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Rapport annuel IRSST 1997 couv

1. naires et des repr sentants des travailleurs sera form et un rapport proposant des pistes de recherche sera produit La recherche visera proposer des am liorations l organisation du travail et la situation de travail dans ce secteur en tirant parti de l exp rience profes sionnelle des travailleurs Esther Cloutier et Patrice Duguay H l ne David IRSST Organisation du travail Universit de Montr al 1997 1998 Montant 58 550 Les accidents du travail survenus en 1994 dans l industrie foresti re analyse de sc na rios d accidents provenant des dossiers de la CSST 95 314 Cette activit consistait d abord laborer une grille d analyse des circonstances dans les quelles sont survenus les accidents avec perte de temps provenant des dossiers d accidents de la CSST Dans un deuxi me temps des ana lyses statistiques descriptives et multivari es ont t effectu es Des indicateurs de risques et de gravit ont par la suite t calcul s et des sc narios d accidents tenant compte de facteurs organisationnels et environnementaux ont t d gag s Les analyses ont permis de dresser des portraits descriptifs des circonstances dans lesquelles surviennent les accidents du travail selon les deux sous composantes sec torielles de l industrie soit l abattage et la syl viculture Par ailleurs une attention particu li re a t port e aux associations
2. Lombalgies et autres accidents musculo squelettiques dus la manutention et aux v hicules chez les pompiers Phase 95 804 Le travail des pompiers comporte des t ches et des situations risque qui constituent une lourde charge pour leur syst me musculosque lettique Le poids des objets manipul s l am nagement des v hicules et les postures de ravail peuvent notamment tre l origine d efforts excessifs qui peuvent se traduire par des l sions au dos des foulures et des entor ses Dans le cadre de la pr sente recherche les ches et situations risque seront d abord identifi es en collaboration avec un comit aviseur paritaire Puis dans les casernes partici pantes les pompiers r p teront sous l il d une quipe d ergonomes des man uvres comportant une ou plusieurs de ces situations risque La charge physique sera mesur e et des informations sur les outils les quipe ments et les v hicules seront recueillies Dans une phase ult rieure de la recherche des recommandations seront mises en vue de rendre les outils quipements v hicules et ches moins contraignants pour le syst me musculosquelettique des pompiers Certaines de ces recommandations seront int gr es la ormation des pompiers Denis Gigu re Denis Marchand IRSST S curit ergonomie Universit du Qu bec Montr al 1997 1998 Montant 108 030 laboration et validation d
3. Institut de recherche en sant et en s curit du travail du Qu bec d recherche pour mieux omprendre ion M L institut de recherche en sant et en s curit du travail IRSST est un organisme de recherche scientifique vou l identification et l limination la source des dangers professionnels et la r adaptation des travailleurs qui en sont victimes Financ par la CSST l Institut r alise et finance des recherches qui visent r duire les co ts humains et financiers occasionn s par les accidents de travail et les maladies professionnelles Message du pr sident 4 Rapport du directeur g n ral 5 R sultats 6 Solides Les recherches 1 Utiles l expertise et le transfert de connaissances 9 En circuit ouvert La diffusion et l exploitation des r sultats Fiables Les services 13 organisation 4 financement 16 Encarts La s curit des pompiers dans la ligne de mire des chercheurs Des outils de pr vention des risques toxicologiques adapt s aux horaires non conventionnels 18 Commercialisation de la m thode IRSST pour mesurer la r sistance des gants de protection la coupure 19 Des guides innovateurs pour aider les m decins diagnostiquer des LATR 20 Un nouvel clairage sur les effets de la formation en ergonomie pour le travail l cran A Un guide pour aider pr venir les risques li s l utilisation de moteurs diesels 22 47 activit s de re
4. Le march que nous ouvrait lentente avec lIRSST l chelle mondiale justifiait notre investissement dans le d veloppe ment de son nouvel appareil de mesure Gr ce la qualit du design propos et au support des experts de l Institut lors de la mise au point du prototype et de l laboration du manuel d instructions ce d veloppement a t un SUCC S Louis Lapointe responsable de projet Les Produits industriels RGI inc 0 IRSST Rapport annuel pour aider les m decins diagnostiquer des LATR La publication en 1997 de deux premiers guides pour le diagnostic de l sions attribuables au travail r p titif LATR pose un jalon de plus dans les efforts en vue de mieux comprendre ce ph nom ne et de doter les intervenants d outils ad quats Diagnostiquer une l sion musculosque lettique et en tablir les liens possibles avec le travail pose un d fi particulier aux m decins Ces guides leur sugg rent une d marche qui respecte celle utilis e habituellement lors d une consultation avec un patient En plus d une synth se des connaissances n cessaires au diagnostic chacun pro de pr vention de traitement et de r adaptation Ces guides r pondent un besoin qu avait signal le groupe international d experts qui a produit en 1995 un bilan de connaissances sur les LATR pose des questions pour aider le m decin se repr sen ne ter les facteurs de risque et s
5. Paul Comtois Centre de pneumologie de l H pital Laval Universit de Montr al 1996 1998 Montant 247 725 laboration d une base de donn es pour la consultation des m thodes d valuation des contaminants r glement s en vertu du RQMT 94 119 Le R glement sur la qualit du milieu de travail RQMT conf re un important r le de r f rence au Guide d chantillonnage des contami nants de lair en milieu de travail publi par PIRSST La r vision de la liste des contaminants chimiques vis s par le r glement a entra n une mise jour substantielle du guide Pour r pondre au souhait de nombreux intervenants qui veulent le consulter directement l Institut a entrepris des travaux visant faciliter l acc s cette source de renseignements Toutes les in ormations relatives aux diff rents contami nants ont t consign es sur une base de don n es informatique plus compl te et mise jour plus r guli rement que la version conven ionnelle Une fois l interface de consultation labor e et les proc dures de s curit de estion informatique et de mise jour mises en place une version informatique plus perfor mante du guide sera mise la disposition des intervenants Daniel Drolet et Fran ois Lemay IRSST Hygi ne et toxicologie et Direction des op rations 1994 1998 Montant 20 050 Ajustement des valeurs d exposition admis sibles aux horaires de travail non conven
6. des alcools du Qu bec En plus des effets sur la r duction des l sions il a permis de mesurer les acquis pour le milieu du travail dans sa prise en charge de la pr vention Un autre projet visait valuer les effets d une formation en ergonomie pour le travail l cran L originalit de l approche a permis d apporter un clairage in dit sur ce type de formation Conform ment aux objectifs qu il s tait fix s l ann e pr c dente l Institut a donn en 1997 un nouvel essor la recherche en sant et en s curit du travail r alis e l ex t rieur de ses murs tout en la canalisant dans le sens des priorit s tablies la lumi re des besoins de ses clients Gr ce au resserrement des liens avec les chercheurs uni versitaires plus des deux tiers des nouveaux projets amor c s en cours d ann e seront r alis s par des chercheurs universitaires externes en partenariat avec des quipes internes de l IRSST L Institut a par ailleurs reconduit pour cinq ans son entente conjointe avec le Conseil de recherche en sciences natu relles et en g nie CRSNG et l Universit de Sherbrooke en vue du financement d une chaire industrielle en acous tique en vertu du Programme de professeur chercheur industriel sur la r duction du bruit en milieu de travail Divers projets de recherche sont en cours dans ce cadre La r vision du programme de bourses d tudes sup rieures et l am lioration de la d
7. En cons quence plusieurs individus adoptent des comportements risques tout en se croyant en s curit Au total 56 9 des 187 r pondants consid rent que l interdiction des produits siliceux n aurait aucun effet conomi que sur leur entreprise Les auteurs concluent que l interdiction de ces produits pour le sablage au jet constitue la mesure la plus appropri e pour liminer la source le danger de contracter la silicose dans ces op rations Mario Roy Lucie Fortier Anne Marie Robert et Danielle Giroux Universit de Sherbrooke 1995 1997 Montant 109 500 Implantation et validation en milieu indus triel des modules intelligents de d tection de vapeurs de styr ne 93 072 Les entreprises qu b coises de fabrication de produits en caoutchouc de mati res plastiques ou de fibres de verre se voient confront es au probl me des manations de styr ne un sol vant organique dont la toxicit est largement reconnue Le pr sent projet vise raffiner et valider en milieu de travail les d tecteurs et leur plan de localisation optimale ant rieure ment d velopp s Des capteurs ad quatement situ s et reli s en r seaux ont t install s dans trois usines qu b coises en tenant compte des s quences de production de ces derni res L tude de la fiabilit de l lectronique du module de d tection et l interd pendance des r ponses des diff rents
8. L FERREIRA L JOBERT G LACOMBLEZ M LAUNIS K LEPPANEN A MAGGI B MONTREUIL S PATESSON R PAUM S D TEIGER C VOGEL L et WENDELEN E General introduction to the symposium ims context concepts methods practices and problems 13th Triennial Congress of the International Ergonomics Association Tampere Finlande Book of abstracts Vol p 291 293 juillet 1997 LI N et TARDIF R Mod lisation toxicoci n tique de l interaction tolu ne n hexane chez le rat et l humain Soci t canadienne de toxicologie Montr al d cembre 1997 RTEAU J Pourquoi des harnais et des absorbeurs d nergie en protection contre les chutes de hauteur Colloque de l Associa tion sectorielle Fabrication d quipements de transport et de machines ASFETM Montr al janvier 1997 RTEAU J Pourquoi des harnais et des absorbeurs d nergie en protection contre les chutes de hauteur Colloque CSST Abitibi T miscamingue et ASP Construction Rouyn Noranda avril 1997 ARTEAU J BEAUCHAMP Y ARCAND J F et BROSSEAU M Testing a wood pole fall arrest system using an evaluation methodology with ergonomic and engineering criteria Electric ity 97 Conference and Exposition Corpo rate Resources Health and Safety Canadian Electricity Association Vancouver avril 1997 ARTEAU J LAN A et DESBOIS L Protec tion contre les chutes de hauteur La concep tion
9. Montant 298 820 Recension d crits et inventaire d exp riences qu b coises sur les groupes de travail semi autonomes et la sant s curit du travail 97 005 R cemment des entreprises manufacturi res ont mis sur pied des groupes de travail semi autonomes qui exercent un contr le collecti sur plusieurs aspects de la production En rai son de la nouveaut de cette formule on n a pas encore identifi l effet de cette forme d or ganisation du travail sur la sant et la s curit des travailleurs Afin d accro tre les connais sances dans ce domaine on recensera les crits am ricains et europ ens sur les groupes de travail semi autonomes afin d en identifier les effets en mati re de sant et de s curit du travail et on dressera un r pertoire des exp riences qu b coises en classant les groupes selon le degr d autonomie dont ils jouissent Le document r sultant de cette tude sera dif fus aupr s des organismes et des interve nants du r seau de la sant et de la s curit du ravail Il servira de plus orienter la recherche dans ce domaine Mario Roy Jean Louis Bergeron Jean Charles Guindon Universit de Sherbrooke IRSST Organisation du travail 1997 1998 Montant 33 100 Fr quence gravit et caract ristiques des l sions professionnelles dans les petits ta blissements au Qu bec Phase
10. d laborer un syst me d infor mation utile la pr vention des accidents du travail L Institut a r affirm son leadership dans la recherche sur les isocyanates par la conclusion en 1997 d une entente d expertise avec l Institut international des isocyanates qui contribuera la r alisation de deux recherches dans ce champ sur une p riode de deux ans L expertise de l IRSST en mati re de s curit dans l utilisa tion de l amiante sera par ailleurs sollicit e l chelle internationale dans le cadre d ententes de coop ration technique conclues par le Gouvernement du Qu bec Le mandat de trois ans confi en 1997 lIRSST par la ministre d l gu e aux Mines aux Terres et aux For ts vise la mise en place d un programme de collaboration bilat rale sur la pr vention des maladies pulmonaires dans cer tains pays utilisateurs d amiante IRSST Rapport annuel F Le mode de gestion des projets instaur ces derni res ann es assure que d s le d but des travaux et au fur et mesure qu ils progressent une attention sp ciale est port e la diffusion et la valorisation des r sultats qui seront Les nouvelles fa ons de faire mises obtenus Un plan sp cifique d exploitation de ces r sultats est d ailleurs labor pour chaque projet en cours en uvre par l Institut toutes les tapes L IRSST a de plus tabli un partenariat fructueux avec les de la d marche scientifique de l anal
11. ent causer des accidents graves et souvent mortels dans le secteur minier Ils d pendent des contraintes qui s exercent sur le massif rocheux lesquelles augmentent en fonction de la profondeur Or les compagnies mini res exploitent des gisements de plus en plus pro onds Les tirs de relaxation consistent frag menter le rocher par un dynamitage contr l afin de r duire les contraintes aux endroits cri iques et par cons quent de r duire les risques de coups de terrain Mais cette approche reste sous utilis e Le projet vise colliger toute l information relative cette technique la cataloguer et la pr senter sous forme d un uide accompagn d un logiciel de design des irs de relaxation afin d en augmenter l effica cit et d en faciliter la pratique par les ing nieurs miniers Hani Mitri Universit McGill 1997 1999 Montant 163 025 Guide de design des barricades dans les chantiers remblay s 95 032 mesure qu on extrait le minerai des mines on utilise les r sidus rocheux sous forme de remblais ciment s afin d am liorer la stabilit des excavations Les barricades utilis es pour soutenir ces remblais doivent supporter une certaine pression qui d pend de plusieurs fac teurs taille des particules rocheuses taux de remblayage drainage etc Malgr l exp rience acquise par les compagnies mini res des rup tures de barricades sont encore observ es Le projet de r
12. op rateur et du chariot lors d un renversement permettrait de concevoir et d valuer plus efficacement le niveau de protection des dispositifs de s cu rit La pr sente activit a pour objectif de d terminer la faisabilit d un tel mod le bio m canique qui servirait la conception de bancs d essais exp rimentaux l valuation de l efficacit des syst mes de s curit existants ou concevoir ainsi qu au design de chariots l vateurs plus s curitaires Ren Beno t Carl ric Aubin Michel Gou IRSST S curit ing nierie cole Polytechnique 1997 1998 Montant 32 400 48 IRSST Rapport annuel valuation du potentiel de coups de terrain dans les mines phase IV Ajout au guide des coups de terrain impliquant des discon tinuit s g ologiques 97 041 Les coups de terrain ruptures soudaines et iolentes du massif rocheux constituent l un des principaux risques pour les travailleurs du secteur minier Une m thodologie d valuation a priori du potentiel de coups de terrain a t d velopp e permettant aux ing nieurs de pr oir des excavations souterraines plus s res Cependant cette m thodologie ne permet pas de d terminer l instabilit du massif rocheux lorsque l excavation pr vue se situe proxi mit d une discontinuit g ologique majeure Le projet actuel vise compl ter la m thodo logie d valuation du pote
13. 350 1997 TARDIF R CHAREST TARDIF G BRODEUR J et KRISHNAN K Physiologically based pharmacokinetic modeling of a ternary mix ture of alkyl benzenes in the rat Toxicology and Applied Pharmacology Vol 144 p 120 134 1997 YSKOCIL A G RIN M VIAU C et BRODEUR J Relation entre l exposition au styr ne et les effets pour la sant Analyse critique de la litt rature Travail et sant ol 13 p S10 S14 1997 ANG W et ATALLA N A numerical algo rithm for double surface integrals over quadri laterals Numerical Methods in Engineering ol 13 p 8585 8590 1997 ANG W ATALLA N et NICOLAS J A unique boundary integral approach for acoustic radiation of axisymmetric bodies with arbi rary boundary conditions Journal of the coustical Society of America Vol 101 n 3 p 1468 1478 1997 BEAUCHAMPY MARCHAND D GALOPIN M et THOMAS M Impact de l utilisation des pistolets de soudage pourvus d une buse d aspi ration sur l activation musculaire des membres sup rieurs la perception psychophysique et la qualit des assemblages soud s S rie tudes et recherches Rapport R 152 32 p IRSST Montr al 1997 BEAUCHAMP Y THOMAS M ARTEAU J et MARCHAND D tude sur la grimpabilit des poteaux de bois dans le cadre de lentente conjointe Hydro Qu bec et Bell Canada S rie tudes et recher
14. IRSST Plusieurs projets la port e pratique ont galement permis des r duc fiche tions appr ciables du bruit notamment une tude de la sur l barbage des pi ces d aluminium coul es L la P48 boration d un mod le de pr diction des contraintes 19 naturelles dans les massifs rocheux constitue un autre exemple d outil de pr vention fourni au milieu du travail cette fois l intention des exploitations mini res Soutien aux partenaires Les m decins traitants ont galement b n fici cette ann e de l apport de la recherche Pour les aider diagnostiquer les l sions aux mains et aux poignets attribuables au travail r p titif l Institut a produit leur intention deux guides diagnostiques innovateurs Son association cette d marche a incit la F d ra la tion des omnipraticiens du Qu bec produire de son fiche c t un module d autoformation sur le diagnostic des de la LATR L absence de crit res pr cis pour tablir un pi diagnostic clinique avait t signal e lors des travaux du groupe international d experts charg s par PIRSST de pr parer un bilan de connaissances sur les LATR Evaluation d interventions Des recherches ont de plus permis de r pondre aux interrogations sur les effets des interventions en pr vention dans les milieux de travail Un de ces projets portait sur l intervention en ergonomie participative en cours depuis le d but des ann es 90 la Soci t
15. IRSST Organisation du travail Universit du Qu bec Montr al 1997 1998 Montant 153 999 Guides de mesure des champs lectroma gn tiques 94 076 Les champs lectromagn tiques sont omnipr sents dans les milieux de travail et l on s inter roge sur leurs effets possibles sur la sant des travailleurs Des instruments de mesure ont t mis la disposition des intervenants du r seau de la sant ils doivent cependant tre utilis s correctement et les r sultats des lec tures interpr t s convenablement Le pr sent projet vise r aliser diff rents guides pour les utilisateurs de ces instruments de mesure selon la nature des sources de g n ration Ces ou vrages se fonderont sur la documentation scientifique et sur les donn es issues d exp riences sur le terrain Ils identifieront les para m tres mesurer et pr senteront les normes et leur signification Ces guides devraient don ner une certaine autonomie aux intervenants du r seau les donn es recueillies leur permet tront de mieux cerner les risques d exposition et de proposer des correctifs appropri s Lambert Lalibert Patrick Levallois IRSST Soutien analytique Centre de sant publique de Qu bec 1994 1998 Montant 78 885 Localisation auditive des avertisseurs so nores de danger guide de conception de signaux et preuve clinique de mesure de capacit s 94 074 Pour jouer pleinement leur r le pr ventif l
16. humidit rayonnement et vitesse de lair susceptibles de pr senter des risques pou la sant de leurs travailleurs L instrument qui sert habituellement mesurer la contrainte thermique laquelle peuvent tre soumis les travailleurs dans un environnement chaud est co teux et fragile en plus d utiliser une m thode qui laisse place des erreurs d interpr tation Une aluminerie et une association sec torielle paritaire ASP ont demand qu un instrument moins co teux plus r sistant et plus simple d utilisation soit valid afin de rem placer loutil conventionnel il s agit du Botsball Des essais en chambre climatique et la valida tion des r sultats en environnement ext rieur et en milieu de travail ou permis de d montrer l efficacit de cet outil pour d terminer effica cement la contrainte thermique dans diverses conditions Son prix r duit sa robustesse et sa facilit d utilisation vont encourager plusieurs petites entreprises se le procurer Pierre C Dessureault Universit du Qu bec Trois Rivi res 1996 1997 Montant 27 165 R pertoire des techniques et des technolo gies de contr le des missions de moteurs diesels en milieu minier 96 032 la demande de l Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur minier des chercheurs du CANMET ont tudi les possibilit s de contr le de l exposition au
17. lyser ces risques et l efficacit des mesures de correction prises dans une boulangerie indus rielle confront ce type de probl me Les r sultats ont d montr qu environ la moiti des incidents se produisait lors de situations dangereuses de r cup ration d incident Ces activit s de r cup ration se d roulent dans des conditions mat rielles dangereuses obstacles au d placement chelles ou escabeaux dange reux sol glissant contraintes de manutention etc avec l adoption de comportements de prise de risque d placement allure rapide intervention sur un quipement de marche etc Parmi les incidents rapport s par les op rateurs environ un tiers ont fait l objet de mesures correctrices et ce autant pour les incidents avec ou sans risque d accidents La moiti de ces mesures concernant les inci dents risque est jug e insatisfaisante par les op rateurs L inefficacit de ces mesures appa ra t provenir de certaines modalit s organisa ionnelles de correction des incidents qui ne permettent pas de tenir suffisammment compte de l activit des op rateurs Georges Toulouse IRSST S curit ergonomie 1994 1997 Montant 67 900 tude exploratoire de l exposition aux vibra ions globales du corps dans les v hicules mbulanciers de mod le GMC Top Kick 7 043 Depuis la mise en service au Qu bec de nou eaux v hicules ambulanciers de mod le GMC op Kick de nombreuses plaintes ont
18. t donn es aux inspecteurs de la CSST sur les dispositifs de voir la fiche de la page 17 verrouillage et de d verrouillage de syst mes de com mande En 1997 PIRSST a eu recours aux bancs d essai qu il a mis au point ces derni res ann es pour valuer tous les mod les de bottes de protection disponibles sur le march nord am ricain pour les pompiers De m me il a r alis une s rie essais des bottines de protection pour les tra vailleurs forestiers Les r sultats de ces valuations orien tent le choix des quipements en milieu de travail Ils ont galement incit des fabricants modifier des mat riaux qu ils utilisaient afin de corriger les faiblesses d cel es Des scientifiques de l Institut ont de plus si g aux comi t s du conseil d administration de la CSST charg s de mettre jour divers r glements La r vision de l Annexe A du R glement sur la qualit du milieu de travail afin d ajus ter les valeurs d exposition pour chacune des substances cit es aux horaires non conventionnels a constitu en 1997 un dossier majeur sur ce plan L Institut a par ailleurs contri bu aux travaux de comit s de normalisation nationaux ou internationaux qui tudient des normes de s curit touchant des quipements de protection les contaminants chimiques dans Pair les chutes de hauteur la s curit de machines et les robots industriels Il est galement pr sent un comit national charg
19. tionnels 94 071 Des valeurs d exposition admissibles sont ta blies pour chacun des contaminants chimiques mentionn s l Annexe du R glement sur la qualit du milieu de travail elles sont fix es en fonction d un horaire de travail conventionnel de cinq jours de huit heures Il importe de v rifier si ces normes doivent tre ajust es ou non pour offrir un degr de protection qui valent aux travailleurs ayant un horaire non conventionnel la demande de la CSST l IRSST a form un comit de chercheurs qui a produit une table d ajustement des normes d exposition aux horaires de travail non con ventionnels pour chacune des 660 substances de l Annexe A Guy Perrault Jules Brodeur IRSST Direction des op rations Universit de Montr al 1995 1997 Montant 207 900 D veloppement d une m thode analytique permettant la d termination quantitative d une s rie d ald hydes dans l air ambiant 94 051 Les ald hydes cha nes courtes sont large ment utilis s notamment dans les industries de fabrication de polym res de mat riaux iso lants et d adh sifs industriels on les trouve ga lement dans les produits de d gradation ther mique des plastiques et dans les missions des moteurs diesels ou essence Les analyses de l IRSST n ont port ce jour que sur le forma Id hyde Cependant le National Institute for Occupationnal Safety and Health NIOSH des tats Uni
20. tre utilis es tant par les hygi nistes industriels que par les m decins du travail et les autres sp cialistes en sant et en s curit du travail Michel G rin Universit de Montr al 1996 1998 Montant 34 020 34 IRSST Rapport annuel La contamination environnementale et son impact sur la sant des travailleurs des Les scieries emploient quelque 12 000 per sonnes au Qu bec qui y respirent un air sou ent pouss rieux contenant des bact ries et des moisissures potentiellement responsables de maladies respiratoires comme l alv olite al lergique Cette maladie est peu document e au Qu bec Les chercheurs proposent de r a liser une tude environnementale qui permet ra d identifier et de quantifier les diff rentes bact ries et moisissures pr sentes dans l air des scieries ainsi qu un examen m dical des tra ailleurs de ces industries qui seront soumis un questionnaire sur leur tat de sant des ests des fonctions respiratoires des tests cutan s d allergies et un dosage des anticorps aux microorganismes pr sents dans leur en ironnement de travail L tude permettra de aire le point sur l alv olite allergique de d ter miner l effet de l exposition diff rents con aminants sur la sant respiratoire des travail leurs et d intervenir sur les causes des probl mes avant que des atteintes irr ver sibles ne surviennent Yvon Cormier
21. 500 Conservatoire nationa arts et m tiers CNAM 3 cycle des niversit Concordia 3 cycle niversit de Montreal 2 cycle niversit de Montr al 2 cycle niversit de Montr al 3 cycle niversit de Montr al 3 cycle niversit de Montreal Postdoctorale niversit de San Francisco Californie Postdoctorale niversit de Sherbrooke 2 cycle niversit de Sherbrooke 3 cycle Universit de Sherbrooke Postdoctorale Rapport annuel atigny Celine Wu Xuting Benhaberou Brun Dalila Mirza Touseef Fortin Martin Tousignant Michel Duchaine Caroline Brunet Alain Marcotte Pierre Bouchard Martin Chekired Mohamed d D00 15 000 13 000 13 000 15 000 15 000 28 000 24 000 13 000 15 000 30 000 Montant Directeur s ylvie Montreui Universit Laval Catherine Teiger Conservatoire national des arts et m tiers Paul mile Boileau IRSST Subash Rakheja Universit Concordia Marie Dumont Universit de Montr al Michel G rin Universit de Montr al Jean Pierre Gagn Univervit de Montr al Lise Goulet Universit de Montr al Michel Rossignol H pital g n ral juif de Montr al Paul Comtois Universit de Montr al Daniel Weiss Universit de San Francisco Alain Berry Universit de Sherbrooke Bruno Paillard Universit de Sherbrook
22. Douglas 1997 1999 Montant 156 699 La pr vention du trouble de stress posttrau matique chez les employ s de d panneurs victimes de vols main arm e 96 033 Les r percussions psychologiques d un vol main arm e sur les travailleurs qui en sont vic times peuvent prendre la forme d un stress posttraumatique entra nant notamment des absences du travail une diminution de la per formance au travail la consommation de m di caments l utilisation de services de sant et le versement d indemnisations Cette activit vise valuer dans quelle mesure une intervention psychologique br ve r alis e aupr s d em ploy s de d panneurs victimes d un vol main arm e aura un effet sur l incidence du stress posttraumatique et de ses manifestations chez ces travailleurs Les r sultats pourraient le cas ch ant tre appliqu s aux autres tablisse ments susceptibles de subir de tels actes vio lents tels que les succursales d institutions financi res et les autres commerces de d tail Andr Marchand Richard Boyer Universit du Qu bec Montr al Centre de recherche Fernand Seguin 1997 1999 Montant 48 970 IRSST Rapport annuel 37 D monstration de l usage du mod le d va luation conomique de l intervention ergo nomique en milieu industriel 96 027 L incapacit d valuer sur le plan conomique les projets ergonomi
23. G TARDIF R et KRISHNAN K Toxicokinetic interac ions between dichloromethane and alkylben enes in rat 18th Annual Meetings of the merican College of Toxicology Washington novembre 1997 HARRISSON D et LEGENDRE C G rer le changement technologique et organisationnel out en gardant la sant et la s curit du travail en perspective quelle direction prendre Collectif d analyse et de recherche organisa HUNEAULT S G RIN M et B GIN D La substitution des solvants projet pilote de for mation 19 Congr s de Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 KUORINKA l BELLEMARE M et TOULOUSE G Promoting factors in participatory ergo nomics experience from small scale project on WMSDs I3th Triennal Congress of the International Ergonomics Association Tam pere Finlande Book of abstracts Vol 4 p 292 294 juillet 1997 LAN A et ART EAU J Limits and difficulties in applying the Qu bec safety code for the con struction industry The case of excavation American Society of Civil Engineers Annual Convention and Exposition Minneapolis Min nesota octobre 1997 LARUE C et GIGU RE D Understanding the role of blind spots around heavy goods vehicules perception measurement and 3D visualisation Conference Vision in Vehicules VII Marseille septembre 1997 LECLAIRE R
24. Les projets r alis s visaient fournir des solutions des probl mes reconnus mais aussi cerner les nouveaux courants et devancer les besoins L acc s de solides connaissances scientifiques est en effet un pr alable essentiel une pr vention efficace des l sions professionnelles Tout en r pondant aux demandes imm diates l Institut doit s assurer qu il sera en mesure moyen et long termes de r pondre aux attentes C est le double d fi dans lequel s inscrivent les projets r alis s en 1997 T IRSST Rapport annuel p Portrait de la sant et de la s curit du travail au Qu bec La production d un portrait statistique des secteurs et des professions risque a permis de mettre jour l information disponible sur la situation en mati re de sant et s curit du travail au Qu bec R alis tous les cinq ans ce portrait statistique compare les secteurs d activit et les professions entre eux en mati re d in cidence de gravit et de pr valence des l sions pro fessionnelles qui ont justifi une indemnisation Le rapport de 1997 met en vidence de nouvelles ten dances dont pourront tenir compte les chercheurs et les intervenants en sant et en s curit du travail L Institut a d ailleurs continu d offrir en 1997 un ser vice d expertise et de soutien statistique ses parte naires dans le cadre de leurs travaux en sant et en s curit du travail Des chercheurs ont
25. Les prot ines recueillies sont mises dans une solution de 0 001 de triton et leur concentration est ensuite d ter min e par spectrophotom trie visible La m thode mise au point par l IRSST a t test e dans deux usines Elle s applique uniquement a la d termination des prot ines pr sentes dans l air ambiant des usines de transformation du crabe et appara t suffisamment sensible pour appuyer les intervenants dans leurs efforts de correction la source Ginette Truchon et Guy Perrault IRSST Hygi ne et toxicologie et Direction des op rations 1996 1997 Montant 21 000 Seuil minimal d mission de monoxyde de carbone en rapport avec l mission d oxyde d azote dans les gaz d chappement de v hicules au propane 95 312 Plusieurs v hicules combustion interne ali ment s au propane chariots l vateurs surfa ceuses glace etc mettent du monoxyde de carbone CO un asphyxiant d autant plus per nicieux qu il est inodore incolore et non irri tant Cependant un abaissement sensible des missions de CO peut s accompagner d une augmentation des missions d oxydes d azote NOx de forts irritants des voies respira toires La pr sente activit vise d finir le seuil minimal d missions de CO dans les sys t mes d chappement des v hicules au pro pane qui ne g n reraient pas d missions toxiques d oxydes d azote Pour ce fa
26. Organisation du travail 1996 1998 Montant 30 230 Soutien au programme d intervention relatif au proc d de peinture par poudrage lec trostatique 96 044 Le proc d de peinture par poudrage lectro statique poudre s che utilis dans pr s de 200 entreprises au Qu bec comporte des dangers d explosion et d incendie associ s la pr sence de poussi res combustibles dans lair ainsi que des risques associ s la pr sence de composantes toxiques dans la poudre ou le gaz de cuisson Dans le contexte d un programme d intervention mis sur pied par la CSST afin d liminer ces dangers et ces risques un cher cheur de l IRSST travaillera d velopper et implanter des m thodes d valuation des sub stances mises lors du proc d de peinture par poudrage lectrostatique et offrira son soutien technique la formation des interve nants en hygi ne industrielle appel s interve nir en entreprise Les laboratoires de l Institut analyseront les diff rentes substances identi fi es en milieu de travail Jacques Lesage IRSST Hygi ne et toxicologie 1996 1998 Montant 18 150 IRSST Rapport annuel 31 Modalit s et limites l utilisation des tem p ratures de l air et Botsball dans l analyse de la contrainte thermique 96 039 Plusieurs entreprises du secteur des textiles doivent faire face surtout pendant l t des probl mes de contraintes thermiques temp rature
