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Environnement - Gouvernement du Grand

1. 3 5 2 7 Recours introduits Conform ment l article 7 du r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 le b n ficiaire d un plan autoris peut en cas de d saccord introduire un recours gracieux directement aupr s du ministre Ce recours doit tre form par lettre recommand e dans un d lai de 20 jours partir de la date de l autorisation minist rielle contest e il doit tre motiv sous peine d irrecevabilit Apr s l attribution des plans de chasse au courant du mois de juin 2006 29 locataires de chasse ont introduit un recours en vue d une modification du plan de chasse autoris par le ministre 27 des demandes concernaient le cerf et 4 le chevreuil Des 29 recours introduits 27 furent avis s favorablement ou partiellement favorablement par la commission cyn g tique et 2 d favorablement Nombre suppl mentaire d animaux autoris s tirer demand respectivement accord Nombre demand Nombre accord 52 18 Cerf femelle 45 22 63 2 139 109 3 5 2 8 Le marquage du mouflon et du sanglier La chasse aux esp ces sanglier et mouflon ne tombe pas sous les dispositions relatives l tablissement d un plan de chasse Le transport de ces esp ces est n anmoins soumis la fixation pr alable d un dispositif de marquage en tant que mesure de lutte contre le braconnage Ces dispositifs peuvent tre demand s par les adjudicataires du droit de chasse aupr s de l Administra
2. Les differents types de dechets collectes Les diff rentes fractions de d chets collect s par la SuperDrecksK scht fir Biirger sont reprises dans le tableau suivant Peintures 747690 Graisses de fritures 331568 Accumulateurs 255461 Amiante ciment 207980 Huiles usag es et carburants 120184 M dicaments seringues 95080 Piles 81127 Supports informatiques cartouches toner 79678 Bombes a rosols 71519 Divers 64982 R cipients gaz 64631 Roofing 64631 Solvants 29297 Bases 28573 Tubes fluorescents 28334 Produits phyto pharmaceutiques 14960 Filtres huiles 14485 Radiateurs lectriques 13711 Ampoules lectriques 11980 Acides 7101 Produits photochimiques 6610 Produits chimiques de laboratoires 5400 Produits non identifi s 611 Quantit s exprim es en kg A la suite les volutions de certains d chets sp cifiques sont illustr es plus en d tail a les d chets de peintures Les d chets de peintures constituent la fraction collect e la plus importante soit 31 8 de l ensemble des quantit s collect es Les quantit s augmentent d ann e en ann e 110 Peintures 800000 700000 600000 500000 400000 300000 200000 100000 b les graisses alimentaires Les quantit s de graisses alimentaires collect es augmentent galement d ann e en ann e Elles ont atteint en 2006 le montant de 331 6 to On peut sup
3. Propri taire Priv lieu dit Longueur Travaux m Happerwiesen Hosingen 300 Nouveau Bondorferbierg Wolwelange 580 Nouveau Schackend Eschweiler 680 Nouveau Paterb sch Hoscheid 650 Nouveau Total m 2 210 Co t total 17 310 7 83 km 196 Telle l ann e pr c dente le grand nombre de projets est voir en relation avec la disponibilit d un volume important de mat riel de recyclage voire d excavation En effet la fourniture de mat riel rocheux calibr en provenance directe de carri re devient de plus en plus on reuse Partant il faut absolument profiter de la disponibilit de bon mat riel d excavation 3 2 9 9 Travaux forestiers subventionn s Durant l ann e 2005 le nombre de dossiers trait s s l ve 953 soit une moyenne de 95 demandes trait es par triage ce qui pr sente une augmentation de 3 par rapport l ann e 2005 Au tableau ci apr s sont regroup s les diff rents types de traitement Travaux Nombre Nouvelles demandes 297 Recommandations 235 Proc s verbaux provisoires 53 Proc s verbaux d finitifs 276 Proc s verbaux communes et 51 tablissements publics Refus 41 Total 953 Sur 382 proc s verbaux r alis s durant l ann e 2006 220 dossiers traitaient de plantation r g n ration lagage conversion et d claircie repr sentant au total une superficie de 276 ha Le restant des
4. Durant l ann e 2006 il y a eu galement deux demandes pour autoriser l activit de concassage sur un site sp cifique Il s agit des demandes suivantes Nom de l entreprise Commune N C I N D chets Date entr e Autorisation Cardoso Niederanven 1 06 0253 06 PT 03 18 05 2006 22 06 2006 Ponts amp Chauss es Esch Alzette 1 06 0535 06 PT 09 01 23 10 2006 red arr t 133 Entreposage pour dechets Durant l ann e 2006 les demandes d autorisations suivantes ont t introduites pour pouvoir entreposer des d chets Nom du demandeur Commune N C I N D chets Date entr e Etat Dossier Garage Losch Esch Alzette 1 06 0172 06 PE 01 24 03 2006 Examen Sogeroute Mersch 1 06 0424 06 PE 02 30 03 2006 R d arr t Schotterwerke Moersdorf Mompach 1 06 0330 06 PE 03 13 07 2006 Examen Cargocenter Sandweiler 1 06 0521 06 PE 04 13 10 2006 R d arr t Baatz Colmar Berg 1 06 0556 06 PE 05 31 10 2006 Examen Autres En date du 31 janvier 2006 un bureau d tudes a introduit au nom et pour le compte de l entreprise LAB un dossier de demande pour obtenir les autorisations n cessaires pour permettre l entreprise d exploiter entre autres un centre de destruction de documents dans la commune de Schuttrange Des informations suppl mentaires ont t pr par es et sont sur le point d tre envoy es Dossier C I N 1 06 0056 Dossier D
5. par rapport l exercice 2005 191 94 ER Total resineux 4 043 99 45 11 2 786 90 Total general 16 503 08 7 78 15 311 66 3 2 6 2 Ventes de bois Au total le cantonnement de Luxembourg Est a organis 5 ventes publiques r gionales conjointement avec le cantonnement de Grevenmacher et particip 1 vente nationale Vente Catalogues prevente feuillus r sineux Cantonnements date 10 02 06 Vente de feuillus Grevenmacher et Luxembourg Est 24 03 06 Vente de feuillus et r sineux Grevenmacher et Luxembourg Est 26 04 06 Vente et vente sur pied de r sineux vente Grevenmacher et Luxembourg Est de feuillus et de feuillus de valeur 02 06 06 Vente et vente sur pied de r sineux Grevenmacher et Luxembourg Est 13 10 06 Vente vente sur pied et pr vente de Grevenmacher et Luxembourg Est r sineux 19 12 06 Vente nationale h tres Diekirch Grevenmacher Luxembourg Est Luxembourg Ouest Mersch En 2006 un total de 23 197 06 m a t mis en vente tous propri taires confondus Domaines Communes S A R C P E P Bois d industrie Le tableau suivant donne un aper u sur la quantit de bois d industrie par essence 179 Essence Volume m Ch ne 1 010 00 H tre 3 235 00 Charme 105 00 Autres feuillus 100 00 R sineux 185 00 Total 4 635 00 Le bois en tant que source d nergie En 2006 3020 m de b
6. Agir Bois L action a t organis e sous forme de deux excursions d une journ e en date du 29 avril 2006 et du 13 d cembre 2006 Elles ont t plac es sous le th me Le bois dans la construction et bois Energie visite de constructions r alis es par des communes luxembourgeoises La s lection des sites visiter a t arr t e sur base d une recherche d objets de r f rence prise de contacts avec des architectes et ing nieurs des entreprises de constructions bois et des communes Les invitations ont t adress es l ensemble des lus communaux les techniciens communaux et les d put s membres de la Commission parlementaire de l agriculture de la viticulture et du d veloppement rural et de la Commission parlementaire de l environnement envoi de 1200 cartons d invitations 85 personnes ont particip aux deux visites Les visites ont t relay es dans des articles de la presse crite et dans un reportage de quelques minutes sur la cha ne de t l vision RTL L tzebuerg pour la premi re visite 3 1 13 2 Colloque Le bois et ses alli s dans la construction Le 20 octobre 2006 l Administration des Eaux et For ts a organis le colloque REGARDS CROISES Le bois et ses alli s dans la construction au Centre d Information europ en de Schengen 7 repr sentants des 4 r gions du projet Lorraine Luxembourg Rh nanie Palatinat et Wallonie et de l Autriche et
7. Ellergronn Esch Alzette e Taille et plantation d arbres au verger Altenhoven Bettembourg e Installation de protections individuelles pour arbres fruitiers Haard Giele Botter L iffraechen e Projet p turage extensif dans la r serve naturelle Haard avec mise en place de cl tures et d un abri pour b tail 265 e D broussaillage des pelouses s ches envahies de broussailles Bassin minier e Enl vement de d blais Haard Dudelange e Protection de plantes rares orchid es gentiane orpin vermiculaires par des cl tures temporaires filets lectriques lors du p turage itin rant P turage itin rant avec des ch vres et des moutons e Le troupeau du berger SCHWARTZ a t divis en deux Un petit groupe p ture en permanence sur les pelouses s ches au nord du CN Sud et sur une partie du CN Centre tandis qu un groupe plus lev 400 moutons et 100 ch vres p ture sur les anciennes carri res du bassin minier A cette fin des cl tures ont t install es dans les diff rentes r serves naturelles Dans la r serve naturelle Haard un abri pour moutons a galement t construit e Aua Potaschhof un abri pour moutons a t construit Remembrement e _Remembrement agricole Mompach e Planification du remembrement Hanner Fiels Schwebsingen e Remembrements viticoles Schengen Remerschen Stadtbredimus Wellenstein Activit s diverses Construction de
8. Fin 2004 Mouvements au Fin 2005 cours Employes Trav Handicapes El ves g for Grand total OO 123 75 5 128 75 Remarques 1 Un fonctionnaire de la carri re du r dacteur b n ficie d un contrat pour travail mi temps du 1 10 2004 au 30 09 2009 JMM 1 r dactrice inspectrice ppale a t mise la retraite anticip e 1 7 2004 2 2 r dacteurs stagiaires ont t admis au stage le 1 8 04 2 r dacteurs stagiaires ont t nomm s d finitivement le 1er mars 2004 3 1 r dactrice a opt pour un travail temps partiel 75 partir du 1 10 2003 C Sch 4 Un exp ditionnaire technique est comptabilis mais ne fait l objet que d un d tachement 5 4 pr pos s ont t admis au stage le 1 5 04 1 pr pos forestier est parti la retraite le ler mai 2004 AE 6 1 pr pos forestier a t mis la retraite le 6 5 2005 FT 9 nouveaux pr pos s forestiers ont t admis au stage le 1 1 2005 dont 1 stagiaire a d missionn volontairement en date du 1 7 2005 7 1 agent est plac hors cadre 8 Il s agit d un agent d tach de la Police Grand Ducale 9 Un ing nieur de la direction jouit d un cong mi temps allant du 28 4 04 au 15 9 09 10 Un employ S CP a t engag en CDI 50 en date du 1 10 2004 et cons cutivement en CDI 100 en date du 1 3 2005 11 Un employ travailleur handicap a t r voqu en 2006 pour faute grave 12 Le grand total comptabilise g
9. Gr ce ses racines puissantes et profondes le ch ne sessile assure non seulement une meilleure stabilit du peuplement y compris la stabilit des autres essences mais galement une exploitation des l ments min raux de profondeur et l entretien de la macrostructure du sol Compte tenu de ses exigences sp cifiques en eau le ch ne p doncul n est pleinement adapt que dans les vallons et bas de versant b n ficiant d un apport lat ral en eau repr sentant pr s du quart de la surface totale de la propri t Sur les sols de plateaux suffisamment profonds le ch ne p doncul est propos avec des r serves en raison du risque d insuffisance des r serves en eau durant l t Si aucune des stations de la for t communale de Wormeldange ne semble v ritablement interdite au h tre son adaptation reste g n ralement partielle en raison de la pr sence quasi constante et faible profondeur de couches compactes de nature caillouteuse marneuse ou argileuse faiblement structur es Sa pr sence doit donc s envisager en m lange de pr f rence avec le ch ne sessile connu pour son influence positive sur la stabilit des peuplements S ils restent des alli s de production int ressants dans la for t communale de Wormeldange le fr ne et l rable sycomore doivent tre utilis s avec prudence en raison de leur sensibilit la compacit des sols en pr sence A c t des essences de production le
10. Les nouvelles publications L tude sur l tablissement d une m thode de relev du bois mort Travaux divers Le suivi de l tat phytosanitaire des for ts 227 231 231 233 236 239 239 3 4 Le Service et les Arrondissements de la Conservation de la Nature 3 4 1 3 4 2 Le Service de la Conservation de la Nature Les arrondissements de la conservation de la nature 3 5 Le Service de la Chasse et de la P che section chasse 3 5 1 3 5 2 3 5 3 3 5 4 3 5 5 3 5 6 3 5 7 3 5 8 La lutte contre la peste porcine Plan de chasse et marquage du gibier L adjudication du droit de chasse Statistiques relatives au gibier tir Examen de chasse Le Conseil Sup rieur de la chasse BENELUX Groupe de travail Chasse et Oiseaux Rapports avec le public 3 6 L Entit mobile 3 6 1 3 6 2 3 6 3 3 6 4 3 6 5 3 6 6 3 6 7 Activit s en mati re de protection de l environnement naturel Activit s en mati re de chasse Activit s en mati re de p che Activit en mati re de for t Autres activit s Dossiers trait s en 2006 Formation 3 7 La Cellule informatique 3 7 1 3 7 2 Informatique Statistiques analyses et mises disposition de donn es 248 248 263 273 273 274 277 278 280 281 282 282 283 283 283 284 284 284 284 285 286 286 290 1 MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 La politique generale du Minist re de l Environnement L accord de
11. Surtout les h tres maladifs ont t observ s plus fr quemment 35 3 Le h tre dont la vitalit d pend directement des al as climatiques ne s est pas encore r cup r de la s cheresse accrue des t s pr c dents La forte fructification observ e en 2006 n a fait qu aggraver la situation sanitaire Ch ne Les notations de 2006 n ont pu confirmer que partiellement la tendance de 2000 montrant une certaine stabilit de l tat de sant des ch nes Le taux des arbres sains est tomb de 33 5 2000 17 9 2006 Le nombre de ch nes gravement endommag s reste pourtant a un niveau assez lev On assiste donc un d placement d arbres de la classe 0 vers la classe 1 Contrairement l ann e 2005 les attaques des chenilles d foliateurs de 2006 n ont affaiblies que l g rement les ch nes Taillis Entre 2000 et 2006 la plus grande difference de vitalit a t observ e dans les taillis Apres quelques ann es favorables 1998 1999 et 2000 l tat de sant des taillis de ch nes s est d grad de mani re frappante en 2006 Seulement 15 9 des ch nes ont t not s comme sains 45 5 en 2000 Le nombre des arbres malades mais surtout des arbres maladifs a connu une forte augmentation Le pourcentage est pass de 7 5 2000 22 2 2006 pour les arbres malades et de 47 2000 61 9 2006 pour les arbres maladifs Cette augmentation peut s expliquer par le fait que la s che
12. T V IMMISSIONSCHUTZ UND ENERGIESYSTEME G M B H Am Grauen Stein D 51105 K ln T V SAARLAND E V Saarbr ckerstra e 8 D 66280 Sulzbach T V S D INDUSTRIE SERVICE G M B H Schelsenweg 6 D 41238 M nchengladbach T V INDUSTRIE SERVICE G M B H T V S D GRUPPE Grabenwiesenstrasse 4 D 73072 Donzdorf UCL UMWELT CONTROL LABOR G M B H Brunnenstrasse 138 D 44536 L nen UMWELTANALYTIK RUK G M B H Im Paesch D 54340 Longuich VEREIN DEUTSCHER ZEMENTWERKE E V Tannenstrasse 2 Postfach 301063 D 40410 D sseldorf WPW GEOCONSULT G M B H Hochstrasse 61 D 66115 Saarbr cken T 352 400752 F 352 402414 T 352 26360193 F 352 26360157 T 32 81201891 F 32 81201892 T 49 0224191920 F 49 02241919240 T 49 065816100 F 49 065816730 T 49 0221806 0 F 49 0221806 114 T 49 02218062756 F 49 02218061349 49 068975060 F 49 06897506102 49 02166857 0 49 02166857 200 49 071629281 0 49 071629281 166 49 0230624090 F 49 02306240910 49 065029339 0 49 065029339 29 T 49 021145781 F 49 02114578 296 T 49 06819920 230 F 49 06819920 239 44 B1 B2 B3 F1 F2 D3 E4 E5 E9 F3 E1 E6 E8 E91 E93 F11 F13 A sauf A2212 A2222 A34 A4 B1 B2 E1 E2 E3 E8 F1 H1 H2 H3 A sauf A14 A2212 A2222 A34 A4 B1
13. conteneurs qu au d but de l ann e suivante les donn es indiqu es la suite se rapportent l ann e 2005 Les formulaires de rapports d activit s 2006 de la Division des d chets sont disponibles sur le portail Internet www environnement public lu au guichet virtuel de l Administration de l Environnement Pour l ann e 2006 la structure du formulaire rapport annuel parc conteneurs et les tableaux de saisie des quantit s de d chets n ont pas t modifi s sauf quelques petites adaptations au niveau du formatage des fichiers Le graphique suivant reprend les quantit s totales collect es de 1994 2005 pour les fractions papier carton verre creux m taux mati res plastiques bois charg s d chets probl matiques et d chets encombrants Par rapport l ann e 2004 on constate que tout comme les ann es pr c dentes les quantit s papier carton verre creux mati res plastiques bois cartonn et les d chets encombrants ont augment Les quantit s de m taux et les d chets probl matiques ont de nouveau augment apr s une baisse en 2004 Ann e Papier Carton Verre creux M taux Wairespiesiques Bois charg s D chets probl matiques D chets encombrants 1282 57 2165 24 2512 10 3516 62 2812 13 2817 65 6082 25 1041 66 6169 33 6235 63 1280 73 6706 87 6958 63 1706 66 6670 71 7205 80 3024 26 6966 41 7649 20 1906 41 7474 84 7975 37 1997 34 7604 58 Qu
14. organise depuis 2 ans un march du printemps qui permet aux producteurs r gionaux de vendre leurs produits Le march conna t un succ s croissant et fait d or et d j partie des v nements bien tablis de la commune de Manternach Pendant tout le mois d octobre jusqu mi novembre 2006 le centre A Wiewesch a accueilli des classes de l enseignement primaire pour la cueillette de pommes et la fabrication de jus Des classes de l enseignement primaire et pr coce des coles de la r gion viennent r guli rement au centre d accueil pour passer une journ e dans la nature Pour les adultes divers workshops et cours comme par exemple sur l apiculture et la chasse se tiennent au centre d accueil et le syndicat d initiative de Manternach a organis en 2006 des rencontres le dimanche au centre d accueil Tous les jeudis le Panda Club entreprend au centre d accueil des activit s avec des enfants depuis d j deux ans Un nouveau site internet sur les centres d accueil est en laboration qui conform ment aux instructions d E Gouvernement sera int gr dans l arborescence du site internet du Minist re de l Environnement Afin d y faciliter l acc s au public une adresse web sp cifique sera d nomm e L utilisateur y trouvera des renseignements sur les centres d accueil et ses expositions les activit s les r serves naturelles environnantes et les sentiers Les brochures sur les c
15. taille de haies hors for t entretien Bongert Altenhoven entretien Naturb sch cloisonnement 80 ha 183 Triage de Hesperange e taille et restauration de saules t tards dans la commune de Weiler la Tour 3 2 6 12 La for t lieu de loisir R cr ation En for t p riurbaine la r cr ation est l une des fonctions essentielles Pour que la for t reste accueillante les installations de loisir les chemins et sentiers doivent tre constamment entretenues Ces travaux indispensables qui pr sentent une fraction de budget non n gligeable ont port en 2006 au Cantonnement de Luxembourg Est sur l entretien de 143 880 m de sentiers touristiques et de 4 510 heures pour l am nagement d installations de loisirs Les travaux ont t les suivants e entretien de promenades sentiers didactiques sentiers V T T et hippiques ainsi que des panneaux explicatifs sur les chemins d acc s e am nagement et entretien de places pique nique chalets didactiques cabanes et bancs de repos e am nagement et entretien de biotopes D tails des diff rents triages Triage de Waldhof Participation la planification installation et inauguration de deux sentiers th mes Natur Geschichte und Kultur in der Gemeinde Niederanven en commun avec le SI de la commune de Niederanven Triage de Kiem Vu que les chemins didactiques accomplis en collaboration avec la commune de Niederanven sont entretenus part
16. tudes M llerthal En vue d une acquisition post rieure par des communes le Chef du Cantonnement de Diekirch a proc d l expertise de trois for ts comptabilisant au total 3 26 ha 3 2 5 Le cantonnement de Grevenmacher 3 2 5 1 Exploitation des coupes Au Cantonnement de Grevenmacher le volume exploit pour l exercice 2006 s est lev 20 959 71 m dont 17 072 18 m de feuillus et 3 887 53 m de r sineux Il s est av r que la vente sur pied et la pr vente de r sineux repr sentent des modes d exploitation tr s rationnels et rentables 3 2 5 2 Vente de bois Le Cantonnement de Grevenmacher a organis 9 ventes de bois par soumission qui ont rapport 777 256 37 EUR TVA incluse Les prix pour le h tre et pour le bois de trituration en g n ral ont presque doubl par rapport l ann e 2005 173 3 2 5 3 Bois de chablis Il n y a pas eu de chablis dans les for ts du Cantonnement de Grevenmacher 3 2 5 4 Etat sanitaire de la for t Les for ts occupant les sols lourds ne se sont toujours pas remis des suites de l t torride de 2003 De plus la p nurie en eau pendant les p riodes de v g tation des deux derni res ann es n a pas am lior la situation L inventaire des d g ts occasionn s par la pollution atmosph rique en relation avec d autres facteurs a r v l un manque de feuillage consid rable H tres et ch nes semblent souffrir de la m me mani re
17. 3 2 4 4 R g n rations plantations travaux de culture travaux de nettoiement Comme la r g n ration naturelle et la libre volution sont toujours de mise les travaux de plantation se sont limit s au Cantonnement de Diekirch quelques 6 675 plants dont seulement 250 plants de r sineux Les travaux culturaux se sont limit s comme dans le pass au d gagement fauchage extensif de 110 ha de parterres plant s dans la d cennie pr c dente Les travaux de nettoiement se sont chiffr s en 2006 74 ha 3 2 4 5 P pini res La surface utile de la p pini re du Cantonnement de Diekirch est de 70 ares Dans cette p pini re sont cultiv s uniquement des plants feuillus Fin 2006 l inventaire du nombre de plants rest s en p pini re a donn 71 200 plants 76 680 plants ont t plant s dans les for ts soumises du Cantonnement de Diekirch 171 3 2 4 6 Voirie forestiere L exercice 2006 a vu 5 projets de voirie foresti re r alis s en for t communale En for t domaniale aucun projet n a t ex cut Les travaux ont consist dans l empierrement de 1 100 m de chemins de terre existants et dans le terrassement de 1 170 m de chemin nouveaux En dehors de la construction de nouveaux chemins forestiers des travaux d entretien et de r fection courants ont t entrepris sur le r seau de voirie foresti re existant 3 2 4 7 Travaux forestiers subventionn s 85 demandes de subvention pour travaux forestier
18. D gagement et d broussaillage de 1 5 ha dans la r serve naturelle Kelsbach Entretien des sentiers ducatifs des r serves naturelles Strombierg et Kuebendaellchen Entretien des panneaux et fauchage le long du sentier p dagogique Vitis Remerschen Entretien et fauchage du sentier sur pilotis dans la r serve naturelle Haff R imech dans la commune de Schengen Entretien et fauchage du sentier p dagogique P llembierg Ahn Organisation de 40 visites guid es dans la r serve naturelle Haff R imech Installation de bancs de repos dans la r serve naturelle Haff R imech Surveillance de la grippe aviaire dans la r serve naturelle Haff R imech Baguage des oiseaux de passage dans la r serve naturelle Haff R imech Publication d une brochure de la r serve naturelle D iwelskopp Mompach avec installation de panneaux indiquant le chemin du sentier didactique e Mise en place et enl vement des cl tures passages canadiens et portails temporaires dans la r serve naturelle Sonnebierg e Execution des mesures pr vues dans le plan de gestion de la r serve naturelle Pr nzebierg o e Entretien du sentier didactique traversant la r serve naturelle Birelergonn avec r fection du sentier fauchage des bords et nettoyage r paration des panneaux ducatifs e D gagement des alentours du centre d accueil Cockerill dans la r serve naturelle
19. EL E2 Al A21 A2211 A2221 A23 A31 A32 A33 A2212 A2222 C sauf C9 C10 D2 A11 A21 A221 A31 A5 C1 C2 D1 D4 ES F3 31 03 2008 31 03 2008 Es E E 31 03 2007 31 03 2007 31 03 2008 31 03 2007 31 03 2007 31 03 2006 31 03 2007 31 03 2007 31 03 2007 La liste tenue jour est publi e sur le site internet www emwelt lu gt Guichet virtuel gt Organismes agr s 2 3 2 Management environnemental Il s agit de la promotion de la participation volontaire des organisations un syst me communautaire de management environnemental et d audit EMAS Le Service est repr sent dans les comit s suivants e comit interminist riel pour la gestion du syst me communautaire de management environnemental et d audit e Conseil national d accr ditation de certification de normalisation et de promotion de la qualit Minist re de l Economie e Comit d accr ditation Office Luxembourgeois d Accr ditation et de Surveillance Minist re de l Economie La documentation y relative est publi e sur le site internet www emwelt lu gt Guichet virtuel gt Management environnemental EMAS 45 2 4 La Division des Etablissements Classes 2 4 1 La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La loi a pour objet e de r aliser la pr vention et la r duction int gr es des pollutions en provenance des tablissements e
20. ER Elle introduit le principe de la responsabilit des producteurs dans la mesure o ces derniers doivent assurer le financement de la gestion de piles et d accumulateurs Les Etats membres doivent veiller ce que des syst mes de collecte soient mis en place pour les piles et accumulateurs portables Les consommateurs doivent pouvoir remettre gratuitement ces d chets Les taux minimums de collecte suivants doivent tre atteints pour les piles et accumulateurs portables a 25 au plus tard le 26 septembre 2012 b 45 au plus tard le 26 septembre 2016 Ces taux sont calcul s par rapport la moyenne des piles et accumulateurs mis sur le march au cours de l ann e civile de r f rence et des deux ann es civiles pr c dentes Les rendements de recyclage minimum atteindre sont d finis La directive doit tre transpos e en droit national pour le 26 septembre 2008 au plus tard A la fin de l ann e 2006 un avant projet de r glement grand ducal a t labor A l instar des d chets d quipements lectriques et lectroniques il est pr vu de constituer un groupe de travail pour la mise en pratique de la directive au Luxembourg Dans ce groupe de travail seront repr sent s e la Chambre de Commerce la Chambre des M tiers la Conf d ration luxembourgeoise de Commerce la F d ration des Artisans l asbl ECOTREL le Syvicol l Administration de l Environnement Actuellement les d chets de
21. article 17 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles Le Ministre de l Environnement a arr t en d cembre 2006 les instructions d application des dispositions de l article 17 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles Ce document a t n goci en d tail durant 2006 avec tous les partenaires concern s savoir les ONGs actives en mati re de la protection de la nature la Chambre d Agriculture le Groupement des Sylviculteurs et les syndicats du milieu agricole Ces instructions visent aboutir une application uniforme pour l ensemble du territoire national des dispositions de l article 17 qui interdit la destruction des biotopes Elles sont destin es g n rer une plus grande coh rence des interventions de l administration des eaux et for ts ainsi qu une pr visibilit de l action tatique et partant une plus grande s curit juridique pour les sujets de droit Le document reprend dans son chapitre II 1 14 types de biotopes vis s par les dispositions de l article 17 Ces biotopes doivent b n ficier de la protection de la loi parce qu ils correspondent une caract ristique commune qui est celle d tre un biotope rare et ou menac couvrant le cas ch ant des surfaces minimales Il s agit des types de biotopes suivants 1 Mares mar cages marais tourbi res couvertures v g ta
22. exercent sur lui sur les impacts de sa d t rioration et sur les r ponses qu on y apporte mod le DPSIR e identification d indicateurs de d veloppement durable ainsi que leur production leur traitement leur contr le et la validation des donn es de base permettant de les calculer e la diffusion des chiffres voqu s aux points pr c dents sur support papier publication ou lectronique site Internet du minist re e le support aux administrations d pendant du minist re dans leurs travaux de pr parations de donn es et de reporting pour les organismes internationaux e la coordination des travaux de nature statistique sur l environnement et le d veloppement durable transmission et suivi des demandes transmission et diss mination des r ponses etc e la participation des groupes de travail ou des groupes d experts traitant de statistiques et d indicateurs environnementaux ou de d veloppement durable Agence Europ enne pour l Environnement Eurostat OCDE etc En ao t 2006 la cellule a publi une mise jour des indicateurs de d veloppement durable DD dit s pour la premi re fois en 2002 http www environnement public lu developpement durable indicateurs index html Dans le courant du premier semestre 2007 cette mise jour coupl e une proposition de nouveaux IDD fera l objet de discussions au sein de la Commission Interd partementale du D veloppement Durable CIDD Un
23. h une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 40 du co t d investissement pour les parcs conteneurs communaux et intercommunaux permettant la collecte s par e des d chets m nagers et assimil s et conformes au r glement grand ducal du 1er d cembre 1993 relatif l am nagement et la gestion des parcs conteneurs destin s la collecte s lective de diff rents fractions des d chets m nagers encombrants ou assimil s une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 25 du co t d investissement des infrastructures intercommunales d limination des d chets m nagers et assimil s y compris les ouvrages techniques annexes ainsi que du co t des adaptations des installations existantes de nouvelles technologies et des normes plus s v res de protection du sol des eaux de l air et en mati re de gestion des d chets une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d infrastructure ainsi que les frais d tudes et d penses connexes y relatifs pour d autres projets dans les diff rents domaines de la protection de l environnement pr cis s par la loi en tenant compte des contraintes suivantes 1 les promoteurs des projets devront tre une ou plusieurs communes un syndicat de communes un tablissement public ou un tablissement d utilit publique 2 les projets devront r pondre aux orientations aux crit res et aux norme
24. r alis es en laboratoire par le service de p dologie de ASTA Pour l attribution de l indice hydrique c est principalement la clef des substrats marneux qui a t utilis e l exception des sols situ s sur Gr s de Luxembourg ou les fonds alluviaux sans d veloppement de profil 207 Les r sultats bruts ont donn 24 combinaisons ou cases dans la grille hydrique et trophique t moignant de la diversit des situations rencontr es Toutefois la majorit des sondages s est r partie sur 12 cases les autres cases ne comportant que quelques chantillons Suite l exploitation des r sultats par chantillon six emplacements ont t d finis pour la r alisation de fosses p dologiques Ces fosses ont t r alis es sur une profondeur d environ un m tre l aide d une pelle m canique tant donn la surface faible du Tossebierg et des difficult s d accessibilit li es la pente aucune fosse n a t r alis e dans le substrat sableux De plus aucune fosse n a t r alis e dans la surface class e en R serve Foresti re Int grale Pour chaque profil une description d taill e des horizons a t effectu e Dans chaque horizon un chantillon a t pr lev pour l analyse granulom trique et l analyse chimique au laboratoire Ces mesures et observations ont permis d appr cier de fa on plus pr cise la nature des sols rencontr s leur niveau de structuration la profonde
25. tre propos es en vue d une mise en uvre dans le cadre du monitorage pr vu l issu de l adoption du plan sectoriel par voie de r glement grand ducal 1 1 8 2 Le plan national pour la protection de la nature volet paysages Sur l initiative du Ministre de l Environnement les acteurs publics tout comme ceux du secteur associatif uvrant dans le domaine de la protection de la nature et des paysages se sont r unis en table ronde avec comme objectif l laboration d un projet de plan national de la protection de la nature en vertu des dispositions de l article 51 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles end ans un d lai d un an Le plan national projet comporte en outre d objectifs en mati re de r duction de la biodiversit un volet consacr la sauvegarde et au d veloppement des paysages L objectif fix en la mati re s nonce comme suit Pr servation et r tablissement des services et processus cosyst miques l chelle paysag re et national A cette fin un groupe de travail a t charg de mener une r flexion ax e sur les points suivants d limiter les espaces pr sentant un int r t paysager particulier partir des donn es existantes en la mati re la D claration d Intention G n rale de 1981 sur base de crit res pertinents cat goriser les espaces ainsi identifi s selon qu ils devraient b n ficier du statu
26. 175 Des pelouses s ches et sites comparables d une surface de 9 5 ha ont t entretenus sur le territoire de la commune de Grevenmacher aux lieux dits Kelsbach Bamb sch et P erdsmaart Dans la r serve du Kuebend llchen et au Kleibierg Burmerange un fauchage a servi maintenir le caract re de milieu ouvert une pelouse du m me type Aux alentours de Niederdonven Ahn et Gostingen des travaux identiques ont eu lieu sur une surface de 5 5 ha Les services comp tents ont investi beaucoup de leur temps dans l entretien de la Zone Habitats class au niveau europ en et situ e dans la vall e de la Syre La restauration du lit de la Syre l installation de l infrastructure r cr ative a t suivie par des mesures favorisant le p turage extensif Tous ces travaux sont dirig s par les universit s de Fribourg et de Hambourg et ont lieu en collaboration avec les administrations de la Gestion de l Eau et des Services Techniques de l Agriculture et avec le soutien de l administration communale de Betzdorf Dans le cadre de ce projet d envergure 1 500 m de cl ture ont t install s aux fins de s curiser le trafic ferroviaire Six ponceaux ont t install s et une passerelle sur pilotis d une longueur de 750 m a t am nag e Par le pass un inventaire a d termin les sites susceptibles d tre recolonis s par le castor En 2006 le cantonnement forestier de Grevenmacher a continu valoriser cologique
27. 3 2 4 1 Exploitation des coupes L ann e 2006 a connu une l g re hausse de la demande de bois Parall lement on a pu constater une hausse du prix des bois et ceci surtout en r sineux En ce qui concerne les coupes de bois au Cantonnement de Diekirch le volume de bois abattu en 2006 a t sup rieur l ann e pr c dente La prudence est cependant rest e de mise et les coupes ont t r alis es principalement en liminant les bois de moindre qualit qui emp chent les beaux bois de se d velopper de fa on optimale En 2006 le Cantonnement de Diekirch a abattu 22 556 m3 de bois dont 13 402 m3 de feuillus et 9 154 m3 de r sineux 77 de ce volume de bois tait en provenance des for ts communales 19 des for ts domaniales et 4 des for ts des tablissements publics En ce qui concerne le bois feuillu seulement 24 a pu tre vendu sous forme de grume le reste a t vendu comme bois de trituration ou bois nergie 3 2 4 2 Vente de bois En 2005 le Cantonnement de Diekirch a r alis sept ventes r gionales de bois par soumission 3 2 4 3 tat sanitaire de la for t En 2006 le d p rissement du h tre apparu isol ment dans la for t communale de Beaufort ne s est heureusement pas propag et a pu tre tenu sous contr le Sauf quelques foyers de bostryche sans gravit l tat sanitaire des for ts du Cantonnement de Diekirch peut tre qualifi de satisfaisant normal pour l exercice 2006
28. 3 2 5 9 D g ts de gibier D un c t nous nous trouvons en face d une surpopulation g n rale de chevreuils et de sangliers De l autre c t nous proc dons une importante r g n ration de la for t et un m lange des essences Cette situation engendre des d g ts d abroutissement vidents Nous essayons de les r duire au mieux en ayant recours diff rentes techniques de protection tel les cl tures les cages de protection et depuis peu le ruban adh sif Cette m thode peut tre appliqu e rapidement elle est efficace et ne repr sente qu un co t tr s r duit Il y a lieu de mentionner que localement des d g ts de cerf se sont fait remarquer aux alentours de Grevenmacher Mompach et Rodenbourg Deux propri taires ont introduit des dossiers de d dommagement suite l cor age par le cerf Des cl tures ont t install es dans les triages de Biwer Flaxweiler Roodt Syre et Wormeldange sur une longueur de presque 2 000 m Elles servent de protection mais galement de contr le de l impact des d g ts occasionn s par le gibier En contrepartie de vieux enclos d une longueur au total de 3 300 m ont t enlev s 3 2 5 10 Conservation de la nature En 2006 le nombre de dossiers CN trait s par le personnel du Cantonnement de Grevenmacher s est lev au nombre de 242 Des lisieres de for ts ont t cr es et entretenues dans le triage de Biwer au lieu dit Am Weiher 120 m dans le tr
29. 3i me r union des Parties au PROTOCOLE sur la s curit biotechnologique mars 2006 Le Conseil Environnement a adopt des conclusions en vue de la pr paration des r unions pr cit es L agenda de la COP 8 a consist en la coordination des mesures prises ou prendre et qui sont de nature contribuer r duire la perte de la diversit biologique le sommet mondial de Johannesburg sur le d veloppement durable ayant adopt l objectif de r duire de mani re significative le rythme de l appauvrissement de la biodiversit d ici 2010 Un point cl des discussions internationales en cours et intensifier a trait l pineuse question de l acc s aux ressources g n tiques et au partage des avantages qui en d coulent au titre de la Convention alors qu un groupe de travail ad hoc est charg de n gocier un r gime international en la mati re et que l laboration d un instrument juridiquement contraignant est loin de faire l unanimit L objectif de la COP 3 au Protocole tait de promouvoir un cadre d action effectif en la mati re y inclus la mise en place d un futur r gime de responsabilit et de r paration en cours d laboration par un groupe de travail sp cial PROPOSITION DE DIRECTIVE INONDATIONS En attendant l avis du PE le Conseil environnement du 9 mars 2006 a pris note d un rapport sur les progr s r alis s au cours de l examen par le Conseil d une proposition de directive
30. Administration de l Environnement a trait en tout 654 dossiers de notification pour le transfert des d chets Ceci repr sente une l g re augmentation de 0 3 par rapport au nombre de dossiers trait s au cours de l ann e pr c dente Les dossiers trait s en 2006 se r partissent de la fa on suivante Exportation de d chets 457 dossiers soit 69 9 Importation de d chets 44 dossiers soit 6 7 Transfert national de d chets 38 dossiers soit 5 8 Transit de d chets 115 dossiers soit 17 6 126 L volution du nombre de dossiers de notification au cours des dix derni res ann es est reprise dans le graphique suivant Evolution du nombre des dossiers de notifications 600 500 400 300 200 100 m EXPORT ONATIONAL T IMPORT B TRANSIT 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 3 A chaque dossier de notification est associ un nombre variable de transfert de d chets Pour chaque transfert un formulaire de mouvement accompagnement doit tre pr sent l Administration de l Environnement diff rents moments avant le transfert lors de la r ception des d chets et apr s le traitement des d chets A chacune de ces tapes les formulaires doivent tre contr l s et enregistr s En 2006 le nombre total de formulaires de mouvement accompagnement traiter s est lev 30 3
31. ILU 02 ProfilArbed Differdange As 20 119 aci rie lectrique et Cu 100 102 four de r chauffage Hg 10 55 58 Ni 50 78 75 Pb 200 745 Zn 200 2 680 3 350 F 5 000 34 300 NOx 100 000 432 000 376000 CO 500 000 2 080 000 2 960 000 co2 100 000 000 158 000 000 124 000 000 ILU 03 ProfilArbed Esch Belval Cd 10 74 aci rie lectrique et Hg 10 113 20 four de r chauffage Zn 200 1 220 640 NOx 100 000 332000 co 500 000 670 000 548 000 co2 100 000 000 101 000 000 108 000 000 ILU 04 Intermoselle Rumelange NOx 100 000 1 030 000 744 000 four rotatif co 500 000 2 680 000 3 860 000 co2 100 000 000 730 000 000 703 000 000 ILU 05 Luxguard I Bascharage cl 10 000 12 200 four de fusion SOx 150 000 272 000 459 000 NOx 100 000 1 480 000 1 010 000 co2 100 000 000 118 000 000 108 000 000 ILU 06 Luxguard II Dudelange PMI0 50 000 107000 210 000 four de fusion CI 10 000 13 400 F 5 000 34 400 SOx 150 000 332 000 299 000 NOx 100 000 1 100 000 618 000 co2 100 000 000 118 000 000 115 000 000 re w gt NH e NMVOC 100 000 280 000 107000 ILU 09 rs Bissen Zn 200 454 Bu en is NOx 100000 255000 183000 Binz ee CH4 100 000 2 540 000 867000 e en CH4 100 000 205 000 414 000 ILU 14 TWINERG Esch Alzette NOx 100 000 614 000 centrale TGV co2 100 000 000 980 000 000 ILU 15 PRIMOREC Differdange Zn 200 349 fours Hg 10 104 ILU 16 Pechiney Eurofoil Dudelange F 5 000 7910 65 Commentaires sur les missions dans l air en 2004 et comparaison par rapport aux m
32. Le Service et les Arrondissements de la Conservation de la Nature En 3 4 1 Le Service de la Conservation de la Nature 3 4 1 1 Les r serves naturelles Les reserves classees par reglement grand ducal 2006 aucune zone prot g e n a t class e par r glement grand ducal Les r serves en cours de proc dure Am Dall et Kouprich commune de Wincrange RN ZH 07 et 08 Am Pudel communes d Esch sur Alzette et de Schifflange RN ZH 43 Biirgerkr iz commune de Walferdange Brucherbierg et Lallingerbierg communes de Kayl et de Schifflange Conzefenn communes de Troisvierges et de Weiswampach RN ZH 06 Dumontshaff communes de Bettembourg de Mondercange et de Schifflange RN ZH 45 Grengewald communes de Junglinster de Lorentzweiler de Luxembourg Ville de de Niederanven de Sandweiler de Steinsel et de Walferdange Griechten commune de Bascharage RN RF 17 Hoffelt Kaleburn commune de Wincrange RN ZH 09 Kinneksbrill communes de Lintgen et de Lorentzweiler zone prot g e en relation avec les mesures compensatoires pour la route du Nord Keidinger Brill communes de Fischbach de Heffingen de Junglinster et de Larochette RN RD 08 et ZH 28 Lannebur communes de Frisange et de Weiler la Tour RN ZH 54 Mamerdall communes de Bertrange de Kehlen de Kopstal de Lintgen de Lorentzweiler de Mamer de Mersch de Steinsel et de Strassen RN RF 21 Manzebaach commune de Larochette Reier
33. Le rapport int gral peut tre t l charg partir du site Internet de l Umweltbundesamt autrichien http www umweltbundesamt at fileadmin site publikationen REP0070 pdf 2 5 3 Polluants organiques persistants Les polluants organiques persistants POP sont des substances qui poss dent des caract ristiques toxiques sont persistantes sont susceptibles de bioaccumulation et peuvent ais ment tre transport es dans l atmosph re au del des fronti res sur de longues distances et se d poser loin du lieu d mission A cause de l effet de biomagnification c est au sommet de la cha ne alimentaire qu on observe les plus fortes concentrations Parmi les POP on compte notamment les dioxines et furannes les polychlorobiph nyles PCB le hexachlorobenzene HCB les hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP dont notamment le benz a pyrene et des pesticides comme le DDT Le Luxembourg a approuv le Protocole d Aarhus de 1998 et la Convention de Stockholm de 2001 relatifs aux polluants organiques persistants En outre le Parlement europ en et le Conseil ont arr t en 2004 le r glement CE N 850 2004 concernant les polluants organiques persistants Selon l article 7 de la Convention de Stockholm le Luxembourg aurait d pr senter en mai 2006 un plan national de mise en uvre de la Convention En 2006 l laboration du plan national a t entam e par la description de la situation existante des POP au Luxembo
34. Les aides pr vues sous h et i sont allou es sous condition que les b n ficiaires soient un ou plusieurs communes ou un syndicat de communes ayant pour objet la protection de l environnement naturel ou un tablissement d utilit publique ayant pour attribution la protection de l environnement naturel 1 2 2 Le comit de gestion du fonds pour la protection de l environnement La loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement a cr en son article 6 un comit de gestion du fonds Le r glement grand ducal du 15 novembre 1999 d termine les modalit s de fonctionnement dudit comit l arr t minist riel du 18 janvier 2006 porte nouvelle d signation des membres dudit comit Conform ment la loi pr cit e les missions du comit concernent la planification pluriannuelle des d penses du fonds l ajustement du rythme des d penses aux disponibilit s financi res du fonds la r orientation progressive du fonds vers des investissements de nature pr ventive 15 En 2006 le comit s est r uni 6 fois Il a mis des avis sur tous les projets et demandes de subsides financer par le Fonds pour la Protection de l Environnement 25 nouveaux projets ont t engag s 12 projets en relation avec la lutte contre le changement climatique et ou l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 1 projet en relation a
35. Les d g ts caus s par le gibier En for t priv e deux cas de d g ts de gibier ont t signalis s et indemnis s Les d g ts caus s par le cerf et le chevreuil en for t soumise sont latents et permanents dans certains secteur ce qui va l encontre de la qualit des bois et parfois au d triment de la biodiversit Dans les champs et pr s 322 dossiers ont t trait s et visit s par les pr pos s forestiers totalisant une surface indemnisable de 106 39 ha 3 2 8 8 La conservation de la nature Le nombre de dossiers CN trait s par les 11 triages du cantonnement forestier s l ve 433 3 2 8 9 Divers e Le centre de collecte des sangliers fonctionne toujours au Marienthal De nombreux pr pos s forestiers et ouvriers forestiers en assurent la permanence 170 heures prest es 325 sangliers remis e La mise en uvre des points techniques dans le cadre de la certification foresti re par PEFC a t poursuivie e Plusieurs estimations de for ts priv es ont t finalis es afin de proc der des acquisitions ventuelles par les communes et dans le cadre des mesures compensatoires de la route du Nord principalement dans la vall e de la Mamer e Le chef de cantonnement a particip aux groupes de travail du PFN plan forestier national et de sa mise en pratique savoir le groupe penser for t et agir bois e De nombreuses r unions ont t organis es avec les bureaux d tudes dans le cadre d
36. Manufacture n e c Manufacture of machinery and equipment n e c Manufacture of electrical and optical equipment Manufacture of transport equipment Manufacture of basic metals and fabricated metal products Manufacture of other non metallic mineral products Agriculture hunting and forestry 0 10 20 30 40 50 60 1000 tons 2 6 12 1 Quelques flux de d chets sp cifiques Les d chets d corces et de bois Les d chets d corces et de bois produits au Luxembourg sont majoritairement recycl s dans les 3 pays limitrophes 122 Destination des d chets d corces et de bois en 2004 LUXEMBOURG E PAYS BAS 5 8 m BELGIQUE 33 O FRANCE 39 m DEUTSCHLAND 15 Traitement des d chets d corces et de bois en 2004 13 D10 5 60 0 02 R10 28 61 ED10 Cl ORO3 OR10 CAR R03 41 85 Les d chets d huiles min rales Depuis 1999 la quantit des d chets d huiles min rales collect s pour traitement diminue Ce ph nom ne peut tre expliqu par le fait que les vidanges d huiles des moteurs de la nouvelle g n ration se font moins souvent 123 D chets d huiles min rales collect s 8 000 7000 T 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 Les d chets de la photographie d veloppeurs fixateurs Les nouvelles technologies plus sp cialement le d veloppement des appareils de photograp
37. autres listes d indicateurs d j existants et plus particuli rement des indicateurs associ s la Strat gie de Lisbonne indicateurs structurels et indicateurs sugg r s dans le Rapport Fontagn sur la comp titivit luxembourgeoise L autre gros dossier qui a occup la cellule statistique en 2006 est celui des m canismes de surveillance des missions de gaz effet de serre Plusieurs rapports directement d riv s des inventaires d missions de gaz effet de serre ont t r dig par la cellule rapport du Luxembourg l Union europ enne sur les quantit s attribu es conform ment la D cision 280 2004 CE rapport initial du Luxembourg au Secr tariat de la Convention cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique et mise jour d un pr rapport national d inventaire r dig en janvier 2006 par l Administration de l Environnement En r alit avec la mise en uvre du Protocole de Kyoto et l approche de la premi re p riode dite d engagement 2008 2012 la cellule a pris en charge la supervision des inventaires d missions de gaz effet de serre r alis par l Administration de l Environnement Cette t che consiste principalement en la v rification des inventaires leur mise en conformit et leur transmission officielle aux instances internationales mais aussi en partie en leur laboration Toujours dans le cadre du dossier changement climatique des contacts on
38. cessaire suite l arr t de la Cour de Justice des Communaut s Europ ennes dans l affaire C 270 03 Commission contre la R publique italienne En effet l Italie avait pr vu dans sa l gislation la dispense de certaines activit s de collecte et de transport de d chets de l obligation d autorisation Ceci concernait surtout le transport par des entreprises de petites quantit s de d chets r sultant de leur propre activit La Cour avait jug que cette activit se ferait titre professionnel et qu elle serait d s lors soumise l obligation d autorisation ou d enregistrement telle que pr vue par la directive cadre 75 442 CEE telle que modifi e Comme le projet de loi 5508 pr voyait des dispositions identiques et analogues il a t propos de les remplacer par un syst me d enregistrement conforme la directive 81 Le projet de loi ainsi amend a t vot par la Chambre des D put s en date du 24 octobre 2006 et publi au M morial A 216 du 15 d cembre 2006 A la suite de l entr e en vigueur de la loi du 1 d cembre 2006 modifiant la loi du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets I Administration de l Environnement a mis en place un syst me d enregistrement par Internet Cette plate forme permet un enregistrement en ligne rapide et sans complications d faut de la signature lectronique l application Internet permet d imprimer une fiche d enregistr
39. cessitant pas l tablissement d un nouveau ppgd 102 7 3 198 2 1 07 10 142 L illustration suivante montre l volution du nombre de dossiers trait s par la Division des d chets depuis l ann e de r f rence 2000 Comparaison pour chaque ann e mentionn e des dossiers de demande par rapport aux nombres des ppgd introduits et des ppgd complets pendant les derni res ann es coul es Nombre des dossiers 350 BNombre des dossiers introduits BNombre des dossiers avec un ppgd DNombre des ppgd complets 300 250 200 150 100 50 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 ann e de r f rence Le graphique suivant montre l volution des secteurs d activit s les plus repr sent s en mati re d tablissement d un plan de pr vention et de gestion des d chets Evaluation des dossiers rentr s par branche d activit 90 Stations fixes de distribution d essence pm Ateliers de r paration 80 Etablissements de production Magasins pour la vente au d tail et en gros 70 Bureaux 60 2 EI H o 50 o 8 o 40 E 20 20 10 0 ann e de r f rence 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 A la fin de l ann e 2006 environ 2512 ppgd taient enregistr s dans la base de donn es dont 1266 ppgd approuv s 1083 ppgd non cl tur s ainsi que 163 ppgd abrog s 143 2 6 15 3 Les rapports annuels des tablissements class
40. chets infectieux 16 participants le 20 11 2006 un atelier relatif aux d chets inertes 28 participants le 23 11 2006 un atelier relatif aux boues des stations d puration 15 participants le 30 11 2006 un atelier relatif aux d chets industriels commerciaux et artisanaux 21 participants A chacun de ces ateliers une br ve description de la situation actuelle et de l volution au cours des derni res ann es fut pr sent e La discussion tait toujours ax e autour des sujets suivants e la coordination e les structures et les infrastructures e la consommation durable e les instruments de mise en uvre du plan En m me temps la description de la situation actuelle ainsi que les textes introductifs pour les diff rents sujets de d bats ont t mis en ligne sur le site Internet www emwelt lu rubrique d chets gt dossiers th matiques gt plan g n ral de gestion des d chets Ce site donnait galement la possibilit aux citoyens de faire parvenir l Administration de l Environnement des commentaires au sujet des diff rents ateliers A cet effet un communiqu fut publi dans la presse luxembourgeoise pour en informer la population Malheureusement aucun commentaire ne nous est parvenu A la suite des discussions dans les ateliers th matiques un rapport d tape est r dig Ce rapport sera galement rendu public sur le site Internet Ensuite une premi re version du plan sera r dig e Celle
41. commune de Mompach RN ZH 36 Schlammwiss Aalbaach communes de Betzdorf de Niederanven et de Schuttrange RN ZH 51 Schwaarzenhaff Jongeb sch communes de Hobscheid et de Steinfort RN RD 14 Sporbaach Wincrange RN ZH 10 Vall e de la Haute S re Bruch Pont Misere communes de Boulaide et de Rambrouch RN ZH 16 et 84 Vall e de la Schlinder communes de Bourscheid de Consthum et de Hoscheid RN RF 14 Weimericht commune de Junglinster RN PS 14 Travaux de gestion dans les r serves naturelles Zone prot g e Keelsbaach Grevenmacher r impression de la brochure et du d pliant traitant du sentier qui traverse la zone prot g e Zone prot g e Pr nzebierg Giele Botter am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information laboration d un d pliant et d une brochure d information Zone prot g e P llembierg Ahn et Niederdonven laboration d une brochure Zone prot g e Haff R imech Remich planification d un sentier Zone prot g e Deiwelskopp 248 impression d une brochure e Zone prot g e Um Bierg Bongert Altenhoven Bettembourg am nagement d un sentier didactique laboration d une brochure mise en place de panneaux d information projet d abri pour b tail fonction didactique travaux de gestion du Bongert Altenhoven e Zone prot g e oa Conzefenn Wemperhard balisage d
42. demand es en date du 11 mai 2004 et elles nous ont t transmises en date du 5 ao t 2004 L arr t minist riel couvrant les essais a t d livr l entreprise en date du 5 janvier 2006 Dossier C I N 1 04 0167 Dossier D chets N 04 PT 05 En date du 19 mai 2004 la soci t Polygone S r l avait introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter un entrep t pour d chets provenant de ses activit s sur une site inscrit au cadastre de la commune de la Ville de Luxembourg section HoF de Merl Nord au lieu dit beim Bartr nger Kr iz Des informations suppl mentaires nous sont parvenues en date du 30 septembre 2005 et du 20 d cembre 2005 L arr t a t d livr en date du 24 mai 2006 Dossier C I N 1 04 0195 Dossier D chets N 04 PE 04 L annexe de l arr t minist riel d livr en vertu de la loi modifi e relative la pr vention et la gestion des d chets a t rectifi e en date du 22 juin 2006 04 PE 04 01 L entreprise Lamesch Exploitation S A de Bettembourg avait re u en date du 14 d cembre 2005 l autorisation d am nager et d exploiter une installation pour le traitement de d chets provenant du balayage des rues et de la vidange des fosses et canaux En date du 16 janvier 2006 un recours a t introduit par la soci t En date du 21 f vrier 2006 l arr t de modification a t d livr la soci t Dossier N 1 04 0214 Dossier D chets N 04 PT 07 et
43. e p ex placement dans des alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc 232860 365197 345625 D08 D09 Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc 18631480 4862863 39595402 5340550 29860763 2838652 D10 Incin ration terre 4654214 1728607 1778488 D12 Stockage permanent p ex placement de conteneurs dans une mine etc 0 17900 10160 D13 Regroupement pr alablement l une des op rations num rot es D1 D12 7160566 4484372 5270618 D15 Stockage pr alablement l une des op rations num rot es D1 D12 2381001 2550591 5298987 D99 Pr traitement avant 7580 0 0 54168117 60811411 58900984 128 RO1 R02 Utilisation comme combustible autrement qu incin ration directe ou autre moyen de produire de nergie R cup ration ou r g n ration des solvants 8327757 0 12313658 2904 11207710 0 R03 Recyclage ou r cup rat
44. e du 31 mai 1999 Il a pour objet 1 la pr vention et la lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit et le changement climatique 2 la pr vention et la gestion des d chets 3 la protection de la nature et des ressources naturelles 4 l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contamin s 5 l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables Le ministre de l environnement est autoris imputer sur ce fonds a b c d la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives dans l un des domaines dont question ci dessus aux projets reconnus d int r t public par le Gouvernement en Conseil la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives au syst me de gestion des d chets probl matiques en provenance des m nages uniquement une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 66 du co t de l investissement concernant la r alisation de projets de compostage et ou de bio m thanisation de d chets organiques et de boues d puration caract re r gional une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t de l investissement concernant l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets ou de sites contamin s en application de l article 16 point 3 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 14 g
45. en vue d une gestion durable de l esp ce Les buts recherch s par la nouvelle approche sont e concentrer les pr l vements principaux aux faons et jeunes cerfs e obtenir plus de vieux cerfs en vue d une meilleure coordination du brame e pr server un nombre ad quat de vieux cerfs qui constituent la base biologique pour un d roulement harmonieux de la reproduction Les mesures envisag es en vue d atteindre les objectifs vis s ont t les suivantes e introduction d un dispositif de marquage pour faons CJ cerf juv nile ou cerf jeune e environ 40 de la population totale pr lev e m les et femelles devrait se situer dans cette cat gorie Le r glement grand ducal concernant l ouverture de la chasse a t galement t con u de fa on permettre la r alisation des lignes directrices nonc es ci dessus 3 5 2 3 Modalit s pr vues par la l gislation pour l tablissement des plans e Plan de chasse valable pour une p riode cyn g tique de trois ans e Plans de chasse avec des maxima fix s pour le tir de cerfs m les cerfs femelles et cerfs faons ainsi que pour le tir de chevreuils pas de distinction des sexes e Plans de chasse tablis pour chaque lot de chasse individuellement ou pour plusieurs lots contigus unit cyn g tique e Arr t par le Ministre de l Environnement sur proposition de la commission cyn g tique 274 3 5 2 4 Crit res de d cision en vue de l tablissement
46. ens d une gestion durable des for ts Cependant ce patrimoine historique et culturel est soumis aux impacts de la gestion foresti re qui doit en tenir compte afin de mieux en assurer la pr servation long terme ainsi qu aux impacts r sultant de travaux d infrastructures en for t La connaissance de l emplacement g ographique de ces sites historiques et de leur histoire est donc primordiale et les agents de terrain de notre administration sont les premiers concern s A cet effet les actions suivantes ont t initi es e Elaboration d une banque de donn es g ographique sur ces sites historiques Les travaux relatifs cet aspect avaient d j d but en 2003 et sont finalis s dans une version provisoire e Creation d une application permettant l encodage et le traitement des donn es Les travaux relatifs cet aspect sont termin s dans une premi re tape e Campagne d inventaire des sites historiques et culturels en for t sur le terrain Les travaux relatifs cet aspect avaient d j d but en 2005 Le projet de recensement des sites du patrimoine historique en for t a t poursuivi en 2006 par la mise en uvre d une deuxi me campagne d inventaire de terrain des sites historiques en for t avec comme objectifs a encodage dans la banque de donn es des sites suppl mentaires signal s par les pr pos s forestiers suite une enqu te aupr s des triages forestiers et suite une pr sentat
47. explicatives en vue de la pr paration des m moires en d fense La majorit des recours concernaient la l gislation sur les tablissements class s L interf rence entre la l gislation sur les tablissements class s et la l gislation sur l am nagement du territoire a souvent t au c ur des litiges Il en a t de m me en ce qui concerne la relation entre la l gislation sur les tablissements class s et celle sur la proc dure administrative non contentieuse Au cours de l ann e 2006 une bonne trentaine de recours contentieux ont t dirig s contre des d cisions prises en application de la l gislation sur les tablissements class s Il arrive assez souvent que la preuve des inconv nients all gu s n est pas rapport e par les demandeurs Sous r serve qu il est assez difficile de sch matiser et de dresser un bilan il est permis de dire qu une tr s grande majorit des d cisions minist rielles attaqu es ont t confirm es quant leur l galit par les juridictions administratives Le service juridique recense galement la jurisprudence rendue notamment en mati re de protection de l environnement naturel et humain La jurisprudence est importante dans la mesure o elle permet d orienter l activit administrative et de fournir des indices ou r ponses des probl mes non r solus ou se r p tant r guli rement 2 2 2 4 Autres activit s Le service juridique a assist a de nombreuses r unions po
48. gislation mais qu ils sont n anmoins dans l impossibilit de respecter les normes de qualit de lair certains endroits ils devraient pouvoir b n ficier d une prorogation du d lai de mise en conformit dans les zones touch es et dans certaines conditions Le texte de compromis confectionn par la pr sidence autrichienne a r pondu cette double aspiration Concernant les PM 2 5 il pr voit un objectif national non contraignant de r duction de l exposition con u comme une valeur cible et atteindre en 2020 ainsi qu une valeur cible et une valeur limite contraignante atteindre respectivement en 2010 et en 2015 Le texte contient une clause de r vision qui pr voit un examen par la Commission en 2013 des dispositions relatives aux PM 2 5 et le cas ch ant aux autres polluants l objectif sp cifique de la r vision tant d tablir un objectif contraignant de r duction de l exposition Le texte sugg r par la pr sidence tait une voie m diane entre ceux des Etats membres qui entendaient n envisager que des normes non contraignantes et ceux des Etats membres qui plaidaient en faveur de dispositions plus ambitieuses que ce soit pour un ch ancier plus serr des valeurs plus strictes ou que ce soit pour l tablissement simultan d une obligation de r duction de l exposition Concernant la clause de flexibilit il pr voit que lorsque dans une zone ou une agglom ration la confo
49. l ann e pr c dente En effet cette augmentation est de 6 58 Si on ne consid re pas les fractions lourdes de d chets collect s dont notamment les bonbonnes gaz et les d chets d amiante ciment l augmentation des quantit s des autres d chets est de 7 9 Par rapport la quantit totale de d chets collect s par la SuperDrecksK scht fir Biirger la quantit sp cifique tait en 2006 de 5 kg par habitant Si on fait abstraction des bonbonnes gaz et des d chets d amiante ciment la quantit sp cifique tait de 4 5 kg hab 108 Annee Collectes Centres de Actions Service Quantite Difference mobiles recyclage particulieres domicile totale 1997 399536 761738 3456 91458 1256187 17 31 1998 377480 905501 8992 96852 1388824 10 56 1999 397647 882145 9816 110177 1399784 0 79 2000 398234 1024471 7097 101224 1531026 9 38 2001 411311 1088010 4401 93940 1597662 4 35 2002 449442 1234569 731 58564 1743306 9 12 2003 508355 1377401 0 33708 1919464 10 10 2004 482742 1494606 0 58490 2035837 6 06 2005 475787 1621408 0 62741 2159936 6 10 2006 523964 1687527 0 90654 2302145 6 58 quantites exprimees en kg L volution des quantit s collect es depuis 1985 est repr sent e dans le graphique suivant SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des quantit s collect es 2600000 2400000 2200000 2000000 1800000 1600000 1400000 1200000 1000000
50. lectriques grandes dimensions 611 850 t Appareils lectriques petites dimensions 933 456 t D Autres quipements lectroniques sans composants dangereux 1 445 t Total 2 067 312 t 2 6 6 Les boues d puration 2 6 6 1 Les quantit s de boues d puration produites La Division des D chets demande annuellement aux stations d puration ayant une capacit sup rieure 2000 quivalents habitant de faire un rapport sur la quantit de boues et de d chets produit En 2005 34 stations d puration ont re u un questionnaire de la part de l Administration de l Environnement Etant donn que m me apr s plusieurs rappels 4 stations n ont pas r pondu au questionnaire les donn es suivantes refl tent la situation de 30 stations d puration en 2005 en total 600 000 q hb 99 Suivant les indications des stations d puration quelques 8 800 tonnes de boues mati re s che ont t produites en 2005 En moyenne chaque station d puration a produit 13 2 kg m s par habitant quivalent par an min 3 kg max 24 kg Etant donn que les petites stations n effectuent pas une d shydration de leurs boues les quantit s ont du tre estim es pour ces installations L extrapolation de ces chiffres permet de d terminer la quantit totale de boues produites au Grand Duch de Luxembourg quelques 13 400 tonnes de mati re s che Mittelwert LA 7 kgTS EW a amp c x 3 D
