cessaires seront moindres et partant les risques de contami nation de l environnement seront r duits au minimum La granulom trie optimale des gouttelettes d pend de la strat gie adopt e selon que les substances appliqu es ont pour but de d truire les larves ou les imagos et dans ce dernier cas selon qu on proc de par pulv risations spatiales ou par traitement effet r manent des g tes lectifs du vecteur Le choix de la strat gie d pendra en grande partie du comportement habituel de la cible mais il est pr voir qu on aura de plus en plus recours des applications successives soigneusement chelonn es d insecticides non persistants De tels traitements doivent couvrir une surface assez vaste en peu de temps afin d emp cher toute r infestation imm diate partir des zones limitrophes mais ils doivent aussi tre limit s dans le temps et dans l espace afin de r duire au minimum le risque du d veloppement s lectif d une r sistance chez les vecteurs Le Comit a not qu il faudra proc der des recherches plus pouss es pour d terminer les caract ristiques de production et de dispersion des gouttelettes de diverses tailles appliqu es dans diff rentes conditions m t orologiques ainsi que la p n tration des gouttelettes travers la v
33. et dans les zones bois es abrite des vecteurs Il peut se r v ler n cessaire d employer simultan ment du mat riel transport la main et du mat riel mont sur v hicule quand certains des g tes traiter ne sont pas accessibles par la route De m me l pandage a rien pourra tre compl t par des traitements au sol dans des p rim tres bien d termin s Le Comit a sugg r de poursuivre les recherches en vue de mettre au point toute une gamme de mat riel allant des appareils portatifs aux buses mont es sur a ronef qui permette de contr ler dans des limites tr s troites la taille des gouttelettes Il faudra veiller emp cher la contamination de l op rateur r duire les besoins en nergie et rame ner au minimum les pertes et la contamination provoqu es dans l envi ronnement Il faudra galement tenir compte des investissements et des d penses d exploitation qu entra nent le mat riel de sa robustesse et de sa facilit d entretien Quand il est possible de choisir entre plusieurs formulations d un pesticide il faut donner la pr f rence celle qui sera la moins toxique pour l homme et la moins dangereuse pour le milieu ambiant Il est galement souhaitable mais pas toujours r alisable de proc der une analyse co t efficacit compl te des diff rentes techniques d application existantes avant d opter pour telle ou telle strat gie 2 2 Evaluation du mat riel D s qu
34. et de la production de l valuation et de lachat du mat riel Le Comit a recommand que les services d achats coordonnent leur activit avec celle de ces organismes afin d obtenir des conditions favorables aupr s des fabricants L acquisition du mat riel sp cialis uniquement utilis pour les pro grammes de sant publique pourrait sans doute tre effectu e l chelon r gional par l interm diaire d institutions internationales telles que POMS et le FISE Le Comit a sugg r que les usagers participent acti vement am lioration et au perfectionnement du mat riel d application en signalant aux fabricants les difficult s qu ils rencontrent sur le terrain 2 4 Formation Le mauvais fonctionnement et les pannes sont dus bien souvent l insuffisance des instructions concernant l utilisation et l entretien du mat riel Le mode d emploi fourni par le fabricant manque fr quemment de pr cision et de clart et dans la plupart des pays il n est pas r dig dans la langue vernaculaire L OMS devrait favoriser la production de manuels ou de brochures succincts d crivant les diverses m thodes d application et les types de mat riel qui existent pour tel ou tel programme de lutte d termin Certains manuels devraient fournir des renseignements destin s express ment l agent pulv riseur et au m canicien charg de l entretien au directeur et aux cadres du projet et l agent du service d ach
35. favorisait auparavant la reproduction des moustiques On a simultan ment mis en place des r seaux d vacuation des eaux us es afin d am liorer la salubrit g n rale de l environnement et on utilise pour l irrigation apr s traitement l effluent secondaire des eaux us es ce qui permet d am liorer encore davantage l environnement et de r aliser des conomies d eau 4 Le Comit a estim que la politique de gestion des eaux d crite ici sans tre universellement applicable peut tre efficace contre les vecteurs de maladie dans d autres pays semi arides 43 D autre part l application d herbicides sur les bords des collections d eau qui subsistent a permis de r duire de 30 40 le co t total de la lutte antivectorielle Celle ci est men e au moyen de mat riels fabriqu s sur place et qui peuvent servir aussi bien en agriculture qu en sant publique On utilise galement des poissons herbivores pour emp cher la prolif ration des algues dans les grands r servoirs ce qui contribue encore am liorer la qualit de l eau La pratique de l irrigation en agriculture exige parfois l introduction dans l eau de pesticides et notamment d herbicides d o un risque de pollution des approvisionnements en eau potable On adopte actuellement des mesures d ordre juridique administratif et technique pour pr venir ce risque R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES OMS S rie de Rapports tech
36. ication tandis qu en Afrique orientale on a aussi recours aux brumisateurs pour appli quer des insecticides non r manents y compris des formulations VUF Depuis 1970 des mesures de lutte contre Aedes aegypti sont prises dans les zones urbaines de la Tha lande lors des pid mies provoqu es par ce vecteur Elles consistent appliquer des a rosols et brouillards d insecticides pour tuer les moustiques infectants aux alentours et l int rieur des habitations L agent pulv riseur parcourt les rues en braquant la lance du brumisateur sur les portes et les fen tres afin de r partir l insecticide l int rieur des pi ces Certains indices donnent penser que les grosses gouttelettes ont un certain effet r manent Avec l emploi croissant des applications sous VUF et partant des brumisateurs moteur port s sur le dos le manque de fiabilit du moteur est devenu lun des principaux probl mes Le d marrage difficile des moteurs deux temps et la surchauffe sont g n ralement dus un d faut d entretien lequel s explique en partie par une formation insuffisante du personnel Les erreurs les plus fr quentes sont l emploi d un m lange deux temps mal dos l encrassement des bougies l endommagement du d marreur et le manque d entretien des filtres air et des carburateurs Certains mod les tant lourds l op rateur se fatigue assez vite et il arrive que des fuites se produisent au niveau des robinets d
