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Développement d`un Système de Veille Stratégique dans un Centre

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1. Compoeites 25 plast comp 6 A Lub sauf frigo 44 _ 0 20 40 60 80 100 REPRESENTATION DES THEMES TECHNIQUES FONCTION DES BEGMENTS DE MARCHE suite PRODUCTION Usin conditions 74 Devis m th 21 Usin gde vit 9 FAO CN 22 GPAO 26 Productivit 26 Gestion outils 13 Identification 3 Mach aide choix 32 Robot prod 38 Mont assemb 7 Manut tranait 6 Trav t les proc 50 Trav t les conc 16 Trav t les out 13 Forg ma t proc 20 Forg conc 6 Forg outillage 11 M canosoudage 29 Soudage 62 Conc ass viss s 50 Collage 26 CONTROLE Lutte ctr bruit 81 Contr le autom 13 CND 38 Contr le dim t 57 Contr le 30 11 Mes aide choix 64 GGA Ess comp mach 57 Cone autom 58 0 20 40 60 80 100 120 REPRESENTATION DE8 THEMES TECHNIQUES EN FONCTION DES8 SEGMENTS DE MARCHE suite COMPOSANTS ET MACH Am lio comp 80 Am lio hyd pneu 57 Am lio d b 32 777777 Am lio tanch 25 AEA Tuyau sauf soud 17 Conc vibr 36 maint 30 Maint org 12 Maint mach sp 12 Surveillance 15 Conc frigo th 58 Conc mach out 18 Conc chariots 32 Conc mach sp 13 PREOCCUPATIONS GEN M th cone 34 Qt sans certif 112 Out stat qt 8 Certif etses 73 Homologation 40
2. Proximit g ographique Echantillon final Envoi l animateur de chaque segment Transmission au comit de pilotage Figure 10 D marche d chantillonnage restant tout naturellement les fonctions de l entreprise bureau d tudes m thode fabrication qualit contr le I ne s agit pas lors de l entrevue de rechercher des solutions au probl me mais de r diger un descriptif clair qui sera ensuite analys au CETIM par un responsable du domaine concern charg de son valuation Le r sultat de chaque visite est consign sur une ou plusieurs si l entreprise exprime plus d un besoin fiches de recueil dont un exemplaire est pr sent page suivante Elles se d composent en trois parties qui permettent e d identifier l enqu teur et l interlocuteur afin de recenser des donn es classiques relatives l entrevue nom de l enqu teur date de l entretien soci t visit e raison sociale num ro d identification situation g ographique sous segment de rattachement taille la personne rencontr e nom fonction t l phone Page 82 Chapitre III de d crire le besoin par son intitul la fonction concern e dans l entreprise le probl me pos l objectif industriel qui le caract rise et les moyens techniques que n cessite sa mise en oeuvre L industriel sera galement conduit voquer la forme de transfert souhait e si le besoin n implique pas de t ch
3. valeur ajout e Le travail se limite la fourniture d informations s lectionn es en fonction de leur pertinence mais aucune analyse ou synth se ne sont tablies Il faut ajouter aux activit s que nous venons de pr senter la formation Pour permettre aux industriels de r aliser eux m mes leurs recherches ou de pratiquer la veille technologique deux stages de formation continue sont pr vus Le premier s adresse aux documentalistes d sireux de ma triser le langage du serveur zsa et de connaitre la base de donn es CETIM dans le d tail Le deuxi me s adresse aux responsables qui souhaitent mettre en place un syst me de veille dans leur entreprise Le principe de base de ces formations est de fournir aux participants des rep res m thodologiques illustr s de cas pratiques la mise en application des connaissances restant un des objectifs primordiaux des formateurs du CETIM La derni re activit que nous n avons pas aborder et sur laquelle nos travaux ont port concerne la veille strat gique Nous y consacrerons les deux chapitres qui suivent Page 64 Chapitre IT LA STRATEGIE DU CETIM Centre est investi d une double mission Il doit d une part r aliser des actions de recherche collective et d autre part faire b n ficier les entreprises des comp tences acquises gr ce un transfert des connaissances Pour r aliser aux mieux ces objectifs les responsables ont d s 199 1 engag le CETIM
4. Correspond a nos comp tences et nos moyens mais pas a notre ees N cessite des adaptations leg res de nos comp tences N cessite de d velopper de nouveaux H 21 12 7 produits dans nos comp tences N cessite la cr ation de nouvelles comp tences E N A Besoins non explicit s ep MERGER ER Les informations contenues dans ces matrices offrent des possibilit s d exploitation colossales Cependant comme nous l avons d j soulign l analyse doit rev tir un aspect la fois Page 102 Chapitre III quantitatif et qualitatif Si la matrice g n rale donne acc s une multitude de renseignements il faut prendre garde de ne pas noyer l utilisateur sous une masse indigeste de tableaux de fr quences d histogrammes de mesures De plus il faut apporter une valeur ajout e indispensable l exploitation des besoins exprim s Cette valeur ajout e peut se traduire par la r daction de synth ses de fiches de besoins correspondant un aspect particuliers Notre r flexion s est donc port e sur le type de r sultats que nous devions fournir et sur la forme sous laquelle ils devaient tre diffus s faut distinguer trois niveaux dans les analyses que nous avons r alis es le premier niveau correspond au 1562 fiches de besoins proprement dites qui sont consign es dans le fichier de besoins et qui restent accessibles aux personnes qui en ont l utilit Son exploitation rev
5. Connaissance du march Veille March Veille Recueil et analyse des besoin Technologique Phase de scanning Phase de monitoring Actions de Transfert Jigure 8 La d marche de veille strat gique Nous allons dans les deux chapitres qui suivent d tailler l ensemble des op rations Page 74 Chapitre 3 La veille march du Centre Chapitre La premi re d cision prise dans le cadre de la strat gie Centr e March a t de mettre en place un syst me d coute permanente des entreprises clientes afin de mieux cerner leurs pr occupations techniques Depuis de nombreuses ann es le Centre pratiquait ce type de recensement travers plusieurs canaux e les contacts directs avec les entreprises par l interm diaire des d l gations r gionales ou l occasion de prestations d aide directe d installations de produits d audits d expertises ou d op rations pilotes e les relations troites avec l organisation professionnelle grace aux contacts entre la Direction du Marketing et la Direction des Questions Techniques de la F d ration des Industries M caniques et les syndicats professionnels e les commissions techniques directement impliqu es dans l orientation des travaux du Centre en de recherche collective et auxquelles participent pr s de 700 personnes repr sentant la contribution d environ 350 entreprises de la m canique e les demandes individuelles des
6. 1095 1106 13 fig 11 r f Equations de la g om trie et g n ration en 3 dimensions d une denture h licoidale d engrenage analyse pour diff rentes positions des lignes de contact Analyse des r sultats en vue d tudier les tendances de variation des contraintes en pied de dent dans le sens de la largeur lorsque la ligne de contact progresse du pied vers la t te tude param txique largeur et pas LAM CIT9400703 DOEL D L en anglais TEMPER un outil d analyse de la trajectoire du gaz pour des r acteurs commerciaux TEMPER Agas path analysis tool for commercial jet engines JNL OF ENG FOR CAS TURBINES POWER ASME VoL 116 Nr 1 Janvier 1994 P 82 89 7 fig 10 r f Pr sentation d un outil d analyse des composants d une turbine utilisant comprend une technique de moindres carr s pond r s pour corriger les erreurs des r sultats de mesure introduits dans le calcul Application l interpr tation des donn es d un essai de moteur apr s une op ration de maintenance VDA CIT9400704 BEAUFILS P en fran ais Le prototypage rapide sort de la confidentialit USINE NOUVELLE Nr 2445 24 F vrier 1994 p 56 Le prototypage rapide utilise le proc d de fabri cation par empilement des couches et permet des gains de temps et de co t de l ordre de 50 Le succ s de l op ration d pend de la maitrise de la machine et d une chaine informatique Les proc d s se classent en trois familles li
7. Dans un premier temps il est affect chaque sous segment un nombre d enqu teurs proportionnel son importance En effet les sous segments ont des tailles variables qui se mesurent en nombre d entreprises et en montant des cotisations Par exemple le sous segment chaudronnerie repr sentait en 1992 1258 entreprises et le montant des cotisations s levait 30 48 M F alors que le sous segment mat riel m dico chirurgical ne repr sentait que 63 entreprises pour un montant des cotisations de 2 24 M F Il est clair compte tenu de ces diff rences que les moyens mis en oeuvre pour assurer les relations avec les entreprises de la chaudronnerie ne peuvent pas tre les m mes que dans le cas des fabriquants de mat riel m dico chirurgical Dans chaque sous segment les entreprises sont ensuite class es dans l ordre d croissant de la taxe vers e puis affect es dans des tranches de 10 de la taxe cumul e Dans chaque tranche les enqu teurs pr s lectionnent entre une et trois entreprises puis effectuent un choix d finitif partir de plusieurs crit res concernant l entreprise elle m me sa participation la vie du CETIM travers les commissions le conseil d administration le comit technique les groupes de travail sa situation g ographique son activit son compte client ou tenant compte de l appr ciation de diverses personnes ou instances d l gu s r gionaux quipes du CETIM syndicats professionnels
8. Chapitre 1 Similitudes et divergences des syst mes de veille Chapitre I Mettre en place le syst me de veille d une entreprise ou optimiser celui d j existant est une t che passionnante Mais avant de se lancer dans une pareille aventure 11 convient de bien avoir l esprit deux points essentiels un syst me de veille ne sera efficace que si l on connait parfaitement la structure dans laquelle on volue afin de pouvoir tenir compte de ses sp cificit s un syst me de veille ne donnera son meilleur rendement que si l on suit une d marche logique rigoureuse et syst matique quelle que soit la structure en question Ces deux notions pourraient paraitre contradictoires En fait elles relatent le constat auquel nous ont conduit une analyse de la litt rature et une tude conjointe men e dans trois Centres de Recherches CAST93 Ce constat est le suivant des divergences primordiales apparaissent lorsque l on effectue une analyse comparative divergences li es au fondement m me des diff rents syst mes mais on retrouve dans tous les modes de fonctionnement un tronc commun une d marche identique Nous proposons dans ce qui suit une synth se des similitudes que nous avons pu relever dans tous les syst mes consid r s avant de nous int resser aux divergences rencontr es et aux facteurs qui les expliquent 1 SIMILITUDE DANS LA DEMARCHE Un syst me de veille technologique a pour objectif d
9. Dans notre analyse deux indices sont retenus l indice de Russel et Rao et l indice de Jaccard Ils pr sentent une grande compl mentarit car ils renseignent la fois sur les paires de poids important et sur les paires de forte intensit Les paires retenues pour la repr sentation graphique ont un indice de Russel et Rao sup rieur ou gal 0 01 elles apparaissent dans au moins 1 des fiches ou un indice de Jaccard sup rieur ou gal 0 20 les deux mots apparaissent simultan ment dans au moins 20 des cas Au total pr s de dix indices de similitude ont t test s titre indicatif Nous avons donn ici les r sultats obtenus avec la fr quence relative et l indice de Jaccard tous les autres indices n ayant eu pour effet que de confirmer ce que ces deux mesures nous indiquaient d j Des indices de dissimilitude ont galement t test s mais ils n ont apport aucune aide aux sp cialistes charg s d analyser le graphe Ils ont eu pour effet d isoler des mots de forte fr quence cr ant des liens multiples par effet de chainage Ce sont des termes g n riques tels Page 95 Chapitre III que Conception Qualit ou Sous traitance qui doivent tre consid r s comme de grands axes et qui recouvrent plusieurs th mes Il arrive que des mots cl s pris isol ment aient une fr quence d apparition relativement importante pr sents dans au moins 1 des fiches mais ne se retrouvent pas dans les
10. La deuxi me caract ristique est galement relative aux informations trait es Ces veilles s adressent des soci t s qui sont dans leur grande majorit des PME tr s peu pr occup es par les donn es scientifiques Ce sont davantage des donn es proches de la mise en application industrielle qui les concernent Si nous reprenons la courbe en S qui mat rialise le cycle de vie d une technologie nous pouvons d limiter la zone des informations trait es figure 29 Taux de Hon Principaux types penetration d informations trait s Informations Informations techniques Scientifiques 9 et technologiques YW Temps Figure 29 Types d informations trait s dans les programmes de veille multi client Les donn es scientifiques sont malgr tout collect es dans un but interne car il entre dans la mission du Centre de suivre l volution des savoirs scientifiques pour pr parer leur adaptation aux r alit s technologiques mais elles n apparaissent que tr s rarement au niveau des documents remis aux industriels 1 LES REVUES TECHNIQUES Les seuls observateurs impliqu s sont les experts qui re oivent les revues techniques en circulation dans le Centre afin de se tenir inform s des volutions de leurs domaines Cette lecture est mise profit dans le cadre des programmes de veille car ils peuvent tout moment lorsqu ils d tectent un document particuli rement int ressant l int grer aux autres don
11. an P 167 EE c 167 De ad de 168 D DIFEUS TON sn hn bh td t REG 170 Sommaire LES ANALYSES STATISTIQUES ccsssssssssccsescoescscesscscesccssescseesscscesccsssscsessscsset senses 172 PRESENTATIONS arnnnnnnnnnnnnnanninnnenmnnnnnninednnmaaannonofit 172 B ANALYSE GENERALE 00 0 ccccccccccccccescssceccscescsscsscsesscsscsscssssescsscsecsessesscsscsessessessessssesssesessesesseeaes 177 C ANALYSE Win hn err 180 1 Identification des th mes techniques 181 2 Identification des applications eti ion sete teni pr alo 186 3 Jdentificalion des Propri t s ENEE EE 190 IV CONCLUSION E 193 CONCLUSION GENERALE ndr or ene etr e n D a Ol P v E RC nat 199 BIBLIOGRAPHIE e CO 201 ANNEXES Introduction Introduction Les Centres Techniques Industriels ont pour r le fondamental d am liorer la comp titivit du tissu industriel fran ais Ils se pr sentent comme les Centres de Recherche et d appui technologique des PMI qui ne disposent pas toujours de la disponibilit et des moyens financiers pour d finir et mener des programmes de recherche ou int grer des technologies nouvelles Ce sont les branches industrielles qui ont ell
12. posteriori Analys es pendant une ann e compl te un bilan est dress au bout des douze mois pour juger de leur pertinence nombre d articles retenus Elles pourront alors tre ajout es la liste des revues d j analys es ou tre limin es si elles ne rev tent pas un int r t suffisant De la m me mani re et pour ce qui concerne les revues anciennes un bilan est dress lors du renouvellement des abonnements pour juger de leur valeur et de l opportunit de les conserver Concernant la langue d origine des revues un recensement effectu sur les cinq derni res ann es montre que 41 8 des documents d origine sont en anglais 39 1 en fian ais 17 3 en allemand et 1 8 en langues diverses parmi lesquelles l italien l espagnol et le russe Toutes les notices sont cependant r f renc es en fran ais Page 54 Chapitre II 1 LE THESAURUS Il existe deux principaux types de langages documentaires 587 les langages d indexation appel s galement langages documentaires qui permettent de repr senter le contenu des documents et des questions de mani re analytique les langages classificatoires plus g n ralement utilis s pour repr senter ce contenu de mani re synth tique Les thesaurus et les index se classent dans la premi re cat gorie alors que les plans de classification appartiennent la deuxi me Un thesaurus est constitu d une liste de mots ou d expr
13. 0 031 BRUIT LUTTE CONTRE POLLUTION 0 030 INNOVATION TECHNOLOGIQUE SUBSTITUTS Figure Exemple de sortie DATAVIEW listes des fr quences d apparition des paires de mots cl s apparitions Peut on dire alors que le lien mot mo est plus fort que le lien mot3 mot4 La mesure de la fr quence tient compte du poids du lien mais pas de son intensit Pour rem dier cet inconv nient il est possible d utiliser des coefficients de similitude indices association qui mesurent la ressemblance entre deux objets ou mots suivant qu ils r pondent ou non un crit re donn De nombreux statisticiens se sont int ress s ce probl me et ont propos des coefficients CLUS87 dont le calcul est bas sur des donn es binaires de pr sence absence Sur un ensemble d observations un tableau de fr quence de 2x2 peut tre compil comme suit Page 91 Chapitre Objet i Objet Absence TJIES A repr sente le nombre d observations pour lesquelles les 2 objets i et j sont pr sents simultan ment B repr sente le nombre d observations pour lesquelles l objet 1 est seul pr sent C repr sente le nombre d observations pour lesquelles l objet j est seul pr sent D repr sente le nombre d observations pour lesquelles les deux objets sont absents B C D repr sente le nombre d observations Dans le cas de la fiche de besoin pr sent e pr c demment si nous consid rons
14. d tecter dans la matrice d origine Cependant cette technique proc dant par r duction de donn es il faut consentir une perte d information et les regroupements qui apparaissent sur le graphe doivent tre analys s avec beaucoup de pr cautions s agit avant tout d un outil d aide l interpr tation qui doit conduire l utilisateur s interroger sur des corr lations mises en vidence Les conclusions tir es d une A F C ne doivent pas tre trop h tives mais d pendre des connaissances que l on a du domaine et des l ments contenus dans les donn es initiales matrice d origine et fiches de besoins Ainsi que le souligne C Dutheil DUTH92 Ces m thodes ne fournissent pas des oracles mais des indices non pas au sens statistique mais au sens policier Elles ouvrent la voie des r flexions souvent originales Dans le cas pr sent plusieurs regroupements entre th mes ont du tre effectu s afin de clarifier l image et de la rendre interpr table L analyse permis de cerner les pr occupations des diverses professions de la m canique Cinq grands p les caract ris s la fois par des besoins techniques particuliers et par des professions rassembl es autour des m mes centres d int r t ont t identifi s le p le proc d s qui regroupe toute une s rie de professions pour lesquelles le proc d est l l ment dominant Page 119 Chapitre III le p le qualit et productique car
15. mergentes r alis es g n ral avec des laboratoires universitaires et des partenaires donneurs d ordres pour les entreprises de la m canique d veloppement de produits et services vocation interprofessionnelle ayant pour but de permettre au Centre de r pondre aux besoins des entreprises et de servir de base aux actions de recherche sp cifiques aux diff rentes professions tudes professionnelles constitu es soit d actions collectives sp cifiques un groupe d entreprises soit d adaptation des comp tences interprofessionnelles pr c demment d finies leurs besoins particuliers C LES DOMAINES DE COMPETENCES Le CETIM r unit des comp tences dans tous les domaines techniques int ressant les industries m caniques Elles peuvent se d composer en cinq grands groupes Organisation g n rale de l entreprise qualit organisation et syst mes d information maitrise de l nergie et environnement Aide la conception Conception Assist e par Ordinateur CAO DAO CFAO calcul des structures progiciels de dimensionnement appareils pression applications sp cifiques choix et performances des mat riaux frottement et usure mat riaux m talliques polym res et mat riaux composites Aide la production organisation et m thodes automatisation de la production robotique et cellules flexibles de production s ret des automatismes et des syst mes automatis s proc d s de mise en
16. sttachines de bureau Ew dvement indpapier eEngrenages dtat riel m dico chirurgical Moteurs Trans hyd pneu Roulements wt chimie Forge ttatalimentaire Outillage lectroportatif D c Enboutissage Tr de surface Mesure pesage P PW sQuincaillerie ressorts Put i 1 lages machines Machines out i lg sRobinetterie sBoulonnerie articles app m nagers e 3e 60 Chapitre III sM canique g n rale thermique frigorif ique Mat rielde T P Mat riel de manutention Equipement agricole Chaudronnwie 120 150 189 ATTRAITS NOMBRE DE BESOINS Figure 25 Diagamme Atouts Attraits des sous segments Page 124 Chapitre III C APPORT DES OUTILS STATISTIQUES L appui d un logiciel tel que DATAVIEW dans une tude de ce type est fortement appr ciable Sa compatibilit avec d autres logiciels tels que INFOBANK ou excez permet une libre navigation entre les donn es d origines contenues dans la base de donn es et les outils statistiques classiques Il se pr sente comme une passerelle entre la source d information et son exploitation Son utilit s est particuli rement faite ressentir deux niveaux Tout d abord dans l identification des th mes techniques mergents L analyse des besoins a t conduite pour la premi re fois en 199 1 et l identification des th mes a t r alis e de mani re intellectuelle Le sp cialiste charg de l indexat
17. Ce champ a l avantage de ne pr senter aucune ambiguit au niveau de l orthographe de plus les mots sont ramen s sous une m me racine ainsi spray et spruying seront index s sous la forme spray Dans un souci d homog n it nous nous sommes exclusivement int ress s aux brevets d pos s suivant la proc dure europ enne Etablie par la convention de Munich en 1973 les premiers d p ts datant de 1978 cette convention est ouverte toute soci t ou personne quelle que soit son origine g ographique peut effectuer un d p t europ en et offre un syst me unifi de d livrance Toutes les proc dures en sont confi es l Office Europ en des Brevets O E B Elle couvre tous les pays du march commun auxquels s ajoutent la Suisse le Liechtenstein la Norv ge et la Su de Les brevets retenus font donc tous apparaitre un d p t europ en Cependant il ne s agit pas n cessairement du brevet BASIC premier brevet de la famille Ainsi un brevet d pos aux Etats Unis puis tendu ensuite l Europe par les proc dures de l O E B figurera dans l tude Page 174 Chapitre IV Afin de pr senter une analyse d actualit seuls ont t retenus les brevets ayant une date de priorit en 1990 1991 et 1992 aucun brevet ne pr sentant de date de priorit en 1993 au jour de l tude Le corpus documentaire est constitu de 682 brevets Ces brevets ont t s lectionn s d apr s les codes de classification CIB
18. Ce facteur a un impact certain sur la croissance des th mes am lioration des composants hydrauliques et pneumatiques et am lioration des pompes et composants de d bit L ensemble des donn es doit donc tre consid r en tenant compte de ces influences les volutions fortes tant de ce fait beaucoup plus significatives Cet examen des variations th me par th me se synth tise par une analyse plus globale qui relate les grandes tendances de l volution des besoins Ce sont les pr occupations g n rales qui monopolisent l essentiel de la croissance gr ce aux th mes li s la qualit la r glementation et l environnement Les composants et machines progressent aussi gr ce certains aspects tels que la micro lectronique les composants hydrauliques et le frigorifique Les contr les et la conception restent stables Les deux familles qui souffrent sont les mat riaux en particulier Page 107 DENSITE NOMBRE DE BESOINS 120 100 45 COMC ACOUSTIQUE ee s 7 CERTIFICATION 63 CONC fe FRISO TH 48 CONTROLE DIM 1 22 LUBRIFIRNTS 84 SOUTI Bt 10 20 Chapitre III s 68 QUALITE REV TRAITEMENTS s S CALCUL DE STRUCTURES s SS AMEL COMP MECANIQUES s 23 USINAGE 78 s SO MESURES a 2 SOUDAGE 85 FORMATION RESS HUMAINES pee Meu Mg Ms ton a 6 METAUX 3S TRAVAIL TOLES 74 SUBSTITUTS MAT NOUVEAUX 9 21 HOMOLOBAT
19. En fait une personne ne une information que si elle est pr par e la recevoir si un lien se fait dans son esprit entre ce qu elle voit ou entend et ce qu elle sait d j On con oit d s lors toute l importance de cette pr paration Les collaborateurs amen s participer des manifestations des visites doivent imp rativement recenser les besoins de renseignements sp cifiques chaque mission Rentabiliser leurs contacts avec l ext rieur quelle qu en soit la forme exige qu ils aient au dela de leur propre vision des choses une id e plus globale des besoins en informations de l entreprise Ceci suppose qu ils soient suffisamment inform s sur les axes de d veloppement de chacun Ce n est qu cette condition qu ils auront un comportement actif qu ils seront sur le qui vive et qu ils pourront capter chaque fois que l occasion leur en sera donn e des informations int ressantes Ils pourront ainsi viter deux pi ges classiques voir passer une information de toute premi re importance et ne pas y pr ter attention ou arroser leurs coll gues d informations banales qui auront pour seul effet de les d courager rapidement et de les d tourner de l int r t qu ils portent aux renseignements qui leur sont communiqu s En ce qui concerne les informations formelles le probl me est diff rent Les volumes de donn es analyser sont souvent consid rables Le nombre de revues diis es de par le
20. MATERIAUX METALLIQUES CHOIX PERFORMANCES TRAITEMENTS VEILLE TECHNOLOGIQUE RESPONSABLE LIEURADE DEVALAN FAISABILITE CORRESPOND A NOS COMPETENCES NOS MOYENS NOTRE DISPONIBILITE DESCRIPTEURS REVETEMENTS POLLUTION CADMIUM DOCUMENTATION INNOVATION TECHNOLOGIQUE REGLEMENTATION DESC_LIBRE SUBSTITUTS Figure 11 Fiche de besoin Une paire de mots est constitu e de deux mots appartenant une m me fiche ou un m me champ si nous consid rons la fiche pr c dente 7 mots cl s ont t utilis s pour l indexation rev tements pollution cadmium documentation innovation technologique r glementation et substituts ce qui repr sente 21 paires rev tements pollution rev tements cadmium rev tements documentation Page 89 Chapitre IIT rev tements innovation technologique rev tements r glementation rev tements substituts pollution cadmium pollution documentation pollution innovation technologique pollution r glementation pollution substituts cadmium documentation cadmium innovation technologique cadmium r glementation cadmium substituts documentation innovation technologique documentation r glementation documentation substituts innovation technologique r glementation innovation technologique substituts r glementation substituts est possible de relever sur l ensemble des fiches la totalit des paires existantes et don
21. P le Expertise Geet Mise en forme lt ynth se Archivage Diffusion D cision Figure 27 Sch ma g n ral de fonctionnement du r seau de veille car l un et l autre doivent allier des comp tences dans le domaine du traitement des informations dans l animation de groupe et dans la conduite de projet Nous avons choisi ce mode d organisation car il pr sente le formalisme suffisant pour garantir un suivi strict des op rations contr le des flux par le coordinateur tout en permettant de profiter au maximum de toutes les comp tences disponibles et de conserver pour chacun un important degr de libert Les quipes techniques interviennent au niveau de la collecte et du traitement dans un cadre bien d fini et qui s int gre leur activit principale Ils peuvent s affranchir des t ches lourdes d organisation d actions commerciales de gestion de documents de mise en forme de suivi des clients pour se consacrer des op rations qui correspondent davantage leur m tier Le coordinateur intervient pour faciliter leur travail et veiller au respect des d lais impos s par la r alisation de dossiers de synth se et par l organisation de journ es semestrielles Il favorise la circulation des flux d informations entre les diff rents p les Les changes entre le coordinateur et les quipes techniques comme nous le verrons dans les paragraphes qui suivent sont multiples et la qualit des relations qu ils entretienn
22. Pollution Lutte contre Prix de revient Rev tements T les travail 1 fois dont Composites matrice m tallique Ces synth ses se situent l interface entre les donn es globales chiffr es et les fiches de besoins elles m mes L accent est mis sur les points qui paraissent importants et m ritent plus ample r flexion Elles sont destin es faciliter la compr hension de l ensemble des donn es et susciter des demandes de responsables qui auront acc s aux fiches d origines via la base de donn es Parall lement ce rapport centr sur les sch mas directeurs et sur les th mes techniques mergents un rapport destin tudier les caract ristiques de la demande de produits et services dont les r sultats s articulent autour des sous segments professionnels et des formes de transfert est diffus aupr s des responsables commerciaux 2 ANALYSE ET EVALUATION DES BESOINS SUIVANT LA VISION TRANSFERT Les informations regroup es dans ce rapport sont avant tout quantitatives L aspect qualitatif r sulte simplement de l utilisation de m thodes et d outils statistiques dans le but non plus d effectuer des statistiques descriptives simples mais de comprendre la structure des fiches Ces m thodes font principalement appel l Analyse Factorielle des Correspondances A F C qui permet d exploiter des matrices de fr quences croisant des variables de nature diff rente les th mes techniques et les formes de tr
23. V Nb Ta Mo W Si or B chemically bonded to the diamond they may also comprise the borides carbides or nitrides of those metals The metal be present as uniform film less than 0 1 micron thick The diamond is formed by directing an excited hydrocarbon hydrogen gas mixt against a heated substrate under appropriate conditions deposition being interrupted at least once to allow deposition of metal by CVD ADVANTAGE Consistent and uniform prodn of reliably high strength films in which all grain boundaries are interrupted in each layer Dwg 0 0 TT HIGH STRENGTH MULTILAYER DIAMOND FILM Mots du titre index s OBTAIN CVD METALLIC NUCLEATE SITE INTERFACE INTERRUF T GRAIN BOUNDARY ONE PASS FRAME TRANSVERSE CONE AXIS TEMPERATURE DATA Figure 47 Fiche wPiL Page 176 Chapitre IV B ANALYSE GENERALE L analyse g n rale pr sente les grandes tendances relev es dans les 682 brevets tudi s except pour l volution qui t obtenue avec les commandes statistiques en ligne Les donn es sont pr sent es sous formes de tableaux et de graphiques Nous ne reprendrons ici que les commentaires et quelques tableaux et graphes illustratifs Evolution des d p ts analyse du champ PR Au cours de ces huit derni res ann es le nombre de d p ts au niveau mondial reste stable et oscille entre 3600 et 4250 par an Les brevets europ ens repr sentent environ 10 des d p ts et leur volution e
24. WASTEWATER ANALYSIS WASTEWATER TREATMENT ZEOLITES Figure 3 7 Exemple de r f rence ENVIROLINE formai AU serveur ESA Page 153 5 Produite par Predicast la base rel ve les informations relatives la production aux technologies aux produits aux march s aux fusions et acquisitions la R amp D la r glementation au commerce ext rieur et l environnement de toutes les industries et services Les donn es proviennent de 1200 p riodiques journaux et tudes du monde entier Son volume est de 2 3 million de r f rences et augmente de 148 000 documents par an Les donn es sont pr sent es en anglais et peuvent tre des signalements bibliographiques ou des textes int graux Elle poss de un thesaurus des soci t s Sa mise jour est hebdomadaire et quotidienne sur DATASTAR AN 5161947 SO News Release June 14 1994 Page s N A TI KCD25 Thin Film CVD Diamond Coated Metalcutting Insert Grade KM LOCK Quick Chan TX At IMTS 94 booth 2129 Kennametal Inc will introduce KCD25TH a diamond coated metalcutting insert grade and the new KM LOC clamping device for the company s KM quick change tooling system Kennametal will also display its offering of Advantaged Solutions products and programs that enable customers to obtain maximum performance in both the metalworking and business aspects of their operations Kennametal s new KCD25TH insert grade consi
25. composition de compos s gazeux ne laissant pas de produits de r action du mat riau de la surface dans le rev tement c d proc d s de d p t chimique en phase vapeur C23C 004 Rev tement par pulv risation du mat riau de rev tement l tat fondu p ex par pulv risation l aide d une flamme d un plasma ou d une d charge lectrique 23 022 Traitement chimique de surface de mat riaux m talliques par r action de la surface avec un milieu r actif laissant des produits de r action du mat riau de la surface dans le rev tement p ex rev tement par conversion passivation des m taux C25D 005 D p ts de m taux par voie lectrolytique caract ris s par le proc d Pr traitement ou post traitement des pi ces C25D 003 D p ts de m taux par voie lectrolytique Bains utilises C23C 028 Rev tement pour obtenir au moins deux couches superpos es e Mots du titre index s analyse du champ Tous les mots du titre apparaissant dans au moins 1046 des brevets ont t recens s Pour faciliter leur lecture 11 faut imp rativement liminer les mots vides et regrouper les termes restants par cat gories Le d coupage le plus appropri notre tude est le suivant Page 179 Chapitre IV technologies mat riaux substrats ou mat riaux de rev tement applications propri t s appareillages Nous donnons dans le tableau 11 l exemple des m
26. de leur volution sont de tout premier int r t Des mesures qualitatives et quantitatives corr l es aux informations techniques permettront l entreprise de se positionner et de mesurer ses chances de succ s dans un secteur donn Dans tous les cas il n est pas de r ussite envisageable sans une connaissance approfondie du march dans lequel on d sire voluer Nature des informations veille globale Dernier domaine envisag la veille globale Elle concerne des informations de natures tr s vari es que les professionnels ont du mal regrouper sous une seule tiquette Tous reconnaissent la n cessit d en tenir compte mais ce sont sans doute les informations les moins trait es par les services de veille Pour la plupart elles concernent peu le niveau op rationnel de l entreprise et sont davantage destin es aux chelons strat giques e Les informations politiques les facteurs politiques ont souvent un impact consid rable sur la strat gie des entreprises Un changement de gouvernement peut avoir des infl chissements directs sur les entreprises tant au niveau national qu international Des soci t s ayant l Etat pour principal client devront s interroger sur les cons quences qu aurait un changement de gouvernement sur son chiffre d affaires de m me que des soci t s qui d sirent s tablir l tranger devront consid rer les donn es politiques du pays en question quelle est la stabilit du go
27. es Mat riaux utilises Domaines d application Propri t s recherch es Appareillages utilises Nombre de brevets Principaux d posants Pays d posants Analyses Identification des Analyses Pays de protection th mes techniques quantitatives Caract ritiques qualitatives jat mat riaux utilises domaines d application propri t s recherch es Analyse d taill e Nombre de brevets Analyses Identification des Anayses a ee litatves domaines d application titati dur SE quaniitatives quantitatives Analyse des corr lations ae applications technologies Nombre de brevets Analyses Identification des U ngs logies utilis es qualitatives Propri t s recherch es quantitatives Analyse des corr lations et qualitatives propri t s technologies Figure 46 Contenu des analyses bibliom triques Certains traitements simples peuvent tre r alis s en ligne gr ce aux commandes statistiques disponibles sur la majorit des serveurs et qui permettent d obtenir la liste des mots par Page 173 Chapitre fr quence croissante ou d croissante contenus dans un corpus Des logiciels ont t d velopp s au CETIM et dans les milieux universitaires pour permettre une exploitation plus compl te des donn es ligne DEVA92 DOU91 Ils permettent notamment de constituer des matrices de corr lations par l application des techniques de t l chargement envoi automatique des sessions d interrog
28. es professionnelles ADBS 1993 14 dition 440 p L entreprise face la mutation technologique Smail Ait El Hadj Les Editions d Organisation 1989 258 p Le processus de veille strat gique examin du point de vue des directions d achat B Ballaz Revue fran aise de gestion industrielle n 3 1993 65 76 L enqu te Innovation R Barr P Kaminski La lettre de l OST n 3 Avril 1991 p 1 8 Environmental scanning and dialectical inquiry J Belohlav L Sussman Managerial Planning vol 32 n 2 1983 p 46 49 L industrie de l information M F Blanquet ESF diteur 1992 240 p Brevets et marques outils pour la strat gie de l entreprise Journ es d tudes ADBS A Bordelet Bases n 74 1992 p 1 4 primer on critical success factors C V Bullen J F Rockart Rapport CISR WP 69 SLOAN WP 1270 81 Center of Information Systems Research Research Sloan School of Management MIT Juin 1981 La bande dessin e dans la presse d entreprise D Cagniard Humanisme amp Entreprise n 199 1993 2 1 36 From translation to problematic networks an introduction to co word analysis M Callon J P Courtial W Turner Information sur les sciences sociales vol 22 n 191 1983 Page 201 Bibliographie CALL91 CAMP92 cANT9 1 CAST93 CAST94a CAST94b CHAU88 CLIC93 CLUS87 COUR90 86 Des instruments pour la gestion et l valuation des programmes technologiques cas de l A
29. industriel fait apparaitre une opportunit d action commerciale l information est transmise une quipe du Centre qui pourra prendre contact avec l tablissement pour r aliser une prestation 2 COMITE DE PILOTAGE LES RESPONSABLES DE SCHEMAS DIRECTEURS Le comit de pilotage compos de trois collaborateurs du Marketing analyse le probl me et d signe les domaines de comp tences techniques du CETIM concern s par le besoin Ils correspondent aux sch mas directeurs ou aux programmes professionnels du Centre et sont au nombre de 29 regroup s en six grandes classes Page 84 Chapitre 111 CONCEPTION CAO DAO Calcul mod lisation Conception de produits particuliers ou m thodes de conception MATERIAUX Mat riaux m talliques choix performances traitements Ma teriaux polym res choix performances mise en forme Lubrifiants PRODUCTION Production m canique outils g n raux et usinage Automatisation Mise en forme par forgeage Mise en forme des t les Assemblages m caniques Assemblages soud s Assemblages colles CONTROL ES Contr les m trologie CND mesures surveillance Acoustique Essais de prototypes mesure sur site COMPOSANTS ET MACHINES Outils g n raux pour la conception de machines fiabilit maintenance vibrations Machines particulieres frigorifiques compresseurs Micro lectronique commandes Composants m caniques Actionneurs hydrauliques et pneumatiques Composants hydra
30. ke Veille techno 57 Subst proc HE 19 Subst mat nouv 44 Subst assemb 22 Subst CFC 22 Fournisseurs 32 Env sauf bruit 65 Ech de donn es 19 Normalisation 28 Normes r gl 59 mat alim 24 R glementations 32 Soutien CETIM 44 Gestion RH 61 100 120 REPARTITION DES BESOINS EXPRIMES PAR THEMES TECHNIQUES FORME DE TRANSFERT CONSEIL etses Forg malt proc Pivot EVE TT TS ESS ETS S Cone trig th EEN TEE 222 21 000009 Lutte ctr bruit Conc ass viss s Plast peint Collage Usinage Surveillance Soudage Mod lisation Mes aide choix Gestion outils CAO DAO Cone vibr autom Approv m taux aide choix Trav t les out Trav t les proc Trav t les conc Cakul struct proc HE Robot prod Subst assemb Am i comp m c R glementstions Normes r gi Maint org Sukat mat nouv Forg outillage Produetivite maint Mach aide choix stet qt Corrosion Fetig saut calc Lub saut frigo Contr le autom GPAO Toii me veal avaries Conc chariots Veille techno C ramiquee Fae comp Mont sssemb Contr le dim t Codes cale Maint mach sp Am iio tanch rondere Am lio hyd d b Conc mach sp hyd pneum comp Soutien CETIM Devis meth Foumisseurs Conc mach out saut bruit Ana mat Ech de donn es Cormr le 30 Composites
31. marche nous a permis d analyser les th mes un par un afin d en donner les principales caract ristiques L ensemble des informations est pr sent en plusieurs paragraphes nombre de brevets du th me d posants soci t s et ou inventeurs qui s illustrent dans ce domaine d p ts prioritaires pays o sont effectu s les d p ts de brevets BASIC tats d sign s pays dans lesquels les inventions sont prot g es caract ristiques qui contient les mots du titre index s regroup s par mat riaux applications et propri t s De plus pour les th mes concernant l environnement et les rev tements multi couches nous avons list les principales technologies concern es Page 182 Chapitre V 48 Identification des th mes techniques Graphe des liens Figure Page 183 Chapitre IV Nous dormons titre d exemple l analyse relative au th me 19 D p ts CVD l analyse est la suivante Nombre de brevets 108 rincipaux d posants 2 brevets GENERAL ELECTRIC dont 1 avec CARBIONIC SYSTEMES brevets brevets brevets LEYBOLD AIR PRODUCTS amp CHEMICAL IDEMITSU PETROCHEM MITSUBISHI MATERIAL NORTON SANVIK dont 1 avec SECO TOOLS SUMITOMO ELECTRIC BALZERS BOC GROUP CARBIONIC SYST MES dont 1 avec GENERAL ELECTRIC DIAMONEX DUPONT DE NEMOURS SOCIETE EUROPEENNE DE PROPULSION FUJITSU KALI CHEMIC KENNAMETAL NGK INSULATORS SEMI CONDUCTOR ENERGY LAB TOYO
32. me dans chaque grand segment professionnel Ces premi res donn es relativement globales sont compl t es par une analyse davantage qualitative sur l importance des diff rents th mes et leurs principales volutions Un diagramme dit diagramme strat gique inspir des travaux de J P Courtial COUR90 et des sorties graphiques propos es par le logiciel LEXIMAPPE permet de visualiser l importance de chaque th me en fonction de deux crit res la densit et la centralit La densit correspond au nombre de besoins exprim s pour ce th me et la centralit au nombre de liens entre ce th me et d autres th mes calcul partir des fiches relatives plusieurs th mes Page 104 CAO DAO 49 TGAO 6 Calcul struct 91 Mod lisation 37 Codes calc 32 MATERIAUX M t aide choix 51 Revet trait 103 Corrosion 42 Frott usu abra 41 Calc fatigue 15 Fatig sauf calc 18 Fonderie 9 Approv m taux 18 Mat d outil 10 C ramiques 11 Ana mat m t 19 Ana avaries 29 Essais 14 Plast peint 59 Composites 25 Ana plast comp 6 Lub sauf frigo 44 Chapitre 111 REPRESENTATION DES THEMES TECHNIQUES EN FONCTION DES SEGMENTS DE MARCHE Oo HEN DH Ecl pc MUNAAN Raum M tiers Composants et petits quipements D Equipements Figure 17 Histogr
33. nature des informations trait es par un service de veille sources utilis es et moyens mis en oeuvre pour la collecte que nous avons relev les premi res similitudes entre diff rents syst mes La deuxi me grande caract ristique commune concerne le traitement l analyse et la validation des informations obtenues TRAITEMENT Force est de constater que la p riode que nous vivons n est pas celle de la disette d informations D s la premi re heure du matin votre t l vision ou votre radio vous abreuvent de nouvelles avant que la presse quotidienne ne prenne le relais Lorsqu ensuite vous prenez possession de votre bureau votre courrier est l qui vous attend c t de la pile de revues en circulation qu il vous faut parcourir et ce n est parfois rien en comparaison de ce qui vous attend dans la journ e Face une telle abondance comment ne pas se laisser submerger Comment ne retenir que l essentiel Tout simplement en utilisant des filtres de la m me mani re que vous utilisez le sommaire d une revue pour aller directement aux rubriques qui vous int ressent et que vous lisez rapidement un titre ou un r sum pour savoir si l article est digne d int r t l astuce tant de trouver les zones d quilibre entre l information souhait e l information fourme et l information r ellement utile GHOS86 F Jakobiak a d crit le ph nom ne de surabondance de l information JAKO88 Dans le flux permanent qui irrigue l entre
34. re tape qui entre dans la constitution des fiches de besoins Le fichier des besoins est alors compl t et chaque fiche est r ind x e et enrichie d un champ THEME suppl mentaire ainsi que le montre la figure 16 NUMERO 664 SOUS_SEG TRAITEMENTS THERMIQUES ET SUPERFICIELS EMETTEUR SUTTER DATE 09171992 IFCE 000000 ETABLISSEMENT XXXXXX TAILLE PETITE TAXE c 40 KF UELL TELEPHONE 00000000 XXXXXX FONCTION RESPONSABLE D EXPLOITATION prosLeme Recherche un substitut aux rev tements lectrolytiques de cadmium Recherche documentaire caract risation de proc d s potentiellement int ressants comment volue la l gislation dans le monde que va faire la CEE osyecries Le cadmium tr s utilis dans l a ronautique est menac d interdiction voyens Pr t participer une veille documentaire collective FORME_DE_TRF PRESTATION FORME_DE_RECH PAYANTE DELAI COURT TERME REPETITIF SCHEM_DIR MATERIAUX METALLIQUES CHOIX PERFORMANCES TRAITEMENTS VEILLE TECHNOLOGIQUE RESPONSABLE LIEURADE DEVALAN FAISABILITE CORRESPOND A NOS COMPETENCES NOS MOYENS ET NOTRE DISPONIBILITE DESCRIPTEURS REVETEMENTS POLLUTION CADMIUM DOCUMENTATION INNOVATION TECHNOLOGIQUE REGLEMENTATION DESC LIBRE SUBSTITUTS THEMES REVETEMENTS ET TRAITEMENTS CHOIX ET MA TRISE ENVIRONNEMENT LUTTE CONTRE LA POLLUTION INFORMATION TECHNOLOGIQUE VEILLE TECHNOLOGIQUE Figure 16 Fiche de bes
35. s n tant pas sp cifiques d une technologie et inversement Les analyses statistiques sont tr s compl mentaires des analyses documentaires Les premi res proposent une vision tendue sur les trois cinq derni res ann es alors que les secondes proposent des donn es davantage d actualit s qui n exc dent pas douze mois De plus elles proposent des r sultats sans tenir compte d ventuels a priori Les r sultats ne rev tent aucun caract re prospectif ce ne sont pas des donn es pr dictives Le rapport n a pas pour objectif de tirer des conclusions qui risqueraient d tre h tives mais de donner des indications que chacun pourra exploiter selon ses objectifs Le but est de brosser un tableau complet du domaine tudi et d en d terminer les caract ristiques principales est pour cela important de pr senter les trois composantes qui caract risent la structure du domaine th mes techniques domaines d applications propri t s et de rechercher les tendances et les acteurs qui les distinguent Les analyses qualitatives sont primordiales Elles suscitent souvent l int r t des clients qui d sirent obtenir des renseignements compl mentaires sur des points particuliers fiches brevets correspondantes ou analyses compl mentaires Page 191 Chapitre IV Rev tements avec des poudres D capage avec des solutions de sels fondus PROP 8 Attaque polissage D craissage PROP 3 ABRASION Trempe s
36. ses effets La r ponse passe in vitablement par une organisation interactive au sein de l entreprise et par un mode de fonctionnement en r seaux PLAN92 Page 20 1 Faire fonctionner l entreprise en r seaux organiser la circulation de l information de fa on ce que toutes les fonctions soient l coute du march et que la recherche d veloppement puisse remplir des fonctions allant de la formation au conseil ou au d veloppement de sauts technologiques implique au premier chef la reconnaissance de l information brevets bases de donn es documentation technique L organisation interactive ne suppose pas la disparition des fonctions mais au contraire leur mise en relation l int rieur de l entreprise et leur mise l coute de l ext rieur de celle ci Mais ce type de fonctionnement trouve aujourd hui encore de multiples freins d ordre techniques et sociologiques Sans aborder ce probl me de mobilisation g n rale et d attitude commune autour d une activit organis e force est de constater que dans la pratique trois principaux acteurs sont impliqu s dans la collecte de renseignements les sp cialistes de l information documentaire les sp cialistes des domaines concern s experts et les commerciaux D autres observateurs pourront venir renforcer le dispositif mais on ne dissocie jamais la veille de ces trois p les essentiels e Les sp cialistes de l information
37. t un caract re permanent le deuxi me niveau correspond aux donn es quantitatives et leur interpr tation Le tableau crois g n ralis en est une forme et les histogrammes comptages analyses de corr lations qui peuvent en d couler en sont d autres le troisi me niveau qui se situe l interface entre les donn es purement quantitatives et les fiches de besoins elles m mes correspond des synth ses labor es suite la lecture de fiches qui pr sentaient des caract ristiques communes m me sch ma directeur du CETIM concern par exemple Nous avons estim qu il tait primordial de restituer ces trois niveaux d information dans nos analyses En ce qui concerne la diffusion des r sultats afin de nous placer dans le contexte de la strat gie nous avons choisi de pr senter l ensemble des r sultats sous la forme de deux rapport distincts Suivant une vision technique et suivant une vision transfert Le premier Enqu te de besoins 1992 Analyse et valuation des besoins recens s Vision technique DEV A93a se compose de trois parties analyse des th mes techniques exprim s par les industriels examen de la demande par domaine technique du CETIM analyse d taill e des th mes par domaine technique Page 103 Chapitre second Enqu te de besoins 1992 Analyse et valuation des besoins recens s Vision transfert DEVA93b se compose galement de trois parties d
38. tudes La scientom trie en action Juin 1992 Paris p 23 33 M thodologie de veille technologique analyse de donn es et avis d experts P Devalan S Dumas IDT93 L information intelligence de l entreprise Paris 22 24 Juin 1993 p 51 55 Exploitation de l enqu te de besoins par le CETIM Utilisation des coefficients de similitude et de dissimilitude S Dumas L Quoniam Congres sur les syst mes d informations labor es SFBA Ile Rousse Juin 1993 p 138 157 Needs analysis for french mechanical companies A method for strategical marketing of the technology S Dumas P Devalan H Dou Soumis Technology Analysis and Strategic Management
39. tudes d int r t g n ral acc s aux programmes europ ens de recherche et de transfert de technologies conseil et assistance technique analyses essais contr les expertises normalisation certification Le m moire que nous allons pr senter concerne principalement les deux premiers points L une des t ches essentielles des Centres Techniques est l information De multiples questions gravitent autour de ce th me comment d terminer les sujets d int r t des industriels Quels sont leurs besoins Comment doit on informer les entreprises de l volution technologique Page 1 Introduction Quel type de produit doit on laborer Que signifie faire de la veille pour un Centre Technique Notre travail s est inscrit dans un projet global qui consiste d finir et mettre en place partir du marketing des besoins et de la veille technologique une d marche de veille strat gique Nous pr senterons dans un premier chapitre une tude que nous avons r alis e afin de d terminer les grandes sp cificit s des syst mes de veille leurs fondements leurs caract ristiques communes ou au contraire les aspects qui les distinguent les uns des autres Cette tude qui r sulte de la visite de plusieurs soci t s ou organisme et qui est tay e par une analyse bibliographique eu pour objectif de poser les bases m thodologiques sur lesquelles s appuie notre d marche de veille Elle mont
40. 22 24 Juin 1993 p 51 55 M thodes de pilotage strat gique de la R amp D d un Centre Technique P Devalan Communication Personnelle Notes priv es Manuel d utilisation du CD ROM DIANE CD ROM Edition amp Diffusion Paris SCRL Lyon Ao t 1992 Les publications en chimie Les indicateurs de tendances H Dou P Hassanaly L Quoniam Revue frangaise de bibliom trie n 5 D cembre 1989 p 30 56 Veille technologique et information documentaire De l usage de la bibliom trie dans les services de documentation Dou P Hassanaly L Quoniam La Tela Documentaliste vol 27 n 3 Mai Juin 1990 p 132 140 Automatic generation of strategic matrices from online databases H Dou P Hassanaly World patent information 199 1 Intelligence sociale et veille technologique H Dou Humanisme et Entreprise n 37 1993 p 53 64 Exploitation de l enqu te de besoins par le CETIM Utilisation des coefficients de similitude et de dissimilitude s Dumas L Quoniam Congr s sur les syst mes d informations labor es SFBA Rousse Juin 1993 p 138 157 Page 203 DUMA93b DUMA94 DUTH92 ESC088 FELD9 GALL90 GERM93 0586 GODE85 GODE9 GUYA93 HUET92 Bibliographie Traitements de Surface dans le domaine de la m canique Etude bibliom trique sur les brevets Europ ens S Dumas D Duchateau B Sutter Veille Technologique Traitements de Surface 1993 98 p Needs analysis for fren
41. 3 brevets MITSUBISHI MATERIALS UNION CARBIDE brevets MTU MUENCHEN UNITED TECHNOLOGIES brevet ASEA BROWN BOVERI HUELS EUROCOPTER DEUTSCH GENERAL MOTORS LIBURDI ENG ROLLS ROYCE SOCHATA TAMPELA TELATEK WARNER LAMBERT Universit de DAYTON T D PETERSEN inventeur rincipales technologies cit es rojection thermique 10 J p ts CVD 6 Rev tements partir de poudres 4 Rev tements multi couches 4 D p ts PVD 4 gt mentation nitruration 3 Page 187 Chapitre IV Outre ces donn es les corr lations qui existent entre les dii rentes applications et les technologies concern es sont analys es en appliquant la matrice technologies x applications une Analyse Factorielle des Correspondances et une Classification Hi rarchique Un graphe figure 49 mat rialise l ensemble des liens qui unissent les diff rentes variables les fl ches importantes mat rialisent les liens forts et les petites fl ches les liens plus faibles Une lecture rapide permet de visualiser facilement les fortes corr lations applications technologies Outils PVD CVD A ronautique Rev tements par projection CVD Moteurs C mentation Pi ces m caniques C mentation Trempe superficielle Rev tements d coratifs D capage chimique Nucl aire Proc d s lectrolytiques Page 188 inhibiteurs de corrosion APPL 11 D capage avec des APPLI 10 Is fondus APPLI6 J