51. leur qualit de vie perturb e Les agents de l Administration des Eaux et For ts ont essay de convaincre les propri taires de conserver les g tes de chauves souris et ont de ce fait propos les solutions techniques qui s imposent afin de r duire au minimum l impact de la pr sence dans leur demeure de ces mammif res menac s Ce mode d op rer a permis la sauvegarde de la quasi totalit des colonies de reproduction visit es entra nant par dessus le march une attitude positive des habitants l gard de ces animaux 252 2 3 4 5 6 La bat line mise en service en 2005 sous l adresse lectronique bat ef etat lu est tr s r guli rement utilis e par les internautes pour signaler l Administration des Eaux et For ts certaines colonies vivant dans les alentours de leurs habitations ou simplement pour demander quelques renseignements suppl mentaires sur les chiropt res ou encore pour l envoi de brochures sur les chiropt res Cette adresse lectronique permet en outre de demander une assistance sur place en cas de nuisance prononc e et persistante assur e par l Administration des Eaux et For ts ou par le mus e national d histoire naturelle Depuis son lancement bon nombre d int ress s variant de 1 plusieurs contacts hebdomadaires ont d j fait usage de cet instrument lectronique Pour l ann e en cours il est pr vu d tendre pour les personnes ne disposant pas encore de
52. matique des sangliers a d tre maintenu jusqu deux ans apr s le dernier cas virologique constat A partir du 15 ao t 2005 la zone de surveillance a pu tre lev e Cependant vu les exigences du O I E Office International des pizooties un syst me all g de contr le reste en place jusqu au 15 ao t 2007 En effet vu la mise en place de vaccinations des sangliers contre la peste porcine en 2003 et 2004 il faut qu il soit mis en vidence que les sangliers n s apr s la derni re vaccination en automne 2004 sont tous s ron gatifs pour pouvoir assumer que le virus est d finitivement limin de la population des sangliers Le contr le syst matique avec prise d chantillons a par cons quent t limit dans une premi re phase aux sangliers d un poids inf rieur 50 kg non vid et dans une deuxi me phase partir du 15 ao t 2006 aux sangliers d un poids inf rieur 35 kg non vid Une indemnit de 100 Euro est pay e pour chaque sanglier chantillonn Collecte des chantillons d analyse et paiement de primes La collecte des chantillons d analyse est r alis e dans dix centres de collecte g r s par l Administration des Eaux et For ts plus sp cialement par les pr pos s forestiers r gionalement comp tents en collaboration avec les ouvriers forestiers En outre le transport journalier des chantillons vers le laboratoire de m decine v t rinaire est assur par l Administration des Eaux et For
53. me de contr le des fuites au Luxembourg a t pr par e en collaboration avec la F d ration des Installateurs en Equipements Sanitaires et Climatiques la Chambre des M tiers la Superdreckskescht et le Centre de Ressources des Technologies pour l Environnement En particulier un manuel de formation pour contr leurs d installation de r frig ration et de climatisation a t labor Le manuel est divis en plusieurs chapitres e Impacts environnementaux Effets des missions de CFC HCFC et HFC sur la destruction de la couche d ozone et sur les changements climatiques e Fluides frigorifiques Fluides halog n s CFC HCFC et HFC et fluides non halog n s ammoniac dioxyde de carbone propane eau e L gislation Limitation de la mise sur le march et de l utilisation des fluides autorisation d exploitation des installations contr le des fuites et r cup ration des fluides et mise hors service des installations e Emissions de fluides frigorig nes Origines des fuites mesures pour viter les fuites et les techniques de d tection des fuites e Aspects pratiques du contr le des fuites Proc dures de contr le indentification des installations relev des donn es calcul du taux de fuite et r cup ration des substances et limination des installations 71 Fin 2006 les deux premiers cours de formation en langue fran aise ont t organis s Seules les personnes disposant d une formation d
54. notamment du point de vue de la conservation de la restauration et du d veloppement de la biodiversit tout en garantissant la rentabilit conomique de ces terrains Il s agit donc d une nouvelle approche en mati re de conservation de la nature bas e sur l id e qu il devrait tre possible de g n rer des rendements conomiques sur la base d un projet environnemental Le but de l tude agricole consiste d terminer en accord avec les exploitants des terrains qui pourraient faire l objet d un p turage pour du b tail bovins chevaux ch vres moutons production de fourrage ou production d nergie partir de biomasse Les tudes agricoles y relatives comprennent les tapes suivantes e rechercher des terrains et des agriculteurs susceptibles de participer au projet e d terminer des m thodes d exploitation extensive susceptibles d tre appliqu es dans les zones prot g es fauchage p turage race e laboration d un concept de p turage d termination de la charge en b tail p turage toute l ann e ou pendant la saison de v g tation etc e estimer le rendement agricole des surfaces concern es estimation du rendement quantitatif et qualitatif en viande par exemple et les revenus de l agriculteur incluant les subventions potentielles e rechercher des d bouch s pour les produits id alement la conclusion de contrats avec des clients locaux est recherch e bouchers restaura
55. plaquettes et le l utilisation de ce bois des fins nerg tiques et suite une hausse spectaculaire des produits p troliers et du bois de chauffage une distribution quilibr e entre ces 3 repreneurs a du tre organis e durant l ann e 2006 par l Administration des Eaux et For ts 3 1 19 Le bois nergie Suite l explosion du prix des produits p troliers et suite aux incertitudes d approvisionnement en energie fossile l ann e 2006 a t marqu e par une nette augmentation de l int r t des communes propri taires de for ts pour la technique des chaudi res de copeaux de bois Une quinzaine de communes ont demand l Administration des Eaux et For ts des informations techniques et financi res L Etat a marqu son accord de principe pour installer une chaudi re copeaux de bois de 1 m gawatt dans un lyc e technique 166 A ce jour gr ce l utilisation du bois comme source d nergie renouvelable les 16 chaudi res en service au Luxembourg produisent une puissance de 5 062 kW en utilisant approximativement 5 567 m3 de bois Le bois utilis des fins nerg tiques rev te un caract re industriel c est dire qu il provient enti rement du bois de trituration feuillu qui est actuellement transform en majeure partie en cellulose et en papier Aucun arbre suppl mentaire n a t abattu jusqu ce jour des fins nerg tiques et le potentiel nerg tique se trouvant au nive
56. r alis e versions 4 03 4 07 par une soci t de service ext rieure suite un manque de ressources internes en personnel La premi re version de l application DBAIDE a t mise en production en janvier 2003 Un nouveau module sp cifique pour la brigade mobile a t mis en place Il permet le suivi des dossiers qui sont soumis un contr le de la brigade mobile et du service de contr le du Minist re de l Agriculture La Cellule informatique a supervis les travaux de d veloppement en assurant la description des fonctionnalit s et en validant les travaux r alis s Les fonctionnalit s suivantes ont t ajout es l application en 2006 e nouveau module de contr le pour la brigade mobile e criture du module cartographique en architecture DotNet e am lioration du module triage L application EFDIR versions 1 10 1 17 a pour but de permettre la cellule ouvrier et la cellule informatique la bonne gestion des informations des ouvriers entre l APE la Tr sorerie et l Administration des Eaux et For ts Elle g n re notamment automatiquement des fichiers CSV qui peuvent tre ensuite charg s dans le syst me comptable de l Etat Elle permet l int gration des donn es des salaires de l APE Elle calcule avec pr cision la r partition et le co t de la masse salariale des ouvriers forestiers entre les diff rents propri taires Domaines Communes Etablissements publics En 2006 deux n
57. rement r form es En ce qui concerne certains d lais impos s dans le cadre de la l gislation relative aux tablissements class s le d partement se propose de proc der un inversement des d lais c est dire une modification des d lais d instruction d un dossier de demande pour avoir au pr alable plus de temps pour instruire le dossier et r duire en cons quence les d lais de pr paration et de notification des d cisions Il est g n ralement pris note de cette proposition mais il y a aussi des suggestions d all ger les d lais voire de les raccourcir davantage L id e de cr er sinon de renforcer le guichet virtuel unique est largement soutenue N anmoins il faut souligner qu un tel guichet virtuel est disponible et r guli rement actualis sur le site www emwelt lu et que les chambres professionnelles ont comme t che entre autres de conseiller les entreprises quant aux d marches dans le cadre de la l gislation sur les tablissements class s 1 5 3 Collaboration entre administrations concern es dialogue et change d information avec les milieux professionnels La collaboration entre l Administration de l environnement et l Administration de la Gestion de l eau sera pr cis e en tenant compte des comp tences concurrentes de ces deux administrations Un moyen d une meilleure collaboration et d information entre parties concern es consiste relancer le comit d accompagnement
58. reprise taient de 85 chez les feuillus et de 80 chez les r sineux 3 2 7 6 Les p pini res Actuellement aucune p pini re n est exploit e sur le territoire du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest 3 2 7 7 Les travaux d am lioration En 2006 127 33 ha ont subi des travaux de d gagement tandis que des travaux de nettoiement ont t effectu s sur une surface de 200 75 ha 3 2 7 8 Les travaux de voirie Dans l enceinte du cantonnement 2 projets au total de 1 350 m de chemins nouveaux ont t r alis s dans des for ts communales D autre part 340 m de chemins ont t r fectionn s A l avenir les travaux se limiteront surtout l entretien de la voirie existante 3 2 7 9 Les travaux forestiers subventionn s Les travaux forestiers suivants ont t subventionn s e D bardage cheval 539 99 m3 e 1 claircie dans des peuplements r sineux 850 30 ares 3 2 7 10 La for t priv e Le cantonnement forestier entretient des contacts sporadiques avec des propri taires forestiers priv s normalement sur une demande individuelle Les sujets de ces contacts taient constitu s en des conseils pratiques sur la construction de chemins forestiers le choix des essences ou l valuation de travaux forestiers ex cut s par des entrepreneurs priv s 3 2 7 11 Les d g ts caus s par le gibier Apr s une baisse en 2004 82 expertises sur 28 69 ha et une augmentation en 2005 104 doss
59. s Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissements class s il est demand aux exploitants e detenir un registre avec les quantit s et les modes de valorisation ou d limination des d chets e d tablir un rapport annuel sur la gestion des d chets notamment les tablissements de la classe 1 Le rapport annuel est transmettre pour le 31 janvier au plus tard l Administration de l Environnement En 2006 138 tablissements class s ont pr sent un rapport annuel sur la gestion des d chets dont 102 rapports ont pu tre approuv s par la Division des d chets A la fin de l ann e 2006 environ 468 rapports annuels ont t enregistr s dans la base de donn es dont 364 approuv s 66 non cl tur s ainsi que 38 abrog s 2 6 15 4 La r vision trisannuelle des plans de pr vention et de la gestion des d chets Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissements class s il est demand aux exploitants de proc der une r vision trisannuelle de leur plan de pr vention et de gestion des d chets En effet ce n est que par un suivi r gulier de la gestion des d chets dans les tablissements qu on peut esp rer une certaine prise de conscience Plusieurs tablissements ont t invit s en 2006 d actualiser leur plan de pr vention et de gestion des d chets dat de plus de trois ans et ceci surtout suite une demande d autorisation de modification non substantielle de l tabl
60. s compliqu es exigent beaucoup de temps Les laboratoires engag s ne peuvent fournir les donn es qu avec un an de d calage Pour cette raison les r sultats des travaux r alis s en 2006 ne peuvent pas encore tre pr sent s dans ce rapport d activit exception mesures m t orologiques En 2006 l ONF et l Administration des Eaux et For ts ont r alis les op rations suivantes Mesure dendrom trique annuelle Analyse de la liti re Mesure de l ozone avec des capteurs passifs Mesure de l ammoniac avec des capteurs passifs Etat sanitaire Observations ph nologiques Analyse des retomb es atmosph riques Mesure de param tres m t orologiques Les r sultats font l objet d un rapport annuel d valuation des donn es r dig par ONF Quelques r sultats des mesures m t orologiques Pour d celer les rapports entre les facteurs m t orologiques et le d p rissement des for ts il faut entre autre disposer de donn es m t orologiques qui sont valables pour les sites o se trouvent les placettes de suivi des cosyst mes forestiers Dans cette optique l Administration des Eaux et For ts a install une station m t orologique proximit des deux placettes de suivi long terme des cosyst mes forestiers HETL1 P nzebierg et HETL2 Waldhof L installation et l exploitation des stations se font en collaboration avec l ONF et avec la soci t PULSONIC Une station est compos e de 3 unit s la
61. s est fourni ci apr s o g Sn 3 Seller Site SS e EE Commune Section E a 2 Si 5 z S ce z Z5 s SERIEEKEEKGEKER 1 Mompach 4 MICON 500 46 5 43 2 EE section E de Nachtmanderscheid section C de Heiderscheid Section C de Heiderscheid 7 Enercon 66 1800 77 section B de Ringel Bourscheid section E de Kehmen Scheidel FT section OD de Oberwampach 5 3 NEG MICON 70 48 12 2 section C de Heinerscheid section F de Hupperdange section D de Fischbach o LS ml bed La EE section D de Fischbach ne section A de Lieler section B de Remerschen section C de Reimberg H Wincrange 2 Enercon E 40 70 44 4 2 section AD de Boxhorn ou 48 section BD de Doennange Deiffelt DeWind D 4 section BC de Lullange 10 Redange 7 Enercon E66 1800 70 12 6 section A de Lannen section B de Nagem section C d Ospern Ell section A de Roodt Total 54 4 MW Les oliennes pr vues Wincrange 2 Enercon 1500 kW et Medernach figurant au tableau ci avant n ont pas t mises en exploitation dans le d lai imparti par l arr t d autorisation d livr e en vertu de la l gislation sur les tablissements class s Par cons quent les autorisations y relatives sont devenues caduques 2 4 10 Service Immeuble et Gestion de l Energie 2 4 10 1 Dossiers introduits Le tableau suivant repr sente un relev succinct des dossiers de demande introduits les cinq derni res ann es aupr s du service Immeuble et Ges
62. sans p naliser le d veloppement conomique Les pr occupations li es aux ressources seront int gr es dans toutes les politiques appropri es et des mesures sp cifiques seront mises en place notamment la cr ation d un centre de donn es et d indicateurs le d veloppement d un forum europ en et d un groupe international d experts CONCLUSIONS CONVENTION DE BALE Le Conseil environnement du 23 octobre 2006 a d gag des conclusions ayant trait la pr paration de la COP 8 la Convention de B le concernant le contr le des mouvements transfronti res de d chets dangereux et de leur limination novembre 2006 Les points essentiels l ordre du jour de cette conf rence visaient le transfert ill gal de d chets le d mant lement des navires et l indispensable coordination des activit s men es par les institutions internationales uvrant en la mati re ainsi que la promotion des synergies entre trait s internationaux ayant trait la gestion des produits chimiques et des d chets Concernant plus particuli rement le d mant lement s curis et cologiquement appropri des navires il a lieu de rappeler que le Conseil environnement avait sous pr sidence luxembourgeoise d gag des conclusions faisant tat du souci de coordonner les activit s respectives men es en la mati re notamment par la Convention de B le et l Organisation maritime internationale Ces conclusions avaient plaid en faveur du d
63. serves foresti res int grales Enneschte B sch et Betebuerger B sch se trouvent toutes les deux proximit de la localit de Leudelange Au cours de cette pr sentation les principales fonctions et objectifs des r serves foresti res int grales ont t expliqu s ainsi que les mesures de gestion qui sont appliqu es un tel type de r serve Le projet Naturb sch a t pr sent dans le cadre de la formation continue au Centre de Formation Professionnelle Continue Le titre de cette pr sentation tait le suivant Les r serves foresti res int grales au Luxembourg Cette pr sentation avait pour but de familiariser le personnel communal avec des projets concrets de protection de la nature du Minist re de l Environnement Le 20 juin 2006 le Service de l Am nagement a organis une excursion afin de faire visiter des projets de r serves foresti res int grales la FVA Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Baden W rttemberg de Fribourg Au cours de cette journ e deux r serves ont t visit es Il s agit des projets Grouf Schengen et Schnellert Berdorf Consdorf Ainsi les forestiers allemands ont eu l occasion d changer leurs exp riences dans ce domaine avec leurs homologues luxembourgeois Ces premiers taient d ailleurs tonn s de voir le degr de naturalit dans lequel ces futurs projets de r serves se trouvaient Dans le cadre du colloque du 6 octobre 2006 Naturs
64. suppl mentaires demand es date Retour Inf Supp 6 Le cas ch ant suite au compl ment d information AEV d clare le dossier complet ou non encore complet Dans ce dernier cas le recqu rant est entendu par l AEV dans un d lai date Complet AEV de 7 jours m me rubrique que sous 3 7 L ITM doit galement d clarer le dossier comme tant complet en vertu de ses attributions Complet ITM 8 L AEV envoie le dossier pour enqu te publique la aux commune s concern e s D p t EP 9 L les administration s communale s retourne nt le dossier avec leur s avis AEV Retour EP 10 L AEV transmet l avis PITM Journellement par porteur 11 L AEV notifie la d cision du ministre de 1 Environnement au requ rant Notif d cision 12 L ITM notifie la d cision du ministre du Travail et de l Emploi au requ rant Notif d cision ITM 1 Les diff rentes proc dures demande non accept e classe 1 classe 1 administratif ou commercial classe 1 moins d un an classe 3 classe 3B modification non substantielle prolongation renouvellement cessation d activit d claration classe 4 sont pr sent es en d tail sur le site internet www emwelt lu gt Etablissements Class s gt Proc dures La demande doit tre conforme aux dispositions de l art 7 7 et 7 8 de la loi pr cit e 46 2 4 3 No
65. tre utilis e dans toutes les situations rencontr es Elle permet de travailler en termes de valeurs limites longueurs ou volumes et de n encoder qu une valeur par cat gorie d chantillon par placette C est la seule m thode qui permet d estimer rapidement l abondance de bois mort dans les diff rentes cat gories quand un r seau d chantillonnage ne peut pas tre mis en place Il est toutefois n cessaire dans un premier temps de se familiariser avec l amplitude des classes de volumes La m thode d estimation des longueurs convient lorsqu il n y a pas de probl mes de visibilit et quand le nombre de pi ces de bois n est pas trop lev Dans le cas contraire les temps d ex cutions sont trop longs Elle pr sente l avantage de ne pas devoir recourir aux classes de volumes Elle n est pas applicable lorsqu un r seau de placettes surfaces d finies ne peut pas tre mis en place L encodage informatique sur le terrain des longueurs individuelles implique que l ensemble des param tres relatif l inventaire des peuplements soit galement encod sur PC portable ce qui est possible mais non exig dans la pratique actuelle des inventaires La m thode d estimation des volumes n est pr conis e que dans des mesures de calibrage et de contr le ou lorsque les volumes de bois morts peuvent tre directement d duits du peuplement principal exemple chablis massif affectant 30 des tiges ou encore quan
66. uvre du plan national concernant la protection de la nature e de saisir le Ministre des projets actions ou mesures susceptibles de promouvoir la protection de l environnement naturel L observatoire a officiellement commenc ses activit s en 2006 et a au cours de quatre r unions trait s les dossiers suivants e le plan national concernant la protection de la nature e les instructions d application de l article 17 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature e des th matiques d actualit tels la gestion de certaines r serves naturelles ou d esp ces menac es Par ailleurs l observatoire a mandat la r alisation d tudes et de projets dont une analyse de la connectivit des paysages au Luxembourg 1 1 6 4 R seau Natura 2000 Un s minaire d information concernant les possibilit s de cofinancement du r seau Natura 2000 travers les fonds et programmes communautaires pour la p riode 2007 2011 a t organis en collaboration avec le WWF allemand en juillet 2005 Cet v nement a permis d une part de pr senter un manuel financ par la Commission europ enne et labor par WWF intitul Le Financement de Natura 2000 et d autre part de donner un aper u de l tat d avancement et du contenu des programmes nationaux en la mati re Par ailleurs le Minist re de 1 Environnement a propos la Commission europ enne la d signation d un site suppl mentaire en vue
67. veloppement Durable de la Commission Interd partementale du D veloppement Durable devrait 1 d terminer le cadre conceptuel dans lequel s inscriront les IDD luxembourgeois 2 d terminer la place et la port e des IDD dans les syst mes et canaux d informations du Gouvernement 3 identifier au del de l valuation des politiques du PNDD les domaines que pourraient couvrir les IDD 4 identifier les donn es de bases n cessaires au calcul des IDD et proposer un sch ma organisationnel pour la collecte de ces donn es 5 imaginer comment organiser le jeu d IDD en ayant l esprit une diffusion la plus large possible vulgarisation strat gie de communication etc 6 sugg rer un ensemble d IDD cl s qui devraient aider la communication et la diffusion de la notion de d veloppement durable aupr s du public et des autorit s publiques 7 tablir les proc dures de r vision d ajout et de suppression d indicateurs de la liste des IDD Organisation Le Groupe de Travail Indicateurs de D veloppement Durable de la Commission Interd partementale du D veloppement Durable est compos de membres de la Commission ou de personnes d sign es par ces membres Afin de pouvoir tre r actif et flexible le Groupe de Travail n est compos que d un petit nombre de membres identifi s et approuv s par la Commission Interd partementale du D veloppement Durable Le Secr tariat du Groupe de Travail est attr
68. veloppement d un instrument juridique international dans le domaine du recyclage des navires 31 1 6 3 4 Conseil Environnement du 18 d cembre 2006 PROPOSITION DE DIRECTIVE MILIEU MARIN Le Conseil environnement du 18 d cembre 2006 a d gag un accord politique sur la proposition de directive afferente Le dossier position commune a t transmis au PE pour deuxi me lecture Consid rant d une part que les r gions marines vis es sont la Mer Baltique l Atlantique du Nord Est et la Mer M diterran e et d autre part que les Etats membres ayant des eaux marines sont tenus notamment de d velopper en troite coop ration et pour chaque r gion ou sous r gion marine concern e des strat gies marines la question qui s est pos e lors des n gociations tait de d terminer les obligations incombant en la mati re aux Etats membres enclav s L idee consistant exempter d office les dits Etats de la transposition voire de la mise en uvre de la future r glementation n ayant pas t accept e pour des raisons d ordre politique et juridique notamment un compromis s est d gag dans le contexte des articles ayant trait respectivement la coordination coop ration et la d signation d autorit s comp tentes gt ad coordination coop ration Aux fins de la coordination l article 5 pr voit que les Etats membres utilisent lorsque cela est r alisable et opportun les structures institutionnelle
69. 000 m et Wormeldange 15 000 m La longueur des chemins surveill s et entretenus s l ve 92 700 m Des sentiers fitness et les sentiers didactiques Haard Canach Am Brill Betzdorf Grossfooscht et Kelsbaach Grevenmacher Syrdall Manternach et Mertert D iergaard Remich Riederb sch Betzdorf Haff R imech et alentours Remerschen Schengen Wintrange Gaa Dreiborn Pellembierg Ahn et Wormeldange ont t soigneusement entretenus sur une longueur d passant 41 000 m De m me le sentier international reliant les r gions m diterran ennes la Hollande et traversant les territoires des communes de Remich et Stadtbredimus a fait l objet d un entretien r gulier Tous les sentiers sont quip s d installations de loisirs fabriqu s pour la plupart dans nos ateliers bancs tables poubelles et panneaux Il y a lieu de mentionner tout particuli rement les aires de repos am nag s aux lieux dits Haard Rangels et Widdebierg Betzdorf et Flaxweiler et Am Brill Betzdorf an der Fels et Grosseb sch Grevenmacher aux alentours des localit s de Manternach et Mertert au Riederb sch et au Kiem Betzdorf au Haff Reimech Schengen ainsi que le long des sentiers touristiques de Flaxweiler et de Wormeldange 176 Les accotements de la piste cyclable Charlys Bunn de Bech Beidweiler ont t entretenus en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es Il en est de m me pour la nouvelle piste cy
70. 04 PT 07 01 La soci t Arcelor ProfilArbed Differdange avait introduit un dossier de demande pour pouvoir r aliser des essais avec des pneumatiques usag es et d chiquet es dans le four lectrique de son usine situ e Differdange En date du 1 mars 2006 l autorisation pour pouvoir proc der l essai a t d livr e Dossier C I N 1 04 0360 Dossier D chets N 04 PT 09 137 La soci t Arcelor ProfilArbed Esch Belval avait introduit un dossier de demande pour pouvoir r aliser des essais avec des pneumatiques usag es et d chiquet es dans le four lectrique de son usine situ e Esch Belval En date du ler mars 2006 l autorisation pour pouvoir proc der l essai a t d livr e Dossier C I N 1 04 0361 Dossier D chets N 04 PT 10 En date du 29 juillet 2005 la soci t K hne amp Nagel avait introduit un dossier de demande pour obtenir les autorisations pour pouvoir proc der au tri et l entreposage de d chets cartouches de toner sur son site dans la zone industrielle pr s de Contern Le 28 novembre 2005 des informations suppl mentaires ont t demand es Elles nous ont t envoy es en date du 20 d cembre 2005 L arr t d autorisation a t d livr en date du 27 septembre 2006 Dossier C I N 1 05 0299 Dossier D chets N 05 PT 03 En date du 15 juillet 2005 un dossier de demande a t introduit par l Administration des Ponts amp Chauss es en vue d obtenir l autorisation
71. 1 2 Sols couverture limoneuse peu paisse lt 40 cm ou argile de surface mal structur e capacit de r tention en eau assez moyenne faible faible p n tration des racines peu ou pas de calcaire moins de 60 cm de profondeur A 2 Pr sence de calcaire actif moins de 60 cm de profondeur A 2 1 Sols couverture limoneuse peu paisse lt 40 cm ou argile de surface mal structur e capacit de r tention en eau assez moyenne faible faible p n tration des racines B Versants de pente gt 40 sans apport lat ral en eau cons quent B 1 Sols tr s caillouteux secs et tr s calcaire dolomie ou gypse proche de la surface C Vallons d pressions et bas de versant avec apport lat ral d eau C 1 Sols capacit de stockage en eau variable mais b n ficiant d un apport lat ral cons quent mais non soutenu C 2 Sols capacit de stockage en eau variable mais b n ficiant d un apport lat ral quasi permanent D Zones perturb es d ponies D 1 D potoir 205 Appreciation sommaire du comportement des essences principales Le ch ne sessile est l essence productive la mieux adapt e aux divers sols de la for t communale de Wormeldange Il devrait constituer l essence principale des peuplements du domaine forestier Son adaptation est optimale sur 91 de la superficie de la propri t partielle sur les sols dolomitiques 8 et cologique sur les sols hydromorphes 1
72. 10 8021 5892 Primorec S A Primus EQE 2005 14 95706 39994 Profil Arbed Differdange EQE 2005 12 254415 188622 Profil Arbed Esch Belval EQE 2005 13 228018 126113 TWINerg Centrale TGV d Esch sur Alzette EQE 2005 15 1104000 968435 Le nombre de quotas d mission de gaz effet de serre correspondant aux missions pour l ann e 2005 a t restitu sur un compte pr vu cet effet dans le registre et va tre annul par l administrateur du registre conform ment la l gislation en vigueur 2 5 6 4 D veloppements futurs Durant l ann e 2007 le registre national de gaz effet de serre devra tre pr par la connexion avec le ITL Independent Transaction Log afin d tre apte participer aux m canismes de Kyoto durant la p riode 2008 2012 Des changements dans la l gislation concernant la d claration et la v rification des missions de gaz effet de serre sont pr vus et devront tre appliqu s lors des v rifications partir de 2008 73 2 5 7 Le service d conomies d nergie Le service des nergies renouvelables a la mission d instruire les dossiers relatifs aux aides tatiques se r f rant aux nergies renouvelables plus pr cis ment pour les dossiers de demande introduits dans le cadre des r glements suivants 1 R glement du 17 juillet 2001 modifi instituant un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la
73. 111 Ergebnis pr sentiert S d Gemeinden mon 145 Un acc s aux informations du cadastre des sites potentiellement pollu s via le site Internet est disponible pour les communes et pour le grand public Les donn es sont accessibles par les liens rapides du site www emwelt lu Les personnes int ress es peuvent consulter les site pour avoir des informations g n rales sur le cadastres des sites potentiellement pollu s pour consulter des valuations statistiques par commune et pour formuler une demande d informations d taill es sur un site particulier indiquer sur fond topographique L acc s Commune permet aux communes autoris es de consulter une partie des donn es sur les sites potentiellement pollu s de leur territoire communal 95 communes ont d j proc d la demande de mise disposition de leur acc s s curis En outre l administration a donn suite 132 demandes de renseignements sur divers sites Ces demandes taient formul es par des particuliers des bureaux d tudes et des responsables locaux pour s informer sur une probl matique de sols contamin s pouvant entraver leurs projets sp cifiques L administration a mis une brochure d information renseignant sur le cadastre des sites potentiellement pollu s disponible en fran ais et en allemand au si ge de l administration et sur le site www emwelt lu 2 6 17 2 Les r servoirs mazout Parall lement l inventaire des sites
74. 3 2 5 5 R g n ration plantation travaux de culture Suivant les principes d une sylviculture proche de la nature les for ts sont r g n r es de pr f rence de fa on naturelle Ainsi une surface d une trentaine d hectares a t mise en lumi re et la v g tation adventice enlev e Cette r g n ration naturelle s est d velopp e e dans le triage de Biwer aux lieux dits Kuchw nkel Kuchwenkelbaach Maertesgronn Vir Breinert commune de Biwer et Uewerb sch commune de Junglinster e dans le triage de Canach aux lieux dits Hosbusch et R ib sch commune de Lenningen e dans le triage de Dalheim aux lieux dits Engelsgronn Kiem Heedscheier commune de Dalheim et Krounebierg commune de Bous e dans le triage de Flaxweiler aux lieux dits Widdebierg Maxmeiner Rangels commune de Flaxweiler et Widdebierg commune de Betzdorf e dans le triage de Grevenmacher aux lieux dits Deckt Steck G rtchen Schaedergronn et Kleng Schedchen commune de Grevenmacher e dans le triage de Manternach aux lieux dits Aessen commune de Manternach et Sernig commune de Mertert e dans le triage de Remich au lieu dit Keionner commune de Bous e dans le triage de Roodt Syre aux lieux dits Bousb sch et Stockbusch commune de Betzdorf e dans le triage de Schengen aux lieux dits Routreiser commune de Schengen et Wouer commune de Mondorf La plantation est utilis e pour compl ter la r g n ration naturelle pour en augm
75. 30 06 06 Messageries du Livre Luxembourg 07 08 29 08 06 Supermarch Delhaize Luxembourg 29 08 15 09 06 Oeko Center Hesperange 14 10 15 10 06 March aux plantes Hesperange 17 10 11 12 06 Commune de Sanem 2 6 3 6 La formation Etre responsable des d chets dans l entreprise En 2006 l Administration de l Environnement ensemble avec le Centre National de Formation Professionnelle Continue d Ettelbruck ont propos de nouveau des cours de formation tre responsable de la gestion des d chets dans l entreprise aux entreprises En effet la d nomination d un d l gu pour les questions environnementales y compris la gestion des d chets dans une entreprise est assez courante En fonction de l envergure du travail les entreprises optent pour un service environnemental ou bien la t che est assur e par un e employ e c t d autres fonctions C est galement dans cet ordre d id es que les autorisations d exploitation des tablissements mises en vertu de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s demandent g n ralement la d nomination d une personne responsable pour les questions environnementales Cette formation aide notamment donner des r ponses aux questions suivantes Quelle est la fonction du d l gu environnement et d chets dans une entreprise Quelles connaissances de base devrait avoir cette personne en mati re de l gislations environnement
76. 307 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 1 530 Situation 29 1 2007 Malgr la mise disposition par l administration de formulaires de demande sp cifiques clairs et pr cis 78 des demandes introduites ne sont pas compl tes et donnent lieu des demandes d informations suppl mentaires Les raisons principales tant des formulaires qui ne sont pas int gralement remplis et des factures qui font d faut La situation financi re du programme d aides l investissement se pr sente comme suit list e en fonction des installations ligibles 74 Aides allou es par type d installation en 2001 2006 Analyse d tanch it 131 32 669 34 Capteur solaire photovolta que 5 119 62 176 752 53 Chaudi re bois 94 241 865 44 Chaudi re condensation 11 535 13 049 343 91 Cog n ration 11 68 392 65 Collecteurs thermiques chauffage et eau chaude 248 733 816 93 Collecteurs thermiques eau chaude sanitaire 503 1 090 751 36 Concept Energetique 114 72 915 27 Conseil technique 8 723 97 Maison passive 26 452 652 97 Maison a basse Energie 100 974 900 05 Pompe chaleur 26 60 925 91 Raccordement un r seau de chaleur 30 38 880 84 Substitution chauffage central lectrique 16 8 000 00 Substitution chauffe eau par syst me centralis 351 43 828 66 Substitution chauffe eau par syst me d centralis 68 8 500 00 Substitution po les l
77. 4 borne 5 13 tumulus 80 100 divers 121 144 habitation gallo rom 4 12 eau 63 82 chemin 8 17 tang 18 19 autres 43 71 somme 1 228 2 120 3 3 8 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus Les peuplements forestiers feuillus dominance de h tre sont actuellement tr s r guliers et globalement g s avec une absence quasi compl te de hauts perchis et de jeunes futaies Or la politique foresti re s oriente de plus en plus vers une sylviculture proche de la nature pour laquelle une des caract ristiques principales est la pr sence de futaies structur es c est dire irr guli res en terme d ge et m lang es en terme d essences pr sentes dans le but d obtenir des for ts stables et de grande diversit naturelle Un premier projet avait t r alis avec ONF en 2005 portant sur une synth se bibliographique des exp riences de gestion irr guli re en cours en France Ce premier projet plus th orique a d but en 2006 sur un projet tr s concret s articulant autour de deux axes principaux qui se sont succ d s dans le temps 1 implantation d un r seau de placettes permanentes permettant de suivre et d illustrer la conversion des for ts existantes en futaies irr guli res 2 les travaux de martelage en vue d entamer concr tement sur le terrain la conversion en futaie irr guli re pour lesquelles un agent formateur de l ONF a d
78. 5 ao t 2004 Monsieur Adam De Jong avait introduit un dossier de demande en vu d obtenir les autorisations n cessaires pour am nager et exploiter une installation de co fermentation de d chets En date du 27 avril 2005 des informations suppl mentaires ont t demand es pour compl ter le dossier de demande Elles nous ont t envoy es en date du ler ao t 2005 L arr t minist riel a t d livr en date du 30 novembre 2006 Dossier C I 1 04 0319 Dossier D chets 04 CF 03 Autres En date du 25 janvier 2002 l entreprise Reisswolf ayant ses bureaux et mfrastructures dans la zone industrielle de Bertrange avait introduit un dossier de demande pour pouvoir exploiter des installations de destruction de documents et de supports de donn es En date du 19 f vrier 2002 des informations suppl mentaires ont t demand es Celles ci nous sont parvenues en date du 16 d cembre 2002 En date du 28 mars 2006 les arr t s minist riels d autorisations ont t d livr s Dossier C I N 1 02 0022 Dossier D chets N 02 PT 02 L entreprise Intermoselle S r l de Rumelange dor navant Ciments Luxembourgeois S A Rumelange avait introduit un dossier de demande en date du 30 avril 2004 pour pouvoir r aliser des essais avec la partie calorifique des d chets provenant de la collecte des d chets municipaux et assimil s Fluff ensemble avec des boues provenant de l industrie du papier Des informations suppl mentaires avaient t
79. AIF et stipule que pour atteindre son objectif principal tel que pr sent dans la r solution 2000 35 de l ECOSOC l AIF doit remplir les fonctions principales suivantes e am liorer la contribution des for ts la r alisation des objectifs convenus l chelle internationale e encourager et aider les pays la mise en uvre des r solutions e renforcer l interaction entre le FNUF et les m canismes r gionaux et sous r gionaux En vue d atteindre l objectif principal de l AIF le forum tablit les objectifs globaux partag s suivants relatifs aux for ts et accepte d uvrer aux chelons national et international et d accomplir des progr s dans la poursuite de leur r alisation d ici 2015 e Objectif Global 1 Inverser le processus d rosion du couvert forestier partout dans le monde travers la GDF y compris la protection le mise en valeur le boisement et le reboisement et multiplier les efforts visant emp cher la d gradation des for ts e Objectif Global 2 Renforcer les conomies tributaires des for ts les avantages sociaux et environnementaux fournis par les for ts et les contributions des for ts dans la r alisation des objectifs de d veloppement convenus l chelle internationale y compris ceux figurant dans la d claration du Mill naire et en particulier ceux ayant trait l radication de la pauvret ainsi qu la protection de l environnement notamment travers l am lioration des
80. Arrondissement a particip de nombreuses r unions et visites des lieux au sujet de projets communaux et priv s sujets autorisation projets d extension du P A G cr ation de zones de verdure entretien ou renaturation de cours d eau construction de stations d puration Le Chef de l Arrondissement a galement activement particip une dizaine de r unions de concertation constructions agricoles Dans le cadre du contr le du respect des d cisions l arrondissement est intervenu en particulier aupr s des agriculteurs pour la mise en place des plantations prescrites ceci en coop ration avec l ASTA Cette action a permis la plantation de 5423 arbustes 168 arbres solitaires et 38 arbres fruitiers Aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 22 demandes de subventions pour des travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t trait es l Arrondissement CN Nord pour l exercice 2006 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit 92 arbres fruitiers 194 5 ares coupe rase de taillis 599 50 m haies d alignement cr ation respectivement entretien de milieux naturels et semi naturels pour un montant total de 17 837 54 Euros 10 communes ont b n fici d un subventionnement de 50 pour la mise en oeuvre de mesures sur la base de leur cartographie des biotopes respectivement de leur plan vert et ceci po
81. Bien que les chaudi res condensation repr sentent 74 des demandes trait es mais elles ne repr sentent que 10 des aides en moyenne 117 par demande Les collecteurs solaires thermiques repr sentent 15 des demandes mais 51 des aides allou es 3 057 par demande Les installations combustion de bois repr sentent 9 de demandes et 36 des aides allou es 76 R partition selon les aides allou es 3 10 36 D Chaudi res condensation I Collecteurs thermiques O Installation combustion de bois O Reste Situation au 29 1 2007 R partition selon les types d installations 9 2 15 74 B Chaudi res condensation I Collecteurs thermiques O Installation combustion de bois O Reste Situation au 29 1 2007 Malgr la mise disposition par l administration de formulaires de demande sp cifiques clairs et pr cis 44 des demandes introduites ne sont pas compl tes et donnent lieu des demandes d informations suppl mentaires Les raisons principales tant que les formulaires ne sont pas int gralement remplis et que les factures font d faut Dans le cas o une demande est incompl te tout le dossier est renvoy int gralement au requ rant afin qu il le compl te Un dossier qui peut tre consid r comme complet est finalis dans un d lai de quatre semaines 2 5 7 3 Aides financi res pour la production d lectricit prime cologique L etat d instruction d
82. Ce sentier pr sente sur 23 panneaux d information de diff rents aspects en relation avec la protection de la nature l exploitation des anciennes mini res de gypse l histoire la culture locale la g ologie et les particularit s du paysage Cette nouvelles brochure a t r alis partir de ces 23 panneaux didactiques et existe en langue allemande Lehrpfad Naturschutzgebiet Strombierg et en langue fran aise Sentier de d couverte R serve naturelle foresti re Strombierg Elle a t concr tis e par les m mes partenaires que ceux qui ont contribu au sentier didactique avec en plus le Mus e National d Histoire et d Art qui a encore rejoint le groupe Il se pr sente sous format 21 x 17 cm et contient 80 pages de texte de photos de la r gion ainsi que des illustrations La structure de la brochure est la suivante Pr face Le parcours du sentier Les panneaux d informations LES RESERVES NATURELLES DE LA REGION La r serve naturelle Strombierg La r serve naturelle Haff R imech Taupeschwiss La r serve naturelle Hammelsbierg La r serve naturelle Kuebend llchen La r serve foresti re int grale Grouf e LA VEGETATION La for t en volution Deux formations foresti res en comparaison L evolution de la v g tation sur le plateau du Strombierg e LA GEOLOGIE 170 millions d ann es d histoire g ologique Roches et mi
83. Durant cette m me ann e le SuperSpillMobil est intervenu pendant 19 jours soit un plus de 23 par rapport l ann e pr c dente Le nombre des participants tait de 10 861 soit une progression 51 65 SuperDrecksK scht fir Biirger 2 6 10 7 L entrep t de Colmar Berg Dans le cadre de la mise en uvre de la r glementation sur les d chets d quipements lectriques et lectroniques l entrep t de Colmar Berg a t d sign par l asbl ECOTREL comme un des deux centres de regroupement pour les DEEE repris par les d taillants lors de la vente de nouveaux appareils Seuls les r frig rateurs isol s avec des mousses peuvent servir pour la production d Oeko Pur Les r frig rateurs isol s avec de la laine de verre qui ne peuvent pas servir cette fin sont galement compris dans le nombre total des appareils collect s 116 L entrep t est r guli rement visit par des personnes qui manifestent un int r t pour les actions de la SuperDrecksK scht En 2006 le nombre des groupes de visiteurs s est lev 103 correspondant 728 personnes soit une augmentation de 45 9 Parmi ces visites il faut particuli rement relever une d l gation de 23 d l gu s du syndicat intercommunal Entsorgungs Verband Saar dont principalement des maires des communes saaroises En 2006 la SuperDrecksK scht a lanc un concours artistique destin aux coles Ce concours a pour but de montrer aux enfan
84. En date du 18 juillet 2006 Oekoservice a introduit un dossier de demande pour pouvoir modifier certaines infrastructures du centre logistique Colmar Berg et plus particuli rement l am nagement d une station de r cup ration de gaz Propane provenant de bonbonnes gaz vides collect s dans le cadre de la SuperDrecksKescht Le dossier est en cours d instruction Dossier C I N 1 06 0334 Dossier D chets N 02 PR 01 02 En date du 29 septembre 2006 l entreprise Tarket Sommer ayant ses lignes de production dans la zone industrielle de Lentzweiler pr s de Clervaux a introduit un dossier de demande pour r gulariser sa situation de recycleur de PVC et de PE En date du 22 novembre des informations suppl mentaires ont t demand es En attendant le dossier est en suspens Dossier C I N 1 06 0486 Dossier D chets N 06 PT 04 En date du 29 septembre 2006 Arcelor S A a introduit un dossier de demande pour pouvoir r aliser un tanchement de surface sur le site du crassier de Mondercange Il s agit de r aliser un tanchement de surface technique et d finitif sur les aires d entreposage de d chets sid rurgique qui ont fait l objet de travaux de s curisation pr liminaires en vue de pouvoir am nager justement cet tanchement d finitif Le dossier est en cours d examen Dossier C I N 1 06 0487 Dossier D chets N 06 PT 05 134 En date du 6 octobre 2006 l entreprise Lamesch S A a introduit un dossier de demand
85. Groupe de Travail restreint de membres de la CIDD a t lanc fin 2006 pour discuter d finir et pr parer ce nouveau jeu d IDD qui sera par la suite soumis avis et recommandations de la part de la CIDD et du Conseil Sup rieur pour le D veloppement Durable CSDD Mettre jour les indicateurs plus r guli rement ainsi que d finir et identifier de nouveaux indicateurs sont des pr alables l analyse de la mise en uvre du d veloppement durable au Luxembourg tel que requise par la Loi du 25 juin 2004 voir aussi la section 1 1 1 de ce rapport d activit Notons toutefois ici que la plupart des nouveaux IDD actuellement discut s au sein du Groupe de Travail IDD de la CIDD s inspire 16 e des travaux encours du groupe de travail sur les indicateurs de d veloppement durable mis sur pied par Eurostat Working Group Sustainable Development Indicators WG SDI auquel la cellule et certains membres du Groupe de Travail IDD de la CIDD contribuent activement Les conclusions des travaux de ce groupe de travail sont attendus pour la fin 2007 sous la forme d une mise jour du rapport de la Commission europ enne et d Eurostat paru en d cembre 2005 sous le titre Measuring Progress Towards a More Sustainable Europe Sustainable Development Indicators for the European Union http epp eurostat cec eu int portal page _pageid 1073 46587259 amp dad portal amp schema PORTAL amp p_product_code KS 68 05 551 e d
86. Guide Nature ayant attir e 32 int ress s a t assur e par l Administration des Eaux et For ts sur le site des tangs de Kockelscheuer en juillet 2006 Projets de protection et de recherche en relation avec les chauves souris D Protection a b Le projet lanc en 2005 destin cr er un sentier didactique naturel au lieu dit Kelsbaach Grevenmacher a marqu le pas au courant de l ann e 2006 cause de d marches administratives qui ont retard la continuation du projet Ce projet a tudi la possibilit de s curiser l ancienne mine de dolomie permettant la cr ation d un g te hivernal potentiel d finitif pour les chiropt res dans ce secteur L Administration des Eaux et For ts a proc d en collaboration avec la station biologique de l ouest comme en 2005 une sensibilisation des habitants des communes de Beckerich et Septfontaines en mati re de chauves souris projet Fledermaus gesucht Les habitants se sont vus remettre un d pliant dans leur bo te lettres renseignant sur les chauves souris et avec la demande expresse de signaler toute pr sence de chiropt res dans les alentours Malheureusement alors que cette initiative avait eu comme cons quence en 2005 quelques 32 signalements de g tes potentiels de reproduction la campagne 2006 n a pas t fort convaincante avec la cl aucun signalement de la part des habitants alors qu environ 800 d pliants avaient t
87. Hosingen Adm com de Junglinster Lenningen z a R ckschleed Voyages Emile Weber section F des Fermes Leudelange section de Leudelange Mondorf les Bains section A dite d Ellange section B de Mondorf lieu dit In Dudent z i r Poudrerie European Business Park z i European Business Park Pe eege section C de Mertert Le triangle vert SIAER Rambrouch z a Riesenhof Adm com de Rambrouch section AA d Arsdorf Remerschen section C de Flouer lieu dit Schengerwis Adm com de Remerschen SEO Remich z a Jongeb sch Adm com de Remich section A dite des Bois Sanem section B de Soleuvre section A de Sanem Schuttrange Niederanven section B de Munsbach section A de Niederanven z a Um Woeller Parc activit Syrdall Famaplast Adm com de Sanem Adm Com de Schuttrange et Niederanven Troisvierges z i in den Allern SICLER section F de Troisvierges 56 Troisvierges z i Troisvierges Gare SICLER section H de Biwisch section F de Troisvierges bei der M hle Wellenstein Adm com de Wellenstein section B de Bech lieux dits Tellefeld et M sberg Wincrange Clervaux z i Eselborn Lentzweiler SICLER Syndicat intercommunal Eselborn Lentzweiler Wiltz i Adm com de Wiltz section lieu dit Grousslitschent Wormeldange z a Wormeldange Haut Adm com de Section C de Wormeldange Wormeldange Section E de Dreiborn Lieu dit Op Tomm En 2006 u
88. Le taux des dossiers de demande ayant eu un plan de pr vention et de gestion des d chets dans leur dossier de demande initial tait de 72 Le taux des ppgd introduits consid r s comme complets a augment nouveau et a atteint 86 La r partition des ppgd tablis par branche d activit est reprise dans le tableau suivant Dossiers introduits Dossiers avec Ppgd consid r s N D signation en 2006 n cessitant un ppgd comme complet en un ppgd nombre nombre 2006 nombre Stations fixes de distribution d essence et ou de gasoil Bureaux 35 226 Magasin pour la vente au d tail et 33 en gros i 29 2 Ateliers et garages de r paration et d entretien 150 236 1 241 2 135 296 1 158 74 17 m talliques et ateliers m caniques 10 324 Station d puration 296 3 267 1 Halls de stockage 156 3 a 181 2 b 262 2 b Maison de retraite maison de al d h bergements 1 Abattage des animaux 10 A rodromes et a roports 1 0 k 60 Brasserie 1 1 42 2 b B ton mortier Centrales hors 1 z a gt 30 kW 641 Buanderie a e a 1 Cliniques h pitaux sanatoriums 1 III 143 1 d db___ Centrale de cog n ration t Z J 1 0 ef 144 Energie thermique III E f i 1 338 Traitement professionnel de d chets Nettoyages sec 274 Piscine Poulailler E E WE Te 4 44 3 Installations fonctionnant au biogaz 2242 2173 2149 Dossier divers ne n
89. Leuven Belgium Jer prix dans la cat gorie meilleur poster 3 4 2 Les arrondissements de la conservation de la nature 3 4 2 1 L Arrondissement CN Sud Plantations dans le cadre de la cr ation des biotopes en zone verte Plantations e arbres avec le club ROTARY Grevenmacher e 25 arbres fruitiers sur le ban de Grevenmacher e haie de charmes et d rables sycomores dans la for t de Buchholz avec les enfants de la commune de Hesperange e haies autour du complexe scolaire op Aker a Bascharage e 230 arbres fruitiers dans le cadre du projet Uebstbaamaktioun de la commune de Flaxweiler e 46 arbres fruitiers aux lieux dits Brill Mensdorf op de Quaerten Olingen Plakert a Roodt Syre et Banzelt Taille et entretien d arbres et de haies e am Weiher section Bous commune de Biwer plantation d arbustes indig nes avec l aide d une classe de l cole primaire et cr ation d une lisi re de 120 m e _ Schmittepesch section Brouch commune de Biwer plantation de remplacement d une vieille haie d aub pines en bordure d un chemin rural 30 m 263 Verger communal om D isch section Brouch commune de Biwer plantation d arbres fruitiers et regarnissage d une haie journ e de l arbre avec classes de l cole primaire W issaerd section Wecker commune de Biwer entretien de plantations de haies ancien remembrement agricole Entre
90. Ouest 368 Luxembourg Est 152 Grevenmacher 204 TOTAL 724 Demandes de subvention pour travaux de creation et de restauration de biotopes 152 demandes de subsides dont 126 demandes de groupements agissant dans l environnement 3 demandes de communes et 23 demandes de particuliers ont t trait es en 2006 par notre service Au total 308 758 92 ont t pay s Cr ation et restauration de zones humides e R naturation de la Mierbaach le long de la nouvelle cole primaire Bascharage avec inauguration du projet e Renaturation du Aalbach l int rieur de la localit de Wintrange e Entretien des tangs au Haff R imech Remerschen e Am nagement d un foss naturel pour vacuer les eaux superficielles provenant des vergers vers la Moselle dans le PAG Haff R imech avec am nagement cologique des berges d un tang 15 ha e Entretien des plantations le long des ruisseaux du triage de Wormeldange e Finissage du sentier Menster Brill et planification d une extension du sentier didactique en collaboration avec le Minist re du Tourisme e Fauchage et d gagement des abords de l Alzette et du Drosbach Hesperange Travaux de gestion dans les r serves naturelles e Afin de d terminer le m canisme id al pour d broussailler la r serve Bofferdanger Muer quatre parcelles d un are sont entretenues suivant diff rentes mani res de toutes v g tations
91. Par la suite des mesures pour r duire la pollution seront propos es et une nouvelle mod lisation permettra de constater l effet de ces mesures sur la qualit de Pair Il est galement pr vu de faire une mod lisation pour un sc nario futur l horizon 2010 pour analyser l volution de la pollution de l air en fonction de nouvelles sources et mesures 62 Les r sultats des mod lisations constitueront la base pour le programme d action qui sera d velopp au cours de l ann e 2007 2 5 2 Rejets atmosph riques en provenance d installations industrielles 2 5 2 1 Registre europ en des missions de polluants EPER Description et objet de PEPER L EPER European Pollution Emission Register est le Registre europ en des missions de polluants tabli par une d cision de la Commission du 17 juillet 2000 La d cision EPER s appuie sur l article 15 paragraphe 3 de la directive 96 61 CE du Conseil relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution directive IPPC En vertu de la d cision EPER les tats membres doivent produire un rapport triennal sur les missions des tablissements industriels dans l atmosph re et dans les eaux Ce rapport couvre 50 polluants qui doivent tre d clar s en cas de d passement des valeurs seuils indiqu es l annexe Al de la d cision EPER La premi re ann e de d claration tait l ann e 2001 La seconde ann e de r f rence a t 2004 et les d
92. Par rapport l ann e pr c dente ces quantit s repr sentent une diminution de 4 6 120 la construction ne sont plus repris dans le tableau ci dessous 2 6 12 Les statistiques dechets La nouvelle base de donn es mise en place par l Administration de l Environnement permet d sormais de g rer les donn es statistiques L ann e 2004 f t la premi re ann e pour laquelle des donn es statistiques ont d tre transmises la Commission europ enne dans le cadre du r glement 2150 2002 CE En regardant les diff rents secteurs conomiques on voit clairement que les d chets qui proviennent de la construction dont plus sp cialement les terres d excavation dominent largement avec quelques 6 9 millions de tonnes en 2004 Manufacture of chemicals chemical products and man made fibres Manufacture of rubber and plastic products Manufacture of pulp paper and paper products publishing and printing Manufacture of wood and wood products Manufacture of textiles and textile products Manufacture of leather and leather products Manufacture of food products beverages and tobacco Mining and quarrying Waste generated by households Sewage and refuse disposal sanitation and similar activities Wholesale of waste and scrap Recycling Other economic activities services Construction Electricity gas and water supply Manufacture n e c Manufacture of machinery and equipment n e c Manufacture of electrical an
93. Participation l accueil de l entreprise Altermodus SA pour son staff day annuel en organisant plusieurs chantiers au profit de l environnement naturel 160 participants e Installation ensemble avec le service des expositions de la direction de 2 diaporamas lors de la foire des tudiants au Kirchberg ayant pour sujet De l arbre au bois d uvre dans le cadre de la coupe du monde des charpentiers haies et plantes pour le stand du Minist re de l Environnement Le triage a fourni un support infrastructurel et logistique au Neie Lyc e qui tient ses classes de biologie dans la for t du Gr newald Triage de Kiem Elaboration d une tude sur le r seau des chemins touristiques et de loisirs au Gr newald Triage de Niederanven e Organisation de visites guid es CIPA de la commune de Niederanven 5 Clubs seniors 15 classes primaires des communes Niederanven et Schuttrange Triage de Hesperange e Montage d une exposition dans le CIPA Howald ayant pour th me l Autriche Les travaux de montage avaient eu lieu au mois de novembre En d cembre l exposition tait transform e en paysage enneig pour No l e Participation au Vakanzaktivit ten de la Commune de Hesperange 4 sorties en for t communale du Howald taient organis es pendant les apr s midis e Pendant l ann e 2006 le triage a organis diff rentes visites guid es en for t avec les enfants du pr coce et de l cole primaire Certa
94. a t repr sent au segment minist riel par Monsieur Lucien Lux Ministre de l Environnement Suite l entr e en vigueur du protocole de Kyoto en f vrier 2005 et du succ s de la conf rence de Montr al COP 11 COP MOP 1 d cembre 2005 pour ce qui concerne l action future la conf rence de Nairobi peut tre qualifi e de conf rence de consolidation Elle a d un c t confirm la mise en uvre des engagements et des accords existants de la Convention et du protocole et d un autre c t consolid et poursuivi les d bats lanc s Montr al sur l apr s Kyoto En ce qui concerne ce dernier point l objectif recherch est l adoption au plus tard en 2009 d un nouveau r gime de protection du climat qui se base sur l architecture du protocole de Kyoto mais qui englobe tous les principaux pays metteurs de gaz effet de serre comme les Etats Unis la Chine et l Inde en diff renciant selon leur responsabilit historique leur niveau de d veloppement leurs missions par t te d habitant et leur capacit de r duire les missions de gaz effet de serre La Conseil de l Union europ enne avait adopt l occasion de la r union des ministres de l environnement du 23 octobre 2006 un document de conclusions en vue de la pr paration de la conference de Nairobi Rappelant le nombre croissant de preuves scientifiques et insistant sur l ampleur et l urgence du d fi que posent les changemen
95. activit s Les autres activit s de l Entit mobile qui ne peuvent pas tre class es sous une des rubriques ci dessus sont e des investigations enqu tes suppl mentaires et suivi de dossiers sur requ te du parquet du tribunal d arrondissement respectif des enqu tes suppl mentaires et suivi de diff rents dossiers sur requ te des minist res de tutelles des enqu tes concernant des plaintes et d nonciations des enqu tes et rapports concernant la police rurale et foresti re des enqu tes et rapports concernant le respect de la l gislation ayant pour but d assurer la protection de la vie et le bien tre des animaux des enqu tes et rapports concernant le respect de la l gislation relative aux tablissements class s e des enqu tes et rapports concernant la protection des oiseaux e des enqu tes et contr les concernant le r glement grand ducal du 22 avril 1999 fixant les conditions pour la d tention de daims destin s la production de viande e la gestion et mise en d p t de l armement et des munitions de l Administration des Eaux et For ts e initiation au tir de chasse pour les candidats l examen de chasse il s agit de familiariser les candidats chasseurs avec les armes et leurs munitions e la collaboration l preuve de tir l examen de chasse e l organisation l instruction et la surveillance de la formation de tir ayant pour but de permettre au personnel de l Administration des Eaux
96. ann e 2006 le Conseil Sup rieur de la chasse a discut les mati res suivantes e Calendrier d ouverture de la chasse pour l ann e cyn g tique 2006 07 e Lignes directrices concernant l attribution de dispositifs de marquage pour le cerf et le chevreuil dans l optique de l tablissement des nouveaux plans de chasse pour la p riode cyn g tique 2006 09 e Reconnaissance r ciproque des examens de chasse fran ais et luxembourgeois e volution des pizooties peste porcine classique rage vulpine grippe aviaire indemnisation des d g ts aux cultures agricoles caus s par les corvid s e Reglement CE no 853 2004 fixant des r gles sp cifiques d hygi ne applicables aux denr es alimentaires d origine animale cons quences pour la chasse 3 5 7 BENELUX Groupe de travail Chasse et Oiseaux Le service de la Chasse participe r guli rement aux travaux de ce groupe install par l Union Economique Benelux en vue de l harmonisation des dispositions concernant la chasse et la protection des oiseaux En 2006 le service a particip aux r unions suivantes e Reunion du 11 avril 2006 se tenant Bruxelles au si ge de l organisation Benelux e Reunion du 16 novembre 2006 se tenant au Minist re de l Environnement Luxembourg Les mati res suivantes ont t discut es Reconnaissance d examens de chasse de pays tiers Concertation sur des futurs et r cents d veloppements l gislatifs Commercialisation du gibier Probl
97. appropri e 284 sangliers dont 169 donnant droit une prime ont t collect s au centre de collecte qui se trouve au centre forestier Senningerberg Accidents avec le gibier Le triage Waldhof a intervenu 14 fois sur des accidents de gros gibiers 6 sangliers et 8 chevreuils Le triage de Sandweiler a not 6 interventions d ach vement et d vacuation ainsi que 12 vacuations de cadavres Chasses domaniales Les triages de Waldhof et de Kiem ont particip s l organisation de 2 battues et 2 pouss es dans le Gr newald Ces chasses ayant pour but de recenser le gibier en sa totalit et en m me temps de r gler la densit des sangliers et chevreuils A ces fins les traques s tendent sur des superficies d passant r guli rement 250 ha En m me temps il semble vident que ces chasses domaniales ont certainement un caract re mod le et ducatif en g n rale Pour suffire toutes ces facteurs une pr paration minutieuse est requise afin de garantir d un cot le succ s et d autre part un maximum de s curit pour tous les participants ainsi des promeneurs ventuels 186 Les activit s combin es de l affut de l approche ainsi que des battues ont donn le r sultat suivant 23 sangliers 33 chevreuils et 8 renards Le triage de Sandweiler a effectu un contr le de chasse en battue et a particip quatre chasses domaniales Il faut remarquer de nouveau la pr sence de militants anti chass
98. attention toute particuli re du comit d accompagnement 22 1 5 6 Le comit d accompagnement en mati re d etablissements class s En vertu de l article 14 de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s la loi le comit d accompagnement a pour missions e de discuter et de se prononcer sur demande respectivement du ministre ayant dans ses attributions l environnement et du ministre ayant dans ses attributions le travail ou de sa propre initiative sur les probl mes g n raux pouvant se pr senter dans le contexte de l ex cution de la pr sente loi e de donner son avis sur toutes les questions et les projets que le ministre ayant dans ses attributions l environnement jugera utiles de lui soumettre ou qu il entend invoquer de sa propre initiative y compris en collaboration avec le centre de ressources des technologies pour l environnement sur la d termination des meilleures techniques disponibles Ces missions suffisamment vagues permettent au comit d tre une plateforme de discussion pour les membres concern s et de jouer un r le interm diaire entre l administration et les milieux concern s Pour ce faire il est n cessaire de se r unir des intervalles plus r guliers et de r diger un r glement d ordre interne afin de pr ciser le r le dudit comit En cas de besoin le comit pourrait s adjoindre d experts p ex point relatif la production du froid Il appartiend
99. au cours de l ann e 2006 On peut constater que dans les cantonnements de Diekirch Grevenmacher Luxembourg Est et Luxembourg Ouest le volume de bois feuillu r alis est beaucoup plus lev que le volume de bois r sineux Au cantonnement de Mersch les feuillus et les r sineux se contrebalancent A Wiltz par contre le volume de bois r sineux exploit d passe de loin celui du bois feuillu Cette situation peut tre expliqu e par le fait que suite la conversion des taillis de ch ne apr s la 2 guerre mondiale la part en surface des for ts r sineuses est beaucoup plus haute dans l Osling que dans les autres r gions du pays Volume de bois exploit s en 2006 25 000 00 20 000 00 15 000 00 BFeuillus DR sineux Volume m 10 000 00 5 000 00 Grevenmacher Lux Est Diekirch Mersch Lux Ouest Wiltz 168 En ce qui concerne les cat gories de bois feuillu exploit en 2006 le volume des grumes de qualit s levait 25 341 m celui du bois d industrie 50 091 m et celui du bois de chauffage 9 538 m La haute proportion de bois d industrie est due au fait que l Administration des Eaux et For ts a limit les coupes de bois de qualit Celles ci ne sont r alis es que si la sylviculture l impose Le tableau suivant montre les volumes des diff rentes cat gories de bois exploit s en 2006 dans les six cant
100. avec les agriculteurs au sujet de leurs constructions agricoles Activit s diverses Travaux d entretien du parc du Ch teau de Schoenfels Ex cution de mesures de gestion des pelouses silicicoles Steinfort Schwarzenhaff Inventaire et ex cution de mesures de gestion de la pelouse s che Amberkneppchen Imbringen Suivi des mesures de gestion pour la conservation des prairies sur marnes du Hossenbierg Action Bongerten erhaalen triage de Mersch Est et triage de Mersch Ouest D broussaillage Hossenbierg Propositions de gestion pour les mardelles du massif forestier Faascht Mersch Installation de panneaux didactiques Fischbach Travaux de d broussaillage dans la zone prot g e Kuelebierg Graulinster Installation de cl tures pour amphibiens dans le triage de Consdorf Travaux d entretien du site d escalade Berdorf 269 3 4 2 3 L Arrondissement CN Nord Traitement des dossiers d autorisation prevus par la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles En 2006 l arrondissement a t saisi de 431 demandes en autorisation dans le cadre de la loi Dans le cadre de l instruction des dossiers CN beaucoup de requ rants en particulier des agriculteurs prennent contact avec l arrondissement avant l introduction de leur demande pour pr senter leur projet et tre conseill s quant aux options d autorisation Le Chef de l
