Rapport spécial sur les établissements publics
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1. 2 11 2 Les observations de l Universit du Luxembourg Luxembourg le 20 mars 2007 Faisant suite votre courrier du 31 janvier 2007 adress Monsieur Raymond Kirsch Pr sident du Conseil de Gouvernance de l Universit du Luxembourg UL nous souhaitons vous informer que de mani re g n rale les constats de la Cour des Comptes n appellent pas des remarques particuli res de PUL En revanche il y a lieu de relater dans ce contexte la mise en place d un certain nombre de mesures et d actions e Un manuel des proc dures comptables existe sous forme lectronique sur le site intranet de PUL Il s agit d une collection de notes de service d informations et de formulaires e La cr ation d une unit de contr le interne au sein du service Finances et Comptabilit n cessite un renforcement cons quent des ressources humaines du service Le service assure aujourd hui du mieux possible avec les ressources qu il peut lib rer le contr le interne portant sur le respect des lois r glements et proc dures e La demande de l approbation des indemnit s et jetons de pr sence du Conseil de Gouvernance par le Conseil de Gouvernement fera l objet d une lettre du pr sident du Conseil de Gouvernance qui sera exp di e le 21 mars 2007 d cision dans la s ance du Conseil de Gouvernance du 10 mars 2007 e Pendant l exercice 2005 PUL n a pas eu recours la proc dure des march s publics toutef2. En me r f rant la lettre de la Cour des Comptes adress e Madame la Secr taire d Etat Octavie Modert en date du 6 avril 2007 nous nous permettons de vous faire part des observations suivantes Ad 1 2 Approbations minist rielles et gouvernementales La Cour des Comptes constate que les approbations minist rielles pr vues aux alin as 3 et 6 de l article 13 de la loi de 1989 concernant les comptes comptables et l affectation des b n fices du Centre font toujours d faut pour les exercices 2003 et 2004 ainsi que pour l exercice 2005 Nous soumettons nos comptes tous les ans au Gouvernement en conseil pour d charge Par ailleurs dans son rapport de gestion le Conseil d Administration propose au Gouvernement en conseil de d cider sur l affectation du r sultat L article 13 de la loi organique du CEPS INSTEAD pr voit que si le Gouvernement n a pas pris de d cision dans un d lai de deux mois la d charge est acquise de plein droit Nous estimons qu en absence de d cision concernant l affectation des exc dents l accord pour laffectation du r sultat propos est acquis de plein droit galement Quant l approbation pr alable du ministre de tutelle an sujet des contrats d engagement du personnel pr vue l article 18 de la loi pr cit e la Cour constate que la conclusion de contrats d engagement n est pas syst matiquement soumise cette approbation Rapport sp cial sur les tablissements publ
3. La Cour recommande d s lors de faire inscrire dans la loi organique du Centre la possibilit de recourir des emprunts ou lignes de cr dit par approbation soit du ministre de tutelle l instar d autres tablissements publics soit du Gouvernement en conseil en r f rence Particle 7 de l instruction du Gouvernement en conseil du 11 juin 2004 ayant pour objet de fixer une ligne de conduite et des r gles g n rales en mati re de cr ation d tablissements publics 4 Le principe comptable de la s paration des exercices D apr s l article 51 1 d de la loi modifi e du 19 d cembre 2002 concernant la comptabilit et les comptes annuels des entreprises il doit tre tenu compte des charges et produits aff rents l exercice auquel les comptes se rapportent sans consid ration de la date de paiement ou d encaissement de ces charges ou produits La Cour a d cel que certaines d penses relatives l exercice 2005 notamment des indemnit s et jetons de pr sence de r unions du conseil d administration de 2005 5 940 EUR n ont t ni pay es ni comptabilis es au niveau des comptes annuels de cet exercice La Cour recommande de respecter le principe comptable de la s paration des exercices c est dire de provisionner les d penses pr cit es tel que pr vu par la loi modifi e du 19 d cembre 2002 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet
4. e du 27 juillet 1991 sur les m dias lectroniques la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion financi re de l Etablissement de radiodiffusion socioculturelle et l examen des comptes de l ann e 2005 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Etablissement sut base d interviews une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives Toutefois la Cour des comptes a constat que la convention pluriannuelle pr vue par l article 14 3bis de la loi susvis e d finissant les missions de service public et la contrepartie financi re charge de l Etat n est pas encore conclue Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 15 janvier 20
5. 2002 portant cr ation d un tablissement public nomm Salle de concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l tablissement public sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives La Cour tient cependant r it rer sa constatation faite lors du contr le de l exercice 2004 En effet Particle 4 point c de la loi du 21 novembre 2002 pr cit e attribue au conseil d administration l obligation d tablir sous r serve de l approbation du ministre de tutelle Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 une grille des emplois et leur classification ainsi que le niveau de r mun ration du personnel Une telle grille fait toujours d faut La constatation de la Cour faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format WORD vos ob
6. conseiller de Gouvernement 1 classe reste charge de l Etat Lors de sa r union du 20 novembre 2002 le conseil d administration a d cid de proposer au ministre de tutelle d accorder la directrice en d tachement une r mun ration qui correspond la fois ses m rites et au niveau de ses responsabilit s par r f rence des situations comparables dans d autres institutions Par ses lettres du 15 juillet 2003 et 9 septembre 2005 le conseil d administration a propos au ministre de tutelle le paiement d une indemnit de 25 points indiciaires par analogie Particle 22 VII de la loi fixant le r gime des traitements des fonctionnaires de PEtat vu l engagement le professionnalisme et la responsabilit de la directrice Dans son courrier du mois de septembre il pr cise par ailleurs que sauf avis contraire de la part du minist re le CVCE va mettre en uvre la recommandation du conseil d administration partir du 1 octobre 2005 Faute de prise de position de la part du minist re de tutelle le CVCE a proc d au paiement r troactif de l indemnit ainsi propos e Or le r glement grand ducal du 26 avril 1987 fixant les conditions et modalit s suivant lesquelles le fonctionnaire peut acc der aux grades de substitution pr vus Particle 22 section VII de la loi modifi e du 22 juin 1963 fixant le r gime des traitements des fonctionnaires de l Etat pr voit son article 2 que les grades
7. d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 31 mai 2007 au plus tard Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 25 avril 2007 2 4 2 Les observations du Centre de Musiques Amplifi es Rockhal Luxembourg le 30 mai 2007 Nous nous permettons de revenir votre courrier du 26 avril 2007 relatif au contr le du Centre de Musiques Amplifi es pour l exercice 2005 pour vous transmettre par les pr sentes nos observations Quant l ligibilit des d penses Dans notre conception de la gestion de l tablissement public Centre de Musiques Amplifi es et de son personnel offrir un d ner en fin d ann e est un moyen peu on reux qui contribue la motivation du personnel et partant au bon fonctionnement des services de l tablissement Y joindre les membres du conseil d administration nous a sembl un bon moyen pour faire connaissance les uns avec les autres et renforcer les liens d une grande quipe qu on veut voir soud e et solidaire A cet gard il convient de souligner que l organisation de concerts un rythme soutenu tout au long de l ann e exige des efforts consid rables et un engagement sans faille de la part de tout le personnel du Centre de musiques amplifices Dans cette l
