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Quelle prise en compte de la biodiversité dans les enjeux de

1. Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale V le premier est le maintien de l agr ment sanitaire de ces outils Compte tenu de l volution de la r glementation leur classement sanitaire devra passer du niveau IV actuel au niveau Ill puis au niveau Il compter du 1 juillet 2011 Cela suppose la mise en uvre de moyens significatifs pour une r organisation de la gestion du site la mise en uvre de proc dures et leur contr le V le second est le r tablissement de la situation conomique du GIE qui passe notamment par une augmentation des volumes trait s via le recrutement de nouveaux adh rents Des engagements concrets sur ces deux aspects seraient de nature apporter une certaine visibilit sur le long terme l activit de transformation de la Bn Au niveau de la Bn la p rennit conomique de cette activit n cessite une tr s forte diminution du co t unitaire de transformation Une analyse approfondie sera n cessaire pour identifier les marges de progr s et les mesures mettre en place pour baisser ce co t et augmenter la valorisation L augmentation de la production de viande bovine dans l option 1a devrait permettre une meilleure dilution des charges fixes condition de trouver les d bouch s suppl mentaires correspondants Option n3b arr t de la transformation Les mauvais r sultats conomiques de cette activit et l absence de perspec
2. L Raven H Rayment M D et van der Bijl G 2000 An assessment of the total external costs of UK agriculture Agricultural Systems 65 2 113 136 Prigent M Fontenelle G Rochet M J et Trenkel V M 2008 Using cognitive maps to investigate fishers ecosystem objectives and knowledge Ocean amp Coastal Management 51 6 450 462 RAD 2001 Diagnostic de Durabilit R seau Agriculture Durable Cesson S vign 4 pp RAD 2003 Initiatives pour une agriculture citoyenne et territoriale Socle commun de la durabilit R seau Agriculture Durable Cesson S vign 5 pp RAD 2006 Pourquoi comment r duire ma consommation de pesticides a la ferme R seau Agriculture Durable Cesson S vign 6 pp RAD R seau Agriculture Durable Extrait de Novembre 2009 from http www agriculture durable org R gion Ile de France 2003 Charte r gionale de la biodiversit et des milieux naturels R gion Ile de France Paris 48 pp R gion le de France 2008a Sch ma Directeur de la R gion le de France Conseil r gional d Ile de France Paris 250 pp R gion le de France 2008b Sch ma Directeur de la R gion le de France Evaluation Environnementale Conseil r gional d le de France Paris 134 pp R gion le de France 2009 D couvrer le projet du Sch ma directeur de la r gion le de France Extrait de Septembre 2009 from http www sdrif com Reichel V Da Cunha C et O
3. 1 23 UGB ha 50 25 40 60 442 70 kg brebis 75 kg agneau 38 200 35 000 3 200 18 800 14 800 4 000 4 300 4 300 15 100 Ovins Ensemble IdF cheptel Annexe 10 Expertise technique et conomique des options 1a et 1b exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage 2 me sc nario remplacement de 20 vaches allaitantes par des chevaux en pension 1 Hypoth ses v Les hypoth ses techniques pr c dentes ne sont pas modifi es y L atelier laitier et l atelier ovin restent identiques ceux pr sent s dans le sc nario de d part Le cheptel allaitant est r duit de moiti De fait la r duction d effectif pourrait tre galement effectu e en partie sur la troupe ovine sans que les r sultats de ce sc nario ne soient sensiblement modifi s v La surface est augment e de 15 ha par r cup ration de prairies sur le domaine des Haras nationaux au Br viaires Cette surface est destin e au p turage d une partie des g nisses de la Bergerie nationale v La pension porte sur des juments reproductrices et leur poulain jusqu l ge de 3 ans Toutes les phases d licates de la reproduction saillies et poulinages se passent la station des Haras nationaux 2 Fonctionnement du syst me v Conduite des troupeaux de ruminants inchang e par rapport au sc nario de d part v Les juments sont conduites la station des Br viaires un mois ava
4. 2000 Pathways for environmental evaluation a walk in the Hanging Gardens of Babylon Ecological Economics 34 2 175 193 379 R f rences O Connor M 2002 Social costs and sustainability Economics Ethics and Environmental Policy contested choices D W Bromley et J Paavoli Blackwell Oxford 181 202 O Connor M 2004 The KerBabel Indicator Dialogue Box Generic Design Specifications for the Indicator Dialogue Box Version 3 Rapport de recherche du C3ED 40 pp O Connor M 2005 La foire aux indicateurs de KerBabel Sp cifications g n rales de conception pour la foire aux indicateurs Version 3 0 Traduit par Chamaret A Da Cunha C et Maxim L Rapport de recherche du C3ED 46 pp O Connor M 2006 The Four Spheres framework for sustainability Ecological Complexity 3 4 285 292 O Connor M et Amorsi N 2002 Verdir la face du Cube Un Jeu de Simulation de Gouvernance avec la Matrice de D lib ration Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 17 pp O Connor M Da Cunha C et Douguet J M 2010 Rapport Final FRAGILE Jusqu a d cembre 2009 Rapports de recherche REEDS RRR 2010 09 74 pp O Connor M Foster J Holland A Munda G No l J F O Neill J et Tsang King Sang J 1998 Proc dures multicrit res et d lib ratives d valuation environne
5. Impact Indicateurs global Acteurs Degr d utilit d un atelier pour 5 7 Na Collect r EE a EN 5 1x ET GIE 1x l animation xis AC pstitu 1x ET Clients x INT EA 5x BE E N E EE Dvp agri 3x _ ET Dom ONF 1X ee Valorisation par fili res courtes en 5 4 oe ae ET Clients 3x INT EA 5x 2 ie aa AREA piel Th Oa eae ea a en ied z g ET GIE 1x oe Se ee ie INT Equest 1x CEZ X11 ET Dom ONF 2x ree INT Format 1x Image de la Bn vis vis du 7 41 AC Collect 1x EE Soc civ 1x ET Dom ONF 2x CEOS E bone eae se ct EE Dyp aoi ee RS asa 3 5 EE Dvp agri 1x ET Dom ONF 1x INT EA 2x X8 EE Soc civ 2x ET GIE 1x INT Equest 1x 202 Le calcul et l interpr tation de l impact global peuvent tre trouv s en sous section 4 7 4 2 La colonne Acteurs r pertorie les acteurs ayant utilis l indicateur pour cette option et combien de fois ils lont utilis 299 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale R sultats de l valuation de l option 1b par L ee x r A ae o ae ow s oe Cat gories e ge g e s er am a am a ET ae a Pr a d acteurs F O 0 0 0 ee a 65 64 69 83 0 66 58 50 50 67 48 36 93 64 Sw a a Groupes Autorit s Externes largies Externes traditionnelles Internes de parties coordinatrices prenantes s J V vJ 46
6. encontre de ces points positifs Concernant les options 3 La transformation n est pas viable conomiquement et provoque des rejets en terme environnemental L arr t permettrait de mettre fin ces deux probl mes La valorisation en fili res courtes et le partenariat avec le GIE des tablissements d enseignement agricole sont des points positifs pour son maintien La transformation est aussi n cessaire pour la d monstration en visite et en formation Toutes options confondues Il y a un probl me de conduite des ateliers cause du turn over des chefs d exploitation et du manque d int ressement pour motiver les quipes 561 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Les autorit s coordinatrices Collectivit s locales r gion d partement mairie J ae q P J On a une orientation nette vers le choix de l option 3a un jugement positif pour les deux options 1 et un jugement n gatif pour les deux options 2 Ce choix est interpr ter avec pr caution car il est d trois participants un pour chacun des trois acteurs aux valuations tr s diff rentes t Concernant les options 1 Du cot des participants de la r gion et du d partement la viabilit de cette option n est pas n cessairement bonne Mais ce n est pas l objectif car on est dans la d monstration et la recherche L atelier est l gitime et ce sont aux collectiv
7. une mission transversale 71 2 2 1 Des ing nieurs am nagistes une d l gation interminist rielle 71 2 2 2 La mise en uvre du Sch ma de D veloppement de l Espace Communautaire 73 2 2 3 De la mise en uvre de la Loi Voynet la loi d orientation agricole 75 2 3 Am nagement du territoire et agriculture le cas de l le de France 81 2 3 1 Relief et occupation du sol 81 2 3 2 Activit s humaines et structuration du territoire ccccceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees 85 2 3 3 Le syst me agricole francilien et ses limites 88 2 3 4 Le r le du SDRIF pour le maintien de l agriculture 91 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 2 4 Avenirs de l agriculture en le de France cccccscscscsscscescseeecsescsesecsesscacsecacsecsesecscsecscseeecaees 101 2 4 1 Sc nario 1 La France des fili res l environnement agro efficace 102 2 4 2 Sc nario 2 L agriculture duale une partition environnementale eee 103 2 4 3 Sc nario 3 L Europe des r gions un patchwork aux r sultats environnementaux CONUASTOS RE PE Aen N E AEE E A E EEEE AAE EE EE 104 2 4 4 Sc nario 4 Une agriculture haute performance
8. 335 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2005c Strat gie nationale pour la biodiversit Plan d action agriculture Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 14 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2006a Les signes officiels de la qualit et de l origine Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 17 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2006b Loi d orientation agricole un cadre r nov pour accompagner l agriculture de demain dans sa dimension strat gique Le guide pratique des principales mesures Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 12 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2006c Plan strat gique national de d veloppement rural 2007 2013 Document de travail Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 113 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2009 Conditionnalit 2009 Introduction g n rale Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 8 pp Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement durable et de la Mer 2010a Le minist re Extrait de Janvier 2010 from www developpement durable gouv fr Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement durable et de la Mer 2010b Pages d histoire Extrait de Janvier 2010 from http agriculture gouv fr histoire presentation htm Minist re de l Ecologie du D veloppement et de l Am nagement durables 2007a Document r capitulatif des tables rond
9. C est galement l poque de l agromanie et il d cide la cr ation d une ferme exp rimentale Cette deuxi me vocation du domaine se concr tise par la construction de la grande ferme en 1785 Cette double fonction restera toujours le fondement de ce site national La vocation d levage de la Bn date de 1786 et de l achat d un troupeau de M rinos espagnols qui a donn naissance aux M rinos de Rambouillet De l cole des bergers ouverte en 1794 la cr ation du Centre de formation pour apprentis en 1993 la Bn affirme aussi une vocation d enseignement forte La Bn a t pionni re d s 1994 sur la sensibilisation du monde de l enseignement agricole la prise en compte du concept de d veloppement durable Elle est aujourd hui compos e de trois p les le p le formation CFA CFPPA Ins mination animale qui s appuie sur la plateforme technique et technologique et collabore avec le d partement 3DFI le p le recherche et d veloppement essentiellement constitu par le d partement 3DFI qui s appuie sur la plateforme technique et technologique et sur des partenariats avec des organismes de recherche et l enseignement sup rieur le p le accueil animation culture activit s d animation et d accueil sur la plateforme exploitation agricole le mus e la boutique gourmande La plateforme technique et technologique constitu e par le centre questre et l exploitation agricole vient compl ter ces p les Be
10. La strat gie nationale pour la biodiversit 2 00 00 ccc cccceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeaeaaes 34 1 2 D finir et mesurer la biodiversit des naturalistes aux fonctionnalistes 41 1 2 1 D finir la biodiversit via la classification du vivant 41 1 2 2 La dynamique volutive de la biodiversit ee cceeeeeeeeeeeeeeeeee eee eeeeeeeeeeeeeeeeseeeeeaaaaes 43 1 2 3 Les probl mes de mesures de la biodiversit et de son volution 45 1 3 D finir la biodiversit par ses fonctions pour l esp ce humaine eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeees 47 1 4 CONCIUSIOM sasa eene E e E E O EE E E A 55 2 L ACTIVITE AGRICOLE EN LE DE FRANCE UN LIEN FORT AVEC L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE 57 2 1 Fonctionnement et cons quence des politiques agricoles ccccc eee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeteeeeeeeees 59 2 1 1 De l aube de l agriculture lapr s seconde guerre mondiale en France 59 2 1 2 L avant 1992 ou l apologie du productivisme cceeececeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeteeeeeeeeeeeees 61 2 1 3 L apr s 1992 ou la prise en compte de l environnement 62 2 1 4 Les r formes de 2003 ou l volution vers une agriculture durable 63 2 1 5 Les mesures en faveur de l environnement de la PAC aux programmes nationaux 67 2 2 L am nagement du territoire
11. Les parties prenantes externes largies Recherche et Enseignement sup rieur Agroparistech On a une orientation nette vers le choix des options 1a et 2a et un jugement moins n gatif pour le maintien que pour l arr t de la transformation Concernant les options 1 L option 1a semble plus efficiente conomiquement que le syst me actuel et permet la simplification du dit syst me Cependant l autonomie alimentaire n est pas forc ment acquise tous les ans et la concentration des v lages risque de compliquer le travail Il est peut tre pr f rable de diminuer le chargement animal et de passer en AB L option 1b est une activit financi rement risque Elle ne permettra ni l autonomie au niveau des aliments ni la vente directe Les salari s n ont pas la formation ad quate et le syst me en sera complexifi Concernant les options 2 L atelier est l gitime les produits valoris s en fili res courtes et le partenariat avec le GIE des tablissements d enseignement agricole sont les principaux arguments pour porter le choix sur l option 2a Par contre la main d uvre co te trop cher il faut r organiser la production L option 2b va l encontre de ces points positifs mais simplifie le syst me Concernant les options 3 L option 3b affaiblit l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et va obliger les agriculteurs se d placer hors du territoire pour transformer leur viand
12. d but 2006 Paris 2 pp Gadrey J et Jany Catrice F 2005 Les nouveaux indicateurs de richesse La D couverte Collection Rep res Paris 123 pp GAIF 2008 Citoyennet mondiale et responsabilit dans le secteur agro alimentaire Improving Competitiveness and Development Impact New Delhi India 8 11 April Gallopin G Hammond A Raskin P et Swart R 1997 Branch Points Global Scenarios and Human Choice Global Scenario Group Stocholm Environment Institute Stockholm 55 pp Gamboa G 2006 Social multi criteria evaluation of different development scenarios of the Ays n region Chile Ecological Economics 59 1 157 170 Gaston K J 2000 Global patterns in biodiversity Nature 405 6783 220 227 Gendron C 2000 Enjeux sociaux et repr sentation de l entreprise Revue du MAUSS 15 320 326 Georgescu Roegen N 1995 Demain la d croissance entropie cologie conomie Sang de la terre Pr sentation et traduction de MM Jacques Grinevald et Ivo Rens Paris 254 pp Germain C et Tr bucq S 2004 La performance globale de l entreprise et son pilotage quelques r flexions Semaine sociale Lamy 1186 35 41 Giampietro M 1994 Using hierarchy theory to explore the concept of sustainable development Futures 26 6 616 625 Giampietro M Mayumi K et Munda G 2006 Integrated assessment and energy analysis Quality assurance in multi criteria analysis of sustainabilit
13. de l indicateur maximum aux de sp nn CCR CS M Autonomie financi re _____ 01 151 15 __ Sensibilit aux aides 1 ie a Efficience du processus productif D Se ss 516 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Un ZOOM sur les composantes Diversit Diversit des cultures Diversit des cultures Diversit animale annuelles et p rennes temporaires Organisation de l espace Assolement Gestion des mati res organiques Contribution aux enjeux Gestion des surface environnementaux du temtoire fourrag res 517 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Pratiques agricoles Fertilisation Effluents Pesticides Traitements Protection Geston de D pendance organiques v t rinaires de la la ressource nerg tique liquides ressource en eau des sols Qualit des produits et du terroir Demarche de Valorisation du Gestion des Accessibilit de qualit patrimoine bat d chets non l espace et du paysage organiques Emploi et services Valorisation Autonomie et Services Contribution Travail P rennit par fili res valorisation pluractivit l emploi collectif probable courtes des ressources locales 518 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Ethique et d veloppement humain Travail P rennit ContibutionBien tre Formatiorintensit dualit de Isolement Accueil collectif probable l quilibre animal trav
14. fonctionnels les p riodes de reproduction non regroup es et par l absence de certains am nagements tels l absence de points d eau permanents 3h de transport d eau par jour en t ou de syst mes de contention dans les p tures probl me pour boucler les veaux du troupeau viande par exemple Troupeau laitier beaucoup de concentr s pour le niveau de production des probl mes sanitaires et un taux de renouvellement trop bas Au cours de la campagne laiti re 2008 2009 la production est de 6000 par vache pr sente y compris le lait distribu aux veaux et le lait cart pour cause de mammite pour une quantit de concentr de l ordre de 2000 kg par vache Cet apport de concentr est tr s important pour un syst me o le ma s repr sente environ 60 de la ration hivernale la r f rence tablie par les R seaux d levage tant de moins de 1000 kg dans ce cas de figure Ce niveau lev de compl mentation a t appliqu afin de maintenir le niveau de production des vaches ce qui laisse penser qu un manque de fourrage s est ajout a des dur es de lactation beaucoup trop longues cause de probl mes aigus de reproduction et des probl mes chroniques de mammites Face aux probl mes sanitaires rencontr s le taux de r forme des vaches est faible 14 r formes pour 63 vaches pr sentes soit 22 Il sera cependant difficile d augmenter le taux de renouvellement court terme en raison du peu de g nisse
15. moire de Master 2 M diation des connaissances Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 140 pp Syngenta 2006 Stewardship amp Sustainable Agriculture Syngenta International AG Syngenta Crop Protection Basel 32 pp Syngenta 2009 Annual Review 2009 Syngenta International AG Basel 58 pp The VALSE Team 1998 Chapter 4 Multi Criteria and Participative Perspectives on Environmental Evaluation Social Processes for Environmental Valuation The VALSE Project Full Final Report M O Connor et J Tsang King Sang Rapport de recherche du C3ED Guyancourt 38 Thi baut L 1999 Mesures agri environnementales et politiques d environnement Int grations compl mentarit s et d calages Economie rurale 249 11 18 Torre A et Caron A 2002 Conflits d usage et de voisinage dans les espaces ruraux Sciences de la Soci t 57 95 113 Torre A et Zuindeau B 2006 Editorial Dossier 7 Proximit et environnement D veloppement durable et territoires Dossier 7 Proximit et environnement 7 pp Toublanc M 2004 Paysages en herbe le paysage et la formation l agriculture durable Educagri ditions Dijon 296 pp Trommetter M et Weber J 2004 D veloppement durable et changements globaux le d veloppement durable l est il encore pour longtemps Biodiversit et changements globaux R Barbault
16. sc narios d adaptation consolidation et optimisation du syst me en place r duction de 25 du cheptel allaitant et prise de juments et de poulains en pension m me type d adaptation mais avec une r duction plus significative du troupeau allaitant 50 La difficult de cet exercice consiste fixer les hypoth ses techniques et conomiques un niveau r aliste En effet le syst me n tait pas bien ma tris les ann es pass es Quel niveau de performances peut on afficher pour les ann es venir pour les ateliers d j en place et quel niveau de maitrise peut on attendre pour l levage des poulains dans le cas o ce nouvel atelier se substituerait aux vaches allaitantes Pour une premi re approche les r f rences retenues sont celles propos es par les R seaux d levage et par les R seaux quins ce qui suppose que la ma trise du syst me a t r alis e Nous ne pr senterons ici que les r sultats des deux sc narios les plus contrast s 1 sc nario consolidation du syst me en place Hypoth ses y Production de la r f rence laiti re 350 000 I avec 54 vaches 6 500 et 1 tonne d aliments concentr s P turage int gral au printemps y Troupeau allaitant de 40 vaches limousines avec une productivit num rique de 88 et un taux de renouvellement important pour regrouper les v lages Troupe ovine recentr e sur les M rinos 150 agnelages en sept octobre et les Ile de France et Romane 3
17. 0 2 2 eee eee eterna eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeenns 135 3 3 2 Quel affichage de la performance de l activit agricole c cceeeeeeeeeeeeeeeeeeteeeeees 138 3 4 Panorama des visions de la performance de l activit agricole en France 143 3 4 1 La m thode d analyse adopt e cccceccecc ccc eceeeeeeeeeeeeeeeeeceeaaaeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeneteeeeees 143 3 4 2 La performance de l activit agricole en trois optiques irr ductibles 145 3 4 3 Comment sont justifi es et l gitim es ces trois optiques irr ductibles 151 3 4 4 Des acteurs amont aval contraints d accompagner une agriculture plus sobre 155 3 5 Conclusion de she datent nie anne sewenseaddleareneine EEEE N ENESE lets 161 4 L EVALUATION PARTICIPATIVE MULTICRITERE UNE DEMARCHE POUR DEFINIR LA PERFORMANCE DE L ACTIVITE AGRICOLE 2232 cis cesdereecceceisecevscepectssonsutGecetesccunesececcscensveeeccexsesexesceedsssausnescuecedacseuiecdecelevteer lt eeetie 163 4 1 L valuation participative multicrit re une d marche d analyse int gr e 165 4 1 1 L analyse int gr e une approche pertinente pour la gestion de la biodiversit 165 4 1 2 La participation l ment fondamental des valuations multicrit res 168 4 2 Quelles d marches d valuations participatives multicrit res 7 175 4 2 1
18. 1 D crire le contexte han e a a a a tanlil a 189 4 5 2 Identifier et structurer les acteurs 189 4 5 3 L enqu te socio conomique ccccceeeeeeceeee eee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeauaaaadeeeeeererseeaeaeaees 192 4 5 4 Identifier et structurer les enjeux de performances ccceceeeceeeeeeeeeeeeeeeeeteeeeeaeaeeees 193 4 5 5 Identifier et structurer les alternatives 197 Etape 3 Quelle repr sentation du syst me 7 199 4 6 1 L valuation de la durabilit de l agriculture cc ceeeeeceeceeee cece ce eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeaeaees 199 4 6 2 Les indicateurs d finition et Utilisation 2 cccececeeeeeeeeeeeeeeeeeeceeeeeeeeeeseeeeseeeeeaeaaeees 201 Etape 4 Comment bien utiliser la Matrice de d lib ration cececeeeeccceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeees 205 4 7 1 utilisation de la Matrice de d lib ration 205 4 7 2 L agr gation des r sultats de l valuation 207 4 7 3 L importance de la pond ration dans la pr sentation des r sultats 211 4 7 4 Le r le des indicateurs pour communiquer les jugements ceeeeeeeeeeeeeeeteeees 214 Etape 5 Quel lien entre analyse et communication cceeceeeecee eee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeaeeees 217 4 8 1 Quelle analyse des r sultats ss 217 4 8 2 Le r le de la COMMUNICATION eee ceeeee cece eeee cece eee e eae eee eeeeeeeeeeeeeeaeaaaeeeeteeeeeeeeeeeeaeaeeee
19. 2009a Analyse de l valuation Les avenirs de l exploitation agricole de la Bergerie nationale Document de travail interne Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 20 pp Da Cunha C 2009b l ments d une d marche de concertation Les avenirs de l exploitation agricole de la bergerie nationale Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines 366 R f rences Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 4 pp Da Cunha C O Connor M Douguet J M Boussier D et Boisset K 2010 Analyse et discussion des r sultats de l valuation finale Les avenirs de l exploitation agricole de la bergerie nationale Rapports de recherche REEDS RRR 2010 A venir Daly H E 1992 Allocation distribution and scale towards an economics that is efficient just and sustainable Ecological Economics 6 3 185 193 Danone 2009 Rapport technique D veloppement Durable Danone Paris 149 pp Darwin C R 1859 L origine des esp ces Slatkine Reprints Edition 2009 Gen ve 704 pp DATAR 1999 Tout ce qu il faut savoir sur la loi Voynet La lettre de la D l gation a l Am nagement du Territoire et a l Action R gionale 167 12 DATAR 2000 Territoires 2020 N 1 Territoires 202 0 1 101 pp DATAR 2001 Agriculture et territoires Quatre sc narios pour 20
20. 43 11 pp Blouet A Pervanchon F et Pervanchon M 2003 L agriculture raisonn e limites et alternatives du mod le agricole dominant Futuribles 283 27 42 Boero F 2009 Taxonomy and Ecosystem Function Strategies in Taxonomy Research in a Changing World Electronic conference May Boisvert V et Vivien F D 2009 La Convention sur la diversit biologique quelle lecture institutionnaliste S minaire H t rodoxies du CES Paris 24 novembre Boual J C 2003 Am nagement de l espace et environnement Ecologie et Progr s Les dossiers de la revue Bourdon F et Pichery M C 2008 Du territoire g ographique au territoire conomique la situation de la viticulture De Jules Guyot a Robert Parker 150 ans de construction des territoires du vin Dijon Novembre Bourg D et Buclet N 2005 L conomie de fonctionnalit Changer la consommation dans le sens du d veloppement durable Futurible 313 27 38 Boussier D 2009a Le projet pour l exploitation agricole Le choix du syst me de production Bergerie nationale Rambouillet 20 pp Boussier D Da Cunha C 2009b Un projet pour l exploitation agricole Newsletter de la Bergerie nationale Merinos com Juin 4 5 Boussier D Da Cunha C 2010 Les orientations pour l exploitation agricole Newsletter de la Bergerie nationale Merinos com F vrier 4 5 Brodhag C Gondran N et Delchet K 2004 Du concept a la mise
21. 52 53 38 Evaluation F globale 39 L option 1b ne fait pas consensus Elle est valu e d favorablement mais seulement hauteur de 39 Les Externes traditionnelles la jugent clairement d favorable Les Internes la jugent d favorable 38 ce qui refl te la dissension au sein de ce groupe de parties prenantes pour cette option 2b Ce groupe se s pare en trois unions les contre 3DFI et Formation les mitig s d saccords au sein des salari s de l exploitation et les pour centre questre Les Externes largies la jugent favorable Les Autorit s coordinatrices la jugent favorable 46 ce qui refl te des points de vue divergents au sein de ce groupe de parties prenantes les tutelles institutionnelles sont contre et les collectivit s locales sont pour Cette division doit d autant plus tre prise en compte que ce groupe de parties prenantes a un impact fort sur les subventions existantes et potentielles Indicateurs po Acteurs RERO a a AC Institu 4x ET Clients 2x Ne En 0 Complexit du syst me a EE Dvp agri 2x ET Dom ONF 1x Qu ue 2x Et E EE Ens sup 2x INT 3DFL tx 8 ee Degr d ad quation entre les 55 AC Institu 2x INT 3DFI 1x INT Equest 1x productions et les formations du X11 EE Dvp agri 1x INT EA Ax INT Format 1x naiss FI Dom ONP De ne aE PRET Degr d utilit d un atelier pour 4 7 AC Collect 1x ET Clients 1x INT 3DFI 1x Tanimation eee e
22. Br viaires La Bn assure celle de l levage de la jument pendant la p riode de gestation et du poulain jusqu l ge de 3 ans A terme 12 juments poulini res suit es pourraient tre lev es en partie sur les surfaces lib r es par la r duction du troupeau de Limousines ramen 20 vaches et en partie sur 15 ha de prairies mis disposition par le Haras des Br viaires Les juments seraient en pension aux haras des Br viaires lors de la p riode allant de un mois avant le poulinage la saillie confirm e de la jument La Bn aurait les juments en pension le reste de l ann e 6 mois environ et les poulains de leur naissance 3 ans Partie aviculture Option na repli de la production avicole Dans cette option la production d ufs biologiques est ajust e aux possibilit s de commercialisation en circuits courts seuls susceptibles de valoriser les ufs un niveau suffisant pour supporter leur co t de revient actuel Ceci conduit la fermeture d un poulailler sur trois le moins performant pour le ramassage des ufs qui sera reconverti d autres usages agricoles Afin de r duire la r p titivit et la p nibilit du travail des investissements seront r alis s pour automatiser certaines t ches notamment par l acquisition d automate pour le tri et le marquage des ufs La vente en vrac pour les circuits courts sera d velopp e Cet ajustement devrait s accompagner d une am lioration de la product
23. Dossier Le d veloppement durable Extrait de D cembre 2009 from www actu environnement com AFP 2009a La r gion le de France a d pos son recours contre l Etat AFP 18 d cembre AFP 2009b Sdrif Jean Paul Huchon autoris saisir le Conseil d Etat par le conseil r gional AFP 8 octobre Agralys 2008 Ensemble coop rons pour une agriculture durable Agralys Ch teaudun 9 pp AGRESTE 2007 M mento de la statistique agricole Les structures Minist re de l Alimentation de l Agriculture et de la P che Paris 8 pp AGRESTE 2008 le de France M mento 2008 Direction r gionale et interd partementale de l agriculture et de la for t Driaf Paris 11 pp AGRESTE 2009a Enqu te sur la structure des exploitations agricoles en 2007 Direction r gionale et interd partementale de l agriculture et de la for t Driaf 4 pp AGRESTE 2009b le de France M mento 2009 Direction r gionale et interd partementale de l agriculture et de la for t Driaf Paris 25 pp AGRESTE le de France Extrait de Janvier 2010 from http agreste agriculture gouv fr en region ile de france AMAP le de France Le r seau des AMAP en le de France Extrait de Novembre 2009 from www amap idf org Ambiaud E Blanc M et Schmitt B 2006 Les bassins de vie des bourgs et petites villes une conomie r sidentielle et souvent industrielle Insee Premi re 954 43 48 Andr S et Oberti
24. Et a priori un rejet des deux options 3 Ce choix est interpr ter avec pr caution car il est d trois participants un pour chacun des trois acteurs aux caract ristiques tr s diff rentes Concernant les options 1 L option 1a est jug e positivement par les trois participants Les productions permettent une valorisation en fili re courte de produits Bergerie nationale dans un syst me respectueux de l environnement Cette option est favorable l animation qui en retour permet une meilleure vente des produits Le jugement sur le d veloppement local est plus mitig pour 1 le participant de l AMAP la fili re n tant pas en AB et 2 les deux autres participants la r gularit et la quantit d approvisionnement n tant pas suffisantes L option 1b n a pas t jug e par le participant des Distributeurs car il ne s est pas senti concern Le participant de l AMAP pense que c est mauvais pour l image de la Bergerie nationale Le participant du GIE des tablissements d enseignement agricole met en avant une complexification du syst me et un risque de conflit avec les salari s Concernant les options 2 L option 2a est jug e positivement par les trois participants du fait que l option 2b provoque la perte d un atelier en AB de la valorisation en fili res courtes et du potentiel de formation de cet atelier L enjeu Respect de l environnement est mal not par le participant du
25. L utilisation d alternatives comme moyen d organiser le d bat autour du probl me 175 4 2 2 L approche d valuation ex ante ss 176 4 2 3 L approche d valuation ex post 177 4 2 4 Les outils pour l valuation participative multicrit re au sein du laboratoire REEDS 178 4 3 La d marche INTEGRAAL une m ta m thode cc eee e cece eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeaaeeeeeeeeeeeeeeeeeeaaaaaees 181 4 3 1 tape 1 Identifier le probl me ccccccccccsscsessesscescsssseseeeeesessessececseeseeossensaeeneatses 182 4 3 2 tape 2 Structurer le probl me ssdinnini nana it tele distant 182 4 3 3 Etape 3 Repr senter le syst me cccceeceeceeee cee eeeeeeeeeeeeeeeeeaeeaaeeeteeeeeeeeseeeaeaaaees 184 4 3 4 Etape 4 Evaluer et D lib rer ccccceeeeceececee cece ecaeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeaaaeeeeteseeeeseeeeeaeaeaees 185 4 3 5 Etape 5 Analyser et Communiquer 186 4 3 6 Quelles m thodes pour la d marche INTEGRAAL 7 186 8 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 4 4 4 5 4 6 4 7 4 8 4 9 Etape 1 Comment choisir les cas d tude face un territoire h t rog ne 7 187 Etape 2 Comment structurer le probl me 7 189 4 5
26. Multi functionality a conceptual framework for a new organisation of research and development on grasslands and livestock systems Multi functions Grasslands quality forages Animal products and Landscapes La Rochelle 27 30 Mai Hervieu B Flamant J C et de Jouvenel H 2004 INRA 2020 alimentation agriculture environnement une prospective pour la recherche INRA Paris 260 pp Hervieu B et Viard J 1996 Au bonheur des campagnes Editions de l aube Paris 154 pp Homme et territoires 2006 Outil d valuation et de conseil sur la gestion de la biodiversit au niveau de l exploitation agricole Homme et territoires Orl ans 39 pp Hueting R 1980 New Scarcity and Economic Growth More Welfare through Less Production Holland Publishing Company Traduit par Trevor Preston Amsterdam 269 pp Hufty M 2005 La biodiversit dans les relations Nord Sud coop ration ou conflit Revue internationale et strat gique 4 60 149 158 IAU idF 2009 Les intercommunalit s Extrait de Mai 2009 from http www iaurif org lile de france les intercommunalites html IAURIF 2001 Les bassins versants d le de France et la pollution des eaux par les phytosanitaires Paris 73 pp IAURIF 2005a Les paysages d le de France dans l espace et le temps Note rapide sur l occupation du sol 381 6 IAURIF 2005b Sensible ralentissement de la consommation d espaces naturels et agricoles en le de Fra
27. Saint Quentin en Yvelines CEZ Parc du chateau 78514 Rambouillet la 0761 0869 49 QE charlone d cunha c3ed uvsa f www sed uvsa fr 576
28. activit s agricoles 345 8 2 Une d finition contextuelle de l agriculture durable un cadre d analyse r utilisable 347 8 3 Quel avenir de l agriculture en le de France ccccecsecssessssesecsseseesecstestsceseeseeseseesseseesaeaes 353 8 4 Perspectives de recherche ss 357 10 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re R f rences 2 nn adrien nent ane a den ei can a dan an Rene se einat aeaiiai 361 Liste des sigles seems 387 Table des illustrations iiiiiiiiiiueeeeeeneeeceeceeceeeaneenecneceeeeceneeeuessee 393 LIST CSS eNCAASS aean a OR Sd IG ee des Cure ct tea 393 Liste des figures Liste des tableaux PAINE KOS a te ee tert TST AIEE E AE EE A EET E 397 Annexe 1 Le Manuel d Utilisateur pour KerDST Variation D iii Annexe 2 Le diagnostic de territoire CCDH Annexe 3 L exemple de la m thode d exploitation des interviews CCDH Annexe 4 Les trois IDEA CCDH iii Annexe 5 Le remplissage de la Matrice de d lib ration par les acteurs CCDH Annexe 6 La pr sentation des r sultats de l valuation pour les acteurs Exemple de la cat gorie d acteurs les acteurs Guimonde rural 2 CCDA sey saree ns si cen actiawest EE r saat spadeeeensustecesiateaapecttwetasestanac
29. appr ciation globale relativement d favorable Dans le cas de cette valuation ces informations sont peu exploitables car chaque valuation globale est le r sultat de jugements tr s contrast s que ce soit en fonction des cat gories d acteurs que des options On peut n anmoins noter un quasi consensus pour une valuation d favorable de la Conduite du changement pour tous les acteurs et pour toutes les options Sur l axe des cat gories d acteurs on observe un jugement global plut t n gatif pour les cat gories d acteurs GIE Acteurs du parc du ch teau Clients Soci t civile Recherche et Enseignement sup rieur Institutions de tutelle et plut t positif pour les cat gories d acteurs La Production La Formation La Recherche Le centre questre Coop ratives et fournisseur Profession agricole locale Acteurs du d veloppement agricole Collectivit s locales Ces informations sont int ressantes pour la cat gorie d acteurs Recherche et Enseignement sup rieur dont le pourcentage de la couleur majoritaire est de 55 Ce pourcentage fort s explique par le fait que le repr sentant a jug d favorablement les options 1b 2b et 3b au moins a 75 On peut d ores et d ja savoir qu il a soit exprim des avis d favorables sur tous les enjeux soit qu il s est abstenu sur certains et jug d favorables les autres Pour les autres cat gories d acteurs le pourcentage de la couleur majoritaire est peu dif
30. autre Dans les options 1a 1b 2a et 3a les emplois sont maintenus Des gains en mati re de productivit du travail pourront moyen terme mener reconsid rer le remplacement de tout d part volontaire Dans les options 2b et 3b l arr t de l activit entra ne la suppression des postes concern s D ventuelles possibilit s de r affectation seront tudi es avec le personnel concern La r union avec les responsables de plateformes de la Bn Conseil de plateforme du 24 juin 2009 a permis de discuter de modifier puis de s accorder sur les composantes de l valuation Les six options suivantes ont t soumises l valuation Elles sont pr sent es en d tails ci apr s 1 Option na consolidation 2 Option n b introduction du cheval 3 Option n 2a repli de la production avicole 4 Option n 2b arr t de la production avicole 5 Option na maintien de la transformation 6 Option n 3b arr t de la transformation Partie polyculture levage d herbivores Option na consolidation Cette option pr voit une optimisation du syst me actuel par une meilleure utilisation de l herbe qui permettra de limiter au maximum l approvisionnement ext rieur et d am liorer les performances des animaux Ce r sultat sera obtenu par une mise l herbe des troupeaux plus pr coce et plus longue par la pratique du p turage mixte pose de cl tures pour ovins et bovins par l augmentation de la part