101. bois de chauffage se situe 40 m pour du bois long bord de route soit une hausse de 33 par rapport 2005 Suite la hausse des prix des bois r sineux not e en octobre 2005 cette tendance s est confirm e en 2006 Ainsi les prix moyens retenus lors de la vente en octobre se situaient 122 6 du prix de base Les meilleurs prix d passaient les 140 Lors d une deuxi me vente en novembre cette hausse a t r affirm e avec un prix moyen arr t 135 2 soit 78 4 m pour les dimensions 2b 3a et une hausse de 43 par rapport l automne 2005 54 7 m Ces prix s entendent hors TVA d bard s bord de route 3 2 9 3 Bois de chablis En for t soumise les d g ts de chablis taient minimes en 2006 seule la for t priv e notait quelques d g ts durant les temp tes de d cembre 3 2 9 4 tat sanitaire des for ts Gr ce l hiver tardif le sol tait couvert d une couche de neige de quelque 10 cm durant le mois de f vrier jusqu au d but de mars accompagn d un grand froid le bostryche n a pas pu se d velopper massivement au printemps qui d ailleurs tait sec et trop froid pour la saison En automne par contre les attaques de bostryche taient invasives par endroits en for t soumise Ceci s explique par la s cheresse accentu e durant la p riode de v g tation ce qui a surtout affaibli les peuplements situ s sur les sols tr s superficiels 194 Quant la mala
102. bureaux d tudes et INV_AMEO administration des eaux et for ts d inventaire d am nagement mis en production d but 1998 En effet nous avons int gr dans un m me framework applicatif s curis ces deux applications destin es initialement des utilisateurs compl tement diff rents Les bureaux d tudes utilisent l application au travers d une nouvelle architecture s curis e VPN et ADSL L application INVENTO a volu de la version 2 05 2 16 pour les points suivants e int gration de la premi re partie d un module d am nagement e am lioration de l impression e correction de divers bugs 286 En 2006 l application CONCOP gestion de la concordance parcellaire cadastre a t valid e par les bureaux d tudes Elle permet de dresser le relev des parcelles cadastrales d une propri t principalement dans le cadre des inventaires d am nagement Les bureaux d tudes l utilisent au travers d une nouvelle architecture s curis e VPN et ADSL L application CONCOP a volu de la version 1 00 1 04 pour les points suivants e int gration de l aide en ligne e am lioration de l impression e correction de divers bugs Les applications de la gestion foresti re Le projet d informatisation de la gestion foresti re regroupe les applications de saisie et de vente des bois de la planification annuelle de la comptabilit et des salaires des ouvriers forestiers Les applications
103. carbonat es gt 80cm Sols texture limoneuse ou argileuse bien structur sur au moins 70 centim tres drainage mod r avec apport lat ral d eau variable Sol des bas de versants et des vallons sur marnes d carbonat es gt 80cm Sol texture argileuse s alourdissant en profondeur drainage imparfait et tendance acidocline avec apport lat ral d eau variable Sol des hauts de versants et des l vations sur marnes d carbonat es Sols peu profonds avec horizon peu p n table apparaissant avant 50 centim tres de profondeur sans apport lat ral d eau Sol des versants de pente gt 20 exposition froide sur gr s de Luxembourg calcaire actif pouvant appara tre en bas de profil Sol sableux profondeur variable drainant apport hydrique variable 208 3 3 5 Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National 3 3 5 1 Evaluation de la m thodologie de l IFL1 L objectif de ce point fondamental de des travaux porte sur l valuation globale de P IFL1 premier cycle de l inventaire 1998 2000 L analyse consiste isoler d une part les probl mes techniques rencontr s au niveau des fiches de terrain et des donn es encod es et d autre part les probl mes li s a certains aspects de la m thodologie de l inventaire De ces travaux d coulent des propositions de modification de la m thodologie susceptibles en priorit d am liorer la phase de collecte des donn es l orga
104. centrales hydro lectriques les installations fonctionnant au biogaz ainsi que les oliennes per oivent 12 des aides allou es mais produisent 73 de l nergie avec une prime moyenne de 0 0025 kWh titre d information il est signaler qu il existe une nette diff rence entre le nombre des dossiers photovolta ques trait s dans le cadre des aides l investissement et le nombre des dossiers trait s dans le cadre des primes cologiques Cette diff rence s explique par le fait que la plupart des dossiers l investissement ont t compt s par tranche de 4 kW puissance maximale ligible par projet On obtient ainsi 5 121 dossiers par rapport 3034 dossiers o une prime cologique a t accord e Les dossiers relatifs aux primes cologiques par contre regroupent souvent les installations 4 kW dans une seule installation collective o l nergie lectrique inject e est registr e par un seul compteur R partition des primes accord es par type d installation Ann e 2006 2 4 6 A 88 1 Capteur solaire photovolta que Centrale hydro lectrique O Eolienne O Installation fonctionnant au biogaz Situation au 29 1 2007 78 R partition de l nergie produite par type d installation Ann e 2006 24 E Capteur solaire photovolta que W Centrale hydro lectrique O Eolienne O Installation fonctionnant au
105. certifi es au courant des ann es 2005 et 2006 Le syst me de certification PEFC actuellement en vigueur garantit l origine conforme des bois r colt s et atteste notamment qu une gestion durable des for ts a lieu Aux fins de pouvoir donner des garanties une cha ne de contr le est install e par PEFC En effet le bois doit tre produit et g r selon les r gles de l art et selon les crit res PEFC et chaque entreprise travaillant et revalorisant le bois est contr l e son tour Et les entreprises relayent les efforts accomplis jusqu au consommateur La certification doit obtenir et apporter la garantie que ses produits proviennent de for ts certifi es Aux fins d atteindre ce but un contr leur externe venant d une entreprise d Allemagne a proc d par chantillonnage et a exerc le contr le de certaines for ts domaniales et communales du cantonnement Les pr pos s et le chef du cantonnement forestier de Grevenmacher ont fait une excursion la station de Recherche de Trippstadt D et dans les for ts domaniales de Rh nanie Palatinat Nous avons pu constater des surfaces trait es selon la technique de reboisement par lots et par succession naturelle Les avantages cologiques et conomiques de l extensification de la sylviculture taient apparents 3 2 5 13 Manifestations r gionales Les pr pos s forestiers ont organis ensemble avec les diles locaux la Journ e de l Arbre dans l
106. chets N 04 PC 01 Installations de co fermentation Installations g r es en coop rative En date du 21 d cembre 2004 et du 8 ao t 2005 la coop rative Biogas un der Atert avait introduit par le biais d un bureau d tudes des dossiers de demande pour pouvoir modifier certains l ments de l installation R dange Il s agissait principalement de couvrir les r servoirs de stockage finals pour digestat en vue de r cup rer galement les gaz qui en proviennent et la suppression des infrastructures li es l acceptation de d chets provenant de la collecte s lective des d chets m nagers biod gradables En effet le traitement de ces d chets dans l installation en question n est plus d actualit Les arr t s de modification ont t d livr s en date du 3 ao t 2006 Dossiers C I N 1 05 0008 et 1 05 0319 Dossiers D chets N 01 CF 01 06 et 01 CF 01 07 Installations agricoles En date du 18 janvier 2002 un dossier de demande a t introduit par Monsieur Nico Schott pour am nager et exploiter une installation de co fermentation de d chets pr s de Bous En date du 13 f vrier 2006 le dossier a t cl tur pour d passement de d lais Dossier C I N 1 02 0011 Dossier D chets N 02 CF 02 En date du 8 f vrier 2002 un dossier de demande pour pouvoir proc der une extension d une installation de co fermentation pr s de Beckerich a t introduit En date du 13 f vrier 2006 le dossier deman
107. ci sera soumise une consultation publique conform ment aux dispositions de l article 5 tel que modifi de la loi du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets C est ensuite que le plan sera finalis en tenant compte des commentaires ainsi obtenus Le plan pourra probablement tre adopt d finitivement vers la fin de l ann e 2007 87 2 6 3 Les actions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des dechets 2 6 3 1 La Bourse de Recyclage Afin de retirer une plus grande quantit de mati res r utilisables du flux des d chets une bourse de recyclage a cr qui est accessible depuis avril 2006 au portail www bourse de recyclage lu vi Dose die B rse f r Ablall Vermeidung in fie Et Wew Go Gomez Joods bep NN EEE deel LMT RANET entre da fen Luxemburger Recycling Birser die D D Deutsch LUXEMBURGER RECYCLINGR RSE E Mail Adresse Passwort LE couveenement En mmm OU GEAND DUCH DE LUXEMBOURG Maths de ze gt Registrierung Passwort vergessen egegeager de eteeeeg Lee Suche Suchbegriff einf gen Produktart fi 36 willkommen bei der Luxemburger Bitte w hlen F Angebot C Gesuch Recyclingb rse a Angebot C Gesuch Haben Link Partner de wei Menschen wiadarum su Dinge Dann sind Si o kostenlos in der Luxemk 0 Maushaltsartikel ans cong lateur organoz Bektro nach Suche gt Biektro
108. coalition du Gouvernement en mati re d environnement a d fini les axes strat giques essentiels de la politique g n rale du Minist re de l Environnement Ceux ci constituent les lignes directrices de la politique cologique savoir 1 principe du d veloppement durable 2 sauvegarde de l environnement naturel et de la diversit biologique 3 gestion durable des d chets 4 lutte contre l effet de serre et la pollution atmosph rique 5 conciliation conomie cologie moyennant la proc dure commodo incommodo et 6 promotion des nergies renouvelables et de l utilisation rationnelle de l nergie Un aper u succinct des actions s inscrivant dans le cadre de la politique g n rale du minist re est donn dans ce premier chapitre En 2006 l administration g n rale du minist re a plus particuli rement concentr ses travaux sur neuf domaines l application et l int gration du principe de d veloppement durable l Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal l information et la sensibilisation du public les n gociations internationales dans le domaine des changements climatiques les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables la protection de la nature et des ressources naturelles la promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel les mesures et instruments en mati re de protection du paysage l instau
109. comme cellule de r flexion en la mati re Ledit comit devrait se r unir en principe deux fois par an Dans ce contexte et en vertu de l article 15 de la loi commodo soulignons galement le r le qu a jou auparavant et que continue jouer le centre de ressources des technologies pour l environnement CRTE 1 5 4 R vision de la nomenclature L Administration de l Environnement se propose de faire une autre structuration de la nomenclature dans le sens de mieux concentrer celle ci sur l objet et le champ d application d finis l article 1 de la loi Afin de rendre la nomenclature plus claire une nouvelle structure est mise en discussion 1 5 5 Conditions d am nagement et d exploitation types Selon les desiderata des organisations patronales il s agit du v ritable point de discorde savoir les conditions d exploitations en mati re d installations de climatisation et de r frig ration Les organisations patronales critiquent le co t lev de ces installations qui r sulterait des conditions particuli rement s v res Toutefois le document labor par l Administration de l Environnement et pr sentant des pistes de r flexion irait dans la bonne direction Le d partement est dispos discuter de nouveau avec les milieux concern s en se fondant sur les r sultats du projet pilote du Groupe Cactus ainsi que sur ceux du cahier de la production propre No 4 du CRTE Cet aspect m ritera une
110. conclusions aff rentes ont eu pour objet de soutenir la strat gie Elles reposent sur l id e que les objectifs de la strat gie ne pourront tre atteints par les Etats membres que si la Commission s engage fermement pr senter dans les meilleurs d lais les propositions de r glementation et autres initiatives annonc es dans la strat gie et indispensables en la mati re Parmi les mesures initier figure la r vision de la directive NEC sur les plafonds d mission nationaux suivre de pr s par le Luxembourg qui a souscrit dans ce cadre des objectifs tr s ambitieux PROPOSITION DE REGLEMENT EURO 5 Dans l attente de l avis du PE le Conseil Environnement du 9 mars 2006 a tenu un d bat d orientation sur une proposition de r glement relatif la r ception des v hicules moteur au regard des missions et aux informations sur la r paration des v hicules et modifiant abrogeant une s rie de directives en la mati re telle qu elle a t pr sent e par la Commission en d cembre 2005 La proposition de r glement pr voit un nouveau resserrement des limites d mission des v hicules particuliers et des v hicules utilitaires l gers Elle exige une forte r duction 80 de la masse des missions de particules des v hicules diesel Alors que cet abaissement de la limite d mission ne prescrit pas une technologie particuli re il implique de facto l introduction de filtres particules diese
111. couvert 3 2 9 6 P pini re La seule p pini re du cantonnement est situ e au Burgfried et s tend sur une superficie de 60 ares L inventaire de 2006 arr te 32 500 plants feuillus et 600 plants r sineux Les semences utilis es sont principalement d origine de la for t soumise Outre la production de plants d essences primaires tel le h tre le ch ne ou le fr ne les responsables du service s adonnent la production d essences arbustives dont les semences sont d origine autochtone en vue de cr er de nouvelles haies En 2006 la p pini re a seulement produit quelque 1 130 plants dont toutefois 400 plants haute tige En outre la p pini re coop re troitement avec les responsables de la Maison de la Nature dans le cadre de la production d anciennes vari t s d arbres fruitiers Un premier essai de 400 plants a t lanc au printemps 2004 Il s agit de greffes de diverses vari t s de pommiers et de poiriers mises sur des souches robustes En automne une centaine de jeunes plants a t pr lev e en vue de la cr ation de nouveaux vergers dans les diverses communes de l Oesling et du Gutland Le restant de ce premier essai sera r alis en 2007 En outre il est pr vu de lancer une nouvelle production au printemps 3 2 9 7 Travaux d am lioration Comme les ann es pr c dentes les travaux d claircies dans les peuplements r sineux dominaient En outre les travaux de nettoiement dan
112. d tre d clar d int r t communautaire 1 1 7 La promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel Les communes les syndicats de communes les associations de la protection de la nature l Administration des Eaux et For ts notamment son service Conservation de la Nature le Mus e National d Histoire Naturelle chacun dans les missions qui les concernent sont appel s coop rer en vue de la mise en uvre de la politique de la protection de la nature du Minist re de l Environnement Les communes sont appel es contribuer par leurs activit s la r alisation des objectifs de la protection de la nature de fa on g n rale et sur le territoire communal en particulier Sur base des cinq conventions conclues en 2005 le SICONA Ouest le SICONA Centre le Naturpark Uewersauer le Parc naturel de l Our et le SIAS ont r alis pour un montant total de 432 000 EUR des prestations en mati re de protection de la nature pour le compte des communes membres du syndicat du syndicat lui m me du Minist re de l Environnement ainsi que pour le compte de tiers Le plan national concernant la protection de la nature labor en 2006 met l accent sur l opportunit d tendre la couverture national par des syndicats communaux dans ce domaine de fa on atteindre une couverture territoriale de la totalit du Grand Duch Conform ment au dispositions la loi du 3 ao t 2005 concernant la p
113. d un groupe de points par an 209 Analyse du document d evaluation et phase de concertation Une des premi res tapes de la mise en uvre de l IFL2 deuxi me inventaire a t d analyser le document d valuation du premier cycle de mesures Cela consiste passer en revue chaque remarque proposition du document et d incorporer l ventuelle modification dans le document de r f rence du deuxi me cycle de mesures savoir le guide m thodologique Les modifications apport es sont relatives aux variables prendre en compte et aux modalit s de r colte des donn es 3 3 5 3 R daction du guide m thodologique de l IFL2 Le guide m thodologique de l IFL2 actuellement en cours de r daction propose une m thode de travail globale pour le second cycle de mesure Ce document est destin aux bureaux d tudes qui r aliseront la phase de terrain de l IFL2 Les modalit s techniques le protocole de r colte des donn es la distribution des t ches au cours d une ann e du cycle ainsi que tout au long de celui ci sont d taill s dans le document Plusieurs modifications ont t apport es au guide m thodologique par rapport sa premi re version r dig e en 1998 La structure du document a t amend e Les chapitres correspondent aux fiches d encodage et non des th mes Ainsi la consultation sporadique du document se fait de mani re plus ais e Le guide m thodologique sera finalis d
114. dans l eau les missions dans le sol et les transferts de d chets sont inclus dans le nouveau registre e Le nouveau registre est mis jour annuellement au lieu de tous les 3 ans Au Luxembourg les principaux changements en relation avec le remplacement de PEPER par le PRTR partir de l ann e 2009 seront la prise en compte des transferts de d chets et la mise jour annuelle du registre Le nombre des activit s vis es restera peu pr s le m me les stations d puration de plus de 100 000 quivalents habitants s ajouteront De m me le nombre de polluants ne changera pas substantiellement En effet la majorit des nouveaux polluants introduits par le PRTR constitue des polluants qui ne sont pas mis par les activit s industrielles luxembourgeoises comme par exemple les pesticides 2 5 2 2 Echange d information au sujet des meilleures techniques disponibles Dans le cadre de la directive 96 61 CE relative la pr vention et la r duction int gr e de la pollution directive IPPC la Commission europ enne organise l change d informations entre experts des Etats membres de l Union europ enne l industrie et les organisations environnementales au sujet des meilleures techniques disponibles des prescriptions de contr le y aff rentes et de leur volution Best Available Techniques BAT Une trentaine de groupes de travail ont t cr s pour couvrir tous les secteurs de la directive IPPC
115. de direction du r seau et de C Sanchez ing nieur relevant du projet Pour rappel dans le cadre des activit s de ce r seau l action COST E43 plac e sous l gide de l Union europ enne est charg e de l harmonisation des techniques d inventaires en vue d un rapportage commun Cette action organise plusieurs fois par an des r unions impliquant 2 3 repr sentants par pays L actualit concernant l Action est disponible sur Internet l adresse http www metla fi ew cost e43 213 Actuellement l Action est dans une phase interm diaire consacr e l analyse des donn es collect es dans les premiers questionnaires Les travaux principaux sont donc r alis s au sem des diff rents Working Groups par les diff rents leaders de groupe Pour rappel les Working Groups sont au nombre de trois e _WGi1 Harmonised definitions and measuring practices e _ WG2 Harmonised estimation procedures for carbon pools and carbon pool changes e _WG3 Harmonised indicators and estimation procedures for assessing components of biodiversity with NFI data Le suivi scientifique de l IFL de la part de la FUSAGx a notamment repr sent le Luxembourg lors de la 6 me r union des membres de l Action qui s est d roul e Bordeaux en France du 11 au 13 mai 2006 La semaine du 9 au 13 octobre 2006 l Unit de Gestion des Ressources foresti res et des Milieux naturels FUSAGx a pris en charge l organisation Ge
116. de ferraille Artisanat Ateliers de r paration et d entretien de v hicules Ateliers m caniques Menuiseries D p t de bois mINDIRI Production et transformation de l nergie Installation de production de froid climatisation et r frig ration Ventilations Centrale de cog n ration Installations de biom thanisation Din hi Production stockage et distribution de produits chimiques Stations de distribution d essence et de gasoil D p ts p troliers D p t pyrotechnique Industrie synth tique R servoirs de gasoil de 300 20 000 litres classe 4 N IN VO Industrie excavatrice Chantiers Installations de concassage D p ts de mat riaux divers Carri res DISIN IP Agriculture Exploitations agricoles Porcherie Volailles 16 Alimentaire Abattoir Boucherie Boulangerie industrielle Production de tabac Restaurants et cuisines w Immeubles administratifs et commerciaux Immeuble administratif Parkings Autres activit s Campings 123 Parcs conteneurs Entreprise de Transport ji Divers Total 234 Dossiers cl tur s 71 50 2 4 4 3 Types d actions l gard des tablissements inspect s Nom
117. de la France en g n ral ont pr sent leurs exp riences dans ce domaine Cette manifestation a connu un grand succ s aupr s des architectes de la Grande R gion 130 personnes ont particip l v nement La journ e tait structur e en 3 parties e Pr sentation du contexte le bois dans l architecture de la pr histoire nos jours e La rencontre des mat riaux le bois et les autres symbolique et esth tique compatibilit technique e Architecture Exemples choisis de constructions alliant bois d autres mat riaux de construction provenant des 4 territoires de la grande r gion et un repr sentant autrichien Basics and Strangeness for Timberspace Pour garantir un r el change transfrontalier une traduction simultan e fr de a t organis e l occasion de ce colloque L essentiel des interventions a t repris dans un feuillet distribu aux personnes inscrites 3 1 13 3 Exposition Made in Wood Cette exposition a t r alis e par Bois amp Habitat www bois habitat com en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts et la Fondation de l Architecture et de l Ing nierie Elle tait ouverte au grand public et aux professionnels du 9 novembre au 14 d cembre 2006 la Fondation de l Architecture et de l Ing nierie Un vernissage a t organis pour l ouverture de l exposition Plusieurs visites guid es ont t organis es pour des classes du lyc e tech
118. de lisi res foresti res 292 26 0 00 0 00 292 26 ares Cr ation protection restauration ou entretien 35 100 20 356 490 98 15 303 56 406 894 74 d habitats naturels EUR D bardage au cheval m3 5 134 50 839 99 25 279 33 31 253 82 lagage douglas ares 416 00 269 00 1 369 10 2 054 10 lagage feuillus ares 200 00 0 00 0 00 200 00 Entretien ou restauration d arbres remarquables EUR Installation de cl tures de protection m 360 00 0 00 188 00 548 00 Installation de protections individuelles 11 00 17 00 183 00 211 00 pi ces Plan simple de gestion EUR 0 00 0 00 16 563 33 16 563 33 Plantation d arbres fruitiers haute tige 0 00 17 00 444 00 461 00 plants Plantation d arbres solitaires plants 14 00 0 00 49 00 63 00 Plantation de haies d alignement m 444 00 0 00 573 35 1 017 35 Plantation de haies de bosquets de brise 0 00 0 00 205 76 205 76 vents et de galeries alluviales m Plantation de rang e s suppl mentaire s m 75 00 0 00 50 00 125 00 Premi re claircie feuillus ares 7 687 00 0 00 406 90 8 093 90 Premi re claircie r sineux ares 3 782 00 1 278 30 10 720 84 15 781 14 Protection individuelle pr fabriqu e EUR 0 00 0 00 1 967 28 1 967 28 Protection individuelle treillis de fer 1 5 m 2 850 00 0 00 0 00 2 850 00 pi ce Reboisement autres feuillus ares 96 00 0 00 317 41 413 41 Reboisement autres r sineux ares 33 00 0 00 412 30 445 30 Reboisement douglas ares 134 00 0 00 2 938 12 3 072 12 Reboisemen
119. de prot ger la s curit la salubrit ou la commodit par rapport au public au voisinage ou au personnel des tablissements la sant et la s curit des travailleurs au travail ainsi que l environnement humain et naturel e de promouvoir un d veloppement durable La Division des tablissements class s de 1 Administration de l Environnement est essentiellement en charge de l application de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et des r glements pris en ex cution de cette loi l exception des comp tences qui sont sp cifiques au d partement du Travail Inspection du travail et des mines 2 4 2 Les principales tapes dans la proc dure d un dossier de demande 1 Un dossier de demande est introduit aupr s de l Administration de l Environnement AEV une date pr cise d p t AEV 2 Un accus de r ception avec num ro d identification et D lai dans tous les cas inf rieur indication de la proc dure l gale est envoy au requ rant 1 semaine 3 L AEV en transmet imm diatement un exemplaire Ce transfert se fait journellement l Inspection du travail et des mines ITM par porteur 4 L AEV informe le requ rant si son dossier de demande est complet ou bien s il doit compl ter son dossier par des date Complet AEV informations suppl mentaires date Inf Supp 5 Le cas ch ant le recqu rant retourne les informations
120. des Eaux et For ts ont eu la possibilit de participer a un s minaire avec excursion intitul Okologisch orientierte Pflege von Strassen und Wegr ndern organis par la Fondation H llef fir d Nature L Administration des Eaux et For ts a organis avec ses propres moyens budg taires les cours de formation continue suivants 2 cours bureautique Word XP Avanc 2 jours 2 cours bureautique Excel 2 jours 2 cours bureautique Outlook Express XP 1 2 jour 1 s minaire avec excursion sur la certification des for ts selon FSC 1 jour 1 cour au Centre de formation pour conducteurs Colmar Berg 1 jour 1 cour sur l utilisation pratique du logiciel ArcGIS 16 heures 1 cour sur le logiciel Adobe Indesign 16 heures 1 cour sur le logiciel Adobe Photoshop CS2 12 heures 1 excursion avec training sur la certification FSC en Allemagne 2 5 jours La formation continue des ouvriers forestiers Afin d laborer le programme des formations continues des ouvriers forestiers un groupe de travail a t constitu Gr ce des concertations troites de ce groupe les besoins en formation de notre administration ont t identifi s et le contenu des diff rents cours a pu tre d fini La coordination 153 technique de chaque cours est assur e par les membres du groupe de travail en collaboration avec les pr pos s forestiers territorialement comp tents Les cours sont subdivis s en trois grands th m
121. des certificats de vaccination pour chien contr les et relev des cerfs m les tir s conform ment l article 7 du r glement grand ducal du 19 juillet 2004 concernant l ouverture de la chasse contr les d installations cyn g tiques e conseils et initiation pour la capture de rats musqu s fouines et autres animaux causant des dommages e enqu tes et rapports concernant les infractions la l gislation en mati re de chasse e appui l organisation des chasses domaniales 283 e mise en ench re ou limination de gibier accident e prise en charge et mise en pr paration des troph es de gibier attribu s l administration e appui logistique concernant la constatation de d g ts de gibier 3 6 3 Activit s en mati re de p che Les activit s de l Entit mobile en mati re de p che se limitent e aux contr les de l exercice de la p che en g n ral et e l appui logistique et les p ches lectriques sur requ te du Service de la Gestion de Eau 3 6 4 Activit en mati re de for t Les activit s de l Entit mobile en mati re de for t se concentrent surtout sur e les enqu tes rapports et proc s verbaux concernant les infractions a la l gislation sur la protection des bois et le d frichement de propri t s bois es et e les contr les des demandes d aide financi re pour travaux forestiers dans le cadre du fonds europ en d orientation et de garantie agricole FEOGA 3 6 5 Autres
122. deutlich dass noch bedeutende Wissensl cken bez glich des Flugverhaltens und der Biologie des Trypodendron domesticum bestehen Zum anderen ist eine regelm ige berwachung dieser Borkenk ferpopulationen von N ten um eine sich im Aufbau befindende Kalamit t fr hzeitig zu erkennen Aus diesen Gr nden wurden im Jahr 2006 als Fortsetzung zu bisherigen Studien ein l nder bergreifendes Monitoring zur Populationsdynamik und Flugaktivit t des Buchennutzholzborkenk fers Trypodendron domesticum durchgef hrt Die Daten stammen von insgesamt acht Fallenstandorten drei davon in Luxemburg Saeul Beckerich Perl amp und Bastendorf drei weitere Fallentrakte in Rheinland Pfalz Pr m Saarburg und Hochwald und zwei Fallentrakten in Baden W rttemberg in der N he von Aalen und Allental Der Untersuchungsaufbau erfolgte nach der bereits im Rahmen des Interreg IA DeLux Projektes Entwicklung von Strategien zur Sicherung von Buchenw ldern angewandten Methodik Die Populationsdynamik wurde mittels von Lockstofffallen erfasst wobei Lineatin und mit Ether versehener Ethanol als Lockmittel fungierten Der Beginn der Untersuchungen in Luxemburg war zum 15 2 06 Die Leerungen erfolgten in einem Intervall von 14 Tagen Der K ferflug begann 2006 auf den untersuchten Fallenstandorten relativ einheitlich am 29 M rz Das Ende des K ferfluges lie sich in Luxemburg nicht feststellen hier war bis zum Ende der Fangsaison am 21 06 06 reger K fe
123. distribu s Cette initiative sera cependant renouvel e au courant de l ann e en cours Le projet Combles et Clochers a t reconduit en 2006 avec une prospection minutieuse des glises potentielles dans la vall e de la Moselle Sup rieure d abriter des colonies de reproduction pour les esp ces Rhinolophus ferrumequinum et Myotis emarginatus Une tude a t effectu e pour les g tes comme Remerschen Remich Bech Kleinmacher etc Au printemps 2007 les r sultats de ces prospections seront soumis en collaboration avec l arrondissement de la conservation de la nature Cn Sud aux coll ges de bourgmestre et chevins concern s afin de pouvoir entamer les travaux d ouverture ou d obscuration pour mars 2007 253 d Une visite en pr sence de Monsieur le Ministre de l Environnement Monsieur Lucien LUX a eu lieu en juillet 2006 pour tudier les possibilit s de sauvegarde du dernier g te de reproduction de la colonie de reproduction du Grand Rhinolophe dans la vall e de la Moselle II Recherche a b c d Un monitoring des colonies connues des esp ces de l annexe II entre autres des esp ces Myotis myotis Rhinolophus ferrumquinum et Myotis emarginatus a t assur entre autres dans les localit s de Schieren Koerich Ansembourg Bech Kleinmacher et Colpach Bas Collaboration avec l AFSSA Nancy et le mus e national d histoire naturelle Luxembourg un avant projet de recherche sur la pr senc
124. document final du PAF constitue la communication de la Commission au Conseil et au Parlement Il contient une br ve introduction et une description des principes et objectifs g n raux La partie principale sur les actions est structur e selon les 3 piliers du d veloppement durable et se termine par la coordination et la communication Il comprend 18 actions cl 5 actions conomiques 4 actions environnementales 3 actions sociales et 6 actions de coordination et de communication La vision globale s nonce Des for ts pour la soci t une gestion multifonctionnelle des for ts sur le long terme satisfaisant les besoins pr sents et futurs de la soci t et permettant de tirer des revenus des for ts Les actions par objectif sont e Objectif 1 am liorer la comp titivit long terme de la sylviculture et accro tre l utilisation durable des produits et services forestiers Action cl 1 tudier les effets de la mondialisation sur la viabilit conomique et la comp titivit de la sylviculture dans l UE Action cl 2 encourager la recherche et le d veloppement technologique afin d accro tre la comp titivit du secteur forestier Action cl 3 changer et appr cier les exp riences relatives l valuation et la commercialisation des produits et des services forestiers qui ne sont pas li s au bois Action cl 4 promouvoir l utilisation de la biomasse foresti re pour produire de l nergie Action cl 5
125. dossiers traitant de d bardage au cheval chemins forestiers protection individuelle et la mise en place de cl tures Quant aux chemins forestiers 4 projets ont pu tre achev s en for t priv e soit une longueur totale de 2 200 m En outre 7 projets ont t r alis s en collaboration avec les communes soit 10 600 m Les aides pour claircies restaurations comprises respectivement les aides pour les travaux de d bardage au cheval dominaient les autres subventions leur nombre a minimalement augment par rapport 2005 soit une augmentation de 5 Le volume d bard a diminu de 18 500 m 16 000 m soit une r duction de 16 Au total quelque 754 000 de subventions ont t liquid es par le bureau du cantonnement de Wiltz 3 2 9 10 For t priv e Le cantonnement forestier travaille en troite collaboration avec le Groupement forestier de Wiltz Ainsi une partie des excursions foresti res organis es par ce groupement est assur e par le personnel du cantonnement Au printemps l occasion de l assembl e g n rale du groupement Wiltz le chef de cantonnement a expos en grande lignes l impact de la nouvelle loi concernant la conservation de la nature et des ressources naturelles sur la for t priv e En outre chaque fois qu une occasion s appr te le personnel du cantonnement soutient les propri taires dans la gestion de leur for t 3 2 9 11 D g ts de gibier Le nombre de dossiers
126. e Universit tsprofessor Dr Mechthild Roth zu Besuch in Luxemburg Kooperationsvereinbarung unterzeichnet Nerze im Saarland ausgewildert Keine Auswilderung in Luxemburg geplant Dag vum Bam Kinder der Prim rschule Koetschette pflanzten Buchenwald Naturschutz und Hochwasserschutz vereint Luxemburger Delegation besucht Bayern Forensische Wissenschaft und Genetik in der Praxis Illegale Aussetzung von Rothirschen in Luxemburg nachgewiesen Mauswiesel und Hermelin in Luxemburg Professor Dr Tim Roper zu Gast in Luxemburg Wissenschaftliche Forschung ist wichtig Nachttieren auf der Spur Steinmarder Studie in D delingen und Bettemburg Wie man Flederm use sch tzen kann Von Rehen und Wildschweinen wissenschaftliche Resultate auch in Luxemburg anwendbar Kinder pflanzen f r den Biber Aktion in den Gemeinden Remich Biwer und Grevenmacher 3 4 1 14 Reportages t l vis s e Wildwechsel RTL 3 4 1 15 Publications Publications En 2006 l Administration des Eaux et For ts a publi 10 petits articles parus dans le magazine REVUE sur les sujets suivants la moule perli re le rat musqu le castor situation 2005 la renaturation de l Alzette la salamandre tachet e Porchis larges feuilles la r serve foresti re int grale Enneschte B sch la chouette hulotte l hibernation les accidents de la route imputables au gibier Autres publications e Schley L 2006 Suite a la mort de l ours Brun
127. e Organisation 11th Advisory Committee EUROBATS Introduction L Administration des Eaux et For ts a organis en collaboration avec le mus e national d histoire naturelle et le Secr tariat d EUROBATS de Bonn le 11th Advisory Committee qui s est tenu d but mai Luxembourg Environ 100 participants de 30 nations diff rentes ont conf r s pendant 5 jours sur les diverses facettes de protection des chauves souris en Europe Cette r union importante est organis e pour la premi re fois au Luxembourg a permis de r unir les r sultats de beaucoup de groupes de travail et de pr parer les r solutions n cessaires au Meeting of the Parties qui s est lui tenu en septembre 2006 Ljubjlana en Slov nie meeting au cours duquel l Administration des Eaux et For ts a repr sent les int r ts nationaux Discours de bienvenue par le Dr Laurent Schley repr sentant de l Administration des Eaux et For ts et repr sentant du comit d organisation Ladies and gentlemen Dear colleagues Firstly I would like to excuse our Minister of the Environment M Lucien LUX who is unfortunately unable to attend this morning As the representative of the Administration des Eaux et For ts working under the Ministry of the Environment it is a great honour and an even greater pleasure to welcome you all here in one of the smallest countries of Europe for what I hope will be an interesting and productive meeting of the EU
128. et aux arrondissements Aux cantonnements de Diekirch Mersch Luxembourg Est Luxembourg Ouest et Grevenmacher les demandes en aides manent principalement des communes et des tablissements publics Au cantonnement de Wiltz cependant la situation est diff rente la majeure partie des demandes en aides proviennent de la part des propri taires forestiers priv s Ce grand nombre de demandes de la part des propri taires forestiers priv s engendre un travail administratif consid rable et explique que le cantonnement de Wiltz a t renforc pas plus tard qu en 2005 d une employ e qui s occupe principalement de l vacuation des dossiers d aides 169 Le tableau ci dessous reprend les quantit s accord es par type d aide et par type de propri taire Type d aide Communes tablissements Priv s Total publics Boisement h tre ch ne ares 0 00 0 00 181 20 181 20 Boisement autres feuillus ares 82 00 0 00 0 00 82 00 Cl ture 1 5 m hauteur m 2 945 00 0 00 5 247 00 8 192 00 Cl ture 2 m hauteur m 0 00 0 00 1 100 00 1 100 00 Construction chemin forestier EUR 0 00 0 00 119 641 32 119 641 32 Conversion taillis en futaie ares 0 00 0 00 731 54 731 54 Conversion taillis par vieillissement ares 267 00 0 00 5 274 50 5 541 50 Coupe rase de taillis ares 0 00 0 00 37 30 37 30 Cr ation ou restauration
129. et les importateurs professionnels de v hicules au Luxembourg ont sign l accord environnemental relatif la gestion des v hicules hors d usage Les points cl s de cet accord sont entre autres e la mise en place d au moins un point de reprise pour VHU par les importateurs au Luxembourg ou dans un pays limitrophe moins de 40 kilom tres vol d oiseau de la fronti re e d simmatriculation d un VHU uniquement avec certificat de destruction tabli par une installation agr e e les modalit s de reporting vu le fait que le traitement des VHU se fait en tout ou en partie l tranger e m thodologie de calcul des taux de r utilisation valorisation et de r utilisation recyclage e les modalit s d information des installations de traitement quant au d montage des VHU e les modalit s d information des acheteurs de v hicules neufs Nombre de VHU d simmatricul s source SNCT 2002 2003 2004 2005 2006 Chaque ann e quelques 50000 voitures neuves sont vendues Cependant en 2005 seulement 4800 voitures ont t d simmatricul es pour la mise la ferraille Ceci montre que le parc automobile du Luxembourg est un parc relativement jeune Dans le cadre de la mise en pratique de la gestion des VHU un nouveau point de reprise Stockem a fait l objet d une visite de l Administration de l Environnement 107 2 6 10 Les actions de la SuperDrecksK sch
130. exposition En outre l exposition tait int gr e dans les activit s de la porte ouverte organis es en juillet chez Minett Kompost Les enseignants des classes int ress es recevaient le guide particuli rement labor qui sert pr parer le sujet avec les coliers ainsi qu un CDRom D Emwelt notzen d Emwelt schounen qui traite les sujets de l exposition d une fa on interactive 89 2 6 3 4 Les jeux didactiques Oeko Bassin et Bastelen mat Offall L Oeko Bassin constitue un jeu de p che aux produits cologiques c d au lieu de la p che aux canards les enfants sont appel s p cher des emballages cologiques des produits compostables des batteries rechargeables etc Le jeu est gratuitement mis disposition des communes ou des organisations En 2006 les rendez vous suivantes ont eu lieu participants 1 541 enfants Dates Lieu d emplacement de l Oeko Bassin 02 04 06 Service d Incendie Colmar Berg 31 05 06 Centre culturel Mertzig 04 06 06 Terrain Municipal Rumelange 18 06 06 Haus vun der Natur Kockelscheuer 30 06 06 Pr coce Lall ngerd ich Esch Alzette 01 07 06 Brill Kayl 06 07 06 Centre Culturel Hosingen 10 07 06 Ecole A rodrome Lallange 13 07 06 Ecole Fousbann Woiwer 19 07 06 Cr che Municipale Luxembourg 10 09 06 Weiher Steinfort 24 09 06 K rbisfest Beringen Mersch Bastelen mat Offall est une activit qui s adresse des
131. faune diversifi e faisant partie du cycle de vie des cosyst mes forestiers Dans les for ts soumises la sylviculture men e et le type d exploitation peuvent influencer de fa on significative la pr sence de bois mort Ainsi le maintien d arbres au del de leur ge d exploitabilit devenant s nescents puis morts garantit la permanence de bois mort condition qu il ne soit pas exploit ult rieurement comme bois de chauffage ou de trituration Le fait de ne pas retirer tout le bois lors des coupes ordinaires ou lors d v nements particuliers vents attaques parasitaires favorise galement la pr sence de bois mort 236 La prise en compte du bois mort dans l am nagement forestier implique que l am nagiste et le gestionnaire disposent d un tat des lieux p riodiquement revu de cette ressource C est dans ce contexte qu une tude a t r alis e pour laborer une m thode op rationnelle de relev du bois mort dans le cadre des inventaires d am nagement et pouvant tre int gr e dans la m thodologie en vigueur Ensuite la m thode a t concr tement appliqu e la propri t de la for t communale de Leudelange Le travail s est d roul de la fa on suivante e recherches bibliographiques et proposition de diverses m thodes de relev du bois mort e essai et validation d une m thode sur une parcelle test e application de la m thode la for t communale de Leudelange parall
132. favoriser la coop ration entre les propri taires forestiers et promouvoir l ducation et la formation dans le secteur forestier e Objectif 2 prot ger et renforcer de fa on appropri e la biodiversit le piegeage du carbone l int grit la sant et la r silience des cosyst mes forestiers diverses chelles g ographiques Action cl 6 faciliter le respect par l UE des obligations relatives l att nuation des changements climatiques de la CCNUCC et du protocole de Kyoto et encourager l adaptation aux effets du r chauffement plan taire Action cl 7 contribuer la r alisation des objectifs communautaires modifi s pour 2010 et au del Action cl 8 travailler l laboration d un syst me de surveillance des for ts Action cl 9 am liorer la protection des for ts dans l UE e Objectif 3 contribuer une meilleure qualit de vie en pr servant et en am liorant les dimensions sociale et culturelle des for ts Action cl 10 encourager l ducation et l information en mati re d environnement Action cl 11 maintenir et am liorer les fonctions protectrices des for ts Action cl 12 explorer le potentiel des for ts urbaines et p riurbaines e Objectif 4 am liorer la coh rence et la coop ration intersectorielle afin d quilibrer les objectifs conomiques environnementaux et socio culturels divers niveaux organisationnels et institutionnels 158 Action cl 13 renforcer le r le du comit
133. fonctionnelles en 2006 pour le compostage des d chets organiques en provenance des communes L installation du SIGRE qui se trouve au site Muertendall de la commune de Betzdorf est fonctionnelle depuis novembre 2005 Etant donn que l Administration de l Environnement ne re oit les rapports annuels que pour le 31 mars de l ann e les chiffres pr sent s ci apr s se r f rent donc l an 2005 2 6 4 1 Les quantit s de d chets organiques accept es Les graphiques suivantes r sument les quantit s des d chets livr s pour l ann e 2005 En tout 54 685 tonnes de d chets organiques ont t accept s dans les six installations de compostage au Luxembourg 93 Quantites des d chets apport s tonnes 35 000 30 000 25 000 20 000 15 000 28 748 10 000 5 000 6 510 S 2 652 786 1 007 5 237 MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaft Hesperange Luxembourg SIGRE Muertendall Mondercange Une certaine quantit de ces d chets n tait pas trait e dans les installations de compostage initiales savoir e Au SIGRE une quantit de 2 629 52 tonnes de d chets organiques a t accept e dont 1007 tonnes ont t trait es l aire de compostage du Muertendall Les autres quantit s ont t export es vers l Allemagne Tr ves e 7 645 8 tonnes de d chets organiques en p
134. forestiers du Grand Duch de Luxembourg Lors de la Conf rence Minist rielle pour la Protection des For ts en Europe Strasbourg 1990 le Luxembourg a t un des tats signataires d une r solution sur la mise en place d un r seau europ en de plusieurs centaines de placettes permanentes de suivi de l cosyst me forestier Le Grand Duch participe ce projet international des 1993 avec un r seau dit intensif de deux placettes en h traie puisque le h tre repr sente l essence autochtone dominante dans deux r gions foresti res caract ristiques L une est situ e dans la for t domaniale du Gr newald sur le gr s de Luxembourg d nomm e HETL2 l autre dans la for t domaniale de Hosingen au lieu dit P nzebierg en Ardenne d nomm e HETL1 Le projet est r alis en troite collaboration avec l Office National des For ts ONF France le Grand Duch ayant demand le rattachement de ses deux placettes au r seau fran ais d nomm RENECOFOR La dur e de la p riode de fonctionnement a t retenue dans un premier temps 30 ans Les observations r alis es dans les placettes visent quantifier d une part le niveau de productivit des peuplements et d autre part les principaux facteurs qui conditionnent la croissance tels que les caract ristiques climatiques et daphiques la structure du peuplement et les d p ts d origine atmosph rique Les analyses faites dans le cadre du r seau intensif souvent tr
135. g e Les th mes principaux de cette r union taient les suivants installation des placettes permanentes dans la r serve foresti re int grale RFI inventaire des papillons de nuit mesures de gestion entreprises au cours de la derni re ann e pr sentation des panneaux du sentier didactique 215 H La r serve foresti re int grale Enneschte B sch Bertrange Description g n rale du projet La sp cificit du Enneschte B sch r sulte du fait que la zone d limit e repr sente les ch naies charmais sur sols frais ainsi que les h traies sur marnes argileuses du Gutland du Sud L association foresti re la plus fr quente est celle du Primulo Carpinetum avec 62 de la surface d limit e L association du Melico Fagetum occupe quant elle uniquement 30 de la superficie Le restant de la future RFI est recouvert de feuillus en m lange de r sineux ainsi que de broussailles et arbustes En ce qui concerne les peuplements on remarque un taux lev d anciennes ch naies En effet pratiquement la moiti de la superficie se compose de ch naies qui comportent des ch nes de plus de 140 ans En date du 20 septembre 2005 la zone foresti re Enneschte B sch est d clar e zone prot g e par r glement grand ducal La superficie de la r serve naturelle est de 87 ha et prot g e est constitu e de deux parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale ainsi qu une partie dite zone de qui tu
136. gestion de bandes herbac es ainsi que de bandes ripicoles dans le p rim tre du remembrement de Dellen en collaboration avec le Sicona Centre et le bureau d Etudes ERSA Les agriculteurs de Dellen se sont rendus acqu reurs des bandes herbac es en s engageant poursuivre la gestion mise en place 1200 m de cl tures ont t mises en place le long du ruisseau Laangbaach R unions colloques et conf rences En sa qualit de membre du bureau le Chef de l Arrondissement CN Nord a particip de nombreuses r unions du bureau et du comit du syndicat mixte Etat Communes du Parc Naturel de la Haute S re En outre comme repr sentant du Minist re de l Environnement au sein du groupe de travail Etat communes dans le cadre de la cr ation du Parc Naturel de l Our puis membre du Comit du parc depuis sa cr ation il est galement actif dans le cadre de la r alisation du Plan vert directeur pour le parc naturel de l Our Le sous Groupe Sud du Groupe de travail Inventaire des instruments politiques et zones naturelles transfrontali res de la section Conservation de la nature et protection des sites de la Commission sp ciale pour l Environnement du BENELUX dont fait partie le Chef de l Arrondissement a poursuivi ses travaux Le Plan de Base Ecologique et Paysager transfrontalier avec la Wallonie destin coordiner et aligner les mesures de gestion de part et d autre de la fronti re da
137. glement grand ducal modifi du 19 d cembre 2002 concernant l incin ration des d chets 2006 A 71 p 1358 R glement grand ducal du 19 avril 2006 modifiant l article 13 du r glement grand ducal du 21 d cembre 2001 portant application de la directive 2000 14 CE du Parlement europ en et du Conseil du 8 mai 2000 concernant le rapprochement des l gislations des Etats membres relatives aux missions sonores dans l environnement des mat riels destin s tre utilis s l ext rieur des b timents 2006 A 73 p 1368 R glement grand ducal du 19 avril 2006 modifiant le r glement grand ducal modifi du 21 f vrier 2000 concernant la teneur en soufre des combustibles liquides 2006 A 73 p 1370 Loi du 2 ao t 2006 modifiant la loi modifi e du 21 juin 1976 relative la lutte contre le bruit 2006 A 157 p 2744 R glement grand ducal du 2 ao t 2006 portant application de la directive 2002 49 CE du Parlement europ en et du Conseil du 25 juin 2002 relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement 2006 A 157 p 2745 R glement grand ducal du 2 ao t 2006 abrogeant le r glement grand ducal du 8 mai 1981 portant d signation des experts et agents charg s de rechercher et de constater les infractions aux dispositions l gales ou r glementaires en mati re de lutte contre la pollution de Pair et contre le bruit 2006 A 157 p 2753 Texte coordonn du 5 septembre 2006 de la loi modifi e
138. grale Afin de d limiter la zone prot g e des panneaux d information ont t install s aux entr es secondaires de l Enneschte B sch Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t Les sentiers qui parcourent la r serve naturelle ont t balis s afin de signaliser au visiteur les chemins qu il peut emprunter et qui par cons quent sont s curis s Par ailleurs le balisage des sentiers a galement pour effet de canaliser la circulation l int rieur de la r serve foresti re int grale de fa on ce que la zone de qui tude ne devrait subir aucun d rangement L Enneschte B sch est la troisi me r serve foresti re int grale au Luxembourg o un suivi des habitats forestiers a t effectu Les placettes permanentes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine Pour plus d information ce sujet consulter le chapitre monitoring r serves foresti res int grales 216 La r serve foresti re int grale Laangmuer au Gr ngewald Description g n rale du projet Ce site qui fait partie du massif du Gr ngewald est repr sentatif pour les h traies acidiclines du Gr s de Luxembourg D ailleurs c est l association foresti re du Melico Fagetum avec ses sous associations les plu
139. introduits au cours de l ann e 2006 Durant l ann e 2006 les dossiers suivants ont t introduits aupr s de notre Division 54 Dossiers en tout Site du SIDEC au Friedhaff Le SIDEC a introduit un dossier de demande en date du 11 mai 2006 en vue de pouvoir modifier l tanchement du bassin de r tention pour eaux de percolation au pied de la d charge Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 14 d cembre 2006 En attendant le dossier est tenu en suspens Dossier C I N 1 06 0287 Dossier D chets 96 CD 08 01 En date du 28 juillet 2006 le SIDEC a introduit un dossier de demande pour pouvoir modifier la gestion de son parc conteneurs et plus particuli rement pour pouvoir y entreposer des conteneurs SAP remplis et ferm s en dehors du site de son local de collecte pour d chets dangereux Site du SIGRE au Muertendall En date du 11 d cembre 2006 le SIGRE a introduit un dossier de demande en vue de pouvoir modifier ses infrastructures servant la collecte de d chets valorisables Actuellement le dossier est en cours d examen Dossier C I N 1 06 0662 Dossier D chets CD 01 94 04 D charges pour d chets inertes Centres de gestion pour d chets inertes En date du 30 janvier 2006 l entreprise Cloos S A d Esch sur Alzette a introduit une demande de prolongation pour l activit de remblayage autoris e pour une dur e de 6 mois sur le site de Differdange Pafewee Il s agit d y r aliser une as
140. investis dans le dossier tendant promouvoir l utilisation de bois comme combustible dans des chaudi res Cet effort s inscrit dans une politique ayant pour but de r duire l utilisation des combustibles fossiles et d augmenter en cons quence les combustibles renouvelables Une trentaine d installations utilisant des copeaux de bois sont op rationnelles respectivement sont en voie de planification Une brochure d information destination des communes conna t un succ s franc cf Chapitre Commercialisation du bois de trituration e Suite une hausse spectaculaire des prix des produits p troliers l Administration des Eaux et For ts est confront e une forte pression des milieux concern s sur le bois de trituration respectivement sur le bois de chauffage Une r partition quilibr e du bois d industrie resp du bois de chauffage entre les utilisateurs a du tre op r e 3 1 2 Les travaux l gislatifs Au cours de l ann e 2006 des documents de travail ont t labor s dans les domaines ci apr s conventions route du nord certification des for ts Fonds pour la Protection de l Environnement laboration de dossiers de classement de R serves Foresti res Int grales cf Service de l Am nagement des bois e laboration de dossiers de soumission pour les sites Natura 2000 cf Service de la Conservation de la Nature 3 1 3 Participation des groupes de travail interminist riels La Direction a
141. l AIR EAU dans l EAU directive IPPC direct indirect kg an kg an kg an 101 04 980 000 000 0 614 000 0 1 Production de m taux 1104 12 164 4 erreux et non ferreux 73 7 4 424 000 0 232 000 000 0 102 0 7 910 0 230 9 74 8 181 000 0 376 000 0 1 096 0 7 069 0 454 0 183 000 0 1 Production de clinker 104 11 25 600 0 ciment et de verre 3 860 000 0 926 000 000 0 34 400 0 2 372 000 0 210 000 0 758 000 0 5 3 5 4 Decharges pour 109 06 1 281 000 0 d chets inertes 6 7 Traitement de surfaces 1107 04 107 000 0 utilisant des solvants organiques Les donn es d taill es concernant les rejets dans l air d clar es en juin 2003 sur les missions en 2001 et celles d clar es en juin 2006 sur les missions en 2004 sont reprises dans le tableau ci apr s 64 Donn es d missions dans l air d clar es conform ment la decision EPER fours fusion Etablissement Polluant Seuil EPER kg a Emissions en 2001 kg a Emissions en 2004 kg a ILU 01 ARES Esch Schifflange AS 20 45 aci rie lectrique Pb 200 351 Hg 10 60 49 Zn 200 3 110 2 730 F 5 000 8 850 NOx 100 000 109 000 co 500 000 1 130 000 916 000 NMVOC 100 000 181 000
142. la premi re partie d un Erlebnisschulhof dans l enceinte du nouveau centre scolaire Roodt Syre l aide de bois provenant de la for t communale de Betzdorf e D gagement du terrain Paerdsmaart 0 89 ha Grevenmacher e D gagement d une prairie 2 6 ha fauche au lieu dit Bamboesch dans le triage de Grevenmacher e Pr paration des sentiers des futures r serves de for ts int grales Grouf Schengen et Reif Wellenstein e Fauchage et renouvellement du sentier touristique respectivement des chemins forestiers fr quent s au lieu dit Elvinger Gleicht Elvange e Enl vement permanent d ordures sp cialement pendant l action Grouss Botz organis e par diff rentes communes e Organisation de visites guid es pour classes primaires Encadrement des classes pr scolaires lors du Schoulfest Bascharage avec visites guid es de la future r serve naturelle Griechten Hautcharage Entretien des installations du site didactique et r cr atif im Gaa Dreiborn Entretien et r fection des installations du sentier fitness de la commune de Wormeldange Installation de bancs le long des sentiers touristiques Plantation de 1000 aulnes sur l ancienne d charge Differdange Am nagement d un sentier auto p destre du lieu dit Fransousek iz et au lieu dit Baraque bleue dans le triage de Differdange e Fauchage des chemins forestiers da
143. le ITL Independent Transaction Log des Nations Unies pour les pays signataires du protocole de Kyoto Le logiciel servant de base au registre a t d velopp par la CDC Caisse des d p ts et des consignations fran aise et sera utilis par plusieurs autres tats membres L Etat luxembourgeois a en outre sign un contrat de coop ration avec le Service Public F d ral Sant Publique S curit de la Cha ne alimentaire et Environnement du Royaume de Belgique en vue de l tablissement du maintien et de l exploitation d un registre luxembourgeois de gaz effet de serre dans un syst me consolid belgo luxembourgeois Cet accord de coop ration stipule que les autorit s belges seront responsables du hosting de l installation du logiciel et de la maintenance des banques de donn es du registre luxembourgeois alors que I Administration de l Environnement sera responsable de la gestion des comptes de l tablissement de rapports et de la gestion des utilisateurs 72 Depuis le 17 mai 2006 jour de lancement officiel du registre national de gaz effet de serre une douzaine d op rations internationales ont t enregistr es 2 5 6 3 V rification des d clarations d missions de gaz effet de serre Afin de garantir la cr dibilit des missions de gaz effet de serre d clar es chaque ann e par les exploitants concern s la directive 2003 87 CE pr voit une v rification de ces d clarat
144. le calcul des missions en 2001 66 Remplacement de PEPER par le PRTR partir de 2007 Pour la troisi me ann e de r f rence en 2007 PEPER sera remplac par le Registre europ en des rejets et des transferts de polluants PRTR europ en Le PRTR Polluant Release and Transfer Register sera publi pour la premi re fois en 2009 et par la suite tous les ans Le PRTR europ en est bas sur le r glement CE 166 2006 du Parlement europ en et du Conseil du 18 janvier 2006 concernant la cr ation d un registre europ en des rejets et transferts de polluants et modifiant les directives 91 689 CEE et 96 61 CE du Conseil Par la loi du 2 d cembre 2005 portant approbation du Protocole sur les registres des rejets et transferts de polluants sign Kiev le 21 mai 2003 le Luxembourg s est engag tablir et tenir un registre national des rejets et transferts de polluants accessible au public En pratique l acc s du public au registre national PRTR peut se faire travers un link sur le site Internet du Minist re de l Environnement www emwelt lu vers le site Internet de l Agence Europ enne de l Environnement http eper eea eu int eper Du point de vue op rationnel le nouveau registre PRTR constitue en quelque sorte une extension du registre EPER e Le nombre des activit s vis es est port de 56 64 e Le nombre de polluants consid r s est port de 50 86 e A c t des missions dans l air et
145. le h tre et le ch ne qui occupent plus de 80 de la surface foresti re La ch naie occupe 46 de la superficie bois e contre 35 pour le la h traie Ces peuplements sont tous duqu s en r gime de futaie quienne Les autres feuillus 7 sont constitu s essentiellement de fr ne charme rable merisier et de quelques aulnes bouleaux et robiniers 204 Les peuplements r sineux recouvrent environ 12 de la superficie bois e Ils sont repr sent s majoritairement par l pic a D autres essences comme le sapin des Vosges le pin sylvestre le pin noir le m l ze ou encore le Douglas sont pr sents mais ne repr sentent que quelques hectares M thode de travail au niveau des relev s p dologiques Au total 432 sondages p dologiques ont t r alis s sur le domaine forestier communal de Wormeldange ce qui correspond une densit moyenne d 1 point de sondage pour 1 1 hectare En outre ces points de sondage r pertori s ont t compl t s par de nombreux coups de sonde interm diaires simplifies afin de v rifier la continuit d une unit p dologiques et de pr ciser ainsi les limites de celle ci S lectivement un test l acide HCL 20 est pratiqu sur la charge la terre fine ou le substrat afin de d tecter la pr sence de calcaire Pour un sondage sur deux un chantillon de sol est pr lev une profondeur moyenne de 15 et 20 cm dans l horizon min ral Ah afin de d terminer le niveau
146. lectriques et lectroniques collect s et pris en charge par l asbl ECOTREL du 1 avril au 31 d cembre 2006 sont repris dans le tableau suivant Gros blanc 568689 kg Petits blancs bruns et gris 939478 kg Ecrans CRT 609101 kg Appareils r frig rants 659264 kg Tubes fluorescents 41259 kg Lampes fluorescentes compactes 1348 kg Radiateurs bain d huile 10656 kg TOTAL 2827317 kg Pendant ces neuf mois de l ann e l asbl ECOTREL a pris en charge 2 827 317 kg de d chets d quipements lectriques et lectroniques En extrapolant ces chiffres sur une ann e enti re quelques 3 700 000 kg de d chets d quipements lectriques et lectroniques auraient t remis aux diff rentes structures de collecte 106 Le taux moyen annuel de collecte s lective de DEEE provenant des m nages tel que fix par le r glement grand ducal de 4 kg par habitant an atteindre pour le 31 d cembre 2006 au plus tard est largement d pass avec 8 1 kg par habitant 2 6 9 Les v hicules hors d usage VHU Les n gociations avec les importateurs de v hicules qui tombent sous le champ d application du r glement grand ducal modifi du 17 mars 2003 ont t poursuivies en 2006 Le but tait de trouver un accord entre les importateurs et le Gouvernement r glant en pratique la gestion des v hicules hors d usage et le monitoring relatif au traitement de ces d chets Le 15 mars 2006 le Ministre de l Environnement
147. les agr ger au niveau europ en les CTE comptent sur les NRC qui sont leurs relais et leurs principales sources d information Il semblait donc logique de confier l organisation de ce r seau EIONET la cellule statistique elle m me demanderesse de donn es sur l environnement au Luxembourg En cons quence la cellule est le Point Focal National PFN du r seau EIONET au Luxembourg En tant que PFN elle repr sente trois fois par an le Luxembourg aux r unions des PFN des Etats membres ou associ es de AEE Lors de ces r unions les PFN donnent leurs avis technique sur les travaux de l AEE et sur la fa on dont ils sont organis s Quant au projet de partenariat avec Umweltbundesamt autrichien lanc fin 2005 en vue d am liorer la fr quence et la qualit des informations transmises via le r seau EIONET l A E celui ci a t r orient vers des activit s de support pour la r alisation de nos inventaires de gaz effet de serre et leurs rapports connexes En 2007 l ventualit de formaliser davantage ce partenariat en mettant sur pied un partenariat administratif entre d une part le minist re et l Administration de 17 l Environnement et d autre part Umweltbundesamt sera analys e Le r sultat escompt de ce partenariat serait de nous permettre de plus facilement de plus r guli rement et de plus efficacement pr parer seuls ou en collaboration avec Umweltbundesamt les information
148. les diff rents types de peuplements qui ont pu tre d finis Pour chacune des parcelles un objectif de gestion est pr cis dont d coulent les interventions propos es Les op rations sylvicoles pr vues ont t ventil es sur la d cade d application de l am nagement Pour certaines parcelles une tude du sol et de la v g tation a t effectu e pour argumenter les orientations sylvicoles propos es Pour d autres parcelles un inventaire dendrom trique bas sur un chantillonnage syst matique a t r alis afin d obtenir des renseignements sur la distribution des classes de grosseur Le maillage utilis pour cet chantillonnage syst matique a t de 70mx70m soit 2 points par ha Les mesurages dendrom triques ont t r alis s sur des placettes circulaires temporaires c est dire o les centres des placettes n ont pas t mat rialis s Un chiffrage du volume de bois sur pied exploiter par cat gorie de produits a t calcul afin de pr ciser l quilibre financier de la gestion 3 3 1 4 Plan Simple de Gestion de la for t communale de Schifflange 58 ha Les travaux en relation avec l tablissement d un plan simple de gestion pour la propri t foresti re de la commune de Schifflange ont t entam s en 2006 mais aboutiront seulement courant 2007 201 3 3 2 Les inventaires forestiers d am nagement 3 3 2 1 Instructions pour la r alisation des travaux d inventair
149. lieu dit Kiem pr s de Olingen Betzdorf 27 points de sondage ont t piquet s dans la for t du lieu dit Buchels pr s de Koerich 76 points de sondage ont t piquet s 3 3 8 2 Raisons pour avoir fait appel un appui techniques en martelage Le martelage demeure quel que soit l itin raire sylvicole retenu l op ration la plus importante en mati re de gestion foresti re En effet c est bien la pratique du martelage qui imprimera au peuplement trait l orientation recherch e Bien que reposant sur une fondation th orique indispensable la ma trise du martelage ne peut se passer d un apprentissage pratique notamment au travers d une d marche essentiellement visuelle L appui technique doit donc permettre de transformer une base de connaissances et une proposition de consignes en une op ration pratique de pr l vement de tiges Cette d cision de pr l vement repose la fois sur l identification de la fonctionnalit de chaque tige du peuplement et sur la gestion de la qualit de ces m mes tiges quel que soit l objectif sylvicole poursuivi Cependant avec un objectif d irr gularisation pied pied des peuplements cette approche tr s analytique et r solument positive y trouve toute sa pertinence La pratique du martelage sous la forme d un appui technique au sein de peuplements pilotes s inscrit donc parfaitement dans une d marche p dagogique progressive L analyse des p