42. Caic fatigue Frott usu abra Met d outil Normalisation transit Hyg mat alim Forg conc FAO CN TGAO CNO karntification M th conc Essais m ca Homologation Usin gde vit Gestion RH Subet CFC 45 Mat m tal P m ca usinage Polym res Contr les Certification Calcul mod l Acoustique Soudage Out g n mach Qualit Travail t les Automatisation Comp m ca CAO DAO Commande lect Veille techno Forge Etanch it Env s cu ergo Hyd de d bit Lubrifiants Act hyd pneu Assembi m ca Collage Int grat Into Normalisation Mach frigo Hors comp t Concept prod Essais proto REPARTITION DES BESOINS EXPRIMES PAR DOMAINES TECHNIQUES DU CETIM FORME DE TRANSFERT CONSEIL 90 100 110 120 130 Eqm agricole Chaudronnerie M ca gale Mat riel TP Mat chimie plast Mat manutentlon D coup embout Mat therm frigo Pompes Forge Roulements Machines outils Mat Indus Transm hyd pneu Mesure Mach bureau Quincaillerie Out lectroport Eqm Indus papler Boulonnerle Tratt therm et sup Mat m d chir Out machines Robinetterle Mat textile Mot compress Engrenages Art app m nagers REPARTITION DES BESOINS EXPRIMES PAR SECTEURS PROFESSIONNELS FORME DE TRANSFERT CONSEIL 20 30 40 50 70 11 Liste des travaux labor s dans le cadre de la thkse Documents internes Enqu te de besoins 1992 Analyse et valuation des besoins rece
43. Chapitre IV COMPENDEX PLUS C est la base la plus importante dans le domaine de la m canique N e en 1970 et produite par Engineering Information elle s enrichit de 160 000 nouveaux documents par an pour un total de plus de 2 5 millions de r f rences Elle propose des r f rences scientifiques et techniques dans tous les domaines des sciences de l ing nieur dont la m canique la m tallurgie les mat riaux et le g nie civil Les donn es sont issues de l analyse de 2500 p riodiques et publications d organisations et soci t s d ing nierie actes de congr s monographies et rapports Les documents sont pour pr s de la moiti d origine am ricaine la Grande Bretagne et l Allemagne tant les deux autres pays les plus repr sent s La principale langue de publication est l anglais 80 et tous les documents sont signal s en anglais La base poss de un plan de classement et un thesaurus Engineering Information thesaurus Sa mise jour est mensuelle Quest Accession Number 94012363 EIX9405 1136296 Compendex Plus Issue 9405 Zinc manganese alloy electrodeposition Author s Gabe D R Wilcox G D Jamani A Pearson B R Corporate Source Loughborough Univ of Technology Leicestershire Engl Source Info Metal Finishing v 9 1 n 8 Aug 1993 p 34 36 Journal Name Metal Finishing Publication Year 1993 CODEN MEFIA ISSN 0026 0576 Language English Document Type Journal Article Treatment Exper
44. ESA Page 151 POLLUTION ABSTRACTS Cette base est produite par le Cambridge Scientific Abstracts depuis 1970 Elle couvre tous les domaines de l environnement qualit de l environnement sources et contr les de la pollution pollution de l air de l eau de la terre pollution thermique radiologique bruit pesticides traitement des eaux us es Elle compte 160 000 r f rences auxquelles 9000 viennent s ajouter chaque ann e Les donn es sont issues de l analyse de 5000 p riodiques ouvrages actes de congr s rapports gouvernementaux rapports de recherche Les citations en langue anglaise repr sentent 90 du total Elle poss de un plan de classification et une liste de termes index s Les signalements sont en anglais Sa mise jour est bimestrielle Quest Accession Number 93006756 9346756 Pollution Phosphorus removal and its influence on metal speciation during wastewater treatment Yeoman S Lester J N Perry R Dep Civ Eng Imperial Coll Sci Technol and Med London SW7 2BU UK WATER RES VOL 27 NO 3 ppp 389 395 Publ Date 1993 Avail SUMMARY LANGUAGE ENGLISH Lang ENGLISH The effect of chemical phosphate precipitants on heavy metal distribution in sewage sludges was investigated The proportion of solids contained within each particle size range was affected by treatment For the metals chemical precipitation appeared to shift the distribution throughoul various chemi
45. Etablir une liste pr cise des personnes charg es de la collecte Etablir une liste pr cise des personnes charg es du traitement les supports de diffusion disponibles et leurs caract ristiques Mesurer le degr de satisfaction des destinataires Veiller la motivation de l ensemble des personnes impliqu es dans le syst m gt gt gt gt gt gt gt gt et au respect des t ches assign es chacun Il s impose donc comme chef de projet Son effkacit d pendra autant de ses connaissances techniques que de sa capacit communiquer Le montant global dune veille multi clients oscille entre 500 000 et 700 000 francs par an Les co ts de collecte restent relativement limit s Les frais d interrogation de bases de donn es n exc dent g n ralement pas 50 000 francs et la couverture des congr s internationaux s l ve en moyenne 15 000 francs par congr s Les autres sources abonnement aux revues achats de ne sont pas comptabilis es car elles n entrent pas dans le budget propre aux veilles technologiques Il faut galement ajouter l organisation des journ es de pr sentation dont le montant gravite aux alentours de 10 000 francs Dans ce cas encore c est le temps n cessaire la collecte et aux diff rents traitements qui s av re le plus on reux car un programme annuel n cessite environ 1500 heures de travail soit pr s d un homme an Parall
46. ION 65 VEHICULES 49 Se CENTRALITE NOMBRE D E THEMES RELIES Figure 19 Di gramme strat gique Page 108 Chapitre les m taux rev tements et plastiques et la production avec l usinage l organisation d la production l aide au choix des machines b Examen de la demande par domaine technique du CETIM L analyse pr sente quatre histogrammes qui caract risent la demande d un point de vue global un histogramme simple qui donne le nombre de besoins exprim s par domaines techniques du CETIM annexe 3 et trois histogrammes multiples qui donnent la r partition pour chaque domaine technique des besoins exprim s par segment professionnel par taille d entreprise et par forme de transfert annexes 4 5 6 Ces donn es n indiquent pas globalement une typologie tr s marqu e L expression des besoins en fonction des segments professionnels reste biais e par le taux de repr sentation de certains sous segments par rapport d autres la taille d entreprise n est pas un crit re d terminant dans la r partition les besoins se distribuent de facon gale par taille d entreprise et quelque soit le domaine et les modes de transfert se retrouvent dans quasiment tous les domaines avec toutefois des proportions diff rentes Un l ment davantage descriptif pris en consid ration est la capacit de r ponse du CETIM II s agit de l exploitation des niveaux de faisabilit port s
47. LARD90 L avantage de poss der les r f rences sur support magn tique est d offrir une grande libert pour des traitements ult rieurs notamment pour la cr ation d une base de donn e interne pour des travaux de mise en forme et pour effectuer d ventuels traitements statistiques La cr ation d une base interne est indispensable d s lors que les sources utilis es sont multiples et risquent de pr senter des redondances En effet les documents collect s dans les revues pourront paraitre quelques semaines plus tard dans les bases de donn es Il faut v rifier imp rativement que les documents collect s d un semestre sur l autre ne font pas double emploi Nous utilisons pour cela les logiciels d velopp s par I K INFOBANK pour g rer la base de donn es en interne et INFOTRANS avec le module INFODUB pour pr parer les donn es et liminer les doublons Moins r centes que dans le cas des revues les donn es recueillies n en sont pas moins importantes car les bases de donn es offrent un outil unique d acc s de multiples informations documents scientifiques technologiques brevets donn es technico conomiques Dans ce cas la d marche suivie est diff rente car elle fait intervenir le coordinateur dans la phase de collecte C est lui que revient la charge d effectuer l interrogation des bases de donn es il doit cependant s appuyer sur les diff rents experts pour Page 140 Chapitre tablir les quat
48. SEUR94 SPRI93 Bibliographie Les mat riaux du futur Pour la science n 110 D cembre 1986 Prospectives 2005 PLAN CRNS Editions Economica Rapport d activit s 1993 CETIM 64 p La management des technologies J M Ribault B Martinet D Lebidois Les Editions d Organisation 1991 390 p Les logiciels de reformatage et de communication 2 me journ e d tudes AFUSIE B Riou Bases n 92 1994 p 1 5 Chief executives define their own data needs J F Rockart Harvard Business Review Mars Avril 1979 p 81 03 Veille technologique et bibliom trie concepts outils applications H Rostaing Th se de doctorat Universite de droit et des sciences d Aix Marseille Facult des sciences et Techniques de St J r me Janvier 1993 353 p Pratique de la prospective et de la veille concurrentielle dans un grand groupe R Salomon Conf rence SCIP Avril 1993 Le marketing de la recherche ou comment assurer le recensement des besoins en recherche des PMI C Sayettat Congr s FEICRO F d ration Europ enne Paris 15 16 Juin 1992 D cider sur plusieurs crit res Scharling Presses Polytechniques Romandes 1985 p 304 A new model of the innovation process KJ Schmidt Tiedmann Research Management n 25 1982 p 18 21 Le management de l innovation R Seurat Futuribles n 187 mai 1994 p 35 44 Typical steps in starting up SME research projects Rapport CEE FEICRO programme SPRINT RA280 Editeur Dan
49. actions inter professionnelles dans le cadre de bugets d finis de r partir et d affecter rationnellement le montant des cotisations par domaines de comp tences Nous allons dans ce qui suit d tailler le d roulement complet des op rations Bien que cela ne touche pas directement notre travail nous reviendrons dans un premier temps sur la proc dure d enqu te segmentation chantillonnage visite et laboration de la fiche de besoins car la connaissance de ces tapes est indispensable la compr hension des phases de traitement et de diision que nous aborderons ensuite 1 LA PROCEDURE D ENOUETE LA SEGMENTATION La premi re priorit d une soci t pour valuer attractivit de ses produits est de d limiter le march sur lequel elle doit op rer Le march total restant trop global 11 faut le d couper en une s rie de sous ensembles appel s march s de r f rence et sur lesquels pourra tre mesur e la valeur des diff rents produits Dans la vision classique du marketing les march s de r f rence peuvent tre d finis en terme d industrie caract ris e par l offre 1 technologie quels que soient les acheteurs concern s en terme de march caract ris par les besoins g n riques d un groupe d acheteur ou en terme de produits march caract ris par la fonction desservie pour un groupe d acheteurs et bas e sur une technologie particuli re Dans le cas du CETIM le march principal pr
50. brevets qui vont sortir en classe B war contient des champs d indexation Derwent Classes et Manual Codes par exemple qui rendent s re l interrogation et des champs r sum s qui permettent imm diatement de se faire une id e sur le caract re innovant du brevet notamment gr ce aux pr cisions du champ use and advantage sp cifiques Derwent Pour finir les co ts engendr s par la recherche syst matique sont finalement faibles les profils de recherche tant connus Pour des recherches par soci t surveillance des brevets concurrents par exemple le facteur temps est primordial Si la soci t est fran aise l interrogation pourra se faire sur reat Cl zear En effet les soci t s fran aises d posent principalement des brevets fran ais ou europ ens Si la soci t est trang re marc peut tre pr conis e faut cependant signaler sur WPAT la pr sence du cornpany code qui est un code univoque 5 digits Il permet donc de retrouver des soci t s en s affranchissant des probl mes d orthographe et de retrouver les diff rentes filiales e Pour les recherches r trospectives le facteur temps n est pas d terminant Mieux vaut privil gier la qualit de l information Les recherches r trospectives peuvent tre effectu es par th me d s que l on a identifi une cible privil gi e dans les sujets g n raux ou dans le cadre d analyses statistiques On doit alors approfondir dans le temps et rechercher le maximum d
51. c est dire de sa capacit fournir les informations les plus r centes D autres auront par contre une incidence directe Ainsi la discr tion de la source qui correspond sa sp cificit de n tre accessible qu un nombre restreint de personnes assurera au possesseur de l information une longueur d avance sur ses concurrents Les vecteurs d informations connaissant des disions tr s larges presse banques de donn es n entrent bien videmment pas dans cette cat gorie s agira plut t d informations ponctuelles du type tuyau dont il conviendra de v rifier le bien fond Le deuxi me param tre qui entre dans cette cat gorie est la fiabilit La cr dibilit d une information d pend souvent de la fiabilit de sa source Pour cette valuation deux facteurs pr vaudront l exp rience et le recoupement L exp rience permettra toujours un homme de m tier de juger de la fiabilit d une source du cr dit de confiance que l on peut lui accorder Ce que l on voit que l on entend que l on lit donne t il une image fid le de la r alit Ces questions sont d autant plus d actualit que les entreprises usent de mieux en mieux de l information pour duper la concurrence Un des moyens d viter ce pi ge est le recoupement En ce sens la redondance n est pas p nalisante elle offre au contraire une mesure de la c te des informations et de leur cr dibilit Trouver une m me information plusieurs reprises
52. canique Elle a t congue en 1975 dans un double but FELD91 r pertorier les faits marquants de la presse internationale en ce qui concerne les pratiques industrielles les innovations technologiques les domaines de pointe et les principales manifestations aider les utilisateurs faire des choix entre mat riels et m thodes et s informer au mieux sur les domaines dont l importance ne cesse de cro tre Produite par le CIT elle r pertorie aujourd hui plus de 100 000 r f rences bibliographiques Sa mise jour est mensuelle et son taux d accroissement est d environ 3000 notices par an La banque est h berg e sur les serveurs zsa zrs en Italie FIZ TECHNIK en Allemagne et sera bient t accessible via le serveur fran ais Page 53 Chapitre II La majorit des r f rences est essentiellement issue de l analyse de plus de 300 revues techniques internationales tableau 1 Les autres sources sont des actes de congr s des livres des rapports des traductions et dans une moindre mesure des communiqu s et des th ses Tableau 1 Documents sources utilis s de 1990 1994 Type de Nombre de document r f rences Revues Congr s Livres Rapports Traductions Communiqu s Th ses Les revues sont s lectionn es en fonction de leur caract re industriel et les articles retenus portent sur des parutions caract re technologique pratique ou novateur Les nouvelles revues sont choisies
53. ce stade de l tude nous pouvons remarquer que les trois dimensions du cube du m tier sont r unies et identifi es au niveau de chaque fiche les sous segments correspondent l axe march les domaines de comp tences ou sch mas directeurs l axe technique les travaux de R amp D et les formes de transfert l axe produits Il devient donc possible d tudier les triplets produits march s technologies et de d terminer les Domaines d Activit Strat gique du Centre Cependant la dimension technique ne fait ici appara tre que les domaines de comp tences du CETIM et plus particuli rement sa capacit de r ponse dans chacun d eux Rappelons le l objectif fondamental de la veille march est de d tecter les besoins techniques d un secteur industriel afin de pouvoir mieux y r pondre Il ne s agit en aucun cas de rechercher exclusivement des segments de march s qui offrent des opportunit s de d veloppement et qui pourront permettre de multiplier les b n fices Bien au contraire le but est de mesurer l ad quation entre les besoins parfois nouveaux des industriels et les comp tences du Centre pour si n cessaire en d velopper de nouvelles et quilibrer le potentiel des quipes faut donc consid rer l axe technique suivant les comp tences du Centre mais aussi suivant les besoins techniques qui mergent de l ensemble des fiches L id e a t d identifier partir des besoins recueillis les principaux th
54. chercher les confirmer par des tudes de march ou des veilles technologiques par exemple Page 127 Chapitre L int r t de cette veille est principalement travers les dossiers de synth se labor s de fournir des donn es aux responsables commerciaux pour les renseigner sur les produits demand s par les industriels de fournir des l ments aux responsables techniques et aux commissions professionnelles pour les aider d finir des sujets de R amp D et aider la Direction G n rale r partir efficacement les budgets au niveau de chaque quipe technique Les r sultats qu ils pr sentent ne sont en aucun cas destin s juger le travail des diff rentes quipes simplement ils donnent des indications sur les besoins des entreprises m caniciennes afm de mesurer leur ad quation avec les capacit s du Centre Ils sont accompagn s notamment d un rapport tabli par chaque charg de profession d un rapport g n ral sur la vision march d un rapport de synth se l usage des principaux interlocuteurs ext rieurs et bien entendu de la banque de donn es besoins La figure 26 r alis e par la direction du CETIM et dit e dans le rapport d activit du Centre reprend l ensemble de la d marche et souligne les principales fonctions des analyses ainsi que les responsables auxquels elles sont destin es Segmentation CIT Charg s de profession Echantillonnage Charg s de profession Recu
55. dans une strat gie Centr e March qui se fonde sur une meilleure connaissance des entreprises ressortissantes afin de mieux r pondre leurs besoins LE ROLE DES CENTRES TECHNIQUES DANS LES PROCESSUS D INNOVATION L innovation a toujours t consid r e comme un des moteurs les plus puissants de l conomie de march et elle se pr sente d sormais comme un des principaux gages de comp titivit des entreprises De nombreux th oriciens se sont int ress s 4 ses m canismes et ont cherch a en caract riser les processus Il est d sormais admis que l innovation ne se r sume pas un mod le lin aire passant successivement par les tapes de recherche fondamentale recherche et d veloppement production SCHM82 Dou explique DOU93 que chacun de ces trois plans poss de ses propres probl matiques ses propres r gles de croissances qui ne concernent pas forc ment le niveau directement sup rieur souligne cependant que le cloisonnement n est pas total A l int rieur de ces espaces de recherche de R amp D et de production se d veloppe une activit qui conduit la constitution de savoirs scientifiques et techniques Cette production est r alis e de par le monde dans des lieux privil gi s o il se passe quelque chose c est dire o la maturation des faits et des choses conduit des innovations Ces lieux privil gi s qu il appelle des noeuds correspondent l identificati
56. de management de l entreprise adopter un style d organisation qui permet une optimisation de la circulation des flux d informations de l action de veille Page 42 22 2 Chapitrel Ill CONCLUSION Le seul conseil donner est de ne pas se montrer trop rigide Le formalisme n cessaire pour assurer la coh rence des actions et leur efficacit a t fix par les points cl s relev s d apr s l analyse des similitudes Au del de ce canevas point de r gle pr cise Tout est fonction de la culture de l entreprise de sa politique de management et des objectifs fix s par la strat gie La veille reste une activit r cente et sa mise en place vient se greffer sur des structures d j existantes Une entreprise forme une micro soci t avec ses hommes ses habitudes et il n est pas du ressort du veilleur de venir briser toutes les traditions pour dicter ses lois Cela aurait pour seul effet de lui donner une image de perturbateur Bien au contraire 11 devra composer avec ce qui existe se couler dans un moule et tenter d accommoder les diverses tapes que nous avons d crites en respectant les caract ristiques de chacun Il doit apprendre connaitre l univers qui l entoure et adapter son travail la nature de l entreprise Par contre son travail pourra introduire une volution de la culture de l entreprise Mais ces changements interviendront au f r et mesure en fonction des r sultats obtenus Les d cid
57. de l information trois jusqu 90 et qu il n en faut pas moins de six pour avoisiner les 100 MORI85 Seule une solide exp rience permettra de faire les choix judicieux Cette exp rience s av re indispensable lorsque l on sait que leur interrogation requiert l emploi d un langage sp cifique propre au serveur utilis Ces Page 16 Chapitre 7 quelques facteurs montrent que l interrogation des banques de donn es est l affaire de sp cialistes avertis Le CD ROM cet autre support pr sente par rapport au pr c dent l avantage de ne pas g n rer de frais d interrogation et de faciliter la t che de l utilisateur qui n a pas besoin de ma triser un langage serveur Les domaines couverts sont de plus en plus nombreux des donn es sur les entreprises kompass prane Sur les normes PERINORM sur les brevets FIRST espace de l INPI sur les donn es scientifiques ou technologiques de COMPENDEX MECA CD du cerm sur les programmes europ ens CORDIS sont d sormais accessibles sur CD ROM II pr sente de plus l avantage d tre accessible gratuitement dans certains organismes tels que les biblioth ques universitaires les centres techniques ou les organismes de propri t industrielle l inverse les temps de r ponse sont plus longs les t l d chargements moins faciles ils n offrent pas de possibilit s de commandes statistiques et leur mise jour est moins rap
58. de la qualit des relations que l on entretient avec lui Leur position les pr sentent comme des clignotants des changements technologiques par les produits qu ils d veloppent A l aff t de nouveaux march s ils sont en contact avec des soci t s concurrentes connaissent leur besoins leurs projets La mise en avant d arguments commerciaux leurs clients sont pour eux des r f rences pourra les conduire commettre quelques indiscr tions e Les concurrents si les clients et les fournisseurs sont de bonnes sources de renseignements sur les activit s des concurrents mieux vaut s adresser au Bon Dieu qu ses Saints Les concurrents sont dispos s vous offrir quelques pr cieuses informations sur leurs activit s Ils y sont parfois contraints dans le cadre par exemple de projets de collaboration joints ventures transferts de technologies mais cela peut tre plus involontaire un directeur annon ait r cemment SALO93 que la premi re veille s effectuait sur les discours des pr sidents de soci t s De quels moyens disposons nous pour obtenir des informations sur les concurrents Nous avons d j mentionn les brevets les produits les brochures publicitaires les journaux d entreprises mais d autres sources existent les journ es portes ouvertes les salons les congr s Nous reviendrons plus en d tail sur les deux derniers Les journ es portes ouvertes sont une excellente occasion de se faire une appr ciation de l
59. des besoins sp cifiques de toutes les personnes impliqu es dans le processus de veille qui ont chacune des p les d int r ts particuliers 1 DETERMINATION DES SUJETS D ETUDE Ainsi que le souligne F Cantegreil CANT la strat gie a pris une place tr s importante dans l entreprise des ann es 90 Les bouleversements que le monde connus depuis la fin de la seconde guerre mondiale ont profond ment marqu les entreprises Des modifications radicales sont intervenues au niveau des objectifs poursuivis des profils des dirigeants des qualit s recherch es Ces modifications ont suivi des cycles d une p riodicit de quinze ans En 1945 la guerre se termine Elle a laiss beaucoup de traces morales et physiques mais aussi mat rielles et il faut penser reconstruire D s lors l objectif primordial des entreprises est de fabriquer et d augmenter au maximum leur capacit de production La principale comp tence est d avoir un bon niveau technique et le chef d entreprise est un ing nieur A partir de 1960 les grandes coles am ricaines font leur apparition c est l arriv e du marketing L objectif n est plus de produire mais d accroitre ses d bouch s commerciaux La technique c de le pas la commercialisation il faut savoir distribuer le chef d entreprise est un vendeur Puis intervient la crise de 1973 les conditions deviennent plus dures les co ts de production doivent imp rativement diminuer Il faut apprendre a
60. des fl ches qui montrent l volution de l int r t des industriels pour acqu rir une comp tence sur chaque th me La fl che 1 caract rise le trajet qui d marre de la demande d information sur les technologies nouvelles veille technologique sur les mat riaux et proc d s de substitution par exemple jusqu l int gration de la comp tence dans l entreprise par la formation du personnel La fl che 2 mat rialise l autre trajet o l appropriation s effectue en faisant appel des moyens ext rieurs l entreprise Ces interpr tations illustrent ce que nous avons dit pr c demment Le graphe seul ne suffit expliquer les diff rents ph nom nes par contre il aide comprendre la mani re dont s articulent les deux variables transfert et th mes Ce n est ensuite qu avec une connaissance suffisante du domaine tudi et en ayant recours aux fiches concern es que les conclusions qui apparaissent pourront tre avanc es Page 121 Chapitre 111 a conc autres machine Forgeage concept ion eurvei liance ssais m ca manutent ions tontrsle autbeatique onc m outils mesures Essais comp machines analyse m taux homologation tanch it tr t les concept id conc v hicules tien CET fatigue tut oes TON et iret tekent on a rev a enents e ry Production i 221 3D Coen Fate Gel As Ec up geo sse coprogi 18 a21 trise r9
61. diverses Transports C Chimie M tallurgie D Textile Papier E Cons tfuctions fixes F M canique Eclairage Chauffage Armement Sautage G Physique Electricit Ils sont hi rarchis s leur pr cision augmente avec le nombre de digits Exemple C25F 003 04 Section C Chimie M tallurgie Classe C25 Proc d s lectrolytiques ou lectrophor tiques Appareillage cet effet Sous classe C25F Proc d s pour le traitement par enl vement de mati re Appareillage cet effet Groupe principal C25F 003 Attaque de surface ou polissage lectrolytique Sous groupe C25F 003 0 Des m taux l gers Page 178 Chapitre comptage des codes qui apparaissent le plus fr quemment dans un corpus documentaire permet de conna tre les technologies les plus utilis es tous les codes pr sents dans au moins dii brevets ont t recens s Nous avons choisi en accord avec les experts de tronquer les codes au septi me digit Croupe principal Ceci repr sente un bon compromis la sous classe donnant une vision trop g n rale et le sous groupe une vision trop d taill e Nous donnons dans le tableau 10 un extrait de la liste propos e Tableau 10 Principaux codes I B pr sents dans le corpus Code Intitul Nombre 23 014 Rev tement par vaporation sous vide pulv risation cathodique ou 110 implantation d ions du mat riau composant le rev tement 23 016 Rev tement chimique par d
62. entreprises exprim es par l interm diaire des d l gu s r gionaux ou directement aupr s des quipes e les congr s les r unions d information les d monstrations les visites organis es des tablissements D s 199 et afin d am liorer l efficacit de ce dispositif la Direction a engag le CETIM dans une d marche de marketing strat gique de la recherche SAYE92 Elle s appuie sur une enqu te r alis e partir d entrevues avec des responsables d entreprises et sur l analyse des donn es collect es afin d en d gager les besoins de la profession L ensemble de la d marche qui constitue la phase de veille march du Centre peut se d composer en six grandes tapes DUMA94 segmentation du march de la m canique chantillonnage visites des entreprises pr paration des donn es traitement des donn es diffusion des r sultats Dans la figure 9 nous reprenons chacune d elles avec les principaux acteurs impliqu s dans leur r alisation La zone entour e d limite le champ d intervention de nos travaux Page 75 Chapitre III Segmentation Echantillonnage Charg s de profession CIT Charg s de profession Charg s de profession Comit de lecture CIT CHAMP D INTERVENTION 2 Tatement es domes CIT DE NOS TRAVAUX CIT Figure 9 Principales tapes de la veille march Ainsi que le montre cette figure la responsabilit des op ration
63. et Derwent retenus par les experts du CETIM L ensemble de l tude repose sur l analyse de 7 champs Patent Assignee qui donne le nom de la des soci t s ou personne s ayant d pos le brevet C est l int rieur de ce champ que se trouve le Company Code CC Il permet d une part de s affranchir des probl mes orthographiques li s aux noms des soci t s et d autre part d identifier ais ment la soci t la t te du groupe Par exemple les soci t s BOC GROUP INC et BOC GROUP PLC seront identifi es sous l acronyme BRTO IN INventors qui donne le nom des inventeurs qu ils soient ind pendants ou qu ils appartiennent une soci t LA LAnguage qui pr cise la langue dans laquelle le brevet a t d pos PR PRiority qui donne la date d p t des brevets prioritaires ainsi que le pays dans lequel ils ont t effectu s Il permet donc d identifier l origine du brevet BASIC Cette information est particuli rement int ressante car g n ralement le BASIC est d pos dans le pays d origine de la soci t qui prot ge son invention Il donne par cons quent une bonne illustration de l activit inventive des diff rents pays dans le domaine tudi DS Designated States lors d une proc dure de d p ts europ enne le d posant est tenu de d signer les pays signataires de la convention de Munich dans lesquels il d sire voir son invention prot g e Le recensement des ces E
64. fortement cit s bien que peu centraux Conception acoustique lutte contre le bruit Certifica tion d entreprise Conception de machines frigorifiques Contr le dimensionne talonnage Ces dix neuf th mes repr sentent la majorit des besoins techniques exprim s par les industriels Une analyse comparative est galement conduite pour mesurer les changements intervenus par rapport l enqu te de 1991 C est ainsi que nous pourrons remarquer que certains th mes glissent d une ann e sur l autre C est le cas par exemple des th mes environnement essais de composants et machines formation du personnel et gestion des ressources humaines qui taient dans le quart peu dense et central en 1991 et qui progressent en densit Les th mes aide l utilisation des normes et r glements et conception automatisation introduction de l lectronique qui se trouvaient dans le quart ni dense ni central connaissent quant eux une double croissance en densit et centralit Ce type d observation donne une id e de la dynamique des demandes bien qu il faille tenir compte de l influence des panels analys s En effet le nombre d entreprises visit es varie d une ann e sur l autre et les professions ne sont pas toujours repr sent es de la m me mani re Ainsi le sous segment transmissions hydrauliques et pneumatiques et le sous segment pompes ont respectivement vu leur taux de repr sentation passer de 1 6 4 8 et de 2 1 3 6
65. informations Encore une fois la base la mieux adapt e est war La notion de famille de brevets est r ellement int ressante lors de recherches r trospectives s talant g n ralement sur plusieurs d cennies Sa couverture temporelle et pluridisciplinaire permet de travailler dans de bonnes conditions La pr sence des champs sp cifiques Company Code Derwent classe Manual Codes peut s av rer tr s utile dans le cadre des analyses statistiques Le probl me reste le co t d interrogation le temps n cessaire l obtention du Page 160 Chapitre IV bon profil peut tre long et le nombre de r f rences visualiser plus grand que pour une recherche syst matique Il est judicieux de travailler dans un premier temps sur des r f rences en format gratuit afin de cibler correctement le corpus Dans les veilles technologiques men es par le Centre seules les bases wear et Ont t retenues Les brevets ne sont analys s que pour leur caract re technologique et non pas pour des raisons juridiques ou pour surveiller les d p ts de soci t s concurrentes Le facteur temps n est donc pas primordial Le regroupement par famille et la couverture de WPAT suffisent amplement aux types de recherches effectu es cependant la base rear qui couvre tous les d p ts effectu s sur le territoire et qui permet de proposer des fiches bibliographiques en fran ais est interrog e Nous donnons figure 40 et 41 un exemple de fiche pour cha
66. instants Je tiens exprimer toute ma reconnaissance L Quoniam pour son enti re disponibilit et pour m avoir fait pleinement profiter de ses comp tences et de son exp rience Je remercie messieurs Bouch et P Dumas mes rapporteurs pour le temps qu ils ont bien voulu consacrer la lecture de cette th se et pour les recommandations qu ils m ont apport es et dont j ai pu tirer profit Enfin j exprime ma plus profonde gratitude mes parents et mon pouse pour tout le soutien et le r confort qu ils m ont apport s durant de nombreuses ann es Sommaire Sommaire SOMMAIRE INTRODUCTION otto tur t t tirer al CHAPITRE 1 Similitudes et divergences des syst mes de veille ms 3 1 LA SIMILITUDE DANS LA DEMARCHE iii 3 A IDENTIFICATION DES BESOINS amusant co e even av 4 1 Determination des sujets deiude oen osi EI 4 De Analyse EE 5 B RECHERCHE COLLECTE vase ib pta va EE 8 8 a Nature des informations en veille 1 1 8 b Nature des informations en veille march Gates Il Nature des informations en 1 tease 13 2 SOUL CES AIO PAUSE A SR De ete a aoa tte n
67. la banque de donn es CETIM Nous reviendrons plus largement dessus dans la partie consacr e la banque de donn es e Les ouvrages qui peuvent tre des guides pratiques des fichiers produits fournisseurs des cahiers formation des recueils de conf rences ou des rapports e Les audiovisuels tel le film tenue en fatigue des assemblages soud s ayant pour objectif de sensibiliser les concepteurs et les personnels de fabrication aux probl mes de fatigue dans les structures soud es et de leur proposer des m thodes pour am liorer les performances de ces assemblages e Les services et produits documentaires allant de l acc s aux biblioth ques jusqu aux prestations de veille technologique e Les manifestations le CETIM y participe travers l organisation ou la participation des congr s des conf rences des expositions des visites aux tablissements des journ es techniques et de d monstrations A titre illustratif nous pouvons souligner qu en 1993 le CETIM a organis seul ou avec des partenaires 57 manifestations techniques particip 26 expositions et recu plus de 20 000 personnes sur ses trois sites A travers tous ces vecteurs le Centre met la disposition de ses entreprises ressortissantes des informations aptes les aider r soudre leurs probl mes et prendre les bonnes d cisions strat giques Le Centre d Information Technologique g re et d veloppe la majeure partie des produits et service
68. la paire documentation innovation technologique les valeurs de B C et D sont les suivantes 48 nombre de fiches o les deux descripteurs sont pr sents simultan ment il s agit en fait de la fr quence d apparition de la paire 47 nombre de fiches o le descripteur documentation est pr sent et le descripteur innovation technologique est absent C 109 nombre de fiches o le descripteur innovation technologique est pr sent et le descripteur documentation est absent D 1358 nombre de fiches o les deux descripteurs sont absents A B C D 1562 nombre total de fiches de besoins Les valeurs de et D tant connues il devient alors possible de calculer divers indices d associations qui mettent en valeur la similitude entre toutes les paires relev es sur l ensemble des fiches Ces indices sont multiples et varient parfois d un simple coefficient de pond ration F Marcotorchino MARC81 les classe en quatre grands types e les indices qui font jouer un r le positif aux valeurs A et D et un r le n gatif aux valeurs BetC _A D_ exemple indice de Sokal et Michener ARE C Page 92 Chapitre e les indices qui font jouer un r le positif la valeur A et un r le n gatif aux valeurs B et D exemple indice de Russel et Rao SD e les indices qui font jouer un r le positif la valeur A un r le interm diaire la valeur D et un r le n gatif aux va
69. le CSI et l INIST sont les promoteurs Elle est bas e sur un constat simple selon lequel le contenu informationnel d une paire de mots est plus important que celui de deux mots pris s par ment CALLS83 L tude statistique des co apparitions permet de d gager des groupes de mots qui symbolisent des th mes et de les situer les uns par rapport aux autres Comme nous l avons pr cis chaque fiche est analys e et index e l aide de mots cl s du thesaurus CETIM et de descripteurs libres assimil s des mots cl s suppl mentaires La m thode de d termination des th mes techniques est donc bas e sur l analyse des relations qui existent entre ces mots cl s DUMA93a Page 88 Chapitre III NUMERO 664 SOUS_SEG TRAITEMENTS THERMIQUES ET SUPERFICIELS EMETTEUR SUTTER DATE 09171992 IFCE 000000 ETABLISSEMENT XXXXXX TAILLE PETITE TAXE lt 40 KF LIEU XXXXXX TELEPHONE 00000000 NOM XXXXXX FONCTION RESPONSABLE D EXPLOITATION prosteme Recherche un substitut aux rev tements lectrolytiques de cadmium Recherch documentaire caract risation de proc d s potentiellement int ressants comment volue l gislation dans le monde que va faire la CEE osyecries Le cadmium tr s utilis dans l a ronautique est menac d interdiction voyens Pr t participer une veille documentaire collective FORME_DE_TRF PRESTATION FORME_DE_RECH PAYANTE DELAI COURT TERME REPETITIF SCHEM_DIR
70. lement aux actions de veille march et de veille technologique une veille prospective est r alis e par un sp cialiste du CIT C est une veille pour la r flexion moyen et long terme qui s adresse aux dii rents responsables du CETIM Par eux m mes les d cideurs participent d j de nombreux clubs caract re prospectif assistent des r unions et lisent des Page 196 Chapitre IV documents prospectifs Mais ils n ont pas le temps mat riel de lire toutes les sources m me celles dont ils sont destinataires directs Le sp cialiste est charg de fournir une information cibl e int r t march et prospectif la direction g n rale et aux responsables d activit de profession de transfert et de r gion suivant quatre axes Le premier en nombre 60 est la surveillance des march s et croissances des technologies et non des technologies mergentes comme la veille technologique Le second 20 est la surveillance des statistiques publi es sur les march s clients Le troisi me 10 est la surveillance de l offre concurrentielle du CETIM et de l environnement technologique des entreprises m caniciennes Le quatri me 10 est la surveillance des risques de rupture et des faits porteurs d avenir Les sources de la veille prospective sont vari es tudes de march et de prospective BIPE Frost et Sulhvan Arthur D Little Technical Insight DATAR postes d expansion conomique l tranger p
71. les questions industrielles sa couverture est internationale mais avec un accent sur le Japon est le Moyen Orient C est une base de donn es source Les textes sont donn s en anglais La base poss de un plan de classement La mise jour est quotidienne Quest Accession Number 93223446 1942459 PTS NEWSLETTERS Issue 933 1 Ceramic coatings electrodeposition and carbon composites Advanced Ceramics Report April 00 1993 Word Count 489 Publisher Elsevier Advanced Technology Publications ISSN 0268 9847 Availability Subscription 52 19 per year as of 1 92 Published monthly Contact Elsevier Advanced Technology Publications Crown House Limon Road 3arking Essex IG1 18JU U K Phone 01 594 7272 The Materials Science of Coatings and Substrates ISBN number O 8155 1320 8 is the first somprehensive book covering the topic of materials science and its relationship to lectrodeposition says the publisher It is said to demonstrate how the principles of materials icience can be used to explain various structures of electrodeposits and how these structures nfluence properties As well as electrodeposition the book also covers other coating technologies such as physical vapour deposition chemical vapour deposition plasma spraying and ion mplantation The sequence of chapters in the book takes the reader from the substrate to the yuter surface of the coating The book is edited by Jack W Dini It has 367 pages and costs 25878 Carbon Ca
72. leurs attentes C est un objectif primordial qu il ne faut jamais perdre de vue 2 LE SUPPORT Poss der une information de valeur et savoir qui la diffuser ne suffit pas Il faut encore choisir la forme ad quate Toutes les entreprises utilisent des supports vari s de diffusion de l information mais qui se regroupent dans cinq grandes familles Le bulletin d alerte il est utilis pour une information ponctuelle jug e particuli rement importante et p rissable Sa valeur d pend outre son contenu de son actualit c est dire de sa capacit r pondre aux pr occupations du moment et de sa fraicheur qui demande une utilisation en temps r el Sa diffusion n est absolument pas p riodique mais doit tre s lective et tr s cibl e Le bulletin doit exclusivement parvenir aux personnes qui en ont r ellement l utilit et qui peuvent l exploiter rapidement On ne diffuse pas un bulletin d alerte pour information il perdrait alors toute sa cr dibilit Les notes de synth se elles sont issues de la reconstitution d un puzzle partir d un ensemble d informations parcellaires Leur assemblage a permis de comprendre ou de pressentir des v nements Moins p rissables que les pr c dentes elles ont suffisamment d importance pour faire l objet d une diffusion sp cifique car elles r pondent des pr occupations majeures de l entreprise Leur diffusion n est pas p riodique elle d pend de l tat d avancement
73. m me de la strat gie du CETIM ses premiers efforts se sont d ailleurs port s sur la nomination de charg s de professions ayant pour r le de promouvoir les changes entre le Centre et les entreprises de chaque secteur professionnel Mais au del de cette premi re phase il convenait de se d velopper suivant les deux autres axes du cube du m tier l axe technique et l axe produits Les donn es statistiques brutes ne suffisent pas cette t che Multiples complexes elles risquent a contrario de perdre les utilisateurs sous une masse de donn es tout aussi indigestes que les donn es d origine mais pr sent es sous des formes plus conviviales Notre travail s est donc port sur l laboration de rapports de synth se r unissant r sultats chiffr s et interpr tations afin de restituer l essentiel de l information contenue dans les fiches de besoins Les objectifs tant principalement de fournir aux principaux responsables techniques une base de r flexion pour la d finition de leurs axes de recherche et de transfert de fournir aux responsables commerciaux des l ments pour structurer efficacement leurs activit s et pour defmir leur politique de transfert Centre de Recherches R trospectives de Marseille Page 77 Chapitre 777 d orienter et de hi rarchiser les projets d actions professionnelles en liaison directe avec les commissions et les structures techniques des syndicats de hi rarchiser les
74. m taux fournisseurs Tone frigo thermique subst h nergie envi ronnement info technologique ubrifiants INFO PUBL CAT LON contr le dim Subst sat nouveaux machines aide choix gestion d outils usinage tgv usinage hygi ne mat alim plastiques conc normes Vevis m thode cana galculs d ne IST det r f 11 qualit tr toles outi 11 9 out ils stats Pao e maintenance sp cifique pat Autillages forgeage mattrise normalisation fuyauterie codes caicuis rtificati n FORMAT ION Figure 24 Carte de corr lations FORMES DE TRANSFERT THEMES TECHNIQUES Page 122 Capacit de r ponse du Dernier aspect envisag dans ce rapport la mesure du potentiel de r ponse du Centre calcul e d apr s les niveaux de faisabilit port s au niveau de chaque fiche par les diff rents responsables techniques D j abord dans le rapport pr c dent le probl me est ici rappel dans ces grandes lignes Le diagramme atouts attraits des domaines techniques est compl t par le diagramme atouts attraits des sous segments figure 25 Il indique les professions vers lesquelles il est possible de r aliser un transfert important la m canique g n rale la chaudronnerie les mat riels de T P de manutention et l quipement agricole Les sept fo
75. oeuvre usinage fluides de coupe d coupage et formage des t les mise en forme par forgeage traitements et rev tements des mat riaux m talliques mise en oeuvre des polym res et composites proc d s d assemblage assemblages m caniques collage m canosoudage e Aide au contr le Contr le Non Destructif et mesures CND mission acoustique m trologie dimensionnelle mesures physiques acoustique industrielle analyse et pr vision des bruits bruits des machines quipements et ateliers Page 48 Chapitre II e Machines commandes et composants disponibilit des quipements maintenance surveillance des machines composants et quipements transmissions m caniques transmissions hydrauliques et pneumatiques commandes lectroniques industrielles pompes turbines robinetterie joints et syst mes d tanch it mat riels thermiques et frigorifiques D LE TRANSFERT AUX ENTREPRISES Outre les recherches collectives le CETIM a pour mission de faire b n ficier les entreprises des r sultats de ses tudes et de ses travaux ainsi que de mettre leur disposition des comp tences et des moyens techniques performants Afin de r aliser au mieux cette mission le Centre d veloppe et propose une large gamme de produits et services r pondant la diversit des besoins des entreprises e les prestations techniques qui vont de simples op rations de contr le des travaux sophistiqu s requ rant l in
76. r t qu ils pouvaient en d gager La lecture des revues l exploitation des congr s l analyse des r f rences bibliographiques et la participation la r alisation des analyses bibliom triques dans le but d laborer des dossiers de veille les ont conduit exploiter un travail qu ils pratiquaient de mani re plus ou moins syst matique et sans r ellement le mettre en valeur Si le projet a t accueilli avec un enthousiasme mod r les experts participent aujourd hui avec engouement aux op rations Les enseignements qu ils tirent de la r alisation des dossiers sont de toute premi re importance pour le choix de leurs futurs axes de recherche et l laboration de leurs sch mas directeurs Ils proposent aux commissions professionnelles des sujets de recherche tay s par les donn es de la veille march et de la veille technologique Le syst me est aujourd hui prouv et efficace La d marche est cependant consid rable La figure 51 qui reprend les diff rentes tapes ainsi que les intervenants et les outils n cessaires la r alisation de chacune d elles est l pour en attester Les r les majeurs du coordinateur sont de veiller au respect des d lais impos s par la r alisation des dossiers de maintenir Page 193 Chapitre IV un dynamisme indispensable au sein du groupe d experts d entretenir et d exploiter les relations avec les clients Outils Statgraphics statistiques Dataview bibliom trie Ex
77. rations Mais dans de nombreux cas le choix est moins objectif Nous l avons dit la veille est une activit r cente qui vient se greffer sur des structures pr existantes La cr ation dune cellule a souvent pour origine la volont d un homme ou d un petit groupe qui persuad de Il absolue n cessit de surveiller son environnement fera en sorte qu une cellule soit cr e Volontaire enthousiaste et pleinement impliqu dans cette t che 11 h ritera syst matiquement de sa responsabilit et cela quelle que soit son unit de rattachement Ce sera lui de prendre garde ne pas servir uniquement ses int r ts personnels ou ceux de son quipe mais ceux de l entreprise toute enti re En r sum nous dirons que trois r gles pr valent pour la r ussite du projet Page 40 Chapitre et son niveau de cr dibilit aupr s de la direction g n rale car il n existe pas le degr d implication de la direction concern e dans la strat gie de l entreprise de syst me de veille performant qui n ait l appui du dirigeant la volont de servir l ensemble des int r ts de l entreprise car la veille s inscrit dans l accomplissement des objectifs fix s par la strat gie gt la fluidit de la communication entre la direction concern e et les autres car ce sont les liens qui existent et la libert d changes entre les diff rentes quipes qui feront la qualit du syst me C VERSUNS
78. regroupe outre la banque de donn es bibliographiques deux autres banques factuelles Page 60 Chapitre IT e la banque de donn es entreprises qui r pertorie pr s de 9000 entreprises fran aises si ges sociaux tablissements des industries m caniques Elle permet d identifier les soci t s qui pratiquent les technologies d un domaine m canicien ou de retrouver leurs coordonn es Chaque entreprise est identifi e d apr s la raison sociale qui correspond la d signation officielle de l entreprise ventuellement abr g e la d signation usuelle qui est un mot significatif de la raison sociale ou un sigle permettant de retrouver la raison sociale pr cise si elle n est pas connue le num ro d tablissement qui est un num ro d ordre attribu par le CETIM l tablissement industriel d crit par l enregistrement le num ro de rattachement qui est le num ro d enregistrement du si ge social dont d pend l tablissement les coordonn es qui regroupent l adresse compl te et le num ro de t l phone du standard de l tablissement le code et son intitul qui sont attribu s par l INSEE et qui d signent l activit principale de l entreprise les codes CPF et leurs intitul s attribu s par le COREM qui correspondent aux produits fabriqu s par l entreprise les descripteurs du thesaurus CETIM utilis s pour qualifier les activit s et les domaines de comp tences de l entrep
79. ressantes Cependant leur nombre insuffisant nous a conduit les compl ter par les donn es contenues dans PTS et PTS NEWSLETTER DATABASE Deux th mes peintures et rev tements organiques et r glementation en traitement de surfaces ont n cessit l interrogation de bases sp cifiques Il s agit de WorLD SURFACE COATINGS ABSTRACTS pour le premier et des bases POLLUTION ABSTRACTS et ENVIROLINE qui couvrent tous les aspects li s l environnement et la pollution Les raisons qui nous ont conduit ne retenir que les bases WPIL et FPAT pour l analyse des brevets seront voqu es dans le paragraphe 2 Un dernier aspect qu il convient de rappeler concerne les co ts d interrogation Nous donnons dans le tableau 7 un r capitulatif des tarifs propos s par les serveurs en 1993 Page 145 Chapitre IV Tableau 7 Co ts d interrogation des diff rentes bases en 1993 780 0 4 Pouvtion w 0 74 ESA IRS QUESTEL ORBIT Le serveur ESA IRS est utilis pr f rentiellement en raison de ses co ts de connexion horaire tr s faibles auxquels il faut cependant ajouter 35 fis de frais d entr e dans la base Son utilisation limite les restrictions relatives aux co ts d interrogation Nous donnons dans les pages qui suivent un bref descriptif et un exemple de signalement de ces diff rentes bases except pour la base CETIM qui a t d crite au chapitre 2 Page 146
80. sente la particularit d tre ferm La client le d entreprises cotisantes est constitu e d environ 7000 entreprises dont 97 sont des PME La segmentation a donc pour objectif de regrouper un nombre de clients clairement identifi s par affinit s pour cr er des march s de r f rence De nombreuses variables peuvent caract riser un march le secteur d activit de l entreprise ses produits et services sa taille le co t de la R amp D par rapport au chiffre d affaires les quipements int ress s ainsi que de nombreuses donn es conomiques telles que la croissance du chiffre d affaires la rentabilit des capitaux engag s le taux d exportation le ratio r sultats nets chiffre d affaires DIAN92 La plus grande partie de ces informations sont disponibles sur des banques de donn es telles que EURIDILE EIOS FRENCH COMPANLES FULL FINANCIAL INFORMATION SCRL SIRENE SUPERBIL Kompass ou bien d autres Par rapport la strat gie choisie par le Centre le crit re principal de comparaison doit rester le coeur de l entreprise c est dire son m tier Dans une optique Page 78 Chapitre 111 centr e march la connaissance du secteur professionnel reste le meilleur atout pour instaurer un dialogue et tablir une relation troite et durable avec les entreprises La segmentation pratiqu e par le CETIM a donc t effectu e en fonction du secteur d activit de l entreprise et de trois autres crit res com
81. triplets produits march technologie dans le cube du m tier figure 6 et que l on appelle des Domaines d Activit Strat gique D A S ABEL80 March s Domaine d Activit Strat gique Technologies Produits Figure 6 Les Domaines d Activit s Strat giques Tous les triplets du cube ne sont pas des D A S il convient de les hi rarchiser afin de ne retenir que les domaines pour lesquels l entreprise estime d tenir de bonnes chances de r ussite Page 70 Chapitre l et sur lesquels se fonderont les espoirs de d veloppement E Viardot VIAR92 donne l exemple de la SLIGOS qui a d fini neuf domaines strat giques prioritaires dont l un comprend les grandes entreprises europ ennes march cherchant des solutions sp cifiques leurs probl mes de traitement des informations de gestion produit gr ce l utilisation de programmes informatiques sophistiqu s comme les syst mes de bases de donn es relationnelles ou les programmes d intelligence artificielle technologie La d termination des priorit s reste dans tous les cas un l ment cl de la mise en pratique d une strat gie JEMA93 A l image de ce mod le le CETIM a labor une strat gie incluant les trois axes produits travaux de recherche et formes de transfert technologies domaines de comp tence du Centre march s entreprises cotisantes Il s agit d une strat gie combin e produits technologies dont l objectif
82. 0 ST JUST MALMONT FRANCE MICHAUT BER NARD 72 AVENUE DE SAXE 69003 LYON FRANCE MND CABINET PLASSERAUD Figure 41 Exemple de r f rence format Max serveur QUESTEL 3 LES CONGRES SALONS Les congr s et salons pr sentent une source majeure d information en mati re de veille technologique tant au niveau des communications qui pr sentent le degr d avancement des sciences et des technologies qu au niveau des expositions qui situent le niveau des techniques en usage Le CETIM gr ce ses activit s couvre un grand nombre de manifestations d envergure nationale ou internationale Insuffisamment exploit es nous avons d s 1992 propos de valoriser ces participations travers la r daction de compte rendus de mission Ces rapports utilis s la fois dans un but externe et interne sont aujourd hui des outils exploit s dans le cadre des programmes de veille technologique Ils servent Page 162 Chapitre IV constituer une source de renseignements sp cifiques qui reste la disposition des quipes de comp tences pour tablir leur sch ma directeur ou pour r pondre plus g n ralement leur besoin de faire un tat de l offre informer les industriels sur les principales am liorations ou innovations susceptibles d apparaitre sur le march Le rapport doit pour le premier cas mentionner les technologies m thodes produits proc d s mat riaux dont l asp