37. ie m dicale D partement des Sciences m dicales Bangkok Tha lande Vice Pr sident M C W Lee Scientific Secretary Centre for Overseas Pest Research College House Wrights Lane Londres Angleterre Rapporteur D M Privora Institut d Hygi ne et d Epid miologie Prague Tch coslovaquie D B S nchez D as Chef du D partement de lutte contre les vecteurs et les r servoirs de maladie Minist re de la Sant et de l Assistance sociale Maracay Aragua Venezuela D T Takenaga Institut du Machinisme agricole Saitama ken Japon M C S Tarimo Directeur adjoint Institut tropical de Recherche sur les Pesti cides Communaut de l Afrique orientale Arusha R publique Unie de Tanzanie s Repr sentants d autres organisations M A Adam Sp cialiste des Pesticides Division de la Production v g tale et de la Protection des Plantes Organisation des Nations Unies pour l Alimen tation et l Agriculture Rome Italie Secr tariat D N C Gratz Chef Ecologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle OMS Gen ve Suisse Secr taire Dr G A Matthews Overseas Spraying Machinery Centre Imperial College Field Station Silwood Park Ascot Berkshire Angleterre Conseiller tem poraire D G A Mount Research Entomologist Insects Affecting Man Research Laboratory United States Department of Agriculture Gainesville FL Etat
38. ifs pour la production d a rosols partir d h licopt res car dans certaines conditions le courant d air vertical provoqu par le rotor permet une meilleure r partition de l insecticide De plus les h licopt res peuvent tre plus ais ment disponibles que les appareils voilure fixe en cas d urgence Des op rations de d moustication sont ex cut es dans de nombreuses r gions du monde tant t d une mani re syst matique tant t pour faire face des situations d urgence L utilisation des a ronefs est tr s efficace lors des pouss es de maladies transmission vectorielle comme celles qu on a enregistr es dans diverses r gions d Asie d Afrique et d Am rique du Sud Ces derni res ann es des flamb es d enc phalite ont pu tre endigu es aux Etats Unis d Am rique gr ce des programmes de pulv risations par a ronef con us pour d truire le moustique qui transmet cette maladie L pandage de produits chimiques en granul s par opposition au poudrage et les pulv risations grossi res donnent des r sultats extr me ment satisfaisants contre les larves de moustiques sur l eau et d une mani re g n rale partout o l on souhaite d poser un produit effet r manent Les applications a riennes produisent g n ralement un large spectre de gouttelettes se situant entre le brouillard et les pulv risations fines Elles sont efficaces aussi bien comme pulv risations spatiales agiss
39. ique pas que ces firmes et produits commerciaux sont agr s ou recommand s par l Organisation mondiale de la Sant de pr f rence d autres Sauf erreur ou omission une majuscule initiale indique qu il s agit d un nom d pos IMPRIM EN SUISSE TABLE DES MATI RES Le Introduction o an ut a de nt Go ape Nr to las Mn a 2 Mat riel d application des pesticides consid rations g n rales Dal Strat gie cire as M de nds t nf tan US cn de aih Qt in ed 2 2 Evaluation du mat riel 2 3 Achat Die sn che M ets a es Aves Me HE Ne AE nl 28 2 4 Formation o e ow su ah ou a ut Ludo moi Mo ENS E ai 2 5 Gestion 425 2 a ata a ap aa a e e aa a SG 3 Mat riel d application des pesticides probl mes et progr s 3 1 Introduction 3 2 Pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement 3 3 Brumisateurs moteur port s sur le dos EE 3 4 G n rateurs d a rosols 3 5 Mat riel mont sur a ronef E E 4 Moyens de lutte non chimiques 4 1 Moyens biologiques 4 2 Moyens cologiques ont SRE as 5 Consid rations de s curit e a E E 5 1 Moyens chimiques RE E E E 5 2 Moyens non chimiq
40. ise conception et un entretien d fectueux du mat riel qui peuvent conduire un d faut d tanch it de la vanne d obturation au blocage de la buse etc Des filtres appropri s install s au niveau du tuyau d arriv e du pesticide r duisent le risque d obturation du bec de la buse et par cons quent la fr quence des nettoyages n cessaires En cas d appli cation de pesticides de toxicit relativement lev e il faut viter d utiliser des buses usage multiple dont le bec doit tre chang manuellement lorsque l on veut modifier le type de pulv risation Au cours des op rations de pulv risation notamment l int rieur des habitations l op rateur doit tenir la buse aussi loin de lui que possible pour r duire le risque de contamination Cela dit la longueur de la lance est videmment limit e par la n cessit de pouvoir man uvrer l appareil l int rieur des habitations Pour que les gouttelettes ne risquent pas de rejaillir de la surface trait e la pression dans les buses hydrauliques doit toujours tre inf rieure 300 kPa Les fortes concentrations de pesticides fr quemment utilis es pour les applications sous volume ultra faible VUF demandent des pr cau 23 tions particuli res ainsi qu un entra nement sp cial pour rem dier aux fuites et aux d versements accidentels ainsi que pour corriger la d rive due au vent Il faudrait mieux tudier les caract ristiques et le devenir d
41. ison des avantages qu ils pr sentent sur le plan conomique et du point de vue de la protection de l environnement les g n rateurs d a rosols mont s sur v hicule ont remplac dans certaines r gions pour les programmes de d moustication les g n rateurs thermiques servant aux applications sous volume lev Ils ont notamment pour avantages de permettre un meilleur contr le de la taille des gouttelettes qui ainsi se d posent mieux sur les insectes en vol et de r duire les risques d accidents de la circulation que provoquent souvent les brouillards produits par les g n rateurs thermiques En revanche les g n rateurs d a rosols mont s sur v hicule sont lourds et co teux et ne peuvent pas tre utilis s dans les r gions d pour vues de routes ou de pistes La plupart des g n rateurs de ce type n tant pas dot s d instruments suffisants pour garantir un fonctionnement correct le Comit a sugg r qu il soit rem di cette lacune Etant donn que les g n rateurs d a rosols portatifs peuvent tre utilis s autour des habitations et que leur d bit est souvent trop faible il serait souhaitable que contrairement ce qui est g n ralement le cas ils soient munis d une soufflerie afin que les gouttelettes puissent tre projet es l int rieur des b timents On a constat que pour lutter contre les moustiques adultes la taille optimale des gouttelettes d insecticide correspond u