27. Richard Poulin Universit Laval 1996 1998 Montant 13 000 Analyse de la s curit des v hicules tout terrain VTT dans les op rations foresti res 95 843 Les v hicules r cr atifs tout terrain en raison de leur l g ret de leur petite taille et de leur puissance sont de plus en plus utilis s par les propri taires de petits espaces bois s dans certaines op rations foresti res telles que le d busquage et le d bardage transport du bois hors des lieux de coupe Pr occup par le nombre croissant d accidents du travail en for t impliquant ces v hicules le Comit pari taire de pr vention de l industrie foresti re a demand l IRSST de mener une activit pr a lable l analyse de la s curit des v hicules tout terrain dans les op rations foresti res Les responsables proc deront une recherche documentaire des analyses statistiques des cas d accidents ainsi qu des visites sur les sites afin d observer les conditions d utilisation de ces v hicules et les besoins d am liorations techniques Les r sultats de cette tude pr li minaire seront discut s avec des op rateurs et des contrema tres et pourront donner lieu au besoin un projet de recherche Serge Mass et Jean Guy Richard Fran ois Charron Fernand Landry IRSST S curit ing nierie et S curit ergonomie Universit de Sherbrooke Centre sp cialis de tec
28. S rie tudes et recherches Rapport R 156 27 p IRSST Montr al 1997 LAVOIE J Contaminants biologiques dan les centres de traitement des eaux us es S rie tudes et recherches Rapport R 163 22 p IRSST Montr al 1997 LAVOIE J et MARCHAND G D termination des caract ristiques consid rer d un point de vue de sant et s curit des travailleurs dans les centres de compostage des d chets domes tiques S rie tudes et recherches Rapport R 159 37 p IRSST Montr al 1997 56 IRSST Rapport annuel LEVALLOIS P GAUVIN D LAJOIE P et SAINT LAURENT J Review of exposure uidelines for electromagnetic fields 0 300 GHz and ultraviolet radiation S rie Bilan de connaissances Rapport B 05 1 p 87 IRSST Montr al 1997 MALO J L CARTIER A PERRAULT G CLOUTIER Y et DROLET D D veloppe ment et validation d une m thodologie de ests de provocation bronchique aux agents professionnels sous la forme de vapeur S rie tudes et recherches Rapport R 153 17 p IRSST Montr al 1997 MONTREUIL S BRISSON C ARIAL M et RUDEL L valuation des effets d un pro ramme de formation chez les utilisateurs de erminaux cran de visualisation S rie tudes et recherches Rapport R 167 121 p R sum RR 167 15 p IRSST Montr al 1997 PATRY L ROSSIGNOL M COSTA M J et BAILLARGEON M Guide po
29. Surplus du Fonds J H Sauv Passif Cr diteurs et charges payer Solde du fonds 6 958 844 IRSST Rapport annuel 67 Notes compl mentaires La Corporation constitu e en vertu de la troisi me partie de la Loi sur les compagnies du Qu bec a la responsabilit du d veloppement de la coordination et de l ex cution des acti vit s de recherche pouvant contribuer la r alisation des objectifs de la Loi sur la sant et la s curit du travail et plus pr cis ment l identification et l limination la source des dangers pour la sant la s curit et l int grit physique des travailleurs ainsi qu la r adaptation de ceux ci lorsqu ils sont victimes d accidents ou de maladies professionnelles Les tats financiers ont t dress s selon les principes comptables g n ralement reconnus et tiennent compte des principales conventions comptables suivantes Fonds d op rations Le fonds d op rations regroupe d une part les activit s de recherche et de support pour lesquelles la Corporation re oit annuellement une subvention de la CSST et d autre part les services de laboratoire offerts aux membres du r seau lesquels sont factur s sur une base mensuelle Les d penses d op rations courantes relatives ces activit s sont imput es ce fonds Fonds avec restrictions Le fonds avec restrictions inclut les activit s relatives aux contrats ext rieurs ainsi que cell
30. bec Montr al 1995 1997 Montant 99 600 Conception d ancrage pour les c bles de secours horizontaux 91 010 Depuis quelques ann es au Qu bec des dispo sitifs de protection ont t adopt s pour la pr vention des chutes de hauteur des mon eurs de charpentes m talliques Ainsi le c ble de secours horizontal de plus en plus utilis a jusqu pr sent arr t la chute d au moins 14 cr e des difficult s d installation et de mani pulation d o la n cessit de cr er un poteau d ancrage l ger s r et capable de r sister la chute d un travailleur Pour associer l g ret et r sistance le poteau devra subir une d for mation plastique afin d absorber l nergie de la chute Des essais ont d j d montr la validit de ce principe et permis d identifier des po eaux d ancrage ayant ces qualit s L analyse des r sultats a montr que l aluminium est pr f rable l acier Afin de valider ces r sul ats de nouveaux essais ont t effectu s pour d terminer l effet des grandes d formations des basses temp ratures et des taux de char ement sur le comportement de sections d acier et d aluminium de diff rentes formes Un profil carr en aluminium a pr sent les meilleures performances Jean Arteau Georges Mcintyre IRSST S curit ing nierie cole Polytechnique 1992 1997 Montant 337 700 Protocole d am liorati
31. capteurs contribue ront la prise de d cision ventilation pura ion vacuation alarme lorsque la concentra ion de styr ne dans lair exc de la norme Une telle technologie de d tection des gaz et d exploitation des donn es pourrait ensuite tre appliqu e d autres produits toxiques pr sents dans d autres milieux industriels JamesT Agbebavi et Paul Andr Courtois Universit du Qu bec Trois Rivi res 1994 1998 Montant 83 000 valuation d une m thode lecture directe pour les gaz et vapeurs moniteur photoa coustique 93 054 Les hygi nistes du travail disposent aujourd hui d une gamme d appareils de mesure lecture directe qui leur permettent de mesurer rapide ment avec une exactitude acceptable les con centrations de polluants pr sents dans divers milieux industriels Les principes de d tection sur lesquels repose le fonctionnement de ces instruments qu il s agisse de chimiluminescence d amalgamation de pile lectrochimique ou autres s appliquent en majorit aux gaz tandis que quelques appareils seulement permettent de d tecter les vapeurs ces instruments qui onctionnent par colorim trie sont sujets beaucoup d interf rences et offrent donc une iabilit r duite La recherche vise valuer dans le cours de divers projets et activit s ins crits la programmation de recherche de PIRSST un nouvel analyseur fond sur le prin cipe de la d tection ph
32. cette m hode aux bottines de protection offertes sur le march qu b cois La m thode propos e consiste mesurer l nergie n cessaire pour couper une telle bottine avec une scie cha ne en tenant compte de l effort de la vitesse et du emps requis pour ce faire L valuation per mettra de classer les bottines de protection selon leur r sistance la scie cha ne fournis sant aux employeurs et aux travailleurs une information utile dans le choix de celles qui offrent une protection ad quate Les r sultats pourront par ailleurs servir l laboration d une norme d essai pour les quipements de protection contre les scies cha ne Denis Turcot IRSST S curit ing nierie 1996 1998 Montant 53 450 R sistance des v tements de protection aux solvants industriels validation d un mod le de pr diction de la r sistance et r daction d un guide de s lection 95 833 Le contact cutan avec certains produits chi miques pouvant causer br lures dermatites et intoxications l usage de gants r sistant ces produits peut constituer une protection effi cace Cependant les gants ont une r sistance limit e selon le mat riau dont ils sont faits et l agresseur chimique avec lequel ils sont mis en contact Le projet vise inventorier les princi paux solvants industriels et les gants de pro tection les plus r pandus au Qu bec dans les secteurs de l imprimerie et de la fabrication d q
33. compl te d une connaissance Yvon Gauthier lieutenant pompier au Service accrue des risques gr ce au r pertoire des de la pr vention des incendies de la Ville de Montr al caserne 16 Groupe 1 professionnels et ont propos un formulaire d enqu te Cette meilleure compr hension syst mes de construction du XVIIe si cle En acceptant de soutenir une recher che en architecture et d largir le terri toire couvert l ensemble du Qu bec PIRSST contribue fournir aux pompiers des outils de pr vention des plus utiles Andre Bourdeau retrait ancienne ment assistant directeur responsable de la formation en sant et s curit du travail au Service de la pr vention des incendies de la Ville de Montr al nos jours qu a produit un chercheur de l Universit de Montr al Cet outil servira la formation sur le comportement structural des anciens b timents et sur les risques qu ils pr sentent lors d un incendie Enfin le Centre des technologies textiles a recommand des mat riaux susceptibles d am liorer le confort thermique des v tements deux pi ces des pompiers et la dext rit de leurs gants Autant de projets qui s inscrivent dans la s rie d axes de recherche propos s par l Association paritaire pour la sant et la s curit Affaires municipales 18 IRSST Rapport annuel des risques toxicologiques adapt s aux horaires non conventionnels Les normes pr
34. d cem bre 1997 CHAREST TARDIF G HADDAD S TARDIF R et KRISHNAN K Toxicokinetic interac ions between dichloromethane and alkylben zenes in rat Current Issues on Chemical Mixtures Fort Collins Colorado ao t 1997 CHEKIRED M BENMOKRANE B et MITRI H S A new cable tension measuring device 99th Annual Meeting CIM Vancouver avril 1997 CHEKIRED M BENMOKRANE B et MITRI H S Laboratory investigation on the new cable tension measuring device 36th United States Rock Mechanics Symposium New York juin 1997 CHICOINE D CLOUTIER E BELLEMARE M KUORINKA I et LECHASSEUR C Int gration des approches statistiques et ergo nomiques pour la compr hension des LATR 29 Congr s de l Association canadienne d ergonomie Winnipeg septembre 1997 CHICOINE D E CLOUTIER E BELLEMARE M et LECHASSEUR C The effect of senior ity on the development of musculoskeletal disorders 13th Triennal Congress of the International Ergonomics Association Tam pere Finlande Book of abstracts Vol 4 p 19 21 juillet 1997 CHOUKAIRI F IMBEAU D MONTPLAISIR A MONTPLAISIR J C B NAOUDIA M et LEBLANC A Validation exp rimentale d un mod le de pr diction de la d pense nerg tique Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du tra vail Jonqui re mai 1997 CLOUTIER E L impact du vieilliss
35. d acc s la zone de fa onnage du m tal Pour liminer ce risque sans nuire la produc tion une solution prometteuse parce qu appli cable aux presses usag es aussi bien qu aux neuves consiste munir les machines d une garde mobile ou de gardes fixes plus ad quates que celles qui existent actuellement Le projet vise recueillir en usine les donn es n cessaires l am lioration des gardes existantes identi fier les solutions appropri es et mettre au point des prototypes fonctionnels On vise terme une r duction appr ciable des accidents graves amputations et crasements associ s l utilisation et l entretien des presses m tal Raymond B langer Serge Mass et Ren Beno t IRSST S curit ing nierie 1995 1998 Montant 285 800 laboration d un mod le de pr diction des contraintes in situ dans les mines du Nord Ouest qu b cois 94 024 chaque ann e des dizaines d accidents par fois mortels surviennent dans des mines qu b coises cause d instabilit s au pourtour d excavations souterraines Un l ment essen tiel requis pour la pr diction de ces instabilit s est l tat des contraintes qui pr valent dans le massif avant que les excavations ne soient effectu es tant donn la difficult de r aliser des mesures de contraintes dans les massifs rocheux le chercheur a proc d l labora tion d un
36. d identifier les tech niques les plus efficaces ils serviront aussi laborer un contenu de formation qui permet tra aux travailleurs d abattoirs de r duire les efforts reli s la coupe Nicole V zina Universit du Qu bec Montr al 1995 1998 Montant 176 577 IRSST Rapport annuel 43 D veloppement d un guide de diagnostic cli nique pour les l sions musculosquelettiques des membres sup rieurs attribuables au travail r p titif 92 057 CR 92 06 Les m decins du Qu bec ont la responsabilit d tablir un diagnostic de l tat de sant des travailleurs atteints de l sions potentiellement attribuables un travail r p titif LATR Or si de telles l sions peuvent tre diagnostiqu es sur le plan clinique il est plus difficile de d ter miner si elles r sultent du travail Un groupe de cliniciens et de chercheurs a produit deux guides pour aider les m decins diagnostiquer le syndrome du canal carpien et la tendinite de De Quervain tendinite du poignet deux l sions potentiellement attribuables au travail r p titif Un troisi me guide sur les tendinites de l paule para tra en 1998 Ces ouvrages sont construits en conformit avec la d marche clinique des m decins On y traite du question naire m dical du questionnaire sur le travail de l examen physique des tests cliniques et paracliniques et du diagnostic diff rentiel Les
37. de produits de m tal Rap port RA4 149 Marquage du granit Rapport RA5 149 R usinage de produits de m tal Rapport RA6 149 Grande entreprise manu facturi re et construction IRSST Montr al 1997 SIMARD M La participation des travailleurs la pr vention des accidents du travail formes efficacit et d terminants S rie tudes et recherches Rapport R 154 40 p IRSST Montr al 1997 TARDIF R et BRODEUR J La surveillance biologique de l exposition mixte en milieu de travail D veloppement de mod les en vue de l interpr tation des donn es de surveillance biologique l exposition S rie tudes et recherches Rapport R 150 80 p IRSST Montr al 1997 TOULOUSE G Les risques d accident asso ci s la r cup ration d incident dans un sys t me automatis de production en s rie le cas d une boulangerie S rie tudes et recher ches Rapport R 174 64 p IRSST Montr al 1997 WOJTOWICKI J L et NICOLAS J valua tion de l efficacit de protecteurs auditifs de type casques aux bruits impulsionnels d armes feu S rie tudes et recherches Rapport R 166 9 p IRSST Montr al 1997 RTEAU J Standard Sp cification for Foot Protection for Chain Saw Users ASTM F1818 97 American Society for Testing and Materials West Conshohocken PA 1997 RTEAU J V tements de protection pour utilisateurs de scies cha ne tenues la ma
38. de sant s curit environnement Conf d ration des syndicats nationaux Serge Trudel Directeur du Service de la sant et de la s curit du travail F d ration des travailleurs et travailleuses du Qu bec Conseil scienti IQUE secemore 19 MEMBRES DES MILIEUX SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES Charles E Beaulieu Pr sident du conseil d administration Institut national d optique Jean Fran ois Boivin Professeur titulaire D partement d pid miologie et de biostatistique Universit McGill Maurice Brossard Administrateur Denyse L Dagenais Professeure titulaire Institut d conomie appliqu e cole des Hautes tudes Commerciales Gilles Dussault Professeur titulaire D partement d administration de la sant Universit de Montr al R Charles Terreault Conseiller en gestion de la technologie DIRECTEUR DES OP RATIONS Alain Lajoie OBSERVATEUR Alain Albert Vice pr sident la programmation et l expertise conseil Commission de la sant et de la s curit du travail du Qu bec Avec voix consultative seulemen 05 boul de Maisonneuve Que Montr al Qu bec H3A 302 Institut de T l 514 288 1551 Fax 514 288 7636 D p t l gal Biblioth que nationale du Qu bec 2 trimestre 1998 ISBN 2 550 33264 4 ISSN 0820 8409 Production Direction des Communications de PIRSST Coordination de la production Linda Savoie Redaction Nicole M nard Conception Dev
39. de tangage les vibrations erticales seront reproduites sur un simula eur en laboratoire dans le but d valuer ou d identifier les moyens de corrections appro pri s chaque cat gorie de v hicules si ge suspension suspension de v hicule etc Les r sultats pourront notamment servir valuer des si ges suspension pour l une ou l autre des cat gories de v hicules vis es Paul mile Boileau Subash Rakheja IRSST S curit ing nierie Universit Concordia 1996 1999 Montant 215 400 Conception d un protecteur auditif sup pression de bruits dominants 95 031 Les mineurs travaillent g n ralement dans des espaces ferm s avec des outils bruyants Pour se prot ger du bruit ambiant ils portent des protecteurs auditifs conventionnels tels co quilles ou bouchons Cependant ils restent expos s des risques d accidents et de sur dit Le projet vise d velopper un protecteur auditif qui r duira le bruit lev et monotone produit par les outils tout en laissant passer les signaux d alarme et les signaux n cessaires la communication vocale Des circuits analo iques capables de discrimination entre les bruits r duire et les signaux reconna tre seront d velopp s et ins r s dans les coquilles de protection afin d tre test s dans l environ nement minier Une telle technologie si elle s av re efficace pourrait tre appliqu e dans les secteurs de la co
40. demandes de r pondre des besoins manifest s par soutien technique li es des m tiers activit s et pro jets de construction sp cifiques ses clients et partenaires Cet apport L Institut a aussi organis de concert avec ses par tenaires une journ e de r flexion sur la probl ma d expertise assure que les connaissances tique des LATR lors de laquelle des tables d change ont permis de mieux cibler les besoins Les participants ont alors sugg r d largir la probl matique des LATR l ensemble des troubles musculosquelettiques pour y inclure les maux de dos scientifiques et le savoir faire technique existants soient exploit s au maximum pour am liorer la sant et la s curit Dans le cas du programme d intervention sur la fabrication d objets en polyester stratifi l Institut a des travailleurs assur la cueillette des donn es scientifiques perti nentes en vue de la production d une pochette d infor mation destin e aux entreprises Ses chercheurs ont de plus d velopp et valu un syst me de captage du styr ne lors de la fabrication de petites pi ces En plus de l expertise fournie dans le cadre des programmes d intervention l Institut a r pondu en 1997 des demandes pr cises exprim es par le milieu du travail et les interve nants en sant et s curit Pour valuer la qualit de lair comprim respi rable les sp cialistes en contaminants ont mis au point un
41. des ancrages et des c bles de secours horizontaux Colloque CSST Bas Saint Laurent Gasp sie d cembre 1997 AUTHIER M LORTIE M et GAGNON M How do expert handlers choose a work technique 13th Triennial Congress of the International Ergonomics Association Tam pere Finlande Book of abstracts Vol 4 p 248 250 juillet 1997 BARIL R et MARTIN J C L itin raire per sonnel des travailleurs accident s en r adapta tion Centre de sant publique de Qu bec Beauport mars 1997 BEAUCHAMP Y THOMAS M MARCHAND D et ARTEAU J An experimental design to assess wood pole climbability using psy chophysical and mechanical measurements Electricity 97 Conference and Exposition Corporate Resources Health and Safety Canadian Electricity Association Vancouver avril 1997 BELLEMARE M et GARRIGOU A Com prendre l activit des ing nieurs de projet un enjeu pour l intervention pr coce de l ergo nome Journ es de Bordeaux sur la pra tique de ergonomie Universit Victor Segalen Bordeaux France Compte rendu p 96 104 mars 1997 BELLEMARE M et TOULOUSE G Implanter une d marche d ergonomie participative r sultats d exp riences r centes Colloque des infirmi res et infirmiers en sant et en s curit du travail AISSTQ Montr al avril 1997 BELLEMARE M CLOUTIER E CHICOINE D KUORINKA I et LECHASSEUR C Int gration des appr
42. divers syst mes de construction auxquels ils peuvent tre confron t s lors d incendies les pompiers peuvent adopter et appliquer des strat gies plus effi caces et plus s res anticipant notamment les risques d effondrement de divers types de structures Le chercheur a d j document et repr sent graphiquement les principaux sys t mes de construction pr sents Montr al et donn une formation ce sujet l ensemble des agents du Service de pr vention des incen dies de la Ville de Montr al La pr sente acti vit visait tendre cette d marche de docu mentation l ensemble des municipalit s du Qu bec qui poss dent un service permanent de lutte contre les incendies en tenant compte des sp cificit s des syst mes de construction les plus r pandus sur l ensemble du territoire 38 IRSST Rapport annuel Le mat riel ainsi produit pourra servir la for mation des pompiers de ces municipalit s Jules Auger cole d architecture Universit de Montr al 1996 1997 Montant 34 500 R alisation d un guide et d un outil pour planifier et v rifier l installation s curitaire d quipement informatique dans les autos L Association paritaire du secteur affaires municipales APSAM a exprim le besoin de disposer d un guide permettant d installer de l quipement informatique dans les autos patrouilles et de v rifier le caract re
43. en est la pr ven tion Conf rence midi de PIRSST Montr al f vrier 1997 DION C PERRAULT G CHAMBERLAND G et McCABE J Assurance qualit de la num ration des fibres Conf rence interna tionale sur Putilisation s curitaire et res ponsable du chrysotile Montr al septembre 1997 DROLET D et LARA J Estimation de la dur e de vie des cartouches adsorbantes pour l ac tone et le styr ne l aide d un outil infor matique simple 19 Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 DROUIN G GAGNON D et GHORBAL A Estimation of 3D moments at L5 SI using a dynamometric box a comparative validation study 21st Congress of the American Soci ety of Biomechanics Book of abstracts Clemson Caroline du Sud 1997 DUFRESNE A B GIN R et PERRAULT G Persistence of manmade mineral MMMF fibres in the sheep tracheal lobe Ninth Inter national Conference on Occupational Respi ratory Diseases Kyoto Japon octobre 1997 DUGUAY P et CLOUTIER E Les indicateurs de l sions en SST analyse par professions en 1991 Congr s de l Association canadienne fran aise pour l avancement des sciences ACFAS Trois Rivi res mai 1997 DUGUAY P et H BERT F Les indicateurs de l sions en sant et en s curit du travail ana lyse par secteur d activit conomique et par professi
44. guides sont bas s sur une revue de la litt ra ture scientifique de la jurisprudence de la Commission d appel en mati re de l sions professionnelles CALP et d une enqu te sur l tat de la pratique courante concernant le diagnostic clinique et occupationnel des LATR Michel Rossignol Louis Patry H pital g n ral juif Universit Laval 1992 1998 Montant 107 700 tude des probl mes musculosquelettiques sur la cha ne de d coupe d une usine de transformation de la volaille 90 017 Le travail la cha ne dans les usines de trans formation de la volaille comporte des risques lev s de l sions musculosquelettiques Cette recherche s est concentr e sur l analyse de l activit de travail aux postes d une cha ne de d coupe de la dinde Les travailleurs et les tra vailleuses des postes analys s ont t rencon tr s en entrevues individuelles la suite de l analyse de l activit chacun des postes de travail et en particulier aux postes consid r s plus risque des entretiens collectifs ont t organis s afin d approfondir la compr hension du travail et des d terminants principaux des situations risque Les difficult s reli es par exemple certains types de productions l exposition au froid et l entretien des cou teaux ont t mises en vidence La recherche 44 IRSST Rapport annuel s est aussi centr e sur la co
45. laires leur application et la perception qu en ont travailleurs et employeurs ainsi que les tudes valuant le bien fond du suivi m dical des travailleurs Claire Infante Rivard Universit McGill 1996 1997 Montant 41 210 Caract ristiques des entreprises qui r ussis sent r ins rer les travailleurs victimes de l sions professionnelles Phase l Identifica tion des facteurs organisationnels dans les entreprises susceptibles d tre associ s au maintien du lien d emploi 95 838 La possibilit de r insertion professionnelle des travailleurs accident s est une question qui retient l attention du monde du travail en raison des co ts humains sociaux et cono miques qu elle met en cause Compte tenu du peu de connaissances acquises sur cette ques tion la pr sente tude visera d abord identi fier les caract ristiques organisationnelles des entreprises qui parviennent maintenir le lien d emploi avec leurs travailleurs absents plus de quarante cinq jours pour cause d accident On proc dera un bilan des connaissances scien tifiques disponibles et on se dotera des outils n cessaires la cueillette d informations dans une quinzaine d entreprises Les entrevues r a lis es seront analys es afin d en faire ressortir les facteurs organisationnels susceptibles d tre associ s au maintien du lien d emploi Raymond Baril Diane Berthelette
46. mod le de pr diction valable pour le Nord Ouest qu b cois plus particuli rement pour les mines situ es le long de la faille de Cadillac L originalit du mod le propos r side dans le fait qu il se limite une r gion g olo gique bien pr cise ce qui permet un meilleur regroupement des mesures autour des courbes de r gression L autre l ment original provien de ce que la variation des contraintes avec la profondeur suit une distribution polynomiale ce qui permet une meilleure corr lation entre les donn es de terrain et le mod le tout en vitant d imposer des contraintes horizontales tr s lev es tout pr s de la surface comme le font les mod les lin aires couramment utilis s Une comparaison de ces mod les usuels avec celui propos d montre que ce dernier est en moyenne plus s curitaire aussi bien pour les instabilit s structurales que l on trouve pr s de la surface que pour les instabilit s par exc s de contraintes que l on trouve dans les plus grandes profondeurs Robert Corth sy cole Polytechnique 1994 1997 Montant 98 000 S curit d utilisation des tracteurs agricoles au Qu bec leurs caract ristiques les condi tions d utilisation et la nature des t ches effectu es sur ces quipements 93 047 L utilisation du tracteur agricole est responsable d une forte proportion des accidents dans ce secteur d activit Dans ce contexte l Institut a rassembl des chercheurs
47. organisationnelle les activit s des pr ventionnistes deviennent plus com plexes Dans leur recherche d une pr vention plus efficace les associations sectorielles pari aires et la CSST notamment manifestent un int r t croissant l gard des intervenants de premi re ligne en pr vention La pr sente tude r alis e dans les secteurs des p tes et papiers et des panneaux et scieries vise dresser au moyen de questionnaires et d ob servations directes un portrait des qualifica tions des connaissances des fonctions et des responsabilit s de ces intervenants patronaux et syndicaux Une analyse de leur activit r elle permettra d clairer la dynamique des pra tiques de pr vention et d identifier lesquelles produisent les meilleurs r sultats Jean Pierre Brun et Clermont B gin Universit Laval 1996 1998 Montant 154 279 volution des indicateurs de l sions profes sionnelles indemnis es par secteurs d activit conomique Qu bec 1986 1993 94 067 Entre 1986 et 1993 le nombre de l sions pro fessionnelles indemnis es par la CSST a dimi nu de fa on marqu e passant de 210 000 133 000 Cette r duction a notamment coi n cid avec deux v nements marquants la r ces sion et la mise en place d un nouveau mode de tarification de la Commission Simultan ment on a observ une augmentation de la dur e d indemnisation Au del de ces donn es g n rales on soup onn
48. pitaux de soins prolong s et va luation des conditions de travail 92 123 l heure o l on semble privil gier les soins domicile il appara t int ressant de comparer l incidence des lombalgies chez les auxiliaires amiliales et sociales qui dispensent ces soins et chez les pr pos es aux b n ficiaires qui tra vaillent dans les tablissements de sant Une tude sur les auxiliaires de 54 CLSC et sur les pr pos es des unit s de soins prolong s de 36 h pitaux entre 1988 et 1992 a permis de d gager les r sultats pr liminaires suivants 40 des pr pos es et 49 des auxiliaires ont d j souffert de lombalgies entre 1988 et 1992 la proportion de ces maux a augment de 20 60 chez les pr pos es et de 26 63 chez les auxiliaires Aucun facteur individuel taille poids nombre d enfants tabagisme n est statis tiquement significatif par contre la distribution des lombalgies semble d pendre de facteurs professionnels anciennet situation d emploi nombre d heures travaill es espace et quipe ment qui expliquent un risque plus lev chez les auxiliaires que chez les pr pos es Gilles Th riault et Dina Hamd Universit McGill 1993 1998 Montant 63 262 Ergonomie participative mode de gestion et performance en pr vention des accidents du travail le cas de la SAQ 92 116 Cette recherche s inscrit dans la continuit d une intervention majeure en ergonomie par t
49. pr sident Treffl Lacombe Les nouvelles fa ons de faire que nous avons adopt es lors de notre r cent virage client le ont impr gn cette ann e l ensemble de nos activit s De plus en plus proche de l action notre quipe a su fournir aux milieux de travail et aux intervenants du r seau le soutien scientifique et technique qu ils requ raient En parall le nous continuons de faire avancer les connaissances et d enrichir notre expertise pour tre en mesure de r pondre aux nouveaux besoins qui M surgiront demain lt Pour acc l rer et consolider sa r orientation strat gique l Institut est engag dans une d marche d am lioration continue qui touche l ensemble de son fonctionnement Le but maximiser la coh rence la qualit et l impact de ses activit s en vue d acqu rir une masse critique de connaissances dans les sept champs cibl s comme prioritaires la lumi re des besoins de ses clients et partenaires En agissant d s pr sent tout en pr parant lavenir l Institut prend les moyens pour atteindre l objectif qu il s est fix ml devenir dans un contexte paritaire un centre de r f rence scientifique essentiel aux op rations et la strat gie de la CSST et de son r seau Le directeur g n ral Jean Yves Savoie 6 IRSST Rapport annuel HANSRITILT ARE L Institut a maintenu en 1997 les sept champs prioritaires qu il avait cibl s deux ans plus t
50. premi re phase de la recherche ont donn lieu l laboration de correctifs minimaux pour certaines machines dangereuses Un comit aviseur mis sur pied d s le d but de la recherche a recommand la conception d un nouvel appareil ce qui a fait l objet du pr sent projet La recherche a t r alis e selon une approche et des m thodes emprunt es l ing nierie simultan e et ce afin de tenir compte d s la conception de la machine des diverses attentes des utilisateurs reli es notamment des imp ratifs techniques des exigences de productivit des contraintes du march ainsi que de la sant et de la s cu IRSST Rapport annuel 51 rit du travail La majeure partie de l activit a port sur l unit de coupe principale respon sable des niveaux de bruit lev s et source de dangers importants Les r sultats ont d mon tr qu il est techniquement possible de r duire le bruit de 15 dB A tout en maintenant une productivit acceptable dans un contexte d uti lisation normale de ces machines Le projet a galement permis de d finir les principaux cri t res de conception s curitaires du syst me d alimentation qui demeure la principale inter face de l op rateur avec la machine Ren Beno t Andr Gadoury Jean Nicolas et Fran ois Charron IRSST S curit ing nierie Centre de recherche industrielle du Qu bec Universit de Sherbrooke 1994 1997 Montant 294 5
51. projet la fibre optique sera incorpor e aux cartouches fil trantes et soumise des essais de laboratoire en vue d tudier sa r ponse en fonction du d bit d air de l humidit de la concentration de polluants et de la pr sence de plusieurs pol luants Les caract ristiques de la fibre optique seront optimis es au moyen de ces r sultats Pierre Bernard Serge Caron Jaime Lara Daniel Drolet Institut national d optique IRSST S curit ing nierie IRSST Hygi ne et toxicologie 1997 1998 Montant 206 110 Mise au point des m thodes pour valuer r sistance la perforation et la coupure des chaussures de protection utilis es pou la lutte contre les incendies 95 302 Entre 1991 et 1993 les pompiers du Qu bec ont subi quelque 300 l sions aux pieds et aux chevilles Face cette situation et pour assurer la r sistance des chaussures de protection des pompiers un comit du Bureau de normalisa tion du Qu bec et l Association paritaire du secteur affaires municipales ont fait appel PIRSST pour mettre au point des m thodes permettant d valuer la r sistance des chaus sures la coupure et la perforation Le res ponsable du projet a d j conduit des travaux comparables notamment sur la r sistance des gants de protection aux coupures et aux per forations il s agira donc d adapter ces m thodes l valuation des chaussures de protection Le projet permettra d valuer les c
52. quemment analys s l IRSST ils sont notamment utilis s dans le placage lectrolytique et on les trouve aussi dans les fum es de soudage et les pig ments de peinture Ces travaux serviront l valuation environnementale des travailleurs et faciliteront l application des normes d expo sition Pierre Larivi re Claude Ostiguy et Guy Perrault IRSST Hygi ne et toxicologie et Direction des op rations 1997 1998 Montant 28 900 Implantation d une m thode de mesure des endotoxines pr sentes dans Pair de milieux de travail 97 009 Les endotoxines contenues dans certaines bac t ries sont pr sentes dans l air ambiant de plu sieurs milieux de travail tels les usines de fibre de verre le milieu agricole et les entreprises de biotechnologies L inhalation d endotoxines peut causer divers effets sur la sant dont la fi vre l oppression thoracique et l inflamma tion des bronches Afin d aider au contr le de ce risque biologique PIRSST a entrepris de d velopper une m thode de mesure des endo toxines en trois grandes tapes pr l vement extraction et dosage L efficacit de divers filtres la dur e du pr l vement les m thodes de transport et de conservation des chan tillons seront valu es afin d optimiser le pr l vement Diverses m thodes d extraction et de dosage seront tudi es Une fois optimis s l en semble des param t
53. recherche et de la construction Minist re du Travail du Qu bec MEMBRES DU COMIT EX CUTIF Treffl Lacombe pr sident Ghislain Dufour Cl ment Godbout Jean Yves Savoie Avec voix consultative seulemen z0 IRSST l annuel Le conseil scientifique agit titre d instance consultative aupr s du directeur g n ral est appel se prononcer sur la pertinence le caract re prioritaire et la qualit scientifique des programmes oae projet ae reerche interne Ct externe Lec avis du conseil sur la qualit scientifique des recherches s appuient g n ralement sur des analyses et des recommandations de comit s d experts recrut s dans les milieux scientifiques PR SIDENT Jean Yves Savoie Directeur g n ral REPR SENTANTS DES EMPLOYEURS Alexandre Beaulieu Pr sident ALNICO Inc Pierre J Gosselin Directeur m dical Compagnie d assurance Standard Life Richard Lapointe Consultant en toxicologie environnementale Soci t d lectrolyse et de chimie Alcan Lt e Ren e Liboiron Directeur Services techniques sant et s curit du travail Conseil du Patronat du Qu bec REPR SENTANTS DES TRAVAILLEURS Daniel Flynn Repr sentant syndical Sant et s curit du travail Syndicat qu b cois des employ es et employ s de service section locale 298 FTOQ Jacques Gu nette Hygi niste du travail Sant au travail CLSC Montr al Nord Charles Pr vost Coordonnateur Service conf d ral
