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Environnement - Gouvernement du Grand

1. 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Ann e o LC e ES o LB 92 OZONE O3 Les d passements des seuils d ozone sont d finis dans la directive europ enne 2000 3 CE et repris dans la r glementation luxembourgeoise r glement grand ducal du 02 avril 2003 portant application de la directive 2002 3 CE du Conseil du 12 f vrier 2002 relative l ozone dans l air ambiant L ann e 2006 est classer comme une ann e moyenne en v nements ozone En ce qui concerne l ann e 2007 elle est tout fait exceptionnelle Un d passement du seuil d information de 180 ug m n a pas t constat Il faut remonter l ann e 1991 pour retrouver une situation comparable Les conditions m t orologiques particuli res d favorables la formation d ozone expliquent eux seuls ce ph nom ne Il n y avait pas de n cessit d informer la population par voie de presse vu l absence de d passements de la valeur seuil de 180 ug m Un systeme d change de donn es entre diff rents tats membres de UE est maintenu sur une base journali re et r guli re depuis plusieurs ann es La valeur maximale d ozone relev e le jour pr c dent par des stations repr sentatives choisies dans chaque pays ainsi que la derni re mesure du matin disponible est transmise l organisme collecteur ABA Technology plc au Royaume
2. La borne permet aussi d afficher en temps r el certaines donn es m t orologiques de la station m t o situ e aux abords du lac Pour les donn es instantan es 1l s agit des donn es suivantes temp rature de l air humidit relative pluie vitesse du vent 257 Ces donn es sont affich es en termes de donn es instantan es de donn es horaires continuellement mises Jour et de donn es journali res continuellement mises jour La borne donne galement un aper u statistique moyennant graphiques sur l volution concr te de certaines donn es climatiques au fil des ann es pr c dentes 1991 2006 ainsi que moyennes 1991 2000 1991 1995 1995 1999 en comparaison avec la p riode m t orologique normale r volue 3 3 9 2 Le jeu MEMORY sur la r serve naturelle Haff R imech En 2007 l Administration des Eaux et For ts a dit un jeu memory sur la r serve naturelle Haff R imech destin aux enfants La r serve naturelle Haff R imech se situe entre la Moselle et les villages Remerschen Wintrange et Schwebsange En 1998 environ 80 hectares ont obtenu leur statut de protection Les anciennes gravi res sont un biotope inestimable pour avifaune flore insectes et reptiles et la r serve fait l objet de nombreuses visites guid es et d animations avec des enfants Le jeu memory contient 40 cartes 20 couples au format 6x6 cm Le but du jeu est de d veloppe
3. Diekirch Grevenmacher Mersch Lux Est Lux Ouest Wiltz 187 3 2 2 Vente de bois 45 ventes r gionales par soumission ont t organis es en 2007 par les cantonnements forestiers pour vendre le bois d uvre feuillu et r sineux 4 ventes nationales par soumission regroupant tous les cantonnements a t organis e pour vendre les grumes de qualit sup rieure En ce qui concerne le bois d industrie la majeure partie du bois d industrie a t vendue par deux march s de gr gr par la Direction des Eaux et For ts le restant du bois d industrie a t vendu par des ventes de gr gr par les cantonnements Les bois de chauffage ainsi les copeaux de bois ont t vendus par des ventes de gr gr locales 3 2 3 Les aides foresti res Les aides aux mesures foresti res et aux mesures de la conservation de la nature accord es aux propri taires forestiers priv s communaux et des tablissements publics constituent un outil important du Gouvernement luxembourgeois dans l orientation de la gestion des for ts vers une gestion durable et respectueuse de l environnement naturel 557 nouvelles demandes en aides ont t adress es en 2007 aux cantonnements Aux cantonnements de Diekirch Mersch Luxembourg Est Luxembourg Ouest et Grevenmacher les demandes en aides manent principalement des communes et des tablissements publics Au cantonnement de Wiltz cependant la situa
4. 185 3 2 Les Cantonnements forestiers 3 2 1 Exploitation de bois Le tableau ci dessous montre le volume r alis en 2007 166 281 m de bois ont t exploit dans les for ts soumises au r gime forestier dont 63 de feuillus et 37 de r sineux Par rapport l ann e 2006 le pourcentage de bois r sineux abattu a diminu de 5 Exercice 2006 Exercice 2007 m m Total feuillus 104 382 Douglas 1 8938 Pin 620 4 WEN En 2007 le volume de bois r alis diminu de 20 000 m par rapport l ann e 2006 Cette diminution est due une baisse des exploitations feuillues le volume de bois r sineux r alis est rest sensiblement au m me niveau qu en 2006 La crainte exprim e au d but de l ann e 2007 de falloir diminuer l exploitation des r sineux la suite des chabl s des temp tes de janvier 2007 dans les pays voisins ne s est donc pas av r e Le graphique ci dessous montre les volumes de bois feuillus et r sineux exploit s dans les six cantonnements au cours de l ann e 2007 On peut constater que dans les cantonnements de Diekirch Grevenmacher Luxembourg Est et Luxembourg Ouest le volume de bois feuillu r alis est beaucoup plus lev que le volume de bois r sineux Au cantonnement de Mersch les feuillus et les r sineux se contrebalancent A Wiltz par contre le volume de bois r sineux exploit d passe de loin celui du bois feuillu Cet
5. MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Mondercange Muertendall Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec Cu mg kg m s MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne a la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 128 Zn mg kg m s 250 200 150 100 50 MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec Pb mg kg m s MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 0 70 0 60 0 50 0 40 0 30 0 20 0 10 0 00 MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Mondercange Muertendall Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoir
6. L application SALAIRES FICHE DE TRAVAIL pr sente un ensemble de fonctionnalit s n cessaires pour tablir des fiches de travail des ouvriers forestiers Ces fonctionnalit s concernent e la gestion des donn es de base ouvriers formation fiche m dicale nature des travaux la saisie des fiches de travail localisation dur e et nature des travaux l int gration des donn es de l APE l dition des formulaires la facturation des prestations aux diff rents propri taires L application SALAIRES FICHE DE TRAVAIL permet de tenir compte des situations de gestion complexe auxquelles sont confront es les cantonnements et les triages forestiers en raison de la gestion multipropri taire de la force de travail disponible En 2007 la maintenance de l application SALAIRES FICHE TRAVAIL a connu les versions suivantes 6 00 a 6 04 Les travaux r alis s concernent la migration vers PB 10 5 2 et Oracle 10g la gestion de l indemnit de voiture l int gration de la nouvelle structure d change avec l APE des nouveaux rapports pour les frais de mise disposition l am lioration de l impression la correction de divers bugs L application COBUPLAN est destin e aux trois domaines troitement li s savoir la comptabilit le budget et la planification La partie planification PLAN est fonctionnelle depuis 2002 les parties comptabilit CO et budget BU sont en fonction de
7. 3 2 9 6 P pini re La seule p pini re du cantonnement est situ e au Burgfried et s tend sur une superficie de 60 ares L inventaire de 2007 arr te 30 400 plants feuillus et 300 plants r sineux Les semences utilis es sont principalement d origine de la for t soumise Outre la production de plants d essences primaires tel le h tre le ch ne ou le fr ne les responsables du service s adonnent la production d essences arbustives dont les semences sont d origine autochtone en vue de cr er de nouvelles haies En 2007 la p pini re a produit quelque 23 300 plants En outre la p pini re coop re troitement avec les responsables de la Maison de la Nature dans le cadre de la production d anciennes vari t s d arbres fruitiers Un premier essai de 400 plants a t lanc au printemps 2004 Il s agit de greffes de diverses vari t s de pommiers et de poiriers mises sur des souches robustes En automne 2006 une centaine de jeunes plants a t pr lev e en vue de la cr ation de nouveaux vergers dans les diverses communes de l Oesling et du Gutland suivie d une centaine de plants haute tige en 2007 Le restant de ce premier essai sera r alis en 2008 Une nouvelle production de quelque 300 plants a t r alis e au printemps 2007 3 2 9 7 Travaux d am lioration Vu les chablis les travaux d claircie en r sineux ont d tre partiellement recul s
8. Il semble que surtout les essences feuillues ont souffert sous les conditions m t orologiques extr mement chaudes et s ches lors de l avril Heureusement l t froid et humide a pu limiter les d g ts 3 2 6 4 R g n ration plantation travaux de culture En ce qui concerne les travaux de culture 85 ha ont t degages en 2007 Les plantations se limitent au regarn ssage des cultures restantes et la cr ation de lisi res plantation 15 760 arbres feuillus et de 680 arbres r sineux 196 3 2 6 5 P pini res Les activit s au niveau de l levage de semis ont t mises au ralenti Ainsi la majorit des planches et des plates bandes de la p pini re domaniale de Waldhof n ont plus t mise en culture 12 400 plants feuillus et aucun plant r sineux se trouvent pour l instant en culture la p pini re Waldhof L inventaire du triage de Niederanven est de 5 000 plants feuillus et de 500 plants r sineux Les travaux se sont concentr s aux t ches suivantes levage de plantes hautes tiges pour les besoins de l administration et des communes levage de plantes foresti res indig nes pour boisements de compensation partie int grante du nouveau centre d accueil de la r serve naturelle Gr newald refuge pour gibiers confisqu s 3 2 6 6 Travaux d am lioration Les travaux d am lioration s tendent sur une surface de 57 ha en 2007 3 2 6 7 Voirie Chemins forestiers
9. 3 2 8 9 Les d g ts caus s par le gibier Les d g ts de gibier en for t sont latents et peuvent tre partiellement vit s par des mesures de protection partielles ou par la construction de cl tures ce qui tait le cas pour une longueur totale de 1 345 m en for t communale Aucun dossier d estimation de d g ts en for t priv e n a t signalis et trait en 2007 En for t domaniale de Boevange Attert de nouveaux d g ts caus s par le cerf ont t constat s et seront inventori s 209 Le nombre de dossiers de d g ts de gibier signal s et inventories sur les pr s et les champs s l ve 375 avec une surface de 114 65 ha de d g ts confirm s Cela repr sente une augmentation par rapport 2006 322 dossiers sur une surface de 106 39 ha 3 2 8 10 La conservation de la nature Les triages forestiers collaborent troitement avec le service de la conservation de la nature de la direction dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la route du Nord et cela particuli rement sur le territoire des triages forestiers de Mersch Est et Ouest et Lorentzweiler Des mesures de construction de cl tures pour le p turage extensif d enl amp vement d pic as de construction de panneaux didactiques et de finalisation de sentiers didactiques peuvent tre mentionn s La collaboration du cantonnement forestier avec le service de l am nagement des bois de la direction
10. AVRIL 2005 16 20 18 19 18 14 17 19 12 8 MAI 13 418 8 26 15 39 17 17 8 8 JUIN 12 21 8 17 15 19 13 1 13 6 JUILLET 11 27 6 23 10 24 10 1 6 13 AO T 16 21 8 22 6 11 11 8 15 SEPTEMBRE 20 25 8 8 48 14 11 13 20 OCTOBRE Sg 6 18 17 NOVEMBRE 30 9 19 12 DECEMBRE 16 33 11 9 13 27 25 22 15 9 JANVIER 2006 37 31 34 16 37 33 42 26 35 35 FEVRIER 24 33 34 418 40 33 38 30 42 26 MARS 12 27 1141 10 19 32 24 25 17 11 DISTRIBUTION STATISTIQUE DES CONCENTRATIONS ug m o 50 7 9 5 4 12 10 5 5 4 98 25 25 25 17 25 33 27 22 21 15 NOMBRE DE MESURES VALID ES PAR STATION 330 293 351 289 248 256 365 321 362 315 pas de valeurs disponibles appareil de mesure en panne l valeur moyenne ou percentile non repr sentative moins de 50 respectivement moins de 75 des mesures disponibles TABLEAUII 78 TENEURS en dioxyde de soufre et en fumee noire Norme de qualit de l air appliqu e Directive 80 779 CEE du 15 juillet 1980 Donn es en provenance du r seau Soufre Fumee noire SF8 de l Administration de l Environnement Anhydride sulfureux 50 Fum e noire ug m Hg m Niveau Niveau respect 50 respect 98 du temps du temps Niveau Niveau respect 50 respect 98 du temps du temps 1972 1973 1974 1975 1976 1977 1978 1979 1980 1981 1982 1983 1 4 84 31 3 85 1 4 85 31 3 86 1 4 86 31 3 87 1 4 87 31 3 88 1 4 88 31 3 89 1 4 89 31 3 90 1 4 90
11. Dans le cadre des discussions des communes en vue de la formulation de leur avis l administration a t sollicit e pour donner des explications plus d taill es au sujet de la probl matique des d chets inertes et de la proc dure de recherche des sites Ainsi les pr sentations suivantes ont t faites 08 10 2007 R union conjointe des Commissions de l Environnement des communes des Garnich et de Mamer 05 11 2007 Conseil communal de la Commune d Ermsdorf 12 11 2007 Conseil communal de la Commune de Heffingen 13 11 2007 R union du Conseil Communal et de la Commission de l Environnement de la Commune de Biwer 21 11 2007 R union du Conseil Communal et de la Commission de l Environnement de la Commune de Junglinster Les avis remis par les communes seront analys s par la Commission en vue d adaptations ventuelles des valuations Ensuite une pond ration de l valuation sera effectu e afin de d terminer le site qui sera consid rer de fa on prioritaire 2 7 14 2 Le r seau actuel La situation actuelle en mati re de d charges pour d chets inertes se pr sente comme suit Brouch Remblai Le dossier de demande d autorisation commodo 2 549 670 m incommodo relatif l am nagement de la d charge d finitive a t soumis une enqu te publique et a t retourn par la commune le 19 d cembre 2007 Rippweiler L exploitation suit son cours normal 144 331 m
12. La structure majoritaire correspond celle des peuplements en maturation ou des peuplements murs Le peuplement pr sente une certaine irr gularit favorable l orientation souhait e en futaie irr guli re avec localement une forte pr sence des BM mais un manque voire m me une absence des cat gories de PB de ch ne ainsi qu une absence de perches de qualit en ch ne en h tre et en alisier torminal La densit en perches et PB d avenir est faible et toujours inf rieure 28 tiges ha Selon les typologies de peuplement lorraines les PB sont les arbres de classes 20 et 25 cm de diam tre 1 30 m les BM classes 30 45 cm les GB 50 65 cm et les TGB les 70 cm et Les trou es dans le peuplement sont rapidement colonis es par des semis de h tre et de charme Pour assurer un renouvellement en ch ne il faudra localement sur les quelques t ches de semis observ es pr voir un relev de couvert partiel mod r pour doser la lumi re apporter aux semis tout en limitant le d veloppement de la v g tation concurrente herbac e Composition du peuplement Les ch nes sessile ou p doncul repr sentent l essence majoritaire en G environ 51 suivi par le h tre le charme et le m l ze Par endroits le h tre est bien repr sent en GB et TGB Le charme vra semblablement issu de l ancien taillis constitue un sous tage son passage dans l tage dominant est c
13. En 2007 le service du cantonnement a am nag une passerelle avec un pont pi ton en bois sur le site de la Neimillen au sein de la future r serve naturelle du Pont Misere Un petit observatoire en bois bordant le lac permet de suivre la vie de l avifaune A Clervaux le service a r am nag un ancien chalet en bois destin au grand public et sis dans le domaine de Clervaux Par ailleurs les services du cantonnement forestier assurent r guli rement l entretien d un grand nombre de sentiers touristiques et des installations de loisirs Il est noter que ces services d entretien pr sentent annuellement une fraction de budget non n gligeable 3 2 9 14 Contacts internationaux Au printemps le chef de cantonnement a particip une formation continue en Belgique Wellin ayant trait la gestion de futaies irr guli res Cette visite tait organis e dans le cadre du projet Interreg Corensy Coop ration pour un renouveau sylvicole D au contact avec Pro Sylva France et l Association Futaie Irr guli re AFI le cantonnement avait d j profit en 2006 de l occasion pour mettre en place trois dispositifs F I futaie irr guli re au sein du cantonnement Un quatri me dispositif f t install dans la for t communale de Hosingen Ce dispositif sert de base pour la future gestion de la futaie feuillue de 1 Akescht En outre ces placettes sont destin es servir de r f rence
14. Im Luftbild ist gut ersichtlich dass der Enneschte B sch ein in sich abgeschlossenes fast vollst ndig von Feldern umgebenes Waldgebiet ist Nur im S dwesten grenzt wiederum Wald an Das Gebiet st von Laubholz dominiert Der einzige gr ere Nadelholzbereich Douglas e ganz m Norden unterscheidet sich im Colorinfrarotbild durch seine gr uliche F rbung klar vom Rot der Laubholzbest nde Innerhalb des Laubholzes hebt ach eine gro e zentral am Rand gelegene Jungwuchsfl che deutlich von dem berwiegend geschossenen Baum und Altholz ab Bei genauerem Hinsehen finden sich am S dwestrand und in der Mitte des Gebietes sowie stlich des in das Naturwaldreservat reichenden Wiesenst cks weitere Jungwuchsfl chen Der fl ch ge Baum und Altholzbestand wirkt berwiegend geschlossen hat aber auch einige durchbrochene Bereiche w e m Zentrum oder im s dwestlichen Bereich zu sehen Hier wirkt das Kronendach nicht so homogen Schattenw rfe zwischen den Kronen vermitteln einen raueren Eindruck Im Zuge der Interpretation wurden 68 homogene Teilfl chen ausgeschieden und einzeln beschrieben Danach berwiegt im Gebiet mit ca 2 3 Fl chenante l das Starke Baumholz gefolgt vom Mittleren Baumholz mit einem Anteil von 25 Mit ca 80 Fl chenanteil dominieren gleichaltrige Best nde die sich berwiegend aus gro kronigen Laubb umen zusammensetzen Eiche 58 Buche 34 Durch das Vorkommen von Zwischen und Unterstand sind d
15. Le Service de l Am nagement des Bois tait galement repr sent dans le groupe de travail interminist riel du plan directeur sectoriel Paysages 3 3 6 3 Monitoring des r serves foresti res int grales Monitoring des habitats forestiers En ce qui concerne le monitoring des habitats forestiers pour l ensemble des RFI au Luxembourg le Service Am nagement des Bois collabore avec un institut de recherche en Allemagne Il s ag t notamment de la Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Fribourg FVA au Baden W rttemberg qui dispose d une exp rience r ussie et de longue date en la mati re Cet institut a d velopp une m thode qui permet de relever intervalles r guliers p ex tous les 10 ans des r serves foresti res int grales afin de pouvoir suivre leur d veloppement travers le temps Ce relev est appliqu aux RFI au Luxembourg sous la d nomination Forstliche Grundaufnahme FGA En fait il s agit d un relev par chantillonnage syst matique Cette m thode a pour but de fournir des donn es sur la structure des RFI comme p ex la r partition spatiale du bois mort terre et sur pied ou la r partition de la v g tation dans les diff rentes strates Sont galement relev es des donn es dendrom triques comme le diam tre la hauteur la surface terri re le nombre de tiges ou les facteurs biotiques et abiotiques Ce relev se pratique au moyen de pl
16. 1 1 3 3 Oekofoire 14 16 septembre 2007 Les th mes du stand du Minist re de l Environnement furent les suivants le Plan d action du Minist re de l Environnement en vue de la protection du climat 10 Bausteine le Plan national concernant la protection de la nature et Semaine europ enne de la mobilit Cette derni re partie du stand a t anim e en collaboration avec le Minist re des Transports et d autres partenaires En outre un film vid o a pr sent les activit s du Minist re de l Environnement sous forme d interviews avec des fonctionnaires du minist re ainsi qu avec le Ministre de l Environnement 1 1 3 4 Semaine de la mobilit 15 23 septembre 2007 Lanc e en 1998 par la Ministre fran aise de l Am nagement du Territoire et de l Environnement Dominique Voynet la journ e du 22 septembre fut d clar e journ e europ enne sans voiture par la Commissaire europ enne pour l Environnement Margot Wallstr m en 2000 La semaine de la mobilit se d roula quant elle pour la premi re fois en 2003 L objectif en est de rendre attentif la n cessit de changer nos comportements en mati re de mobilit et plus particuli rement concernant l usage de la voiture particuli re Plac e sous le slogan R inventons la rue Streets for people l dition 2007 de la semaine europ enne de la mobilit a consist rendre attentif la n cessit de changer nos habitudes
17. 31 3 91 1 4 91 31 3 92 1 4 92 31 3 93 1 4 93 31 3 94 1 4 94 31 3 95 1 4 95 31 3 96 1 4 96 31 3 97 1 4 97 31 3 98 1 4 98 31 3 99 1 4 99 31 3 00 1 4 00 31 3 01 1 4 01 31 3 02 1 4 02 31 3 03 1 4 03 31 3 04 1 4 04 31 3 05 15 28 1 4 05 31 3 06 1 29 A Valeurs limites propos es par la 80 120 250 350 CE en fonction de la fum e noire OO son 95 67 65 61 49 45 41 29 45 52 49 37 47 58 58 67 46 48 38 46 58 52 48 44 32 28 31 21 P O1 N O O O 85 LA N 14 59 95 gt DD N ON 96 49 43 41 58 51 43 32 28 40 32 26 25 20 17 21 19 22 e dt mt mt NT CN ww N O SS OO JO 01 N O TABLEAUII 79 A R seau de mesure des m taux lourds en suspension dans l air ancienne d signation amp B R seau de mesure des particules fines PM en suspension dans l air ambiant y associ s des m taux lourds et des hydrocarbures aromatiques polycycliques mesure du traceur benzo a pyrene A Ces stations au nombre de trois Esch Alzette Luxembourg Eich et Beckerich continuent encore de rester en service en 2007 et 2008 avant d tre d finitivement arr t es Les niveaux en polluants r colt s sur filtres sont faibles B La mise disposition des moyens financiers pour r aliser la partie analytique des filtres d chantillonnage de poussi res fines tait insu
18. En 2007 l Arrondissement CN Centre n a pas t saisi par un projet de remembrement Renaturations L arrondissement CN Centre a particip aux projets de renaturation des cours d eau suivants Mamer vall e enti re S re Diekirch Ernz Blanche entre Larochette et Altlinster Eisch a Marienthal Ansembourg et Hobscheid Ernz Noire Junglinster Kaasselterbaach Lintgen R unions colloques et conf rences e Assainissement de Lintgen Septfontaines Dondelange Walsdorf Tandel Bettel Lorentzweiler Fouhren Stegen et Ingeldorf e Assainissement de la Vall e de l Our entre Dasbourg et Bettel avec implantation d une STEP internationale Bettel Reisdorf et Stolzembourg e R seau national de d charges pour d chets inertes Brouch Rosswinkel Folschette Rippweiler Putscheid Roost Route du Nord tron on Lintgen Lorentzweiler Groupe de travail des constructions agricoles en zone verte r unions avec l ASTA Transposition de la directive Habitats R unions avec les responsables communaux et visites des lieux en vue de la r vision du PAG de la commune de Beckerich Vichten Schieren Larochette Feulen Junglinster Waldbillig Ettelbruck Redange et Ermsdorf e R unions avec les communes en vue de l int gration environnementale dans les PAP e Visites et r unions pour zones d activites de la commune de Diekirch Fischbach Heffingen Vianden et Roost e Restaura
19. Les projets ligibles doivent se situer dans le cadre des priorit s de la politique gouvernementale en mati re de protection de l environnement humain et naturel et de d veloppement durable savoir la sauvegarde de la diversit biologique la lutte contre le changement climatique l am lioration de la qualit de l air la r duction des d chets l utilisation rationnelle et la protection du sol l int gration de la dimension environnementale dans l conomie en particulier les PME de l artisanat et du secteur tertiaire l agriculture l habitat et l urbanisme EA Ee Pour l ann e 2007 les 6 projets suivants ont t retenus Flouer a Gaart an der Bl i Haus vun der Natur Medienkampagne Natura 2000 L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga Aktiounsplang Naturschutz a Landwirtschaft H llef fir d Natur Restauration de l habitat de la g linotte des bois H llef fir d Natur LNVL Nohaltegen Konsum Mouvement Ecologique Nachhaltige kommunale Beschaffung Emweltberodung L tzebuerg SE Re 1 2 Fonds pour la Protection de l Environnement 1 2 1 Repartition des depenses pour 2007 du Fonds pour la Protection de l Environnement Les d penses effectu es courant 2007 sur les cr dits du Fonds pour la Protection de l Environnement s l vent 12 843 983 36 euros et se r partissent de la fa on suivante e lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit le changement clima
20. e Premi re impression d une s rie de brochures scientifiques intitul es Bembecia 3 4 2 2 L Arrondissement CN Centre Traitement des dossiers d autorisation pr vus par la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles En 2007 l Arrondissement Centre a t saisi par 620 nouvelles demandes d autorisation Le nombre r el de ces dossiers est plus lev vu que les nombreux avant projets et les recours ou ajoutes ne sont pas inclus dans cette statistique Les aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 64 demandes de subventions pour travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t transmises l arrondissement CN Centre pour l exercice 2007 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit Plantation de 34 arbres solitaires et de 419 arbres fruitiers haute tige Installation de 258 protections individuelles Installation de 260 m de cl tures de protection 28 demandes pour la cr ation et travaux d entretien d habitats naturels ou semi naturels dans les communes de Bissen Boevange Ettelbruck Feulen Mersch Redange Saeul et Useldange Plantation de 481 50 m de haies d alignement Mise en place de 152 2 ares de lisi res foresti res 25 ares de coupe rase de taillis 4 demandes pour la restauration d arbres remarquables 11 demandes de subventions ont
21. puration caract re r gional 12 d g h une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t de l investissement concernant l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets ou de sites contamin s en application de l article 16 point 3 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 40 du co t d investissement pour les parcs conteneurs communaux et intercommunaux permettant la collecte s par e des d chets m nagers et assimil s et conformes au r glement grand ducal du ler d cembre 1993 relatif l am nagement et la gestion des parcs conteneurs destin s la collecte s lective de diff rents fractions des d chets m nagers encombrants ou assimil s une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 25 du co t d investissement des infrastructures intercommunales d limination des d chets m nagers et assimil s y compris les ouvrages techniques annexes ainsi que du co t des adaptations des installations existantes de nouvelles technologies et des normes plus s v res de protection du sol des eaux de l air et en mati re de gestion des d chets une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d infrastructure ainsi que les frais d tudes et d penses connexes y relatifs pour d
22. volution des peuplements l accueil du public la protection des esp ces et des habitats naturels tout en gardant comme fil rouge l esprit de durabilit La for t communale pr sente une multitude d essences ligneuses avec leur t te le h tre essence phare de cette r gion et qui profite pleinement des conditions stationnelles pr sentes Au niveau de la gestion future de la for t communale le choix logique a t fait de traiter une partie savoir la partie nord du Schnellert en futaie irr guli re un traitement sylvicole proche de la nature visant produire du bois de qualit tout en respectant l cosyst me forestier Ce traitement est bas sur la continuit du couvert et le respect le plus lev possible des processus naturels de croissance et de renouvellement de la for t Plus de 30 de la surface foresti re totale est plac e en hors cadre c est dire des zones hors exploitation normale non productives En dehors de ces zones de protection les futaies de ch ne et de h tre sont en g n ral tr s vieilles et pour garantir la p rennit la durabilit ainsi que la vitalit de la for t une r g n ration des peuplements est une n cessit imp rative Cette n cessit de r g n ration constituera une forte contrainte pour les prochaines d cennies Vu la forte fr quentation touristique les besoins r cr atifs ont t pris en com
23. Les r sultats des contr les peuvent tre consult s sur le site internet www emwelt lu 4 proc s verbaux ont t dress s contre les soci t s de transports resp d autres soci t s impliqu es Dans 30 cas des avertissements crits ont t envoy s aux soci t s concern es Il est pr vu pour l ann e 2008 de continuer les contr les routiers en collaboration avec l Administration des Douanes et Accises 2 7 16 6 Les documents de suivi L volution des dossiers de notifications est pr sent e dans le tableau suivant Le nombre de notifications a augment de presque 8 quivalent 52 dossiers La totalit de ces dossiers 708 est trait e par une seule personne Il faut cependant savoir qu en moyenne les coll gues des autorit s trang res en traitent 150 par ann e Cette situation risque d engendrer des probl mes vu qu avec l entr e en vigueur du r glement CE 1013 2006 en juillet 2007 les autorit s comp tentes ne disposent plus que de trois jours ouvrables apr s r ception pour contr ler les dossiers sur leur recevabilit volution du nombre de transferts de d chets notifi s 40000 35000 4 30000 4 25000 4 20000 4 15000 4 10000 4 5000 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 CH Le nombre de transferts notifies a augment pendant la m me p riode de 16 pour passer 22 583 transferts I
24. kg par an et par habitant Papier Carton Verre creux S Mati res plastiques Bois charg s D chets D chets encombrants D chets inertes probl matiques m 2002 m 2004 02005 02006 La quantit annuelle moyenne de tous les d chets d pos s par habitant des zones d attraction des 21 parcs conteneurs a l g rement baiss de 160 72 kg en 2005 160 08 kg pour l ann e 2006 0 19 Tonnes Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques D chets inertes Autres D chets probl matiques D chets encombrants Quantit totale R partition en de poids des fractions de d chets collect es dans les parcs de recyclage en 2006 D chets encombrants Papier Carton D chets probl matiques e 12 2 3 3 z He l Verre creux 7 4 M taux 6 2 Autres 25 7 D chets inertes 31 7 quantit au total D 62 94 tonne 131 En analysant la r partition en pourcentage de poids des diff rentes fractions de d chets collect es dans les parcs conteneurs en 2006 on ne peut pas observer des changements importants par rapport l ann e pr c dente En appliquant une pond ration sur le poids total surtout les d chets divers 0 9 ont augment contre les d chets encombrants 0 2 et les d chets inertes 0 6 qui ont perdu du terrain par rapport l ann e 2005 Une pr sentation plus d taill e des donn es sur les quantit s de d chets collect s dans les parcs conteneur
25. ol oe L o oale et James 33645 ou 25455 egal aen Remerschen oa a 0 O a 310435 232991 61 eal 43 Alors qu en chiffres absolus les quantit s de d chets inertes accept s aux centres r gionaux ont augment de 6 25 par rapport l ann e pr c dente leur part par rapport aux quantit s totales accept es dans ces centres a diminu de 6 1 4 3 Cette volution s explique par l augmentation consid rable des quantit s de d chets inertes d poser d finitivement A c t des d chets inertes accept s dans les centres r gionaux des remblais de grande envergure ont accept les quantit s suivantes 2006 Differdange terrain Kronospan srl 9 Ancien terrain Arbed Esch Belval mal o Crassier Mondercange assainissement des d p ts 249762 0 Terrain Cimenterie Esch Alzette 70000 9 Kai ooo Ee Pr O r 985757 235043 Compte tenu des chiffres indiqu s ci dessus les quantit s totales de d chets inertes d finitivement d pos es en 2007 se sont lev es 6 218 922 tonnes soit 13 06 tonnes par habitant Ceci repr sente une augmentation de 27 7 par rapport l ann e pr c dente 2 7 15 Les statistiques d chets Au niveau des statistiques sur les d chets l an 2007 n a pas apport de nouvelles indications La majeure partie des statistiques sur les d chets ont t labor s dans le cadre du Plan G n ral de Gestion des D chets
26. tude L analyse comprend les l ments suivants e comparaison de la technologie appliqu e avec les meilleures techniques disponibles telles que d finies dans le document Integrated Pollution Prevention and Control IPPC Reference Document on Best Available Techniques for Intensive Rearing of Poultry and Pigs BREF publi par la Commission europ enne Cette comparaison doit pour tous les points abord s par le document BREF pr cit comprendre des conclusions quant la conformit de la technique appliqu e avec le cas ch ant une proposition de mise en conformit e d termination des substances polluantes susceptibles d tre mises par les installations concern es en quantit significative dont notamment les substances reprises dans l annexe I de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s ainsi que les polluants indiqu s dans l annexe IT du r glement europ en 166 2006 PRTR registre europ en des rejets et des transferts de polluants susceptibles de d passer la valeur seuil applicable sp cifi e e sur base des conclusions du point pr c dent laboration d un formulaire de rapport annuel qui peut servir de r f rence aux exploitants des installations concern es pour une estimation annuelle des polluants mis par leur exploitation ainsi que pour un rapport annuel concernant l utilisation rationnelle des ressources limit es consomm es nergie eau etc e laboratio
27. une Commission Interd partementale pour un D veloppement Durable compos e de d l gu s des d partements minist riels cl s devant veiller l int gration du concept de la durabilit dans les politiques sectorielles Les travaux de la Commission Interd partementale du D veloppement Durable C DD au cours de l ann e 2007 se sont concentr s sur l laboration du Plan national pour un d veloppement durable pour la p riode 2008 2012 La loi pr voit qu il soit tabli tous les 4 ans Il doit pr ciser les domaines d action les objectifs et les actions prendre dans la perspective du d veloppement durable Il repr sente un document politique dont le Gouvernement assume la responsabilit finale et qui doit le guider sur la voie du d veloppement durable Le 27 mars 2007 a eu lieu une journ e de travail consacr e au PNDD La matin e de cette Journ e a t consacr e une r union avec des repr sentants de la soci t civile au cours de laquelle ces derniers ont expos leurs positions quant aux d fis fondamentaux dont le PNDD doit tenir compte Au cours de l apr s midi les membres de CIDD se sont concert s sur la d finition d objectifs de qualit d un d veloppement durable au Luxembourg Les travaux de la CIDD se sont poursuivis lors d entrevues bilat rales et de cinq r unions en pl ni re et ont t conclus par un document de travail dont l objectif a t de th matiser les d fis fondamenta
28. 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 EQuantites 363 08 385 46 544 26 507 64 466 88 544 56 650 3 682 1 669 2 147 2 7 13 5 La SuperFreonsK scht En 2007 819 782 kg de r frig rateurs usag s ont t collect s par la SuperFreonsK scht Ceci repr sente une l g re baisse de 1 11 par rapport l ann e pr c dente En assumant qu un r frig rateur moyen p se 49 kg le nombre des r frig rateurs collect s en 2007 s l ve 16 730 unit s Les r frig rateurs sont trait s aupr s de l installation de la soci t SEG Mettlach RFA qui respecte les crit res de qualit de la RAL G tegemeinschaft R ckproduktion FCKW haltiger K hlger te Les mousses d isolation des anciens r frig rateurs sont trait es en vue d y extraire les CFC Elles sont ensuite commercialis es comme produit d absorbants d huiles sous le nom d Oeko Pur En 2007 les mousses ainsi remises dans le circuit conomique correspondaient 11 750 r frig rateurs soit une augmentation de 9 2 2 7 13 6 Le SuperSpillMobil Le SuperSpillmobil est une activit qui vise la sensibilisation des enfants en mati re de protection de l environnement Il s agit d un conteneur sp cialement am nag qui comporte diff rentes activit s didactiques L animation lors des jours d intervention est assur e par le personnel de la SuperDrecksK scht En 2007 le SuperSpillMob
29. 1999 397647 882145 9816 110177 1399784 0 79 2000 398234 1024471 7097 101224 1531026 9 38 2001 411311 1088010 4401 93940 1597662 4 35 2002 449442 1234569 731 58564 1743306 9 12 2003 508355 1377401 0 33708 1919464 10 10 2004 482742 1494606 0 58490 2035837 6 06 2005 475787 1621408 0 62741 2159936 6 10 2006 523964 1687527 0 90654 2302145 6 58 2007 530927 1788493 0 112352 2431772 5 63 quantit s exprim es en kg L volution des quantit s collect es depuis 1985 est repr sent e dans le graphique suivant 2600000 2400000 2200000 2000000 1800000 1600000 1400000 1200000 1000000 800000 600000 400000 LE GOUVERNEMENT DU GRAND DUCH DE LUXEMBOURG Minist re de l Environnem ent Administration de l environnement SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des quantit s collect es oService domicile OActions particuli res amp Centres de recyclage BCollectes mobiles Par rapport a 2006 les quantit s collect es par les collectes mobiles ont l g rement augment 1 18 le nombre des visiteurs a augment de 2 1 141 SuperDrecksKe amp schtfir Biirger Evolution des collectes mobiles visiteurs 60000 600000 ko 200000 400000 300000 200000 100000 em l ombre de visiteurs sux collectes mobiles Cusntit s collectes par collectes mobiles 1993 1994 1995 1996 1997 1996 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Sur base des quantit s sp cifiques rem
30. 2 7 12 Les d chets de d grillage et de d sablage En 2006 quelques 100 tonnes de d chets de d grillage ont t retir es des eaux us es Ceci repr sente plus ou moins la m me quantit que l ann e pr c dente La quantit sp cifique s l ve 2 68 kg hab an La marge des quantit s varie entre 0 3 et 23 kg hab an Ces diff rences s expliquent en partie par les diff rents d grilleurs mis en uvre mais galement par des d chets similaires provenant de bassins de r tention des eaux de pluie et de d versoirs En ce qui concerne les sables des installations de d sablage 991 tonnes collect s et limin s ont t d clar es pour l ann e 2006 La quantit sp cifique est de 3 63 kg hab an Le tableau suivant montre la r partition des d chets de d grillage et de d sablage en relation avec la capacit de traitement des stations d puration des syndicats intercommunaux f R partition Syndicat hab q D chets de d grillage D chets de d sablage Variation Variation SIACH 2 1 SIDEN 7 7 SIDERO 8 9 8 Ville de Luxembourg Autres 1 8 100 1 003 035 ml Lousen ml SIVEC 5 8 STEP 13 1 35 12 275 400 27 46 7 7 108 500 10 95 24 2 139 2 7 13 Les actions de la SuperDrecksK scht 2 7 13 1 La mise en amp uvre de la lo du 25 mars 2005 relative au financement et au fonctionnement de la SuperDrecksK scht La proc dure d
31. 259 93 le Luxembourg avait d j opt pour cette facult En ce sens le nouveau r glement n apporte pas de modifications pour les notifiants La notification doit tre contr l e d sormais par l autorit comp tente d exp dition sur sa compl tude et ceci dans un d lai de trois jours suivant la r ception En cas de notification effectu e en bonne et due forme l autorit comp tente d origine doit envoyer la notification aux autres autorit s comp tentes concern es dans le d lai pr cit L autorit comp tente peut galement d cider de ne pas envoyer la notification effectu e en bonne et due forme et soulever des objections dans le m me d lai Ce changement de la l gislation europ enne rendait n cessaire une adaptation de la l gislation luxembourgeoise en mati re de transferts de d chets Le r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 relatif certaines modalit s d application du r glement CEE N 259 93 a d tre adapt la nouvelle situation Le changement le plus important tait l adaptation de la formule utilis e pour le calcul du montant de la garantie financi re exig e pour couvrir le transfert de d chets En effet le r glement CE N 1013 2006 pr voit que les frais de stockage des d chets pendant au moins 90 jours doivent tre inclus dans le montant de la garantie financi re ce qui n tait pas le cas jusqu pr sent D autres dispositions mineures comme l intr
32. Il est noter qu au niveau de ce programme la Commission Europ enne et la Commission conomique pour l Europe des Nations Unies ont publi en 2007 deux rapports intitul s e The Condition of Forests in Europe 2007 Executive Report e European Forests in a Changing Environment Forest Monitoring by ICP Forests and the European Commission Au niveau europ en on observe depuis 1990 une fluctuation de la d foliation moyenne pour toutes les essences Les dix derni res ann es montrent tout de m me une tendance vers d t rioration de l tat de sant des arbres 2006 semble par contre tre caract ris e par une l g re am lioration des houppiers Environ 1 5 des arbres ont t not s comme malade ou mort lors du relev de 2006 Si l tat du h tre s est am lior en 2005 pour se stabiliser ensuite en 2006 les ch nes ont montr s une nette augmentation des sp cimens sains pendant les derni res notations En ce qui concerne le pin sylvestre et l pic a leur tat se caract rise par une l g re am lioration Le ch ne vert et le pin maritime se sont stabilis s en 2006 3 3 11 3 R seau national de suivi long terme des cosyst mes forestiers du Grand Duch de Luxembourg Lors de la Conf rence Minist rielle pour la Protection des For ts en Europe Strasbourg 1990 le Luxembourg a t un des tats signataires d une r solution sur la mise en place d un r seau europ en de plusieurs centaines de
33. L laboration des donn es statistiques de l ann e 2006 dans le cadre du r glement 2150 2002 CE et la comparaison aux donn es de l ann e 2004 est pr vue pour le premier semestre 2008 Dans ce contexte il reste clarifier l influence du changement de la NACE Rev 1 1 en NACE R v 2 154 2 7 16 Les transferts de d chets 2 7 16 1 Mise en uvre du r glement CE no 1013 2006 concernant les transferts de d chets Les changements de la l gislation A partir du 12 juillet 2004 le r glement CE N 1013 2006 du Parlement europ en et du Conseil du 14 juin 2006 concernant les transferts de d chets remplac le r glement CEE N 259 93 Avec l entr e en vigueur du r glement CE N 1013 2006 non seulement la base l gale a chang mais galement de nouveaux documents ont t introduits Les nouveaux documents utiliser sont pratiquement identiques ceux utiliser dans le cadre de l OCDE En outre un document a t rendu obligatoire pour les transferts de d chets relevant de la liste verte et destin s une op ration de valorisation ainsi que pour les transferts de d chets ne d passant pas 25 kg et destin s des analyses en laboratoire L ancien r gime ne pr voyait pas de documents obligatoires pour le premier cas de figure et une notification pour le deuxi me Le nouveau r glement communautaire harmonise les syst mes de contr le pr vus par l OCDE et la Convention de B le en reg
34. Les points saillants du texte auquel le ministre de l Environnement Lucien Lux a donn son approbation sont les suivants e la date de d part du syst me est fix e 2012 partir de cette date seront couverts sauf exemptions d limit es les vols au d part et destination de la Communaut e la quantit totale des quotas allouer pour l ann e 2012 pour la p riode d allocation d butant en 2013 et pour les p riodes d allocation successives quivaut 100 des missions dites historiques p riode 2004 2006 le plafond applicable aux p riodes d allocation successives d butant en 2018 est toutefois susceptible d tre revu dans le cadre d une clause de r vision pour ce qui est du produit de la mise aux ench res les tats membres tout en restant libres d en d terminer l usage sont invit s l affecter des fins de lutte contre les changements climatiques e pour l ann e 2012 le taux de la mise aux ench res est fix 10 pour les p riodes d allocation successives d butant en 2013 le taux aff rent sera fix dans le contexte de la r vision de la l gislation communautaire existante e une r serve sp ciale fix e 3 de la quantit totale de quotas allouer sera affect e pour les besoins des nouveaux entrants et des compagnies a riennes croissance rapide e une clause de minimis vise exempter du r gime les exploitants de compagnies a riennes commerciales de pa
35. Manternacher Fiels Deux nouveaux sentiers Manternach M nschecker et Manternach Wecker sont en laboration Le centre d accueil A Wiewesch organise depuis 3 ans un march du printemps qui permet aux producteurs r gionaux de vendre leurs produits Le march conna t un succ s croissant et fait d or et d j partie des v nements bien tablis de la commune de Manternach Pendant tout le mois d octobre jusqu mi novembre 2007 le centre A Wiewesch a accueilli des classes de l enseignement primaire pour la cueillette de pommes et la fabrication de jus Des classes de l enseignement primaire et pr coce des coles de la r gion viennent r guli rement au centre d accueil pour passer une Journ e dans la nature Pour les adultes divers workshops et cours comme par exemple sur l apiculture se tiennent au centre d accueil et le syndicat d initiative de Manternach a organis en 2007 des rencontres le dimanche au centre d accueil Le centre d accueil au Schwarzenhaff Steinfort a t achev en 2007 les activit s didactiques sont op rationnelles partir de 2008 3 4 1 3 Acquisitions de terrains dans l int r t de la conservation de la nature En 2007 aucune acquisition de terrain n a t r alis e 3 4 1 4 Information du public en mati re de la conservation de la nature Organisation et activit s diverses Le Panda Club est patro
36. Projets r alis s en 2007 R fection des chemins des anciennes domaines de S A R 850 m 11 600 Construction chemin au lieu dit Birescht 11 800 Waldhof R fection des chemins au domaine Gr newald 24 000 Fauchage tardif Au triage de Kiem le plan de fauchage tabli en 2006 t adapt dues aux conditions climatiques extr mes du mois d avril Seuls les chemins principaux et surtout les pistes cyclables sont soumis un fauchage au printemps ces interventions se limitent 90 aux orties et aux foug res d aigles risquant d encombrer les chemins Au triage de Sandweiler le fauchage tardif f t effectu sur l ensemble du r seau forestier e Triage de Dudelange sur 3 8 km e Triage de Niederanven sur 10 km e Triage de Sandweiler fauchage biannuel des accotements Fauchage l aide du cheval Le triage de Hesperange a r alis un fauchage des chemins forestiers dans la commune de Hesperange et Weiler la Tour l aide du cheval ardennais Le pr pos forestier a organis des visites avec les classes de l cole primaire des deux communes pour voir ce travail hors commun En total 400 enfants ont pris part 3 2 6 8 Travaux forestiers subventionn s Pour l ann e 2007 le nombre total de subsides pay s s l ve 2 Les 2 proc s verbaux pour reboisement r alis s correspondent une surface totale trait e de 579 60 ares Montant total ordonnanc en 2007 1
37. T V S D GRUPPE Grabenwiedenstrasse 4 D 73072 Donzdorf T 49 0 22 1806 0 El E6 Es E91 E93 F 49 0 22 18 06 114 F11 F13 31 03 2008 T 49 0 71 62 92 81 0 F 49 0 71 62 92 81 166 EE 31 03 2010 A11 A12 Al3 A21 T V SAARLAND E V A2211 A2221 A23 A31 Saarbr ckerstrasse 8 E A32 A33 A5 31 03 2008 D 66280 Sulzbach F 49 0 68 97 50 61 02 T V S D INDUSTRIE SERVICE G M B H T 49 0 21 66 857 0 Al A21 A2211 A2221 Schelsenweg 6 F 49 0 21 66 857 200 A23 A31 A32 A33 D 41238 M nchengladbach UCL UMWELT CONTROL LABOR C1 C2 C3 C4 C5 C6 GMBH T 49 0 23 06 24 09 0 C7 C8 Brunnenstrasse 138 PL 23062407 10 D2 D 44536 L nen UMWELTANALYTIK RUK G M B H T 49 0 65 02 93 39 0 Im Paesch F 49 0 65 02 93 39 29 D 54340 Longuich UNIVERSITE DE LIEGE Facult des Sciences Departement des Sciences et Gestion de l Environnement T 32 0 63 23 08 92 Unit de Surveillance F 32 0 63 23 08 00 de l Environnement 185 avenue de Longwy B 6700 Arlon UNIVERSTIT DE LI GE Laboratoire des Ressources Hydriques T 32 0 63 23 08 11 C7 C8 Avenue de Longwy 185 F 32 0 63 23 08 04 BA B 6700 Arlon URS BELGIUM S P R L CI Ambachtelijke Zone De Vunt 13 GE S e e a E5 E71 31 03 2008 B 3220 Holsbeek F3 WPW GEOCONSULT G M B H Hochstrasse 61 D 66115 Saarbr cken 31 03 2008 31 03 2008 31
38. Un nouveau module sp cifique pour la brigade mobile et I UniCo t mis en place Il permet le suivi des dossiers qui sont soumis un contr le de la brigade mobile et du service de contr le du Minist re de l Agriculture La Cellule Informatique a supervis les travaux de d veloppement en assurant la description des fonctionnalit s et en validant les travaux r alis s Les fonctionnalit s suivantes ont t ajout es l application en 2007 e consolidation du nouveau module de contr le pour la brigade mobile criture du module cartographique en architecture DotNet l am lioration de l impression pr paration de la synchronisation vers le syst me MACAA Minist re de l Agriculture la correction de divers bugs L application EFDIR versions 2 00 2 04 a pour but de permettre la cellule ouvrier et la cellule informatique la bonne gestion des informations ouvri res entre l APE la Tr sorerie et l Administration des Eaux et For ts Elle g n re notamment automatiquement des fichiers CSV qui peuvent tre ensuite charg s dans le syst me comptable de l Etat Elle permet l int gration des donn es des salaires de l APE Elle calcule avec pr cision la r partition et le co t de la masse salariale des ouvriers forestiers entre les diff rents propri taires Domaines Communes Etablissements publics En 2007 les travaux suivants ont t r alis s migration vers PB 10 5 2 et Oracle 10g c
39. accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement et de la mise en uvre du syst me de management environnemental et d audit dit EMAS c est dire le r glement grand ducal du 19 avril 2002 relatif des modalit s d application et la sanction du r glement CE N 761 2001 du Parlement europ en et du Conseil du 19 mars 2001 permettant la participation volontaire des organisations un syst me communautaire de management environnemental et d audit EMAS 2 4 1 Personnes agr es Le Service s occupe de l instruction des demandes en vue d obtenir un agr ment minist riel sur base de la loi pr cit e La liste des personnes agr es est r guli rement mise jour et publi e notamment sur internet Au courant de l ann e 2007 8 organismes nouveaux ont t agr s alors que 48 arr t s d agr ment ont t renouvel s 6 arr t s ont t modifi s et 5 agr ments ont t tendus d autres domaines de sp cialisation La liste tenue jour est publi e sur le site internet www emwelt lu gt Guichet virtuel gt Organismes agr s enn Organismes Arr t s Arr t s Nombre Domaine d activite S difi Extensions SEN nouveaux renouveles modi lles d agrements Substances dans le S 2 l l 12 milieu gazeux missions d ondes 2 8 Substances dans les milieux liquide et solide D chets 2 l6 4 1 3 tudes d impact 430m 5
40. autres projets dans les diff rents domaines de la protection de l environnement pr cis s par la loi en tenant compte des contraintes suivantes 1 les promoteurs des projets devront tre une ou plusieurs communes un syndicat de communes un tablissement public ou un tablissement d utilit publique 2 les projets devront r pondre aux orientations aux crit res et aux normes prescrits par la l gislation et la r glementation nationales et internationales en mati re de protection de la nature et des ressources naturelles de lutte contre la pollution atmosph rique et le bruit de lutte contre le changement climatique de protection des eaux de pr vention et de gestion des d chets d assainissement et de r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contamin s d utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 3 l aide devra tre modul e en fonction des crit res g n raux suivants consid r s soit s par ment soit conjointement le caract re local r gional national ou international du projet le caract re exemplaire innovateur pr ventif ou contraignant du projet une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 75 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la constitution du r seau de zones prot g es conform ment l article 2 de la loi concernant
41. e En vue de cl turer une placette la fin des mesures sur le terrain l id e d un rapport la fin de toutes les fiches d encodage a t discut e Ce rapport repr sent par une case cocher placette valid e peut se trouver chaque fiche fiche valid e ou la fin int gr la variable heure de fin de r alisation de la placette Ce rapport permettra une v rification de l tat de toutes les variables et ainsi de pouvoir rep rer les oublis et les incoh rences e Pr voir la possibilit de signaler le cas ou le piquet m tallique est introuvable e Un document s par comprenant le mode d emploi du module d encodage n est pas n cessaire Des instructions relatives son utilisation seront ins r es au fur et mesure dans le guide m thodologique Les modules sp cifiques La cr ation d un module de calcul d accroissements du mat riel ligneux surface terri re volume et d estimation de l volution de tr s nombreuses caract ristiques qualitatives param tres cologiques et sylvicoles surfaces occup es par types d affectation est en phase de r alisation Des modules adapt s au traitement sp cifique des donn es relevant de la biodiversit en relation avec les r sultats des analyses effectu es dans le cadre de la caract risation de la biodiversit seront galement cr s La m thode du transfert des donn es et bases de don
42. indicateurs de d veloppement durable ainsi que leur production leur traitement leur contr le et la validation des donn es de base permettant de les calculer 4 la diffusion des chiffres voqu s aux points pr c dents sur support papier publication ou lectronique site Internet du minist re 5 le support aux administrations d pendant du minist re dans leurs travaux de pr parations de donn es et de reporting pour les organismes internationaux 6 la coordination des travaux de nature statistique sur l environnement et le d veloppement durable transmission et suivi des demandes transmission et diss mination des r ponses etc 7 la participation des groupes de travail ou des groupes d experts traitant de statistiques et d indicateurs environnementaux ou de d veloppement durable Agence Europ enne pour l Environnement Eurostat OCDE etc En 2007 le travail r gulier de la cellule statistique a t mis entre parenth se afin d aider l Administration de l Environnement mettre les inventaires d mission de gaz effet de serre en conformit avec les textes internationaux D cisions 280 2004 CE et 2005 166 CE D cisions de la Convention cadre de des Nations Unies sur le Changement Climatique CCNUCC et du Protocole de Kyoto Ce travail r alis avec l aide de notre partenaire autrichien l Umwelbundesamt voir infra visait avant tout s assurer que le Luxembourg passerait
43. plusieurs conf rences internationales y relatif dont notamment la conf rence finale du projet CALM Bruxelles en octobre Ce projet est d une grande importance en ce qui la mise en pratique du r glement grand ducal du 21 d cembre 2001 portant application de la directive 2000 14 CE relative aux missions sonores des mat riels destin s tre utilis s l ext rieur des b timents Au niveau national le service bruit a pour mission de pr parer les avis dans le cadre des demandes d autorisation de travaux de nuit ceci en vertu du r glement grand ducal modifi du 13 f vrier 1979 concernant le bruit dans les alentours imm diats des tablissements et des chantiers Dans ce contexte l est remarquer que suite au r glement grand ducal du 7 novembre 2007 modifiant le r glement grand ducal modifi du 13 f vrier 1979 concernant le bruit dans les alentours imm diats des tablissements et des chantiers la comp tence en mati re d autorisation de travail de nuit a t transf r e du Ministre ayant l Inspection du Travail et des Mines dans ses attributions au Ministre ayant l Environnement dans ses attributions Finalement le service bruit a d intervenir suite diff rentes plaintes de la part de la population dans le cadre du r glement grand ducal du 16 novembre 1978 concernant les niveaux acoustiques pour la musique l int rieur des tablissements et dans leur voisinage ainsi que dans le cadre du r glement g
44. t trait es dans le cadre des plans verts des communes de 286 Berdorf travaux d entretien des haies et arbres solitaires en 2007 Boevange Attert ex cution de divers travaux ann e 2007 Boevange Attert projet de renaturation de Attert ann e 2007 Bourscheid mesures cologiques subs quentes la cartographie des biotopes pour 2007 Diekirch plantation et entretien d arbres fruitiers en 2007 Lintgen projet de plantation et d entretien des vergers et arbres fruitiers en 2007 Lintgen am nagement du Steilsbaach au lieu dit Didendall en 2007 Lorentzweiler Action Bongerten en 2007 Rosport gestion des pelouses calcaires Hoelt et Girst ann e 2007 Rosport conservation et entretien d arbres fruitiers en 2007 Tandel plantation et entretien de haies et arbres ann e 2007 Restauration d arbres remarquables En 2006 les restaurations d arbres remarquables suivantes ont t effectu es e Expertise et divers travaux concernant les arbres dans le parc du Ch teau de Schoenfels Plantations dans le cadre de la campagne de la cr ation de biotopes en zone verte En 2007 l Arrondissement CN Centre n a pas effectu de plantations Travaux de gestion dans les r serves naturelles e Stackbur Medernach a o mesures de gestion e Weimericht Junglinster o suivi scientifique de l volution de la flore des pelouses s ches o entretien et r paration des cl tu
45. un dispositif international d observation dont dispose I Association Futaie Irr guli re En d cembre ce projet Interreg a t cl tur par une journ e de formation laquelle participaient quelque 25 forestiers Tel que indiqu plus haut le cantonnement collabore troitement avec des ONG dans le cadre du projet Interreg III Vall es des deux Ourthes renaturation des fonds de vall es enr sin es 217 3 2 9 15 Manifestations regionales Deux types de manifestations dominent les activit s de relations publiques au cantonnement de Wiltz D abord il faut relever les maintes journ es en for t avec les diverses coles r gionales Ces Journ es quasiment institutionnalis es sont chaque fois organis es par le pr pos territorialement comp tent et en collaboration avec les coll gues des triages adjacents Est remarquer dans ce cadre le rallye SNJ organis annuellement au Centre de D couverte de la For t du Burgfried Le nombre des participants s levait 220 l ves D autre part d faut noter la r ouverture en juin de la Maison de la For t du Burgfried sis au sein du Parc Naturel de la Haute S re Cette institution cherche de son gal dans le pays Son but est d informer le public tant sur l cosyst me for t son importance pour l homme voire pour l environnement que sur sa gestion sylvicole Depuis la pr sentation d une nouvelle brochure traitant du Centre de
46. 068 384 kWh d lectricit partir des sources d nergies renouvelables soit en moyenne 0 109 kWh Nombre et primes accord s par type d installation en 2001 2007 inclus 2 Prime accord e nergie produite eege eiis kWh apteur solaire photovolta que 6 276 28 540 358 93 58 347 260 Situation au 31 12 2007 Bien que les installations photovolta ques repr sentent 82 des primes allou es depuis 2001 elles ne contribuent qu 18 de l lectricit produite et ceci avec une prime moyenne de 0 4891 kWh Les centrales hydro lectrique les installations fonctionnant au biogaz ainsi que les olienne per oivent 18 des aides allou es mais produisent 82 de l nergie avec une prime moyenne de 0 0025 kWh 113 R partition des primes accord es par type d installation 2001 2007 inclus 8 an o 2 82 E Capteur solaire photovolta que M Centrale hydro lectrique Eolienne Installation fonctionnant au biogaz Situation au 31 12 2007 R partition de l nergie produite par type d installation 2001 2007 inclus 18 10 35 E Capteur solaire photovoltaique M Centrale hydro lectrique Eolienne Installation fonctionnant au biogaz 114 2 7 La Division des dechets 2 7 1 Les activit s dans le domaine l gislatif et r glementaire 2 7 1 1 Les activit s au niveau communautaire Le
47. 11 profils fosses p dologiques ont t lev s et analys s en d tail Des chantillons de terre 500g y ont t pr lev s entre 10 et 20 cm et vers 50 60 cm de profondeur et ont fait l objet d une analyse chimique Les l ments suivants ont t mesur s pour chaque chantillon pH H20 pH KCI teneur en K P Mg Ca Na Mn ainsi qu une analyse granulom trique pour les chantillons pr lev s en surface Les descriptions d taill es des profils p dologiques ont surtout permis d appr cier le d veloppement des racines en relation avec le niveau de structuration du sol ainsi que d affiner l interpr tation des relev s p dologiques r alis s la tari re R sultats de l aptitude stationnelle En finalit dans la for t communale de Lintgen les diverses combinaisons hydriques trophiques coupl es la situation de la station dans le paysage ont permis de diff rencier les 7 types d aptitude suivants chacun donnant lieu un choix diff renci d essences adapt es Tableau 10 Les types d aptitude d finis en for t communale de Lintgen Description Type d aptitude A Plateaux et versants de pente lt 40 sans apport lateral en eau consequent A 1 Sols sur Gr s de Luxembourg Eed A 1 1 Sols sableux de type brun acide de profondeur utile moyenne Type 1 30 A 1 2 Sols sableux de type podzolique de profondeur utile moyenne A 2 Sol sur Marnes WE A 2 1 Sols couverture limon
48. 127 arr t s Ce chiffre est la somme de 128 autorisations de ramassage et de transport de d chets de 92 autorisations pour les tablissements ou entreprises qui veillent l limination ou la valorisation des d chets pour le compte de tiers et de 5 refus retraits d autorisation Le nombre des arr t s minist riels a galement atteint un nouveau record et est de 77 sup rieur celui de 2006 2 7 16 4 Les enregistrements La loi du 1 d cembre 2006 modifiant la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets a remplac dans certains cas le syst me d autorisation minist rielle par un syst me d enregistrement pr alable aupr s de l Administration de l Environnement Ainsi doivent s enregistrer les tablissements ou entreprises qui e collectent et transportent des d chets inertes provenant de travaux routiers d excavation ou de d molition e collectent et transportent des d chets en quantit s minimes provenant de leurs propres activit s e collectent et transportent des d chets en vue de leur valorisation ou de leur limination dans l enceinte de leur lieu de production e fournissent des produits et qui reprennent aupr s de leurs clients les m mes produits devenus d chets en vue d un regroupement et d une valorisation ou d une limination appropri es Au cours de l ann e 2007 303 tablissements ou entreprises se sont enregistr s aupr s de l Administration
49. 628000 Les installations de chauffage au mazout de moins de 3 MW doivent tre contr l es au moins tous les 2 ans Les certificats de r vision sont saisis par l administration Pour la saisie des certificats de r vision et des protocoles de r ception l Administration de l Environnement avait sa disposition au cours de l ann e 2007 une seule employ e plein temps Elle tait second e par une employ e mise disposition temporairement repr sentant l quivalent d une personne pendant 6 mois Les chiffres montrent que le nombre de certificats re us en 2007 est en l g re baisse par rapport aux ann es pr c dentes En revanche le nombre de certificats enregistr s a pu tre augment substantiellement Il en r sulte une l g re diminution du nombre de certificats qui n ont pas encore pu tre enregistr s et qui s l ve au 31 d cembre 2007 33523 certificats Les chiffres montrent que l infrastructure et le personnel en place pour la saisie des certificats sont toujours insuffisants pour combler les retards dans des d lais raisonnables Nombre de certificats de r ception et de r vision Non enregistr s Enregistres Non enregistres au ler janvier au 31 d cembre 2001 20249 13607 7077 2002 7077 20633 23800 3910 Dans le contexte du contr le de conformit des installations de chauffage 453 lettres de rappel ont t envoy es aux exploitants qui n ont pas respect les conditions ou valeurs limite
50. EI Luxembourg Bonnevoie Rue de Bonnevoie Cour du Couvent Entre mars 1999 et juillet 2002 Place du Parc D Esch Alzette Rue Arthur Useldinger Boulevard Grande Duchesse Charlotte Il n y a pas de d passement de la valeur limite moyenne 24 heures de 50 ug PM 9 m ces derni res ann es e Valeur limite moyenne annuelle de 40 ug m 293 K 101 3 kPa respecter en 2005 Valeur limite moyenne annuelle de 20 ug m 293 K 101 3 kPa respecter partir du 1 1 2010 Aux deux sites de mesure 1l n y a pas de d passement observable de la valeur limite moyenne annuelle de 40 ug PM 0 m en 2007 comme le pr sente la figure ci dessous Par ailleurs elle n a pas encore t d pass e depuis le d but des mesures en 1995 Les mesures semblent voluer l int rieur d une fourchette entre 17 et 27 ug m 90 60 50 W D i LC sans facteur correctif N O Concentration ug m3 x 1 2 10 Particules fines inhalables PM 10 lt 10 um Moyenne annuelle Protection de la sant humaine valeur limite marge de d passement 1995 E LC LB O BK 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Ann e LUXEMBOURG Centre Boulevard Royal Place Hamilius LUXEMBOURG Bonnevoie Rue de Bonnevoie Cour du Couvent re Boulevard Grande Duchesse Charlotte Rue Arthur Useldinger Le r sultat de la moyenne annuelle du niveau
51. Echange de d chets en vue de les soumettre l une quelconque op rations num rot es 6572530118132370136532124 R1 R11 R13 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es 19620759 7608052 8820677 R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production Autriche Mode de traitement 2005 2006 2007 R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme 258040 254210 209060 solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques Mise en d charge sp cialement am nag e p ex placement dans des alv oles tanches 4000 3320 s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s eg 46820 37440 ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des Baus 4979540 1057707 compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc 1128092 940245 1119488 Re conditionnement pr alablement l une des op rations num rot es D1 D12 73900 20820 72460 Utilisation comme combustible autrement que incin ration directe ou autre moyen de produire
52. Es ES N 3 D o 9 O lt 100 Le nombre de quotas d mission de gaz effet de serre correspondant aux missions pour l ann e 2005 a t restitu sur un compte pr vu cet effet dans le registre et va tre annul par l administrateur du registre conform ment la l gislation en vigueur 2 6 5 4 D veloppements futurs La D cision de la Commission du 18 juillet 2007 d finissant des lignes directrices pour la surveillance et la d claration des missions de gaz effet de serre conform ment la directive 2003 87 CE du Parlement europ en et du Conseil est applicable aux d clarations d missions de gaz effet de serre partir de 2008 2 6 6 Rejets atmosph riques en provenance d installations industrielles 2 6 6 1 Rejets dans l air en provenance des aci ries lectriques En 2007 l Administration de l Environnement a proc d c t des campagnes de mesures r guli res prescrites par les autorisations d exploitation des campagnes suppl mentaires de mesure des missions en provenance des aci ries lectriques Les principaux polluants mesur s taient les dioxines et furannes PCDD F les polychlorobiph nyles PCB selon WHO le hexachlorobenzene HCB et les hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP selon EPA 16 Les campagnes ont t r alis es en janvier fevrier et en septembre l aci rie lectrique d Esch Schifflange en septembre l aci rie lectr
53. OGM En 2006 et en 2007 le Comit Interminist riel OGM ne s est pas r uni Les principaux projets de r glement grand ducal ont t cl tur s en 2005 Ils portaient sanction et ex cution des dispositions du r glement CE no 1829 2003 du Parlement Europ en et du Conseil du 22 septembre 2003 concernant les denr es alimentaires et les denr es alimentaires pour animaux g n tiquement modifi s et du r glement CE no 1830 2003 du Parlement Europ en et du Conseil du 22 septembre 2003 concernant la tra abilit et l tiquetage des organismes g n tiquement modifi s et la tra abilit des produits destin s l alimentation humaine ou animale produits partir d organismes g n tiquement modifi s et modifiant la directive 2001 18 CE 3 1 3 2 Syst mes d information g ographiques CTI SIG L Administration des Eaux et For ts a particip en 2007 aux activit s de la Cellule Technique du groupe de travail Interminist riel Syst mes d Information G ographique CTI SIG Le groupe assure un change d informations permanent entre les diff rents minist res et administrations Le principal point trait en 2007 concerne le projet ILDG Infrastructure Luxembourgeoise de Donn es G or f renc es en anglais LSDI Le projet doit r pondre aux objectifs suivants e l utilisation optimis e des g o donn es l chelle de l tat et au del e acc s simplifi aux g o donn es d tenues par l tat
54. attribution du march par appel de candidatures au niveau europ en a t poursuivie A la suite de l appel de candidatures une seule candidature n a t pr sent e Il s ag ssait de celle de la soci t Oeko Service Luxembourg S A Cette candidature a t analys e par le groupe de travail ad hoc quant son ligibilit Apr s examen positif un cahier des charges d taill a t remis au candidat en vue de la pr sentation d une offre Cette offre a nouveau fait l objet d une analyse d taill e par le groupe de travail ad hoc qui l a approuv e en date du 23 mai 2007 En date du 27 juin 2007 le march pour l exploitation des actions de la SuperDrecksK scht a t d finitivement attribu la soci t Oeko Service Luxembourg S A ceci en conformit avec les dispositions de l article 2 de la loi du 25 mars 2005 La publication de l avis d attribution du march dans le Journal Officiel de la Communaut europ enne a eu lieu en date du 7 ao t 2007 2 7 13 2 Les contrats de franchise Un premier contrat de franchise a t sign en date du 4 janvier 2007 avec la soci t suisse Fonda AG de Rheinfelden Dans une premi re phase l action y met l accent principal sur les aspects qui concernent la SuperDrecksK scht Dr Betriber Au cours de cette ann e les diff rentes mesures pr paratoires ont t engag es pour que les activit s puissent se d rouler selon le m me principe et d apr
55. au Parc Belval Sud de la r novation et de l agrandissement du Lyc e Technique Mathias Adam P tange ainsi que du Lyc e Technique de Lallange Esch sur Alzette boulevard Hubert Cl ment D autres tablissements autoris s pour le compte de l Etat sont le b timent de la Justice de Paix construire Esch sur Alzette boulevard Berwart ainsi qu une auberge de Jeunesse Weicherdange et deux b timents administratifs Esch Belval pour le compte du Fonds Belval 2 5 10 3 Analyses et gestions des impacts environnementaux et de la consommation nerg tique d installations fr gorifiques dans le secteur agro alimentaire ANIA Dans le cadre des dispositions de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et notamment l article 13 le Ministre de l Environnement doit fixer dans son arr t des conditions qui ont pour objet de r aliser la pr vention et la r duction int gr es des pollutions en provenance des tablissements de prot ger l environnement humain et naturel et de promouvoir un d veloppement durable ceci en tenant compte des meilleures techniques disponibles Consid rant le nombre d installations de production de froid exploit par le Groupe CACTUS l Administration de l Environnement Division des tablissements class s a convenu avec le Groupe CACTUS d effectuer une campagne de mesures ceci en collaboration avec le CRP Henri Tudor en vue de d terminer en applicati
56. boulevard Joseph II boulevard Royal place de la Gare route d Esch Hollerich route de Thionville Bonnevoie rue d Eich rue de Bonnevoie et rue de Rollingergrund La mod lisation a galement d termin e le d passement de la valeur limite annuelle pour les particules fines PM 0 de 40 ug m en 2005 sur des parties des routes suivantes rue d Eich avenue de la Porte Neuve boulevard Royal avenue de la Libert et avenue de la Gare Les valeurs d termin es pour l ann e 2010 sont inf rieures celles calcul es pour l ann e 2005 mais d passent la valeur limite annuelle pour le dioxyde d azote NO2 de 40 ug m applicable en 2010 97 D autant plus le nombre de segments de routes o sont observ s des d passements a augment Les nouveaux d passements sont observ s au centre ville a Eich Helfenterbr ck et Hesperange Le nombre de d passements en 2010 de la valeur limite pour les particules fines PM 0 diminue par rapport 2005 et se limite quelques points sur l avenue de la Libert le boulevard Royal et la rue d Eich Les sources d missions responsables peuvent tre divis es dans les 6 cat gories suivantes le trafic routier bus voitures camions le trafic ferroviaire le trafic a rien les centrales d nergie production d lectricit et de chaleur le chauffage urbain se composant des installations de chauffages individuelles mazout gaz bois la pollution de fond qui
57. chets engendr s sur l installation Gestion de l eau Mesures de sensibilisation Au cours de l ann e 2007 les donn es relatives l ann e 2006 ont t recueillies et valu es Ces donn es ont fait l objet d un rapport d taill qui peut tre consult sur le site Internet www emwelt lu rubrique d chets statistiques et indicateurs 2 7 6 3 Les quantit s de d chets organiques accept es Le tableau suivant reprend les quantit s de d chets organiques remis aux diff rentes installations de compostage au cours de l ann e 2006 123 Le tableau suivant reprend les quantit s absolues pour chacune de ces installations Quantit s de d chets apport s tonnes 35 000 30 000 25 000 20 000 15 000 10 000 5 000 MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Les quantit s sp cifiques par habitant pour les diff rentes installations et les diff rents types de d chets sont reprises dans le graphique suivant Quantit s de d chets organiques apport s par habitant kg 180 160 140 BMINETT KOMPOST Mondercange 120 ESICA Mamer DSIDEC Angelsber 100 KEE OSIDEC Fridhaff 80 E Hesperange 60 E Luxembourg E SIGRE Tous les d chets Collecte separ e Branches haies Tontes de gazon Mixtes Autres 124 La r partition relati
58. d JA JI RENE 56 Les oliennes nos 8b et 9 n ont pas t mises en exploitation dans le d lai imparti par l arr t d autorisation d livr e en vertu de la l gislation sur les tablissements class s Par cons quent les autorisations s y rapportant sont devenues caduques Les travaux pour l am nagement du parc olien situ sur le territoire des communes de R dange et Ell no 10 n ont pas encore d but 2 5 10 Unit Immeuble et Gestion de l Energie 2 5 10 1 Dossiers introduits Le tableau suivant repr sente un relev succinct des dossiers de demande introduits les cinq derni res ann es aupr s de l unit Immeuble et Gestion de l Energie Nombre de dossiers 2003 2004 2005 2006 2007 introduits Type de dossier 1 o o o 3 2 2 2 6 l Bureau administratif classe 3 l Bureau administratif classe 1 Commerce classe3 8 6 15 5 70 7 8 Installation de cog n ration 16 12 Etablissement d h bergement restaurant 15 16 Chalet oS 10 D R sidence avec parking souterrain 17 25 24 31 Postes de transformation JL 34 62 54 34 92 Les 332 dossiers introduits en 2007 sont r partis comme suit 65 dossiers concernaient une demande de modification non substantielle selon l article 6 229 dossiers concernaient une demande d autorisation selon l article 7 6 dossiers concernaient une cessation d activit 14 recours gracieux 18 dossiers c
59. e Les raisons sp cifiques pour la cr ation d un comit de suivi pour la RFI Enneschte B sch d coulent du nouveau type de r serve au Luxembourg avec de nouvelles d finitions de gestion non connues dans les autres types de r serves Par ailleurs cette ann e les travaux dans la r serve foresti re int grale Enneschte B sch taient surtout orient s vers l entretien des chemins balis s ainsi que du sentier didactique La r serve foresti re int grale Laangmuer au Gr ngewald Description g n rale du projet Ce site qui fait partie du massif du Gr ngewald est repr sentatif pour les h traies acidiclines du Gr s de Luxembourg D ailleurs c est l association foresti re du Melico Fagetum avec ses sous associations les plus pauvres qui sont les mieux repr sent es 83 L habitat du Luzulo Fagetum occupe une superficie de 7 Cette for t d tient pour la plus grande partie un aspect caract re de for t cath drale avec une strate arbustive quasi manquante La zone foresti re Laangmuer est d clar e zone prot g e d int r t national en date du 7 novembre 2005 La zone prot g e englobe une superficie de 102 94 ha et se partage en deux parties distinctes savoir une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone tampon Le but recherch par la cr ation d une zone tampon est celui de pouvoir am nager une lisi re de for t suivant des crit res c
60. e p ex placement dans des alv oles tanches 365197 345220 309700 s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc DOG Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s 139933892128917193159222463 ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 DO9 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des 5340550 2722672 2519285 compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc D10 D12 D13 D15 R01 Utilisation comme combustible autrement que incin ration directe ou autre moyen de 11282658111406790 13732629 produire de nergie RO2 R cup ration ou r g n ration des solvants 2904 0 2870 R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques R04 RO5 RO8 R cup ration des produits provenant des catalyseurs 0 Of of 16060 R09 Regeneration ou autres r emplois des huiles us es 3101352 4406746 3913011 R10 Epandage sur le sol au profit de l agriculture ou de l cologie 9421620 6817272 7773020 162 R11 Utilisation de mat riaux r siduels obtenus partir de l une des op rations num rot es R1 3468110 11583132 R12
61. e am nagement d un sentier th matique Niederanven Triage Hesperange e d gagement des sentiers touristiques auto p destre dans le triage e revision et mise en place de nouveaux panneaux concernant le sentier de nature Drousbach Howald et le parcours de jogging Emile Zahlen Hesperange Triage Sandwe ler e cr ation d une piste v t t de 1 7 km Sandweiler Garb sch Triage Waldhof Le triage a c t de l entretien des chemins existants sur le terrain de la commune de Niederanven aid la conception et la mise en place d un sentier th me les 6 Princesses pour le compte de la commune de Sandweiler Triage Kiem e entretien de 7 km de chemins balis s 3 2 6 13 nformation du grand public Les visites guid es ont trouv un grand succ s aussi bien aupr s des l ves qu aupres des citoyens 53 visites guid es ont t organis es dans les diff rents triages Triage de Hesperange e Visite du fauchage des chemins l aide du cheval ardennais avec les classes de l cole primaire des communes de Hesperange et Weiler la Tour pour voir ce travail hors commun En total 400 enfants ont pris part 200 e Au cours de l ann e 2007 le pr pos forestier a organisais diff rentes visites guid es en for t avec les enfants du pr coce et de l cole primaire des communes de Hesperange et Weiler la Tour dont certaines taient accompagn es par un t
62. e le meilleur support certaines prises de d cisions par une plus grande transparence sur l existence de g o donn es et par une disponibilit am lior e de g o donn es e le respect des normes internationales ISO2 concernant les standards OGC3 afin d assurer une compatibilit optimale pour l change d informations g o r f renc es Un concept global a t labor sous la direction de la cellule e Luxembourg 3 1 4 Les contacts interr gionaux Des contacts professionnels avec les stations de recherche foresti re de Trippstadt Rh nanie Palatinat et de Freiburg im Breisgau Baden W rtemberg ont port sur la gestion et le monitoring des r serves foresti res int grales ainsi que sur la pr servation du potentiel g n tique de certaines esp ces arborescentes rares 3 1 5 Les r unions de service Les chefs de cantonnement ont t rassembl s en deux r unions de service o les principaux sujets ci apr s ont t discut s e r partition du bois de trituration et du bois de chauffage e statut des ouvriers forestiers 170 march du bois march pluriannuel plan national de d veloppement durable formation du technicien de l Environnement for t en volution libre certification des for ts mat riel forestier de reproduction 3 1 6 La gestion du personnel effectifs bureaux formation continue 3 1 6 1 Le relev du personnel Le table
63. en mati re de mesures de conservation de la nature dans la r serve foresti re int grale Pettenerboesch au lieu dit Roost est tr s fructueuse 3 2 8 11 Travaux de r cr ation et de sensibilisation du public Les triages forestiers et le cantonnement forestier ont organis 97 visites guid es pour coliers et adultes La construction et l installation de bancs de repos et de panneaux d information du public portant sur la nature et la biodiversit se sont poursuivies en 2007 Les mesures entreprises par plusieurs triages forestiers en la mati re sont num r es ci apr s 3 2 8 12 Achat de semences foresti res Le cantonnement forestier de Mersch est charg depuis des ann es par la direction de l achat et de la r partition des semences foresti res tiquet es aupr s de l ONF pour les p pini res domaniales de l Administration des Eaux et For ts 3 2 8 13 Divers Les activit s du chef de cantonnement sont tr s diversifi es Le tableau ci dessous r sume les activit s de 2007 sorties terrain triages dont martelage r unions de service au cantonnement Il s agit de demi journ es ou Journ es enti res Le chef de cantonnement a effectu des estimations de valeur pour certaines communes et pour l Etat pour une superficie de 98 71 ha de peuplements feuillus et sur 32 89 ha de peuplements r sineux 210 Le chef de cantonnement a particip 22 r
64. g ts de gibier En 2007 le nombre de d clarations de d g ts de gibier sur les pr s et champs s est lev 276 totalisant une superficie de 54 61 ha Outre cela cinq dossiers de d g ts de gibier en for t priv e ont t trait par le Chef de Cantonnement et ses pr pos s 3 2 4 9 Beste porcine centres de collecte pour gibier L pizootie de la peste porcine a sensiblement r gress en 2007 voire elle a disparu compl tement du moins sur le territoire du cantonnement forestier de Diekirch Cette volution a eu comme cons quence une diminution r elle des activit s dans les centres de collecte Les probl mes soulev s pour le service courant par les nombreuses heures suppl mentaires prest es par les pr pos s en charge d un centre de collecte ont donc t moins prononc s qu en 2006 Il y a lieu de signaler dans le m me contexte que les heures suppl mentaires prest es par les pr pos s de certains triages de la Petite Suisse luxembourgeoise ont r gress galement du fait que les contr les sur le site d escalade de la Wanterbaach Berdorf ont t r duits par rapport aux exercices pr c dents o un certain exc s de z le tait exig en 2003 et 2004 3 2 4 10 Conservation de la nature Les travaux d entretien r guliers des pelouses s ches du Hossebierg ont t poursuivis en collaboration avec l arrondissement C N Centre de Mersch et avec le
65. gumes lav s Teneur maximale ne pas d passer 12 7 Bi 1 1 r glement CE N 466 2001 du 8 mars 2001 Commission de Bruxelles 10 0 86 09 0 76 5 0 8 0 67 5 OL le Q 0 o 05 36 D 04 gt 03 e 02 g _ 0 07 o o E _ DIFFERDANGE DIFFERDANGE ESCH ALZETTE ESCH ALZETTE ESCH ALZETTE SCHIFFLANGE SCHIFFLANGE R f rence L GUME Cit S Rue des An Elsebrech Rue Rue d Ehlerange Lallange Rue Cit Um Benn Rue du l gume feuille FEUILLE NON Thomas Cit Jardins Rue des Tramways Nicolas Mannes Moulin Rue de lav du commerce LAV EN MILEU Henri Grey Ohenwanaert H dange RURAL Chou fris XXI 16 mai 11 QUES 2006 ze Geleri IV 18 juillet 21 septembre 2006 Chou fris XXII 02 octobre 15 d cembre 2006 Wm C leri VI 18 juillet 19 septembre 2007 e Contr les suppl mentaires des teneurs en m taux lourds dans des l gumes cultiv s chez l habitant des sites proches de sources d mission importantes aci ries arc lectrique diverses entreprises Ces analyses ont pour but De confirmer les r sultats des l gumes feuilles du r seau de biosurveillance et de faire des rapprochements avec les d terminations de m taux lourds dans les retomb es de poussi res Des r ponses doivent aussi tre recherch es lorsque de valuations contradictoires apparaissent dans les r sultats 96 De conti
66. laboration d inventaires floristiques dans la Vall e de la Mamer r alisation d une tude hydrog ologique entre Mersch et Schoenfels tude de faisabilit concernant la restauration d habitats humides de la plaine alluviale de la Mamer entre Thillsmillen et Kopstal restitution d habitats humides de la plaine alluviale de la Mamer entre Direndall et Mersch renaturation de la Mamer entre le Gousseldinger Tunnel et Mersch o cartographie g omorphologique et caract risation de la plaine alluviale et des pentes adjacentes o tude g ologique et prise de position sous forme d expertise de la renaturation de la Mamer o tude de la nappe phr atique et des temp ratures y relatives tude concernant la restauration des habitats humides dans la zone sp ciale de conservation Vall es de l Eisch et de la Mamer entre Bour et Mariendall laboration d un sentier didactique dans la Vall e de l Eich et de la Mamer laboration de d une tude agricole dans la vall e de l Eisch laboration d une tude g ologique et hydrog ologue du site Weidendall laboration d une tude d am nagement du site Weidendall L Administration des Eaux et For ts a continue en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es laborer respectivement finaliser des projets de convention concernant la Route du Nord Par ailleurs l Administration des Eaux et For
67. le comit s est r uni 7 fois Il a mis des avis sur tous les projets et demandes de subsides financer par le Fonds pour la Protection de l Environnement 24 nouveaux projets ont t engag s 15 projets en relation avec la lutte contre le changement climatique et ou l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 1 projet en relation avec la pr vention et la gestion des d chets et 8 projets en relation avec la protection de la nature et des ressources naturelles La description des projets qui ont t financ s par l interm diaire du Fonds pour la Protection de l Environnement se trouve dans d autres chapitres du pr sent rapport d activit Pour ce qui des projets en relation avec la lutte contre le changement climatique et ou l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables ces projets tant tous r alis s par une commune 1 3 Statistiques de l Environnement La cellule statistique form e au second semestre 2000 au sein du Minist re de l Environnement a pour principaux objectifs 1 la conception de projets statistiques 2 la recherche la production le traitement le contr le et la validation de chiffres sur l tat de l environnement sur les pressions qui s exercent sur lui sur les impacts de sa d t rioration et sur les r ponses qu on y apporte mod le DPSIR 3 l identification d
68. me europ en la brochure sert galement aux personnes concern es par une notification pour des transferts nationaux de d chets 156 Ainsi elle est un l ment utile pour toute personne susceptible d introduire une notification pour les transferts de d chets La brochure peut tre t l charg e partir du site Internet www emwelt lu La participation une r union de concertation des autorit s comp tentes allemandes En date du 19 20 09 2007 un agent de l Administration de l Environnement a particip ensemble avec la majorit des autorit s comp tentes concern es allemandes ainsi que des autorit s comp tentes suisse et n erlandaise une r union de concertation dont le but tait l change d exp rience et de points de vue en relation avec l application pratique du r glement CE N 1013 2006 Cette r union fut organis e par l Umweltbundesamt allemand dans leurs locaux Dessau 2 7 16 2 Le projet de transmission lectronique de donn es relatif aux transferts de d chets Au d but de l ann e 2007 un projet de transmission lectronique de donn es en relation avec les proc dures de notification des transferts de d chets a t lanc Un tel syst me s av re utile vu la quantit norme de donn es qui doivent actuellement tre saisies manuellement par l Administration de l Environnement en vue du contr le des flux et transferts de d chets et pour satisfaire aux besoins de rapports envers la conve
69. position de l UE Les principaux dossiers trait s au groupe du Conseil taient la pr paration du 7 me Forum des Nations Unies sur les For ts et des actions en relation avec ce forum Le Luxembourg n a pas particip aux n gociations du FNUF7 New York en 2007 176 Dans le but de renforcer l Arrangement International sur les For ts IAF le 7 me Forum des Nations Unies sur les For ts a adopt un instrument non contraignant sur tous les types de for ts ainsi qu un programme de travail pour les ann es 2007 2015 L instrument reprend les objectifs globaux suivants e Inverser le processus d rosion du couvert forestier partout dans le monde travers la GDF y compris la protection le mise en valeur le boisement et le reboisement et multiplier les efforts visant emp cher la d gradation des for ts e Renforcer les conomies tributaires des for ts les avantages sociaux et environnementaux fournis par les for ts et les contributions des for ts dans la r alisation des objectifs de d veloppement convenus l chelle internationale y compris ceux figurant dans la d claration du Mill naire et en particulier ceux ayant trait a l radication de la pauvret ainsi qu la protection de l environnement notamment travers l am lioration des conditions de vie des personnes d pendant des for ts e Accro tre de mani re importante partout dans le monde l aire des for ts prot g es et autr
70. s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit 244 e d un c t la propri t de la commune qui a donn son accord pour participer au projet est int gr e dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficiera des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement Avancement du projet Le Conseil Communal de Beaufort a avis le projet favorablement en date du 12 mars 2007 Le dossier de classement a ensuite t pr sent devant les habitants de la commune de Beaufort 26 09 2008 Ce dossier a comme particularit de comporter en outre une tude chiropt rologique Par la suite le dossier de classement a t envoy sur le chemin de la proc dure publique Le projet a t pr sent devant le Conseil Sup rieur pour la Protection de la Nature en date du le 26 novembre 2007 Projet de r serve foresti re int grale R if a Wellenstein Description g n rale du projet L int r t de la zone d limit e se caract rise par des conditions stationnelles et micro stationne
71. s et CF pour cerfs femelles biches et bichettes a t rendu n cessaire par la reformulation des lignes directrices pour la chasse au cerf En effet une approche plus scientifique est recherch e pour la chasse du cerf avec n anmoins des crit res simples de plan de tir en vue d une gestion durable de l esp ce Les buts recherch s par la nouvelle approche sont e concentrer les pr l vements principaux aux faons et Jeunes cerfs e obtenir plus de vieux cerfs en vue d une meilleure coordination du brame e pr server un nombre ad quat de vieux cerfs qui constituent la base biologique pour un d roulement harmonieux de la reproduction Les mesures envisag es en vue d atteindre les objectifs vis s ont t les suivantes e introduction d un dispositif de marquage pour faons CJ cerf juv nile ou cerf jeune e environ 40 de la population totale pr lev e m les et femelles devrait se situer dans cette cat gorie Le r glement grand ducal concernant l ouverture de la chasse a t galement t con u de fa on permettre la r alisation des lignes directrices nonc es ci dessus Ci apres le nombre des cerfs tir s pendant l automne 2007 266 cerfs ont t tir s dont 112 cerfs m les coiff s y compris 9 cerfs de moins de deux ans 42 73 biches et bichettes 27 et 81 cerfs faons 30 S l on consid re qu un certain nombre de cerfs femelles tir s appartient la cat
72. sch Im Rahmen der Naturwaldreservatenuntersuchung wurde die Nichtbl tterpilze Aphyllophorales m Betebuerger B sch erfasst Diese Pilze bilden innerhalb der Basidiomyceten eine eigene Gruppe die vorzugsweise auf Holzsubstrat siedelt Zu hnen z hlen nicht nur Gro pilzarten mit gut sichtbaren Fruchtk rpern sondern auch zahlreiche Pilze die in der Natur schwer auffindbar sind Der Begriff Nichtbl tterpilze ist nur ein Hilfsmittel um Pilze die morphologisch sehr vielgestaltig sind und verschiedenen Ordnungen angeh ren sythematisch zusammenzufassen Es sind dies agaro de epig ische und hypog ische Bauchpilze cyphelloide Pilze Gallertpilze Porlinge Keulen Korallen Leisten und Rindenpilze die alle als gemeinsames Merkmal ein Hymenium besitzen der Teil des Pilzes an dem die sporentragenden Basidien gebildet werden welches nicht an Lamellen angelegt ist Zur Gewinnung von geeignetem Probenmaterial war es deshalb erforderlich den Waldboden innerhalb der Probekreise der Forstlichen Grundaufnahme FGA siehe Kapitel Monitoring des habitats forestiers sorgf ltig von Hand zu durchmustern um auf diese Weise alle Holzst cke zu erfassen auf denen mit blo en Auge Pilzstrukturen erkennbar waren Das so gewonnene Material wurde anschlie end im Labor mikroskopiert um eine artgenaue Bestimmung der Pilze zu gew hrleisten Die Nichtbl tterpilze wurden an 7 von insgesamt im Betebuerger B sch vork
73. statistiques et indicateurs 137 Les quantit s totales de boues recens es pour l ann e 2006 s l vent a 8 400 tonnes m s soit une quantit sp cifique de 15 kg m s hab q an Ceci permet d estimer la quantit totale de boues d puration produite au Luxembourg 15 216 tonnes m s L elimination des boues d puration Selon les indications fournies par les exploitants des stations d puration sur les 8 400 tonnes m s de boues d puration d clar es 8 300 tonnes m s ont t valoris es ou limin es La diff rence des 100 tonnes r sulte de la gestion des stocks externes et internes des boues De ces quantit s 4 300 tonnes m s ont t valoris s en agriculture Ceci repr sente une part de 51 des quantit s totales valoris es ou limin es Par rapport l ann e pr c dente la valorisation agricole a augment par l ann e pr c dente de 500 tonnes m s La fili re du compostage a trait en 2006 3 500 tonnes m s de boues soit 42 du total dont 2 700 tonnes m s ont t compost es au Luxembourg et 800 tonnes m s en Allemagne 500 tonnes m s de boues ont t export es vers Allemagne en vue d une incin ration soit 400 tonnes m s moins qu en 2005 L volution des parts respectives des diff rentes fili res de valorisation au cours des derni res ann es est reprise dans le tableau suivent Incin ration 8 2 La qualit des bou
74. tecte 8 jours de d passements de la valeur journali re de 50 ug m 16 jours l ann e pr c dente 75 2 6 2 4 R seaux de mesure des retomb es de poussi res Esch Alzette et Differdange Ces r seaux de mesure surveillent l environnement en milieu urbanis au voisinage d installations industrielles mettrices de poussi re Ce contr le est un indicateur pr cieux des missions de poussi re en provenance des sites sid rurgiques ainsi que des crassiers Les niveaux de retomb es de poussi re sont valu s et compar s aux normes allemandes Aux sites sensibles les niveaux en m taux lourds sont galement d termin s en suppl ment l aide de techniques analytiques plus sp cifiques Le r seau d Esch Alzette se compose d une trentaine de placettes et le r seau Bergerhoff Differdange comporte 20 placettes En 2005 2006 et 2007 la moyenne annuelle en retomb es de poussi re Esch Alzette Differdange et Rodange se situe pr s de 0 20 g m jour comme les trois ann es pr c dentes La valeur limite annuelle de 0 35 g m jour en application en Allemagne prise comme r f rence n est pas d pass e Analyse de l volution des teneurs en m taux lourds dans les retomb es de poussi res e Esch Alzette et Schifflange le d p t de plomb par les poussi res se situe un niveau peu lev Quelques apparitions sporadiques tr s locales respectivement Rue des Tramways Cit um Benn d
75. tique lev e du groupe de compresseurs et une diminution du besoin en froid par une isolation thermique pouss e des meubles et des chambres froides 2 5 10 4 Comit d accompagnement en mati re d tablissements class s Au mois de juillet 2006 le comit d accompagnement en mati re d tablissements class s tel qu institue par la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s a charg le Centre de ressources des technologies pour l environnement CRTE de d terminer des conditions d exploitation en mati re d installations de climatisation et de r frig ration 58 Ces travaux ont t poursuivis au niveau d un groupe de travail sous la regie du CRTE Ce groupe de travail s est compos e a de repr sentants de l Administration de l Environnement de l Administration de la gestion des eaux de l Inspection de travail et des mines de la Chambre de commerce de la Chambre des m tiers de la Conf d ration luxembourgeoise du commerce du Minist re des classes moyennes du Minist re de l Economie et du Commerce Ext rieur du Minist re de l Environnement et de l Ordre des architectes et des ing nieurs conseils 2 5 11 Unit Industries L unit INDUSTRIES traite essentiellement les dossiers relatifs aux activit s du secteur de l industrie travaillant les m taux du secteur de l industrie chimique du secteur de l industrie du caoutchouc et du secteur
