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Evaluation Projet PAD CEA - Association of African Universities

1. 3 Sciences des mat riaux et 3 Agronomie et 4 Maladies tropicales n glig es ing nierie p troli re Sciences sciences de phytom decine Pathologies des Nigeria et G nie chimique du p trole l environnement maladies infectieuses Sant Science et transfert de agriculture en sec g n sique technologie technologie alimentaire S n gal 1 Math matiques et TIC 1 Sant maternelle et infantile Togo 1 Sciences aviennes 8 5 6 3 CEA seront en totalit financ s au Nigeria sur l enveloppe nationale IDA accord e au gouvernement du Nigeria 27 Les tablissements b n ficiaires ont t s lectionn s au m rite sur la base d un processus ouvert rigoureux et transparent Le processus de s lection a suivi les tapes principales suivantes i un appel propositions lanc aux tablissements ii la soumission des propositions de Centre d excellence l Unit r gionale de facilitation par l interm diaire des gouvernements respectifs 52 propositions ont t soumises ili une valuation syst matique et d taill e des propositions par 35 experts ind pendants africains et internationaux selon des crit res pr d finis l valuation a consist en trois jeux distincts d analyse Les universit s l origine des 31 propositions satisfaisant aux niveaux d ducation et qualit acad mique requis telles qu valu es par trois experts universitaires ind pendants
2. Figure B Profil ge revenus par niveau d ducation Burkina Faso Age 15 24 Age 25 34 Age 35 44 Age 45 54 Age 55 64 Cameroun Cameroun revenu mensuel par groupe d ge 000 CFAF Higher Educ a LR o Age 15 24 Age 25 34 Age 35 44 Age 45 54 Age 55 64 Nigeria Nigeria revenu mensuel par groupe d ge 000 NGN a Higher education e e o o o Upper secondary es Lower secondary a47 Primary 7 r r ecooooooogoooooot eee 4 I o o e 4 Age 15 24 Age 25 34 Age 35 44 Age 45 54 Age 55 64 Ghana 2500 0 Ghana revenu mensuel par groupe d ge Higher ogo CfDA z Age 15 24 Age 25 34 Age 35 44 Age 45 54 Age 55 64 115 Annexe 7 Don IDA r gional octroy l Association des universit s africaines Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique Titre du projet propos Facilitation r gionale pour le projet de Centres d excellence en Afrique Projet Centres d excellence africains R gion Afrique Pays R gion africaine Unit de gestion AFCRI Chef d quipe Andreas Blom Domaine central Th me ducation Renforcement des capacit s Montant du don demand 5 millions de dollars y compris 1 million d avance PPF Montant du don approuv 1 million de dollars avance PPF approuv e en juillet 2013 B n ficiaire du don Entit r gionale Localisatio
3. D caissements pr vus en millions de dollars Exercice 2014 2015 2016 2017 2018 2019 Annuel 10 00 20 00 30 00 37 00 40 00 13 00 Cumul 10 00 30 00 60 00 97 00 137 00 150 00 Objectif s de d veloppement propos s L objectif de d veloppement du projet est d aider les b n ficiaires promouvoir la sp cialisation r gionale parmi les universit s participantes dans des domaines r pondant aux d fis r gionaux et renfor ant les capacit s des universit s concern es afin qu elles assurent une formation et des travaux de recherche appliqu e de qualit Composantes Nom de la composante Co t millions de dollars Composante 1 Renforcement des centres d excellence 140 80 africains Component 2 Renforcement des capacit s de l valuation et 9 20 de la collaboration r gionales Donn es institutionnelles Conseil d administration sectoriel ducation Secteurs Changement climatique Secteur 5 au maximum et le total des pourcentages doit tre gal 100 Secteur principal Secteur Avantages Avantages conjoints de conjoints de l adaptation Z l att nuation ducation Enseignement sup rieur 50 Agriculture p che et foresterie Recherche et 15 vulgarisation agricole Sant et autres services sociaux Sant 15 nergie et exploitation mini re P trole et gaz 10 nergie et exploitation mini re Aut
4. l Office of the Accountant General Bureau du Comptable g n ral de la F d ration sera responsable de la mise en place et du respect de modalit s de gestion financi re acceptables pour ex cuter la Composante 2 2 La FPFMD aura galement en charge la pr paration et la soumission des demandes de d caissement la Banque pour les universit s f d rales dans le cadre de la Composante 1 une fois qu elles ont t vis es par le Comit national d examen Les universit s priv es pr senteront leurs demandes de d caissement directement la Banque VI Modalit s d ex cution sp cifiques pour La Gambie 29 Les modalit s d ex cution dans La Gambie seront places sous l gide du MOHERST responsable de la coordination des besoins en capacit s des institutions gambiennes Le soutien 60 fiduciaire et administratif sera apport par UCP actuellement dans les murs du minist re de l enseignement primaire et secondaire La surveillance du projet manera du Comit technique national qui organisera les examens semestriels de performance et de mise en uvre avec l quipe focale charg e de l ex cution de la coordination et du suivi VII R le des partenaires 30 Le projet b n ficie d une attention et d un appui solides de la part des partenaires au d veloppement et partenaires universitaires Diff rents partenaires au d veloppement ont exprim leur int r t dans la promotion et le renforcement de l
5. Caisse Exercice Caisse modifi e Institut International d Ing nierie de l Eau et de l Environnement QiE CI Universit d Abomey Calavi B nin niversit de Yaound 1 UY1 niversit de Cheikh Anta Diop S n gal niversit de Lom Togo niversit du Ghana UG WACCI ag niversit de Science amp Technologie Kwame Nkrumah KNUST niversit Redeemers Mowe Etat d Ogun niversit africaine de Science et Technologie Abuja Nigeria Universit de Yaound 1 UYD S o Universit de Cheikh Anta Diop S n gal S oo o 8 U U Universit du Ghana UG WACCBIP U U U Federal University of Agriculture Abeokuta Nigeria niversit de Jos Nigeria niversit Ahmadu Bello Zaria Nigeria niversit de Port Harcourt Nigeria U U Universit du Benin Nigeria U U CP au minist re de l enseignement primaire et secondaire MOBSE africaines AUA De ll Unit r gionale URF bas e l Association des universit s Contr le interne et Unit de contr le L Universit Ahmadu Bello Zaria Nigeria est en train d installer un logiciel maison et la formation du personnel a eu lieu Sage ERP en mise en uvre depuis avril 2003 pour une entr e en phase op rationnelle le 31 mars 2014 L nstallation d Oracle Financial systems est en cours l Universit du B nin au Nigeria Le personnel
6. dont les mat riels didactiques et de recherche et des capacit s de gestion existantes Des d tails pr cis sur les l ments valu s par l quipe d valuation sont r sum s au tableau A2 3 Cette valuation constitue jusqu 25 points du score total Tableau A2 3 valuation in situ du leadership des tablissements pr s lectionn s valuation in situ et leadership Notes Leadership et vision institutionnels d apr s l interview du chef de l tablissement du 5 pr sident du Conseil et de documents strat giques institutionnels existants Capacit s administratives et de leadership du Centre d apr s l interview du chef du 5 CEA propos et l examen des capacit s administratives existantes et escompt es Appropriation institutionnelle de la proposition comme preuve de l ouverture et de 5 l int gration des professeurs et des tudiants Engagement du gouvernement soutenir la proposition d tablissement et son 5 alignement la strat gie Coh rence entre la proposition soumise et la r alit sur le terrain telle qu observ e 5 par l quipe d valuation Gestion financi re solides ant c dents et capacit s dans la passation de march s 5 Total 25 15 valuation des capacit s fiduciaires L valuation finale portait sur les capacit s fiduciaires avec une fourchette de 0 5 points 16 S lection finale par le Comit de pilotage des CEA Sur
7. pargne et les imp ts ce qui en retour entra nera des investissements accrus Des salaires plus lev s se traduisent galement par une plus forte consommation b n ficiant aux producteurs Ces externalit s positives supposent cependant que les dipl m s des programmes restent en Afrique plut t que d migrer hors du continent 5 Investir dans des dipl m s en agriculture est essentiel pour la croissance conomique de l Afrique L agriculture est l activit conomique dominante de l Afrique Elle repr sente 40 du PIB 15 des exportations et de 60 80 de l emploi Banque mondiale 2007 Accro tre la productivit agricole est une condition n cessaire la croissance conomique de la r gion Un plus grand nombre de dipl m s en agriculture augmentera le capital humain de la r gion qui contribue la productivit agricole en intensifiant la recherche les capacit s de la main d uvre et les services d appui Des tudes empiriques laissent entendre que les investissements publics dans la recherche agricole ont une rentabilit significative Alston et al 2000 Alston 2002 Huffman et Evenson 2006 et Evenson 2001 6 Investir dans les professionnels de la sant est n cessaire pour une soci t bien portante et une meilleure qualit du capital humain Premi rement le nombre de professionnels de la sant pour 1 000 habitants est corr l positivement de nombreux indicateurs de services de sant
8. 16 15 Source Les calculs de l auteur ont t effectu s sur la base des donn es disponibles les plus r centes sur les m nages Donn es Nigeria enqu te sur les m nages 2010 2011 Burkina Faso Enqu te int grale EICVM 2008 2009 Cameroun Troisi me enqu te camerounaise aupr s des m nages Ecam3 2007 Ghana enqu te sur les niveaux de vie 5 2005 c Analyse de sensibilit 18 L analyse de sensibilit assouplit les hypoth ses du sc nario de base pour tudier le TRI dans le cadre de diff rents sc narios L analyse de sensibilit peut se faire de fa ons diverses par exemple nous pouvons poser des hypoth ses diff rentes s agissant du temps qu il faut un tudiant pour obtenir un dipl me universitaire de l ge de la retraite de la croissance des revenus etc L analyse de sensibilit a t conduite en supposant diff rents niveaux d emploi parmi les dipl m s Nous avons calcul le TRI dans le cadre d un sc nario suppl mentaire situant le niveau d emploi parmi les dipl m s des CEA 70 Il est fait l hypoth se qu apr s un an de ch mage les dipl m s issus des CEA trouvent un emploi Les taux de rentabilit interne restent lev s dans ce sc nario 109 Gains d efficacit conomique gr ce des changements dans la mobilit des tudiants D apr s une nouvelle tude de l UIS Institut de statistique de l Unesco New Patterns in Student Mobility in t
9. 3 Chaque gouvernement h bergeant un Centre d excellence africain signera un Accord de financement avec PIDA Le gouvernement d signera le CEA en tant qu entit charg e de l ex cution et signera un accord de performance et de financement accord subsidiaire pour ce travail Cet accord d finira les responsabilit s de l tablissement notamment les dispositions de fiducie et de rapportage ainsi que les termes et conditions g n rales r gissant son fonctionnement y compris ses relations avec des institutions partenaires 4 Au del des organismes directement impliqu s dans l ex cution du projet les entit s ci apr s appuieront et superviseront son d roulement 5 Le minist re des Finances assurera l engagement du gouvernement et l appropriation du projet et fera en sorte que les canaux de financement pour les indicateurs li s au d caissement sont mis en place de mani re ad quate Le minist re des Finances veillera ce que le montage financier pour l approche IDL fonctionne correctement et tiendra son engagement d ouvrir une ligne budg taire hauteur du montant convenu dans l accord financier et dans celui entre le minist re des Finances et l universit d accueil pour le programme d investissement du CEA Les d tails sur les modalit s de d caissement sont fournis dans la section Gestion financi re de l annexe 6 Le minist re de l Enseignement sup rieur ou le minist re agence en c
10. Nigeria District f d ral District f d ral Universit d Abuja africaine des sciences et de la technologie Togo Maritime Maritime Universit de Lom B nin Atlantique D partement de Universit P Atlantique d Abomey Calavi La Gambie Banjul Banjul Burkina Faso Centre Centre Institut international de XV l eau et de l ing nierie environnementale XVI I CONTEXTE STRAT GIQUE A Contexte national 1 L Afrique subsaharienne a une occasion sans pr c dent de transformation et de croissance durable La croissance du produit int rieur brut PIB s est acc l r e passant d un taux annuel moyen de 2 dans les ann es 90 5 5 au cours de la derni re d cennie Les conomies outre l Afrique du Sud ont augment en 2012 un taux solide de 5 8 sup rieur la moyenne des pays en d veloppement Sept pays d Afrique de l Ouest figuraient parmi les pays les plus dynamiques dans le monde en 2012 notamment la Sierra Leone le Niger la C te d Ivoire le Liberia le Burkina Faso et le Ghana Ce redressement conomique remarquable r sulte d une plus grande stabilit macro conomique de r formes ayant corrig les imperfections du march et plus encore d une augmentation rapide de la demande mondiale de mati res premi res d riv es de ressources naturelles export es par l Afrique subsaharienne Apr s plus de deux d cennies de stagnation le
11. ann e t n est la dur e de l ducation m n est le nombre d ann es dans la vie active r est le taux de rentabilit 106 Source Calculs de l auteur avec les plus r centes donn es disponibles sur les m nages Donn es Enqu te sur les m nages au Nig ria 2010 2011 Burkina Faso Enqu te int grale EICVM 2008 2009 Cameroun Troisi me enqu te camerounaise aupr s des m nages Ecam3 2007 Ghana Enqu te sur le niveau de vie n 5 2005 Note Pour tous les pays la rentabilit de l enseignement sup rieur a t calcul e en utilisant le lyc e comme niveau d ducation pr c dent Analyse co ts b n fices 13 Cette section pr sente une analyse conomique de la composante 1 Renforcement des capacit s des universit s s lectionn es du projet en utilisant la m thode co ts avantages La composante 1 constitue la plus grosse partie 87 de l investissement du projet avec pour finalit d am liorer les d bouch s sur le march du travail pour les tudiants des universit s cibl es La faisabilit conomique de l tude est appr ci e l aide du Taux de rentabilit interne Les calculs ont t effectu s pour les quatre pays pour lesquels des donn es sur les m nages taient disponibles Burkina Faso Cameroun Ghana et Nigeria Cependant les r sultats ne sont pas comparables d un pays l autre car les donn es ne sont pas standardis es Les r sultats doivent tre consid r s dan
12. de ses dipl m s sont sp cialis s en agriculture 3 5 en sciences 5 6 en ing nierie et 2 8 dans la sant Le Burkina Faso le Cameroun et le Ghana affichent un plus grand nombre de dipl m s en sciences mais un nombre similaire de dipl m s en ing nierie et en sant Le Burkina Faso compar au reste des pays participants pour lesquels nous disposons de donn es a le plus faible pourcentage de dipl m s dans la fili re sant avec seulement 0 6 de ses dipl m s sp cialis s dans ce secteur D autres conomies mergentes comme le Br sil ont un pourcentage beaucoup plus lev de dipl m s en sant voir tableau 2 Tableau 2 Pourcentage de dipl m s de l enseignement sup rieur par sp cialit B nin Burkina Cameroun Ghana Br sil 2009 Faso 2010 2011 2010 2011 Agriculture 0 8 1 5 fa 7 4 1 8 ducation 7 6 10 3 25 6 22 8 Ing nierie produits manufactur s et construction 5 6 2 8 4 0 3 9 5 8 Sant et social 2 8 0 6 2 3 3 4 13 9 Lettres et arts 14 5 11 4 6 4 2 2 Sciences sociales conomie et droit 52 5 55 6 59 2 43 2 40 2 Science 3 5 15 0 17 0 15 5 5 5 Services 7 5 5 5 2 9 Programmes non sp cifi s 12 6 1 1 5 0 Nombre total de dipl m s 14638 14782 40 327 28005 024743 Source UNESCO UIS http stats uis unesco org donn es extraites le 25 mars 2013 Remarques n gligeable donn es manquantes 4 Trois des externalit s positives incitant investir dans
13. i le S n gal o l quipe d ex cution minist rielle en charge du projet en cours aid par la BM apportera galement son soutien la mise en uvre du Projet ii la CNU au Nigeria o le personnel cl impliqu dans un projet de science et technologie aid par la BM r cemment cl tur facilitera et supervisera la mise en uvre du Projet 111 dans La Gambie le projet recourra galement l quipe gouvernementale en charge de l ex cution d un autre projet aid par la BM pour la gestion fiduciaire du projet de CEA et iv au Burkina Faso 21E l tablissement s lectionn pour accueillir le CEA b n ficie actuellement d un programme parall le Dans les autres cas B nin Cameroun et Togo le gouvernement supervisera 54 l ex cution par le biais du personnel composant le comit national d examen conjointement avec la supervision de la Banque L Centres d excellence africains CEA 9 Chaque CEA s lectionn sera charg de mettre en uvre sa propre proposition dans le cadre de la composante 1 Il r alisera au niveau national et r gional les activit s du projet relevant de ses responsabilit s respectives et en assurera le suivi Le CEA fera en sorte que les fonds du projet soient planifi s et investis dans le respect du calendrier et du cadre convenus lors de la pr paration 10 Le CEA disposera au sein de l universit d une quipe CEA multisectorielle impliquant un chef de CEA
14. les minist res relatifs aux CEA s lectionn s le minist re des Finances et les CEA s lectionn s y seront repr sent s Le Comit national comptera approximativement 5 7 membres Il se r unira deux fois par an Sa composition et les termes de r f rence de ses membres pourront varier d un pays l autre Des mod les de TdR figurent dans le Manuel d ex cution r gionale du projet 24 Les repr sentants du CEA paieront leurs frais de d placement et d penses sur les fonds du projet PURF sur ceux de la composante 2 et les repr sentants du gouvernement seront financ s par leur gouvernement Les d penses logistiques mineures li es la pr paration et la conduite des r unions du Comit national d examen seront financ es et administr es par les CEA Ces d penses devront tre clairement identifi es Le renforcement des capacit s des membres du comit national ne pourra tre entrepris que via l URF V Modalit s d ex cution sp cifiques pour le Nigeria 28 Dix des 19 centres d excellence s lectionn s tant situ s au Nigeria le dispositif de mise en uvre du projet pour ce pays sera similaire aux modalit s d ex cution d crites ci dessus avec en addition la Commission nationale des universit s qui r alisera la coordination fiduciaire et administrative et apportera son appui aux CEA La Federal Project Financial Management Division FPFMD Division f d rale de gestion financi re du projet
15. URF AUA 35 Nombre de CEA tablissements Cet indicateur est centr sur la mesure de la Qualit administrative gouvernance du programme rapportant sur au moins 85 de leurs indicateurs soumettant le CR PAUA en temps voulu Nombre d tudiants originaires de pays Cet indicateur est centr sur la mesure du R gionalisme du programme n abritant pas de CEA tudiant dans les Notes Cet indicateur ne fait r f rence qu la Composante 2 3 Les pays n h bergeant pas de CEA CEA s lectionn s sont les pays participant au projet au titre de la composante 2 3 en particulier La Gambie B n ficiaires directs du projet Il s agit d un indicateur de base mesurant le nombre de b n ficiaires directs du projet lequel est obtenu par le nombre d tudiants inscrits dans les nouveaux programmes de ma trise et doctorat et formation de courte dur e sp cialis s le nombre d enseignants form s par les CEA et le corps professoral b n ficiaire dans les 19 CEA s lectionn s 36 Tableau 2 Indicateurs li s au d caissement par Centre d excellence africain recevant 8 millions de dollars Indicateur li Action r aliser Montant du Formule de au financement calcul du d caissement allou exprim d caissement en quivalent exprim en dollars quivalent dollars ILD 1 e La repr sentation nationale au sein du Comit de pilotage a 800 000 800 000 Sp cialisation a
16. accouchements assist s par des professionnels de la sant infirmi res ou sages femmes survie des enfants dans la premi re p riode de la vie nombre de check up p riodiques d pistage du VIH et ainsi de suite Deuxi mement une recrudescence des professionnels de la sant b n ficie au bout du compte galement aux pauvres car si souvent la disponibilit de professionnels de la sant augmente dans les zones plus riches elle se produit ult rieurement dans les r gions pauvres et rurales Troisi mement le nombre de professionnels de la sant est corr l positivement la croissance conomique Soucat et al p 133 7 En outre il ya un manque de dipl m s sp cialis s sur les secteurs des ressources naturelles et les institutions qui sont en mesure de fournir des services en Afrique Cherchant d velopper leurs ressources naturelles les pays africains s impliquent de plus en plus dans l exploitation mini re et l industrie extractive Le secteur de l industrie extractive est d une importance cruciale pour les pays africains car il peut aider stimuler leur conomie et am liorer leurs objectifs de d veloppement au travers d une politique sociale long terme Souvent les entreprises doivent supporter le co t d embauche lev de travailleurs trangers qualifi s dipl m s en sciences et en ing nierie Ainsi le projet de Centres d excellence est d une particuli re pertinence dans la mesure o
17. ad quation des capacit s des personnes travaillant sur le projet en particulier du personnel uvrant la passation des march s pond rer le mod le de projet r gional unique de Centres d excellence avec le besoin de flexibilit permettant une adaptation aux sp cificit s de chaque pays et universit participant procurer d amples opportunit s d apprentissage par les pairs entre les CEA et les gouvernements Ceci implique des rencontres r guli res de tous les CEA et un flot d changes continu d informations sur les bonnes et mauvaises pratiques Faire en sorte que les incitations con ues notamment pour la production de r sultats une ex cution dans les d lais et l instauration d une auto surveillance institutionnelle ad quate soient maintenues en place La strat gie de mise en uvre et de surveillance repose sur plusieurs m canismes qui permettront un meilleur soutien l ex cution apport au gouvernement ainsi qu un suivi opportun et efficace Aussi les m canismes d appui et de supervision comprennent ils a Une collaboration hebdomadaire avec l quipe de l AUA pour renforcer l appui commun la mise en uvre du projet et les outils de supervision entre autres des mod les g n riques utilisables par les universit s pour l ex cution le suivi et la surveillance d ensemble du projet Les CEA et le Comit de pilotage auront constamment leur mot dire sur les questions
18. appui existant au sein de l enseignement sup rieur que ce soit dans la sph re globale du projet ou dans des secteurs ou pays sp cifiques qu ils soutiennent Ce soutien cet int r t et cet engagement de la part des partenaires a d j largement port ses fruits dans la phase de pr paration et pourraient s toffer encore pour devenir un atout ph nom nal pour le projet les CEA les gouvernements et la Banque Les partenaires apportent au programme une assistance technique AT et un financement l AT qui aideront sans aucun doute les CEA concr tiser les r sultats attendus du projet Dans le m me temps pour que les CEA parviennent aux r sultats escompt s le projet apporte un investissement et des incitations cons quents augmentant la probabilit de succ s et de situations gagnant gagnant 31 Les types de partenariat ci dessous avec des partenaires identifi s sont actuellement pr vus e Appui financier des CEA suppl mentaires dans le m me cadre L quipe tudie cette option avec des partenaires bilat raux et multilat raux e Le renforcement des capacit s des CEA En premier lieu Carnegic Corporation est tr s active dans le domaine du renforcement des capacit s des universit s s lectionn es dans des domaines cruciaux pour le bon accomplissement du pr sent projet Ces domaines recouvrent la collecte de fonds et l tablissement de Fonds de dotation par le biais d un don de Carnegic CA
19. cennies La mise niveau permanente des comp tences du corps enseignant des programmes et des quipements n cessitera n anmoins de poursuivre les investissements Ces investissements d pendront des capacit s de l tablissement g n rer et conserver ses revenus intrins ques au fil des exercices financiers successifs 58 La viabilit des am liorations touchant la gouvernance comme un largissement de l autonomie institutionnelle est consid r e comme tr s probable Ces am liorations apport es la gouvernance donnent le pouvoir aux tablissements de surmonter les obstacles que le syst me n est lui pas capable de surmonter pour des raisons politiques ou par manque d inertie de fa on innovante et personnalis e 59 Assurer la p rennisation des financements pour maintenir l excellence des Centres sera un v ritable enjeu Les gouvernements sont fortement d termin s poursuivre leur soutien l enseignement sup rieur mais l exp rience montre que les Centres ont besoin de g n rer des ressources externes pour proc der de nouveaux investissements en quipements mat riels et d veloppement du corps enseignant Renforcer la capacit et l habitude de g n rer des fonds de ce type par exemple d riv s de services de conseils ou de frais de scolarit occupe donc une place importante au sein du projet notamment par le biais d un ILD garantissant une parit dans la proportion de 1 p
20. l approche ILD Resp tat tape R currence ch ance Fr quence 2 Risques li s aux organismes d ex cution notamment fiduciaires 2 1 Capacit s Notation Important Description du risque Une capacit organisationnelle insuffisante de gestion ad quate de la mise en uvre du projet peut s av rer probl matique De plus la capacit de gestion fiduciaire peut se r v ler insuffisante en termes de passation des march s de financement de rapportage et d audit des CEA candidats Les CEA peuvent ne pas disposer des connaissances techniques et des capacit s op rationnelles suffisantes pour diriger et g rer les aspects de r mun ration fond e sur la performance introduits dans le projet ce qui inclut la gestion de contrats multiples par ex avec l acheteur et la contre v rification des donn es Cela peut augmenter le risque d erreurs dans le rapportage Gestion des risques Le processus de s lection des CEA a pris en consid ration les n cessaires capacit s organisationnelles physiques et fiduciaires requises pour la mise en uvre du projet De plus les CEA b n ficieront d un appui l ex cution de la part de la Banque et de diff rents autres acteurs intervenant dans la mise en uvre du projet y compris du Comit de pilotage des CEA et de l Unit r gionale de facilitation Le financement dans le cadre du projet lui m me ainsi que la jonc
21. lectionn es instaurant des Centres d excellence africains Pris individuellement le CEA est responsable de la planification strat gique de la pr paration de la proposition de la mise en uvre du projet du suivi et de l valuation et des rapports Gouvernements L appui l ex cution et la supervision du projet au niveau national seront men es par le Comit national d examen et de la performance du projet URF h berg e au sein de l Association des universit s africaines L AUA coordonnera et facilitera les activit s r gionales du CEA des institutions partenaires et sera responsable de l ex cution des activit s r gionales pour les pays participants au projet sans disposer de CEA Comit de pilotage des CEA Le projet sera r alis sous la direction g n rale et la supervision du CP des CEA dont la t che principale est de d finir des orientations politiques et d aider les CEA assurer l accomplissement des objectifs du projet Institutions partenaires et secteur priv R le des partenaires au d veloppement et partenaires internationaux de l enseignement sup rieur Cette annexe pr sentera galement plus d informations sur les dispositions fiduciaires du projet eu gard la gestion financi re la passation des march s les sauvegardes et le S amp E La capacit fiduciaire disponible au sein de l enseignement sup rieur ou d un projet connexe fournira au CEA un appui la mise en uv
22. les taux de rentabilit personnelle sont calcul s dans le cadre des hypoth ses exprim es ci dessous Aux fins de l estimation de l analyse co ts b n fices les co ts et les b n fices sont ensuite multipli s par le nombre de dipl m s cens s s inscrire dans les programmes d tudes sup rieures Co t d opportunit repr sente une perte de la capacit productive mesur e comme une perte de gains pour la personne qui s inscrit des tudes de troisi me cycle dans les Centres d excellence Il est suppos que cette personne ne resterait pas oisive ou sans emploi si elle ne s inscrivait pas Obtention de dipl me on fait l hypoth se qu il a fallu quatre ann es une personne dipl m e d une universit pour d crocher son dipl me Alors que le projet CEA cible les tudiants en ma trise et doctorat l analyse co ts b n fices a t r alis e pour l enseignement sup rieur en g n ral tudiants de premier cycle tudiants en ma trise et doctorat confondus attendu l absence de donn es sur les salaires des dipl m s du troisi me cycle dans ces pays Co ts directs Ces co ts sont des co ts li s l ducation comprenant les frais de scolarit les livres la nourriture les uniformes et les frais de transport Ces co ts ont t obtenus partir des banques de donn es sur les m nages 108 e Taux d inflation Taux d inflation gal z ro de fa on ce que les
23. res ainsi que de g ologues et de sp cialistes de l environnement et des questions juridiques Dans de nombreux pays de la r gion ces postes sont actuellement occup s par des expatri s toutefois dans une moindre mesure au Nigeria et au Ghana Plus important encore le manque de comp tences concernant les industries extractives emp che les pays africains de disposer de fournisseurs locaux g n rant des retomb es conomiques au plan national et des emplois suppl mentaires Un autre exemple de comp tence indispensable se rapporte l expertise du personnel de sant pour suivre les grossesses et les accouchements sant maternelle et infantile ODM 4 et 5 ou traiter des maladies infectieuses et chroniques L inad quation des comp tences en obst trique p diatrie ou chirurgie g n rale en maladies infectieuses maladies tropicales n glig es et en sant g n sique requises en particulier dans le corps professoral pour former les personnels de sant repr sente une entrave majeure La p nurie de comp tences est galement tr s pr sente dans l agriculture Une r volution verte est n cessaire l Afrique et l agriculture conna t un regain d int r t de la part des investisseurs En effet ces investissements n ont pas t accompagn s par un d veloppement en cons quence du capital humain Au Br sil les programmes de ma trise en sciences agricoles et les centres de recherche ax s sur les probl mes ont st
24. s un seuil similaire quivalant celui des AON en la mati re dans une fourchette maximum de 3 20 millions de dollars La valeur cumul e maximale des march s de travaux publics au titre du projet est limit e 25 du don accord au CEA et dans tous les cas 2 millions de dollars en raison d une priorit accord e aux intrants destin s am liorer la qualit de l enseignement Le plan d ex cution d taillera de fonctionnement et de formation ligibles Il introduira galement la n cessit pour chaque CEA d avoir un rapport de v rification par une tierce partie de la passation des march s g n ralement sur une base annuelle pouvant tre combin avec le rapport annuel d audit financier 75 Processus et proc dures de passation des march s au titre de la Composante 2 Pour la composante 2 mise en uvre par PURF h berg e au sein de PAUA par la Commission nationale des universit s au Nigeria et l Unit de coordination du projet au minist re gambien de l enseignement primaire et secondaire les plans de travail annuels approuv s incluront les plans budg taires et les plans de passation des march s seront revus et approuv s par l IDA Les processus de passation des march s seront labor s en conformit avec les Directives de la Banque mondiale en date de janvier 2011 1 Directives Passation des march s de fournitures de travaux et de services autres que des services de cons
25. s d audit externe des entit s d ex cution Audit e par Audit e par Exercice Pays Entit d ex cution une instance un cabinet comptable sup rieure priv Institut International d Ing nierie de l Eau et de l Environnement A Jan d c iE 75 Audit e par Audit e par Exercice Pays Entit d ex cution une instance un cabinet comptable sup rieure priv Universit d Abomey Calavi Benin A Jan d c Universit de Yaound 1 UY1 Cameroun A Jan d c Universit de Cheikh Anta Diop S n gal A Jan d c Universit de Lom Togo A Jan d c Universit du Ghana UG WACCI A Jan d c Universit du Ghana UG WACCBIP A Jan d c Kwame Nkrumah University of Science amp Technology KNUST A Jan d c Redeemers University Mowe Ogun State A Sept ao t African University of Science and Technology Abuja Nigeria A Jan d c Federal University of Agriculture Abeokuta Nigeria A Jan d c Ahmadu Bello University Zaria Nigeria A Jan d c University of Jos Nigeria A Jan d c University of Benin Nigeria A Jan d c University of Port Harcourt Nigeria A Jan d c UCP au minist re de l enseignement primaire et secondaire A Jan d c MOBSE L Unit r gionale de facilitation URF bas e l Association des A Juillet juin universit s africaines AUA 68 Au cour
26. sous l gide du minist re de l ducation au fonds consolid ou au compte unique du Tr sor Depuis les sous comptes du projet les fonds seront d caiss s au compte de projet du CEA sous le contr le du CEA Les fonds du compte de projet du CEA serviront alors au r glement des d penses d investissement ligibles Le diagramme ci dessous repr sente ce dispositif de versement des fonds Funds How Diagram for component one 2 Arrangement Submission of verified and DGRA MOF SUB ACCOUNT IN CONSOLIDATED A h roval approved FUND SINGLE TREASURY ACCOUNT IN F pB DLs PPS DESIGNATED CFA OR LOCAL CURRENCY financial ACCOUNT IN USD reports and withdrawals applications Funds transfer ACE PROJECT ACCOUNT IN F CFA OR LOCAL CURRENCY ACE ELIGIBLE INVESTMENTS 60 Risques li s au processus de versement des fonds Des retards dans la soumission des demandes de d caissement pour remboursement avec les ILD aid s et des retards dans le 72 transfert des fonds par le minist re des Finances au compte de projet du CEA constituent les risques majeurs Ceux ci seront att nu s par l existence d un ILD encourageant la soumission la Banque des demandes de d caissement en temps opportun d un engagement du gouvernement dans le cadre des rapports soumis la Banque investir dans le CEA au travers d une ligne budg taire sp cifique de la preuve du transfert des fonds par le minist re des Finances au CEA e
27. sultats quand l un des partenaires joue les chefs de file dans l h bergement De plus une initiative r gionale r ussie requiert une gestion de la qualit des modalit s de financement et des structures de gouvernance claires et reconnues comme l gitimes par tous les partenaires Les partenariats doivent tre b tis de fa on volontariste avec des b n fices mutuels identifi s La structure et le mode op ratoire d une initiative r gionale r ussie se doivent galement de dissiper le sentiment qu elle aurait un effet n gatif sur les institutions nationales existantes en d tournant des ressources au profit du noyau r gional En Afrique la langue et l tendue g ographique sont d importants facteurs suppl mentaires qui fa onnent la collaboration r gionale dans l enseignement sup rieur 40 Principales le ons tir es des projets d enseignement sup rieur forgeant le pr sent projet i une approche du bas vers le haut reposant sur l laboration de leurs propres propositions par les tablissements mais r clamant un alignement sur les d fis de d veloppement nationaux et r gionaux et sur les partenaires industriels et qui cherche galement accro tre l appropriation et la capacit de mise en uvre ii un processus de s lection comp titif fond sur le m rite transparent et d taill constitue la r f rence absolue pour le financement de l enseignement sup rieur iii les contrats de performance y co
28. tre investis dans les partenariats et au moins 10 pour cent dans des activit s partenariales avec des partenaires africains non nationaux Un accord de partenariat entre les CEA et leurs partenaires respectifs d taillera le plan de travail les budgets et les r sultats de cette convention En outre les travaux de g nie civil seront limit s 25 pour cent du don Cet accord comprendra les engagements pr vus par le gouvernement pour poursuivre le financement du personnel de l tablissement en tant que part int grante de cet accord de performance et de financement l int rieur de ces dispositions les tablissements auront toute latitude pour mettre en uvre leur propre proposition institutionnelle sp cifique qui couvre les six l ments suivants e Am liorer la capacit dispenser une formation r gionale de haute qualit qui r ponde au d fi du d veloppement incluant entre autres d actualiser les programmes d enseignement existants ou d en cr er de nouveaux pour satisfaire au d fi de d veloppement satisfaire 11 aux normes internationales de qualit de l enseignement par ex accr ditation internationale dispenser des formations de courte dur e aux professionnels attirer une masse critique d tudiants de la r gion formation du corps enseignant pour introduire de nouvelles approches p dagogiques et didactiques renforcer l apprentissage sur le lieu de travail comme les stages encourager
29. troli re University of Port Harcourt Nigeria STIM CEA Eau et assainissement de l environnement Kwame Nkrumah University of Science and STIM Technology Ghana CEA Science technologie et savoir Obafemi Awolowo University Nigeria STIM 4 Cette description de la composante exposera tout d abord le processus de s lection des Centres puis d crira les activit s du projet pour les CEA et d taillera enfin les param tres du contrat de financement et de performance Le processus de s lection concurrentielle 5 Les 19 CEA ont t s lectionn s selon un processus ouvert rigoureux transparent comp titif et fond sur le m rite comme expos dans le protocole d valuation diffus aupr s du public Le processus a consist dans les tapes suivantes i laboration du concept de projet et avant projet de processus de s lection ii Consultations sur la conception du projet ui Consultation et d veloppement conjoint d un projet avec les pays int ress s par le Projet et avec la disponibilit de l IDA iv Consultations sur l avant projet de processus de s lection et r vision de sa conception v Appel propositions lanc aux tablissements des pays d sireux d investir des ressources disponibles de l IDA vi Sessions d information pour la pr paration et la soumission de la proposition conduites par les gouvernements vii Soumission de la proposition par l tablissement au Gouvernement lequel la so
30. tudiants ventil inscriptions des donn es 27 r gionaux inscrits dans les nouveaux cours de courte des CEA soumises par les CEA v rifi es sur la base d un dur e sp cialis s chantillon et programmes de Ma trise et Doctorat Registres des certificats Nombre de des CEA programmes rapports AUA sur la base nt Nombre 3 5 7 10 12 15 nee le 0 a ee COS accr dit s au on soumises par niveau international chaque CEA international e ou d organismes d valuation Nombre d tudiants et d enseignants ayant fait au AUA sur la base maids RES Nombre 1 037 1700 2700 lasog 5100 5900 Isemestriene BEEST des donn es stage en CEA soumises par les entreprise ou dans CEA un organisme correspondant leur fili re Montant des Eee AUA sur la base revenus g n r s Montant POARC IE des donn es 976 877 2 000 000 3 500 000 5 000 000 6 500 000 8 000 000 semestrielle des CEA l externe par les dollar individuelle soumises par CEA chaque CEA ment 28 Indicateurs des r sultats interm diaires Responsabilit Valeurs cumulatives cible Source des collecte des donn es donn es Responsa M thodologi ni bilit Nom d Unit d Base d Cibl e Base mn D j so AN I AN 2 AN3 collecte Ba Fr quence l indicateur mesure r f rence des finale donn es Nombre d tudiantes inscrites dans les nouveaux AUA lab programme
31. une moindre assistance technique Composante 2 3 Services r gionaux tir s par la demande La Gambie co t total y compris impr vus 3 0 millions de dollars 37 L objectif de cette sous composante est d appuyer en s axant sur la demande un pays sans Centre d excellence par le biais des services r gionaux des centres d excellence africains La Gambie recevra un financement pour l achat aupr s d un CEA de services d enseignement destination des universit s nationales et pour le perfectionnement professionnel des fonctionnaires afin de r pondre aux besoins nationaux cruciaux en mati re de comp tences et de formation Cette approche fond e sur la demande dans laquelle le gouvernement et les tablissements nationaux d cident du type de services d ducation n cessaires et du Centre d excellence aupr s de qui se fournir vise tendre largement les b n fices du projet de Centres d excellence africains travers toute l Afrique de l ouest et du centre et favorise les CEA les plus ax s sur la demande La sous composante propos e contribuera aux indicateurs de performance suivants i part de la formation r gionale de professeurs dans les CEA ii part de la formation d tudiants r gionaux dans les CEA et 111 nombre de documents de recherche universitaire nationaux co crits avec des professeurs non nationaux 38 Les services ventuels que les Centres d excellence pourraient fourn
32. unions trimestrielles entre les CEA et l URF x Avant les missions de supervision aider les CEA pr parer les rapports semestriels d ex cution du projet xi Faciliter le partage d exp rience entre les CEA candidats notamment au moyen d ateliers de partage des connaissances entre les CEA et les tablissements partenaires xii Promouvoir les partenariats des CEA entre eux et des CEA avec des tablissements partenaires La liste d taill e des t ches est disponible dans le Manuel d ex cution r gionale 17 Un accord de financement entre la Banque et l URF d finira les termes et conditions de cet engagement Le financement de l URF rel vera de la composante 2 La principale mission de URF est de faciliter la coordination du projet et d appuyer la mise en uvre des CEA L URE disposera d un facilitateur de projet qui supportera l enti re responsabilit de la gestion de la facilitation du projet L UFR sera galement dot e pour les besoins du Projet d un personnel professionnel avec les comp tences requises en comptabilit S amp E et gestion de projet L UFR sera principalement compos e de personnel de coordination de projet et de S amp E car l ex cution des activit s du projet sera entreprise par les tablissements s lectionn s eux m mes Les fonds relatifs la composante 2 1 seront revers s l URF en change d un plan de travail et d un plan de passation des march s convenus a
33. 2014 Avant la r union de prise de d cision un jeu g n ral des directives de bonnes pratiques en gestion environnementale et sociale a t diffus dans la r gion 26 Annexe 1 Cadre de r sultats et suivi Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique P126974 Cadre de r sultats Objectifs de d veloppement du projet nonc de l ODP L objectif de d veloppement du projet est d aider ses b n ficiaires promouvoir la sp cialisation r gionale entre les universit s participantes dans les fili res qui r pondent aux d fis r gionaux en renfor ant les capacit s de ces universit s d livrer une formation et de la recherche appliqu e de qualit Ces r sultats sont Au Niveau du projet Indicateurs de l objectif de d veloppement du projet Responsabilit Valeurs cumulatives cible Source de collecte des donn es donn es Nom d Unit d Base d Cibl M thodologi en e Base N 7 e e AN1 AN2 AN3 AN 4 pes Fr quence ot l indicateur mesure r f rence finale e Nombre d tudiants nationaux et r gionaux inscrits AUA sur la base dans les nouveaux a Ues des donn es Nombre 1 580 4 100 7 400 9 500 12 000 15 600 semestrielle inscriptions cours de courte des CEA soumises par les dur e sp cialis s CEA et programmes de Ma trise et Doctorat Nomb Nomb Registres des AUA la b Re as 987 2250 Jaio lsa Irem S900 lens o 0 ces SUR Sur la Dasg d
34. 4 13 9 Lettres et arts 14 5 11 4 6 4 2 2 Sciences sociales affaires et droit 52 5 55 6 59 2 43 2 40 2 Sciences 3 5 15 0 17 0 15 5 9 9 Services 7 5 5 5 2 9 Programmes non sp cifi s 12 6 1 1 5 0 Nombre total de dipl m s 14 638 14 782 40 327 28 005 1024 743 Source UNESCO UIS http stats uis unesco org recherch le 25 mars 2013 6 L enseignement sup rieur en Afrique occidentale et centrale est sous d velopp et n a pas t une priorit au cours de deux derni res d cennies L acc s l enseignement sup rieur pour le groupe d ge concern demeure 5 la moyenne r gionale la plus basse du monde peine un cinqui me de la moyenne internationale d environ 25 De plus les femmes sont sous repr sent es dans l enseignement sup rieur en particulier dans le domaine des S amp T Pas une seule universit africaine ne figure parmi les 500 meilleurs tablissements mondiaux d enseignement De surcro t des r formes de rattrapage se sont accumul es au fil des derni res d cennies Les taux lev s d exode des cerveaux hors Afrique en qu te d opportunit s de formation et de recherche l tranger la fuite des cerveaux sont une cons quence majeure du sous d veloppement des tablissements d enseignement sup rieur Par exemple le peu d opportunit s de formation de 3 cycle offertes aux personnels de sant en Afrique dans le secteur de l obst trique de la p dia