83. 00 r f rences accumul es depuis ses d buts en 1966 Sa mise jour est bimensuelle et elle s enrichit de 46 000 documents par an Sp cialis e dans la m tallurgie elle aborde tous les aspects relatifs aux compos s m talliques proc d s propri t s produits mat riaux forme Les donn es sont issues de l analyse de 1600 p riodiques communications des congr s rapports techniques livres th ses brevets rapports gouvernementaux provenant de 43 pays La base poss de un plan de classement et un thesaurus thesaurus of metallurgical terms Les signalements sont donn s en anglais Quest Accession Number 94002856 19940 1 56 0025 METADEX Issue 940 1 Depth of Melt Pool and Heat Affected Zone in Laser Surface Treatments Author s Steen P H Cornell University Ehrhard P Kernforschungszentrum Karlsruhe Schussler A Kemforschungszentrum Karlsruhe Metallurgical Transactions A 25A 2 Pagination 427 435 ISSN 0360 2 133 Publication Date Feb 1994 Country of Publication USA Language English Document Type Journal Article Predictions of penetration depths d sub alpha of a melt pool and or transformation hardening zone as influenced by laser power and scan speed are developed based on a simple conduction balance in the solid metal substrate The prediction is d sub alpha d approx P exp 1 2 theta sub alpha DO exp 1 where d is the laser beam width theta sub alpha is the ratio of penetratio
84. 05 2 CN PREOCCUPATIONS GENERALES DT REVUE LA FR FRANCAIS AU CHAMBRON G JN MACHINES PRODUCTION SO NR 617 BIS 11 MAI 1994 PG P 69 72 9 FIG TIZRECONSTRUCTION DE MACHINES OUTILS L OFFRE LOGIQUE DE DMO TF RECONSTRUCTION DE MACHINES OUTILS L OFFRE LOGIQUE DE DMO ET RECONSTRUCTION OF MACHINE TOOLS THE LOGICAL OFFER AT DMO AB DMO FILIALE DE DELCORTE ASSURE LA RESTAURATION LA TRANSFORMATION OU LA MODIFICATION ET Lb MAINTENANCE DES MACHINES OUTILS ANCIENNES CES INTERVENTIONS NE SE JUSTIFIENT QUE SI LE RESULTA1 FINAL PERMET DE DISPOSER RAPIDEMENT D UN EQUIPEMENT TECHNOLOGIQUEMENT FIABLE ET DONT LE COUT RESTE INFERIEUR A CELUI D UN MATERIEL NEUF EQUIVALENT APPROCHE UTILISEE EXEMPLES D INTERVENTIONS REFERENCES LAM TC 2980 2289 384113620 4705 CT MACHINES OUTILS FABRICATION ENTRETIEN DES EQUIPEMENTS REPARATION DES EQUIPEMENTS PRATIQUE INDUSTRIELLE INDUSTRIES MECANIQUES UT MACHINE TOOL MANUFACTURING MAINTENANCE EQUIPMENT REPAIR INDUSTRIAL PRACTICE MECHANICAL INDUSTRIES Figure 3 Fiche bibliographique de la base CETIM 4 LE CD ROM MECA CD ET L INTERFACE CETIM DOC Parall lement la banque de donn es accessible en ligne le CIT diffuse depuis le second semestre 1991 le CD ROM MECA CD dont la mise jour est semestrielle Destin aux industries et aux tablissements d enseignement soucieux de disposer tout moment de sources d informations sur leur environnement technologique il
85. 3 2 Analyse et valuation des besoins suivant la vision transfert ss 118 a Grandes caract ristiques de la demande 119 By Eormes ule trans lem tru dre dei eie tee abe oldie p DR DRE ep a nee 120 Capacit de r ponse du CETIM summer 123 Apport DES OUTILS STATISTIQUES 125 CONCLUSION eege 126 CHAPITRE IV La veille technologique du Centre 130 1 ENN LEET 132 DEMARCHE DE 134 A IDENTIFICATION DES BESOINS EE 134 T SopgntentQltof EE 134 2 Identification des p les d int r t particuliers sss 136 B RECHERCHE COLLECTE 136 I les revues TEC WOO oak ca tog Ad tst tole tn tote RS ASS asd Rt du Aad a rss 138 bases de donn es 140 Les quations TO SIGUE a ege de ab teen or docu UM te 141 b Les bases scientifiques technologiques et technico conomiques 143 Les bases brevets RE 156 1 Les philosophies d indexation furia ave dec ae Pr ct E 156 2 Les Autres parametres e ver is blc ca V ed ORO v oed n Dx 158 3 Quelle base E ces ere euenit veste cu Ceu eie abuela 159 BE LOS CONTES I SOW Sst e 162 C TRAITEMENT
86. 7 920 116 BPD 9329 NAT Brevet DRR 930723 BRR 9329 RR Rapport de Recherche DE925264 C Cat A CHEMICAL ABSTRACTS vol 102 no 18 Mai 1985 Columbus Ohio US abstract no 156932R HITACHI nickel electroplating cell page 500 colonne 2 CAT X PATENT ABSTRACTS JAPAN vol 5 no 49 C 49 721 8 Avril 1981 CAT A C25D 003 12 CIB2 C25D 017 00 C25D 021 06 C25D 003 12 C25D 005 00 Appareil et procede de revetement electrolytique de nickel REVETEMENT ELECTROLYTIQUE NICKEL SULFAMATE COMPLEXE PASSIVATION PAROI SEMIPERMEABLE ELECTRODEPOSITION NICKEL SULPHAMATE COMPLEX PASSIVATION SEMIPERMEABLE WALL Appareil de revetement electrolytique de nickel d une piece a Partir de bains de nickelage utilisant comme apport de nickel du sulfamate de nickel et constitue de recipients contenant les bains de nickelage dans lesquels sont plongees une anode et une cathode caracterise en ce qu il comprend une Paroi semi permeable separant le compartiment cathodique du compartiment anodique DEP FRAMATOME INSTITUT DE RECHERCHES DE LA SIDERURGIE FRANCAISE IRSID DEPA FRAMATOME SOCIETE ANONYME Deposant TOUR FIAT 1 PLACE DE LA COUPOLE 92400 COURBEVOIE FRANCE 51 SNC SOCIETE EN NOM COLLECTIF Deposant IRSID UNIEUX PONT DU SAUZE 42702 FIRMINY FRANCE ADEP 92400 FR 42702 INV SALA BEATRICE 16 RUE DES PASSEMENTIERS 42660 JONZIEUX FRANCE GUERIN LAURENT 97 ALLEE DES CHATAIGNIERS 4324
87. 93 Connexion Visualisation Visualisation format std frs format max frs 3 7 INPADOC 1 1 1 1 EPAT PCTPAT INPADOC est la base la moins ch re Cela s explique par le peu d information disponible Mais ceci doit tre nuanc les commandes sp ciales qui permettent de retrouver la famille compl te d un brevet engendrent un surco t important De plus pour visualiser toute une famille il faut afficher autant de r f rences que de brevets alors qu une seule visualisation sur WPAT suffit La base la plus co teuse reste WPAT les indexations multiples y sont pour beaucoup codification Derwent indexation mais sa pr cision permet d extraire rapidement les r f rences dont on a besoin Les bases produites par l INPI sont encore tr s comp titives elles sont accessibles un co t inf rieur celui de WPAT tout en offrant une meilleure information Il faut s en servir d s que les restrictions propres chacune d elles ne sont pas g nantes 3 Quelle base choisir La qualit des bases est donc variable Il faut utiliser chacune d elles en fonction du type de recherche et des informations que l on d sire obtenir Nous pouvons souligner que WPAT fournit le r sum mais ne contient aucune information sur d ventuelles proc dures d opposition De plus le rapport de recherche n est enregistr que pour les brevets europ ens et avec du retard L information concernant les brevets fran ais euro
88. Apr s la prise en compte de ces crit res est retenu au moins une entreprise par tranche ce qui repr sente un ensemble de 300 400 tablissements Le nombre d entreprises visit es reste ainsi proportionnel au poids conomique taxe vers e de chaque secteur professionnel et dans le secteur au poids des diff rentes tranches d entreprises en fonction de leur taille La figure 10 reprend les diff rentes tapes de l chantillonnage LA VISITE L expression du besoin est recueillie au cours d un entretien libre men aupr s d un responsable de l entreprise Directeur Directeur de la R amp D Directeur Technique sans questionnaire pr tabli Le but est de d gager au cours d une discussion de quelques heures ses principales pr occupations techniques de l ordre de 3 5 par entreprise en g n ral les points d appui Page 81 Chapitre Affectation des enqu teurs en fonction de la taille des sous segments Liste Pareto des entreprises par cotisation Tranches de 10 en cotisations Prise en compte des sous activit s 1 3 entreprises par tranche m caniciennes et avis des syndicats professionnels 1er chantillon de 20 30 entreprises Participation aux instances Examen des relations avec le CETIM Avis des d l gu s r gionaux Avis des quipes Echantillon modifi de 15 entreprises avec au moins 1 entreprise par tranche Choix d finitif dans une tranche 8
89. ET D ENCRE NUCLEAIRE AUTOMOBILE Attaque polissage par immersion Proc d s lectrolytiques Conversion Gn APPLI 1 D p ts par contact gr E Rev tements Ka D p ts composites APPLI 4 DEPOTS SUR PLASTIQUES APPU 8 REVETEMENTS DECORATIFS 2 APPLI 12 MEDICAL Rev tements avec A projection des poudres D capage chimique PVD APPLI 9 MOURES MOTEURS MATRICES Trennpe superficielle APPLI 5 PIECES MECANIQUES D graissage C mentation Figure 49 Carte des corr lations th mes techniques Applications Page 189 3 IDENTIFICATION DES PROPRIETES Chapitre IV La d marche est identique celle utilis e pour l identification des applications L analyse a conduit l identification de neuf propri t s PROPRIETE 1 RESISTANCE A LA CORROSION PROPRIETE 2 RESISTANCE A L USURE PROPRIETE 3 RESISTANCE A L ABRASION PROPRIETE 4 RESISTANCE A L EROSION PROPRIETE 5 PROPRIETES MECANIQUES PROPRIETE 6 ETANCHEITE PROPRIETE 7 DURETE PROPRIETE 8 UNIFORMITE PROPRIETE 9 FINESSE Nous avons isol les brevets relatifs chaque propri t afin d indiquer le nombre de brevets concern s 72 brevets 35 brevets 18 brevets 7 brevets 5 brevets 13 brevets 30 brevets 22 brevets 13 brevets les technologies cit es technologies qui apparaissaient travers le
90. F vrier 1994 p 6 8 Veille technologique De l amateurisme au professionnalisme F Lain Eyrolles collection Cadres et Dirigeants 1991 138 p La marketing strat gique Fondements m thodes et applications J J Lambin McGraw Hill 1991 455 p Page 205 Bibliographie LARD86 LARD90 LARO87 LATE87 88 LESC90 LESC92 LIEU93 LIEU94 MANI87 8 1 99 Connecter un micro ordinateur un serveur comment pourquoi 7 Lardy Documentaliste vol 23 n 2 Mars Avril 1986 p 67 70 Les techniques de t l chargement et de t l d chargement de quelques logiciels de communication J P Lardy P Bador Documentaliste vol 27 n 2 mars avril 1990 p 63 68 Grand Larousse en cinq volumes Edition 1987 vol 5 p 3053 Syst me interactif d aide la d cision analyse statistique des bases de donn es A La T la Th se d Universite Universit de droit et des sciences d Aix Marseille Facult des sciences et Techniques de St J r me 97 p Analyse statistique des donn es textuelles L Lebart Salem Dunod 1988 206 p Syst me d information pour le management strat gique de l entreprise Lesca McGraw Hill Strat gie et Management 1990 146 p Le probl me crucial de la veille strat gique la construction du puzzle H Lesca Annales des Mines Avril 1992 p 67 71 Perspectives de d veloppement et axes prioritaires dans le do
91. FME M Callon P Laredo V Rabeharisoa dans L valuation conomique de la recherche et du changement technique Edit par J De Brandt et D Foray Edition du CNRS Paris 1991 p 301 310 Le benchmarking Pour atteindre l excellence et d passer vos concurrents R C Camp Les Editions d Organisation 1992 224 p Vigilance et strat gie Les nouvelles r gles de l entreprise F Cantegreil Editions comptables Malesherbes 1991 192 p Description de syst mes de Veille Technologique dans diff rents Centres de Recherches E Castano S Dumas G Odone H Dou Revue fran aise de bibliom trie n 12 septembre 1993 p 138 157 Conception et installation d un syst me de veille technologique Application au domaine p trolier E Castano Th se de doctorat Universit de droit et de sciences d Aix Marseille Facult des sciences et techniques de Saint J r me Juin 1994 215 p L installation d un syst me de veille technologique Comparaison et choix des bases brevets E Castano B Wallaert P Hassanaly S Dumas Le micro bulletin du CNRS n 54 Mars Avril 1994 p 120 13 1 Le traitement linguistique de l information J Chaumier Entreprise Moderne d Edition 347 dition 1988 186 p VTT l annuaire des professionnels de la veille et du transfert de technologie C Cliquot de Mentque Edition A Jour 1993 278 p CLUSTAN 3 Cluster Analysis Software D velopp par D Wishart Clustan Limited 16 Kingsburg Road Edi
92. GE 14 brevets THEME 7 PROCEDES ELECTROLYTIQUES ET PRE OU POST TRAITEMENT 72 brevets THEME 8 BAINS ELECTROLYTIQUES 66 brevets THEME 9 CELLULES ELECTROLYTIQUES 66 brevets THEME 10 DEPOTS COMPOSITES 13 brevets THEME 11 CONVERSION PASSIVATION 98 brevets THEME 72 RECUPERATION DES MATIERES PREMIERES 28 brevets THEME 13 INHIBITEURS CORROSION 10 brevets THEME 14 REVETEMENTS PAR IMMERSION A CHAUD 36 brevets THEME 15 DEPOTS PAR CONTACT 21 brevets THEME 76 PROJECTION THERMIQUE 82 brevets THEME 17 PROJECTION THERMIQUE APPAREILLAGE 22 brevets THEME 18 REVETEMENTS A PARTIR DE POUDRES 37 brevets THEME 19 DEPOTS CVD 108 brevets THEME 20 DEPOT DIAMANT EN CVD 33 brevets THEME 21 DEPOTS PVD 110 brevets THEME 22 CEMENTATION NITRURATION 56 brevets THEME 23 TREMPE SUPERFICIELLE 17 brevets THEME 24 FOURS DE TRAITEMENT THERMIQUE 7 brevets THEME 25 APPAREILLAGES POUR PROCEDES EN CONTINU 9 brevets THEME 26 REVETEMENTS MULTI COUCHES 66 brevets THEME 27 POLLUTION 18 brevets Nous ne donnerons pas le d tail de ces analyses diff rents codes mat rialisant un th me cependant l ensemble des observations a t port sur un graphe des relations figure 48 qui Page 181 Chapitre IV offre une repr sentation synth tique des 27 th mes d cel s ainsi que des liens qui les unissent des codes appartenant des th mes diff rents pouvant tre li s Nous pouvons remarquer sur ce graphe que certains th mes sont tr s centraux et
93. INS 1992 nombre de besoins M RECETTES 1992 ll PENETRATION 1002 nombre d entreprises touch es Figure 22 Niveau de p n tration Page 112 Certains carts importants se r v lent entre les trois niveaux On remarque notamment que six domaines ont par rapport au niveau de la demande la fois des niveaux de recettes et de p n tration faibles composants CAO commandes lectroniques qualit acoustiques et polym res et que cinq pr sentent des niveaux de p n tration corrects mais semblent souffrir d un niveau de recettes faible compte tenu de la demande s agit des lubrifiants de la production m canique du travail des t les de la veille technologique et de l environnement Il est clair que ces remarques sont destin es informer les responsables techniques du niveau de la demande dans leur domaine elles ne pr jugent en rien de la solvabilit du march ou de la performance des quipes c Analyse d taill e des th mes par domaine technique Les donn es qui viennent d tre pr sent es situent clairement l tat de la demande par rapport aux moyens du CETIM mais elles se placent un niveau de perception tr s global Afin de rester proche de l attente des quipes des rapports qui d crivent avec pr cision les th mes techniques sont tablis Chaque responsable de sch ma directeur re oit un rapport d taill qui contient un histogramme multiple donnant la r
94. M Les CRITT Centres R gionaux d Innovation et de Transfert de Technologie qui par opposition aux Centres Techniques d veloppent leurs comp tences au travers de technologies diffusantes et qui dans certains cas proposent des actions de veille dans des domaines o ils ont acquis une sp cialit e Les universit s ou coles d ing nieurs qui au del de leurs travaux de R amp D et de transfert de technologies proposent quelquefois des op rations de veille technologique des recherches de partenaires ou des recherches d opportunit s Cette liste loin d tre exhaustive montre que les prestataires se scindent en deux cat gories ceux qui voluent sp cifiquement dans le domaine de l information et ceux qui parall lement des activit s de recherches ou de transfert de technologies proposent des prestations dans le domaine de la veille Cependant faire r aliser une veille par des prestataires pr sente quelques inconv nients Outre d ventuels probl mes relatifs la confidentialit les tudes multi clients ne peuvent en aucun cas couvrir les donn es concurrentielles par exemple la plupart des tudes bien que reconductibles s effectuent sur un an Cette p riode trop courte ne permet pas l intervenant d avoir une r elle connaissance de la structure et des m canismes de l entreprise Le suivi r gulier indispensable dans les actions de veille devient difficile r aliser De plus ce type de travail r pond
95. RIMES DOMAINE TECHNIQUE DU PMECA USINAGE 2 LUBRIFIANTS ASSEMBL SOUDAGE METAL POLYMERES IE 4 HORS FRIGO OUTILS GENE ACOUSTIQUE AUTOMATISATION 3 prestation CAO DAO conseil publication COLLAGE T TRAVAIL TOLES ME NORMALISATION formation CALGUE MODEL information ENV SECU ERGO QUALITE VEILLE TECHNO Uy Cl neseitpas COMMANDES ELECT ETANCHEITE COMP MECA INTEGRAT INFO journ e ACT HYD PNEU CONCEPT PROD CERTIFICATION HYD DE DEBIT FORGE ESSAIS PROTO 0 50 100 150 200 250 300 350 400 450 500 7 CAO DAO 48 Calcul mod l 141 Mat m tal 269 Polym res 85 Lubrifiants 36 P m ca usinage 162 Automatisation 43 Forge 28 Travail t les 51 Assembi 23 Soudage 83 Collage 24 Contr les 146 Acoustique 79 Out g n mach 77 Mach frigo 54 Commande lect 48 Comp m ca 81 Act hyd pneu 51 Hyd de d bit 35 Etanch it 24 Qualit 65 Int grat info 11 Normalisation 22 Env s cu ergo 61 Certification 74 Veille techno 77 Concept prod 12 Hors comp t 28 REPARTITION DES NIVEAUX DE FAISABILITE PAR DOMAINE TECHNIQUE DU CETIM a Correspond nos comp tences et notre disponibilit Q Correspond nos comp tences mas indisponibilit E Adaptation l gere de nos comp te
96. TA UNION CARBIDE YOSHIDA KOGYO B L MORBIKE et D REPENNING inventeurs D p ts prioritaires 45 d p ts Etats Unis 22 d p ts Allemagne 21 d p ts 6 d p ts 4 d p ts 3 d p ts 2 d p ts 1 d p amp Japon France Royaume Uni Europ en SANDVIK et SECO TOOLS SMALL POWDER COMMUNICATION SYSTEMS RESEARCH FUJITSU Su de P C T LIBURDI ENGINEERING USA AS USSR STRUC MACRO Isra l Italie Suisse Page 184 Chapitre IV Principaux Etats D sign s Allemagne 107 France 104 Royaume Uni 104 Italie 76 Su de 73 Suisse 62 iechtenstein 57 Espagne 55 3elgique 54 Caract ristiques Mat riaux Diamant 33 M tal 29 Carbure 17 Carbone 17 Nitrure 12 Silicone Alliages Tungst ne Aluminium Titane Acier Ciment R fractaire Poudre Nickel Plastique C ramique Cermet Cuivre Particule Poly thyl ne Chrome Elastom re Fibre Germanium Graphite 1 Fer Molybd ne Polyamide Polybutyl ne Polym re Zinc FH D N D D O1 01 en Odd 2 1 1 SA 1 185 2 2 Chapitre IV 4pplica tions Outil Aube Espace Turbine T les Espace Matrice Imprimante Jet Se WWW Propri t s Dur Usure Corrosion Abrasion Etanch it Erosion Fin Uniforme Friction CO CO CO RA NO A 2 IDENTIFICATION DES APPLICATIONS La d march
97. UNIVERSITE DE DROIT ET DES SCIENCES D AIX MARSEILLE Facult des sciences et techniques de Saint J r me D veloppement d un Syst me de Veille Strat gique dans un Centre Technique THESE Pr sent e et soutenue publiquement le 26 octobre 1994 par DUMAS St phane Pour obtenir le grade de Docteur en Sciences de l information et de la communication Membres du Jury M BOUCHE M 11 CROSSE M P DEVALAN M H DOU M P DUMAS M L QUONIAM Professeur 71 section CNU ENSSIB Villeurbanne rapporteur Directeur RHT Marseille Ing nieur CETIM Professeur 71 section CNU CRRM Marseille Professeur 717 section CNU IUT La Garde rapporteur Maitre de Conf rences 71 section CNU CRRM Marseille Remerciements Je tiens remercier ici l ensemble du personnel du Centre d Information Technologique du CETIM et tout particuli rement son responsable P Devalan pour l ensemble de ses pr cieux conseils et pour toute la confiance qu il a su m accorder durant ces trois ann es Je remercie galement J M B lot aupr s de qui j ai trouv un appui tant professionnel qu amical ainsi que les collaborateurs du d partement mat riaux pour leur sympathie et le s rieux de leur travail Qu il me soitpermis de remercier l quipe du Centre de Recherches R trospectives de Marseille monsieur H Dou mon directeur de th se et madame P Hassanaly pour leurs enseignements et leur aide de tous les
98. YSTEMECENTRALISEOUDECENTRALISE Un autre choix qui se pose et qui divise les syst mes de veille en deux cat gories distinctes est la possibilit de travailler suivant une organisation centralis e ou d centralis e Dans ce cas galement chaque solution pr sente des avantages et des inconv nients L organisation centralis e pr sente l indiscutable inconv nient d tre lourde g rer De ce fait elle ne convient pas tr s bien aux entreprises qui ont des activit s fortement diversifi es et des besoins en information vari s La demande risque de submerger rapidement le service de veille qui n aura pas la capacit suffisante pour absorber toute la quantit de travail g n r e D autre part dans le cas des organisations centralis es la cellule de veille se situent souvent au niveau du si ge de la soci t Eloign e des diff rents sites on lui reproche quelquefois son manque d exp rience de terrain son loignement pr judiciable l appr ciation des r els besoins des diff rentes divisions C Hunt et V Zartarian HUNT90O soulignent un troisi me inconv nient majeur si le syst me repose sur la volont d une seule personne son d part ou la perte du soutien de la direction risquerait d tre fatal et de provoquer l effondrement de l difice Par contre ce type d organisation permet de coordonner les efforts et de mettre en commun plusieurs actions dans un but unique pour en augmenter les effets tout en conomisant
99. a situation d un concurrent de confirmer des propos entendus par ailleurs de conna tre les r els moyens dont il dispose Mais seuls des hommes pr par s la recherche d indications pr cises pourront appr cier et juger ce qu ils verront Page 18 Chapitre I Les salons et expositions les exposants sont souvent nombreux et la dur e de la manifestation courte Il est donc indispensable dans un souci d efficacit de pr parer sa visite au pr alable Les objectifs doivent tre clairement trac s et la liste des exposants visiter bien tablie savoir poser les bonnes questions aux bonnes personnes ce n est qu cette condition que l on tirera le maximum de profit de la manifestation L cole japonaise reste toujours un mod le dans ce domaine les soci t s nippones r ussissent en d l gant des quipes de plusieurs personnes avec des t ches bien assign es r colter des informations capitales sur les stands d exposants Il n est pas toujours possible de pousser le professionnalisme cet extr me mais nous pouvons affirmer qu une personne bien pr par e saura obtenir une quantit d informations int ressantes Les congr s et colloques si les salons mettent face face des commerciaux et des sp cialistes ou des commerciaux et des commerciaux il en est tout diff remment pour les congr s qui sont exclusivement une affaire de sp cialistes et o le discours est purement scientifique et technique Ils sont
100. act ris par la profession m canique g n rale et qui comprend aussi les professions de composants quincaillerie et mesure pesage le p le conception de composants et machines qui comprend les professions d quipement et certaines professions de composants le p le calcul normes et mat riaux caract ris par les th mes calcul normes r glementations m taux et sollicitations principalement demand s par des professions d quipements et de composants le p le environnement qui concerne presque exclusivement le mat riel thermique frigorifique b Formes de transfert exprim es La fiche de besoin recense la forme sous laquelle l entreprise d sire que les r sultats lui soient transf r s conseil l entreprise demande l intervention d un sp cialiste qui ne n cessite pas le recours des moyens comme dans le cas de la prestation laprestation l entreprise souhaite une assistance qui n cessite la mise en oeuvre de moyens d essais de mesure de contr le ou de calcul I nformation l entreprise souhaite acc der un service d information service question r ponse service de veille technologique banques de donn es la formation l entreprise demande une session de formation la publication l entreprise veut acqu rir un livre un p riodique un rapport d tude des photocopies le progiciel l entreprise veut acqu rir un produit logiciel lajourn e d information l entreprise sou
101. affects growth kinetics largely because it affects heat transfer between the filament and the substrate and because it affects transport of precursors to the growing surface H and CH3 concentrations at the growtb surfaces are determined with our recombiition enthalpy technique combined with appropriate transport analyses The growth rate rises and then falls with increasing pressure although there is a saturation in the concentration of CH3 and atomic H at the surface The fall in growth rate at higher pressure is explained with our chemical kinetics model as due toan increase in substrate temperature at higher pressures Since the rate of thermal desorption of the CH3 precursor increases more rapidly with temperature than the competing rate of its incorporation and since these two rates are comparable higher substrate temperatures lower incorporation rates and the growth rate decreases Classification 71C Materials Sciences Carbon amp graphite 99F Chemistry Physical amp theoretical chemistry Controlled Terms Desorption Diamonds Enthalpy Filaments Films Heat transfer Kinetics Measurement Models Precursors Pressure Rates Saturation Substrates Surfaces Temperature Transport Chemical vapor deposition Hydrogen Thermal properties Growth General Solid state chemistry Composite materials Methyl radicals Hot filaments Diamond films Figure 35 Exemple de r f rence NTIS format AU saveur
102. ale 1l est imp ratif de tenir compte de ses suggestions Pour rendre le groupe dynamique le coordinateur devra outre les changes qu il entretient avec les experts provoquer des r unions Deux s imposent chaque ann e pour d finir les programmes et am liorer les points qui peuvent l tre Elles sont cons cutives aux deux journ es d informations et permettent de pr parer sereinement les semestres qui d butent Tout comme avec les experts le coordinateur veille aux bonnes relations avec les clients dont il demeure l interlocuteur privil gi Il rel ve les besoins des clients les informe du contenu des programmes et des journ es reste leur disposition pour leur fournir les documents originaux Page 195 Chapitre IV qu ils r clament tabli le contact avec les experts et mesure leur degr de satisfaction Toutes ces relations doivent tre utilis es pour am liorer le produit et ne pas le laisser p ricliter La mesure de l impact des travaux est extr mement difficile mesurer les clients font peu de confidences sur l utilisation qui est faite des donn es L indice le plus net reste le taux de r inscription lors de la reconduction des programmes Le coordinateur doit donc s appuyer sur la mesure de la qualit des actions propos es au premier chapitre Connaitre les besoins des clients Recenser les types d informations utiles Recenser les sources d informations disponibles et leurs valeurs
103. alement conduire la fourniture d un renseignement tr s sp cifique dans un domaine technique pr cis Les questions ne doivent cependant pas n cessiter l intervention des laboratoires pour des travaux techniques En 1993 15 000 r ponses ont t fourmes gratuitement aux entreprises les p riodiques CETIM informations bimestriel tir 15 000 exemplaires il est diffus gratuitement l ensemble des ressortissants et vendu par abonnement aux autres entreprises Il comprend des rubriques vari es destin es informer les lecteurs des activit s du Centre faire le point sur des technologies d actualit relater les faits marquants des principaux salons foires expositions congr s auxquels ont particip des collaborateurs du Centre tablir des dossiers techniques recenser les principaux rendez vous ne pas manquer pour les industriels de la m canique ainsi que les principaux ouvrages tudes traductions progiciels parus ou Page 50 Chapitre II La lettre du CETIM dit e dix fois par an 10 000 exemplaires elle s adresse aux responsables des entreprises de la m canique pour les informer en quelques lignes des travaux les plus r cents du Centre Le bulletin technologies m caniques ce bulletin est une s lection bibliographique mensuelle tir e 450 exemplaires et diffus e sur abonnement Il reprend sous une forme condens e les analyses qui paraissent dans
104. amme multiple des th mes techniques en fonction des sous segments Chaque th me se positionne alors dans l un des quatre quadrants du diagramme strat gique figure 18 Page 105 Chapitre III DENSITE Quart dense et peu central Quart dense et central th mes consid rer th mes majeurs besoins importants mais sp cifiques besoins importants et centraux CENTRALITE Quart ni dense ni central Quart peu dense et central themes a consid rer th mes mineurs besoins centraux mais peu exprim s Figure 18 Signification du diagramme strat gique Le diagramme complet est donn titre d illustration page suivante figure 19 Quinze th mes majeurs s en d gagent Qualit sans aller jusqu la certification Choix et ma trise des rev tements et des traitements Calcul de structure et de pi ces Am lioration des composants m caniques Conditions d usinage outils et fluides de coupe Environnement Aide aux choix des m thodes et instruments de mesure Formation du personnel et gestion des ressources humaines du proc d de soudage Aide l utilisation des normes et r glements Choix et caract ristiques d utilisation des plastiques et peintures Conception automatisation introduction de lectronique Am lioration des composants hydrauliques et pneumatiques Information technologique Essais de composants et machines Page 106 Chapitre ainsi que quatre th mes
105. ansfert par exemple afin de visualiser leurs corr lations potentielles Ces techniques permettent d extraire les tendances les plus marquantes d un ensemble de donn es et d liminer les effets marginaux qui perturbent la Page 118 Chapitre perception globale des faits ESCO88 Le logiciel utilis dans ce but est srarerarurcs d velopp par srsc auquel s ajoute le module mens d velopp par UNIWARE Ce rapport vise deux objectifs pr cis conna tre les formes de transfert souhait es par les ressortissants et mesurer la capacit de r ponse du Centre a Grandes caract ristiques de la demande Pour cibler les grandes lignes de la demande les principaux r sultats recens s dans le premier rapport sont repris et agr ment s de donn es nouvelles concernant la d finition des march un histogramme simple qui donne le nombre de besoins exprim s par sous segment professionnel et un histogramme multiple qui donne la repr sentation des th mes techniques pour les trois grands segments professionnels annexes 8 9 A ces deux informations quantitatives s ajoute une analyse qualitative issue dune A F C sur la matrice des corr lations entre les th mes techniques mergents et les sous segments professionnels L A F C pr sente un grand int r t lorsque l on d sire analyser des matrices de taille importante Le graphique principal restitue une grande partie de l information et permet de visualiser des relations difficiles
106. apport r side dans la constitution automatique des matrices de corr lation En 1991 aucun outil de ce type n tait disponible les matrices tant constitu es partir de comptages manuels leur exploitation s en est trouv e fortement limit e En 1992 la premi re tape a t de construire la matrice compl te croisant toutes les variables entre elles sous segments taille formes de transfert formes de recherche d lais de r ponse th mes techniques et sch mas directeurs Une matrice de ce type apporte une grande quantit d informations mais reste r serv e des utilisateurs avertis qui sauront l exploiter pour comprendre la structure des donn es Elle ne doit pas apparaitre directement au niveau des rapports finaux mais c est son exploitation qui permet de les tablir Page 125 Chapitre 111 Les r sultats statistiques restent des moyens privil gi s de compr hension d un lot d informations Dans tous les cas ils doivent tre consid r s comme tels Ils ne remplacent pas une analyse d taill e des fiches de besoins mais sont destin s en faciliter l acc s Ce sont des grilles de lectures de documents primaires DEVA91 qui doivent tre compl t es par un examen plus approfondi II CONCLUSION Il faut ne pas perdre de vue que les r sultats obtenus sont bas s sur les deux premi res tapes de la d marche la segmentation et l chantillonnage Toutes les conclusions qui sont port es dans les r
107. apports doivent donc l tre en tenant compte des biais ventuels que peuvent induire ces deux tapes La premi re difficult de la segmentation r side dans le choix des crit res qui vont permettre de diviser les entreprises clientes en un certain nombre de classes qui correspondent des groupes d entreprises pr sentant des caract ristiques communes D autres cas de segmentation que celle pratiqu e au CETIM peuvent tre cit s Ainsi P Devalan DEVA94 donne l exemple du cabinet SRI international qui a effectu pour le compte du minist re de l industrie une tude dans laquelle la segmentation se basait sur des indicateurs tels que 1 contribution des activit s de R amp D la strat gie de l entreprise le lien entre la strat gie technologique de l entreprise et la strat gie g n rale l utilisation de la technologie comme avantage comp titif latransformation des opportunit s technologiques en opportunit s d activit l anticipation des menaces ou opportunit s a mise en oeuvre des technologies nouvelles dans les autres fonctions de l entreprise production marketing acc l ration de la mise sur le march de nouveaux produits et proc d s Ces indicateurs permettaient de caract riser les entreprises interrog es suivant leur comportement en de gestion des technologies Ce type de classement convient parfaitement un Centre qui d sire d tailler son march en fonction du deg
108. arge qui permet d obtenir tous les termes de m me racine quelques soient leurs suffixes par exemple heat permettra de retrouver heat heated ou heating permet de combiner une s quence de questions avec l op rateur bool en OR par exemple Z 3 quivaudra Zor 2 or 3 1 f CHEMICAL W VAPOR W DEPOSITION OR PHYSICAL W VAPOR W DEPOSITION AND SURFACE OR HEAT f ELECTRON W BEAM W EVAP f CATHODIC W ARC W EVAP 2 f CVD OR PVD AND SURFACE OR HEAT 3 f SPUTTERING AND SURFACE OR HEAT 4 f ION W PLAT 5 f THERMAL W EVAP 6 7 Page 141 8 f ANODIC W ARC W EVAP 9 f IBAD OR ION W BEAM W ASSIST W DEPOSIT 10 flON W ASSIST W DEPOSIT 11 fREACTIVE W ION W PLAT 12 fVACUUM W DEPOSITION 13 f DUPLEX W TREAT 14 f DIAMOND AND COATING 15 fCUBIC W BORON W NITRIDE AND COAT 16 f CARBON W NITRIDE AND COAT 17 fMUL TILA YER W COA 18 f MULTICOMPONENT W COAT 19 f SUPERLATICE AND COATING 20 f OPTIC OR ELECTRONIC OR ELECTRIC 21 f SEMICOND OR SUPRACOND OR SUPERCOND 22 fINTEGRAT W CIRC OR PRINT W CIRC 23 1 19 24 20 22 25 f28not24 La s quence utilis e pour l interrogation des bases brevets est compl t e par les codes CIB sp cifiques aux techniques de d position sous vide Cet exemple d montre l importance du travail avec l expert pour d terminer tous les termes techniques requis pour la recherche ainsi que de la mise au point pour cible
109. asser un message insister sur des points essentiels Outre le transfert d informations elle pr sente l avantage de permettre les changes entre participants Cette diversit se justifie par le caract re vari des informations que l on traite Certaines demandent tre analys es recoup es v rifi es et ne sont diffus es qu une fois le dossier ficell certaines pr sentent une grande fragilit dans le temps et m ritent une diffusion imm diate d autres ont un degr de permanence plus important et ne sont diffus es qu travers des publications mensuelles La panoplie des supports utilis s par les entreprises est suffisamment vaste pour offrir dans chaque cas de figure une solution adapt e Soulignons encore que la pr sentation joue un grand r le dans l acceptation d une information Il faut tre soign clair attrayant Pour attirer l attention sur les points importants certains auteurs proposent m me d illustrer les documents pour faciliter leur approche N est on pas all jusqu d montrer l efficacit de la bande dessin e dans la presse d entreprise CAGN93 Ajoutons qu il convient de conserver une unit dans les pr sentations et de leur donner un caract re permanent logo couleur Des changements perp tuels n auraient aucun effet favorable Page 32 Chapitre I 3 L INSTANT Pour tre correctement percue une information doit tre transmise un instant o le destinataire est r cept
110. at Les supports papiers ne n cessitent pas quant eux l acquisition d un mat riel sp cifique A ne pas n gliger les moyens de communications tels que le t l phone le t lex la t l copie ou les messageries lectroniques qui sont des outils de communication indispensables l entreprise moderne Comme nous pouvons le constater la collecte d informations ne n cessite pas de moyens humains et mat riels consid rables Cependant nous n avons pas abord le probl me des moyens financiers Il faut souligner que l information co te cher surtout dans ses formes formelles et labor es Les budgets d abonnements aux revues et de commandes de livres ou de publications sont souvent cons quents les tarifs d interrogation des bases de donn es peuvent Page 23 Chapitre 1 aller jusqu mille cinq cents francs par heure de connexion auxquels s ajoutent les co ts de chaque r f rence visualis e int gralement des tudes sectorielles atteignent souvent plusieurs dizaines de milliers de francs L importance des co ts n est donc pas relative l investissement mat riel initial mais aux budgets de fonctionnement Mais comme dans la conduite de tout projet il convient de pr voir la fois les co ts d investissement et de fonctionnement Les responsables devront donc fixer une ligne budg taire information pour initier les actions et se donner les moyens de les poursuivre C est donc travers ces trois axes
111. at 14 a Les sources d informations formelles soe en ote tee trate ter 14 b Les sources d informations informelles c ccscccccsscsssesscssesscessesecessssecssessecesessecessseeeeseees 17 Be ES MON CNN Pr ne te 20 a Des moyens i 20 LES moyens i ee ele UR Re e e E ee 23 CIOERATTEMENT S taste eH AL LN NL DRM UN E EU LT ANUS 24 MU 25 2 Evaluation o 26 UU 28 D DIFF SION 2 nn ebore te ert eiue D 29 LLB destinataire quias 30 Eet Deg Det een Rar neto 31 EE IEEE RE AR RETURN RER 33 E MESURE AcTIoNs LA QUALITE DES SYSTEMES DE VEILLE eee eene 33 II LES DISSIMILITUDES DANS L ORGANISATION nnne 36 SOUS TRAITER E 36 QUELLE DIRECTION DE RATTACHEMENT EE 39 C VERS UN SYSTEME CENTRALISE OU DECENTRALISE 4 Ill CONCLUSION AA Lou EE ETE 43 Sommaire CHAPITRE II Le CETIM et s
112. ation information environnement social et conomique n 933NO0003 1 Juin 1992 83 p Le r le des revues de presse comme source d information scientifique et technique dans la veille technologique Application une soci t travaillant dans l nergie de la production la distribution G Odone Th se de doctorat Universite de droit et des sciences d Aix Marseille Facult des sciences et Techniques de St J r me Juin 1994 198 p Les indicateurs sur le brevet europ en Comparaisons r gionales europ ennes et mondiales R Barr La Lettre OST n 4 Novembre 1992 p 1 8 Analyse et valuation des processus de production des techniques partir des activit s de conception J Perrin dans L valuation conomique de la recherche et du changement technique Edit par J De Brandt et D Foray Edition du CNRS Paris 1991 p 117 134 Brevets d invention B Phelip J Delmas et Cie Encyclop die Delmas pour la vie des affaires 3 me dition 1989 432 p France le choix de la performance globale Groupe pr sid par J Gandois Pr paration du XI me plan La documentation fran aise 1992 204 p PME comment organiser sa veille technologique L usine nouvelle n 2428 14 Octobre 1993 p 92 96 Choix strat giques et concurrence M Porter Economica Paris 1986 Page 207 POURS86 587 RAPP93 91 RIOU94 79 ROST93 sALo93 SAYE92 5 8 5 5 82
113. ation sur le serveur Cependant nous pr f rons travailler partir de donn es t l d charg es car cette technique est la seule garantir l exploitation exhaustive des r sultats L analyse est men e sur les trois derni res ann es p riode qui permet la fois d viter les effets de mode et de donner une image r aliste de l volution d un domaine La base utilis e pour cette tude est WPI car elle poss de de nombreux champs sp cifiques et tr s utiles dans le cadre d analyses statistiques Codes d indexations Derwent Denvent Classes et Manual Codes Ces codes permettent de r pertorier et de classer les brevets suivant les technologies dont ils rel vent Ils sont tr s compl mentaires de la Classification Internationale des Brevets CIB ou IC International Classification qui permet elle aussi de classifier les brevets par technologies La principale diff rence entre les deux syst mes r side dans leur origine les premiers sont attribu s par les analyseurs de Denvent qui indexent le brevet alors que les seconds sont attribu s par les organismes de propri t industrielle qui re oivent le brevet Les codes Derwent pr sentent donc une grande homog n it sur le plan culturel Company Codes CC qui sont des acronymes univoques quatre ou cinq digits sous lesquels sont regroup s les soci t s appartenant un m me groupe Title Terms TT qui sont des mots du titre sous une forme contr l e th saur e
114. au choix Automatisation de la production 3 th mes 32 Automatisation robotisation de la production 33 Montage assemblage 34 Manutention transitique Formage des t les 3 th mes 35 Formage des t les ma trise des proc d s 36 Travail des t les conception gammes 37 Travail des t les outillages Mise en forme par forgeage 3 th mes 38 Forgeage ma trise du proc d 39 Forgeage conception 40 Forgeage outillages Assemblages 4 th mes 47 Conception m canosoudage 42 Soudage ma trise du proc d 43 Conception des assemblages viss s 44 Collage CONTROLES Acoustique industrielle 7 th me 45 Conception acoustique lutte contre le bruit Con tr ie Non Des tructif 2 th mes 45 Contr le automa tique 47 CND Mesures 4 th mes 48 Contr le dimensionne talonnage 49 Contr le 3D 50 Mesures aide au choix 51 Essais de composants et machines ZOMPOSANTS ET MACHINES Composants 6 th mes 52 Conception automatisation introduction de l lectronique 58 Am lioration des composants m caniques 54 Am lioration des composants hydrauliques et pneumatiques 55 Am lioration des pompes et composants de d bit 56 Am lioration de tanch it 57 Connaissance en tuyauterie hors soudage Machines et quipements 9 th mes 56 Conception en vibrations 59 Fiabilit maintenance Page 98 Chapitre 60 Maintenance organisation 61 Maintenance de machines sp cifiques 62 Surveillance 63 Conceptio
115. baisser son seuil de rentabilit le chef d entreprise doit tre rigoureux et bon gestionnaire Fin des ann es 80 face la mondialisation de l conomie l entreprise se retrouve dans un environnement plus complexe plus mouvant plus furtif Les menaces ne se limitent plus quelques acteurs bien d finis il faut tre vigilant capable de s adapter rapidement une situation nouvelle L entreprise doit se donner les moyens d anticiper et de r agir vite son responsable est un strat ge Page 4 1 Face cette omnipr sence des menaces ext rieures qui p sent sur l entreprise la surveillance de l environnement a pris une place d honneur au sein de la strat gie Mais le temps o il tait possible d tre parfaitement inform sur tout ce qui concernait de pr s ou de loin les soci t s est aujourd hui r volu L ventail de leurs activit s est tel qu il faut se r soudre d finir des domaines de surveillance prioritaires qui constitueront les grands axes de veille Le choix de ces axes est intimement li aux objectifs d finis par la strat gie De ce fait il d pend g n ralement des diff rentes directions g n rale R amp D marketing plan d veloppement commerciale Cependant le service ou la cellule de veille pourra intervenir pour aider les directeurs bien cibler les secteurs sensibles qui doivent faire l objet d un suivi syst matique F Jakobiak JAKO91 num re quelques m thodes permet
116. biens d investissement et des valeurs ajout es lev es il regroupe les concepteurs r alisateurs et ou assembleurs d quipements de production destin s des process m caniciens ou autres Nous donnons dans ce qui suit la liste des 30 sous segments ainsi d finis METIERS Forge D coupage emboutissage Traitements thermiques et superficiels M canique g n rale Chaudronnerie COMPOSANTS ET PETITS EQUIPEMENTS Boulonnerie Outillage lectroportatif Quincaillerie Page 79 Chapitre Articles et appareils m nagers Outillages pour machines Engrenages et organes de transmissions m caniques Robinetterie Transmissions hydrauliques et pneumatiques Pompes Mobilier m tallique parties m caniques des machines de bureau et de traitement informatique Roulements Ressorts petits articles m talliques f ts tonnelets Mesurage pesage r gula tion optique Mat riel m dico chirurgical EQUIPEMENTS Equipements agricoles Machines outils Mat riels thermiques et frigorifiques Moteurs compresseurs turbines Mat riels pour la chimie et les plastiques Mat riel textile Equipements pour l industrie du papier du carton de l imprimerie Mat riels de TP sid rurgie fonderie mines Mat riels de manutention levage Fours Mat riels pour industrie alimentaire Chaque sous segment est sous la responsabilit d un ou de plusieurs charg s de profession Ils sont plac s sous l autorit de trois coordinateurs cha
117. boratoire d pend d un groupe les accr ditations qui sont les sigles des organismes ayant agr le laboratoire pour certains essais ou mesures l assurance qualit qui signale si le laboratoire travaille sous des proc dures d assurance qualit internes ou d origine ext rieure la zone g ographique qui correspond la zone d intervention attribu e au laboratoire r gion administrative le type de prestation r alis e que sont les services propos s par le laboratoire aide technique conseil documentation expertise formation publications recherche lesdescripteurs du thesaurus CETIM utilis s pour qualifier les domaines de comp tences technologiques du laboratoire Le CD ROM procure donc une vue d ensemble sur les technologies de la m canique travers la banque de donn es bibliographiques et des informations factuelles sur les entreprises et les experts pouvant apporter leur exp rience et leur savoir faire pour la mise en oeuvre de ces technologies Le thesaurus est galement pr sent en trois langues fiangais anglais et allemand ce qui fournit une aide appr ciable du vocabulaire du m canicien et permet travers l utilisation des descripteurs de naviguer librement entre les diff rentes bases qui associent les connaissances et les p les de ressources comp tents MECA CD pr sente tous les avantages propres au CD ROM aucun frais d interrogation convivialit consultation fa
118. bre 1992 INDU92 Industries et Techniques laborait un dossier sur les axes privil gi s d une politique industrielle plus performante Parmi les dix points cl s relev s figuraient l audit environnement et la normalisation C est dire l importance de ces deux variables dans la strat gie d entreprise Certaines technologies ont vu leur avenir bloqu parce que trop polluantes l inverse les technologies propres connaissent un essor consid rable et se voient promises un bel avenir INFO93a la l gislation tant de plus en plus s v re Depuis une dizaine d ann es la demande de renseignements dans ce domaine n a fait que s accroitre exponentiellement et il en est de m me pour les normes techniques Il existe aujourd hui pr s de 7000 normes en pr paration au niveau europ en l AFNOR Association Frangaise de Normalisation en a publi 15000 depuis sa cr ation Les entreprises seront dans l obligation au risque de perdre des parts de march de suivre une politique de normalisation En mati re d information la principale difficult r side dans la fraicheur du renseignement Bien souvent les industriels souhaitent avoir l information avant m me la publication de la norme au moment o l on d cide de cr er un groupe de travail qui va laborer le projet b Nature des informations en veille march Nous nous pla ons aujourd hui dans une logique de march o la technologie se pr sente comme un moyen qui se met au se
119. c s des informations qui leurs sont indispensables pour une mont e en comp tences Les savoirs ainsi accumul s pourront ensuite tre transf r s vers les industriels et adapt s leur contexte Enfin une ultime utilit de ces programmes est de permettre de confronter les indications issues de la veille march sur des sujets potentiels de R amp D aux donn es issues de la veille technologique L apport compl mentaire de ces deux actions permet de savoir 51 les travaux envisag s pr sentent un int r t imm diat ou terme pour les m caniciens et donne des indications fiables pour l orientation de l ensemble des travaux de recherche du Centre Les r sultats des veilles march et technologique ne sont pas les seules donn es utilis es pour orienter les politiques de Recherche ou de Transfert mais ils constituent une source majeure pour d cider des actions mener Nous reprenons dans la figure 8 le sch ma g n ral des actions de veille et leur situation dans la strat gie du Centre Ce sont donc 4 objectifs primordiaux que vise la d marche de veille Mesurer l ad quation entre les besoins des entreprises et les comp tences du Centre gt Constituer des dossiers de veille technologique pour les clients du Centre Permettre une mont e en comp tence des quipes Ajouter une troisi me mesure au couple march comp tences l offre technologique Page 73 Chapitre II Actions de R amp D
120. c de comptabiliser leur fr quence d apparition Ces calculs sont effectu s gr ce au logiciel DATAVIEW figure 12 a Coefficients de similitude La fr quence d apparition d une paire permet de mettre tr s rapidement en vidence les liens qui existent entre diff rents mots ou concepts mais elle pr sente le net inconv nient d galiser le poids de toutes les entit s DOUS9 c est dire qu elle ne tient pas compte des fr quences relatives des deux mots Prenons l exemple de quatre mots cl s mol mot2 mot3 mot4 dont les fr quences d apparition sont respectivement 200 150 10 et 9 Soit 100 la fr quence d apparition de la paire mot1 mot2 et 9 la fr quence d apparition de la paire mot3 mot4 Le lien mot 1 mot2 pourrait appara tre beaucoup plus important que le lien mot3 mot4 100 apparitions contre 9 Par contre on constate que 14 appara t syst matiquement coupl mot3 9 Page 90 Chapitre EDITION DES PAIRES SELECTIONNEES DANS LES FREQUENCES 10 377 FICHIER TRAITE dAdataviewAtravibesoin job intervalle de fr quences des formes constitutives 1 81 5 FREQUENCE RUSSEL amp RAO PAIRE 0 060 MARQUES DE QUALITE QUALITE 0 004 QUALITE ENTREPRISES 0 053 MARQUES DE QUALITE NORMES 0 051 QUALITE NORMES 0 054 MARQUES DE QUALITE ENTREPRISES 0 041 ENTREPRISES NORMES 0 041 CALCUL CONCEPTION 0 033 REGLEMENTATION NORMES 0 033 QUALITE CONTROLE 0 032 CONTROLE DIMENSIONS MESURE
121. ca 83 GG Composants et petits quipements Act hyd pneu 51 2 2 M tiers Hyd de d bit 35 E Equipements Etanch it 25 Qualit 65 Int grat info 1 Normalisation 23 Env s cu erg0 62 Y Certification 78 veille techno 77 Concept prod 19 Essais proto 1 Hors comp t 28 0 50 100 150 200 250 300 Annexe 5 CAO DAO Calcul model Mat m tal Polym res 3 Lubrifiants m ca usinage Automatisation Forge Travail t les Assembl m ca Soudage Collage Contr les Acoustique Out g n mach Mach frigo Commande lect Comp m ca Act hyd pneu Hyd de d bit Etanch it Qualit Int grat info Normalisation Env s cu ergO Certification Veille techno Concept prod Essais proto Hors comp t REPRESENTATION DES BESOINS EXPRIMES SELON IA TAILLE DES 46 141 82 36 167 42 30 50 26 24 146 79 78 55 48 83 51 35 25 65 23 62 78 71 19 28 ENTREPRISES PAR DOMAINE TECHNIQUE DU CETIM EE LDH ZF LUDO my FH Gy BZ c SES grandes entreprises Gy Z moyennes entreprises petites entreprises LE E ___ ZZ ES P 2 2 0 50 100 150 200 250 300 6 REPARTITION DES MODES DE TRANSFERT EXP
122. cal fractions in the sludges More importantly aluminium sulphate increased the solubility of Cu and Pb in raw and digested sludge while both precipitants appeared to generally reduce the solubility of the other metals in all of the sludges Classification Codes 3000 Controlled Terms wastewater treatment phosphorus removal heavy metals sewage sludge aluminum sulfate chemical treatment ferric chloride Figure 36 Exemple de r f rence POLLUTION ABSTRACTS format AU serveur ESA Page 152 Chapitre IV ENVIROLINE Enviroline est produite par R R Bowker et Martindale Hubbell Elle traite des probl mes li s l environnement la sant la terre et l eau sous des aspects qui touchent la science la technologie l ducation la gestion la planification la l gislation et l conomie Elle contient 190 000 r f rences qui proviennent de 5000 sources p riodiques rapports de recherche rapports techniques rapports gouvernementaux brevets et actes de congr s N e en 1971 son volume augmente de plus de 14000 nouvelles r f rences chaque ann e La base poss de un plan de classement et chaque document est index l aide d une liste de descripteurs Les signalements sont pr sent s en anglais Sa mise jour est mensuelle Quest Accession Number 93028492 93V07123 ENVIROLINE Issue 9306 EFFECTS OF CONDITIONING AND TREATMENT OF CHABAZITE AND CLINOPTILOLITE PRIOR TO LEAD AND CADMIUM REMOVAL Autho
123. cel tableur Fiches de recueil Kortex communication Rapports de mission Infotrans d doublonnage Infobank logiciel documentaire Word traitement de texte Identification des besoins Recherche Collecte Archivage Mise en forme Responsables Experts Connaissances Coordinateur Analyses bibliom triques Coordinateur Expert Revues Congr s Coordinateur Bases de donn es Coordinateur Pettinen Expert Nouveaut Expert Coordinateur Coordinateur Expert Coordinateur Figure 51 Etapes de la d marche de veille technologique La pr paration des dossiers semestriels impose une grande rigueur dans la tenue des d lais La date de la journ e est fix e plusieurs mois auparavant afin de ne pas prendre les industriels au d pourvu et les dossiers doivent imp rativement tre pr ts pour le jour de la r union Le calendrier de r alisation est le suivant Page 194 Chapitre IV recueil des besoins 8 semaines pr paration des quations de recherches 1 semaine interrogation des bases de donn es 1 Semaine analyse du coordinateur et remise des fiches aux experts 1 2 semaines premi re analyse des experts 3 4 semaines commande des articles importants 3 4 semaines deuxi me tri des experts r daction des synth ses et remise de l ensemble des donn es au coordinateur 2 3 semaines pr paration des dossiers 2 3 semaines Ces donn es concernent uniquem