54. s dans les exploitations mini res nstitution Universite de erbrooke h matique en ing nierie niversit du Qu bec Hull 2 cycle niversit du Qu bec Montr al 2 cycle niversit du Qu bec Montr al 3 cycle niversit du Qu bec Montr al 3 cycle niversit du Qu bec Montr al 3 cycle niversit du Qu bec Montr al 3 cycle niversit Laval 2 cycle niversit McGill 3 cycle niversit McGill 3 cycle Ratle Alain Giroux Julie Gilbert Fr d ric lucci Soledad Laberge Marie Nastasia luliana Richard Mario Racine Claudia Denis Denys Gagn Lise Montant 000 S 13 000 13 000 15 000 15 000 15 000 15 000 13 000 15 000 15 000 IRSST Rapport annuel 53 Directeur s Alain Berry Universit de Sherbrooke Denis Harrison Universit du Qu bec Hull Diane Berthelette Universit du Qu bec Montr al Andr Marchand Universit du Qu bec Montr al Marie Authier Universit du Qu bec Montr al Monique Lortie Universit du Qu bec Montr al Monique Lortie Universit du Qu bec Montr al Jean Marc Robert cole Polytechnique Karen Messing Universit du Qu bec Montr al Yvon Cormier H pital Laval Monique Lortie Universit du Qu bec Montr al Michel Rossignol H pital g n ral juif de Montr al Andr Dufresne Universit McG
55. sera alid e aupr s de 120 autres travailleurs atteints d une l sion musculosquelettique Susan Stock Patrick Loisel H pital Charles LeMoyne Universit de Sherbrooke Montant 1995 1998 94 900 Influence du travail modulaire sur les mou vements r p titifs 93 096 La pr sente tude vise v rifier si l instaura ion du travail modulaire dans la confection de tements pr n e pour r duire les probl mes attribuables aux mouvements r p titifs s ac compagne r ellement de changements signifi catifs au niveau des facteurs de risque Pour ce aire des observations ont t effectu es dans deux entreprises o se c toient production conventionnelle et production modulaire Des donn es ont t recueillies sur la r partition r elle des t ches entre les op ratrices affec es au travail modulaire et les op ratrices affect es au travail conventionnel sur l activit des membres sup rieurs et sur l organisation du travail Chez les op ratrices affect es au ravail modulaire les r sultats d montrent une polyvalence sup rieure ce qui tait attendu lls r v lent aussi une r organisation totale des op rations Cette tude est l une des premi res se pencher sur l impact r el du travail modu laire sur les membres sup rieurs Ses r sultats permettent d outiller les d cideurs dans leur valuation de l impact du passage au
56. travail modulaire en termes de pr vention des attein es musculosquelettiques Raymonde Pelletier Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur de l habillement 1994 1998 Montant 71 600 valuation des effets d un programme de formation sur la pr valence des probl mes musculosquelettiques et visuels chez les tra vailleurs utilisant des crans de visualisation 93 062 Un programme de formation a t con u pour permettre du personnel de soutien utilisant un ordinateur de reconna tre les contraintes posturales et visuelles puis d intervenir pour les diminuer Le pr sent projet de recherche isait valuer les effets de cette formation par rapport aux actions entreprises par les personnes form es ainsi qu aux sympt mes musculosquelettiques et visuels reli s au tra ail Le projet a utilis un devis pr test post est avec un groupe t moin de 627 personnes Avant et apr s la formation six mois des observations aux postes de travail concernant l am nagement et les postures ont t r ali s es ainsi que la collecte par questionnaire et examen physique des sympt mes musculos quelettiques et visuels Les r sultats montrent qu avant la formation la moiti des partici pants adoptaient des postures contraignantes Au cours des six mois cons cutifs celle ci 61 5 des personnes form es ont fait plu sieurs actions qui ont permis d liminer au moins une des tro
57. un programme de formation en manutention Phase l la boration du programme et d veloppement du protocole d valuation 95 019 u cours des derni res ann es les chercheures ont notamment ax leurs travaux sur la com pr hension du savoir faire d velopp par les manutentionnaires experts qui ont peu d ac cidents et pas de probl mes musculosquelet iques apr s 20 ans de travail Le pr sent projet ise laborer avec le concours de manuten tionnaires experts un programme de formation novateur bas sur la transmission de ce savoir faire Divers outils seront d velopp s afin d valuer dans une phase ult rieure l effet du programme de formation sur l apprentissage par les novices La validation d un tel pro gramme fond sur le savoir faire et l exp rience concr te des manutentionnaires experts pourrait entra ner des modifications majeures dans les fa ons de former ces travailleurs Marie Authier et Monique Lortie Universit du Qu bec Montr al 1996 1998 Montant 97 815 Analyse comparative des principales m thodes d valuation des risques de maux de dos et pr paration d une grille d identifica tion des facteurs de risque 95 009 Les maux de dos d origine professionnelle comportent plusieurs facteurs de risque Les m thodes classiques d valuation de ces risques ne semblent pas permettre une pr vention vraiment ad quate des maux de dos qui occa sionnent touj
58. valuer a priori le poten iel de coup de terrain La deuxi me phase de la recherche a permis de valider partiellement cette m thode au moyen de deux r troana lyses dans une mine o des coups de terrain s taient d j produits Dans le cours du pr sent projet les chercheurs poursuivent la vali dation de leur m thode par des tudes de cas et ils raffinent certains outils d analyse tels que l indice de fragilit de la roche Enfin ils ren dront leur m thode accessible aux ing nieurs en contr le de terrain en r digeant un guide echnique de mise en application Michel Aubertin et Denis E Gill cole Polytechnique 1994 1998 Montant 98 700 tude de la s curit du proc d de meulage 93 004 L Association paritaire pour la sant et la s cu rit du travail du secteur de la fabrication d quipements de transport et de machines estime que 85 000 travailleurs qu b cois utili sent r guli rement une meuleuse portative Or divers dangers sont associ s l utilisation de telles machines bruit vibrations inhalation de poussi res contraintes ergonomiques li es aux postures et la manipulation des outils Pour s attaquer des probl mes aussi diversi fi s le pr sent projet entend reconsid rer le proc d de meulage selon une approche globale d riv e de l ing nierie simultan e Des cher cheurs de diff rentes disciplines travailleront de concert avec un groupe technique compre nan
59. 5 les activit s de l Institut sont troitement arrim es aux interventions de la Commission de la sant et de la s curit du travail CSST et de son r seau les associations sectorielles paritaires les r gies r gionales de la sant et des services sociaux et les centres locaux de services communautaires Cette synergie se refl te tant dans la programmation de la recherche que dans l apport d expertise en particulier dans le cadre d actions concert es comme les programmes d intervention de la CSST Le partena riat avec les associations sectorielles paritaires s av re particu li rement fructueux pour l exploitation des r sultats de recherche Du c t des services offerts au r seau de la sant au travail lIRSST a sensibilis ses partenaires la n cessit de cibler les demandes d analyses de laboratoire selon leur perti nence Le nombre de demandes s est ainsi stabilis apr s une hausse marqu e en 1996 Au total 147 projets de recherche et activit s d expertise taient en cours l Institut en 1997 selon le cas ils taient men s par des quipes internes subventionn s ou confi s par contrat des chercheurs externes De ce nombre 36 projets se sont termin s en cours d ann e Pendant la m me p riode 38 nouveaux projets ont t amorc s La recherche scientifique constitue la principale activit de l Institut encore cette ann e il y a consacr plus des deux tiers de ses ressources
60. 67 S curit d utilisation des presses plieuses dans le secteur de la fabrication des quipe ments de transport et de machines 92 081 RS 92 28 L utilisation de presses plieuses notamment dans la fabrication d quipement de transport suppose une interaction constante entre la machine et l op rateur dont les mains se trou vent proximit d une zone dangereuse Afin d identifier les dangers associ s ces presses de sp cifier les crit res de s lection ou de conception de dispositifs de protection effi caces d am liorer la s curit des m thodes de travail et de v rifier l applicabilit des normes et r glements les chercheurs ont recueilli des donn es par questionnaire dans 183 entre prises et en ont visit 52 autres Cette enqu te a r v l que 84 des presses plieuses utilis es ne sont pas quip es de dispositifs de protec tion et quand elles le sont ces dispositifs sont souvent contourn s car jug s incompatibles avec les imp ratifs de production Selon les valuations des chercheurs les m thodes de travail comportent des risques qui pourraient tre r duits voire limin s par l tablissement de proc dures ad quates Les chercheurs pro posent un ensemble de recommandations sur les quipements les m thodes de travail et les dispositifs de protection Anh Dung Ng et Yves Beauchamp cole de technologie sup rieure 1993 1998 Montant 78
61. 7 042 ctuellement la m thode de r f rence pour la mesure des a rosols particules en suspen sion n cessite plusieurs manipulations et ne procure qu une lecture indirecte des concen rations Or certains instruments maintenant disponibles permettent en th orie d obtenir une lecture directe et instantan e des concen rations d a rosols on peut suivre la concen ration dans le temps tablir des concentra ions minima et maxima isoler des zones de concentration lev es qui permettent de rep rer les fuites dans un syst me etc La pr sente activit vise au moyen d valuations dans des conditions contr l es mesurer les avantages et d savantages associ s l utilisation des ins truments lecture directe afin de bien d finir leurs limites d utilisation et d assurer une bonne interpr tation des r sultats qu ils affichent Yves Cloutier IRSST Soutien analytique 1997 1998 Montant 32 950 volution des demandes d analyses et expo sition des travailleurs aux substances chi miques bilan pour la p riode de janvier 1994 d cembre 1996 97 026 la demande du regroupement provincial des coordonnateurs des r gies r gionales les labo ratoires de l IRSST ont entrepris de dresser un bilan des demandes d analyses qui leur ont t adress es entre janvier 1994 et d cembre 1996 Ce bilan qui exploitera les donn es environne mentales permettra de tracer un portrait g n ral des exp
62. C The technology behind Iso CheckTm Warwick University Warwick Royaume Uni avril 1997 OSTIGUY C et LESAGE J New analytical method for the determination of PPT levels o isocyanates in the workplace by triple quadru pole mass spectrometry British Occupa tional Safety and Health Annual Meeting Warwick Royaume Uni avril 1997 OSTIGUY C et LESAGE V A global approach to the evaluation of isocyanates in the workplace Universit de Gotherberg Su de avril 1997 60 IRSST Rapport annuel OSTIGUY C LESAGE J et GRENIER M La oxicit des fum es diesels 19 Congr s de Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jon qui re mai 1997 OSTIGUY C LESAGE J et GRENIER M La oxicit des fum es diesels Colloque CSST onqui re octobre 1997 PAQUES J J DIONNE PROULX J et CARRI RE J B Nouvelles technologies et s curit du travail aspects techniques et orga nisationnels 19 Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 PERRAULT G et DION C Strat gie d chan illonnage Conf rence internationale sur l utilisation s curitaire et responsable du chrysotile Montr al septembre 1997 PERRAULT G DUFRESNE A DION C et B GIN R Concentration of quartz in
63. CHIE A C et PERRAULT G Angular and fibrous particles in lung in rela ion to job category Annual Occupational Hygiene 41 SI p 368 373 1997 DUFRESNE A B GIN R DION C JAGIR DAR J ROM W M LOOSEREEWANICH p MUIR D C F RICHIE A C et PERRAULT G Angular and fibrous particles in lung are markers of job category The Science of the otal Environment Vol 206 p 127 136 1997 mese Cappen mu ste des publications et communications DUFRESNE A B GIN R DION C JAGIR DAR J ROM W N LOOSEREEWANICH P MUIR D C F RITCHIE A C et PERREAULT G Angular and fibrous particles in the lung in relation to job category The Annals of Occu pational Hygiene Vol 41 Supplement p 368 373 1997 DUGUAY P et CLOUTIER E Taux d inci dence des accidents du travail et vieillissement l importance du type de d nominateur Cahier qu b cois de d mographie Vol 25 n 2 p 279 292 1997 DUQUETTE J LORTIE M et ROSSIGNOL M Perception of difficulties for the back related to assembly work general findings and impact of back health Applied Ergonomics Vol 28 p 389 396 1997 FADLALLAH S COOPER S F PERRAULT G TRUCHON G et LESAGE J Presence of n nitrosodiethanolamine contamination in Canadian metal working fluids Science Total Environment Vol 196 p 197 204 1997 G RIN M PATRICE S B GIN D GOLD BE
64. D velop pement d une m thodologie permettant la s lection des petits tablissements moins de 50 travailleurs 97 002 Limmense majorit 98 des entreprises du Qu bec comptent moins de 50 travailleurs et concentrent 40 de la main d uvre Ces entreprises ont connu au cours des derni res ann es une augmentation sensible du nombre de travailleurs accident s qui re oivent des indemnit s de remplacement du revenu 18 mois apr s leur accident Dans une premi re phase de la recherche les chercheurs visent d ve lopper et valider une approche m thodolo ique qui permettrait d identifier rapidement et efficacement les tablissements comptant moins de 50 travailleurs en fonction du mode de cotisation des employeurs au r gime qu b cois de sant et de s curit du travail presque exclusivement bas sur un taux l unit ou sur un taux personnalis de moins de 10 La validation de cette m thode per mettra de produire un portrait comparatif de la fr quence de la gravit et des caract ris iques des l sions professionnelles selon la aille des entreprises Les donn es concernant les petites entreprises permettront d orienter la recherche et l intervention vers les secteurs les plus concern s Fran ois H bert et Paul Massicotte IRSST Organisation du travail 1997 1998 Montant 21 800 D veloppement d un projet de recherche sur la prise en charge de la s curit dans les PME 96 043
65. Fonds d op rations Fonds avec restrictions Radiation et disposition d immobilisations Amortissement des immobilisations Solde la fin IRSST Rapport sanae 63 DN 199 7 540 343 487 348 81 985 25 121 1125 711 ta de l volution de la situation Inan iere de l exercice termin le 3 cem 1997 Provenance Contribution du fonds d op rations 487 348 Contribution du fonds avec restrictions 81 985 Utilisation Acquisition d immobilisations Projet de r am nagement R am nagement Autres d duction faite des produits de cession 48 965 569 334 Diminution des fonds Solde disponible au d but Solde disponible non pourvu la fin Actif Encaisse et placements temporaires D biteurs note 5 Stocks Frais pay s d avance Actif Encaisse et placements temporaires D biteurs Somme due par le fonds d op rations Somme due par le fonds d op rations R am nagement en cours Immobilisations note 6 Engagements note 7 Au nom du conseil a e administrateur Aa D o IRSST Rapport sanae 65 12 358 22 520 6 937 025 6 IRSST Rapport annuel 199 au 3 d cembre Passif Cr diteurs et charges payer Somme due au fonds avec restrictions Somme due au fonds d immobilisations olde du fonds note 4 Passif Revenus report s Solde du fonds Surplus d op rations note 4
66. L importance des petites et moyennes entre prises PME en ce qui a trait la cr ation d emplois et l activit conomique est large ment d montr e Ces tablissements en parti culier ceux comptant 50 employ s ou moins se trouvent cependant isol s dans leurs efforts de pr vention Les intervenants en sant et en s curit du travail s entendent sur la n cessit d identifier des fa ons de les aider prendre la pr vention en charge L tude des petites entre prises qui la g rent activement et le r le des inspecteurs sont les pistes qui apparaissent comme les plus prometteuses L activit a consist passer en revue la documentation scientifique pertinente dresser un bilan sta tistique de la gestion de la pr vention par les PME consulter des informateurs obtenir l appui de milieux de travail valuer les possi bilit s d acc s aux entreprises et pr ciser les pistes de recherche Dani le Champoux Jean Pierre Brun IRSST Organisation du travail Universit Laval 1996 1997 Montant 22 919 D veloppement et validation d un formu laire d enqu te d accident pour les pompiers 96 042 la suite de l tude sur la Probl matique de la sant et de la s curit chez les pompiers les services de pr vention des incendies des municipalit s participantes ont appuy la re commandation de mettre au point un nouveau formulaire d enqu te sp cifique aux pompie
67. MPLOYEURS Denis Beauregard Pr sident Conseil du Patronat du Qu bec L Pierre Comtois Directeur g n ral services juridiques et affaires publiques Qu bec General Motors du Canada t e Ghislain Dufour Pr sident du conseil d administration Conseil du Patronat du Qu bec Cons nistration eil Franco Fava Secr taire Neilson Excavation Inc Michel Guillemette M decin du travail Pr vexel Michel Guillemette Inc Gaston Lafleur Pr sident directeur g n ral Le Conseil Qu b cois du Commerce de D tail Fran ois E Pelletier Vice pr sident Op rations Gestion La Compagnie Mini re Qu bec Cartier DIRECTEUR G N RAL Jean Yves Savoie RSSI OBSERVATEURS Maurice Poulin Directeur de la protection de la sant publique et du Centre qu b cois de coordination sur le sida Minist re de la Sant et des Services sociaux du Qu bec Christiane Barbe Sous ministre adjointe de la planification de la recherche et de l administration Minist re du Travail du Qu bec D PARTS AU COURS DE L ANN E 1997 Pierre Shedleur Pr sident du conseil d administration et chef de la direction Commission de la sant et de la s curit du travail du Qu bec Claude Gingras Pr sident Centrale des syndicats d mocratiques Christine Colin Sous ministre adjointe de la sant publique Minist re de la Sant et des Services sociaux du Qu bec Jacques Henry Sous ministre adjoint de la planification de la
68. RG M S VYSKOCIL A ADIB G DROLET D et VIAU C A study of ethylene glycol exposure and kidney function of aircraft de icing workers International Archive of Occupational and Environment Health Vol 69 p 255 265 1997 GIROUX D ROY M et FORTIER L Silicose et sablage au jet Travail et sant Vol 13 n 4 p S 25 S 28 1997 LAFLAMME L et CLOUTIER E Working conditions and safety in forestry work Ency clopedia of Occupational Health and Safety 4th edition Bureau International du Travail p 68 32 68 35 1997 LAVOIE J MARCHAND G et GINGRAS G Pit ventilation in pig housing facilities Cana dian Agricultural Engineering Vol 39 n 4 p 317 326 1997 LECLAIRE R ESDAILE J M HANLEY J A ROSSIGNOL M J QUIER J C BOUR DOUXHE M et HAJIAN TILAKI K valua tion clinique exp rimentale de la validit d instruments utilis s pour le diagnostic des lombalgie spinoscopie dynam m trie triaxiale B 200 et thermographie en regard de lexa men clinique La revue de m decine ortho p dique p 19 22 avril 1997 MASS S LARA J SIRARD C et DAIGLE R Basic principles used in the development of a new cut test apparatus for standardization Performance of Protective Clothing Sixth Volume ASTM STP 1273 p 66 83 1997 American Society for Testing Materials 1997 NEVEU M et
69. ROSSIGNOL Lombalgies vos patients nont pas souffrir ternel lement Le clinicien p 82 96 juin 1997 RAJAN B ALESBURY B CARTON B G RIN M LITSKE H MARQUART E OLSEN E SCHEFFERS R STAMM R et WOLDBAEK T European proposal for core information for the storage and exchange o workplace exposure measurements on chemi cal agents Applied Occupational and Envi ronmental Hygiene Vol 12 p 31 39 1997 RIEL P F et IMBEAU D The economic evalu ation of an ergonomic investment for preven tive purposes a case study Journal of Safety Research Vol 28 n 3 p 159 176 1997 ROSSIGNOL M STOCK S PATRY L et ARMSTRONG B Carpal tunnel what is attributable to work The Montreal study Occupational Environmental Medecine Vol 54 p 519 523 1997 ROY M Le sablage au jet la silicose et le tabou du bannissement Travail et sant Vol 13 n 2 p S 8 S 9 1997 SIEMIATYCKI J FRITSCHI L DADON L et G RIN M Reliability of an expert rating pro cedure of retrospective assessment of occupa tional exposures American journal of Inde pendent Medecine Vol 31 p 280 286 1997 ST VINCENT M KUORINKA I CHICOINE D et BEAUGRAND S Assimilation and use of ergonomic knowledge by nonergonomists to improve jobs in two electrical product assembly plants Human Factors and Ergonomics in Manufacturing Vol 7 n 4 p 337
70. RSST sur une p riode de cinq ans montrent un d passement de la norme 50 ppm dans 40 78 des cas Le projet ise concevoir et valider en usine une table de travail ventil e surface ajour e au travers de laquelle les vapeurs de styr ne seront aspi r es vers le bas pour tre vacu es l ext rieur par un ventilateur d extraction tandis que de lair neuf sera diffus faible vitesse dans la zone respiratoire du travailleur partir d un caisson d alimentation L efficacit de la able con ue pour la fabrication de pi ces de moins d un m tre carr sera valu e en mesu rant les concentrations de styr ne en zone respiratoire Une fiche technique incluant plans devis param tres de construction d op ration et d entretien sera produite et diffus e aupr s des entreprises Louis Lazure IRSST Soutien analytique 1996 1998 Montant 84 435 m lioration des conditions de sant et de s curit dans les centres de tri de mati res recyclables 95 814 La politique de gestion int gr e des d chets mise de l avant par le gouvernement du Qu bec vise r duire de moiti d ici l an 2 000 le olume des d chets liminer Elle a suscit jusqu pr sent la cr ation d une vingtaine de centres de tri de mati res recyclables au Qu bec Les conditions de travail dans ces centres sont peu tudi es et plusieurs r gies r gio nales de la sant et des services soc
71. SST e du m decin responsable de l tablissement La d marche labor e se trouve dans le pro gramme d intervention de la CSST sur les LATR Georges Toulouse Julie Courville Jocelyn Roy et Andr Cloutier IRSST S curit ergonomie CSST Direction pr vention inspection et Direction r gionale Chaudi re Appalaches 1996 1997 Montant 37 408 IRSST Rapport annuel Base de donn es de solutions pour am lio rer des postes de travail une tude de fai sabilit dans le contexte de la pr vention des LATR 95 823 Intervenants et repr sentants des milieux de ravail pr occup s par la pr vention des at eintes musculosquelettiques s entendent pour dire qu une collection de bons exemples et de solutions prouv es constitue le type d infor mation le plus apte r duire les co ts viter les erreurs et raccourcir les d lais de concep ion Cependant plusieurs tudes ont montr que le succ s de la diffusion d information notamment en sant et en s curit du travail est largement influenc par le comportement et les valeurs des groupes cibles les pratiques de gestion et la culture de l entreprise Avant d entreprendre la r daction d un document sur les solutions prouv es en mati re de pr ention des LATR on proc dera des entre ues avec divers participants aux projets men s dans ce domaine par l IRSST afin de maximi
72. T tandis que ses d penses se chiffraient 17 036 416 Autres revenus Revenus 7 037 231 Pr Contrats ext rieurs Services de laboratoires CSST Contrats ext rieurs D penses 17 036 416 Direction Communications Service la client le et support technique Finances et administration Services de laboratoires l W Recherches externes NN Recherches internes 0 3 0 4 1 8 13 5 84 0 1 8 2 2 5 6 6 4 8 7 13 5 20 4 41 4 IRSST Rapport annuel A On s en doutait le m tier de pompier est risqu Depuis 1997 on en sait plus long sur les accidents dont sont victimes ceux qui l exercent gr ce une tude r alis e par PIRSST en collaboration avec les services des incendies de deux municipalit s qu b coises Les chercheures ont alors dress un profil statistique et des portraits d taill s des principaux types d accidents du travail dont sont victimes les pompiers La recherche men e par un architecte a permis au Centre de formation des pompiers de Montr al de disposer de plans d taill s des b timents types pr sents sur le territoire et d un historique des techniques et des mat riaux utilis s y compris les ajouts et les modifications apport s au fil des ans Ce mat riel fait partie d une for mation de 45 heures qu ont d j suivie tous les officiers et i les trois quarts des pompiers du Service des accidents se
73. a pr vention en ci blant les situations les plus fr quentes et les acteurs de risque associ s aux accidents les plus graves Dani le Champoux et Esther Cloutier IRSST Organisation du travail 1995 1998 Montant 63 903 Innovations organisationnelles et s curit du travail 95 008 Les conditions conomiques actuelles am nent nombre d entreprises introduire des changements dans l organisation du travail lar issement rotation ou enrichissement des ches souplesse des m tiers qualit totale roupes de travail semi autonomes dans le but de maintenir ou d accro tre leur comp ti ivit Ces changements sont susceptibles de modifier le niveau de s curit du travail Au moyen d une recherche documentaire et sta istique d entrevues et de questionnaires le chercheur tudiera les strat gies d implanta ion des changements organisationnels dans des entreprises manufacturi res et leurs effets possibles sur les performances de ces entre prises en mati re de s curit du travail Il vise ainsi d finir les conditions dans lesquelles la r organisation du travail peut permettre d am liorer le niveau de sa s curit Normand Laplante Universit du Qu bec Hull 1996 1998 Montant 61 536 nalyse des pratiques d intervention des pr ventionnistes de premi re ligne des sec eurs des p tes et papiers et des panneaux Dans un contexte de mutation technologique conomique et
74. al et une cueillette de donn es a t r alis e aupr s de 151I firmes de ce domaine regroup es en deux chantillons selon leur performance en sant et en s curit du travail Les r sultats pr limi naires indiquent que la pr vention des acci dents serait mieux servie par un cadre de d ci sion tenant compte des divers facteurs de gestion strat gique de la pr vention capacit s organisationnelles comp tences et ressources internes processus de d cision et de gestion au moment de la s lection des nouveaux qui pements afin de r duire les risques profes sionnels Le rapport final permettra d identifier 28 IRSST Rapport annuel les crit res de succ s en mati re de change ments technologiques Jean Bernard Carri re Yves Beauchamp Universit du Qu bec Trois Rivi res cole de technologie sup rieure 1994 1998 Montant 79 000 Risques d accidents et gestion des incidents dans un processus automatis de production L activit des op rateurs dans la conduite de syst mes automatis s de production consiste notamment surveiller et r cup rer les inci dents pour viter ou minimiser les pertes de production L absence d int gration de ces acti it s lors de la conception se traduit souvent pour les op rateurs par une augmentation de la charge de travail et des risques d accident La pr sente tude a permis de d crire et d ana
75. amme de r duction des accidents de travail PAD PRAT est aujourd hui soumis une va luation qui vise v rifier si le mod le d inter vention a t appliqu comme pr vu 2 si une implantation de ce programme conforme au mod le permet d atteindre les r sultats atten dus en mati re de r duction des maux de dos et de prise en charge des travailleurs accident s et 3 si seule une implantation conforme au mod le permet d atteindre de tels r sultats L valuation permettra notamment d enrichir les connaissances sur les m canismes d im plantation et l atteinte des r sultats de pro grammes d ergonomie participative Denis Allard Gilles Th riault Direction de la sant publique Montr al Centre Universit McGill 1995 1998 Montant 66 550 Relation entre les mouvements de rotation du tronc chez des personnes ayant des entorses lombaires une tude exploratoire 93 085 Pour aider au diagnostic des entorses lom baires la recherche fera appel une nouvelle technique d velopp e l h pital Sainte Jus tine Les mouvements du tronc de 10 sujets normaux et de 10 patients souffrant d une entorse lombaire seront valu s l aide d un syst me de cam ras vid o haute vitesse pou vant filmer dans les trois plans de l espace L utilisation de cette technique permettra d identifier et de quantifier les perturbations dans le mouvement du tronc chez les personnes souff
76. ant le jardin de Bertuch l agence graphique An English Summary is available upon request Institut de recherche en sant l et en s curit du travail du Qu bec
77. ation financi re du fonds d op rations et du fonds avec restrictions ne sont pas pr sent s car ils n apporteraient aucun renseignement suppl mentaire d admin au 3 d cembre Le conseil d administration d termine l orientation le cadre de d veloppement et le financement de l Institut est compos du pr sident de sept repr sentants des employeurs et de sept repr sentants des travailleurs qui forment galement le conseil d administration de la Commission de la sant et de la s curit du travail du Qu bec CSST PR SIDENT Treffl Lacombe Pr sident du conseil d administration et chef de la direction Commission de la sant et de la s curit du travail du Qu bec REPR SENTANTS DES TRAVAILLEURS Andr e Bouchard Comit conf d ral de sant s curit Conf d ration des syndicats nationaux Gilles Charland Directeur qu b cois Syndicat canadien de la fonction publique Vice pr sident de la FTQ Arnold Dugas Directeur qu b cois Syndicat des m tallos FTQ Claude Faucher Pr sident Centrale des syndicats d mocratiques Cl ment Godbout Pr sident F d ration des travailleurs et travailleuses du Qu bec Jean Lavall e Directeur g n ral et secr taire financier Fraternit Interprovinciale des ouvriers en lectricit Vice pr sident de la FTQ Pr sident FTQ Construction Marc Laviolette Vice pr sident Conf d ration des syndicats nationaux REPR SENTANTS DES E
78. au des chercheurs externes en assurant une compl mentarit et une coh sion de leurs activit s avec celles du personnel scientifique de l Institut d finir les moyens utiliser pour l exploitation des r sul tats de recherche et les client les cibles les plus suscep tibles de relayer les r sultats Pour ce qui est des activit s scientifiques tant de recherche que d expertise cinq programmes sont regroup s au sein de la Direction des op rations Organisation du travail S curit ergonomie S curit ing nierie Soutien analytique Hygi ne et toxicologie Les quipes qui y sont affect es planifient et r a lisent diverses activit s scientifiques et techniques dans le cadre de la programmation annuelle et collaborent la r a lisation de projets avec le r seau externe Deux de ces pro grammes assurent la r alisation de l important contrat de services de laboratoire conclu avec la CSST et son r seau La Direction des communications planifie et g re les activit s de communication li es au positionnement et la visibilit de l Institut en mettant l accent sur la promotion des activi IRSST Rapport annuel 5 t s scientifiques et techniques et la diffusion des r sultats en soutien la Direction des op rations Enfin la Direction des finances et de l administration est char g e de planifier et g rer les finances et les ressources humaines et mat rielles de mani re garantir la cr dibi l
79. cherche et d expertise 23 Table des mati res 23 Pr sentation des r sum s 24 Boursiers 1997 1998 5 Publications et communications 54 Rapport financier 6l Conseil d administration et conseil scientifique 69 Les connaissances que nous apportent les scientifiques et l expertise qu ils mettent notre disposition alimentent aussi bien la r flexion que l action dans lesquelles sont engag s de concert les employeurs les travailleurs et nos partenaires du r seau de la sant et de la s curit du travail Sous l gide de l IRSST des chercheurs et des experts de toutes les disciplines ont contribu nouveau cette ann e raffermir les bases sur lesquelles s appuient les interventions en mati re de pr vention et de r adaptation en y apportant des balises scientifiques essentielles L IRSST a su tablir un dialogue productif entre les chercheurs et ses partenaires et clients et associer ces derniers la mise en uvre de sa programmation Ce partenariat dynamique sans pr c dent dans les milieux de la recherche est une des forces du r gime qu b cois de la sant et de la s curit du travail Le pr sent rapport d activit s illustre de fa on loquente comment en clairant les d cisions tant sur le terrain qu l chelle strat gique les r sultats de la recherche nous soutiennent dans la voie de l innovation et du changement essentiels aux progr s de la sant et de la s curit du travail Le
80. ches Rapport R 164 102 p IRSST Montr al 1997 BENOIT R et B LANGER M Dispositifs d ancrage de camions Recueil d informations echniques S rie tudes et recherches Rap port R 165 25 p IRSST Montr al 1997 BOILEAU P et RAKHEJA S Essais en ibration de si ges pour autobus urbains Phase Essai du si ge de Recaro CL I S rie tudes et recherches Rapport R 160 87 p IRSST Montr al 1997 BOILEAU P et RAKHEJA S Essais en ibration de si ges pour autobus urbains Phase 2 Essai de si ges candidats S rie tudes et recherches Rapport R 161 140 p IRSST Montr al 1997 BOURDOUXHE M QU INNEC Y GRANGER D BARIL R GUERTIN S et MASSICOTTE P Effets de lhoraire rotatif de 12 heures sur la sant et la s curit des op ra teurs d une raffinerie de produits p troliers Phase enqu te diagnostic pistes de r flexion pour des am nagements S rie tudes et recherches Rapport R 162 281 p Annexe RA 162 301 p R sum RR 162 33 p IRSST Montr al 1997 BRODEUR J VYSKOCIL A TARDIF R PER RAULT G DROLET D TRUCHON G et LEMAY F Ajustement des valeurs d exposi tion admissibles aux horaires de travail non conventionnels S rie tudes et recherches Rapport R 168 32 p Annexe RAI 168 Contribution de la mod lisation toxicocin tique 68 p Annexe 2 RA2 168 Fiches d ajustement des substances
81. ct ristiques physicochimiques Andr Dufresne Raymond B gin Universit McGill Universit de Sherbrooke 1994 1998 Montant 262 354 Utilisation de la mesure de l ortho cr sol urinaire comme indicateur de l exposition professionnelle au tolu ne d veloppement et validation d un nouvel outil 92 061 Diverses instances consid rent trop lev es les limites actuelles d exposition aux vapeurs de tolu ne Si celles ci devaient tre r duites la surveillance biologique des expositions ne pourrait plus se fonder sur la mesure de l acide hippurique urinaire Cependant celle de l ortho cr sol urinaire pourrait alors fournir un indicateur ad quat des expositions des tra ailleurs au tolu ne Pour valider cette nou elle approche une m thode de dosage de l ortho cr sol urinaire conforme aux exigences de qualit des laboratoires de l IRSST a t d velopp e et implant e en cours d ann e Les scientifiques ont effectu des dosages chez des olontaires expos s dans des conditions exp rimentales contr l es et ont d montr une bonne relation entre l exposition au tolu ne et l excr tion urinaire de ce m taboblite En com pl tant les tudes par des interventions aupr s des travailleurs les auteurs v rifieront en entreprise l importance des param tres et des sources de variabilit susceptibles d influencer ces dosages Le projet permettra d appr cier le potentiel de l orth