42. lement cr es dans la zone par d autres maladies transmission vectorielle il faudrait fournir au Pro gramme des mat riels d pandage a rien utilisables pour combattre d autres vecteurs 10 On ne dispose pas toujours d a ronefs quand il se produit une pid mie de maladie transmission vectorielle Le Comit recommande par cons quent de tenir constamment jour une liste des a ronefs dispo nibles dans diff rentes parties du monde afin qu il soit possible d obtenir rapidement les a ronefs n cessaires 11 Il convient de poursuivre la mise au point des mat riels sp ciaux d pandage a rien utilis s pour d truire les larves de simulies afin d en am liorer la pr cision et le rendement 12 Pour valuer les diff rentes techniques de lutte antivectorielle et les mat riels d application de pesticides sur le terrain il faut disposer de moyens fiables d chantillonnage des populations vectorielles le Comit 31 a par cons quent recommand d entreprendre des recherches en vue de mettre au point des dispositifs plus perfectionn s pour l chantillonnage des insectes et en particulier pour la d tection de populations de faible densit 13 Les mat riels de lutte antivectorielle ne pouvant tre efficaces que s ils sont correctement entretenus et r par s il convient d organiser des cours de formation l intention des op rateurs et m caniciens qui sont confi s ces mat riels P
43. m sur le sol de la pi ce en veillant ce que celle ci soit relativement tanche Pair et ce qu il n y ait pas de courant d air b orienter la buse de telle sorte que l a rosol p n tre dans la pi ce par une porte ou une fen tre c faire passer le g n rateur devant l ouverture la vitesse d applica tion normale d fermer la fen tre ou la ns e attendre deux heures pour que les gouttelettes d a rosol se d posent sur la lame de verre On pourra alors mesurer et calculer la taille des gouttelettes selon les m thodes d crites dans un rapport pr c dent 1 Le Comit a jug n cessaire de poursuivre les recherches pour mettre au point des techniques simples et peu co teuses de contr le permanent de la taille des gouttelettes qui puissent tre appliqu es sur le terrain notamment pour les gouttelettes correspondant la gamme des a rosols 16 3 5 Mat riel mont sur a ronef Les a ronefs continuent jouer un r le important pour l application des pesticides dans les programmes de lutte antivectorielle et ils peuvent aussi tre utilis s pour l pandage rapide d insecticides en cas d pid mie propag e par un vecteur Comme on le verra plus loin les applications d a rosols au moyen d a ronefs voilure fixe se sont r v l es efficaces pour lutter contre plusieurs vecteurs de maladies mais le Comit a estim qu il serait utile de mettre au point des disposit
44. manipul s par ces op rateurs par exemple les poudres dispersables dans l eau contiennent des concentrations lev es de substances actives Dans les programmes de grande envergure il con viendrait d utiliser chaque fois que possible des m langeurs semi auto matiques ou ferm s Le Comit a not qu un m langeur ferm efficace avait t r cemment mis au point et il a estim que si ce dispositif pouvait tre mis en vente assez bas prix le probl me de la contamination due la manipulation des pesticides serait en grande partie r solu Le Comit a propos que des tudes soient entreprises sur les moyens de r duire les risques de contamination lors du m lange et de l application des pesticides L utilisation de pesticides pr emball s dans des sachets de plastique tiquet s contenant la quantit n cessaire pour une charge du r servoir vite d avoir peser les concentr s sur le terrain ce qui r duit le risque de contamination et garantit que le dosage est correct Cette m thode r duit aussi les fuites et les gaspillages qui peuvent se produire lorsque des m langeurs de grande capacit sont utilis s sur le terrain et diminue le risque d exposition des enfants et des animaux domestiques Il faut s assurer que les sacs et autres r cipients ayant contenu les pesticides sont rejet s dans de bonnes conditions de s curit 5 Parmi les causes de contamination de l op rateur il faut citer la mauva
45. marches directes aupr s des fabricants Informations et rapports Publicit des fabricants Collationnement des donn es et choix pour valuation de mat riels pouvant convenir Evaluation et modification au laboratoire iH Fabricants Evaluation des r sultats des preuves de laboratoire et choix des mat riels essayer sur te terrain Projets en cours d ex cution Evaluation sur le terrain Centres collaborateurs Collationnement des r suttats obtenus au kboratoir et sur le terrain Pr paration des rapports d valuation PE CEA WHO 77246 oa m mmi VI Fabricants Toutes demandes de renseignements et toute correspondance concernant l valuation de mat riels doivent tre adress es Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle Mat riel Planification et Op rations Organisation mondiale de la Sant 1211 Gen ve 27 Suisse 35 Annexe 2 NORME R VIS E APPLICABLE AU PULV RISATEUR PRESSION PR ALABLE ACTIONN MANUELLEMENT Depuis que le Comit OMS d experts des Insecticides 1 a approuv en 1970 la Norme WHO EQP 1 R3 divers l ments nouveaux sont intervenus et une exp rience consid rable a t acquise en mati re de pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement En cons quence le Comit OMS d experts de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle a examin et a