76. union du 26 avril 2007 se tenant Bruxelles au si ge de l organisation Benelux Les mati res suivantes ont t discut es e Moyens de gestion des populations de grand gibier plans de tir nourrissage e Actualisation de la D cision Benelux M 83 17 armes et munitions de chasse Demande de la r gion wallonne en vue d autoriser des calibres plus petits pour canons lisses moindre impact sur l environnement et des calibres plus grands compensation de la gerbe de plomb par la gerbe de grenaille d acier dans les zones humides En outre la r gion wallonne souhaite autoriser la balle canon lisse pour le tir du grand gibier galement lors de la chasse l approche et l aff t e Dur e de validit de l assurance de chasse e Ampliation de la d cision Benelux M 2007 3 e Reconnaissance de l examen de chasse fran ais 299 En outre le service a particip la r union du 11 mai 2007 du parlement Benelux Luxembourg o la chasse au Benelux figurait l ordre du jour 3 5 7 Hearing de la Commission de l Environnement de la Chambre des D put s sur la Chasse En date du 26 mars 2007 la Commission de l Environnement de la Chambre des D put s a organis un Hearing Public sur la Chasse avec 26 organisations Le service de la Chasse a particip activement la pr paration de cette manifestation en participant un certain nombre de r umions de travail de la Commission de l Environnement Lors de la jour
77. 03 2008 A11 A21 A221 A31 A5 31 03 2009 C1 C2 C3 C4 C5 C6 31 03 2008 T 49 0 68 19 920 230 F 49 0 68 19 920 239 ana 40 2 5 La Division des Etablissements Classes 2 5 1 La l gislation relative aux tablissements class s La Division des tablissements class s de l Administration de l Environnement est essentiellement en charge de l application de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et des r glements pris en ex cution de cette loi l exception des comp tences qui sont sp cifiques au d partement du Travail Inspection du travail et des mines et des autorisations pr vues par la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s a pour objet e de r aliser la pr vention et la r duction int gr es des pollutions en provenance des tablissements e de prot ger la s curit la salubrit ou la commodit par rapport au public au voisinage ou au personnel des tablissements la sant et la s curit des travailleurs au travail ainsi que l environnement humain et naturel e de promouvoir un d veloppement durable La loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets poursuit notamment les objectifs e de la pr vention de la production et de la nocivit des d chets e de la r duction de la product
78. 17 55 52 F 352 26 17 55 51 36 Coordonn es OK Comp tences er Fax limitation DR BLASY amp DR BUSSE Niederlassung der Agrolab G m b H T 49 0 81 43 7901 Umweltlaboratorium Langenbach F 49 0 81 43 72 14 Moosstrasse 6a D 82279 Eching am Ammersee C1 C2 C3 C4 C5 C6 et C7 C8 31 03 2010 AGROLAB D1 D2 Labor f r Landwirtschaftliche Untersuchungen G m b H Dr Pauling Strasse 3 T 49 0 87 65 93 996 21 84079 Bruckberg F 49 0 87 65 93 996 28 CELABOR S C R L Zoning de Petit Rechain T 32 0 87 32 24 54 Ge C4 CS 38 avenue du Parc F 32 0 87 34 13 87 B 4650 Chaineux ECO CONSEIL S A R L L 5635 Mondorf les Bains EMV SERVICES G M B H amp CO KG T 49 0 40 76 629 3422 B3 31 03 2008 Harburger Schlossstrasse 6 12 F 49 0 40 76 629 506 F2 D 21079 Hamburg ENECO S A 22 rue Edmond Reuter T 352 26 43 14 44 Zone artisanale Weiergewan F 352 26 43 14 45 L 5326 Contern ENERGIE ET ENVIRONNEMENT S A D3 Ing nieurs conseils GE 5 e E8 31 03 2008 99 rue Andethana F1 L 6970 Hostert Nideranven ENVIRO SERVICES INTERNATIONAL S R L T 352 52 09 80 E4 E5 E9 Zone industrielle et commerciale F 352 52 09 85 F3 L 3378 Livange ENVIRONMENTAL SERVICES DIVISION DE SGS BELGIUM S A Anc GEOLOGICA S A T 32 0 81 56 36 56 E5 Parc Cr alys F 32 0 81 56 78 72 F3 Rue Phocas Lejeune 4 B 5032 Gembloux ERNST am
79. 182 3 1 17 Le bois nergie 182 3 2 Les Cantonnements forestiers 186 3 2 1 Exploitation de bois 186 3 2 2 Vente de bois 188 3 2 3 Les aides foresti res 188 3 2 4 Le cantonnement de Diekirch 189 3 2 5 Le cantonnement de Grevenmacher 191 3 2 6 Le cantonnement de Luxembourg Est 194 3 2 7 Le cantonnement de Luxembourg Ouest 205 3 2 8 Le cantonnement de Mersch 207 3 2 9 Le cantonnement de Wiltz 212 3 3 Le Service de l Am nagement des bois et de l Economie foresti re 220 3 3 1 L am nagement forestier 220 3 3 2 Les inventaires forestiers d am nagement 229 3 3 3 Les travaux g od siques 230 3 3 4 La cartographie d aptitude stationnelle 230 3 3 5 Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National 233 3 3 6 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales 239 3 3 7 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus 254 3 3 8 La participation la f te foresti re Clervaux 256 3 3 9 Les nouvelles publications 2541 3 3 10 Travaux divers 258 3 3 11 Le suivi de l tat phytosanitaire des for ts 259 3 4 Le Service et les Arrondissements de la Conservation de la Nature 267 3 4 1 Le Service de la Conservation de la Nature 267 3 4 2 Les arrondissements de la conservation de la nature 282 3 5 Le Service de la Chasse et de la P amp che section chasse 293 3 5 1 La lutte contre la peste porcine 293 3 5 2 Plan de chasse et marquage du gibier
80. 2000 2001 2002 1 2003 1 20041 2005 2006 K2007 Moyenng ai ss Lil DE A agricole Secteur 13 agricole inacceptable D p ts de 239 194 118 250 gasoil lt 20 000 I Distribution 11 10 5 17 13 10 de gasoil lt 20 000 1 PE A A A A A Mal ES parkings asie LL d activit IS EE u classe 4 Secteur agricole incomplet 44 Nombre de dossiers enregistr s depuis la mise en vigueur de la loi entre temps modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Er a 12 2007 S demande chelonn e selon 33 35 22 37 Art 5 demande initiale 130 270 295 33 Art 6 dispositions transitoires Art 83 31 loi 1999 modification extension 61 54 39 52 52 37 52 De prolongation e I ae EE cessation cessation d activit O chelonn e selon Art 5 demande initiale initiale 349 164 254 228 we 33 WER 51 209 09 324 eer CH CC Art 6 RS 31 loi 1999 an MR DR EU mandon on prolongation a 5 Fe 7 18 271 288 379 400 384 362 Cases 000 poon eesmine d demande hend I I III Be TIEFER EN demande modification selon Art 6 modification selon Art 6 m extension Bech E EE E E Ee Ti Jl ai al al ai al as EEN cessation d activit f 45 2 5 4 Unite contr le et inspections La recommandation 2001 331 CE du 27 avril 2001 du Parlement europ en et le Conseil pr voit des crit res minimaux applicables aux inspect
81. 2006 pp 41 43 Fondation Saint Hubert Saint Hubert Belgique Schley L 2007 S ugetierforschung Vom Naturschutz zum Managementinstrument L tzebuerger Land 54 42 Supplement Recherche 7 Schley L Wernicke S amp Schaul M 2007 Dachse in Luxemburg Administration des Eaux et For ts Luxembourg 32 pp Schley L 2007 La situation de Natura 2000 et de la faune sauvage au Grand Duch de Luxembourg Actes du 6 me Colloque International de Saint Hubert 11 ao t 2006 pp 41 43 Fondation Saint Hubert Saint Hubert Belgique Schley L 2007 S ugetierforschung Vom Naturschutz zum Managementinstrument L tzebuerger Land 54 42 Supplement Recherche 7 281 Publications scientifiques Scheppers T L J Frantz A C Schaul M Engel E Breyne P Schley L amp Roper T J 2007 Estimating social group size of Eurasian badgers by genotyping remotely plucked single hairs Wildlife Biology 13 2 195 207 Cellina S Schley L Krier A amp Roper T J 2007 Impacts of supplemental feeding on wild boar Sus scrofa In Prigioni C amp Sforzi A eds Abstracts V European Congress of Mammalogy Siena Italy 21 26 September 2007 Hystrix The Italian Journal of Mammalogy n s Vol 1 2 Supp p 454 Herr J Roper T J Engel E amp Schley L 2007 Urban stone martens Martes foina transient visitor or specialized residents In Prigioni C amp Sforzi A eds Abstracts V
82. 3 02 pour les points suivants migration vers PB 10 5 2 et Oracle 10g integration de la certification forestiere FSC et PEFC am lioration de l mpression correction de divers bugs En 2007 l application CONCOP gestion de la concordance parcellaire cadastre a t valid e pour son int gration dans un m me framework applicatif s curis AEF et Bureaux d tudes Ces derniers l utilisent au travers d une nouvelle architecture s curis e VPN et ADSL L application CONCOP a connu les versions 2 00 2 03 pour les points suivants migration vers PB 10 5 2 et Oracle 10g am lioration de la performance am lioration de l mpression correction de divers bugs 304 Les applications de la gestion foresti re Le projet d informatisation de la gestion foresti re regroupe les applications de saisie et de vente des bois de la planification annuelle de la comptabilit et des salaires des ouvriers forestiers Les applications de la saisie et de la vente des bois abattus en for t soumise c d le martelage le d nombrement et la vente de bois proprement dite sont totalement op rationnelles dans les cantonnements et les triages depuis octobre 1996 et l application de gestion des fiches de travail des ouvriers forestiers est op rationnelle depuis d but 2000 La gestion des tables des bases de donn es de la gestion foresti re est r alis e par la cellule informatique gr ce une application sp cifique
83. 356 00 ha e for t communale de Bettendorf 263 55 ha e for t communale de Biwer 429 40 ha e for t communale de Kopstal 264 48 ha e for t communale de Larochette 223 19 ha e for t communale de Medernach 406 78 ha e for t communale de Rosport 594 85 ha e for t communale de Septfontaines 179 68 ha e for t communale de Waldbillig 176 76 ha e A V I Larochette 336 19 ha e C P E P 295 51 ha Total 4 961 98 ha Une cartographie du r seau de la voirie foresti re ainsi que des orthophotos ont t r alis es pour tous les inventaires Les inventaires suivants entam s en 2006 ont t finalises en 2007 e for t communale de Rambrouch av fusion 524 63 ha e for t communale de Folschette anc comm 220 14 ha Total 744 77 ha 229 3 3 2 3 Travaux sur l application En 2007 seulement quelques ajouts mineurs ont pu tre r alis s par la Cellule Informatique les modifications importantes n ayant malheureusement pas pu tre abord es 3 3 2 4 La mission photogramm trique La couverture a rienne de 2006 a t r alis e dans le cadre des travaux pr paratoires au monitoring dendrom trique dans les r serves foresti res int grales Il s agit en l occurrence d une mission photogrammetrique qui a t sp cialement con ue et projet e pour cette application sp cifique Ainsi des prises de vue nadirales en 9 X 9 inch en mulsion infrarouge fausses couleurs diapositives l chelle 1 5 000 ont t effectu
84. 97999 85191 80240 65562 31993 31031 29669 23421 15289 15240 14943 13633 7163 5809 4994 552 2424539 A la suite les volutions de certains d chets sp cifiques sont illustr es plus en d tail a les d chets de peintures 900000 SOOODO OOO00 SOOOOO sjelalsjale 400000 300000 200000 100000 LU Feintures SESE SEEEEEEEF b les graisses alimentaires 400000 350000 300000 250000 200000 150000 100000 SOOOO gt ralsses alimentaires k c les d chets d amiante ciment 250000 200000 150000 100000 SUR LU Ss20000 Sso0o0o 250000 260000 240000 220000 200000 Amiante ciment PS PS SE LP dk fi PE PE eh EN H N e S y D D D D D CASSEL E EE d les accumulateurs Accumulateurs Les d chets de peintures continuent constituer la fraction collect e la plus importante en poids soit 32 43 de l ensemble des quantit s collect es Les quantit s augmentent d ann e en ann e Par rapport l ann e pr c dente cette augmentation repr sente 5 15 Les quantit s de graisses alimentaires collect es augmentent galement d ann e en ann e Elles ont atteint en 2007 le montant de 360 325 kg soit une augmentation de 8 67 par rapport l ann e pr c dente Sur l ensemble des d chets collect s par la SuperDrecksK scht fir Burger les graisses alimentaires repr sentent avec une part de 14 86 la deuxi me fraction Les d c
85. Ateliers de constructions m talliques et ateliers 9 m caniques Broyage criblage inst mobiles Ateliers de travail du bois Imprimeries wI UU A INIo 67 Dossiers introduits S Ppgd consideres Sr S 2 f Dossiers avec un D signation en 2007 n cessitant comme complet en un ppgd nombre pped nombre 2007 nombre Maison de retraite 2 2 maison de soin Centrale de cog n ration Energie thermique Traitement professionnel de d chets Nettoyages sec Installations 2 fonctionnant au biogaz Centre questre Brasserie sanator ums Aqueducs l Boucherie l Atelier pour le travail l l l des marbres pd pd pd p lt D IN N IN N Piscine Stand de tir Poulailler Port de Mertert l WE DE l ow a s 9 Dossiers introduits E en 2007 Dossiers avec Ppgd consid r s Branches d activit s un ppgd comme complet en ine nombre 2007 nombre ph pd pd p Les secteurs d activites les plus representes 131 106 85 80 9 80 2 Autres secteurs d activites a 74 12 86 76 Total dossiers introduits en 2007 222 n cessitant un ppgd Dossier divers ne n cessitant pas 17 43 l tablissement d un nouveau ppgd Total dossiers de demandes d autorisation examin s en 2007 68 Le taux des dossiers de demande ayant eu un plan de pr vention et de gestion des d chets dans leur dossier de demande initial tait de 78
86. Ende September durchgef hrt um die Erfassung der Pilzk ferfauna zu optimieren Die Determination der K fer basiert auf dem Standardwerk Die K fer Mitteleuropas und dessen Supplementb nden die die taxonomische Grundlage des Verzeichnis der K fer Deutschlands und dessen zugeh rigen Datenbanken bilden Belegexemplare m glichst aller K ferarten wurden nach Untersuchungsfl chen und Terminen getrennt nass konserviert so dass sie zur Aufarbeitung an das Naturhistorische Museum Luxemburg gegeben werden k nnen Einzelne Exemplare seltene oder nur durch Genitalpr parat bestimmbare Arten und besonders gro e K fer wurden bereits pr pariert Die Beif nge aus den Totholzgesieben und den Flugfallen wurden in Ethanol konserviert und stehen gegebenenfalls zur Archivierung oder weitere Auswertungen zur Verf gung Von allen Fallenstandorten wurden digitale Fotografien angefertigt die ebenfalls archiviert werden Grundlage f r alle Auswertungen bildet die Datenerfassung der Proben Aufsammlungen monatliche Fallenf nge und K ferfunde in den Proben in Datenbanken S mtliche Daten aus den Bestandserfassungen zur Totholzk ferfauna sind in zwei verkn pfbaren Dateien erfasst In einer Artdate werden zu jeder Probe EDV Artcodes Bestimmungsergebnisse die Anzahl je Art und die betreffende Probennummer dokumentiert ber diese Probennummer erfolgt eine Verkn pfung zu einer Probendatei in der zu den betreffenden Proben Fundort Datu
87. For ts aux actions 3 2 3 3 et 3 4 du projet est de 342 500 EUR La participation budg taire du Groupement des Sylviculteurs aux actions 1 1 1 2 1 3 2 1 et 3 1 du projet est de 621 595 EUR Ces participations sont financ es par le Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural L ensemble des activit s est encadr techniquement par des bureaux d tudes sp cialis s dans le domaine 180 En 2007 l Administration des Eaux et For ts a r alis 3 activit s majeures e action 3 2 Penser For t Agir Bois organisation d une visite de Kronospan et s minaire du Prof Julius Natterer au Centre d accueil Ellergronn Esch sur Alzette le 22 septembre 2007 pour les architectes ainsi que les lus et les responsables techniques des communes e action 3 3 Les Routes du Bois organ sation du Weekend du Bois pour le grand public en collaboration avec la Wallonie du 21 au 23 septembre 2007 plus de 175 activit s et 25000 visiteurs informations sur www lesroutesdubois com e action 3 4 Sensibilisation des architectes organisation de la deuxi me dition de l exposition Made m Wood au Centre d accueil Ellergronn a Esch sur Alzette du 22 9 au 12 10 2007 3 1 14 Le suivi du Programme Forestier National Le programme forestier national PFN est un programme intersectoriel d orientation strat gique pour le d veloppement du secteur forestier en harmonie avec les autres secteurs de l
88. GIEC soit faite doit tre consid r comme une avanc e significative L cart entre science et r ponse politique se r duit clairement Quatre composantes essentielles du futur r gime multilat ral ont t identifi es Bali Elles feront l objet de n gociations intenses au cours des 24 mois venir l R duction des missions L accord de Bali a retenu les l ments suivants e Engagements ou actions y compris des objectifs de limitation r duction des missions de tous les pays d veloppes L inclusion des Etats Unis constitue certainement le principal succ s de Bali e Des actions de r duction des missions par les pays en voie de d veloppement qui sont mesurables et v rifiables sans fixer d objectifs chiffr s Le libell de ces 2 paragraphes pays industrialis s pays en voie de d veloppement a fait l objet de n gociations intenses et difficiles les Etats Unis ayant longtemps r clam un engagement plus ferme de pays comme la Chine Inde avant de s engager eux m mes alors que les pays en voie de d veloppement ont tenu une distinction nette entre les engagements prendre par les pays industrialis s et ceux concernant les pays en voie de d veloppement 2 Adaptation au changement climatique Les accords de Bali pr voient une coop ration renforc e en vue d appuyer des actions concr tes d adaptation au changement climatique Il s agit ici d une composante particuli rement importante
89. Galloway e Vall e de l Eisch p turage extensif de plusieurs parcelles Reckange Reconversion d une ancienne pesssi re en p turage extensif entre Marienthal et Amsenbourg e Haute S re Projet d agriculture extensive dans les futures r serves naturelles Pont Mis re et Bruch P turage extensif des prairies de la plaine alluviale de la S re et de ses confluents 160 ha e Hellange lieu dit Belgrad restauration d un habitat humide dans le cadre d une mesure compensatoire de la route de liaison avec la Sarre Premi re commercialisation locale de viande Highland ssue du projet de p turage extensif dans des restaurants Frisange e R serve naturelle Schlammwiss restauration des habitats humides de la plaine alluviale de la Syre Mise en uvre d un p turage extensif par des bovins de race Galloway R alisation d un monitoring floristique universit de Fribourg en Br et faunistique ECOTOP inventaire de sauterelles e Filsdorf R serve naturelle Filsdorfer Grund restauration de prairies humides et des p turages le long du Filsdorferbach e Wilwerdange R serve naturelle Conzefenn restauration des habitats humides dans le fond de vall e par l enl vement de peuplements de r sineux et le remplacement par une formation v g tale de valeur cologique sup rieure P turage extensif avec des bovins de race Highland Cattle e Bettembourg p turage bovin et
90. Le taux des ppgd introduits consid r s comme complets tait de 82 L illustration suivante montre l volution du nombre des dossiers trait s par le Service des ppgd depuis l ann e de r f rence 2000 Comparaison pour chaque ann e mentionn e des dossiers de demande par rapport aux nombres des ppgd introduits et des ppgd complets pendant les derni res ann es coul es Nombre des dossiers 350 A Nombre des dossiers introduits E Nombre des dossiers avec un ppgd O Nombre des ppgd complets 0 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 ann e de r f rence Le graphique suivant montre l volution des secteurs d activit s les plus repr sent s en mati re d tablissement d un plan de pr vention et de gestion des d chets Evaluation des dossiers rentr s par branche d activit Nombre des dossiers 90 Stations fixes de distribution d essence Ateliers de r paration Etablissements de production Magasins pour la vente au d tail et en gros Bureaux 2007 ann e de r f rence A la fin de l ann e 2007 environ 2 775 ppgd taient enregistr s dans la base de donn es dont 1 438 ppgd approuv s 1 142 ppgd non cl tur s ainsi que 195 ppgd abrog s 69 2 5 13 3 Les rapports annuels des tablissements class s Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissement
91. Les modifications apport es sont relatives aux variables prendre en compte et aux modalit s de r colte des donn es La deuxi me tape savoir les tests de faisabilit sur le terrain est destin e v rifier ou adapter la m thodologie pr vue pour les points sensibles de la m thodologie lisi res r g n ration tester le cheminement et de perfectionner la r colte de donn es module d encodage Ces tests de faisabilit de collecte de donn es et de remesurage ont t effectu s sur un chantillon d unit s de sondage install es lors de l IFLI premier passage Ces travaux sont galement enrichis d changes permanents entre l administration et la FUSAGx notamment lors des tests de faisabilit sur le terrain mais galement par le biais d changes de mails fr quents 3 3 5 3 R daction du guide m thodologique de l IFL2 Suivi de la r daction d un nouveau guide m thodologique int grant les modifications et am liorations d coulant de l exp rience acquise lors de l ex cution du premier inventaire forestier national travaux approfondis men s dans le cadre de l valuation de l IFLI ainsi que lors des tests sur des placettes r elles au cours de l ann e 2007 La structure du document a t amend e les chapitres correspondent aux fiches d encodage et non plus des th mes Le guide m thodologique en parall le avec la phase de terrain pr vue dans l
92. Moersdorf Le dossier de demande d autorisation commodo 404 372 m incommodo relatif l agrandissement est en cours Bridel Vu l implantation de la d charge dans une carri re en 1 776 898 m exploitation le tonnage de d chets inertes pouvant tre accept est limit Heihenhaff Remblai Les capacit s restantes sont quasiment puis es de sorte 404 000 m que l exploitant a annonc la fin de l exploitation pour avril 2008 Mondercange La d charge a t mise en exploitation en date du 26 mars 5 630 082 m 2007 Depuis l exploitation suit son cours normal Bettembourg La d charge a t mise en exploitation en date du 23 avril 5 005 394 m Dudelange 2007 Depuis l exploitation suit son cours normal Remerschen L exploitation suit son cours normal 957 216 m 151 3 3 3 3 La r partition g ographique des d charges est repr sent e dans le graphique ci dessous ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT Division des d chets R seau des centres r gionaux pour d chets inertes Situation Octobre 2007 Hosingen Nothum Folkendange Rippweiler gerouch Mersch Schotterwerke og 7 j Bridel Heihenhaff Crassier Mondercange Bettembourg Dudelange E Remerschen Schengen Au cours de l ann e 2007 le site du Pafewee a d finitivement t cl tur Les diff rents sites du r seau ont t soumis chacun une inspection de conformit Les r sultats de ces contr les figurent
93. Offenbach FIMES CME T 49 0 23 19 860 176 Heinrichstrasse 51 F 49 0 23 19 860 178 D5 31 03 2008 D 44536 L nen Im L ntec LUXCONTROL A S B L 1 avenue des Terres Rouges T 352 54 70 54 1 B P 350 F 352 54 04 48 n SE L 4004 Esch sur Alzette A11 A12 A13 A21 A2211 A2221 A23 A31 A32 A33 B1 B2 T 352 54 7711 1 C F Env 352 54 77 11 266 D1 D2 D3 F Lab 352 54 77 11 255 E2 E4 E5 E6 E8 E9 F1 F3 G1 HI I LUXCONTROL S A 1 avenue des Terres Rouges B P 349 L 4004 Esch sur Alzette 31 03 2008 31 03 2009 LUXENVIRONNEMENT S A Conseils amp Developpement durable T 4352 26 1114 1 D3 41 route d Arlon F 352 26 11 14 30 F11 F13 L 8211 Mamer 31 03 2008 38 Coordonn es OR Comp tences par ce Fax limitation D3 LUXPLAN S A 85 87 parc d activit s Cap T 352 30 6161 1 E4 E72 B P 108 F 352 30 56 09 EUR L 8303 Cap C1 C2 C3 C4 CS C6 DR H MARX G M B H C7 C8 Gewerbepark 1 S Ba on D1 D2 D3 D4 D6 31 032008 D 66583 Spiesen Elversberg i E4 E5 E6 F3 MICROPOLLUANTS TECHNOLOGIE 5 impasse des Anciens Hauts T 33 0 38 28 82 29 0 Fourneaux F 33 0 38 28 82 29 4 GE SE Zone industrielle du Gassion F 57100 Thionville MOBILE UMWELT ANALYTIK DR R FEGER T 49 0 78 17 21 05 E5 Schiessrain 11 F 49 0 78 17 21 05 F3 31 03 2008 D 77652 Offenburg All Al2 A13 A2 A3 A5 C
94. Protection individuelle treillis de fer 1 5 m pi ce 8850 00 LL 8850 00 Reboisement autres r sineux ars 165 00 266 00 2100 Reboisement douglas 2 3 pic a 1 3 ares I We 156000 6000 Reboisement pic a ares 11641 90 11641 90 Reboisement pic a 1 2 douglas 1 2 ares GE tee 2116 67 Reboisement pic a 2 3 douglas 1 3 ares Kerr an er 9500 9500 Regeneration naturelle autres r sineux ares 20000 LL 20000 Regeneration naturelle h tre ch ne ares 416050 272 00 41967 00 Regeneration naturelle pic a ares 600 00 1025 80 1625 80 Regeneration naturelle rable fr ne ares 272 00 LL 272 00 Restauration for ts r sineuses ares 22000 188 Le montant total des aides s l ve en 2007 a 4 090 386 61 Il s est r parti de la fa on suivante parmi les trois types de propri taires e 2 080 910 86 pour les communes e 17 285 06 pour les tablissements publics e 1 992 190 69 pour les priv s 3 2 4 Le cantonnement de Diekirch 3 2 4 1 Exploitation des coupes En 2006 le Cantonnement de Diekirch a abattu 26 672 95 m de bois dont 15 455 73 m de feuillus et 11 217 22 m de r sineux 79 de ce volume de bois tait en provenance des for ts communales 6 des for ts domaniales et 15 des for ts des tablissements publics En ce qui concerne le bois feuillu seulement 24 a pu tre vendu sous forme de grume le rest
95. Vista OS and computers pour assurer la ma trise des nouvelles technologies de l information et pour se perfectionner dans l utilisation des principaux outils de travail 308 3 7 2 Statistiques analyses et mises disposition de donn es En 2007 la Cellule Informatique n a pas pu contribuer la poursuite des travaux en mati re de statistiques foresti res L objectif premier reste l automatisation d une majorit des statistiques foresti res en utilisant les donn es de la gestion foresti re saisies par les pr pos s forestiers dans le cadre de leurs t ches journali res et stock es dans la base de donn es centrale de l administration Les missions en mati re de statistiques foresti res sont e la collecte et l analyse des donn es relatives a la comptabilit financi re et mat rielle en mati re de gestion foresti re e les enqu tes statistiques et conomiques sur la gestion foresti re et la fili re bois e etablissement des comptes conomiques forestiers e le suivi des travaux d organisations internationales concernant les statistiques foresti res de gestion Faute de personnel le poste de travail est inoccup depuis novembre 2006 les travaux de statistiques ont t arr t s en 2007 Ceci concerne aussi bien la collecte de donn es que la compilation de l ensemble des rapports nationaux Comptes Economiques Annuaire statistique STATEC et internationaux EUROSTAT UNECE FAO ITTO
96. bien t orient e vers les GB et TGB et en majorit les gros bois de h tre principes sanitaire de r colte et de renouvellement La qualit pr lev e pourra tre valu e apr s exploitation et d s que seront connus les principaux r sultats des placettes permanentes Le nombre total de tiges martel es hors cloisonnement est assez faible ce qui confirme une conomie des PB et BM et une claircie limit e dans les bouquets de BM 3 3 8 La participation la f te foresti re Clervaux La f te foresti re B schfest a eu lieu le 7 et 8 juillet 2007 sur les terrains de l abbaye St Maurice Eselborn et a t organis e par l association Les b cherons du Nord en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts La fili re bois a t choisie comme th me principal pour le B schfest 2007 tant donn que ce th me couvre des domaines tr s vari s tels que l abattage le fa onnage le d bardage et le transport du bois ainsi que son utilisation dans l industrie l artisanat et le domaine du bricolage Dans ce contexte des expositions et des d monstrations de machines modernes pour l exploitation du bois pour le sciage et la transformation du bois ainsi que pour le travail avec le bois et l b nisterie ont t organis es dans l enceinte r serv e la f te foresti re Une attention particuli re a t port e sur le domaine du bois nergie c est dire le
97. bois de feu chauffages aux copeaux aux pellets aux briquettes de bois aux charbons de bois etc Des d monstrations de d bardage l aide de chevaux de trait ainsi que des concours de maniabilit ont eu lieu afin de pr senter au public l utilisation des chevaux dans le cadre de l exploitation foresti re L Administration des Eaux et For ts a attir l attention de nombreux visiteurs avec son nouveau pavillon en bois Les personnes int ress es y trouvaient par exemple de diff rentes publications sur le th me de l exploitation l aide de chevaux de trait bois nergie sylviculture proche de la nature etc ainsi que des gadgets et des jeux pour enfants A c t du stand d information se trouvait un stand de d monstrations de tournage sur bois On y pr sentait cet art du bois en cr ant par exemple des bols ou des pots en bois Comme les ann es pr c dentes le programme du B schfest 2007 tait tr s diversifi il comprenait divers concours comme par exemple le concours du lancer de la hache le concours de sculpture sur bois et le speed tree climbing mais aussi un concours de b cheronnage avec participation internationale et qualification pour le Championnat du monde 2008 En outre de diff rentes animations pour adultes et pour enfants taient l ordre du jour de la f te foresti re comme la course de mountain bike en for t la promenade dos d ne ou en char banc
98. carburant Les recettes suppl mentaires g n r es par cette taxe ensemble avec le rel vement progressif des taux des accises sur les carburants routiers op r au 1 janvier 2007 et au 1 janvier 2008 afin de limiter l exportation de carburants alimentent le fonds de financement des m canismes de Kyoto Ce fonds permet au Luxembourg de financer des efforts de r duction des missions de gaz effet de serre aussi bien au niveau national l exemple de l aide tatique de 750 qu au niveau international Le principe pollueur payeur se voit donc appliqu Promotion de l lectricit verte Le gouvernement a d cid qu un syst me de subvention allait tre mis en place afin de promouvoir le recours l lectricit verte aupr s des m nages Pour son propre parc immobilier l Etat aura galement davantage recours l lectricit verte Nouvelle l gislation en mati re de performance nerg tique des maisons d habitation L am lioration de la performance nerg tique des b timents d habitation moyennant le respect des nouvelles normes en vigueur depuis le 1 janvier 2008 est une composante essentielle du plan d action de r duction des missions de CO renforc Nouveau r gime d aides pour les conomies d nergie et l utilisation des nergies renouvelables dans le domaine du logement Le nouveau r gime d aides financi res pour les particuliers qui investissent dans des mesu
99. communes de Bourscheid de Consthum et de Hoscheid RN RF 14 e Weimericht commune de Junglinster RN PS 14 e W ngertsbierg communes de Flaxweiler et de Lenningen Travaux de gestion dans les r serves naturelles e Zone prot g e Schlammwiss Mensdorf laboration d une brochure balisage du sentier construction d une plate forme d observation mise en place de panneaux d information e Zone prot g e Vall e de la Haute S re Bruch Pont Misere pr s de Boulaide am nagement d un sentier didactique planification d une tour d observation d un pont et de sentiers sur pilotis 267 laboration de stations interactives sur le sentier laboration d une brochure e Zone prot g e Mamerdall pr s de Schoenfels am nagement d un sentier didactique Gousselerbierg avec brochure e Zone prot g e Schwaarzenhaff Jongeboesch pr s de Steinfort am nagement d un sentier didactique laboration d une brochure et d une pr sentation PowerPoint e Zone prot g e Manternacher Fiels Manternach am nagement du sentier M nschecker avec brochure e Zone prot g e Conzefenn Wemperhard balisage d un sentier didactique laboration d une brochure am nagement de plusieurs sentiers sur pilotis travaux d entretien et de fauchage du sentier laboration de panneaux
100. concours actif des l ves du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck Ces derniers ont travaill sur le site sous la surveillance de leurs enseignants et sous la direction scientifique du bureau d tudes Des r unions avec la commune de Bettendorf ont eu lieu au sujet du projet de restauration de la carri re de Bettendorf Les responsables des services CN de notre administration et du bureau d tudes y ont pris part et il semble maintenant que le projet a pris d finitivement le bon d part 190 3 2 4 11 La for t lieu de loisir Le projet pilote du parc d aventures dans la for t communale de Vianden est devenu op rationnel en 2007 et 1l faut constater que m me sans une publicit tr s pouss e l initiative du pr pos forestier du triage de Vianden conna t un r el succ s L agrandissement des installations en place par des am nagements pour les tr s jeunes et m me pour les seniors a t r alis e en 2007 3 2 4 12 Divers Le groupe M llerthal a organis en 2007 la visite grand ducale annuelle devenue entretemps une tradition appr ci e par Notre Souverain Cette ann e c1 les membres du groupe et le bourgmestre ont accompagn le souverain dans les for ts communales de Bech Comme lors des visites pr c dentes des aspects des patrimoines naturel et historique ont t abord s 3 2 5 Le cantonnement de Grevenmacher 3 2 5 1 Exploitation des coupes Au Cantonnement de Gre
101. conomie nationale qui est plac sous le patronage conjoint du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural et du Minist re de l Environnement Le PEN a pour objet d tablir un cadre social et politique pour la conservation la gestion et le d veloppement durable de tous les types de for ts de fa on renforcer l efficacit des engagements op rationnels et financiers des secteurs publics et priv s Dans cette optique le PFN est une partie int grante du programme de d veloppement national Il implique la consultation et la participation de tous les groupes d int r ts li s de loin ou de pr s au secteur forestier Les travaux du ler DEN au Luxembourg ont d but en novembre 2003 pour aboutir en mars 2004 la formulation d un document national de consensus reprenant les d fis pour la for t luxembourgeoise une vision globale pour la for t de demain les grands objectifs et des propositions de mesures pour la for t Plus de 60 personnes compos s des repr sentants des secteurs public Minist res de l Agriculture des Finances de l Economie de l Environnement du Tourisme priv propri taires gestionnaires exploitants industries du bois chambres professionnelles Syndicats professionnels associatif clubs et associations de naturalistes sportifs chasseurs et scientifique mus es experts bureaux d tudes et centre de recherche coles
102. constitue la pollution qui provient de sources ext rieures la zone tudier L impact des diff rentes sources d missions aux deux stations de mesure sur le territoire de la Ville de Luxembourg est montr dans le graphique ci apr s 2 00 80 0 1 80 70 0 1 60 60 0 1 40 O trafic routier NOx 50 0 S 1 20 a Btrafic ferroviaire NOx E S B centrales d nergie NOx 1 00 40 0 i Bchauffage urbain NOx 0 80 Son 9 Dpollution de fond NOx somme NO2 S 0 60 20 0 0 40 0 20 10 0 0 00 0 0 2005 2010 2005 2010 Centre bvd Royal Bonnevoie Eglise La principale source des missions de NO est le trafic routier Malgr une augmentation du trafic routier entre 2005 et 2010 l impact sur les niveaux de NO diminue en raison des r ductions au niveau des missions des v hicules Le trafic a rien a quasiment pas d impact sur les niveaux calcul s Toutefois le renforcement de la valeur limite annuelle pour le NO de 50 ug m en 2005 40 ug m partir de 2010 m ne au niveau de la station de mesure Luxembourg Centre a un d passement encore plus s v re en 2010 qu en 2005 A la station de mesure de Luxembourg Bonnevoie la valeur NO calcul e pour 2010 atteint presque la valeur limite Par ailleurs on observe cet endroit un impact substantiel du trafic ferroviaire Finalement il est estim qu en 2010 quelque 29000 personnes sur le territoire de la Ville
103. cours va expirer le 31 7 2008 pour un lot le 31 7 2009 et pour un lot le 31 7 2011 Pour un seul lot l assembl e g n rale des propri taires des terrains a d cid le non relaissement du droit de chasse pour la dur e de cinq ans 1 8 2004 31 7 2009 En 2007 deux lots de chasse ont t r amodi s Pour 27 lots de chasse des conventions ont t conclues entre les syndicats de chasse et les locataires du droit de chasse des lots respectifs en vue de la modification du contrat de bail initial admission d un colocataire suppl mentaire renonciation d un locataire sa part indivise du droit de chasse au profit de ses colocataires transfert du droit de chasse d un locataire un autre En outre pour 10 lots de chasse le ou un des locataires du droit de chasse est d c d en 2007 Ainsi une option a t pr sent e par les locataires survivants respectivement les h ritiers en vue de la continuation du contrat de bail de chasse Le service de la Chasse a contr l et avis les dossiers en question 3 5 4 Examen de chasse 62 personnes taient inscrites aux cours pr paratoires 43 personnes se portaient candidats en vue de se pr senter aux diff rentes preuves de l examen Toutes taient recevables La participation aux diff rentes preuves de l examen a t la suivante e Des 39 candidats qui se sont pr sent s l preuve crite 36 candidats 96 3 ont r ussi l preuve et 3 candidats
104. d arbres remarquables Il faut galement noter que la collaboration g n rale entre le SIAS et les triages en ce qui concerne le soutien technique et l empreint de mat riel est exemplaire Triage Hesperange Taille et restauration de saules t tards sur le territoire de la commune de Weiler la Tour Triage Sandweiler Taille de saules t tard le long de la Syre Moutfort Triage Kiem Programme de p turage extensif avec moutons sur 7 ha 199 3 2 6 12 La for t lieu de loisir R cr ation En for t p riurbaine la r cr ation est l une des fonctions essentielles Pour que la for t reste accueillante les installations de loisir les chemins et sentiers doivent tre constamment entretenues Ces travaux indispensables qui pr sentent une fraction de budget non n gligeable portent sur e entretien de promenades sentiers didactiques sentiers V T T et hippiques ainsi que des panneaux explicatifs sur les chemins d acc s l am nagement et l entretien de places pique nique chalets didactiques cabanes et bancs de repos am nagement et l entretien de biotopes l entretien de sentiers touristiques 125 km l am nagement d installations de loisirs 5 000 heures D tails des diff rents triages Triage Dudelange e cr ation d un parcours fitness et d un abri en bois pour la Waldschoul Frisange Triage Niederanven e construction d un Belvedere a Hostert
105. d arbres solitaires et de haies vives dans les communes de Schuttrange Niederanven Hesperange Sandweiler et Weiler la Tour tudes Accompagnement agronomique du p turage itin rant laboration d un inventaire des chemins de la r serve naturelle Haard Dudelange laboration d une aire de jeux en for t laboration d un sentier didactique dans le parc naturel im Brill Mamer tude de faisabilit pour la renaturation de la Syre Berbourg ancien terrain de football laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle L i Bertrange R daction de plusieurs justificatifs pour l laboration d un plan d am nagement de la r serve naturelle um Bierg Bettembourg laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle Pr nzebierg P tange laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle Aarnescht Niederanven laboration d un plan d am nagement pour le r serve naturelle Elllergronn Esch Alzette Monitoring des interventions faites au Bofferdanger Muer Hautcharage laboration de plans de gestion annuels pour les pelouses s ches au sud du pays Inventaire des acul ates Stechimmen dans la r serve naturelle Haard Dudelange R unions de concertation pour laborer un plan de gestion de la r serve naturelle op Hierden Traitement des dossiers d autorisation En 2007 627 dema
106. d velopp Le projet de plan comprend notamment une description de la situation existante des POP au Luxembourg ainsi que des strategies et plans d action pour r duire les missions et immissions des POP 102 Le projet de plan national a t transmis au Secr tariat de la Convention le 4 avril 2007 En outre da t pr sent aux autorit s et organisations nationales concern es par la mati re Les commentaires ont t discut s lors d une conf rence au Minist re de l Environnement et ont t prises en compte lors de la finalisation du projet de plan d finitif qui fait l objet d une publicit sur support lectronique http www environnement public lu a r bruit dossiers POP index html Le Luxembourg a en outre l obligation de fournir r guli rement des donn es de surveillance de POP dans l environnement En 2007 les travaux commences en 2006 pour actualiser une tude r alis e en 1993 94 sur les teneurs en dioxines furannes dans l environnement au Grand Duch de Luxembourg ont t continu s c t des dioxines et furannes sont galement analys s les teneurs en PCB HCB et HAP Les chantillons sont pris dans les sols les s diments des rivi res l air et les aiguilles de sapins Les lieux des prises d chantillons sont choisis s possible aux m mes endroits que lors de l tude en 1993 94 afin de pouvoir analyser l volution des teneurs en POP dans l environnement En ce qui co
107. d une pollution du sol sous sol et des eaux souterraines a d montr une contamination de perchloro thyl ne aux alentours imm diats des anciens emplacements des machines de nettoyage sec Le perchlor thyl ne est utilis en tant que produits de nettoyage sec Il s agit d un solvant facilement volatil qui a tendance de s infiltrer dans le sol et au cas extr me de passer m me des dalles en b ton massif Les contaminations ainsi d tect es dans l immeuble ont toutes t enlev es par excavation 2 7 17 2 Le site AEW Atelier Electrique Walferdange rue de la Gare Walferdange Sur base de l arr t minist riel n 1 05 0167 du 5 juillet 2005 le sol et le sous sol de l ancien site de l Atelier Electrique de Walferdange a t d contamin par excavation des masses pollu es Les terres taient principalement pollu es par des hydrocarbures et des PCB En tout 14 000 tonnes de terres contamin es ont t enlev es du site en question Les travaux de d contamination effectu s sous surveillance d un organisme agr ont d but en d cembre 2006 et se sont d roul s jusqu en juillet 2007 Le site est actuellement consid r comme site assaini avec une contamination r siduelle La contamination r siduelle a t s curis e 2 7 17 3 Le site de la soci t Villeroy amp Boch Rollingergrund En vue d une cessation d activit proche de certaines activit s la soci t Villeroy amp Boch a laiss
108. de 3 75 m ha an soit une baisse de 21 par rapport l ann e pr c dente Cette baisse s explique principalement par les d g ts de chablis dus la tornade du 18 janvier qui a provoqu d immenses d g ts surtout dans les pays limitrophes et plus sp cifiquement en Allemagne Ainsi seul dans le Land Rhenan e du Nord Westphalie cette tornade a fait tomber plus de 15 millions de m de bois Partant bon nombre de coupes pr vues au cantonnement ont t report es ceci surtout apr s la chute du prix des bois qui s en suivait Au cantonnement les d g ts de chabl s sont rest s plut t mod r s soit 6 000 m respectivement 20 ha de for ts S ajoute cela 4 000 m de bois bostrych ceci d au printemps extr mement sec En feuillus les coupes se limitent principalement la r alisation de bois de trituration et du bois de chauffage Le tableau ci dessous repr sente le volume de bois r alis en 2007 dans Le Cantonnement de Wiltz Essence Volume exploit m H tre Ch ne Autres feuillus Total feuillus 2 800 Epicea Douglas P n Autres r sineux 30 20 000 22 800 3 2 9 2 Ventes des bois Au total le cantonnement de Wiltz a organis 1 pr vente r gionale 4 ventes locales bois de chauffage ainsi que 197 ventes de gr gr de bois d industrie r sineux et feuillus et 3 appels d offres 212 Vu la situation pr caire sur le march du
109. de l Agence Europ enne pour l Environnement AEE rappelons que c est la cellule statistique qu a t confi e la gestion du r seau EIONET de PAEE au Luxembourg Ce r seau met en rapport des Centres Th matiques Environnementaux CTE et des Centres Nationaux de R f rence CNR L AEE charge chacun des CTE qui sont des consortiums d administrations d instituts de centres de recherche etc qui ont un contrat avec l Agence de collecter traiter et analyser l information relative son domaine d expertise missions atmosph riques qualit de l air qualit de l eau biodiversit etc Pour obtenir des donn es ainsi que tous les commentaires avertis qui se doivent de les accompagner afin de convenablement les interpr ter et de correctement les agr ger au niveau europ en les CTE comptent sur les NRC qui sont leurs relais et leurs principales sources d information Il semblait donc logique de confier l organisation de ce r seau EIONET la cellule statistique elle m me demanderesse de donn es sur l environnement au Luxembourg En cons quence la cellule est le Point Focal National PFN du r seau EIONET au Luxembourg En tant que PFN elle repr sente trois fois par an le Luxembourg aux r unions des PFN des Etats membres ou associ es de AEE Lors de ces r unions les PEN donnent leurs avis technique sur les travaux de l AEBE et sur la fa on dont ils sont organis
110. de l Environnement pr financera 100 l tablissement du cadastre et se chargera des d penses relatives la coordination g n rale du projet De commun accord il a t convenu que les communes s engageront rembourser la moiti des frais encourus sur leur territoire l Etat En moyenne les frais totaux par commune sont estim s 20 000 dont environ 10 000 seraient charge des communes En total 20 communes ont t cartographi es en 2007 savoir Bastendorf Berdorf Betzdorf Roodt Syre Boulaide Consthum Contern Differdange Esch Sure Eschweiler Ettelbruck Fouhren Heiderscheid Heinerscheid Kayl Koerich Manternach Mersch Mertzig Niederanven Reckange Mess Redange Schengen 1 1 8 2 Plan sectoriel Grands ensembles paysagers et massifs forestiers Depuis la premi re r union du groupe de pilotage charg de la coordination de l laboration du Plan sectoriel Paysages du 16 janvier 2007 la m thodologie et les crit res d valuation des paysages ont t adopt s et mis en pratique Le territoire national a t valu et qualifi selon quatre piliers th matiques la protection de biotopes et d esp ces le volet historico culturel la valeur r cr ative des paysages ainsi que dans l optique de la pr servation de ceintures vertes interurbaines et de la d termination de barri res l urbanisation dans des zones et r gions forte pression urbanistiques et de
111. de l inventaire Ces tests ont donc permis d une part d tablir une moyenne de temps de r alisation du cheminement par type de peuplement et d autre part de tester la faisabilit du cheminement avec les divers outils GPS divers sch mas photos chevill re su doise boussole d tecteur de m tal L objectif final sera de formuler des recommandations pour les bureaux d tudes notamment sous forme d un tableau reprenant la proc dure recommand e pour chaque type de peuplement 235 Concernant les modalit s de cheminement appliqu es lors des tests des tendances nettes ont t identifi es par type de peuplements Certaines recommandations peuvent donc d j tre formul es Temps moyen de cheminement GPS Garmin tr s utile bonne r ception utile jusqu l entr e de la pessi re Inutile sous couvert dense bonne r ception r ception vis es distances Informations de la fiche 4 souvent utile parfois utile azimuts et distance des arbres de l IFLI Le temps de cheminement correspond au temps coul entre le d part de l quipe de la voiture jusqu la d couverte du piquet m tallique repr sentant le centre de la placette e Navigation GPS Lors de l IFLI le mesurage a t effectu avec le Trimble Pathfinder Pro XRS et le systeme de correction n tait pas tr s au point L utilit d un remesurage des coordonn es des placettes avec
112. de l Environnement pour un ou plusieurs des cas mentionn s ci dessus 2 7 16 5 Les contr les routiers en relation avec les transferts nationaux ou internationaux de d chets En 2007 la division des D chets de l Administration de l Environnement en collaboration avec une quipe des Brigades Motoris es de l Administration des Douanes et Accises a effectu 11 contr les routiers sur les fronti res du Luxembourg sur les autoroutes ou l int rieur du pays Le but de ces contr les est la d tection des transferts de d chets non conformes e au r glement grand ducal modifi du 30 novembre 1989 relatif aux huiles usag es e la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets e au r glement grand ducal du 11 d cembre 1996 relatif aux d chets dangereux 160 e au r glement CE N 1013 2006 du Parlement Europ en et du Conseil du 14 juin 2006 concernant les transferts de d chets e au r glement grand ducal du 7 d cembre 2007 concernant le transfert national de d chets e ct au r glement grand ducal du 7 d cembre 2007 relatif certaines modalit s d application du r glement CE N 1013 2006 du Parlement Europ en et du Conseil du 14 juin 2006 concernant les transferts de d chets Un de ces contr les routiers effectu en date du 4 d cembre 2007 a t une op ration concert e entre les autorit s douani res et les forces de l ordre de la Grande R gion
113. de la Gestion de l Eau et du Service de la Radioprotection du Minist re de la Sant 3 6 4 Activit en mati re de for t Les activit s de l Entit mobile en mati re de for t se concentrent surtout sur e les enqu tes rapports et proc s verbaux concernant les infractions la l gislation sur la protection des bois et le d frichement de propri t s bois es et e les contr les des demandes d aide financi re pour travaux forestiers dans le cadre du fonds europ en d orientation et de garantie agricole FEOGA 3 6 5 Autres activit s Les autres activit s de l Entit mobile qui ne peuvent pas tre class es sous une des rubriques ci dessus sont e des investigations enqu tes suppl mentaires et suivi de dossiers sur requ te du parquet du tribunal d arrondissement respectif des enqu tes suppl mentaires et suivi de diff rents dossiers sur requ te des minist res de tutelles des enqu tes concernant des plaintes et d nonciations des enqu tes et rapports concernant la police rurale et foresti re des enqu tes et rapports concernant le respect de la l gislation ayant pour but d assurer la protection de la vie et le bien tre des animaux des enqu tes et rapports concernant le respect de la l gislation relative aux tablissements class s e des enqu tes et rapports concernant la protection des oiseaux e des enqu tes et contr les concernant le r glement grand ducal du 22 avril 1999 f
114. de n gociation devant mener d ic 2009 conf rence de Copenhague un r gime multilat ral participation globale pour la p riode apr s 2012 Bali marque donc le passage d une phase de discussion une phase de n gociation La communaut internationale reconna t aussi l urgence d agir en faisant r f rence aux travaux du Groupe d experts intergouvernementaux du climat GIEC 4 rapport de synth se pr sent Valence en novembre 2007 Notons que le GIEC par les rapports de ses 3 groupes de travail pr sent s dans le courant de l ann e avait intervalles r guliers attir l attention sur la probl matique du changement climatique ses causes ses effets ainsi que les diff rentes options existant pour r duire les missions respectivement pour s adapter la partie du changement climatique d sormais in vitable En 2007 la th matique du r chauffement plan taire a connu une attention m diatique in gal e jusque l L UE lors des n gociations Bali avait souhait une r f rence plus directe aux fourchettes de r duction des missions du sc nario le plus ambitieux analys par le GIEC r duction des missions globales de 50 85 par rapport aux niveaux de 2000 d ici 2050 et un objectif moyen terme pour le groupe des pays de l annexe I de r duire ses mission de 25 40 d ic 2020 par rapport 1990 Or le fait qu une r f rence m me indirecte aux travaux du
115. des Eaux et For ts a poursuivi et renforc la coop ration avec les agriculteurs Plusieurs projets ont pu tre mis en uvre A Mensdorf et Frisange a d but la phase de la commercialisation ainsi que la sensibilisation du public 276 En 2006 le p turage avec du b tail rustique de race Galloway a t d velopp dans la r serve naturelle Dumontshaff dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature Des pourparlers ont t entam s avec les restaurateurs de la r gion pour initier la commercialisation L Institut f r Landespflege de l universit Albert Ludwig de Fribourg en Br a proc d une tude d acceptabilit concernant le projet de la renaturation et du projet de p turage extensif dans la section Schifflange et Bergem de la commune de Schifflange Projets en cours de r alisation Beidweiler Berbourg initiation d un projet d agriculture extensive Echternach initiation d un projet d agriculture extensive Derenbach initiation d un projet d agriculture extensive Nagem initiation d un projet d agriculture extensive Ehner initiation d un projet d agriculture extensive Frisange projet d agriculture extensive Altwies projet d agriculture extensive Mamerdall revalorisation paysag re et cologique de la future zone prot g e de la vall e de la Mamer p turage extensif avec du b tail rustique de race
116. dossiers trait s par l Entit mobile en 2007 203 Cross Compliance FEOGA Autres Ce tableau ne tient pas compte de dossiers des ann es pr c dentes en suspend ou en cours de traitement Le tableau suivant contient les 26 dossiers dont les enqu tes ont abouti jusqu au 31 12 07 un proc s verbal RE CE 0 Cross Compliance In FEOGA Ju Autres LE Les diff rentes activit s et interventions effectu es par l Entit mobile de l Administration des Eaux et For ts durant l ann e 2007 ont t effectu es d office ou bien sollicit es par d autres administrations et services publics respectivement par des organisations d utilit publique ou des particuliers Des relations troites sont entretenues avec les services et triages forestiers de l administration le Minist re de l Environnement ainsi ou avec les services de l Administration de l Environnement P Unit de Contr le de l Administration des Services techniques de l Agriculture Une collaboration troite est galement entretenue avec les deux parquets des tribunaux d arrondissements et le parquet g n ral Des missions concert es avec les pr pos s forestiers ainsi que des interventions d appui ont t r alis es notamment en ce qui concerne la protection de la nature et des ressources naturelles la for t la p che et la chasse 3 6 7 Formation Les agents de l Entit mobile ont fr quent au cour
117. du cantonnement de Wiltz 3 2 9 10 For t priv e Le cantonnement forestier travaille en troite collaboration avec le Groupement forestier de Wiltz Ainsi une partie des excursions foresti res organis es par ce groupement est assur e par le personnel du cantonnement chaque fois qu une occasion s appr te le personnel du cantonnement soutient les propri taires dans la gestion de leur for t Dans le cadre des remembrements forestiers le service travaille en troite collaboration avec PONR en outre pour la mise en place de nouveaux chemins forestiers 3 2 9 11 D g ts de gibier Le nombre de dossiers des d g ts de gibier sur les terrains agricoles a fortement baiss par rapport 2006 186 contre 279 soit un recul de 66 Il en est de m me en ce qui concerne les d g ts 78 ha par rapport 100 ha en 2006 La moyenne des dossiers par triage s l ve donc quelque 18 dossiers Quant aux d g ts de cerfs en for t une dizaine de dossiers ont t trait s pr sentant au total quelque 20 ha Surface ha Nombre de dossiers __ 216 3 2 9 12 Conservation de la nature Dans le cadre de la conservation de la nature un grand nombre de projets a pu tre r alis durant l ann e coul e savoir e plantation et taille de haies e activit s diverses dans le cadre de la journ e de l arbre e collaboration dans le cadre du classement de diverses r serves naturelles e col
118. du point de sondage prises au bureau La fiche n 3 rassemble toutes les donn es g n rales du point de sondage prises sur le terrain Des am liorations ponctuelles mise en page nouveaux tests de plausibilit etc et la validation du module d encodage se sont faits gr ce aux tests de faisabilit sur le terrain encore actuellement en cours ainsi que lors de la phase pilote pr vue en 2008 Les points suivants en relation avec le module d encodage ont t discut s e Un message s affichera dans le cas de changement d affectation du point de sondage entre l IFLI et l IFL2 point forestier vers point hors for t et r ciproquement de sorte ce que l op rateur confirme son choix Une variable connecteur est pr vue pour obtenir rapidement cette information lors des traitements ult rieurs Lors d un changement d affectation du point de sondage comme voqu ci dessus l op rateur devra pr ciser la cause dans la case commentaire de la fiche ou dans une case pr vue cet effet qui s active Ceci est pr ciser dans le guide m thodologique e L ordre de remplissage des fiches ne doit pas tre pr d fini Les bureaux d tudes doivent disposer du choix de travailler dans l ordre qu ils souhaitent e Il faudra pr ciser dans le guide m thodologique que pour assurer une comparaison optimale des donn es les placettes IFL2 doivent tre r alis es la m me saison que lors de l IFLI
119. e Best nde insgesamt extrem dicht und hoch berschirmt Auf 86 der Fl che erreicht der Bestandesschlussgrad 90 bus 100 Aus Kombination der verschiedenen Strukturmerkmale wird f r jede Teilfl che eine Zuordnung n 250 Entwicklungsphasen vorgenommen Danach entfallen im Enneschte B sch 7 auf die Jungwaldphase 79 auf die Optimalphase und 14 auf die Plenter und Verj ngungsphase Monitoring biologique Parall lement aux relev s des habitats forestiers le Service de l Am nagement des Bois r alise un monitoring biologique des r serves foresti res int grales Ce monitoring r pond aux exigences du concept labor par le Minist re de l Environnement en mati re de cr ation d un r seau de r serves foresti res int grales dans la mesure o celui ci met en vidence le r le de monitoring biologique des RFI Cet objectif est galement repris dans le cadre du Plan National pour la Protection de la Nature Le choix des esp ces inventorier s est effectu d une part en fonction des m thodes standardis es disponibles pour les diff rentes esp ces cibles et d autre part en fonction des temps et co ts n cessaires pour le relev de chaque esp ce Ces inventaires ont pour but de donner un aper u de l tat initial de la composition ainsi que de la fr quence des esp ces caract ristiques pour les RFI repr sentatives Comme pour les relev s des habitats forestiers l n est pas
120. eau par syst me d centralis 1 68 8500 00 Situation au 31 12 2007 C Collecteurs thermiques eau chaude sanitaire 1 105 218 83 C C Depuis la mise en oeuvre du programme d aides financi res institu par r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2001 et jusqu au 31 d cembre 2007 un montant global de 84 826 514 62 a t accord pour subventionner 19 433 installations Il y a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations La majorit des subventions accord es concernent les installations photovolta ques 79 des aides financi res et 29 des installations et les chaudi res condensation 15 des aides financi res et 59 des installations La puissance totale install e des 5 559 installations photovolta ques subventionn es est de 20 3 MW 110 R partition selon les aides allou es 6 15 79 E Capteur solaire photovolta que Chaudi res condensation O Reste Situation au 31 12 2007 R partition selon les types d installations 12 been 59 Ol Capteur solaire photovolta que M Chaudi res codensation O Reste Situation au 31 12 2007 2 6 11 2 A1ides financi res pour les investissements r alis s dans le cadre du r glement grand ducal modifi du 3 ao t 2005 En ao t 2005 le deuxi me programme d aides financi res pour les particuliers a d marr L tat d instruction des dossiers se pr sente comme
121. effet de serre Les personnes int ress es par un agr ment dans le domaine de la v rification des missions de gaz effet de serre ont t invit es pr senter leur demande d agr ment au Ministre de l Environnement En 2006 les 15 installations concern es ont toutes proc d une v rification de leurs missions de gaz effet de serre Le tableau ci dessous r capitule le r sultat des v rifications Code Quotas allou s Installation Emplacement d identificatio Cegyco S A Colmar Berg EQE 2005 67356 Dupont de Nemours Powerhouse Contern EQE 2005 2 79588 Ceduco S A z 74423 uxguard 128035 uxguard Il 130300 Quantit d clar e CO O1 O N N O O N JS Jh D gt ol gt plolol D alojo D O1 SS RI ES o ES O N E ES CH o n olola N SS Er S Ro N oo Rlwlo ls D N GA Diallo O1 NIO NISlIS Co E N olal R Co Ciments Luxembourgeois Intermoselle Kronospan Luxembourg 846079 95411 Lux nergie Centrale Stade EQE 2005 15090 Agricole EQE 2005 10 8021 Schifflange Esch Schifflange EQE 2005 11 70996 Profil Arbed Differdange Differdange EQE 2005 12 254415 Profil Arbed Esch Belval Esch Belval EQE 2005 13 228018 Primorec S A Primus Differdange EQE 2005 14 95706 Esch Alzette EQE 2005 15 1104000 Luxenergie Centrale Luxlait Association gt s Wu ao LD gt gt Q Wu D m Ka O 7 EN N O1 AIOINIO 67 a m mg O Z 23 o N n
122. en mati re de mobilit et plus particuli rement concernant l utilisation de la voiture En 2007 elle a t plac e sous le signe des transports en commun car c est actuellement le moyen le plus conomique et le plus respectueux de l environnement pour se d placer de son domicile son lieu de travail ou l cole La campagne ainsi que le programme de la semaine de la mobilit ont t organis s en collaboration avec le Minist re des Transports Le Minist re de l Environnement quant lui s est charg de la campagne nationale plus particuli rement de l impression d affiches et de la distribution de gadgets de la diffusion de spots radio TV et cinema ainsi que de la publication d annonces dans les journaux luxembourgeois 1 1 4 N gociations internationales dans le domaine du changement climatique Sur la sc ne internationale l ann e 2007 a t marqu e par la 13 conf rence des parties la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques COP13 3 conference des parties agissant comme r union des parties au Protocole de Kyoto COP MOP3 laquelle s est tenue du 3 au 14 d cembre Bali Indon sie Le Luxembourg a t repr sent au segment minist riel par Monsieur Lucien Lux Ministre de l Environnement Le principal r sultat de la conf rence de Bali a t l accord sur la feuille de route de Bali la communaut internationale s est mise d accord sur un mandat
123. en mati re foresti re et rurale de chasse de p che et de l environnement naturel les agents de l Entit mobile sont appel s participer de nombreuses autres activit s de l administration 3 6 1 Activit s en mati re de protection de l environnement naturel Les activit s en mati re de protection de l environnement de l Entit mobile sont les suivantes e enqu tes rapports et proc s verbaux concernant les infractions la l gislation sur la protection de la nature et des ressources naturelles contr les des conditions d autorisations minist rielles contr les des r tablissements des lieux inflig s par d cision minist rielle et par l administration rapports tablis pour le minist re afin d argumenter des fermetures de chantiers contr les Cross Compliance contr les des dossiers FEOGA contr les des contrats Biodiversit contr les des r tablissements des lieux sur requ te du parquet g n ral organisation suivi et ach vement des r tablissements des lieux ex cut s par des entreprises en cas de non ex cution par les personnes jug es enqu tes et rapports concernant les remembrements agricoles et viticoles e contr les et rapports concernant le R G D du 14 mars 2002 concernant la pratique de l escalade en milieu naturel e prises d chantillons pour d terminer des pollutions 3 6 2 Activit s en mati re de chasse Parmi les activit s de l Entit mob
124. en tant que r serve foresti re int grale Etat d avancement Le dossier de classement a t finalis et a t remis par le bureau d tudes La surface de la future zone prot g e est de 154 ha La commune de Berdorf en est le principal propri taire avec 122 ha suivi de la commune de Consdorf avec 29 ha Le restant appartient principalement des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit e d un c t les propri t s des deux communes ayant donn leur accord de principe pour participer au projet sont int gr es dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficieront des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement tout en donnant la possibilit aux propri taires priv s de participer ce projet par l interm diaire des primes biodiversit L av s du Conseil Communal de Berdorf est attendu Projet de r serve foresti re int grale Hieberb sch a Mompach Description g n rale du projet La for t du Bois de He
125. entreprises nouvellement rattach es la SuperDrecksK scht en 2007 s l ve 337 Le tableau et le graphique suivants montrent le nombre des entreprises rattach es en fonction du nombre des employ s ER RE PS EE CR BER TE employ s emp oy s ll wl ol ol ll el s1 loy 50 99 RE EE 00employ s 28 a sl mi 160 me 250 zm raa oso e SuperDrecksKescht fir Betriber Evolution de la r partition des entreprises en fonction du nombre de leurs employ s 100 90 80 70 Bu m 100 employ s 2090 050 99 employ s 40 0 O0 49 employ s 30 0 gin 19 employ s 20 Di 3 employ s AT EHRT CH Ei ALT Bac wu armen rer 10 UG 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Ces chiffres montrent qu il existe toujours une certaine tendance pour que de plus en plus d entreprises avec des effectifs plus importants adh rent la SuperDrecksK amp scht Dr Betriber bien que la cat gorie des entreprises dont les effectifs sont compris entre 1 9 employ s repr sente toujours la cat gorie la plus importante Les secteurs les plus repr sent s dans la SuperDrecksK amp scht fir Betriber sont les suivants 145 269 Distribution et reparat on de 213 voitures automobiles H tels restaurants et campings Etablissements et services publics 178 administrations Etablissements de service Etablissements de soins et de la 150 sant 129 En tout le nombre des personnes employ e
126. es dans diff rentes r gions du Gutland sur une distance totale vol photo de 59 km r partis sur 19 bandes 3 3 3 Les travaux geodesiques Le service utilise plusieurs r cepteurs GPS et s occupe de la maintenance de ces syst mes a Le r cepteur TRIMBLE Pathfinder utilis avec un fieldbook TRIMBLE TSCI mesurage avec correction en temps r el pour une pr cision subm trique soit moyennant le service de r ception par satellites OMNISTAR soit avec un r cepteur dGPS AMDS BOSCH qui sert en premier lieu dans le cadre du monitoring des RFI b Le r cepteur TRIMBLE Pathfinder ProXH mesurage avec correction en temps r el moyennant les stations fixes de l ACT pour une pr cision submetrique utilis soit avec un fieldbook TRIMBLE RECON avec syst me d exploitation Windows Mobile sur lequel tourne le logiciel de saisie et de param trage du r cepteur GPS TerraSync Professional soit avec un tablet PC PANASONIC Toughbook CF 18 avec le syst me d exploitation Windows XP Pro sur lequel tournent les logiciels de SIG ArcPad avec le logiciel de saisie et de param trage du r cepteur GPS Trimble GPS Analyst qui sert actuellement dans le cadre de l IFL2 c 6 r cepteurs Garmin GPS map 60 CS respectivement GPS map 60 CSx utilis s notamment dans le cadre de l IFL2 de l inventaire phytopathologique de l inventaire des sites historiques et culturels des arbres remarquables Le service utilise par ailleurs une stati
127. et est proximit d autres zones humides d une grande valeur cologique Les r serves en cours de proc dure Am Dall et Kouprich commune de Wincrange RN ZH 07 et 08 Burgerkr iz commune de Walferdange Brucherbierg et Lallingerbierg communes d Esch sur Alzette de Kayl et de Schifflange Conzefenn communes de Troisvierges et de Weiswampach RN ZH 06 Dumontshaff communes de Bettembourg de Mondercange et de Schifflange RN ZH 45 Gr ngewald communes de Junglinster de Lorentzweiler de Luxembourg Ville de de Niederanven de Sandweiler de Steinsel et de Walferdange Griechten communes de Bascharage et de Garnich RN RF 17 e Hoffelt Kaleburn commune de Wincrange RN ZH 09 e Keidinger Brill communes de Fischbach de Heffingen de Junglinster et de Larochette RN RD 08 et ZH 28 e Lannebur communes de Frisange et de Weiler la Tour RN ZH 54 Mamerdall communes de Bertrange de Kehlen de Kopstal de Lintgen de Lorentzweiler de Mamer de Mersch de Steinsel et de Strassen RN RF 21 Manzebaach communes de Fischbach et de Larochette RN RD 07 Reier commune de Mompach RN ZH 36 Schlammwiss Aalbaach communes de Betzdorf de Niederanven et de Schuttrange RN ZH 51 Schwaarzenhaff Jongeb sch communes de Hobscheid et de Steinfort RN RD 14 Vall e de la Haute S re Bruch Pont Misere communes de Boulaide et de Rambrouch RN ZH 16 et 84 Vall e de la Schlinder
128. eu lieu avec le groupe de travail pour la mise en pratique de la directive 2006 66 CE Au cours de ce groupe plusieurs versions de l avant projet de r glement grand ducal ont t discut es Le projet de r glement grand ducal a t d pos au Conseil de Gouvernement en date du 27 juillet 2007 Le 23 Octobre 2007 le Conseil d Etat avait donn son avis quant au projet de r glement grand ducal Le Conseil d Etat n entendait pas examiner les diff rentes dispositions du projet sous avis d aux diff rentes remarques formul es dans son avis e La base l gale pour la transposition de la directive est la loi modifi e du 17 juin 1994 Or cette loi ne traite pas express ment des piles et accumulateurs ou les d chets qui en r sultent de ces produits e Nouvelles obligations qui vont au del des normes g n rales de la loi du 17 juin 1994 financement syst me sp cifique d enregistrement et d agr ment et un syst me d information Dans cette logique Le Conseil d Etat consid rait qu il serait n cessaire de transposer en droit national la directive 2006 66 CE par des dispositions l gales soit en compl tant la loi du 17 juin 1994 Vu cet avis n gatif il a t d cid de transposer la directive en droit national pour une nouvelle lot Le retard entam pourra retarder la date obligatoire pour la transposition en droit national du 26 septembre 2008 De plus le groupe de travail a d cid de lancer une t
129. f rence aux v hicules faible consommation de carburant Le faibles missions de CO le gouvernement a mis en place par voie de r glement grand ducal une aide financi re de 750 pour les personnes physiques lesquelles mettent en circulation entre le 1 juin 2007 et le 31 d cembre 2009 une voiture dont les missions de CO ne d passent pas 120 g km La consommation de carburant correspondante s l ve 5 litres d essence 100 km respectivement 4 5 litres de diesel 100 km Conscient du fait que les voitures avec des missions de CO inf rieures 120 g km sont des voitures de taille relativement petite et pr sentent au maximum 5 places assises le seuil en dessous duquel une aide financi re est accord e a t port 160 g de CO km pour les voitures comportant au moins 6 places assises condition que la personne au nom de laquelle la voiture est immatricul e fasse partie d un m nage compos d au moins 6 personnes Pour les voitures fonctionnant au gaz naturel ainsi que pour les voitures hybrides ce m me seuil de 160 g de CO km est appliqu Cette aide financi re de 750 s ajoute d autres mesures d j en vigueur telles que la taxe sur les v hicules routiers entr e en vigueur 1 janvier 2007 restructur e selon des crit res environnementaux de mani re inciter le citoyen lors de l acquisition d un nouveau v hicule donner pr f rence aux v hicules faible consommation de
130. fiches r flexes Ce n est qu apr s l laboration de cette partie du plan d urgence externe par l Inspection du travail et des mines que l Administration de l Environnement fait compl ter ce plan par les donn es sp cifiques relatives la protection de l environnement environnement autour des sites donn es m t orologiques gestion des eaux pollution par des fum es de combustion fiches r flexes compl t es 60 En ce qui concerne les diff rents sites en question tous les documents exig s concernant le triage de Bettembourg des CFL sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes derni re actualisation du 22 03 2007 Le plan d urgence externe en ce qui concerne la partie environnement PUE PCPE sera labor apr s finition du PUE PCPP partie protection des personnes En ce qui concerne Cimalux de Rumelange ce site ne deviendra op rationnel qu en 2009 et tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes depuis le 16 02 2007 les installations pertinentes pour le classement SEVESO ne seront autoris es qu en 2008 et vont tre construites avant juillet 2009 Le plan d urgence externe sera r alis avant la mise en service des installations En ce qui concerne Cosmolux Echternach tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes depuis le 05 04 07 Le plan d urgence externe en ce qui concerne la partie environnementale PUE PCPE
131. heures e planification d un sentier de d couverte avec brochure d information Stengeforter Steekaulen campagne fauchage tardif avec mesures concr tes en collaboration avec la commune de Steinfort plantation d un cran de verdure de 150 m Steinfort dans le cadre de la Journ e de l arbre 75 r unions avec les communes et tablissements publics et sorties en for t encadrement d un stagiaire garde forestier encadrement de 12 tudiants pendant deux semaines durant les vacances scolaires 241 Tous les triages forestiers e travaux de martelage des coupes feuillues annuelles dans les propri t s foresti res soumises au r gime forestier e ventes locales de bois de chauffage e installation de laies de d bardage dans certaines for ts soumises au r gime travaux r alis s dans le cadre de la certification des for ts 3 2 9 Le cantonnement de Wiltz 3 2 9 1 L exploitation des coupes Conform ment l application d une sylviculture proche la nature les travaux d claircies dominaient Des coupes rases ont t uniquement r alis es dans le cadre des d g ts de chablis de janvier de la lutte contre les attaques des scolytes et lors du d boisement de fonds de vall es enr sin s ceci dans un int r t cologique g n ral Le volume global exploit lors de l exercice 2006 2007 se chiffre 22 500 m dont 2 800 m de feuillus ce qui correspond un volume exploit
132. impact extr mement positif sur la qualit et la p rennit de la station ainsi que sur la biodiversit est toutefois primordial 3 3 5 Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National 3 3 5 1 La collaboration avec la FUSAGx La convention de recherche avec la Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux FUSAGx pour le suivi scientifique et l assistance technique de l Inventaire Forestier National permanent deuxi me cycle IFL2 du Grand Duch de Luxembourg a t formalis e le 2 mai 2007 Elle initie des travaux qui sont programm s sur une dur e de 3 ans dater du ler janvier 2007 et s nscrit dans la continuit d autres conventions men es depuis dix ans concernant la mise en uvre et la finalisation du premier inventaire forestier national permanent 3 3 5 2 La mise en uvre de l IFL2 Les travaux de mise en uvre de l IFL2 largement entam s peuvent se diviser en deux parties compl mentaires l la r vision et la finalisation du guide m thodologique 2 les tests de faisabilit sur le terrain 233 La premi re tape de la mise en uvre de l IFL2 deuxi me passage a t d analyser le document d evaluation du premier cycle de mesures Cela consiste passer en revue chaque remarque proposition du document et d incorporer l ventuelle modification dans le document de r f rence du deuxi me cycle de mesures savoir le guide m thodologique
133. jours en 2006 et 56 en 2007 Le BTX de Luxembourg Bonnevoie pr sente des interruptions plus courtes totalisant 42 jours en 2007 et 25 jours sans mesures en 2006 contre 33 jours en 2005 L analyseur de poussi res fines PM dans l air ambiant Beckerich commen ait par poser des probl mes de fonctionnement d but juillet 2005 Noter que cet analyseur mesure la pollution de fond en particules fines en milieu rural loin des sources d mission et qu il peut ventuellement jouer le r le de moniteur de r serve L analyseur O3 N 188 mis en service en juin 1992 et install Beckerich a t retir du r seau pour probl mes s rieux de fonctionnement r p tition Un nouvel analyseur ozone a t acquis et mis en service en Juillet 2007 L analyseur NOx N 1307 mis en service en juin 1999 et install Luxembourg Centre a t retir de la station pour vieillissement pr matur cause des conditions de mesurage difficiles dans cette station Un nouvel analyseur a t acquis et mis en service en septembre 2007 L automate de gestion de la station de Luxembourg Centre pr sentait de nouveau les probl mes et ne parvenait plus enregistrer des donn es Apr s deux semaines d interventions entre le 12 avril 2006 et le 26 avril 2006 le logiciel a de nouveau pu tre rendu op rationnel Durant ces deux semaines les mesures taient r cup r es au niveau de la m moire des analyseurs pour viter la format
134. la Syre La restauration du lit de la Syre l installation de l infrastructure r cr ative a t suivie par des mesures favorisant le p turage extensif Tous ces travaux sont dirig s par les universit s de Fribourg et de Hambourg et ont lieu en collaboration avec les administrations de la Gestion de l Eau et des Services Techniques de l Agriculture et avec le soutien de l administration communale de Betzdorf Par le pass un inventaire a d termin les sites susceptibles d tre recolonis s par le castor En 2007 le cantonnement forestier de Grevenmacher a continu valoriser cologiquement ces biotopes l aide de boutures de saules Ces actions ont eu lieu Canach et Remich Grevenmacher des pic as non autochtones ont t enlev s dans une zone humide Des remembrements agricoles viticoles et forestiers p ont eu lieu ou bien se d roulent Biwer Mompach Schwebsange et Stadtbredimus Les dossiers CN y relatifs sont trait s par nos services Des visites des lieux de nombreuses r umions avec les administrations concern es font partie de nos t ches Les conditions impos es dans les autorisations minist rielles sont contr l es au fil de leur ex cution sur le terrain 192 La ferme domaniale du Potaschhaff est entretenue par nos soins Un p turage extensif a l aide d ovins sert comme outil et comme tiquette 3 2 5 10 La for t lieu de loisir Les services du cantonnement for
135. la protection de la nature une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la coh rence cologique du r seau des zones prot g es par le maintien et le d veloppement des l ments du paysage qui rev tent une importance pour la faune et la flore sauvage Les aides pr vues sous h et 1 sont allou es sous condition que les b n ficiaires soient un ou plusieurs communes ou un syndicat de communes ayant pour objet la protection de l environnement naturel ou un tablissement d utilit publique ayant pour attribution la protection de l environnement naturel 1 2 2 Le comit de gestion du fonds pour la protection de l environnement La loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement a cr en son article 6 un comit de gestion du fonds Le r glement grand ducal du 15 novembre 1999 d termine les modalit s de fonctionnement dudit comit l arr t minist riel du 18 janvier 2006 porte nouvelle d signation des membres dudit comit 13 Conform ment la loi pr cit e les missions du comit concernent e la planification pluriannuelle des d penses du fonds e l ajustement du rythme des d penses aux disponibilit s financi res du fonds e la r orientation progressive du fonds vers des investissements de nature pr ventive En 2007
136. lair ambiant pour la fraction sp cifique des poussi res PM ont t introduites PM particulate matter de taille lt 10 um et qui peuvent p n trer dans les poumons La directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 d crit en d tail ces nouvelles normes et le nombre de d passements tol r s 89 PROTECTION DE LA SANTE HUMAINE e A partir du 01 01 2005 la valeur limite de 50 ug m 293 K 101 3 kPa en tant que moyenne journali re est a respecter gt Le nombre de d passements tol r s par an ne devra pas exc der 35 jours gt A partir du 01 01 2010 le nombre de d passements tol r s par an ne devra pas exc der 7 jours e Un facteur correctif par d faut X 1 2 est appliquer aux mesurages qui ne correspondent pas la m thode de r f rence car elles sont sous valu es syst matiquement Particules fines inhalables PM 10 Protection de la sant humaine Nombre de d passements par an de la valeur moyenne journali re de 50 ugim de 1996 au 31 d cembre 2007 LB et ES facteur correctif x 1 2 LC x1 70 60 o 50 DO D 40 Nombre maximal de 35 d passements par an tol r s D 33 32 2 D 30 TD D 21 Fo O Z SH 20 10 6 i Es DUT a Ay 8 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Annee m Luxembourg Centre Place Hamilius Boulevard Royal Depuis le 28 f vrier 2006 R seau METLOU
137. le secteur de l industrie deux d cisions successives de la Commission europ enne intervenues le 29 novembre 2006 et le 13 juillet 2007 ont limit le volume des allocations au secteur concern par le syst me communautaire d change de quotas 2 488 millions de tonnes de CO par an pour la p riode 2008 2012 alors que le plan d allocation soumis par le Luxembourg en juillet 2006 pr voyait un volume de 3 95 millions de tonnes dont 3 17 millions de tonnes par an pour les installations existantes Il convient de mentionner que dans le souci d une application uniforme du champ d application de la directive 2003 87 CE la Commission europ enne a accept le retrait d une installation ainsi que de certaines parties de deux autres installations du plan d allocation du Luxembourg e Recours aux m canismes flexibles Afin de respecter ses engagements du Protocole de Kyoto le Luxembourg doit acqu rir des droits d mission l tranger notamment par le biais de projets dans des pays en voie de d veloppement Ces engagements financiers sont couverts par le fonds de financement des m canismes de Kyoto lequel est aliment en application du principe du pollueur payeur par les recettes g n r es par le rel vement progressif des accises sur les carburants routiers Kyoto cent ainsi que par 40 du produit de la taxe sur les v hicules routiers deux mesures entr es en vigueur au 1 janvier 2007 La Chambre des M tiers e
138. le suivi de tous les documents adress s l administration et qui n est pas encore g r par des programmes pour des applications sp cifiques comme p ex les proc dures d autorisation des tablissements class s les proc dures de notification des transferts de d chets les dossiers de demande d aides financi res en faveur des nergies renouvelables ou encore la gestion des plan de pr vention et de gestion des d chets Une autre nouveaut dans l organisation de l Administration de l Environnement intervenue au cours de l ann e 2007 est celle de la cr ation d un pool administratif Par ceci il faut comprendre une unit dont la mission consiste dans l accomplissement d un certain nombre de travaux administratifs accessoires qui n anmoins sont d une importance essentielle pour le bon fonctionnement de l administration tels que par exemple le standard t l phonique la r ception la distribution du courrier interne et externe la saisie de donn es dans des banques de donn es l accomplissement de certains travaux manuels et r parations etc En vue de la cr ation de ce pool administratif 4 agents ont t engag s dans le statut des travailleurs handicap s pour se Joindre une personne engag e en 2006 et dont la t che essentielle est d assurer le fonctionnement de la r ception et le standard t l phonique Le pool administratif est organis de telle fa on que certains travaux n cessaires pour
139. ou versant de la Minette secteur n 17 et plateaux de la Minette secteur n 18 Ainsi la for t est r partie de fa on peu pr s gale sur ces deux secteurs cologiques 224 Au niveau des peuplements en place dans l tage principal le h tre occupe plus de la moiti de la surface totale de la propri t Ensuite viennent les feuillus autres que le h tre et le ch ne qui occupent pr s de 15 de la surface totale Les r sineux n occupent que 12 de la surface totale En observant la r partition par classe d ge on remarque que la moiti de la surface occup e par le h tre est concentr e dans la classe d ge la classe d ge 121 140 ans Un autre fait marquant est que les feuillus autres que le ch ne et le h tre sont absents dans les classes d ges adultes et sont concentr s dans la classe d ge 0 20 ans Il s agit essentiellement de plantations suites aux chablis survenus en 1990 Le document de planification s int resse outre la fonction de production en bois aux aspects ayant trait la biodiversit relev du bois mort et des autres l ments d int r t cologique aux aspects cyn g tiques la vocation sociale et r cr ative de la for t ainsi qu aux fonctions et statuts actuels de protection A ce niveau la pr sence d une zone prot g e savoir la r serve naturelle Am Brill est signaler De m me la propri t foresti re de la commune de Sch
140. p 2038 R glement grand ducal du 4 juillet 2007 d clarant zone prot g e d int r t national et r serve naturelle la zone foresti re Grouf sise sur le territoire des communes de Remerschen et de Burmerange 2007 A 170 p 2728 Reglement grand ducal du 24 juillet 2007 modifiant les annexes I et II du r glement grand ducal modifi du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement 2007 A 128 p 2280 Reglement grand ducal du ler ao t 2007 abrogeant le r glement grand ducal du 20 juin 1973 autorisant la d cimation de l tourneau 2007 A 128 p 2282 Reglement grand ducal du ler ao t 2007 modifiant l arr t grand ducal du 10 mars 1959 ayant comme objet la destruction des animaux malfaisants et nuisibles 2007 A 128 p 2282 R glement grand ducal du ler ao t 2007 modifiant le r glement grand ducal du 8 avril 1986 concernant la protection int grale et partielle de certaines esp ces animales de la faune sauvage 2007 A 128 p 2282 19 Reglement grand ducal du 1 ao t 2007 relatif la mise en place d un Syst me d Inventaire National des missions de gaz effet de serre dans le cadre de la Convention cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique 2007 A 130 p 2318 Reglement grand ducal du ler ao t 2007 modifiant le r glement grand ducal du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s 2007 A
141. par le service ducatif du MNHN Mais parall lement l augmentation d activites dans les deux Centres d accueil une diminution de personnel dans les centres d accueil est noter En effet depuis septembre 2007 les centres d accueil ne disposent plus de CATs pour garantir les permanences et contribuer au fonctionnement des centres d accueil Voil pourquoi que le centre d accueil A Wiewesch est ouvert depuis septembre 2007 seulement lorsque le pr pos forestier est pr sent c est dire le lundi et le mardi et ventuellement le vendredi Le centre d accueil Ellergronn est ouvert m me s le pr pos forestier n est pas pr sent Pendant son absence l ouverture de l exposition est alors garantie par un ouvrier forestier 268 Le probl me de personnel dans les centres d accueil qui n est pas nouveau persiste donc et s aggrave m me en 2007 sans qu une solution nat t trouv e Ceci est d autant plus regrettable que les activit s dans les deux centres d accueil ont consid rablement augment s et que ce manque de personnel bloquera tr s bient t toute croissance dans les centres d accueil La nouvelle collaboration mis en place en octobre 2006 avec le service ducatif du MNHN intitul e mam Mus e eraus op e flotte Site c est av r en 2007 un vrai succ s dans les deux centres d accueil De nombreuses classes d cole venant de toutes les r gions du G
142. par r glement grand ducal en date du 20 septembre 2005 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 244 6 ha La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude Avancement du projet L inauguration du sentier didactique pour enfants a eu lieu le 6 juin 2007 en pr sence de Monsieur le Bourgmestre de la commune de Bettembourg ainsi que de repr sentants de l Administration des Eaux et For ts Une des particularit s de ce sentier didactique consiste dans le fait que les panneaux ont t sp cialement con us pour des enfants de l cole primaire c d que les sujets trait s sont pr sent s de fa on attirer la curiosit et permettre la compr hension des plus jeunes pour cette nouvelle valeur environnementale Le sentier didactique comporte en tout cinq panneaux qui sont install s le long du chemin principal qui traverse la r serve foresti re int grale Comme il s agit d un sentier pour enfants les panneaux ont t install s leur hauteur Les panneaux sont compos s de la fa on suivante Le sujet central se pr sente toujours sous la forme d un dialogue entre deux animaux qui habitent la for t changeant leur point de vue sur le milieu dans lequel ils vivent Comme dans une bande dessin e ce dialogue a pour but de r
143. plus difficile affecter ces ouvriers des emplois r pondant leur qualification et leur tat de sant Avec la collaboration de la Cellule Informatique de l Administration des Eaux et For ts il a t proc d au calcul des frais de gestion des ouvriers forestiers pour les travaux ex cut s dans les for ts soumises au cours de l ann e 2006 Les frais charge des communes et tablissements publics se sont lev s 7 962 656 EUR ce qui constitue par rapport 2006 une diminution de 2 40 de la quote part payer par les communes Les engagements d tudiants pendant les vacances scolaires pour remplacer ou assister le personnel ouvrier en place ont connu aupr s des triages forestiers un franc succ s Pas moins de 178 tudiants ont t engag s ce qui constitue une hausse de 39 unit s par rapport 2006 Les accidents de travail restent un ph nom ne pr occupant pour les services forestiers qui ont enregistr pas moins de 55 accidents au cours des douze derniers mois Ceci constitue une baisse de 4 unit s par rapport 2006 Il convient toutefois de constater ou aucun accident mettant la vie en danger d un salari ne s est produit au cours de l ann e coul e Avec un taux de 7 04 la moyenne annuelle du cong de maladie reste tr s pr occupante Des efforts suppl mentaires la fois dans le domaine de la pr vention qu en mati re de contr le des cas douteux sont faire afin d
144. pos s forestiers ont organis ensemble avec les diles locaux la Journ e de l Arbre Les pr pos s forestiers ont organis une trentaine d excursions guid es au profit des classes des coles primaires des communes Le centre d accueil A Wiewesch Manternach profite d un int r t accru du personnel enseignant qui utilise cette nouvelle infrastructure pour acc der aux sites naturels et pour porter les techniques d antan la connaissance des l ves 193 Le pr pos du triage de Manternach ensemble avec le Service CN central ont organis une vingtaine de visites guid es au profit de classes scolaires int ress es Parall lement l affluence de groupes d adultes y va en croissant de nombreux groupes ont pu tre accueillis au centre En effet la force d attraction de la for t des ravins de la r serve naturelle Manternacher Fiels a gagn en vigueur gr ce au centre d accueil Le pr pos du triage de Flaxweiler a collabor avec le SNJ et les L tzebuerger Guiden a Scouten durant 24 journ es enti res et a guid 1 200 l ves travers la nature Le m me pr pos a organis des activit s et dispens des explications quatre classes du pr scolaire dans le cadre du projet Natur erliewen an der Schoul Il y a lieu de mentionner tout particuli rement la quarantaine de visites guid es dans la r serve naturelle Haff R imech dispens es environ 1 500 amateurs de la
145. pour le compte des communes membres du syndicat du syndicat lui m me du Minist re de l Environnement ainsi que pour le compte de tiers Le plan national concernant la protection de la nature adopt en 2007 met l accent sur l opportunit d tendre la couverture nationale par des syndicats communaux dans ce domaine de fa on atteindre une couverture territoriale de la totalit du Grand Duch Conform ment au dispositions la loi du 3 ao t 2005 concernant la promotion du partenariat entre l Etat et les syndicats de communes ainsi que le renforcement de la d marche scientifique en mati re de protection de la nature un comit de coordination plac sous l autorit du ministre de l environnement a t cr e Le comit de coordination a pour mission d assurer la coh rence et la coordination entre les programmes et activit s r aliser par les syndicats dans le cadre des conventions conclues Le comit est compos de repr sentants du Minist re de l Environnement de l Administration des Eaux et For ts du Mus e national d histoire naturelle ainsi que des repr sentants des syndicats signataires d une convention Le comit de coordination s est r uni cinq fois en 2007 10 1 1 8 Mesures et instruments en matiere de protection du paysage 1 1 8 1 R alisation d un cadastre de biotopes prot ger Le Plan national concernant la protection de la nature adopt par le Gouvernement en Conseil en
146. qui se montraient invasives en automne 2006 ont t fortement r duites Apr s les chablis de janvier et suite un avril chaud et tr s sec les populations de bostryche ont pu se d velopper massivement jusqu en juin Puis gr ce un reste de l ann e plut t frais et humide ces populations se sont vues de nouveau r duites Au total quelque 4 000 m de bois bostrych ont t compt s en for t soumise alors qu en for t priv e quelque 40 ha ont t r alis s d l attaque du bostryche 3 2 9 5 Regeneration plantation travaux culturaux Les plantations sur coupes rases sont tr s limit es En fait cette m thode est uniquement appliqu e dans le cadre du reboisement de parcelles o l ancien peuplement a d c der soit pour des raisons sanitaires soit pour des raisons cologiques fonds de vall es 213 Pour le restant les plantations ont t r alis es sous couvert Cette m thode pratiqu e depuis plusieurs ann es au cantonnement a fait ces preuves La composition de ce couvert est tr s vari e savoir vieux peuplements feuillus r sineux ou taillis de ch ne fortement claircis au pr alable m l zes plant s large cartement v g tation pionni re sur des vieilles coupes rases interrompue par des laies Comme les jeunes plantes sont mieux prot g es contre le gel la s cheresse et l ensoleillement elles se d veloppent plus rapidement ce qui r duit les frais de d gagements
147. r duction des fuites en provenance des quipements frigorifiques Le r glement grand ducal modifi du 18 avril 2004 qui vise les missions de CFC HCFC et HFC met en oeuvre le syst me de contr le des fuites au Grand Duch du Luxembourg Le r glement stipule que e Les installations nouvelles et les installations existantes qui ont subi une transformation importante doivent tre r ceptionn es par les agents comp tents de la Chambre des M tiers e Les installations vis es doivent tre r vis es annuellement par un frigoriste disposant d un certificat de contr leur pour installations de climatisation et de r frig ration afin de d terminer le taux de fuites des installations e Les fuites ne doivent pas d passer 5 de la charge initiale au cours d une ann e e Une installation qui apr s des op rations de maintenance comprenant notamment une transformation importante ne respecte pas la valeur limite pour les fuites ne peut tre maintenue en service Au cours de l ann e 2007 la mise en place du syst me de contr le des fuites au Luxembourg a t r alis e en collaboration avec la F d ration des Installateurs en Equipements Sanitaires et Climatiques la Chambre des M tiers la Superdreckskescht et le Centre de Ressources des Technologies pour l Environnement Deux cours de formation pour contr leurs d installation de r frig ration et de climatisation ont t organis s Un cours a t tenu en lan
148. ration en zones de nombreux peuplements parpill s sur toute la propri t les bases pour la r g n ration de la for t de Bous sont garanties Pour la p riode d am nagement venir la for t de Bous est am nag e dans son ensemble selon la m thode d am nagement de la futaie r guli re qui vise atteindre un quilibre dans les classes d ge Le traitement de futaie r guli re pr sente les caract ristiques suivantes e les arbres sont duqu s en peuplement quiennes ou sensiblement de m me ge c est dire de dimensions voisines Pour un m me peuplement les phases d am lioration puis de r g n ration sont diff renci es dans le temps e l exploitation porte sur la totalit des peuplements d une parcelle parquet donn e lorsque sa r g n ration est programm e Les affectations suivantes ont t d finies Quartier de pr paration conversion en FI 52 59 57 36 227 La surface a r g n rer est calcul e partir des surfaces qui seront occup es long terme par les essences principales objectif et des ges d exploitabilit optimaux de ces essences Pour la for t communale de Bous la surface r g n rer suivante a t retenue Surface r elle Surface r elle regenerer en 10 ans r g n rer en 30 ans ha ha Quartier de r g n ration strict Sech Quartier de r g n ration largi Quartier de pr paration
149. sera labor apr s finition du PUE PCPP partie protection des personnes En ce qui concerne Guardian Luxguard I Bascharage tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes depuis le 04 06 07 Le plan d urgence externe en ce qui concerne la partie environnementale PUE PCPE sera labor apr s finition du PUE PCPP partie protection des personnes En ce qui concerne Guardian Luxguard II Dudelange tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes depuis le 31 05 2007 Le plan d urgence externe en ce qui concerne la partie environnement PUE PCPE sera labor apr s finition du PUE PCPP partie protection des personnes En ce qui concerne le site des d p ts p troliers de Bertrange comprenant les soci t s Kuwait Petroleum Luxembourg S A Shell Luxembourgeoise S A et ESSO Luxembourg S A tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes Le plan d urgence externe est achev en ce qui concerne la protection des personnes et est actuellement en laboration en ce qui concerne les aspects environnementaux En raison de leur proximit les d p ts p troliers des trois soci t s sont trait s dans un seul PUE Le PUE partie relative protection de l environnement PUE PCPE est en laboration aupr s du bureau sp cialis depuis le novembre 2006 Ce PUE PCPE a pour objet en premier lieu de v rifier puis de co
