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P 1701 A
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1. Pour 6 2 S 3 Ve 1 MCG Contre 6 1 PDC 2R 3L Abstention 2 1 UDC 1 MCG Le president met aux voix la proposition de dep t de la petition 1701 sur le bureau du Grand Conseil Pour 7 1 PDC 2 R 3 L 1 UDC Contre 5 2 S 3 Ve Abstention 2 2 MCG La proposition de d p t sur le bureau du Grand Conseil est accept e A 9 voix 1 PDC 2 R 3 L 1 UDC 2 MCG contre 5 2 S 3 Ve le traitement de cette p tition sera fait en cat gorie II Conclusion Suite aux auditions r alis es et si personne ne conteste les probl mes d effectifs soulev s par la p tition 1701 la majorit de la commission a pu constater que le d partement de la solidarit et de l emploi s est saisi depuis plus de 2 ans du dossier Des actions ont t entreprises et de nouvelles sont en cours afin de r soudre les probl mes identifi s et am liorer ainsi les conditions de travail des collaborateurs tout en garantissant que les prestations fournies restent de qualit Apr s la mise en application du nouveau syst me informatique TAMI syst me qui permet un meilleur contr le des prestations financi res et administratives la di rection avec 1 aide du d partement analyse chaque fonction afin d estimer au mieux les ressources suppl mentaires n cessaires Si ce travail a abouti au niveau de la fonction de gestionnaire il doit encore l tre pour les fonctions annexes et celle d assistant social De l avis m
2. La mo enne de dossiers actifs pour les gestionnaires s est accrue de 33 pour un effectif en personnel augment d un poste La plupart des nouveaux mandats distribu s pr s de 70 en 2009 constituent des dossiers difficiles n cessitant de nombreux actes situations d endettement importantes baux r sili s probl matiques sociales lourdes etc L absent isme du service est lev Selon un relev du d partement il tend diminuer mais ce fait est imputable galement aux d parts naturels ou d cid s des collaborateurs du service qui sont alors remplac s par des forces fra ches qui r sistent mieux aux contraintes dans un premier temps du moins Le personnel a exprim plusieurs reprises qu il n en pouvait plus Les efforts demand s au personnel en 2009 ont t consid rables portant sur divers aspects du contexte professionnel tels que le report des vacances l ex cution de directives peu claires voire contradictoires l absence de lieu de concertation ou la non reconnaissance des difficult s entres autres Le service pour fonctionner doit faire constamment appel des aides fait d nonc depuis des ann es des contre prestataires RMCAS notamment pour des t ches essentielles au service tant d administration que de contact avec les usagers res environ 19 postes plein temps N ayant pas d change avec sa direction concernant ses conditions de travail le personnel a solli
3. mor sino SJL sr issoq 9606 6706 1 66 016 192001 6 SI suus4ON Za 0720 7501 9720 Fre 7768 PNIS sino SJIJIL S18 SS0Q 00 SV uu oN tot voo 2126 996 088 ors 99 sines say si ssoq 00L 549 9uu ow 690 2 6185 sines sino si ssoq 00 SV uus olN S391399 SAROY syepuew a9a Tax sinos ue sjoe ss ssoq 269 234 sin s sjgoe lq lON 40 44 P 1701 A s uleuinu s sanoss i s p uono auiq t d s i PJ SP Tesuenbez eseq s n uol s no oey 00216 S S6 2 seq 1 te C 9p s nbuol s yino oey woe Yot Sd g 069 9y Sid 9 LZ V2 Sd 97 6 xne 0 80 ey q VIS 0102 S YA 2 eme TISNO d 390 S32N4SEV 530 LN3IW3NS VdINOSOSV 1 aq IAINS f 41 44 P 1701 A m REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE D partement de la solidarit et de l emploi Service des tutelles d adultes Correspondance Monsieur Christian Goumaz patent Secr taire G n ral D partement de la solidarit et de l emploi 14 rue de l H tel de Ville Case Postale 3952 1211 Gen ve 3 N reft MHK tOir
4. P 1701 A 29 44 01022092 6002 2002 uonnjong 6002 2 002 ap UONNIOAZ 8L voL o 01 7598201 6 L0L 9v OLL AZS LOL 06 Z0L 98 80L 9 90k 00 00L lt sino 6 si rssoq ll nuue uonnloez 9490 7 6002 2 2002 uolnloAz 1 eLv L0k 65 80L 6L LOL 00 00k sinas sin e siaissog ll nuue sino SJL 510155001 96001 SID AUUSAON 6 9201 VT6 v68 6 6 sino us s b S1ISSOQ 00 SV uu oW 96 0 88 0 18 siz 9582 sines syoe 6 650 1 00 S39 ouu oN 86 016 8 8 9722 972 sin s Spe ss rssoq 76001 SV UUJ ON s un ol s A l q syepuewu xne AnoN q q 1434 sinos ue s p si issoq sin s sp e sa ssop AIQWON goaz sindap uonnioadq 19 15 s nbnsne s 2 145 18 P 1701 A 30 44 ANNEXE 2 REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE D partement de la solidarit et de l emploi Service des tutelles d adultes Correspondances Monsieur orrespondance Case postale 5011 cartan 1211 Gen ve 11 ecr taire G n ral D partement de la solidarit et de l emploi 14 rue de l H tel de Ville Case Postale 3952 1211
5. mineurs rattach es au DIP et d autre part les tutelles d adultes rattach es au DSE Le transfert a eu lieu le 1 juillet 2006 Tr s rapidement le d partement s est rendu compte que leserv ice des tutelles d adultes fonctionnait difficilement et que beaucoup de travail devait tre en trepris notamment dans la gestion des processus pour remettre niveau ce service Il ajoute que ce constat a t effectu dans un climat tendu climat cr par l augmentation des curatelles de gestion Pour le d partement les curatelles de gestion sont un autre probl me En effet la curatelle 4 e gestion estu ne mesure qui n implique pas la mise sous tutelle d une personne mais plut t de l aide la gestion M Goumaz souligne que l augmentation de ce type de curatelle est due la probl matique du grand ge Il souligne toutefois que la curatelle de gestion n est pas le corps du travail du service qui comme son nom l indique s occupe avant tout des tutelles et de pers onnes qui sont incapables de se g rer M Goumaz rappelle encore que le projet informatique TAMI tait sa 5 Voir l audition de M Goumaz 9 44 P 1701 A gen se destin au service du tuteur g n ral Lors de la s paration des deux activit s d crites ci dessus les d marches tant d j bien entreprises il a t d cid de poursuivre ledit programme car une n cessit se faisait ressentir afin de mettre enplace une vraie or thodoxie a
6. octobre 2009 et probablement jusqu fin mai 2010 Qu adviendra t il ensuite des multiples taches ex cuter sans ces renforts Le budget 2010 ne comporte pas de poste suppl mentaire en personnel pour le STA TAMI n est pas suffisamment op rationnel et occasionne toujours des retards et des difficult s L outil conna t toujours de nombreuses pannes Les saisies de mise jour de m me que l acc s aux donn es indispensables aux traitements des dossiers requi rent beaucoup de temps au d triment d autres t ches de gestion De plus les multiples directives concernant l utilisation de loutil sont par trop complexes et parfois contradictoires d avec les pr c dentes PROTESTATION DE CE JOUR Alerter l employeur sur la sant du personnel 6 Ces difficult s ont t rapport es aux instances du d partement mais les mesures prises ce jour n ont pas permis la restauration dun fonctionnement normal et satisfaisant Le DSE a promis des am liorations sensibles qui auraient d tre effectives d s fin janvier mais leur mise en uvre tarde se concr tiser La charge de dossiers continue s accroftre Entre 2003 et fin 2009 le nombre de dossiers actifs a augment sans appui en personnel suppl mentaire La moyenne de dossiers actifs pour les assistant e s sociaux ales s est accrue d environ 39 5 selon nos estimations sans augmentation d effectifs en personnel 77 6 dossiers 108 2 pour un 100
7. partement Cette commission a exist avant son arriv e au service Le chef du d partement n a pas souhait de commission du personnel au sein du STA Par contre il a invit le personnel constituer un groupe de travail Le dialogue a t ardu d autant que la question des effectifs suppl mentaires n est pas de son ressort Un espace de dialogue n a donc pas t cr Par ailleurs il y a eu d es groupes de travail pour chaque fonction secr taire assistant social gestionnaire En qui concerne l augmentation du nombre de dossiers M Koch Binder explique que cela provient de la transformation d mographique de la population et d un monde de plus en plus pr caris o les gens se retrouvent marginalis s de plus en plus t t M Koch Binder indique que les p titionnaires ont raison au niveau des effectifs Il manque du personnel au STA Mais le d partement a d j entrepris plusieurs actions tous les remplacements demand s ont t accord s des postes d auxiliaires ont t cr s et des cell ules de soutien ont t mises en place pour le premier lot informatique Depuis septembre 2009 tout est fait pour resorber le retard Avec l impl mentation de TAMI il y a eu recensement des t ches et des diff rents types de fonction Suite aux analyses P 1701 A 8 44 124 23 A r alis es de nouveaux postes seront cr s L o elle n est p as d accord avec les p titionnaires c es
8. Koch Binder Directrice ad interim STA DIR CMD AIb 27 08 2009
9. STA 15 02 2010 26 44 27 44 P 1701 A Questionnaire sant6 aux collaborateurs du STA Cocher les bonnes r ponses 1 je suis satisfait de mes conditions de travail bul partiellement 2 j prouve une fatigue chronique susceptible d tre en lien avec le travail ou non 3 je connais au moins un e coll gue dans ce cas Du non 4 jsressens du stress en lien avec le travail bul non 5 je connais au moins un e coll gue dans ce cas bul non 6 j ai des troubles du sommeil susceptibles d tre en lien avec le travail oui non 7 j ai des troubles musculaires maux de dos etc bul non 8 je prends des m dicaments pour partie en lien avec des probl mes inh rents au travail bul non 9 je suis proche de l puisement mais renonce demander un arr t maladie par gard pour mes coll gues oui non 10 j ai t absent durant l ann e coul e pour motifs de sant li s au contexte professionnel bul non 11 e connais au moins un une coll gue de mon unit qui a manqu pour le motif voqu ci dessus oui non 12 durant l ann e coul e je suis venu e travailler un jour de cong ou le week end pui non 13 je connais au moins un e coll gue de mon unit qui est dans ce cas de figure bul non 14 pour pouvoir assumer l entier de mon travail je d passe r guli rement mon horaire no
10. ce propos fait part de lagenda des principales communications op r es aupr s des collaborateurs sur les sujets de la r organisation du STA gt Il est difiant ici de relever qu entre ao t et novembre 2008 seules 3 s ances o nt eu lieu sur la pr sentation de l audit dont une fois l a direction une fois l ensemble des collaborateurs et une fois en s ance pl ni re sur le suivi des recommandations On y apprend ensuite qu existent des s ances hebdomadaires de direction et qu e n t 2009 s ont mises en place des groupes de travail Assistants Sociaux Gestionnaires Secr tariats q ui se sont r unis une fois seulement en automne 2009 On ne peut pas dire ici que les effets d e soutien permanent les cad res de concertation avec les collaborateurs et leur forte implication soient de mise selon les termes de la conclusion du rapport Berney mais plus grave par les d clarations du d partement en commission ce sujet assurant d une consultation constante avec les employ s Seule la mise en place de T AMI a suivi un calendrier r gulier annexe 3 P 1701 A 36 44 Auditions en commission Les diff rentes auditions en commission p titionnaires direction du service m decin du travail d partement d m ontrent clairement que l expression d un profond malaise exprim par les co Ilaborateurs estf ond e et malheureusement particuli rement actuelle annexe 4 La question de la surcharge de t