150. matique des cormorans Nourrissage du gibier Recherche scientifique dans le cadre de la chasse Epizootie de la grippe aviaire Armes et munitions de chasse R gles d hygi ne applicables la viande de gibier 3 5 8 Rapports avec le public Une attribution importante du service de la chasse est l information et le contact permanent avec le public int ress Ainsi le service est contact r guli rement par des particuliers des associations des bureaux d tudes des organes de la presse des administrations des syndicats de chasse etc afin de fournir des renseignements respectivement en vue d une collaboration Les principales sollicitations sont les suivantes e demandes de renseignements par les bureaux d tudes et les particuliers dans le cadre de l laboration de plans verts d tudes d impact de plans d am nagement r gionaux ou d tudes diverses e demandes d information des organes de la presse e demande de faire des expos s au sein de diff rentes organisations e demandes d organisation et de participation des rallyes nature de journ es de la nature des expositions e demandes d informations p riodes d ouverture de la chasse modes de chasse autoris s limites des lots de chasse permis de chasse cours pr paratoires et examen de chasse etc e demandes des syndicats ou des locataires de chasse en vue d informations concernant le d roulement de certaines proc dures l gislatives et administratives n
151. mentionner qu la suite de l entr e en retraite du directeur adjoint et d au fait que le deuxi me poste de directeur adjoint n a pas t occup depuis un certain temps deux nouveaux directeurs adjoints ont t nomm s Ils sont entr s en fonction en date du 1 janvier 2006 Ces nominations ont permis de r organiser les travaux de la direction Par ailleurs un nouveau projet d organigramme a t labor Le projet a t discut avec le personnel de l administration dans le cadre de plusieurs r unions de service Ensuite la derni re version du projet a t soumise la consultation de l ensemble du personnel Dans la mesure du possible les remarques ainsi formul es ont t int gr es dans le projet Les l ments cl s du nouvel organigramme qui est entr en vigueur le 12 f vrier 2007 sont expos s ci dessous Chacune des trois divisions de l administration se compose de services sp cifiques savoir la Division de l air et du bruit la Division des dechets la Division des tablissements class s Service des missions Service de la surveillance et du contr le de la qualit de l air Service missions atmosph riques Service des conomies d nergie Service transport et n goce des d chets Service concepts et strat gies de gestion des d chets Service traitement des d chets et produits secondaires service qualit du sol Service sites contamin s
152. mise en uvre des sources d nergies renouvelables aides l investissement 2 R glement du 28 d cembre 2001 modifi instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique solaire de la biomasse et du biogaz 3 R glement du 3 ao t 2005 instituant un r gime d aides pour des personnes physiques en ce qui concerne la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en uvre des sources d nergies renouvelables aides l investissement 4 R glement grand ducal du 3 ao t 2005 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique de la biomasse et du biogaz 2 5 7 1 Aides financi res aux particuliers pour les investissements r alis s dans le cadre du r glement grand ducal du 17 juillet 2001 modifi En juillet 2001 le programme d aides financi res aux particuliers a d marr un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des sources d nergie renouvelables L tat d instruction des dossiers se pr sente comme suit tat des dossiers investissements Nombre de dossiers introduits 2001 2005 19 129 Nombre de dossiers finalis s 2001 2005 17 599 Nombre de dossiers finalises en 2006 2 399 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2006 2
153. morphologique de Populus nigra x P delto des a compliqu la reconnaissance et la cartographie sur le terrain Apr s de nombreuses visites de sites le long de l Alzette dont le r sultat fut n gatif nos efforts se sont concentr s sur la r gion mosellane de la S re et de l Our Plusieurs habitats ont pu tre r pertori s Cependant une analyse iso enzymique des boutures pr lev es a r v l que presque tous les individus taient des croisements entre Populus nigra Populus delto des ou Euroamericana Finalement un seul groupe de plusieurs peupliers noirs purs situ au site An der Laar pr s de Burmerange et regroupant huit individus purs g s a pu tre retenu Tous ces individus taient d origine femelle le peuplier noir tant unisexu La mise en place de la r introduction du peuplier noir est indiqu e cette esp ce appartenant notre patrimoine forestier national et tant de grande diversit biologique il est notamment colonis par le pic noir la martre la chauve souris pour ne citer que quelques esp ces Comme le peuplier noir est capable de se multiplier par simple voie v g tative au moyen de boutures l installation d une plantation de sauvegarde a t r alis e Afin de reconstituer notre provenance des boutures d origine m le ont t fournies par le Centre de Recherche d Ecologie foresti re de la Rh nanie Palatinat Ces individus ont t choisis d apr s les donn es de provenan
154. nergie produite par type d installation 2001 2006 inclus 12 33 Capteur solaire photovolta que li Centrale hydro lectrique O Eolienne O Installation fonctionnant au biogaz Situation au 29 1 2007 2 5 8 Le service Bruit Pour satisfaire aux exigences internationales en mati re de bruit dans l environnement le service bruit a particip des r unions dans le cadre de la directive 2002 49 CE du 25 juin 2002 relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement En ce qui concerne la directive 2002 49 CE du 25 juin 2002 relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement celle ci a t transpos e en 2006 en droit national plus pr cis ment par le r glement grand ducal du 2 ao t 2006 Elle a pour objet de d velopper dans toute la communaut europ enne une m thode unique concernant la d termination et l valuation des nuisances de bruit en provenance des infrastructures routi res ferroviaires et a roportuaires Dans ce cadre des cartes de bruit strat giques doivent tre r alis es pour 2007 au plus tard montrant la situation pour tous les grands axes routiers dont le trafic d passe six millions de passages de v hicule par an tous les grands axes ferroviaires dont le trafic d passe 60 000 passages de train par an et tous les grands a roports situ s sur leur territoire Le service bruit a entam la r a
155. ont pu tre achev s totalisant une longueur de quelque 17 km S ajoute cela 6 projets en voie de r alisation respectivement dont l arpentage et le devis ont t tablis Projets termin s For t soumise Propri taire Commune lieu dit Boulaide Milscht Aschent Mertzig Schwaarzebour Pr izerdaul Iedert Rambrouch Horkigt Rambrouch Neie Weier Wahl Masseb sch Wiltz Hermeschterbaach Total m Co t total Propri taire Domaine lieu dit Clervaux Golf Clervaux In der Ewigen Clervaux Parc de Clervaux Clervaux Schlaed Haute S re Nord Iewescht Schlaedchen Haute S re Nord Scheed Haute S re Sud Um Rank Hosingen Domaine Parc Hosigen Wiltz A R pst Total m Co t total Longueur 2 100 350 250 1 400 250 1 400 6 650 Travaux Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Longueur 800 400 1 000 550 3 500 800 800 300 300 8 450 128 523 19 33 km Travaux Nouveau Nouveau Elargissement Empierrement Nouveau Elargissement Empierrement Elargissement Empierrement Nouveau Nouveau Elargissement Empierrement 114 741 13 58 km Projets termines For t priv e
156. part un concours avec de nombreux prix caract re didactique la cl Par la suite deux conf rences illustr es sur le th me de la chauve souris ont t visionn es pour les personnes int ress es dans l enceinte du ch teau de Clervaux Simultan ment une retransmission en direct de la colonie de Grands Murins colonisant l cole de musique a t pr sent e l aide de cinq cam ras infrarouges La soir e s est termin e vers minuit dans les alentours de l cole et de l glise avoisinante pour y observer l envol et la chasse nocturne de ces chiropt res l aide de d tecteurs ultrasons Comme chaque ann e cette manifestation organis e dans tous les pays signataires de l accord de Londres a connu un grand succ s avec la participation d environ 300 personnes dont quelque 150 enfants Sensibilisation du public en mati re de chauves souris 1 Au cours de l ann e 2006 l Administration des Eaux et For ts est intervenue plusieurs douzaines de reprises aupr s de particuliers priv s et ou tatiques communaux pour des raisons de sensibilisation en mati re de chauves souris Cette sensibilisation entam e maintenant depuis quelques ann es commence porter ses fruits la croissance r guli re des demandes de services des instances concern es dans ce domaine des chauves souris en t moigne La plupart des personnes priv es concern es sentaient de par la pr sence des chauves souris
157. permanent forestier Action cl 14 renforcer la coordination entre les diff rents domaines politiques pour les questions foresti res Action cl 15 appliquer la m thode ouverte de coordination MOC aux programmes forestiers nationaux Action cl 16 renforcer la position de l UE dans les actions internationales li es aux for ts Action cl 17 encourager l utilisation de bois et autres produits forestiers provenant de for ts faisant l objet d une gestion durable Action cl 18 am liorer l change d informations et la communication Le Plan a une dur e de 5 ann es 2007 211 Une valuation mi parcours est pr vue en 2009 et une valuation finale en 2012 avec un rapport au Conseil et au Parlement Le CPF est l organe de coordination Il s agit d un plan d action coh rent bas sur une vision int ressante et sur un nombre raisonnable et limit de priorit s Ceci permet une bonne visibilit des diff rentes actions et un message clair vers l ext rieur du secteur forestier et vers l ensemble de la communaut internationale Le PAF est bien quilibr en couvrant les 3 piliers du d veloppement durable Il met surtout l accent sur l am lioration de la comp titivit du secteur et sur une meilleure coordination et communication points identifi s comme pr sentant le plus de probl mes au sein de TUE Dans le cadre de la mise en uvre de son Plan d Action Forestier le Luxembourg a d j lanc un ce
158. piles et d accumulateurs sont principalement collect s dans le cadre de la SuperDrecksK scht Certaines quantit s sont galement collect es par des communes En 2004 105 565 tonnes de d chets de piles et d accumulateurs portables ont t collect s Ceci correspond une quantit de 233 grammes par habitant Pour l instant des donn es concernant les quantit s de piles et d accumulateurs mis sur le march ne sont pas encore disponibles D s lors un taux de collecte peut tre calcul sur base des quantit s de d chets de piles et d accumulateurs contenus dans les d chets r siduels Ces quantit s ont t d termin es dans le cadre de l analyse des d chets r siduels effectu e en 2004 2005 Le taux de collecte ainsi calcul est de 62 3 Dans l hypoth se que les quantit s de piles et d accumulateurs mis sur le march au Luxembourg correspondent aux m mes quantit s que celles mises sur le march en R publique F d rale d Allemagne un taux de collecte de 57 9 peut tre estim D s lors on peut raisonnablement admettre que le Luxembourg respecte d ores et d j les taux minimums de collecte impos s par la directive pour 2016 3 moyenne annuelle des ventes en RFA pour les ann es 2003 2005 33 406 tonnes soit 404 g habitant d apr s Dr J rgen Fricke GRS Batterien How to achieve the collection target 11 International Congress for Battery Recycling 28 30 juin2006 Interla
159. plantations Brucherhaff et Moserhaff Ettelbruck suivi de la gestion de la pelouse calcaire Lopert Feulen r alisation d un parking cologique en 2006 Junglinster gestion et entretien de haies cadastre des haies et arbres solitaires Lintgen projet de plantation et d entretien des vergers et arbres fruitiers Lintgen am nagement du Steilsbaach au lieu dit Didendall Lorentzweiler Action Bongerten Rosport gestion des pelouses calcaires Hoelt et Girst Rosport conservation et entretien d arbres fruitiers Tandel plantation et entretien de haies et arbres Vianden am nagement d un sentier botanique 267 Restauration d arbres remarquables En 2006 les restaurations d arbres remarquables suivantes ont t effectu es e expertise et divers travaux concernant les arbres dans le parc du Ch teau de Schoenfels Plantations dans le cadre de la campagne de la cr ation de biotopes en zone verte En 2006 l Arrondissement CN Centre n a pas effectu de plantations Travaux de gestion dans les r serves naturelles e _ Mandelbaach Hollenfels abattage de r sineux e o Weimericht Junglinster suivi scientifique de l volution de la flore des pelouses s ches entretien et r paration des cl tures e o Amberkneppchen Junglinster surveillance et contr le du pacage surveillance de la population d Orchis morio et du gen vrier entretien et r pa
160. plus en vertu du principe de subsidiarit la responsabilit des mesures en faveur du paysage incombe aux pouvoirs publics de niveaux local et r gional et pas seulement de niveau national et international La loi du 24 juillet 2004 portant approbation de cette convention a transpos les dispositions de cette convention en droit interne La mise en uvre des actions requises au niveau national sera effectu e pour l essentiel dans le cadre de l laboration du plan sectoriel dont question au point 1 1 8 1 1 1 9 L instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG L objectif g n ral du cr dit inscrit l article 15 0 33 005 du Minist re de l Environnement et dot de 145 000 est d encourager les activit s des ONG et des fondations d utilit publique uvrant dans le domaine de la protection de l environnement au niveau national par leur contribution la r alisation de la politique nationale et communautaire dans le domaine environnemental 13 Les projets ligibles doivent se situer dans le cadre des priorit s de la politique gouvernementale en mati re de protection de l environnement humain et naturel et de d veloppement durable savoir la sauvegarde de la diversit biologique la lutte contre le changement climatique l am lioration de la qualit de l air la r duction des d chets l utilisation rationnelle et la protection du sol l int gration de la dimensi
161. polyester par l usine DuPont Teijin Films ne correspondait plus la meilleure technique disponible La soci t a introduit un dossier de demande d autorisation pour moderniser les r servoirs en question Le projet de modernisation a t autoris en 2006 De plus la soci t DuPont de Nemours Luxembourg a introduit un dossier de demande d autorisation concernant deux nouvelles lignes de production pour le produit Hytrel 2 4 12 Service Transports et approvisionnement Pendant l ann e 2006 116 dossiers de demande d autorisation ont t trait s Il s agit d un c t de dossiers qui ont abouti une autorisation minist rielle mais aussi de dossiers qui ont t cl tur s cause de d passements de d lais de dossiers annul s ou de demandes introduites en vertu de l article 6 comme modification non substantielle mais qui ont t jug es substantielles par l administration Ce chiffre inclut aussi les dossiers introduits en vertu de la l gislation relative aux tablissements class s pr c dant celle du 10 juin 1999 En 2006 151 nouveaux dossiers ont t introduits Presque la moiti 76 de ces dossiers concernait des modifications sur certaines stations services comprenant notamment une nouvelle r partition des capacit s existantes des r servoirs respectivement d essence et de gasoil en faveur d un deuxi me produit gasoil dit nouvelle g n ration C est par ailleurs d au fait
162. potentiellement pollu s l inventaire des r servoirs mazout existants enlev s ou d saffect s a t poursuivi Le graphique ci apr s montre l tat d avancement de ce relev Verdachtsfl chenkataster Luxemburg H Status der Bearbeitung pro Gemeinde f omamne a Stand 23 Januar 2007 EB Heiz lltankliste noch nicht erstellt Heiz lltankliste vorhanden noch nicht aufgearbeitet Heiz lltanks erfasst 146 En 2006 l Administration de l Environnement a t saisie de 6 cas de pollutions du sol en relation avec des r servoirs mazout L administration a organis une table ronde avec les acteurs concern s dans le but d am liorer la pr vention et la prise en charge de ces pollutions chez les particuliers Le groupement des syndics professionnels les installateurs les soci t s qui livrent le mazout et les organismes agr s ont particip la table ronde L association des compagnies d assurances n a pas pu participer c est pourquoi une entrevue particuli re a t sollicit e avec elle Suite cette table ronde un groupe de travail interne a t cr pour donner suite aux dol ances et aux id es formul es cette occasion Le Minist re de l Environnement et diff rents services de l Administration de l Environnement sont repr sent s dans ce groupe de travail 2 6 17 3 Quelques cas de sites contamin s A la suite quelques cas particuliers des sites contamin s trait s par l
163. pour am nager un tunnel sous l ancien site d Arbed Belval pour r aliser la liaison Esch Alzette Micheville Phase I Dans le cadre de ce chantier les mat riaux inertes non contamin s sont pr vus d tre concass s et cribl s Cette activit n cessite des autorisations en vertu des l gislations commodo et d chets Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 21 juillet 2005 et nous ont t envoy es en date du 25 juillet 2005 L arr t minist riel couvrant les activit s en question a t d livr en date du 30 janvier 2006 Dossier C I N 1 05 0279 Dossier D chets N 05 PT 09 En date du 29 juillet 2005 la DexiaBIL a fait mtroduire un dossier de demande pour obtenir les autorisations n cessaires en vu de r aliser l extension de son b timent Belval Ouest Dans le cadre de ce chantier des fondations en b ton et autres mat riaux ont d tre enlev s et concass s cribl s et tri s sur place Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 6 septembre 2005 Elles nous sont parvenues en date du 21 septembre 2005 L activit du concassage criblage tant une activit tombant sous le r gime de la l gislation concernant la pr vention et la gestion des d chets une autorisation aff rente a t d livr e en date du 19 mai 2006 Dossier C I N 1 05 0298 Dossier D chets N 05 PT 10 En date du 5 ao t 2005 l entreprise Gottscholl Alcuilux avait introduit un dossier de d
164. projet contient une superficie de 73 ha laquelle appartient int gralement la commune de Mompach Etat d avancement Le 4 janvier 2006 une pr sentation du projet de r serve foresti re int grale RFI Hieberb sch a eu lieu devant le conseil communal de Mompach Le but principal de cette pr sentation tait de discuter avec la commune des deux propositions de d limitation pour la future RFI lesquelles leur avaient t soumises auparavant Le 20 janvier 2006 le conseil communal de Mompach a d cid de participer avec une partie de sa for t communale au projet de r serve foresti re int grale A la suite de cette d cision un bureau d tudes a re u comme mission d tablir un dossier de classement Une r union de d marrage du projet a eu lieu la commune de Mompach Autres projets de r serves foresti res int grales RFI en cours Le 15 f vrier 2006 le projet de la r serve foresti re int grale Houbierg a t pr sent devant le conseil communal de Beckerich Ce projet de zone prot g e se trouve sur le territoire de la commune de Hobscheid et de Beckerich et est essentiellement constitu de h traies cath drales 3 3 6 2 Autres activit s dans le domaine du projet Naturb sch Le projet de r serve foresti re int grale a t pr sent devant la section locale de la LNVL de Leudelange en date du 7 f vrier 2006 Cette section est particuli rement int ress e ce projet tant donn que les r
165. relative l valuation et la gestion des inondations telle qu elle a t pr sent e par la Commission en janvier 2006 L objet de la proposition de directive est de pr venir et limiter les inondations et leurs cons quences dommageables pour la sant humaine l environnement les infrastructures et les biens Elle impose aux Etats membres de proc der des valuations pr liminaires afin de d terminer les bassins hydrographiques et les zones c ti res associ es qui sont expos s un risque d inondation d tablir des cartes des risques d inondation et des plans de gestion des risques pour ces zones Elle transpose au niveau communautaire le r gime institu par des trait s et applicable aux bassins hydrographiques internationaux 27 CONCLUSIONS CLIMAT Les conclusions de m me que les discussions lors du d jeuner minist riel ont port sur le suivi de la COP 11 de Montr al d cembre 05 qui a adopt un plan d action Le d jeuner minist riel tait galement consacr un change de vues sur les programmes nationaux d allocation des quotas d mission de gaz carbonique laborer par les Etats membres pour la p riode 2008 2012 ceci sur base notamment du rapport de la Commission de d cembre 2005 sur les progr s r alis s dans la mise en uvre de l objectif assign la Communaut par le Protocole de KYOTO et de la communication de la Commission de janvier 2006 t
166. renouvel s 13 arr t s ont t modifi s et 2 demandes ont t refus es Domaine d activit Organismes u u S Extensions nompre nouveaux renouvel s modifi s d agr ments Substances dans le l 9 2 12 milieu gazeux missions d ondes 12 1 13 Substances dans les 7 2 S 9 milieux liquide et solide Dechets 2 17 7 26 Etudes d impact 2 33 5 40 Receptions relatives aux autorisations 3 26 7 3 39 d exploitation Management environnemental et 3 1 4 audit Verification de d clarations 4 2 6 d missions de gaz Contr les SEVESO 1 1 39 Liste des organismes agr s au 1 f vrier 2007 en vertu des dispositions de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement ne SE SS ae AB 31 03 2007 B 1050 Bruxelles F 32 23462099 E2 E3 ACUSTICA 2000 Bureau d Acoustique Dominique Pleeck 32 23542226 B1 B2 31 03 2009 Avenue Marie Louise 61 32 23513390 E2 so B 1410 Waterloo A sauf A14 A22 A34 A4 A5 AIB VINCOTTE B1 B2 B31 LUXEMBOURG A S B L T 352 481858 1 31 03 2008 74 M hlenweg F 352 491006 1 D1 D2 D3 D4 D5 31 03 2009 L 2155 Luxembourg E sauf E7 E8 F1 F2 F3 G1 ANALYTICO MILIEU B V Gildeweg 4
167. sanitation and similar activities Wholesale of waste and scrap Recycling Other economic activities services Construction Electricity gas and water supply Manufacture n e c Manutacture of machinery and equipment n e c Manufacture of electrical and optical equipment Manufacture of transport equipment mi Manufacture of basic metals and fabricated metal products Manufacture of other non metallic mineral products Agriculture hunting and forestry o 50 100 150 200 250 300 350 400 450 500 En ce ci concerne la production de d chets dangereux les plus grandes quantit s sont produites par le secteur de la sid rurgie 56000 tonnes les services tertiaires 26000 tonnes la construction 17000 tonnes et l assainissement 16650 tonnes Hazardous waste produced in 2004 by economic activity Manufacture of chemicals chemical products and man made fibres Manufacture of rubber and plastic products Manufacture of pulp paper and paper products publishing and printing Manufacture of wood and wood products Manufacture of textiles and textile products Manufacture of leather and leather products Manufacture of food products beverages and tobacco Mining and quarrying Waste generated by households Sewage and refuse disposal sanitation and similar activities Wholesale of waste and scrap Recycling Other economic activities services Construction Electricity gas and water supply
168. sera poursuivie en 2007 par la phase contr le des sites 2 4 5 Acc s du public l information en mati re d environnement Dans le cadre de la loi du 25 novembre 2005 concernant l acc s du public l information en mati re d environnement entr e en vigueur le 1 janvier 2006 50 demandes ont t soumises la Division des tablissements class s au cours de l ann e 2006 Il s agit essentiellement de demandes de copies d arr t s minist riels d tudes de tout genre de parties de dossiers de demande ou de dossiers de demande complets Les demandes de consultation de dossiers dans les locaux de l Administration de l Environnement sont plus rares Dans la plupart des cas les demandes manent de bureaux d tudes d architectes et autres ayant besoin des informations soit dans le cadre de l tablissement d un nouveau dossier de demande au nom et pour compte d un de leurs clients soit pour l tablissement d une tude concernant le site faisant l objet d un arr t minist riel d un dossier de demande ou d une tude ant rieure 51 En r gle g n rale les demandes sont trait es end ans quelques jours et les documents requis sont envoy s au demandeur par simple courrier Lorsqu il s agit d une demande de consultation d un dossier dans les locaux de l Administration de l Environnement plusieurs dates sont propos es au requ rant parmi lesquelles ce dernier pourr
169. sport et de tourisme entreront en ligne de compte Au del des consid rations d velopp es ci dessus le plan sectoriel vise prot ger des espaces libres Freir ume en tant qu l ments structurants en termes d am nagement du territoire 11 En outre de consid rations visant d finir des statuts de protection pour divers ensembles paysagers le plan sectoriel vise proposer une strat gie de d veloppement des paysages luxembourgeois Ce faisant il constitue un instrument contribuant l ex cution de la Convention europ enne du paysage Une telle strat gie ne peut cependant tre table que dans le cadre d un processus de concertation dans lequel seront impliqu s les divers acteurs exer ant des incidences sur les paysages C est ici qu interviennent d une part les r sultats issus du processus participatifs mais aussi la confrontation avec l utilisation du paysage telle que r sultant de la mise en uvre des 3 autres plans sectoriels en cours d laboration Par ailleurs le concept de d veloppement des paysages sera tabli sur base d objectifs et de lignes directrices Leitbilder de d veloppement pr tablis C est ainsi que sur base des crit res d terminant leur statut de protection ainsi que sur base des tendances actuelles d volution du paysage et dans le respect des utilisations existantes du paysage par l agriculture la sylviculture etc des tendances d volution pourront
170. syst me e Comptes Economiques Forestiers lancement de la compilation des comptes conomiques forestiers notamment pour les ann es 2004 et 2005 les donn es provenant des formulaires statistiques collect s aupr s des pr pos s forestiers sont en attente de validation e D clarations mensuelles au syst me Intrastat servant de base aux statistiques sur le commerce intra communautaire Les d clarations sont jour jusque octobre 2006 et cl tur es e Elaboration des Frais de Gestion pour l exercice 2003 e Mise jour des tableaux statistiques concernant les th mes des ressources et productions foresti res de la publication annuelle Annuaire statistique du STATEC e Participation la publication Le Luxembourg en Chiffres du STATEC par la fourniture de donn es statistiques foresti res mises jour Ces donn es ont t transmises courant 2006 e Pr paration du questionnaire annuel Joint Forest Questionnaire 2006 r alis par Eurostat V UNECE la FAO et l ITTO chiffres demand s production foresti re et quantit s enlev es de bois ronds commerce du secteur forestier importations exportations commerce du secteur forestier ouvrages en bois transform s et papiers transform s e Pr paration et envoi du questionnaire MCPFE en vue de la 5 me Conf rence des Ministres sur la Protection des For ts en Europe 291 De nombreuses t ches en plus des travaux courants relatifs la statistique f
171. t adress es aux communes et tablissements publics titre de participation aux frais de gestion des ouvriers forestiers L application SALAIRES s est vue rajouter une nouvelle fonctionnalit savoir l informatisation des donn es relatives la gestion du cong des ouvriers forestiers Les pr pos s forestiers disposent dor navant d un outil de travail uniforme pour la saisie des cong s et heures suppl mentaires tout en permettant la Cellule Ouvriers forestiers d avoir une supervision globale sur l coulement des heures de cong pour le personnel ouvrier La lutte contre la peste porcine dont AEF apporte sa contribution par la gestion de centres de ramassages install s divers endroits du pays demande la prestation d un certain nombre d heures suppl mentaires tout au long de l ann e qui bien qu en tant en constante r gression restent avec 195 heures prest es en 2006 un niveau lev Les accidents de travail restent un ph nom ne pr occupant pour les services forestiers qui ont enregistr pas moins de 59 accidents au cours des douze derniers mois Ceci constitue une hausse de 11 unit s par rapport 2005 Avec une moyenne de 8 9 le taux annuel du cong de maladie reste lev m me si une l g re diminution de 0 3 a pu tre constat e par rapport 2005 Un taux annuel de 6 reste un objectif atteindre dans les deux ann es venir Dans le cadre de la sant au travai
172. t sont toutefois indicatives car elles r sultent d un grand nombre d observations L annotation de param tres descriptifs est galement utile et vient compl ter l information issue de l estimation quantitative L observation du type de r partition du bois mort permet de choisir la m thode d chantillonnage appropri e L indication des facteurs influen ant la pr sence ou l absence de bois mort permet d expliquer les causes qui y sont li es En g n ral ces donn s ont permis d tablir un lien troit avec les volumes estim s 3 3 13 Travaux divers Travaux de graphisme pour la brochure d Louhecken zu L tzebuerg Brochure au format 21 x 21 cm de 20 pages Expertise R daction d une expertise dendrom trique dans le cadre d une enqu te judiciaire bas e sur des travaux d inventaire de terrain et de photo interpr tation Borne multim dia Suite des travaux sur la borne multim dia pour le centre de d couverte de la for t au Burfelt e Identification des probl mes en relation avec la cam ra e Mise en place par la Cellule Informatique d un serveur sp cifique la gestion des donn es en provenance de la station m t orologique ainsi que d un ordinateur sp cifique pour la borne e D but des travaux de r daction d un article sur le changement climatique e Modification de l interface permettant d afficher les donn es m t orologiques en provenance de la station m t orologi
173. tables description pr cise de chaque variable de la base de donn es e am lioration de la lisibilit de la programmation des modules de traitement des donn es encod es commentaires ins r s dans le code informatique e am lioration de l identification des modules et fonctions essentiels A titre d information ce guide informatique finalis s inscrit en compl ment d information aux documents existants et d j fournis par le suivi scientifique e Conception et construction de la base de donn es de l inventaire forestier permanent du Grand Duch de Luxembourg convention 1999 e Guide de l utilisateur du module d encodage des donn es de l inventaire forestier permanent du Grand Duch de Luxembourg convention 2000 e Inventaire permanent du Grand Duch de Luxembourg Rapport final Programmation des rapports standardis s convention 2001 e Inventaire permanent du Grand Duch de Luxembourg Programmation des rapports sp cifiques convention 2001 Dans la continuit des travaux informatiques li s l IFL1 il est pr vu de d crire galement de mani re d taill les am nagements effectu s les nouvelles fonctionnalit s et les nouvelles possibilit s d exploitation des donn es principalement les rapports ayant permis la cr ation des tableaux et graphiques contenus dans la publication La for t luxembourgeoise en chiffres 212 Le guide informatique de l IFLI Le
174. trois r serves ont t balis s R serves naturelles Les travaux suivants ont t r alis s dans les r serves naturelles Triage de Dudelange entretien du sentier didactique entretien de pelouses s ches et des fronts de taille d broussaillage et fauchage 10ha entretien de plusieurs pelouses s ches en for t communale entretien de plusieurs plans d eau Triage de Sandweiler RN Birelergronn e entretien et balisage des sentiers e entretien des panneaux e r paration du mirador au point de vue Triage de Kiem e participation l laboration du dossier de classement Gr newald S LA S Syndicat Intercommunal pour l Assainissement de la Syre Dans le cadre de la coop ration avec le SIAS les triages de Sandweiler Niederanven Kiem et Hesperange se sont engag s dans la taille de haies l limination de r manents l entretien de la v g tation riveraine p ex taille de saules dans la vall e de la Syre dans le triage de Sandweiler ou le traitement d arbres remarquables Il faut galement noter que la collaboration g n rale entre le SIAS et les triages en ce qui concerne le soutien technique et l empreint de mat riel est exemplaire Am nagement et entretien de biotopes Triage de Dudelange e entretien de 3 vergers e entretien et plantation de haies entre des surfaces agricoles Triage de Bettembourg travaux d entretien dans 10 biotopes cr ation d une digue d tang 424 h
175. ts 273 Ci apr s le nombre de sangliers chantillonn s et indemnis s depuis 1999 Ann e budg taire 1999 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Nombre de sangliers indemnis s 630 2 050 3 800 3 100 2 400 2 025 3 5 2 Plan de chasse et marquage du gibier La base l gale pour l tablissement des plans de chasse aux esp ces cerf et chevreuil et le marquage du grand gibier est constitu e par le r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 3 5 2 1 Historique et volution de la r glementation e 1983 Introduction du plan de chasse pour l esp ce mouflon maxima e 1989 G n ralisation du plan de chasse introduction d un plan de chasse avec maxima pour les esp ces cerf m le et femelle chevreuil sans distinction de sexe et mouflon m le et femelle e 1997 Abolition du plan de chasse pour l esp ce mouflon e 2006 Diversification du plan de chasse pour l esp ce cerf par l introduction d une cat gorie suppl mentaire cerf faon 3 5 2 2 Nouvelles lignes directrices pour la chasse au cerf L introduction du nouveau dispositif suppl mentaire pour cerf faon c t des dispositifs existants CM pour cerfs m les coiff s et CF pour cerfs femelles biches et bichettes a t rendu n cessaire par la reformulation des lignes directrices pour la chasse au cerf En effet une approche plus scientifique est recherch e pour la chasse du cerf avec n anmoins des crit res simples de plan de tir
176. urbaines au Friedhaff En date du 13 septembre 2006 des informations suppl mentaires ont t envoy es au SIDEN l invitant compl ter son dossier Dossier C I 1 06 0421 Dossier D chets N 06 UC 01 Comme l arr t minist riel N 97 UC 01 d livr en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets venait ch ance en date du 19 septembre 2006 le SIDEN a introduit une demande de prolongation de cet arr t en date du 18 septembre 2006 Le projet d arr t de prolongation a t notifi l exploitant au pr alable en date du 2 octobre 2006 dans le cadre de la proc dure administrative non contentieuse En date du 20 d cembre 2006 l arr t minist riel N 97 UC 01 05 a t d livr au SIDEN prolongeant l arr t minist riel d origine jusqu au 17 septembre 2007 sous certaines conditions suppl mentaires Installations de co fermentation Installations g r es en coop rative Un dossier de demande de modification a t introduit en date du 3 janvier 2006 par un bureau d tudes pour pouvoir ajouter un silo d entreposage l installation de production de biogaz pr s de Hosingen Le dossier est en cours de traitement Dossier C I N 1 06 0055 Dossier D chets N 05 CF 05 01 En date du 11 avril 2006 un bureau d tudes a introduit un dossier de demande pour pouvoir modifier et agrandir le site de l installation de production de biogaz pr s de R dang
177. v ritables outils de communication concernant l habitat durable gr ce des visites encadr es de r alisations concr tes pour les architectes et professionnels de l habitat durable la r alisation de colloques sur les diff rents aspects de la probl matique li s l habitat durable et la mise en place d une exposition itin rante reprenant ce th me g n ral de l habitat durable La participation budg taire de Administration des Eaux et For ts aux actions 3 2 3 3 et 3 4 du projet est de 342 500 EUR La participation budg taire du Groupement des Sylviculteurs aux actions 1 1 1 2 1 3 2 1 et 3 1 du projet est de 621 595 EUR Ces participations sont financ es par le Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural L ensemble des activit s est encadr techniquement par un bureau d tudes sp cialis dans le domaine En 2006 l Administration des Eaux et For ts a r alis 4 activit s majeures dans le cadre des actions 3 2 et 3 4 du projet deux visites de r alisations en bois et bois nergie Penser For t Agir Bois le colloque REGARDS CROISES le bois et ses alli s dans la construction De plus le site WEB des Routes du Bois www lesroutesdubois lu a t mis jour r visions des r alisations cr ation des suggestions et diff rents publics cibles ont t contact s feuillet sp cial pour les coles 162 3 1 13 1 Visites de r alisations Penser For t
178. 01 2002 2003 2004 2005 2006 Au 31 d cembre 2006 le nombre total des entreprises rattach es la SuperDrecksK scht Dr Betriber s est lev 2258 Ceci repr sente une augmentation de 318 entreprises soit 16 4 par rapport l ann e pr c dente De facto le nombre total des entreprises qui ont nouvellement adh r la SuperDrecksK scht fir Betriber en 2006 s l ve 385 En effet au cours de la m me ann e 67 entreprises rattach es ont arr t leurs activit s Le tableau et le graphique suivant montrent le nombre des entreprises rattach es en fonction du nombre des employ s 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 1 9 employ s 376 438 432 470 524 570 749 830 10 19 employ s 119 139 170 197 229 304 358 438 20 49 employ s 83 100 159 203 239 314 405 468 50 99 employ s 24 34 60 84 108 131 178 223 gt 100 employ s 28 48 97 128 160 196 250 299 Total 630 759 918 1082 1260 1515 1940 2258 100 90 80 70 60 50 40 30 20 10 1999 2000 2001 SuperDrecksK scht fir Betriber Evolution de la r partition des entreprises en fonction du nombre de leurs employ s CE B gt 100 employ s 050 99 employ s 020 49 employ s E 10 19 employ s m1 9 employ s 2002 2003 2004 2005 2006 Les petites entreprises qui occupent moins de 10 employ s repr sentent avec un taux de 36 8 toujou
179. 09 JMM 8 Un exp ditionnaire technique est comptabilis mais ne fait l objet que d un d tachement 9 Un agent est plac hors cadre 3 1 6 3 La gestion des bureaux des pr pos s forestiers En ce qui concerne la situation des bureaux des pr pos s forestiers diff rentes cat gories peuvent tre d finies savoir les bureaux uniquement domicile les bureaux mis disposition par une administration tatique les bureaux mis disposition par une administration communale ou par des secteurs autres que le secteur des administrations publiques Certains pr pos s disposent d un second bureau domicile Fin d cembre 2006 les cat gories peuvent tre subdivis es comme suit Cat gorie de bureau Nombre bureau uniquement domicile 15 bureau mis disposition par une administration tatique 13 bureau mis disposition par une administration communale 31 bureau mis disposition par des secteurs autres que le secteur des 2 administrations publiques 152 Les pr pos s forestiers disposant d un second bureau domicile sont au nombre de deux Afin de r mun rer les diff rentes administrations communales et les secteurs autres que le secteur des administrations publiques mettant disposition un bureau un pr pos forestier l Administration des Eaux et For ts a initialis en collaboration avec la Commission des Loyers la prise en location par Eat de ces bureaux depuis
180. 1 MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 1 La politique g n rale du Minist re de l Environnement 1 1 1 1 Application et int gration du principe de d veloppement durable 1 1 1 2 L Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal 4 1 1 3 L information et la sensibilisation du public 4 1 1 4 N gociations internationales dans le domaine des changements climatiques 5 1 1 5 Les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables 6 1 1 6 La protection de la nature et des ressources naturelles 7 1 1 7 La promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel 9 1 1 8 Mesures et instruments en mati re de protection du paysage 10 1 1 9 L instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG 13 1 2 Fonds pour la Protection de l Environnement 14 1 2 1 R partition des d penses pour 2006 du Fonds pour la Protection de l Environnement 14 1 2 2 Le comit de gestion du fonds pour la protection de l environnement 15 1 3 Statistiques de l Environnement 16 1 4 Service Informatique 18 1 4 1 Projet SIGenv2 Syst me d information g ographique de l Environnement 18 1 4 2 Projet Site Internet Portail de l Environnement 19 1 4 3 Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature 20 1 4 4 Projet WebHeBa Hecken amp Baamkadaster 20 1 4 5 Projet Intranet Minist re de l Environnement 20 1 4 6 GIS Mise dispo
181. 1 1 114 28 22 0 78 18 3 44 9 2004 19 2 114 10 3 2 7 24 1 48 18 8 50 9 2005 19 8 11 9 10 3 3 2 24 6 49 18 8 51 9 Quantit s sp cifiques par habitant 60 24 6 19 8 18 8 E kg par an et par habitant 11 9 10 3 Ei NN N E Z A Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques Bois charg s D chets D chets D chets inertes probl matiques encombrants m 1998 1999 m2000 2001 m2002 m2003 m2004 2005 La quantit annuelle moyenne de tous les d chets d pos s par habitant des zones d attraction des 21 r Z r parcs conteneurs a augment de 156 kg pour l ann e 2004 160 72 kg pour l ann e 2005 3 0 Tonnes Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques D chets inertes Autres D chets probl matiques D chets encombrants Quantit totale 1999 5185 60 2330 66 2817 65 1038 55 10202 57 7657 24 938 91 4841 74 35012 92 2000 6082 25 2907 33 3427 56 957 49 13890 72 11974 01 1041 66 6169 33 46450 35 2001 6235 63 3202 19 3560 07 921 29 14455 49 12166 24 1280 73 6706 87 48528 51 2002 6958 63 3491 18 4027 26 991 63 16388 57 12422 25 1706 66 6670 71 52656 89 2003 7205 80 4217 95 4328 79 1060 09 17098 48 13013 59 3024 26 6966 41 56915 36 2004 7649 20 4531 70 4102 81 1089 21 20225 88 15041 32 1906 41 7474 84 62021
182. 2 9 Police GD l 1 Employ 5 5 1 5 l 1 0 5 4 13 5 c27 c sup 1 C28 1 2 c moy 0 5 c29 1 C30 0 2 C31 ai c inf l c32 0 5 C33 3 C34 4 5 KREESSER RE EES ES EECH EE Tota 30 55 70 75 3 10 10 13025 eo de ee ae Remarques 1 Un ing nieur de la direction jouit d un cong mi temps allant du 28 4 04 au 15 9 09 Le 20 me ing nieur a t admis au stage d ing nieur le ler septembre 2006 2 Le pr pos forestier mis en retraite le 1 3 2005 RF n avait pas encore t remplac fin 2006 3 L employ S d missionnaire en 2006 n avait pas encore t remplac fin 2006 4 Une r dactrice jouit d un temps partiel de 75 5 61 pr pos s sont titulaires d un triage 12 pr pos s forestiers se trouvent en stage 4 ont t nomm s le ler mai 2006 les 8 autres stagiaires l ont t le ler janvier 2007 un est attach un cantonnement Les pr pos s titulaires d un triage contribuent en dehors de leurs missions traditionnelles l instruction des dossiers CN et fournissent une part dominante dans l estimation des d g ts caus s par le gibier Attention sur les 61 triages forestiers 4 triages sont actuellement inoccup s 6 Un employ carri re A travailleur handicap JK Un employ carri re B1 travailleur handicap RK Un employ trav hand MP et un employ D SST engag s le 1 11 2006 en CDI 7 Un r dacteur jouit d un cong mi temps du 1 10 2004 au 30 9 20
183. 228 ateliers pour le travail des marbres 241 travail des m taux 249 moulins c r ales 258 fabrication d outils et 267 application de peintures Ne sont consid r es comme zone d activit commerciale artisanale et industrielle que celles d ment autoris es en vertu de la l gislation sur les tablissements class s En effet les zones d activit en tant que telles sont galement reprises dans la nomenclature des tablissements class s sous le point 363 Par cons quent ces zones sont galement soumises autorisation pr alable en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La cr ation respectivement l am nagement d une telle zone figure dans la nomenclature pr cit e comme tablissement de la classe 1 Une demande relative la cr ation d une nouvelle zone doit par cons quent tre soumise une enqu te publique Les autorisations concernant les zones d activit s comprennent des conditions d am nagement et d exploitation jug es n cessaires pour la protection des int r ts vis es l article ler de la loi Lorsqu un tablissement artisanal tel que d fini par la nomenclature s installe dans une zone d activit s autoris e le Ministre de l Environnement dispose de toutes les informations pour juger si l impact sp cifique de cet tablissement n aura pas d effets n gatifs sur les alentours imm diats Le r pertoire des zones ind
184. 31 75 ares ont t acquis pour un prix total de 6 906 83 dans l int r t du remembrement et de zone prot g e 3 4 1 4 Information du public en mati re de la conservation de la nature Organisation et activit s diverses Le Panda Club est patronn par le Mus e National d Histoire Naturelle l Administration de l Environnement l Administration des Eaux et For ts et le Service National de la Jeunesse Le Service de la Conservation de la Nature est membre du conseil d administration du Panda Club Le Panewippchen organe de liaison du Panda Club et journal sur la protection de la nature pour jeunes est support financi rement par le Service de la Conservation de la Nature en raison d un num ro sur quatre publi s Campagne d information Ech kommen r m Benny de Biber Dans le cadre du retour probable du castor au Grand Duch de Luxembourg le Service de la Conservation de la Nature a poursuivi ensemble avec le Minist re de l Environnement la campagne d information Ech kommen r m Benny de Biber Les actions suivantes ont t r alis es e communication sur le castor dans le magazine du Groupement des sylviculteurs 251 e plusieurs actions de plantation de saules avec l aide de classes d coles primaires dans le cantonnement de Grevenmacher respectivement une action sur la Haute S re en collaboration avec notamment le Parc Naturel de la Haute S re e plusieurs actions d enl vement de r s
185. 35 dossiers approuv s e 1185 dossiers non cl tur s e 216 dossiers abrog s Les 1185 dossiers en voie de traitement se composent principalement de 447 dossiers pour lesquels un ppgd un rapport annuel ou une r vision ont t demand s 272 dossiers pour lesquels le ppgd est exig 6 mois apr s le d but de l exploitation 393 dossiers pour lesquels des informations suppl mentaires ont t demand es 73 dossiers ouverts pour des raisons diverses Le tableau ci dessous indique l volution du nombre de dossiers par an enregistr s dans la banque de donn es 1995 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2006 En 2006 Dossiers ppgd 101 246 229 291 278 291 252 275 262 287 Dossiers rapports annuels 0 6 7 17 36 76 87 101 138 Dossiers r visions de ppgd 13 27 14 11 33 58 i 101 246 235 298 308 354 342 373 396 483 101 Nombre d tablissements enregistr s par an dans la base de donn es 2 6 15 2 Les plans de pr vention et de gestion des d chets examin s en 2006 En 2006 la Division des d chets a examin 287 dossiers de demande d autorisation introduits en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s qui n cessitaient un plan de pr vention et de gestion des d chets d apr s les articles 21 et 22 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 141
186. 36 2005 7975 37 4788 09 4170 98 1286 97 20943 52 16109 82 1997 34 7604 58 64876 65 R partition en de poids des fractions de d chets collect es dans les parcs de recyclage en 2005 D chets encombrants Papier Carton D chets probl matiques 11 7 12 3 3 1 Verre creux 7 4 M taux 6 4 ati res plastiques Autres 2 0 24 8 D chets inertes 32 3 quantit au total 64 876 65 tonnes En analysant la r partition en pourcentage de poids des diff rentes fractions de d chets collect es dans les parcs conteneurs en 2005 on ne peut pas observer des changements importants par rapport l ann e pr c dente En appliquant une pond ration sur le poids total surtout les d chets divers 0 5 et les mati res plastiques 0 2 ont augment contre les d chets encombrants 0 4 et d chets inertes 0 3 qui ont perdu du terrain par rapport 2004 98 Une presentation plus d taill e des donn es sur les quantit s de d chets collect s dans les parcs conteneurs est disponible sur le site Internet www environnement public lu d chets statistiques et indicateurs activit s des parcs conteneurs Les graphiques suivants montrent une analyse des fractions des d chets lectriques et lectroniques collect s dans les parcs conteneurs Composition en de poids des d chets lectriques lectroniques collect s dans les parcs de recyclage e
187. 4 46 T 31 0342426300 C3 C4 C5 C6 C7 C8 31 03 2007 PB 459 F 31 0342426399 D2 NL 3770 AL Barneveld ARGUMET BAHMANN amp SCHMONSEES GbR T 49 02443 8246 B ro West F 49 02443 E1 E6 31 03 2007 Feyerm hler Strasse 12 901880 D 53894 Mechernich ASMUS PRABUCKI T 49 020172085 Ingenieure Beratungsgesellschaft m b H 0 Wittenbergstrasse 12 F 49 020172085 SES SE D 45131 Essen 99 AST ENVIRONNEMENT S A R L T 352 021227624 D3 1 rue de Nassau F 352 471036 E6 31 03 2009 L 2213 Luxembourg ATOS ENVIRONNEMENT C1 A roport Nantes Atlantique T 33 240131200 Rue Nungesser et Coli F 33 240052062 m 3193 2008 F 44860 Saint Aignan de Grand Lieu BASLER SCREEN T 41 443951111 E1 E2 E3 E4 E5 Zollikerstrasse 65 F 41 443951234 F3 31 03 2007 CH 8702 Zollikon PROF DR ING HARALD BEITZEL IBU Institut f r Bauverfahrens T 49 065029241 und Umwelttechnik 0 B2 Wissenschaftspark Trier F 49 065029241 E3 31 03 2097 Max Planck Strasse 16 18 D 54296 Trier B RANPS SE RE T 352 26531302 B1 B2 2 route d Arlon F 352 26531305 E2 E3 31 03 2009 L 8399 Windhof BIOMONITOR A12 A212 A321 A4 T 352 292030 C1 C3 96 boulevard de la P trusse 31 03 2007 F 352 290059 E5 L 2320 Luxembourg F3 40 BLASY DR DR BUSSE een G m b H T 49 081437901 D 82279 Eching am Ammersee PENSE und sauf C9 C10 AGROLAB
188. 55 soit une augmentation de 1 8 par rapport l ann e pr c dente L evolution du nombre de formulaires de mouvement accompagnement au cours des dix derni res ann es est reprise dans le graphique suivant Evolution du nombre des formualires de mouvement accompagnement 40000 35000 30000 25000 20000 15000 10000 8 H f 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 o En mati re d exportation de d chets l volution des quantit s au cours des trois derni res ann es en fonction des pays de destination est reprise dans le graphique suivant 127 Dechets exportes par pays seulement d chets soumis une proc dure de notification 200000 180000 160000 re e 140000 ko 120000 t 100000 80000 f 60000 40000 f 20000 0 Allemagne Autriche Belgi EK WS san France Pays Bas Les tableaux suivants d taillent les donn es suivantes selon les diff rents modes de valorisation ou d limination quantit s exprim es en kg Allemagne Mode de traitement 2004 2005 2006 D01 D03 D p t sur ou dans le sol p ex mise en d charge etc Injection en profondeur p ex injection des d chets pompables dans des puits des tangs ou des bassins etc 15102637 534916 6637652 91140 13497691 0 DOS Mise en d charge sp cialement am nag
189. 7 C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 E4 A11 A12 A13 A21 A2211 A2221 A23 T 352 547711 1 A31 A32 A33 LUXCONTROL S A B1 B2 1 av des Terres Rouges F 352 547711 266 C 31 03 2008 BP 349 Env D1 D2 D3 31 03 2009 L 4004 Esch sur Alzette F 352 547711 255 E2 E4 E5 E6 E8 E9 Lab F1 F3 G IM H1 LUXCONTROL A S B L 1 av des Terres Rouges T 352 547054 1 BP 350 F 352 540448 L 4004 Esch sur Alzette LUXENVIRONNEMENT S A Conseils amp Developpement Durable T 352 261114 1 D3 41 route d Arlon F 352 261114 30 F11 F13 L 8211 Mamer LUXPLAN S A D3 85 87 parc d activites Capellen T 352 306161 1 E4 E72 31 03 2008 Boite Postale 108 F 352 305609 F11 F13 31 03 2008 L 8303 Capellen D C sauf C9 C10 DEIEMIEZEMER T 49 682197180 D sauf D5 Gewerbepark 1 D 66583 Spiesen Elversberg EEN EEN 31 03 2008 31 03 2008 31 03 2007 MICROPOLLUANTS TECHNOLOGIE 5 impasse des Anciens Hauts Fourneaux T 33 0382882290 Zone industrielle du Gassion F 33 0382882294 A2212 E F 57100 Thionville MOBILE UMWELT ANALYTIK DR R FEGER T 49 078172105 E5 Schiessrain 11 F 49 078172105 F3 3103 2008 D 77652 Offenburg M NSTER ANALYTICAL T 49 SOLUTIONS 02519802400 Technologiepark M nster F 49 Mendelstrasse 11 D 48149 M nster EE NOVATEC G M B H ER D3 26 rue de Mondorf a SE E5 E6 E9 31 03 2007 L 5541 Remersch
190. 8 un contr le de l tablissement Laubach et Fils Echternach a eu lieu 139 R unions d information et visites En date du 13 mars 2006 une r union d information a eu lieu la commune de Dudelange pour pr senter le projet d un centre r gional pour la gestion de d chets pr vu sur le site des commune de Dudelange Bettembourg Roeser et Frisange Le centre r gional pour la gestion de d chets en question est pr vu pr s de l changeur de la collectrice du sud avec l autoroute de la Sarre En date du 14 mars une r union d information sur les travaux entrepris durant les derni res ann es au SIDEC a eu lieu avec le nouveau conseil chevinal de la commune d Erpeldange En date du 11 avril 2006 une visite de travail d une soci t allemande qui pr pare des d chets alimentaires en vue de les introduire dans des installations de co fermentation a eu lieu Cette visite a au lieu ensemble avec l Inspection v t rinaire l Inspection sanitaire et les autorit s allemandes En date du 9 mai 2006 une r union d information avec les responsables de la commune de Hosingen sur les activit s de l entreprise Weber pr s de Marnach a eu lieu En date du 19 juin une visite d information de centres r gionaux de gestion pour d chets inertes non contamin s a eu lieu avec les responsables communaux de Dudelange Bettembourg Roeser et Frisange En date du 28 juin 2006 une r union de concertation avec les responsables du Port de Merter
191. 8 56 18 6 Autres 10 6 39 88 3 99 6 6 84 690 9 17 1 5 Somme 100 1 000 4 100 923 43 100 La Ville de Luxembourg traite 37 des eaux us es le STEP 12 le SIVEC SIDEN et SIACH 10 chacun et le SIDERO 9 En fonction des eaux trait es on peut donc constater que le SIDERO a trop de d chets de d grillage et le SIVEC en n a pas assez 101 2 6 6 5 Le contr le des boues d puration Les boues d puration sont r guli rement en principe tous les deux mois chantillonn es par l Administration de l Environnement pour tre ensuite analys es en ce qui concerne leur valeur nutritive et les concentrations en m taux lourds Les r sultats d analyses sont disponibles l Administration de Environnement et sont galement rendu publics via le portail www emwelt lu Sont repris ci apr s quelques exemples KVO Reglement grand ducal du 14 avril 1990 valeur r recommand e Zink pH lt 8 3000 2500 2000 A Fe Z 1500 3 r i e 1000 500 0 SIACH SIDEN SIDERO SIVEC STEP Stadt Luxembourg brige Css Zink mitte a Zink max KVO Quecksilber pH lt 8 18 16 14 12 n 10 D D E 8 6 4 2 0 SIACH SIDEN SIDERO SIVEC STEP Stadt Luxembourg brige E Qecksilber mittel Em Qecksilber max K O 102 Cadmium pH lt 8 mg kg TS SIDEN SIDERO SIVEC STEP St
192. 800000 600000 400000 200000 0 D Service domicile o Actions particuli res m Centres de recyclag m Collectes mobiles 32 EN oO A 272 Le de Ke A D D EN d De PSS SSP FE S D E r o N Ne D D S S P E P S S e amp EN S d i Il faut constater qu en 2006 les collectes mobiles ont connu une nouvelle relance Si les quantit s collect es au cours des ann es 2004 et 2005 affichaient chaque fois une l g re r gression par rapport l ann e pr c dente les quantit s y collect es en 2006 ont augment de 10 61 par rapport 2005 Une volution identique a pu tre constat e pour le nombre des visiteurs En 2006 un nombre record de 50 367 visiteurs a t atteint soit la premi re ann e o le cap des 50 000 visiteurs a pu tre d pass SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des collectes mobiles isit k 60000 Ge 2 600000 50000 r 500000 40000 r 400000 30000 300000 20000 200000 10000 100000 Nombre de visiteurs aux collectes mobiles 0 0 t Quantit s collect es par 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 collectes mobiles 109 Sur base des quantit s sp cifiques remises par visiteur aux points de collecte mobiles de la SuperDrecksK scht fir Biirger on peut estimer la participation totale l ensemble de cette action 199 000 visiteurs
193. 92 377 34 pour ses travaux de plantation et de gestion d arbres fruitiers d arbres solitaires et de haies vives dans les communes de Schuttrange Niederanven Hesperange Sandweiler et Weiler la Tour Etudes Accompagnement agronomique du p turage itin rant laboration d un concept de monitoring pour la r serve naturelle Haard Dudelange laboration d un plan d am nagement pour le r serve naturelle a Haff R imech Remerschen laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle a auf Hierden Flaxweiler laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle a Kelsbach Grevenmacher laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle a am Bauch Foetz laboration d un plan d am nagement pour la r serve naturelle a Sonnebierg Walferdange Conception de pistes questres au Roudenhaff Differdange laboration d un projet d agriculture extensive T tange et Beidweiler Monitoring des interventions faites au Bofferdanger Muer Hautcharage laboration de plans de gestion annuels pour les pelouses s ches au sud du pays Inventaire des Acul ates Stechimmen dans la r serve naturelle Haard Dudelange Traitement des dossiers d autorisation En 2006 724 demandes d autorisation ont t trait es par le service CN Sud 264 Cantonnement forestier Nombre de dossiers Luxembourg
194. AT a pr sent l outil informatique EDAMIS qui doit d sormais tre utilis pour la transmission des donn es statistiques vers EUROSTAT En juillet 2006 les r sultats pour la premi re ann e de r f rence savoir l ann e 2004 ont t transmis EUROSTAT Les r unions au niveau europ en L Administration de l Environnement participe r guli rement dans les r unions du Technical Adaptation Comit TAC Bruxelles En 2006 le TAC s est r uni six fois dans le cadre des diff rentes directives europ ennes savoir e 3 r unions dans le cadre de la directive 2002 95 CE et 2002 96 CE DEEE et RohS e 1 r union dans le cadre de la directive 2000 53 CE VHU e 1 r union dans le cadre de la nouvelle directive 2006 66 CE batteries 2 6 1 2 Les activit s au niveau national La modification de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Le projet de loi 5508 a t avis par le Conseil d Etat et par les Chambres professionnelles A la suite divers amendements ont t propos s Les plus essentiels sont les suivants e prise en compte du pilier de la Convention d Aarhus concernant l acc s la justice en mati re de protection de l environnement par les organismes gouvernementaux e remplacement de l exclusion de certaines activit s de l obligation d autorisation par la mise en place d un syst me d enregistrement Ce dernier amendement est devenu n
195. Administration de l Environnement au cours de l ann e 2006 sont d crits Il s agit ici seulement d un chantillon et non pas d une liste exhaustive Les friches de Belval Ouest Le d veloppement du site de Belval Ouest a connu un moment d cisif en 2006 avec l inauguration du nouveau b timent administratif de Dexia Bil et avec l ouverture du site au grand public A nsi avec le creusement du tunnel pour la liaison Esch Micheville et le terrassement des souterrains de la banque les travaux d assainissement de la terrasse des hauts fourneaux ont d but Prochainement le chantier d assainissement de la parcelle qui accueillera un complexe commercial et administratif sera entam Le site de l ancien Laminoir de Dudelange Les tudes de pollution du sol du sous sol et des eaux souterraines ont mis en vidence un tat de pollution g n ralis sur l ensemble du site Trois zones particuli rement atteintes feront l objet d un plan d assainissement mettre en uvre court terme Un concept d assainissement global du site sera labor en concertation avec les futurs utilisateurs du site En outre des fortes concentrations de polluants ont t d tect es dans certains b timents Un plan d assainissement et de suivi des travaux de d molition sera tabli pour ces b timents L ancienne usine gaz situ e rue St Querin Grund Luxembourg Ville L tude pr liminaire de d termination et de quantification de la pollution du so
196. C et HCFC en particulier sur les quipements fixes ayant une charge de fluide r frig rant sup rieur 3 kg Un contr le annuel de ces installations doit tre tabli par des personnes ayant une qualification sp ciale Par ailleurs depuis mai 2006 le r glement europ en CE N 842 2006 relatif certains gaz effet de serre fluor s a pour objet la r duction des missions de HFC par l emp chement et la r duction des fuites en provenance des quipements frigorifiques Le r glement grand ducal modifi du 18 avril 2004 qui vise les missions de CFC HCFC et HFC met en uvre le syst me de contr le des fuites au Grand Duch du Luxembourg Le r glement stipule que e Les installations nouvelles et les installations existantes qui ont subi une transformation importante doivent tre r ceptionn es par les agents comp tents de la Chambre des M tiers e Les installations vis es doivent tre r vis es annuellement par un frigoriste disposant d un certificat de contr leur pour installations de climatisation et de r frig ration afin de d terminer le taux de fuites des installations e Les fuites ne doivent pas d passer 5 de la charge initiale au cours d une ann e e Une installation qui apr s des op rations de maintenance comprenant notamment une transformation importante ne respecte pas la valeur limite pour les fuites ne peut tre maintenue en service Au cours de l ann e 2006 la mise en place du syst
197. Cette application centralis e doit g rer les r gimes d aides pour la sauvegarde de la diversit biologique instaur s par le r glement grand ducal du 22 mars 2002 Elle remplacera une application Access devenue obsol te L ensemble des donn es de l Administration du Cadastre sera prochainement accessible via un g oportail appel eCadastre L interfa age du g oportail est bas sur un service Web En 2006 nous avons analys la possibilit de proposer les donn es g ographiques grand public de PAFF sur le g oportail de l ACT D autre part nous avons analys la possibilit d int grer le service web de l ACT dans les applications de l AEF En 2006 nous avons ouvert le syst me d information la nouvelle architecture DotNet Pour assurer la continuit du fonctionnement et la s curit des diff rentes applications nous avons d velopp un Framework sp cifique pour DotNet Ce framework a pour objectif principal de d finir les conventions de d veloppement et de s curit pour la r alisation d applications VB DotNet pour l Administration des Eaux et For ts Ce framework s adresse aussi bien l quipe de d veloppement interne qu aux prestataires de services informatiques externes 3 7 1 3 Acquisition installation et maintenance du mat riel informatique En 2006 54 nouveaux micro ordinateurs LIS Silent Pro Line et 2 portables Dell Latitude D610 ont t fournis
198. Everlange sur les champs d essais du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck et de la Centrale Paysanne Les rapports complets des deux essais sont disponibles aupr s de l Administration de l Environnement u KOMPOST IN GR NANLAGEN JR Demonstrationsversuche der Umweltverwaltung uf den Luxemburger Kompostanlagen vos j hrlich ber 50 000 Tonnen Bio und Gr nahf lle der A ite smonstrationsversuche zur Anwendung von Biokompost suf ffentlichen Gr nfl chen d D bei denen DEMONSTRATIONSVERSUCHE iel der Demonstrationsversuche ist es eine auf alle Gemeindeg rtnereien bertraghare praktische Handlungsanleitung zum Einsatz von Kompost auf kommunalen Gr nfl chen zu vermitch je Gemeinde die M glichkeit zur Teilnehme hat dude wird dem B rger der Vorbildfunktion beim Einsatz von Kompost ein VORGEHENSWEISE in m glichst viele anlagen die unte SECH ee Re nsenbeete und Baumscheihen Anhand von Bodenanal F r Kompost berechnet o e mineralischen D ngermenge pro Fl che wurde eine MSExcel Datei erstellt die immer wieder vom Gemeindeg rtuer ver wendet werden kann Aufwan lmeng der 96 2 6 5 Les parcs conteneurs 2 6 5 1 Les quantit s collect es A la fin de 2006 21 parcs conteneurs taient fonctionnels au Grand Duch de Luxembourg Etant donn que l Administration de l Environnement n obtient les rapports annuels des parcs
199. F 33 155610496 ES en F 92037 Paris la D fense FITT GMBH T 49 681 5867 Abteilung EMV Labor 446 B3 Goebenstrasse 40 F 49 681 5867 F2 31 03 2008 D 66771 Saarbr cken 302 SGS INSTITUT FRESENIUS GMBH T 49 6128744 0 C1 C3 C4 C5 C6 C7 Im Maisel 14 F 49 6128744 C8 31 03 2008 D 65232 Taunusstein 9890 D2 FUGRO ECO CONSULT SARL T 352 358541 D3 3 1 03 2008 Zone industrielle F 352 356530 E4 E5 E71 E92 31 03 2009 L 5366 M nsbach F13 F3 Ke WERNER GENEST amp PARTNER T 49 062158615 B1 B2 7061 Lu a EJ gt 3 D 67061 Ludwigshafen F 49 0621582354 8 EE S A D4 85 87 parc d activites Capellen T 352 305799 1 B P 108 F 352 305799 500 Ei 2103 2008 L 8303 Capellen 41 GEOTECHNIK UND CONSULTING IM GRUNDBAU Saargem nder Strasse 72 D 66130 Saarbr cken GfA Gesellschaft f r Arbeitsplatz und Umweltanalytik m b H Otto Hahn Strasse 22 D 48161 M nster Roxel GLOBAL FACILITIES S A 0 T 49 681379975 3 F 49 0681379975 40 T 49 02534807 0 F 49 02534807 110 T 352 263728 1 41 z a Am Bann L 3372 Leudelange GOBLET LAVANDIER amp ASSOCIES Ing nieurs Conseils 17 rue J P Sauvage L 2514 Luxembourg Kirchberg Boite Postale 2125 L 1021 Luxembourg HOLMALUX G M B H 9 rue de Luxembourg L 8077 Bertrange und INTERGEO BENELUX G M B H IB A INGENIEURB RO f r Akustik Dipl Ing U Bartsch VDI Im Wel
200. F vrier 08 02 2006 R union Info Ouvriers salle formation r union interne F vrier 10 02 2006 R union Directeur Chefs de cantonnement salle r union r union Direction Mars 07 03 2006 R union F dil Direction chefs de cantonnement chefs d arrondissement salle formation r union Direction Mars 11 03 2006 Birdwatch pr sentation Cne NA salle formation pr sentation Mars 13 03 2006 Amicale Aarnescht salle formation r union externe Mars 16 03 2006 CPEF Amicale Aarnescht Promenades Chalet salle r union r union externe Mars 28 03 2006 examen pr pos s forestiers salle formation formation Mars 29 03 2006 examen pr pos s forestiers salle formation formation Avril 04 04 2006 Routes du bois salle formation r union Direction Avril 19 04 2006 Conseil sup rieur de la chasse salle formation r union Direction Avril 25 04 2006 R union Ing nieurs salle formation r union Direction Mai 03 05 2006 Amicale Aarnescht salle formation r union externe Mai 08 05 2006 PEFC salle formation r union Direction Mai 10 05 2006 SSTM Carole Sinner salle r union r union Direction Mai 30 05 2006 R union Direction salle formation r union Direction Mai 30 05 2006 Cellule ouvriers M decin de travail salle r union r union Direction Mai 31 05 2006 R union interne salle r union r union interne Juin 14 06 2006 Pr sentation loi M Trossen salle formation pr sentation Juin 14 06 2006 Conseil sup rieur de la conservati