150. stations de travail ont t configur es par la Cellule Informatique sur base d un master adapt aux besoins des E amp F sous OS WindowsXP SP2 Fin 2006 le parc informatique comprenait 186 micro ordinateurs et 6 serveurs Le domaine Windows2000 existant a t remplac par un domaine Windows2003 A ces fins Windows2003 serveur SPI a t d ploy sur 4 serveurs Le logiciel de sauvegarde utilis sur les serveurs est BrighStor ARCserve Backup r11 5 fourni par le CIE Environ 19 micro ordinateurs ont t r install s en 2006 soit pour migrer le syst me d exploitation soit cause d un disfonctionnement de l OS ou du mat riel Au courant du 1 trimestre les connections par ISDN restantes ont t remplac s par des connections ADSL s curis es technologie VPN Le d ploiement des Runtime Oracle10 Diskeeper10 et NetOp9 ont galement d but en 2006 La Cellule informatique a par ailleurs install en 2006 de nombreux quipements accessoires utiles dans l ex cution des t ches des services r gionaux ainsi que des triages Les stations de travail et serveurs r cup r s et restitu s au CIE ont t pr alablement nettoyes avec un logiciel sp cial afin de garantir la non r cup ration des donn es confidentielles des utilisateurs La mise disposition de donn es cartographiques num riques aux bureaux et soci t s externes dans le cadre d un contrat de travail avec l administration a t cont
151. sur le site Internet www emwelt lu 2 7 14 3 Les travaux en relation avec la cr ation de nouvelles d charges e Le projet de remblai Rosswinkel Le Tribunal administratif a rendu son jugement en date du 14 mai 2007 Le recours contre le projet a t d clar non fond Un appel a t introduit par la partie opposante aupr s de la Cour Administrative Un jugement est attendu pour le mois de f vrier 2008 e Le projet de d charge Colmar Berg Le dossier de demande d autorisation est en cours d tre tabli Pour le moment l tude relative l valuation des incidences sur l environnement EIE est en cours d tre finalis e e Le projet de d charge de Strassen Des n gociations avec les propri taires des terrains ont t poursuivies D sormais un accord de principe pour la mise disposition des derniers terrains a t donn par les propri taires e Le projet de d charge de Folschette Par rapport l ann e pr c dente aucun nouvel l ment n est intervenu 2 7 14 4 Les quantit s de d chets inertes accept s dans les centres r gionaux et dans les grands remblais Le tableau suivant reprend les quantit s de d chets inertes mis en d charge dans les centres r gionaux pour d chets inertes au cours des cinq derni res ann es 152 R gion _ Centre r gional 1299 2004 2005 2006 2007 NO NE CNO Folschette Doten 0 0 of ol o CNE Al o c cso Cep SO Pafewee Reoyma 1 1204091 36
152. sur un m me site et rayonnant exactement dans une m me direction Cette valeur permet l exploitation de r seaux de t l phonie mobile sans d passer notablement les niveaux de puissance requis au del de cette exigence Pour ceux des metteurs faisant partie d un r seau de communication de t l phonie mobile install l ext rieur d un b timent rangent tous en classe 3 une proc dure d enqu te publique telle que pr vue pour les tablissements de la classe 1 n est pas requise Toutefois les tierces personnes dont les droits et int r ts sont susceptibles d tre affect s par une d cision administrative sont inform es avant la d cision suivant les dispositions pr vues par le r glement grand ducal du 8 juin 1979 relatif la proc dure suivre par les administrations relevant de l Etat et des communes 2 5 2 Les principales tapes dans la proc dure d un dossier de demande l Un dossier de demande est introduit aupr s de l Administration de l Environnement AEV une date d p t AEV pr cise 2 Un accus de r ception avec num ro d identification et EEN de la procedure l gale est envoy au requ rant l semaine u Inspection du travail et des mines ITM par porteur 4 L AEV informe le requ rant si son dossier de demande est complet ou bien s il doit compl ter son dossier par des date Complet AEV informations suppl mentaires date Inf Supp
153. tapes devant mener une d cision du ministre de l Environnement et du ministre du Travail et de l Emploi Le r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s a t modifi par un r glement du 1 ao t 2007 Suivant la nomenclature des tablissements class s un metteur d ondes lectromagn tiques ou ensemble d metteurs d ondes lectromagn tiques install s sur un m me site lorsqu ils atteignent ou d passent la puissance isotrope rayonn e de 2500 W rangent en classe 1 alors que ceux dont la puissance se situe entre 100 W et 2500 W rangent en classe 3 Les tablissements de la classe 1 suivent la proc dure d enqu te publique pr vue par la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s alors que les tablissements de la classe 3 suivent une proc dure de publication pr vue par la loi du 1 d cembre 1978 r glant la proc dure administrative non contentieuse et le r glement grand ducal du 8 juin 1979 relatif la proc dure suivre par les administrations relevant de l Etat et des communes 41 Beaucoup de sites utilis s des fins d exploitation d antennes de la mobilophonie sont exploit s par plusieurs op rateurs Ainsi en consid rant la puissance totale rayonn e par site c tait g n ralement le 3 op rateur qui du fait d ajouter ses antennes a fait d passer le seuil de la puissance partir d
154. travaux concernant les cartes strat giques de bruit dans l environnement ont quasiment pu tre finalis s en 2007 Par la motion PI 5206 du 11 juillet 2006 la Chambre des d put s a invit le Gouvernement fixer jusqu 2008 des valeurs limites d exposition du bruit l instar des autres pays de l Union europ ennes et laborer un catalogue de mesures prendre en consid ration s lesdites valeurs limites sont d pass s Le service bruit a tudi les approches de plusieurs pays europ ens et a tabli le relev des recommandations des organismes officiels qui se sont exprim s quant au sujet des valeurs limites tels que par l Organisation Mondiale de la Sant Les cartes strat giques de bruit dans l environnement constituent un diagnostic de la situation acoustique et elles seront utilis es par la suite pour laborer des plans d action de lutte contre le bruit En vue de proposer un catalogue de mesures de r duction de bruit en 2008 le service bruit a particip plusieurs r unions internationales en la mati re au cours de l ann e 2007 telles que les cinqui mes assises fran aises de la qualit de l environnement par exemple En mati re d missions sonores dans l environnement des mat riels destin s tre utilis s l ext rieur des b timents le service bruit a suivi l volution du projet Community Noise Research Strategy Plan CALM de la Commission europ enne et a particip
155. unions et sorties sur le terrain dans le cadre des mesures compensatoires entreprendre et de l installation de sentiers didactiques 121 visites des triages forestiers dont 17 martelages en commun ont t effectu es par le chef de cantonnement en 2007 Il a collabor de nombreuses autres r unions avec la direction les pr pos s forestiers les administrations communales et les bureaux d tudes sp cialis s Onze ventes communes avec le cantonnement de Diekirch ou ventes nationales ont t organis es en 2007 La formation continue et la participation des excursions Tr ves et Cochem chez des confr res allemands se sont d roul es pendant 10 journ es enti res Le chef de cantonnement a particip aux groupes de travail du PFN plan forestier national et de sa mise en pratique savoir le groupe penser for t et agir bois De nombreuses r unions ont t organis es avec les bureaux d tudes dans le cadre des mesures compensatoires de la route du Nord de la certification des for ts par PEFC audits interne et externe avec le service CN concernant les plans de gestion de diverses zones Habitat et r serves naturelles avec l Administration des B timents Publics et l association Stemm vun der Strooss concernant le projet du centre d accueil de Schoenfels Les activit s sp cifiques de certains triages forestiers Triage forestier de Lorentzweiler e p turage extensif d
156. valuation des risques de lP Agence Le comit d administration management board de l agence s est r uni cinq fois Helsinki afin d arr ter un certain nombre de documents indispensables au bon fonctionnement de 1 Agence tels que des r gles de proc dures de la d signation d un pr sident du comit de l adoption d un programme de travail pour 2007 et pour 2008 de l adoption d un budget de fonctionnement de la s lection et de la nomination d un directeur ex cutif de la composition du comit d valuation des risques de la location de locaux 33 Le forum d change d informations sur la mise en uvre qui coordonne un r seau d autorites des Etats membres charg s de la mise en uvre du Reglement s est r uni une premi re fois en d cembre 2007 A Luxembourg le Helpdesk REACH a t lanc le 7 mai 2007 par le centre de Ressources des Technologies pour Environnement CRTE structure commune du Minist re de l Environnement et du centre de Recherche Public Henri Tudor Le 10 mai 2007 le Helpdesk a tenu une s ance d information publique sur les obligations des utilisateurs en aval 34 2 4 Le Service Agrements et management environnemental Le Service est charg de l application de la l gislation sur les personnes agr es c est dire la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l
157. zweite Anfang April sowie Maximum drei Ende Mai Die Bezeichnung der Maxima mit eins zwei und drei ist damit unabh ngig vom Auftreten vorheriger Maxima und bezieht sich auf den Zeitraum in den das Maximum f llt Die Verk rzung der Leerungsintervalle an allen Fallenstandorten auf eine Woche f hrte zu einem genaueren Eindruck ber den tats chlichen Verlauf des K ferfluges Gleichzeitig unterlag die Verlaufskurve damit aber auch st rkeren Schwankungen Die Lage der Maxima wurde definiert als der Zeitpunkt zu dem mindestens die H lfte der Fallen einen deutlichen Anstieg der Fangzahlen aufweisen Trotz deser st rkeren Schwankungen der Werte waren an einigen Fallenstandorten das Auftreten von drei Maxima und damit der beschriebene dealtypische Flugverlauf zu erkennen Wie auch schon im Jahr 2006 lagen die Maxima 2007 alle im Zeitrahmen in denen auch die Maxima der vergangenen Untersuchungen f r den Zeitraum von 2002 bis 2005 festgestellt wurden Der Abstand zwischen erstem und drittem Maximum ist mit dem der vergangenen Untersuchungen identisch und betr gt 10 Wochen Im Vergleich zu den Ergebnissen des Vorjahres waren die K ferf nge auf einem deutlich niedrigeren Niveau Die Erhebung von lokalen Klimadaten auf Ebene der Fallenstandorte st in mehrfacher Hinsicht von Interesse Sie k nnte helfen zu bewerten wie gro der Einfluss des Kl mas und wie gro der Einfluss bestandesspezifischer Parameter bei der Entwicklung der K ferpopu
158. 0 53 CE relative aux v hicules hors d usage dans les Etats membres pour la p riode 2002 2005 De plus la Commission a contract un bureau d tudes afin d valuer les exemptions d cern es pour certaines substances de l annexe II de la directive et la Commission a fait parvenir au Conseil et au Parlement europ en un rapport concernant les objectifs vis s l article 7 paragraphe 2 point b de la directive taux de r utilisation recyclage et valorisation Le projet de r glement grand ducal fixant les modalit s d application du syst me d enregistrement pr vu par l article 11 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Le projet de r glement grand ducal a t labor suite l entr e en vigueur de la modification de l article 11 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets introduisant un syst me d enregistrement au lieu du syst me d autorisation pour certaines activit s dans le cadre du ramassage et transport de d chets Le projet envisageait de soumettre les b n ficiaires d un enregistrement certaines conditions essentielles respecter lors du transport des d chets comme par exemple l tat et le marquage du conditionnement des d chets ou l interdiction de m langer des d chets lors du transport Le Conseil d Etat a cependant formul un avis n gatif quant au projet de r glement grand ducal
159. 0 774 76 Aucune demande de subsides pour la construction de chemins forestiers n a t trait e 197 3 2 6 9 La for t priv e Au niveau de la for t priv e aucun v nement exceptionnel n est signaler 3 2 6 10 D g ts gibier 117 d clarations de d g ts de gibier sur les champs et pr s ont t introduites par les propri taires respectifs 72 94 ha Dudelange Hesperange 3 2 6 11 Conservation de la nature R serves foresti res int grales Au sein du cantonnement forestier de Luxembourg Est 3 R serves foresti res int grales sont class es e Laangmuer e Beetebuergerb sch e Haard Les 3 triages concernes Waldhof Dudelange et Bettembourg ont effectues des travaux de s curisation et d entretien des chemins et de la voie publique en abattant des arbres d p rissants et dangereux La mise en place ainsi que l entretien de la signalisation des chemins dans les r serves foresti res int grales a t effectu e en 2007 R serves naturelles Les travaux suivants ont t r alis s dans les r serves naturelles Triage Niederanven RN Aarnescht e entretien de la pelouse s che fauchage et d broussaillage e entretien du sentier didactique RN Birelergronn e am nagement d un parking Triage Dudelange entretien et am nagement des pelouses s ches r am nagement de fronts de taille cr ation de plans d eau enl vement d anciens d blais entretien
160. 0 classes se sont inscrites e Renforcement de la structure de conseil en nergie Des travaux visant la mise en place partir d avril 2008 d un r seau de conseil en nergie am lior et restructur avec une extension de l offre ont eu lieu courant 2007 Ainsi en date du 7 mai le Minist re de l Environnement et le Minist re de l Economie et du Commerce ext rieur ont organis un atelier de travail portant sur la cr ation d une structure centralis e pour couvrir les besoins en mati re d information de conseil et de formation dans le domaine de l utilisation rationnelle de l nergie et des nergies renouvelables Sous la direction du Arch Dipl Ing Martin Ploss de l Energieinstitut Vorarlberg consultant des deux d partements minist riels susmentionn s les acteurs concern s ont eu un change de vues constructif sur une dizaine de questions cl s relatives aux travaux de restructuration venir Priorit absolue pour les transports en commun Il s agit de poursuivre les efforts pour am liorer les infrastructures et l attractivit des transports en commun Il convient de mentionner notamment que la Centrale de mobilit est devenu pleinement op rationnelle en 2007 Aussi une nouvelle structure tarifaire attractive a t introduite au 1 juillet 2007 Aides financi res pour voitures conomes en carburant Afin d inciter le consommateur lors de l acquisition d un nouveau v hicule donner pr
161. 006 31 12 2006 et 1 10 2005 31 3 2006 Valeur limite 20 g m 293 K 101 3 kPa appliqu e la moyenne annuelle et la moyenne hiver 1 10 31 3 et respecter partir du 19 7 2001 Moyenne annuelle ug m Beckerich 2 1 1 2006 31 12 2006 Beidweiler 2 Mont St Nicolas Vianden 3 Moyenne hiver ug m Beckerich A 1 10 2005 31 03 2006 Beidweiler 2 Mont St Nicolas Vianden 4 TSO2 20 1an et hiver ANN E 2006 SO PROTECTION DES COSYST MES P riode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 et 1 10 2006 31 3 2007 Valeur limite 20 g m 293 K 101 3 kPa appliqu e la moyenne annuelle et a la moyenne hiver 1 10 31 3 et respecter partir du 19 7 2001 Moyenne annuelle ug m Beckerich 2 1 1 2007 31 12 2007 Beidweiler 2 Mont St Nicolas Vianden 2 Moyenne hiver ug m Beckerich 2 1 10 2006 31 03 2007 Beidweiler 3 Mont St Nicolas Vianden 3 MONOXYDE D AZOTE NO Lors des p riodes d inversion thermique avec de mauvaises conditions d change des masses d air et des concentrations horaires lev es gt 500 ug m3 sont mesur es certaines stations de mesure lorsque de mauvaises conditions d change des masses d air sont remplies En 2006 4 journ es avec des pointes horaires gt 500 ug m essentiellement Luxembourg Centre ont t constat es 5 jours en 2003 0 jours en 2004 En 2007 notamment au mois de d cembre la fr quenc
162. 08 7 e 5 TS 5 4 R as AE EE AE A EE VE A ao I LE o e A ES en 2000 LL LLC Nombre de jug s n cessaires Analyseur BTX Nombre de 26 26 52 contr les annuels jug s n cessaires BEE ZU J EEE IM i En A II ITT B n 47 TI SI III IS L Administration de l Environnement continue l information du public par voie de presse Les communiqu s de presse hebdomadaires sont diffus s en d but de semaine Les teneurs dans l air ambiant en dioxyde de soufre SO dioxyde d azote NO2 et en ozone O3 dans l air ambiant sont publi s sur une base r guli re La diffusion de communiqu s de presse sp ciaux en p riode de smog estival a t exceptionnellement calme en 2007 Aucun d passement de la valeur de 180 ug m n a t observ 83 L ann e 2006 avec ses 8 d passements se classait dans une ann e moyennement lev e en v nements ozone Probl mes techniques de fonctionnement du r seau durant l ann e 2006 et 2007 Les deux analyseurs de benz ne du type BTX stations de Luxembourg Centre et Luxembourg Bonnevoie pr sentaient nettement moins de probl mes de fonctionnement en 2006 par rapport l ann e 2005 Le BTX de Luxembourg Centre est tomb en panne durant pratiquement tout le mois de juin comptabilisant ainsi une perte de donn es de 27 jours Une nouvelle perte de donn es benz ne sont signaler pour fin novembre et presque tout le mois de d cembre perte de 25 jours soient 52
163. 1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 D1 D2 D3 E1 E11 E4 E5 E6 F3 M NSTER ANALYTICAL SOLUTIONS S T 49 0 25 19 80 24 00 Technologiepark M nster A2212 A2222 ER E EE F 49 0 25 19 80 24 01 D 48149 M nster NOVATEC G M B H T 352 26 66 50 84 D3 26 rue de Mondorf F 352 26 66 54 84 ES E6 E9 31 03 2008 L 5541 Remerschen F1 F3 M LLER BBM G M B H Niederlassung Berlin T 49 0 30 21 7975 0 Nollendorfplatz 3 4 F 49 0 30 21 79 75 35 D 10777 Berlin 31 03 2009 31 03 2008 DIPL ING PAUL PIES T 49 0 67 42 22 99 ger Birkenstrasse 34 F 49 0 67 42 37 42 E2 31 03 2008 D 56154 Boppard M 49 0 17 02 12 55 60 en T 352 26 107 127 2 2 rue d Arlon F 352 26 107 128 E8 31 03 2008 L 8399 Windhof F13 D1 D3 DS a T 352 35 62 26 1 EA ES E6 E9 T Abe ea F 352 35 62 26 40 F11 F13 F3 Do L 5331 Moutfort RBI DIPL ING WOLFGANG ROBRECHT T 49 0 234 70 55 69 Beratender Ingenieur F 49 0 234 70 55 25 Charlottenstrasse Ic D 44799 Bochum RME CONSULTING T 352 44 32 22 1 1 rue Nicolas Simmer L 2538 Luxembourg RGO N RUK GRUPPE LUXEMBOURG AG T 4352 74 89 46 D3 D4 31 03 2008 74A route de Luxembourg F 4352 74 89 47 ES E6 31 03 2009 L 6633 Wasserbillig F3 GK SE T 352 46 08 92 1 F111 F13 77 route d Arlon F 352 46 11 85 GI 31 03 2010 L 8310 Cap SGI ING NIERIE S A LUXEMBOURG T 35
164. 1 MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 1 2 1 3 1 4 1 5 1 6 La politique g n rale du Minist re de l Environnement 1 1 1 Application et int gration du principe de d veloppement durable 1 1 2 Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal 1 1 3 Information et sensibilisation du public 1 1 4 N gociations internationales dans le domaine du changement climatique 1 1 5 Mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables 1 1 6 Protection de la nature et des ressources naturelles 1 1 7 Promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel 1 8 Mesures et instruments en mati re de protection du paysage 1 9 Instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG Fonds pour la Protection de Environnement 1 2 1 R partition des d penses pour 2007 du Fonds pour la Protection de l Environnement 1 2 2 Le comit de gestion du fonds pour la protection de l environnement Statistiques de l Environnement Service Informatique 1 4 1 Projet SIGenv2 Syst me d information g ographique de l Environnement 1 4 2 Projet Site Internet Portail de l Environnement 1 4 3 Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature 1 4 4 GIS Mise disposition d informations g ographiques num riques 1 4 5 Projet ILDG Infrastructure luxembourgeoise de donn es g ographiques L gislation environnem
165. 148 p 2732 Reglement grand ducal du 15 octobre 2007 concernant l organisation et le fonctionnement de l observatoire de l environnement naturel 2007 A 191 p 3458 R glement grand ducal du 7 novembre 2007 modifiant le r glement grand ducal modifi du 13 f vrier 1979 concernant le bruit dans les alentours imm diats des tablissements et des chantiers 2007 A 204 p 3558 Reglement grand ducal du 7 novembre 2007 fixant contenu les conditions et les modalit s de r alisation de l tude d impact pr vue en mati re de remembrement des bien ruraux 2007 A 199 p 3520 Reglement grand ducal du 5 d cembre 2007 concernant l octroi d une aide financi re aux personnes physiques pour la promotion des voitures personnes faibles missions de CO 2007 A 222 p 3838 R glement grand ducal du 7 d cembre 2007 relatif certaines modalit s d application du r glement CE N 1013 2006 du Parlement europ en et du Conseil du 14 juin 2006 concernant les transferts de d chets 2007 A 223 p 3846 R glement grand ducal du 7 d cembre 2007 a concernant le transfert national de d chets b modifiant le r glement grand ducal du 19 novembre 2002 d terminant les taxes percevoir lors de la pr sentation des demandes en obtention des formules prescrites pour le transfert de d chets 2007 A 223 p 3847 R glement grand ducal du 21 d cembre 2007 instituant un r gime d aides pour des personnes physiques en ce qui con
166. 2 49 37 37 1 E8 6 rue du Rham F 352 49 37 37 250 L 6142 Junglinster SGS INSTITUT FRESENIUS G M B H T 49 0 61 28 774 0 ee SE ee Im Maisel 14 F 49 0 61 28 774 9890 Ee D 65232 Taunusstein SOCOTEC LUXEMBOURG 31 03 2008 E8 31 03 2008 IR wo 31 03 2008 31 03 2008 S R L T 352 40 07 52 B1 B2 B3 23 rue des Bruy res F 352 40 24 14 F1 F2 L 1274 Luxembourg Howald 31 03 2008 39 Coordonn es OR Comp tences par ce Fax limitation D3 POLE TUDE S ARI T 352 26 36 01 93 3 rue D sir Zahlen F 352 26 36 01 57 E4 E5 E9 31 03 2008 L 5942 Itzig F 3 SORESMA S A Chauss e de Louvain 484 e GE SN i S 2 SS 31 03 2008 B 5004 Namur a EE T 49 0 22 41 91 92 0 ES 31 03 2008 D 53721 Siegburg F 49 0 22 41 91 92 40 F3 TECHNISCHE PR F UND VERSTRIEBSSTELLE DES SCHORNSTEINFEGER HANDWERKS F R DAS T 49 0 68 94 58 04 35 A14 31 03 2009 SAARLAND E V Kahler Allee 37 D 66386 Sankt Ingbert ee run T 49 0 65 81 61 00 E5 EE D 54455 Serrig F 49 0 65 81 67 30 F3 Al A21 A2211 A2221 T V IMMISSIONSSCHUTZ UND A23 A31 A32 A33 A5 ENERGIESYSTEME G M B H T 49 0 22 18 06 27 56 B1 B2 Am Grauen Stein F 49 0 22 18 06 13 49 E1 E2 E3 E8 D 51105 K ln Fl H1 H2 H3 31 03 2010 T V INDUSTRIE SERVICE G M B H T V RHEINLAND GROUP Am Grauen Stein D 51105 K ln T V INDUSTRIE SERVICE G M B H
167. 2007 111 60 ha de terrains ont t expertis s en vue d une acquisition ou d un change par les communes ou l Etat 3 2 8 Le cantonnement de Mersch 3 2 8 1 L exploitation des coupes et vente des bois Le volume exploit pour l exercice 2007 s l ve 40 255m3 21 059 m feuillus et 19 196 m r sineux Vu la demande importante de bois de chauffage 1 655 m et 4 370 st res de bois de chauffage ont t vendus des particuliers habitant prioritairement dans les diverses communes et localit s du cantonnement forestier Ce volume important est compos de bois longs de bois en st res et de menus bois 207 Le volume de bois de trituration de h tres et ch nes vendu en 2007 s eleve 8 100 m La recette totale du bois s l ve 1 610 928 EUR TVA incluse La moyenne par m est de 40 EUR TVA incluse Le nombre de ventes publiques par soumission organis es ensemble avec le cantonnement de Diekirch et avec les autres cantonnements lors des ventes nationales s l ve ll 3 2 8 2 L tat sanitaire de la for t Une nouvelle recrudescence de l attaque des pic as par les scolytes a t constat e en automne 2007 ce qui est toujours la cons quence des extr mes climatiques des derni res ann es savoir temp ratures hivernales trop lev es avril trop sec et trop chaud pour 2007 et ensoleillement dans les peuplements d pic as entrouverts et labilis s 3 2
168. 2007 le nombre de dossiers trait s s l ve 963 soit une moyenne de 96 demandes trait es par triage soit une stagnation par rapport 2006 Au tableau ci apr s sont regroup s les diff rents types de traitement 215 Travaux Nombre Nouvelles demandes Recommandations Proc s verbaux provisoires Refus Sur 335 proc s verbaux r alis s durant l ann e 2007 220 dossiers traitaient de plantation r g n ration lagage conversion et d claircie repr sentant au total une superficie de 296 ha Le restant des dossiers traitant de d bardage au cheval chemins forestiers protection individuelle et la mise en place de cl tures Quant aux chemins forestiers 6 projets ont pu tre achev s en for t priv e soit une longueur totale de 2 800 m En outre 4 projets ont t r alis s en collaboration avec les communes soit 4 000 m Les aides pour claircies restaurations comprises respectivement les aides pour les travaux de d bardage au cheval dominaient les autres subventions cependant leur nombre a fortement recul par rapport 2006 soit une baisse de 20 Le volume d bard a diminu de 16 000 m 11 800 m soit une baisse de 35 Par rapport 2005 le volume d bard a m me baiss de 56 Cette baisse peut s expliquer et par la m canisation des claircies et par les d g ts de chablis subis en janvier Au total quelque 488 000 de subventions ont t liquid es par le bureau
169. 22 08 07 Bascharage Emweltdiplom 09 09 07 Feelen Autofr ie Sonnden 10 09 07 Wasserbillig Braderie 15 09 07 Colmar Berg Sportsdag 30 09 07 Roodt Syre Regionalmaart L activit Bastelen matt Offall qui s adresse a des groupes d enfants a t organis e aux dates et pour les occasions suivantes 15 01 16 02 07 Ecoles primaires de la ville de Luxembourg 19 05 07 Lamadelaine Ecole primaire 29 06 07 Esch Alzette Pr coce Lall ngerd ich 04 08 07 Centre sportif Holleschbierg ING Loisirs 14 10 07 Differdange Naturrallye 2 7 5 3 La poubelle parlante Den Emweltcomputer La poubelle parlante Den Emweltcomputer est quip e d un jeu informatique destin a des jeunes de 5 15 ans et qui a comme sujet notamment la pr vention la valorisation et l limination des d chets Elle est principalement install e dans des coles et des supermarch s Au cours de l ann e 2007 cet quipement a t en service aux dates et lieux suivants 05 02 28 02 07 15 05 25 05 07 11 06 25 06 07 04 07 25 07 07 03 08 13 08 07 Prim rschulen Gemeinde Steinsel Belle toile Ausstellung der Adm des Douanes et Accises Hela Bettembourg Batiself Foetz Centre sportif Holleschbierg ING Loisirs 121 2 7 6 Les d chets organiques 2 7 6 1 Les installations de compostage Les installations de compostage actuellement en exploitation au Luxembourg sont les s
170. 2500 423641 o 9 Pafewee Cloos remblai o of 2900 252356 0 Mondercange 31 of 01 1565852 Bettembourg Dudelange 1 404700 e Late eem maen 132871 o o 366166 4779306 Leur volution depuis 1999 est reprise dans le graphique suivant M H ihenhaff Findel E Moesdorf M Bridel E Brouch Reckange E Rosswinkel M Folkendange 2000000 M Folschette Bettborn E Rippweiler k Hosingen E Nothum E D charge 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Il ressort de ces chiffres que l ann e 2007 a t une ann e record quant aux quantit s de d chets inertes d pos s aux d charges r gionales Cette augmentation de 60 par rapport l ann e pr c dente s explique notamment par une augmentation des activit s de construction entre autres sur le site de Belval Au cours de l ann e 2007 trois centres ont accept 69 2 de tous les d chets inertes d pos s dans des centres r gionaux Il s agit des sites de Brouch H ihenhaff et Mondercange Outre les d chets inertes d finitivement mis en d charge les quantit s suivantes ont t accept es aux centres r gionaux pour tre revaloris es 153 R gion D charge 2009 2004 2005 2006 2007 NO NE CNO Folschette Bettbom aseze III o CNE Folkendange ol ol o 4198 472 Rosswinkel sooo eooo o c Brouch Reckange 432 ol 87570 21341 51508 CSO CSE BEE so Pafewee Cloos remblai ll 225 ol Mondercange
171. 294 3 5 3 L adjudication du droit de chasse 297 3 5 4 Examen de chasse 298 3 5 5 Le Conseil Sup rieur de la chasse 299 3 5 6 BENELUX Groupe de travail Chasse et Oiseaux 299 3 5 7 Hearing de la Commission de l Environnement de la Chambre des D put s sur la Chasse 300 3 5 8 Rapports avec le public 300 3 6 L Entit mobile 301 3 6 1 Activit s en mati re de protection de l environnement naturel 301 3 6 2 Activit s en mati re de chasse 301 3 6 3 Activit s en mati re de p che 302 3 6 4 Activit en mati re de for t 302 3 6 5 Autres activit s 302 3 6 6 Dossiers trait s en 2007 303 3 6 7 Formation 303 3 7 La Cellule informatique 304 3 7 1 Informatique 304 3 7 2 Statistiques analyses et mises disposition de donn es 309 1 MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 La politique generale du Minist re de l Environnement L accord de coalition du Gouvernement en mati re d environnement a d fini les axes strat giques essentiels de la politique g n rale du Minist re de l Environnement Ceux ci constituent les lignes directrices de la politique cologique savoir 1 principe du d veloppement durable 2 sauvegarde de l environnement naturel et de la diversit biologique 3 gestion durable des d chets 4 lutte contre l effet de serre et la pollution atmosph rique 5 conciliation conomie cologie moyennant la procedure commodo incommodo et 6 promotion des nergies renouvelables et de l
172. 4 2004 05 2005 06 Cerfs m les 58 53 Biches 65 57 Faons 55 48 Nombre de r ponses consid r es 295 Esp ce CHEVREUIL 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 Brocards 2941 2983 3062 3064 3192 3039 Chevrettes 2220 2330 2422 2339 2446 2505 Chevrillards 1932 1999 2098 1848 2122 2190 Total chevreuils 7 093 7 490 7 582 7 251 7 760 7 734 Nombre de r ponses consid r es de 605 territoires de chasse 584 590 571 580 3 5 2 7 Recours introduits L article 8 du r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 instituant un plan pour la chasse aux esp ces cerf et chevreuil et d terminant les modalit s du marquage du grand gibier dispose que les plans de chasse arr t s par le ministre de l environnement peuvent faire l objet d une r vision si au cours d une p riode cyn g tique la structure de la population du gibier sur un lot de chasse subit des modifications importantes ou si des d g ts consid rables aux cultures sont constat s Sur base de cet article 45 demandes en r vision du plan de chasse ont t introduites au cours de l ann e 2007 par les adjudicataires des lots de chasse respectifs et ont t avis es par la Commission cyn g tique au cours de trois r unions De ces 45 demandes en r vision 43 demandes ont t avis es favorablement ou favorablement en partie par la commission cyn g tique et des dispositifs de marquage pour le tir suppl mentaire de cerfs respectivement de chev
173. 5 Le cas ch ant le requ rant retourne les informations date Retour Inf Supp suppl mentaires demand es 6 Le cas ch ant suite au compl ment d information AEV d clare le dossier complet ou non encore complet Dans ce dernier cas le requ rant est entendu par AEV dans un d lai date Complet AEV de 7 Jours m me rubrique que sous 3 a complet en vertu de ses attributions Complet ITM ee PS commune s concern e s D p t EP 9 L les administration s communale s retourne nt le dossier PS avec leur s avis al AEV Retour EP 10 L AEV transmet l avis PITM Journellement par porteur 11 L AEV notifie la d cision du ministre de l Environnement au requ rant Notif d cision 12 L ITM notifie la d cision du ministre du Travail et de Notif decision ITM l Emploi au requ rant Les diff rentes proc dures demande non accept e classe 1 classe 1 administratif ou commercial classe 1 moins d un an classe 3 classe 3B modification non substantielle prolongation renouvellement cessation d activit d claration classe 4 sont pr sent es en d tail sur le site internet www emwelt lu gt Etablissements Class s gt Proc dures La demande doit tre conforme aux dispositions de l art 7 7 et 7 8 de la loi pr cit e 43 2 5 3 Nombre de dossiers trait s par an tous types d etablissements 2 5 3 1
174. 5 2 de l utilisation par des communes 13 2 et de l utilisation en horticulture 9 2 126 2 7 6 5 La qualit du compost La qualit du compost est r guli rement contr l e tant par des analyses effectu es par l Administration de l Environnement que par des laboratoires externes dans le cade du label de qualit RAL G tezeichen Kompost Sont soumis analyse aussi bien des l ments polluants du compost que sa valeur fertilisante A la suite les concentrations de quelques param tres sont indiqu es Mati res organiques en de la m s MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Mondercange Muertendall Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec N total de la m s MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC AngelsbergSIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Mondercange Muertendall Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 127 P20 de la m s MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Mondercange Muertendall Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec K 0 de la m s
175. 5 41 Nombre de r ponses consid r es sangliers m les 1553 1798 1334 sangliers femelles 1171 1484 1001 marcass ns 993 1291 825 Total sangliers 3 717 4 573 3 160 4 430 3 950 5 150 de 605 territoires de chasse Il y a encore lieu de remarquer que l esp ce daim esp ce non indig ne mais pr sente dans certaines r gions du pays n est pas soumise un plan de chasse n l obligation de marquage Le relev des daims tir s pendant les six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort 21 39 29 13 15 25 19 23 16 Nombre de r ponses consid r es 3 5 3 L adjudication du droit de chasse 3 5 3 1 Donn es statistiques concernant les syndicats et lots de chasse Le territoire du Grand Duch de Luxembourg comprend actuellement 422 syndicats de chasse essentiellement les sections lectorales des communes qui regroupent les propri taires des terrains agricoles et forestiers non b tis Ces syndicats administrent 600 lots de chasse En outre il existe encore deux r serves cyn g tiques o le droit de chasse appartient l tat domaine du Grunewald ancien parc gibier de Hosingen ainsi que le domaine priv du Grunewald o le droit de chasse appartient S A R le Grand Duc La surface totale des lots de chasse adjuges est de 252 000 ha y compris les terres b ties non chassables dont environ 58 de terrain
176. 5 9 Unit construction infrastructures artisanat et loisirs 2 5 10 Unit Immeuble et Gestion de l Energie 2 5 11 Unit Industries 2 5 12 Unit Transports et approvisionnement 2 5 13 Service des plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s 2 5 14 Collaboration avec d autres administrations 2 5 15 La l gislation relative la gestion des d chets de l industrie extractive La Division Air Bruit 2 6 1 R visions de certaines r glementations europ ennes en mati re de qualit de Pair 2 6 2 Les r seaux de mesure de la qualit de l air 2 6 3 Plan de qualit pour la ville de Luxembourg et environs 2 6 4 Inventaires des missions de gaz effet de serre 2 6 5 Echange de quotas de gaz effet de serre 2 6 6 Rejets atmosph riques en provenance d installations industrielles 2 6 7 Polluants organiques persistants 2 6 8 Installations de combustion de moins de 3 MW 2 6 9 Contr le de fuites dans des quipements frigorifiques et climatiques 2 6 10 Les activit s dans le domaine de la lutte contre le bruit 2 6 11 Les activit s du service d conomies d nergie 2 7 La Division des d chets 115 2 Pel 21 2 2 1 2 7 4 2740 2 1 0 Is 2 1 8 221 9 SEN Se 27212 21 13 2 7 14 2 1 19 2 7 16 2 1 19 Les activit s dans le domaine l gislatif et r glementaire 115 La r vision du plan g n ral de gestion des d chets 119 Les act
177. 6 SuperDrecksK schtfir Betriber Eingesammelte Abfallmengen 4000000 3500000 3000000 2500000 e 2000000 kg Betrieb 1500000 1000000 500000 Gesamtmenge Menge pro Betrieb 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Le graphique ci dessus montre que les quantit s de d chets collect s par la SuperDrecksK amp scht fir Betriber sont en baisse constante alors que le nombre des entreprises rattach es augmente continuellement La quantit de d chets collect s par entreprise en 1997 tait encore de 5 269 kg par entreprise En 2007 cette quantit a diminu 795 kg par entreprise Ces chiffres montrent bien que la SuperDrecksK scht n a pas l int r t de collecter des quantit s de d chets et d tre ainsi un concurrent face aux collecteurs presents sur le march La collaboration avec le Minist re de l Agriculture En collaboration avec le Minist re de l Agriculture et le Maschinenring les collectes de plastiques de silage ont t poursuivies en 2007 Au cours de cette ann e les quantit s totales de ces d chets collect s se sont lev es 669 2 tonnes soit une l g re r gression de 1 9 par rapport l ann e pr c dente L volution des quantit s collect es depuis 1999 est reprise dans le graphique ci dessous SuperDrecksKe amp scht fir Betriber Collecte de plastiques de silage 800 700 600 500 400 300 200 100 0
178. 6 D p ts phytopharmaceutiques 2 Industrie excavatrice Chantiers Carri re Crassier Agriculture GE Alimentaire o i O Immeubles administratifs et commerciaux AIA Immeubles administratif et commerciaux Magasins Parkings gt 20 emplacements Salle de spectacles Autres activit s Emetteurs d ondes lectromagn tiques Entreprise de transport 2 L Traitement professionnel de d chets Divers Total dossiers entr s en 2007 Dossiers cl tur s en 2007 107 47 2 5 4 4 Types d actions l gard des tablissements inspectes Nombre Contr les sur dossier 6 83 57 l Dossiers transmis l Administration des douanes et accises pour visite des lieux l 3 Mises en demeure exprim es par le Ministre de l Environnement Suspensions de l exploitation exprim es par le Ministre de 1 Environnement 2 5 4 5 Causes des inspections de l administration Nombre Odeurs et ou pollution de Pair 8 5 2 5 4 6 Inspections effectu es dans le cadre d un programme d inspection Le programme d inspection aupr s des seize tablissements principaux d levage de volailles a pu tre cl tur en 2007 Le programme d inspection en ce qui concerne le contr le des campings et villages de vacances du Grand Duch de Luxembourg a t poursuivi en 2007 par la phase contr le des sites De 123 dossiers y relatifs 17 ont pu tre cl tur s entre temps D
179. 7 2 6 5 2 Le registre national d missions de gaz effet de serre Le registre est un outil de comptabilisation des quotas d mission de gaz effet de serre d tenus par les exploitants dans le cadre de la loi du 23 d cembre 2004 mais aussi des quotas d tenus par toute personne physique ou morale ayant ouvert un compte de d p t dans le registre et de l tat luxembourgeois en tant que signataire du protocole de Kyoto L achat et la vente de quotas sont permis aux exploitants tout comme toute personne int ress e sur un des nombreux march s de gaz effet de serre Les exploitants d installations list es dans le plan national d allocation se voient dans l obligation de restituer chaque ann e le nombre de quotas correspondant aux missions de l ann e pr c dente 99 Toutes les op rations de transfert nationales et internationales seront enregistr es dans une banque de donn es en connexion dans un premier temps 2005 2007 avec le registre central de la communaut europ enne CITL Community Independent Transaction Log et par la suite avec le ITL Independent Transaction Log des Nations Unies pour les pays signataires du protocole de Kyoto L accord de coop ration sign en 2005 avec le Service Public F d ral Sant Publique S curit de la Cha ne alimentaire et Environnement du Royaume de Belgique en vue de l tablissement du maintien et de l exploitation d un registre luxembourgeois de g
180. 7 51 NOVEMBRE 11 27 38 DECEMBRE 22 11 22 7 31 41 1 JANVIER 2006 33 13 1913 40 72 FEVRIER 43 22 29 9 40 83 9 MARS 29 11 24 10 34 37 10 DISTRIBUTION STATISTIQUE DES CONCENTRATIONS ug m o 50 S 3 1 6 4 12 26 1 98 37 11 19 12 33 53 5 NOMBRE DE MESURES VALID ES PAR STATION 252 235 333 299 364 360 320 pas de valeurs disponibles appareil de mesure en panne l valeur moyenne ou percentile non repr sentative moins de 50 respectivement moins de 75 des mesures disponibles TABLEAUI 77 TABLEAUX ANNUELS AVRIL 2005 MAI JUIN JUILLET AOUT SEPTEMBRE OCTOBRE NOVEMBRE DECEMBRE JANVIER 2006 FEVRIER RODANGE 10 SO2 13 10 10 10 F SO2 2 00 1 00 0 50 0 36 0 38 1 00 0 88 1 10 0 58 0 64 0 68 1 01 0 85 STEINFORT oO E O1 R BR E Oo SO2 oo D N I 2 00 D NNO F SO2 2 67 0 57 0 57 0 33 044 SO2 11 10 12 GREVENMACHER F SO2 0 67 0 45 0 40 0 42 0 50 11 13 11 10 MOYENNES MENSUELLES ug m S02 D 3 ANU o oO sesch ON N D 8 R SEAU SOUFRE FUM E DIEKIRCH F SO2 1 67 1 50 2 67 2 33 3 50 2 25 1 27 1 25 1 00 1 00 2 63 1 03 1 44 WILTZ F so2 5 2 4 3 5 3 3 5 5 5 6 4 9 l gt 7 4 13 T7 8 7 7 5 6 4 8 6 6 5 1 40 F SO2 2 50 1 33 1 67 0 60 1 00 1 50 1 75 1 86 1 14 175 1 42 1 43
181. 7 7 ont t refus s e Des 38 candidats qui se sont pr sent s l preuve orale 32 candidats 84 2 ont r ussi l preuve et 5 candidats 13 2 ont t refus s e Des 36 candidats qui se sont pr sent s aux diff rentes disciplines de l preuve de tir 26 candidats 74 3 ont r ussi toutes les disciplines Un candidat a t emp ch de participer la premi re session de l preuve de tir et a t admis se pr senter pour la deuxi me session de l preuve de tir en septembre 2007 9 candidats ont t ajournes et ont d se pr senter l preuve de rattrapage discipline Tir la carabine sur cible silhouette de brocard 100 m 3 candidats discipline Tir a la carabine sur cible silhouette de sanglier debout 100 m 1 candidat Tir la carabine sur cible silhouette de sanglier courant 50 m 4 candidats discipline Tir au fusil sur plateaux d argile 7 candidats 4 ajournements multiples e Des 10 candidats admis participer la deuxi me session de l preuve de tir 9 candidats se sont pr sent s 7 ont r ussi les diff rentes disciplines 2 candidats ont t refus s Un certificat attestant la r ussite toutes les preuves de l examen de chasse a finalement t d livr 30 candidats Tableau succinct des r sultats 298 Inscriptions aux cours pr paratoires 62 100 Inscriptions aux preuves de l examen 42 67 7 Present pou
182. 7 im P ttnerb amp sch solch schwaches stehendes Totholz recht h ufiger anzutreffen das die beginnende nat rliche Stammzahlsenkung und Differenzierung in den Jungw ldern Dickungen zunehmend nachliefert Zudem waren in den Kronen der Altb ume 2007 ein hoher Anteil von frischer Kronentrocknis bzw regelm ig Tot ste festzustellen Forstliche Grundaufnahme FGA im Naturwaldreservat Grouf Die FGA im Naturwaldreservat Grouf wurde im Herbst durchgef hrt Die Ergebnisse liegen vor und sind der FVA berreicht worden Markierung und Fotodokumentation erfolgten vollst ndig Die FVA hat eine Plausibilit tspr fung und Qualit tssicherung der Daten durchgef hrt Die Nutzung der Best nde war in den letzten Jahrzehnten im Naturwaldreservat Grouf sehr gering so dass fl chig schon das Wirken nat rlicher Mechanismen zu erkennen ist Vielerorts sichtbares Totholz in den Kronen und am Boden zeugt von dem Verdr ngungskampf der im Kronenraum stattfindet Zum Teil ist es die Konkurrenz der dicht stehenden Eichen untereinander berwiegend handelt es sich aber um das Ergebnis des Konkurrenzkampfes zwischen Rotbuche und Eiche sowie Hainbuche und Eiche W hrend die Rotbuche sehr aggressiv die Eiche berw chst und deren Krone verdr ngt und ausdunkelt bringt die Hainbuche meist nur den unteren Kronenbereich der Eiche zum Absterben In beiden F llen leidet die Vitalit t der Eiche deutlich In der Verj ngung sowie im Unter und Zwische
183. 8 3 Les r g n rations les plantations les travaux de culture Le nombre de plants mis en terre s l ve 64 740 soit 62 515 feuillus et 2 225 r sineux La reprise des plants est valu e 80 pour les feuillus et 75 pour les r sineux Les reboisements sont en recul et la r g n ration naturelle est la r gle sous couvert selon les principes d une sylviculture proche de la nature Des peuplements jeunes compos s de semences autochtones sont cr s progressivement 3 2 8 4 Les p pini res Les p pini res du cantonnement forestier de Mersch et particuli rement celle du Marienthal ont produit 18 786 plants feuillus et 196 r sineux 10 595 plants ont t sortis et mis disposition aux for ts domaniales principalement ainsi qu aux for ts communales 3 2 8 5 Les travaux d am lioration En ce qui concerne les travaux d am lioration les d gagements ont t effectu s sur 166 24 ha et les nettoiements sur 137 61 ha Les surfaces trait es sont en recul par rapport l ann e 2006 3 2 8 6 Les travaux de voirie La voirie foresti re a t am lior e par terrassement et empierrement sur une longueur de 5 000 m en for t communale et des tablissements publics et sur 1 000 m en for t domaniale ce qui fait un total de 6 000 m Laangeboesch 900 commune de Mersch ot 6000 S y ajoute 1 000 m de terrassement sans empierrement en for t domaniale de Schoenfe
184. Berdorf village situ en plein coeur de la Petite Suisse Luxembourgeoise pr sente des for ts d une beaut et d une biodiversit exceptionnelles Des esp ces rares comme le hibou grand duc ou le faucon p lerin trouvent refuge dans les falaises de gr s fa onn es par les l ments pendant des mill naires et dont les reliefs sont si caract ristiques de cette r gion Cette beaut cette richesse naturelle ce spectacle quotidien de couleurs et d odeurs attire tous les ans des milliers de touristes qui arpentent les innombrables petits sentiers et chemins qui passent travers la for t 220 Les attentes de la soci t envers cette for t sont nombreuses elles sont d ordre cologique conservation des esp ces rares pr servation des habitats naturels d ordre social accueil des touristes promenades et d ordre conomique production de bois de qualit de bois de chauffage De plus la for t fait partie du parc naturel germano luxembourgeois et de la zone Natura 2000 Vall e de l Ernz noire Beaufort Berdorf dont la majeure partie de la for t communale est concern e Dans le cadre de la gestion durable de la for t la difficult du gestionnaire forestier consiste trouver un quilibre sain et durable entre toutes ces attentes D o l importance de cet am nagement En analysant l tat pr sent l am nagement forestier planifie sur une p riode de dix ans l
185. Cette installation est constitu e principalement de deux murets en ma onnerie semi s che lesquels sont install s de part et d autre du panneau d information g n ral Dans l encadrement de l un de ces deux murets est appos e une planche en bois qui fait fonction de banc Le panneau d information d crit les principales caract ristiques de la r serve ainsi que les raisons pour lesquelles cette for t a t mise sous protection int grale Cet am nagement a pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolise ainsi l entr e principale de la r serve En ce qui concerne les mesures de gestion effectu es 1l s agit pour la plus grande partie de mesures de s curisation le long des chemins forestiers ainsi que du balisage de la RFI Ce balisage ayant pour but d indiquer au visiteur les chemins qu il pourra utiliser l int rieur de la r serve et qui par cons quent sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e Des panneaux d information ont t install s aux entr es secondaires du P ttenerb sch afin de d limiter la zone prot g e Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t 242 Le P ttenerb sch est la quatri me r serve foresti re int grale au Luxembourg pour laquelle un suivi des habitats forestiers a t effectu Les placettes permane
186. D couverte de la For t en 2001 et surtout gr ce au bateau SOLAR circulant sur le lac de la Haute S re et pour lequel le cantonnement avait install un ponton d amarrage en 2003 nous notons une nette progression des visiteurs Ainsi si en 2000 le Centre tait fr quent par 2 340 visiteurs dont 23 groupes le Centre comptait quelque 5 000 visiteurs dont 39 visites guid es en 2007 En septembre la journ e porte ouverte sur le site du Burfelt organis e dans le cadre du projet Interreg Proholz Probois tait suivie de l inauguration de nouvelle exposition au sein de la Maison de la For t ceci en pr sence de Monsieur le Ministre de l Environnement Cette nouvelle exposition th matise le produit bois savoir ses qualit s et ses usages 3 2 9 16 Act vites diverses du chef de cantonnement Outre les travaux de routine le chef de cantonnement s est engag plusieurs niveaux savoir e R alisation de diverses expertises respectivement la pr sence diverses ventes immobili res en vue d arrondir le domaine forestier de l tat En 2007 l tat a acquis pour l arrondissement des domaines du cantonnement 15 5 ha de for t regroup s sur 3 dossiers e Organisation de visites guid es e Pr sentation d un expos dans le cadre d un symposium sur le taillis de ch ne organis en collaboration avec le Syndicat du Kiischpelt et le Mus e d Histoire Naturel e Presentation du projet In
187. Dans son avis le Conseil d Etat argumente que l Administration de l Environnement ne dispose pas de base l gale pour fixer des conditions au d tenteur apr s octroi de l enregistrement En effet le Conseil d Etat consid re que seuls des r glements grand ducaux peuvent tre pris pour fixer des modalit s pour l octroi de l enregistrement En outre le Conseil d Etat consid re que le syst me d enregistrement devrait tre all g vis vis du syst me d autorisation et que d s lors des conditions identiques ne peuvent pas tre appliqu s au syst me d enregistrement Pour l instant les travaux sur ce r glement sont mis en suspens 118 Les lois sp ciales de financement En application des dispositions de l article 7 de la loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement des comit s d accompagnement permanents ont t mis en place pour suivre la mise au point leur ex cution sur le plan technique financier et budg taire de projets d investissement qui requi rent une loi de financement autorisant la participation financi re de l Etat et dont les aides sont port es charge du fonds Au cours de l ann e 2007 les commissions concernant les installations du SIDOR et du renouvellement de la d charge du SIGRE ont poursuivi leurs travaux La participation aux frais de renouvellement des installations du SIDOR La commission a finalis son rapport final et l a ac
188. Deux t ches ont t maintenues par obligation l gale e les d clarations mensuelles au syst me INTRASTAT servant de base aux statistiques sur le commerce intra communautaire e laboration des Frais de Gestion pour l exercice 2004 Cette situation est inacceptable car moyen et long terme le Luxembourg ne disposera plus de donn es sur le secteur forestier M me le d veloppement d une application informatique pour la saisie de l ensemble des donn es statistiques pr vue en 2007 semble compromis car 1l n cessite un personnel qualifi disposant d une formation adapt e 309
189. Dossiers de demande d autorisation A l exception des dossiers de la classe 4 qui constituent des d clarations le nombre de dossiers des classes 1 3 et 3B aboutissant un arr t minist riel d autorisation ou de refus s l ve en moyenne 1023 par an En dehors des d clarations de la classe 4 l y a en moyenne 64 dossiers de demandes d autorisation par fonctionnaire charg de l instruction de dossiers par an Il faut toutefois pr ciser que ces dossiers peuvent pr senter des degr s de complexit tr s diff rents Dossiers de demande d autorisation 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Moyenne an TOTAL II 1308 1026 2 5 3 2 Dossiers de d clarations Les tablissements de la classe 4 sont d clar s au moyen de formulaires mis disposition du public La base de donn es h berge au total 3013 dossiers enregistr s entre le 1 janvier 2000 et le 1 janvier 2008 Le total des documents est l g rement sup rieur parce qu il existe des dossiers auxquels sont affect s aussi bien des documents du type Secteur agricole que du type Secteur agricole inacceptable Le type de document Secteur agricole incomplet est num r part en tant que compl ment d information Ces chiffres ne sont pas inclure dans les grands totaux car des documents ne repr sentent pas la cl ture des dossiers respectifs Dossiers de d clarations de la classe 4 h
190. Emile Mayrisch montre r guli rement sur plusieurs ann es le niveau moyen le plus lev 5 7 fois le niveau de fond Durant la p riode 09 2003 04 2007 on constate aux sites industriels Esch Schifflange et Esch Belval des niveaux comparables d une ann e l autre Pour la p riode 09 2005 04 2007 l accumulation plus importante en dioxines furannes PCB est probablement attribuable des sources d mission diffuses non n gligeables qu il s agit de continuer quantifier avec l aide de l exploitant des grandes installations industrielles en vue de les r duire ensuite durablement Noter la r action d accumulation des mousses pour les dioxines furannes PCB ainsi que le plomb nettement plus marqu e pour la p riode 09 2006 04 2007 Ceci confirme les constats obtenus l aide de la m thode Bergerhoff retomb es de poussi res voir 2 3 2 2 mois de janvier f vrier mai et juin 207 En effet des niveaux en m taux lourds nettement plus lev s ont t relev s aux sites concern s R seau de biosurveillance Niveaux de dioxines furannes PCB d tect s par bioaccumulation dans les MOUSSES terrestres non lav es pg OMS TEQ PCDD PCDF PCB par g de mati re s che gt CH es Beckerich Osweiler Nospelt O 1 1 LC 1 l 4 1 D N C o D D D o d o 20 G Do SZ eu De oz ogv 3 D OD Od c LS C D D cCc D D C D 5 eo O DO ZS eo e NO Ns NO
191. European Congress of Mammalogy Siena Italy 21 26 September 2007 Hystrix The Italian Journal of Mammalogy n s Vol 1 2 Supp p 312 Scheppers T L J Frantz A C Schaul M Engel E Breyne P Schley L amp Roper T J 2007 The mating system of the European badger a non invasive genetic analysis In Prigioni C amp Sforzi A eds Abstracts V European Congress of Mammalogy Siena Italy 21 26 September 2007 Hystrix The Italian Journal of Mammalogy n s Vol 1 2 Supp p 346 Schley L amp Krier A 2007 Damage to agriculture by wild boar Sus scrofa in Luxembourg In Prigioni C amp Sforzi A eds Abstracts V European Congress of Mammalogy Siena Italy 21 26 September 2007 Hystrix The Italian Journal of Mammalogy n s Vol 1 2 Supp p 281 Schmitt B Engel E amp Schley L 2007 Preliminary results of a field study on Mustela nivalis and Mustela erminea space and habitat use In Prigioni C amp Sforzi A eds Abstracts V European Congress of Mammalogy Siena Italy 21 26 September 2007 Hystrix The Italian Journal of Mammalogy n s Vol 1 2 Supp p 347 Schmitt B Engel E amp Schley L 2007 Preliminary results of a field study on Mustela nivalis and Mustela erminea space and habitat use In Abstracts of the 25th Mustelid Colloquium Trebon Czech Republic 4 7 October 2007 Wood L R Griffiths R A Engel E amp Schley L 2007 Newts as transporters of f
192. J o gt 41 R ceptions relatives aux autorisations d exploitation Management environnemental et audit d clarations d missions de gaz Contr les SEVESO 35 Liste des organismes agr s au 1 f vrier 2007 en vertu des dispositions de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement Coordonn es ia Comp tences Date de limitation ACOUSTIC TECHNOLOGIES Avenue Brugmann 215 B 1050 Bruxelles ACUSTICA 2000 Bureau d acoustique Dominique Pleek Avenue Marie Louise 61 B 1410 Waterloo AIB VINCOTTE LUXEMBOURG A S B L 74 M hlenweg L 2155 Luxembourg ANALYTICO MILIEU B V GROUPE EUROFINS Gildeweg 44 46 PB 459 NL 3770 AL Barneveld ARGUMET Bahmann amp Schmonsees GbR B ro West Feyerm hler Strasse 12 53894 Mechernich ASMUS amp PRABUCKI Ingenieure Beratungsgesellschaft G m b H Wittenbergstrasse 12 D 45131 Essen AST ENVIRONNEMENT S R L 1 rue de Nassau L 2213 Luxembourg ATOS ENVIRONNEMENT A roport Nantes Atlantique Rue Nungesser et Coli F 44860 Saint Aignan de Grand Lieu BASLER amp PARTNER AG Zollikerstrasse 65 CH 8702 Zollikon PROF DR ING HARALD BEITZEL IBU Institut f r Bauverfahrens und Umwelttechnik Wissenschaftspark Trier Max Plan
193. Juin 2606207 Cour PEFC ARE Sedan main Is 1 mme es Jas om Is 1 vgzgleaeneeen ecran mm Te Sg Cour cures restes atmen EIS H E eme Is oora Ru Conan parce Gens R Tasen am e mem ramen res este sges aerer oe R union R union 13H H salle de r union de r union Septembre 19 09 2007 Cours Motors ge EE Freischneider de formation formation Septembre 20 09 2007 Cours Cours Motors ge und Freischneider n und Freischneider salle de formation formation Septembre 21 09 2007 Cours Motors ge a 2er Freischneider salle de formation Septembre 25 09 2007 R union de service Direction 9 H Septembre 27 09 2007 Projet Proholz Probois 10 H salle de formation r union 204 Utilisation des locaux du Cantonnement Luxembourg Eet en 2007 Octobre 03 10 2007 Reunion examen ouvriers salle de r union r union formation 10 10 2007 R union Reunion de service 8H30 service 8H30 salle de r union de r union r union 11 10 2007 Cours S curit u partie pratique ne de formation Po a E examen ouvriers 14 H Novembre 07 11 2007 Ench res voitures de service parking ench res Naturzenter Novembre 08 11 2007 E Aarnescht 19H30 Anen Francis salle de formation r union Ge 3 2 7 Le cantonnement de Luxembourg Ouest 3 2 7 1 L exploitation des coupes Les exploitations effectu es peuvent tre r parties de la mani re suivante selon le propri taire Volume
194. Les travaux de nettoiement dans les fourr s des r g n rations naturelles s imposent de plus en plus Comme la r g n ration naturelle a t largement favoris e durant les deux derni res d cennies et suite une transformation d une partie des peuplements r sineux en peuplements feuillus ce type de travail va probablement dominer la prochaine d cennie Comme ces interventions favorisent collectivement les sujets d avenir l importe que ces travaux soient ex cut s par un personnel averti 3 2 9 8 Voirie Une bonne infrastructure est indispensable une exploitation rationnelle et conforme aux exigences d une sylviculture proche de la nature Dans ce sens l importe que les distances de d bardage soient minimis es et que le r seau des chemins carrossables soit adapt aux exigences des grumiers d aujourd hui Ainsi le succ s du dossier Bois Energie d pend entre autres d une vidange rationnelle du bois Vu le terrain accident de l Oesling la planification et la construction de nouveaux chemins forestiers voire la r fection et l empierrement de chemins existants pr sentent une t che de premier ordre au cantonnement Ceci vaut aussi bien pour la for t soumise que pour la for t priv e C est dans ce contexte qu il faut galement voir l initiative de l Office National du Remembrement ONR en proposant dans plusieurs r gions du pays des remembrements fores
195. Luxembourg 189 3 2 4 6 Travaux forestiers subventionn s 49 demandes de subvention pour travaux forestiers ont t trait es pour la for t priv e et 26 demandes pour la for t soumise Les demandes ex post de la part des propri taires priv s n ont point disparu mais l on peut dire qu elles ont l g rement regresse par rapport l exercice pr c dant Les demandes pour subventions de 2007 se r partissent comme suit a en for t priv e e 47 demandes pour travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc e 2 demandes concernant la voirie foresti re b en for t communale soumise e 18 demandes pour travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc e 8 demandes pour travaux de voirie foresti re 3 2 4 7 For t priv e Comme par le pass des contacts r guliers avec des propri taires forestiers priv s ont t entretenus soit sur demande individuelle soit indirectement par l entremise du conseiller de l association des Sylviculteurs Des visites des lieux ont eu lieu chaque fois que cela s imposait notamment pour les demandes concernant la construction de chemins forestiers et en particulier pour la d finition des trac s sur le terrain pour les claircies le choix des essences et l appr ciation de travaux forestiers ex cut s par des entreprises foresti res 3 2 4 8 D
196. RA 2000 Zones Oiseaux Zones prot g es d int r t national d clar es sous forme de r serves naturelles Cartographie des fonctions climatiques Corine Landcover 2000 l chelle 1 100000 R seau hydrographique Limites administratives Districts communes sections En 2007 le Minist re de l Environnement a trait 91 demandes de ce genre 1 4 5 Projet ILDG Infrastructure luxembourgeoise de donn es g ographiques En 2007 le service informatique du Minist re de l Environnement a particip activement au projet interminist riel concernant la mise en place d une infrastructure nationale pour les donn es g ographiques L objectif principal de cette infrastructure est de faciliter la diffusion et l change de donn es g ospatiales 18 1 5 Legislation environnementale et Conseils Environnement UE 1 5 1 Lois et reglements grand ducaux publies au Memorial en 2007 Loi du 7 mars 2007 portant approbation du deuxi me Amendement la Convention sur l valuation de l impact sur l environnement dans un contexte transfronti re sign e Espoo Finlande le 25 f vrier 1991 adopt la troisi me r union des Parties la Convention tenue Cavtat Croatie du 1 au 4 juin 2004 D cision IIV 7 2007 A 41 p 776 Loi du 13 mars 2007 portant l transposition en droit luxembourgeois en mati re d infrastructures de transport de la directive 97 11 CE du Conseil du 3 mars 1997 modifiant la directive 85 337 CEE
197. S A l environnement II cobalt SHELL 7 rue de l Industrie Produits d riv s du p trole essence gasoil LUXEMBOURGEOISE L 8069 Bertrange S A TANKLUX S A Port de Mertert Produits d riv s du p trole essence gasoil L 6688 Mertert les installations pertinentes pour le classement Seveso seront op rables en 2009 seulement Liste des tablissements class s IPPC Cat gorie IPPC Soci t Site l Installations de combustion d une puissance TwinErg Esch sur Alzette calorifique de combustion sup rieure 50 Luxenergie Luxembourg MW Installations pour la production de fonte ou Ares Esch Schifflange d acier fusion primaire ou secondaire y ProfilArbed Differdange compris les quipements pour coul e ProfilArbed Esch Belval continue d une capacit de plus de 2 5 tonnes Ba par heure Installations destin es la transformation des m taux ferreux STFS Esch Schifflange par laminage chaud avec une capacit sup rieure 20 tonnes d acier brut par heure Installations destin es la transformation des m taux ferreux application de couches de protection de m tal GoodYear Wire Plant Colmar Berg en fusion avec une capacit de traitement TrefilArbed Bettembourg Bettembourg sup rieure 2 tonnes d acier brut par heure Installations a destin es la production de m taux bruts Hydro Alunimium Clervaux Eselborn non ferreux partir de minerais de concentr s ou de mati res premi res s
198. Uni au plus tard 12 heures Le bloc de donn es collect es est redistribue tous les pays participants Ces donn es sont int ressantes pour observer la situation des niveaux d ozone atteints dans les pays voisins ainsi que le d placement g ographique de l pisode de pollution par l ozone en Europe 2 6 2 6 R seau de biosurveillance autour des sites industriels importants Le r seau de biosurveillance a t install progressivement depuis fin 1995 et comporte actuellement encore entre 7 et 15 sites d observation Le contr le des niveaux en dioxines furannes PCDD PCDF est la premi re priorit de ce r seau Accessoirement sont galement d termin s les hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP les polychlorobiph nyles PCB et les m taux lourds tels que le plomb le zinc le cadmium le chrome le mercure l arsenic et le nickel Une attention particuli re est accord e aux zones urbanis es proximit des aci ries arc lectrique d Esch Schifflange d Esch Belval et de Differdange Quatre campagnes d exposition et d analyse de bioindicateurs sont r alis es afin de couvrir toute l ann e et d assurer une surveillance sans discontinuite Les esp ces suivantes ont t utilis es pour l ann e 2007 e les mousses esp ce Brachythecium rutabulum P riode de croissance normale dans leur milieu naturel de la mi septembre la mi avril e les choux verts feuilles polylob es esp ce B
199. a t remplac par un stagiaire mai 2007 Un ing nieur jouit de sa pension depuis octobre 2007 un poste carr sup est disponible fin 2007 recrutement externe b Un ing nieur a quitt le service CN pour le poste de chef d arrondissement CN Sud vacant en date de mars 07 c fin 2007 16 5 agents de la carri re sup rieure titulaires 2 ing nieurs stagiaires l poste vacant 2 a Un pr pos forestier a t affect au service de l am nagement des bois janvier 07 b Un pr pos forestier a t affect au service CN centres d accueil c 61 pr pos s forestiers de triages 2 pr pos s pour Wiltz et Diekirch d 2 pr pos s pour CN Nord et CN Centre et CN Sud 3 L employ S d missionnaire en 2006 a t remplac fin 2006 4 Une r dactrice jouit d un temps partiel de 75 5 61 pr pos s sont titulaires d un triage 6 pr pos s forestiers se trouvent en stage Les pr pos s titulaires d un triage contribuent en dehors de leurs missions traditionnelles l instruction des dossiers CN et fournissent une part dominante dans l estimation des d g ts caus s par le gibier 6 Un employ carri re A travailleur handicap service chasse Un employ carri re B1 travailleur handicap Un employ trav hand et un employ D 7 Un r dacteur jouit d un cong mi temps du 1 10 2004 au 30 9 2009 ce r dacteur a t affect en juin 07 au service de l am nagement des bois Un r dacteur a t admi
200. a mesure de la pente les d finitions du manteau et cordon limites de hauteur ou autre doivent encore tre pr cis s Ces propositions seront pr cis es d but f vrier dans la nouvelle version provisoire du guide m thodologique Un indicateur de la qualit cologique biologique des lisi res est pr voir dans les variables de la fiche n 10 Cet indicateur sous forme d une illustration peut ressembler celle de l indicateur de la qualit cologique biologique des zones humides Les d finitions des l ments de la lisi re doivent tre mieux formul es notamment en ce qui concerne le manteau forestier Des cas particuliers peuvent tre pr cis s dans le protocole de mesures 236 e Cercle sp cial zone non forestiere Pour rappel une zone non foresti re peut tre identifi e dans la surface d limit e par le cercle sp cial de 30m de rayon Un sch ma a t ajout la fiche d encodage n 11 pour que l agent de terrain puisse visualiser la zone non foresti re qu il a identifi e Il a t convenu que la surface de cette zone hors for t sera calcul e automatiquement par un algorithme appropri lorsque l intersection avec le cercle sp cial est lin aire et par estimation visuelle lorsque l intersection n est pas lin aire La zone identifi e s affiche sur le sch ma uniquement dans ce dernier cas intersection lin aire gr ce aux deux points d intersections avec le cercle
201. a loi du 19 janvier 2004 de nombreux requ rants en majorit des agriculteurs consultent l arrondissement avant l introduction de leur demande De m me les communes et les institutions administrations syndicats de communes prennent conseil aupr s de l arrondissement Dans ce cadre le chef d arrondissement a particip de nombreuses r unions et visites extension de P G am nagements publics et priv s stations d puration Deux constatations m ritent d tre relev es dans le contexte des demandes pr sent es e l utilisation du bois comme mat riau de construction aussi bien pour des projets agricoles que pour des projets priv s est manifestement entr dans les m urs et n est plus sujet de discussion e il existe une tendance marqu e vers la construction en zone verte des fins d habitation Les demandes en ce sens crites et orales sont de plus en plus nombreuses manant tant d agriculteurs que de particuliers La transformation mieux encore la reconstruction d habitations sises en zone verte est au go t du jour Manifestement les prix de l immobilier et l urbanisation de plus en plus dense des localit s incitent la recherche d alternatives soit meilleur march soit plus isol es Dans le cadre du contr le du respect des d cisions l arrondissement est intervenu en particulier aupr s des agriculteurs pour la mise en place des plantations prescrites ce
202. a maintenance volutive Suite la mise en place du syst me de num risation et d int gration des d cisions concernant les dossiers CN des premiers d veloppements concernant la transmission lectronique et automatique des dossiers traiter ont pu tre faits Ceci ce traduit notamment par l all gement des t ches de transmission de documents ainsi que par une r duction d utilisation de papier Durant trois sessions de formations l application les pr pos s forestiers de l Administration des Eaux amp For ts ont pu tre sensibilis s l utilisation du syst me informatique La majorit des pr pos s forestiers a maintenant acc s au syst me de gestion des dossiers CN 1 4 4 GIS Mise disposition d informations g ographiques num riques Le Minist re de l Environnement a t sollicit maintes reprises pour la mise disposition de donn es g ographiques num riques Les requ rants sont en majeure partie constitu s de bureaux d tudes travaillant l laboration de projets environnementaux Il s agit entre autres des donn es suivantes Occupation Biophysique du Sol des ann es 1989 amp 1999 Banque de donn es topographique et cartographique Donn es Topographiques l chelle 1 20000 et 1 100000 Orthophotos 2001 et Orthophotos 2004 Zones prot g es d int r t communautaire du r seau NATURA 2000 Zones Habitats Zones prot g es d int r t communautaire du r seau NATU
203. a valeur moyenne horaire et respecter partir du 1 1 2005 24 d passements sont tol r s Moyenne horaire maximale mesur e dans tout le r seau 42 ug m station Beidweiler Moyenne 10 minutes maximale mesur e 266 ug m Station Luxembourg Centre le 09 11 2006 Si gt 500 ug m en informer la Commission de Bruxelles ANN E 2007 SO gt PROTECTION DE LA SANT HUMAINE Periode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 350 g m 293 K 101 3 kPa appliqu e la valeur moyenne horaire et respecter partir du 1 1 2005 24 d passements sont tol r s Moyenne horaire maximale mesur e dans tout le r seau 50 ug m station Vianden Moyenne 10 minutes maximale mesur e non d termin e station Luxembourg Centre 86 ANN E 2006 SO gt PROTECTION DE LA SANT HUMAINE P riode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Valeur limite 125ug m 293 K 101 3 kPa appliqu e la valeur moyenne 24 heures et respecter partir du 1 1 2005 3 d passements sont tol r s Moyenne 24 heures maximale mesur e 18 ug m ANN E 2006 SO gt PROTECTION DE LA SANT HUMAINE P riode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 125ug m 293 K 101 3 kPa appliqu e la valeur moyenne 24 heures et respecter partir du 1 1 2005 3 d passements sont tol r s Moyenne 24 heures maximale mesur e 10 ug m TSO2 20 1an et hiver ANN E 2006 SO PROTECTION DES COSYST MES P riode de calcul 1 1 2
204. abaisser la moyenne annuelle 3 1 9 Les activit s de sensibilisation et d information du public Comme chaque ann e l Administration des Eaux et For ts a particip en 2007 la Journ e de l Arbre Cette journ e a t comm mor e dans une s rie de communes avec le support actif des ing nieurs et pr pos s des Eaux et For ts Le tableau ci dessous reprend les expositions qui ont t organis es en 2007 175 du 6 au 9 octobre Parc Renert demand e par l Union commerciale de Wiltz participation du pr pos Nicole demand e par Union des Soci t s Avicoles Luxembourg ville participation du pr pos Christian Beaufort et Triage de Beaufort participation des preposes Tom M ller Jo Andr Tom Scholtes et Th o Moulin du 18 au 23 mai 2007 Administration Communale du le 13 15 18 et 20 du 29 juin au 14 le 7 et 8 juillet 2007 du 25 au 31 octobre 2007 du 31 octobre au 23 novembre 2007 du 16 au 18 novembre 2007 Kiischpelt participation du pr pos Michele S ebenaller Widdebierg Een Dag mam Fieschter am B sch participation du pr pos Eric inauguration de la nouvelle cole Roodt Syre participation du pr pos Roland B schfest a Clervaux participation du pr pos Nicole Lenert Naturweekend commission de l environnement de Clemency participation du pr pos Marc Gengler Servior C I P A Howald la Suisse participation du
205. acettes circulaires syst matiques avec un maillage variant en fonction de la taille du massif Le centre de ces placettes tant mat rialis La r g n ration est inventori e sur des satellites distincts Les donn es sont directement enregistr es sur ordinateur ce qui permet une premi re v rification au moyen des tests de plausibilit sur le terrain Ces donn es sont ensuite transmises la FVA qui a pour mission de les v rifier de les analyser et de les valuer La FVA dispose galement d un service qui est sp cialis dans la photo interpr tation et l interpr tation du Syst me d Information G ographique La m thode utilis e a t d velopp e par la FVA en 1996 et se base sur des tudes ant rieures Le but de cette photo interpr tation est de pouvoir d crire l volution des for ts l aide de la d signation de diff rentes phases de d veloppement des peuplements et de fournir ainsi des informations compl mentaires aux relev s sur le terrain Des renseignements sur des zones de perturbation p ex chablis calamit s des structures foresti res 247 anthropog nes ou des comparaisons avec des photos a riennes plus anciennes peuvent galement tre obtenus au moyen de cette analyse En pratique des survols a riens sont r alis s pour chaque RFI A cet effet des photos IRC sont prises l chelle du 1 5000 Finalement trois principaux documents sont n ces
206. agricole 35 5 de terrain bois et 6 5 de terrain b ti La surface moyenne d un lot de chasse est de 419 ha terrain b ti compris 3 5 3 2 L lection des coll ges des syndics Suivant les termes de la loi sur la chasse tous les propri taires de terrains non b tis rurales et forestiers comprises dans le territoire d une section lectorale de commune sont constitu s en syndicat de chasse Les affaires du syndicat sont g r es par un coll ge syndical qui se compose d un pr sident et de quatre assesseurs assist s par un secr taire tr sorier adjoint Les mandats du coll ge syndical et du secr taire tr sorier durent neuf ans du 15 mai 2003 au 14 mai 2012 pour la p riode courante 297 Au cours de l ann e 2007 24 syndicats de chasse ont d proc der des lections compl mentaires du coll ge syndical apr s le d c s respectivement la d mission d un membre du coll ge syndical En outre 6 syndicats se sont adjoint un nouveau secr taire apr s la d mission ou le d c s de l ancien secr taire Tous ces dossiers sont contr l s et avis s par le service de la Chasse avant d tre transmis au Minist re de l Environnement en vue de leur approbation 3 5 3 3 Contrats de bail de chasse La grande majorit des contrats de bail de chasse actuellement en vigueur savoir 595 contrats ont t conclus pour la p riode allant du 1 ao t 2003 au 31 juillet 2012 Pour deux autres lots le bal en
207. ale install e de 8 MW t autoris Pourtant aucune nouvelle demande n a t d pos e end ans la m me p riode 55 Un relev des parcs oliens autoris s est fourni ci apr s gt en gt Site 5 aa 32 LE Commune Section 2 25 z 2558 Z Be IE Gu ZS S Mompach MICON 4 section A dite de Herborn Putscheid section E de Nachtmanderscheid section C de Heiderscheid Section C de Heiderscheid J section B de Ringel 2 NORDEX N52 800 Enercon 40 500 ON LA E LA pd E pd Enercon 66 1800 Bourscheid section E de Kehmen Scheidel Wincrange section OA de Allerborn section OC de Derenbach section OD de Oberwampach Heinerscheid section C de Heinerscheid section F de Hupperdange section D de Fischbach section E de Grindhausen 5 NEG MICON 1000 section D de Fischbach DEWIND NEG MICON Ce WW OO kuch a DD section A de Lieler section B de Remerschen 7 Preizerdaul 2 DEWIND D4 1 2 section C de Reimberg Wincrange 2 Enercon E 40 F2 section AD de Boxhorn section BD de Doennange Deiffelt section BC de Lullange ou DeWind D 4 Enereon 66 FE nina A Ju ag dadaa 3 2 2 7 kuch gt ON R dange Enercon E66 1800 section A de Lannen section B de Nagem section C d Ospern Ell section A de Roodt 11 Mompach 4 Enercon E70 2000 section C de Givenich section D de Boursdorf section F de Born 44 48 Total MW 55
208. ales durant l ann e et plus sp cifiquement dans le cadre de la journ e de l arbre ainsi que la prise en charge d un nombre croissant d tudiants du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck absolvant une partie de leurs p riodes de stage au sein des triages Il est noter que le succ s du Centre de D couverte de la For t base principalement sur l engagement des deux pr pos s de triage affect s au site Or vu le nombre croissant de leurs t ches une gestion convenable du Centre s av re de plus en plus difficile Partant et afin de suffire aux d sirs des visiteurs et d assumer de mani re optimale les t ches en relation avec la gestion d un tel centre 1l faudra pr voir une augmentation de personnel qualifi sur le site Actuellement une partie de ces t ches est assur e par des tudiants En 2007 un nouveau pr pos forestier a t affect au bureau du cantonnement Outre quelques charges de routine celui ci s occupe principalement de la voirie foresti re aussi bien en for t publique qu en for t priv e Ainsi il est charg de la surveillance et de la mise en place du nouveau r seau de routes foresti res r alis dans le cadre du remembrement forestier Harlange 219 3 3 Le Service de l Am nagement des bois et de l conomie foresti re 3 3 1 L am nagement forestier 3 3 1 1 Instructions pour la r alisation des travaux d am nagement Instructions pour la r alisation des trav
209. aliste de l analyse de l tat sanitaire d une trentaine d arbres remarquables en vue de leur entretien ou le cas ch ant de leur abattage Plantations et am nagements en zone verte Avec l aide des pr pos s forestiers une dizaine d arbres haute tige et quelques 750 arbustes ont t plant s en zone verte Des bancs de repos provenant d ateliers prot g s ont t mis en place Les pr pos s forestiers ont galement install 70 nichoirs pour divers esp ces d oiseaux et de chauve souris dans les bois administr s Travaux de gestion dans les r serves naturelles L Arrondissement CN Nord a fait ex cuter la fauche de zones humides avec vacuation des foins sur les surfaces suivantes Allerborn Brill 0 5 ha Basbellain Cornelysmillen 1 ha Bavigne Nobent 2 ha Binsfeld Lukeschbaach 2 5 ha Clervaux Uschler 1 ha Grosbous Neiwiss 4 ha Hautbellain Fooschtbaach 4 ha Heinerscheid De iffebour 3 ha Heinerscheid Irich 2 ha Hoffelt Kalebour 1 ha Holler Wopich 1 5 ha Holtz Flatzbour 1 5 ha Hosingen Sauerwisen 1 5 ha Martelange Bruch 2 ha Rambrouch Neimillen 1 ha Troine Habich 1 ha Weicherdange Br ichen 0 30 ha Weiler Am Dall 2 ha Wincrange Ramescher 3 ha Comme au cours des ann es pr c dentes une partie de ces surfaces ont ensuite t p tur es par des moutons Ce p turage a t organis et accompagn par l arrondissement Dans
210. amen de carri re pour les ouvriers de la carri re B souhaitant acc der la carri re C de l ouvrier qualifi ainsi que l avenant au contrat collectif accordant aux ouvriers forestiers une indemnit pour la mise disposition de leur voiture priv e pour les d placements aux chantiers en for t Le groupe de travail charg de l organisation d un examen de carri re pour les ouvriers de la carri re B a proc d au mois de novembre un premier examen portant d une part sur des exercices pratiques et d autre part sur des exercices th oriques Pour ce faire un manuel regroupant les principales mati res traiter dans le domaine de la sylviculture et de l environnement a t r dig par les membres du groupe de travail Sur base de leur anciennet de service quatre candidats remplissant les conditions d admission ont finalement t admis l examen Les quatre candidats examiner ont sans exception r ussi l examen et ont t class s avec effet au 1 janvier 2008 dans la carri re C de l ouvrier qualifi La possibilit d une am lioration substantielle de leur situation de carri re devrait constituer une source de motivation suppl mentaire pour les ouvriers concern s se pr senter cet examen et suivre les cours de formation continues obligatoires pour l admission l examen L Administration des Eaux et For ts s attend de son c t une meilleure qualit de travail en pouvant recouri
211. ans 20 cas l exploitant a t demand de pr senter une demande d autorisation dans un cas le Parquet du Tribunal d Arrondissement de Luxembourg a t inform en raison du non respect d une d cision de refus d exploitation du Ministre de l Environnement 2 5 5 Acc s du public information en mati re d environnement Dans le cadre de la loi du 25 novembre 2005 concernant l acc s du public l information en mati re d environnement entr e en vigueur le 1 janvier 2006 80 demandes ont t soumises la Division des tablissements class s au cours de l ann e 2007 Il s agit essentiellement de demandes de copies d arr t s minist riels d tudes de tout genre de parties de dossiers de demande ou de dossiers de demande complets Les demandes de consultation de dossiers dans les locaux de l Administration de l Environnement sont plus rares Dans la plupart des cas les demandes manent de bureaux d tudes d architectes et autres ayant besoin des informations soit dans le cadre de l tablissement d un nouveau dossier de demande au nom et pour compte d un de leurs clients soit pour l tablissement d une tude concernant le site faisant l objet d un arr t minist riel d un dossier de demande ou d une tude ant rieure 48 En r gle g n rale les demandes sont trait es end ans quelques jours et les documents requis sont envoy s au demandeur par simple courri
212. ant les transferts de d chets que les agents de cette administration sont appel s examiner lors des contr les routiers La brochure d information Pour faciliter le plus que possible l adaptation la nouvelle situation l gale l Administration de l Environnement en collaboration troite avec la FLEA et avec le support financier de cette derni re a r alis une brochure intitul e Guide de la proc dure de notification des transferts de d chets Ce projet a t d cid lors d une des entrevues r guli res de l administration avec la FLEA et a t finalis en novembre 2007 La brochure refl te les diff rentes proc dures de notifications tant de fa on textuelle que de fa on sch matique Elle pr sente et explique galement les documents utiliser Elle reprend les listes vertes et oranges de d chets dans une version coordonn e ce qui facilite l utilisation de ces listes le texte communautaire partag ces listes en quatre parties La brochure contient la liste des num ros Y qui sont requis lors de la notification mais qui sont seulement disponibles dans un manuel sp cifique dit par l OCDE Elle reprend galement des l ments fix s dans le r glement grand ducal pris pour fixer certaines modalit s d application du r glement CE Il faut encore mentionner que la brochure est bilingue fran ais et allemand Vu que le syst me national de notification est identique au syst
213. ants de la Waldschoul qui est situ proximit du centre d accueil viennent visiter l exposition du centre d accueil Ellergronn 270 Le centre d accueil A Wiewesch a Manternach LE GOUVERNEMENT DU GRAND DUCHE DE LUXEMBOURG Administration des Eaux et For ts aar w A WIEWESCH mibg i burg Cante Tal es Ach gt gt Repartitions des visiteurs par partenaire en 2007 1200 1000 DUU e Si 2 E G f 2 6500 5 2 wi SE 400 7 200 0 e Eaux et For ts Fondation H llef fir Mus e National de Commune de Autres d Natur amp Federation l Histoire Naturelle Manternach et des Unions des associations Apiculteurs FUAL Fartenaire LE GOUVERNEMENT DU GRAND DUCHE DE LUXEMBOURG Administration des Eaux ei Forts ees Aw A WIEWESCH Can scil eich an TE NEE Type d activit en 2007 1200 08 1000 800 H E E 2 F00 D Bei Z E Sr 100 8 2004 g Visites p dagogiques wisites guid es pour adultes Conf rences S minaires Manifestations pour le grand public Marche etc Activit s 271 Le centre d accueil A Wiewesch est bien implant au c ur du village rural de Manternach et se pr te id alement pour r aliser des activit s promouvant les produits r gionaux et pour soutenir le d veloppement durable Le centre d accueil est le point de d part de deux sentiers didactiques le sentier Manternach Lellig et le sentier
214. ants pouvaient donner libre cours leur cr ativit Ils pouvaient utiliser des objets lectriques des pi ces d ordinateurs des CD des c bles etc Cette premi re dition du concours Konscht am Schrott tait r serv e aux classes de la r gion Nord 17 classes scolaires avaient particip au concours et ont pr sent environ 50 objets d art Les objets ont t valu s par les visiteurs de l entrep t ainsi que par les visiteurs du site Internet en vue de d terminer les classes gagnantes Une deuxi me dition a t lanc e en septembre 2007 qui s adresse aux classes de la r gion de l Est du Luxembourg 149 Comme au cours des ann es pr c dentes les activit s de la SuperDrecksK scht en g n ral et de l entrep t en particulier ont t suivies par le comit d accompagnement repr sentant la commune de Colmar Berg les riverains l Administration de l Environnement la Chambre des M tiers et l ex cutant des actions Ce comit s est r uni trois reprises 2 7 14 Les d chets inertes 2 7 14 1 La mise en uvre du plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes La commission a poursuivi ses travaux Au cours de l ann e 2007 la commission s est r unie deux fois savoir en dates du 6 mars 2007 et du 12 d cembre 2007 Au cours de ces r unions la commission a arr t un r glement d ordre interne Elle a galement accompagn les diff
215. ar le projet Projet de r serve foresti re int grale Saueruecht Beaufort Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum ainsi que des for ts de ravins du Tilio Acerion qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure La zone d limit e se subdivise en trois parties distinctes avec chaque fois un autre type de v g tation caract ristique Sur le plateau on est en pr sence d un sol sableux plus ou moins sec o le h tre constitue l essence principale Sur les sols limono sableux de la partie centrale on retrouve galement des h traies mais cette zone comporte aussi de nombreux boulis de pierres sur lesquels des essences pionni res ont pu s installer En bas de versant sur les sols sablo limoneux faiblement gleyifi s de nombreuses zones de suintement rendent le terrain particuli rement humide Cette partie est favorable l installation d essences des milieux frais m sohygrophiles voire m me hygrophiles Cette succession de diff rents types de v g tation conf re un aspect particuli rement int ressant la zone La surface de la future zone prot g e est de72 91 ha La commune en est le principal propri taire avec 66 70 ha Le restant appartient principalement des propri taires priv
216. as sur un service Web En 2007 un Security Proxy a t construit pour nous permettre d int grer l eCadastre dans nos applications En 2007 l ouverture du syst me d information vers la nouvelle architecture DotNet a t poursuivie Pour assurer la continuit du fonctionnement et la s curit des diff rentes applications un Framework sp cifique pour DotNet a t d velopp Ce framework a pour objectif principal de d finir les conventions de d veloppement et de s curit pour la r alisation d applications VB DotNet pour l Administration des Eaux et For ts Ce framework s adresse aussi bien l quipe de d veloppement interne Ou aux prestataires de services informatiques externes En 2007 un projet Mobilit GPS PDA a t lanc Avec l aide d une soci t externe un prototype a t r alis qui permet d une part de recueillir des donn es GPS sur un Pda de terrain et d autre part de les int grer dans la base de donn es Oracle spatial de l AEF 3 7 1 3 Acquisition installation et maintenance du mat riel informatique En 2006 54 nouveaux micro ordinateurs et 2 portables ont t fournis par le Centre Informatique de l Etat 1 micro ordinateur 2 portables et 1 serveur ont t acquis sur fonds propres Deux imprimantes laser couleur A4 A3 suppl mentaires ont t install es dans des services non quip s par le Centre Informatique de l Etat Toutes les nouvelles
217. ate du 23 octobre 2007 et est actuellement en proc dure d approbation Les parties de la for t communale de P tange sont dispers es au niveau de tout le territoire communal Les parcelles 4 5 et 6 sont regroup es au Nord la fronti re avec la Belgique et forment un massif plus ou moins continu Les parcelles 1 2 et 3 sont situ es au Sud sur les versants et les plateaux de la Minette Elles ne sont pas jointives et elles sont situ es en grande partie aux bords nord et ouest du massif de la for t domaniale de Differdange La propri t foresti re communale fait partie des zones de protection suivantes e Zone de protection sp ciale ZPS relative la directive Oiseaux 79 409 CEE concernant la protection des oiseaux LU0002008 Mini re de la r gion de Differdange Giele Botter Tillebierg Rollesbierg Metzerbierg et Galgebierg e Zone sp ciale de conservation ZSC relative la directive Habitats 92 43 CEE LU0001028 Differdange Est Pr nzebierg Anciennes mines et carri res Les deux zones sont regroup es dans le site NATURA 2000 LU0001028 Differdange Est Pr nzebierg Anciennes mines et carri res e R serve naturelle RN RD 15 P tange Pr nzebierg mode et date de classement r glement grand ducal du 20 novembre 1991 225 La grande majorit de la propri t foresti re se situe sur des sols argileux plus ou moins lourds Les sols argileux pr sentent en g n ral en t des g
218. atenerhebung Auswertung und Erstellung der Berichte f r die Naturwaldreservate Enneschte B sch und der Betebuerger B sch Das Methodenhandbuch Band II Handbuch des mobilen Datenerfassungsger tes Husky fex 21 liegt im Entwurf vor Die Programmierung der Auswertesoftware Teil 1 Statische Auswertung einer Aufnahme wird bis Ende M rz 2008 abgeschlossen sein Das Methodenhandbuch III DV Spezifikation FGA L diente als Grundlage f r die Ausschreibung der Programmierung Mit fortschreitender Programmierung der Auswertungsroutinen f r Wiederholungsaufnahmen wird es 2008 laufend aktualisiert werden Die Qualit tssicherung im Pettenerb sch ist abgeschlossen sodass mit der Auswertung begonnen werden kann Die Daten der Forstlichen Grundaufnahme Luxemburg in den Naturwaldreservaten Betebuerger B sch und nneschte B sch wurden ausgewertet und interpretiert Die Berichte ber die FGA L in den beiden Naturwaldreservaten wurden im Entwurf fertiggestellt Insgesamt fanden f r das Jahr 2007 drei Arbeitsbesprechungen und die Jahresabschlussbesprechung zur gegenseitigen Konsultation und Abstimmung sowie zur Information ber den Verlauf der Arbeiten statt Forstliche Grundaufnahme FGA im Naturwaldreservat Pettnerbesch Die Aufnahme des P ttnerb sch erfolgte im Sommer 2007 Die Ergebnisse liegen vor und sind der Forstlichen Versuchs und Forschungsanstalt Baden W rttemberg FVA bergeben worden Die FVA hat eine Pla
219. ation des Eaux et For ts se chiffrait au 31 12 2007 419 25 personnes toutes carri res confondues Fonctionnaires Employes 130 25 Ouvriers forestiers de l Etat 419 25 comprend aussi les agents employ s travailleurs handicap s 171 Le personnel effectif au 31 d cembre 2007 de I Administration des Eaux et For ts se composait de e 122 25 fonctionnaires dont 19 5 agents de la carri re sup rieure de l ing nieur 12 25 agents de la carri re moyenne du r dacteur l agent de la carri re de l exp ditionnaire administratif 8 agents de la carri re de l exp ditionnaire technique 76 5 agents de la carri re du pr pos forestier 4 agents de la carri re du cantonnier l agent d tach de la Police Grand Ducale e 13 5 employes dont o 2 agents de la carri re sup rieure o 2 agents de la carri re moyenne o 4 5 agents de la carri re inf rieure o 5 agents travailleurs handicap s O O O O OO La r partition de l effectif Fonctionnaires Employ s se pr sente au 31 12 2007 comme suit Sup rieure R dacteur Exp dit adm aech Pr pos Cantonnier Police GD Employ 1 5 ne mr Total 29 65 75 75 4 8 RE Re E Remarques 1 a Un ing nieur de la direction jouit d un cong mi temps allant du 28 4 04 au 15 9 09 Le 20 ing nieur admis au stage d ing nieur 09 06 n a pas encore t asserment Un ing nieur jouit de sa pension depuis mars 2007 et
220. ation des m taux Rodange Esch Schifflange Esch Belval et Dudelange ont t revues et cas par cas adapt es selon les crit res des meilleures techniques disponibles Pour ce qui est du r glement grand ducal du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement EIE trois demandes d autorisation concernaient des tablissements tombant sous son application Plus pr cis ment ces demandes concernaient des tablissements de l annexe II pour lesquels la n cessit d une EIE est d terminer par l autorit comp tente Pour l tablissement de production de clinker une EIE a t r alis e Dans les autres cas 1l a t d cid qu une valuation des incidences sur l environnement n tait pas n cessaire en raison de l impact n gligeable des installations projet es 59 Les stations d puration de Beggen Zittig et Steinfort ont t autoris es au cours de 2007 et les d marches pour la r gularisation de stations d puration existantes ont t poursuivies Pour la station d puration de Beggen une valuation des incidences avait t faite Les d marches administratives quant l valuation des incidences sur l environnement pour la nouvelle station d puration de Bleesbruck ont d but 2 5 11 1 Etablissements class s SEVESO Au Grand Duch de Luxembourg 23 tablissements sont actuellement soumis la directiv
221. au ducatif au sujet des moutons Soay que le service forestier de Hesperange tient dans le parc du CIPA Howald e Entretien des installations du site didactique et r cr atif im Gaa a Dreiborn e Entretien et r fection des installations du sentier fitness de la commune de Wormeldange e Installation de bancs le long des sentiers touristiques e Fauchage des chemins forestiers dans la for t communale du Howald l aide du cheval ardennais e Degagement des sentiers touristiques dans le triage de Hesperange e Entretien de sentiers p destres sur le territoire de la commune de Betzdorf e R unions pour la gestion des r serves naturelles e R unions et visites des lieux dans la cadre de la mise double voie de la ligne du chemin de fer entre P tange et Luxembourg e R unions pour organiser le cofinancement et l organisation du chantier de la renaturation de l Alzette au lieu dit Pudel entre Esch Alzette et Schifflange e R unions pour la r alisation des remembrements viticoles e Refection d installations r cr atives bancs e Visites des lieux et r unions pour l am nagement des d charges r gionales e Planification de constructions agricoles e Traduction d une brochure en fran ais sur les am nagements cologiques l int rieur de l agglom ration e Reimpression de 10 000 exemplaires de la brochure d crivant les carri res ciel ouvert du Giele Botter
222. au ci dessous montre le relev du personnel fin 2006 Fin 2005 Mouvements au Fin 2006 cours de l ann e Ing nieurs R dacteurs Exp ditionnaires administratifs techniques Pr pos s Cantonniers Police Grand Ducale Employ s trav handicap s Stagiaires pr p Remarques 1 un fonctionnaire de la carri re du r dacteur b n ficie d un contrat pour travail mi temps du 1 10 2004 au 30 09 2009 2 2 r dacteurs stagiaires admis au stage le 1 8 04 3 1 r dactrice a opt pour un travail temps partiel 75 partir du 1 10 2003 4 1 exp ditionnaire technique est comptabilis mais ne fait l objet que d un d tachement 5 8 pr pos s ont t admis au stage le 1 1 05 2 pr pos s forestiers sont partis la retraite le 1 mai 2005 1 pr pos forestier stagiaire a d missionn le 1 7 05 6 l pr pos forestier a t mis la retraite le 1 3 2006 7 1 agent est plac hors cadre 8 Ils agit d un agent d tach de la Police Grand Ducale 9 I ing nieur de la direction jouit d un cong mi temps allant du 28 4 04 au 15 9 09 10 Un employ Travailleur Handicap a t r voqu en 2006 pour faute grave 11 Le grand total comptabilise galement les agents employ s travailleurs handicap s 12 1 employ S a d missionn de son poste employ S 9 06 pour tre admis au stage de la carri re sup rieure 3 1 6 2 Affectation du personnel fin 2007 Le personnel effectif de l Administr
223. aux intemp ries a t remplac e par un container de conception moderne bien tanch is et avec une bonne isolation Elle est en grande partie identique aux containers Beidweiler et Esch Alzette install s respectivement en 2005 et en 2006 Notamment le syst me d aspiration de l air ambiant de l ext rieur ligne d chantillonnage est tr s simple et le plus court possible Le syst me de calibrage des analyseurs a galement t chang La station a repris le service le 20 d cembre 2006 apr s une interruption des mesurages de seulement 9 jours Un analyseur de poussi res fines utilisant une toute nouvelle technique de mesure mais ressemblant l ancienne technique de mesure par n ph lom trie a compl t la station de mesure de Luxembourg Bonnevoie Dans la perspective de l introduction du mesurage d autres classes de particules dans une future directive europ enne notamment les poussi res fines PM tout en assurant durant une p riode transitoire la mesure simultan e des PM et des PM le fait qu un seul appareil puisse r aliser ces mesurages constitue un atout majeur Le tableau r capitulatif ci dessous montre le nombre d interventions de contr le des calibrages des Luxembourg Luxembourg Esch Al Station de Elvange Mont St Centre Bonnevoie zette Beckerich Mondorf les Nicolas TOTAL Bains transferta Vianden Beidweiler MEI RE 8 33 A 59 6 32 analyseurs En 20
224. aux d am nagement Les instructions du Service de l Am nagement des Bois faisant partie du cahier des charges pour des bureaux d tudes externes relatif la prestation d assistance technique d tudes et d ing nierie foresti re dans le cadre de l tablissement de plans d am nagements ont t mises jour Instructions du Service de l Am nagement des Bois version actualis e concernant les am nagements forestiers du 15 janvier 2008 concernant la cartographie r alis e dans le cadre d un am nagement forestier du 15 janvier 2008 Les aspects fondamentaux modifi s ou ajout s concernent avant tout les m thodes d am nagement en futaie irr guli re et certains aspects ayant trait la sylviculture proche de la nature Les aspects m thodologiques concernent surtout les proc dures de calcul de la surface de r g n ration et de la possibilit dans le quartier de pr paration en vue d une conversion en futaie irr guli re ainsi que dans une s rie irr guli re En ce qui concerne les aspects ayant trait la sylviculture proche de la nature une attention particuli re est port e aux situations de peuplements contenant des essences principales non autochtones et ou des essences principales qui ne sont pas en station Pour ces peuplements une conversion est envisager De m me les peuplements sont identifi s pour lesquels une conversion ou une transformation sont envisag es en vue d un r tablissement dans