46. n cas d urgence 7 NORMES Le Comit a examin et adopt les modifications qu il tait propos d apporter la norme WHO EQP 1 R3 concernant les pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement La norme r vis e WHO EQP 1 R4 est reproduite en annexe 2 au pr sent rapport 29 Le Comit a insist sur l importance des normes A son avis les normes nouvelles devraient s appliquer surtout aux caract ristiques de fonctionnement du mat riel et il conviendrait pour les laborer d utiliser les proc dures d essai que pourra recommander l Organisation interna tionale de Normalisation Il faudrait tablir des normes de fonctionne ment pour les brumisateurs moteur port s sur le dos et pour les g n rateurs d a rosols mont s sur v hicules Il faudrait aussi envisager d laborer des normes applicables par exemple aux appareils d appli cation utilis s sur divers types d a ronefs dans des situations d urgence et aux pulv risateurs transport s la main et fonctionnant sur accumulateurs 8 RECOMMENDATIONS Le Comit a formul les recommandations suivantes 1 De nombreuses formulations de pesticides peuvent d t riorer les appareils d application Il faudrait donc proc der des essais avec diverses formulations couramment utilis es pour d terminer quels sont les mat riaux qui conviennent le mieux pour la construction de ces appareils 2 Le bon fonctionnement des app
47. n diam tre m dian DM de 10 20 microns um Ce degr d atomisation peut tre obtenu au moyen d une buse vortex avec un d bit d insecticide de 30 14 450 ml min et de lair comprim 28 41 kPa Il existe un second type de buse fonctionnant avec de l air comprim 552 690 kPa et fournissant un d bit de 90 130 ml min Le Comit a examin sous divers aspects les g n rateurs d a rosols comportant des buses deux fluides Il a t convenu que le syst me de r gulation devrait comprendre un d bitm tre transparent et une soupape pointeau ou autre l ment ajustable permettant de contr ler avec pr cision des d bits d insecticide de 30 600 ml min Le d bitm tre et la soupape contr lant l arriv e d insecticide doivent tre mont s sur un tableau de bord situ dans l habitacle du v hicule Ce tableau doit aussi comprendre des indicateurs de la pression et du volume de l air la buse ainsi qu un thermom tre pour mesurer la temp rature de l insecticide au passage du d bitm tre S il y a lieu on installera un dispositif de contr le de la pression de l air dans le r servoir d insecticide Toutes les pi ces du d bitm tre qui sont en contact avec l insecticide doivent tre fabriqu es en mat riaux r sistant la corrosion tels que le verre le poly thyl ne le polyt trafluoro thyl ne le nylon ou l acier inoxydable Le moteur des machines mont es sur v
48. nch it du r servoir Ligne 6 remplacer kN m par kPa 2 3 Essai de r sistance du r servoir au choc en chute libre Ligne 4 remplacer kN m par kPa 2 4 Essai de r sistance des bretelles Ligne 4 remplacer kN m par kPa 2 9 Essai d tanch it de la vanne d obturation Paragraphe 1 lignes 4 et 14 remplacer KN m par kPa Paragraphe 2 lignes 3 et 12 remplacer kNm par kPa 2 10 Essai de r sistance de la lance Lire avant derni re ligne fuir pr senter une courbure excessive ou tre inutilisable pour toute autre raison 2 12 Mesure du d bit d une buse 2 12 1 Appareil de mesure Paragraphe 4 ligne 2 remplacer kN m par kPa 2 12 2 Mode op ratoire Paragraphe 1 ligne 4 remplacer KN m par kPa 41 2 15 Epreuve type d usure des becs de buse Ce titre devient Epreuve type d rosion des becs de buse 2 15 3 D bit Ce titre devient Mode op ratoire Paragraphe 1 ligne 2 remplacer amp kKN m par kPa Ajouter un troisi me paragraphe comme suit Les tubes situ s aux extr mit s de la plage d aspersion et recevant moins de 1 ml de liquide ne seront pas pris en consid ration 2 15 4 Essai des becs de buse Supprimer cette section 42 Annexe 3 EFFET DE LA POLITIQUE ISRA LIENNE DE GESTION DES EAUX SUR LES POPULATIONS DE VECTEURS Isra
49. nditions favorables la prolif ration des rongeurs dans les villes ou celle d autres vecteurs dans les villes et les campagnes D autre part il arrive que des mesures cologiques de lutte antivectorielle affectent in vitablement d autres esp ces que l esp ce cible En r gle g n rale il est recommand de s occuper avant tout de r soudre les probl mes de sant et de ne consid rer qu ensuite les effets ventuels des mesures prises sur l cosyst me 6 MOYENS DE TRANSPORT UTILIS S POUR LES OP RATIONS DE LUTTE ANTIVECTORIELLE Les rapports tablis l issue d enqu tes et d op rations de lutte antivectorielle ne donnant que peu de d tails ce sujet les renseignements dont on dispose sur les moyens de transport utilis s sont tr s limit s 25 Les r f rences faites aux v hicules sont g n ralement br ves et plut t vagues du genre camion quatre roues motrices Il arrive qu il soit mentionn incidemment que des v hicules ont t utilis s pour le transport de diff rents types de pulv risateurs et brumisateurs mais on ne trouve gu re de d tails sur le nombre et le mod le exact des v hicules utilis s les modifications qu il a fallu leur apporter la vitesse laquelle ils ont t conduits ou les probl mes qu a pos s leur utilisation En outre le transport du mat riel d application des pesticides ne repr sente qu une faible partie des transports qu il faut a
50. newton par m tre carr N m 15 Pour les pulv risations spatiales l ext rieur l intervalle entre les plages d aspersion est g n ralement de 100 200 m le nuage d a rosol tant dispers par le vent La d rive d pend de la vitesse naturelle du vent des plages d aspersion d une largeur de 200 m ou plus pouvant tre obtenues mais uniquement si les conditions m t orologiques sont favorables Le Comit a discut de ETTA de la taille des gouttelettes d insecticide appliqu en a rosols ou en pulv risations sous langle la fois de l talonnage du mat riel et de l valuation des techniques d appli cation Il est parvenu la conclusion que de toutes les m thodes de d termination de la taille des gouttelettes la plus satisfaisante et la plus commode pour le personnel de terrain est encore celle d crite par le Comit OMS d experts des Insecticides 2 Le Comit eu communication d une m thode de s dimentation pour le pr l vement d chantillons de gouttelettes d a rosols dans les pi ces d habitation Cett m thode qui ne convient qu aux formulations non volatiles est d crite ci dessous M thode de s dimentation pour le pr l vement d chantillons de gouttelettes provenant de g n rateurs d a rosols utilis s dans des pi ces d habitation Les chantillons sont recueillis de la mani re suivante a placer une lame de verre enduite d oxyde de magn siu