31. cet elevage a Bergere natonde etc Que enjeu prvi ger squire conomique es pius Important que ie asque de confits d usage 7 Une pluralit d acteurs Par ailleurs ces emeux sont jug s de fa on differente parfor contradiciore par une plurale d acteurs selon leur systeme de valeurs mais aussi selon leur mode de we Pour cetames pesonnes la preservaton de lemwronne ment nest gas n gocable alors que pow d autres ies r su tats conomiques sont 2 metre en avart tout Qui a rason TOWE 53 justfcation et aucun argument ne peut Gre jug comme mons recevable qu un Iire Les d fis pos s par l avenir de l exploitation agricole Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Cette pluraite engendre un degre de complexit sup plementaire pour la konne comprehension de la si tuaton que souhaitent les acteurs 7 Selon guel en jeu environnement social etc Des conflits parfois wrem diables peuvent apparaitre entre acteurs Au d cideur ensuite de trouver les moyens de conciler les imterets des uns et des autres pour defirw des solusons mieux adapiees aux besoins mare aussi mieux accept es L imphcanon des parues prenantes des le d but des reflexonc sur un projet apparait ds sormais comme une des solutions les plus efficaces pour r pondre ces problemes Des incertitudes scientifiques Enn le pres de decision est souvent associ e des incertitudes soentiique
32. composite des r sultats de l valuation sous section 6 5 1 En sous section 6 5 2 nous pr sentons les r sultats en d tail dont l exposition par option des jugements des cat gories d acteurs sans le d tail par enjeu Pr senter les r sultats pour chaque option permet d identifier grossi rement les acteurs pour et contre On obtient ainsi une classification des pourfendeurs et d fenseurs de chacune ce qui a permis aux d cideurs de se positionner par rapport aux diff rents acteurs Nous pr sentons ensuite un r capitulatif de l valuation des options toutes cat gories d acteurs confondues mais avec le d tail par enjeu Il claire dans les grandes lignes sur les raisons du jugement global de chaque option Ce r capitulatif est d autant plus int ressant que le nombre d acteurs et de cat gories d acteurs tait important Puis on descend dans un niveau de d tail sup rieur Les cinq indicateurs les plus pertinents c est dire les cinq indicateurs ayant l impact global le plus lev pour chaque enjeu toutes cat gories d acteurs et toutes options confondues sont list s Nous finissons cette section par la proc dure de communication mise en place sur l exploitation de la Bn sous section 6 5 3 6 5 1 La pr sentation synth tique des r sultats La vue synth tique de la Matrice constitue un indicateur composite des r sultats de l valuation Figure 17 Pour mieux appr hender les r sultats de cette Mat
33. de Rambouillet Laura Maxim Charg e de Recherche l ISCC CNRS Paris Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re RESUME En cette Ann e Internationale de la Biodiversit cette derni re est plus que jamais consid r e dans la litt rature scientifique et institutionnelle comme une composante irr ductible de la durabilit qui doit faire l objet d attention dans tous les secteurs d activit s conomiques Cette th se a pour objectif l argumentation et la mise l preuve d une d marche participative multicrit re pour comprendre comment l environnement dont la biodiversit peut tre pris en compte dans les activit s agricoles Bas sur deux tudes de cas des chelles diff rentes une communaut de communes et une exploitation agricole ce travail tudie dans quelle mesure la composante biodiversit est int gr e par les acteurs de l activit agricole Ces applications montrent que la d marche propos e est un support efficace pour la mise en vidence de leurs enjeux ces derniers d voilant une appropriation faible de la composante biodiversit par les acteurs Dans le chapitre 1 apr s avoir d crit l int r t port la biodiversit nous d montrons que la prise en compte de l environnement est devenue essentielle pour l activit agricole avec la
34. de la biodiversit Services Environnementaux pour des Territoires Soutenables Concepts de valeurs et Outils op rationnels Social multi criteria evaluation Syst mes MultiM dia d Apprentissage et d Aide a la D lib ration Soci t Nationale des Chemins de fer Frangais Syndicat National de l Industrie de la Nutrition Animale Sch ma R gional d Am nagement et de D veloppement du Territoire Services R gional de l alimentation Services R gional d conomie agricole Services R gional de l emploi et de la politique sociale agricole Services R gional de la formation et du d veloppement Services R gional de l Information Statistique et Economique Sch mas de Services Collectifs Sp cialit Traditionnelle Garantie Techniques culturales simplifi es Techniques de l information et de la communication Tools to Inform Debates Dialogues amp Deliberations Tr s Petites Entreprises T te de R seaux pour l Appui M thodologique aux Entreprises Tourisme Rural et Education l Environnement Union Europ enne Union internationale pour la conservation de la nature Unit Mixte de Recherche Unit Territoriale Liste des sigles UVED UVSQ VIRTUALIS VISIONS Viviane ZNIEFF ZPS ZSC Universit virtuelle environnement et d veloppement durable Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Integrated Visions for a Sustainable Europe Visite virtuelle no
35. de progr s en mati re de valorisation sauf pratiquer des augmentations tarifaires d j appliqu es la boutique fin 2008 L autre piste est la diminution des co ts de production et notamment l am lioration des performances techniques 530 Annexe 11 Expertise technico conomique des autres ateliers exploitation de la Bn r alis par la Bn 3 Analyse du temps de travail des ateliers de volaille L utilisation de la main d uvre affect e cette activit a t analys e mois par mois en distinguant la part consacr e aux t ches de conditionnement et de commercialisation et celles l activit de production pour chacun des trois b timents Les conclusions de l analyse sont les suivantes L atelier poule pondeuse mobilise 5 046 h de main d uvre et l atelier de poulets 600 h le nombre d heures suppl mentaires est lev 825h 17 du total le temps consacr la mise en bo te des ufs est pr pond rant le temps de ramassage des ufs varie sensiblement d un poulailler l autre 1h18 pour le P2 1h24 pour le P1 et 1h54 pour le P3 Dans l tat actuel des r sultats techniques l optimum conomique est atteint lorsque la production est ajust e aux possibilit s de commercialisation en circuits courts Cet ajustement serait obtenu en cessant l activit du P3 qui produit environ 450 000 ufs soit l quivalent de la production commercialis e au grossiste Cet arr t r duit les beso
36. de visites libres an Nombre de visites anim es an Nombre de scolaires cole centre de loisirs an Degr d utilit d un atelier pour l animation Nombre de manifestations Adaptations aux besoins du public 10 Nombre de visites anim s courtes pr t a porter nombre de visites anim s totales Taux de retour des clients Nombre d activit s nouvelles an Nombre d heure de R amp D nombre d heure totale Satisfaction du public 11 12 13 14 Degr de satisfaction des visiteurs libres Degr de satisfaction pour les visites anim es Degr de satisfaction des encadrants des scolaires Degr de satisfaction des apprenants Qualit des supports p dagogiques visuels 15 16 17 18 Degr d ad quation de la signal tique et des circuits p dagogiques Degr d homog n it des supports Diversit des niveaux d approfondissement Nb de cycles complets de production Qualit de l accueil 19 20 21 22 23 Accessibilit de l espace IDEA B4 Qualit des abords IDEA B2 Qualit de l acc s aux handicap s Qualit de la signal tique Ad quation du prix d acc s Accessibilit de l espace dispositifs de cl tures passantes ou d accessibilit du public entretiens des chemins et ou am nagement des abords circulations VTT chevaux randonneurs Formation 31 32 33 34 Accueil de stagia
37. degradation in the framework of EEA Rapports de recherche REEDS RRR 2010 01 35 pp OCDE 2004 Agriculture et environnement enseignements tir s de dix ans de travaux de l OCDE Groupe de travail Mixte sur l agriculture et l environnement OCDE Paris 41 pp OCDE 2005 Manuel pour la cr ation de march s de la biodiversit principaux enjeux OCDE Paris 199 pp Ostrom E 1999 Coping with tragedies of the commons Annual Review of Political Science 493 535 380 R f rences Ostrom E 2000 A Behavioural Approach to the Rational Choice Theory of Collective Action Polycentric Games and Institutions M D McGinnis Michigan University Press Ann Arbor 427 521 Parlement europ en 2004a La politique de d veloppement rural Parlement europ en Fiches techniques Luxembourg Parlement europ en 2004b Les r formes de la PAC Parlement europ en Fiches techniques Parlement europ en L 2929 Luxembourg Passet R 1979 L economique et le vivant Payot Paris 287 pp Passet R 1990 Environnement et biosph re Encyclop die conomique X Greffe J Mairesse et J L Reiffers Economica Paris 1815 1868 Pearce D et Moran D 1994 The Economic Value of Biodiversity IUCN and Earthscan London 184 pp Pearce D W 2001 The economic value of forest ecosystems Ecosystem health 7 4 284 296 Pearce D W et Turner R H 1990 Economics of Natural Resources and the E
38. directe cr ation d une cueillette libre service conversion l agriculture biologique AB r cup ration et valorisation de l eau gestion des d chets verts cr ation d une marque PDD pour une bi re ou un pain local Plusieurs de ces pistes dont celle d un pain local sont galement travaill es dans les sc narios d volution des exploitations agricoles test s par la Bn sur trois exploitations et pr sent s cette m me r union Les agriculteurs sont invit s s inscrire dans des groupes de r flexion th matiques pour travailler les axes voqu s L une des conclusions du DT comme des DAE est la n cessit pour les agriculteurs d tre identifi s comme producteurs d aliments de qualit et de paysage dans une relation permanente la nature 6 2 2 Identifier et structurer les acteurs Lors d une d marche d valuation participative multicrit re le nombre de participants doit rester suffisamment r duit pour permettre une d lib ration Les parties prenantes choisies sont les personnes concern es par l avenir de l exploitation de fa on directe les salari s par exemple ou de fa on indirecte la DGER On peut diff rencier quatre grands groupes de parties prenantes V les parties prenantes internes les salari s de la Bn concern s par l avenir de l exploitation y les parties prenantes externes traditionnelles les acteurs ayant une relation commerciale directe pour l exploitation par exempl
39. en oeuvre du d veloppemetn durable th orie et pratique autour de guide SD 21000 VertigO La revue en sciences de l environnement 5 2 Bureau P Reichel V Legrand F O Connor M et Da Cunha C 2007a Manuel d Utilisateur pour KerDST le syst me d Aide a la d lib ration en ligne Variation C Sans d lib ration participative et avec foire aux indicateurs Les cahiers du C3ED 07 04 C 32 pp Bureau P Reichel V Legrand F O Connor M et Da Cunha C 2007b Manuel d Utilisateur pour KerDST le syst me d Aide la d lib ration en ligne Variation D Avec d lib ration participative et avec foire aux indicateurs Les cahiers du C3ED 07 04 D 35 pp Burel F Garnier E Amiaud B Aulagnier S Butet A Chauvel B Carr G Cortet J Couvet D Joly P Lescourret F Plantureux S Sarthou J P Steinberg C Tichit M Vaissi re B van Tuinen D et Villenave C 2008 Chapitre 1 Les effets de l agriculture sur la biodiversit Agriculture et biodiversit Valoriser les synergies Expertise scientifique collective Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 139 pp 363 R f rences Butault J P 2006 Les enjeux de la r forme de la PAC de 2003 re nouvelle ou fin de la Pac Revue de la Conf d ration Fran aise D mocratique du Travail 76 4 12 BVA et Minist re de l Agriculture et de la P che 2008 Plan Ecophyto perception des agriculteu
40. environnementale 105 2 4 5 Quelle place de l agriculture francilienne dans l agriculture fran aise et europ enne 106 2 5 CONCIUSION PAPE asia Ea E E E E EE Eaa EE ET ETE ES 107 3 QUELLE DEFINITION DE LA PERFORMANCE DE L ACTIVITE AGRICOLE csccecceeeeeeeeeeeeeeeeeeeneeeneeeeeees 109 3 1 La responsabilit sociale des exploitations agricoles 111 3 1 1 Pourquoi r fl chir la responsabilit sociale des exploitations agricoles 111 3 1 2 Les externalit s comme lien entre entreprises et soci t mieux comprendre le fonctionnement des exploitations agricoles cccceeeeceeeceeneeeeeeeeeeeeeeeeeaesaeeeneeeeeeeeseeeesaaaaeees 113 3 1 3 De la Responsabilit Sociale des Entreprises RSE la Performance Sociale de l Entreprise PSE iss neiii eeo E a E aE G ai aeee fete cam OEE entente eine ces 118 3 2 Les acteurs de l activit agricole en France 121 3 2 1 Les parties prenantes internes Us 122 3 2 2 LOS autorit s coordinatrice S a 224 4 inte meneur aE P a Nne 123 3 2 3 Les parties prenantes externes traditionnelles 128 3 2 4 Les parties prenantes externes largies ccccccsseceeceeeseeeeeeseeeeeeeseeeeeeeeeaeeeeeeeeaaeees 129 3 3 Les outils de pilotage de la performance des exploitations agricoles cceeeeeeeeeeeeteeees 135 3 3 1 Les nouveaux mod les agricoles
41. et B Chevassus au Louis 136 161 Turner R K 1991 Environment Economics and Ethics Blueprint 2 Greening the World Economy D W Pearce Earthscan Publication Ltd London Turpin N Laplana R Kaljonen M Strauss P Barlund Benigni G Bioteau T Birgand F Bontemps P Bordenave P Eklo O M Feichtinger F Garnier M Haverkamp R Leone A Lescot J M Lo Porto A Piet L Ripa M N Romstad E Rotillon G Tattari S et Zahm F 2005 Une d marche pour comparer le co t l efficacit et l acceptabilit de pratiques agricoles respectueuses de l environnement Ing nieries 43 19 32 Union Europ enne Alcotra et R gion PACA 2008 Pr sentation du projet FASST Extrait de Janvier 2010 from www alcotra fasst eu Van den Hove S 2000 Participatory approaches to environmental policy making the European Commission Climate Policy Process as a case study Ecological Economics 33 3 457 472 384 R f rences Van Den Hove S 2001 Approches participatives pour la gouvernance en mati re de d veloppement durable une analyse en termes d effets Gouvernance et d veloppement durable G Froger Helbing amp Lichtenhahn B le Geneva Munich 53 89 van der Sluijs J Douguet J M O Connor M Guimaraes Pereira A Corral Quintana S Maxim L et Ravetz J R 2008 Qualit de la connaissance dans un processus d lib ratif Natures Sciences Soci t s 16 26
42. exploitation et du directeur du centre questre Les propositions du groupe ont t valid es ou amend es par le directeur de la Bn Les travaux ant rieurs r alis s par la Bn notamment le Diagnostic de Territoire DT du Sud Yvelines forestier cette enqu te sur les attentes les repr sentations du syst me exploitation agricole section 6 3 et les perceptions des membres du groupe de r flexion interne ont servi de base pour d terminer les trois composantes de l valuation les options d volution les enjeux de performances et les cat gories d acteurs Ces composantes ont t d finies par le groupe de r flexion interne avec l aide des membres de l quipe IACA La r union avec les responsables de plateformes de la Bn Conseil de plateforme du 24 juin 2009 a permis de discuter de modifier puis de s accorder sur les composantes de l valuation 6 2 1 D crire le contexte local Cerner le contexte du territoire via un diagnostic de territoire va tre la deuxi me pierre angulaire pour la r v lation des cat gories d acteurs pertinentes et leurs int r ts des enjeux de performances et des options En septembre 1997 un Plan de D veloppement Durable PDD est lanc en Sud Yvelines sur l initiative du Minist re de l Agriculture et de la Mairie de Rambouillet Le choix du Sud Yvelines tant motiv par son caract re la fois p riurbain et naturel Ce PDD s est traduit par V la r alisation d un DT
43. faire rentrer les acteurs dans un processus de dialogue et de n go cabon Etape 5 Communication des r sultats et retour dexpenence s agit ici de communiquer les r sutats de l tude au pr s des participants mais aussi du public de fa on plus large Cette demi re tape vise s interroger sur les suites de l tude afin de la faire vivre dane Le futur peut notam ment s agir dune r flexion sur les actions mettre en uvre partir des conclusions issues du processus C est gaiement l occasion de revers cur les r ussites et les rat s du processus afin de retourner s n cessare une tape et plus globalement de tirer des le ons de fex p nence 570 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn La matrice de d lib ration Lokyectf de la Matrice de D lib ration est de faire appara tre les opimons des diff rents acteurs mpliqu s dans un probleme afin de defmir une opton qu satsfasse au mieux chacun tou du moins dans laquelle cha cun se retrouve Plus concr tement la Matrice permet de confronter trois l ments repr sent s par les trois axes de la Ma mce Les options envisagees pour ia gestion de la ressource ou du probl me sont d cnts travers axe des sc narios Les sc nanos sont sur le deuxi me ane valu s sur la base d enjeux ou de cat gories d enjeux par exemple preservs tion de la same de la gualt e
44. gionale de l am nagement et du d veloppement du territoire Centre R gional d Innovation et de Transfert de Technologies Contrats Territoriaux d Exploitation Coop rative d Utilisation de Mat riel Agricole Liste des sigles DAE DATAR 1 DATAR 2 DDAF DDE DDEA DDSV DDT DGER DIACT DIAGE DIALECTE DIALOGUE DIREN DPU DRAAF DRE DREAL DRIAAF DRIEA IF Diagnostics Agri Environnementaux D l gation l Am nagement du Territoire et l Action R gionale 1963 2005 D l gation interminist rielle l am nagement du territoire et l attractivit r gionale 2010 Directions D partementales de l Agriculture et de la For t Directions D partementales de l quipement Direction D partementale de l quipement et de l Agriculture Directions d partementales des services v t rinaires Direction D partementale des Territoires Direction G n rale de l Enseignement et de la Recherche D l gation interminist rielle l am nagement et la comp titivit des territoires 2005 2009 DlAgnostic Global d Exploitation DlAgnostic Liant Environnement et CTE Diagnostic agro environnemental global d exploitation Directions R gionales de l Environnement droits paiement unique Directions R gionales de Alimentation de l Agriculture et de la For t Directions R gionales de l quipement Direction R gionale de l E
45. l exploitation agricole de la Bergerie nationale Certains indicateurs ont donc t supprim s D autres ont t ajout s sur la base IDEA et le travail de stage effectu par Tania Armand en 2008 Indicateurs pour une Agriculture Durable Les ajouts d indicateurs sont expos s en couleur bleue 1 Viabilit conomique Concept Indicateurs Modalit s de d termination Rentabilit 1 Viabilit conomique IDEA C1 Viabilit conomique VE conomique 2 Efficience du processus productif IDEA C6 EBE BF UTH non salari 3 Rentabilit des innovations investissements Efficience du processus valeur ajout e productif Efficience Produits 4 Degr d utilisation des b timents Intrants Produits 5 Co t horaire du personnel qualifi euros Rentabilit des innovations investissements valeur ajout e Autonomie 6 D pendance financi re IDEA C3 D pendance financi re DF gt financi re 7 Sensibilit aux aides directes IDEA C4 Annuit EBE 8 du CA du au plus important client IDEA C2 Sensibilit aux aides SA gt 9 duCA g n r par le plus important m tier ou Aides directes EBE la principale production IDEA C2 10 du CA g n r par les circuits courts IDEA B6 Benchmarking 11 Qualit de l analyse comparative continu des fonctionnements des diff rents ateliers de l exploitation pour s inspirer des meilleurs pratiques interne 12 Qualit de l
46. la biodiversit 94 Lewandowski l H rdtlein M et Kaltschmitt M 1999 Sustainable crop production definition and methodological approach for assessing and implementing sustainability Crop Science 39 1 184 193 Limagrain 2008 Organismes g n tiquement modifi s Les cahiers d information de Limagrain Septembre 6 Limagrain 2009 Rapport d activit Chappes 84 pp Linn C v 1972 L quilibre de la nature Vrin Traduction par B Jasmin Paris 172 pp Localtis 2007 Introduction au nouveau dispositif 2007 2013 Localtis info 1 Lyon Dahl A 2000 Marine and Freshwater Research Using indicators to measure sustainability recent methodological and conceptual developments 51 427 433 Mace G M 2005 The current status of global biodiversity International Conference Biodiversity science and governance Paris 24 28 Janvier 376 R f rences Madureira L Rambonilaza T et Karpinski 2007 Review of methods and evidence for economic valuation of agricultural non commodity outputs and suggestions to facilitate its application to broader decisional contexts Agriculture Ecosystems amp Environment 120 1 5 20 Martinez Alier J Munda G et O Neill J 1998 Weak comparability of values as a foundation for ecological economics Ecological Economics 26 3 277 286 Mauguin P 2009 L agriculture de proximit un remarquable enjeu pour les territoires et les terroir
47. nature du sol nature des cultures probl me du d g t de gibier investissements r aliser comp tences techniques mobiliser et sur les possibilit s d assurer l quilibre financier de cette op ration 544 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Les salari s de l exploitation agricole Production de biens et services Le sous groupe Ruminant culture 4 e CR k as bi On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a et 2a Pour les options 3 le jugement est plus h sitant et plut t n gatif dans les deux cas Concernant les options 1 L option 1a est jug e positivement car elle permet de tendre vers l autosuffisance alimentaire le d veloppement de pratiques de cultures raisonn es Ces productions permettent une valorisation en fili re courte de produits Bergerie nationale Elle est aussi vecteur d am lioration des conditions de travail et permet une communication orient e vers le durable Seule la conduite du changement n est pas jug e favorable pour l option 1a m me si la communication s am liore avec les d cideurs les participants auraient aim tre consult s plus en amont sur ces options et d autant plus sur cette option 1a L option 1b n am ne aucun avantage et demande des investissements pour un gain financier incertain Elle pose des probl mes concernant les
48. pleinement satisfaction Concernant les options 2 L option 2a est valu e plus favorablement que l option 2b car elle permet de valoriser les produits en fili res courtes et de mettre en place des activit s d animation Cependant la fermeture d un poulailler risque de provoquer des ruptures de production d favorables la valorisation en vente directe Le potentiel p dagogique n est pas assez exploit notamment dans son lien avec les produits en vente la boutique Des animations qui d bouchent sur la vente de kits la boutique pourraient tre cr es par ex kit cr pe Concernant les options 3 Le maintien de l activit de transformation conforte l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et l image de la Bergerie nationale envers la profession Elle n a cependant que peu d utilisation p dagogique potentielle La mauvaise valuation pour la conduite du changement est li e au fait que la d cision sera politique 549 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Les parties prenantes internes L exploitation agricole Production de biens et services 0 006 0 ee 006060 z we 4 On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Le jugement de tous les salari s de l exploitation agricole confondus ne correspond parfaitement aucun sous groupe Ce jugement global repr sente un poin
49. premi re hypoth se Le maintien des activit s d aviculture et de transformation est l gitime pour le territoire et leur maintien ne tient pas que d un immobilisme des salari s Le maraichage Nous finissons sur l tude rapide sur le maraichage Nous avons dans ce cadre qu une valuation globale par cat gories d acteurs Figure 37 La proposition d tudier l implantation du maraichage est plut t jug e favorablement mais sous la condition de ne pas faire du maraichage classique Les participants qui ont t favorables a son implantation le sont pour un maraichage en AB et en fili res courtes Diff rentes mani res de monter le projet ont t propos es Parmi celles ci les p pini res ou les couveuses d entreprises sont ressorties et semblent une bonne id e pour viter les probl mes de gestion et de co t de main d uvre que cette nouvelle activit pourrait engendrer au sein de la Bn Les participants qui sont d favorables pensent que cela va complexifier le syst me sur quelle terre le faire Avec quelle comp tence en interne S ajoute a ces probl mes le co t de l investissement we b NE b se yer xi a 3 ge ow A lt lt cas ye ee or oe gt gt gt FO et SE ON Or QE a pF O O amp e OS ge g ES go S gt p J O O 0 0 O 0 0 0 0 Ka oe s 00 9 060 000 000 0 Figure 37 L valuation de la possibilit d implanter du maraichage 306 x eo Section 5 Etape 5
50. r duisant les besoins en mati re de pesticides et d engrais et en am liorant la structure du sol La biodiversit maintient les services cosyst miques dont les exploitations agricoles sont tributaires Un cosyst me en bonne sant permet d accro tre la concurrence face aux esp ces ind sirables de pr server les ressources en eau et la qualit des sols Le respect de l environnement passe aussi par la prise en compte de l impact de ses activit s sur le changement climatique La r duction des intrants les conomies d nergie et le perfectionnement du recyclage sont n cessaires pour diminuer les missions de gaz effets de serre de l exploitation Depuis plusieurs ann es des efforts importants ont t r alis s pour diminuer les apports d engrais et de pesticides Un des objectifs est d am liorer l utilisation de l herbe et d augmenter l autonomie fourrag re de l exploitation Cette protection de l environnement devient un imp ratif pour la mise en place du nouveau projet d tablissement Cit du d veloppement durable et ainsi maintenir l image de marque de la Bn 278 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me Participation au d veloppement local La Bn participe la dynamisation des relations au sein du territoire On peut classer ces relations sous trois formes faisant intervenir diverses cat gories d acteurs la production le service et la cr ation de valeurs pour les agents conomiques
51. remise en cause du mod le productiviste actuel Le chapitre 2 est consacr au contexte institutionnel qui va influencer cette activit en le de France Les chapitres 3 et 4 ont pour but de positionner la th se par rapport aux connaissances acquises dans les champs de la Responsabilit Sociale des Entreprises et de l Analyse Int gr e La d marche d analyse socio conomique que nous proposons est d taill e dans le chapitre 4 Les chapitres 5 et 6 montrent comment cette d marche peut tre utilis e des chelles diff rentes Les r sultats obtenus et le fonctionnement de la d marche sont discut s dans le chapitre 7 Enfin le chapitre 8 pr sente les conclusions de la d marche les apports th oriques et les perspectives de recherche MOTS CLES D marche participative multicrit re Evaluation Enjeux de performances Indicateur Outil d aide la d lib ration Responsabilit Sociale des Entreprises Analys e Int gr e Agriculture Biodiversit Ile de France How to integrate biodiversity as a performance issue of agricultural activity in the le de France Implementation of a multi criteria deliberative approach SUMMARY In this International Year of Biodiversity biodiversity is more than ever considered in scientific and institutional literature as an irreducible element of sustainability that must be integrated in all economic sectors This thesis aims at arguing and testing a participatory multi criteria appro
52. seau IDEA B9 Gestion des conflits EE Dvp agri 4x AC Institu 4x EE Soc civ 2x AC Institu 4x EE Dvp agri 2x EE Dvp agri 5x EE Ens sup 1x ET Clients 5x EE Soc civ 1x INT 3DFI 1x INT EA 5x ET Clients 1x INT 3DFI 1x INT Format 3x ET Coop 2x ET Dom ONF 1x AC Collect 2x ET Clients 2x INT EA 2x INT Equest 2x Implication des employ s dans l tablissement des strat gies Image de la Bergerie nationale vis a vis du territoire EE Soc civ 1x INT 3DFI 1x AC Collect 5x EE Dvp agri 6x EE Ens sup 2x EE Soc civ 2x ET Clients 4x ET Dom ONF 3x INT EA 5x 1x ET GIE 3x INT 3DFI 2x INT EA 22x INT Equest 1x INT Format 1x D marche de qualit li e l AB IDEA B1 Tableau 27 Les indicateurs pertinents par enjeu 309 AC Collect 7x AC Institu 10x INT 3DFI 3x INT EA 3x EE Ens sup 5x ET Coop 2x ET Dom ONF 2x INT Equest 1x INT Format 1x AC Collect 1x EE Soc civ 1x ET Dom ONF 4x INT EA 4x Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale 6 5 3 Communiquer aupr s des participants D s le d but de la mise en place du processus d valuation il est imp ratif de communiquer sur la d marche INTEGRAAL sa mise en place son calendrier d ex cution et sur les object
53. temporaires et les r coltes pr coces en ensilage de surfaces importantes devraient compenser les faibles rendements obtenus sur les prairies les moins productives La conduite du p turage est l une des pistes explorer en premier lieu Bien que des mesures aient d j t mises en place cloisonnement de certaines parcelles utilisation de l herbom tre le chargement au p turage des vaches laiti res reste trop lev 17 ares VL au printemps 34 ares en t alors qu il faudrait respectivement 25 30 ares et 50 ares pour pouvoir fonctionner sans compl mentation et l inverse le chargement des patures des vaches allaitantes ou des g nisses est presque deux fois trop faible 75 80 ares UGB au printemps 90 ares en t 120 200 ares en automne alors qu on pourrait viser 35 40 ares au printemps et 70 ares en t Ajuster de mani re plus stricte les surfaces allou es au troupeau viande et aux g nisses permettrait la fois de disposer de plus de stocks r colt s et d am liorer les croissances des animaux au p turage par la mise leur disposition d une herbe de meilleure qualit L ajustement des surfaces allou es au printemps aux vaches allaitantes a t entrepris en 2009 Il en est de m me pour les ovins Toutefois certaines parcelles attribu es aux moutons au printemps m riteraient encore d tre cloisonn es cf hauteur d herbe tr s importante dans certaines parcelles au printemps 2009 233 Q
54. ti ancien IDEA B2 10 Qualit architecturale et paysag re du b ti r cent IDEA B2 11 Qualit des abords IDEA B2 12 Qualit des structures paysag res IDEA B2 13 Am nagement paysager des surfaces cultiv es IDEA B2 14 Nombre de visites culturelles 15 Nombre de visites institutionnelles Exemplarit 16 Participation a des programmes de recherche 17 Performance des outils de diagnostic destin s aux agriculteurs 18 Exemplarit du syst me 19 L gitimit de l atelier Budg tisation des strat gies 20 Degr de corr lation entre les et transparence orientations des partenaires financiers 21 Transparence des strat gies pourquoi Pour qui Circulation et qualit de l information qui finance quoi Dans quel but etc 541 Annexe 13 Relev de conclusions du conseil de plateformes 12 octobre 2009 exploitation de la Bn Participants A Sopena C Lang E Dupr K Boisset L Tavernier V Daniel T Pollet Charlotte da Cunha UVSQ D Boussier Excus s C Lang A Leroux G Melin F Morin JP D brosse et JM Douguet UVSQ Discussion sur les orientations de production du projet pour l exploitation agricole qui seront pr sent es au conseil d administration du 30 novembre 2009 La discussion s est appuy e sur les l ments suivants pr sent s en s ance les r sultats de l valuation des options de production r alis e par l UVSQ et pr sent s par Charlott
55. troupeau limousin v En augmentant ventuellement la fertilisation sur certaines parcelles r colt es t t au printemps ou p tur es par les vaches laiti res 3 Augmenter la part du p turage pour r duire les temps de travaux et les co ts de r colte v En mettant en place de nouvelles cl tures et en r novant celles qui le m ritent apr s plusieurs ann es de non entretien v En recoupant certaines parcelles En am nageant points d eau et parcs de contention Mais surtout en optant sur le p turage plut t que sur des conduites en b timents V Augmenter la dur e de vie des temporaires v Pour r duire les co ts d implantation v Pour viter les mauvais rendements en ann e d implantation V Adapter la conduite des cultures pour assurer des rendements corrects v Pour r duire les co ts de compl mentation des animaux y Envisager le remplacement d une partie du troupeau allaitant peu rentable par des chevaux d levage en pension v Etudier la possibilit d un partenariat avec le Haras des Br viaires pour la prise en pension de juments de sport suit es et de leurs poulains jusqu l ge de 3 ans V Envisager les adaptations de b timents permettant de rationaliser le travail 525 Annexe 10 Expertise technique et conomique des options 1a et 1b exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage Pr cision Sur la base du diagnostic tabli nous avons regard les int r ts respectifs de 3
56. v g tale 29 30 31 32 33 Nombre d esp ces cultiv es IDEA A1 Nombre de vari t s cultiv es IDEA A1 Pr sence significative de l gumineuse dans l assolement IDEA A1 Prairie permanente ou prairie temporaire de plus de Sans en de la SAU IDEA A2 et A12 Pratique d agroforesterie IDEA A2 Diversit v g tale associ e Pr sence d arbres d alignement et autres v g taux structurant rang e d arbres arbustes haies arbres isol s etc 534 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 34 35 Diversit v g tale associ e IDEA A3 Impact paysager Biodiversit 36 37 38 39 40 41 Pr sence de zone d int r ts biologiques Surface de r gulation cologique SAU IDEA A9 Pr sences de points d eau de zones humides IDEA A9 Pelouses s ches IDEA A9 Am nagement anti rosifs IDEA A9 et A17 Parcours non m canisables alpages IDEA A9 Zone d int r ts biologiques ZNIEFF Natura 2000 R serves Naturelles R serves Naturelles Volontaires Agr es Parc National Conservatoire Littoral Espaces Naturels de France Surface de r gulation cologique arbres isol s haies lisi res entretenues etc Am nagement anti rosifs bandes enherb es terrasses murets entretenus Sol 42 43 44 45 46 47 48 49 50 54 52 53 54 Bilan apparent
57. 15 Futuribles international Groupe de prospective Agriculture et territoires Travaux et recherches de prospective Paris 165 pp DATAR 2002 Sch ma de Service Collectif des espaces naturels et ruraux DATAR Paris 123 pp DATAR 2010a D l gation interminist rielle l am nagement du territoire et l attractivit r gionale Extrait de Janvier 2010 from www datar gouv fr DATAR 2010b Qu est ce que l am nagement du territoire Extrait de Janvier 2010 from http www datar gouv fr fr 1 contenus secondaires 714 est amenagement du territoir e 30 de Groot R 2006 Function analysis and valuation as a tool to assess land use conflicts in planning for sustainable multi functional landscapes Landscape and Urban Planning 75 3 4 175 186 de Groot R S 1992 Functions of Nature Evaluation of Nature in Environment Planning Management and Decision Making Wolters Noordhoff Groningen 215 pp de Groot R S Wilson M A et Boumans R M J 2002 A typology for the classification description and valuation of ecosystem functions goods and services Ecological Economics 41 3 393 408 De Marchi B Funtowicz S O Lo Cascio S et Munda G 2000 Combining participative and institutional approaches with multicriteria evaluation An empirical study for water issues in Troina Sicily Ecological Economics 34 2 267 282 Direction de l information l gale et administrative 2008a La r forme d
58. 18 0 ha 12 0 ha 18 0 ha 1 22 UGB ha 50 25 40 70 kg brebis 75 kg agneau 38 200 35 000 3 200 18 800 14 800 4 000 4300 4 300 15 100 387 529 47 0 ha 47 0 ha 23 5 ha 47 0 ha 0 83 UGB ha 50 25 40 1 050 kg cheval pr sent 107 600 107 600 18 600 15 600 3 000 13 600 6 600 7 000 75 400 1 604 1 18 UGB ha Annexe 11 Expertise technico conomique des autres ateliers exploitation de la Bn r alis par la Bn 1 l atelier poules pondeuses bio En 2008 100 ufs commercialis s ont co t en moyenne 26 85 produire et ont t valoris s en moyenne 19 16 Le r sultat de l atelier est n gatif de 92 000 sur l ann e 2008 Il est galement n gatif hors charges de main d uvre En 2007 le co t de production hors co t de conditionnement et de commercialisation des ufs de la BN a t de 15 27 les 100 ufs alors que la moyenne nationale pour des ufs bio tait de 11 55 soit un co t sup rieur de 32 en faisant l hypoth se tr s favorable que la productivit du travail est la m me que celle de la moyenne des autres levages 1 UTH pour 9 600 poules L analyse permet d identifier un certain nombre de probl mes Le nombre d ufs produits par poule ou par m2 de b timent est inf rieur aux r f rences de 20 30 Il faudrait approfondir l
59. 1b est plus mitig e que celle de l option 1a L option 1a est jug e positivement car elle permet de tendre vers l autosuffisance alimentaire Ces productions permettent une valorisation en fili re courte de produits Bergerie nationale Elle est aussi favorable la formation et l animation L option 1b va poser des probl mes de vivabilit pour les salari s et par la m me en mati re de conduite du changement Elle devra aboutir sur l embauche d un nouveau salari qualifi ou de la formation continue des salari s pr sents avec un risque de conflits En outre la viabilit conomique est jug e comme plus ou moins favorable Concernant les options 2 L option 2a permet la valorisation en fili res courtes et contribue l emploi Elle maintient aussi le potentiel p dagogique de l atelier Seul le respect de l environnement est jug comme plus ou moins favorable cause de la non r cup ration des eaux us es L option 2b va l encontre de ces points positifs Concernant les options 3 L option 3a permet la valorisation en fili res courtes et conforte l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet La mise aux normes en ce qui concerne les pratiques va apporter une formation aux agriculteurs L option 3b va l encontre de ces points positifs En terme d Exemplarit et Excellence il y aurait Perte de l image de la Bergerie nationale aupr s des adh r
60. 2 mars Bergerie nationale 1999 Diagnostic de territoire du sud Yvelines Forestier Bergerie nationale Rambouillet 192 pp Bergerie nationale 2006 La LOADDT L enseignement agricole partenaire des territoires un quide pour l action Minist re de l Alimentation de l Agriculture et de la P che Paris 3 Bergerie nationale 2009 La Bergerie nationale Mise en oeuvre du projet d Etablissement 2008 2013 Pour aller vers la Cit du d veloppement durable Bergerie nationale Rambouillet 46 pp Berriet Solliec M et Boinon J P 2000 Les politiques d partementales d orientation de l agriculture Working paper du CESAER 11 Bertrand G Michalski A et Pench L R 1999 Scenarios Europe 2010 Five Possible Futures for Europe European Commission Forward Studies Unit Bruxelles 121 pp 362 R f rences Beuret J E et Mouchet C 2000 Pratiques agricoles syst mes de production et espace rural quelles causes pour quels effets Cahiers Agricultures 9 1 29 37 Beuret J E Pennanguer S et Tartarin F 2005 L analyse comparative d itin raires de concertation produire des r f rences pour appuyer des dynamiques locales Programme de recherche Concertation D cision et Environnement CONCERT ENSAR Rennes 9 pp Beuret J E et Trehet C 2001 Pour la gestion concert e de l espace rural appuyer des m diations territoriales Le Courrier de l environnement de l INRA
