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CHAPITRE 10 INSTRUMENTS DE COLLECTE

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1. Vendredi 24 02 95 10h30 11h00 14h00 12h30 12h30 13h30 13h30 16h00 16h15 17h00 08h00 10h30 10h30 13h00 Samedi 25 02 95 Discussions en groupe R vision des instructions sur le remplissage du questionnaire Lundi 08h30 12h00 27 02 95 Revision sur la prise des mesures anthropom triques Pause Exercices sur la prise des mesures anthropom triques 12h00 14h00 14h00 16h00 L enqu te pilote men e dans le cadre de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 visait les objectifs sp cifiques suivants tester le questionnaire c est dire sa otre son maniement la formulation et la succession des questions tester le manuel de l enqu teur plus exactement la clart des concepts y d finis la clart des instructions relatives au remplissage du questionnaire en g n ral et de certaines variables en particulier exemple la d termination de l ge l identification des personnes cibles pour chaque module 141 tester la compr hension par les enqu teurs des instructions recues quant la mani re d entrer en contact avec le m nage enqu ter la maniere de poser des questions et de transcrire les r ponses l habilet trouver des solutions judicieuses face certains probl mes ou cas sp cifiques tester la maitrise par les enqu teurs de la prise des mesures anthropom triques valuer l attitude
2. 888 Eau dans la parcelle 999 NSP LATRINES 108 Quel type de latrines utilisez vous habituellement 1 Latrines reli es aux gouts publics 4 Latrines avec fosse couverte 2 Latrines avec fosse sceptique 5 Latrines fosse non couverte 3 Latrines avec eau 9 Pas de latrines gt Passer Q110 109 Quelle distance s pare votre logement des latrines 1 Logement Parcelle 3 50 met plus 2 Moins de 50 m 9 NSP ASSAINISSEMENT DU MILIEU 110 Comment le m nage se d barasse t il des ordures m nag res 1 OUI Services publics I Rejet l air libre Incin ration Ly Cours d eau Enfouissement fu KAUNE oise IODATION DU SEL DE CUISINE 111 Degr d iodation du sel de cuisine 1 lod 2 Non iod 3 Pas de sel 4 Insuffisamment iod 9 Non test 112 Forme de sel 1 Granul 2 En poudre 3 En bloc 113 Fr quence d utilisation du sel 1 Tous les jours 2 De temps autre 3 Occasion des F tes R ceptions 114 Mode de conservation du sel dans le m nage 1 R cipient ferm 2 Dans un sac 3 En vrac l air libre 4 Autre MODULE II COMPOSITION DU MENAGE TOUS LES MEMBRES DU MENAGE 5 Personnes de Personnes de 15 ans et ans 12 ans et Noms et Postnoms Date de naissance Age en Etat matrimonial Niveau d instruction d ordre jjmm aa mois z 1 c libataire 00 sans instruction 5 99zjour inconnu zinc 2 en union 01 sait lire et crire 99 mois
3. 501 Avez vous une carte ou tout autre document de vaccination 1 OUl vu 2 OUl non vu J AEN A lat I 0 NON 9 NSP Si O OU 9 1 OUI O NON Ii II d Si 0 ou 9 Q504 503 Combien d injections avez vous recues Nombre d injections re ues 1 2 3 et 9 NSP Pe Si code z 2 ou 3 m re suivante Auriez vous recu le vaccin antit tanique en injection dans l paule un certain moment avant votre derni re grossesse ou lors de l avant derni re grossesse ou entre les grossesses 1 OUI 0 NON 9 NSP i Qc gt m re suivante Lors de la grossesse de votre dernier enfant aviez vous re u la vaccination en injection dans le muscle de l paule pour pr venir votre enfant du t tanos 9 NSP Combien d injections avez vous re ues Nombre d injections re ues 1 2 3 4 9 NSP Quand avez vous re u la derni re injection Date en mois et ann e oes od d LLL LT Nombre d ann es coul es depuis la derni re injection re ues R sultat Q 503 5 9 Inconnu 128 MODULE VI MALADIES DIARRHEIQUES Instructions Cette partie concerne les enfants de moins de 5 ans 0 59 mois vivant atuellement dans le m nage Chaque colonne est r serv e un enfant Inscrivez en haut de chaque colonne le num ro de l enfant tels que not dans
4. Allaitement maternel et Alimentation de substitution E Etat nutritionnel des enfants de moins de 5 ans Acc s la scolarisation et fr quentation scolaire au niveau primaire s Acc s l eau potable Acc s l assainissement Ainsi les indicateurs tels que la pr valence du t tanos n onatal les d c s dus la rougeole la pr valence de la poliomy lite la d ficience en vitamine A la pr valence de la dracunculose ou Ver de Guin e etc n ont pas t retenus dans l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 pour deux raisons Premi rement le Zaire n a pas de programme de lutte contre l avitaminose A Deuxi mement ces indicateurs ne peuvent tre obtenus par enqu te passage unique aupr s des m nages Par contre ils pourraient tre estim s sur base des enqu tes pid miologiques et hospitali res 10 1 2 Adaptation et am lioration du questionnaire standard Le Si ge de l UNICEF New York en collaboration avec l OMS le FNUAP le CDC et l UNSO a con u un questionnaire standard comme support des enqu tes MICS qui devaient tre men es dans les pays concern s Ce questionnaire a fait l objet d un examen minitieux en vue de l adapter au contexte za rois Le paragraphe ci dessous discute d abord des points essentiels du questionnaire standard puis pr sente le questionnaire utilis au Za re a Le questionnaire standar Le questionnaire standard est de type pr codifi avec des questions directes et
5. 703 Si OUI et si ge gt 1 mois Combien de temps s est coul entre la naissance de l enfant et son premier contact avec le sein 1 moins de 6H 2 2 6 12 H 3 12 24 H 4 Plus de 24H 9 NSP Si oui et si ge gt 1 mois 704 L Enfant continue t il d tre nourri au sein 1 OUI 0 NON 9z NSP 705 Depuis hier cette heure l enfant a t i pris quelques choses parmi celles cit es ci dessous 1 OUl O NON 9 NSP A Vitamine Eau Min rale M dicament A A _ A Aj Aj A d B Eau plate B B B B B B C Eau sucr e jus de fruits th infusion CL CJ Cl Ci C 61 D Solution de r hydratation orale D J D D D D D E Lait frais ou en poudre E E E 7 E E E F Tout autre liquide pr ciser F F F F J F _ G Nourriture solide ou s mi liquide G G G G G G H Seulement le lait maternel H 7 H __ H H H _ 706 Depuis hier cette heure a t on donn l enfant quelque chose boire avec un biberon 1 OUI 0 NON 9 NSP 129 Instructions module concerne tous les enfants g s de 12 23 mois vivant actuellement dans le m nage m me si leur mere est absente Incrivez le Np d ordre de l enfant tel que not dans le module Il QUESTIONS ET MODALITES NpEnf NpEnf NbEnt N
6. l ve 124 750 US et se r partit comme suit l UNICEF a fourni 99 750 US pour financer le co t de la logistique et une prime partielle de participation en faveur du personnel national ayant oeuvr l enqu te le PNUD a apport 15 000 US pour financer l impression du rapport POMS a fourni 10 000 US pour le traitement informatique 14 3 Gestion des fonds effectivement lib r s Les fonds effectivement lib r s soit 124 750 US ont t g r s conjointement par la partie zairoise et la partie UNICEF selon le principe de double signature Des documents de gestion d taill s ont t labor s et seront bient t reproduits pour servir d archives l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 De m me les pi ces justificatives ont t r guli rement d pos es aupr s de l UNICEF dans les limites de temps autoris es 14 4 Profil des d penses ffectu es Les d penses effectu es peuvent tre consid r es selon trois profils savoir es d penses selon la chronologie Jes d penses selon les principales rubriques les d penses selon les sites 14 4 1 Les d penses selon la chronologie L enqu te ENSEF ZAIRE 95 s est d roul e de janvier 1995 janvier 1996 soit une p riode de 12 mois Le Comit Technique a valu ces primes environ 200 000 US 161 a Pr sentation Le profil temporel des d penses permet de d gager cinq sous p riodes telles qu indiqu es dans le tableau T 14 01 ci
7. 12 MAXUIUVOIIAUZ 2203 0203 y eg EL op Ud np injoo Yotmum OU saps NNP 324E 00 81062 03 U2 2JUAD 3 22 sed np suodd2u snos sa sano wean an2 p KIA C661 u2 IEZ ne suru Sp s p vonenns E Rf aun onez uotieisdoos 0X r 2p jnmus21d s uo muru s rd np 5001231 1 sU 52 gt p 2uXue1So0 d np jpe3 7 sueq 21187 ne SOUL sop sjugjuo Sap uorenjis ej ans 9jonbuo oun 3111 1 Jooru TI Gbb le et tes IA mat pa 07 2 VIe 27e pU099S oarewud 020 2032607 PIMEN LJ 9p uon PAI9SUO 12 JU2UI2UUOTIAU emp nou3y pues 00 gu 00 105 0 2 12 110 85 UONINQUIUOS 1 3110dde rssne IUO SIOITEZ 2121 STOTU sure1120 21 nbu2 27120 2P Donesqe3I Suep sognb ndun 005200 12 Ov 4 SWO AANA SUN SUONEN p soou2dy sonne p snyd ug odepuos red 215 s mb 213nb u2 n mod memespides UO InUeq 9 120 P 120102559 juonjnsuoo 20 ALn g sureqn smoisss 19 SIFETA Sans 001 Ms so3euyur 00 p VOSTE 2019p 21129 3p 0200255700010008 e ome 5 203U IDE 21801 Jonn nonbseE oun p no ugs Un uomsmnu 2p unp srunu 30125 mb xme 1310028 2 uone ndod ej g moms 12 souuonmen 19 SOIT STAD s3juoing xme opugunop jo onb mod s10 52 pu21dtnoo 0 uone ndod ej 38 23 qu uou o3uvJj oun p 02 R anand snd xoe 3nE P Jueuodur 21eres un 19421 srn2jeA195Q
8. 2J777 43 IN D 1 juejuo ep uonenyis ej ep uonenjeAa p euiue1Do4d un p 32331 10 g 3ueuieoue 7 NEN plz or wo REN 1 05 7 3 q0u WIQUIOD UOISSRU 2020 2P 1uoussmtuoOcOe Y SAISIN sasmb31 SIDE sy Samos ANUS yne 12pi1022 p 32nbu2 2n25 red 2310122000 vonepndod e f 1nouns 12 soppusonipen onb 2400 SIAL TUE SALIOINE xne 2Hin sir np pros wauaddoimpp 12220 5 p SUONI SOP 2 sun E sojqesu dsrpur 2uuop 5234 SAMOI gt p INSU U2 330725 2dmb3 s2 a3 2nbuo 2522 oy q y 3depuos p 2422 183 SUX 20 sed 235111 POL fj vv np op 12 v soda gt m 001 ans Sted seu Jed t nouos sed 20 anb 559eanes saed s2 smdop amez ne me s3no no Ho S2fqey sonbusnes s3 nb HES 1 1S 000 mm uouueo xpm 2n2j 661 21002400 u sju3fqo 5 5 apune nod sourmeouje 22 S21 Jn5 meq 2p DULJU El 12 HORAN 066L 23quiados DE 12 67 2 suren sot Mod POO rusos ot red sunJop 9noofqo rne 2e r933033 uz AUD t vonoainid rj sup nb ISU UTE 12 HETO U00120001d ej SUP aez nt SHOE 1213010 5 310p np i3u5n0i 7320134 n212nbu2 34 8 52 51014 rpauxts aq smdop meua ai ns 1003 2q uoneindod ry red S9 trap 2132 ynau mod jomp nbrew et reuodd 2nonbsr am p no LUS L On p noe suna urez jon aed s39001122 5 0 2JTt930095 D EUR URI RSTI meu Op UODEAIISUOT
9. 9 NSP 130 MODULE IX ETAT NUTRITIONNEL Instruction ette partie concerne les enfants de moins de 5 ans vivant dans le m nage Chaque colonne est r serv e un enfant Inscrivez en haut de chaque colonne le Nb de chaque enfant tel que not dans le module Il QUESTIONS ET Nb Enf NpEnf NpEnf NpEnf Np Enf MODALITES 901 Poids de l enfant 111 id 111 1 111 Id 111 11 E Fd en kg 902 Taille de l Enfant 5 dS L4 d ld LIL 1 LN h d PEJE en cm 903 Position du mesurage 1 couch 2 debout 1 Ii I TARE 904 P rim tre brachial db d d J 111 11 IL IS lI hl J Idt en cm 905 Existence d oed mes 1 fa I 1 Id 1 OUI 0 NON MODULE X MORTALITE AUX JEUNES AGES 906 R sultat 1 mesur 3 refus 2 absent 9 autre Instructions Ce module concerne les femmes de 15 ans et plus vivant actuellement d m nage R servez une ligne chaque femme Inscrivez le Np d ordre et le nom de la femme tels que not s dans le module ll Nb Nom de la femme Age de la ENFANTS NES VIVANTS Femme femme en ann es Vivant dansle Vivantailleurs D c d s Nombre total m nage d enfants Maso F m 121 10 1 3 Sp cificit s du questionnaire d enqu te Bien qu ayant ses racines dans le questionnaire standard le questionnaire de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 comporte cependant certaines sp cificit s qui lui sont propres Concernant l habita