11. dans une dimension de pr vention au sein de l institution ce qui suppose une certaine fa on de construire En clair il est peu utile d interpeller le Service de sant si par ailleurs on alerte galement l Office cantonal de l Inspection et des Relations du travail le politique voire m me ici la presse En effet si l action d cid e est de faire appel des organismes de contr le o l interpellation des champs politico m diatiques le Service de sant n a pas sa place dans cette proc dure l puisque le choix d action est alors pour des options qui sont autres Tout collaborateur et collaboratrice tout collectif de travail collectif de travail ou syndicat toute hi rarchie ou RH ont toute l gitimit effectivement pour faire appel au Service de sant du personnel de l Etat mais selon la m thodologie et la d ontologie qu il sied De m me le questionnaire que vous avez tabli repr sente bien un ensemble d avis pr cieux exprim s par les collaborateurs et collaboratrices du STA mais le probl me est qu il y manque une validit intrins que si l on veut corr ler la sant aux dimensions de conditions de travail surcharge donc d interface sant travail Ainsi ce questionnaire repr sente bien une expression collective d une probl matique ou de difficult s mais il contient par contre une faiblesse quant aux ventuelles corr lations que l on pourrait ou voudrait utiliser concernant l interface sant travai
12. de traiter les probl matiques les unes apr s les autres en les s riant selon un ordre de priorit Lors du changement de direction du STA un point de situation a t demand avec la clef un certain nombre de pistes propos es La mise en pl ace de T AMI a n cessit un grand nombre de ressources du service et par la force des choses ces derni res taient moins disponibles pour d autres chantiers pendants au STA P 1701 A 12 44 Audition de M Yvan Sherrer chef du service de sant du personnel de PEtat Le pr sident indique M Sherrer que la commission a souhait l entendre concernant le questionnaire sant qui a t r alis par les syndicats et qui selon les informations re ues a t transmis au service de sant du personnel de l Etat M Sherrer indique qu il transmettra la commission le courrier qu il a envoy au syndicat M Sherrer soul ve ensuite un b mol quant la pertinence scientifique du questionnaire en question Il indique que ledit questionnaire a une valeur mais que la mise en lien avec la san t n tablit pas la pertinence d une corr lation ou d une causalit scientifique des l ments d crits par les individus et la sant Il explique en effet que pour atteindre cet objectif une d marche plus construite doit tre suivie Il profite de cette remarque pour montrer qu une m thodologie est tablie au sein du service de sant et que l utilisation des outi
13. ex cuter quand les renforts humains mis disposition seront partis 3 75 postes suppl mentaires entre le 1 octobre 2009 et fin mai 2010 pour rattraper le retard 2 Pourquoi le bu dget 2010 n a t il pas comport des dotations en postes suppl mentaires alors que l absent isme du personnel est lev et que ce dernier a d j fourni des ef forts suppl mentaires importants en 2009 report de vacances heures suppl mentaires travail les jours de cong 3 Qu est il envisag pour le budget 2011 alors que la ch arge des dossiers continue de s accroitre 39 5 d augmentation ce jour 70 nouveaux dossiers en 2009 4 Pourquoi les pannes informatiques de TA MI n ont pas trouv de r ponses p rennes et que les directives d utilisation ne sont toujours P 1701 A 38 44 pas claires contradictoires pr cises et faciles d utilisation malgr l engagement du d partement ce sujet 5 Qu entend faire le d partement pour re mplacer 19 postes le personnel du RMCAS affect notamment et pour Pi nstant des t ches essentielles au service tant dans l administration que pour des contacts avec les pupilles 6 Qu entend faire le d partement pour re nouer un contact solide avec le personnel et cr er des espaces de partage et d coute pour trouver des solutions concert es Conclusion renvoyer cette p tition au Conseil d Etat Il est in compr hensible que la majorit faible de l
14. paiement des factures ont entra n des r siliations de bail etd es d fauts de remboursement de prestations par les assurances Si le retard a t un peu r sorb le travail de gestionnaire s est accru La gestion des dossiers a vu les t ches augmenter et est de venue complexe avec des va et vient pour le contr le des mouvements financiers tout a po ur le m me r sultat qu auparavant A cela s ajoute la ges tion des plaintes accapara nt du temps suppl mentaire m me si ces plaintes sont justifi es De ce fait le trav ail de pr vention et d accompagnement se r duit comme peau de chagrin R ponses aux questions des commissaires Concernant le questionnaire sant M Scheffre pr cise que ce questionnaire n a pas de valeur scientifique mais qu il a n anm oins t envoy au service de sant de l Etat Au sujet du nombre de dossiers par collaborateur Mme Perret indique que lorsqu elle a mmenc travailler en 2004 elle en avait 80 D j a l poque le personnel avait averti la direction que ce nombre devenait trop lev Aujourd hui elle set rouve avec 30 dossiers depl us donc 30 personnes de plus soit une augmentation de 33 depuis 2004 Il s agit de d terminer o l on souhaite placer la ba rre M Maspoli ajoute qu en 2001 elle g rait 130 dos siers Ce nombre est ensuite desce ndu 70 ce qui tait viable et p ermettait de travailler fo nd les d ossiers Aujourd hui avec
15. r ponse selon deux axes le premier concerne le contenu de votre lettre c est dire les probl matiques de conditions de travail d organisation du travail et de surcharge le second s attache la forme la fa on de faire ou la proc dure pour interpeller le Service de sant du personnel de l Etat SPE 1 Le contenu La discussion avec le Secr taire g n ral a montr qu un certain nombre de changements vont prendre place assez rapidement et ceux ci vont avoir une cons quence sur l organisation du travail les conditions de travail et la surcharge Par cons quent il n appara t pas tr s judicieux de lancer maintenant une analyse plus fouill e concernant ces dimensions tant donn leur caract re changeant court terme et l influence cons cutive prob ble sur les difficult s r pertori es D s lors il est plus ad quat de reporter l ventualit d une telle analyse lorsque les changements dont il est question seront v ritablement transcrits et inscrits dans le service et que leurs effets seront acquis A ce moment la peut s interroger sur l interface sant travail au vu de ces nouvelles dimensions II est noter que le d partement est tout fait ouvert un tel sc nario d analyse potentiel selon cette d clinaison 33 44 2 La forme Il m appara t n cessaire de rappeler que le Service de sant du personnel de l Etat n est pas un organisme de contr le c est dire que son action se situe
16. r sultats ne laissent planer aucun doute sur la gravit de la situation Nous avons t alarm s par les l ments et avons d cid de vous les remettre A titre indicatif vous constaterez que seules 4 personnes se disent satisfaites de leurs conditions de travail 31 disent souffrir de troubles du sommeil en lien avec le travail 33 s estiment proches de l puisement un tiers des personnes disent prendre des m dicaments en lien avec leurs conditions de travail Ces seuls l ments devraient inciter des mesures urgentes pour imm diatement am liorer la situation D s lors que jusqu ici ni le DSE ni la direction du STA n ont pris au s rieux les appels du personnel et de nos organisations nous nous retournons vers vous certain e s que vous saurez donner la suite qui convient afin que la sant du personnel du STA soit enfin prot g e Nous restons bien entendu votre enti re disposition pour tout renseignement ou action concr te qui pourraient vous tre utiles Nous vous remercions de l attention port e la pr sente et vous prions d agr er Madame Monsieur nos salutations distingu es Pour le SSP Pour le go K Was MK Fabrice Scheffre Fran oise VVeber Secretaire syndical Secr taire syndicale Annexe mentionn e Copies Office cantonal de l inspection et des relations du travail Monsieur Fran ois Longchamp Conseiller d Etat DSE P 1701 A 1 1 o 11 15 16 R sultats p
17. une coll gue de mon unit 54 0 8 3 qui a manqu pour le motif voqu ci dessus durant l ann e coul e je suis venu e travailler un 12 jour de cong ou le week end 20 3 42 je connais au moins un e coll gue de mon unit j 13 qui est dans ce cas de figure 2 55 14 pour pouvoir assumer l entier de mon travail je 33 17 15 d passe r guli rement mon horaire normal je connais au moins coll gue dans cette situation 51 5 6 3 16 je suis en train d chercher un emploi ailleurs 33 11 19 2 question sans r ponse DSP STA 15 02 2010 P 1701 A 44 44 A ULEK REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE SERVICE DES TUTELLES D ADULTES D partement de la solidarit et de l emploi MISSION DU SERVICE DES TUTELLES D ADULTES ci apr s STA Le STA a pour mission en tant que service officiel de l Etat de Gen ve et mandataire de la Justice de veiller la bonne ex cution des mandats que lui confie la justice dans l aide l accompagnement et l encadrement des personnes au b n fice d un mandat tut laire Le STA 5 engage fournir aux pupilles de mani re professionnelle dans le respect du droit des principes thiques et des droits personnels des b n fi iciaires UNE PRISE EN CHARGE DE LA PERSONNE DANS SA GLOBALITE ET EN FONCTION DE SES BESOINS Le STA veille la satisfaction des besoins fondamentaux tels que la sant le log ment le travail les loisirs et la vie soc
18. 110 dossiers il y a forc m ent des l ments qu on laisse tomber comme les dettes par exemple C est frustrant et la longue on se demande quoi on sert La demande de 20 postes r sulte d une analyse de 1 existant et tient compte du quota de dossiers par collaborateur La charge de travail valu e tient compte des diff rents volets d un dossier sans attribuer une part excessive l accom pagnement social Le quota de 80 dossiers par collaborateur est pond r par les diff rents l ments de la mission du STA 5 44 P 1701 A Ces 20 postes tiennent compte des t ches d volues des aides ext rieures et des auxiliaires depuis des ann es comme la tenue du secr tariat le d placement chez les gens etc alors qu il s agit de t ches p rennes A nsi le but est de stabiliser l essentiel sans extra Au niveau de l informatique Mme Perret indique que le personnel n a pas t consult sur le choix du logiciel a s est fait dans les ann es 2004 et il a fallu tout ce temps parce qu il y a eu un conflit entre l entreprise et le STA puis il a fallu plus de ressources pour adapter l outil aux besoins Au niveau de l organisation du travail Mme Perret indique que cela d pend de la direction Il n existe cependant plus de r pondant RH cette fonction ayant t d l gu e la directrice La r partition des fonctions de direction n est pas claire une autre personne s occup