124. ch mechanical companies A method for strategical marketing of the technology S Dumas P Devalan H Dou Soumis Technology Analysis and Strategic Management Bibliom trie et scientom trie en France Etat de l art C Dutheuil Documentaliste Sciences de l information vol 29 n 6 1992 251 261 Analyses factorielles simples et multiples Objectifs m thodes et interpr tations B Escoffier J Pages Dunod 1988 240 p La banque de donn es biliographiques du CETIM D Feldman Support de stage CETIM ESA Paris 6 Juin 1991 73 p Traitements de Surface Introduction J Galland Les Techniques de l Ing nieur vol M5 M tallurgie Traitements de surface mise jour 1990 M 1425 3 Les grands syst mes de la science et de la technologie et l organisation de la recherche P Germain dans Les grands syst mes de la science et de la technologie coordonn par J Horowitz et J L Lions Masson Collection RMA 1993 p 353 363 Building effective intelligence systems for competitive advantage 5 Ghoshal 5 Kim Sloan management review D cembre 1986 Prospective et planification strat gique M Godet CPE Economica 1985 335 p De l anticipation l action M Godet Dunod 1991 385 p Faut il formaliser l information informelle G n ral Guyaux Congr s sur les syst mes d informations labor es SFBA IIe Pousse Juin 1993 p 1 16 Du bon usage de la strat gie D Huet Humanisme et Entre
125. cile et propose un compl ment d informations factuelles par rapport aux donn es accessibles en ligne La nouvelle version disponible depuis le d but de l ann e 1994 fonctionne avec l interface d velopp e dans l environnement WINDOWS avec le g n rateur d applications OMNIS 7 de SorrwanE compl t par un module de fonctions suppl mentaires qui le rendent apte aux t ches de recherche documentaire le moteur de recherche SPEEDOC con u par ConTEXT FREE Cette interface qui assure le dialogue avec MECA CD n exige pas de connaissances pr alables ou de formation particuli re Elle apporte son aide pour le choix des Page 62 Chapitre II banques de donn es la formulation des questions le choix du vocabulaire et l exploitation des r ponses D velopp e au CETIM elle s av re tre un puissant outil de GED car elle comprend galement le moteur d archivage ARCHIV 3000 qui permet de stocker des documents num ris s associ s aux banques de donn es Elle galement t con ue pour permettre la recherche d informations dans des banques de tous types implant es sur CD ROM ou sur disque magn tique KAUF94 Elle peut donc tre utilis e pour la consultation de fichiers propres chaque entreprise Il suffira pour cela d une l g re pr paration des donn es afin de pouvoir les int grer derri re 5 LE BULLETIN TECHNOLOGIES MECANIQUES Le troisi me support
126. clusion g n rale Les analyses montrent qu l heure actuelle le d veloppement technologique est une des cl s pr pond rantes de la r ussite des Elles doivent pour cela int grer dans leur strat gie l volution des technologies et la gestion de leurs ressources propres Mais si cette t che reste vitale elle n en demeure pas moins difficile mettre en oeuvre Le r le des Centres Techniques est aujourd hui d aider leurs ressortissants y parvenir C est l objectif que s est fix le CETIM qui travers des analyses de besoins davantage performantes et des actions de veille technologique plus nombreuses oeuvre dans ce sens Les principaux indicateurs sur lesquels il se basait pour valuer les th mes de recherche restaient des indicateurs d atouts taux de p n tration recettes Aujourd hui la veille strat gique permet d int grer dans l valuation des sch mas directeurs des indicateurs intensit de la demande apport e par les r sultats de la veille march et intensit de la R amp D apport e par les r sultats de la veille technologique Page 200 Bibliographie ABEL80 ADBS93 AIT89 BALL93 91 BEL083 BLAN92 BORD92 BULLS 1 CAGN93 CALL83 Bibliographie BIBLIOGRAPHIE Defining the Business the starting point of strategic planning D F Abell Englewood Cliffs New Jersey Prentice Hall Inc 1980 R pertoire des banques de donn
127. communications les plus importantes dans le cas des congr s sous forme de r sum dans la plupart des cas En r gle g n rale deux ou trois congr s sont couverts et pr sent s chaque ann e aux clients Nous avions not dans le premier chapitre la difficult que repr sentait le d pouillement des actes de congr s et l aide que pouvait apporter un sp cialiste pr sent la manifestation nous en avons ici une illustration Page 166 Chapitre IV C TRAITEMENT L LE TRI La premi re tape du traitement consiste trier les informations en fonction de leur niveau de pertinence et de leur degr de nouveaut Trier les documents collect s suivant leur pertinence consiste d une part liminer les documents hors sujets et d autre part retenir tout particuli rement ceux qui r pondent aux p les d int r ts exprim s par les clients Lorsque les documents sont issus de la lecture des revues ou des congr s et salons le tri est effectu directement par l expert charg de la collecte qui ma trise parfaitement le sujet et connait les p les d int r ts des clients Si les documents proviennent de l interrogation des bases de donn es la d marche s effectue en deux tapes Un premier tri est r alis par le coordinateur qui v rifie la pertinence des documents et les classe par th me un niveau de connaissance g n rale du sujet trait est suffisant Les documents sont ensuite transmis aux experts respo
128. coul e moulage QUALIT DE LA PRODUCTION Mesures dimensionnelles Mesures de surface rugosit Mesures des forces d formations contraintes y compris contraintes r siduelles Mesures des vibrations battements bruits Autres mesures physiques Analyse des mat riaux spectroscopie m tallographie Essais m caniques des mat riaux Contr les non destructifs conomies de mati res et d nergie Normalisation et Qualit normes assurance qualit fiabilit Maintenance et entretien Conditionnement Conditions de travail hygi ne s curit Installations et quipements connexes chauffage ventilation pollution lutte contre le bruit Recherche scientifique et technique DOMAINES CONNEXES Mat riels agricole textile m dical etchirurgical proth ses implants Mat riels des mines et des travaux publics y compris broyeurs Mat riels des constructions navale ferroviaire a rospatiale automobile et des cycles Mat riels des industries alimentaire de la verrerie du papier des industries chimiques et annexe y compris traitement des effluents des p trole et gaz y compris plates formes offshore Mattriels pour la sid rurgie Mat riels frigorifiques Materiels du secteur mtnager blanchisserie cuisines chauffage de l informatique et du bureau Materiels pour le travail du bois du cuir Outillage main Mattriels des centrales de production
129. ctuer des travaux de recherche collective et de diffuser les r sultats au plus grand nombre d entreprises il a choisi de suivre une strat gie centr e march bas e sur le renforcement de ses relations avec ses ressortissants Page 71 Chapitre M ROLEDELAVEILLEDANSLASTRATEGIE Nous d finirons la veille strat gique comme l ensemble des actions men es pour informer les d cideurs de l tat et de l volution de l environnement afin de les aider prendre les bonnes d cisions pour renforcer la comp titivit et assurer le d veloppement de l entreprise Dans le cadre du CETIM la veille doit remplir plusieurs objectifs Elle doit tout d abord donner une mesure de l ad quation entre les comp tences du Centre savoir faire et la demande de son march volution des besoins des entreprises clientes C est le r le de la veille march Le Centre pratique peu la veille commerciale ou concurrentielle il volue sur un autre terrain celui du service et du transfert aux entreprises Ses facteurs critiques sont intimement li s ceux des entreprises La veille march est donc essentiellement une veille clients Elle consiste r aliser une enqu te et analyser les besoins des industriels afin de faire merger leurs pr occupations techniques essentielles Cette premi re phase de la veille strat gique dite phase de scanning permet d une part de d terminer les zones sensible D A S sur lesquelles le Centre doit
130. cune des ces deux bases 93 271997 34 XRAM C93 12 1264 Modular ion beam assisted deposition system allows metals and polymers in sheet tube or wire to be coated continuously A32 L02 MI3 SPIR SPIRE CORP BRICAULT RI SIOSHANSI P 2 19 US5236509 A 93 08 17 9334 13p E C23C 016 54 WO9316212 A1 93 08 19 9334 49p E C23C 014 56 E HU JPATBECHDEDKESFRGBGRIEITLUMCNLPTSE 053682795 US3911579 054622919 US4692233 US4812101 054911810 92 02 06 92US 832019 92 02 06 92US 832019 93 01 25 93WO U00685 B32B 015 00 B32B 027 00 C23C 014 22 C23C 014 56 C23C 016 54 US5236509 A modular cominuous coating appts comprises a material input section 12 a vacuum entry stage 14 a pre lt leaning module 16 several ion beam assisted deposition IBAD modules 18 20 22 a vacuum exit stage 24 and a material output section 26 The modules are operatively connected in series Each IBAD module comprises a linear ion source and a linear or multiple evaporator A high vacuum pumping system a central control 30 and a power supply 34 are operatively and individually cormected to the stages USE ADVANTAGE For continuous IBAD coating of a wide range of materials Metals and polymers can be coated in wire sheet tubing or rod form The coatings improve wear oxidation or corrosion resistance Dwg 1 17 Figure 40 Exemple de r f rence WPIL format Full serveur ORBIT Page 161 Chapitre IV PUB FR2686352 930723 EN FR920040
131. d lectricit Analyses conomiques et statistiques Etudes de marche et de prospective Situation des techniques et de la recherche Synth ses enqu tes veilles technologiques Domaines couverts techniques et quipements de conception de production et de mesure mat riaux composants machines professions Remarque les documents de type tude ne sont disponibles qu aupr s des organismes que nous mentionnons Annexe 2 Extrait du bulletin Technologies M caniques CONCEPTION CIT940070 1 CURRAN L en anglais STEP un pionnier pour une meilleure mod lisation de produits STEP bridges the way to better product modeling MACHINE DESIGN Vol 66 Nr 5 7 Mars 1994 137 142 5p 1 fi 3 tabl L ISO a d velopp le Standard for the Exchange of Product Model Data STEP environnement d change de donn es de mod lisation en ing nierie concurrente langage informatique donnant l acc s aux donn es sous le m me format pour les diff rents intervenants conception ing nieurs fabricants Exemples de l application d un traducteur d ve lopp par Digital Equip et des fournisseurs d XAO LAM CIT9400702 RAO C RM MUTHUVEERAPPAN G en anglais Mod lisation par l ments finis et analyse des contraintes de dentures d engrenage h licoidales Finite element modelling and stress analysis of helical gear teeth COMPUTERS AND STRUCTURES VoL 49 Nr 6 17 D cembre 1993
132. d finir des buts et de combiner efficacement des moyens et des actions pour atteindre ces buts Elle doit permettre au Centre d am liorer son efficacit et se r sume donc comme la mani re dont il compte s y prendre pour r aliser sa vocation On substitue aujourd hui volontiers le triplet produit march technologie au couple produit march longtemps promu par le marketing tant la technologie s est impos e comme une composante essentielle dans l laboration d une strat gie Dans un ouvrage consacr au management des technologies RIBA91 les auteurs montrent qu il est possible de d finir le m tier de l entreprise d apr s ces trois dimensions On d termine alors un cube du m tier figure 5 qui est fonction des produits vendus des segments de march servis et des technologies disponibles pour d velopper les produits March s Technologies Produits Figure 5 Cube du m tier de l entreprise Les entreprises peuvent tablir une strat gie de base s appuyant sur le d veloppement d un des axes du cube La strat gie ax e march se fonde sur la recherche de nouveaux d bouch s des produits d j existants la strat gie ax e produits se fonde sur la cr ation de nouveaux produits correspondant aux besoins non satisfaits des clients ou la recherche de nouvelles fonctions la strat gie ax e technologie se fonde sur l acc s de nouvelles technologies pour obtenir un avantage concurrentiel Pour ce dernier cas les a
133. dans diff rentes sources est significatif de son poids et de sa vraisemblance Le recoupement apportera galement une aide l interpr tation Il n est pas toujours n cessaire de connaitre la totalit des informations relatives un sujet l assemblage de donn es parses et leur analyse offrent dans bien des cas un d but de r ponse aux questions pos es L ensemble des informations collect es sur un sujet de veille sont des parties visibles d un difice une fois analys es interpr t es elle donneront une image de sa partie cach e Mais attention Dans toute interpr tation il y a une prise de risques et il est indispensable d viter toute forme de subjectivit pour les minimiser Dans cette phase de recoupement l analyse crois e d informations formelles et informelles est souvent tr s enrichissante Le recoupement est donc utile deux niveaux il permet de juger de la fiabilit des informations et d mettre des hypoth ses sur des informations qui restent inaccessibles Ces tapes d valuation recoupement jouent un grand r le dans la r daction des synth ses o seules seront mises en vidence des informations s res et majeures dont on pense qu elles r duisent le taux d incertitude pour qu un d cideur puisse correctement juger de la situation Page 27 Chapitre I 32 SYNTHESE Nous disposons maintenant d informations pertinentes qui ont t tri es jug es valid es et qui estime t on rec lent
134. de veille partag e n est pas le fruit du hasard Informer les industriels est un des r les majeur du CETIM De plus les entreprises ressortissantes sont pour la plupart des PMI disposant de moyens financiers limit s Pouvoir multiplier le nombre de clients autour d une m me action permet de diminuer consid rablement les frais de participation de chacun Les veilles partag es sont des op rations lourdes et dont le co t oscille entre 500 000 et 700 000 francs Un nombre de clients lev et la participation des commissions professionnelles qui allouent une part de leur budget permettent ainsi aux ressortissants de participer au programme pour un montant de 10 000 francs par an les rapports restent cependant accessibles toute autre soci t ou organisme pour un montant de 40 000 francs La limitation des co ts bien que fondamentale n est pas le seul l ment d importance Ces op rations permettent en l occurrence de grouper plusieurs industriels autour d un m me projet et donc de favoriser les changes de contribuer l effort et la mission d informateur du Centre et de b n ficier en interne des r sultats des travaux Trois domaines ont d j fait l objet de ce type d actions le travail des t les d coupage emboutissage le contr le non destructif CND et les traitements de surface Une op ration dans le domaine de l assemblage verra le jour d s 1995 Les travaux que nous avons conduits avaient pou
135. de d cembre 1993 Il donne la tendance g n rale qui se d gage de tous les documents que l expert eu analyser et il regroupe et pr sente les diff rents articles retenus Page 168 Chapitre IV THEME 7 PEINTURES ET REVETEMENTS ORGANIQUES Y Tendances g n rales La r gle des nergie Economie Environnement s impose de plus en plus aux industriels de la peinture Des peintures plus propres pour l environnement seront de plus en plus utilis es dans l avenir c est ainsi qu en 1992 les peintures en phase aqueuse ont progress de 7 il est de m me pour les peintures en poudre 5 Ilest pr vu qu en 1998 les peintures sans solvant repr senteront 67 du march Europ en La r glementation bouleverse les donn es aussi faut il liminer les solvants chlor s des bains de d graissage se pencher sur la collecte et la valorisation des boues de peinture trouver des solutions de remplacement pour les ringages passivants Un effort technologique sera demand aux industriels afin de pouvoir mettre en oeuvre les nouvelles peintures qui ne pourront satisfaire des quipements existants IU Information technico conomique On note la parution d une revue qui porte sur les d veloppements techniques en 1992 dans le domaine des peintures proc d s et quipements 7 1 Peintures hydrosolubles Deux articles sont sp cifiquement consacr s au pouvoir anticorrosif des peintures 7 2 7 3 Un article
136. de la banque de donn es est une dition papier publi e chaque mois et qui reprend toutes les fiches bibliographiques analys es durant cette p riode Les documents sont class s suivant le plan de classification Les notices apparaissent sous une forme condens e cf exemple en annexe 2 et seuls sont pr sents le num ro d identification du document les auteurs la langue le titre la source le r sum un indicateur pour pr ciser s il s agit dune information marquante nouvelle technologie r sultats significatifs impact conomique important d une synth se sur un sujet dossier guide tat de l art panorama r pertoire ou d une publication d un auteur du CETIM Un index signal tique est publi en fin d ann e il donne pour chaque descripteur du thesaurus le num ro et le titre des articles correspondants LES RECHERCHES BIBLIOGRAPHIQUES Les recherches bibliographiques sont des produits documentaires qui s adressent une multitude de clients d sireux de savoir ce qui t publi comme articles techniques tudes de march s normes ou brevets sur un th me donn ou qui souhaitent suivre un sujet dans la presse technique Les demandeurs sont essentiellement des soci t s et des universitaires Les soci t s font appel au CETIM si elles souhaitent obtenir des informations sur un sujet avant le 1 Gestion Electronique des Documents Page 63 Chapitre JI d mar
137. de la cha ne interconnect e propos par S Kline et Rosenberg KLIN86 et pr sent par J Perrin PERR91 Dans mod le le r le principal n incombe plus la recherche mais la conception qui constitue la chaine centrale de l innovation Ce sont les phases de conception d ing nierie de d tails et de tests de production et de re conception du produit de distribution et de mise sur le march et les nombreux feed back qui existent entre ces tapes successives qui constituent le premier sentier de l innovation Le second se traduit par une transition entre la recherche et la chaine de conception Des transitions directes peuvent exister mais elles restent tr s rares et aboutissent des innovations majeures telles que dans les domaines des semi conducteurs des lasers ou du g nie g n tique Ce sont des innovations de rupture qui reposent sur une grande intensit du changement technologique par opposition aux innovations d am lioration La diff rence entre les deux types d innovation se mat rialise sur la courbe du cycle de vie d une technologie figure 4 Performances Innovation de rupture Innovaiion d adaptation o 2 Technologie 2 Technologie 1 Temps Figure 4 Innovation d adaptation et innovation de rupture Page 67 Chapitre II L innovation d adaptation tente de faire progresser la technologie le long de sa courbe alors que l innovation de rupture g n re une no
138. de recherche et de collecte des informations Page 7 Chapitre 1 RECHERCHE COLLECTE Rechercher et collecter de l information pour alimenter un syst me de veille exige avant la mise en pratique de r pondre trois questions quelle information doit on rechercher O doit on la rechercher Et comment doit on s y prendre Il faut donc d terminer la nature des informations qui nous int ressent les sources qui sont notre disposition et les moyens humains et mat riels dont nous disposons pour r aliser notre travail 1 NATURE DES INFORMATIONS Lorsque l on tudie dans la litt rature la nature des informations trait es par un service de veille on constate que les auteurs sont conduits d composer leur activit en trois grands domaines la veille technologique la veille march et la veille globale Bien que l on observe quelques fluctuations dans les terminologies utilis es veille technologique technique technico conomique commerciale concurrentielle strat gique intelligence conomique et dans les classements effectu s la tendance g n rale s oriente vers ces trois grands p les Ce d coupage est li la nature m me des informations composant chaque domaine qui se traitent de mani re diff rente se trouvent dans des sources diff rentes et font appel des acteurs diff rents Simplement la difficult de les dissocier vient des liens intimes qui les rattachent les unes aux autres et qui r
139. des mat riaux en feuilles 36 B 4 Travail par d formation 38 Ee 39 B 7 Traitements superficiels et rev tements 40 BS Traitements thermiques et thermochimiques 43 Mesures contr les essais 46 C 2 Pr occup tions g n rales eria 51 D 1 Technologies d industries diverses 56 D 2 Marches des technologies tonnes 57 CONCEPTION Calcul conception assist e par ordinateur intelligenceartificielleetsyst mes experts planification analyse de la valeur et design industriel M taux ferreux m taux non ferreux plastiques et lastom res Composites C ramiques cermets maux oxydes carbures niuures bot tues y compris abrasifs Mintraux et m talloides diamant graphite SiC amiante mica Combustibles solides liquides ou gazeux Verre et mat riaux amorphes B ton et mat riaux de construction Lubrifiants et fluides de coupe Divers textiles cuir papier bois Ph nom nes dynamiques chocs vibrations cavitation coups de b lier Fatigue et rupture Frottement usure lubrification Corrosion fragilisation Instabilit flambement voilement Autres ph nom nes fluage plasticit hyst r sis thermoplasticit choc thermique Transmission
140. des renseignements de toute premi re importance s agit pr sent de transmettre ces informations de faire passer le message et le meilleur outil disponible pour y parvenir est la synth se De l avis de tous les professionnels c est une tape indispensable dans le travail du veilleur sans laquelle les informations sont engrang es dans des classeurs trop volumineux pour tre consult s et d embl e destin s terminer leur chemin au fond des armoires papiers amenant ainsi le syst me p ricliter Mais crire une synth se est un art difficile qui demande un certain talent de r dacteur pour trouver le bon quilibre employer les mots justes rester fid le au sens Un effort important de concentration et un bon niveau de connaissances sont n cessaires car synth se n est pas synonyme de r sum elle implique de la part de son auteur un engagement une interpr tation Il s agit donc d un travail qui demande un savoir faire que tout le monde ne poss de pas Lorsque l on s appr te r diger une synth se deux questions doivent se poser que veut on montrer Et qui veut on le montrer Les r ponses se traduisent en termes de moyens et de mani res Il n est pas question de chercher influencer le destinataire au contraire la synth se doit rester en tout point objective Le probl me touche la communication Il faut parler le m me langage et savoir capter l attention Les objectifs sont de deux ord
141. documentaire exercent principalement leur activit dans le domaine des informations formelles Grands consommateurs ils en connaissent parfaitement les sources et les moyens d acc s Posez leur une question s ils ne savent pas vous r pondre ils sauront le cas ch ant o s adresser pour trouver l information Ce sont des personnes qui ont une bonne connaissance du domaine dans lequel ils travaillent ce qui leur conf re un minimum de cr dibilit aupr s de leurs interlocuteurs Curieux observateurs tenaces ils sauront d nicher les informations pour en faire ensuite une premi re analyse Leur position les conduit tr s souvent piloter les activit s de veille ils doivent de ce fait faire preuve de qualit s non seulement techniques mais de communication l interface entre deux mondes ils sont en contact permanent avec des ing nieurs qu ils sollicitent fr quemment et doivent faire preuve de beaucoup d humilit pour obtenir des renseignements demander sans jamais d ranger Les experts ont des charges de travail importantes et ils trouvent dans la veille une t che suppl mentaire Leur propension s investir dans cette nouvelle activit d pendra fortement de l int r t qu ils retirent des informations qui leur sont transmises e Les experts sont amen s de par leur niveau de comp tences participer activement la veille des entreprises Leur analyse et leur jugement sont indispensables la validation des infor
142. du puzzle Le dossier est souvent long tablir il m rite d tre peaufin et sa diffusion n cessite moins de spontan it que le bulletin d alerte Page 31 2 2 Les publications p riodiques elles se pr sentent sous des formes tr s diverses revue de presse bulletin technico conomique lettre d information et recensent un ensemble d informations r sum es et class es par th mes ou par rubriques Leur contenu est moins sp cifique que dans les cas pr c dents et leur diffusion moins s lective L objectif principal est de fournir un large public une vue d ensemble de ce qui est paru dans des domaines qui int ressent de pr s ou de loin les activit s de l entreprise Les rapports ils sont tablis la demande d une personne ou d un groupe de personnes pour des raisons bien sp cifiques tude d un domaine technologique particulier rapport de congr s analyse des brevets d un concurrent et ne sont diffus s qu aux principaux int ress s Ils permettent de faire un point complet sur un sujet pr cis Ils peuvent avoir une certaine p riodicit dans le cas de suivis syst matiques mais sont souvent labor s au coup par coup La r union d information son inconv nient principal est de mobiliser un nombre important de personnes date fixe ce qui compte tenu des emplois du temps charg s est parfois d licat Elle s inscrit bien en compl ment de rapports crits pour faire p
143. e Le principe de l analyse statistique r side dans l utilisation du logiciel bibliom trique DATAVIEW d velopp au CRRM par A La T la LATEST et H Rostaing ROST93 dans le cadre de leur th se L id e de base est de traiter les fiches de recueil de la m me mani re qu un corpus de r f rences bibliographiques Les diff rentes informations qu elles rec lent sous segments sch mas directeurs formes de transfert tant consid r es comme des champs bibliographiques Cette transposition se justifie pleinement la bibliom trie tout comme le traitement d enqu te ayant pour principe d utiliser des m thodes statistiques dans le but de d gager des caract ristiques et des tendances d un lot d informations Son utilisation a permis d obtenir tous les r sultats chiffr s n cessaires l analyse des diff rentes variables tant du point de vue de leur importance que des diff rentes corr lations qui pouvaient exister entre elles Cependant si une analyse de ce type doit fournir des r sultats quantitatifs pour faciliter la compr hension de la masse de donn es elle doit aussi et surtout procurer des informations qualitatives qui synth tisent les tendances qui se d gagent des fiches Le choix d une strat gie de base centr e march et la mise en place d une d marche de veille adapt e traduisent pour le Centre sa volont de mieux appr hender sa client le Apprendre mieux connaitre son march reste la base
144. e 30 Chapitre Cependant le veilleur ne peut pas avoir pour seule fiert la satisfaction du travail bien fait Il doit chercher v rifier que son information est accept e et utilis e et profiter de tous les feed back qui s offrent lui Exploiter les moindres signes attestant de l int r t que les d cideurs peuvent porter son travail une demande d informations compl mentaires sur un sujet ou une remarque faite un collaborateur par exemple A l inverse il doit se soumettre un examen critique pour ne pas sombrer dans l autosatisfaction Un produit d information est rarement parfait dit d une autre mani re il est souvent perfectible Le danger est de ne pas mesurer son imperfection et de continuer l exploiter sans l am liorer Si aucun feed back ne se pr sente le veilleur doit provoquer des critiques constructives et les mettre profit afin de mieux satisfaire les attentes Ce n est qu cette condition qu il rendra son produit dynamique vivant et attrayant offrant ainsi toutes les chances d tre exploit J Villain VILL89 faisait remarquer que le service de veille pr sentait des pr occupations similaires celles de l entreprise elle m me L un comme l autre doivent conna tre leur march laborer des produits en fonction des clients les proposer au moment o la demande s exprime et mesurer le degr de satisfaction des clients afin de cr er de nouveaux produits r pondant mieux
145. e 5 peintures et rev tements organiques Th me 6 traitements multi technologies Th me 7 r glementation en traitements de surface environnement hygiene et s curit Nous pouvons remarquer que le th me traitements anticorrosion a disparu une approche par fonction se pr tant mal l analyse les approches par technologies s av rant beaucoup plus efficaces Le th me traitements de nouveaux mat riaux a t limin les domaines d application tant principalement l optique et l lectronique qui ne concernent pas les pr occupations des m caniciens Deux th mes nouveaux sont apparus les traitements avec apport haute nergie et les traitements multi technologies car l activit grandissante dans ces domaines justifiait une investigation suppl mentaire PVD Physical Vapor Deposition CVD Chemical Vapor Deposition Page 135 Chapitre IV La segmentation n est donc jamais d finitive elle varie en fonction de l volution du domaine et des besoins des industriels Cet aspect dynamique est fondamental pour conf rer au produit toute sa valeur Le nombre de th mes n est pas fixe il peut varier suivant les sujets trait s cependant 11 serait d raisonnable d aller au del de dix segments la gestion devenant alors trop lourde Un expert est ensuite d sign pour chaque th me il participe aux tapes de collecte et de traitement 2 IDENTIFICATION DES POLES D INTERET PARTICULIERS Les th mes principaux c
146. e est identique celle utilis e pour l identification des th mes techniques cependant les codes C I B sont tr s orient s technologies leur analyse ne s adapte donc pas la recherche de domaines d application Nous avons proc d l analyse des paires existant entre les mots index s du titre Douze applications ont t identifi es APPLICATION 7 TOLES 41 brevets APPLICATION 2 AERONAUTIQUE 29 brevets APPLICATION 3 OUTILS 23 brevets APPLICATION 4 DEPOTS SUR PLASTIQUES 20 brevets APPLICATION 5 PIECES MECANIQUES 16 brevets APPLICATION 6 AUTOMOBILE 15 brevets APPLICATION 7 MOTEURS 13 brevets APPLICATION 6 REVETEMENTS DECORATIFS 10 brevets APPLICATION 9 FABRICATION DE MOULES OU DE MATRICES 8 brevets APPLICATION 10 NUCLEAIRE 5 brevets APPLICATION 11 IMPRIMANTES JET D ENCRE 5 brevets APPLICATION 12 MEDICAL 2 brevets Page 186 Chapitre IV De la m me mani re que pour les th mes techniques les brevets relatifs chaque application sont isol s L ensemble des informations qu ils contiennent est pr sent de la mani re suivante nombre de brevets relatifs l application d posants soci t s et ou inventeurs qui s illustrent dans ce domaine technologies cit es technologies qui apparaissaient travers les codes recens s dans les diff rents brevets traitant de l application Cas de l application 2 A ronautique Nombre de brevets 29 Wposants 3 brevets GENERAL ELECTRIC
147. e et d en finaliser la forme avec l aide de collaborateurs volontaires Ces tests pr liminaires sont indispensables pour proposer un outil bien adapt et convaincre les ventuels sceptiques du b n fice qu ils peuvent en tirer Dans notre cas cinq manifestations internationales ont t couvertes avant de finaliser la forme des rapports le congr s international Heat and Surface IFHT qui s est d roul Kyoto en Novembre 1992 la conf rence internationale sur les d p ts m tallurgiques et les films minces ICMCTF qui a eu lieu du 19 au 23 avril 1993 San Diego 1 conf rence Surface Finishing SUR FIN 93 organis e par l American Electroplaters and Surface Finishers et qui a eu lieu Anaheim du 21 au 24 Juin 1993 le 4 congr s international de bibliom trie de scientom trie et d infom trie qui s est d roul Berlin du 11 au 15 Septembre 1993 18324 conf rence Britannique Annuelle sur le Contr le Non Destructif organis e Cardiff du 14 au 16 Septembre 1993 Nous comprenons ais ment l importance pour le CETIM s il d sire maintenir son niveau de comp tence de participer des manifestations internationales et de les exploiter syst matiquement Pour les clients qui participent aux programmes de veille l int r t n est pas moindre ils b n ficient d un compte rendu qui pr sente les principales tendances et nouveaut s qui se d gagent de la manifestation et d une pr sentation des
148. e fabriquer et de distribuer un produit Il fonctionne comme une petite entreprise avec un service d approvisionnement un atelier de fabrication et un r seau de distribution Au d part il y a la mati re premi re l information sous toutes ses formes l arriv e il y a un produit avec une raison d tre une fonction de service principale renseigner efficacement Entre les deux bouts de la cha ne se trouve l atelier de fabrication qui va transformer la mati re premi re pour lui apporter toute sa valeur ajout e Mais pour concevoir un produit et savoir l am liorer il faut tre performant et pour tre performant 1l faut ma triser son march conna tre ses caract ristiques identifier ses besoins et Page 3 Chapitre I suivre ses volutions C est dans cette analyse du march et dans la cha ne Approvisionnement Fabrication Distribution que l on retrouve les invariants des syst mes de veille L analyse du march consiste identifier les besoins en informations de l entreprise l approvisionnement consiste rechercher et collecter cette information la fabrication la traiter l analyser la valider et la distribution la difi ser A IDENTIFICATION DES BESOINS Il convient lorsque l on parle d identifier les besoins en information d une entreprise de distinguer deux niveaux Le premier concerne la d termination des sujets d tude Le second moins global concerne l analyse
149. e stade si l entreprise d sire uniquement trouver l adresse d un fournisseur conna tre les sp cificit s d un mat riau les sp cifications d une norme Les produits ou services correspondants prendront la forme de questions r ponses t l phoniques de producttion de banques de donn es de publications Il en sera de m me si l entreprise d cide d int grer dans son processus d innovation la connaissance des acquis scientifiques et techniques Le service pourra alors prendre une forme plus labor e telle que des produits de veille technologique Mais l information se pr sente galement comme une passerelle vers des services compl mentaires si l entreprise d sire aller plus loin Ainsi elle pourra avoir recours la formation pour r aliser une mont e en comp tence des prestations de service pour am liorer les performances de produits ou de proc d s et des t ches de R amp D si elle d sire innover mais qu elle ne dispose pas de moyens ou de comp tences suffisants pour le faire Pour toutes ces raisons la diffusion d informations reste une des t ches essentielles des Centres Techniques et l activit du CETIM dans ce domaine se traduit par une large gamme de produits et services e le service Question r ponse fournit aux entreprises qui le sollicitent une aide t l phonique gratuite Allant du simple qui fait quoi la fourniture d informations documentaires ou normatives les r ponses peuvent g
150. e suspectes alors que plac es dans un contexte plus large raccord es d autres informations elles peuvent prendre toute leur signification Incertaines parce que d tect es partir de signaux souvent faibles elles fournissent avant tout des indices des pistes qui ouvrent la voie des r flexions permettent d chafauder des hypoth ses mais ne constituent pas des certitudes Ce n est donc qu une fois valid es et consid r es dans leur ensemble qu elles prennent tout leur sens L valuation d une information s effectue en tenant compte de deux param tres sa valeur intrins que et la valeur de sa source La valeur intrins que se mesure au potentiel d une information apporter des l ments nouveaux une r flexion et donc r duire l incertitude Page 26 Capit face une prise de d cision Il s agit d un jugement de valeur qui est effectu d s la phase de tri Ce jugement est port priori mais la mesure de l impact r el de l information sur une prise de d cision ne pourra se faire qu posteriori et restera toujours difficile appr cier La valeur d une source se mesure quant elle partir de plusieurs param tres MART89 Certains n ont pas d influence directe sur l information c est le cas notamment de la richesse de la source qui est souvent proportionnelle son degr de g n ralisation plus une source est pointue plus elle a de chances d tre pr cieuse et de son instantan it
151. e une organisation un mode de fonctionnement et une strat gie appropri e C est ce niveau dans l adaptation du syst me de veille une structure existante que des divergences vont apparaitre En respectant les sp cificit s globales et les personnalit s de chacun le veilleur devra choisir un mode d organisation qui lui garantira toutes les chances de succ s INTEGRER OU SOUS TRAITER Si la plupart des soci t s ont aujourd hui admis la n cessit de surveiller leur environnement toutes n abordent pas le probl me de la m me mani re Ne disposant pas toujours de moyens suffisants ou plus simplement pr f rant d l guer d autres ce travail certaines s assurent le concours de prestataires ext rieurs Les facteurs qui peuvent motiver ce choix sont nombreux mais quelques uns pr dominent Tout d abord la veille garde une image de grand syst me organis difficile g rer qui semble tre le domaine r serv des grandes entreprises et qui freine la volont de certains Bien videmment c est au coeur des grandes structures que les premiers syst mes ont vu le jour mais des exemples t moignent de la r ussite dans ce domaine de plusieurs PME qui ont su profiter des multiples avantages que leur conf rait leur petite taille circulation des informations plus rapide r unions de groupes plus faciles organiser mobilisation collective accrue PME93 Tr s dynamiques elles foisonnent d id es
152. eaut Synth se par th me Figure 45 M thodologie de l analyse documentaire 2 LA SYNTHESE Malgr les filtres impos s le nombre de documents retenus reste important entre 300 et 400 informations par semestre Ils se pr sentent sous la forme d articles int graux de brevets ou de r f rences bibliographiques Bien que class s par th mes il est tr s difficile d appr hender une telle quantit d informations Il est indispensable de les accompagner d un texte de synth se con u de mani re aider le lecteur d celer les documents qui peuvent retenir son attention Ces synth ses sont r dig es pour chaque th me par l expert qui en est responsable Elles doivent faire ressortir les principales tendances ainsi que les informations marquantes qui se d gagent de l ensemble des documents Elles pr sentent en quelques pages les documents retenus et comportent de ce fait de nombreux renvois la documentation Les informations sont regroup es par technologies Un autre mode de classement consiste regrouper les documents par niveaux article de recherche brevet application industrielle mais cette m thode pr sente un probl me car 1l est souvent difficile partir des fiches bibliographiques de d terminer la nature d un article th orique exp rimental ou application Nous donnons ci apr s l exemple du texte de synth se du th me Peintures et rev tements organiques r dig pour le rapport
153. echnologies vers les unit s de fabrication collaboration avec les financiers respect des axes d finis par la strat gie ainsi que sur une mesure quantitative six niveaux mauvaise connaissance des objectifs atteindre identification claire des objectifs mise place des comp tences appropri es utilisation de m thodes appropri es d finition claire des t ches et responsabilit s progression continue et ma tris e du projet Page 34 Chapitre 1 Une telle m thode donne une mesure de la capacit des responsables ma triser et conduire un projet jusqu sa r alisation Transpos e aux services de veille elle permettrait de savoir si toutes les conditions sont r unies pour faire du projet une r ussite Sans mesurer l impact r el des informations diffus es t che tr s d licate elle donnerait une appr ciation valable sur la qualit de chaque syst me suivant sa capacit g rer efficacement l ensemble d un programme Dans cette optique nous pouvons proposer 12 points cl s qui constituent un cahier des charges que le veilleur devra avoir soin de remplir Conna tre les objectifs d finis par la strat gie Savoir comment s y int grent les actions de veille et d finir clairement leurs objectifs Recenser les types d informations trait es Recenser les sources d informations disponibles et leurs valeurs Etablir un sch ma de fontionnement faisant appara t
154. ect novateur pr sente un int r t imm diat ou terme pour l orientation des travaux de recherche du domaine technique II est donc indispensable pour les r dacteurs de tenir compte des orientations inscrites dans leurs sch mas directeurs tendances variations faits marquants par rapport aux th mes et sous th mes du sch ma directeur Dans le second cas le rapport devra s attacher aux principales nouveaut s qui auront veill la curiosit et suscit l int r t du r dacteur en se pla ant du point de vue de l industriel Chaque membre du CETIM qui participe une exposition ou un congr s doit r diger un rapport de mission qui est transmis au CIT qui proc de un stockage dans une base de donn es sp cifique Son exploitation se situe trois niveaux une dition syst matique lors de chaque r actualisation de sch ma directeur partie usage interne une dition sp cifique pour fournir des compte rendus aux clients des programmes de veille partie usage externe une diffusion au Comit de r daction du CETIM Informations qui peut l utiliser pour alimenter la rubrique Vu pour vous partie usage externe Il est important de souligner que ces rapports ne sont pas destin s donner des d tails techniques les actes et autres documents compl mentaires tant g n ralement suffisants Ils se pr sentent sous la forme d une fiche comportant une description de la manifestation et le nom du
155. eil des besoins Charg s de profession Traitement commercial court terme produits et services disponibles Charg s de profession quipes ad hoc Capacit de r ponse aux besoins niveaux de faisabilit Responsables des comp tences techniques Analyses D finition des Sensibilisation ue actions inter Donn es pour de ha professionnelles la poliiue Hi rarchisation l environnement par do GE nes en liaison avec commerciale des action 5 de la techniques les anatyses Produits professionnelles m canique Direction long terme et services Commissions D l gation la G n rale Responsabks des Direction et syndicats communication Comp tences Commerciale Techniques Figure 26 Sch ma g n ral de l analyse des besoins Page 128 Chapitre III La phase de veille march que nous venons de d crire est une op ration d envergure Son co t global s l ve pr s de 2 millions de francs Il englobe les t ches de pr paration de collecte et de traitement Nous donnons dans le tableau 6 une r partition des dur es de r alisation de chaque tape ainsi qu une quivalence hommes an calcul e sur une base de 1600 heures de travail par homme et par an Tableau 6 Dur e de r alisation de lu veille march Nombre d heures Equivalence hommes Segmentation Echantillonnage Visites Pr paration des donn es Saisie informatique Traitement des donn es L ensemble des travaux n c
156. eille Insistons sur le fait qu il s agit de la mesure des actions et non des actions elles m mes qui sortent du champ de comp tences de la cellule de veille A l image de la prospective o l enjeu n est pas de proposer un sc nario unique mais quelques sc narios parmi les plus probables grace auxquels les d cideurs pourront orienter leurs choix LIEU94 le r le de la cellule de veille est de transmettre toutes les donn es n cessaires la diminution des risques li s la prise de d cision Mais la mesure de l influence r elle de ces donn es sur l orientation des choix demeure probl matique La prise de d cision est un domaine obscur qui d pend de multiples facteurs et sur lequel les d cideurs restent souvent tr s vasifs Les d cideurs restant discrets quelles sont les mesures permettant de juger de l efficacit d un service de veille II n existe pas d outputs quantifiables de r sultats chiffr s et nous ne connaissons pas aujourd hui de m thode reconnue et admise par l ensemble de la profession Le probl me qui se pose peut tre assimil celui que rencontrent les responsables de R amp D pour valuer leurs d partements R Szakonyi SZAK94 a recens quelques m thodes Page 33 Chapitre I qui ont permis depuis plus de trente ans de mesurer l impact des travaux de R amp D dans les soci t s Elles se divisent en trois grands groupes Les premi res s attachent valuer les liens qui peuvent e
157. ement li e l implication du marketing dans le processus strat gique de l entreprise et dans sa capacit communiquer avec d autres unit s strat giques telle que la R amp D e rattachement la Direction de la Recherche et du D veloppement elle semble toute indiqu e dans le cas de soci t s qui voluent dans des secteurs de pointe o la technologie s impose comme une variable strat gique de toute premi re importance Mais tout naturellement son orientation scientifique et technique la conduira montrer plus d int r t pour les informations de cette nature e rattachement la Direction des Achats et de l Approvisionnement sa position d observateur privil gi devrait lui permettre de fournir une multitude de donn es relatives Page 39 Chapitre aux clients aux fournisseurs aux produits nouveaux d ventuels substituts BALL93 Mais de nombreux exemples montrent que son importance reste sous estim e et qu elle ne joue que tr s rarement un r le strat gique ce qui limite son rayon d action e rattachement la Direction de la Qualit deux points communs tr s nets existent entre les deux activit s D une part le syst me de veille tout comme la qualit gagne tre ind pendant des services avec lesquels il travaille CAST94a D autre part le formalisme n cessaire l activit de veille conduit suivre des d marches qui respectent des proc dures de qualit Cependant les
158. endent d licate leur exploitation s par e Dans tous les cas les professionnels sont unanimes quant aux diff rentes informations prendre en consid ration Nous les avons recens es et r pertori es suivant la segmentation propos e a Nature des informations en veille technologique e L information scientifique elle se place tr s en amont du fait de son caract re souvent th orique Elle r sulte des tous derniers d veloppements qu il s agisse de mod les ou d exp rimentations r alis s dans les universit s les coles d ing nieurs ou les organismes de recherches Elle est plus facilement appr hend e par les chercheurs qui se situent un m me niveau de connaissance mais peut galement int resser des concepteurs qui y trouveront des applications potentielles De plus en plus on admet la n cessit pour l entreprise de savoir int grer le discours des scientifiques d une part parce qu il est indispensable de maitriser les bases de la connaissance et d autre part parce que la relation entre science et technologie bien que chaotique est de plus en plus directe dans de nombreux domaines GERM93 Depuis de nombreuses ann es les volutions du domaine scientifique font l objet de publications syst matiques et sont tr s bien r pertori es La principale difficult pour I industriel ne r side donc pas dans l acc s aux donn es mais dans le dialogue qu il peut avoir avec le chercheur Page 8 Chapitre I L i
159. ens ert dtc e ear ca Pc coe ead 68 C Bos DE LA VEILLE DANS LA STRATEGIE eie n 72 CHAPITRE La veille marche du Centre ns 75 1 LA PROCEDURE D ENGQUETE detresse ege gege 78 A LA SEGMENTATION Ee n Muni Rb HW 78 B e aL d ECHANTILLONNAGE va Y EVE VAN Y Y y 80 CR UY ERR V 81 De LA PREPARATION DES DONNEES nie et v V DN V vt UY CP P IR Pep Vat 83 PME UT Ac M M aNe 83 2 Le comit de pilotage et les responsables de sch mas directeurs 84 Sommaire IL TRAITEMENT ET EXPLOITATION DES DONNEES ns 87 FONDEMENTS dt ru ol va LU Qu pe ids 87 1 L indexation des fiches de besoins oe ett ibas tient ea 87 2 An lyse des paires de MOIS uio unciis tuse te E ent lle ne SER 88 a Coefficients de similitude cme 90 b Application a Vanalyse de besoins degen 94 B EXPLOITATION DES DONNEES ET DIFFUSION DES RESULTATER 102 1 Analyse et valuation des besoins suivant la vision technique eee 104 Th mes techniques exprim s par les industriels tenet 104 b Examen de la demande par domaine technique du CETIM eee 109 c Analyse d taill e des th mes par domaine technique ss 11
160. ent est un facteur pr pond rant dans la r ussite du projet Page 133 Quelque soit le sujet trait le reste ma tre d oeuvre mais il utilise les comp tences offertes par les quipes techniques Le choix de confier le d roulement un de ses collaborateurs tient au fait qu ils poss dent les outils et les comp tences n cessaires pour le mener bien La d marche reste quant elle identique celle rencontr e dans tous les syst mes de veille et caract ris e par les tapes d identification des besoins de recherche collecte de traitement et de diffusion des informations Ce sont ces diff rentes phases que nous allons d crire dans ce qui suit I DEMARCHE DE VEILLE A IDENTIFICATION DES BESOINS La veille march ayant permis de d tecter un domaine d int r t une proposition de veille partag e est faite aux industriels qui choisissent ou non d adh rer au programme Lorsque l ensemble des participants est connu un travail de mise au point est n cessaire pour segmenter le domaine et pour identifier les p les d int r t particuliers de chacun d eux 1 SEGMENTATION Le domaine des traitements de surface est tr s vaste Il fait intervenir de multiples technologies touche des secteurs d application vari s et il est impossible d aborder une tude sans r aliser une segmentation pr alable Lors du premier lancement du programme les experts ont t consult s p
161. ent les informations issues des bases de donn es les analyses de revues et les compte rendus de congr s tant effectu s en continu durant le semestre La seule limite impos e est la date de remise des documents au coordinateur La dur e de la d marche varie donc entre 19 et 26 semaines la dur e la plus importante tant bien entendue conserv e pour tablir les planning En pratique les programmes d butent lors de la premi re semaine de l ann e Les huit premi res semaines sont enti rement consacr es la d termination de p les d int r ts avec les clients La pr paration des quations logiques sont programm es pour la 94 semaine de l ann e et la premi re r union a lieu durant la 264 semaine Le deuxi me semestre n cessite seulement 17 semaines le recueil des besoins et la pr paration des quations de recherche n ayant plus cours Les interrogations sont programm es pour la 354 semaine et la r union pour la 5 14 est clair que le respect des d lais contraint le veilleur s enqu rir r guli rement du degr d avancement des travaux des experts Mais cela ne doit pas tre v cu comme une contrainte Il faut interroger les experts sur la qualit des informations qu ils re oivent sur l int r t des manifestations auxquelles ils participent solliciter leur avis sur la mani re d aborder les sujets L expert ne doit pas tre dirig mais accompagn dans son travail Son exp rience est primordi
162. es de R amp D le type de R amp D dans le cas contraire le mode de financement envisag et le d lai de r ponse souhait e d ajouter des donn es internes au CETIM pour une exploitation approfondie sch mas directeurs du Centre concern s par le besoin niveaux de faisabilit technique exprim s par les responsables des sch mas directeurs mots cl s du thesaurus CETIM qui d crivent le besoin Les deux premi res parties sont remplies par l enqu teur la suite de la visite la troisi me est trait e ult rieurement par des collaborateurs du Centre D LAPREPARATIONDESDONNEES 1 L ENQUETEUR L enqu teur a donc pour t che de d crire explicitement dans un texte libre de quelques lignes les difficult s techniques rencontr es par l entreprise Il voque galement le type de prestation que l industriel souhaiterait voir mis en oeuvre pour trouver une solution ainsi que le d lai dans lequel il d sire tre satisfait court moyen ou long terme Les produits du se divisent en deux grands groupes les op rations de R amp D et les produits et services qui d coulent de ces travaux de R amp D et qui mat rialisent ce que l on appelle le transfert de connaissances On rel ve deux grands types de R amp D les recherches collectives pr pay es par la taxe parafiscale retenues par un ensemble d adh rents lors des commissions professionnelles g n ralement les recherches sous contrat conduites l init
163. es entretiens pourraient avoir pour but gr ce une tude de l existant de dresser un diagnostic des m thodes de gestion des ressources technologiques de l entreprise Ils permettraient d une part de susciter une prise de conscience de l entreprise de sa capacit utiliser des outils de pilotage des ressources et de l importance des facteurs qui motivent ses choix comment l entreprise fait elle voluer ses technologies en fonction de sa strat gie du march et de l volution g n rale des cycles technologiques De plus ils permettraient au CETIM partant d un recensement des technologies utilis es d identifier les technologies cl s et de les situer par rapport l environnement technico conomique Le Centre poss derait alors une vision g n rale de l entreprise et pourrait mieux cibler ses besoins en mati re de recherche et de veille technologique La veille technologique est depuis plusieurs ann es une pr occupation majeure du CETIM tant pour des besoins internes que pour la diffusion vers les industriels Avant la mise en place des veilles multi clients les op rations taient ax es sur des analyses bibliom triques L volution du service conduit mettre en place une r flexion plus labor e qui parall lement aux m thodes statistiques apporte un compl ment indispensable permettant de mieux int grer la veille aux objectifs strat giques Page 199 Conclusion g n rale Con