10. comporte 9 modules principaux et 3 modules optionnels Les modules principaux sont 1p Module m nage comprenant l identification du m nage les caract ristiques du logement et la composition femmes et enfants de moins de 15 ans du m nage 2b Module eau et assainissement 3p Module iodation du sel 4b Module education 5b Module pr vention du t tanos n onatal 6b Module diarrh e 7p Module vitamine A 8p Module immunisation des enfants 9b Module anthropom trie Les modules optionnels sont 1 Module infections respiratoires aigu s 2 Module allaitement 3b Module mortalit avec 2 options enfants n s vivants et enfants d c d s survie des 3 derni res naissances Le questionnaire standard pr voyait que d une part seuls les enfants de moins de 15 ans les m res et nourrices devaient tre enregistr s et que d autre part une page enti re devait tre r serv e chaque enfant pour les modules Diarrh e Vitamine A Immunisation et Allaitement b e stionnaire de F Le questionnaire de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 est une adaptation et une am lioration du questionnaire standard d crit ci dessus Cette adaptation faite par les membres du Comit Technique l occasion de nombreuses s ances de travail a consist en la traduction en francais du questionnaire standard en la prise de d cisions face aux diff rentes options au travail en groupe et en la mise en commun Ainsi apr s la traduction
11. la colonne des ges indique directement l ge en mois r volus au cas o l enqu te se d roulait au mois de mars 1995 Dans ce cas l enqu teur n a qu lire l ge en mois r volus au regard de la date de naissance qui tait libell e en mois et ann e dans la premi re colonne Par contre au cas o l enqu te se d roulait au mois d avril l enqu teur devait ajouter au chiffre lu le nombre 1 pour obtenir l ge en mois r volus Voici ci dessous les tableaux de conversion des ges utilis s au cours de l enqu te 136 TABLEAU DE CONVERSION DES AGES EN ANNEES TOUS LES MEMBRES DU MENAGE Naissance ann es N 1922 1 1921 A wW Cc _ o e C N 1920 1919 eo io wO Cc A o e Es A D Cc N fs jaja o 9 RE co a N EE eo N E o a 1918 1917 1916 ER O co eo ER a h Le A 73 amp N 1915 1914 1913 1912 e N co Q 1911 C 1910 co 1909 1908 a fu a O O e E Ke e e o N jo jN e 92 a A a ie 94 95 Qe 137 TABLEAU DE CONVERSION DES AGES EN MOIS ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS MOIS DE L ENQUETE Mars 1995 um NM naissance mois naissance Pu Mas 9
12. s des enqu teurs sur le terrain Les activit s suivantes taient d volues aux enqu teurs sur le terrain le recrutement d un guide assistant le relev parcellaire et le tirage de l chantillon final les interviews aupr s des m nages la prise des mesures anthropom triques et la r daction du rapport de terrain D une facon globale tous les enqu teurs ont r alis les t ches qui leur avaient t assign es La lecture critique de quarante rapports de terrain r dig s par les enqu teurs r sume le d roulement de leurs activit s sur le terrain 12 2 1 Acc ite rise de contact L acc s au premier site ainsi que le d placement entre les diff rents sites taient relativement faciles en milieu urbain Par contre ils taient souvent tr s difficiles en milieu rural en raison essentiellement de l tat d fectueux des routes et de la raret des moyens de transport Certains enqu teurs ont b n fici du concours des Sous Bureaux de l UNICEF d autres celui des Missionnaires et d autres encore des priv es Il faut indiquer ici qu en raison des difficult s prouv es les enqu teurs ont consacr une bonne partie du temps pass sur le terrain aux d placements d un site un autre D s l acc s au site des contacts avec les autorit s locales taient entrepris PUN r ticences ont t signal es notamment dans les sites o la sensibilisation pr alable n avait pa t faite 12 2 2 Recrutement du
13. Zair Nord et du Kivu Effectu e essentiellement Kisangani Goma et Bukavu la supervision a permis de cern certaines questions li es notamment aux itin raires emprunt s par les enqu teurs Les nombrei contacts pris avec les autorit s locales ont permis de r soudre ces probl mes et d assurer le bx d roulement des op rations d R gion haba La sensibilisation tait tr s bien assur e dans cette partie du pays o il existe un sou bureau UNICEF La supervision quant elle s est limit e deux sites urbains Aucun probl n particulier n a t signal en dehors de quelques cas de rupture de stock de relev s parcellair heureusement r solus par le sous bureau UNICEF d R gion de l Equateur Le superviseur qui s est norm ment d plac a m me connu un accident de circulatie entre deux sites Heureusement il s en est sorti seulement avec un traumatisme l paule Il pu rencontrer trois enqu teurs avec qui de nombreux probl mes pratiques ont t r solus C e le cas d un enqu teur qui devait faire plus de 40 kilom tres pied travers la grande for quatoriale Le contact rendu possible gr ce la phonie des missionnaires a pu rassurer superviseur qu il a atteint son site Dans un autre site l enqu teur tait but un cas social nombreux d c s taient enregistr s la suite d une pid mie de rougeole et de diarrh e roug a fallu attendre et repasser plus tard dans les unit s d habit
14. apr s T 14 01 D penses de l enqu te selon la chronologie Janvier F vrier 95 Mars 95 D penses totales en US 11 901 42 67 411 30 Avril Mai 95 14 128 76 Juin Septembre 95 16 308 42 Octobre 95 Janvier 96 15 000 00 Tol 124750 100 b 96 par rapport au co t total Le mois de mars 1995 a connu le plus de d penses du fait qu il a concem la phase la plus d licate et la plus on reuse savoir celle de la collecte des donn es sur le terrain 14 4 2 Les principales rubriques sont telles qu elles apparaissent dans le tableau T 14 02 ci apr s T 14 02 D penses selon les principales rubriques Rubriques D penses par rapport aux en US d penses totales Transport 36 300 00 Primes du personnel 30 150 00 Frais de mission 23 140 00 Equipement 7 700 00 Fonctionnement et formation 9 190 40 Reprographie et divers 3 269 60 3 0 mw Non prise en compte la d pense de l impression du rapport 8 4 La d pense de transport d montre par sa hauteur les difficult s d accessibilit des sites 162 14 4 3 D penses logistiques moyennes des sites par sous r gion Le graphique G 14 1 ci dessous illustre la r partition des d penses par sous r gion en ce qui conceme la logistique Il apparait des disparit s tr s importantes entre les sous r gions Les d penses moyennes en logistique par si
15. d ordre aux r sidents du m nage l estimation des ges des personnes la prise en compte des individus ligibles dans les divers modules Ce contr le permettait au comit technique de se faire rapidemment une id e de la qualit de la collecte prendre contact avec certains enqu teurs pour clarifier certains items compl ter les l ments d identification r gion sous r gion zone etc que certains enqu teurs ont omis Les questionnaires ont finalement fait l objet d une num rotation continue allant de 1 4608 Le num ro du questionnaire correspond au num ro du m nage 13 2 Rassemblement du mat riel informatique L exploitation informatique des donn es de l ENSEF ZAIRE 1995 a eu lieu dans les locaux de l UNICEF o une salle a t am nag e cet effet L quipement informatique rassembl pour ce travail tait constitu de 2 micro ordinateurs AST 486 12MB de RAM 540 MB de disque dur 1 micro ordinateur AST 386 8MB de RAM 250 MB de disque dur 3 micro ordinateurs Toshiba 386 4MB de RAM 210 MB de disque dur 157 2 imprimantes EPSON LQ1170 avec 10 rubans 1 imprimante couleur HP Deskjet 1200C 50 disquettes 31 2 DD et 50 disquettes HD En ce qui concerne les logiciels utilis s EPI INFO version 6 02 pour la saisie et la tabulation EPI MAP pour les illustrations cartographiques des rapports Time Line pour le suivi de l avancement du projet WordPerfect Qua
16. de la population face cette enqu te exp rimenter la pratique du relev parcellaire et du tirage de l chantillon au second degr par les enqu teurs eux m mes Globalement l enqu te pilote devait donner aux diff rents intervenants une excellente occasion de se familiariser avec les conditions de terrain je sde des Afin que les enqu teurs soient confront s diff rentes situations l enqu te pilote s est d roul e sur deux sites l un rural et l autre urbain Le premier site regroupait 10 Villages de la zone de Kasangulu dans la r gion du Bas Za re tandis que le second tait form de 27 rues de la zone de Ngaba dans la ville de Kinshasa Le choix des sites pilotes a t dict par deux raisons D abord compte tenu du temps et des moyens disponibles le site rural devait tre proche de la ville et accessible par v hicule Ensuite les sites pilotes ne devaient pas faire partie de l chantillon retenu pour l enqu te proprement dite Avant de se fixer sur les sites pilotes une mission exploratoire a t effectu e par deux membres du Comit Technique c D roulement de l enqu te pilote L enqu te pilote s est d roul e en deux jours Tous les enqu teurs ont travaill le premier jour en milieu rural et le deuxieme jour en milieu urbain Vingt sept quipes de 2 enqu teurs ont t constitu es et chaque groupe de 5 quipes tait encadr par un Superviseur membre du Comit Technique Le travail pr
17. des promoteurs et des collabor teurs impliqu s dans la r alisation de cette enqu te les minist res du Plan et Reconduction nationale de la Sant de l Agncutture de l Environnement et Conservation de la Nature 5 Primaire et Secondairs de Agences des Nations Unies l Unicet le Pnud r Oms la Fao lUnesco E WOSOXN AYBI ANN ELSEN n0 anuos od cc 12 rj anuos 3d 67 DLO 91 2nvo0 67 8 tl 90000 9u132 TVOS SHI XTEDA POU 2p uns od p inu panofny 21301d sowon p MJ sed v u suroot4 sop vonesie3 na V AFI NO PPO ESSI IP pma un juo p 5d S10 30112 202 6 2 0 220 5 SUN ju21U253Jd SPU yneoAnou op od 1 vonunnu op 2urruiop sued SAR anou surp snapu SP MA vj uspes md seu SaF 2 Sed 2 U 2 SEW SUE 6 9p SHOU 2p siut jus sop PHJEUOUU 2p ne ruenb 22125p 25 su3od jou UN 39301 just 152 S SIUEJUI Sp uon EMIS e onb onbipur opssed 3 SWW tnb 22 U3 xane 20 sonbuead suonajos sop sodojd sed n u onjequ2do t NUD penos 1u2uddo 24 p 2 ans RIpUOW j2unsOS 2nb 2121321 UO Jenos podde susp fUv ju2 p suo inu SDP 3 ju sed 1U2501704tj 2U 525n31quou snyd uag sajpurj s p nbtujo0029 10 3 r 353 Sajd 2135Jys Siuejuap suor uu SUNE 6 12 Sot SsuOij iur GC 75217203 s suep SN SIUR jua p SU 7 PWOLPP e 33010 HULP 2191032 e songoje
18. inconnu 3 d suni 1x Primaire classe 98 n avant 1900 2x Secondaire 99 ann e inconnue 3x Sup rieur classe 99 Ind termin se p ps Zo jn pee Im pese prr pum En Pop re e ug Deu BE ESSE E TT FEED UT METRI ETE ON RAF Pc Ve NT RM E S ND Tg eo TED ou E E nm EEE ZE bou lo pese peer pur mic i A peer poer er en CR PC A EE TS ITI DESEE jou ton ER ns D de EN EG X DS E DER 433 m 83 NE ll re ri 126 MODULE lil FREQUENTATION SCOLAIRE Instructions Ce modul cern les enfants de 6 14 volus vivant actuellement dans le m nage R servez une colonne pour chaque enfant Inscrivez en haut de chaque colonne le Nb d ordre de l enfant tel que not dans le module QUESTIONS ET MODALITES 301 L enfant a t il jamais fr quent l cole 12OUI 0 NON 9 NSP Si 0 ou 8 enfant suivant 302 Age d entr e l cole primaire 06 10 11 etc 303 L enfant fr quente t il pr sentement l cole ann e 94 95 1 OUI 0 NON 9 NSP Si O ou 9 304 A quel niveau et en quelle ann e d tude est il Niveau 1 Primaire 2 Secondaire Ann e 1 2 3 4 5 6 305 L enfant fr quentait il l cole l ann e coul e ann e 93 94 1 OUI O