19. ERVICE gt 6 STATISTIQUE 19 44 P 1701 A PETITION DU PERSONNEL DU SERVICE DES TUTELLES D ADULTES ADRESSEE AU GRAND CONSEIL Pour des effectifs en personnel suppl mentaires afin d ofrir des prestations dignes d un service public et pour des conditions de travail d centes Le personnel du Service des tutelles d adultes STA le Syndicat interprofessionnel de travailleuses et travailleurs SIT et le Syndicat des services publics SSP VPOD d noncent la d gradation continue des conditions de travail qui ne permet plus ce service public d assumer la mission qui lui est d volue et entra ne une d gradation majeure des prestations offertes aux personnes les plus d favoris es de notre canton En raison d une sous dotation chronique en personnel d une r organisation informatique chaotique et d une gestion des ressources humaines inad quate les conditions de travail et les prestations sont gravement pr c ris es Les retards accumul s dans le paiement des factures ont des cons quences dommageables pour les pupilles menaces de r siliation de bail coupures des lignes t l phoniques voire de t l alarme factures m dicales non pay es par exemple et sur le personnel en raison notamment de la surcharge de travail qu ils engendrent Les solutions propos es par la direction outre qu elles sont inefficaces et insuffisantes visent restreindre l offre de service public et sont dirig es contre les pupilles r duction
20. Gen ve le 30 avril 2010 Concerne Commission de contr le de gestion Monsieur le Secr taire G n ral Je fais suite la s ance du 29 mars dernier de la Commission de contr le de gestion concernant le Service des tutelles d adultes STA Conform ment la requ te du Pr sident de la Commission lors de cette s ance je vous prie de trouver ci dessous l agenda des principales communications op r es aupr s des collaborateurs sur diff rents supports sur les sujets de la r organisation du STA et de l impl mentation de son nouveau Si TAMI Je rel ve que la majorit de ces informations sont disponibles aujourd hui encore sur l arborescence informatique du STA A REORGANISATION DU STA o 21 08 2008 Pr sentation des constats pr liminaires de l audit au Comit de direction o 10 09 2008 Pr sentation des constats et des recommandations de l audit l ensemble des collaborateurs en s ance pl ni re o 18 11 2008 Suivi des recommandations de l audit en s ance pl ni re du S ances hebdomadaires du Comit de direction Mars 2009 Titularisatlon des Cheffes de section Et 2008 Mise en place des Groupes de travall AS Gestionnaires Secr tariats partage des bonnes pratiques et harmonisation Automne 2009 1 s ance de suivi des Groupes de travail 2010 Mise en place de la nouvelle r ception t l phonique x DSE Service des tutelies d adultes Bd Georges Favo
21. Gen ve 3 NA MHK Dir Gen ve le 30 avril 2010 Concerne Commission de contr le de gestion Monsieur le Secr taire G n ral Je fais suite la s ance du 29 mars dernier de la Commission de contr le de gestion concernant le Service des tutelles d adultes STA Conform ment la requ te du Pr sident de la Commission lors de cette s ance je vous prie de trouver ci dessous l agenda des principales communications op r es aupr s des collaborateurs sur diff rents supports sur les sujets de la r organisation du STA et de l impl mentation de son nouveau S TAMI Je rel ve que la majorit de ces informatlons sont disponibles aujourd hui encore sur l arborescence informatique du STA A REORGANISATION DU STA 21 08 2008 Pr sentation des constats pr liminaires de l audit au Comit de direction o 10 09 2008 Pr sentation des constats et des recommandations de l audit l ensemble des collaborateurs en s ance pl ni re 18 11 2008 Suivi des recommandations de l audit en s ance pl ni re du S ances hebdomadaires du Comit de direction Mars 2009 Titularisatlon des Choffos de section o Et 2009 Mise en place des Groupes de travall AS Gestionnaires Secr tarlats partage des bonnes pratiques et harmonisation Automne 2009 142 s ance de suivi des Groupes de travail Mal 2010 Mise en place de la nouvelle r ception t l phonique DSE Service des tutelles d adultes Bd Geo
22. Il sugg re de savoir comment sera trait e la p tition concern e afin qu il y ait une unit dans le traitement du sujet par le Grand Conseil Pour une d put e de l Alternative la p tition 1701 traite un cas pr cis alors que les p titions du Cartel traitent la chose de mani re plus g n rale Selon elle on ne peut pas traiter ces deux p titions en parall le Un commissaire de l Entente propose quant lui le d p t de cette p tition sur le bureau du Grand Conseil Cette demande est appuy e par un autre commissaire qui estime que lors des auditions r alis es la commission a pu constater que le d partement tait p arfaitement conscient des probl mes rencontr s et qu il travaillait sur la r so lution de ces derniers Cela p rend certes du temps mais il est inutile de renvoyer ladite p tition au Conseil d Etat qui s est en fait d j saisi du dossier Pour les commissaires de l Alternative la probl matique soulev e par la p tition 1701 est suffisamment grave pour que la p tition soit renvoy e au Conseil d Etat Selon ces commissaires le dialogue entre la direction et le personnel est insuffisant et les souffrances du personnel ne sont pas as sez prises en compte Enfin le probl me informatique n a pas obtenu de r ponses satisfaisantes si bien qu un renvoi au Conseil d Etat s impose P 1701 A 14 44 Le pr sident met aux voix la proposition de renvoi de la p tition 1701 au Conseil d Etat
23. Secr tariat du Grand Conseil P 1701 A Date de d p t 1 juin 2010 Rapport de la Commission de c ontr le de gestion chargee d etudier la petition pour des e ffectifs en p ersonnel supplementaires afin d offrir des prestations dignes d un service public et pour des conditions de travail d centes Rapport de majorit de M Ivan Slatkine page 1 Rapport de minorit de M Antoine Droin page 34 RAPPORT DE LA MAJORIT Rapport de M Tvan Slatkine Mesdames et Messieurs les d put s La Commission de c ontr le de gestion ci apr s CCG s est r unie 4 reprises pour tudier la p tition 1701 demandant des effectifs suppl mentaires au service dest utelles d adultes ci apr s STA Les 4 s ances se sont d roul es sous la pr sidence de M Fra ncis Walpen M Rapha l Audria secr taire scientifique de la CCG a assist toutes les s ances et les proc s verbaux ont t tenus par Mme Nicole Seyfried que la commission remercie Introduction La p tition 1701 a t d pos e le 8 octobre 2009 par le SIT et le SSP VPOD repr sentant le personnel du STA Munie de 83 signatures cette p tition d nonce les sous effectifs allou s au STA rendant les conditions de travail difficiles avec des r percussions au niveau del a sant des ATAR ROTO PRESSE 300 ex 06 10 P 1701 A 2 44 collaborateurs Les p titionnaires demandent en cons quence au Grand Conseil 1 la cr ation de 20 nouveaux po
24. a Co mmission de contr le de gestion veuille renvoyer cette p tition sur le bureau du Grand Conseil L heure est grave Mesdames et Messieurs les d put s et afin que le STA puisse remplir sa mission satisfaction annexe 5 il est i mp ratif de renvoyer cette p tition au Conseil d Etat car il est vident que ni la direction du service ni le d partement ne saisissent la gravit de la situation le bien fond des q uatre invites de la p tition et surtout de l urgence de non seulement trouver mais aussi mettre en u vre des solutions Celles ci doivent naturellement tenir compte du court moyen et long termes pour tre satisfaisantes D s lors le renvoi au Conseil d Etat obligera ce dernier faire part de la situation et de l volution des choses dans un d lai cette fois que nous esp rons naturellement raisonnable dans un se rvice dont le besoin est fondamental pour des utilisateurs fragilis s Il y va de la cr dibilit et fiabilit du service public P 1701 A 39 44 ANNEXE 0102 202 VOL zs LOL 06 201 98804 122522 90 71 7697790 1200001 ABIOL H8LEOL 9699201 962201 9666801 6 20 1662101 800Z Z00Z uonniosq 6002 002 uolinioAqd anior smos us sjnoe 9 6800 ejjenuue 6002 8 2002 5195 5 1196 sa lssoq ll nuue uonnloAzi
25. ains gestionnaires ont compris tr s vite M Koch B inder reconna t qu il pourrait tre utile de re former certains collaborateurs et de chercher percevoir o se situent leurs difficult s Concernant la distinction entre assistant social et gestionnaire M Koch Binder reconna t que cette distinction s est amoindrie Certains dossiers comme ceux li s aux personnes en EMS ne n cessitent pas de suivi social Les gestionnaires sont charg s de la partie financi re en perce vant les revenus et en payant les frais Les assistants sociaux quant eux s occupent du r seau social dont le logement et de sant des pupilles Cela dit un des constats de l audit effectu tait la n cessit d une clarification de ces deu x r les Lorsqu elle est arriv e dans le service une de ses priorit s a t d tablir des bonnes pratiques harmonis es Il existe actuellement 3 sections sociales et financi res qui fonctionnent chacune de mani re particuli re Il faut que les r les soient claircis Concernant les fonctions de la direction M Koch Binder indique qu elle est arriv e en juillet 2008 en m me temps que la personne charg e des ressources humaines des fi nances et de 1 administration Son r le est donc de superviser ces activit s Au niveau du dialogue avec les collaborateurs M Koch Binder explique que la constitution d une commission du personnel rel ve du libre choix du chef du d
26. ani re participative sur un certain nombre de sujets il n en ressort que des critiques telles formul es par les f onctionnaires Cependant le calendrier des r unions fourni d montre clairement que le nombre de concertations ne pas confondre avec information et formation ou enc ore avec s a nces hebdomadaires du C omite de direction sont quasi nulles Pourtant le secr taire general du DSE se pla t relever que lt le d partement s est assez vite rendu compte que ce service d es tutelles d adultes faisait partie de la zone Sinistr e et que beaucoup de travail restait accomplir notamment dans la gestion de l ensemble des processus dont la capacit de d livrer la prestation ou encore quant la souffrance endur e par le personnel il entend bien cette probl matique et s en pr occupe gt Concernant l utilisation de personnel auxiliaire du RMCAS qui effectue Pevidence des t ches p rennes la seule r ponse du d partement est ce stade le d partement se focalise surtout sur la question financi re et estime 4 ou 5 postes suppl mentaires pour cette fonction l Donc acte 17 37 44 P 1701 A Noyer le poisson Les reponses de la direction et du departement sont non seulement contradictoires parfois mais en tous les cas b ien lacunaires Elles donnent indubitablement l impression que l on cherche noyer le poisson L e mal serait il plus profond que cela Cette forme d autism