82. ctions dont les montants sont respectivement de 422 et de 121 seront retourn s la Commission de la sant et de la s curit du travail Le surplus du fonds avec restrictions pour l exercice 1995 d un montant de 42 525 a t conserv pour soutenir le Congr s Colloque Machine une activit pr vue pour l exercice 1999 Services de laboratoire CSST R cup ration de loyer Divers 1997 Co t Amortissement cumul Valeur comptable nette Mobilier et mat riel de bureau 1 667 397 1 439 182 228 215 Mat riel de recherche et de services de laboratoire 7 167 621 6 150 401 I 017 220 Mat riel informatique 3 085 013 2 419 206 665 807 Am liorations locatives 5 750 624 724 841 5 025 783 La Corporation est li e par un contrat de location de locaux sign le 15 mars 1994 Ce bail est d une dur e de vingt ans soit du 1 avril 1994 au 31 mars 2014 Les engagements de base auxquels viendront s ajouter les frais d exploitation et les taxes totalisent 24 129 382 et se r partissent comme suit Les frais d exploitation pour le prochain exercice sont estim s I 028 000 Les taxes payer pour le prochain exercice sont estim es 191 000 l la fin de l exercice la Corporation est li e par les engagements suivants pour des subventions et commandites 1998 1999 Subventions et commandites 652 531 Bourses d tudes sup rieures 171 500 Les tats de l volution de la situ
83. d accidents Patrice Duguay IRSST Organisation du travail 1996 1998 Montant 56 297 D veloppement d une d marche d interven tion et d outils d analyse du travail destin s la pr vention des maux de dos dans le secteur du m tal 96 019 L Association paritaire pour la sant et la s cu rit du travail du secteur fabrication de pro duits en m tal et de produits lectriques a demand l IRSST de d velopper une d marche d intervention et des outils d analyse qui permettront aux fabricants d objets en m tal de s attaquer au probl me de maux de dos dont souffrent les travailleurs charg s de t ches non r p titives Dans le cours d un avant proijet les chercheures passeront en revue les d marches d intervention et les outils d analyse existants sur les maux de dos et tenteront d en tirer des principes adaptables des t ches caract ris es par beaucoup de variations Elles effectueront en outre des observations de vid os d op rationss effectu es dans le secteur m tal afin de se familiariser avec les principales caract ristiques du travail dans ce secteur L ensemble de ces donn es permettra de jeter les bases d une d marche d intervention et d outils d analyse r pondant aux besoins sp cifiques du secteur du m tal Cette m thode et ces outils seront implant s et valu s dans quelques entreprises Marie St Vincen
84. dans toutes les r gions et par la cr a tion d un comit aviseur technique Cette d marche vise constituer une base de con naissances d velopper une approche m tho dologique de conception plus s curitaire et d velopper un programme de formation per 50 IRSST Rapport annuel mettant notamment aux concepteurs d int rer et d implanter les connaissances en s cu rit Les r sultats de ce projet pourront le cas ch ant tre adapt s d autres secteurs Ren Beno t Fran ois Charron Jacques Tardif Gilles Bouchard Mark Mileshik IRSST S curit ing nierie Universit de Sherbrooke Sandwell Cowan Lavalin SNC 1996 1999 Montant 861 290 Dispositifs d ancrage de camions et de remorques pour quai de chargement et de d chargement 94 134 la demande de l Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur du ransport et de l entreposage l IRSST a dress un r pertoire des multiples m canismes pro pos s sur le march pour emp cher le d pla cement inopin ou non autoris de camions ou de remorques stationn s un quai de char ement ou de d chargement On y d crit les diff rents m canismes offerts ainsi que leurs principes de fonctionnement et d utilisation Le r pertoire comporte galement une descrip ion des principes g n raux qui doivent guider l valuation de leur ca
85. de plus dress cette ann e un portrait statistique de la s curit du travail des pompiers et ont mis au point avec eux la outils pour mieux d crire les accidents li s cette fiche activit e la Analyse des effets sur la sant er de certaines formes d organisation du travail Une tude sur l effet des horaires rotatifs de douze heures dans une raffinerie de p trole a attir latten tion sur l impact de certaines formes d organisation du travail Les r sultats ont permis de chiffrer et d tayer pour la premi re fois divers probl mes de sant Un mat riel de soutien la prise de d cisions li es l organisation du travail a alors t propos Dans la m me veine un groupe d experts a produit une tude sur l ajustement des valeurs voir d exposition admissibles en cas norare la non conventionnels Les valeurs d exposi fiche tion pour chacune des substances cit es Je la dans le R glement sur la qualit du milieu page de travail RQMT ont ainsi fait l objet de 18 recommandations tude de secteurs d activit s en mergence L int r t des intervenants du r seau de la sant au travail pour les travailleurs des nouveaux m tiers de l environnement a trouv un cho chez les chercheurs qui ont livr en 1997 les r sultats de deux tudes l une sur les centres de compostage de d chets domestiques et l autre sur 8 IRSST Rapport annuel les centres de traitement d
86. de plusieurs disci plines et institutions qui au moyen d observa ions sur le terrain et de contacts avec des uti lisateurs et des fournisseurs ont proc d l inventaire des diff rents types et mod les de racteurs et des principaux dispositifs de s cu rit existants lls ont valu les conditions d uti lisation des tracteurs et identifi s les attentes des usagers notamment en mati re de s curit Un comit aviseur constitu d utilisateurs de abricants de formateurs et de repr sentants de l Union des producteurs agricoles a facilit aux chercheurs l acc s au milieu de travail et a collabor la validation et la diffusion des recommandations issues de la recherche Yves Beauchamp Anh Dung Ng Ren Beno t Fran ois Charron cole de technologie sup rieure IRSST S curit ing nierie Universit de Sherbrooke 1994 1997 Montant 130 875 valuation du potentiel de coups de terrain dans les mines Phase 3 laboration d un guide technique d application de la m thode 93 038 Les coups de terrain sont des ruptures sou daines et violentes de la masse rocheuse autour des excavations Ils constituent un risque pour les travailleurs miniers car ils sont difficiles pr voir Les chercheurs ont donc con u dans une premi re phase une m thode simple et pratique applicable aux mines souterraines du Qu bec qui permet d
87. dentification des facteurs de succ s et des obstacles visent en permettre la g n ralisation d autres entreprises manufacturi res Georges Toulouse Yves Beauchamp IRSST S curit ergonomie cole de technologie sup rieure 1997 1998 Montant 60 075 Guide pratique d intervention pour la pr vention des l sions musculosquelettiques 96 006 Deux projets men s par l IRSST dans le sec teur de la fabrication de produits lectriques en collaboration avec l Association sectorielle paritaire concern e ont permis de d velopper et de valider une d marche d ergonomie parti cipative adapt e ce domaine afin d y pr venir les l sions attribuables au travail r p titif LATR Cette d marche est maintenant implan t e dans une dizaine d entreprises du secteur IRSST Rapport annuel 41 Pour maximiser les retomb es de ces re cherches un guide simple et d taill de pr vention des LATR a t produit en collabora tion avec l ASP Un premier volume donnant les informations de base pour comprendre les LATR mieux les d tecter en milieu de travail et identifier les principales avenues de pr ven tion est maintenant disponible Il reste pro duire un guide d intervention pratique destin aux entreprises du secteur d sireuses d entre prendre une d marche d ergonomie participa tive Ce document servira des fins de forma tion et d interven
88. du R glement sur la qualit du milieu de travail 668 p IRSST Montr al 1997 CARPENTIER ROY M C CHANLAT J F LANOIE P et PATRY L Ergonomie participa tive mode de gestion et performance en pr vention des accidents du travail le cas de la Soci t des alcools du Qu bec S rie tudes et recherches Rapport R 157 76 p Annexe RA 157 152 p IRSST Montr al 1997 COLLINGE C et LANDRY R Pr vention des troubles musculosquelettiques associ s la bureautique Analyse des besoins et por trait de la formation et de l Information S rie tudes et recherches Rapport R 169 75 p IRSST Montr al 1997 CORTH SY R LIETE M H et GILL D E laboration d un mod le de pr diction des contraintes in situ dans le nord ouest qu b cois S rie tudes et recherches Rapport R 173 48 p IRSST Montr al 1997 DESSUREAULT P C GANJAL M HARD CASTLE S et DANTY D Identification et limites d utilisation d un appareil de mesure rapide dans l analyse de la contrainte ther mique S rie tudes et recherches Rapport R 171 37 p IRSST Montr al 1997 DUGUAY P Les indicateurs de l sions en sant et s curit du travail au Qu bec analyse par profession en 1991 S rie tudes et recherches Rapport R 147 88 p IRSST Montr al 1997 IRSST Rapport annuel 55 GAGNON M et DELISLE A valuation bio m ca
89. du dos comparativement une manutention sans harnais et permet au tra ailleur d utiliser une de ses mains pour tenir une rampe et viter les chutes Apr s le d ve loppement et la validation d un nouveau pro otype de harnais en laboratoire des essais seront r alis s avec le concours d ambulan ciers exp riment s de diff rents gabarits ils porteront sur le transport d un patient lourd et d un patient l ger Martin C Normand Yves Beauchamp Universit du Qu bec Trois Rivi res cole de technologie sup rieure 1996 1998 Montant 34 915 tude de faisabilit en relation avec la pro bl matique de la surveillance des travail leurs des mines carri res et sabli res 95 847 Le R glement sur les examens de sant pul monaire des travailleurs des mines carri res et sabli res adopt en 1995 veut assurer la surveillance m dicale des travailleurs de fa on d pister les maladies professionnelles cau s es par la silice et l amiante Le conseil d ad ministration de la CSST a demand PIRSST d en valuer l impact Pour ce faire un comit aviseur a t constitu qui s est fix pour pre mier objectif de d gager des objets d tude pertinents et r alistes au moyen d une revue de la documentation scientifique et d une re cension des sources d information disponibles au Qu bec La recherche documentaire a exa min les tudes relatives des r glements simi
90. du travail Un comit avi seur patronal syndical gouvernemental facilitera les relations entre les chercheurs les milieux de travail et les intervenants en pr vention Nicole Goyer IRSST Soutien analytique 1997 1998 Montant 182 000 valuation du degr d implantation de la substitution de solvants organiques au Qu bec et identification de moyens pour favoriser cette implantation 96 045 La substitution de produits moins toxiques aux solvants organiques et la modification de proc d s en vue de r duire l exposition des tra vailleurs ces solvants ont fait l objet d un vaste bilan de connaissances largement diffus dans tous les milieux concern s par l entremise de publications scientifiques et vulgaris es de col loques et de rencontres la suite de ces tra vaux subventionn s par l IRSST la pr sente activit vise valuer les besoins actuels en substitution au Qu bec et le travail d j r alis en entreprise ainsi qu identifier des fa ons de faire qui conduisent des implantations r us sies Ces travaux permettront d appr cier le degr d appropriation par les entreprises et le r seau qu b cois de pr vention de l tude subventionn e par l IRSST Cette activit vise enfin identifier des moyens de favoriser lim plantation de la substitution en milieu de travail Jos e Poulin et Claude Ostiguy Paul Massicotte et Denise Granger IRSST Hygi ne et toxicologie et
91. e Brahim Benmokrane Universit de Sherbrooke Hani Mitri Universit McGill Titre du projet onditions d apprentissage et impact sur la sant la s curit et la production Enhancement of Ride Vibration Environment of Vehicles through the Study of the Semi active Seat Driver System valuation du rythme circadien de la m latonine et de lillumination re ue chez des infirmi res de nuit souffrant de troubles du sommeil La substitution des solvants en milieu de travail Evaluation d outils d implantation en entreprise L influence d ambiances sonores bruyantes et de la surdit due au bruit sur la localisation de signaux sonores avertisseurs dans le plan horizontal tude de l efficacit r elle de la ceinture lombaire sur la pr vention des incapacit s reli es aux maux de dos en milieu de travail Caract ristiques de l exposition aux ascospores chez les travailleurs du bois et effet du s chage sur la concentration d actinomyc tes thermophiles pr sents sur le bois sci Post traumatic Stress Disorder in Police Officers Amortissement vibratoire actif l aide de couches visco lastiques et d actionneurs pi zoc ramiques R duction du bruit tude des structures de pr diction utilis es en codage de parole pour des applications de contr le du bruit et des vibrations contr leurs feedback Optimisation du design et contr le du sout nement par c bles ciment s dans le roc utilis
92. e celui ci ou par les m thodes de r f rence titre d exemple l analyseur par pile lectrochi mique peut tre utilis pour le dosage du chlore ou du bioxyde de chlore mais lorsque ces produits sont tous deux pr sents la r ponse de l analyseur est inf rieure la r ponse attendue Face un tel m lange on doit donc revenir aux m thodes de r f rence Nicole Goyer IRSST Soutien analytique 1996 1997 Montant 85 595 D termination des caract ristiques consi d rer d un point de vue de SST dans les centres de tri et de compostage des d chets domestiques 93 040 La pr occupation actuelle l gard de la ges tion des d chets entra ne l implantation au Qu bec de centres de tri et de compostage dont certains sont d j en exploitation La recherche visait documenter dans les centres existants les facteurs de risques chimiques biologiques physiques et ergonomiques asso ci s ces nouveaux milieux de travail Les mesures r alis es ont r v l des concentra tions moyennes de bact ries totales sup rieures la valeur guide dans les aires de r ception des d chets et dans les b timents de fermentation Dans un des deux centres cer tains contaminants chimiques d passaient de 50 la valeur d exposition r glement e Tou tefois les bact ries Gram n gatives les plus nocives n ont t mesur es qu de faibles concentrations Des mesures correctives ont t
93. e selon qu elle est acquise par la formation ou par l apprentis sage sur les chantiers tout en tenant compte des principaux facteurs confondants li s l en vironnement de travail Le premier volet de cette recherche vise tablir le portrait des accidents des charpentiers menuisiers et des lectriciens de deux r gions Des entrevues t l phoniques r alis es aupr s des travailleurs victimes d un accident du travail au cours de la dur e de l tude permettront d tablir le profil des accident s en mati re de qualification professionnelle L histoire professionnelle la situation du travailleur la t che les outils et mat riaux utilis s de m me que certaines carac t ristiques du chantier et le sous secteur d ac tivit seront consid r s Le deuxi me volet de cette recherche met l emphase sur la qualifica tion professionnelle formation et apprentis sage et sur son potentiel pr ventif au moyen d entrevues individuelles r alis es aupr s de travailleurs accident s et non accident s Michel V zina Ren e Bourbonnais Jean Pierre Brun et Pierre Joubert Universit Laval 1993 1998 Montant 76 900 La participation directe des travailleurs la pr vention des accidents dans le secteur manufacturier tude d un m canisme de pr vention 92 120 92 051 Maintenant termin e la premi re phase de la recherche a permis aux chercheurs de mettre en vidence certains facteurs soc
94. e comparaison ils se pro nonceront sur l opportunit d une ventuelle utilisation de ce nouveau type de normes au Qu bec Plusieurs intervenants en hygi ne in dustrielle provenant notamment des secteurs du bois et des p tes et papiers ont accept de participer aux chantillonnages Guy Perrault Daniel Drolet et Yves Cloutier IRSST Direction des op rations Hygi ne et toxicologie et Soutien analytique 1995 1998 Montant 75 040 tude sur la substitution des solvants par le limon ne la N m thylpyrrolidone et les es ters d acides dicarboxyliques 94 719 De plus en plus cause des dangers inh rents l utilisation de nombreux solvants et compte tenu des lois environnementales les entreprises cherchent substituer aux solvants habituelle ment employ s des produits moins toxiques tels que le d limon ne la N m thylpyrrolidone NMP et les esters d acides dicarboxyliques DBE La recherche veut favoriser l implanta tion de la substitution en laborant une m thode qui int gre les aspects techniques environnementaux de sant et de s curit du travail Une monographie sur chaque produit de substitution sera produite elle comportera un bilan de connaissances relatives aux pro pri t s physicochimiques du produit ses uti lisations aux niveaux d exposition aux effets sur la sant et sur l environnement la r gle mentation et la pr vention Ces monogra phies pourront
95. e l existence d importantes disparit s entre les secteurs d activit cono mique Le pr sent projet compl mentaire aux tudes en profondeur r alis es tous les cinq ans vise identifier ces disparit s sectorielles il permettra d observer et d expliquer l volu tion r cente des indicateurs de l sions profes sionnelles La mesure de la fr quence et de la gravit s effectuera l aide des fichiers de la CSST et des donn es de l enqu te mensuelle de Statistique Canada sur l emploi les gains et la dur e du travail Les r sultats permettront de v rifier l mergence de tendances relev es dans les tudes quinquennales et le cas ch ant d orienter certaines activit s de recherche Fran ois H bert IRSST Organisation du travail 1994 1998 Montant 24 830 Effets de l horaire rotatif de douze heures sur la sant et la s curit des op rateurs d une raffinerie de produits p troliers Phase enqu te diagnostic pistes de r flexion pour des am nagements 93 069 Le projet s est d roul dans une raffinerie o l horaire alternant de 12 heures est implant depuis 20 ans chez les op rateurs Dans une premi re phase l analyse de leur travail et l ob servation chronoergonomique de leurs t ches au cours du cycle de 24 heures ont t r ali s es les op rateurs et leurs conjointes ont r pondu un questionnaire les archives m di ca
96. e la sant et s curit dans les tablissements 23 Congr s de la Soci t d ergonomie de langue fran aise Lyon France Compte rendu p 207 216 septembre 1997 TOULOUSE G L ergonomie participative ces enjeux pour les travailleurs et l entreprise Les ergo 6 8 Section Qu bec de l Associa tion canadienne d ergonomie Universit du Qu bec Montr al Montr al janvier 1997 TOULOUSE G L organisation de la produc tion dans l industrie de transformation de la viande son influence sur les LATR et les solu tions Colloque de la CSN Drummondville octobre 1997 TOURNOUR M et ATALLA N A novel acceleration method for the variational boundary element approach based on multi pole expansions 1331 Meeting of the ASA Penn State Pennsylvanie juin 1997 TRUCHON G PERRAULT G LACHARIT M ESSIEMBRE F et CHR TIEN P D termi nation semi quantitative des prot ines totales dans l air des usines de transformation du crabe 19 Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 V ZINA M La promotion de la s curit du travail Pr sentation identification et analyse des m thodes utilis es Formation interna tionale francophone en promotion de I s curit Universit Laval Qu bec juin 1997 VIAU C BRODEUR J et VYSKOCIL A L a
97. e pr vention La recherche en vue de pr venir la chroni cit des maux de dos dont les r sultats avaient t rendu publics en 1996 a d bouch cette ann e sur une application concr te avec l ouverture d une clinique qui applique le mod le de prise en charge d velopp dans ce cadre Cette recherche avait t men e par les chercheurs de la Clinique des maux de dos du Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke CHUS avec la collaboration d une trentaine d entreprises de la r gion et de la CSST L Institut a continu tout au long de 1997 de mettre la disposition des int ress s la documentation pertinente aux r sultats de ses recherches Au cours de l ann e il a ainsi publi 46 documents scientifiques dont 27 nouveaux rapports de recherche et guides ainsi que 5 m thodes de laboratoire La Direction des communications a distribu 8 659 documents en r ponse des demandes ou l oc casion d v nements sp ciaux Elle a de plus publi dans Pr vention au travail le magazine conjoint de la CSST et de PIRSST des articles sur 24 recherches et activit s d exper tise men es ou financ es par l Institut En 1997 les laboratoires de l Institut ont proc d 58 641 analyses environnementales et toxicologiques pour ses partenaires du r seau de pr vention inspection CSST r gies r gionales de la sant et des services sociaux CLSC et ASP Ces demandes d analyses taient li e
98. e prononcer sur le lien ainsi qu des demandes formul es par tiologique Louis Patry m decin du travail ergonome professeur au D partement de sant au travail de l Universit de l sions dont la possibilit d une origine McGill et m decin conseil la Direction de la sant publique de Montr al Centre des intervenants Ils portent sur deux types professionnelle est bien document e le syndrome du canal carpien une atteinte du nerf m dian au niveau du poignet et la t nosynovite de De Quervain une inflammation de la gaine des tendons de muscles du pouce L objectif permettre aux m decins de prendre des d cisions clair es d une part sur le plan clinique et d autre part dans l tablissement de causes possibles notamment le lien avec le travail Une soixantaine de m decins et d experts ont t associ s la d marche par l quipe multidisciplinaire responsable du projet IRSST Rapport annuel A sur les effets de la formation en ergonomie pour le travail l cran Am nager soi m me son poste de travail l cran a s apprend L valuation d un programme de formation sur l am nagement des postes de travail qui avait t offert quelque 000 employ s de soutien utilisant un cran a r v l que six mois apr s cette formation trois personnes sur cinq taient pass es l action et avaient am lior au moins une des trois postures contraignantes reconnues co
99. echerche qui sera r alis en colla boration avec des mines du Nord Ouest qu b cois vise valider sur le terrain une m thode de caract risation du comportement m canique du remblai au moyen d un pressio m tre autoforeur Ces essais permettront de quantifier les param tres physiques qui d ter minent la pression exerc e sur le remblai Il r sultera du projet un guide sur le comporte ment m canique des remblais l intention des ing nieurs miniers afin de permettre lavenir un meilleur suivi et une meilleure valuation de la s curit des barricades Jacques Ouellet Universit du Qu bec en Abitibi T miscamingue 1997 2000 Montant 135 000 Stabilit des piliers de mines l aide du cylindre instrument de l Universit de Sherbrooke CIUS Phase Il Implantation et mise au point d une alarme 95 024 Le suivi des d formations des massifs rocheux constitue une avenue de plus en plus utilis e pour viter les chutes de terrain dans les mines En 1994 le chercheur principal a d velopp un cylindre instrument permettant de d tecter au niveau de la m canique de sout nement les v nements potentiellement pr curseurs d ac cidents dont les essais sur le terrain ont d montr la pr cision et la fiabilit La pr sente activit qui sera r alis e en collaboration avec une entreprise mini re vise la mise au point d un syst me d alarme pour quiper le cylindre inst
100. ement de la main d uvre sur les accidents dans le sec teur de l administration municipale Commu naut urbaine de Longueuil Longueuil mars 1997 CLOUTIER E et CHAMPOUX D Injury risk profile and aging among Quebec firefighters 3th Triennal Congress of the International Ergonomics Association Tampere Finlande Book of abstracts Vol 4 p 19 21 juillet 1997 et Vol 5 p 406 408 juillet 1997 CLOUTIER E et DUGUAY P Profil des risques d accident selon l ge des diff rences selon le sexe Congr s de l Association canadienne fran aise pour l avancement des sciences ACFAS Trois Rivi res mai 1997 DAVID H et CLOUTIER E L effet de l orga nisation du travail sur la sant et la s curit des auxiliaires familiales d un CLSC 7 Conf rence nationale sur le maintien domicile Montr al novembre d cembre 1997 DESNOYERS L BERTHELETTE D GOURDE D et AUTHIER M valuation d un pro gramme de formation en sant et en s curit du travail 35 Congr s de la Soci t d ergo nomie de langue Lyon Compte rendu p 335 346 septembre 1997 DION C GOYER N et PERRAULT G Field study of the exposure of sandblasters using various abrasives American Industrial Hy giene Conference and Exhibition AIHA Dal las Texas mai 1997 DION C GOYER N et PERRAULT G Sablage au jet et silicose o
101. enter les activit s de pr vention leur endroit Onil Samuel Liliane Ferron et Jean Philippe Weber Centre de toxicologie du Qu bec 1997 1998 Montant 120 000 Guide de ventilation pour la qualit de Pair en milieu industriel 97 046 Beaucoup de petites et moyennes entreprises PME manufacturi res connaissent des pro bl mes de qualit de lair mais disposent de ressources techniques limit es et n ont pas oute l information requise pour concevoir un syst me de captage efficace Souvent on trouve dans ces entreprises des syst mes de ventila ion inefficaces ou peu s curitaires Le pr sent projet r alis en collaboration avec l AQME la CSST et la firme de consultants Beaulier vise r diger un guide en vue d aider les entreprises bien d finir leurs attentes face aux consul ants et installateurs de syst mes de ventila ion et proc der l entretien de leurs instal lations de ventilation Le guide sera con u pour r pondre aux besoins particulier de six sec eurs d activit choisis en raison des risques potentiels pour les travailleurs et pour leur importance dans l conomie le soudage et l oxycoupage les mat riaux composites la pein ure la r paration automobile la fabrication de meubles et le plaquage m tallique Louis Lazure IRSST Soutien analytique 1997 1998 Montant 20 590 Performance des appareils lecture directe de la concentration des a rosols 9
102. entreprise cet effet un certain nombre d entreprises mini res qui ont demand un cours donn par l Association paritaire du sec eur minier ont t visit es au moment du cours de m me qu l occasion du suivi de la ormation effectu par les formateurs quelques mois plus tard Au cours de ces visites des entrevues et des observations ont t faites relativement aux principales caract ristiques organisationnelles susceptibles d tre respon sables du succ s de la formation Un autre volet de l tude concerne le programme de forma ion modulaire dans les entreprises mini res et sa capacit r duire les accidents du travail Ce projet vise fournir aux entreprises un outil de gestion plus raffin que ceux dont elles disposent actuellement pour valuer lim pact de leur formation Michel V zina Ren e Bourbonnais Jean Pierre Brun et Pierre Joubert Universit Laval 1993 1998 Montant 209 000 tude du processus accidentel dans l indus trie de la construction 92 124 Cette recherche s inscrit dans la programma ion du Groupe interdisciplinaire de recherche sur l organisation la sant et la s curit du tra ail GIROSST de l Universit Laval qui porte sur la relation formation travail accident et de a on plus sp cifique sur la relation qualification professionnelle travail accident Son objectif principal est d tudier le potentiel pr ventif de la qualification professionnell
103. er l effi cacit de la prise en charge par les employ s de bureau de l am nagement de leur poste de travail ils nous permet tent d largir le programme d autres utilisateurs d crans et nous fournissent des recommandations utiles lors de lachat d quipement et de l analyse de postes de travail Micheline Beaudouin Adjointe au vice recteur aux Ressources humaines Universit Laval gt IRSST Rapport annuel les risques li s l utilisation de moteurs diesels Les missions des moteurs diesels sont elles canc rig nes La question inqui tait les travailleurs et les employeurs du secteur minier o les v hicules moteur diesel sont d usage courant Interrog sur la toxicit des fum es de diesel par l association sectorielle paritaire ASP du secteur l IRSST a d abord r alis une revue de la litt rature scientifique Voil une information attendue depuis fort longtemps Les fum es diesels pr sentes dans certains milieux de travail taient encore m connues des travail leurs Les mineurs qui respirent cette sur le sujet Le constat la r ponse varie ele ee Son LS de 2 selon les sources mais on reconna t qu il connaissent maintenant les effets MOE AO Andr Naud repr sentant en pr vention Ressources s agit d un canc rig ne possible ou probable MSV de Chibougamau M tallos section local 5914 FTQ Une nouvelle demande de l ASP cette fois p
104. erne la coordination des services de sant aux acci dent s du dos Ces deux projets permettent d enrichir les donn es descriptives sur la popu lation les affections dorsales et les interven tions th rapeutiques d une part et d autre part d valuer l efficacit de ces interventions dans la perspective d une diminution des risques de passage la chronicit Lucien Abenhaim John Esdaile Samy Suissa et Sharon Wood Dauphinee Universit McGill 1989 1998 Montant 530 377 tude pr liminaire sur la faisabilit de r ali er un mod le biom canique d un op rateu e chariot l vateur lors d un renversement at ral 7 113 L op ration de chariots l vateurs industriels onne fr quemment lieu des renversements at raux qui causent en moyenne quatre acci dents graves ou mortels par ann e Alarm s par cette situation la CSST plusieurs associa tions sectorielles paritaires et des associations patronales ont exprim leur d sir que l IRSST se penche sur cette question Lors d tudes pr c dentes les chercheurs de l Institut ont pu tablir que de nombreux dispositifs de s cu rit ont t d velopp s mais que leur effica cit r elle n a jamais t d montr e de fa on concluante La derni re tude de l IRSST con clue qu un mod le biom canique offrant la pos sibilit entre autres de simuler de fa on satis faisante le comportement de l
105. es signaux sonores avertisseurs de danger utilis s dans les locaux industriels doivent pouvoir tre non seulement entendus et reconnus mais localis s par les travailleurs Or on ne dis pose toujours d aucun moyen d valuer la capacit des travailleurs localiser un avertis seur sonore dans un environnement bruyant pas plus qu on ne dispose d un protocole qui permettrait de concevoir les avertisseurs de fa on en faciliter la localisation auditive La pr sente recherche vise combler ces lacunes d une part en d veloppant et en validant une proc dure de mesure de localisation auditive dans des environnements bruyants l usage d auditeurs normaux et malentendants et d autre part en laborant un guide de concep ion de signaux sonores qui favorisera la locali sation de la source d mission Jean Pierre Gagn Universit de Montr al 1996 1998 Montant 219 650 tude des syst mes de b chage utilis s dans le transport des copeaux de bois 97 070 Selon le Code de la s curit routi re le char ement en vrac d un v hicule routier doit tre retenu dans la remorque par une b che de dimensions appropri es Le b chage des ca mions transportant les copeaux de bois se fait n ralement en grimpant sur la remorque une hauteur exc dant souvent trois m tres Le ravailleur est alors en quilibre sur la remorque et s expose de s rieux r
106. es du Fonds J H Sauv Les d penses directes reli es ces activit s sont imput es ce fonds Fonds d immobilisations Le fonds d immobilisations regroupe les op rations relatives aux immobilisations et leur financement De plus les d penses non capitalisables reli es au projet de r am nagement sont d duites directement du solde du fonds d immobilisations Stocks Les fournitures sont valu es au moindre du co t et de la valeur de remplacement Le co t est d termin suivant la m thode de l puisement successif Immobilisations Les acquisitions d immobilisations l exception du projet de r am nagement sont imput es aux op rations de l exercice et l amortissement au solde du fonds L amortissement du mobilier et du mat riel est calcul selon la m thode de l amortissement d gressif aux taux annuels suivants Mobilier et mat riel de bureau 20 Mat riel de recherche et de services de laboratoire 30 Mat riel informatique 30 L amortissement des am liorations locatives est calcul selon la m thode de l amortissement lin aire sur la dur e du bail jusqu au 31 janvier 2014 1997 Activit s de recherche et de support Direction 379 159 Finances et administration 1 476 941 Recherche 11 618 223 Communications 956 924 Services de laboratoire offerts aux membres du r seau 2 299 745 68 IRSST Rapport annuel Les surplus d op rations du fonds d op rations et du fonds avec restri
107. es eaux us es L valuation des risques chimiques biologiques et ergonomiques ayant montr que ceux ci sont contr lables des me sures correctives ont t propos es Mobilisation sectorielle La mobilisation de secteurs d activit s dans la recherche de solutions globales pour am liorer la sant et la s curit avec le soutien d une quipe mul tidisciplinaire de chercheurs et d experts constitue une approche prometteuse Depuis octobre 1996 une soixantaine d usines de l industrie des p tes et papiers qui emploient 25 000 travailleurs sont ainsi engag es dans une tude sur la s curit des syst mes de commande automatis s des machines papier Cette industrie et ses partenaires du r seau de la la sant et de la s curit du travail se sont galement fiche mobilis s pour une tude sur le traitement des 4 4 effluents des usines pour laquelle les mesures sur le P48 terrain ont t effectu es en 1997 21 Moyens de pr vention L Institut a par ailleurs continu de produire des outils pour faciliter la prise en charge de la pr ven tion de certains types de l sions par le milieu du tra vail La recherche amorc e il y a une dizaine d ann es sur la r sistance des gants la coupure a ainsi d bou ch en 1997 sur le d veloppement de concert avec un fabricant d un appareil de mesure qui s appuie sur la m thode d valuation du niveau de r sistance la 727 coupure mise au point par l