8. n a pas t atteint Des jetons de pr sence ont t pay s raison de 450 EUR pour un quivalant de trois heures sur base d une liste de pr sence sign e A noter qu il n en a pas t dress de proc s verbal Par ailleurs lors de la r union du 25 mars 2004 le conseil d administration a d cid d admettre dans certains cas pr cis la pr sence t l phonique des membres dont trois au moins doivent tre physiquement pr sents en vue d atteindre le quorum de pr sence Ainsi une indemnit revient galement aux membres du conseil d administration assistant aux Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 r unions par t l phone Il chet de faire remarquer que pendant les exercices 2004 et 2005 le conseil d administration ne s est r uni que trois fois par an noter que l approbation du 24 juillet 2003 du Conseil de Gouvernement concernant le taux des indemnit s allouer aux membres du conseil d administration ne pr voit ni le paiement d indemnit s en cas de pr sence par t l phone ni en cas de non atteinte du quorum de pr sence La Cour recommande d s lors de limiter le paiement des indemnit s accord es aux membres du conseil d administration aux seuls cas pr vus par la loi Par ailleurs la Cour est d avis qu une simple pr sence t l phonique aux r unions du conseil d administration ne saurait satisfaire aux exigences de Particle 5 d
9. notre tablissement Point A Contr les ant rieurs de la Cour Nous constatons avec grande satisfaction que la Cour des comptes a pris bonne note des efforts r alis s par le CVCE au niveau de l valuation de ses r sultats En effet les outils mis en place permettent de constater une volution tr s favorable du CVCE durant les ann es 2004 2005 Point B Contr le concernant les exercices 2004 et 2005 Adi Il convient de constater que l installation des kits mains libres pour des GSM mis disposition dans un contexte professionnel a t prise en charge par le CVCE pour tre conforme aux r glementations en vigueur lors de d placements en voiture pour des besoins du service Les autres d penses mentionn es font partie int grante de la politique du personnel retenue par le CVCE concernant la motivation et la reconnaissance du travail r alis par les collaborateurs de l tablissement Ad2 En date du 10 f vrier 2006 le Minist re de tutelle a transmis au CVCE une copie de la Convention type avec les tablissements publics visant r gler les modalit s d occupation d immeubles Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 domaniaux adopt e lors de la r union du Conseil de Gouvernement en date du 3 f vrier 2006 Le CVCE a soumis ses observations y relatives au Minist re de tutelle et se trouve dans l attente d une initiative de la part des services de PEtat concern s A
10. que la fondation a pour objet la mise disposition de lPacc s aux r seaux internet pour Pensemble des tablissements et organismes publics qui interviennent entre autres dans le domaine de l ducation et de la recherche Ainsi la participation la fondation RESTENA permet au Centre de b n ficier d un acc s un r seau t l informatique national connect aux r seaux de recherche paneurop ens et de r aliser des conomies importantes par rapport aux d penses occasionn es par un acc s r alis par l interm diaire d un autre fournisseur Ad 2 1 Calcul des indemnit s La Cour constate que certains membres du conseil d administration et du conseil scientifique b n ficient d un montant forfaitaire pour frais de route non couvert par la d cision du Conseil de Gouvernement du 24 juillet 2003 refixant les indemnit s sur base de vacations horaires plafonn es Le remboursement des frais de route se fait selon les modalit s appliqu es normalement aux d placements des agents du Centre et qui r pondent aux crit res appliqu s aupr s de PEtat Ainsi les personnes sur place n ont bien s r pas re u de remboursement pour frais de d placement aux r unions se tenant Differdange Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 4 Centre de Musiques Amplifi es Rockhal 2 4 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de vot
11. 05 N anmoins la Cour entend faire les constatations et recommandations suivantes notamment en relation avec ses contr les ant rieurs 1 R glement interne du Conseil d administration Lors des contr les pr c dents la Cour a constat que le r glement interne pr vu Particle 3 de la loi organique faisait d faut Ce r glement a finalement t labor et approuv par r glement minist riel du 10 novembre 2006 Dans ce r glement Particle 16 pr voit que toute modification ou abrogation du pr sent r glement interne est de la comp tence du CA Comme Particle 3 de la loi organique pr voit Papprobation minist rielle du r glement interne toute modification dudit r glement requiert galement approbation du ministre comp tent 2 Provisions pour risques et charges Ces provisions se composent d un c t de 53 301 76 euros et constituent une provision pour risque de remboursement pour des projets ant rieurs 2001 De l autre c t il s agit de provisions pour risques et charges hauteur de 641 972 30 euros qui couvrent le risque de remboursement de d penses non ligibles sur des projets europ ens Elles ont t introduites la suite de plusieurs audits financiers r alis s pour valuer ledit risque Il est noter que ces provisions n ont pas encore t r gularis es en 2005 alors qu elles repr sentent 87 de la somme de bilan de l Institut Au courant de l exercice 20
12. 06 les projets pour la p riode ant rieure 2001 ont t cl tur s par la Commission europ enne D s lors la Cour analysera ce point lors de son audit de Pexercice 2006 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant lobjet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter la Cour vos observations y relatives par voie crite et lectronique pour le 20 avril 2007 au plus tard Ainsi arr t et d lib r par la Cour des comptes en sa s ance du 21 mars 2007 2 8 2 Les observations de l Institut National de la Formation professionnelle continue INFPC Luxembourg le 24 avril 2007 En r ponse votre courrier du 23 mars 2007 concernant le contr le de l exercice 2005 de PINFPC effectu par la Cour des Comptes je souhaite porter votre connaissance un certain nombre de pr cisions quant aux constatations et aux recommandations tablies par la Cour Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 1 R glement d ordre interne concernant le fonctionnement du Conseil d administration de PINFPC Selon la d cision du conseil d administration de PINFPC r uni en date du 18 avril 2007 l article 16 sera corrig en conformit avec la loi organique qui impose que toute modification dudit r glement requiert l approbation du ministre comp tent 2 Provisions pour risques et charges Il convient de clarifier la phrase Au courant de l exercice 2006 les
13. 06 ayant notamment comme objet de d finir le montant et les modalit s d attribution et de versement des contributions financi res de l Etat article 1 La convention cesse ses effets de plein droit le 31 d cembre 2006 et peut tre renouvel e d un commun accord entre les deux parties article 2 Dans le cadre de cette convention le CVCE s est engag remettre PEtat un rapport final reprenant entre autres une valuation des r sultats par rapport aux objectifs un rapport financier ainsi qu un rapport concernant les donn es relatives aux crit res d valuation des Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 travaux article 6 Parall lement des crit res d valuation ont t labor s par le CVCE en collaboration avec le minist re de tutelle B Contr le concernant les exercices 2004 et 2005 1 La Cour a d cel certaines d penses qu elle consid re comme inappropri es telles que Pacquisition d un quipement de tennis de table l installation d un kit mains libres dans une voiture priv e ainsi que les frais pour deux diners de fin d ann e organis s par le CVCE La Cour entend souligner que la contribution financi re de PEtat est r serv e exclusivement au paiement de d penses concernant directement les missions num r es Particle 2 de la loi du 7 ao t 2002 portant cr ation du CVCE 2 La Cour constate qu il n existe pas de convention de mis