61. 20 agnelages de d cembre et janvier Abandon des Black Face y Chevaux de trait et animaux d exposition pour visites 12 UGB sur 10 ha R sultats techniques et conomiques du syst me Le chargement global voisin de 1 3 UGB ha devrait tre atteint sans risque de d ficit fourrager dans un syst me reposant sur les prairies temporaires 1 2 des surfaces pour les vaches laiti res et 1 4 pour le allaitantes et les ovins et l ensilage de mais La marge du troupeau laitier est proche de 1 200 ha Celle du troupeau allaitant et de la troupe ovine est comprise entre 350 et 400 ha Elle est li e a des prix de la viande bas dans les ateliers A ce stade nous n avons pas retenu la valeur de la valorisation en caissette mais le prix de march l cart entre les deux valeurs tant mis au b n fice de l atelier de transformation De plus la marge du troupeau allaitant est affect e par le manque de 20 PMTVA et celle des ovins par un co t important de la compl mentation en concentr s dans un syst me encore tr s fortement orient dans la production d agneaux de bergerie et avec des prix des aliments lev s Les marges de ces deux ateliers peuvent donc tre un peu am lior es mais elles resteront en tout tat de cause voisines de 500 ha c est dire tr s nettement inf rieures celle de l atelier laitier Le quota laitier de l exploitation permettrait bien de produire 90 000 de lait de plus mais ceci est r
62. 3 Dur e des projets planifi s Qualit de l valuation des projets Importance du changement Qualit du suivi technique Processus administratif 24 25 26 Applicabilit des aides en faveur de l environnement Influence des r formes de la PAC sur l volution de l exploitation Temps de travail annualis allou au processus administratif sur l exploitation Communication externe 27 28 29 30 31 Fr quence des communications externes accueil site Internet publications prospectus etc Qualit des communications externes sur les pratiques agricoles et de transformation Qualit des communications externes sur les pratiques de vente Qualit des communications externes sur les pratiques d ducation Qualit des communications externes sur les pratiques de restauration et de logements la Bn 540 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 7 Exemplarit et Excellence Concept Indicateurs Modalit s de d termination Investissement pour la r novation 1 Part du budget consacr ala r novation 2 Importance des subventions pour la r novation Image 3 Image des agriculteurs 4 Image de la Bn vis vis du territoire 5 Propret et entretiens des b timents 6 Propret et entretiens du mat riel 7 Degr de rusticit 8 Potabilit de l eau Valorisation du patrimoine 9 Entretien du b
63. 5 GOUVERNe new trends in decision support for groundwater governance issues Environmental Modelling amp Software 20 2 111 118 372 R f rences Guimaraes Pereira A et Funtowicz S 2005 Quality assurance by extended peer review Tools to Inform Debates Dialogues amp Deliberations Theorie und Praxis 2 14 74 79 Guimaraes Pereira A et Funtowicz S 2006a Knowledge representation and mediation for transdisciplinary frameworks Tools to Inform Debates Dialogues amp Deliberations International Journal of Trans disciplinary Research 1 1 34 41 Guimaraes Pereira A et Funtowicz S 2006b Trans disciplinarity at work case study on groundwater resources International Journal of Trans disciplinary Research 1 1 42 50 Guy M 2004 L Agriculture au fil du temps Pages d histoire de l agriculture et de son minist re Minist re de Agriculture et de la P che Paris 48 pp Haas G Wetterich F et K pke U 2001 Comparing intensive extensified and organic grassland farming in southern Germany by process life cycle assessment Agriculture Ecosystems amp Environment 83 1 2 43 53 Hardi P et DeSouza Huletey J A 2000 Issues in analyzing data and indicators for sustainable development Ecological Modelling 130 1 3 59 65 Heal G 1999 Valuing ecosystem services Working paper in Money Economics and Finance Columbia Business School New York 11 pp Hervieu B 2002
64. 5 273 van der Sluijs J Douguet J M O Connor M et Ravetz J 2008 Evaluation de la qualit de la connaissance dans une perspective d lib rative VertigO la revue lectronique en sciences de l environnement En ligne Volume 8 Num ro 2 octobre 2008 van der Sluijs J P 2002 Integrated Assessment Encyclopedia of Global Environmental Change T Munn John Wiley amp Sons Ltd Chichester 250 253 Van der Sluijs J P Risbey J S Kloprogge P Ravetz J Funtowicz S O Corral Quintana S Guimarares Pereira A De Marchi B Petersen A Janssen P H M Hoppe R et Huijs S W F 2003 RIVM MNP Guidance for uncertainty assessment and communication detailed guidance Utrecht University Utrecht 65 pp van Dijk T A 1997 Discourse Studies A Multidisciplinary Introduction Discourse as Structure and Process T A van Dijk SAGE Publications London 35 36 Vanoli A 2002 Une histoire de la comptabilit nationale La d couverte Manuels rep res Paris 655 pp Vilain L 1999 De L exploitation Agricole A L agriculture Durable Aide M thodologique A La Mise En Place De Syst mes Agricoles Durables Educagri ditions Dijon 162 pp Vilain L 2003 La m thode IDEA indicateurs de durabilit des exploitations agricoles guide d utilisation Educagri ditions Dijon 151 pp Vilain L 2009a Agriculture de haute valeur environnementale Une courte analyse du disposit
65. 9 L approche conomique de la biodiversit et des services li s aux cosyst mes Centre d analyse strat gique Paris 399 pp 364 R f rences Clarkson M 1994 A risk based model of stakeholder theory Second Toronto Conference on Stakeholder Theory Toronto Clarkson M B E 1995 A stakeholder framework for analysing and evaluating corporate social performance Academy of Management Review 20 1 92 117 CNDP 2009 Communiqu des d cision de la CNDP du 7 octobre 2009 Commission nationale du d bat public Paris 6 pp CoCa Cola Enterprises 2007 Shape TomoRRow Today Corporate Responsibility and Sustainability Report CoCa Cola Enterprises Atlanta 52 pp Comit de D veloppement Spatial 1999 SDEC Sch ma de D veloppement de l Espace Communautaire Vers un d veloppement spatial quilibr et durable du territoire de l Union europ enne Commission europ enne Luxembourg 94 pp Comit national d orientation et de suivi Ecophyto 2018 2009 Plan Ecophyto 2018 Fiches Actions Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 96 pp Commission Europ enne 1998 Communication de la commission au conseil et au parlement europ en concernant une strat gie communautaire en faveur de la diversit biologique Commission Europ enne Bruxelles 31 pp Commission Europ enne 2000 2000 2006 4 Initiatives Communautaires Dispositions et instruments de la politique r gionale Commissio
66. Analyser et Communiquer Les indicateurs pertinents par enjeux Les cinq indicateurs les plus pertinents pour chaque enjeu toutes cat gories d acteurs et toutes options confondues ont t s lectionn s et sont pr sent s dans le Tableau 27 Dans le cadre de l exploitation de la Bn cette liste des cinq indicateurs les plus utilis s par enjeu peut servir de tableau de bord pour juger l exploitation ann e apr s ann e avec deux tendances y augmentation Stagnation Diminution favorable Plus ou moins favorable D favorable On s int resse ici la d finition des conditions n cessaires pour aller vers une exploitation durable On ne prend donc pas en compte le jugement port sur les indicateurs pr sent s mais leur pertinence pour tre des indicateurs de durabilit ou de non durabilit Par exemple la D marche de qualit li e AB IDEA B1 est un indicateur pertinent pour le Respect de l environnement L avenir sera durable pour l exploitation si le nombre de productions faisant l objet d une d marche de qualit li e AB stagne ou augmente et il ne le sera pas en cas d une diminution L impact global repr sente le pourcentage d utilisation de cet indicateur par rapport a l ensemble des indicateurs utilis s pour l enjeu d sign chaque interface acteur options ayant le m me poids La colonne Nombre d utilisation de l indicateur comptabilise le nombre d utilisation de l indicat
67. Connor M 2009 Le d bat public sur l autoroute A12 France en termes d effets une analyse en trois temps VertigO la revue lectronique en sciences de l environnement Volume 9 num ro 2 septembre 2009 Reidsma P Tekelenburg T van den Berg M et Alkemade R 2006 Impacts of land use change on biodiversity An assessment of agricultural biodiversity in the European Union Agriculture Ecosystems amp Environment 114 1 86 102 Remvikos Y Mahamat Dijibrine A Reichel V et Delalande D 2010 L interface science d cision au travers d une valuation multicrit res et multi acteurs du Plan R gional pour la Qualit de l Air en le de France Cahiers de REEDS A venir 382 R f rences Renting H Rossing W A H Groot J C J Van der Ploeg J D Laurent C Perraud D Stobbelaar D J et Van Ittersum M K 2009 Exploring multifunctional agriculture A review of conceptual approaches and prospects for an integrative transitional framework Journal of Environmental Management 90 Supplement 2 S112 S123 Rothman D S et Robinson J B 1997 Growing pains a conceptual framework for considering integrated assessments Environmental Monitoring and Assessment 46 1 23 43 Rotmans J et Dowlatabadi H 1997 Integrated Assessment Modeling in Human Choice and Climate Change The Tools for Policy Analysis S Rayner et E L Malone Battle Press Columbus 291 377 Rotmans J Anas
68. EE PREMIERE N 953 King C Gunton J Freebairn D Coutts J et Webb 2000 The sustainability indicator industry where to from here A focus group study to explore the potential of farmer participation in the development of indicators Australian Journal of Experimental Agriculture 40 631 642 Kirchmann H et Thorvaldsson G 2000 Challenging targets for future agriculture European Journal of Agronomy 12 3 4 145 161 Kiss A S 1993 Les trait s cadres une technique caract ristique du droit de l environnement Annuaire fran ais de droit international 792 797 Kneeshaw D D Leduc A Drapeau P Gauthier S Par D Carignan R Doucet R Bouthillier L et Messier C 2000 Development of integrated ecological standards of sustainable forest management at an operational scale The Forestry Chronicle 76 3 481 493 Lamorini re G 2007 M thodologie d valuation multicrit res et multi acteurs de la durabilit des exploitations agricoles Une application la Bergerie Nationale de Rambouillet M moire pour l obtention du Dipl me d Agronomie Approfondie DAA AgroCampus Rennes Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 77 pp Le Danff J P 2002 La convention sur la diversit biologique tentative de bilan depuis le sommet de Rio de Janeiro VertigO la revue lectronique en sci
69. GIE des tablissements d enseignement agricole cause de l aspect hors sol de l atelier L enjeu D veloppement local est mal not par le participant du GIE des tablissements d enseignement agricole et le participant des Distributeurs cause de la r gularit et la diversit d approvisionnement qui ne sont pas suffisantes Concernant les options 3 L option 3a va permettre de conserver un outil propice la valorisation en fili res courtes Son arr t va obliger l exploitation se d placer hors du territoire pour transformer sa viande L option 3a n cessite cependant un meilleur suivi technique et la mise aux normes pour viter les probl mes alimentaires condition notamment soulign e par les participants du GIE des tablissements d enseignement agricole et des Distributeurs 556 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Acteurs du parc du ch teau Office National des For ts Domaine pr sidentiel yn amp wor 2 9 ww 4 we KS co o X 1 9 0 X amp e amp On a une orientation nette vers le choix de l option 2b et a priori un rejet de toutes les autres options Ce choix est du deux participants un groupe de participants pour l ONF et un participant pour le Domaine pr sidentiel aux jugements relativement homog nes Concernant les options 1 L option 1a est jug e positivement
70. IDEA A13 Pr sence de cultures de pi ges nitrates en de la SAU IDEA A13 P min ral U ha SAU an IDEA A13 K min ral U ha SAU an IDEA A13 Engrais lib ration lente IDEA A13 Utilisation d outils de pilotage des fertilisations IDEA A13 Bilan entr e sortie analyse de sols substrat et ou r coltes IDEA A13 Travail du sol sans retournement en de la SAU IDEA A17 Sols nus et artificialis s en de la surface totale IDEA A17 Surfaces irr versiblement artificialis es en de la surface totale IDEA A17 Am nagement anti rosifs IDEA A9 et A17 Paillage enherbement des cultures p rennes IDEA A17 Portance des sols Organisation de l espace 55 56 57 58 de la surface assolable utilis e pour une esp ce cultiv e IDEA A6 Pr sence significative 10 d une culture en mixit intra parcellaire IDEA A6 Dimension des parcelles moyenne en ha IDEA A7 Gestion des p tures SFP surface fourrag re principale elle concerne toutes les surfaces impliqu es dans l alimentation du b tail Autonomie 59 60 61 62 63 64 65 Chargement animal UGB ha IDEA A11 Pratique de fauche pature IDEA A12 Prairie permanente ou prairie temporaire de plus de Sans en de la SAU IDEA A2 et A12 Surface mais ensilage de la SFP IDEA A12 Autonomie alimentaire pour les concentr s Autonomie alimentaire pour les fourra
71. K Olsson J A Turpin N Wery J Wien J E et Wolf J 2009 A methodology for enhanced flexibility of integrated assessment in agriculture Environmental Science amp Policy 12 5 546 561 Faburel G 2006 D veloppement durable et territorialisation de l action urbaine en France Ville et Environnement Dorier Apprill SEDES Armand Colin Paris 101 106 Faguer E Lerolle H et Vivien J F 2005 Sch mas directeurs et ceinture verte d le de France note de synth se Institut d Am nagement et d Urbanisme de la R gion d lle de France Paris 31 pp Falloon P et Betts R In Press Climate impacts on European agriculture and water management in the context of adaptation and mitigation The importance of an integrated approach Science of The Total Environment Corrected Proof FARRE 2004 Agriculture Raisonn e et D veloppement durable controverse ou consensus 7 me rencontres FARRE de l agriculture Raisonn e Paris Janvier FARRE 2007 Agriculture raisonn e respectueuse de l environnement la diff renciation par la preuve 10 me rencontres FARRE de l agriculture Raisonn e Paris Janvier FARRE 2009a Fiche d information sur la certification HVE Salon international de l agriculture Paris 21 f vrier 1er mars FARRE 2009b L agriculture au c ur du d bat public De nouvelles convergences entre agriculture et environnement 12 me Rencontres FARRE de l agriculture Raisonn e P
72. P 2002 L analyse multicrit re de projets d ducation l environnement un outil de gouvernance participative en r gion corse 7 me Conf rence Biennale de la Soci t Internationale pour l Economie Ecologique Sousse 6 9 mars ANIA 2009 Rapport d activit 2009 L alimentation c est la vie Association Nationale des Industries Alimentaires Paris 31 pp APCA 2008a Bilan d activit Assembl e Permanente des Chambres d Agriculture Paris 16 pp APCA 2008b Pr sentation du groupe Chambres d Agriculture Assembl e Permanente des Chambres d Agriculture Paris 4 pp Armand T 2008 La M diation des connaissances La Foire aux Indicateurs de Kerbabel comme outil de gestion des territoires Application l Agriculture M moire de Master 2 M diation des connaissances Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines 361 R f rences Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 70 pp Arnal G et Guittet J 2004 Atlas de la flore sauvage du d partement de l Essonne Conseil g n ral de l Essonne et le Mus um National d Histoire Naturelle Collection Parth nope Paris 608 pp Arrow K J 1963 Social Choice and Individual Values John Wiley New York 138 pp ARVALIS 2003 Une agriculture r solument durable des chiffres porteurs d avenir Institut du V g tal Paris 8 pp ARVALIS 2008 Rapport d activit 2007 2008 Inst
73. Responsibility Integrated Assessment Agriculture Biodiversity Ile de France Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 0 1 0 2 0 3 0 4 0 5 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION GENERALE oii cccceetcesos sccesenectcccsccutenessnedeesecnecesccccesevexesees ceveteasscecsavedeevensccccuteianasaiice 13 Du d veloppement durable aux strat gies en faveur de la biodiversit 13 L agriculture un secteur fondamental pour la gestion int gr e de la biodiversit 15 Contexte de travail le projet FRAGILES sienne 16 Obpjectits de lathes EP den anacadaescoruelindastoeddetapmeadeatadnranedachasslesitn te 18 Plan du manuscrit de th Se esccsivtessecueivvi ans sieniniai e i dede tue ai 20 PARTIE 1 COMMENT UNE DEMARCHE D EVALUATION PARTICIPATIVE MULTICRITERE PEUT ELLE PERMETTRE DE DEFINIR LA PERFORMANCE DE L ACTIVITE AGRICOLE 7 23 1 LA BIODIVERSITE UNE COMPOSANTE IRREDUCTIBLE DE L AGRICULTURE DURABLE 25 1 1 L mergence d un cadre institutionnel de l international au r gional une approche sectorielle 27 1 1 1 La Convention sur la diversit biologique CDB 27 1 1 2 La strat gie communautaire en faveur de la diversit biologique 31 1 1 3
74. TEGRA champ du probleme et de r pondre des questions du La m thode INTEGRaAL est une propositon d velop type sur quoi allons nous travailler Qu est ce que nous pee ces dermeres ann es travers differents projets voulons savoir de recherche Cette methode d evaluanon mulnermeres Etape 2 Organiser le probl me et mult acteurs vise dune part rendre plus lisible Cette tape vise structurer le probl me en termes d ac la diversit des enjeux et des points de vue asso 1 pares prenantes de cat gories denjeux les ci s un probl me st d autre part engager les Sorciue PR gu repimes er Ora aa aae Ces acteurs concernes par une question a rentrer dans categones seront d finies avec aide des acteurs An 3 Identifier et mobifiser des outils de late E sie La gs i repr sentation les composantes de la question c est dire 1 qui en Cette tape consiste rassembler et produre des sont les acteurs 2 quels en sont les enjeux et gt Moyene de representation de ia situation afin de faciliter quelles sont les futurs envisageables il leur est de Gompeaensen li peut s ag de diagnostics de cartes Se een oe eee de textes crits de photos de penture etc Etape 4 Mobiliser les acteurs pour une valuation La m thode vise ce que les acteurs entrent dans un autour d actions r aliser processus d apprentssage et de celiberston qu dot L objectif de cette etape est de reunir les acteurs autour permettre de mi
75. Viab Eco Environ Dvp Local Vivabilit M diation Conduite Excellence 295 Groupes de parties prenantes Parties prenantes internes Parties prenantes externes traditionnelles Parties prenantes externes largies Autorit s coordinatrices Les abr viations utilis es dans la Matrice de d lib ration Cat gories d acteurs La Production Le centre questre Coop ratives et fournisseurs Acteurs du parc du ch teau Recherche et Enseignement sup rieur Acteurs du d veloppement Soci t civile Collectivit s Jocales L Institutions de tutelle Abr viation AC Institu Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale 296 Figure 36 Vue synth tique de la Matrice de d lib ration Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer 6 5 2 La pr sentation d taill e des r sultats Commentaires d ordre g n ral L analyse d taill e des r sultats commence par l exposition des commentaires g n raux qui ont pu tre apport s par participants concernant la finalit de l exploitation de la Bn et la mani re dont elle est pilot e Certains participants externes ont mis en avant qu il tait compliqu de juger les options sans se poser des questions pr alables sur la finalit de l exploitation de la Bn Pour commencer les participants des institutions de tutelle se demandent s
76. a Boucle de Moisson Un projet de r flexion participative pour un d veloppement territoriale soutenable Rapport final Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 118 pp Chambre d agriculture de la Ni vre 2010 La conditionnalit des aides volue pour 2010 avec de nouvelles BCAE Extrait de F vrier 2010 from http www nievre chambagri fr exploitation la pac bcae 2010 html Chambre Interd partementale d Agriculture d lle de France L Agriculture en Ile de France Extrait de Septembre 2007 from www ile de france chambagri fr Chatellier V et Guyomard H 2009 Le bilan de sant de la PAC et son application en france Simulations et r flexions sur les d cisions du 23 f vrier 2009 du Ministre fran ais de l agriculture et de la p che S minaire Jos Rey du Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 20 mars Chevallier S 2007 Mise en oeuvre d une d marche d valuation multicrit res et multi acteurs de la durabilit de l exploitation agricole de la Bergerie Nationale de Rambouillet M moire pour l obtention du Dipl me d Agronomie Approfondie DAA Institut National Polytechnique de Lorraine Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 102 pp Chevassus au Louis B Salles J M et Pujol J L 200
77. abel bio De plus avant de se lancer dans la conversion au bio il faut s assurer que les difficult s sanitaires rencontr es en 2008 ont t d finitivement r solues Troupes ovines r duire la diversit des troupes et simplifier la conduite pour soulager la main d uvre sans affecter les r sultats conomiques La troupe M rinos constitue un patrimoine g n tique indiscutable qu il nest pas question de remettre en cause m me si sa conduite engendre forc ment des temps de travaux importants par rapport l effectif et si la rentabilit conomique n est pas bonne C est donc au niveau des autres troupes que les choix doivent tre effectu s La productivit num rique de la troupe lle de France et Romane est correcte Les poids des agneaux la vente sont toutefois assez faibles par rapport leur potentiel de croissance parce que la demande des consommateurs incite les d barrasser assez vite en vente directe Par ailleurs la quantit de concentr consomm e estim e pour l ensemble du cheptel ovins est importante 105 t contre un peu moins de 75 t dans le syst me propos sur OVIPLAN La productivit des BlackFace est faible la troupe est petite et l alimentation trop riche pose des probl mes Les moutons passent beaucoup de temps dans des bergeries dispers es alors qu ils pourraient valoriser beaucoup mieux le p turage si des cl tures taient am nag es Cultures de vente Apr s des ann es de
78. ach to understand how the environment including biodiversity can be taken into account in agricultural activities Based on two case studies on different scales territory and farm this thesis examines to what extent biodiversity is integrated by actors of agricultural activities These applications show that the proposed approach is an efficient tool for identification of their issues which reveal a weak consideration of biodiversity concerns In chapter 1 we highlight the importance that institutions and scientists give to biodiversity and its relation with agricultural activities Taking into account the environment has become essential for farming due to challenge of intensive farming nowadays Chapter 2 exposed the institutional context that will influence the agricultural activity in le de France Chapters 3 and 4 introduce what are considered as relevant literature fields in an attempt to position the thesis Corporate Social Responsibility and Integrated Analysis The approach of socio economic analysis that we propose is detailed in Chapter 4 Chapters 5 and 6 show how this approach can be used at different scales The results obtained and the functioning approach are discussed in Chapter 7 Finally Chapter 8 presents the conclusions of the approach the theoretical input and research perspectives KEY WORDS Participatory multi criteria approach Evaluation Performance Issues Indicator Deliberation Support Tool Corporate Social
79. aditionnelles Internes de parties coordinatrices prenantes J J D J 55 53 36 56 Evaluation J globale 51 L option 3a fait consensus pour l ensemble des groupes de parties prenantes Les participants jugent favorables l option 3a 51 L valuation des Externes largies est principalement favorable mais hauteur de 53 pourcentage relativement faible d la Recherche Enseignement sup rieur et la Soci t civile qui jugent n gativement cette option 50 et 38 L valuation des Externes traditionnelles est principalement favorable mais hauteur de 36 Les Clients sont plut t d favorables mais tr s partag s leur vote ne fait pas pencher la balance Pour les Acteurs du parc du ch teau le jugement est principalement d favorable hauteur de 60 Les autres Externes traditionnelles ayant amplement vot favorablement l valuation est positive Indicateurs Impact Acteurs global ee RS TE CARO CS ee lee O Valorisation par fili res courtes en 8 3 AC Institu 5x EE Soc Cl 1x ET GIE 2x ae ET Clients 1x INT EA 3x du CA IDEA B6 X19 EE Dvp agri 2x C 4 EE Ens sup 1x ET Coop 2x INT Equest 1x Application des recommandations pe et ne o DTT TTT az Pippa 6 AC Collect 2x Si hygi ne et s curit inspections X10 ET Clients 2x INT EA 5x INT Format 1x Ces oe Le spsaness rc isceseessuss scsss sns s iaceente Deg
80. ail vie alimentaire mondial 519 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Les trois chelles de durabilit Durabilit conomique Viabilit Ind pendance Transmissibilit et Efficience Autonomie Sensibilit aux Transmissibiit Efficience du aides processus productif agro co Durabilite logique Valeur sur l exploitation et maximum possible 520 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Durabilit socio territoriale Valeur sur l exploitation et maximum possible 521 Annexe 9 Diagnostic du syst me polyculture levage exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage Fonctionnement du syst me d exploitation Le r sultat courant de l exploitation qui tait de 180 000 en 2000 et 2001 se d grade encore a partir de 2002 pour atteindre 250 000 et tombe m me en dessous de 300 000 en 2008 chiffre qui doit cependant tre nuanc parce qu il est affect par la correction d une erreur sur l estimation des stocks commise lors d un exercice pr c dent 50 000 de sur valuation En 2008 lorsque le co t de la main d uvre est pris en compte les r sultats de tous les ateliers de ruminants sont n gatifs En lait le d ficit est gal environ moiti du co t de la main d uvre La perte est relativement plus forte pour les ateliers allaitants et ovins y compris s
81. ais simplifie le syst me Concernant les options 3 L option 3b affaiblit l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet supprime les emplois qui y sont li s et va obliger les agriculteurs du GIE se d placer hors du territoire pour transformer leur viande L option 3a peut permettre de d velopper des formations l hygi ne et la s curit alimentaire avec l aide de l ing nieur de la maison de l levage 551 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn La recherche l quipe 3DFI ee 6 0e ee 0 6 606 e LL 6 0 60 0 On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Concernant les options 1 L ensemble des enjeux de l option 1a est jug positivement mise part l enjeu vivabilit qui n a pas t valu e L option permet une meilleure autonomie alimentaire la production de produits de qualit voire qualifi s AB et une bonne implication des salari s Cependant tous ces enjeux ont t valu s favorables sous condition Par exemple pour la viabilit conomique il est important de pr server une souplesse quant aux races et effectifs et la structure du cheptel et l adaptabilit aux signaux du march L valuation de l option 1b est plus mitig e Elle a des points positifs comme une potentielle meilleure gestion de l herbe une r ponse une vraie dem
82. al des For ts Liste des sigles PAC PADD PDD PDRN PDUIF PIB PLU PME PNR PNUE POS PRQA PSE RAD RATP REEDS RFF RHF RSE SAN SAU SCEE SCOT SDEC SDRIF Politique Agricole Commune Projet d am nagement et de d veloppement durable Plan de D veloppement Durable Plan de D veloppement Rural National Plan de d placements urbains d le de France Produit Int rieur Brut Plans Locaux d Urbanisme Petites et Moyennes Entreprises Parc naturel r gional Programme des Nations Unies pour l Environnement Plans d Occupations des Sols Plan R gional pour la Qualit de l Air Performance Sociale des Entreprises R seau d Agriculture Durable R gie Autonome des transports Parisiens Economie cologique Eco Innovation amp Ing nierie du d veloppement Soutenable R seau Ferr de France Restauration Hors Foyer Responsabilit Sociale des Entreprises Syndicats d Agglom ration Nouvelle Surface Agricole Utile Syst me de Comptabilit Economique et Environnementale int gr e Sch mas de COh rence Territoriale Sch ma de D veloppement de l Espace Communautaire Sch ma directeur de la R gion le de France SERFOB SERVENTES SMCE SMMAAD SNCF SNIA SRADT SRAL SREA SREPSA SRFD SRISE SSC STG TCS TICs TIDDD TPE Trame TREE UE UICN UMR Services R gional de la for t du bois de la biomasse et
83. alit des communications externes sur les pratiques agricoles et de transformation Qualit des communications externes sur les pratiques de vente Qualit des communications externes sur les pratiques d ducation Qualit des communications externes sur les pratiques de restauration et de logements la Bn Participation l conomie locale 25 26 27 28 29 30 Implication dans des structures associatives et ou lectives IDEA B5 Responsabilit dans une structure associative IDEA B5 Ouverture de l exploitation la vente directe ou la d gustation IDEA B5 Habitation sur ou proximit de l exploitation IDEA B5 Contribution l emploi IDEA B8 Mise en commun des quipements et des Contribution l emploi CE Surface pond r e UTH 536 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 services IDEA B9 Banque de travail entraide plus de 10j an IDEA B9 Groupement d employeurs IDEA B9 Travail en r seau IDEA B9 Services marchands rendus au territoire IDEA B7 Services rendus au territoire Agrotourisme IDEA B9 Ferme p dagogique IDEA B9 Pratique d insertion ou d exp rimentations sociales IDEA B9 Nombre d exploitation sur le territoire nbr km Taille moyenne des exploitations sur le territoire ha Pratiques agricol
84. allier 2007 Lamorini re 2007 A l issue du conseil de plateforme du 9 f vrier 2009 le charg de mission du suivi du projet a tabli le planning jusqu l laboration du projet d exploitation Boussier 2009a p 2 Ce planning a servi de base au montage du planning de l application de la d marche INTEGRAAL pour le projet d exploitation Figure 26 191 Les sigles utilis s sont crits en toutes lettres dans le Tableau 22 269 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale F vrier gt tape 1 Mars Avril gt tape 2 et 3 Juin gt tape 2 Septembre gt tape 4 Septembre gt tape 4 et 5 Novembre gt tape 5 Mars 2010 gt tape 5 P R union de lancement avec l ensernble des responsables de plateformes de la Bn P Enqu te sur les attentes des plateformes et sur les attentes ext rieures d apr s les plateformes de la En gt R union avec les responsables de platefor mes de la Bn pour s accorder sur les cat gores d acteurs d enjeux et les Sc narios gt Rencontres avec les acteurs de la Bn 44 r union Pr sentation de la d marche 2 M r union valuation des sc narios retenus gt Rendez vous avec les acteurs exter nes Pr sentation de la d rarche Evaluation des sc narios retenus gt R union de cl ture avec ensemble des acteurs impliqu s pour pr senter et discu ter des r sultats de l
85. aluation J globale 59 L option 2b fait consensus pour l ensemble des groupes de parties prenantes Les participants jugent d favorable l option 2a 65 Seuls les Acteurs du parc du chateau la jugent favorable 54 Indicateurs Impact Acteurs global Degr d utilit d un atelier pour 7 7 ae Ho ET Clients 2x INT EA 5x l animation X12 IA INT 3DFI 1x INT Equest 1x 22 n ard I NE Etes D marche de qualit li e l AB IDEA 5 8 AC Institu 2x ET Clients 2x INT EA 5x Han EENE EESE E EE X12 _ _ EE Soc civ 1x_ _ _ ET Coop 1x __ _ INT_Formatl 1x _ _ a Ea ET Coop 1x INT 3DFI 2x Travail en r seau IDEA B9 pee me p ET Dom ONF 1x INT EA 1x ait Sapa a ET GIE 1x INT Equest 1x here delle me es ie as 20 Me Collect 2x ER Dom ONF 1x un eee necat econ P es Moss EE Dei ELC oot cou Degr d ad quation entre les 3 7 as ee t ET Dom ONF 2x INT Equest 1x productions et les formations du CEZ X9 ET Coop ix INT EA 2x INT Format 1x 302 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer R sultats de l valuation de l option 3a par 1 i F ye ag Ce ee LE s yg ge gs 4 b w ET g od a Cat gories Le rs Ps a oe a a ge gor gw go d acteurs O F 0 0 0 0 F 6 0 59 51 64 50 0 60 38 73 60 69 58 59 37 64 gt A a Groupes Autorit s Externes largies Externes tr
86. analyse du fonctionnement des partenaires concurrents externe Subventions 13 Montant des subventions pour la conservation de races 14 Montant des aides concernant le 1 pilier de la PAC euros hectares 15 Montant des aides pour la diversification des activit s euros hectare 16 Montant des aides favorables l environnement euros hectare 17 Montant des aides pour le d veloppement des fili res courtes euros hectare Transmissibilit 18 Transmissibilit conomique IDEA C5 Transmissibilit conomique 19 P rennit probable IDEA Capital d exploitation UTH non salari s 533 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 2 Respect de l environnement Concept Indicateurs Modalit s de d termination Energie 1 2 3 d nergies renouvelables D pendance nerg tique IDEA A19 Nombre moyen de kilom tres r alis s par un produit entre son tat brut et sa consommation Production de gaz effets de serre D pendance nerg tique Equivalent fioul par hectare D chets 10 11 12 13 14 R utilisation valorisation sur l exploitation des d chets non organiques IDEA B3 Tri s lectif et limination par collecte collective des d chets non organiques IDEA B3 Br lage enfouissement des d chets non organiques IDEA B3 Production de lisier IDEA A14 Pr sence d un syst me de product
87. analyse pour identifier l origine de cet cart important qui explique une partie seulement de l cart de co t de production le niveau des charges fixes hors main d uvre est beaucoup plus lev que la r f rence Il existe probablement un probl me dans l affectation de certaines consommations par les services g n raux la production sur l exploitation d une partie des c r ales biologiques n cessaire a l alimentation des poules peut tre de nature faire baisser le co t alimentaire mais elles ne repr senteront qu une faible part des besoins Compte tenu du niveau des co ts de production la production d ufs non valoris s par des circuits courts se fait perte m me au co t marginal L quilibre financier ne peut esp rer tre atteint que si tous les ufs sont commercialis s sous label agriculture biologique en circuits courts la m canisation de certaines t ches sera indispensable si l on veut augmenter sensiblement la production d ufs conditionn s Elle permettrait de diminuer la p nibilit du travail 2 l atelier poulets de chair bio L cart entre co t et valorisation du kg de poulet est tr s lev plus de 6 par kg de carcasse Autrement dit il faudrait baisser les charges de 46 ou augmenter les ventes de 86 pour quilibrer l activit La totalit de production tant commercialis e sous le label agriculture biologique par des circuits courts il ny pratiquement pas de marge
88. ance aux Mennos de Ramboulliet De l ecole dec bergers ouverte en 1794 a la cr ation du Centre de formation pour apprent en 1993 la Bergerie nationale affirme aussi une vocation d enseigne ment forte Le proat d expiotation precisera les odecti s les actons mener et les criteres d evaluation pour la penode du proget d tablissement 2008 2013 Pour porter cette r flexion sur son avenir de fa on mnovante la Bergere nationale s est proposes d mpliquer l quipe ACA du Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le Developpement C3ED travers un projet de recherche action Ce projet repr sente une opportunit de mettre en place une demar che de gouvernance par concetation des partenaires du projet d exploitation Cette d marche bas e sur ia m thode INTEGRAAL apporte sa capacit d valuer les options pour le futur de lexplotation agricoie par rapport des crit res de performance Table des Mati res La m thode d valuation Iurecmaas page 2 Application de la m thode pour exploitation agncole page 3 565 Annexe 15 Pr sentation de la d marche de concertation exploitation de la Bn La m thode d valuation INTEGRAAL L quipe DEA Gi CE parte pour structurer la Pa sated oer nnn aes Snes eu sg demarche de consultation puis devaluanon des op dont la realsation n est pas tons pour l exploration agricole de la Bergens natio nale application dune m thode innovante nomm e pi wate gs nie a IN
89. anci re 85 1 17 Gond J P et Mercier S 2005 Les th ories des parties prenantes une synth se critique de la litt rature Les notes du Lirhe 441 22 Granjou C et Garin P 2006 Organiser la proximit entre usagers de l eau le cas de la Gestion Volum trique dans le Bassin de la Charente D veloppement durable et territoires Dossier 7 Proximit et environnement Greeuw S van Asselt M Grosskurth J Storms C Rijkens Klomp N Rothman D et Rotmans J 2000 Cloudy crystal balls An assessment of recent European and global scenario studies and models International Centre for Integrative Studies ICIS European Environment Agency Copenhagen 113 pp Groupe Carrefour 2009 Au coeur de la vie Rapport D veloppement Durable 2008 Groupe Carrefour Levallois 87 pp Groupe Casino 2009 Rapport d activit amp de d veloppement durable 2008 Groupe Casino Saint Etienne 72 pp Groupe Danone 2009 Rapport technique D veloppement Durable Groupe Danone Paris 149 pp Guha R et Martinez Alier J 1997 Varieties of Environmentalism Essays North and South Earthscan Publications Ltd London 247 pp Guimaraes Pereira A et Corral Quintana S 2002 From technocratic to participatory decision support systems responding to the new governance initiatives Journal of Geographic Information and Decision Analysis 6 2 95 107 Guimaraes Pereira A Corral Quintana S et Funtowicz S 200
90. ande du p riurbain haut de gamme et une utilisation potentielle pour les formations du CFA CFPPA Il y a cependant un risque fort de conflits avec les salari s de l exploitation peu d utilit pour l animation M me si elle rapproche l exploitation de la profession du cheval elle l loigne du milieu agricole Concernant les options 2 L atelier en AB le potentiel pour l animation et le maintien des emplois ont t les principaux arguments pour porter le choix sur l option 2a Sous condition d avoir plus de polyvalence entre les quipes il ne devrait pas y avoir de personnel sp cifique affect l aviculture Le groupe a point deux points n gatifs de l activit actuelle la qualit des abords et son aspect hors sol L option 2b va l encontre de ces points positifs mais simplifie le syst me Concernant les options 3 L option 3a maintient le potentiel p dagogique de l atelier Il faudra pour que cet atelier soit viable mieux s organiser l chelle de l exploitation faire travailler le boucher et le vacher ensemble L option 3b affaiblit l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et supprime les emplois qui y sont li s Le groupe note aussi que les sc narios relatifs la transformation d pendent des sc narios relatifs la partie polyculture levage et aviculture 552 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de