19. le module Il QUESTIONS ET MODALITES NpEnf Np Enf Np Enf Nb Enf Nb Enf Np Enf Bd Enf rm MET O1 L enfant a t il fait la diarrh e au cours de ces 15 derniers jours 1 O0UI O NON 9 NSP Si 0 ou 9 enfant suivant 602 Quels liquides a t il pris pendant la diarrh e 1 OUI O NON 9 2 A Lait maternel AJ A f A LJ Ajay A A _ A 1 4 B Liquide base de c r ales soupe B B B _ B B _ B B C SSS Yahourt 0 C Cl C 4d Qu o C D SRO D D DJ D D D D E Autres laits ou solutions E E EZ E 4 E _ E E F Eau avec nourriture F FZ F E 4 FJ F F G Eau seule G G Gl J G _ G _ G G H Rien du tout H H f H H H H H 603 Durant sa diarrh e l enfant a t il bu 1 Beaucoup moins ou rien 2 Presque la m me chose 3 Plus que d habitude 9 NSP 604 Durant sa diarrh e l enfant a t il mang 1 Rien du tout 2 Beaucoup moins 3 Un petit rien 4 Presque la m me chose 5 Plus que d habitude 9 NSP MODULE VII ALLAITEMENT MATERNEL Pour Enfants DE 0 24 mois QUESTIONS ET MODALITES Np Enf Np Enf sn NpEnf NbEnf NbEnf EH ld ol a d kd Em d Nes 701 Age actuel de l enfant 701 Age actuel de l enfant en mois 00 24 mois mois 00 24 mois 702 L Enfant a t il jamais t nourri au sein 12 OUI 0 NON 9 NSP Si 0 ou 9 Q705
20. liquides trop pr coce chez les enfants de moins de 4 mois et trop tardive chez les enfants de plus de 6 mois la consommation du sel iod reste limit dans les m nages zairois Ces r sultats montrent que la situation des enfants et des femmes au Zaire est peu brillante et accuse une tendance la d t rioration Des disparit s souvent importantes sont observ es entre milieu urbain et milieu rural et indiquent une situation plus pr occupante en milieu rural 15 2 2 Hecommandations de Vules r sultats de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 le Comit Technique recommande D finir une strat gie visant d abord arr ter la d gradation de la situation avant de chercher l am liorer Mettre en place une politique d habitat qui assure un grand nombre de m nages des conditions de logement acceptables aussi bien en ville qu en campagne Consacrer plus d efforts au probl me de fourniture en eau potable sur le plan tant de la qualit que de la quantit ainsi que sur les conditions d y acc der avec une attention particuli re l endroit du milieu rural Encourager la vulgarisation des latrines VIP ventilated improved pitt ou latrines fosse ventill e vu son accessibilit conomique et de renforcer institutionnellement les zones de sant surtout rurales pour l introduction et la vulgarisation des pratiques l mentaires en mali re d assainissement Adopter et mettre en oeuvre la Politique de Population d finie par le
21. ou les Autorit s locales qui avaient t pr alablement inform s de l arriv e des enqu teurs 12 1 2 D ploiement des enqu teurs et couverture des sites Les enqu teurs qui sont arriv s directement leur premier site se sont mis au travail d s leur arriv e Ceux qui devaient poursuivre le voyage ont emprunt qui un petit porteur qui un camion qui une moto qui un v lo qui une pirogue pour atteindre le site de travail Certains ont d marcher pied pour atteindre leur premier site Les enqu teurs qui apr s avoir termin leur premier site devaient se rendre au deuxi me ou au troisi me site ont proc d de la m me mani re Sur les cent sites chantillonn s 98 ont t effectivement atteints L un des deux sites non couverts est situ dans la Sous R gion du Sankuru R gion du Kasai Oriental Au moment de l enqu te ce site tait inaccessible pont cass Il a d avec l accord du Superviseur tre remplac par un autre de la m me collectivit Le second site non atteint est situ dans la r gion du Shaba Sous R gion de Lualaba Ce site n a pas t remplac parce que l enqu teur avait puis ses frais de d placement apr s avoir couvert les deux premiers sites Le message phonique envoy la coordination de l enqu te pour l informer de la situation et obtenir les instructions cons quentes n est jamais parvenu destination Ainsi apr s une longue attente st rile l enqu teur s est d c
22. qu on est rest sans nouvelles de 5 enqu teurs durant toute la dur e des op rations de terrain s agit essentiellement des enqu teurs partis dans des endroits o il n y avait ni phonie ni un quelconque autre moyen de t l communication 12 3 2 Les missions de supervision La supervision des enqu teurs sur terrain a t assur e par 6 membres du Comit Technique La descente sur terrain de ceux ci avait pour objectif de s assurer de l appui logistique des sous bureaux UNICEF l o ils existent de s assurer de l application sur terrain des instructions donn es aux enqu teurs pendant la formation et relatives au recensement de l habitat au tirage de l chantillon la prise des mesures anthropom triques et au remplissage des questionnaires A cause des contraintes budg taires et la quasi impossibilit de suivre tous les enqu teurs sur le terrain cause de leur forte dispersion g ographique la dur e de supervision a t fix e 10 jours et seuls devaient tre supervis s les enqu teurs qui se sont rendus dans les sites urbains ou dans les sites proches des villes Les paragraphes qui suivent r sument par r gion les rapports r dig s par les superviseurs l issue de leurs missions sur le terrain a R gion du Bas Za re C est l une des r gions o la sensibilisation a t assur e de facon satisfaisante Comme l a d montr la supervision aucune r serve n a t oppos e au travail des enqu
23. structure de l enqu te elle m me et la sensibilisation par les m dias a 1 2 m m Les actions suivantes ont permis de r aliser cette sensibilisation les rencontres techniques au Minist re du Plan pour expliciter l Autorit policico administrative l opportunit de l enqu te la r union du 29 d cembre 1994 au cours de laquelle les Minist res impliqu s et certaines agences de l ONU ont t inform s de l organisation de l enqu te et invit s y contribuer d une facon ou d une autre i les messages d information essentiellement par phonies envoy s aux Gouverneurs des R gions pour les informer de l organisation de l enqu te 144 les mission des responsables des sous bureaux de l UNICEF dont le but tait d expliciter et de pr ciser aupr s des Gouverneurs des R gions l opportunit et les termes de l enqu te les missions de sensibilisation similaires celles des responsables des sous bureaux UNICEF organis es partir de Kinshasa dans les r gions non couvertes par ceux ci b La sensibilisation par les medias La sensibilisation par les medias a t coordonn e par la Section Mobilisation Sociale de l UNICEF sur base d un communiqu de Presse sign par le Vice Ministre du Plan Ce communiqu a t r guli rement diffus la radio et la t l vision zairoises pendant deux semaines avant le d ploiement des enqu teurs sur terrain Le m me communiqu a t amplifi avec diff
24. teurs L appui logistique apport par le personnel du sous bureau UNICEF tant au superviseur qu aux enqu teurs tait tr s appr ciable Trois enqu teurs 5 sites sur quatre ont t rencontr s durant la mission au cours de laquelle aucun probl me majeur n a t soulev Un certain nombre de questionnaires ont t examin s des corrections ont t apport es le cas ch ant et des recommandations ont t faites aux enqu teurs pour am liorer leur travail Ainsi par exemple le cas de cet enqu teur de Matadi qui ayant tir 35 unit s d habitation a arr t l interview la 22 me unit estimant qu il avait atteint le nombre de m nages pr vus Il lui a t demand de poursuivre les interviews jusqu couvrir les 35 unit s d habitation tir es b R gion de Bandundu Dans cette r gion le superviseur a voyag en m me temps que les enqu teurs sous sa supervision Il devait couvrir 5 sites dont trois en milieu urbain et deux en milieu rural Le voyage s est effectu par route dont l tat de d gradation prononc e a syst matiquement frein la progression vers les sites L installation des deux enqu teurs n a pas pos de probl me particulier et le travail s est d roul normalement Toutefois on a not que dans cette partie du pays la sensibilisation n avait pas du tout t assur e d o certaines r ticences constat es lors des contacts avec les populations enqu ter 155 C R aions du Haut
25. 0 smorsnid op maA xne oj nbuo 2112 i 2 1 9p sor ew 20 sue bup op smow op sine U2 3 ZAP renom e SION Un p 39 uonuinureur 2n1ou 9p 11npgJ sone 21102 usuddopoAsp uo 00 SUPP sjyuejus p suodpur ap uoneonpg V TONNIE eq PUES vj IONE p DNOS SUEP 000Z uz DIP SPRON S2UIP1122 351003310 20112 72 270 WIPUOU Janos v 0 22100 2 mod soumouge sord9jens S21 Ins 2661 91quo oN xexeq 9p 2002137700 9 op 1 0661 1qu jd s o2ubjuo op Terpuour joues np smoolqo Sop 214n20 02 25M od deired 2117 97 red 8 S21801d 2 12gU34 op sour s SION 2p 3unp oun p NND u gt 2120 mod enfe s n 2100 e yuou 2r87 eur 0 00 020 8220005 e op 9 SUP op 2112 1omis ane 5 ed np 1943P 9p 19 2ouvisisse p suon 2e s p uonegogrue d 0 un g so qesuodsiput sou DOp 9 IPINI op sodmbg 521113137710 xn sinojom 01d 52 211010 u2 g Heaen 20 311 2 12211 snbrununno un onbip m SHOR s p sano 1242 661 2 2187 ne soumj sap 1 510 02 spp gj ans peuonen 2 0000 25721077000 SFE 91 20 RA 8 8 194e dod 1nod enjeao zasun 5661 La 891P7 n SIWW J Sap 9 SULJU Sep uonemis Jha nou Wp DE SU redo sp 24 al Va 146 par bateau Certains enqu teurs ont d prendre un petit porteur ou combiner plusieurs de ces moyens pour passer d un endroit un autre Dans les r gions o se trou
26. 5 o julet 93 20 Novembre 91 ue i pe m nem FCU LT ES HINC TONER OS iunc E eee 2873 Juillet 94 8 Novembre 92 28 Mars 91 48 ET ree Mai 94 10 Septembre 92 30 yanvier o1 so Avi ce n emm D RAE IN ELO TET F vrier 94 13 Jun 92 33 Octbe 90 53 a ele dur es 138 CHAPITRE 11 PREPARATION DE LA COLLECTE Introduction Les activit s li es la phase pr paratoire de la collecte des donn es peuvent tre regroup es en deux cat gories selon leur aspect technique ou logistique La premi re cat gorie concerne la pr paration technique de l enqu te La seconde cat gorie concerne la pr paration mat rielle et logistique 11 1 Pr paration technique La pr paration technique de l enqu te a consist au recrutement et la formation des enqu teurs la r alisation d une enqu te pilote l affinement des outils de collecte et la s lection finale des enqu teurs 11 1 1 Recrutement et Formation des Enqu teurs a Recr n enqu teurs Le recrutement de tous les enqu teurs devant oeuvrer travers le territoire national a t r alis Kinshasa la capitale du pays en d but f vrier 1995 Pour ce faire un appel d offre de service avait t lanc aupr s des Minist res et Institutions Publiques engag s dans la r alisation de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 et ce afin de ne retenir com
27. 95 II s articule autour de deux points Le premier traite des caract ristiques organisationnelles et m thodologiques de l enqu te tandis que le deuxi me concerne les r sultats de l analyse 15 1 Caract ristiques organisationnelles et m thodologiques 15 1 1 Synth se L enqu te ENSEF ZAIRE 1995 a t une op ration d envergure nationale qui s est d roul e de janvier 1995 janvier 1996 Elle a port sur 100 sites et touch 4 608 m nages r partis dans les 41 sous r gions urbaines et rurales du pays en raison de 2 ou 3 sites par sous r gion Men e dans le cadre du Programme Gouvernement Unicef cette enqu te avait pour but d valuer mi parcours les objectifs du Plan National d Action labor en 1992 par le Zaire en rapport avec la D cennie du couple M re Enfant proclam e par l ONU pour la p riode allant de 1990 l An 2000 L ENSEF ZAIRE 1995 a connu la participation d une quipe technique pluridisciplinaire et multiinstitutionnelle et a b n fici de l appui technique et financier de l UNICEF du PNUD et de l OMS En d pit des difficult s d ordre logistique et financier les diff rentes tapes de l enqu te ont t franchies jusqu la r daction du rapport final La Bhase de collecte des donn es sur le terrain et celle de leur traitement informatique se sont r v l es les plus d licates 15 1 2 Recommandations Consid rant les conditions mat rielles financi res et organisationnelles dans l