164. es m mes pris l initiative de cr er les Centres Techniques Le financement de type cotisation obligatoire dite parafiscale engage ces tablissements d utilit publique contractuellement avec les entreprises de leur secteur Ils ont envers elles une responsabilit permanente g n rale et compl te dans les domaines techniques concern s et ont pour objet CTI92 de promouvoir le progr s des techniques de participer l am lioration du rendement et la garantie de la qualit dans les industries Leur statut leur impose d oeuvrer sur des th mes d int r t g n ral Ces th mes r pondent aux besoins communs des entreprises ou des segments d entreprises de leur branche professionnelle IIs doivent de ce fait se donner les moyens de percevoir et d analyser les besoins des PMI de g n rer partir de cette analyse des programmes d tude collectifs et de fournir lorsqu on les sollicite des r ponses individuelles appropri es Le Centre Technique des Industries M caniques CETIM appartient au r seau des Centres Techniques Industriels et oeuvre pour le d veloppement des industries m caniques fran aises Les contributions qu il apporte sont multiples mais nous pouvons en relever neuf tr s marquantes marketing des besoins des entreprises et notamment des PMI en progr s technique veille technologique documentation et information scientifique et technique formation recherche technologique de base et
165. es nouveaut s que seule une personne comp tente sera capable de juger Dans le cadre de l enqu te 1992 l ensemble de ces observations a conduit l identification de 73 th mes techniques Page 96 tre III 48 correspondent aux paires de fr quence relative sup rieure ou gale 1 15 correspondent aux paires d indice de Jaccard sup rieur ou gal 0 2 10 correspondent l analyse des liens des mots cl s de fr quence importante mais qui n apparaissaient pas dans les deux mesures pr c dentes L ensemble des th mes tant connu toutes les fiches sont ensuite r index es pour v rifier leur appartenance un ou plusieurs d entre eux 173 fiches ne correspondant aucun ont fait l objet d une relecture approfondie qui a permis de distinguer 12 nouveaux th mes que ne laissaient pas appara tre les m thodes statistiques utilis es Au total ce sont 85 th mes techniques qui se sont d gag s de l analyse dont 73 pr s de 86 ont t d tect s de mani re automatique La repr sentation graphique de l ensemble des liens est donn e figure 15 Ils peuvent tre regroup s suivant les six grandes classes d j retenues pour les sch mas directeurs Le d coupage th matique r alis est beaucoup plus fin que dans le cas des sch mas directeurs puisque pour les six grands groupes conception mat riaux production contr le composants et machines et pr occupations g n ra
166. essions ordonn dans le sens alphab tique d signant des concepts appel s descripteurs destin e repr senter de mani re univoque le contenu des documents qui sont signal s dans une banque de donn es Cette liste est g n ralement structur e c est dire qu elle comporte outre le classement alphab tique des relations de hi rarchie et d association entre descripteurs Le thesaurus de la m canique constitue une telle liste structur e dont les descripteurs correspondent aux concepts techniques ou technologiques utilis s dans le domaine de la m canique Sa fonction principale est de contourner la complexit du langage naturel impr cisions ambiguit s Retrouver une information pr cise dans une banque de donn es n cessite un langage pr cis absent de synonymie de polys mie de formes grammaticales multiples De plus dans un domaine particulier comme celui de la m canique un vocabulaire commun entre le producteur de la banque de donn es et l utilisateur est pr f rable car il permet d augmenter le nombre de r ponses pertinentes Il existe trois versions du thesaurus en fran ais anglais et allemand THES93 La premi re est constitu e de 3200 descripteurs contr l s ou mots cl s et de 400 quivalents pseudo descripteurs ou synonymes Chaque descripteur est identifi par son num ro de code quivalent et suivi de plusieurs l ments E english traduction en anglais UF used for renvoi vers un
167. essite donc 8626 4 heures de travail soit pr s de 5 4 hommes an La phase la plus co teuse est celle des visites d entreprises mais elle reste indispensable pour les raisons relationnelles que nous avons voqu es au d but de ce chapitre Seule une rencontre de quelques heures pourra permettre l interlocuteur du CETIM de situer clairement le besoin technique de l industriel Cependant l importance de cette d marche la r alisation des entrevues repr sente 5 150 heures de travail et le temps n cessaire la mesure de l impact des r sultats sur les politiques de transfert et de recherche ont conduit les responsables fixer la p riodicit de cette action marketing 24 mois Page 129 Chapitre 4 La veille technologique du Centre Chapitre IV Parmi les th mes mergents l analyse de besoins nous permet d identifier des domaines particuliers qui suscitent une forte demande en information Le CETIM propose alors de lancer un programme de veille technologique partag e ou multi clients destin offrir une m me prestation plusieurs industriels group s autour d un m me sujet Pour s assurer de l int r t r el des industriels pour l op ration une plaquette promotionnelle est diffus e aupr s des entreprises susceptibles d tre concern es Lorsque le taux de participation s av re suffisant de 15 20 entreprises l op ration est d clench e Le choix de s engager dans des op rations
168. est de d tecter les produits et comp tences qu il convient de d velopper pour mieux servir l ensemble des entreprises cotisantes Cependant comme elle se fonde sur l am lioration de la connaissance de ces entreprises et sur la d termination de leurs besoins techniques elle s intitule strat gie centr e march Le choix d une strat gie de base centr e march n est pas gratuit car il correspond au respect des missions du CETIM Un r cent projet SPRINT SPRI93 men entre quinze organismes de recherche europ ens a d gag trois grands groupes les Centres servant un secteur professionnel les Centres servant une industrie avec un nombre important de secteurs professionnels et les Centres servant l ensemble de l industrie d un pays Cette tude montre que les organismes vocation sectorielle les deux premiers groupes sont tr s proches de leur march Ils sont financ s par des entreprises adh rentes qui versent une cotisation pour permettre des travaux de recherche collective Dans le troisi me cas les Centres ont des difficult s pour appr cier les besoins de recherche collective et concentrent davantage leurs efforts dans des domaines technologiques pr cis Le CETIM se situe dans le deuxi me groupe Il est cheval entre deux modes d organisation par secteur professionnel pour collecter les besoins et par domaines techniques pour effectuer ses travaux de R amp D Mais face sa vocation qui reste avant tout d effe
169. eurs choisiront d eux m mes d opter pour une organisation qui leur permettra d int grer le plus efficacement possible dans leur choix strat giques les renseignements fournis par le service de veille C est la principale force des syst mes de veille pr senter une d marche rigoureuse qui assure un bon rendement tout en conservant une souplesse suffisante pour s adapter des environnements variables quitte les modifier petit petit L ensemble de cette analyse nous a conduit poser les bases de nos actions et mener une r flexion approfondie sur 4 points qui s av raient essentiels pour assurer la r ussite de notre projet Page 43 Chapitre d composer notre activit de veille en deux grands axes la veille march et a veille technologique La veille march repose essentiellement sur la connaissance des clients et notamment sur l volution de leurs besoins long terme Elle se traduit sous la forme d une analyse des besoins que nous d crirons au chapitre 3 d finir clairement les objectifs de nos actions de veille technologique en fonction des destinataires des informations qui sont la fois les quipes techniques du CETIM et les entreprises clientes Cette d finition se traduit principalement en terme de produits labor s et de supports choisis pour leur diffusion Nous reviendrons largement sur ces aspects tout au long du chapitre 4 utiliser comme ligne directrice de notre d marche les 12
170. faire porter ses efforts pour se doter d une politique de transfert efficace et d autre part de d tecter des sujets potentiels de R amp D qui correspondent des besoins techniques mergents Le deuxi me objectif totalement compl mentaire et tout aussi primordial concerne la phase de veille technologique dite phase de monitoring Ainsi que nous l avons soulign avec le mod le de la chaine interconnect e le CETIM constitue un maillon central entre le monde des sciences et des techniques et celui de l industrie figure 7 Centre Technique Sciences et techniques Figure 7 Le Centre Technique dans son environnement Il est donc la vigie qui maintient le cap des entreprises en les informant sur les d veloppements technologiques et le collecteur des savoirs scientifiques pour leur adaptation au contexte industriel La veille technologique doit donc avoir pour but d apporter aux entreprises les informations les plus r centes sur les d veloppements Page 72 Chapitre II technologiques en cours et sur leurs applications industrielles dans les domaines qui suscitent de l int r t Ces domaines d termin s gr ce la veille march font l objet d actions de transfert les programmes annuels de veille technologique multi clients cf chapitre 4 De plus ces programmes impliquent pleinement les quipes techniques qui apportent leur expertise dans la r alisation des dossiers Ils ont de ce fait ac
171. ff rents domaines techniques Les p les d int r ts ne sont pas d finitivement connus d s la premi re entrevue Soit parce que mal exprim s ils ne correspondent pas exactement aux attentes du destinataire soit parce que l environnement tant fluctuant ils varient dans le temps Il convient donc de r aliser un suivi syst matique Le veilleur doit imp rativement s enqu rir du degr de satisfaction de ses clients au cours de r unions ou d entrevues individuelles afin d am liorer le plus rapidement possible son produit et se rapprocher au maximum de leurs besoins r els Ce n est qu cette condition qu il pourra fournir des informations pertinentes et cibl es Surcharger ses destinataires d informations inutiles a toujours eu des effets n fastes la qualit des documents qu il transmet tant un garant de sa cr dibilit Ceci est d autant plus vrai que l on attend souvent du veilleur qu il fasse rapidement les preuves de l utilit de son travail L identification des besoins en informations de l entreprise constitue donc la premi re phase du travail du veilleur Il se d compose en quatre tapes identifier les diff rents sujets d tudes d composer chaque sujet en une s rie de segments pr cis et de taille raisonnable lister pour chaque segment les diff rents destinataires conna tre parfaitement leurs p les d int r ts et avoir soin de les r actualiser Il sera alors possible d envisager les phases
172. g n ral rel ve les diff rentes propri t s des peintures l eau 7 4 La soci t Nordson propose un syst me de barri re la haute tension pour les circuits de peintures hydrosolubles pistollage lectrostatique 7 5 Enfin un article sur la protection de l environnement gr ce aux peintures en poudres 7 6 IV Les solvants Trois articles concernent les peintures avec solvant Le premier est relatif aux contraintes r glementaires 7 7 La soci t Rh ne Poulenc pr sente un solvant cologique le Rhodiasolv RDPE 7 8 A noter le proc d Union Carbide avec le Co2 supercritique pour la dilution des peintures 7 9 V Traitements de surface Deux articles retenus un sur la modification de surface des polyol fines 7 10 l autre sur le traitement des mati res plastiques par plasma et leur effet sur l adh rence 7 11 Page 169 Chapitre IV W Peintures sp ciales et d p ts Diverses publications concernant les sp cificit s des peintures anti salissure 7 12 lubrifiante 7 13 anti graffiti 7 14 peintures UV pour mati res plastiques 7 15 peintures intumescentes 7 16 peintures conductrices pour l a ronautique 7 17 et peintures PVDF 7 18 Caract risation contr les Deux articles dans le domaine de la carrosserie automobile sur le tendu des peintures SUI pi ces industrielles 7 19 et sur les vernis polyur thanes bicomposants 7 20 Un troisi me article concerne les essa
173. g n ralement une demande sur un sujet pr cis si ce n est dans le cas de la mise en place et de l organisation d un syst me de veille Il correspond au besoin ponctuel d un collaborateur qui reste le seul interlocuteur du prestataire qui de ce fait n aura pas une vision globale de l entreprise Son tude ne pourra pas avoir l impact qu elle aurait eu si plusieurs acteurs taient impliqu s dans le processus Le manque de synergie entre le prestataire et la soci t est d autant plus pr judiciable lorsque les recherches touchent de tr s pr s l environnement direct de l entreprise C est pourquoi les veilles commerciales sont tr s difficiles r aliser pour un intervenant ext rieur Elles font intervenir des acteurs clients fournisseurs que seule l entreprise peut analyser avec une totale efficacit Page 38 Chapitre I B QUELLEDIRECTION DERATTACHEMENT Lorsque les entreprises d cident de cr er une cellule de surveillance de l environnement le premier probl me qui se pr sente est de d cider de la direction qui en aura la tutelle L exp rience montre que cing unit s dominent majoritairement LESC90 la Direction G n rale la Direction de la Strat gie et du Plan la Direction de la R amp D la Direction du Marketing et dans une proportion moindre la Direction des Achats et de l Approvisionnement et la Direction de la Qualit Chaque cas de figure pr sente des avantages et des inconv nients e rattacheme
174. glais fran ais allemand frangais francais anglais anglais anglais francais francais francais anglais anglais francais fran ais anglais fran ais Page 139 Chapitre IV Chapitre IV Tratamientos termicos espagnol Tribune de eau fran ais VGB Kraftwerkstechnik allemand Les revues analys es sont principalement en langue fran aise 19 revues et anglaise 17 revues Seulement trois revues sont en langue allemande une en italien et une en espagnol Pour ces trois derniers cas si des articles sont retenus ils sont syst matiquement traduits Seuls des documents en anglais et en fran ais sont remis aux clients les autres langues n tant que tr s rarement maitris es ces 41 revues techniques s ajoutent des revues courantes telles que L usine nouvelle Industries et techniques Le nouvel conomiste Les Echos ou Courrier international qui pr sentent quelquefois des cas pratiques de mise en application industrielle des nouveaux proc d s ou des donn es technico conomiques Ce mode de collecte pr sente l avantage de fournir des informations tr s r centes 2 LES BASES DE DONNEES Les bases de donn es sont interrog es l aide du logiciel KORTEX les donn es sont recueillies gr ce des op rations de t l d chargement qui consistent r cup rer les r sultats d une recherche en les transf rant pour le stockage en m moire du serveur vers son poste de travail
175. haite que le CETIM organise une journ e d tude de sensibilisation d tat de le dernier cas envisag est celui o l entreprise ne sait pas quelle est la forme de transfert ad quate L examen des r sultats montre qu en fait le transfert se limite essentiellement au conseil la prestation la formation et un p le constitu la fois de l information et de la publication En effet ces deux modes de transfert apparaissent souvent siiultan ment sur les m mes sujets techniques La journ e d information et le progiciel repr sentent une minorit de demandes tableau 5 Page 120 Chapitre Tableau 5 Nombre de besoins exprim s par forme de transfert Nombre de Mode de transfert besoins Conseil Prestation Information Formation Publication Progiciel Journ e d information Une A F C figure 24 a permis d analyser les corr lations entre les formes de transfert et les th mes techniques pour juger du degr d attraction de ces th mes par les quatre grands p les conseil information publication prestation et formation Les lignes de partage port es sur le graphique visualisent la limite entre les th mes fortement attir s par chaque p le et ceux moins typ s qui se situent dans les quatre zones interm diaires Le p le conseil tr s central n apparait pas sur la figure pour des raisons de lisibilit La dynamique d appropriation des technologies est mat rialis e par
176. hnologique e de seize d l gu s r gionaux charg s d entretenir la concertation et la coop ration avec les actions techniques et technico conomiques des r gions Leurs interventions industrielles vont de la fourniture du simple renseignement Question R ponse la r alisation de prestations techniques Elles sollicitent l ensemble des domainesmaitris s par le Centre Le CETIM travaille avec de nombreux partenaires centres de recherche universitaires lyc es techniques centres de recherche sous contrat associations et cabinets sp cialis s organismes publics auxquels s ajoutent les autres centres techniques industriels dont 18 sont regroup s au sein du r seau CTI Ces partenariats se sont traduits en 1993 par 61 nouveaux contrats de R amp D portant leur nombre total 105 et six nouvelles coop rations europ ennes sur des programmes de recherche et de transfert industriel 2 LES CHARGES DE PROFESSION ET LES COMMISSIONS PROFESSIONNELLES Afin de parfaire la connaissance des entreprises ressortissantes de leurs activit s et de leurs besoins techniques prioritaires des charg s de professions ont t d sign s pour s occuper des diff rents secteurs de la m canique Ils sont responsables en g n ral d une quipe op rationnelle ou fonctionnelle du CETIM et exercent leur activit la hauteur de 30 de leur temps sous l autorit de la Direction du Marketing et de la Coordination Technique Ils sont les cor
177. i utiliser des termes qui le convaincront et l inciteront porter une attention particuli re aux documents qu il lui transmet Tout comme ses besoins il doit connaitre son profil la mani re de r diger varie consid rablement en fonction du destinataire Un directeur n appr hende pas un Page 28 Chapitre 1 document de la m me fa on qu un technicien pour lui une seule page suffit au dela il risque de ne pas disposer du temps n cessaire la lecture Quelques id es importantes bien mises en vidence et dont il saura imm diatement tirer les cons quences lui donneront enti re satisfaction Inversement le technicien ne rechignera pas devant une synth se de quelques pages bien au contraire les informations qui lui sont destin es sont techniques la synth se devra donc contenir un minimum d explications pour qu il puisse juger de leur int r t A client diff rent synth se diff rente Faciliter le travail et veiller la curiosit telles sont les caract ristiques qu un r dacteur devra s attacher respecter La mati re premi re tait acquise elle vient d tre analys e transform e et a donn naissance un produit forte valeur ajout e Le probl me est maintenant d couler les stocks de faire fonctionner ses r seaux de distribution et de viser les bons clients afin de ne pas laisser le produit vieillir sur des talages D DIFFUSION Il existe dans la plupart des entreprises de nombreux obs
178. iative d un seul ou d un petit groupe de clients associ s autour d un m me projet et qui font l objet d un financement suppl mentaire Les activit s de transfert se regroupent quant elles sous quatre formes principales l information qui se retrouve sous la forme de publications de banques de donn es de service question r ponse de journ es d informations les programmes de veille technologique Page 83 Chapitre les stages de formation propos s sur catalogue ou effectu s sp cifiquement la demande d une entreprise les prestations de service qui ne n cessitent pas de travaux de R amp D mais qui mettent en jeu des comp tences et des moyens acquis par le Centre Elles se retrouvent sous de multiples formes conseil audit expertise certification essais calcul contr le es progiciels destin s aux bureaux d tudes aux m thodes la fabrication Au niveau de la fiche de recueil sept formes de transferts sont retenues prestation conseil expertise publication progiciel formation information journ e d information ainsi que quatre formes de R amp D recherche collective gratuite recherche collective payante recherche individuelle en interne recherche individuelle avec des partenaires ext rieurs Les enqu teurs transmettent ensuite l ensemble des fiches un comit de pilotage charg de g rer leur exploitation Cependant si l entretien avec
179. ide que sur les banques de donn es Les informations labor es il s agit d informations qui ont t pr alablement trait es dans le but de r pondre une demande particuli re De nombreux exemples peuvent tre cit s lettres confidentielles rapports d ambassades publications d agences gouvernementales tudes multi clients synth ses documentaires tudes statistiques sectorielles indicateurs conomiques Les organismes sp cialis s les entreprises peuvent faire appel des organismes publics parapublics ou des consultants priv s pour leurs actions de veille Les acteurs dans ce domaine sont de plus en plus nombreux et une v ritable profession est en train de na tre Ils proposent un large ventail de produits allant du simple service question r ponse la prestation compl te personnalis e b Les sources d informations informelles Si les informations d ordre technique sont dominantes dans le domaine des informations formelles ce sont davantage des informations commerciales qui s obtiennent souvent dans un contexte relationnel et qu il est important d exploiter en temps r el que nous retrouverons ici Trois outils vont tre pr pond rants la vue l ouie et la parole Mais au del des pr dispositions naturelles de l homme d velopper ces facult s il lui est n cessaire d acqu rir une certaine pratique II ne lui suffit plus de voir mais d observer d entendre mais d couter de par
180. if c est dire qu elle doit se trouver dans la ligne de ses pr occupations du moment S il est occup par d autres probl mes personnels ou professionnels l information ne passera pas Il est impossible de choisir le moment de la diision si les supports utilises ont une p riodicit fixe mais il en est tout autrement lorsque l on transmet des informations ponctuelles Il est alors indispensable de v rifier que l information a t bien re ue et si n cessaire il ne faut pas h siter effectuer des relances t l phoniques par exemple Trouver le moment opportun implique que le veilleur soit attentif au degr d ouverture du destinataire et qu il recense fr quemment ses p les d int r ts et ses besoins en informations Le probl me du stockage se place dans cette probl matique Bien que l activit de veille s inscrive dans une logique de circulation de flux d informations le veilleur ne doit pas diffuser les donn es au fur et mesure qu il les re oit tout comme il ne doit pas les stocker ind finiment ne s agit pas de faire de l archivage mais plut t de la m morisation temporaire pour pouvoir utiliser les informations l instant t E MESUREDESACTIONS LAQUALITEDESSYSTEMESDEVEILLE Tout syst me de veille n aurait aucun int r t si in fine il ne g n rait des actions uniques t moins de son utilit et de son efficacit C est un point crucial qui est largement soulign dans tous les ouvrages consacr s la v
181. ilisation figure 30 Le domaine choisi est la m canique mechanical engineering Les 20 bases appartenant ce domaine sont interrog es simultan ment Le nombre de r ponses donne alors une indication sur la pertinence de chacune d elles Cependant rien ne remplace l exp rience La pratique du coordinateur restera le meilleur outil pour cibler les bases qui correspondent le mieux au sujet trait Dans le cas des traitements de surface 12 bases ont t retenues COMPENDEX CETIM ENVIROLINE METADEX MATERIAL BUSINESS FILE NTIS POLLUTION ABSTRACTS PTS PROMT PTS NEWSLETTER DATABASE WorLD SURFACE COATINGS ABSTRACTS WPIL FPAT Une base qui pourrait figurer dans la liste finale mais qui n apparait pas est CHEMICALS ABSTRACTS Bien que tr s pertinente elle reste extr mement orient e sur des aspects scientifiques et les donn es de cette nature comme nous l avons soulign ne repr sentent pas la majorit des besoins du Centre La base COMPENDEX suffit amplement couvrir ces aspects Une autre remarque qui pourrait tre faite est l absence de bases sur les normes En fait les aspects normatifs ne sont abord s que ponctuellement pour r pondre au besoin d un client qui d sire avoir le texte d une norme Plus de 1300 normes existent dans le domaine des traitements de surface il n est donc pas possible de toutes les pr senter en outre les programmes de veilles sont destin s voquer des fait
182. imental Applications Zinc alloy electrodeposits are finding increased acceptance as improved replacements for onventional electrogalvanized finishes Zinc nickel appears to be experiencing the most widespread use although zinc iron also have welldefmed market shares The experimental vestigations reported here examine the conventional sulfate citrate bath concentrating on its stability and investigate the effect of high speed electrodeposition using a rotating cylinder RCE and cell to simulate electrolyte flow The corrosion resistance of steel panels gt oated with electrodeposited zinc manganese alloys of different compositions was examined in he as plated phosphated and phosphated and cathodically electrocoated states in a onventional 1000 hr continuous neutral salt spray test ASTM 117 B Author abstract 7 Refs Classification 546 3 Zinc and Alloys 539 3 1 Blectroplating 543 2 Manganese and Alloys 423 2 Test Methods 539 2 Corrosion Protection 801 4 1 Electrochemistry Controlled Terms Zinc alloys Zinc plating Electrodeposition Manganese Testing orrosion resistance Polarization Uncontrolled Terms Zinc manganese alloys Rotating cylinder electrode High speed lectrodeposition Figure 31 Exemple de r f rence COMPENDEX format All serveur ESA Page 147 Chapitre IV METADEX Produite par l American Society for Metals la base comprend pr s de 900 0
183. ing Les veilles connotation strat gique juridique ou soci tale connaissent moins de succ s que les veilles caract re scientifique technique conomique ou concurrentiel Les prestataires de services sont tr s nombreux l annuaire des professionnels de la veille et du transfert de technologies CLIC93 en recense plus de deux cents parmi lesquels on retrouve des acteurs priv s publics ou parapublics Nous pouvons citer titre d exemple Les consultants priv s qui proposent des services personnalis s des tudes multi clients et ditent des annuaires des lettres d actualit s des r pertoires de transfert de technologies Les ARIST Agences R gionales d Informations Scientifiques et Techniques qui appartiennent au r seau des Chambres R gionales de Commerce et d Industries et qui peuvent aider les entreprises obtenir des informations scientifiques techniques ou technologiques mettre en place des outils de veille prot ger des produits ou proc d s nouveaux tablir des contacts avec des p les de soutien technologique Page 37 Chapitre I Les Centres Techniques qui ont pour principal objectif d apporter un soutien technologique aux entreprises d un secteur d activit donn Outre les r alisations d tudes techniques ils peuvent proposer des veilles technologiques sur des sujets pr alablement d finis Nous reviendrons plus largement sur cet aspect dans la partie consacr e au CETI
184. ins rev tements de zinc nickel et chrome fatigue 2 besoins rotors couches nitrur es c ramiques 2 besoins contr le mesure des contraintes 4 besoins isoles contr le en continu de vilebrequins qualification de mat riaux pour circuits d eaux sanitaires qualit fonderie tenue l abrasion 8 besoins n cessitent le d veloppement de nouveaux produits choix de mat riaux 3 besoins en fonction d un cahier des charges fritt s rev tements pour outillages haute temp rature choix de traitements de surface 3 besoins anticorrosion antifrottement anticorrosion antiadh rent Page 115 Chapitre qualit des traitements de surface 3 besoins aspect des TS charte qualit galvanisation chaud surveillance en continu du proc d de traitement 2 besoins capteur de composition de bain mesure d paisseur d anodisation conception d installations de TS 1 besoin c ramiques 1 besoin conception de paliers lisses en c ramique environnement 4 besoins choix de techniques de d toxication de TS r glementation bains de d capage et passivation r g n ration des bains d anodisation frottement usure abrasion 6 besoins ma trise des coefficients de frottement grippage mat riaux rails galets anti usure choix de plastiques relation entre d formabilit du mat riau et usure d outillage de forge en milieu alimentaire corrosion 2 besoins essais choix de plastiques 3 besoins isol
185. insi que le souligne D Huet HUET92 parlant des organisations ou collectivit s de toutes natures la strat gie n est pas le domaine r serv des entreprises priv es Elles produisent des services ou utilit s diverses au profit de leurs adh rents ou b n ficiaires Elles ont effectuer des choix avec pour cela un certain espace d autonomie plus ou moins large selon le cas Elles mettent en jeu des ressources rares m me si ce n est pas un bien marchand et ont combiner le plus efficacement possible des moyens et actions li s la r alisation de ces buts De ce fait elles peuvent apprendre de la d marche strat gique laquelle n enseigne rien d autre que les choix des buts et objectifs g n raux et l adoption des politiques et moyens propres atteindre ces buts La probl matique laquelle se trouve confront e un Centre de Recherche se r sume en quelques interrogations DEVA94 comment faire voluer les comp tences techniques Page 68 Chapitre 11 diminuer les ressources dans certains domaines et les augmenter dans d autres Sur quels crit res faut il hi rarchiser les projets de R amp D Quelles actions entreprendre pour valoriser le transfert Quelles parts de d penses doit on affecter aux diff rents types de travaux recherche fondamentale recherche appliqu e d veloppement transfert La d marche strat gique se doit d tre une r ponse cette probl matique par une approche qui permet de
186. instant Page 29 Chapitre DESTINATAIRE Le principe de base de la difl sion est qu il faut imp rativement privil gier la qualit la quantit Comme nous l avons soulign dans le I A 2 le veilleur devra imp rativement tablir des listes de diffusion actualis es et parfaitement connaitre les p les de pr occupation de chacun il vitera ainsi d inonder ses collaborateurs d informations parfaitement inutiles ou de se trouver d sarm face une information mesurant mal l int r t qu elle peut rev tir et ne sachant pas qui la diiser Outre les p les de pr occupation il convient de bien connaitre la personnalit des destinataires Utiliser les messages auxquels ils sont sensibles employer des supports qui les alertent seront autant de chances suppl mentaires de reussir les convaincre Nous l avons soulign dans les premi res lignes de notre travail la mise en place d un syst me de veille n est pas une t che facile Il serait d raisonnable de vouloir d s les premiers temps traiter tous les types d informations et faire participer tous les acteurs potentiels de l entreprise L volution doit tre plus lente l id e doit faire son chemin et le syst me faire ses preuves Le choix des destinataires est en ce sens primordial Il est essentiel d s le d part de s appuyer sur un noyau dur de quelques convaincus ayant un bon sens de la communication et de traiter pr f rentiellement les informat
187. ion a effectu un premier regroupement au fur et mesure de la r ception des fiches en fonction de sa perception et de sa connaissance des domaines de la m canique Ce premier travail a abouti au regroupement des fiches en pr s de 300 th mes Apr s consultation des charg s de profession un deuxi me classement a r duit leur nombre 55 L application des indices de similitude et la construction du graphe des paires ont permis en 1992 de se lib rer de ces tapes lourdes et fastidieuses Cette d marche nouvelle apporte un point de vue statistique l seule la vision du sp cialiste faisait office de crit re de s lection En r alit les deux m thodes utilis es s par ment pr sentent des inconv nients la m thode intellectuelle parce qu elle est fonction de la vision a priori du sp cialiste et la m thode statistique parce qu elle occulte la dimension qualitative des donn es Ce n est qu une fois mises en commun qu elles prennent toute leur valeur Les donn es statistiques pr sentent des vues d ensemble et apportent au sp cialiste une vision nouvelle sur la structure du domaine tudi Ces pistes propices la r flexion lui permettent de corroborer ou de compl ter sa propre conception De son c t le sp cialiste apporte sa connaissance Il pourra tr s rapidement synth tiser l ensemble des liens du graphe et leur donner une signification sans laquelle il serait difficile de l interpr ter Le deuxi me
188. ions de recherche quations logiques qui permettront de retrouver les documents pertinents a Les auations logiques faut insister sur l importance de la collaboration entre les sp cialistes de l information et les sp cialistes techniques Les premiers rompus aux techniques d interrogations et connaissant tr s bien les bases de donn es et les langages serveurs les seconds apportant leur connaissance des termes techniques la collaboration doit tre fructueuse Le travail passe n cessairement par une s ance d interrogation pour constituer la s quence de recherche C est un travail relativement long qui demande plusieurs mises au point Il peut tre judicieux lorsqu ils sont disponibles d utiliser des CD ROM qui permettent de r aliser une premi re bauche tout en vitant les fiais de connexion Les quations pourront ensuite tre affin es partir de l interrogation de plusieurs bases A titre d exemple nous allons pr senter la s quence d interrogation qui a t tablie pour le th me 1 Nous ne reviendrons pas sur les aspects relatifs aux op rateurs bool ens nous renvoyons pour cela le lecteur l ouvrage de J Chaumier CHAU88 simplement nous donnerons quelques indications utiles la compr hension des quations et qui sont propres au serveur ESA IRS fest l abr g de find qui permet poser une question W signifie que les deux mots doivent tre adjacents le est la troncature l
189. ions qui leurs paraissent indispensables Le veilleur pourra ainsi d velopper son produit petite chelle et s appuyer sur des exemples concrets qui l aideront le parfaire Ce n est qu au fur et mesure que d autres besoins naitront qu un plus grand nombre d informations pourront tre trait es et que d autres personnes rallieront favorablement le syst me Il pourra alors tendre son activit d autres secteurs de l entreprise Le but d une cellule de veille est de diiser une information pour action Mais ce lien s il existe n est jamais direct Il passe n cessairement par une phase transitoire d appropriation de l information par l individu Le triangle grec VI me si cle avant J C soulignait l harmonie entre l esprit le corps et l me pour d finir les rapports de l homme avec la nature suivant les trois liens entre Sophon l esprit Techn la mat rialit et Poiesis l affectivit M Godet GODES5 a repris cette image pour illustrer la r gle d or de la culture strat gique d entreprise qui doit combiner l anticipation l action et l incarnation L incarnation ou l appropriation se traduit par un tat de mobilisation sans lequel la volont strat gique ne trouve pas d cho L enjeu primordial pour le veilleur est de faciliter cette appropriation sans laquelle il n y aura pas d action Le premier outil dont il dispose est la synth se les deux autres sont le support et le moment choisi pour la diffusion Pag
190. is au brouillard salin r alis s dans le cadre des essais des produits de peintures et vernis du R seau National d Essais 7 21 VIII Divers Un article g n ral sur les contraintes du peinturage des carrosseries automobiles et sur la possibilit de r duire les nuisances 7 22 D DIFFUSION Derni re tape sans aucun doute primordiale la diffusion des informations Toutes les donn es collect es analys es tri es synth tis es reviennent au coordinateur qui pr pare leur mise en forme La quantit de documents est tr s importante Aux classeurs qui regroupent les informations collect es travers les revues et les bases de donn es s ajoutent les compte rendus de congr s et les analyses technico conomiques r alis es par le cabinet Le premier outil qui se pr sente pour faciliter leur approche est la synth se le deuxi me est la journ e d information Elle s inscrit parfaitement en compl ment de la d marche documentaire et reste indispensable pour diffuser les r sultats Elle a pour but de mettre en relief les l ments importants relev s durant les six derniers mois Les interventions r alis es cet effet sont de diverses natures Les experts du CETIM pr sentent les points essentiels qu ils ont pu relever dans les documents analys s grandes tendances pr occupations du moment ou faits marquants telle qu une nouveaut technologique qui aurait attir leur attention Ils pr se
191. ish Technical Institute Danemark 1993 Page 208 SZAK94 THES93 VANS87 VIAR92 VILL89 WERN94 ZMUD86 Bibliographie Mesuring R amp D effectiveness I R Szakonyi Research technology management Mars Avril 1994 p 27 32 Th saurus de la m canique Version frangaise volume 1 Documentation CETIM Edition 1993 185 p Les langages d indexation conception construction et utilisation dans les syst mes documentaires G Van Slype Les Editions d Organisation 1987 277 p Le marketing de la High Tech E Viardot Publi Union 1991 198 p L entreprise aux aguets J Villain Masson 1990 192 p Veille technologique en France la logique de l offre domine E Werner Technologies Internationales n 1 F vrier 1994 p 48 53 That s not my job Managing secondai y tasks effectiveness RW Zmud C P Mac Laughlin Sloan Management Review vol 30 n 2 December 1990 p 29 36 Page 209 Annexes 1 PLAN DE SELECTION Al Techniques g n rales de conception 5 A 2 Mat riaux et propri t s des mat riaux 8 Sollicitations des mat riaux et des syst mes 8 AA Transmissions et commandes 13 A 5 Technologies des composants et des syst mes 14 Mtthodes automatisation 26 B2 BE BOG eoe ene ER 28 Travail
192. isions suppl mentaires ou recentrer les propos dans notre contexte pr cis Les principales bases pluridisciplinaires sont WPAT CHINAPATS JAPIO USPA CLAIMS INPADOC FPAT EPAT et PCTPAT Le principal probl me est donc de s lectionner les quelques bases qui vont permettre d obtenir la meilleure couverture Pour faire un choix il est fondamental de bien connaitre les proc dures de d position des brevets nous conseillons pour cela au lecteur de se r f rer l ouvrage de Phelip PHEL89 et de comprendre la fa on dont chaque base est index e Dans le cadre des veilles technologiques du CETIM les bases sp cifiques aux d p ts effectu s dans des pays trangers telles CHINAPATS pour la chine JAPIO pour le japon et USPA ou CLAIMS pour les Etats Unis ne sont pas prises en consid ration La pr sentation que nous allons proposer concerne donc uniquement les bases WPAT INPADOC EPAT el PCTPAT 1 Les philosophies d indexation L origine des brevets et la philosophie d indexation varie consid rablement d une base l autre et il est important de bien conna tre chaque sp cificit pour effectuer un choix judicieux est produite par l Office Europ en des Brevets OEB et r pertorie tous les brevets d pos s de 1968 nos jours dans les pays ayant adh r s l OMPI Organisation Mondiale de la Propri t Industrielle INPADOC cr e une fiche chaque nouvelle publication de breve
193. ispensable de r aliser un d coupage afin de d finir des th mes de recherche pr cis Il n existe pas de r gles fixes Page 6 Chapitre cette segmentation elle peut tre fonction des technologies consid r es des types d informations trait s des personnes impliqu es Mais elle doit permettre de bannir tout risque d parpillement Il est avant tout question de faciliter la collecte et l analyse des informations et de simplifier l approche et la compr hension des documents fournis en phase finale Il est pour cela indispensable que chaque segment ne soit pas trop vaste Cette segmentation r alis e 1l faut tablir une liste pr cise de tous les destinataires et recenser leurs p les d int r ts particuliers La meilleure mani re d y parvenir est l entretien direct au cours duquel on conduit l interlocuteur pr ciser ses pr occupations ses th mes d int r t qui vont conduire d finir les types d informations qu il attend travaux de R amp D applications industrielles informations commerciales et sp cifier les termes propres son domaine d activit car si le veilleur doit avoir une culture g n rale tendue il ne peut pas ma triser la totalit du jargon des sp cialistes Il est responsable de la cellule qui a en charge l observation de l environnement de l entreprise et d veloppe donc principalement ses comp tences dans le domaine de l information et non dans les di
194. istinctes pr sentation des grandes caract ristiques de la demande analyse des formes de transfert exprim es analyse de la capacit de r ponse du CETIM Ces rapports se pr sentent comme un outil de travail procurant aux responsables du CETIM et aux instances professionnelles une aide la r flexion pour l orientation des actions de Recherche et de Transfert du Centre Nous allons donner dans ce qui suit un panorama d ensemble destin montrer leur contenu et la mani re dont ils ont t r alis s Cependant pour des raisons de confidentialit nous pouvons pas reprendre l int gralit des r sultats seuls des l ments entrant dans leur constitution et pouvant illustrer nos propos sont pr sent s L ANALYSE ET EVALUATION DES BESOINS SUIVANT LA VISION TECHNIQUE a Th mes techniques exprim s par les industriels Outre la description de la m thode utilis e pour l identification des th mes techniques cette partie propose des donn es chiffr es sur la repr sentation des th mes en fonction des trois grands segments de march m tiers composants et petits quipements quipements Les r sultats se pr sentent sous la forme d un histogramme multiple dont nous donnons une partie figure 17 Cet histogramme renseigne sur le nombre de fiches relatives un th me donn 49 pour la CAO DAO 6 pour la TGAO 91 pour le calcul de structures offre une vue d ensemble sur l importance relative du th
195. la structure DEVA93c Dans le premier cas les analyses font appel des m thodes de la statistique descriptive les d nombrements afin de d terminer les volutions les tendances les principaux acteurs soci t s laboratoires de recherche pays le poids des diff rentes technologies Parall lement cette approche quantitative l approche qualitative fait appel des m thodes beaucoup plus complexes de l analyse de donn es Il s agit de comprendre la structure du domaine notamment en r alisant un d coupage th matique en fonction des technologies Cette d marche s inscrit en parall le du raisonnement des experts les deux approches sont extr mement importantes elles apportent des informations vari es et compl mentaires LIEU93 Cependant le d coupage ne doit en aucun cas se substituer au travail de segmentation que les experts ont r alis il s agit uniquement d un compl ment d information dont ils devront valider les r sultats Les th mes tant identifi s ils seront tudi s s par ment avec les m thodes de d nombrement classiques afin de d terminer s il s agit de th mes majeurs ou mineurs mergents ou d clinants et d identifier leurs caract ristiques principales C est ce niveau que les analyses statistiques pourront intervenir dans le choix de la segmentation Si des distorsions apparaissent par rapport aux th mes d finis pour r aliser les recherches documentaires ou si des faits marquant
196. lation de tendances courbes en 5 et de substitution courbes de progr s technique analyse morphologique et les donn es prospectives analyse du syst me jeux d acteurs sc narios sc narios probabiis s Page 197 Chapitre V Cette mission se traduit par la publication d un bulletin interne quatre cinq fois par an la diffusion cibl e de fiches vers les responsables d activit s de profession ou de transfert Les tendances et id es de ruptures d cel es dans les synth ses caract re prospectif aident les responsables pour tablir leurs sch mas directeurs et les sensibilisent s informer et r agir au march aux innovations et la concurrence L objectif est interne 90 cependant le transfert vers les ressortissants des informations non confidentielles s effectue par deux canaux naturels l insertion des informations dans la banque de donn es bibliographique en ligne du CETIM rubrique D2 du plan de classement et la publication d l ments des synth ses prospectives sous forme d articles rapports participations des journ es et congr s Page 198 Conclusion g n rale Conclusion g n rale Le CETIM consacre environ 1 5 de son chiffre d affaires ses actions de veille strat gique Ce ratio pourrait para tre important mais 1l ne faut pas perdre de vue que l information est une des missions fondamentales des Centres Techniques La d marche que nous venons de pr senter reste
197. ler mais de convaincre Les informations importantes ne seront capt es que Page 17 1 par des hommes pr ts les recevoir S il est un domaine o la veille est avant tout un tat d esprit c est bien celui de l information informelle Plusieurs canaux contribuent la collecte e Les clients les l ments d informations disponibles aupr s des clients concernent les produits concurrents et les volutions des besoins du march en terme de caract ristiques techniques et d applications Mais leur obtention d pend beaucoup des qualit s relationnelles entre les interlocuteurs car si l on peut tre persuad qu un client n h sitera pas vous faire part des performances d un produit de la concurrence il n en sera pas forc ment de m me en ce qui concerne ses besoins Parler de ses besoins c est avouer ses faiblesses LAIN91 et le client ne s y r soudra que suivant certaines conditions trouver un interlocuteur qui ait une bonne connaissance de son m tier avoir confiance en lui et tre convaincu que discuter de ses probl mes d bouchera sur des solutions plus ou moins long terme Autant de conditions qui ne sont pas toujours faciles remplir et qui n cessitent de la qualit et de la continuit dans ses relations avec le client e Les fournisseurs de la m me mani re qu avec les clients la valeur des informations que l on pourra obtenir par le canal des fournisseurs d pendra en grande partie
198. les Mat m talliques Prod m ca usinage alcul mod lisat ion 159 180 210 248 270 ATTRAITS lt NOMBRE DE BESOINS Figure 20 Diugamme Atouts Attraits des comp tences Page Chapitre 111 demande Il offre des l ments de base la r flexion et donne une premi re mesure de l ad quation besoins du march capacit s du Centre Un dernier point consiste comparer le niveau de la demande par rapport au niveau de p n tration des produits et services du Centre aupr s des entreprises cotisantes afin de d celer les domaines techniques o l cart est le plus d favorable c est dire ceux pour lesquels il semble exister une inad quation en terme de recettes ou de nombre d entreprises touch es par rapport l intensit de la demande Face l impossibilit de comparer un nombre de besoins avec un montant de recettes ou un nombre d entreprises touch es il est consid r que les quantit s besoins 1992 recettes 1992 p n tration 1992 sont norm es et repr sentent une valeur identique pour le domaine du Forgeage qui constitue la r f rence Pour l ensemble des domaines techniques trois profils sont ainsi obtenus et repr sent s sur un histogramme figure 22 Composante CAO Cdes lectroniques Qualit Prod m canique Cucul Travail des t les Machines eqms Forgeage Assembiages Mm m taliiques Automatisation Veille techno Environnement CND mesures Echelles BESO
199. les entreprises sur un th me technique i donn peut se mesurer par la formule o V n 1 ni m 1 n avec cart type pour le th me i nombre de besoins exprim s par l chantillon pour le th me i m nombre total de besoins recens s n nombre d entreprises composant l chantillon N nombre d entreprises de la population L erreur E est fonction du degr de probabilit pour une probabilit de 68 E pour une probabilit de 95 E 20 La deuxi me tape de l chantillonnage consiste choisir les entreprises qui vont le constituer Nous avons vu que ce choix d pendait du poids conomique de chaque sous segment de la taille des entreprises et des relations que le CETIM pouvait entretenir avec chacunes d elles Le dernier crit re reste tr s subjectif et ne suit pas les r gles habituelles d chantillonnage La taille de l chantillon et les crit res de s lection des entreprises visit es jouent un r le sur l exactitude des valeurs mesur es Les donn es quantitatives doivent donc tre consid r es en tenant compte des marges d erreur que peuvent entrainer ces deux facteurs C est la raison pour laquelle les r sultats diffus s doivent tre consid r s comme un tremplin vers une analyse plus sp cifique Ce ne sont pas des oracles Les indications qu ils fournissent sont destin es donner des pistes aux quipes techniques ou commerciales qui pourront
200. les moyens La cellule b n ficie d une vision globale elle connait les p les de pr occupation de l ensemble des unit s et pourra transmettre rapidement les bonnes informations aux personnes int ress es Sa position de t te lui permettra d assembler et de recouper des donn es diverses afin d en d gager des renseignements strat giques C est une organisation qui pourra se montrer efficace condition de prendre garde ne pas sombrer dans le routinier ce qui la m nerait ne produire que des rapports lourds et d nu s d int r t Page 41 Chapitre I Les organisations d centralis es sont plus dynamiques D envergures plus r duites la circulation des informations s en trouve facilit e Plus proches des interlocuteurs elles peuvent r pondre plus rapidement leurs besoins Les personnes qui composent la cellule sont g n ralement davantage sp cialis es que dans le cas d une organisation centralis e leur champ d investigation tant plus r duit Elles sont de ce fait plus aptes trier les informations pertinentes et facilitent ainsi le travail des quipes Un probl me majeur ce syst me la duplication des efforts Chaque cellule r p te les m mes op rations recherche collecte et quelques fois sur les m mes informations si les p les de pr occupations des diff rentes divisions sont proches Il s en suit une perte de temps et d argent non n gligeable C est une organisation qui peut galement se
201. les on obtient 85 th mes pour seulement 29 sch mas directeurs Nous donnons dans le tableau 3 la liste compl te des intitul s de tous les th mes identifi s Tableau 3 Liste des th mes techniques identifi s CONCEPTION CA 0 2 th mes 01 CAO DAO conseil aide au choix 02 TGAO Calcul 3 themes 03 Calcul de structures pi ces 04 Mod lisation de fonctionnements 05 Codes de calcul IMATERIAUX Mat riaux m talliques 13 th mes 06 M taux aide au choix 07 Rev tements et traitements choix et ma trise 08 Corrosion 09 frottement usure abrasion 10 Calculs de fatigue 11 Fatigue sauf calcul 12 Fonderie 13 Approvisionnement en m taux 14 Mat riaux d outillage 15 C ramiques choix caract ristiques utilisation 16 Analyse des mat riaux m talliques 17 Analyses d avaties 18 Essais m caniques Page 97 Chapitre Polym res et composites 3 th mes 19 Plastiques peintures choix caract ristiques utilisation 20 Composites choix caract ristiques utilisation 21 Analyse des plastiques et composites Lubrifiants Industrie s 1 th me 22 Lubrifiants et fluides sauf frigorig nes PRODUCTION Production m canique et usinage 9 th mes 23 Usinage conditions outils fluides de coupe 24 Devis m thodes 25 Usinage grande vitesse 26 FAO CN 27 GPAO conseil aide au choix 28 Organisation de la production productivit 29 Gestion d outils changements d outils 30 Identification 31 Machines aide
202. leurs B et ET EE _ _A 1 2D exemple indice de Marcotorchino Michaud NEGD e les indices qui font jouer un r le positif la valeur et un r le n gatif aux valeurs B et C et aucun r le la valeur D exemple indice de J card TAT Ces indices conduisent des r sultats tr s diff rents Les indices du premier et du troisi me type qui font jouer un r le positif la valeur D consid rent l absence simultan e comme un facteur important de ressemblance entre deux mots d un poids quivalent la pr sence simultan e pour le premier type et d un poids plus mod r pour le troisi me type Les indices de deuxi me type prennent uniquement en compte la pr sence simultan e comme crit re de ressemblance mais font intervenir la valeur D dans le ratio on peut noter que l indice de Russel et Rao correspond en fait la fr quence relative de la paire Cette valeur n apparait pas dans le calcul des indices du quatri me type qui favorisent de ce fait les paires fortement li es m me si leur fr quence d apparition est faible De la m me mani re qu il est possible d diter des listes de paires par ordre de fr quence d croissante paravizw offre la possibilit de les classer suivant plus de 30 indices figure 13 Nous voyons travers cet exemple que la plupart des paires qui apparaissent en premier sont diff rentes de celles obtenues avec la fr quence ou l indice de Russel et Rao Ceci
203. lis es aspect documentaire des compte rendus de congr s et salons couverts par les collaborateurs du CETIM aspect factuel des analyses bibliom triques aspect statistique des analyses technico conomiques r alis es par le cabinet MAGETEX sp cialis dans le management des technologies de m tier Le mode d organisation choisi pour conduire les op rations et dont l exp rience nouus montre toute l efficacit se situe l interface entre un syst me centralis et un syst me d centralis Les diff rentes op rations font intervenir les collaborateurs des quipes techniques mais un membre du CIT est charg de la gestion de l ensemble du projet il en est le coordinateur Il intervient au c t des experts dans les tapes de collecte de traitement et de diffusion mais il demeure le pivot de la circulation des informations et dirige le d roulement du programme La figure 27 pr sente la position du coordinateur dans l activit de veille Il se situe au centre de toutes les op rations et les informations transitent n cessairement par lui entre chaque tape C est ce r le que j ai eu la charge de tenir dans la veille traitements de surface Nous ne fairons pas dans les pages qui suivent de distinction entre veilleur et coordinateur terme retenu au CETIM pour d finir les fonctions du veilleur Page 132 Chapitre IV P le Observation Collecte Classement Cy 7 Analyse Coordinateur