35. Am rique une forte volont d aider l enseignement sup rieur africain Au travers de son dispositif de financement et de mise en uvre du partenariat le pr sent projet vise fournir un cadre de responsabilisation et de clart en conformit avec un investissement de grande ampleur pour compl ter l norme potentiel d avantages retirer d changes acad miques entre universit s africaines et celles d autres continents tant en termes de savoir acad mique que de pratiques de fonctionnement universitaire et d enseignement Illustrons avec un exemple le CEA pour le West Africa Centre for Crop Improvement WACCI l Universit du Ghana coop re au sein de la r gion avec le Directorate of Crop Services le minist re de l Alimentation et de l Agriculture l Universit Ladoke Akintola de technologie au Nigeria l Institut national de la recherche agronomique du Niger l Institut d conomie rurale IER au Mali et hors Afrique avec les Universit de Cornell Universit de l Iowa et Purdue University aux tats Unis Le projet est galement en partenariat avec Carnegie Corporation pour le renforcement des capacit s ainsi qu avec le gouvernement australien pour un appui technique dans le domaine des qualifications pour le secteur minier 52 Le projet sera mis en uvre en conformit avec le Plan d ex cution du projet qui comprendra le Manuel de gestion financi re le Manuel et les Plans de passation de mar
36. CEA ainsi que des lacunes et obstacles surmonter Les risques li s la mise en uvre des CEA s lectionn s sont trait s dans le Plan d appui aux capacit s d ex cution Ces risques comprennent i l inertie du corps professoral ii l absence d incitations iii des processus excessivement lourds iv la demande de pots de vin pour faciliter le processus v le manque de connaissance du processus et vi l absence de d centralisation au sein de l universit II Unit r gionale de facilitation h berg e au sein de l Association des universit s africaines 14 D URF sera accueillie au sein de l AUA L AUA sera responsable de la mise en uvre de la composante 2 1 du projet ce qui implique d aider l agr gation des rapports de S amp E pour les CEA et de renforcer leurs capacit s non seulement de gestion de projet mais aussi leurs capacit s au niveau de l enseignement Cela inclura galement un soutien au d veloppement de base de donn es et selon les besoins des consultances pour la v rification ind pendantes des rapports de S amp E 15 L AUA a satisfait aux crit res requis pour faire office d agence technique pour le projet r gional Ces crit res taient i une aptitude prouv e g rer les fonds de PIDA et d autres bailleurs ii des relations de travail tablies avec les tablissements d enseignement sup rieur iii la preuve d une exp rience de travail intersectorie
37. Sp cialiste des services AFTA2 services l agriculture l agriculture Himdat Iqbal Bayusuf Consultant en ducation Sp cialiste ducation AFTEW xiii et technologie Atou Seck conomiste senior en ducation S n gal AFTEW ducation Eunice Yaa Brimfah Sp cialiste senior en ducation Ghana AFTEW Ackwerh ducation Hyacinthe Gbaye conomiste de ducation B nin AFTEW l ducation Adama Ouedraogo Sp cialiste senior en ducation Burkina Faso AFTEW ducation Olatunde Adekola Sp cialiste senior en ducation Nigeria AFTEW ducation Shobhana Sosale Sp cialiste senior en ducation Cameroun AFTEW ducation Pamela Mulet Consultante ET ducation Togo AFTEW Nathalie Lahire Sp cialiste senior en ducation La Gambie AFTEW ducation Janet Omobolanle Adebo Adjointe de l quipe Adjointe de l quipe AFTEW Hille Frey Consultant S amp E et accr ditation AFTEW Christopher H Herbst Sp cialiste sant Sp cialiste sant AFTHW Carl Erik Schou Consultant ET ducation agriculture AFTA2 Ok Pannenborg Consultant ducation la sant AFTEW Kristina Svensson Agent senior des Industries extractives SEGM1 op rations Isabella Micali Drossos Conseill re senior Conseill re senior LEGOM Luis M Schwarz Responsable senior des Responsable senior des CTRLA finances finances Patrick Piker Umah Tete Sp cialiste senior de la Gestion fina
38. au domaine de sp cialisation du CEA candidat Un accord de partenariat d taill liant le CEA candidat et chaque tablissement partenaire sp cifiera la nature de leur partenariat Le CEA et l tablissement r seau partenaire conviendront d un plan d ex cution annuel conjoint mettre en uvre par les partenaires Les fonds pour le renforcement des capacit s dans les tablissements partenaires seront sous le contr le de et g r s par les CEA servant de centres n vralgiques Les CEA respectifs seront responsables de toutes les questions fiduciaires et de S amp E relatives l utilisation de ces fonds de partenariat iii Le CEA sera responsable de ses propres fonctions de fiducie et de sauvegarde Cela comprend de passer ses propres march s de tenir les comptes financiers du Projet en se conformant aux exigences du Projet au plan de suivi valuation de l ex cution du Projet ainsi qu au plan de gestion environnementale Les activit s d taill es de chaque CEA sont fournies dans le Plan d ex cution 55 12 Chaque CEA pr parera un Plan d ex cution Ce plan d ex cution inclura le Manuel de gestion financi re et le Manuel de la passation des march s qui constitueront les r nes en main des CEA pour conduire la mise en uvre du Projet Ce plan comportera galement i les termes de r f rence les fonctions et responsabilit s des membres des quipes d ex cution ou du personnel des CEA travaillant sur le
39. aux technologies m me d aider les pays rattraper leur retard plus rapidement et des investissements rendus possibles par une pargne plus lev e Par cons quent les avantages de cette analyse co ts b n fices sont cantonn s aux salaires en n gligeant un certain nombre d externalit s telles que l impact des dipl m s sur leurs coll gues la recherche sur les am liorations de la productivit l innovation etc 107 Tableau 4 Statut b n fices et co ts B n fices Co ts Personnel tout au long de la vie B n fices Co t direct Scolarit autres individuel inh rents la productivit frais manuels scolaires Employabilit Co t indirect Mobilit d opportunit manque Qualit de vie gagner Social public Croissance conomique main Co t du projet 8 millions d uvre plus flexible adaptation technologique et entrepreneuriat de dollars par Centre d excellence D penses publiques dans l enseignement sup rieur par tudiant Externalit s Innovation D penses conomis es au niveau des avantages sociaux b Hypoth ses 16 L analyse co ts b n fices est faite par Centre d excellence en posant l hypoth se d un centre dans chacun des quatre pays Le sc nario de r f rence suppose un individu moyen qui a termin le lyc e et envisage soit de se lancer dans une licence soit d int grer le march du travail Pour cet individu
40. cembre 2014 Semi annuels PDE pr par s en conformit avec le Manuel d ex cution du Projet r gional Description de la clause compter du 6 mois apr s la date d entr e en vigueur le b n ficiaire fournira chaque semestre l Association des rapports r guliers Rapports sur le Programme des d penses ligibles pr par s en conformit avec les dispositions du Manuel d ex cution r gionale du projet et avec les instructions suppl mentaires se rapportant la section IV A 1 de cette annexe Nom R current Date d ch ance Fr quence V rification des ILD X Semi annuelle Description de la clause applicable tous les pays except La Gambie Le b n ficiaire nommera pas au del de deux mois apr s la date d entr e en vigueur des experts ext rieurs de suivi et valuation V rificateurs ind pendants intervenant en tant que tierce partie de contr le de la bonne ex cution des ILD comme stipul e l annexe 4 de l Accord de financement Nom R current Date d ch ance Fr quence Recrutement d un auditeur externe X 31 d cembre 2014 Description de la clause applicable tous les pays compter du 6 mois apr s la date d entr e en vigueur le B n ficiaire recrutera un auditeur ind pendant externe selon des termes de r f rence et des qualifications acceptables par la Banque uuu uuu Conditions Nom Type Si
41. de d veloppement entra nant des incitations r duites la performance et la responsabilisation en mati re de r sultats Pour qu une am lioration se produise les institutions gouvernementales pourraient envisager d augmenter les interactions entre les employeurs et le corps enseignant de placer les tudiants en stage pendant leurs tudes d introduire de nouveaux programmes d enseignement ou des programmes reformul s d investir dans la formation du corps enseignant et les ressources didactiques et de donner plus de poids la mesure des r sultats et la responsabilisation l gard de ceux ci 9 L enseignement sup rieur en Afrique rencontre de lourdes contraintes s agissant de constituer une masse critique de professeurs de qualit Le pourcentage moyen d enseignants d tenteurs d un doctorat dans les tablissements publics d enseignement sup rieur en Afrique est estim moins de 20 sur la base de 10 pays de la r gion Nombre de d partements universitaires n arborent pas plus d un ou deux professeurs titulaires beaucoup proches de l ge de la retraite Cette situation ne permet pas aux d partements et universit s de dispenser un enseignement sup rieur pertinent et d instaurer des environnements de recherche stimulants De surcro t les bas salaires du corps professoral le manque de financement et d quipement de la recherche ainsi qu une autonomie restreinte sont autant d l ments
42. de l Afrique de l Ouest Communaut conomique et mon taire de l Afrique centrale Cadre d valuation des risques op rationnels Centre d excellence en technologies de l information et de la communication Comit national d examen Commission nationale des universit s Nigeria Comit de pilotage des CEA Cellule de passation des march s Comit de pilotage du programme Pr t l appui des politiques de d veloppement iii ED Eol FPFMD IDA ILD KNUST MEP MGF MoHERST MPPC MTN NCTE ODM ODP P4R PAD PDE PE PGES PhD PIB PIDAA PIS PPE P RAMS R amp D RLD S amp E SBQC SPP STIM TdR TIC UAB UCP UEMOA UNESCO UOA URF USD WACCI tat des d penses Manifestation d int r t Division f d rale de gestion financi re des projets Association internationale de d veloppement Indicateur li au d veloppement Universit de science et technologie Kwame Nkrumah Manuel d ex cution du projet Manuel de gestion financi re Minist re de l enseignement sup rieur de la recherche des sciences et de la technologie Manuel des politiques et proc dures comptables Maladies tropicales n glig es Conseil national de l enseignement sup rieur Ghana Objectif de d veloppement pour le mill naire Objectif de d veloppement du projet Programme pour les r sultats Document valuation du projet Programme de d penses ligibles Plan d ex cution du projet Plan de gestio
43. doit tre form l utilisation du syst me et une am lioration ou un ajustement au plan comptable national doit tre apport e au plan comptable de l universit 66 46 Dispositions sur le contr le interne La direction de chaque entit d ex cution est responsable de l entr e en vigueur de son syst me de contr le interne Cette responsabilit englobe de s assurer que i les fonds du projet sont utilis s avec efficience parcimonie et uniquement aux fins pr vues 11 les rapports produits par le syst me de comptabilit sont pr par s en temps et en heure pr cis ment et qu ils sont fiables et 111 les biens acquis avec les fonds du projet sont pr serv s de toute mauvaise utilisation d tournement alt ration et autres formes de malversation 47 Le syst me de contr le interne en fonctionnement suit celui d fini dans le MGF de toutes les entit s d ex cution except concernant celles n cessitant un renforcement tel que d crit plus haut Les syst mes de contr le interne seront am lior s par les syst mes de contr le sp cifiques du projet document s dans le Plan d ex cution du projet 48 Au cours de l valuation des CEA on a not que certains d entre eux avaient besoin d am liorer leur syst me de contr le interne Par exemple l Universit Ahmadu Bello et l Universit africaine de Science et Technologie toutes deux au Nigeria les rapprochements bancaires ne sont pas
44. doit inclure une annexe sur le risque fiduciaire En ce qui concerne l Universit de Yaound 1 au Cameroun il n y existe pas d unit d audit interne mais cette fonction est remplie par la Direction du budget du minist re des Finances qui r alise des examens de contr le r guliers et par l Inspection technique de la Division de l Enseignement sup rieur Pour ce qui est des universit s d Abomey Calavi au B nin et de Lom au Togo la fonction d audit interne sera assur e par l Inspection g n rale des finances Toutes les unit s d audit interne devront int grer leur plan de travail des audits r aliser sur le projet partir d une approche bas e sur les risques 50 La Banque encouragera toutes les entit s d ex cution renforcer leurs fonctions d audit interne en augmentant les effectifs au sein des unit s d audit interne rencontrant des probl mes de charge de travail tayer les manuels d audit avec les bonnes pratiques mises par l Institut des auditeurs internes par exemple comme demand par l Universit de Port Harcourt Nigeria acqu rir un logiciel d audit interne pour plus d efficacit et d efficience lors de la conduite d audits former la v rification de la performance pour optimiser l argent investi dans les 67 audits former la v rification en fonction des risques pour renforcer les comp tences d audit interne par exemple comme demand par l Uni
45. du march dans l enseignement sup rieur sont l origine du sous investissement dans le secteur Tout d abord en raison de la dissym trie de l information les 104 individus risquent de ne pas tre en mesure de conna tre la rentabilit r elle des investissements dans l enseignement sup rieur ce qui entra ne un sous investissement dans leur ducation Deuxi mement les d faillances du march occasionnent un sous investissement dans la R amp D recherche et d veloppement car il s agit d un processus risqu y compris les r glementations des droits de propri t puisque la recherche est un bien public Les individus peuvent pour la plupart acc der au savoir une fois qu il a t produit et si certains r sultats de recherche ne sont utilisables que dans des contextes sp cifiques la recherche elle est transf rable g n rant des retomb es importantes en termes de connaissances Plastina A amp Fulginiti 1 2012 Troisi mement la recherche produite en Afrique b n ficiera des connaissances locales dans des domaines essentiels tels que l agriculture tant donn les externalit s de l enseignement sup rieur les gouvernements peuvent tre gagnants en entrant en sc ne et en introduisant des mesures incitatives pour promouvoir l acquisition par la jeunesse de qualifications plus lev es Ceci est d autant plus pertinent que les d cideurs sont pr occup s par le ch mage des jeunes et le sous emploi d
46. en vigueur Ce manuel d crira les proc dures de passation des march s applicables utiliser par les 78 CEA incluant les syst mes de la BM et nationaux pertinents De plus les activit s de passation de march s seront d taill es dans les plans de travail annuels approuv s y compris les plans budg taires et les plans de passation des march s pour chaque CEA 73 De surcro t deux indicateurs de performance ILD pour les activit s de passation de march s sont tablis fix s 5 maximum du financement du CEA Dans la majorit des CEA il s agira d un montant s levant au maximum 400 000 quivalents dollars sur la base d un montant total du don de 8 millions de dollars Deux crit res de performance ILD de la passation de march s sont fix s dans ce PAD l Annexe 1 tableau 2 a v rification par une tierce partie du processus de passation des march s audit b ponctualit des progr s de la passation des march s 25 de l ensemble des contrats de march s sign s l ann e 1 55 l ann e 2 100 l ann e 3 et v rification de l installation l ann e 4 74 Le Manuel de passation des march s acceptable par l IDA limitera les seuils de la passation des march s de fournitures un maximum de 0 3 0 5 millions de dollars selon le seuil du pays concern pour les appels d offres nationaux AON utilis pour le financement de PIDA pour les march s de travaux ils seront limit
47. en tant qu unit de facilitation Les deux ensemble mesurent les progr s du programme dans son entier 86 Le suivi et l valuation seront principalement entrepris par chacun des CEA s lectionn s par le biais de leurs sources de donn es des outils de suivi et bases de donn es qui seront tablies et ou fa onn s sp cifiquement pour le projet Il est attendu de chaque CEA qu il tablisse un syst me de suivi et d valuation dans lequel le CEA a la responsabilit de collecter les donn es relatives aux indicateurs convenus Un consultant est le cas ch ant susceptible d tre employ par l interm diaire de l AUA en coordination avec la Banque mondiale pour examiner ces syst mes et m canismes de suivi et conseiller les CEA en les installant et les am liorant La premi re consultance sera en place au d but du programme pour garantir que les syst mes requis sont cr s et en place au moment du d marrage de la phase d ex cution Dans le courant de l ex cution du projet ces syst mes pourront tre r examin s et leur ad quation valu e tous les deux ans pas plus tard que 4 6 semaines avant le cycle de rapportage suivant 87 Les m canismes additionnels d examen des CR des CEA ainsi que de leurs outils de suivi et de leurs donn es incluront a des rapports d avancement institutionnel et des rapports d audit interne sur la qualit et l efficience b une v rification par une tierce partie
48. enseignement des programmes de d veloppement professoral pour le corps enseignant r gional des conf rences et des travaux de recherche conjoints un partage de l acc s la recherche sp cialis e du mat riel didactique et des ressources documentaires exposant ainsi tudiants et enseignants des environnements et mat riels diff rents d apprentissage des changes d tudiants et de professeurs une organisation conjointe de cours sp cifiques niveau 3 cycle par exemple 27 Les tablissements s lectionn s continueront revoir et actualiser leur plan d action de partenariat universitaire en fonction des commentaires de l valuation en tenant compte des consid rations de nouveaux partenaires Un accord de partenariat universitaire est en cours d laboration par les Centres d excellence en troite collaboration avec les partenaires et cosign par l ensemble des principaux partenaires Cet accord sera partie int grante du contrat de performance et de financement signer avec le gouvernement Le plan d action de partenariat universitaire sera r examin et r vis mi parcours Construire et utiliser des partenariats industriels r gionaux et nationaux 28 L objectif primordial de ces activit s est double volet i fournir des comp tences et des connaissances pour relever le d fi du d veloppement mettre l enseignement sup rieur au travail et ii b n ficier au CEA gr ce une meilleure pe
49. et des infrastructures le secteur des services comme les m decins et les industries extractives font d faut dans la r gion Afrique Ceci est d autant plus essentiel que r pondre ces manques de main d uvre qualifi e aiderait les individus obtenir de meilleurs emplois et permettrait aux pays de d brider tout leur potentiel de croissance en tirant parti de la technologie pour rattraper leur retard Tableau 1 Taux d inscription dans l enseignement sup rieur dans les diff rentes r gions du monde 2000 2010 tats Arabes 19 4 23 7 Europe centrale et de l est 43 1 65 7 Asie de l Est et Pacifique 15 8 29 0 Am rique latine et Cara bes 22 8 40 6 Am rique du Nord et Europe de l Ouest 59 9 75 6 Asie du Sud et de l Ouest 8 6 16 7 100 Afrique subsaharienne 4 3 6 8 Source UNESCO UIS http stats uis unesco org donn es extraites le 25 mars 2013 3 Avec 7 en 2010 l Afrique a le taux d inscription dans l enseignement sup rieur le plus faible parmi les r gions du monde voir tableau 1 Alors que les pays africains ont r ussi am liorer l acc s et l inscription dans l enseignement primaire au cours des derni res ann es il faut faire beaucoup plus pour am liorer les taux d inscription dans les strates de l enseignement sup rieur L Afrique a un faible nombre de dipl m s en agriculture sciences ing nierie et sant Les derniers chiffres disponibles pour le B nin montrent que seulement 0 8
50. et la r organisation en cours la suite de la d mission du directeur de l agence convenues sont a recruter un responsable de la passation des march s b organiser une formation sur le manuel de proc dures r vis l intention des personnels impliqu s dans les processus de passation des march s au titre du Projet c r viser le Manuel de proc dures afin d instaurer entre autres un m canisme formel de 81 La prise en compte des conclusions de l valuation de la passation de march s notamment de la qualit du document de passation des march s de l existence de la CPMP et de la CCMP ainsi que du contr le externe exerc sur les gros contrats par le minist re des Finances au travers de la Direction nationale du contr le des march s publics DNCMP am ne juger Mod r le risque d ensemble du projet li la passation des march s recours assorti de proc dures explicites d augmenter les seuils des march s et e actualiser les documents d appels d offres B nin Universit de Calavi Abomey La comptabilit et la prise de d cisions associ e la passation des Elev Les mesures d att nuation Mod r march s manquent sans cesse de clart Le personnel a du mal sont a d signer appliquer les processus de passation des march s avec coh rence en explicitement la personne raison d un guidage d un savoir et d une
51. gional 1 Le b n ficiaire est une organisation r gionale authentique dot e d un statut juridique et de capacit s fiduciaires qui lui permettent de recevoir un financement sous forme de don et a l autorit juridique d ex cuter les activit s financ es 2 Le b n ficiaire ne remplit pas les crit res d ligibilit pour pr tendre un cr dit de l IDA 3 Les co ts et b n fices de l activit financer par un don de l IDA sont difficilement imputables des programmes nationaux 118 L Association des universit s africaines AUA est l organisation fa fti re et un forum pour la consultation l change d informations et la coop ration entre les tablissements africains d enseignement sup rieur Les activit s qui seront financ es par le don sont couvertes par l article II de la Constitution de l AUA L AUA a ant rieurement re u un financement de la Banque mondiale et a b n fici d une valuation la jugeant apte recevoir un don l IDA L valuation en termes de passation des march s est en cours L Association des universit s africaines AUA est une organisation r gionale au service de tous les tablissements africains d enseignement sup rieur elle n appartient aucun pays en particulier et par cons quent ne satisfait pas aux exigences de l IDA pour pr tendre un Cr dit IDA Les activit s comprennent le renforcement des capacit s r gionales et l laboration de poli
52. il vise remplir le vide cr par le manque de professionnels dans ces secteurs en mettant disposition des pays des dipl m s hautement qualifi s en science et ing nierie Les principaux b n fices d une expansion des comp tences pour les industries extractives sont list s ci apr s 102 Economic value distribution million Suppliers 14 861 gt Employees 4 776 ressortent dans toutes les tudes pays comme tant Company taxes 3 568 R vestedintne l unique d terminant le plus important du Group capex 3 412 d veloppement de liens B tir un capital humain Dividends 2 236 Provision of capital interest 705 sp cialis rev t de la valeur ajout e pour les Total a Constituer un capital humain sp cialis en profitant de l essor des industries p troli re gazi re A et mini re est un facteur cl Les r sultats d une enqu te empirique d taill e sur la nature et les d terminants de l ampleur et de la profondeur des connexions du secteur des mati res premi res dans huit pays de l Afrique subsaharienne Afrique du Sud Angola Botswana Gabon Ghana Nigeria Tanzanie et Zambie et dans six fili res cuivre diamants or p trole et gaz services miniers et bois d uvre montrent que les qualifications et l ensemble des institutions ayant une incidence sur le d veloppement des aptitudes aux niveaux entrepreneurial et sectoriel nn fournisseurs locaux cr e un grand n
53. impacts et des mesures d att nuation qui devront tre en conformit avec les parties B activit s de construction g n rale r habilitation F substances toxiques H limination des d chets m dicaux de la liste de contr le Comme le projet inclura des travaux de r habilitation et de construction mineurs au sein de campus universitaires aucun habitat naturel ne sera affect par les activit s du projet La date de divulgation du PGES tant dans les pays respectifs qu l Infoshop est le 29 janvier 2014 Autres politiques de sauvegarde d clench es 84 D autres politiques de sauvegarde notamment celles sur la lutte antiparasitaire les habitats naturels les ressources culturelles physiques et la r installation involontaire ne sont pas d clench es Suivi et valuation 85 La conception du programme est focalis e sur le S amp E jug essentiel pour la r ussite du mod le d indicateurs li s aux d caissements Les pays et les institutions s lectionn es sont d termin s utiliser un cadre normalis pour faire le suivi de l ex cution du projet comme d crit en Annexe 3 Deux mod les de Cadre de r sultats CR en cascade ont t tablis i un mod le standard de CR pour chaque CEA s lectionn actuellement 15 pour mesurer les progr s et ii un CR d ensemble qui agr ge toutes les donn es fournies par les CEA et de plus pr sente un jeu d indicateurs compl mentaires mesurant la performance de AUA
54. l esprit entrepreneurial chez les tudiants actualisation des qualifications des enseignants am liorer les ressources didactiques y compris les quipements de laboratoire et une r habilitation ou extension mineure des installations existantes Am liorer la capacit produire des travaux de recherche appliqu e qui r pondent au d fi de d veloppement r gional incluant entre autres le d veloppement du corps enseignant et la formation du personnel une r habilitation ou extension mineure des installations existantes des bourses d tudes jusqu au niveau post doctoral des activit s en r seau avec des partenaires nationaux et internationaux l accueil de coll gues et la participation des conf rences le renforcement des quipements et mat riels de recherche et la r novation de laboratoire la diffusion des travaux de recherche le transfert du savoir et des technologies le d p t de brevet et autres co ts li s aux droits de propri t intellectuelle Construire et utiliser des partenariats industrie secteur d activit pour accro tre l impact du CEA sur le d veloppement et la pertinence desdits centres d enseignement et de recherche incluant entre autres des conseils consultatifs du monde industriel des stages des conf rences sur l industrie de la formation de formateurs pour les centres de formation sectorielle comme les coles polytechniques d infirmi res de formation des ma tres ou
55. la base des notes agr g es des valuations technique in situ et du leadership le Comit d valuation a soumis ses r sultats au 43 Comit de pilotage des CEA accompagn s de la documentation appropri e Les sept pays taient repr sent s Le CP des CEA tait habilit r aliser la s lection finale des 15 propositions devant tre financ es dans le cadre du projet avec des fonds r gionaux Il tait mandat pour effectuer une s lection au m rite objective et transparente assurant une r partition relativement quitable entre pays groupes linguistiques et disciplines En cons quence de quoi le CP tait dot de l autorit de proc der des changements mais exclusivement dans la s lection au m rite et pouvait s lectionner des propositions de CEA dans des zones sp cifiques de d veloppement jug es primordiales Le Comit de pilotage a choisi de s lectionner un CEA par pays s lection au m rite et au moins 4 projets de CEA dans chacune des disciplines s lection au m rite l int rieur de chaque discipline Tous les tablissements candidats ont re u leur note d valuation et un r sum des principaux points forts et lacunes de leur proposition 17 laboration d un plan complet de mise en uvre du CEA Les tablissements s lectionn s recevront en outre une liste d taill e des commentaires et suggestions manant des valuateurs L URF et des partenaires fourniront un appui suppl m
56. le recours du personnel court terme faisant son service militaire e Cheikh Anta Diop S n gal qui doit recruter un comptable additionnel qualifi et exp riment afin d avoir les effectifs correspondant aux besoins du projet compte tenu de la charge de travail du personnel actuel 43 Pour s assurer que les CEA ont des comptables professionnels qualifi s il faudra donner aux membres du personnel n cessitant une remise niveau l opportunit d lever leurs qualifications pour devenir comptables professionnels dans les CEA universitaires La Banque proc dera une am lioration des comp tences du personnel existant par une formation aux exigences proc dures de la Banque mondiale en mati re de Gestion financi re et de d caissement 44 Syst mes d information comptable les syst mes d information comptable informatis e sont fondamentaux car ils garantissent l efficience de la tenue des comptes et vitent les erreurs associ es un syst me manuel en utilisant principalement les tableurs Microsoft Excel Toutes les entit s d ex cution disposent de syst mes d information comptable informatis e ad hoc sauf celles cit es ci dessous qui ont besoin de renforcer leurs syst mes dans les six mois suivant l entr e en vigueur e CEA universitaires ayant des syst mes d information informatiques mais qu il est n cessaire d actualiser pour informatiser le processus comptable dont la Federal Unive
57. minist re ou de l organisme en charge de l enseignement sup rieur Le comit est charg de proc der un examen semestriel de la performance des demandes de d caissements et de la planification de la mise en uvre et appui mais sans ex cution ou approbations au quotidien Sa composition est d finie par chaque nation Pour la plupart des pays le ministre ou l organisme en charge de l enseignement sup rieur pr sidera et convoquera le comit qui sera compos de membres du minist re des Finances ainsi que des minist res techniques concern s en fonction du domaine d action des CEA par ex l agriculture la sant le p trole et gaz etc 45 Une Unit r gionale de facilitation sera responsable des activit s r gionales financ es par le biais de la composante 2 1 Un accord de don entre la Banque mondiale et PAUA nonce les activit s cl s de URF De plus un plan de travail annuel sera convenu entre la Banque mondiale les CEA et AUA lequel d taille le travail escompt de AUA sur le renforcement des capacit s le S amp E la tenue des r unions du CEA y compris les r unions du comit de pilotage L URF s appuie sur le personnel et les ressources existants dans l AUA et met en place le personnel sp cifique requis incluant un facilitateur adjoint du projet CEA qui sera charg de l ex cution du projet au jour le jour 46 Une petite quipe projet est en place au sein de la Commission nationale des universit s
58. ont t valu es plus avant par le biais d une estimation in situ de leur leadership et d une appr ciation fiduciaire Chaque proposition pr s lectionn e fut revue et not e par au moins sept valuateurs ind pendants et iv en derni re tape le CP des CEA a s lectionn 15 propositions en retenant d abord la proposition la mieux jug e de chaque pays ayant soumissionn puis les propositions les mieux jug es au sein de chacune des trois disciplines jusqu un maximum de quatre propositions ont t s lectionn es pour chaque discipline et finalement parmi les rescap es les trois propositions jug es les meilleures sans pr sager du pays ni de la discipline furent choisies Le m canisme de s lection visait garantir une distribution raisonnablement quitable parmi les pays les groupes linguistiques et les disciplines L Annexe 2 fournit davantage de d tails sur l valuation et le processus de s lection 28 Les tablissements s lectionn s mettront en uvre leur propre proposition de Centre d excellence visant r pondre un d fi sp cifique de d veloppement r gional par la pr paration de professionnels enseignement de recherche appliqu e et des activit s de sensibilisation associ es avec des partenaires Chaque tablissement s lectionn signera avec son gouvernement un contrat de performance et de financement qui tablit ce qui suit au moins 15 pour cent du financement doivent
59. par exemple sont susceptibles de porter atteinte l environnement Gestion des risques Les partenaires de la mise en uvre du projet garderont un il attentif sur toute question sociale et environnementale susceptible de mettre en p ril la qualit l objectivit et le caract re r gional du programme Un plan de gestion environnementale et sociale a t labor les risques quels qu ils soient et de proposer les mesures d att nuation pertinentes Resp Client tat En tape Ex cution R currence ch ance Fr quence cours 3 3 Programme et bailleurs Notation Mod r Description du risque Les bailleurs et agences d assistance technique qui ont manifest leur int r t de principe ne montrent pas d empressement Il est possible que les priorit s de certains bailleurs soient concurrentes fond es sur l offre et ou que les partenaires techniques fournissent une AT manquant de coordination ou faisant double emploi La d termination les capacit s existantes et les strat gies programmatiques pr sent es par les CEA dans leurs propositions peuvent se r v ler irr alistes ou non factuelles Le financement pourrait alors soutenir un CEA candidat ad hoc sur le papier Gestion des risques Bien que ne d pendant pas d autres bailleurs de fonds ou entit s d assistance technique dans la phase de conception ou d approbation le projet verra sa r ussite
60. projet pourront tre effectu s depuis les Comptes d sign et de projet Diagramme de versement des fonds pour les composantes 2 2 et 2 3 Compte d sign en dollar Compte de projet en pour l AUA et UCP au MoBSE monnaie locale pour l AUA et UCP au MoBSE Transactions du projet effectu es soit en dollar soit en monnaie locale 13 Modalit s de d caissement 62 Le d caissement au titre de la composante 1 sera fond sur les r sultats Ce mode de d caissement proc dera principalement par remboursement des PDE certifi s accompagn s des documents sur les ILD atteints et autre documentation pertinente La m thode des r sultats pr sidera galement au d caissement des avances allant jusqu un maximum de 10 sous r serve que la preuve de l obtention des r sultats soit fournie par la suite PIDA La composante 2 suivra la m thode de d caissement bas e sur les transactions tats des d penses D autres m thodes de d caissement pour la composante 2 comprendront le remboursement le paiement direct et l utilisation d engagement particulier par exemple des lettres de cr dit S il se trouve que des d penses in ligibles ont t effectu es partir du compte d sign et ou de celui du projet l emprunteur sera tenu de rembourser la m me somme quivalente Si le compte d sign reste inactif pendant plus de six mois l IDA peut r duire le montant avanc L IDA aura le droit comme en t moig
61. qui rend compte au vice chancelier ou vice chancelier adjoint Les membres du corps professoral de l tablissement serviront de membres suppl mentaires de l quipe CEA pour aider la mise en uvre de la proposition du CEA Cette m me quipe comportera galement un agent de gestion financi re un responsable de la passation des march s et un agent de suivi et d valuation lesquels auront en charge la responsabilit fiduciaire du projet 11 Les principales t ches du CEA comprennent la mise en uvre des activit s au titre de la composante 1 et la pr paration des plans de travail annuels bas s sur le plan de compl te ex cution convenu au moment de l entr e en vigueur Le plan de travail sera r vis annuellement Les activit s d taill es de chaque CEA sont fournies dans le manuel d utilisation Un r sum de ces t ches inclut i Mettre en uvre les activit s de la composante 1 qui renforcent la qualit de l enseignement gr ce une meilleure capacit d enseignement aux normes modernes dans les domaines d intervention du CEA Les d tails sur le type d activit s figurent l Annexe 2 ii Il sera demand chaque CEA de jouer le r le de centre n vralgique d un r seau d tablissements partenaires au sein du m me pays ou de la sous r gion Ces tablissements partenaires peuvent tre des universit s d autres tablissements d enseignement sup rieur ou des instituts de recherche rattach s
62. r cent bond en avant des performances conomiques constitue une volution encourageante 2 En d pit de cette forte croissance conomique l Afrique occidentale et centrale fait face d importants d fis de d veloppement Le manque de diversification de la structure de la production en est l un des principaux Ajouter de la valeur la production et diversifier les conomies nationales en stimulant le d veloppement de nouveaux secteurs comp titifs constitue un d fi majeur Les pays doivent tirer avantage de l essor du march des mati res premi res pour assurer des retomb es sur les conomies nationales sous forme d emplois mieux r mun r s et s orienter vers des activit s de tr s haute technologie et fond es sur un meilleur savoir ajoutant de valeur ajout e De plus si des progr s rapides visant l atteinte des Objectifs de d veloppement pour le mill naire ODM sont enregistr s dans certains pays des d fis importants demeurent notamment concernant les ODM relatifs la sant telle que la sant maternelle avec un taux de mortalit maternelle de 500 pour 100 000 Et en malgr des progr s r alis s ces derni res ann es on compte encore 3 8 millions de d c s d enfants de moins de cinq ans chaque ann e en Afrique Les faibles taux de naissances assist es par du personnel qualifi les taux lev s de f condit les maladies infectieuses telles que le paludisme et le HIV Sida et la pr valence des
63. r gionaux d enseignement tir s par la demande dans la Gambie co t total y compris provision pour impr vus 3 millions de dollars Cette sous composante est financ e par un cr dit IDA r gional de 2 millions de dollars et une subvention IDA nationale de 1 million de dollars Elle vise accro tre l utilisation r gionale et le b n fice des CEA renforc s dans le cadre de la composante 1 en s axant sur la demande La sous composante financera la fourniture de services d enseignement sup rieur aux tudiants enseignants et fonctionnaires de La Gambie Ces services d enseignement pourront inclure de la formation sp cialis e de courte dur e pour les fonctionnaires des bourses au m rite de courte dur e attribu es de jeunes talents le d veloppement du corps enseignant pour des tablissements non CEA des visites universitaires et le d veloppement de programmes d tudes La Gambie mettra les CEA sous contrat pour la fourniture des services demand s B Instrument de pr t 32 Les cr dits et dons du Pr t d investissement sp cifique PIS financeront les activit s du projet et seront d caiss s sur la base de la concr tisation des Indicateurs li s au d caissement ILD pour la composante 1 et sur celle des tats des d penses ED pour la composante 2 Une approche de financement fond e sur les r sultats sera utilis e dans la composante 1 car elle augmente l accent mis par le client et la Banque sur l obtenti
64. sera galement embauch pour s assurer que les ILD rapport s sont correctement enregistr s Resp tat tape Ex cution R currence ch ance Fr quence Gestion des risques La Banque ensemble avec les parties int ress es au projet d veloppera et suivra une strat gie qui d bouchera sur l autosuffisance des CEA une fois l aide de la BM parvenue sa fin Il est possible d y parvenir en poussant les CEA plus de hardiesse dans leurs propres activit s g n ratrices de revenus De plus l quipe fera intervenir des organisations partenaires et le secteur priv afin de promouvoir cet objectif et contribuer la cr ation d opportunit s de financement Resp tat tape Ex cution R currence ch ance Fr quence 94 sa fin les CEA peuvent ne plus avoir les fonds n cessaires pour subvenir eux m mes De plus les flux de ressources provenant des frais de scolarit des dons la recherche du financement du secteur public et des bailleurs de fonds ext rieurs peuvent s av rer inad quats avant m me la fin du programme puisement pr coce des ressources Notation Mod r 3 5 Autre choix optionnel Description du risque Gestion des risques Les CEA candidats n exploitent que les possibilit s d am liorations acad miques et La qualit acad mique est certes la finalit mais les par
65. seulement 2 composantes Un renforcement des capacit s sera apport l quipe de l AUA pour qu elle remplisse ses fonctions En outre l exp rience de la Banque relative l enseignement sup rieur dans les trois secteurs et des contacts r guliers avec des responsables sectoriels de multiples niveaux coupl s aux le ons tir es des op rations r gionales diverses men es dans la R gion Afrique et ailleurs seront int gr s dans la conception L engagement de principe de la Banque l gard de cette op ration pluriannuelle comprenant plusieurs volets g n rera des 91 coordination La s lection concurrentielle des tablissements est un autre d fi La composante 2 3 qui met l accent sur les services d ducation r gionaux tir s par la demande pour des pays n abritant pas de CEA peut compliquer davantage le projet M me si des consultations avec des pays int ress s par cette composante pays de taille r duite et en situation de post conflit ont eu lieu de plus amples discussions sont requises pour finir de clarifier les mod les op rationnels les mieux adapt s ces pays Le d caissement au titre du projet sera li la r alisation d indicateurs clairement d finis relatifs au renforcement des capacit s dans les CEA et au soutien de partenariats avec des tablissements nationaux et hors du pays Il n en demeure pas moins que les d clencheurs du financement peuvent ne pas
66. A ainsi que d autres entit s r gionales 121 ii iii iv 17 Communication et diffusion de l information Fournir la plateforme de communication du projet de CEA et plus sp cialement Faire de la publicit dans les m dias lectroniques et papier r gionaux et nationaux et donner toutes les informations sur le projet de CEA Publier sur le site Internet CEA toutes les informations sur les s lections des CEA et autres informations pertinentes pour une diffusion au grand public Offrir une plateforme d information pour la s lection des CEA via la facilitation en ligne Publier et diffuser communiquer les r sultats de l valuation et les informations sur les CEA couronn s de succ s Faciliter et appuyer le partage du savoir et le r seautage entre les CEA et les tablissements partenaires 122
67. A est galement une organisation fond e sur l adh sion dot e d un mandat op rationnel avec en ligne de mire l enseignement sup rieur Elle a t cr e le 12 novembre 1967 par 34 universit s africaines avec pour mission d am liorer la qualit et la pertinence de l enseignement sup rieur en Afrique et de contribuer au d veloppement du continent Au mois de f vrier 2013 l AUA comptait un total combin de 278 universit s publiques et priv es issues de 46 pays africains L AUA se fait l avocat d un enseignement sup rieur de meilleure qualit en Afrique et a la capacit d aider les tablissements membres satisfaire leurs besoins nationaux r gionaux et continentaux de d veloppement Le tableau 1 ci dessous montre comment l AUA est v ritablement l organisation r gionale africaine remplissant le mieux les crit res r gionaux d ligibilit de PIDA des dons accord s des tablissements r gionaux elle est la plus m me non seulement d h berger 117 et d administrer l URF mais aussi de mener bien les activit s pr paratoires et r gionales des CEA Tableau 7 1 ligibilit PIDA pour l acc s des tablissements r gionaux des dons IDA ceci concerne l Unit r gionale de facilitation devant tre h berg e par l Association des universit s africaines AUA Crit res d ligibilit Projet de Centres d excellence africains pour l enseignement sup rieur r