91. angereux de r duire davantage cette activit Concernant les options 2 L option 2b provoque l arr t d un atelier en AB et de la valorisation en fili res courtes et la perte du potentiel de formation de cet atelier que l option 2a maintient Cet atelier permet le travail de r seau il conforte l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et permet l achat vente d animaux vivant Concernant les options 3 L option 3b entra ne la perte du travail en r seau GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet des emplois qui y sont li s et du potentiel de formation de l atelier Le participant met en avant que le potentiel est l pour que a marche m me si les membres du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet sont bien conscients qu il faut recruter de nouveaux adh rents Ca serait dommage d arr ter maintenant 554 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Coop ratives et fournisseurs On a une orientation nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Concernant les options 1 L option 1a permet une viabilit conomique correcte m me si le secteur bovins lait et viande est en difficult gr ce l augmentation de l autonomie alimentaire Cette option serait d autant plus int ressante pour le participant si l exploitation devenait exemplaire et pouvait servir de ferme exemple pour d autres exploit
92. animation Le meilleur suivi technique de l atelier et moins de rotation du chef d exploitation est une condition du bon fonctionnement de cet atelier 560 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Soci t civile Amis et anciens de la Bergerie nationale ss e b v v 3 6 6 09 amp On a une orientation nette vers le choix de l option 2a un jugement positif pour les deux options 1 et un jugement n gatif pour les deux options 3 Concernant les options 1 L option 1a n est pas viable conomiquement mais a une l gitimit sur le territoire Elle est positive pour l animation et a une certaine l gitimit pour la d monstration aupr s de la profession L option 1b n est peut tre pas viable conomiquement mais permettra de toucher des subventions Cette option est int ressante pour la gestion de l espace et donc peut rendre des services marchands au territoire Elle va cependant poser des probl mes de conflits avec les salari s Concernant les options 2 La valorisation en fili res courtes de produits en AB et la potentialit d un partenariat avec le GIE des tablissements d enseignement agricole sont les principaux arguments pour porter le choix sur l option 2a Le repli am liore les conditions de travail mais la formation continue devrait tre plus pr sente pour permettre une meilleure gestion L option 2b va l
93. ans les M rinos puisque les r sultats sont d j d ficitaires avant de leur appliquer le co t de la main d uvre Nous avons cherch d celer les probl mes de conduite des ateliers qui pouvaient tre l origine de ces mauvais r sultats conomiques et dans quelle mesure ces derniers taient affect s par des r sultats techniques insuffisants Des niveaux de chargement et de valorisation de l herbe correctes coh rents avec le niveau de fertilisation mais qui masquent un manque de disponibilit de fourrage Le chargement global de la surface fourrag re est voisin de 1 2 UGB ha et la quantit d herbe valoris e est de 5 3 t MS ha Ces r sultats globaux sont tout fait coh rents avec une conduite raisonn e de l herbe et avec les niveaux de fertilisation appliqu s limitation de la fertilisation dans une d marche d agriculture durable Cependant ils masquent un bilan fourrager d ficitaire quantit de fourrages insuffisante compl mentation des vaches tr s lev e pour maintenir le niveau de production laiti re croissance insuffisante des broutards et des g nisses laiti res Le faible potentiel de production de certaines prairies permanentes l absence ou le niveau tr s faible de fertilisation sur d autres la fauche tardive de certaines parcelles ONF expliquent en partie ce r sultat Toutefois au niveau moyen de chargement observ sur l ensemble de la surface fourrag re la forte proportion de prairies
94. ants voulant s installer en polyculture levage avec un petit atelier d aviculture L option 1b est jug e moins positive en mati re de viabilit conomique pour des raisons de co t au niveau v t rinaire et de l investissement effectuer Elle est cependant une opportunit d implantation dans le territoire d une nouvelle activit questre l image questre de la Bergerie nationale tant d j port e par le centre questre Concernant les options 2 L option 2a a une bonne viabilit conomique potentiel l uf AB est une niche avec un d bouch s r et l exploitation a d j les b timents L exploitation pourrait servir de ferme exemple Elle pourrait aussi avoir un r le d information sur les aspects techniques et r glementaires de la vente directe aider trouver des d bouch s faire du lien avec le Groupement des Agriculteurs Biologiques GAB et les chambres d agriculture Mais pour cela il faut que la Bergerie nationale communique plus sur ses activit s aupr s de la profession Concernant les options 3 L option 3a permet de maintenir un outil moteur pour un travail en r seau avec les agriculteurs du territoire et pour la valorisation en fili res courtes 555 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Clients GIE des tablissements d enseignement agricole Distributeurs AMAP On a une orientation nette vers le choix des options 1a et 2a
95. aris Janvier 369 R f rences FARRE Qu est ce que l agriculture raisonn e Extrait de F vrier 2010 from www farre org Faucheux S Froger G et Hue C 2001 De l irr versibilit la concertation L volution des pratiques de prospectives nationales pour la ma trise des risques collectifs environnementaux Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 253 pp Faucheux S et Hue C 2000 Politique environnementale et politique technologique vers une prospective concertative Natures Sciences Soci t s 8 3 31 44 Faucheux S Hue C et O Connor M 2002 ITSAFE PROJECT Integrating Technological and Social Aspects of Foresight in Europe State of the Art Report The environnement Dimension Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 65 pp Faucheux S et Nicolai 2004a La responsabilit soci tale dans la construction d indicateurs l exp rience de l industrie europ enne de l aluminium Nature Sciences Soci t s 12 30 41 Faucheux S et Nicolai 2004b Quels indicateurs pour la responsabilit sociale des entreprises Une application a l industrie europ enne de l aluminium G rer _et comprendre 74 42 54 Faucheux S et No l J F 1995 Economie des ressources naturelles et de l env
96. atag ane Annexe 7 Le document de restitution a destination des participants CCDH Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Annexe 9 Diagnostic du syst me polyculture levage exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage 522 Annexe 10 Expertise technique et conomique des options 1a et 1b exploitation de la Bn r alis par l Institut de PQ IQ VAG Re I ore 526 Annexe 11 Expertise technico conomique des autres ateliers exploitation de la Bn r alis par la Bn 530 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn ee Annexe 13 Relev de conclusions du conseil de plateformes 12 octobre 2009 exploitation de la Bn Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Annexe 15 Pr sentation de la d marche de concertation exploitation de la Bn Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn 11 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale de Rambouillet Le deuxi me cas d tude se situe a une chelle g ographique inf rieure au premier Il avait pour obj
97. btenu par une mise l herbe des troupeaux plus pr coce et plus longue par la pratique du p turage mixte pose de cl tures pour ovins et bovins par l augmentation de la part de prairies permanentes et de l intervalle de retournement des prairies temporaires par la cr ation de points d eau dans les p tures et la mise en place d un suivi pr visionnel fourrager Cette optimisation passe galement par une simplification de la conduite des troupeaux gr ce la concentration des p riodes de mise bas Cette orientation permet le maintien des effectifs laitiers 54 vaches Holstein bovins viandes 40 vaches Limousines et de deux troupeaux ovins 150 m rinos 320 romanes IDF Le troupeau ovin blackface est supprim La r duction du nombre de lots l utilisation plus importante du p turage l augmentation de la dur e de vie des prairies temporaires la cr ation de points d eau dans les p turages et d autres mesures de rationalisation du travail sont de nature diminuer les besoins en main d uvre et am liorer les conditions de travail Ces gains en mati re de productivit du travail devraient permettre de diminuer le nombre d heures suppl mentaires r alis es et moyen terme reconsid rer le remplacement de tout d part volontaire L objectif est de r duire moyen terme les co ts de main d ouvre d environ 10 sans avoir recours des licenciements Un travail sp cifique sera r alis pour r duire les autres c
98. cat gorie d acteurs qui correspond au nombre de fois o la Matrice de d lib ration a t remplie C est la Matrice qui agr ge les r sultats pour donner un seul r sultat pour toute la cat gorie d acteurs Deux r unions d valuation ont t organis es en septembre pour les participants internes le 2 septembre pour les groupes de La Production et le 8 pour ceux de La Formation La Recherche et Le centre questre La session d valuation consiste remplir la Matrice en valuant chaque option en fonction de chaque enjeu La Matrice a t pr sent e de mani re d taill e mais le plus simplement possible en utilisant des exemples Les participants devaient s approprier le fonctionnement de l outil et l objectif de ce mode d valuation 1 Voir la sous section 4 7 2 pour les modalit s d agr gation des r sultats 289 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale Chaque groupe de participants a rempli la Matrice sous format papier en cochant une couleur pour chacune des interfaces enjeu option et en argumentant leur choix par l ajout de commentaires Un tableau double entr e permettant l ajout de commentaires a t fourni par option voir Tableau 24 Option 1a Consolidation Tableau 24 La Matrice de d lib ration sous forme papier exemple de l option 1a La session d valuation des autre
99. comprendre les arguments des autres et plus globalement de fare avancer des d bats parfois st riles pour ou contre cette option A la fin et si cela est possible il est ainsi envisageable de trouver des solutions qui sasfassent au mieux chacun d entre sux La m thode d valuation INTEGRAAL Cene methode est compos e de 5 tapes pnncipales dont la realisation n est pas obligatoirement linate Etape 1 identification du probl me i sagt dans un premier temps de bien identifier le champ du probleme et de r pondre des questions du type sur quoi allons nous travaitier Qu est ce que nous voulons savoir Etape 2 Organiser ie probl me Cette tape vise a structurer le probleme en termes d ac teurs les parties prenantes de cat gones d enjeux les questons cl s du probl me et de sc nanos options Ces categories seront d fimes avec l aide des acteurs Etape 3 identifier et mobiliser des outils de repr sentation Cette etape consiste a rassembler et produire des moyens de representation de ia situation afin de faciiter la compr hension Il peut s agir de diagnostics de cartes de textes crits de photos de peinture etc Etape 4 Mobiliser les acteurs pour une valuation autour d actions r aliser L objectif de cette tape est dz reunr les acteurs autour du cadre d fini dans les tapes pr c dentes acteurs enjeux et opbons afin que chacun evaiue les options en weag es sur la base des enjeux Ceci wee
100. conclure qu aucun atelier de l exploitation ne semble a priori indispensable ni totalement inutile pour r pondre aux besoins en mati re de formation d exp rimentation de d monstration ou d insertion L exp rimentation et la d monstration doivent tre au service du syst me d exploitation souhait et non le contraire Les attentes portent donc davantage sur le comment produire plut t que sur le quoi produire Le syst me choisi doit tre coh rent illustrer des th matiques de l appui de la Bn l enseignement agricole et se placer dans une dynamique de d veloppement durable Les attentes des acteurs ext rieurs L interpr tation des r sultats sur les attentes des acteurs ext rieurs pose un probl me car les d partements les ont valu es de fa ons tr s diff rentes D un c t le CFA n a pas souhait ou ne se s est pas senti autoris valuer les attentes de tiers et l quipe agriculture durable l a fait uniquement pour la DGER De l autre TREE et animation culture ont largement utilis cette possibilit Si bien que le r sultat agglom r de l ensemble des d partements est tr s fortement marqu par l valuation de ces deux derniers d partements effectu e par la m me personne responsable des deux d partements Les r sultats sur les attentes des acteurs ext rieurs sont relativement proches de celles exprim es par les d partements et la hi rarchie entre productions est globaleme
101. d atteindre progressivement ce nouvel quilibre les outils de suivi et les indicateurs permettant d valuer le projet En outre ce projet ne peut tre durable si le responsable d exploitation change d une ann e sur l autre Il faut r unir dans le fonctionnement de l exploitation les conditions n cessaires cette continuit L implication de tous dans le choix du projet d exploitation permet une r elle adh sion ce projet et optimise ses chances de r ussite La conduite du changement doit passer par la communication le partage des responsabilit s et l implication des acteurs Le choix et la construction de ce projet n cessite de d finir puis de soumettre au jugement de l ensemble des acteurs la temporalit du changement c est dire les tapes n cessaires pour passer du syst me actuel celui final et la faisabilit technique du syst me final Exemplarit et Excellence L exploitation de la Bn est l une des seules fermes royales encore en fonctionnement La Bn est un milieu unique avec une reconnaissance nationale et internationale Ceci lui conf re des engagements qui prennent la forme de missions nationales confi es par le minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che et une exigence en mati re de performances conomiques sociales et environnementales Les missions nationales de la Bn sont diverses conservation des races notamment le M rinos appui l enseignement agricole sur des
102. d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale formations et productions de l exploitation Il est apparu qu aucun atelier de production ne semblait indispensable ni inutile pour r pondre aux besoins en mati re de formation d exp rimentation de d monstration ou d insertion Les attentes portent principalement sur le comment produire Elles portent n anmoins davantage sur les ateliers de cultures et de ruminants L exploitation a d velopp une activit de ferme p dagogique depuis 1995 avec une grande diversit d animations visant l ducation et la sensibilisation pour un large public Elle a pour r le de sensibiliser le public aux cycles de production et de consommation des aliments en soulignant leurs impacts conomiques sociaux et cologiques sur leur environnement durant toutes les tapes des cycles Une meilleure articulation des activit s et des supports est n cessaire ainsi que l implication de salari s provenant de diff rentes plateformes de la Bn sur des projets communs Conduite du changement La gestion de l exploitation n cessite une ligne directrice forte sur le long terme et des partenariats solides pour permettre des avanc es concr tes dans la voie du d veloppement durable Cette orientation se traduira par l laboration d un projet d exploitation qui d finira les productions retenues et leur dimensionnement le mode de conduite des cultures et des troupeaux la fa on
103. de l environnement Sant humaine Participation au Viabilit Respect de d veloppement local conomique l environnement Exemplarit et D veloppement Aides en faveur de excellence conomique des l environnement de la PAC Place de l identit zones rurales D marches pour lune agricole du territoire Souverainet et possible qualification Pression de s curit alimentaire Haute Valeur l urbanisation Aides publiques Environnementale HVE DGER et PAC conomique Qualit et sant des cosyst mes Environnementale Conduite du changement Exemplarit et excellence Int gration des diff rentes politiques de d veloppement rural et agricole Gestion des volutions en interne Politique Tableau 23 Le mod le t tra drique appliqu au syst me agricole de l exploitation de la Bn La r union avec les responsables de plateformes de la Bn Conseil de plateforme du 24 juin 2009 a permis de discuter de modifier puis de s accorder sur les composantes de l valuation Les sept enjeux de performances pr sent s en d tails ci apr s ont t s lectionn s 1 Viabilit conomique 2 Respect de l environnement 3 Participation au d veloppement local 4 Vivabilit am liorer les conditions de travail et respecter le bien tre animal 5 M diation des connaissances et p dagogie 6 Conduite du changement 7 Exemplari
104. de la d marche INTEGRAAL Da Cunha O Connor et al 2010 La derni re tape de communication se situe l issue de la d marche les r sultats doivent tre tudi s la lumi re des d cisions prises Un compte rendu de huit pages contenant les l ments principaux de la d marche d valuation et de ses r sultats sera diffus l attention de l ensemble des participants Il pourra faire l objet d une r union de d bat sur l impact de la d marche d lib rative dans le projet d exploitation Les r sultats de cette valuation sont aussi l origine de conclusions et r flexions sur les processus participatifs et notamment sur la d marche INTEGRAAL chapitre 7 et feront l objet d une g n ralisation via une d finition de l agriculture durable et une proposition concernant lavenir des territoires ruraux franciliens chapitre 8 205 A Ce rapport est en cours de finalisation 6 Idem 310 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re R F RENCES Abramovitz J 1997 Valuing nature s services State of the World L Brown C Flavin et H French Worldwatch Institute Washington DC 95 114 Acad mie fran aise 2005 Dictionnaire de l Acad mie francaise Fayard Litt rature Fran aise Paris 1798 pp Actu Environnement 2006
105. de prairies permanentes et de l intervalle de retournement des prairies temporaires par la cr ation de points d eau dans les patures et la mise en place d un suivi pr visionnel fourrager Cette optimisation passe galement par une simplification de la conduite des troupeaux gr ce la concentration des p riodes de v lages Cette orientation permet le maintien des effectifs laitiers 54 vaches Holstein bovins viandes 40 vaches Limousines et de deux troupeaux ovins 150 m rinos 320 romanes IDF le troupeau ovin blackface est supprim Option nb introduction du cheval Cette option pr voit l introduction progressive de juments poulini res suit es partir du syst me d crit dans l option na consolidation Cette prise en pension de poulini res pourrait se faire dans le cadre d un projet innovant en partenariat avec le Haras des Br viaires pour offrir des particuliers la possibilit de faire na tre un poulain et l lever jusqu 3 ans sans qu il lui soit n cessaire d investir dans lachat l levage d une poulini re et dans le suivi de la gestation Le principe du dispositif est le suivant un particulier loue une jument pour la dur e de la gestation un propri taire Il ach te galement une prestation de saillie et de mise en pension de la jument et du poulain jusqu 3 ans La prestation de saillie et de poulinage est assur e par 282 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me le Haras des
106. development 2005 Agri environmental measures overview of general principles types of measures and application European Commission Bruxelles 24 pp DIREN et SMA 2002 Compte rendu de la troisi me campagne de surveillance 2000 2001 de la teneur en nitrates des eaux douces R gion le de France Direction R gionale de l Environnement Ile de France et Direction D partementale et R gionale des Affaires Sanitaires et Sociales d le de France Paris 17 pp DIREN Centre 2005 Etude des enjeux faunistiques et paysagers li s l installation de parcs oliens en Beauce Extrait de Juillet 2007 from http www1 centre ecologie qouv fr rubrique php3 id rubrique 54 Donadieu P Bouraoui M Dumont Fillon N et Fleury A 2001 Le r le du paysage dans l am nagement _ des territoires ruraux _ p riurbains Colloque dynamique rurale environnement et strat gies spatiales Montpellier 13 et 14 septembre Douguet J M 2009a Analyse int gr e multi chelles comme outil d aide la d lib ration pour l mergence de visions collectives des avenirs d agriculture durable dans les projets de territoire en lle de France Brochure de pr sentation du projet AGRIVISTAS Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 6 pp Douguet J M 2009b Kerbabel Exp riences Agricultures durables Fiche projet Universit de Versaill
107. du Sud Yvelines forestier Bergerie nationale 1999 transmis l ensemble des maires des 60 communes du territoire ainsi qu aux 60 associations li es l environnement recens es en Sud Yvelines et aux agriculteurs volontaires Le DT pr sente dans un premier temps le contexte francilien et de l agriculture p riurbaine puis se focalise plus sp cifiquement sur le Sud Yvelines Les sp cificit s des territoires sont abord es par secteur g ographique au nombre de six dont le secteur de Rambouillet y la r alisation de 40 Diagnostics Agri Environnementaux DAE men s en partenariat entre la Chambre Interd partementale d Agriculture et la Bn dans les 40 exploitations agricoles volontaires au PDD en Sud Yvelines sur un total de 190 exploitations recens es A l issue de ces travaux qui se sont tendus de septembre 1997 septembre 2000 une r union 21 f vrier 2001 fait le bilan des projets issus de ces diagnostics travers des pistes de r flexions pr sent es par la chambre d agriculture entretien des chemins et des bordures de route poursuite des actions de ma trise des intrants enrichissement du paysage et de la flore locale protection de la faune sauvage sauvegarde du patrimoine rural et reconversion de b timents non utilis s ouverture des exploitations au grand public ouverture d une boutique de 271 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale vente
108. e F d ration Nationale des Associations de Producteurs Fermiers Liste des sigles FNCIVAM FNJA FNSEA FRAGILE FRCA FSE GAB GAL GBIF GIE GIP GMS GOUVERNe IACA IAMs IAURIF devenu IAU jle de France IDEA IFEN IFOP IGP F d ration Nationale des Centres d Initiatives pour Valoriser l Agriculture et le Milieu rural F d ration Nationale des Jeunes Agriculteurs F d ration nationale des syndicats d exploitants agricoles Forum des Sciences du Vivant pour la Recherche et l Analyse Int gr e en vue d une Gestion Multi acteur de la Biodiversite d ILE de France F d ration R gionale des Coop ratives Agricoles Fonds social europ en Groupement d Agriculture Biologique et Biodynamique Groupes d Action Locale Global Biodiversity Information Facility Groupement d Int r t Economique Groupement d Int r t Public Grandes et Moyennes Surfaces Guidelines for the Organisation Use and Validation of Information Systems for Evaluating Aquifer Resources and Needs Haute Performance Environnementale Haute Valeur Environnementale Ins mination Artificielle Industries Agro Alimentaires Incertitudes Analyses Concertations et Am nagements Integrated Assessment Models Institut d Am nagement et d Urbanisme de la R gion d lle de France Indicateurs de durabilit des exploitations agricoles Institut Fran ais de l Environnement Instrument financier d or
109. e Cependant le probl me de gestion li au GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet emp che la viabilit conomique de l atelier 558 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Profession agricole locale Chambre d agriculture et des autres syndicats Pat 2 8 CO TS a O O aT O O 0000o Ko 2 0 00600 A 3 0 0 000 0 0000 O O ANY 0 0 000 Les personnes de la profession agricole locale contact es n ont pas r pondu notre sollicitation 559 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Acteurs du d veloppement agricole Institut de l Elevage Ifocap C0 0 0 0 s 4 3 4 3 9 On a une orientation nette vers le choix des options 2a et 3a Et un jugement positif pour les deux options 1 Ce choix est interpr ter avec pr caution car il est du deux participants un pour chacun des acteurs aux valuations tr s diff rentes amp amp Concernant les options 1 L option 1a n est pas viable et p renne conomiquement pour le participant de l IFOCAP Elle est positive pour l animation et a une certaine l gitimit pour la d monstration de la production animale durable Pour le participant de l institut de l levage elle est viable et p renne conomiquement et permet la simplification du syst me et une valorisation en fil
110. e Da Cunha les r sultats de l expertise de l institut de l levage et notamment la simulation des r sultats conomiques des sc narios 1a et 1b pr sent s par Kevin Boisset les points positifs et n gatifs li s l introduction du cheval a partir des arguments des groupes d acteurs et de l expertise de l Institut de l Elevage pr sent s par Daniel Boussier la simulation de la rentabilit de l atelier de transformation pr sent e par Daniel Boussier les mesures associ es a chaque option pr sent es par Daniel Boussier Au vu de ces analyses le conseil de plateformes d cide de soumettre au conseil d administration du 30 novembre les orientations suivantes L orientation strat gique principale du projet est la simplification du syst me actuel pour am liorer sensiblement la ma trise technique et conomique et rationaliser le temps de travail L introduction de productions nouvelles ne pourra tre envisag e qu une fois la ma trise des productions existantes acquise et apr s une tude qui aura d montr la r alit de leur march et leur int r t conomique Cette ma trise passe par un enregistrement syst matique des performances techniques et conomiques de chaque atelier et l utilisation de ces r sultats pour le pilotage de leur conduite D une fa on g n rale l exploitation devra poursuivre ses efforts pour d velopper une activit agricole durable en visant un d veloppement quilibr entr
111. e Groot R 2003 A framework for the practical application of the concepts of critical natural capital and strong sustainability Ecological Economics 44 2 3 165 185 ENVIROPEA 2009 Enrayer la perte de la biodiversit politiques financements et projets exemplaires Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement durable et de l Am nagement du territoire Paris 81 pp ESPON 2007 European Commission adoption of European observation network on territorial developement and cohesion Press release on ESPON 2013 Programme 2 pp EURAZIS Lexique du d veloppement conomique Extrait de D cembre 2009 from http www zonesdactivites org dictionnaire developpement _economique php European Commission 2009 European Territorial Co operation Extrait de D cembre 2009 from http ec europa eu regional_policy cooperation European Commission 2010 Options for an EU vision and target for biodiversity beyond 2010 Communication from the commission to the european parliament the council the european economic and social commitee and the committee of the regions European Commission Bruxelles 10 pp Evrard P et Vedel G 2003 D veloppement agricole r inventer le mod le la fran aise Cahier du club D m ter 11 70 pp Ewert F van Ittersum M K Bezlepkina l Therond O Andersen E Belhouchette H Bockstaller C Brouwer F Heckelei T Janssen S Knapen R Kuiper M Louhichi
112. e a ce qu on pourrait normalement attendre soit un manque a gagner de 13 000 15 000 Comme pour le troupeau laitier le manque de g nisses de renouvellement emp che de renouveler suffisamment rapidement les vaches probl mes ce qui affecte les performances du troupeau et entra ne un talement des v lages Par ailleurs une partie des vaches sont gard es l table en raison de v lages tardifs et de la difficult de boucler les veaux au parc Cette fa on de faire engendre la fois des co ts et des contraintes de main d uvre La proposition concernant le troupeau allaitant est de regrouper les v lages avec une p riode de v lages l automne septembre d cembre et une p riode de printemps fin janvier mars Ceci permettrait la fois de pouvoir vendre de la viande presque toute l ann e d am liorer la surveillance du troupeau et de maximiser l utilisation de l herbe sous forme de p turage Coupler une meilleure croissance des veaux cette pratique pourrait permettre de faire v ler les primipares un ge un peu plus jeune sans avoir les pertes catastrophiques observ es sur les v lages 2 ans au cours des derni res ann es En revanche le passage une conduite en agriculture biologique n aurait pas d effets sensibles sur les r sultats conomiques En effet la viande est d j bien valoris e par la vente en circuit court et il semble difficile d augmenter encore le prix de vente avec le l
113. e d veloppement durable Coop de France infos 16 16 CORPEN 1993 Am lioration des pratiques agricoles pour r duire la pertes de nitrates vers les eaux Mission Eau nitrates Minist re de l Environnement et Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 56 pp Costanza R 2008 Ecosystem services Multiple classification systems are needed Biological Conservation 141 2 350 352 Costanza R d Arge R de Groot R Farber S Grasso M Hannon B Limburg K Naeem S O Neill R V Paruelo J Raskin R G Sutton P et van den Belt M 1997 The value of the world s ecosystem services and natural capital Nature 387 6630 253 260 CREDOC 2009 Etude exploratoire pour une valuation des services rendus par les cosyst mes en France Application du Millennium Ecosystem Assessment a la France Collection des rapports Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement durable et de la Mer Paris 30 pp CROCIS 2006 La fili re agroalimentaire en le de France une fili re en mutation et au fort potentiel Enjeux Ile de France L conomie francilienne en bref 95 4 pp Da Cunha C 2008 D marche participative sur le Site de Dourdan Une r flexion collective sur l avenir des activit s agricoles en le de France Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 4 pp Da Cunha C
114. e des fournisseurs clients banques etc y les parties prenantes externes largies les acteurs qui affirment leur int r t dans la performance de l exploitation par exemple des associations entreprises partenaires y les autorit s coordinatrices les acteurs ayant des pr rogatives sur l organisation du territoire ou de l exploitation aux diff rents niveaux local d partemental r gional national Les cat gories d acteurs sont class es en fonction de ses groupes de parties prenantes dans le tableau ci dessous Tableau 22 Chaque cat gorie d acteurs se compose de plusieurs acteurs pouvant tre chacun repr sent s par plusieurs participants concern s par l avenir de l exploitation de la Bn 272 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me Groupes de parties prenantes Cat gories d acteurs La Production Groupes Aviculture Ruminants Participation Evaluation des options Nombre de Nombre participants de groupes v g tal Animation Transformation 13 5 Manifestation La Formation CFA centre de Formation des Apprentis Parties prenantes CFPPA Centre de Formation Professionnelle Pour 5 1 internes Adultes IA Ins mination Artificielle La Recherche Agriculture Durable TREE Tourisme rural et ducation a l environnement animation Ecoles des 11 1 territoires Le centre questre 1 1 GIE GIE des producteurs fermie
115. e eee es X8 _ _ FE Dyp agri 1x _ __ET Dom ONF 4x _ INT EA 3x _ _ __ Z 4 2 AC Collect 1x ET Coop 1x INT EA 3x ee tees X9 _ _ EE Dvp agri 2x _ _ET Dom ONF 1x _ _ INT Format 4x _ _ Gestion des p tures 3 7 ET Coop 1x INT 3DFI 1x INT Equest 1x P X7 ET Dom ONF 1x INT EA 2x INT Format 1x 300 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer R sultats de l valuation de l option 2a par 5 G SE S at ie x oe E a a a ge ae ae a og Cat gories EF af se af p atan a a a PRE Be St d acteurs se 0 O F F 0 0 0 43 54 50 70 0 55 48 61 54 70 81 71 64 76 a MaM l Groupes Autorit s Externes largies Externes traditionnelles Internes de parties coordinatrices prenantes s J 5 J 48 56 49 72 Evaluation vJ globale 59 L option 2a fait consensus pour l ensemble des groupes de parties prenantes Les participants jugent favorable l option 2a 59 Les Externes largis et les Internes la jugent clairement favorable Le r sultat plus mitig des externes traditionnels vient principalement du jugement d favorable des Acteurs du parc du ch teau Le r sultat plus mitig des Autorit s coordinatrices vient des collectivit s locales qui ont des points de vue divergents sur la l gitimit et l utilit de cet atelier Impact Indicateurs global Acteurs ee NE CONE 1K ee a Re EN Dt ous Valorisation par fil
116. e et des autres synclicuts Acteurs du d veloppement agricole salari s de la chambre d agriculture instituts techniques autres tablissements d enseignement agncole tc Les enjeux de performance Les enjeux de performance dowent tre compre comme les conditions sans lesquelles ies opbons defimes pour exptoita bon agnoole ne pourront pas tre consid r es comme performantes Ce sont ces orni res qui permettront aux acteurs d valuer la pertinence des options Viabilit conomique Depus pius de 10 ans le resutat economique de exportation agrole de 3 Begens natonaie est chaque ann e defiotare Er 2008 seu stever cutwre 2 degage un produit permenant de cou var ses Charges y comens celles de personnel Les resutats eco nonvques de towtes les autres produchons et de activite oe tars formation de vande omt ete negatifs L okjectf est d amenorer sen siblement 3 rentabilit de lexpioitaton agrcole avec un object d equilitre economique en 20 e Respect de l environnement La pr servation des ressources en eaux et de ia qualit des sols et de 2 ocal et la protecton de la biodiversite sont des enjeux env tants ont ee realises pour diminuer ies apports d engras et des pesicdes L expioitaton se fre comme objectif de edhere au maximum sor impact sw environnement limperatf pour 2 mise er piace de 13 Cte du deve oppement durakie Participation au d veloppement local La Bergene natomae pat ome
117. e la PAC Secr tariat g n ral du Gouvernement Paris pp Direction de l information l gale et administrative 2008b Qu est ce que la politique agricole commune PAC Secr tariat g n ral du Gouvernement Paris pp Direction de l information l gale et administrative 2009 La d mocratie de proximit Secr tariat g n ral du Gouvernement Paris pp Direction g n rale de l agriculture 2002 Lignes directrices pour l valuation des programmes LEADER Commission Europ enne Bruxelles 68 pp 367 R f rences Direction g n rale de l am nagement du logement et de la nature et Direction de l eau et de la biodiversit 2009 Communication et animation du r seau natura 2000 Elements strat giques destination des acteurs du r seau 2010 2013 Minist re de l cologie de l nergie du D veloppement durable et de la Mer Paris 20 pp Direction g n rale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction 2007 Loi Solidarit et renouvellement Urbains Des nouveaux outils pour les collectivit s locales Minist re de l Equipement des Transport et du Logement Paris 17 pp Direction g n rale des collectivit s locales et Direction g n rale de la comptabilit publique 2006 Guide pratique de l intercommunalit Minist re de l Int rieur et de l Am nagement du Territoire et Minist re de l Economie des Finances et de l Industrie Paris 347 pp Directorate General Agriculture and rural
118. e les volets conomiques environnemental et social en mettant en place des pratiques de modes de production de type int gr ou et biologique L objectif est d obtenir rapidement une qualification de type Haute Valeur Environnementale L exploitation se doit aussi de maintenir le troupeau ovin M rinos dans le cadre de la mission de conservation de cette race des productions petits effectifs pour la ferme p dagogique et un levage de chevaux lourds pour les activit s d animation 235 Par comparaison avec les autres exploitations des r seaux d levage A partir de 2010 la partie cultures herbivores de l exploitation rentrera dans le r seau de fermes de r f rence de l levage base de donn es DIAPASON Ces r sultats faciliteront l utilisation de l exploitation comme support p dagogique 542 Annexe 13 Relev de conclusions du conseil de plateformes 12 octobre 2009 exploitation de la Bn Pour chacune des trois grandes parties de l activit de production de l exploitation polyculture levage d herbivores aviculture abattage et transformation de viande les orientations sont les suivantes Partie polyculture levage d herbivores L option na est retenue Cette option pr voit une optimisation du syst me actuel par une meilleure utilisation de l herbe qui permettra de limiter au maximum l approvisionnement ext rieur et d am liorer les performances des animaux Ce r sultat sera o
119. e optimesation du syst me actuel permetira de limiter au maximum l approvisionnement exteneur et d am liorer les levage performances des animaux L objectif est d obtenir une meilleure utiication de l herbe mise l herbe des troupeaux d herbivores plus pr coce et plus longue pratque du p turage mixte concentration des p riodes de v lages etc Cette orientation permet le mantien des effectifs latiers bone viandes et de deux troupeaux ovine L introduction progressive de juments poulimeres suites dans le systeme d crit dans l opbon n 1a La prestation de saie et de poulinage est assur s par ie Haras des Breviaires La Bergere nationale assurerait cee de l levage 12 juments poulini res pourraient terme tre lev es avec leurs poulains jusqu 3 ans en partie sur les surfaces lib fees par la reduction du troupeau de Limousines et er partie sur 15 ha de prames mis disposinon par le Haras des Option n 2a repli de la production avicole La production d ufs biologiques est ajuciee aux possibdt s de commerciabsation en crcwts courts seules suscepti i bles de supporter le co t de revient actuel des ufs fermeture du poulailier le moins performant pour le ramassage des ufs La verte en vrac pour les circuits courts sers d velopp e Des investissements seront realises pour auto mabser certanes t ches iri et marquage des ufs La production de volailles de chair biologique est arr t e en rai son d un pr