201. FVA erstellt Das Arbeitstreffen zum 12 Mai beinhaltete berwiegend die Weiterentwicklung des Auswerteprogramms Bei dem Treffen am 26 September wurde das neue Konzept der Auswertesoftware vorgestellt Diese Unterlagen galten gleicherma en f r die Ausschreibung der Programmierung die Ende November abgeschlossen waren Die Programmierung des Auswerteprogramms beginnt zum 1 Dezember 2006 Das zum 15 Dezember festgelegte Arbeitstreffen beinhaltet den R ckblick der im Jahre 2006 geleisteten Arbeiten und soll die Eckpunkte des kommenden Arbeitsplanes aufstellen Monitoring biologique Parall lement aux relev s des habitats forestiers le Service de l Am nagement des Bois a galement l intention de r aliser un monitoring biologique des r serves foresti res int grales Au cours de l ann e 2006 des d marches ont eu lieu ce sujet Il s agit de l inventaire d invert br s plus pr cis ment de mites mineurs de feuilles Pratiquement un tiers de toutes les esp ces europ ennes de papillons sont des oligophages inf od s aux herbac es et gramin es suivi des esp ces monophages oligophages et polyphages inf od es aux feuillus 225 Les mineurs de feuilles des plantes lignifi es sont des microl pidopt res appartenant aux familles des Gracillariid s des Tischerid s et des Nepticulid s La m thode la plus appropri e pour l inventaire de ces esp ces consiste collecter des feuilles min es en autom
202. Future zone prot g e Dumontshaff am nagement d un sentier didactique balisage du sentier construction de ponts en bois am nagement de sentiers sur pilotis laboration brochure 3 4 1 2 Centres d accueil Les centres d accueil A Wiewesch et Ellergronn sont ouverts en semaine de 8 00 12 00 heures et de 13 00 17 00 heures Ils sont g r s par le Service Conservation de la Nature de l Administration des Eaux et For ts Le centre d accueil Ellergronn Esch sur Alzette Situ id alement proximit de la ville d Esch sur Alzette le centre d accueil Ellergronn avec son exposition interactive sur la r serve naturelle et l histoire du bassin minier fait l objet de nombreuses visites des habitants de la r gion et des amis de la nature Le centre d accueil 249 Ellergronn est le point de d part du sentier didactique existant Ellergronn et proposera bient t le nouveau sentier didactique Natura 2000 dont la finalisation est pr vue pour le printemps 2007 En 2006 le centre d accueil Ellergronn a tabli une bonne collaboration avec la ville d Esch e Le 18 mai 2006 la commission cologique de la ville d Esch sur Alzette avait organis En Dag an der Natur sur le site Cockerill avec une trentaine d organisateurs proposant maintes activit s aux adultes et aux enfants 2000 visiteurs ont pass cette journ e sur le site et ont eu l occasio
203. Landw irtschaft m Kompostierung A Verbrennung 2 6 6 4 Les d chets de d grillage et de d sablage Quelques 1 000 t de d chets de d grillage 1 69 kg par habitant quivalent et 923 t de d chets de d sablage 1 56 kg par habitant quivalent ont t produits en 2005 au Luxembourg Souvent les exploitants des stations d puration ne savent pas faire des indications exactes sur les quantit s et l tat degr d humidit des d chets de d grillage et de d sablage Par rapport aux valeurs indiqu es dans la litt rature 2 5 kg hb an et 5 kg hb an les donn es pour le Grand Duch de Luxembourg semblent tre sous estim es Les d chets de d grillage et de d sablage ont t principalement limin s par mise en d charge au Luxembourg Le tableau suivant montre la r partition des d chets de d grillage et de d sablage en relation avec la capacit de traitement des stations d puration des syndicats intercommunaux e Equivalent z D S F Syndicat kaid ani D chets de d grillage D chets de d sablage kg a D viation kg a D viation SIACH 10 5 110 36 11 03 0 6 129 20 13 99 3 5 SIDEN 10 6 134 50 13 44 2 8 189 10 20 48 9 9 SIDERO 8 9 230 56 23 05 14 2 143 28 15 52 6 6 SIVEC 10 2 148 48 14 84 4 6 64 200 6 95 3 3 STEP 12 0 95 48 9 54 2 4 141 60 15 33 3 4 Stadt Luxembourg 37 2 241 16 24 11 13 1 171 36 1
204. National Le mat riel forestier de reproduction Participation au groupe EUFORGEN La gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau La commercialisation du bois de trituration Le bois nergie 3 2 Les Cantonnements forestiers 3 2 1 3 2 2 3 2 3 3 2 4 3 2 5 3 2 6 3 2 7 3 2 8 3 2 9 Exploitation de bois Vente de bois Les aides Le cantonnement de Diekirch Le cantonnement de Grevenmacher Le cantonnement de Luxembourg Est Le cantonnement de Luxembourg Ouest Le cantonnement de Mersch Le cantonnement de Wiltz 3 3 Le Service de l Am nagement des bois et de l conomie foresti re 3 3 1 3 3 2 3 3 3 3 3 4 3 3 5 3 3 6 3 3 7 3 3 8 3 3 9 3 3 10 3 3 11 3 3 12 3 3 13 3 3 14 L am nagement forestier Les inventaires forestiers d am nagement Le syst me GPS La cartographie d aptitude stationnelle Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales Les donn es sur le patrimoine historique et culturel en for t 149 149 149 149 149 150 150 150 153 154 155 157 160 161 161 164 165 165 166 166 166 168 168 169 169 171 173 179 188 190 193 201 201 202 203 204 209 215 226 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus La participation la f te foresti re Clervaux Le colloque B schsymposium
205. Pour chaque secteur il faut environ deux ans pour terminer le travail et produire un BREF BAT reference document Les premiers groupes de travail ont t lanc s en 1997 Jusqu en fin 2006 25 BREF ont d j t adopt s et 7 BREF sont en phase d adoption finale Parmi les premiers Un BREF adopt s on peut citer la production d acier la production de clinker ou la production de verre 1 BREF celui de l efficience nerg tique dans l industrie est encore en pr paration En 2005 la r vision des premiers BREF adopt s a t entam e La division Air Bruit de l Administration de l Environnement a particip activement depuis 1997 plusieurs groupes de travail Outre les forums d change des informations qui constituent les r unions pl ni res de l change des informations la division Air Bruit a particip en 2006 au groupe de travail sur la r vision du BREF sur la production de l acier 67 Les r sultats des changes d informations sont notamment publi s sur le site Internet du Bureau europ en IPPC qui coordonne les travaux http eippcb jrce es Dans le cadre de l change d information au sujet des meilleures techniques disponibles la division Air Bruit a notamment contribu en 2006 l laboration par Umweltbundesamt autrichien d un rapport sur l tat de la technologie en mati re de production de panneaux de bois avec description des installations en Autriche et au Luxembourg
206. ROBATS advisory committee It s indeed the first time that a EUROBATS meeting is being held in Luxembourg and I hope you will all have a pleasant stay Bats have always captured man s imagination often being seen as blood sucking vampires but of course we now know that at least in our regions this is not the case It is now known that bats are an important part of many ecosystems and that they have suffered maybe more than many other taxonomic groups from the destruction the degradation and the fragmentation of natural habitats 261 through the activities of man Bats are often seen as good indicator species as they occupy such a diverse range of habitats both for reproduction hibernation and feeding activities Their populations have decreased so dramatically that bats are now in need of strict protection over most of their European distribution range which is what the London agreement has set out to do or at least contribute to The Ministry of the Environment and the Nature conservation department of the Luxembourg government have recognised this and indeed we carry out various projects that benefit bats either directly or indirectly I would like to give you just a few examples For example we have financed the opening or reopening of a large number of church lofts 56 that is 15 of the country s churches At least for those bats that can spend some time of their life cycle in buildings like Myotis myotis or Eptesicus s
207. Voirie Dans le triage de Kiem un chemin situ dans une des nouvelles acquisitions du Fuusselach au Greiweweiher a t entrentenu ponctuellement sur une longueur de 1 200 m en automne 2006 La couche de rev tement tant dans un tat bien plus mauvais qu attendu n a pas pu tre remplac e sur la totalit du tron on L ach vement de ces travaux s impose pour 2007 vu la graduation du lit de chemin accompli 181 Fauchage tardif Au triage de Kiem le programme du fauchage tardif entam en 2005 pu tre continu au cours de l ann e 2006 Les ouvriers du triage Kiem s tant familiaris avec l id e ont commenc d velopper une routine et m me des initiatives b n fiques au projet Seuls les chemins principaux et surtout les pistes cyclables sont soumis un fauchage au printemps lors duquel on se limite enlever les orties et les foug res aigle risquant d encombrer les chemins Au triage de Sandweiler le fauchage tardif f t effectu sur l ensemble du r seau forestier Fauchage l aide du cheval Le triage de Hesperange a r alis un fauchage des chemins forestiers dans la for t communale du Howald l aide du cheval ardennais 3 2 6 8 Travaux forestiers subventionn s Le tableau ci apr s sont r capitul s les diff rents types de travaux forestiers qui ont t subventionn e en 2006 Le nombre des dossiers de subvention s est lev 12 dont 10 pour des travaux fores
208. a choisir celle qui lui convient le mieux Lors de l entrevue le demandeur pourra consulter les documents requis et le cas ch ant demander des copies faites sur place dans la mesure du possible 2 4 6 Les d lais de la proc dure d autorisation Il y a lieu de faire la distinction entre les demandes devant suivre la proc dure d enqu te publique demandes de la classe 1 et celles ne suivant pas cette proc dure demandes de la classe 3 demandes de la classe 1 pour une dur e inf rieure un an demandes de modification non substantielle cessations d activit s 2 4 6 1 R sultats sur tous dossiers de demande d autorisation Il s agit de r sultats portant sur tous les dossiers de demande d autorisation depuis la mise en vigueur de la loi du 10 juin 1999 c est dire depuis le 1 ao t 1999 Le tableau ci dessous renseigne sur le nombre global et le pourcentage global des tapes trait es dans le d lai l gal dans l ann e correspondante Ann e Nombre End ans d lai End ans d lais en 1999 665 321 48 27 2000 1644 1024 62 29 2001 1629 1048 64 33 2002 1690 1179 69 76 2003 1523 1077 70 72 2004 1286 931 72 40 2005 945 707 74 82 2006 1685 1176 70 00 Les d lais d instruction des dossiers sont videmment plus longs lorsque le dossier de demande initialement introduit aupr s de l administration ne comprend pas tous les l ments requis en vertu d
209. ablissant les orientations destin es aider les Etats membres dans l tablissement de ces plans CONCLUSIONS POPs COP 2 la CONVENTION sur les polluants organiques persistants mai 2006 Le Conseil environnement du 9 mars 2006 a adopt des conclusions en vue de la pr paration de la r union pr cit e L objectif de la conf rence tait d assurer une mise en uvre effective de la Convention tout en garantissant son d veloppement par l ajout de nouvelles substances qui viendraient compl ter les douze substances actuellement r glement es Dans un esprit de bonne gouvernance il y a lieu d assurer la synergie avec d autres trait s et initiatives en la mati re en particulier l approche strat gique sur la gestion des produits chimiques telle qu elle a t avalis e par la 9i me session extraordinaire du Conseil d administration Forum minist riel sur l environnement du PNUE qui s est d roul e DUBAI du 7 au 9 f vrier 2006 CONCLUSIONS LISBONNE Les conclusions ont repr sent la contribution du Conseil Environnement du 9 mars 2006 au sommet europ en de printemps 2006 l objectif ayant consist pour ce dernier notamment d gager une nouvelle approche nerg tique comportant trois volets s curit d approvisionnement comp titivit et environnement STRATEGIE SUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE Le Conseil environnement du 9 mars 2006 a tenu un d bat d orientation sur l exam
210. adrer leur action d am nagement et leurs op rations de sylviculteur dans les conditions nouvelles cr es par les chablis sur des bases techniques complexes pr cis es apr s examen de situations vraiment diverses L action 3 1 qui consiste en l organisation d une information continue des m dias r gionaux sur la d marche de certification foresti re et la r alisation de visites d entreprises de rencontres de t moignages afin de relater l avancement de la d marche et l engagement des diff rents partenaires associ s L action 3 2 intitul e Penser For t Agir Bois qui consiste organiser des r unions d information et de sensibilisation aupr s des pouvoirs publics des leaders d opinion des d cideurs des architectes des professionnels de la construction du grand public sur la for t la fili re bois et ses enjeux conomiques au sein de la Grande R gion du bois dans la construction et am nagement et de ses potentialit s en tant que mat riau de construction L action 3 3 intitul e La Route du Bois qui consiste r aliser un audit dont l objectif est le recensement de l offre for t et bois du territoire concern et la d finition des th matiques pour cr er des circuits de la Route du Bois transr gional en liaison avec les th matiques et les r f rences d finies tout en assurant les outils de promotion et de communication ad quats L action 3 4 qui vise mettre sur pied de
211. adt Luxembourg brige EZ Cadmium mittel EEE Cadmium max KVO 2 6 7 Les d chets d emballages La gestion des emballages et des d chets d emballages au Grand Duch de Luxembourg est d termin e par le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 relatif aux emballages et aux d chets d emballages Ce r glement s applique tous les emballages mis sur le march luxembourgeois et tous les d chets d emballages qu ils soient utilis s ou mis au rebut par les industries les commerces les bureaux les ateliers les services les m nages ou tout autre niveau quels que soient les mat riaux dont ils sont constitu s 2 6 7 1 La pr vention et la r utilisation des emballages L article 5 du r glement concerne plus particuli rement la pr vention et la r utilisation des emballages et des d chets d emballages et pr voit la possibilit pour le Ministre de l Environnement de conclure des accords volontaires avec les responsables d emballages et ou le ou les organisme s agr s Un premier accord volontaire a t sign en date du 22 janvier 2004 avec l organisme agr Valorlux a s b l pour la p riode de deux ans qui a comme objet la promotion des sacs de caisse r utilisables dans les surfaces commerciales Vu le succ s du projet cet accord a t prolong le 1 f vrier 2006 Entre f vrier 2004 et d cembre 2006 un total de 770 000 co sacs a t mis sur le mar
212. agement cologique pr s du ch teau de Colpach am nagement cologique voies publiques Graulinster am nagement cologique zone industrielle Wandhaff am nagement cologique autour de plusieurs entreprises Bettembourg am nagement cologique am nagement cologique Dorscheid am nagement cologique d une zone industrielle Leudelange am nagement cologique dans le cadre d un lotissement Colmar Bierg am nagement cologique pr s d une entreprise Roost am nagement cologique autour d un terrain de sport Mondorf am nagement cologique de ronds points Rippweiler Barricre am nagement cologique Merl am nagement cologique des alentours du terrain de football Mensdorf Parkings cologiques Il s agit d un am nagement cologique des aires de stationnement En effet la surface de roulement du parking cologique n est pas recouverte de macadam asphalte goudron ou b ton afin que la v g tation herbac e naturelle puisse s installer spontan ment sur les parties non sollicit s par la circulation L ordre interne du parking est atteint non pas par la construction de bordures en pierre mais par la mani re de disposer les arbres les haies ou les poteaux en bois Le parking cologique facilite donc non seulement l acc s du public mais entra ne aussi une valorisation cologique et paysag re du site Diff rents projets sont en cours de r alisation am nageme
213. ait l ordre du jour de la s ance du 14 f vrier 2006 de la Chambre des D put s La loi du 27 mars 2006 autorisant le Gouvernement participer au financement des travaux effectu s en relation avec e l agrandissement et l assainissement de la d charge pour d chets m nagers et assimil s au Friedhaff Diekirch et la construction d une installation de pr traitement m canique pour la somme de 5 433 852 euros et e la construction d une installation de pr traitement biologique pour un montant de 2 912 223 euros indice au ler octobre 2005 par le syndicat intercommunal pour la gestion des d chets en provenance des m nages et des d chets assimilables des communes de la r gion de Diekirch Ettelbruck et Colmar Berg SIDEC a t publi au m morial en date du 31 mars 2006 Le financement des travaux aura lieu par le biais des cr dits du Fonds pour la Protection de l Environnement Le comit d accompagnement Minett Kompost Le comit d accompagnement permanent relatif l am nagement des infrastructures de traitement des d chets organiques Minett Kompost fut cr par r glement grand ducal du 14 avril 2005 En 2005 un rapport technique et financier a t pr par par le comit r sumant la situation du syndicat intercommunal Minett Kompost et d crivant l agrandissement de l installation de compostage sur le site de Mondercange par une nouvelle installation de bio m thanisation Le rapport final ensembl
214. al a d montr la polyvalence que ces chevaux peuvent avoir Au del les concours de d bardage un cheval et m me en paire ont fait partie du programme vari de cette manifestation traditionnelle 3 3 10 Le colloque B schsymposium Le vendredi 6 octobre a t organis un colloque scientifique sur la for t intitul Naturschutz und Biodiversit t im Wald a B schsymposium ensemble avec l asbl Haus vun der Natur le Mus e National d Histoire Naturelle la Fondation H llef Dr d Natur gt et la L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga La matin e a t consacr e une s rie d exposes en salle au Centre de loisirs Am Sand a Oberanven sur le th me de la protection de la nature et de la biodiversit en for t 231 L apres midi a eu lieu une excursion en for t dans la r serve naturelle Laangmuer en for t domaniale du Gruenewald Ce colloque scientifique au sujet de la protection de la nature et de la biodiversit en for t organis avec l aide financi re du Fonds National de la Recherche et sous patronage du Minist re de l Environnement s adressait avant tout aux int ress s de la Science et aux personnes actives dans le domaine de la protection de la nature et de l environnement Le choix du th me s av rait tre le bon 150 participants se retrouv rent le matin au Centre de Loisirs Am Sand Oberanven pour les pr sentations Apr s le
215. alement les agents employ s travailleurs handicap s 3 1 6 2 Affectation du personnel fin 2006 Le personnel effectif de l Administration des Eaux et For ts se chiffrait au 31 12 2006 419 25 personnes toutes carri res confondues Fonctionnaires Employ s 130 25 Ouvriers forestiers de l Etat 289 Total 419 25 comprend aussi les agents employ s travailleurs handicap s Le personnel effectif au 31 d cembre 2006 de l Administration des Eaux et For ts se composait de e 116 75 fonctionnaires dont 19 5 agents de la carri re sup rieure de l ing nieur 12 25 agents de la carri re moyenne du r dacteur l agent de la carri re de l exp ditionnaire administratif 8 agents de la carri re de l exp ditionnaire technique 71 agents de la carri re du pr pos forestier 4 agents de la carri re du cantonnier l agent d tach de la Police Grand Ducale e 13 5 employ s dont 2 agents de la carri re sup rieure 2 agents de la carri re moyenne 4 5 agents de la carri re inf rieure 5 agents travailleurs handicap s La r partition de l effectif Fonctionnaires Employ s se pr sente au 31 12 2006 comme suit 151 Ch et P Loi 5 7 89 Sup rieure 4 5 C15 1 6 C16 1 3 3 19 5 20 i c17 R dacteur 2jci18 5 754 1 3 5 12 25 13 C19 c20 Exp dit Adm 1 1 5 Tech 2fc21 2 58 2 C23 8 8 C22 Pr pos 12124 0 58 11c26 71 85 C25 Cantonnier 3 1
216. ales De quelle technique pourrait elle se servir pour organiser la gestion des d chets dans son entreprise Comment pourrait elle le mieux communiquer dans son entreprise ainsi qu avec des personnes externes fournisseurs administrations publiques etc La dur e du cours est de 4 jours avec la visite de deux tablissements Trois volets sont instruits e La connaissance des d chets techniques et m thodes e Les bases juridiques e Lacommunication 91 Un cours fran ais a t offert en printemps aux entreprises En tout une quinzaine de personnes venant de differentes entreprises ont suivi la formation Les participants ont obtenu un certificat de qualification mis par le Minist re de l Education Nationale 2 6 3 7 La formation Personnel des Parcs Conteneurs Nombreuses communes g rent aujourd hui des parcs de recyclage o les particuliers et les petites entreprises ont la possibilit de se d faire de toute sorte de d chets recyclables et ou dangereux En outre les parcs de recyclage jouent un r le important dans la sensibilisation de la population en ce qui concerne la pr vention des d chets Il est d autant plus important que le personnel des parcs de recyclage soit qualifi et motiv pour rendre conseil aux visiteurs C est pourquoi la Division des d chets et le Centre de Formation Professionnelle d Ettelbruck organisent depuis 1994 des cours de formation pour le personnel des parcs conteneurs Le contenu du cou
217. all here for My own administration is as I have shown you mainly responsible for practical conservation and management activities and concentrates less on scientific studies Indeed there is another governmental institution that has scientific studies as one of its priorities namely the National Museum of Natural History working under the Ministry of Culture Needless to say that there is a very strong and excellent collaboration between our two departments for example with the organisation of this EUROBATS meeting Therefore I now have the pleasure to introduce to you Dr Georges Bechet director of the Museum Thereafter you will hear a short speech by Mr Jean Jacques Erasmy director of the Administration des Eaux et For ts speaking in place of our Minister ofthe Environment Thank you 3 4 1 17 Divers e Participation et communication au 6 me Colloque International de Saint Hubert 11 ao t 2006 organis par la Fondation Saint Hubert Saint Hubert Belgique Sujet de la communication du Service de la Conservation de la Nature La situation de Natura 2000 et de la faune sauvage au Luxembourg e Communication au 12th Benelux Congress of Zoology Wageningen 2005 mais pas de participation personnelle Scheppers T Frantz A Schaul M Engel E Breyne P Schley L amp Roper T 2006 A hair s tale Non invasive DNA sampling as a new tool in badger ecology 13th Benelux Congress of Zoology 27 28 October 2006
218. ans le courant de la convention 2007 en parall le avec la phase de terrain pr vue dans le cadre des travaux de mise en uvre du second cycle Cette phase permettra la fois d identifier les probl mes ventuels pouvant survenir lors des remesurages sur les placettes permanentes et d alimenter le protocole de mesure pr vu dans le guide m thodologique Cr ation de la base de donn es de l IFL2 La mise en uvre du second cycle de mesures implique la cr ation d une nouvelle base de donn es pr te accueillir toutes les donn es Pour cr er cette base il a t d cid de conserver l environnement Access pour plusieurs raisons Tout d abord Access est un logiciel de gestion de bases de donn es reconnu internationalement et qui reste accessible la majorit des utilisateurs potentiels travers une s rie d outils et d interfaces permettant de r aliser les t ches les plus courantes ex ex cution de requ tes ce contrairement d autres outils ex Oracle plus puissants mais plus complexes et qui n cessitent des connaissances techniques plus pouss es notamment dans le domaine de la programmation Ensuite Access permettra de visualiser ais ment les donn es de l IFLI et de l IFL2 via la cr ation d tats Enfin Access facilite la cr ation des traitements n cessaires la comparaison des donn es des deux cycles de mesures par l utilisation des langages de programmation SQL et VBA La cr ation de cette nouvel
219. ansport BN goce 80 OTotal 60 40 20 0 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 i 2 6 13 3 Evolution des demandes d extension 80 70 60 50 OTransport 40 BN goce OTotal 30 20 BS D 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2 6 13 4 Evolution des arr t s minist riels 160 140 120 BTransport nouvelles soci t s BN goce nouvelles soci t s O Transport extension renouvellement ON goce extension renouvellement Refus Retraits OlTotal 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 125 2 6 13 5 Evolution des demandes d informations suppl mentaires ETransport Buegoce Total 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Le nombre total d arr t s minist riels mis au cours de l ann e 2006 est de 127 2005 148 arr t s Ce nombre se constitue de 78 autorisations de ramassage et de transport de d chets de 44 autorisations pour les tablissements ou entreprises qui veillent l limination ou la valorisation des d chets pour le compte de tiers et 5 refus retraits d autorisation 2 6 13 6 Les contr les routiers en relation avec les transferts nationaux ou internationaux de d chets Durant l ann e 2006 la Division des d chets de l Administration de l Environnement en collaboration avec une quipe des Brigades Motoris es de l Administration des Douanes et Accises a effectu 7 cont
220. antit s globales collect es dans les parcs de recyclage tonnes par an 18 2 Ar IL Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques Bois charg s D chets D chets encombrants probl matiques m1994 21995 m1996 231997 231998 999 232000 02001 E2002 m2003 202004 m2005 La quantit annuelle totale des d chets collect s dans les parcs conteneurs a augment de 62 021 tonnes en 2004 64 877 tonnes en 2005 ce qui repr sente une croissance de 4 6 Le graphique suivant indique les quantit s sp cifiques par habitant des zones d attraction des parcs conteneurs pour quelques fractions 97 Ann e Papier Carton Verre creux M taux Mati res plastiques Bois charg s D chets probl matiques D chets encombrants D chets inertes 1998 147 71 9 2 2 9 16 2 31 9 3 27 2 1999 16 9 79 9 3 3 6 16 7 3 0 16 2 334 2000 173 8 3 9 8 2 7 18 6 2 9 17 6 39 6 2001 176 8 8 10 1 26 20 7 3 7 19 4 41 1 2002 18 1 9 6 110 27 19 4 47 18 3 44 9 2003 18 9 1
221. at gories 40 55 cm de diam tre noter une pr sence non n gligeable de TGB essentiellement compos s de h tres pour 28 de surface terri re totale La r partition des classes de diam tre classique de la futaie r guli re ne laisse donc pas pr sager une orientation facile en futaie irr guli re et il est projet de viser un renouvellement par trou es notamment par l enl vement de TGB isol s ou regroup s associ e l incontournable crit re de stabilit et une patience certaine 3 3 8 4 Consignes de martelage afin d engager le processus d irr gularisation Les mesures prioritaires de martelage suivantes ont t adopt es e pr lever la belle qualit menac e par un ou plusieurs probl mes d ordre sanitaire e am liorer les conditions de croissance et par cons quent la prise de diam tre des tiges comprises dans les cat gories perches PB et BM Ces deux principales consignes ont t assorties des rep res chiffr s suivants e pr lever 20 du volume bois fort sur pied soit un maximum de 90 m ha e pr lever un minimum de 50 du volume bois fort dans les tiges abritant de la qualit menac e e pr lever judicieusement un minimum de 5m de la surface terri re afin de d bloquer la dynamique lumineuse De mani re g n rale l intervention devra permettre autant que possible une continuit multifonctionnelle du peuplement se traduisant par e un maintien d un capital en ad quation avec
222. ation aura pour objet de d terminer le statut de protection et de d veloppement souhait des paysages en ce qui concerne leurs multiples facettes biodiversit patrimoine naturel et culturel vocation r cr ative et touristique L ensemble des paysages expriment travers leur image caract ristique leur identit et leur histoire naturelle et culturelle et donc aussi les traces d utilisation par l homme Les paysages sont naturellement sujets des modifications et volutions constantes du fait du dynamisme des facteurs exer ant une influence leur gard Le plan sectoriel aura ainsi pour objectif de d terminer le degr ainsi que le statut de protection appliquer aux diff rentes entit s paysag res et ceci en fonction de crit res dont la tra abilit est tablie En mati re de protection d esp ces et de biotopes la pr sence d esp ces et d habitats rares menac s ou alors repr sentatifs est d terminante S agissant du paysage culturel des aspects tels que perception motionnelle ainsi que signification du paysage dans un contexte culturel et historique seront pris en consid ration Pour d terminer la valeur des paysages en termes de tourisme et de r cr ation des crit res tels que la structure du paysage l absence de mitage de l unit paysag re l absence de bruit devront tre d termin s D autres crit res tels que l accessibilit ou encore la pr sence d infrastructures de
223. ation et ex cution de diverses infrastructures dans la for t de recr ation parc d agr ment touchant la ville de Wiltz e R unions de pr paration avec des bureaux d tudes en vue d une nouvelle exposition dans la maison de la for t au Burfelt e Expertises r alis es au profit de l Enregistrement et Domaines e R unions de concertation avec les sapeurs pompiers en vue de coordonner les efforts entre les divers acteurs e R unions de concertation avec les services CN responsables concernant des dossiers d envergure nationale r serves naturelles d ponies r gionales agrandissement respectivement renaturation de carri res e Diverses r unions dans le cadre du remembrement forestier Harlange 3 2 9 17 Activit s diverses des pr pos forestiers Outre leurs missions habituelles il faut relever les activit s avec les diverses coles r gionales durant l ann e et plus sp cifiquement dans le cadre de la journ e de l arbre ainsi que la prise en charge d un nombre croissant d tudiants du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck absolvant une partie de leurs p riodes de stage au sein des triages En fin de compte il faut relever que d diverses circonstances les dix triages du cantonnement ont t g r s par seulement 7 pr pos s forestiers et ceci durant toute une ann e 200 3 3 Le Service de l Am nagement des bois et de I Economie foresti re 3 3 1 L am nagement forestier 3 3 1 1 In
224. ation ou autres r emplois des huiles us es 0 0 105960 R10 Epandage sur le sol au profit de l agriculture ou de 0 4470000 1622000 l cologie R13 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre 1868165 933269 1487290 l une des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production 205021493 240967677 244172064 130 Pays Bas D10 Incin ration terre 583500 552650 950010 583500 552650 950010 R02 R cup ration ou r g n ration des solvants 619350 347676 234200 R04 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s 523182 39620 0 m talliques R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res 201440 192360 470020 inorganiques R08 R cup ration des produits provenant des catalyseurs 0 0 578110 1343972 579656 1282330 L ensemble des quantit s de d chets export s sous le couvert d un dossier de notification s est lev en 2006 420 770 tonnes soit une r duction de 9 9 par rapport l ann e pr c dente 83 6 de ces d chets ont t soumis une op ration de valorisation Si on fait abstraction des d chets inertes export s les quantit s export es se sont lev es 204 297 tonnes soit une r duction de 1 4 par rapport l ann e pr c dente 2 6 14 Les tablissements de valorisation et d limination de d chets 2 6 14 1 Dossiers d autorisation
225. aturel salle formation ormation Octobre 04 10 2006 Reunion Carole Sinner salle formation r union Direction Octobre 04 10 2006 r union chefs Cant salle r union r union Direction Octobre 05 10 2006 cours premier secours salle formation ormation Octobre 09 10 2006 formation cerf pour pr pos s forestiers Josette Sunnen salle formation ormation Octobre 10 10 2006 cours gestion milieu naturel salle formation ormation Octobre 11 10 2006 cours gestion milieu naturel salle formation ormation Octobre 11 10 2006 formation cerf pour pr pos s forestiers Josette Sunnen salle formation ormation Octobre 12 10 2006 r union vente nationale 16 pers salle formation r union Direction Octobre 19 10 2006 r union route du Nord M Kirpach 5 pers salle r union r union Direction Octobre 20 10 2006 cours premier secours salle formation ormation Octobre 23 10 2006 R union Carole Sinner salle r union r union Direction Novembre 14 11 2006 examen pr pos s forestiers salle formation ormation Novembre 15 11 2006 examen pr pos s forestiers salle formation ormation Novembre 21 11 2006 r union classement Gr newald salle formation r union Direction D cembre 19 12 2006 vente nationale 50 personnes salle formation vente nationale 3 2 7 Le cantonnement de Luxembourg Ouest 3 2 7 1 L exploitation des coupes Les exploitations effectu es peuvent tre r parties de la mani re suivante selon le propri tair
226. atures moyennes annuelles des 8 derni res ann es temp rature moyenne annuelle ut Feuer moyenne 1997 2005 8 60 8 60 8 60 8 60 8 60 8 60 8 60 8 60 8 60 moyenne 1997 2005 9 00 9 00 9 00 9 00 9 00 9 00 9 00 9 00 9 00 probl mes techniques entre le 16 mai et le 30 juin 2006 HETL2 Le jour le plus chaud de l ann e a t le 26 juillet avec 35 9 C pour HETLI et 34 7 C pour HETL2 Avec 10 C la temp rature la plus basse a t enregistr e le 25 janvier et le 13 mars sur la station du P nzebierg La temp rature la plus basse sur la station du Waldhof 9 2 C a t enregistr le 3 f vrier La temp rature moyenne mensuelle la plus basse de l ann e 2006 a t mesur e au mois de janvier Le graphique de droite retrace le d ficit hydrique potentiel DHP en mm Cette valeur est d finie comme tant la diff rence entre l vapotranspiration potentielle ETP calcul e d apr s la formule de Penman et les pr cipitations P soit DHP ETP P Cet indice climatique a t calcul partir des valeurs moyennes mensuelles Pour HETLI P nzebierg les mois de juin juillet et septembre pr sentent une vapotranspiration mensuelle de la v g tation sup rieure la quantit de pluie tomb e Pour la station HETL2 Waldhof les mois de mai juillet et septembre montrent le m me ph nom ne pas de donn es disponibles en juin cause de probl mes techniques Pour les deux
227. au du bois de trituration n est de loin pas puis Le bois utilis substitue 1 252 530 litres de fuel et r duit ainsi l mission de CO2 du Grand Duch de Luxembourg d environ 3 989 3 tonnes 167 3 2 Les Cantonnements forestiers 3 2 1 Exploitation de bois Le tableau ci dessous montre le volume r alis en 2006 146 870 m de bois ont t exploit dans les for ts soumises au r gime forestier dont 58 de feuillus et 42 de r sineux Exercice 2006 Essence Volume m Volume H tre 60 841 41 Ch ne 21 307 15 Charme 1 798 1 Autres feuillus 1 025 1 Total feuillus 84 970 58 Epicea 45 881 31 Douglas 8 459 6 Pin 5871 4 Meleze 578 0 Autres r sineux 1111 1 Total r sineux 61 899 42 Total 146 870 100 Pour l ann e 2006 une nette hausse du volume r alis peut tre constat e Cette hausse s explique par une forte demande surtout de bois r sineux en provenance des scieries Compar l ann e 2005 le volume de bois r sineux r alis en 2006 a augment de 49 226 61 899 m Cette hausse de la demande se traduit galement dans une hausse des prix particuli rement remarqu e partir de l automne 2006 Reste voir si la demande et les prix vont rester ce niveau la suite des chablis des temp tes de janvier 2007 dans les pays voisins Le graphique ci dessous montre les volumes de bois feuillus et r sineux exploit s dans les six cantonnements
228. au secteur forestier Les travaux du 1 PFN au Luxembourg ont d but en novembre 2003 pour aboutir en mars 2004 la formulation d un document national de consensus reprenant les d fis pour la for t luxembourgeoise une vision globale pour la for t de demain les grands objectifs et des propositions de mesures pour la for t Plus de 60 personnes compos s des repr sentants des secteurs public Minist res de l Agriculture des Finances de l Economie de l Environnement du Tourisme priv propri taires gestionnaires exploitants industries du bois chambres professionnelles syndicats professionnels associatif clubs et associations de naturalistes sportifs chasseurs et scientifique mus es experts bureaux d tudes et centre de recherche coles et universit s ont particip ces travaux 164 La r union de suivi pr vue en 2006 pour arr ter une liste d finitive de mesures prioritaires n a pas eu lieu comme pr vue et a t report e 2007 3 1 15 Le mat riel forestier de reproduction 3 1 15 1 Publication d une brochure relative la loi du 30 novembre 2005 concernant la production et la commercialisation des mat riels forestiers de reproduction et sensibilisation du public Cette publication s adresse tous les forestiers concern s les marchands grainiers les p pini ristes les reboiseurs les n gociants et les sylviculteurs Cette brochure comprend
229. avec poissons indig nes animaux empaill s Centre d accueil de Manternach E amp F animaux empaill s pr pos Jean Mathey seul exposant Widdebierg participation du pr pos Thierry Diedenhofen D Fest vun der Natur op der Kockelscheier Foire Agricole Ettelbruck participation du pr pos Servais Schaack avec l assistance des pr pos s Jo Andr Th o Moulin Jeff Sinner Tom Scholtes Jacques Winandy Batnight E amp F participant B schfest zu Clierf participation du pr pos Claude Schanck Oeko Foire materiel demande par l Administration de la Gestion des Eaux Exposition Open Air au Parc Renert de Wiltz demand e par l Union commerciale de Wiltz participation du pr pos Nicole Lenert Foire des Artisans demand e par la F d ration des charpentiers participation des pr pos s Georges D Orazio et Christian Bremer Foire de l tudiant participation du pr pos Christian Bremer Made in Wood participation du pr pos Georges D Orazio E amp F seul exposant E amp F participant E amp F participant E amp F seul exposant E amp F participant E amp F participant E amp F participant E amp F participant E amp F participant aquariums et animaux empailles exposition sp cialement con ue pour cette f te avec le th me De B sch ass m i ew i e koup Holz activit s pour les enfant
230. biogaz Situation au 29 1 2007 Depuis la mise en vigueur du r glement du 28 d cembre 2001 modifi un montant global de 24 254 740 a t accord pour la production de 223 122 615 kWh d lectricit partir des sources d nergies renouvelables soit en moyenne 0 109 kWh Nombre et primes accord s par type d installation en 2001 2006 inclus ce Prime accordee Energie produite Type d installation kWh Capteur solaire photovolta que 4 545 19 676 655 39 999 258 Centrale hydro lectrique 88 643 770 25 750 773 Eolienne 96 1 823 982 72 959 254 Installation fonctionnant au biogaz 99 2 110 333 84 413 330 Somme 4 828 24 254 740 223 122 615 Situation au 29 1 2007 Bien que les installations photovolta ques repr sentent 80 des primes allou es depuis 2001 elles ne contribuent qu 18 de l lectricit produite et ceci avec une prime moyenne de 0 4919 kWh Les centrales hydro lectriques les installations fonctionnant au biogaz ainsi que les oliennes per oivent 20 des aides allou es mais produisent 82 de l nergie avec une prime moyenne de 0 0025 kWh R partition des primes accord es par type d installation 2001 2006 inclus 80 E Capteur solaire photovolta que B Centrale hydro lectrique O Eolienne O Installation fonctionnant au biogaz Situation au 29 1 2007 79 R partition de l
231. bre Contr les sur dossier 192 Contr les sur site visite des lieux 56 Demandes de prises de position adress es l exploitant 84 Rappels des demandes de prise de position adress es l exploitant 21 Rapports transmis au Parquet ou la Police Grand Ducale ou toute autre administration 60 Informations transmises au r clamant 52 R unions avec l exploitant ou le r clamant 6 Dossiers transmis l Administration des Douanes et Accises pour visite des lieux 4 Visite des lieux effectu s par I Administration des Douanes et Accises 1 Derniers avertissements l exploitant avant mise en demeure 20 Mises en demeure exprim es par le ministre de l Environnement 5 Suspensions de l exploitation exprim es par le ministre de l Environnement 3 Autres 26 Total 530 2 4 4 4 Causes des inspections de l administration Nombre Bruits et ou de vibrations 20 Odeurs 13 Poussi res 2 Pollution de l eau 3 Pollution du sol 3 Conformit la l gislation 192 Autres 1 2 4 4 5 Inspections effectu es dans le cadre d un programme d inspection Un programme d inspection aupr s des seize tablissements principaux d levage de volailles a t effectu en 2006 Ce programme est part un seul tablissement termin Un deuxi me programme d inspection est en phase d application en ce qui concerne les 123 campings du Grand Duch de Luxembourg La phase contr le des dossiers a t termin e en 2006 et
232. ccupation Biophysique du Sol des ann es 1989 amp 1999 Donn es Topographiques l chelle 1 20000 et 1 100000 Orthophotos 2001 et Orthophotos 2004 Banque de donn es topographique et cartographique 20 Zones prot g es d int r t national d clar es sous forme de r serves naturelles Zones prot g es d int r t communautaire du r seau NATURA 2000 Zones Habitats Zones prot g es d int r t communautaire du r seau NATURA 2000 Zones Oiseaux Corine Landcover 2000 l chelle 1 100000 Cartographie des fonctions climatiques R seau hydrographique Limites administratives Districts communes sections En 2006 le Minist re de l Environnement a trait 79 demandes de ce genre 1 5 tablissements class s 1 5 1 Journ e de r flexion sur la l gislation relative aux tablissements class s En date du 8 d cembre 2005 Monsieur le Ministre de l Environnement a invit les chambres professionnelles les organisations patronales et les syndicats une journ e de r flexion sur la l gislation relative aux tablissements class s journ e qui a eu lieu dans la matin e du 17 janvier 2006 Une documentation comprenant la d finition des tablissements class s le relev chronologique des principaux textes de l gislation et de r glementation en mati re d tablissements class s l index des formulaires et expos s commodo disponibles une note au sujet des d lais du traitement des demandes
233. ce cologique Afin de s apparenter avec nos esp ces et de reconstituer notre provenance des analyses izoenz miques ont t effectu es compl mentairement Des sites appropri s et correspondant l aire de r partition naturelle du peuplier noir ont t d termin s dans la r gion mosellane Ces sites se situent une distance suffisante d autres esp ces hybrid es afin d viter un croisement avec ces individus 3 1 17 La gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau Apr s avoir dit en 2004 un document Umwandlung von Nadelholzbest nden in naturnahe Strukturen entlang der Fliessgew sser in Luxemburg analysant les probl mes cologiques conomiques et paysagers li s la pr sence inadapt e de r sineux le long des cours d eaux de notre pays l Administration des Eaux et For ts a proc d au cours de l ann e 2005 a un inventaire des surfaces converties la suite de ce projet La conversion de ces surfaces soit par une gestion agricole extensive soit par la plantation de feuillus soit par succession naturelle a pour but de r tablir dans les vall es le paysage culturel qui existait l origine et d activer ces surfaces pour la protection de l environnement naturel 3 1 18 La commercialisation du bois de trituration Suite nos efforts de diversification de la commercialisation du bois d industrie sur 3 piliers savoir 2 repreneurs industriels cellulose et panneaux
234. ch luxembourgeois par 26 enseignes distributrices Sauf pendant la phase de lancement du projet janvier juin 2004 les sacs r utilisables ont t gratuitement chang s contre la remise d un bon d couper de la presse quotidienne Les autres co sacs ont t vendus au prix de 1 Euro 103 Pendant toute la p riode une large campagne d information affiches spots radio jeux concours etc de la population a eu lieu Le projet est accompagn d un groupe de suivi qui se compose de repr sentants de Valorlux de la Conf d ration luxembourgeoise de Commerce et de l Administration de l Environnement Valorlux a pris en charge la production et la distribution des co sacs ainsi que les campagnes d information La CIC faisait le lien direct avec les grandes cha nes commerciales Afin de mesurer le succ s de l action l Administration de l Environnement effectuait des enqu tes aupr s des consommateurs Les r sultats de ces enqu tes montraient clairement le succ s de l action co sacs par exemple Disposez vous de l co sac 100 Dout Enon 50 je ne suis pas s r 2004 2005 2006 Usage de sacs au moment de l interview Opas de sacs O Sacs jetables Wm Sacs r utilisables Sacs jetables r utilisables 2004 2005 2006 Comment jugez vous la participation du magasin l ac
235. ch Cette tude est r alis e en collaboration avec l Universit de Dresden et le Professeur Dr E KALKO de l Universit d Ulm 3 4 1 5 Etudes et projets Faune Inventaire des odonates dans la Zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire des orthopt res dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire avifaunistique dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach Inventaire des odonates dans la zone de r naturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen Inventaire des orthopteres dans la zone de r naturation de Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen Inventaire avifaunistique dans la zone de r naturation de Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen Etude sur la belette Mustela nivalis et l hermine Mustela erminea dans la r gion de Manternach dans le cadre d un travail de post doctorat en collaboration avec l Universit de Dresden Etude de la fouine Martes foina en milieu urbain dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Sussex Etude g n tique du blaireau Meles meles dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Sussex Flore Cartographie d taill e de la v g tation dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach dans le cadre d un travail de doctorat en collaboration avec l Universit de Freiburg Breisgau 254 Divers e Sondage a
236. ch s 289 serveur GIS svr14325 serveur Oracle8i svr99917 Le logiciel de sauvegarde utilis sur les serveurs est BrighStor ARCserve Backup r11 5 fourni par le CIE Environ 19 micro ordinateurs ont t r install s en 2006 soit pour migrer le syst me d exploitation soit cause d un disfonctionnement de l OS ou du mat riel 17 sous Windows XP et 2 sous Windows 2000 Au courant du 1 trimestre les connections par ISDN restantes ont t remplac s par des connections ADSL s curis es technologie VPN Le d ploiement des Runtime Oracle10 Diskeeper10 et NetOp9 ont galement d but en 2006 Le d ploiement des mises jour Runtime Oraclel0g 140 Diskeeper10 resp 2007 150 ainsi que NetOp Remote Control 9 0 100 a t entam partir du 2 semestre 2006 La Cellule informatique a par ailleurs install en 2006 de nombreux quipements accessoires utiles dans l ex cution des t ches des services r gionaux ainsi que des triages PDA s GPS imprimantes couleur multifonctions appareils photos digitales la plupart des acquisitions priv es mises disposition pour le service Les stations de travail et serveurs r cup r s et restitu s au CIE ont t pr alablement nettoy s avec un logiciel sp cial afin de garantir la non r cup ration des donn es confidentielles des utilisateurs La mise disposition de donn es cartographiques num riques aux bureaux et soci t s externes dans le cadre d un cont
237. charges pour d chets m nagers du SIDEC et du SIGRE les d charges pour d chets inertes de Folkendange et de Rosswinkel l ancienne d charge pour d chets industriels Ronnebierg l ancienne d charge communale de Wiltz Z I Salzbaach l ancienne d charge pour d chets inertes du SIDA Ces campagnes ont eu lieu au cours des mois de mars juin septembre et d cembre Dans un intervalle de deux mois en janvier mars mai juillet septembre et novembre les boues d puration des stations d puration recevant une charge de pollution sup rieure 50 000 quivalents habitants ont t chantillonn es Il s agit des stations de Beggen Bettembourg Bleesbreck Bonnevoie Esch Schifflange Mamer Martelange Mersch P tange Rossmuehle et Uebersyren 2 6 17 Les sites contamin s 2 6 17 1 Le cadastre des sites potentiellement pollu s La mise en place d un cadastre des sites potentiellement pollu s a t achev e en 2006 L inventaire a t pr sent au conseil du bourgmestre et des chevins de 111 communes Le nombre total de sites r pertori s s l ve 14 170 L tat d avancement des travaux est repr sent dans le graphique ci apr s Verdachtsfl chenkataster Luxemburg d gen u _ s I Status der Bearbeitung pro Gemeinde E L Stand 23 Januar 2007 Anzahl Pe SS o noch nicht bearbeitet p H vorbereitet e D Gel ndearbeit Dateneingabe Es abgeschlossen
238. chets N 06 PT 02 En date du 7 f vrier 2006 l entreprise EcoTec de Sanem a introduit par le biais d un bureau d tudes un dossier de demande sollicitant des cat gories de d chets suppl mentaires pouvoir tre entrepos s sur leur site L arr t minist riel est en train d tre r dig Dossier C I N 1 06 0067 Dossier D chets N O1 LT 01 04 En date du 22 f vrier 2006 l entreprise Hydroaluminium ayant ses installations de production de tiges en aluminium pr s de Lentzweiler dans la zone a introduit un dossier de demande pour pouvoir accepter des d chets d aluminium laqu s En date du 11 avril 2006 des informations suppl mentaires ont t demand es Celles ci nous sont parvenues en date du 28 d cembre 2006 Le dossier est en voie de traitement Dossier C I N 1 06 0109 Dossier D chets N 98 PT 09 02 En date du 24 f vrier 2006 l entreprise Eurocomposite ayant ses lignes de production pr s d Echternach a introduit une demande pour pouvoir supprimer le recyclage d eau ph nol e Le dossier est en cours d instruction Dossier C I N 1 06 0128 Dossier D chets N 97 PT 07 02 L entreprise Cajot de Leudelange a introduit en date du 21 avril 2006 un dossier de demande pour mettre jour les autorisations couvrant la production d asphalte ainsi que le recyclage de d chets de bitume dans ses installations Le dossier est en cours d instruction Dossier C I N 1 06 0225 Dossier D chets N 93 PT 02 02
239. chutz und Biodiversit t im Wald B schsymposium le Service de l Am nagement des Bois a organis une excursion sur les m thodes de monitoring des habitats forestiers Au cours d une deuxi me excursion qui s est tenue le 23 octobre ces m thodes ont galement t pr sent es aux l ves du lyc e technique agricole d Ettelbruck 222 Lors de ces excursions des placettes concentriques ont t mat rialis es sur le terrain afin de mieux visualiser la taille de ces placettes d chantillonnage En ce qui concerne le relev des habitats forestiers dans les RFI diff rents sujets concernant la biodiversit ont t abord s Il s agit du relev de vieux bois et de bois mort avec leurs diff rentes phases de d composition tout comme leurs indicateurs biologiques Le relev de la r g n ration naturelle sur ces placettes a galement t pr sent Le Service de l Am nagement des Bois tait galement repr sent dans le groupe habitats esp ces du Plan National pour la Protection de la Nature 3 3 6 3 Monitoring des r serves foresti res int grales Monitoring des habitats forestiers En ce qui concerne le monitoring des habitats forestiers pour l ensemble des RFI au Luxembourg le Service Am nagement des Bois collabore avec un institut de recherche en Allemagne Il s agit notamment de la Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Fribourg FVA au Baden W rttemberg qui dispose d une exp ri
240. clable Janglis Bunn d Ellange Wellenstein La piste questre Dalheim Heedscheier Medingen Syren a t entretenue sur une longueur de 8 000 m 3 2 5 12 Contacts internationaux En collaboration troite avec ONF de France et le service de Am nagement des Bois un projet pratique d irr gularisation de vieilles futaies feuillues a eu lieu Betzdorf Le programme mis en marche vise le maintien des arbres de tous les diam tres et tend garantir un couvert permanent l aide de diff rentes essences de tous les ges Si le projet r ussit il sera possible de transformer au fil des d cennies des peuplements dits quiens en futaies irr guli res Dans le cadre de la gestion du Centre d Accueil Manternach des changes de vues ainsi que des visites mutuelles et des participations des expositions ont eu lieu avec la Direction du Gaytalpark D Des repr sentants du Minist re de l Environnement de Rh nanie Palatinat ainsi que les coll gues allemands limitrophes ont pu se rendre compte de la sylviculture du ch ne mis en uvre dans le cantonnement de Grevenmacher L am nagement des jardins graines visant maintenir la biodiversit et notamment garantir la survie de diff rentes esp ces de sorbiers a t poursuivi Ces activit s se d roulent en troite et permanente collaboration avec les coll gues allemands de la station de recherche de Trippstadt Certaines for ts du cantonnement ont t
241. clarations de la classe 4 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Moyenne Jan 143 108 102 88 110 68 100 103 Secteur agricole Secteur agricole 13 3 3 2 2 2 1 4 inacceptable Dep ts de gasoil lt 271 242 239 221 194 121 98 198 20 000 1 Distribution de gasoil lt 11 6 10 5 8 15 12 10 20 000 1 Garages et parkings TOTAL classe 4 23 21 15 18 38 36 34 26 461 380 369 334 352 242 245 340 Secteur agricole 19 21 16 10 19 25 27 20 incomplet 47 Nombre de dossiers enregistr s depuis la mise en vigueur de la loi entre temps modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 08 1999 12 2005 Classe 1 demande chelonn e selon bus ue Lal gd al a ad 2 31 loi 1999 modification extension 61 transformation reet EE EEN BEE Ge cessation dative 2 demande chelonn e selon D 2 demande iniiae asf sas 16 2 228 33a 36 a BE BE BE Art 6 dispositions transitoires Art ENS 31 loi 1999 modification extension 20 11 4 1 8 9 11 transformation en E E E A E 3 364 Classe 3B 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 cessation d activit 1 1 demande chelonn e selon Art 5 y demande initiale 9 1 36 demande modification selon Art 6 L Lt 3 H modification extension EERTE transformation prolongation En nn 4 43 WEIER Cla
242. collabor dans deux groupes de travail interminist riels savoir le groupe de travail sur les organismes g n tiquement modifi s OGM et le groupe de travail sur les syst mes d information g ographiques CTI SIG 3 1 3 1 Organismes g n tiquement modifi s OGM En 2006 le Comit Interminist riel OGM ne s est pas r uni Les principaux projets de r glement grand ducal ont t cl tur s en 2005 Ils portaient sanction et ex cution des dispositions du r glement CE no 1829 2003 du Parlement Europ en et du Conseil du 22 septembre 2003 concernant les denr es alimentaires et les denr es alimentaires pour animaux g n tiquement modifi s et du r glement CE no 1830 2003 du Parlement Europ en et du Conseil du 22 septembre 2003 concernant la tra abilit et l tiquetage des organismes g n tiquement modifi s et la tra abilit des produits destin s l alimentation humaine ou animale produits partir d organismes g n tiquement modifi s et modifiant la directive 2001 18 CE 149 3 1 3 2 Syst mes d information g ographiques CTI SIG L Administration des Eaux et For ts a particip en 2006 aux activit s de la Cellule Technique du groupe de travail Interminist riel Syst mes d Information G ographique CTI SIG Le groupe assure un change d informations permanent entre les diff rents minist res et administrations Le principal projet trait en 2006 concerne l analyse pour la cr atio
243. collecte des formulaires statistiques aupr s des pr pos s forestiers et la compilation de donn es statistiques demand es par les organismes nationaux et internationaux La phase d automatisation de la collecte statistique n a pas pu tre lanc e faute de personnel permanent Les travaux courants de compilation des statistiques foresti res ont t les suivants e Collecte des donn es R ception v rification et classement des formulaires statistiques pour les ann es 2004 et 2005 Mise jour des fichiers informatiques concernant ces enqu tes statistiques par encodage des donn es r ceptionn es Assistance aupr s des pr pos s forestiers en vue du remplissage des formulaires statistiques Mise jour r guli re du fichier r capitulant les diff rents questionnaires re us par ann e et pour chaque triage Relances r guli res des triages forestiers en vue de la collecte totale des formulaires statistiques e Statistiques des Prix de Vente du Bois Gestion des documents concernant les ventes de bois r ception et classement des bordereaux et r sultats des ventes pour 2005 Traitement des donn es et calcul des statistiques de prix de vente du bois pour la p riode 2005 2006 Production de tableaux et graphiques r sumant l volution des prix de ventes de bois ces derni res ann es Travail sur la m thodologie employ e en vue d une automatisation progressive partir des donn es pr sentes dans le
244. comit du SIDOR a d lib r sur le projet SOTEC installation d incin ration avec four de combustion traditionnel et a vot le devis au montant total de 99 685 250 euros Le bureau du SIDOR a adjug les travaux en date du 27 juillet 2006 ladite soci t En bref les l ments cl s de la nouvelle installation d incin ration peuvent tre r sum s comme suit e La capacit annuelle de la future installation sera de 150 000 tonnes Elle ne fonctionnera ou avec une seule ligne d incin ration nouvelle ligne 4 d une capacit de 20 tonnes par heures Les lignes actuelles 1 2 et 3 seront d mont es apr s mise en service de la nouvelle ligne 4 e Le syst me d puration des gaz sera constitu d une injection de NaHCO et de charbon actif absorption de HCI HF et de SO ainsi que des m taux lourds et des dioxines d un filtre manches enl vement des poussi res et d un catalyseur traitement des oxydes azot s e La r alisation d une nouvelle turbine gaz et d un nouveau g n rateur permettront une meilleure utilisation de la vapeur et par cons quence de l nergie e La fosse d acceptation des d chets sera agrandie de fa on pouvoir y entreposer les d chets pendant 37 jours Le comit d accompagnement SIGRE Le comit d accompagnement permanent relatif l am nagement et l installation des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s de la d charg
245. commun ment argiles pauvres en fossile occupe une fine bande dans la partie nord ouest de l Enneschtebesch Une bande du Plienbachien longe le Lotharingien Peuplements La h traie m sophile m lique couvre pr s de la moiti de la surface du domaine tandis que la h traie m lique et gouet couvre 15 du domaine La ch naie fr naie asp rule couvre un quart du domaine tandis que la ch naie fr naie ficaire et asp rule occupe une faible surface cantonn e au sud ouest du domaine L aulnaie fr naie stellaire occupe seulement une surface marginale Par ailleurs les for ts non identifiables du point de vue de la classification phytosociologique couvrent 7 du domaine Les faci s de ch naie de substitution occupent 5 de la surface de la h traie M lique et sont constitu s des ch naies h traies situ es au lieu dit Heed a La variante humide de la h traie m lique et gouet est situ e principalement dans les bas de versant au Lieu dit Ho n En terme d essences pr sentes le h tre est l essence la mieux repr sent e dans l tage principal suivi de pr s par le ch ne Les autres feuillus ne couvrent que 10 de la superficie Les r sineux couvrent une superficie marginale au Tossebierg et au lieu dit Langer Helfent En ce qui concerne les typologies foresti res d crites dans l inventaire on observe que les h traies et les ch naies pures occupent une faible superf
246. conditions de vie des personnes d pendant des for ts e Objectif Global 3 Accroitre de mani re importante partout dans le monde l aire des for ts prot g es et autres zones foresti res g r es de mani re compatible avec leur pr servation e Objectif Global 4 inverser le d clin de l APD destin e la GDF et mobiliser des ressources financi res nouvelles et suppl mentaires accrues de mani re importante en provenance de toutes les sources disponibles pour la mise en application de la GDF Une r f rence appelle des efforts nationaux visant contribuer aux objectifs globaux travers l laboration ou l indication de mesures politiques actions ou objectifs particuliers nationaux volontaires Les moyens d ex cution pr voient diff rents recommandations pour les m canismes financiers inversion du d clin de l APD destin e la GDF invitation du Conseil de FEM proc der l examen int gral des possibilit s de renforcer le soutien du FEM en faveur de la GDF et la cr ation de capacit s et le transfert de technologies cologiquement rationnelles La r solution aborde aussi des aspects tels que l am lioration de la coop ration et de la coordination intersectorielle des politiques les modalit s de fonctionnement r unions biannuelles du forum le suivi et l amp valuation le renforcement du Partenariat de collaboration sur les For ts CPF la n gociation d un instrument non contraignant sur tous l
247. cteur du parc a men une tourn e th matique sur le terrain Tel que indiqu plus haut le cantonnement collabore troitement avec des ONG dans le cadre du projet Interreg III Vall es des deux Ourthes renaturation des fonds de vall es enr sin es 3 2 9 15 Manifestations r gionales Deux types de manifestations dominaient les activit s de relations publiques au cantonnement de Wiltz D abord il faut relever les maintes journ es en for t avec les diverses coles r gionales Ces journ es quasiment institutionnalis es sont chaque fois organis es par le pr pos territorialement comp tent et en collaboration avec les coll gues des triages adjacents Est remarquer dans ce cadre le rallye SNJ organis annuellement au Centre de D couverte de la for t du Burgfried Le nombre des participants s levait 250 l ves D autre part il faut noter la r ouverture en juin de la Maison de la For t du Burgfried sis au sein du Parc Naturel de la Haute S re Cette institution cherche de son gal dans le pays Son but est d informer le public tant sur l cosyst me for t son importance pour l homme voire pour l environnement que sur sa gestion sylvicole Depuis la pr sentation d une nouvelle brochure traitant du Centre de D couverte en 2001 et surtout gr ce au bateau SOLAR circulant sur le lac de la Haute S re et pour lequel le cantonnement avait install un ponton d amarrage en 2003 nous notons une
248. d accueil A Wiewesch Manternach e laboration d une tude agricole pour la r serve naturelle a Streissel Bettembourg e instauration de la gestion de la future r serve naturelle a Sonlez Pamer Tarchamps l aide d un p turage extensif 256 Mesures compensatoires de la Route du Nord En 2006 I Administration des Eaux et For ts a fait le suivi des mesures compensatoires pr vues par la loi du 27 juillet 1997 autorisant le Gouvernement proc der la construction d une route reliant Luxembourg Ettelbruck Les mesures compensatoires comprennent les projets suivants compensation par de nouvelles plantations foresti res de toutes les surfaces supprim es par la route du Nord laboration d un plan d emprise pour le boisement compensatoire nouvelle recherche de terrains pour le boisement compensatoire am nagement d une zone humide dans la Vall e de Alzette laboration d un plan d emprise relatif am nagement de la zone humide laboration d une tude agricole dans la Vall e de l Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen laboration d un projet de renaturation dans la Vall e de l Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen e programme de restitution d habitats naturels pour la Vall e de la Mamer laboration d un plan d emprise dans la Vall e de la Mamer valorisation cologique et paysag re de la propri t domaniale Weidendall entre Thillsmillen e
249. d Forschungsanstalt Baden W rttemberg exposait le monitoring dans les r serves naturelles du Luxembourg 232 Cette journ e bien remplie et informative se termina avec le retour collectif au Centre de Loisirs Am Sand 3 3 11 Les nouvelles publications 3 3 11 1 La publication sur le patrimoine historique et culturel en for t A c t de l inventaire et de la cartographie du patrimoine historique en for t d autres travaux taient r alis s plus concr tement en vue de rassembler les l ments pour la constitution d une publication sur ce th me D un c t sur base de l inventaire du patrimoine historique en utilisant les informations contenues dans la base de donn es et la nomenclature y d finie la campagne photo qui avait t lanc e en 2005 a t poursuivie en 2006 travers tout le pays D un autre c t alors que l ann e 2005 avait permis de r aliser des travaux bibliographiques et de recherche sur le patrimoine historique les travaux r dactionnels proprement dits taient au programme de l ann e 2006 L objectif de cette publication tant de r aliser une pr sentation synoptique sur la pr servation du patrimoine historique et culturel dans les for ts du Grand Duch de Luxembourg Le texte a t r dig de mani re permettre d illustrer d une mani re synth tique et ais ment compr hensible au grand public les diff rents vestiges de notre patrimoine national pr serv da
250. d consiste notamment dans la collecte des DEEE moyennant galement les structures de la SuperDrecksK scht En outre il est pr vu d utiliser les structures de sensibilisation et d information de la SuperDrecksK scht dans ce domaine La SuperFreonsK scht est directement concern e par cet accord En 2006 16 843 r frig rateurs ont t collect s et soumis un traitement conforme aux normes de la RAL G tegemeinschaft R ckproduktion von FCKW haltigen K hlger ten Ce chiffre est le meilleur r sultat obtenu depuis l existence de la SuperFreonsK scht Par rapport l ann e pr c dente il repr sente une augmentation de 21 5 Par rapport aux r frig rateurs mis sur le march le taux de collecte est de l ordre de 70 Les mousses d isolation des anciens r frig rateurs sont trait es en vue d y extraire les CFC Elles sont ensuite commercialis es comme produit d absorbants d huiles sous le nom d Oeko Pur En 2006 les mousses ainsi remises dans le circuit conomique correspondaient 10 318 r frig rateurs 2 6 10 6 Le SuperSpillMobil Le SuperSpillmobil est une activit qui vise la sensibilisation des enfants en mati re de protection de l environnement Il s agit d un conteneur sp cialement am nag qui comporte diff rentes activit s didactiques L animation lors des jours d intervention est assur e par le personnel de la SuperDrecksK scht En 2006 de nouveaux jeux ont t con us