68. CEA assure l orientation et la supervision g n rales du projet Le Comit de pilotage comprend des repr sentants de chaque pays participant des universitaires africains et internationaux r put s des repr sentants sectoriels et des acteurs reconnus de la soci t civile et du secteur priv 49 La CEDEAO participe au CP des CEA elle conduira les tudes de politique et le renforcement des capacit s sur la mobilit r gionale de la main d uvre qualifi e ainsi que la coordination des politiques propres l enseignement sup rieur 18 50 La diaspora africaine est largement int gr e la mise en uvre Un nombre significatif d valuateurs universitaires des propositions de CEA taient des chercheurs appartenant la diaspora charg s d enseignement et de recherche dans des tablissements renomm s hors d Afrique De surcro t plusieurs des chefs de centre de CEA sont des personnes revenues au pays apr s de brillantes carri res professorales en Am rique du Nord et en Europe Le projet continuera int grer cette volont puissante d aider l enseignement sup rieur et la science et technologie africains au travers de consultances de revues par les pairs et de comit s consultatifs 51 L ex cution du projet s appuie part gale sur un grand nombre de partenaires internationaux r gionaux et nationaux pour atteindre les objectifs universitaires et de d veloppement Il existe en Europe en Asie et en
69. Document de La Banque mondiale POUR USAGE OFFICIEL UNIQUEMENT Rapport N PAD 332 ASSOCIATION INTERNATIONALE DE D VELOPPEMENT DOCUMENT D VALUATION DU PROJET DE CR DITS ENVISAG S EN FAVEUR DU DE LA BURKINA FASO D UN MONTANT DE 5 2 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 8 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE DU CAMEROUN D UN MONTANT DE 5 2 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 8 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE DU GHANA D UN MONTANT DE 15 6 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 24 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE DE LA GAMBIE D UN MONTANT DE 1 3 MILLION DE DTS QUIVALENT 2 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE F D RALE DU NIGERIA D UN MONTANT DE 45 3 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 70 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE DU S N GAL D UN MONTANT DE 10 4 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 16 0 MILLIONS DE DOLLARS R PUBLIQUE DU TOGO D UN MONTANT DE 5 2 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 8 0 MILLIONS DE DOLLARS ET D UNE PROPOSITION DE DONS EN FAVEUR DE LA R PUBLIQUE DE LA GAMBIE D UN MONTANT DE 0 7 MILLION DE DTS QUIVALENT 1 0 MILLION DE DOLLARS ET DE L ASSOCIATION DES UNIVERSIT S AFRICAINES D UN MONTANT DE 3 3 MILLIONS DE DTS QUIVALENT 5 0 MILLIONS DE DOLLARS POUR UN PROJET DE CENTRES D EXCELLENCE D ENSEIGNEMENT SUP RIEUR EN AFRIQUE 21 mars 2014 ducation Afrique Centrale et Occidentale AFTEW D partement de l Int gration R gionale en Afrique AFCRI R gion Afrique La distribution de ce doc
70. ESCO Institut de statistique UIS http stats uis unesco org donn es extraites le 24 avril 2013 Note donn e insignifiante donn e manquante IL R f rences pour l analyse conomique Alston J Marra M Philip P amp Wyatt TJ 2000 Research returns redux meta analysis of the returns to agricultural R amp D Australian Journal of Agricultural Resources Economics 44 2 pp 185 215 111 Alston J 2002 Spillovers Australian Journal of Agricultural Resources Economics 46 3 315 346 Banque mondiale 2007 Cultivating knowledge and skills to grow African agriculture Washington D C Banque mondiale Chronicle of higher education 2013 The almanac of higher education 2012 Extrait de http chronicle com le 25 avril 2013 Evenson RE 2001 Economic impacts of agricultural research and extension In Gardner BL Rausser G eds Handbook of agricultural economics Vol 1A North Holland New York pp 574 628 Huffman WE Evenson RE 2006 Do formula or competitive grant funds have greater impacts on state agricultural productivity In American Journal of Agriculture Economics 88 4 pp 783 798 Institut international pour l ing nierie de l eau et de l environnement 21E 2013 Extrait de http www 21e edu org le 25 avril 2013 Montenegro C amp Patrinos H 2012 Returns to schooling around the world Background paper for the World Development Report 2013 Plastina A amp Fulginiti 1 2012
71. Induced Total new jobs Source SBC research on stand alone oil and gas cities Stavanger Norway Aberdeen UK Maca Brazil Trinidad amp Tobago Note Number of jobs created was computed as peak of manpower 7 000 for Lake Albert Basin Development projects 15 was added to account for uncertainty amp uow Torat Ratio direct to indirect varies in the range of 2 3 3 8 depending on geograph Ratio direct to induced varies in the range of 6 6 8 4 depending on geography d Une mise niveau des connaissances et des comp tences des organismes de r glementation est essentiel pour mettre effectivement en uvre les meilleures pratiques r glementaires dans le secteur extractif Le renforcement des capacit s de gouvernance des ressources pour fortifier les gouvernements nationaux r gionaux et locaux ainsi que des organismes de r glementation est fondamental pour qu ils puissent g rer la fili re de fa on transparente et responsable Jusqu pr sent la r glementation tait caract ris e par des n gociations ad hoc dans l octroi de licences et concessions assorties d une surveillance r glementaire technique et administrative Une r glementation moderne apparent e aux meilleures pratiques du secteur implique une surveillance int gr e conomique juridique financi re environnementale et technique par une structure de r glementation coordonn e et multidisciplinaire 8 Les d faillances
72. Information et de la Communication 1 S n gal Universit de Cheikh Anta Diop S n gal Sante de la m re et de l enfant 1 Togo Universit de Lom Togo Centre d excellence r gional sur les sciences aviaires 1 Ghana Universit du Ghana West African Centre for Crop Improvement 1 Ghana Universit du Ghana Centre ouest africain de biologie cellulaire des maladies infectieuses 62 Composa Pays tablissement Centre d excellence africain CEA nte 1 Ghana Kwame Nkrumah University of Science Regional Centre of Excellence for Water and amp Technology KNUST Environmental Sanitation 1 Nigeria Redeemers University Mowe Ogun African Centre of Excellence for Genomics of State Infectious Diseases 1 Nigeria African University of Science and PAN African Materials Institute Technology Abuja Nigeria 1 Nigeria Federal University of Agriculture Centre for Agricultural Development and Abeokuta Nigeria Sustainable Environment 1 Nigeria Ahmadu Bello University Zaria Nigeria Centre of Excellence on Neglected Tropical Diseases and Forensic Biotechnology 1 Nigeria University of Jos Nigeria Phytomedicine Research and Development 1 Nigeria University of Benin Nigeria Centre for Excellence in Reproductive Health and Innovation 1 Nigeria University of Port Harcourt Nigeria ACE Centre for Oil Field Chemicals 2 La Gambie L UCP au minist re de l enseignement N A prim
73. M Elles seront n cessaires lorsque les exigences de URF ne sont pas respect es que les proc dures au niveau op rationnel du projet ne sont pas suivies ou tout simplement pour faciliter la coordination entre les partenaires propos de questions fiduciaires par exemple Ce type d interventions aura lieu en coordination avec l agence gouvernementale responsable du projet ou le comit national d examen du CEA concern f Un examen du projet mi parcours EMP est planifi pour juin 2016 L objectif de PEMP est d tudier l avancement de la mise en uvre et ses r sultats Une analyse compl te du cadre ILD sera entreprise dans le contexte de cet EMP pour la totalit des CEA et il sera proc d en tant que de besoin aux ajustements du dispositif d ILD et d ex cution du projet Plan de soutien la mise en uvre 4 La Banque fournira aux CEA ainsi qu aux organismes comp tents au regard des questions techniques fiduciaires sociales et environnementales un fort soutien la mise en uvre Contributions techniques 5 Une formation fiduciaire sera dispens e par les sp cialistes de la Banque en gestion financi re et en passation des march s lors de l atelier de lancement du projet mai 2014 avant son entr e en vigueur et pendant son ex cution Cela permettra de renforcer les capacit s au sein des quipes du CEA et de l URF en mati re de gestion financi re et de passation des march s notamment
74. P Nombre 1 098 1150 1207 1268 1300 1331 semestrielle _ AUA t reconnues dans international des disciplines appuy es par le programme de es tir de Scopus par Elsevier 30 CEA Infi ti Nombre d accords FE sd de partenariats ieoi AUA sur la base protocoles tre d EA et des d edes PAS Nombre 48 100 150 170 170 170 semestrielle d accord A des organismes son pa soumises par Rte les CEA chaque CEA engag s PURF R unions des RIRE i AUA sur la base d ex cution du Registres et desd E es donn es projet CEA avec Nombre 0 30 60 90 105 120 semestrielle sites Internet A soumises par les des comptes des CEA CEA rendus largement diffus s Audits financiers ternes annuels Rapport n s d audit CEA do ensemble AUA sur la base Me avec les des donn es accompagn du Nombre 0 7 15 25 30 37 annuelle lettres de la soumises par les budget annuel du directi t CEA CEA nee ion e pr visionnel et SE ierg r DESF CEA ex cut R unions PRET Registre et r guli res de RER l UFR avec la Nombre 0 2 4 6 8 semestrielle te AUA rticipation d au ec pa RF CEA moins 15 CEA DEEE Niveau de Questionnair satisfaction du Pourcentage O 50 60 70 72 5 75 annuelle e feedback AUA CEA et Comit de des CEA et 31 pilotage des CEA sur la qualit de l aide apport e par l Union de CP facilitation r
75. Projet ii le Manuel des proc dures de passation des march s iii le Manuel des proc dures de gestion financi res iv les indicateurs utiliser pour le suivi valuation du Projet v les crit res r gles d taill es et proc dures des PDE vi le contenu d taill du Rapport des d penses du PDE les tats des d penses pr format s les rapports financiers interm diaires le Rapport d avancement du Plan de passation des march s et les rapports du Projet vii les dispositifs de flux et d caissement des fonds du Projet et viii les Indicateurs li s au d caissement Ce Plan d ex cution peut tre amend au fil de la vie du projet sous r serve de l approbation de la Banque mondiale 13 Capacit s institutionnelles L valuation institutionnelle des capacit s des CEA a t entreprise dans le cadre de la pr paration du projet Il a t proc d une valuation fiduciaire compl te de leurs capacit s de gestion financi re environnementale et de passation des march s Le financement l int rieur de la subvention CEA est destin appuyer les capacit s institutionnelles et ex cutoires du CEA De plus un plan r gional de renforcement des capacit s des quipes CEA du projet sera labor au cours de l atelier de lancement Cette mise en place conjointe de l atelier r gional vise garantir une pleine prise de conscience des exigences du projet une valuation des capacit s actuelles de chaque
76. Rates of return to public agricultural research in 48 US states Journal of Productivity Analysis 37 95 113 Soucat A Scheffler R Adhanom T 2013 The labor market for health workers in Africa A new look at the crisis Washington D C Banque mondiale 112 Figure A Encha nement des impacts conomiques des Centres d excellence L objectif de plus haut niveau Satisfaire la demande du march du travail en termes de comp tences au sein des fili res sp cifiques souffrant d une p nurie de main d uvre qualifi e affectant le d veloppement la croissance conomique et la r duction de la pauvret Objectif de Promouvoir la sp cialisation r gionale au sein des universit s participantes d veloppement dans les domaines qui r pondant aux d fis r gionaux en renfor ant leurs capacit s pour leur permettre de d livrer une formation et de la recherche appliqu e de qualit Interventions R sultats Avantages conomiques Activit s Contributions Appuyer les eOffrir de nouveaux e Nombre d tudiants e Accroissement de capacit s de formation et de recherche programmes sp cialis s de court terme de nouveaux programmes de ma trise et de doctorat e R viser les programmes en se fondant sur les conseils du monde industriel eInstaurer une r f rence de performance internationale et une accr ditation des cours e Mettre niveau les qualifications du corps professora
77. SE puiser dans le potentiel de chercheurs de la diaspora am liorer la gouvernance et la gestion universitaires et am liorer le suivi valuation des indicateurs institutionnels de performance au travers d un don l Universit de Western Cape De plus attendu ses connaissances et son exp rience dans le soutien l enseignement sup rieur en Afrique et sa collaboration au projet cit e plus haut Carnegic Corporation a t largement impliqu e dans les consultations sur la conception du projet Le projet au travers de l AUA travaillera en concertation avec Carnegic et son b n ficiaire pour coordonner le renforcement des capacit s L AUA collabore galement avec l Universit Wageningen sur les possibles options de gestion et partage du savoir entre les universit s qu offrent le projet de CEA e L assistance technique aux CEA au sein de fili res sp cifiques ou de secteurs phares En compl ment l AUSAID par le biais de son initiative Africa Mining Skills AMSD fournit un soutien technique l am lioration des propositions de centres d excellence s lectionn s dans le secteur des industries extractives Les r seaux de recherche agricole tels Agreenium le CIRAD et le RUForum ont exprim leur int r t soutenir le processus d am lioration de la proposition des centres d excellence s lectionn s Ces partenaires sectoriels sp cialis s apportent au CEA concern une assistance technique s
78. University Nigeria constitue un exemple Le CEA aura sa t te le CC qui sera en charge du fonctionnement du Centre au quotidien et sera assist par le chef de centre adjoint Le CC est bas au Bureau de gestion du centre qui abrite galement trois directeurs repr sentant les trois unit s de recherche travaillant sur les MTN ainsi que l unit de renforcement des capacit s Ils seront responsables de la gestion des aspects techniques scientifiques et de rapportage de leurs unit s respectives Le CEA fonctionnera de fa on semi autonome au sein de la structure g n rale de PUBA en termes d administration et de gestion financi re au quotidien Plusieurs d partements et facult s de PUBA participeront avec des comp tences suppl mentaires en recherche mol culaire sur les MTN s lectionn es aux travaux de recherche et au programme de formation du CEA biochimie biologie sant publique v t rinaire et m dicine pr ventive m decine v t rinaire pharmacie microbiologie parasitologie et entomologie v t rinaires et 17 pathologie La recherche la formation et d autres activit s universitaires du Centre seront planifi es et guid es par un Comit comportant des repr sentants de chaque MTN et des organismes partenaires cl s ainsi qu un conseil scientifique consultatif international compos d experts de haute pointure internationale 44 Chaque gouvernement formera un Comit national d examen par l interm diaire du
79. ablissements d enseignement sup rieur en recourant aux CEA et accro tre la mobilit de ses talents vers les CEA Composante 2 1 Am liorer le renforcement des capacit s et l valuation au niveau r gional co t total y compris impr vus 5 0 millions de dollars 36 Cette composante vise fournir en temps opportun des informations suffisantes pr cises et fiables pour la mesure et le rapportage des r sultats agr g s afin d am liorer et d valuer la performance des tablissements s lectionn s Les activit s du projet seront e Activit s de renforcement des capacit s des CEA Elles pourront inclure de la formation et du renforcement des capacit s au sein de la gestion de l ducation et du projet de la formation fiduciaire et des sujets sp cifiques selon les besoins identifi s par le CEA tels que la pr paration de proposition de subvention le fonctionnement du conseil de l universit etc e Suivi et valuation 1 encourager les structures de S amp E des CEA et URF faciliter le rapportage r gulier et en temps opportun des progr s accomplis ii ateliers et formations du personnel concern des CEA pour d velopper et rendre compte conjointement sur leurs cadres r sultats 111 valuation par un tiers et valuations techniques pour l ILD et le rapportage des r sultats 1v autres activit s de S amp E y compris des groupes d valuation internationale des tudes de base des valuations e
80. ablissements s lectionn s disposaient d un potentiel existant d excellence universitaire et d un soubassement pr t pour tendre la recherche et la formation postuniversitaire ce qui est crucial pour instaurer l excellence et un corps professoral hautement qualifi 7 Les tablissements dans l incapacit de satisfaire aux crit res d ligibilit ont t inform s qu ils pouvaient participer au projet par le biais de partenariats avec les tablissements s lectionn s De plus dans le cadre de la composante 2 les gouvernements peuvent participer au projet en acqu rant des services d enseignement aupr s des CEA s lectionn s 8 Transfert de la prise de d cision financi re aux CEA La viabilit des Centres d excellence africains est une pr occupation essentielle qui devait tre trait e en amont d s la conception du projet La principale action d att nuation est de renforcer la capacit g n rer des revenus au cours de l ex cution du projet et de s assurer que le Centre d excellence universit est dot des moyens de garder par devers soi les recettes g n r es par ses propres soins Par cons quent dans le cadre de la signature des accords de performance il sera demand aux gouvernements de d l guer les trois pouvoirs financiers suivants aux CEA i le droit accord aux Centres d excellence avec l approbation de l universit de fixer et de percevoir des frais de scolarit pour tous les cou
81. accr dit s internationalement r gionalement sous r gionalement Cet indicateur est centr sur la mesure de la Qualit formatrice du programme Notes Les donn es fourniront le chiffre cumul de programmes internationalement accr dit s y compris l accr ditation r gionale ou sous r gionale et fourniront les l ments de d tail nbre pour chaque niveau nom de l tablissement accr dit Accr ditation internationale par un organisme d accr ditation r put reconnu par la Banque mondiale Nombre d tudiants enseignants ayant fait 1 mois de stage au minimum dans une entreprise du secteur priv ou un organisme correspondant leurs disciplines secteurs respectifs Cet indicateur est centre sur la mesure du Rayonnement du programme Notes les CEA doivent i fournir des donn es d sagr g es diff renci es sur a les tudiants par rapport au corps professoral et b les tudiants et le corps professoral des CEA par rapport aux autres tablissements universitaires partenaires 11 tablir une base de donn es de suivi de toutes les informations associ es permettant de donner des indications sur les nom titre domaine professionnel des tudiants personnel chang s 33 Montant des revenus externes g n r s par les CEA localisation tablissement d partement d accueil ainsi que les informations compl tes sur l tablissement organisme le calendrier des pl
82. acements et les rapports d valuation finale de la part des tudiants enseignants sur les le ons apprises pendant le s jour ainsi que les suggestions d ajustement des programmes de leur tablissement d origine afin de recueillir les aspects pertinents li s leur exp rience dans l optique de rendre les programmes plus proches des besoins du march du travail Les revenus g n r s l externe d pos s sur le compte des CEA proviennent des frais de scolarisation autres droits payer par les tudiants ventes de services de conseil travaux conjoints de recherche lev e de fonds et donations ou autres sources ext rieures Ces fonds servent aux investissements et au fonctionnement des CEA Ils excluent toute forme de subvention gouvernementale l ducation et la recherche ils incluent les dons la recherche la vente d interventions de consultance au gouvernement est admise comme revenu g n r l externe Les fonds provenant d autres gouvernements y compris l aide de bailleurs sont amput s de moiti dans leur prise en compte au motif que ce type de financement n est pas une source p renne Les fonds g n r s l externe provenant d autres bailleurs partenaires au d veloppement sont plafonn s 50 du maximum d caisser Indicateurs de r sultats interm diaires Nom de l indicateur Description d finition de l indicateur etc Nombre de professeurs form s dan
83. africain afin de former un noyau de professionnels dot s de comp tences conceptuelles et pratiques pointues pour relever le d fi du d veloppement que vise le centre Les trois principaux indicateurs pour mesurer les progr s accomplis vers la concr tisation des objectifs de production d une formation r gionale de haute qualit seront 1 le nombre d l ves r gionaux et nationaux inscrits dans des cours sp cialis s de courte dur e et dans des programmes de licence ma trise et doctorat 11 le nombre de programmes d enseignement sous l gide du Centre d excellence satisfaisant aux r f rences internationales de qualit et 111 le revenu d origine externe g n r 20 Cela sera atteint gr ce la mise en uvre du plan d tablissement con u par l entit et revu par des experts ext rieurs destin d velopper et renforcer les programmes universitaires dans les CEA Le plan consiste en un m lange institutionnel sp cifique des activit s suivantes 1 le d veloppement et l offre de nouveaux programmes d tudes sp cialis s de courte dur e destin s des professionnels de l industrie pour leur d veloppement futur ii le d veloppement et l offre de nouveaux programmes sp cialis s de ma trise et de doctorat l l vation de la qualit et de la pertinence de l enseignement existant gr ce la r vision des programmes et m thodes d enseignement sur la base des normes professionnelle
84. aire et secondaire MoBSE 2 Institution Unit r gionale de facilitation URF N A r gionale bas e l Association des universit s bas e au africaines AAU Ghana 33 L objectif de l valuation tait de d terminer si les agences d ex cution taient dot es des dispositifs acceptables de gestion financi re en place conformes la politique op rationnelle de la Banque la PO PB10 00 Ces dispositifs garantiront que les agences d ex cution i n utiliseront les fonds du projet qu des fins justifi es de mani re efficiente et conomique 1i pr pareront des comptes pr cis et fiables et des rapports financiers p riodiques en temps opportun iii prot geront les actifs du projet et iv ont des dispositifs d audit acceptables L valuation de la GF a t r alis e dans le respect du Manuel de gestion financi re publi le 1 mars 2010 par le Comit sectoriel Gestion financi re 34 Il est important de noter que le Gouvernement f d ral du Nigeria financera trois CEA suppl mentaires et la Commission national des universit s Ces unit s d ex cution suivront les m mes modalit s d valuation de la GF que les 15 CEA ont entreprises ainsi que les autres agences d ex cution dans le cadre de la Composante 2 Les trois CEA sont 1 OAU Knowledge Park Parc du savoir A Model for National Science Technology and Knowledge Park Initiative Initiative mod le de Parc national de Science technologie e
85. al et d une recherche de bonne qualit Investir dans un Centre d excellence par pays pris dans son individualit serait co teux et un tel projet risque de ne pas tre conomiquement faisable et viable pour nombre des pays les plus petits de la r gion 10 Le projet de Centres d excellence africains se soldera positivement pour les jeunes des pays b n ficiaires car il vise cr er et ou renforcer de nouveaux programmes de Ma trise et de Doctorat dans les universit s d j tablies dans la r gion Ce projet aura des retomb es qui profiteront aux programmes de Licence Non seulement personne n y perdra si le projet est mis en uvre mais de plus le nombre de b n ficiaires du projet est important tout d abord les tudiants dipl m s qui pourront acc der des programmes d tudes de meilleure qualit et auront des perspectives d emploi plus solides le nombre croissant de jeunes que le Institut international d ing nierie de l eau et de l environnement http www 2ie edu org donn es extraites le 25 avril 2013 7 Les chiffres concernent l ann e 2011 2012 Chronique de l enseignement sup rieur http chronicle com donn es extraites le 25 avril 2013 105 projet de CEA aidera acc der de bons emplois deuxi mement les entreprises qui seront en mesure d acc der des dipl m s hautement qualifi s et troisi mement la soci t en g n ral du fait de l accroissement de la prod
86. ale CT African University of Science and Dollar B commerciale C2 Technology Abuja Nigeria Federal University of Agriculture Abeokuta Dollar B centrale C2 Nigeria Ahmadu Bello University Zaria Nigeria Dollar B centrale CJ University of Jos Nigeria Dollar B centrale G University of Benin Nigeria B centrale CI University of Port Harcourt Nigeria Dollar B centrale CI UCP au minist re de l enseignement primaire Dollar B commerciale C2 et secondaire MOBSE Unit r gionale de facilitation URF bas e Dollar B commerciale C2 P Association des universit s africaines AUA b Compte du projet il sera ouvert pour que les fonds envoy s par le minist re des Finances ou que les fonds re us sur un CD libell dans une monnaie trang re soient per us par le CEA l ouverture d un compte en monnaie locale est n cessaire pour s acquitter des paiements dans cette monnaie Le compte du projet sera ouvert dans une banque commerciale acceptable par PIDA ou la banque central en fonction des directives proc dures nationales et universitaires Ce compte servira galement le cas ch ant de compte de d p t aux contributions gouvernementales de contrepartie Les fonds envoy s au compte du projet CEA serviront aux CEA pour leurs investissements ligibles 54 Deux signataires au minimum seront requis pour chaque paiement approuv effectuer sur les comptes assujettis aux proc dures directives nationa
87. alit des travaux de g nie civil prendront place sur des campus actuels par ex l int rieur d emprises physiques existantes et ne r clament en cons quence aucune emprise fonci re nouvelle ni ne provoquent de r installation involontaire de perte de biens et ou de restriction d acc s des ressources ou des moyens d existence Le projet sera ex cut au sein de campus universitaires existants et n impliquera pas d excavations ou autres terrassements Il ne risque pas d tre situ dans des sites d h ritage culturel reconnu ou dans leur voisinage En cons quence aucune sauvegarde sociale n est d clench e 85 Environnement y compris les sauvegardes 83 La r habilitation de certains tablissements universitaires de recherche et des travaux mineurs de construction seront entrepris dans quelques campus il est attendu qu ils soient de petite envergure aussi les impacts environnementaux et sociaux ne devraient ils pas tre importants En alternative un PGES complet un Plan de gestion environnementale PGE sous forme de liste de contr le a t pr par pour chacun des tablissements retenus afin de g rer les impacts environnementaux et sociaux Les impacts et leurs mesures d att nuation nonc s dans cette liste de contr le devront tre troitement suivis et valu s et le projet doit s assurer d inclure une section environnementale dans son syst me de rapportage pour rendre compte des
88. amp T une main d uvre plus qualifi e et des travaux de recherche appliqu e pour intensifier l int gration de la technologie accro tre la productivit totale des facteurs et favoriser l mergence de nouveaux secteurs comp titifs Concernant l indice de l conomie du savoir l Afrique figure au dernier rang de la quasi totalit des rubriques Pour exemple elle ne contribue qu hauteur de 0 07 aux demandes mondiales de brevets une indication r v latrice du manque de leadership technologique du continent La r gion affiche l un des ratios chercheurs population les plus faibles au monde avec 17 chercheurs en recherche et d veloppement R amp D par million de personnes au Ghana 38 au Nigeria 45 au Burkina Faso contre une moyenne d environ 481 en Am rique latine 1 714 dans la R gion Asie de l Est et Pacifique et 2 664 en Europe et en Asie centrale L am lioration de ces indicateurs est une priorit premi re pour la croissance conomique fond e sur le savoir en Afrique mais l volution devra se faire progressivement en parall le avec le redressement de la pr sente p nurie de comp tences sp cifiques Un investissement dans ce sens g n rera des professionnels de haute qualit dot s de capacit s de r flexion d un esprit d entreprise et de capacit s de recherche plus l v s particuli rement dans 2 le champ des S amp T Le moteur du miracle conomique de l Asie de l Est tient en parti
89. ans la r gion 9 La justification conomique des centres d excellence au niveau r gional Tout d abord les tudiants dipl m s des tablissements d enseignement de la r gion ont des taux de rendement lev s Par exemple 84 des dipl m s de l Institut international d ing nierie de l eau et de l environnement 21E en Afrique retournent dans leur pays d origine et 98 travaillent sur le continent africain Deuxi mement les co ts et frais de scolarit ainsi que les frais de subsistance sont moins on reux qu aux tats Unis pour des programmes semblables la qualit pouvant tre certes relativement inf rieure Par exemple au niveau Ma trise l Institut 21E les frais de scolarit sont d environ 5 000 dollars par an et le logement sur place est de l ordre de 800 dollars par an En revanche le co t annuel moyen des tudes dans l enseignement sup rieur aux tats Unis frais de scolarit et de subsistance est de 33 973 dollars dans un tablissement public et de 42 224 dollars dans un tablissement priv Troisi mement l approche alternative consistant cr er un projet autonome par nation avec un Centre d excellence dans chaque pays n cessiterait un lourd investissement en infrastructures et capacit s de formation quant aux pays eux m mes 1ls peuvent ne pas avoir la demande n cessaire pour ces tudiants sp cialis s et risquent d tre confront s une disponibilit limit e d un corps professor
90. ans une institution financi re et les revenus suppl mentaires potentiels qui auraient t collect s partir des imp ts que cet migrant aurait pay D apr s une estimation de la Conf rence des Nations Unies sur le commerce et le d veloppement CNUCED chaque professionnel africain migrant repr sente une perte de 184 000 dollars Ces pertes peuvent tre vit es si les tudiants se voient procurer une opportunit de b n ficier d une ducation de qualit tout en restant proximit de chez eux Tableau 6 Mod les de mobilit estudiantine Indicateurs de mobilit Pays Burkina Cameroun Ghana Nigeria Faso tudiants l tranger Nombre total d tudiants mobiles l tranger 2 925 20 093 7 845 38 851 d tudiants internationalement mobiles l chelle 0 1 0 6 0 2 L1 de la plan te Taux de mobilit sortante 5 7 9 1 2 8 Taux brut de scolarisation sortante 0 2 1 0 3 0 2 tudiants accueillis Nombre total d tudiants mobiles accueillis 2 187 1 854 5682 d tudiants internationalement mobiles l chelle x 0 1 0 1 0 2 de la plan te Taux de mobilit entrante 3 6 0 8 2 Source Institut de statistique de l UNESCO 110 R capitulatif des indicateurs financiers 19 Le co t d un CEA repr sente une faible fraction de la d pense publique dans l enseignement sup rieur Le projet de Centres d exc
91. ant jusqu 10 du montant du cr dit sera mise disposition afin d viter des retards dans l ex cution dus un manque de liquidit s Les d caissements du Cr dit pour la composante 1 rembourseront le gouvernement pour les lignes budg taires s lectionn es pour financer le projet de CEA Les lignes budg taires s lectionn es sont appel es Programmes de d penses ligibles PEE Les PEE sp cifiques seront d termin s pays par pays et incluront les salaires des professeurs et les co ts op rationnels Ces d penses doivent tre effectu es et g r es de mani re satisfaisante pour la Banque afin d tre ligibles au remboursement de la Banque mondiale Cette approche est d crite en d tails dans l Annexe 3 sous la rubrique Gestion financi re et d caissements 34 Pour le composante 2 le d caissement du cr dit sera base sur l tat des d penses 35 Le projet satisfait aux quatre crit res r gionaux d utilisation de l enveloppe IDA r gionale i Concerne trois pays ou plus le projet concerne huit pays B nin Burkina Faso Cameroun Ghana La Gambie Nigeria S n gal et Togo ii A des retomb es conomiques ou sociales qui rejaillissent au del des fronti res du pays 2 e Economies d chelle et croissance conomique r alis es gr ce une sp cialisation r gionale La sp cialisation r gionale est le moyen le plus conomique et du meilleur co t efficacit pour les pays africain
92. apacit s produire de la recherche appliqu e pour r pondre au d fi du d veloppement r gional c Construire et utiliser des partenariats industriels et sectoriels afin de renforcer l impact du Centre sur le d veloppement et accro tre la pertinence des centres d enseignement et de recherche d Construire et fortifier des partenariats universitaires r gionaux et internationaux dans le but d lever la qualit de l enseignement dans d autres tablissements de la r gion e Renforcer la gouvernance et la gestion pour am liorer le suivi et l valuation l administration la gestion fiduciaire la transparence l aptitude g n rer des ressources et la mise en uvre de projet 44 Ces cinq jeux d activit s du projet s entrecroisent troitement Ainsi les partenariats d une part avec le monde industriel et d autre part avec le monde universitaire sont des ingr dients n cessairement introduire dans des capacit s renforc es si l on veut dispenser une formation de haute qualit et d un autre c t une formation de haute qualit est un facteur cl de partenariats r ussis avec le monde industriel et universitaire Les paragraphes ci apr s traitent en d tail des activit s li es chacun des 5 jeux de priorit s Faire progresser les capacit s afin d offrir une formation r gionale de haute qualit q 19 Ces activit s visent rehausser les capacit s du Centre d excellence
93. approbation de l audit annuel supervision du suivi des recommandations formul es dans le rapport d audit annuel pr sent par UFR 58 Les termes de r f rence complets sont communiqu s dans le Manuel d ex cution r gionale 22 La composition du CP CEA sera telle qu il y aura une repr sentation de chaque pays participant au projet Le comit de pilotage des CEA a t cr par les parties prenantes en concertation avec la Banque mondiale dans le cadre de la pr paration du projet Il comprend environ 14 membres repr sentant 1 le gouvernement minist re de l Enseignement sup rieur de chaque pays participant 8 repr sentants ii les experts universitaires de renomm e internationale incarnant les disciplines couvertes par ce programme 2 universitaires ii le secteur priv 2 repr sentants iv les CEA 1 vice chancelier tournant repr sentant les CEA s lectionn s v la CEDEAO Irepr sentant 23 Les proc dures relatives aux r unions du Comit de pilotage CEA r gional sont d termin es par le Comit lui m me Comme convenu lors de la premi re r union chaque r union sera pr sid e par un pr sident repr sentant la communaut des affaires au sein de la sous r gion et dot d une exp rience dans les STIM sciences de la sant et ou de l agriculture Le Comit prend ses d cisions la majorit Les d cisions sont subordonn es l objectif de d veloppement du projet au Manuel d e
94. aque gouvernement pour pr senter le projet en temps voulu au Parlement Il n y a pas de conditions crois es d entr e en vigueur dans le projet De cette mani re les possibles retards d approbation dans un pays donn n affecteront pas les autres pays tat En cours R currence Ech ance Resp Emprunteur tape Entr e en Fr quence et Banque vigueur na Gestion des risques Les dirigeants enseignants et chercheurs des CEA ont t largement consult s sur le concept de centres d excellence r gionaux et on a not un fort soutien cette approche du fait de la sp cialisation r gionale croissante des tablissements d enseignement sup rieur en Afrique Chaque centre doit d penser au minimum 10 des financements re us dans des partenariats r gionaux Ce param tre a t bien per u certains centres faisant m me tat de l importance de s engager encore plus avant avec les partenaires r gionaux tat En ch ance cours R currence Resp Les deux tape Les deux Fr quence Gestion des risques Le projet s est engag tr s troitement dans le dialogue avec les minist res des Finances et les centres retenus sur l approche ILD avec en aboutissement une bonne compr hension du m canisme ILD 89 des parties prenantes cl s telles que les minist res des Finances qui sont des acteurs essentiels d une mise en uvre r ussie de
95. arch s publics des march s assurer un Les dix CEA s lectionn s l exception de l Universit Redeemers ont suivi r gulier dans la par le pass mis en uvre des subventions concurrentielles aid es par la continuit pendant Banque mondiale dans le cadre du projet STEP B appuy par la BM l ex cution b formation dont la cl ture est intervenue en juin 2013 L Universit Redeemers sera sur le tas du personnel de aid e au plan technique pour amener l tablissement au niveau des passation des march s autres Les CEA b n ficieront de l exp rience du personnel de STEP B pendant l ex cution c pour l ex cution des subventions qui leur seront octroy es audits sur la passation des Les principaux l ments du cadre de la passation des march s dans les marches d renforcer les universit s f d rales sont en droite ligne avec les normes capacit s de passation des internationalement acceptables en la mati re Le Document f d ral march s de la Commission d appels d offres nationaux a re u l agr ment de la Banque pour son des universit s du Nigeria utilisation par les unit s d ex cution du projet financ par la BM La loi sur la passation des march s pr voit galement un m canisme de plaintes et recours pour accro tre la responsabilisation Composante 2 Composante 2 1 Capacit s valuation et facilitation r gionales Association des universit s africaines AUA L AUA a pr c d
96. ars Cette sous composante sera financ e par le biais d une subvention r gionale IDA l Association des universit s africaines 12 AUA qui appuiera 1 le renforcement des capacit s le partage des connaissances et la coordination entre les CEA par exemple en tirant conjointement les le ons et en mettant en place un plan de communication ii la conduite d activit s r gionales de suivi et valuation S amp E pour am liorer et valuer la performance des tablissements s lectionn s Cela comprend des tudes l aide d indicateurs des audits techniques la collecte de donn es sur le monde universitaire et des valuations th matiques iii une assistance technique des entit s r gionales dont la CEDEAO et l UEMOA pour aider l laboration d une politique programme r gionale d enseignement sup rieur de la science et de la technologie et iv les activit s n cessaires la facilitation et la conduite du projet r gional 30 Composante 2 2 Facilitation du projet au Nigeria Co t total y compris provision pour impr vus 1 2 million de dollars Cette sous composante financera l appui l ex cution du projet et sa facilitation pour la Commission Nationale des universit s au Nigeria Cela inclut la facilitation au plan national la formation et la supervision dans les aspects fiduciaires aussi bien du S amp E national que de l AT l g re 31 Composante 2 3 Consolider les services
97. ateurs externes de la conservation du statut de Centre d excellence r gional reconnu par les communaut s internationales et r gionales et de la capacit attirer et retenir les talents dans les fili res s lectionn es Le d veloppement insuffisant de m canismes de mesure des r sultats et les faibles capacit s de suivi et de rapportage des r sultats risquent de compromettre la concr tisation des objectifs propos s du programme Une strat gie de financement long terme mal con ue ou mal mise en uvre Le projet parvenu Gestion des risques Le Comit de pilotage des CEA les gouvernements les bailleurs ext rieurs et les partenaires d assistance technique joueront un r le dans le guidage et l acc s des partenariats permettant aux CEA d avancer sur la voie de la viabilit tat En ch ance cours Resp Les deux Etape Ex cution R currence Fr quence Gestion des risques Alors que des param tres de base ont t identifi s pour suivre les indicateurs cl s une grande attention sera apport e pendant le d veloppement du programme au suivi en termes de mesures pertinentes de la collecte de donn es et de livraison du programme La Banque travaillera galement en troite collaboration avec l Unit r gionale de facilitation au renforcement des capacit s de S amp E la fois dans l URF et dans les CEA Un organisme ind pendant tiers de S amp E
98. bles rel vent de l Universit de Yaound I au Cameroun de l Universit d Abomey Calavi au B nin et de l Universit de Lom au Togo Ces manuels de GF seront compl t s par un Plan d ex cution au niveau de l AE lequel contiendra les dispositions de GF conformes convenues avec l IDA l entr e en vigueur Les dispositifs de personnel comptable sont satisfaisants dans toutes les AE except les Universit de Yaound 1 au Cameroun Universit du Ghana WACCI et Universit Cheikh Anta Diop au S n gal Celles ci devront voir leurs capacit s renforcer par l adjonction d un comptable qualifi et exp riment amen g rer la charge de travail suppl mentaire occasionn e par le pr sent projet Les syst mes d information comptable informatis s sont en place mais un certain nombre de CEA voir Annexe 3 Syst mes comptables informatis s seront dans l obligation d acqu rir de nouveaux syst mes d information comptable actualisant leur logiciel comptable actuel et de renforcer les capacit s du personnel op rant les syst mes Pour ce qui est des audits internes il est n cessaire de recruter du personnel sp cialis l Universit Cheikh Anta Diop S n gal l Universit africaine de Science et Technologie Nigeria et l Association des universit s africaines de fa on ce que l ensemble des AE disposent des effectifs ad quats Les auditeurs de la plupart des agences d ex cution de
99. ch s approuv s par la Banque l entr e en vigueur De plus le Manuel op rationnel r gional guidera l ensemble du projet et sera approuv au stade de la n gociation B Suivi et valuation des r sultats 53 La conception du programme place un fort accent sur le S amp E qui est essentiel pour assurer la r ussite du mod le d indicateurs li s aux d caissements Deux jeux de gabarits de Cadres de r sultats CR en cascade ont t labor s i un gabarit de CR standard attach chacun des CEA s lectionn pour la mesure des progr s et ii un CR global qui agr ge la totalit des donn es fournies par les CEA et comporte galement des indicateurs suppl mentaires mesurant les activit s de renforcement des capacit s et de facilitation Ensemble ils mesurent les progr s du projet dans son ensemble 54 Le S amp E sera principalement men par chacun des CEA s lectionn s partir de leurs bases de donn es existantes et d outils de suivi qui seront sp cifiquement model s pour les exigences de rapportage du projet sur le S amp E Les outils de S amp E des CEA incluent le Cadre de r sultats CR et le plan de S amp E Les m canismes suppl mentaires d examen des CR des CEA et leurs outils de suivi comprendront a les rapports sur les progr s institutionnels et les rapports d audit interne de la qualit et de l efficacit b la v rification externe par une tierce partie ind pendante qui contr lera l ob
100. ch s pour chaque CEA iii Superviser les audits tre inform des termes de r f rence pour l audit annuel supervision des suites donn es aux recommandations contenues dans le rapport d audit annuel pr sent par les CEA s lectionn s dans le cas o les m canismes individuels de supervision de l universit ne sont pas ad quats pour superviser les audits 59 iv V rifier l ad quation des directives nationales de passation des march s et de gestion financi re v Approuver le rapport des r sultats des ILD et les demandes de d caissement y aff rentes vi Discuter de l alignement sur les strat gies nationales et aider le CEA favoriser les relations avec les organes gouvernementaux pertinents vii Exposer les bonnes pratiques viii Recommander des modifications au Plan de mise en uvre du CEA et des prises de d cisions au Comit de pilotage r gional ix Suivi de l avancement global du programme avec une attention particuli re aux retards probl mes et goulets d tranglement approbation des progr s et des rapports financiers des d cisions sur les activit s suivre pr sent es par les CEA s lectionn s Les termes de r f rence d taill s figurent dans le Manuel d ex cution r gionale du projet 26 Le comit national sera compos de telle sorte que le minist re et ou l agence en charge de l Enseignement sup rieur dont le repr sentant en sera le pr sident et organisateur