28. CHAPITRE 10 INSTRUMENTS DE COLLECTE Introduction Le pr sent chapitre traite des instruments utillis s sur le terrain pour la collecte de l information n cessaire pour le calcul des indicateurs recherch s Ces instruments sont le questionnaire la fiche de relev parcellaire les manuels d instructions et les tables de conversion des ges 10 1 Questionnaire Le questionnaire d enqu te qui constitue le principal support de l information collecter a t labor avec le plus grand soin Les principales tapes suivantes ont t suivies d finition des priorit s adaptation et am lioration du questionnaire 10 1 1 D finition des priorit s Les priorit s en mati re des donn es collecter sur le terrain ont t d finies sur base des indicateurs fournir pour le suivi des progr s eu gard aux objectifs de l International Conference on Assistance to African Children ICAAC vis s pour la mi d cennie L examen de ces objectifs et des indicateurs y aff rents a permis de d gager les th mes prioritaires inclure dans le questionnaire de l enqu te ENSEF pour le Zaire actuel Ces th mes sont gt Couverture vaccinale pour les 6 antig nes suivants dipht rie rougeole poliomy lite tuberculose et t tanos n onatal immunisation des femmes enceintes et protection des enfants lodation du sel de m nage Pr valence et mode de traitement des maladies diarrh iques
29. Comit National de Population CONAPO pour une meilleure r partition de la population travers le territoire national le d veloppement des programmes de planning familial la lutte contre les grandes endemies et les maladies de l enfance et organiser des enqu tes sp cifiques sur l immigration de la population f minine vers les centres urbains et sur l accroissement des proportions des femmes chefs de m nages Lutter contre l analphab tisme et les d perditions scolaires en mettant l accent sur le milieu rural et sur la femme et am liorer le cadre institutionnel pour le suivi des probl mes de l ducation D finir une politique nationale de lutte contre les IRA et organiser des enqu tes compl mentaires sur les IRA Elaborer une politique nationale de contr le des maladies diarrh iques en y int grant la TRO parmi les strat gies essentielles de la survie de l enfant et en insistant sur la formation du personnel et la disponibilit des sachets de SRO et encourager les m res poursuivre l alimentation des enfants pendant les pisodes de diarrh e Redynamiser les services comp tents de mani re rendre la vaccination accessible la population cible Mettre en place une politique de s curit alimentaire des m nages et d ducation nutritionnelle au niveau tant national que r gional Concr tiser l obligation de l importation du sel iod 166
30. NON 9 NSP Si 0 ou 9 enfant suivant 306 A quel niveau et en quelle ann e d tude tait il Niveau 1 Primaire 2 Secondaire Ann e 1 2 3 4 5 6 i MODULE IV I R A Instructions Cett ie concern s les enfants de moins ns vivant actuellement dans le m nage Chaque colonne est r serv e un enfant Inscrivez de chaque colonne le num ro de l enfant tel que not dans le module ll QUESTIONS ET MODALITES NpEnf NpEnf Np Enf Nb Enf Np Ent NpEnf NpEnf III 1 11 en Lo dg dog d gg 4l 74714 1 44 401 L enfant a t il fait la toux et ou le rhume ces 15 derniers jours 120Ul 0 2 9 NSP Si O ou 9 Q403 EN lad I ld I 402 Quel mode de traitement a t il re u 1 Traditionnel 2 Moderne 3zTetM 4 aucun 403 Lorsque votre enfant a la toux ou le rhume quels signes vous convainquent lui faire administrer un traitement 1 cit 0 non cit A Nez bouch B Ne dort pas Ne mange pas C Fait la fi vre D Respire rapidement E Respire difficilement F La maladie a dur longtemps G Autre H NSP m D m d MN RSS ML S PIS rommooo N TOo0ommuooo SSS SSS M 127 MODULE V PREVENTION DU TETANOS NEONATAL Instructions Cette partie concern gm tes les m res r ncontr es dans le m nage et ayant des enfant m us inscrivez le n r la m re en haut de la colonne ui lui est r
31. ation Ce qui a rallong la dure d enqu te e L x Kasa Sur les trois sites des deux Kasa o il devait se rendre le Superviseur n a pu visiter qi deux cause de l insuffisance des moyens mis sa disposition Toutefois les quatre enqu teu rencontr s ont b n fici des observations formul es par lui en vue de redresser certaines erreu constat es jusque l sur le relev parcellaire et le remplissage des questionnaires 156 CHAPITRE 13 EXPLOITATION DES DONNEES Introduction Ce chapitre pr sente le processus mis en oeuvre pour le traitement des donn es de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 Il passe en revue les principales parties de ce processus qui sont Contr le manuel et num rotation des questionnaires Rassemblement du mat riel informatique Saisie des donn es Constitution et appurement des fichiers Production des tableaux des donn es 13 1 Contr le manuel et num rotation des questionnaires Avant d tre envoy s la salle de saisie les lots de questionnaires ont fait l objet d un contr le manuel assur par un groupe de superviseurs Sur le lot des questionnaires appartenant chaque site l on v rifiait le nombre de questionnaires remplis et la compl tude de l identification de chaque m nage Ensuite l on pr levait un chantillon de questionnaires de 10 20 selon les cas sur lesquels on contr lait quelques items clefs comme l exactitude de l attribution des num ros
32. ceptation des conditions de travail propos es Ainsi les enqu teurs retenus provenaient essentiellement du Programme Elargi de Vaccination PEV de l Institut National de la Statistique INS du Centre National de Planification de Nutrition Humaine CEPLANUT du Minist re du Plan et de la Direction de la Planification de l Enseignement Primaire Secondaire et Professionnel 11 1 5 Derni res recommandations avant le d part sur le terrain Avant le d ploiement sur le terrain une r union technique a regroup tous les enqu teurs autour du Comit Technique afin de tracer avec chacun d entre eux l itin raire suivre pour acc der aux sites d enqu te et de recevoir les derni res recommandations Une note technique relative celles ci leur a t distribu e Cette note est plac e en annexe du pr sent rapport 11 2 Pr paration mat rielle et logistique La pr paration mat rielle et logistique a port sur l information et la sensibilisation des populations l acquisition du mat riel de terrain et la planification du mouvement des Enqu teurs et Superviseurs sur le terrain 11 2 1 Information et Sensibilisation des populations En vue d obtenir le concours des autorit s politico administratives et la collaboration de la population une sensibilisation cons quente a t organis e avant de r aliser l enqu te sur le terrain Cette sensibilisation a t men e suivant deux axes savoir la sensibilisation par la
33. du manuel de l enqu teur de la fiche et du manuel de relev parcellaire ainsi que des instruments de mesure que les enqu teurs devaient manipuler sur le terrain en l occurrence la balance la micro toise le ruban m trique et le kit d iodation du sel Le s minaire de formation s est tall sur 5 jours dont trois jours ont t consacr s essentiellement aux expos s et discussions et deux jours aux d monstrations et exercices L horaire joumalier allait de 8h 30 16h 30 comme indiqu dans le programme ci dessous tableau T 11 01 140 T 11 01 Programme de formation des intervenant MASALA SANKARA BUNGU BUNGU MAKAYA Dr PALUKU Dr PALUKU BIKANGI NKOYO MAKAYA KINAVWIDI Introduction Manuel Enq G n ralit s S ance d ouverture Manuel Enq Module Manuel Enq Module Il Modules IV et V 10h00 11h00 11h00 12h30 12h30 13h30 13h30 14h30 14h30 16h00 08h30 10h00 10h00 10h30 10h30 12h30 12h30 13h30 13h30 15h00 15h00 16h00 08h30 09h15 09h15 10h30 Mercredi 22 02 95 Jeudi 23 02 95 Manuel Enq Pause Manuel Enq Modules VI et VIII Pause Manuel Enq Module IX et VII Manuel Enq Module Ill Manuel Enq Module X Relev parcellaire et Tirage de l chantillon au 26 degr Pause Exercices en salle Pause Exercices pratiques sur terrain S ance de cl ture
34. du questionnaire standard en fran ais la langue officielle au Zaire afin de faciliter sa compr hension par les membres du Comit Technique et par les Enqu teurs le Comit Technique sur base des priorit s arr t es par rapport aux objectifs de la mi d cennie et du questionnaire standard propos par le Si ge a pris les d cisions suivantes concernant les principes directeurs qui devaient sous tendre l laboration du questionnaire d enqu te le questionnaire devra comporter tous les modules du questionnaire standard y compris les modules optionnels l exception cependant du module Vitamine A le questionnaire d enqu te devra tre pr codifi les questions devront autant que possible tre formul es et pos es telles quelles par tous les enqu teurs aucune traduction en langues nationales ne sera effectu e chaque enqu teur devant ma triser la langue locale du site o il devait travailler et tre en mesure d interpr ter ad quatement les questions libell es en francais apr s sa formation des questions suppl mentaires pourront tre ajout es condition d tre d une utilit vidente et de ne pas alourdir le questionnaire de mani re sensible l ordre des modules devra tre respect dans la perspective de l utilisation du programme de saisie et d analyse qui devait tre propos par le Si ge de l UNICEF les modalit s des r ponses et les codes y aff rents devront tre identiques ceux p
35. e du questionnaire d enqu te Le Manuel de l Enqu teur est subdivis en trois chapitres Le premier chapitre intitul G n ralit s sur l Enqu te pr sente les objectifs l chantillonnage le questionnaire et l organisation administrative et op rationnelle de l enqu te Le deuxi me chapitre intitul Conseils Pratiques indique le r le de l enqu teur la composition de son dossier sa m thode de travail la signification des principaux concepts qu il aura manipuler et enfin pr sente quelques difficult s auxquelles il pourrait avoir faire face ainsi que les solutions envisag es Le troisi me chapitre le plus important concerne la mani re de remplir le questionnaire d enqu te Pour chaque module le manuel indique les personnes cibles enqu ter qu il s agisse du m nage dans son ensemble module de tous les membres du m nage module Il ou d une cat gorie de personnes identifi es selon leur ge autres modules Au niveau de chaque question un effort particulier a t fait pour lever toute ambiguit et faciliter le travail de l enqu teur En effet le manuel reprend la question telle qu elle est formul e sur le questionnaire indique les diff rentes modalit s li es la question d finit les principaux concepts y attach s donne les instructions suivre pour le remplissage ad quat du questionnaire 10 3 Autres documents de collecte D autres documents tels que la fiche et le manuel de rece
36. er pr visionnel valuait la dur e des travaux de terrain trois ou quatre aines Mais ces pr visions ont t largement d pass es En effet les premiers enqu teurs t partis le 18 mars tandis que le dernier enqu teur est revenu Kinshasa le 18 mai 1995 soit xante 60 apr s le d but des travaux de terrain De fa on individuelle on peut retenir que qu teur qui est rest le moins longtemps sur le terrain a mis 14 jours tandis que celui qui y est t le plus longtemps a mis 60 jours Cette situation est due essentiellement aux difficult s li es au d placement d un site un re et singuli rement en milieu rural En effet la d gradation fort avanc e des voies de munication d une part et d autre part l insuffisance des moyens de transport ont contribu longer la dur e de pr sence des enqu teurs sur le terrain 3 Suivi des enqu teurs sur le terrain Le suivi des activit s des enqu teurs sur le terrain a t r alis de deux mani res la Berta travers la gestion des messages au niveau de la Coordination de l enqu te la onde travers les missions de supervision des membres du Comit Technique 12 3 1 La gestion des messages au niveau central Apr s le d ploiement de tous les enqu teurs sur terrain un journal tait ouvert au niveau central pour accueillir et classer les messages envoy s par les enqu teurs contenait des informations sur la date d arriv e du message sa provenance le n