27. ant des fi nances de l administration et de l organisation du projet TAMI Le seul canal pour les collaborateurs pour se faire entendre de la direction est le comit de direction auquel participent titre co nsultatif seulement les ch efs de section Ces derniers sont les tu teurs en titre et ch acun est resp onsable d environ 600 dossiers Le cahier des charges des collaborateurs est d fini par la loi et le mandat du Tribunal tut laire S il estn ormal que le trav ail comporte une partie administrative il faut cependant faire face de nombreuses proc dures parfois contradictoires M Maspoli ajoute que tous les 2 ans un rapport social et financier doit tre remis au Tribunal tut laire pour chaque pupille Quant la dur e d un dossier cette derni re peut atteindre 10 20 ou 30 ans M Perret ind ique qu il n existe aucun lieu au sein du STA pour le personnel Le personnel avait constitu une d l gation du personnel qui avait t demand e parle d partement lors de la scission du STG mais cette d l gation a t dissoute par M Longchamp sous pr texte qu il existe une commission du personnel au niveau cantonal Aucune concertation l interne n a t organis e Avant la d l gation pouvait faire le point et communiquer avec la direction Aujourd hui cela n est plus le cas M Maspoli ajoute qu il manque un lieu deco nsultation par rapport au grand nombre de dysfonctionnements e
28. cit les syndicats pour effectuer une petite enqu te concernant ses conditions de travail et sa sant Les r sultats sont tr s inqui tants et alertent les syndicats 22 44 23 44 P 1701 A Nous constatons que ni la direction du service ni le d partement ne saisissent la gravit des demandes du personnel et surtout l urgence de trouver des solutions d appui provisoires et durables Les employeurs ne comprennent pas qu il y a p ril et urgence Les syndicats ont adress les r sultats de l enqu te sondage au Service de sant du personnel de l Etat Ils esp rent que la d l gation syndicale du personnel puisse tre entendue tant par le Service sant que par les employeurs qui ont le devoir de prendre toute mesure visant pr server la sant du personnel Le personnel atteint la limite de ce qu il peut endurer et appelle une prise de conscience des instances responsables Pour le SIT Pour le SSP Vpod Fran oise Weber Fabrice Scheffre Secr taire syndicale Secr taire syndical En annexe vous trouverez Courrier syndical SIT SSP adress le 25 02 2010 au Service sant du personnel de l Etat Tract appelant au rassemblement du personnel l ments constatant la charge de travail document labor selon nos sources non confirm par la direction PITOA ZA SIT 16 rue des Chaudronniers CP 3287 1211 Gen ve 3 t l 022 818 03 00 fax 022 818 03 99 SSP Vpod s rue des Terreau
29. d rent qu ils font de l abattage gt parant au plus press Elle m me re oit environ 15 courriels et entre 30 et 50 appels t l phoniques par jour provenant de l entourage des pupilles et auxquels il faut r pondre ou transmettre des documents Dans ce contexte elle tablit des priorit s pour voir les personnes en grande pr carit par exemple pour leur chercher un logement sachant qu Gen ve il n y a que 120 places en foyer Les collaborateurs sont constamment devoir g rer les urgences En juin 2008 avec l arriv e de la nou velle direction il tait pr vu que la t che prioritaire de cette derni re serait la mise en place du 2 Voir Annexe 1 P 1701 A 4 44 nouveau syst me informatique L ancien syst me MAGIC tait rudimentaire mais remplissait son r le Le nouveau syst me TAMI devait permettre un meilleur suivi des dossiers alors que son but premier est en fait de mieux contr ler les mouvements financiers En plus d tre rigide lent lourd et complexe il est d j obsol te Le nouveau syst me a t install en juin 2009 et depuis les pannes sont r currentes Il arrive que des personnes viennent chercher leur argent mais que les gestionnaires soient oblig s d tablir manuellement des ordres de caisse ce qui prend plus de temps et peut tre source d e violence potentielle Une collaboratrice s est d ailleurs r cemment fait agresser Les nombreux dysfonctionnements dans le
30. des horaires de r ception et d ouverture des guichets limitation des contacts avec les assistant c s sociaux ales ou contre le personnel qui subit d j le manque d effectifs Depuis plusieurs ann es le STA fonctionne gr ce des auxiliaires et des b n ficiaires du RMCAS effectuant des contre prestations A ce jour sur un effectif total de 68 postes fixes selon nos estimations car nous n avons pas de relev s officiellement communiqu s le nombre d aides gt b n ficiaires du RMCAS approche 19 postes auxquels il faut ajouter des auxiliaires Le STA ne peut donc pas fonctionner sans ces auxiliaires et ces b n ficiaires du RMCAS qui effectuent l vidence des t ches p rennes H est enfin urgent d instaurer un quota de dossiers par collaborateur trice savoir un maximum de 75 dossiers par assistant e social e contre 107 actuellement et 75 dossiers par gestionnaire contre 103 5 aujourd hui Cette demande du personnel est r currente et pas entendue par le D partement Elle entra ne une augmentation de l effectif en personnel Le STA doit imp rativement et urgemment tre dot en personnel suffisant pour assumer les t ches inh rentes sa mission Au vu de ce qui pr c de le personnel du STA les syndicats SIT et SSP demandent au Grand Conseil o La cr ation de 20 nouveaux postes pour r tablir une charge de travail acceptable au STA o La transformation en postes fixes des postes occup s par d
31. e galement une ncadrement et un accompagnement social Vu le manque d effectif l encadrement devient de plus en plus difficile par manque de temps et de disponibilit des assistants sociaux Selon M Scheffre ces conditions de travail ont aussi un effet grave sur la sant du personnel Depuis avril 2009 il a attir add e multiples reprises l attention de la direction et du d partement Il est d e la responsabilit de l employeur de veiller sur la sant de son personnel Dans ce contexte les syndicats ont distribu un questionnaire portant sur la sant des collaborateurs 65 r ponses leur sont parvenues Cela a permis de v rifier ce qui tait dit en assembl e du personnel Les r sultats sont catastrophiques Ils ont t remis au service de sant de l Etat avec copie 1 OCIRT M Perret d l gu e sy ndicale explique que le servi ce ex cute des mandats d livr s par le Tribunal tut laire qui pr voient soit des curatelles soit des t utelles Dans tous les cas est pr vue une gestion financi re et administrative laquelle s ajoute parfois un accom pagnement social Concr tement pour ce qui la concerne elle g re 110 dossiers actifs auxquels s ajoutent 9 dossiers annul s ou confi s des mandataires externes pour lesquels il faut n anmoins assurer un suivi Lorsqu il y au ne rel ve ou un d c s cela repr sente un norme travail administratif Actuellement certains collaborateurs consi
32. e qu auparavant Mais le programme pr c dent tait devenu obsol te et tombait souvent en panne Le nouveau syst me permet un meilleur contr le et un meilleur pilotage avec des donn es statistiques S il est vrai qu il est plus lourd il permet plus de choses que l ancien notamment pour la g estion financi re qui est devenue plus complexe De plus il r pond aux recommandations de l ICF Le nouveau programme a permis de passer d une comptabilit de caisse une comptabilit d engagement Une fois bien r d ce nouveau syst me am liorera l efficience du STA Le nouveau syst me informatique est adapt au m tier du STA Selon les Key users charg s de former les collaborateurs le programme fonctionne Quant aux assistants sociaux ils n ont qu une vue partielle car ils ne sont pas directement concern s par la gestion financi re Ils se plaignent de la mauvaise visibilit sur les dossiers des pupilles Cependant le n ouveau syst me permet une vision plus exacte et plus compl te des dossiers Au niveau de la formation le STA a t pionnier en la mati re avec une formation organis e par une entreprise sp cialis e Cette soci t a ta bli des proc dures et labor un manuel d utilisation La form ation des collaborateurs a dur plusieurs jours voire plusieurs semaines Maintenant M Koch Binder admet que cette formation n a peut tre pas t suffisante 7 44 P 1701 A Cependant cert
33. e face aux probl matiques voqu es est non seulement choquante mais parfaitement pr occupante Quand on constate que le d partement lance un audit et que deux ans plus tard aucune id e de r organisation du service n est faite pas le moindre nouvel organigramme ni d finition des fonctions et des charges des collaborateurs ne sont formul s et que seul existe un programme informatique qui ne semble pas faire l unanimit des utilisateurs se pose alors s rieusement la question des capacit s et comp tences du d partement et de la direction du service mettre en place une adm inistration efficace et efficiente au service de ses utilisateurs Alors si le d partement ne cherche pas noyer le poisson ne devrions nous pas nous poser la question tout comme l a fait un commissaire ne faudrait il pas cr er un service de tutelle pour le STA Questions en suspens A ce jour les quatre invites des petitionnaires sont d actualit d montr es et reconnues comme telles Il est imp ratif que la situation volue favorablement et urgemment au ST A Des r ponses tangibles r fl c hies et approfondies doivent tre apport es dans les meilleurs d lais tenant compte entre autre des conclusions du rapport d audit de la con certation avec le personnel qui poss de savoir et savoir faire et mettre une v ritable politique de service en place car des questions fondamentales persistent 1 Qu adviendra t il des t ches
34. e service d es tutelles transmet la commission l agenda des principales communications op r es a upr s des collaborateurs sur 1 es sujets del a r organisation du ST A et de l impl mentation du nouveau syst me informatique TAMI Il ressort de ce document que les s ances avec les colla borateurs ont t nombreuses tant pour la r organisation du se rvice que pour la m ise en place du nouveau syst me informatique R ponses aux questions des d put s A la question du besoin en ressources suppl mentaires M Goumaz indique que selon l analyse faite ce jour le d partement estime 4 ou 5 le nombre de postes suppl mentaires n cessaires pour la gestion financi re Pour les autres t ches les b esoins seront tablis en fonction des con clusions des analyses r alis es Concernant le nombre de dossiers par collaborateur M Goumaz indique qu il faut tre tr s prudent avec ce genre de question En r alit un assistant social n accomplit past out le travail de gest ion des d ossiers des gestionnaires tant en appui tout comme le secr tariat et des fonctions de support Il ajoute que si le nombre de dossiers totaux du STA est divis par le nombre de personnel fixe total le r sultat r v lerait qu un collaborateur traite environ 30 dossiers Il est difficile de faire des comparaisons entre cantons La nature du dossier est tr s importante Selon M Goumaz l augmentation du nombre de dossiers par collaborate