120. eaeaeaeaaaeeeeeeeeseeeeeaeeeeteeeeees 272 6 2 3 La prise de contact avec les participants 274 6 2 4 Identifier et structurer les enjeux de performances cceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeteeeeees 276 6 2 5 Les avenirs possibles de l exploitation agricole 281 6 3 Etape 3 Repr senter le syst me 285 6 3 1 R aliser les diagnostics n cessaires la repr sentation du syst me 285 6 3 2 Construire une base d indicateurs pertinents pour le probl me valu 287 6 4 Etape 4 Evaluer et exposer 289 6 4 1 Premi re session validation de la structuration du probl me 289 6 4 2 Deuxi me session valuation participative multicrit res 289 6 4 3 Troisi me session d lib ration 291 6 5 Etape 5 Analyser et Communiquer 293 6 5 1 La pr sentation synth tique des r sultats ccceceeceeeee cece ceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeneeeeeees 293 6 5 2 La pr sentation d taill e des r sultats 20 2 2 ccc ce cceeeceeeeeceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeeeeeeeees 297 6 5 3 Communiquer aupr s des participants ccceeeceeeeeeeeee cee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeseeeaeeeneeeeees 310 PARTIE 3 LA PERTINENCE DES DEMARCHES D EVALUATIONS PARTICIPATIVES MULTICRITERES POUR CREER UN CADRE GENERIQUE D ANALYSE DE LA PERFORMANCE DE L ACTIVITE AGRICOLE SUR UN TERRITOIRE sxsidccidecensnsdaaxteneneeddecaveccsisieasesagdaibxeacendteal
121. ectif d aider la d termination du projet d exploitation 2010 2013 pour une exploitation agricole atypique et motrice dans son territoire celle de la Bergerie nationale de Rambouillet Bn La d marche INTEGRAAL a t men e en collaboration avec le charg de mission du suivi du projet d tablissement et le chef d exploitation Elle a permis de d terminer son influence sur son territoire et r ciproquement Apr s avoir identifi le probl me qui doit tre trait Section 6 1 nous pr sentons l organisation de ce probl me via l identification des composantes de l valuation Section 6 2 La repr sentation du syst me men e par les membres de la Bn et l institut de l levage est expos e en section 6 3 Nous d taillons en section 6 4 la conduite de l valuation participative multicrit re men e l aide des informations issues des tapes 1 3 La section 6 5 pr sente les r sultats et d montre que cette analyse est indissociable de la n cessit de mettre en place d s le d but du projet un plan de communication pour diffuser une information ad quate au plus grand nombre 267 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 1 Etape 1 Identifier le probl me En 1783 Louis XVI ach te le domaine de Rambouillet pour en faire un domaine de chasse
122. emple Cheptel Reproductrices Jeunes sevr s Productivit Femelles lev es an Femelles de renouvellement Taux renouvit Poulains de plus de 5 mois UGB Situation actuelle optimis e Pensions chevaux Vaches laiti res 54 vaches 47 87 20 18 88 UGB Vaches allaitantes 20 vaches 17 5 88 32 UGB Ovins Lie M rinos Romanes IdF 320 brebis 512 160 70 150 brebis 60 48 UGB 22 UGB Chevaux en pension reproduction 16 juments 33 39 UGB Ensemble cheptel 229 UGB Surfaces SFP Mais Herbe P ture printemps P ture automne Chargement Fertilisation Productions Lait G nisses viande Veaux caissettes Concentr s Pensions chevaux R sultats conomiques Produit Lait Viande Aides coupl es Pensions chx Charges troupeau Concentr s Frais d levage Paille Charges SFP Mais Herbe Pensions g nisses Marge Marge ha 64 7 ha 10 7 ha 54 0 ha 28 5 ha 54 0 ha 1 36 UGB ha 60 30 60 350 000 I 342 000 6 5001 16 2 27 1000 kg VL 380 kg g nisse 119 800 104 500 14 700 600 32 800 19 500 13 300 11 200 3 700 7 500 75 800 1172 25 4 ha 25 4 ha 12 7 ha 25 4 ha 1 26 UGB ha 50 25 40 250 kg VA 19 500 14 250 5 250 11 300 445 39 0 ha 18 0 ha 39 0 ha 14 4 ha 38 4 ha 1 23 UGB ha 50 25 40
123. ences de l environnement 3 3 Le Dars A 2004 Pour une gestion durable des d chets nucl aires Presses Universitaires de France Collection Partage du savoir Paris 280 pp Le Goffe P et Delache X 1997 Impacts de l agriculture sur le tourisme Une application des prix h donistes Economie rurale 239 3 10 Le Prestre P 2002 Governing Global Biodiversity The Evolution and the Implementation of the Convention on Biological Diversity Ashgate Governing Global Biodiversity Aldershot 448 pp Le Roux X Barbault R Baudry J Burel F Doussan l Garnier E Herzog F Lavorel S Lifran R Roger Estrade J Sarthou J P et Trommetter M 2008 Synth se du rapport d expertise r alis par l INRA Agriculture et biodiversit Valoriser les synergies Expertise scientifique collective Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 116 pp 375 R f rences Leakey R et Lewin R 1995 The Sixth Extinction Patterns of Life and the Future of Humankind Doubleday New York 271 pp Lebarbier C 2009a Le d veloppement durable comme mutation in luctable vers un capitalisme responsable Une analyse de l interaction entreprise soci t dans la d termination d une Responsabilit Soci tale des Entreprises contributive d un D veloppement Durable Sciences conomiques Universit de Versailles St Quentin en Yvelines Guyancourt 570 pp Lebarbier C 2009b Panorama des prat
124. encontre de ces points positifs 547 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Le sous groupe Animation 2 2 2 5 S S 06060006 we e D J ss H ra gt A 000 d a 2 DH gt s 000 00 On a une orientation vers le choix des options 1a et 2a L valuation des options 2b et 3 est presque inexistante par manque de donn es sur le sujet Concernant les options 1 Les options 1a et 1b sont respectivement valu es favorables 77 et 45 l valuation de l option 1b est plus mitig e que celle de l option 1a L option 1a est jug e positivement car l optimisation permet la production de plein air et am liore les conditions de travail Elle est favorable la formation et plut t favorable l animation L option 1b va poser des probl mes de vivabilit pour les salari s et par la m me en mati re de conduite du changement Elle devra aboutir sur l embauche d un nouveau salari qualifi ou de la formation continue des salari s pr sents avec un risque de conflits L introduction de cheval pour l animation et son impact sur l image de la Bergerie nationale vis vis du territoire sont jug es comme plus ou moins favorable En outre la viabilit conomique est jug e comme d favorable Concernant les options 2 L option 2a permet le maintien de la valorisation en fili res courtes de produits en AB tout en am li
125. endu impossible par le manque de place en stabulation 526 Annexe 10 Expertise technique et conomique des options 1a et 1b exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage Vaches Vaches laiti res allaitantes Cheptel Reproductrices Jeunes sevr s Productivit Femelles lev es an Femelles de renouvellement Taux renouvlt UGB Surfaces SFP Ma s Herbe P ture printemps P ture automne Chargement Fertilisation Productions Viande Vaches r forme G nisses viande Veaux caissettes Veaux 3 sem Brebis r forme Agneaux Concentr s R sultats conomiques Produit Lait Viande Aides coupl es Charges troupeau Concentr s Frais d levage Charges SFP Mais Herbe Marge Marge ha Situation actuelle optimis e 54 vaches 47 87 20 18 64 7 ha 10 7 ha 54 0 ha 28 5 ha 54 0 ha 1 36 UGB ha 60 30 60 350 000 342 000 6 500 16 2 27 1000 kg VL 380 kg g nisse 119 800 104 500 14 700 600 32 800 19 500 13 300 11 200 3 700 7 500 75 800 1172 40 vaches 35 88 16 14 49 2 ha 49 2 ha 24 6 ha 49 2 ha 1 26 UGB ha 50 25 40 250 kg UGB 34 000 28 500 5 500 10 700 1 900 8 800 5 300 5 300 18 000 366 21 Romanes 320 brebis 512 160 70 60 39 0 ha 39 0 ha 14 4 ha 38 4 ha
126. ens J et Gond J P 2003 La mesure de la performance sociale de l entreprise une analyse critique et empirique des donn es ARESE Revue Fran aise de Gestion des Ressources Humaines 50 111 130 INAO Les signes d identification de la qualit et de l origine Extrait de Avril 2009 from www inao gouv fr INRA et CEMAGREF 2005 Pesticides agriculture et environnement R duire l utilisation des pesticides et en limiter les impacts environnementaux Rapport d expertise r alis par l INRA et le CEMAGREF Minist re de l Agriculture et de la P che et du Minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable Paris 840 pp INSEE 2006 le de France La France et ses r gions dition 2006 INSEE Paris 86 89 INSEE a D finitions et m thodes Extrait de Mai 2009 from http www insee fr fr methodes INSEE b Th mes Extrait de Mai 2009 from http www insee fr fr themes INSEE CRCI Paris Ile de France et DRTEFP d lle de France 2006 Zone d emploi de Dourdan Les zones d emploi de l Ile de France Montigny le Bretonneux 13 pp Institut de l Elevage 2007a D marches qualit et bonnes pratiques d levage Institut de l Elevage Paris 2 pp Institut de l Elevage 2007b Elevage et environnement Institut de l Elevage Paris 2 pp Institut de l Elevage 2007c Elevage pastoralisme et territoire Institut de lElevage Paris 2 pp Institut de l Elevage 2007d Rapport d activit Insti
127. ents du GIE et des partenaires 546 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Le sous groupe Transformation On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Concernant les options 1 Si on se contente de regarder l valuation globale l option 1a est valu e favorables Pour l valuation de option 1a seuls les trois premiers enjeux sont jug s positivement L option est plus efficiente conomiquement Ces productions permettent une valorisation en fili re courte de produits Bergerie nationale et une utilisation par l animation L valuation de l option 1b est presque inexistante par manque de donn es sur le sujet Concernant les options 2 L option 2a permet la valorisation en fili res courtes de produits en AB Elle conserve la possibilit de maintenir l atelier comme support p dagogique L option 2b va l encontre de ces points positifs Concernant les options 3 L option 3a permet la valorisation en fili res courtes de produits divers et en AB et conforte l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet Cet atelier poss de un potentiel p dagogique encore peu exploit Le seul point mitig de l option 3a vient de l enjeu vivabilit du fait du manque de formation aux normes d hygi ne des autres membres du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet L option 3b va l
128. epts a son valuation pour appuyer des politiques de soutien a sa mise en oeuvre A venir pp Zahm F Viaux P Vilain L Girardin P et Mouchet C 2004 La m thode IDEA Indicateurs de Durabilit des Exploitations Agricoles une m thode de diagnostic pour passer du concept de durabilit son valuation partir d indicateurs PEER Conference Helsinki Finland 17 18 November 386 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re AB ACTA ACTIA ADP AEE AGPB AGRIVISTAS ALARM AMAP AMIF AOC AOP APCA BCAE BISE Bn C3ED CAD CBD CCDH Agriculture Biologique Association de Coordination Technique Agricole Association de Coordination Technique pour l Industrie Agro alimentaire A roports de Paris Agence europ enne de l environnement Association G n rale des Producteurs de Bl Analyse int gr e multi chelles comme outil d aide a la d lib ration pour l mergence de visions collectives des avenirs d agriculture durable dans les projets de territoire en lle de France Assessing Large scale Risks for biodiversity with tested Methods Associations pour le maintien d une agriculture paysanne Association des Maires d lle de France Appellations d Origine Contr l Appellation d Origine Prot g e Asse
129. erritoire ci EE Soc civ 1x he a ET Clients 1x 308 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer Vivabilit respecter le bien tre humain et animal M diation des connaissances et p dagogie Conduite du changement Exemplarit et Excellence Nombre de t ches p nibles nombre de t ches totales par poste AC Institu 1x EE Soc civ 2x ET Clients 2x ET Coop 1x INT EA 9x INT Format 3x Application des recommandations hygi ne et s curit inspections diagnostics etc AC Collect 1x ET Clients 2x AC Institu 1x EE Dvp agri 1x AC Institu 1x ET Clients 1x INT 3DFI 1x INT EA 5x INT Format 1x INT EA 4x INT Equest 1x Intensit de travail IDEA B13 Degr d utilit d un atelier pour l animation AC Institu 1x EE Dvp agri 1x EE Ens sup 1x ET Coop 1x AC Collect 4x AC Institu 5x EE Dvp agri 8x EE Soc civ 3x ET Clients 8x ET Dom OMF 2x INT 3DFI 1x INT EA 4x INT Equest 1x INT Format 2x ET GIE 3x INT 3DFI 5x INT EA 21x INT Equest 1x INT Format 2x du CEZ AC Collect 2x AC Institu 6x EE Dvp agri 4x EE Soc civ 2x ET Clients 4x ET Coop 2x ET Dom ONF 5x ET GIE 1x INT 3DFI 3x INT EA 8x INT Equest 5x INT Format 4x EE Dvp agri 1x EE Soc civ 3x ET GIE 5x INT Equest 1x Travail en r
130. es Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 6 pp Douguet J M O Connor M Petersen A Janssen P et van der Sluijs J P 2009 Uncertainty assessment in a Deliberative Perspective Science for Policy New Challenge New opportunities A Pereira Guimaraes et S Funtowicz Oxford University Press India 15 47 Douguet J M Zahm F Da Cunha C Rabolin C Saillet B Colombo E et Vernier F 2009 Support de cours Analyse des enjeux de repr sentation et d valuation des strat gies d agriculture durable Ressources p dagogiques en ligne disponible sur www uved fr Dans le cadre de l Universit Virtuelle Environnement et D veloppement Durable Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt pp DRIAAF 2006 Exploitations franciliennes qualifi es au titre de l agriculture raisonn e Direction r gionale et interd partementale de l alimentation de l agriculture et de la for t d Ile de France Paris 1 pp 368 R f rences Duret B Mat N Bonard A Dastrevigne E et Lafragette A 2007 cologie territoriale une aide la d finition d une politique nerg tique Comprendre l conomie physique des territoires Les Annales de la recherche urbaine 103 73 78 Ekins P Simon S Deutsch L Folke C et D
131. es des exploitations sur le territoire Equilibre alimentaire mondial 42 43 Taux d importation IDEA Proximit de l exploitation avec le lieu d approvisionnement d aliments Km Taux d importation TI surface import e SAU 4 tonnes d aliment du b tail concentr achet 1 ha quivalent 537 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 4 Vivabilit respecter le bien tre humain et animal Concept Indicateurs Modalit s de d termination Hygi ne et s curit 1 Soy de Qualit d accueil et d h bergement de la main d oeuvre temporaire IDEA B16 S curit des installations IDEA B16 Local conforme aux pr conisations MSA IDEA B16 Nombre d accidents an Nombre de jours d hospitalisation an Utilisation de produits a risques Application des recommandations hygi ne et s curit inspections diagnostics etc Ressources humaines 10 11 12 Jour de formation continue annuelle UTH IDEA B12 Dur e moyenne sur un poste salari Dur e moyenne la BN salari Degr d ad quation statut comp tences salaire la Bn Niveau de formation des agriculteurs Niveau de formation des agriculteurs formation globale ou environnementale exprim e en des agriculteurs P nibilit et r p tition des t ches 13 14 15 Intensit de travail IDEA B13 Nombre de t ches p nibles
132. es tenues l H tel de Roquelaure les 24 25 et 26 octobre 2007 Le Grenelle de l environnement Paris Minist re de l Ecologie du D veloppement et de l Am nagement durables 2007b Groupe 2 Pr server la biodiversit et les ressources naturelles sous la pr sidence de Le Grand J F Le Grenelle de l environnement Paris Minist re de l Ecologie du D veloppement et de l Am nagement durables 2007c Relev de la troisi me partie de la table ronde Programmes 6 Agriculture cologique et productive et valorisation durable de la ressource foresti re Le Grenelle de l environnement Paris Minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable 2004 Strat gie nationale pour la biodiversit enjeux finalit s orientations Minist re de l Ecologie et du D veloppement Durable Paris 49 pp Ministre fran ais de l agriculture 1997 La PAC une d j longue histoire Les dossiers de la PAC 1 17 Miotti p Armand T 2008 Agriculture Durable Pressions Acteurs Services Ecologiques Analyse de la Probl matique par la Foire aux Indicateurs Rapports de Recherche du C3ED Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt pp MIRAMAP Mouvement inter r gional des AMAP Extrait de Avril 2010 from http miramap org Mise jour 2009 Mitchell R K Agle B R et Wood D J 1997 Toward a theory of stakeho
133. esp ces v g tales cultiv es et la portance des sols L obstacle majeur reste la formation des salari s et le risque de conflits employ s en d saccord avec le projet Concernant les options 2 L option 2a permet la valorisation en fili res courtes de produits AB et de bonne qualit Avec l automatisation de certaines t ches la p nibilit est diminu e L option 2b va a l encontre de ces points positifs et supprime des emplois Concernant les options 3 L option 3a permet une valorisation en fili re courte mais les probl mes de qualit des produits de mise aux normes des installations et des pratiques et de conflits avec le GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet noircissent le tableau L arr t emp che la rentabilit des investissements r alis s et supprime des emplois 545 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Le sous groupe Aviculture 000000 g v J F a 00000 ra gt 0000 Ca 90000 cee ece e 000600600606 On a une orientation tr s nette vers le choix des options 2a et 3a Pour les options 1 le jugement n est pas tranch et l valuation plut t positive dans les 2 cas Concernant les options 1 Si on se contente de regarder l valuation globale les options 1a et 1b sont respectivement valu es favorables 54 et 64 Ce constat est trompeur l valuation de l option
134. et sera au final propos la d lib ration au conseil d administration du CEZ de mars 2010 C est en 1783 que Louis XV a achet le domaine de Rambouillet pour en faire un domaine de chasse C est gale ment l epoque de Tagromenie et il d cide la cr anon d une ferme experimentas Cette deuxieme vocation du do maine se concr tise par la construction de la grande ferme en 1785 Cette double fonction restera toujours le fonde ment de ce site natonal La vocation d levage de la Bergere rationale date de 1786 st de l achat d un roupeau de Mennos espagnols qui a donne naissance aux Merinos de Ramboulliet De l coie des bergers ouverte en 1794 la creation du Centre de formation pour apprenti en 1993 la Bergerie natonale afirme aussi une vocation d enssigne mer forte Le projet d explotabon precisera les obvectis les actions a mener et ies criteres d evaluabon pour ia periode du praet d tablissement 2008 2013 Pour porter cette reflexion sur con averw de fa on innovante la Bergerie nationale c est propos e d impliquer quipe IACA du Centre d Economes et d thique pour l Environnement et le Developement C3ED travers un projet de recherche action Ce projet repr sente une opportunit de mettre en place une demar che de gouvemance par concertation des partenaires du projet d exploitation Cette d marche basse cur la methode INTEGRAAL apporte sa capacte d evaluer les options pour le futur de l exploitation agricole pa
135. eur pour un enjeu toutes cat gories d acteurs et toutes options confondues 204 Voir la sous section 4 7 4 pour le calcul de l impact global 307 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale Enjeux Indicateurs pris Acteurs AC Collect 3x ET Dom ONF 2x AC Institu 6x 16 7 EE Dvp agri 6x Tel 3x Viabilit conomique IDEA C1 41x EE Ens su 7 2x INT EA 7x pers P 3 INT Equest 5x ET Clients 4x o INT Format 2x SS Ser eS See ete eS Se are See a eee eee ET Coop 1x 0 AC Collect 4x ET GIE 4x AC Institu 1x INT 3DFI 3x Rentabilit des innovations investissements valeur 11 6 EE Dvp agri 1x INT EA 9x ajout e 36x EE Ens sup 4x ET Clients 1x INT Equest 1x Vigbilit P ET Coop 4x _ _ _ NT Format RE conomique AC Collect 1x 5 8 4 AC Institu 5x NT a Valorisation par fili res courtes en du CA IDEA B6 25x EE Dvp agri 2x INT EA 5x ET Clients 5x INT Format ix SEE EEE E ee ee EE E ET Coop 2x LL ee ee 7 5 AC Institu 1x INT EA 10x Efficience du processus productif IDEA C6 21x EE Dvp agri 2x INT Equest 2x Re E EE Ens sup 4x _ _INT Format 2x _ _ AC Collect 1x A ET Coop 4x 0 P rennit probable IDEA oo AC Institu Oe INT EA 6x 18x EE Dvp agri 3x INT Format 2x EE Soc civ 1x 174 BE DA INTE SDRI 1 D marche de qualit
136. eurs les plus utilis s pour valuer cette option toutes cat gories d acteurs et tous enjeux confondus nous pouvons d limiter le type d arguments qui a t avanc et mettre en avant les similitudes et oppositions entre les diff rentes cat gories d acteurs 298 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer R sultats de l valuation de l option 1a par x CM 3 a aj x ON amp ge ge oI ce ge oe go ge he eo Ce o nf a ee 2 nf n M di o O O O G 0 2 0 0 0 0 63 56 68 40 0 42 76 54 47 57 72 57 36 81 SS St Groupes Autorit s Externes largies Externes traditionnelles Internes de parties coordinatrices prenantes J J J J 48 53 58 59 Evaluation J globale 56 Cat gories A d acteurs Ce I L option 1a fait consensus pour l ensemble des groupes de parties prenantes Les participants jugent favorable l option 1a 56 L valuation des Autorit s coordinatrices est principalement favorable mais hauteur de 48 pourcentage plus faible que pour les autres groupes de parties prenantes d aux Institutions de tutelle qui jugent n gativement cette option Pour les Acteurs du parc du ch teau le jugement est principalement d favorable mais seulement hauteur de 47 Les autres Externes traditionnelles ayant amplement vot favorablement ce vote n gatif a peu d impact dans l valuation globale des Externes traditionnelles
137. eux comprendre les arguments des gy cadre d fini dans les tapes pr c dentes acteurs autres plus globalement de fare avancer des d enjeux et options afin que chacun value ies options en bats parfois st riles pour ou contre cene option amp visagess sur la base des enjeux Cec vise faire rentrer fin et s cela est possible est ainsi envisageable de jies acteurs dans un processus de dialogue et de n go trouver des solutions qui satsiassent au nmeux chacun ciation d entre eux Etape 5 Communication des r sultats et retour d exp rience li s agit ici de communiquer les resultats de F tude au pr s des participants mais aussi du public de fa on plus rage Cette dermers tape vise interroger sur les suites de l tude afin de ia faire vivre dans le futur peut notam ment s agr d une r flexion sur les actions mettre en uvre part des conclusions issues du processus C est gaiernent occasion de revenir sur les reussites et tes rat s du processus afin de retoumer si necessaire une tape et plus globalement de tirer des le ons de l ex perience 13 566 Annexe 15 Pr sentation de la d marche de concertation exploitation de la Bn Application de la m thode d valuation INTEGRAAL F vrier Etape 1 Mars Avril gt tape 2 et 3 Juin gt Etape 2 Septembre gt Etape 4 Septembre gt Etape 4 et 5 Novembre gt tape 5 gt R union de la
138. f rent de celui de la seconde couleur Dans tous les cas cette couleur est rouge quand la couleur majoritaire est verte et inversement La couleur jaune est toujours en troisi me position en ce qui concerne le pourcentage cela signifie que les participants ont peu utilis cette couleur porteuse d un avis partag Cette information indique que les participants avaient des avis tranch s favorables ou d favorables Ceci n est pas tonnant si on consid re que l valuation portait sur six options allant par paire la premi re option de la paire tant l oppos de la seconde 201 Ce n tait textuellement pas le cas pour les options 1a et 1b mais cela a t interpr t comme tel par la majorit des acteurs 294 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer Sc nario Option n a consolidation Option n b introduction du cheval Option n 2a repli de la production avicole Option n 2b arr t de la production avicole Option n 3a maintien de la transformation Option n 3b arr t de la transformation Tableau 25 Abr viation 1a Consol 1b Cheval 3a Repli avi 3b Arr t avi 3a Maint tr 3b Arr t tr Enjeux de performances Viabilit conomique Respect de l environnement Participation au d veloppement local Vivabilit M diation des connaissances et p dagogie Conduite du changement Exemplarit et Excellence Abr viation
139. for a Sustainable Economy G Munda Springer Berlin Heidelberg 111 129 Munda G Nijkamp P et Rietveld P 1995 Qualitative multicriteria methods for fuzzy evaluation problems An illustration of economic ecological evaluation European Journal of Operational Research 82 1 79 97 Mundler P 2002 Multifonctionnalit de l agriculture et d veloppement rural Economie amp Humanisme 362 Murray C 2005 Social Capital and Cooperation in Central and Eastern Europe A Theoretical Perspective ICAR Discussion Paper Berlin Septembre Mus um national d Histoire naturelle 2003 2010 Inventaire national du Patrimoine naturel Extrait de F vrier 2010 from inpn mnhn fr Nations Unies 1992 D claration de Rio sur l environnement et le d veloppement A CONF 151 26 Vol 1 Rio de Janeiro 5 pp Nations Unies 1993 Convention sur la Diversit Biologique avec annexes Recueil des trait s Vol 1760 1 30619 85 pp Natur Essonne 2007 Description de l Essonne Extrait de Juin 2007 from http www naturessonne fr index php id 12 amp page 1 No l J F et O Connor M 1998 Strong Sustainability and Critical Natural Capital Valuation for Sustainable Development Methods and Policy Indicators S Faucheux et M O Connor Edward Elgar Cheltenham 326 O Connor M 1996 Introduction O Connor M ed Ecological Distribution n special du Journal of Income Distribution 6 2 147 162 O Connor M
140. ges grossiers Atelier hors sol 535 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 3 Participation au d veloppement local Concept Indicateurs Modalit s de d termination Commercialisati on 1 pul Oy U SA a Kal Efficacit des outils de communication Prix en vente directe Prix en semi gros Plus value par esp ces Diversit des clients Diversit des produits Taux de satisfaction par rapport la quantit d approvisionnement Ponctualit des livraisons D marche de qualit 5 10 11 12 13 Qualit des aliments produits D marche de qualit li e au territoire AOC IPG etc IDEA B1 D marche de qualit li e au processus label rouge normes ISO 14000 CPP IDEA B1 D marche de qualit li e l AB IDEA B1 D marche de qualit li e la tra abilit totale IDEA B1 Circuits courts 14 15 16 17 18 19 Valorisation par fili res courtes en du CA IDEA B6 Nombre de circuits courts de commercialisation tablis sur le territoire Nombre d AMAP sur le territoire de consommateurs d sirant se fournir en fili res courtes sur le territoire Nombre d adh rents au GIE Unit de volume produit par an pour une production Communication externe 20 21 22 23 24 Fr quence des communications externes accueil site Internet publications prospectus etc Qu
141. gique 2 pp FNAPF F d ration Nationale des Associations de Producteurs Fermiers Extrait de Novembre 2009 from http paisalp free fr fnapf lafnapf htm 370 R f rences FNSEA 2004 Plaquette de pr sentation F d ration Nationale des Syndicats d Exploitants Agricoles Paris 4 pp Fournieau J M et Tafere 2007 D lib ration de simples citoyens et d bat public l exp rience de l Atelier citoyen dans le d bat VRAL Le d bat public une exp rience fran aise de d mocratie participative M Revel C Blatrix L Blondiaux J M Fournieau B H riard Dubreuil et R Lefebvre La D couverte Paris 252 264 Freeman R E 1984 Strategic management a stakeholder approach Pitman Boston 276 pp Frison 2005 La biodiversit agricole aider le monde atteindre les objectifs du mill naire pour le d veloppement International Conference Biodiversity science and governance Paris 24 28 Janvier Froger G et Oberti P 2002 Gouvernance et d veloppement durable L aide multicrit re la d cision participative Sciences de la Soci t n57 57 76 Funtowicz S O et Ravetz J R 1993 Science for the post normal age Futures 25 7 739 755 Funtowicz S O et Ravetz J R 1994 The worth of a songbird ecological economics as a post normal science Ecological Economics 10 3 197 207 GAB 2006 L agriculture biologique en Ile de France synth se r gionale fin 2005
142. harges de structure Une fois ce syst me consolid une exp rimentation sur l introduction de juments poulini res et de leur suite pourra tre envisag e Partie aviculture L option n2a est retenue Dans cette option la production d ufs biologiques est ajust e aux possibilit s de commercialisation en circuits courts seules susceptibles de valoriser les ufs un niveau suffisant pour supporter leur co t de revient actuel Afin de r duire la r p titivit et la p nibilit du travail des investissements seront r alis s pour automatiser certaines t ches notamment par l acquisition d automate pour le tri et le marquage des ufs Cet ajustement devrait s accompagner d une am lioration de la production d ufs par poule indispensable pour retrouver un prix de revient comparable celui de la concurrence La production de volailles de chair biologique est arr t e en raison d un prix de revient tr s sup rieur un prix de vente d j lev La production de poules de r formes biologiques sera d velopp e notamment pour le march des cantines La possibilit de mettre en place des productions sp cifiques de volailles de chair pour des v nements particuliers volailles festives pour les f tes de fin d ann e sera tudi e 543 Annexe 13 Relev de conclusions du conseil de plateformes 12 octobre 2009 exploitation de la Bn Partie abattage de volailles et transformation de viande Les r su
143. hat de fourrages si ceux ci ne pouvaient tre pr lev s en totalit sur l exploitation le risque financier reste faible La marge de l atelier allaitant est confort e parce que dans ce sc nario toutes les vaches allaitantes b n ficient d sormais d une PMTVA Toutefois il convient d tre extr mement prudent dans la mise en place d un tel syst me en commen ant par caler le syst me actuel avec la recherche de l autonomie fourrag re puis en mettant l atelier cheval en place progressivement sans investissement important En effet il faut d une part viter une d gradation du fonctionnement des autres ateliers et d autre part s assurer de l importance de la demande pour un tel service En effet le co t de production du poulain va tre lev pour son propri taire bien que nous ayons retenu des prix de pension bas par rapport aux pratiques de la r gion 200 mois Enfin une telle conduite demande de disposer d une main d uvre appropri e pour la manipulation et la surveillance des animaux et disponible pour ne pas n gliger le contact avec 528 Annexe 10 Expertise technique et conomique des options 1a et 1b exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage les propri taires En effet ceux ci voudront d autant plus voir leur produit et discuter de son devenir avec un responsable qu ils auront investi une somme non n gligeable ce qui diff re nettement des pensions retraite par ex
144. i Aa UNIVERSIT DE VERSAILLES SAINT QUENTIN EN YVELINES Ecole doctorale CRIT CULTURE REGULATION INSTITUTIONS ET TERRITOIRE THESE DE DOCTORAT DE L UNIVERSITE DE VERSAILLES SAINT QUENTIN EN YVELINES Sp cialit Sciences Economiques Pr sent e par Charlotte Da Cunha Le 1 juillet 2010 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en Ile de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re Membres du Jury Rapporteurs Examinateurs Directeur de th se Invit s Jean Simos Professeur amp Directeur GRES l Universit de Gen ve Jean Eudes Beuret Ma tre de conf rences HDR en sciences conomiques Agro Campus Ouest Rennes Bertrand Zuindeau Ma tre de Conf rences HDR en sciences conomiques l Universit Lille 1 Jean Paul Vanderlinden Professeur en sciences conomiques l Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Guyancourt Jean Marc Douguet Ma tre de Conf rences HDR en sciences conomiques l Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Rambouillet Martin O Connor Professeur en sciences conomiques amp Directeur REEDS l Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Rambouillet Jean Pierre D brosse Ing nieur d tudes la Bergerie nationale de Rambouillet K vin Boisset Directeur de l exploitation la Bergerie nationale
145. i re courte Elle peut participer au d veloppement de formations sp cifiques au p riurbain en lien avec la profession locale et d le de France malgr le fait que la Bergerie nationale ait quitt ses actions historiques en mati re de zootechnique et d ins mination artificielle depuis quelques ann es L option 1b va permettre une diversification des clients et des produits et cr er du r seau pour le participant de l IFOCAP Par contre le participant de l institut de l levage met des doutes sur la viabilit et la p rennit conomique de l activit Il ajoute que l introduction du cheval n est pas forc ment un probl me en mati re d autonomie alimentaire ou de complexification du syst me si le chargement animal est bien calcul Concernant les options 2 Pour le participant de l IFOCAP l aviculture semble se justifier en mati re d animation mais pas forc ment en mati re de production Il pourrait tre pertinent de repenser cette production en atelier petits effectifs Pour le participant de l institut de l levage la valorisation en fili res courtes de produits en AB est le principal argument pour porter le choix sur l option 2a L atelier est donc l gitime mais m rite un meilleur suivi technique Concernant les options 3 Pour les deux participants l option 3a permet la valorisation en fili res courtes et a un potentiel de formation pour les tudiants et les professionnels ainsi que pour l
146. i res courtes en 9 6 AC Institu 6x ET Clients 4X PES X du CA IDEA B6 X25 EE Dvp agri 1x PT GIE 2x NRA Ni PA INT 3DFI 1x INT Format 1x Re ce a ee Nee rk Meena ace ee ee eee 4 a A AC Institu 3x ET Clients 4x INT EA 7x 0 ail eae eee or EE Dvp agri 1x ET Coop 2x INT Equest 1x wen eee eee eee eee 222 E Socciv 1x_ ___INT 8DFl 1x LL INT Format 1x _ _ Degr d utilit d un atelier pour 7 2 ie pang ET Clients 2x INT EA 5x l animation X14 oe INT 3DFI 1x INT Format 1x J2ncee DS 22000 eo aweaeies eae oe eee e ee ee reteset esse Be ade ree 4 6 AC Collect 2x EE Dvp agri 1x ET Coop 1x Soe od ew E DOL AC Institu 2x _ _ EE Ens sup 11x _ _ _ ET Dom ONF 2x _ AC Collect 1x RR ae 3 9 l ET Dom ONF 1x INT 3DFI 1x Image de la Bn vis vis du territoire X6 AC Institu 1x ET GIE 1x INT EA 3x 301 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale R sultats de l valuation de l option 2b par A mi we ag X x Pa Cat gories oo re ae od oe oh oo dE Pras ot Pe ft oo d acieurs C lt lt g g A CA q x ac 2 O 0 O F 0 0 FF 41 86 50 100 0 100 77 53 54 71 91 66 43 64 MS or _ or Groupes Autorit s Externes largies Externes traditionnelles Internes de parties coordinatrices prenantes J J J J 64 77 61 66 Ev
147. i les ateliers de production sont l pour servir V une p dagogie tourn e vers le grand public activit l gitime de par les activit s cons quentes de la ferme p dagogique la formation activit l gitime m me si non exploit e la Bn tant centre de formation y un syst me coh rent tourn vers le d veloppement durable l gitime puisque la Bn a initi cette th matique Agriculture durable dans l enseignement agricole Ces trois axes l gitimes potentiels cr ent des points de tension et de contradiction Les participants des Collectivit s locales ont un point de vue plus tranch V au niveau r gional le participant con oit la Bn comme un tablissement devant rechercher l exemplarit en s orientant vers la recherche et l innovation y au niveau d partemental le participant affirme que la Bn doit garder une exploitation d autant plus qu elle doit devenir un lieu de recherche et de formation L exploitation doit permettre au partenariat Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Bn de garder une accroche territoriale dans un Sud Yvelines rural Un des participants de la Recherche et enseignement sup rieur pense que la priorit reste de recoupler formations et productions ce sont les formations qui doivent d terminer les productions et non l inverse Mais ce constat pose une interrogation Comment respecter les directives de la DGER et du Minist re de l alimentation de l ag
148. idation de la structuration du probl me 247 5 4 2 Deuxi me session valuation participative multicrit re cecceeeeeeeeeeeeeeteeeeeeeeees 248 5 4 3 Troisi me session d lib ration 249 5 5 Etape 5 Analyser et Communiquer 251 5 5 1 La pr sentation synth tique des r sultats cceceeeeecee cee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeeeeeeees 251 5 5 2 Analyser les r sultats de l valuation 253 5 5 3 Analyser les r sultats de la d lib ration cccccceeeeeeeeeecee eee eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeeeeeees 258 5 5 4 Les indicateurs pertinents par enjeux entet 263 5 5 5 Communiquer aupr s des participants ccceeeceeeeeeeeee cee aeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeeeeeees 265 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 LA PLACE D UNE EXPLOITATION AGRICOLE SUR UN TERRITOIRE L EXEMPLE DE LA BERGERIE NATIONALE DERAMBOUIMDET soc 0 cecetcccctcs ceecdasesaeextsazsincseunabsdecccedeuscusesun ecengasseidserdessbassieyasaeacUbcceccduuassussdeedceeceseersects 267 6 1 Etape 1 Identifier le probl me ss 269 6 2 Etape 2 Structurer le probl me sise 271 6 2 1 D crire le contexte local 271 6 2 2 Identifier et structurer les acteurs cece cccccceeeeeeeeeeeeee ce ce
149. ie nationale quitte le GIE dec fermiers de la for t de Rambouillet mais continue de mettre sa disposition sl le souhaite les outils existants dans des conditions quilibrees d finir L arr t de l act vite entraine la suppression des postes concernes D eventuelles possibilites de resffectabon seront tudi es avec le personnel concem La Bn d veloppe ses ventes de viandes en demi gros dans des circuits de proxm permettant une valorisation supeneure a celle qu offre la cheville via l utilisation de son image epee OO ww 0 0 hw wn oo 56 nnn ew 0 0 0 oe he 6 ete s bs ese ees cess woseceseus cowesocccocssoecs 6 574 i Les parties prenantes Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Les parties prenantes ou acteurs sont les personnes concem es par l avenir de l exploitation agricole de fa on directe les salan s par exempte ou de fa on indirecte la DGER On peut diff rencier quaire grands groupes de parties prenan tes les parties prenantes intemes les partes prenantes extemes traditionnelles les parties prenantes externes lar ges et les autorit s coordinatnices at gories de parties prenante La Production Groupes Aviculture transformation Ruminants v g tal Animation La Recherche Agriculture Durable TREE animation Ecoles des territoires Profession agricole locale repr sentants de la chambre d agricultur
150. ientation de la p che Indication G ographique Prot g e INAO INDIGO INRA INSEE IRENA ISO ITAB ITSAFE LEGS LOA LOADDT LOADT Loi SRU MAE MEA NODU NTICs OADs OCDE OGM OIDDDs OIN ONF Institut National de l Origine et de la Qualit Indicateurs de diagnostic global a la parcelle Institut National de la Recherche Agronomique Institut national de la statistique et des tudes conomiques Indicator Reporting on the Integration of Environmental Concerns Into Agriculture Policy International Standard Organisation Institut Technique de l Agriculture Biologique Integrating Technological and Social Aspect of foresight in Europe Laboratoire Evolution G nome Sp ciation Loi d Orientation Agricole Loi d Orientation pour l Am nagement et le D veloppement Durable du Territoire ou Loi Voynet Loi d Orientation pour l Am nagement et le D veloppement du Territoire ou Loi Pasqua Loi du 13 d cembre 2000 relative la Solidarit et au Renouvellement Urbain Mesures agro environnementales Millennium Ecosystem Assessment Nombre de doses unitaires Nouvelles Techniques de la Communication et de l Information Outils d Aide la D lib ration Organisation de Coop ration et de D veloppement Economique Organismes G n tiquement Modifi s Outils pour Informer Discuter D battre et D lib rer Op ration d Int r t National Office Nation