204. maine des traitements de surface H P Lieurade A Saint Etienne J M B lot Publication CETIM 1993 114 p Le parcours du combattant du fa onnier en traitement thermique l horizon 20 10 H P Lieurade D Duchateau J M B lot para tre au 9 me congr s international du traitement thermique et de l ing nierie des surfaces Nice Acropolis Septembre 1994 Les langages documentaires et classificatoires conception construction et utilisation dans les syst mes documentaires J Maniez Les Editions d Organisation 1987 286 p Agr gation de similarit s en classification automatique F Marcotorchino P Michaud Etude IBM n F 012 Centre Scientifique de Paris Janvier 1981 La veille technologique concurrentielle et commerciale B Martinet J M Ribault Les Editions d Organisation 1989 300 p Page 206 Bibliographie MERL93 MORI85 MORI89 ODON92 ODON94 OST92 PERR 1 PHEL90 PLAN92 PME93 86 Histoire s d innover ou comment l innovation vient aux entreprises ANVAR avec P Merlant InterEditions 1993 325 p L excellence technologique C Morin Editon J Picallec Paris 1985 Le management des ressources technologiques J Morin R Seurat Les Editions d Organisation 1989 159 p Caract risation de quelques bases de donn es de presse en texte int gral G Odone C Taillandier Collection de notes internes de la Direction des Etudes et Recherches d EDF Section Organis
205. mations Mais ils peuvent galement participer la collecte Leur travail les conduit multiplier les contacts avec l ext rieur participation des congr s visite de clients de partenaires de fournisseurs participation des comit s techniques des comit s de normalisation Il serait r ellement dommage de ne pas exploiter au maximum un tel Page 21 Chapitre I gisement d informations Les experts ont une tendance naturelle se tenir inform s ils parcourent les revues sp cialis es suivent l actualit de leur domaine car cela est n cessaire leur mont e en comp tences La principale difficult ne consiste donc pas les clairer sur l utilit de l information dont ils sont pleinement conscients mais plut t largir leur champ d investigation souvent trop troit et leur prouver que plus qu une fin propre les informations dont ils disposent peuvent servir l ensemble des collaborateurs Nous avons donn l exemple des compte rendus de fin de congr s qui aideront les lecteurs dans la consultation des actes mais qui peuvent aussi avoir pour fonction de positionner l entreprise dans son environnement Observer les tendances qui se d gagent du congr s et les ramener aux axes de d veloppement qui ont t choisis sera toujours riche en enseignements Les commerciaux il n est certainement pas utile de persuader les commerciaux de l importance de l information leur objectif principal es
206. mes techniques qui se d gagent de la demande du march en faisant abstraction des domaines de comp tences techniques du CETIM Cette identification a pu tre r alis e en utilisant les techniques classiques d indexation et en appliquant la m thode d analyse des mots associ s au corpus constitu par l ensemble des fiches de besoin L INDEXATION DES FICHES DE BESOINS La principale difficult qui apparait est relative la m thode de collecte L enqu te a permis de recenser plus de 1560 besoins dont le caract re multiforme rend quasiment impossible une exploitation sans traitement pr alable Il faut op rer un post codage technique classique et encore k remplac e LEBA88 qui ram ne l ensemble des r ponses en langage libre des formes strictement d finies et en nombre suffisamment r duit pour permettre une analyse Pour codifier cet ensemble de besoins d ordre technique un outil de choix s est rapidement impos les descripteurs du thesaurus de la m canique du CETIM Ainsi que nous l avons pr cis dans le chapitre pr c dent le thesaurus est un recueil pr cieux qui fournit la plupart des mots ou expressions utilis s dans le domaine des techniques m caniques C est donc tout naturellement Page 87 Chapitre qu il s est pr sent comme l outil id al pour indexer les fiches de recueil des besoins techniques Le probl me technique d crit sur chaque fiche est analys et index l aide des descripteur
207. mesures pr c dentes car ils pr sentent de nombreuses associations de force et de poids quivalents avec d autres mots cl s Il est donc n cessaire de les consid rer s par ment et d analyser leurs liens avec ces diff rents mots cl s pour compl ter l ensemble des observations C est le cas par exemple du descripteur 3D qui bien qu apparaissant dans 17 fiches ne se retrouve pas dans l analyse des paires L analyse de ses relations avec d autres mots cl s Paire Fr quence 30 dimensions mesure 8 3D innovation technologique 6 3D contr le 6 3D CAO 5 3D mesures 4 3D logiciels 4 3D Machines a mesurer 4 a permis de d tecter le th me Contr le 3D Le graphe obtenu gr ce toutes ces mesures doit imp rativement tre soumis un sp cialiste de la m canique qui pourra travers l ensemble des regroupements effectu s d gager les th mes techniques correspondants Ainsi il identifiera la paire Contr le Essais non destructifs au th me CoNTROLE Non DESTRUCTIF et les paires Composants m caniques Conception Composants m caniques Engrenages et Composants m caniques Roulements au th me AMELIORATION DES COMPOSANTS MECANIQUES L avis d un sp cialiste est indispensable pour valider l ensemble des relations tablies sur le graphe Les m thodes statistiques permettent de tracer des liens sans a priori sur la structure d un domaine mais peuvent introduire des biais ou au contraire faire merger d
208. mme un moyen de protection un outil de veille et une source documentaire technique on estime pr s de 70 la part de l information technique diffus e travers les brevets BORD92 Les inconv nients majeurs de leur exploitation r sident dans le nombre de d p ts qui tous secteurs confondus est proche de un million par an dans la connaissance de la pratique Page 15 Chapitre des dii rents pays en mati re de propri t industrielle et dans la compr hension car n oublions pas qu il s agit d une arme juridique et strat gique tout dire sans rien d voiler dans des termes propres aux juristes de quoi compliquer s rieusement leur analyse Les th ses et rapports d tudiants ils pr sentent une bonne source lorsqu il s agit d obtenir des informations caract re scientifique Leur compr hension est du ressort des sp cialistes des domaines concern s Les banques de donn es pr s de 8000 banques de donn es sont recens es dans le monde INFO93b dont 65 sont accessibles en ligne tout public L actualit les affaires la presse les aspects scientifiques techniques conomiques juridiques sociologiques y sont abord s c est diie l importance de leur couverture On distingue deux cat gories principales de banques de donn es les banques de donn es de r f rences et les banques de donn es sources BLAN92 Les premi res ne permettent pas une exploitation directe des donn es par l utilisateur et n cessi
209. monde ne cesse de cro tre de fa on lin aire les banques de donn es rec lent plusieurs milliers de documents sur diff rents sujets et les tudes sectorielles se multiplient Face la quantit et la complexit des donn es deux niveaux de tri sont n cessaires Le premier vise d une part liminer d ventuelles redondances doublons et d autre part ne retenir que les donn es cibl es et pertinentes Ce travail est g n ralement effectu par les sp cialistes de l information documentaire Le second consiste juger du degr de nouveaut et du niveau d int r t de ces donn es et exige l avis d un expert Il est indispensable de s parer les deux t ches les experts trouvent dans l activit veille une charge de travail suppl mentaire et le syndrome du that s not my job ZMUDS86 est toujours d actualit Il serait donc pr judiciable de laisser une Page 25 Chapitre multitude de redondances ou de r f rences hors sujet parmi les documents qu ils analysent cela entamerait rapidement leur bonne volont La formation des experts occupe une place tr s importante et ne doit en aucun cas tre n glig e Tr s souvent ils sont amen s effectuer leur travail sur des fiches bibliographiques et doivent alors exprimer un premier jugement sur des documents condens s avant d avoir acc s aux documents originaux Il est essentiel qu ils connaissent auparavant le cheminement que suivent un article
210. montrer tr s efficace mais il conviendra de v rifier que les activit s de chaque cellule restent dans les directives fix es par la strat gie Ouvrons une parenth se pour attirer l attention sur la diff rence entre centralisation et coordination Beaucoup de syst mes fonctionnent de mani re d centralis e mais en ayant un pilote un ma tre d oeuvre charg de coordonner l ensemble des op rations Il garde une vision d ensemble de l volution des travaux et se pr sente comme le pivot de la circulation des informations Il g re le projet du d part l arriv e organise les r unions manage l ensemble des participants et assure le suivi du programme Il pr sente un soutien auquel on peut toujours avoir recours pour faire parvenir un renseignement un collaborateur que l on n arrive pas joindre obtenir un conseil sur la d marche suivre pour trouver une information Cette solution offre de multiples avantages dont notamment de laisser une libert d action chacun tout en gardant gr ce au coordinateur un oeil critique sur le respect des objectifs fix s n existe pas de mod le id al fig qui assurerait dans tous les cas de figure un rendement maximum du syst me Tout d pend du milieu dans lequel on volue L essentiel tant de s adapter la situation A chacun sa solution mais tout en prenant garde de respecter deux imp ratifs adopter un style d organisation qui correspond le mieux au mode
211. n e 1993 Cependant les r gles de diision du Centre ne nous permettent pas de les pr senter dans leur int gralit Une liste des travaux effectu s est donn e en annexe 11 Avant d aborder la d marche de veille technologique nous allons donner une pr sentation succincte des traitements de surface afin d clairer le lecteur sur le domaine tudi Nous pr senterons ensuite le mode d organisation choisi pour effectuer les t ches de veille technologique avant de d tailler la d marche suivie et de donner un exemple d analyse bibliom trique qui s inscrit en compl ment des recherches documentaires Les traitements de surface sont d finis par le dictionnaire Larousse LARO87 comme les traitements que l on applique la surface d une pi ce pour en modifier les propri t s ou pour la rev tir d une couche protectrice Les mat riaux solides pr sentent des surfaces limitatives Ils doivent de ce fait subir des traitements qui visent leur donner un aspect d coratif ou leur conf rer des propri t s physiques ou m caniques particuli res telles que l anticorrosion l anti usure l anti grippage ou le durcissement Qu il s agisse d apporter un rev tement de cr er un d p t ou d induire une modification de la couche superficielle du mat riau trait les techniques utilis es sont multiples J Galland GALL90 propose de les classer en huit groupes les rev tements organiques peintures vernis laques rev teme
212. n es Parmi les 600 revues qui circulent dans le Centre 41 sont utilis es dans le cadre de la veille traitements de surface Page 138 Advanced materials and processes Corrosion prevention and control Diamond and re ated materials Diamond deposition science and technology Finishing Galvano organo traitements de surface Galvanotechnik Haerterei technische mitteilungen Heat treatment of metals Industrie c ramique Ing nieurs de l automobile Ing nieurs et scientifiques de France Journal of materials engineering and performance L eau l industrie les nuisances Liquides magazine Materials performance Ma terials science and technology Mat riaux et techniques M canique industrielle et mat riaux Metal finishing Metallurgia italiana M taux d formation New coatings and surface finishing Nomenclature des m taux Oberfl echen Werkstoffe Surfaces mat riaux Plastiques modernes et lastom res Pla ting and surface finishing Polymer testing Product Finishing Hevue ABB g n rale de l letricit de m tallurgie Surface and coating technology Surface engineering Surfaces Technique moderne Thin solid films Traitement thermique anglais anglais anglais anglais anglais francais allemand allemand anglais anglais francais fran ais anglais fran ais fran ais anglais anglais fran ais fran ais anglais italien fran ais an
213. n et la date d entr e dans la base Tableau 8 D lais de parution des brevets sur WPAT et INPADOC WPAT 6 semaines 6 semaines 7 semaines 10 semaines 10 semaines INPADOC 10 iours 20 iours 4 semaines 4 semaines 4 semaines Les bases produites par l INPI n apparaissent pas car les brevets sont enregistr s le jour m me de leur publication Concernant l tendue de la couverture INPADOC est la base la plus fiable En effet elle couvre les brevets issus des Offices de Propri t Industrielle qui adh rent l OMPI Ce chiffre est voisin de 50 mais il varie r guli rement wear recense les brevets de 28 pays industrialis s ainsi que les brevets europ ens EPC et mondiaux PCT La couverture est donc forte mais plus faible que celle d INPADOC rear rassemble les brevets d pos s en France quelle que soit la nationalit du d posant On trouve donc des brevets ayant aussi bien une priorit frangaise brevets autochtones selon la d nomination de l INPI qu trang re allochtones zear et PCTPAT regroupent les brevets dont la demande a t tendue respectivement en Europe et dans le Monde Page 158 Chapitre IV Un param tre important dans le choix des bases correspond aux co ts de connexion et de visualisation des fiches Nous donnons titre indicatif tableau 9 les tarifs annonc s par les serveurs la date du mois de d cembre 1993 Tableau 9 Co ts d interrogation au mois de d cembre 19
214. n frigorifique et thermique 64 Conception de machines outils 65 Conception de v hicules agricoles chariots TP 66 Conception d autres machines sp ciales REOCCUPATIONS GENERALES Qualit dans les entreprises 5 th mes 67 M thodes g n rales de conception 68 Qualit sans aller jusqu a cetfifica tion 69 Outils statistiques de la qualit 70 Certifica tion des en treprises 77 Homologation des composants et machines Information technologique 6 th mes 72 Information technologique veille technologique 73 Substituts proc d s haute nergie 74 Substituts mat riaux nouveaux 75 Substituts assemblages 76 Substituts 77 Fournisseurs aide au choix sauf moyens de production Environnements d chets industriels 1 th me 78 Environnement lutte contre la pollution sauf bruit Int gration 1 th me 79 El ments d int gration change de donn es Normalisation 4 th mes 80 Normalisation 81 Normes r glementation aide connaissance utilisation 82 Hygi ne des mat riaux alimentaires 83 R glementation s curit ergonomie Autres 84 Soutien du CETIM en g n ral 1 th me 85 Formation Gestion des Ressources Humaines 1 th me Page 99 Chapitre III _28_ GESTION DE PRODUCTION Qwix nes MATERIELS FABRICATION ORGANISATION i Figure 15 Graphe des liens des th mes techniques Page 100 Chapitre L identification des th mes techniques est la derni
215. n temperature to substrate farfield temperature and P and are the dimensionless laser scan speed and absorbed power respectively This scaling law alternatively derived as an asymptotic limit of a classic closed form solution applies for moderate scan speeds and power Evidence that it captures the dominant experimental behavior in cases of no melting and melting is presented The predicted depths also compare favourably to numerical simulations by finite elements a threedimensional 3D workpiece of finite extent Graphs Photomicrographs 14 ref Controlled Terms Surface hardening Laser beam hardening Laser beam melting Heat affected zone Finite element method Classification 56 Thermal Treatment Figure 32 Exemple de r f rence METADEX format AU serveur ESA Page 148 Chapitre IV MATERIALS BUSINESS FILE Cette base galement produite par l American Society for Metals couvre les aspects techniques et conomiques des aciers des m taux non ferreux des polym res des composites et des c ramiques industrielles Des donn es relatives aux donn es commerciales aux aspects techniques aux nouveaux alliages aux nouveaux mat riaux aux nouvelles technologies et aux march s internationaux y sont abord s N e seulement en 1985 elle contient 66 000 r f rences issues de l analyse de 2000 p riodiques et actes de congr s L tendue de sa couverture est mondiale sa mise jour est bimensuelle et 10 000 no
216. nces D veloppement de nouveaux produits Cr ation de nouvelles comp tences Non explicit s ZL 122222 LE 0 30 60 90 120 150 180 210 240 270 8 NOMBRE DE BESOINS EXPRIMES PAR SOUS SEGMENT DE MARCHE au JEW dde uy nO Jaided snput ub3 neaJnq uoew sobDeuo16u3 JIu2 poui JEW auauuoinog MO ense sjuawajnoy snpur JEW dns ja unau WELL sadwod ssaJduJoo Ou SINNO SOUIUIEN jnoqwa dno93q neud uisueJ ise d eium jew way jew wbg uonuaynuew yey eueuuoJpneu5 Eau dL euaew Annexe9 REPRESENTATION DESTHEMES TECHNIQUES DES SEGMENTS DR MARCHE CONCEPTION T CAO DAO 49 TGAO 6 Calcul struct 91 2 Mod lisation 37 Codes 32 MATERIAUX M t aide choix 51 Revet trait 103 Corrosion s 42 Frott usu abra 41 Calc fatigue 15 thy 2 i Fonderie 9 Fatig sauf calc 18 M Equipements SS Approv m taux 18 Composants et petits bquipements Mat d outil 10 S N NS C M tiers E 2 C ramiques 11 SN t m t 19 Nu na mat m t 77 29 Essais m ca 14 2 ais m ca WMA Plast peint 59
217. nel domine il est donc logique que des r seaux propres l entreprise entrent en jeu Nous pouvons citer les contrats de recherches qui unissent les entreprises autour d un m me projet ou les entreprises et les universit s les partenaires financiers qui pourront aider les entreprises dans leur recherche d acquisitions technologiques ou renseigner sur la solvabilit des Page 19 Chapitre clients les soci t s de capital risque tr s innovantes et la pointe de la technologie qui fourniront forc ment des renseignements leurs actionnaires les vendeurs de technologies tels que les soci t s de recherche sous contrat les relais publics tels que les centres techniques les contrats d assistance technique les comit s de normalisation qui sont un moyen d avoir connaissance des projets de normes l tat embryonnaire Un b mol cependant Si la qualit des changes au sein du r seau relationnel de l entreprise offre un tremplin dans l acquisition d informations capitales attention ne pas franchir les limites impos es par la d ontologie Ce sont des sources qu il ne faut pas n gliger d exploiter car tr s souvent elles permettent de valider ou d invalider des informations dont on a eu vent par ailleurs mais qui peuvent facilement faire franchir le pas de l ill galit Cette liste recense l ensemble des sources d informations utiles l entreprise Bien entendu si cet tains canaux sont naturellement favori
218. nements utilisent quelques outils plus labor s tels que des ordinateurs portables ou des mini magn tophones qui leur permettent d am liorer leur efficacit en mati re de collecte Les informations formelles utilisent davantage les moyens que la technique moderne met notre disposition Le micro ordinateur en est l illustration m me Les banques de donn es sont aujourd hui tr s facilement accessibles via le r seau rranspac 11 suffit d quiper son micro ordinateur d une carte et d un logiciel de communication LARD86 de le relier une prise t l phonique et de faire les d marches n cessaires pour obtenir un num ro d utilisateur et un mot de passe aupr s des centres serveurs Un Noeud de Transit International permet la liaison entre et d autres r seaux trangers OUVrant ainsi une voie d acc s plusieurs centaines de banques Ces outils sont d autant plus indispensables lorsqu il s agit de syst matiser les op rations l acquisition de logiciels de reformatage de SGBD de progiciels documentaires pourront compl ter efficacement la panoplie des mat riels pr cieux RIOU94 Le Minitel peut tre utile mais il s av rera rapidement obsol te face au micro ordinateur qui rempli largement toutes ses fonctionnalit s Un autre support physique tr s utilis dans la collecte d informations est le CD ROM Son utilisation suppose d tre quip d un lecteur ad qu
219. nformation technique elle est accessible sous une forme principale le brevet Il peut tre appr hend de mani res tr s diff rentes suivant le point de vue adopt C est avant tout une arme redoutable dans un contexte de guerre conomique Les Japonais excellent depuis longtemps dans ce domaine Ils ont su voir tous les avantages que procure une politique de propri t industrielle efficace 86 Ils y trouvent un moyen de motiver leur personnel de se doter d une image dynamique de d limiter et de prot ger un territoire technique dans lequel ils volueront plus librement et de g ner la concurrence Dans ce contexte les recherches documentaires en mati re de brevets auront pour fonctions essentielles d ant rioriser des brevets g nants de d tecter des dates de d ch ances des dates de priorit s de rechercher des failles dans les brevets concurrents afin de pouvoir d poser ses propres brevets ayant les m mes secteurs d applications ou de tromper la concurrence en d posant des brevets dans un domaine secondaire pour l entreprise C est galement un moyen de connaitre les axes d innovation des concurrents Un examen de l historique des d p ts d un concurrent renseignera sur son int r t pour un domaine technique sur la progression de ses recherches sur ses projets industriels et sur sa strat gie de d p t C est enfin une source d informations sur les innovations techniques disponibles qu il s agisse de les e
220. ngburg EH12 6DZ Scotland Manuel d utilisation 4 me dition Traduction fran aise 270 p Introduction la scientom trie De la bibliom trie la veille technologique J P Courtial Anthropos Economica 1990 135 p L acquisition des technologies trang res par le Japon Etude CPE Avril 1986 Les Centres Techniques Industriels au service des PMI fran aise Synth se et enjeux de leurs actions Documentation du R seau des Centres Techniques Industriels mai 1992 61 p Page 202 DEVA91 DEVA92 DEVA93a DEVA93b DEVA93c DEVA94 DIAN92 DOU89 DOU90 DOUS 1 DOU93 DUMA93a Bibliographie La veille technologique dans Centre de Recherches Appliqu es P Devalan La veille technologique par la bibliom trie cours IPSI Paris 8 9 octobre 1991 Construction des matrices de corr lation entre champs documentaires en vue de l analyse scientom trique P Devalan s Dumas Journ es d tudes La scientom trie en action Juin 1992 Paris p 23 33 Enqu te 1992 Analyse et valuation des besoins recens s vision technique P Devalan J M B lot S Dumas Rapport interne CETIM Mai 1993 Enqu te 1992 Analyse et valuation des besoins recens s vision transfert P Devalan J M B lot S Dumas Rapport interne CETIM Juin 1993 M thodologie de veille technologique analyse de donn es et avis d experts P Devalan S Dumas IDT93 L information intelligence de l entreprise Paris
221. nnaissances g n ralement diffus es sous la forme d articles de revues Le second se caract rise par la conception et l laboration de dispositifs mat riels qui s appuient sur diff rents interm diaires les brevets les pilotes les prototypes les stations d essais les normes les r gles de l art et les m thodes Le dernier ne correspond pas la th orie conomique du march comme la r sultante de la rencontre de l offre et de la demande mais se d crit par l attente des usagers Les auteurs soulignent qu il n existe pas d ad quation a priori entre la connaissance les Service d tude des strat gies et des statistiques industrielles service des statistiques du Minist re de l industrie Page 66 dispositifs techniques et la demande sont les interactions qui existent entre ces diff rentes activit s qui leur donnent une grande compl mentarit et permettent par it rations successives leur adaptation progressive Pour d crire l ensemble du r seau et des interactions qu il d veloppe ils ajoutent la description pr c dente des activit s transitoires p les interm diaires situ es l interface des trois p les principaux Le premier est le p le de transfert et il est consacr la mise en relation de la science et de la technologie Les Centres Techniques s inscrivent dans cette cat gorie d interm diaires Un mod le qui rend tr s bien compte de cette situation est celui
222. nneurs d ordres Conna tre les probl mes qui vont se poser ou qui se posent d j ces dormeurs d ordres leur permettra d anticiper sur leurs sollicitations futures et de se donner les moyens d y r pondre B Martinet et J M Ribault MART89 rel vent deux autres points essentiels surveiller l volution de la relation des clients l entreprise quel est le niveau d ind pendance de l entreprise vis vis du client et la solvabilit le client a t il les moyens de payer e Les fournisseurs de la m me mani re que pour les clients trois points cl s sont surveiller les produits nouveaux qu ils proposent l volution de leur relation avec l entreprise et leur capacit fournir moindre co t e Les concurrents tout est surveiller chez un concurrent les prix et les caract ristiques de ses produits sa strat gie accords commerciaux prises de participation son appr ciation par la client le sa force financi re sa capacit interne de recherche et d veloppement sa politique de propri t industrielle la liste est loin d tre exhaustive La Page 12 Chapitre I veille concurrencielle est l illustration m me de l interd pendance de diff rentes veilles La densit des informations surveiller chez un concurrent est telle qu il pourra faire l objet d un benchmarking CAMP92 e Les march s la connaissance des march s de leur nature de leur importance segment par segment
223. nregistr s sur les brevets d pos s suivant la proc dure europ enne EPC sont enregistr s sur et les brevets d pos s suivant la proc dure mondiale sont enregistr s sur PCTPAT Les trois bases sont proc durales c est dire que l information en provenance de l INPI de l OEB zpar et de l OMPI PCTPAT est retranscrite imm diatement sans modification et sans valeur ajout e Il n y a pas de notion de famille dans ces bases Pour cette raison on retrouve une tr s grande quantit de champs qui correspondent l avancement du statut du brevet du d p t la d livrance Ces champs qui n existent que si la proc dure est suffisamment avanc e sont les suivants FPAT DDL date de d livrance BDL num ro de bulletin de la d livrance DRR date du rapport de recherche BRR num ro de bulletin du rapport de recherche EPAT PCTPAT DGR date de d livrance BGR num ro de bulletin de la d livrance DRR date du rapport de recherche BRR num ro de bulletin du rapport de recherche Les philosophies de ces trois bases sont donc tr s diff rentes l information est s lectionn e et LE travaill e sur WPAT alors qu elle est brute et proc durale sur les bases rear et INPADOC On a donc travers ces principales bases brevets des m thodologies de classement radicalement diff rentes un classement regroup sur WPAT une fiche par inventi
224. nsables de chaque th me qui sont charg s d effectuer un deuxi me tri en fonction du degr de nouveaut un niveau d expertise sup rieur tant alors requis Cependant les donn es se pr sentent sous la forme de fiches bibliographiques contenant un r sum except pour les bases en texte int gral Les informations qu elles contiennent sont parfois insuffisantes pour permettre l expert de juger de l int r t du document Il est alors n cessaire de se procurer l article original aupr s du producteur de la base ou d un organisme sp cialis dans la fourniture de documents primaires tel que l INIST Institut National d Information Scientifique et Technique C est le coordinateur qui effectue cette d marche Le volume des informations diminue consid rablement au cours de ces phases de tri comme le montre la figure 45 Dans le cas des documents issus des bases de donn es environ 30 des informations initiales sont retenues Ceci tient au fait que si les quations logiques qui utilisent des termes pr cis permettent de cibler tr s correctement le sujet tudi il est tr s difficile voire impossible de ne retenir que des documents apportant des informations nouvelles Seule une lecture approfondie pourra permettre de le faire Page 167 Chapitre IV Collecte des informations Tri en fonction de la pertinence Classement par th me Volume d informations Tri en fonction de la nouv
225. nses Vision technique Rapport de synth se Devalan J M B lot 5 Dumas Enqu te de besoins 1992 Analyse et valuation des besoins recenses Vision technique 29 rapports sp cifiques aux diff rents sch mas directeurs P Devalan J M B lot S Dumas Enqu te de besoins 1992 Analyse et valuation des besoins recens s Vision transfert P Devalan J M B lot S Dumas Documents diffus amp par le CETIM Veille technologique Traitements de Surface 1993 Rapports de synth se Juin et D cembre 1993 Document CETIM Innovation 128 Veille technologique Traitements de Surface 1994 Rapports d synth se Juin et D cembre paraitre 1994 Document CETIM Traitements de Surface dans le domaine de la m canique Etude bibliom trique sur les brevets Europ ens S Dumas D Duchateau B Sutter Veille Technologique Traitements de Surface 1993 98 p Travaux divers Description de syst mes de Veille Technologique dans diff rents Centres de Recherches E Castano S Dumas G Odone H Dou Revue frangaise de bibliom trie n 12 septembre 1993 p 138 157 L installation d un syst me de veille technologique Comparaison et choix des bases brevets E Castano B Wallaert P Hassanaly S Dumas Le micro bulletin du CNRS n 54 Mars Avril 1994 p 120 131 Construction des matrices de corr lation entre champs documentaires en vue de l analyse scientom trique P Devalan S Dumas Journ es d
226. nt la Direction G n rale le probl me tient ici au fait que la qualit du syst me va tre enti rement li e la personnalit du dirigeant S il favorise la communication verticale et horizontale des informations au sein de l entreprise il contribuera l panouissement du syst me de veille A l inverse l information restant sa source de pouvoir essentielle il risque de la monopoliser amenant le syst me se scl roser rattachement la Direction de la Strat gie et du Plan bien plac e pour d terminer pr cis ment les informations qui seront utiles l entreprise elle pourra les allier habilement ses propres informations pour adapter son processus de planification au contexte exterieur Cependant elle souffre parfois de lenteurs bureaucratiques De plus souvent constitu e de g n ralistes ayant une vision trop globale on peut leur reprocher de consacrer H plus d efforts collecter les donn es quantitatives que les donn es qualitatives e rattachement la Direction du Marketing on pourrait craindre ici que l observation soit guid e par les besoins des forces de vente dont la vision court terme risquerait de pervertir dangereusement le syst me Inversement la compl mentarit des unit s op rationnelles forces de vente et de l unit fonctionnelle marketing strat gique qui poss de une vision plus long terme peut s av rer tr s fructueuse La r ussite dans ce cas sera principal
227. ntent galement un compte rendu des congr s ou salons auxquels ils ont particip Un consultant du cabinet MAGETEX est charg d exposer les r sultats des analyses technico conomiques De mani re syst matique un intervenant ext rieur est convi ces journ es Il s agit g n ralement d un industriel sp cialiste du domaine et qui pr sente ce que pourrait tre l avenir des technologies tudi es dans son secteur d activit Toutes ces Page 170 Chapitre IV pr sentations s inscrivent en compl ment des documents remis aux participants titre d exemple nous donnons la liste du programme de la journ e du premier semestre 1994 Intervenants CETIM tendances 1994 relev es dans les th mes rev tements lectrolytiques chimiques par immersion et les traitements de conversion peintures et rev tements organiques traitements multi technologies mod le cin tique de nitruration gazeuse nouveaut remarquable du th me 2 compte rendu de la conf rence ICMCTF de San Diego Avril 1994 compte rendu de la conf rence SURFIN d Indianapolis Juin 1994 Intervenant MAGETEX tat de d veloppement de la technologie antipollution en galvanoplastie aux Etats Unis Intervenant ext rieur PSA les traitements superficiels dans l industrie automobile Ces journ es sont tr s appr ci es la fois des clients et des collaborateurs du Centre Elles sont un lieu d changes privil gi Les clien
228. nts plastiques les rev tements min raux maux oxydes r fractaires les technologies de d position avec emploi du vide vaporation sous vide pulv risation cathodique d p ts ioniques la m tallisation par projection thermique Page 131 la m tallisation par immersion dans des bains de m tal fondu galvanisation aluminiage tamage plombage les traitements par voie chimique partir d une phase gazeuse sh rardisation chromisation les traitements par voie chimique en phase aqueuse traitements de conversion phosphatation chromatation nickelage chimique les d p ts lectrolytiques oxydation anodique zingage chromage cuivrage nickelage cadmiage Les applications sont extr mement nombreuses et peu de secteurs industriels en font abstraction construction automobile mat riel m nager mat riel m dical bijouterie composants lectroniques sont autant d exemples qui illustrent l tendue de ce domaine ORGANISATION Les programmes de veille multi clients se d roulent sur 12 mois et sont reconductibles tous les ans Ils s adressent des industriels qui trouvent un int r t aux domaines tudi s et souhaitent tre renseign s sur leurs volutions Des r sultats leurs sont pr sent s tous les six mois au cours de journ es d informations Ils s appuient principalement sur l analyse des revues techniques et des bases de donn es sp cia
229. o additives a starter and a brightener Controlled Terms News Brief Zinc plating New technology Pollution abatement Category G5 Product and Process Developments Figure 33 Exemple de r f rence MATERIAL format AU serveur ESA Page 149 Chapitre IV WORLD SURFACE COATINGS ABSTRACTS N e en 1976 et produite par le Paint Research Association of Great Britain WSCA contient 140 000 r f rences issues de l analyse de p riodiques actes de congr s livres brevets r glementation et normes Elle propose des documents sur tous les aspects des peintures et recouvrements de surface incluant les r sines les solvants les plastifiants les polym res les essais les dangers industriels la pollution 10 000 nouvelles r f rences sont analys es chaque ann e sa mise jour est mensuelle Les signalements sont en anglais ABN 94 02724 AN 382724 AU VAN W J EDWARDS A SABATA ZAPPIA J IS 9404 TI Testing the adhesion of paint films to metals by swelling in N methylpyrrolidone SO J Adhes Sci Tech 1993 Vol 7 No 8 897 917 DT J Journal etc CC 67 Mechanical and Rheological Properties CN AMINOSILANE EPOXY RESIN EPOXY SILANE POLYESTER SILANE ZINC PHOSPHATE IT Adhesion estimation swelling disbonding Swelling coatings methylpyrrolidones adhesion estimation Electrocoating disbonding swelling by methylpyrrolidones Powder Coatings adhesion to stainles
230. oin compl t e Page 101 Chapitre EXPLOITATIONDESDONNEESETDIFFUSION DES RESULTATS Toutes les variables qui caract risent les trois axes du cube du m tier sont maintenant connues laxe march s est d fini par les 30 sous segments professionnels et la taille des entreprises petite moyenne ou grande l axe produits est d fini par les 6 formes de transfert les 4 formes de recherche et le d lai de r ponse souhait court moyen ou long terme l axe technologies est d fini par les 85 th mes techniques mergents les 29 sch mas directeurs du CETIM et les 6 niveaux de faisabilit Ce sont donc au total 166 variables qui permettent de d finir clairement chaque besoin recens Outre l identification des th mes mergents gr ce l analyse des mots associ s l id e d exploiter le logiciel DATAVIEW se fondait sur la possibillit qu il offre de construire des tableaux crois s g n ralis s et de les diter au format exceL Mrcmosorr par exemple Ce sont des matrices qui croisent toutes les variables entre elles et qui donnent pour chaque couple le nombre de fiches qui correspondent aux deux variables la fois Nous donnons titre d exemple un extrait de la matrice g n rale qui correspond au croisement des variables faisabilit et formes de transfert Conseil Prest Info Format Publi Progi Journ e Ne sait pas Correspond a nos comp tences nos moyens et notre disponibilit
231. on un classement semi regroup pour rear et clatement de la famille en fonction de la nationalit mais regroupement par rapport l avancement juridique du brevet un classement clat pour INPADOC une fiche par brevet Page 157 Chapitre IV Sur rear et et WPAT les brevets apparaissant avec le code deuxi me publication vont tre class s sur la m me fiche Ils sont donc transparents une interrogation syst matique seul le brevet basic g n re la cr ation d une fiche nouvelle Ce syst me facilite la recherche de l innovation Pour obtenir une information compl te 1l est n cessaire d interroger dans un m me temps les trois bases et Sachant qu il manquera de toutes fa ons les brevets trangers de la demande notamment US et JP 2 Les autres param tres La m thode d indexation n est pas le seul param tre prendre en compte d autres facteurs tels que les d lais de diision l tendue de la couverture la qualit des informations et le co t doivent tre pris en consid ration Le retard entre la publication d un brevet et son enregistrement varie en fonction de la base mais aussi en fonction de la nationalit du brevet consid r Les chiffres que nous allons donner tableau 8 sont des moyennes calcul es sur une centaine de brevets Ils mesurent l cart de temps entre la date de premi re publicatio
232. on Service la base recense 1 6 million de r f rences issues de rapports techniques de recherche et de d veloppement provenant de 300 agences f d rales du gouvernement am ricain NASA Department of defense ERDA Department of agriculture Department of health education welfare EPA department of transportation NSF et department of commerce La base s enrichit de 70 000 nouvelles r f rences par an sa mise jour est bimensuelle La base poss de un plan de classification et son indexation se fait l aide de 6 thesaurus thesaurus of engineering and scientific terms INIS thesaurus NASA thesaurus ERDA subject indexing and retrieval thesaurus computer science microthesaurus health care of microthesaurus auxquels s ajoute une liste hi rarchique de descripteurs produite par NTIS Les signalements sont en anglais Quest Accession Number 94006698 AD A270 876 6 X AD NTIS Issue 9403 TRANSLATION Pressure and Temperature Effects on the Kinetics and Quality of Diamond Films Technical rept S J Harris A M Weiner General Motors Research Labs Warren MI Physical Chemistry Dept 011155004 391835 Price PC A03 MF A01 Journal Announcement GRAI9403 Publication Date 27 Sep 1993 Pagination 36p Language English Publication Country United States The first measurements of the effects of pressure on the kinetics and quality of diamond films grown with hot filament chemical vapor deposition are reported Pressure
233. on de p les de comp tences et l appropriation de savoirs sans a priori sur la qualit des travaux d autrui Selon lui cette phase d acquisition des connaissances reste indispensable pour aboutir l innovation Gr ce l exp rience acquise dans diverses PME P Merlant MERL93 a pu caract riser le d roulement des processus d innovation par six tapes cons cutives la rencontre la maturation la concr tisation le pr lancement le lancement la consolidation La premi re correspond au moment l id e merge Il montre que ce ph nom ne ne se produit pas en vase clos mais d coule toujours du croisement de plusieurs id es sans relations apparentes Page 65 Chapitre IT entre elles La premi re t che d une entreprise est donc de susciter des circonstances favorables ce type de rencontre et elle y parvient gr ce une coute attentive de son environnement Pour J Morin l innovation se situe l intersection du monde de la recherche et du monde de l industrie MORI89 Selon sa conception elle r sulte la fois de la recherche et de l acquisition par l entreprise de technologies d velopp es dans d autres secteurs et appliqu es son contexte particulier Il souligne que l entreprise dans sa d marche de management strat gique ne doit en aucun cas n gliger les ressources externes Ce qui doit nous int resser ce ne sont pas seulement les technologies et les comp tences existan
234. on environnement Pr sentation du CIT sees 45 45 A LES ENTREPRISES MECANICIENNES ET LEUR CENTRE TECHNIQUE iii 45 B PRESENTATION DU CENTRE suivante canette ent eee cent id 21 E 46 2 Les charg s de profession et les commissions professionnelles 47 C LES DOMAINES DE Ora touc OON THRONE TOR Onan TS RENS A 48 D LE TRANSFERT AUX ENTREPRISES eee eee n E LE CENTRE D INFORMATION TECHNOLOGIQUE e eene eene 50 A LESABONNEMENTS ET LA BIBLIOTHEQUE iris 52 B LA BANQUE pe DONNEES BIBLIOGRAPHIQUES CETIM sese eene 53 lckethesaur s GETIM DR LER 39 2 Le DIAN GO classification nt bi eA 56 3 Les fiches bibliographiques iue eese 57 4 Le cd rom m ca cd et l interface de tot tenta s 60 5 Le bulletin technologies eene ee eR eR rennes 63 C LES RECHERCHES BIBLIOGRAPHIQUES NNN 63 IIl LA STRATEGIE DU 2 642 22252404 ee aano hana nane anna aa naar rada 65 A LE ROLE DES CENTRES TECHNIQUES DANS LES PROCESSUS D INNOVATION 65 B bASSTRATEGIESGENTIBEEJMARCHE JS revi
235. oncernant les co ts co ts de mise en oeuvre volume minimum d investissement Des choix vont se pr senter faut il sous traiter ou int grer Pour y r pondre les veilleurs auront souvent recours des tudes sectorielles des estimations parfois d licates mais c est travers l exp rience d installations d j existantes qu ils trouveront leurs meilleures sources de renseignements L automatisation la mod lisation et l exp rimentation sont trois domaines connexes qui s int grent aux proc d s de r alisation et qui doivent faire l objet d un suivi es mat riaux dans ce cas galement il convient de distinguer les informations internes et externes Pour les mat riaux utilis s par l entreprise il conviendra de suivre les cours les sites de production de transformation les moyens de transport ce type de suivi est g n ralement assur par le service achat Le second aspect concerne les mat riaux susceptibles de se substituer ceux utilis s par l entreprise Cet aspect est d autant plus d actualit que les mat riaux nouveaux gr ce leurs propri t s feront partie des technologies dominantes de demain POUR86 Une tude prospective de 1987 PROS87 annon ait ce sujet il est aujourd hui tentant d affirmer que nous entrons dans la civilisation du composite du mat riau sur mesure r pondant parfaitement aux exigences de la demande Comme pr c demment de nombreuses interrogations vont se po
236. onnus 11 faut ensuite d terminer dans chacun deux les besoins particuliers des clients Cette d marche est indispensable pour orienter la collecte en fonction des desiderata des industriels et pour effectuer le tri en fonction de leurs pr occupations et non pas en fonction de la vision des collaborateurs du Centre Une enqu te est donc r alis e aupr s des participants qui re oivent individuellement une fiche d valuation figure 28 Les premi res indications qu elle apporte peuvent tre compl t es par entretien direct ou t l phonique si de plus amples pr cisions sont n cessaires Des sous th mes individuels sont ainsi d termin s Le coordinateur charg de cette t che r alise ensuite une synth se qu il transmet aux experts pour les aider dans leur travail de collecte et de tri Il faut signaler ce niveau que si les th mes g n raux sont connus de tous les participants les sous th mes qui touchent de plus pr s les probl mes que rencontrent les entreprises restent enti rement confidentiels B RECHERCHE COLLECTE La collecte des documents s effectue travers divers canaux revues techniques bases de donn es et manifestations congr s salons Ce sont trois sources compl mentaires qu il est indispensable d analyser pour les raisons d exhaustivit de pertinence et fra cheur voqu es au premier chapitre Les informations analys es pr sentent deux caract ristiques tr s marqu es q
237. originales qui leur permettent de se montrer tr s performantes dans la collecte d informations informelles l image d une soci t dr moise de moins de 300 personnes qui installe des petits observatoires de l air du temps v ritables clignotants des volutions de la mode LAFU94 S il est vrai que la veille est une activit organis e il n en demeure pas moins qu elle reste accessible tous les types de soci t s Sa principale qualit reste de s appuyer sur les comp tences de chacun et de les exploiter au maximum pour faciliter l acquisition et la circulation des informations Une deuxi me raison qui pousse certaines soci t s faire appel des prestataires ext rieurs tient au fait qu elles n prouvent pas un besoin de vigilance permanente et tendue Evoluant dans des secteurs bien d termin s elles sont plut t int ress es par des probl mes ponctuels Page 36 1 portant sur des technologies pr cises sur des adresses de fournisseurs sur des donn es technico commerciales D s lors traiter le probl me en interne ne serait pas rentable pour des raisons videntes de co t Elles pr f rent se tourner vers des sp cialistes qui r aliseront des prestations adapt es leurs besoins et leur budget Ces travaux peuvent aller de la simple recherche bibliographique l tude de veille tr s compl te Un autre facteur pr pond rant et primordial reste le savoir faire Le m tier de veilleu
238. orrespondent pas directement nos comp tences 29 pour la noyenne de toutes les comp tences 19 besoins n cessitent une adaptation l g re de nos comp tences Sauf pour le premier egroupement il n y a pas deux besoins semblables et les regroupements sont tr s globaux choix de mat riaux r sistant la st rilisation 4 besoins traitements de surface tr s diversifies 11 besoins d capage passivation rev tements sul lastom res implantation ionique d graissage avant soudage formation suivi et analysa des bains anodisation et galvanisation coloration sur galvanisation mesure des contraintes internes sur plaques en Ertalon contre l rosion par les cendres de chaudi res formatior des prescripteurs corrosion 6 besoins r sistance aux lessives tuyauteries changeurs de laiteries eau dt robinet par les salaisons outillages stockes dehors traitements thermiques tr s diversifies 5 besoins qualit d une fourniture traitemeni d anneaux de cl d inox et alliages base nickel fusion superficielle traitement d ar tes choix de mat riaux pour des besoins tr s diversifies 5 besoins substitut l AG3 ne noircissant pas pour outillage de frappe froid haute temp rature r sistances tuyau flexibles mise jour de produits CETIM 2 besoins logiciel CETIM EQUIST et banque de donn es Mat riaux approvisionnements en t les 2 besoins aspect deformation environnement 2 besoins recyclage des ba
239. ots cl s ou le regroupement de plusieurs paires pouvant s identifier un th me technique Lors de l tude 1562 fiches de besoins ont t analys es et 571 mots cl s Page 94 Chapitre diff rents ont t utilis s pour l indexation Une analyse de ce type pr sente plusieurs difficult s relatives la quantit de paires existantes 571 mots pouvant g n rer jusqu 162 735 paires Le volume des listes dit es ne permet pas une interpr tation par simple lecture s quentielle Il est indispensable de mat rialiser l ensemble des associations sur un graphe qui offre une vision globale des liens qui existent C est une m thode de repr sentation fortement utilis e DOU90 qui si elle ne renseigne pas toujours sur l intensit r elle des diff rents liens procure une vision synth tique de leur existence Si nous reprenons la liste des paires dit es par ordre de fr quence d croissante pr sent e pr c demment le graphe correspondant aura l allure suivante figure 14 MARQUES DE CALCUL CONCEPTION QUALITE QUALITE CONTROLE BRUIT DIMENSIONS LUTTE CONTRE MESURE POLLUTION ENTREPRISES NORMES REGLEMENTATION TECHNOLOGIQUE SUBSTITUTS Figure 14 Exemple d constitution d un graphe des paires Cependant il est improbable de pouvoir repr senter la totalit des paires sur un seul graphe et 1 faut se r soudre fixer des seuils de validit pour chaque indice consid r
240. ots du titre caract ristiques des propri t s recherch es Tableau 11 principales propri t s recherch es PROPRIETES RESISTANCE R sistance 98 CORROSION Corrosion 12 WEAR Usure 35 PROTECT Protection HARD Dur UNIFORM Uniforme ABRASION Abrasion PROPERTIES STRENGTH R sistance SEAL Etanch it Qualit ENVIRONMENT Environnement EROSION Erosion C ANALYSE DETAILLEE Cette analyse rev t un caract re davantage qualitatif Elle se fonde sur l identification des th mes techniques mergents des domaines d application et des propri t s recherch es L objectif est avant tout de connaitre la structure du domaine et d tudier les relations technologies applications et technologies propri t s qui existent Page 180 Chapitre IV 1 IDENTIFICATION DES THEMES TECHNIQUES La m thode d identification est la m me que celle d velopp e au chapitre 3 pour l analyse des besoins Simplement les paires analys es ne sont plus celles qui unissent les mots cl s du thesaurus mais celles qui existent entre les codes CIB tronqu s sept digits Le graphe des paires a t soumis aux experts pour tre analys et valid ils ont identifi 27 th mes mergents THEME 1 ATTAQUE POLISSAGE 15 brevets THEME 2 ATTAQUE POLISSAGE APPAREILLAGE 12 brevets THEME 3 DECAPAGE CHIMIQUE 33 brevets THEME 4 DECAPAGE AVEC DES SOLUTIONS DE SELS FONDUS 40 brevets THEME 5 DECAPAGE APPAREILLAGE 20 brevets THEME 6 DEGRAISSA
241. ou plusieurs pseudo descripteur s NT narrower ter m indique le ou les descripteur s sp cifique s BT broader ter m indique le ou les descripteur s g n rique s RT related term indique le ou les descripteur s associ s s Page 55 Chapitre II Exemple 1000 ABAQUES NOMOGRAMS UF COURBES UF NOMOGRAMMES BT 2776 GRAPHIQUES RT 2081 DIMENSIONS CaiCu RT 4191 SYMBOLES Les descripteurs peuvent se pr senter sous la forme d unitermes de mots compos s avec des sous niveaux ou avec des abr viations signifiant quipements machines ou industrie ind Exemples CONTROLE CONTROLE DE QUALITE TEMPERATURE EFFET DE LA SIDERURGIE EQM Outre son utilit pour faciliter l interrogation de la banque de donn es le thesaurus reste un instrument de port e plus g n rale en ce sens qu il fournit la plupart des mots ou expressions utilis s dans le domaine des techniques m caniques 2 LE PLAN DE CLASSIFICATION Outre le thesaurus accessible en ligne la banque poss de un plan de classification Les deux types de langages ont des r les et des avantages sp cifiques ainsi que le souligne J Maniez MANI87 les plans de classification permettant d arranger les r f rences dans des rubriques sp cifiques et le thesaurus d indexer les documents par des descripteurs d crivant leur contenu conceptuel Le plan de classification est bidimensionnel et comporte deux niveaux tableau 2 Il est consti
242. our tablir un d coupage qui permette de r aliser une tude sans risque de dispersion Le choix des experts a ensuite t soumis aux participants au cours d une journ e d information afin de finaliser la segmentation Sept th mes ont t retenus pour d marrer l op ration Page 134 Chapitre IV Th me 1 d p ts sous vide PVD CVD Th me 2 projection thermique plasma proc d s chaud proc d s grande vitesse Th me 3 traitements anticorrosion Th me 4 traitements thermochimiques c menta tion nitrura tion carbonitrura tion oxynitrura tion Th me 5 traitements de nouveaux mat riaux plastiques composites et c ramiques Th me 6 depollution hygiene et s curit Th me 7 ceintures et rev tements oraaniaues Les th mes choisis sont syst matiquement r vis s en fin d ann e Si certains d entre eux paraissent mal adapt s l tude ou si de nouveaux th mes porteurs sont d tect s ils pourront tre int gr s au programme Nous verrons galement comment des analyses bibliom triques peuvent dans ce cadre donner des pistes int ressantes Compte tenu de ces param tres le d coupage th matique a t modifi en 1994 Th me 1 d p ts sous vide PVD CVD Th me 2 traitements de durcissement superficiel avec apport haute nergie Th me 3 traitements thermiques par diffusion Th me 4 rev tements lectrolytiques chimiques par immersion et es traitements de conversion Th m
243. p ens et mondiaux est plus compl te sur les bases rear et car les donn es de bases sont compl t es par des informations sur le rapport de recherche brevets siiaires articles traitant du m me sujet sur rear et par les m mes donn es sur le rapport de recherche avec en plus d ventuelles informations sur les proc dures d oppositions engag es par des Page 159 soci t s concurrentes sur et INPADOC fournit quant elle pas de r sum ni de rapport de recherche Pour faire la meilleure synth se de tous ces param tres il faut segmenter le probl me dans le cas de recherches syst matiques et non limit es g ographiquement le but est de d celer au plus vite d ventuelles inventions ou innovations Trois facteurs sont valuer la fra cheur la qualit et surtout l exhaustivit de l information Ce dernier point nous force abandonner les bases zear et INPADOC permet d acc der rapidement l information mais elle est malheureusement tr s succincte WPAT au contraire donne une information tr s pr cise mais un deux mois plus tard qu INPADOC wear reste la base la mieux adapt e ce type de recherche En effet les risques d erreurs d interpr tations sur INPADOC sont importants du fait du nombre limit de champs absence de r sum De plus l innovation risque d tre noy e dans la multitude de
244. par les responsables des d partements techniques du Centre tableau 4 Tableau 4 Nombre de besoins exprimas pour chaque niveau de faisabilit Type de faisabilit 1 Correspond nos comp tences et notre disponibilit 2 Correspond nos comp tences notre disponibilit 3 N cessite une adaptation l g re de nos comp tences 4 N cessite le d veloppement de nouveaux produits 5 N cessite la cr ation de nouvelles comp tences 6 Besoins non explicites Sur l ensemble des activit s les quipes techniques peuvent r pondre aux deux tiers des besoins exprim s sans entreprendre de d veloppements particuliers Toutefois le manque de Page 109 Chapitre III disponibilit r duit cette capacit la moiti des demandes Deux repr sentations compl tent cette information un histogramme multiple qui donne la r partition des niveaux de faisabilit par domaine technique du CETIM annexe 7 un diagramme atouts attraits qui montre de synoptique comment se positionnent les diff rents domaines techniques du CETIM figure 20 Ce diagramme est constitu de la mani re suivante l attrait de chaque domaine technique est donn par le nombre de besoins qui le concernent et est mesur en calculant le pourcentage des besoins du domaine ayant des niveaux de faisabilit 1 et 2 figure 21 96 de faisabilit let2 100 Domaine technique Domaine techni