101. conomies africaines est d adopter une approche r gionale Peu s il en est de pays d Afrique de l Ouest et centrale disposent les moyens r currents de financer des centres d excellence comp titifs au niveau international dans le large spectre de domaines requis pour les besoins de leurs conomies La sp cialisation r gionale et la coordination des investissements sont le seul recours qu ont les pays d Afrique occidentale et centrale pour d velopper financi rement et intellectuellement l offre d un enseignement sup rieur de qualit dans ce large ventail Sans investissements coordonn s la r gion risque d investir de maigres ressources dans des secteurs similaires en se disputant les m mes enseignants en produisant le m me savoir et plus important encore en conservant la r gion bon nombre de lacunes en termes de comp tences de savoir et de technologie Une sp cialisation r gionale de l enseignement sup rieur permettra de i concentrer le peu d enseignants de haut niveau disponibles au sein d une masse critique susceptible de parvenir l excellence acad mique 11 mettre en place et soutenir le nombre de centres d excellence n cessaires pour r pondre la demande de la r gion en capital humain et en savoir sp cialis s et 111 g n rer un savoir et un flux d tudiants d outre fronti res accrus 15 Une approche r gionale sera mieux m me de mettre l accent sur les quelq
102. cumenter l accomplissement desdits r sultats Par le biais du Comit national d examen le CEA Le point focal CEA pour le pays et le minist re agence responsable de l enseignement sup rieur passeront les r sultats en revue et soumettront les informations sur l accomplissement des r sultats du projet pour l ann e en question ann e 1 4 Les informations soumettre entrent dans deux cat gories i les r sultats des CEA sous la forme des ILD et ii les d penses inscrites au Programme des d penses ligibles DEP 70 c L AUA l unit r gionale de facilitation v rifier ces accomplissements avec la Banque mondiale parfois sur un chantillon une fois la v rification des ILD faite par l Agence de v rification Ensuite la Banque mondiale d caissera les fonds convenus pour l ann e en question au compte d sign du projet au minist re des Finances Le d caissement aura lieu sur soumission d une demande de d caissement avec preuve des PED rembourser et des ILD aid s atteints l appui d Le minist re des Finances transf rera les fonds au compte du CEA au niveau de l universit par le proc d budg taire habituel Diagramme repr sentant le versement des fonds pour la composante 1 58 Les fonds envoy s au titre de la composante 1 verront deux types de dispositif Le premier type de versement de fonds a trait aux fonds envoy s directement sur le compte d sign pour le CEA Le diagramme c
103. d caissement pour la gestion financi re Nigeria et Universit du Ghana disposent d un tel comit mais un suivi de leur fonctionnalit sera entrepris 7 Transparence Publier les budgets rapports financiers et Annuellement Toutes les entit s comptes v rifi s du projet sur la toile pour accro tre la d ex cution transparence et l obligation de reddition Il s agit l d un r sultat li au d caissement 8 Syst me d information comptable Au cours des 6 a Universit de a Les Universit de Yaound I CETIC Cameroun premiers mois Yaound I Universit de Cheikh Anta Diop S n gal et Universit suivant Cameroun Universit d Abomey Calavi B nin doivent acqu rir un syst me l entr e en de Cheikh Anta Diop d information comptable pour laborer les comptes du vigueur S n gal et Universit projet de mani re efficace et efficiente Ce qui vitera d Abomey Calavi par ailleurs des erreurs dans les comptes B nin b La Federal University of Agriculture Abeokuta Nigeria b Federal University et l Universit de Lom au Togo doivent mettre jour of Agriculture leur syst me d information comptable informatis e afin Abeokuta Nigeria et qu il remplisse les besoins d tablissement des comptes Universit de Lom du projet Togo c Ahmadu Bello University Zaria Nigeria Redeemers c Ahmadu Bello University et University of Benin toutes trois au Nigeria Univer
104. dans le cadre du projet 93 La mise en uvre des cadres de S amp E fera l objet d un suivi au cours de l ex cution du projet et sera au c ur de la supervision du projet Les v rifications par une tierce partie seront effectu es sur une base semestrielle avant ou pendant les missions de supervision du projet servant de source cl d information pour les d caissements effectuer L examen mi parcours du programme peut offrir l opportunit de corriger les s ries d indicateurs ou les valeurs cibles selon l volution des situations 88 Annexe 4 Cadre d valuation des risques op rationnels CERO Projet de Centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique P126974 Risques 1 Risques li s aux parties prenantes du projet 1 1 Risques parties prenantes Notation Mod r Description du risque Retard de mise en uvre pour cause d approbation par le parlement Certains pays doivent demander l approbation du parlement pour le projet Une moindre concentration des centres d excellence s lectionn s CEA sur les activit s partenariats r gionaux Les CEA s axent plut t sur des activit s tourn es sur eux m mes Une compr hension et une acceptation insuffisantes de l approche non traditionnelle de financement fond e sur les r sultats Indicateurs li s aux d caissements ILD de la part Gestion des risques L quipe du projet travaille avec ch
105. de apport e aux tablissements participants s lectionn s dans le processus d am lioration de leurs propositions respectives Appui la pr paration des protocoles d accord convenir entre les CEA et les tablissements partenaires R alisation des tudes de base ainsi que des activit s de suivi et d valuation pour le cadre de r sultats du projet Soutien l ach vement de la mise jour de l enregistrement incorporation du b n ficiaire pour s assurer de sa personnalit juridique pleine et enti re et instauration d un comit de pilotage du projet Facilitation et coordination g n rale communication et diffusion de l information relativement aux activit s pr paratoires du projet Et Renforcement des capacit s et fonctionnement du secr tariat de l URF 12 L on ne peut en particulier que se f liciter du r le tenu par l AUA dans l organisation de l valuation transparente et fond e sur le m rite des propositions et de leurs tablissements soumissionnaires sous tous leurs aspects importants p dagogiques scientifiques et leadership Par la suite PAUA a jou un r le essentiel dans la pr paration des aspects du S amp E II D tails sur les capacit s l valuation et la facilitation r gionales de financement 13 Le produit de la subvention financera les activit s de pr paration et de mise en uvre restantes requises par le projet de CEA telles qu esquiss es ci de
106. des centres d excellence s lectionn s subissent des am liorations afin qu elles co ncident avec les objectifs et ch ances du projet 95 Annexe 5 Plan d appui la mise en uvre Projet de Centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique Strat gie et approche pour soutenir la mise en uvre 1 La strat gie de soutien la mise en uvre a t d velopp e sur la base de la nature du projet et du profil de ses risques Elle vise rendre l appui l ex cution apport aux CEA aux gouvernements et l AUA flexible et efficace elle est focalis e sur l identification des facteurs de r ussite et sur l application des mesures d att nuation des risques d finies dans le CERO 2 Les facteurs de r ussite pour un appui la mise en uvre solide sont consid r s tre les suivants 3 une communication ouverte et r guli re avec l ensemble des acteurs impliqu s dans le projet notamment les centres d excellence s lectionn s le Comit national d examen des CEA le Comit de pilotage des CEA et l Unit r gionale de facilitation favoriser un climat de confiance entre les parties prenantes et adopter une attitude orient e sur la r solution des probl mes mettre d entr e de jeu l accent sur le bon fonctionnement des m canismes de financement fond s sur les r sultats y compris le versement des fonds donner d s le d part la priorit l
107. des programmes de math matiques d ing nierie et de science en Afrique Premi rement les effets de grappe les travailleurs qualifi s augmentent la productivit des travailleurs non qualifi s Les dipl m s en math matiques et en ing nierie peuvent faire avancer la recherche mettre en pratique le savoir et le transmettre aux personnes moins qualifi es les rendant ainsi plus productives En outre les tudiants de troisi me cycle peuvent servir de formateurs de formateurs pour maintenir l effet de transmission des connaissances et de stimulation dans le syst me ducatif Deuxi mement l augmentation de l activit entrepreneuriale les travailleurs hautement qualifi s peuvent attiser l innovation gr ce un d ploiement plus efficient des ressources locales et la cr ation de nouveaux projets capables de d bloquer des investissements et les talents disponibles pour un m me niveau de capital Les employ s des secteurs de la science et de 101 l ing nierie rendent la soci t davantage capable d impulser des activit s entrepreneuriales tandis que ceux du domaine de la sant am liorent la sant d une soci t en augmentant sa productivit en g n ral Enfin investir dans des programmes m dicaux math matiques et d ing nierie aura un effet d multiplicateur dans la mesure o un accroissement des investissements publics et priv s conduira des salaires plus lev s pour les dipl m s augmentant par l m me l
108. domaines li s l enseignement sup rieur x G rer toutes les activit s r currentes de fonctionnement qui sont requises pour effectivement faciliter la pr paration du projet de CEA 15 Fournir aux CEA un appui en termes de suivi et valuation en particulier xi Collecte d ensemble des donn es pour le suivi et l valuation xii Appui aux activit s de S amp E y compris la mise jour de rapport xiii Agr gation des rapports transmis par les CEA en un document unique xiv Guider les interventions des sp cialistes du suivi valuation dans les CEA et tablissements partenaires en donnant des conseils et en venant la rescousse pour des questions probl mes et solutions soulev es par les CEA et les tablissements partenaires xv Appuyer l laboration de proc dures de suivi r gulier de la performance des tablissements impliqu s dans le projet xvi Conduire faire conduire une valuation de l impact des programmes de formation et divers types d autres tudes et en diffuser les conclusions xvii Publier sur son site Internet les r sultats de toutes les s lections au niveau national les conclusions des tudes de suivi et d valuation et toute autre information relevant du Cadre de gestion de la divulgation 16 Assistance technique l appui de la politique r gionale sur l enseignement sup rieur et du programme r gional sur la science et la technologie par le biais de la CEDEAO et de P UEMO
109. e l expansion spectaculaire d une main d uvre technique et technologique pr par e par un syst me d ducation et de recherche appliqu e en permanente am lioration en conjonction troite avec des politiques sectorielles nationales bien pens es Ce sont les m mes capacit s dont PASS a besoin pour soutenir et acc l rer plus avant sa croissance conomique ainsi que pour r pondre aux d fis li s la sant et l agriculture Ces capacit s seront galement essentielles pour diversifier les conomies de l ASS en favorisant l mergence de nouveaux secteurs de croissance conomique valeur ajout e plus lev e Peu de gens avaient envisag quand quatre instituts indiens de technologie ont t cr s dans les ann es 1950 l mergence en Inde d un secteur industriel fond sur les TI et les services d externalisation des traitements informatiques pesant 100 milliards de dollars et capable de maintenir quelque 12 millions d emplois permanents revenu moyen Il y a par cons quent des gains consid rables moyen et long termes retirer si les tablissements d enseignement sup rieur prennent le d fi bras le corps et r pondent aux exigences et besoins imm diats B Contexte sectoriel et institutionnel 5 Les pays d Afrique occidentale et centrale souffrent d un manque notoire de ressources humaines et de capacit s dans les domaines de la science de la technologie de Ping nierie et de
110. e mondiale ni de l AUA Voyons en d tail ci apr s 12 Examen technique sur documents la premi re note attribu e correspondait la qualit de la proposition sur la base de revues documentaires sous forme de moyenne des valuations de trois examinateurs individuels apr s examen par un panel jugeant de la consistance allant de 0 70 points voir les crit res au tableau A2 2 Tableau A2 2 Crit res de la revue technique sur documents Crit res d valuation technique Note 1 Potentiel d impacts sur le d veloppement r gional Importance du th me de d veloppement pour la r gion et caract re innovant de 10 la proposition y compris l alignement sur les plans de d veloppement nationaux et r gionaux Impact potentiel sur le d veloppement r gional y compris les points forts et la 10 pertinence d une collaboration avec des partenariats sectoriels employeurs organisations et gouvernements qui emploieront les dipl m s et utiliseront le savoir du Centre et l lan r gional apport par cette collaboration notamment l int gration des tablissements dans les pays fragiles ou sortant d un conflit Potentiel pour lever la qualit et la pertinence de l enseignement dans les 5 entit s universitaires partenaires nationales et r gionales y compris les points forts des collaborations r gionales existantes 2 Potentiel pour l excellence Potentiel pour l excellenc
111. e de sa proposition les CEA s lectionn s sont tenus de pr ciser leurs capacit s de suivi valuation et d tablir leur point focal en mati re de capacit s de suivi valuation une personne qui sera responsable de soumettre les indicateurs associ s au CEA pour garantir que l quipe du projet CEA assume la responsabilit et permette leur point focal de S amp E de compiler les donn es Dans chaque CR de CEA chaque CEA d signera pour chaque indicateur une personne qui sera directement responsable d tablir les sources et les outils de suivi sp cifiques cet indicateur et de collecter les donn es respectives pour cet indicateur sp cifique G n ralement il s agira d une personne d sign e comme leader de la composante pour les activit s alimentant cet indicateur tel qu inclus dans le CR soumis P AUA et la BM 90 Si les capacit s de S amp E requises ne sont pas totalement en place au moment de la signature du contrat de performance un plan d taillant le processus de progression des capacit s de S amp E est inclure dans la proposition r vis e Un renforcement ad quat des capacit s devra tre fourni par les CEA leur personnel S amp E De surcro t une formation suppl mentaire est susceptible d intervenir au niveau r gional organis e par le biais de PAUA en troite collaboration avec la BM afin de surmonter tout d fi primordial sp cifique CEA s il venait se poser 91 Afi
112. e en mati re d apprentissage y compris la 15 disponibilit de ressources d expertise humaines et physiques existantes pertinence excellence et points forts de la collaboration internationale propos e Potentiel pour l excellence en mati re de recherche 10 42 3 Durabilit financi re et acad mique de la proposition impact 10 4 Responsabilit sociale Int gration d tablissements ruraux loign s en 5 tant qu tablissements partenaires et impact sur les tudiants d favoris s notamment les filles 5 Qualit et coh rence de la proposition y compris avec l analyse strat gique 5 du plan Total 70 13 Liste restreinte Les 31 meilleures propositions examin es ont t short list es pour des valuations plus pouss es La liste restreinte tait raisonnablement quilibr e entre les groupes linguistiques les disciplines repr sent es et les pays 14 valuation in situ du leadership Une petite quipe d valuation compos e d au moins deux directeurs d universit r put s et conduite par un chercheur du champ d expertise du CEA propos s est rendue dans chacun des 31 tablissements pr s lectionn s L quipe a valu les capacit s de leadership et de gestion des universit s et du CEA propos elle a v rifi la faisabilit de la mise en uvre du projet institutionnel propos sur la base des capacit s acad miques de l infrastructure
113. e la Banque sp cialiste de la passation des march s du partiel pour aider et 20 d cembre 2013 au 7 janvier 2014 L valuation a examin les perfectionner le personnel structures organisationnelles d ex cution du Projet et les interactions permanent de la CM la entre le personnel du projet responsable de la passation des march s et CPM et de la Facult de les agences d ex cution M decine par des formations sur le tas et des s minaires sur les proc dures de passation des march s pour le reste du personnel Burkina Faso Institut international de l ing nierie de l eau et de l environnement 2iE Une valuation des capacit s de passation des march s de l Institut Mod r Les mesures d att nuation Faible international de l ing nierie de l eau et de l environnement 2iE a t conduite le 9 d cembre 2013 Le dispositif institutionnel de passation des march s et les comit s requis par le Manuel de proc dures sont formellement en place sous la pr sidence de la Direction du contr le financier et du budget avec un personnel dot d une certaine exp rience La Commission des March s est install e en bonne et due forme et est op rationnelle Les risques potentiels identifi s sont l exp rience insuffisante du personnel charg de la passation des march s des fonctions de passation des march s dilu es dans d autres responsabilit s l absence de m canisme administratif formel de recours
114. e la fonction publique dans des domaines cl s tels que la sant et les industries extractives re oivent une semaine de formation au CEA sur les meilleures pratiques les recherches la pointe dans leur sp cialit et leur application dans les politiques Les frais de voyage et les indemnit s journali res seront standardis s pour la sous r gion Les co ts de chaque service universitaire seront int gr s dans un processus d appel d offres et n goci s ult rieurement entre le CEA et l acheteur b n ficiaire Les bourses d tudes et les programmes d changes universitaires seront limit s un maximum de 25 000 dollars par personne pour faire en sorte que les fonds profitent au plus grand nombre et ne sont pas concentr s sur quelques individus 51 1 Annexe 3 Modalit s de mise en uvre Centre d excellence d enseignement sup rieur en Afrique Les entit s suivantes qui op rent aux niveaux national et r gional seront directement impliqu es dans la mise en uvre la supervision et le suivi du projet Les modalit s d ex cution les responsabilit s et les proc dures sont d crites dans la section Responsabilit s cl s de la pr sente annexe Des d tails suppl mentaires sur les termes de r f rence sont fournis dans le Manuel d ex cution du projet i ii ii iv vi 2 Universit s CEA Les activit s du projet seront principalement mises en uvre par les universit s s
115. e mondiale finance un montant convenu de ce programme la condition que les r sultats soient atteints et que les normes et r gles accept es en mati re de fiducie et de sauvegarde soient respect es La valeur estim e des salaires et des co ts op rationnels de mise en uvre des CEA constituera la contribution financi re des gouvernements et des tablissements Le montant des d caissements du cr dit sera subordonn l atteinte satisfaisante de progr s dans l ex cution du projet et de r sultats de performance convenus et pr sp cifi s intitul s ILD et pr sent s dans le tableau 2 de l Annexe 1 Le plus important ILD est repr sent par les r sultats atteints par l enseignement et la recherche en termes de nombre accru d tudiants r gionaux d obtention de r f rences de qualit en mati re d enseignement de travaux de recherche publi s de nombre de stagiaires et de production de revenus d origine externe Il existe galement deux ILD de la passation de march s et de la GM mesurant leur qualit leur efficience et leur respect du calendrier chaque ILD est attach un prix unitaire de d caissement par unit de r sultat atteint Le rapportage et la v rification de la r alisation des IDL se feront sur une base semestrielle et le d caissement aura lieu en cons quence Les ILD sont index s sur la base d une consultation et de chiffres traduisant les r alisations de l universit Une avance all
116. e personnel de l UCP et programme qui fait le lien entre tous les programmes financ s aussi notamment des ing nieurs et bien sur des fonds ext rieurs ii un contr leur financier et deux des superviseurs de travaux comptables iii une unit de construction comprenant trois ing nieurs sur la gestion contractuelle et six contr leurs des travaux et iv une Unit de la passation des march s Le renforcement de la Commission des contrats au sein de PUCP par la d signation d un sp cialiste de l ducation charg de coordonner l unit de passation des march s et le recrutement d un sp cialiste qualifi de la passation des march s ainsi que de son futur assistant a t convenu r cemment en d cembre 2013 81 A la suite de l valuation du projet le financement a t mis disposition pour 4 des 19 Centres d excellence africains ainsi que pour la Commission des universit s du Nigeria Ces centres en incluent un au S n gal et trois au Nigeria Ces centres suppl mentaires seront soumis aux m mes valuations fiduciaires et de sauvegarde que les 15 centres d excellence ainsi qu l laboration de mesures d att nuation avant l entr e en vigueur du projet Environnement et social y compris les sauvegardes Social y compris les sauvegardes 82 Les activit s du projet sont ax es sur des am liorations de la qualit et non sur accroissement de la capacit d accueil d tudiants La tot
117. eikh Anta Diop S n gal dont le MGF doit tre actualis pour r pondre aux besoins du projet de CEA 64 e Yaound I au Cameroun d Abomey Calavi au B nin et de Lom au Togo dont les MGF doivent tre actualis s pour renforcer leurs proc dures comptables 41 L ensemble des MGF des entit s d ex cution comporteront des directives de gestion financi re adapt es au projet Pour chaque CEA le MGF sera compl t par le Plan d ex cution auquel il sera annex Ce plan d ex cution doit tre approuv au moment de l entr e en vigueur 42 Personnel comptable Ses membres sont essentiels car ils pr pareront les comptes du projet Toutes les entit s disposant du personnel ad quat ont assign un comptable au projet Celles appel es renforcer les capacit s de leur personnel comptable en faisant en sorte de recruter dans les trois mois suivant l entr e en vigueur incluent les universit s de e Yaound 1 Cameroun qui doit recruter un comptable suppl mentaire de pr f rence familiaris avec la comptabilit des projets financ s par des bailleurs de fonds pour renforcer le dispositif du CETIC attendu la charge de travail actuelle de l expert comptable qui rend compte au contr leur financier e Ghana WACCI semi autonome qui doit recruter un comptable suppl mentaire professionnel qualifi et aguerri pour pauler le directeur financier en raison d une charge de travail excessive att nu e jusqu ici par
118. ellence va prendre place sur une p riode de quatre ans Un Centre d excellence se verra attribu un montant maximum de 8 millions de dollars supposer que chaque ann e un centre d excellence re oive 2 millions de dollars un CEA ne repr sente que 5 2 des d penses publiques du B nin dans l enseignement sup rieur une ann e donn e 2 9 au Burkina Faso 2 au Cameroun et 0 4 au Ghana voir tableau 5 Tableau 5 Principaux indicateurs financiers pour l enseignement sup rieur B nin Burkina Faso Cameroun Ghana 2009 2011 2010 2011 D penses publiques consacr es 5 35 4 01 3 22 5 54 P ducation en du PIB Pourcentage de d penses publiques dans 17 05 19 90 14 61 22 88 l enseignement sup rieur D penses publiques dans l enseignement 243 05 39 82 sup rieur par l ve en du PIB par habitant Total des d penses priv es consacr es aux 0 78 0 20 tablissements d enseignement sup rieur et leur administration en du PIB Total des d penses publiques consacr es 0 58 0 66 0 45 1 44 aux tablissements d enseignement sup rieur et leur administration en du PIB Total des d penses consacr es aux 0 86 tablissements d enseignement du 3 cycle et leur administration en du PIB PIB 000 dollars courants 6585 134 7 10 395 757 5 22 426 024 5 39 199 656 0 Pourcentage d un CEA 2 millions de dollars en part des d penses publiques dans l enseignement sup rieur 5 2 2 9 2 0 0 4 Source UN
119. ements pays et disciplines RE ne d excellence africain Entit chef de file et pays CEA D veloppement agronomique et environnement durable Federal University of Agriculture Nigeria CEA Formation d obtenteurs scientifiques et technologue des University of Ghana Ghana Agriculture semences CEA Sciences avicoles Universit de Lom Togo CEA Agriculture en sec Bayero University Nigeria 39 CEA Technologie et recherch alimentaire Benue State University Nigeria CEA G nomique des maladies infectieuses Redeemers University Nigeria CEA Biologie cellulaire de pathog nes infectieux University of Ghana Ghana CEA Maladies tropicales n glig es et biotechnologie m dico Ahmadu Bello University Nigeria l gale CEA Recherche et d veloppement en phytom decine University of Jos Nigeria CEA Sant g n sique et Innovation Universit du B nin Nigeria CEA Sant maternelle et infantile Universit Cheikh Anta Diop S n gal CEA Mat riaux African University of Science and STIM Technology Nigeria CEA Math matiques appliqu es Universit d Abomey Calavi B nin STIM CEA Technologies de l information et de la communication Universit de Yaound I Cameroun STIM CEA Education et recherche avec sciences et technologies de Institut International d Ing nierie de l Eau et STIM l eau nergie et environnement de l Environnement 21E Agriculture CEA Produits chimiques destines l industrie p
120. emment re u des fonds de la Banque par le biais de Mod r Les mesures d att nuation Faible l ACBF pour la p riode 2006 2010 L AAU est une organisation internationale non gouvernementale Une personne focale est assign e la passation des march s au sein de l AUA Il existe une commission de passation des march s dot e de la fonction d adjudication Selon les indications d tenues ce sont effectivement les membres de cette commission qui g rent le processus proprement dit de passation et il est indispensable de pr venir de possibles conflits d int r ts La tenue des dossiers est satisfaisante l agence tant encourag e garder les dossiers complets tout moment sont a donner une impulsion suppl mentaire aux capacit s de passation des march s gr ce un renforcement de ces capacit s de passation des march s b l AUA souffre d une absence de documents standard d appel d offres SBD pour la passation des march s aussi utilisera t elle ceux de la Banque dans la mesure o cette sous composante suit les proc dures de passation des march s de la Banque c il est recommand de tout mettre en uvre pour viter que les membres des comit s d valuation des r ponses aux appels d offres et les personnes charg es de pr parer les paquets 84 d appels d offres ne soient expos s des conflits d int r ts Compo
121. en ce qui concerne les proc dures de la Banque La supervision des modalit s de gestion financi re sera effectu e en tant que de besoin comme partie int grante du plan de supervision du projet 6 Appui la mise en uvre en termes de passation des march s Des sp cialistes de la Banque en passation des march s participeront r guli rement l appui la mise en uvre afin d aider au suivi des proc dures et des plans de passation des march s avec les entit s idoines des CEA et de l UREF Des visites formelles de supervision seront conduites au minimum une fois par 97 an pour pr ter main forte aux agences d ex cution et s assurer que les fonctions de passation des march s ne deviennent pas un obstacle l atteinte de ODP Pour la Composante 2 des examens ex post de la passation des march s seront conduits sur la base tant de la notation des risques que du volume de contrats effectivement r alis s par les agences d ex cution 7 Plan de soutien la mise en uvre en termes de gestion financi re La supervision in situ de la GF aura lieu deux fois par an pour la composante 1 et une fois l an pour la composante 2 elle se fondera sur la notation des risques du projet Des tudes th oriques des rapports financiers d ex cution et des rapports audit constitueront d autres formes de supervision 8 Sauvegardes Le sp cialiste la Banque de la supervision des politiques de sauvegarde s attache
122. endant vers un contr le de la qualit vi l appui au rapportage sur les le ons tir es de la mise en uvre des programmes et mise de ces l ments disposition des partenaires et d organismes r gionaux agr geant ces informations Contrat de performance et de financement et param tres de financement associ s 33 Chaque tablissement s lectionn signera avec le gouvernement un contrat de performance et de financement o seront nonc s quelques param tres financiers auxquels la subvention en question est soumise 1 au moins 15 du financement doivent tre investis dans les partenariats r gis par les accords de partenariat correspondants 1i au moins 10 doivent tre investis dans des activit s de partenariat avec des partenaires r gionaux non nationaux africains iii les travaux de g nie civil seront limit s 25 de la subvention iv le projet est dans l incapacit de financer les incitations mon taires du corps enseignant du personnel administratif et des agents de la fonction publique et v pour tre ligibles les achats de v hicules devront explicitement figurer dans le plan de travail annuel approuv L accord de performance et de financement indiquera galement le financement indicatif planifi pour le personnel institutionnel pendant la dur e du projet 34 mi parcours approximativement deux ans apr s la signature du contrat de performance une valuation rigoureuse de la performance
123. entaire pour apporter des am liorations aux propositions Les tablissements r viseront leur proposition en tenant compte de ces commentaires et suggestions et soumettront alors le projet final d tablissement En outre les valuations fiduciaires le filtrage des sauvegardes ainsi que les plans de gestion li s aux sauvegardes et les actions fiduciaires seront pr par s en tant que de besoin L tablissement soumettra la proposition am lior e un plan de mise en uvre pour la premi re ann e un plan de passation des march s et un plan de gestion li aux sauvegardes une rapide revue sur documents sera entreprise pour s assurer que les am liorations cl s de la proposition ont bien t int gr es Description d taill e des activit s des CEA 18 Chaque tablissement s lectionn mettra en uvre sa propre proposition de Centre d excellence africain visant r pondre un d fi sp cifique du d veloppement r gional via la pr paration de professionnels enseignement la recherche appliqu e et l intention des partenaires des activit s de sensibilisation associ es Dans ce cadre les tablissements auront toute latitude pour mettre en uvre leur propre proposition inh rente leur tablissement sp cifique englobant les cinq l ments suivants a Am liorer les capacit s dispenser une formation r gionale de haute qualit dans le but de r pondre au d fi du d veloppement b Consolider les c
124. era encourag gr ce un d caissement annuel ILD 3 4 li la publication sur la toile de ces rapports de gestion financi re Dispositions sur le versement des fonds 53 Comptes bancaires les comptes bancaires ci dessous nonc s seront ouverts pour l ensemble des entit s d ex cution 68 a Compte d sign les CEA l AUA et le MoBSE dans La Gambie ouvriront des comptes d sign s CD soit en dollars soit en francs CFA dans une banque centrale ou une banque commerciale acceptable par PIDA Les d tails sp cifiques sur la monnaie la localisation banque centrale ou commerciale sont pr cis s dans le tableau ci apr s R sum du versement des fonds Versement des fonds CEA Monnaie Localisation Par le biais du CD du CD Directement minist re des de PIDA au Finances au CEA CEA Institut International d Ing nierie de l Eau et de Francs CFA Banque C2 l Environnement 2iE centrale Universit d Abomey Calavi Francs CFA B centrale CI Universit de Yaound 1 UY1 Francs CFA B centrale CI Universit de Cheikh Anta Diop S n gal Francs CFA B centrale 2 Universit de Lom Togo Francs CFA B centrale Universit du Ghana UG Dollar B centrale C2 Universit du Ghana UG Dollar B centrale C2 Universit de Science amp Technologie Kwame Dollar B centrale C2 Nkrumah KNUST Universit Redeemers Mowe tat d Ogun Dollar B commerci
125. ers du Partnership for Applied Science Engineering and Technology Partenariat pour la science appliqu e l ing nierie et la technologie e Consolidation des partenariats existants entre les CEA et la recherche internationale ainsi que les tablissements universitaires d Am rique du Nord et du Sud d Europe et d Asie Le projet de CEA finance dans de nombreux cas une intensification ou la poursuite de partenariats r ussis financ s ant rieurement par une aide bilat rale y compris une collaboration ventuelle avec Nuffic RISE et d autres Gestion financi re d caissements et passation des march s 32 Une valuation de la gestion financi re GF a t conduite sur les dispositifs de GF du Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique Le projet sera ex cut par les tablissements ci dessous ayant fait l objet d une valuation de leur GF Composa Pays tablissement Centre d excellence africain CEA nte 1 Burkina Faso Institut International d Ing nierie de l Eau Centre d excellence pour la formation et la et de l Environnement 2iE recherche en Sciences et Technologies de l Eau l Energie et l Environnement en Afrique de l Ouest et du Centre 1 B nin Universit d Abomey Calavi Centre d excellence Africain en Sciences Math matiques Appliqu es du B nin 1 Cameroun Universit de Yaound 1 Centre d excellence en Technologies de P
126. ersit d Abomey B nin et l Universit de Lom Togo doivent proc der la d entr e en Calavi B nin amp v rification en souffrance de leurs comptes pour 2012 et 2013 vigueur Universit de Lom Gnclus dans le PIP Togo Personnel comptable les Universit s de Yaound 1 CETIC Dans les 3 Universit de Yaound Cameroun du Ghana WACCI et de Cheikh Anta Diop S n gal mois suivant 1 CETIC doivent recruter un comptable qualifi et exp riment pour l entr e en Cameroun Universit renforcer la responsabilit assum e des fonds du projet vigueur du Ghana WACCI et Universit de Cheikh Anta Diop S n gal 76 Action Date Responsable d exigibilit 5 Audit interne les unit s d audit interne sont encourag es Annuellement Toutes les entit s rapporter sur une base trimestrielle en utilisant une approche bas e d ex cution sur les risques De plus ils int greront le projet dans leur plan de travail annuel afin de garantir que les audits soient r alis s selon une approche bas e sur les risques Un rapport annuel constituera dans le projet un r sultat li au d caissement 6 Comit d audit Mettre en place un comit d audit op rationnel Annuellement Toutes les entit s qui donnera suite aux recommandations de mani re ce que la d ex cution direction en fasse bon usage Il s agit l d un r sultat li au Universit du Benin
127. esossossesocsoesesocsssscsoossesocsocsossossossesossossesocsssseseesse DO Annexe 6 Analyse conomique et financi re sesssesesoossssosoossesossossesocsossosscesesossossesecsssseseee L00 Annexe 7 Don IDA r gional octroy l Association des universit s africaines 116 vii FICHE DES DONN ES DU PAD Afrique Projet de Centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique P126974 DOCUMENT D VALUATION DU PROJET AFRIQUE AFTEW Rapport N PAD332 Informations de base ID du Projet Cat gorie d EE Chef d quipe P126974 B valuation partielle Andreas Blom Instrument de pr t Fragile et ou entraves au niveau des capacit s Pr t d investissement sp cifique Interm diaires financiers S ries de projets Date de d but d ex cution du Projet Date de cl ture de l ex cution du Projet 15 avril 2014 31d cembre 2018 Date pr vue d entr e en vigueur Date pr vue de cl ture 15juillet 2014 31d cembre 2018 IFC conjoint Non Directeur sectoriel Directeur sectoriel Directeur des op rations Vice pr sident r gional Peter Nicolas Materu Tava SORA Colin Bruce Makhtar Diop int rim a Emprunteurs Minist re de l conomie et des Finances B nin Minist re de l conomie et des Finances Burkina Faso Minist re de l conomie de la planification et du d veloppement r gional Cameroun Minist re des Finances Ghana Minist re f d rale des Fi
128. et le renforcement des capacit s des universit s s lectionn es montre que le TRI est de 3 au Burkina Faso 30 au Cameroun 28 au Ghana et 15 au Nigeria Le co t d un CEA repr sentera une faible fraction des d penses publiques dans l enseignement sup rieur sur une ann e donn e du projet les d penses li es un CEA se monteront approximativement 5 2 des d penses publiques dans l enseignement sup rieur au B nin 2 9 au Burkina Faso 2 0 au Cameroun et 0 4 au Ghana Justification de l investissement dans des centres d excellence 2 L ducation est un investissement qui accro t les comp tences individuelles et rend les citoyens plus inform s et mieux socialis s Un plus grand nombre d ann es d tude est galement en corr l des gouvernements d mocratiques travers les pays Au niveau de l individu la qualification rend une personne plus apte l emploi et plus productive lui permettant une participation au march du travail pendant toute sa vie la conduisant des revenus plus lev s et une meilleure qualit de vie Au niveau d un pays l ducation est associ e la croissance conomique De plus les programmes d enseignement qui pallient des manques de main d uvre qualifi e dans des domaines comme le d veloppement durable des ing nieurs capables de composer avec les besoins croissants des secteurs de l nergie de l environnement du changement climatique
129. et cherche jeter les bases d am liorations apporter la gouvernance des syst mes d enseignement sup rieur ce qui constitue la cl du passage un enseignement sup rieur d excellence Enfin la conception met l accent sur les sciences en renfor ant les tablissements s lectionn s pour am liorer la qualit des STIM et de la recherche appliqu e principale fili re de d veloppement conomique C Gestion financi re 65 Des valuations de la GF ont t r alis es pour l ensemble des agences d ex cution du Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique ce qui inclut 15 CEA au titre de la Composante 1 et PURF et PUCP au minist re de l Enseignement primaire et secondaire MoBSE de La Gambie au titre de la Composante 2 L valuation de la GF a t effectu e en conformit avec le Manuel de gestion financi re publi par le Comit sectoriel Gestion financi re le 1 mars 2010 Les d tails de cette valuation sont donn s l Annexe 3 66 La principale conclusion fut que des syst mes budg taires taient g n ralement en place dans l ensemble des agences d ex cution AE Toutes disposent de Manuels de gestion financi re ad quats sauf celui de l Universit Cheikh Anta Diop au S n gal qui doit tre actualis afin d int grer les dispositions relatives au projet Les autres CEA o des actualisations sont requises pour consolider les proc dures compta
130. ettre l IDA dans les six mois suivant la fin de leur exercice Modalit s d audit externe 67 L audit externe des fonds du projet sera r alis la fois par des instances sup rieures de contr le et des cabinets d audit priv s acceptables par l IDA Les instances sup rieures de contr le ont la possibilit d engager des cabinets d audit priv s acceptables par PIDA pour auditer le projet et les co ts y aff rents peuvent tre couverts comme tant des d penses de fonctionnement du projet Un tableau indiquant qui audite chaque entit d ex cution est pr sent ci apr s Tous les audits devront tre r alis s dans le respect des normes internationales de contr le L ensemble des termes de r f rence pour les audits des entit s d ex cution seront convenus avec l IDA Les termes de r f rence de l audit de la composante 1 doit au minimum faire en sorte que la totalit des PDE et des investissements des CEA soit contr l e Les rapports d audit accompagn s des lettres de la direction seront soumis la Banque mondiale dans les six mois suivant l entr e en vigueur Les exercices comptables pour la pr paration des comptes audit s peuvent correspondre l exercice de chaque entit d ex cution ou coller l ann e calendaire janvier d cembre Les rapports d audit seront diffus s aupr s du public par la Banque mondiale en conformit avec sa politique de divulgation R sum des modalit
131. excellence a plusieurs partenaires universitaires et industriels Cette complexit en termes de prestations de services et de suivi risque de ralentir l ex cution De surcro t ceci entra ne une complexit du pilotage du projet Les risques li s aux capacit s sont importants du fait i du fonctionnement parfois bureaucratique des universit s de la r gion et ii de l exp rience insuffisante en mati re d administration de rapports de S amp E de passation des march s et de gestion financi re Enfin les risques li s la conception tels que le financement fond sur les r sultats l esp rance de voir les programmes d enseignement africains atteindre les normes internationales d enseignement et la confiance accord e aux partenariats pour la prestation de services ne sont pas n gligeables car il s agit d objectifs ambitieux 62 Les mesures d att nuation des risques incorpor es dans la conception la pr paration et l ex cution du projet comprennent i une conception du projet assortie de la participation intensive d un groupe de travail technique africain et d ateliers en continu avec les universit s Ceci a permis une r elle appropriation et une adaptation de la conception au contexte 21 VL ouest africain ii un processus de s lection concurrentiel con u pour identifier et retenir les propositions jug es par un Comit d valuation ind pendant les mieux pr par es et affichant le meil
132. exp rience insuffisants ce responsable des d cisions de qui se retrouve aussi dans l laboration et l ex cution m diocres des passation des march s b plans de passation des march s ne garantissant pas la livraison en temps former le personnel des des fournitures au prix indiqu et de la qualit requise processus coh rents de passation des march s c Les risques sp cifiques incluent fournir une formation intensive le personne Manque de clart sur qui est responsable de quelles d cisions en actuellement en charge de la mati re de passation de march s passation des march s et s allouer les services Incapacit du personnel de l agence appliquer les processus de temps partiel d un conseiller passation des march s correctement et avec coh rence en passation des march s d s parer clairement les Manque d exp rience et de connaissances de la passation des march s fonctions de passation des de la personne en charge au niveau senior march s et de comptabilit e pr parer des plans de Cumul des fonctions de passation des march s avec celles de passation des march s f comptable engager des experts de la formation et am liorer la Retards dans le traitement et l ex cution du Projet en raison d une qualit des sp cifications absence de planification correcte techniques et des TdR f mettre jour les documents Les sp cifications techniques TdR sont vagues et t
133. gionale AUA Nombre de CEA tablissements rapportant sur au Soumission E NA Nombre 0 8 10 12 15 19 s mestiene PTS CES ATA leurs indicateurs des rapports soumettant le CR de CR PAUA en temps voulu REN Pepan AUA sur la base Rapport d activit annuels des de annuel pr par et Texte S O Fait Fait Fait Fait Fait annuelle CEA soumis la BM individuelle chaque CEA ment AUA sur la base B n ficiai Regist des donn Ie Nombre 1 950 4400 7900 10200 12800 16690 semestrielle FES PTS directs du Project CEA soumises par les CEA AUA sur la base Femmes Registres des donn es ne Nombre 332 786 1 598 2211 2 884 3 606 semestrielle b n ficiaires CEA soumises par les Pri re d indiquer si l indicateur est un indicateur sectoriel de base voir plus loin http coreindicators 32 CEA Indicateurs de l Objectif de d veloppement du projet Nom de l indicateur Description d finition de l indicateur etc Nombre d tudiants nationaux et r gionaux inscrits dans les nouveaux programmes sp cialis s de ma trise doctorat et post doctorat et ou formations de courte dur e d tudiantes Cet indicateur est centr sur la mesure du R gionalisme du programme Notes Dans ce cadre de r sultats le terme r gional fait toujours r f rence aux tudiants africains non originaires du pays abritant le CEA en question Les tudiants de ma
134. gnature et ratification du Contrat de performance et de financement Entr e en vigueur Description de la condition applicable tous les pays sauf La Gambie Le Contrat de performance et de financement entre le b n ficiaire et l es universit s participante s rev t une forme et un contenu satisfaisant l Association et est d ment autoris et ratifi Nom Type xii Mise en place d une quipe d ex cution et d examen national Entr e en vigueur Description de la condition applicable tous les pays sauf La Gambie le Nigeria et le Togo Cr ation respectivement par les Universit s participantes et par le b n ficiaire respectivement par les Universit s participantes et par le b n ficiaire des quipes d ex cution et du Comit national d examen dans une forme et un contenu satisfaisant l Association Nom Type Approbation du Manuel d ex cution r gional du projet Entr e en vigueur Description de la condition applicable tous les pays Approbation du Manuel d ex cution r gional du projet dans une forme et un contenu satisfaisant P Association Nom Type Entr e en vigueur Adoption du Manuel ex cution r gional du projet Description de la condition applicable uniquement l AUA Adoption du Manuel d ex cution r gional du projet par le b n ficiaire dans une forme et un contenu satisfaisant l Association Nom Type Installat