14. 07 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 d cembre 2006 2 6 2 Les observations de l Etablissement de radiodiffusion socioculturelle Luxembourg le 1 f vrier 2007 Faisant suite votre lettre du 8 d cembre 2006 nous communiquant vos observations sur les comptes 2005 de PERSL et signalant la non conclusion d une convention pluriannuelle avec PEtat telle que pr vue par l article 14 bis de la loi sur les m dias lectroniques de 1991 le Conseil d Administration apr s d lib ration au cours de sa s ance du 30 janvier courant se permet de souligner que les missions de service public de PERSIL tablissement public sont r gl es par un cahier des charges de 1993 alors que ses modalit s de structure et de fonctionnement sont organis es par le r glement grand ducal du 19 juin 1992 Comme ces textes font foi et que surtout le cahier des charges couvre d ventuelles dispositions faire int grer dans le texte d une convention PERSL apr s avis du commissaire de gouvernement aupr s de l tablissement estime que l tablissement a un statut se distinguant d autres tablissements publics et qu il n y a donc pas n cessairement lieu de conclure un nouveau texte reprenant les obligations d j fix es par l Etat Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 7 Fonds Belval 2 7 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes
15. 3 et 2004 Il en est de m me pour lexercice 2005 Quant l approbation pr alable du ministre de tutelle au sujet des contrats d engagement du personnel pr vue Particle 18 de la loi pr cit e la Cour se r f re au point 1 2 de ses constatations relatives aux exercices 2003 et 2004 ainsi qu la lettre de r ponse du 10 mai 2004 du minist re d Etat qui souligne que la conclusion des contrats d engagement sera d sormais subordonn e approbation du Ministre d Etat Or force est de constater que la conclusion de contrats d engagement n est pas syst matiquement soumise l approbation pr alable du ministre de tutelle partir de cette date Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 1 3 Participation financi re la fondation Restena La Cour se r f re aux points 2 5 et 1 3 de ses constatations relatives l exercice 2002 et aux exercices 2003 et 2004 tout en maintenant sa position initiale sur la participation financi re la fondation RESTENA savoir qu en l absence d une base l gale expresse l apport en capital la fondation par le Centre est critiquable 1 4 Administration du Centre nominations des membres du conseil d administration la gestion financi re Lors du contr le des exercices 2003 et 2004 la Cour a constat que le Centre tait d pourvu d un organe de d cision l galement mandat entre le 31 d cembre 2004 et le 15 avril 2005 Ce n es
16. 6 97 millions d euros au 31 d cembre 2005 La constatation de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format WORD pour le 2 juillet 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour en sa s ance du 7 juin 2007 2 9 2 Les observations de l Office National du Remembrement Luxembourg le 18 juin 2007 Jai l honneur de prendre position votre missive du 8 courant entr e le 14 06 07 en vous faisant parvenir les observations de PONR tel que sugg r de votre part La Cour des Comptes a mis la constatation plus amplement d crite in fine de la page 1 en occurrence que les d passements du sous article de la dotation globale du budget Indemnit s de Services de Tiers ont t resp de 36 et 14 alors que les d penses pour Travaux connexes ont t de plus de 37 en dessous des budgets pr vus Lors du contr le de vos agents pour les exercices 2004 et 2005 la m me constatation a d j t soulev e L ONR tient vous r p ter que les carts constat s entre les pr visions budg taires et les d penses r ellement effectu es ont la m me origine Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 En effet pendant les exercices budg taires des ann es 2004 et 2005 PONR s est vu confront des difficult s majeure
17. La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour l exercice 2005 tel que pr vu a l article 10 5 de la loi modifi e du 25 juillet 2002 portant cr ation d un tablissement public pour la r alisation des quipements de l Etat sur le site de Belval Ouest Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Fonds sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas d cel d erreurs significatives Cependant la Cour des comptes tient relever les points suivants 1 Suivi du contr le des exercices ant rieurs 1 1 Double signature L article 15 du r glement d ordre int rieur pr voit le principe de la double signature applicable aux actes d engagements et de paiements de d penses sans pr cision suppl mentaire gag Si les actes d engagement de d penses doivent porter la signature conjointe du sous directeur et d un responsable de projet tel mest pas le cas pour les comptes bancaires En effet ils peuvent tre m
18. Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Cour des comptes Grand Duch de Luxembourg Table des mati res 1 INTRODUCTION eos e errara eanan raa aa a AA aa aE Aan fase cbr cdiselegetd osnoc 5 2 RESULTATS DES CONTROLES RECURRENTS ccscessscssseseseesseeeeessseeneeseeennees 7 2 1 CAISSE DE CONSIGNATION 2 ccccsseecccaseeccesseeccasseeccuseesecesseeeceseeseeaseeseaas 2 1 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 2 1 2 Les observations du Directeur du Tr sor 2 2 CENTRE CULTUREL DE RENCONTRE ABBAYE DE NEUM NSTER 0 2 2 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes we 2 2 2 Les observations du Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neumtnster 9 2 3 CENTRE D ETUDES DE POPULATIONS DE PAUVRETE ET DE POLITIQUES SOCIO ECONOMIQUES GERS ess E A ins se ent E E seems tenta tentait een 2 3 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 2 3 2 Les observations du minist re de la Culture de l Enseignement sup rieur et d la RECREFCNE 5H nr nanas eme ra ere term tennis ERPE EREE SE LEERE SEEE RERE 12 2 3 3 Les observations du Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio Economiques CEPS c cccececeseceseeeeeeeeeeeeeeeeaeeeeeeeeaeeeeeeeeaeeeeeeeee 12 2 4 CENTRE DE MUSIQUES AMPLIFIEES ROCKHAL sssseeeceeeeeesseeeeeeeeeeeeeess
19. ations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format WORD pour le 11 mai 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 avril 2007 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 3 2 Les observations du minist re de la Culture de l Enseignement sup rieur et de la Recherche Luxembourg le 11 mai 2007 En r ponse votre courrier du 6 avril 2007 portant sur le sujet vis sous rubrique jai honneur de vous saisir en annexe de la prise de position y relative de la part du Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio Economiques CEPS prise de position que je souhaiterais compl ter par observation qui suit Sans pr judice de la validit du principe inscrit la loi suivant lequel la d charge du Conseil de Gouvernement est acquise de plein droit en absence de r ponse formelle dans un d lai de deux mois le Minist re de la Culture de l Enseignement sup rieur et de la Recherche s emploiera d obtenir les approbations minist rielles et gouvernementales pr vues par la loi et de les documenter d sormais en bonne et due forme 2 3 3 Les observations du Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio Economiques CEPS Luxembourg le 30 avril 2007