245. partition des niveaux de faisabilit par secteur professionnel pour son domaine technique figure 23 un analyse des besoins ne correspondant pas aux comp tences actuelles de son domaine des fiches de synth se de tous les th mes techniques mergents qui se rapprochent de son sch ma directeur A titre d illustration nous donnons dans ce qui suit un exemple de rapport concernant le sch ma directeur Mat riaux m talliques choix performances traitement Page 113 e Histogramme des r partitions des niveaux de faisabilit FORGE DECOUP EMBOUT TRAIT TH El SUP MECA GENERALE CHAUDRONNERIE BOULONNERIE OUT ELECTRO RESSORTS QUING ART ET APP MENA QUT MACHINES ENG ORG TRANS ROBINETTERIE TRANS HYD ET PNEU POMPES MAT TRAIT INFO ROULEMENTS MESURE PESAGE MAT MEDICO CHIR EQM AGRICOLE MAT THERM FRIGO MOTEURS COMP MAT CHIMIE PLAST EQM IND PAPIER MAT TP SIDERURGIE MAT MANUT LEVAGE MAT INO ALIM 5 10 15 20 25 C Non explicit El Cr ation de L D veloppement de nouvelles nouveaux produits comp tences Q Adaptation l g re Q Correspond Ange Correspond nos de nos comp tences mais comp tences et comp tences indisponibilit notre disponibilit Figure 23 Histogramme multiple des niveaux de faisabilit Page 114 Chapitre 111 Chapitre III Analyse des besoins correspondant pas aux comp tences actuelles du domaine MATERIAUX METALLIQUES 269 BESOINS JO besoins soit 29 ne c
246. pl mentaires la valeur ajout e le type de production sous traitance ou produit propres et la taille L ensemble des relations a t analys au CIT l aide de m thodes statistiques telles que les analyses factorielles ou les classifications DEVA94 Ces analyses ont t soumises aux charg s de profession dont la connaissance du tissu industriel a permis de flnaliser une segmentation des entreprises clientes en trente professions sous segments regroup es en trois grandes classes segments Cette segmentation remplit les trois conditions d efficacit d finies par P Kotler KOTL88 les classes tant homog nes car elles regroupent des entreprises tr s similaires du point de vue du m tier et tr s distinctes de celles des autres classes substantielles car elles ont un poids suffisant pour justifier d une activit de d veloppement pour le Centre accessibles car elles permettent une diffusion active des produits et services du Centre Les trois grands segments couvrent l ensemble des branches industrielles Le premier regroupe les sous traitants au profit de donneurs d ordres il s agit du segment m tier qui r unit les professions ax es sur un proc d Le deuxi me regroupe des professions interm diaires et englobe les concepteurs et r alisateurs de composants et de petits quipements destin s l industrie et plus rarement au grand public Le troisi me concerne les quipementiers c est le segment des
247. points cl s relev s en page 35 mettre en place un syst me efficace c est dire qui s articule autour d un mode d organisation correspondant la structure et la culture du CETIM Cette synth se nous a permis de mesurer toute l influence qu exer ait la structure et la strat gie des entreprises dans l laboration des programmes de veille Afin de positionner notre action et de comprendre dans quel cadre nous voluons nous allons consacrer le chapitre qui suit la d finition de l une et de l autre dans le cas pr cis du Page 44 Chapitre 2 et son environnement Pr sentation du CIT Chapitre II Les pages qui suivent sont destin es pr senter le CETIM son r le ses activit s son mode de fonctionnement Le Centre d Information Technologique qui regroupe de multiples activit s documentaires et au sein duquel sont effectu es les actions de veille strat gique occupera une large place dans notre description Pour finir nous voquerons la strat gie que s est fix e le Centre pour d finir l ensemble de ses actions et nous verrons de quelle mani re les op rations de veille strat gique et les r sultats auxquels elles conduisent sont exploit es dans le choix de certaines orientations 1 LES ENTREPRISES MECANICIENNES LEUR CENTRE TECHNIQUE Les industries m caniques fran aises forment un ensemble complexe de professions li e
248. pr sentent de nombreux liens avec d autres th mes C est notamment le cas des rev tements multi couches multi technologies qui font appel des technologies vari es D autres restent assez isol s projection thermique trempe superficielle et c mentation Les inhibiteurs de corrosion sont galement isol s puisqu ils ne pr sentent de relations qu avec les aspects de pollution Deux th mes sont li s des notions d environnement pollution et r cup ration des mati res premi res ils sont tous les deux proches des rev tements lectrolytiques ou chimiques noter les d p ts diamant fortement li s avec le th me CVD et les appareillages pour proc d s en continu qui pr sentent des forts liens les th mes PVD et CVD Un graphe de ce type permet de situer la mani re dont se positionnent les th mes les uns par rapport aux autres La tendance qui se d gageait des analyses documentaires de la premi re ann e et qui nous a conduit int grer les traitements multi technologies aux th mes tudi s se confirme dans cette tude Les traitements muiti technologies s imposent comme un th me majeur 66 brevets sur les 682 analys s et tr s central Cette tude a donc permis de d tecter rapidement ce type de ph nom ne tout comme l avait fait l analyse documentaire Les deux d marches sont en ce sens extr mement compl mentaires L identification r alis e nous avons isol les brevets composant chaque th me Cette d
249. prise il distingue diff rents niveaux de valeurs les informations fatales utiles et critiques Les premi res sont rejeter de toute vidence les secondes tudier avec un minimum d attention et les troisi mes consid rer avec une extr me vigilance Au del de ces tris les informations devront tre recoup es et condens es afin de produire des synth ses claires et pertinentes indissociables d une veille performante Les volumes d informations vont consid rablement diminuer au cours de ces diff rents traitements Le but recherch n tant pas la quantit produire bien ne signifie pas forc ment produire beaucoup mais la qualit Page 24 Chapitre I 1 Le tri ne s op re pas de la m me mani re suivant que l on consid re les informations formelles ou informelles Cette diff rence s explique par la nature des donn es et par les volumes de documents traiter nettement plus importants dans le premier cas Comme nous l avons vu les informations informelles sont v hicul es au travers des diff rents contacts qu tablissent les collaborateurs de l entreprise Ce sont eux qui au moment m me de la collecte vont effectuer le tri en imposant plus ou moins consciemment des filtres qui s lectionnent automatiquement les informations Quels sont ces filtres La r ponse est variable Une information sera per ue tr s diff remment par deux individus en fonction de leurs p les d int r ts respectifs
250. prise n 22 1992 p 17 27 Page 204 Bibliographie HUNT90 INDU92 INFO93a INFO93b 88 91 JEMA93 KAUF94 KLIN86 KOTL88 LAFU94 LAIN9 1 LAMB91 Le renseignement strat gique au service de votre entreprise C Hunt V Zartarian First 1990 241 p Dix leviers pour pour moderniser votre entreprise Industries et Techniques n 73 1 9 Octobre 1992 p 27 40 Conjoncture et cologie poussent la restructuration Informations chimie n 35 1 Septembre 1993 88 92 Etudes Infotecture n 276 18 Juin 1993 p 7 8 Ma triser l information critique F Jakobiak Les Editions d Organisation 1988 225 p Pratique de la veille technologique F Jakobiak Les Editions d Organisation 1991 p 219 Le CEA sur le divan Un scanner sans pr c dent sur les programmes de recherche A Jemain Le Nouvel Economiste n 885 12 Mars 1993 p 40 La cr ation d applications GED la port e de tous R Kauffmann G rer l information pour l excellence de l entreprise IDT Paris 3 1 Mai 2 Juin 1994 p 234 238 An overview of innovation S Kline N Rosenberg dans The Positive Sum Strategy R Landau N Rosenberg National Academy Press Washington 1986 Marketing management analysis planning implementation and control P Kotler Englewood Cliffs New Jersey Prentice Hall Inc 6 dition 1988 Lafuma veille sur la technologie et sur les sportifs Bureaux d tudes n 89
251. qualiticiens ne sont pas toujours tr s appr ci s par leurs collaborateurs et leurs fonctions les conduisent parfois se rendre impopulaires ce qui peut tre une entrave la bonne r alisation des t ches de veille Nous voyons que les probl mes sont inh rents aux responsabilit s et au r le que joue chaque unit au sein de l entreprise Le pi ge viter est de ne pas orienter la collecte dans le seul but de r pondre aux besoins dict s par un service ou un d partement mais de se monter exhaustif En r alit nous nous heurtons nouveau au probl me des r seaux de communication car quelle que soit la direction de rattachement l essentiel est de r ussir impliquer tous les acteurs de l entreprise pour favoriser une diffusion transversale des informations La cellule qui a en charge la surveillance de l environnement ne doit pas oeuvrer dans le seul sens de sa direction mais doit au contraire profiter des comp tences de chacun et faire profiter chacun de ses comp tences Le choix de la direction de rattachement peut avoir plusieurs origines La plus logique reste celle li e la strat gie de l entreprise Si une soci t volue dans un secteur de technologie de pointe quoi de plus logique que de confier la responsabilit de la cellule de veille la direction de la R amp D Inversement pour une soci t tr s orient e march la direction du marketing semble la mieux plac e pour superviser l ensemble des op
252. que moyennement sollicit fortement sollicit mais b n ficiant des et b n ficiant des comp tences suffisantes comp tences suffisantes 50 Domaine technique Domaine technique moyennement sollicit fortement sollicit et ne b n ficiant pas des et ne b n ficiant pas des comp tences suffisantes comp tences suffisantes Nombre de besoins 140 280 dans le domaine Figure 2 Signification du diagramme atouts attraits On peut noter que quatre domaines situ s dans le quart sup rieur droit contr les mat riaux m talliques production m canique usinage et calcul mod lisation b n ficient d une grande capacit de transfert Le domaine qualit au sens large qualit et certification se trouve galement dans ce cas noter qu aucun domaine ne se trouve dans le quadrant inf rieur droit Ce diagramme est d un grand int r t pour comparer le potentiel des quipes l intensit de la Page 110 ATOUTS CG DES FAISABILITES 1 22 100 Certification Wei lle technologiqu frigo sPolys res eo Automat isat ion rs hud pneu tils g n machine Commandes lectr JAssenblages m ca Acoustique DAO Composants m ca G Qualit Collage Envir s cu ergo Travail des t les Etanch it Lubrifiants Forgeage Hydraulique de d bit sInt grat ion informat ique gorsalisation Jors comp tences CETIM Concept ion prod particuliers Chapitre III Contr
253. ques correspondant CC Code de classification du plan de classification attribu au document CN Intitul de la classe quivalent au code DT Type de document LA Langue originale du document AU Auteurs JN Nom du Journal SO Source volume num ro date de parution PG Pagination TC Codes techniques quivalents num riques des descripteurs du thesaurus CT Descripteurs du thesaurus CETIM UT Descripteurs anglais AB R sum du document Titre OT Titre original TF Titre fran ais EF Titre anglais CS Affiliation entreprise ou organisme pour lequel travaille l auteur La cr ation des champs sp cifiques l indexation r sum classification descripteurs suivent des r gles pr cises un seul code de classification est attribu chaque r f rence il correspond au domaine principal ou l application du document analys entre 6 et 8 mots cl s du thesaurus sont g n ralement utilis s pour d crire de mani re plus compl te et plus d taill e son contenu le r sum vise poser clairement le sujet mettre en lumi re le caract re pratique de l article et juger de son originalit par rapport tout ce qui existe d j Le nom du proc d ou de la technique doit tre mis en avant ainsi que le nom des soci t s concern es Pour r aliser ce travail l indexeur est aid par une grille figure 2 qui le guide dans son analyse et dans sa r daction Page 58 Chapi
254. quide solide solide solide et poudre solide Le proc d liquide solide s appuie sur la photopolym risation polym risa Uon de r sines liquides par empilement de couches successives VDA CIT9400705 DELARUE M en fran ais Pour contribuer la r duction du cycle de d veloppement des produits quelle CAO pour l ing nierie simultan e 3 ojoJd 515532 yeJ091u 2 9uguouej3 go9uJ jquiessy yedwoo sJoH a610 PAH sjueyuqn7 Ova OVO neud p u py 59101 Aug gueno ouyoa 9ua6b MO enbnsnoov NOMBRE DE BESOINS EXPRIMES PAR CLASSE DE dwog saluo eDeuisn d je19uu Annere 1 REPRESENTATION DES BESOINS EXPRIMES DANS LES SEGMENTS DE MARCHE PAR DOMAINE TECHNIQUE DU CETIM CAO DAO 46 Calcul model 141 11 GW Ge Polym res 82 W Lubrifiants 36 Mat m tal 268 P m ca usinage 167 Automatisation 42 Forge 30 Travail t les 51 Assembl m ca 26 Soudage 82 Collage 24 contr les 146 Acoustique 79 EZ Out g n mach 78 Mach frigo 55 commande lect 18 Comp m
255. r de r ceptivit pour les d veloppements technologiques qu il met en oeuvre Dans le cas du CETIM c est le secteur d activit de l entreprise qui a t retenu comme crit re d terminant dans la segmentation Cette approche peut para tre grossi re d autant que les entreprises sont class es en fonction de leur secteur d activit principal une entreprise ne pouvant appartenir qu une seule classe mais c est la seule garantir une totale conformit avec l orientation de Page 126 Chapitre Il la strat gie centr e march II n en demeure pas moins que les r sultats de l enqu te sont assujettis ce choix Ils ne donneront par exemple pas d indications sur le type d entreprises qui ont r pondu aux questions sont elles leaders avanc es ou suiveuses deuxi me point sur lequel il faut insister concerne l chantillonnage La premi re tape de l echantillonnage consiste d terminer le nombre d entreprises qui constitueront l chantillon Pour obtenir un chantillon statistiquement correct il est conseill de prendre en compte au moins 1046 des entreprises du march vis Dans le cas de l enqu te du CETIM ce seuil n est pas respect Il faut alors savoir qu il existe un cart entre la valeur mesur e et la valeur vraie que l on aurait obtenue en interrogeant la population enti re L cart type qui permet d appr cier cette fluctuation sur le nombre de besoins exprim s par
256. r dacteur figure 42 d uncompte rendu donnant les tendances faits marquants d tails et r f rences des produits ou proc d s les plus repr sentatifs de la nouveaut figure 43 d un tableau donnant la situation de la technologie par rapport aux travaux de recherche du CETIM vis vis du th me ou du sch ma directeur figure 44 Page 163 Chapitre IV RAPPORT DE MISSION e CONGRES ET SALONS R dacteur Service Nombre de pages y compris celle ci Nom de la manifestation Type de manifestation J Congr s Salon Autre pr ciser Figure 42 Rapports de mission Page 164 Chapitre JV COMPTE RENDU DE LA MANIFESTATION USAGE EXTERNE Figure 43 Support de recueil usage externe ANALYSE DES THEMES DEVELOPPES DURANT LE CONGRES USAGE INTERNE Actio GETIM Figure 44 Support de recueil usage interne Page 165 Chapitre V Ces rapports n cessitent lors de leur mise en circulation l appui de la Direction G n rale Cependant ils ne doivent pas se pr senter comme une charge suppl mentaire car ils n cessitent un effort r dactionnel important mais au contraire comme moyen unique d exploiter pleinement sa participation une manifestation Lors du lancement de ce type de produit il est important de bien d montrer son efficacit et son utilit Il est pour cela essentiel avant de le diffuser l ensemble du Centre de proposer un mod l
257. r ESA IRS Page 144 Chapitre IV n entrent pas dans ce cadre De plus lorsque la norme ou le projet de norme sont publi s le renseignement est d j p rim pour les industriels qui souhaitent l obtenir au moment m me de la constitution des groupes de travail Ce n est qu en participant ces groupes qu il est possible d obtenir l information suffisamment Les quatre bases COMPENDEX METADEX et MATERIAL BUSINESS Fitz et CETIM couvrent les aspects technologiques pour pr s de 100 Il est tr s difficile de pr tendre l exhaustivit lorsque l on effectue une recherche sur bases de donn es Il faut imp rativement faire des choix et mesurer l int r t de multiplier le nombre de bases interrog es par rapport aux r sultats obtenus Dans notre cas ces quatre bases ont un taux de couverture suffisant nous avons pu remarquer que l interrogation d autres bases se traduisait par l obtention d un deux articles suppl mentaires par semestre Les co ts et l nergie d pens s ne se justifiant pas elles ont t limin es Si COMPENDEX Merapex MATERIAL BUSINESS FILE et CETIM offrent de nombreuses donn es issues de revues techniques NTIS compl te efficacement ces informations par des donn es issues de rapports techniques de rapports de recherche et d veloppement et de synth ses bibliographiques Outre les informations technologiques MATERIAL BUSINESS FILE pr sente des donn es technico conomiques tr s int
258. r concerne la quantit des publications qui croit de fa on quasi lin aire MORI85 rendant le choix des revues la gestion des abonnements et la circulation d licate Le deuxi me est relatif au temps de lecture n cessaire leur d pouillement Les actes de congr s leur contenu est une v ritable mine d informations tel point que leur paisseur arrive parfois d courager le lecteur qui ne sait plus comment s y prendre pour d gager les renseignements int ressants Un inconv nient majeur r side dans la date de leur publication qui arrive fr quemment de long mois apr s celle du congr s Les actes provisoires proceedings permettent de s affranchir de ce probl me mais ils sont h las souvent incomplets La meilleure fa on de tirer profit d un congr s est de pouvoir y participer ou de b n ficier du rapport d un coll gue ayant couvert la manifestation Les documents commerciaux la participation des salons ou le recours des soci t s sp cialis es permettra de se procurer de la documentation sur de nombreux produits mais dans ce cas galement c est la pr sence la manifestation qui sera la plus riche en enseignements Les donn es d obligations l gales rapports bilans pour les actionnaires apportent aussi des informations sur les activit s des soci t s ainsi que les journaux d entreprise lorsqu il est possible de se les procurer Les brevets comme nous l avons vu ils se pr sentent la fois co
259. r correctement les documents pertinents C est ainsi qu en effectuant plusieurs essais et en visualisant des r f rences il est apparu n cessaire d liminer les documents sp cifiques des applications optiques lectriques et lectroniques tr s loign es des pr occupations des m caniciens De la m me mani re les quations sont r actualis es tous les ans Nous pouvons remarquer que nous n avons pas utilis dans les quations logiques de mots cl s ou de codes de classement Ceci tient au fait que les bases interrog es poss dent toutes leurs propres thesaurus ou plan de classement Etablir un profil sp cifique pour chacune d elle rendrait les tapes d interrogations particuli rement lourdes et complexes Il est apparu pr f rable d tablir une quation type pour toutes les bases en utilisant des termes techniques pr cis CIB Classification Internationale des Brevets Page 142 Chapitre IV b Les bases scientifiques technologiques et technico conomiques Le choix des bases de donn es reste la charge du coordinateur Lorsque les sujets abord s sont nouveaux il est possible d utiliser des outils tels que le r pertoire des bases de donn es professionnelles de l ADBS ADBS93 qui r pertorie pr s de 1800 bases de donn es class es alphab tiquement et th matiquement ou des outils en lignes tels que la base CUADRA ou la commande Quest Topics sur ESA IRS dont nous pouvons donner un exemple d ut
260. r ne s improvise pas Nous l avons vu les sources d informations sont nombreuses les moyens d acc s vari s les m thodes de traitement et de diffusion multiples Il convient pour bien les conna tre et savoir les ma triser de b n ficier d une solide pratique Ne disposant pas de telles comp tences en interne beaucoup d entreprises d cident de laisser des organismes exp riment s r aliser le travail leur place D autres par contre manifestent le d sir de pratiquer elles m mes la veille mais ne savent pas comment s y prendre Elles choisissent alors de s appuyer sur des prestataires pour apprendre avec eux hi rarchiser les besoins collecter et traiter l information Elles adapteront les conseils de professionnels leur cas particulier et pourront avec leur concours formaliser au sein de leur structure une activit de veille organis e D une mani re g n rale ce sont surtout les petites entreprises qui ont recours ce genre de service Une enqu te WERN94 montre que plus de 75 des prestataires comptent des PMI parmi leur client le alors que seulement 40 reconnaissent toucher des grandes entreprises et 20 des organismes du secteur public Le produit principalement propos reste dans 70 des cas la veille personnalis e et les interlocuteurs privil gi s sont les directions g n rales les bureaux d tudes la R amp D et dans une proportion moindre les quipes techniques ou de production et le market
261. r objectif de mettre en place un syst me de veille technologique multi clients efficace L enjeu tait double car il tait n cessaire de gt Formaliser une d marche Trouver un mode d organisation performant Les r sultats que nous allons pr senter sont issus d un travail de groupe men en collaboration avec les sp cialistes techniques experts impliqu s dans la veille traitements de surface et avec les ing nieurs du CIT responsables des sujets d tudes sur le d coupage emboutissage et le contr le non destructif La qualit de nos relations reste un des points fondamentaux de la r ussite de notre projet Nous avons pu gr ce des changes permanents et une collaboration Page 130 Chapitre IV de tous les instants trouver un mode de fonctionnement mettant profit toutes les sources d informations habituellement utilis es mais insuffisamment exploit es et adopter un mode d organisation qui favorise la circulation des flux d informations et qui maximise les changes l int rieur du Centre ainsi qu avec les clients ext rieurs Ce chapitre destin illustrer la d marche que nous avons mise en place s articule enti rement autour de la veille technologique traitements de surface Initi e en 1991 cette op ration en est aujourd hui sa troisi me ann e et sera poursuivie en 1995 La m thodologie sera pr sent e et accompagn e d exemples issus des rapports labor s durant l an
262. r s KESRAOUL OUKI SABEHA IMPERIAL COLLEGE OF SCIENCE LONDON UK CHEESEMAN CHRISTOPHER PERRY ROGER ENVIRON SCI TECHNOL JUN 93 V27 N6 P1108 9 Document Type ARTICLE Available N RESEARCH ARTICLE NATURAL ZEOLITES HAVE BEEN SHOWN TO REMOVE TRACE QUANTITIES OF CATIONS FROM AQUEOUS SOLUTION VIA ION EXCHANGE TWO NATURAL ZEOLITES CHABAZITE AND CLINOPTILOLITE WERE CHARACTERIZED TO INVESTIGATE THE EFFECTS OF CONDITIONING AND TREATMENT ON THE REMOVAL PERFORMANCE OF LEAD AND CADMIUM FROM WASTEWATER DATA ON THE THERMAL STABILITY OF THE ZEOLITES AND ANALYSES BY SEM X RAY DIFFRACTION AND INDUCTIVELY COUPLED PLASMA ATOMIC EMISSION SPECTROMETRY ARE PRESENTED BOTH ZEOLITES ARE RICH IN SODIUM AND POTASSIUM CONTENTS CHEMICAL CONDITIONING AND TREATMENT DID NO I AFFECT THEIR STRUCTURE BUT CHANGES IN THEIR SURFACE CRYSTALLINITY WERE OBSERVED WHEN THE ZEOLITES WERE EXPOSED TO CONCENTRATED SODIUM CHLORIDE AND SODIUM HYDROXIDE SOLUTIONS THEY WERE CONVERTED TO A NEAR SINGLE IONIC FORM WHICH IMPROVED THE ION EXCHANGE CAPABILITY SODIUM HYDROXIDE TREATED CHABAZITE AND CLINOPTILOLITE RESULTED IN ENHANCED PB AND CD REMOVAL CHABAZITE PROVED CONSISTENTLY SUPERIOR TO CLINOPTILOLITE IN CD AND PB EXCHANGE CAPACITIES 4 DIAGRAMS 12 GRAPHS 4 PHOTOS 20 REFERENCES 4 TABLES Category 19 WATER POLLUTION Controlled Terms CADMIUM CHEMICAL ANALYSIS ELEMENTAL ANALYSIS HEAVY METALS EXCHANGE LEAD METAL CONCENTRATIONS SEPARATION PROCESSES
263. rage d une tude ou lorsque rencontrant des probl mes en cours de fabrication elles se documentent avant d envisager une intervention technique Les universitaires sont soit des enseignants d sireux de renforcer leur documentation soit des tudiants qui d butent des tudes et tablissent une bibliographie Dans ce dernier cas le meilleur support reste le CD ROM car il offre une grande libert d utilisation tout en limitant les co ts Des efforts importants sont faits par la direction commerciale pour am liorer la p n tration de ce produit aupr s des universit s et des lyc es techniques professionnels Les demandes sont de quatre ordres scientifique principalement pour les tudiants technique articles techniques et brevets conomique et normes wr ISO ss ASTM auxquelles s ajoutent des demandes factuelles pour conna tre la r sistance de certains aciers par exemple Les renseignements sont transmis sous la forme de fiches documentaires qui pourront servir commander les photocopies des documents originaux Pour r pondre l attente de ses clients le CETIM acc s plusieurs centaines de banques de donn es via les serveurs czpocar ESA DATASTAR DIALOG FIZ TECHNIK ORBIT QUESTEL et STN et utilisedivers CD ROM COMPENDEX CORDIS programmes europ ens KOMPASS MECA CD PERINORM Ce type de prestation se distingue des produits de veille technologique car il ne pr sente pas de grande
264. rbon Materials and Composites ISBN number 0 8155 1324 O presents data ind technology on the materials and structures developed for the production of carbon carbon naterials and composites The text is composed of nine papers relating to the processes and xroduction of these material systems and structures in a manner which is intended to lead the eader step by step through materials processing fabrication structural analysis and applications f typical carbon carbon products The information provided includes fibre technology matrix naterial design of composite structures manufacturing tech niques engineering mechanics Jrotective coatings and structural applications The editors are John D Buckley of the NASA angley Research Center and Dan D Edie of Clemson University in the USA The book has 281 ages and costs US 54 For further information contact Noyes Publications 120 Mill Road ark Ridge New Jersey 07656 USA tel 1 201 391 8484 fax 1 201 391 6833 COPYRIGHT 1993 by Elsevier Science Publishers Ltd Classification MT Materials figure 39 Exemple de r f rence PTS NEWSLETTER DATABASE format AU serveur ESA Page 155 Chapitre IV Les bases brevets Les donn es que nous allons pr senter sont issues d un article paru dans le micro bulletin du CNRS et crit en collaboration avec E Castano Wallaert et P Hassanaly CAST94b Certains paragraphes ont t modifi s pour apporter quelques pr c
265. rces technologiques de l entreprise Ils permettraient d une part de susciter une prise de conscience de l entreprise de sa capacit utiliser des outils de pilotage des ressources et de l importance des facteurs qui motivent ses choix comment l entreprise fait elle voluer ses technologies en fonction de sa strat gie du march et de l volution g n rale des cycles technologiques 2 De plus ils permettraient au CETIM partant d un recensement des technologies utilis es d identifier les technologies cl s et de les situer par rapport l environnement technico conomique Le Centre poss derait alors une vision g n rale de l entreprise et pourrait mieux cibler ses besoins en mati re de recherche et de veille technologique La veille technologique est depuis plusieurs ann es une pr occupation majeure du CETIM tant pour des besoins internes que pour la diffusion vers les industriels Avant la mise en place des veilles multi clients les op rations taient ax es sur des analyses bibliom triques L volution du service conduit mettre en place une r flexion plus labor e qui parall lement aux m thodes statistiques apporte un compl ment indispensable permettant de mieux int grer la veille aux objectifs strat giques Page 199 Conclusion g n rale Le CETIM consacre environ 1 5 de son chiffre d affaires ses actions de veille strat gique Ce ratio pourrait para tre important mais il ne faut pa
266. re en outre que tus les syst mes de veille sont intimement li s la structure dans laquelle ils sont int gr s Pour cette raison nous pr senterons dans un deuxi me chapitre le CETIM mais aussi son Centre d Information Technologique CIT au sein duquel nous avons effectu nos travaux Nous d taillerons ainsi la structure dans laquelle nous avons volu Nous d finirons la strat gie que s est fix le CETIM pour r pondre sa mission et la place qu occupent les activit s de veille au sein de celle ci Les deux chapitres suivants seront consacr s la d marche de veille strat gique proprement dite et dans laquelle deux types d actions compl mentaires sont distinguer analyse des besoins qui consiste r aliser une enqu te aupr s de plus de 400 entreprises afin de d terminer les p les de pr occupations techniques des professions m caniciennes 1 veille technologique qui permet suite aux besoins en informations d tect s dans certains domaines techniques d apporter aux entreprises les informations les plus r centes sur les d veloppements technologiques en cours et sur leurs applications industrielles Nous envisagerons en conclusion l avenir que pourront conna tre ces m thodes leurs d fauts leurs limites dans le but de proposer des d veloppements qui am lioreront leur effkacit et leur permettront de s tendre d autres organismes comparables au Page 2
267. re les personnes charg es de la collecte du traitement et de l utilisation des donn es Etablir une liste pr cise des diff rents destinataires Conna tre leurs besoins du moment Etablir une liste pr cise des personnes charg es de la collecte Etablir une liste pr cise des personnes charg es du traitement 10 Conna tre les supports de diffusion disponibles et leurs caract ristiques 11 Mesurer le degr de satisfaction des destinataires 12 Veiller la motivation de l ensemble des personnes impliqu es dans le syst me et au respect des t ches assign es chacun En suivant et en respectant ces quelques points fondamentaux les objectifs seront nettement d finis le d roulement du programme clairement planifi et l ensemble des op rations correctement g r Le veilleur assurera ainsi un service de qualit qui s il reste difficilement quantifiable n en demeurera pas moins efficace Page 35 Chapitre I A LES DISSIMILITUDES DANS L ORGANISATION Mettre en place un syst me d information performant exige donc que l on suive une d marche rigoureuse En gardant un regard clair sur les phases de collecte recherche traitement et diffusion des informations et en connaissant parfaitement les desiderata de ses interlocuteurs le veilleur assurera la ma trise du processus et r alisera un travail de qualit Cependant les entreprises ne fonctionnent pas toutes suivant le m me sch ma chacune poss d
268. res Le premier probl me qui intervient est le volume Malgr la s rie de filtres impos s tris valuations recoupements les dossiers de veille contiennent toujours un nombre cons quent de donn es Rendre accessible quelque chose qui ne l est pas ou du moins difficilement faciliter le travail du lecteur tel est le challenge Lui donner en quelques lignes ou en quelques pages la possibilit d avoir une vue d ensemble du dossier Pr cision concision et clart seront les trois atouts de la r ussite Le deuxi me objectif moins avou mais tout aussi primordial est l incitation la lecture A l image d un message publicitaire avec un slogan choc et quelques formules destin es accrocher le client une synth se devra en un minimum d espace et dans une pr sentation soign e faire ressortir les points essentiels du dossier attirer l attention du lecteur et susciter son envie d en savoir plus Mais ici pas question de vanter les m rites d un produit qui risquerait de ne pas tenir toutes ses promesses en quelque sorte faire de la publicit mensong re bien au contraire la synth se n est qu un bref aper u derri re lequel se cache un produit forte valeur ajout e Le probl me est bien de faire prendre conscience au lecteur de toute cette valeur Pour cela le r dacteur doit imp rativement conna tre les besoins en informations de son lecteur pour se situer par rapport aux attentes Il pourra ains
269. respondants privil gi s des secteurs dont ils ont la charge Leur r le est notamment de fournir au Centre des informations sur les caract ristiques et les besoins de la profession de piloter la d finition et la r alisation des tudes professionnelles collectives de participer au d veloppement des relations de partenariat avec les entreprises Les commissions professionnelles sont les instances privil gi es de communication et de travail collectif entre les entreprises de la profession et leur Centre Technique Elles jouent un r le de d l gation de l ensemble de ces entreprises aupr s du CETIM Elles sont en quelque sorte les acheteurs des actions collectives professionnelles men es par le Centre Les membres de ces commissions sont choisis en concertation troite avec les organisations professionnelles en vue de constituer un panel d entreprises repr sentatif de la profession Leur mission est principalement de proposer des sujets d actions collectives Ces tudes d int r t g n ral repr sentent plus de 40 du budget du CETIM Elles sont destin es r pondre aux besoins pr comp titifs des entreprises ressortissantes et permettre au Centre de d velopper gr ce au financement collectif des produits et services r pondant au mieux aux besoins individuels de ces entreprises Les actions collectives se d composent en trois grands types Page 47 Chapitre tudes exploratoires sur des technologies
270. rg s de l animation de chacun des segments Ce sont les acteurs de la collecte des besoins ils r alisent les entrevues et tablissent un rapport de visite d crivant les probl mes soulev s par leurs interlocuteurs L ECHANTILLONNAGE La deuxi me t che de l analyse r side dans la collecte des besoins Une alternative se pr sente proc der par entrevues individuelles ou envoyer un questionnaire pr tabli Mais dans un contexte o l enjeu est de d celer et d analyser les pr occupations techniques des responsables d entreprises l utilisation de questionnaires se montre peu adapt e Il s agit souvent de questionnaires ferm s o il suffit de donner des ordres de priorit s dans une liste de probl mes Page 80 Chapitre pr alablement d termin s Cette m thode se montre trop r ductrice car elle n incite pas les responsables exposer leurs probl mes faut imp rativement tablir une relation de confiance et instaurer un dialogue qui conduira l interlocuteur s exprimer sur ses pr occupations La meilleure solution consiste proc der par interview mais il est tr s difficile pour des raisons videntes de temps de disponibilit et de co t de r aliser des entrevues individuelles avec plus de 7000 responsables Il faut donc se r soudre ne retenir qu un certain nombre d entreprises qui constituent un chantillon repr sentatif de l ensemble et dont la s lection se d roule en plusieurs tapes
271. riablement les m mes a Les sources d informations formelles e Les livres les livres ne fournissent pas une information de toute premi re fra cheur compte tenu des temps de r daction et d dition Ils doivent tre utilis s dans le cas o une remont e dans le temps est n cessaire et lorsque l on d sire acqu rir des connaissances de base ou se perfectionner dans un domaine particulier Page 14 Chapitre Les journaux revues magazines il convient de distinguer plusieurs cas La presse courante offre des informations qui si elles ont l avantage d tre bon march pr sentent rarement de l int r t pour les sujets de recherches Souvent trop g n raliste dans les domaines techniques elle fournira plut t des informations d ordre conomique politique ou social Une revue de presse permettra d en d gager les faits marquants La presse locale peut tre utilis e dans le cadre dune surveillance de la concurrence Les revues sp cialis es si la solution des bulletins technologiques ou revues de presses techniques peut avoir un r le d alerte permanente ODON94 elle ne prend pas en compte les besoins sp cifiques de chacun La lecture personnelle des documents reste indispensable pour se tenir au courant des volutions dans son domaine technique Par rapport aux banques de donn es l information peut tre obtenue plus rapidement Ce type de revues pr sentent deux inconv nients majeurs Le premie
272. rise la banque de donn es experts qui recense 200 adresses de services techniques ayant pour vocation d aider les m caniciens laboratoires de Centres Techniques syndicats professionnels Elle permet d identifier les sp cialistes d une technologie et d obtenir un descriptif de leurs activit s des prestations propos es des mat riels disponibles Ils sont d termin s par l intitul du laboratoire qui est la d signation du laboratoire ou du service concern pr c d e ventuellement du sigle de l organisme auquel il est rattach a raison sociale qui est la d signation officielle de l organisme auquel est rattach le laboratoire le titulaire qui est la personne responsable du laboratoire ou charg e des relations ext rieures Nomenclature d Activit s Francaise Codification des Produits Francaise 3 Comit de coordination des Centres de Recherche en m canique Page 61 Chapitre IT les coordonn es qui regroupent l adresse compl te du laboratoire et les num ros de t l phone et de fax du titulaire les divisions ventuelles du laboratoire l effectif les quipements que sont les principaux quipements techniques ou les mat riels importants machines d essais installations pilotes mat riel informatique lourd dont le laboratoire dispose les normes suivies qui sont des exemples de normes selon lesquelles des essais peuvent tre r alis s l appartenance si le la
273. rmes de transfert sont ensuite analys es s par ment Pour chacune d elle trois histogrammes sont donn s qui indiquent le nombre de besoins exprim s par th me technique le nombre de besoins exprim s par domaine technique le nombre de besoins exprim s par secteur professionnel Nous donnons en annexe 10 un exemple complet pour la forme de transfert conseil Ces graphes permettent galement d analyser l ad quation entre la demande des professions et les produits des catalogues publication formation Ainsi des points sensibles peuvent tre mis en vidence tels que des manques de publicat ns sur la conception des composants m caniques ou le manque de stages dans les domaines de la FAO W de la tuyauterie ou du forgeage froid Dans ce rapport le maximum d informations est donn sous forme graphique dans le but d attirer l attention des lecteurs Les donn es transmises sont beaucoup plus quantitatives que dans le rapport pr c dent Ceci s explique par le fait que les formes de transferts exprim s et les capacit s de r ponse du Centre sont des donn es norm es et r pertori es sur des chelles fixes Seuls des comptages simples ou des analyses multidimensionnelles peuvent tre effectu s par opposition l aspect technique qui r sulte de l analyse d un texte libre expression du besoin et dont l tude reste tr s qualitative Page 123 ATOUTS lt DES FAISABILITES 1 ET 2 100 Mat riel textile
274. rvice de la politique commerciale qui d termine ses fins Le volet commercial de la veille s av re donc indissociable du volet technologique La fonction de veille march op re sans conteste un recouvrement avec la fonction marketing de l entreprise qui se scinde en deux grands types le marketing op rationnel qui se situe en aval de la phase de production et met en oeuvre les d marches commerciales classiques et le marketing strat gique qui rev t un aspect beaucoup plus pr visionnel et qui se situe en amont de la R amp D J J Lambin LAMB91 les d finit de la mani re suivante Reverse engineering contre ing nierie ou ing nierie inverse d montage syst matique du produit d un concurrent dans le but d tre capable de le recr er l envers en faisant l hypoth se d avoir le reproduire soi m me Pratiqu grande chelle par les constructeurs automobiles ou les fabricants de copieurs il permet d estimer les prix de revient des concurrents et d en tirer des enseignements sur le plan de l innovation et de la production Gestion concurrentielle Pratique de la veille Encyclop die DELMAS pour la vie des affaires 1993 1 dition Page 11 Chapitre I Le r le du marketing op rationnel est l organisation de strat gies de vente et de communication dont l objectif est de faire conna tre et de valoriser aupr s des acheteurs potentiels les qualit s distinctives revendiqu es pour les produits offerts en r d
275. s choix de lubrifiants solides mat riaux autolubrifiants mod lisation de la trempe par induction 3 besoins sont la fois dans le d veloppement de nouveaux produits et la cr ation de nouvelles comp tences tenue des pompes l rosion de cavitation 2 besoins et l abrasion 1 besoin 2 besoins n cessitent la cr ation de nouvelles comp tences fonderie bronze et surveillance de l usure des cuves de zingage Page 116 Chapitre 111 e Fiches de synth se des th mes techniques mergents qui se rapprochent du sch ma directeur Nous avons vu que 13 th mes techniques concernaient les mat riaux m talliques Nous ne donnerons pas dans ce qui suit les fiches de synth se des treize th mes mais seulement la premi re THEME 6 METAUX AIDE AU CHOIX 1992 51 besoins 37 65 1991 89 besoins 71 107 Commentaire Ce th me est d termin par l association des mots cl s CHOIX DES MATERIAUX ET PRODUITS ou INNOVATION TECHNOLOGIQUE avec les mots cl s caract risant les m taux comme METAUX ACIERS HLE ALUMINIUM Il recouvre les aspects aide au choix des m taux en g n ral pour une application sp cifique hygi ne temp ratures lev es prix de revient banques de donn es mat riaux possibilit s des nouveaux mat riaux m talliques en concurrence avec les non m taux correspondances entre normes Il se trouve essentiellement dans le sch ma directeur mat riaux m talliques 43 fois et s
276. s s parce que plus faciles exploiter ou correspondant plus l thique ou aux habitudes de la soci t les professionnels s accordent sur la n cessit de n en n gliger aucune si l on d sire mener une veille efficace La vari t qui les caract rise confirme l aspect multi facettes de la veille Cette caract ristique explique la vari t des acteurs et des moyens impliqu s dans cette activit 3 LES MOYENS Nous savons maintenant quelles informations sont recherch es dans un syst me de veille et o les collecter Reste connaitre les moyens dont dispose les entreprises pour effectuer ce travail Ils sont de deux types les moyens humains et les moyens mat riels a Les moyens humains Comme nous l avons vu la veille est une activit multiples facettes elle implique de ce fait un grand nombre de personnes au sein m me de l entreprise Achats m thodes bureau d tudes marketing plan recherche d veloppement production sont autant de secteurs susceptibles d intervenir dans le processus de veille Toujours l aff t de renseignements utiles ils sont galement en possession d informations dont l int r t d passe les limites de leur propre activit Le probl me majeur qui apparait est la motivation de l ensemble du personnel derri re une m me volont de vigilance et sa participation active dans la circulation des flux d informations Chacun doit se sentir impliqu dans le syst me et non pas subir
277. s codes C I B Exemple de la propri t 1 R sistance la corrosion Nombre de brevets 72 Principales technologies utilis es Conversion passivation Rev tements multi couches Proc d s Electrolytiques Projection thermique C mentation nitruration D p ts CVD Inhibiteurs de corrosion D p t par contact D capage avec des solutions de sels fondus Rev tements partir de poudres D p ts PVD Rev tements par immersion D p amp composites Attaque polissage D graissage D CO D 9 gt DONO Trempe superficielle Page 190 Nous donnons figure 50 un graphe illustrant les corr lations qui sont apparues entre les diff rentes propri t s et les technologies concern es De m me que pr c demment ce graphique a t obtenu d apr s une Analyse Factorielle des Correspondances et une Classification Hi rarchique appliqu es la matrice technologies x propri t s Nous pouvons constater que la r sistance la corrosion est li e de nombreuses technologies Les technologies PVD et CVD sont sp cifiques des propri t s telles que la r sistance l usure la duret et la finesse du rev tement Les propri t s m caniques sont tr s fortement li es la projection thermique ce qui explique leur positionnement sur le graphe La pr sence d un p le central cercle traduit l existence de plusieurs propri t
278. s de scanning et de monitoring 2 ANALYSE DES BESOINS PARTICULIERS S1 dans ses premiers travaux J F Rockart s est uniquement consacr la d termination par les responsables des quelques zones sensibles surveiller prioritairement il a rapidement largi sa conception des F C S aux autres niveaux hi rarchiques de l entreprise BULL81 There are 5 for each sub organization within a company that is each division department group etc And at every level of the organization there are a set of people each of whom have individuals CSFs Page 5 Chapitre I Il mettait ainsi en vidence le caract re arborescent des F C S et rejoignait la notion d arbres de pertinences GODE91 qui visent d finir un ensemble d actions l mentaires dans le but de satisfaire des objectifs globaux Prenons l exemple d un directeur dont l objectif est d augmenter les comp tences technologiques de son entreprise Nous pouvons imaginer trois cheminements distincts de l arborescence allant du niveau global objectif g n ral aux niveaux ponctuels objectifs particuliers 1 niveau 1 am lioration des comp tences technologiques de l entreprise niveau 2 inventaire des capacit s technologiques de l entreprise niveau 3 analyse des relations technologies produits niveau 4 recherche de nouveaux produits niveau 5 tudes de normes 2 niveau 1 am lioration des comp tences technologiques de l entrepri
279. s documentaires du CETIM Service de 14 personnes bas Senlis il est rattach la Direction du Marketing Ce rattachement se justifie pleinement par la relation intime qui lie l analyse des besoins et les donn es issues de la veille technologique Ces deux activit s compl mentaires figure 1 sont les deux composantes principales de l action marketing RAPP93 Page 51 Chapitre IT Direction du Marketing Analyse des Veille Besoins Technologique Actions de Recherche et de Transfert Figure 1 Les composantes de l action Marketing Parall lement au CIT le service de la Base de Donn es Interlocuteurs BDI est charg de g rer le fichier central contenant toutes les donn es sur les entreprises clientes du CETIM ressortissantes ou non ainsi que le fichier des besoins constitu partir de l analyse marketing Le regroupe plusieurs activit s gestion des abonnements de la circulation et de l archivage des revues gestion de la biblioth que production de la banque de donn es production du CD ROM MECA CD et de l interface dition du bulletin technologies m caniques formation recherches bibliographiques tudes technico conomiques veille march veille technologique A LESABONNEMENTSETLABIBLIOTHEQUE Le CETIM est abonn pr s de 600 revues scientifiques techniques ou d ordre g n ral Elles couvrent Page 52 Chapi
280. s du thesaurus Un langage contr l pr sente cependant l inconv nient d tre constitu de listes a priori de termes mises jour avec un certain retard Dans le cadre de l enqu te les probl mes voqu s recouvrent parfois un concept nouveau non encore couvert par les mots cl s du thesaurus Pour rem dier cela l indexeur garde la possibilit d utiliser un ou deux descripteurs libres assimil s des mots cl s suppl mentaires Les fiches ainsi renseign es sont consign es dans un fichier de besoin Chaque fiche y apparait sous le format classique d une r f rence biblioraphique avec un intitul de champ et les informations qui lui sont propres figure 11 Le logiciel utilis pour g rer cette base de donn es est INFOBANK d velopp par la soci t I K Dans le cas de la fiche pr sent e le probl me exprim en texte libre est explicit l aide de six mots cl s rev tements pollution cadmium documentation innovation technologique r glementation et d un descripteur libre suppl mentaire substituts Une fois toutes les fiches analys es les champs pESCRIPTEURS Ct pEscRrPTEURs Lrimmes VONt subir un traitement statistique afin de faire apparaitre des regroupements th matiques qui mat rialiseront les besoins techniques des industriels 2 ANALYSEDES PAIRES DE MOTS La m thode d analyse de mots associ s encore appel s co apparitions ou paires r sulte d un courant de pens e fran ais dont
281. s entre elles par de grandes affinit s de march s de produits de techniques Au sein de l ensemble plus vaste de la m tallurgie elles se situent aux c t s des secteurs de la production des m taux et de leur premi re transformation de l automobile des constructions lectrique et lectronique navale et a ronautique Elles fabriquent tout autant des produits destin s aux m nages que des pi ces en sous traitance des composants des machines des syst mes de production Elles jouent un r le majeur dans l conomie fran aise avec 7600 entreprises dont 97 de PMI 490 000 salari s dont 12 d ing nieurs et cadres un chiffre d affaires de 300 milliards de s me francs hors taxes dont 50 l exportation Elles occupent le rang mondial pour la production et les exportations Face la n cessit de ma triser des technologies nouvelles et de faire preuve de cr ativit les entreprises m caniciennes et leur organisation professionnelle ont d cid de cr er d s 1965 le Centre Technique des Industries M caniques Elles s assuraient ainsi un partenariat technologique efficace qui les confortait par un acc s des comp tences et des moyens d appui ext rieurs Avec le CETIM elles disposent de leur centre de recherche et d appui technologique sp cifique Producteur adaptateur et diffuseur de savoir produits et services il se pr sente comme leur partenaire privil gi Son r le majeur se r sume en une form
282. s et commandes m caniques Transmissions et commandes bydrauliques et pneumatiques Autres transmissions et commandes lectriques magnttiques lectroniques y compris micro lectronique Syst mes optiques acoustiques photographie t l vision Micromtcanique Etanch it Ressorts et amortisseurs Tuyauterie canalisations tubes Chaudronnerie Wcipients sous pression changeurs de chaleur Constructions m talliques ou soud es y compris appareils de manutention levage stockage Robinetterie industrielle Moteurs thermiques pompes turbomachines Instruments de pr cision FABRICATION Devis et pr paration du travail Gestion de production Technologie de groupe Disposition des infrastructures et tquipements Manutention et magasin Fabrication assist e par ordinateur Commande num rique Cellules flexibles Robotisation Commandesd automatismes r gulation asservissements Quuls et montages d usinage Usinage au tour d colletage Filetage taraudage taillage Percage al sage brochage Fraisage tron onnage rabotage mortaisage Op rations la meule rectification Rodage polissage superfinition Autres proc d s d usinage laser ultrasons D ADRESSE Forgeage et estampage frappe froid Laminage Travail des fils des barres et des tubes tirage tr filage M tallurgie des poudres Fonderie
283. s incombe principalement aux charg s de professions et au CIT Tous deux rattach s la Direction du Marketing ils ont t choisis pour leurs comp tences respectives Le r le majeur des charg s de professions est rappelons le de fournir au Centre des informations sur les besoins des industriels et d entretenir avec eux des relations de partenariat Tr s sensibles aux pr occupations des entreprises ils se sont imm diatement impos s comme des interlocuteurs privil gi s pour effectuer les entrevues Le CIT poss de pour sa part toutes les comp tences requises et les outils n cessaires au traitement de l information Sp cialiste de ces m thodes dans le domaine de la veille technologique la r ciprocit de la d marche avec la veille march collecte traitement diision d informations l a d sign comme le d partement du CETIM le plus qualifi pour g rer l ensemble des op rations Les travaux que nous avons r alis s visaient deux objectifs Appliquer des m thodes statistiques et utiliser des logiciels d analyses bibliom triques pour traiter les enqu tes de besoin Elaborer des rapports de synth se qui restituent travers des donn es qualitatives et quantitatives l essentiel des informations recueillies Page 76 Chapitre Le premier point conf re nos r alisations un caract re nouveau et original alors que le second apporte toute la valeur ajout e n cessaire ce type de d march
284. s nouveaux et les normes d j en vigueur Page 143 Chapitre IV ENTER qt mechanical engineering TOPICS IDENTIFIED ENTER qss surface w treatment Base 3 METADEX 1966 94 04 1 4239 SURFACE w TREATMENT Base 4 COMPENDEX PLUS 1969 94 34 1 6317 SURFACE w TREATMENT Base 6 NTIS 1964 94 15 1 1766 SURFACE w TREATMENT Base 8 INSPEC 2 1969 94 27 1 9029 SURFACE w TREATMENT Base 9 ALUMINIUM 1968 94 04 1 2299 SURFACE w TREATMENT Base 14 PASCAL 1984 1 994 07 1 9308 SURFACE w TREATMENT Base 25 HARD SCIENCES 1981 1994 06 1 594 SURFACE w TREATMENT Base 48 FLUIDEX 1973 94 07 1 628 SURFACE w TREATMENT Base 54 1975 94 06 1 2084 SURFACE w TREATMENT Base 55 PACKABS 1981 94 02 1 109 SURFACE W TREATMENT Base 75 GLASS 1970 94 02 1 53 SURFACE w TREATMENT Base 81 WELDASEARCH 1970 94 04 1 846 SURFACE 7 w TREATMENT Base 88 IBSEDEX 1970 93 09 1 29 SURFACE w TREATMENT Base 112 GLOBAL MOBILITY 1970 94 06 1 111 SURFACE w TREATMENT Base 113 GLOB MOBNEWS 1970 94 0721 8 SURFACE W TREATMENT Base 134 ENGINEERED MATERIALS 1986 94 04 1 815 SURFACE w TREATMENT Base 138 HEAT TRANSFER FLUID FLOW 7 SURFACE w TREATMENT Base 210 MIRA 1981 1994 05 76 SURFACE w TREATMENT Base 241 AEA NONDESTR TESTING 1970 94 01 20 SURFACE w TREATMENT Base 249 SHIP ABSTRACTS 1972 85 30 SURFACE w TREATMENT QUESTINDEX FUNCTION COMPLETED Figure 30 Exemple d utilisation de la comman de su