151. if de certification France Nature Environnement R seau agriculture Paris 2 pp Vilain L 2009b Certification HVE Contribution au d bat 2 France Nature Environnement R seau agriculture Paris 3 pp Vivien F D 2002 La Biodiversit questions d appropriation entre le local et le global D veloppement durable enjeux regards et perspectives 73 80 Wallace K J 2007 Classification of ecosystem services Problems and solutions Biological Conservation 139 3 4 235 246 Wartick S L et Cochran P L 1985 The evolution of the Corporate Social Performance Model Academy of management review 10 4 758 769 Wilson E O 1992 The diversity of life Harvard University Press Cambridge MA 424 pp Wood D J 1991 Corporate Social Performance Revisited Academy of management review 16 4 691 718 World Commission on Environment and Development 1987 Our Common Future Oxford University Press Oxford 400 pp WRR 1992 Ground for choices Four perspectives for the rural areas in the European Community Netherlands Scientific Council for Government Policy The Hague 144 pp 385 R f rences Zahm F Chabe Ferret S Gassiat A et Subervie J 2008 Assistance m thodologique la pr paration de l valuation ex post du PDRN 2000 2006 en mati re de soutien l agroenvironnement CEMAGREF Aubi re 174 pp Zahm F et Douguet J M 2010 L agriculture durable De ses conc
152. ifs fix s Le d roulement du processus d valuation a t pr sent dans un document envoy aux diff rents participants potentiels Annexe 15 Da Cunha 2009b La d marche d valuation a aussi fait l objet d un article dans le merinos com journal interne de la Bn Boussier 2009b La deuxi me tape de communication prend place lors de l tape 4 Un document pr sentant la d marche et les composantes de l valuation a t envoy aux diff rents participants Annexe 16 A l issue de l valuation un mail pr cisant l emplacement de la Matrice en ligne a t envoy aux parties prenantes internes et les r sultats ont fait l objet d une restitution orale 30 septembre 2009 Un rapport sous forme de document interne de travail a t pr sent au conseil d administration du 7 d cembre 2009 et transmis aux parties prenantes internes Da Cunha 2009a II comprenait l ensemble des travaux men s pour le projet d exploitation c est dire les expertises technico conomiques de la Bn et de l institut de l levage et la d marche d valuation men e par l UVSQ Les r sultats de la d marche d valuation ont aussi fait l objet d un article dans le merinos com journal interne de la Bn Boussier 2010 Un rapport final sous forme de rapport de recherche sera fourni l ensemble des parties prenantes l issue du conseil d administration du 7 d cembre 2009 Le fil conducteur du rapport sera la mise en place
153. ins de main d uvre de 840h de travail par rapport la charge actuelle La diminution des besoins en main d uvre li e la fermeture du P3 et l arr t de la production de poulets est valu e a 1 440 h L ajustement pourrait tre r alis par la suppression des heures suppl mentaires et le passage d un salari temps partiel 60 toute l ann e situation actuelle 60 sur 6 mois et 100 sur les autres 6 mois 4 l atelier de transformation Les r sultats conomiques de l activit d abattage de volailles et de transformation de viande est chaque ann e d ficitaire pour tous les produits bien qu priori elle dispose d un certain nombre d atouts proximit d une client le urbaine image de la Bergerie existence d outils atelier d abattage de volailles de d coupe de viande partenariat avec d autres leveurs de la r gion La valorisation suppl mentaire ne couvre pas les charges de personnel et les co ts d utilisation des outils et de commercialisation des produits En 2008 le r sultat a t n gatif de 28 700 ce qui repr sente environ 20 du chiffre d affaires A charges et volume de production identique il faudrait donc augmenter de 20 le prix moyen de vente pour quilibrer l activit c est dire obtenir un r sultat conomique identique celui d une valorisation des animaux sur pied Ces mauvais r sultats conomiques ont deux origines le d s quilibre de la relat
154. ion contractuelle avec le GIE des fermiers de la for t de Rambouillet pour la mise a disposition de l abattoir de volaille et de l atelier de transformation de viande La convention pr voit le paiement d une redevance et le remboursement de certaines charges pour un montant total de 30 380 alors que le montant des charges relatives l atelier affect es par les services g n raux s l ve a 47 920 L exploitation agricole a ainsi perdu environ 17 530 en 2008 Les pertes sur l activit d abattage et de transformation proprement dite environ 15 000 11 du chiffre d affaires probablement dies la faiblesse des volumes trait s 35 tonnes par an Si les charges relatives la mise disposition de l outil avaient t correctement r percut es au GIE ces pertes se seraient accrues d environ 7 000 qui correspondraient la participation de la BN l augmentation des charges du GIE au prorata de sa part d activit Les pertes semblent plus importantes pour le porc et les ovins que pour la viande bovine mais ces r sultats seraient confirmer par un enregistrement du temps de travail plus pr cis 531 Annexe 11 Expertise technico conomique des autres ateliers exploitation de la Bn r alis par la Bn A l issue de la derni re inspection de la DSV men e le 5 mai 2009 l abattoir du GIE reste en classe IV ce qui doit le conduire une fermeture court terme au regard de l ch ancier na
155. ion d ufs par poule indispensable pour retrouver un prix de revient comparable celui de la concurrence Si des progr s techniques sensibles sont r alis s un nouveau d veloppement de la production pourra tre envisag moyen terme dans la mesure o de nouveaux march s r mun rateurs seraient identifi s La production de volailles de chair biologique est arr t e en raison d un prix de revient tr s sup rieur un prix de vente d j lev La production de poules de r formes biologiques sera d velopp e notamment pour le march des cantines La possibilit de mettre en place des productions sp cifiques de volailles de chair pour des v nements particuliers volailles festives pour les f tes de fin d ann e sera tudi e Option n 2b arr t de la production avicole Toutes les activit s de production avicole sont abandonn es Les b timents non utilis s seront reconvertis d autres usages agricoles Partie abattage de volailles et transformation de viande Option n3a maintien de la transformation L activit d abattage de volailles et de d coupe de viande est maintenue Elle s appuie sur la proximit d une client le urbaine et sur l image de la Bn Cette option suppose qu un certain nombre de conditions soient satisfaites par le GIE des fermiers de la for t de Rambouillet qui exploite l outil d abattage et de transformation et dans lequel la Bn est un utilisateur important 283
156. ion sans effluents liquides IDEA A14 Lagunage oxyg nation des lisiers liti res bioma tris es compostage IDEA A14 Traitement individuel ou collectif des effluents avec mesure et respect des normes de rejet IDEA A14 Traitement individuel des effluents par pandage avec plan d pandage agr IDEA A14 Rejets directs d effluent dans le milieu naturel IDEA A14 Valorisation des mati res organiques IDEA A8 Eau 15 16 Qualit de l eau nitrates atrazine rejets IAA etc Gestion de la ressource en eaux IDEA A18 Gestion des produits phytosanitaires 17 18 is 20 21 22 23 Local de stockage des pesticides IDEA B16 Pression polluante IDEA A15 Mise en place et utilisation d un dispositif d avertissement pi geage mod le de pr vision IDEA A15 Tenue d un cahier d observation et d enregistrement des pratiques de traitement IDEA A15 Dispositif de rin age des fonds de cuve aux champs IDEA A15 Lutte biologiques IDEA A15 Pratiques de cultures raisonn es Pression polluante PP Surfaces d velopp es SAU Biodiversit animale 24 25 26 27 28 Nombre d esp ces animales IDEA A4 Nombre de races animales IDEA A4 Effectifs par troupeau Nombre de race ou vari t r gionales dans sa r gion d origine IDEA A5 Nombre d esp ces de race ou de vari t rares et ou menac es IDEA A5 Biodiversit
157. iques de RSE dans la fili re agro industrielle fran aise une analyse des discours de la performance Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Rambouillet 44 pp Legenne C et Laruelle N 2005 La ceinture verte d le de France un espace de vie r inventer Institut d am nagement et d urbanisme de la r gion d le de France Paris 44 pp L on O et Godefroy P 2006 Les changes de population entre zones d emploi Six profils types INSEE PREMIERE N 1074 Letombe G et Zuindeau B 2006 Gestion des externalit s environnementales dans le bassin minier du Nord Pas de Calais une approche en termes de proximit D veloppement durable et territoires Dossier 7 Proximit et environnement 26 pp L v que C 1997 La biodiversit Presses Universitaires de France Collection Que sais je Paris pp L v que C 2008 La biodiversit au quotidien Le d veloppement durable l preuve des faits Edition Quae et IRD Edition Paris 286 pp L v que C et Mounolou J C 2001 Biodiversit Dynamique biologique et conservation Dunod Paris 248 pp Levrel H 2006 Biodiversit et d veloppement durable quels indicateurs Economie Ecologique Museum National d Histoire Naturelle Paris 406 pp Levrel H 2007 Quels indicateurs pour la gestion de la biodiversit Cahier de l Institut fran ais de
158. ires IDEA B12 Accueil de groupe de professionnel IDEA B12 Accueil de groupe d tudiants IDEA B12 Degr d ad quation entre les productions et les formations du CEZ 539 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 6 Conduite du changement Concept Indicateurs Modalit s de R union et prise de d cision commune 1 2 3 Nombre de r unions d quipe Nombre de commission d exploitation Nombre de d cisions appliqu es nombre de d cisions prises Nombre d ext rieurs aux r unions Complexit du syst me Gestion des conflits Rapidit des d cisions Communication interne D on Gy ER 10 11 Implication des employ s dans l tablissement des strat gies Qualit de la consultation du personnel avant prise de d cision Fr quence des communications internes intranet Merinos com Qualit des communications internes Turn over du personnel 12 13 14 Dur e moyenne des responsables interne et externe sur leurs postes Turn over des salari s de l exploitation Qualit du transfert des connaissances Activit s communes avec les partenaires 15 16 17 18 19 Qualit des cultures cyn g tiques Effectif gibier d g ts bonne cohabitation Nombres de visites encadr es sur le site Nombre de projet en commun Nombre d UGB gibier nombre d UGB total Suivi des projets 20 21 22 2
159. ironnement Armand Colin Paris 370 pp Faucheux S O Connor M Hue C et Le Dars A 2002 Bilan des acteurs et politiques de gestion des d chets nucl aires hautement radioactifs Bilan des exp riences trang res et enseignements pour le cas fran ais Rapports du C3ED Confidentiel 320 pp Fauna Europa 2009 Other relevant on line databases within the Kingdom Animalia Extrait de D cembre 2009 from http www faunaeur org external databases php F d ration des Parcs naturels r gionaux de France 2006 Argumentaire 50 questions r ponses sur les Parcs naturels r gionaux F d ration des Parcs naturels r gionaux de France Paris 66 pp F ret S et Douguet J m 2001 Agriculture durable et agriculture raisonn e Quels principes et quelles pratiques pour la soutenabilit du d veloppement en agriculture Nature Sciences et Soci t s 9 1 58 64 FNAB 2008a Barom tre de consommation et de perception des produits biologiques en France F d ration Nationale d Agriculture Biologique 120 pp FNAB 2008b L agriculture biologique fran aise en 2007 F d ration Nationale d Agriculture Biologique 30 47 pp FNAB 2009a La charte thique de l Agriculture Biologique F d ration Nationale d Agriculture Biologique 2 pp FNAB 2009b Les orientation 2009 de la FNAB F d ration Nationale d Agriculture Biologique 10 pp FNAB 2009c Qu est ce que la Bio F d ration Nationale d Agriculture Biolo
160. it s d aider son maintien Pour le participant de la mairie la viabilit n est pas bonne mais l atelier est l gitime pour l animation et la conservation du M rinos il faudrait donc r duire les effectifs pour ne r pondre qu ces deux missions L introduction du cheval n a pas t valu e par le participant de la r gion Elle a t pl biscit e par le participant du d partement qui met en avant la possibilit d avoir des subventions cet atelier tant l gitime dans le d partement Pour le participant de la mairie l introduction du cheval est l gitime dans le d partement mais ne doit pas trop complexifier le syst me Concernant les options 2 Du cot du participant du d partement la valorisation en fili res courtes la participation au d veloppement local et le fait qu il y ait un savoir faire le rendent l gitime Par contre pour le participant de la mairie il n a pas d int r t en ce qui concerne le d veloppement local l activit tant inexistante sur le territoire Il y a une opposition entre le participant de la mairie et celui de la r gion concernant l enjeu de m diation des connaissances pour le premier l atelier est l gitime pour la p dagogie et la formation et pour le second la ferme p dagogique ne va pas assez loin dans l approfondissement des connaissances et l accueil et la s curit sont trop v tustes Concernant les options 3 Pour les trois participants l atelier es
161. itut du V g tal Paris 72 pp ARVALIS 2010 Des innovations technologiques pour relever les d fis d une agriculture durable Conf rence de presse du 3 mars 2010 SIA Porte de Versailles Paris 3 mars Aubert C et Leclerc B 2003 Bio raisonn e et OGM Quelle agriculture dans notre assiette Terre Vivante Mens 128 pp Aubertin C et Vivien F D 1998 Les enjeux de la biodiversit ED ECONOMICA Coll Poche Environnement Paris 112 pp Barbault R 1990 Ecologie g n rale structure et fonctionnement de la biosph re Masson Paris 272 pp Barbault R 2006 Un l phant dans un jeu de quilles l homme dans la biodiversit d du Seuil Paris 265 pp Barbault R dir 2005 D claration de Paris sur la biodiversit International Conference Biodiversity science and governance Paris 24 28 Janvier Bastien Daigle S Vanderlinden J P et Chouinard O 2008 Learning the ropes Lessons in integrated management of coastal resources in Canada s Maritime Provinces Ocean amp Coastal Management 51 2 96 125 Baumol W J 1952 Review Social Choice and Individual Values by Kenneth J Arrow Econometrica 20 1 110 111 Bazin G et Kroll J C 2002 Les limites du d veloppement d une agriculture durable et multifonctionnelle dans le contexte actuel de la PAC La multifonctionnalit de l activit agricole et sa reconnaissance par les politiques publiques Colloque SFER Paris 21 2
162. ix de revient tr s sup rieur au prix de vente La production de poule de r formes sera d veloppee Les b timents non utilis s seront reconverbs d autres usages agricoles Option n 2b arr t de la production avicole Toutes les activit s de production avicole sont abandonn es Les b timents non utilis s seront reconverts d autres usages agncoles L am t de l activit entraine la suppression des postes concemn s D eventue es possibstes de r af fectation seront tudi es avec le personnel concern amsn DKS gt GRID SET ES SSeS Og Se Seb 0 WOE bn epeouecouveuneqepeconeceomrou esereure see Option n 3a _ maintien de la transformation L activit d abatage de volaille et de d coupe de wande est maintenue Elle s appuie sur la proximite d une clientele volailles urbaine et sur l image de la Bergerie nationale Ce sc nario suppose qu un certain nombre de conditions soient catis faites par le GE des fermiers de la for t de Rambouillet qui exploite l outil d abattage et de transformation et dans lequei la Br est ur utilisateur important mantien de agr ment sanitaire r tablissement de sa situation conomi viande que La p rennit conomique de cette actvit n cessite aussi une tr s forte diminution du co t unitaire de trans formation Les mauvais resultats economiques de cette activit et l absence de perspechves susceptibles de les retablir condu sent ar tes cette acbvite La Berger
163. l ace AG Collect 1x eee pay au a 0 Image de la Bn vis a vis du territoire A 3 EE Dvp agri 1x nE ues hee ri SR eee AC Collect 1x EE Soc civ 1x INT EA 2x Valorisation par fili res courtes en 8 6 AC Institu 3x ET Clients 1x INT E uest 1x du CA IDEA B6 X16 EE Dvp agri 2x ET Coop 1x INT nae ik EE E E E EEE E E E E E E E E e E Degr d utilit d un atelier pour 4 3 T ave ee ET GIE 1x INT EA 1x l animation X7 EE a i 1x INT 3DFI 1x INT Format 1x oa ty ee ee eee AIMS A een cae NE a Oe nee 4 3 ET Dom ONF 2x INT EA 1x Viabilite conomique IDEA C1 EE Dvp agri 1x a ace E eed Rete w se aes Coe acts Dees eats Rentabilit des innovations oo ET GIE 1x INT EA 3x investissements valeur ajout e X9 ET Clients Ay INT 3DFI 1x INT Format 1x 304 Section 5 Etape 5 Analyser et Communiquer L valuation globale des options Nous pr sentons ici l valuation des options toutes cat gories d acteurs confondues Tableau 26 Ce tableau n a que peu d int r t si on le consid re s par ment des r sultats pr c dents Il est pertinent de prendre en consid ration le jugement global d une option tous enjeux et toutes cat gories d acteurs confondus que si l on sait qui a valu l option dans ce sens et inversement et pourquoi L observation du jugement d taill par enjeux est plus int ressante m me isol ment Elle claire dans les g
164. la Bn Le centre questre On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1b et 2a et un rejet net de l option 3b Concernant les options 1 Il n y a pas de r elle opposition l option 1a mais des avis mitig s quant a la viabilit conomique et au d veloppement local Les productions ovines et bovines tant peu pr sentes au niveau du territoire le travail en r seau pourrait tre plus important dans l option 1b La viabilit conomique pourrait tre am lior e en allant vers une activit de service c est dire l option 1b qui est moins d pendante du cours des march s des produits agricoles L option 1b est tr s valorisable pour la formation et la d monstration L exploitation serait ainsi support d exp rience et de r f rence Le groupe est bien conscient qu il y a risque de conflits conflits par ailleurs formateur pour l encadrement et les salari s Concernant les options 2 L atelier en AB et les produits valoris s en fili res courtes sont les principaux arguments pour porter le choix sur l option 2a Avec la rationalisation le temps de travail est diminu L atelier peut aussi tre un mod le possible de diversification pour les c r aliers L option 2b va l encontre de ces points positifs et oblige licencier Concernant les options 3 L option 3b affaiblit l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et supprime les emploi
165. la dymamsaton des reatons ou sein du terrtowe On peut classer ces relations sous tors formes faisant imervemr aeverses categories dacieurs la productom le service stla creston de valeur pow es agents ecomom ques lo caux Dons ce cade l expoitabon agricole doit tre consideree comme une pisteforme d accueil pour e manden du tissu socal et economique Vivabilit respecter le bien tre humain et animal Un des enjeux de l exploitation agricole est de veiller la qualit des conditions de travail des salari s et du chef dexplotator La formation contnue des salan s est mponante pour optinvsstion de leurs comp tences mais aussi pour eur spanowssement L2 comtomits de expioitabon aux nomes regememares et ge bien ve animal est suse essernelle M diation des connaissances et p dagogie La Bergere nationale 3 des mussions pedagogaues fortes appui 3 lensegnement agncole centre de formatons enses cont nues centre de ressources sur d veloppement durable et ferme pedagogaue fma developper les synergies entre contenu des formations 21 productions de exploitation Conduite du changement L mplication de tous dans le choix du projet d exploitation permet une r elle adh sion 3 ce projet et optimise ses chances de reus site La gestion de expioitaton necesste une ngne drectnoe forte sur le long terme et des partenariats solides pour permetre des avanoses concretes dans I vos du developpement durable Cette omemano
166. lder identification and salience defining the principle of who and what really counts Academy of Management Review 22 4 853 886 378 R f rences Mollard A 2003 Multifonctionnalit de l agriculture et territoires des concepts aux politiques publiques Cahiers d conomie et sociologie rurales 66 28 Morin E 2005 Introduction la pens e complexe Editions du Seuil Points Essais Paris 158 pp Mormont M Mougenot C et Dasnoy C 2006 La participation composante du d veloppement durable quatre tudes de cas VertigO La revue lectronique en sciences de l environnement 7 2 13 pp Mouli P 2004 La r vision du Sch ma Directeur de la R gion d Ile de France premi res contributions du CESR Rapport pr par par Pierre Mouli Commission de l am nagement du territoire Elargie Conseil conomique et social de la r gion lle de France Paris 100 pp Munda G 2004 Social multi criteria evaluation Methodological foundations and operational consequences European Journal of Operational Research 158 662 677 Munda G 2005 Measuring Sustainability A Multi Criterion Framework Environment Development and Sustainability 7 1 117 134 Munda G 2006 Social multi criteria evaluation for urban sustainability policies Land Use Policy 23 1 86 94 Munda G 2008 The Issue of Consistency Lessons Learned from Social Choice Literature Social Multi Criteria Evaluation
167. les sont les composantes dont il serait souhaitable d am liorer la durabilit ME Qualit des produits et des territoires Emploi et services Ethique et Spt Ethique et developpement humain 514 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Quelles sont les composantes les plus durables de l exploitation Quelles sont les composantes dont il serait souhaitable d am liorer la durabilit M thode IDEA version 3 Valeur des 10 composantes de la durabilit sur l exploitation un moment donn et maximum possible Pop ay Empia ef services Ethique et d veloppement humain Viabiit ind pendance Transmis bit Eflicienoe 515 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Calculs interm diaires pour graphiques en histogrammes Valeur de pr Valeur maximale Compl ment au de l indicateur maximum rl el Diversit des cultures p rennes SA 8 Diversit animale a 14 _14 0 Velorleation st cormereaton du geting i e rss Effuents organiques liquides J 23 3 1 OOO ee a A Traitements v t rinaires PD Protection de la ressource des sols J SP S 0 __ Gestion de la ressource en eau a 41 0 D pendance nerg tique tT Valeur de Durabilit socioterritoriale EE re ge nor agricole Demarche de qualit 10 w O alorisation du patrimoine b ti et du p paf 2 8 __ 6 LACET LT ganiq ae Valeur maximale Compl ment au
168. li e l AB IDEA B1 23x ET Clients h Ex INT EA 9x ET Coop 2 __ NT Fauest i AC Collect 2x o P Rejets directs d effluent dans le milieu naturel IDEA A14 a EE Soc civ 2x a ee a ae ET Coop 2x Respect lenvi ous s AC Institu 1x INT 3DFI 1x Gestion des p tures 7x EE Ens sup 1x INT EA 1x ET Dom ONF 2x INT Equest 1x Nombre moyen de kilom tres r alis s par un produit entre 4 4 AC Institu 1x INT EA 1X 7 Son tat brut et le consommateur final LL _ _ 8x _ __ ET Clients 4x _ _ _ INT Format 2x _ _ ET Coop 2x 0 Production de lisier IDEA A14 i ET Dom ONF 2x RE ne 2x INT 3DFI 1x AC Collect 2x ET Coop 4x AC Institu 11x ET GIE 4x 0 as e Valorisation par fili res courtes en du CA IDEA B6 a EE sue ea j x NE e EE Soc civ 2x INT Equest 4x A E A EE ET Clients 9x _ _ _ INT Format 2x _ _ AC Collect 7x ET Dom ONF 7x AC Institu 4x ET GIE 5x er o cs Partcpaton Travai en r seau DEA Bo D d d veloppemen EE Soc civ 5x INT Equest 3x NE oeateceesoreeese ET Coop 5x _ _ _ INT Formats 4x _ AC Collect 3x 9 Services rendus au territoire on AC Institu 2x Ne alas ET Clients 1x mg a ae e Contribution l emploi IDEA B8 on coo INT Format 2x ie te eg te ere Stee ee Ce ee UNE a a ee aa 9 lt Image de la Bergerie nationale vis a vis du t
169. locaux Dans ce cadre l exploitation doit tre consid r e comme une plateforme d accueil pour le maintien du tissu social et conomique La premi re forme est directement li e l exploitation travers son activit de production En amont les agriculteurs du territoire vont lui fournir des aliments pour le b tail et des prestations de travaux agricoles En aval l exploitation va produire des produits de qualit pour l alimentation humaine et les valoriser partiellement par la vente locale en utilisant l image de marque de la Bn L exploitation va fournir deux types d activit s de services importantes pour le d veloppement local Elle participe au tourisme local via la ferme p dagogique les animations et la boutique gourmande La deuxi me activit s adresse aux agriculteurs du territoire via la mise a disposition de son abattoir de volailles et de son atelier de transformation Ce dernier participe activement au d veloppement local en maintenant la possibilit pour les exploitants agricoles de transformer leur production sur place et par cons quent de conserver leur activit d levage La Bn dans son ensemble est un levier un agent stimulateur pour le d veloppement local Les enjeux d implantation territoriale de la Bn stimule l am lioration des infrastructures locales desserte en transport en commun r novation des b timents connexion au r seau potable de la ville etc et l mergence de march s innovants tracti
170. loppement in dites mieux adapt es au contexte local Offre une structure permettant aux acteurs de rentrer dans mu processus de dialogue visant d velopper des solutions mieux adapt es aux besoins et donc mieux accept es Questions r ponses 1 Quel est mon int r t participer dans ce projet L inter t ect prnopalement he au fait de pouvoir fare entendre ses pr occupations ses attentes ou ses projets par rapport 4 l exploration agricole C est egalement occasion de participer une expenence humane qua doit permettre de construire un projet en commun Enfin le projet repr sente galement une opportunite de se fami hanset avec des notons de developpement durable de developpement du termore d enwronnement etc 2 Combien de temps cela va t il me prendre Une implication dans un projet de oe type implique effectivement une certaine disponikdit ainsi qu un enga ment sur la dur e Trois sessions d rencontres sont pr vues entre nu ao t et fin septembre Selon okesctf des sessions et la fa on dont elles se d roulent leur dur e peut varer entre une heure et trois heures 3 Les informations transmises durant les r unions sont elles confidentielles En tant que chercheurs nous accordons une importance toute particub re la confidenualt des changes ayant cours durant es reunions et les entrebens Les informations seront n anmoins utilis es mais non directement rehees son auteur a un salane de l explo
171. ltats de l valuation vont clairement dans le sens du maintien de l activit de transformation qui s appuie sur la proximit d une client le urbaine et sur l image de la Bergerie nationale Cependant les simulations r alis es concluent que les r sultats conomiques resteraient n gatifs quelles que soient les hypoth ses retenues compte tenu des volumes disponibles pour la transformation et du niveau des charges directes Un arr t de l activit de transformation par la Bergerie Nationale aurait des cons quences n gatives sur la viabilit conomique du GIE des fermiers de la for t de Rambouillet La probl matique du maintien de l activit de transformation de la BN sera d battue lors du conseil d administration du 30 novembre Quelle que soit l option finalement choisie la mise disposition du GIE des locaux d abattage de volailles et de transformation de viande ne sera pas remise en cause La Bergerie Nationale proposera la prolongation de cette mise disposition sur de nouvelles bases Le maraichage L valuation conclut l int r t d expertiser l introduction du maraichage sur une surface relativement limit e de l exploitation Cette tude devrait porter sur une valuation quantitative des attentes locales et r gionales demande en mati re de formation demande de jeunes entrepreneurs pour une p pini re d entreprises sur les possibilit s de l exploitation r pondre ces attentes
172. mbl e Permanente des Chambres d Agriculture Bonnes Conditions Agricoles et Environnementales syst me d information europ en sur la biodiversit Bergerie nationale de Rambouillet Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Contrat Agriculture Durable Convention sur la diversit biologique Communaut de communes du Dourdannais en Hurepoix 387 LISTE DES SIGLES CCP CERVIA CFA CFPPA CHR CIACT CIADT 1 CIADT 2 CIPAN CNADT CNJA CO2 COP CORINE CPER CR CRADT CRITT CTE CUMA Certification de Conformit Produit Centre R gional de Valorisation et d innovation Agricole et Alimentaire de Paris lle de France Centre de Formation des Apprentis Centre de Formation Professionnelle Pour Adultes Caf H tel Restaurant Comit Interminist riel d Am nagement et de Comp titivit des Territoires 2005 2009 Comit Interminist riel pour l Am nagement et le D veloppement du Territoire 1995 2005 Comit s Interminist riels d Am nagement et de D veloppement des Territoires 2010 Culture Interm diaires Pi ges Nitrates Conseil National d Am nagement et de D veloppement du Territoire F d ration nationale des jeunes agriculteurs Dioxyde de carbone Conf rences des parties COoRdination de l INformation sur l Environnement Contrat de Plan Etat R gion Coordination Rurale Conf rence r
173. mbouillet Les options d volutions ont t propos es dans le cadre d une r flexion associant l ensemble des p les de la Bn Elles ont t tablies partir d une valuation des attentes en mati re de formation d animation de d monstration et d exp rimentation et d une expertise technique et conomique de chaque atelier r alis e avec l aide de l Institut de l levage pour la partie herbivore Pour toutes les options retenues les pratiques devront tre compatibles avec le d veloppement durable du fait du projet d tablissement Cit du d veloppement durable L exploitation se doit aussi de maintenir v le troupeau ovin M rinos dans le cadre de la mission de conservation de cette race v des productions petits effectifs pour la ferme p dagogique v un levage de chevaux lourds pour les activit s d animation Pour chacune des trois grandes parties de l activit de production de l exploitation polyculture levage d herbivores aviculture abattage et transformation de viande deux options diff rentes 134 Groupement d Int r t Economique 281 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale sont propos es l valuation Les trois options choisies constitueront le syst me de production du projet d exploitation Cette approche est possible car ces trois parties fonctionnent de fa on relativement ind pendante l une de l
174. mentales Produit de l quipe du projet VALSE Valuation for Sustainable Environments Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 20 pp O Connor M No l J F et King Sang J T 1999 La d couverte de la construction de la valeur environnementale quelques r flexions autour des tudes de cas du projet VALSE Nature Sciences Soci t s 7 3 55 70 O Connor M Reichel V et Bureau P 2006 How to do it A user s manual for the KerDST Deliberation Matrix Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Centre d Economie et d Ethique pour l Environnement et le D veloppement Guyancourt 14 pp O Connor M et Spangenberg J H 2007 A methodology for CSR reporting assuring a representative diversity of indicators accross stakeholders scales sites and performances issues Journal of Cleaner Technology 16 13 1399 1415 O Connor M et Steurer A 2006 The AICCAN the geGDP and the Monetisation Frontier a Typology of Environmentally Adjusted National Sustainability Indicators International Journal of Sustainable Development 9 1 61 99 O Connor M 2006 Building knowledge partnership with ICT Some lessons from GOUVERNe and Virtualis Cahiers du C3ED 06 01 20 pp O Connor M et Schoer K 2010 Environmental degradation in the new SEEA Proposals for a systematic presentation of environmental
175. mentation et de n gociation sur la ou les options retenir d s la deuxi me session en op rant des choix travers le remplissage de la Matrice Le but de la troisi me session est de comparer et de discuter les valuations des diff rents groupes Une r union de pr sentation des r sultats a t organis e le 30 septembre pour les participants internes C est sur la base des r sultats de ces enqu tes et analyses que le conseil de plateformes a d cid lors de sa tenue du 12 octobre 2009 de soumettre les orientations retenues pour le projet d exploitation Annexe 13 la commission d exploitation 17 novembre au conseil int rieur 7 d cembre 2009 puis discut e au conseil d administration 7 d cembre 2009 291 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 5 Etape 5 Analyser et Communiquer Pour l exploitation de la Bn l objectif tait de pr senter a l ensemble des participants les points de vue des autres pour qu ils puissent et notamment les d cideurs se faire une id e du positionnement des diff rents acteurs Dans ce cadre l outil est devenu un outil d aide la d cision plus qu un outil d aide la d lib ration Nous commen ons la pr sentation des r sultats par la vue synth tique de la Matrice de d lib ration qui constitue un indicateur
176. met d estimer sa durabilit sur les chelles agro cologique socio territoriale et conomique Pendant la campagne 2002 2003 le facteur limitant de la durabilit de l exploitation est l chelle conomique avec une note faible de 21 100 A l oppos l chelle agro cologique pr sente une note tr s lev e de 88 100 voir Figure 33 100 80 60 40 20 E o s P Figure 33 Durabilit de l exploitation campagne 2002 2003 Toutes les composantes de l chelle conomique pr sentent des r sultats tr s faibles Seul le taux sp cialisation obtient un bon r sultat gr ce la grande diversit des productions et le recours la vente directe L EBE Exc dent Brut d Exploitation et l efficience du syst me productif sont les deux indicateurs principaux pour lesquels des marges de progr s moyen terme voire court terme peuvent tre envisag es Ces deux crit res sont directement li s l efficacit technico conomique du syst me de production Une r flexion sur leur am lioration implique une remise en cause au moins partielle de la conduite de certains ateliers voire du syst me global questionnement sur la p rennit de certains ateliers Ainsi les volutions conomiques ne se feront pas sans faire intervenir les autres composantes de la durabilit 13 Le diagnostic IDEA complet pour l ann e 2008 voir l Annexe 8 285 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un terri
177. mi kanser avec des notons de developgement durable de d veloppement du terore d environnement etc 2 Combien de temps cela va t il me prendre Une imphcaton dane un projet de ce type mpliaue effechvement une certane Gsponbiit ansi qu un enga ment sur la dur e Trees sessions de rencontres sont pr vues entre mi ao t et fin septembre Selon l abyectif des sessions et la fa on dont elles se d roulent leur duree peut varier entre une heure ettrors heures 3 Les informations transmises durant les r unions sont elles confidentielles En tant que chercheurs nous accordions une importance toute particuli re la confidentalite des changes ayant cours durant les r unions les entretiens Les informations seront n anmoins ublis es mas non drectement r h es son auteur un salare de exploitation nous a dit 4 A la fin du projet saurons nous quel sc nario choisir pour l exploitation agricole Au contare de aide la decision Gui porte toute son attention sur la recherche d une solution umique et optimalis aide a la d tb ration accorde beaucoup dimportance au dialogue entre acteurs et integre la possibute qu ils ne puissent pas trouver d accord sur les achons mener A issue du projet les d cideurs chispocent des informations leur permettant de prendre des decisions mieux adapt es aux besoins ncnc s par les partes prenantes Contacts Charlotte Da Cunha charg e d tu e CUED Universit de Versailies
178. n Europ enne Bruxelles pp Commission Europ enne 2001a Conclusions de la pr sidence Conseil Europ en de G teborg G teborg 15 et 16 juin Commission Europ enne 2001b Plan d action en faveur de la biodiversit dans le domaine de l agriculture Protection de la nature et de la biodiversit Commission Europ enne Bruxelles 25 pp Commission Europ enne 2001c Plan d action en faveur de la biodiversit dans le domaine de la protection des ressources naturelles Protection de la nature et de la biodiversit Commission Europ enne Bruxelles 25 pp Commission Europ enne 2006a Communication de la commission Enrayer la diminution de la biodiversit l horizon 2010 Pr server les services cosyst miques pour le bien tre humain Commission Europ enne Bruxelles 17 pp Commission Europ enne 2006b Plan d action en faveur de la biodiversit Protection de la nature et de la biodiversit Commission Europ enne Bruxelles 17 pp Commission Europ enne Synth se de la l gislation de l UE Extrait de D cembre 2009 from http europa eu legislation summaries index_fr htm Communaut de Communes du Dourdannais en Hurepoix 2007 Le territoire Extrait de Juin 2007 from http www ccdourdannais com Communaut s europ ennes 2008 Budget 2008 de l UE Office des publications officielles des Communaut s europ ennes Luxembourg 2 pp Conf d ration paysanne 2006 Les grands enjeux agric
179. n se raduiro par laboration Fur projet d exprotaton Exemplarit et Excellence La Bergerie natonaie est ume des sewes fermes royales encore en fonchonnement Ceo wi corfers des engagements qu prer ment a forme de mrssions natonaies confees par e ministere de l agriculture et de la p che et une exigence en mati re de perfor mances conomiques socales st enviromnememtaies est mpor tart d assure une continut po tawe erme es engagements anis meurs et ceux du nouveau projet d tablissement 575 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Points cl s de la m thode Permet une lecture de la diversit des enjeux et de la diversit des points de vue li s au projet d exploitation agricole Fait merger des id es de d veloppement in dites mieux adapt es au contexte local Offre une structure permettant aux acteurs de rentrer dans un processus de dialogue visant d velopper des solutions mieux adapt es aux besoins et donc mieux accept es Questions r ponses 1 Quel est mon int r t participer dans ce projet L int r t est prncipalement be au fait de pouvour fare entendre ses pr accupabons sas attentes ou ses projets par rapport exploitation agncole C est egalement occasion de participer une experience Humaine qui doit permettre de construire un projet en commun Enfin le projet repr sente galement une opportunit de se fa