20. base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Veuillez trouver ci apr s les constatations et les recommandations de la Cour A Contr les ant rieurs de la Cour Lors du contr le portant sur l exercice 2003 la Cour a formul les constatations et recommandations suivantes Comme d j soulign par la Cour lors de son contr le de l exercice 2002 l article 2 de la loi du 7 ao t 2002 portant cr ation du CVCE dispose notamment que Le Centre a pour mission de rechercher de cr er et de s lectionner une documentation multi m dia pertinente en vue de la mettre la disposition d un large public Lors du contr le la Cour a constat que les responsables du CVCE ne disposaient toujours pas de crit res permettant d appr cier si cette obligation de r sultat tait atteinte bien que les responsables aient indiqu qu au cours de l ann e 2004 des crit res de suivi qualitatifs et quantitatifs vont tre labor s afin de faciliter l appr ciation des travaux du CVCE par toutes les instances concern es Ceci se fera en troite collaboration avec le minist re de tutelle et le conseil d administration du CVCE et n cessitera une r flexion approfondie afin de rendre compte du caract re sp cifique du CVCE ainsi que de toutes les facettes de son travail Dans ce contexte la Cour des comptes estime qu il importe qu
21. d3 Le CVCE va prendre en consid ration les recommandations de la Cour pour les r unions futures du conseil d administration Ad4 Il convient de souligner que l adaptation du r glement d ordre int rieur concernant la partie relative au comit d experts est en cours de pr paration Il sera soumis l approbation des membres du conseil d administration lors d une de ses prochaines r unions Ad5 Le CVCE va suivre les recommandations de la Cour en mettant en place les proc dures crites n cessaires Ad6 Le conseil d administration lors de sa r union du 20 novembre 2002 s est exprim l unanimit en faveur de l octroi d une indemnit la directrice du CVCE qui correspond la fois ses m rites et au niveau de ses responsabilit s par r f rence des situations comparables dans d autres institutions Le pr sident du conseil d administration dans sa lettre du 9 septembre 2005 propose de fixer l indemnit 25 points indiciaires en prenant comme r f rence et titre d exemple Particle 22 VII de la loi fixant le r gime des traitements des fonctionnaires de l Etat 2 6 Etablissement de radiodiffusion socioculturelle 2 6 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment l article 8 du r glement grand ducal du 19 juin 1992 fixant les modalit s de structure et de fonctionnement de l tablissement public cr par l article 14 de la loi modifi
22. dation relative l exercice pr c dent encourageant le d veloppement d un manuel d utilisateur regroupant les proc dures comptables en place ou mettre en place et accompagnant la r alisation d un contr le interne efficace De plus la Cour continue encourager les responsables de l Universit dans leur effort visant la mise en uvre d un inventaire permanent La Cour constate galement qu une approbation du Gouvernement en Conseil concernant les indemnit s et jetons de pr sence du Conseil de gouvernance de l Universit fait toujours d faut D autre part en ce qui concerne les march s attribu s en 2005 la Cour n a pas re u communication de pi ces documentant le recours une soumission publique ou un march n goci d ment motiv par une des hypoth ses d exception num r es par les dispositions l gales en vigueur La Cour des comptes exige d s lors l application stricte de la l gislation sur les march s publics telle que pr vue par la loi modifi e du 30 juin 2003 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 9 mars 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 31 janvier 2007 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005
23. de substitution ne sont accessibles qu aux fonctionnaires occupant un emploi responsabilit particuli re c est dire tout emploi retenu comme tel par le ministre de tutelle sur proposition du chef d administration L article 6 dudit r glement pr cise que le ministre de tutelle d signe par arr t les fonctionnaires pouvant acc der aux grades de substitution Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 La Cour constate que la d cision formelle du ministre fait d faut En outre le poste de directeur du CVCE n est pas pr vu par le r glement minist riel modifi du 20 f vrier 1997 d terminant des emplois responsabilit particuli re de la carri re du conseiller de Gouvernement Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 11 mai 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 avril 2007 2 5 2 Les observations du Centre Virtuel de la Connaissance sur l Europe Luxembourg le 9 mai 2007 Par la pr sente jaccuse bonne r ception de votre courrier du 5 avril 2007 faisant suite votre contr le des comptes annuels de notre tablissement pour les exercices 2004 et 2005 Veuillez trouver ci dessous les observations y relatives de la part de
24. e disposition du Chateau de Sanem au CVCE Selon les dires du CVCE un tel contrat serait en voie d laboration La Cour recommande de conclure la convention avec l Etat dans les meilleurs d lais 3 Selon l article 5 de la loi du 7 ao t 2002 portant cr ation du CVCE le conseil d administration ne peut valablement d lib rer que si la majorit de ses membres est pr sente et il d cide la majorit simple des voix des membres pr sents Le r glement d ordre int rieur pr cise en son article 2 1 que si le quorum n est pas atteint une nouvelle r union portant sur le m me ordre du jour est convoqu e de fa on qu elle soit tenue dans un d lai d un mois A Particle 4 de la loi du 7 ao t 2002 il est pr vu que les indemnit s et jetons de pr sence des membres et participants aux r unions du conseil d administration sont fix s par le Gouvernement en conseil Dans ce contexte la Cour constate qu plusieurs reprises le conseil d administration n a pas pu d lib rer valablement vu que le quorum de pr sence n a pas t atteint Dans sa r union du 25 mars 2004 le conseil a d cid d attribuer forfaitairement des jetons de pr sence ses membres afin de d dommager ceux qui avaient pris leurs dispositions pour tre pr sents 620 EUR La r union du conseil d administration du 25 janvier 2005 a t transform e en r union de travail tant donn que le quorum de pr sence
25. e de mettre en place des proc dures crites d taill es de contr le interne Les constatations et recommandations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 15 janvier 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 d cembre 2006 2 1 2 Les observations du Directeur du Tr sor Luxembourg le 19 janvier 2007 Comme suite 4 votre estim e du 8 d cembre 2006 concernant le contrdle des exercices 2003 a 2005 de la Tr sorerie de l Etat Caisse de Consignation jai honneur de vous transmettre en annexe le manuel des proc dures de contr le interne de la Caisse de Consignation Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 2 Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster 2 2 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour l exercice 2005 tel que pr vu Particle 8 5 de la loi modifi e du 24 juillet 2001 portant cr ation d un tablissement public nomm Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la