225. az effet de serre dans un syst me consolid belgo luxembourgeois a t renouvel pour la p riode 2008 2012 Le logiciel sur lequel est bas le registre national de quotas de gaz effet de serre sera dor navant une version adapt e du Community registry software CRS d velopp par la commission europ enne Ce logiciel est utilis par certains tats membres dont la Belgique l Allemagne le Portugal l Espagne et le Danemark Le hosting et la maintenance de la banque de donn es du registre luxembourgeois se feront Berlin sous la responsabilit de Colt une firme sp cialis e dans le domaine de la gestion d infrastructures de t l communication et de flux de donn es Les tests pr liminaires de connexion et de compatibilit avec le ITL de Nations Unies ont t effectu s avec succ s Le registre luxembourgeois est dor navant pr t pour participer aux m canismes flexibles et aux march s internationaux pour la premi re p riode d engagement du protocole de Kyoto 2 6 5 3 V rification des d clarations d missions de gaz effet de serre Afin de garantir la cr dibilit des missions de gaz effet de serre d clar es chaque ann e par les exploitants concern s la directive 2003 87 CE pr voit une v rification de ces d clarations par des organismes agr s L Administration de l Environnement a publi des informations relatives aux proc dures de v rification des missions de gaz
226. biant et un air pur pour l Europe tablit galement pour la premi re fois des normes contraignantes pour les particules fnes PM Les tats membres seront tenus de r duire d ici 2020 les niveaux d exposition aux PM en zone urbaine de 20 en moyenne par rapport aux chiffres de 2010 Les niveaux d exposition dans les zones concern es passent d ic 2015 sous la barre des 20 ug m Sur l ensemble de leur territoire les tats membres devront respecter le plafond de 25 ug m Cette valeur cible doit tre atteinte en 2015 ou dans la mesure du possible d s 2010 Une fois d finitivement approuv e par le Conseil la nouvelle directive sera publi e au Journal officiel de l Union europ enne suivie de sa transposition dans la r glementation luxembourgeoise Il est pr vu que cette directive fera l objet d un r examen apr s 5 ans savoir en 2013 72 2 6 1 1 Aper u du respect des valeurs limites et des valeurs limites augment es d une marge de tol rance dans les directives actuellement en vigueur Au Luxembourg trois zones de surveillance sp cifiques de la qualit de l air ont t d finies e la zone qui correspond au canton de Luxembourg 238 km population 126534 notamment avec la ville de Luxembourg et les agglom rations autour de la capitale e Ia zone qui correspond au canton d Esch Alzette 243 km population 135859 caract ris e par une concentration assez importante d industrie
227. bois apr s les chablis de janvier entra nant une s rieuse chute des prix du bois r sineux 50 toutes les ventes r gionales prevues pour 2007 ont t annul es Seul 1 lot de h tre 220 m fut vendu en pr vente ceci suite l am lioration des prix du bois de h tre 10 15 en automne Afin de soulager le march national ne fusse qu un peu les coupes de quelque 6 000 m de bois r sineux vendus en pr vente voire en vente sur pied en automne 2006 viennent seulement d tre r alis es en hiver 2007 Une vente r gionale en automne s av rait donc inutile Afin de faciliter la vidange des bois tomb s en chablis ceux c1 furent vendus en gr gr Les bois de faible dimension voire de qualit m diocre ont t vendus pour un prix forfaitaire vitant ainsi un mesurage sur coupe p nible et on reux En fin d ann e les prix de bois r sineux montrant de nouveau une nette tendance la hausse visant pour 2008 probablement les prix atteints en fin 2006 Le principal facteur qui pourrait inverser cette tendance est la faible conjoncture internationale sur le march des b tisses Le paradoxe est que les scieries ont besoin d un norme volume de bois pour fonctionner alors que leurs stocks de bois sci s sont pleins Au niveau du bois de trituration et de chauffage les prix de 2006 se voient confirm s montrant m me une l g re tendance vers la hausse Actuellement le prix du h tr
228. ce courtage de d chets respectivement pour faire renouveler une telle autorisation En plus 68 demandes d extension des autorisations existantes ont t introduites au cours de l ann e 2007 On constate que le nombre total de demandes introduites pour obtenir une autorisation a augment de 68 3 pour atteindre un nouveau record Quant aux demandes d extension des autorisations existantes leur chiffre a augment de 41 7 158 180 160 140 120 100 O Transport B N goce OTotal 60 40 20 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Evolution des demandes d autorisation 2007 80 70 60 50 40 30 O Transport BN goce OTotal 20 10 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Evolution des demandes d extension 2007 160 140 120 100 80 O Transport BN goce OTotal 60 40 20 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Evolution des demandes d informations suppl mentaires 2007 159 250 200 D Transport B N goce 150 D Transport extension ON goce extension BRe us Retraits OTotal 100 50 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Evolution des arr t s minist riels Le nombre total d arr t s minist riels mis au cours de l ann e 2007 est de 225 2006
229. cept unanimement en date du 19 juin 2007 Le co t d investissement pour la r alisation des travaux de renouvellement des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s du SIDOR s l ve 99 745 250 TTC En application de l article 4 de la loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution du fonds pour la protection de l environnement la participation propos e de l Etat de 25 devrait donc s lever un montant total de 24 936 313 Par d cision du 16 novembre 2007 le Conseil de Gouvernement a approuv le projet de loi autorisant le gouvernement participer au financement des travaux en relation avec le renouvellement des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s du SIDOR La participation aux frais du renouvellement de la d charge du SIGRE Le comit d accompagnement permanent relatif l am nagement et l installation des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s de la d charge Muertendall cr par r glement grand ducal du 20 d cembre 2001 a poursuivi ses travaux au cours de l ann e 2007 Au cours de cette ann e le comit c est r uni 2 fois Afin de finaliser ce dossier diff rentes informations restent encore fournir par le SIGRE 2 7 2 La r vision du plan g n ral de gestion des d chets Au cours de l automne 2006 un certain nombre d ateliers th matiques ont t organis s par l administration
230. cerne la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des nergies renouvelables 2007 A 247 p 4560 1 5 2 Projets de loi soumis la proc dure d approbation 1 5 2 1 Projets de loi Projet de loi concernant la gestion des d chets de l industrie extractive doc Parl 5818 Projet de loi a concernant certaines modalit s d application et la sanction du r glement CE N 1907 2006 du Parlement europ en et du Conseil du 18 d cembre 2006 concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables ces substances REACH instituant une agence europ enne des produits chimiques modifiant la directive 1999 45 CE et abrogeant le r glement CEE N 793 93 du Conseil et le r glement CE N 1488 94 de la Commission ainsi que la directive 76 769 CEE du Conseil et les directives 91 155 CEE 93 67 CEE 93 105 CE et 2000 21 CE b modifiant la loi modifi e du 15 juin 1994 relative la classification l emballage et l tiquetage des substances dangereuse modifiant la loi du 11 mars 1981 portant r glementation de la mise sur le march et de l emploi de certaines substances et pr parations dangereuses c modifiant la loi du 3 ao t 2005 relative la classification l emballage et l tiquetage des pr parations dangereuses d abrogeant la loi modifi e du 11 mars 1981 portant r glementation de la mise sur le march et de l emplo
231. ces inspections p ex demandes de prise de position information du Parquet information du r clamant 653 courriers ont t exp di s dans ce contexte en 2007 2 5 4 1 Inspections effectu es par des personnes agr es ou par l exploitant EE Etudes d emissions dans Tair o Je Etudes relatives la d tection de pollutions dans le sol et dans les eaux 2 5 4 2 Inspections effectu es par l administration Il s agit d inspections effectu es dans le cadre d un programme d inspection ou la suite d une r clamation pr sent e par un particulier ou d autres administrations En principe l inspection d un tablissement se fait d abord sur base des dossiers de l AEV ensuite sur le site de l tablissement 46 2 5 4 3 Types d etablissements inspect s nouveaux dossiers entr s en 2007 selon domaines d activites Nombre ne Industrie Industrie m tallique h 4 Industrie min rale Industrie synth tique 2 Production de panneaux en bois 2 Artisanat S S Ateliers de travail du bot A Ateliers de travail du bois Ateliers m caniques Imprimeries LA Production et transformation de P nergie Installations de production de froid climatisation et r frig ration 3 _Ventilations 3 Ventilations Installations de biom thanisation 2 Production stockage et distribution de produits chimiques Stations de distribution d essence et de gasoil
232. che et l engagement des diff rents partenaires associ s L action 3 2 intitul e Penser For t Agir Bois qui consiste organiser des r unions d information et de sensibilisation aupr s des pouvoirs publics des leaders d opinion des d cideurs des architectes des professionnels de la construction du grand public sur la for t la fili re bois et ses enjeux conomiques au sein de la Grande R gion du bois dans la construction et l am nagement et de ses potentialit s en tant que mat riau de construction L action 3 3 intitul e La Route du Bois qui consiste r aliser un audit dont l objectif est le recensement de l offre for t et bois du territoire concern et la d finition des th matiques pour cr er des circuits de la Route du Bois transr gional en liaison avec les th matiques et les r f rences d finies tout en assurant les outils de promotion et de communication ad quats L action 3 4 qui vise mettre sur pied de v ritables outils de communication concernant l habitat durable gr ce des visites encadr es de r alisations concr tes pour les architectes et professionnels de l habitat durable la r alisation de colloques sur les diff rents aspects de la probl matique li s l habitat durable et la mise en place d une exposition itin rante reprenant ce th me g n ral de l habitat durable La participation budg taire de l Administration des Eaux et
233. ci en coop ration avec l ASTA Cette action a permis la plantation de 4 305 arbustes 83 arbres solitaires et 24 arbres fruitiers Aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 8 demandes de subventions pour des travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t trait es l arrondissement C N Nord pour l exercice 2007 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit 33 arbres fruitiers 20 installations de protection individuelle 111 5 ares coupe rase de taillis 250 m haies d alignement cr ation de lisi res foresti res de 12 50 ares cr ation respectivement entretien de milieux naturels et semi naturels pour un montant total de 9 201 86 Euros 289 La diminution de ce nombre est peut tre due la mise en uvre des projets communaux subventionn s par le ministre de l Environnement pr sent s ci dessous 11 communes ont b n fici d un subventionnement de 50 pour la mise en uvre de mesures sur la base de leur cartographie des biotopes respectivement de leur plan vert et ceci pour un montant total de 96 028 95 Restauration d arbres remarquables L arrondissement C N Nord a contribu la protection la restauration et la sauvegarde de 30 arbres remarquables par des tailles d lagage et d claircissement et des mesures de stabilisation En outre l arrondissement a charg un sp ci
234. ck Strasse 16 54296 Trier BETAVIS AR L 2 route d Arlon L 8399 Windhof BIOMONITOR 96 boulevard de la P trusse L 2320 Luxembourg BUREAU TECHNIQUE LUXEMBOURGEOIS Zone industrielle Scheleck I N 26 L 3225 Bettembourg BVQI BELGIUM Boulevard Paepsemlaan 22 B 1070 Bruxelles S 32 0 23 44 85 85 B1 B2 F 32 0 23 45 20 99 F2 E3 31 03 2008 T 32 0 23 54 22 26 B1 B2 31 03 2009 F 32 0 23 51 33 90 E2 A11 A12 A13 A21 A23 A31 A32 A33 A4 A5 B1 B2 B31 C D1 D2 D3 D4 D5 El E2 E3 E4 ES E6 E9 F1 F2 F3 G1 H I 31 03 2008 31 03 2009 31 03 2010 31 03 2008 31 03 2008 T a 621 22 76 24 D3 T 33 0 24 01 31 200 F 33 0 24 00 52 062 T 41 0 44 39 51 111 E1 E2 E3 EA E5 F 41 0 44 38 51 234 F3 B2 o T 352 48 1858 1 F 352 49 10 06 1 T 31 0 34 24 26 300 C3 C4 C5 C6 C7 C8 F 31 0 34 24 26 399 D2 T 49 0 24 43 82 46 F 49 0 24 43 90 18 80 T 49 0 20 17 20 85 0 F 49 0 20 17 20 85 99 ES E9 31 03 2008 31 03 2008 T 49 0 65 02 92 41 0 F 49 0 65 02 92 41 18 T 4352 26 53 13 02 CCE B2 F 352 26 53 13 05 E2 ooo ETS NR A12 A212 A321 A4 T 4352 29 20 30 C1 C3 SE F 352 29 00 59 E5 F3 A11 A211 A2211 A311 F1 H1 H2 H3 T 32 0 25 20 20 90 F 32 0 25 20 20 30 GI 31 03 2010 31 03 2008 31 03 2009 T 352 26
235. ckage temporaire des VHU D but 2007 les derniers importateurs viennent de signer leurs contrats avec les recycleurs Dans le cadre de la mise en pratique de la gestion des VHU deux nouveaux points de reprise au Luxembourg ont t autoris s et peuvent d sormais accepter des VHU et mettre des certificats de destruction Plusieurs r unions ont eu lieu avec les responsables de la Soci t Nationale de Contr le Technique et du Minist re des Transports afin de discuter certains points essentiels quant la mise en pratique de la r glementation sur les VHU dont plus sp cialement la d simmatriculation des VHU diff rences entre la r glementation VHU et le code de la route Le site Internet du Minist re de l Environnement en mati re des VHU a t mis jour et contient d sormais plus d informations Cette page sera r guli rement mise jour De plus l a t d cid de mieux informer le grand public via l outil de la SuperDrecksK scht d pliant d information collecte mobile article dans le de Konsument et d Handwierk En d cembre 2007 une visite de l installation VW S Con GmbH sur le site portuaire de Belgian Scrap Terminal Kallo a t organis e par FEBELAUTO L installation VW S Con est une installation qui vise traiter les r sidus de broyage et d extraire le maximum de d chets recyclables se trouvant dans ces r sidus p ex diff rentes sortes de plastiques d chets non ferreux fra
236. clar e zone prot g e par r glement grand ducal en date 9 juin 2006 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 67 15 ha et appartient int gralement l Etat La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude La r serve foresti re int grale comporte des anciens peuplements des plantations et des superficies avec de la v g tation pionni re Ces peuplements sont mis en libre volution Dans la r serve dirig e sont incluses les surfaces de compensation de la Nordstrooss qui viennent juste d tre plant es et qui sont moyen terme conduites vers des peuplements en libre volution La zone de d veloppement comprend de la propri t priv e et a t d limit e afin que le propri taire garde le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e Avancement du projet L inauguration de cette r serve naturelle a eu lieu le 29 mai 2007 en pr sence de Monsieur le Ministre de l Environnement de Monsieur le Directeur des Eaux et For ts ainsi que de Monsieur le Bourgmestre de la commune concern e Afin de mieux informer le public sur les diff rents aspects cologiques de cette nouvelle zone prot g e une construction d accueil a t am nag e l entr e principale de la r serve
237. collaboration avec l Universit de Kent Canterbury e Etude sur la belette Mustela nivalis et l hermine Mustela erminea dans la r gion de Manternach dans le cadre d un travail de post doctorat en collaboration avec l Universit de Dresden e Etude g n tique du blaireau Meles meles dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Sussex Flore e Cartographie d taill e de la v g tation dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Freiburg Breisgau 3 4 1 6 Valorisation cologique et paysag re Agriculture extensive L agriculture extensive constitue un outil id alement adapt pour la gestion de r serves naturelles qui permet une revalorisation cologique et paysag re des sites concern s Depuis l exercice 2002 l Administration des Eaux et For ts fait r aliser parall lement au dossier de classement une tude agricole afin de proposer aux agriculteurs des mesures de gestion concr tes adapt es la gestion de r serves naturelles notamment du point de vue de la conservation de la restauration et du d veloppement de la biodiversit tout en garantissant la rentabilit conomique de ces terrains Il s agit donc d une nouvelle approche en mati re de conservation de la nature bas e sur l id e qu il devrait tre possible de g n rer des rendements conomiq
238. concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement 2 modification de la loi du 16 ao t 1967 ayant pour objet la cr ation d une grande voirie de communication et d un fonds des routes telle que modifi e 3 modification de la loi du 10 mai 1995 relative la gestion de l infrastructure ferroviaire telle que modifi e 2007 44 p 800 Loi du 21 juin 2007 autorisant le Gouvernement participer au financement des travaux en relation avec la construction des nouvelles infrastructures de traitement des d chets organiques du syndicat intercommunal Minett Kompost 2007 A 100 p 1852 Loi du 21 d cembre 2007 modifiant et compl tant la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 2007 238 p 4390 Loi du 21 d cembre 2007 1 modifiant la loi modifi e du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles 2 abrogeant la loi modifi e du 24 f vrier 1928 concernant la protection des oiseaux 2007 A 239 p 4394 R glement grand ducal du 23 mars 2007 modifiant le r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s 2007 A 44 p 808 D cision du Gouvernement en Conseil du 11 mai 2007 relative au plan national concernant la protection de la nature et ayant trait sa premi re partie intitul e Plan d action national pour la protection de la nature 2007 A 111
239. conversion FI estimation TOTAL 14 5 3 42 5 16 1 Les parquets du groupe de r g n ration ont t choisis en prenant en compte les crit res suivants Pr sence de r g n ration naturelle Risque de d gradation de la qualit des bois moyen terme Risques phytosanitaires Pr sence d un bon syst me de voirie Les possibilit s suivantes ventil es par quartier ont t fix es Quartier Surface Volume Volume ha m m ha an Quartier d am lioration 28 29000 4 Quartier de pr paration conversion en FI 52 59 4 560 Total sans les hors cadre 12 089 4 5 Total sur la for t La possibilit totale sur 10 ans correspond donc 12 000 m3 On peut noter un effort important dans le quartier de pr paration conversion FI o une diminution de la surface terri re est recherch e ce qui explique un fort pr l vement de l ordre de 8 7 m3 ha an sup rieur l accroissement annuel 6 1 m3 ha an A l issue de la p riode d am nagement une d capitalisation diminution de la surface terri re est donc garantie Par ann e la possibilit quivaut donc 1 200 m ce qui est l g rement sup rieure la moyenne des derni res ann es entre 750 et 1000 m an L effort devra donc tre augment l g rement durant les prochaines ann es Globalement dans les quartiers destin s l exploitation la possibilit quivaut 5 8 m ha an Cette possibilit est
240. ction inerte Le processus l chelle exp rimentale pour le moment vise fonctionner d sormais sur une chelle industrielle 2 7 11 Les d chets d puration 2 7 11 1 Les boues d puration Les quantit s de boues d puration L Administration de l Environnement proc de un recensement annuel des quantit s de boues d puration produites par les stations d puration dont la capacit puratoire est sup rieure 2000 habitants quivalents Le recensement est effectu moyennant un formulaire qui est mis la disposition des stations d puration par le biais du site Internet www emwelt lu et que les stations sont invit es renvoyer pour le 31 mars de l ann e qui suit celle concern e par le rapport En 2007 les donn es concernant l ann e 2006 ont donc t recens es En tout 35 stations ont t invit es remettre le rapport 31 rapports ont t remis Ceux ci repr sentent une capacit puratoire de 626 460 habitants quivalents La capacit puratoire totale du Luxembourg est de 1 014 428 habitants quivalents Les rapports ainsi que les donn es repris ci dessous concernent donc 61 8 de la capacit puratoire totale du pays 7 Le d tail des donn es figurant dans le pr sent chapitre peut tre consult dans le rapport Jahresbericht der Kl ranlagenspezifischen Abf lle Berichtsjahr 2006 publi sur le site Internet www emwelt lu rubrique d chets
241. d En 2007 l Administration des Eaux et For ts a fait le suivi des mesures compensatoires pr vues par la loi du 27 juillet 1997 autorisant le Gouvernement proc der la construction d une route reliant Luxembourg Ettelbruck Les mesures compensatoires comprennent la compensation par de nouvelles plantations foresti res de toutes les surfaces supprim es par la route du Nord ainsi que e laboration d un plan d emprise pour le boisement compensatoire e la nouvelle recherche de terrains pour le boisement compensatoire Vall e de P Alzette e Am nagement d une zone humide dans la Vall e de l Alzette laboration d un plan d emprise relatif l am nagement de la zone humide laboration d une tude agricole dans la Vall e de l Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen laboration d une tude agricole dans la vall e de l Alzette entre H nsdorf et Gosseldange laboration d un projet de renaturation dans la Vall e de l Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen Vall e l Eisch et de la Mamer e Programme de restitution d habitats naturels pour la Vall e de la Mamer laboration d un plan d emprise dans la Vall e de la Mamer valorisation cologique et paysag re de la propri t domaniale Weidendall entre Thillsmillen et Kopstal o tude g ologique et hydrog ologique du sous sol o laboration d un plan d am nagement cologique o tude agricole
242. d information am nagement d un parking cologique laboration de panneaux descriptifs et explicatifs du parking e Zone prot g e Ellergronn pr s d Esch sur Alzette am nagement d un sentier didactique et laboration d une brochure actualisation d une brochure et du balisage concernant un sentier existant e Future zone prot g e Dumontshaff am nagement d un sentier didactique balisage du sentier construction de ponts en bois am nagement de sentiers sur pilotis laboration brochure 3 4 1 2 Centres d accueil Les centres d accueil A Wiewesch et Ellergronn sont g r s par le service conservation de la nature de l Administration des Eaux et For ts A partir du mois de f vrier 2007 un pr pos forestier s occupe pleine t che des centres d accueil A Wiewesch et Ellergronn Le pr pos forestier a comme mission de g rer les deux centres d accueil sur place et de r aliser des activit s aussi bien avec des enfants ou avec des adultes Son horaire de travail est r parti sur les deux centres d accueil dont deux jours fixes dans chaque centre d accueil En 2007 les centres d accueil taient souvent ouverts m me le weekend Depuis le mois de septembre un nouveau programme d activit s didactiques est propos aux classes d cole r gionales par le pr pos forestier Ce programme est compl mentaire celui exerc
243. d veloppement conomique Chaque pilier s est bas dans son travail sur l valuation de crit res sp cifiques et la r alisation de cartes th matiques Pour la compilation des donn es et la validation des r sultats interm diaires des experts nationaux ont t consult s plusieurs reprises sous forme d interviews individuelles ou sous forme de groupes de travail th matiques L laboration du PSP entend tenir compte des engagements du Gouvernement dans le cadre de la ratification de la convention de Florence La convention pr voit notamment de mettre en place des proc dures de participation du public des autorit s locales et r gionales et des autres acteurs concern s par la conception et la r alisation des politiques du paysage C est ainsi que les autorit s communales seront invit s de participer deux conf rences paysag res dont la premi re a eu lieu le 6 novembre 2007 en pr sence des Ministre de l environnement et de l int rieur 11 1 1 9 Instauration d un systeme de cofinancement des projets d ONG L objectif g n ral du credit inscrit l article 15 0 33 005 du Minist re de l Environnement et dot de 130 500 est d encourager les activit s des ONG et des fondations d utilit publique uvrant dans le domaine de la protection de l environnement au niveau national par leur contribution la r alisation de la politique nationale et communautaire dans le domaine environnemental
244. d ouest et sud est du territoire national ont e a t examin es et le r sultat tait d embl e tr s convaincant En effet en proc dant une premi re analyse des sites Buchholz Houwald Bettembourg Haardt Moersdorf Kuerdbusch Manternach Felsmillen et Wellenstein Kuebend llchen 9 esp ces diff rentes de chauves souris ont t d cel es avec entre autres 23 individus de l esp ce Murin de Bechstein cf tableau ci dessous sur une totalit de 89 individus toutes esp ces confondues 25 20 15 10 Anzahl Flederm use e Plan d action d especes pour le Vespertilion oreilles chancr es Myotis emarginatus En 2007 a t entam e une tude radio t l m trique pour cette esp ce figurant l annexe II de la Directive Habitats 92 43 CEE Malgr les mauvaises conditions de t l m trage dues aux conditions pluvieuses de 2007 un certain nombre de femelles a pu tre radio t l m tr sur deux populations une situ e au sud est et l autre au centre du pays Par le biais de ces donn es les habitats de chasse ont pu tre d termin s Ces donn es figurent au PAE Plan d Action Esp ces pour la sauvegarde des populations de Myotis emarginatus au Luxembourg e Sth European Mammal Congress 21 26 september 2007 Siena Italy Lors de ce colloque ayant regroup des experts et scientifiques europ ens deux posters concernant la recherche scientifique sur le
245. dans la commune de Hesperange au lieu dit Buchholz 282 Taille et entretien d arbres et de haies Cr ation de lisi res de for t au triage de Wormeldange Entretien d une lisi re dans la for t communale de Burmerange Elvinger Gleicht 400 m Entretien et d gagement d une lisi re foresti re am Weiher Brouch commune de Biwer Bricherb sch Weidicherweier d gagement de bordures de mares Taille et entretien de 4 ch nes remarquables dans la commune de Mompach Entretien d une all e de poiriers Mondorf les Bains 62 poiriers Verger communal om D sch section Brouch commune de Biwer plantation d arbres fruitiers et regarnissage d une haie journ e de l arbre avec classes de l cole primaire Taille et restauration de saules t tards dans la commune de Weiler la Tour Plans verts Un accord pour une subvention de 15 426 67 a t donn la commune de Betzdorf pour la plantation et la taille d arbres et de haies La commune de Kayl a re u une subvention de 36 396 23 pour le r am nagement de l tang aux lieux dits Rieder et Hiel La demande de subside introduite par la commune de Biwer a t retenue un subside de 1 875 82 a t pay Le subside accord la commune de Junglinster s levait 3 395 08 Le SIAS a re u un subside de 178 659 63 pour ses travaux de plantation et de gestion d arbres fruitiers
246. date du 11 mai 2007 pr voit la r alisation d un cadastre des biotopes prot ger en vertu de l article 17 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles La r alisation de ce cadastre fait suite une revendication unanime des experts nationaux impliqu s dans le processus d laboration du plan national en vue de pr ciser la mise en uvre des dispositions de protection stricte des biotopes Le cadastre des biotopes couvrira la totalit du territoire national et sera r alis par des experts en la mati re suivant des m thodologies standardis es et scientifiquement valid es sous la coordination g n rale du Minist re de l Environnement et la supervision de l Observatoire de l environnement naturel Le cadastre des biotopes en zone verte sera r alis par des bureaux d tudes et experts ind pendants sous contrat direct avec le Minist re de l Environnement Sachant que les communes sont tenues de faire tablir un inventaire cartographique des biotopes couvrant l ensemble du territoire communal dans le cadre de l tude pr paratoire de la mise jour des plan d am nagement g n raux il a t retenu lors d une entrevue entre le bureau du Syvicol et le Ministre de l environnement en date du 16 avril 2007 que les r sultats du cadastre national devraient tre int gr es dans lesdites tudes Il a t galement retenu lors de cette r union que le Minist re
247. de nergie Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques R cup ration des produits provenants des catalyseurs D O 75779 Regeneration ou autres r emplois des huiles us es 1324220 1251144 1226664 Echange de d chets en vue de les soumettre l une quelconque op rations num rot es L A n 719420 R1 R11 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es 1448419 1162255 1385583 R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production 170580 of 0 Mise en d charge sp cialement am nag e p ex placement dans des alv oles tanches Gees an zu s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc 140620 2629992 3155160 Utilisation comme combustible autrement que incin ration directe ou autre moyen de produire de nergie Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 4800 O 247900 R g n ration ou autres r emplois des huiles us es O 105960 415400 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es 1056129 5580620 7664036 R1 R12 l e
248. de biodiversit pour tous les habitats forestiers du Grand Duch de Luxembourg Ces fiches pourraient tre regroup es sous forme d une synth se ou autre publication montrant l int r t des donn es de l inventaire ainsi que du croisement des donn es issues de deux projets distincts men s l chelle nationale et permettrait d identifier et de valoriser les compl mentarit s existantes 3 3 5 5 La revision et la finalisation du guide m thodologique Pour rappel le guide m thodologique reprend les modalit s techniques la liste exhaustive des variables r colter et le protocole de r colte des donn es La version actuelle du document d cembre 2007 est issue d changes permanents entre la FUSAGx et l Administration des Eaux et For ts Des modifications sont continuellement apport es au document suite aux activit s de mise en uvre de l IFL2 discussions changes de mails tests op r s sur le terrain Les principaux th mes abord s sont repris ci dessous e Photos des placettes Comme nous avons pu confirmer sur le terrain la r elle utilit des photos de la placette pour retrouver le centre lors du cycle suivant l a t d cid de prendre quatre photos au lieu de deux Etant donn que les photos seront d sormais digitales aucun co t suppl mentaire n est pr voir Les r gles relatives la prise des clich s ont t modifi es par rapport la propositi
249. de Luxembourg et environs seront expos es des concentrations en NO sup rieures la valeur limite 98 2 6 3 3 Suite du projet Par la suite des mesures pour r duire la pollution seront propos es et une nouvelle mod lisation permettra de constater l effet de ces mesures sur la qualit de l air Les r sultats des mod lisations constitueront la base pour le programme d action qui sera d velopp au cours de l ann e 2008 2 6 4 Inventaires des missions de gaz effet de serre Du 11 au 16 juin 2007 un groupe d experts international mandat par les Nations Unies a effectu dans les locaux de l Administration de l Environnement un audit in country review du syst me d inventaires pour gaz effet de serre L audit a notamment consist en la v rification de la conformit du rapport initial ann e 1990 et de la soumission de l inventaire de l ann e 2006 couvrant les missions des ann es 1990 2004 par rapport aux r gles tablies sous le Protocole de Kyoto Dans ce contexte la division Air Bruit a recalcul les missions des ann es 1990 et 2004 des principaux secteurs qui sont ceux de l nergie des transports et des proc d s industriels en prenant en consid ration les nouvelles r gles du Groupe d experts intergouvernemental sur l volution du climat GIEC En 2007 ont galement t calcul es les missions des ann es 2005 soumission en 2007 et 2006 soumission en 2008
250. de Contern lieu dit Weihergewann Echternach ZARE SIAEE section C de la Ste Croix syndicat intercommunal lieu dit Oben der Langheck Grevenmacher Biwer Z I Potaaschberg SIAEG section de Grevenmacher syndicat intercommunal section D de Wecker lieu dit Potaaschberg Heinerscheid Z A Adm com de Heinerscheid section D de Fischbach lieu dit Auf der Hoschtert section E de Hosingen syndicat intercommunal lieu dit Auf der Hoch Hosingen z a Happerfeld Adm com de Hosingen section E de Hosingen wee lieu dit Happerfeld Junglinster Adm com de Junglinster section B de Junglinster lieu dit In der Langwies section F des Fermes section A de Leudelange zt r Poudrerie European Business Park z i Am Bann Mertert Z A Kampen OKAM section C de Mertert Mondorf les Bains Le triangle vert section A dite d Ellange section B de Mondorf lieu dit In Dudent Rambrouch z a Riesenhof Adm com de Rambrouch section AA d Arsdorf Remerschen Adm com de Remerschen section C de Flouer SEO lieu dit Schengerwis Remich z a Jongeb sch Adm com de Remich section A dite des Bois Sanem z a Um Woeller Famaplast section B de Soleuvre Adm com de Sanem section A de Sanem Schuttrange Niederanven Parc d activit Syrdall Adm Com de Schuttrange section B de Munsbach et Niederanven section A de Niederanven Troisvierges z i in den Allern SICLER section F de T
251. de d pollution D Schifflange m Differdange O Belval 0 5 0 45 0 4 0 35 0 3 0 25 0 2 0 15 0 1 0 05 PCDDIF I TEQ ng Nr 2004 2005 2006 Month Year Les r sultats des changes d informations sont publi s sur le site Internet du Bureau europ en IPPC qui coordonne les travaux http eippeb jrc es 2 6 7 Polluants organiques persistants Les polluants organiques persistants POP sont des substances qui poss dent des caract ristiques toxiques sont persistantes sont susceptibles de bioaccumulation et peuvent ais ment tre transport es dans l atmosph re au del des fronti res sur de longues distances et se d poser loin du lieu d mission A cause de l effet de biomagnification c est au sommet de la cha ne alimentaire qu on observe les plus fortes concentrations Parmi les POP on compte notamment les dioxines et furannes les polychlorobiphenyles PCB le hexachlorobenzene HCB les hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP dont notamment le benz a pyrene et des pesticides comme le DDT Le Luxembourg a approuv le Protocole d Aarhus de 1998 et la Convention de Stockholm de 2001 relatifs aux polluants organiques persistants En outre le Parlement europ en et le Conseil ont arr t en 2004 le r glement CE N 850 2004 concernant les polluants organiques persistants En 2007 un projet de plan national de mise en uvre de la Convention de Stockholm a t
252. de donn es des dossiers de gestion des d chets Toutes les informations en relation avec la pr vention et la gestion des d chets figurant dans les ppgd des tablissements les rapports annuels et les r visions sont saisies et centralis es dans une base de donn es ACCESS A la fin de l ann e 2007 environ 3 680 dossiers subdivis s en 2 775 ppgd 619 rapports annuels et 286 r visions de ppgd taient enregistr s dans cette base de donn es dont e 2 077 dossiers approuv s e 1 342 dossiers non cl tures e 261 dossiers abrog s Les 1 342 dossiers en voie de traitement se composent principalement de 508 dossiers pour lesquels un ppgd un rapport annuel ou une r vision ont t demand s 312 dossiers pour lesquels le ppgd est exig 6 mois apr s le d but de l exploitation 402 dossiers pour lesquels des informations suppl mentaires ont t demand es 120 dossiers ouverts pour des raisons diverses Le tableau ci dessous indique l volution du nombre de dossiers par an enregistr s dans la banque de donn es D Dossiers revisions de 11 ppgd Nombre d tablissements enregistr s par an dans la base de donn es 2 5 13 2 Les plans de pr vention et de gestion des d chets examin s en 2007 En 2007 le service des ppgd a examin 265 dossiers de demande d autorisation introduits en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s qui n cessitaient un plan de pr vention et de g
253. de l ann e 2007 pour deux sites d exploitation p troli re D autres inspections environnementales sont pr vues dans les ann es venir En ce qui concerne les tablissements seuil haut Ces tablissements doivent faire parvenir aux autorit s comp tentes savoir le Ministre de l Environnement respectivement l Administration de l Environnement et le Ministre du Travail et de l Emploi respectivement l Inspection du travail et des mines par l interm diaire de l Administration de l Environnement AEV une notification un rapport de s curit et un plan d urgence interne documents servant galement de base l laboration du plan d urgence externe Les exploitants n ont toutefois pas entam l laboration des documents requis dans les d lais fix s dans le r glement grand ducal Les documents n ont t labor s qu apres leur r clamation par l AEV et en grande partie les premiers envois ne correspondaient pas aux exigences du r glement grand ducal Les documents ont donc t r vis s et adapt s parfois de multiples reprises Un plan d urgence externe concerne en premier lieu la protection des personnes cartographie implantation de l tablissement risques potentiels relatifs aux personnes caract ristiques des produits stock s risques r pertori s relatifs aux personnes sc narios retenus relatifs aux personnes dans le plan d urgence interne organisation des secours
254. de l industrie min rale Relev des dossiers concernant les activit s du service Industrie durant l ann e 2007 Dossiers entrants Notification de l arr t du Ministre de l Environnement Au cours de 2007 plusieurs tablissements ont t autoris s et ou r vis s au titre des exigences de l article 13bis et de son annexe III de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s tablissements tombant dans le champ d application de la directive 96 61 CE du Conseil du 24 septembre 1996 relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution Les exigences pour les tablissements concern s sont entre autres reprises dans les documents BREF best available techniques reference documents labor s par la Commission europ enne Ainsi les arr t s d exploitation des trois tablissements de la transformation et de l affinage de l aluminium se situant Eselborn traitement et affinage et a Dudelange production de feuilles d aluminium ont t r vis s et le cas ch ant adapt s Il en est de m me des installations de production de verre Bascharage et Dudelange L arr t d un tablissement de production de clinker Rumelange a t renouvel et actualis L exploitation d un tablissement de transformation des m taux Bissen tr filerie a t autoris en 2007 les autorisations d autres tablissements de la production et de la transform
255. de pour r soudre des probl mes susceptibles d intervenir lors de traitements courants ou sp cialis s Actuellement le suivi scientifique est essentiellement sollicit dans le cadre de la r vision du guide m thodologique et des tests sur le terrain 3 3 6 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales 3 3 6 1 Description et tat d avancement des projets La r serve foresti re int grale Beetebuerger B sch Description g n rale du projet Le Betebuerger B sch est repr sentatif pour les h traies voire les ch naies charmais sur les sols argileux frais assez humides du Gutland du Sud Les nombreuses sources ainsi que les petits ruisseaux lui conf rent un aspect particulier et sont l origine de diff rents types d habitats forestiers 239 Une autre particularit du Beetebuerger B sch provient du fait que ce massif n a pratiquement pas t touch par les derni res temp tes et d tient ainsi un pourcentage lev d anciens peuplements Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe pr s d un dixi me de la zone Bouleaux broussailles et arbustes r sineux peupliers et fr nes recouvrent le restant de la future RFI Cette zone foresti re a t d clar e zone prot g e
256. de poussi res PM Esch Alzette donne sans facteur correctif et en cours d valuation Niveau en particules PM lt 2 5 um Moyenne annuelle Bonnevoie Res 2006 ee 200 JI NU 2000 LI D E 20 E BENZENE CH6 La directive europ enne 2000 69 CE du 16 novembre 2000 reprise dans le r glement grand ducal du 25 juillet 2002 fixe une valeur limite pour le benz ne 5 ug m Le benz ne est le premier polluant dans lair ambiant caract re canc rig ne pour lequel une valeur limite a t introduite La valeur limite de 5 ug m est bas e sur le calcul d une moyenne annuelle et doit prot ger la sant humaine La valeur limite est respecter partir du 1 1 2010 Le niveau moyen annuel en benz ne se situe en 2007 2 ug m Luxembourg Centre et proche de 1 5 ug m Luxembourg Bonnevoie Les validations d finitives des mesurages ne sont pas encore totalement r alis es 91 La baisse des niveaux en benz ne dans l air ambiant est essentiellement attribuable a la diminution de la teneur en benz ne dans l essence commercialis e MONOXYDE DE CARBONE CO La directive europ enne 2000 69 CE du 16 novembre 2000 reprise dans le r glement grand ducal du 25 juillet 2002 fixe une valeur limite de 10 mg m pour le monoxyde de carbone relative la protection de la sant humaine valeur reprise de l O M S Elle repr sente le maximum journalier de la moyenne 8 heures glissante d
257. de rayon 30 m e Module d encodage Le module d encodage actuellement finalis est en cours de pr validation la validation finale se fera lors de la phase pilote pr vue en 2008 sur le terrain Les tests portent essentiellement sur le bon fonctionnement et la pertinence des contr les de validit l encodage ainsi que de la nature et de la qualit des messages d erreurs en g n ral Le module d encodage a fait l objet de premiers contr les sur le terrain en novembre 2007 l occasion des tests de faisabilit sur le terrain 3 3 5 6 Les travaux informatiques Le guide m thodologique informatique Finalisation du guide m thodologique informatique regroupant toutes les proc dures de traitement informatiques organigrammes algorithmes li es la cr ation de la base de donn es de l IFLI et aux modules de traitement des donn es r sultant des proc dures mises en uvre dans le cadre de celui ci Le module d encodage La cr ation du module d encodage pour le second cycle de mesures doit encore subir des modifications et des am liorations en fonction de l avancement des autres travaux de mise en uvre La cr ation de liaisons entre la base de donn es de l IFLI et la base de donn es de l IFL2 garantit un certain contr le direct lors de l encodage en comparant les mesures du premier cycle avec celles du deuxi me c est dire au moment o la tol rance entre deux mesures est d pas
258. de serre d au moins 20 d ic 2020 par rapport 1990 23 1 5 3 9 Qualit des carburants Suite la pr sentation par la Commission en janvier 2007 de sa proposition de directive qui vise r duire la pollution et les missions de gaz effet de serre produites par les carburants utilis s dans les transports et accro tre le recours aux biocarburants le Conseil environnement du 30 octobre 2007 a tenu un d bat d orientation en la mati re LU a souscrit pleinement l objectif inh rent la proposition de directive qui consiste encourager le d veloppement de carburants faible teneur en carbone ainsi que des biocarburants de seconde g n ration et partant responsabiliser le secteur des carburants Dans ce contexte LU a appuy l approche qui consiste r duire les missions de gaz effet de serre li es aux carburants et ceci sur l ensemble du cycle de vie par unit d nergie et selon un calendrier d termin Il est entendu que les n gociations mener sur la proposition en question doivent prendre d ment et simultan ment en consid ration les imp ratifs de soutenabilit et de surveillance indispensables pour garantir la cr dibilit et le suivi du syst me et pour pr venir les effets pervers li s la production et la commercialisation des biocarburants un sch ma de durabilit e qui soit viable du point de vue conomique social et environnemental e qui repose sur des crit res
259. de soufre m thode de l acidit forte et de la fum e noire Les r seaux de mesure des retomb es de poussi res 50 placettes 3 Ancien r seau de mesure des m taux lourds et des sulfates 3 Nouveau r seau de mesure des particules fines PM o et associ s ces poussi res des m taux lourds et des hydrocarbures aromatiques polycycliques mesure du traceur benzo a pyrene Er Le r seau de biosurveillance autour des sites industriels importants 7 Ler seau observatoire co lich nique 8 2 6 2 3 R seau de mesure de soufre et de fum e noire SF Le r seau SF8 est actuellement form de 9 stations Une station se trouve au centre de Luxembourg ville 4 autres sont plac es dans le bassin minier du Luxembourg Les quatre stations restantes sont plac es en retrait par rapport ces sites pour permettre l valuation des niveaux de ces polluants dans l arri re pays en provenance des r gions o se trouvent les sources d mission D avril 2005 mars 2006 Tableaux I IT et IIT les niveaux en SO2 se maintiennent un niveau tr s faible et plafonnent une valeur proche de 5 ug m Les niveaux en fum e noire se situent un niveau assez bas de l ordre de 10 ug m Les journ es de pointes sont pratiquement insignifiantes pour le SO2 Pour la fum e noire le nombre de jours gt 50 ug m est de 0 jours pour Luxembourg Centre ainsi que tous les autres sites de mesure except Differdange A Differdange on d
260. del Tandel Lenningen Canach Troisvierges Junglinster L technique Pr Privat St Staatlich Ko Kommunal 1 Srm 20 Wassergehalt 90 Liter Heiz l Faktor 3 185 kg CO je Liter Heiz l Hackschnitzelanlagen in Luxemburg 6 897 6 032 L e Leistung in kW kumuliert 5 272 we O 200 252 Besch A d gt 8 H N SO D Q d DD Jahr der Inbetriebnahme 183 Leistung in kW pro Jahr eistung in kW kumuliert O Leistung in kW pro Jahr Hackschnitzelverbrauch und Heiz leinsparung TET Een b b en H LIESE s leag perplot EF En EI KR u b amj ST aLi DEER C1 a RAR a be sis ku ES Zu TH i KI Les pi Lire il i Ra am m 4 Fi ai abhi HT Hackschnitzelverbrauch in Srm cl Lt RE DA EA TETE Ka ie on rs 3000000 2500000 2000000 1500000 1000000 Heiz leinsparung in Liter 500000 Suite l explosion du prix des produits p troliers et suite aux incertitudes d approvisionnement en nergie fossile l ann e 2006 a t marqu e par une nette augmentation de l int r t des communes propri taires de for ts pour la technique des chaudi res de copeaux de bois Une quinzaine de communes ont demand l Administration des Eaux et For ts des i
261. des audits internes de terrain L audit interne du SME a pour but de v rifier que le SME r pond aux exigences de la norme et que son impl mentation correspond sa description Il est r alis ensemble avec le Groupement des Sylviculteurs Les audits internes de terrain ont pour but de d terminer l tat de la gestion foresti re en relation avec l engagement de qualit pour fixer de commun accord avec le propri taire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t Ils se font par chantillonnage dans les propri t s publiques adh rentes L Administration des Eaux et For ts a confi la mission des audits internes du terrain au bureau d tudes EFOR Un certificateur externe charg par l Administration des Eaux et For ts et le Groupement des Sylviculteurs fait galement un contr le en deux phases La premi re phase est l audit externe du SME en tant que tel au sein des diff rentes instances concern es par son fonctionnement La deuxi me phase de l audit externe est un contr le de terrain sur base d un chantillon des propri taires qui ont sign l engagement de qualit 3 1 12 Le plan de d veloppement rural En 2007 l Administration des Eaux et For ts a poursuivi son travail pour la mise en uvre du R glement CE 1698 2005 du Conseil du 20 septembre 2005 concernant le soutien du d veloppement rural par le Fonds europ en agricole pour le d velopp
262. devrait permettre de fournir une batterie d indicateurs de biodiversit utiles prendre en compte en mati re de gestion Une des pistes qui a t voqu e au cours de l ann e 2007 concernait la possibilit de croiser les donn es issues de la carte de v g tation du Grand Duch EFOR 2002 et les donn es de l IFLI Ce croisement aurait t int ressant surtout en ce qui concerne l ad quation de la station eu gard l essence actuellement en place Toutefois 1l s est av r que cette derni re tude ne peut tre r alis e avec les donn es de la carte de v g tation En effet cette carte est issue d une cartographie des habitats forestiers actuels et observ s et non pas potentiels D autres pistes d exploitation des donn es IFL1 et de la carte de v g tation ont alors t explor es Dans un premier temps ces tudes s orientent dans deux directions 234 l Croisement entre les donn es de la carte et des donn es peuplement de l IFLI Le r sultat de ce croisement se pr senterait sous forme de couches cartographique d information ge essence hauteurs VHA NHA A 2 Caract risation des habitats forestiers de la carte l aide des donn es peuplement et biodiversit de l IFLI Les r sultats de cette tude pourraient se pr senter sous forme de fiches d information par type d habitat sur lesquelles seraient reprises les donn es peuplement et
263. dre de ses discussions sur le budget des recettes et des d penses de l Etat pour l exercice 2007 En ao t 2007 le Ministre de l Environnement a transmis une demande d avis sur les opportunit s et les d fis manant d une utilisation accrue de la biomasse Le CSDD a form deux groupes de travail charg s de l laboration de ces avis Les travaux y relatifs se sont poursuivis au sein de ces groupes de travail Les travaux relatifs au d veloppement de nouveaux indicateurs de d veloppement durable se font dans le cadre des instances initi es par la loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable et plus pr cis ment au sein d un Groupe de Travail compos s de membres de la CIDD La r flexion quant la construction d un nouveau jeu d indicateurs de d veloppement durable suit une logique double Les indicateurs doivent tre d finis de mani re prioritaire en fonction des objectifs du deuxi me Plan et doivent tre en coh rence avec les indicateurs utilis s pour d autres exercices notamment avec le syst me d indicateurs retenus pour le plan national pour l innovation et le plein emploi visant la Strat gie de Lisbonne et avec les syst mes retenus au niveau international La l gislation devra permettre au processus de d veloppement durable de se mettre en place et de se d velopper en promouvant l int gration sectorielle du d veloppement durable dans les po
264. dustriel c est dire qu il provient enti rement du bois de trituration feuillu qui est actuellement transform en majeure partie en cellulose et en papier Aucun arbre suppl mentaire n a t abattu jusqu ce jour des fins nerg tiques et le potentiel nerg tique se trouvant au niveau du bois de trituration n est de loin pas puis environ 12 du bois de trituration sont actuellement utilis s des fins nerg tiques Le bois utilis substitue environ 1 759 230 litres de fuel et r duit ainsi l mission de CO du Grand Duch de Luxembourg d environ 5 603 tonnes nahme in kW Verbrauch Holzbedarf in Liter Einsparung in Srm in m3 in Tonnen Wilwerwiltz Enscherange Pr 197 ml 600 20 54000 172 0 Mompach Tandel Landscheid Io mei 60 mi oi 1350 430 Stadtbredimus Stadtbredimus _ Ko 2005 320 600 240 54000 172 0 Beaufort Beaufort ko 2005 330 1500 cool 135000 430 0 Koerich Goebelange ko 2060 Hl ol al 1350 43 0 Steinsel Steinel Ko 2007 90 mi oi 1350 ou Tandel Fouhen Ko Pr ml 20 600 ul 54000 172 0 Mompach Hieber Ko 20077 al 3001 120 27000 Total 6 897 19 547 7 6197 17759230 5 603 1 182 Anlagen in Planung Junglinster Junglinster Ende 2008 2 000 Wormeldange Hovelange Leudelange Koerich 2009 10 Kayl 2009 600 Luxembourg 2007 Schifflange 2010 Rosport 2009 Nommern Hosingen 2007 Schuttrange Tan
265. e e la s rie dite de futaie irr guli re Comme leur nom l indique les peuplements forestiers de ces s ries seront trait s selon les principes de la futaie r guli re respectivement de la futaie irr guli re 222 Possibilit de 2007 2016 sur corce Traitement futur S rie Traitement en futaie r guli re parcelles 1 17 Surface du quartier de r g n ration dont groupe de r g n ration strict dont groupe de r g n ration largi Surface du quartier d am lioration Surface du quartier de jeunesse Surface hors cadre Possibilit de 2007 2016 sur corce S rie Traitement en futaie irr guli re parcelles 18 36 Surface futaie irr guli re Surface jeune futaie irr guli re Surface hors cadre Possibilit de 2007 2016 sur corce Sur la totalit de la for t 35 441 m 8 6 m ha an partie productive sans les hors cadre 78 96 ha 20 87 ha en 10 ans 58 09 ha en 30 ans 209 07 ha 2 41 ha 47 51 ha 23 218 m 8 1 m ha an 122 23 ha 28 16 ha 155 65 ha 12 223 m 10 m ha an 5 5 m3 ha an toute la for t La voirie La qualit ainsi que la densit des voies de vidange et pistes de d bardage du bois est tr s variable au sein de la propri t de la commune de Berdorf Les massifs se trouvant sur le plateau pr sentent des r seaux de voirie assez adapt s et globalement en bon tat Les massifs en pent
266. e Le Conseil environnement du 28 juin 2007 a d gag un accord politique sur la proposition de r glement relatif l interdiction des exportations de mercure m tallique et au stockage en toute s curit de cette substance pr sent e par la Commission en octobre 2006 La future r glementation visera contribuer l objectif mondial de r duction de l exposition au mercure gr ce la r alisation des trois objectifs suivants e interdire les exportations de mercure depuis la Communaut 2011 e veiller ce que les exc dents de mercure m tallique ne soient pas r introduits sur le march e garantir son stockage en toute s curit afin de prot ger la sant humaine et l environnement La position commune a t transmise au PE pour deuxi me lecture 1 5 3 5 R vision du syst me communautaire d change de droits d mission Le Conseil environnement du 28 juin 2007 a adopt des conclusions sur le r examen du syst me communautaire d change de droits d mission La proposition de directive aff rente a t pr sent e par la Commission dans le cadre du paquet climat nergies renouvelables janvier 2008 22 Les conclusions envisagent notamment une harmonisation poussee des methodes et regles d allocation y compris des m thodes de fixation des plafonds en outre et selon ces m mes conclusions la question de la diff rentiation devrait tre r gl e par la suite dans le cadre du burden sharing LU a p
267. e SEVESO transpos e en droit national par le r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2000 concernant la ma trise des dangers li s aux accidents majeurs impliquant des substances dangereuses La liste des tablissements actuellement concern s se trouve ci dessous et une liste des tablissements Seveso luxembourgeois est publi e sur le site Internet www emwelt lu e 14 de ces tablissements disposent de quantit s de substances dangereuses sup rieures au seuil bas sans d passer les seuils hauts e 9 tablissements disposent de quantit s de substances dangereuses sup rieures au seuil haut et sont donc soumis notamment aux exigences des articles 9 11 et 13 du r glement grand ducal pr cit En ce qui concerne les tablissements seuil bas Ces tablissements doivent faire parvenir aux autorit s comp tentes savoir le Ministre de l Environnement respectivement l Administration de l Environnement et le Ministre du Travail et de l Emploi respectivement l Inspection du travail et des mines via l Administration de l Environnement AEV une notification ainsi qu un document de politique de pr vention des accidents majeurs Ces documents sont disponibles pour 12 des 14 tablissements concern s Un de ces tablissements vient seulement de tomber sous l application du r glement alors que pour l autre un projet de document est en cours de finalisation Des inspections ont t r alis es au courant
268. e Trypodendron domesticum 262 Die Frafaktivit t der beiden Insektenarten ist zugleich f r eine Destabilisierung der Best nde als auch f r eine nicht zu vernachl ssigende Entwertung des Stammholzes verantwortlich So geht u a von Trypodendron domesticum welchem eine bedeutende Rolle n der zurzeit beobachteten Buchenkomplexkrankheit zukommt als Prim rsch dling ein betr chtliches Gef hrdungpotential f r unsere einheimischen Buchenw lder aus Zum einen wurde n einer Reihe von Projekten deutlich dass noch bedeutende Wissensl cken bez glich des Flugverhaltens und der Biologie des Trypodendron domesticum bestehen Zum anderen ist eine regelm ige berwachung dieser Borkenk ferpopulationen von N ten um eine sich im Aufbau befindende Kalamit t fr hzeitig zu erkennen Aus diesen Gr nden wurden m Jahr 2007 als Fortsetzung zu bisherigen Studien erneut ein l nder bergreifendes Monitoring zur Populationsdynamik und Flugaktivit t des Buchennutzholzborkenk fers Trypodendron domesticum durchgef hrt Die Daten stammen von insgesamt sechs Fallenstandorten drei davon in Luxemburg Saeul Beckerich Perl und Bastendorf drei weitere Fallentrakte n Rheinland Pfalz Pr m Saarburg und Hochwald H er sollen jedoch lediglich die luxemburgischen Standorte erw hnt werden Der Untersuchungsaufbau erfolgte nach der bereits im Rahmen des Interreg HIA DeLux Projektes Entwicklung von Strategien zur Siche
269. e 30 ses missions de gaz effet de serre d ici 2020 par rapport 1990 pour autant que d autres pays d velopp s s engagent atteindre des r ductions d mission comparables et que les pays en d veloppement plus avanc s sur le plan conomique apportent une contribution adapt e leurs responsabilit s et leurs capacit s respectives Afin de souligner sa ferme volont d aller de l avant PUE a galement adopt une r duction unilat rale de 20 des missions de gaz effet de serre d ici 2020 par rapport 1990 m me en l absence d un accord international 1 1 5 Mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables Au niveau national l ann e 2007 a t marqu e par la mise en uvre et le renforcement du plan d action de r duction des missions de CO que le gouvernement avait adopt en avril 2006 Ce plan comporte de nombreuses mesures aussi bien dans le domaine des transports que ceux du b timent des nergies renouvelables de l industrie ainsi que de l information de la sensibilisation du conseil et de la formation en nergie sans oublier le recours aux m canismes de projet Pour en dresser un premier bilan Monsieur Lucien Lux ministre de l Environnement avait invit tous les acteurs concern s et personnes int ress es participer au forum Klimaschutz schaaft Chancen organis le 3 mai 2007 la Chambre de Commerce Ce forum se proposait d
270. e 7 50 ha dans les pelouses s ches e organisation de 2 manifestations Lintgen et Lorentweiler dans le cadre de la journ e nationale de l arbre e action Bongerten taille de 160 arbres fruitiers et installation de 100 protections individuelles Triages forestiers de Mersch Est et Ouest e fonctionnement du centre de collecte de sangliers au Marienthal avec remise de 80 sangliers pendant la p riode de janvier juin 2007 e action Bongerten et Beien avec 26 classes scolaires de l cole de Mersch nombre de participants 390 enfants e 58 visites avec 342 participants du mus e au Marienthal dans le cadre du festival des cabanes organis par le Service National de la Jeunesse e entretien du sentier Sannert e plantation d arbres pour les nouveaux n s au parc du ch teau de Schoenfels avec 80 participants e collecte de 2 kg de semences Aesculus hippocastanum Triage forestier de Koerich e entretien et gestion de l ancienne d charge Steinfort d une superficie de 250 ares e taille de 15 saules Septfontaines e entretien et am lioration de la r serve naturelle Stengeforter Steekaulen 3 hectares et de la r serve naturelle Millebierg 0 15 hectare e taille de 1000 m tres de haies en zone verte Steinfort et de 2500 m tres Koerich e am nagement cologique dans la zone artisanale Windhof travaux de plantation et de taille d arbustes e vidange p riodique des poubelles en for t 140
271. e a t vendu comme bois de trituration ou bois nergie Vu l am lioration de la situation du march du bois d industrie et du ch ne m me de mauvaise qualit les r alisations ont t concentr es sur l exploitation d claircies de jeunes peuplements r sineux et feuillus et sur des claircies de ch nes du quartier d am lioration Reste constater que d normes retards d claircies sont visibles travers tout le cantonnement Pour rem dier cette situation les claircies machinales sont indispensables L abattage de h tres est limit aux arbres de mauvaise qualit vu le march quasi inexistant de cette essence 3 2 4 2 Vente de bois Le march du bois d industrie de feuillus et de r sineux s est largement am lior par rapport aux ann es pr c dentes Les grumes de ch ne m me de qualit inf rieure se vendent tr s bien des prix tout fait exceptionnels Le march des grumes de h tres est par contre en r gression et 1l est m me difficile de vendre les masses abattues des prix faibles En 2005 le Cantonnement de Diekirch a r alis 10 ventes r gionales de bois par soumission 3 2 4 3 Etat sanitaire de la for t En 2007 le d p rissement du h tre apparu isol ment dans la for t communale de Beaufort ne s est heureusement pas propag et a pu tre tenu sous contr le Sauf quelques foyers de bostryche sans gravit l tat sanitaire des f
272. e cadre des travaux de mise en uvre du second cycle Cette phase de terrain est pr vue pour la premi re moiti de 2008 et permettra la fois d identifier les probl mes ventuels pouvant survenir lors des remesurages sur les placettes permanentes et d alimenter le protocole de mesure pr vu dans le guide m thodologique Durant la phase pilote de PIFL2 au cours de l ann e 2008 les toutes derni res corrections du guide m thodologique seront faites 3 3 5 4 Caract risation de la biodiversit On dispose d une liste d indicateurs de biodiversit et de qualit des habitats tablie partir des donn es brutes ou labor es contenues dans la base de donn es de l IFLI L tat actuel de cette liste d indicateurs doit encore tre r vis Etant donn que les travaux de la convention en cours concernent essentiellement la pr paration et la mise en uvre de l IFL2 une modification du nombre et de la nature des variables prises en compte dans l inventaire est en cours La caract risation de la biodiversit consid r e comme t che de fond consiste analyser toutes les donn es IFL1 r colt es en mati re de biodiversit afin de construire des indicateurs de diversit v g tale et de qualit des habitats pouvant tre utilis s lors du traitement des donn es de l IFL2 et des cycles ult rieurs L analyse concerne les donn es r colt es en mati re de biodiversit elle
273. e d apparition des p riodes d inversion de temp rature s est traduits par 18 valeurs horaires d passant 500 ug m 87 Nombre de jours avec des concentrations horaires gt 500 ug mS DIOXYDE D AZOTE NO3 Les normes de qualit pour le dioxyde d azote et les oxydes d azote sont inscrites dans la directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 TPM10 50 24H ANN E 2006 NO PROTECTION DE LA SANT HUMAINE ANN E 2007 NO P riode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Periode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 200ug m 293 K 101 3 kPa appliqu e la valeur moyenne horaire et respecter partir du 1 1 2010 Nombre de d passements tol r s de la valeur limite 18 fois Valeur limite marge de tol rance en 2006 240 ug m 293 K 101 3 kPa Valeur limite marge de tol rance en 2007 230 ug m 293 K 101 3 kPa ANN E 2006 NO PROTECTION DE LA SANT HUMAINE ANN E 2007 NO Periode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Periode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 40ug m 293 K 101 3 kPa appliqu e la moyenne annuelle et respecter partir du 1 1 2010 Nombre de d passements tol r s de la valeur limite 18 fois Valeur limite marge de tol rance en 2006 48 ug m 293 K 101 3 kPa Valeur limite marge de tol rance en 2007 46 g m 293 K 101 3 kPa Moyenne annuelle D passement si valeur STATION ug m ann
274. e de bonnes pratiques et organisation d un colloque en 2009 et la lutte contre le commerce de bois ill gal change d informations et concertation 3 1 11 La certification des for ts La certification des for ts est un instrument volontaire qui est susceptible de promouvoir la gestion durable des for ts Dans le cadre de ses activit s de promotion du d veloppement durable le Gouvernement tient soutenir les initiatives de certification en tant qu instruments de march volontaires Deux syst mes sont actuellement applicables au Luxembourg le FSC et le PEFC Ils ont t analys s et d clar s conformes aux crit res d une gestion durable des for ts par le Ministre de l Environnement Le choix de l un ou l autre syst me incombe aux propri taires En 2007 l Administration des Eaux et For ts a particip aux travaux de finalisation du standard national pour le sch ma de certification FSC au Luxembourg Deux proc dures peuvent tre suivies en ce qui concerne les for ts soumises au r gime forestier savoir la certification individuelle et la certification de groupe La proc dure de certification FSC individuelle ou de groupe en for t soumise est la suivante e Le propri taire forestier ou groupe de propri taires forestiers qui d cide de se faire certifier attribue le travail d audit un organisme certificateur agr par FSC International Le propri taire prend en charge les frais de la c
275. e de ses comp tences propres telles que d limit es par la loi les positions de l Administration des Eaux et For ts et celles de l Administration de l Environnement sont concert es si n cessaire Dans le cadre de cette proc dure de concertation 78 dossiers de demande ont t transmis en 2007 la Division des tablissements class s Il y a lieu de constater que comme pour les ann es pr c dentes la grande majorit des dossiers ont directement pu tre avis s positivement Pour seulement 6 des dossiers la demande requise en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 faisait d faut 50 2 5 7 3 Analyse d taill e des fermes d levage intensif de porcs disposant de plus de 2 000 emplacements sur le m me site Les installations destin es l levage intensif de porcs disposant de plus de 2 000 emplacements pour porcs de production de plus de 30 kg sont reprises l annexe III Liste des tablissements tombant dans le champ d application de la directive 96 61 CE du Conseil du 24 septembre 1996 relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Au total l Administration de l Environnement a en collaboration avec l Administration des services techniques de l agriculture recens 6 sites d levage de porcs qui d passent le seuil pr cit Une analyse d taill e a t effectu e par un bureau d
276. e des travaux de nettoiement ont t effectu s sur une surface de 169 71 ha 3 2 7 8 Les travaux de voirie Dans l enceinte du cantonnement 1 projet de 700 m d un nouveau chemin a t r alis dans une for t communale A l avenir les travaux se limiteront surtout l entretien de la voirie existante 3 2 7 9 Les travaux forestiers subventionn s Les travaux forestiers suivants ont t subventionn s en 2007 e Boisement de feuillus 50 20 ares 3 2 7 10 La for t priv e Le cantonnement forestier entretient des contacts sporadiques avec des propri taires forestiers priv s normalement sur une demande individuelle Les sujets de ces contacts taient constitu s en des conseils pratiques sur la construction de chemins forestiers le choix des essences ou l valuation de travaux forestiers ex cut s par des entrepreneurs priv s 206 3 2 7 11 Les d g ts caus s par le gibier En 2007 123 dossiers concernant les d g ts caus s par le gibier ont t trait s portant sur une surface d environ 43 ha Une r gion extr mement touch e par des d g ts caus s surtout par le sanglier reste comme les ann es pr c dentes le triage de Kopstal suivie par les triages de Mamer et d Esch Alzette 3 2 7 12 La conservation de la nature En mati re de la conservation de la nature 517 dossiers ont t trait s en total par les pr pos s forestiers D autre part le cantonnement forestier a partici
277. e et de v rification dans le domaine de l environnement figure sur le site du Minist re de 1 Environnement www mev etat lu Cette liste est r guli rement mise Jour 26 2 ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT 2 1 La Direction 2 1 1 L organisation Apres l entr e en vigueur du nouvel organigramme en date du 12 f vrier 2007 les dispositions y contenues ont t mises en uvre Parmi ces dispositions figure entre autres la Conf rence des coordinateurs ou se rassemblent r guli rement les coordinateurs des diff rents services A l occasion de ces r unions sont pr sent s et discut s diff rents points concernant l organisation et le fonctionnement de l administration les sujets concernant plusieurs services ainsi que les nouveaut s dans les diff rents services Les r unions de la Conf rence des coordinateurs font l objet d un compte rendu qui est communiqu l ensemble du personnel par publication sur Intranet Au cours de l ann e 2008 la Conf rence des coordinateurs s est r unie 8 fois Afin d assurer un meilleur suivi du courrier r ceptionn par l Administration de l Environnement un logiciel sp cifique aux besoins propres a t labor par le Service informatique Ce programme a t test dans une premi re phase au niveau de la direction Actuellement 1l est en train d tre mis en uvre dans les diff rents services Ce logiciel permet de combler la lacune qui concerne
278. e et notamment toute la partie Schnellert Sud et Nord pr sentent un syst me de voirie de mauvaise qualit et mal adapt Certaines parties ne sont pas du tout desservies Lors du trac des diff rents projets de voirie les crit res suivants ont t respect s utiliser au maximum le r seau existant afin de minimiser les co ts viter les zones de forts remblais et de blocs dans la partie Schnellert passer le moins possible par des cours d eau desservir un maximum de surface pente maximale de 7 de pr f rence inf rieure 5 Trois grands projets de voirie sont r aliser lors de la p riode de l am nagement dans le massif Schnellert Nord dans le massif Laangeb sch dans le massif Friemholz La longueur des diff rents projets est de Projet Schnellert Nord 3 298 m dont Am lioration de la voirie existante 1 967 m Cr ation de nouveaux trac s 1 331 m Projet Laangeb sch 2 455 m dont Am lioration de la voirie existante 1 836 m Cr ation de nouveaux trac s 619 m 223 Projet Friemholz 2 230 m dont Am lioration de la voirie existante 2 230 m Cr ation de nouveaux trac s 0 m Le bois nergie La cr ation d un chauffage collectif bois est un objectif de la commune L approvisionnement en bois nergie doit tre garanti de fa on constante A l heure de la finalisation de cet am nagement la taille de ce chauffage n est pas encore fix e Dans l hypoth se o la c
279. e interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 129 2 7 7 Les parcs a conteneurs 2 7 7 1 Les quantit s collect es En 2007 21 parcs conteneurs taient fonctionnels au Grand Duch de Luxembourg En octobre 2007 le parc conteneurs de Wormeldange a t autoris Etant donn que l Administration de l Environnement n obtient les rapports annuels des parcs conteneurs qu au d but de l ann e suivante les donn es indiqu es la suite se rapportent l ann e 2006 Les formulaires du rapport d activit des parcs conteneurs pour l ann e 2007 et 2008 de la Division des d chets sont disponibles sur le portail Internet www environnement public lu au guichet virtuel de l Administration de l Environnement Pour l ann e 2008 la structure du formulaire Rapport annuel parc conteneurs et les tableaux de saisie des quantit s de d chets n ont pas t modifi s Seulement le catalogue de d chets a t adapt pour mieux correspondre la collecte des fractions de d chets couvertes par la directive 2002 96 CE relative aux d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE Le graphique suivant reprend les quantit s totales collect es de 2000 2006 pour les fractions papier carton verre creux m taux mati res plastiques bois charg s d chets probl matiques et d chets encombrants Par rapport l ann e 2005 on constate que tout comme les ann es pr c dentes les
280. e plus d une tonne d une substance chimique par an devront l enregistrer dans une base de donn es centrale g r e par la nouvelle Agence europ enne des produits chimiques European Chemicals Agency ECHA Cette agence mettra disposition des outils informatiques et des orientations tandis que les Etats membres proposeront un service d assistance help desk aux soci t s concern es Ce nouveau r glement vise am liorer la protection de l environnement et de la sant humaine tout en pr servant la comp titivit de l industrie chimique de l UE et sa capacit innover Dans le cadre de REACH l industrie assumera par ailleurs une plus grande responsabilit dans la gestion des risques li s aux produits chimiques et dans la communication d informations sur la s curit des substances Ces informations seront disponibles tout au long de la cha ne d approvisionnement Le R glement pr voit un syst me d autorisation pour l utilisation des substances extr mement pr occupantes c est dire les substances qui entra nent le cancer la st rilit des mutations g n tiques ou des malformations cong nitales ainsi que celles qui sont persistantes et s accumulent dans l environnement Le syst me d autorisation amenera les soci t s adopter progressivement des substances de remplacement plus s res lorsque celles ci existent REACH garantit galement que l experimentation animale est limit e au strict m
281. e plusieurs tapes savoir l la v rification pr liminaire screening op ration qui consiste d terminer si tel ou tel projet sp cifique n cessite ou non une EIE projets de l annexe II 2 la d limitation du champ de l valuation scoping op ration qui consiste identifier les points sur lesquels doit porter la d claration d incidences sur l environnement 3 l examen op ration qui consiste passer en revue la d claration d incidences sur l environnement afin de s assurer qu elle est conforme aux exigences minimales du r glement grand ducal du 7 mars 2003 en mati re d information Conform ment aux dispositions r glementaires ces valuations sont r alis es en troite collaboration avec les autorit s ayant des responsabilit s sp cifiques en mati re d environnement telles que les administrations communales les autorit s en mati re de protection de la nature l Administration de la gestion des eaux l Administration des ponts et chauss es les instituts culturels patrimoine architectural arch ologie Le cas ch ant les autorit s comp tentes des Etats limitrophes sont galement associ es aux travaux d valuation L valuation est soumise l avis du public dans le cadre de la proc dure d enqu te publique pr vue pour l tablissement en question en vertu de la l gislation sur les tablissements class s Au cours de l ann e coul e les valuations l gard des proj
282. e proc der une premi re valuation du plan d action un an apr s son adoption par le gouvernement Trois panels organis s en parall le ont permis d aborder plus en d tail les th mes suivants Energies renouvelables et protection de l environnement de la nature Economies d nergie dans les b timents et Le secteur des transports En mai 2007 le gouvernement a renforc le plan d action susmentionn par les 10 composantes suivantes e Economies d nergie et oekotopten lu En compl ment des dispositions l gales renforc es et des nouvelles aides tatiques pour les particuliers qui investissent dans des mesures d conomie d nergie dans le domaine du b timent applicables partir du 1 janvier 2008 le Minist re de l Environnement a lanc l occasion de la Foire d Automne 2007 une vaste campagne de sensibilisation aux mesures d conomies d nergie Cette campagne intitul e Think climate act clever s tendant sur environ 6 mois vise appuyer la disposition croissante des citoyens agir contre le changement climatique en les informant et en leur fournissant des conseils pratiques sur des mesures d conomie d nergie souvent tr s faciles mettre en uvre tant pour ce qui est du chauffage et de l a ration de l clairage du choix et de l utilisation appropri s des appareils lectriques que de l assainissement nerg tique des b timents et des con
283. e se situe 42 EI m pour du bois long bord de route soit une hausse de 5 par rapport 2006 Ceci est principalement d aux grandes entreprises qui sont de plus en plus concurrenc par les particuliers int ress s au bois de chauffage Si jusqu en 2004 deux grandes entreprises dictaient les prix du bois de trituration leur part de march est actuellement r duite la moiti La totalit des recettes en provenance des ventes de bois en 2007 s l ve 1 082 400 pour un volume de 22 800 m soit 48 m TTC En 2006 cette moyenne s levait 40 5 m TTC Il faut cependant noter qu il existe un certain d calage entre les recettes et les prix du march La raison en est qu en g n ral la majeure partie des bois est vendue en pr vente voire en vente sur pied Partant d existe un certain d calage entre la vente et la r alisation des coupes voire les recettes 3 2 9 3 Bois de chablis Tel que signal plus haut la tornade du 18 janvier a provoqu des d g ts plut t minimes dans la for t luxembourgeoise ceci surtout en comparaison avec les pays limitrophes tel l Allemagne Ainsi en for t publique les d g ts de chablis s l vent 6 000 m soit une superficie de quelque 20 ha En for t priv e ces d g ts s l vent environ 110 ha soit 35 000 m 3 2 9 4 tat sanitaire des for ts Suite un hiver fort humide les attaques de bostryche
284. e utilis e et de la base de donn es informatis e et concernant soit des processus de traitement soit des ajustements m thodologiques Aide scientifique ponctuelle Assistance informatique ponctuelle la demande pour r soudre des probl mes susceptibles d intervenir lors de traitements courants ou sp cialis s Pr sentation des r sultats Assistance la pr sentation des r sultats obtenus devant les m dias historique m thodes utilis es retomb es de l inventaire national principaux r sultats Collaborations internationales Contribution l insertion de L IFL dans le r seau europ en ENFIN European National Forest Inventories Participation aux activit s de l action COST E43 l initiative de ENFIN et portant sur l harmonisation des inventaires forestiers nationaux en Europe et des techniques en vue d un rapportage commun Cette mission sans tre prioritaire rel ve avant tout d au souci de tous les acteurs de l IFL de faire conna tre son existence L tat des lieux suivi scientifiques et technique Le suivi scientifique apporte une aide scientifique et technique visant r soudre des probl mes n cessitant une tr s bonne connaissance de la m thodologie utilis e et de la base de donn es informatis e et touchant soit des processus de traitement ou des ajustements m thodologiques Cette aide est appuy e par une assistance informatique ponctuelle fournie la deman
285. econdaires par proc d s m tallurgiques chimiques ou lectrolytiques 63 b de fusion de m taux non ferreux y compris l alliage incluant les produits de r cup ration affinage moulage en fonderie d une capacit de fusion sup rieure 4 tonnes par Jour pour le plomb et le cadmium ou 20 tonnes par jour pour tous les autres m taux Installations de traitement de surface de m taux et mati res plastiques utilisant un proc d lectrolytique ou chimique lorsque le volume des cuves affect es au traitement mises en uvre est sup rieur 30 m Installations destin es la production de clinker ciment dans des fours rotatifs avec une capacit de production sup rieure 500 tonnes par jour ou de chaux dans des fours rotatifs avec une capacit de production sup rieure 50 tonnes par jour ou dans d autres types de fours avec une capacit de production sup rieure 50 tonnes par jour Installations destin es la fabrication du verre y compris celles destin es la production de fibres de verre avec une capacit de fusion sup rieure 20 tonnes par jour Installations pour l limination ou la valorisation des d chets dangereux de la liste vis e l article ler paragraphe 4 de la directive 91 689 CEE telles que d finies aux annexes II A et IT B op rations R1 RS R6 R8 et R9 de la directive 75 442 CEE et par la directive 75 439 CEE du Conseil du 16 juin 1975 concernant l limination de
286. ecteur 1l faut environ deux ans pour terminer le travail et produire un BREF BAT reference document Les premiers groupes de travail ont t lanc s en 1997 Jusqu en fin 2007 30 BREF ont d j t adopt s et un BREF est en phase d adoption finale Parmi les premiers BREF adopt s on peut citer la production d acier la production de clinker ou la production de verre Un BREF celui de l efficience nerg tique dans l industrie est encore en pr paration 101 La r vision des premiers BREF adopt s a t entam e Il s agit notamment des secteurs de la production d acier de la production de clinker et de la production de verre La division Air Bruit de l Administration de l Environnement a particip activement depuis 1997 plusieurs groupes de travail Outre les forums d change des informations qui constituent les r unions pl ni res de l change des informations la division Air Bruit a contribu en 2007 au groupe de travail sur la r vision du BREF sur la production de l acier Selon cette contribution les missions de dioxines et furannes des aci ries lectriques luxembourgeoises des trois derni res ann es 2004 2006 se situaient en moyenne 0 05 ng m3 exprim s en tant que I TEQ La valeur limite s l ve 0 1 ng m3 I TEQ La valeur de 0 35 ng m I TEQ observ e en octobre 2004 a pu tre expliqu e par un probl me au niveau de l injection de charbon actif de l installation
287. els Manternach Reef Wellenstein et Grouf Schengen en r serves foresti res int grales RFI a t poursuivie Les pr pos s des triages de Flaxweiler et Schengen ont organis et ont particip des randonn es de contr le des Zones Natura 2000 dans le cadre de la surveillance et de l endiguement de la propagation de la grippe aviaire 3 2 6 Le cantonnement de Luxembourg Est 3 2 6 1 Exploitation des coupes Le volume global exploit lors de l exercice 2007 se chiffre 15 430 97 m dont 13 762 63 m de feuillus et 1 668 34 m de r sineux ce qui correspond un volume exploit de 3 2 m ha an Le volume total des r alisations a diminu de 6 50 1 072 11 m3 par rapport l exercice 2006 pour atteindre approximativement le niveau de 2005 194 Exercice 2007 en m par rapport 2006m Exercice 2006 en m H tre 9 789 5 105 11 9 313 68 2 953 96 2 343 37 671 54 130 20 515 79 Total feuillus 13 762 63 110 46 12 459 09 M l ze 0 551 41 Total r sineux 1 668 34 4 043 99 15 430 97 16 503 08 3 2 6 2 Ventes de bois Au total le cantonnement de Luxembourg Est a particip 4 ventes nationales 4 ventes de bois feuillus et a organis 4 ventes publiques r gionales 4 ventes de bois r sineux et 2 pr ventes ventes sur pied dont 3 conjointement avec le cantonnement de Grevenmacher et 1 conjointement avec le cantonnement de Luxembourg Ouest En 2007 un
288. embres R vision de la directive DEEE Harmonisation europ enne des d finitions Pr sentation des tudes par les consultants de la Commission 116 En date du 5 octobre 2007 le Luxembourg a envoy la Commission son rapport conform ment la D cision de la Commission 2004 249 CE sur la transposition de la mise en uvre de la directive 2002 96 CE Au niveau du TAC piles et accumulateurs plusieurs th mes ont t discut s e Avant projet pour l enregistrement des producteurs et liens ventuels vers d autres obligations d enregistrement DEEE VHU emballages Harmonisation de l enregistrement au niveau europ en Classification de certains types de batteries Vote de la m thodologie de calcul concernant la mise sur le march Etat actuel de la mise en uvre de la directive dans les diff rents Etats membres Etiquetage des batteries A c t des r unions du TAC un agent de l administration a particip 4 r unions du groupe des correspondants instaur sous le r gime du r glement 1013 2006 relatif aux transferts de d chets Dans ce groupe sont discut s des probl mes pratiques d application du r glement avec l objectif de proposer des solutions communes aux diff rents Etats membres 2 7 1 2 Les activit s au niveau national La transposition de la directive 2006 66 CE relative aux piles et accumulateurs ainsi qu aux d chets de piles et d accumulateurs Au cours de l ann e 2007 plusieurs r unions de travail ont
289. ement l acc s du public mais entra ne aussi une valorisation cologique et paysag re du site Diff rents projets sont en cours de r alisation am nagement d un parking cologique Wemperhaard am nagement d un parking cologique Diekirch am nagement d un parking cologique Mensdorf am nagement de plusieurs parkings cologiques autour de la r serve naturelle Haff R imech am nagement d un parking cologique Niederfeulen am nagement d un parking cologique Junglinster am nagement d un parking cologique Lorentzweiler am nagement d un parking cologique Ettelbr ck am nagement d un parking cologique Berbourg am nagement d un parking cologique Bascharage am nagement d un parking cologique Berdorf 280 3 4 1 11 Groupes de travail En 2007 I Administration des Eaux et For ts a particip aux groupes de travail suivants groupe d accompagnement du projet for ts en libre volution a Panda Club 3 4 1 12 Articles de presse Neuer Biberfund an der Sauer Vogelschutz mit Rindern Baummarder als Forschungsprojekt Forschungsprojekt ber Amphibien Besuch der GIREA aus Belgien Luxemburger Wissenschaftler auf Reisen 5 Europ ischer S ugetierkongress in Siena I Biberaktivit t bitte melden Das Umweltministerium und die Forstverwaltung bitten um Mithilfe 3 4 1 13 Publications Brochures Le service de la conservation de la
290. ement rural FEADER en droit luxembourgeois Ce r glement CE contient les dispositions applicables concernant les aides pour les secteurs agricole et forestier En 2007 les mesures nationales foresti res du Plan de D veloppement Rural 2007 2013 pouvant profiter d un cofinancement de la part de la CE ont t d finies Comme ces nouvelles mesures doivent tre d int gr es dans le r glement grand ducal concernant les aides aux mesures foresti res l Administration des Eaux et For ts a r dig en 2007 un avant projet de r glement grand ducal y relatif 179 3 1 13 Le projet Interreg III B Probois Proholz Le projet Interreg IIB Proholz Probois est un projet interr gional en collaboration avec la Lorraine la Sarre et la Wallonie en vue d encadrer le volet communication et promotion du mat riau bois dans le cadre de la certification des for ts Les 13 partenaires du projet sont l asbl Valbois RN chef de fil du projet la Soci t Royale Foresti re de Belgique Woodnet la F d ration Nationale des Scieries Fedemar Bois amp Habitat l association Gipeblor le CRPF l ONF l administration foresti re de la Sarre le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts De 2004 2007 le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts participent aux actions suivantes L action 1 1 qui consiste mettre en place une v ritable collaboratio
291. en 2007 3 7 1 4 Assistance aux utilisateurs L assistance permanente aux utilisateurs assur e par la Cellule Informatique pour plus de 130 utilisateurs est essentielle pour le bon fonctionnement de l ensemble du syst me informatique de l administration Elle est d environ 1 homme ann e en 2007 Elle se r partit en assistance pour les applications d velopp es en interne 15 en assistance mat riel et bureautique 80 et en assistance aux utilisateurs des syst mes d information g ographique 5 En 2007 l assistance aux utilisateurs du nouveau syst me d information g ographique ArcGis a t contract e aupr s d un bureau externe Malgr une l g re baisse de l assistance suite notamment au outsourcing de la partie GIS on constate qu avec les ressources humaines actuellement disponibles la Cellule Informatique la survie du syst me est tout juste assur e mais sans marge de s curit et tout nouveau d veloppement en interne est fortement ralenti Le recours aux soci t s externes ne r sout pas enti rement ce probl me car l encadrement des projets de d veloppement externe demande un suivi tr s pouss par des experts internes 3 7 1 5 La formation du personnel En 2007 les membres de la Cellule Informatique ont particip s diverses formations Oracle 10 S curit Mobilit Norme ITIL L4gPowerbuilder DotNet Maintaining troubleshooting and supporting Windows
292. en vue de la r vision du plan g n ral de gestion des d chets Ces ateliers portaient sur les sujets suivants les d chets m nagers encombrants et assimil s les d chets inertes les d chets industriels artisanaux et commerciaux les d chets infectieux les boues des stations d puration Les discussions et les conclusions de ces ateliers ont fait en f vrier 2007 l objet d un rapport interm diaire qui a t envoy pour commentaires au participants des ateliers et publi pour consultation par le grand public sur le site Internet du Minist re de l Environnement Avec la publication le public a t invit faire parvenir par courriel l Administration de l Environnement ses commentaires et remarques De la part des participants seulement quelques remarques de d tails sont intervenues De la part du public aucune remarque n a t adress e l Administration de l Environnement Actuellement l Administration de l Environnement est en train de r diger une premi re version de plan 119 2 7 3 Les actions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des dechets 2 7 3 1 La bourse de recyclage La bourse de recyclage accessible sur Internet sous www bourse de recyclage lu a t poursuivie en 2007 En tout 202 personnes se sont enregistr es la bourse et 9 367 personnes ont visit le site 2 7 4 Les actions de formation 2 7 4 1 La f
293. endre le sujet discut plus vivant Les esp ces animales et v g tales repr sent es sont illustr es sous forme humaine c a d avec des visages Sur chaque panneau un nain forestier pr sente les particularit s de la for t et des esp ces illustr es Ces explications fournissent des informations suppl mentaires au dialogue Les th mes suivants sont trait s Long vit des arbres dans une r serve foresti re int grale r g n ration naturelle des arbres dans une r serve foresti re int grale d composition naturelle des arbres ainsi que la faune et la flore qui sont inf od es un tel type de milieu vie autour et dans les arbres cavit s origine des mardelles foresti res et de leurs habitants A noter par ailleurs que les travaux dans la r serve foresti re int grale Beetebuerger B sch taient ax s sur le suivi scientifique ainsi que sur la gestion de cette nouvelle zone prot g e Dans le cadre du monitoring biologique des r serves foresti res int grales au Luxembourg un premier inventaire de champignons ainsi qu un inventaire de diff rents groupes d insectes dont notamment les col opt res ont t r alis s dans cette for t Veuillez voir le chapitre monitoring biologique pour plus d informations ce sujet En ce qui concerne les mesures de gestion effectu es 1l s agit pour la plus grande partie de mesures de s curisation le long des chemins f
294. entale et Conseils Environnement UE 1 5 1 Lois et r glements grand ducaux publies au M morial en 2007 1 5 2 Projets de loi soumis la proc dure d approbation 1 5 3 Conseils Environnement et l gislation environnementale communautaire Agr ments d livr s dans le domaine de l environnement humain et naturel CS LE D bb 10 11 12 12 12 13 14 16 16 17 18 18 18 19 19 21 26 2 ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT 2 1 2 2 2 3 2 4 2 3 2 6 La Direction 2 1 1 L organisation 2 1 2 Le personnel 2 1 3 Les locaux de l Administration de l Environnement Le Service Juridique 2 2 1 Principales activit s du service juridique La nouvelle r glementation europ enne sur les substances chimiques REACH Le Service Agr ments et management environnemental 2 4 1 Personnes agr es La Division des Etablissements Class s 2 5 1 La l gislation relative aux tablissements class s 2 5 2 Les principales tapes dans la proc dure d un dossier de demande 2 5 3 Nombre de dossiers trait s par an tous types d tablissements 2 5 4 Unit contr le et inspections 2 5 5 Acc s du public l information en mati re d environnement 2 5 6 Evaluation des incidences de certains projets publics et priv s l environnement 2 5 7 Unit agriculture industrie alimentaire traitement des d chets et tourisme 2 5 8 Unit Traitement de d chets 2
295. ente sur son territoire de mais g n tiquement modifi ZEA mays L MON 810 exprimant le g ne Bt cry la b Le Conseil environnement du 20 f vrier 2007 n a pu d gager une majorit qualifi e pour ou contre la proposition de la Commission autorisant la mise sur le march d un illet Dianthus caryophyllus L lign e 123 2 38 g n tiquement modifi pour changer la couleur de la fleur LU a vot contre Le Conseil environnement du 30 octobre 2007 n a pu d gager une majorit qualifi e pour ou contre les propositions de la Commission visant abroger en partie des mesures de sauvegarde provisoires appliqu es par l Autriche concernant l utilisation et la vente des mais g n tiquement modifi s Mon 810 et T 25 LU a vot contre 1 5 3 8 Climat Les Conseils Environnement des 20 f vrier 2007 et 30 octobre 2007 ont d gag des conclusions en mati re de changements climatiques Les conclusions de f vrier 2007 ont trait aux objectifs de PUE en vue de la poursuite de l laboration du r gime international applicable dans le domaine du climat au del de 2012 tout en rappelant l imp ratif de limiter le r chauffement de la plan te 2 degr s celsius Les conclusions d octobre 2007 visent tout particuli rement les initiatives et mesures envisag es par PUE en vue de la Conf rence de Bali de d cembre 2007 tout en rappelant l engagement ferme et ind pendant de PUE de r duire les missions de gaz effet
296. entre d importants travaux Q L nergie renouvelable En 2007 l Administration des Eaux et For ts a continu ses efforts dans le domaine de la promotion du bois comme source d nergie Cet effort s inscrit dans une politique ayant pour but de r duire l utilisation des combustibles fossiles et d augmenter en cons quence les combustibles renouvelables Une trentaine d installations utilisant des copeaux de bois sont op rationnelles respectivement sont en voie de planification Une brochure d information destination des communes conna t un succ s franc cf chapitre sur le bois nergie 3 1 2 Les travaux l gislatifs Au cours de l ann e 2007 des documents de travail ont t labor s dans les domaines ci apr s 169 conventions route du nord certification des for ts Fonds pour la Protection de l Environnement laboration de dossiers de classement de R serves Foresti res Integrales cf Service de l Am nagement des bois e laboration de dossiers de soumission pour les sites Natura 2000 cf Service de la Conservation de la Nature 3 1 3 Participation des groupes de travail interminist riels La Direction a collabor dans deux groupes de travail interminist riels savoir le groupe de travail sur les organismes g n tiquement modifi s OGM et le groupe de travail sur les syst mes d information g ographiques CTI SIG 3 1 3 1 Organismes g n tiquement modifi s
297. eo S bg E Co GU DV E lt O e 0 oO Oo TD D 2 3 SO SO RC BEE EI TOT D em ot DE DDr LE CO S E 509 E O Y e E OW LS OT oO O Q X O O oC d 5 D Ve Se en LI Site d observation pour la bioaccumulation SEPT 2003 AVRIL 2004 SEPT 2004 AVRIL 2005 SEPT 2005 AVRIL 2006 SEPT 2006 AVRIL 2007 94 R seau de biosurveillance Niveaux en plomb d tect s par bioaccumulation dans les MOUSSES terrestres non lavees ug g de mati re s che O1 O 30 20 e A e e A d NS Bo ge r L I ri ti Af g NE E A ra Ki A ai Y FO PE 2 d af Ai a KR d A i A a A oi 4 ff ei amp CN V a o Kai f se Site d observation pour la bioaccumulation e C MAXI SEPT 2003 AVRIL 2004 Q M XII SEPT 2004 AVRIL 2005 MAI SEPT 2005 AVRIL 2006 EE M AV SEPT 2006 AVRIL 2007 Parmi les m taux lourds le plomb est toxique pour l organ sme humain lorsqu il est pr sent des niveaux excessifs et l peut poser des probl mes la sant humaine Avec la technique des mousses on peut mettre en vidence les sites o les niveaux sont significativement plus lev s Les zones tr s proches des 3 sites sid rurgiques Differdange Esch Alzette et Schifflange sont expos es des sources d mission de plomb voir figure ci dessus R seau de biosurveillance Niveaux de dioxines et furannes et de PCB d tect
298. er Des consultations d un dossier dans les locaux de l Administration de l Environnement se font galement sur rendez vous Lors d une telle consultation l int ress pourra consulter les documents requis et le cas ch ant demander des copies faites sur place dans la mesure du possible 2 5 6 Evaluation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement La directive du Conseil du 27 juin 1985 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement telle que modifi e par la Directive 97 11 CE du Conseil du 3 mars 1997 et la Directive 2003 35 CE du Parlement europ en et du Conseil du 26 mai 2003 a t transpos e dans sa majeure partie par le r glement grand ducal du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement tel que modifi par le r glement grand ducal du 20 octobre 2006 et le r glement grand ducal du 24 juillet 2007 Suivant une nomenclature d tablissements annex e au r glement une valuation des incidences sur l environnement EIE lorsqu elle est requise identifie d crit et value en fonction de chaque cas particulier les effets directs et indirects d un projet sur l homme la faune la flore le sol l eau l air le climat le paysage les biens mat riels le patrimoine culturel et l interaction entre ces facteurs La proc dure d valuation comport