180. narios compozante d evaluanon gt Rencontres avec les acteurs ain a 1 r umon Pr sentation ee rem 09h a er Document de presentanon de gt Rendez v cons avec les acteurs externes wate acteurs imphques pour pr senter et discuter Presentation de l expertise techmco des r sultats de l tude econommque de scenano Choix du systeme de production pour le projet d exploitation Redaction du projet d exploitaton Validation du projet d exploitation au Mise en place du projet de plate gt Reuaion de cl ture avec l ensemble des Rapport nal sw l evaluanon Conseil d adommstranon ie 573 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Les composantes de l valuation Le travail d valuation vise ce que les options d avenirs possibles de l exploitation agricole a soient valu s par des acteurs concern s b au regard des enjeux de performances c Nous rappelons ici le contenu et la description de chacun de ces trois l ments a Les options d avenirs possibles de l exploitation agricole Pour chacune des trois grandes parties de l acbvit de producton de l explotation polyculture cievage d herbivores aviculture abattage et transformason de viande deux options differentes sont proposees evaluation Les mois options choisies constitueront le syst me de producbon du projet d exploitation Option n 1a consolidation Polyculture Un
181. nce les derniers r sultats du MOS 2003 Note rapide sur l occupation du sol 387 6 IAURIF 2007 L environnement en le de France Memento 2006 Institut d am nagement et d urbanisme de la r gion d Ile de France Paris 204 pp IAURIF Driaf le de France 2004 Atlas rural et agricole de l le de France Institut d Am nagement et d Urbanisme de la R gion d Ile de France Paris 180 pp 373 R f rences IFB 2004 Strat gie Nationale de Recherche sur la Biodiversit au service du D veloppement Durable Les rapports de l IFB 32 pp IFB 2008 7 ans de coordination et de promotion de la recherche Bilan d activit 2001 2008 Institut Fran ais de la Biodiversit Paris 125 pp IFEN 1996 L environnement en France approche r gionale La D couverte et Institut fran ais de l environnement Paris et Orl ans 351 pp IFEN 2002 Le patrimoine naturel L environnement en France IFEN La D couverte et Institut fran ais de l environnement Paris et Orl ans 115 136 IFEN 2005a L conomie de l environnement en 2003 Rapport de la Commission des comptes et de l conomie de l environnement Institut fran ais de l environnement Orl ans 142 pp IFEN 2005b L rosion des sols un ph nom ne surveiller Le 4 pages de l IFEN Sol 106 IFEN 2009 Les pesticides dans les eaux La qualit des cours d eau en France m tropolitaine Institut fran ais de l environnement 3 pp Igal
182. ncement avec l ensemble des sieges E EN responsables de plateformes de la Bn A gt Enqu te sur les attentes des plateformes et sur les attentes ext rieures d apres les plate formes de la Ba Mote de synthese sur examen de amente gt Reunion avec les responsables de platefor mes de la Bn pour s accorder sur les cat gories d acteurs d enjeux et les scenarios nan Document de pr sentanon de la demarche de concertanon et dec composante d evaluanon 1 reumon Presentation de la demarche T r union Evaluation des se nario mes Document de precentanon des svultets de valuation gt Rendez vous avec les acteurs externes Li Presentanon de la demarche Evaluation de scenarios retenu gt R union de cl ture avec l ensemble des acteurs impliqu s pour pr senter et discuter Rapport final sur l valuation Presentanon de l expernse techmco des r sultats de l tude scomomugue de cenano gt Choix du systeme de production pour le Rad projet d exploitation ee ee ee Validation du projet d exploitation au Mise en place du projet de plate forme Conseil d administration 567 Annexe 15 Pr sentation de la d marche de concertation exploitation de la Bn Points cl s de la m thode Permet une lecture de la diversit des enjeux et de la diversit des points de vue li s aux projets de d veloppement de l exploitation agricole Fait merger des id es de d ve
183. ne vente des animaux sur pied aurait permis une valorisation de 40 sup rieure celle obtenue par la transformation L objectif est d am liorer sensiblement la rentabilit de l exploitation avec un objectif d quilibre conomique en 2011 Compte tenu des particularit s de cette exploitation ferme p dagogique main d uvre salari e l quilibre conomique sera consid r comme atteint lorsque le r sultat courant hors co t salarial permettra une r mun ration de la main d uvre de la partie production au moins quivalente a celle de la moyenne nationale d exploitations agricoles comparables Les co ts des missions particuli res assur es formation exp rimentation d monstration conservation de races etc sont consid r s comme exclus du r sultat et sont suppos s tre couverts par des financements publics sp cifiques bien que cela ne soit pas toujours le cas Respect de l environnement L exploitation se fixe comme objectif de r duire au maximum son impact sur l environnement La pr servation des ressources en eau et de la qualit des sols et de l air local sont des enjeux environnementaux forts La protection de la biodiversit doit galement tre un objectif de l exploitation L am lioration de la diversit biologique agricole travers l utilisation de vari t s culturales adapt es aux conditions locales et la diversification des syst mes agricoles va am liorer cette biodiversit en
184. nn dead tnee ces ann del Dre R n e ketene greniers 311 7 LES DEMARCHES D EVALUATIONS PARTICIPATIVES MULTICRITERES UNE ANALYSE EN TERMES D EFFETS wtb dsucdevustedactuhedcdvucetdexbededscadaduvecseecdeecenedsstavesbcheceteuelicuiGdsivesedisscedietveecddsseseeicececabdacubecassezeeeeweuecditee 313 7 1 Effets proc duraux des effets de court terme sur le d roulement des d marches 315 7 1 1 L enrichissement mutuel des connaissances 315 7 1 2 L implication et la gestion des participants 316 7 1 3 L impact sur le processus de d cision 319 7 2 Effets substantifs des effets moyen terme sur la d cision 323 7 2 1 Quelle analyse de l valuation 7 is 323 7 2 2 L influence sur les d cisions cceceeeee cece eee eeeeeeeeeeeeeeeeeceeacaeeeteeeeeeeeeeeeseaaeneeeteeerees 330 7 3 Effets contextuels des effets long terme sur le contexte social 335 7 3 1 La m diation des connaissances e cece eee e ccc eeeeeeeeeeeeeeeeecececaeaeeeteeeeeeeeeeceesaeeaeeeeeeeees 335 7 3 2 L volution du contexte d cisionnel 336 7 4 GONCIUSION sise ierra re ea i a ES E TE e nt ne Manis annee EARS a es 341 8 CONCLUSION GENERALE 22255222ercerenccinanenunnneseuentanemenunaneoenagtenretesennneneau seaueeeneniastnanegenasattes 343 8 1 La n cessaire appropriation par les acteurs des outils de prise en compte de l environnement dans les
185. nombre de t ches totales par poste Nombre de jours de vacances moyenne nationale d exploitations agricoles comparables Intensit de travail nombre de semaines par an o l agriculteur se sent surcharg Qualit de vie 16 17 18 Qualit de vie IDEA B14 Isolement IDEA B15 Esprit d quipe et polyvalence Reconnaissance du travail 19 20 21 22 23 24 Qualit du syst me d incitation Salaires moyenne nationale d exploitations agricoles comparables Nombre d augmentations de salaires 10 ans Nombre d heures suppl mentaire pay nombre d heures suppl mentaires totales Nombre de promotion interne 10 ans Nombre de CDD transform s en CDI 10 ans Bien tre animal 25 26 27 28 29 30 Traitements V t rinaires IDEA A15 Protection des p turages ombre abris abreuvoirs etc IDEA A16 Production plein air ou semi plein air IDEA A16 Pr sence de z ro p turage ou atelier en claustration IDEA A16 Ateliers ou pratiques hors normes IDEA A16 Bien tre animal IDEA A16 Traitements V t rinaires TV Nombre d intervention effectif cheptel 538 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn 5 M diation des connaissances et p dagogie Concept Indicateurs Modalit s de d termination Sensibilisation du public 1 2 3 4 Nombre de visites an Nombre
186. nomic Perspectives 9 4 97 118 Poulot M et Rouyres T 2007 Refaire campagne en le de France Norois 202 61 71 Poux X 2006 Agriculture environnement et territoires Quatre sc narios l horizon 2025 La Documentation fran aise Un exercice de prospective du groupe de la Bussi re Paris 222 pp Pr fecture de l Ain Zone Agricole Prot g e Extrait de Novembre 2009 from http ddaf ain pref gouv fr dgeaf textes outils zap html 381 R f rences Pr fecture de la R gion d le de France et Conseil R gional d le de France 2007 Contrat de Projets Etat R gion Ile de France 2007 2013 Pr fecture de la R gion d le de France et Conseil R gional d Ile de France Paris 80 pp Pr fecture de la R gion d Ile de France et Direction R gionale de l quipement 1994 Sch ma Directeur de l Ile de France Pr fecture de la R gion d lle de France et Direction R gionale de l Equipement Paris 241 pp Preston L E et Post J E 1975 Private management and Public Policy The principle of Public Responsibility Englewoods Cliffs NJ Prentice Hall pp Pretty J Brett C Gee D Hine R Mason C Morison J Rayment M Van Der Bijl G et Dobbs T 2001 Policy Challenges and Priorities for Internalizing the Externalities of Modern Agriculture Journal of Environmental Planning and Management 44 2 263 283 Pretty J N Brett C Gee D Hine R E Mason C F Morison J
187. nt la m me Les attentes pour les ovins viande les cultures nerg tiques les petites productions et la transformation de viande sont l g rement plus fortes Celles relatives au maraichage aux autres cultures de ventes et aux productions avicoles sont encore plus faibles 275 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale attentes partenaires ext rieurs Encadr 17 Les attentes des acteurs ext rieurs 6 2 4 Identifier et structurer les enjeux de performances A partir de donn es collect es lors de la revue de litt rature les enjeux de performances de l activit agricole pour l exploitation de la Bn ont t restructur s en les ordonnant par rapport aux interfaces de deux des quatre sph res de la durabilit Tableau 23 276 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me Dimensions conomique Environnementale Politique Dimensions Vivabilit Qualit de vie Condition de travail Bien tre animal Sociale Participation au Viabilit d veloppement conomique local Enjeux conomiques Revalorisation des de performances et productions agricoles d ind pendance de et dynamique l agriculture territoriale Respect de Respect de l environnement l environnement M diation des N cessit de connaissances maintenir les Demande de services produits respectueux cosyst miques
188. nt le poulinage et elles reviennent la Bergerie lorsque la nouvelle gestation est confirm e y Les poulini res et les poulains partir de l ge de 1 an sont conduits au maximum au p turage Seuls des probl mes de portance des sols en hiver justifient leur maintien dans les b timents o les poulains sont log s en stabulation libre v Les chargements des troupeaux de ruminants sont maintenus au m me niveau que dans le sc nario de d part En revanche la surface allou e aux chevaux est importante 1 05 ha cheval afin de tenir compte de l impact du p turage durant une partie de l hiver v La conduite des chevaux est celle d finie par Luc Tavernier Les fourrages et une partie des concentr s sont produits sur l exploitation 3 R sultats conomiques du syst me et faisabilit La faisabilit du syst me ses points forts et ses points faibles de l atelier pensions de chevaux l levage ont fait l objet d une tude en interne la Bergerie nationale que nous avons pu discuter avec Daniel Boussier et Kevin Boisset cf tableau de D Boussier La marge de l atelier pension est tr s lev e en particulier par rapport celles des bovins viande et des ovins Ce r sultat nest pas surprenant de nombreux leveurs de troupeaux viande se sont reconvertis proximit des grands bassins de population dans la prise en pension de chevaux Dans le cas de charges plus lev es que pr vu par exemple pour lac
189. nvironment Harvester Wheatsheaf New York 378 pp Pennanguer S Tartarin F Fontenelle G Guilsou A Perrot Y et Boeoeuf M 2005 Vers une gestion concert e de la baie du Mont Saint Michel et de ses bassins versants Projet GECOBAIE Rapport final Agrocampus Rennes Rennes 31 pp Pervanchon F 2004 Mod lisation de l effet des pratiques agricoles sur la diversit v g tale et la valeur agronomique des prairies permanentes en vue de l laboration d indicateurs agri environnementaux Sciences agronomiques Institut national polytechnique de Lorraine Nancy 383 pp Pervanchon F et Blouet A 2002a De la durabilit de l agriculture raisonn e Nature Sciences Soci t s 10 3 36 39 Pervanchon F et Blouet A 2002b Deux qualificatifs concilier en agriculture raisonn et int gr Cahiers Agricultures 11 2 151 157 Pervanchon F et Blouet A 2003 Multifonctionnalit et durabilit de l agriculture Travaux et Innovations 99 65 66 Pigou A 1920 The Economics of Welfare Mac Millan London 837 pp Pimentel D Harvey C Resosudarmo P Sinclair K Kurz D McNair M Crist S Shpritz L Fitton L Saffouri R et Blair R 1995 Environmental and economic costs of soil erosion and conservation benefits Science 267 5201 1117 1123 Porter M E et Van Der Linde C 1995 Toward a New Conception of the Environment Competitiveness Relationship Journal of Eco
190. nvironnement de l Am nagement et du Logement Direction R gionale et Interd partementale de l Alimentation de l Agriculture et de la For t Direction R gionale et Interd partementale de l Equipement et de l Am nagement DRIEE IF DRIHL IF DRIRE DST DTA DULE EBE EPCI ESB ESPON FADEAR FARRE FEADER FEAGA FEDER FEOGA FEP FKI FNAB FNAPF 388 Direction R gionale et Interd partementale de l Environnement et de l Energie Direction R gionale et Interd partementale de l H bergement et du Logement Directions R gionales de l Industrie de la Recherche et de l Environnement Deliberation Support Tools Diagnostic de Territoire Directives Territoriales d Am nagement Direction de l Urbanisme du Logement et de l Equipement de Paris Exc dent Brut d Exploitation Etablissements Publics de Coop ration Intercommunale Enc phalopathie Spongiforme Bovine European Spatial Planning Observation Network F d ration des Associations pour le D veloppement de l Emploi Agricole et Rural Forum de l Agriculture Raisonn e Respectueuse de l Environnement Fonds Europ en Agricole de D veloppement Rural Fonds europ en agricole de garantie Fonds Europ en de D veloppement R gional Fonds europ en d orientation et de garantie agricole Fonds europ en pour la p che Foire Kerbabel aux Indicateurs F d ration Nationale d Agriculture Biologiqu
191. nvironnementale etc gt Les jugemems son portes sur le troisieme axe par les acteurs ou parties prenantes imoliques dans le processus Le croisement de ces ras dimensions permet la construction de la Matnce de D liberanon La controntaton de chacun de ces irois axes se fait sous ls forme d une cellule l acteur x juge le sc nario y travers l en jeu z Trois niveaux de pr cision s offrent alors aux parhcipants pour effectuer leur jugement 1 colorer la cellule 2 colorer la celule en justifiant leur jugement travers un commentaire et 3 justifier leur jugement l aide dindk Jre fois les jugements realises la Matrice devient le support de dialogue e de deliberanon entre les acteurs sut le probleme 571 La decision concemant lavenir de explotaton agn cole se heure plusieurs difficultes Une pluralite d enjeux et d chelle Tout projet de d veloppement est associe une plu rat d enjeux tenvironnementaux sociaux conome ques et pobnques articules a des echelles dfferemes locale 1egonsls nationale globale etc Difficile pour is d cideur de comprendre tows les effets d une d cision Par exemple intoducton dur levage de chevaux peur engendrer des rentr es finanoeres directes et indrectes et contribuer 3 coilibre financer de l emploabon agricole Elle peur egarement entrainer des conflits concemart les surfa ces de prairies utiisees le travail demande aux salaries 2 vegitmmte de developper
192. oles du XXI me si cle Changements climatiques et acc s aux ressources naturelles Actes du colloque de Niort Ao t Conf d ration paysanne 2007 Appellations d origine Le march contre l authenticit Campagnes solidaires 219 8 pp 365 R f rences Conf d ration paysanne 2008a Il faut une autre politique agricole europ enne Conf d ration paysanne Bagnolet 4 pp Conf d ration paysanne 2008b Remise en cause des DPU Les dossiers de la Conf d ration Paysanne Les enjeux d une autre politique agricole europ enne Conf d ration paysanne 2009 Rapport d Orientation L agriculture l heure des choix Conf d ration paysanne St Etienne 42 pp Conf d ration paysanne a Charte de l Agriculture Paysanne Conf d ration paysanne Bagnolet 12 pp Conf d ration paysanne b Qui sommes nous Extrait de Novembre 2009 from www confederationpaysanne fr Conseil g n ral de l Essonne 2007 L eau Extrait de Juin 2007 from http www essonne fr environnement eau Conseil R gional d le de France 2005 Synth se agroenvironnementale de la r gion ile de France Conseil r gional d Ile de France Paris 59 pp Conseil R gional de l Ile de France 2006 L agriculture en Ile de France une r gion dominante agricole un secteur soutenu par la r gion 2 me Rencontres des lus r gionaux verts Dijon 4 5 Avril Coop de France 2007 Coop ratives comment s engager dans l
193. on animale service de poulinage pour autrui etc Vivabilit am liorer les conditions de travail et respecter le bien tre animal Un des enjeux de l exploitation est de veiller la qualit des conditions de travail des salari s et de son directeur bien que celles ci soient en moyenne plus satisfaisantes que celles de la profession agricole Il s agit d am liorer l organisation du travail pour accro tre son efficacit r duire la p nibilit et la r p titivit des t ches et accro tre la s curit La formation continue des salari s est importante pour l optimisation de leurs comp tences mais aussi pour leur panouissement Elle permet aux salari s d acqu rir les comp tences pour s adapter aux changements d orientation du projet et acqu rir davantage de polyvalence afin de faciliter l organisation du travail La conformit de l exploitation aux normes r glementaires s curit hygi ne environnement travail etc et de bien tre animal est toute aussi essentielle M diation des connaissances et p dagogie La Bn a des missions p dagogiques et de m diation des connaissances fortes appui l enseignement agricole recherche centre de formations initiales et continues et centre de ressources sur le d veloppement durable Aujourd hui peu de formations s appuient sur les activit s de l exploitation Il y a un enjeu pour d velopper des synergies entre contenu des 279 Chapitre 6 La place
194. on du plan local durbanisme Sethi P 1975 Dimensions of corporate social performance an analytical framework California management journal 17 3 58 64 Shackle G L S 1951 Review Social Choice and Individual Values by Kenneth J Arrow Economica 18 72 430 432 Simos J 1990 Evaluer l impact sur l environnement Une approche originale par l analyse multicrit re et la n gotiation Presses polytechniques et universitaires romandes Coll Meta Lausanne 261 pp SNIA Bien nourrir les animaux pour mieux nourrir les hommes Extrait de Janvier 2010 from www nutritionanimale org Somers H M 1952 Review Social Choice and Individual Values by Kenneth J Arrow The Journal of Political Economy 60 2 170 171 Souplet M 1999 Projet de loi d orientation agricole adopt par l Assembl e nationale apr s d claration d urgence Senat Commission des affaires conomiques Paris 200 pp 383 R f rences Spangenberg J H 2007 Biodiversity pressure and the driving forces behind Ecological Economics 61 1 146 158 Stahel W 2008 The Performance Economy Business Models for the Functional Service Economy Handbook of Performability Engineering K B Misra Springer London 127 138 Starik M 1994 Reflections on Stakeholder Theory Business and Society 33 82 131 Story C 2006 La m diation des connaissances environnementales au service de l Agriculture Durable a Marchais M
195. onsid ration g n rale plusieurs participants ont mentionn le manque chronique de communication de la Bn envers la profession publication dans des journaux sp cialis s etc la formation agricole re d velopper le lien entre formations et productions et le milieu de la recherche participation des conf rences etc Le point de vue des acteurs l valuation d taill e pour chaque acteur L objectif de cette section est d expliquer le point de vue de chaque acteur pour chacune des options On pr sente ainsi l ensemble des interfaces entre les six options 1a 1b 2a 2b 3a et 3b et les sept enjeux d finis dans l Annexe 14 Cette pr sentation prend la forme d une coupe en 2D de la Matrice et d un commentaire qui sert a clairer chaque valuation en mettant l accent sur les principaux arguments utilis s Le point de vue des acteurs l valuation synth tique par option L valuation synth tique par option n apporte pas d informations in dites par rapport a celle d taill e Mais cela permet d identifier grossi rement les cat gories d acteurs pour et contre telle ou telle option On obtient ainsi une classification des pourfendeurs et d fenseurs de chaque option ce qui va permettre aux d cideurs de se positionner par rapport aux diff rentes cat gories d acteurs dans le processus de choix En identifiant les cinq indicateurs les plus pertinents pour chaque option c est a dire les indicat
196. orant les conditions de travail Elle maintient aussi le potentiel p dagogique de l atelier L option 2b va l encontre de ces points positifs Concernant les options 3 Le jugement est plus mitig et tr s incomplet dans les deux cas Certes l option 3a conforte l activit du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet et maintient un emploi et demi Le seul point n gatif de l option 3a vient de l enjeu Exemplarit et Excellence l image de la Bergerie nationale souffre du manque de respect des normes d hygi ne et de la qualit de ses produits 548 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Le sous groupe Manifestation 0900 wea ees y 3e v0ece 200000 S 40000 See0e e O O Pour les options 1 et 2 il n y a pas de choix qui se d gage On a une orientation vers le choix de l option 3a La tendance est plut t au jugement n gatif de l ensemble des propositions Concernant les options 1 L introduction du cheval est un changement important mais il n est pas acceptable manque de comp tence des salari s en interne risque de conflit avec le personnel complexification du syst me L option 1a quant elle n est un changement suffisant m me si elle apporte des am liorations sur les plans conomique et de l environnement via une meilleure gestion de l herbe seul le passage la conduite en plein air apporterait
197. pour accompagner l agriculture de demain dans sa dimension strat gique Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 4 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2008a PAC D veloppement rural FEADER Minist re de l Agriculture et de la P che Paris pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2008b Plan Ecophyto 2018 de r duction des usages de pesticides 2008 2018 Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 21 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2009 Bilan de sant de la PAC mise en oeuvre pour une PAC pr ventive juste et durable Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 4 pp Minist re de l Agriculture et de la P che et DIACT 2007 De Leader Leader Rencontre nationale Leader Paris 20 mars Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement Durable et de l Am nagement du Territoire 2008 Strat gie nationale pour la biodiversit Rapport d activit 2007 Minist re de l Ecologie de l Energie du D veloppement Durable et de l Am nagement du Territoire Paris 103 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2005a Loi relative au d veloppement des territoires ruraux Guide pratique des principales mesures et exemples Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 20 pp 377 R f rences Minist re de l Agriculture et de la P che 2005b Plan de d veloppement rural national Minist re de l Agriculture et de la P che Paris
198. pour l environnement car la gestion durable des prairies va dans le sens de la conservation de la biodiversit au sein du domaine pr sidentiel Elle permet aussi la conservation du M rinos Elle est aussi porteuse d innovation mener avec l INRA ou la profession ovine ou bovine L ensemble des participants rejette cependant cette option car elle est trop consommatrice en main d oeuvre provoque des rejets d effluents et n apporte rien la formation Ils ne sont ainsi pas pour l arr t complet de l exploitation agricole mais pour son ajustement aux missions de conservation de la Bergerie nationale L option 1b a t peu valu e mais les participants notent qu elle complexifie le syst me n apporte rien au d veloppement local et est trop consommatrice en main d ceuvre Concernant les options 2 L option 2a a un potentiel en mati re p dagogique ou de d monstration sous condition de production de plein air Cette option 2 a est pourtant rejet e au profil de l option 2b au motif que les b timents sont in l gants et portent atteinte l image du parc du ch teau Concernant les options 3 Il n y a pas de pr f rence nette entre les deux options 3a et 3b L atelier a un int r t pour le d veloppement local mais la finalit conomique doit rester la priorit Sans une rentabilit correcte il vaut mieux arr ter 557 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn
199. ppr cier les attentes concernant ce que chacun des ateliers de l exploitation actuels ou susceptibles d tre propos s pouvait apporter moyen terme 5 a 10 ans en mati re de formation d exp rimentation de d monstration ou d animation V dune part par les partenaires et acteurs ext rieurs Etat collectivit s locales profession agricole enseignement sup rieur recherche instituts acteurs du territoire d autre part par les diff rents p les de la Bn et l Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines UVSQ Il a t demand chaque d partement de la Bn hors exploitation et centre hippique et a UVSQ d valuer le niveau de ses attentes Comme il n tait pas envisageable dans les d lais pr vus d interroger les acteurs ext rieurs pour cette tude pr liminaire il a galement t demand aux d partements de la Bn d valuer les attentes suppos es des acteurs ou partenaires ext rieurs formation recherche d veloppement insertion animation rurale appui l enseignement agricole coop ration internationale et conservation du patrimoine vivant Ces deux valuations se faisaient par le choix d une note 0 3 La synth se des r sultats a t faite par addition des notes fournies par chaque d partement Ces travaux se sont d roul s de f vrier avril 2009 La plupart des p les ont exprim s leurs attentes Seuls l Ecole des Territoires et l UVSQ n ont pas souhai
200. r d utilit d un atelier pour 6 a ag Be ET Clients 2x INT 3DFI 1x l animation O0 EE an ie PE ET GIE 1x INT EA 3x A ES ee ae OV CB AC Collects ix me ee NT EA wa n bi a E ee T Eee Degr d ad quation entre les 4 6 AC Institu 2x HE ien 1x INT Equest 1x productions et les formations du CEZ X9 EE Dvp agri 1x INT SDF 1 INT Format 1x EE Soc civ 1x INT EA 1x 303 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale R sultats de l valuation de l option 3b par e amp y oo 9 oe oe oe N A Rod as x wie 6 of RC oT Lo Na lt gt lt S Cat gories a LU a at ah 3 a Le amp amp A d acteurs oe O O O O 0 9 0 ee ee 0 PL 67 69 92 75 0 75 54 100 46 100 64 57 57 71 Groupes Autorit s Externes largies Externes traditionnelles Internes de parties coordinatrices 0 s 68 82 63 60 Evaluation J globale 65 L option 3b fait consensus pour l ensemble des groupes de parties prenantes Les participants jugent d favorable l option 3b 65 Seul jugement mitig les Acteurs du parc du ch teau jugent l option d favorablement mais seulement hauteur de 46 Les autres Externes traditionnelles ayant amplement vot d favorablement ce vote a peu d impact dans l valuation globale des Externes traditionnelles Indicateurs Impact Acteurs globa
201. r rapport 3 dec crit res de periormance Table des Matieres La m thode d valuation INTEGRAAL page 2 La matrice de delibsration page 3 Les d fis poses par avere de explomation agricole page 4 Application de la methode pour explotation agricole page 5 Les composantes de evaluation les categones d acteurs les scenanos et les enjeux page 569 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn L qupe IACA du C3ED propose pour structurer la demarche de consultation pws d valuation des op bons pour lexplotston agroole de is Bergene natio nale apphcaton dune m thode mnovants nomm s INTEGREAL La m thode Inrecraa est une proposition d velop pee ces demweres annees travers aiferents projets de recherche Cette methode d evaluation mulnorteres et mult acteurs wee dune part rendre plus lisible la diversit des enjeux et des points de vue asso ci s un probl me st daure part engager les acteurs concem s par une question rentrer dans un processus d evaluation Autrement dt apr s avoir construit avec les acteurs les composantes de la question c est dire 1 qui en sont les acteurs 2 quels en sont les enjeux et 3 quelles sont les futurs emnsageables il leur est de a ene ee ee La m thode se os que les acteurs entrent dans un processus d apprentissage et de d lib ration qu doit permettre de nueux
202. randes lignes sur les raisons du jugement global de l option Par exemple on peut voir que l option 1b est jug e d favorable principalement pour des raisons de vivabilit et de conduite du changement Options Option 1a Option 1b Option 2a Option 2b Option 3a Option 3b Enjeux 55 43 59 67 51 71 Dyp local we 9 Tableau 26 L valuation globale des options On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Ce r sultat toutes cat gories d acteurs confondues est similaire aux r sultats des parties prenantes internes et des parties prenantes externes traditionnelles Pour l ensemble des cat gories d acteurs les arguments avanc s sont relativement homog nes d un acteur l autre L option 1b se fait essentiellement rejeter par le manque d ad quation entre l image actuelle de la Bn li e au monde agricole et l image port e par ce sc nario li e au monde questre et par les conflits qu elle pourrait engendrer en interne et avec les parties prenantes externes traditionnelles Sa viabilit conomique est aussi mise en doute mais cette option m rite une tude plus pouss e sur cet enjeu pr cis Une partie des repr sentants des collectivit s locales et du d veloppement agricole instituts techniques jugent favorablement la viabilit conomique Jugement li pour les repr sentants des collectivit s locales la l gitimit de l activit sur le territoire e
203. ration nous a dit 4 A la fin du projet saurons nous quel sc nario choisir pour l exploitation agricole Au contraire de de le decision qu porte toute son attention sur la recherche d une solution ungue et optimale l aide 3 la d likeraton accorde beaucoup d importance au dialogue entre acteurs et integre la possibilit qu ils ne puissent pas trouver d accord sur les achons mener l issue du projet les d cideurs disposent des formations leur permettant de prendre des d cision mieux adapt es aux besoins nonc s par les partes prenantes Contacts Charlotte Da Cunha charg s d tude CED Uneversit de Versadies Sant Quentin en Yvelines CEZ Parc du chateau 7 8514 Rambouillet la L 0161 08 69 49 chariot da cunha cled uvsa fr www cjed uvse fr 4 Credit photos Bergerie ronona CEZ 568 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Les avenirs de l exploitation agricole de la Bergerie nationale MISE EN PLACE DE L VALUATION PARTICIPATIVE MULTICRITERE Contexte du projet En f vrier 2009 la Bergene nationale s est fix e comme objectif de pr senter un projet pour les plateformes techniques exploitation agncole et centre hippique et le p le animation culture Elle souhaite pour cela privi l gier une approche bas e sur les principes du d veloppement durable et int grer les acteurs impliqu s dans la Bergerie nationale Ce proj
204. rendements catastrophiques les cultures ont eu un tr s bel aspect au printemps 2009 et les rendements ont t bons La conduite des cultures doit continuer d tre raisonn e pour atteindre certes les objectifs cologiques fix s par le projet de l tablissement mais galement de mani re assurer une r colte suffisante pour couvrir l essentiel voire la totalit des besoins en concentr s nerg tiques des diff rents cheptels L enjeu est en effet capital sur le r sultat de l exploitation 524 Annexe 9 Diagnostic du syst me polyculture levage exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage Propositions pour conforter le syst me d exploitation 1 Simplifier le syst me pour en am liorer la ma trise et pour r duire les temps de travaux v Moins de lots d animaux suppression des BlackFace v Regroupement des p riodes de mises bas 2 Am liorer l autonomie fourrag re Pour r duire les co ts d alimentation en diminuant les apports d aliments concentr s Pour am liorer les performances animales lt En am liorant la gestion des surfaces en herbe en particulier par un ajustement des surfaces allou es au p turage de printemps et d t d j engag en 2009 En r duisant si besoin la taille des cheptels tout d abord suppression de la troupe BlackFace puis si les rendements de l herbe ne sont pas la hauteur de ce qui tait attendu en r duisant le
205. rendus au territoire cahier des charge teritonalse contractualisatons avec certains acteurs du territoire Autres sp cificit s Historique de la mise en place du syst me actuel 509 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Fiche exploitation du diagnostic de durabilit IDEA Version 3 Exploitation agricole de CEZ Bergerie Nationale R sultats du diagnostic IDEA 2008 Durabilit de l exploitation note Q composantes constituent les plus faible forces et faiblesses de la durabilit de Appr ciation de la situation g n rale Rep rage des priorit s 510 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn awose 2983A oyB108 sasgBermoj samyo lt gt 800Z Z00z2 euBedwed ej ap juawajossy Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Parmi tes trois chelles de durabilit du syst me agricole quelle est celle qui constitue le facteur limitant Durabilit de l exploitation ne Economique Socotertonaie 512 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Quelles sont les composantes les plus durables de l exploitation 7 Quelles sont les composantes dont il serait souhaitable d am liorer la durabilit M thode IDEA version 3 513 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Quelles sont les composantes les plus durables de l exploitation Quel
206. rgerie nationale 2009 En f vrier 2009 la Bn s est fix e comme objectif de pr senter un projet pour la plateforme technique et technologique le p le recherche et d veloppement et le p le accueil animation culture Elle se propose comme but a atteindre la mise en place d une Cit du d veloppement durable L exploitation a une place primordiale pour l exp rimentation et la d monstration Le projet d exploitation pr cisera les objectifs les actions a mener et les crit res d valuation pour l exploitation durant la p riode 2010 2013 Elle souhaite pour cela privil gier une approche bas e sur les principes du d veloppement durable et int grer les parties prenantes internes et externes concern es par l avenir de la Bn Ce projet sera au final propos a la d lib ration au conseil d administration du CEZ d avril 2010 Pour porter cette r flexion sur son avenir de fa on innovante la Bn s est propos e d impliquer l quipe IACA du C3ED travers un projet de recherche action La d marche INTEGRAAL apporte sa capacit d valuer les options d volution de l exploitation par rapport a des crit res de performances Deux stagiaires agronomes avaient pr alablement men une tude concernant la Bn combinant des outils et des m thodologies issus de la litt rature et de cadres r glementaires a un processus participatif impliquant les parties prenantes internes et externes traditionnelles Chev
207. rice les abr viations utilis es pour d signer les composantes de l valuation se trouvent dans le Tableau 25 Nous pouvons tirer des r sultats globaux par axes en exploitant la vue synth tique de la Matrice Chacune de ces cellules bilan est aussi un indicateur composite qui m rite d tre d compos pour comprendre les jugements de valeurs et les arguments des diff rentes cat gories d acteurs De plus il faut noter qu aucune des cellules n tant remplie 100 ces r sultats globaux par axe doivent tre nuanc s L axe des options valuer donne une indication qu il est possible d utiliser isol ment Sur l axe des options valuer on note une appr ciation globale relativement favorable des options 1a consolidation 2a repli de la production avicole et 3a maintien de la transformation et une appr ciation globale relativement d favorable des options 1b introduction du cheval 2b arr t de la production avicole et 3b arr t de la transformation Sur l axe des enjeux de performances les enjeux Respect de l environnement Participation au d veloppement local Vivabilit et M diation des connaissances et p dagogie ont re u une appr ciation globale relativement favorable et les enjeux Viabilit conomique Conduite du 293 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale changement et Exemplarit et Excellence ont re u une
208. riculture et de la p che avec des moyens financiers insuffisants Un des participants des Acteurs du d veloppement agricole voit aussi la formation comme une priorit mais admet qu il est compliqu d tre un tablissement national dans un contexte o toutes les formations sont r gionalis es Quelles sont les sp cificit s qui font de la Bn un tablissement de p dagogie un niveau national et non pas seulement r gional Est ce que les participants ext rieurs ont une vision de ces sp cificit s Connaissent ils bien les comp tences de la Bn Un autre probl me souvent mis en avant par les participants ext rieurs notamment ceux de la coop rative et du GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet est le turn over des salari s de l exploitation notamment du directeur et des responsables d ateliers Cela complique le travail en r seau par la difficult de trouver des interlocuteurs p rennes Parall lement plusieurs participants critiquent le manque de suivi dans la dur e des projets d exploitation chaque directeur une politique diff rente Autre source potentielle de conflits 297 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale les participants des 3DFI et de l ONF se demandent pourquoi ne pas mener l activit de poulinage au centre questre les comp tences pour conduire ce projet s y trouvant En derni re c