135. harge de l enseignement sup rieur assurera l appropriation du projet l ad quation entre le projet et la politique nationale relative l enseignement sup rieur et encouragera un partenariat actif entre les tablissements nationaux d enseignement sup rieur et les autres CEA en Afrique centrale et occidentale Le minist re d signe un point focal qui sera le repr sentant de son pays au sein du Comit de pilotage des CEA Ts Les autres minist res techniques tels que le minist re de l Agriculture des Mines ou de la Sant selon la sp cialisation des CEA s lectionn s feront en sorte de promouvoir l impact sectoriel du projet de faciliter les partenariats d appuyer les activit s du projet et d aligner le projet la strat gie nationale Ceci comprendra de faciliter les liens et la communication au regard des ressources humaines et des comp tences n cessaires au secteur ainsi que des priorit s pour la recherche appliqu e 8 L unit d ex cution du projet connexe L accord de performance et de financement entre le gouvernement et le CEA fournira les d tails de cette unit en supposant qu une telle entit pertinente existe au sein d un projet connexe de la Banque mondiale ou d un autre bailleur L appui la mise en uvre et la supervision du projet au niveau national seront int gr s dans la mesure du possible un projet existant de la Banque mondiale Il est pr vu que ce soit le cas pour
136. he Southern Africa Development Community Nouveaux mod les de mobilit dans la communaut de d veloppement d Afrique australe 5 des tudiants universitaires d Afrique subsaharienne partent l tranger en chasse d un savoir et de comp tences qui leur donneront des atouts comp titifs sur le march de l emploi La r gionalisation de l enseignement sup rieur fournit une opportunit de d couvrir de nouvelles voies d extension des possibilit s ducatives en r orientant la mobilit des tudiants vers des p les r gionaux Le tableau 6 donne des estimations pour les quatre pays que sont le Burkina Faso le Cameroun le Ghana et le Nigeria du nombre d tudiants poursuivant actuellement leur ducation l tranger Ainsi qu on peut le voir les taux de mobilit sortante sont nettement plus lev s que les taux de mobilit entrante notamment pour le Burkina Faso et le Cameroun Cet tat de fait constitue donc une norme opportunit de capter cette population estudiantine au sein de la r gion et d viter les pertes conomiques li es la fuite des cerveaux Des tentatives ont t effectu es pour calculer le co t financier du d part d un seul migrant en tenant compte des pertes de rendement de l investissement fait dans la formation d un m decin ou d un ing nieur en ajoutant le montant que la d pense r alis e dans la formation aurait g n r si elle avait t investie d
137. i dessous montre qu il concerne l Universit Redeemers Mowe et l Universit africaine de Science et Technologie Abuja au Nigeria dans la mesure o il s agit d universit s priv es Ces universit s disposeront d un compte de projet libell en monnaie locale tandis que le CD sera en dollars Les fonds du CD seront transf r s au compte du projet en vertu de la pratique nationale et universitaire recevable Le CEA aura la possibilit de r gler ses d penses d investissement sur le CD ou le compte du projet Ce dispositif est repr sent dans le diagramme ci apr s 1 diagramme de versement des fonds pour la composante 1 Versement direct Compte d sign en dollars Compte du projet en pour le CEA monnaie locale pour le CEA D penses d investissement ligibles du CEA r gl es soit en dollars soit en monnaie locale 59 Le deuxi me dispositif concerne le versement des fonds l ensemble des autres CEA sur leur compte d sign situ la banque centrale sous le contr le du minist re des Finances S agissant des fonds d caiss s en dollars ils seront d abord d caiss s sur un CD pour le projet libell en dollars puis transf r s sur un sous compte libell en monnaie locale pour le projet de CEA sous l gide du minist re de l ducation au fonds consolid ou au compte unique du 71 Tr sor Pour les fonds dont le CD est en franc CFA leur CD sera un sous compte pour le projet de CEA
138. identifiant les probl mes potentiels l interface des dispositifs r gional et nationaux et v affecter les ressources de fa on ad quate pour la pr paration et la supervision du fait des co ts plus lev s associ s aux programmes r gionaux MISE EN UVRE A Dispositions institutionnelles et d ex cution 42 Chaque tablissement s lectionn mettra en uvre son propre sous projet de CEA Une quipe de mise en uvre du CEA a t constitu e pour conduire la gestion au jour le jour du projet et fournir des services de secr tariat au Comit national d examen Elle est dirig e par un chef de centre CC qui est un professeur chercheur reconnu dans la discipline principale du CEA et appuy par le corps professoral senior des d partements engag s concern s En outre la capacit administrative le plus souvent celle de l administration centrale des tablissements aidera dans les t ches fiduciaires Des partenaires y compris des universitaires internationaux sont souvent repr sent s dans un comit consultatif Le paragraphe ci apr s donne un exemple typique Chaque CEA signera un accord de partenariat avec ses partenaires non ant les activit s partenariales convenues pour le projet et un plan de travail annuel sera ratifi chaque ann e 43 Le dispositif de mise en uvre pour le Centre d excellence africain sp cialis dans les Maladies tropicales n glig es MTN et la biotechnologie judiciaire Ahmadu Bello
139. ie ainsi que des m thodes d enseignement d apprentissage et de recherche entre les pays et renforce les r seaux de recherche transfrontaliers Ce projet est galement inclus dans strat gies pays pertinentes de partenariats pour l Afrique de l Ouest et centrale Enfin le projet est galement en alignement avec la Strat gie de la Banque mondiale pour l ducation L apprentissage pour tous 19 Le projet est align sur les strat gies des organisations r gionales africaines la Commission conomique de l Afrique de l Ouest CEDEAO et l Union conomique et mon taire ouest africaine UEMOA La CEDEAO souligne la totale ad quation du projet propos avec le Protocole de l organisation sur l ducation et la formation ainsi qu avec sa Politique et Plan d action sur la science et la technologie En plus la Deuxi me d cennie pour l ducation de l Union africaine ainsi que d autres strat gies donnent une forte impulsion l harmonisation de l enseignement sup rieur sur le continent africain avec pour premier sout nement une harmonisation r gionale L UEMOA appuie galement fortement le projet propos lequel soutiendra par ailleurs la mise en uvre de plans sectoriels de d veloppement du capital humain tels que le Programme int gr pour le d veloppement de l agriculture en Afrique PIDAA et la Vision pour le secteur minier africain 20 Les strat gies nationales de d veloppement tra
140. ient tre soumises par l interm diaire de l organisme minist re national charg de l enseignement sup rieur celui ci transmettait les candidatures cautionn es l URF AUA assorties d une lettre d accompagnement affirmant son appui aux propositions soumises et sa volont d emprunter au nom de son gouvernement des ressources IDA pour le financement des candidatures s lectionn es pour tre financ es 11 valuation des propositions institutionnelles L AUA et la Banque mondiale ont organis une valuation syst matique d taill e sur documents et in situ des propositions en recourant 35 experts de renomm e internationale ainsi qu des experts africains appartenant pour certains la diaspora Ce comit tait compos d universitaires r put s poss dant l expertise ad hoc pour valuer des programmes d enseignement et de recherche dans leurs domaines respectifs de pr dilection Les valuateurs n entraient pas en conflit d int r t avec les propositions soumises L valuation a consist en trois phases diff rentes autant dire que chaque proposition s lectionn e a t examin e et not e par un minimum de 7 valuateurs ind pendants Chaque proposition pr s lectionn e pouvait atteindre un score maximum de 100 points au cours du processus d valuation Apporter des changements la notation de l un quelconque des valuateurs externes ne figuraient au mandat ni du CP des CEA ni de la Banqu
141. importantes Cet appui portera en particulier sur l laboration des TdR les m thodes mod les de mise en uvre la coordination avec les partenaires pour le renforcement des capacit s et en termes d outils de supervision le suivi par une tierce partie pour la v rification des ILD comit d audit institutionnel rapports de passation des march s etc 96 b Des missions d examen conjointes rassemblant les principales parties prenantes dont les repr sentants des 19 CEA et les membres du Comit de pilotage se rencontrant pour passer en revue et discuter les progr s relatifs aux donn es et rapports des CEA les rapports agr g s de l AUA et d autres instruments de supervision Ces rencontres sont une opportunit premi re d apprentissage par les pairs de comparaison des progr s et d identification des d fis communs relever Il est pr vu qu elles aient lieu deux fois par an en incluant les visites de CEA c Renforcement des capacit s et rapportage l AUA Rapports des CEA fond s sur les accords de performance rapports d audit interne et de gestion financi re d Recours des conseillers et contr leurs externes en p dagogie et en affaires Autant que faire se peut et selon l tat des finances l AUA et la Banque viseront faire intervenir des partenaires internationaux e Interventions sp cifiques pays et CEA le plus souvent par l quipe bas e au bureau pays de la B
142. imul la productivit de l agriculture Pour que les conomies africaines entreprennent une transformation similaire les faisant passer d une situation d importateur net un statut d exportateur net une adaptation et une application des technologies permettant une post exploitation lev e y compris des technologies de protection alimentaire sont imp ratives Le manque de scientifiques sp cialis s dans les pratiques culturales et l levage ainsi que de v t rinaires et d agronomes s est transform en goulet d tranglement dans la mutation de l agriculture de la r gion Par exemple les phytog n ticiens et les scientifiques des sp culations v g tales sp cialis s dans les cultures indig nes d Afrique telles que le sorgho le millet et le manioc qui rev tent pas ou peu d importance dans les coles d agriculture des pays revenu lev sont indispensables Cil sera impossible de surmonter ces d fis de d veloppement sans une prise d initiatives visant obtenir la main d uvre qualifi e et comp tente ad quate L Afrique occidentale et centrale aurait tout gagner si les tablissements d enseignement sup rieur de la r gion formaient davantage de dipl m s poss dant ces comp tences exig es et si ces dipl m s taient de meilleure qualit 4 moyen terme l obtention d une croissance conomique en Afrique requiert une augmentation des capacit s en sciences et en technologie S
143. ion La CEDEAO souhaite faire de ce projet un moteur de collaboration plus pouss e dans la S amp T et l harmonisation des politiques d enseignement sup rieur iv Fournit une plateforme pour une importante harmonisation des politiques entre les pays sous forme d un programme d investissements visant encourager la sp cialisation de l enseignement sup rieur dans la r gion Cela appuie non seulement la mission de la CEDEAO mais aussi la mise en uvre de son Protocole sur l enseignement sup rieur et de sa Politique en mati re de science et de technologie et plus globalement l laboration des politiques l int rieur de l enseignement sup rieur en Afrique de l Ouest et centrale Le projet appuie galement la coop ration et la sp cialisation r gionales parmi les universit s dans la sph re de l UEMOA ainsi que l harmonisation des politiques au sein de l enseignement sup rieur De surcro t l AUA h bergera l Unit r gionale de facilitation du Projet et sera renforc e au travers du Projet Les allocations de PIDA respecteront les pratiques normalis es appliqu es aux projets r gionaux avec jusqu deux tiers du montant IDA provenant de la premi re cagnotte de cette derni re et un tiers provenant de l allocation nationale Le tableau 3 pr sente les co ts du projet par pays avec la ventilation r gionale et nationale des fonds IDA Tableau 3 Co t et financement du Projet millions de dollar
144. ion ainsi que les op rations d appui que sont la d coupe et le polissage Le fait de rendre davantage de diamants disponibles localement a d plac plus de 6 milliards de ventes annuelles de diamants bruts de Londres Gaborone Un suppl ment de 3 200 emplois industriels a t cr au Botswana depuis 2007 et 16 entreprises de n goce de diamants bas es localement ont t implant es 103 c La main d uvre grandissante de l Afrique devrait tre capable de capitaliser sur les opportunit s d emplois directs et indirects g n r es par la croissance durable du secteur minier Bien que l industrie extractive ne fournisse comparativement que peu d emplois directs le potentiel de cr ation d emplois par le biais des liens locaux et de l impact socio conomique des activit s mini res est important et devrait tre pris en compte pour donner une image plus compl te des retentissements sur l emploi Selon une communication d un Conseil international pour l tude des mines et des m taux 2008 le secteur minier de grande envergure de Tanzanie avait cr quelque 8 000 emplois directs et 45 000 suppl mentaires Voir encadr 2 pour les emplois directs indirects et induits cr s en Ouganda Jobs generated in Uganda by Lake Albert Basin Development projects ONCEPTS OF DIRECT INDIRECT AND INDUCED JOBS GENERATED BY OIL amp GAS PROJECTS ESTIMATE 80 000 INDUCED 6 000 Direct Indirect
145. ion du Comit de pilotage des CEA et de l Unit r gionale de si Entr e en vigueur facilitation 8 Description de la condition applicable uniquement AUA Cr ation et installation du Comit r gional de pilotage et de l Unit r gionale de facilitation dans une forme et un contenu satisfaisant l Association Nom Type Plan de travail annuel avec manuels de fiducie Entr e en vigueur Description de la condition applicable tous les pays sauf La Gambie Le programme annuel de travail pour la premi re ann e le plan d ex cution incluant le Manuel des proc dures de gestion financi re et le Manuel des proc dures de passation des march s ont t pr par s et adopt s par les Universit s participantes dans une forme et un contenu satisfaisant l Association Nom Type Liquidation des audits financiers en retard Entr e en vigueur Description de la condition applicable uniquement au B nin et au Togo Les audits 2011 et 2012 pour les Centres d excellence des Universit s participantes ont t pr sent s P Association dans une forme et un contenu satisfaisant cette derni re Composition de l quipe Personnel de la Banque Nom Titre Sp cialisation Unit Andreas Blom conomiste en chef de Chef d quipe AFTEE P ducation Peter Nicolas Materu Directeur sectoriel Directeur sectoriel AFTEW ducation David J Nielson Sp cialiste senior des
146. ir La Gambie comprennent sans s y limiter e Programme de mentorat pour les professeurs invit s au CEA les professeurs gambiens se formeront au CEA et seront alors d sign s sous le terme de professeurs invit s Chaque participant issu d une universit implant e dans un pays prioritaire se voit assigner un mentor professeur au CEA dans le but d tre co auteur d une recherche dans son domaine d expertise 1l assistera des sessions de formation organis es dans le cadre du programme e S ries de conf rences pr sent es par des professeurs exp riment s les professeurs du CEA peuvent enseigner dans les tablissements gambiens e Acc s aux laboratoires et quipements et formation en cons quence au CEA les professeurs gambiens peuvent se rendre au CEA pour acc der du mat riel sophistiqu et recevoir une formation recourant des quipements de laboratoire de pointe disponibles au CEA e Bourses d tudes et programmes d change universitaire les tudiants gambiens peuvent tre aid s pour participer une formation sp cialis e dans un CEA e Formation administrative et d veloppement de programmes d tudes cours de formation professionnelle administrative et cours de d veloppement de programmes d tudes dispens s par le CEA aux professionnels concern s au sein des gouvernements et des universit s des pays prioritaires 50 e Formation des fonctionnaires au CEA les employ s d
147. ir aux frais d une ducation sup rieure Il est imp ratif que les fonds publics ciblent les tudiants disposant de moindres revenus ou des domaines strat giques de l enseignement sup rieur qui n attirent pas les investissements du secteur priv comme les S amp T Les tablissements doivent compl ter les fonds publics par la perception de droits universitaires d honoraires de consultance et de donations 11 Privil gier la croissance rapide de l enseignement sup rieur priv est essentiel pour offrir plus de possibilit s de s instruire la jeunesse tout en accentuant le caract re strat gique des investissements publics dans l enseignement sup rieur Plus de 1 000 tablissements priv s non universitaires ont fait leur apparition en ASS et les tablissements priv s concernent d sormais 1 tudiant sur 4 des exceptions pr s la prestation du priv intervient principalement dans les zones urbaines et dans les programmes peu co teux du Baccalaur at ax s sur des emplois sp cialis s En termes de politique nationale il conviendrait de prendre des mesures graduelles pour stimuler le d veloppement d un enseignement priv de qualit et soutenir les tudiants faible revenu incapables de financer leurs tudes En outre les gouvernements pourraient subventionner en priorit les domaines fort rendement social qui ne sont pas la cible des tablissements comme les dipl mes en S amp T exig s des laboratoi
148. ires du Projet 23 Les b n ficiaires du cr dit de PIDA sont i Les tudiants de toute l Afrique de l Ouest et du centre inscrits aupr s des tablissements aid s et de leurs tablissements partenaires qui profiteront d un enseignement de qualit fond sur la recherche dans les secteurs en forte demande ii Les entreprises ainsi que les organisations gouvernementales et non gouvernementales partenaires des Centres d excellence africains CEA qui b n ficieront d un plus grand nombre non seulement de stagiaires et de dipl m s form s dans des domaines plus pertinents mais aussi de recherche appliqu e adapt e leur activit iii Le corps enseignant et le personnel des CEA qui profiteront d un enseignement et de conditions de recherche am lior s et iv Le corps enseignant et les tudiants des tablissements partenaires r gionaux qui profiteront des capacit s renforc es des CEA Indicateurs de niveau de r sultats de l ODP 24 Les indicateurs de l ODP ci apr s mesureront les progr s r alis s dans l atteinte des ODP e Nombre d tudiants nationaux et r gionaux inscrits dans les nouveaux cours de courte dur e et programmes de ma trises doctorats sp cialis s mesure les capacit s renforc es e Nombre d tudiants r gionaux inscrits dans les nouveaux cours de courte dur e et programmes de maf trises doctorats sp cialis s aspect r gional MI e Nombre de programmes d enseig
149. isciplinaire et n est pas personnellement b n ficiaire du projet La structure h te de PURF a t retenue partir d une liste restreinte d organisations r gionales africaines pr s lectionn es uvrant dans le renforcement des capacit s sur le continent sur la base des crit res suivants i Avoir de l exp rience dans la gestion des fonds de bailleurs ii Disposer d une comp tence d j ancienne dans l enseignement sup rieur 116 iii Avoir tabli et fait la preuve de relations de travail avec des tablissements d enseignement sup rieur iv Faire montre d une exp rience av r e de travail intersectoriel v Justifier sur la base d valuations par la BM de bonne diligence de capacit s fiduciaires et institutionnelles bien tablies et si ces capacit s sont faibles disposer d un plan cr dible pour les renforcer passation des march s gestion financi re environnement afin d tre en mesure d ex cuter des interventions aid es par la Banque mondiale vi Apporter la preuve d une couverture r gionale travers diff rents th mes d intervention vii tre bilingue capacit travailler en Fran ais et en Anglais et viii Faire montre d exp rience dans la mise en uvre et la coordination de projets l chelon r gional En coh rence avec les crit res de s lection d crits ci dessus le Projet a pris en compte au cours du processus de s lection les d
150. it s convenues pour le programme De plus il est possible que l engagement des organismes institutionnels d adapter les besoins du programme en termes de qualit ne soit pas soutenu En dernier lieu les CEA peuvent manquer de transparence l gard des institutions partenaires 3 1 Conception Gestion des risques Les politiques et proc dures institutionnelles seront examin es au d part et valu es par la suite sur la fa on dont sont ex cut es les t ches courantes et administratives Des examens annuels conjoints men s par le gouvernement par le truchement des Comit s nationaux d examen et la Banque identifieront les points n cessitant des am liorations cl s Le projet a galement instaur un m canisme au terme duquel si l examen mi parcours il s av re que le CEA s lectionn n ex cute pas le projet en temps opportun le financement qui lui est allou sera r duit Une motivation pour les dirigeants travailler ensemble 3 Risques li s au projet tat En cours ch ance juin Fr quence 2016 Resp Les deux tape Ex cution R currence Notation Mod r Description du risque Le projet est rendu complexe par le nombre de parties prenantes huit pays quatre secteurs un accent mis sur les partenariats et de nouvelles modalit s de Gestion des risques Depuis la phase de conception le projet a t simplifi avec d sormais
151. ivi de cet objectif sera assur par le taux d embauche des dipl m s sortant des tablissements aid s De plus le projet investira la demande dans les universit s performantes capables de poser pour l Afrique les fondations de l intensification de l assimilation des connaissances et de la technologie et cr er des avantages comparatifs fond s sur le savoir La conception du projet est novatrice et intersectorielle Il est envisag de pr luder une nouvelle phase de modalit s d appui l enseignement sup rieur africain Le Projet g n rera des le ons sur l impact des aspects cl s suivants 1 cr er un mod le de sp cialisation r gionale parmi les universit s africaines 1i aider les tablissements africains d enseignement sup rieur corr ler troitement leur enseignement et leurs travaux de recherche aux besoins de d veloppement de la r gion iii utiliser un financement ax sur les r sultats iv d velopper des tablissements dynamiques qui deviendront progressivement plus ind pendants aux plans financier manag rial et administratif et v pr ter main forte aux tablissements africains pour qu ils satisfassent aux normes internationales de qualit Les op rations ult rieures en Afrique de l Ouest et centrale ou en Afrique orientale et australe b n ficieront des ces le ons 17 Le projet d enseignement sup rieur propos est en droite ligne du pilier 1 de la strat gie de la Banque mondia
152. l iv la preuve bas e sur l valuation de sa due diligence des syst mes de gestion financi re bien tablis v la preuve d une couverture r gionale transdisciplinaire et vi la preuve d aptitude au bilinguisme Voir Annexe 7 pour une liste compl te des crit res Suite aux consultations de pr paration du projet avec le groupe de travail consultatif africain et les pays et universit s participants AUA a t retenue comme agence pour accueillir l URF Aucun des pays ayant exprim son int r t 56 participer au projet n a mis d objection ce que PAUA accueille l Unit r gionale de facilitation 16 R sum des t ches de PURF i Faciliter la pr paration du projet au niveau de la s lection des institutions ii Assurer une coordination efficace et efficiente ainsi que le bon d roulement des activit s du projet iii R pondre aux besoins de suivi valuation de chaque CEA s lectionn ainsi qu aux besoins agr g s de S amp E de l ensemble du projet iv Coordonner et financer les activit s du Comit de pilotage des CEA pour qu il accomplisse sa mission v Superviser la r alisation des t ches expos es dans la composante 2 vi G rer les aspects administratifs du projet au regard des activit s r gionales vii Communication r guli re avec les CEA et rapportage viii Superviser les t ches d interventions transversales telles que l analyse des politiques ix Organiser des r
153. l au travers de cours de perfectionnement e Accro tre l admission d tudiants et de professeurs talentueux e Apporter un soutien financier aux ateliers charges d exploitation et aux voyages e Appuyer les services de consultants pour le corps enseignant dans les activit s non financ es par le gouvernement eR habiliter les inscrits dans les nouveaux programmes sp cialis s de ma trise doctorat et de court terme e Nombre de programmes de formation accr dit s au plan international e Nombre de r sultats de recherche publi s lP emploi des salaires e Augmentation de la production de connaissances 113 infrastructures e Fournir des ressources et du mat riel didactiques Hypoth ses principales e L appui aux capacit s de formation et de recherche est efficace e La r vision des programmes est pertinente et en phase avec les besoins du march e Les nouveaux programmes r pondent la demande en termes de comp tences sur le march r gional e La remise niveau des comp tences des professeurs est ad quate L_S e Une promotion satisfaisante des nouveaux programmes e Les tudiants s inscrivent dans les diff rents programmes 114 e Les tudiants ont achev leurs premiers cycles e Les l ves ont acquis des comp tences adapt es au march du travail et ont pu obtenir un meilleur emploi 7
154. le d caissement pour chaque nouvel tudiant r gional en cycle court est de 800 quivalents dollars pour tous les CEA Concernant l ILD 1 3 et 4 le montant par action r aliser est proportionnel au financement total allou Pour exemple le d caissement assorti chaque audit de passation des march s effectu en temps opportun annuel quivaut 0 625 du financement total allou au CEA en question arrondi Pendant la mise en uvre chaque CEA aura la latitude de parvenir l excellence de l enseignement et de la recherche au travers de la concr tisation de diff rentes combinaisons des r sultats ci dessus en mati re d enseignement et de recherche RLD 2 1 2 7 De ce fait les montants affect s chaque RLD 2 1 2 7 peuvent tre ajust s la baisse et la hausse avec un maximum de 50 au dessus du montant affect chaque RLD Par exemple pour ce qui est de la publication de travaux de recherche RLD 2 6 le montant ci dessus allou de 800 000 quivalents dollars 10 du financement peut tre augment jusqu un maximum de 50 pour atteindre 1 200 000 quivalents dollars 15 du financement Il est pr vu que le financement allou aux r sultats relatifs aux am liorations du climat d apprentissage et de la recherche RLD 2 8 reste fixe L ensemble des ajustements du montant des fonds par ILD et RLD notamment RLD 2 1 2 7 devront tre r clam s par le CEA et approuv s par le Comit nati
155. le pour l Afrique Renforcement de la comp titivit et de l emploi Ce pilier inclut une attention particuli re port e aux investissements dans les secteurs disposant du plus fort potentiel de croissance d une main d uvre en bonne sant et qualifi e d une habilitation des femmes et de programmes d int gration r gionale Des consultations effectu es pour cette strat gie 1l ressort que l ducation est le secteur dans lequel Banque mondiale peut le plus marquer de points en aidant l Afrique cr er des emplois confirmant ainsi l urgente n cessit de r g n rer les universit s d intensifier les contacts 7 universitaires avec des pays ext rieurs au continent de d velopper des programmes techniques et de fournir les moyens d tendre l acc s l enseignement sup rieur En tant qu unique programme r gional investissant dans le capital humain le pr sent projet compl te l actuel portefeuille d infrastructures bien rempli de projets r gionaux 18 Le projet fait partie int grante de la Strat gie d aide l int gration r gionale qui coordonne les interventions en mati re de biens publics r gionaux Cette strat gie pr voit que l op ration propos e facilite les conomies d chelle dans l utilisation des locaux des quipements et du personnel dans des champs d tude sp cialis s favorise le partage des innovations en termes de programme d tude de p dagog
156. lection et emploi de consultants dat es de janvier 2011 avec des plans de passation des march s acceptables par PIDA L URF PAUA et la Commission nationale des universit s au Nigeria passeront la fois des march s de biens et de services de consultants tels que du mat riel informatique et des contrats de consultants individuels les contrats de travaux sont exclus La Gambie ne passera elle que des march s de services de consultants fournir par les CEA participants ne recourant la passation de march s de fournitures que sur justification les contrats de travaux sont exclus S agissant d un projet r gional de services et de collaboration le processus d valuation a lanc l appel candidatures de CEA nationalement et internationalement 52 candidatures ont t re ues l issue de l valuation des candidatures qui s est d roul e entre septembre et octobre 2013 19 CEA ont t s lectionn s par le biais d un processus comp titif rigoureux Ce lot de CEA arbore une expertise en sant 6 CEA en agriculture 5 CEA et en STIM 8 CEA Un nouveau processus comp titif de s lection de consultants parmi ces CEA interviendra de la part de La Gambie avec appel candidatures restreint aupr s de ces fournisseurs de services de haute vol e 70 Le risque global li la passation des march s du projet est jug de mod r important avant mise en uvre des mesures d att nuation 71 Dan
157. les coll ges agricoles de la recherche de la formation conjointes et toute autre activit permettant de communiquer d interagir et de sensibiliser la soci t civile le secteur priv et les communaut s de base Construire et renforcer des partenariats universitaires r gionaux et internationaux pour lever la qualit de l enseignement les capacit s des partenaires du r seau et celles des CEA incluant entre autres la production conjointe de programmes d enseignement des cours professionnels pour les professeurs r gionaux des visites changes universitaires des recherches et des conf rences conjointes le partage d quipements et de ressources documentaires sp cialis s Faire progresser la gouvernance ainsi que la gestion du CEA et de l universit participante pour am liorer le suivi valuation incluant le suivi des r sultats des dipl m s sur le march du travail l administration la gestion fiduciaire y compris la gestion financi re la passation des march s la supervision la transparence l aptitude g n rer des ressources et la mise en uvre du projet Composante 2 Consolider les capacit s r gionales l valuation et la coop ration co t total y compris provision pour impr vus 9 2 millions de dollars dont 9 2 millions de dollars Composante 2 1 Renforcement des capacit s r gionales et valuation co t total y compris provision pour impr vus 5 millions de doll
158. les ou universitaires Ces deux signataires seront issus de deux cat gories La premi re devra comprendre la direction du projet et la seconde le personnel rendant compte sur les fonds du projet Les signataires seront communiqu s l IDA en m me temps que les pr cisions sur le compte bancaire apr s la 69 signature du projet mais avant son entr e en vigueur Les fonds des deux comptes bancaires ne doivent tre utilis s que pour des d penses ligibles 55 Programmes des d penses ligibles PDE Ils n ont trait qu la composante 1 et doivent principalement comprendre les salaires du personnel du CEA ou autres co ts de fonctionnement du programme correspondant des acquisitions hors passations de march s Ces co ts seront v rifi s par un auditeur interne avant leur soumission l IDA pour remboursement 56 Dispositions sur le versement des fonds pour la composante 1 Sur la base de l entr e en vigueur du cr dit elles seront comme suit a b c d e 57 Le CEA soumettra au Comit national d examen les informations sur la r alisation de la pr paration et de la qualification des r sultats ILD1 Ann e 0 De plus le CEA certifiera disposer dans ses archives des informations contextuelles permettant de documenter l accomplissement desdits r sultats Par le biais du Comit national d examen le gouvernement analysera les informations sur la r alisation de la
159. leur corps professoral ainsi que les leaders institutionnels et gouvernementaux les plus engag s cartant les universit s insuffisamment engag es et celles affichant une faiblesse de leurs capacit s 111 des liens avec des dispositifs institutionnels de projets existants de la Banque mondiale dans la mesure du possible iv l h bergement de URF dans un organisme r gional renomm et respect savoir PAUA et la fourniture d une AT intensive pour l ex cution en tant que de besoins pour appuyer la facilitation du projet v la fourniture d un suivi externe r gulier de la performance pendant l ex cution et rendant n cessaires des corrections mi parcours en tant que de besoins et vi l absence de conditions transfrontali res ou interinstitutionnelles l entr e en vigueur du projet N anmoins la nature innovante du projet dans le contexte r gional fait que son ex cution est susceptible de requ rir une constante vigilance pour pr venir les goulets d tranglement ainsi qu un besoin potentiel de corrections de la conception En cons quence une restructuration anticipatrice du projet pourrait s av rer n cessaire il ne faut pas s attendre non plus ce que tous les tablissements financ s deviennent Centre d excellence internationalement r put VALUATION SYNTH TIQUE A Analyses conomique et financi re 63 L analyse conomique et financi re du projet de Centres d excellence d e
160. lui des TIC Ces carts r sultent de plusieurs facteurs i une inertie dans la mise en place de nouveaux dipl mes ou de dipl mes existants actualis s notamment de nouveaux dipl mes en S amp T r pondant troitement aux besoins mergents du march du travail voir ci dessous 11 le peu d attention port e l exp rience pratique ou appliqu e dans le courant de la formation iii le peu d implication des employeurs dans la d finition des programmes d tudes et dans le processus d enseignement apprentissage iv un faible int r t accord aux qualit s g n rales d employabilit comme apprendre apprendre la r solution de probl mes les projets et le travail en quipe et les techniques de communication v la d gradation des mat riels didactiques et des infrastructures d enseignement vi le faible niveau scolaire d ensemble des tudiants issus de l enseignement secondaire en particulier en math matiques et sciences naturelles vii des lacunes dans la pr paration et l assistance apport es aux dipl m s pour activement chercher un emploi et ou tre entrepreneur et viii un secteur priv informel de taille respectable conservant une petite tendance l investissement dans les comp tences et la technologie Ces facteurs sont de leur c t associ s des insuffisances de politique et de financement telles que la non corr lation entre le financement 4 institutionnel et les besoins
161. maladies tropicales n glig es MTN atteignant principalement les pauvres continuent de nuire la sant des populations aussi bien qu la productivit et la croissance conomique La malnutrition l absence de s curit alimentaire et la faible productivit de l agriculture constituent galement des d fis consid rables en Afrique de l Ouest et centrale en particulier dans les pays du Sahel o 20 millions de personnes sont estim es risque en mati re de s curit alimentaire De plus la faiblesse de la gouvernance la fragilit des tats la nutrition le ch mage des jeunes et le d r glement climatique sont des d fis consid rables auxquels sont confront s les pays africains 3 L Afrique occidentale et centrale est confront e un d ficit imm diat de comp tences pour r soudre ses probl mes de d veloppement et de r duction de la pauvret Ce d ficit des comp tences est tr s marqu dans les secteurs en croissance des industries extractives de l nergie de l eau des infrastructures ainsi que dans le secteur des services comme la sant et les technologies de l information et des communications TIC Le niveau scientifique et technologique exprim dans la future force de travail africaine est essentielle la transformation des conomies africaines Par exemple les industries extractives 1 ont besoin d ing nieurs sp cialis s en travaux publics lectricit et questions p troli
162. ments existants En r gle g n rale le projet mettra l accent sur l l vation de la qualit des Centres d excellence laquelle requiert principalement des l ments moins tape l il par ex le d veloppement du corps enseignant et de programmes d tudes du mat riel p dagogique et la construction sera plafonn e un maximum de 25 du financement sachant que la justification pour toute nouvelle construction sera examin e la loupe afin de garantir qu une telle construction est essentielle l excellence Cette r gle claire sur l tendue maximum des travaux de g nie civil autoris e dans le cadre du projet sera instaur e dans le Manuel d ex cution r gionale du projet et les accords subsidiaires entre les gouvernements et les universit s De plus des plans de gestion environnementale et sociale PGES ont t pr par s et diffus s aupr s de chaque tablissement candidat en vue d une gestion des impacts environnementaux et sociaux s appuyant sur les propositions soumises Concernant quelques cas 3 des 15 centres r gionalement financ s les travaux de g nie civil sont si peu importants et si localis s qu ils peuvent tre conduits sous l gide des lois et proc dures nationales et locales et qu ils n ont en cons quence pas donn lieu l laboration d un PGES Les PGES pr par s ont t diffus s sur place dans les pays le 3 f vrier 2014 et l Infoshop le 28 janvier
163. mestriel des donn es collect es par les CEA pour enregistrer les progr s des cibles de cet indicateur d tudiants non nationaux tudiant Note Cet indicateur est centr sur la mesure du R gionalisme du programme Les tudiants doivent 34 sur une longue dur e au moins 1 semestre trimestre dans les CEA Nombre d accords de partenariats entre les CEA et des organismes partenaires Nombre de s ances ordinaires du Conseil d administration donnant lieu des comptes rendus diffus es sans r serve Diffusion de l audit financier externe annuel avec le budget annuel du CEA tudier dans une fili re int gr e au programme de CEA Cet indicateur est centr sur la mesure du Rayonnement R gionalisme du programme Notes Les accords de partenariat doivent respecter les directives sur les Accords de partenariat expos es dans le Manuel d ex cution r gionale du projet Des exemples devront tre donn s plus en d tail dans les rapports d avancement prouvant la pertinence la qualit et la port e non seulement des accords mais aussi des projets conjoints et de la collaboration concr te qui en d coulent Sign s par les dirigeants universitaires des CEA et les organismes partenaires concern s Dans le cadre de la proposition initiale soumettre un accord aux termes duquel les CEA et les OP seront partenaires dans le contexte du programme accord d crivant les principaux d
164. moindre niveau tels que des organismes offrant des formations pour techniciens sages femmes ou agriculteurs ou des services de vulgarisation pour agriculteurs 30 Chaque tablissement mettra en uvre un plan d action partenariale dans l industrie comme esquiss dans sa proposition et les r visions ult rieures de celle ci adapt au d fi de d veloppement qui lui est propre ses partenariats industriels actuels et aux nouvelles possibilit s de partenariats Ces activit s pourront tre une combinaison de i conf rences sur l industrie ii th ses de ma trise et de doctorat bas es sur de la recherche industrielle avec des entreprises iii comit s consultatifs iv placement d tudiants et salons cellule de 47 sensibilisation l industrie pour promouvoir des partenariats industriels et travailler en liaison avec le monde industriel Ces activit s de partenariat industriel sont troitement li es celles d enseignement et de recherche dans le sens qu elles pourront incorporer la formation de professionnels de l industrie par exemple des programmes de formation de formateurs et des recherches en commun Les principaux partenariats industriels seront d finis d s le d part dans le Protocole d accord et les plans seront mis jour lors de l examen mi parcours Am liorer la gouvernance et l administration de l institution et des CEA 31 Les indicateurs cl s servant mesurer les progr s e
165. mpris la flexibilit r affecter le financement des moins performants aux plus efficaces garantissent un 16 IV centrage permanent sur les r sultats lors de l ex cution iv un accent sur le leadership institutionnel aussi bien que sur les capacit s administratives et ex cutoires d s la mise en route en tant que partie int grante de l valuation et du renforcement des capacit s et v le renforcement de l autonomie des tablissements dans les prises de d cisions par exemple sur le plan financier est important 41 Principales le ons tir es de la conception et de la mise en uvre de projets r gionaux i simplicit Un certain nombre d activit s souhaitables mais non prioritaires ont t supprim es du projet depuis son concept initial 11 commencer par des projets d une envergure ma trisable Le champ du projet a t consid rablement r duit passant d une port e continentale initialement un recentrage sur l Afrique de l Ouest et centrale avec des retomb es pr vues sur l Afrique orientale et australe et l enveloppe de financement IDA a t ramen e de 300 millions de dollars 150 millions de dollars iii faire en sorte qu il y ait un int r t r gional commun au projet qui est maintenant disponible aupr s de pays et d entit s de la r gion 1v pr ter attention aux capacit s de mise en uvre du projet et aux modalit s pratiques d taill es de mise en uvre notamment en
166. n encourageant pas les professeurs rester dans les universit s africaines Cet tat de fait est particuli rement difficile surmonter pour des petites nations comme la Gambie o les membres du corps enseignant d sertent fr quemment leur pays Toutefois certaines universit s rec lent des enclaves d enseignants comp tents et motiv s Aussi une opportunit est elle offerte de former les professeurs des pays de moindre taille par le biais d universit s prometteuses de la r gion afin de r duire les co ts et d accro tre la pertinence de l ducation et la probabilit de retour au pays d origine 10 Il ne peut y avoir de viabilit du financement de l enseignement sup rieur sans fonds suffisants provenant des m nages les plus ais s et du secteur priv Les fonds publics sont rares et ne permettront pas de financer l expansion et l am lioration de la qualit de l enseignement sup rieur Le volume de ressources publiques investi dans le secteur de l ducation est en moyenne inf rieur dans les pays africains francophones faible revenu 2 7 du PIB celui des pays anglophones 4 5 Dans 33 pays faible revenu de l ASS cette limitation de l investissement s est sold e par une d pense par l ve chutant 6 800 dollars en 1980 981 dollars en 2010 De surcro t la majorit des tudiants de l enseignement sup rieur proviennent de foyers relativement ais s g n ralement en mesure de subven
167. n Contact Association des universit s Accra Ghana Prof E Ehile Secr taire africaines AUA g n ral I Contexte du don r gional PAUA 1 Cette annexe d crit la proposition de PAUA d h berger PURF ainsi que les activit s amen es tre financ es au titre de l URF Les valuations fiduciaires sont r sum es l Annexe 3 et les indicateurs de performance affect s l Unit r gionale de facilitation sont pr sent s l Annexe 1 L URF sera responsable de la mise en uvre d interventions transversales s lectionn es qui seront partie int grante du processus de renforcement de l enseignement sup rieur dans les r gions d Afrique de l Ouest et du Centre La structure d accueil de P URF a t identifi e et s lectionn e d s la phase amont du projet de CEA dans le cadre des prestations li es sa pr paration en effet l entit retenue se verra attribuer le r le majeur de mener bien la plupart des activit s pr paratoires du projet de CEA et de faciliter la pr paration institutionnelle du projet La structure choisie pour h berger l URF jouit d une grande cr dibilit dans la communaut de l enseignement sup rieur d Afrique occidentale et centrale et a t largement impliqu e dans les activit s de renforcement des capacit s en Afrique Il s agit donc d une entit qui fait preuve d une port e r gionale dans ses activit s et son retentissement qui est interd