108. haussures utili s es actuellement et d tablir les performances minimales que doivent offrir de tels quipe ments Les m thodes d essai contribueront l tablissement d une norme nationale sur les chaussures de protection Jaime Lara et Serge Mass IRSST S curit ing nierie 1995 1998 Montant 18 700 tude des facteurs de grimpabilit des poteaux de bois par les monteurs de lignes 95 209 Au Qu bec quelque 5 000 monteurs de lignes travaillant pour les entreprises de t l phonie de distribution d lectricit ou de construction sont appel s grimper dans des poteaux de bois Certains produits employ s pour prolon ger la vie des poteaux servant la distribution des lignes t l phoniques ou lectriques provo quent un durcisement du bois qui pourrait r duire la facilit qu ont les monteurs y grim per Cette tude a permis d tablir que ceux ci ne fournissaient pas d effort musculaire sup pl mentaire ni ne subissaient de fatigue accrue en grimpant des poteaux plus durs qu ils ne modifiaient pas leur fa on de grimper et que le poids du monteur et sa culture d entreprise n avaient qu une faible influence sur sa percep ion de la difficult de la t che Quatre classes de poteaux ont t tablies en fonction de leur duret Jean Arteau Yves Beauchamp et Marc Thomas Denis Marchand IRSST S curit ing nierie cole de technologie sup rieure Universit du Qu
109. hnologie physique 1996 1998 Montant 75 000 D tection de la pr sence humaine en envi ronnement de travail automatis mod lisa tion et d veloppement d un prototype exp rimental effet dissipatif 95 829 Si automatisation de la production permet g n ralement d loigner les travailleurs des zones dangereuses leur pr sence dans ces zones demeure parfois n cessaire par exemple pour programmer des robots ou v rifier leur programmation Une meilleure d tection de la pr sence humaine proximit des zones dan gereuses reste donc essentielle pour garantir leur s curit dans de tels cas La recherche vise d terminer jusqu quel point et quelles conditions l application du principe de d tec tion par effet dissipatif qui permet de distin guer un corps m tallique d un corps organique par certaines de leurs propri t s di lectriques peut contribuer la protection des travailleurs autour de certaines machines dangereuses Un prototype exp rimental sera d velopp apr s simulation sur ordinateur et pourra faire l ob jet d un transfert de technologie Si le principe appara t fiable et s curitaire il pourrait tre appliqu aux robots et aux machines automati s es et peut tre aussi aux presses m tal et certains v hicules Kalyan Ghosh Tapan K Bose Joseph Jean Paques cole Polytechnique de Montr al Universit du Qu bec Trois Rivi res IRSST S cu
110. iaux sou cieuses d tablir des programmes de sant de m me que l Association paritaire du secteur des affaires municipales ont manifest leur int r t pour une tude visant documenter les dan ers reli s ces t ches Au moyen de mesures des contaminants biologiques et chimiques et des contraintes ergonomiques effectu es dans des centres de tri avec la collaboration des intervenants concern s les chercheurs identi fieront et valueront les dangers pr sents et proposeront des moyens de les liminer ou de les contr ler la source Jacques Lavoie Serge Guertin IRSST Soutien analytique ErgoNorme Inc 1996 1998 Montant 4 800 D veloppement d une m thode semi quan titative d valuation de exposition des tra vailleurs au fumet de crabe 95 315 En Gasp sie et sur la C te Nord quelque 2 000 travailleurs des usines de transformation de crabes peuvent tre expos s des vapeurs con tenant des prot ines susceptibles de causer de lasthme professionnel Avec le r tablissement des stocks de ce crustac qui laisse pr sager une reprise intensive de la p che la CSST et la R gie r gionale de la sant et des services sociaux ont demand l IRSST d laborer une m thode de surveillance environnementale de ces prot ines du fumet de crabe La m thode consiste aspirer un d bit de 2L min un cer tain volume d air travers une cassette conte nant un filtre de t flon
111. icipative au sujet des maux de dos affectant les manutentionnaires r alis e la Soci t des alcools du Qu bec SAQ en 1989 1990 Elle visait v rifier dans quelle mesure cette inter vention une fois termin e a permis de rendre les travailleurs et les gestionnaires plus aptes effectuer leur travail de pr vention et con na tre les facteurs organisationnels et psycho sociaux qui ont eu un effet sur la dynamique de pr vention Elle cherchait en outre va luer l efficacit et les cons quences cono miques de la dynamique de pr vention ainsi d clench e Une am lioration sensible du dos sier des l sions professionnelles a t not e notamment en ce qui concerne les maux de dos et les interventions se sont av r es profi tables sur le plan financier Les perceptions qu en ont les travailleurs et les gestionnaires demeurent cependant critiques dans plusieurs cas Les intervenants en sant et en s curit du travail trouveront dans cette valuation des informations leur permettant de r aliser des interventions d ergonomie participative dans les conditions les plus favorables leur succ s Les chercheurs ont recueilli des donn es aupr s des groupes de travail form s lors de linter vention pour conna tre leur persistance et l volution de leur composition leur degr d activit et leur fonctionnement participatif D autres donn es ont permis de conna tre l volution r cente de diff ren
112. iers de la abrication de panneaux et des scieries 19 Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 BUITHIEU A et ARTEAU J A labour manage ment fall protection process in Hydro Qu bec ransmission substations Electricity 97 Con ference and Exposition Corporate Resources Health and Safety Canadian Electricity Asso ciation Vancouver avril 1997 CHAMPOUX D et CLOUTIER E Implanta ion d un nouveau formulaire d enqu te d acci dents chez les pompiers approche la pr vention et contexte d utilisation Congr s de l Association canadienne fran aise pour l avancement des sciences ACFAS Trois Rivi res mai 1997 CHAMPOUX D et CLOUTIER E Les acci dents de travail chez les pompiers du Qu bec Colloques r gionaux de l APSAM sur la sant et la s curit au travail des pompiers diverses r gions du Qu bec mai d cembre 1997 CHAREST TARDIF G et TARDIF R The importance of measurement end points in demonstrating the occurrence of interactions a case study with methylchloroform and m xylene Current Issues on Chemical Mix tures Fort Collins Colorado ao t 1997 CHAREST TARDIF G HADDAD S TARDIF R et KRISHNAN K Physiological modeling of the toxicokinetic interaction in a quaternary mixture of volatile organic chemicals Soci t canadienne de toxicologie Montr al
113. iffusion de l information ce sujet ont galement port fruit La qualit et la pertinence des projets propos s la fin de l ann e 1997 t moignent du succ s de cette op ration de m me que la proportion accrue de candidats inscrits un programme de troisi me cycle ou de post doctorat I Kuorinka et L Forcier dir Les l sions attribuables au travail r p titif Ouvrage de r f rence sur les l sions musculosquelettiques li es au travail Qu bec ditions Multimondes IRSST Paris ditions Maloine 1995 XXIV 514 p PRSST Rapport annuel 9 Cette expertise scientifique et technique a t mise contribution dans le cadre de programmes d intervention de la CSST touchant notamment le d capage au jet le pou drage lectrostatique la fabrication des objets en polyester stratifi le soudage coupage les chutes de hauteur et les LATR Cette collaboration s est traduite par de nombreuses activit s de formation et de transfert de connaissances de l assistance technique sur le terrain et la participation d ex perts divers comit s L Institut a continu en 1997 de faire appel Des efforts importants de formation ont ainsi t fournis en mati re de protection contre les chutes de aux comp tences d velopp es au sein hauteur un domaine o l IRSST a d velopp au fil des de son r seau interne ou externe pour ans une expertise largement reconnue Ce transfert de connaissances a suscit plusieurs
114. ilisa tion du dos et l organisation de la base d appui Monique Lortie Micheline Gagnon Universit du Qu bec Montr al Universit de Montr al 1993 1997 Montant 290 931 tude de l effet de l interaction entre Pasy m trie du mouvement et la coactivation musculaire sur le chargement lombaire chez des sujets sains et lombalgiques Phase l 92 030 RS 92 21 La combinaison de mouvements du tronc tels une flexion et une inclinaison courante dans l ex cution de certaines t ches entra ne une augmentation de la charge lombaire qui se tra duit par un risque accru de l sion du disque intervert bral Or pour tudier de tels mouve ments ex cut s dans les trois dimensions de l espace la plupart des mod les disponibles sont inad quats car statiques et bidimension nels La pr sente tude vise donc d velopper et valider un mod le tridimensionnel per mettant d valuer les forces exerc es sur le disque intervert bral en tenant compte du niveau d activation musculaire Ce mod le sera utilis pour valuer les forces pendant l ex cu ion de mouvements de travail asym triques par des sujets sains et d autres souffrant de maux de dos Si le mod le s av re valide il permettra d identifier les variables biom ca niques li es l augmentation du risque de l sions lombaires et de d gager des fa ons plus s res d ex cuter les mouvements de travail Denis Gagnon et Patrick Loise
115. ill Guy Perrault IRSST Titre du projet ARTEAU J Falls from elevations Ency clopaedia of Occupational Health and Safety Ath edition Bureau International du Travail Gen ve p 58 70 58 75 1997 BEAUCHAMP Y THOMAS M ARTEAU J et MARCHAND D Psychophysical measure ments as an effective way of evaluating climba bility of wood treated utility poles Computers Industrial Engeeniring Vol 33 n 3 et 4 p 513 516 1997 BOILEAU P RAKHEJA S et LIU PJ A combined suspension seat vehicle driver model for estimating the exposure to whole body vehicular vibration and shock Heavy ehicule Systems Special Series International ournal of Vehicle Design Vol 4 n 2 et 4 p 244 265 1997 BOURDOUXHE M Domestic waste collec ion Encyclopaedia of Occupational Health and Safety 4th edition Bureau International du travail p 101 12 101 14 1997 CLOUTIER E et DUGUAY P Risk indicators and accident typologies of female nurses and nutrition services workers by age Work After 45 Arbete amp Halsa p 63 69 1997 C T A ATALLA N et NICOLAS J Effects of shear deformation and rotary inertia on the ree vibration of a rotating annular plate ournal of Vibration and Acoustics ASME ol 119 p 641 643 1997 DUFRESNE A B GIN R DION C JAGIR DAR J ROM W M LOOSEREEWANICH P MUIR D C F RI
116. illeurs et validation des crit res 7 058 Les travailleurs peuvent subir une exposition ignificative aux pesticides lorsqu ils retour nent leurs activit s sur un site qui a t pr a lablement trait Or une telle exposition aux pesticides peut causer des intoxications aigu s ou chroniques Actuellement il n existe dans le contexte des pratiques agricoles qu b coises aucun outil qui permettrait de d terminer le d lai de s ret entre l application de pesticides sur un site et le retour des travailleurs sur ce site Afin de r pondre aux pr occupations de la CSST et de l Union des producteurs agricoles UPA les chercheurs qui ont d velopp une expertise sur les pesticides notamment en milieu forestier proposent d adapter au sec teur mara cher la d marche qu ils ont d velop p e dans les p pini res foresti res Il s agira pour eux de proposer une approche g n rale permettant de d terminer les d lais de r en tr e sur des sites agricoles trait s aux pesti cides en fonction de la toxicit des produits utilis s et de valider cette approche en docu mentant les risques d exposition certains 30 IRSST Rapport annuel pesticides repr sentatifs de cette gamme de produits L exposition des applicateurs de pes icides sera aussi document e Une meilleure connaissance de l exposition professionnelle des travailleurs mara chers permettra de mieux ori
117. ils de cueillette d informa tion portant sur les probl mes de sant et de s curit au travail dans l industrie foresti re 97 045 Des tentatives en vue de produire des outils de pr vention des accidents dans le secteur orestier partir des fiches d avis de demande de r clamation adress es la CSST ont fait ressortir la difficult d exploiter de tels docu ments des fins de pr vention Il est alors apparu n cessaire de d velopper des outils de collecte permettant de mieux documenter les circonstances de survenue des accidents et les facteurs de risques associ s aux probl mes de sant et de s curit du travail dans ce secteur Pour r pondre ce besoin un formulaire de description des accidents permettra de docu menter le contexte les circonstances et les facteurs associ s aux l sions professionnelles tandis qu un questionnaire explorera les condi tions de travail et les probl mes de sant et de s curit v cus par les travailleurs forestiers Ces outils serviront orienter les actions du Comit paritaire de pr vention du secteur forestier en vue de r duire les l sions Fran ois H bert IRSST Organisation du travail 1997 1998 Montant 23 250 Prise en charge de la s curit dans les petits tablissements des secteurs de habillement et de la fabrication de produits en m tal 97 008 Bien que les petites entreprises soient tr s nombreuses au Qu bec on y a peu tudi jus
118. in Partie 8 M thode d essai pour les gu tres EN 381 8 1997 Comit Europ en de Nor malisation Bruxelles 1997 ARTEAU J V tements de protection pour utilisateurs de scies cha ne tenues la main Partie 9 Exigences pour les gu tres de protec tion contre les scies cha ne EN 381 9 1997 Comit Europ en de Normalisation Bruxelles 1997 BOURDOUXHE M Comment am liorer l horaire sans le changer Une recherche intervention dans une raffinerie Travail et ant Vol 13 n 3 p 27 30 septembre 1997 BOURDOUXHE M QU INNEC Y RANGER D BARIL R GUERTIN S MAS ICOT TE P LEVY M SIMARD M LEMAY F et ASANOVA C The effects of 20 years o 12 hour shiftwork in petroleum refinery oper tors Shiftwork International Newsletter Special issue XIII International Symposium on Night and Shiftwork Vol 14 n I p 68 mai 1997 BRODEUR J VYSKOCIL A TARDIF R PER RAULT G DROLET D TRUCHON G et LEMAY F Ajustement des valeurs d exposi tion admissibles aux horaires de travail non conventionnels Travail et ant Vol 13 n 3 p 39 42 1997 CLOUTIER E et CHAMPOUX D Formu laire d enqu te d accidents avec et sans perte de temps chez les pompiers et pompi res Association sectorielle paritaire Affaires municipales Fiche technique n 10 1997 GIGU RE D Tree planting in Forest
119. individualis s pour les travailleurs accident s du dos 92 128 Cette tude vise v rifier s il est possible de r duire la dur e incapacit de travail des accident s du dos en coordonnant avec le m decin traitant les interventions diagnos iques et th rapeutiques appropri es chaque cas Depuis septembre 1995 une cinquantaine de travailleurs accident s du dos et indemnis s par la CSST ont t recrut s pour la r alisation de ce projet au total 240 travailleurs seront recrut s Une intervention offerte la moiti des travailleurs choisis au hasard consiste en une valuation m dicale de base et en une revue p riodique des traitements et de l vo lution du probl me de dos avec le m decin raitant L autre moiti des travailleurs recevra les soins habituels l quipe du projet est constitu e d une infirmi re du travail et de rois m decins omnipraticiens Des instruments alid s permettront d tablir un pronostic de la condition des travailleurs Tr s vari es les interventions de coordination des soins com prennent la recherche avec le travailleur d un m decin traitant l obtention de tests diagnos iques ou l tablissement de la communication entre l employeur le travailleur et le m decin Michel Rossignol R gie r gionale de Montr al Centre 1993 1998 Montant 233 446 tude des lombalgies chez les auxiliaires familiales et les pr pos es aux b n ficiaires dans les h
120. interdisciplinaire de recherche sur l organisation la sant et la s curit du tra vail GIROSST comment se fait il que dans certains chantiers les solutions aux probl mes de s curit du travail sont appliqu es avec suc c s tandis que dans d autres chantiers elles ne sont pas appliqu es L tude men e dans plu sieurs chantiers cherchera tablir si l applica tion ou la non application de mesures pr ven tives quipements de protection individuels ou collectifs m thodes de travail est condi tionn e par la pertinence ou l efficacit de la mesure elle m me telle que per ue par le milieu ou par des facteurs associ s aux travai leurs aux entreprises aux travaux la gestion du chantier ou une intervention externe Les r sultats de l tude permettront de dresser un portrait des repr sentations que se font divers groupes de l application des mesures de pr vention et de leur efficacit Ils permettront d identifier les conditions et les d terminants de l application des diff rentes mesures de pr vention et de comparer la situation selon que les mesures de pr vention sont appliqu es ou non Sur cette base les chercheurs pour ront proposer des strat gies d intervention favorisant l application des mesures de pr ven tion dans les chantiers Jean Pierre Brun Michel V zina Richard Gagnon Serge Andr Girard Pierre Joubert et Michel Lavoie Universit Laval 1997 1999
121. io cono miques organisationnels et psychosociaux qui favorisent la participation des travailleurs la pr vention des accidents Pour y faire suite ils tudieront les processus par lesquels ces fac teurs incitent plus sp cifiquement les tra vailleurs d velopper des comportements de prudence participer l am lioration de la s curit de leur environnement de travail et appuyer leur comit de sant et de s curit Neuf tudes de cas sont r alis es dans autant d tablissements manufacturiers o les risques sont lev s Des informations ont t recueillies sur divers aspects socio conomiques et orga nisationnels des tablissements ainsi que sur l volution de l organisation et du fonctionne ment du syst me de prise en charge de la sant et de la s curit du travail Chaque tude de cas comprendra une collecte de donn es par entrevues et questionnaires aupr s des travailleurs et des superviseurs La recherche permettra de disposer d exemples concrets d approches et de moyens utilis s pour d ve lopper des comportements de participation la pr vention Ces informations seront diffus es aupr s des associations sectorielles paritaires IRSST Rapport annuel D des associations patronales et syndicales des inspecteurs de la CSST et des membres des comit s de sant et de s curit Marcel Simard Universit de Montr al 1993 1998 M
122. ique la pr sente tude r alis e en collaboration avec des utili sateurs et des intervenants en sant et en s curit du travail a d velopp des mod les IRSST Rapport annuel Lo analytique et num rique de la tige des foreuses de son excitation et du rayonnement du bruit Ces mod les th oriques ont t valid s au moyen d un banc d essai exp rimental permet tant de simuler les conditions d utilisation d une tige de foreuse Les essais ont permis d identi fier les principaux param tres qui influent sur le niveau de bruit et de tester des solutions par la r duction du bruit Sur le plan technolo gique cette tude de faisabilit a d bouch sur un prototype de tige de foreuse silencieuse Si sur le plan acoustique un gain de 8dB a t r alis il reste de nombreux probl mes de fia bilit r gler Ces probl mes sont sp cifiques aux conditions d op ration des tiges et peu vent impliquer des modifications importantes par rapport aux tiges actuellement disponibles qui n cessiteraient l intervention de sp cia listes des outils et mat riels de forage Noureddine Atalla Universit de Sherbrooke 1994 1997 Montant 97 980 Proposition et validation de crit res de d ermination de d lais de r entr e pour les pesticides utilis s en agriculture mara ch res Phase l valuation de l exposition des tra a
123. iques et techniques Son mandat consiste tablir coordonner et mettre en application la programmation scientifique Elle est appel e d finir les besoins de recher che en r ponse aux demandes exprim es par les milieux de travail la CSST et son r seau et anticiper les besoins venir en vue de l laboration de la programmation annuelle ainsi qu assurer ad quatement la production qui en d coule Le regroupement des activit s de recherche internes et externes l int gration des services la client le et la concentration des fonctions li es la programmation et au contr le de la qualit donnent l Institut les outils n ces saires pour assurer la qualit l efficacit la coh rence et la synergie de l ensemble de ses activit s scientifiques Le Programme gestion de la qualit et des projets sp ciaux a pour mandat de veiller la qualit scientifique des activit s tant internes qu externes et ce partir de l analyse des besoins des client les jusqu la diffusion des r sultats Ce programme inclut l animation scientifique et la gestion de projets sp ciaux De son c t le Programme service la client le comme son nom l indique coordonne toutes les activit s li es aux ser vices la client le Son mandat assurer une r ponse aux demandes de la CSST de son r seau des associations patronales et syndicales et des entreprises entretenir un lien op rationnel avec le r se
124. ire on proc dera des mesures du CO et des NOx pendant les ajustements du carburateur effec tu s par les m caniciens affect s l entretien des v hicules dans diverses entreprises et on tudiera la relation entre ces param tres Brigitte Roberge IRSST Soutien analytique 1995 1998 Montant 690 Contaminants biologiques dans les centres de traitement des eaux us es 95 311 Les travailleurs des centres de traitement des eaux us es peuvent tre expos s des conta minants biologiques tels que des bact ries et des moisissures Plusieurs municipalit s et r gies r gionales de la sant et des services sociaux ont manifest leur int r t obtenir des don n es fiables sur les niveaux d exposition ces agents aux diff rents postes de travail LIRSST a effectu l aide de m thodes prouv es des mesures aux postes de travail des centres de traitement des eaux de quatre des plus grandes villes du Qu bec Ces mesures r v lent des concentrations moyennes de bact ries totales exc dant le niveau limite d exposition sugg r quelques uns des 80 postes de pr l vement Un seul poste pr sentait des concentrations de bact ries Gram n gatives d passsant la va leur limite Des concentrations moyennes de moisissures sup rieures celles de lair ext rieur ont t mesur es plusieurs des postes Enfin la qualit de lair ext rieur sur le plan microbien ne semble pas affect e par le
125. is au point pour valuer gants poignets et poign es antivibratiles et un banc d essai sera con u pour valuer les vibra tions mises par un outil antivibratile d ter min Ces vibrations seront ensuite repro duites sur le simulateur permettant la validation d un syst me qui combine l outil et l ensemble mains bras Le mod le ainsi obtenu servira tablir des crit res de conception de m canismes antivibratiles Paul mile Boileau Subash Rakheja IRSST S curit ing nierie Universit Concordia 1997 1999 Montant 131 200 Caract risation de l environnement vibratoire dans diff rentes cat gories de v hicules industriels utilitaires miniers et de trans port urbain 95 214 Pour identifier les solutions ad quates aux probl mes de vibrations et de chocs auxquels sont soumis les conducteurs de divers types de v hicules il est n cessaire de conna tre les caract ristiques vibratoires propres chacun d entre eux chariots l vateurs chenillettes de d neigement chargeuses navettes autobus urbains L tude vise d finir les caract ris tiques des vibrations sp cifiques chacune de ces cat gories de v hicules au moyen de me sures prises sur un nombre repr sentatif de v hicules dans diff rentes conditions d op ra ion Ces vibrations seront mesur es dans les rois dimensions de l espace et pour les mou ements de roulis et
126. is contraintes posturales analys es La proportion des participants res sentant des douleurs musculosquelettiques a diminu de moiti passant de 20 4 9 3 chez les personnes de moins de 40 ans ayant re u la formation les r sultats sont similaires en ce qui concerne la r duction des symp t mes visuels La formation montre donc des effets pr ventifs importants Sylvie Montreuil et Chantal Brisson Universit Laval 1993 1997 Montant 99 249 tude des techniques d aiguisage et d affilage du couteau dans plusieurs usines du secteur de la viande et de la volaille et laboration d une formation en affilage 92 060 Peu de travailleurs d abattoirs ma trisent les techniques d affilage de leur couteau Or un couteau mal affil exige une plus grande force augmente la r p tition des gestes et r duit le temps de r cup ration musculaire favorisant ainsi le d veloppement de l sions attribuables au travail r p titif LATR Des entrevues r ali s es dans un abattoir de porcs ont montr que la formation offerte aux travailleurs ce sujet est sommaire ou inexistante La recherche visera donc analyser et valuer dans sept usines de viande et de volaille l efficacit des diff rentes techniques d affilage L enqu te por tera galement sur l aiguisage effectu quoti diennement par l aiguiseur pour donner l angle appropri au tranchant de la lame du couteau Les r sultats permettront
127. isques de chute qui peuvent entra ner des l sions importantes et dans certains cas provoquer le d c s la demande de l Association sectorielle du trans port et de l entreposage ASTE et de la CSST de la r gion Abitibi T miscamingue la pr sente activit vise identifier les crit res qui per mettront de choisir un syst me d assistance au b chage op rable partir du sol afin d liminer la source les risques de chute d un camion de copeaux partir de la liste des fournisseurs d quipements de b chage et des principaux ransporteurs de copeaux de bois du Qu bec les chercheurs d termineront le mode de fonc ionnement des syst mes de b chage Puis ils choisiront quelques uns des syst mes les plus prometteurs d j utilis s ou disponibles dans le commerce lls observeront ces syst mes sur le terrain et recueilleront les appr ciations par le milieu apr s quoi ils soumettront aux comi s paritaires form s dans les r gions Mauricie Bois Francs et Abitibi T miscamingue leurs recommandations Andr Lan IRSST S curit ing nierie 1997 1998 Montant 43 200 Pr paration d un guide sur la protection respiratoire 97 019 Jusqu pr sent le R glement sur la qualit du milieu de travail RQMT faisait r f rence une liste d quipements de protection respiratoire approuv s par le National Institute for Occu pationnal Safety and Health NIOSH am ri cain Cependant pour fai
128. it administrative de l Institut notamment par l labora tion et l application d outils de suivi de la mise en uvre de la programmation et de mesures de performance Elle apporte un support administratif aux op rations scienti fiques et techniques et assure la gestion du secr tariat En 1997 l Institut comptait au total 130 employ s dont 94 au sein de son personnel scientifique Pendant cette p rio de plus de 135 chercheurs de son r seau externe soit d universit s de centres de recherche ou de firmes pri v es ont travaill des projets de l Institut Organigramme de l IRSST au 31 d cembre 1997 Programme LUI de la qualit et des projets sp ciaux Jean Claude Martin Conseil d administration Direction des op rations Trefl Lacombe Alain Lajoie Programme service la client le No Colette Trudel Comit ex cutif Direction des finances Treffl Lacombe et de l administration Programme organisation du travail Fransse Simard Denise Granger Direction g n rale Jean Yves Savoie Direction des communications i Programme s curit ergonomie Fran oise Cloutier Daniel Imbeau nine Programme soutien analytique Conseil scientifique Nicole Goyer Programme hygi ne et toxicologie Claude Ostiguy Programme s curit Ing nierie Jean Guy Martel 13 IRSST Rapport annuel En 1997 les revenus globaux de l Institut totalisaient 7 037 231 y inclus une subvention de 14 309 000 de la CSS
129. it s scientifiques Frais g n raux Publicit et publications Subventions et commandites Recherche et services de laboratoire Immobilisations Immeuble Exc dent des revenus D penses par activit s note 3 Revenus Contrats ext rieurs Int r ts Fonds J H Sauv D penses Traitements R mun ration du personnel Avantages sociaux Formation et perfectionnement Services professionnels Activit s scientifiques Frais g n raux Subventions et commandites Recherche et services de laboratoire Immobilisations Exc dent des revenus in NSCS 3 d BUDGET 1997 14 309 800 2 300 000 100 000 20 000 8 597 000 210 000 61 000 416 000 455 800 290 000 3 000 000 856 000 490 000 2 354 000 R EL 1997 8 602 119 226 898 62 422 396 437 439 744 269 286 2 998 671 877 003 487 162 2 371 250 115 566 20 732 2 050 tat des sqlde de l exercice termin le 3 Solde au d but Exc dent des revenus R cup ration par la CSST du surplus de l exercice ant rieur Solde la fin note 4 Solde au d but Exc dent des revenus D penses du Fonds J H Sauv R cup ration par la CSST du surplus de l exercice ant rieur l exception des revenus d int r ts Fonds J H Sauv note 4 Solde la fin Compos de Surplus d op rations note 4 Surplus du Fonds J H Sauve Solde au d but Immobilisations financ es m me les op rations
130. l Universit de Sherbrooke 1993 1998 Montant 135 476 valuation de l efficacit de l lectrocoagu lation des rameaux post rieurs dans le trai tement des affections vert brales lombaires en voie de chronicisation 92 018 Pour soigner les maux de dos chroniques la m decine se tourne de plus en plus vers des interventions non chirurgicales L lectrocoa ulation des rameaux post rieurs est l une des echniques qui semblent prometteuses mais dont l efficacit r duire l incapacit fonction nelle et la dur e de l absence du travail n ont ait l objet d aucune valuation scientifique rigoureuse Les chercheurs proc dent actuelle ment cette valuation au moyen d une tude prospective contr l e avec randomisation r a lis e aupr s de 100 malades pr sentant une affection lombaire depuis plus de trois mois Si l tude permet de conclure son efficacit cette m thode pourra tre utilis e plus rande chelle aupr s des malades pr sentant un syndrome lombaire douloureux persistant apr s trois mois Si au contraire elle se r v le inefficace on pourra en r duire l utilisation et r orienter rapidement la th rapie Richard Leclaire Richard Lambert Yves Bergeron et Luc Fortin Michel Rossignol H pital Notre Dame H pital du Sacr C ur de Montr al 1992 1998 Montant 99 215 Conception et r alisation d u
131. l g ret de sa poign e plus courte et de son faisceau plus flexible qui le rendent plus maniable Il ressort galement qu aucun des pis tolets l tude n appara t id al pour servir dans l ensemble des positions de soudage valu es Yves Beauchamp Michel Galopin et Marc Thomas Denis Marchand cole de technologie sup rieure Universit du Qu bec Montr al 1995 1997 Montant 33 100 Recherche de facteurs de comparaison entre les syst mes d chantillonnage de poussi res inhalables et de poussi res totales 94 854 La taille des poussi res en suspension d ter mine la probabilit de leur p n tration dans les diff rentes parties du syst me respiratoire IRSST Rapport annuel 33 Pour tenir compte de ce fait American Confe rence of Governmental Industrial Hygienists ACGIH a commenc remplacer les normes actuelles de concentration de poussi res to tales par des normes de concentration de poussi res inhalables dans sa derni re di tion de la liste des valeurs limites d exposition recommand es Dans la perspective d une g n ralisation de ce nouveau type de normes et pour permettre aux milieux de travail de s y adapter les chercheurs tabliront les facteurs de comparaison entre les concentrations de poussi res inhalables et les concentrations de poussi res totales dans diff rentes situations Sur la base de cett
132. les et les dossiers d absences ont t analy s s les gestionnaires et d anciens op rateurs qui ne sont plus soumis l horaire rotatif ont t interview s s agissait d identifier et de mesurer l importance des probl mes de sant de s curit de travail de fiabilit de gestion sociaux et familiaux associ s l horaire rotatif Cette premi re phase a permis d tablir un diagnostic op rateurs surcharg s et trop peu nombreux probl mes de sommeil et de fatigue probl mes de sant chez les moins tol rants l horaire vie familiale et sociale d cal e et des am nagements l organisation du travail et de l horaire sont propos s Madeleine Bourdouxhe Raymond Baril et Denise Granger Serge Guertin Yvon Qu innec Marcel Simard IRSST Organisation du travail Ergo norme inc Universit de Toulouse Universit de Montr al 1994 1997 Montant 262 480 Impact du mode de gestion des changements technologiques sur les accidents du travail dans la fabrication de produits en m tal et de produits lectriques Phases I et 2 93 001 L implantation de changements technologiques peut s accompagner d une augmentation des l sions professionnelles Ce ph nom ne qui varie en intensit selon l tablissement et touche diff remment les groupes socioprofes sionnels pourrait r sulter de modifications l organisation du travail d une augmentation de l ins curit et des
133. livr s en 1997 elle a pris l initiative de produire des fiches techniques lin tention des municipalit s concern es Une strat gie sem blable a t appliqu e pour la recherche sur le traitement des eaux us es L ASP Mines et services miniers a collabor l laboration du guide pour contr ler l exposition aux missions des moteurs diesels et a produit en parall le un d pliant vulgaris grand tirage qu elle a distribu dans le cadre d une tourn e pour sensibiliser leurs responsabili t s toutes les personnes en cause Dans le m me secteur la phase 3 de l tude sur l valuation du potentiel de coups de terrain a men l laboration d un guide d taill sur 12 IRSST Rapport annuel l application de la m thode d valuation des coups de ter rain associ s la rupture du massif rocheux Il arrive aussi que les connaissances acquises au fil de dif f rentes recherches compl mentaires puissent tre ex ploit es de fa on utile en les int grant dans des outils de pr vention l usage du milieu du travail et des interve nants C est l approche que l Institut a appliqu e en 1997 dans l industrie avicole o les r sultats des nombreuses recherches men es depuis le d but des ann es 90 en vue de pr venir les l sions attribuables au travail r p titif ont alimen t la production d un guide pratique pour aider les milieux de travail concevoir et implanter une strat gie d