26. e la loi organique L article 7 de la loi du 7 ao t 2002 portant cr ation du CVCE d finit la composition les nominations et les missions du comit d experts et renvoie au r glement d ordre int rieur du CVCE pour d finir son fonctionnement Ni la loi organique ni le r glement d ordre int rieur ne pr voient l indemnisation des membres du comit d experts En 2004 le comit d experts tait compos de trois membres charg s de la r daction d un rapport d valuation de la banque de connaissance ENA Ce groupe a t indemnis pour un montant total de 9 000 EUR En 2006 le comit d experts est compos de sept membres et le conseil d administration a fix dans sa r union du 20 novembre 2006 les indemnit s des membres du comit 250 EUR par membre et par jour Conform ment l article 7 de la loi organique du CVCE la Cour recommande d une part de proc der la nomination des membres du comit d experts pour une dur e de cinq ans et d autre part de r gler le fonctionnement voire l indemnisation du comit dans le r glement d ordre int rieur du Centre Partant il y a lieu de soumettre le r glement d ordre int rieur d ment modifi approbation du minist re de tutelle en vertu de Particle 5 de la m me loi Le CVCE fait usage de cartes bancaires pour le paiement de certaines d penses L analyse des relev s mensuels de la carte de cr dit r v le que cette carte es
27. e le CVCE se dote enfin de donn es pr cises et concluantes n cessaires l appr ciation de l obligation de r sultat En f vrier 2004 le CVCE a mis en ligne une nouvelle version de la banque de connaissance European NAvigator ENA enti rement accessible sur Internet Au cours de la m me ann e le Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 CVCE a proc d son valuation sous forme de rapport par un groupe d experts ind pendant L analyse du contenu de la banque de donn es et des choix technologiques lappr ciation de l utilisation actuelle du produit et des services que le produit peut rendre ainsi que la comparaison avec d autres institutions offrant le m me produit ont permis au groupe d valuation d mettre un avis favorable en novembre 2004 Les deux graphiques suivants montrent le nombre de visiteurs et de documents consult s pour la p riode de f vrier 2004 octobre 2006 A noter qu une tude de satisfaction et une newsletter mensuelle ont t lanc es afin d am liorer le contact avec les utilisateurs Nombre de visiteurs 120000 100000 80000 60000 40000 20000 EL MM PTT CPP TR TR RET TR Nombre de documents ouverts 700000 600000 500000 400000 300000 200000 100000 OR ie Source CVCE En date du 1 janvier 2006 le minist re de la Culture de l Enseignement sup rieur et de la Recherche a sign avec le CVCE une convention pour l ann e 20
28. eeeeeeeeneesseneeeeees 14 2 4 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 14 2 4 2 Les observations du Centre de Musiques Amplifi es Rockhal ceeeeee 16 2 5 CENTRE VIRTUEL DE LA CONNAISSANCE SUR L EUROPE 18 2 5 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 18 2 5 2 Les observations du Centre Virtuel de la Connaissance sur l Europe 23 2 6 ETABLISSEMENT DE RADIODIFFUSION SOCIOCULTURELLE sssssssmnmeneeenenennnnnnes 24 2 6 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 24 2 6 2 Les observations de l Etablissement de radiodiffusion socioculturelle 0 25 2 7 FONDS BELVAL vce stenveesecugccsdues nine dances anea E cosssecesuveecetvdacenetasauovidcaache cvsnnhddeesdecesdveen 2 7 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes wi 2 7 2 Les observations du Fonds Belval aiaia ai 2 8 INSTITUT NATIONAL DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE INFPC sscceseeeeees 2 8 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 2 8 2 Les observations de l Institut National de la Formation professionnelle COMPINUSCINERG i ssescsceccaxadavecdexescxevagadeaaasndansanmelvss ctetivasdeadsasazdvescivesstsvagaieanseecdvsasesaeneds 28 2 9 OFFICE NATIONAL DU REMEMBREMENT seeeeeeeeeeeeeesseeeeeeeeeeesesseeeneeeeeennens 29 2 9 1 Les cons
29. es comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour les exercices 2004 et 2005 tel que pr vu Particle 42 de la loi modifi e du 25 mai 1964 concernant le remembrement des biens ruraux Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Office sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives La Cour tient cependant mettre la constatation suivante les d passements en 2004 et en 2005 des budgets pour Indemnit s de services de tiers ont t respectivement de 36 et 14 alors que les d penses pour Travaux connexes ont t de plus de 37 en dessous des budgets En effet sur 4 610 000 euros pr vus au budget de Office seulement 2 877 966 euros ont t utilis s pour des op rations de remembrement Il en r sulte que les r serves de l Office se situent constamment un niveau lev se chiffrant
30. ics ann e 2005 En effet le CEPS INSTEAD a engag 3 personnes sur nouveaux postes en 2005 Au vu du constat de la Cour des Comptes elle m me que le CEPS INSTEAD tait d pourvu d un organe de d cision l galement mandat depuis le 31 d cembre 2004 et que ce n est qu partir du 31 mars 2006 que le Centre dispose d un Conseil d Administration tel que pr vu par les dispositions de l article 3 de la loi du 10 novembre 1989 la direction du Centre estimait que m me en absence d organe de d cision l gal situation ind pendante de notre influence ou volont elle avait bien lobligation de continuer faire fonctionner le Centre afin de pouvoir remplir ses missions Depuis que le Conseil d Administration est de nouveau fonctionnel et que le Centre a adopt un R glement d Ordre Int rieur r glant toutes les proc dures et modalit s la demande d approbation pr alable est devenue syst matique Ad 1 3 Participation financi re la fondation RESTENA La Cour maintient sa position sur la participation financi re la fondation RESTENA savoir qu en l absence d une base l gale expresse l apport en capital la fondation par le Centre est critiquable Nous nous permettons de rappeler dans ce contexte que ce fut la demande du Gouvernement que le CEPS INSTEAD a particip la fondation dont les statuts ont t approuv s par le Gouvernement en la personne du Ministre de la Justice Il ressort de ces statuts
31. ignature conjointe de notre responsable financier et de moi m me et les d penses en dessous de 20 000 la signature conjointe de notre responsable financier et du directeur respectivement du directeur adjoint S agissant des erreurs de calculs des indemnit s des membres du Conseil d administration il va sans dire que celles ci ont t rectifi es 2 8 Institut National de la Formation professionnelle continue INFPC 2 8 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement pour l exercice 2005 tel que pr vu Particle 10 de la loi du 1 d cembre 1992 portant cr ation d un tablissement public pour le d veloppement de la formation professionnelle continue Les objectifs de contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Institut sur base d entretiens une analyse des tats financiers ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 20
32. ion de la l gislation sur les march s publics La Cour recommande d une part l laboration d un manuel de proc dures formalisant et regroupant les obligations l gales et r glementaires les responsabilit s des diff rents services ainsi que les proc dures relatives aux engagements financiers Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 D autre part elle recommande au Centre de se doter d une proc dure interne pr voyant la mise en application de la l gislation sur les march s publics telle que pr vue par la loi modifi e du 30 juin 2003 3 Une ligne de cr dit non couverte par la loi organique L analyse bilantaire a r v l que le compte courant du Centre a t d pass de 254 106 euros au 31 d cembre 2005 En 2005 le Centre a proc d l ouverture d une ligne de cr dit hauteur de 500 000 euros dont les conditions g n rales ont t d finies dans un contrat d ouverture de cr dit entre une banque et le Centre Afin de renouveler cette ligne la banque demande chaque ann e l tablissement public de lui transmettre l extrait de la loi budg taire renseignant sur la dotation du Centre Compar e la contribution financi re de l Etat la ligne de cr dit quivaut 58 99 de la dotation budg taire globale pour l exercice 2005 et 27 78 de celle vot e pour 2007 La Cour constate qu elle n est pas autoris e par la loi du 26 mai 2004 portant cr ation du Centre