251. d molition 1 collecte et transporte des d chets en quantt s minimes provenant de a propre actm E collecte et transporte des d chets an vue de leur valorisation ou de leur limination dans l enceinte de leur lieu de production pn lou des produits et qui reprend aupr s des clients les m mes produits devenus d chets en vue dun regroupement et d une valonsat on ou dune limination appropn es Veuillez v rifier vos donn es corrigez les le cas ch ant avant de sauvegarder La transposition de la directive 2006 66 CE relative aux piles et accumulateurs ainsi qu aux d chets de piles et d accumulateurs La directive 2006 66 CE du Parlement europ en et du Conseil du 6 septembre 2006 relative aux piles et accumulateurs ainsi qu aux d chets de piles et d accumulateurs et abrogeant la directive 91 157 CEE a t publi e au Journal officiel L 266 du 26 septembre 2006 Elle a comme objet d tablir 1 les r gles applicables la mise sur le march des piles et accumulateurs et en particulier une interdiction de mise sur le march de piles et accumulateurs contenant des substances dangereuses 2 des r gles sp cifiques pour la collecte le traitement le recyclage et l limination des d chets de piles et d accumulateurs destin s compl ter la l gislation communautaire pertinente sur les d chets et promouvoir un niveau lev de collecte et de recyclage des d chets de piles et d accumulateurs
252. d optical equipment Manufacture of transport equipment Manufacture of basic metals and fabricated metal products Manufacture of other non metallic mineral products Agriculture hunting and forestry e G BHazardous waste BNon hazardous waste bas D 0 1000 2000 3000 4000 5000 6000 7000 8000 Afin de mieux clarifier les quantit s produites par les diff rents secteurs conomiques les d chets de Le tableau refl te tr s bien les diff rents secteurs pr sents au Luxembourg et leur production de d chets les d chets en provenance de la sid rurgie 455000 tonnes de d chets non dangereux les d chets en provenance des m nages 225000 tonnes de d chets non dangereux les d chets en provenance des services tertiaires 165000 tonnes de d chets non dangereux les d chets en provenance de l assainissement et du traitement des eaux us es 147000 tonnes de d chets non dangereux 121 Manufacture of chemicals chemical products and man made fibres Manufacture of rubber and plastic products Manufacture of pulp paper and paper products publishing and printing BHazardous waste ENon hazardous waste Manufacture of wood and wood products Manufacture of textiles and textile products Manufacture of leather and leather products Manufacture of food products beverages and tobacco Mining and quarrying Waste generated by households Sewage and refuse disposal
253. d veloppement et la propagation des ravageurs forestiers comme le bostryche De plus une d position atmosph rique toujours trop excessive d grade encore d avantage la vitalit des arbres 3 3 14 2 L inventaire phytosanitaire communautaire La Commission Economique pour l Europe des Nations Unies UN ECE et l Union Europ enne UE surveillent ensemble l tat des for ts en Europe Ceci est fait moyennant un r seau international qui couvre uniform ment le territoire des 33 pays situation 2005 participant ce projet dont les Etats de l Union Europ enne suivant un maillage de 16 x 16 km Ce r seau a t install suite au r glement du Conseil CEE N 3528 86 du 17 novembre 1986 relatif la protection des for ts dans la CEE contre la pollution atmosph rique L inventaire transfrontalier qui se base sur la perte et sur la coloration anormale des feuilles est r alis selon une m thode comportant un syst me d chantillonnage uniforme et un traitement centralis des donn es Le r seau en question comporte environ 130 000 arbres chantillons sur plus de 6000 placettes situation 2005 Au niveau de l Union Europ enne ce r seau est obligatoire Les coordonn es g ographiques des placettes d observation ont t d finies en 1987 par la Commission pour le Grand Duch il s agit de 4 placettes Notre pays contribue ce projet en transmettant annuellement depuis 1987 la Commission Europ enne les donn es provena
254. d ducal du 22 f vrier 2006 modifiant le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 portant application de la directive 94 64 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 20 d cembre 1994 relative aux emballages et aux d chets d emballages 2006 A 38 p 738 Loi du 27 mars 2006 autorisant le Gouvernement participer au financement des travaux effectu s en relation avec l agrandissement et l assainissement de la d charge pour d chets m nagers et assimil s au Friedhaff Diekirch et la construction d une installation de pr traitement m canique et 23 la construction d une installation de pr traitement biologique par le syndicat intercommunal pour la gestion des d chets en provenance des m nages et des d chets assimilables des communes de la r gion de Diekirch Ettelbruck et Colmar Berg SIDEC 2006 A 59 p 1223 Loi du 27 mars 2006 relative aux m canismes de projet du protocole de Kyoto et modifiant la loi du 23 d cembre 2004 1 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre 2 cr ant un fonds de financement des m canismes de Kyoto 3 modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 2006 A 59 p 1224 R glement grand ducal du 7 avril 2006 modifiant le r glement grand ducal modifi du 17 mars 2003 relatif aux v hicules hors d usage 2006 A 73 p 1366 R glement grand ducal du 7 avril 2006 modifiant l annexe V du r
255. d emballages sont largement remplis 2 6 7 3 Le contr le des responsables d emballages Le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 relatif aux emballages et d chets d emballages transposant en droit national la directive europ enne 94 62 CE du 20 d cembre 1994 impose tout responsable d emballage les obligations suivantes e Obligation de reprise le responsable est tenu de reprendre les emballages des produits qu il a mis sur le march et d atteindre au moins les taux de recyclage et de valorisation prescrits par le r glement grand ducal e Obligation d information le responsable est tenu d informer annuellement IT Administration de l Environnement des quantit s d emballages mises sur le march et recycl es par lui le responsable est tenu d informer sa client le sur les actions mises en place pour recycler les emballages des produits vendus Conform ment l article 8 du r glement grand ducal l Administration de l Environnement a demand plusieurs entreprises qui sont consid rer comme responsables d emballages d apr s la r glementation en vigueur de remplir un formulaire de d claration prouvant leur conformit Les entreprises qui n avaient pas rempli correctement le formulaire taient convoqu es l Administration de l Environnement et proc s verbal a t dress 2 6 8 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 2 6 8 1 L accord envi
256. d les volumes de bois mort sont r partis sur un nombre tr s faible d chantillons Un logiciel simple de calcul permettant d estimer le volume des pi ces de bois partir des longueurs et diam tres observ s ou mesur s a t tabli afin de se familiariser avec les classes de volumes Il permet de choisir la surface de r f rence et indique les volumes estim s sur la surface de r f rence les volumes correspondants l hectare ainsi que la classe de volume correspondante Cette feuille de calcul a t test e au cours de l inventaire sur 14 parquets Cet outil vient compl ter le guide de terrain pour l estimation des classes de volume Il est important de garder l esprit que le relev du bois mort doit utilement tre r alis parall lement l inventaire des peuplements Dans les parquets o les mesures de surfaces terri res sont r alis es et dans lesquels la visibilit est bonne le relev du bois mort est facilement r alisable Dans certaines situations o le relev des param tres du peuplement principal pose des difficult s il est n cessaire de disposer d une m thode souple et exp ditive pour l estimation des volumes du bois mort Dans ces cas m me si un r seau de placettes pour le bois mort est th oriquement applicable il sera difficile mettre en uvre dans des temps d ex cution acceptables sans compromettre la qualit des donn es relev es pour le peuplement principal La m t
257. de Avancement du projet L inauguration de cette r serve naturelle ainsi que de son sentier didactique ont eu lieu le 3 mai 2006 en pr sence d un repr sentant de Monsieur le Ministre de l Environnement de Monsieur le Directeur des Eaux et For ts ainsi que des bourgmestres des deux communes concern es Une construction d accueil a t am nag e l entr e principale de la r serve naturelle Cette construction en ma onnerie s che en forme de trois quarts de cercle contient un panneau d information qui fournit un premier aper u sur les caract ristiques principales de la nouvelle r serve naturelle Une deuxi me partie informe le visiteur sur les autres projets de r serves foresti res int grales au Luxembourg Cet am nagement a pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolise ainsi l entr e principale de la r serve Le sentier didactique comporte en tout six panneaux d informations qui sont install s le long des chemins dans la r serve foresti re int grale Ces panneaux ont pour but de familiariser le public avec ce nouveau type de zone prot g e Les sujets suivants y sont trait s habitats naturels de la r serve foresti re int grale Enneschte B sch habitants de la r serve foresti re int grale Enneschte B sch l arbre mort une nouvelle source de vie le monde de la ch naie charmaie habitants d une mardelle de l Enneschte B sch avenir de la r serve foresti re int
258. de a t annul pour d passement de d lais Dossier C I N 1 02 0041 Dossier D chets N 02 CF 03 En date du 16 f vrier 2003 Monsieur Jean Pierre Nau d Itzig avait introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation de co fermentation de d chets dans la commune de Hesperange pr s d Itzig Le 26 f vrier 2003 des informations suppl mentaires ont t demand es pour compl ter le dossier En date du 31 mars 2003 ces informations nous ont t transmises 136 Des questions subsistaient n anmoins en ce qui concernait plus particuli rement les d chets pr vus tre introduits dans l installation Suite un avis demand par l Administration de l Environnement aupr s du Centre de recherche pour technologies de l environnement qui nous est parvenu en date du 9 novembre 2006 l arr t minist riel a t d livr en date du 22 d cembre 2006 En date du 16 ao t 2004 Monsieur Marc Blaise de Rambrouch avait introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation de co fermentation pr s d Arsdorf Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 15 mars 2005 et nous sont parvenues en date du 25 ao t 2005 En cours de proc dure une modification a t introduite en date du 26 janvier 2006 L autorisation a t d livr e en date du 31 mars 2006 Dossiers C I N 1 04 0328 et 1 06 0068 Dossiers D chets 04 CF 04 et 04 CF 04 01 En date du
259. de la saisie et de la vente des bois abattus en for t soumise c d le martelage le d nombrement et la vente de bois proprement dite sont totalement op rationnelles dans les cantonnements et les triages depuis octobre 1996 et l application de gestion des fiches de travail des ouvriers forestiers est op rationnelle depuis d but 2000 La gestion des tables des bases de donn es de la gestion foresti re est r alis e par la cellule informatique gr ce une application sp cifique L application SALAIRES FICHE DE TRAVAIL pr sente un ensemble de fonctionnalit s n cessaires l tablissement des fiches de travail des ouvriers forestiers Ces fonctionnalit s concernent e la gestion des donn es de base ouvriers formation fiche m dicale nature des travaux la saisie des fiches de travail localisation dur e et nature des travaux l int gration des donn es de l APE l dition des formulaires la facturation des prestations aux diff rents propri taires L application SALAIRES FICHE DE TRAVAIL permet de tenir compte des situations de gestion complexe auxquelles sont confront es les cantonnements et les triages forestiers en raison de la gestion multi propri taire de la force de travail disponible En 2006 la maintenance de l application SALAIRES FICHE TRAVAIL a volu de la version 5 20 5 27 Les travaux r alis s concernent la nouvelle gestion des jours de cong et les heures sup
260. de ramassage de cadavres de sangliers de Berbourg est g r par le pr pos du triage de Manternach Dans le cadre de la lutte contre la peste porcine des chantillons sont pris sur les animaux abattus et un relev en est tabli Celui ci retient les donn es relatives aux sangliers et aux chasseurs aux fins d octroyer le subside pr vu pour l abattage de ces animaux La gestion de ce centre exige beaucoup d organisation et se fait en collaboration avec le Service de la chasse et le Service v t rinaire du Minist re de l Agriculture Ces activit s se trouvent sous la surveillance des services des Institutions Europ ennes Bruxelles 178 La proc dure d information et de classement des for ts Hierberb sch Mompach Fiels Manternach Reef Wellenstein et Grouf Schengen en r serves foresti res int grales RFI a t poursuivie Les pr pos s des triages de Flaxweiler et Schengen ont organis et ont particip des randonn es de contr le des Zones Natura 2000 dans le cadre de la surveillance et de l endiguement de la propagation de la grippe aviaire 3 2 6 Le cantonnement de Luxembourg Est 3 2 6 1 Exploitation des coupes Le volume global exploit au Cantonnement Luxembourg Est lors de l exercice 2006 se chiffre 16 503 m dont 12 459 m de feuillus et 4 044 m de r sineux ce qui correspond un volume exploit de 3 4 m ha an Le volume total des r alisations a augment de 7 8 1 191 m
261. de type de for t l chelle du continent europ en Une journ e terrain organis e l initiative de ComMon s est d roul e dans le massif forestier du Domaine Provincial de Mirwart Province de Luxembourg La matin e a t consacr e la pr sentation des m thodologies IPRFW et IFL Une d monstration a t effectu e par la Cellule Inventaire de la DNF sur une placette IPRFW d j install e et des compl ments ont t apport s par C Sanchez pour illustrer la m thode IFL Cette placette avait t s lectionn e pour permettre la pr sentation d un maximum des particularit s des m thodes de collecte des donn es bois mort propres aux deux inventaires L apr s midi a quant elle t consacr e des discussions autour de situations rencontr es sur le terrain propos de l valuation du bois mort du type d habitats forestiers et du caract re naturel des peuplements L objectif tait de confronter les m thodes utilis es dans les inventaires nationaux des pays pr sents et les standards internationaux pour alimenter les discussions qui devront d boucher sur l laboration de m thodes de r f rence 214 3 3 6 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales 3 3 6 1 Description et tat d avancement des projets La r serve foresti re int grale Beetebuerger B sch Description g n rale du projet Le Betebuerger B sch est repr sentatif pour les h traies vo
262. des d g ts de gibier a sensiblement baiss par rapport 2005 279 contre 339 soit un recul de 18 Les d g ts par contre montrent une nette tendance la hausse et sont tout fait comparables avec les r sultats de 2004 voir tableau Si la moyenne des dossiers par triage s l ve 28 dossiers il faut toutefois relever que durant la premi re moiti de l ann e 3 triages sur 10 taient vacants o le nombre de dossiers par pr pos s eleve 40 dossiers par triage Dans ce contexte il faut relever le triage de Hosingen avec 74 dossiers trait s 197 Quant aux d g ts de cerfs en for t il faut noter une hausse consid rable et du nombre des dossiers 20 contre 4 en 2005 et en surface 43 4 ha contre 6 3 ha l ann e pr c dente soit une hausse de 68 des d g ts en surface Cette hausse s explique par le fait que les propri taires se voient de plus en plus contraints de r agir contre les d g ts caus s sur leurs propri t s Par ailleurs on note une croissance non frein e des populations Et en fin de compte on observe de plus en plus de nouvelles populations dans des zones qui auparavant taient libres de grand gibier Surface ha Nombre de dossiers 1998 33 15 180 1999 125 34 313 2000 96 48 219 2001 80 14 158 2002 68 68 303 2003 68 51 324 2004 96 70 258 2005 95 15 339 2006 100 80 279 3 2 9 12 Conservation de la nature Dans le cadre de la c
263. des plans Situation du lot de chasse superficie bois e et agricole configuration du terrain etc Estimation de la population du gibier faite par le locataire du droit de chasse D g ts de gibier constat s notamment en for t Tableaux de tir des ann es pr c dentes 3 5 2 5 Modification du plan de chasse au cours de la p riode cyn g tique e Recours En cas de d saccord avec le plan autoris par le ministre de l environnement un recours motiv peut tre introduit dans un d lai de 20 jours de la notification du plan e Revision Si la structure de la population du gibier subit des modifications importantes ou si des d g ts consid rables aux cultures sont constat s une demande en r vision peut tre introduite par le b n ficiaire du plan tout moment de la p riode cyn g tique 3 5 2 6 Le plan de chasse aux esp ces cerf et chevreuil p riode cyn g tique 2006 2009 Les plans de chasse pour le tir des esp ces cerf et chevreuil valables pour la p riode cyn g tique 2006 09 allant du 1 ao t 2006 au 31 juillet 2009 ont t tablis au cours du premier semestre de l ann e 2006 A cet effet la commission cyn g tique charg e d examiner les demandes de plan de chasse introduites par les locataires du droit de chasse s est r unie plusieurs fois pour discuter les recommandations ad hoc proposer Monsieur le Ministre de l Environnement La commission cyn g tique est pr sid e par le chef du se
264. destin e faire face aux changements climatiques par un renforcement de l application de la Convention Une s rie d expos s portant entre autres sur les derni res analyses scientifiques des enjeux conomiques du r chauffement de la plan te y ont t pr sent s Enfin la r union des Parties a d cid que le deuxi me examen du Protocole de Kyoto en vertu de l article 9 aura lieu en 2008 1 1 5 Les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables Au niveau national le Minist re de l Environnement en collaboration avec le Finanzwissenschaftliches Forschungsinstitut an der Uni Koeln sous la direction du Dr Ewringmann a poursuivi l analyse des potentiels de reduction des missions de gaz effet de serre entam e en automne 2005 Organis e autour de 6 s minaires perspectives d volution et strat gies secteur des transports secteur du b timent secteur de l industrie exportation de carburants s minaire de cl ture auxquels tous les acteurs int ress s ont pu participer repr sentants de diff rentes organisations syndicales professionnelles environnementales des d partements minist riels concern s et de la Chambre des D put s cette analyse des potentiels a permis de d gager un certain nombre de mesures respectivement de pistes en vue de l tablissement d un plan d action Fin avril le gouvernement a adopt le plan d action de r ducti
265. die du h tre des nouveaux foyers ont t d tect s dans le triage de Perl le long de la fronti re belge Ainsi outre les attaques d j r guli res par les champignons de nouvelles attaques par les scolytes Trypodendron ssp ont t observ es en automne accompagn es par un noircissement des mousses sur l corce 3 2 9 5 R g n ration plantation travaux culturaux Les plantations sur coupes rases sont tr s limit es En fait cette m thode est uniquement appliqu e dans le cadre du reboisement de parcelles o l ancien peuplement a d c der soit pour des raisons sanitaires soit pour des raisons cologiques fonds de vall es Pour le restant les plantations ont t r alis es sous couvert Cette m thode pratiqu e depuis plusieurs ann es au cantonnement a fait ces preuves La composition de ce couvert est tr s vari e savoir vieux peuplements feuillus r sineux ou taillis de ch ne fortement claircis au pr alable m l zes plant s large cartement v g tation pionni re sur des vieilles coupes rases interrompue par des laies Comme les jeunes plantes sont mieux prot g es contre le gel la s cheresse et l ensoleillement elles se d veloppent plus rapidement ce qui r duit les frais de d gagements Il faut toutefois relever d importants d g ts provoqu s par les rongeurs souris De m me durant la p riode de grande chaleur en juin bon nombre de plants ont d p ris m me sous
266. diff rentes approches de gestion appliqu es aujourd hui dans ces types de peuplement Les tudiants avaient galement l occasion de se faire une id e sur place de la maladie complexe du h tre En juillet le chef de cantonnement a particip au voyage annuel de Pro Sylva France traitant de la gestion en futaie irr guli re de futaie de diverses essences feuillues et r sineuses en Bourgogne et en Franche Comt Cette visite tait organis e dans le cadre du projet Interreg Coorensy Coop ration pour un renouveau sylvicole Ce contact servait de base pour la mise en place de trois dispositifs FI futaie irr guli re au sein du cantonnement durant le mois de d cembre Il s agit de placettes d observation destin es servir de r f rence et faisant partie aujourd hui des 64 r seaux de r f rence dont dispose l Association Futaie Irr guli re AFI Comme ces placettes servent de r f rence trois types de peuplements ont t retenus apr s une analyse pr liminaire savoir un peuplement de ch ne de h tre et de douglas m lang d autres essences r sineuses En novembre le chef de cantonnement a particip une tourn e foresti re dans le Saarland organis e par l asbl For t Wallonne portant sur la th matique des arbres de place En septembre le cantonnement forestier a visit avec son effectif le Parc National Eifel en Rh nanie du Nord Westphalie Apr s la visite du Centre du Parc Gem nd le dire
267. ditions stationnelles telles qu elles se pr sentent de mani re sp cifique dans les diff rentes propri t s foresti res elle permet de satisfaire aux crit res de la certification e a FSC PEFC d une gestion foresti re durable Les cartographies d aptitude stationnelle pour les for ts communales de Mamer 401 ha et de Diekirch 404 ha r alis es d j en 2005 ont t pr sent es la presse en juillet respectivement en octobre 2006 En 2006 les cartographies d aptitude stationnelle pour les for ts communales de Wormeldange 474 ha et de Bertrange 315 ha ont t r alis es Elles ont t tablies conform ment la m thodologie d crite dans le document de r f rence Manuel d utilisation du guide de boisement des stations foresti res au Luxembourg 3 3 4 1 La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Wormeldange Conditions naturelles La for t communale de Wormeldange totalise 474 5 ha Elle est constitu e de deux massifs principaux Biergerb sch et Kreizb sch situ s au nord ouest de Wormeldange ainsi que d une dizaine de massifs satellites tr s dispers s et de tailles tr s diverses La majeure partie de la propri t 91 se pr sente sous forme de plateaux troits prolong s par des versants en faible pente lt 20 Seuls les massifs les plus l est sur le versant de la Moselle pr sentent une pente marqu e 40 Quant l altitude comprise ent
268. dossier sera envoy sur le chemin de la proc dure publique d s que le conseil communal de Beaufort aura avis le projet favorablement Projet de r serve foresti re int grale Ref Wellenstein Description g n rale du projet L int r t de la zone d limit e se caract rise par des conditions stationnelles et micro stationnelles tr s vari es ainsi que par le fait que le site propos comble un d ficit jusqu pr sent de la repr sentation des for ts correspondant cette caract risation stationnelle dans le secteur cologique de la Moselle Par ailleurs l association phytosociologique que l on trouve sur 95 de la surface d limit e est celle du Melico Fagetum caricetosum laquelle est assez rare au niveau national tant donn qu elle est uniquement stationn e sur les sols riches en calcaire La zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 54 54 ha et appartient int gralement une commune En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle une seule partie dite r serve foresti re int grale a t propos e Etat d avancement Le dossier de classement est finalis et envoy sur le chemin de la proc dure publique Il a t pr sent devant les habitants de la commune de Wellenstein en date du 6 mars 2006 Ce dossier a comme particularit de comporter en outre une tude chiropt rologique ainsi qu une tude bryologique 220 Le projet a t pr sent devant le c
269. du 21 juin 1976 relative la lutte contre le bruit 2006 A 157 p 2754 Loi du 1 d cembre 2006 modifiant la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 2006 A 216 p 3752 Texte coordonn du 15 d cembre 2006 de la loi du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 2006 A 216 p 3754 Loi du 22 d cembre 2006 promouvant le maintien dans l emploi et d finissant des mesures sp ciales en mati re de s curit sociale et de politique de l environnement et portant 1 modification du Code du travail 2 modification de la loi modifi e du 4 d cembre 1967 concernant l imp t sur le revenu 3 modification de la loi modifi e du 24 d cembre 1977 autorisant le Gouvernement prendre des mesures destin es stimuler la croissance conomique et maintenir le plein emploi 4 modification des articles 100 161 239 375 et 376 du Code des assurances sociales 24 5 modification de la loi modifi e du 26 mars 1974 portant fixation de suppl ments de pension allouer aux personnes devenues victimes d actes ill gaux de l occupant en cas d invalidit ou de d c s pr coces 6 modification de la loi modifi e du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural 7 r forme de la taxe sur les v hicules routiers 8 modification de la loi modifi e du 15 f vrier 1955 concernant la r glementation sur toutes les voies publiques 9 in
270. du 5 7 novembre 2007 Varsovie Les deux principaux th mes qui feront l objet de r solutions s par es de la d claration g n rale seront la for t et l eau et le bois et l nergie 3 1 11 La certification des for ts La certification des for ts est un instrument volontaire qui est susceptible de promouvoir la gestion durable des for ts Dans le cadre de ses activit s de promotion du d veloppement durable le Gouvernement tient soutenir les initiatives de certification en tant qu instruments de march volontaires Deux syst mes sont actuellement applicables au Luxembourg le FSC et le PEFC Ils ont t analys s et d clar s conformes aux crit res d une gestion durable des for ts par le Ministre de l Environnement Le choix de l un ou l autre syst me incombe aux propri taires En 2006 l Administration des Eaux et For ts a particip aux travaux du groupe de travail FSC initi par le Minist re de l Environnement et g r par le bureau de l Alliance pour le Climat en vue de finaliser le standard national pour le sch ma de certification FSC au Luxembourg Plusieurs pr pos s forestiers ont galement particip s aux n gociations La proc dure de certification FSC en for t soumise est la suivante e le propri taire forestier ou groupe de propri taires forestiers qui d cide de se faire certifier attribue le travail d audit un organisme certificateur agr par FSC Internat
271. due au cours du premier semestre 2007 La Chambre des M tiers en coop ration avec notre d partement a organis un nouveau cycle de formation en mati re de mise en valeur des sources d nergies renouvelables aboutissant l obtention du label Energie fir d Zukunft L Ordre des Architectes et des Ing nieurs conseils a continu son programme de formation Bauen und Energie en troite collaboration avec l Oekofonds ainsi que l Agence de l Energie le CRTE le CRP Henri Tudor l IST le GIE SITEC et notre d partement A noter aussi que le Minist re de l Environnement a organis au cours du mois de novembre avec l appui du SYVICOL une s rie de 4 conf rences d bat l chelle r gionale destin es promouvoir l change de bonnes pratiques en mati re d conomie d nergie entre les communes En compl ment ces s minaires le Minist re de l Environnement a charg Emweltberodung L tzebuerg a s b l EBL de pr parer une compilation de r alisations et initiatives concr tes particuli rement innovantes prises par les autorit s communales pour conomiser de l nergie Ce manuel des meilleures pratiques se pr sente sous forme d une base de donn es lectronique accessible via internet sous www emwelt lu et sera compl t de mani re r guli re 1 1 6 La protection de la nature et des ressources naturelles 1 1 6 1 Les instructions d application des dispositions de l
272. e Propri taire Essence Volume m Etat feuillus 2 139 09 r sineux 2 197 30 Sous total 4 336 39 Communes feuillus 20 624 97 resineux 5 228 87 Sous total 25 853 84 Total 30 190 23 3 2 7 2 Les ventes de bois Les 7 ventes de bois du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest se sont tenues aux dates suivantes e Feuillus 19 12 2005 17 3 2006 et 31 3 2006 e R sineux 25 11 2005 28 4 2006 30 6 2006 et 20 10 2006 Une vente nationale de bois feuillus en provenance de 5 cantonnements forestiers du pays s est tenue en date du 19 d cembre 2006 dans laquelle un volume total de 10 560 m3 a t offert au march de bois dans 38 lots diff rents et dont 3 271 m3 ont t fournis dans 8 lots par les soins du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest 3 2 7 3 Les bois de chablis En ce qui concerne les bois de chablis seulement quelques arbres isol s tomb s lors des temp tes survenues sont signaler 3 2 7 4 L tat sanitaire de la for t Jusqu pr sent le cantonnement forestier de Luxembourg Ouest a t pargn par la nouvelle maladie du h tre Par contre la prolif ration du bostryche chez les r sineux est enray e par des interventions locales syst matiques 188 3 2 7 5 Les r g n rations les plantations les travaux de culture En total 43 575 plants de feuillus et 6 800 plants de r sineux ont t mis dans la terre Les taux de
273. e Muertendall fut cr par r glement grand ducal du 20 d cembre 2001 86 Dans une premi re phase un rapport technique et financier a t pr par par le comit r sumant tous les travaux effectu s par le SIGRE sur sa d charge Afin que le comit puisse continuer travailler sur le dossier le SIGRE doit notamment encore livrer les preuves aff rentes pour les investissements effectu s Ensuite il reste d terminer le taux d ligibilit des diff rents travaux 2 6 2 La r vision du plan g n ral de gestion des d chets Sur base des dispositions de l article 5 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets un premier plan g n ral de gestion des d chets a t arr t par le Conseil de Gouvernement en date du 15 d cembre 2000 Ce plan est d sormais soumis une r vision Afin d assurer la meilleure participation des milieux concern s cette r vision diff rents ateliers ont t organis s Un premier atelier introductif a eu lieu en date du 16 mai 2006 L objectif de cet atelier tait surtout de pr senter un premier bilan du plan de 2000 et d arr ter avec les milieux concern s les modalit s plus pr cises de la r vision Au cours du mois de novembre 2006 cinq ateliers th matiques furent organis s savoir le 09 11 2006 un atelier relatif aux d chets m nagers encombrants et assimil s 28 participants le 15 11 2006 un atelier relatif aux d
274. e avec une proposition d un projet de loi ont t transmis en date du 11 septembre 2006 Monsieur le Ministre de l Environnement Dans sa s ance du 13 octobre 2006 le Conseil de Gouvernement a donn son accord de principe concernant la participation au financement des travaux en relation avec la construction des nouvelles infrastructures de traitement des d chets organiques du syndicat intercommunal Minett Kompost 85 Le co t total des travaux d agrandissement s l ve 23 404 673 euros En application de la loi du 31 mai 1999 portant institution d un Fonds pour la protection de l environnement la participation financi re de l Etat pour la r alisation de projets de bio m thanisation de d chets organiques est de 66 ce qui correspond 15 45 millions Il est profit des travaux d agrandissement de Minett Kompost pour mettre en place un projet pilote pr vu dans le 1 plan d action en vue de la r duction des missions de CO Le projet vise l injection de biogaz dans le r seau d un fournisseur de gaz naturel L injection du biogaz dans le r seau gaz a comme cons quence une substitution de gaz naturel import et contribue ainsi l am lioration du bilan Kyoto luxembourgeois Actuellement les avis du Conseil d Etat et des Chambres Professionnelles par rapport au projet de loi sont attendus Le comit d accompagnement SIDOR Le comit d accompagnement permanent relatif au reno
275. e base et qui ont r ussi l preuve th orique la fin des cours de formation peuvent obtenir le certificat pour contr leurs d installation de r frig ration et de climatisation La formation de base doit tre du niveau du certificat d aptitude technique et professionnelle C A T P dans le m tier concern ou dans une branche d activit apparent e ou bien d une formation technique sup rieure au certificat pr cit D but 2007 les utilisateurs des installations de r frig ration et de climatisation seront inform s des nouvelles obligations afin que le syst me de contr le des fuites puisse d finitivement tre mis en op ration au cours de l ann e 2007 2 5 6 Echange de quotas de gaz effet de serre La directive 2003 87 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 13 octobre 2003 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre dans la Communaut et modifiant la directive 96 61 CE du Conseil a t transpos e en droit luxembourgeois par la loi du 23 d cembre 2004 1 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre 2 cr ant un fonds de financement des m canismes de Kyoto 3 modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 2 5 6 1 Autorisations d amp mission de gaz effet de serre Au Luxembourg 15 installations sont concern es par l change de quotas de gaz effet de serre
276. e chasse approche aff t battue affouragement et agrainage visc ration d au moins 3 pi ces de grand gibier traitement du petit gibier apr s tir Pour tre admis l examen les candidats doivent justifier au moins 20 pr sences sur le terrain au moyen d un carnet de stage qui leur est d livr par l Administration des Eaux et For ts avant le commencement de la p riode de stage 3 5 5 2 Cours pr paratoires th oriques Les cours pr paratoires th oriques l examen de chasse session 2005 2006 ont eu lieu pendant la p riode du 4 octobre 2005 au 30 mars 2006 Ont eu lieu 30 s ances de 2 heures Les mati res trait es pendant les cours sont Introduction 1 s ance L gislation sur la chasse 3 s ances Armes et munitions 4 s ances Connaissance du gibier petit gibier 4 s ances Connaissance du gibier grand gibier 4 s ances Am nagement des territoires de chasse 2 s ances Exploitation des chasses modes de chasse 2 s ances Ecologie protection de la nature 2 s ances Maladies du gibier 2 s ances Agriculture 1 s ance Sylviculture 1 s ance Ethique de la chasse 1 s ance Traditions locales de la chasse 1 s ance Chiens de chasse 1 s ance th orique et 1 s ance sous forme de d monstration pratique du travail des chiens de chasse Les cours ont t enseign s par 11 charg s de cours 3 5 5 3 Initiation pratique au tir de chasse En troite collaboration avec les associations de chasse
277. e d am nagement Les instructions du Service de l Am nagement des Bois pour la r alisation par des bureaux d tudes externes d inventaires d am nagement ainsi que les manuels d utilisateurs pour les applications de saisie et de traitement des donn es ont t mises jour Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant les inventaires d am nagement avec annexes Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant l application INV AME O Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant le lay out des cartes d inventaire d am nagement avec annexes Instructions du Service de l Am nagement des Bois du 15 d cembre 2006 concernant l acquisition des donn es cartographiques num riques dans le cadre d un inventaire d am nagement avec annexes Manuel d utilisation INV AME O du 15 d cembre 2006 avec tables de validation Manuel d utilisation CONCOP du 10 novembre 2006 3 3 2 2 Travaux d inventaire Les inventaires suivants ont t entam s en 2005 puis finalis s en 2006 e for t communale de Echternach 645 44 ha e for t communale de Hobscheid 598 04 ha e for t communale de Leudelange 351 45 ha e for t communale de Mompach 643 80 ha Total 2 238 73 ha Le plan simple de gestion suivant a t entam en 2006 et sera finalis en 2007 for t communale de Schifflange 57 61 ha Les inventaire
278. e de dossiers trait s en 2003 395 Nombre de dossiers trait s en 2004 276 Nombre de dossiers trait s en 2005 Nombre de dossiers trait s en 2006 282 429 Sont consid r s comme dossiers trait s aussi bien ceux concernant les autorisations d exploitation d livr es que ceux concernant les refus ainsi que les dossiers annul s cause du d passement des d lais pour introduire des informations suppl mentaires demand es aux requ rants On constate que le service Immeuble et Gestion de l Energie a trait environ 42 de tous les dossiers trait s au sein de la division des tablissements class s Plus de 60 r unions de consultation avec les personnes concern es surtout des professionnels du domaine ont eu lieu en 2006 2 4 11 Service Industries Le service INDUSTRIES traite essentiellement les dossiers relatifs aux activit s du secteur de l industrie travaillant les m taux du secteur de l industrie chimique du secteur de l industrie du caoutchouc et du secteur de l industrie min rale 59 Relev des dossiers concernant les activit s du service Industrie durant l ann e 2006 Dossiers entrants 86 a a L EE KSE EEN SL Ee Demande chelonn e Art 3 el Demande initiale Art 7 OOOO Kl Demande de modification non substantielle Art 6 130 Demande d extension et ou transformation Art 7 E sl Demande de prolongement d un arr t v
279. e de grilles clairement ordonn es Entre avril et d cembre 2006 au total 9 914 personnes visitaient le portail de la bourse de recyclage Jusqu a pr sent 172 personnes se sont enregistr es la bourse de recyclage 2 6 3 2 Le portail d information www srk lu En 2006 le portail lectronique www srk lu a t restructur et compl t Le visiteur y trouve toutes les informations concernant la gestion des d chets m nagers au Grand Duch de Luxembourg et plus particuli rement concernant les diff rentes syst mes et infrastructures de collecte s lective des d chets recyclables et autres 2 6 3 3 L exposition mobile D Emwelt notzen d Emwelt schounen L exposition mobile appel e D Emwelt notzen d Emwelt schounen que la Division des d chets a sp cialement con ue pour les coliers de 10 12 ans tait voir dans trois r gions du pays en 2006 P riode R gion Lieu 16 01 au 17 02 07 Centre Diverses coles de la Ville de Luxembourg 15 05 au 13 10 07 Sud Mondercange Minett Kompost 18 10 au 12 01 07 Nord Diekirch SIDEC Ensemble avec l exposition les coliers ont toujours eu la possibilit de visiter les infrastructures de traitement et d limination des d chets Au Minett Kompost les coliers pouvaient galement combiner la visite de l exposition avec le passage du Kompost L ierpued Au total 38 classes scolaires 20 coliers profitaient de la visite de l
280. e de la zone prot g e est de 124 14 ha Les communes en sont les principaux propri taires avec 62 5 Le restant appartient mt gralement des propri taires priv s Avancement du projet Un dossier de classement visant la mise jour du dossier existant pour la r serve naturelle Manternacher Fiels est en cours d laboration par le Service Am nagement des Bois Des r unions ont eu lieu avec les diff rentes personnes concern es par le projet H Projet de r serve foresti re int grale Saueruecht a Beaufort Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum ainsi que des for ts de ravins du Tilio Acerion qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure 219 La zone d limit e se subdivise en trois parties distinctes avec chaque fois un autre type de v g tation caract ristique Sur le plateau on est en pr sence d un sol sableux plus ou moins sec o le h tre constitue l essence principale Sur les sols limono sableux de la partie centrale on retrouve galement des h traies mais cette Zone comporte aussi de nombreux boulis de pierres sur lesquels des essences pionni res ont pu s installer En bas de versant sur les sols sablo limoneux faiblement glevifi s de nombreuses zones de suintement rendent le terrain particul
281. e de lyssavirus EBLV1 et EBLV2 au Grand Duch du Luxembourg Deux s ances de capture ont permis de d celer la pr sence d anticorps EBLV1 sur un individu de Myotis myotis et de Myotis daubentonii Deux r unions de concertation dont une a eu lieu l AFSSA fin 2006 Nancy et dont l autre s est tenue fin janvier 2007 l Institut Pasteur Bruxelles afin de monter un projet de recherche pid miologique sur la pr sence des lyssavirus dans la population des chiropt res Partenaires de ce projet de recherche seront du c t luxembourgeois l Administration des Eaux et For ts le mus e national d histoire naturelle et l Administration des Services v t rinaires Le projet de recherche Vorkommen und Oekologie der Bechsteinfledermaus in den W ldern Luxemburgs par le Dr Markus DIETZ de l Institut f r Tier kologie und Naturbildung Altes Forsthaus Hauptstr 30 D 35321 Gonterskirchen a pris fin avec la recherche de cette esp ce de l annexe II de la Directive Habitat dans les diff rents types de for ts de l Oesling Le rapport de cette tude trisannuelle sera disponible vers le mois de f vrier 2007 Une publication des r sultats de recherche est pr vue au courant de l ann e 2007 En parall le cette tude une coop ration a t r alis e avec un travail de dipl me par Mme Anja H RIG sur l utilisation spatiale des m les de Myotis bechsteinii dans la for t soumise du Friemholz pr s d Echterna
282. e la technologie ADSL pour l ensemble des triages a t finalis e dans ce contexte toutes les applications ont t s curis es e La premi re phase de d veloppement du syst me de gestion informatis dans le cadre du projet Protection de la nature et des ressources naturelles NATURA2000 a t r alis e Il s agit de l informatisation des plans de gestion et des inventaires d valuation des zones NATURA2000 Cette nouvelle application a t d velopp e par une soci t de service faute de ressources internes e Un nouveau module Vente Nationale a t ajout l application vente de bois GESTFVEN Il a t test et approuv lors de la premi re vente nationale de bois par soumission le 19 d cembre 2009 au cantonnement de Luxembourg Est e Un nouveau module pour la brigade mobile a t ajout l application de gestion des subsides DBAIDE Il permet le suivi des dossiers annuels qui doivent tre contr l s dans le cadre des aides europ ennes e Toutes les applications DBAIDE CONCOP INVENTO CARNETO MARELAG GESTFVEN SALAIRES FICHE TRAVAIL COBUPLAN NATURA2000 ont t pr par es pour la migration de l ensemble du syst me de la base de donn es Oracle 8i vers Oracle 10g et du langage PB8 04 vers PB10 5 1 La migration est pr vue pour d but 2007 Les applications d inventaire et d am nagement En 2006 nous avons finalis l int gration des deux modules IN AME
283. e les travaux d entretien sur des sites naturels sensibles ou des travaux d espaces verts au niveau communal et en milieu urbain ainsi que des activit s touristiques Elle contient en outre des informations pratiques financi res et techniques pour ceux qui d sirent fonder une entreprise de d bardage des informations sur les diff rents aspects et r les du cheval de trait des expressions utilis es dans ce contexte ainsi que les diff rentes races de chevaux et leurs caract ristiques La publication donne des conseils pratiques aux futurs meneurs de chevaux et d crit l influence positive que les chevaux de trait peuvent avoir sur les tres humain On est rendu attentif sur le fait que l utilisation moderne du cheval de trait peut tre une source d nergie renouvelable La publication contient une pl nitude d informations concernant des adresses de fabricants de machines chevalines des donn es sur la litt rature utilis e ainsi que d une liste des magazines les plus importants dans le contexte de la publication Cela permet une recherche bien vis e et d taill e 233 L objectif de la publication est d informer et de sensibiliser les responsables politiques et les responsables des services techniques et cologiques des diff rentes communes ou syndicats des centres r gionaux d accueil de parcs naturels les gestionnaires forestiers les agents r gionaux de l Administrations des Eaux et For ts et de I Ad
284. e lors de la battue du 29 novembre 2006 Comme l ann e pr c dente cette action a aboutit une question parlementaire Exercice de lutte contre le feu en for t Dans le triage de Waldhof un exercice des pompiers en for t a t organis ayant pour but de coordonner l approvisionnement en eau n cessaire pour pouvoir combattre un feu en for t Les corps de pompiers de Niederanven Sandweiler Schuttrange Munsbach Mensdorf Junglinster et Contern ont particip cet exercice Cet exercice pratique a relev que la question de la logistique de l approvisionnement en eau m rite d tre bien r fl chie Mise disposition des locaux du Cantonnement Mise disposition des locaux et encadrement de r unions et de formations Pendant l ann e 2006 53 r unions pr sentations et formations ont t organis es dans les locaux du cantonnement dont 5 r unions internes r unions de service et 24 organis es par la direction 5 r unions externes 16 formations 2 pr sentations et une vente nationale cf page suivante Relev des r unions organis es dans les locaux du Cantonnement forestier Luxembourg Est en 2006 Mois Date Objet Salle Type Janvier 26 01 2006 R union Info Ouvriers salle formation r union interne F vrier 01 02 2006 Conseil sup rieur de la chasse salle formation r union Direction
285. e phase a eu comme objet la mobilit transports publics mais aussi conduite plus rationnelle enfin la derni re phase s adressait une fois de plus aux m nages cette fois ci sous l angle de la consommation en nergie par le chauffage 1 1 3 2 Semaine de la mobilit 16 24 septembre 2006 Lanc e en 1998 par la Ministre fran aise de l Am nagement du Territoire et de 1 Environnement Dominique Voynet la journ e du 22 septembre fut d clar e journ e europ enne sans voiture par la Commissaire europ enne pour l Environnement Margot Wallstr m en 2000 La semaine de la mobilit se d roula quant elle pour la premi re fois en 2003 l objectif tant de rendre attentif la n cessit de changer nos comportements en mati re de mobilit et plus particuli rement concernant l usage de la voiture particuli re La semaine de la mobilit europ enne a fait elle m me partie int grante de la campagne europ enne sur le changement climatique La campagne ainsi que le programme de la semaine de la mobilit ont t organis s en collaboration avec le Minist re des Transports Le Minist re de l Environnement quant lui s est charg de la campagne nationale plus particuli rement de l impression des affiches de la diffusion de spots radio ainsi que de la publication d annonces dans les journaux luxembourgeois 1 1 3 3 Participation l Oekofoire la Semaine du Logement et la Foire de l Etudiant Le
286. e pr pos du triage de Flaxweiler a collabor avec le SNJ et les L tzebuerger Guiden a Scouten durant 24 journ es enti res et a guid 1 200 l ves travers la nature Le m me pr pos a organis des activit s et dispens des explications quatre classes du pr scolaire dans le cadre du projet Natur erliewen an der Schoul Il y a lieu de mentionner tout particuli rement la quarantaine de visites guid es dans la r serve naturelle Haff R imech dispens es environ 1 500 amateurs de la nature De plus 30 classes scolaires se sont fait expliquer l cosyst me de la RN Haff R imech Le pr pos forestier du triage de Schengen a accompagn les classes du pr scolaire de la r gion Ceux ci ont effectu des visites hebdomadaires en for t durant les mois de mars juillet Les l ves ont pu profiter de l exp rience du pr pos tout en participant activement la r alisation de travaux forestiers En tout 60 visites guid es au profit de groupes d adultes ont t organis es travers la nature les for ts et les r serves naturelles Les pr pos s forestiers ont organis sur base du b n volat de la population le ramassage d ordures d pos es clandestinement dans la nature Ces d tritus d origines diverses ont t ramass s en zone verte ainsi que le long des routes rues et chemins en g n ral A ces fins des quipes de travail ont d tre compos es Celles ci sont form es de citoyens de la co
287. e sollicitant les autorisations n cessaires pour pouvoir am nager et exploiter une installation de tri pour d chets de papiers carton plastiques et mat riaux composites ainsi qu un entrep t de d chets dans la commune de Colmar Berg dans la Zone industrielle Piret Le dossier est en cours d examen Dossier C I 1 06 0518 Dossier D chets N 06 PD 06 Autorisations d importation Au cours de l ann e 2006 les dossiers de demande suivants ont t introduits aupr s de la Division des d chets pour pouvoir importer des d chets sur le territoire du Grand Duch Nom N Dossier Date d intr Dae Explication d livr M Francis Bink 06 IM 01 27 12 2005 en cours Fumier de volailles K hne amp Nagel 06 IM 02 02 03 2006 en Cours Cart Toner vides M Kauffmann 06 IM 03 08 05 2006 12 07 2006 Fumier de volailles M J P Nau 06 IM 04 04 09 2006 11 11 2005 Fumier de volailles Inf Suppl 12 11 2006 Nouveau dossier 06 IM 04 10 12 2006 en cours Fumier de volailles Au cours de l ann e 2006 les dossiers de demande suivants introduit avant 2006 ont t cl tur s Nom N Dossier Date d intr Date d livr Explication E 05 IM 05 28 12 2005 13 01 2006 Balayures Exploit Hein D chets 05 IM 06 12 09 2005 31 01 2006 Dechets de bois Notons ici que suite aux modifications que la loi du 1 d cembre 2006 porte la loi modifi e du 17 juin 1994 r
288. e sur Attert En date du 12 octobre 2006 des informations suppl mentaires ont t demand es Elles nous sont parvenues en date du 27 octobre 2006 Toutefois certaines informations en relation avec les d chets envisag s y tre accept s manquaient toujours En dates des 21 novembre et 14 d cembre 2006 des compl ments aux informations suppl mentaires nous ont t fournies Le dossier de demande et plus particuli rement les informations suppl mentaires fournies sont actuellement en cours d examen Dossier C I N 1 06 0202 Dossier D chets N 06 CF 01 Installations agricoles Durant l ann e 2006 6 dossiers de demande ont t introduits en vertu de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et tombant galement sous l application de la loi D chets pour pouvoir modifier des installations de co fermentation agricoles 132 Commune N C I N D chets Da Ee gt k entr e autoris initial Feulen Wagner 1 06 0261 06 CF 02 16 05 2006 examen 1 02 0213 Canach Capriso 1 06 0277 01 CF 04 02 07 06 2006 examen 1 01 0327 Schrassig Fohl 1 06 0288 02 CF 04 01 13 06 2006 Inf sup 1 02 0122 Heinersch Schank Samflock 1 06 0389 06 CF 03 18 08 2006 Inf sup 1 01 0341 Flaxweiler Mangen 1 06 0444 06 CF 04 14 09 2006 examen 1 02 0007 Steinsel Rommeschter Haff 1 06 0663 06 CF 05 30 11 2006 examen 1 03 0027 Parcs conteneurs Au cou
289. ectriques accumulation 195 97 060 68 Thermographie 133 32 979 11 Ventilation contr l e avec r cup ration de chaleur 84 122 898 83 Ventilation contr l e simple 1 500 00 changeur g othermique 53 20 140 00 limination amiante des po les lectriques 7 2 396 28 SOMME 18 855 79 330 894 73 Situation au 29 1 2007 Depuis la mise en uvre du programme d aides financi res institu par le r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2001 un montant global de 79 330 894 73 a t accord pour subventionner 18855 installations Il y a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations La majorit des subventions accord es concernent les installations photovolta ques 79 des aides financi res et 27 des installations et les chaudi res condensation 16 des aides financi res et 61 des installations La puissance totale install e des 5 119 installations photovolta ques subventionn es est de 18 7 MW R partition selon les aides allou es 5 79 E Capteur solaire photovolta que I Chaudi res condensation Reste Situation au 29 1 2007 un Repartition selon les types d installations 12 61 H Capteur solaire photovolta que M Chaudi res a codensation O Reste Situation au 29 1 2007 2 5 7 2 Aides financi res pour les investissements r alis s dans le cadre du r glement grand ducal du 3 ao t 2005 En ao t 2005 le deuxi me pr
290. elative la pr vention et la gestion des d chets l importation de d chets sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg ne n cessite dor navant plus d autorisation s par e Toutefois il importe de rappeler que l entreposage et l utilisation voire la valorisation et ou l limination de ces d chets sont toujours soumis autorisation par le Ministre en application de cette loi 2 6 14 2 Dossiers d autorisations introduits avant 2006 et finalis s en 2006 Durant l ann e 2006 les tablissements suivants ont t autoris s en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Site du SIDEC au Friedhaff La construction de l installation de traitement m canico biologique de d chets m nagers a t entam e en date du 28 novembre 2005 Tout au long de l ann e 2006 les travaux ont pu tre continu s sans incidents majeurs Aucune nouvelle activit n a t autoris e durant l ann e 2006 CASA Dommeldange Les travaux d assainissement sur la d charge ont d but en d cembre 2005 Les travaux ont pu tre r alis s sans incidents majeurs de sorte qu en fin novembre 2006 les travaux de mise en forme de la d charge et de la r alisation de son tanchement de surface ont t termin s Les travaux seront d finitivement achev s vers la fin du printemps d but t 2007 Dossier C I 1 02 0228 Dossier D chets N 02 PD 05 135 Centres r gionaux pour la gestio
291. emande pour mettre jour les autorisations d exploitation de ses installations de production situ es dans la zone industrielle de Lentzweiler pr s de Clervaux En date du 7 novembre 2005 des informations suppl mentaires ont t demand es afin de compl ter le dossier de demande Celles ci nous sont parvenues en date du 23 novembre 2005 L arr t minist riel a t d livr en date du 15 mai 2006 Un recours gracieux a t introduit en date du 22 juin L arr t a t modifi en cons quence et d livr en date du 16 ao t 2006 Dossier C I N 1 05 0305 Dossier D chets N 05 PT 05 L entreprise Kisch S A a fait introduire un dossier de demande en date du 31 ao t 2005 pour obtenir les autorisations n cessaires en vue d am nager et exploiter un d p t de d chets inertes non contamin s constitu principalement de terre de pierres et de b ton dans la commune d Ermsdorf L autorisation a t d livr e en date du 15 f vrier 2006 Dossier C I N 3B 05 0017 Dossier D chets 05 PE 09 Concasseurs mobiles Durant l ann e 2006 les autorisations suivantes ont t d livr es pour des concasseurs cribleurs mobiles Nom de l entreprise N C I N D chets Date entree Autorisation Concalux 3 04 0207 04 CM 07 02 07 2004 19 01 2006 Cloos S A 3 05 0375 05 CM 03 19 12 2005 15 02 2006 Dossier annul pour d passement de d lais 138 2 6 14 3 Activit s d information et de cont
292. ement compl t e Cette fiche doit encore tre sign e par le requ rant et envoy e par courrier l Administration de l Environnement D s r ception de cette fiche l enregistrement est valid Comme la loi prescrit que les activit s soumises un enregistrement doivent tre conformes des dispositions fixer par r glement grand ducal I Administration de l Environnement a labor un avant projet d un tel r glement Portail de l Environnement du Grand duch de Luxembourg Demande d enregistrement Windows Internet Explorer Le h tp imm envronnement subie ulguchet_vrtueliGV_ d chets GV_transfertienres_atindex hemi Fir FB Fin Edt View Beete Tods Help Adobe Y7 2 Rechercher la amp OR vi Sgets E Mon Yahoo WP Yahoo ZM Finance E YIM lt ZActust s C Shopong Cf Vosges Google Go wmemwonnemert k M oz ME Bochmarkse Bei Check A ank jan sendoe G Domm E enge Du Q sange WR Portal de lErr rnrement du Grand chsch de Luxard R D pw Oro WWW EMWELT LU PORTAIL DE L ENVIRONNEMENT LE SOUVENNEMENT Sites Development dur able Ar Bruit D EN Demande d enregistrement lrer pes renouvrelabies Encodericorriger vos donn es M pays Lunembourg v M Da champs requis Par la pr sente la soci t susmentionn e demande de s enregistrer en tant que soci t qui p Collecte et transporte des d chets mertes prownam de travaux routiwrs d excanation ou de
293. ement rural FEADER en droit luxembourgeois Ce r glement CE contient les dispositions applicables concernant les aides pour les secteurs agricole et forestier Apr s que la strat gie nationale ait t finalis e en 2005 les prochaines tapes consistaient en 2006 d finir les mesures nationales du Plan de D veloppement Rural 2007 2013 pouvant profiter d un cofinancement de la part de la CE et r diger les diff rentes fiches contenant les d tails de ces mesures ainsi que les fiches avec les justifications conomiques correspondant aux diff rentes mesures Reste encore relever que trois r unions d information et de concertation concernant les mesures PDR 2007 2013 ont t organis es avec les membres du comit du Groupement des Sylviculteurs asbl pour les informer du suivi des travaux et entendre leurs avis Comme ces nouvelles mesures doivent tre d int gr es dans le r glement grand ducal concernant les aides aux mesures foresti res Il Administration des Eaux et For ts r digera en 2007 un avant projet de r glement grand ducal y relatif 3 1 13 Le projet Interreg III B Probois Proholz Le projet Interreg IIIB Proholz Probois est un projet interr gional en collaboration avec la Lorraine la Sarre et la Wallonie en vue d encadrer le volet communication et promotion du mat riau bois dans le cadre de la certification des for ts Les 13 partenaires du projet sont l asbl Valbois RN chef de
294. ements class s 54 2 4 9 Service construction infrastructures artisanat et loisirs 2 4 9 1 Zones d activit s commerciales artisanales et industrielles Avec l entr e en vigueur de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s ainsi que du r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s le l gislateur a exprim la volont de faciliter aux tablissements artisanaux l obtention d une autorisation d exploitation conform ment la loi en question La facilit se situe notamment au niveau de la proc dure d autorisation En effet les demandes d autorisation de ces tablissements ne doivent pas tre soumises une enqu te publique lorsque ces tablissements respectent les crit res de la nomenclature Les tablissements en question sont num r s au r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 sous les nos 32 atelier de travail du bois 33 ateliers d entretien de v hicules 34 ateliers de constructions m talliques 42 centrales b ton 49 d p ts de bois 52 bonneterie 53 boucheries charcuteries 57 boulangeries p tisseries 62 fabrication de brosses 64 buanderies 87 charpentier 88 chaudronneries 89 fabrication de chaussures 94 chocolateries confiseries 171 forges 207 imprimeries ateliers d h liogravure de flexographie et de s rigraphie 222 installations de lavage
295. emp ratures basses du mois d ao t Les co ts pour la lutte contre le bostryche se sont port s 32 700 en 2006 A part quelques arbres isol s il n y a pas eu de d g ts de chablis au cours de l ann e 2006 au Cantonnement de Luxembourg Est 3 2 6 4 R g n ration plantation travaux de culture En ce qui concerne les travaux de culture 90 97 ha ont t d gag s en 2006 Les plantations se sont limit s au regarnissage des cultures restantes et la cr ation de lisi res plantation 16 950 arbres feuillus et de 845 arbres r sineux 3 2 6 5 P pini res cause des travaux de restructuration de la p pini re domaniale de Waldhof en vue de produire des arbustes et haies autochtones les activit s au niveau de l levage de semis ont t mises au ralenti Ainsi la majorit des planches et des plates bandes n ont plus t mise en culture Seulement 24 000 plants feuillus et 3 000 plants r sineux se trouvent pour l instant en culture la p pini re Waldhof Le triage de Niederanven a inventori 3 000 plants feuillus et de 500 plants r sineux dans sa p pini re volante Les travaux en p pini re se sont concentr s aux t ches suivantes e levage de plantes hautes tiges pour les besoins de l administration et des communes e levage de plantes foresti res indig nes pour les boisements de compensation 3 2 6 6 Travaux d am lioration Plus que 23 ha ont t trait s en 2006 3 2 6 7
296. en F1 F3 DIPL ING PAUL PIES TPS F 49 067423742 B1 Birkenstrasse 34 31 03 2008 D 56154 Boppard nn gt opp 01702125560 FROGENA SEA T 352 26107 127 D3 2 rue d Arlon F 352 26107 128 E8 31 03 2007 L 8399 Windhof i F13 PROSOLUT S A W D1 D3 D5 6 W llemslach R SE E E4 E5 E6 E9 31 03 2009 L 5331 Moutfort F11 F13 F3 RME CONSULTING T 352 443222 1 1 rue Nicolas Simmer F 352 44320220 E8 31 03 2007 L 2538 Luxembourg i RBI a e e EE T 49 0234 705569 E6 ae Charlottenstrasse Ic F 49 0234 705525 F3 D 44799 Bochum RUK GRUPPE LUXEMBOURG A G 4352 748946 D3 74a route de Luxembourg 1352 748947 E5 E6 31 03 2009 L 6633 Wasserbillig F3 A2212 A2222 31 03 2007 43 SCHORNSTEINFEGER HANDWERK F R DAS SAARLAND E V Technische Pr f und Vertriebsstelle Kahler Allee 37 D 66386 St Ingbert SECOLUX A S B L 77 route d Arlon L 8310 Capellen T 49 06894580435 T 352 460892 1 F 352 461185 F111 F13 G1 31 03 2009 31 03 2008 SOCOTEC LUXEMBOURG SARL 23 rue des Bruy res L 1274 Luxembourg Howald SOLETUDE S A R L 3 rue D Zahlen L 5942 Itzig SORESMA S A Chauss e de Louvain 484 B 5004 Namur SPITZLEI amp JOSSEN G M B H Fichtenweg 3 D 53721 Siegburg DR TOMBERS amp PARTNER Hauptstrasse 68 D 54455 Serrig T V INDUSTRIE SERVICE G M BH T V RHEINLAND GROUP Am Grauen Stein D 51105 K ln
297. en de la strat gie de PUE en faveur du d veloppement durable sur base d un dossier relatif l examen de la SDD constitu par la Commission et en vue de l adoption de la strat gie r vis e par le sommet europ en de juin 2006 STRATEGIE THEMATIQUE DECHETS Le Conseil environnement du 9 mars a tenu un d bat d orientation sur une strat gie th matique pour la pr vention et le recyclage des d chets telle que pr sent e par la Commission en d cembre 2005 ainsi que sur une proposition de directive afferente La strat gie sur la pr vention et le recyclage des d chets qui adopte une approche bas e sur le cycle de vie a pour objet de faire de l Europe une soci t ax e sur le recyclage soucieuse de limiter sa production de d chets et d utiliser les d chets comme source d nergie La Commission a propos de r viser la directive cadre de 1975 et de fusionner et simplifier les textes l gislatifs clarifier la notion de d chet d limiter plus clairement les notions d limination et de valorisation moderniser le march du recyclage en tablissant des normes environnementales qui d finissent les conditions dans lesquelles certains d chets recycl s ne sont plus consid r s comme des d chets mais comme des mati res premi res secondaires d velopper le recyclage en dictant des normes de qualit introduire une obligation pour les Etats membres d laborer des programmes nationaux de pr vention de
298. en vue d obtenir l autorisation d am nager et d exploiter un tablissement class une note au sujet de la r vision de la nomenclature des tablissements class s et une note concernant les installations de climatisation et de r frig ration a t adress e aux participants avant la r union Soulevons que 4 r glements grand ducaux concernant des tablissements de la classe 4 seront revus alors que 4 r glements grand ducaux suppl mentaires seront soumis la proc dure d adoption Il s agit de e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les garages et parkings couverts pouvant recevoir de 5 50 v hicules en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les d p ts de gasoil d une capacit allant de 300 litres 20 000 litres en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les stations fixes de distribution de gasoil dont la capacit totale des d p ts est sup rieure ou gale 300 litres et inf rieure ou gale 20 000 litres en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les installations de compostage d une capacit de 10 50 m3 qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal
299. enant expiration D I Dossiers cl tur s 108 RS L L eege Cl ture puisque non complet 3 Modifications substantielles 2 Fes Notification de l arr t du Ministre de l Environnement 100 Diverses soci t s du site DuPont Contern DuPont de Nemours Luxembourg DuPont Teijin Films Luxembourg et CEDUCO y sont implant es depuis les ann es 1970 Comme les ann es pr c dentes les diverses soci t s du site DuPont poursuivent l actualisation de leurs autorisations Celles ci viennent en expiration apr s 30 ann es En 2006 un arr t de renouvellement pour la ligne Typar a t notifi DuPont de Nemours Dans les ann es 1990 la soci t DuPont a produit du non tiss Tyvek l aide d un CFC Ce produit a un potentiel de destruction de l ozone et la production a t arr t e la fin des ann es 1990 Apr s plusieurs ann es de recherche un nouvel agent de proc d a t trouv et la transformation de la ligne de production a t autoris e en 2006 Cette ligne permettra de produire une nouvelle gamme de produits et servira la base d une plate forme R amp D research and development Pour diversifier de plus la palette des produits offerts sur le march et r pondre une demande sp cifique de produits Tyvek une unit de recouvrement des feuils Tyvek a t autoris e L tat technique des r servoirs de stockage de diff rents produits destin s la production du film
300. ence r ussie et de longue date en la mati re Cet institut a d velopp une m thode qui permet de relever intervalles r guliers p ex tous les 10 ans des r serves foresti res int grales afin de pouvoir suivre leur d veloppement travers le temps Ce relev est appliqu aux RFI au Luxembourg sous la d nomination Forstliche Grundaufnahme FGA En fait il s agit d un relev par chantillonnage syst matique Cette m thode a pour but de fournir des donn es sur la structure des RFI comme p ex la r partition spatiale du bois mort terre et sur pied ou la r partition de la v g tation dans les diff rentes strates Sont galement relev es des donn es dendrom triques comme le diam tre la hauteur la surface terri re le nombre de tiges ou les facteurs biotiques et abiotiques Ce relev se pratique au moyen de placettes circulaires syst matiques avec un maillage variant en fonction de la taille du massif Le centre de ces placettes tant mat rialis La r g n ration est inventori e sur des satellites distincts Les donn es sont directement enregistr es sur ordinateur ce qui permet une premi re v rification au moyen des tests de plausibilit sur le terrain Ces donn es sont ensuite transmises la FVA qui a pour mission de les v rifier de les analyser et de les valuer La FVA dispose galement d un service qui est sp cialis dans la photo interpr tation et l interpr tation du Syst me d In