299. ernet du Minist re de l Environnement qui a t mis jour en 2007 En 2007 une tude conjointement financ e par l Administration de l Environnement et l asbl Valorlux avait comme but de d terminer le taux des emballages collect s par le biais des diff rents syst mes de tri s lectif du papier carton dans les communes But de l tude tait de d terminer le taux des emballages m nagers dans les d chets de papier carton afin de fixer une formule de calcul d intervention financi re de l organisme agr e Les r sultats sont les suivants 1 Bulles et poubelles bleus 15 emballages m nagers en 2002 20 3 emballages non m nagers 4 m lange m nager et non m nager 2 Parcs conteneurs collecte m lang e 18 emballages m nagers en 2002 20 2 non m nagers 3 Parcs conteneurs collecte carton 49 5 emballages m nagers en 2002 100 49 5 emballages non m nagers 2 7 8 3 Les emballages non m nagers Pendant les ann es 1997 2002 l tait n cessaire de d terminer les quantit s d emballages mis sur le march luxembourgeois En ce qui concerne les emballages non m nagers une enqu te men e par la FEDIL aupr s d un chantillon d entreprises et des extrapolations sur base des donn es des entreprises d tenteurs du label de qualit de la SuperDrecksK scht fir Betriber ont permis de calculer ces quantit s accord volontaire 2002 Depuis 2003 l n est
300. ero de contr le 7 install en 1998 install en 1998 a Ei install en 2007 install en 1998 compres secn en du signal Gaz talon Gaz talon Gaz talon Gaz talon Gaz talon Gaz talon de mesure install en 1996 install en 2001 install en 06 2006 install en 07 2005 install en 2007 install en 01 2007 Automate Syst me Syst me de Syst me de Syst me de Syst me de Syst me de Syst me de de gestion de 2004 2004 2004 2004 2004 2004 2003 ELLE DIRVT DIRVT DIRVT DIRVT DIRVT install en 1998 install en 1999 install en 2005 Capteurs VITVT VITVT VITVT VITVT _VITVT WER en 1998 install en 1999 install en 2005 DEE Pression meteo install en 1993 install en 1998 install en 1999 install en 1999 Ann e de avant zm depuis depart des 1988 1988 mesurages la ee 1988 mesurages d Elvange pr s de Mondorf les Bains Local dans le 2002 06 2006 07 2005 10 2007 12 2006 Local dans un b timent Construction Nouveau container Nouveau container Nouveau Nouveau container b timent C en sur le m me mis en place en container mis en mis en place en appartenant a d accueil EE b ton mis a emplacement Rue juillet 2005 au lieu place en octobre d cembre 2006 l Etat d apparenant disposition parla Arthur Useldinger dit Bel der Kapell 2007 pr s de la Emplacement es la Ville de Ville de station identique au bassin quipements Luxembourg E d puration superi
301. ertification et demande un subside au Minist re de l Environnement e Le certificateur r alise l audit sur base du standard labor par FSC Luxembourg pour d terminer si le certificat peut tre tabli et fixe de commun accord avec le propri taire et le gestionnaire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t e Le certificateur contr le intervalles r guliers l application de celles ci La for t domaniale et une for t communale ont t certifi es suite un audit externe en date du 10 mai 2007 respectivement 5 juillet 2007 Un certain nombre d obligations d coulant de la certification ont t mises en uvre L Administration des Eaux et For ts a galement entam la proc dure de certification de groupe Le document sur le fonctionnement du groupe a t finalis au courant de l ann e 2007 178 En 2007 I Administration des Eaux et For ts a galement contribu la poursuite des travaux de l asbl PEFC Luxembourg en vue de d finir les modalit s pratiques de la certification des for ts au Luxembourg suivant le sch ma Les travaux de l asbl PEFC Luxembourg ont t pris en charge par la cellule INTERREG Proholz Probois du Groupement des Sylviculteurs et ont t appuy s par l Administration des Eaux et For ts La proc dure de certification PEFC en for t soumise est la suivante e Le propri taire forestier d cide d adh rer la cer
302. es missions Les pays en voie de d veloppement ont galement consenti des efforts accrus A c t de la feuille de route de Bali laquelle constitue de tr s loin la d cision la plus importante de la COP 13 d autres d cisions ont t prises Elles concernent notamment e le transfert de technologie adoption d un programme de travail concret le but tant de cr er des incitations au transfert de technologie de cr er des conditions plus favorables pour l investissement e le fonds d adaptation cr e sous le Protocole de Kyoto lequel a t rendu op rationnel Bali ce fonds est aliment par un pr l vement 2 sur les projets CDM e la d forestation tude des aspects m thodologiques appliquer l avenir pour cr diter la d forestation vit e d forestation repr sente 20 des missions mondiales Le Conseil de l Union europ enne avait adopt l occasion de la r union des ministres de l environnement du 30 octobre 2007 un document de conclusions en vue de la pr paration de la conf rence de Bali Rappelant le nombre croissant de preuves scientifiques notamment les travaux du GIEC les ministres de l environnement ont soulign la n cessit d aboutir d ici 2009 un r gime multilat ral de r duction des missions au del de 2012 sous la CCNUCC Le niveau d ambition de PUE avait t retenu par le Conseil europ en de mars 2007 Ainsi PUE s est engag e r duire d
303. es enseignes D sormais les gens qui n ont pas leur sac r amp utilisable peuvent acheter un sac de d pannage au prix de 0 03 Euro Une prolongation de l accord volontaire pour une p riode de 5 ans est envisag e De plus un sac taille plus r duite sera mis sur le march en 2008 et il est pr vu d tendre le sac r utilisable dans d autres secteurs Depuis 2002 l tude sur les emballages r utilisables est effectu e annuellement par l Administration de l Environnement L objectif de l tude est l estimation du taux des emballages r utilisables mis sur le march au Grand Duch dans le domaine des boissons alimentaires liquides Les r sultats de l tude effectu e en 2007 montrent que le taux des emballages r utilisables dans le domaine analys est en baisse constante Les ventes des bi res se fait 71 dans des emballages r utilisables un taux relativement stable depuis 2002 Les chutes les plus pr dominantes pour les emballages r utilisables sont les ventes des eaux min rales 43 en 2002 et 19 en 2007 boissons rafra chissantes sans CO 50 6 en 2002 et 20 3 en 2007 et boissons rafra chissantes avec CO 20 5 en 2002 et 15 9 en 2007 D un autre c t les ventes des alcopops se fait exclusivement dans des emballages one way Les tudes en d tail sont disponibles sur le site Internet du Minist re de l Environnement Les explications ventuelles de ces baisses sont e poids plus lev de
304. es pures Ces derni res pr sentent d ores et d j presque un quart de la surface foresti re La pr sence de 24 de for ts feuillues m lang es est tr s int ressante du point de vue de la biodiversit et du traitement sylvicole pr conis Ces peuplements pr sentent des essences comme l rable le bouleau le fr ne le charme le merisier ou encore quelques aulnes et peupliers dans les zones humides Le h tre et le ch ne sont aussi pr sents dans ces peuplements Les r sineux sont peu pr sents sur la propri t Ils n occupent que 5 et sont repr sent s par l pic a quelques m l zes et par quelques pins Le plan simple de gestion d finit des propositions en ce qui concerne les travaux effectuer par ann e et par parquet pendant les prochaines 10 ann es Les travaux ont t planifi s de fa on e r partir la quantit de travail de fa on homog ne sur les 10 ans e pr voir les travaux urgents coupes sanitaires dans les premi res ann es e garantir une exploitation r guli re de bois e assurer un approvisionnement r gulier en bois Energie La carte de gestion reprend de fa on graphique les principaux travaux effectuer sur les diff rents parquets sur toute la dur e de validit de ce plan de gestion Les travaux ne sont pas class s par ann e mais selon trois types de priorit e priorit 1 travaux effectuer pendant la p riode 2007 2010 e priorit 2 travau
305. es DEEE R partition des diff rentes cat gories de DEEE collect s Radiateurs bain d huile Gros blanc Appareils r frig rants 0 42 19 20 22 25 L Tubes et lampes 0 74 Ecrans CRT 22 05 Petit blanc brun et gris 35 33 d shumidificateurs appareils de climatisation 132 2 7 8 Les dechets d emballages La gestion des emballages et des d chets d emballages au Grand Duch de Luxembourg est d termin e par le r glement grand ducal du 22 f vrier 2006 relatif aux emballages et aux d chets d emballages Ce r glement s applique tous les emballages mis sur le march luxembourgeois et tous les d chets d emballages qu ils soient utilis s ou mis au rebut par les industries les commerces les bureaux les ateliers les services les m nages ou tout autre niveau quels que soient les mat riaux dont ils sont constitu s 2 7 8 1 La pr vention et la r utilisation des emballages L article 5 du r glement concerne plus particuli rement la pr vention et la r utilisation des emballages et des d chets d emballages et pr voit la possibilit pour le Ministre de l Environnement de conclure des accords volontaires avec les responsables d emballages et ou le ou les organ sme s agr s Vu le succ s du projet Eco Sacs taux d utilisation de 51 en juillet ao t 2007 la deuxi me phase a d but en f vrier 2007 avec une suppression des sacs plastiques usage unique dans les grand
306. es Eaux et For ts et le Centre de Recherche pour l cologie foresti re et la sylviculture ont entam des travaux de recensement relatifs au pommier et poirier sauvage au niveau du pays entier Mise en application de la loi du 30 novembre 2005 concernant la production et la commercialisation des mat riels forestiers de reproduction ainsi que du r glement Grand Ducal d ex cution du 30 novembre 2005 L ann e 2007 a t marqu e par la mise en pratique de la loi du 30 novembre 2005 concernant la production et la commercialisation des mat riels forestiers de reproduction Cette derni re vise transposer en droit national la directive 1999 105 CE du Conseil du 22 d cembre 1999 concernant la commercialisation des mat riels forestiers de reproduction Elle remplace la loi du 18 f vrier 1971 La nouvelle l gislation constitue une r glementation uniforme pour toute PUE L objectif principal de la loi est de garantir l utilisateur final un mat riel forestier dont les qualit s de la provenance sont garanties C est une condition primordiale pour une sylviculture proche la nature pour la stabilit des cosyst mes forestiers ainsi que pour la p rennit des fonctions multiples des for ts La liste des essences foresti res concern es comprend 51 esp ces dont 27 sont importantes pour notre pays 265 Les mat riaux forestiers de reproduction MFR concern s comprennent les semences les partie
307. es d puration L Administration de l Environnement proc de r guli rement l analyse de la qualit des boues d puration de certaines stations d puration Le tableau suivant reprend le r sum des r sultats d analyses M taux lourds pH lt 8 valeurs moyennes mg kg m s Station gt Q N LA N N C F i Zn N T Gi 1 598 39 1 694 44 44 00 1 102 72 47 72 1 190 00 98 05 1 669 24 38 86 1 445 00 44 00 1 557 83 42 00 612 22 29 83 1 695 06 88 78 2 231 00 44 87 1 736 50 48 39 N Petange 45 28 51 78 32 11 1 66 Uebersyren 30 44 21 00 0 63 Cd Rombach 00 22 32 44 Rossmillen 96 67 29 89 1 08 Mersch 45 67 18 50 1 36 Boevange Attert 187 00 28 50 lt 1 Esch Schifflange 212 83 25 00 1 70 Mamer 102 17 17 56 0 54 Beggen 179 94 16 22 2 32 Bonnevoie 295 00 17 56 1 85 N Un Bettembourg 25 44 26 00 1 37 ech 138 En resume on peut conclure que pour les m taux lourds cadmium chrome cuivre nickel et mercure toutes les concentrations se situent en dessous des valeurs recommand es Pour le zinc la station de Bonnevoie affiche des concentrations d passant l g rement la valeur limite recommand e tout en restant en dessous des valeurs limites maximales permises Le tableau suivant reprend les concentrations moyennes en l ments nutritifs contenues dans les boues d puration analys es Valeurs nutritives Station SES am DES RECH 0 10 4 21
308. es de ravageurs sont not s pour chaque arbre individuellement En 2007 l quipe de terrain tait compos e de 7 ing nieurs forestiers qui en principe sont accompagn s par le pr pos du triage dans lequel se situe la placette Dans la mesure du possible ce sont toujours les m mes personnes qui au fil des ann es font les observations sur les m mes placettes Afin de garantir une certaine comparabilit des donn es chaque inventaire phytosanitaire national est r alis pendant la m me p riode En 2007 les notations ont t faites entre le 23 juillet et le 17 ao t Les r sultats obtenus se basent sur 47 placettes donc sur 1128 arbres chantillons 4 placettes tant temporairement inexploitables dues des coupes rases Les al as climatiques hors norme ont une influence troite sur la situation phytosanitaire de nos for ts De m me l extension de la saison de v g tation y relative favorise une fructification et une floraison de plus en plus abondante qui leurs tour interviennent d une mani re d favorable dans le bilan nerg tique des arbres Les temp ratures extr mes favorisent en outre le d veloppement et la propagation des ravageurs forestiers comme le bostryche De plus une d position atmosph rique toujours trop excessive d grade encore d avantage la vitalit des arbres 3 3 11 2 L inventaire phytosanitaire communautaire La Commission Economique pour l Europe des Nations Unie
309. es et pr cautions concernant le choix des essences propos es et la gestion foresti re pr cautionneuse des stations concern es Le choix des essences adapt es est pr sent sous forme d un tableau distinguant e les essences feuillues principales r sineuses feuillues secondaires et accompagnatrices e les essences pleinement adapt es partiellement adapt es et en adaptation cologique Les essences parfaitement en station adaptation optimale peuvent tre men es en peuplement principal pur Dans des conditions de sylviculture classiques et respectueuses de la station ces essences peuvent constituer des peuplements productifs et stables et n exercent qu un impact mod r sur le sol A l inverse les essences pour lesquelles la stabilit des peuplements ou l incidence sur le sol ne peut tre garantie sont pr sent es en adaptation partielle Il est vivement recommand d associer ces essences en m lange avec une ou plusieurs essences parfaitement adapt es de mani re limiter leur influence n gative ou en corriger les effets ainsi que pour am liorer la stabilit et productivit des peuplements forestiers Pour les essences en adaptation cologique les conditions de croissance ne sont plus suffisantes pour assurer la production de bois de qualit ou une production soutenue L adaptation de ces essences s apparente d avantage une survie cologique Leur
310. es finales les plus vitales pr lev es Afin de pouvoir d tecter la diversit g n tique des analyses isoenzymiques ont t r alis es suivies de travaux de greffage L installation de deux vergers graines a t faite en 2005 sur des sites appropri s de la r gion de Grevenmacher Dans le cadre de la m me convention les efforts de conservation se sont concentr s dans la p riode 2004 2006 sur d autres essences comme le sorbier torminal et le peuplier noir Dans le premier cas on n a pas pu proc der un inventaire complet vu le nombre relativement important d arbres recens s 96 individus du sorbier torminal dont l aire de r partition principale est la region d Ermsdorf ainsi que la r gion de la Moselle ont finalement t cartographies en relevant toutes les caract ristiques ph notypiques et situationnelles des arbres Dans le cas du peuplier noir un seul groupe de plusieurs individus femelles a t retenu pr s de Burmerange Comme le peuplier noir est capable de se multiplier par simple voie v g tative au moyen de boutures une plantation de sauvegarde est pr vue En 2007 des sites appropri s pour l installation des vergers graines et de la plantation de sauvegarde pour le sorbier torminal respectivement le peuplier noir ont t recherch s Dans la m me ann e la pr paration de ces terrains en vue d une plantation en 2008 a t achev e En outre l Administration d
311. es foresti res comme partie int grale de la gestion foresti re soutenue En outre EUFORGEN contribue la mise en uvre de la r solution 4 Conserving and enhancing forest biological diversity in Europe adopt e en 2003 en Autriche par la quatri me Conf rence Minist rielle de la Protection de For ts en Europe 264 Projet de conservation et d am lioration g n tique de diff rentes essences foresti res diss min es ou menac es de disparition Aux fins de la conservation et de l am lioration de la diversit g n tique des essences foresti res diss min es ou menac es de disparition dans nos r gions une convention de coop ration entre le Minist re de l Environnement du Grand Duch et le Minist re de l Environnement de la Rh nanie Palatinat a t conclue en janvier 2004 Le Centre de Recherche pour l cologie foresti re et la sylviculture FAWF de Trippstadt a t charg de la coop ration avec nos services Cette convention ainsi que le programme y relatif s inscrivent dans le cadre du programme europ en EUFORGEN Dans une premi re tape des mesures ont t labor es en 2004 afin d assurer la survie du sorbier domestique M me si une cartographie syst matique a d tect e 88 exemplaires au Grand Duch seulement 48 sorbiers bien venants ont t retenus comme arbres plus leurs caract ristiques ph notopicales d crites sur une liste de recensement et les pouss
312. es imprevues les organisateurs ont d cid d annuler toute la manifestation et de la reporter dans son enti ret 2008 Sensibilisation du public en mati re de chauves souris Au cours de l ann e 2007 l Administration des Eaux et For ts est intervenue maintes reprises aupr s de particuliers pour des raisons de sensibilisation en mati re de chauves souris et ce sur tout le territoire national En effet la plupart des personnes priv es concern es sentaient de par la pr sence des chauves souris leur qualit de vie perturb e et les agents des Eaux et For ts ont presque chaque fois r ussi convaincre ces personnes du contraire et par cons quent ces sites de reproduction ont pu tre le plus souvent maintenus Des solutions techniques diverses ont t propos es ces personnes et dans la plupart des cas du mat riel p dagogique a pu tre distribu des enfants L Administration des Eaux et For ts est galement intervenue plusieurs reprises aupr s d instances tatiques ou communales aux prises avec les m mes probl mes que les personnes priv es Par ailleurs les agents de l administration ont paul les coll gues fran ais et belges dans certains de leurs projets nationaux 3 4 1 5 Etudes et projets Faune Chauves souris e Projet Murin de Bechstein L tude initi e d but 2004 sur le recensement de chauves souris peuplant principalement la for t luxembourgeoi
313. es poussi res des m taux lourds et des hydrocarbures aromatiques polycycliques mesure du traceur benzo a pyr ne Val Luxembourg Walferdange Schifflange Esch Alzette Beckerich R Centre 5 Route de Cit Um Rue Route moyenne Boulevard Luxembourg Benn Arthur d Oberpallen annuelle Royal Place Useldinger Hamilius respecter Mesurages sur base Mesurages surbase Mesurages sur Mesurages sur Mesurages sur VL valeur ah 24h base 24 h base 7 jours base 7 jours limite ou P riode de P riode de P riode de P riode de P riode de NC a mesure mesure mesure mesure mesure cible 28 02 2006 31 12 2006 293 K 101 3 01 01 2007 04 05 2007 20 07 2007 12 06 2007 03 07 2007 04 12 2007 04 12 2007 05 12 2007 23 10 2007 23 10 2007 POLLUANT PM VL 40 27 P 82 Ce fines pgm 7237 P 92 722 P 62 26 P 42 10 P 35 117 P 25 37 P 82 25 p 73 24 p 62 135 P 42 28 P 35 10 P 25 As VC 6 2 7 P 82 arsenic ngm 72 27 P 73 72 0 P 40 5 0 P 21 1 8 P 35 UJ P 25 Cd 0 7 P 82 EEN ae 70 57 P 73 70 4 p 40 2 9 P 21 0 5 P 35 UA P 25 VC 20 10 P 82 N an GU P 73 14 p 40 16 p 21 4 2 P 35 2 9 P 25 BaP 0 16 P 82 benzo a pyr ne Wee 0 2 P 73 0 2 P 40 U P 22 0 1 P 5 0 3 P 25 P pourcentage de valeurs 24 heures valid es pour toute l ann e 23 valeur presq
314. es zones foresti res g r es de mani re compatible avec leur pr servation e Inverser le d clin de l APD destin e la GDF et mobiliser des ressources financi res nouvelles et suppl mentaires accrues de mani re importante en provenance de toutes les sources disponibles pour la mise en application de la GDF Le programme de travail 2007 2015 pr voit les sessions et th mes suivants Forests in a Changing Environment and Means of Implementation for SFM UNFF8 en 2009 Forests for People Livelihoods and Poverty Eradication UNFF9 en 2011 Forests and Economic Development UNFF10 en 2013 Forests Progress Challenges and the Way Forward for the IAF UNFFII en 2015 3 1 10 2 Comit Permanent Forestier En 2007 l Administration des Eaux et For ts a particip aux r unions et aux travaux du Comit Permanent Forestier CPF de la Commission Europ enne Les principaux sujets trait s concernent le groupe de travail sp cial Biomasse le suivi de la nouvelle r glementation sur la protection des for ts contre les agents biotiques et abiotiques notamment le feu Forest FOCUS la mise en uvre du PLAN d action forestier de l Union Europ enne et la mise en uvre des accords de partenariat FLEGT pour la lutte contre le commerce du bois ill gal et le comit FLEGT 3 1 10 3 Conf rence des Ministres pour le Protection des For ts en Europe En 2007 l Administration des Ea
315. estier assurent r guli rement l entretien d un grand nombre de sentiers touristiques et des installations de loisirs Il est noter que ces services d entretien pr sentent annuellement une fraction de budget non n gligeable Les travaux r alis s en 2007 ont t les suivants e cr ation et entretien de sentiers p destres et de chemins vocation r cr ative e cr ation et entretien de sentiers fitness et de sentiers didactiques e entretien des accotements des pistes cyclables Charlys Bunn et Janglis Bunn en collaboration avec l administration des Ponts et Chauss es e entretien de pistes questres e installation d quipements de loisirs fabriqu s pour la plupart par les services du cantonnement e am nagement d aires de repos 3 2 5 11 Contacts internationaux En collaboration troite avec ONF de France et le service de l Am nagement des Bois un projet pratique d irr gularisation de vieilles futaies feuillues a eu lieu Betzdorf Le programme mis en marche vise le maintien des arbres de tous les diam tres et tend garantir un couvert permanent l aide de diff rentes essences de tous les ges S le projet r ussit l sera possible de transformer au fil des d cennies des peuplements dits quiens en futaies irr guli res L am nagement des jardins graines visant maintenir la biodiversit et notamment garantir la survie de diff rentes esp ces de so
316. estion des d chets d apr s les articles 21 et 22 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets La r partition des ppgd tablis par branche d activit est reprise dans les tableaux suivants a Les secteurs d activit s les plus repr sent s Stations fixes de distribution d essence et ou de gasoil RTE Dossiers introduits APN PRES Ppgd consid r s comme complet en SCH n cessitant un ppgd reference orne ppgd nombre Ee 66 Bureaux immeubles administratifs BEE D Dossiers introduits Den Ppgd consid r s comme complet en SE n cessitant un ppgd nombre nombre ppgd nombre Magasins pour la vente au detail et en gros EE Dossiers introduits Denen Ppgd consid r s comme complet en GE n cessitant un ppgd reference anne ppgd nombre anne Ateliers et garages de r paration et d entretien Lanne de Dossiers introduits Dors Ppgd consid r s comme complet en SH n cessitant un ppgd reference nahe ppgd nombre name Etablissements de production BEE Dossiers introduits EE Ppgd consid r s comme complet en Ge n cessitant un ppgd reference anne ppgd nombre om mee b Autres secteurs d activites Dossiers introduits Ppgd consid r s Se 2 S S Dossiers avec un Designation en 2007 n cessitant comme complet en un ppgd nombre Au 2007 nombre Halls de stockage 15 C do y D H tels et autres tablissements 14 d h bergements
317. et les envoie vers les autres autorit s comp tentes concern es 157 Etant donn que ce syst me permettra la transmission de donn es toutes les autorit s y rattach es notre administration est bien videmment int ress e y participer D autant plus qu il est pr visible que d autres autorit s comp tentes vont adh rer ce syst me d s qu il est op rationnel Vu l tat de d veloppement pr coce du syst me national mentionn ci avant il est important de garantir la compatibilit avec le projet europ en De ce fait des contacts ont t r alis s avec le minist re f d ral de l Environnement autrichien pour une pr sentation de leur syst me national d encodage des d chets et de l administration f d rale de l Environnement pour les sp cificit s techniques du module 3 Lors de ce contact les agents luxembourgeois ont t inform s que le module 3 a t d velopp par une soci t flamande pour le compte de l autorit comp tente flamande et que le Message Broker est actuellement financ et maintenu par cette derni re Suite cette entrevue des contacts ont t pris avec les personnes responsables du syst me au sein de l autorit flamande Celles ci ont mis la disposition de l Administration de l Environnement le code source du module 3 qui devra encore tre adapt notre base de donn es Les travaux ce syst me continueront en 2008 tant donn que dans ce
318. et universit s ont particip ces travaux La r union de suivi organis e en 2007 a permis d arr ter une liste de 7 mesures prioritaires traiter dans les ann es venir savoir adaptation des for ts au changement climatique provenances d veloppement du secteur bois nergie copeaux pyrolyse s curisation de la fili re bois assurances normes r glementation PAG probl matiques des travaux forestiers s curit du travail aide aux entreprises foresti res autres fonctions de la for t mon tarisation des fonctions responsabilit civile biodiversit gelinotte laboration d un nouveau code forestier SC A ne 3 1 15 La gestion des peuplements resineux le long des cours d eau Apres avoir dit en 2004 un document Umwandlung von Nadelholzbest nden in naturnahe Strukturen entlang der Fliessgew sser n Luxemburg analysant les problemes cologiques conomiques et paysagers li s la pr sence inadapt e de r sineux le long des cours d eaux de notre pays l Administration des Eaux et For ts a proc d au cours de l ann e 2005 un inventaire des surfaces converties la suite de ce projet La conversion de ces surfaces soit par une gestion agricole extensive soit par la plantation de feuillus soit par succession naturelle a pour but de r tablir dans les vall es le paysage culturel qui existait l origine et d activer ces surfaces pour la protecti
319. ets ou leur dangerosit A cet effet des affiches indiquent dans les rayons de vente qu il s agit de produits recommand s par la SuperDrecksK scht Actuellement le projet concerne les piles et accumulateurs rechargeables les lampes basse consommation d nergie et les peintures pauvres en substances dangereuses A l heure actuelle toutes les grandes cha nes de distribution et de bricolage ainsi que de nombreux plus petits commer ants participent ce projet Des premiers bilans ont montr que les ventes des produits promus par l action ont connu d importantes progressions 2 7 13 4 La SuperDrecksK scht fir Betriber Les entreprises rattach es l action Le graphique suivant repr sente l volution du nombre des entreprises qui ont adh r la SuperDrecksK scht fir Betriber SuperDrecksK schtfir Betriber Evolution du nombre des entreprises rattach es CET TT e im BB an ERRED AMN so0 er S si 1992 1993 1394 1395 1995 1997 1398 1399 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 144 Au 31 d cembre 2007 le nombre total des entreprises rattach es la SuperDrecksK scht fir Betriber s est lev 2533 Ceci repr sente une augmentation de 275 entreprises soit 12 2 par rapport l ann e pr c dente Si on tient compte des 303 tablissements qui avaient adh r la SuperDrecksK scht fir Betriber et qui ont arr t leur activit en 2007 le nombre total d
320. ets suivants ont t entam es e Zone d activites Parc Luxite projet e sur le territoire de la commune de Roeser Zone d activites Au Grand Bis projet e sur le territoire de la commune de P tange Carri re ciel ouvert et d charge pour mati res inertes des Carri res Feidt Folschette Centre r gional de gestion de d chets inertes des Carri res Feidt Reckange Mersch Phase chantier de la laiterie Luxlait projet e Bissen Exploitation de la laiterie Luxlait Bissen Porcherie d engraissement Allerborn Installation d incin ration du SIDOR Leudelange Implantation d un centre r gional pour la gestion de d chets inertes Hosingen Implantation d un centre r gional pour la gestion de d chets inertes Colmar Berg Installation de production de clincker Rumelange Station d puration de Beggen Station d puration de Bleesbruck Premi re modification de l exploitation du Port de Mertert Etablissement commercial de la Wickrange Shopping Center S A Wickrange 49 2 5 7 Unit agriculture industrie alimentaire traitement des d chets et tourisme L unit agriculture industrie alimentaire et tourisme a t impliqu e dans l laboration de quatre valuations des incidences sur l environnement savoir une valuation pour la phase chantier de la nouvelle laiterie Luxlait Bissen une valuation pour la phase de construction et d exploitation de la n
321. eur de la S E O Rue de Oberpallen a Vianden Bonnevoie Structure Centre nouvelle en Hamilius Situation au 31 12 2007 85 LC Luxembourg Centre LB Luxembourg Bonnevoie ES Esch Alzette BK Beckerich BW Beidweiler VI Mont St Nicolas Vianden SM Station m t o Luxembourg Non quip SO dioxyde de soufre NO NO et NO oxydes d azote monoxyde d azote et dioxyde d azote O3 ozone CH4 HCT m thane et hydrocarbures volatils totaux CO monoxyde de carbone Po USS i re P M 1 0 poussi re en suspension fraction inhalable particules lt 10um Po USS i re P M 2 E poussi re en suspension fraction inhalable particules lt 2 5um CO dioxyde de carbone BTX benz ne tolu ne xyl nes DIRVT direction du vent VITVT vitesse du vent Pression pression atmosph rique TEMP temp rature Pt_Rosee point de ros e DIOXYDE DE SOUFRE SO La norme de qualit de lair ambiant pour le dioxyde de soufre SO est inscrite dans la directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 Des seuils de protection de la sant humaine 2 normes et des seuils de protection des cosyst mes 2 normes y sont inscrits Le respect des 4 normes de qualit de l air est assur depuis 1992 ANN E 2006 SO PROTECTION DE LA SANT HUMAINE P riode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Valeur limite 350 ug m 293 K 101 3 kPa appliqu e l
322. eurs r gions et les objectifs de conservation vis es dans ces zones La pr sentation publique est l ultime tape de l laboration des plans de gestion avant leur adoption officielle et leur mise en uvre Une proposition d un site d importance communautaire suppl mentaire en vue de rem dier aux insuffisances des propositions initiales faites par le Luxembourg dans le cadre de la mise en uvre de la directive Habitats a t soumise la Commission europ enne Les insuffisances en question ont t constat es lors du s minaire de la r gion continentale de Potsdam en 2002 et concernent la repr sentation inad quate du r seau Natura 2000 des prairies maigres de fauche et des prairies molinies Le site en question d nomm LU0001027 Sanem Groussebesch Schouweiler Bitchenheck d une surface de 275 59 ha est situ sur les territoires des communes de Bascharage de Dippach de Reckange sur Mess et de Sanem au sud ouest du Luxembourg Le rapport concernant la mise en uvre de la directive habitats a t finalis et remis la Commission europ enne 1 1 6 5 Chasse Suites aux discussions au sein de la Commission de l environnement de la Chambre des D put s sur la chasse et la motion adopt e par celle ci lors du d bat d orientation du 21 juin 2007 invitant le gouvernement modifier la l gislation sur la chasse le gouvernement a entam l laboration d un projet de loi conforme a
323. euse peu paisse lt 40 cm ou argile de surface mal structur e e capacit de r tention en eau assez moyenne faible e p n tration des racines faible e pas de calcaire moins de 60 cm de profondeur A 2 2 Sols couverture limoneuse paisse gt 40 cm ou argile de surface bien structur e ebonne capacit de r tention en eau ebonne p n tration des racines epas de calcaire actif moins de 80 cm de profondeur B Versants de pente gt 40 sans apport lat ral en eau cons quent exposes sud B 1 Sols podzoliques superficiels tr s secs en secteur chaud sols tr s pauvres et secs pr sentant une faible profondeur utile 232 C Vallons d pressions et bas de versant avec apport lat ral d eau cons quent C 1 Sols capacit de stockage en eau variable et b n ficiant d un apport lat ral en eau quasi permanent C 2 Sols capacit de stockage en eau variable et b n ficiant d un apport lat ral en eau variable bas de versant Pour chacun des 7 types d aptitude stationnelle d finis pour la for t communale de Lintgen les principales caract ristiques suivantes sont d crites illustr es et comment es sous forme d une fiche technique de synth se e caract ristiques stationnelles sol humus situation topographique surfaces couvertes ha du domaine description sch matique de la structure du profil p dologique associations phytosociologiques repr sent es commentair
324. ex_1_ghg_inventories national_inventories_submissions items 3929 php pour l inventaire relatif la proc dure d audit b l adresse http cdr eionet europa eu lu eu ghgmm pour l ensemble des soumissions pass es et pr sentes Toujours dans le cadre du dossier changement climatique des contacts furent nou s avec le STATEC pour collaborer la r alisation de projections d missions de gaz effet de serre conform ment l Article 3 2 de la D cision 280 2004 CE relative aux m canismes de surveillance des missions de gaz effet de serre dans la CE La collaboration a d marr fin 2006 par le souhait du Minist re de l Environnement d adjoindre un module intitul nergie environnement au mod le de simulation et de pr visions conomiques LuxMod d velopp par le r seau d conomistes EcoMod pour le compte du STATEC Le d veloppement de ce module dans un premier temps focalis sur les bilans nerg tiques sera un premier jalon dans la r alisation d estimations des missions de gaz effet de serre pour les ann es venir noter que ce travail sur les projections se fait galement avec l aide du FiFo Finanzwissenschaftliches Forschungsinstitut an der Universit t zu K ln qui fut notre consultant pour les Plans Nationaux d Allocation des quotas d missions et pour l tude sur le potentiel de reduction des missions de CO au Luxembourg En ce qui concerne des travaux pour le compte
325. exploitation d un verger haute tige dans la r serve naturelle Um Bierg e Troisvierges projet de p turage extensif de pr s humides dans la future r serve naturelle de Cornelysmillen e Roeser renaturation de l Alzette dans la r serve naturelle Roeserbann dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature e Schifflange r naturation de l Alzette et instauration d un projet d agriculture extensive dans la r serve naturelle Dumontshaff dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature e Vall e de l Ernz Noire Grundhof projet de p turage extensif avec des bovins de la race Aberdeen Angus e R serve naturelle Lannebuer a am lioration des structures cologiques des surfaces en question e R serve naturelle Manternacher Fiels Am lioration des structures cologiques dans la r serve naturelle l aide de p turage et de fauchage extensif Promotion des produits de l agriculture extensive dans le cadre du centre d accueil A Wiewesch Manternach e laboration d une tude agricole pour la r serve naturelle Streissel Bettembourg e instauration de la gestion de la future r serve naturelle Sonlez Pamer Tarchamps l aide d un p turage extensif 217 3 4 1 7 Mesures compensatoires de la Route du Nor
326. face de la mairie et Schifflange montrent en 2007 des niveaux annuels comparables avec 22 ug m respectivement 26 ug m R seau de mesure des particules fines PM et associ s ces poussi res des m taux lourds et des hydrocarbures aromatiques polycycliques mesure du traceur benzo a pyr ne PM particules fines Moyenne journali re 50 ug m 293 K 101 3 kPa ne pas exc der 35 jours Niveau PM mesur ug m 293 K 101 3 kPa et date correspondante P riode de mesure 28 02 2006 31 12 2006 Walferdange Schifflange Route de Luxembourg en Cit Um Benn Luxembourg Centre ed aie Boulevard Royal Place Hamilius 61 le 13 03 2006 Pas de mesurages en 2006 Pas de mesurages en 2006 63 le 14 03 2006 59 le 15 03 2006 65 le 16 03 2006 72 le 17 03 2006 53 le 20 03 2006 60 le 21 03 2006 57 le 22 03 2006 51 le 07 05 2006 62 le 17 09 2006 58 le 18 09 2006 51 le 15 10 2006 66 le 29 12 2006 BILAN 2006 13 jours de d passement 35 tol r s P riode de mesure P riode de mesure P riode de mesure 01 01 2007 04 12 2007 04 05 2007 04 12 2007 20 07 2007 05 12 2007 70 le 19 02 2007 54 le 20 02 2007 59 le 13 03 2007 82 le 14 03 2007 59 le 15 03 2007 72 le 16 03 2007 66 le 09 10 2007 59 le 09 10 2007 64 le 09 10 2007 74 le 07 11 2007 52 le 10 11 2007 BILAN provisoire 2007 7 jours de depassement 35 toleres 81 R seau de mesure des particules fines PM et associ s c
327. ffisante pour l ann e 2006 Sur les quatre anciennes stations trois restaient en activit durant toute l ann e Ce sont les stations de Luxembourg Ech Esch Alzette et Beckerich La station de Luxembourg Centre est la plus importante en ce qui concerne l valuation des poussi res fines Elle a b n fici e d un quipement de pr l vement de particules avec t te PM 5 Des polluants nouveaux y seront valu s selon les exigences inscrites dans les directives europ ennes et inscrites dans la l gislation nationale La directive europ enne 1999 30 CE DU CONSEIL du 22 avril 1999 reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 prescrit les seuils suivants e PM valeur limite de 50 ug m 293 K 101 3 kPa en tant que moyenne journali re avec un nombre maximal de d passements tol r s par an qui ne devra pas exc der 35 jours respecter depuis le 01 01 2005 e PM valeur limite de 40 ug m 293 K 101 3 kPa en tant que moyenne annuelle respecter depuis le 01 01 2005 e Pb plomb 0 5 ug Pb m d air ambiant ou encore 500 ng Pb m calcul e comme moyenne annuelle Elle correspond la valeur guide de 1 O M S pour la protection de la sant humaine La directive europ enne 2004 107 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 15 d cembre 2004 reprise dans le r glement grand ducal du 30 mai 2004 prescrit les seuils suivants POLLUANT VALEUR CIBLE ng m Arsenic Benzola pyrene mo
328. forc e e La certification FSC et PEFC a t int gr e dans les diff rentes applications GESTFVEN EFDIR CARNETO INVENTO Un effort compl mentaire devra tre poursuivi au niveau de la certification et des statistiques e application DBAIDE a t pr par e pour se synchroniser avec la base de donn es MACAA du Minist re de l Agriculture Le basculement d finitif doit avoir lieu en mars 2008 e La proc dure de contr le des dossiers DBAIDE subsides en for t a t compl tement revue Elle sera mise en uvre en mars 2008 e Toutes les applications DBAIDE CONCOP INVENTO CARNETO MARELAG GESTFVEN SALAIRES FICHE TRAVAIL COBUPLAN NATURA2000 ont t migr es de l ensemble du syst me de la base de donn es Oracle 81 vers Oracle 10g et du langage PB8 04 vers PB10 5 2 e Le basculement du syst me d information spatial a t pr par pour passer vers le syst me de projections g ographiques Luref Le basculement d finitif est pr vu pour mars 2008 e integration de la nouvelle structure d change masse salariale avec l APE nouveau systeme SIGEP Les applications d inventaire et d am nagement En 2007 l int gration dans un m me framework applicatif s curis INVENTO AEF et INVENTO Bureaux d tudes a t valid e Les bureaux d tudes utilisent l application au travers d une nouvelle architecture s curis e VPN et ADSL L application INVENTO a connu les versions 3 00
329. formations Pendant l ann e 2007 77 r unions examens formations ench res et ventes de bois ont t organis es dans les locaux du cantonnement dont 53 r unions 1 mise aux ench res de voitures de service 3 examens 4 ventes nationales et 14 formations Le tableau ci dessous montre le relev des r unions 203 Utilisation des en du Cantonnement Luxembourg Est en 2007 m a mee Ti Janvier D ss ur mayemne O seen min Tee POOR Sege gier Canonremens gemeet aen ge non Jamier 22012007 tag Prohaprbs LOT Gal e Inn mg ere role I Janne min Tee A gg beet akengee einen Ins So ene apen em Ian S Rein senc penses Ds SARION Jaen ene mm fens 3NO12007 Dossier de chssmertGrinenal9H22 Pas sed e as og ere CONSO aen ous be m Comment aan Tee Wes LE remm m Wes mg ue Fo PS Taken gun e em ee Jans erste wi mme bam ep a mgeet gouereg Taken nen wi W mgrtegmesenn aen Teeseer ai 1 Sgr CPE Gegen eremar Chr Tsaiederomaten nen Iw 1 gouen aen nen Iw 17030007 eronsa Bas es sus TEE are mg Iw mm Revie de decion PEFC TAN Care Sme Jang min Iw 1 19037007 Vente R sa Losemboun Est Grremmaer side mat entre Iw 1 22090007 Ru Gear sed em Iw 09007 Conese k e Janne oos Iw 1 106007 Cu Hobvetindigsiehnken 8136 trenne ege Iw 1906007 Cons Farei DR side mat me Jun 1 2100200 estate arme Inn zem Io Sms de ses Diem an Joes Tom
330. g der Totholzk ferfauna in zwei Naturwaldreservaten NWR Laangmuer NWR Betebuerger B sch begonnen In den Untersuchungsgebieten wurde ein standardisiertes Methodenprogramm eingesetzt dass eine repr sentative Erfassung der Totholzk ferfauna erlauben sollte Jede Fl che wurde ber eine Vegetationsperiode untersucht von April bis Ende September mit jeweils einer Begehung pro Monat Ein zweites Untersuchungsjahr soll 2008 folgen Das Untersuchungskonzept fu t auf einer Kombination manueller Aufsammlungen und verschiedener Fallentechniken Direkte Aufsammlungen in den Lebensr umen der K fer liefern jeweils einen detaillierten Einblick n die Artenzusammensetzung unter spezifischen Umweltbedingungen Durch die gezielte Suche nach speziellen Zooz nosen kann den gebietstypischen Unterschieden in der Ausstattung mit Sonderstandorten und Mikrohabitaten Rechnung getragen werden Aufgrund der gro en Vielfalt m glicher Totholzlebensr ume erm glichen standardisierte manuelle Aufsammlungen einen repr sentativen berblick ber Mikrohabitate und ihre Lebensgemeinschaften 251 Standardisierte Fallenf nge erm glichen den ununterbrochenen quantitativen oder semiquantitativen Fang von Arthropoden in einem bestimmten Umweltkontext Fallenmethoden erg nzen und komplettieren dar ber hinaus die direkten Aufsammlungen S e dienen zum Beispiel auch der Erfassung der Fauna schwer auffindbarer oder unzug nglicher Lebensr ume Des weitere
331. gorie bichette donc des cerfs femelles de moins de deux ans l objectif d obtenir une proportion de 40 de cerfs jeunes dans le tableau de tir a donc t atteint 3 5 2 3 Modalit s pr vues par la l gislation pour l tablissement des plans e Plan de chasse valable pour une p riode cyn g tique de trois ans e Plans de chasse avec des max ma fix s pour le tir de cerfs m les cerfs femelles et cerfs faons ainsi que pour le tir de chevreuils pas de distinction des sexes e Plans de chasse tablis pour chaque lot de chasse individuellement ou pour plusieurs lots contigus unit cyn g tique e Arr t par le Ministre de l Environnement sur proposition de la commission cyn g tique 294 3 5 2 4 Crit res de d cision en vue de l tablissement des plans Situation du lot de chasse superficie bois e et agricole configuration du terrain etc Estimation de la population du gibier faite par le locataire du droit de chasse Deg ts de gibier constat s notamment en for t Tableaux de tir des ann es pr c dentes 3 5 2 5 Modification du plan de chasse au cours de la p riode cyn g tique e Recours En cas de d saccord avec le plan autoris par le ministre de l environnement un recours motiv peut tre introduit dans un d lai de 20 jours de la notification du plan e R vision Si la structure de la population du gibier subit des modifications importantes ou si des d g ts consid rables aux cultures s
332. gr e vers PB10 5 2 et Oracle 10g L application Vente de bois qui consiste automatiser toutes les op rations qui interviennent dans le processus de la vente des bois quelle que soit la proc dure soumission ench res vente de gr gr a t revue versions 7 00 7 06 pour les adaptations tr s importantes suivantes e migration vers PB10 5 2 et Oracle 10g integration de la certification FSC et PEFC consolidation de la nouvelle gestion Catalogue de vente nationale l amelioration de l impression la correction de divers bugs Parall lement la maintenance des applications les tables des bases de donn es ont galement t mises jour Plusieurs milliers de lignes de scripts SQL ont t g n r es automatiquement gr ce l application GESTFDBA L application GESTFDBA a aussi t mise Jour en 2007 versions 6 00 6 03 Les adaptations suivantes ont t r alis es e migration vers PB10 5 2 et Oracle 10g e int gration du nouveau module GESTDBA Carto en Dotnet e la correction de divers bugs L adaptation volutive de l application de gestion des subsides DBAIDE destin e l ensemble des services r gionaux a t r alis e versions 5 00 5 05 par une soci t de service ext rieure suite un manque de ressources internes en personnel La premi re version de l application DBAIDE a t mise en production en janvier 2003
333. graissage d imperm abilisation de collage de peinture de nettoyage ou d impr gnation d une capacit de consommation de solvant de plus de 150 kg par heure ou de plus de 200 tonnes par an 2 5 12 Unit Transports et approvisionnement Pendant l ann e 2007 144 dossiers de demande d autorisation ont t trait s Il s agit d un c t de dossiers qui ont abouti une autorisation minist rielle mais aussi de dossiers qui ont t cl tur s cause de d passements de d lais de dossiers annul s ou de demandes introduites en vertu de l article 6 comme modification non substantielle mais qui ont t jug es substantielles par l administration En 2007 110 nouveaux dossiers ont t introduits Le suivi de certains tablissements du domaine p trolier qui tombent sous le champ d application du r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2000 concernant la ma trise des dangers li s aux accidents majeurs impliquant des substances dangereuses dit SEVESO a t effectu en 2007 Les d tails y relatifs figurent dans un chapitre s par dans le pr sent rapport d activit Dans le cadre du r glement grand ducal modifi du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement dit EIE la premi re tape en vue de la r alisation d une telle valuation a t parcourue pour le site actuel du Port de Mertert Ainsi ont t dema
334. gue fran aise et un cours en langue allemande A cette fin le manuel de formation labor en 2006 a t traduit en langue allemande Lors d une conf rence de presse avec remise des certificats de contr leurs aux techniciens ayant suivi avec succ s les cours de formation en juillet 2007 dans les locaux de la Chambre des M tiers le nouveau syst me de contr le des fuites a t officiellement pr sent Toutes les informations disponibles en relation avec le syst me de contr le de fuites de syst mes frigorifiques y compris la liste du personnel qualifi et certifi qui est autoris effectuer les r visions pour installations de climatisation et de r frig ration ont t publi es sur la page Internet www emwelt lu air_bruit dossiers frigorifiques Par ailleurs la division Air Bruit a repr sent le Luxembourg au comit europ en institu par le r glement CE 2037 2000 dans le contexte du r glement CE 842 2006 relatif certains gaz effet de serre fluor s Il y a lieu de pr ciser que le r glement CE 842 2006 ne s applique pas seulement aux quipements frigorifiques et climatiques mais galement aux pompes chaleur aux quipements contenant des solvants base de gaz effet de serre fluor s aux syst mes de protection contre les incendies ainsi qu aux appareillages de connexion haute tension 106 Au cours de l ann e 2007 ledit comit a discut et donn son avis sur une dizaine de proje
335. haque sondage permet sur base de la classification des sols d identifier les caract ristiques suivantes des sols e la texture et l paisseur de la couche de sol en surface e la classe de drainage e le d veloppement de profil e la profondeur de phase et celle des ventuelles variantes substrat charges et s diments 231 L ensemble de ces donn es p dologiques ainsi que d autres informations plus g n rales concernant la station sont encod es et report es au moyen d un num ro d ordre sur le fond topographique Au total 310 sondages p dologiques ont t r alis s sur le domaine forestier communal de Lintgen ce qui correspond une densit moyenne d 1 point de sondage pour 1 1 hectare En outre ces points de sondage r pertori s ont t compl t s par de nombreux sondages de contr le interm diaire s mplifies afin de v rifier la continuit d une unit p dologiques et de pr ciser ainsi les limites de celle ci S lectivement un test l acide HC1 20 est pratiqu sur la charge la terre fine ou le substrat afin de d tecter la pr sence de calcaire Pour un sondage sur deux un chantillon de sol est pr lev une profondeur moyenne de 15 et 20 cm dans l horizon min ral Ah afin de d terminer le niveau trophique des stations par l interm diaire de l analyse du pH Afin de mieux appr hender les diverses natures du sol et en particulier la structuration des sols lourds
336. henw lder und vier azidophile Epiphyten und Morschholzbesiedler Das h ufige Vorkommen der Belastungsindikatorart Dicranum taur cum kennzeichnet das Naturwaldreservat als Waldgebiet mit deutlichem Immissionseinfluss infolge der Luv Lage zu dem Ballungsgebiet Luxemburg Stadt Mithilfe der Verbreitungsstruktur von Arten und Artengruppen konnten viele kleinstand rtliche kologische Differenzierungen des Naturwaldreservates dokumentiert werden Das Lebermoos Radula complanata markiert z B Stangenholzbest nde mit luftfeuchterem Mesoklima das Moos Eurhynchium striatum bodenfeuchte Stellen Rhizomnium punctatum Bereiche mit Gesteinsvorkommen Mnium hornum fehlt in offenen Hallenwaldbereichen usw Die kologischen Zeigerwerte der Moose wurden f r die Parameter Azidit t Feuchtigkeit Temperatur Licht und Kontinentalit t gemittelt und jeweils in Karten und Diagrammen dargestellt So kann der Buchen Hallenwald im zentralen Bereich des Naturwaldreservates anhand der Zeigerwertanalyse beispielsweise als besonders saurer Bereich differenziert werden Arealtypenanalyse Luftg teanalyse und Bezug zur Rote Liste der Moose Luxemburgs werden durchgef hrt Die Ergebnisse wurden dar ber hinaus mit hnlich angelegten Kartierungen in drei saarl ndischen Naturwaldreservaten verglichen Alle nachgewiesenen Arten wurden kommentiert und in Verbreitungskarten dargestellt Ergebnisse der Pilzuntersuchungen im Naturwaldreservat Betebuerger B
337. hets d amiante ciment repr sentent une part de 8 68 de tous les d chets collect s Apr s une r gression des quantit s constat es en 2005 et en 2006 une l g re augmentation de 1 18 a pu tre constat e en 2006 Les accumulateurs au plomb sont la quatri me fraction des d chets collect s et en repr sentent 8 61 Depuis 2004 on observe une r gression de cette fraction Par rapport l ann e 2006 cette r gression est tr s importante avec 18 31 Une explication pour ce ph nom ne peut tre le fait que la valeur du plomb a fortement augment au cours des derni res ann es et que des collectes ill gales par des ferrailleurs ont pu tre observ es aupr s de diff rentes infrastructures et notamment dans les communes o la collecte de porte porte est organis e par la SuperDrecksK scht Des contr les renforc s dans cette affaire seront organis s au cours de l ann e 2008 143 Ces quatre fractions repr sentent en tout 64 58 de tous les d chets collect s Le projet Clever akafen Le projet Clever akafen initi en collaboration avec la Chambre des M tiers la Conf d ration luxembourgeoise de Commerce CIC l Union luxembourgeoise des Consommateurs ULC et les distributeurs a d finitivement d but en date du 22 janvier 2007 L objectif de ce projet est la promotion aux points de vente m me de produits qui permettent de pr venir la production des d ch
338. heure en heure ANN E 2005 CO PROTECTION DE LA SANT HUMAINE P riode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Periode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 10 mg m 293 K 101 3 kPa appliqu e au maximum journalier de la moyenne 8 heures respecter partir du 1 1 2005 Moyenne 8 heures glissante D passement si valeur 8 STATION maximale mg m heures gt 10 mg m 2006 2007 EE Lusemboug Gene Ir 3221 _Luxembourg Bonnevoie 1625 TI Esch Alzette LI 3 TI Elvange Mondorf es Bains J oS S Mont St Nicolas viande J o ooo G Beckerich II rien signaler La valeur limite du monoxyde de carbone est respect e aux trois sites de mesure Luxembourg Centre LC Luxembourg Bonnevoie LB et Esch Alzette ES Depuis 1995 la valeur limite de 10 mg m n est plus d pass e voir figure ci dessus CO Moyenne 8 heures maximale de l ann e 1989 2007 Protection de la sant humaine 15 14 _ Moyenne 8 heures Moyenne 8 heures 13 maximale glissante maximale 122 jez am 2m KE 11 m Le A ET Valeur limite 10 mg m propos e par l UE D QA 10 ik SW E E e E e ve e ve e Si S ss ss s En 9 u 2 N m S e o H d C 8 D g seuil d valuation 7 Se maximal 7 mg m3 m TN N j DO a Ke 6 Le SI en u o Es x O Pi r D Go Ce K A Ae y seuil d valuation e Cl n size s L8 minimal 5 mg m Sa we N ae gt 2 we BC e 1 y O
339. i re de bruit dans l environnement le service bruit a r alis les cartes de bruit dans l environnement que la directive 2002 49 CE relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement prescrit aux tats membres d laborer pour 2007 Lesdites cartes ont t labor es pour e les autoroutes Al A3 A4 A6 et A13 e les voies ferr es suivantes la ligne LU82 section ID 6 Luxembourg Ville Berchem la ligne LU82 section ID 6a Esch sur Alzette Noertzange e l a roport de Luxembourg 107 Conform ment au r glement grand ducal du 2 ao t 2006 portant application de la directive 2002 49 CE relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement les cartes strat giques du bruit dans l environnement seront rendues accessibles au public ce propos le service bruit a fait laborer un projet de d veloppement d un outil internet permettant la consultation interactive des cartes strat giques de bruit par le public sur un site internet La directive 2002 49 CE pr cit e pr voit que le transfert la Commission europ enne des informations obtenues gr ce la cartographie strat gique du bruit dans l environnement doit se faire selon des conditions et modalit s sp cifiques Le service bruit a particip un atelier de travail organis en juin 2007 par l Agence Europ enne pour l Environnement en vue de se pr parer ce transfert de donn es Il est noter que les
340. i concerne la pr vention et la r paration des dommages environnementaux e la directive 2001 42 CE du Parlement europ en et du Conseil du 27 juin 2001 relative l valuation des incidences de certains plans et programmes sur l environnement Il en est de m me de l laboration de certains avant projets de lois et de r glements grand ducaux 2 2 1 2 Elaboration d avis et de conseils juridiques pour l administration et le minist re Le service juridique a r guli rement t consult pour examiner des questions juridiques qui se sont pos es dans le cadre de l application de la l gislation sur les tablissements class s relations entre la l gislation sur les tablissements class s et les dispositions d urbanisme faillites et cessations d activit s meilleures techniques disponibles droits acquis etc De nombreux probl mes juridiques se sont galement pos s dans l application d autres l gislations environnementales et connexes la l gislation tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre la l gislation relative aux d chets la l gislation sur l acc s l information environnementale la l gislation sur la proc dure administrative non contentieuse la l gislation relative aux agr ments la responsabilit environnementale la r glementation relative aux subventions pour l utilisation rationnelle d nergies renouvelables etc Le service juridique a en outre contr
341. i de certaines substances et pr parations dangereuses doc Parl 5819 20 Projet de loi autorisant le Gouvernement participer au financement des travaux de renouvellement des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s du SIDOR doc Parl 5826 Projet de loi relatif l valuation des incidences de certains plans et programmes sur l environnement doc Parl Projet de loi relative la chasse qui sera soumis au Conseil de Gouvernement 1 5 3 Conseils Environnement et l gislation environnementale communautaire Au cours de l ann e 2007 le Conseil environnement a si g quatre reprises savoir le 20 f vrier le 28 juin le 30 octobre et le 20 d cembre En 2007 une s rie de propositions de textes l gislatifs ont fait l objet respectivement de directives d accords en conciliation ou d accords politiques 1 5 3 1 Int gration de l aviation dans le syst me communautaire d change de droits d emission La proposition de directive aff rente pr sent e en d cembre 2006 a fait l objet d un d bat d orientation l occasion du Conseil du 20 f vrier 2007 le Conseil du 20 d cembre a d gag un accord politique l unanimit en la mati re L accord tient compte des missions li es la mobilit a rienne croissante et s inscrit dans le droit fil des r sultats encourageants engrang s l occasion de la conf rence de Bali sur les changements climatiques
342. iations au cours de l volution de la terre e Le changement climatique actuel V Le changement climatique n est pas gal au r chauffement global V Les causes du r chauffement global l effet de serre artificiel V Les causes de l effet de serre artificiel gaz effet de serre e Recherche climatique v Mode de travail de la recherche climatique V Les sources du savoir des chercheurs v Importance de la for t pour la recherche sur le changement climatique e Pr visions climatiques v Comment sont tablies les pr visions du climat vV Ler le de la for t lors de l tablissement des pr visions du climat v Quelles constatations nous livre la for t pour l avenir Sens et but des pr visions climatiques e Le changement climatique et la for t v Importance de la for t pour le climat v Le cycle du carbone v Cons quences des changements climatiques pour la for t Cons quences pass es Cons quences actuelles Cons quences attendues e Cons quences probables du changement climatique sur la sylviculture v Les diff rentes possibilit s qui peuvent se pr senter la sylviculture v Comment la capacit de stockage de carbone peut elle tre augment e dans les for ts V Les for ts non cultiv es stockent elles plus de CO qu une for t exploit e conventionnellement e Comment la for t peut elle contribuer la protection du climat v La for t est synonyme de stockage de C02 v L utilisation du bois pour prot ger le climat
343. ibu l laboration de certaines r ponses la Commission des Communaut s Europ ennes suite des mises en demeure et avis motiv s adress s au Grand Duch de Luxembourg dans le cadre de la transposition voire de l application de certaines normes communautaires 2 2 1 3 Constitution de dossiers requis dans le cadre de proc dures contentieuses Dans le cadre de la plupart des recours contentieux port s devant les juridictions administratives le service juridique a pr par en collaboration avec les diff rentes divisions concern es des notes explicatives en vue de la pr paration des m moires en d fense La majorit des recours concernaient la l gislation sur les tablissements class s L interf rence entre la l gislation sur les tablissements class s et la l gislation sur l am nagement du territoire a souvent t au c ur des litiges Il en a t de m me en ce qui concerne la relation entre la l gislation sur les tablissements class s et celle sur la proc dure administrative non contentieuse Au cours de l ann e 2007 une trentaine de recours contentieux ont t dirig s contre des d cisions prises en application de la l gislation sur les tablissements class s Il arrive assez souvent que la preuve des inconv nients all gu s n est pas rapport e par les demandeurs Sous r serve qu il est assez difficile de schematiser et de dresser un bilan 1l est permis de dire qu une tr s grande majorit de
344. ice de l Am nagement des Bois pour la r alisation par des bureaux d tudes externes d inventaires d am nagement ainsi que les manuels d utilisateurs pour les applications de saisie et de traitement des donn es ont t mises Jour Instructions du Service de l Am nagement des Bois version actualis e concernant les inventaires d am nagement avec annexes du 15 janvier 2008 concernant l application INV AME O du 15 janvier 2008 concernant le lay out des cartes d inventaire d am nagement avec du 15 janvier 2008 annexes concernant l acquisition des donn es cartographiques num riques dans le du 15 janvier 2008 cadre d un inventaire d am nagement avec annexes Manuel d utilisation INV AME O avec tables de validation du 15 janvier 2008 Manuel d utilisation CONCOP du 15 janvier 2008 Les aspects fondamentaux modifi s ou ajout s concernent avant tout les inventaires dans les s ries relatifs la futaie irr guli re et certains aspects en relation avec la repr sentation de la voirie Pour l exercice 2007 1 inventaire forestier r alis avait une envergure justifiant une mise en adjudication du march Pour cette soumission publique un cahier des charges sp cifique a d tre d velopp 3 3 2 2 Travaux d inventaire Les inventaires suivants ont t r alis s en 2007 e for t domaniale de Beaufort 77 21 ha e for t domaniale du Gruenewald 1358 38 ha e for t communale de Beaufort
345. id r e comme un exemple de la r ussite d une coop ration transnationale travers tout un continent Elle a toujours consid r les for ts europ ennes comme tant un patrimoine commun et a reconnu que les dangers mena ant ces pr cieux cosyst mes ne se conforment pas toujours des fronti res territoriales ou id ologiques C est pourquoi d s ses d buts le dialogue et la coop ration au sein de la MCPFE ont lanc des ponts entre l Est et l Ouest de m me qu entre le Nord et le Sud de l Europe qui ont permis d changer des id es et de cr er une sensibilisation et une compr hension mutuelles l gard de la diversit des conditions et des situations en Europe La MCPFE constitue aussi un lien privil gi avec des processus plus globaux CNUED FIF FNUF CDB GIF 3 1 10 4 Le groupe de travail For ts Bois du Secr tariat general BENELUX En 2007 I Administration des Eaux et For ts a particip aux r unions du groupe de travail For ts Bois du secr tariat g n ral du BENELUX qui travaille sous la direction du groupe environnement Les partenaires ont chang des informations dans le domaine de la lutte contre le commerce de bois ill gal y compris les politiques d achat public de bois dans le domaine du bois nergie et de divers autres th mes Ils se sont mis d accord sur un programme de travail pour les ann es 2008 et 2009 portant sur les th mes bois nergie r alisation d un guid
346. ient destination du march europ en majoritairement en provenance des pays asiatiques Ces contr les ont aussi permis d identifier des free riders Les importateurs ont t invit s de nous fournir des certificats de conformit quant la directive RohS et d tiqueter les appareils conform ment l annexe V du r glement modifi du 18 janvier 2005 Les free riders taient invit s se conformer dans les plus brefs d lais Le mat riel en question restait bloqu jusqu mise en conformit de l importateur Sur base de cette troite collaboration avec l Administration des Douanes et Accises les Brigades Motoris es ont re u une formation quant la l gislation dans le domaine des quipements lectriques et lectroniques et les d chets qui en r sultent Des contr les vont tre effectu s aupr s des importateurs de mat riel lectrique et lectronique Pour mieux contr ler les quipements lectriques et lectroniques entrant sur le march europ en par l a roport du Luxembourg 1l a t d cid de s quiper d un appareil portable XRF L acquisition de cet appareil sera faite en 2008 En ce qui concerne les producteurs d appareils lectriques et lectroniques au Luxembourg ceux ci ont t invit s nous communiquer pour le 31 janvier 2008 au plus tard comment ils se sont mis en conformit quant aux dispositions de e l article 5 paragraphe 2 du r glement grand ducal modifi du 18 jan
347. ifflange est concern e par trois sites d int r t communautaire savoir la Vall e sup rieure de l Alzette et les sites Esch sur Alzette anciennes mini res Ellergronn C est principalement les milieux ouverts et en voie de recolonisation naturelle des anciennes carri res qui constituent le refuge d une flore et d une faune diversifi e L un des objectifs est donc de limiter la recolonisation foresti re et de recr er des zones nouvellement perturb es pour les esp ces pionni res en conformit avec les dispositions sur la protection de la nature Pour les for ts alluviales et la h traie calcicole qui sont des habitats prioritaires les principes de gestion devraient faire primer les objectifs cologiques Pour les for ts du Melico fagetum les for ts devraient tre g r es selon une sylviculture proche de la nature Le Plan Simple de Gestion tel qu il est propos inclut un programme indicatif des principales interventions et travaux r aliser sur les 10 prochaines ann es pour 3 p riodes successives et ventil sur les diff rentes parcelles d am nagement Les diff rents types d intervention sont mat rialis s sur les cartes de gestion 3 3 1 5 Le Plan Simple de Gestion de la for t communale de P tange 2007 2016 122 ha Le plan simple de gestion 2007 2016 pour la propri t foresti re de la commune de P tange labor courant 2007 a t pr sent au Conseil Communal en d
348. il est intervenu pendant 139 jours soit le m me nombre que l ann e pr c dente Le nombre des participants tait de 9 571 EN KI LE S a e GEWANN MAT i 2 7 13 7 L entrep t de Colmar Berg Dans le cadre de ces activit s la SuperDrecksK scht met un accent sur la promotion des visites qui peuvent tre effectu es a l entrep t de Colmar Berg tant par des particuliers que par des groupes L objectif est de montrer la population ce qui se cache derri re les collectes dont notamment le niveau de qualit avec lequel le regroupement et le traitement des d chets sont effectu s En 2007 le nombre des groupes de visiteurs s est lev 76 correspondant 1033 personnes soit une augmentation de 41 9 8 Seuls les r frig rateurs isol s avec des mousses peuvent servir pour la production d Oeko Pur Les r frig rateurs isol s avec de la laine de verre qui ne peuvent pas servir cette fin sont galement compris dans le nombre total des appareils collect s 148 Dans le cadre de l assurance qualit des prestations de la SuperDrecksK scht des analyses de contr le sont n cessaires Ces contr les sont effectu s par le laboratoire de la SuperDrecksK scht qui est install dans l entrep t Ces contr les concernent notamment les domaines suivants e l identification et la caract risation des d chets collect s e le contr le de la conformit des d chets conditionn s avec
349. ile en mati re de chasse il faut compter les suivantes contr le de l exercice de la chasse en g n ral contr les des diff rents modes de chasse approche aff t battue chien courant contr les des p riodes et heures d ouverture l gales contr les des permis de chasse contr les des autorisations de port d arme contr les des marquages concernant le transport du gibier contr les des certificats de vaccination pour chien contr les et relev des cerfs m les tir s conform ment l article 7 du r glement grand ducal du 19 juillet 2004 concernant l ouverture de la chasse contr les d installations cyn g tiques e conseils et initiation pour la capture de rats musqu s fouines et autres animaux causant des dommages 301 enqu tes et rapports concernant les infractions la l gislation en mati re de chasse prises d chantillons de sang aux fins d analyses B T appui l organisation des chasses domaniales mise en ench re ou limination de gibier accident prise en charge et mise en pr paration des troph es de gibier attribu s l administration appui logistique concernant la constatation de d g ts de gibier 3 6 3 Activit s en mati re de p che Les activit s de l Entit mobile en mati re de p che se limitent aux contr les de l exercice de la p che en g n ral et l appui logistique et les p ches lectriques sur requ te de l Administration
350. ines lorsque le volume annuel d eaux capter ou recharger atteint ou d passe 10 millions de m tres cubes B1 Environ 11 dossiers de demande de la classe 3 ont t introduits au cours de l ann e 2007 en relation avec les dispositifs de captage Tous les dossiers ont t trait s et 6 dossiers ont t cl tur s pendant cette p riode 2 5 8 5 Dossiers soumis la fois la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Environ 34 dossiers de demande des classes 1 et 3 ont t introduits au cours de l ann e 2007 48 dossiers ont t cl tur s pendant cette p riode r daction arr t s commodo d chets 2 5 8 6 Dossiers soumis au r glement grand ducal modifi du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s EIE Au cours de l ann e 2007 l unit Traitement de d chets a t charg e d instruire 3 dossiers en relation avec le r glement grand ducal modifi du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s EIE savoir la modernisation de l installation d incin ration de d chets SIDOR Leudelange l implantation d un centre r gional pour la gestion de d chets inertes Hosingen et l implantation d un centre r gional pour la gestion de d chets inertes Colmar Berg 2 5 8 7 Dossiers
351. ingen en f vrier 2007 les surfaces ont t affect es l Administration des Eaux et For ts Le cantonnement forestier de Luxembourg Est a t charg de la planification des travaux d assainissement et de reboisement dans le contexte de mesures compensatoires de l a roport Faute de moyens budg taires au cours de l ann e 2007 les interventions se sont limit es au d gagement et l enl vement des ordures ferrailles et immondices Avec l aide de la police grand ducale les occupants des b timents familles sans abris et toxicomanes ont t mainte fois invit s quitter le site En collaboration avec les repr sentants de l administration des b timents publics la d molition des constructions a t planifi e et chiffre 202 Formation Le personnel du cantonnement forestier Luxembourg Est a activement particip l organisation des cours de formation pour ouvriers forestiers de l administration Sur le site du Naturzenter Sennengerbierg se sont d roul s 11 cours de formation pour ouvriers En plus les triages forestiers ont accueillis 13 l ves stagiaires du Lyc e Technique Agricole Peste porcine 81 sangliers ont t collect s au centre de collecte g r par le triage de Kiem Accidents avec le gibier e Le triage Waldhof a collect 23 gibiers accident s 8 sangliers 5 chevreuils et 10 renards ou autres dont 3 sorties de nuit pour achever gibier accident non mo
352. inimum et que le recours des m thodes alternatives est encourag L Agence europ enne des produits chimiques a commenc ses travaux Helsinki le ler juin 2007 A Luxembourg le Gouvernement en conseil a pris les d cisions d application et de mise en uvre suivantes e d signation l instar de la grande majorit des Etats membres du ministre de l Environnement comme autorit comp tente et l Administration de l Environnement comme administration comp tente e mise en place d un comit interminist riel e cr ation d un helpdesk qui est assum pour les minist res de l conomie et de l environnement par le Centre de ressources des technologies pour l environnement CRTE e renforcement de l Administration de l Environnement d un poste d ing nieur charg de t ches de gestion et de contr le e d signation de repr sentants au comit d administration au Forum et au comit des Etats membres de l Agence Le Ministre de l Environnement a propos la Commission un fonctionnaire de l Administration de l Environnement nomm par la suite par la Commission de PUE au comit d administration de l agence Il a nomm un fonctionnaire de l Administration de l Environnement au Forum de l Agence et un repr sentant du CRTE au comit des Etats membres Par ailleurs il a propos au comit d administration de l Agence un expert participant aux r unions du comit d
353. inu e en 2006 307 En 2007 33 nouveaux micro ordinateurs et 14 portables ont t fournis par le Centre Informatique de l tat 3 portables ont t acquis sur fonds propres 5 scanners A4 4 imprimantes laser NB A4 et 1 imprimante laser couleur A4 A3 ont t fournis par le Centre Informatique de l Etat Ces fournitures et acquisitions concernent essentiellement des remplacements de mat riel install dans les diff rents services Toutes les nouvelles stations de travail ont t reconfigur es par la Cellule Informatique sur base d un master adapt aux besoins des E amp F sous POS Windows XP SP2 10 dans les triages 24 dans les services centraux 7 dans les cantonnements 6 dans les arrondissements 3 dans les centres d accueil Environ 5 micro ordinateurs ont t r install s et redistribu s en 2007 dont 2 la suite d une panne mat rielle La Cellule Informatique a continu en 2007 d installer de nombreux quipements accessoires utiles dans l ex cution des t ches des services r gionaux ainsi que des triages Les stations de travail r cup r s et restitu s au CIE ont t pr alablement nettoy es avec un logiciel sp cial afin de garantir la non r cup ration des donn es confidentielles des utilisateurs La mise disposition de donn es cartographiques num riques aux bureaux et soci t s externes dans le cadre d un contrat de travail avec l administration a t continu e
354. iographique des exp riences de gestion irr guli re en cours en France Ce premier projet plus th orique a d bouch en 2006 et 2007 sur des projets plus concrets s articulant autour de deux axes principaux qui se sont succ d s dans le temps 1 implantation d un r seau de placettes permanentes permettant de suivre et d illustrer la conservation des for ts existantes en futaies irr guli res 2 les travaux de martelage en vue d entamer concr tement sur le terrain la conversion en futaie irr guli re pour lesquelles un agent formateur de ONF a donn un appui technique Ces op rations ont t conduites en 2006 sur deux sites savoir en for t communale de Betzdorf et cheval entre la for t communale de Koerich et la for t domaniale de Septfontaines et en 2007 sur un site en for t communale de Schieren Description de la station foresti re et des peuplements du site de Schieren Le peuplement concern est une ch naie charmaie h traie d environ 130 160 ans avec quelques parties plus jeunes sur mat riau limoneux limon limon sableux et puis marnes du Keuper l paisseur du mat riau limoneux tant d environ 25 30 cm Il s agit globalement de sols sensibles aux interventions brutales le compactage des horizons de surface par les engins forestiers risquant d entra ner des ph nom nes de tassement graves et irr versibles Les potentialit s de production sont toutefois moyennes bonnes
355. ion d finitive de trous dans la banque de donn es par absence de donn es 84 Le relev au 31 12 2007 des analyseurs des quipements de contr le des signaux de mesure des analyseurs et des capteurs m t orologiques est r sum dans le tableau ci dessous On peut constater que tous les quipements repr sentent des quipements neufs ou assez neufs STATION LC B CS Bw e vw SO SO SO SO SO SO Veto install en 1999 install en 1999 install en 1999 install en 1999 install en 1999 NO NO NO NO NO NO install en install en install en 1997 install EL en install en 1996 install en 2000 07 1996 06 1999 2000 remplac en NO de 03 4007 r serve install en 2005 O3 O3 O3 03 03 03 install en install en 1992 install en 1992 install en 1992 install en 1996 install en 1992 1991 remplac Dar 03 de r serve de r serve install en 2005 install en 2007 ms en 1993 install en ts install en 1998 install en 2004 install en 1998 Poussiere Poussiere Poussiere PM 10 PM 10 PM 10 install en 04 1995 install en 05 1997 ges en 1998 Poussiere fine Poussiere technique GRIMM PM 2 5 install en 02 2006 macHhmZ AZ gt CrrOV install en 05 2001 PM40 CO PM 5 install en 2004 CH install en 07 1997 install en 10 2004 Systeme Airzero Air zero Air zero Air zero Air zero Air z
356. ion et de la nocivit des d chets e de la valorisation des d chets par le r emploi le recyclage et e de l limination des d chets ultimes de mani re cologiquement et conomiquement appropri e Les autorisations d livr es en vertu de la loi pr cit e de 1994 dont la division des tablissements class s est en charge concernent les tablissements ou entreprises qui effectuent certaines op rations d limination ou de valorisation et l implantation ou l exploitation de sites servant de telles op rations Par la loi du 21 d cembre 2007 la loi pr cit e du 10 juin 1999 a t modifi e et compl t e Ainsi l acc s la justice des organisations non gouvernementales a t facilit dans le sens que celles agr es sont r put es avoir un int r t personnel Par ailleurs la d finition des meilleures techniques disponibles a t tendue non seulement aux meilleures techniques disponibles en mati re d environnement mais galement aux meilleures techniques disponibles en mati re de protection de personnes La premi re de ces d finitions a t align e aux dispositions de la directive 96 61 CE du Conseil du 24 septembre 1996 relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution telle que modifi e par la suite Par ailleurs les d lais d instruction des dossiers de demande d autorisation ont t modifi s sans toutefois allonger la dur e totale des diff rentes
357. ions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des d chets 120 Les actions de formation 120 Diverses actions de sensibilisation pour jeunes 120 Les d chets organiques 122 Les parcs conteneurs 130 Les d chets d emballages 133 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 135 Les v hicules hors d usage VHU 136 Les d chets d puration 137 Les d chets de d grillage et de d sablage 139 Les actions de la SuperDrecksK scht 140 Les d chets inertes 150 Les statistiques d chets 154 Les transferts de d chets 155 Les sites contamin s 166 3 ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS 169 3 1 La Direction 169 3 1 1 G n ralit s 169 3 1 2 Les travaux l gislatifs 169 3 1 3 Participation des groupes de travail interminist riels 170 3 1 4 Les contacts interr gionaux 170 3 1 5 Les r unions de service 170 3 1 6 La gestion du personnel effectifs bureaux formation continue 171 3 1 7 La formation 173 3 1 8 La Cellule ouvriers forestiers 174 3 1 9 Les activit s de sensibilisation et d information du public 175 3 1 10 Les processus internationaux 176 3 1 11 La certification des for ts 178 3 1 12 Le plan de d veloppement rural 179 3 1 13 Le projet Interreg III B Probois Proholz 180 3 1 14 Le suivi du Programme Forestier National 181 3 1 15 La gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau 181 3 1 16 La commercialisation du bois de trituration
358. ions environnementales dans les Etats membres Cette recommandation couvre les inspections environnementales d tablissements d installations et d activites qui doivent faire l objet d autorisations permis ou licences en vertu du droit communautaire environnemental en vigueur installations r glement es La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s couvre une grande partie de ces installations L Unite contr le et inspections du Service des autorisations tablissements class s et d chets de la Division des tablissements class s de l Administration de l Environnement est en charge de veiller ensemble avec les autres services de la division e enregistrer le suivi des autorisations r cemment d livr es e donner suite aux demandes du Parquet des tribunaux d arrondissement e r aliser un programme d inspection tel que recommand par les instances de P UE e donner suite aux r clamations concernant des nuisances et pollutions pr sent es par des particuliers Les inspections comprennent la v rification de la conformit des installations aux exigences environnementales applicables en se basant sur des contr les sur dossier autorisations rapports de r ception et de contr le p riodique rapports de mesure etc et des visites sur les lieux compte rendu des installations et activit s exploit es d tection de non conformit s les rapports et les autres actions suites
359. ique dans la Communaut europ enne Inspire Elle pr voit un acc s public aux donn es environnementales ainsi que le partage des donn es entre autorit s publiques Elle introduit un portail Inspire au niveau communautaire qui s appuie sur les infrastructures d information g ographique tablies et exploit es par les Etats membres La directive 2007 60 CE relative l valuation et la gestion des risques d inondation impose que la gestion des risques d inondation fasse l objet de n gociations transfrontali res et contient d importants engagements visant accro tre la transparence et garantir la participation des citoyens Les Etats membres sont tenus d identifier les bassins hydrographiques et les zones c ti res risque de dresser la carte des risques d inondation et d tablir des plans de gestion des risques d inondation pour les regions concern es 24 1 5 3 11 Conciliations Les conciliations men es avec le PE au courant de l ann e 2007 ont men l adoption de textes l gislatifs en mati re de qualit de l air et de protection du milieu marin L accord obtenu en mati re de qualit de l air pr voit notamment e la r duction des particules fines PM 2 5 Les EM sont tenus de r duire d ici 2020 les niveaux d exposition aux PM 2 5 en zone urbaine de 20 en moyenne par rapport aux chiffres de 2010 ils sont tenus de faire en sorte que les niveaux d exposition dans les z
360. ique de Differdange et en octobre l aci rie lectrique de Belval Esch Schifflange Differdange Esch Belval chemin e A 2007 HCB ng m IS HAP mg m 0 327 Un d passement de la valeur limite de 0 1 ng m pour les missions de PCDD F n a pas t constat Pour les missions de PCB selon WHO et HCB il n existe pas encore de valeurs limites La valeur limite pour les missions de HAP a t d pass e l aci rie lectrique d Esch Schifflange en Janvier F vrier 2007 En outre l Administration de l Environnement a test entre octobre et d cembre 2007 l aci rie lectrique d Esch Schifflange pour la premi re fois une campagne de mesure de PCDD F avec prise d chantillons en continu Les r sultats seront disponibles au d but de l ann e 2008 2 6 6 2 Echange d information au sujet des meilleures techniques disponibles Dans le cadre de la directive 96 61 CE relative la pr vention et la r duction int gr e de la pollution directive IPPC la Commission europ enne organise l change d informations entre experts des Etats membres de l Union europ enne l industrie et les organisations environnementales au sujet des meilleures techniques disponibles des prescriptions de contr le y aff rentes et de leur volution Best Available Techniques BAT 32 groupes de travail ont t cr s pour couvrir tous les secteurs de la directive IPPC Pour chaque s
361. ises par visiteur aux points de collecte mobiles de la SuperDrecksK scht fir Burger on peut estimer la participation totale l ensemble de cette action 216 059 visiteurs soit une augmentation de 7 2 par rapport 2006 Les diff rents types de d chets collect s Les quantit s des diff rentes fractions de d chets collect es par la SuperDrecksK scht fir Burger au cours des trois derni res ann es sont reprises dans le tableau suivant Peintures Graisses de fritures Amiante ciment Accumulateurs Huiles usag es et carburants M dicaments seringues Supports informatiques cartouches toner Roofing Piles et accumulateurs portables Bombes a rosols extincteurs Divers Bases Solvants Tubes fluorescents R cipients gaz Radiateurs lectriques Produits phyto pharmaceutiques Filtres huiles et produits souill s aux huiles Ampoules lectriques Acides Produits photochimiques Produits chimiques de laboratoires Produits non identifi s TOTAL quantit s exprim es en kg 142 2005 700331 305023 216504 253245 119845 86786 60437 58158 76455 65654 50240 27885 22045 23121 24762 13004 14890 12981 12715 6891 6367 4588 209 2162134 2006 747690 331568 207980 255461 120184 95080 79678 64631 81127 71519 64982 28573 29297 28334 64631 13711 14960 14485 11980 7101 6610 5400 611 2345593 2007 786201 360325 210437 208684 130120 104664 101380
362. ivants on t finalis s en 2007 Vall e de la Mamer et de l Eisch finalis Dudelange Haard finalis Vall e de la S re inf rieure finalis Zones humides de Bissen et Fensterdall finalis Wilwerdange Conzefenn finalis Leitrange Heischel finalis Actuellement les plans de gestion pour les zones Natura 2000 suivantes sont en cours d laboration Grunewald Vall e sup rieure de l Alzette Haff R imech et Vall e sup rieure de la Moselle Machtum Pellembierg Froumbierg Greivenmaacherbierg Cruchten Bras mort de l Alzette Fingig Reifelswinkel Grass Moukebrill Massif forestier d Ielboesch Massif forestier d Aesing Massif forestier du Waal Aspelt Lannebur Am Kessel 279 3 4 1 10 Am nagements cologiques Zones industrielles et zones de verdures intra urbaines Le concept de ces projets consiste dans am nagement des alentours imm diats des b timents dans une zone industrielle et des zones de verdures intra urbaines suivant des crit res cologiques Les plantations sont compos es uniquement d especes indig nes Les surfaces herbac es sont constitu es d un m lange d esp ces indig nes et sont soumises diff rentes intensit s de fauchage La d limitation des zones v g tation entretenues de mani re extensive est r alis e au moyen de poteaux en bois ce qui refl te le caract re rural de notre paysage Les am nagements r alis s en 2006 sont les s
363. ixant les conditions pour la d tention de daims destin s la production de viande e la gestion et mise en d p t de l armement et des munitions de l Administration des Eaux et For ts e initiation au tir de chasse pour les candidats l examen de chasse il s agit de familiariser les candidats chasseurs avec les armes et leurs munitions e la collaboration l preuve de tir l examen de chasse e l organisation l instruction et la surveillance de la formation de tir ayant pour but de permettre au personnel de l Administration des Eaux et For ts porteurs d une arme de service de s entra ner au tir d am liorer et d assurer les performances e les informations et conseils d ordre pratique particuliers ONG communes e la collaboration diverses expositions et actions de sensibilisation du public e la collaboration troite avec l Administration de l Environnement l Administration de la Gestion de l Eau l Unit de Contr le de l Administration des Services techniques de l Agriculture l Administration des Douanes et Accises et la Police grand ducale les contr les des campings sauvages la formation des pr pos s forestiers stagiaires cole foresti re stages pratiques la maintenance armurerie l appui logistique dans le cadre des expositions organis es par l administration 302 3 6 6 Dossiers trait s en 2007 Le tableau ci dessous montre le nombre de nouveaux
364. l de Mompach Le but principal de cette pr sentation tait de discuter avec la commune des deux propositions de d limitation pour la future RFI lesquelles leur avaient t soumises auparavant 246 Le 20 janvier 2006 le conseil communal de Mompach a d cid de participer avec une partie de sa for t communale au projet de r serve foresti re int grale A la suite de cette d cision un bureau d tudes a re u comme mission d tablir un dossier de classement Une r union de d marrage du projet a eu lieu la commune de Mompach 3 3 6 2 Autres activit s dans le domaine du projet Naturb sch Le projet de r serve foresti re int grale a t pr sent dans le cadre des activit s En Dag an der Natur Point de d part de cette visite dans la r serve naturelle Manternacher Fiels tait le centre d accueil Manternach Au cours de cette excursion les principales fonctions et objectifs des r serves foresti res int grales ont t pr sent s ainsi que les particularit s de la zone prot g e Manternacher Fiels Une deuxi me excursion a eu lieu en collaboration avec le cantonnement de Mersch dans la nouvelle r serve foresti re int grale P ttenerb sch Lors de cette visite les principales caract ristiques du site ainsi que de son volution historique ont t pr sent es Le monitoring des habitats forestiers a fait galement l objet d une pr sentation sur le terrain
365. l faut savoir que chaque document relatif a un transfert sp cifique est envoy trois fois l Administration de l Environnement lors de la pr notification du transfert apr s acceptation des d chets par le destinataire l installation et lorsque le traitement de valorisation limination est achev Pour l encodage dans la base de donn es de chacune de ces tapes l administration ne dispose que de deux personnes t che partielle 161 evolution des dossiers de notifications 600 500 400 BEXPORT 300 ONATIONAL DIMPORT B TRANSIT 200 100 0 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2 7 16 7 Tableaux D chets export s La quantit de d chets export s en 2007 a augment de 38 vis vis de l ann e 2006 Cette augmentation est li e directement l exportation de terres contamin es provenant d assainissements dont notamment le chantier de mise double voie de la ligne ferroviaire Luxembourg P tange Le tableau c apres reprend les quantit s de d chets export s vers les diff rents pays regroup s sur le code de traitement Allemagne ns o Mode de traitement _ 2005 2006 2007 D01 D p t sur ou dans le sol p ex mise en d charge etc 6626422 10271028 30919755 D03 Injection en profondeur p ex injection des d chets pompables dans des puits des 91140 tangs ou des bassins etc D05 Mise en d charge sp cialement am nag
366. la valeur cible de 6 ng m respecter partir du 31 12 2013 n est pas d pass e Le niveau atteint selon le lieu contr le est de 33 67 de la valeur cible e Cadmium dans les poussi res fines PM la valeur cible de 5 ng m respecter partir du 31 12 2013 n est pas d pass e Le niveau atteint aux stations repr sente 10 58 de la valeur cible e Nickel dans les poussi res fines PM la valeur cible de 20 ng m respecter partir du 31 12 2013 n est pas d pass e Les niveaux atteints repr sentent 15 80 de la valeur cible e Benzolalpyrene dans les poussi res fines PM la valeur cible de 1 ng m respecter partir du 31 12 2013 n est pas d pass e Le niveau atteint est de l ordre de 30 de la valeur cible 2 6 2 Les r seaux de mesure de la qualit de l air Ajouts ou modifications intervenus durant l ann e 2006 et 2007 2 6 2 1 R seau automatique de contr le de la pollution de l air e La station du type container 17 ann es d anciennet d Esch Alzette a t remplac e en 2006 par un container neuf de m me conception que celui de Beidweiler Cette nouvelle structure d accueil pour les nombreux analyseurs de ce site de mesure pr sente un niveau de qualit sup rieure pour le personnel et pour les analyseurs Elle est faite pour durer au moins 20 ann es Les armoires pour les analyseurs ont galement t renouvel es e La station du type container au Mont St Nicola
367. la z p Fooschtbaach au Nord de Hautbellain faisant partie du bassin versant de la Meuse le projet de p turage extensif l aide de bovins de race Angus mis en place en collaboration avec un agriculteur local a t tendu une surface de 8 ha de terrains domaniaux constitu s partiellement d anciennes coupes rases de r sineux 290 D autres mesures de gestion ont galement t suivies scientifiquement en particulier la fauche de la zone prot g e Neiwis ainsi que la r g n ration de la lande Op Baerel o des travaux de d broussaillage ont t r alis s dans le cadre du projet LIFE Nature nardus Les travaux d am nagement du sentier didactique Via botanica dans la zone prot g e Freng Op Baerel RNRFI3 ont t poursuivis en 2007 par la mise en place de nouveaux am nagements informatifs Dans le triage de Grosbous 4 mardelles ont t renatur es Propositions d acquisition En 2006 l Arrondissement CN Nord n a pas pu effectuer d acquisition Participation l laboration de dossiers de classement Plusieurs r unions et visites de terrains ont eu lieu dans le cadre du classement respectivement de la gestion des zones prot g es Remembrements Afin de donner une chance de survie aux bandes herbac es cr es dans le p rim tre de remembrement agricole de Dellen l arrondissement C N Nord a organis la gestion de ces bandes ainsi que de bandes ripicoles dans le p rim tre du
368. laboration dans le cadre de divers projets d agriculture extensive dans des futures zones prot g es e collaboration troite avec les responsables du projet Interreg III A Wallonie Lorraine Luxembourg portant sur la protection et le d veloppement des l ments de liaison du r seau cologique transfrontalier et dont l activit principale consiste dans le d boisement de r sineux de fonds de vall es et de zones humides Ce projet qui a d but en mai 2004 a t cl tur en octobre 2007 Sur l ensemble du p rim tre transfrontalier soit 9 communes quelque 111 ha de fonds de vall e ont pu tre d bois s Seul sur le territoire du Grand duch cette superficie se chiffre 44 ha De cette surface 26 ha sont destin s un p turage extensif le restant voluera en futaie feuillue Du c t du Grand duch ce projet a t suivi de pr s par les responsables de la Fondation Hellef fir d Natur Le r le du cantonnement tait surtout consultant e divers travaux r alis s dans les r serves naturelles et plus sp cifiquement dans la future r serve du Pont Mis re en collaboration troite avec le service CN Quant au traitement des dossiers CN l est noter que ceux ci ont t trait s en collaboration avec le responsable du service CN Nord dossiers de d frichement boisement neuf am nagement des anciennes d ponies chemins forestiers 3 2 9 13 La for t lieu de loisir
369. laborer par un organisme agr une tude historique d taill e du site en question Sur base de cette tude un organisme agr proposera un programme analytique en vue de la d termination et de la quantification d une pollution ventuelle du sol sous sol et des eaux souterraines 2 7 17 4 Le site TDK Bascharage 166 Dans le cadre de la cessation d activit de la soci t TDK un programme historique a tait tabli afin d laborer un programme analytique en vue de la d termination et de quantification d une pollution ventuel du sol sous sol des eaux souterraines et des b timents Apr s cette tude et le cas ch ant apr s l enl vement des masses pollu es le site en question pourra tre exploit de nouveau par d autres activit s 2 7 17 5 Le terrain d une ancienne station service Roodt sur Syre Sur base des analyses effectu es en 2000 une contamination en hydrocarbures et en hydrocarbures aromatiques a t d tect e sur le terrain de l ancienne station service Les terres contamin es autours du b timent ont t excav es et assainies La contamination non accessible en dessous du b timent a t trait e par le syst me bio venting Apr s un fonctionnement correct de l installation au terme de 3 ann es et demi on constate que les concentrations en polluants aient diminu es 343 kg de COV ont ainsi t retir s du sous sol Dans une derni re campagne de contr le effectu e en septe
370. lationen ist Dar ber hinaus lie e sich ber Ermittlung der Gradstunden die Entwicklung der Populationen des Trypodendron domesticum an den unterschiedlichen Fallenstandorten miteinander vergleichen Es bleibt die Kl rung der Frage ob die Jungk fer des Trypodendron domesticum bei f r sie g nstigen klimatischen Bedingungen noch zur Fortpflanzung kommen und sich somit ein zweite Generation pro Jahr entwickeln kann von besonderem Interesse Es besteht k nftig mehr dem je die Notwendigkeit des Monitorings der Populationen von Schadinsekten Weitere Untersuchungen inwieweit Ausbreitung und Anwachsen der Populationen von Trypodendron domesticum durch geeignete Ma nahmen des Waldschutzes und des Waldbaus minimiert werden k nnen s nd unverzichtbar 3 3 11 5 Le mat riel forestier de reproduction Participation au groupe EUFORGEN EUFORGEN The European Forest Genetic Resources Programme est un organe de collaboration entre les pays europ ens ayant comme but la promotion de la conservation et de la gestion soutenue des ressources g n tiques foresti res Ce programme a t lanc en octobre 1994 pour mettre en uvre la r solution S2 Conservation of forest genetic resources de la premi re Conf rence Minist rielle de la Protection de For ts en Europe La phase III 2005 2009 de EUFORGEN qui a t entam e en janvier 2005 se focalise sur la promotion de l usage appropri des ressources g n tiqu
371. le Fonds Belval regroupera sous un seul toit outre l Administration de l Environnement l Administration de la gestion des eaux chacune de ces administrations avec ses laboratoires la Commission nationale de protection des donn es ainsi que l administration du Fonds Belval Il s agira en dehors des installations communes aux diff rentes administrations tels que cantine salles de conf rence r ception pour l Administration de l Environnement d y installer de l ordre de 100 agents avec les infrastructures n cessaires au bon fonctionnement tels que bureaux laboratoires emplacements de stockage et de parking Le projet se trouve actuellement au stade de l avant projet d taill Le d p t du projet de loi relatif la construction de ce b timent est pr vu pour le d but de l ann e 2008 Le d m nagement de l Administration de l Environnement vers le site de Belval s inscrit dans le cadre du programme gouvernemental de d centralisation des administrations II i um Bas NET ir RR T 1 all s t d in LLL il dir GE d x ren Pa a EE ae la ES Ed d S i IR gi K A P e SEN dor eh Gen n FEU th ch e Se E Er o OI DELL ron rm JNfs H EEE 1 DR Fi d ZS hai PERETI atir ar M 6 2 de ad SD Cd hi La A Wa bett H Ge OU I y M WD ml MIEL ett en Er AS Ste Ltb 29 per Le fonds belval Administration de l environnement smmissio