33. la l gislation sur les march s publics telle que pr vue par la loi modifi e du 30 juin 2003 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 R sultats des contr les r currents 2 1 Caisse de consignation 2 1 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment l article 2 3 de la loi du 29 avril 1999 sur les consignations aupr s de l Etat la Cour des comptes a proc d au contr le de la Caisse de consignation pour les exercices 2003 2005 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de la Caisse de consignation sur base d interviews une analyse documentaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations et des proc dures n a pas r v l d erreurs significatives En ce qui concerne le contr le interne au sein de la Caisse de consignation la Cour a obtenu suite sa demande une description succincte du contr le journalier respectivement mensuel effectu La Cour des comptes pr conis
34. lir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion du Centre sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es 1 Suivi du contr le des exercices ant rieurs 1 1 R glement d ordre int rieur Lors du contr le des exercices 2002 2004 la Cour a constat que le Centre ne disposait pas d un r glement d ordre int rieur partir octobre 2005 le Centre s est dot d un projet de r glement d ordre int rieur sans dispositions particuli res concernant les d l gations de signature et la certification des factures telles que recommand es pat la Cour En sa s ance du 11 juillet 2006 le conseil d administration a adopt un r glement d ordre int rieur qui a t approuv par le Conseil de Gouvernement en sa s ance du 29 septembre 2006 Ce r glement pr voit dans son chapitre IV c t des r gles budg taires et comptables des dispositions concernant les actes d engagement et de paiement de d penses qui depuis lors sont soumis au principe de la double signature 1 2 Approbations minist rielles et gouvernementales Les approbations minist rielles et gouvernementales pr vues aux alin as 3 et 6 de l article 13 de la loi de 1989 concernant les comptes comptables et affectation des b n fices du Centre font toujours d faut pour les exercices 200
35. ndations de la Cour des comptes faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format Word pour le 9 f vrier 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 31 janvier 2007 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 2 2 Les observations du Centre Culturel de Rencontre Abbaye de Neum nster Luxembourg le 19 avril 2007 Suite votre lettre du 31 janvier 2007 rest e sans r ponse ce jour en raison d un malentendu administratif de notre part et en nous r f rant votre rappel du 18 avril 2007 nous avons Phonneur de vous communiquer ci apr s les commentaires du CCRN Dans votre rapport il est fait mention de absence de d cisions motiv es du conseil d administration du CCRN justifiant le recours des march s n goci s respectivement des soumissions restreintes sans publication d avis en relation avec la location de la sc ne gradins et tours d clairage dans le cadre de P t th tral et du Festival OMNI 2005 Le recours un march n goci se justifie par Pimpossibilit de conna tre les fiches et exigences techniques des artistes un stade suffisamment avanc pour pouvoir entamer une proc dure de soumission publique avec publication d avis qui n cessite 4 5 mois au moins En effet les contrats d artistes
36. ne sont sign s en g n ral qu au printemps de l ann e concern e ce qui laisse tout au plus 2 3 mois pour pr parer la location de la sc ne ad quate Par application de l article 8 f de la loi modifi e du 30 juin 2003 sur les march s publics la direction du CRN a donc proc d un march n goci pour la location du mat riel en cause Nous vous confirmons d autre part que dor navant et en application de Particle 9 de la loi pr cit e le conseil d administration prendra pour chaque march une d cision motiv e et act e autorisant la direction recourir la proc dure du march n goci chaque fois qu il s av rerait impossible de suivre la proc dure normale 2 3 Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio Economiques CEPS 2 3 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de l tablissement public pour lexercice 2005 tel que pr vu Particle 15 de la loi du 10 novembre 1989 portant cr ation d un Centre d Etudes de Populations de Pauvret et de Politiques Socio conomiques Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures qui ont t utilis es pour identifier recueil
37. nistration est d avis que au stade actuel de l volution de l tablissement public cette structure de l emploi de son personnel correspond aux besoins des parties concern es et il a propos cette structure a Madame la Secr taire d Etat Le Conseil d administration est actuellement en attente de la prise de position de sa part Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 11 Universit du Luxembourg 2 11 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes Conform ment l article 50 paragraphe 7 de la loi du 12 ao t 2003 portant cr ation de l Universit du Luxembourg la Cour des comptes a proc d au contr le de la gestion financi re de PUniversit et l examen des comptes de l ann e 2005 Les objectifs du contr le de la Cour ont consist dans la v rification de la l galit et de la r gularit du traitement des op rations ainsi que de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse succincte du syst me de gestion de l Etablissement sut base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Le contr le des op rations n a pas r v l d erreurs significatives N anmoins la Cour des comptes r it re sa recomman
38. nsports publics e Fonds d urbanisation et d am nagement du plateau de Kirchberg Concernant les autres tablissements publics la Cour reproduit ci apr s les constatations et les recommandations formul es lors de ses contr les ainsi que le cas ch ant les observations y relatives des entit s contr l es La Cour note que certains tablissements publics soumis son contr le ne respectent pas la l gislation sur les march s publics Si un tablissement public est consid rer comme pouvoir adjudicateur au sens de Particle 2 3 de la loi modifi e du 30 juin 2003 il doit passer suivant l article 6 ses contrats de travaux de fournitures et de services par soumission publique Il ne peut d roger la r gle g n rale que dans des cas num r s l article 7 en recourant la soumission restreinte avec publication d avis et dans les cas num r s l article 8 en recourant soit la soumission restreinte sans publication d avis soit au march n goci Par ailleurs la Cour rend attentif au fait que d apr s l article 9 de la m me loi le recours la soumission restreinte sans publication d avis ou au march n goci doit tre d termin par une d cision motiv e de l organe habilit engager lesdits pouvoirs adjudicateurs Au vu de ce qui pr c de la Cour recommande aux tablissements publics concern s de se doter d une proc dure interne pour la mise en application de
39. obtenues qu en d but 2006 Le paiement a t comptabilis la date du paiement Il est vident qu une attention particuli re est port e depuis cette date la r gularit des paiements En conclusion il chet de retenir que nous avons bien pris note des observations de la Cour et que nous nous efforcerons les mettre en uvre dans toute la mesure du possible Nous tenons enfin relever que l ann e 2005 autant que l ann e 2006 constituent la phase de d marrage des activit s du Centre et que l ann e 2007 marque le d but de la phase de consolidation des activit s et en cons quence de la formalisation des proc dures Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 2 5 Centre Virtuel de la Connaissance sur l Europe 2 5 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour les exercices 2004 et 2005 tel que pr vu l article 12 de la loi du 7 ao t 2002 portant cr ation du Centre Virtuel de la Connaissance sur l Europe Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse du syst me de gestion du Centre sur