51. niques N 465 1971 Application et dispersion des pesticides dix huiti me rapport du Comit OMS d experts des Insecticides Daves H Tsetse flies in Northern Nigeria 2nd ed Ibadan Ibadan University Press 1967 OMS S rie de Rapports techniques N 356 1967 S curit d emploi des pesticides en sant publique seizi me rapport du Comit OMS d experts des Insecticides OMS S rie de Rapports techniques N 513 1973 S curit d emploi des pesti cides vingti me rapport du Comit OMS d experts des Insecticides OMS S rie de Rapports techniques N 227 1962 La toxicit des pesticides pour l homme douzi me rapport du Comit OMS d experts des Insecticides OMS S rie de Rapports techniques N 561 1975 Ecologie des vecteurs et lutte antivectorielle en sant publique vingt et uni me rapport du Comit OMS d experts des Insecticides 7 Chronique OMS 29 397 401 1975 8 Mat riel de lutte contre les vecteurs 2e dition Gen ve Organisation mondiale 44 de la Sant 1975
52. ntent 6 Les v tements protecteurs port s pour les op rations de lutte antivectorielle comprennent g n ralement une combinaison de travail ou une chemise manches longues et des pantalons longs ces v tements doivent tre lav s d s la fin des pulv risations Les op rateurs qui sont charg s du m lange et sont donc en contact avec des concentr s doivent en outre porter des gants Un Comit d experts de l OMS a donn des indications d taill es sur les v tements protecteurs compte tenu notamment de l influence du climat 4 L essentiel est que la surface de peau expos e soit r duite au minimum Pour les op rations qui exigeront vraisemblablement le port de v tements protecteurs sp ciaux il importe que le constructeur du mat riel d application apporte celui ci les modifications n cessaires pour permettre le port de ces v tements Afin d viter que les op rateurs et d autres personnes ne risquent d tre bless s il convient de prot ger les pi ces qui sont en mouvement lorsque l appareil est en marche et d isoler les parties qui atteignent une temp rature lev e Le Comit a recommand d inciter les fabricants modifier leurs appareils en cons quence tout en r duisant le plus 24 possible les bruits et vibrations et en assurant le maximum de garanties contre les fuites de carburant et de pesticides 5 2 Moyens non chimiques part les poissons larvivores aucun agent biologique n
53. onsables de l entretien disposent de manuels d atelier pour les v hicules dont ils ont la charge Le bon fonctionnement d un atelier n cessite une main d uvre qualifi e Pour des raisons d efficacit les chauffeurs des v hicules devraient tre charg s des travaux d entretien simples lorsqu ils sont en d placement dans des zones loign es Les chauffeurs tant responsables d un mat riel co teux il faudrait leur donner une formation qui leur permette de s acquitter correctement de leurs fonctions Il est en outre important que leur r mun ration et leur statut professionnel soient la mesure des responsabilit s qu ils assument Si le nombre des v hicules est tr s important les services locaux d entretien de r paration et de fourniture de pi ces de rechange risquent 26 d tre tr s insuffisants ou d un co t prohibitif En pareil cas il faudra pr voir les moyens d assurer ces services dans le cadre du programme 6 1 V hicules roues Les bicyclettes ont rendu de pr cieux services pour certaines op ra tions de lutte antivectorielle pour la d moustication et la surveillance des vecteurs en milieu urbain par exemple et le Comit a estim que ce moyen de transport n tait plus suffisamment utilis Pheure actuelle Etant donn le co t lev du carburant et la fr quente pr carit de lapprovisionnement dans les zones rurales il serait bon pour bien des op rations de lutte et de
54. op rations doivent tre faites faible vitesse ou faible altitude ou lorsqu il faut pr voir des atterrissages sur des terrains non am nag s Il est particuli rement important d tudier les performances des a ronefs sur lesquels doit tre mont du mat riel d application de pesti cides Il est indispensable d analyser en d tail les services qui seront demand s l a ronef et au mat riel d application ainsi que les conditions dans lesquelles ces services devront tre rendus La charge utile la vitesse de d crochage et le rayon d action sont les principaux facteurs prendre en consid ration lorsqu il s agit de choisir entre diff rents types d a ronefs voilure fixe alors que pour les h licopt res il faut tenir compte de la charge utile de la vitesse a rodynamique et du plafond op rationnel Etant donn les d penses qu entra ne l utilisation d a ronefs il est indispensable d tablir des plans de vol d taill s d s le stade de la plani fication du programme et de pr voir notamment l emplacement des d p ts de carburant et d insecticides n cessaires l am nagement de pistes d atterrissage et la mise en place de hangars et d ateliers d entretien Le Comit a soulign qu il tait tr s important d assurer de bonnes commu nications radiophoniques entre les quipes de lutte au sol et les pilotes des a ronefs la fois pour donner des renseignements aux pilotes et faire appel eux e
55. our ces cours il conviendra d laborer de concert avec les fabricants de mat riels divers types d auxiliaires audio visuels et des manuels en langue vernaculaire 14 Lors des op rations antivectorielles men es dans les for ts et autres zones dens ment bois es la p n tration des gouttelettes d insecti cide est limit e ce qui r duit l efficacit des mesures de lutte Outre la densit de la v g tation divers facteurs m t orologiques et la taille des gouttelettes influent aussi sur l efficacit des applications de pesticides Le Comit a recommand d tudier sur le terrain les applications de pesticides faites avec des gouttelettes de taille moyenne diff rente en tenant compte des facteurs pr cit s pour comparer leur efficacit contre les vecteurs 15 De nombreux types de mat riels d application de pesticides sont utilis s tant en sant publique qu en agriculture Le Comit a recommand que les organismes services nationaux de sant publique et d agricul ture par exemple qui ach tent ces mat riels coordonnent leurs activit s afin d obtenir des conditions favorables des fabricants Des conomies suppl mentaires pourraient tre r alis es si les commandes taient pass es par l interm diaire d organisations internationales comme POMS la FAO et le FISE 16 Les m thodes cologiques de lutte antivectorielle r duction des sources de vecteurs gestion des eaux am lior