168. n environnementale et sociale Doctorat Produit int rieur brut Programme int gr pour le d veloppement de l agriculture en Afrique Pr t d investissement sp cifique Pr t programme volutif valuation des risques de la passation des march s et syst me de gestion Recherche et d veloppement R sultat li au d caissement Suivi et valuation S lection bas e sur la qualit et le co t Strat gie pays de partenariat Science technologie ing nierie et math matiques Termes de r f rence Technologies de l information et de la communication Universit Ahmadu Bello Unit de coordination du projet Union conomique et mon taire ouest africaine Organisation des Nations Unies pour l ducation la science et la culture Universit Obafemi Awolowo Unit r gionale de facilitation Dollar Centre ouest africain pour l am lioration des cultures Vice pr sident r gional Directeurs des op rations Makhtar Diop Colin Bruce Int gration r gionale Marie Fran oise Marie Nelly Nigeria iv Directeur sectoriel Responsable sectoriel Chef d quipe Gregor Binkert Cameroun Yusupha B Crookes Ghana Vera Songwe S n gal et La Gambie Ousmane Diagana B nin Burkina Faso Togo Tawhid Nawaz par int rim Peter Nicolas Materu Andreas Blom I M IV VI Annexe 1 Cadre de r sultats et suivi osossssssososeosessssososeossssssssosoo
169. n que l AUA remplisse sa mission de supervision ainsi que son r le visant tablir et suivre le niveau de S amp E dans son ensemble un renforcement des capacit s devra lui tre fourni Le renforcement des capacit s a d j t entrepris durant la phase de pr paration conduisant la signature d accords mais m rite d tre poursuivi Les activit s de renforcement des capacit s peuvent inclure des conseils directs de la personne de la BM responsable de guider les activit s du programme de S amp E ainsi que des cours de formation sp cifiques Au cours de la phase de pr paration de la formation initiale a d j t organis e par ex formation sur la th orie du changement effectu e et ou financ e par Wageningen University en collaboration avec Nuffic en tant que contribution directe au programme CEA et une formation suppl mentaire est pr vue par ce biais et d autres sources 97 L apport d un appui visant am liorer la disponibilit la fiabilit et la ponctualit de la l encha nement des donn es institutionnelles est une part importante du projet tant donn que les d caissements seront li s la performance et la r alisation des indicateurs convenus Le 87 renforcement des capacit s aux fins de faciliter la collecte des donn es et le suivi sera fourni par l interm diaire de l Unit r gionale de facilitation AUA De plus un budget pour la r vision des donn es de soumis sera fourni
170. nances Nigeria Minist re de l conomie et des Finances S n gal Minist re des Finances et des Affaires conomiques La Gambie Minist re de l conomie et des Finances Togo et Association des universit s africaines Organisme responsable Minist re de l Enseignement sup rieur Cameroun Contact Marcel Fouda Titre Conseiller du ministre de l Enseignement sup rieur T l phone Email marcel fouda yahoo fr Organisme responsable Commission nationale des universit s Nigeria Contact Joshua Atah Titre Directeur T l phone 234 8033 145 148 Email joshatah gmail com Organisme responsable Commission nationale de l enseignement tertiaire NCTE Ghana viii Contact Mahama Duwiejua Titre Secr taire g n ral T l phone 233 21 2144100 Email mahama_duwiejua yahoo com Organisme responsable Minist re de l enseignement sup rieur S n gal Contact Oumar Sock Titre Directeur g n ral T l phone 221 33 991 6813 Email oumarsock yahoo fr Organisme responsable Minist re de l enseignement sup rieur Togo Contact Koffi Mawunyo Agbenonto Titre Secr taire g n ral T l phone 228 223 33 00 Email mlaurenta yahoo fr Organisme responsable Minist re de l enseignement sup rieur B nin Contact Martin Ogoussan Titre Directeur suppl ant de la planification et de la prospective T l phone 229 21 30 5857 Email ogo
171. ncement si ce ne sont des d caissements d un montant agr g n exc dant pas 520 000 DTS pour le Burkina Faso le Cameroun et le Togo et 530 000 pour le B nin pouvant tre r alis s pour des paiements effectu s douze mois avant la signature de l Accord de financement pour les Programmes de d penses ligibles 38 D autres pays ont exprim leur int r t participer et le projet pourrait tre tendu D autres gouvernements d Afrique de l ouest et du centre ont exprim leur int r t participer au projet que ce soit dans le cadre de la Composante 1 ou 2 En cons quence sous r serve de l avancement de la mise en uvre et de la disponibilit de l IDA le projet pourrait tre tendu En outre des pays et des tablissements d Afrique orientale et australe ainsi que la Commission d Afrique de l Est ont exprim leur int r t dans une seconde phase du projet de CEA pour l Est et le Sud africains Enfin plusieurs partenaires au d veloppement r fl chissent financer ou cofinancer parall lement les propositions d velopp es dans le cadre du pr sent projet C Le ons apprises et appliqu es la conception du projet 39 Le ons majeures sur la coop ration r gionale dans l enseignement sup rieur en ASS et plus globalement Un rapport sur l exp rience globale de coop ration r gionale r clam pour le pr sent projet souligne les le ons suivantes les initiatives r gionales obtiennent de meilleurs r
172. nci re AFTMW gestion financi re r gional Allan Rotman Sp cialiste en chef de la Passation des march s AFTPW passation des march s r gional Liba Feldblyum Analyste des op rations Sauvegardes AFTN3 environnementales Hocine Chalal Sp cialiste en chef de le Sauvegardes AFTNI l environnement environnementales Personnel n appartenant pas la Banque Nom Titre T l phone Ville professionnel Localisations Pays 1 division Lieu Pr vu R el Commentaires XIV administrative Cameroun R gion Centre Yaound Universit de Yaound I S n gal Dakar Dakar Universit Cheikh Anta Diop de Dakar S n gal S n gal Thi s Thi s Universit Gaston Berger Ghana Grand Accra R gion du Grand Accra Universit du Ghana Legon Ghana Ashanti R gion de Ashanti Universit des sciences et technologie Kwame Nkrumah KNUST Nigeria Rivers tat de Rivers Universit de Port Harcourt Nigeria Ogun tat de l Ogun University Redeemers Nigeria Ogun tat de l Ogun Universit f d rale de l agriculture Abeokuta Nigeria Kano tat de Kano Universit Bayero Nigeria Kaduna tat de Kaduna Universit Ahmadu Bello Nigeria Plateau Jos Universit de Jos Nigeria Ife Universit Obafemi Awolowo Nigeria Benue tat de Benue Universit de l tat de Benue Nigeria Edo Benin City Universit du B nin
173. nement accr dit s au niveau international qualit de la formation e Nombre d tudiants et professeurs ayant fait au moins 1 mois de stage dans des entreprises ou organismes en rapport avec leur sp cialit qualit de la formation et d fis relev s e Montant des revenus d origine externe g n r s par les CEA qualit de la formation et de la recherche DESCRIPTION DU PROJET 25 Le projet consiste en deux composantes La Composante 1 vise renforcer les capacit s de 19 tablissements comp titivement s lectionn s pour consolider ou instaurer des CEA Ces CEA fourniront une formation et de la recherche appliqu e r gionales de qualit r pondant la demande et de la recherche appliqu e en partenariat tant avec des tablissements universitaires r gionaux et internationaux qu avec des employeurs et industriels concern s La Composante 2 consiste en activit s r gionales destin es renforcer les capacit s appuyer l ex cution du projet proc der au suivi et l valuation et d velopper des politiques r gionales De plus la composante 2 donnera de fa on nouvelle et ax e sur les besoins un coup de fouet la collaboration r gionale en aidant La Gambie fortifier ses tablissements d enseignement sup rieur par le bais de services achet s aupr s des CEA renforc s dans le cadre de la Composante 1 A Composantes du Projet Composante 1 Renforcer les Centres d excellence africains co t to
174. nent les termes de l accord de financement de suspendre le d caissement des fonds si les conditions notables y compris les exigences de rapportage ne sont pas respect es Des d tails suppl mentaires concernant le d caissement seront fournis dans les lettres de d caissement 63 D caissement par ILD sous composante et pays quivalent dollars Pays entit B nin S n gal Ghana Nigeria La Gambie AUA Burkina Faso Cameroun et Togo Composante 1 Num ro de l IDL IDL 1 800 000 1 600 000 2 400 000 7 250 000 IDL 2 6 400 000 12 800 000 19 200 000 54 350 000 DL 3 400 000 800 000 1 200 000 3 600 000 IDL 4 400 000 800 000 1 200 000 3 600 000 Composante 2 Sous composante 2 1 3 000 000 Sous composante 2 2 1 200 000 Sous composante 2 3 5 000 000 Total par pays 8 000 000 16 000 000 24 000 000 70 000 000 3 000 000 5 000 000 TOTAL 32 000 000 16 000 000 24 000 000 70 000 000 3 000 000 5 000 000 64 Financement r troactif La provision pour le financement r troactif hauteur de10 des r glements effectu s au titre des Programmes de d penses ligibles concurrence de 12 mois avant la date d entr e en vigueur existe pour le Burkina Faso le B nin le Cameroun le Ghana et le Togo Modalit s de rapportage financier 65 Dans le cadre de la composante 1 toutes les entit s d ex cution CEA soumettront des Rapports financiers interm diaires RFI semestriels alors q
175. nregistr s vers la r alisation du r sultat meilleure gouvernance des CEA sont meilleur suivi institutionnel de la responsabilit fiduciaire notamment une unit d audit interne active et un comit d audit en fonctionnement au sein du Conseil de l tablissement des audits en temps opportun sans r serve d opinion une v rification de la passation des march s et des rapports d avancement De surcro t la r gularit et la transparence de la prise de d cisions constituent deux indicateurs interm diaires 32 Les activit s pour parvenir au renforcement des capacit s de gouvernance et d administration de l tablissement sont susceptibles d inclure les l ments suivants 1 la mise en uvre d une nouvelle et ou meilleure gestion des subventions de la passation des march s et des proc dures de suivi 11 l embauche de personnes ou la formation du personnel en place pour identifier les opportunit s de subvention gestion passation des march s et suivi iii l embauche et la formation pour la collecte de fonds iv l am lioration des proc dures du conseil r unions r guli res renforcement du comit d audit du conseil examen de la composition du conseil en vue de l int gration de membres ext rieurs tels que des repr sentants du secteur priv et diffusion large des minutes des r unions du Conseil pour une plus grande transparence v l instauration de proc dures d valuation interne t
176. nseignement sup rieur en Afrique pr sente la justification de l investissement public limit et cibl dans l enseignement sup rieur la science et la technologie Ceci comprend les externalit s positives des dipl m s de l enseignement sup rieur dans les fili res de l agriculture de l ing nierie des math matiques des sciences et de la sant ainsi que les d faillances du march qui obstruent l investissement dans l enseignement sup rieur Les r sultats empiriques sur les rendements de l enseignement sup rieur indiquent que l acquisition de dipl mes de l enseignement sup rieur est associ e des revenus plus lev s les rendements sont de 2 4 pour le Burkina Faso 30 pour le Cameroun 30 pour le Ghana et 15 pour le Nigeria L analyse co ts b n fices de la composante 1 Renforcement des capacit s des Centres d excellence africains montre que le TRI suit troitement les rendements du march du travail De mani re sp cifique le taux de rendement interne est de 3 au Burkina Faso 30 au Cameroun 28 au Ghana et 15 au Nigeria L analyse conomique fournit galement des tudes de cas sur les impacts conomiques que des comp tences sp cialis es perfectionn es et la technologie peuvent avoir dans les secteurs cibl s Une analyse exhaustive dans ce domaine est irr alisable pour un projet mais les tudes de cas par exemple dans les activit s extractrices montrent que le manque de qualifications repr se
177. nsi qu avec le grand public Le CP CEA recevra l appui de l UFR Il se r unira deux fois par an 21 Les t ches du Comit de pilotage des CEA sont i Des d cisions strat giques afin d assurer la coh rence continue entre l appui au programme et les priorit s de d veloppement sectoriel et r gional ii Des d cisions concernant les carts par rapport au document d appui au programme ii Examiner les conclusions et recommandations de l IEC comme facilit e par l URF dans la s lection finale des CEA iv Examiner et orienter le progr s global du programme avec un accent particulier sur les retards les probl mes et les goulets d tranglement approbation des progr s et des rapports financiers des d cisions sur les activit s de suivi pr sent s par l UFR v Supervision de l ex cution des questions transversales comme indiqu es dans le document appui au programme par exemple l galit et la diversit vi Visiter les institutions et fournir des consultations et am liorations pendant ex cution vii Faciliter les activit s de r seautage nationales r gionales et internationales et de sensibilisation pour le programme dans son ensemble viii Examiner la port e et les performances de collaboration du CEA ix Examiner et guider les liaisons entre l industrie et les universit s x Examiner et approuver le plan de renforcement des capacit s de la composante 2 2 xi Superviser les audits
178. nt Department ce qui s appliquera au CEA sont a fixer des d lais de KNUST est une institution gouvernementale d enseignement sup rieur traitement normalis de cr e en 1952 tant une agence gouvernementale elle utilise le paquets de march s b syst me national de passation des march s r gi par la Loi ghan enne sur pr parer un plan de la passation des march s publics Le personnel et les connaissances passation des march s pour sont suffisants Les risques majeurs li s la passation de march s sont la dur e compl te du projet 1 de possibles retards dans le traitement des march s et les paiements pour garantir la disponibilit ii l absence de mise en place de plans de passation des march s op rationnelle et viter les r alistes couvrant le projet dans son entier iii des r sultats peu retards a pr parer probants dans la tenue des dossiers et l archivage des documents de rapidement un premier jeu passation de march s contrats de documents d appel d offres d appel propositions et de termes de r f rence d tenir les dossiers et registres en concordance avec le cycle de passation des march s avec un suivi troit de la part du personnel responsable de la passation des march s Ghana Universit du Ghana Les activit s de passation de march s dans le cadre du projet dans les Mod r Les mesures d att nuation Faible deux Centres de l Universit du Ghana UG seront effectu e
179. nt mis uvre en temps opportun La clarification des sp cifications techniques sera au centre de l attention et un engagement des fonds en temps opportun est n cessaire en direction des paquets de march s approuv s Le projet apportera un appui la mise en uvre aux tablissements CEA s lectionn s pour les aider aborder les mesures d att nuation identifi es Cet appui la mise en uvre apport aux tablissements CEA sera accru par les deux unit s d ex cution existantes responsables de la passation des march s relatifs des projets du secteur de l ducation financ s par la Banque mondiale avec l URF l AUA sollicit e pour organiser et financer le renforcement des capacit s au niveau r gional et la Commission nationale des universit s prenant en charge le renforcement des capacit s de passation des march s au Nigeria 25 72 Quant la composante 2 les valuations de risques li s la passation des march s ont galement t r alis es pour l URF h berg e au sein de PAUA pour la Commission des universit s au Nigeria ainsi que pour l unit de gestion du projet dans La Gambie Des mesures d att nuation similaires sont galement propos es pour ces trois entit s et des d tails sur les risques et les mesures d att nuation associ es figurent l Annexe 3 Il est pr vu que la composante r gionale dans le cadre de l AUA et de la Commission nationale des universit s au Nigeria ap
180. ntations et lois de leurs gouvernements respectifs De la m me mani re le MoBSE en Gambie et PAUA suivront leurs propres directives pour ce qui est de la budg tisation D autres directives de budg tisation sp cifiques au projet seront ins r es dans chaque Plan d ex cution du CEA qui sera une condition d entr e en vigueur La pr paration et l approbation des budgets avant le d but de l exercice fiscal auquel ils font r f rence de fa on ce que les programmes de mise en uvre ne souffrent pas d entrave li e des budgets non approuv s est un aspect cl de la budg tisation que rencontre l ensemble des agences d ex cution du pr sent projet L autre l ment cl est de proc der au suivi des budgets sur une base trimestrielle en recourant des rapports financiers interm diaires RFI et de faire en sorte qu en cas d carts entre les montants pr visionnels et r els les diff rences importantes soient expliqu es et que les mesures appropri es soient prises par la direction Les directives applicables l ensemble des entit s d ex cution ont t valu es et jug es ad quates 37 L int gration au travers du budget du minist re de l Enseignement sup rieur du budget du CEA au budget de l tat approuv constitue l une des exigences budg taires sp cifiques li es la composante 1 Le cas ch ant le budget du projet de CEA sera financ en utilisant des fonds ext rieurs et des res
181. nte la principale raison du non d veloppement des industries quipementi res locales et que de ce fait une large fraction des d penses des industries extractrices passent dans des approvisionnements en dehors du pays de la r gion En termes d analyse financi re l investissement dans le CEA typique ne repr sentera qu une petite partie des d penses publiques destination de l enseignement sup rieur dans une ann e donn e du projet les d penses au titre des CEA repr senteront environ 5 2 des d penses publiques du B nin dans l enseignement sup rieur 2 9 de celles du Burkina Faso 2 de celles du Cameroun et 0 4 de celles du Ghana L analyse conomique et financi re peut tre trouv e l Annexe 6 22 B Conception technique 64 La conception technique repose sur des approches mondialement reconnues pour d velopper l excellence de l enseignement sup rieur Tout d abord le financement concurrentiel de l enseignement sup rieur constitue le principal tremplin des syst mes hautement performants pour atteindre les objectifs ducatifs sp cifiques tels que l employabilit et la mont e en puissance de l ducation postdoctorale Le processus de s lection et de mise en uvre incorpore les le ons des fonds mondiaux comp titifs dans l enseignement sup rieur et des programmes de financement de la recherche en sciences et en ing nierie dans les pays revenu moyen et lev En deuxi me lieu le proj
182. obl me de l endog n it provoqu dans l estimation par l int gration de caract ristiques non observables telles que l aptitude et la motivation mais l quation de Mincer fournit un indicateur utile de la productivit des individus par niveau d ducation Le profil salaire ge pour l ensemble des pays montre que les personnes ayant des niveaux de scolarit plus lev s per oivent des revenus beaucoup plus importants que leurs homologues n ayant pas d pass le primaire et le secondaire Ainsi l investissement dans l enseignement sup rieur est payant Tableau 3 Rentabilit de la scolarit par niveau d ducation derni re ann e disponible Pays Primaire Secondaire Secondaire Sup rieur coll ge lyc e X Burkina Faso 1 7 24 12 2 4 Cameroun 9 8 18 22 30 Ghana 4 8 12 45 6 33 Nigeria 2 10 3 2 7 15 8 D apr s Montenegro et Patrinos 2012 apr s avoir calcul la fonction revenus le taux de rentabilit personnelle pour diff rents niveaux de scolarit a t obtenu par r B S r B B SSS r B BJSS o s repr sente le nombre total d ann es de scolarit pour chaque niveau Pour l enseignement primaire il a t fait l hypoth se de 6 ann es de scolarit de 3 pour le coll ge de 3 pour le lyc e et de 3 pour l enseignement sup rieur B repr sente le niveau de chaque avantage C est le co t d opportunit d un dipl me d enseignement sup rieur l
183. omaines de coop ration partenariat avec des responsabilit s tendues sera requis ce qui pourra constituer une annexe au protocole d accord existant Une fois retenus les CEA et leurs OP respectifs devront fournir davantage de d tails lors de la phase proposition de mise en uvre Cet indicateur est centr sur la mesure de la Qualit de l administration gouvernance du programme Note R f rence de base exacte et chiffre cible ins rer par les CEA selon leurs structures en place cependant au moins 3 r unions annuelles sont exig es Diffus signifie disponible sur le site Internet individuel des CEA Tant le budget pr visionnel qu ex cutif doivent tre disponibles R unions annuelles de l ensemble des CEA aid s et de leurs OP tenues pour coordonner le processus du programme et en discuter ainsi que des le ons apprises et des recommandations afin de supprimer les goulets d tranglement le tout rassembl dans un rapport pour en partager la substance Niveau de satisfaction des CEA et du Comit de pilotage des CEA sur la qualit de l appui apport par l Unit r gionale de facilitation URF r AUA Cet indicateur est centre sur la mesure de la R gionalit du programme Retour d information par enqu te aupr s des CEA et membres du Comit de pilotage sur l appui de P URF AUA Part de r pondants se disant satisfaits ou tr s satisfaits par la performance de l
184. ombre d emplois directs et indirects et renforce les capacit s de gouvernance b La formation locale qualifiante est une voie puissante pour faire en sorte que les entreprises locales pas seulement les grandes mais aussi les petites et moyennes deviennent les fournisseurs de l industrie p troli re et gazi re D apr s le Rapport anglo am ricain de 2012 sur le d veloppement durable la valeur conomique conserv e au travers de l emploi et de la passation des march s locaux compte pour 66 de la valeur totale cr e au travers de l extraction mini re voir encadr 1 Compar la conservation des revenus financiers tir s de l extraction mini re par le biais des taxes royalties droits pay s au gouvernement comme par le biais d une aide pour am liorer les r gimes fiscaux le d veloppement des comp tences permet que l essentiel de la valeur g n r e par l industrie mini re soit conserv e localement Des capacit s accrues en termes de comp tences permettent des niveaux plus lev s d emploi local et de passation de march s locaux Investir dans les personnes et permettre aux communaut s locales de maximiser les b n fices issus du secteur de l extraction favoriseront la croissance inclusive et l habilitation des communaut s De Beers a d m nag nombre de ses activit s diamant en aval du Royaume Uni au Botswana d pla ant les ventes le triage des diamants et les activit s d agr gat
185. on de r sultats Ce projet sera le premier appliquer l approche ILD un projet r gional L approche ILD au sein d un PIS a t exp riment e pendant plus de 4 ans dans le secteur de l ducation y compris dans les pays participants avec de bons r sultats et en g n rant des le ons cl s notamment celles d tre prudent lors de l estimation des capacit s de mise en uvre et du temps laisser pour obtenir des r sultats de mettre l accent sur les r sultats qui sont sous contr le des agences d ex cution et de pr coniser un protocole de v rification clair L instrument Programme pour des r sultats P4R n a pas t retenu n ayant pas t test dans le secteur de l ducation non plus que dans les huit pays participants L instrument P4R aurait en cons quence fortement allong la p riode de pr paration et lev le niveau de risque 33 La composante 1 est con ue comme un programme gouvernemental au financement duquel la Banque participe Le projet de CEA fait appel des budgets gouvernementaux et 13 institutionnels des r gles convenues et insiste sur le renforcement de la supervision gouvernementale et institutionnelle pour son ex cution Le programme consiste dans le financement du personnel acad mique technique et administratif des universit s d autres co ts op rationnels et d investissements dans des biens de la formation des services et quelques travaux de g nie civil La Banqu
186. onal d examen et la Banque mondiale 38 Annexe 2 Description d taill e du projet Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique 1 L objectif de d veloppement du projet est d aider les b n ficiaires promouvoir la sp cialisation r gionale parmi les universit s participantes dans des secteurs qui r pondent aux d fis r gionaux et renforcent les capacit s de ces universit s d livrer une formation et de la recherche appliqu e de qualit 2 Le projet consiste en deux composantes La composante 1 renforcera les capacit s des 19 Centres d excellence africains CEA s lectionn s de fa on concurrentielle Ces CEA fourniront une formation r gionale et des travaux de recherche appliqu e de qualit collant la demande en partenariat avec des tablissements universitaires r gionaux et internationaux ainsi qu avec des employeurs pertinents et le monde industriel La composante 2 est constitu e d activit s r gionales destin es renforcer les capacit s appuyer la mise en uvre du projet assurer le suivi et valuer et d velopper les politiques r gionales De surcro t la composante 2 donnera de fa on nouvelle et ax e sur la demande une impulsion la collaboration r gionale en aidant la Gambie fortifier ses tablissements d enseignement sup rieur par le biais de services achet s aupr s des CEA renforc s dans le cadre de la composante 1 Component 1 Renforcemen
187. opportun sur l tat du projet requises par PIDA Il n en demeure pas moins que les am liorations d crites ci dessus sont vivement recommand es Le risque r siduel d ensemble du projet est donc jug important pour la composante 1 et mod r pour la composante 2 D Passation des march s G n ral Les activit s de passation de march s dans le cadre du projet de CEA seront mises en place au titre de la Composante 1 par chaque Centre d excellence africain et au titre de la composante 2 par l Unit r gionale de facilitation URF h berg e par l Association des universit s africaines AUA composante 2 1 ainsi que par la Commission nationale des universit s au Nigeria composante 2 2 et une unit du projet au sein du minist re de l Enseignement primaire et secondaire du gouvernement de La Gambie composante 2 3 Toutes les activit s appuy es par le projet se conformeront aux Directives pour la pr vention et la lutte contre la fraude et la corruption dans le cadre de projets financ s par des pr ts BIRD et des cr dits et dons de l IDA de la Banque mondiale en date du 26 octobre 2006 et r vis es en janvier 2011 68 Pour la Composante 1 laquelle suit une approche de d caissement ILD toutes les d penses devant tre rembours es au titre du projet feront partie int grante du Programme de d penses ligibles Toutes les d penses du PDE li es des l ments de march s pass s seront assujetties aux Direc
188. ossiers de plusieurs autres organisations r gionales africaines Il ne leur a pas t donn suite en raison de comp tences limit es dans les op rations et le d veloppement d un niveau de couverture et d une port e relativement faibles de leur travail en Afrique et d autres limitations dont les enjeux linguistiques De plus les Communaut s conomiques r gionales CER bien que n tant pas en tant que telles des agences techniques de l enseignement sup rieur auront tant donn leur mandat politique pour r le dans le projet d harmoniser les politiques au sein de l enseignement sup rieur dans leurs r gions respectives Compte tenu de ce qui pr c de l Association des universit s africaines AUA a t choisie comme organisme pour h berger l URF et entreprendre entre autres fonctions les activit s pr paratoires du projet r gional de CEA d crites dans les termes de r f rence de l URF elle a galement charge de mettre en place les quipes capables de faciliter l ex cution r gionale du projet En outre l AUA est consid r e comme l organisation r gionale africaine la plus solide et la mieux m me d largir les op rations du projet avec retentissement L AUA est une organisation r gionale africaine bas e Accra au Ghana o elle s est constitu e en organisation internationale but non lucratif ayant conclu un accord de si ge avec le gouvernement ghan en L AU
189. our 1 20 V PRINCIPAUX RISQUES ET MESURES D ATT NUATION A Tableau r sumant la notation des risques Cat gorie de risque Notation Risque li aux parties prenantes Important Risque li aux agences d ex cution Capacit Important Gouvernance Mod r Risque li au projet Conception Mod r Social et environnement Mod r Programme et bailleur Mod r Suivi et viabilit des prestations fournies Important Autre Mod r Risque global li l ex cution Important B Explication de la notation d ensemble du risque 60 Un expos complet des risques et des mesures d att nuation durant la pr paration et l ex cution est pr sent dans le Cadre d valuation des risques op rationnels CERO l Annexe 4 Ce qui suit met en vidence les risques majeurs 61 Le risque global li l ex cution est important compte tenu de la conception innovante et transfrontali re du projet Le mod le de Centre d excellence a certes fait ses preuves dans diff rentes conjonctures mais le projet est innovant et int gre plusieurs premi res dans un contexte africain y compris d tre le premier projet r gional utilisant un financement fond sur les r sultats De plus le projet implique huit pays et vise recouper plusieurs secteurs ducation sant agriculture et activit s extractives noter aussi que chaque centre d
190. ouvernance et la lutte contre la corruption 52 Toutes les entit s d ex cution sont encourag es faire ce qui suit pour am liorer leur dispositif de gouvernance et de lutte contre la corruption e Mettre en place un m canisme ind pendant de traitement des plaintes qui recevra les r clamations et y r pondra ce m canisme sera assorti d un bon syst me d enregistrement relevant tous les d tails y compris le d lai entre l inscription de la r clamation et la r ponse apport e e Constituer des comit s s occupant des questions de gestion des risques et de lutte contre la corruption de sorte que les dispositions de gouvernance et de lutte contre la corruption puissent tre trait es de mani re ind pendante par un comit non ex cutif Pendant l valuation il a t not que l Universit du Benin au Nigeria poss dait un comit d audit et de gestion des risques constitu de 11 personnes galement responsable du suivi de la lutte contre la corruption et de la transparence la Federal University of Agriculture Abeokuta Nigeria abrite de son c t un comit de lutte contre la fraude et la corruption compos de 15 membres Ces deux comit s sont de bons exemples qui devraient tre appliqu s par d autres CEA e Publier les budgets rapports financiers et comptes v rifi s relatifs au projet et l tablissement sur des sites Internet afin d am liorer la transparence et la responsabilisation Cet aspect s
191. p cialiste Environnement 1 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au bureau pays Sp cialiste Infrastructure 2 pers sem annuellement Voyages selon besoins Si ge et bureau r gional Sp cialiste GF 6 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au bureau pays Chef d quipe 12 pers sem La premi re ann e puis 12 pers sem annuellement les ann es Voyages selon besoins Bas au si ge 99 Annexe 6 Analyse conomique et financi re Projet de Centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique 1 L analyse conomique et financi re du projet de Centres d excellence pr sente la justification de l investissement gouvernemental dans l enseignement sup rieur qui comprend les externalit s positives des dipl m s de l enseignement sup rieur dans les domaines de l agriculture de l ing nierie des math matiques des sciences et de la sant ainsi que les d faillances du march faisant obstacle l investissement dans l enseignement sup rieur Les r sultats empiriques sur la rentabilit des investissements dans l enseignement sup rieur indiquent que l acquisition de dipl mes de l enseignement sup rieur est associ e des revenus plus lev s les taux de rentabilit sont de 2 4 pour le Burkina Faso 30 pour le Cameroun 30 pour le Ghana et 15 pour le Nigeria L analyse co t b n fice de la composante principale du proj
192. p cifique 61 une fili re ainsi que des mises en relation que l quipe de la Banque ne peut pas toujours fournir e Tirer parti de l expertise de la diaspora universitaire africaine l ext rieur du continent Un grand nombre d africains hautement qualifi s enseignent et conduisent des travaux de recherche en Am rique du Nord Europe et ailleurs Ils sont fortement engag s et dispos s soutenir les progr s scientifiques et ducationnels en Afrique mais exigent un cadre rigoureux dans lequel offrir et exercer leur expertise Lors des valuations l AUA et le Projet se sont appuy s avec succ s sur cette expertise hautement qualifi e et engag e famili re avec le contexte scientifique linguistique et culturel africain Le projet continuera mobiliser cet engagement par le biais des comit s consultatifs et dans le cadre de la supervision e Renforcement compl mentaire des capacit s r gionales Par exemple DAAD le service allemand d changes universitaires appuie le renforcement des capacit s aux niveaux national et r gional dans l assurance qualit Ceci est fortement compl mentaire des politiques r gionales aid es par le biais du pr sent projet et des r sultats escompt s pour chaque CEA afin qu il satisfasse aux normes d assurance qualit e Une collaboration de type partenariat avec de nouveaux partenaires au d veloppement y compris le Br sil la Chine l Inde et la Cor e au trav
193. par le biais d valuateurs de PAUA en partie par un consultant ou un cabinet conseil qui aura la responsabilit d aider le CEA r ajuster des syst mes de S amp E et m canismes de suivi 86 sp cialement la premi re ann e de l ex cution avec rapports d audit de performance c une v rification externe par une tierce partie ind pendante probablement un cabinet conseil ou un groupe de consultants ind pendants qui aura galement la responsabilit de v rifier l accomplissement des r sultats cibles dont certains sont essentiels tant en lien avec les ILD et d v rification externe des publications de recherches et des accr ditations entreprises par une base de donn es bibliom trique internationalement reconnue et e interactions avec les parties prenantes 88 La responsabilit r gionale d agr ger les cadres de donn es et de r sultats des CEA participants sera situ e l Unit r gionale de facilitation h berg e au sein de l Association des universit s africaines L AUA assumera galement la responsabilit de rendre compte sur un jeu d indicateurs suppl mentaires qui constitue une partie du CR agr g dans son ensemble et qui non seulement facilitera la t che de l AUA s agissant de planifier et g rer leurs activit s fond es sur les r sultats mais aussi permettra au programme de suivre la performance de l AUA en tant qu unit de facilitation cl de vo te 89 Dans le cadr
194. plus assur e si d autres intervenants pr tent main forte Au cours de la pr paration du programme un processus de consultation sera engag avec un nombre significatif de bailleurs bilat raux et multilat raux de fondations d entit s d assistance technique d associations professionnelles et de r seaux ayant d j manifest leur int r t afin de d finir et de planifier un financement commun ou parall le et un soutien technique ch ance 30 nov 2012 Resp Les deux tat R alis tape Les deux R currence Fr quence Gestion des risques Chaque proposition de CEA a t minutieusement examin e par des valuateurs ind pendants la Banque et des partenaires pertinents Une valuation a t men e dans tous les tablissements pr s lectionn s pour recevoir une aide afin de s assurer de la r alit ou de la non r alit des faits figurant dans leur proposition Resp tat tape R currence ch ance Fr quence 93 3 4 Suivi des r sultats de l ex cution et viabilit mais non dans la pratique Notation Important Description du risque La viabilit des CEA candidats et des institutions partenaires d pendra d un engagement sans rel che des dirigeants sur la qualit d un flux de ressources ad quat aliment par les frais de scolarit des dons pour la recherche des financements du secteur public et de don
195. pour faciliter la sous composante 2 2 du projet au Nigeria Cette quipe a facilit la mise en uvre du projet Science technologie et ducation STEP B au Nigeria et a instaur des pratiques pour travailler efficacement avec les universit s participantes Ses capacit s fiduciaires sont amen es tre consolid es 47 La sous composante 2 3 Services tir s par la demande pour La Gambie sera coordonn e par le minist re de l Enseignement sup rieur de la Recherche de la Science et de la Technologie MoHERST avec accomplissement des t ches fiduciaires par l Unit de coordination du projet UCP au sein du minist re de l enseignement primaire et secondaire Le MoHERST coordonnera les besoins en capacit s des tablissements gambiens et travaillera avec l unit fiduciaire pour pr parer des paquets d appels d offres de services ducatifs auxquels les CEA soumettront des propositions Un contrat entre le gouvernement et le CEA s lectionn sera sign et le CEA d livrera les services selon un calendrier convenu L UCP dispose de la capacit idoine de passation des march s pour pr parer la palette de services et la fourniture du suivi a t am nag e Le Comit technique national fournira la supervision du projet et proc dera des examens semestriels de la performance et de l ex cution avec l quipe centrale charg e de la mise en uvre de la coordination et du suivi 48 Le Comit de pilotage des
196. pprouv une r solution de promotion de la sp cialisation d caiss s r gionale r gionale parmi les universit s participantes lorsque approuv e et e Les conditions d entr e en vigueur sont remplies l ensemble des degr de r sultats ont t pr paration obtenus institutionnelle ILD 2 RLD 2 1 Nouveaux tudiants en cycle court dans les cursus des 6 400 000 RLD 2 1 Excellence dans CEA dont au moins 30 doivent tre des tudiants r gionaux 400 000 l ducation Montants 400 par tudiant national 500 par tudiante 800 par capacit s de tudiant r gional et 1000 par tudiante r gionale recherch et impact sur le RLD 2 2 Nouveaux tudiants en ma trise dans les cursus des CEA RLD 22 d veloppement dont au moins 30 doivent tre des tudiants r gionaux 400 000 Montants 2 000 par tudiant national 2 500 par tudiante 4 000 par tudiant r gional et 5 000 par tudiante r gionale RLD 2 3 Nouveaux tudiants en doctorat dans les cursus des CEA RLD 2 3 dont au moins 30 doivent tre des tudiants r gionaux 400 000 Montants 10 000 par tudiant national 12 500 par tudiante 20 000 par tudiant r gional et 25 000 par tudiante r gionale RLD 2 4 Nbre de p riodes de sensibilisation pour les professeurs RLD 2 4 et tudiants en ma trise et doctorat 800 000 Montants 2 000 par p riode de sensibilisation au sein du pays et 4 000 par p riode de sensibilisation au sein de la
197. pr par s en temps voulu et des diff rences entre les d penses r elles et pr visionnelles ne sont pas expliqu es en temps opportun l Universit Ahmadu Bello les immobilisations ne sont pas cod es ce qui rend leur v rification physique difficile tandis qu l Universit africaine de Science et Technologie les inscriptions des immobilisations ne sont pas tenues jour Certaines universit s ne mettent pas non plus en uvre les recommandations mises par les auditeurs internes en temps voulu par ex Jos University Nigeria Revers de la m daille d tre centre d excellence il est imp ratif que ces probl mes soient r solus Dispositions sur l audit interne 49 Fonction d audit interne le bon office d un audit interne satisfaisant est un r sultat li au d caissement Toutes les entit s d ex cution disposent d un effectif d audit interne ad quat except l Universit de Cheikh Anta Diop au S n gal et l Universit africaine de Science et Technologie Abuja au Nigeria Il serait souhaitable que ces tablissements recrutent un auditeur interne afin de correctement mener les audits internes li s au projet L Unit r gionale de facilitation URF situ e l Association des universit s africaines AU A sous traite sa fonction d audit interne P riodiquement et dans le cadre du r le de suivi et de supervision de l AUA un auditeur interne sera rattach aux quipes de suivi et le rapport
198. pr paration et de la qualification des r sultats I LD1 Ann e 0 et les soumettra la Banque mondiale avec copie l AUA Ces informations seront accompagn es des d penses du Programme des d penses ligibles principalement les salaires Il est pr vu que ce premier d caissement s l ve 10 de l appui convenu au CEA Les informations soumises la Banque mondiale seront accompagn es d une demande de retrait du remboursement La Banque d caissera les fonds correspondant aux r sultats de l ann e 0 au compte d sign du projet au minist re des Finances Le minist re des Finances transf rera les fonds au compte du projet du CEA au niveau de l universit en utilisant le proc d budg taire habituel S1 des fonds suppl mentaires sont n cessaires la mise en uvre le gouvernement pourra demander une avance sur l ILD 2 allant jusqu 15 du montant affect cet ILD Seuls les pays n ayant pas de pr ts en d faut de remboursement auront acc s cette possibilit Il s agira d une avance et si les r sultats et les d penses ligibles ne sont pas soumis par la suite la Banque mondiale cette avance devra lui tre rembours e Pour chaque d caissement annuel successif mai 2015 2018 le processus se d roulera comme suit a b Le CEA rassemblera les r sultats obtenus et certifiera qu il dispose dans ses archives des informations contextuelles permettant de do
199. profils salaire exp rience valu s un instant donn soient utilisables comme profils salaire exp rience tout au long de la vie des dipl m s des Centres d excellence e Salaires des dipl m s Le salaire du dipl m reste invariable au cours des ann es Les revenus annuels sont calcul s en multipliant les revenus hebdomadaires par 52 les revenus mensuels par 12 et ainsi de suite e Emploi Tous les dipl m s trouvent un emploi une fois leur dipl me obtenu L analyse de sensibilit se fait avec des niveaux d emploi situ s 70 et 50 e B n fices Sont d termin s uniquement sur la base de la diff rence au fil de l existence entre le groupe tudi et le groupe t moin en termes de fr quentation de l enseignement sup rieur ge de la retraite Il est fait l hypoth se que les individus travaillent jusqu l ge de 60 ans 17 Le tableau 5 pr sente le TRI du projet dans les quatre pays Le TRI varie entre 3 au Burkina Faso 32 au Cameroun et 18 au Nigeria les taux de rentabilit du projet sont lev s m me si les r sultats ne constituent qu une faible fraction des b n fices d ensemble du projet Tableau 5 Taux de rentabilit interne au titre de la personne Sc nario de base Analyse de sensibilit Pays Niveau d d emploi 100 Niveau d emploi 70 Niveau d emploi 50 Burkina Faso 4 4 3 Cameroun 36 33 30 Ghana 28 26 25 Nigeria 17
200. projet financ par l IDA les partenaires au d veloppement ont jug plus pertinent que ces activit s soient financ es par la Banque mondiale Au fil de l avancement du projet il y a un potentiel pour que d autres puissent contribuer Ceci tant un don l IDA est la meilleure option compte tenu de l urgence et de la nature des activit s e L AUA tant appel e h berger l Unit r gionale de facilitation du projet de Centres d excellence africains elle doit tre associ e une op ration r gionale financ e par l IDA 8 Au del de son exp rience technique et de son savoir faire conjugu s son leadership intellectuel PAUA est de plus solidement camp e sur une base institutionnelle et manag riale saine avec des syst mes de gouvernance efficaces des dispositifs techniques de coordination et de fonctionnement bien en place et r d s De surcro t AUA dispose du document fiduciaire appropri tel que mentionn l Annexe 3 et a re u toute l aide n cessaire des gouvernements des tablissements et de la Banque dans la pr paration du projet de CEA gr ce l avance PPF 9 Compte tenu de ce qui pr c de l AUA a donc t consid r comme l organisme le mieux m me d tre le b n ficiaire et l agence d ex cution du don de 1 million de dollars au titre du PPF de la Banque mondiale et de la subvention ult rieure de l IDA fonds r gional de 4 millions de dollars En tant que pa