301. ent issu de la perception notamment visuelle de l environnement qui les entoure savoir le paysage et elles ont pris conscience du fait que la qualit et la diversit de nombreux paysages se d t riorent sous l effet de facteurs aussi nombreux que vari s et que ce ph nom ne porte atteinte la qualit de leur vie de tous les jours L objectif g n ral de la convention est d enjoindre les pouvoirs publics mettre en uvre aux niveaux local r gional national et international des politiques et des mesures destin es prot ger g rer et am nager les paysages d Europe afin de conserver ou d am liorer leur qualit et de veiller ce que les populations les institutions et les collectivit s territoriales reconnaissent leur valeur et leur int r t et participent aux d cisions publiques y aff rentes Le champ d action des politiques et des mesures mentionn es ci dessus doit se r f rer la totalit de la dimension paysag re du territoire des Etats A cet gard la convention s applique l ensemble du territoire europ en qu il s agisse des espaces naturels ruraux urbains ou p riurbains Elle ne saurait tre limit e aux seuls l ments culturels ou artificiels ou aux seuls l ments naturels du paysage elle se r f re l ensemble de ces l ments et aux relations entre eux Les paysages d Europe pr sentent un int r t local mais ont aussi une valeur pour l ensemble de la population europ enne Il
302. entaire serait conduit de mani re tal e et se traduirait par une permanence dans le temps via des activit s annuelles La d cision de la dur e du cycle de l inventaire 5 ans a t prise l issue de discussions concernant la probl matique de l actualisation des donn es en relation avec la longueur du cycle Pour un inventaire dont le cycle de mesures est de 5 ans la question du d calage dans le temps existant entre les donn es utilis es reste pos e mais avec beaucoup moins d acuit que pour un cycle de 10 ans o le rafra chissement des donn es est forc ment moins fr quent Comme il ne s agit que de 5 ann es il peut tre d cid de ne pas proc der l actualisation des donn es c est dire de les ramener une seule ann e de r f rence alors qu elles ont t r colt es sur 5 tranches ann e apr s ann e et de les traiter travers tout l instar des usages en vigueur dans les diff rents inventaires forestiers nationaux europ ens qui sont r alis s sur peu d ann es Cette d cision est renforc e par le fait que la grande majorit des inventaires europ ens ont opt soit pour un cycle de mesures gal ou inf rieur 5 ans soit pour la r alisation de l inventaire l int rieur d une seule ann e La dur e du cycle de l inventaire de 5 ans implique de parcourir 20 de l tendue par an tout en couvrant le territoire de mani re uniforme s lection syst matique
303. enter la diversit pour proc der au reboisement de parterres de coupes d vast s ou bien pour regarnir des surfaces incompl tes Ainsi 43 250 feuillus et 2 980 r sineux ont t plant s en 2006 3 2 5 6 P pini res Dans la p pini re domaniale de Flaxweiler d une surface de 2 30 ha 98 472 feuillus et 13 070 r sineux ont t inventori s Au courant de l ann e 44 750 plants ont t repiqu s Au total 41 245 jeunes plantes ont t remises aux clients pour tre plant es majoritairement en for t soumise Des semences d un poids de 208 kg ont t collect es Elles proviennent soit de peuplements forestiers de qualit autochtones soit d essences arbustives 3 2 5 7 Voirie foresti re Diff rents chemins forestiers ont t construits en for t communale sur une longueur de 8 180 m et en for t domaniale sur une longueur de 700 m Ceux ci ont t compl t s par l am nagement de layons de d bardage 3 2 5 8 Travaux forestiers subventionn s Les travaux forestiers suivants ont t subventionn s 174 Debardage cheval 3 468 25 m 8 601 26 Regeneration naturelle 9 874 00 ares 367 115 32 Plantation 1 584 00 ares 39 339 05 Conversion de taillis 529 00 ares 3 277 16 1 claircie r sineux 150 00 ares 930 00 1 claircie feuillus 1 440 00 ares 8 928 00 Protections individuelles 4 050 pi ces 6 034 50 Cl ture 2 969 m 4 423 81
304. entres d accueil les r serves naturelles avoisinantes et les sentiers didactiques ont t r imprim s et actualis s et sont accessibles depuis peu en document PDF sur le site internet du Service de la Conservation de la Nature Plusieurs autres centres d accueil sont projet s 250 e centre d accueil de Schoenfels la mise en chantier d une partie des b timents a t entam e en vue d une infrastructure d accueil all g e dans l int r t des vall es de l Eisch et de la Mamer Natura 2000 futures zones prot g es e centre d accueil au Schwarzenhaff Steinfort le b timent est pratiquement achev les installations didactiques devront tre op rationnelles en 2007 e centre d accueil du Waldhof et maison foresti re Stafelter ces deux sites accueillent d j quelques groupes de visiteurs jardin et menues installations didactiques en r alisation ou en projet le chantier au Stafelter verra sa fin en 2007 pour accueillir coles et lyc es un projet est en cours avec le Neie Lyc e e centre d accueil du moulin de Kalborn En ce qui concerne le centre d accueil de Schoenfels des plans de construction pour l ensemble du site ont t labor s Dans le projet du Waldhof des pourparlers ont t men s entre temps avec les minist res concern s 3 4 1 3 Acquisitions de terrains dans l int r t de la conservation de la nature En 2006 des terrains d une contenance totale de
305. ents iconographiques du mobilier design en bois des vid os une borne interactive et quantit de maquettes Des tables d architectes r alis es par des bureaux d architecture donneront aussi une id e de l laboration de constructions en bois de la conception la r alisation Un espace carte blanche a t r serv de jeunes designers dont le public pourra appr cier le talent et l inventivit Cet espace o la cr ativit aura libre cours illustre toutes les potentialit s du bois dans le secteur de la cr ation et du mobilier contemporain 3 1 14 Le suivi du Programme Forestier National Le programme forestier national PFN est un programme intersectoriel d orientation strat gique pour le d veloppement du secteur forestier en harmonie avec les autres secteurs de l conomie nationale qui est plac sous le patronage conjoint du Minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural et du Minist re de l Environnement Le PFN a pour objet d tablir un cadre social et politique pour la conservation la gestion et le d veloppement durable de tous les types de for ts de fa on renforcer l efficacit des engagements op rationnels et financiers des secteurs publics et priv s Dans cette optique le PFN est une partie int grante du programme de d veloppement national Il implique la consultation et la participation de tous les groupes d int r ts li s de loin ou de pr s
306. er 2006 Ce r glement pr voit entre autres la cr ation d une commission de suivi qui est charg e de la mise en uvre du plan directeur Dans cette commission sont repr sent s le Ministre ayant l am nagement du territoire dans ses attributions le Ministre ayant l conomie dans ses attributions l Administration des Ponts amp Chauss es l Administration des Eaux amp For ts l Administration de l Environnement l Administration de la Gestion de l eau le secteur de la construction et du g nie civil le SYVICOL Les membres de la commission ont t nomm s par arr t minist riel du 16 juin 2006 A la suite la Commission s est r unie deux reprises savoir le 10 octobre 2006 et le 12 d cembre 2006 Au cours de ces r unions les principaux sujets suivants ont t discut s e analyse de la situation actuelle en mati re de d charges pour d chets inertes e laboration d un r glement d ordre interne e suivi des travaux de recherche de nouveaux sites potentiels pour l implantation de d charges pour d chets inertes 117 2 6 11 2 La recherche de nouveaux sites potentiels pour l implantation de d charges pour d chets inertes Apr s la recherche de nouveaux sites potentiels dans la r gion sud est les travaux de recherche de tels sites ont t poursuivis et finalis s en ce qui concerne la r gion centre est Les sites potentiels ont t recherch s en tenant compte notamment des
307. er die Daten der terrestrischen Aufnahme ausgewertet worden welche einen ersten berblick ber das Gebiet erlauben Wissenschaftliche Untersuchungen Der Entwurf des Methodenhandbuches Band III Datenauswertung liegt vor und besteht aus drei aufeinanderfolgenden Dokumenten die als Grundlage f r die Ausschreibung der Programmierung herangezogen wurden Die urspr nglich geplante Forstliche Grundaufnahme im P ttenerb sch wurde durch die Aufnahme im Enneschte B sch ersetzt Ende Juni wurde eine Person von der FVA mit der Forstlichen Grundaufnahme des Enneschte B sch s beauftragt Diese Aufnahme konnte Mitte Juli abgeschlossen werden Des Weiteren diente diese Person von der FVA als Ansprechpartner f r das Aufnahmeteam welches mit der Forstlichen Grundaufnahme im Betebuerger B sch beauftragt worden war Neben der berpr fung der Daten f r das Naturwaldreservat Enneschte B sch wurde auch eine Qualit tskontrolle der Daten des Betebuerger B sch durchgef hrt Das Ergebnis wurde in einem kleinen Bericht bergeben 224 Die technische Unterst tzung bei der Inbetriebnahme der Software auf den Datenerfassungsger ten Husky f r die Aufnahme in Untersuchungsgebieten wurde fertiggestellt Die Unterst tzung f r die Auswertesoftware konnte noch nicht durchgef hrt werden da das Softwarepaket aufgrund des neu definierten Konzeptes in dieser Form noch nicht vorlag Berichtwesen Zu den einze
308. erbach e Wilwerdange R serve naturelle a Conzefenn restauration des habitats humides dans le fond de vall e par l enl vement de peuplements de r sineux et le remplacement par une formation v g tale de valeur cologique sup rieure P turage extensif avec des bovins de race Highland Cattle Construction d un abri didactique e Bettembourg p turage bovin et exploitation d un verger haute tige dans la r serve naturelle Um Bierg e Troisvierges projet de p turage extensif de pr s humides dans la future r serve naturelle de Cornelysmillen e Roeser r naturation de l Alzette dans la r serve naturelle Roeserbann dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature e Schifflange r naturation de Alzette et instauration d un projet d agriculture extensive dans la r serve naturelle Dumontshaff dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature e Vall e de l Ernz Noire Grundhof projet de p turage extensif avec des bovins de la race Aberdeen Angus e R serve naturelle a Lannebuer a am lioration des structures cologiques des surfaces en question e R serve naturelle a Manternacher Fiels Am lioration des structures cologiques dans la r serve naturelle l aide de p turage et de fauchage extensif Promotion des produits de l agriculture extensive dans le cadre du centre
309. erotinus this is an important conservation measure But a lot of work remains to be done The establishment of special forest reserves without any further exploitation for timber should improve the situation for tree roosting species although their population status is not all that well known in Luxembourg They might in fact be better off than we had previously thought F ex recent surveys revealed the presence of rather large colonies of Myotis bechsteinii And when I say large colonies I mean large on a European scale Regarding underground caves which bats use for hibernation we have closed a number of these for man leaving them open for bats Of course we know that the presence of adequate roosting sites is only part of the story other requisites for bats being of course hunting habitats Here 100 and especially over the past 5 years our department has been doing some work that will benefit bats among many other taxonomic groups F ex farmers have reduced the intensity of agriculture on more than 3300 ha of land funded by government environmental schemes We have started a number of extensive grazing projects like the one you saw yesterday during our excursion The importance of such projects for biodiversity in general and also for bats in particular has been well documented in the literature Nevertheless we regularly encounter opposition from various corners Various small and larger river restoration projects that have been
310. es l chelle 1 5 000 ont t effectu es dans diff rentes r gions du Gutland sur une distance totale vol photo de 59 km r partis sur 19 bandes 3 3 3 Le syst me GPS Mise en marche et tests d un nouveau syst me GPS bas sur un r cepteur du type Trimble Pathfinder ProXH incorporant les technologies H Star et EVEREST Mutipath mesurage avec correction en temps r el soit moyennant les stations fixes de l ACT soit avec le r cepteur Trimble GeoBeacon pour une pr cision subm trique en relation avec soit un ordinateur portable de type Trimble RECON avec systeme d exploitation Windows Mobile sur lequel tourne le logiciel de saisie et de param trage du r cepteur GPS TerraSync Professional soit sur un tablet PC de type Panasonic Toughbook CF 18 avec le syst me d exploitation Windows XP Pro sur lequel tournent les logiciels de SIG ArcPad avec le logiciel de saisie et de param trage du r cepteur GPS Trimble GPS Analyst Le traitement des donn es GPS au bureau a t r alis avec le logiciel Trimble Pathfinder Office 203 3 3 4 La cartographie d aptitude stationnelle En synth tisant les caract ristiques stationnelles d un massif bois la carte d aptitude permet au gestionnaire de tirer le meilleur parti de la station de respecter son potentiel de production et de d finir une strat gie sylvicole adapt e chacune des multiples facettes de sa for t Avec son choix des essences adapt es aux diff rentes con
311. es e s curit et sant au travail e gestion du milieu naturel e technologie foresti re En 2006 les cours suivants ont t organis s la fois en langue luxembourgeoise et en langue fran aise Intitul du cours Nbre de cours Nbre de participants S curit et sant au travail Cours de base de premiers soins 3 62 Cours r capitulatif de premiers soins 3 31 S curit au travail 4 48 Ergonomie 2 21 Gestion du milieu naturel Taille des arbres fruitiers 3 31 Certification foresti re PEFC 6 71 Abattage de gros feuillus 2 18 Elagage d arbres en hauteur 2 10 Au total 292 ouvriers forestiers ont particip aux diff rents cours de formation 3 1 8 La Cellule ouvriers forestiers Apr s un important travail pionnier r alis en 2004 et 2005 pour mettre en place une structure assurant la gestion courante du personnel de l ouvrier forestier l ann e 2006 a servi de d part pour une premi re analyse de l effectif actuel et de l volution future de la carri re de l ouvrier forestier Cette analyse restant approfondir servira d une part de base pour d finir les t ches inh rentes aux diverses carri res de l ouvrier et d autre part fixer le nombre de postes par carri re pour le cadre actuel et futur de l effectif total D autres d marches aupr s des minist res concern es devront tre entreprises au courant de 2007 pour red finir entre a
312. es dispositions de l article 7 de la loi c est dire si le dossier n est pas complet 3 Art 10 et 12 de la loi modifi e pr cit e du 10 juin 1999 52 Le nombre de dossiers incomplets lors de leur premi re introduction se pr sente comme suit Ann e Classe Dossiers complets imm diats 1999 1 34 1999 3 76 2000 1 40 2000 3 78 2001 1 47 2001 3 59 2002 1 52 2002 3 60 2003 1 54 2003 3 70 2004 1 51 2004 3 80 2005 1 58 2005 3 83 2006 1 30 2006 3 54 Total 1 46 Total 3 70 2 4 7 Les tablissements class s par la r glementation dite SEVESO Au Grand Duch de Luxembourg 21 tablissements sont soumis au r glement grand ducal modifi du 17 juillet 2000 concernant la ma trise des dangers li s aux accidents majeurs impliquant des substances dangereuses Douze de ces tablissements d passent le seuil bas d fini par le r glement pr cit et neuf tablissements d passent le seuil haut Un autre tablissement dont la proc dure d autorisation est en cours rejoindra le groupe des tablissements seuil haut Parmi les tablissements du groupe seuil bas figurent cinq d p ts p troliers ainsi que deux tr fileries deux fournisseurs de gaz un tablissement fabricant des produits nettoyants un tablissement de l industrie chimique ainsi qu un tablissement de d p t et d entre
313. es Jahre 2006 unterschiedliche berlegungen angestellt welches Verfahren zur Anwendung der Auswertung zum Tragen kommen k nnte Unter anderem wurde an die Verwendung der Pivot Tabelle oder eines OLAP W rfels gedacht Nachdem ein erster Dokumententwurf vorlag und dieser in R cksprache mit Mitarbeitern der Abteilung Biometrie und Informatik an der FVA begutachtet wurde stellte sich heraus dass die get tigten berlegungen nicht zielf hrend waren Das zum Mai vorliegende Konzept musste verworfen und neu definiert werden Das seit Ende September vorliegende Konzept wurde erneut von Experten gepr ft und im Oktober f r gut befunden Anschlie end fand die Ausschreibung f r den ersten Teil der Programmierung statt Bis sp testens Mitte M rz wird die Erstellung der DV technischen Feinkonzeption abgeschlossen sein Als weiteren Punkt in der Jahresplanung war die Ausarbeitung des Naturwaldreservatsberichts Laangmuer anzusehen Die erhobenen Daten wurden ausgewertet und interpretiert Ein erster Entwurf des Naturwaldreservatsberichts Laangmuer lag Mitte September vor Nach einer ersten Pr fung waren noch einige Anmerkungen aufzuarbeiten so dass die endg ltige Fassung zum Ende des Jahres 2006 vorliegt Die kommenden Naturwaldreservatsberichte sind nach dieser Vorgabe zu bearbeiten Zus tzlich wurde der Naturwaldreservatsbericht nneschte B sch als Teilentwurf erstellt Die Luftbildauswertung ist f r 2007 geplant Demnach sind bish
314. es communes de Betzdorf Biwer Grevenmacher Lenningen Manternach Mompach Mondorf et Schengen Les pr pos s forestiers ont organis 35 excursions guid es au profit des classes des coles primaires des communes de Betzdorf Biwer Bous Flaxweiler Grevenmacher Manternach Mondorf Remich Schengen Stadtbredimus et Wormeldange Il y a lieu de relever l am nagement d une aire de jeux pour les enfants du pr scolaire Grevenmacher ainsi que l organisation d une randonn e de jours en for t Betzdorf 177 Le centre d accueil A Wiewesch Manternach profite d un int r t accru du personnel enseignant qui utilise cette nouvelle infrastructure pour acc der aux sites naturels et pour porter les techniques d antan la connaissance des l ves Le pr pos du triage de Manternach en collaboration avec ses coll gues a initi un projet 400 l ves ont pu proc der durant la saison des fruits la r colte de pommes tomb es par terre Par la suite les l ves ont eux m mes activ un pressoir fruits pour produire leur propre jus de pommes Ce pr pos a organis galement 19 visites guid es au profit de classes scolaires int ress es Parall lement l affluence de groupes d adultes y va en croissant de nombreux groupes ont pu tre accueillis au centre En effet la force d attraction de la for t des ravins de la r serve naturelle Manternacher Fiels a gagn en vigueur gr ce au centre d accueil L
315. es d chets Collecte separ e Branches haies Tontes de gazon 94 2 6 4 2 Les filieres de valorisation du compost En 2005 les six installations sans l installation du SIGRE ont produit une quantit totale de 14 114 tonnes de compost dont 72 tonnes de compost frais installation Minett Kompost Le graphique suivant montre les fili res de valorisation du compost Le compost frais a t utilis en agriculture Les fili res de valorisation du compost m r sont plus diversifi es Minett Kompost a livr une grande partie de son compost dans la production de substrat de terre Fili res de valorisation du compost produit par les installations E Autres BParticuliers BEssai scientifique BTravaux publics W Substrat de terre O Horticulture E Viticulture D Agriculture B Communes Compost Compost Carpes Compost Canyon Compost Pe Compost carpes Compost Pe frai 100 4 80 60 40 20 0 mir MINETT KOMPOST SICA Mamer Sie SIDEC Diekirch Hesperange Luxembourg Mondercange Angelsberg 2 6 4 3 Le contr le du compost Le compost produit par les installations de compostage est mensuellement contr l par l Administration de l Environnement En plus la qualit des composts est r guli rement v rifi e par des laboratoires externes dans le cadre du label allemand RAL RAL G tezeichen Kompost Les param tres suivants ont t r guli rement
316. es dossiers se pr sente comme suit tat des dossiers primes d encouragement Nombre de dossiers introduits 2001 2006 4960 Nombre de dossiers finalis s 2001 2006 4739 Nombre de dossiers introduits en 2006 1 859 Nombre de dossiers finalises en 2006 2 910 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2006 617 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 221 Situation 29 1 2007 77 Un montant global de 14 787 317 24 a t accord pour subventionner 2 910 demandes finalis es en 2006 Il y a lieu de remarquer que l administration a pu cl turer 1 051 dossiers de 2005 Primes accord es par type d installation en 2006 o Prime accordee Energie produite Type d installation Nombre kWh Capteur solaire photovolta que 3 034 13 994 776 28 729 900 Centrale hydro lectrique 55 267 606 10 704 232 Eolienne 65 652 702 26 108 071 Installation fonctionnant au biogaz 56 1 035 637 41 425 484 Somme 3 210 14 787 317 106 128 015 Situation au 29 1 2007 Un montant global de 14 787 317 24 a t accord en 2006 pour la production de 106 128 015kWh d lectricit partir des sources d Energies renouvelables soit en moyenne 0 149 kWh Bien que les installations photovolta ques repr sentent 88 des primes allou es elles ne contribuent qu 27 de l lectricit produite et ceci avec une prime moyenne de 0 4871 kWh Les
317. es indicateurs de d veloppement durable Par ailleurs la CIDD a propos des axes prioritaires pour l tablissement du deuxi me Plan national de d veloppement durable savoir e Assurer une conomie comp titive Garantir un emploi pour les travailleurs Am liorer la valorisation du capital humain Maintenir un r gime des pensions soutenable Assurer la sant des finances publiques e Donner la priorit aux transports en commun et transports non motoris par rapport au transport individuel e Combattre le changement climatique et assurer l approvisionnement en nergie e Arr ter la d gradation des ressources naturelles e Assurer une organisation plus intelligente du territoire Le rapport a t communiqu au Gouvernement en Conseil du 24 novembre 2006 qui a marqu son accord Le rapport a galement t communiqu la Chambre des D put s et au Conseil Sup rieur pour un D veloppement Durable tel que le pr voit la loi du 25 juin 2004 Le rapport peut tre consult sur le site du Minist re de l Environnement l adresse http www environnement public lu developpement durable RNDD 2006 index html Un autre instrument pour la mise en uvre de l action gouvernementale est le Plan national pour un d veloppement durable La loi pr voit qu il soit tabli tous les 4 ans Il doit pr ciser les domaines d action les objectifs et les actions prendre dans la perspective du d veloppement durable Il rep
318. es mesures compensatoires de la route du Nord de la certification des for ts par PEFC audits interne et externe avec le service CN concernant les plans de gestion de diverses zones Habitat et r serves naturelles avec l Administration des B timents Publics et l association Stemm vun der Strooss concernant le projet du centre d accueil de Schoenfels e Une activit sylvicole a t commenc e en for t domaniale de Septfontaines s talent sur plusieurs ann es Il s agit d un essai pratique de cr er une futaie irr guli re travaux qui ont t effectu s de concert avec un sp cialiste de ONF et le service de l am nagement des bois de notre administration 191 e Une excursion foresti re avait lieu Larochette au lieu dit a Nommerlayen Les visiteurs taient des agents de l administration foresti re de Rh nanie Palatinat e L achat de semences foresti res aupr s de l ONF et la r partition des semences sur les diff rentes p pini res domaniales ont galement t organis s par le cantonnement forestier de Mersch Les activit s du chef de cantonnement 62 50 17 40 r unions en relation avec la conservation 13 7 10 de la nature 19 00 Formations aupr s de l INAP chasses domaniales NWZ total demi journ es INAP Institut National d Administration Publique NWZ Naturwaldzellen Le tableau r sume les diff rentes activit s du chef de cantonnement qui a assis
319. es r glements cl dans le cadre de la lutte contre la pollution de l air et de l effet de serre 68 En ce qui concerne l application du r glement les installations de moins de 3 MW fonctionnant au gasoil doivent subir une r ception chaque fois qu un nouveau br leur ou une nouvelle chaudi re sont mises en service Les r ceptions sont effectu es par la Chambre des M tiers suite une convention entre cette derni re et le Gouvernement Le nombre d installations de combustion au mazout de moins de 3 MW saisies fin 2006 s l ve 83788 Ces installations repr sentent une puissance calorifique totale de 3868 MW Les missions en 2006 sont estim es sur base d une consommation en mazout de 222000 tonnes Installations de combustion au mazout de moins de 3 MW Tonnes en 2006 NO SO CO 440 720 681000 Les installations de chauffage au mazout de moins de 3 MW doivent tre contr l es au moins tous les 2 ans Les certificats de r vision sont saisis par l administration Pour la saisie des certificats de r vision et des protocoles de r ception l Administration de l Environnement avait sa disposition au cours de l ann e 2006 une seule employ e plein temps Elle tait second e par 2 employ es CAT mises disposition successivement au cours de l ann e 2006 par l Administration de l Emploi repr sentant l quivalent d une personne pendant 6 mois seulement Les chiffres montrent
320. es types de for ts au FNUF7 157 Le libell final d cide que l efficacit de l AIF fera l objet d une valuation en 2015 et que sur cette base toute une gamme d options sera examin e dont entre autres celles d un instrument juridiquement contraignant applicable tous les types de for ts du renforcement de l arrangement actuel de la poursuite de l arrangement actuel et d autres options Le Plan d Action Forestier de l UE En octobre 2006 le Conseil a adopt le Plan d Action Forestier PAF de PUE propos e par la Commission suite la r vision de la strat gie foresti re de PUE Le PAF r sulte d un premier rapport de la Commission qui donne une description du secteur forestier de PUE ainsi que des tendances r centes de la politique foresti re Il aborde les principaux th mes tels que le d veloppement de programmes forestiers nationaux l UE et le r gime forestier international les actions communautaires en relations avec la strat gie foresti re la coordination la communication et la coop ration Les conclusions montrent que des progr s ont t r alis s dans la mise en uvre d une gestion foresti re durable Cependant la viabilit de la gestion foresti re bas e sur une approche multifonctionnelle telle que pratiqu e en Europe est de plus en plus incertaine en raison du contexte d un march global et des nouvelles attentes sociales et environnementales qui p sent sur la gestion de la for t Le
321. espflege 4 5 Verj ngung 4 6 Standort Konkurrenzverhalten und Baumartenwahl 4 7 W lderschlie ung und Projekte im Wald Wegebau 234 4 8 Die Bedeutung von Totholz und Biotopb umen in Rahmen einer naturnahen Waldbewirtschaftung 4 8 1 Totholzb ume 4 8 2 Formen von Biotopb umen 4 8 3 H hlenb ume 4 8 4 Horstb ume 4 8 5 Altb ume 4 8 6 Rindentaschen 4 8 7 Wie viel und was f r Totholz braucht ein naturnaher Wald 5 Erhaltung der Biodiversit t im Rahmen eines naturnahen Waldbaus 5 1 Praktische Ma nahmen im Sinne der Artenvielfalt und des Naturschutzes 6 Spezifische Schutzma nahmen 6 1 Wald und Wildverbiss 6 2 Naturwaldzellen und Bannw lder 7 Wald und Holzzertifizierung 8 Walderneuerung und Vorteile des vielseitigen Rohstoffes Holz 9 Literaturverzeichnis 3 3 11 4 Brochure bilingue concernant le sentier Strombierg L Administration des Eaux et For ts en collaboration avec l Administration communale de Schengen le Service G ologique et le Service des Sites et Monuments Nationaux a mis en place un sentier de d couverte dans la r serve naturelle foresti re Strombierg Schengen qui a t inaugur en juin 2005 Un d pliant bilingue 5 volets concernant ce nouveau sentier a t publi parall lement l inauguration Le sentier traverse la r serve naturelle foresti re Strombierg d une superficie de 29 ha ainsi que la localit de Schengen et les vignobles dans les hauteurs
322. est galement une source d information importante Etant donn que dans une for t la structure est d terminante pour l offre et la diversit des habitats celle ci joue un r le primordial pour les communaut s animales et v g tales A partir de ces r flexions est d velopp un programme pour le calcul de la diversit en utilisant l index de Shannon Trois param tres sont pris en compte dans ce calcul Il s agit des informations sur les essences arborescentes et arbustives sur la structuration verticale et sur l tat des essences c d mort ou vivant Fortgang des forstlichen Monitorings Neben der Durchf hrung der Forstlichen Grundaufnahme lag der Themenschwerpunkt im Jahr 2006 bei der Entwicklung und Programmierung der Auswertesoftware sowie bei der Erstellung des Berichtes f r das Untersuchungsgebiet Laangmuer Im Folgenden soll im Detail auf die einzelnen Arbeitsschritte eingegangen werden Analyse und Anpassung Die verbliebenen Arbeiten aus dem Jahr 2005 am Methodenhandbuch Band I Aufnahmeverfahren Forstliche Grundaufnahme Luxemburg wurden abgeschlossen Das Methodenhandbuch Band II Handbuch des mobilen Datenerfassungsger tes Husky fex 21 und des WSG Erfassungsprogramms das Konzept der Auswertung und der Naturwaldreservatsbericht liegen als Entwurf vor Bei der Entwicklung und Beschreibung des Fachkonzeptes des Auswerteprogramms f r die aus der Forstlichen Grundaufnahme gewonnen Daten wurden zu Beginn d
323. et doivent d tenir une autorisation d mettre des gaz effet de serre La quantit de quotas allou s aux diff rentes installations a t fix e lors de l tablissement du premier plan national d allocation Ce plan d termine les quantit s de dioxyde de carbone allou es aux diff rentes installations pour la p riode allant du 1 janvier 2005 au 31 d cembre 2007 2 5 6 2 Le registre national d missions de gaz effet de serre Le registre est un outil de comptabilisation des quotas d mission de gaz effet de serre d tenus par les exploitants dans le cadre de la loi du 23 d cembre 2004 mais aussi des quotas d tenus par toute personne physique ou morale ayant ouvert un compte de d p t dans le registre et de l tat luxembourgeois en tant que signataire du protocole de Kyoto L achat et la vente de quotas sont permis aux exploitants tout comme toute personne int ress e sur un des nombreux march s de gaz effet de serre Les exploitants d installations list es dans le plan national d allocation se voient dans l obligation de restituer chaque ann e le nombre de quotas correspondant aux missions de l ann e pr c dente Toutes les op rations de transfert nationales et internationales seront enregistr es dans une banque de donn es en connexion dans un premier temps 2005 2007 avec le registre central de la communaut europ enne CITL Community Independent Transaction Log et par la suite avec
324. et For ts porteurs d une arme de service de s entra ner au tir d am liorer et d assurer les performances e les informations et conseils d ordre pratique particuliers ONG communes e la collaboration diverses expositions et actions de sensibilisation du public e la collaboration troite avec l Administration de l Environnement le Service de la Gestion de l Eau l Unit de Contr le de l Administration des Services techniques de l Agriculture et la Police grand ducale les contr les des campings sauvages la formation des pr pos s forestiers stagiaires cole foresti re stages pratiques la maintenance armurerie l appui logistique dans le cadre des expositions organis es par l administration 3 6 6 Dossiers trait s en 2006 Le tableau ci dessous montre le nombre de nouveaux dossiers trait s par l Entit mobile en 2006 284 Objet Nombre de dossiers Nature 140 Chasse 106 P che 3 For t 73 Autres 5 Total 327 Ce tableau ne tient pas compte de dossiers des ann es pr c dentes en suspend ou en cours de traitement Le tableau suivant contient toutes les enqu tes qui ont abouti en 2006 un proc s verbal Objet Nombre de proc s verbaux Nature 28 Chasse 1 P che For t 0 Autres 0 Total 29 Les diff rentes activit s et interventions effectu es par l Entit mobile de l Administration des Eaux et For t
325. et anciennes d charges Service des autorisations tablissements class s et d chets Service des plans de pr vention et de gestion des d chets PPGD Les services suivants sont directement rattach s la direction le service juridique le service administratif et logistique e e e le service informatique e le service agr ments et management environnemental x Pour chaque service un coordinateur est nomm dont la mission consiste en assurer le bon fonctionnement 35 La coordination des diff rents services est assur e par le biais d une conf rence des coordinateurs qui se r unit une fois par mois 2 1 1 Le personnel de l administration Au 31 d cembre 2006 le personnel de l administration se composait de la fa on suivante 1 directeur 2 directeurs adjoints 10 ing nieurs 1 attach de direction 23 ing nieurs techniciens 6 r dacteurs 4 exp ditionnaires administratifs 3 exp ditionnaires techniques 14 employe e s 2 ouvri res 6 employ e s engag e s temporairement jusqu au 30 11 2007 Au cours de l exercice 2006 les agents suivants ont t engag s e un r dacteur stagiaire pour la Division de l air et du bruit e un r dacteur stagiaire pour la Division des d chets e une employ e CDE dans le statut des personnes handicap es pour assurer la r ception et le standard t l phonique e des agents dur e d termin e Le r dacteur stagiaire a d missionn no
326. executed should result in better structured riparian habitats benefiting species like Myotis daubentonii and also Plecotus auritus if we manage to get back to riparian forests in some places We are also in the process of trying to bring back some nature into urban areas which can benefit at least to some extent species like Plecotus austriacus Myotis myotis and Pipistrellus pipistrellus But here too we encounter opposition sometimes from local decision makers sometimes from the general public sometimes from both On top of that there are efforts to stop the decline of linear structures such as hedgerows etc on agricultural land that are of course important as hunting habitats or being used by the bats for orientation I think that individually each of the projects would contribute relatively little to bat conservation but I also think the sum of them all should already constitute a decent improvement of the conditions for the bats in Luxembourg I must say we should probably have done even more but dare I say projects like those I have mentioned are still very difficult to put into practice because they are mostly carried out on private 262 land and private landowners rarely have bat conservation as their number one priority as I am sure you will be aware of because you probably encounter similar problems in your countries Therefore in spite of all our efforts a lot of work remains to be done which is what we are
327. face d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe un vingti me de la zone R sineux feuillus en m lange broussailles et arbustes recouvrent le restant de la future RFI La zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 154 ha et appartient presque int gralement la commune Uniquement 5 appartiennent des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Par ailleurs la partie dite r serve foresti re int grale comprend deux zones de qui tude Ce zonage s explique comme suit 218 e La partie dite r serve foresti re int grale est int gralement constitu e de propri t s appartenant la commune Dans cette zone aucune exploitation foresti re ne pourra plus avoir lieu l exception de l entretien des chemins balis s e Dans la partie dite zone de d veloppement figurent des propri t s qui appartiennent aussi bien la commune qu des propri taires priv s Cette partie a pour fonction de constituer une zone tampon autour de la r serve proprement dite Les bois abattus en for t communal devront toutefois rester sur place Avancement du projet Le dossier de classement se trouve sur le chemin de la proc dure de classement En date du 21 juillet 2006 le conseil de gouvernement a mis un av
328. ffet de nombreuses d l gations ont visit la Super DrecksK scht au Luxembourg Au cours de l ann e 2006 des premiers contacts plus concrets ont pu se r aliser avec la soci t suisse Fonda Avec cette soci t un contrat de franchise a t sign en date du 4 janvier 2007 en vue de la mise en uvre dans le cadre d un projet pilote de la SuperDrecksK scht fir Betriber en Suisse notamment dans la r gion baloise Ces contrats de franchise devraient permettre de r duire au Luxembourg les co ts charge du Fonds pour la protection de l environnement En effet les frais de mise en place du syst me dans la r gion trang re sont pris en charge par le preneur de franchise En m me temps une cotisation annuelle ainsi qu une part variable en fonction du chiffre d affaires sont pay es Ces montants pourront alors tre d duits des co ts nationaux des actions de la SuperDrecksK scht Le preneur de franchise s engage galement g rer ses activit s selon le m me concept que la SuperDrecksK scht au Luxembourg y inclus le m me nom et la m me pr sentation face aux consommateurs et aux entreprises La SuperDrecksK scht devient ainsi l tranger un ambassadeur du Luxembourg pour les activit s de gestion des d chets 2 6 10 3 La SuperDrecksK scht fir Biirger Les r sultats de collecte En 2006 les quantit s collect es par la SuperDrecksK scht fir Biirger ont pu nouveau tre augmentees par rapport
329. fil du projet la Soci t Royale Foresti re de Belgique Woodnet la F d ration Nationale des Scieries Fedemar Bois amp Habitat l association Gipeblor le CRPF I ONF l administration foresti re de la Sarre le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts De 2004 2007 le Groupement des Sylviculteurs et l Administration des Eaux et For ts participent aux actions suivantes 161 L action 1 1 qui consiste mettre en place une v ritable collaboration entre les diff rents gestionnaires r gionaux de la d marche de certification d une part et de l ensemble des partenaires concern s par le projet L action 1 2 qui vise mobiliser les propri taires forestiers publics et priv s et gestionnaires pour provoquer leur adh sion la d marche d ensemble dans le but d augmenter la proportion de for ts g r es durablement L action 1 3 qui propose de concevoir r aliser et mettre disposition des entreprises de l exploitation foresti re et de la premi re transformation du bois des outils logistiques adapt s et actualis s leur permettant de mettre en uvre la cha ne de contr le et d offrir au long de la cha ne de transformation du bois des produits certifi s L action 2 1 qui envisage de fournir aux sylviculteurs les outils pratiques leur permettant de favoriser concr tement la biodiversit foresti re dans les peuplements qu ils sont charg s de g rer et de c
330. fixant les prescriptions g n rales pour les tablissements du secteur agricole qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s e Projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les travaux d assainissement et d enl vement d amiante et de produits contenant de l amiante relevant de la classe 4 en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions pour les tentes de f tes qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s e Avant projet de r glement grand ducal fixant les prescriptions g n rales pour les postes de transformation d une puissance lectrique nominale de 250 KVA 1 000 kVA qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s 21 1 5 2 Proc dures et d lais d instruction En ce qui concerne les proc dures et les d lais d instruction il y a lieu de souligner de prime abord que la division en charge des tablissements class s 16 personnes respecte les d lais dans 75 des cas Cet aspect est d ailleurs g n ralement salu par les parties int ress es Pour ce qui est du recours contentieux devant la juridiction administrative 97 des d cisions ne sont pas port es devant les juridictions administratives alors que parmi celles qui sont contest es 72 sont confirm es enti rement par les juridictions Ainsi moins de 0 9 des d cisions sont partiellement ou enti
331. formation G ographique La m thode utilis e a t d velopp e par la FVA en 1996 et se base sur des tudes ant rieures Le but de cette photo interpr tation est de pouvoir d crire l volution des for ts l aide de la d signation de diff rentes phases de d veloppement des peuplements et de fournir ainsi des informations compl mentaires aux relev s sur le terrain Des renseignements sur des zones de perturbation p ex chablis calamit s des structures foresti res anthropog nes ou des comparaisons avec des photos a riennes plus anciennes peuvent galement tre obtenus au moyen de cette analyse En pratique des survols a riens sont r alis s pour chaque RFI A cet effet des photos IRC sont prises l chelle du 1 5000 Finalement trois principaux documents sont n cessaires la r daction du rapport final sur la RFI Il s agit de la FGA des r sultats de la photo interpr tation et de la cartographie des stations cologiques Ce rapport regroupe toutes sortes d informations et contient principalement des indications sur les essences les r serves en bois les structures et lorsqu un deuxi me relev a t labor une comparaison des nouvelles et anciennes donn es Les m thodes des relev s sont pr sent es ainsi que les acteurs y ayant particip En d finitive ce document fournit un aper u complet sur l tat de la recherche dans une RFI 223 Le calcul de la diversit foresti re dans une RFT
332. g n rale du projet La sp cificit du P ttenerb sch r side principalement dans la diversit des essences qui s est d velopp e naturellement sur une aire de chablis important La recolonisation naturelle avec des essences pionni res a donn naissance diff rents types de peuplements structur s dans leur ensemble C est ce degr de dynamisme lev 40 de la surface d limit e est occup e par des peuplements tr s jeunes de moins de 16 ans qui conf re un aspect particuli rement int ressant la zone pour la constitution d une r serve foresti re int grale Avancement du projet Cette zone foresti re est d clar e zone prot g e par r glement grand ducal en date 9 juin 2006 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 67 15 ha et appartient int gralement l Etat La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude La r serve foresti re int grale comporte des anciens peuplements des plantations et des superficies avec de la v g tation pionni re Ces peuplements sont mis en libre volution Dans la r serve dirig e sont incluses les surfaces de compensation de la Nordstrooss qui viennent juste d tre plant es et qui sont moyen terme conduites vers des peuplements en libre volution La zone de d veloppement comprend de la pr
333. ght Animal Consultance d une place tr s importante dans le d roulement de la f te foresti re Des conf rences concernant le th me de l utilisation du cheval de trait dans de diff rents domaines des expositions et des d monstrations ont d s lors fait partie du programme La manifestation en 2006 comprenait des concours traditionnels de b cheronnage et de d bardage comme les ann es pr c dentes ainsi que pour la premi re fois une course cycliste sur un parcours sp cial Des d monstrations dans les champs avec des machines modernes mais aussi avec des anciennes machines une exposition de machines modernes de traction chevaline ont t organis es dans l enceinte r serv e pour le B schfest 2006 et ont permis aux visiteurs de se faire une id e d ensemble du travail qu on peut exercer l aide des chevaux de trait Le but tait de pr senter au public les diff rentes possibilit s d une utilisation moderne du cheval de trait Le th me principal de la f te tait en cons quence l utilisation du cheval de trait comme source d nergie renouvelable Un point important du programme tait la pr sentation des diff rentes races de chevaux de trait comme par exemple les Ardennais les Shire Horses ou les Comtois La troupe J hol qui a particip aux d monstrations de d bardage l aide de leurs Comtois et qui par apr s a pr sent des tours de man ge impressionnants avec cette m me race de chev
334. groupes d enfants ensemble des instruments de musiques sont fabriqu s partir de d chets destin s l abandon Comme l Oeko Bassin l activit Bastelen mat Offall peut tre gratuitement command e par des communes ou des organisations En 2006 les rendez vous suivantes ont eu lieu participants 597 enfants Dates Lieu d organisation 09 01 06 Ecole W istrooss Remerschen 16 19 01 06 Ecole rue Verdi Gasperich 26 27 01 06 Ecole Demy Schlechter Luxembourg 31 01 03 02 06 Ecole rue Gell Luxembourg 06 09 02 06 Ecole de Merl Luxembourg 14 17 02 06 Ecole Henri VII Luxembourg 03 04 06 06 Centre de Rencontre Neum nster Luxembourg 14 06 06 Ecole de Diekirch Diekirch 18 06 06 Haus vun der Natur Luxembourg 23 09 06 Parc Gerlache Differdange 18 11 06 Home Guiden amp Scouten Sanem 90 2 6 3 5 La poubelle parlante Den Emweltcomputer La poubelle parlante Den Emweltcomputer est un ordinateur quip d un touch screen qui est incorpor dans une poubelle verte Il est quip de deux programmes de jeux pour les jeunes de 5 15 ans Den Emweltcomputer Toni peut tre gratuitement lou par des associations des communes des supermarch s etc En 2006 les rendez vous suivantes ont eu lieu participants 17300 enfants Dates Lieu d emplacement 24 04 08 05 06 Match Est SARL Mondorf les Bains 17 05 06 06 06 Librairie Diderich Esch Alzette 14 06
335. guide informatique de la base de donn es de l IFL1 actuellement finalis a t r alis l aide de la m thode d analyse Merise Ce guide fournit la mod lisation conceptuelle organisationnelle et logique des donn es et des traitements Mod lisation conceptuelle des traitements La mod lisation conceptuelle des traitements a pour objectif de repr senter formellement les activit s exerc es par les auteurs techniciens ing nieurs au moment de la r colte des donn es sur le terrain Ce mod le permet de repr senter le fonctionnement des activit s aux diff rents niveaux de l encodage de donn es dans un ordre pr cis et d fini dans le cahier des charges Guide m thodologique Mod lisation conceptuelle des donn es La mod lisation conceptuelle des donn es est une tape interm diaire expliquant le passage vers une structure plus compl te de la base de donn es finale Mod le Logique des Donn es Dans cette partie sont d finies les entit s qui composent la base de donn es ainsi que les relations primaires qui les lient sans se soucier des cl s trang res qui doivent tre migr es par la suite dans les tables ad quates Cette repr sentation va permettre une vision pr liminaire et une compr hension progressive de la structure de la base de donn es Mod lisation organisationnelle des donn es La mod lisation organisationnelle est l tape qui d crit physiquement les entit s qui cons
336. habitants et des consommations domestiques nationales en fonction des differents combustibles gaz mazout et bois Annee de reference 2005 Commune Chauffage urbain Remarque Emissions NOx Emissions PM10 Combustible kg a kg a Ville de Luxembourg Gaz 186 000 100 Mazout 42 000 1 000 Bois 3 000 6 000 Autres Gaz 57000 40 Mazout 32 000 1000 Bois 2 000 4 000 SOMME EC 322 000 12 000 Communes de Walferdange Sandweiler Hesperange Leudelange Bertrange et Strassen Donn es provisoires Les missions du trafic routier seront calcul es d but 2007 pour chaque segment de route sur base du nombre de mouvements et en fonction de la distribution des types de v hicules immatricul s au Luxembourg et des facteurs d missions sp cifiques pour chaque type de v hicule Les missions du trafic ferroviaire seront galement calcul es d but 2007 en fonction du nombre de mouvement des diff rents types de trains et des facteurs d missions sp cifiques Les missions du trafic a rien ont t d termin es de mani re d taill e dans le cadre d une tude d impact r cente sur la pollution de l air en provenance de l a roport de Luxembourg La prochaine tape consiste en la mod lisation de la pollution sur base des missions d termin es Les r sultats permettront de constater les zones sensibles et d identifier les principales sources de pollution
337. hie des scanners et des radiologies num riques ont pour effet que les quantit s de d chets de d veloppeurs et de fixateurs sont en diminution depuis l ann e 2000 L essor de nouvelles technologies peut donc contribuer la pr vention de production de d chets dangereux D chets issus de la production et de l utilisation de produits et mat riels photographiques tonnes 400 350 300 2 2 1 1 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 a Ei a Ei o a Ei 2 6 13 Les transferts de d chets 2 6 13 1 Les dossiers d autorisation de collecteurs et de courtiers de d chets Au cours de l ann e 2006 101 demandes ont t introduites en relation avec les autorisations de ramassage et de transport de d chets et les autorisations pour les tablissements ou entreprises qui veillent l limination ou la valorisation des d chets pour le compte de tiers courtiers n gociants Ce chiffre se divise en 57 nouvelles demandes en vue de l obtention d une autorisation de ramassage et de transport de d chets et en 44 nouvelles demandes en vue de l obtention d une autorisation de n goce courtage de d chets En plus 48 demandes d extension des autorisations existantes ont t introduites pendant l ann e 2006 124 2 6 13 2 Evolution des demandes d autorisation 180 160 140 120 100 BTr
338. hode propos e pr sente l avantage de pouvoir s int grer dans la pratique des inventaires tels qu ils sont r alis e actuellement sans augmenter de fa on importante les temps de relev et de traitement des donn es Le choix des diff rentes m thodes d chantillonnage et d estimation des volumes est laiss l op rateur en fonction de la m thode d estimation utilis e pour le peuplement principal la taille du parquet le type de r partition du bois mort et la visibilit Pour l estimation quantitative la possibilit de pouvoir recourir directement aux classes de volumes sur le terrain est essentielle pour la faisabilit 238 de la m thode L id e de travailler par classes de volume et par cat gorie est inspir e respectivement de la litterature et des exigences de la certification PEFC Luxembourg Les classes de volumes permettent de caract riser le bois mort par 4 chiffres indicateurs Ainsi les chiffres 3 0 0 0 indiquent un parquet avec beaucoup de bois mort mais constitu uniquement de bois moyen terre alors que les chiffres 1 1 0 2 indiquent un parquet pouvant contenir moins de bois mort que le pr c dent mais mieux r parti dans les diff rentes cat gories incluant du gros bois mort sur pied Il faut pr ciser que l estimation quantitative par voie oculaire reste approximative au niveau du parquet Les valeurs issues de l extrapolation des donn es au niveau de la parcelle et de la propri
339. hte B sch couvre une surface de 186 5 hectares et constitue le plus grand massif de la propri t Sa proximit des agglom rations urbaines sa facilit d acc s et son r seau de desserte d velopp en font un lieu tr s fr quent pour la d tente et le sport La partie du massif situ e l est du CR 163 a r cemment t class e en R serve Foresti re Int grale RFI 206 La propri t foresti re communale est situ e dans la partie ouest du domaine cologique du Gutland comprenant les r gions des cours inf rieurs de l Alzette et de l Attert avec leurs affluents La topographie est caract ris e par un paysage faiblement ondul avec une altim trie variant de 280 340 m tres d altitude Les pentes sup rieures 20 atteignent peine 5 de la surface totale La majeure partie du domaine forestier se trouve dans le secteur cologique Gutland m ridional caract ris par un climat assez doux et une pluviom trie mod r e Les couches g ologiques affleurantes appartiennent toutes au syst me Jurassique du Lias inf rieur et du Lias moyen Dans les fonds de vall e le long des cours d eau ces formations sont en partie recouvertes d alluvions Les formations du Dom rien couvrent plus de 95 de la surface du domaine Il s agit essentiellement des marnes feuillet es et des marnes septaries et ovo des Le Gr s de Luxembourg est uniquement pr sent sur les pentes du Tossebierg Le Lotharingien d nomm
340. i rement humide Cette partie est favorable l installation d essences des milieux frais m sohygrophiles voire m me hygrophiles Cette succession de diff rents types de v g tation conf re un aspect particuli rement int ressant la zone La surface de la future zone prot g e est de72 91 ha La commune en est le principal propri taire avec 66 70ha Le restant appartient principalement des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re mt grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit e d un c t la propri t de la commune qui a donn son accord pour participer au projet est int gr e dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficiera des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement Avancement du projet Le dossier de classement est finalis et a t remis par le bureau d tudes Les services centraux et r gionaux ont t demand s pour avis Le projet a t pr sent devant le conseil du bourgmestre et des chevins de la commune de Beaufort ainsi que devant le conseil communal de la m me commune Le
341. iage de Canach au lieu dit Haard et le long des routes 2 100 m dans le triage de Dalheim au lieu dit Engelsgronn 500 m dans le triage de Flaxweiler au lieu dit Widdebierg 1 800 m dans le triage de Manternach au lieu dit Berbourgerwald 500 m et dans le triage de Remich au lieu dit Salzbur 300 m Des haies ont t plant es restaur es ou entretenues sur une longueur totale de 3 000 m Ces travaux se sont d roul s dans les triages de Biwer au lieu dit Schmitteperch de Dalheim au lieu dit Heedscheier de Flaxweiler au lieu dit Am Brill de Grevenmacher aux lieux dits Groesteen et Breiwee de Mompach au lieu dit Schimmel de Roodt Syre de Schengen au lieu dit Um Dreick ainsi que dans le triage de Wormeldange au lieu dit Grieden Des vergers ont t cr s des arbres fruitiers ou bien des arbres solitaires plant s et entretenus Brouch Biwer Flaxweiler et Oberdonven Grevenmacher aux lieux dits Fuussberg et Wenterfeld Manternach et a Mertert Betzdorf et a Mensdorf a Wintrange et a Gostingen Le nombre d arbres mis en place ou restaur s s l ve au nombre de 400 Six nouvelles mares ont t cr es Lenningen au lieu dit Gew nnchen et Wormeldange au lieu dit Reib sch Des berges de ruisseaux ont t entretenues sur une longueur de plus de 2 000 m Flaxweiler Wormeldange et au Haff Reimech Et sur le site de la Schengeswis un ruisseau et des berges d tangs ont t renatur s et restaur s
342. ibu au membre du Gouvernement ayant dans ses attributions la coordination interminist rielle du d veloppement durable c est dire le Minist re de l Environnement Il r uni le Groupe de Travail si n cessaire Le Groupe de Travail se r uni galement suite la demande d un de ses membres Le Groupe de Travail d fini son propre programme de travail et son propre ch ancier dans le cadre et les contraintes d termin s par la Loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique national de d veloppement durable 1 1 2 L Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal Les communes sont des acteurs privil gi s d une politique nationale vers un d veloppement durable C est pourquoi le Minist re de l Environnement a encourag financi rement les actions locales et r gionales programm es en vue de d velopper le potentiel des communes comme instruments du d veloppement durable Les projets suivants ont ainsi b n fici d une aide financi re en 2006 total des aides allou es 185 000 e Etude de faisabilit pour une prime l entretien du paysage li e un pourcentage minimal de surfaces cologiques SICONA Abfallvermeidung im Einzelhandel A C Rumelange Nature for people SICONA Esp ce indicatrice Raubw rger Bongertenb rse SIAS Saatgutproduktion aus dem Gr nland SIAS Naturpark Erlebnisprogramm Our Naturpark Renaturation P trusse A C Bertrange Ern hr
343. icie La typologie dominante est la h traie ch naie qui occupe plus de la moiti de la surface du domaine Les ch naies h traies et les ch naies charme couvrent ensemble un quart de la surface M thode de travail Les travaux de terrain comprennent le relev des param tres stationnels la tari re p dologique pour l attribution des codes hydriques et trophiques aux diff rents points de sondage la description des humus et la v rification des unit s phytosociologiques du domaine forestier La densit de sondage a t fix e 1 sondage 1 5 hectares Cette valeur a t adapt e l homog n it du terrain et la forme des surfaces sond es Sur tout le domaine de la for t communale de Bertrange 246 sondages la tari re p dologique ont t r alis s Le r seau de points d chantillonnage a t r alis par le biais du syst me d information g ographique ARCInfo Sur le terrain les diff rents points ont pu tre localis s par navigation GPS ou la boussole et au ruban metre distances et angles calcul s sur SIG en cas de mauvaise r ception satellitaire Dans les deux cas les points sond s ont t repris par GPS Un test d acidit HCI permettant la d tection du calcaire actif a t r alis de fa on syst matique diff rentes profondeurs sur la terre fine et sur la charge Pour un sondage sur trois des chantillons ont t pr lev s pour la mesure du pH Ces mesures pH eau ont t
344. idel La d charge du Bridel continue tre exploit e Pour des raisons de capacit l acceptation de d chets ne se fait que le matin f le remblai de Heihenhaff L exploitation du remblai suit son cours Les quantit s accept es d passent cependant les volumes journaliers initialement pr vus g la d charge de Moersdorf L exploitation de cette d charge suit son cours normal h la d charge de Remerschen L exploitation de cette d charge suit son cours normal i le remblai du Pafewee Le remblai install par la soci t Cloos en vue de cr er une plate forme industrielle a t ferm au cours de l ann e 2006 A la suite un second remblai a t install proximit imm diate en vue de l agrandissement de la plate forme Kronospan 118 J la decharge de Rippweiler L exploitation de cette d charge suit son cours normal k le crassier de Mondercange Dans le cadre de l assainissement des anciennes boues sid rurgiques leur recouvrement avec des terres d excavation a t poursuivi L objectif de ce recouvrement consiste cr er une base pour la mise en place d un syst me d tanchement superficiel de ces d p ts Ces d p ts de terres ont t achev s au mois de septembre 2006 2 6 11 4 Les travaux en relation avec la cr ation de nouvelles d charges a le projet de d charge du crassier de Mondercange exploitant Cloos S A Le dossier d autorisation commodo incommodo a t introduit au
345. iers sur 40 89 ha le nombre de dossiers trait s en 2006 a de nouveau augment 143 dossiers sur 49 ha Une r gion extr mement touch e par des d g ts caus s surtout par le sanglier reste comme les ann es pr c dentes le triage de Kopstal suivie par les triages de Mamer et de Steinsel 3 2 7 12 La conservation de la nature En mati re de la conservation de la nature 438 dossiers ont t trait s en total par les pr pos s forestiers D autre part le cantonnement forestier a particip l laboration de divers dossiers en mati re de la conservation de la nature comme p ex gestion de pelouses s ches l aide d un p turage itin rant am nagement de sentiers de d couverte de la nature laboration de plans de gestion des haies ou de zones Natura 2000 laboration de dossiers de classement de r serves naturelles renaturation de cours d eau etc 189 3 2 7 13 La r cr ation en for t La vocation des for amp ts entourant les centres urbains la capitale et les villes du bassin minier volue de plus en plus vers la r cr ation et la d tente de la population r gionale A cet effet les chemins et sentiers sont continuellement entretenus En vue de parer aux probl mes ventuels entre les promeneurs et les cavaliers un balisage part de chemins pour les chevaux peut s imposer localement D autre part le chef de cantonnement assiste r guli rement aux r unions de chantier hebdomadaires du Centre fore
346. ine Tir la carabine sur cible silhouette de sanglier debout 100 m 1 candidat discipline Tir la carabine sur cible silhouette de sanglier courant 50 m 3 candidats et discipline Tir au fusil sur plateaux d argile 6 candidats On a compt 2 ajournements multiples Des 8 candidats admis participer la deuxi me session de l preuve de tir 6 candidats se sont pr sent s tous ont r ussi les diff rentes disciplines Un certificat attestant la r ussite toutes les preuves de l examen de chasse a finalement t d livr 27 candidats Tableau succinct des r sultats Inscriptions aux cours pr paratoires 49 100 Inscriptions aux preuves de l examen 36 73 Pr sent pour les preuves de l examen 34 100 Certificat de r ussite toutes les preuves de l examen 27 79 D tail pr sent r ussi Epreuve crite Epreuve orale Epreuve de tir 3 5 6 Le Conseil Sup rieur de la chasse Suivant les termes de la loi du 2 avril 1993 modifiant et compl tant la l gislation sur la chasse le Conseil Sup rieur de la chasse a pour mission d adresser de son initiative des propositions au Ministre en mati re de chasse et de conservation du gibier d mettre son avis sur toutes les questions et tous les projets que le Ministre lui soumet et notamment sur les mesures l gislatives et r glementaires touchant directement la chasse 281 Au cours de l
347. ines visites taient accompagn es par un tour en cal che avec le cheval ardennais 3 2 6 14 Contacts internationaux Le projet Native Village au triage de Kiem Dans le cadre du Projet Native Village au Neihaisgen la collaboration avec l arch osite d Aubechies en Belgique fut intensifi Le triage a fournie des morceaux de ch ne ayant une forme particuli re troncs avec une branche partant 90 Ces bois seront utilis s pour la construction d une baraque romaine En change une quipe d exp riment s de l arch osite font main forte et surveillent la pose de la chaume du toit de la maison celte Les objectifs du projet sont les suivants e construction et utilisation d une maison celte dans le cadre d un native village r aliser ult rieurement wigwams indiens paillottes africaines sensibilisation la nature d couverte de la m thode p dagogique guide et scoute ducation l environnement apprentissage de techniques de la nature Naturtechniken arch ologie exp rimentale utilisation pratique du savoir acquis L id e p dagogique derri re ce projet est qu on admet que les enfants et adolescents en d couvrant de fa on ludique le quotidien des populations naturelles comme les indiens ou les celtes d veloppent une relation plus intense envers la nature 185 3 2 6 15 Manifestations r gionales Le triage de Niederanven a particip l organisation des apr s midi
348. ineux le long de cours d eau dans le cantonnement de Grevenmacher Activit s ayant trait aux chauves souris 10 Nuit Europ enne de la chauve souris Clervaux Le 8 juillet 2006 a eu lieu dans l enceinte de l cole de musique de Clervaux la traditionnelle Nuit Europ enne de la chauve souris organis e par l Administration des Eaux et For ts Cantonnement forestier de Wiltz le Panda Club le mus e national d histoire naturelle et le Parc Naturel de l Our en collaboration avec l administration communale de Clervaux Cette manifestation la 10 me dition se trouvait comme les ann es pr c dentes sous le haut patronage du bureau ex cutif EUROBATS Bonn s occupant de la protection des chauves souris au niveau europ en C est pr cis ment dans cette cole de musique qu une colonie de reproduction assez vaste du Grand Murin environ 200 individus avait t d couverte au printemps 2006 par le biais du Parc Naturel de l Our Comme lors de l dition pr c dente 9 ateliers pratiques ont t organis s pour les enfants et les jeunes gens allant du simple atelier de maquillage de visage jusqu au v ritable laboratoire p dagogique permettant d analyser plus en d tail le mode de vie de ces mammif res nocturnes La participation ces ateliers destin s principalement la sensibilisation des enfants pour ces mammif res en danger d extinction a donn aux enfants la possibilit de prendre
349. ion atmosph rique sur les for ts PIC For ts de la Commission Economique pour l Europe des Nations Unies UN ECE Cet inventaire statistique dans le r seau national est bas sur l observation de l tat des cimes l tat de vitalit des arbres chantillons est estim par le biais d une estimation de la perte de feuilles et de la d coloration anormale des feuilles Le r seau 4 x 4 km compte 1200 arbres chantillons situation 2006 Puisqu ils ont t num rot s ce sont en principe toujours les m mes arbres qui sont inventori s A c t de la perte de feuilles et de la coloration anormale des crit res suppl mentaires comme la pr sence de branches s ches et les attaques de ravageurs sont not s pour chaque arbre individuellement En 2006 l quipe de terrain tait compos e de 6 ing nieurs forestiers qui en principe sont accompagn s par le pr pos du triage dans lequel se situe la placette Dans la mesure du possible ce sont toujours les m mes personnes qui au fil des ann es font les observations sur les m mes placettes Afin de garantir une certaine comparabilit des donn es chaque inventaire phytosanitaire national est r alis pendant la m me p riode En 2006 les notations ont t faites entre le 17 juillet et le 13 ao t Depuis 1984 o 79 1 des arbres ont encore t not s comme sains l tat des houppiers s est d grad continuellement En revanche le taux des arbres s v rement endo