40. ogique cette d pense contribue la r alisation des missions de l tablissement Par ailleurs nous tenons indiquer que le pourcentage entre le chiffre d affaires r alis par notre tablissement et le co t du d ner de fin d ann e n est que de 0 50 336 284 32 de chiffre d affaires contre 1 680 00 de frais du repas de fin d ann e Compte tenu des arguments avanc s ci dessus nous estimons avoir agi en bon p re de famille et dans le respect de la bonne gestion des deniers publics Quant l absence des proc dures internes Nous avons bien pris note de vos commentaires quant aux proc dures internes Ces proc dures existent mais n ont en effet pas t formalis es dans un document Au vu de vos commentaires le n cessaire sera bien videmment entrepris dans les meilleurs d lais Plus particuli rement il chet de pr ciser ce qui suit L ensemble des engagements sont effectu s par le directeur g n ral dans la limite de ses pouvoirs engager le Centre respectivement par les personnes comp tentes au del des pouvoirs de signature du directeur g n ral Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 En ce qui concerne l application de la l gislation sur les march s publics le Centre respecte la loi aucune autre forme n est g n ralement requise Nous proc derons dans les semaines venir l laboration d un manuel des proc dures internes rep
41. ois PUL a proc d pendant lexercice 2006 l attribution de march s par soit des soumissions publiques soit des march s n goci s pour les cas d acquisition d quipements scientifiques lourds Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 12 d cembre 2007 La Cour des comptes Le Secr taire g n ral Le Pr sident s Marco Stevenazzi s Marc Gengler Cour des comptes 2 avenue Monterey L 2163 Luxembourg Grand Duch de Luxembourg T l phone 352 474456 1 Fax 352 472186 chaco pt lu
42. ouvement s par une seule signature savoir cele du pr sident du conseil d administration ou celle du directeur qui est limit e 20 000 euros 2 Constatations pour l exercice 2005 2 1 Calcul des indemnit s Lors de la v rification des feuilles de calcul destin es tablir les indemnit s dues aux membres du conseil d administration un nombre important d erreurs mat rielles ont t constat es Ces erreurs concernent l int gralit des op rations indemnit s dues non vers es la r alit indemnit s vers es non dues ainsi que l exactitude des calculs indemnit s mal calcul es Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 Les constatations de la Cour faisant l objet d un examen contradictoire il vous appartient de pr senter vos observations y relatives la Cour sous forme de courrier postal et lectronique format WORD pour le 11 mai 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 avril 2005 2 7 2 Les observations du Fonds Belval Luxembourg le 7 d cembre 2007 En r ponse aux remarques formul es dans votre lettre du 6 avril 2007 je m empresse de vous communiquer ma prise de position ainsi que le suivi dont elles ont fait l objet S agissant de la signature des actes d engagements et de paiements de d penses celle ci sera dor navant r gl de la fa on suivante Les d penses au dessus de 20 000 porteront la s
43. projets pour la p riode ant rieure 2001 ont t cl tur s par la Commission europ enne En effet il importe de rappeler que la provision relative au projet Leonardo Clever d un montant de 125 190 a t lib r e au cours de lPann e 2006 la suite de la r ception d un courrier manant de la Commission europ enne De m me deux autres provisions ont pu tre lib r es cons cutivement un d compte tabli par le Minist re du Travail et de Emploi e une provision de 42 340 91 relative au projet FSE Adapt Adaress e une provision de 53 301 76 pour risques de remboursement sur d autres projets ant rieurs 2001 Selon le m me principe les autres provisions concernant les projets ant rieurs 2001 d un montant total de 421 139 63 ne pourront tre lib r es que sur la base de d comptes provenant soit de la Commission europ enne soit du Minist re du Travail et de l Emploi Par cons quent ces provisions devront rester inscrites au bilan de PINFPC jusqu nouvel ordre Par ailleurs conform ment l acceptation des comptes annuels 2006 de PINFPC par le Conseil d administration les provisions relatives aux projets ant rieurs 2001 seront directement comptabilis es au poste Fonds propres du bilan de PINFPC sans transiter par le compte Profits et pertes 2 9 Office National du Remembrement 2 9 1 Les constatations et recommandations de la Cour d
44. r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse du syst me de gestion du Centre sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Pour lexercice 2005 la Cour n a pas re u communication de pi ces documentant le recours une soumission publique ou un march n goci d ment motiv par une des hypoth ses d exception num r es par les dispositions l gales en vigueur Ce constat concerne diverses locations de mat riel sc nes gradins tours d clairage d passant le seuil de 22 000 euros pr vu Particle 161 du r glement grand ducal du 7 juillet 2003 portant ex cution de la loi sur les march s publics ainsi que la production du DVD d un spectacle pour un montant de 72 753 euros HTVA Font notamment d faut les d cisions motiv es du conseil d administration du Centre justifiant le recours ventuel des march s n goci s respectivement des soumissions restreintes sans publication d avis article 9 de la loi modifi e sur les march s publics La Cour recommande d s lors au Centre de se doter d une proc dure interne pour la mise en application de la l gislation sur les march s publics telle que pr vue par la loi modifi e du 30 juin 2003 Les constatations et recomma
45. re tablissement public pour l exercice 2005 tel que pr vu a l article 7 5 de la loi du 26 mai 2004 portant cr ation d un tablissement public nomm Centre de Musiques Amplifi es Le contr le de la Cour a consist dans la v rification e dela l galit et de la r gularit du traitement des op rations e de l int gralit et de la r alit des op rations Les proc dures de contr le qui ont t utilis es pour identifier recueillir et analyser les informations n cessaires comprenaient une analyse du syst me de gestion du Centre sur base d entretiens une analyse documentaire et bilantaire ainsi qu un contr le sur pi ces d un chantillon d op rations d termin es Veuillez trouver ci apr s les constatations et les recommandations de la Cour 1 L ligibilit des d penses Lors de son contr le de l exercice 2005 la Cour a constat que le Centre a notamment pay un diner de fin d ann e pour son personnel et les membres du conseil d administration La Cour avait d j soulign lors du contr le d autres tablissements publics que les d penses sont r serv es exclusivement l ex cution des missions pr vues par les lois organiques respectives 2 L absence de proc dures internes La Cour constate qu il n existe pas de proc dure crite concernant e les engagements et commandes du Centre e l utilisation de la carte de cr dit et de carburant e la mise en applicat