56. ppli cations d insecticide sous volume faible ou ultra faible VUF d s lors que les gouttelettes doivent tre pees au loin par Pop rateur Ce a Le Comit a approuv une nouvelle version r vis e de cette norme voir annexe 2 12 mat riel peut tre adapt pour les poudrages ou les applications de granul s Un moteur explosion deux temps actionne une soufflerie centrifuge ou un ventilateur de mani re produire un courant d air tr s rapide dans lequel est introduit le pesticide chimique L alimentation du liquide se fait par gravit ou au moyen d une petite pompe admis par un clapet de retenue ou un robinet le liquide franchit un orifice de r gulation pour atteindre la buse o les gouttelettes sont entra n es dans le courant d air et projet es par le bec Les buses sont soit du type injection venturi soit du type tourbillon Ce type de machine est largement utilis pour la protection des r coltes pour la lutte contre les mouches ts ts et depuis quelques ann es pour certaines op rations de d moustication Pour combattre les mouches ts ts on a utilis plusieurs mod les en vue d appliquer des insecticides effet r manent sur les g tes de repos des esp ces fr quentant les cours d eau ou la savane et l on est souvent parvenu r duire fortement les populations de vecteurs en peu de temps En Afrique occidentale ce type de machine est utilis dans les programmes d rad
57. r v l n cessaire de pr voir des abris pour les alevins Diverses m thodes sont Employ s pour transporter les poissons En Afghanistan on a r ussi transporter les Gambusia pendant 12 heures dans des r cipients ouverts contenant jusqu 1500 poissons des temp 20 ratures se situant entre 13 et 18 C En Iran on a eu recours des moyens plus perfectionn s par exemple des sacs en poly thyl ne double paroi d un volume de 30 40 litres dispos s dans des caisses en bois chaque sac moiti rempli d eau et gonfl d oxyg ne pouvait contenir jusqu 300 poissons Le v hicule servant au transport tait aussi dot d un r servoir d oxyg ne gr ce auquel les sacs taient regonfl s p riodiquement Cette m thode a permis d acheminer les poissons sur des distances d passant 2000 kilom tres On a aussi utilis des bidons en mati re plastique d une contenance de 25 litres Dans certains pays les poissons ont t transport s dans des r servoirs m talliques quip s d un com presseur pour l a ration de l eau Quand c est possible les r cipients servant au transport doivent tre immerg s progressivement dans la nappe d eau qui h bergera les poissons larvivores afin d quilibrer la temp rature de l eau dans les deux endroits le poisson pouvant ainsi s adapter avant d tre l ch Les Gambusia peuvent tre l ch s d un v hicule en mouvement d un a ronef ou
58. raient porter sur les caract ristiques de fonctionnement des mat riels afin que les fabricants comprennent clairement ce qu on attend de leurs produits 25 DOMS devrait promouvoir l utilisation du syst me de collabo ration pour l valuation et l essai des mat riels d application de pesticides expos l annexe 1 Ses activit s dans ce domaine devraient tre troi tement coordonn es avec celles de la FAO 33 REMERCIEMENTS Le Comit remercie du concours particuli rement pr cieux qu ils lui ont apport les membres du Secr tariat de POMS dont les noms suivent M R Bahar Bureau r gionat de la M diterran e orientale M D A T Baldry Biologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle M F E Gonz lez Valdivieso Bureau r gional de l Afrique M T Huber Fournitures D R Le Berre Programme de Lutte contre l Oncho cercose D D Muir Paludisme et autres Maladies parasitaires D C Pant Biologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle M H Rafatjah Biologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle M D J Schliessman Bureau r gional des Am riques D A R Sti les Biologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle D M Vandekar Biologie des Vecteurs et Lutte antivectorielle 34 Annexe 1 SYST ME OMS POUR L VALUATION DES MAT RIELS D APPLICATION DE PESTICIDES PHASE I ORDINOGRAMME ACTIVIT inventaire mondial des mat riels disponibles D
59. re le D Gratz a demand au Comit d examiner certaines questions relatives l am nagement de l environne ment et aux m thodes biologiques de lutte contre les vecteurs 2 MAT RIEL D APPLICATION DES PESTICIDES CONSID RATIONS G N RALES 2 1 Strat gie Pour r duire les d penses tout en am liorant la strat gie adopt e dans les programmes de lutte antivectorielle il est n cessaire de disposer d un mat riel d application des pesticides d un type nouveau et plus efficace On fait largement usage de pulv risateurs pression pr alable actionn s manuellement pour projeter des insecticides effet r manent sur les murs des habitations mais cette m thode n est pas toujours satisfaisante et Ce comit remplace le Comit OMS d experts des Insecticides d autres techniques sont parfois n cessaires Par ailleurs il est souhaitable dans certains cas de combiner de fa on efficace les m thodes chimiques et non chimiques de lutte antivectorielle voir section 4 Bien qu ils aient utilement guid les op rations d application de pesticides dans le pass les sch mas et dosages fixes devraient tre d sormais remplac s dans toute la mesure du possible par des programmes plus souples de traitement chimique visant des cibles d termin es pour combattre ou pr venir la maladie Si l on d termine la taille optimale des gouttelettes et si l on utilise du mat riel produisant des gouttelettes qui corr