134. mes et entreprises Au cours de la derni re ann e 6 641 analyses ont t r alis es ce titre En paral l le l Institut a effectu quelque 6 000 analyses pour r pondre aux besoins de ses chercheurs qui travaillent au d veloppement de nouvelles m thodes analytiques ainsi que pour des contr les de qualit Toujours pour assurer la qualit et la fiabilit de ses ana lyses de laboratoire l Institut proc de aussi l talonnage l entretien et la r paration des instruments de mesure utili s s par le r seau de pr vention inspection La r ponse aux besoins des r gies r gionales de la sant et des services sociaux en cette mati re a mobilis cette ann e une part importante des quelque 4 000 heures de services consa cr es aux tablissements du r seau de pr vention de la CSST Les experts de l Institut ont aussi particip au pro cessus d achat par la CSST des instruments de mesure que celle ci met la disposition des intervenants de son r seau notamment en laborant les fiches techniques pour ces instruments 1al IRSST Rapport annuel La structure organisationnelle de l Institut vise assurer que toutes ses activit s s inscrivent dans un continuum coh rent et bien articul qui va de l expression d un besoin la livraison des r sultats qu il s agisse de recherche d expertise de r ponse imm diate ou de service La Direction des op rations regroupe toutes les activit s scientif
135. milieu de travail Cette analyse se fait avec des tissus pr lev s au cours d autopsies pratiqu es sur une centaine de tra ailleurs d c d s ayant t indemnis s par la CSST ainsi que sur des t moins Les r sultats indiquent que les travailleurs avec silicose et cancer du poumon retiennent plus de parti cules riches en l ments m talliques et plus de particules non fibreuses que les groupes sans cancer du poumon Les r sultats soutiennent l hypoth se d une diff rence des charges pul monaires moyennes entre les patients atteints de silicose avec et sans n oplasie pulmonaire La grande variabilit des concentrations incite la prudence dans la formulation trop h tive d un lien de causalit Andr Dufresne Guy Perrault Universit McGill IRSST Direction des op rations 1992 1997 Montant 25 372 La stabilit des camions et des remorques benne basculante 96 040 Plusieurs d c s et accidents graves survenus dans le secteur du transport en vrac ont t caus s par le renversement de camions et de remorques benne basculante Ces accidents semblent r sulter d une m connaissance des principes de stabilit li s l utilisation d un hicule benne Pour r pondre la demande de l Association paritaire pour la sant et la s curit du travail des secteurs du transport et de l entreposage le chercheur passera en revue la documentation technique sur les cas de ren ersemen
136. mme pouvant contribuer au d veloppement de troubles musculosque lettiques ou visuels Les sympt mes des probl mes physiques associ s au travail l cran avaient m me diminu de moiti chez les participants de moins de quarante ans L valuation r alis e par deux chercheures de l Universit Laval est originale par plus d un aspect le nombre lev de participants soit 627 l utilisation d un groupe t moin l valuation d actions pr cises plut t que de comportements et la confirmation des sympt mes signal s par des examens physiques La diffusion des r sultats a stimul l int r t pour ce type de formation dans les nombreux milieux o les crans sont un outil courant et a ainsi contribu en multiplier les effets positifs En tant que partenaires dans l labora tion et la r alisation de la formation en ergonomie pour le travail l cran nous sommes heureux qu une recherche scien tifique ait d montr que nous sommes sur la bonne voie Parce qu elle tablit clairement les gains li s la participation de nos membres l am nagement de leurs postes de tra vail cette recherche incite poursuivre les efforts pour am liorer la sant et la s curit du travail Micheline Daigle Pr sidente du Syndicat des employ s et des employ es de l Universit Laval SEUL SCFP FTQ Les r sultats de l valuation ont d pass nos attentes En plus de confirm
137. mparaison des caract ristiques des postes occup s en rota ion par les femmes et des postes occup s en rotation par des hommes sur cette m me cha ne de d coupe de dinde Les r sultats per mettent de reconna tre les diff rents facteurs de risque et les probl mes musculosquelet iques qu ils sont susceptibles d entra ner Nicole V zina et Karen Messing Universit du Qu bec Montr al 1992 1998 Montant 169 936 Classification et d termination des condi tions optimales d utilisation des d grais seurs plancher 97 068 De 1993 1995 on a d nombr au Qu bec plus de 12 800 l sions professionnelles attri buables aux chutes et glissades Les secteurs les plus touch s sont la restauration les centres hospitaliers ladministration publique qu b coise l enseignement public primaire et secon daire et les centres d accueil Ainsi dans les cuisines de restaurants on peut glisser cause du gras pr s des friteuses et des surfaces de cuisson cause des aliments tomb s sur le plancher de l eau pr s des bacs de plonge ou des objets qui encombrent le sol En g n ral un des principaux facteurs associ s ces glis sades semble tre l accumulation de graisses et d huiles sur les planchers Dans le but de r duire les risques de glissade dus aux gras et aux huiles cette tude a pour objectif de d terminer les conditions optimales d utilisa ion de diff rentes cat gories de nettoyant
138. n du secteur avicole 95 213 la suite d une demande de l Association des abattoirs avicoles du Qu bec et avec la colla boration de repr sentants patronaux et syndi caux cette activit de recherche a permis de tracer un portrait de la situation actuelle en ma ti re de pr vention des LATR dans les tablis sements de ce secteur Gr ce ce portrait des rep res pour la conception d une strat gie de pr vention ont t propos s et valid s par le comit de suivi du projet Une proposition de d marche pr ventive a galement t discu t e ce qui a permis d identifier des outils pour aider la formation et la r alisation de cer taines activit s de pr vention Les repr sen tants du secteur ont mis des recommandations quant la pertinence de cr er de tels outils Jean Guy Richard et Claire Lapointe IRSST S curit ergonomie 1995 1997 Montant 68 450 Intervention dans le but de diminuer les atteintes musculosquelettiques dans une entreprise de caoutchouc 95 211 La CSST a r alis dans diff rentes r gions du Qu bec des projets pilotes favorisant la prise en charge de la pr vention des l sions attribua bles au travail r p titif LATR par les milieux de travail La pr sente activit s est d roul e dans une entreprise sp cialis e dans l barbage de profil s de caoutchouc Une d marche d er gonomie participative fond e sur les travaux d un groupe paritaire anim
139. n l ve personne mobile 90 030 Le soul vement des b n ficiaires constitue une des principales causes des maux de dos chez le personnel infirmier Or le l ve per sonne mobile peut tre un important outil de pr vention dans les tablissements de sant Cependant les mod les actuels sont mal ac cept s et donc peu utilis s la suite d une analyse ergonomique de la t che et d une re cherche sur les mod les existants sur le march mondial il est apparu que cette sous utilisation soit attribuable entre autres au fait qu aucun fabricant ne se soit attaqu aux probl mes r els li s l utilisation des l ve personne c est dire la man uvrabilit et l encombre ment au sol Pour ces raisons les chercheurs ont entrepris la conception et la fabrication de deux mod les qui devraient r soudre les pro bl mes mentionn s et satisfaire les besoins et les objectifs de confort et de s curit des b n ficiaires et du personnel Ces mod les ont t mis l essai dans des h pitaux et des centres d accueil afin d valuer leur perfor mance respective Une entente de fabrication et de commercialisation avec un fabricant qu b cois a t conclue Andr Chamberland Philippe Laforest Les consultants G nicom inc Paco Corp 1992 1997 Montant 288 000 L valuation de la prise en charge des dorso lombalgies chez les travailleurs du Qu bec 89 01 I PE 89 03 Au cours de cette
140. n laboratoire et en usine Les mesures obtenues gr ce cet appareil et cette m thode permettront de positionner les com mandes bimanuelles des presses de fa on s curitaire et pourront servir valuer p rio diquement le syst me de commande d arr t et de frein de ces machines Denis Turcot IRSST S curit ing nierie 1997 1998 Montant 94 400 D veloppement d un logiciel de formation sur les syst mes de boulonnage 96 013 La moiti des accidents mortels survenant dans les mines sont caus s par des chutes de ter rain dans plusieurs cas attribuables des stra t gies de sout nement inad quates Pour mieux informer les ing nieurs miniers le personnel des mines et les mineurs eux m mes sur le sout nement minier et plus particuli rement du boulonnage les chercheurs d velopperont un logiciel multim dia CD ROM qui d crira notamment au moyen de la voix d images et d animation visuelle les caract ristiques et les modalit s d application des diff rents syst mes de boulonnage disponibles selon les conditions de terrain les principes pertinents la s lec tion d un tel syst me et les techniques d instal lation des boulons Une mise l essai en milieu de travail permettra de raffiner le logiciel en fonction des r actions des utilisateurs Cet outil devrait accro tre les connaissances des mineurs et am liorer le niveau de s curit dans les chantiers John Hadjigeorgiou et
141. nalyse du risque toxicologique pos par le tolu ne chez la travailleuse enceinte 19 Congr s annuel de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 VYSKOCIL A et VIAU C Relation entre l ex position au styr ne et les effets la sant analyse critique de la litt rature 19 Congr s de l Association qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 WANG W ATALLA N et NICOLAS J A Unique boundary integral approach for acoustic radiation of axisymmetric bodies with arbitrary boundary conditions 130th Meet ing ASA St Louis novembre 1995 WU X RAKHEJA S et BOILEAU P Bio dynamic functions for human response to whole body vertical vibration UK Informal Group Meeting on Human Response to Vibration University of Southampton sep tembre 1997 Nous avons v rifi le bilan de l Institut de recherche en sant et en s curit du travail au 31 d cembre 1997 et les tats des revenus et d penses du fonds d op rations et du fonds avec restrictions des soldes des fonds et de l volu tion de la situation financi re du fonds d immobilisations de l exercice termin cette date La responsabilit de ces tats financiers incombe la direction de la Corporation Notre responsabilit consiste exprimer une opinion sur ces tats financiers en nous fondant su
142. nce des fibres min rales de synth se dans le poumon Pathologie et cin tique de clairance dans le lobe trach al du mouton 92 129 Les fibres min rales synth tiques fibres de verre de roche de c ramique sont pr sentes dans divers mat riaux de construction et connaissent de nombreuses applications indus trielles Il s agit de fibres dont les caract ris tiques physicochimiques peuvent tre adapt es aux besoins selon l usage projet Certaines indications exp rimentales laissent penser que leur inhalation pourrait entra ner des patholo gies telles que la fibrose pulmonaire le cancer bronchopulmonaire et le m soth liome Pour valuer la toxicit de ces fibres et le cas ch ant promouvoir la conception et l utilisa tion de substances moins nocives il importe de conna tre leur persistance pulmonaire c est dire leur temps de r sidence dans le milieu pulmonaire On suppose que cette p riode d pend de leur composition chimique Le pr sent projet vise tester un mod le de pathologie exp rimentale qui a d j fait ses preuves dans l tude de la persistance et de la toxicit des fibres d amiante de silice et de carbure de silicium Il consiste injecter des fibres dans les poumons de moutons puis d terminer la persistance de celles ci en suivan 36 IRSST Rapport annuel l volution de leur nombre et de leurs cara
143. nique de strat gies distinguant les tra vailleurs experts et novices S rie tudes et recherches Rapport R I151 32 p IRSST Montr al 1997 GRENIER M GANGAL M HARDCASTLE S et DAINTY D avec la collaboration de GAY F et OSTIGUY C R pertoire des techniques et technologies de contr le des missions des moteurs diesels en milieu minier S rie tudes et recherches Rapport R 172 30 p IRSST CANMET et ASPM octobre 1997 H BERT F CLOUTIER E MASSICOTTE P et LEVY M Les accidents de travail survenus en 1994 dans l industrie foresti re analyse de sc narios accidents partir des dossiers d accidents ADR de la CSST S rie tudes et recherches rapport R 148 1 12 p IRSST Montr al 1997 IMBEAU D chafaudages pour la construc tion de b timents de quatre tages et moins Analyse du travail avec les quipements exis tants et tude de leur s curit S rie tudes et recherches Rapport R 143 103 p IRSST Montr al 1997 LALIBERT L Guide d utilisation d instru ments pour la mesure du champ magn tique 60 Hertz dans le milieu industriel Nature sources valuation de l exposition recomman dations et moyens de contr le S rie tudes et recherches Rapport R 178 83 p IRSST Montr al 1997 LAN A ARTEAU J TREMBLAY M GAMELIN S et DUGR J M Conception d un tan on nement adapt au milieu urbain Phase
144. nne d ergo nomie Winnipeg septembre 1997 ST VINCENT M La pr vention des atteintes musculosquelettiques dans des entreprises de fabrication de produits lectriques Congr s annuel de l Association canadienne des com missions d accidents du travail Halifax juillet 1997 TARDIF R Du bio indicateur au sc nario d exposition Consid rations toxicocin tiques Les bio indicateurs en sant environnemen tale Colloque du r seau en sant environ nementale du FRSQ Montr al mai 1997 TARDIF R CHAREST TARDIF G BRODEUR J et KRISHNAN K Rat to human extrapola tion of the toxicikinetics of a ternary mixture of alkylbenzenes Society of Toxicology Cincinnati mars 1997 TARDIF R LAPAR S BRODEUR J et PER RAULT G Utilit de la mod lisation toxicoci n tique pour l ajustement des valeurs d exposition admissibles aux horaires de tra vail non conventionnels 19 Congr s de PAs sociation qu b coise pour l hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 TELLIER C LACOMBEZ M et MONTREUIL S Apport de l ergonomie la formation des op rateurs concern s par les transformations des activit s et du travail 23 Congr s de la Soci t d ergonomie de langue fran aise Lyon France Compte rendu p 263 275 sep tembre 1997 TOULOUSE G L ergonomie participative pour r duire les risques de TMS et la gestion d
145. nouveau syst me d chantillonnage qui permet l analyse des douze param tres dont le niveau doit tre contr l Ce soutien technique a notamment t utile dans le cadre du programme d intervention sur le sablage au jet Un r pertoire sur le contr le de l exposition aux missions des moteurs diesels a t labor la demande de l Association sectorielle paritaire Secteur mines et services miniers Cet outil fait le point sur les voir la fiche de la page 22 10l IRSST Rapport annuel effets sur la sant de ces missions les limites d expo sition et les techniques et technologies disponibles pour en abaisser les concentrations Dans le domaine de la pr vention des pneumoco nioses un groupe de chercheurs a fait le point sur le march des abrasifs et sur le rapport co ts b n fices de la substitution la silice de produits moins toxiques Il a galement analys les facteurs qui favorisent ou non cette substitution En r ponse au besoin exprim par une aluminerie et l association sectorielle paritaire du secteur textile Pr ventex des experts ont valid scientifiquement la capacit de l appareil Botsball mesurer ad quate ment la contrainte thermique laquelle sont soumis les travailleurs dans des conditions climatiques tr s diversifi es Ils ont confirm que cet instrument moins co teux plus r sistant et facile utiliser peut tre substitu aux instruments usuels dans un co
146. ns et consulteront les travailleurs afin de fixer les crit res de s lection des gants La r sistance de ceux ci la coupure sera valu e en laboratoire et les mod les pr s lectionn s seront mis l essai en usine afin d identifier les meilleurs Un suivi permettra d tablir si le port de ces gants procure une r duction des l sions Jaime Lara IRSST S curit ing nierie 1996 1998 Montant 49 100 IRSST Rapport annuel 30 Programme d intervention en pr vention inspection Chutes de hauteur dans le sec teur du b timent BTP 96 012 En raison des nombreuses l sions indemnis es et des d c s r sultant de chutes la CSST a la bor un programme d intervention ax sur les dangers des chutes de hauteur qui vise les tra vailleurs les employeurs les concepteurs et les locateurs du secteur du b timent et des tra vaux publics La Commission a demand PIRSST de concevoir et de diffuser le contenu technique de la formation que devront rece voir les inspecteurs et les sp cialistes en pr vention inspection avant d entreprendre ce programme d intervention Cette activit de mandera aux sp cialistes de l Institut d actuali ser le contenu de la formation qu ils ont livr et valid maintes reprises au cours des der ni res ann es en y int grant les tout derniers d veloppements en mati re de conception et de fabrication d quipements de protecti
147. nstruction et de la for t Marcel Laflamme Ren Le CANMET Universit du Qu bec en Abitibi T miscamingue 1997 1999 Montant 17 000 Conception d un nouveau protecteur indivi duel actif ouvert 95 025 En milieu de travail bruyant les protecteurs auditifs passifs coquilles sont d une effica cit limit e Des protecteurs actifs produisant un contre bruit pour neutraliser le bruit am biant sont commercialis s mais ils pr sentent plusieurs d savantages ils sont lourds et cou pent tous les bruits sans discrimination mas quant les signaux avertisseurs de danger De plus ils rendent difficiles les communications erbales La recherche vise concevoir un pro tecteur auditif actif qui soit l ger de type baladeur et capable de distinguer le bruit ind sirable d une part et d autre part les signaux avertisseurs de danger ou les signaux de communication Les chercheurs d veloppe ront un prototype de protecteur int grant un haut parleur de contre bruit un microphone et un r cepteur des signaux provenant des quipements bruyants Ce protecteur une fois test optimis et brevet sera utilisable dans les milieux industriels o se trouvent des ma chines stationnaires bruit continu Bruno Paillard Andr L Esp rance et Jean Nicolas Universit de Sherbrooke 1997 1998 Montant 90 550 Logiciel pour l aide la conception de struc tures assembl es silencieuse
148. ntexte non r glement la demande de Bell Canada d Hydro Qu bec et de leurs partenaires l Institut a particip avec l cole de technologie sup rieure ETS une tude pour v rifier dans quelle mesure les produits employ s pour prolonger la vie des poteaux de bois provoquent un durcissement qui rend plus difficile la t che des mon teurs de lignes appel s y grimper Un r pertoire des syst mes de construction du Qu bec a t produit afin d aider les pompiers pr voir les principaux risques que pr sentent les anciens b timents lors d incendies Seulement dans le champ des contaminants l Institut a r pondu plus de 150 requ tes li es divers domaines de l hygi ne industrielle exposition aux a rosols ventilation mesure de contaminants chimiques etc Une dizaine de sessions de formation ont t offertes sur la mesure des missions de monoxyde de carbone par les chariots l vateurs et sur la mesure des gaz en espaces clos Les demandes d expertise sur les champs lectromagn tiques ont par ailleurs t nombreuses et vari es Diverses recherches s accompagnent par ailleurs d un volet expertise qui en fait souvent partie int grante Comme pr vu le transfert de connaissances a t amorc dans le cadre de la recherche sur la s curit des syst mes de com mande laquelle est associ l ensemble de l industrie des p tes et papiers Des sessions de formation ont aussi
149. ntiel de coups de errain en y incluant une nouvelle m thode simple et facile utiliser permettant d valuer l instabilit en pr sence de telles discontinuit s ologiques L activit pr voit la validation de la m thode sur le terrain Michel Aubertin Jacques Ouellet Luc Vandamme Hani Mitri cole Polytechnique Universit du Qu bec en Abitibi T miscamingue Centre de technologie Noranda Universit McGill 1997 1998 Montant 92 000 Mise au point d un instrument de mesure du temps d arr t des presses m tal 97 018 L utilisation des presses m tal comporte des risques importants d crasement des doigts et des mains pour les op rateurs Pour r duire ces risques on utilise des commandes qui requi rent l usage des deux mains commandes bimanuelles Celles ci doivent tre situ es une distance telle que les mains ne puissent atteindre le point de pincement avant l arr t ou la fermeture du coulisseau Pour d termi ner l emplacement s curitaire des commandes bimanuelles on doit mesurer le temps d arr t et de fermeture des presses Or une valua ion des instruments de mesure disponibles a d montr que ces instruments n ont pas la fia bilit requise ou ne respectent pas les normes Le projet actuel consiste donc mettre au point un appareil et une m thode de mesure du temps d arr t et de fermeture du coulis seau des presses au moyen d exp rimenta ions e
150. o cr sol urinaire comme biomarqueur de l exposition au tolu ne et si ce potentiel est bon d offrir un nouveau test de surveillance au r seau de la sant et de la s curit du travail Ginette Truchon Robert Tardif et Jules Brodeur IRSST Hygi ne et toxicologie Universit de Montr al 1993 1998 Montant 224 778 La surveillance de l exposition des machi nistes des compos s canc rig nes prove nant de l utilisation des huiles de coupe 92 047 Malgr les r glementations am ricaines et cana diennes visant prot ger les travailleurs contre les nitrosamines contenues dans les huiles de coupe ou form es lors de leur utilisation il semble que ces contaminants soient encore pr sents dans certains milieux de travail Il y a donc lieu de consid rer la protection des tra vailleurs face l absorption de ces produits d autant plus qu environ 25 000 travailleurs du m tal utilisent r guli rement ce type de liqui des Des m thodes d analyse ont t raffin es ou d velopp es et pourraient tre rendues disponibles sur demande aux industries concern es L analyse des nitrosamines dans les liquides de refroidissement dans l air ambiant et dans l organisme des travailleurs de diff rentes usines a montr que dans les quelques cas o l on trouve des compos s c est des concentrations nettement inf rieures aux normes existantes Sam Cooper Guy Perrault Institut national de
151. oches statistiques et ergo nomiques pour la compr hension des troubles musculosquelettiques 29 congr s annuel de Association canadienne d ergonomie Winnipeg p 117 125 octobre 1997 IRSST Rapport annuel 57 BELLEMARE M CLOUTIER E CHICOINE D KUORINKA I et LECHASSEUR C The effect of seniority on the development of mus culoskeletal disorders 13th Triennal Con gress of the International Ergonomics Association Tampere Finlande Book o abstracts Vol 4 p 19 21 juillet 1997 BERTHELETTE D DESNOYERS L GOURDE D et AUTHIER M Implementation evalua tion of an occupational health and safety pro gram l3th Triennial Congress of the International Ergonomics Association Tam pere Finlande Book of abstracts Vol 1 n p 300 302 juillet 1997 BOURDOUXHE M Comment am nager les horaires sans changer l horaire une exp rience de recherche intervention sur les shifts de 12 heures dans une raffinerie Conf rence midi de l IRSST Montr al octobre 1997 BOURDOUXHE M L tude des effets de l horaire rotatif de 12 heures sur la sant et la s curit des op rateurs d une raffinerie de produits p troliers mod le th orique m thodes ergonomiques r sultats outils de prise de d cision en mati re de r am nage ment d horaires Les Ergo de 6 8 Section Qu bec de l Association canadienne d ergono mie M
152. oliques Finale ment cette tude a d montr l utilit de la mod lisation pour pr dire l influence des inter actions m taboliques des substances sur la valeur des indicateurs biologiques d exposition et pour fixer des valeurs limites d exposition des m langes de solvants Robert Tardif et Jules Brodeur Universit de Montr al 1993 1997 Montant 195 414 Surveillance biologique de l exposition des pompiers au benzo a pyr ne BaP et aux amines aromatiques la suite d un incendie dans un d potoir de pneus 91 141 Lors des interventions pour combattre l in cendie du d potoir de pneus de Saint Amable les pompiers ont pu subir une exposition aigu ou subaigu des hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP tel le benzo a pyr ne ou des amines aromatiques telles la 2 naphtyla mine et la 4 aminobiph nyle Une telle exposi tion est presque impossible valuer au moyen de mesures environnementales La mesure des adduits prot iques para t d s lors une approche envisageable d estimation de l exposition Les adduits prot iques sont des complexes form s entre certains produits toxiques ou certains de leurs m tabolites et des mol cules de l or ganisme lls ont t mesur s par des tech niques chromatographiques dans le sang des pompiers expos s aux fum es d un incendie survenu dans le d potoir de pneus de Saint Amable et chez des personne
153. on d un guide permettant aux op rateurs miniers d tablir des strat gies de sou t nement mieux adapt es aux conditions g o m caniques r elles de chaque site Le mod le cr sera un outil de conception utilisable dans l ensemble de l industrie mini re John Hadjigeorgiou Universit Laval 1997 1999 Montant 104 000 tude pour l int gration de la s curit d s la conception des syst mes de production comportant des automates programmables industriels et des syst mes de commandes distribu es dans le secteur des p tes et papiers 94 725 De plus en plus d automates programmables industriels API et de syst mes de commandes distribu es SCD sont utilis s dans les qui pements et les proc d s des usines de p tes et papiers Ces technologies posent des probl mes nouveaux en mati re de sant et de s curit du travail alors qu il n existe au Qu bec ni standards ni r gles permettant aux concep teurs de ces syst mes de commande d y int grer ad quatement des l ments de s curit La d marche des chercheurs se fonde sur une large consultation du secteur r alis e notam ment par l entremise d un comit aviseur mis sur pied avant m me la r daction du protocole de recherche La participation de toutes les entreprises se fera par des visites approfondies dans 2 usines par la tenue de groupes de dis cussion
154. on en 1991 Associations sectorielles paritaires CSST central et CSST r gion m tro politaine IRSST Montr al mai 1997 DUGUAY P et H BERT F Les indicateurs de l sions en sant et en s curit du travail ana lyse par secteur d activit conomique et par profession en 1991 CSST Qu bec Qu bec juin 1997 G RIN M et B GIN D La substitution des solvants en entreprise Une approche pr ven ive pour la sant s curit au travail et pour l environnement 2 Colloque en environ nement Vivre avec les risques Universit de Montr al Montr al juin 1997 G RIN M et B GIN D La substitution des solvants Comment prot ger la sant et l envi ronnement 4 Congr s international sur la caract risation et le contr le des missions d odeurs et de COV Montr al octobre 1997 GOYER N DION C et PERRAULT G Sub stitution of silica abrasives for sandblasting hy and how International Occupational Health Association Conference Gen ve Suisse septembre 1997 GRENIER M et OSTIGUY C Contr le des missions diesels en milieu minier 19 Con r s de l Association qu b coise pour Phy i ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 GRENIER M et OSTIGUY C Contr le des missions diesels en milieu minier Colloque CSST Jonqui re octobre 1997 HADDAD S CHAREST TARDIF
155. on ergonomique d ou ils et d quipements manuels pr sentant es risques d atteintes musculosquelettiques 7 067 Le comit de sant et de s curit du travail une poterie industrielle de Saint Jean sur Richelieu souhaite donner suite aux recomman ations mises par le Centre local de services ommunautaires CLSC et la CSST de la r gion concernant la r duction des gestes r p titifs Dans de nombreuses activit s r p titives une conception inad quate des outils et des quipements manuels peut contribuer lap parition de probl mes musculosquelettiques Apr s plusieurs tentatives de modification de ses outils et quipements l entreprise n tant pas parvenue l optimisation souhait e des exigences de production et de sant et de s cu rit du travail a demand l IRSST de l aider dans cette d marche Le projet a donc pour objectif de d velopper et de tester dans cette poterie industrielle un protocole de modifica tions ergonomiques d outils et d quipements manuels qui int gre au processus de design la prise en compte de crit res de sant et de s cu rit du travail et facilite la coordination entre les diff rents partenaires de l entreprise Cette activit devrait permettre l entreprise de mo difier ad quatement ses outils et quipements manuels dont l utilisation comporte des risques musculosquelettiques L implantation de ce pro tocole de modification ainsi que l i
156. on et de pr vention ainsi que de m thodes de travail Jean Arteau et Andr Lan IRSST S curit ing nierie 1996 1997 Montant 31 840 Conception d un tan onnement adapt aux excavations en milieu urbain Phase II 95 836 Les tranch es creus es sur la voie publique en milieu urbain pour proc der des travaux doivent tre creus es la verticale en raison du peu d espace disponible et des nombreux conduits pr sents dans le sous sol Aussi est il imp ratif de les tan onner pour pr venir tout effondrement Pour pr venir ce risque un syst me d tan onnement adapt au milieu urbain syst me VM2 a t mis au point et valid pour les types de sols que l on retrouve Montr al La pr sente activit vise tendre la validation de ce syst me d tan onnement et produire les plans et devis et les proc dures d utilisation pour chacun des diff rents types de sol que l on retrouve au Qu bec afin de permettre l utilisation de ce syst me plus large chelle Ainsi toutes les municipalit s du Qu bec pourraient avoir acc s un syst me d tan onnement assurant la s curit des tra 20 IRSST Rapport annuel ailleurs lors de travaux publics dans des tran ch es Andr Lan et Jean Arteau Denis Leb uf et Omar Chaalal Jean Marc Dugr Martin Tremblay Serge Gamelin IRSST S curit ing nierie cole de technologie
157. ontant 213 000 valuation de l efficacit ducative des activi t s de formation en pr vention des accidents du travail 92 104 Cette tude porte sur un programme de for mation syndicale en mati re de sant et de s curit du travail Son principal objectif est d en valuer les effets La premi re phase de l tude est exploratoire Au moyen de l analyse du contenu de sessions de formation les cher cheurs tentent d identifier la nature et les di mensions des effets attendus du programme Puis ils d velopperont et valideront l instru ment de mesure de ces effets Enfin ils tente ront de v rifier si le programme produit les effets attendus et ce aupr s d un chantillon de 50 d l gu s syndicaux Les outils d valua tion et les r sultats de cette tude pourront tre utiles des personnes engag es dans l laboration l implantation et la gestion de programmes de formation qui poursuivent des objectifs similaires Diane Berthelette et Luc Desnoyers Universit du Qu bec Montr al 1993 1998 Montant 90 558 Impact des nouvelles technologies comme moyen strat gique de pr vention des acci dents du travail 92 097 Afin de d terminer la contribution des nou velles technologies la pr vention des acci dents du travail et la performance cono mique des entreprises un inventaire des l sions professionnelles t dress dans le secteur de la fabrication de produits en m t
158. ontr al novembre 1997 BOURDOUXHE M QU INNEC Y GRANGER D BARIL R GUERTIN S LEVY M et SIMARD M Am liorer les horaires de travail sans les changer Collectif d analyse et de recherche organisationnelle Universit Laval Qu bec mars 1997 BOURDOUXHE M QU INNEC Y GRAN GER D BARIL R GUERTIN S MASSI COTTE P LEVY M SIMARD M LEMAY F et CASANOVA C The effects of 20 years o 12 hour shiftwork among petroleum refinery operators XIIIth International Symposium on Night and Shiftwork Majvik Finlande juin 1997 BRISSON C MONTREUIL S et PUNNETT L Evaluation of the effects of a training pro gram on the prevalence of musculoskeletal problems among video display terminal users 3th Triennial Congress of the International Ergonomics Association Tampere Finlande Book of abstracts p 254 256 juillet 997 58 IRSST Rapport annuel BRODEUR J VYSKOCIL A TARDIF F PER RAULT G DROLET D TRUCHON G et LEMAY F Ajustement des valeurs d exposi ion admissibles aux horaires de travail non conventionnels 19 Congr s de PAssocia tion qu b coise pour hygi ne la sant et la s curit du travail AQHSST Jonqui re mai 1997 BRUN J P GAUTHIER G et LOISELLE C D Analyse des pratiques d intervention des pr ventionnistes de premi re ligne dans les secteurs industriels des p tes et pap
159. ositions professionnelles r centes aux produits chimiques au Qu bec en identifiant les situations o des concentrations lev es sont retrouv es dans l environnement On pourra ainsi identifier les produits et les secteurs d activit o les efforts d interven tion de recherche et de pr vention sont prio ritaires Accessoirement ce bilan servira comprendre l origine de l accroissement des demandes de services adress es aux laboratoire de l IRSST en 1996 par leurs clients du r seau de pr vention Claude Ostiguy et Pierre Larivi re Steve Ajmo IRSST Hygi ne et toxicologie R gie r gionale Saguenay Lac St Jean 1997 1998 Montant 33 550 laboration d une strat gie d chantillon nage et d analyse pour les principaux proc d s produisant ou utilisant des chromates au Qu bec 97 025 Un comit mis sur pied par la CSST a pour fonction la r vision permanente de la liste des compos s soumis au R glement sur la qualit des milieux de travail et celle des valeurs d ex position ces compos s Dans le cours de ce processus de r vision la CSST a demand PIRSST d laborer des strat gies d chantillon nage applicables aux diff rents proc d s utili sant des chromates au Qu bec et de classifier les divers compos s du chrome impliqu s dans ces proc d s en fonction de leur solubi lit Les compos s du chrome comptent actuel lement parmi les m taux les plus fr
160. otoacoustique qui per mettrait d analyser de fa on sp cifique une aste gamme de gaz et de vapeurs L utilisation d un tel instrument par les chercheurs et les intervenants du r seau de la sant et de la s cu rit du travail permettra la mesure directe sur le errain tout en assurant la fiabilit des r sultats Brigitte Roberge IRSST Soutien analytique 1993 1998 Montant 23 200 valuation de compos s chlor s dans l air de milieux de travail 93 041 L objectif principal de l tude tait d laborer une strat gie de mesure des diff rents compo s s chlor s susceptibles d tre utilis s dans les proc d s de traitement des eaux de consom mation et de blanchiment de la p te papier Ces produits le chlore gazeux le bioxyde de chlore l acide chloridrique et le chloroforme ont des niveaux de toxicit et des valeurs d ex position admissibles diff rentes aussi importe t il de bien les distinguer et de les quantifier de fa on sp cifique Pour ce faire la chercheure a valu en laboratoire le comportement et la performance d un analyseur lecture directe fonctionnant par pile lectrochimique Il res sort que le choix de la m thode d valuation des produits chlor s repose sur la connais sance des produits pr sents identifi s par les m thodes de r f rence Une fois ces produits connus leur mesure se fera l aide d un analy seur lecteur directe selon la performance d