209. rs de la for t de 1 1 Rambouillet Coop ratives et fournisseurs 1 1 Parties prenantes see Ses ss Se SSS a5 eof oss SSeS aSS Somer externes Clients GIE des tablissements d enseignement agricole traditionnelles Distributeurs AMAP Associations pour le maintien d une 3 3 agriculture paysanne Acteurs du parc du chateau ONF Office National des 3 2 For ts Domaine pr sidentiel de Rambouillet Recherche et Enseignement sup rieur AgroParisTech Institut des sciences et industries du vivant et de 1 1 l environnement Parties prenantes Profession agricole locale Chambre 0 0 externes largies Interd partementale d Agriculture autres syndicats Acteurs du d veloppement agricole instituts 2 2 techniques Soci t civile riverains et associations 1 1 Collectivit s locales r gion d partement mairie 3 3 Autorit s Institutions de tutelle DGER Direction G n rale de coordinatrices l Enseignement et de la Recherche DRIAAF Direction 4 3 R gionale et Interd partementale de l Alimentation de l Agriculture et de la For t d le de France Tableau 22 Les cat gories d acteurs et le nombre de participants 192 L int r t de la colonne participation est explicit dans la section 6 4 273 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale 6 2 3 La prise de contact avec les participants L objectif tait d a
210. rs fran ais Minist re de l Agriculture et de la P che Paris 1 pp Canfin P et Nahap tian N 2005 Les petits pas des PME Alternatives Economiques pratique la responsabilit sociale des entreprises 20 97 98 Capron M et Quairel F 2004 Mythes et r alit s de l entreprise responsable acteurs enjeux Strat gies La D couverte Paris 251 pp Carrez G et Ladegaillerie E 2009 Grand Paris Financement du projet de transports R publique Fran aise Paris 54 pp Carroll A B 1979 A Three Dimensional Conceptual Model of Corporate Social Performance Academy of Management Review 4 4 497 505 Carroll A B 1999 Corporate Social Responsibility Evolution of a definitional construct Business and Society 38 3 268 295 Centre europ en pour la conservation de la nature 1996 Strat gie paneurop enne de la diversit biologique et paysag re Les ditions du Conseil de l Europe Sauvegarde de la nature Strasbourg 82 pp CERVIA Qui sommes nous Extrait de Janvier 2010 from www saveursparisidf com Chamaret A 2007 Une d marche top down bottom up pour l valuation en termes multicrit res et _multi acteurs des projets miniers dans l optique du d veloppement durable Application sur les mines d Uranium d Arlit Niger Sciences conomiques Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Guyancourt 366 pp Chamaret A O Connor M et Reichel V 2009 Les avenirs de l
211. rticipants chaque interface enjeu de performances option Cette liste d indicateurs ne repr sentait ainsi qu une proposition qui a t enrichie au fur et mesure de la retranscription des valuations 197 ne Cette base est en ligne http kerdst c3ed uvsq fr vers4 Vous trouverez plus de d tails sur cette retranscription dans la sous section 6 4 2 287 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 4 Etape 4 Evaluer et exposer L objectif de cette quatri me tape est d valuer le probl me dans une perspective participative et multicrit re puis de mener une d lib ration sur la base des r sultats de l valuation Trois sessions ont t n cessaires pour mener bien cette tape La premi re a permis d amender l g rement les r sultats de l tape 2 et puis de les valider L valuation s est faite sur cette base Les r sultats ont t ensuite expos s lors de r unions de restitution 6 4 1 Premi re session validation de la structuration du probl me Le 26 ao t 2009 une premi re r union avec tous les participants internes a t organis e pour pr senter et diss miner les r sultats pr liminaires c est dire la d finition des composantes de l valuation Le but tait de les soumettre l appr ciation et aux commentaires des pa
212. rticipants internes pour permettre des ajustements L objectif de la r union tait donc de discuter de la plausibilit des diff rents enjeux de performances et options en d battant de leurs param tres L valuation des options souhaitables sera r alis e lors de la deuxi me session sur la base des options et enjeux de performances revus Un autre objectif de cette r union tait de sensibiliser les participants la d marche et d expliquer ce qui sera effectu ensuite pour les inciter contribuer l valuation Il ny a pas eu de modifications apport es l issue de la r union les participants internes tant en accord avec les composantes de l valuation d finies Une question est cependant survenue concernant la possibilit d int grer une activit de maraichage sur l exploitation Cette activit tant relativement ind pendante des autres activit s il a t d cid de ne pas changer les options mais d ajouter une question sur l opportunit de le faire et de soumettre cette question lors de l valuation Les autres participants ont t contact s par courrier d s le mois de juin L objectif tait de leur pr senter la d marche et son objectif pour solliciter un entretien 6 4 2 Deuxi me session valuation participative multicrit res Le nombre de participants par cat gorie d acteurs la session d valuation a t report dans le Tableau 22 Y est ajout le nombre de groupes compos s par
213. rticipants de la DRIAF livrent les m mes arguments et ajoutent l importance de garder cet atelier au niveau de l le de France o l aviculture est en train de mourir Les deux acteurs soulignent le manque de relation entre production et formation Concernant les options 3 La valorisation en fili res courtes et le partenariat avec le GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet est un point positif Il est donc l gitime dans le service rendu au territoire mais complexifie le syst me et n apporte rien l animation et la formation 563 Annexe 15 Pr sentation de la d marche de concertation exploitation de la Bn Les avenirs de l exploitation agricole de la Bergerie nationale ELEMENTS D UNE D MARCHE DE CONCERTATION Contexte du projet int grer les acteurs impliqu s dans la Bergerie nationale Ce projet sera au fina propos la d lib ration au conseil d administration du CEZ de mars 2010 C est en 1783 que Louis XVI a achet le domaine d Rambouiliet pour en faire un domaine de chasse C est gale ment l poque de fagromanie et il d cide la cr ation dune ferme exp rimentale Cette deuxieme vocation du do maine se concr tise par le construction de la grande ferme en 1785 Cette double fonction restera toujours le fonde ment de ce site national La vocation d levage de la Bergene nationale date de 1786 et de l achat d un troupeau de M nnos espagnols qui donn naiss
214. s 218 Application aux territoires d Tle de France c cceccecescescesseeseeseeeecescuescesscestseesseseteteneeseeaees 221 PARTIE 2 APPLICATION DES DEMARCHES D EVALUATIONS PARTICIPATIVES MULTICRITERES AUX TERRITOIRES D ILE DE FRANCE scccecceccsccesceesecescenecscescecosvececarencescessceascseeacesaesnerseeeasesesaees 223 5 QUELLE AGRICULTURE DURABLE SUR UN TERRITOIRE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU IDOURDANNAIS EN HUREPOIX c2 e lt ci 2i 2 cc sccccnsdsthctatssetcndeastaceceieccaddaasaiiceicnecisdatacalgasduesteetsaccateatecadesvecoeniqieze 225 51 Etape 1 Identifier le probl me sisi 227 5 2 Etape 2 Structurer le probl me ss 229 5 2 1 Larevue de litt rature aeea EEE EE EES REEERE 229 5 2 2 D crire le contexte r alisation d un diagnostic du territoire 229 5 2 3 Identifier et structurer les acteurs 230 5 2 4 Organiser des entretiens avec les acteurs 231 5 2 5 Identifier et structurer les enjeux de performances ccccceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeneeeeeeeeees 231 5 2 6 Identifier et structurer les sc narios 235 5 3 Etape 3 Repr senter le syst me 241 5 3 1 R aliser les diagnostics n cessaires la repr sentation du syst me 241 5 3 2 Construire une base d indicateurs pertinents pour le probl me valu 245 5 4 Etape 4 Evaluer et D lib rer 2 2 aaaeaii irira Ean Seaan aE E Erini 247 5 4 1 Premi re session val
215. s d lle de France Colloque CESR Ile de France Paris 3 f vrier Maxim L 2008 Mobilisation d un outil multim dia d aide la d lib ration pour l analyse socio conomique des changements de la biodiversit R flexions autour de trois tudes de cas l chelle r gionale le de France nationale France et continentale Europe Sciences Economiques Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines Guyancourt 607 pp Maystre L Y Pictet J et Simos J 1994 M thodes multicrit res ELECTRE Description conseils pratiques et cas d application la gestion environnementale Presses polytechniques et universitaires romandes Lausanne 340 pp Meade J E 1952 External Economies and Diseconomies in a Competitive Situation The Economic Journal 62 245 54 67 Melse R W Ogink N W M et Rulkens W H 2009 Overview of European and Netherlands regulations on airborne emissions from intensive livestock production with a focus on the application of air scrubbers Biosystems Engineering 104 3 289 298 Mestre Sanchis F et Feij6o Bello M L 2009 Climate change and its marginalizing effect on agriculture Ecological Economics 68 3 896 904 Millennium Ecosystem Assessment 2005 Ecosystems and human well being Biodiversity Synthesis World Resources Institute Washington DC 100 pp Minist re de l Agriculture et de la P che 2006 Loi d orientation agricole un cadre r nov
216. s de renouvellement disponibles pour cause de probl mes de reproduction 11 g nisses de 1 2 ans et 9 g nisses de de 1 an pr sentes au cours de la campagne 2008 2009 alors qu il en faudrait au moins le double Par ailleurs les g nisses semblent avoir souffert au cours de leur jeune ge et leur d veloppement para t insuffisant Les g nisses laiti res sortent trop peu au p turage Troupeau limousin beaucoup de pertes de veaux et des croissances insuffisantes qui se traduisent par une faible production de viande La mortalit des veaux est tr s importante en 2007 15 et surtout en 2008 47 La situation semble revenue la normale en 2009 puisqu en d but d ann e une seule perte est signaler Le taux de productivit pratique est en 2008 peine la moiti de la r f rence fix e pour un levage limousin bien conduit 42 contre pr s de 90 Les croissances des veaux sont galement inf rieures aux objectifs fix s pour la race 870 g de GMQ entre 0 et 120 j contre 1070 g attendus et 755 g contre 1050 entre 0 et 210 j Sous ce double effet du manque de veaux et d un poids insuffisant des broutards au sevrage 60 70 kg vif la production de 234 h z x Taux de productivit pratique nombre de veaux sevr s nombre moyen de vaches pr sentes 523 Annexe 9 Diagnostic du syst me polyculture levage exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage viande vive est 5 a 6 t inf rieur
217. s participants s est effectu e lors d entretiens un par groupe Il leur a t demand de se prononcer sur les diff rentes interfaces enjeux de performances options Les entretiens ont t retranscrits via le remplissage de la Matrice sous format papier Ce choix de mener l valuation par le biais d entretiens a permis d int grer des participants qu il tait impossible d inviter faire des valuations en groupe pour des raisons de disponibilit s et de situation g ographique Cela pose des probl mes d exactitude des r sultats dus aux biais qu emm ne la retranscription des entretiens Ces valuations ont t rapport es en ligne sous KerDST dans la Matrice laide d indicateurs Les commentaires ont t convertis en indicateurs et une couleur leur a t assign e Il a t donn le m me poids tous les indicateurs 100 l exception du cas A condition de 20 qui n indique qu une retenue par rapport un jugement global 20 L valuation a t cr e pour plusieurs cat gories d acteurs comprenant plusieurs participants et men e laide d indicateurs Nous nous situons donc dans la Variation D Avec d lib ration participative et avec foire aux indicateurs de l utilisation de KerDST voir Annexe 1 Bureau Reichel et al 2007b 290 Section 4 Etape 4 Evaluer et exposer 6 4 3 Troisi me session d lib ration Les participants sont entr s dans un processus d argu
218. s qu ne permettent plus de se satisiare dune expertse concluant quune decison est bonne ou mauvaise Par exempe acorssement du nomere dherowores sur l exploitaton via la cr aton de actwte d levage aun est susceptible demrainer un probleme ge surexprona fon des pranes et obliger 3 l achat de granules L appar vor de cette proguctor va t elle fragliser ensemble de l agrosysteme Lintegration d une pluralte de savows non seulement expens mas aussi pra iques est une atemative pour une plus grande adequanon des solutions envisa gees Diff rentes categones d acteurs avec leurs pro pres expenences peuvent apporter une vision pius large et plus nche qu un point de vue unique 572 Annexe 16 Mise en place de l valuation participative multicrit re exploitation de la Bn Application de la m thode d valuation INTEGRAAL F vrier gt Etape 1 Mars Avril gt Etape 2 et 3 Juin Etape 2 Septembre gt Etape 4 Septembre gt Etape 4 et 5 Novembre gt Etape 5 gt Etape 5 P Renmon de lancement avec l ensemble des Planni ss i responsables de plateformes de la Bn np gt Enqu te sur les attentes des plateformes et sur les attentes ext rieures d apr s les plate m formes de la Ba gt R union avec les responsables de platefor Document de presentation de la mes de la Bn pour s accorder sur les cate demarche de concertation et de gones d acteurs d emeux et les sce
219. s qui y sont li s Le maintien de l atelier suppose une formation pour faire accepter les volutions des techniques de travail de la viande Cet atelier n apporte rien en terme p dagogique ou d exp rimentation et est peu exemplaire Ce type d atelier Existe en plus d velopp dans d autres tablissements de l enseignement agricole 553 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Les parties prenantes externes traditionnelles GIE des producteurs fermiers de la for t de Rambouillet wr 000000 Koi gt s 90000909 ge S 000000 a r S P0900000 200o 0 Pom 000000 On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Concernant les options 1 Cette option est favorable l environnement et au bien tre humain Elle permet de d velopper un travail en r seau avec les autres agriculteurs du territoire mais le turn over permanent des salari s de l exploitation ne facilite pas les choses Le participant note un manque de dynamisme de certains membres de la Bergerie nationale au niveau du territoire dynamisme port seulement par le personnel de l exploitation agricole En mati re de p dagogie seule la ferme p dagogique fonctionne bien alors qu il y a un besoin de formation L option 1b est jug e d favorable au motif que la Bergerie nationale n est pas un haras La r gion n est d j plus une r gion d levage il est d
220. st me polyculture levage Il en a fait un diagnostic pr liminaire pour en identifier les forces et faiblesses sur le plan technico conomique Annexe 9 Suite ce diagnostic il a conduit une expertise technico conomique des options 1a et 1b qui consistait tudier leur int r t relatif une fois le syst me optimis Annexe 10 Les autres ateliers aviculture et abattage transformation ont fait l objet d un diagnostic interne pour en identifier les forces et faiblesses sur le plan technico conomique Annexe 11 6 3 2 Construire une base d indicateurs pertinents pour le probl me valu Une liste d indicateurs potentiellement utilisables pour valuer les options d finies a t produite Annexe 12 Nous les appelons indicateurs candidats et nous les avons class s selon les sept enjeux de performances Cette base d indicateurs a t cr e partir d un travail de stage effectu en 2007 Chevallier 2007 Lamorini re 2007 Les cat gories d enjeux d termin es lors de ce stage n taient pas compl tement en ad quation avec celles d termin es pour cette valuation des avenirs de l exploitation de la Bn Certains indicateurs ont donc t supprim s D autres ont t ajout s sur la base d IDEA Vilain 2003 et d un travail de stage effectu sur les indicateurs d agriculture durable en 2008 Armand 2008 Les indicateurs ont t utilis s pour caract riser les jugements des diff rents pa
221. t et Excellence Viabilit conomique Depuis plus de 10 ans le r sultat conomique de l exploitation de la Bn est chaque ann e d ficitaire Le d ficit d exploitation enti rement imputable l activit de production transformation s est aggrav sur cette p riode passant d environ 100 000 dans les ann es 1999 2001 plus de 300 000 en 2008 277 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale En 2008 seul l atelier culture a d gag un produit permettant de couvrir ses charges y compris celles de personnel Les r sultats conomiques de toutes les autres productions ont t n gatifs Les plus mauvais r sultats part des pertes dans le produit ont t enregistr s pour la production de M rinos le troupeau de vaches allaitantes et les ateliers de volailles de chair et de poules pondeuses L activit de transformation de viande est chaque ann e d ficitaire bien qu a priori elle dispose d un certain nombre d atouts proximit d une client le urbaine image de la Bn existence d outils atelier d abattage de volailles de d coupe de viande partenariat avec d autres leveurs de la r gion La valorisation suppl mentaire pourtant importante ne couvre pas les charges de personnel et les co ts d utilisation des outils et de commercialisation des produits En 2008 le r sultat de cette activit a t n gatif de pr s de 30 000 U
222. t le faire ce qui s explique par leurs activit s peu li es aux productions de l exploitation Les attentes des p les Parmi les ateliers qui ont une dimension importante et qui sont d j pr sents dans l exploitation les plus fortes attentes portent sur V Fatelier ovin qui n est cependant pas pl biscit V l atelier bovin lait y puis un niveau inf rieur l atelier bovin viande En revanche les attentes pour les ateliers volailles de chair poules pondeuses et transformation apparaissent beaucoup plus faibles Parmi les productions secondaires les attentes sont tr s fortes pour l atelier traction animale et d un bon niveau pour les petits levages Dans les ateliers non pr sents actuellement sur l exploitation le niveau des attentes pour l levage quin est lev proche de celui des ovins relativement fort pour les cultures nerg tiques et les autres cultures de vente et faible pour le mara chage D pas d attente 1 attente faible 2 attente moyenne 3 attente forte 274 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me Attentes des p les Banimation Odemonstration Bexp rimentation Gform formateur Oform continue Oform initiale Encadr 16 Les attentes des p les M me s il appara t clairement que les attentes sont plus fortes pour certains ateliers que pour d autres un consensus s est d gag pour
223. t de vue agr g et doit tre utilis avec discernement Ces points de vue globaux doivent tre mod r s lors de leur exploitation en se reportant aux valuations par sous groupe 550 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn La formation CFA et CFPPA eee eee et eeeees s On a une orientation tr s nette vers le choix des options 1a 2a et 3a Concernant les options 1 Pour l valuation de l option 1a l ensemble des enjeux a t jug positivement L option est plus efficiente conomiquement et permet la simplification du syst me et l am lioration des conditions de travail par une meilleure ma trise des activit s Elle est aussi utile la formation CFA et CFPPA L option 1b pose des probl mes de viabilit conomique notamment par rapport aux investissements et d autonomie alimentaire Elle comporte aussi des risques de conflits avec les salari s Avec son caract re innovant elle a un potentiel p dagogique pour le CFA gestion de l herbe et d bourrage et pour le CFPPA dimension d levage Concernant les options 2 L atelier en AB et les produits valoris s en fili res courtes sont les principaux arguments pour porter le choix sur l option 2a Cette option maintient le support p dagogique pour l animation Avec l automatisation de certaines taches la p nibilit est diminu e L option 2b va l encontre de ces points positifs m
224. t donc aux subventions que cette activit peut apporter L arr t des activit s existantes est largement rejet avec un b mol sur la gestion actuelle de ces activit s qui doit tre revue mise aux normes imp ratives via la formation des adh rents pour 305 Chapitre 6 La place d une exploitation agricole sur un territoire l exemple de la Bergerie nationale l option 3a et optimisation de l utilisation de la main d uvre pour l option 2a L aspect Conduite du changement est ainsi jug d favorablement En outre l aspect Respect de l environnement des options 2a et 3a est moins bien valu que dans la partie polyculture levage cause des effluents solides et liquides de ces deux activit s et de l impact esth tique des batiments d aviculture Concernant les parties prenantes internes ces choix peuvent tre interpr t s de deux mani res tr s distinctes V soit une envie d aller jusqu au bout dans les orientations choisies pr c demment et d am liorer ce qui ne fonctionne pas V soit un immobilisme qui emp che d tre innovant et de choisir des options audacieuses en rupture avec les orientations pass es Le fait que la majorit des acteurs ext rieurs supportent ces options de maintien des orientations choisies notamment les repr sentants des tutelles et une partie des collectivit s locales conforte le point de vue des parties prenantes internes et doit amener privil gier la
225. t l gitime car il permet la valorisation en fili res courtes et soutient le territoire 562 Annexe 14 L valuation d taill e pour chaque acteur exploitation de la Bn Institutions de tutelle DGER et DRIAF On a une orientation nette vers le choix des options 2a et 3a et un jugement n gatif pour les deux options 1 Ce choix est interpr ter avec pr caution car il est du trois participants un groupe de participants pour la DGER et deux participants pour la DRIAF aux valuations tr s diff rentes Concernant les options 1 L option 1a est potentiellement viable conomiquement travers l optimisation moins d intrant et d heures de travail pour les participants de la DGER et travers l ad quation avec les aides de la PAC pour les participants de la DRIAF Par contre le co t de la main d uvre reste trop important Les participants de la DRIAF ajoutent que l activit de l exploitation est trop loign e de la formation et que les changements pour am liorer la viabilit arrivent trop tardivement la question aurait du se poser d s les ann es 90 Pour les deux acteurs l option 1b va complexifier le syst me et amener des conflits internes sauf s il y a embauche Concernant les options 2 Pour les participants de la DGER les produits en AB valoris s en fili res courtes contrebalancent les co ts de main d uvre trop lev s Mais il faut plus de polyvalence entre les employ s Les pa
226. tasi C van Asselt M Rothman D S Mellors J Greeuw S et Bers C v 2001 VISIONS The European Scenario Methodology ICIS VISIONS Maastricht 23 pp Rowe G et Frewer L J 2005 A Typology of Public Engagement Mechanisms Science Technology amp Human Values 30 2 251 290 Rowley T J 1997 Moving beyond dyadic ties a network theory of stakeholder influences Academy of Management Review 22 4 887 910 Roy B 2000 Un glossaire d Aide la D cision en fran ais et anglais Bulletin du Groupe de Travail Europ en Aide Multicrit re la D cision S rie 3 1 1 10 Schneider K 2009 Sustainable Development Report Bayer AG Leverkusen 120 pp Seghier C 2009 Les attributions du ministre de l espace rural et de l am nagement du territoire sont d finies Actu Environnement com 02 07 1 S nat 2009 S nat s ance publique M Philippe Dallier interroge le gouvernement sur le projet de loi relatif au Grand Paris Lettre hebdomadaire du Carrefour 383 Serrano J 2005 Quel quilibre entre urbanisation et pr servation des espaces agricoles p riurbains Le cas d une agglom ration moyenne D veloppement durable et territoires Dossier 4 La ville et l enjeu du D veloppement Durable Service du D veloppement urbain 2008 El ments du dossier PLU Extrait de Septembre 2008 from http www ville palaiseau fr ville davenir grands projets lavenir de la ville approbati
227. th matiques telles que l agriculture durable et AB mission nationale d appui sur le d veloppement durable tude formation centre de ressources Il est important d assurer une continuit politique entre les engagements ant rieurs et ceux du nouveau projet d tablissement Le maintien de l image de marque de la Bn passe par la r ponse a toutes ces missions 280 Section 2 Etape 2 Structurer le probl me 6 2 5 Les avenirs possibles de l exploitation agricole Dans sa structuration actuelle la partie production de l exploitation peut se d composer en trois ensembles relativement cloisonn s tant du point de vue de la r partition du personnel que pour l utilisation des terres V une exploitation de polyculture levage de 210 ha de culture dont 80 de prairies et de cultures fourrag res annuelles avec une conduite de type agriculture int gr e et biologique dont la vocation est d alimenter plusieurs ateliers de productions animales ovins viande 600 brebis dont 200 m rinos 3 troupeaux bovins lait 55 vaches laiti res Holstein bovins viande 40 limousines dont les produits sont commercialis s en viande Cette exploitation entretient et valorise galement des chevaux lourds 10 animaux utilis s notamment dans le cadre des activit s d animation promenade en cal che et des productions animales en faibles effectifs pour la ferme p dagogique ch vres porcins deux ateliers avicoles cond
228. tional puisqu a compter du 30 juin 2008 plus aucun abattoir de classe IV ne peut tre autoris fonctionner Au 30 juin 2011 100 des abattoirs doivent tre de classe ou Il La DSV conditionne le maintien de son agr ment l embauche par le GIE d un technicien qualit mi temps Ce salari serait pris en charge par la maison de l levage Le boucher de la BN mis disposition du GIE pour le quart de son temps pour assurer la gestion du GIE travaillerait plein temps pour la BN Ce transfert augmentera d autant les charges fixes de l activit de transformation de la BN 532 Annexe 12 Liste d indicateurs candidats exploitation de la Bn Ce document pr sente une liste d indicateurs potentiellement utilisables pour valuer les options d avenirs de l exploitation agricole de la Bergerie nationale Ils sont class s selon les sept enjeux de l exploitation Ils ne repr sentent qu une proposition qui a t enrichie sur la base des valuations men es par les acteurs Cette base d indicateurs a t cr e partir du travail de stage effectu par Sylvain Chevalier et Ga tan Lamorini re en 2007 Mise en oeuvre d une d marche d valuation multicrit res et multi acteurs de la durabilit de l exploitation agricole de la Bergerie Nationale de Rambouillet Les cat gories d enjeux d termin es lors de ce stage ne sont pas compl tement en ad quation avec celles d termin es pour cette valuation des avenirs de
229. tives susceptibles de les r tablir conduisent arr ter cette activit La Bn quitte le GIE des fermiers de la for t de Rambouillet mais continue de mettre a sa disposition s il le souhaite les outils existants dans des conditions quilibr es d finir La Bn d veloppe ses ventes de viandes en demi gros dans des circuits de proximit permettant une valorisation sup rieure celle qu offre la cheville via l utilisation de son image 284 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 3 Etape 3 Repr senter le syst me Dans les faits la r alisation des diagnostics n cessaires la repr sentation du syst me exploitation agricole de la Bn a accompagn la d termination des composantes structurantes du probl me voir section 6 2 Une repr sentation du syst me a t men e par les membres de la Bn r alisation annuelle d IDEA Indicateurs de durabilit des exploitations agricoles et l Institut de l levage expertise de la performance du syst me polyculture levage Parall lement nous avons d fini la base d indicateurs candidats pour mener l valuation en tape 4 6 3 1 R aliser les diagnostics n cessaires a la repr sentation du syst me Depuis 2003 un diagnostic IDEA est r alis chaque ann e sur l exploitation de la Bn ce qui lui per
230. toire l exemple de la Bergerie nationale Les r sultats obtenus sur l chelle socio territoriale peuvent appara tre comme satisfaisants 61 100 Toutefois les disparit s entre composantes sont fortes On remarque que des marges de progr s sont envisageables particuli rement dans la composante Ethique et d veloppement humain et Qualit des produits et du terroir qui enregistrent un r sultat faible En revanche l emploi important g n r par l activit de l exploitation ainsi que son ouverture sur l ext rieur et la valorisation des produits par fili res courtes constituent des points forts L chelle agro cologique constitue le point fort de la durabilit de l exploitation Ces bons r sultats sont notamment la cons quence d une diversit animale et v g tale abondante d une large valorisation des mati res organiques de parcelles de tailles relativement r duites et d importantes surfaces de zones de r gulations cologiques dont la mise en place et l entretien sont favoris s par une situation g ographique et administrative particuli re au sein du domaine des chasses pr sidentielles de Rambouillet impliquant la cogestion de mares et de lisi res avec l ONF Office national des For ts Cet tat des lieux en 2003 a permis de d gager des pistes d volution pour aller vers plus de durabilit Le diagnostic IDEA 2005 a d voil que les premiers changements engag s se traduisaient par une nette vol
231. tre environnement Zones naturelles d Int r t Ecologique Faunistique et Floristique Zones de Protection Sp ciale Zones Sp ciales de Conservation 391 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Classeur Enqu te scores resultats IDEA version 3 Valeur des indicateurs de durabilit de l exploitation M thode IDEA Version 3 Dent dos edhass Deus SE aa ooo m e 4 tribution aux environnementaux du temtoire En lobrenton de tomes ao 3 Gestion des surfaces fourrag res 0A __L S 7 TRUE NAN AT HS SN a gt Valorisation du patrimoine b ti et du paysage B22 Keston des dechets ron 0 gares BS ES Sensibiit auxades C4 _L 508 Annexe 8 IDEA 2008 exploitation de la Bn r alis par la Bn Fiche exploitation du diagnostic de durabilite IDEA Version 3 Exploitation agricole de CEZ Bergerie Nationale Campagne agricole 2007 2008 Ann e comptable 2008 Localisation r gion naturelle Au sein du massif forester de Rambouillet Unit s de travail 19 Unit s de travail non salari es 0 Usages du Sol R partition des cultures en SAU Rotations pas de rotations install es durablement Les successions de cukures sont raisonn es tous les ans en fonction des besoins des troupeaux et des possibilit s agronomiques et techniques dd mi 000 000 ufs 0 000 visiteurs an groupes et particuliers manitestations Services
232. tude gt Choix du syst me de production pour le projet d exploitation gt Soumission pour validation du projet d ex ploitation au Conseil d administration Planning du projet d exploitation Note de synth se sur l examen des attentes Documents de pr sentation de la d marche de concertation et des composantes d valuation Documents de pr sentation des r sultats de l valuation Rapport final sur l valuation Pr sentation de l expertise tech nico conomique des sc narios Redaction du projet d exploita tion Mise en place du projet de pla teforrne Figure 32 Planning de l application de la d marche INTEGRAAL pour le projet d exploitation 270 Quelle prise en compte de la biodiversit dans les enjeux de performances de l activit agricole en le de France Exp rimentation d une d marche d valuation participative multicrit re 6 2 Etape 2 Structurer le probl me Une premi re phase de consultation a permis d organiser le probl me construction con ue dans une d marche d valuation Nous pr sentons dans cette section le d roulement de cette premi re phase de consultation et les composantes de l valuation Pour commencer une enqu te sur les attentes des p les de la Bn et des acteurs ext rieurs par rapport l exploitation a t mise en place par un groupe de r flexion interne compos du charg de mission du suivi du projet d tablissement du directeur d
233. tut de l Elevage Paris 53 pp Invivo 2009 Rapport annuel 2007 08 Invivo Paris 112 pp Jawahar I et Claughlin G 2001 Toward a descriptive Stakeholder Theory An organizational life cycle approach Academy of management review 26 3 397 414 Jeunes Agriculteurs 2006 Rapport d Orientation Agriculteur demain bien plus qu un projet professionnel un projet de vie 40 me Congr s Les Sables d Olonne 6 7 8 juin Jeunes Agriculteurs 2007 Rapport d Orientation Pour un pacte alimentaire le d fi d une agriculture durable 41 me congr s Epinal 374 R f rences Jeunes Agriculteurs 2008 Rapport d activit 42 me Congr s Saint Quentin Jeunes Agriculteurs 2009 Discours du Pr sident Ouverture officielle Congr s de Jeunes Agriculteurs Saint Flour 9 juin Jeunes Agriculteurs Qui sommes nous Extrait de D cembre 2009 from http www cnja com jeunes quisommesnous Johnson J M F Franzluebbers A J Weyers S L et Reicosky D C 2007 Agricultural opportunities to mitigate greenhouse gas emissions Environmental Pollution 150 1 107 124 Joly P B et Marris C 2003 Les Am ricains ont ils accept les OGM Analyse compar e de la construction des OGM comme probl me public en France et aux Etats Unis Cahiers d conomie et sociologie rurales 68 69 36 Julien P et Pougnard J 2004 Les bassins de vie au coeur de la vie des bourgs et petites villes INS
234. uantit d herbe valoris e UGB tot 5 t MS MS apport e par ma s et achats fourrages Surface en herbe 522 Annexe 9 Diagnostic du syst me polyculture levage exploitation de la Bn r alis par l Institut de l levage Des techniques de production relativement co teuses en intrants m canisation et main d uvre pour le niveau de chargement moyen observ Si le niveau de chargement de l exploitation est parfaitement coh rent avec les objectifs de durabilit retenus en revanche les techniques mises en uvre pour l atteindre m ritent d tre regard es de plus pr s En effet le recours des prairies temporaires de courte dur e l importance des fourrages conserv s par rapport au p turage la forte proportion d animaux maintenus dans les b timents sont des pratiques qui conduisent tr s g n ralement une augmentation des co ts de production et des temps de travaux Evalu es par le r sultat conomique ces techniques ne sont envisageables que dans le cadre d un syst me nettement plus intensif que celui actuellement en place la Bergerie nationale et se traduisant par un cheptel et des volumes de production plus importants qui risquent cependant d entra ner une d t rioration des autres indicateurs de durabilit De plus les temps de travaux sont encore alourdis par la multiplicit des ateliers la conduite des animaux en lots de petite dimension dans des b timents clat s pas toujours tr s
235. uits en production biologique l un de 6 000 poules pondeuses et l autre produisant 4 500 poulets de chair par an L alimentation des ateliers volailles est en tr s grande partie assur e par un approvisionnement ext rieur Un atelier de conditionnement des ufs remis aux normes en 2008 permet la vente en bo te d environ 50 de la production Une grande partie de la production avicole est commercialis e en circuits courts via la boutique gourmande ou les grandes et moyennes surfaces de la r gion y un atelier d abattage de volailles et de transformation de viandes g r en partenariat avec des agriculteurs locaux inclus dans le GIE des fermiers de la for t de Rambouillet assure la transformation d une partie de la production de viande de l exploitation Une boutique rig e en GIE GIE des tablissements d enseignement agricole ind pendante de l tablissement commercialise des produits des autres tablissements d enseignement agricole et une partie des produits frais de l exploitation poulets et ufs biologiques caissettes de viande Enfin la ferme p dagogique a accueilli environ 90 000 visiteurs en 2009 pour partie en visiteurs libres pour partie en groupes accompagn s scolaires notamment Cette activit fait partie int grante de l activit et de la comptabilit de l exploitation La ferme p dagogique est en partie concern e par le projet de gestion partag e de la Cour imp riale avec la Mairie de Ra
236. ution de la durabilit telle qu elle est mesur e par la m thode IDEA Figure 34 Les r sultats de l ann e 2006 confirment cette am lioration puis les ann es 2007 et 2008 montrent une diminution de la durabilit du fait de l chelle conomique Figure 35 Les volutions envisager doivent se focaliser sur la situation conomique mais des am liorations dans ce secteur impliquent une remise en cause souvent globale du syst me qui influence les autres composantes de la durabilit Les options propos es pour la d marche d valuation participative multicrit re vont dans ce sens tant le fruit d une r flexion issue de ces diagnostics IDEA Evolution de la durabilit de l exploitation 100 80 60 40 Score 20 Agro cologique Socioterritoriale Economique Echelles m 2002 2003 O 2003 2004 m 2004 2005 Figure 34 Evolution de la durabilit de l exploitation entre 2002 et 2005 1 2003 est l ann e comptable et correspond la campagne 2002 2003 286 Section 3 Etape 3 Repr senter le syst me 2005 2006 2006 2007 2007 2008 8 6 8 8 Agro cotogique Socioterrioriale Economique Agro cologique Socioterritoriale Economique Agro cologique Socioterritoriale Economique Figure 35 Evolution de la durabilit de l exploitation entre 2005 et 2008 L institut de l levage a men une tude plus pouss e sur le sy
237. y Energy 31 1 59 86 371 R f rences Girardin P et Bockstaller C 2002 INDIGO M thode d valuation des syst mes de production la parcelle Quels diagnostics pour quelles actions environnementales SOLAGRO Toulouse 260 pp Girardin P Bockstaller C et van der Werf H 1999 Indicators tools to evaluate the environmental impacts of farming systems Journal of Sustainable Agriculture 13 4 5 21 GNIS 2008 Regards crois s pour une agriculture durable Semences et soci t pour une agriculture durable Actes du colloque du Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants Paris 24 avril Godard O 1997 Le principe de pr caution dans la conduite des affaires humaines Inra et MSH Paris 352 pp Godard O 2004 G rer la biodiversit Un parall le avec le changement climatique Deuxi mes journ es de l Institut fran ais de la biodiversit Biodiversit et changement global dynamique des interactions Marseille 25 28 mai Gond J P 2003 Performance soci tale de l entreprise amp apprentissage organisationnel vers un mod le d apprentissage soci tal de l entreprise XII me Conf rence de l Association Internationale de Management Strat gique Tunis 3 4 5 et 6 juin Gond J P 2006 Construire la relation positive entre performance soci tale et financi re sur le march de l ISR de la performance l autor alisation Revue d Economie Fin

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