285. s perdre de vue que l information est une des missions fondamentales des Centres Techniques La d marche que nous venons de pr senter reste un exemple unique c est une approche nouvelle qui m rite des am liorations et qui sous r serve de quelques adaptations pourrait tre transf r e d autres organismes ayant pour fonction de soutenir les PMI d un secteur industriel ou d une r gion Dans les modifications susceptibles d tre apport es la premi re est relative la veille march Les analyses de besoins pr sentent une distorsion entre les prestations de transfert et de recherche Elles touchent des pr occupations qui se situent sur des plans diff rents Les premi res concernent principalement la production alors que les secondes se placent sur le plan beaucoup plus amont de la recherche Il est d licat de m ler les deux formes de service au sein d une m me enqu te et il faut envisager de les s parer Les donn es concernant les formes de transfert peuvent tre collect es au travers de questionnaires crits elles toucheraient de ce fait un plus grand nombre d entreprises Il faut rapprocher ce type d enqu te du marketing op rationnel car elle concerne essentiellement la direction commerciale du Centre Les questions relatives aux produits de recherche et qui concernent davantage les responsables techniques n cessitent imp rativement la r alisation d entretiens avec les directeurs d entreprises C
286. s sont relev s les conclusions du rapport pourront directement tre utilis es afin de proposer une nouvelle segmentation Ces analyses statistiques sont r alis es par le coordinateur avec le concours des experts pour la validation des r sultats PRESENTATION Les pages qui suivent sont extraites d une tude bibliom trique r alis e dans le cadre de la veille technologique traitements de surface 1993 DUMA93b et portant sur les d p ts de brevets Europ ens Nous ne proposerons pas la totalit du rapport pour les raisons voqu es pr c demment simplement nous d taillerons la mani re dont 1l a t constitu et le type de renseignements qu il apporte par rapport une tude documentaire telle qu elle vient d tre d crite Page 172 Chapitre IV Les r sultats se pr sentent sous deux formes distinctes une analyse g n rale qui donne des informations globales sur l ensemble des brevets tudi s tat de l art une analyse d taill e qui donne des informations sur des th mes techniques des propri t s ou des applications qui ont t d cel es structure du domaine et caract ristiques les renseignements recherch s dans chaque partie n tant pas de m me nature figure 46 Evolution des d p ts Pays d posants Pays d sign s pour la protection langue de publication Analyses Soci t s d posantes Analyse g n rale gt Inventeurs quantitatives Technologies utilis
287. s steel silanes amp Adhesion Promoters for stainless steel silanes Silanes adhesion promoters for stainless steel TN BONDERITE 958 BRENT EUROPE CHEMKLEEN CHEMFIL FIRSTCOAT MP MARTIN INTERNATIONAL AB A new test for estimating the adhesion of paints to metal substrates is presented Small painted disks are immersed in N methylpyrrolidone NMP at 60 degrees C and the time for the paint film to delaminate completely and intact from the substrate is recorded This time termed the NMP paint retention time or NMPRT is shown to be sensitive to changes in the metal pretreatment the type of paint the cure conditions and the presence of water at the interface As the strong swelling of the paint in NMP induces inter facial shear stresses the NMPRT value is considered to be a measure of the number or strength of the inter facial bonds Two examples are discussed in some detail delamination of motor vehicle epoxybased electrocoat systems from phosphated cold rolled steel and electrogalvanised steel and modification of the interface between stainless steels and epoxy or polyester powder paint systems by means of organo functional silanes In both examples it is shown how the NMP method may be used to optimise paint performance on metals 22 refs Figure 34 Exemple de r f rence WSCA format Full serveur ORBIT Page 150 Chapitre IV NTIS Produite depuis 1964 par le US Department of commerce National Technical Informati
288. se niveau 2 positionnement de l entreprise sur le march niveau 3 positionnement vis vis de la concurrence niveau 4 recherche des causes liminant des clients potentiels 3 niveau 1 am lioration des comp tences technologiques de l entreprise niveau 2 utilisation des technop les et des r seaux de relations niveau 3 d veloppement de nouveaux produits niveau 4 d p ts de brevets Ces trois possibilit s ne sont bien videmment pas uniques On pourrait en imaginer d autres tout comme on pourrait tendre la ramification et descendre des niveaux inf rieurs par grappes technologiques par exemple Cependant elles montrent quel point une t che qui pourrait para tre suffisamment explicite am liorer ses comp tences technologiques peut se d composer en une multitude d actions l mentaires qui demandent un traitement sp cifique Dans notre cas les objectifs globaux sont d finis par les axes prioritaires de d veloppement et les actions l mentaires correspondent aux besoins en information de chacun Facteurs Critiques individuels diff rents niveaux hi rarchiques pour r pondre aux difficult s pos es par la r alisation des axes de d veloppement Aborder un sujet de veille dans sa globalit sans chercher segmenter les diff rents probl mes est souvent p nalisant Les domaines tudi s sont vastes et on tombe rapidement dans le pi ge de la dispersion Lors de la phase de d marrage il est ind
289. se justifie pleinement par ce qui a t dit pr c demment L indice de Jaccard ne tenant pas compte de l absence simultan e ces paires bien qu ayant des fr quences d apparition relativement faibles mais pr sentant une forte intensit de lien se retrouvent port es en t te de liste Page 93 Chapitre 777 EDITION DES PAIRES SELECTIONNEES DANS LES FREQUENCES 4 377 FICHIER TRAITE d dataviewitrabesoin job intervalle de fr quences des formes constitutives 1 815 FREQUENCE JACCARD ALIMENTATION IND HYGIENE VITESSES ELEVEES USINAGE A GRANDE VITESSE ARTICLES METALLIQUES SOULONS MACHINES FRIGORIFIQUES FLUIDES CALOPORTEURS COLLAGE COLLAGE DES METAUX ECOULEMENTS MECANIQUE DES FLUIDES MARQUES DE QUALITE ENTREPRISES ETALONNAGE INSTRUMENTS ET APPAREILS DE MESURE DEVIS TEMPS DUREE CALCUL MARQUES DE QUALITE NORMES ELECTRICITE PARASITES CONTROLE DIMENSIONS MESURES Figure 13 Exemple de sortie DATAVIEW liste des paires de mots cl s suivant l indice de Jaccard Notons qu il existe galement des indices de dissimilitude dont le plus courant est la distance Euclidienne binaire B C A B C D Ils font jouer un r le positif aux valeurs B ou C qui caract risent la dissiitude pr sence absence entre deux mots b Application l analyse de besoins Les th mes techniques mergents sont d tect s gr ce l tude de ces indices d associations une paire de deux m
290. ser quant aux propri t s du mat riau son co t sa disponibilit aux avantages qu il procure et aux inconv nients qu il g n re par rapport au mat riau utilis d ventuelles applications industrielles d j existantes Mais la principale concerne les proc d s car on ne peut pas envisager de remplacer un mat riau si une tude pr alable de sa mise en oeuvre n a pas t r alis e L tude du couple mat riau proc d est indissociable pour envisager une substitution Les produits bien que nous ayons choisis de les classer ici ils sont l interface entre veille technologique et veille march s ils sont tout naturellement le fruit d une technologie ils sont destin s tre vendus et vont tre en lutte avec les produits concurrents Cependant deux crit res sont pr pond rants dans un produit ses fonctions et son co t Or l un comme l autre sont li s la technologie de par les performances pour l aspect fonctionnel et de par les proc d s de production pour l aspect financier La mise sur le march d un produit performant et relativement peu co teux est le r sultat d une Page 10 Chapitre 1 bonne orientation dans les choix technologiques tel point que les soci t s concurrentes ont parfois recours des m thodes telles que le reverse engineering pour les conna tre e L information relative aux normes et l environnement dans son num ro d octo
291. slations r glements et proc dures administratives des diff rents pays o les soci t s d sirent implanter leurs activit s sont des points indispensables maitriser Cette synth se montre que la veille est une activit multiples facettes Bien que la technologie occupe la premi re place dans les esprits et parfois dans les pratiques on ne manque jamais de lui associer des informations relatives aux march s aux concurrents aux fournisseurs aux r glementations Cette multiplicit souligne la compl mentarit et la d pendance des informations trait es Plusieurs secteurs de l entreprise technique marketing achats se trouvent de ce fait impliqu s dans les activit s de veille 2 SOURCES D INFORMATIONS Apr s avoir r pondu la question concernant les informations collecter il faut envisager la deuxi me tape savoir o doit on les rechercher D une mani re g n rale les professionnels s accordent sur les sources d informations utiles l entreprise et les classent dans deux grands groupes les informations formelles caract ris es par l existence d un support physique et les informations informelles qui sont obtenues lors d changes directs entre individus Dans ce cas galement quelques carts interviennent au niveau de la terminologie employ e on pourra entendre parler d informations documentaires ou non documentaires d informations ouvertes ou ferm es mais les sources cit es restent inva
292. ssement et la direction g n rale Nantes et Saint Etienne Des structures r gionales offrent des moyens d centralis s qui permettent d tre plus proche des entreprises et de leur faciliter l acc s aux produits et services du Centre Ces actions se traduisent par l existence e de cinq stations de proximit s dont trois sont int gr es aux tablissements de Senlis Nantes et Saint Etienne et deux sont d centralis es Proxi CETIM Alpes situ Grenoble et Proxi CETIM centre situ Orl ans Ces structures permettent de multiplier les contacts et d offrir aux entreprises r gionales un soutien bas sur la disponibilit de comp tences et d quipements dans les domaines qui les int ressent de trois Centres associ s le CETIM CERMAT et MECANICA Le CETIM CERMAT de Mulhouse apporte aux entreprises un support efficace notamment en mati re d essais de contr les et de prestations dans le domaine des avaries et des d faillances Une convention de coop ration avec l Institut M diterran en de la Qualit IMQ Toulon permet de proposer aux entreprises de la r gion Provence Alpes C te d Azur des prestations de proximit par des laboratoires de cet organisme labellis s par le CETIM Enfin le Centre d appui technologique MECANICA inscrit dans le Contrat de Plan Etat Page 46 Chapt II R gion Lorraine a pour mission d accompagner les entreprises de m canique lorraines dans leur volution conomique et tec
293. st galement stable et proportionnelle l volution mondiale e Origine des brevets BASIC analyse du champ PR Dans le domaine des traitements de surface trois pays se distinguent tr s nettement les Etats Unis d o plus de 27 des brevets proviennent le Japon avec pr s de 26 des provenances Allemagne qui est le pays europ en le plus productif avec plus de 25 des d p ts Ces trois pays cumulent eux seuls plus de 72 des d p ts les autres restant largement en retrait et pr sentant une activit beaucoup plus faible La France arrive en quatri me position avec pr s de 8 des d p ts Notons que 3 37 des brevets BASIC sont d pos s suivant une proc dure europ enne et 1 17 suivant une proc dure P C T ce qui reste relativement faible e Etats d sign s analyse du champ DS Trois pays suscitent vivement l int r t des d posants l Allemagne le Royaume Uni et la France dans lesquels la plupart des inventions sont prot g es plus de 9596 Vient ensuite l Italie plus de 7196 des inventions prot g es les Pays Bas la Su de l Espagne la Suisse la Belgique le Liechtenstein et l Autriche sont couverts dans plus de 45 des cas Trois pays retiennent moins l int r t des d posants le Luxembourg la Gr ce et le Danemark puisque moins de 35 des inventions y sont prot g es e Langue de publication analyse du champ LA Plus de 73 des brevets sont publi s en anglais qui res
294. sts of a thin film polycrystalline diamond coating applied by a chemical vapordeposition CVD process on a hard wear resistant tungsten carbide substrate The new grade is engineered for machining of highly abrasive non fer tous materials such as aluminums metal matrix composites and nonmetallics While providing significantly greater tool life than uncoated carbide tools and performance generally comparable to conventional polycrystailine diamond PCD inserts the KCD25 grade also offers indexability and chip control geometry capabilities not available with conventional PCD tools Available initially in more than 30 styles emphasizing high positive and chip control geometries KCD25 inserts will help users reduce tooling costs and increase metalcutting productivity in a wide range of difficult turning operations CO Kennametal PN Metal Cutting Machine Tools 3541000 EN Product Design amp Development 33 CN Pennsylvania 1242 SF LOB COMPANY Figure 38 Exemple de r f rence PTS PROMT format Max serveur QUESTEL Page 154 Chapitre IV PTS NEWSLETTER DATABASE Base produite depuis 1988 par Predicast Europe elle contient 420 000 r f rences et s enrichit de 500 nouveaux documents chaque jour Elle propose des informations sur les soci t s les produits les march s les technologies le commerce et l influence gouvernementale sur les industries Les donn es sont tir es de 400 revues sp cialis es sur
295. t Il n y a pas de regroupement par nationalit les brevets en phase B d j publi s en phase A font l objet d un autre enregistrement La notion de famille est cass e pour une seule invention on trouve autant de fiches que de brevets La relation peut cependant tre faite entre les brevets d une m me famille par la date et le num ro de priorit qui sont des invariants et gr ce des commandes qui permettent de faire le lien wear est produite par Detwent et regroupe deux bases WPI brevets enregistr s de 1963 1980 WPIL brevets enregistr s depuis 1981 WPAT r pertorie les brevets des 28 principaux pays industrialis s ainsi que les brevets europ ens et mondiaux PCT Denvent fait une seule fiche par demande Cette fiche est cr e la r ception du brevet basic premier brevet d une demande Tous les brevets quivalents qui arrivent au f r et mesure sont class s dans cette Page 156 Chapitre IV m me fiche quelle que soit leur nationalit L augmentation du nombre de brevets et leur statut juridique code ou est suivi par la modification du champ PN Patent Number qui r pertorie tous les num ros et dates de publication des brevets d une m me famille FPAT t SOnt trois bases produites par l INPI Institut National de la Propri t Industrielle L INPI classe les brevets en fonction de leur nationalit Les brevets fran ais d p t et publication en France sont e
296. t de vendre un produit dans un march la concurrence est intensive Pour cela ils se fondent en l occurrence sur des actions publicitaires destin es faire connaitre son existence et valoriser ses qualit s distinctives L information est donc une composante qu ils maitrisent et manipulent avec aisance Dans ce cas encore il s agira en premier lieu de changer les mentalit s d apprendre couter plus qu r v ler car avancer des arguments commerciaux conduit parfois d voiler des axes de d veloppement de l entreprise Les commerciaux devront donc apprendre ne pas tre trop bavards mais tirer profit de ce qu ils peuvent voir ou entendre De plus leur d marche est centr e sur la r alisation d un chiffre d affaires et leur horizon se situe moyen court terme Plus que la r solution de probl mes imm diats ils devront apprendre d tecter des besoins long terme de la client le qui seront les d fis technologiques de demain Leur position leur permettra d obtenir tr s ais ment des informations sur la concurrence Les march s o la demande est sup rieure l offre deviennent excessivement rares la concurrence est pre et les prospects souvent communs sera ais pour une personne accoutum e ces pratiques de conna tre par le biais de clients ou de fournisseurs les caract ristiques des produits les arguments d velopp s et les projets de la concurrence Le canal des commerciaux doit permettre un
297. tacles la libre circulation des informations Obstacles li s la conception bien tablie du pouvoir de l information la m fiance naturelle face aux informations qui n manent pas de ses propres r seaux l autosatisfaction ou l autosuffisance par laquelle on croit d j tout savoir la r ticence face aux conseils venant de niveaux hi rarchiques inf rieurs Ils sont importants et bien r els mais notre propos n est pas ici de r aliser une tude sur la communication en entreprise Nous n aborderons pas les probl mes li s aux mentalit s aux barri res psychosociologiques l existence des r seaux de relations qui favorisent la circulation des flux l int rieur de certains groupes bien que ce soient des facteurs qui existent qu il ne faut pas ignorer avec lesquels le veilleur devra composer et qu il apprendra g rer au fur et mesure de ses arm es d exp riences On a coutume de dire qu une donn e strat gique c est la bonne information la bonne personne au bon moment Le g n ral Guyaux rappelait r cemment GUYA93 ce propos une information ne devient un renseignement que si elle parvient temps et dans la forme voulue au d cideur qui en a l emploi soulignant ainsi la diff rence qu il faisait entre renseignement et information Outre son aspect terminologique cette phrase fait clairement apparaitre les trois points critiques de la diffusion le destinataire le support et l
298. tant d y parvenir les Facteurs Critiques de Succ s F C S d velopp s par J F Rockart ROCK79 l analyse structurelle propos e par M Porter PORT86 et laide la d cision multi crit res dont il reprend un exemple pr sent par A Scharling SCHA85 Parall lement il mentionne l apport possible des m thodes scientom triques ou bibliom triques dans la prospective moyen et long terme Dans tous les cas et quelle que soit la d marche utilis e les premiers sujets de veille ne sont jamais strictement fig s La veille est une activit cyclique qui s inscrit dans un processus it ratif Les axes d finis dans un premier temps ne sont pas immuables bien au contraire les r sultats apport s entraineront une demande de renseignements compl mentaires sur des points plus pr cis qui semblent pr senter un int r t important pour la soci t C est une attitude dynamique qui n cessite deux modes de comportement Le premier relativement passif consiste effectuer un balayage assez large de l environnement scruter l horizon la mani re d une vigie de navire pour y d tecter d ventuelles perturbations Le second davantage actif consiste lorsqu une anomalie est d cel e focaliser son attention dessus afin de d duire les menaces ou ventuellement les opportunit s qu elle repr sente Ces deux attitudes compl mentaires caract ristiques de l activit de veille BELO83 sont g n ralement d sign es sous les terme
299. tats D sign s permet donc de connaitre les pays dont l activit industrielle est suffisante pour susciter l int r t des d posants IC International Classification qui donne les codes CIB relatifs aux technologies dont il est question dans le brevet Ces codes rev tent une grande importance car ils nous ont permis de lister les technologies les plus utilis es et d identifier des th mes technologiques mergents TT Title Terms Pour illustrer nos propos nous donnons figure 47 un exemple de fiche avec les champs utilis s pour l analyse statistique en caract re gras Page 175 Chapitre IV AN 93 296858 38 XRAM C93 13 1532 High strength multilayer diamond films obtd by CVD having metallic nucleation sites at interfaces to interrupt grain boundaries DC L02 PA GENE GENERAL ELECTRIC CO D posant IN SLUTZ DE Inventeur 1 9 PN 561588 1 93 09 22 9338 4p E C23C 016 26 LA E Langue DS ATBECHDEFRGBIELISE Etats d sign s CT 2 Jnl Ref 501087559 PR 92 03 20 92US 855391 Date pays num ro de AP 93 03 15 93EP 301940 priorit C23C 016 06 C23C 016 26 C23C 016 30 C23C 028 00 EP 56 1588 A Codes A multilayer diamond film formed by CVD has metallic nucleation sites at the interfaces between layers metal may also be dispersed within one or more of the layers Pref the nucleation sites comprise one or more carbide forming metals esp Ti Zr Hf
300. te largement pr pond rant Suivent l allemand 18 91 le fian ais 7 77 puis l espagnol 1 brevet Page 177 Chapitre IV Soci t s d posantes analyse du champ Le domaine reste assez ouvert puisque l on ne constate pas de monopole r el Nous avons cependant relev toutes les soci t s ayant d pos au moins cinq brevets Les quatre premi res sont toutes d origine diff rente les Etats Unis GENERAL ELECTRIC l Allemagne LEY BOLD la France SOLLAC et le Japon Les soci t s ou instituts fian ais qui se distinguent sont la SOLLAC 14 d p ts UGINE 6 d p ts l TRSID 6 d p ts et l AIR LIQUIDE 5 d p ts Inventeurs analyse du champ IN Nous avons recens treize inventeurs dont le nom appara t dans au moins cinq brevets ainsi que les soci t s dans lesquelles ils travaillent Il s agit essentiellement de japonais issus des soci t s DAIDO SANSO NKK et SUMITOMO METAL Trois autres inventeurs se distinguent T Kolberg METALLGESELLSCHAFT E Bergmann BALZERS et T R Anthony GENERAL ELECTRIC e Codes C LB Comme nous l avons signal les codes C I B sont des codes technologiques Initialement pr vus pour classifier les brevets et faciliter leur analyse ils peuvent galement permettre de r aliser une analyse statistique d un ensemble de r f rences Ils sont regroup s dans huit grandes sections A N cessit s courantes de la vie B Techniques industrielles
301. tent une d marche suppl mentaire pour se procurer le document original Ce sont des banques de donn es bibliographiques signal tiques ou catalographiques dont le contenu est variable donn es scientifiques technico conomiques r glementations normes brevets Par opposition les banques de donn es sources donnent acc s une information directement utilisable Elles peuvent tre textuelles factuelles ou r pertoires Les banques de donn es textuelles fournissent le texte int gral du document ODON92 Les banques de donn es factuelles comprennent des donn es de d p ts stables telles que des propri t s physiques des tables de correspondances et des donn es observatoires changeantes le plus souvent conomiques ou financi res Les banques de donn es r pertoires pr sentent les informations class es par ordre num rique alphab tique ou chronologique et permettent d identifier des experts des projets de recherche en cours des calendriers de congr s 51 elles sont remarquables pour l tendue de leur couverture leur utilisation pr sente quelques inconv nients L acc s aux informations est co teux en temps d interrogation et en frais de visualisation de documents Il faut donc veiller minimiser les dur es de connexion et travailler avec un maximum de pertinence Face au nombre consid rable de banques il convient de faire des choix On estime que pour un sujet donn une seule banque peut couvrir jusqu 60
302. tervention d quipes sp cialis es dans un ou plusieurs domaines techniques progiciels de par la diversit de ses activit s le Centre propose plus de 40 produits qui sont autant d aides pour les bureaux d tudes les m thodes la fabrication le contr le la gestion l enseignement les stages de formation qui sont r alis s en collaboration avec des organismes d enseignement ou dispens s par le Centre dans le cadre de formations continues les produits d information mettre la disposition de ses ressortissants les informations aptes les aider r soudre leurs probl mes et prendre les bonnes d cisions est une des principales missions du Centre Les supports de diffusion sont multiples le service Question r ponse les p riodiques les ouvrages l audiovisuel la documentation Nous reviendrons plus largement sur cet aspect dans la partie consacr e au Centre d Information Technologique e les activit s de normalisation qui se traduisent par des tudes pr normatives des expertises techniques dans les instances de travail des produits d accompagnement facilitant l emploi des normes Page 49 Chapitre II IL LE CENTRE D INFORMATION TECHNOLOGIOUE Le CETIM doit contribuer au d veloppement des entreprises en favorisant leur processus d innovation par une phase d appropriation des connaissances Cette appropriation d bute presque toujours par l information Elle peut en rester c
303. tes dans l entreprise mais aussi celles auxquelles elle peut avoir acc s en raison de ses expertises de ses moyens d sa culture et qui constituent par la m me un gisement potentiel de ressources Ces trois exemples montrent quel point le degr d ouverture des entreprises leur facult d coute et d analyse de l environnement reste un facteur dominant dans les processus d innovation Mais ils font galement apparaitre que cet environnement est complexe faisant intervenir une multitude d acteurs chercheurs fournisseurs clients et de nombreuses variables recherche technologie march Cette complexit a toujours aliment de grands d bats sur la compr hension des m canismes de l innovation dont le plus c l bre r side dans la d termination du type d impulsion qui les d clenche L innovation est elle tir e par la demande du march market pull ou pouss e par la dynamique propre de la technologie technology push Une tude de OST r alis e d apr s une enqu te du SESSI BARR91 montre que dans pr s de 80 des cas l impulsion reste mixte Cette relation troite qui lie le march et la technologie est d crite dans une analyse sur la gestion des programmes technologiques de l AFME CALL91 L ensemble des acteurs constituent un r seau qui s organise autour de trois p les principaux le p le scientifique le p le technique et le p le march Le premier se caract rise par la production de co
304. transit maximum d informations sur la client le et sur la concurrence Ce sont donc ces trois pivots sp cialistes de l information documentaire experts commerciaux qui constituent les p les d observation que l entreprise ne doit n gliger en aucun cas on parle de r seau d observateurs L enjeu consistera mettre en place des m canismes qui favorisent la circulation d informations et faire acqu rir un certain nombre de r flexes aux participants Dans tous les cas le syst me devra s appuyer sur des personnes qui pr sentent des dispositions naturelles se comporter comme des gatekeeper MARTS89 capables de capter et de Page 22 Chapitre redistribuer les informations importantes Si cela parait vident pour les sp cialistes de l information documentaire dont c est le m tier il n en est pas de m me pour les experts et les commerciaux La r ussite des op rations d pendra de leur capacit favoriser les changes d informations b Les moyens mat riels Les moyens mat riels n cessaires la collecte sont tr s limit s Nous avons vu que les informations informelles taient disponibles dans la nature et que leur collecte ne d pendait que de la pratique et de la bonne volont de chacun Les outils indispensables font partie int grante de l anatomie humaine yeux oreilles bouche un stylo et un papier suffisent largement les compl ter Les personnes les plus aff t es en mati re de renseig
305. tre 11 DE QUOI i Machines installations Essais Etude th orie jQUP Quile fait i QUOI Mom type appellation marque Sur quoi Sur quoi i Description entretien i fonctionnement essentiels pem Destination T quoi cela sert im Dans c quel t but 1s quel es COMMENT Utiliser Entretenir M thodes Appareillage Donn es de base i Fabriquer Qu a t on fait varier i i M thodes utilis es NN cc Uff Meine dur e uio gp Avantages inconv nients port e i R sultats critiques i R sultats critiques conclusions pratique port e pratique Figure 2 Grille d analyse des documents Il doit s efforcer de r diger son r sum en suivant ce canevas et en r pondant chaque question afin d clairer le lecteur sur tous les aspects pratiques et concrets du document Nous donnons figure 3 l exemple d une r f rence obtenue en interrogeant la banque via le serveur ESA IRS Essentiellement destin e 4 informer les entreprises sur les avanc es technologiques de la m canique cette banque rev t donc un aspect tout particuli rement orient vers les applications industrielles Depuis 1992 elle englobe les donn es technico conomiques mais elle n aborde pas les informations a caract re purement scientifique les brevets ou les normes Page 59 Chapitre QA 94001198 NN 9405 CIT9401198 BD 94
306. tre I tous les domaines de la m canique conception contr le essais fabrication les domaines connexes mais qui touchent de pr s les pr occupations des m caniciens qualit environnement r glementation s curit normalisation nergie les sujets d int r t g n ral pour les entreprises achats droit conomie emploi finances gestion informatique management investissements prospective les activit s propres au mais non sp cifiques la m canique audiovisuel formation information publications publicit La gestion des abonnements est centralis e Senlis La circulation est assur e par le CIT avec l appui des biblioth ques de Nantes et de Saint Etienne pour ces deux tablissements En fin de circulation les revues peuvent tre stock es au centre d archivage du CIT ou directement dans les d partements concern s Parall lement aux revues les ouvrages de la biblioth que sont laiss s en libre consultation tant pour les collaborateurs du Centre que pour les personnes de l ext rieur Au total plus de 10 000 publications sont ainsi accessibles qu il s agisse d ouvrages techniques de normes d annuaires d actes de congr s de th ses de dictionnaires ou d encyclop dies B LA BANQUE DE DONNEES BIBLIOGRAPHIQUES DU CETIM La banque de donn es du CETIM signale les documents publi s dans la presse technique et qui touchent les diff rents domaines technologiques de la m
307. ts peuvent discuter des probl mes techniques qu ils rencontrent et des solutions qui sont envisageables avec d autres sp cialistes du domaine Les experts qui n ont pas de lien direct avec les clients parviennent mieux cerner leurs pr occupations et d tecter leurs p les d int r ts particuliers C est galement l occasion pour le coordinateur de connaitre le degr de satisfaction des clients d envisager des formules qui correspondent davantage leur besoins et de faire vivre le produit Car ne l oublions pas un produit de veille technologique ne doit jamais tre fig il faut savoir le faire voluer tant dans sa forme que dans son contenu si cela est n cessaire Tous les changes qui ont lieu au cours de la journ e sont extr mement instructifs et il serait navrant de ne pas les exploiter Aussi est il indispensable d s la semaine qui suit d organiser une r union avec tous les experts afin de mettre profit tous les points qu ils ont pu noter et toutes les suggestions qui leur ont t faites L organisation de la journ e tout comme l organisation de la r union sont du ressort du coordinateur Page 171 LES ANALYSES STATISTIQUES Parall lement la d marche documentaire des analyses statistiques sont effectu es Elles ont pour objectif de fournir un tat de l art exhaustif en compl ment du dossier de veille et de r aliser un d coupage du domaine tudi afin d en d finir
308. tu de cinq classes principales et de 17 sous classes la liste compl te des domaines couverts est donn e en annexe 1 Page 56 Chapitre M Tableau 2 Nombre de r f rences parues dans les diff rentes classes entre 1990 et 1994 Nombre de r f rences Conception A 1 Techniques g n rales de conception A 2 Mat riaux et propri t s des mat riaux Sollicitation des materiaux et des syst mes 4 Transmission et commandes 5 Technologies des composants et des syst mes Fabrication 1 M thodes automatisation 8 2 Usinages 8 8 Travail des mat riaux en feuilles 8 4 Travafardeformation B 5 Elaboration des materiaux B 8 Assemblages 8 7 Traitements superficiels et rev tements 8 8 Traitements thermiques et thermochimiques Qualit de la production Mesures contr les essais 2 Pr occupations g n rales Domaines connexes D I Technologies d industries diverses D 2 Marches des technologies 2 LES FICHES BIBLIOGRAPHIQUES Les fiches bibliographiques sont structur es en 20 champs dont certains sp cifiques une exploitation en langue anglaise Ils correspondent une volont de rester tout aussi accessible aux utilisateurs fian ais qu aux utilisateurs trangers Page 57 Chapitre 11 QA Num ro d acc s NN Num ro du bulletin technologies m caniques correspondant et num ro d origine du document BD Date du bulletin technologies m cani
309. u il convient de souligner S adressant plusieurs industriels les informations transmises ne rev tent aucun caract re concurrentiel Seules des informations d ordre technique sont transmises Les relations troites que le CETIM entretien avec les industriels ne lui autorisent en aucun cas d utiliser cette position privil gi e des fins commerciales Il n entre pas dans sa mission de se lancer dans des analyses concurrentielles Page 136 Chapitre IV Questionnaire compl ter et retourner AVANT le 23 Mars par courrier ou par t l copie St phane DUMAS BP 67 60304 SENLIS CEDEX Fax 44 58 3126 Mlle M rene ee cecus Pete ceti Adresse KT TelECODIG ege de Eet Bert VOS POLES D INTERET Veuillez indiquer vos p les d int r t particuliers Th mes Les d p ts sous vide PVD CVD Les traitements de durcissement superficiel avec apport haute nergie Les traitements thermiques par diffusion Les rev tements lectrolytiques chimiques par immersion et les traitements de conversion Les peintures et rev tements organiques Les traitements multi technologies La r glementation en traitements de surface environnement hygi ne et s curit Figure 28 Fiche de recueil des p les d int r ts Page 137 Chapitre IV
310. ublications statistiques SESSI syndicats professionnels CEE OST revues Advanced Materials and Processes American Machinist Sensor Review Axes Robotique Le Nouvel Economiste L usine Nouvelle Futuribles newsletters High Tech Materials Alert Bigre USA Revue de Presse M canique du Japon journaux Les Echos indirects des r seaux internes et externes publications achet es par le CETIM documents rep r s par d autres collaborateurs documents rep r s dans des clubs externes du type SCIP BIPE Deux heures quotidiennes de lecture en diagonale permettent de rep rer 50 informations soit 10 000 par an Diffus es brutes elles assommeraient les d cideurs Elles sont donc regroup es en un nombre raisonnable environ 200 fiches par an qui permet de recouper et de confronter des informations voisines et d carter l information non critique au vu du contexte Le sp cialiste r alise galement des tudes de synth se en collaboration avec les quipes du CETIM dans des domaines o une n cessit particuli re surgit deux trois par an productique fiabilit maintenance proc d s de fabrication traitements de surface environnement technologique mesures contr les Il utilise l analyse des donn es conomiques et la bibliom trie r trospective les avis d experts et l analyse des besoins tat de l art les techniques de pr vision technologique extrapo
311. uisant les co ts de prospection des acheteurs Les objectifs assign s au marketing strat gique sont une analyse syst matique et permanente des besoins du march et le d veloppement de concept de produits performants destin s des groupes d acheteurs sp cifiques et pr sentant des qualit s distinctives qui les diff rencient des concurrents imm diats assurant ainsi au producteur un avantage concurrentiel durable et d fendable Les deux fonctions se situent sur des plans radicalement diff rents mais leurs actions sont tr s compl mentaires La premi re ax e sur la recherche de r sultats imm diats poss de une vision court terme alors que la seconde doit b n ficier d un certain recul par rapport aux v nements C est dans cette vision plus long terme et dans la nature des informations utilis es que la veille march se rapproche du marketing e Les clients il ne s agit pas ici de r aliser des tudes comportementales sociologiques d tudier les facteurs qui vont stimuler l achat d un certain type de produit plut t qu un autre Tout cela appartient au domaine du grand public et doit tre trait par des sp cialistes du marketing Nous parlons ici de clients industriels plus que d utilisateurs finaux Plusieurs points fondamentaux seront tudier dont notamment l volution de leurs besoins long terme Bon nombre de sous traitants voient leur avenir intimement li celui de quelques do
312. ule apporter aux entreprises des moyens et des comp tences pour les aider accro tre leur comp titivit Page 45 Chapitre B PRESENTATION DU CENTRE 1 ORGANISATION GENERALE Le CETIM est administr par un conseil de 32 membres dont 16 chefs d entreprises qui d l gue au directeur g n ral tous les pouvoirs n cessaires Un commissaire du gouvernement ayant un droit de veto repr sente le ministre de l Industrie et un contr leur d Etat le ministre de l Economie et des Finances Un comit technique tient un r le consultatif et a pour mission d assister et de conseiller le Directeur G n ral en fournissant son avis sur toutes les questions d ordre technique ou scientifique qui lui sont soumises notamment en ce qui concerne les tudes de recherches du Centre Les ressources proviennent de trois modes de financement une cotisation obligatoire dite parafiscale vers e par les ressortissants des ressources propres provenant de travaux effectu s pour des entreprises ressortissantes ou non sous forme de contrats de recherche d assistance technique de formation Et de fa on compl mentaire de subventions et contributions manant d organismes publics r gionaux nationaux et europ ens Le CETIM regroupe plus de 600 collaborateurs dont plus 7596 sont des ing nieurs ou des techniciens de haut niveau Ils se r partissent en l occurrence autour de 3 sites principaux Senlis qui regroupe un tabli
313. uliques de d bit Etanch it PREOCCUPATIONS GENERALES DE L ENTREPRISE Qualit Int gra tion informa tique Normalisation Environnement s curit ergonomie Page 85 Chapitre Certitication homologation Veille technologique Les membres du comit de pilotage peuvent ainsi d signer de un trois domaines de comp tence par besoin Les fiches sont ensuite diffus es aupr s des responsables des sch mas directeurs concern s qui estiment la faisabilit du probl me et lui attribuent une note sur une chelle six niveaux 1 Correspond nos comp tences nos moyens et notre disponibilit 2 Correspond nos comp tences nos moyens mais pas notre disponibilit ou nos structures de transfert N cessite des adaptations l g res de nos comp tences N cessite de d velopper de nouveaux produits dans nos comp tences N cessite la cr ation de nouvelles comp tences D O Besoin non explicite Chaque besoin est ainsi class par domaine et valu par chaque quipe suivant sa capacit de r ponse et les moyens dont elle dispose S il ne correspond aucun domaine de comp tence du Centre il est class dans la cat gorie Besoin hors domaine de comp tences du CETIM ou divers L ensemble des fiches est ensuite recentralis au CIT pour faire l objet d un traitement statistique Page 86 Chapitre TRAITEMENT EXPLOITATION DES DONNEES A FONDEMENTS
314. un brevet et les traitements qu ils subissent avant de se retrouver sous la forme de r f rences bibliographiques s lection r sum indexation l aide de mots cl s classement l aide de codes ainsi que le principe de l interrogation des bases de donn es quations logiques commandes statistiques Savoir de quelle mani re sont collect es les documents qu ils re oivent et connaitre la signification et la valeur des diff rents champs apparaissant sur les r f rences leur permettra d aborder l analyse avec beaucoup plus de facilit Il faut galement souligner l apport des m thodes bibliom triques qui peuvent tre d un grand int r t d s lors que le volume de donn es ne permet plus une analyse par simple lecture s quentielle Les r sultats pourront faciliter l acc s aux documents gr ce aux regroupements effectu s et donner une vision nouvelle dans la mani re d aborder un domaine d tection des principaux acteurs d coupage th matique La phase de tri est la premi re tape dans le traitement des informations la seconde consiste valuer et recouper les diff rentes donn es que l on poss de afin de reconstituer le puzzle qu elles composent 2 EVALUATION RECOUPEMENT Les informations collect es pr sentent certaines caract ristiques dont notamment celles d tre fragmentaires et incertaines LESC92 Fragmentaires parce que prises isol ment elles sont parfois insignifiantes voire m m
315. un exemple unique c est une approche nouvelle qui m rite des am liorations et qui sous r serve de quelques adaptations pourrait tre transf r e d autres organismes ayant pour fonction de soutenir les PMI d un secteur industriel ou d une r gion Dans les modifications susceptibles d tre apport es la premi re est relative la veille march Les analyses de besoins pr sentent une distorsion entre les prestations de transfert et de recherche Elles touchent des pr occupations qui se situent sur des plans diff rents Les premi res concernent principalement la production alors que les secondes se placent sur le plan beaucoup plus amont de la recherche Il est d licat de m ler les deux formes de service au sein d une m me enqu te et il faut envisager de les s parer Les donn es concernant les formes de transfert peuvent tre collect es au travers de questionnaires crits elles toucheraient de ce fait un plus grand nombre d entreprises Il faut rapprocher ce type d enqu te du marketing op rationnel car elle concerne essentiellement la direction commerciale du Centre Les questions relatives aux produits de recherche et qui concernent davantage les responsables techniques n cessitent imp rativement la r alisation d entretiens avec les directeurs d entreprises Ces entretiens pourraient avoir pour but gr ce une tude de l existant de dresser un diagnostic des m thodes de gestion des ressou
316. un lieu de rencontre privil gi les chercheurs qui ressentent g n ralement le besoin de discuter de leurs derniers travaux avec quelques confr res sont dispos s changer des renseignements des id es exposer des probl mes et proposer des solutions leurs homologues Ces changes ne sont pas les seuls avantages que l on peut tirer de sa participation un congr s Nous avons d j soulign la difficult qu il y avait exploiter les actes de congr s Un sp cialiste saura parfaitement discerner les communications importantes des communications plus banales et pourra r diger un r sum un guide pour diriger les lecteurs de la soci t vers les articles qui m ritent leur attention Au m me titre que pour les visites d entreprises et les salons ce type de compte rendus crits sont les bienvenus pour exploiter pleinement toutes les informations r colt es Les missions et voyages d tudes au m me titre que la participation des salons les voyages d tudes m ritent une pr paration avec la d finition d objectifs pr cis et l tablissement d un compte rendu en fin de mission Trop d informations importantes souffrent d un manque d exploitation ce niveau Les r seaux relationnels de nombreuses autres sources peuvent contribuer la collecte d informations informelles et il serait bien difficile d en tablir une liste exhaustive Comme nous le pr cisions au d but de ce paragraphe le contexte relation
317. uperficielle PROP 4 PROP 6 9 OSION ETANCHEITE Projection thermique 5 PROPRIETES MECANIQUES Figure 50 Carte des corr lations th mes techniques Propri t s Page 192 Chapitre IV IV LUSI Ces op rations constituent la phase de veille technologique du Centre Son objectif est double gt fournir aux industriels des prestations de veille technologique completes et d un co t faible fournir aux responsables techniques du CETIM et aux commissions professionnelles des indications pour le choix des futurs axes de recherche Tr s compl mentaire de la veille march ces deux composantes s av rent primordiales pour l orientation de la strat gie du Centre La veille march situe l tat de la demande et la veille technologique l tat de l offre Elles fournissent aux directeurs aux responsables techniques et aux commissions professionnelles des l ments de r flexion indispensables pour le choix des axes de d veloppement Les veilles multi clients ont t l occasion de formaliser une d marche qui n existait pas auparavant dans le Centre L ampleur de la d marche a toujours retard l ch ance L analyse des besoins des clients a agit comme un catalyseur pour faire naitre ce produit Il est clair que lors du premier lancement les experts d sign s ont trouv dans cette activit une charge suppl mentaire Ce n est que la pratique qui a permis de mesurer tout l int
318. urprise dans celui des mat riaux polym res 15 fois c est dire comme concurrent une fois sur quatre Le troisi me tant le sch ma directeur veille technologique 8 fois Au niveau des transferts le conseil est premier 28 fois le second est l information 23 fois soit un peu mieux que la moyenne des besoins et la prestation est troisieme avec 21 fois Le march demandeur est tr s parpill et aucune profession n est repr sent e plus de cinq fois avec les machines de bureau et les mat riels de T P devant la chaudronnerie et les transmissions hydrauliques 4 fois Le nombre de besoins est en baisse par rapport l an dernier ph nom ne plus global au niveau des mat riaux que partagent aussi les rev tements et les plastiques Mots cl s d crivant le th me 46 fois Choix des mat riaux et produits 22 fois M taux 15 fois Aciers Innovation technologique Page 117 Chap itr Mots cl s d crivant des aspects particuliers 12 fois Plastiques 9 fois Normes fos Banques de donn es Documentation 7 fois Propri t s m caniques 6 fois Alimentation Ind Composites matrice plastique Conception Hygi ne substituts 5 fois Corrosion protection contre R glementation 3 fois Achats HLE Mobilier de bureau Qualit Temp ratures lev es Usure 2 fois inoxydables Aluminium et alliages Essais Exportations Fiabilit Marques de qualit Peintures Poids
319. uteurs citent l exemple des constructeurs automobiles dont les clients march grand public et les produits automobiles restent Page 69 Chapitre IT constants mais qui affirment leur diff rence sur les technologies utilis es pour fabriquer leur produit Un exemple de r ussite dans ce domaine est la cr ation de l Espace N de l alliance entre Renault et Matra Automobile ce monospace a vu le jour en seulement dix huit mois entre la date de l alliance et la sortie du premier mod le Ce tour de force est en grande partie d l utilisation de technologies d velopp es par Matra Automobile peu intensives en capital et adapt es aux petites moyennes s ries carrosserie en composites ami corrosion du ch ssis par bain de zinc Les promoteurs du projet ont su la fois identifier la technologie qui fait la diff rence sur le march et la mettre en oeuvre sans d ployer pour autant des moyens d mesur s SEUR94 D autres strat gies dites combin es s appuient sur le d veloppement de deux axes la strat gie ax e march produits la strat gie ax e march technologie et la strat gie ax e produits technologie l image des compagnies de distribution d eau qui fortes de la confiance que leur accordaient les collectivit s locales se sont lanc es dans la t l vision par fibre optique La strat gie de base tant fix e les entreprises pourront d finir certaines briques l mentaires
320. uvelle technologie et engendre un nouveau cycle AIT89 D une mani re g n rale les transitions se concr tisent plut t par une phase d accumulation des connaissances scientifiques et par leur diffusion vers les diff rentes tapes de la chaine de conception Les Centres de Recherche se situent ce niveau Ils disposent de moyens mat riels et humains importants qui constituent un potentiel de ressource rare Ce r servoir doit tre mis la disposition des entreprises d sireuses d innover Leur r le est d tablir avec elles des relations troites afin de favoriser la diffusion des connaissances travers diff rents canaux tels que la formation l information les travaux de recherche ou les prestations Sans tre innovateurs eux m mes ils doivent avant tout se pr senter comme des catalyseurs de l innovation B LA STRATEGIE CENTREE MARCHE Un Centre Technique n est pas cr dans le but de faire des b n fices Il est investi d une mission et a pour objectif de favoriser le d veloppement long terme d une entreprise ou d un secteur industriel Il a donc une vocation et son march se traduit davantage en terme de service qu en terme de profit ne s agit pas pour ses dirigeants de d velopper un avantage concurrentiel mais de r aliser des travaux qui apporteront un avantage technologique aux entreprises adh rentes ou clientes Mais il ne faut pas pour autant penser qu ils ne doivent pas adopter une strat gie A
321. uvelles r f rences viennent compl ter son contenu chaque ann e Elle poss de un plan de classement et son indexation est faite partir de deux thesaurus le thesaurus of metallurgical terms et le thesaurus of engineered materials Les signalements sont donn s en anglais et en allemand Quest Accession Number 93006822 199309 G5 0091 Materials Business Issue 9309 Non Cyanide Bright Zinc Plating Process Named Companies Schloetter New Coatings amp Surfaces Pages 2 Publication Date Aug 1993 Country of Publication UK Laquage English Document Type News Brief Zincaslot 30 an alkaline non cyanide bright Zn plating process suitable for both rack and barrel plating is developed The solution contains a chemically pure zinc oxide sodium hydroxide and two addition agents Developed to overcome some of the problems associated with the use of toxic cyanide zincs the environmentally fiiendly solution is said to provide an even deposit w ith excellent covering power plus a high level of brightness over a wide current density range Cathode current density for rack plating is 1 5 4 A dm exp 2 and for barrel plating 5 1 4 A dm exp 2 As there are no complexing agents in the solution treatment is both simple and economical The effluent treatment consists of neutralisation to a pH of 8 5 9 which is adequate for reducing the Zn content to below the admissible level Bath maintenance is also straightforward as the plating bath uses only tw
322. uvernement Qui sont les hommes influents au pouvoir e Les informations financi res sont consid rer deux niveaux Elles concernent soit l environnement direct de l entreprise il s agira alors des m mes informations que celles mentionn es dans le cadre de la veille march solvabilit des clients sant financi re des partenaires soit un environnement plus global il s agira alors de mesurer des tendances d volutions dans le cadre de plans de d veloppement plus ou moins long terme taux d int r ts taux d inflation co ts des mati res premi res pouvoir d achat Benchmarking talonnage processus consistant valuer rigoureusement et syst matiquement les activit s d une entreprise par rapport son environnement significatif Gestion concurrentielle Pratique de la veille Encyclop die DELMAS pour la vie des affaires 1993 14 dition Page 13 Chapitre I Les informations sociales sociologiques et culturelles les m thodes du marketing ont depuis longtemps fait apparaitre la dimension socio culturelle des march s grand public Mais en interne galement les facteurs sociologiques sont consid rer modes de comportement des salari s r ticences aux changements attentes et aspirations des nouvelles g n rations de travailleurs impacts de l volution des l gislations sociales e Les informations juridiques dans un contexte d internationalisation constante des march s les l gi
323. xister entre la R amp D et les ventes profits et autres b n fices financiers de la soci t les secondes proposent d mettre un jugement sur la r ussite de chaque projet men terme et les derni res se fondent sur la mesure des outputs tels que les brevets les articles ou les citations Il souligne qu aucune m thodologie ne fait l unanimit chacune pr sentant ses limites propres Cependant l analyse de toutes les r flexions sur le sujet l ont conduit une conclusion simple selon laquelle les services de R amp D doivent imp rativement travailler en liaison troite avec les autres d partements notamment le marketing et adh rer aux objectifs globaux de la soci t For over 30 years it has been generally accepted that R amp D can only be effective if it is integrated into company operations To be effective the department must work as a member of the company team Il propose une nouvelle approche qui ne se fonde pas sur la mesure des r sultats obtenus mais sur la capacit g rer correctement les diff rents projets Elle se base sur l appr ciation de dix points cl s qui conditionnent leur r ussite raisons qui motivent le choix des sujets planification mise profit de nouvelles id es maintient de la qualit des m thodes et proc d s motivation du personnel technique fertilisation crois e avec d autres quipes coordination entre la R amp D et le marketing transfert des t
324. xploiter d obtenir des renseignements sur une technique dans le but de r pondre un besoin pr cis ou d effectuer une mont e en comp tence Les m thodes statistiques OST92 sont tr s utilis es lorsque l on d sire connaitre les acteurs d un domaine soci t s pays inventeurs Jet l volution des tendances Les r sultats permettront l entreprise d avoir une vision panoramique et de se positionner dans son environnement L information technologique situ e plus en aval que les pr c dentes elle rev t un aspect beaucoup plus pratique et est tr s orient e vers des applications industrielles L information interne est loin d tre n gligeable ce niveau Lorsque l on conna t le poids des ressources humaines dans les processus d innovation il est facile d imaginer la place pr pond rante du savoir faire de l entreprise Les informations disponibles l ext rieur se d clinent sous trois formes principales l ing nierie concevoir un nouveau produit c est avant tout avoir conscience qu il existe et que l on peut mettre en oeuvre un proc d permettant sa r alisation Une fois acquise cette certitude une multitude de questions vont se poser concernant le proc d lui m me Page 9 1 quel est son principe Quelles sont ses performances Dans quelles conditions sera t il efficace Concernant les risques encourus li s 1 difficult de mise en oeuvre la difficult de mise au point C

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