35. es auxiliaires et des b n ficiaires du RMCAS e Le maintien et le renforcement de la mission sociale du STA La mise en place d une politique RH adapt e au service Gen ve le 8 septembre 2009 La pr sente p tition est soutenue par la d l gation du personnel du STA le syndicat de travailleuses et de travailieurs SIT et le syndicat des services publics SSP VPOD La p tition est retourner aux adresses syndicales avant le 30 septembre 2009 dernier d lai Signatures au verso P 1701 A 20 44 SIT 16 rue des Chaudronniers CP 3287 1211 Gen ve 3 161 022 818 03 00 fax 022 818 03 99 SSP Vpod 6 rue des Terreaux du Temple 1201 Gen ve t l 022 741 50 80 fax 022 741 50 85 D l gation du personnel du STA Gen ve le 8 octobre 2009 Difficult s du service des tutelles d adultes STA Alerte au STA AUX D PUT E S DU GRAND CONSEIL DE LA R PUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Mesdames les d put es Messieurs les d put s Depuis de longs mois le personnel du Service des tutelles d adultes STAJ soutenu nar les syndicats SIT et SSP d nonce la d gradation de ses conditions de travail et la d gradation des prestations dues aux pupilles dont il a mandat de s occuper Cette situation est due pour l essentiel une surcharge chronique de travail une r organisation mal ma tris e un manque chronique d effectif Le personnel demande depuis des ann es d avo
36. gent d instaurer un quota de dossiers par collaborateur trice savoir un maximum de 75 dossiers par assistant e social e contre 107 actuellement et 75 dossiers par gestionnaire contre 103 5 aujourd hui Cette demande du personnel est r currente et pas entendue par le D partement Elle entra ne une augmentation de 1 effectif en pers onnel Le STA doit imp rativement et urgemment tre dot en personnel suffisant pour assumer les t ches inh rentes sa mission 17 44 P 1701 A Au vu de ce qui pr c de le personnel du STA les syndicats SIT et SSP demandent au Grand Conseil 1 la cr ation de 20 nouveaux postes pour r tablir une charge de travail acceptable au STA 2 la transformation en postes fixes des postes occup s par des auxiliaires et des b n ficiaires du RMCAS 3 le maintien et le renforcement de la mission sociale du STA 4 la mise en place d une politique RH adapt e au service N B 83 signatures Personnel du service des tutelles d adultes p a SIT M Fran oise Weber secr taire syndicale Rue des Chaudronniers 16 Case postale 3287 1211 Gen ve 3 et p a SSP VPOD M Fabrice Scheffre secr taire syndical Rue des Terreaux du Temple 6 1201 Gen ve a y 7 ANNEXE 1 gt 1 PET T ON ET COURRIER AU PERSONNEL ET AU GRAND CONSEIL gt 2 DOSSIER DE PRESSE ET TRACT AU PERSONNEL gt 3 QUESTIONNAIRE DE SANTE document gt 4 PROBLEME DE SANTE gt 5 MISSION DU S
37. iale de la personne et l octroi des prestations dues aux personnes les plus d munies Ces prestations visent permettre aux personnes de retrouver dans la mesure du possible leur autonomie etla pleine r alisation de leurs potentialit s Cette prise en charge se r alise par 1 UN APPUI SOCIAL RESPONSABLE QUI TEND garantir en collaboration avec le r seau des institutions sociales adininistratiy s et judiciaires des conditions d vie dignes et conforrn s aux droits des personnes e un bien tre et une qualit de vie qui r pondent au mieux aux besoins de la personne 2 UN SUIVI ET UNE GESTION ADEQUATS ET RIGOUREUX BES BIENS DES REVENUS ET DES RENTES des pupilles conformes leur int r ts Lorsque les circonstances et la situation de la personne l exigent le STA exerce l autorit ferme mais bienveillante qui est attendue d un mandataire tufelaire officiel H assure le cas ch ant la protection des pupilles contre eux m mes et leur entourage l repr sente cette autorit dans ses relations avec l ensemble du r seau en tant que garant des int r ts de la personne prot g e Le service rend des comptes l Autorit tut laire et l Etat de mani re r guli re professionnelle et respectueuse du droit li s applique faire conna tre son r le ses limites et ses besoins dans le souci d offrir une do de qualit aux pupils qui lui sont confi s Marie H l ne
38. illeuses et travailleurs SIT et le Synd icat des services publics SSP VPOD d noncent la d gradation continue des conditions de travail qui ne permet plus ce serv ice public d assumer la mission qui lui est d volue et entra ne une d gradation majeure des prestations offertes aux personnes les plus d favoris es de notre canton En raison d une sous dotation chronique en personnel d une r organisation informatique chaotique et d une gestion des ress ources humaines inad quates les conditions de travail etles prestatio ns sont gravement pr caris es Les retards accumul s dans le paiement des factures ont des cons quences dommageables pour les pupilles menaces de r siliation de bail coupures des lignes t l phoniques voire de t l alarme factures m dicales non pay es par exemple et sur le personnel en raison notamment d une surcharge det ravail qu ils engendrent Les s olutions propos es par la directi on outre qu elles sont in efficaces et insuffisa ntes visent re streindre l offre de ser vice public et sont dirig es contre les pupilles r duction des horaires de r ception et d ouverture des guichets limitation des contacts avec les assist ant e s sociaux ales ou contre le personnel qui subit d j le manque d effectifs Depuis plusieurs ann es le STA fonctionne gr ce des auxiliaires et des b n ficiaires du RMCAS qui effectuent l vidence des t ches p rennes Il est enfin ur
39. ingtaine de postes occup s par des contre prestataires du R MCAS de TOffice cantonal de l emploi et des auxiliaires Il y a donc entre 1 4 et 1 3 du personnel qui n occupe pas de poste fixe Il y a 5 ans Lors de la scission du service du tuteur g n ral STG plus du quart des collaborateurs tait engag avec un contrat d auxiliaire La p tition a t d pos e en automne dernier depuis le printemps 2009 le programme informatique ne fonctionne pas Le personnel a averti la direction a pl usieurs reprises mais continue de rece voir des o rdres des contre ordres et d autres directives pour faire fonctionner le programme Un norme retard s est accum ul dans le tra itement des factures ce qui a l Annexe 1 3 44 P 1701 A debouche sur des plaintes de pu pilles et de p restataires Certains baux ont m me t r sili s Le d partement a accord 3 postes suppl mentaires a 75 pour r sorber le retard dans la saisie d es donn es mais cela reste selon les p titionnaires insuffisant Si les d ysfonctionnements ont t p artiellement r sorb s ils subsistent n anmoins M Scheffre poursuit en indiquant que selon les personnes qu il rencontre r guli rement les prestations offertes des gens en grande difficult ainsi que les conditions de travail continuent de se d grader La mission du STA ne consiste pas seulement accorder des prestations sous forme de ch ques Sa mission officielle impliqu
40. ir g rer un nombre de dossiers limit et cette demande n est pas entendue Quelques am nagements ont t propos s et n ont pas r sorb la charge de travail Des reorganisations pr vues n ont pas all g le travail qui demeure complexe 8 l introduction d un syst me informatique mal adapt L introduction d un nouvel outil informatique TAMI et son adaptation aux besoins du service est laborieuse et s effectue aux d pens des prestations Des retards consid rables de paiement de suivi des comptes qui mettent en cause les prestations aux cr anciers et aux pupilles et donc l image du service public sont d plorer une politique de gestion du service pas adapt e aux besoins du personnel et son soutien puisqu elle est principalement ax e sur des objectifs de r sultats de l outil informatique p tition adress e au Grand Conseil pour des effectifs et une gestion respectueuse du personnel et des honnes nrestations Le personnel du STA a d pos ce jour la Chancellerie une p tition adress e votre Consell 82 signatures plus de 80 de l effectif Cette p tition demande l octroi de postes suppl mentaires 20 postes r gularisation de contrats et des contre prestataires RMCAS le maintien et le renforcement de la mission sociale du STA et la mise en place d une politique RH adapt e au service Nous vous remercions de donner le meilleur accuell cette p tition Jusqu ici le personnel et les organisation
41. l En conclusion une analyse plus fine des probl matiques de l interface sant travail peut tre imagin e dans la suite tant donn la mise en uvre de certaines mesures qui vont s appliquer au niveau du STA mais il faut attendre un certain d lai de stabilisation de ces mesures pour envisager une telle analyse Faire ce travail maintenant dans la mouvance annonc e est peu judicieux Par ailleurs il est n cessaire de comprendre de quelle fa on on interpelle le Service de sant afin d optimiser l efficience et le potentiel de r ponses valid es en respectant un cadre d ontologique et m thodologique qui assure galement non seulement une cr dibilit de la d marche mais encore une meilleure pertinence des actions mener En restant votre disposition je vous prie de croire Madame Monsieur l expression de mes sentiments les meilleurs Docteur Yvan SCHERRER M decin du travail FMH MPH M decin chef de service Copies OC RT M Fran ois Longchamp conseiller d Etat charg du DSE P 1701 A P 1701 A 34 44 Date de dep t 25 mai 2010 RAPPORT DE LA MINORITE Rapport de M Antoine Droin Mesdames et Messieurs les d put s Ordres contre ordres d sordre Cette p tition a t d pos e l automne dernier par les syndicats SIT et SSP VPOD munie de 83 signatures du pe rsonnel du service des tutelles d adultes La s paration du service en deux entit s s par es 2006 entre
42. le service des tutelles pour mineurs rattach au DIP et celui de la tutelle pour adultes rattach au DES a pour cons quence que pour ce der nier des probl mes de t ravail mais aussi des p roblemes d ordre organisationnel fonctionnel et d application particuli rement informatique constants sont r currents Le r sultat en est ce jour un d sordre monumental non d nu de r percussions n gatives parfois lourdes dec ons quences retards administratifs multiples plaintes des b n ficiaires et de leur entourage prestations de vie s rieuse ment menac es telles que r siliation de baux factures non pay es etc p our les pu pilles Depuis le p rintemps 2009 le programme informatique TAMI ne fonctionne pas l ment r v lateur lui seul de nombreux disfonctionnements Le pers onnel a averti la direction plusieurs reprises mais continuait de recevoir des ordres des contre ordres et autres directives pour faire fonc tionner lep rogramme Plus que du d sagr ment l ensemble du contexte est une situation inadmissible qui s est m me vu p jor e davantage par le fait que les prestations donn es en nette augmentation chaque ann e annexe 1 ne sont pas que des prestations li es des actes administratifs mais aussi des actes d accompagnement social des pupilles Enfin il est en corollaire indispensable de signaler une d gradation croissante des conditions de travail des employ s du STA qui ont une r perc