201. puie galement l assistance technique et le renforcement des capacit s afin de r gler les probl mes complexes de passation des march s commun ment rencontr s Cela pourra aussi inclure la pr paration d un programme d tudes et de modules pour int grer des cours sur la passation des march s dans le cycle sup rieur E Social y compris les sauvegardes 73 La phase de pr paration du projet comprenait de vastes consultations avec un groupe de travail consultatif compos d experts de l enseignement sup rieur et de disciplines scientifiques qui ont apport une contribution conceptuelle et des conseils sur la pr paration du projet Des ateliers consultatifs et des conf rences audio compl mentaires avec le groupe de travail consultatif ont eu lieu travers le continent avec la participation des universit s africaines des organisations scientifiques des organismes gouvernementaux r gionaux ainsi que des partenaires au d veloppement int ress s F Environnement y compris les sauvegardes 74 Les impacts environnementaux devraient tre de faibles mod r s La cat gorie au regard de l valuation environnementale est B valuation partielle et la PO PB 4 01 sur l valuation environnementale sera d clench e Les tablissements s lectionn s conna tront quelques r novations et extensions Il n y aura aucune nouvelle acquisition fonci re pour les centres d excellence le projet s lectionnera des tablisse
202. r gion RLD 2 5 valuation et accr ditation de la qualit des programmes RLD 2 5 ducatifs 800 000 Montants 600 000 par programme accr dit internationalement 100 000 par programme accr dit nationalement ou r gionalement 100 000 par programme et par valuation des insuffisances certifi e ou entreprise par un organisme international d assurance qualit 100 000 par programme et par auto valuation men e sur la base de normes internationales satisfaisantes 100 000 par description de programme satisfaisant la norme internationale RLD 26 Articles publi s dans des revues de renomm e RLD 2 6 internationale dont les articles sont examin s par les pairs 800 000 Montants 15 000 par article et 30 000 par article cosign par un pair r gional RLD 2 7 Production de revenus externes RLD 2 7 Montants 1 dollar par revenue g n r l ext rieur et 2 dollars par 1 200 000 revenue g n r l ext rieur dans la r gion 37 Indicateur li Action r aliser Montant du Formule de au financement calcul du d caissement allou exprim d caissement en quivalent exprim en dollars quivalent dollars RLD 28 Franchir les tapes de l am lioration du climat RLD 2 8 d apprentissage et de la recherch pr cis es dans les contrats de 1 600 000 performance et de financement Montant par jalon 400 000 ILD 3 RLD 3 1 Demande de d caissement en temp
203. ra au plan environnemental garantir le respect du PGES pour ce qui est des activit s ex cut es au titre de la composante 1 par les centres d excellence s lectionn s et ce en faisant en sorte qu elles soient conformes aux politiques de sauvegarde de la Banque sur l valuation environnementale 9 Relations entre les pays Le chef d quipe r gional du projet TTL se coordonnera avec les co chefs d quipe co TTL l quipe de la Banque et l Unit r gionale de facilitation pour faire en sorte que l ex cution du projet soit coh rente avec les exigences de la Banque telles que sp cifi es dans les accords juridiques En outre les TTL co TTL se r uniront avec le gouvernement les comit s nationaux et les hauts fonctionnaires des centres d excellence s lectionn s de fa on r guli re afin de les tenir inform s des progr s du projet et des probl mes n cessitant d tre r solus leur niveau Des canaux permanents d change des informations rant profit de la confiance et de l aptitude communiquer tablies pendant la pr paration du projet seront maintenus entre tous les acteurs principaux Les principaux axes du soutien la mise en uvre sont r sum s ci apr s P riode Focus Estimation des P Role artenaire ressources Premiers douze Examen technique Soutien TTL 8PS Renforcement mois Co TTL 3PS des capacit s Sp cialiste SE 2PS Formation la GF et supervi
204. rche partenariats industrie secteur partenariats universitaires et renforcement de la gouvernance et de l administration contribueront galement au renforcement des capacit s ducatives des centres 45 Am liorer les capacit s produire et communiquer des travaux de recherch appliqu e au niveau r gional 21 Ces activit s visent accro tre la capacit des Centres d excellence africains mener des recherches appliqu es pertinentes pour l industrie L indicateur cl pour mesurer les progr s enregistr s vers la r alisation du r sultat li capacit s de recherche renforc es sera i le nombre de produits de la recherche publi s et 11 la g n ration de recettes 22 Cet objectif sera atteint par la r alisation d un m lange sp cifique institutionnel des activit s suivantes 1 achat et am lioration des installations et des mat riels de recherche ii incitations la recherche et la publication incitations non mon taires comme signal plus haut iii accroissement du nombre d tudiants en ma trise et en doctorat y compris par l ventuel octroi de bourses visant si n cessaire attirer de jeunes talents Le projet encourage vivement les centres d excellence africains accorder des bourses d tudes universitaires prioritairement aux jeunes dipl m s plut t qu aux membres du corps professoral en milieu de carri re iv aide la r daction de demandes de don et la pr para
205. re dot es d un comit d audit op rationnel qui entre autres missions donne suite aux probl mes d audit relatifs aux CEA e Universit s disposant d unit s d audit interne op rationnelles qui aideront les CEA e CEA publiant leurs plans de travail budgets rapports financiers interm diaires et comptes v rifi s sur leurs sites Internet pour favoriser la transparence et la responsabilisation Clauses financi res 71 Les clauses financi res sont les clauses standard nonc es l annexe 2 de l Accord de financement Section II B sur la Gestion financi re les rapports financiers et les audits et Section 4 09 des Conditions g n rales Conclusion sur la gestion financi re 12 La conclusion de l valuation est que les modalit s de gestion financi re en place correspondent aux exigences minimum de l IDA au titre de la PO PB10 02 et sont en cons quence m me de fournir avec un bon degr de garantie les informations fiables et en temps opportun sur l tat du projet requises par l IDA Le risque r siduel d ensemble du projet est donc jug important pour la composante 1 et mod r pour la composante 2 Passation des march s Processus et proc dures de la passation des march s au titre de la Composante 1 Dans le cadre de la Composante 1 pour chaque CEA un manuel de la passation des march s sera annex au Plan d ex cution du CEA et approuv par la Banque en tant que condition d entr e
206. re et ventuellement une supervision d ensemble En outre dans la mesure du possible le projet de CEA utilisera les m mes proc dures fiduciaires que le projet connexe 52 Organigramme du projet Comit de pilotage Universit amp gt Industrie Secteur G 9 Gouvernement CE Etablissement universitaire Foi partenaire 3 Unit r gionale de facilitation Points cl s du diagramme 1 a G Le Comit de pilotage des CEA assure une vision d ensemble et donne les grandes orientations du projet tous les participants TdR et composition r sum s plus bas Partenariats entre CEA et entit s industrielles sectorielles Partenariats entre CEA et d autres tablissements universitaires L URF fournit aux CEA le renforcement des capacit s l valuation et la facilitation TdR et composition r sum s plus bas Le gouvernement a un r le de surveillance financi re et juridique sur les CEA dont la teneur est donn e dans l Accord de performance et de financement entre les CEA et le gouvernement Cette supervision la fois du minist re des Finances et du minist re agence en charge de l enseignement sup rieur est effectu e au travers du Comit national d examen TdR et composition r sum s plus bas 53 Responsabilit s cl s Gouvernements
207. relles physiques PO PB 4 11 Populations autochtones PO PB 4 10 R installation involontaire PO PB 4 12 S curit des barrages PO PB 4 37 Projets sur les voies navigables internationales PO PB 7 50 KK 4 x Projets sans les zones de conflit PO PB 7 60 a __ _ _ Clauses l gales Nom R current Date d ch ance Fr quence xi Garder en place les dispositions X R current Semi annuel institutionnelles du projet Description de la clause Tout au long du projet chaque pays participant maintiendra a ses repr sentants au sein du Comit de pilotage charg d assurer les grandes orientations et la surveillance g n rales du Projet et d assister au minimum aux r unions semi annuelles b le Comit national d examen charg d organiser des examens semi annuels de la performance et d appuyer la mise en uvre c l quipe d ex cution charg d assurer la gestion au jour le jour Nom R current Date d ch ance Fr quence Pr parer un plan de travail annuel X 30 novembre 2014 Annuel Description de la clause Pour chaque ann e calendaire le b n ficiaire doit pr parer en coop ration avec l es universit s participante s et fournir l Association un programme des activit s assorti d un budget Nom R current Date d ch ance Fr quence Rapports r guliers les rapports sur le X 31 d
208. res et un enseignement fond sur la recherche et donner aux tablissements priv s des incitations s orienter vers ces activit s 12 En raison de l expansion massive de l acc s l enseignement de base la demande d enseignement sup rieur va cro tre consid rablement au cours des prochaines d cennies Bien que l acquisition des connaissances soit parfois m diocre la d cennie venir verra une fraction beaucoup plus importante des jeunes g n rations venir frapper la porte de l enseignement sup rieur Cette vague de jeunes dot s d une ducation de base ne permettra pas que le potentiel humain et conomique de ces futurs tudiants soit valoris si les syst mes d enseignement sup rieur ne sont pas modifi s dans le sens d une accommodation de la croissance Il est de la plus haute importance de pr parer les syst mes dispenser un enseignement conomiquement pertinent la population tudiante en plein boom sans r p ter l expansion dommageable de faible qualit et capacit restreinte d insertion professionnelle exp riment e en Afrique du Nord 13 La bonne gouvernance et le leadership font partie int grante du d veloppement de syst mes d enseignement sup rieur collant aux besoins des conomies d Afrique de l Ouest et centrale Dans de nombreux pays d Afrique les cadres juridiques de la gouvernance et du leadership sont proportionnels au d veloppement d une bonne gouvernance qui requie
209. res industries 10 mini res et extractives Industries Total 100 X Je certifie qu il n existe aucune information relative des avantages conjoints de l adaptation et de l att nuation des effets du changement climatique applicable ce projet Th mes Th me 5 au maximum et le total des pourcentages doit tre gal 100 Th me principal Th me Z D veloppement humain ducation l conomie du savoir 70 Commerce et int gration Diffusion de la technologie 20 D veloppement humain Performance du syst me de sant 10 Total 100 EEE Conformit Politiques Le projet d roge t il la SAP dans son contenu ou d autres consid rations Oui Non X importantes Le projet requiert il des exemptions certaines politiques de la Banque Oui Non X Ces exemptions ont elles t approuv es par la direction de la Banque Ou Non Une ventuelle exemption a t elle t soumise l approbation du Conseil Ou Non X d administration Explication Le projet r pond il aux crit res r gionaux en termes de dispositions prises pour Oui X Non la mise en uvre Z 5 Politiques de sauvegarde d clench es par le projet Oui valuation environnementale PO PB 4 01 X Habitats naturels PO PB 4 04 For ts PO PB 4 36 Lutte antiparasitaire PO 4 09 Ressources cultu
210. roc dures nationales pertinentes de passation des march s pour la composante 1 Dans le cadre de la composante 2 l UREF AUA la Commission nationale des universit s au Nigeria ainsi que UCP de La Gambie disposent de structures idoines pour la mise en uvre des proc dures de la Banque en mati re de passation de march s Bien que les structures soient en place pour les deux composantes du projet des risques demeurent et des mesures d att nuation sont mettre en place comme le pr cise la section ci apr s 79 Pour les deux composantes les plans de passation des march s couvrant la dur e toute enti re du projet ont t examin s lors des N gociations Ils seront disponibles dans la base de donn es du projet et sur le site Extranet de la Banque 80 Risques li s la passation des march s les risques li s la passation des march s varient de mod r important avant mise en uvre des mesures d att nuation la description des risques et des mesures d att nuation est donn e de mani re d taill e dans le tableau ci dessous Avec la mise en uvre des mesures d att nuation convenues les risques passent de faible mod r 80 Risques li s la passation des march s et mesures d att nuation par pays et CEA Pays Agence valuation des capacit s de passation des Notation Mesures d att nuation des Notation ex cution march s du risques li
211. rop restrictives nationaux d appels d offres d bouchant sur un petit nombre de soumissionnaires entreprises et de march s de gr gr Les documents standard utilis s lettre d invitation et rapport d valuation pour s approvisionner ne sont pas acceptables et m ritent d tre actualis s Cameroun Universit de Yaound I L valuation des capacit s de passation des march s r alis e en janvier Mod r Les mesures d att nuation Faible 2014 montre que l universit est dot e d une solide quipe de passation des march s avec 6 sp cialistes exp riment s Le cadre administratif et les proc dures sont satisfaisants La gestion des contrats du est satisfaisante pour le projet comme l archivage de l ensemble des documents sont a d signer un professionnel en charge de la passation des march s l unit d appui au projet b Recruter un consultant pour pr parer la formulation crite des proc dures de passation des march s et des tapes de la mise en uvre 82 Togo Universit de Lom Pr sidence Une valuation des capacit s de passation des march s de l Universit Mod r Les mesures d att nuation Faible de Lom a t conduite le 15 novembre 2013 Le dispositif sont a recruter un agent de institutionnel de la passation des march s et les comit s requis par le passation des march s b code national de la pas
212. rs de courte dur e ainsi que pour les programmes de ma trise et de doctorat Les frais de scolarit relatifs aux programmes de premier cycle peuvent faire l objet de r glementations externes ii le droit de conserver les revenus d origine externe par devers eux la subvention CEA et les autres revenus g n r s par le CEA Si l universit est dot e de politiques institutionnelles de partage des revenus une partie acceptable du chiffre d affaires g n r l ext rieur peut tre partag avec le reste de l tablissement La part revenant l tablissement doit tre indiqu e dans l accord et la subvention CEA doit aller dans son int gralit la proposition convenue et iii un compte CEA d sign fonctionnant comme un fonds de dotation sera mis en place et tous les fonds g n r s l externe ainsi que les fonds du projet iront dans ce compte 9 Processus de candidature Les informations destination des tablissements et gouvernements int ress s taient disponibles sur la toile et aupr s du minist re organisme en charge de l enseignement sup rieur au sein du gouvernement En outre un nombre restreint de sessions d information ont t conduites au niveau sous r gional pays pour r pondre aux questions des tablissements candidats 41 10 L appui et l adh sion explicites du gouvernement taient jug s absolument fondamentaux pour la r ussite du projet En cons quence toutes les candidatures deva
213. rsity of Agriculture Abeokuta Nigeria et l Universit de Lom Togo La Federal University of Agriculture Abeokuta Nigeria doit mettre jour son logiciel de comptabilit Admon pour r pondre aux besoins particuliers du projet dans la mesure o certains rapports sont produits sous Microsoft Excel par ex le Registre des immobilisations Universit de Lom Togo Le syst me d information comptable doit tre mis jour afin de produire des tats financiers exhaustifs et fiables incluant un bilan montrant les actifs et les engagements 65 45 e CEA universitaires sans syst me d information comptable qui doivent en acqu rir et y former leur personnel dont l Universit de Yaound I CETIC Cameroun l Universit Cheikh Anta Diop S n gal et l Universit d Abomey Calavi B nin e CEA universitaires actuellement sans syst me d information comptable informatis e mais dont l installation est en cours pour am liorer le processus comptable telles que les universit s Ahmadu Bello Zaria Redeemers et P University of Benin toutes au Nigeria e L University of Port Harcourt Nigeria a besoin de renforcer les capacit s de l quipe g rant le syst me d information comptable Peachtree dans la mesure o elles sont insuffisantes Base comptable la base comptable des entit s d ex cution est r pertori e ci apr s Base comptable Pays Entit d ex cution
214. rt la s lection au m rite des recteurs vice recteurs l existence d organes de direction une libert acad mique et un minimum d autonomie financi re Certains pays cependant sont dot s de cadres juridiques et de pratiques de gouvernance qui ne sont pas propices la bonne gouvernance De plus un leadership institutionnel dynamique et responsabilis est un moteur essentiel d excellence institutionnelle Dans un certain nombre d universit s un cadre de gouvernance et un leadership insuffisants ont d bouch sur des accrocs dans le fonctionnement de base tels que des gr ves d tudiants ou des professeurs et des mois d ajournement des cours ou des examens Les investissements dans l enseignement sup rieur devront asseoir un cadre de gouvernance favorisant l excellence assurant une certaine autonomie financi re et renfor ant la responsabilisation de l tablissement et de l instance dirigeante De surcro t les investissements cibl s ne devront aller qu aux tablissements affichant un leadership de grande qualit Enfin les investissements devront promouvoir la d centralisation interne de l administration des ressources et favoriser l utilisation de syst mes de gestion de l information ainsi que la transparence dans l administration l utilisation des ressources et la communication des r sultats 14 Le meilleur moyen de fa onner et de maintenir l excellence de l enseignement sup rieur dans les
215. rtenaire collaborateur chef de file de l enseignement sup rieur sur le terrain et leader intellectuel agissant en partenariat avec d autres tablissements nationaux et r gionaux d enseignement sup rieur de recherche et de renforcement des capacit s l AUA est per ue par le projet comme ayant un r le part 119 enti re Jouer dans la r ussite de l ex cution du projet de CEA L Association volue sur un double front conforter l enseignement sup rieur et valoriser les le ons tir es de son travail analytique dans ce domaine le ons dont elle tire profit parall lement sa riche exp rience dans le secteur dans l aide qu elle apporte aux activit s de renforcement des capacit s et dans son engagement constructif dans le dialogue de politique de l enseignement sup rieur plaidant pour un changement positif d orientations et un impact sur le d veloppement II Finalit du don 10 L AUA a re u une avance PPF PPA de 1 million de dollars et c est dans cette optique que l association souhaite l aide financi re de l IDA pour continuer h berger l unit r gionale de facilitation du projet 11 Le m canisme PPA a progress de fa on satisfaisante avec les activit s capitales aid es dans le cadre de la PPA num r es ci apr s a b 2 Coordination et facilitation du processus de s lection et d valuation des 52 propositions de centres d excellence africains pr sent es Ai
216. rtinence de son enseignement apprentissage et de sa recherche appliqu e Les indicateurs cl s permettant de mesurer les progr s enregistr s dans la r alisation du r sultat concern sont i le nombre d tudiants et de professeurs ayant effectu un stage ou une collaboration d au moins 1 mois dans une entreprise ou une institution du secteur 11 le revenu d origine externe g n r 29 Ces objectifs seront atteints au moyen de partenariats avec des entit s industrielles y compris des entreprises et des soci t s de services qui s emploient relever le d fi du d veloppement sur lequel le CEA met l accent Dans ce contexte l industrie doit donc tre prise dans son sens large pour inclure les entit s qui uvrent dans le secteur conomique du d fi y compris par exemple pour la sant les h pitaux publics pratiquant l enseignement et pour l agriculture les associations de paysans et ne pas se limiter aux entreprises priv es telles que les manufactures ou les compagnies mini res galement ces partenariats sont par nature nationaux et ou r gionaux Les partenariats avec des associations industrielles nationales et r gionales cl s ou tout autre acteur important constituent une forte indication de la pertinence et de l impact potentiels du Centre d excellence Dans certains CEA les partenariats industriels sont galement scell s avec des organismes de formation industrielle sp cifique secteur de
217. s Co t projet Composante du projet TVA total Monoton IDA r gional Financement IDA Composante 1 Renforcement des Centres d excellence africains Burkina Faso 1 CEA 16 0 8 0 DaT 5 3 B nin 1 CEA 16 0 8 0 2 7 5 3 Cameroun 1 CEA 16 0 8 0 2 7 5 3 Ghana 3 CEA 48 0 24 0 8 0 16 0 Nigeria avec IDA r gional 7 50 CEA 96 0 48 0 16 1 31 9 Nigeria avec seulement IDA national 3 CEA di 20 8 20 8 S n gal 2 CEA 32 0 16 0 5 3 10 7 Togo 1 CEA 16 0 8 0 2 7 5 3 Total composante 1 281 6 140 8 60 9 79 9 50 Composante 2 Consolider les capacit s l valuation et la collaboration r gionales 2 1 Renforcement des capacit s 5 0 5 0 5 0 100 r gionales S amp E et valuation 15 2 2 Facilitation du projet 1 2 1 2 1 2 au Nigeria 2 3 Services r gionaux tir s par la demande La Gambie A 0 10 20 Total composante 2 9 2 9 2 2 2 7 0 100 Total financement requis 290 8 150 0 63 1 86 9 52 Note Le montant requis estim pour les salaries du personnel des CEA et autre personnel de l universit constitue la contribution des pays au co t du projet 37 Financement r troactif Le B nin le Burkina Faso le Cameroun et le Togo b n ficieront d un financement r troactif allant jusqu 10 du financement IDA De ce fait aucun d caissement n interviendra pour ces pays avant la signature de l Accord de fina
218. s la passation du risque risque des march s apr s avant mesure mesure d att d att nuation nuation Composante 1 S n gal UCAD Les activit s de passation de march s seront r alis es par le Secr taire Elev Les mesures d att nuation Mod r de UCAD par le biais de l Unit d ex cution du projet UEP recommand es sont a Enseignement sup rieur et financement pour r sultats pr parer un manuel des proc dures d ex cution pour Chaque agence d ex cution a sur la base de la r forme nationale de la les proc dures passation des march s en vigueur depuis janvier 2008 une CM administratives de Commission des March s qui est en charge d ouvrir les appels passation des march s d offres propositions et de l attribution des march s et une CPM comptables et financi res Cellule de Passation des March s en charge du contr le de la qualit et b nommer du personnel des plans de passation des march s De plus toutes ont une exp rience suppl mentaire pour de l organisation des activit s de passation des march s utilisant les l archivage de tous les proc dures nationales et les documents standard d appels d offres documents de passation des march s c recruter un Une valuation des capacit s des agences d ex cution mettre en sp cialiste aguerri de la uvre des actions de passation des march s pour le Projet a t r alis e passation de march temps par la personne d
219. s Nombre Registres des des d Ji di es donn es sp cialis s de ventil 311 700 1 450 2 000 2 650 3 300 semestrielle inscriptions n soumises par les ma trise doctorat des CEA CEA post doctorat et dans les formations de courte dur e Nombre de professeurs ayant pass au minimum 1 mois AUA sur la base de sensibilisation Morni Registres des donn es ventil 23 60 100 170 145 240 semestrielle 8 en entreprise ou CEA soumises par dans un chaque CEA organisme correspondant leur fili re Nombre total de AUA sur la base Registres i professeurs Nombre 100 300 500 700 800 900 semestrielle CEA des donn es form s par les soumises par les 29 CEA CEA Nombre de AUA sur la base professeurs Nombre Registres des donn es Pa ventil 27 100 180 260 295 335 semestrielle r gionaux form s CEA soumises par par les CEA chaque CEA Nombre de AUA sur la base professeurs NA Registres des donn es 1 r ventil 73 200 320 440 500 565 semestrielle nationaux form s CEA soumises par les par les CEA CEA Nombre de programmes d tudes nouvellement mis en place ou r vis s AUA sur la base correspondant Registres des donn es Nombre 0 15 30 45 53 60 semestrielle aux qualifications CEA soumises par du march du chaque CEA travail tels qu approuv s par l organisme institutionnel appropri Nombre de Bases de publications donn es scientifiques bibliom triqu
220. s de l valuation des retards ont t not s dans certaines universit s finalisant la v rification de leurs tats financiers per ex l Universit f d rale d Agriculture Abeokuta l Universit africaine de Science et Technologie Abuja et l Universit de Port Harcourt toutes trois au Nigeria Ceci constitue un souci et la rapidit avec laquelle les audits sont finalis s devra grandement s am liorer Il a par ailleurs t constat que des audits taient en souffrance pour les deux derni res ann es 2012 and 2013 l Universit d Abomey Calavi au B nin et l Universit de Lom au Togo il est imp ratif de rem dier cette situation avant le d marrage des CEA Plan d action de gestion financi re 69 Le plan d action ci apr s pr sente les actions entreprendre pour le projet afin de renforcer son syst me de gestion financi re et leurs dates d exigibilit auxquelles elles doivent tre achev es Action Date Responsable d exigibilit Plan de mise en uvre du CEA avec Manuel de gestion Condition Toutes les entit s financi re pr parer et accepter le plan de mise en uvre du CEA d entr e en d ex cution assorti d un Manuel de gestion financi re approuv Ceci garantit vigueur au projet des proc dures et politiques comptables ad quates Rapport d audit en souffrance l Universit d Abomey Calavi Condition Univ
221. s de l industrie l instauration d incitations la bonne performance offertes au corps professoral incluant des incitations la recherche et des r compenses pour les meilleurs enseignants Seules les incitations non mon taires allant au corps professoral pour atteindre l objectif de la proposition peuvent tre financ es par la subvention accord e au CEA Le projet ne limite pas l utilisation d autres revenus g n r s iii l am lioration des laboratoires des salles de classe des ordinateurs et autres installations gr ce l achat d quipements et de menus travaux Les travaux de g nie civil seront limit s 25 des co ts estim s du CEA ne pourront tre financ s que les travaux de remise en tat ou les extensions mineures de b timent iv l instauration de normes internationales et d accr ditation des programmes d enseignement v des Programmes d am lioration de l enseignement apprentissage afin de remettre niveau les capacit s d enseignant et fournir un enseignement de pointe centr sur l tudiant et vi la remise niveau des qualifications du corps professoral Les tablissements ne sont pas prisonniers de la liste ci dessus d activit s sugg r es D autres activit s sont susceptibles d tre ligibles au financement comme indiqu dans le Manuel r gional d ex cution du projet Enfin les activit s d crites dans le cadre des quatre autres l ments de la proposition reche
222. s de se d velopper et d entretenir des universit s de qualit dans des disciplines sp cifiques qui r pondent aux d ficits de comp tences et satisfont aux besoins de d veloppement de la r gion Atteindre un enseignement sup rieur de haute qualit en science et en technologie co te cher et dans bien des domaines il n est pas ais de parvenir l excellence au niveau national compte tenu les co ts de fonctionnement lev s d universit s de qualit et de la difficult de disposer d une masse critique d enseignants de haute vol e Par exemple si tous les pays 14 36 d Afrique de l Ouest et du centre tentaient de cr er un Centre d excellence dans le secteur p trolier et gazier tant les effectifs du corps enseignant que les ressources seraient saupoudr s entre les pays avec une inutile r p tition d investissements orient s sur les m mes objectifs Le m me argument est valable pour d autres secteurs tels que la sant et l agriculture Les r sultats de la recherche g n r s par les CEA constituent un bien public r gional classique Le savoir provenant de la recherche appliqu e sera transposable l ensemble de la r gion tant donn que seuls les CEA se concentrant sur les d fis du d veloppement r gional seront financ s et pourront tre utilis s infiniment aux m mes co ts sans rivalit Gii Atteste d un vif int r t port par des entit s r gionales et des pays de la r g
223. s le cadre de la composante 1 un processus en deux tapes a t entrepris pour valuer les capacit s passer des march s parmi 31 CEA candidats pr s lectionn s Au cours de la premi re tape des crit res d valuation des capacit s passer des march s ont t introduits dans les crit res d valuation afin de garantir qu un cadre minimum de base pour les processus de passation des march s soit en place dans chaque CEA et cela a constitu avec la gestion financi re 5 du syst me de pond ration de la notation Lors de la seconde tape de l valuation une valuation individuelle de passation des march s a t r alis e pour chacune des entit s des 19 CEA afin d identifier les risques li s la passation des march s pour l ex cution du projet ainsi que les mesures d att nuation et de renforcement recommand es lesquelles sont d taill es l Annexe 3 La m thodologie utilis e se conforme la pratique internationale et l approche standard du Syst me de gestion et d valuation des risques de la passation des march s P RAMS de la Banque un r sum des r sultats est pr sent l Annexe 3 Sur la base de ces valuations des risques et d une exp rience ant rieure dans des projets similaires aupr s d tablissements d enseignement sup rieur le renforcement des capacit s de passation de march s est pr vu de mani re ce que les plans de passation des march s soie
224. s leur propre contexte uniquement a Cadre m thodologique qui tire les b n fices qui supporte les co ts 14 L analyse peut tre effectu e pour deux cat gories individuel et social selon le c t duquel on se place r sum ci dessous Aux fins du projet deux types d analyse sont utiles Une analyse co t b n fices prenant en compte le statut personnel est int ressante car le projet aide des individus accro tre leurs revenus et am liorer leur qualit de vie Une analyse co ts b n fices consid rant le statut public permet d valuer le projet la lumi re de ses co ts et des r sultats attendus pour le pays pris comme un tout 15 La difficult de mesurer objectivement les b n fices de l enseignement sup rieur constitue un d fi pour les deux analyses la fois sur le statut individuel et public Dans ce type d analyse les b n fices sont mesur s par les revenus une mesure indirecte de la productivit qui ne quantifie toutefois pas en termes mon taires les am liorations dans la qualit de vie des dipl m s leur mobilit et leurs aptitudes individuelles pousser leurs qualifications plus tard au cours de leur vie S agissant de l analyse au plan de la soci t il est difficile de saisir les avantages plus long terme de dipl m s mieux instruits comme l augmentation de la croissance conomique g n r e en investissant dans le capital humain une main d uvre capable de s adapter
225. s math matiques STIM ainsi que dans les disciplines de l agriculture et de la sant Malgr des diff rences notoires entre les syst mes d enseignement sup rieur dans la r gion il existe une caract ristique commune majeure un mod le de production des comp tences ne correspondant ni la demande du march du travail ni aux besoins de d veloppement Le tableau 1 montre que le pourcentage de dipl m s dans les domaines de l ing nierie de l agriculture de la sant et de la science est extr mement faible Le r sultat est que l important manque de main d uvre qualifi e persiste alors m me que les dipl m s de nombreux tablissements d enseignement sup rieur d Afrique de l Ouest et du centre sont au ch mage Le d fi est en cons quence d accro tre la fois le nombre et la qualit des dipl m s par le biais d investissements dans des laboratoires et des ressources humaines destination de ces disciplines de renforcer les liens avec les employeurs afin d intensifier la pertinence de l ducation et favoriser une solide collaboration internationale pour accro tre la qualit Tableau 1 Pourcentage des dipl m s de l enseignement sup rieur par domaine d tude B nin Burkina Cameroun Ghana Br sil 2009 Faso 2010 2011 2010 2011 Agriculture 0 8 1 5 gs 7 4 1 8 ducation 7 6 10 3 25 6 22 8 Ing nierie fabrication et construction 5 6 2 8 4 0 3 9 5 8 Sant et bien tre 2 8 0 6 2 3 3
226. s opportun tay e par 400 000 RLD 3 1 Gestion les informations financi res relatives au compte du CEA pour la 25 000 par an financi re en p riode consid r e temps opportun RLD 3 2 transparente et RLD 3 2 Fonctionnement du Comit d audit sous l gide du 25 000 par an revue au niveau conseil de l universit institutionnel RLD 3 3 RLD 3 3 Fonctionnement de l unit d audit interne de l universit 25 000 par an RLD 3 4 Transparence de la gestion financi re sur la toile acc s RLD 3 4 Internet aux rapports d audit rapports financiers interm diaires 25 000 par an budgets et plan de travail annuel ILD 4 RLD 4 1 Audit de la passation des march s en temps opportun 400 000 RLD 4 1 Passation des 50 000 par an march s en RLD 4 2 Progr s concernant la passation des march s satisfaisants temps opportun et dans le calendrier RLD 42 et audit e 50 000 par an Note e Le d caissement total est limit au montant global du financement attribu chaque CEA e Pour les cinq CEA ayant re u moins de 8 millions quivalents dollars la part de fonds allou e chaque ILD reste identique celle pr cis e ci dessus 10 pour l ILD 1 80 pour l ILD 2 et 5 chaque pour l ILD 3 et PILD 4 e Le montant par action sp cifique r aliser dans le cadre de chaque ILD demeure le m me pour tous les CEA s agissant de l ILD 2 RLD 2 1 RLD 2 7 Par exemple
227. s par l Unit de passation des march s de PUG tant un tablissement public PUG est assujettie la Loi ghan enne sur la passation des march s publics Le personnel charg de la passation des march s dispose d une exp rience et de connaissances solides en ma mati re Les risques majeurs li s la passation des march s sont i de possibles retards dans le traitement des march s et les paiements ii l absence de mise en place de plans de passation des march s r alistes couvrant le sont a fixer des d lais de traitement normalis des march s b pr parer un plan de passation des march s pour la dur e compl te du projet pour garantir la disponibilit op rationnelle et viter les 83 projet dans son entier Nigeria r sum pour les 10 universit s participantes retards c pr parer rapidement un premier jeu de documents d appel d offres d appel proposition et de termes de r f rence Une loi f d rale sur la passation des march s publics a t promulgu e Mod r Les mesures d att nuation Faible en juin 2007 Outre l Universit Redeemers et l Universit africaine de sont a maintenir le niveau Science et de Technologie les dix 10 CEA s lectionn s sont des actuel d exp rience du tablissements f d raux et sont juridiquement soumis aux dispositions personnel de la passation de loi nig riane de 2007 sur la passation des m
228. s un domaine intrins que du programme CEA par le biais d une formation dispens e ou orchestr e par les CEA Cet indicateur est ax sur la mesure de la Qualit formatrice du programme Note Les CEA fournissent des donn es d sagr g es suppl mentaires pour la r partition en entre a professeurs originaires des CEA form s vs b professeurs originaires des tablissements partenaires vs c professeurs originaires de la r gion form e Nombre de programmes d tudes nouvellement instaur s ou substantiellement r vis s Les CEA et les organismes partenaires OP constitueront une base de donn es comprenant la fois les programmes originaux et les programmes substantiellement r vis s Les programmes doivent avoir t approuv s par l entit institutionnelle appropri e De plus un rapport note consultative des examinateurs ext rieurs professionnels de l industrie ad hoc employeurs et universitaires devra tre int gr la base de donn es pour s assurer que les programmes correspondent bien aux besoins du march du travail Accroissement des publications scientifiques internationalement reconnues dans les disciplines appuy es par le programme CEA en Cet indicateur est centr sur la mesure de la Quantit et qualit des travaux de recherche dans le cadre du programme de CEA Note L AUA r alisera galement par le biais d une enqu te lanc e sur la toile un suivi se
229. sante 2 3 La Gambie Les activit s de passation des march s du projet seront conduites en Elev Les mesures d att nuation Mod r utilisant les dispositions institutionnelles existant dans le cadre de sont a maintenir en place PUCP pour la mise en uvre des projets en cours dans le secteur de le sp cialiste exp riment l ducation IDA ITT Phase2 EFA FTI ECD L UCP est pleinement de la passation des march s int gr e au MOBSE et l quipe est bien routin e aux proc dures de r cemment recrut ainsi que PIDA elle a pris en charge la passation des march s lors de son assistant b garder en programmes pr c dents et en cours de l IDA ainsi que d autres bailleurs place le responsable pour des programmes ne disposant pas d agence d ex cution en place y juridique recrut pour pr ter compris l AfDB la BADEA l IDB parmi d autres L UCP a affich main forte la un fonctionnement satisfaisant l occasion des projets ant rieurement contractualisation et la financ s par la BM Dans ce contexte nul doute que cette somme gestion des contrats au d exp rience acquise au fil de projets dans le secteur de l ducation niveau de UCP c cibler profitera fortement l organisation de ce nouveau projet et aidera le renforcement des att nuer les risques r siduels pouvant subsister De plus UCP MOBSE capacit s de l ensemble du est compos e d une quipe qualifi e incluant i un Coordonnateur d
230. sation de march s sont instaur s formellement organiser une formation sous la pr sidence de l Universit de Lom avec un personnel disposant l intention du personnel qui d une relativement bonne exp rience de la passation des march s La sera impliqu dans le Commission de Passation de March s Publics CPMP et la processus de passation des Commission de Contr le des March s Publics CCMP sont march s du Projet c op rationnelles Les principaux risques potentiels sont le manque nommer au sein de d exp rience du volume de march s passer pr vus dans le projet et l Universit un agent l absence de manuel de la passation des march s au sein de l Universit adjoint de la passation des march s g n ralement un La prise en compte des conclusions de l valuation de la passation de universitaire o un march s notamment la qualit des documents standard de passation des fonctionnaire et d march s l existence de la CPMP et de la CCMP ainsi que le contr le pr parer un manuel de la externe des gros contrats par le minist re des Finances par le biais de la passation des march s Direction nationale du contr le des march s publics DNCMP am ne juger Mod r le risque d ensemble associ la passation des march s Ghana Universit de Science et Technologie Kwame Nkrumah L ensemble de la passation des march s KNUST est contr l e par Mod r Les mesures d att nuation Faible KNUST Procureme
231. sation des march s seront avalis s avant l entr e en vigueur e Sous composante 2 1 2 2 2 3 les travaux ne constitueront pas une cat gorie de march s acceptable ou une d pense ligible e Composante 2 Les consultants appel s intervenir seront choisis au sein des CEA s lectionn s Ce qui se justifie par le processus de s lection comp titive des CEA qui a d j mis en lumi re un vivier de prestataires de services de haute qualit dans la sous r gion suffisant pour satisfaire les besoins de cette sous composante e Composante 2 Co ts de fonctionnement les charges d exploitation incluent les salaires du personnel les frais de voyage et toute indemnit associ e la location de v hicule le carburant les d penses de service public et de communication et les frais bancaires Les co ts de fonctionnement seront g r s en utilisant les proc dures administratives de l agence d ex cution lesquelles seront acceptables par PIDA comme d crit dans les plans annuels de travail de mise en uvre 78 Modalit s d ex cution de la passation des march s dans le cadre de la composante 1 chaque agence d ex cution de CEA dispose d une unit administrative de passation des march s comme le r clame les cadres juridiques nationaux compos e d un chef et de responsables de la passation des march s En r gle g n rale ces dispositifs de passation des march s sont ad quats pour mettre en uvre les p
232. sera conduite Le montant de la subvention accord e chaque CEA et son usage seront examin s et pourront tre ajust s Il est notamment pr vu que les CEA en retard dans leur mise en uvre voient leur subvention amput e de 50 de la fraction des montants non engag s qui est au del de la moiti de leur subvention Trois ans apr s la signature il est pr vu que la moiti 50 de la subvention r siduelle non 48 d caiss e soit supprim e Les fonds ainsi lib r s seront mis disposition des tablissements progressant bien ou iront au titre de nouvelles subventions octroy es d autres tablissements Ces r ductions progressives et automatiques des montants de la subvention visent r duire le risque de fonds de grande ampleur engag s pour des tablissements plus lents dans l obtention de r sultats et dans la mise en uvre Composante 2 Renforcer les capacit s l valuation et la collaboration r gionales co t total y compris impr vus 9 2 millions de dollars dont IDA 9 2 millions de dollars 35 Cette composante se concentrera sur la sp cialisation r gionale la coordination d ensemble du projet et la facilitation avec mission d assurer la coordination entre les CEA de rer conjointement les le ons et de prendre en charge la mesure ainsi que le rapportage des r sultats agr g s Cette composante aura galement pour axe essentiel d aider le gouvernement de La Gambie renforcer ses t
233. sessssssosoosossssss Annexe 2 Description d taill e du projet essessoesoesseesoesocsscesoesocsscesoesocsscesoescosseess Annexe 3 Modalit s de mise en UVre sesooeoesssssosooessessssososoosessssssosoosessssssosoossssssss AFRICA Africa Higher Education Centers of Excellence TABLE OF CONTENTS CONTEXTE STRAT GIQUE smsumnmnnnnnnnnnennennnnes Ar Context nalional esse as nn a ne eee rl DESCRIPTION du PROJET niet nrsnstrcsssestessesutasesod eteetecstasesses EOmposantes du Projetsen e Ne MISE EN UVRE nine en nelle A Dispositions institutionnelles et d ex cution B Suivi et valuation des r sultats huile C NADINE n a a E a T PRINCIPAUX RISQUES ET MESURES D ATT NUATION se A Tableau r sumant la notation des risques es sssesseesseessesesseeesseesseesseessee B Explication de la notation d ensemble du risque sseeceeeeneeeeeeeerereeseee Evaluation synthEtique eoesssooessseoeessosecesosecesssooesssoocessoocessosecesssocssssoossssoose Homa a E Annexe 4 Cadre d valuation des risques op rationnels CERO vi Analyses conomique et financi re sus Conception technique mosni e a R A E S Gestion ANANCI TE saaa NN ES i aa aa AEAEE aa Passation des March s i iles ane as Social y compris les sauvegardes Environnement y compris les sauvegardes eseeseeeeesesesesresssererrerseseees Annexe 5 Plan d appui la mise en UVre ss
234. sion Sp cialiste GF 8 PS Suivi environnemental et social et rapportage Sp cialiste environnement 1 PS Sp cialiste enseignement sup rieur Enseignement sup 2 PS Dispositif institutionnel coordination de la TTL 12 PS supervision du projet et encadrement des quipes 12 48 mois Examen technique Soutien TTL 4 PS Co TTL 4 PS Sp cialiste S amp E 2 PS Suivi environnemental et social et rapportage Sp cialiste env 1 PS Sp cialiste d v Social 1 PS Soutien g nie civil Sp c Infrastructure 8 PS GF d caissement et rapportage Sp cialiste GF 4 PS Gestion de la passation des march s Sp cialiste PM 2 PS Dispositif institutionnel coordination de la TTL 12 PS supervision du projet et encadrement des quipes PS Pers sem 98 Les comp tences en personnel requises sont r sum es ci dessous Comp tences n cessaires Nombre de personnes semaines Nombre de voyages Commentaires Responsable des op rations 8 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au si ge et bureau pays Sp cialiste ducation co TTL 6 pers sem annuellement Deux Bas l ext rieur Sp cialiste S amp E 2 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au bureau pays Passation march s 4 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au bureau pays Sp cialiste Social 1 pers sem annuellement Voyages selon besoins Bas au bureau pays S