37. es sympt mes mais galement la pr valence et au mode de traitement En ce qui concerne le module allaitement maternel une question sur le temps coul entre la naissance de l enfant et son premier contact avec le sein maternel est ajout e compte tenu de l importance de ce premier contact dans le devenir sanitaire et affectif de l enfant Concernant le module tat nutritionnel les questions sur le p rim tre brachial et l existence des oed mes sont ajout es pour compl ter les mesures anthropom triques Par ailleurs pour les modules qui portent sur les enfants de moins de 5 ans une forme ad quate est introduite de fa on recueillir les informations des m nages ayant jusqu 8 enfants de moins de 5 ans sans utilisation d intercalaires Enfin au d but de chaque module des instructions claires sont libell es en vue de permettre l enqu teur de s lectionner facilement les personnes ligibles dans le module en question 132 10 2 Manuel d instructions aux enqu teurs Un manuel d instructions a t r dig pour servir de guide aux enqu teurs lors de la collecte des donn es sur le terrain Comme dans toutes les enqu tes ce manuel est concu de facon permettre l Enqu teur d avoir une id e g n rale sur l enqu te laquelle il est appel jouer un r le d terminant se familiariser avec les principales techniques de l interview et maitriser les r gles n cessaires au remplissag
38. esquelles se sont d roul es les diff rentes phases de l enqu te le Comit Technique recommande de Maintenir et largir l esprit de collaboration entre le Zaire et ses partenaires et entre agences du syst me des Nations Unies oeuvrant au Zaire pour la r alisation des op rations de collecte de donn es Constituer des archives relatives aux exp riences v cues au cours des diff rentes phases de l enqu te Encourager l exploitation par les services concern s des donn es collect es par l accroissement des capacit s d un grand nombre de cadres zairois dans l utilisation des logiciels employ s dans le cadre de cette enqu te Prendre des dispositions pour que lors des op rations similaires la contrepartie financi re locale soit disponible en temps opportun Encourager et rendre fr quente l organisation des enqu tes de ce type au niveau r gional 152 R sultats de l enqu te 15 2 1 Synth se Le traitement et l analyse des donn es collect es sur le terrain ont fourni des indicateurs qui ont permis d appr cier la situation des enfants et des femmes au Zaire en 1995 Ainsi d apr s l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 le cadre de vie de la population za roise est peu confortable dans la mesure o on note une grande promiscuit dans les logements une grande proportion de personnes n ayant pas acc s l eau potable et vivant dans un environnement imm diat peu assaini la population zairoise e
39. guide Le guide qui devait assister l enqu teur dans la r alisation de ses t ches a t bbs essentiellement parmi les enseignants les agronomes et moniteurs agricoles et les cadres d l Administration publique sp cialement en milieu urbain Il convient de signaler qu en plus des guides pr vus dans l organisation de ich certains enqu teurs ont eu recours d autres aides comme les chefs de groupement les chef de quartiers les chefs de villages ou leurs assistants dont l apport a t appr ciable 12 2 3 Relev parcellaire et tirage de l chantillon En milieu rural le travail de relev des unit s d habitation tait facile tandis qu en milie urbain quelques difficult s sont apparues Celles ci taient li es soit aux distances parcour par l enqu teur soit la configuration de certains quartiers parcelles sans num ro rue tortueuses ou enclav es etc Ceci a rendu difficile et a allong la dur e du relev parcellaire e milieu urbain malgr la pr sence des guides qui connaissaient le terrain A propos du tirage de l chantillon la lecture des rapports de terrain r v le que proc dure de tirage a t bien appliqu e par bon nombre d enqu teurs Cependant certain d entre eux ont prouv des difficult s mineures dans la mise en oeuvre de cette proc dure 12 2 4 Interviews proprement dites aupr s des m nages Chaque soir l enqu teur adressait un avis de passage aux m nages enqu ter lendema
40. haque module sur disquette en vue de minimiser les erreurs d inattention des agents de saisie et aussi pour d tecter les r ponses incoh rentes ou aberrantes que contiendraient certains questionnaires Dix agents de saisie apr s une formation d une semaine ont assur l entr e des donn es Ils ont travaill en deux groupes de cinq personnes chaque groupe occupait la salle de saisie cinq heures par jour sous la supervision de l un des membres du Comit Technique La saisie a dur un mois Le traitement informatique de l ENSEF ZAIRE 1995 s est r alis durant le 2 me semestre de 1995 il n existait pas de traduction fran aise des programmes mis au point par le Comit International de soutien aux MICS 158 13 4 Constitution et appurement des fichiers Parall lement la saisie les fichiers des donn es fichiers REC associ s chaque masque de saisie taient progressivement constitu s par concatenation Ainsi la fin de la saisie l on disposait des fichiers suivants T 13 01 Fichiers des donn es de base de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 CCS esen Menage rec Identification du m nage Habitat Eau Sel iod Fr quentation scolaire des enfants g s de 6 14 ans lraenf rec Fr quence et traitement des Infections Respiratoires chez les enfants de moins de 5 ans lramere rec Reconnaissance des Infections Respiratoires Aigu s par les m res ou personnes charge des enfants de moins de 5 ans Vacci
41. id regagner Kinshasa Il convient de signaler que deux sites de la R gion de l Equateur n ont pas t atteints par l enqu teur qui y tait affect parce qu il avait oubli Kinshasa sa carte topographique des sites enqu ter L enqu teur en question avait choisi lui m me un village dans chacune des zones concern es Mais le Comit Technique a d consid r les donn es provenant de ces villages et par souci de rigueur il a d p ch un autre enqu teur pour r aliser les interviews dans les sites effectivement chantillonn s Tout compte fait 99 sites dont 98 chantillonn s et un remplac ont r ellement t couverts par l enqu te Le Comit Technique avait pr vu un certain nombre de moyens de contr le pour s assurer que les enqu teurs atteindraient effectivement leurs sites s agit notamment des visas des autorit s locales sur les ordres de mission du recueil par phonie des informations sur les itin raires des enqu teurs et sur l tat d avancement des travaux de l identit des Guides engag s sur le terrain et de la d charge sign e par ces Guides certifiant qu ils ont percu la prime de participation au travail pr vue cet effet D s leur retour du terrain les enqu teurs taient recus individuellement par le Comit Technique pour faire le bilan de leur mission C est au cours de cette s ance de travail que le Comit proc dait aux v rifications n cessaires 12 2 Activit
42. ies ont rendu impraticables la plupart des routes d j d grad es De m me des pid mies chol ra et de diarrh e rouge ont galement t signal es dans le voisinage de certains sites 2 6 Recommandations des enqu teurs pour les prochaines enqu tes Les recommandations suivantes ont t formul es par les enqu teurs pour les op rations venir l am lioration de l organisation mat rielle et logistique l inclusion des aspects logistiques dans les tudes de faisabilit une sensibilisation pr alable non seulement au niveau r gional mais galement au niveau local afin d viter les tracasseries polici res et la m fiance de la population la mise disposition de plus de moyens financiers pour une enqu te d envergure nationale plus de r alisme dans la d termination des frais allou s aux acteurs de l enqu te une prime de risque devrait m me tre envisag e compte tenu des difficult s de terrain la couverture de la supervision durant toute la dur e de collecte et son extension tous les enqu teurs l adaptation de la trousse m dicale de secours au pays en fonction des principales maladies qui s vissent dans le milieu d enqu te la diffusion des r sultats de l enqu te tous les chelons en particulier dans les sites d enqu te le remboursement des frais suppl mentaires engag s par les enqu teurs dans la r alisation de leur travail 2 7 Dur e des travaux de terrain Le calendri
43. in Les entrevues elles m mes se d roulaient essentiellement dans la matin e entr 6h00 et 9h00 et dans la soir e entre 16h00 et 18h00 Entre ces heures les gens vaquaient leur occupations habituelles et tr s peu taient disponibles pour les interviews Le temps moye d interview dans un m nage tait de l ordre de 40 minutes 12 2 5 Principales difficult s rencontr es Cinq principales difficult s ont t rencontr es sur le terrain Il s agit d abord des difficult d ordre financier Tous les enqu teurs ont estim insuffisants les frais de participation ainsi qu les autres avantages leur accord s Les fonds mis leur disposition n ont pas permis de faire fa au co t de la vie dans les diff rents sites ainsi qu au transport entre les sites Beaucoup d ent eux ont d recourir des parents ou amis tandis que d autres se sont vus bloqu s attendant un solution de la coordination de l enqu te Ensuite certains enqu teurs ont t victimes tracasseries polici res En plus quelques cas de refus d tre enqu t s ont t enregistr s taient dus essentiellement des raisons politiques ou personnelles faut signaler cependant qu l intervention de l autorit locale permettait dans la plupart des cas de d canter la situation Par ailleurs certains enqu teurs ont connu une rupture du stock de fiches de recensement l habitat Ceci a entra n des d penses suppl mentaires de la part des enqu teurs Enfin les J
44. le du Zaire 149 CHAPITRE 12 DEROULEMENT DE LA COLLECTE Introduction Ce chapitre comprend trois sections La premi re traite du d ploiement des enqu teurs et de la couverture des sites La deuxi me d crit le travail des enqu teurs et la troisi me aborde les aspects relatifs au suivi des enqu teurs sur le terrain 12 1 D ploiement des enqu teurs sur le terrain et couverture des sites La pr sente section traite successivement des d parts des enqu teurs de Kinshasa leur d ploiement vers les sites de travail et la couverture des sites 12 1 1 Les d parts des enqu teurs de Kinshasa Pr vus en 5 jours les d parts des enqu teurs de Kinshasa vers leurs sites de travail se sont tal s sur 10 jours soit du 18 au 27 mars 1995 Au total 35 enqu teurs sur 40 ont voyag par avion et seulement 4 par v hicule le 40 me tant rest Kinshasa La Coordination de l enqu te a tenu accompagner syst matiquement les enqu teurs l a roport afin d une part de s assurer qu ils ont effectivement voyag avec tout le mat riel d enqu te et d autre part de les assister dans les formalit s d embarquement C tait galement l occasion de remettre aux enqu teurs une partie consistante des frais de participation l enqu te pour s assurer qu ils n allaient pas sur terrain sans ressources La plupart des enqu teurs taient re us leur premier lieu de d barquement par les Responsables des sous bureaux UNICEF