46. renant notamment les points soulev s par votre Cour Quant la ligne de cr dit pr tendument non couverte par la loi organique Nous estimons qu il s agit d une avance en compte courant et non pas d un emprunt Par ailleurs la loi portant cr ation du Centre fait une num ration non exhaustive des moyens de ressources financi res de sorte qu notre avis le recours la ligne de cr dit motiv e par des besoins de tr sorerie est compatible avec les dispositions l gales Quant au principe comptable de la s paration des exercices Nous avons bien pris note de vos observations Quant aux points d cel s par la Cour il chet de pr ciser qu il s agit d une part du fait que les jetons de pr sence dans leur partie variable ont t pay s en 2006 seulement alors que la dur e exacte de la r union du conseil d administration du 9 d cembre 2005 n a t retenue d finitivement seulement apr s approbation du rapport de ladite r union lors de la r union suivante tenue en janvier 2006 Les jetons ont d s lors t pay s seulement en 2006 et comptabilis s en 2006 galement Nous avons depuis cette date adapt le rythme des paiements de sorte que ce point est redress Le deuxi me point soulev tenait au fait que le paiement un membre du conseil d administration n a pu tre effectu en 2006 seulement en raison du fait que les coordonn es bancaires du destinataire du paiement n ont pu tre
47. s avec les autorisations de la part du Ministre de l Environnement dues principalement une interpr tation excessive et erron e d apr s notre avis de l article 17 sur les soi disant biotopes de la loi du 19 janvier 2004 relative la protection de la nature et des ressources naturelles conduisant syst matiquement des refus et interdictions malgr les efforts substantiels investis par PONR dans l tude de nouvelles variantes demand es au projet resp d expertises compl mentaires l tude d impact exig s par le service de la Conservation de la Nature Les tudes de variantes et d expertises suppl mentaires expliquent le d passement du sous article budg taire Indemnit s de Services des Tiers alors que la non d livrance de lPautorisation pour certains projets resp l arr t des chantiers Mompach malgr lPautorisation minist rielle du MENV expliquent les d penses au poste Travaux connexes Les projets pr vus sont ex cut s durant les exercices subs quents de sorte que la r serve constat e de 6 97 mio au 31 d cembre 2005 va fondre en cons quence lors des exercices en fin de d cennie 2 10 Salle de Concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte 2 10 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes La Cour des comptes a proc d au contr le de votre tablissement public pour l exercice 2005 tel que pr vu Particle 8 point 5 de la loi du 21 novembre
48. servations y relatives et ce pour le 11 mai 2007 au plus tard Ainsi d lib r et arr t par la Cour des comptes en sa s ance du 5 avril 2007 2 10 2 Les observations de la Salle de Concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte Luxembourg le 9 mai 2007 Faisant suite votre courrier du 6 avril 2007 qui soul ve que au moment de votre contr le pour lexercice 2005 de l tablissement public Salle de Concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte une grille des emplois et leur classification ainsi que le niveau de r mun ration du personnel faisait toujours d faut je me permets de vous informer de l tat de ce dossier Apr s l analyse de diff rents syst mes de grille de personnel et d volution de carri res appliqu s et la pertinence de ces syst mes par rapport la Salle de Concerts le Conseil d administration a retenu en date du 3 avril 2007 un plan de carri re pour le personnel Ce plan de carri re est limit dans le temps pour permettre de proc der son valuation par le Conseil d administration et d en tirer des conclusions sans avoir fig le syst me au pr alable Ainsi la structure de l emploi du personnel de la Salle de Concerts se compose des l ments suivants e Organigramme e descriptions de t ches pour chaque poste dans l organigramme e v rification des r mun rations par rapport la fonction publique e plan de carri re limit six ans Le Conseil d admi
49. t essentiellement utilis e pour les paiements par Internet La carte Bancomat sert par contre au paiement des petites fournitures En fonction des besoins du CVCE la carte Bancomat est confi e un nombre limit d employ s qui connaissent le code de la carte et signent une autorisation avant l utilisation Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 La Cour constate qu il n existe pas de proc dure crite d finissant les conditions d utilisation des cartes bancaires et les responsabilit s des utilisateurs La Cour recommande de pr voir une proc dure crite pour l utilisation de la carte de cr dit et de la limiter aux seules personnes autoris es engager le CVCE en mati re financi re Par ailleurs elle recommande la suppression de la carte bancaire Bancomat et de proc der par voie de remboursement pour les menues d penses Selon Particle 8 de la loi du 7 ao t 2002 des fonctionnaires ou employ s de PEtat peuvent tre d tach s au Centre en vue d y effectuer des t ches relevant de la comp tence du Centre pour une dur e d termin e temps plein ou temps partiel en application de Particle 7 de la loi modifi e du 16 avril 1979 fixant le statut g n ral des fonctionnaires de l Etat Par d cision du Conseil de Gouvernement en date du 28 octobre 2002 un fonctionnaire a t d tach au CVCE pour le poste de directeur Le traitement d en sa fonction de
50. t qu partir du 31 mars 2006 que le Centre dispose d un conseil d administration tel que pr vu par les dispositions de Particle 3 de la loi du 10 novembre 1989 1 5 Situation financi re du Centre Si la situation financi re du Centre tait pr caire au cours des exercices 2002 2004 Pincorporation en 2005 des exc dents budg taires sur les charges de l exercice 2004 358 210 55 euros a permis au Centre de redresser sa situation financi re A rappeler toutefois que cette incorporation a t effectu e sans l approbation expresse du Gouvernement en conseil 2 Constatations et recommandations portant sur l exercice 2005 2 1 Calcul des indemnit s Suivant la d cision du Conseil de Gouvernement du 24 juillet 2003 les indemnit s revenant partir du ler janvier 2004 aux membres du bureau du conseil d administration aux autres membres du conseil d administration ainsi qu aux membres du conseil scientifique ont t refix es sur base de vacations horaires plafonn es Cependant les indemnit s sont calcul es sur base d un temps de pr sence forfaitaire de trois heures par r union alors qu un enregistrement d taill des temps de pr sence fait d faut Par ailleurs certains membres du conseil d administration et du conseil scientifique b n ficient d un montant forfaitaire de 15 euros par s ance pour frais de route non couvert par la d cision du Conseil de Gouvernement pr cit e Les constat
51. tatations et recommandations de la Cour des comptes 29 2 9 2 Les observations de l Office National du Remembrement 30 2 10 SALLE DE CONCERTS GRANDE DUCHESSE JOSEPHINE CHARLOTTE ss 31 2 10 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 31 2 10 2 Les observations de la Salle de Concerts Grande Duchesse Jos phine Charlotte MN RAR nn ea m sien enter rare le aoe 32 2 11 UNIVERSITE DU LUXEMBOURG 133 2 11 1 Les constatations et recommandations de la Cour des comptes 33 2 11 2 Les observations de l Universit du Luxembourg ecccceceeeseeeeeeeeeeeeeeteeeeeeetennees 34 Rapport sp cial sur les tablissements publics ann e 2005 1 Introduction Conform ment aux dispositions des lois organiques portant cr ation des tablissements publics respectifs la Cour des comptes a proc d au contr le de leur gestion financi re et l examen des comptes de l ann e 2005 Dans certains cas la Cour a proc d un contr le couvrant les ann es 2004 et 2005 En ce qui concerne la Caisse de consignation le contr le de la Cour a vis les ann es 2003 2005 Pour ce qui est des tablissements publics qui sont soumis un contr le r current la Cour n a pas formul de constatations voire de recommandations l gard des entit s suivantes e Fonds culturel national e Fonds de lutte contre le trafic des stup fiants e R gie g n rale des tra
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