43. ls qui sont les siens demande un certain d lai car une approche doit tre faite mais permet de mieux cibler les probl mes de sant et proposer des pistes d actions sp cifiques Il rel ve un petit souci au niveau de ce passage direct entre les dires des personnes questionn es et la sant Il pr cise toutefois que ce qui est ditau travers du questionnaire n est pas nier mais qu il manque le coup d il scientifique pour l attester M Sherrer rel ve que la mani re de faire dans le cas du ST A est exceptionnelle C est la premi re fois que le service de sant est ainsi expos et interpell avec d autres entit s telles que les m dias ou le politique alors que th oriquement la m thodologie consiste co nstruire l in terne La sollicitation du service de sant doit respecter une d marche pr cise C est le sens de la r ponse qu il a dress e au syndicat R ponses aux questions des d put s Concernant le rattachement du service de sant M Sherrer indique qu il est rattach au service du personnel de l Etat et donc au DF N anmoins une r flexion est en cours ce niveau Concernant des statistiques des pathologies r pertori es au sein de l Etat M Sherrer ne peut pas en fournir notamment cause d un manque de base de donn es Ce point sera am lior l avenir Il pr cise que 5 enqu tes de sant ont toutefois t conduites entre 2003 et aujourd hui commente que s
44. mbre 2009 Annonce des r formes et am liorations TAMI pour 2010 messages F vrier 2010 Pilotage pr sentation aux AS Avrit 2010 Stabilisation des message annon ant nouveau processus i de reste bien entendu votre enti re disposition pour tout renseignement compl mentaire que vous pourriez souhaiter ce sujet Je vous prie de recevoir Monsieur le Secr taire G n ral l expression de mes sentiments distingu s Marie H l ne Directrice P 1701 A 43 44 4 ULE 4 R sultats provisoires du questionnaire sant du STA total questionnaires 65 oui partiellement non 0 1 je suis satisfait de mes conditions de travail 7 20 38 2 j prouve une fatigue chronique susceptible d tre 35 11 17 2 en lien avec le travail I b 3 je connais au moins un e coll gue dans ce cas 55 1 7 2 4 le ressens du stress en lien avec le travail 48 7 10 5 je connais au moins ur e coll gue dans cas 59 2 4 6 ai des troubles du sommeil susceptibles d tre en 22 17 25 1 lien avec le travail 7 j ai des troubles musculaires maux de dos etc 28 10 26 1 8 je prends des m dicaments pour partie en lien 6 12 45 2 avec des probl mes inh rents au travail je suis proche de l puisement mais renonce 9 demander un arr t maladie par gard pour mes 22 17 26 coll gues 10 j ai t absent durant l ann e coul e pour motifs 9 3 53 de sant li s au contexte professionnel 11 je connais au moins un
45. me du d partement une r flexion doit tre faite au niveau du distinguo fait entre fonction de gestionnaire et fonction d assistant social en se demandant s il ne faut pasl es r unir dans une seule fonction de gestionnaire de mandat Enfin comme cela a t mentionn lors de toutes les auditions r alis es un recentrage des missions du STA doit tre envisag Avec le vieillissement de la population le service est de plus en plus confront devoir g rer des 15 44 P 1701 A dossiers de personnes g es b n ficiant soit des services de la FSASD soit r sidant en EMS A ce niveau il faut d s lors s interroger sur une meilleure coordination des services Compte tenu de l ensemble de ces explications et sachant que le DSE avec l aide del a direction du STA se penche d j sur1 ensemble des probl matiques soulev es dans la p tition en allant m me au del la majorit de la commission vous invite Mesdames et Messieurs les d put s suivre sa position et d p oser sur le bureau du Grand Conseil cette p tition jugeant son renvoi au Conseil d Etat comme inutile et redondant P 1701 A 16 44 P tition 1701 pour des effectifs en personnel suppl mentaires afin d offrir des prestations dignes d un service public et pour des conditions de travail d centes Mesdames et Messieurs les d put s Le personnel du ser vice dest utelles d adultes STA le Syndicat interprofessionnel de trav a
46. n 26 28 1204 Gen ve BCGe IBAN 44 0078 8000 008 4540 Fax 41 22 388 26 50 E mall maris helene koch binder etat ge ch www genave ch P 1701 A 42 44 Page 2 2 B IMPLEMENTATION DU NOUVEAU SI TAM 29 01 2009 Presentation de la conduite du changement en s ance pl ni re o 17 02 2009 Reprise des donn es message aux Gestionn ires F vrier 2008 1 Nevvsletter TAMI o 30 03 2009 D monstration TAMI en s ance pl ni re o 07 04 2009 Organisation TAMI message an Gest ompta o Mal 2009 2 Newsletter TAMI o 12 05 2009 Pr paration mise en production MEP TAMI pour AS pr sentation o Juin 2009 1 Pr paration MEP pour Gest Compta pr sentation m ssage du 09 05 09 2 Kit de d marrage support par messagerie 3 Point de situation pr Comptabilite Facturation pr sentation 4 Activit s Gestionnaires 8 Comptabilit Facturation messages avec directives 5 Priorit s Gestionnaires amp Comptabilit Facturation message et pr sentation o Juillet 2009 1 Gestion des factures et codification pr sentation 2 Encalssements lettrages ordres de caisse pr sentation message avec directives 3 3 Newsletter TAMI 2 Colloques mensuels des Gestionnaires o Debriefings hebdomadaires avec les K Users et le Comit de direction o Novembre 2009 1 Pilotage et rapports au Tribunal tut laire pr sentation 2 S ances de support par l Equipe de projet D ce
47. ndicats ont alert publiquement les autorit s Conseil d Etat D partement de la solidarit et de l emploi afin de faire part des difficult s rencontr es par le personnel du STA La situation 2009 Depuis d but 2009 le personnel et les syndicats demandent des renforts en effectifs de personnel et une diminution de la charge de leurs dossiers Constatant l augmentation croissante de ceux ci le personnel a sollicit maintes reprises l tablissement de quota de dossiers calcul e 33 74 de plus depuis 2004 et 41 06 depuis 2002 Durant cette p riode de 7 ans un seul poste de gestionnaire t cr mais aucun nouveau poste d assistant e social e L organisation du travail et tous les r am nagements d cid s n ont pas permis un all gement de la charge de travail Cette derni re ne fait qu augmenter De plus les dysfonctionnements li s l installation du nouveau syst me informatique et une organisation peu efficiente engendrent des r actions n gatives de la part des pupilles ainsi que des partenaires en plus du surcro t de travail occasionn Le service est principalement g r selon des objectifs de fonctionnement en particulier op rationnalit informatique aux d pens d autres objectifs de management l attention aux usagers le bien tre du personnel La mise en place d un outil informatique TAMI au printemps 2009 ne cesse de poser des probl mes et des tort
48. nnel du STA nous signale d sormais un tat d alerte important concernant ses conditions de travail Dans une nouvelle r solution dat e 3 d cembre 2009 adress e tant Madame Koch Binder qu Monsieur Fran ois Longchamp Conseiller d Etat en charge du DSE le personnel du STA a indiqu que accumulation de travail atteint d sormais le personnel dans sa sant Dans chacun des courriers mentionn s ci dessus nous n avons eu de cesse de solliciter des rencontres avec la direction et ou le DSE Depuis le mois d avril 2009 nous ne les avons rencontr s qu trois reprises sans qu aucun calendrier de travail ne puisse tre tabli II n a d s lors jamais t possible d changer s rieusement avec eux sur la sant du personnel et de prendre des mesures s rieuses pour viter que le personnel ne tombe malade 25 44 P 1701 A R uni en Assembl e g n rale le 21 janvier 2010 le personnel a une nouvelle fois expliqu que ses conditions de travail se d t rioraient Dans la mesure o ses cris d alarme n avaient jusqu ici pas suffi attirer l attention de l employeur les personnes pr sentes l Assembl e ont d cid de distribuer le questionnaire joint en annexe aux coll gues du service Si les r sultats devaient confirmer ses craintes l Assembl e a par ailleurs d cid qu il fallait s adresser votre service Le questionnaire a t distribu environ 60 personnes 53 personnes y ont r pondu Les
49. nnonce des r formes et am liorations TAMI pour 2010 messages F vrier 2010 Pilotage pr sentation aux AS Avril 2010 2 Stabilisation des OC message annon ant nouveau processus Je reste bien entendu votre enti re disposition pour tout renseignement compl mentaire que vous pourriez souhaiter ce sujet Je vous prie de recevoir Monsieur le Secr taire G n ral l expression de mes sentiments distingu s Marie H l ne Directrice P 1701 A R publique et Canton de Gen ve D partement des finances Office du personnel de l Etat Service de sant du personnel de l Etat Rue de l Aub pine 6 1205 Gen ve N R f Secteur m decine du travail YS T l 00 41 22 388 11 20 Fax 00 41 22 388 11 39 e mail yvan scherrer etat ge ch 32 44 ANNEXE 3 SIT Madame Fran oise Weber Secr taire syndicale Rue des Chaudronniers 16 CP 3287 1211 Gen ve 3 SSP Vpod Monsieur Fabrice Scheffre Secr taire syndical Rue des Terreaux du Temple 1201 Gen ve y Gen ve le 22 mars 2010 Votre courrier du 25 f vrier 2010 propos du Service des Tutelles d Adultes STA Madame Monsieur Nous avons bien re u votre courrier susmentionn ainsi que les questionnaires auxquels celui ci fait r f rence Votre missive a bien s r retenu toute notre attention J ai pu avoir un entretien avec le Secr taire g n ral du DSE en date du 12 courant propos de la probl matique pos e et j aimerais formuler ma
50. que le d partement en est arriv la conclusion qu il faut ajouter 4 5 postes M Goumaz rel ve que ce m me travail d analyse n est pas achev au niveau du service et que toutes les autres fonctions seront pass es en revue Au niveau de la f ormation du personnel sur le no uveau syst me informatique TAMI M Goumaz ne peut accepter les critiques emises et les accusations d avoir laiss de c t le personnel Les efforts fournis pour accompagner le personnel n ont jamais t d une telle intensit pour aucun autre projet informatique dans le d partement Le DSE tait tout fait conscient de la difficult du cheminement autour de TAMI et des dangers de la mise en production de ceto util Il ajoute que le d partement a v ritablement et p articuli rement soign l information des co Ilaborateurs dans ce sens Quant la so uffrance endur e par le personnel il entend bien cette probl matique et s en pr occupe Il assure que le d partement est sensible ce sujet car il est fondamentalement de sa responsabilit d assurer que ce serv ice tourne etq wil soit capable de fournir les prestatio ns demand es et ce dans un climat de travail d cent Concernant la politique RH M Goumaz indique que le STA a lam me politique RH que l ensemble du d partement Il ajoute que le STA n a pas subi la baisse de 5 des effectifs Pour conclure M Goumaz indique que la p olitique adopt e par le d partement est