45. le relev parcellaire et le tirage de l chantillon se sont av r s des t ches difficiles pour certains enqu teurs Sur base de toutes les observations formul es par les enqu teurs et les d faillances relev es sur les questionnaires remplis les modifications suivantes ont t apport es sur le questionnaire et dans le manuel d instructions S agissant de la page d identification le num ro d enqu te la date de l enqu te et la taille du m nage ont t mis en vidence Au module composition du m nage une ligne de d marcation a t ajout e indiquant que telle colonne concerne tous les membres du m nage ou seulement les moins de 5 ans les 12 ans et plus ou les 15 ans et plus De m me d autres colonnes ont t ajout es aux modules Ill IV VI VII et IX de fa on pouvoir enregistrer les renseignements du plus grand nombre d enfants possible En plus les impr cisions sur l estimation de l ge r v l es lors de l enqu te pilote ont conduit l laboration des tableaux de conversion des ges l un en ann es pour tous les membres du m nage et l autre en mois pour les enfants de moins de 5 ans Ces tableaux devaient tre adapt s selon la date de naissance si elle tait connue et la date de l enqu te Par ailleurs les difficult s d ordre linguistique rencontr es par les Enqu teurs ont renseign qu il fallait envoyer les enqu teurs de pr f rence dans les sites o ils pouvaient s entre
46. me enqu teur que des personnes connues des membres du Comit Technique Pour faire acte de candidature les personnes int ress es devaient adresser une lettre la coordination de l enqu te et y annexer un curriculum vitae d taillant 6 en mati re d enqu te et le niveau d instruction atteint A la suite de cet appel d offre 126 dossiers ont t recus Un tri rapide a permis de retenir 70 candidats qui ont fait au moins 6 ans post primaires et ayant une exp rience en mati re d enqu te aupr s des m nages Les 70 candidats ont pass une interview devant un groupe de 3 ou 4 membres du Comit Technique sur des questions se rapportant leur qualification aux fonctions exerc es actuellement la connaissance g ographique du pays l exp rience en mati re d enqu te aux aptitudes linguistiques la disponibilit actuelle et future l esprit d initiative devant un probl me pratique donn leur pr f rence pour une r gion particuli re et au consentement quant aux conditions g n rales de r mun ration propos es A l issue des interviews et apr s d lib ration 55 candidats furent retenus pour suivre la formation Il convient de souligner ici le fait que certains candidats ont d sist cause du niveau de r mun ration jug non satisfaisant par rapport au travail accomplir et aux difficult s de terrain D autres candidats ont renonc l enqu te pour cause d indisponibilit durant la p riode envi
47. n 1995 Jeet Tshimanga La situation globale des enfants et des femm s au Zaire estdeplus en plus pr occupante pendant cette p riode de crise sociale que traverse tout le pays lis sonttr s nombreux les femmes et les enfants zairois en proie de diff rentes maladies dont fe sida la malnutrition etc Des voies et moyens doivent tre trouv s en vue d am liorer tant soil peu cette situation Dans le cadre du programme de coop ration Zaire Unicef une enqu te nationale vient d tre lanc e pour recueillir les donn es indispensables une bonne planification des actions d assistance et de d veloppement social du pays Durant trois semaines depuis le 18 mars 1995 les enqu teurs vont parcourir toutes les sous r gions du pays Bas e sur ua sondage et un chantillon repr sentatif de 4 500 m nages t paris sur 100 sites villages et secteurs urbains cette enqu te vise v rifier le progr s rempli par le Zaire dans le domaine du d veloppement social Par rapport la mise en oeuvre des objectifs du Sommet mondial de TEnfance septembre 1990 et de la Conf rence de Dakar novembre 1992 sur les strat gies africaines pour atteindre ces objectifs La r ussite de cette enqu te qui m rite d tre encourag e d pend de lafacilit n cessaire que des autorit s civiles militaires et traditionnelles et surtout la population doivent accorder aux enqu teurs C est du moins le so hail
48. n 1995 est tr s jeune avec une pr dominance de femmes de plus en plus accentu e en milieu urbain et une r partition spatiale inad quate Sa mortalit infantile et juv nile demeurent lev et marque une tendance la hausse par rapport 1984 Par ailleurs on note un recul de l ge moyen au premier mariage ainsi que de l ge moyen la procr ation et un accroissement des femmes vivant en d sunion le pays connait des taux d analphab tisme des adultes lev s de faibles taux de fr quentation scolaire parmi les enfants du primaire et des taux d abandon lev s et tendant la hausse la fr quence des infections respiratoires chez les enfants de moins de 5 ans est importante et les femmes zairoises n ont pas une connaissance pr cise des sympt mes cliniques des IRA la pr valence des diarrh es chez les enfants de moins de 5 ans est lev e et l utilisation de la Th rapie par R hydratation Orale TRO demeure insuffisante d apr s la d finition adopt e en 1993 Par ailleurs on note une faible proportion d enfants qui mangent plus que d habitude pendant les pisodes de diarrh e la couverture vaccinale des enfants de 12 23 mois et celle des m res d enfants de moins d une ann e sont tr s faibles et marque une tendance la baisse la pr valence de la malnutrition est lev e sous toutes ses formes l allaitement maternel est universel au Zaire mais on observe une introduction des aliments solides ou semi
49. n des ges Etant donn l importance de la variable ge dans l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 le Comit Technique a voulu all ger le travail des enqu teurs en fournissant chacun deux tableaux de conversion des ges l un en ann es pour toutes les personnes identifi es dans le m nage et l autre en mois pour les enfants de moins de 5 ans Ces tableaux ont t concus pour une enqu te qui se d roulait au mois de mars 1995 Le premier tableau comporte deux colonnes et donne l ann e de naissance et l ge atteint dans l ann e obtenu par diff rence de mill simes Ici au lieu de calculer l ge l enqu teur doit simplement chercher dans la premi re colonne l ann e correspondant l ann e de naissance du membre du m nage et lire au regard de celle ci l ge atteint de l int ress Cette information aide l enqu teur eu gard au mois de naissance de l enqu t d terminer l ge en ann es r volues qui doit tre inscrit sur le questionnaire En d autres termes si l enqu t est n avant le mois de mars mois de l enqu te l enqu teur doit inscrire l ge lu dans la colonne des ges Mais si le mois de naissance se situe entre avril et d cembre l enqu teur doit soustraire 1 de l ge lu pour obtenir l ge en ann es r volus Il en est de m me mutatis mutandi dans le cas o l enqu te se d roule en avril Si le jour de naissance est donn il doit en tre tenu compte dans ce calcul Quant au deuxi me tableau
50. n rec La couverture vaccinale des enfants de 12 23 mois Diarrhee rec Les maladies diarrh iques des enfants de moins de 24 mois Tetanos rec La couverture vaccinale des femmes enceintes Allait rec L allaitement maternel des enfants de moins de 24 mois Etatnut rec L tat nutritionnel des enfants de moins de 5 ans La mortalit aux jeunes ges M thode de Brass Apr s la constitution des fichiers de donn es on est entr dans le cycle de nettoyage des fichiers qui peut tre illustr par le graphique G 13 1 ci apr s Caract ristiques individuelles des r sidents sexe date de naissance ge tat matrimonial instruction G 13 1 Cycle de nettoyage des fichiers PRODUCTION 1 EXAMEN DES DES TABLEAUX J TABLEAUX J E rmt o gt n 4 M A b RETOUR AUX CORRECTION 3 QUESTION CIL FICHIERS ETE 0 IRES eo 159 Malgr l effort d velopp pour programmer une saisie contr l e la phase d appurement des fichiers a demand une longue p riode 2 3 mois de travail assidu pendant laquelle analystes des donn es et producteurs des tableaux de donn es ont collabor tr s troitement Il est difficile voire impossible de d tecter toutes les erreurs de saisies ou toutes les incoh rences dans une telle masse de donn es Dans ce travail on est arriv un stade o l utilit margi
51. nale du nettoyage ne semblait plus justifier son co t Les fichiers d finitifs sur la base desquels l analyse finale a t faite sont rassembl s sur disquettes et mis la disposition des utilisateurs pour les ventuels approfondissements 13 5 Production des tableaux des donn es Partant des fichiers d finitifs des diff rents modules on a produit les tableaux n cessaires pour l analyse En fonction des besoins on a labor des programmes fichiers PGM pour automatiser et acc l rer les restructurations de fichiers les calculs d indicateurs ou la production des tableaux Qutre les tableaux produits pour les besoins du rapport d analyse l on envisage de constituer un recueil ou un listing des principaux tableaux de l enqu te pour les utilisateurs qui ne sont pas en mesure d exploiter les fichiers sur disquettes 160 CHAPITRE 14 COUT DE L ENQUETE 14 1 Co t pr visionnel Selon l tude de faisabilit le co t de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 tait estim entre 100 000 US et 165 000 US Ce montant ne comprend pas les primes du personnel Zairois qui a travaill cette enqu te comme fonctionnaires en mission pour le compte de leurs structures respectives et non en tant que consultants de l UNICEF 14 2 Co t financ et sources de financement Jusqu la date de la publication du pr sent rapport final seule la contribution des partenaires multilat raux du Zaire a t lib r e Cette contribution s
52. nsement de l habitat et les tableaux de conversion des ges ont t concus en vue de faciliter le tirage de l chantillon et le calcul de l ge sur le terrain 10 3 1 Fiche et manuel de recensement de l habitat En vue de constituer la base de sondage des unit s secondaires et permettre le tirage de l chantillon au deuxi me degr par les Enqu teurs un relev des unit s secondaires parcelles habit es ou unit s d habitation devait tre effectu au niveau de chaque site Pour ce faire une fiche et un manuel ad hoc ont t con us Les fiches de Relev Parcellaire utilis es en milieu urbain et celles de Relev des Unit s d habitation d usage en milieu rural pr sent es ci dessous taient con ues de fa on identifier les parcelles et unit s d habitation habit es assurer leur num rotation continue et permettre de tirer facilement les parcelles devant faire partie de l chantillon Un manuel reprenant les instructions relatives la mani re de remplir cette fiche a t mis la disposition de l enqu teur donne la d finition du concept unit d habitation avec toutes ses particularit s et d crit la mani re de remplir chacune des deux fiches d crites plus haut 12123 FICHE DE RELEVE PARCELLAIRE Vila dO reca Sal P dy E rauete r oett es e te ne S Strate ZORE dax osse dioere Dates ee RD eiii Quartier iicet Ee Ie GContr lele meth R s dechire Pal RRS dide unire RO RAS EE D Poi
53. nt de d part aic ee rent Direction Sis qaa Ulis DA COTE GAUCHE COTE DROIT vallons C vations Chadi N N Hz NH Ordre Parcalle 9 Non Habit o Ordre Paola Mati Nen TOTAL O Table de vendeur devant la parcelle 6 Jardin Elevage de volaille Arbre fruitier 1 D bit de boisson bar buvette boite de nuit 7 Elevage des ch vres mouton et porcs 2 Boutique Magasin Kiosque Boulangerie 8 Edifices publics glise cole cin 3 Garage Menuiserie m canique et en bois 9 Dispensaire H pital Maternit 4 Quado Horlogerie Station service Pharmacie 5 Confection Coordonnerie 134 FICHE DE RELEVE DES UNITES D HABITATION Zone de RASS aa eene Date ideas COTE GAUCHE COTE DROIT Enqu te vations Nom du H NH N Nom du Hz NH Chef de Habit e Non Ordre Chef de Habit e Non m nage Habit e M nage Habit e TOTAL E Observations 0 Table de vendeur devant la parcelle 6 Jardin Elevage de volaille Arbre fruitier 1 D bit de boisson bar buvette boite de nuit 7 Elevage des ch vres mouton et porcs 2 Boutique Magasin Kiosque Boulangerie 8 Edifices publics glise cole cin 3 Garage Menuiserie m canique et en bois 9 Dispensaire H pital Maternit 4 Quado Horlogerie Station service Pharmacie 5 Confection Coordonnerie 135 10 3 2 Tableaux de conversio