161. our aider le milieu se prendre en charge On tudiera galement l effet des changements sur les sympt mes musculosque lettiques des travailleurs Cette intervention d ergonomie participative qui devrait se solder par une diminution des sympt mes musculo squelettiques et une am lioration des condi tions de travail pourra le cas ch ant tre adapt e d autres milieux Nicole V zina Susan Stock Marcel Simard Universit du Qu bec Montr al Universit McGill et Direction de la sant publique de Montr al Centre Universit de Montr al 1996 1998 Montant 224 775 D veloppement et validation d un outil pour l valuation de l sions musculosquelettiques reli es au travail le Neck and Upper Limb Index NULI 94 016 Le Neck and Upper Limb Index d velopp et valid en Ontario est un outil d valuation qui permet de mesurer l impact des l sions musculosquelettiques du cou et des membres sup rieurs sur la capacit fonctionnelle globale des travailleurs accident s au moyen des r ponses un questionnaire Son utilisation serai utile pour mesurer l efficacit des interventions de pr vention ou de r adaptation en valuant tout changement dans la gravit de la l sion L Institut a subventionn des chercheurs afin de produire une version fran aise de l outil qui sera d abord pr test e aupr s de 10 travailleurs francophones accident s La version finale
162. our savoir comment contr ler les effets nocifs de ces missions enclenche l laboration du R pertoire des techniques et technologies de contr le des missions des moteurs diesels en milieu minier Fruit d une troite collaboration entre l Institut le Centre canadien de la technologie des min raux et de l nergie CANMET et l ASP le guide propose des m thodes de contr le et des outils pour r duire l exposition aux missions des moteurs diesels En plus il fait le point sur les propri t s de ces missions leur impact et les limites d exposition et fournit une liste des techniques et technologies disponibles Accidents 24 Bruit et vibrations 28 Contaminants chimiques et biologiques 29 Divers 31 quipements de protection 39 L sions attribuables au travail r p titif 41 Maux de dos 44 S curit des outils des machines et des proc d s industriels 41 24 IRSST Rapport annuel Les accidents de travail dans l industrie fores ti re Phase 3 Analyse des renseignements recueillis Paide des questionnaires de des cription d accidents 97 063 Une analyse des sc narios d accidents r alis e par PIRSST partir de plus de mille avis de demande de r clamation ADR la CSST a confirm le besoin de recueillir des informa ions qui d criraient mieux les circonstances de survenue des accidents de m me que les acte
163. ours des co ts directs en indem nit s de quelque 130 millions de dollars par ann e au Qu bec Au moyen d une revue cri tique de la documentation scientifique la pr sente recherche vise pr ciser la port e et les limites de ces m thodes d valuation en d fi nissant les conditions dans lesquelles chacune d entre elles s applique et quel ensemble de facteurs elle prend en consid ration Une telle analyse servira laborer une grille d identifi cation des risques permettant de mieux distin guer les causes imm diates et celles qui sont la source des maux de dos et couvrant les risques ignor s par les m thodes d valuation existantes Un guide d utilisation de ces m thodes sera produit l usage des intervenants en pr vention Robert Gilbert Daniel Leblanc Michel Normandin cole Polytechnique 1996 1998 Montant 63 000 Analyse de l implantation d un programme d intervention sur les maux de dos reli s au d placement des b n ficiaires 95 002 L Association de sant et de s curit du travail du secteur des affaires sociales ASSTSAS a implant dans plus de 110 tablissements de sant depuis 1988 un programme de pr ven tion des maux de dos fond sur l ergonomie participative assorti d un mod le d interven tion Unique par son ampleur et sa dur e ce IRSST Rapport annuel Les Programme sur les accidents au dos Pro gr
164. pacit potentielle r duire les risques de chute des chariots ainsi que la liste des principaux fournisseurs et fabricants Ren Beno t Marcel B langer IRSST S curit ing nierie Centre de recherche industrielle du Qu bec 1995 1997 Montant 9 500 Nouvelle technologie d instrumentation des c bles d ancrage ciment s pour le contr le de la s curit dans les exploitations mini res 94 127 Pour pr venir les chutes de terrain suscep ibles de provoquer des accidents graves dans les exploitations mini res on utilise depuis une dizaine d ann es une technique de sout nement au moyen de c bles d acier ciment s dans la roche Cependant il n existe pas de r gles pour d terminer le nombre de c bles requis leur orientation ni leur longueur Des chercheurs ont montr qu en int grant un instrument de mesure aux c bles d ancrage on peut suivre dans le temps les variations des efforts transmis aux c bles et ainsi pr voir les situations dange reuses Le pr sent projet vise valider dans quelques mines qu b coises cette technologie de l utilisation de c bles d ancrage instrumen t s qui en plus de servir pr venir les chutes de terrain permettra de recueillir des donn es pour concevoir des patrons d ancrage s curi taires l issue du projet un guide d utilisation du dispositif de mesure sera diffus aupr s des ing nieurs en contr le de terrain Brahim Benmokrane Universi
165. par les ergonomes de lIRSST a t implant e avec la collabora tion de la CSST mise en place d un registre des signes pr coces de LATR ciblage des situa tions de travail les plus p nibles identification des facteurs de risque et des d terminants en cause r alisation de changements aux diff rentes situations de travail En plus de r duire les risques de LATR cette intervention a per mis d implanter une culture de la pr vention dans cette entreprise Marie Bellemare et Claude Lechasseur Ren Allard IRSST S curit ergonomie CSST 1995 1997 Montant 75 159 Intervention ergonomique dans une usine de fabrication de bottes Phase Il tude de l implantation des recommandations 95 029 L tude des probl mes musculosquelettiques et de l organisation modulaire du travail dans une usine de fabrication de bottes a donn lieu des recommandations en vue d am liorer les situations de travail Le pr sent projet vise analyser le processus d implantation des chan gements pr vus au moyen d un court ques tionnaire administr p riodiquement Les don n es recueillies serviront identifier les facteurs favorisant ou faisant obstacle l implantation de ces changements et orienteront le soutien pratique offert par l quipe de recherche cette implantation que ce soit en mati re d inter vention ergonomique d aide la d cision ou de formation p
166. place by triple quadru pole mass spectrometry American Indus trial Hygiene Conference and Exhibition AIHA Dallas Texas mai 1997 LORTIE M et AUTHIER M Work techniques and managing of risks by handlers 13th Trien nial Congress of the International Ergonom ics Association Tampere Finlande Book o abstracts Vol 4 p 298 300 juillet 1997 MONTREUIL S BRISSON C et PUNNETT L Evaluation of an ergonomics training pro gram for VDT users l3th Triennial Congress of the International Ergonomics Association Tampere Finlande Book of abstracts p 444 446 juillet 1997 NADEAU S LEBLANC D GILBERT R et DURAND D Gestions scientifique et organi sationnelle des risques de maux de dos dans la nouvelle r alit des entreprises 2 Congr s international franco qu b cois de g nie industriel Albi France septembre 1997 NICOLAS J ATALLA N FOIN et MERCIER B Precise formulation of the vibroacoustics effects of added constrained damping layer on a plane structure 13 Ist Meeting ASA Indianapolis mai 1996 NICOLAS J FOIN O ATALLA N et MERCIER B Vibroacoustic behavior with total or partial layer of constrained viscoelas tic 133rd Meeting of the ASA Penn State Pennsylvanie juin 1997 OSTIGUY C Isocyanate sampling and analy sis with ISO CHECKTM Warwick University Angleterre avril 1997 OSTIGUY
167. possibles entre la survenue des accidents et certaines variables organisationnelles techniques et humaines Ces r sultats ont t valid s aupr s des membres du comit paritaire de pr ven tion de l industrie Plusieurs recommandations d coulant de ces analyses serviront laborer un plan d action en pr vention Une de ces recommandations propose la cr ation d un outil de suivi des accidents du travail qui per mettra d valuer l effet des moyens de pr ven tion mis en uvre dans cette industrie Fran ois H bert IRSST Organisation du travail 1996 1997 Montant 47 650 Probl matique de la sant et de la s curit chez les pompiers Analyse exploratoire 95 309 la suite d une demande de l Association pari taire du secteur affaires municipales le pro gramme de recherche en organisation du tra vail a r alis en 1995 1996 une tude de tous 26 IRSST Rapport annuel les accidents survenus aux pompiers de deux importantes municipalit s du Qu bec en 1992 L tude d crit les accidents avec et sans pertes de temps qui surviennent aux pompiers dans le cours de cinq affectations de travail Des sc narios d accidents mettent les blessures subies en relation avec le contexte d ex cution des t ches Ces portraits d taill s servent la ois comprendre comment une interaction entre plusieurs facteurs peut tre la source d accidents et orienter l
168. prises pour r gler les probl mes soulev s Jacques Lavoie Robert Alie Denis Potvin IRSST Soutien analytique R gie r gionale de la sant et des services sociaux de la Mont r gie Centre de recherche industrielle du Qu bec 1995 1997 Montant 16 273 IRSST Rapport annuel 35 valuation de l efficacit des moyens de pr vention lors de Putilisation de jets abrasifs 93 006 Au Qu bec 30 40 nouveaux cas de silicose sont diagnostiqu s chaque ann e Au cours des trois derni res ann es on a not parmi ces cas 18 travailleurs affect s au sablage par jet leur ge moyen tait de 42 ans et ils pr sentaient des atteintes respiratoires graves en d pit d une exposition de tr s courte dur e Or les moyens de prot ger ad quatement la sant de ces travailleurs sont connus et disponibles L tude hygi ne industrielle en cours vise identifier les moyens de protection techniques et en valuer l utilisation et l efficacit L em ploi de produits de substitution la silice la ventilation et les quipements de protection in dividuelle sont document s et valu s par me sure des concentrations de poussi res afin de proposer des sc narios de pr vention efficaces Chantal Dion Nicole Goyer et Guy Perrault IRSST Hygi ne et toxicologie Soutien analytique et Direction des op rations 1994 1998 Montant 198 710 Persista
169. qu pr sent la prise en charge de la s curit du travail Or en raison du nombre lev et de la forte incidence des l sions ainsi que de la longue dur e d absence cons cutive ces l sions il est important de mieux conna tre les m canismes de prise en charge de la s curit dans ces milieux de travail afin de sensibiliser les petits tablissements l utilit la faisabi lit et la rentabilit de la pr vention Dans un premier temps des entrevues t l phoniques seront r alis es avec des employeurs et des travailleurs d tablissements comptant moins de cinquante employ s Un comit aviseur com prenant des repr sentants des associations sectorielles paritaires ASP de l habillement et de la fabrication de produits m talliques facili tera les contacts avec les entreprises suivra le d roulement du projet et verra ce que les milieux de travail retirent le plus de b n fices possible de ce projet Dani le Champoux Jean Pierre Brun IRSST Organisation du travail Universit Laval 1997 1998 Montant 69 500 tude des processus d application de mesures pr ventives dans l industrie de la construc tion 97 007 La pr sente tude r sulte de la pr occupation exprim e par les principales organisations patronales et syndicales du secteur de la cons truction au Qu bec lors d un forum organis par le Groupe
170. ques en industrie consti tue un obstacle leur implantation syst ma tique en entreprise ce qui r duirait sensible ment les risques de l sions en am liorant certains postes de travail Les chercheurs en tendent donc d montrer que le mod le d va luation conomique qu ils ont mis au point est applicable des cas r els Pour ce faire ils iden tifieront des postes risque dans des entre prises volontaires recueilleront des informa tions relatives ces postes et traiteront ces informations au moyen des tableaux d analyse de leur mod le Ce processus permettra d va luer sur le plan conomique les projets visant r soudre les probl mes ergonomiques asso ci s ces postes de travail Il r sultera de cette d marche un guide d utilisation des tableaux d analyse et une version informatis e de ceux ci qui en favoriseront l usage syst matique par les gestionnaires des entreprises Daniel Imbeau Philippe Riel IRSST S curit ergonomie Universit du Qu bec Trois Rivi res 1996 1998 Montant 46 735 Documentation repr sentation des princi paux syst mes de construction du Qu bec Un outil de travail pour la s curit des pom piers de la province 96 010 La connaissance des syst mes de construction et des types de b timents constitue un l ment essentiel pour l tablissement de strat gies de lutte contre les incendies Inform s des forces et des faiblesses des
171. r notre v rification Notre v rification a t effectu e conform ment au normes de v rification g n ralement reconnues Ces normes exigent que la v rification soit planifi e et ex cu t e de mani re fournir un degr raisonnable de certitude quant l absence d inexactitudes importantes dans les tats financiers La v rification comprend le contr le par sondages des l ments probants l appui des montants et des autres l ments d information fournis dans les tats financiers Elle comprend galement l valuation des prin cipes comptables suivis et des estimations importantes faites par la direction ainsi qu une appr ciation de la pr sentation d ensemble des tats financiers notre avis ces tats financiers pr sentent fid lement tous gards importants la situation financi re de la Corpo ration au 3 d cembre 1997 ainsi que les r sultats de ses activit s et l volution de sa situation financi re pour l exercice termin cette date selon les principes comp tables g n ralement reconnus j A apan 7 E a e Samson B lair Deloitte amp Touche Comptables agr s Le 6 f vrier 1998 ADDO financier 62 IRSST de l exercice te apport annuel Etat des revenus e Revenus Commission de la sant et de la s curit du travail Services de laboratoire Int r ts Autres D penses Traitements Services professionnels Conseils et comit s Activ
172. rant d une entorse et pourrait le cas ch ant permettre de mesurer l efficacit du traitement qui leur est appliqu Paul Allard Jean Maurice Pag Universit de Montr al H pital du Sacr C ur de Montr al 1994 1998 Montant 45 050 tude des facteurs ergonomiques reli s aux probl mes de sant et de s curit du travail dans les supermarch s r ussite potentielle d interventions ergonomiques 93 035 Les statistiques sur les l sions professionnelles r v lent lexistence d un nombre important de l sions musculosquelettiques et de coupures chez les travailleurs du commerce de d tail en alimentation Or les facteurs de risque sont peu connus dans ce secteur sauf en ce qui 6 IRSST Rapport annuel concerne les caissi res La recherche men e avec la collaboration d une grande cha ne de supermarch s vise valuer les probl mes de sant et de s curit du travail et identifier les acteurs de risque de ce secteur en vue d la borer les strat gies d intervention ergono mique les plus susceptibles d am liorer les situations de travail dans les supermarch s Lina Forcier Iikka Kuorinka Sylvie Beaugrand Claire Lapointe et Jean Guy Richard Monique Lortie IRSST S curit ergonomie Universit du Qu bec Montr al 1995 1998 Montant 245 813 valuation exp rimentale d un programme de coordination de services
173. re suite aux modifica tions apport es aux normes d approbation des quipements de protection respiratoire et la d cision du NIOSH de ne publier sa liste d quipements approuv s que sur Internet le RQMT devra tre modifi pour faire d sor mais r f rence un document qu b cois C est ce document un guide des quipements de protection respiratoire qui sera produit par PIRSST De plus une base de donn es informa tis e identifiant tous les quipements approu v s depuis septembre 1993 sera mise au point et p riodiquement mise jour Jaime Lara Guy Perrault Daniel Drolet et Fran ois Lemay IRSST S curit ing nierie Direction des op rations Hygi ne et toxicologie Service la client le 1997 1998 Montant 13 300 La protection des mains dans le secteur de la fabrication des produits en m tal 96 053 L ASP du secteur de la fabrication de produits en m tal et de produits lectriques a demand PIRSST de l aider identifier les gants de pro tection les plus r sistants la coupure tout en permettant une bonne dext rit Les l sions aux mains et aux doigts repr sentent pr s de 30 du total des accidents chez les travailleurs de ce secteur L activit se d roulera dans une usine type choisie parce qu on y constate de nombreuses lac rations que le probl me y est document et que la collaboration des parties y est acquise Les chercheurs y observeront les op ratio
174. recherche et de s curit Sant IRSST Direction des op rations 1994 1997 Montant 187 736 Surveillance biologique des expositions mixtes en milieu de travail d veloppement de mod les en vue de l interpr tation des donn es d exposition 92 009 Le nombre de produits pr sents en milieu de travail et leurs combinaisons possibles tant quasi illimit s il devient pratiquement impos sible de tous les tester Une solution de re change consiste utiliser des mod les infor matiques reproduisant de fa on acceptable le comportement d une substance dans le corps humain De tels mod les une fois valid s per mettent de tester plusieurs sc narios d exposi tion et de pr dire les effets de ces expositions sur les donn es de surveillance biologique des travailleurs L objectif tait d laborer de tels mod les permettant de simuler des expositions des m langes de solvants de pr dire leur effet sur la valeur des indicateurs biologiques d exposition et de faciliter l interpr tation des donn es de surveillance biologique de l expo sition plus d une substance Gr ce aux mod les cr s il est possible de simuler chez l humain les interactions m taboliques suscep tibles de se manifester lors de l exposition une dizaine d associations de solvants Leur utilisation a permis entre autres de mieux sai sir le r le jou par divers facteurs dans l appa rition des interactions m tab
175. res de pr l vement d ex traction et de dosage la m thode sera mise la disposition des chercheurs et clients de l Institut Genevi ve Marchand IRSST Soutien analytique 1997 1998 Montant 23 950 Substitution des solvants en milieu de tra vail implantation 97 001 Entre 150 000 et 300 000 travailleurs qu b cois sont expos s aux solvants organiques Plusieurs de ces produits peuvent tre selon les concen trations toxiques pour les travailleurs inflam mables ou nocifs pour l environnement c est pourquoi les entreprises envisagent de leur substituer des produits moins dangereux Ce projet vise favoriser l implantation d une telle substitution en se basant sur huit cas concrets soumis par des associations sectorielles pari taires Pour tabir une m thodologie d taill e de mise en uvre de la substitution le cher cheur proc dera une tude approfondie de ces huit cas Il valuera les outils informatiques logiciels banques de donn es et syst mes experts donnant acc s l information tech nique environnementale et de SST capable d ai der les intervenants dans la prise de d cision Dans le cadre d une d marche d taill e un outil de recueil d information et une liste de contr le seront notamment d velopp s pour aider les intervenants Les connaissances ac quises l occasion de ces tudes de cas seront retransmises l ensemble des intervenants en sant et en
176. rit ing nierie 1997 1999 Montant 285 590 D veloppement d un protecteur pour m lan geur alimentaire utilis par les p tissiers artisans 95 205 La CSST et l Association des p tissiers artisans ont formul une demande lIRSST en vue d quiper les m langeurs alimentaires de pro ecteurs Notamment utilis s dans les cuisines d entreprises ces m langeurs pr sentent cer ains dangers car ils tournent habituellement dans une cuve ouverte Plusieurs types de pro ecteurs existent dont un mis au point par PIRSST pour le secteur hospitalier il y a quel ques ann es mais aucun ne semble r pondre aux besoins sp cifiques des p tissiers artisans Dans le cours de ce projet un ing nieur proc dera des observations laborera de concert avec les repr sentants de l Association des crit res de fonctionnement et de s curit en ue de la conception d un protecteur ad quat et proc dera la modification d un protecteur existant ou au besoin en fabriquera un nou eau qui sera valid en milieu de travail Joseph Jean Paques R al Bourbonni re et Christian Sirard Serge Guertin IRSST S curit ing nierie ErgoNorme inc 1995 1998 Montant 78 382 Diminution du potentiel de coups de terrain par les tirs de relaxation 95 036 Les coups de terrain sont des ruptures vio lentes et soudaines du massif rocheux qui peu
177. rs et ont particip activement son laboration Le formulaire a t test sur le terrain Cet outil de cueillette d information permet la dif fusion du mod le d analyse des accidents cr par les chercheurs et les facteurs de risque ainsi identifi s par l analyse deviennent autant de pistes pour la pr vention L association pari taire du secteur des affaires municipales va dif fuser le nouveau formulaire dans les services d incendie de toute la province d s 1998 Dani le Champoux et Esther Cloutier IRSST Organisation du travail 1996 1997 Montant 16 640 Sant s curit et organisation du travail dans les emplois de soins domicile 95 840 Une r cente tude statistique a identifi comme professions risque les emplois de soins aux b n ficiaires des services sociaux et de sant un secteur par ailleurs affect par d importants changements accroissement du nombre de b n ficiaires vieillissement de la population virage ambulatoire etc Le secteur des soins domicile qui sera touch par ces changements conna t en outre un vieillissement de son per sonnel auxiliaires familiales infirmiers et infir mi res Cet avant projet vise valuer la faisa bilit d un projet expliquant les variations des profils d accidents et des probl mes de sant selon l ge du personnel de soins domicile Un comit paritaire comprenant des gestion IRSST Rapport annuel Ds
178. rument Le syst me d alarme sera bas sur un capteur intelligent programmable d velopp l Universit de Sherbrooke il comportera une carte miniature d acquisition de donn es traitera et lira les donn es en pro venance du cylindre instrument et pilotera le d clenchement d une alarme si une instabilit est d tect e La mise au point du syst me d alarme rendra possible la valorisation du cylindre instrument comme outil de pr ven tion des accidents dans les mines G rard Ballivy Joseph Jean Paques Universit de Sherbrooke IRSST S curit ing nierie 1996 1998 Montant 42 000 IRSST Rapport annuel 40 Sout nement des excavations mini res sou terraines 95 006 Pr s de la moiti des accidents mortels dans les mines r sultent de chutes de terrain Pour laborer des strat gies d excavation et de sou t nement qui permettraient de pr venir ces effondrements il importe de mieux conna tre les massifs rocheux en cause La recherche vise donc caract riser ad quatement ces massifs de fa on concevoir la g om trie des excava tions et leur sout nement en fonction de ces caract ristiques plut t que sur la base de fac teurs largement intuitifs Fond e sur l tude des discontinuit s du massif rocheux dans certaines mines en exploitation la recherche donnera lieu au d veloppement d un mod le tridimen sionnel de la fissuration des massifs rocheux et l laborati
179. ry Industries bases on biological resources Encyclopedia of Occupational Health and Safety Bureau International du Travail Gen ve p 68 14 68 16 1997 GILBERT D LARUE C et GIGU RE D Pour bien r ussir l am nagement de son auto patrouille Guide de l Association sectorielle paritaire Affaires municipales et IRSST 26 p 1997 LESAGE C ODDO Y CHAMPOUX Y et ATALLA N Experimental characterization o the noise generation mechanism of percussion drill rods Can Indust Mining Bull 90 1010 p 65 68 1997 LESAGE J IRSST improves health and safety in Quebec Urethanes Safety Vol I n 2 octobre 1997 QUIRION M GHORBAL A et BALLIVY G Stabilit des piliers de mine l aide du cylin dre instrument de l Universit de Sherbrooke CIUS Phase Il Implantation et mise au point d une alarme Laboratoire de m canique des roues et de g ologie appliqu e Universit de Sherbrooke ls p 1997 ROSSIGNOL M Establishing a prognostic for low back problems Chronic musculoskeletal injuries in the workplace Ranney D Ed VVB Saunders Co p 193 215 Montr al 1997 ANG W et ATALLA N A numerical algo rithm for double surface integrals over quadri laterals with I R singularity Communi cations on num rical methods Vol 3 p 8585 8590 1997 BRAHAO J BERTHELETTE D DESNOYERS
180. s plancher Pour ce faire les nettoyants seront class s en cat gories selon la nature chimique de leurs composantes Pour chacune de ces cat gories on d terminera l efficacit d lo er les huiles et les graisses selon le type de plancher la concentration en nettoyant la tem p rature de l eau et le rin age Les utilisateurs pourront ainsi d terminer les conditions les plus efficaces d utilisation de ces nettoyants plancher contribuant r duire les risques de lissade dans leur milieu de travail Fran ois Quirion et Philippe l Homme Q Inc 1997 1998 Montant 79 470 La pr vention primaire des maux de dos dans le secteur de la construction une recension des crits 97 032 Un comit paritaire constitu de repr sentants de la CSST de lIRSST et de l ASP du secteur de la construction a t charg de d velopper et d implanter dans ce domaine un programme de pr vention la source des maux de dos Pour alimenter ses travaux il a confi un groupe de travail le mandat de documenter la probl ma tique des maux de dos dans ce secteur La pr sente activit consiste recenser les crits per tinents dans plusieurs banques informatiques de r f rences bibliographiques et en valuer le contenu au moyen d une grille de lecture pr tablie Cette recension a pour but d iden tifier quels sont les risques de blessures au dos les plus courants et les plus importants aux quels son
181. s 95 010 La r duction du bruit la source met en cause des ph nom nes vibroacoustiques complexes qui n ont t r solus que dans certains cas particuliers Pour augmenter radicalement la capacit de r soudre ces probl mes il est n cessaire de rendre disponibles et de transf rer aux ing nieurs sous une forme pratique les connaissances fondamentales relatives ces ph nom nes C est ce que vise la pr sente recherche par la mise au point d un logiciel uti lisable sur micro ordinateur apr s une forma tion minimale Ce logiciel abordera toutes les facettes possibles d un probl me vibroacous tique et comportera un grand choix de para m tres de conception et de sortie Il permettra la conception et la fabrication d quipements plus silencieux dans diff rents secteurs d acti vit et environnements de travail Jean Nicolas et Noureddine Atalla Universit de Sherbrooke 1996 1998 Montant 169 100 tude de faisabilit des moyens de contr le du bruit des tiges de foreuses percussion par une tude num rique et exp rimentale 94 113 Les foreuses percussion utilis es dans les mines exposent les travailleurs des niveaux de bruit lev s 115 125 dB A Le secteur minier reconna t le caract re prioritaire de ce probl me auquel aucune solution satisfaisante n a pu tre apport e ce jour en raison de la complexit des ph nom nes physiques en cause Sur le plan scientif
182. s curi aire de cette installation L ajout de ces nou eaux quipements dans l espace restreint du hicule qui peut d j contenir un syst me de communication radio un syst me de d tection radar un bo tier de commande des gyrophares et des coussins gonflables suppose en effet un am nagement rigoureux de l espace qui tienne compte des imp ratifs de s curit Partant d in erventions d j r alis es les chercheurs de l IRSST rassembleront les informations perti nentes et concevront de concert avec l APSAM un guide d am nagement accompagn de gaba rits de la forme et de la dimension des cous sins gonflables qui permettront aux policiers d organiser leur voiture Christian Larue et Denis Gigu re Denise Gilbert IRSST S curit ergonomie Association paritaire pour la sant et la s curit du travail du secteur des affaires municipales 1996 1998 Montant 32 400 daptation et validation d un harnais de manutention pour les ambulanciers 96 001 Le transport et la manutention de patients par les ambulanciers expose ces travailleurs de nombreux risques notamment de l sions au dos et de chutes Pour r pondre une demande du minist re de la Sant et des Services sociaux la pr sente activit vise adapter au travail ambulancier un harnais de manutention initia lement d velopp pour les d m nageurs Ce harnais bilat ral r duit significativement le tra ail des muscles
183. s curit du travail Michel G rin Universit de Montr al 1997 1999 Montant 240 000 tude des missions du traitement secon daire des effluents des usines de p tes et papiers 96 054 fin de se conformer aux nouvelles normes environnementales concernant la toxicit des effluents industriels les usines qu b coises de p tes et papiers ont proc d depuis deux ans l implantation de syst mes de traitement secondaire de leurs effluents Ces syst mes se ondent sur l utilisation de microorganismes pour transformer les mati res polluantes conte nues dans les eaux us es en sous produits plus stables et en boues r siduaires L implantation de ces syst mes a suscit des inqui tudes et des plaintes de la part des travailleurs et des communaut s environnantes concernant l mis sion dans lair de produits chimiques de mau aises odeurs et de microorganismes tous sujets sur lesquels il existe peu de donn es Le projet vise donc au moyen d une tude d hy i ne industrielle men e dans onze tablisse ments identifier et quantifier les principaux compos s chimiques et microorganismes identifier les param tres des proc d s de fabri cation ou de traitement qui peuvent favoriser leur formation leur g n ration ou leur diffusion et d finir des indicateurs de suivi de la qua lit de lair utilisables par les intervenants en sant et en s curit
184. s notamment l tablissement de programmes de sant dans les entreprises des secteurs d activit conomique reconnus prioritaires par la CSST Dans 60 des cas elles portaient sur des compos s organiques 10 avaient pour objet des m taux et des ions et 10 des poussi res alors que les analyses toxicologiques repr sentaient 20 de l ensemble Rappelons que les services de laboratoire offerts la CSST et son r seau s inscrivent dans le cadre d une entente pour laquelle un budget sp cifique est tabli annuellement IRSST Rapport annuel A Soucieux de pr server la qualit et la fiabilit de ses ser vices de laboratoire l Institut a r agi l acc l ration de la demande d analyses constat e en 1996 en sensibilisant sa client le la n cessit de mieux cibler les interventions en hygi ne industrielle n cessitant des analyses de laboratoire Apr s avoir tudi les statistiques d analyses l Institut a sensibilis les coordonnateurs des r gies r gionales et des repr sentants des m decins des hygi nistes et des infir mi res l int r t de mettre l accent sur la pertinence des analyses requises pour en limiter le nombre Cette op ra tion a permis de contenir le nombre de demandes trans mises l Institut au m me niveau qu en 1996 Les laboratoires de l Institut rendent aussi des services sp cialis s des associations patronales et syndicales et divers organis
185. s a d velopp une m thode analytique permettant l identification de 2 ald hydes fr quemment trouv s en milieu de travail Le pr sent projet vise implanter cette m thode PIRSST en optimiser certains param tres et d terminer les crit res permettant de l tendre la mesure quantitativedes ald hydes afin de mettre un outil simple la disposition des inter venants en hygi ne industrielle Jacques Lesage et Claude Ostiguy IRSST Hygi ne et toxicologie 1994 1998 Montant 37 190 Choix d abrasifs acceptabilit des substituts de la silice et adoption de mesures pr ven tives lors du sablage au jet 93 078 Les r sultats de cette vaste tude en trois volets men e dans l ensemble du Qu bec indi quent que les abrasifs siliceux l origine de plusieurs cas de silicose lors du sablage au jet dominent largement le march parce qu ils son nettement moins co teux Bien que l adoption de substituts non recyclables n implique aucun autre co t direct ou indirect de conversion les usagers indiquent qu ils n adopteront pas les substituts moins toxiques de fa on volontaire si l utilisation des produits siliceux est permise pour leurs concurrents L analyse de 12 milieux de travail met en lumi re l effet des croyances sur l adoption de comportements pr ventifs lors du sablage au jet 84 des usagers ne font pas le lien entre le sablage au jet et la silicose
186. s non expos es Le groupe des pompiers et celui des t moins ont t appari s pour contr ler les variables confondantes La recherche a permis d tablir que l exposition au benzo a pyr ne attribuable au travail lors de l incendie a t peu impor tante en regard de l exposition habituelle ce contaminant fort r pandu dans notre environ nement que l exposition aux amines aroma tiques attribuable au travail lors de l incendie est significativement plus importante que celle que l on rencontre habituellement dans notre environnement que sept mois apr s l exposi tion les travailleurs n ont pas plus d adduits d amines aromatiques dans le sang que les sujets t moins indiquant qu ils ont limin cette contamination au cours de cette p riode Claude Viau Universit de Montr al 1992 1998 Montant 76 840 Silice silicose et cancer tude de r tention pulmonaire 91 114 Il est difficile d tablir un lien causal entre l ex position professionnelle la silice et l appari tion du cancer pulmonaire En effet un travail leur atteint la fois de silicose et de cancer du poumon a pu tre expos des agents confon dants Une analyse descriptive de la r tention pulmonaire chez des sujets silicotiques certains atteints d un cancer pulmonaire et d autres pas fournit de nouvelles informations sur la nature des l ments inorganiques auxquels ils ont t expos s en