60. s Unis d Am rique Conseiller temporaire M J D Parker Equipment Planification et Op rations Division de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle OMS Gen ve Suisse ASPECTS TECHNIQUES DES OP RATIONS DE LUTTE ANTIVECTORIELLE Premier rapport du Comit OMS d experts de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle 1 INTRODUCTION Le Comit OMS d experts de la Biologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle s est r uni Gen ve du 7 au 13 septembre 1976 afin d tudier le mat riel servant l application des pesticides et d autres aspects techniques des programmes de lutte contre les vecteurs Le D N G Gratz Chef du service de l Ecologie des Vecteurs et de la Lutte antivectorielle a ouvert la r union au nom du Directeur g n ral Il a d clar que depuis la derni re r union d un groupe d experts consacr e cette question en 1970 1 de nombreux progr s avaient t r alis s dans la technologie du mat riel d application des pesticides utilis s contre les vecteurs de maladies humaines Aussi le pr sent Comit tait il invit r valuer le r le qui incombe l OMS en ce qui concerne la mise au point et emploi de ce mat riel I devait examiner les aspects des op ra tions de lutte antivectorielle touchant la s curit et les besoins en moyens de transport ainsi que certains probl mes que pose le mat riel d appli cation des pesticides En out
61. s dans la pr sente norme 1 7 3 Orifice de remplissage Ligne 3 ins rer les mots de pr f rence apr s le mot r servoir et supprimer les mots de type plomberie 37 1 8 Pompe 1 8 1 Construction Lire la ligne 1 Le cylindre 5 s il est en acier inoxydable ou en un autre m tal ne doit pas tre soud sinon lectriquement Ligne 2 remplacer KN m par kPa Derni re ligne pour faciliter le remontage du cuir du piston 1 8 2 Capacit Ligne 2 remplacer KN m par kPa 1 8 3 Clapet r gulateur de pression d air Ligne 4 remplacer kN m par kPa 1 8 4 Tige du piston Modifier comme suit la premi re phrase La tige du piston peut tre en acier elle peut tre constitu e d une tige pleine ou d un tube Supprimer les deux phrases qui suivent lignes 2 4 c est dire depuis S il s agit d un tube jusqu 9 5 mm Ligne 10 remplacer 13 mm par 15 mm Ligne 10 remplacer 0 45 kg par 0 5 kg A la fin du paragraphe ajouter On proc dera l essai apr s que le r servoir aura t port 10 fois la pression de 385 kPa 1 8 5 Cuir du piston Ligne 3 remplacer 1 6 mm par 1 5 mm 1 8 7 Poign e Lignes 3 4 remplacer 19 cm par 20 cm et supprimer les mots et 3 cm de diam tre La phrase doit se lire Le mod le en T doit tre constitu d un tu
62. sage des mat riels d application 21 Les op rateurs de mat riels d application motoris s risquent d tre contamin s la suite de fuites de pesticide et de carburant et sont fr quemment expos s des vibrations et des bruits excessifs Il faudrait encourager les industriels am liorer les mat riels afin de r duire ces risques 22 Le transport du personnel des produits et des mat riels d appli cation des pesticides constitue un l ment essentiel de la plupart des programmes de lutte antivectorielle Le Comit a estim qu il est impor tant que les responsables de la planification des programmes valuent en d tail leurs besoins en mati re de transports afin d assurer que les moyens adopt s conviennent aux besoins particuliers de chaque programme 23 En raison des difficult s op rationnelles que pr sente l acc s certaines zones o doit tre men e la lutte antivectorielle le Comit a recommand de proc der une valuation technique des moyens de transport tels que les v hicules coussin d air les bateaux propulsion par r action et les engins amphibies ainsi que les v hicules trains de roues multiples et chenilles et s il y a lieu de d velopper ces moyens 24 Le Comit a recommand l OMS d noncer des normes provi soires pour les brumisateurs moteur transport s sur le dos et les g n rateurs d a rosols moteur mont s sur v hicules Ces normes dev
63. ssurer pour les op rations de surveillance et de lutte antivectorielle le transport du personnel et d autres quipements exigeant des moyens beaucoup plus importants Bien que dans tous les programmes de lutte antivectorielle il soit essentiel de disposer de moyens ad quats pour assurer le transport du mat riel d application des autres quipements et du personnel cette question ne retient g n ralement pas assez l attention Le Comit a soulign que les responsables de la planification des programmes devaient pr voir en d tail leurs besoins en moyens de transport afin de garantir que les v hicules choisis r pondent bien aux exigences du programme Il convient de noter en particulier que l importance des moyens pr voir pour l entretien des v hicules est toujours sous estim e au stade de la planification Dans la plupart des pays en d veloppement les v hicules doivent tre import s et tout retard dans la livraison risque d entraver s rieuse ment le progr s des op rations de lutte antivectorielle Plusieurs mois peuvent s couler entre l envoi de la commande et l arriv e du v hicule et les d lais seront encore plus longs si des fronti res doivent tre fran chies Les d lais sont du m me ordre pour les pi ces de rechange outre qu il est difficile d obtenir exactement les pi ces qu il faut pour les diff rents v hicules utilis s Il est indispensable que tous les centres et personnels resp
64. t un renforcement de la coordination entre les responsables de la lutte antivectorielle et ceux 21 d autres organismes publics Par exemple pour pr venir la formation de g tes larvaires dans les zones urbaines il est indispensable de s assurer la collaboration des responsables de l urbanisme de l approvisionnement en eau et des gouts De m me lors de la construction de routes de barrages et de r seaux d irrigation en milieu rural il faudrait se pr occuper davantage du risque de formation de g tes larvaires notamment dans les emprunts de terre et autres excavations Il est souhaitable de pr voir des mesures de lutte antivectorielle dans tous les secteurs de la planification socio conomique Le Comit a pris note des observations annexe 3 faites dans un pays o une bonne gestion des eaux a permis de ramener les densit s de vecteurs des niveaux insignifiants Le choix de toute mesure de lutte antivectorielle long terme doit tre pr c d d une analyse co t efficacit approfondie A l chelon des villages la formation donn e aux travailleurs sani taires devrait faire une large place aux mesures l mentaires de lutte antivectorielle telles que l limination des g tes larvaires dus l interven tion humaine la destruction des bo tes de conserve et autres d tritus pouvant retenir de l eau le drainage des foss s l vacuation hygi nique des d chets et des eaux us es le curage des