54. om de l exp diteur le contenu du message et l action prise par la coordination Par ailleurs une fiche de suivi des messages tait dress e Elle permettait d identifier les enqu teurs qui sont rest s en contact avec la base et ceux dont le contact n a pas t possible En effet avant leur d part sur terrain les enqu teurs avaient recu des instructions selon lesquelles ils devaient annoncer leur arriv e au premier site informer la coordination de l volution des travaux des probl mes rencontr s et annoncer leur retour etc De l analyse de ce journal tenu du 23 mars au 17 mai 1995 on peut retenir les principaux faits suivants a Durant les premi res semaines la plupart de messages annon aient l arriv e des enqu teurs et stigmatisaient l ampleur des probl mes li s au d placement partir du lieu du d barquement jusqu au site enqu ter Des actions sp cifiques ont t propos es suivant les cas Par exemple l un on a sugg r de prendre un petit porteur et des fonds suppl mentaires taient envoy s un autre de consulter la procure des missionnaires la plus proche un troisi me de louer une embarcation ou de prendre place bord des v hicules priv s Quelques messages en provenance des sous bureaux UNICEF sollicitaient des fonds pour le d placement des enqu teurs et autres frais de participation non re us au d part de Kinshasa Les fonds ont t transf r s avec l ordre de les allouer selon le
55. oprement dit commen ait par le relev parcellaire relev des unit s d habitation et le tirage de l chantillon et se terminait par les interviews Chaque enqu teur devait visiter au moins 2 m nages en milieu urbain comme en milieu rural Dans l ensemble l enqu te pilote s est d roul sans encombre et l on a pu tirer des lecons qui ont permis d enrichir ou d affiner les outils de collecte 11 1 3 Affinement des outils de collecte Apr s l enqu te pilote deux jours ont t consacr s une formation suppl mentaire afin de tirer les lecons de cette op ration L enqu te pilote a permis de se rendre compte que dans l ensemble le questionnaire tait facile manipuler et que les questions taient claires et se succ daient 142 correctement Cependant un certain nombre de failles ont t r v l es dans le module II failles relatives l identification des questions concernant tous les membres du m nage et celles ne concemant que certains groupes particuliers notamment l tat matrimonial et le niveau d instruction De m me il s est av r qu il n y avait pas assez d espace pour recueillir les renseignements de tous les enfants ligibles au niveau de certains modules Par ailleurs certaines instructions laissaient des confusions dans la t te des enqu teurs sp cialement celles relatives au num ro d ordre dans le m nage et celles portant sur la d termination de l ge des personnes enqu t es De m me
56. pEnf 801 Y a t il une carte de vaccination pour l enfant 1 OUl vu OZNON 9 NSP Si 0 ou 9 B C G J2 1 OU 0 NON 9 NSP Ys Lg 1111111 EY e DTC1 120Ul 0 NON 9 NSP RY Pose 0 I DTC2 1 lt OU 0 NON 9 NSP J E 1 T 1 PA 2 DTC3 1 0 NON 9 NSP ly E EE iu fh TEE 1 1 ld VPO1 1 OUI 0 NON 9 NSP irm d 4 EL VPO2 T RS 1 OUI 0 NON 9 NSP 1 T ldd Fe j II 11 1111 VPO3 1 OUI 0 NON 9 NSP ELT T 1 JI 11 1 F Xe LIA g VAR 1 1 OUI 0 NON 9 NSP Nw Tri L4 111 Es 1 II 802 Cicatrice BCG 120UI 0 NON 9 Non examin 803 L enfant a t il t vaccin contre la tuberculose par une injection dans l avant bras gauche qui laisse une cicatrice 1 OUI 0 NON 9 NSP 804 L enfant a t il t vaccin contre la coqueluche le t tanos et la dipht rie par une injection dans la cuisse 1 OUr 0 NON 9 NSP 9 0 Si 805 Combien de fois Nombre de fois que l enfant a recu l injection 1 2 3 9 NSP 806 L enfant a t il recu la vaccination en goutte pour le pr venir contre la poliomy lite 1 gt 0OzNON 9 NSP Si00u9 807 Combien de fois Nombre de fois que l enfant a re u de gouttes 1 2 3 9 NSP 808 L enfant a t il recu la vaccination en injection dans l paule pour le pr venir de la rougeole 1 OUI O NON
57. qui organisent les vols l int rieur du pays d La programmation des d parts Les d parts sur le terrain taient rigoureusement programm s de fa on concentrer les voyages vers une m me date Tous les voyages devaient se faire en 5 jours en commengant par les enqu teurs qui devaient se rendre vers des lieux desservis une fois par semaine ou une fois tous les quinze jours par les rares compagnies a riennes y op rant souvent une seule compagnie Les r servations de places ont t faites sur cette base Pour assurer le contact entre la coordination de l enqu te et les enqu teurs et ainsi pouvoir suivre le mouvement de ces derniers la phonie tait le seul moyen de t l communication envisag bien qu il ait pr sent deux limites majeures savoir 1 les phonies sont essentiellement des propri t s priv es et donc d un acc s tr s limit et payant et 2 la plupart des sites ruraux de l enqu te sont des localit s d pourvues de phonie Face ces contraintes les organisateurs de l enqu te ont recommand aux enqu teurs d utiliser le syst me de t l communication de l UNICEF travers ses phonies bas es dans ses sous bureaux r gionaux celui du Minist re du Plan dont les divisions r gionales sont pourvues de phonies et celui des missions catholiques et protestantes et autres ONGs qui disposent des phonies priv es afin de communiquer avec la coordination de l enqu te qui tait bas e Kinshasa la capita
58. rents commentaires par la presse crite tant zairoise qu internationale Les quelques coupures de journaux ci dessous t moignent de la forte sensibilisation r alis e cet effet COUPURES DE PRESSE LE PHARE N 423 du 17 mars 1995 Dans une enqu te in dite Unicef veut regarder l enfant Zairois au fond des yeux Dans le cadre du suivi des progres vers les objectis de la d cennie mondiale de l enfance l Unicet Fonds des Nations Unies pour l enfance a initi une enqu te sur la situation des enfants et des femmes au Za re en 1995 Stratifi e sur un chantillon repr sentatif de 4 500 m nages l enqu te s effectue par sondage al atoire sur un chantillon r parti sur 100 sites vi lages et secteur urbains travers le pays Au total cinq domaines de la vie quotidienne soni couverts ts agit de la sant des enfants de moins de S ans leur tat nutritionnel hab amp at l eau et l assainissement la fr quentation scolaire ainsi que la mortalit dans l eafance S agissant de la sant fUnicel se pr occupe notamment des causes principales de la ia des def enfance de la couverture vaccinale des en fants de 12 23 mois de la couverture vaccinale des femmes enceintes En os qui conceme l tat nutritionnel l enqu te vise connaitre la pr valence de La mal nutrition chronique le mode d allaitement des nouveaux n s et des nourrissons Pour ce qui est de Thab at Teau et l assainissement l enq
59. ropos s dans le questionnaire standard des arrangements devront tre trouv s de fa on minimiser le volume du questionnaire notamment en mettant le maximum d enfants sur une seule page pour un module donn de mani re viter l utilisation des intercalaires le choix de la m thode des enfants n s vivants et enfants d c d s m thode de Brass m thode la plus utilis e pour l estimation de la mortalit aux jeunes ges Trois groupes de travail ont t constitu s pour adapter et am liorer le questionnaire standard le groupe d mographie qui s est occup des modules m nage eau et assainissement ducation et mortalit aux jeunes ges le groupe sant qui a trait des modules t tanos n onatal Immunisation des enfants Infections respiratoires aigu s et maladies diarrh iques le groupe nutrition qui a travaill sur les modules tat nutritionnel des enfants mesures anthropom triques allaitement et lodation du sel A l issue des travaux en groupe une mise en commun a t organis e en s ances pl ni res en vue d harmoniser les vues et de donner une forme unique au nouveau questionnaire Module par module le Comit Technique de l enqu te a abouti au questionnaire d enqu te pr sent ci dessous comporte une page d avant garde et 10 modules La page d avant garde comprend l identification du m nage le np d enqu te la date d enqu te la taille du m nage le r sultat de l inter
60. s besoins exprim s Le message le plus alarmant provenait de la R gion de l Equateur o un enqu teur bloqu au lieu du d barquement Mbandaka annon ait que la premi re possibilit de d part tait pr vue dans trois semaines Ce site Monkoto situ dans les maraicages de la grande for t quatoriale s est av r d acc s difficile et l enqu teur concern a d attendre effectivement trois semaines pour qu une pirogue louer soit disponible b Parla suite la plupart de messages confirmaient le d but du travail sans difficult s majeures Quelques cas de ruptures des stocks des fiches de relev s parcellaires ont t signal s en milieu urbain Des actions ont t prises telles que l envoi d un suppl ment de fiches l o cela tait possible ou l autorisation de faire des photocopies l o l exp dition rapide n tait pas possible c Enfin les messages annoncaient les retours des enqu teurs et sollicitaient leur accueil l a roport Ici aussi des probl mes sp cifiques ont t pos s Par exemple des messages ont annonc le blocage de quelques enqu teurs qui avaient d j termin leur travail soit cause d un report de vol soit par manque d avions De m me deux enqu teurs ayant voyag par v hicule dans la r gion de Bandundu sites de Kikwit et d Idiofa ont sollicit le retour par avion partir de Kikwit cause de l tat de la route Cela leur a t accord I convient de signaler ici
61. sag e Un grand nombre par contre a t limin par manque d exp rience comme enqu teur b J Formation des enqu teurs Le s minaire de formation des candidats enqu teurs a t organis au Centre Bondeko Kinshasa Limete Tous les s minaristes s y sont retrouv s sous le r gime de semi internat Le Centre a mis la disposition des s minaristes une grande salle de conf rences qui servait d auditoire pour les expos s magistraux et des paillottes pour les travaux en petits groupes Cette formation tait assur e parles membres du Comit Technique compos des m decins statisticiens d mographes nutritionnistes et des sp cialistes de l eau et assainissement La formation a port sur les aspects g n raux de l enqu te les techniques d interview les instructions relatives au remplissage du questionnaire les techniques de recensement de l habitat relev parcellaire dans les villes et relev des unit s d habitation en milieu rural le proc d de tirage de l chantillon au second degr et la lecture des cartes topographiques La m thodologie adopt e lors de la formation consistait en des expos s magistraux suivis imm diaterrrent des discussions et des exercices en salle Ensuite taient organis s des exercices pratiques sur le remplissage du questionnaire et des fiches de recensement de l habitat Le mat riel didactique pour assurer formation tait constitu essentiellement du questionnaire et