372. le bon fonctionnement de l administration peuvent tre accomplis par plusieurs personnes de sorte que l accomplissement de ces travaux peut toujours tre assur m me si l une ou l autre personne est en cong r cr atif ou en cong administratif En outre ces personnes sont mises la disposition des diff rents services pour accomplir ou assister certains travaux de saisie de documents 2 1 2 Le personnel Au 31 d cembre 2007 le personnel de l administration se composait comme suit 1 directeur 2 directeurs adjoints 11 ing nieurs l attach de direction 22 ing nieurs techniciens 7 r dacteurs 4 exp ditionnaires administratifs 3 exp ditionnaires techniques 28 e 17 employ e s e 3 ouvri res e 4 employ e s engag e s temporairement Au cours de l exercice 2007 les agents suivants ont t engag s un ing nieur stagiaire pour la Division de l Air et du Bruit un r dacteur stagiaire pour la Direction 3 employe e s carri re C engag e s dans le statut des personnes handicap es l ouvri re raison de 10 heures semaine des agents dur e d termin e Un fonctionnaire stagiaire dans la carri re de l ing nieur technicien a d missionn en 2007 2 1 3 Les locaux de l Administration de l Environnement Le projet de la construction d un nouveau b timent administratif sur le site de Belval a t concretise en collaboration avec le Fonds Belval Ce b timent r aliser par
373. le de Kyoto en mati re de droits d changes et de comptabilisation des missions b que la quantit d missions de gaz effet de serre initialement attribu e au Luxembourg fin 2006 par la Commission europ enne pour la p riode dite d engagement 2008 2012 a t relev e de 3 8 en passant de 45 671 796 a 47 402 996 tonnes de CO quivalents Cette augmentation r sulte d un inventaire plus exhaustif apr s l audit ou avant celui ci et donc d une ann e de base 1990 revue la hausse c la promulgation par le Gouvernement le 1 ao t 2007 d un R glement grand ducal relatif la mise en place d un Syst me d Inventaire National des missions de gaz effet de serre dans le cadre de la CCNUCC kttp www legilux public lu leg a archives 2007 1300708 1300708 pdf pages 2318 et suivantes Le support de la cellule statistique l Administration de l Environnement consistait en la supervision des inventaires d missions de gaz effet de serre r alis par l administration v rification des inventaires mise en conformit transmission officielle aux instances internationales mais aussi en partie laboration d une partie de l inventaire secteur Agriculture D autres informations relatives ce dossier sont pr sent es la section consacr e l Administration de l Environnement Les inventaires peuvent tre consult s a l adresse http unfccc int national_reports ann
374. lement grand ducal en date du 4 juillet 2007 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 154 ha et appartient principalement la commune de Schengen ainsi qu l Etat La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de qui tude ainsi qu une partie dite r serve dirig e La partie r serve foresti re int grale comporte surtout d anciens peuplements qui appartiennent la commune Dans cette zone aucune exploitation foresti re ne pourra plus avoir lieu l exception de la conversion de r sineux en feuillus pendant une p riode transitoire La zone de qui tude se trouve l int rieur de la zone r serve foresti re int grale et a t d limit e dans le but de pr server des esp ces de la faune et de la flore qui sont particuli rement menac es et qui n cessitent des zones de repos sp ciales La r serve dirig e comprend des propri t s qui appartiennent aussi bien des propri taires priv s qu la commune et l Etat Ainsi le propri taire priv garde le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e Cette partie a pour fonction de constituer une zone tampon autour de la r serve foresti re int grale En ce qui concerne l accueil du public des panneaux d information ont t install s aux entr es secondaires de la Gr
375. lement par les pr pos s forestiers r gionalement comp tents en collaboration avec les ouvriers forestiers En outre le transport journalier des chantillons vers le laboratoire de m decine v t rinaire est assur par l Administration des Eaux et For ts Ci apr s le nombre de sangliers chantillonn s et indemnises depuis 1999 Ann e budg taire 1999 2001 2002 2003 2005 2006 2007 Nombre de sangliers indemnis s 2 050 3 800 3 100 2 400 2 025 1350 293 3 5 2 Plan de chasse et marquage du gibier La base l gale pour l tablissement des plans de chasse aux esp ces cerf et chevreuil et le marquage du grand gibier est constitu e par le r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 3 5 2 1 Historique et volution de la r glementation e 1983 Introduction du plan de chasse pour l esp ce mouflon maxima e 1989 G n ralisation du plan de chasse introduction d un plan de chasse avec maxima pour les esp ces cerf m le et femelle chevreuil sans distinction de sexe et mouflon m le et femelle e 1997 Abolition du plan de chasse pour l esp ce mouflon e 2006 Diversification du plan de chasse pour l esp ce cerf par l introduction d une cat gorie suppl mentaire cerf faon 3 5 2 2 Nouvelles lignes directrices pour la chasse au cerf L introduction du nouveau dispositif suppl mentaire pour cerf faon c t des dispositifs existants CM pour cerfs m les coiff
376. les mesures de pr caution pr vention de la contamination mesures visant limiter ou att nuer l imperm abilisation des sols recensement des zones expos es un risque d rosion de diminution des teneurs en mati res organiques de tassement de salinisation et de glissements de terrains recensement des sites contamin s programme de mesures strat gie d assainissement nationale sensibilisation communication et change d informations DE FR AT et UK n ont pas t en mesure d accepter le texte de compromis en faisant tat d arguments li s la subsidiarit la proportionnalit le better regulation et la bureaucratie Dans ce contexte ces d l gations ont soulev les probl mes inh rents la proposition notamment pour ce qui est de l approche syst matique pr vue et des co ts aff rents En particulier elles ont font part de leurs pr occupations li es essentiellement la prise en compte des sp cificit s nationales et des mesures d j r alis es ou en cours de r alisation en mati re d inventaire d assainissement et de r habilitation 25 1 6 Agrements d livr s dans le domaine de l environnement humain et naturel Le relev des personnes physiques et morales titulaires d un agr ment au titre de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tud
377. les 2007 1 20000 Zones Habitats 2007 1 20000 Zones Oiseaux 2007 1 20000 Parcs naturels Occupation biophysique du sol OBS 1999 1 20000 Corine Landcover 2000 1 100000 Limites administratives Limites des triages forestiers Une nouvelle couche d information concernant la g ologie a t int gr e au syst me en 2007 Les d veloppements concernant le service WMS Web Map Service contenant les zones de protection d int r t national et communautaire ont t poursuivis en 2007 Ce service web respecte les sp cifications Open GIS de Open Geospatial Consortium et pourra l avenir tre utilis par d autres minist res et administrations 16 Le service WMS NATURA 2000 a pu tre int gr dans le syst me de l e Cadastre mis en production en d cembre 2007 par l Administration du Cadastre et de la Topographie Un prototype d int gration des donn es du parcellaire cadastral num rique PCN a pu tre r alis L integration de nouvelles orthophotos dont le survol a eu lieu en automne 2007 est pr vue pour d but 2008 Les nouvelles fonctionnalit s et les nouvelles donn es du syst me SIGENV ont t pr sent es aux pr pos s forestiers de l Administration des Eaux amp For ts lors de trois sessions de formations en 2007 1 4 2 Projet Site Internet Portail de l Environnement Le nombre de visiteurs du portail de l environnement a encore augment en 2007 par rapport aux an
378. les sp cifications impos es par les destinataires e la surveillance du respect des conditions d exploitation dont notamment les crit res d missions impos s par les autorisations d exploitation de l entrep t En 2007 les analyses suivantes ont t effectu es e analyses de peintures 53 e analyses de solvants 618 e analyses d huiles usag es 1 171 e analyses d acides de bases et de produits photochimiques 82 e analyses de plastiques et de mousses en polyur thanne 198 eanalyses de produits non identifi s 41 eanalyses de gaz sp ciaux 162 eanalyses de l air ambiant de l entrep t 8 eanalyses de la tour de traitement des missions atmosph riques 24 eanalyses du tri de produits chimiques 4 210 econtr le de la radioactivit des d chets 7 940 eTotal des analyses 14 507 Dans ce m me ordre d id es une porte ouverte a t organis e en date du 22 et 23 septembre 2007 dans le cadre du 15 anniversaire de la SuperDrecksK scht Dr Betriber A cette occasion 520 personnes ont visit l entrep t En 2006 la SuperDrecksK amp scht avait lanc un concours artistique destin aux coles Ce concours a pour but de montrer aux enfants et aux Jeunes que les d chets ont une valeur et qu ils repr sentent une source pr cieuse de mati res secondaires Les l ves avaient pour t che de fabriquer des objets d art partir de d chets d quipements lectriques et lectroniques Les enf
379. lissements class s de la classe 4 mais de la classe 3B voire de la classe 1 Les exploitants ont t invit s par crit introduire un dossier de demande d autorisation conforme la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 2 5 7 2 Etablissements soumis autorisation en vertu de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles et de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s D une part maints tablissements doivent tre autoris s par le Ministre de l Environnement en vertu de la loi pr cit e de 2004 D autre part il n est pas rare que les m mes tablissements sont galement soumis autorisation du Ministre de l Environnement en vertu de la loi pr cit e de 1999 D une part la loi de 2004 sur la protection de la nature et des ressources naturelles concerne des crit res tels que l implantation des immeubles leur architecture des aspects visuels conservation du paysage tandis que d autre part la loi de 1999 sur les tablissements class s concerne les crit res de l exploitation de l tablissement et la protection de l environnement humain et naturel qui en r sulte telle que les eaux us es l air odeurs le bruit les d chets la faune et la flore Sans vouloir mettre en chec le principe suivant lequel chaque autorit administrative intervenant en vue de l autorisation d un tablissement statue dans le cadr
380. litiques et en largissant le d bat jusqu l ensemble de la soci t civile 1 1 2 Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal Les communes sont des acteurs privil gi s d une politique nationale vers un d veloppement durable C est pourquoi le Minist re de l Environnement a encourag financi rement les actions locales et r gionales programm es en vue de d velopper le potentiel des communes comme instruments du d veloppement durable Les projets suivants ont ainsi b n fici d une aide financi re en 2007 total des aides allou es 185 000 e Cadastre des biotopes prot g s SICONA Ouest SICONA Centre SIAS Naturpark Uewesauer Tr ntengerdall A C Waldbredimus Nature for people SICONA Obst Bongertenb rse SIAS Mesures de conservation du r le des gen ts Crex crex et de la perdrix Perdrix perdrix SICONA Ouest e Naturpark Erlebnisprogramm Our Naturpark Erlebnisplatz Langen Pesch A C Mertzig Spuer deng Energie A C Sanem Komm spuer mat Syndicat intercommunal de R idener Kanton Energie sparen l sst auch sie nicht kalt A C Petange Campagne en mati re d conomie d nergie A C Rumelange Campagne en mati re d conomie d nergie A C Remich 1 1 3 Information et sensibilisation du public La pr servation de l environnement concerne chaque citoyen Afin de faire progresser l engagement de chacun l Etat se doit de rendre accessible au
381. lles tr s vari es ainsi que par le fait que le site propos comble un d ficit jusqu present de la repr sentation des for ts correspondant cette caract risation stationnelle dans le secteur cologique de la Moselle Par ailleurs l association phytosociologique que l on trouve sur 95 de la surface d limit e est celle du Melico Fagetum caricetosum laquelle est assez rare au niveau national tant donn qu elle est uniquement stationn e sur les sols riches en calcaire La zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 54 54 ha et appartient int gralement une commune En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle une seule partie dite r serve foresti re int grale a t propos e Etat d avancement Le dossier de classement est finalis et se trouve sur le chemin de la proc dure publique depuis le 7 avril 2006 La m me ann e le projet a t pr sent devant le Conseil Sup rieur pour la Protection de la Nature et a t avis favorablement devant le Conseil de Gouvernement Dans le cadre de la proc dure publique l avis du conseil communal de Wellenstein est attendu D Projet de r serve foresti re int grale Schnellert Berdorf Consdorf Description g n rale du projet Le p rim tre d tudes pour le projet recouvre une superficie de 142 02 ha La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr se
382. ls partie triage de Lorentzweiler 208 3 2 8 7 Les dossiers d aides foresti res En 2007 soixante deux nouvelles demandes en subvention ont t introduites aupr s du cantonnement forestier de Mersch En for t priv e 27 dossiers ont t achev s et les travaux forestiers num r s ci apr s ont t subventionn s conversion taillis par vieillissement 56720 ha EE a ha construction chemins forestiers avec aires de stockage En for t soumise au r gime for ts communales et des tablissements publics 28 dossiers ont t achev s et les travaux forestiers num r s ci apr s ont t subventionn s r g n ration naturelle et reboisement 30 3667 ha feuillus r g n ration naturelle et reboisement 0 6500 ha r sineux premi re claircie r sineux premi re claircie feuillus 36 53 construction chemins forestiers avec aires 5000 m de stockage 3 2 8 8 La for t priv e Les activit s subventionn es en for t priv e refl tent que les travaux forestiers sont peu fr quents sur une superficie consid rable d environ 8 000 ha sur le territoire du cantonnement forestier de Mersch Cela peut s expliquer galement par le fait que certains travaux ne sont pas subventionn s sur des superficies inf rieures 50 ares A la demande des propri taires forestiers priv s des conseils sont donn s par le service forestier local et par le cantonnement forestier
383. ls pr sentent des sensibilit s particuli res notamment au froid ou la neige collante Pour la plupart de nos essences indig nes la propri t ne pr sente donc pas de contre indication significative li e l altitude Peuplements La for t communale de Lintgen est largement domin e par les peuplements feuillus en particulier domines par le h tre qui occupent 68 de la surface foresti re La ch naie occupe seulement 10 de la superficie bois e Ces peuplements sont duqu s en majeure partie en futaie quienne Les autres feuillus 3 sont constitu s essentiellement de fr ne charme rable et plus rarement de peupliers et bouleaux Les peuplements r sineux recouvrent 19 de la superficie bois e Ils sont repr sent s majoritairement par l pic a suivi du pin sylvestre D autres essences comme le sapin de Vancouver le m l ze ou encore le douglas sont presents l tat plus ou moins dispers M thode de travail La carte d aptitude des stations foresti res dans la for t communale de Lintgen est r alis e au moyen d un document de synth se g o p do climatique le Guide de boisement des stations foresti res au Luxembourg Les relev s p dologiques s effectuent par sondages la tari re p dologique r partis suivant les unit s topographiques ou parall lement aux lignes de pente afin d identifier un sous secteur climatique sur toute sa longueur C
384. lt divers panneaux Expo Suisse Servior Howald d cembre 2007 258 3 3 11 Le suivi de l tat phytosanitaire des for ts 3 3 11 1 L inventaire phytosanitaire national Le r seau d observation national qui fonctionne depuis 1984 couvre syst matiquement l int gralit du territoire national Il est constitu de 51 placettes localis es chaque point de croisement de coordonn es Gau Krueger divisibles par 4 si ce point tombe dans une surface bois e Chaque placette est constitu e de 24 arbres qui sont marqu s au spray La disposition du r seau national ainsi que sa gestion sont conformes aux recommandations m thodologiques du Manuel du Programme de Coop ration Internationale sur l valuation et de la surveillance des effets de la pollution atmosph rique sur les for ts PIC For ts de la Commission Economique pour l Europe des Nations Unies UN ECE Cet inventaire statistique dans le r seau national est bas sur l observation de l tat des cimes l tat de vitalit des arbres chantillons est estim par le biais d une estimation de la perte de feuilles et de la d coloration anormale des feuilles Le r seau 4 x 4 km compte 1224 arbres chantillons Puisqu ils ont t num rot s ce sont en principe toujours les m mes arbres qui sont inventori s A c t de la perte de feuilles et de la coloration anormale des crit res suppl mentaires comme la pr sence de branches s ches et les attaqu
385. luer la situation en vue de l am liorer e PLOMB Le r sum de l valuation de la situation des niveaux en plomb par la m thode des l gumes feuilles lav s durant la p riode d cembre 2005 septembre 2007 en appliquant le crit re sanitaire de comestibilit de l gumes est visualis dans la figure ci dessous La teneur maximale en plomb ne pas d passer 0 3 ug Pb gramme de poids frais est significativement d pass e deux sites tr s proches des sites sid rurgiques en activit savoir plus exactement Esch Alzette R merich An Elsebrech ainsi que Schifflange Cit um Benn Cit Emile Mayrisch Par rapport aux campagnes d analyse pr c dentes une d t rioration forte et inhabituelle s est d clar e Les d passements de la valeur limite de la teneur en plomb dans les l gumes feuilles expos s sont de 100 300 plus lev e que le seuil tol rable confirmant les observations du r seau Bergerhoff A noter le caract re exceptionnel d une forte contamination en plomb des l gumes expos s au printemps par rapport toutes les autres campagnes printani res g n ralement exempts de pollution La campagne de plants expos s suivante c leri expos du 18 juillet au 19 septembre 2007 montre de nouveau une situation normale R seau de biosurveillance Teneurs en PLOMB par bioaccumulation dans les l gumes feuilles Contr les aux sites les plus sensibles des d passements de la teneur maximale l
386. m 2 493 10 786 92 Sous total Le 3 280 02 24 240 64 2 997 52 Sous total Le 27 238 16 Tat 30 518 18 205 3 2 7 2 Les ventes de bois Les 3 ventes locales de bois du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest se sont tenues aux dates suivantes e Feuillus 23 5 2007 e Resineux 6 7 2007 et 14 12 2007 D autre part 3 ventes nationales de bois feuillus en provenance de 5 cantonnements forestiers du pays se sont tenues en date du 28 2 2007 21 3 2007 et 18 4 2007 3 2 7 3 Les bo s de chabl s En ce qui concerne les bois de chablis seulement quelques arbres isol s tomb s lors des temp tes survenues sont signaler 3 2 7 4 L tat sanitaire de la for t Jusqu pr sent le cantonnement forestier de Luxembourg Ouest a t pargn par la nouvelle maladie du h tre Par contre la prolif ration du bostryche chez les r sineux est enray e par des interventions locales syst matiques 3 2 7 5 Les r g n rations les plantations les travaux de culture En total 37 619 plants de feuillus et 5 900 plants de r sineux ont t mis dans la terre Les taux de reprise taient de 80 chez les feuillus et galement de 80 chez les r sineux 3 2 7 6 Les p pini res Actuellement aucune p pini re n est exploit e sur le territoire du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest 3 2 7 7 Les travaux d am lioration En 2007 148 89 ha ont subi des travaux de d gagement tandis qu
387. m und Beschreibung dokumentiert s nd Aus den Datenbanken k nnen nach Abschluss der Bestandserfassung passende Datens tze f r die Datenbank des Naturhistorischen Museums abgefragt werden Ergebnisse der Moosuntersuchungen im Naturwaldreservat Laangmuer Moose eignen sich hervorragend als Bioindikatoren da sie aufgrund ihrer einfachen Physiologie viel schneller als andere Organ smen auf Ver nderungen der Umwelt reagieren Daher f llt ihnen auch eine besondere Bedeutung im Hinblick auf die Dokumentation der Dynam k von Wald kosystemen zu Das Raster der Forstlichen Grundaufnahme FGA siehe Kapitel Monitoring des habitats forestiers diente als Grundlage f r die Mooskartierung und bietet den gro en Vorteil einer objektiven Reproduzierbarkeit der Untersuchung zu einem sp teren Zeitpunkt 252 Insgesamt wurden die Moose m 240 Teilrastern von einer Fl che von jeweils 10m erfasst Daneben wurden vor allem Felsstandorte genauer auf ihren Moosbewuchs untersucht Insgesamt konnten m Naturwaldreservat Laangmuer 130 Moosarten deutlich mehr als erwartet nachgewiesen werden darunter viele Seltenheiten die in Luxemburg vor allem aus dem Gebiet der Kleinen Luxemburger Schweiz bekannt waren Brachythecium reflexum ist eine f r das Land Luxemburg neue montane Moosart die auch in den Nachbarregionen Luxemburg extrem selten ist Unter den zehn h ufigsten Moosen befinden sich drei typ sche Kennarten bodensaurer Buc
388. mbre 2007 il a t constat que les teneurs analys es restent toujours sup rieures aux valeurs d assainissement D s lors l assainissement par bio venting du terrain doit se poursuivre 167 2 7 17 6 Les fr ches de Belval Ouest Le chantier d excavation et d assainissement du premier complexe commercial et administratif est achev Une contamination r siduelle a t mise en vidence du c t de la Rockhall Cette contamination r siduelle ne peut cependant pas tre enlev e tant donn qu une excavation de cette zone pourrait mettre en p ril la stabilit de la Rockhall Le concept global de la gestion de l eau de ruissellement doit donc tre revu en fonction de cette pollution r siduelle Le chantier du deuxi me complexe commercial et administratif est galement achev Les contaminations de cette zone ont t enti rement enlev es L assainissement des structures et le nettoyage de la zone des hauts fourneaux ont t entam Le site qui accueillera l Universit est en cours de pr paration Le d placement du cours d eau Wenschelbach est en cours Les tangs de refroidissement sont en train d tre assainis Dans le futur quartier r sidentiel Belval Nord les travaux d infrastructures sont en cours Cette zone ne contient pas de pollution du sol 2 7 17 7 Le site de la WSA Dudelange et Bettembourg En vue de la cessation d activit s de la WSA et de la reconversi
389. mme op ration d limination 115 Elaboration d une directive relative la protection du sol Un projet de directive concernant la protection du sol est actuellement en discussion au groupe de travail Environnement du Conseil Cette directive concerne deux aspects distincts de la protection du sol savoir celui qui concerne la qualit du sol et sa d gradation et celui qui concerne la contamination du sol En ce qui concerne l aspect de la qualit du sol et de sa d gradation les aspects suivants sont d un int r t particulier l rosion la d gradation de la mati re organique le compactage la salification les glissements de terrains l acidification Pour ces aspects le projet actuel pr voit que les Etats membres doivent assurer un suivi de leur volution et mettre en place des programmes pour emp cher ou r duire ces impacts sur la qualit su sol Dans le domaine de la contamination du sol les Etats membres devront mettre en place un inventaire des sites contamin s Ils devront galement assurer que dans un d lai d termin les sites r pertori s dans cet inventaire sont soumis une op ration d assainissement ou de s curisation Lors de la vente des terrains 1l est pr vu que le vendeur remette de fa on obligatoire l acqu reur un rapport sur l tat du sol Si dans le domaine de l assainissement le principe du pollueur payeur sera d application les Etats membres dev
390. mpl ter le PUE PCPP PUE partie concernant la protection des personnes par les donn es sp cifiques relatives la protection de l environnement Une tude sp cifique sur les rejets de combustion incontr l e en cas de sinistre notamment les particules PM et PM a t labor e En outre des tudes d taill es concernant la contamination du sol et du sous sol par les eaux d extinction et concernant la remise en tat et le nettoyage de l environnement apr s un accident ont t r alis es Des r unions de concertation avec les autres autorit s concern es dont notamment l Administration de la gestion des eaux et l Administration des services de secours sont annonc es Une premi re version du PUE PCPE est attendue pour le premier semestre de l ann e 2008 En ce qui concerne Porocel Catalyst Recovery Rodange la notification est disposition des autorit s comp tentes le rapport de s curit et le plan d urgence interne sont en laboration Consid rant que les produits stock s dans cette entreprise du fait de leur forme physique de leur conditionnement et de l emplacement de leur stockage ne peuvent pr senter un risque d accident majeur les autorit s comp tentes ont accord les d rogations pr vues l article 9 de la directive SEVESO cette entreprise En ce qui concerne Tanklux S A de Mertert tous les documents exig s sont disponibles aupr s des autorit s comp tentes Le plan d u
391. n Production annuelle totale en m Production moyenne l ha m ha Accroissement Accroissement annuel total en m Accroissement moyen l ha m ha La majorit des peuplements forestiers pr sentent un m lange intime de h tre et de ch ne 8 des peuplements sont constitu s de peuplements feuillus en m lange pr sentant souvent une grande diversit d essences Quelques 3 de la surface inventori e sont occup es par des peuplements plus ou moins purs dominance de r sineux tels l pic a ou le douglas Le diagramme des classes d ge pr sente un fort d s quilibre dans les vieux bois En effet plus de 60 des essences pr sentent des ges sup rieurs 140 ans N anmoins on retrouve dans les jeunes peuplements beaucoup de for ts feuillues m lang es qui refl tent la sylviculture effectu e ces derni res d cennies Les pr l vements annuels ont vari les derni res ann es en g n ral entre 500 et 1 000 m an En moyenne sur les 10 derni res ann es le volume annuel pr lev a t de 700 m Ramen la surface de l ancien inventaire 249 ha ce volume correspond une possibilit de 2 8 m ha an Cette possibilit est l g rement en dessous de la production annuelle calcul e environ 4 m ha an de la for t et donc globalement la for t communale a connu une capitalisation N anmoins par une gestion dynamique et par la r g n
392. n e du Hearing Public le service de la Chasse a pr sent la probl matique des diff rents chapitres trait s Comme conclusion des d bats sur la chasse men s par la Chambre des D put s lors du D bat d Orientation du 21 juin 2007 une motion en vue de l laboration d une nouvelle loi sur la chasse a t vot e par la Chambre en s ance pl ni re En vue de la transposition de cette motion dans un avant projet de loi un groupe de travail a t form par le Ministre de l Environnement dont le service de la Chasse fait partie int grante 3 5 8 Rapports avec le public Une attribution importante du service de la chasse est l information et le contact permanent avec le public int ress Ainsi le service est contact r guli rement par des particuliers des associations des bureaux d tudes des organes de la presse des administrations des syndicats de chasse etc afin de fournir des renseignements respectivement en vue d une collaboration Les principales sollicitations sont les suivantes e demandes de renseignements par les bureaux d tudes et les particuliers dans le cadre de l laboration de plans verts d tudes d impact de plans d am nagement r gionaux ou d tudes diverses e demandes d information des organes de la presse e demande de faire des expos s au sein de diff rentes organisations e demandes d organisation et de participation des rallyes nature de journ es de la nature des expositi
393. n es BD Lors de la campagne de mesures du second cycle de l inventaire IFL2 les donn es devront tre transf r es des nombreux portables de terrain vers une BD centrale dont il a t admis qu elle soit h berg e par la FUSAGx Une copie de cette BD sera syst matiquement transmise l administration lors de chaque mise jour Le transfert des donn es issues des nouveaux points de sondages vers la BD centrale se fera en deux tapes 1 Transfert partir de la BD de l encodeur de terrain BD terrain al vers la BD situ e dans l ordinateur du bureau d tudes BD bureau 2 Transfert partir de la BD bureau situ e dans l ordinateur du bureau d tudes vers la BD centrale FUSAGx 238 Lorsque la ou les quipe s de terrain retournent au bureau apr s une ou plusieurs journ es sur le terrain le transfert des nouvelles donn es contenues dans le ou les encodeur s de terrain vers la BD bureau peut se faire de plusieurs mani res e en copiant la BD qui se trouve dans l encodeur Panasonic sur un disque externe cl USB disquette CD ROM et en connectant ce disque l ordinateur dans lequel se trouve la BD de destination e ou en connectant l encodeur portable directement au r seau 3 3 5 7 L accompagnement scientifique et technique L aide scientifique et technique visant r soudre des probl mes n cessitant une tr s bonne connaissance de la m thodologi
394. n es pr c dentes En 2007 la moyenne journali re de fr quentation du site tait de 1217 visiteurs Nombre total de visiteurs en 2006 321 136 Nombre total de visiteurs en 2007 444 486 Nombre de pages consult es en 2006 1 376 881 Nombre de pages consult es en 2007 1 706 148 Evolution de l utilisation du portail emwelt lu 800000 600000 400000 200000 1 4 2 1 Statistiques de fr quentation du site pour l ann e 2007 visiteurs consult es fichiers Janvier 2007 F vrier 2007 Mars 2007 Avril 2007 Mai 2007 Juin 2007 Juillet 2007 Ao t 2007 17 Outre les statistiques de fr quentation du site les autres indicateurs permettant de constater la popularit du site sont ceux concernant les fonctionnalit s de feedback et de contact offertes par le site Le feedback re u pour le site reste cette ann e encore globalement positif Nous pouvons galement constater une tr s nette augmentation des demandes provenant des citoyens par le biais du portail de l Environnement en 2007 Plus de 600 demandes ont ainsi t trait es dans ce cadre en 2007 1 4 3 Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature Au cours de l ann e 2007 l application servant au traitement des dossiers introduits dans le cadre de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles a subi quelques modifications dans le cadre de la maintenance corrective et de l
395. n coop ration avec le d partement de l Environnement a organis un nouveau cycle de formation en mati re de mise en valeur des sources d nergies renouvelables aboutissant l obtention du label Energie fir d Zukunft L ordre des Architectes et des Ing nieurs conseils a continu son programme de formation Bauen und Energie en troite collaboration avec l Oekofonds ainsi que Agence de l Energie le CRTE le CRP Henri Tudor UIST le GIE SITEC 1 1 6 Protection de la nature et des ressources naturelles 1 1 6 1 Elaboration du Plan national concernant la protection de la nature Conform ment l article 51 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles le Ministre a finalis en 2007 en collaboration avec d autres administrations nationales les communes les syndicats de communes et les milieux concern s un Plan national concernant la protection de la nature Le plan national concernant la protection de la nature a t adopt par le Gouvernement en conseil le 11 mai 2007 Le plan national doit guider l orientation politique en mati re de protection de la nature pour la p riode 2007 2011 Il peut tre consult sur le site internet du Minist re de l Environnement 1 1 6 2 Adh sion du Minist re de l Environnement l initiative Countdown 2010 Dans le contexte international le plan national concernant la protection de la nature con
396. n d un rapport final distinct pour chaque installation Les rapports en question ont t transmis aux agriculteurs concern s L analyse d montre un tr s haut degr de conformit des tablissements analys s par rapport aux dispositions du document Integrated Pollution Prevention and Control IPPC Reference Document on Best Available Techniques for Intensive Rearing of Poultry and Pigs BREF publi par la Commission europ enne Seulement une ferme d passe pour un seul polluant le seuil d mission prescrit au r glement europ en 166 2006 PRTR pr cit Ce polluant est soumis notification aux instances europ ennes 2 5 8 Unit Traitement de d chets 2 5 8 1 Activit s principales de l unit Suite l entr e en vigueur d un nouvel organigramme de l Administration de l Environnement en d but de l ann e 2007 deux fonctionnaires ont t d plac s une nouvelle unit celle du Traitement de d chets Les types de dossiers entrant dans les comp tences de cette unit sont les suivants e Installations de traitement de d chets e Decharges de d chets IPPC EIE stockage interm diaire du type professionnel de d chets d p ts de mati res min rales et v g tales e Installations d limination ou de valorisation de d chets dangereux IPPC installations de traitement professionnel de d chets parcs conteneurs pour collecte s lective de d chets installations de recyclage et de r cup ratio
397. n de l Environnement des cours de formation en vue de former des contr leurs qualifi s En 2007 un cours en langue fran aise a t organis 105 2 6 9 Contr le de fuites dans des quipements frigorifiques et climatiques Les fuites de gaz du type chlorofluorocarbones CFC ou hydrochlorofluorocarbones HCFC ont un effet d appauvrissement de la couche d ozone stratosph rique Ces gaz ont en outre un impact sur l effet de serre Les hydrofluorocarbones HFC d velopp es et commercialis es depuis les ann es 1990 afin de remplacer les CFC et HCFC n ont pas d effet destructeur sur la couche d ozone stratosph rique N anmoins ils ont galement un impact sur l effet de serre effet qui est toutefois plus faible que celui des CFC et HCFC En juin 2000 le Parlement Europ en et le Conseil ont contraint les Etats membres de l Union europ enne par le r glement CE N 2037 2000 prendre toute les mesures pr ventives r alisables afin de r duire au minimum voire m me liminer les fuites de CFC et HCFC en particulier sur les quipements fixes ayant une charge de fluide r frig rant sup rieur 3 kg Un contr le annuel de ces installations doit tre tabli par des personnes ayant une qualification sp ciale Par ailleurs depuis mai 2006 le r glement europ en CE N 842 2006 relatif certains gaz effet de serre fluor s a pour objet la r duction des missions de HFC par l emp chement et la
398. n de la directive en droit luxembourgeois est en cours 71 2 6 La Division Air Bruit 2 6 1 R visions de certaines r glementations europ ennes en mati re de qualit de Pair La strat gie en mati re de pollution atmosph rique est continu e dans le cadre du sixi me programme communautaire d action pour l environnement 6 me PAE Une partie de la strat gie sera mise en uvre au moyen d une r vision de la l gislation actuelle sur la qualit de l air ambiant dont les deux principaux l ments sont e simplification des dispositions existantes et fusion des 5 directives en une directive unique e introduction nouvelle de normes de qualit de lair ambiant pour les particules PM2 5 La Commission a pr sent une proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil sur la qualit de lair ambiant et un air pur en Europe Cette directive fait suite l initiative Meilleure r glementation mise en uvre par la Commission en juin 2002 L objectif de cette directive est de r viser cinq textes l gislatifs sur la qualit de lair et de les fusionner en un acte juridique unique Ainsi une nouvelle directive g n rale communautaire relative la qualit de lair sera cr e La proposition combine les dispositions de e la directive cadre 1996 62 CE Evaluation et gestion de la qualit de air ambiant e la directive 1999 30 CE du Conseil Dioxyde de soufre SO2 monoxyde d azote NO dioxyde d azote NO o
399. n entre les diff rents gestionnaires r gionaux de la d marche de certification d une part et de l ensemble des partenaires concern s par le projet L action 1 2 qui vise mobiliser les propri taires forestiers publics et priv s et gestionnaires pour provoquer leur adh sion la d marche d ensemble dans le but d augmenter la proportion de for ts g r es durablement L action 1 3 qui propose de concevoir r aliser et mettre disposition des entreprises de l exploitation foresti re et de la premi re transformation du bois des outils logistiques adapt s et actualis s leur permettant de mettre en uvre la cha ne de contr le et d offrir au long de la cha ne de transformation du bois des produits certifi s L action 2 1 qui envisage de fournir aux sylviculteurs les outils pratiques leur permettant de favoriser concr tement la biodiversit foresti re dans les peuplements qu ils sont charg s de g rer et de cadrer leur action d am nagement et leurs op rations de sylviculteur dans les conditions nouvelles cr es par les chablis sur des bases techniques complexes pr cis es apr s examen de situations vraiment diverses L action 3 1 qui consiste en l organisation d une information continue des m dias r gionaux sur la d marche de certification foresti re et la r alisation de visites d entreprises de rencontres de t moignages afin de relater l avancement de la d mar
400. n nationale fi i IA DEC Te onnes F J 5 A Administration de la emie gestion de l eau SR 1 Lu Senf H aboratoires des dela gestion de l ea HU de l environnement wir LM 4 PR Lac N at e entr e intrastfuoture commune eg parking au sous sol 30 2 2 Le Service Juridique La loi du 12 mai 1999 modifiant 1 la loi modifi e du 27 novembre 1980 ayant pour objet la cr ation d une Administration de l Environnement 2 la loi modifi e du 4 avril 1974 portant r organisation de l Inspection du travail et des mines a ajout au personnel de la carri re sup rieure de l Administration de l Environnement des attach s de direction Sur base de la pr dite loi a t recrut un juriste en juin 2000 Dans l organisation interne de l administration a t cr un service juridique qui a pour t che principale de seconder la direction et les diff rentes divisions de l administration en mati re juridique 2 2 1 Principales activit s du service juridique 2 2 1 1 Participation l laboration de textes l gislatifs et r glementaires Le service juridique a t impliqu dans divers travaux de nature et d intensit variables en vue de la transposition de certaines directives europ ennes Sont mentionner plus particuli rement dans ce contexte e la directive 2004 35 CE du Parlement europ en et du Conseil du 21 avril 2004 sur la responsabilit environnementale en ce qu
401. n utilis es des fins professionnelles installations de compostage broyages concassage y compris les installations mobiles de concassage e Travaux d assainissement et d enl vement d amiante fabrication traitement transformation et utilisation de l amiante ou de produits contenant de l amiante PPC EIE Scories laitiers Assainissements d anciennes d charges R cup ration et destruction de substances explosives Forages captages g othermie 51 2 5 8 2 Les travaux d assainissement d amiante Environ 110 dossiers de demande de classe 3 ont t introduits au cours de l ann e 2007 en relation avec les travaux de d samiantage Tous les dossiers ont t trait s et 131 dossiers ont t cl tur s pendant cette p riode 2 5 8 3 Les forages en profondeur approvisionnement en eau et g othermie Environ 69 dossiers de demande de la classe 3 et de la classe 1 ont t introduits au cours de l ann e 2007 en relation avec les forages en profondeur Tous les dossiers ont t trait s et 55 dossiers ont t cl tur s pendant cette p riode 2 5 8 4 Les captages de sources Les captages en question sont num r s au r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 sous le num ro de nomenclature 136A Eaux souterraines voir galement le N 170 1 Dispositifs de captage ou de recharge artificielle des eaux souterraines B2 2 Dispositifs de captage ou de recharge artificielle des eaux souterra
402. n werden Arten gefangen deren Aktivit tsmaxima sich mit den Untersuchungszeiten eines einmonatigen Besuchsturnus f r manuelle Aufsammlungen nicht zur Deckung bringen lassen Hierunter fallen Arten mit besonders kurzer Erscheinungszeit aufgrund kurzer Lebensdauer der Imagines oder w rmeabh ngiger Aktivit t sowie Arten mit n chtlicher Lebensweise Die Entwicklungs und Lebensst tten vieler Insekten sind in Wald kosystemen diskontinuierlich gestreut ihre Bewohner m ssen daher mehr oder weniger regelm ig fliegen Daher sind die angewandten Techniken berwiegend auf die Erfassung fliegender Totholzk fer abgestellt wobei gezielt Anlockungseffekte genutzt werden Je Naturwaldreservat wurden f nf besonders totholzreiche Standorte ausgew hlt die nach folgendem Schema untersucht wurden Klopfschirmproben Gesiebeproben Leimringe Lufteklektor Die Exposition der Fallen erfolgte angesichts der berdurchschnittlich warmen Witterung im Fr hjahr 2007 bereits Mitte April so dass dem Beginn der Aktivit tszeit der Totholzk fer Rechnung getragen wurde Aufgrund der hohen Temperaturen waren m April bereits zahlreiche K fer akt v so dass auch bereits zu diesem Zeitpunkt e n erstes Totholzgesiebe genommen werden konnte Zwar war der Sommer berdurchschnittlich niederschlagsreich und warm aber dennoch wurde auf die letzte Probenahme bei den Gesieben im August verzichtet und diese w hrend einer kurzen W rmeperiode mit hohem Pilzwachstum
403. nature labore actuellement les brochures suivantes brochure du sentier Mensdorf disponible d pliants des centres d accueil Ellergronn et A Wiewesch disponibles brochure du sentier Schifflange en cours de r alisation brochure du sentier au Conzefenn en cours de r alisation brochure du sentier au Grundhof en cours de r alisation brochure du sentier Naturpur en cours de r alisation brochure du sentier au Schwaarzenhaff Jongeb sch en cours de r alisation brochure du sentier Mamerdall Gousselerbierg Schoenfels en cours de r alisation brochure du sentier Natura2000 au Ellergronn en cours de r alisation d pliant du sentier Natura2000 au Ellergronn en cours de r alisation brochure sur les parkings cologiques disponible brochure habitats humides disponible brochure sur le blaireau disponible brochure espaces verts le long des routes en cours de r alisation brochure du sentier Wecker Manternach en cours de r alisation brochure du sentier Schoenfels Reckange Hunnebour en cours de r alisation brochure du sentier Eischtal en cours de r alisation Autres publications Schley L Wernicke S amp Schaul M 2007 Dachse in Luxemburg Administration des Eaux et For ts Luxembourg 32 pp Schley L 2007 La situation de Natura 2000 et de la faune sauvage au Grand Duch de Luxembourg Actes du 6 me Colloque International de Saint Hubert 11 ao t
404. nature De plus 30 classes scolaires se sont fait expliquer l cosyst me de la RN Haff R imech Le pr pos forestier du triage de Schengen a accompagn les classes du pr scolaire de la r gion Ceux ci ont effectu des visites hebdomadaires en for t durant les mois de mars juillet Les l ves ont pu profiter de l exp rience du pr pos tout en participant activement la r alisation de travaux forestiers En tout une cinquantaine de visites guid es au profit de groupes d adultes ont t organis es travers la nature les for ts et les r serves naturelles Les pr pos s forestiers ont organis sur base du b n volat de la population le ramassage d ordures d pos es clandestinement dans la nature Ces detritus d origines diverses ont t ramass s en zone verte ainsi que le long des routes rues et chemins en g n ral A ces fins des quipes de travail ont d tre compos es Celles c1 sont form es de citoyens de la commune des membres des diff rentes associations du syndicat d initiative avec la participation des ouvriers forestiers et communaux Lors de ventes locales Lietsch les pr pos s ont vendu du bois de chauffage exploit dans les for ts communales de Betzdorf Bous Burmerange Manternach Mertert Mondorf Remich Schengen Stadtbredimus Wellenstein et Wormeldange 3 2 5 13 Divers La proc dure d information et de classement des for ts Hierberb sch Mompach Fi
405. nce de h traies du Melico Fagetum et Luzulo Fagetum qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure et du Mullerthal Par ailleurs 1l s agit d un massif tr s int ressant tant donn que cette partie de la for t est depuis longtemps g r e d une fa on tr s extensive voire proche de la nature Ainsi la sp cificit du site Schnellert r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte du bois mort mois dans diff rentes phases de d composition A plusieurs endroits une r g n ration naturelle s est install e cr ant des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le tout fait que la zone d limit e comporte d s pr sent certains endroits une image de for t vierge 245 La zone d limit e a d ailleurs d j fait l objet de nombreuses tudes notamment les recherches interdisciplinaires du Mus e d Histoire Naturelle qui ont t men es pendant une p riode de trois ans Cette tude pr conise entre autre une extr me prudence quant l exploitation foresti re du Schnellert Le dossier de classement pour la r serve naturelle foresti re de Berdorf Consdorf Echternach RN RF 05 lequel a t labor pour le compte de Minist re de l Environnement va m me plus loin en recommandant que le site soit int gralement g r
406. ncerne les chantillons de sol 36 sites ont t r examin s en novembre 2006 parmi les 69 sites analys s en 1993 1994 La plupart de ces chantillons ont t pris proximit directe des sources d missions potentielles Les r sultats provisoires des teneurs en dioxines et furannes montrent que les valeurs moyennes ne diff rent que peu 3 71 ng en 1993 1994 et 3 83 ng en 2006 et ceci bien que les sites les moins pollu s n ont plus t analys s en 2006 Ceci est une indication que le niveau de pollution a baiss entre les deux p riodes Nombre d chantillons par classe de pollution ng I TEQ kg mati re s che Ing I TEQ kg mati re s che d chantillons lt 5l gt 5l gt 10 gt 40 Valeur Valeur Valeur r minimale maximale moyenne analys s For t 5 2 27 1 307 1347 630 Espace Ve 7 6 11 f 118 906 284 P turage Prairie 3 41 17 100 661 2 66 Jardin 8 71 7 120 501 344 Labour J 7 oi 153 711 331 Vignoble J 1 II 170 170 170 Friche 3 i2 215 994 696 Toal 36 27 8 1 0 100 1347 3 83 Les mesures des teneurs en POP dans l air ambiant sont r alis es lors de quatre campagnes de mesures pendant chaque fois 2 semaines aux m mes sites qu en 1993 1994 savoir Luxembourg Bonnevoie Esch Alzette Dippach et Vianden Les trois premi res campagnes de mesures ont eu lieu en mai septembre et d cembre 2007 La quatri me campagne de mesure es
407. nd s les avis de 18 autres administrations luxembourgeoises et allemandes concern es en mati re d environnement ceci sur base d un dossier dit scoping fourni par le ma tre d ouvrage Fin 2007 l Administration de l Environnement a rendu son avis concernant le contenu de l valuation des incidences sur l environnement dont la r alisation sera entam e de suite en 2008 2 5 13 Service des plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s Conform ment l article 21 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets les tablissements artisanaux commerciaux et industriels doivent tablir un plan de pr vention et de gestion des d chets ppgd lors de l introduction d un dossier de demande d autorisation en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Le Service des Plans de Pr vention et de Gestion des D chets service des ppgd assure la v rification et le suivi de ces dossiers Notamment les trois tapes suivantes sont mises en uvre e V rification du premier plan de pr vention et de gestion des d chets tabli par l tablissement e Demande d un rapport annuel sur les quantit s de d chets produits tablissement de la classe 1 e R vision trisannuelle du plan de pr vention et de gestion des d chets Les mesures sont le cas ch ant accompagn es par des visites des lieux 65 2 5 13 1 La base
408. ndes d autorisation ont t trait es par le service CN Sud Cantonnement forestier Nombre de dossiers Luxembourg Ouest Luxembourg Est TOTAL 283 Demandes de subvention pour travaux de cr ation et de restauration de biotopes 113 demandes de subsides dont 111 demandes de groupements agissant dans l environnement et 2 demandes de particuliers ont t trait es en 2007 par notre service Au total 394 701 97 ont t pay s Cr ation et restauration de zones humides Entretien d une mardelle au lieu dit Schlammfeld Betzdorf Am nagement des rives du Korelbaach Wintrange Agrandissement d une mardelle Rotreiser for t communale de Bettembourg et entretien d une digue im Bassin dans la for t domaniale de Bettembourg Entretien des tangs au Haff R imech Remerschen Entretien des plantations le long des ruisseaux du triage de Wormeldange Fauchage et d gagement des abords de l Alzette et du Drosbach Hesperange Travaux de gestion dans les r serves naturelles Afin de d terminer le m canisme id al pour d broussailler la r serve Bofferdanger Muer quatre parcelles d un are sont entretenues suivant diff rentes mani res de toutes v g tations R am nagement d un front de taille de 250 m tres de longueur et enl vement d anciens d blais d charg s le long de ce front de taille Dudelange Cr ation de 6 plans d eau en vue de la
409. ne classique a t constat en ao t 2003 Depuis cette date toutes les analyses virologiques pour la peste porcine classique ont t n gatives Conform ment la l gislation europ enne en la mati re un contr le syst matique des sangliers a d tre maintenu jusqu deux ans apr s le dernier cas virologique constat A partir du 15 ao t 2005 la zone de surveillance a pu tre lev e Cependant vu les exigences du O LE Office International des pizooties un syst me all g de contr le reste en place jusqu au 15 ao t 2007 En effet vu la mise en place de vaccinations des sangliers contre la peste porcine en 2003 et 2004 il faut qu il soit mis en vidence que les sangliers nes apr s la derni re vaccination en automne 2004 sont tous s ron gatifs pour pouvoir assumer que le virus est d finitivement limin de la population des sangliers Le contr le syst matique avec prise d chantillons a par cons quent t limit dans une premi re phase aux sangliers d un poids inf rieur 50 kg non vid et dans une deuxi me phase partir du 15 ao t 2006 aux sangliers d un poids inf rieur 35 kg non vid Une indemnit de 100 Euro est pay e pour chaque sanglier chantillonn Collecte des chantillons d analyse et paiement de primes La collecte des chantillons d analyse est r alis e dans neuf centres de collecte g r s par l Administration des Eaux et For ts plus sp cia
410. ne de Schengen Entretien et fauchage du sentier p dagogique P llembierg Ahn Organisation de 50 visites guid es dans la r serve naturelle Haff R imech Entretien des bancs de repos dans la r serve naturelle Haff Reimech Surveillance de la grippe aviaire dans la r serve naturelle Haff Reimech Baguage des oiseaux de passage dans la r serve naturelle Haff R imech Contr le des chantiers d extraction de sable avec am nagement cologique des berges apr s exploitation Elimination des r manents sur 9 ha dans la r serve naturelle Pr nzebierg D iwelskopp Mompach installation de panneaux indiquant le chemin du sentier didactique Mise en place et enl vement des cl tures passages canadiens et portails temporaires dans la r serve naturelle Sonnebierg 284 Ex cution des mesures pr vues dans le plan de gestion de la r serve naturelle Pr nzebierg Entretien du sentier didactique traversant la r serve naturelle Birelergonn avec r fection du sentier fauchage des bords et nettoyage r paration des panneaux ducatifs D gagement des alentours du centre d accueil Cockerill dans la r serve naturelle Ellergronn Esch Alzette Taille et plantation d arbres au verger Altenhoven Bettembourg Installation de protections individuelles pour arbres fruitiers Haard Giele Botter L iffraechen Projet p turage extensif da
411. nettoyage et contr le de 100 nichoirs baguage de 7 jeunes L action men e depuis 5 ans porte manifestement ses fruits puisque en 2001 seul un couple de chouette nichait dans la r gion alors qu en 2007 4 nich es ont t inventori es Cincle plongeur nettoyage et contr le de 50 nichoirs baguage de 49 jeunes et de 1 adulte Cigogne noire assistance dans le programme Cigognes sans fronti res Chouette effraie nettoyage et contr le de 5 nichoirs baguage de 10 jeunes 292 3 5 Le Service de la Chasse et de la P che section chasse 3 5 1 La lutte contre la peste porcine 3 5 1 1 Historique La zone de surveillance Une premi re zone de surveillance pour la peste porcine classique aupr s des sangliers a t install e le 10 octobre 1999 couvrant le nord est du pays apr s qu un cas de peste porcine avait t confirm chez un sanglier quelques kilom tres de la fronti re luxembourgeoise en Rh nanie Palatinat Par la suite la zone de surveillance a t largie plusieurs fois pour couvrir enfin tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg partir du 13 juin 2002 Les cas virologiquement positifs Relev des cas de peste porcine constat s chez le sanglier au Grand Duch de Luxembourg Ann e 2004 Ann e 2005 Ann e 2006 Ann e 2007 3 5 1 2 La situation actuelle Contr le de la population des sangliers Le dernier cas de peste porci
412. nformations techniques et financi res L tat a marqu son accord de principe pour installer une chaudi re copeaux de bois de 1 LATEST bu Br ipi ra T A Erike RAN KS KE gt ie been F ei nt 3000000 2500000 2000000 1500000 1000000 Heizoleinsparung in Liter 900000 me HS Verbrauch in Srm Heiz leinsparung in Liter Heiz l und CO2 Einsparung megawatt dans un lyc e technique 184 9000 8000 7000 6000 5000 4000 3000 2000 1000 CO2 Einssparung in Tonnen Gemen Heiz leinsparung in Liter 0 CO2 Einsparung in Tonnen A ce jour gr ce l utilisation du bois comme source d nergie renouvelable les 16 chaudi res en service au Luxembourg produisent une puissance de 5 062 kW en utilisant approximativement 5 567 m3 de bois Le bois utilis des fins nerg tiques rev te un caract re industriel c est dire qu il provient enti rement du bois de tr turation feuillu qui est actuellement transform en majeure partie en cellulose et en papier Aucun arbre suppl mentaire n a t abattu jusqu ce jour des fins nerg tiques et le potentiel nerg tique se trouvant au niveau du bois de trituration n est de loin pas puis Le bois utilis substitue 1 252 530 litres de fuel et r duit ainsi l mission de CO du Grand Duch de Luxembourg d environ 3 989 3 tonnes
413. nions ou organes internationaux suivants 1 Commission europ enne DG ENV Climate Change Committee Working Groups I Annual Inventories et II Policies and Measures Projections 2 Commission europ enne Eurostat DIMESA Director s Meeting of Environmental Statistics and Accounts Groupes de Travail sur les Comptes de l Environnement et mati res connexes Groupe de Travail sur les IDD 3 Agence Europ enne pour l Environnement r unions PFN EIONET voir ci dessus atelier Energie et Environnement Conseil d administration 4 OCDE Comit des Politiques d Environnement EPOC et Groupe de Travail sur l Information et les Perspectives environnementales WGEIO 5 OCDE UNECE Eurostat Joint Working Group on Statistics for Sustainable Development 1 4 Service Informatique 1 4 1 Projet SIGenv2 Systeme d information g ographique de Environnement Tout comme les ann es pr c dentes l utilisation de la deuxi me g n ration du syst me d information g ographique de l Environnement SIGenv2 a encore augment Les utilisateurs de l application sont les agents du Minist re de l Environnement et les agents de I Administration des Eaux amp For ts Les informations contenues dans le SIGenv2 sont les suivantes Fonds de plans topographiques 1 5000 1 20000 amp 1 100000 en noir amp blanc et en couleurs Orthophotos 2001 1 pixel 50cm x 50cm Orthophotos 2004 1 pixel 50cm x 50cm R serves naturel
414. nn par le Mus e National d Histoire Naturelle l Administration de l Environnement l Administration des Eaux et For ts et le Service National de la Jeunesse Le Service de la Conservation de la Nature est membre du conseil d administration du Panda Club Le Panewippchen organe de liaison du Panda Club et journal sur la protection de la nature pour jeunes est support financi rement par le Service de la Conservation de la Nature en raison d un num ro sur quatre publi s Campagne d information Ech kommen r amp m Benny de Biber Dans le cadre du retour probable du castor au Grand Duch de Luxembourg le Service de la Conservation de la Nature a poursuivi ensemble avec le Minist re de l Environnement la campagne d information Ech kommen r m Benny de Biber Les actions suivantes ont t r alis es e plusieurs actions d enl vement de r sineux le long de cours d eau dans le cantonnement de Grevenmacher Activites ayant trait aux chauves souris lleme Nuit Europeenne de la chauve souris a Koerich Le 7 juillet 2007 devait avoir lieu pr s des ruines du ch teau de Koerich la 11 me Nuit Europ enne de la Chauve Souris organis e par le Service de la Conservation de la Nature de l Administration des Eaux et For ts le cantonnement forestier de Mersch le Panda Club le Mus e national d Histoire naturelle en collaboration avec l Administration Communale de Koerich Or pour des circonstanc
415. nn e 2007 Des agents de l Administration de l Environnement ont particip plusieurs groupes de travail dans le contexte de la n gociation du texte qui a trouv un accord politique sous la Pr sidence allemande lors du Conseil des Ministres de l Environnement en date du 28 juin 2007 Les nouveaut s principales de cette r vision sont e int gration dans la directive cadre de dispositions relatives aux huiles usag es aux d chets dangereux et aux d chets biod gradables e la possibilit de consid rer certaines substances non plus comme d chets mais comme sous produits lorsque certains crit res sont respect s e la d finition de crit res qui permettent de d finir pour une substance ou un objet le moment o celle c ou celui c1 perdent leur statut de d chets p ex apr s un processus de valorisation e introduction dans la directive cadre du principe de la responsabilit des producteurs e la fixation de la hi rarchie des objectifs de la gestion des d chets qui peut cependant ne pas tre respect e s des mesures se trouvant un niveau hi rarchique sont n anmoins plus avantageuses pour l environnement e l obligation de d finir un plan de gestion des d chets ainsi qu un plan de pr vention des d chets e la d finition de crit res qui permettent de juger si une installation d incin ration de d chets municipaux m lang s peut tre consid r e comme op ration valorisation nerg tique ou co
416. ns la r serve naturelle Haard avec mise en place de cl tures et d un abri pour b tail D broussaillage des pelouses s ches envahies de broussailles Bassin minier Enl vement de d blais Haard Dudelange Protection de plantes rares orchid es gentiane orpin vermiculaires par des cl tures temporaires filets lectriques lors du p turage itin rant P turage itin rant avec des ch vres et des moutons Ayant des probl mes avec le troupeau du berger SCHWARTZ le contrat a t r sili et un nouveau contrat avec le berger WEBER de Stockem Clervaux a t conclu Pour promouvoir la diversification des esp ces de nouvelles mesures de gestion ont t entreprises ainsi le gazon sur les plateaux facilement accessible a t coup l aide de chevaux ardennais Remembrement Remembrement agricole Mompach Planification du remembrement Hanner Fiels Schwebsingen Remembrements viticoles Schengen Remerschen Stadtbredimus Wellenstein Activit s diverses Construction de la deuxi me partie d un Erlebnisschulhof dans l enceinte du nouveau centre scolaire Roodt Syre l aide de bois provenant de la for t communale de Betzdorf Plantation de haies naturelles dans l enceinte du nouveau centre scolaire Roodt Syre Regarnis et entretien de rideaux de verdure autour de constructions agricoles Contr le r gulier du projet Menster Brill avec entretien des biot
417. nstand sind Rot und Hainbuche h ufig vertreten wohin gegen die Eiche praktisch nicht vorkommt Gleichzeitig gibt es im Gebiet auch einige gro e absterbende bzw bereits abgestorbene ehemals vorherrschende Buchen Der Grund hierf r scheint meist schlicht das Alter der B ume zu sein die nach einer Stammf ule brechen oder nach Wurzelf ule z T voll belaubt umfallen Auffallend sind die z T sehr hohen Totholzmengen Im Gebiet kommen sowohl Stiel als auch Traubeneiche vor Eine einzelbaumweise Trennung der beiden Arten w hrend der Aufnahme war nicht m glich Insgesamt kann davon ausgegangen werden dass der Ante l der Traubeneichen deutlich h her 1st als der der Stieleichen Sch tzungsweise 80 oder mehr der Eichen im Gebiet sind Traubeneichen An einigen Orten im Gebiet und auch in mehreren Probekreisen kommen Bergulmen als geringes Baumholz vor Stark d mensionierte Ulmen wurden nicht gefunden Mit dem Vorkommen der Bergulme in der Baumschicht geht in der Regel eine ppige Verj ngung von Bergulme einher Elsbeeren befinden sich im nordwestlichen Teil des Gebietes Der Feldahorn kommt im Gebiet sehr h ufig vor Er st in dem berwiegenden Teil der Probekreise n der Verj ngung zu finden Als Baum ist er auch m Unter und Zwischenstand recht h ufig Die Morphologie des Gebietes ist sehr ausgepr gt Kleine bis gr ere Klingen durchziehen weite Teile des Naturwaldreservats und bilden ein ausgepr gtes Kleinrelief Der Gro
418. nt resse plus particuli rement alors qu la station d Esch Alzette on n cessite deux analyseurs de poussi res fines distincts pour ces deux classes de particules 74 2 6 2 2 R seau de mesure des m taux lourds en suspension dans l air La mise en conformit avec les directives europ ennes 1999 30 CE du Conseil du 22 avril 1999 et 2004 107 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 15 d cembre 2004 doit conduire une adaptation des appareils d chantillonnage sur filtres selon les exigences nouvelles inscrites dans cette l gislation Les polluants suivants seront maintenant d terminer prioritairement sur filtre PM plomb arsenic cadmium nickel benzola pyrene Le site de Luxembourg Centre Place Hamilius a re u en premier cet quipement neuf Le mesurage en continu chantillonnage pendant 24 heures sur filtre a commenc le 28 f vrier 2006 Ce r seau de mesure change d intitul et s appelle l avenir R seau de mesure des particules fines PM associ s ces poussi res des m taux lourds et des hydrocarbures aromatiques polycycliques mesure du traceur benzo a pyr ne Le relev des diff rents r seaux de mesures permettant la surveillance et l valuation de la qualit de l air au niveau national et dans certains cas au niveau local est r sum dans le tableau ci dessous R seau GE Nombre de i D signation i numero stations Le r seau de mesure du dioxyde
419. nt de la classe 1 Une demande relative la cr ation d une nouvelle zone doit par cons quent tre soumise une enqu te publique 53 Les autorisations concernant les zones d activit s comprennent des conditions d am nagement et d exploitation jug es n cessaires pour la protection des int r ts vis es l article ler de la loi Lorsqu un tablissement artisanal tel que d fini par la nomenclature s installe dans une zone d activit s autoris e le Ministre de l Environnement dispose de toutes les informations pour juger s l impact sp cifique de cet tablissement n aura pas d effets n gatifs sur les alentours imm diats Le r pertoire des zones industrielles ainsi que des zones d activit s autoris es selon la l gislation relative aux tablissements class s est indiqu c1 apr s Exploitant Bascharage Z A Zaemer Adm com de Bascharage section C de Bascharage lieu dit Zaemer Bascharage Z I Bommelscheuer Minist re de l Economie sections D et C de Bascharage lieu dit Langwies etc Bettembourg Z A E Krakelshaff Ministere de l Economie section de Bettembourg lieu dit Krakelsacht Bissen Z A Klengbuusbierg Adm com de Bissen section B de Bissen Sud lieu dit op der Poukwies Biwer Z A Hofdriesch Consorts Lang et Frank section D de Wecker lieu dit op Huefdr isch Contern Z A Weihergewann Minist re de l Economie section C de Contern nationale et communale Adm com
420. ntes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine Pour plus d informations ce sujet consulter le chapitre monitoring des habitats forestiers Dans le cadre du suivi des esp ces un inventaire des chiropt res a t r alis Les r sultats de cette tude devraient galement tre publi s l ann e prochaine Veuillez voir le chapitre monitoring biologique pour plus d informations ce sujet D Projet de r serve foresti re int grale Grouf Remerschen Description g n rale du projet La sp cificit du site Grouf r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le terrain est vallonn avec diff rents types d expositions Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe un vingti me de la zone R sineux feuillus en m lange broussailles et arbustes recouvrent le restant de la future RFI Avancement du projet Le 22 mai 2007 le Conseil d Etat avise favorablement le projet de r serve foresti re int grale Grouf Cette for t est d clar e zone prot g e par r g
421. ntion de B le l OCDE et la Communaut europ enne Le projet se limite actuellement la transmission de donn es concernant les transferts de d chets effectu s entre le Grand Duch et le pays allemand du Rh nanie Palatinat Les donn es transmises sont sign es lectroniquement moyennant des clefs g n r es du type Gnu PG Le projet est divis en deux modules Le premier consiste en la transmission directe des donn es du notifiant soci t luxembourgeois responsable pour l exportation des d chets vers la base de donn es de l Administration de l Environnement Les donn es sont extraites de la base de donn es du notifiant actuellement limit e une seule soci t et envoy es moyennant fichiers du type csv l Administration de l Environnement Sur le serveur de l administration les donn es sont soumises plusieurs contr les Lorsque les donn es ont pass les contr les elles sont import es dans la base de donn es de l administration Journali rement les donn es relatives aux exportations de d chets vers le Rh nanie Palatinat sont extraites de la base de donn es et y sont envoy es par fichier du type csv L autorit allemande reprend les donn es directement dans leur base de donn e vu que les contr les ont d j t effectu s lors de la r ception des donn es par l administration luxembourgeoise Le projet pilote est actuellement limit la transmission des pr notifications des t
422. nuer la s rie d amp valuation de la comestibilit de l gumes cultiv s dans les jardins m mes aupr s des habitants entreprise depuis 1992 Le poireau a t choisi parce qu on peut trouver ce l gume en automne et en hiver jusqu aux mois de mars avril C est un l gume qui est largement r pandu dans les jardins Les analyses de poireaux pr lev s en mars 2007 et en octobre 2007 n ont pas mis en vidence des concentrations excessives en plomb Les teneurs en plomb taient situ es nettement en dessous de la valeur limite 2 6 3 Plan de qualit pour la ville de Luxembourg et environs 2 6 3 1 Introduction Dans le contexte du d passement de la valeur limite annuelle pour le dioxyde d azote NO dans Pair ambiant depuis 2003 la station de mesure de Luxembourg Centre boulevard Royal l Administration de l Environnement a t charg e d tablir un programme d action destin am liorer la qualit de l air ambiant L agglom ration concern e est la Ville de Luxembourg et environs La base l gale est l article 7 3 du r glement grand ducal du 17 mars 1998 portant application de la directive 96 62 CE concernant l valuation et la gestion de la qualit de lair ambiant Le programme d action auquel la population aura acc s contiendra notamment des renseignements sur le lieu de d passement la nature l valuation et l origine de la pollution Il pr cisera les sources d mission responsable
423. o ts prohibitifs pour le faire ne sauraient l gitimer une telle activit dangereuse et justifier des autorisations administratives aff rentes La loi modifi e du 10 juin 1999 fait application du principe de pr caution en ce qu elle ne nie pas l existence de risques et ne cherche pas interdire toute activit en comportant Elle les reconna t en revanche en essayant de les liminer au maximum mais non pas totalement et encadrer les risques r siduels www eea europa eu highlights radiation risk from everyday devices assessed Mobile Telecommunications and Health research Programme report 2007 October 2007 Overall the Stewart Committee concluded that the balance of evidence indicated that there was no general risk to the health of people living near to base stations on the basis that exposures were expected to be small fractions of internationnally accepted guideline values extrait Voir sous http europa ew scadplus leg fr lvb 132042 htm ainsi que la Communication de la Commission du 2 f vrier 2000 sur le recours au principe de pr caution COM 2000 1 final 42 C est justement d apr s le principe de pr caution que le Gouvernement luxembourgeois s est r f r pour fixer la valeur maximale de 3 V m engendr e par un metteur aupr s d un lieu o peuvent s journer des gens Selon les lois de la physique une valeur th orique maximale de 6 V m peut tre provoqu e par plusieurs metteurs install s
424. oduction de la notification dans un nombre gal au nombre d autorit s comp tentes concern es ont t apport es 155 En ce qui concerne le r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 concernant le transfert national de d chets celui c1 se basait sur les principes du r glement CEE N 259 93 Etant donn que le r glement CE N 1013 2006 pr voit que le syst me national devrait tre coh rent avec le r gime communautaire et dans le souci d viter des diff rences entre le syst me national ce r glement a galement t adapt Moyennant le r glement grand ducal du 7 d cembre 2007 concernant le transfert national de d chets le syst me pr vu par le r glement CE N 1013 2006 a t repris pour les transferts de d chets l int rieur du Grand Duch L avant projet de r glement a t labor en tenant compte des remarques formul es par la FLEA F d ration luxembourgeoise des Entreprises d Assainissement qui est sp cialement concern e par ce r glement L entr e en vigueur du r glement CE N 1013 2006 a t accompagn e d une campagne d information et de l laboration d une brochure ayant pour but d aider et d informer les personnes concern es par la proc dure de notification Cette brochure peut galement tre t l charg e sur le site Internet www emwelt lu Les formations L entr e en vigueur du r glement CE N 1013 2006 concernant les transfert
425. ologiques Avancement du projet Cette ann e les travaux dans la r serve foresti re int grale Laangmuer taient surtout ax s sur le suivi scientifique ainsi que sur la gestion de cette nouvelle zone prot g e 241 Dans le cadre du monitoring biologique des r serves foresti res int grales un premier inventaire des mousses ainsi qu un inventaire de diff rents groupes d insectes dont notamment les col opt res ont t r alis s dans cette for t Veuillez voir le chapitre monitoring biologique pour plus d informations ce sujet En ce qui concerne les mesures de gestion effectu es 1l s agit pour la plus grande partie de mesures de s curisation le long des chemins forestiers D La r serve foresti re int grale P ttenerb sch Mersch Pettingen Description g n rale du projet La sp cificit du P ttenerb sch r side principalement dans la diversit des essences qui s est d velopp e naturellement sur une aire de chablis important La recolonisation naturelle avec des essences pionni res a donn naissance diff rents types de peuplements structur s dans leur ensemble C est ce degr de dynamisme lev 40 de la surface d limit e est occup e par des peuplements tr s jeunes de moins de 16 ans qui conf re un aspect particuli rement int ressant la zone pour la constitution d une r serve foresti re int grale Cette zone foresti re est d
426. ols contamin s pour la pr sentation de la Division des d chets Ce cours a t tenu en mars et en novembre 2007 2 7 4 4 Les autres actions e Participation la Commission de contr le du EcoLabel fir Letzebuerger Tourismusbetrieber e Calcul des missions de gaz effet de serre dans le cadre de la Convention cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique en provenance des installations de traitement de d chets 2 7 5 Diverses actions de sensibilisation pour jeunes 2 7 5 1 L exposition mobile D Emwelt notzen d Emwelt schounen L exposition mobile D Emwelt notzen d Emwelt schounen a t pr sent e au cours de l ann e 2007 aux occasions suivantes 22 01 15 02 07 Ecoles primaires de la ville de Luxembourg 19 02 13 04 07 SIDOR Leudelange 16 04 19 04 07 Consdorf Umweltwoche 23 04 28 06 07 SIDOR Leudelange 01 10 30 10 07 Haus vun der Natur Kockelscheuer 120 2 7 5 2 Les jeux didactiques Oeko Bassin et Bastelen matt Offall Le jeu de p che Oeko Bassin a t en service aux dates suivantes 13 05 07 Oetrange Familientag APE 19 05 07 Lamadelaine Ecole primaire 02 06 07 Mertert Parklaf 17 06 07 Kockelscheuer Fest vun der Natur 29 06 07 Esch Alzette Ecole primaire Lallange 30 06 07 Bissen Sommerfest Arcelor 08 07 07 Roeser Porte ouverte Sapeurs pompiers 04 08 07 Centre sportif Holleschbierg ING Loisirs
427. ommenden 80 Stichprobenpunkten inventarisiert Pilze die nicht zu dieser Ordnung geh ren wurden nicht erfasst Insgesamt wurden 164 verschiedene Pilzarten nachgewiesen Eine erste Auswertung der Befunde zeigt dass die Artenverteilung von Probekreis zu Probekreis stark schwankt Obwohl diese r umlich relat v eng beieinander liegen variiert der prozentuale Anteil der vorkommenden Arten erheblich Nur 4 der bestimmten Arten sind n allen 7 Probekreisen vertreten Dagegen kommen 46 jeweils nur n einem der 7 Probekreise vor Als weiteres Ergebnis der Kartierung ist festzuhalten dass 7 Pilzarten aus der Ordnung der Nichtbl tterpilze erstmalig m Luxemburg nachgewiesen werden konnten 253 3 3 7 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irreguliers feuillus Les peuplements forestiers feuillus dominance de h tre sont actuellement tr s r guliers et globalement g s avec une absence quasi compl te de hauts perchis et de Jeunes futaies Or la politique foresti re s oriente de plus en plus vers une sylviculture proche de la nature pour laquelle une des caract ristiques principales est la pr sence de futaies structur es c est dire irr guli res en terme d ge et m lang es en terme d essences pr sentes dans le but d obtenir des for ts stables et de grande diversit naturelle Un premier projet avait t r alis avec ONE en 2005 portant sur une synth se bibl
428. ommune envisageait une installation moyenne de 300 400 kW il faudra au maximum un volume annuel de 450 m La possibilit calcul e au chapitre 8 est de 8 1 m ha an dont 50 sont commun ment de qualit non marchande On peut envisager que les coupes r alis es l avenir dans les parcelles productives c d sans les quartiers hors cadre des series futaie r guli re et futaie irr guli re permettront th oriquement de mettre disposition pr s de 1000 1500 m an de bois de chauffage Ceci permet de conclure que l installation d un chauffage de taille moyenne ne pose pas de probl me en termes d approvisionnement de bois de chauffage ssu des for ts de Berdorf Toutefois l adaptation de la voirie et la cr ation d un syst me coh rent de chemins de d bardage est n cessaire L installation d un chauffage de grande taille 1000kW n cessitera la cr ation d installations techniques sp cifiques places de stockage de s chage de d chiquetage ainsi qu une strat gie claire en termes d approvisionnement du bois environ 1000 m an Dans le cadre de la gestion durable certains points sont respecter quant l exploitation e pas de cr ation de peuplements immatures des fins de production de bois de chauffage le bois utilis doit tre issu de produits connexes des coupes 1 re claircie 2 claircie bois de mauvaise qualit e le full tree logging n est pa
429. on de l environnement naturel 181 3 1 16 La commercialisation du bois de trituration Suite a une hausse spectaculaire des prix des produits p troliers I Administration des Eaux et For ts est confront e une forte pression des milieux concern s sur le bois de trituration respectivement sur le bois de chauffage Une r partition quilibr e du bois d industrie respectivement du bois de chauffage entre les utilisateurs t op r e La diversification de la commercialisation du bois de trituration a t couronn e de succ s un troisi me acheteur industriel a pu tre gagn 3 1 17 Le bois nergie Suite une v ritable explosion du prix des produits p troliers et suite aux incertitudes d approvisionnement en nergie fossile l ann e 2007 a t marqu e par un int r t net des communes propri taires de for ts pour la technique des chaudi res a copeaux de bois En 2007 une demi douzaine de nouvelles chaudi res a t install e dans diff rentes communes Un certain nombre de communes ont demand l Administration des Eaux et For ts des informations techniques et ou financi res A ce jour gr ce l utilisation du bois comme source d nergie renouvelable les 26 chaudi res copeaux de bois communales en service au Luxembourg produisent une puissance de 6 897 KW en utilisant approximativement 7 819 m de bois Le bois utilis des fins nerg tiques rev te un caract re in
430. on des meilleures techniques disponibles les crit res d une utilisation rationnelle de l nergie l gard des magasins du secteur alimentaire Cette campagne de mesure a d but au mois d avril 2005 et a pris fin en mars 2006 L tude y relative sera publi e par le CRP HT en d but de l ann e 2008 Les relev s des consommations nerg tiques de certains l ments des syst mes frigorifiques ont montr que pour des installations d une puissance et ou configuration similaire les besoins en nergie lectrique sont sp cifiques au site Les contraintes techniques et environnementales locales la configuration de la surface de vente les besoins sp cifiques en froid ne sont que quelques exemples des param tres ayant une influence sur la consommation nerg tique Certains d entre eux emp chent l application de mesures d optimisation nerg tique ce qui a pour effet l impossibilit de d finir une installation standard pouvant tre appliqu e tout site ainsi que d une valeur limite de consommation nergique g n rique excluant ces contraintes L analyse des calculs de l impact de l effet de serre selon la m thode TEWI a montr que la source principale d missions de CO des syst mes frigorifiques de supermarch est la consommation nerg tique Afin de r duire de mani re efficace l impact sur l effet de serre le rapport pr cise que la priorit doit tre donn e une performance nerg
431. on du site une tude analytique a t r alis e pour qualifier et quantifier d ventuelles pollutions suite l exploitation du site L tude tait cibl e sur les zones risque de pollution et sur la qualification des remblais pr sents sur le site La trentaine de forages r alis s sur le site ont mis en vidence deux zones pollu es par des HAP En outre une pollution a t d tect e au niveau du rejet du traitement des eaux du site Ces zones feront l objet d un assainissement 168 3 ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS 3 1 La Direction 3 1 1 G n ralit s Pour l Administration des Eaux et For ts les dossiers repr sentant une importance nationale ont t en 2007 les suivants Q La responsabilit civile des propri taires forestiers Depuis plusieurs d cennies les propri taires forestiers tant priv s que publics constatent une forte augmentation de la fr quentation des massifs bois s par la population Il s en suit un fort accroissement du risque d accident Suivant le Code civil le propri taire du fonds forestier est responsable en cas d accident Cette responsabilit est jug e injuste tant par les administrations communales propri taires de for ts que par les propri taires priv s En accord avec le principe de gestion foresti re durable les propri taires forestiers acceptent une mise disposition des for ts au public des fins de r cr ation ce qui engendre le lib
432. on effectu e lors de la r union le 3 octobre 2007 D sormais le num ro attribu par d faut par l appareil photo doit tre encode dans la fiche 3 du module d encodage e Organigrammes d cisionnels Pour rappel les organigrammes de l IFLI ont t modifi s de mani re faciliter leur utilisation Ces organigrammes sont utiles consulter en cas de doute sur l attribution de l affectation du point de sondage Les d finitions li es aux organigrammes seront test es l aide de ceux ci dans le but d am liorer les d finitions et de corriger ventuellement les cheminements et logiques de construction des organigrammes e Modification et mise jour des listes d options Plusieurs listes d options utilis es dans la base de donn es ont t mises jour et ou modifi es dans la base de donn es de l IFL2 Celles ci sont la liste des communes et la liste des esp ces essences La liste des habitats doit encore tre modifi e selon une nouvelle liste fournie par l administration e Cheminement Les tests terrain cheminement au cours de 2007 ont permis de modifier tr s sensiblement les instructions relatives la fiche GPS Pour rappel les objectifs de ces tests de faisabilit sur le terrain sont obtenir une information plus compl te sur le temps de r alisation du cheminement tester les diff rents outils disponibles et in fine formuler des recommandations aux auteurs de la phase op rationnelle
433. on totale TRIMBLE M3 avec un fieldbook TRIMBLE TSC2 dans le cadre de l installation des r seaux de placettes permanentes et pour des op rations de v rification de limites de propri t 3 3 4 La cartographie d aptitude stationnelle En synth tisant les caract ristiques stationnelles d un massif bois la carte d aptitude permet au gestionnaire de tirer le meilleur parti de la station de respecter son potentiel de production et de d finir une strat gie sylvicole adapt e chacune des multiples facettes de sa for t Avec son choix des essences adapt es aux diff rentes conditions stationnelles telles qu elles se pr sentent de mani re sp cifique dans les diff rentes propri t s foresti res elle permet de satisfaire aux crit res de la certification e a FSC PEFC d une gestion foresti re durable Les cartographies d aptitude stationnelle pour les for ts communales de Wormeldange 474 ha et de Bertrange 315 ha r alis es d j en 2006 ont t pr sent es la presse en juillet respectivement en septembre 2007 En 2007 les cartographies d aptitude stationnelle pour les for ts communales de Steinsel 361 ha et de Lintgen 363 ha ont t r alis es Elles ont t tablies conform ment la m thodologie d crite dans le document de r f rence Manuel d utilisation du guide de boisement des stations foresti res au Luxembourg 230 3 3 4 1 La cartographie d a
434. oncernaient respectivement une prolongation du d lai de mise en exploitation et une autorisation limit e moins d un an l 201 60 14 l 91 19 S A 4 31 34 2 5 10 2 Dossiers trait s Le tableau ci apr s reprend le nombre de dossiers trait s au cours des quatre derni res ann es Nombre de dossiers Nombre de dossiers Nombre de dossiers Nombre de dossiers trait s en 2004 trait s en 2005 trait s en 2006 trait s en 2007 Sont consid r s comme dossiers trait s aussi bien ceux concernant les autorisations d exploitation d livr es que ceux concernant les refus ainsi que les dossiers annul s cause du d passement des d lais pour introduire des informations suppl mentaires demand es aux requ rants Le fort accroissement du nombre de dossiers s explique par le fait qu une aide temporaire rempla ant une fonctionnaire en cong de maternit d une autre unit a pu traiter un grand nombre de demandes du genre metteurs d ondes lectromagn tiques 57 Plus de 90 r unions de consultation avec les personnes concern es surtout des professionnels du domaine immobilier ont eu lieu en 2007 En ce qui concerne les b timents et immeubles construits ou exploit s par l Etat l est a noter que trois tablissements scolaires majeurs ont t autoris s au cours de l ann e 2007 par le Ministre de l Environnement Il s agit de la nouvelle construction du Lyc e Technique de Belval Ouest Sanem
435. ones concern es passent d ici 2015 sous la barre des 20 microgrammes m3 Les EM devront respecter sur l ensemble de leur territoire le plafond de 25 microgrammes m3 fix pour les PM 2 5 cette valeur cible doit tre atteinte en 2015 ou dans la mesure du possible d s 2010 e _l assouplissement des normes en mati re de qualit de lair sans pour autant modifier les normes en vigueur la directive laisse plus de souplesse aux EM pour appliquer certaines d entre elles dans des domaines pour lesquels leur mise en uvre pose des probl mes notamment PM 10 les d lais d application des normes concern s peuvent tre reportes de 3 ans au plus compter de l entr e en vigueur de la directive soit mi 2011 pourvu que la l gislation communautaire connexe soit pleinement mise en uvre et que toutes les mesures appropri es de lutte anti pollution soient prises L accord obtenu en mati re de protection du milieu marin a comme objectif de parvenir un bon tat cologique du milieu marin dans l UE l horizon 2020 1 5 3 12 Protection des sols La proposition de directive aff rente pr sent e en septembre 2006 a fait l objet d un d bat d orientation l occasion du Conseil du 20 f vrier 2007 le Conseil environnement du 20 d cembre n a pas r ussi d gager un accord politique en la mati re La proposition de directive contient les l ments suivants int gration dans les politiques sectoriel
436. onnel concern s par l installation la maintenance ou l entretien de syst mes de r frig ration et de climatisation et de pompes chaleur e les prescriptions minimales et conditions pour une reconnaissance mutuelle en mati re de programmes de formation et de certification l intention du personnel concern par l installation la maintenance ou l entretien de syst mes de protection contre les incendies e les prescriptions minimales et conditions pour une reconnaissance mutuelle en mati re de programmes de formation et de certification l intention du personnel concern par la r cup ration de gaz effet de serre d appareillages de connexion haute tension e les prescriptions minimales et conditions pour une reconnaissance mutuelle en mati re de programmes de formation et de certification l intention du personnel concern par la r cup ration de gaz effet de serre d quipements contenant des solvants e les prescriptions minimales et conditions pour une reconnaissance mutuelle en mati re de programmes de formation et d attestation l intention du personnel concern par la r cup ration de gaz effet de serre d installations de climatisations de v hicules moteur e le format pour la notification des programmes de formation et de certification par les Etats membres 2 6 10 Les activit s dans le domaine de la lutte contre le bruit Pour satisfaire aux exigences internationales en mat
437. ons e demandes d informations p riodes d ouverture de la chasse modes de chasse autoris s limites des lots de chasse permis de chasse cours pr paratoires et examen de chasse etc e demandes des syndicats ou des locataires de chasse en vue d informations concernant le d roulement de certaines proc dures l gislatives et administratives notamment les op rations d adjudication de cession et d option du droit de chasse 300 3 6 L Entite mobile L Entit mobile de l Administration des Eaux et For ts intervient dans le domaine de la police de la gestion de l environnement naturel et donne appui et assistance aux diff rents services cantonnements arrondissements et triages forestiers de l administration Elle est rattach e la direction de l Administration des Eaux et For ts comme unit op rationnelle et soumise l autorit directe du directeur En 2007 les missions confi es l Entit mobile ont t assum es par cinq fonctionnaires dont un officier de police judiciaire et trois agents charg s de certaines fonctions de police judiciaire Les agents de l Entit mobile constatent les infractions et re oivent les plaintes et d nonciations pour lesquelles les lois sp ciales leur ont attribu les pouvoirs de police judiciaire Ils en rassemblent les preuves et en recherchent les auteurs sur tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg Outre les missions de contr le de surveillance et de police
438. onsolidation de la certification int gration de la nouvelle structure d change avec l APE nouveau systeme SIGEP r vision de la restitution la suite de la nouvelle structure d change renforcement de la s curit correction de divers bugs La coh rence du mod le conceptuel des donn es a t compl t e et mise jour pour garantir la compatibilit du syst me d information avec l ensemble des applications SALAIRES FICHE TRAVAIL SALAIRES AVANT2004 DBAIDE EFDIR COBUPLAN PLAN GESTION BU CARNETO GESTFVEN MARTELAGE CONCOP INVENTO NATURA2000 306 3 7 1 2 Analyse et d veloppement de nouvelles applications En 2007 le developpement de la nouvelle application BIODIVERSITE avec le systeme MACAA du CIE ASTA a t finalis et mis en production Il s agit d un projet inter ministeres et inter administrations Minist re de l Agriculture Minist re de l Environnement Service technique de l agriculture Centre informatique Administration des Eaux et for ts bureaux d tudes Cette application centralis e doit g rer les r gimes d aides pour la sauvegarde de la diversit biologique instaures par le Reglement grand ducal du 22 mars 2002 Elle remplace une application Access devenue obsol te L ensemble des donn es de l administration du cadastre sera prochainement accessible via un g oportail appel eCadastre L interfacage du g oportail est b
439. ont constat s une demande en r vision peut tre introduite par le b n ficiaire du plan tout moment de la p riode cyn g tique 3 5 2 6 Le plan de chasse aux esp ces cerf et chevreuil p riode cyn g tique 2006 2009 Les plans de chasse pour le tir des esp ces cerf et chevreuil valables pour la p riode cyn g tique 2006 09 allant du 1 ao t 2006 au 31 juillet 2009 ont t tablis au cours du premier semestre de l ann e 2006 Le nombre de gibier autoris tirer dans le cadre du plan de chasse pendant la p riode cyn g tique 2006 2009 est le suivant y compris recours et r visions de plans cerfs m les 668 cerfs femelles 624 cerfs faons 1 380 chevreuils 28 497 A titre d information ci apr s le nombre de dispositifs de marquage accord s pour des p riodes cyn g tiques pr c dentes Esp ce P riode 1997 2000 Periode 2000 03 Periode 2003 06 Periode 2006 09 3 m 3 ann es 3 ann es 3 Cerf m le 518 648 Cerf femelle 526 820 Cerf faon 1 380 Total cerf 89 1 044 1 468 2 672 Total chevreuil 25 390 26 388 27 804 28 497 Il faut souligner que ces chiffres ne doivent pas tre confondus avec le nombre de gibier tir r ellement qui est nettement inf rieur Le tableau de tir des esp ces de cerf et chevreuil des six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort Esp ce CERF 2000 01 2001 02 2002 03 2003 0
440. ontr ler lorsque les houppiers rentrent en concurrence avec les houppiers des ch nes Pr sence de quelques semis perches ou PB d alisier torminal 254 Le maintien du ch ne tant recherch la r g n ration pourra tre amorc e partir des bouquets de GB et TGB de semenciers sans sacrifice d exploitabilit en abaissant la surface terri re pour obtenir 10 15 m localement Le renouvellement en h tre d j pr sent la faveur de quelques trou es sera facile obtenir La surface terri re totale est d environ 30 m ha en moyenne dont pres de 60 en ch ne Cette surface terri re est actuellement trop lev e pour permettre la fois un renouvellement en essences de lumi re notamment en ch ne et galement une architecture optimale des houppiers Principes qui taient la base du martelage r alis e pratiquer dans l tage principal des op rations d am lioration et de r g n ration principe de r colte de renouvellement d am lioration sanitaire en am liorant avant tout la sant la stabilit et la qualit globales du peuplement e intervenir dans toutes les strates du peuplement e ouvrir des cloisonnements d exploitation e pr l vement d environ 6m2 ha car le peuplement est fortement capitalis ce qui permet une r colte d un volume suffisamment important e orienter la r colte vers les TGB GB ou gros BM de mauvaise sant pr sentan
441. ontr les en 2008 2 7 9 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 2 7 9 1 L accord environnemental L accord environnemental a t chang deux fois en 2007 e Au d but de l ann e 2007 une modification de l annexe I reprenant les nouvelles cat gories d EEE pris en charge par ECOTREL a t faite e En novembre 2007 le syndicat intercommunal SIGRE et la commune de Wormeldange viennent de signer l accord environnemental et peuvent d sormais profiter de la mise disposition des conteneurs et de l enl vement gratuit des DEEE par l asbl ECOTREL ECOTREL vient d tablir une Easy List pour les exploitants des parcs conteneurs afin de mieux identifier les appareils de type professionnel qui ne sont pas pris en charge par ECOTREL 2 7 9 2 Demande d agr ment de la soci t CCR Logistics Systems AG En date du 23 octobre 2007 la soci t CCR Logistics Systems AG a introduit un dossier de demande pour devenir organisme agr dans le cadre de la r glementation sur les quipements lectriques et lectroniques et les d chets des quipements lectriques et lectroniques Le dossier est en cours de consultation aupr s de l Administration de l Environnement 2 7 9 3 La mise en uvre de la r glementation sur les DEEE En 2007 les notifications d enregistrement des producteurs se sont poursuivies L Administration de l Environnement a cr un formulaire standard pour les entrep
442. opes et des cl tures Entretien et nettoyage du sentier didactique Menster Brill et taille de haies Entretien et fauchage du parking cologique Mensdorf Surveillance d un camp cologique au Haff R imech Entretien des pelouses s ches aux lieux dits L iffraichen et Pauliskaul triage de Kayl Am nagement d une cl ture au lieu dit Holleschbierg triage de Kayl Encadrement des journ es artistiques Duerchzuch au Giele Botter Ex cution du plan de gestion de la carri re de Lasauvage D gagement du terrain Paerdsmaart 0 89 ha Grevenmacher Degagement d une prairie 2 6 ha fauche au lieu dit Bamboesch dans le triage de Grevenmacher Fauchage et renouvellement du sentier touristique respectivement des chemins forestiers fr quent s au lieu dit Elvinger Gleicht Elvange Enl vement permanent d ordures sp cialement pendant l action Grouss Botz organis e par diff rentes communes Organisation de visites guid es pour classes primaires Organisation et ex cution de l action Grouss Botz Montage d une exposition dans le CIPA Howald ayant pour th me la Suisse Participation aux Vakanzaktivit iten de diff rentes communes 285 e Visites guid es pour les classes pr coces et primaires des communes de Weiler la Tour et de Hesperange dans la for t communale avec un tour en cal che avec cheval ardennais e Elaboration d un panne
443. or ts du cantonnement de Diekirch peut tre qualifi de satisfaisant normal pour l exercice 2007 3 2 4 4 R g n rations plantations travaux de culture travaux de nettoiement Comme par le pass les travaux culturaux de l ann e 2007 se sont limit s des travaux d entretien fauchage extensif des parterres plant s dans la d cennie pr c dente Comme la r g n ration naturelle et la libre volution sont toujours de mise les travaux culturaux intensifs ont visiblement r gress entra nant ainsi une r duction des d penses aff rentes Toutefois ces r ductions sont rest es minimes et n ont malheureusement pas pu produire des bilans plus favorables 3 2 4 5 Voirie foresti re L exercice 2007 a vu 2 projets de voirie foresti re r alis s en for t domaniales 600 m En for t communale aucun projet n a t ex cut Les travaux ont consist dans l empierrement de 400 m de chemins de terre existants et dans le terrassement de 200m de chemin nouveaux Il va de soi que partout o cela s imposait les travaux d entretien et de r fection courants ont t entrepris Dans ce contexte il importe de rapporter que quelques 174 000 m de sentiers touristiques ont t entretenus remis en tat ou install s en 2007 ce qui souligne l importance du r le r cr atif des for ts du cantonnement de Diekirch o en effet se concentre une grande partie des paysages touristiques du Grand Duch de
444. orestiers 240 La r serve foresti re int grale Enneschte B sch a Bertrange Description generale du projet La sp cificit du Enneschte B sch r sulte du fait que la zone d limit e repr sente les ch naies charmais sur sols frais ainsi que les h traies sur marnes argileuses du Gutland du Sud L association foresti re la plus fr quente est celle du Primulo Carpinetum avec 62 de la surface d limit e L association du Melico Fagetum occupe quant elle uniquement 30 de la superficie Le restant de la future RFI est recouvert de feuillus en m lange de r sineux ainsi que de broussailles et arbustes En ce qui concerne les peuplements on remarque un taux lev d anciennes ch naies En effet pratiquement la moiti de la superficie se compose de ch naies qui comportent des ch nes de plus de 140 ans En date du 20 septembre 2005 la zone foresti re Enneschte B sch est d clar e zone prot g e par r glement grand ducal La superficie de la r serve naturelle est de 87 ha et prot g e est constitu e de deux parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale ainsi qu une partie dite zone de qui tude Avancement du projet Un comit de suivi a t instaur afin que les diff rentes parties concern es administration communes propri taires priv s puissent changer des informations sur la gestion ainsi que sur les activit s autour de cette nouvelle zone prot g
445. ormation Etre responsable des d chets dans l entreprise Comme les ann es pass es l Administration de l Environnement a organis ensemble avec le Centre National de Formation professionnelle continue d Ettelbruck des cours de formation Etre responsable des d chets dans l entreprise 2 7 4 2 La formation Personnel des parcs conteneurs 22 parcs conteneurs sont exploit s en 2007 Afin de garantir un service ad quat par le personnel des parcs conteneurs l Administration de l Environnement en collaboration avec le Centre National de Formation professionnelle continue d Ettelbruck organise depuis 1994 des cours de formations Le contenu du cours s tend sur 5 volets la gestion des d chets le traitement des donn es les bases l gales la s curit et la communication Le cours de formation en langue fran aise en 2007 tait fr quent par 14 participants venant des diff rents parcs de conteneurs A c t des formations th oriques le cours englobe aussi la visite de certaines installations au niveau de la gestion nationale des d chets 2 7 4 3 La formation La Division des d chets l Administration de l Environnement Dans le cadre du cycle de formation La l gislation environnementale au Luxembourg organis e par l institut de Formation de la Chambre de Commerce la Division des d chets de l Administration de l Environnement est intervenue au module 2 Les d chets et les s