65. table que ce mat riel soit peu co teux robuste d entretien facile et con u de fa on ne pas exposer l op rateur la contamination sans qu il en r sulte une moindre efficience dans la lutte contre le vecteur cible 7 Afin d assurer une utilisation correcte du mat riel d application et la production de gouttelettes d insecticide de la taille requise il faudrait mettre au point pour contr ler la taille des gouttelettes en particulier dans le cas des a rosols des m thodes simples peu co teuses et appli cables sur le terrain 8 Comme une action rapide s impose dans les situations d urgence que cr ent les pid mies de maladies transmission vectorielle on monte souvent les mat riels d application de pesticides bord d a ronefs Le Comit recommande de mettre au point des mat riels d application simples et peu co teux con us pour tre mont s bord de divers types d a ronefs tant voilure fixe qu voilure tournante ou d adapter cet effet des mat riels existants Ces mat riels devraient tre entrepos s et tenus pr ts l usage en des endroits facilement accessibles 9 Dans le cadre du Programme de Lutte contre lOnchocercose dans la R gion du Bassin de la Volta en Afrique occidentale les a ronefs sont essentiellement utilis s pour combattre Simulium damnosum le vecteur de l onchocercose Afin que les m mes a ronefs puissent servir en cas de situations d urgence ventuel
66. tions d pandage a rien il devrait tre possible d obtenir une couverture plus uniforme avec des doses plus faibles condition que les a ronefs soient dot s de syst mes de guidage pr cis Des techniques de Jutte contre les simulies comportant l emploi d a ronefs ont t mises au point ces derni res ann es et sont actuellement appliqu es sur une grande chelle dans le Programme de Lutte contre lOnchocercose dans le Bassin de la Volta en Afrique occidentale Ce programme met en uvre cinq h licopt res et deux appareils voilure fixe qui servent d une part r pandre des larvicides sur les cours d eau de la zone du programme d autre part acheminer le personnel de surveillance vers les g tes larvaires des simulies 18 Des h licopt res et avions munis de dispositifs vide vite sont utilis s pour les applications de larvicides sur diff rents types de cours d eau les h licopt res pour les cours d eau troits les avions pour les rivi res plus importantes La plupart des g tes larvaires tant situ s sur les premiers l emploi d h licopt res rev t une importance primordiale dans ce programme Bien que les techniques d crites plus haut permettent d atteindre la plupart des g tes larvaires de fa on satisfaisante quelques uns sont diffi ciles traiter avec le mat riel actuel que ce soit au moyen d h licopt res ou d appareils voilure fixe Il convient d valuer d a
67. ues Le di ac er 6 Moyens de transport utilis s pour les op rations de lutte antivectorielle 6 1 V hicules roues 4 6 2 Bateaux RS TE D ee t 6 3 V hicules coussin d air 6 4 A rTONES i 5 ute ju che nr un Can er du te He 7 Normes PR aaa a aa a a E 8 Recommandations PR AT TN EE Remerciements bi din ten se amp Annexe 1 Syst me OMS pour l valuation des mat riels d application de pesticides Annexe 2 Norme r vis e applicable au pulv risateur pression pr alable actionn manuellement s so Annexe 3 Effet de la politique isra lienne de gestion des eaux sur les popula tions de vecteurs s o R f rences bibliographiques COMIT OMS D EXPERTS DE LA BIOLOGIE DES VECTEURS ET DE LA LUTTE ANTIVECTORIELLE Gen ve 7 13 septembre 1976 Membres f Professeur N B Akesson Department of Agricultural Engineering University of California Davis CA Etats Unis d Am rique Pr sident M S Arlosoroff Commissaire adjoint du Service des Eaux Commission des Eaux de l Etat d Isra l Tel Aviv Isra l D Boonluan Phanthumachinda Division d Entomolog
68. utres moyens de transport qui pourraient servir de plate forme pour le mat riel d appli cation de pesticides voir section 6 3 et de mettre au point du mat riel permettant l pandage de larvicides dans les zones difficiles Les a ronefs affect s au programme pourraient aussi servir ventuellement combattre des flamb es d autres maladies transmises par des vecteurs dans la m me r gion auquel cas il faudrait recourir du mat riel d application de types diff rents S D une mani re g n rale le Comit a pris note des excellents r sultats obtenus par l pandage a rien et a jug n cessaire de poursuivre les recherches sur l emploi d a ronefs Il a d autre part recommand de mettre au point du mat riel simple et peu co teux qui puisse tre mont sur divers types d a ronefs pour faire face aux situations d urgence Ce mat riel devrait tre stock et entretenu de fa on pouvoir tre mis en uvre imm diatement propos du Programme de Lutte contre POnchocercose le Comit a propos de poursuivre le perfectionnement du mat riel d application de pesticides pour combattre les simulies et de pr voir dans la zone du programme du mat riel con u pour la lutte contre d autres vecteurs de maladies En outre puisque l on manque d informations sur les divers types d a ronefs disponibles pour faire face des situations d urgence il a t sugg r d tablir et de tenir jour un inventair
69. yen de transport n est utilisable Les possibilit s d utilisation des mod les l gers de ces v hicules sont toutefois limit es car le vent r duit consid rablement leur mania bilit Le Comit a n anmoins recommand de proc der des essais pratiques des mod les l gers de ces v hicules ainsi que d autres moyens de transport tels que bateaux propulsion r action engins amphibies v hicules trains de roues multiples et v hicules chenilles 28 6 4 A ronefs Le Comit a tudi l utilisation des a ronefs pour des op rations antivectorielles comme le Programme de Lutte contre l Onchocercose Il est parvenu la conclusion que bien qu entra nant des d penses consi d rables et n cessitant une importante infrastructure technique l emploi judicieux d a ronefs est tout compte fait moins on reux dans certains cas que celui d autres moyens de transport Des a ronefs sont actuelle ment utilis s pour des op rations de lutte contre les moustiques les mouches ts ts les simulies et dans une moindre mesure les mollusques On utilise de pr f rence des appareils voilure fixe lorsqu une charge utile et une vitesse lev e sont n cessaires pour garantir l efficacit des op rations d autre part ces appareils sont g n ralement moins co teux exploiter que les h licopt res Ces derniers sont utilis s de pr f rence lorsqu une bonne maniabilit est n cessaire lorsque les

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