235. sity Zaria ne disposent pas de syst mes d information comptable Nigeria Redeemers mais leur installation est en cours op ration suivre et University et achever University of Benin d L Universit de Port Harcourt Nigeria doit renforcer les toutes trois au Nigeria capacit s de son quipe g rant le syst me d information d University of Port comptable Peachtree car elle souffre d une insuffisance Harcourt Nigeria de comp tences 9 Renforcer les syst mes de gouvernance et de lutte contre la Dans le Toutes les entit s corruption il y sera proc d par la mise en place d un courant de d ex cution les m canisme fonctionnel et ind pendant de gestion des ex cution University of Benin et r clamations l installation d un comit op rationnel de gestion Federal University of des risques et de lutte contre la corruption et la publication des Agriculture Abeokuta budgets rapports financiers et comptes v rifi s sur les sites toutes deux au Nigeria Internet respectifs pour promouvoir la transparence et l obligation ont d j des comit s de reddition de lutte contre la corruption 10 Renforcer les comp tences d audit interne les unit s d audit Dans le Toutes les entit s internes sont vivement encourag es renforcer leurs syst mes par courant de ex cution l introduction des bonnes pratiques nonc es par l Institut des auditeurs internes dans leurs manuels d a
236. sources gouvernementales Le budget devra reposer sur un plan de travail annuel convenu dont le gouvernement et l IDA prendront acte et assureront le suivi dans le cadre de l Accord de financement 38 Personnel Le personnel charg de pr parer et suivre les budgets de l ensemble des agences d ex cution a t jug ad hoc mais des comptables suppl mentaires recruter dans certains CEA universitaires viendront le renforcer attest dans les modalit s comptables Il sera toutefois essentiel de former la totalit du personnel aux bonnes pratiques des dispositions de gestion financi re des projets de la Banque mondiale qui incluent les dispositions comptables 30 Syst mes d information budg taire La plupart des entit s d ex cution sont dot es de syst me d information utilisable des fins comptables sauf celles mentionn es comme devant en faire l acquisition ou proc der une mise niveau dans les six mois suivant l entr e en vigueur Dispositions comptables 40 Manuel de gestion financi re MGF celui ci est fondamental dans la mesure o il taye les dispositions de gestion comptable et autre gestion financi re utilis es pour le projet Toutes les entit s d ex cution disposent de MGF ad quats document s dans leurs directives proc dures politiques et compl t es le cas ch ant dans la l gislation lois et les r glementations gouvernementales except pour les universit s de e Ch
237. ssous 14 Facilitation coordination et administration Les t ches incluent i Appuyer le renforcement des capacit s le partage du savoir et la coordination entre les CEA et les tablissements partenaires par le biais des le ons apprises ensemble et des v nements organis s autour du renforcement des capacit s 120 ii Servir de secr tariat de facilitation entre les diff rentes parties prenantes au projet incluant un appui la coordination entre les CEA les minist res D partements minist riels concern s et la Banque mondiale iii Administrer les bourses aux pays CEA dans les domaines th matiques requis iv Assumer la responsabilit de surveillance de l ex cution des t ches transsectorielles telles que les tudes sur les politiques relatives la mobilit r gionale et d autres questions concernant l enseignement sup rieur v Organiser deux missions annuelles de supervision vi Organiser des r unions trimestrielles entre les CEA et le secr tariat r gional de facilitation vii En pr alable aux missions de supervision deux rapports semi annuels sur l ex cution du projet seront pr par s par les CEA avec l aide du secr tariat de facilitation viii Coordonner et financer les activit s du Comit de pilotage du projet y compris faciliter les r unions biannuelles du CP ix Aider en tant que de besoin l apport d assistance technique aux CEA dans les domaines th matiques ou autres
238. t savoir Obafemi Awolowo University Ile Ife STIM 2 African Centre of Excellence in Dryland Agriculture CEA agriculture en sec Bayero University Kano Agriculture 3 Centre for Food Technology and Research CEFTER Centre de recherche et technologie alimentaire Benue State University Makurdi Agriculture Modalit s institutionnelles et de mise en uvre 35 Les 19 CEA le MoBSE en Gambie et l AUA seront responsables de la mise en uvre globale du Projet de centres d excellence d enseignement sup rieur en Afrique Chaque chef ou directeur des CEA le secr taire permanent du MoBSE en Gambie et le chef ex cutif de l AUA seront les agents comptables qui assumeront la responsabilit comptable d ensemble des fonds du projet Les tablissements auront en charge la mise en uvre du projet incluant le bon maintien des dispositifs de GF tout au long de la dur e de vie du projet Ceci impliquera que les 63 15 CEA travaillent troitement avec leur universit pour garantir le maintien de dispositifs satisfaisants de GF pendant toute la dur e de vie du projet Les tablissements constitueront les liens op rationnels avec l IDA sur les questions relatives l ex cution du projet Planification et budg tisation 36 Directives et proc dures budg taires les budgets des 15 CEA suivront les directives proc dures politiques promulgu es par leurs universit s reprenant dans certains cas les directives r gleme
239. t des Centres d excellence africains Co ts totaux y compris impr vus 281 6 millions de dollars dont IDA 140 8 millions de dollars 3 La composante 1 aidera 19 tablissements s lectionn s devenir des CEA en STIM sciences de la sant et de l agriculture au sein de fili res ad quates pour produire des dipl m s et des solutions de gestion du savoir permettant de fortifier le d veloppement africain Ces centres produiront des dipl m s de la recherche et des services li s au savoir plusieurs pays et deviendront en cons quence des avoirs r gionaux Quatorze tablissements d enseignement sup rieur ont t retenus au fil d un processus de s lection ouvert rigoureux transparent et fond sur le m rite pour h berger 15 CEA voir tableau A2 1 Le projet a invit les gouvernements soumettre des propositions manant la fois d tablissements publics et priv s sous condition de l engagement des gouvernements respectifs affecter les ressources de l IDA aux tablissements soumissionnaires Un tablissement pouvait soumettre jusqu deux propositions s par es de Centre d excellence Le montant de la subvention accord e par CEA n exc de pas 8 millions de dollars Seul un tablissement l Universit du Ghana a vu deux propositions de CEA s lectionn es avec une subvention d un montant de 16 millions de dollars Tableau A2 1 Centres d excellence africains s lectionn s tabliss
240. t des enqu tes selon les besoins e Soutien l laboration de politiques r gionales gr ce la collaboration avec la CEDEAO et ventuellement avec d autres entit s r gionales pour r aliser des tudes de politique relatives aux tudiants r gionaux la mobilit du travail et d autres questions pertinentes de l enseignement sup rieur et pour renforcer la capacit d laboration de politiques r gionales au sein de l enseignement sup rieur y compris la formation du personnel e Les activit s de facilitation de l URF du Comit de pilotage des CEA et des comit s nationaux d examen y compris les activit s li es la gestion de projet au personnel aux co ts de fonctionnement aux per diem la communication la supervision et la mise en uvre de visites dans les CEA individuellement Elles incluent aussi l analyse r guli re de la supervision mise en uvre des ateliers pour discuter des le ons apprises et des activit s d appui l amplification de l initiative de centres d excellence 49 Composante 2 2 Facilitation du Projet au Nigeria co t total y compris impr vus 1 2 million de dollars Cette sous composante financera l appui la mise en uvre du projet et sa facilitation par la Commission nationale des universit s au Nigeria Facilitation formation et supervision des aspects fiduciaires au plan national en font partie aussi bien que le suivi valuation national et
241. t la preuve d un engagement pour l ann e suivante De plus un calendrier de transfert des fonds devrait tre convenu entre le minist re des Finances et le CEA et document dans le contrat entre le gouvernement et l universit CEA 61 Dispositif de versement des fonds pour la Composante 2 l AUA la CNU au Nigeria et le MoBSE en Gambie utiliseront la m thode de d caissement bas e sur les transactions l entr e en vigueur il leur sera demand de soumettre une demande de d caissement d un d p t initial sur le compte d sign d un montant sp cifier dans la Lettre de d caissement La preuve apport e de l utilisation satisfaisante de l avance refl t e dans l tat des d penses ED et ou la pr sentation des documents relatifs aux r glements d passant les seuils des ED conditionneront le r approvisionnement en fonds par la Banque du Compte d sign Ces seuils seront indiqu s dans la Lettre de d caissement Les relev s faisant la preuve des d penses ligibles copies de re us factures de fournisseurs etc constitueront la documentation en renfort des demandes de versement direct Il sera exig que les demandes de r approvisionnement soient soumises r guli rement sur une base mensuelle Une fois les fonds re us sur les comptes d sign s en dollar les fonds peuvent tre transf r s sur les comptes de projet en monnaie locale de l AUA et du MoBSE gambien Les paiements ligibles relatifs au
242. t op rationnel global qui guidera la structure et la mise en uvre d ensemble du projet Ceci inclura i les termes de r f rence les fonctions et responsabilit s des membres ou du personnel du Comit de pilotage r gional du Comit national d examen et de l quipe d ex cution ii les proc dures de passation des march s de fournitures travaux services autres que de consultants co ts op rationnels Formation ainsi que gestion financi re et audits au titre du Projet iii les indicateurs utiliser pour le suivi et l valuation du Projet iv les crit res r gles d taill es et proc dures pour les PDE v les termes de r f rence pour les V rificateurs ind pendants le contenu d taill du Rapport des d penses du PDE les tats des d penses pr format s les rapports financiers interm diaires le rapport de plan de passation des march s et les rapports du projet vi le dispositif de flux et d caissement des fonds du projet et vii les Indicateurs li s au d caissement Ce Manuel d ex cution r gionale du projet peut tre amend tout moment sous r serve de l approbation pr alable de la Banque mondiale IIL Le CP des CEA 20 Le r le du Comit de pilotage des CEA est de superviser et guider le projet Le CP CEA sera galement responsable d encourager la collaboration r gionale dans l enseignement sup rieur et d agir comme agent de liaison entre le projet et la direction r gionale ai
243. tal y compris provisions pour risques 281 6 millions de dollars dont 140 8 millions de dollars IDA 26 La Composante 1 renforcera 19 Centres d excellence dans des tablissements d enseignement sup rieur s lectionn s afin de produire des dipl m s hautement qualifi s et de la recherche appliqu e permettant de r pondre des d fis de d veloppement r gional sp cifiques Les Centres d excellence s appuient au sein d tablissements d enseignement sup rieur universit s d Afrique de l Ouest et centrale sur des d partements et un corps enseignant sp cialis s dans les disciplines relatives aux STIM l agriculture et la sant Le nombre de CEA par pays et secteur aid s et renforc s dans le cadre de cette composante est indiqu dans le tableau 2 Le montant maximal de la subvention accord e chaque Centre d excellence s l ve 8 millions de dollars Tableau 2 Centres d excellence africains par pays domaine et d fi du d veloppement S T I M Agriculture Sant B nin 1 Math matiques appliqu es 1 Environnement et ing nierie de l eau avec des l ments Burkina Faso d agro industrie 1 Application des Cameroun technologies de l information 1 Ing nierie de l eau et de 1 Science agronomique 1 Biologie cellulaire des Ghana PAS gt me l environnement et Sciences et obtentions v g tales maladies infectieuses 10
244. tention des r sultats dont certains sont cruciaux dans la mesure o ils concernent les d caissements c les informations provenant de banques de donn es 19 bibliom triques internationalement reconnues et d agences d accr ditation elles m mes sur les publications de travaux et les accr ditations de recherche et d les interactions avec les parties prenantes y compris les tudiants 55 Dans la plupart des instances les exigences en mati re de donn es et les capacit s de S amp E existent au niveau de l universit Si les capacit s de S amp E ne sont pas pleinement en place au moment de la signature de l accord de performance un plan d action de renforcement des capacit s sera d taill En addition une formation ad quate sur ces aspects sera dispens e sur le tas au personnel des CEA charg du S amp E par le biais de l AUA en particulier pendant la premi re ann e de mise en uvre 56 La responsabilit de l agr gation au niveau r gional des cadres de r sultats des CEA sera bas e PAUA De plus un budget sera fourni au titre du projet pour la collecte des r sultats sous forme d enqu te et les retours d information ainsi que pour que pour le soutien aux S amp E et sa v rification C Viabilit 57 Les capacit s humaines et physiques des universit s renforc es par le projet sont p rennes moyen terme et permettront de continuer assurer la formation des tudiants pendant des d
245. ties prenantes externes ainsi que les partenariats industriels et sectoriels aideront les CEA candidats ancrer leur croissance dans la r ponse qu ils apporteront aux questions prioritaires du d veloppement font fi des priorit s li es au R currence Ech ance d veloppement tat En cours Resp Client tape Ex cution Fr quence Risque d ensemble Risque op rationnel global Important Description du risque Nonobstant les mesures d att nuation des risques envisag es le projet contient une nouvelle approche pour l Afrique assortie de conditions r gionales et de partenariats posant un d fi particulier aux entit s d ex cution De plus les d caissements bas s sur les r sultats constituent une nouvelle approche pour un grand nombre de pays et d universit s traditionnellement habitu s au financement bas sur les co ts Une passation des march s une gestion de projet et des capacit s techniques inad quates pourraient constituer un risque de non performance et de non obtention des r sultats escompt s En plus du positionnement et de d veloppement de leurs tablissements en tant que centres d excellence les CEA retenus doivent galement uvrer pour le renforcement des capacit s des tablissements partenaires dans les pays non s lectionn s dans le cadre de la composante 2 3 Les CEA risquent d avoir un fardeau trop lourd porter aussi est il vital que les propositions
246. tion autant que faire se peut du projet aux structures existantes de mise en uvre dans le pays assureront le renforcement des capacit s organisationnelles physiques fiduciaires et de S amp E n cessaires l ex cution du projet tat En ch ance cours R currence Resp Les deux tape Les deux Fr quence Gestion des risques Une assistance technique sera apport e par l quipe de la Banque et les consultants AUA sur tous les aspects de r mun ration fond e sur la performance introduits dans le projet avec des r les et des responsabilit s clairement tablis Un renforcement intensif des capacit s en gestion v rification des quantit s et coaching sera fourni aux CEA En outre une formation et un coaching in situ sur les m thodes de financement fond es sur la performance seront dispens s pendant la mise en uvre du projet tat En ch ance cours Resp Banque et tape Ex cution R currence AUA Fr quence 90 2 2 Gouvernance d valuation injuste et de retards de paiement Notation Mod r Description du risque Il y a un risque que les leaders corps et unit s institutionnels au sein des CEA candidats les institutions partenaires et les r seaux lesquels sont charg s de r aliser les objectifs sectoriels ne parviennent pas assurer une surveillance ad quate des exigences de performance et des prior
247. tion de publications traduction et soutien ditorial par exemple v participation et organisation de conf rences et s minaires pour la pr sentation de travaux de recherche vi changes d enseignants avec d autres organismes de recherche vii acc s des mat riels p dagogiques y compris ressources documentaires et revues lectroniques viii co ts associ s la collaborations en mati re de recherche et ix travaux de g nie civil mineurs en vue d am liorer les installations de recherche Partenariats universitaires r gionaux et internationaux 23 Les partenariats universitaires servent faire du Centre d excellence un point nodal de connexion mondiale et de diffusion r gionale dans l Afrique de l Ouest et du centre Les propositions de CEA ont mis en vidence un nombre record de partenaires universitaires aux niveaux r gional et international L accent mis sur le renforcement de tels partenariats dans le cadre de cette composante servira trois objectifs i augmenter la capacit des tablissements partenaires dans la r gion offrir un enseignement de qualit et conduire des travaux de recherche ii rehausser les capacit s d enseignement et de recherche des centres en s appuyant sur un partenariat avec des tablissements minents au plan international au sein de la m me fili re et iii s adosser aux points forts des tablissements nationaux et r gionaux partage d une ressource ph
248. tiques Les pays n ont pas encore t s lectionn s et il leur est difficile de financer ces activit s L AUA est une organisation r gionale au service de toutes les universit s africaines avec des programmes sp cifiques pour les universit s et les tudiants de l Afrique de l Ouest Aussi les b n fices acquis sont ils de nature r gionale et ne peuvent ils tre port s au cr dit de tel ou tel pays 4 Les activit s financer avec le don de l IDA ont trait au d veloppement d infrastructures r gionales la coop ration institutionnelle pour l int gration conomique et des interventions coordonn es visant la fourniture de biens publics r gionaux Le cofinancement du don pour l activit concern e n est pas acquis de la part des autres partenaires au d veloppement L entit r gionale est associ e l op ration r gionale financ e par l IDA et impliquant certains des tats membres participants e Le don de l IDA appuiera la coop ration institutionnelle et des interventions coordonn es entre les universit s notamment des interventions coordonn es de politique g n rale et de renforcement des capacit s au niveau r gional g n rant des retomb es r gionales en termes de savoir e Le projet a sollicit le financement de partenaires au d veloppement toutefois l AUA est appel e h berger l Unit r gionale de facilitation du projet de Centres d excellence africains
249. tives de la Banque mondiale Passation des march s de fournitures de travaux et de services autres que de consultants dat es de janvier 2011 ou aux Directives de la Banque mondiale S lection et emploi de consultants dat es de janvier 2011 avec des plans de passation des march s acceptables par l IDA Les directives nationales de passation des march s pourront s appliquer aux d penses enti rement financ es par d autres sources y compris des fonds gouvernementaux Chaque CEA pr parera un manuel de la passation des march s contenant les proc dures Banque mondiale et nationales du syst me de passation des march s de biens consistant principalement en mat riels de laboratoire et affili s et de travaux portant essentiellement sur la r novation de salles de classe et de laboratoire Des services de consultants seront galement sollicit s notamment dans le cas d une demande d assistance technique de la pr paration de manuels d laboration de rapports sp cialis s d audits financiers et sur la passation de march s et autres t ches 24 69 Pour la composante 2 PURF l AUA ainsi que l quipe d ex cution de la Commission nationale des universit s au Nigeria Gambie utiliseront les Directives de la Banque mondiale Passation des march s de fournitures de travaux et de services autres que de consultants dat es de janvier 2011 ou les Directives de la Banque mondiale S
250. tre correctement compris pendant l ex cution soutiens tant dans la R gion Afrique que parmi les bailleurs de fonds Les chefs de file institutionnels assureront le maintien de la qualit et du cap alors que le comit de pilotage des CEA fournira une vision d ensemble L intensive supervision de la Banque au cours des premi res phases de la mise en uvre sera requise Resp Les deux tat R alis tape Les deux R currence ch ance Fr quence Gestion des risques La composante 2 3 sera pour l instant limit e 1 pays L quipe du projet a mis au point un mod le simple dans lequel cette composante peut tre r alis e avec des modalit s de passation de march s mieux clarifi es Resp Fr quence Gestion des risques Un appui significatif sera apport par la Banque et l AUA pour garantir une bonne compr hension des d clencheurs de financement par toutes les parties impliqu es L AUA fera appel une tierce partie sp cialiste sous contrat du S amp E afin d am liorer la collecte des donn es et de garantir le recueil de toute l information requise pour prouver l atteinte des r sultats tat R currence ch ance juillet 2014 Resp Banque tape Ex cution Fr quence 3 2 Social et Notation Mod r 92 environnemental Description du risque Les activit s de construction et de r habilitation
251. trie de la sant g n sique des maladies infectieuses et de la chirurgie g n rale est l une des raisons majeures poussant les personnels de sant partir l tranger 7 Le peu d investissement r alis a fait que les tablissements d enseignement sup rieur d Afrique occidentale et centrale sont actuellement incapables de r pondre aux besoins imm diats de comp tences ou d asseoir moyen terme une croissance soutenue tir e par la productivit Cela provient d une d connexion entre les besoins et les demandes de comp tences de l conomie de l absence d une masse critique d enseignants de qualit d une insuffisance de financement durable ainsi que d une faiblesse de la gouvernance et du leadership Plus g n ralement la sp cialisation r gionale des syst mes d enseignement sup rieur est inad quate en Afrique occidentale et centrale Chacun de ces d fis fait l objet d une r flexion plus apr s 8 Les politiques d enseignement sup rieur sont d connect es des priorit s nationales et r gionales de d veloppement d bouchant sur un profond foss entre la demande du march du travail et les comp tences des dipl m s Cette situation a conduit un ch mage important chez les dipl m s en particulier les dipl m s en lettres et sciences sociales Il existe parall lement des opportunit s d emploi dans des secteurs conomiques en pleine expansion tels que le secteur extractif et ce
252. trise et doctorat devront avoir achev au moins un semestre pour tre inclus Concernant les universit s connaissant une gr ve sur l ensemble du semestre si un tudiant en doctorat abandonne le cycle il elle doit tre remplac e par un nouvel tudiant en pr alable la comptabilisation d tudiants en doctorat suppl mentaires Une universit ne comptabilise un tudiant qu une seule fois dans les indicateurs c d qu un tudiant en ma trise ne peut pas tre en m me temps comptabilis comme tudiant en cycle court Les tudiants en change visite universitaire compteront aussi longtemps qu ils tudient plein temps au CEA pendant au moins un semestre Les apprenants en ligne sont inclus mais ne compteront que pour 50 dans les d caissements ILD En cas de gr ve prolong e ou d autres formes de longues interruptions des cours pendant le semestre la Banque se r serve le droit de demander de plus amples informations et ou de r aliser une valuation pour savoir si les nouveaux tudiants ont accompli un semestre entier Les donn es pour chacun des diff rents niveaux doivent tre ventil es dans la section commentaires d tails au moment de leur d claration et r percut es dans les rapports d avancement Les chiffres cibles concernant les tudiantes sont susceptibles de varier selon les secteurs concern s par ex les industries extractives par rapport la sant Nombre de programmes d tudes
253. uctivit de la jeunesse 11 N anmoins les d faillances du march si elles ne sont pas trait es pourraient diminuer le succ s du projet de Centres d excellence Premi rement l absence ou la mauvaise diffusion de l information sur les nouveaux programmes d tudes sup rieures peut r duire le nombre de candidats aux universit s participantes Deuxi mement les tudiants potentiels risquent de ne pas disposer des informations ad quates et pertinentes sur la rentabilit titre personnel de l acquisition plus pouss e de comp tences et tre tent s de choisir de ne pas investir davantage dans l enseignement sup rieur Un manque de coordination entre les Centres d excellence et les gouvernements peut d tourner le flux d tudiants universitaires des programmes d tudes sup rieures et ce dans tous les pays et les secteurs d Afrique de l Ouest et centrale Taux de rentabilit de l enseignement sup rieur en Afrique 12 Les taux de rentabilit titre personnel de l enseignement sup rieur au Burkina Faso au Cameroun au Ghana et au Nigeria sont plus lev s que ceux de l enseignement primaire et secondaire voir tableau 3 Des taux de rentabilit personnelle ont t calcul s en utilisant les donn es d enqu tes sur les m nages et en appliquant les r gressions de Mincer l estimation de ces taux pr sente certes des d fis m thodologiques car la m thode de contr le des covariables ne r sout pas le pr
254. udit interne acquisition d un logiciel d audit interne pour tre plus efficaces l ex cution 77 Action Date Responsable d exigibilit et efficientes en conduisant les audits former la v rification de la performance pour optimiser l argent investi dans les audits et former la v rification bas e sur les risques pour renforcer les comp tences en audit interne 11 Renforcer le syst me de contr le interne Dans le a Ahmadu Bello a Renforcer les syst mes de contr le interne li s courant de University et African l tablissement en temps opportun des r conciliations ex cution University of Science bancaires mettre jour codage des immobilisations et and Technology fournir des explications sur les diff rences entre les toutes deux au d penses r elles et budg t es Nigeria b Traiter les probl mes d audit interne en temps voulu b Jos University Nigeria 12 Rapport d audit financier annuel Annuellement Toutes les entit s clause d ex cution standard ILD de la gestion financi re 70 Les ILD ci apr s inclus l annexe 1 ont trait la composante 1 et constituent des incitations renforcer la gestion financi re Ils comprennent e CEA pr sentant en temps opportune leurs demandes de d caissement accompagn es des rapports financiers montrant l utilisation des fonds e Universit s sous l gide du conseil universitai
255. ue dans la composante 2 elles soumettront PIDA des RFI trimestriels dans les 45 jours suivant la fin de la p riode de r f rence Les p riodes trimestrielles et semestrielles suivront l ann e calendaire Les formats de ces RFI seront convenus avec l IDA dans la mesure o la pr sentation en temps voulu des 74 rapports financiers constitue un l ment du d caissement li aux r sultats Les RFI comprendront e Un tat des ressources et emplois des fonds e Un tat d taill des emplois des fonds par activit composante du projet et e Les relev s bancaires des comptes d sign et de projet et leurs conciliations Les autres documents fournir avec la demande de d caissement pour la composante 1 incluent e L engagement du gouvernement investir dans le CEA par le biais d une ligne budg taire sp cifique e La preuve du transfert de fonds de la pr c dente tranche depuis le minist re des Finances sur le compte d sign e La preuve de l engagement pour l ann e suivante e La preuve de l accomplissement des r sultats par le CEA et e Les PDE v rifi s par le D partement d audit interne du CEA 66 Toutes les entit s d ex cution pr pareront les comptes annuels dans les trois mois suivant la fin de leur exercice en conformit avec les normes comptables acceptables par l IDA Par la suite toutes les entit s d ex cution auront charge de faire v rifier leurs rapports et de les soum
256. ues tablissements dynamiques arborant des lots de professeurs de qualit faisant d j preuve d innovation en offrant des cours de bon calibre payants des tudiants de toute l Afrique de l Ouest et centrale Les facteurs de succ s de la collaboration r gionale dans l enseignement sup rieur sont i une collaboration par le biais de la sp cialisation ii une orientation politique sur des normes communes sous forme d accr ditation et iii la volont de promouvoir la mobilit des tudiants et des enseignants Appuyer les tablissements et centres au sein des universit s diss min es en Afrique occidentale et centrale qui se sp cialisent d j dans une offre de formation de haut niveau en STIM agriculture et sciences de la sant leur permettra d une part d lever la qualit de l enseignement dans la r gion au sein de leurs domaines de pr dilection par le biais de partenariats et d autre part de rivaliser avec des homologues de pays haut revenu s agissant d tudiants africains capables de financer une ducation de qualit C Objectif de plus haut niveau auquel le projet contribue 16 L objectif de plus haut niveau du projet propos est de satisfaire la demande du march du travail en termes de comp tences au sein des domaines sp cifiques souffrant d une p nurie de main d uvre qualifi e qui affecte le d veloppement la croissance conomique et la r duction de la pauvret Le su
257. ultants par les emprunteurs de la Banque mondiale dans le cadre de pr ts BIRD et de Cr dits et Dons de PIDA et ii les Directives S lection et emploi de consultants par les emprunteurs de la Banque mondiale dans le cadre de pr ts BIRD et de Cr dits et Dons de l IDA de la Banque mondiale Les seuils de passation des march s au titre de la Composante 2 seront align s sur les seuils nationaux standard de la passation des march s Ghana pour l AUA Nigeria et La Gambie et le type de march s services de consultants et fournitures Une description en sera donn e dans le Manuel d ex cution r gionale du Projet 76 Les deux composantes 1 et 2 seront r alis es en suivant les Directives pour la pr vention et la lutte contre la fraude et la corruption dans le cadre des projets financ s par des pr ts BIRD et des Cr dits et Dons de l IDA en date du 15 octobre 2006 et r vis es en janvier 2011 79 11 En addition les dispositions sp cifiques ci apr s stipul es dans l Accord juridique s appliqueront comme suit e Toutes les composantes pour tre acceptable par l IDA le Manuel d ex cution r gionale du projet de CEA devra tre avalis par l AUA la Commission nationale des universit s au Nigeria et l Unit de coordination du projet au minist re gambien de l enseignement primaire et secondaire Les plans annuels d ex cution y compris le Manuel de gestion financi re et le Manuel de pas
258. ument est limit e Ce document est r serv ses destinataires dans le cadre de leurs fonctions officielles Son contenu ne peut tre divulgu d autres personnes sans l autorisation de la Banque mondiale ii TAUX DE CHANGE en vigueur au 28 f vrier 2014 Unit mon taire Dollar Franc CFA B nin Burkina Faso S n gal et Togo XOF 481 1 dollar Franc CFA Cameroun XAF 481 1 dollar C di ghan en GHS 2 47 1 dollar Naira nig rian NGN 163 1 dollar 0 64 DTS 1 dollar 1 55 dollar 1 DTS Taux de change en vigueur au 31 janvier 2014 applicable uniquement la R publique du B nin pour laquelle les n gociations ont eu lieu 21E ACBF AON ASS AT AUA BM CAMES CAS CCMP CEA CEDEAO CEMAC CERO CETIC CNE CNU CP CEA CPM CPP DPL en f vrier 2014 0 65 DTS 1 dollar 1 53 dollar 1 DTS EXERCICE B nin Burkina Faso Cameroun Ghana Liberia Nigeria S n gal et Gambie 1 janvier 31 d cembre SIGLES ET ABR VIATIONS Institut international de l eau et de l ing nierie environnementale Fondation africaine pour le renforcement des capacit s Appel d offres national Afrique subsaharienne Assistance technique Association des universit s africaines Banque mondiale Conseil africain et malgache pour l enseignement sup rieur Strat gie d aide pays Commission de contr le des march s publics Centre d excellence africain Commission conomique
259. umet PURF viii valuation sur documents des propositions des tablissements d bouchant sur la s lection d environ 31 propositions pr s lectionn es pour une visite de terrain ix Visites in situ des tablissements pr s lectionn s et valuation de leur leadership institutionnel ainsi que de leurs capacit s fiduciaires x R sultats de l valuation compl te soumettre au Comit de pilotage des CEA 40 xi Examen par le CP des CEA du processus d valuation et recommandations du comit d valuation d bouchant sur une s lection xii Absence d objection de la Banque mondiale sur le processus d valuation et ses r sultats xiii Annonce des r sultats avec la note d valuation et une justification donn es chaque tablissement soumissionnaire XIV Examen des r clamations XV Soumission par les tablissements s lectionn s d un plan exhaustif de mise en uvre bas sur la proposition approuv e et le retour d information de l valuation en cours xvi Signature du contrat de performance et de financement concr tiser Les paragraphes ci dessous donnent des d tails suppl mentaires sur les tapes cl s du processus de s lection un aspect fondamental de la conception du projet 6 Crit res d ligibilit pour soumettre une proposition Seuls les tablissements offrant des cursus de ma trise et de doctorat taient ligibles candidature Ce crit re garantissait que les t
260. une quipe intersectorielle connaissant les d ficits de qualifications sectorielles sp cialis es et de mettre en contact avec des partenaires sectoriels et grandes entreprises Forte de ces connaissances et de cette quipe intersectorielle la Banque a d velopp un mod le r alisant l int gration d un programme d enseignement des programmes sectoriels r gionaux et nationaux dans les domaines de l agriculture de la sant et 8 IL des industries extractives Quatri mement la Banque est mandat e par l Union africaine et collabore parmi d autres avec la CEDEAO l UEMOA pour appuyer des initiatives en direction d une int gration r gionale elle a rassembl nombre de le ons tir es de projets r gionaux conduits dans d autres secteurs ce dont la conception du pr sent programme a bien b n fici Enfin au sein de ce projet la Banque travaille en troite collaboration aussi bien avec les partenaires au d veloppement bilat raux traditionnels qu avec de nouveaux partenaires au d veloppement gouvernementaux et non gouvernementaux OBJECTIFS DE D VELOPPEMENT DU PROJET A ODP 22 L objectif de d veloppement du projet ODP est d aider ses b n ficiaires promouvoir la sp cialisation r gionale au sein des universit s participantes dans les domaines qui r pondent aux d fis r gionaux et renforcent leurs capacit s fournir une formation et de la recherche appliqu e de qualit B n ficia
261. ussanmartin yahoo Fr Organisme responsable Minist re de l enseignement sup rieur Burkina Faso Contact Salifou Ouiminga Titre Directeur de la Recherche et de la coop ration universitaire T l phone 226 5049 6300 Email Salifou_ouiminga univ ouaga bf Organisme responsable Commission conomique de l Afrique de l Ouest CEDEAO Contact Roland Kouakou Titre Agent principal de programme charg des sciences et de la technologie T l phone 234 805 820 5408 Email rolandkouakou1966 gmail com Organisme responsable Minist re de l enseignement sup rieur de la recherche des sciences et technologie La Gambie Contact Cherno Omar Barry Titre Secr taire permanent T l phone Email moherst cobarry org Organisme responsable Association des universit s africaines Contact Etienne Ehile Titre Secr taire g n ral T l phone 233 21 214 100 Email Eehile aau org Donn es sur le financement du projet en millions de dollars Pr t Don Garantie X Cr dit X DonIDA Autre Co t total du projet 290 80 Financement total 150 00 par la Banque D ficit de financement 0 00 Source de financement Montant EMPRUNTEUR B N FICIAIRE Association internationale de d veloppement DA 41 50 ix Subvention de l IDA 1 00 IDA r engag en cr dit 102 50 IDA r engag en don 5 00 Total IDA 150 00 TOTAL 290 80
262. vec les CEA et la Banque L Unit r gionale de facilitation rendra compte aux CEA et la Banque par le biais de r unions semi annuelles 18 Composition et capacit s de PURF L URF consiste en une quipe compos e de membres actuels de AUA en particulier le responsable pour l ensemble de l URF Secr taire g n ral de l AUA un coordinateur de projet un responsable de S amp E d un responsable de projet et des responsables des TIC et de la communication Les responsables actuels de AUA seront financ s sur la base d un temps partiel travaill pour les besoins du projet De plus le personnel de AUA sera compl t par des consultants embauch s pour le projet incluant un coordinateur de projet adjoint et des cabinets conseils en tant que de besoin Dans le cadre de la pr paration du projet une valuation et de la gestion financi re et de la passation de march s a t entreprise De surcro t AUA a organis de main de ma tre l valuation de la proposition de projet laquelle impliquait une logistique et une coordination importantes Une planification 57 pr coce et coh rente et l entente entre les divers organismes participants dont la Banque constituent des d fis cl s Ceci donnera PAUA suffisamment de poids pour planifier et ex cuter les activit s du projet dans les d lais 19 L URF sera responsable de l laboration du Manuel d ex cution r gionale du projet Ce manuel sera le documen
263. vers l Afrique de l Ouest et du centre insistent de plus en plus sur le bien fond de l enseignement sup rieur pour favoriser le d veloppement Par exemple la Commission nationale de planification au Nigeria accentue sur la n cessit de r formes de l universit afin de mieux aligner les comp tences des dipl m s celles requises par l conomie 21 La Banque mondiale est bien plac e pour aider les pays d Afrique de l Ouest et du centre combler leurs besoins de comp tences et de connaissances par l instauration d un projet de renforcement des capacit s syst matique cibl et r gional assorti d une vision plus long terme Premi rement la Banque apporte actuellement son appui quatre gouvernements de la r gion dans la sph re de l enseignement sup rieur Il s agit l d une occasion d int grer des aspects r gionaux dans des programmes nationaux et de fournir un acc s direct au dialogue de politique ainsi qu un appui la mise en uvre sur le terrain Deuxi mement par le biais de son programme moyen terme pour l enseignement sup rieur une expertise cons quente sur le financement l administration et l employabilit s est accumul e au sein de l enseignement sup rieur partout en Afrique l on peut aussi se fonder sur les le ons apprises des exp riences de r forme en Am rique latine ainsi qu en Asie du Sud et de l Est Troisi mement la Banque a la capacit de mobiliser
264. versit du Benin et l Universit f d rale d agriculture Abeokuta toutes deux au Nigeria Il faudrait encourager les unit s d audit rapporter sur le projet au moins une fois par trimestre l valuation ayant constat que dans certains CEA le d lai de rapportage n tait pas d fini par exemple l Universit Ahmadu Bello Nigeria 51 Comit s d audit Ces comit s d audit sont essentiels pour garantir que les probl mes relatifs aux audits sont port s au plus niveau d attention et r solus Ces comit s sont compos s de membres non ex cutifs dont des membres du Conseil universitaire Toutes les entit s d ex cution ne disposent pas de comit s d audit l Universit du B nin au Nigeria elle est dot e d un Comit d audit et de gestion des risques et celle du Ghana a un Comit d examen de la mise en uvre des audits La constitution de comit s d audit pouvant tre un sous groupe formel du Conseil d universit incluant des membres du conseil est un l ment de bonne gouvernance institutionnelle garantissant que la direction r sout les probl mes d audit Aussi il s agira l d un ILD pour les CEA afin de les encourager am liorer leurs dispositions de gouvernance Il est pr vu que les auditeurs internes rel vent au plan fonctionnel de ces comit s et au plan administratif du chef d tablissement par ex le vice chancelier ou le recteur pour les CEA Dispositions sur la g
265. vront tre form s la v rification des comptes en fonction du risque et la v rification en fonction de la performance Optimisation des ressources Toutes 23 les AE devront se doter d un comit d audit fonctionnel except les universit s du B nin Nigeria et Ghana qui en ont d j un Des dispositifs de gouvernance et de lutte contre la corruption s attaqueront la corruption et au manque de transparence et de responsabilisation gr ce la publication des rapports budg taires financiers et comptables audit s Les d caissements r alis s sous l gide de la Composante 1 seront fond s sur les r sultats tandis que ceux de la Composante 2 reposeront sur les op rations Les modalit s de rapportage financier sont g n ralement idoines mais l ensemble des AE devront se mettre d accord sur le format des rapports Les modalit s d audit externe sont globalement satisfaisantes avec toutefois une remarque sur les Universit s d Abomey Calavi B nin et de Lom Togo qui affichent des retards dans les comptes audit s relatifs 2012 et 2013 qu il est n cessaire de traiter Davantage de d tails figurent l Annexe 3 67 En conclusion de cette valuation il ressort que les dispositifs de gestion financi re en place sont conformes aux exigences minimum de l IDA au titre de la PO PB 10 02 et sont en cons quence m me de fournir avec un bon degr de garantie les informations fiables et en temps
266. x cution r gionale du projet et aux accords financiers tels que convenus entre la Banque les gouvernements et l AUA Le Comit de pilotage aura la possibilit de coopter des membres ext rieurs et de conseiller selon son entendement 24 Le comit de pilotage CEA r gional b n ficiera d un budget appropri au titre de la Composante 2 pour s acquitter de ses fonctions Les membres du Comit verront toutes leurs d penses raisonnables de voyage couvertes et auront un per diem mais ne recevront pas d honoraires L URF lui servira de secr tariat IV Comit national d examen CEA 25 L appui l ex cution et la supervision du projet au niveau national seront le fait Comit national d examen Son mandat consistera recevoir et analyser les rapports les plans de travail et les budgets financ s au titre de la composante 1 pour le s CEA dans le pays concern Il consistera galement superviser et guider l ex cution du projet et approuver le contrat de performance et de financement le plan de mise en uvre du CEA concern le plan annuel de travail le plan de passation des march s et les budgets des CEA de ce pays Les t ches sp cifiques comprennent i Effectuer des valuations de performance et des analyses annuelles des progr s des CEA s lectionn s dans le pays en question ii Approuver les plans de travail annuels pour l ann e venir y compris les plans budg taires et de passation des mar
267. ysique et professorale unique pour cr er des synergies et de ce fait lever la qualit de l enseignement et de la recherche 24 Les indicateurs cl s pour mesurer les progr s enregistr s vers la r alisation du r sultat accroissement de l impact national et r gional via la collaboration institutionnelle l chelle r gionale seront i le partage d tudiants r gionaux non nationaux inscrits dans les CEA et de professeurs r gionaux et ii les publications de recherches r gionales En outre des indicateurs interm diaires mesureront les diff rents aspects des accords de partenariat 25 Les CEA se sont associ s des tablissements qui ont ou n cessitent des capacit s de produire des comp tences permettant de relever un d fi particulier de d veloppement Ceci inclut des centres universitaires internationaux similaires du monde entier des universit s de la r gion et des organismes de recherche nationaux et r gionaux La collaboration avec des organismes de recherche r gionaux est essentielle au sein de l agriculture et de la sant notamment secteurs o des capacit s universitaires importantes se trouvent l ext rieur des universit s dans des centres 46 de recherche sectoriels sp cifiques Les partenariats peuvent tre une poursuite de partenariats en cours et ou nouveaux 26 Les activit s de partenariat universitaire comprennent une collaboration dans la fourniture de programmes d

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