446. ouf afin de d limiter la zone prot g e Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t Par ailleurs tous les sentiers qui se trouvent l int rieur de la r serve foresti re int grale et qui sont ouverts au public ont t balis s ce balisage ayant pour but d indiquer au visiteur les chemins qu il peut utiliser et qui sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e La Grouf est la cinqui me r serve foresti re int grale au Luxembourg dans laquelle un suivi des habitats forestiers a t effectue Les placettes permanentes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine Pour plus d informations ce sujet consulter le chapitre monitoring des habitats forestiers 243 En ce qui concerne le suivi scientifiques des esp ces un inventaire des chauves souris a t r alis dans le courant de cette ann e Veuillez consulter le chapitre monitoring biologique pour plus d information ce sujet Projet de r serve foresti re int grale Manternacher Fiels Manternach Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de plusieurs associations foresti res rares au Luxembourg
447. our en cal che avec le cheval ardennais e Elaboration et mise en place d un panneau ducatif au sujet des moutons Soay que le service forestier de la commune de Hesperange tient dans le parc du Cipa Howald Triage de Niederanven e Accueil de 28 classes scolaires avec parents dans les diff rents chalets 1700 visiteurs e 12 Visites guid es du Centre forestier Bois de chauffage copeaux etc Triage de Sandweiler e Organisation de 2 visites guid es Triage de Waldhof Le triage a fourni une aide pour les journ es de nature des coliers aux triages suivants Steinsel communes Walferdange et Steinsel Consdorf Kayl ainsi ou aux visites guid es pour l exposition install e par la Direction la commune de Beaufort Triage Kiem e Gsuidage de 10 classes 4ieme primaire de l cole europ enne en d but automne e Th matique La for t dans int gralit son utilisation et son importance pour l Homme 3 2 6 14 Contacts internationaux Le projet Native Village au triage de Kiem Dans le cadre du Projet Native Village au Neihaisgen la construction de la maison celte a continu e La structure du toit ainsi que la pose du chaume ont pu tre termin es Objectifs du projet e Construction et utilisation d une maison celte dans le cadre d un native village r aliser ult rieurement wigwams indiens paillottes africaines e Sensibilisation la nature e D couver
448. ous les noms des nouveaux n s tait install sur place et un certificat de participation tait distribu aux familles e Montage d une exposition dans le CIPA Howald ayant pour th me la nature en Suisse Les travaux de montage avaient eu lieu au mois de novembre 2007 Pour la p riode de No l l exposition tait transform e en paysage enneige e Participation au Vakanzaktivit ten de la commune de Hesperange 4 sorties en for t communale du Howald taient organis es pendant les apr s midi Triage Kiem e Participation En Daag mam Fierschter am Boesch au Widdebierg 3 jours avec 800 enfants de 10 11 ans 3 2 6 16 Divers Chalet Kiem En collaboration avec la commune de Niederanven et le CIGR Syrdall le cantonnement forestier a initi un projet intitul De l arbre la maison Le projet a pour but de donner des demandeurs d emploi la possibilit de gagner de l exp rience dans les domaines de l environnement et de la construction l aide de bois En 2007 l quipe du CIGR a prioritairement effectu des travaux dans le milieu forestier et de la nature Les ouvriers ont pu assister les b cherons pendant toute l ann e Cette formation professionnelle devrait augmenter les chances du demandeur d emploi de mieux pouvoir s integrer dans la vie professionnelle Ancien zoo de Senningen Apres l acquisition par l Etat de l ancien zoo de Senn
449. ouvelle laiterie Luxlait Bissen une valuation pour un centre r gional de gestion de d chets inertes Reckange Mersch et une valuation pour une porcherie d engraissement Allerborn 2 5 7 1 Etablissements du secteur agricole relevant de la classe 4 79 d clarations en vertu du r glement grand ducal du 26 juillet 1999 fixant les prescriptions g n rales pour les tablissements du secteur agricole qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s ont t introduites en 2007 dans le cadre du pr dit r glement Par rapport 2006 le nombre de d clarations introduites reste dans le m me ordre de grandeur Il en est de m me du degr de conformit des d clarations introduites savoir e 82 des d clarations taient conformes aux crit res de la classe 4 Les exploitants ont re u un accus de r ception leur rappelant l obligation de se conformer aux prescriptions du pr dit r glement e 15 des d clarations taient non conformes du fait qu une ou plusieurs pi ces requises par le r glement grand ducal n taient pas jointes la d claration Les exploitants ont t invit s par crit faire parvenir les pi ces manquantes la l Administration de l Environnement e 3 des d clarations n taient pas acceptables du fait que les tablissements d clar s ne relevaient pas d apr s le r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tab
450. p l laboration de divers dossiers en mati re de la conservation de la nature comme p ex gestion de pelouses s ches l aide d un p turage itin rant am nagement de sentiers de d couverte de la nature laboration de plans de gestion des haies ou de zones Natura 2000 laboration de dossiers de classement de r serves naturelles renaturation de cours d eau etc 3 2 7 13 La r cr ation en for t La vocation des for ts entourant les centres urbains la capitale et les villes du bassin minier volue de plus en plus vers la r cr ation et la d tente de la population r gionale A cet effet les chemins et sentiers sont continuellement entretenus En vue de parer aux probl mes ventuels entre les promeneurs et les cavaliers un balisage part de chemins pour les chevaux peut s imposer localement D autre part le chef de cantonnement assiste r guli rement aux r unions de chantier hebdomadaires du Centre forestier de Ellergronn Esch Alzette qui a t ouvert entretemps au grand public 3 2 7 14 Les manifestations r gionales L Administration des Eaux et For ts a particip activement l organisation de diverses Journ es de l Arbre initi es par la Fondation H llef fir d Natur respectivement de diverses Journ es de la Nature organis es par certaines administrations communales pour leurs classes scolaires 3 2 7 15 Divers L arrondissement des domaines et expertises En
451. p YOUNG ET ASSOCIES Tour Ernst amp Young T 33 0 14 69 36 000 Faubourg de l Arche F 33 0 15 56 10 496 EE N F 92037 Paris la D fense FITT G M B H Abteilung EMV Labor T 49 0 68 15 68 74 46 B3 31 03 2008 Goebenstrasse 40 F 49 0 68 15 68 73 02 F2 EK D 66771 Saarbr cken FORSCHUNGSZENTRUM DER ZEMENTINDUSTRIE G M B H T 49 0 21 14 578 1 Tannenstrasse 2 F 49 0 21 14 578 296 31 03 2008 Postfach 301063 D 40410 D sseldorf FUGRO ECO CONSULT SAR L T 352 35 85 41 Zone industrielle F 352 35 65 30 31 03 2009 31 03 2009 F1 F3 31 03 2009 31 03 2008 31 03 2008 E5 E71 E92 31 03 2009 F13 F3 L 5366 M nsbach ee u en T 49 0 62 15 86 15 0 B1 B2 gh D 67061 Ludwigshafen F 49 0 62 15 82 354 El E2 E3 GEOCONSEILS S A S D4 85 87 parc d activit s Capellen T 352 30 57 99 1 B P 108 F 352 30 57 99 500 a ei ae L 8303 Capellen GEOTECHNIK UND D4 CONSULTING IM GRUNDBAU T 49 0 68 13 79 975 3 Es E71 31 03 2008 Saargem nder Strasse 72 F 49 0 68 13 79 975 40 D 66130 Saarbr cken GLOBAL FACILITIES S A T 4352 26 3728 1 41 z a am Bann F 4352 26 37 41 51 31 03 2008 L 3372 Leudelange i 37 Coordonn es Ae phone Comp tences er ce Fax limitation A11 A12 A13 A2 A31 GfA A32 A33 A5 Gesellschaft f r Arbeitsplatz und T 49 0 25 34 807 0 C1 C2 C3 C4 CS C6 Umweltanaly
452. partie de l observatoire Le r le de l observatoire est d aider le Ministre de l environnement et ses partenaires notamment les communes et les syndicats communaux d finir les orientations et le contenu de la politique en mati re de protection de la nature et d valuer l tat de conservation du milieu naturel au Luxembourg L observatoire est aussi responsable du suivi du Plan national concernant la protection de la nature labor en vertu des articles 51 et 52 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles Les principales missions de l Observatoire d finies par la loi du 3 ao t 2005 sont l de constater l tat de conservation de la diversit biologique 2 de proposer des recherches et tudes en mati re d environnement naturel 3 de proposer un programme d actions concr tes r aliser par l Etat et les syndicats 4 d valuer les mesures r alis es par l Etat et les syndicats 5 de r diger tous les deux ans un rapport circonstanci sur la politique en mati re d environnement naturel et sur la mise en ouvre de cette politique au niveau tatique et communal 6 de suivre la mise en uvre du plan national concernant la protection de la nature 7 de saisir le Ministre des projets actions ou mesures susceptibles de promouvoir la protection de l environnement naturel L observatoire a officiellement commenc ses activit s en 2006 et a en 2007 au co
453. placettes permanentes de suivi de l cosyst me forestier Le Grand Duch participe ce projet international des 1993 avec un r seau dit intensif de deux placettes en h traie puisque le h tre repr sente l essence autochtone dominante dans deux r gions foresti res caract ristiques L une est situ e dans la for t domaniale du Gr newald sur le gr s de Luxembourg d nomm e HETL2 l autre dans la for t domaniale de Hosingen au lieu dit P nzebierg en Ardenne d nomm e HETL1 Le projet est r alis en troite collaboration avec l Office National des For ts ONF France le Grand Duch ayant demand le rattachement de ses deux placettes au r seau fran ais d nomm RENECOFOR La dur e de la p riode de fonctionnement a t retenue dans un premier temps 30 ans Les observations r alis es dans les placettes visent quantifier d une part le niveau de productivit des peuplements et d autre part les principaux facteurs qui conditionnent la croissance tels que les caract ristiques climatiques et daphiques la structure du peuplement et les d p ts d origine atmosph rique Les analyses faites dans le cadre du r seau intensif souvent tr s compliqu es exigent beaucoup de temps Les laboratoires engag s ne peuvent fournir les donn es ou avec un an de d calage Pour cette raison les r sultats des travaux r alis s en 2007 ne peuvent pas encore tre pr sent s dans ce rapport d activi
454. plus n cessaire de d terminer la quantit des emballages mis sur le march mais il suffit d indiquer la quantit des d chets d emballages produits D cision 2005 270 EC A la lumi re des nouvelles dispositions du r glement grand ducal du 22 f vrier 2006 et de l expiration de l accord volontaire sign en 2002 il importe de trouver une nouvelle solution pour les emballages de type non m nager Il se peut qu une solution nationale soit op rationnelle le 1 janvier 2010 134 2 7 8 4 Le contr le des responsables d emballages En date du 23 janvier 2007 et en date du 28 f vrier 2007 l Administration de l Environnement organisait un cours de formation pour les brigades mobiles de l Administration des Douanes et Accises Plusieurs entreprises ont par la suite t contr l es quant leur mise en conformit vis vis au r glement grand ducal du 22 f vrier 2006 Pr s de 80 entreprises ont t contr l es dans le secteur des boissons quincaillerie et peinture e 11 s taient entre temps mis en conformit e 61 ont par la suite adh r a Valorlux Les soci t s restantes ont entre temps cess leurs activit s ou n ont pas encore pris contact avec Valorlux Un proc s verbal sera dress l encontre des entreprises qui ne se mettent pas en conformit dans un d lai de 3 mois suivant le contr le et leurs dossiers seront transmis au parquet en vue d une poursuite judiciaire Il est pr vu de continuer les c
455. pour en citer quelques unes La troupe J hol a pr sent son spectacle questre avec ses chevaux de trait comtois en impressionnant le public nouveau avec ses tours de force l aide de ces animaux polyvalents 256 En conclusion la fili re bois qui est le theme traditionnel de l exploitation des ressources naturelles foresti res et de l utilisation du bois a attir e l attention d un grand nombre de visiteurs la f te foresti re 2007 peut donc tre consid r e comme succ s en ce qui concerne l information et la sensibilisation du public 3 3 9 Les nouvelles publications 3 3 9 1 La borne multimedia pour le Centre de D couverte de la for t au Burfelt Les travaux en relation avec le d veloppement de la borne multim dia pour le Centre de D couverte de la for t au Burfelt ont pu tre finalis s en 2007 Les probl mes en relation avec l affichage de l image en provenance de la cam ra mont e sur le m t de la station m t orologique ont pu tre r solus Une partie compos e de texte de graphiques et d images sur le changement climatique a t rajoutce au contenu de la borne Cette partie traite des points suivants e Ce que signifie climat v D finition du climat du temps et le lien entre le climat et le temps e La naissance du climat v D origine du climat de la terre v L effet de serre naturel e Le changement climatique un nouveau ph nom ne V Le climat et ses var
456. pour les pays en voie de d veloppement souvent les plus expos s aux cons quences du r chauffement global Transfert de technologies et 4 Appui financier par les pays industrialis s Il s agit ci des instruments indispensables aussi bien pour r duire les missions que pour l adaptation au changement climatique LA Un nouvel organe subsidiaire a t cr sous la Convention afin de mener les travaux Il se r unira un rythme acc l r afin de terminer ses travaux fin 2009 Son programme de travail sera retenu la premi re s ance En parall le le groupe de travail sp cial des nouveaux engagements des Parties vis es l Annexe I au titre du Protocole de Kyoto poursuivra le processus de n gociation des engagements de r duction des missions juridiquement contraignants pour les pays industrialis s ayant ratifi le protocole de Kyoto Partant des travaux scientifiques du GIEC r f rence explicite du sc nario de r duction des missions du groupe des pays de l annexe I de 25 40 d ic 2020 par rapport 1990 la d cision de Bali retient un programme de travail pr cis d ici la fin 2009 L on aura donc faire une approche 2 voies pays ayant des obligations sous le protocole de Kyoto autres pays y compris USA Le fait est que d sormais tous les pays industrialis s se sont d clar s pr ts adopter des mesures ou engagements beaucoup plus fermes en mati re de r duction d
457. pr pos Christian Berg Soci t avicole de Differdange participation du pr pos Henri Eicher 3 1 10 Les processus internationaux 3 1 10 1 Conseil de l Union Europ enne E amp F participant seul exposant E amp F seul exposant E amp F seul exposant E amp F seul exposant E amp F Seul exposant Exposition OPEN AIR cascades 3 tangs biotope eau biotope for t et animaux empaill s Essences de bois utilisation bois zones foresti res en 3D rivi re tangs biotope for t zones humides et animaux empaill s nouvelle exposition Mat Lou zum Lieder aquariums et animaux empaill s zones humides avec cascade d eau rivi re tang abris pour castors et animaux empaill s pavillon en bois tours bois et bois nergie zones humides avec cascade d eau rivi re tang abris pour castors et animaux empaill s zones humides cabane alpes suisse vergers avec arbres fruitiers cascades d eau rivi re tang sculptures en bois et animaux empaill s zones humides avec cascade d eau rivi re tang abris pour castors et animaux empailles En 2007 l Administration des Eaux et For ts a pris en charge le suivi des dossiers et a particip aux principales r unions du groupe de travail For ts du Conseil de l Union Europ enne Le groupe de travail s est r uni 6 fois Bruxelles et plusieurs reprises l tranger New York pour coordonner la
458. pr vu de r aliser ces inventaires dans toutes les RFI mais uniquement dans certaines RFI repr sentatives pour le r seau des r serves foresti res int grales Pour conclure un rapport final pour chaque RFI contiendra les inventaires analyses et r sultats pour chaque groupe d esp ces inventori Au cours de l ann e 2007 un groupe de suivi faune ainsi qu un groupe de suivi flore ont t cr s afin d assurer le monitoring des esp ces dans les RFI Ces groupes de suivi permettent aux diff rents acteurs Mus e National d Histoire naturelle Station biologique LNVL de d finir ensemble les orientations futures prendre dans ce domaine Le Mus e National d Histoire Naturelle a particip lui m me au relev de certaines esp ces sur le terrain Travaux r alis s au cours de l ann e 2007 Au cours de l ann e 2007 les esp ces suivantes ont t inventori es chauves souris dans les RFI du Laangmuer du P ttenerb amp sch et de la Grouf col opt res dans la RFI du Laangmuer et du Betebuerger B sch mousses dans la RFI du Laangmuer champignons dans la RFI du Betebuerger B sch En attendant la r alisation du rapport final pour chaque RFI voici un bref aper u des principales donn es r colt s au cours de cette ann e Methodik der Totholzk feruntersuchungen in den Naturwaldreservaten _ Laangmuer und Betebuerger B sch 2007 wurde mit der Bestandserfassun
459. pte sur toute la surface foresti re Enfin le souhait des responsables de la commune de construire un chauffage collectif utilisant le bois n cessite une assurance en termes d approvisionnement en bois de chauffage Cet am nagement calcule les possibilit s et propose des am nagements en vue d une exploitation respectueuse des for ts Principaux r sultats de la r vision de l inventaire Surfaces Surface totale 643 99 ha Surface bois e 641 98 ha Surface non bois e 2 01 ha G ologie boulements de pentes 130 26 ha 20 23 Fonds alluviaux 10 12 ha 1 57 Gr s de Luxembourg 291 95 ha 45 20 Marnes 211 82 ha 32 89 Autres 0 74 ha 0 11 R partition des essences Feuillus 542 21 ha 85 R sineux 94 59 ha 15 Classes d ges e Manque prononc dans les classes de r g n ration et les jeunes peuplements e Exc dent dans les vieux peuplements 221 Repartiton des classes d ge sur la totalit de for t D 250 200 BPin Meleze BResineux 150 OAutres Feuill E Ch ne 100 D H tre 50 1 20 21 40 41 60 61 80 81 100101 12421 14441 16461 18481 200 201 Classe d L am nagement 2007 2016 Assurer la durabilit de l cosyst me forestier tout en optimisant les diff rentes fonctions cologiques sociales et productrices de la for t est le but de la gestion propos e dans le cadre de cet am nagement Le traitement syl
460. ptitude stationnelle pour la for t communale de Steinsel La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Steinsel a t entam e en 2007 mais ne pourra tre finalis que courant 2008 3 3 4 2 La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Lintgen Conditions naturelles La for t communale de Lintgen totalise 363 ha dont 357 ha bois s Elle est constitu e de quatre massifs principaux Ederschleed Seitert Laaschenterb amp sch et Houwald situ s l est de Lintgen ainsi que de quelques massifs satellites tr s dispers s et de tailles tr s diverses au sud et l ouest de Lintgen Situ e en majeure partie sur le Gr s de Luxembourg la for t communale de Lintgen pr sente des paysages typiques de ces sous sols des plateaux entour s de dalles rocheuses entrecoup s par des diaclases et fentes et qui sont prolong s par des versants plus ou moins pentus se terminant dans des vallons troits Les versants pr sentent des conditions assez h t rog nes avec des expositions profondeurs de sols et pentes qui peuvent varier l chelle de dizaines de m tres Le massif forestier du Seitert se trouve sur des sols marneux Quant l altitude comprise entre 250 et 410 m tres elle est la limite critique d environ 400 m tres au del de laquelle plusieurs essences comme les fr nes ch ne sessile ch ne p doncul merisier pin sylvestre et les tilleu
461. public les informations en mati re d environnement Dans ce cadre les campagnes suivantes doivent tre cit es 1 1 3 1 Un geste pour l environnement Cette campagne a t lanc e en janvier 2007 avec le soutien de 5 personnalit s connues du Luxembourg qui en pr sentant leur geste pour l environnement ont invit les citoyens pr senter le leur et marquer ainsi leur sensibilit pour l environnement mais aussi leur contribution la protection de l environnement dans leur vie quotidienne 1 1 3 2 Live Earth Le Minist re de l Environnement ensemble avec le Minist re de la Culture de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche le Minist re des Affaires Etrang res et de l Immigration Centre des communications ainsi qu avec la Ville de Luxembourg a contribu l organisation ainsi qu l animation du concert Live Earth qui a eu lieu le 7 juillet 2007 Le projet Live Earth qui consiste organiser une Journ e mondiale de concerts en faveur de la lutte contre le r chauffement de la plan te a t lanc par des d fenseurs de l environnement au premier rang desquels l ancien vice pr sident am ricain Al Gore Live Earth concert continu de 24 heures qui a eu lieu sur les sept continents est une invitation passer l action il marque le d but d une campagne de plusieurs ann es dirig e par l Alliance for Climate Protection pr sid e par Al Gore et partenaire de Live Earth
462. puis 2005 Le module de planification permet la saisie et l dition des plans annuels de gestion des propri t s foresti res et des zones prot g es Le module de planification de l application COBUPLAN doit devenir terme un syst me expert qui peut aider les gestionnaires tablir les plans annuels de gestion en se basant sur les donn es des ann es de gestion ant rieures Le module CO permet la gestion des factures Le module BU permet la gestion des budgets et des engagements En 2007 la maintenance de l application COBUPLAN a connu les versions 4 00 4 05 Les travaux suivants ont t r alis s e la migration vers PB 10 5 2 et Oracle 10g e int gration de la certification FSC et PEFC e la r solution en collaboration avec Sybase d un norme Bug dans l impression des plans de gestion apparu lors de la migration e l am lioration de l impression L application Carnet de denombrement CarnetO qui consiste saisir les mensurations des bois abattus en for t soumise et calculer les volumes a subi les volutions suivantes versions 8 00 8 01 e int gration de la certification PEFC et FSC e migration vers PB10 5 2 et Oracle 10g e l am lioration de l impression e la correction de divers bugs 305 L application Martelage versions 4 00 a 4 01 g re les relev s de d signation des arbres destin s aux ventes En 2007 l application a t mi
463. quantit s papier carton verre creux mati res plastiques bois contamin et d chets probl matiques ont augment Les quantit s de m taux et les d chets encombrants ont baiss en 2006 apr s une hausse en 2005 Quantit s globales des parcs de recyclage 2000 2006 Quantit s en tonnes par an Ann e Papier Carton Verrecreux M taux Mati res plastiques D chets probl matiques D chets encombrants 6082 25 2907 33 3427 55 957 49 6515 98 1041 66 6169 33 2001 6235 65 6706 87 2002 6958 63 6670 71 2008 7043 62 6066 41 2004 7474 84 2005 7604 58 2006 7862 63 7543 15 Quantites globales collectees dans les parcs de recyclage SS tonnes par an ES Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques Bois charg s D chets D chets encombrants probl matiques I 2002 52003 E 2004 D 2005 D 2006 La quantit annuelle totale des d chets collect s dans les parcs conteneurs a augment de 64 877 tonnes en 2005 65 263 tonnes en 2006 ce qui repr sente une croissance de 0 8 Le graphique suivant indique les quantit s sp cifiques par habitant des zones d attraction des parcs conteneurs pour quelques fractions 130
464. r une main d uvre plus qualifi et plus motiv Apr s plusieurs interventions de longue date aupr s des instances comp tentes afin de r gler le probl me de l indemnisation des frais de d placements des ouvriers forestiers oblig s de se rendre au moyen de leur voiture personnelle leur lieu de travail en for t le gouvernement en conseil a finalement adopt en date du 30 novembre 2007 l avenant au contrat collectif accordant aux ouvriers forestiers une indemnit de mise disposition de la voiture priv e pour des d placements de service Cette mesure devrait mettre un terme une situation qui tait source de r clamations fr quentes de la part du personnel ouvrier La r partition de l effectif du personnel ouvrier se pr sente au 31 12 2007 comme suite 174 Cantonnement Nombre d ouvriers 41 Luxembourg Est Mersch 32 Wiltz 45 Direction TOTAL D parts 11 ouvriers Engagements 3 ouvriers Reclassement interne 2 ouvriers Avec une r duction de 8 unit s par rapport 2006 l effectif total du personnel continue conna tre une tendance vers le bas Deux ouvriers ont t d clar s inaptes par la commission mixte de reclassement des travailleurs incapables exercer leur dernier poste de travail Le reclassement de ces ouvriers reste un probl me tr s pr occupant pour l Administration des Eaux et For ts dans la mesure qu il devient de plus en
465. r glement du Parlement europ en et du Conseil relatif aux statistiques sur la gestion des d chets CE n 2150 2002 En 2007 le groupe Statistiques de l Environnement sous groupe Statistiques sur la gestion des d chets s est r uni Luxembourg Kirchberg Au cours de cette r union EUROSTAT a pr sent les premiers r sultats sur les donn es de la premi re ann e de r f rence Les donn es et les rapports de qualit taient complets n anmoins la Commission avait pr sent plusieurs points faibles surtout en ce qui concerne la qualit des donn es Dans un m me temps elle a propos des am liorations pour le futur La Commission a pr sent une proposition de r glementation pour l laboration de statistiques sur l importation et l exportation des d chets L Autriche a pr sent son projet pilote concernant les statistiques dans le cadre des op rations de pr traitement des d chets Le r glement CE 2150 2002 a t modifi dans le cadre du Reglement CE 1893 2006 modifiant la nomenclature statistique des activit s conomiques NACE R v 2 Les statistiques se rapportant aux activit s conomiques r alis es partir du premier janvier 2008 seront d sormais tablir par les Etats membres sur la base de la NACE Rev 2 R vision de la directive cadre relative aux d chets Les travaux au niveau communautaire en relation avec la revision de la directive cadre ont t poursuivis au cours de l a
466. r Fangzahlen kontinuierlich In Sauel Beckerich und Bastendorf erfolgt eine kontinuierliche Abnahme bis zum Jahr 2005 von 16274 K fern auf 1771 Saeul Beckerich beziehungsweise von 36968 auf 14042 Bastendorf um 2006 wieder anzusteigen auf 5087 in Saeul Beckerich beziehungsweise 2533 Individuen in Bastendorf In Bastendorf wurden 2005 nur 1843 K fer gefangen Am Fallenstandort Perl ist die Abnahme der Fangzahlen von 27981 Trypodendron domesticum 2002 auf 1860 m Jahr 2003 sehr sprunghaft Danach erfolgt bis 2005 em kontinuierlicher Anstieg auf 4472 K fer und zum Jahre 2006 ein sprunghafter Anstieg auf 15216 Exemplare Auf allen drei luxemburgischen Fallenstandorten nehmen die Fangzahlen 2007 erneut ab und liegen bei 2751 in Saeul Beckerich 4633 in Perl und 2313 in Bastendorf 263 Im Jahre 2006 kommt es auf den Fallenstandorten von Luxemburg also zu einem erneuten Anstieg der Populationen von Trypodendron domesticum ohne dass ein konkretes Kalamit tsereignis vorangegangen w re Kl maprognosen lassen f r die Zukunft eine Zunahme der Klimaextreme erwarten Vor allem Trockenheit und Hitze sollen zunehmen was die Resistenz der B ume schw cht und die Entwicklung vieler Insektenpopulationen beg nstigt Aus Gr nden besserer Vergleichbarkeit und einheitlicher Bezeichnung wurde m Rahmen des Flugverlaufs der K fer von drei m glichen Maxima ausgegangen Im Jahre 2007 lagen diese Maxima wie folgt Das erste Maximum Mitte M rz das
467. r la m moire des enfants et leur permet d apprendre conna tre la flore et la faune de cette r serve Les cartes se d posent faces cach es sur table Tous les joueurs tentent de former le plus grand nombre de paires gagn celui qui obtient le plus de cartes Toutes les photos ont t prises par Monsieur Raymond Gloden responsable sur le terrain du site Haff R imech Le jeu est distribu gratuitement 3 3 10 Travaux divers Expertise R daction d une expertise sylvicole et phytosociologique dans le cadre d une enqu te judiciaire sur un d frichement ill gal Participation active un colloque international sur la recherche dans les r serves foresti res int grales Le 22 mai 2007 a eu lieu la Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Baden W rttemberg un colloque international sur la recherche dans les r serves foresti res int grales sous la d nomination Herausforderung Bannwald Naturwaldforschung im nationalen und internationalen Kontext Le service de l Am nagement des Bois y a pr sent quelques aspects int ressants en relation avec le projet des r serves foresti res int grales au Grand Duch de Luxembourg sous le titre Naturwaldreservate in Luxemburg Erfahrungen und Gedanken bei der Konzeption der Umsetzung und dem Monitoring Participation active des expositions Louhecken Mat Lou zum Lieder mai 2007 Weekend du bois septembre 2007 Centre Forestier Burfe
468. r le secr tariat du BENELUX est pr vu pour le printemps 2008 Le chef d arrondissement a galement particip la mise en uvre de divers projets confinanc s par l Union Europ enne e Interreg III o Nat Our am liorations cologiques sur l Our et ses affluents projet transfronalier DELUX o Contrat de rivi re Haute S re responsabilisation des institutions et particuliers concern s par le cours d eau projet transfrontalier WLL 291 e LIFE Nature o Moule perli re projet national mis en uvre par la Fondation HFN pour la sauvegarde de la moule perli re avec cr ation d une station d levage au moulin de Kalborn cofinanceurs UE MIAT MENV MTP MNHN o Landes nardus stricte projet transnational suivi au Luxembourg par la Fondation HFN destin revitaliser les landes silicieuses abritant une flore en voie de disparition Dans le cadre d un stage une tudiante en sylviculteur a r alis une analyse synth tique des travaux de d r sinement de fonds de vall es effectu s dans le cadre de 2 projets Interreg Activit s diverses e Taille m canique de haies sur le territoire de plusieurs communes e Entretien du monument de l Europe Troisfronti res pr s de Lieler e Cartographie de la v g tation naturelle potentielle dans la commune de Heinerscheid financ e par le Minist re de l Environnement e Projets de protection des esp ces rares et menac es Chouette chev che
469. r les preuves de l examen 40 100 Certificat de r ussite toutes les preuves de l examen 30 75 0 Epreuve orale 38 100 32 84 6 1 158 3 5 5 Le Conseil Superieur de la chasse Suivant les termes de la loi du 2 avril 1993 modifiant et compl tant la l gislation sur la chasse le Conseil Sup rieur de la chasse a pour mission e d adresser de son initiative des propositions au Ministre en mati re de chasse et de conservation du gibier e d mettre son avis sur toutes les questions et tous les projets que le Ministre lui soumet et notamment sur les mesures l gislatives et r glementaires touchant directement la chasse Au cours de l ann e 2007 le Conseil Sup rieur de la chasse a discut les mati res suivantes e Calendrier d ouverture de la chasse pour l ann e cyn g tique 2007 08 e Emploi de munition plomb pour la chasse dans les zones humides e Adaptation de la D cision Benelux M 83 17 concernant l emploi de certaines armes et munitions pour l exercice de la chasse e D veloppements politiques en relation avec la chasse e Plan de chasse dispositifs de marquage pour le cerf 3 5 6 BENELUX Groupe de travail Chasse et Oiseaux Le service de la Chasse participe r guli rement aux travaux de ce groupe install par l Union Economique Benelux en vue de l harmonisation des dispositions concernant la chasse et la protection des oiseaux En 2007 le service a particip la r union suivante R
470. rand ducal modifi du 13 f vrier 1979 concernant le bruit dans les alentours imm diats des tablissements et des chantiers 108 2 6 11 Les activit s du service d conomies d nergie Le service des nergies renouvelables a la mission d instruire les dossiers relatifs aux aides tatiques se r f rant aux nergies renouvelables plus pr cis ment pour les dossiers de demande introduits dans le cadre des r glements suivants l R glement grand ducal modifi du 17 juillet 2001 instituant un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise n oeuvre des sources d nergies renouvelables aides l investissement 2 R glement grand ducal modifi du 28 d cembre 2001 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique solaire de la biomasse et du biogaz 3 R glement grand ducal modifi du 3 ao t 2005 instituant un r gime d aides pour des personnes physiques en ce qui concerne la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en oeuvre des sources d nergies renouvelables aides l investissement 4 R glement grand ducal du 3 ao t 2005 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique de la biomasse et du biogaz 2 6 11 1 Aides financi res aux particuliers pour les investissemen
471. rand duch s y sont inscrites afin de passer une journ e ducative dans et autour les centres d accueil Dans le but d attirer des visiteurs adultes les centres d accueil de l Administration des Eaux et For ts ont lanc en 2007 un programme proposant des visites guid es th matiques en rapport avec la nature Les visites ont t men es par un agent de l Administration des Eaux et For ts sur un des sentiers d un centre d accueil et ont eu lieu le weekend Cette nouvelle initiative a galement connue un succes Un nouveau site internet sur les centres d accueil a t int gr dans l arborescence du site internet du Minist re de l Environnement L adresse web www centresnatureetforet lu facilite l acc s direct L utilisateur y trouve des renseignements sur les centres d accueil et ses expositions les activit s les r serves naturelles environnantes et les sentiers didactiques Les brochures sur les centres d accueil les r serves naturelles avoisinantes et les sentiers didactiques ont t r imprim s et actualis s et sont accessibles depuis 2007 en document PDF sur le site internet du service conservation de la nature Le centre d accueil Ellergronn Esch sur Alzette R partitions des visiteurs par partenaire en 2007 SE 2000 1500 1000 Hombre de visiteurs s00 Eaux et For ts Entente Mine Mus e National de Waldscho
472. randes fissures dues la s cheresse et un engorgement important en hiver Cette particularit rend le choix des essences difficile et soumet les arbres des stress importants En g n ral sur les substrats calcareux les sols sont assez riches en l ments min raux La h traie M lique avec diff rentes sous associations ainsi que la ch naie charmaie Primev re repr sentent plus de trois quarts de la propri t Ils refl tent la richesse des milieux pr sents L accessibilite la for t communale de P tange est en g n ral d une bonne moyenne Les contraintes pour l exploitation sont surtout dues la topographie et la nature du sol En effet les sols argileux lourds rendent impossible le travail pendant les p riodes humides Le passage de grands engins de d bardage est susceptible de causer des d g ts irr versibles aux sols et donc indirectement aussi aux peuplements forestiers La forte pr sence humaine lors du 20e si cle dans ces for ts li e au travail dans les mines explique aussi la pr sence de nombreux dangers tels des c bles bouts de ferraille ou encore panneaux d laiss s Une partie des arbres pr sentent de la mitraille de la deuxi me guerre mondiale La majorit des peuplements forestiers 47 se pr sentent sous forme de h traie ch naie Au fil des ann es la dominance du h tre s est fait remarquer et on assiste une volution vers des h trai
473. ransferts de d chets c est dire la transmission pr alable des donn es relatives aux transferts Dans une deuxi me phase il est planifi d tendre le projet galement sur les donn es relatives la r ception et au traitement des d chets Ces donn es doivent tre fournies par le destinataire des d chets ce qui implique que le destinataire doit envoyer ces donn es par syst me lectronique son autorit comp tente ou l Administration de l Environnement autorit comp tente luxembourgeoise Vu la situation de responsabilit 1l serait avantageux que la transmission des donn es se fasse en passant par l autorit comp tente du destinataire Au cours de l laboration du projet pilote de transmission lectronique de donn es entre le Luxembourg et le Rh nanie Palatinat l administration s est galement int ress e au syst me de transmission lectronique europ en EUDIN actuellement en phase de projet pilote ce projet participent l Autriche le pays allemand Nordrhein Westfalen et les Flandres Ce syst me pr voit le lien entre les applications nationales d acquisition des donn es existantes par deux modules sp cifiques dont un module appel Electronic Message Broker et d un module de transmission des donn es de la base de donn es nationale appel module 3 vers le Message Broker Le Message Broker fonctionne comme un centre de tri postal qui re oit les donn es des diff rentes autorit s connect es
474. rassica oleracea La p riode d exposition s tend g n ralement de mi mai vers mi juillet et de mi septembre mi decembre Lors de cette exposition au site d observation ce l gume feuille se charge en polluants traces lors de la phase de croissance e le c leri feuille esp ce Apium graveolens La phase de croissance fix e pour le c leri feuille dans ce programme de surveillance est de mi juillet mi septembre 93 Suivi des niveaux en dioxines furannes et en plomb durant l ann e 2006 et 2007 e DIOXINES FURANNES et PCB PCDD PCDF PCB Depuis l ann e 2004 l Administration de l Environnement applique la recommandation de OMS en rajoutant aux quivalents de toxicit des dioxines et furannes OMS TEQ les quivalents de toxicit OMS TEQ des PCB Cette recommandation de POMS s inscrit dans un renforcement de la lutte contre les niveaux actuels en dioxines furannes et en PCB jug s trop lev s La figure ci dessous montre l valuation de la situation l aide de la biosurveillance par les mousses terrestres Le milieu rural Beckerich Osweiler Nospelt pr sente des niveaux bas caract risant la pollution de fond Les sites de Leudelange SIDOR Bettembourg et Wiltz sont proches de cette pollution de fond Les sites proximit de zones d activit s industrielles importantes Differdange Esch Alzette et Schifflange montrent des niveaux significativement plus lev s Schifflange Cit um Benn Cite
475. rbiers a t poursuivi Ces activit s se d roulent en troite et permanente collaboration avec les coll gues allemands de la station de recherche de Trippstadt Certaines for ts du cantonnement ont t certifi es au courant des ann es 2005 et 2006 Le systeme de certification PEFC actuellement en vigueur garantit l origine conforme des bois r colt s et atteste notamment qu une gestion durable des for ts a lieu Aux fins de pouvoir donner des garanties une cha ne de contr le est install e par PEFC En effet le bois doit tre produit et g r selon les r gles de l art et selon les crit res PEFC et chaque entreprise travaillant et revalorisant le bois est contr l e son tour Et les entreprises relayent les efforts accomplis jusqu au consommateur La certification doit obtenir et apporter la garantie que ces produits proviennent de for ts certifi es Aux fins d atteindre ce but un contr leur externe venant d une entreprise d Allemagne a proc d par chantillonnage et a exerc le contr le de certaines for ts domaniales et communales du cantonnement Le chef du cantonnement forestier de Grevenmacher a particip un colloque la station de recherche foresti re de Freiburg D et une excursion organis e par l administration foresti re de la Rh nanie Palatinat dans les for ts domaniales de Rh nanie Palatinat 3 2 5 12 Manifestations r gionales Les pr
476. rborn est repr sentative pour les h traies ainsi que les ch naies charmaies sur les sols limoneux du Keuper D s pr sent on peut y observer une forte proportion en bois mort voire s nescent ce qui rend cette for t particuli rement int ressante pour le projet de r serve foresti re int grale Cette for t est galement structur e dans son ensemble et assez diversifi e dans la composition de ses essences ligneuses Comme essences principales on retrouve le ch ne rouvre le ch ne p doncul le h tre le fr ne et le charme La for t du Bois de Herborn est galement caract ristique pour ses mardelles lesquelles se situent surtout dans la partie est du massif forestier Le projet de r serve foresti re int grale Hierberb amp sch est enti rement situ dans la Zone Sp ciale de Conservation LU0001016 Herborn Bois de Herborn Echternach Haard qui a t d sign e dans le cadre de la mise en uvre de la Directive Habitats 92 43 CEE du Conseil Cette for t a d ailleurs int gralement t propos e comme zone humide dans la d claration d intention g n rale DIG de 1981 La surface d limit e pour le projet contient une superficie de 73 ha laquelle appartient int gralement la commune de Mompach Etat d avancement Le 4 janvier 2006 une pr sentation du projet de r serve foresti re int grale RFI Hieberb sch a eu lieu devant le conseil communa
477. re acc s la for t sur les chemins et promenades En effet au cours des derni res d cennies les activit s r cr atives en for t promenades circuits VTT pistes questres points de vue aires de stationnement etc n ont cess de cro tre et parfois sans l accord du propri taire surtout aux alentours des centres urbains Il faut cependant savoir que la for t comporte un certain nombre de dangers inh rents son caract re naturel Une s curisation de nos for ts outrance par le propri taire respectivement par le gestionnaire est incompatible avec le caract re naturel de la for t Il est minemment important que la responsabilit civile du propri taire respectivement du gestionnaire soit clarifi e Vers la fin de l ann e 2007 le Gouvernement a d cid qu une assurance responsabilit civile sera souscrite en 2008 par l tat pour toute la for t du Grand Duch de Luxembourg for t priv e et for t soumise au r gime forestier pour les activit s de loisir et de tourisme Au cours des premiers mois de l ann e 2008 ce dossier sera finalis Q La chasse L Administration des Eaux et For ts a jou un r le actif dans les travaux pr paratoires une r vision de la l gislation de la chasse en participant l hearing public dans la Chambre des D put s Q La r forme de l administration Les travaux pr paratoires une r forme de l Administration des Eaux et For ts ont t au c
478. remembrement de Dellen en collaboration avec le Sicona Centre et le bureau d Etudes ERSA et avec l aide active des agriculteurs de Dellen propri taire des terrains en question R unions colloques et conf rences En sa qualit de membre du bureau du syndicat mixte Etat Communes du Parc Naturel de la Haute S re le chef d Arrondissement Nord a particip de nombreuses r unions du bureau et du comit de ce parc naturel Comme membre du Comit du parc naturel de l Our l est galement actif dans le cadre de la r alisation du Plan vert directeur pour le parc naturel de l Our Le Sous Groupe Sud du Groupe de travail Inventaire des instruments politiques et zones naturelles transfrontali res de la section Conservation de la nature et protection des sites de la Commission sp ciale pour l Environnement du BENELUX dont fait partie le Chef d Arrondissement a cl tur ses travaux de r alisation d un Plan de Base Ecologique et Paysager transfrontalier avec la Wallonie destin coordonner et aligner les mesures de gestion de part et d autre de la fronti re dans l int r t des milieux naturels et des esp ces de la faune et de la flore rares cofinanc dans le cadre d un projet Interreg III Une r union de pr sentation et d information transfrontali re pour tous les utilisateurs potentiels du PBEPT communes administrations bureaux d tudes organis e pa
479. rentes tapes en vue de la recherche de nouveaux sites notamment dans les r gions centre sud ouest et l Est du pays Apr s une proc dure de soustraction des zones non prioritaires telles qu elles ont t d finies par le r glement grand ducal du 9 janvier 2006 y inclus un cordon tampon de 500 m autour des agglom rations 22 sites potentiels en tout ainsi que 2 variantes pour l implantation d une d charge pour d chets inertes ont t retenus Site s retenu s Gaaspech Uecht Niderterhaff Waldbillig S isswiss Stengecht H icht Ronnebesch Ronneb sch Variante Kuelheck Hesperange Beischent G isb sch Heichteb amp sch Ronneb sch Variante Kuelebierg Bech Wuewer H lzegriecht H lzegriecht Uewen Alpich Weckerberg Wuewer Junglinster Uewen Alpich Dauwefeld Mansberhiwelen Viischten Uewerb sch Duelenh icht _Weckerberg Consdorf Dr isch Dreisch Variante 150 Les sites ainsi retenus ont t soumis l valuation par rapport aux crit res figurant dans annexe V du r glement grand ducal du 9 janvier 2006 Conform ment aux dispositions de l article 5 dudit r glement les communes sur le territoire desquelles un site potentiel est situ en ont t inform es en date du 3 septembre 2007 L valuation des sites a galement t transmise aux communes Les communes ont t invit es remettre leurs rapports dans un d lai de trois mois
480. res d conomie d nergie dans le domaine du b timent ou dans le recours des sources d nergie renouvelables pour le chauffage lequel est entr en vigueur le 1 janvier 2008 a t pr par tout au long de l ann e 2007 Ces nouvelles aides soutiennent notamment la construction de maisons performance nerg tique lev e en mettant un accent particulier sur les maisons dites passives ainsi que l assainissement nerg tique m me partiel des b timents existants Elles encouragent galement le recours aux installations solaires thermiques aux pompes chaleur aux chaudi res fonctionnant aux pellets et aux plaquettes de bois ainsi que le remplacement des chaudi res faible rendement Une brochure destin e tous les m nages a galement t pr par e Les nouvelles aides se basent entre autres sur une tude des potentiels des sources d nergies renouvelables conclue d but 2007 Il s agit d une tude tablie sous le pilotage de l Agence de l Energie et cofinanc e par le Minist re de l Environnement et le Minist re de l Economie et du Commerce ext rieur e Taux de TVA r duits pour produits conomes en nergie Le gouvernement a d clar vouloir plaider en faveur de taux de TVA r duits pour des produits permettant d conomiser de l nergie e 2 plan national d allocation de quotas d mission de gaz effet de serre la responsabilit de l industrie Pour ce qui concerne
481. res e o Amberkneppchen Junglinster o surveillance et contr le du pacage o surveillance de la population d Orchis morio et du gen vrier o entretien et r paration des cl tures o fauchage e _ Geyershaff Geyersknapp Bech o mesures de gestion o d broussaillage e _ Vall es de la Mamer et de l Eisch o installation de cl tures o chemin didactique Gosseldange e Calmus Hassel Kapweiler a o mesures de gestion e _ Hossebierg Eppeldorf o d broussaillage o suivi scientifique de la v g tation e oo P ttenerboesch o installation de cl tures e Carri res de Gilsdorf o plan de gestion o restauration d un abri didactique Propositions d acquisition En 2007 l Arrondissement CN Centre a fait une proposition en vue d une acquisition d un terrain dans la r serve naturelle projet e Calmus Hassel Kapweiler 287 Participation l laboration de dossiers de classement et de plans de gestion En 2007 le CN Centre a particip l laboration des dossiers de classement des r serves naturelles suivantes RN RD 17 Carri res de Gilsdorf Schofsboesch RN RD 03 Reisdorf Wangert RN RD 05 L ibierg RN RD 06 Mandelbaach RN RD 09 Amberkneppchen RN RD de la Mamer RN RD 14 Schwarzenhaff RN Gr newald RN RD 08 Koedingerbrill RN PS 14 Weimericht pelouses s ches de la vall e de l Alzette Remembrement
482. reshwater mussels In Abstracts of the 14th European Congress of Herpetology 19 23 September 2007 Porto Portugal 3 4 1 14 Divers Participation au 5 me Congr s europ en de Mammalogie 21 26 Septembre 2007 Siena I Participation au 7 me Colloque International de Saint Hubert 10 ao t 2007 Saint Hubert B Participation au colloque Grand gibier l urgence dans le cadre de la Coop ration Renouveau Sylvicole 20 d cembre 2007 Namur B 3 4 2 Les arrondissements de la conservation de la nature 3 4 2 1 L Arrondissement CN Sud Plantations dans le cadre de la cr ation des biotopes en zone verte Arbres et haies avec le club ROTARY Mompach au lieu dit beim K mpelbesch plantation d un verger au lieu dit Hestelen Plantation de 22 arbres fruitiers aux lieux dits Op de Quaerten op Held a Olingen et Riedgen Roodt Syre Plantation de 10 arbres fruitiers et solitaires au Haff R imech Biwer lieu dit Wakelter pour la journ e de l arbre plantation de 120 m de haies de 6 arbres solitaires avec protections 6 gen vriers et 10 arbres fruitiers avec les enfants de l cole primaire de Biwer Plantation d un rideau de verdure l aide de haies et d arbres fruitiers autochtones autour de la nouvelle ferme isol e de M De Jong Fentange dans le cadre de la journ e de l arbre 2007 Plantation du Kannerboesch pour les 190 nouveaux n s de l ann e 2006 qui habitent
483. restiers disposant d un second bureau domicile sont au nombre de deux Afin de r mun rer les diff rentes administrations communales et les secteurs autres que le secteur des administrations publiques mettant disposition un bureau un pr pos forestier l Administration des Eaux et For ts a initialis en collaboration avec la Commission des Loyers la prise en location par l tat de ces bureaux depuis le ler janvier 2005 3 1 7 La formation 3 1 7 1 La formation initiale En ao t 2007 l Administration des Eaux et For ts a organis un examen concours d admission au stage dans la carri re du pr pos des Eaux et For ts Les six stagiaires retenus ont commenc leur stage le 1 novembre 2007 et seront donc op rationnels fin d ann e 2009 La formation sp ciale des stagiaires l Ecole foresti re se fera en blocs de 2 3 mois pendant les ann es 2008 et 2009 3 1 7 2 La formation continue La formation continue des agents En 2007 l Administration des Eaux et For ts a organis les cours de formation continue suivants e Initiation la futaie irr guli re 1 jour 25 personnes e Adobe Indesign CS3 12 heures 1 personne e Einf hrung in das Arbeiten mit dem Geografischen Informationssystem ArcGIS 16 heures 6 personnes e Einsatzm glichkeiten des Geografischen Informationssystem ArcGIS in der Natur und Forstplanung 12 heures 6 personnes La formation continue des ouvriers fore
484. reuils ont t accord s aux locataires de chasse respectifs Deux demandes ont t avis es d favorablement Esp ces de gibier concern es par les demandes en r vision une demande peut concerner plus d une esp ce Cerf m le Cerf femelle Nombre de demandes avis es favorablement NS MR CRE DRE Sa Nombre de demandes avis es defavorablement Dan MG AE Nombre suppl mentaire d animaux autoris s tirer 29 39 B9 3 5 2 8 Le marquage du mouflon et du sanglier La chasse aux esp ces sanglier et mouflon ne tombe pas sous les dispositions relatives l tablissement d un plan de chasse Le transport de ces esp ces est n anmoins soumis la fixation pr alable d un dispositif de marquage en tant que mesure de lutte contre le braconnage Ces dispositifs peuvent tre demand s par les adjudicataires du droit de chasse aupr s de l Administration des Eaux et For ts Ainsi le nombre de dispositifs de marquage attribu s jusqu cette date aux locataires de chasse pour la p riode cyn g tique 2006 2009 est le suivant MM mouflon m le 982 MF mouflon femelle 1 054 SM sanglier m le 15 012 SF sanglier femelle 15 025 Le relev des mouflons et sangliers tir s pendant les six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort 296 mouflons m les 34 57 62 57 58 81 mouflons femelles 17 57 50 51 55 69 agneaux 14 17 28 22 2
485. rgence externe en ce qui concerne la partie environnementale PUE PCPE sera labor apr s finition du PUE PCPP partie protection des personnes 61 Entreprises tombant sous les crit res de la colonne 2 SEUIL BAS Adresse s Substance s dangereuse s ARCELORMITTAL Z I Krakelshaff Substances tr s toxiques T sels de BETTEMBOURG L 3225 Bettembourg cyanures Substances toxiques T solution de laitonnage d chets de cyanures ARCELORMITTAL Z I Wolser Substances tr s toxiques T diverses DUDELANGE L 3452 Dudelange CHEMOLUX rue de l Industrie Substances comburantes O percarbonate de L 3895 Foetz sodium Substances dangereuses pour l environnement I ac tate de zinc rue G n ral Patton Entrestockage de substances dangereuses L Contern gasoil m thanol ac tyl ne Gaz liqu fi s extr mement inflammables y compris GPL et gaz naturel gaz naturel Substances facilement inflammables n pentane Substances extr mement inflammables vinylid ne pentane d cane paracymene diverses m thane Substances dangereuses pour l environnement I diverses Substances dangereuses pour l environnement II diverses S A L 8069 Bertrange PLANT L 8850 Colmar Berg l environnement diverses GOODYEAR WIRE route du Roost Substances tr s toxiques T sels de PLANT L 7791 Bissen cyanures Substances toxiques T ammoniac solution de laitonnage d chets de cyanures Gaz liqu fi s extr mement inflammables y compris GPL e
486. risations ont t revues v rifi es et compl t es en fonction des crit res suivants e valeurs limites d mission e les dispositions relatives la minimisation de la pollution longue distance e es mesures relatives aux conditions d exploitation autres que les conditions d exploitation normales e la surveillance r guli re des rejets e les r sultats de la surveillance des rejets Ainsi avant d arr ter d finitivement les conditions d exploitation suppl mentaires les exploitants ont t inform s de l actualisation de leurs autorisations conform ment au r glement grand ducal du 8 juin 1979 relatif la proc dure suivre par les administrations relevant de l Etat et des communes 2 5 9 Unit construction infrastructures artisanat et loisirs 2 5 9 1 Zones d activit s commerciales artisanales et industrielles Avec l entr e en vigueur de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s ainsi que du r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s le l gislateur a exprim la volont de faciliter aux tablissements artisanaux l obtention d une autorisation d exploitation conform ment la loi en question La facilit se situe notamment au niveau de la proc dure d autorisation En effet les demandes d autorisation de ces tablissements ne doivent pas tre soumises une enqu te publique lorsque ces tabli
487. rises qui ont mis en place un syst me individuel pour les EEE de type professionnel ECOTREL avait organis un premier Eco voyage vers les installations de traitement des DEEE collect s Le premier voyage consistait en une visite du centre de regroupement de la SuperDrecksK scht Colmar Berg L apr s midi l installation de la SEG Umweltservice GmbH Mettlach tait visit e qui traite les appareils contenant des CFC 2 7 9 4 Les quantit s de DEEE collect s En 2007 l asbl ECOTREL a pris en charge 3 985 592 kg de d chets d quipements lectriques et lectroniques 135 748 453 kg Petits blancs bruns et gris 1 478 265 kg Ecrans CRT 886 802 kg Appareils r frig rants 791 922 kg 63 721 kg Radiateurs bain d huile 766 kg TOTAL 3985 592kg Le taux moyen annuel de collecte s lective de DEEE provenant des m nages tel que fix par le r glement grand ducal de 4 kg par habitant an atteindre pour le 31 d cembre 2006 au plus tard est largement d pass avec 8 37 kg par habitant Au niveau europ en le Luxembourg se situe ensemble avec la Norv ge et la Suisse parmi les pays qui ont le taux de collecte le plus lev 2 7 9 5 Les contr les Au cours de l ann e l Administration de l Environnement tait contact e plusieurs fois par l Administration des Douanes et Accises du Cargo Centre de l a roport dans le contexte de la non conformit d appareils lectriques et lectroniques qui ta
488. rofit de l occasion pour pr senter ses points de vues en la mati re en particulier le calcul des missions d apr s une logique de consommation et non selon le principe de territorialit la prise en compte de crit res telles la taille et la croissance de l conomie nationale dans le cadre du burden sharing des approches sectorielles au niveau communautaire de pr f rence des approches nationales 1 5 3 6 Emissions de CO des voitures Suite au d bat d orientation men le 20 f vrier 2007 le Conseil environnement du 28 juin 2007 a adopt des conclusions sur la strat gie communautaire de r duction des missions de CO des voitures et v hicules commerciaux l gers pr sent e par la Commission en f vrier 2007 La proposition de directive aff rente a t pr sent e par la Commission en d cembre 2007 L objectif fix qui est d atteindre 120g km CO en 2012 comporte une r duction des missions 130g km pour la moyenne du parc des voitures neuves gr ce des am liorations dans le domaine de la technologie des moteurs et une r duction suppl mentaire de 10g km gr ce des mesures technologiques compl mentaires et un usage accru des biocarburants 1 5 3 7 OGM Le Conseil environnement du 20 f vrier 2007 a adopt la majorit qualifi e LU en faisant partie une d cision rejetant la proposition de la Commission demandant la Hongrie d abroger l interdiction de l utilisation et de la v
489. roisvierges Troisvierges z 1 Troisvierges Gare SICLER section H de Biwisch section F de Troisvierges bei der M hle Wellenstein Adm com de Wellenstein section B de Bech lieux dits Tellefeld et M sberg Wincrange Clervaux z i Eselborn Lentzweiler SICLER Syndicat intercommunal Eselborn Lentzweiler Wiltz 1 Adm com de Wiltz section lieu dit Grousslitschent Wormeldange z a Wormeldange Haut Adm com de Section C de Wormeldange Wormeldange Section E de Dreiborn Lieu dit Op Tomm En 2007 deux dossiers de demande ont t d pos s aupr s de l Administration de l Environnement et concernant le point 363 de la nomenclature des tablissements class s Ces deux dossiers concernent chacun la mise en conformit d une zone dont l am nagement n a pas encore t finalis Avant le d p t d un dossier de demande relatif une zone d activit s l Administration de l Environnement est en principe d j saisie du dossier En effet un dossier de demande conforme aux dispositions de la loi en question doit pr ciser les incidences d un projet sur l environnement en tenant compte de la situation y existante Par cons quent 1l y a lieu de consulter les autorisations d j d livr es pour les tablissements class s situ s dans les alentours imm diats de la zone d activit s projet e 2 5 9 2 Zones oliennes En 2007 l exploitation d un nouveau parc olien no 11 d une puissance tot
490. ront n anmoins mettre en place des fonds qui permettent de prendre en charge les frais d assainissement si le responsable de la pollution n existe plus ou n est pas solvable L administration a particip directement et indirectement aux travaux du groupe de travail environnement afin que les int r ts luxembourgeois puissent tre pris en consid ration A l occasion du Conseil Environnement des Ministres de l Union europ enne qui s est tenu en date du 20 d cembre 2007 une majorit qualifi e pour l accord politique relatif la proposition de directive cadre sur la protection du sol n a pas pu tre atteinte La suite de cette proposition de directive reste d s lors incertaine Les r unions au niveau europ en L Administration de l Environnement participe r guli rement aux r unions du Technical Adaptation Comit TAC Bruxelles En 2007 le TAC s est r uni quatre fois dans le cadre de diff rentes directives europ ennes ayant trait la gestion des d chets savoir e 2 r unions dans le cadre de la directive 2002 95 CE et 2002 96 CE DEEE et RohS e 2 r unions dans le cadre de la nouvelle directive 2006 66 CE piles et accumulateurs e r union dans le cadre de la directive 2000 53 CE pas de participation du Luxembourg Au niveau du TAC DEEE et RohS plusieurs th mes ont t discut s R vision de la directive RohS Contr les de conformit des EEE quant la directive RohS dans les Etats m
491. roupant les diff rentes listes des d chets dans sa classification Ainsi les listes vertes et oranges sont constitu es partiellement des listes de la Convention de B le et du syst me de classification de l OCDE Cependant la majeure partie des cat gories de d chets reprises par le r glement communautaire proviennent du syst me de la Convention de B le Le r glement CE N 1013 2006 r duit le nombre des proc dures appliquer en mati re de transferts de d chets 2 c est dire e la proc dure pour d chets faisant partie de la liste verte respectivement destin s une analyse en laboratoire lt 25kg e la proc dure pour d chets faisant partie de la liste orange Le syst me de notification pour d chets de la liste orange ne pr voit plus l accord tacite des autorit s comp tentes sauf pour les autorit s comp tentes des pays de transit Le nouveau r glement pr cise dans son annexe II les informations qui doivent tre contenues dans la notification pr cision qui manquait au r glement ant rieur Il fixe des d lais d instruction respecter d sormais par l autorit comp tente d exp dition Il rend obligatoire la transmission des donn es de notification aux autres autorit s comp tentes concern es par l autorit comp tente d exp dition ce qui auparavant tait facultatif Par le r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 relatif certaines modalit s d application du r glement CEE N
492. rt Triage Dudelange 1 accident avec gibier Triage Niederanven 5 renards 3 chevreuils 2 sangliers Triage Sandweiler 10 interventions Triage Kiem 6 accidents Chasses Chasses domaniales Les triages de Waldhof et de Kiem ont particip s l organisation d une battue dans la r serve cyn g tique de Gr newald Ces chasses ayant pour but de recenser le gibier en sa totalit et en m me temps de r gler la densit des sangliers et chevreuils A ces fins les traques s tendent sur des superficies d passant r guli rement 250 ha En m me temps 1l semble vident que ces chasses domaniales ont certainement un caract re mod le et ducatif en g n rale Pour suffire toutes ces facteurs une pr paration minutieuse est requise afin de garantir d un cot le succ s et d autre part un maximum de s curit pour tous les participants ainsi des promeneurs ventuels Les activit s combin es de l affut de l approche ainsi que des battues ont donn le r sultat suivant Brocards 9 Battue du 15 novembre 5 sangliers 7 chevreuils Le gibier a t vendu au profit de la caisse g n rale de l Etat Chasse divers Le triage de Waldhof a aid l Administration de l A roport r guler la population de renards l int rieur de l enceinte de l A roport Pendant 4 sorties nocturnes 9 renards ont pu tre tir s Divers Cantonnement Mise disposition de locaux et encadrement de r unions et de
493. rtition selon les aides allou es 8 1 33 Situation au 31 12 2007 112 R partition selon les types d installations 10 3 18 B Chaudi res a condensation BCollecteurs thermiques U Installation combustion de bois O Reste Situation au 31 12 2007 Malgr la mise disposition par l administration de formulaires de demande sp cifiques clairs et pr cis 41 des demandes introduites n ont pas pu tre consid r es comme complet et que par cons quent informations suppl mentaires ont d tre demand es Les raisons principales tant que les formulaires n ont pas t remplis d une mani re compl te et que les factures d montrant que les investissements ont t r alis s n ont pas t jointes 2 6 11 3 Aides financi res pour la production d lectricit prime cologique L tat d instruction des dossiers se pr sente comme suit Etat des dossiers primes d encouragement Nombre de dossiers introduits 2001 2007 6 832 Nombre de dossiers finalis s 2001 2007 6 573 Nombre de dossiers introduits en 2007 1 890 Nombre de dossiers finalises en 2007 2 056 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2007 393 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 259 Situation au 31 12 2007 Depuis la mise en vigueur du r glement modifi du 28 d cembre 2001 un montant global de 35 083 387 97 a t accord pour la production de 320
494. rung von Buchenw ldern angewandten Methodik Die Populationsdynamik wurde mittels von Lockstofffallen erfasst wobei Lineatin und mit Ether versehener Ethanol als Lockmittel fungierten Der Untersuchungszeitraum in Luxemburg erstreckte sich vom 15 2 07 bis zum 30 08 07 Die Leerungen erfolgten n einem Intervall von 7 Tagen Der K ferflug begann 2007 auf den untersuchten Fallenstandorten relativ einheitlich in der Woche vom 15 Februar Bereits am 20 06 07 wurden 98 der insgesamt gefangenen K fer verzeichnet Die einzelnen Fallen zeigten gro e Unterschiede n der Anzahl gefangener K fer Die meisten K fer wurden in Perle gefangen Anzahl der pro Standort insgesamt gefangenen Trypodendron domesticum Luxemburg 2007 Lux 3 Saeul Beckerich 2773 Lux 7 Perl 4691 Lux 11 Bastendorf 2339 Unter Populationsdynamik versteht man die gr enm ige Ver nderung einer Population ber einen Zeitraum Als Indikatoren f r die Ver nderungen der Population wurden die Anderungen der Fangzahlen herangezogen Die Fallenstandorte zeigen jeweils eine individuelle Dynamik der Populationsentwicklung Dennoch sind Trends und gemeinsame Tendenzen erkennbar Es wurden im Jahr 2002 an allen Standorten die h chsten Fangzahlen der gesamten Untersuchungsperiode erreicht Als Vergleichszeitraum der einzelnen Jahre wurde d e Spanne zwischen dem 15 02 07 und dem 20 06 07 gew hlt Auf den luxemburgischen Standorten erfolgt die nderung de
495. s 15 Quant au projet de partenariat avec Umweltbundesamt autrichien lanc fin 2005 en vue d am liorer la fr quence et la qualit des informations transmises via le r seau EIONET l AEE celui ci a t r orient en 2006 vers des activit s de support pour la r alisation de nos inventaires de gaz effet de serre et leurs rapports connexes En 2007 ce partenariat a t davantage formalis en mettant sur pied un partenariat administratif entre d une part le minist re et l Administration de l Environnement et d autre part l Umwelbundesamt avec pour objectif de nous permettre de plus facilement de plus r guli rement et de plus efficacement pr parer seuls ou en collaboration avec l Umwelbundesamt les informations requises par les nombreuses Directives R glements ou accords volontaires auxquels le Luxembourg est tenu dans le cadre des missions atmosph riques et de la qualit de l air Cette approche a d montr toute sa valeur au cours de l ann e 2007 dans le cadre de l audit et de la mise en conformit de nos inventaires d mission de gaz effet de serre voir supra Par cons quent ce partenariat a t reconduit et renforc pour l ann e 2008 avec outre les gaz effet de serre une attention particuli re d coulant de la Directive 2001 81 CE sur les plafonds d missions nationaux Enfin en 2007 la cellule statistique a repr sent activement le minist re dans les r u
496. s Vianden apr s 18 ann es de service a t modernis e par une structure d accueil nouvelle L ancien container pr sentait des infiltrations d eau et a t remplac par un container nouveau plus spacieux Ce nouveau container install en d cembre 2006 repr sente un investissement financier important mais b n fique long terme e La derni re station du type container ancien container de Luxembourg Bonnevoie encore remplacer est celle de Beckerich L ancienne station avait 19 ann es de service Le nouveau container a t install en octobre 2007 e La station de Vianden a t quip e au mois d ao t 2007 d un deuxi me analyseur d ozone analyseur de r serve Il sert remplacer rapidement un autre analyseur ozone en cas de panne grave certains anciens moniteurs atteignent 15 ann es de fonctionnement Les deux analyseurs mesurent l ozone en parall le et les mesures doivent tre identiques e La station de mesure de Luxembourg Bonnevoie a t quip e d un nouvel analyseur de poussi res fines utilisant une nouvelle technique de mesure d tection de la diffusion en provenance des particules fines dans une cellule de mesure travers e par une lumi re monochromatique LASER incidente 90 L analyseur a l avantage de mesurer toute une gamme de particules fines de taille diff rentes 0 25 um a 31 um Actuellement la mesure simultan e des PM10 et des PM2 5 avec un seul appareil nous i
497. s e l a zone compos e par les 10 cantons restants 2105 km population 181657 et qui repr sente en grande partie le milieu rural Un bref r sum de la situation de la qualit de l air au Luxembourg dans les 3 zones est pr sent ci dessous Les polluants suivants doivent respecter une valeur limite ou une valeur limite augment e d une marge de d passement tol r e Dioxyde d azote NO2 protection de la sant humaine D passement La valeur limite augment e de la marge de d passement n est pas respect e au centre de la Ville de Luxembourg Place Hamilus pour la quatri me ann e cons cutive Un plan d action et ou un programme est en laboration et 1l y a urgence de le pr senter durant 2007 afin de d montrer quelles sont les sources d mission de NO prioritaires et les mesures de r duction appliquer afin de se conformer aux valeurs limites pour l ch ance fix e dans la directive europ enne Ensuite la qualit de l air est am liorer de fa on significative au point de mesurage concern Il ne reste plus que 2 ann es pour se mettre en conformit avec la directive europ enne reprise dans la l gislation nationale Le point de mesurage Luxembourg Bonnevoie Rue de Bonnevoie face la Banque et Caisse d Epargne de l Etat ne d passe pas la valeur limite augment e de la marge de d passement actuellement en vigueur mais reste peu loign de la valeur limite de 40 ug m respecter partir d
498. s UN ECE et l Union Europ enne UE surveillent ensemble l tat des for ts en Europe Ceci est fait moyennant un r seau international qui couvre uniform ment le territoire des 41 pays situation 2006 participant ce projet dont les Etats de l Union Europ enne suivant un maillage de 16 x 16 km Ce r seau a t install suite au r glement du Conseil CEE N 3528 86 du 17 novembre 1986 relatif la protection des for ts dans la CEE contre la pollution atmosph rique L inventaire transfrontalier qui se base sur la perte et sur la coloration anormale des feuilles est r alis selon une m thode comportant un syst me d chantillonnage uniforme et un traitement centralis des donn es Le r seau en question comporte environ 130 000 arbres chantillons sur 6045 placettes situation 2006 Au niveau de l Union Europ enne ce r seau est obligatoire Les coordonn es g ographiques des placettes d observation ont t d finies en 1987 par la Commission pour le Grand Duch l s agit de 4 placettes Notre pays contribue ce projet en transmettant annuellement depuis 1987 la Commission Europ enne les donn es provenant de l observation de nos 96 arbres chantillons 259 Il est vident qu au niveau du territoire national le r seau communautaire 16 x 16 km lui seul ne fournit pas de donn es repr sentatives Les r sultats de l inventaire communautaire ne sont publi s qu avec un an de retard
499. s e un message est affich pour signaler une ventuelle erreur Les tests de validit lors de l encodage sont destin s confronter l utilisateur des ventuelles erreurs commises lors de l encodage des donn es Par exemple lorsque l utilisateur encode une valeur jug e aberrante il sera contraint de confirmer la valeur de mani re ce qu il soit conscient de l ventuelle incoherence de la valeur par exemple si la tol rance de l accroissement du diam tre d un arbre sur la p riode entre l IFL1 et l IFL2 est exag r e Ce sont notamment ces tests de coh rence et de plausibilit qui garantissent un contr le direct au moment de l encodage Pour rappel les principaux aspects techniques du module d encodage sont r sum s ci dessous e Interface d encodage cr dans Access et adapt au format de l cran de l encodeur portable de terrain Panasonic CF 18 e Tests de validit l encodage remarque les valeurs limites utilis es lors de ces tests doivent encore tre pr cis es e Programmation d un module de transfert ais des donn es de l encodeur portable vers la base centrale 297 Au niveau de l interface utilisateur le module pr sente de nombreux avantages Les variables sont rassembl es par th me Syst me d onglets une fiche un onglet et dans chaque fiche 1l y a plusieurs sous onglets La fiche n 1 rassemble toutes les donn es g n rales
500. s au stage en novembre 2007 suite carr sup rieure 8 Un exp ditionnaire technique est comptabilis mais ne fait l objet que d un d tachement 9 Un agent est plac hors cadre 10 Un pr pos forestier a t affect d but 07 au service de l entit mobile de la direction 1 pr pos forestier mi temps affect la direction pour le dossier FSC Un pr pos forestier est affect la direction pour les dossiers d ordre technique 11 Une employ e B1 50 en cong mi temps de 2007 2013 une employ e B1 CDI 50 CDD 50 jusqu au 23 2 08 172 3 1 6 3 La gestion des bureaux des pr pos s forestiers En ce qui concerne la situation des bureaux des pr pos s forestiers diff rentes cat gories peuvent tre d finies savoir les bureaux uniquement domicile les bureaux mis disposition par une administration tatique les bureaux mis disposition par une administration communale ou par des secteurs autres que le secteur des administrations publiques Certains pr pos s disposent d un second bureau domicile Fin d cembre 2007 les cat gories peuvent tre subdivis es comme suit Cat gorie de bureau Nombre bureau uniquement domicile ve bureau mis disposition par une administration tatique EC bureau mis disposition par une administration communale Ces bureau mis a disposition par des secteurs autres que le secteur des 2 administrations publiques Les pr pos s fo
501. s autoris e maintien d une quantit suffisante de bois mort et de vieux bois des fins de biodiversit e le r seau de voirie doit tre adapt en effet dans le cas de trituration dans la for t le passage de grands engins est in vitable et des places de stockage et de retournement doivent tre cr es 3 3 1 3 Plan Simple de Gestion de la for t communale de Reckange 2007 2016 58 ha Le service de l am nagement des bois avait confi en 2006 l Institut pour le D veloppement Forestier IDF France un projet pilote consistant proposer sur le mod le actuellement utilis en France pour l laboration de plans simples de gestion en for t priv e un plan d am nagement abr g pour la propri t foresti re de la commune de Reckange Ce document est actuellement disponible sous forme de projet mais n a pas encore pu suivre la proc dure de ratification tant donn qu il doit tre modifi 3 3 1 4 Plan Simple de Gestion de la for t communale de Schifflange 2007 2016 72 ha Le plan simple de gestion 2007 2016 pour la propri t foresti re de la commune de Schifflange labor courant 2007 est actuellement en proc dure d approbation La for t communale de Schifflange est situ e au centre du domaine cologique de la Minette appel commun ment terres rouges Elle est travers e par la derni re cuesta du Dogger d partageant les secteurs cologiques de la Pr minette
502. s chiropt res au Luxembourg et illustrant les r sultats de travaux scientifiques ont t pr sent s 1 Pir J B On the Roosting Ecology of Geoffroy s bat Myotis emarginatus in Western Europe 2 Dietz M amp P r J B Distribution Habitat Selection and Ecology of Bechsteins Bat Myotis bechsteinii Kuhl 1817 in Luxembourg 274 e Monitoring Le monitoring de la derni re colonie de reproduction connue au Luxembourg du Grand Rhinolophe Rhinolophus ferrumequinum a t assur Les Stations Biologiques concern es ont paul l Administration des Eaux et For ts dans le comptage de maintes colonies de reproduction dans le pays notamment pour les esp ces principales Myotis myotis Myotis emarginatus Eptesicus serotinus Plecotus austriacus Ces monitorings ont comme dessein principal d tablir un r seau de monitoring national des esp ces sensibles Les donn es recueillies sont enregistr es dans la banque nationale de donn es RECORDER 2000 du Mus e national d Histoire naturelle e Protection Le projet Combles amp Clochers initi par l Administration des Eaux et For ts en collaboration avec les Stations Biologiques a pu tre reconduit gr ce entre autres aux subventions accord s par le Minist re de l Environnement en mati re de sauvegarde de la biodiversit naturelle Des travaux g n raux de toiture l glise de la commune de Mersch ont permis la pose d une chiropti re d finiti
503. s class s 1l est demand aux exploitants e detenir un registre avec les quantit s et les modes de valorisation ou d limination des d chets e d tablir un rapport annuel sur la gestion des d chets notamment les tablissements de la classe 1 Le rapport annuel est transmettre pour le 31 janvier au plus tard l Administration de l Environnement e En 2007 150 rapports annuels sur la gestion des d chets ont t ouverts dont 101 ont pu tre approuv s par le service des ppgd jusqu la fin de l ann e e A la fin de l ann e 2007 environ 619 rapports annuels ont t enregistr s dans la base de donn es dont 481 approuv s 97 non cl tures ainsi que 41 abrog s 2 5 13 4 La r vision trisannuelle des plans de pr vention et de la gestion des d chets Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissements class s 1l est demand aux exploitants de proc der une r vision trisannuelle de leur plan de pr vention et de gestion des d chets En effet c est par un suivi r gulier de la gestion des d chets dans les tablissements qu une gestion de plus en plus optimale s instaure En janvier 2007 environ 60 tablissements ont t invit s d actualiser leur plan de pr vention et de gestion des d chets dat de plus de trois ans Quelques entreprises ont volontairement pr sent une actualisation de leur documentation sur la gestion des d chets l ch ance des trois ans Suite l introduction d
504. s composts produits par les diff rentes installations Seule l installation du Minett Kompost Mondercange a produit outre du compost m r du compost frais qui a t utilis exclusivement en agriculture 125 Fili res de valorisation du compost produit par les installations 100 90 E Autres 80 El Particuliers 70 B Essai scientifique 60 B Travaux publics 50 W Substrat de terre 40 O Horticulture 30 8 Viticulture 20 GB Agriculture 10 BE Communes 0 Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r Compost frais Compost m r MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Sur l ensemble du territoire national les fili res de valorisation du compost m r sont reprises ci dessous Fili res de valorisation du compost m r au Grand Duch de Luxembourg 2006 t BE Communes B Agriculture O Viticulture 1718 9 O Horticulture E Substrat de terre B Travaux publics DO Commerce E Particuliers 4306 3 B Autres Il en r sulte que les fili res les plus importantes sont celles de l agriculture 33 2 suivi de la production de substrats de terre 21 2 de l utilisation par des particuliers 1
505. s d cisions minist rielles attaqu es ont t confirm es quant leur l galit par les juridictions administratives 31 Le service juridique recense galement la jurisprudence rendue notamment en mati re de protection de l environnement naturel et humain La jurisprudence est importante dans la mesure o elle permet d orienter l activit administrative et de fournir des indices ou r ponses des probl mes non r solus ou se r p tant r guli rement 2 2 1 4 Autres activit s Le service juridique a assist de nombreuses r unions pour fournir des conseils juridiques ou discuter de dossiers d actualit Il est galement en charge de la gestion de certains documents officiels luxembourgeois et communautaires Le service juridique est repr sent dans certains comit s d accompagnement 32 2 3 La nouvelle r glementation europ enne sur les substances chimiques REACH Le R glement CE n 1907 2006 du Parlement europ en et du Conseil du 18 d cembre 2006 concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables ces substances REACH instituant une agence europ enne des produits chimiques a t publi au Journal officiel de l Union europ enne le 29 mai 2007 L acronyme REACH correspond Registration Evaluation Authorisation and restriction of CHemicals Les entreprises qui produisent ou important dans l Union europ enn
506. s d vast s ou bien pour regarnir des surfaces incompl tes Ainsi 25 600 feuillus et 3 600 r sineux ont t plant s en 2007 3 2 5 6 P pini res Dans la p pini re domaniale de Flaxweiler d une surface de 2 30 ha 73 500 feuillus et 9 250 r sineux ont t inventori s Au courant de l ann e 50 000 plants ont t repiqu s Au total 21 550 jeunes plantes ont t remises aux clients pour tre plant es majoritairement en for t soumise Des semences d un poids de 350 kg ont t collect es Elles proviennent soit de peuplements forestiers de qualit autochtones soit d essences arbustives 191 3 2 5 7 Voirie foresti re Diff rents chemins forestiers ont t construits en for t communale sur une longueur de 5 000 m et en for t domaniale sur une longueur de 820 m Ceux ci ont t compl t s par l am nagement de layons de d bardage 3 2 5 8 D g ts de gibier D un c t nous nous trouvons en face d une surpopulation g n rale de chevreuils et de sangliers De l autre c t nous proc dons une importante r g n ration de la for t et un m lange des essences Cette situation engendre des d g ts d abroutissement vidents Nous essayons de les r duire au mieux en ayant recours diff rentes techniques de protection tel les cl tures les cages de protection et depuis peu le ruban adh sif Cette m thode peut tre appliqu e rapidement elle est efficace et ne repr sente q
507. s dans des entreprises qui ont adh r la SuperDrecksK scht fir Betriber s l ve 138 815 personnes soit une augmentation de 6 81 par rapport l ann e pr c dente Ceci repr sente 44 2 de l emploi total du Luxembourg par rapport une part de 40 1 en 2006 Le label de qualit de la SuperDrecksK scht Le label de la SuperDrecksK scht est d cern aux entreprises qui assurent une gestion cologique de leurs d chets conforme au concept de la SuperDrecksK amp scht Il peut tre d cern au plus t t 6 mois apr s l adh rence d une entreprise En moyenne l attribution du label se fait cependant apr s un an de participation A la fin de l ann e 2007 1251 entreprises disposaient du label de qualit de la SuperDrecksK scht Ceci repr sente 49 4 de l ensemble des entreprises rattach es par rapport une part de 44 7 en 2006 Au cours de l ann e 2007 une seule entreprise s est vue enlever le label pour non respect du concept Les d chets collect s Conform ment sa mission initiale et c t du conseil donn aux entreprises pour la gestion des d chets la SuperDrecksK scht fir Betriber a continu assurer la collecte de certains d chets soit directement soit par le biais de sous traitants Les quantit s ainsi collect es se sont lev es en 2007 2 012 582 tonnes soit une r duction de 0 6 par rapport l ann e pr c dente 14
508. s de plantes ainsi que les plants L Administration des Eaux et For ts dresse un registre national des mat riels de base admis sur notre territoire qui garantit la provenance et d crit les qualit s ph notypiques des peuplements admis La r colte des semences est uniquement autoris e dans ces peuplements A cet instar tous les pays membre de l EU disposent d une liste nationale Toutes ces donn es et classifications ont pour but d une part de garantir l utilisateur propri taire forestier le mat riel forestier de qualit qu il a demand Elles permettent de guider le reboiseur dans son choix pour un mat riel adapt sa r gion et r pondant ses objectifs 266 3 4 Le Service et les Arrondissements de la Conservation de la Nature 3 4 1 Le Service de la Conservation de la Nature 3 4 1 1 Les r serves naturelles Les r serves class es par r glement grand ducal En 2007 une nouvelle zone prot g e a t class e par r glement grand ducal Am Pudel RN ZH 43 05 f vrier 2007 Il s agit d une zone humide englobant des fonds sis sur le territoire des communes d Esch sur Alzette et de Schifflange La superficie totale s l ve a 15 49 hectares La zone prot g e est une petite zone humide constitu e d une mosa que d habitats dont les caract ristiques varient selon la topographie l exploitation et les interventions humaines du pass Elle occupe la rive gauche de l Alzette
509. s de d chets a t pr par e avec une pr sentation dudit r glement au public int ress organis e ensemble avec la FEDIL FLEA dans les locaux de la Chambre de Commerce en date du 27 juin 2007 Ont t invit s cette pr sentation les syndicats intercommunaux concern s par la mati re les entreprises qui se sont occup es elles m mes dans le pass des d marches en relation avec la notification ainsi que toutes les soci t s luxembourgeoises disposant d une autorisation de n goce de d chets Quelques 50 personnes ont suivi cette invitation Lors de cette pr sentation un aper u a t donn sur les changements venir ainsi qu une explication des proc dures de notification observer partir du 12 juillet 2007 Suite la pr sentation les participants ont profit pour poser de nombreuses questions d ordre pratique o les agents de l Administration de l Environnement ont donn dans la mesure du possible les r ponses ad quates En date du 3 octobre 2007 une pr sentation similaire a t organis e ensemble avec l Administration des Douanes et Accises dans les locaux de formation du Centre Douanier Gasperich Lors de cette pr sentation les membres des diff rentes Brigades Mobiles de l Administration des Douanes et Accises ont t inform s sur le changement de la l gislation en mati re de transferts de d chets Cette formation avait galement comme but de pr senter les nouveaux formulaires accompagn
510. s de l ann e 2006 les cours de formation continue sur e l application pratique du logiciel ArcGIS e la manipulation de logiciels informatiques e l application du r glement CE n 853 2004 fixant des r gles sp cifiques d hygi ne applicables aux denr es alimentaires d origine animale 303 3 7 La Cellule informatique 3 7 1 Informatique 3 7 1 1 Maintenance et adaptation volutive des applications Les maintenances et les adaptations volutives des applications informatiques sont r alis es en interne Les applications sont d velopp es en langage de 4 me g n ration Powerbuilder Elles fonctionnent maintenant toutes en mode client serveur avec le syst me de gestion de base de donn es relationnelles Oracle sur un r seau Windows2003 Tous les services ext rieurs sont connect s au r seau informatique de l tat r seau racine Les cantonnements et arrondissements CN sont connect s par lignes lou es et les triages forestiers sont connect s par ADSL Plusieurs applications ont t ouvertes aux bureaux d tudes sous traitants via client VPN et ADSL D une mani re g n rale la s curit de toutes les applications et de la base de donn es Oracle spatiale a t renforc e Dans ce contexte en 2007 7 grands projets ont t men s de front au niveau de la maintenance et de l adaptation volutive des applications e La s curisation des applications a continu tre ren
511. s de la pollution et il indiquera les mesures envisageables pour am liorer la qualit de l air En 2006 et 2007 l Administration de l Environnement en collaboration avec les Services de la Ville de Luxembourg et le bureau d ing nieur Lohmeyer de Karlsruhe ont labor les donn es de base pour le programme d action Deux sc narios ont t analys s sur le territoire de la Ville de Luxembourg et environs pour les polluants oxydes d azote NO et particules fines PM o e la situation existante ann e 2005 e un scenario futur business as usual ann e 2010 Dans une premi re tape des inventaires des missions ont t labor s pour les diff rents types de sources centrales d nergie installations de chauffage trafic routier ferroviaire et a rien Dans une deuxi me tape la pollution de l air immissions a t d termin e par mod lisation 2 6 3 2 R sultats des mod lisations Les r sultats ont montr qu en 2005 la valeur limite annuelle de 50 ug m applicable en 2005 pour le dioxyde d azote NO est d pass e sur un grand nombre d axes routiers principaux Des valeurs sup rieures 54 ug m3 ont t d termin es sur des segments des routes suivantes avenue de la Gare avenue de la Libert avenue de la Porte Neuve avenue du X Septembre avenue Emile Reuter avenue Marie Th r se avenue Monterey avenue Victor Hugo boulevard Patton boulevard Grande Duchesse Charlotte
512. s du r glement 153 certificats de r vision erron s ou incomplets ont t retourn s aux entreprises de contr le pour correction Dans plusieurs cas notamment suite des plaintes de voisinage un contr le de la situation sur place par des agents de l Administration de l Environnement s est av r n cessaire pour rechercher et constater les infractions par rapport au r glement Ainsi l administration est intervenue sur place dans trois cas sp cifiques Le cas ch ant dans une premi re phase des lettres d invitation de mise en conformit ont t adress es aux exploitants concern s 104 Rendement Installations de chauffage au mazout Situation fin 2007 2 1 1 1 1 1Nombre d installations en Age de la Rendement Rendement Rendement chaudi re gt 95 90 lt lt 95 lt 90 lan 9 ans 1 7 96 9 1 3 plus de 20 ans br leur gt 95 90 lt lt 95 lt 90 DaS E a CR RES CR RE EECH 843 62 3 ans 54 E Suivant le r glement grand ducal pr cit du 23 d cembre 1987 les r visions obligatoires ne peuvent tre effectu es que par des personnes ayant soit le brevet de ma trise en chauffage soit le certificat de contr leur Ce dernier certificat peut tre obtenu en suivant un cours de perfectionnement en mati re de l gislation des installations de chauffage de th orie de combustion et de pratique de mesurage Depuis 1979 la Chambre des M tiers organise en collaboration avec l Administratio
513. s emballages en verre et les co ts de transports qui en r sultent nouveau mode de vie p ex appartements avec peu de moyens de stockage risque de bris de verre aspect de s curit retour des emballages consign s au point de vente effet frontalier vente de grandes quantit s de boissons en emballages one way aux stations de service consid rer aussi la taxe cologique en Belgique et la consigne en Allemagne 2 7 8 2 Les taux de valorisation des emballages Conform ment la directive 94 62 CE relative aux emballages et aux d chets d emballages le Grand Duch de Luxembourg doit annuellement d clarer les taux de valorisation des d chets d emballages la Commission Europ enne Depuis 2000 les taux de recyclage et de valorisation en poids des d chets d emballages ont vari comme suit 133 Materiau 2000 2001 2002 2003 2004 2005 d emballage Bo el er ale RE RE Remarques Taux de recyclage des diff rents mat riaux Taux de valorisation Taux de valorisation y compris l incin ration des d chets d emballages dans des installations avec r cup ration d nergie Les taux de recyclage et de valorisation d emballages atteindre pour le 30 juin 2001 sont largement atteints En 2007 le Luxembourg atteint d j les taux applicables pour le 31 d cembre 2008 Toutes les informations quant la gestion des d chets d emballages peuvent tre consult es sur le site Int
514. s est disponible sur le site Internet www environnement public lu d chets statistiques et indicateurs activit s des parcs conteneurs Les graphiques suivants montrent une analyse des fractions des d chets lectriques et lectroniques collect s dans les parcs conteneurs Composition en de poids des d chets lectriques electroniques collect s dans les parcs de recyclage en 2006 inclus galement des fractions non reprises par la directive 200 S6ICE avec composants dangereux 0 39 sans composants dangereux 71 63 piles ei accumulateurs il 7 83 cables 7 Fi 1 52 o tubes fluorescents 0 86 appareiles frigorifiques 15 89 2 suppors de donnees O sans composants dangereux 2 287 2291 1 76 Dauer composants dangereux 12 452t 2 piles et accumulateurs 230 014 t cables 1 6221 O tubes fluorescents 28 059 E suppots de donn es 56 301 t ch 507 318 t E appareiles fngorifiques Total 3 192 994 t En 2006 la quantit totale de 3 192 9 tonnes de d chets lectroniques et lectriques a t collect e dans les 21 parcs conteneurs Cela repr sente une moyenne de 7 83 kg par habitant pour les communes attach es aux parcs conteneurs ce chiffre contient des fractions qui ne sont pas soumises la l gislation sur les DEEE Le graphique ci dessous repr sente l analyse en d tail des cat gories de d chets lectriques et lectroniques soumises la l gislation sur l
515. s huiles usag es avec une capacit de plus de 10 tonnes par jour Installations pour l incin ration des d chets municipaux telles que d finies par la directive 89 369 CEE du Conseil du 8 juin 1989 concernant la pr vention de la pollution atmosph rique en provenance des installations nouvelles d incin ration des d chets municipaux et la directive 89 429 CEE du Conseil du 21 juin 1989 concernant la r duction de la pollution atmosph rique en provenance des installations existantes d incin ration des d chets municipaux d une capacit sup rieure 3 tonnes par heure D charges recevant plus de 10 tonnes par jour ou d une capacit totale de plus de 25 000 tonnes l exclusion des d charges de d chets inertes 64 Gottschol Alcuilux Clervaux Eselborn Ewald Giebel Dudelange Intermoselle Rumelange Luxguard I Bascharage Luxguard II Dudelange Lamesch Bettembourg Leudelange SIGRE Muertendall Fridhaff Diekirch Rollinger Beyren Installations destin es l levage intensif de volailles ou de porcs disposant de plus de 2 000 emplacements pour porcs de Klein Feulen production de plus de 30 Kg Weiler Walsdorf Franck Allerborn Installations destin es au traitement de Rodange surface de mati res d objets ou de produits et ayant recours l utilisation de solvants organiques notamment pour les op rations d appr ts d impression de couchage de d
516. s la m me pr sentation que la SuperDrecksK scht au Luxembourg Un site Internet mis en place selon le m me lay out que celui des actions luxembourgeoises a t mis en ligne sous l adresse www superdrecksk scht ch Betniets Lt e ba Fegag O7 J0 18 45 mer rar Rosch der Sou pake fur Letter ER SO GR waere r vg Fre ce Arge Sur eng Pr sentation Internet de la SuperDrecksK scht Suisse 140 2 7 13 3 La SuperDrecksK scht fir Biirger Les r sultats de collecte Par rapport l ann e 2006 les quantit s collect es par la SuperDrecksK scht fir Burger ont augment de 5 28 pour atteindre un poids total de 2 424 539 2 kg S on ne consid re pas les fractions lourdes de d chets collect s dont notamment les bonbonnes gaz et les d chets d amiante ciment dont le poids cumul s l ve 233 858 kg l augmentation des quantit s des autres d chets est de 5 32 Par rapport la quantit totale de d chets collect s par la SuperDrecksK scht Dr Burger la quantit sp cifique tait en 2007 de 5 1 kg par habitant S on fait abstraction des bonbonnes gaz et des d chets d amiante ciment la quantit sp cifique tait de 4 6 kg hab Ann e Collectes Centres de Actions Service Quantit Diff rence mobiles recyclage particuli res domicile totale 1997 399536 761738 3456 91458 1256187 17 31 1998 377480 905501 8992 96852 1388824 10 56
517. s par bioaccumulation dans les L GUMES FEUILLES y 2 5 el Seuil sanitaire BR B A y 2 d intervention n 1 TE g H 9 2 HK d S 7 Eg e U F 5 Seuil itai v A euil sanitaire 5 L CO 3 pr ventif E H 2 R f rence a 1 zone rurale a 0 H D A Pea e Fi ez F o a A a S a i vi S F Mr A La A Er a La Le Ka o a SE ri ar Ex 4 Na h 4 ei a Ba Ka Gi v i oi A Dy Es d Celeri IV 18 juillet 21septembre 2006 Chou frise XXII 02 octobre 15 d cembre 2006 C leri V 18 mai 18 juillet 2007 mm C leri VI 18 juillet 19 septembre 2007 95 La surveillance par les choux feuilles polylob es et le c leri feuille continue de montrer pour tous les sites except s ceux de Schifflange des niveaux en PCDD PCDF PCB inf rieurs au seuil sanitaire pr ventif voir figure ci dessus On constate ou aux deux sites Schifflange Schifflange Cit um Benn Cit Emile Mayrisch et un degr moindre Schifflange Rue du Moulin Rue du Stade le seuil sanitaire pr ventif pris comme r f rence est d pass voire atteint la plupart du temps Ceci montre la n cessit de la continuation du programme de biosurveillance surtout aux deux sites Schifflange afin d va
518. s permettant de d terminer quel moment 1l convient que certains d chets tels que les composts ou les gravats issus de la construction ou de la d molition cessent d tre consid r s comme des d chets e la classification des incin rateurs municipaux La future l gislation est destin e remplacer trois directives savoir la directive cadre relative aux d chets la directive relative aux d chets dangereux et la directive relative aux huiles usag es La position commune a t transmise au PE pour deuxi me lecture 1 5 3 3 Normes de qualit de l eau Le Conseil environnement du 28 juin 2007 a d gag un accord politique sur la proposition de directive tablissant des normes de qualit environnementale NQE dans le domaine de l eau pr sent e par la Commission en juillet 2006 La directive cadre sur l eau d finit une strat gie de lutte contre la pollution chimique de l eau en exigeant notamment que toutes les eaux de PUE soient en bon tat d ci 2015 La proposition de directive fille fixe des normes de qualit environnementale pour 33 substances prioritaires et autres polluants et elle fixe des limites de concentration dans les eaux de surface pour les pesticides les m taux lourds et d autres substances chimiques pr sentant un risque particulier pour la faune et la flore aquatiques et pour la sant humaine La position commune a t transmise au PE pour deuxi me lecture 1 5 3 4 Mercur