51. r financier doit tre renforc il l est nettement moins au niveau d autres secteurs du service Il tient souligner que le d partement est en cours de chemin et que ce n est bien entendu pas agr able les modifications apport es sont de nature modifier les habitudes et donc g n rer une surcharge de travail Il est bien conscient de cela mais la voie choisie par le d partement est la bonne Le fait d injecter des ressources comme le demandent les p titionnaires n est pas utile et ne s inscrit pas dans la d marche entreprise M Angelillo ajoute qu il est saisissan t de constater que malgr les efforts fournis pour tenir le personnel au courant r guli rement et travailler avec lui de mani re participative sur un certain nombre de sujets il n en ressort que des critiques telles que formul es dans la p tition Le d partement a toujours eu quant lui le souci de faire partager les l ments des analyses avec les collaborateurs Un travail sur le terrain a t en trepris pour obtenir des informations en phase avec la r alit Les resu tats des analyses ont t pr sent s au personnel Ces analyses ont ensuite t discut es avec les collaborateurs Il est donc surpris qu apres les efforts de communication qui P 1701 A 10 44 ont t fournis le personnel s indigne de ne pas tre auc ourant des diff rentes d marches entreprises par le d partement Suite la d emande du pr sident l
52. ravail par l augmentation des dossiers et leur complexit du vieillissement de la population 372 4 ges mais aussi pa r une mauvaise organisation interne n a pas eu de r ponse Les effectifs restant quasi identiques la clarificatio n du r le du service etd es missions notamment avec le Tribunal tut laire n a pas t empoign e s rieusement Il manque des proc dures et une organisation rationnelle du travail le dialogue avec le personnel est embryonnaire voire inexistant le d partement ayant notamment dissout la commission du personnel les fonctions m tier ne sont pas clairement tablies entre les gestionnaires et les assistants sociaux Ce piteux constat est pourtant en partie reconnu par la direction du service qui estime que les p titionnaires posent des questions l gitimes et que tout est fait depuis septembre 2009 pour r sorber le retard Elle estime que les r les des trois sections soient claircis sections mises en place car elles fonctionnent chacune de mani re particuli re Du point de vue du d partement il est relev surprenant de voir qu apr s les effo rts de communication qui ont t fournis le personnel s indigne de ne pas tre au courant des diff rentes d marches entreprises par le d partement gt Mais encore lt qu il est saisissant de constater que malgr les efforts fournis pour tenir le personnel au courant r guli rement et travailler avec lui de m
53. rges Favon 26 28 1204 Gen ve BCGs IBAN CH44 0078 8000 H008 4640 0 Fax 41 22 388 25 50 E mall marie h lene koch blnder etat ge ch www genave ch 31 44 P 1701 A o o o Page 2 2 IMPLEMENTATION DU NOUVEAU SI TAMI 29 01 2009 Pr sentation de la conduite du changement en s ance pl ni re 17 02 2009 Reprise des donn es message aux Gestionnaires F vrier 2009 15 Newsletter TAMI 30 03 2009 D monstration TAMI en s ance pl ni re 07 04 2009 Organisation TAMI message aux Gest Compta Mal 2008 20 Newsletter TAMI 12 05 2009 Pr paration mise en production MEP TAMI pour AS presentation Juin 2009 1 Pr paration MEP pour Gest Compta pr sentation message du 09 05 09 2 Kit de d marrage support par messagerie 3 Point de situation pr Comptabilit Facturation pr sentation 4 Activit s Gestionnaires amp Comptabilit Facturation messages avec directives 5 Priorit s Gestionnaires amp Comptabilit Facturation message et pr sentation Juillet 2009 1 Gestion des factures et codification pr sentation 2 Encalssements lettrages ordres de caisse pr sentation message avec directives 3 g n Newsletter TAMI Colloques mensuels des Gestionnaires Debriefings hebdomadaires avec les K Users et le Comit de direction Novembre 2009 1 Pilotage et rapports au Tribunal tut lalre pr sentation 2 S ances de support par l Equipe de projet D cembre 2009 A
54. rmal bul non 15 je connais au moins un e coll gue dans cette situation bui hon 16 je suis en train de chercher un emploi ailleurs bul non Ce questionnaire est anonyme et doit tre remis un d l gu syndical pour le jeudi 18 f vrier sous enveloppe ferm e ou envoy un syndicat SIT 16 Rue des Chaudronniers CP 3287 1211 Gen ve 3 A l att de Fran oise WEBER SSP VPOD 6 rue des Terreaux du Temple 1201 Gen ve A de Fabrice Scheffre Des remarques peuvent tre inscrites au verso de ce questionnaire DSP STA 15 02 2010 P 1701 A s REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE SERVICE DES TUTELLES D ADULTES C4 D partement de la solidarit et de l emploi MISSION DU SERVICE DES TUTELLES D ADULTES ci apr s STA Le STA a pour mission en tant que service officiel de l Etat de Gen ve et mandataire de la Justice de veiller la bonne ex cution des mandats que lui confie la justice dans l aide l accompagnement et l encadrement des personnes au b n fice d un mandat tutelaire Le STA s engage fournir aux pupilles de mani re professionnelle dans le respect du droit des principes thiques et des droits personnels des b n ficiaires UNE PRISE EN CHARGE DE LA PERSONNE DANS SA GLOBALITE ET EN FONCTION DE SES BESOINS Le STA veille la satisfaction des besoins fondamentaux tels que la sant le logement le travail les loisirs et la vie sociale de la personne et l octroi des prestations dues au
55. rovisoires du questionnaire sant du STA total questionnaires 65 je suis satisfait de mes conditions de travail j prouve une fatigue chronique susceptible d tre en lien avec le travail je connais au moins un e coll gue dans ce cas je ressens du stress en lien avec le travail je connais au moins un e coll gue dans cas j ai des troubles du sommeil susceptibles d tre en lien avec le travail j ai des troubles musculaires maux de dos etc je prends des m dicaments pour partie en lien avec des probl mes inh rents au travail je suis proche de l puisement mais renonce demander un arr t maladie par gard pour mes coll gues j ai t absent durant l ann e coul e pour motifs de sant li s au contexte professionnel je connais au moins un une coll gue de mon unit qui a manqu pour le motif voqu ci dessus durant l ann e coul e je suis venu e travailler un jour de cong ou le week end je connais au moins un e coll gue de mon unit qui est dans ce cas de figure pour pouvoir assumer l entier de mon travail je d passe r guli rement mon horaire normal je connais au moins un e coll gue dans cette situation je suis en train de chercher un emploi ailleurs question sans r ponse oui 35 55 48 59 22 28 22 partiellement 20 11 17 10 12 17 17 11 non 38 17 10 25 26 45 26 53 42 22 15 19 55 DSP
56. s aux employ e s du STA et aux b n ficiaires Nos syndicats ont d j d nonc les normes retards et probl mes caus s par la mise en place de TAMI Probl mes d adaptation de l outil d entr es de donn es et d utilisation entra nant un norme stress une grande surcharge pour les gestionnaires des dossiers et tout le personnel directives et contre directives incessantes l gard du personnel P 1701 A Une p tition du personnel soutenue par les syn dicats a t remise au Grand Conseil et au Conseil d Etat en octobre 2009 La p tition P 1701 demande la cr ation de 20 postes afin d tablir une charge de travail acceptable la transformation en postes fixes des postes occup s par des aides des contre prestataires du RMCAS des auxiliaires le ma ntien et le renforcement de la mission sociale du STA une politique RH adapt e qui m nage les int r ts du personnel et du service Le personnel et les syndicats depuis plus d un an demandent ce qu un espace de concertation se cr e au sein du STA rencontre d une d l gation du personnel syndicale avec la direction EVOLUTION DE LA SITUATION A CE JOUR 1 Suite la mobilisation du personnel et le d p t de la p tition le d partement DSE a accord une aide sp cifique pour rattraper les retards inh rents au nouveau syst me informatique de 3 75 postes pour une dur e limit e soit du 1
57. s syndicales qui le repr sentent n ont pu s rieusement se faire entendre ni de la direction du STA ni du chef du D partement de la solidarit et de l emploi DSE Monsieur Fran ois Longchamp Ce dernier est all jusqu refuser de reconna tre la d l gation du personnel pourtant l gitimement lue en Assembl e g n rale du personnel Le chef du DSE repousse au 30 octobre 2009 une rencontre avec le personnel et les syndicats Si l on tient compte du fait que la situation au sein du STA se d grade de jour en jour ce d lai est l vidence trop loign Au del de cette p tition il y a urgence ce que tant la direction du STA que le chef du DSE prennent la juste mesure de la gravit de la situation et qu ils re oivent enfin la d l gation du personnel et les repr sentants des syndicats SIT et SSP Nous vous remercions d intervenir afin que cette rencontre se concr tise dans les meilleurs d lais 21 44 P 1701 A S T 16 rue des Chaudronniers CP 3287 1211 Gen ve 3 t l 022 818 03 00 fax 022 818 03 99 SSP Vpod 6 rue des Terreaux du Temple 1201 Gen ve t l 022 741 50 80 fax 022 741 50 85 Gen ve le 1 mars 2010 Dossier de presse Pause rassemblement de protestation du personnel du Service des tutelles d adultes STA Lundi 1 mars 2010 de 9h15 9h30 devant le STA langle Rue de Hesse et Boulevard Georges Favon HISTORIQUE D but octobre 2009 les sy
58. stes pour r tablir une charge de travail acceptable au STA 2 la transformation en postes fixes des postes occup s par des auxiliaires et des b n ficiaires du RMCAS 3 le maintien et le renforcement de la mission sociale du STA 4 mise en place d une politique adapt e au service Audition de M Fran oise Weber SIT et M Fabrice Scheffre SSP secr taires syndicaux ainsi que M Dominique Perret et Rose line Maspoli collaboratrices au service des tutelles 4 adultes et d l gu es syndicales M Weber remet un do ssier pr par parl e personnel du STA comprenant des statistiques La p tition comprend 4 invites dont la principale concerne une augmentation des effectifs du service Selon M Weber depuis la r organisation de 2005 le STA souffre d un sous effectif chronique Depuis 2002 le nombre de dossiers actifs a augment de 40 mais sans augmentation du personnel ni au niveau des assistants sociaux ni au niveau des gestionnaires Depuis 2 ans le personnel alerte le DSE de cette situation et demande que soit fix un quota maximum de dossiers par assistant social et par gestionnaire En plus du probl me de la surcharge de travail il y a celui du travail et de son ad quation avec la mission du STA Pour parvenir un quota acceptable de dossiers par collaborateur il faudrait 20 postes suppl mentaires Aujourd hui le STA compte 68 postes plein temps auxquels s ajoutent une v