187. s op rations effectu es dans les centres Jacques Lavoie IRSST Soutien analytique 1995 1997 Montant 25 600 Portrait de exposition des coiffeuses aux produits toxiques 95 221 En l absence de connaissances suffisantes au sujet de l exposition des coiffeuses enceintes ou qui allaitent des produits potentiellement dangereux pour leur b b il est difficile pour les m decins de prendre une d cision clair e quant au retrait pr ventif ou la r affectation de ces travailleuses La pr sente activit de soutien en hygi ne industrielle men e sous la responsabilit de la R gie r gionale de la sant et des services sociaux de Montr al Centre en collaboration avec la CSST consistera implanter quelques nouvelles m thodes analy iques dans les laboratoires de l IRSST de a on pouvoir documenter l exposition pro essionnelle des coiffeuses Les r sultats de ces analyses serviront aux m decins appel s prendre des d cisions et pourront aussi tre utilis s par les employeurs des fins de pr ention Daniel Drolet et Jacques Lesage Jocelyne Forest IRSST Hygi ne et toxicologie R gie r gionale de la sant et des services sociaux de Montr al 1996 1998 Montant 24 000 tude par tra age de la r admission des vacuations provenant d difices en milieu urbain 95 215 Selon les conditions atmosph riques une partie importan
188. se au point l IRSST permet d valuer les mono m res dans lair des milieux de travail Mais l absorption respiratoire ou cutan e des oligo m res requiert toujours une m thode de mesure fiable dans l air et sur les surfaces contamin es Le projet vise d velopper une m thode qui permettrait de caract riser et de quantifier la fois les monom res et les oligo m res aussi bien dans l air que sur les surfaces contamin es afin de pouvoir pr venir toute exposition risque Claude Ostiguy et Jacques Lesage Van Huu Tra IRSST Hygi ne et toxicologie Universit du Qu bec Montr al 1995 1998 Montant 76 320 Impact de l utilisation de pistolets de sou dage pourvus d une buse d aspiration sur la charge musculaire et la qualit des joints de soudure 95 027 L Association paritaire Fabrication d quipe ment de transport et de machines a demand PIRSST d valuer les nouveaux pistolets de soudage offerts sur le march L analyse des valuations exp rimentales a permis de faire ressortir les principaux inconv nient reli s l utilisation des pistolets pourvus d une buse d aspiration la source soit le poids plus lev de l outil avec son faisceau la trop grande rigi dit de ce faisceau et l influence de langle du col de cygne dans les diverses positions de soudage Les soudeurs ont pr f r l utilisation du pistolet AirMig principalement cause de sa
189. ser les chances de succ s du transfert de connais sances vers les milieux de travail llkka Kuorinka IRSST S curit ergonomie 1996 1998 Montant 33 780 Pr vention des LATR dans une usine de 95 219 La CSST a entrepris de r aliser dans des entre prises cibl es pour leur taux important de l sions attribuables au travail r p titif LATR des projets pilotes visant l am lioration des postes de travail dangereux et la prise en charge de la pr vention des LATR par l entreprise Dans le contexte du pr sent projet l IRSST participera l implantation d une d marche d ergonomie participative dans une entreprise de fabrication d habits pour hommes de la r gion montr alaise Aux termes de l entente conclue entre la CSST le syndicat et lem ployeur un comit paritaire participatif sera cr B n ficiant de la formation et de l enca drement fournis par les ergonomes ce comit aura pour t ches de cibler les situations de ravail les plus probl matiques d analyser les probl mes et de rechercher des solutions et enfin d implanter ces solutions et d en assurer le suivi Marie St Vincent et Denise Chicoine Jos e Sauvage et Nicolas Franco IRSST S curit ergonomie CSST Direction r gionale de Montr al 1995 1998 Montant 48 592 Identification des outils pour accro tre l effi cacit des strat gies de pr vention des LATR dans les abattoirs et les usines de transfor matio
190. sup rieure Consultant Ville de Montr al 1997 1998 Montant 97 400 V tements de protection pour les pompiers 95 835 L Association paritaire du secteur affaires muni cipales APSAM a mis en vidence lors d une enqu te men e aupr s des pompiers des pro bl mes d inconfort thermique associ s au port de v tements deux pi ces en t et des pro bl mes de dext rit associ s aux port de gants el s en hiver La pr sente activit confi e au Centre des technologies textiles consiste identifier au moyen d une recherche documen aire et d essais en laboratoire des mat riaux extiles de substitution ou d autres combi naisons des m mes mat riaux offrant prix comparable la m me protection et la m me r sistance thermique tout en procurant aux pompiers un plus grand confort et une plus rande dext rit dans toutes les conditions climatiques Les r sultats seront utilisables par les fabricants de V tements ainsi que par les municipalit s qui ach tent ces produits Dominique Duhamel Martin Filteau et Marek Weltrowski Centre des technologies textiles 1996 1998 Montant 43 054 valuation des bottines de protection pour les travailleurs forestiers 95 834 L IRSST vient de mettre au point et de valider une m thode d essai qui permet d valuer la r sistance la coupure des quipements de protection pour les travailleurs forestiers La pr sente activit vise appliquer
191. t partir des besoins de ses clients et partenaires Les r sultats de recherche qu il a livr s dans chacun de ces champs et le savoir faire qu il a continu d y d velopper confirment le r le essentiel que joue l IRSST au sein du r seau qu b cois de la sant et de la s curit du travail Champs prioritaires Accidents Bruit et vibrations Contaminants chimiques et biologiques quipements de protection L sions attribuables au travail r p titif LATR Maux de dos S curit des outils des machines et des proc d s Industriels En 1997 l Institut a fait avancer les connaissances scientifiques et enrichi son expertise en regard de nombreux sujets qui pr occupent les milieux de travail et leurs partenaires Des progr s significatifs ont ainsi t accomplis dans l analyse des secteurs et des professions risque l exploration de lim pact de certaines formes d organisation du travail et l tude d activit s en mergence comme les nouveaux m tiers de l environnement Pour soutenir les milieux de travail dans leur prise en charge de la pr vention l IRSST a notamment mis pendant cette p riode sur des projets int grateurs et mis l accent directement sur la conception des proc d s quipe ments et postes de travail Le d veloppement d outils de pr vention s est poursuivi et l valuation des interventions de pr vention s est intensifi e Conform ment aux orientations adopt es en 199
192. t de Sherbrooke 1995 1998 Montant 92 000 Influence de l instabilit statique sur la force de serrage des outils mains m caniques 94 110 La force de serrage exerc e sur les outils main m caniques tels que les per euses les riveteuses et les marteaux piqueurs pourrait tre l un des facteurs susceptibles de causer des l sions comme le syndrome des vibra tions le syndrome du canal carpien ou des ten dinites Pour tudier les variables qui influen cent cette force de serrage et notamment l instabilit statique qui contraint la main adopter par compensation une certaine rigidit impliquant une telle force le chercheur conce vra et fabriquera un dynamom tre permettant de mesurer la force de serrage selon la lon gueur de l outil la position du manche et la force axiale appliqu e sur l outil Un mod le biom canique de la main permettant de mieux comprendre la fonction de la force de serrage sera galement con u Les r sultats de l tude permettront de r valuer le design du manche de certains outils ils pourraient tre mis pro fit dans l analyse ergonomique de postes de travail Denis Rancourt Universit Laval 1996 1998 Montant 35 841 Am lioration de gardes mobiles et fixes pour les presses m tal 94 037 Une r cente tude de l IRSST a r v l qu un des principaux risques auxquels sont expos s les op rateurs de presses m tal est la possi bilit
193. t for ul es par le personnel au sujet des vibra ions et des chocs ressentis dans le v hicule ans des conditions particuli res de conduite ource importante d inconfort et de malaise ces vibrations augmentent de plus les risques de chutes et de heurts pour le personnel tra vaillant dans le module arri re du v hicule Pour mieux situer ce probl me la pr sente activit consistera mesurer les niveaux d exposition aux vibrations et valuer le comportement dynamique du v hicule et de sa suspension Les r sultats de cette activit per mettront de cibler les moyens d att nuer lam pleur des vibrations Paul mile Boileau Subash Rakheja IRSST S curit ing nierie Universit Concordia 1997 1998 Montant 30 980 Att nuation du bruit dans les op rations d barbage de pi ces d aluminium coul es 96 041 La finition des pi ces d aluminium coul es qui entrent par exemple dans la fabrication des barbecue requiert l limination des bavures de m tal l aide d un outil pneumatique manuel comme une sableuse courroie Ce proc d d barbage produit un bruit pouvant atteindre 100 110 dB A Apr s avoir identifi que c tait le rayonnement acoustique de la pi ce d aluminium qui contribuait le plus au bruit total les chercheurs ont proc d en labora toire des tests sur diverses solutions poten tielles La solution retenue vise placer la pi ce de m tal remplie avec
194. t et Denise Chicoine IRSST S curit ergonomie 1996 1997 Montant 40 950 Implantation et valuation d un programme d intervention ergonomique pour la pr ven tion des troubles musculosquelettiques d s la conception des situations de travail 96 005 Une grande entreprise du secteur de l indus trie lourde souhaite mettre en place dans deux de ses usines o les travailleurs connais sent des probl mes musculosquelettiques un programme de pr vention associant op ra teurs contrema tres et concepteurs dans l ap prentissage et l implantation d une d marche d ergonomie Les personnes form es inter viendront non seulement pour diagnostiquer les risques et corriger des situations existantes mais galement en vue de pr venir les risques de probl mes musculosquelettiques dans le cadre de projets d investissement Tout au long de leur r alisation ces projets int grant la d marche ergonomique feront l objet d un suivi et les situations de travail qui en r sulte ront seront soumises un diagnostic pour valuer l impact du programme sur la pr sence de facteurs de risque Les informations issues de cette recherche seront g n ralis es de fa on pouvoir s appliquer d autres entre prises Marie Bellemare Sylvie Montreuil Denis Allard IRSST S curit ergonomie Universit Laval R gie r gionale de Montr al Centre 1997 1998 Montant 222 866
195. t et en tirera une description des probl mes des entreprises une classification des cas de renversement et des principes de stabilit qui leur sont sous jacents ainsi que des exemples pratiques de solutions applicables Le tout sera publi sous la forme d un cahier echnique en plus de servir la r alisation par l association sectorielle d un programme de formation offert l ensemble de sa client le du secteur du transport en vrac Paul Andr Bourassa Universit de Sherbrooke 1996 1998 Montant 28 570 Pr vention par la phototh rapie des troubles d adaptation au travail de nuit 96 034 Les travailleurs de nuit qui sont environ 750 000 au Qu bec ne parviennent pas s adapter m me apr s des ann es un horaire veille sommeil invers Cette inadaptation de lorga nisme accro t les risques d accidents l absen t isme et certains probl mes de sant chez ces travailleurs Plusieurs recherches de labo ratoire indiquent que la phototh rapie expo sition la lumi re vive pourrait pr venir divers effets n gatifs du travail de nuit L objectif de la pr sente tude est de v rifier si la phototh ra pie appliqu e en milieu de travail permet effec tivement d ajuster le rythme circadien de cor riger les troubles de vigilance et de sommeil et de r duire les probl mes m dicaux chez les travailleurs de nuit Diane Boivin Centre de recherche de l H pital
196. t expos s six corps de m tiers de la construction et quels sont les modes d inter vention qui pourraient permettre de r duire le nombre de ces probl mes dans ce secteur Mich le Gervais Rosedany En a IRSST Organisation du travail CSST Direction de la pr vention inspection 1996 1998 Montant 32 220 Les affections vert brales survenues en 1995 dans l industrie de la construction analyse de sc narios d accidents au moyen de dos siers d accidents ADR de la CSST 96 051 Pr s du quart des l sions indemnis es en 1995 dans le secteur de la construction taient des affections vert brales maux de dos Un comit de la CSST charg d laborer un plan d intervention en ce domaine a demand PIRSST de dresser un portrait d ensemble des probl mes en identifiant les populations cibles les situations risque et les caract ristiques des affections vert brales dans ce secteur La pr sente activit visera documenter les fac teurs de risque organisationnels techniques et environnementaux reli s aux affections vert brales chez les travailleurs de la construction au moyen des 500 dossiers d avis de demande de remboursement accept s par la CSST en 1995 Une grille d analyse des circonstances de survenue des affections vert brales sera la bor e et des analyses statistiques seront effec tu es pour permettre de d gager des indica teurs de risque et de gravit ainsi que des sc narios
197. t op rateurs pr pos s la maintenance et repr sentants de l ing nierie du proc d de lusine Ils identifieront d abord les situations de travail qui pr sentent un danger potentiel puis ils d termineront l ensemble des besoins des utilisateurs et des contraintes du proc d pour en arriver d finir des sp cifications de conception d un proc d de meulage plus s r Des essais comparatifs entre diff rentes meu leuses seront galement r alis s afin de facili ter l identification des param tres les plus importants et le choix des meilleures machines L tude permettra d identifier des solutions certains probl mes associ s au meulage Cer taines d entres elles seront appliqu es sans d lai dans les milieux de travail Ren Beno t et Guy Perrault Jean Nicolas et Fran ois Charron IRSST S curit ing nierie et Direction des op rations Universit de Sherbrooke 1994 1998 Montant 192 375 R duction la source des risques pour la sant et la s curit de l op ration des d chi queteuses mobiles Phase 2 92 127 Les d chiqueteuses mobiles utilis es pour r duire les d chets d arbres exposent les op rateurs au risque d tre entra n s dans le sys t me de coupe et d tre heurt s par des rejets de bois De plus elles atteignent des niveaux sonores lev s et posent des probl mes de manutention leurs utilisateurs Ces risques identifi s lors d une
198. te des missions toxiques provenant des chemin es d difices peut tre r introduite dans l difice metteur ou dans les immeubles oisins par des prises d air neuf cr ant un risque pour la sant des occupants L tude errain servira mesurer l ampleur de ce ph nom ne de r admission dans deux difices urbains en mesurant la dispersion d un gaz tra ceur mis partir des chemin es de chacun d eux Les donn es recueillies tenant compte de la vitesse moyenne de dispersion de la direction de la turbulence et de la temp ra ure serviront valuer les pr visions tablies au moyen de mod les num riques et d une simulation en soufflerie Ces deux m thodes actuellement utilis es pour pr dire le taux de dilution d un panache de fum e n ont jamais ait l objet d une tude comparative approfon die avec des donn es recueillies sur le terrain L tude permettra d en accro tre la pr cision Louis Lazure Ted Stahtopoulos et Patrick Saathoff IRSST Soutien analytique Universit Concordia 1996 1998 Montant 119 650 D veloppement d une m thode pour la d termination simultan e des monom res et des oligom res d isocyanates en milieu de travail 95 208 Les isocyanates pr sents sous la forme de mol cules monom res ou oligom res notam ment dans les peintures automobiles sont reconnus comme des agents sensibilisants l asthme Actuellement une m thode mi
199. tensions associ es au mode de gestion du changement technolo gique L tude des changements technologiques majeurs est faite au moyen d un chantillon d entreprises de fabrication de produits en m tal et de produits lectriques dont les chercheurs analysent et comparent les cas en recueillant des donn es au cours d entrevues et dans la documentation interne des entre prises L tude permettra d identifier les grou pes d employ s ayant subi une augmentation d accidents du travail et d tablir les d termi nants de cette augmentation quant au mode de gestion du changement Il en r sultera notam ment des recommandations pr cises visant am liorer la gestion du changement technolo ique pour en r duire les effets potentiellement n gatifs Camille Legendre Denis Harrison Universit de Montr al Universit du Qu bec Hull 1993 1998 Montant 97 295 Efficacit de la formation dans le secteur Le secteur minier offre ses travailleurs et ses gestionnaires des programmes de forma ion en pr vention des accidents mais les conditions pr alables au succ s de ces pro rammes n ont jamais t valu es La pr sente recherche porte sur la relation forma ion travail accident Les chercheurs v rifieront l hypoth se selon laquelle le succ s de la for mation est influenc par la pr sence d une combinaison de facteurs organisationnels dans l
200. the lungs of silicon carbide workers Ninth Inter national conference on occupational respi ratory diseases Kyoto Japon octobre 1997 ROSSIGNOL M Les guides diagnostiques pour les l sions attribuables au travail r p titif LATR 71 Congr s annuel Association of orkers Compensation Boards of Canada Halifax juillet 1997 ROSSIGNOL M Methodology to improve he effectiveness of clinical guidelines for low back pain Second International Forum for Primary Care Research on Low Back Pain La Haie Hollande mai 1997 ROSSIGNOL M BARIL R BERTHELETTE D GERVAIS M GRANGER D SEWITCH M et SHRIER I Methodology to improve the effectiveness of clinical guidelines for low back pain Second International Forum for Pri mary Care Research on Low Back Pain La Haye Hollande mai 1997 ROY M The transfert and utilization of knowledge related to health ans safety How a research institute is reorganizing to do it effec ively Eight European Congress on Work nd Organisational Psychology EAWOP rone Italie avril 1997 ROY M Choix d abrasifs acceptabilit des substituts de la silice et adoption de mesures pr ventives lors du sablage au jet Confe rence midi de l IRSST Montr al 1997 ST VINCENT M L ergonomie participative et la pr vention des atteintes musculosquelet tiques reli es au travail r p titif 29 congr s annuel de l Association canadie
201. tion Il pourrait tre utilis par des entreprises d autres secteurs indus triels qui connaissent les m mes probl mes Marie St Vincent et Denise Chicoine Serge Simoneau IRSST S curit ergonomie Association sectorielle paritaire Secteur de la fabrication de produits en m tal et de produits lectriques 1996 1998 Montant 34 600 Pr vention des LATR dans trois entreprises de transformation de viande 95 824 La Direction r gionale Chaudi re Appalaches de la CSST s est assur de la participation de trois abattoirs afin de mener un projet pilote de pr vention des l sions attribuables au travail r p titif LATR Le projet consistait cr er dans chacun de ces abattoirs des groupes d ergonomie participative assurer la forma tion de leurs membres et laborer avec eux des m thodes d analyse et de correction des postes risque Durant cette p riode sept postes ont t tudi s Des corrections r dui sant les facteurs de risque de LATR ont d j t implant es pour trois d entre eux et deux autres taient en cours de r alisation la fin du projet Celui ci a t court dans un des ta blissements cause de changements importants survenus dans l entreprise Cependant cette derni re a manifest l intention de continuer la d marche une fois la situation stabilis e Dans les deux autres abattoirs le projet se poursuit avec le soutien d un inspecteur de la C
202. ts aspects de l entreprise relations entre gestionnaires et em ploy s mode d organisation du travail risques du travail pr vention Jean Fran ois Chanlat et Paul Lanoie Marie Claire Carpentier Roy Louis Patry cole des Hautes tudes Commerciales Coll ge de Rosemont et Universit de Montr al Universit Laval 1993 1997 Montant 20 000 Caract risation des habilet s d velopp es en manutention experts vs novices 92 103 Ce projet visait mieux cerner certaines habi let s d velopp es par des manutentionnaires experts Ces derniers identifi s par leurs pairs comme tant les meilleurs ne sont que rare ment accident s et malgr une tr s longue exposition professionnelle n ont pas d velopp de probl mes musculosquelettiques Les cher cheures ont compar la fa on de faire de ces manutentionnaires experts avec celle de leurs coll gues novices afin de mettre en vidence ce qui est commun aux experts et ce qu ils vi tent de faire dans leurs t ches Ces diff rences ont t document es l aide de proc dures d observation et de m thodes biom caniques Des entretiens avec ces experts ont permis de mieux saisir le processus de d cision la base de leurs choix Les param tres d ex cution qui ont t plus particuli rement tudi s sont les prises sur les contenants le mouvement des contenants le d placement des pieds l ut
203. tude 2 147 travailleurs ayant eu au moins une journ e d absence com pens e pour mal de dos en 1988 ont t suivis individuellement pendant deux ans Les statis tiques sur leur profil sociod mographique et professionnel l incidence des maux de dos la chronicit et ses facteurs de pr diction de m me que l utilisation de proc dures de dia gnostic de traitements et de services m di caux sont maintenant disponibles Il s av re que le diagnostic initial est le meilleur pr dic teur la fois pour la chronicit et pour la r ci dive avec un risque presque cinq fois plus lev de cas chronique si un diagnostic sp ci fique est apport au d but du processus Par ailleurs les femmes et les travailleurs g s de plus de 55 ans pr sentent un plus grand risque de chronicit Enfin les 4 8 de cas chro niques repr sentent 45 des co ts de la cohorte sur deux ans Cette description consti tuait le premier volet de la recherche Un deuxi me volet a consist mettre en place et valuer des programmes de prise en charge des travailleurs atteints de dorsalgies ou de lombalgies Un premier projet a t r alis en collaboration avec le Centre hospitalier uni versitaire de Sherbrooke CHUS Il compor tait des interventions m dicales param dicales et ergonomiques Un second se r alise pr sen tement l Unit de sant publique sant au IRSST Rapport annuel A travail de Montr al Centre et conc
204. ue substance en tenant compte de ses propri t s En plus d alimenter la r flexion du comit paritaire ces r sultats seront utiles aux hygi nistes industriels les chercheurs ayant produit leur intention un jeu de fiches techniques traitant de chaque substance La recherche amorc e il y a une dizaine d ann es en vue de d velopper une m thode et un appareil de mesure de la r sistance des mat riaux la coupure a connu cette ann e un point culminant avec le d but de la fabrication en s rie du banc d essai qui en r sulte le TDM 100 Con ue pour d termi ner le niveau de r sistance la coupure des gants de protection port s dans diverses industries cette recherche comblait un vide Toutefois pour que la m thode IRSST soit retenue comme norme de s curit il faut qu elle puisse tre appliqu e de fa on rigoureusement normalis e et reproductible L appareil mis au point cette fin par l Institut offre toutes les garanties de pr cision force constante mesure pr cise du d placement de la lame possibilit de faire varier la force appliqu e etc Le passage du prototype la fabrication en s rie par un partenaire commercial devrait rassurer les organismes de normalisation qui s int ressent la m thode notamment l International Standard Organization ISO le Comit europ en de normalisation CEN et l Association canadienne de normalisation ACNOR IRSST Rapport annuel A
205. uipements de transport et de machines En utilisant une m thode d velopp e l IRSST on cherchera obtenir les donn es n ces saires pour pr dire la r sistance des gants aux agresseurs chimiques Les travaux permettront notamment de valider le mod le de pr diction de l IRSST mais aussi de produire un guide de s lection des gants en fonction des m langes de solvants et des solutions industrielles Jacques Desnoyers et G rald Perron Jaime Lara INRS nergie et mat riaux IRSST S curit ing nierie 1997 1999 Montant 212 100 tude exploratoire visant la mise au point d un indicateur de fin de service pour les filtres respiratoires des solvants organiques Phase II 95 832 Les appareils respiratoires cartouches fil trantes sont couramment utilis s dans la pro tection individuelle des travailleurs expos s aux solvants organiques L absence d un indica teur de fin de service fait cependant courir ces travailleurs le risque d une intoxication advenant la saturation de la cartouche filtrante Pour rem dier ce probl me les chercheurs de l Institut national d optique et de PIRSST ont valu avec succ s le potentiel d un cap teur constitu d une fibre optique gaine poreuse qui lorsqu il a absorb une quantit de polluants correspondant la dur e de vie de la cartouche filtrante d clenche un signal Dans une seconde phase de ce
206. une forme pr moul e d un mat riau barri re contenant de la mousse de polyur thane dans un caisson de contre plaqu recouvert d un mat riau amor tissant Le caisson qui re oit la pi ce barber est plac sur un support articul De cette fa on le travailleur peut orienter la pi ce selon ses besoins et il n a plus la manipuler Il est possible de fabriquer le tout dans l entreprise m me de sorte que la solution peut tre implant e un co t tr s acceptable m me dans les PME Marc Thomas et Fr d ric Laville cole de technologie sup rieure 1996 1997 Montant 26 760 Identification et tude de produits favori sant la r duction de l exposition aux vibra tions mains bras chez les op rateurs d outils portatifs vibrants 95 216 Plusieurs outils portatifs antivibratiles ainsi que des gants poignets et poign es antivibra tiles sont apparus depuis quelques ann es sur le march Ces produits sont g n ralement peu connus et leur efficacit n est pas claire ment tablie La pr sente tude vise les iden tifier au moyen d une tude de la documenta tion et d une enqu te aupr s d entreprises et de centres de recherche Une valuation som maire de leur efficacit sera faite sur la base des informations alors recueillies donnant lieu l laboration d un r pertoire des produits antivibratiles Un simulateur de vibrations mains bras sera m
207. ur le diagnostic des l sions musculosquelettiques attribuables au travail r p titif LATR le syndrome du canal i ditions MultiMondes et IRSST PATRY L ROSSIGNOL M COSTA M J et BAILLARGEON M Guide pour le diagnostic des l sions musculosquelettiques attribuables au travail r p titif LATR la t nosynovite de De Quervain ditions MultiMondes et IRSST Qu bec 26 p 1997 RICHARD J G Identification des outils requis pour accro tre l efficacit des strat gies de pr vention des l sions attribuables au travail r p titif dans les abattoirs et usines de trans ormation du secteur avicole S rie tudes et recherches Rapport R 158 80 p Guide tech nique RG 158 15 p IRSST Montr al 1997 ROSSIGNOL M et PATRY L Document de support aux guides pour le diagnostic des l sions attribuables au travail r p titif Jurispru dence Cadre de la pratique clinique au Qu bec Bilan des connaissances scientifiques S rie tudes et recherches Rapport R 155 169 p R sum RR 155 31 p IRSST Montr al 1997 ROY M FORTIER L ROBERT A M et GIROUX D Choix d abrasifs acceptabilit des substituts de la silice et adoption de mesures pr ventives lors du sablage au jet S rie tudes et recherches Rapport R 149 40 p Rapport RAI 149 Outils de collecte de donn es Rapport RA2 149 Unit s mobiles de sablage au jet Rapport RA3 149 R no vation g n rale
208. urs de risque associ s aux probl mes de sant et de s curit du travail afin de mieux orienter les actions pr ventives Dans cette perspective le Comit paritaire de pr vention du secteur for t a demand lIRSST de pro c der pendant un an la collecte et l analyse des informations relatives des v nements survenus entre juin 1997 et mai 1998 afin d enrichir substantiellement les donn es sur les l sions professionnelles dans ce secteur La collecte de renseignements se fera au moyen de deux questionnaires administr s par t l phone le premier aupr s des travailleurs acci dent s portant sur la description des circons ances de l accident et le second aupr s de leurs employeurs portant notamment sur l or anisation de la pr vention dans l entreprise L analyse de ces donn es permettra de pro duire des portraits descriptifs et des sc narios d accidents pour les sous secteurs de labat age et de la sylviculture en accordant une attention particuli re l association possible entre les accidents et certaines variables orga nisationnelles tels le mode d organisation de la production et le mode d organisation de la s curit Fran ois H bert Esther Cloutier Micheline L vy Mich le Gervais et Paul Massicotte IRSST Organisation du travail 1997 1998 Montant 19 307 Les accidents de travail dans l industrie fores ti re Phase 2 D veloppement et valida ion de deux out
209. valuation clinique exp rimen tale de la validit d instruments utilis s pour le diagnostic de lombalgies spinoscopies dynamo m trie triaxiale B 200 et thermographie en regard de lexamen clinique 52 annual meeting Canadian Life Insurance Medical Offi cers Association CLIMOA Montr al Qu bec mai 1997 LECLAIRE R valuation clinique exp rimen tale de la validit d instruments utilis s pour le diagnostic de lombalgies spinoscopies dynamo m trie triaxiale B 200 et thermographie en regard de l examen clinique Congr s de M decine orthop dique Paris France juin 1997 LESAGE J et OSTIGUY C Les isocyanates une th matique en pleine volution Colloque des m decins Montr al octobre 1997 LESAGE J et OSTIGUY C Performance and application of the double filter sampling method for isocyanates International Stan dardisation Organisation ISO Technical Com mittee TC 146 Workshop on isocyanates Maui Hawaii septembre 1997 LESAGE J et OSTIGUY C Thoughts on vali dation sampling and analytical protocols for isocyanate evaluation International Stan dardisation Organisation I O Technical Committee TC 146 Workshop on iso cyanates Maui Hawaii septembre 1997 IRSST Rapport annuel 59 LESAGE J OSTIGUY C REN L GAUDETTE F NGUYEN P et TRA H V New analytical method for the determination of PPT levels o isocyanates in the work
210. ventives qui s appliquent l exposition aux contaminants sont elles valables lorsque les heures de travail se prolongent au del de ce qui est consid r comme un horaire conventionnel c est dire huit heures par jour cinq jours par semaine Mes coll gues et moi avons trouv tr s stimulant de r pondre la demande du comit paritaire Le travail d envergure qui en est r sult nous a amen s r viser de fa on syst matique chacune des don n es d coulant de la m thode d ajuste ment existante Nous sommes confiants C est la question que s est pos e le comit paritaire charg de la r vision de l Annexe du R glement sur la qualit du milieu de travail Pour y r pondre l IRSST a form que les r sultats obtenus de m me que les suggestions faites quant aux conditions d application des valeurs ajus 9 e e e 5 5 p 3 un groupe d experts en toxicologie qui ont t es permettront une meilleure pr vention des maladies professionnelles D Jules Brodeur professeur m rite D partement de m decine du travail et hygi ne du milieu de l Universit de Montr al sugg r une m thode d ajustement des valeurs d exposition admissibles pour chacune des 668 substances cit es dans le R glement Plut t qu un facteur uniforme de correction ils ont d fini une approche globale inspir e de celle de Occupational Safety and Health Administration OSHA qu ils ont appliqu e chaq
211. x fum es de moteurs diesels en milieu minier Certains produits de combustion de ces moteurs sont reconnus comme toxiques ou canc rig nes Les chercheurs ont produit en collaboration avec des fournisseurs commer ciaux lAssociation sectorielle paritaire e l IRSST un r pertoire des techniques et des technologies disponibles pour le contr le des missions de ces moteurs Ce r pertoire per metttra aux ing nieurs responsables de l a rage de la qualit de l air du milieu et de l en tretien des v hicules miniers de choisir les m thodes de contr le les mieux adapt es leur situation en fonction du type de v hi cules de la puissance du moteur et du genre de travail effectu Il servira en outre sensibi liser l utilisateur la toxicit des produits de 32 IRSST Rapport annuel combustion du diesel et aux divers moyens d en r duire les concentrations Michel Grenier Mahe Gangal et Stephen Hardcastle Don Dainty CANMET Canadian Institute of Mining and Metallurgy 1996 1997 Montant 29 375 Conception d une table ventil e pour le cap tage des missions de styr ne dans un ate lier de plastique renforc 96 020 Les proc d s de moulage et de laminage utilis s dans la fabrication de plusieurs objets et pi ces en plastique renforc produisent d importantes manations de styr ne Les dosages effectu s en laboratoire par l I
212. yse associations sectorielles paritaires ASP Parce qu elles _ mo o sont bien enracin es dans les diff rents secteurs d activi des besoins jusqu l application des r sultats t s qu elles desservent qu elles connaissent les pr occupa tions tant des employeurs que des travailleurs et qu elles se sont dot es de moyens d action adapt s leurs milieux respectifs ces associations sont bien plac es pour exploi ter les r sultats des recherches en sant et en s curit ont eu en 1997 un impact positif sur la diffusion et l exploitation des r sultats de recherche C est d autant plus vrai qu elles sont souvent l origine de ces recherches et qu elles ont particip leur d roule ment En 1997 la collaboration avec les ASP a t tr s produc tive Dans de nombreux cas celles ci se sont appropri les r sultats de recherche pour les int grer leurs propres strat gies de formation et d information et leurs interven tions en entreprises Les exemples en ce sens ne manquent pas L ASP Affaires municipales APSAM qui avait exprim l Institut le besoin d un guide sur l installation s curitaire d quipement informatique dans les autos patrouilles a particip activement l laboration de ce guide dont elle a par la suite assur la distribution l ensemble des policiers Dans le cas de la recherche sur le compostage des d chets domestiques dont les r sultats ont t

Rapport annuel IRSST 1997 couv

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