519. s sols on peut donc dire que les arbres ont t soumis un certain effet de stress hydrique pendant le mois d avril caract ris par un d ficit hydrique positif Les mois d t se sont montr s particuli rement arros s Station m t orologique du P nzebierg Temp ratures moyennes et pr cipitations mensuelles D ficits hydriques potentiels ETP P mm 180 160 0 140 0 EE Pluie mm 120 0 140 Temp moy C 100 0 80 0 60 0 40 0 20 0 0 0 20 0 janv f vr avr juil ao t E Ger nov 40 0 60 0 120 100 80 60 40 20 0 80 0 100 0 120 0 janv fevr mars avr mai juin juil ao t sept oct nov dec Station meteorologique du Waldhof Temperatures moyennes et precipitations mensuelles Deficits hydriques potentiels ETP P ER Pluie mm Temp moy C janv f vr mars avr mai juin juil ao t sept oct nov d c 3 3 11 4 Grenz bergreifendes Monitoring des Trypodendron domesticum in Luxembur und Rheinland Pfalz Die W lder Luxemburgs werden regelm ig von Insektenkalamit ten heimgesucht welche betr chtliche kologische als auch konomische Sch den verursachen k nnen Hierzu geh ren Ips typographus ein ber chtigter Borkenk fer in Fichtenbest nden sowie ein Sch dling der Buch
520. s temp ratures moyennes annuelles des 10 derni res ann es temp rature moyenne annuelle moyenne 1997 2005 8 60 8 60 168 60 18 60 168 60 8 60 860 16 60 18 60 16 60 moyenne 1997 2005 9 00 19 00 19 00 19 00 19 00 19 00 19 00 19 00 19 00 9 00 probl mes techniques le 6 et 7 ao t 2007 HETL2 261 Le jour le plus chaud de l ann e a t le 15 juillet avec 30 9 C pour HETLI et 30 1 C pour HETL2 Avec 10 2 C la temp rature la plus basse a t enregistr e le 22 d cembre sur la station du P nzebierg La temp rature la plus basse sur la station du Waldhof 8 9 C a t enregistr le 26 janvier La temp rature moyenne mensuelle la plus basse de l ann e 2007 a t mesur e au mois de d cembre Le graphique de droite retrace le d ficit hydrique potentiel DHP en mm Cette valeur est d finie comme tant la diff rence entre l vapotranspiration potentielle ETP calcul e d apr s la formule de Penman et les pr cipitations P soit DHP ETP P N Cet indice climatique a t calcul a partir des valeurs moyennes mensuelles Pour HETLI P nzebierg les mois d avril et juillet pr sentent une vapotranspiration mensuelle de la v g tation sup rieure la quantit de pluie tomb e Pour la station HETL2 Waldhof les mois d avril et septembre montrent le m me ph nom ne En ne tenant pas compte de l habilit des arbres de s approvisionner par la r serve en eau utile de
521. saires la r daction du rapport final sur la RFI Il s agit de la FGA des r sultats de la photo interpr tation et de la cartographie des stations cologiques Ce rapport regroupe toutes sortes d informations et contient principalement des indications sur les essences les r serves en bois les structures et lorsqu un deuxi me relev a t labor une comparaison des nouvelles et anciennes donn es Les m thodes des relev s sont pr sent es ainsi que les acteurs y ayant particip En d finitive ce document fournit un aper u complet sur l tat de la recherche dans une RFI Le calcul de la diversit foresti re dans une RFI est galement une source d information importante Etant donn que dans une for t la structure est d terminante pour l offre et la diversit des habitats celle c joue un r le primordial pour les communaut s animales et v g tales A partir de ces r flexions est d velopp un programme pour le calcul de la diversit en utilisant l index de Shannon Trois param tres sont pris en compte dans ce calcul Il s agit des informations sur les essences arborescentes et arbustives sur la structuration verticale et sur l tat des essences c d mort ou vivant Fortgang des forstlichen Monitorings Neben der Durchf hrung der Forstlichen Grundaufnahme lag der Themenschwerpunkt m Jahr 2007 bei der Entwicklung und Programmierung der Auswertesoftware sowie bei der D
522. sans encombre l audit par des experts mandat s par le Secr tariat de la CCNUCC de son syst me d inventaires pour gaz effet de serre Cet audit tait un pr alable n cessaire l autorisation de participation au premier janvier 2008 du Luxembourg aux m canismes d changes de droits d missions et aux m canismes dits flexibles du Protocole de Kyoto m canisme de d veloppement propre mise en uvre conjointe A la suite de la visite sur place des experts internationaux du 11 au 16 juin 2006 le Luxembourg a fourni fin juillet 2007 un nouvel inventaire complet des missions de gaz effet de serre ainsi qu un rapport explicatif Voir http cdr eionet europa eu lu eu ghgmm envraglga Ces am liorations et corrections ont t accept es et act es par le groupe d experts mandat s par les Nations Unies comme l indiquent les deux rapports publi s par le Secr tariat de la CCNUCC la conclusion de la proc dure d audit l un le 15 novembre 2007 sur l inventaire soumis en 2006 http unfecc int resource docs 2007 arr lux pdf l autre le 14 d cembre 2007 sur l audit de notre Rapport Initial http unfecc int resource docs 2007 irr lux pdf 14 Outre le fait que cette proc dure d audit s est achev e par l acceptation des inventaires luxembourgeois elle a eu pour cons quences a de permettre au Luxembourg comme voqu plus haut de participer aux m canismes pr vus par le Protoco
523. sauvegarde de bombina variegata Plantation d arbres fruitiers dans un verger l int rieur de la r serve Haard Entretien du sentier didactique et des chemins VTT et hippiques dans la r serve naturelle Haard Nettoyage r gulier et enl vement d ordures le long des sentiers balis s Travaux de s curisation des infrastructures dans la r serve foresti re int grale de la Haard et signalisation des sentiers l int rieur de la RFI Installation d une cl ture dans la r serve naturelle Str issel Bettembourg Taille des jeunes pousses sur la grume des jeunes plants r paration des protections des jeunes plants enl vement des protections d fectueuses entretien du sentier didactique de la r serve naturelle um Bierg Bettembourg Entretien et nouveau balisage des sentiers didactiques R fection du point d observation dans la r serve naturelle Birelergronn D gagement et d broussaillage dans la r serve naturelle Aarnescht D gagement et d broussaillage de 1 5 ha dans la r serve naturelle Kelsbach Entretien des sentiers ducatifs des r serves naturelles Strombierg et Kuebendaellchen Entretien d broussaillage et fauchage de la pelouse s che dans la RN Kleibierg Entretien des panneaux et fauchage le long du sentier p dagogique Vitis Remerschen Entretien et fauchage du sentier sur pilotis dans la r serve naturelle Haff R imech dans la commu
524. savoir les h traies calcicoles ainsi que les for ts de ravins du Tilio Acerion sur les couches fissur es du Muschelkalk avec de nombreux boulis qui r sultent de leur mode d rosion et par les menaces pour les stations sensibles pouvant r sulter des travaux sylvicoles m me douces L tendue de cette rablaie de ravin est d ailleurs l une des plus importantes au Grand Duch de Luxembourg Compte tenu de la raret de ces associations foresti res au Grand Duch de Luxembourg une protection au sens le plus stricte s impose Dans ce contexte le r glement grand ducal du 6 mai 2000 pr voit un certain nombre d interdictions pour la zone prot g e Celles c1 sont toutefois insuffisantes pour suffire aux objectifs poursuivis dans le cadre du projet de for ts en libre volution Le nouveau dossier de classement aura pour but de proposer une adaptation voire une modification du r glement grand ducal du 6 mai 2000 en fonction des nouveaux objectifs de la zone prot g e La surface de la zone prot g e est de 124 14 ha Les communes en sont les principaux propri taires avec 62 5 Le restant appartient int gralement des propri taires priv s Avancement du projet Un dossier de classement visant la mise jour du dossier existant pour la r serve naturelle Manternacher Fiels est en cours d laboration par le Service Am nagement des Bois Des r unions ont eu lieu avec les diff rentes personnes concern es p
525. se ayant eu comme dessein primaire de r pertorier ces chiropt res et plus particuli rement l espece Murin de Bechstein a pris fin 2006 Cependant sur initiative du Service de l Am nagement des Bois et de l Economie Foresti re les connaissances sur la population du Murin de Bechstein au Friemholz ont t approfondies En effet une deuxi me colonie de reproduction l ouest du massif forestier a pu tre trouv e et le nombre de g tes de ces deux colomies de reproduction a pu tre port 45 arbres De nombreuses chauves souris ont t bagu es individuellement au courant de l ann e afin de pr parer le terrain pour une tude portant sur 3 ann es dans le cadre d une th se de doctorat en collaboration avec l Universit d Ulm Prof Dr E KALKO Le financement de cette tude est envisag par le biais d une BFR Bourse Formation Recherche de la part du Minist re de la Culture de 1 Enseignement Sup rieur et de la Recherche 273 Le Murin de Bechstein esp ce qui se trouve r pertori e l annexe II et IV de la directive Habitats n cessite pour la survie d une population saine des for ts feuillues bien structur es et riches en arbres morts Par cons quent une carte a t tablie en commun accord avec les responsables de l Administration des Eaux et For ts d terminant les zones analyser en premier lieu Lors de ces 3 ann es les parties sud su
526. selon ces m mes r gles de calculs Les inventaires d taill s des soumissions en 2007 peuvent tre consult es sur le site Internet de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques http unfccc int national reports annex_ 1 oho inventories national_inventories_submissions items 3929 ph 2 6 5 Echange de quotas de gaz effet de serre La directive 2003 87 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 13 octobre 2003 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre dans la Communaut et modifiant la directive 96 61 CE du Conseil a t transpos e en droit luxembourgeois par la loi du 23 d cembre 2004 1 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre 2 cr ant un fonds de financement des m canismes de Kyoto 3 modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 2 6 5 1 Autorisations d mission de gaz effet de serre Au Luxembourg 15 installations sont concern es par l change de quotas de gaz effet de serre et doivent d tenir une autorisation d mettre des gaz effet de serre La quantit de quotas allou s aux diff rentes installations a t fix e lors de l tablissement du premier plan national d allocation Ce plan d termine les quantit s de dioxyde de carbone allou es aux diff rentes installations pour la p riode allant du 1 janvier 2005 au 31 d cembre 200
527. sentiers didactiques v t t et hippiques 198 Triage Sandweiler RN Birelergronn e entretien des sentiers et du balisage e r paration du mirador d observation Triage Waldhof RN Brill Le triage Waldhof a aid le service de la Conservation de la nature construire un abri pour b tail dans la r serve naturelle Brill Schifflange Triage de Bettembourg e travaux d entretien des arbres fruitiers dans la RN Um Bierg e participation aux r unions de coordination pour la gestion de la RN Streissel Am nagement et entretien de biotopes Triage de Bettembourg e 0 30 ha de biotope cr avec la digue Im Bassin e agrandissement d une mardelle Rotreiser Triage de Dudelange e entretien de 3 vergers et du parc Leh plantation de 62 arbres h t entretien de plans d eau et mardelles en for t Triage de Hesperange e taille et restauration de saules t tards sur le territoire de la commune de Weiler la Tour Triage de Sandweiler e Haupeschwe er r fection de la digue et du trop plein Collaboration avec le S I A S Syndicat Intercommunal pour l Assainissement de la Syre Dans le cadre de la coop ration avec le SIAS les triages de Sandweiler Niederanven Kiem et Hesperange se sont engag s dans la taille de haies l limination de r manents l entretien de la v g tation riveraine p ex taille de saules dans la vall e de la Syre dans le triage de Sandweiler ou le traitement
528. soumis aux articles 13bis et 31 alin a final de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Integrated Pollution Prevention and Control IPPC Reference Document on Best Available Techniques for the Waste Treatments Industries Au cours de l ann e 2007 l unit a instruit 5 dossiers en relation avec la Directive 96 61 CE du Conseil du 24 09 1996 relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution Integrated Pollution Prevention and Control IPPC Reference Document on Best Available Techniques for the Waste Treatments Industrie 52 Les dossiers instruits en relation avec la r glementation IPPC sont l SIDEC r actualisation des arr t s en relation avec l exploitation de la d charge pour d chets m nagers et assimil s et des installations de traitement m canique et biologique de d chets encombrants m nagers et assimil s 2 SIGRE r actualisation des arr t s en relation avec l exploitation de la d charge pour d chets m nagers et assimil s 3 Lamesch Exploitation S A r actualisation des arr t s en relation avec l exploitation de l installation de traitement d mulsions et de boues industrielles CP Anlage Il s agissait de revoir les autorisations des tablissements IPPC et de v rifier s les predites autorisations r pondent aux crit res de l art 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Les pr dites auto
529. ssements respectent les crit res de la nomenclature Les tablissements en question sont num r s au r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 sous les nos 32 atelier de travail du bois 33 ateliers d entretien de v hicules 34 ateliers de constructions m talliques 42 centrales b ton 49 d p ts de bois 52 bonneterie 53 boucheries charcuteries 57 boulangeries p tisseries 62 fabrication de brosses 64 buanderies 87 charpentier 88 chaudronneries 89 fabrication de chaussures 94 chocolateries confiseries 171 forges 207 imprimeries ateliers d h liogravure de flexographie et de s rigraphie 222 installations de lavage 228 ateliers pour le travail des marbres 241 travail des m taux 249 moulins c r ales 258 fabrication d outils et 267 application de peintures Ne sont consid r es comme zone d activit commerciale artisanale et industrielle que celles d ment autoris es en vertu de la l gislation sur les tablissements class s En effet les zones d activite en tant que telles sont galement reprises dans la nomenclature des tablissements class s sous le point 363 Par cons quent ces zones sont galement soumises autorisation pr alable en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La cr ation respectivement l am nagement d une telle zone figure dans la nomenclature pr cit e comme tablisseme
530. stiers A l image de la loi du 15 juin 1999 portant organisation de l Institut National d Administration Publique et consistant entre autre lier l avancement du fonctionnaire un certain nombre de conditions de formation continue le contrat collectif des ouvriers de l Etat impose aux administrations employant du personnel dans la carri re de l ouvrier organiser des cours de formation ayant trait la s curit au travail la manutention d engins de travail etc 173 Le catalogue des activit s de formation continue pour l ann e 2007 a t labor par le groupe de travail formation continue des ouvriers forestiers Les formations propos es couvrent de multiples domaines en relation troite avec les t ches inh rentes au m tier d ouvrier forestier notamment la s curit et la sant au travail la gestion du milieu naturel la technologie foresti re La coordination technique de chaque cours est assur e par les membres du groupe de travail en collaboration avec les pr pos s forestiers territorialement comp tents En 2007 les cours suivants ont t organis s la fois en langue luxembourgeoise et en langue fran aise Intitul du cours Nbre de participants Cours r capitulatif de premiers soins 4 54 50 5 44 13 24 3 1 8 La Cellule ouvriers forestiers L ann e 2007 a t marqu e par la finalisation de deux dossiers majeurs savoir l organisation d un ex
531. stitue l engagement national pour enrayer la perte de la diversit biologique d ic 2010 engagement pris par les chefs d Etat lors du Sommet mondial pour le d veloppement durable Johannesburg en 2002 Les efforts du Luxembourg dans ce contexte ont t mis en exergue par son adh sion officielle l initiative Countdown 2010 un partenariat international sous l effigie de l Union internationale pour la conservation de la nature IUCN et regroupant gouvernements autorit s r gionales et locales ainsi que des organisations non gouvernementales en vue de la mobilisation des forces vives pour la protection de la diversit biologique et de la sensibilisation du public La d claration officielle d adh sion a t sign e par le Ministre de l environnement le 23 mai 2007 lors de la pr sentation officielle du PNPN 1 1 6 3 Observatoire de l environnement naturel La loi du 3 ao t 2005 concernant le partenariat en mati re de protection de l environnement pr voit la mise en place d un observatoire de l environnement naturel compos de repr sentants du Minist re de l Environnement et de l Administration des Eaux et For ts du Mus e national d histoire naturelle des communes et syndicats communaux ainsi que des associations agissant dans le domaine de la protection de la nature et de l environnement Par ailleurs trois scientifiques sp cialis s dans le domaine de sauvegarde de la diversit biologique font
532. structions nouvelles Une brochure mise disposition des int ress s un num ro de renseignement gratuit ainsi que diff rents autres vecteurs de communication sont utilis s pour illustrer les nombreuses possibilit s d une utilisation plus efficace de l nergie ainsi que les b n fices y associ s Ensemble avec le Mouvement cologique le Minist re de l Environnement a pr sent en septembre le guide d achat online des produits les plus cologiques oekotopten lu Ce guide fournit des recommandations d achat notamment pour les grands appareils m nagers tels les lave linge et s che linge lave vaisselle r frig rateurs et cong lateurs fours et plaques de cuisson en classant les appareils selon divers crit res environnementaux Il sera tendu en 2008 d autres cat gories de produits Le Minist re de l Environnement en collaboration avec le Minist re de l Education nationale et de la Formation professionnelle le Mus e national d histoire naturelle et ASTM a par ailleurs lanc le concours du Klimaquiz lequel se terminera en mars 2008 Il s adresse aux l ves des 4 5 et 6 ann es d tudes primaires Chaque enseignant l aide de mat riel p dagogique sp cialement labor cette fin est encourag aborder la th matique du changement climatique avec ses l ves et motiver ces derniers r fl chir l laboration d un projet cr atif dans le cadre d un concours Pr s de 4
533. suit Nombre de dossiers introduits 2005 2007 4417 Nombre de dossiers finalis s 2005 2007 3 893 Nombre de dossiers finalis s en 2007 1 758 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2007 839 24 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 5 Situation au 31 12 2007 Un montant global de 4 784 536 29 pour subventionner 4 279 installations a t accord depuis septembre 2005 Il y a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations 111 Nombre et subventions accord s par type d installation depuis septembre 2005 selon le r glement grand ducal modifi du 3 ao t 2005 Type d installation Nombre Be Analyse d tanch it Al 225000 Assainissement maison individuelle 2 30 135 00 haudi re condensation Chaudi re gaz ification de b ches de bois 118 309 993 75 hauffage central granul s de bois 53 600 00 Thermographie 8 2 000 00 3 changeur g othermique 500 00 SOMME 4 279 4 784 536 29 Situation au 31 12 2007 Bien que les chaudi res condensation repr sentent 69 des demandes trait es elles ne repr sentent que 7 des aides en moyenne 115 par demande Les collecteurs solaires thermiques repr sentent eux 18 des demandes ainsi que 52 des aides allou es 3 253 par demande Les installations combustion de bois repr sentent 33 des aides allou es 3 600 par demande pour 10 de demandes trait es R pa
534. sup rieure la production actuelle et une d capitalisation sera donc effectu e donc dans les prochaines ann es Au niveau de toute la for t hors cadre inclus on a une possibilit de 4 6 m ha an La for t communale de Bous pr sente un r seau de voirie foresti re d velopp et entretenu N anmoins 1 500 m de chemins forestiers devront encore tre nouvellement cr es et 1150 m seront am nag es Une partie tr s r duite de la superficie de la for t communale de la for t de Bous est int gr e dans la zone HABITAT LU0001029 R gion de la Moselle Sup rieure La propri t foresti re de Bous ne pr sente que quelques petites surfaces int gr es dans ce vaste site Natura 2000 1649 ha 3 3 1 7 Le Plan Simple de Gestion de la for t communale de Monder ange 81 ha Le plan simple de gestion pour la propri t foresti re de la commune de Mondercange a t entam en 2007 mais ne pourra tre finalis que courant 2008 228 3 3 1 8 Les am nagements des for ts communales de Mamer 401 ha de Flaxweiler 677 ha de Mompach 644 ha de Hesperange 387 ha et de Hosingen 286 ha Les am nagements forestiers pour ces 5 propri t s foresti res ont t entames en 2007 mais ne pourront tre finalis s que courant 2008 3 3 2 Les inventaires forestiers d am nagement 3 3 2 1 Instructions pour la r alisation des travaux d inventaire d am nagement Les instructions du Serv
535. syst me d envergure europ enne chaque soci t responsable pour la transmission de ses donn es passe directement par son autorit qui les envoie alors au Message Broker Pour que ce syst me fonctionne le mieux possible 1l est pr f rable que tous les pays membres de l Union europ enne participent ce syst me N anmoins d s pr sent ce syst me est int ressant pour le Luxembourg vu la participation des Flandres destinataire de beaucoup de transferts de d chets luxembourgeois L utilisation de ce syst me lectronique permettra un meilleur emploi des ressources humaines actuellement disponibles pour la saisie des donn es transmis moyennant t l copies En outre le syst me permet d viter des erreurs d encodage de donn es dues aux fautes de frappes mais aussi l illisibilit des documents manuscrits 2 7 16 3 Les dossiers d autorisation de collecteurs et de courtiers de d chets Durant l ann e 2007 170 demandes ont t introduites en relation avec les autorisations de ramassage et de transport de d chets et les autorisations pour les tablissements ou entreprises qui veillent l limination ou la valorisation des d chets pour le compte de tiers courtiers n gociants Ce chiffre se divise en 102 demandes pour obtenir une autorisation de ramassage et de transport de d chets respectivement pour faire renouveler une telle autorisation et en 68 nouvelles demandes pour obtenir une autorisation de n go
536. t exception mesures m t orologiques En 2007 l ONF et l Administration des Eaux et For ts ont r alis les op rations suivantes Mesures dendrom triques annuelles Analyses foliaires Analyse de la liti re Mesure de l ozone avec des capteurs passifs Mesure de l ammoniac avec des capteurs passifs Etat sanitaire Observations ph nologiques Analyse des retomb es atmosph riques Mesure de param tres m t orologiques 260 Les r sultats font l objet d un rapport annuel d valuation des donn es r dig par l ONF Quelques r sultats des mesures m t orologiques Pour d celer les rapports entre les facteurs m t orologiques et le d p rissement des for ts il faut entre autre disposer de donn es m t orologiques qui sont valables pour les sites o se trouvent les placettes de suivi des cosyst mes forestiers Dans cette optique l Administration des Eaux et For ts a install une station m t orologique proximit des deux placettes de suivi long terme des cosyst mes forestiers HETLI P nzebierg et HETL2 Waldhof L installation et l exploitation des stations se font en collaboration avec l ONF et avec la soci t PULSONIC Une station est compos e de 3 unit s la station de base le pluviom tre et le m t basculant portant l an mo girouette et le capteur de rayonnement Les diff rents capteurs ainsi que la station elle m me sont homologu s par METEO FRANCE La sta
537. t soit en volume environ Gm ha La valeur du pr l vement pour installer ou largir les cloisonnements d exploitation est volontairement prise en compte dans le r sultat final car cette ouverture dans le peuplement participe la r duction du volume sur pied mais aussi l am lioration globale du climat lumineux sur la parcelle Hors cloisonnement La r colte en arbres de cat gorie 10 et plus soit les arbres de 52 cm et repr sente en du pr l vement total hors cloisonnement e pourle h tre 71 e pour les ch nes 61 255 Le h tre repr sente 50 du volume martel et les ch nes 43 Le volume de l arbre moyen martel en h tre est de 2 93m et en ch ne de 2 63 m Le nombre de tiges martel es est de 405 soit en moyenne 24 tiges ha les autres feuillus essentiellement du charme 117 tiges pour 68 m ont t martel s pour am liorer la qualit des houppiers des tiges de ch ne de qualit ou localement au profit d une r g n ration de ch ne pour mise en lumi re et croissance de cette r g n ration Ainsi le pr l vement a t un peu inf rieur la valeur annonc e dans les propositions de martelage environ 6m ha Il reste n anmoins dans une fourchette tr s acceptable car sup rieur l accroissement estim sur une p riode de 8 ans 8 x 0 4 3 2 ce qui permet une d capitalisation du peuplement sans risque de stress pour les peuplements La r colte a
538. t des d fauts risquant de d pr cier une grume de qualit voir les TGB et GB de h tre en priorit puis les TGB et GB de ch nes e orienter ensuite la r colte vers les plus gros arbres en commen ant par les plus mauvaises qualit s e claircir dans les BM intervenir pour les ch nes de qualit concurrenc s par le h tre dans la m me strate e liminer le h tre ou le charme de sous tage qui concurrencent l extr mit des branches charpenti res basses des tiges de ch ne de qualit e ne pas privil gier l espacement entre tiges mais le maintien de la sant et de la qualit o qu elles se trouvent e pr lever le sous tage pour amener un seuil de lumi re favorable au d veloppement des semis de ch ne sur les quelques t ches de semis acquis rechercher galement un apport de lumi re lat rale ce qui devrait tre r alis par l enl vement de GB ou TGB de qualit menac e ou de mauvaise qualit e ne pas clairer brutalement les perches d avenir de ch ne par un pr l vement local trop fort dans le parquet de r sineux e envisager des travaux compl mentaires dans les t ches de semis de ch ne Principaux r sultats du martelage Sur 16 83 ha qui correspond la surface de la parcelle r ellement parcourue en coupe et qui fera l objet d un suivi par placettes permanentes le pr l vement a t de 4 85m ha 4 02 dans le peuplement 0 83 au titre du cloisonnemen
539. t gaz naturel propane Produits d riv s du p trole essence gasoil LUXEMBOURG S A L 4975 Dippach k ros nes L 1899 Kockelscheuer LUXFUEL S A A roport de Produits d riv s du p trole k ros nes Luxembourg gasoil L 1110 Luxembourg OXYLUX SA 136 rue de Belval Oxyg ne L 4024 Esch Alzette PRESTA GAZ S A 1 rue du Chemin de Fer Gaz liqu fi s extr mement inflammables y DUPONT DE NEMOURS LUXEMBOURG S A R L DUPONT TEJIN FILMS S A CEDUCO S A L 8378 Kleinbettingen compris GPL et gaz naturel butane propane Produits d riv s du p trole gasoil LUXEMBOURG S A L 1141 Luxembourg Produits d riv s du p trole gasoil S A L 3349 Leudelange 62 Entreprises tombant sous les crit res de la colonne 1 SEUIL HAUT Adresse s Substance s dangereuse s BETTEMBOURG dangereuses diverses CIMALUX B P 17 Substances toxiques extr mement L 3701 Rumelange inflammables facilement inflammables liquides divers INTERNATIONAL L 6468 Echternach solvants a rosols GUARDIAN Route de Luxembourg Gaz liqu fi s extr mement inflammables y LUXGUARD I Z I Bommelscheuer compris GPL et gaz naturel butane L 4940 Bascharage Gaz liquefies extr mement inflammables y LUXGUARD II L 3452 Dudelange compris GPL et gaz naturel butane S A L 8069 Bertrange POROCEL CATALYST 420 route de Longwy Substances toxiques T nickel RECOVERY EUROPE L 482 Rodange Substances dangereuses pour
540. t pr vue pour f vrier 2008 Les chantillons des aiguilles de sapins ont t pris en juin 2007 sur 12 sites dont 11 ont d j t analys s en 1993 1994 Les chantillons de s diments ont t pris en d cembre 2007 sur 3 sites d j analys s en 1993 savoir sur l Alzette Schifflange et Beggen et sur la S re Erpeldange La pr sentation et l interpretation de tous les r sultats auront lieux au cours de l ann e 2008 103 2 6 8 Installations de combustion de moins de 3 MW Le r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 relatif aux installations de combustion aliment es en combustible liquide est l un des r glements cl dans le cadre de la lutte contre la pollution de l air et de l effet de serre En ce qui concerne l application du r glement les installations de moins de 3 MW fonctionnant au gasoil doivent subir une r ception chaque fois qu un nouveau br leur ou une nouvelle chaudi re sont mises en service Les r ceptions sont effectu es par la Chambre des M tiers suite une convention entre cette derni re et le Gouvernement Le nombre d installations de combustion au mazout de moins de 3 MW saisies fin 2007 s l ve 85236 Ces installations repr sentent une puissance calorifique totale de 3933 MW Les missions en 2007 sont estim es sur base d une consommation en mazout de 205000 tonnes Installations de combustion au mazout de moins de 3 MW Tonnes en 2007 200 200
541. te de la m thode p dagogique guide et scoute ducation l environnement e Apprentissage de techniques de la nature Naturtechniken e Arch ologie exp rimentale utilisation pratique du savoir acquis Concept p dagogique En d couvrant de fa on ludique le quotidien des populations naturelles comme les indiens ou les celtes les enfants et adolescents d veloppent une autre relation la nature Triage Waldhof e Participation au colloque 15 ans de suivi des cosyst mes forestiers RENECOFOR Beaune France e Participation deux m moires de fin d tudes de 2 ing nieurs forestiers ONF Verlaine en Haye e Travaux de d signation objective du h tre m moire de M Christophe Felder e Travaux de phase de qualification en h traie m lang e m moire Mile Emilie Paris 201 3 2 6 15 Manifestations regionales Triage de Hesperange e Dans le cadre de la journ e de l arbre plantation d un rideau de verdure l aide de haies et d arbres fruitiers autochtones autour de la nouvelle ferme isol e de M De Jong Fentange Les travaux de plantation ont t r alis s avec les enfants de l cole primaire de Hesperange dans le cadre de la Journ e de l arbre 2007 e Plantation du Kannerboesch pour les 190 nouveaux nes de l ann e 2006 qui habitent dans la commune de Hesperange Chaque famille d un nouveau n plantait un h tre dans la for t du Buchholz Un panneau regroupant t
542. te situation peut tre expliqu e par le fait que suite la conversion des taillis de ch ne apr s la 2 guerre mondiale la part en surface des for ts r sineuses est beaucoup plus haute dans l sling que dans les autres r gions du pays 186 Volume de bois exploites en 2007 30 000 00 25 000 00 20 000 00 B Feuillus 15 000 00 a O R sineux 10 000 00 u 5 000 00 0 00 u Diekirch Grevenmacher Mersch Lux Est Lux Ouest Wiltz Volume m En ce qui concerne les cat gories de bois feuillu exploit en 2007 le volume des grumes de qualit s levait 33 699 70 m celui du bois d industrie 61 295 75 m et celui du bois de chauffage 9 386 65 m La haute proportion de bois d industrie est due au fait que l Administration des Eaux et For ts a limit les coupes de bois de qualit Celles ci ne sont r alis es que si la sylviculture l impose Le tableau suivant montre les volumes des diff rentes cat gories de bois exploit s en 2007 dans les six cantonnements Cat gories des bois feuillus exploit s en 2007 16 000 00 14 000 00 12 000 00 10 000 00 EGrumes 8 000 00 D Bois industrie E Bois nergie Volume m 6 000 00 4 000 00 4 2 000 00 B 8 WS Il 8 WW II WW 0 00
543. teil dieser Rinnen ist nicht oder tempor r wasserf hrend Auch die geologische Formation des Keupers tr gt zum Vorkommen morphologischer Sondersituationen bei Als au ergew hnlich st das Vorkommen von mehreren gro en herrschenden bus vorherrschenden Hainbuchen anzusehen Die Baumh hen variieren auch zum Teil bei nebeneinander liegenden 249 Stichprobenpunkten stark obwohl das Baumalter und die stand rtlichen Bedingungen m Gel nde hnlich erscheinen Der Verbiss durch Rehwild ist insgesamt als gering einzustufen Auch wurde w hrende der Aufnahmen kaum Rehwild oder deren F hrten gesichtet Schwarzwild findet im Gebiet ein optimales Habitat vor Der hohe Eichenanteil sorgt f r eine gute Mast und der ton g lehmige Boden bietet zahlreiche Gelegenheiten f r Suhlen Luftbildbearbeitung und Interpretation der Naturwaldreservate Beteburger B sch und nneschte B sch F r beide Gebiete wurden die digitalisierten Luftbilder anhand der topographischen Karte Luxemburgs orientiert georeferenziert und Orthobilder berechnet Zus tzlich wurden digital stereoskopisch auswertbare Bildpaare erzeugt Die Auswertung und Interpretation erfolgte anschlie end im Stereo Analyst f r ArcGIS nach dem f r Luxemburg modifizierten Verfahren der Luftbildauswertung f r die Bannw lder Baden W rttembergs Das Naturwaldreservat Beteburger B sch pr sentiert sich aus der Vogelperspektive als berwiegend homogenes geschlossenes Al
544. terreg I A R seau cologique transfrontalier en collaboration avec les responsables de H llef fir d Natur ceci l occasion de la s ance acad mique organis e en l honneur du 25e anniversaire de la section de Clervaux du LNVL e Participation des r unions interminist rielles de concertation en vue de trouver une solution quant aux embarcad res au niveau du Lac de la Haute S re e Arpentage de plusieurs projets de chemins forestiers repr sentant une longueur totale de 16 km ceci dans le cadre du remembrement forestier e Suivi de plusieurs projets de chemins forestiers totalisant une longueur de 15 km Devis conseils techniques contr le sur le terrain contr le des factures e R unions de pr paration avec des bureaux d tudes en vue d une nouvelle exposition dans la maison de la for t au Burfelt e Expertises r alis es au profit de l Enregistrement et Domaines e R unions de concertation avec les sapeurs pompiers en vue de coordonner les efforts entre les divers acteurs e R unions de concertation avec les services CN responsables concernant des dossiers d envergure nationale r serves naturelles agrandissement respectivement renaturation de carri res e Diverses r unions dans le cadre du remembrement forestier Harlange 218 3 2 9 17 Activit s diverses des pr pos forestiers Outre leurs missions habituelles l faut relever les activit s avec les diverses coles r gion
545. tes activit du castor ont t d couverts suite des appels au grand public via la presse nationale levant le nombre total de sites quatre Ces sites ont t visit s afin d en d limiter les zones d activit et les conflits potentiels Le cas ch ant le contact a t tabli avec le propri taire pour r soudre le probl me Or les sites actuels ne semblent pas susceptibles de g n rer des probl mes majeurs Faune autres Inventaire des odonates dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire des orthopt res dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire avifaunistique dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire des odonates dans la zone de renaturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen e Inventaire des orthopteres dans la zone de renaturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen e Inventaire avifaunistique dans la zone de renaturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen 275 e Etude de la fouine Martes foina en milieu urbain dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Sussex finalisation e Etude de la martre Martes martes dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Dresden e Etude sur les amphibiens du Luxembourg en particulier sur le triton cr t et la rainette arboricole en
546. tholz Mit Ausnahme ener kleinen Nadelholzinsel in der Mitte des Reservates handelt es sich ausschlie lich um Laubholz An mehreren Orten entlang der m S den das Gebiet begrenzenden Stra e und innerhalb der s dlichen H lfte des Naturwaldreservats befinden sich mehrere kleine Verj ngungsfl chen Im oberen Teil der S dh lfte leuchten zwei kleine Gew sser blau durch das Kronendach Freifl chen oder gr ere Sonstige Fl chen sind nicht auszumachen Im Zuge der Interpretation wurde das Gebiet anhand von Strukturmerkmalen n 71 homogene Teilfl chen untergliedert die jeweils in der Aero Datenbank beschrieben wurden Der Gro teil des Gebietes ist mit berwiegend starken und gro kronigen Buchen 70 Fl chenanteil und Eichen 26 Fl chenanteil bestockt Zwischen diesen beraus gro en Baumindividuen dr ngen s ch vielerorts zwischenst ndige B ume ins Kronendach welches einen berwiegend dichten Charakter vermittelt ber 90 der Fl che weist einen Schlussgrad zwischen 80 und 100 auf Auflockerungen im Kronendach treten meist nicht homogen ber gr ere Fl chen auf sondern r hren eher vom Ausfall einzelner oder mehrerer gro kroniger Einzelindividuen her Aus Kombination der verschiedenen Strukturmerkmale wird f r jede Teilfl che eine Zuordnung in Entwicklungsphasen vorgenommen Danach entfallen im Beteburger B sch 6 auf die Jungwaldphase 87 auf die Optimalphase und 5 auf die Plenter und Verj ngungsphase
547. tiers Ainsi un premier projet a t lanc sur l initiative des propri taires priv s de la commune du Lac de la Haute S re Pour garantir le succ s de ce premier projet PONR travaille en troite collaboration avec l Administration des Eaux et For ts 214 Outre un grand nombre de travaux pr paratoires telle la r alisation d une cartographie du sol en vue de fixer la valeur des fonds la mise en place d un r seau de routes foresti res tait de rigueur La totalit du r seau compte quelque 40 km En 2007 la premi re phase de r alisation 16 km a t entam e comprenant piquetage des trac s martelage des laies et vente des bois tablissement des bordereaux et surveillance du chantier La totalit des travaux de voirie s talera sur une dur e de 3 4 ans Les autres projets r alis s en 2007 sont repris aux tableaux ci apr s For t soumise Projets termin s Boulaide Enspert 1 000 Elargissement Empierrement 4000 E 177711 22001 For t priv e Projets termin s tam 300 La majeure partie des empierrements est r alis e sur base de mat riel de recyclage voire d excavation En effet la fourniture de mat riel rocheux calibr en provenance directe de carri re devient de plus en plus on reuse Partant d faut absolument profiter de la disponibilit de bon mat riel d excavation 3 2 9 9 Travaux forestiers subventionn s Durant l ann e
548. tification r gionale PEFC en signant un engagement de qualit La demande est adress e par le propri taire de for ts publiques la direction de l AEF La direction enregistre la demande informe le chef de cantonnement et le pr pos forestier et d livre l attestation de participation la certification r gionale sur base de la certification r gionale e Le propri taire paye une cotisation quinquennale l asbl PEFC Luxembourg pour l utilisation de l attestation e Un auditeur externe et ou interne v rifie les pratiques de gestion et leur ad quation l engagement de qualit Pour le moment trente et une commune un tablissement public et l Etat ont re u une attestation de participation la certification r gionale suite leur d cision d adherer la certification r gionale en signant un engagement de qualit Le nombre total de propri taires avoir re u une attestation de participation la certification r gionale s l ve 82 propri taires repr sentant plus de 28 7 de la surface bois e Les travaux de l Administration des Eaux et For ts concernent surtout la promotion du syst me aupr s des propri taires et des gestionnaires forestiers ainsi qu une s rie de modifications et d adaptations du Syst me de Management Environnemental SME L Administration des Eaux et For ts a organis des audits internes en deux phases savoir un audit interne du SME et
549. tik m b H F 49 0 25 34 807 110 C7 C8 31 03 2009 Otto Hahn Strasse 22 D1 D2 D3 D6 D 48161 M nster Roxel E1 E4 E5 E6 GOBLET LAVENDIER amp ASSOCIES Ing nieurs conseils 17 rue J P Sauvage E GE S e s 2 31 03 2008 L 2514 Luxembourg Kirchberg B P 2125 L 1021 Luxembourg HOLMALUX G M B H 9 rue de Luxembourg i T 352 25 17 88 SC 8077 Bertrange F 352 25 17 89 31 03 2008 INTERGEO BENELUX G M B H IB A Ingenieurb ro f r Akustik T 49 0 91 15 43 45 40 Dipl Ing Uwe Bartsch VDI 31 03 2008 Im Weller 4 F 49 0 91 15 43 45 41 E2 D 90482 N rnberg INSTITUT F R MATERIALFORSCHUNG DR SCHELLENBERG ROTTWEIL T 49 0 74 11 74 36 30 b 31 03 2007 G M B H F 49 0 74 11 74 36 59 SE Rottweiler Strasse 13 D 78628 Rottweil INSTITUT SCIENTIFIQUE DE SERVICE PUBLIC T 32 0 42 29 83 11 B3 31 03 2008 Rue de Chera 20 F 32 0 42 52 46 65 F2 SE B 4000 Liege INTERNATIONAL TANK DIN SSLNENT T 32 0 81 71 99 50 Parc Scientifique Crealys F 32 0 81 71 99 59 F121 31 03 2008 Rue Camille Hubert 3 l B 5032 Gembloux KRAMER SCHALLTECHNIK G M B H T 49 0 22 41 93 38 090 Siegburger Strasse 39 F 49 0 22 41 93 38 091 E2 e D 53757 Sankt Augustin HELMUT KUMM FRANK KREBS amp DR WERNER KERN Ingenieurb ro f r Meteorologie und T 49 0 69 88 43 49 EI 31 03 2008 technische Okologie F 49 0 69 81 84 40 Ba Tulpenhofstrasse 45 D 63067
550. tion du parc de la Fondation Emile Mayrisch Croix Rouge Nieder Colpach e R union de concertation en vue du r am nagement du centre d accueil de Schoenfels avec les responsables des services concern s des Eaux amp For ts de l organisation St mm vun der Strooss et de l Administration des B timents Publics e Parc olien Redange et Rambrouch e R unions avec les agriculteurs au sujet de leurs constructions agricoles e R am nagement de la cour du Cadastre et de la Police Grand Ducale Mersch 288 Activites diverses e Ch teau de Schoenfels travaux d entretien du parc et du verger du et journ e de l arbre 2007 o plantation d un metasequoia et plantation d arbres fruitiers Ex cution de mesures de gestion des pelouses silicicoles Steinfort Schwarzenhaff Inventaire et ex cution de mesures de gestion de la pelouse s che Amberkneppchen Imbringen Suivi des mesures de gestion pour la conservation des prairies sur marnes du Hossenbierg Enl vement d un d p t 1ll gal Bissen D broussaillage Hossenbierg 3 4 2 3 L Arrondissement CN Nord Traitement des dossiers d autorisation pr vus par la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles En 2007 l arrondissement a t saisi de 381 demandes en autorisation dans le cadre de la loi Dans le cadre de l instruction des dossiers de demandes en autorisation sur base de l
551. tion est diff rente la majeure partie des demandes en aides proviennent de la part des propri taires forestiers priv s Ce grand nombre de demandes de la part des propri taires forestiers priv s engendre un travail administratif consid rable et explique que le cantonnement de Wiltz a t renforc pas plus tard qu en 2005 d une employ e qui s occupe principalement de l vacuation des dossiers d aides Le tableau c dessous reprend les quantit s accord es par type d aide et par type de propri taire Type d aide Communes tablissements Priv s Total publics Boisement h tre ch ne are 0 00 0 00 71 00 71 007 Boisement autres feuillus ares 0 00 0 00 0 00 0 00 Cl ture 1 5 m hauteur m 13497 00 00 9110 00 22607 00 Cl ture 2 m hauteur m 1918 00 000 6954 00 8872 00 Construction chemin forestier EUR 0 00 000 431949 52 431949 52 Conversion taillis en futaie ares LL 214720 2147207 lagage douglas ares 985 00 2491 00 3476 00 lagage feuillus ares IL 700 00 700 00 Installation de cl tures de protection m 1 8850 00 8850 00 Installation de protections individuelles pi ces LL 14503 12 14503 12 Premi re claircie feuillus ares _13829 00 6176 46 20005 4 Premi re claircie r sineux ares 200 00 45565 86 45765 86 Protection individuelle pr fabriqu e EUR TI IL 14503 12 14503 12
552. tion mesure et enregistre 7 param tres temp rature de l air ambiante temp rature du sol 10 cm de profondeur pluviom trie quantit de pluie hygrom trie humidit de l air vitesse du vent direction du vent rayonnement solaire global En 2007 part de la maintenance annuelle des deux stations une mise l heure et un change du module central a t effectu e sur HETL2 pr cipitation annuelle en mm Ja 2006 2005 2004 2003 2002 2001 2000 1999 1998 moyenne 1997 2005 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 787 4 moyenne 1997 2005 838 0 838 0 838 0 836 0 838 0 838 0 638 0 838 0 838 0 838 0 probl mes techniques entre le 9 ao t et le 30 ao t 2007 HETLI et le 6 et 7 ao t 2007 HETL2 Tandis que la station du Waldhof a mesur 1008 6 mm de pr cipitation annuelle en 2007 celle du P nzebierg n en a enregistr que 983 2 mm Les valeurs se situent nettement au dessus des moyennes pluriannuelles calcul es pour les deux stations C est la premi re fois depuis 2002 qu une telle augmentation des pluies a t observ e Par rapport l ann e pr c dente les deux stations ont galement enregistr une nette augmentation des pr cipitations Pour la station du P nzebierg et du Waldhof le mois de juin resp le mois de f vrier se sont montr s les plus pluvieux Le tableau suivant permet de comparer le
553. tique ainsi que l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 1 647 237 73 euros soit 12 83 e pr vention et gestion des d chets 9 610 752 73 euros soit 74 82 e protection de la nature et des ressources naturelles 1 585 992 9 euros soit 12 35 Le fonds pour la protection de l environnement a t institu par la loi modifi e du 31 mai 1999 Il a pour objet la pr vention et la lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit et le changement climatique la pr vention et la gestion des d chets la protection de la nature et des ressources naturelles l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contamin s l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables Sn LS D Le ministre de l environnement est autoris imputer sur ce fonds a la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives dans l un des domaines dont question ci dessus aux projets reconnus d int r t public par le Gouvernement en Conseil b la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives au systeme de gestion des d chets probl matiques en provenance des m nages uniquement c une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 66 du co t de l investissement concernant la r alisation de projets de compostage et ou de bio m thanisation de d chets organiques et de boues d
554. tit de d chets import s et soumis une notification a de nouveau diminu d une diminution des importations de d chets destin s la valorisation dans la production du clincker d chets import s moyennant notification en tonnes 70000 60000 50000 40000 Batte D t Botte R t 30000 20000 10000 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2 7 16 8 Transferts de d chets nationaux Les quantit s de d chets transf r s au sein du Grand Duch de Luxembourg et soumis une notification ont de nouveau augment de 6 37 Les d chets soumis une op ration de valorisation ont augment de 6 76 et les d chets soumis une op ration d limination ont diminu de 1 62 165 Les flux principaux des d chets soumis une valorisation sont les poussi res de filtres provenant de la sid rurgie les scories provenant de l incin ration des d chets m nagers et les boues d avaloirs d chets transf r s au GDL moyennant notification en tonnes 90000 80000 70000 60000 50000 Batte D t Botte R t 40000 30000 20000 10000 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2 7 17 Les sites contamin s 2 7 17 1 Le site de l ancien nettoyage sec Lavita Luxembourg Une tude de d termination et de quantification
555. total de 21 077 36 m a t mis en vente tous propri taires Domaines Communes S A R C P E P confondus 2006 25 533 55 m Bois d industrie Le tableau suivant donne un aper u sur la quantit de bois d industrie par essence Volume m 1368 14 3224 58 493 11 Autres feuillus 42 75 205 76 5334 34 Le bois en tant que source d nergie En 2007 2620 m de bois ont t utilis s directement ou mis disposition des fins nerg tiques OOOO Volume en m copeaux 445 bois de chauffage 2065 chauffage bois pour usage interne 2620 Livraison de bois de chauffage La demande de bois de chauffage reste comparable aux ann es pr c dentes La mise disposition ainsi que dans certains cas la livraison n cessite une quantit non n gligeable de la main d uvre Un grand nombre de demandes ont du tre refus es suite la rupture de stock 195 En 2007 les livraisons suivantes ont t effectu es e 88 m de bois de chauffage ont t vendues aux habitants des communes de Bettembourg et Roeser e 213 m de bois de chauffage ont t vendues aux habitants des communes de Dudelange et de Frisange e 167 m de bois de chauffage ont t vendues aux habitants des communes de Hesperange et de Weiler la Tour e 570 m de bois de chauffage ont t vendues aux habitants des communes de Niederanven et de Schuttrange e 544 m de bois de chauffage ont t vendues au
556. transparents e et qui tienne la route au niveau international notamment eu gard aux imp ratifs de l OMC 1 5 3 10 Divers Les principales conclusions d gag es par le Conseil environnement en 2007 visent en dehors des changements climatiques dont question au point VIII de la r vision du syst me communautaire d change de droits d mission dont question au point V et des missions de CO des voitures dont question au point VI e la contribution du Conseil environnement de f vrier 2007 au Conseil europ en de printemps engagement ferme et ind pendant de PUE de r duire les missions de gaz effet de serre d au moins 20 d ici 2020 par rapport 1990 et engagement conditionnel de PUE de r duire ces m mes missions de 30 titre de contribution un accord mondial global pour l apr s 2012 proportion de 20 d nergies renouvelables dans la consommation nerg tique totale de PUE d ic 2020 proportion minimale contraignante de 10 de biocarburants dans la consommation totale d essence et de gazole destin s au transport au sein de PUE l utilisation durable des pesticides f vrier 2007 un nouvel lan pour la politique de l environnement de l UE juin 2007 la p nurie d eau et la s cheresse octobre 2007 la strat gie en faveur du d veloppement durable octobre 2007 l environnement et la sant d cembre 2007 La directive 2007 2 CE tablit une infrastructure d information g ograph
557. ts a fait des propositions d acquisitions diverses 278 3 4 1 8 Restaurations des habitats humides Etude de faisabilite e Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen e Alzette le long de la r serve naturelle a Str issel Bettembourg Projets d ex cution subsidi s par le Minist re de Environnement Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen Alzette entre la r serve naturelle Brill et la Station d puration Schifflange renaturation du Dipbach sur le site dit Nonnewiesen Esch Alzette renaturation du Roudemerbaach a Rodenbourg 3 4 1 9 Biodiversit En 2007 environ 200 ha de surfaces agricoles ont t mis sous contrat en application du r glement grand ducal du 22 mars 2002 instituant un ensemble de r gimes d aides pour la sauvegarde de la diversit biologique Du travail consid rable a galement t investi dans l laboration de la nouvelle application pout g rer l avenir les contrats biodiversit en collaboration avec la cellule informatique de sorte que le volet agricole de cette application est bien d velopp et d j utilisable Natura 2000 En 2007 la mise en uvre des directives 92 43 CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages et 79 409 CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux a t poursuivie Les plans de gestion su
558. ts de r glements de la Commission Fin 2007 quatre nouveaux r glements ont t publi s conform ment au r glement CE 842 2006 du Parlement europ en et du Conseil e le R GLEMENT CE 1493 2007 DE LA COMMISSION d finissant le format du rapport pr senter par les producteurs les importateurs et les exportateurs de certains gaz effet de serre fluor s e le R GLEMENT CE 1494 2007 DE LA COMMISSION d terminant le type d etiquette et les exigences suppl mentaires en mati re d tiquetage en ce qui concerne les produits et quipements contenant certains gaz effet de serre fluor s e le REGLEMENT CE 1497 2007 DE LA COMMISSION d finissant les exigences types applicables au contr le d tanch it pour les syst mes fixes de protection contre l incendie contenant certains gaz effet de serre fluores e le R GLEMENT CE 1516 2007 DE LA COMMISSION d finissant les exigences types applicables au contr le d tanch it pour les quipements fixes de r frig ration de climatisation et de pompes chaleur contenant certains gaz effet de serre fluor s Fin 2007 ledit comit a approuv six projets de r glements de la Commission qui vont tre publi s au d but de l ann e 2008 Il s agit de r glements en relation avec e les prescriptions minimales et conditions pour une reconnaissance mutuelle en mati re de programmes de formation et de certification l intention la fois des entreprises et du pers
559. ts r alis s dans le cadre du r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2001 En juillet 2001 le programme d aides financi res aux particuliers a d marr un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des sources d nergie renouvelables L tat d instruction des dossiers se pr sente comme suit Nombre de dossiers introduits 2001 2005 19129 Nombre de dossiers finalis s 2001 2007 18044 Nombre de dossiers finalis s en 2007 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2007 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 1 035 Situation 31 12 2007 Malgr la mise disposition par l administration de formulaires de demande sp cifiques clairs et pr cis 78 des demandes introduites n ont pas pu tre consid r es comme complet et que par cons quent informations suppl mentaires ont d tre demand es 109 La situation financi re du programme d aides l investissement se pr sente comme suit list e en fonction des installations ligibles Nombre et subventions accord s par type d installation en 2001 2007 selon le r glement srand ducal modifi du 17 juillet 2001 Chaudi re bois li 96 248250 51 Cog n ration LL 681392 65 81 825 27 ollecteurs thermiques chauffage et eau chaude 739 816 93 123 97 11 Conseil technique e HB Substitution chauffage central lectrique Substitution chauffe
560. u un co t tr s r duit Dans le cadre du traitement des dossiers d indemnisation des d g ts de gibier les pr pos s forestiers ont t appel en 2007 assister 257 visites de terrain Il y a lieu de mentionner que localement des d g ts de cerf se sont fait remarquer aux alentours de Grevenmacher Mompach et Rodenbourg Deux propri taires ont introduit des dossiers de d dommagement suite l cor age par le cerf Des cl tures ont t install es dans les triages de Biwer Flaxweiler Roodt Syre et Wormeldange sur une longueur de presque 2 000 m Elles servent de protection mais galement de contr le de l impact des d g ts occasionn s par le gibier 3 2 5 9 Conservation de la nature En 2007 le nombre de dossiers CN trait s par le personnel du Cantonnement de Grevenmacher s est lev au nombre de 285 Les travaux r alis s ont t les suivants cr ation en entretien de lisi res de for ts plantation entretien et restauration de haies plantation entretien et restauration de vergers plantation entretien et restauration de d arbres solitaires et fruitiers entretien et restauration de mares et mardelles enl vement de r sineux le long des cours d eau entretien et restauration de pelouses s ches Les services comp tents ont investi beaucoup de leur temps dans l entretien de la Zone Habitats class au niveau europ en et situ e dans la vall e de
561. u 01 01 2010 Polluant NO 80 1 Moyenne annuelle Protection de la sant humaine 70 valeur limite marge de tolerance 58 60 e z 56 A 50 40 30 20 26 27 21 seuil d valuation minimal 26 g m Concentration ug m a 20 C 10 TER KB BE di 1 1 1 N N O 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Ann e 6 LUXEMBOURG Centre e LUXEMBOURG Bonnevoie ESCH ALZETTE 73 e Dioxyde de soufre SO protection de la sant humaine Respect de la valeur limite protection des cosyst mes Respect de la valeur limite e Oxydes d azote NO protection des cosyst mes La valeur limite est respect e aux sites ruraux e Particules inhalables PM en suspension dans l air d un diam tre lt 10 um protection de la sant humaine Respect de la valeur limite moyenne annuelle de 40 ug m Respect de la valeur limite moyenne journali re avec moins de 35 jours de d passement de la valeur de 50 ug m e Plomb essentiellement dans les poussi res en suspension dans l air protection de la sant humaine Respect de la valeur limite en 2006 et en 2007 e Benzene C6H6 protection de la sant humaine Respect de la valeur limite e Monoxyde de carbone CO protection de la sant humaine Respect de la valeur limite e Arsenic dans les poussi res fines PM les premiers r sultats montrent que
562. u sein du Minist re de l Economie et du Commerce ext rieur celles des r unions de la commission sp ciale traitant de projets d investissement visant une op ration de protection de l environnement L administration a particip la pr paration de la mise en uvre de la Directive 2006 123 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 12 d cembre 2006 relative aux services dans le march int rieur directive services notamment en ce qui concerne les crit res respecter dans le cadre des autorisations L administration participe certains travaux du Haut Commissariat la Protection Nationale 2 5 15 La l gislation relative la gestion des d chets de l industrie extractive L administration a particip plusieurs r unions du Comit pour l adaptation au progr s scientifique et technique de la l gislation communautaire en mati re de d chets en particulier en ce qui concerne la Directive 2006 21 CE concernant la gestion des d chets de l industrie extractive Les travaux portent notamment sur l laboration e d un guide g n ral pour la caract risation des d chets miniers dont la d finition des d chets consid r s comme inertes et sur les crit res de classification des installations de gestion de d chets en particulier celles pr sentant des dangers particuliers o cat gorie A e d un guide sur la mise en uvre d inspections de telles installations La proc dure de transpositio
563. ude de march afin de mieux conna tre le march des piles et accumulateurs ainsi que le flux des d chets des piles et accumulateurs au Luxembourg Vu les donn es sur le transfert des d chets l en r sulte qu en 2007 les quantit s repris dans le tableau ci dessous ont t transf r s l tranger pour traitement 117 Denomination CED Quantite kg Accumulateurs au plomb 160601 1162300 Accumulateurs Ni Cd 160602 12760 Piles et accumulateurs 200133 76213 Les emballages et les d chets d emballages Le r glement grand ducal du 22 f vrier 2006 transposant en droit national la directive 2004 12 CE n a pas t modifi en 2007 Le r glement grand ducal du 18 janvier 2005 relatif aux d chets d quipements lectriques et lectroniques Le r glement grand ducal modifi du 18 janvier 2005 transposant en droit national les directives 2002 95 CE et 2002 96 CE n a pas t modifi en 2007 Reste transposer en droit luxembourgeois 3 d cisions de la Commission Europ enne qui ont t publi es au Journal Officiel savoir la d cision 2006 690 CE 2006 691 CE et 2006 692 CE Le r glement grand ducal du 17 mars 2003 relatif aux v hicules hors d usage Le r glement grand ducal modifi du 17 mars 2003 relatif aux v hicules hors d usage n a pas t adapt en 2007 N anmoins au niveau europ en la Commission a finalis le rapport sur la mise en uvre de la directive 200
564. ue d finitive pour l ann e 2007 M taux lourds Pb As Cd Ni Le tableau des valeurs montre pour tous les m taux lourds des niveaux nettement en dessous des valeurs limites ou des valeurs cibles inscrites dans les r glementations europ enne et nationale Notamment les niveaux mesur s en 2006 et en 2007 concernant le plomb et le cadmium sont faibles Hydrocarbures hydrocarbures aromatiques polycycliques BaP La valeur du traceur BaP dans l air ambiant est assez faible au maximum 30 de la valeur cible Rappelons que le BaP est la substance de r f rence au pouvoir canc rig ne le plus marqu en ce qui concerne les hydrocarbures aromatiques polycycliques pr sents dans l air ambiant 2 6 2 5 R seau automatique de contr le de la qualit de l air Modifications et quipements nouveaux dans le r seau durant l ann e 2006 et 2007 L ancienne station du type container d Esch Alzette Rue Arthur Useldinger a regagn e un container nouveau Les infiltrations d eau ne posaient pas de probl mes mais l exiguite du local de mesure le nombre important d analyseurs dans des armoires de conception ancienne le c blage 82 refaire int gralement ainsi que le systeme d talonnage v tuste ne r pondant plus aux exigences de m trologie d aujourd hui toutes ces consid rations exigeaient le remplacement urgent L ancienne station du type container au Mont St Nicolas Vianden particuli rement expos e
565. uelle gt 40 ug m 2006 2007 Luxembourg Bonnevoie 3835 Z TI Esch Alzette 2928 TI Beckerich LI O OBS S a Beidweiler EE Mont St Nicolas Vianden 109 Z o gt O 88 ANNEE 2006 NO PROTECTION DES ECOSYSTEMES ANNEE 2007 Periode de calcul 1 1 2006 31 12 2006 Periode de calcul 1 1 2007 31 12 2007 Valeur limite 30 g m 293 K 101 3 kPa appliqu e la moyenne annuelle du niveau d oxydes d azote NO NO NO NO exprim s en quivalents NO2 l oxyde d azote NO tant exprim en dioxyde d azote NO et respecter partir du 19 7 2001 Moyenne annuelle D passement si valeur STATION ug m annuelle gt 30 ug m 2006 2007 Beckerich 22 18 Beidweiler 14 12 Mont St Nicolas Vianden 1122 gt O Polluants NO exprim s en quivalent NO2 moyenne annuelle Protection des cosyst mes 40 35 valeur limite 30 ug m 29 d 30 d 55 ge seuil d valuation maximal 24 ug m D on seuil d valuation minimal 19 5 ug m ES D T J ELVANGE Mesures jusqu au 13 09 2005 Gi 15 8 4 Arr t de la station et transfert Beidweiler O 2 O 10 1 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Ann e ELVANGE Mondorf les Bains 3 Mont St Nicolas Vianden BECKERICH BEIDWEILER POUSSIERE PM Des normes de qualit de
566. ues sur la base d un projet environnemental Le but de l tude agricole consiste d terminer en accord avec les exploitants des terrains qui pourraient faire l objet d un p turage pour du b tail bovins chevaux ch vres moutons production de fourrage ou production d nergie partir de biomasse Les tudes agricoles y relatives comprennent les tapes suivantes e rechercher des terrains et des agriculteurs susceptibles de participer au projet e d terminer des m thodes d exploitation extensive susceptibles d tre appliqu es dans les zones prot g es fauchage p turage race e laboration d un concept de p turage d termination de la charge en b tail p turage toute l ann e ou pendant la saison de v g tation etc e estimer le rendement agricole des surfaces concern es estimation du rendement quantitatif et qualitatif en viande par exemple et les revenus de l agriculteur incluant les subventions potentielles e rechercher des d bouch s pour les produits id alement la conclusion de contrats avec des clients locaux est recherch e bouchers restaurateurs collectivit s leveurs etc e r aliser des projets pilotes visant cr er une dynamique aupr s d autres agriculteurs e r aliser ult rieurement des documents de communication concernant le projet et les produits disponibles brochure panneaux etc Durant l ann e 2006 I Administration
567. ui concerne les risques pour la sant des personnes ou l environnement Le comit conclut qu il n y a pas de risque g n ral pour la sant de personnes habitant proximit de stations de base du fait que l exposition des rayonnements ne constitue qu une fraction minime des valeurs guide accept es au niveau international 0 002 2 avec un maximum de 8 6 Toutefois les scientifiques ne peuvent toujours pas exclure que des effets nocifs se pr sentent dans certains cas Le directeur ex cutif de l Agence Europ enne de l Environnement renvoie au principe de pr caution Loin d exclure p remptoirement la prise de tout risque connu ou inconnu et d imposer l abstention face toute activit qui comporte un risque le principe de pr caution tel qu il est d ailleurs consacr par l article 174 du Trait instituant la Communaut europ enne impose d liminer les risques dans la mesure du possible et d encadrer les activit s qui comportent un risque qui ne peut pas tre mesur dans le sens d en r duire au maximum les effets nocifs potentiels En toute hypoth se l absence de certitudes ne doit ni conduire un immobilisme ni dispenser de l adoption de mesures effectives et proportionn es un co t conomiquement acceptable tant entendu qu en cas de danger av r pour la sant des individus ou pour l environnement m me une impossibilit absolue d liminer ce danger ou des c
568. uivantes 2 1 1 1 1 1 1 1 Station de Nombre des Nombre Nombre de m nages compostage communes d habitants syndiqu es STATEC rattach es 01 01 2006 MINETT Kompost Mondercange 2 171 419 64 891 z 1 Esch Schifflange L 4149 Esch Alzette SICA Mamer route de Kehlen 30 108 11 535 L 8235 Mamer SIDEC Angelsberg 55 98 184 37 917 L 7410 Angelsberg 2 1 1 1 1 1 1 2 SIDEC Fridh aff 98 184 37 917 Fridhaff 2 1 1 1 1 1 1 3 Hesperange l rue Nachtbann 6 025 L 5955 Itzig 2 1 1 1 1 1 1 4 Luxembourg 132 rue de Reckenthal 37 143 L 2410 Luxembourg 2 1 1 1 1 1 1 5 SIGRE Muer tendall 17 048 L 6925 Buchholz 122 Leur r partition g ographique est repr sent e dans le graphique suivant Mondercange Emplacement des installations de compostage 2 7 6 2 Le relev des donn es L Administration de l Environnement proc de chaque ann e un relev de donn es pertinentes aupr s des installations de compostage luxembourgeoises Ce relev se fait moyennant des formulaires et comporte les sections suivantes Formulaire 1 Formulaire 2 Formulaire 3 Formulaire 4 Formulaire 5 Formulaire 6 Formulaire 7 Formulaire 8 Formulaire 9 Formulaire 10 Informations g n rales Indications administratives Description des d chets accept s Processus Quantit s et d bouch s du compost produit Qualit du compost produit Perturbations et anomalies Elimination Valorisation des d
569. uivants am nagement cologique Cloche d Or am nagement cologique Findel am nagement cologique Grundhof am nagement cologique Kirchberg am nagement cologique Echternach am nagement cologique Remerschen am nagement cologique autour de plusieurs entreprises Bettembourg am nagement cologique Ettelbr ck am nagement cologique d une zone industrielle Leudelange am nagement cologique Bettembourg am nagement cologique Junglinster am nagement cologique Wemperhaardt am nagement cologique de ronds points Rippweiler Barri re am nagement cologique Merl am nagement cologique des alentours du terrain de football Mensdorf am nagement cologique pr s du ch teau de Colnet d Huart Bertrange am nagement cologique Wandhaff am nagement cologique R dange Attert am nagement cologique d une place de jeux Berdorf Parkings cologiques Il s ag t d un am nagement cologique des aires de stationnement En effet la surface de roulement du parking cologique n est pas recouverte de macadam asphalte goudron ou b ton afin que la v g tation herbac e naturelle puisse s installer spontan ment sur les parties non sollicit s par la circulation L ordre interne du parking est atteint non pas par la construction de bordures en pierre mais par la mani re de disposer les arbres les haies ou les poteaux en bois Le parking cologique facilite donc non seul
570. ul Commune d Esch Autres Cockerill l Histoire Naturelle service cologique Fartenaire 269 Type d activit en 2007 Hombre de visiteurs isites p dagogiques Wisites guid es pour Expositions Conferences Manifestations pour le adultes temporaires S minaires grand public Marche etc Activites Situ id alement proximit de la ville d Esch sur Alzette le centre d accueil Ellergronn avec son exposition interactive sur la r serve naturelle et l histoire du bassin minier fait l objet de nombreuses visites des habitants de la r gion et des amis de la nature Le centre d accueil Ellergronn est le point de d part du sentier didactique existant Ellergronn et du nouveau sentier didactique Natura 2000 qui a t finalis en 2007 En 2007 le centre d accueil Ellergronn a organis divers v nements dont En Dag an der Natur en collaboration avec le service cologique de la ville d Esch et deux grandes expositions ont t organis es dans le hall de conf rence et d exposition e du 8 mars au 21 juillet l exposition arch ologique Nature Histoire Culture organis par les Amis de l Histoire et du Mus e de la Ville d Esch sur Alzette e du 21 septembre au 12 octobre l exposition Made in Wood dans le cadre de INTERREG II B pro Holz pro Bois En plus des visites des enfants du Panda club et des classes d cole du service ducatif du MNHN les enf
571. un tat de conservation favorable d un type d habitat naturel relevant de la Directive Habitats Les instructions font la diff rence entre les am nagements en for ts communales et les am nagements en for ts domaniales qui elles suivent une version du cahier des charges all g e Il a t rajout au cahier des charges un exemple de typologie des peuplements et types de gestion associ s Pour l exercice 2007 3 am nagements forestiers r alis s avalent une envergure justifiant une mise en adjudication de ces march s Pour ces soumissions publiques des cahiers des charges sp cifiques ont d tre d velopp s 3 3 1 2 Am nagement de la for t communale de Berdorf 2007 2016 644 ha Les travaux d am nagement de la propri t foresti re de la commune de Berdorf r alis s par un bureau d tudes externe ont t suivis par le service de l am nagement des bois par le cantonnement forestier de Diekirch ainsi que par le Conseil des Bourgmestre et Echevins de la Commune de Berdorf Une r union de concertation a eu lieu avec les conservateurs du MNHN Une version finale provisoire du projet de plan d am nagement forestier pour a t pr sent e au Conseil Communal et la Commission de l environnement de la commune de Berdorf en date du 20 juin 2007 Ci apr s sont expos es les grandes lignes du projet d am nagement tel qu il se pr sente l heure actuelle
572. un GPS de haute pr cision lors du second cycle de mesures est consid r n cessaire en vue d un IFL3 e Arbres de la futaie La fiche n 4 concernant les arbres de la futaie fait l objet de nombreuses discussions ayant eu lieu depuis le d but de la cr ation du module d encodage et des tests sur celui c1 ainsi que lors des r unions En particulier l affichage des donn es IFLI lors des mesures et observations du second cycle a t souvent abord La disposition des tableaux et du sch ma de la fiche n 4 a t mise l preuve lors des premiers tests sur le module d encodage Ces derniers ont permis de formuler un certain nombre de remarques visant am liorer l encodage des informations de cette fiche tant au niveau pratique convivialit de la fiche que m thodologique d finitions compr hension des variables e Lisi res Les lisi res actuelles du Grand Duch pr sentent des structures simples Toutefois 1l est probable qu l avenir elles se diversifient en raison des mesures d am nagement forestier prises actuellement claircies fortes dans les lisi res De ce fait 1l est pr f rable d assurer la possibilit de d crire des structures plus compliqu es l avenir Les comptes rendus des trois journ es de terrain juillet et septembre 2007 ont permis de relever principalement des probl mes li s au mode op ratoire appliquer sur le terrain Par exemple l
573. un dossier de demande d autorisation de modification non substantielle de l tablissement article 6 de la l gislation relative aux tablissements class s plusieurs tablissements ont t invit s de pr senter leur r vision du ppgd dossier exig par l autorisation initiale de l tablissement En 2007 127 dossiers de r visions de ppgd ont t ouverts et 46 r visions ont pu tre cl tur es jusqu la fin de l ann e A la fin de l ann e 2007 environ 286 r visions de ppgd taient enregistr es dans la base de donn es dont 158 approuv es 103 non cl tur es ainsi que 25 abrog es Rapport d volution de la pr vention et de la gestion des d chets D ppgd complets ND CH mppgd gt 3 an r viser wesch J O r visions r alis es O r visions 538 clotur es 469 H on D SS E E SS RS ES ee EE WEE ES 0 BEE EN E BE EE E Rn 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 0 estimation sans prise en compte des nouveaux dossiers de 2008 70 2 5 14 Collaboration avec d autres administrations Dans le cadre de l application de la l gislation sur les tablissements class s l administration a poursuivi une collaboration troite avec l Inspection du travail et des mines et l Administration de la gestion de l eau Dans le contexte de la loi cadre de d veloppement et de diversification conomiques l administration participe a
574. uquel une proc dure de la classe 1 est requise Le r glement grand ducal du 1 ao t 2007 modifiant la nomenclature des tablissements class s a d rog au principe d crit ci dessus en faisant ranger les metteurs d ondes lectromagn tiques faisant partie d un r seau de communication de t l phonie mobile install l ext rieur d un b timent et pouvant produire une puissance isotrope rayonn e maximale sup rieure ou gale a 100 W galement en classe 3 Il s agit d une proc dure administrative simplifi e qui n a aucune cons quence sur la protection des personnes et de l environnement l gard des ondes lectromagn tiques Elle vite par ailleurs une prolif ration inutile de sites d metteurs L adoption de ce r glement grand ducal s est faite ind pendamment de tout recours ventuellement introduit devant les juridictions administratives L Agence Europ enne de l Environnement dans une publication du 17 septembre 2007 rappelle qu elle n a pas l expertise sp cifique dans le domaine des effets des champs lectromagn tiques Elle n indique aucune valeur limite mais renvoie une s rie d tudes effectu es en premier lieu une tude publi e en septembre 2007 dans le cadre d un programme de recherche r alis au Royaume Uni sur la t l communication mobile Les r sultats de cette tude britannique r cente ne renseignent pas sur des connaissances nouvelles en ce q
575. urant les mois de janvier f vrier mai et juin montrent des concentrations suffisamment lev es pour tre galement d tect es par le r seau de biosurveillance e a Differdange les niveaux en m taux lourds sont faibles un peu plus lev es dans le quartier Cit Henri Grey e Rodange la surveillance de la situation l aide du r seau Bergerhoff local ne montre pas de situation anormale 76 TABLEAUX ANNUELS RESEAU SOUFRE FUMEE LUXEMBOURG DUDELANGE ESCH ALZETTE DIFFERDANGE Bd Royal MOYENNES MENSUELLES ug m F SO2 F SO2 F so2 F SO2 F SO2 F SO2 F SO2 F SO2 AVRIL 2005 9 1 900 8 1 8 00 16 J 24 1 24 00 MAI 11 1 11 0 5 4 1235 9 J 21 1 21 00 JUIN 3 123000 9 2 450 15 J 24 1 24 00 JUILLET 5 5 2 250 1 J 19 1 19 00 AOUT 2 1 20 5 6 0838 1 J 16 1 16 00 SEPTEMBRE 8 5 160 16 J 32 1 32 00 OCTOBRE o o 5 15 35 J NOVEMBRE 6 J 13 28 DECEMBRE 4 2 2000 7 3 233 14 J 26 1 26 00 JANVIER 2006 12 5 240 10 5 2 00 21 J 32 2 16 00 FEVRIER 6 4 150 9 5 180 15 J 31 1 31 00 MARS 6 3 200 8 4 20 13 J 25 1 25 00 ETE 6 160 7 3 2000 13 J 23 1 22 67 HIVER 7 4 200 8 4 176 15 J 30 1 29 50 ANNEE 6 234 7 4 191 14 J 26 1 23 71 CONCENTRATIONS JOURNALI RES MAXIMALES ug m AVRIL 2005 31 2 21 6 39 42 4 MAI 29 8 12 12 26 39 5 JUIN 13 1 14 8 32 39 2 JUILLET 15 14 12 25 35 2 AOUT 11 5 11 15 31 37 2 SEPTEMBRE e 13 10 27 45 3 OCTOBRE e e 9 3
576. urs de quatre r unions trait s les dossiers suivants 1 Le plan national concernant la protection de la nature 2 Les instructions d application de l article 17 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature 3 Des th matiques d actualite tels la gestion de certaines r serves naturelles ou d especes menac es la probl matique des mesures compensatoires 4 La r vision des r glements grand ducaux concernant la protection de la flore et de la faune 5 La r vision du r glement grand ducal concernant les aides pour l am lioration de l environnement naturel Par ailleurs l observatoire a mandat la r alisation d tudes et de projets dont l laboration d un syst me national de monitoring de la biodiversit en collaboration ave le Centre de recherche public Gabriel Lippmann et le Mus e national d histoire naturelle 1 1 6 4 R seau Natura 2000 Le Minist re de l Environnement et l Administration des Eaux et For ts ont proc d la pr sentation publique des plans de gestion des zones sp ciales de conservation suivantes LU0001017 Vall e de la S re inf rieure LU0001018 Vall e de la Mamer et de l Eisch LU0001031 Dudelange Haard et LU0001014 Zones humides de Bissen et Fensterdall Les pr sentations publiques des plans de gestions se d roulent dans les communes concern es et ont pour objectif de sensibiliser et d informer la population locale sur les zones Natura 2000 dans l
577. usibilit tspr fung und Qualit tssicherung der Daten durchgef hrt Der Wald zeigt einen hohen Fl chenanteil mit jungen Waldstrukturen aus Sukzession und Pflanzung Strukturgebend waren Sturmw rfe aus dem Jahr 1984 und 1990 Alle Sturmwurffl chen wurden ger umt Viele Bereiche wurden anschlie end mit Eichen und Mischbaumarten bepflanzt einige Fl chen wurden der Sukzession berlassen ltere Waldstrukturen sind heute vor allem an den R ndern des Waldes zu finden Der P ttnerb sch liegt als Waldinsel in der Agrarlandschaft Er hat damit eine wichtige Trittsteinfunktion Sehr interessant wird der Wald als Leitstruktur f r wandernde Tierarten da er an eine gro z gig ausgelegte Gr nbr cke anschlie t 248 Im Rahmen der FGA wurden an 2 Tagen die Bodensubstrate und bodenphysikalische Merkmale mittels eines Bohrstockes stichprobenhaft erhoben An allen Bohr Punkten wurden tonige Substrate mit unterschiedlich m chtigen Lehmauflagen und durchweg wechselfeuchte bis vern ssende Wasserhaushaltsstufen festgestellt Die Vogelbeobachtungen erfolgten unsystematisch im Zuge der Aufnahmen zu den Waldstrukturen Der Beobachtungszeitraum war f r das Brutjahr 2007 schon sehr fortgeschritten Im Vergleich zur Liste von 2002 konnten Haubenmeise Lophophanus cristatus und Kleinspecht Dendrocopus minor neu beobachtet werden was auf die zwischenzeitliche Anreicherung von schwachem stehendem Totholz im Gebiet hindeutet Tats chlich war in 200
578. utilisation rationnelle de l nergie Un aper u succinct des actions s inscrivant dans le cadre de la politique g n rale du minist re est donn dans ce premier chapitre En 2007 l administration g n rale du minist re a plus particuli rement concentr ses travaux sur neuf domaines l application et l int gration du principe de d veloppement durable l Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal l information et la sensibilisation du public les n gociations internationales dans le domaine du changement climatique les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables la protection de la nature et des ressources naturelles la promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel les mesures et instruments en mati re de protection du paysage l instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG Pour une information plus compl te sur les diverses actions entreprises 1l est renvoy aux chapitres sp cifiques de ce rapport 1 1 1 Application et int gration du principe de d veloppement durable La loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable a donn une base l gale au Plan national pour un d veloppement durable a institu le rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable a instaur un Conseil Sup rieur pour le D veloppement Durable et a cr
579. ux d un d veloppement durable au Luxembourg et de d montrer les liens existants d ventuels conflits d int r t entre ces d fis ainsi que les besoins de coordination entre les approches sectorielles Le 27 juillet 2007 a eu lieu une r union commune avec le Conseil sup rieur pour le d veloppement durable consacr e un change de vues au sujet de ce document de travail L change de vues avec la soci t civile propos de ce document s est poursuivi par une table ronde avec les repr sentants de la soci t civile en pr sence de Monsieur le Ministre de l Environnement en date du 22 octobre 2007 Le Conseil Sup rieur pour le D veloppement Durable CSDD constitue l organe de r flexion de discussion et de conseil en mati re de d veloppement durable Il est en premier lieu un forum de discussion o le d bat contradictoire et direct au sujet des actions du Gouvernement en mati re de d veloppement durable doit trouver sa place Le secr tariat du CSDD est assur par le Minist re de l Environnement en sa comp tence de minist re en charge de la coordination interminist rielle du d veloppement durable En 2007 deux demandes d avis ont t soumises au CSDD La demande d avis sur les agr gats des finances publiques pour la p riode post rieure 2009 dans l optique des crit res de d veloppement durable a t transmise par le Gouvernement suite une motion adopt e par la Chambre des D put s dans le ca
580. ux et For ts a particip la 5 me Conf rence des Ministres pour le Protection des For ts en Europe qui a eu lieu du 5 au 7 novembre 2007 Varsovie ainsi qu certaines r unions de pr paration La conf rence a adopt une d claration g n rale et deux r solutions l une sur le th me for ts bois et nergie et l autre sur le th me for ts et eau www mcpfe org La conf rence tait plac e sous le th me g n ral de la contribution des for ts l am lioration de la qualit de la vie La Conf rence minist rielle pour la protection des for ts en Europe MCPFE est une initiative de coop ration politique de haut niveau Elle porte sur des opportunit s et des menaces communes concernant les for ts et la foresterie et encourage la gestion durable des for ts en Europe Cr e en 1990 elle est la plate forme politique pour le dialogue sur des questions foresti res europ ennes Une quarantaine de pays europ ens et l Union europ enne sont repr sent s au sein de la MCPFE Des pays non europ ens et des organisations internationales participent en outre en tant qu observateurs De ce fait la MCPFE constitue non seulement un forum de coop ration de ministres responsables des for ts mais permet aussi des organisations non gouvernementales et intergouvernementales de faire apport de leur savoir et de leurs id es 177 Englobant l Europe tout enti re la MCPFE peut tre cons
581. ux principes retenus par la Chambre en pla ant notamment la r forme de la chasse dans le cadre de l int r t g n ral Le ministre de l environnement se propose galement de prendre en consid ration l arr t le 10 juillet 2007 de la Cour Europ enne des Droits de Homme relatif au droit de s opposer faire partie d un syndicat de chasse lors de l laboration dudit projet de loi tout en garantissant que la chasse puisse assurer l avenir son r le de r gulateur efficace de certaines esp ces de gibier 1 1 7 Promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel Les communes les syndicats de communes les associations de la protection de la nature l Administration des Eaux et For ts notamment son service Conservation de la Nature le Mus e National d Histoire Naturelle chacun dans les missions qui les concernent sont appel s coop rer en vue de la mise en uvre de la politique de la protection de la nature du Minist re de l Environnement Les communes sont appel es contribuer par leurs activit s la r alisation des objectifs de la protection de la nature de fa on g n rale et sur le territoire communal en particulier Sur base des cinq conventions renouvel es en 2007 le SICONA Ouest le SICONA Centre le Naturpark Uewersauer le Parc naturel de l Our et le SIAS ont r alis pour un montant total de 432 000 EUR des prestations en mati re de protection de la nature
582. ve afin d assurer les ouvertures d envol d une colonie de gt 400 individus du Grand Murin Myotis myotis Cette colonie est l une des plus importantes pour cette esp ce au Luxembourg Un important projet d ouverture des combles et clochers de la Vall e de la Moselle Sup rieure dans le cadre de la sauvegarde du Grand Rhinolophe Rhinolophus ferrumiquinum est en cours Un avant projet a t pr par par l Administration des Eaux et For ts en collaboration avec Monsieur J B PIR expert chiropt rologique Des pourparlers sont pr vus au courant de l ann e 2008 aupr s des instances communales concern es L Administration des Eaux et For ts a particip activement aux r unions et visites sur le terrain parall lement avec l Inspection du Travail et des Mines et ARCELOR en vue de la prise en consid ration de la protection des chauves souris en vue de la fermeture d finitive des quelques 150 ouvertures des mines d saffect es d ARCELOR MITTAL Le but de cette op ration est la fermeture d finitive pour les humains donc protection contre les risques d accidents avec un dispositif fer b ton arm mais avec possibilit de passage des chauves souris par l interm diaire d un dispositif adapt leur envol Les travaux pour la condamnation des 12 premi res entr es de mines commenceront des la fin de l hibernation des chiropt res donc vers la m avr l de 2008 Castor En 2007 trois nouveaux si
583. ve des diff rentes cat gories de d chets organiques remis dans les diff rentes installations est reprise dans le graphique ci dessous R partition des cat gories de d chets apport es E 8 80 R i E Autres O Mixtes O Branches haies B Tontes de gazon 40 Sp B D chets biogenes collect s s par ment 20 MINETT SICA Mamer SIDEC SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg SIGRE KOMPOST Angelsberg Muertendall Mondercange 0 En 2006 les installations MINETT Kompost SIDEC Angelsberg et Luxemburg ont remis des d chets organiques d autres installations Pour des raisons de manque de capacit s de traitement l installation du Minett Kompost a remis 3 577 tonnes l installation de compostage de Rodersdorf Speckberg RFA 1 685 tonnes l installation de bio m thanisation de Redange Attert et 1 440 tonnes l installation de compostage de la soci t Terrratec GmBH de Perl Besch RFA Pour les m mes raisons l installation du SIDEC d Angelsberg a transf r 256 tonnes l installation du SIDEC au Fridhaff L installation de compostage de la ville de Luxembourg a remis 1 676 tonnes de copeaux de bois exc dentaires et de r sidus de criblage en tant que mat riel de structure l installation de compostage pour boues d puration SOILCONCEPT au Fridhaff 2 7 6 4 Les fili res de valorisation du compost Le graphique suivant reprend les fili res de valorisation de
584. venmacher le volume exploit pour l exercice 2006 s est lev 29 413 m dont 24 123 m de feuillus et 5 290 m de r sineux Il s est av r que la vente sur pied et la pr vente de r sineux repr sentent des modes d exploitation tr s rationnels et rentables 3 2 5 2 Vente de bois Le Cantonnement de Grevenmacher a organis 9 ventes de bois par soumission 3 2 5 3 Bois de chablis Il n y a pas eu de chablis dans les for ts du Cantonnement de Grevenmacher 3 2 5 4 Etat sanitaire de la for t Les for ts occupant les sols lourds ne se sont toujours pas remis des suites de l t torride de 2003 De plus la p nurie en eau pendant les p riodes de v g tation des deux derni res ann es n a pas am lior la situation L inventaire des d g ts occasionn s par la pollution atmosph rique en relation avec d autres facteurs a r v l un manque de feuillage consid rable H tres et ch nes semblent souffrir de la m me mani re 3 2 5 5 R g n ration plantation travaux de culture Suivant les principes d une sylviculture proche de la nature les for ts sont r g n r es de pr f rence de fa on naturelle Ainsi une surface d une trentaine d hectares a t mise en lumi re et la v g tation adventice enlev e La plantation est utilis e pour compl ter la r g n ration naturelle pour en augmenter la diversit pour proc der au reboisement de parterres de coupe
585. vicole est r alis suivant les lignes directrices de la sylviculture proche de la nature d crite dans la Circulaire minist rielle du 3 juin 1999 concernant les lignes directrices d une sylviculture proche de la nature Les directives europ ennes et notamment la Directive 92 43 CEE dans la cadre du r seau europ en Natura 2000 sont respect es Enfin les diff rents crit res quant la certification foresti re PEFC ou FSC ont t respect s dans l laboration de cet am nagement Les pratiques sylvicoles suivantes sont respecter sur toute la surface de la for t communale de Berdorf e la r g n ration naturelle est privil gier par rapport la r g n ration artificielle Dans le cas du choix d une r g n ration artificielle une attention particuli re doit tre pr t e au choix des provenances Les provenances locales de bonne qualit sont favoriser les essences doivent tre adapt es la station les mesures de gestion contribuent conserver voir am liorer la biodiversit en for t l exploitation foresti re vite tout d g t au sol forestier et aux peuplements la gestion suit les principes de la sylviculture proche de la nature Suite l inventaire des peuplements et une analyse pr cise des contraintes cologiques productrices et sociales le domaine de la for t communale de Berdorf a t class en deux grandes s ries e la s rie dite de futaie r guli r
586. vier 2005 conformit RohS e l article 12 paragraphe 3 et 4 du r glement en question informations pour les utilisateurs e ct l article 13 paragraphe 1 et 2 du r glement en question information pour les installations de traitement 2 7 10 Les v hicules hors d usage VHU L accord environnemental sign en date du 15 mars 2006 entre le Ministre de l Environnement et les importateurs professionnels de v hicules au Luxembourg a d tre adapt en 2007 suite une autre approche quant la d finition du v hicule hors d usage dans les 3 pays limitrophes La d finition retenue dans le nouveau accord est celle du r glement grand ducal modifie du 17 mars 2003 De plus les points suivants ont t adapt s e Evaluation des importations priv es uniquement en cas de besoins e La soci t Autosdiffusion M Losch Secs a chang de nom en Autodistribution M Losch S rl e L annexe I des importateurs 136 Il a t d cid que lors de la prochaine adaptation de la r glementation sur les VHU le certificat de destruction pour le Luxembourg sera officialis dans une annexe du r glement en question Suite l adaptation de l accord environnemental plusieurs r unions ont eu lieu avec l asbl FEBELAUTO Les sujets essentiels de ces r unions taient la mise en pratique d un certificat de destruction lectronique pour la d simmatriculation des VHU ainsi que les modalit s applicables dans les garages pour le sto
587. x effectuer pendant la p riode 2011 2013 e priorit 3 travaux effectuer pendant la p riode 2014 2016 3 3 1 6 L am nagement de la for t communale de Bous 250 ha La for t communale de Bous est situ e au sud est du Luxembourg dans l arri re pays de la vall e de la Moselle et pr sente quelques 250 ha de for ts typiques de la r gion de la Moselle savoir des ch naies h traies sur sol marneux Elle est caract ris e par la douceur du climat et par des pr cipitations faibles Les pentes sont globalement douces et donnent sur des plaines assez vastes La grande majorit 85 de la propri t foresti re de Bous est situ e sur un substrat marneux de type Keuper Marnes Le substrat donne naissance des sols argileux lourds Ils pr sentent selon les stations des couches de limons plus ou moins paisses sans pour autant d passer le 20 30 cm Ces types de sols pr sentent des engorgements importants pendant les p riodes humides notamment en hiver et s ass chent de mani re importante en t Cette caract ristique du sol rend le choix des essences foresti res limit Les sols sont aussi tr s sensibles au tassement 226 Le tableau ci dessous reprend les principaux r sultats de l inventaire forestier Surface en ha Surface totale en ha Surface bois e en ha Surface non bois e en ha Surface bois e feuillue en ha Surface bois e r sineuse en ha Volume Productio
588. x habitants des communes de Sandweiler et de Contern e 195 m de bois de chauffage ont t vendues par les triages Kiem et Waldhof Production de copeaux bois Suite une convention entre les administrations communales de Niederanven et de Betzdorf le responsable du triage de Niederanven s occupe du d chiquetage et s chage des copeaux et organise la mise disposition du bois d nergie pour les deux communes Depuis 2006 le triage de Sandweiler participe aussi la production de copeaux bois Au cours de l ann e 2007 1 500 m 3 700 Sm ont t manipul s 1 m3 2 5 Sm Sch ttmeter Volume de bois d chiquet et s ch en 2007 m Sch ttmeter Sm Commune de Niederanven 360 900 O Commune de Schuttrange 1507 3086 Le chauffage a bois du Naturzenter Dans le m me contexte il y a lieu de relever que plus de 75 m 100 steres ont t br les dans l installation de chauffage bois servant chauffer les locaux du Centre forestier et du Cantonnement ce qui correspond 20 000 litres de mazout 3 2 6 3 Etat sanitaire de la for t Au niveau de l tat sanitaire des for ts soumises 1l est noter que la s cheresse au d but de l ann e a l g rement favoris l volution des scolytes dans certains triages sans toutefois provoquer des d g ts importants Les co ts pour la lutte contre le bostryche pour l ann e 2007 se portent sur 22 149
589. xclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production Pays Bas De Le RS Mode de traitement 2005 2006 2007 D10 552650 951140 6421710 R02 Recuperation ou r g n ration des solvants 347676 234200 143580 R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme NW 74000 solvants y compris les operations de compostage et autres transformations biologiques R04 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s m talliques 39620 0 ol R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 192360 470020 1533050 R08 R cup ration des produits provenants des catalyseurs O 578110 917470 163 En r sum les quantit s totales transf r es vers les diff rents pays destinataires sont repris dans le tableau et le graphique suivants D chets export s par pays seulement d chets soumis une proc dure de notification 250000 150000 t 50000 2005 2006 EE Autriche Belgique France Pays Bas La majorit des d chets export s 60 38 moyennant notification est soumise une op ration de valorisation 164 d chets export s moyennant notification en tonnes 600000 500000 400000 Batte D t Botte R t 300000 200000 100000 CH 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 Dechets importes La quan
590. xydes d azote NO particules fines PM10 plomb Pb e la directive 2000 69 CE du Parlement europ en et du Conseil Benz ne C6H6 monoxyde de carbone CO e la directive 2002 3 CE du Parlement europ en et du Conseil Ozone O3 e la d cision du Conseil du 27 janvier 1997 tablissant un change r ciproque d informations et de donn es provenant des r seaux et des stations individuelles mesurant la pollution de l air ambiant L accord politique suivant a t adopt le 23 octobre 2006 lors du Conseil des ministres europ ens de l environnement La directive sur la qualit de l air ambiant et un air pur pour l Europe harmonisera la l gislation existante sur la qualit de l air dans l UE et introduira une limite pour les concentrations de particules fines PM inf rieures 2 5 um dans lair Ces particules sont mises par un large ventail de sources Ces sources sont clairement identifi es comme les v hicules roulant au Diesel les processus industriels et les chaudi res domestiques Un terrain d entente entre le Conseil et le Parlement Europ en a t trouv se traduisant par un accord conclu entre ses deux institutions Le texte de la directive Qualit de l air approuv le 11 d cembre 2007 par le Parlement europ en avec les amendements adopt s en seconde lecture au Parlement fusionne quatre directives et une d cision du Conseil en une unique directive La directive Qualit de Pair am
591. yenne calcul e sur l ann e civile du contenu total de la fraction PMyo PL le benzo a pyr ne est utilis comme traceur du risque canc rog ne li aux hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP A partir du 31 d cembre 2012 les concentrations des polluants inscrits dans le tableau ci dessus ne devront plus d passer les valeurs cibles indiqu es Premiers r sultats concernant les sites de Luxembourg Centre Walferdange et Schifflange Esch Alzette et Beckerich pollution de fond Particules fines PM Sur 10 mois de mesurages en 2006 13 jours avec d passement de la valeur journali re de 50 ug m sur 35 tol r s par an ont t constat s Luxembourg Centre En 2007 sur 11 mois de mesurages 7 jours avec d passement voir tableau ci dessous sont d tect es Seulement quelques valeurs journali res sont observables Walferdange 80 Ces premiers r sultats montrent que la valeur limite des particules fines n est probablement pas d pass e a Luxembourg Centre Place Hamilius Quant la valeur limite annuelle de 40 ug m sur 10 mois d valuations en 2006 la valeur mesur e est de 27 ug m et sur 11 mois d valuations en 2007 la valeur de 23 ug m est atteinte Le niveau en poussi res fines Luxembourg Centre est proche de 60 de la valeur limite ce qui laisse une marge assez confortable de 40 pour ne pas atteindre la valeur limite Les mesurages des particules PM sur filtres Walferdange en
592. ys tiers et tout particuli rement de pays en voie de d veloppement qui op rent un nombre limit de vols par an Cette derni re mesure vise ne pas p naliser lesdits exploitants et all ger les charges administratives La position commune sera transmise au Parlement europ en pour deuxi me lecture 1 5 3 2 D chets Le Conseil environnement du 28 juin 2007 a d gag un accord politique l unanimit sur la proposition de directive relative aux d chets pr sent e par la Commission en d cembre 2005 21 Les mesures principales sont les suivantes e des actions concr tes de pr vention des d chets assorties d un engagement des Etats membre mettre en uvre des programmes nationaux de pr vention des d chets et effectuer une valuation comparative des progr s r alis s e une hi rarchisation claire cinq niveaux des formules de gestion des d chets avec en premier lieu la pr vention des d chets suivie de la r utilisation des produits du recyclage compostage de la r cup ration de l nergie par incin ration et enfin de la mise en d charge cette hi rarchie est utiliser avec souplesse de mani re obtenir les meilleurs r sultats sur le plan environnemental e introduction d am liorations dans la d finition des d chets de mani re en clarifier la signification et en simplifier l utilisation Il s agit notamment de mettre en place un nouveau m canisme d tablissement des crit re

Environnement - Gouvernement du Grand

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