59. t de proc dures alors que le personnel a des id es pour am nager plus rationnellement l organisation du travail Il en va dem me pour les plaintes des pupilles Elles ne sont trait es nulle part P 1701 A 6 44 Audition de M Marie H l ne Koch Binder directrice du ser vice des tutelles d adultes DSE M Koch Binder indique qu elle a repris la direction du STA en juillet 2008 apr s avoir travaill comme juriste au service juridique du secr tariat g n ral du DSE Elle a pris cette nouvelle fonction comme un d fi alors que MM Longchamp et Goumaz lui avaient expliqu qu il s agissait d un service restructurer A l poque un audit tait en cours et les rec ommandations de ce dernier ont t d livr es en septembre 2008 Dans le m me temps il y a eu la mise en place d un nouve au syst me informatique dont le d marrage tait pr vu pour janvier 2009 et qui n a finalement eu lieu qu en juin 2009 Concernant la p tition M Koch Binder estime que les p titionnaires posent des questions l gitimes mais que les solutions propos es ne rencontrent pas son adh sion R ponses aux questions des d put s Concernant le projet informatique M Koch Binder ne conna t pas tout l historique de l impl mentation du nouveau programme Les pr misses datent de 2004 Elle estime qu il y a une part de r sistance au changement et reconna t que le sys t me actuel est tr s diff rent et plus com plex
60. t sur les so lutions propos es en particulier la demande de 20 postes suppl mentaires dont elle ne comprend pas le calcul En ce qui concerne la mission du STA cette derni re devrait tre centr e selon M Koch Binder sur les personnes qui sont gravement marginalis es probl me de sant mentale toxicomanie et non pas sur le maintien domicile de personnes de plus en plus g es M Koch Binder rappelle que le STA est le fruit de la scission du STG Aujourd hui le service doit faire face une population du 3 et 45 ge de plus en plus importante et dont on favorise le maintien domicile Il y a selon elle un travail de recentrage sur la mission premi re du STA avec une r flexion en collaboration avec le Tribunal tut laire sur l volution d mographique Concernant le contr le interne M Koch Binder indique que l un des buts du nouveau syst m e informatique est p r cis ment l am lioration du contr le interne Pour conclure M Koch Binder indique ne pas tre au courant d un sondage effectu sur la sant des collaborateurs du STA Audition de MM Christian Goumaz secr taire g n ral du DSE et Vito Angelillo directeur cha rg des politiques d insertion la direction g n rale de l action sociale au sujet du STA En introduction M Goumaz rappelle que lors de la derni re l gislature la probl matique des tutelles a t scind e en deux d une part les tutelles de
61. u niveau dela gestion administrative et co mptable des pupilles L ICF av ait d ailleurs t tr s virulent ce ni veau dans le pass M Goumaz souligne ainsi la r elle n cessit de mettre en place une organisation plus structurante et structur e bien que la rigueur exige une adaptation de la part du personnel et g n re galement une surcharge de travail Si le fait d assurer la s cu rit des diff rentes d marches n cessite une certaine complication dans les t ches il n en demeure pas moins que cette s curit est essentielle Sur ce po int le d partement n est pas pr t transiger Il en va de l int r t des pupilles Concernant la p tition M Goumaz est conscient qu un certain nombre de fonctions souffre de ress ources insuffisantes L option choisie par le d partement n est pas de dispenser des ressources additionnelles mais de proc der pr alablement une analyse ri goureuse se focalisant sur la gestion administrative et financi re du service des tutelles d adultes M Goumaz rel ve que les risques les plus importants se concentrent au niveau de la gestion administrative et financi re Cette gestion consiste assurer que le d partement soit en capacit de payer les factures des pupilles d encaisser les revenus qui leur s ont dus et de tenir une comptabilit pupillaire fiable Le travail d optimisation est loin d tre termin ce niveau Si M Goumaz est convaincu que le secteu
62. ur n est pas en lien avec la mise en fonction du syst me TAMI La croissance du nombre de dossiers est directement corr l e avec le nom bre de d cisions prises par le Tribunal tut laire Une r flexion devrait peut tre avoir lieu au niveau du fonctionnement de ce tribunal avec une meilleure distinction entre la mise sous curatelle et le besoin croissant de nombre de personnes d obtenir simplement une aide administrative Concernant la distinction entre assistant social et gestionnaire de dossier M Goumaz indique que lui m me a de la peine savoir v ritablement o se trouve la d limitation entre ces de ux fonctions se demande s il faut maintenir ce distinguo versus une fonction unique de gestionnaire de mandat M Goumaz ajoute que malgr les surcharges de t ravail constat es les rencontres avec les pupilles ont toujours lieu et que tous les dossiers sont 4 Voir Annexe 2 11 44 P 1701 A correctement g r s Le d partement a mis la focal sur la gestion administrative et financi re des pupilles car cette th ematique est la zo ne risque principale Les gestionnaires de dossiers s assurent de la rentr e des revenus des pupilles etg rent le paiement des factures en termes de validation La d finition de la t che d assistant social est plus floue car l accompagnement social e st une fonctio n difficile c erner Si le travail d analyse des t ches a t achev pour le s gestionnaires de dossiers et
63. ur un collectif d environ 1200 1300 fonctionnaires un tiers des personnes 5 Annexe 3 13 44 P 1701 A subit un stress r el 25 du collectif devraient s adresser un professionnel de la sant et parmi ces 25 40 soit 10 du total souffrent de d pression Il ajoute que ces chiffres sont communs l ensemble des entreprises et que l Etat de Gen ve ne conna t pas plus de personnel souffrant qu une entreprise priv e Concernant la d marche des syndicats M Sherrer indique que le service de la sant apr s avoir t interpell de la sorte et su ite La parution dans la presse de ces d marches a t oblig de prendre contact avec le d partement Le service de sant a d termin les points qui devraient tre pris en compte et a recommand de consid rer les revend ications soulev es par Le personnel concern Il est d avis qu il n est pas n cessaire pour l instant de partir sur l analyse du travail effe ctu tant donn qu au m me moment le d partement est ent rain d appliquer des mesures qui auront des cons quences importantes sur les points soulev s lui semble plus judicieux d attendre la mise en place de ces changements avant de se positionner sur la d cision de l Etat Discussion de la commission Suite ces auditions un d put de l Entente rappelle que le Cartel d e la fonction publique a d pos fin 2009 14 p titions dont une qui reprend la p tition 1701
64. ussion sensible sur le taux d absent isme et sur la sant de certains es collaborateurs trices voir annexe 2 35 44 P 1701 A Rapport d audit En 2008 un rapport d audit du bureau Berney Associ s sur le STA est mis en lumi re et pr sent aux employ s en septembre de la m me ann e La conclusion 1 fait part d un certain potentiel qu a le service pour r pondre aux d fis qui le concerne je cite Tous ces potentiels d am lioration ont t relev s dans le cadre de recommandations regroup es au sein d un plan d actions Sa mise en uvre s talera sur les a nn es 2008 2010 et pourrait n cessiter des forces suppl mentaires notamment avec la mise en uvre de TAMI De rajouter en conclusion 2 pour l issue du projet fin 2009 d but 2010 lt Par ailleurs pour s inscrire dans la dur e l volution des pratiques et optimisation de la structure devront se faire par tapes selon une logique d am lioration continue Seul un s outien permanent du comit de pilotage et une implication sans faille de l ensemble des cadres et membres de la direction etla forte motivation des collaborateurs permettront la r organisation de d ployer tous ses effets offrant ainsi une nouvelle base pour supporter une croissance future des activit s tout en r pondant aux exigences de la mission et en offrant un environnement de travail adapt gt La directrice du service via le d partement a sur
65. x du Temple 1201 Gen ve t l 022 741 50 80 fax 022 741 50 85 Gen ve le 25 f vrier 2010 Service de sant du personnel de l Etat Rue de l Aub pine 6 1205 Gen ve Concerne service des tutelles d adultes STA Madame Monsieur interpell s par des membres du personnel du STA nos deux syndicats interviennent dans ce service depuis d but 2009 sur des probl mes sp cifiques li s des surcharges et l organisation du travail Tr s rapidement il nous est apparu que l organisation du travail au sein du STA avait un effet n gatif sur la sant du personnel D s lors nous avons tout de suite pris soin d attirer l attention de la direction du service et du D partement de la solidarit et de l emploi DSE sur ce point Dans une r solution du 22 avril 2009 adress e Madame Koch Binder directrice du STA le personnel a fait conna tre sa d motivation et point le nombre important de personnes en arr t maladie A l occasion d un courriel du 11 juin 2009 nous avons explicitement crit la directrice du STA que la d l gation du personnel nous avait fait part de ses craintes quant la sant du personnel Dans un courrier du 12 juin 2009 nous avons interpell la directrice du STA pour lui expliquer qu en raison notamment d une surcharge constante de travail du manque de moyens mis disposition et de l inflation de directives et d instructions de service parfois contradictoires Te perso
66. x personnes les plus d munies Ces prestations visent permettre aux personnes de retrouver dans la mesure du possible leur autonomie et la pleine r alisation de leurs potentialit s Cette prise en charge se r alise par 1 UN APPUI SOCIAL RESPONSABLE QUI TEND garantir en collaboration avec le r seau des institutions sociales administratives et judiciaires des conditions de vie dignes et conformes aux droits des personnes un bien tre et une qualit de vie qui r pondent au mieux aux besoins de la personne 2 UN SUIVI ET UNE GESTION ADEQUATS ET RIGOUREUX BES BIENS DES REVENUS ET DES RENTES des pupilles conformes leur int r ts Lorsque les circonstances et la situation de la personne l exigent le STA exerce l autorit ferme mais bienveillante qui est attendue d un mandataire tut laire officiel H assure le cas ch ant la protection des pupilles contre eux m mes et leur entourage Il repr sente cette autorit dans ses relations avec l ensemble du r seau en tant que garant des int r ts de la personne prot g e Le service rend des comptes l Autorit tut laire et l Etat de mani re r guli re professionnelle et respectueuse du droit s applique faire conna tre son r le ses limites et ses besoins dans le souci d offrir une prestation de qualit aux pupilles qui lui sont confi s Marie H l ne Koch Binder Directrice ad interim STA DIR CMD AIb 27 08 2009 28 44
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