62. t outre le nombre de chambres coucher et la nature du pavement le questionnaire d enqu te s int resse la nature de la toiture et au statut d occupation informations importantes pour l identification des cat gories socio conomiques de la population enqu t e Une question sur le traitement des ordures m nag res est ajout e pour permettre tant soit peu d appr hender le niveau d assainissement du milieu Concernant le module iodation du sel de cuisine des enrichissements sont apport s Ils concernent la forme la fr quence d utilisation et le mode de conservation du sel utilis Les informations sur ces variables sont importantes dans l laboration du programme de lutte contre la carence en iode travers le territoire national Quant au module composition du m nage les am liorations suivantes sont apport es l extension de l enregistrement tous les membres du m nage l ajout des questions sur l tat matrimonial des personnes de 12 ans et plus et sur le niveau d instruction des personnes de 15 ans et plus Ces informations permettent de mieux caract riser la population enqu t e et favorisent l analyse des facteurs de risque Au module fr quentation scolaire est ajout e la question sur l ge d entr e l cole primaire pour le calcul du taux d admission Pour ce qui est des infections respiratoires aigu s I R A on s int resse non seulement la connaissance par les m res ou nourrices d
63. te varient de 15 1 056 US Ces disparit s tiennent aux faits suivants les d penses en logistique pour les sites urbains sont relativement moins lev es car ces sites sont g ographiquement concentr s et ont b n fici des conomies d chelle Les d penses les plus lev es s observent pour les sites situ s dans les sous r gions enclav es et qui ont n cessit des moyens de transport sp ciaux location d un petit porteur d une pirogue d une moto etc pour leur acces G 14 1 DEPENSES LOGISTIQUES MOYENNES PAR SOUS REGION en us ENSEF ZAIRE 1995 COUT EN US sam a ato EE soo B INNN sat A Conclusion Estim aux environs de 150 000 US le budget de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 a b n fici des apports de l UNICEF PNUD et de l OMS pour un montant de 124 750 US Ce montant a t g r conjointement par la partie za roise et la partie UNICEF pour financer les d penses relatives l organisation et la collecte des donn es et partiellement couvrir les d penses relatives la prime du personnel national Les d penses moyenne par site ont vari selon le degr d accessibilit de la sous r gion o se trouve le site et de l accessibilit du site lui m me 163 CHAPITRE 15 SYNTHESE ET RECOMMANDATIONS Ce chapitre r sume les principaux aspects de l organisation et de la m thodologie ainsi que ceux relatifs aux r sultats de l enqu te ENSEF ZAIRE 19
64. tenir avec la population dans une langue nationale qu ils maitrisent Enfin l enqu te pilote a fourni des indications sur la dur e moyenne des interviews 50 minutes la n cessit d un guide connu de la population enqu ter l importance d une trousse pharmaceutique sur le terrain les dispositions administratives prendre contacts obligatoires avec les autorit s locales la mise au point d un systeme de communication la n cessit d une sensibilisation pr alable et sur les probl mes d eau potable et d clairage en milieu rural Apr s avoir apport les modifications n cessaires au questionnaire et au manuel de l enqu teur une r vision g n rale portant sur les instructions relatives au remplissage du questionnaire a t organis e en vue d aplanir tous les doutes en insistant plus particulierement sur les faiblesses relev es chez les enqu teurs 143 11 1 4 S lection finale des enqu teurs Un test final et une interview ont permis de retenir en d finitive 40 enqu teurs et 3 r serves Le test crit a port sur le remplissage d un questionnaire m nage sur base de quelques informations fournies de fa on d sordonn e Il visait essentiellement le remplissage du module portant sur les membres du m nage et l identification des personnes cibles pour les autres modules L interview quant elle a insist sur les aptitudes tant physiques qu intellectuelles des candidats leur connaissance du terrain et l ac
65. ttro Pro et Harvards Graphics pour les textes et illustrations graphiques du rapport 13 3 Saisie des donn es Le comit international de soutien aux MICS avait mis la disposition des pays engag s dans cette op ration un programme de saisie et de production des tableaux n cessaires pour l analyse Mais l utilisation de ce programme n cessitait que l on travaill t en anglais et que le standard labor New York f t utilis sans aucune modification Dans le cas de l enqu te ENSEF ZAIRE 1995 d une part le questionnaire est en francais et d autre part il a t sensiblement enrichi par l ajout d un certain nombre de questions ou de modalit s compte tenu des r alit s locales voir chapitre 10 Dans ces conditions les membres du Comit Technique en charge du traitement informatique des donn es de l enqu te ont enti rement labor les masques de saisie des donn es fichiers QES les fichiers de contr le de saisie fichiers CHK S agissant de la saisie l on a labor un masque de saisie pour chacun des dix modules du questionnaire Mais la saisie n a pas t faite module par module de mani re ind pendante L on a tabli des liens entre les masques de saisie ce qui permettait d viter les saisies redondantes la fois superflues et sources d erreurs Par ailleurs les possibilit s de contr le de saisie que possede le logiciel EPI INFO ont t largement exploit es voir les fichiers CHK de c
66. u te s int resse notamment au conton de l habitat l a ration au niveau de promiscui du logement alaprovenance de l eau de boisson l acc s des infrastructures d assainissement autratement des ordures m nag res Quant l ducation les enqu teurs se pr occupent du niveau de fr quentation scolaire des enfants de 6 14 ans du niveau et des causes des abandons scolaires du niveau d alphab tisation des s de 15 ans et plus Dans bx d marche les enqu teurs ont comme partenaires les minist res du plan et reconstruction nationale de la sant de l agricukure de l environnement et de la conserva on de la nature de enseignemont primaire et secondaire Des partenaires internationaux sont galement associ s l enqu te f s agit du PNUD programme des Nations Unies our le de TOMS Organi sation le de la Sant de ta FAO Organisation des Nations Unies pout l alimentation et f agricukure et de l Unesco organi sation des Nations Unies pour f ducation La science et la cukure Nous solc ons le concours la collaboration de la population et des autorit s tant civiles que maires au cours de cette enqu te atfine on Unicei Ou Fon pr cise que les enqu teurs sont munis d un odee de mission d un T Shirt et d une Casquette avec bue Unicef Kadima 145 La Palmares n 30 du 22 o5 i95 Enqu te nationale sur la situation des enfants et des femmes au Zaire e
67. ue sogdonsmeo 2p 21495 oun p 2posid 182973 A onirsuo rpuem y np NUEU sop APPEN TI 52 TOS Sumia sopedi2und sapsjuoo 520 sut q sanj op suomi 0 DUTEULIOP 39 SUD SIISQAUI SOJ Spnomousoiduxo ure nuo ons s1u2nbyj Souue SN JUOD Sep onbiuopta 152 SITY SPUN S21 3p wod sns HOS sked sop 31Uuoftui ef puau np sur SA ured spimuujut 521 3o SAPETE SA voninnuru ep arood T 210p v westa sjnoofqo sop uondope syde sue anenb 2nb nuuooa tat us 1 2 5 27 2 n 33 P Tut1u2553d21 2 242 rug 0 eT pool 2 uu229p U 218210 vorxajgi op GUNOI t op 101 JIDINN bsd sun p LIYS 99 un p 52124 IUOS SINLIP s22 s1n219nbu2 s 121 nu pt p 5213113 xne 13 0 t muud mog sed np peros 1uoui12ddoj2A3p 2p 1 ounsisse p SUONIE s p uonenjiuejd Juuoq oun sojgesuadsiput sspuuop sap ELETI nod asud nua Sea 2 70 3Ko d9p J32INOQ 31 Sutqn sin2122 32 sadega sons DOI MS snredys s239tu3u OOS 2p jneu2s33d2 uOop urg2 un ons o2tpuos nd 290129jj2 es ambu q AUD 1 P REJWI 9p suonrpooo sop uomno yux p IRATU LD soureouye SA NENS SH n5 Z661 2P 7 6 9p 20029700 r1 P P 0661 W NJL 2p trpaou J9uxDOS np SJK sop anO UD SU t 224 Loddes uo mez at sed dwor sgod anrea V 2514 URUW SION SUP oun Mod nayd uorerdo 7 TONE SNCF 21 MO IOS IPO S 20507 mb mabua 27127 2107 nt Sp SEJU Sp UOGETNS T IRS 2190buo 20n stt 81 rpoures sindap PUS
68. v e ou d truite 4 autre Intervenants Titre 1 Enqu teur 2 SUperviSeUE 2 A eeu te re si eter e age gehen 3 Agent de Saisie Strate correspond Milieu de R sidence tandis que Sous strate correspond Strate dans le plan de sondange 194 MODULE I HABITAT EAU ASSAINISSEMENT IODATION DU SEL HABITAT 101 Combien de chambres coucher votre logement compte t il 102 Quelle est la nature du Pavement de votre Logement 1 Carrelage 2 Ciment Planche 3 Terre battue Sol nu 4 Autre 103 Quelle est la nature de la Toiture de votre logement 1 T le de r cup ration 2 T le ondul e 3 T le Plafond 4 V g taux 5 Tuile Eternit 6 Autre I 104 Quel est votre statut d Occupation 1 Propri taire 2 Log par Parents Amis S32 Locataire 4 Autre EAU DE BOISSON 105 Quelle est votre source principale d eau de boisson 1 Robinet install 5 Puits non prot g Source non am nag e 2 Robinet public 6 Etang Ruisseau Rivi re Fleuve 3 Pompe aspirante 7 Camion Citerne 4 Puits prot g Source am nag e 9 Autre i 106 Quelle distance vous s pare de cette source 1 Logement Parcelle 4 500 m moins de 1 km 2 Moins de 100 m 5 1 km et plus 3 100 moins de 500m 9 NSP 107 Combien de temps mettez vous pour aller puiser de l eau cette source Nombre de minutes
69. vent les sous bureaux UNICEF les Responsables taient invit s faciliter le d ploiement interne des enqu teurs vers les sites en mettant leur disposition des v hicules ou d autres facilit s Ailleurs les enqu teurs recevaient un montant forfaitaire pour financer ces voyages internes c L oblention des titres de voyage Il s agit ici des attestations de voyage et des billets d avion Afin d assurer la s curit de l enqu teur sur le terrain compte tenu de la situation socio politique du moment et de l importance des distances parcourir les organisateurs de l enqu te ont fourni aux enqu teurs deux attestations de route cons quentes La premi re attestation est l ordre de mission sign e conjointement par les Secr taires G n raux au Plan l Int rieur et la D fense Nationale De cette facon les enqu teurs avaient l aval de la hi rarchie nationale des deux principales structures de contr le en r gion savoir la Territoriale et l Arm e La seconde attestation est celle sign e et d livr e par le Repr sentant de l UNICEF demandant tous les partenaires de venir en aide aux enqu teurs en cas de besoin Outre ces deux attestations chaque enqu teur devait porter sur lui un T Shirt et un K pi UNICEF pour tre reconnu facilement par la population et les autorit s Les billets d avion taient obtenus avec l appui du service voyages de l UNICEF et ils taient achet s dans les diff rentes compagnies priv es
70. view ainsi que l identification des personnes intervenant sur le questionnaire 122 Les dix modules sont Module M Habitat eau de boisson latrines assainissement du milieu et iodation du sel de cuisine Module ll Composition du m nage Module Ill Fr quentation scolaire Module IV Infections respiratoires aigu s lI R A Module V Pr vention du t tanos n onatal Module VI Maladies diarrh iques Module VII Allaitement maternel Module VIII Immunisation des enfants Module IX Etat nutritionnel Module X Mortalit aux jeunes ges Les questions contenues dans ces diff rents modules permettent de calculer les indicateurs recherch s dans le cadre de l valuation de la situation des enfants et des femmes par rapport aux objectifs de la mi d cennie 123 REPUBLIQUE DU ZAIRE AGENCES DES NATIONS UNIES Minist re de la Sant et Famille UNICEF Minist re du Plan et Reconstruction Nationale PNUD Minist re de l Agriculture et du D veloppememt Rural OMS Minist re de l Environnement et Conservation de la Nature Minist re de l Enseignement Primaire Secondaire et Professionnel QUESTIONNAIRE DE L ENQUETE NATIONALE SUR LA SITUATION DES ENFANTS ET DES FEMMES AU ZAIRE EN 1995 IDENTIFICATION DU MENAGE 06 Groupement 07 Village ou Quartier R sultat de l Interview 12 Compl tement r alis 0 Non Achev 1 refus 2 absent 3 UH non retrou

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