350. ion dans les diff rents cantonnements des r sultats de la premi re campagne d inventaire en 2005 b inventaire sur le terrain et compl ments des donn es sur les sites historiques en for t savoir mesures des positions des emplacements moyennant GPS et photos c encodage des informations suppl mentaires collectionn es en termes de donn es sur les arbres biotopes haut int r t cologique et biologique arbres comportant des cavit s h bergeant des esp ces de chauve souris rares des esp ces de v g taux rares d encodage de donn es en provenance du MNHA sur des sites arch ologiques non encore recens s e traitement de l ensemble des donn es et confection de cartes l adresse des triages forestiers en vue de mieux prendre en compte la pr servation de ces sites dans la gestion foresti re au quotidien 226 f finalisation d une premi re version provisoire de la banque de donn es Le tableau suivant retrace l volution des travaux d inventaire et renseigne le nombre d objets contenus dans la base par cat gorie d objets Cat gorie 2005 2006 arbre 547 1 123 construction 33 69 faune flore 0 7 occupation du sol 0 1 ch teau 50 59 grotte 74 85 ruine maison 14 22 inscription 1 4 industrie 2 2 chapelle 35 43 croix 35 61 guerre 13 33 culte 0 7 mur l 11 m galithique 0 8 mine 56 92 monument naturel 25 31 four 0
351. ion de r glement EUROS 6 qui notamment introduit de nouvelles normes d amp mission applicables en deux tapes tous les v hicules sauf d rogations sp cifiques et l exception des poids lourds Une s rie de dossiers ont fait l objet de conciliations men es bon terme avec le PE savoir e la proposition de directive dite inspire portant cr ation d un cadre juridique pour l tablissement et l exploitation d une infrastructure d information g ographique en Europe e la proposition de directive eaux souterraines portant abrogation de la directive existante e la proposition de directive piles et accumulateurs portant abrogation de la directive existante 1 7 Agr ments d livr s dans le domaine de l environnement humain et naturel Le relev des personnes physiques et morales titulaires d un agr ment au titre de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement figure sur le site du Minist re de 1 Environnement www mev etat lu Cette liste est r guli rement mise jour 34 2 L ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT 2 1 L organisation Le fonctionnement de l Administration de l Environnement a t marqu au cours de l ann e 2006 par plusieurs changements Il faut d abord
352. ion des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques 22619709 22425909 18803880 R04 R05 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s m talliques Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 28490353 38876405 10580464 9211859 13227281 9653215 R09 R g n ration ou autres r emplois des huiles us es 2506789 3080965 4392966 R10 Epandage sur le sol au profit de l agriculture ou de l cologie 72091440 56197620 10976952 Ril Utilisation de mat riaux r siduels obtenus partir de l une des op rations num rot es R1 R10 7302614 3644110 0 R12 Echange de d chets en vue de les soumettre l une quelconque op ration num rot es R1 R11 9425520 6572530 18132370 R13 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production 26308899 19537188 6813602 215949486 143567207 93207976 Autriche R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques 293610 257720 305500 293610 257720 305500 Belg
353. ional le propri taire prend en charge les frais de la certification et demande un subside au Minist re de l Environnement e le certificateur r alise l audit sur base du standard labor par FSC Luxembourg pour d terminer si le certificat peut tre tabli et fixe de commun accord avec le propri taire et le gestionnaire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t e le certificateur contr le intervalles r guliers l application de celles ci L Administration des Eaux et For ts a entam la proc dure de certification individuelle pour la for t domaniale du Grand Duch de Luxembourg L Administration des Eaux et For ts a galement entam la proc dure de certification de groupe pour les for ts soumises Il s agit pour le moment de constituer ce groupe et de d finir son fonctionnement En 2006 l Administration des Eaux et For ts a contribu la poursuite des travaux de l asbl PEFC Luxembourg en vue de d finir les modalit s pratiques de la certification des for ts au Luxembourg suivant le sch ma Les travaux de l asbl PEFC Luxembourg ont t pris en charge par la cellule INTERREG Proholz Probois du Groupement des Sylviculteurs et ont t appuy s par l Administration des Eaux et For ts en collaboration avec le bureau d tudes EFOR La proc dure de certification PEFC en for t soumise est la suivante e Le propri taire forestier d cide d adh rer la ce
354. ions g n rales pour les tablissements du secteur agricole qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s Environ 101 d clarations ont t introduites en 2006 dans le cadre du pr dit r glement Par rapport aux autres ann es mis part 2005 le nombre de d clarations est rest constant Le degr de conformit des d clarations introduites est rest pratiquement le m me savoir e 70 des d clarations taient conformes d s leur introduction Apr s r ception de renseignements suppl mentaires ce taux est mont 92 Les exploitants ont re u un accus de r ception leur indiquant de se conformer aux prescriptions du pr dit r glement e 25 des d clarations au moment de leur introduction taient non conformes du fait qu une ou plusieurs pi ces requises par le r glement grand ducal n taient pas jointes la d claration Les exploitants ont t invit s par crit faire parvenir les pi ces manquantes la Division des Etablissements Class s e 5 des d clarations n taient pas acceptables du fait que les tablissements d clar s ne relevaient pas d apr s le r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s de la classe 4 mais de la classe 3B voire de la classe 1 Les exploitants ont t invit s par crit introduire un dossier de demande d autorisation conforme la loi du 10 juin 1999 relative aux tabliss
355. ions par des organismes agr s L Administration de l Environnement a publi des informations relatives aux proc dures de v rification des missions de gaz effet de serre Les personnes int ress es par un agr ment dans le domaine de la v rification des missions de gaz effet de serre ont t invit es pr senter leur demande d agr ment au Ministre de l Environnement En 2005 les 15 installations concern es ont toute proc d une v rification de leurs missions de gaz effet de serre Le r sultat de cette v rification a t publi sur le site Internet du Minist re de l Environnement Le tableau ci dessous r capitule le r sultat des v rifications Code Quotas S Installation d identification allou s Quant x de l installation 2005 a Ares S A Acierie Esch Schifflange EQE 2005 11 70996 44856 Ceduco S A c o Dupont de Nemours Luxembourg S A EQE 2005 3 74423 58358 Cegyco S A c o Goodyear S A EQE 2005 1 67356 62428 Ciments Luxembourgeois Intermoselle EQE 2005 6 846079 732271 Dupont de Nemours Powerhouse EQE 2005 2 79588 56226 IKronospan Luxembourg S A EQE 2005 7 95411 55195 Lux nergie Centrale Kirchberg EQE 2005 8 31883 31829 Lux nergie Centrale Stade EQE 2005 9 15090 11369 Luxguard I EQE 2005 4 128035 108456 Luxguard II EQE 2005 5 130300 113305 Luxlait Association Agricole EQE 2005
356. ique D01 D p t sur ou dans le sol p ex mise en d charge etc 1260 5220 6960 D05 Mise en d charge sp cialement am nag e p ex placement dans des alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc 0 4000 3320 D08 Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 2607769 48180 46820 D09 D10 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc Incin ration terre 2127203 1065359 6822179 1146610 5000768 981883 D14 Reconditionnement pr alablement l une des op rations num rot es D1 D12 65860 73900 38820 5867451 8100089 6078571 129 R01 Utilisation comme combustible autrement 999261 625416 1518807 qu incin ration directe ou autre moyen de produire de nergie R02 R cup ration ou r g n ration des solvants 18798 29710 10885 R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques 3104789 3350658 3807212 qui ne sont pas utilis es comme solvants y c
357. ir de l ann e 2006 par OPE CIG R Syrdall les capacit s lib r es du triage ont pu tre employ es pour l entretien d autres chemins r guli rement emprunt s par le publique Dans ce m me sens une tude a t faite sur les chemins existants leur utilisation leurs vocations et la cr ation d un r seau adapt en g n ral Triage Dudelange Am nagement d un parcours fitness dans la for t communale de Frisange Entretien de 3 places de pique nique Am nagement d une baraque en bois rond au Wald dans for t communale de Dudelange Entretien du parc Leh Triage Sandweiler e Cr ation et inauguration d un nouveau sentier Moutfort ca 6km e Entretien des parcours fitness Medingen et Sandweiler 2 x 3 5 km Triage Hesperange e D gagement des sentiers touristiques auto p destre dans le triage e Installation d une passerelle en bois qui traverse un pr humide Fentange lieu dit Op der Sterz 3 2 6 13 Information du grand public Les visites guid es ont trouv un grand succ s aussi bien aupr s des l ves qu aupr s des citoyens 73 visites guid es ont t organis es dans les diff rents triages Triage de Waldhof e Organisation de visites guid es 184 Jeunes pompiers de Kayl Club de loisir de la Caisse de Pension des Employ s Priv s CIPA de la commune de Waldferdange 5 classes de l cole primaire des communes de Niederanven et de Junglinster e
358. ire les ch naies charmais sur les sols argileux frais assez humides du Gutland du Sud Les nombreuses sources ainsi que les petits ruisseaux lui conf rent un aspect particulier et sont l origine de diff rents types d habitats forestiers Une autre particularit du Beetebuerger B sch provient du fait que ce massif n a pratiquement pas t touch par les derni res temp tes et d tient ainsi un pourcentage lev d anciens peuplements Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe pr s d un dixi me de la zone Bouleaux broussailles et arbustes r sineux peupliers et fr nes recouvrent le restant de la future RFI Cette zone foresti re a t d clar e zone prot g e par r glement grand ducal en date du 20 septembre 2005 La superficie totale de la r serve foresti re int grale est de 244 6 ha La r serve naturelle se compose de trois parties distinctes une partie dite r serve foresti re int grale une partie dite zone de d veloppement ainsi qu une partie dite zone de qui tude Avancement du projet Cette ann e les travaux dans la r serve foresti re int grale Beetebuerger B sch se sont surtout ax s sur le suivi scientifique ainsi que sur la gestion de cette nouvelle zone prot g e Le Beetebuerger B sch est la deu
359. is favorable quant au classement du projet en tant que zone prot g e En fin d ann e les conseils communaux de Schengen et de Burmerange avisent galement le projet favorablement Projet de r serve foresti re int grale Manternacher Fiels Manternach Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de plusieurs associations foresti res rares au Luxembourg savoir les h traies calcicoles ainsi que les for ts de ravins du Tilio Acerion sur les couches fissur es du Muschelkalk avec de nombreux boulis qui r sultent de leur mode d rosion et par les menaces pour les stations sensibles pouvant r sulter des travaux sylvicoles m me douces L tendue de cette rablaie de ravin est d ailleurs l une des plus importantes au Grand duch de Luxembourg Compte tenu de la raret de ces associations foresti res au Grand duch de Luxembourg une protection au sens le plus stricte s impose Dans ce contexte le r glement grand ducal du 6 mai 2000 pr voit un certain nombre d interdictions pour la zone prot g e Celles ci sont toutefois insuffisantes pour suffire aux objectifs poursuivis dans le cadre du projet de for ts en libre volution Le nouveau dossier de classement aura pour but de proposer une adaptation voire une modification du r glement grand ducal du 6 mai 2000 en fonction des nouveaux objectifs de la zone prot g e La surfac
360. issement article 6 de la l gislation relative aux tablissements class s En outre quelques entreprises ont volontairement pr sent une actualisation de leur documentation sur la gestion des d chets Au total en 2006 58 entreprises ont actualis leur plan de pr vention et de gestion des d chets en pr sentant une r vision trisannuelle A la fin de l ann e 2006 environ 156 r visions de ppgd taient enregistr s dans la base de donn es dont 107 approuv s 33 non cl tur s ainsi que 16 abrog s Mer Rapport d volution de la pr vention et de ppgd de la gestion des d chets 1100 1129 1017 1000 m ppgd 900 complets 800 2 ppgd gt 3an r viser 700 754 q O r visions 600 r alis es 500 SC 469 o r visions clotur es 400 Sri 365 sood 288 290 252 213 200 156 Ed 111 135 52 66 97 107 o ei EHE m 20 39 1 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 ann e estimation sans prise en compte des nouveaux dossiers de 2006 144 2 6 16 Les contr les environnementaux 2 6 16 1 Les travaux de surveillance par campagne r guli re d chantillonnage Au cours de l ann e 2006 la Division des D chets a proc d quatre campagnes de contr le des eaux de percolation des eaux des puits de forage et des eaux de surface autour d un certain nombre de d charges anciennes ou en exploitation Il s agit notamment des d charges suivantes e les d
361. issions dans l air en 2001 Depuis 2001 deux nouveaux tablissements IPPC ont t mis en exploitation Il s agit de la centrale TGV Twinerg Esch Alzette et du four PRIMOREC Differdange L tablissement Pechiney Eurofoil Dudelange vient de compl ter la liste du fait qu il a d pass pour la premi re fois en 2004 la valeur seuil pour le fluor L tablissement SIDOR Leudelange a baiss ses missions de mercure en 2004 en dessous de la valeur seuil et n est donc plus repris dans la liste des tablissements d clar s en 2006 Il y a lieu de rappeler que seulement les missions qui d passent les valeurs seuils de la d cision EPER sont d clar es L application de ces valeurs seuils a pour but d viter l industrie de devoir d clarer des missions insignifiantes tout en veillant ce que les d clarations couvrent au moins 90 des missions industrielles totales en Europe Au Luxembourg ces seuils ne permettent pas de couvrir 90 des missions nationales des installations IPPC Certains polluants d importance au Luxembourg n apparaissent pas du tout dans le registre national EPER Ainsi par exemple aucun tablissement ne d passe la valeur seuil pour les missions de dioxines et furannes Toutefois partir de l ann e 2007 lorsque le registre EPER sera remplac par le registre PRTR le seuil pour les missions de dioxines et furannes diminuera de 1 g a 0 1 g a Il est probable qu avec ce nou
362. istration des Eaux et For ts du Mus e national d histoire naturelle des communes et syndicats communaux ainsi que des associations agissant dans le domaine de la protection de la nature et de l environnement Par ailleurs trois scientifiques sp cialis s dans le domaine de sauvegarde de la diversit biologique font partie de l observatoire Le r le de l observatoire est d aider le Ministre de l environnement et ses partenaires notamment les communes et les syndicats communaux d finir les orientations et le contenu de la politique en mati re de protection de la nature et d valuer l tat de conservation du milieu naturel au Luxembourg L observatoire est egalement responsable du suivi du Plan national concernant la protection de la nature amp labor amp en vertu des articles 51 et 52 de la loi du 19 janvier concernant la protection de la nature Les principales missions de l Observatoire d finies par la loi du 3 ao t 2005 sont de constater l tat de conservation de la diversit biologique de proposer des recherches et tudes en mati re d environnement naturel de proposer un programme d actions concr tes r aliser par l Etat et les syndicats d valuer les mesures r alis es par l Etat et les syndicats de r diger tous les deux ans un rapport circonstanci sur la politique en mati re d environnement naturel et sur la mise en ouvre de cette politique au niveau tatique et communal de suivre la mise en
363. istration est intervenue sur place dans deux cas sp cifiques Dans une premi re phase des lettres d invitation de mise en conformit ont t adress es aux exploitants concern s 69 Rendement Installations de chauffage au mazout Situation fin 2006 Nombre d installations en Age de la Rendement Rendement chaudi re gt 95 90 lt lt 95 lan 15 2 84 8 2 ans 7 0 88 9 3 ans 4 3 91 4 4 ans 3 6 92 9 5 ans 3 1 94 1 6 ans 3 1 94 8 7 ans 2 2 96 2 8 ans 2 0 96 5 9 ans 2 0 95 8 10 ans 2 5 95 8 de 11 15 ans 2 3 94 9 de 16 20 ans 1 4 92 8 plus de 20 ans 0 4 62 7 Total 1 5 82 5 Age du Rendement Rendement br leur gt 95 90 lt lt 95 lan 7 1 84 6 2 ans 5 1 84 5 3 ans 3 5 88 0 4 ans 3 0 89 9 5 ans 2 3 92 2 6 ans 2 7 92 5 7 ans 1 7 94 8 8 ans 1 7 95 5 9 ans 1 7 95 3 10 ans 2 4 94 4 de 11 15 ans 2 0 93 9 de 16 20 ans 1 5 91 9 Plus de 20 ans 0 3 55 4 Total 1 5 82 5 Suivant le r glement grand ducal pr cit du 23 d cembre 1987 les r visions obligatoires ne peuvent tre effectu es que par des personnes ayant soit le brevet de ma trise en chauffage soit le certificat de contr leur Ce dernier certificat peut tre obtenu en suivant un cours de perfectionnement en mati re de l gislation des installations de chauffage de th orie de combustion et de pratique de mesurage Depuis 1979 la Chambre des M
364. it de la SuperDrecksK Gescht Ceci repr sente 44 7 de l ensemble des entreprises rattach es soit un taux l g rement sup rieur celui de l ann e pr c dente SuperDrecksK scht fir Betriber Evolution du nombre des entreprises rattach es et des entreprises disposant du label Nombre E Entreprises rattach es la sdk O Entreprises avec label sdk 0 Ann e 2002 2003 2004 2005 2006 Au cours de l ann e 2006 3 entreprises se sont vues enlever le label pour non respect du concept 114 Les dechets collectes Conform ment sa mission initiale et c t du conseil donn aux entreprises pour la gestion des d chets la SuperDrecksK scht fir Betriber a continu assurer la collecte de certains d chets soit directement soit par le biais de sous traitants Les quantit s ainsi collect es se sont lev es en 2006 2 025 tonnes soit une r duction de 1 7 par rapport l ann e pr c dente SuperDrecksK scht fir Betriber Eingesammelte Mengen und angeschlossenen Betriebe 4000000 2500 3500000 2000 3000000 2500000 1500 kg 2000000 Anzahl Betriebe E 1500000 1000000 500 500000 Gesamtmenge o Betriebe 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 3 Du ERAND DUCHE be LuntmnoueG Le graphique ci dessus montre que les quantit s collect es sont en baisse constante alors que le nombre des ent
365. it res de la charte cologique La charte cologique informe le client qu il peut acheter dans ce magasin des produits cologiques et r gionaux Ces produits sont marqu s sp cialement et facilitent ainsi une d cision vers un achat cologique Une page Internet a t sp cialement con ue pour le projet sous l adresse www moins de dechets lu 92 Les magasins de d tail suivants tous situ s Rumelange participent au projet Brasserie du Mus e Chaussures Zanni Inter Jeans J Os e Caf am Heim Coiffure Renaissance JC Coiffurer Caf Central Esso Shop Grenze Karblum Caf du Coin Esso Shop Stadt Lombardi Sports Optique Thill P tisserie Devas Photo Cin Schaeffer Remelenger Zeitungsbuttek Restaurant Etna Restaurant La Vall e du Panda Salon Marlyse Shell Shop Shop Siedler Thill Q8 Caf Quatre Amours Fleurs Marie amp Jos Marques Alimentation Voici quelques exemples de produits marqu s dans les magasins 2 6 3 9 Les autres actions e Cours de formation pour le personnel des parcs conteneurs dans le cadre de la formation continue organis e ensemble avec le CNFPC d Ettelbruck le 24 avril 8 mai 15 mai et 22 mai 2006 Luxembourg e Participation la Commission de contr le du EcoLabel fir Letzebuerger Tourismusbetrieber 2 6 4 Les d chets organiques Sept installations Angelsberg Diekirch Hesp range Mamer Mondercange Reckendall et SIGRE ont t
366. it interne du SME a pour but de v rifier que le SME r pond aux exigences de la norme et que son impl mentation correspond sa description Il est r alis ensemble avec le Groupement des Sylviculteurs Les audits internes de terrain ont pour but de d terminer l tat de la gestion foresti re en relation avec l engagement de qualit pour fixer de commun accord avec le propri taire les am liorations apporter la gestion foresti re de la propri t Ils se font par chantillonnage dans les propri t s publiques adh rentes L Administration des Eaux et For ts a confi la mission des audits internes du terrain au bureau d tudes EFOR Les audits externes ont d but pour la premi re fois en 2006 Un certificateur externe charg par l Administration des Eaux et For ts et le Groupement des Sylviculteurs fait galement un contr le en deux phases La premi re phase est l audit externe du SME en tant que tel au sein des diff rentes instances concern es par son fonctionnement La deuxi me phase de l audit externe est un contr le de terrain sur base d un chantillon des propri taires qui ont sign l engagement de qualit 3 1 12 Le plan de d veloppement rural En 2007 l Administration des Eaux et For ts a poursuivi son travail pour la mise en uvre du R glement CE 1698 2005 du Conseil du 20 septembre 2005 concernant le soutien du d veloppement rural par le Fonds europ en agricole pour le d velopp
367. its mesures pour raison d absence de justification scientifique suffisante permettant des restrictions la libre circulation Il y a lieu de mentionner cet gard que les initiatives en cours et venir de la Commission se limitent en l esp ce aux substances qui sont effectivement commercialis es Mise part l appui la prise de position de EFSA la Commission a d fendu ses arguments en faveur de la lev e des mesures autrichiennes en arguant principalement du fait que le maintien desdits mesures risquerait de porter atteinte la cr dibilit du syst me et partant l autorit de EFSA et d entrainer des risques de r torsion au niveau de l OMC Les autorit s autrichiennes qui s appuyaient entre autre sur des tudes r centes qui plaident en faveur d une am lioration des valuations des risques entendaient maintenir leurs d cisions notamment pour les raisons suivantes valuation incompl te des effets n gatifs potentiels sur la s curit humaine et sur l environnement absence d valuation sur les effets potentiels indirects et long terme sur les tres humains et l environnement Il y lieu de relever que la pr sidence finlandaise a r ussi d gager des accords respectivement en premi re et deuxi me lecture sur des dossiers importants savoir e Ja proposition de r glement dite REACH qui concerne l enregistrement l autorisation_ et l evaluation des produits chimiques e la proposit
368. ken Suisse 83 Les emballages et les dechets d emballages Le r glement grand ducal du 22 f vrier 2006 modifiant le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 portant application de la directive 94 62 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 20 d cembre 1994 relative aux emballages et aux d chets d emballages a t publi au m morial le 3 mars 2006 Les modifications suivantes sont apport es par le nouveau r glement e Clarification de la d finition du terme emballages par l introduction de certains crit res et d une annexe contenant des exemples illustratifs e Introduction de nouveaux objectifs de recyclage et de valorisation des d chets d emballages Mat riaux 30 06 2001 31 12 2008 Verre Papier carton Plastiques M taux Bois Total recyclage Total valorisation Le r glement grand ducal du 18 janvier 2005 relatif aux d chets d quipements lectriques et lectroniques Le r glement grand ducal du 18 janvier 2005 transposant en droit national les directives 2002 95 CE et 2002 96 CE a t modifi en 2006 par le r glement grand ducal du 24 juillet 2006 Ce r glement grand ducal transpose en droit national la d cision 2005 717 CE 2005 747 CE et la d cision 2006 310 CE de la Commission Europ enne Ces d cisions concernent uniquement des exemptions relatives l utilisation du plomb du mercure du cadmium du chrome hexavalent des polybromobiph
369. l ol 0 0 41849 1028068 1322602 647750 GO Pafewee Recyma 2175787 1570506 839316 1204091 362500 423641 0 Pafewee Cloosrembai f d nu nu of of 3780101 252356 Mondercange 0 0 0 0 ol 83 o E Jee 328079 349674 932227 866487 878680 132871 0 D Remerschen 232333 292000 201440 208549 232929 366166 424705 Quantit s exprim es en tonnes A c t des d chets d finitivement d pos s les quantit s suivantes ont t accept es aux centres r gionaux pour tre revaloris es 7974 21119 27303 I froischette Bettborn 2901 18676 RE CNE Folkendange TI o 0 2500 Rosswinkel 6000 Brouch Reckange 0 CSO CSE 11496 10003 Heihenhaff Finde 251 8144 18487 so 124930 SE a O remblai 0 25455 Remerschen ol 0 of ol 0 of ol Quantit s exprim es en tonnes En outre certains remblais de plus grande envergure ont galement accept des quantit s importantes en 2006 Differdange terrain Kronospan 361509 Ancien terrain Arbed Esch Belval 294486 Crassier Mondercange assainissement des d p ts 249762 Assainissement ancienne d charge commune de Roeser 216524 Terrain Cimenterie Esch Alzette 70000 Quantit s exprim es en tonnes 985757 C est ainsi que les quantit s totales de d chets inertes accept s dans les centres r gionaux et dans les remblais d envergure se sont lev es en 2006 4 854 188 tonnes soit 10 3 tonnes par habitant
370. l outil informatique cette fonctionnalit par un num ro de t l phone r pondeur La brochure en format DIN AS intitul e Flederm use in den W ldern Luxemburgs a t r dit e 6 000 exemplaires au cours de l ann e 2006 par l Administration des Eaux et For ts Cette brochure ayant t distribu e entre autres aux professionnels de la for t et aux communes est destin e augmenter la sensibilisation des gens pour la protection des chauves souris arboricoles Une forte demande de cette brochure a t ressentie au niveau des coles d o entre autres la r dition en 2006 L Administration des Eaux et For ts ont tenu de nombreux expos s notamment dans les coles primaires aux fins de sensibilisation des enfants qui ont pu d couvrir d une fa on ludique et p dagogique le mode de vie de ces chiropt res nocturnes Une formation organis e avec l Institut f r Tier kologie und Naturbildung et englobant une partie th orique Senningerberg ainsi qu une partie pratique sur le terrain dans le massif forestier Friemholz Echternach a t organis e en 2006 pour entre autres 12 pr pos s forestiers de l Administration des Eaux et For ts Cette nouvelle formation 2006 porte 41 le nombre du personnel de l Administration des Eaux et For ts ayant pris part une s ance d information sur la protection des chiropt res dans les for ts Une formation nocturne dans le cadre du
371. l D1 D2 N 5 8 j T 49 0876176130 Labor f r Landwirtschaftliche F 49 Untersuchungen G m b H 08761761656 Kirchstrasse 2 D 85416 Oberhummel BUREAU TECHNIQUE LUXEMBOURGEOIS T 4352 26 17 55 52 A11 A211 A311 B timent MGM F 352 26 17 5551 F1 Z I ZARE ilot Ouest H1 H2 H3 L 4384 Ehlerange BVQI BELGIUM T 32 02 5202090 Boulevard Paepsemlaan 22 F 32 02 5202030 Gl 31 03 2010 B 1070 Bruxelles ECO CONSEIL S A R L en 18 avenue Marie Adelaide Ei a SE D1 D3 31 03 2007 L 5635 Mondorf les Bains EMV SERVICES G M B H 1 D da B3 Harburger Schlossstrasse 6 12 F 49 04076629 F2 31 03 2007 D 21079 Hamburg j 506 ENECO S A D3 22 rue Edmond Reuter T 352 264314 44 ES 31 03 2009 Zone Artisanale Weiergewann F 352 264314 45 FD F3 L 5326 Contern 4 31 03 2008 3 1 03 2009 ENERGIE ET ENVIRONNEMENT S A T 352 224623 D3 Ing nieurs conseils F 352 224625 E8 31 03 2007 99 rue Andethana i F1 L 6970 Hostert Niederanven ENVIRONMENTAL SERVICES DIVISION DE SGS BELGIUM S A 5 T 32 081566356 Aricien GEOLOGICA SA F 32 081567872 E5 31 03 2007 Parc Crealys F3 Rue Phocas Lejeune 4 B 5032 Gembloux Les Isnes ENVIRO SERVICES INTERNATIONAL S A R L T 352 520980 E4 E5 E9 31 03 2009 Zone industrielle et commerciale F 352 520985 F3 ES L 3378 Livange ERNST amp YOUNG ET ASSOCIES Tour Ernst amp Young T 33 0146936000 Faubourg de l Arche
372. l il est pr vu d introduire un stade ult rieur une nouvelle norme limitant le nombre de particules qui peuvent tre mises Pour les v hicules diesel seule une faible r duction 20 des NO est pr vue Comme la technologie permettant une r duction suppl mentaire des NO n est pas encore au point il est propos de ne pas r duire les missions de NO au del de la valeur limite de 200 mg km Pour les voitures essence les r ductions sont respectivement de 25 pour les NO avec une valeur limite de 60 mg km et de 25 pour les hydrocarbures avec une valeur limite de 75 mg km Les limites d mission sur la masse des missions de particules quant elles s appliquent uniquement aux v hicules injection directe fonctionnant en m lange pauvre Un autre changement est la proposition de porter de 80000 160000 km la p riode de durabilit au cours de laquelle les constructeurs doivent imp rativement garantir le fonctionnement des dispositifs anti pollution La proposition comporte une exigence selon laquelle les informations sur la r paration des v hicules peuvent tre mises disposition par l interm diaire de sites WEB Le d bat d orientation tait destin guider les travaux futurs Le Luxembourg figure parmi les d l gations qui ont plaid en faveur de normes les plus contraignantes possibles en fonction des technologies disponibles en soutenant en particulier l id e de l introductio
373. l s aux entr es secondaires du Laangmuer afin de d limiter la zone prot g e Ces panneaux renseignent sur l existence de la RFI m me et sur les dangers possibles que peuvent encourir les visiteurs circulant librement en for t Par ailleurs tous les sentiers qui se trouvent l int rieur de la r serve foresti re int grale et qui sont ouverts au public ont t balis s ce balisage ayant pour but d indiquer au visiteur les chemins qu il peut utiliser et qui sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e En ce qui concerne le suivi scientifique des esp ces un inventaire des chauves souris a t r alis dans le courant de cette ann e La m thode utilis e est identique celle qui avait t appliqu e pour les autres r serves foresti res int grales Il s agit d un comptage qualitatif au moyen de filets ainsi qu l aide de d tecteurs ultra sons Mentionnons encore que deux excursions ont t organis es dans cette r serve naturelle dans le cadre du colloque Naturschutz und Biodiversit t im Wald B schsymposium Le but principal recherch tait de pr senter aux visiteurs la m thode utilis e pour le relev des habitats forestiers dans une r serve foresti re int grale Pour plus d informations ce sujet consulter le chapitre Autres activit s dans le domaine du projet Naturb sch 217 La r serve foresti re int grale P ttenerb sch a Mersch Pettingen Description
374. l sous sol et des eaux souterraines est achev e Pour ce qui est de la pollution des eaux souterraines la situation a t valu e comme aggravante mais sans urgence d intervention tant donn e le caract re stable de la pollution L tude met cependant en vidence une n cessit d intervention court terme au niveau des r servoirs goudron qui sont encore pr sents sur le site Un concept d assainissement pour l ensemble du site devra en outre tre labor et mis en uvre L ancien site de la soci t Electrolux Vianden Le syst me d assainissement des eaux souterraines qui sont pur es lors de leur coulement naturel travers de r acteurs souterrains a fait ses preuves Les premiers bilans sur la qualit des eaux trait es sont positifs Le syst me est soumis une surveillance r guli re et devra rester en place pendant plusieurs d cennies 147 2 6 18 Le systeme de surveillance du sol En 2006 la premi re phase de l chantillonnage syst matique des sols du Grand Duch de Luxembourg a pu tre finalis e Selon une grille pr d fini 60 sites ont t chantillonn s diff rentes profondeurs 0 30 cm 30 60 cm 60 100 cm et avec diff rentes utilisations prairie champ for t Les chantillons ont t analys s en ce qui concerne les param tres physiques et chimiques des sols Les r sultats d analyses ont t introduits dans une banque de donn es ACCESS sp cialement con u cet effe
375. l une campagne de vaccination contre la grippe et le t tanos a eu lieu en collaboration avec le Service de la Sant au Travail multisectoriel 62 ouvriers ont profit de cette action pr ventive pour se faire vacciner L engagement d tudiants pendant les vacances scolaires donne aux triages forestiers la possibilit de d charger leurs ouvriers de travaux pour lesquels une exp rience professionnelle n est priori pas requise De plus en plus de triages ont recours cette main d uvre pendant les vacances scolaires ce qui se traduit par une augmentation sensible des contrats d tudiants transmis la Direction des Eaux et For ts L engagement de 245 tudiants en 2006 constitue en effet une hausse de 16 par rapport 2005 La r partition de l effectif du personnel ouvrier se pr sente au 31 12 2006 comme suite Cantonnement Nombre d ouvriers Diekirch 43 Grevenmacher 52 Luxembourg Est 58 Luxembourg Ouest 48 Mersch 37 Wiltz 46 Direction 3 TOTAL 287 3 1 9 Les activit s de sensibilisation et d information du public Comme chaque ann e l Administration des Eaux et For ts a particip en 2006 la Journ e de l Arbre Cette journ e a t comm mor e dans une s rie de communes avec le support actif des ing nieurs et pr pos s des Eaux et For ts La plantation symbolique d un verger a t organis e par la Fondation H llef fir d Natur a et l Administrati
376. la convention en cours concernent essentiellement la pr paration et la mise en uvre de l IFL2 une modification du nombre et de la nature des variables prises en compte dans l inventaire est en cours Il est important dans la phase actuelle de poser les bonnes questions pour tre assur de la pertinence des donn es r colter En effet les objectifs assign s l inventaire et tout particuli rement l valuation de la biodiversit sont appel s voluer avec l actualisation de l inventaire et l volution des exigences de rapportage au niveau international Par exemple la mise jour des indicateurs de gestion durable issus de la D claration et r solutions de Vienne adopt es lors de la quatri me Conf rence Minist rielle sur la Protection des For ts en Europe est prise en compte dans la phase actuelle de la mise en uvre de l IFL2 3 3 5 5 Accompagnement scientifique et technique Ce chapitre concerne les activit s r currentes du suivi scientifique de l IFL Une aide scientifique et technique de la part de la FUSAGX visant r soudre des probl mes n cessitant une tr s bonne connaissance de la m thodologie utilis e et de la base de donn es informatis e est fournie la demande de l administration Une assistance informatique ponctuelle est galement apport e pour r soudre des probl mes susceptibles d tre rencontr s lors de traitements courants ou sp cialis s Le guide inf
377. la dynamique naturelle des diff rentes essences pr sentes un accroissement en diam tre et donc en volume r gulier des tiges d lite une ducation des tiges d lite par une gestion de leur environnement une production constante de qualit toutes essences confondues des investissements minima 229 e des recettes constantes et maximales e une diversit biologique tant du point de vue de la flore que de la faune cas des arbres dits biologiques e un accueil des promeneurs et autres utilisateurs de la for t dans de bonnes conditions de s curit 3 3 8 5 Premiers r sultats obtenus en martelage a Site de BETZDORF Les premiers l ments chiffr s Surface martel e 10 ha cloisonnements compris Volume pr lev 102 m ha Soit 23 5 du volume total En r partition PB 2 8 du volume total BM 9 9 du volume total GB 38 2 du volume total dont 81 de h tre TGB 49 1 du volume total dont 85 de h tre Le martelage par enl vement de toutes les tiges au sein des cloisonnements repr sente environ 21 du volume total martel sur la parcelle Surface terri re pr lev e 7 66 m dont 21 en cloisonnements L analyse Le volume total d passe de 10 le maximum que nous nous tions fix Cela est principalement d au fait que le pr l vement au sein des cloisonnements est total Hormis le biais li ces cloisonnements le pr l vement est tr s proche des orientations fi
378. le 1 janvier 2005 3 1 7 La formation 3 1 7 1 La formation initiale Deux examens d admission d finitive la carri re au pr pos des Eaux et For ts ont t organis s en 2006 L examen des quatre stagiaires de la 17 promotion a eu lieu en mars 2006 et leur nomination d finitive a eu lieu en juin 2006 Les huit stagiaires de la 18 promotion ont suivi leur stage dans les diff rents services de l Administration des Eaux et For ts jusque novembre 2006 En novembre ils ont pass leur examen d admission d finitive et en janvier 2007 ils ont eu leur nomination d finitive Vu le nombre lev de postes vacants dans la carri re du pr pos des Eaux et For ts l Administration des Eaux et For ts va organiser en 2007 un examen d admission au stage dans la carri re du pr pos Ces stagiaires seront ainsi op rationnels en automne 2009 La formation sp ciale des stagiaires l cole foresti re est pr vue pour l ann e 2008 3 1 7 2 La formation continue La formation continue des agents En 2006 les trois cours de formation continue suivants ont t organis s ensemble avec l Institut National d Administration Publique e Erlebnisp dagogik im Wald 2 jours e Schutz und Lebensweise von Flederm usen die vorwiegend in W ldern vorkommen I 1 jour e Schutz und Lebensweise von Flederm usen die vorwiegend in W ldern vorkommen II 1 jour D autre part quinze agents de l Administration
379. le base de donn es IFL2 a n cessit une phase importante d analyse de l ancienne base de donn es IFL1 En effet cette analyse constitue une des tapes les plus complexes du processus de cr ation d une application sur base d un existant De plus cette phase a permis l nformaticien relevant du projet de se familiariser avec les outils informatiques sa disposition Ces travaux permettent une meilleure exploitation des ressources informatiques du premier cycle de l inventaire qui seront reprises dans le second cycle de mesures La nouvelle base de donn es d velopp e sous MS Access 2003 est construite avec une structure relationnelle des tables qui permet une bonne exploitation des donn es Chaque table poss de une cl primaire qui identifie les enregistrements d une mani re unique il est important qu une table ait une cl primaire ceci emp chant l utilisateur d encoder des donn es doubles ou redondantes ce qui peut entra ner des erreurs diff rents niveaux De m me il est aussi important qu une table ait un ou plusieurs index Un index est une fonctionnalit qui acc l re la recherche et le tri dans une table bas e sur des valeurs cl s et qui peut garantir l unicit des lignes d une table La cl primaire d une table est automatiquement mdex e 210 Les relations entre tables sont toutes soumises des r gles d int grit comme d fini dans le guide methodologique Cr ation du mod
380. lement l inventaire des peuplements e d veloppement d un logiciel de traitement des donn es et pr sentation des r sultats au niveau de la propri t incluant une cartographie du bois mort e r daction des instructions e Discussion des r sultats et de la m thode propos e Les grandes lignes de la m thodologie peuvent tre r sum es de la fa on suivante e Integration du relev du bois mort aux relev s des param tres du peuplement principal selon la m thode en vigueur dans des d lais d ex cutions acceptables e Relev du bois mort sur un nombre limit de peuplements excluant les petits parquets et les jeunes stades de d veloppement e M thode d estimation quantitative bas e sur un r seau d chantillonnage syst matique e Estimation bas e sur un nombre limit de cat gories de bois mort excluant les petits bois inf rieurs 20 centim tres de diam tre qui pr sentent une moindre valeur cologique e Methode d estimation quantitative donnant des valeurs indicatives pour l orientation des mesures sylvicoles La m thode ne devant pas se substituer ou tre compar e d autres dispositifs existants qui permettent un suivi plus rigoureux du bois mort tels que l inventaire forestier national ou les dispositifs de monitoring install s dans les aires foresti res prot g es L unite de Gestion des Ressources Foresti res et des Milieux Naturels de la Facult Universitaire des Sciences Ag
381. ler Am Dall 2 ha Wincrange Ramescher 3 ha Comme au cours des ann es pr c dentes une partie de ces surfaces ont ensuite t p tur es par des moutons Ce p turage a t organis et accompagn par l arrondissement Dans la zone prot g e Fooschtbaach au Nord de Hautbellain faisant partie du bassin versant de la Meuse le projet de p turage extensif l aide de bovins de race Angus mis en place en collaboration avec un agriculteur local sur 6 ha de terrains domaniaux constitu s partiellement d anciennes coupes rases de r sineux s est poursuivi Une extension de la surface p tur e est pr vue pour 2007 D autres mesures de gestion ont galement t suivies scientifiquement en particulier la fauche de la zone prot g e Neiwis ainsi que la r g n ration de la lande Op Baerel Les travaux d am nagement du sentier didactique Via botanica dans la zone prot g e Freng Op Baerel RNRF13 ont t poursuivis en 2006 par la mise en place de nouveaux am nagements informatifs Dans le triage de Grosbous 4 mardelles ont t renatur es Propositions d acquisition En 2006 l Arrondissement CN Nord n a pas pu effectuer d acquisition Participation l laboration de dossiers de classement Plusieurs r unions et visites de terrains ont eu lieu dans le cadre du classement respectivement de la gestion des zones prot g es 271 Remembrements L Arrondissement CN Nord a poursuivi les travaux de
382. ler 4 D 90482 N rnberg INSTITUT F R MATERIAL FORSCHUNG DR SCHELLENBERG ROTTWEIL GMBH F T F T F 352 26374151 T 352 436676 1 352 436264 352 251788 352 251789 T 49 09115434540 F 49 09115434541 49 0741 17436 30 F 49 0741 17436 Rottweiler Strasse 13 D 78628 Rottweil INSTITUT SCIENTIFIQUE DE SERVICE PUBLIC Rue du Ch ra 200 B 4000 Li ge INTERNATIONAL TANK MANAGEMENT 59 T 32 4229 8311 F 32 4252 4665 32 81719950 Parc Scientifique Cr alys Rue Camille Hubert 3 B 5032 Gembloux KRAMER SCHALLTECHNIK GMBH Siegburger Stra e 39 D 53757 Sankt Augustin 2 2 HELMUT KUMM FRANK KREBS amp DR WERNER KERN Ingenieurb ro f Meteorologie u technische kologie Tulpenhofstrasse 45 D 63067 Offenbach am Main LABORATOIRE DES RESSOURCES HYDRIQUES UNIVERSITE DE LIEGE 32 81719959 T 49 2419338090 F 49 2419338091 T 49 069884349 F 49 069818440 32 63230811 32 63230804 Avenue de Longwy 185 B 6700 Arlon T 49 02319860 LIMES G M B H Heinrichstrasse 51 D 44536 L nen Im L ntec E 176 49 02319860 178 42 D4 E5 E71 F3 A sauf A14 A34 et A4 C sauf C9 et C10 D1 D2 D3 D6 E1 E4 E5 E6 31 03 2007 31 03 2009 31 03 2008 31 03 2007 E8 HI ES F3 31 03 2007 B1 E2 31 03 2008 D4 31 03 2007 31 03 200
383. les chapitres suivants une pr sentation PowerPoint multicolore les principes de la mise en application de la loi les explications relatives la loi le texte coordonn de la loi compl t par les r glements d ex cution Un chapitre entier fut r serv l application de la r g n ration naturelle des peuplements autochtones la sauvegarde de la diversit g n tique et de la biodiversit tant primordiale Dans cette intention des plans de situation ont t annex s la liste nationale e apr s la situation des domaines et secteurs cologiques e d apr s la situation g ologique Le sylviculteur tant libre dans le choix des provenances un tableau des provenances trang res recommandables pour les diff rents secteurs a t dress La plantation de mat riel forestier fixant le d veloppement des peuplements long terme et l introduction de mat riels forestiers de reproduction inadapt s ayant des cons quences d sastreuses pour le d veloppement future du peuplement un chapitre entier renseigne sur le choix des essences Des cartes concernant les diff rentes r gions de provenance de la France de la Belgique et de l Allemagne font galement partie de ce chapitre Afin d adapter et d uniformiser les annexes prescrites par la loi et les r glements grand ducaux ceux ci furent ajust s aux exigences particuli res de notre pays De m me des formulaires furent d velopp s afin de faciliter l u
384. les constitu es par des roseaux ou des joncs Sources Pelouses s ches landes Haies broussailles bosquets et lisi res de for ts Vergers Prairies molinie formations herbeuses Nardus Prairies maigres de fauche prairies humides du Calthion Formations stables Buxus sempervirens H traies du Luzulo Fagetum H traies Ilex du Ilici Fagion H traies du Asperulo Fagetum H traies calcicoles Ch naies du Stellario Carpinetum For ts de ravin du Tilio Acerion For ts alluviales r siduelles 9 Eaux oligotrophes avec v g tation annuelle des rives exond es Nanocyperetalia eaux oligo m sotrophes calcaires avec v g tation benthique charac es v g tation flottante de renoncules des rivi res submontagnardes et planitiaires Boulaies sphaigne 10 M gaphorbiaies des franges nitrophiles et humides des cours d eau et des for ts 11 Cours d eau coulement permanent 12 Eboulis m dio europ ens siliceux ou calcaires v g tation chasmophytique des pentes rocheuses siliceuses ou calcaires grottes non exploit es par le tourisme 13 Chemins ruraux caract re permanent et bandes herbac es en accotement 14 Murs en ma onnerie s che Eh Er A A DO Le chapitre II 2 du document explique pour chaque type de biotope vis les interventions qui sont consid rer comme destruction r duction ou changement et tombant d s lors sous le champ d application des dispositions de l article 17 Comme g
385. liorer le module d encodage et d viter certaines erreurs lors de l encodage des donn es du second cycle de mesures Dans tous les cas les incoh rences et les erreurs identifi es dans la base de donn es de l IFL1 sont prises en compte lors des travaux de mise en uvre de l IFL2 valuation de l IFLI cr ation du module d encodage r daction du guide m thodologique R daction d un guide relatif aux proc dures informatiques La r daction du guide informatique a t finalis e en novembre 2006 Ce guide porte sur les aspects informatiques li s la cr ation de la base de donn es de l IFLI et aux modules de traitement des donn es r sultant des proc dures mises en uvre dans le cadre de l IFL1 Travaux pr paratoires La phase de r daction du guide a t pr c d e de travaux pr paratoires laborieux mais indispensables Une tude approfondie de la base de donn es existante de l IFLI a d abord t r alis e notamment de mani re ce que l informaticien relevant du projet prenne connaissance des outils informatiques d j existants De m me cette tape tait n cessaire la cr ation de la nouvelle base de donn es Les autres travaux pr paratoires indispensables la r daction du guide informatique accomplis de mani re continue depuis la cr ation de la base de donn es IFL1 comme travail de fond sont e la r vision de l identification des donn es contenues dans les
386. lisation desdites cartes de bruit pour 5 grands axes routiers Au cours de l exercice 2006 l laboration des cartes de bruit strat giques pour l a roport ainsi que pour l axe ferroviaire Luxembourg Esch Alzette a t entam e Dans le contexte de l axe ferroviaire il est noter que c est le seul axe tombant sous les crit res du r glement grand ducal o une carte de bruit strat gique doit tre labor e car le trafic sur cet axe d passe 60 000 passages par an En ce qui concerne les activit s au niveau national le service bruit a d intervenir suite diff rentes plaintes de la part de la population Les probl mes qui se pr sentaient le plus souvent se r f rent des missions de bruit caus es par des installations professionnelles et des chantiers de constructions 80 2 6 Division des dechets 2 6 1 Les activites dans le domaine legislatif et reglementaire 2 6 1 1 Les activites au niveau communautaire Le r glement du Parlement europ en et du Conseil relatif aux statistiques sur la gestion des d chets CE n 2150 2002 A partir de 2006 le groupe Statistiques de l Environnement sous groupe Statistiques sur la gestion des d chets ne se r unira qu une seule fois par un Lors de la r union en avril une valuation des diff rents projets pilotes dans les diff rents Etats a t faite L Italie et la Hongrie ont pr sent les derniers r sultats de leurs projets De plus EUROST
387. lnen Arbeitstreffen sind jeweils Protokolle angefertigt worden Neben den Protokollen der Arbeitstreffen wurden folgende Dokumente fertiggestellt bzw weiterentwickelt Methodenhandbuch I Aufnahmeverfahren Forstliche Grundaufnahme Luxemburg Methodenhandbuch II Handbuch des mobilen Datenerfassungsger tes und dem WSG Erfassungsprogramm V 0 95 Methodenhandbuch II Anforderungen an den Programmierer Verfahrensbeschreibung Vorgabe zur Datenausgabe Naturwaldreservatsbericht Laangmuer Da die Forstliche Grundaufnahme f r das Jahr 2005 bereits angelaufen war und eine erste neue Version des Methodenhandbuches II Handbuch des mobilen Datenerfassungsger tes noch nicht vorlag wurde eine bereits von der FVA bestehende unkomplette Version abgeliefert Besprechungen Insgesamt fanden f r das Jahr 2006 f nf Arbeitstreffen statt die an dieser Stelle kurz beschrieben werden Mit der ersten Arbeitsbesprechung am 17 Januar 2006 wurde der Jahresbericht 2005 sowie das Protokoll der Jahresbesprechung 2005 genehmigt Der Arbeitsplan f r das Jahr 2006 wurde beschlossen Beim Arbeitstreffen des 8 M rz 2006 wurden die Gel ndearbeiten f r das Jahr 2006 festgelegt Auf theoretischer Ebene wurde das Konzept des Auswerteprogramms besprochen Die FVA beteiligte sich im Rahmen des Waldsymposiums in Form eines Vortrags an dieser Thematik das Aufnahmeverfahren wurde im Gel nde vorgestellt Zur Veranschaulichung der FGA L Methode wurden Poster von der
388. loit e comme avant le classement tout en donnant la possibilit aux propri taires priv s de participer ce projet par l interm diaire des primes biodiversit Projet de r serve foresti re int grale Hieberb sch Mompach Description g n rale du projet La for t du bois de Herborn est repr sentative pour les h traies ainsi que les ch naies charmaies sur les sols limoneux du Keuper D s pr sent on peut y observer une forte proportion en bois mort voire s nescent ce qui rend cette for t particuli rement int ressante pour le projet de r serve foresti re int grale Cette for t est galement structur e dans son ensemble et assez diversifi e dans la composition de ses essences ligneuses Comme essences principales on retrouve le ch ne rouvre le ch ne p doncul le h tre le fr ne et le charme 221 La for t du bois de Herborn est galement caract ristique pour ses mardelles lesquelles se situent surtout dans la partie est du massif forestier Le projet de r serve foresti re int grale Hierberb sch est enti rement situ dans la Zone Sp ciale de Conservation LU0001016 Herborn Bois de Herborn Echternach Haard qui a t d sign e dans le cadre de la mise en uvre de la Directive Habitats 92 43 CEE du Conseil Cette for t a d ailleurs int gralement t propos e comme zone humide dans la d claration d intention g n rale DIG de 1981 La surface d limit e pour le
389. mati re juridique 2 2 2 Principales activit s du service juridique 2 2 2 1 Participation l laboration de textes l gislatifs et r glementaires Le service juridique a t impliqu dans divers travaux de nature et d intensit variables en vue de la transposition de certaines directives europ ennes Sont mentionner plus particuli rement dans ce contexte e la directive 2002 49 CE du Parlement europ en et du Conseil du 25 juin 2002 relative l valuation et la gestion du bruit dans l environnement e la directive 2001 42 CE du Parlement europ en et du Conseil du 27 juin 2001 relative l valuation des incidences de certains plans et programmes sur l environnement Il en est de m me de l laboration de certains avant projets de lois et de r glements grand ducaux Sont mentionner plus particuli rement dans ce contexte e avant projet de loi modifiant la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s n 5453 e l avant projet de loi modifiant la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets n 5508 2 2 2 2 Elaboration d avis et de conseils juridiques pour l administration et le minist re Le service juridique a r guli rement t consult pour examiner des questions juridiques qui se sont pos es dans le cadre de l application de la l gislation sur les tablissements class s relations entre la l gislation sur les tablis
390. mbloux d une Short Term Scientific Mission STSM du WG3 avec le projet ComMon Comparison and evaluation of methods for Monitoring of deadwood vegetation epiphytic lichens and stand structure in European forests Ce projet initi sous l impulsion du r seau ENFIN poursuit l objectif de collecter des informations nouvelles visant construire des indicateurs utiles pour appr hender l volution de la biodiversit en for t l chelle des inventaires forestiers nationaux Des recommandations seront mises propos des m thodes de collecte des donn es n cessaires au suivi de ces indicateurs Ces travaux concernent sp cifiquement les quatre l ments de biodiversit suivant le bois mort la v g tation herbac e floristique les lichens piphytiques et la structure des peuplements dynamique foresti re La r union Gembloux a fait l objet d une s ance de travail commune COST E43 ComMon Etant donn la participation active de l Accompagnement scientifique de IPRFW dans ces deux projets ainsi que la position a au c ur de l Europe de la Facult de Gembloux la FUSAGX a t sollicit lors du meeting de Bordeaux pour l organisation des ces meetings Durant cette semaine l Unit a accueilli des repr sentants de 6 inventaires forestiers nationaux europ ens Allemagne Autriche Espagne France Italie et Su de L chantillon ainsi pr sent Gembloux pr sente les variations latitudinales
391. mbre de dossiers traites par an tous types d etablissements 2 4 3 1 Dossiers de demande d autorisation A l exception des dossiers de la classe 4 qui constituent des d clarations le nombre de dossiers des classes 1 3 et 3B aboutissant un arr t minist riel d autorisation ou de refus s l ve en moyenne 984 par an En dehors des d clarations de la classe 4 il y a en moyenne 61 5 dossiers de demandes d autorisation par fonctionnaire charg de l instruction de dossiers par an Dossiers de demande d autorisation 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 Moyenne Jan Classe 1 548 573 625 647 575 621 600 598 Classe 3 523 187 274 288 378 393 458 356 Classe 3B 16 39 29 30 31 28 39 30 TOTAL 984 2 4 3 2 Dossiers de d clarations Les tablissements de la classe 4 sont d clar s au moyen de formulaires mis disposition du public La base de donn es h berge au total 2 648 dossiers au 01 01 2007 Le total des documents est l g rement sup rieur parce qu il existe des dossiers auxquels sont affect s aussi bien des documents du type Secteur agricole que du type Secteur agricole inacceptable Le type de document Secteur agricole incomplet est num r part en tant que compl ment d information Ces chiffres ne sont pas inclure dans les grands totaux car des documents ne repr sentent pas la cl ture des dossiers respectifs Dossiers de d
392. ment ces biotopes l aide de boutures de saules Ces actions ont eu lieu Canach et Remich A Grevenmacher des pic as non autochtones ont t enlev s dans une zone humide Des remembrements agricoles viticoles et forestiers p ont eu lieu ou bien se d roulent Biwer Mompach Schwebsange et Stadtbredimus Les dossiers CN y relatifs sont trait s par nos services Des visites des lieux de nombreuses r unions avec les administrations concern es font partie de nos t ches Les conditions impos es dans les autorisations minist rielles sont contr l es au fil de leur ex cution sur le terrain Un parking cologique a t planifi mis en uvre r alis et est entretenu par nos services Cet am nagement est serti d arbres solitaires et d essences arbustives et se situe proximit du terrain de football Mensdorf La ferme domaniale du Potaschhaff est entretenue par nos soins Un p turage extensif l aide d ovins sert comme outil et comme tiquette 3 2 5 11 La for t lieu de loisir Des sentiers p destres et des chemins vocation hautement r cr ative ont t entretenus Betzdorf 6 500 m Biwer Bous 1 500 m Canach 1 300 m et Lenningen 1 600 m Dalheim 4 000 m et Waldbredimus 1 500 m Elvange 5 000 m Flaxweiler 4 500 m Grevenmacher 12 000 m Junglinster 2 000 m Manternach 14 000 m et Mertert 15 000 m Mompach 1 000 m Remerschen Remich 5 800 m Wellenstein 2
393. ministration des Services Techniques de l Agriculture l utilisation du cheval dans la gestion du milieu naturel La publication a t pr sent e la presse par Monsieur le Ministre de l Agriculture et a par apr s t le sujet de plusieurs articles de journal 3 3 11 3 La publication Naturnaher Waldbau La conception et la r daction de cette publication ont t termin es en 2005 La mise en page ainsi que la campagne photo ont eu lieu en 2006 La publication se pr sente sous format 205 x 275 mm et contient environ 96 pages Elle se base notamment sur la Circulaire minist rielle du 3 juin 1999 concernant les lignes directrices d une sylviculture proche de la nature ainsi que sur le rapport du projet intitul La gestion des peuplements irr guliers en France de l ONF L objectif de ce document est de proposer des l ments pouvant tre int gr s dans l actuelle strat gie d une sylviculture proche de la nature adopter par l Administration des Eaux et For ts et de cr er un support de communication de cette strat gie pour les membres de l administration et les propri taires forestiers La structure de la publication qui para tra en 2007 est la suivante 1 Vorwort Einf hrung 2 Nat rliche Entwicklungsstadien eines Waldbestandes 3 Grunds tze des naturnahen Waldbaus 3 1 Naturnaher Waldbau Die Geschichte einer Idee 3 2 Neue Herausforderungen an den Wald von heute 3 3 Nat
394. mmag s classe 2 4 a augment En 1992 le nombre des arbres sans d g ts est tomb pour la premi re fois en dessous de 50 L ann e 2000 a annonc nouveau une baisse de l tat de sant une tendance qui a t confirm e par l inventaire de 2006 La cote des arbres sans d g ts est pass e de 43 6 34 6 celle des arbres maladifs et malades de 33 38 1 respectivement de 23 4 27 3 Le tableau suivant permet de comparer la situation actuelle 2006 celle des inventaires pr c dents classes de d g t cumul des classes 4 2 4 arbres arbres d p rissants orts Le graphique suivant r sume l volution du taux des arbres sains classe 0 entre 1984 et 2006 et indique la tendance moyennant une courbe pas d inventaire entre 2001 2005 0 arbres sains 1 2 arbres arbres maladifs malades 3 240 100 0 90 0 80 0 70 0 60 0 50 0 40 0 30 0 20 0 10 0 A CA di Ne D oh ON od Do N cl D d i O O D D D OO ENT bi D 8 J 0 9 9 9 9 E A D D vi D D D OD COS d V D D PP PP d i di di i H tre D apr s l inventaire de 2006 l tat des houppiers des h tres reste alarmant Si le pourcentage des arbres nettement endommag s s est quasi stabilis 41 4 par rapport l ann e 2000 le taux des arbres sains est tomb pendant la m me p riode de 27 5 23 3
395. mmune des membres des diff rentes associations du syndicat d initiative avec la participation des ouvriers forestiers et communaux Ce genre d activit a eu lieu Betzdorf Biwer Bous Burmerange Canach Grevenmacher Manternach Mertert Mondorf Remich Schengen Stadtbredimus et Wellenstein Lors de ventes locales Lietsch les pr pos s ont vendu du bois de chauffage exploit dans les for ts communales de Betzdorf Bous Burmerange Manternach Mertert Mondorf Remich Schengen Stadtbredimus Wellenstein et Wormeldange Le cantonnement de Grevenmacher a organis la journ e En Dag mam Fierschter an der Natur au profit de 35 classes primaires de 21 communes Il est pr vu d tendre cette manifestation toute la r gion l instar des Waldschultage en Rh nanie Palatinat Le nombre des l ves inscrits s est augment de 203 en 2002 328 en 2003 pour aboutir 537 en 2006 Pour l instant nous ne sommes plus m mes d accepter d avantage d coliers int ress s une participation En tous cas il est pr vu pour les ann es venir de maintenir cette journ e notre programme et de garder les nombre des inscriptions au niveau atteint Le pr pos du triage de Betzdorf a d pens 272 heures de travail pour contribuer l am nagement d une aire de jeux et d aventures pour enfants selon des crit res cologiques modernes 3 2 5 14 Divers Depuis 6 ann es d j le centre
396. monitoring ornithologique par la fondation Hellef fir d Natur ainsi que le monitoring faunistique par le bureau d tudes ECOTOP Projets en cours de r alisation e Mamerdall revalorisation paysag re et cologique de la future zone prot g e de la vall e de la Mamer 3e ann e du p turage extensif avec du b tail rustique de race Galloway e Vall e de l Eisch p turage extensif de plusieurs parcelles Reckange Reconversion d une ancienne pesssi re en p turage extensif entre Marienthal et Amsenbourg e Haute S re Projet d agriculture extensive dans les futures r serves naturelles Pont Mis re et Bruch P turage extensif des prairies de la plaine alluviale de la S re et de ses confluents 160 ha e Hellange lieu dit Belgrad restauration d un habitat humide dans le cadre d une mesure compensatoire de la route de liaison avec la Sarre Premi re commercialisation locale de viande Highland issue du projet de p turage extensif dans des restaurants Frisange e R serve naturelle a Schlammwiss restauration des habitats humides de la plaine alluviale de la Syre Mise en uvre d un p turage extensif par des bovins de race Galloway R alisation d un monitoring floristique universit de Fribourg en Br et faunistique ECOTOP inventaire de sauterelles e Filsdorf R serve naturelle Filsdorfer Grund restauration de prairies humides et des p turages le long du Filsdorf
397. n d un dossier de demande relatif la cr ation d une nouvelle zone En outre les zones d activit s figurent en annexe II du r glement grand ducal du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement Il en r sulte qu une zone d activit s est soumise une valuation des incidences sur l environnement lorsqu il r sulte d un examen cas par cas effectu par l autorit comp tente qu un projet d termin est susceptible d avoir des incidences notables sur l environnement L Administration de l Environnement d finie en tant qu autorit comp tente assure l instruction des dossiers tout en collaborant avec les autres autorit s ayant des responsabilit s sp cifiques en mati re d environnement 12 4 9 2 Zones oliennes En 2006 un nouveau parc olien d une puissance totale install e de 12 6 MW a t autoris Une partie du projet en question compos e de 8 oliennes a d tre refus e parce que les oliennes en question ne se situent actuellement pas dans une zone pr vue ces fins en conformit avec la loi du 19 juillet 2004 concernant l am nagement communal et le d veloppement urbain Aucune nouvelle demande n a t d pos e au cours de l ann e 2006 Un projet d une puissance totale install e de 8 MW est encore en cours d instruction aupr s de l administration 57 Un relev des parcs olien autoris
398. n de quelques 143 200 m de sentiers touristiques 6 170 heures ont t d pens es pour l entretien des installations de loisir en for t Le projet pilote du parc d aventures dans la for t communale de Vianden connait un r el succ s et il est envisag de continuer dans cette voie en compl tant voire agrandissant les installations en place par des am nagements pour les tr s jeunes et m me pour les seniors Le chef de cantonnement a activement particip aux travaux pr paratoires pour un r seau de pistes VTT velo tout terrain dans la r gion de la Petite Suisse luxembourgeoise Il s agit d une initiative de l entente des syndicats de la r gion et du bureau LEADER M llerdall a L Administration des Eaux et For ts qui est en contact permanent avec les responsables de ces deux institutions a t sollicit e pour r diger un pr avis sur le r seau propos Cet avis sera finalis en collaboration troite avec le groupe d tudes M llerthal qui a t charg par le ministre de l environnement pour lui fournir un avis scientifique sur ces am nagements 3 2 4 13 Les activit s de sensibilisation et d information du public En 2006 le Chef du Cantonnement de Diekirch ainsi que ses pr pos s forestiers ont organis 89 visites guid es en for t 3 2 4 14 Divers Comme d j les ann es pr c dentes le Chef du Cantonnement de Diekirch a particip en 2006 r guli rement aux r unions du groupe d
399. n raux au Strombierg Les minieres de gypse du Strombierg 235 Les mouvements de terrain dus l exploitation du gypse e CULTURE ET HISTOIRE Culture et histoire La maison Walerich Le moulin foulon L glise paroissiale St Sauveur La maison Koch Le ch teau de Schengen Le jardin des herbes du ch teau de Schengen Latour St Marc Evolution de la Vall e de la Moselle Ilya320 000 ans Derniers chasseurs de l ge glaciaire Premiers paysans Premiers vignerons Mosellans Les vignobles de renomm e du Markusberg Autres destinations dans la r gion 3 3 11 5 La publication Der Luxemburger Wald in Zahlen Le livre La for t luxembourgeoise en chiffres qui a t publi il y quelques ann es d j n existait malheureusement qu en langue fran aise et ne pouvait donc pas tre consult par des int ress s germanophones Dans ce contexte l id amp e de traduire cet ouvrage en langue allemande est devenue vidente La traduction du texte et la r alisation de la mise en page ont t entam es et termin es en 2005 L impression ainsi que la publication du livre intitul Der Luxemburger Wald in Zahlen ont t accomplies en 2006 Le livre se pr sente sous format DIN A4 comprenant sur 210 pages polychromes du texte descriptif des tableaux des graphiques et de nombreuses photos et il se vendra dans toutes les librairie
400. n 2005 inclus galement des fractions non reprises par la directive 2002 96 CE avec composants dangereux sans composants 0 48 dangereux p 71 82 N ya piles et accumulateurs 8 08 c bles 1 78 N tubes fluorescents 0 93 sans composants dangereux 2067 312t Bavec composants dangereux 13 811 t appareils frigorifiques supports de donn es Epiles et accumulateurs 232 429 t 15 58 1 33 Bc bles 51 286t EOitubes fluorescents 26 884 t supports de donn es 38 422 t EH appareiles frigorifiques 448 475 t Total 2 878 619 t En 2005 la quantit totale de 2 878 6 tonnes de d chets lectroniques et lectriques a t collectee dans les 21 parcs conteneurs Cela repr sente une moyenne 7 13 kg par habitant pour les communes attach es aux parcs conteneurs Ce chiffre contient des fractions qui ne sont pas soumises la l gislation sur les DEEE Le graphique ci dessous repr sente l analyse en d tail de la composition des d chets lectriques lectroniques sans composants dangereux D tail de la fraction d chets lectriques lectroniques sans composants dangereux en de poids collect s dans les parcs de recyclage en 2005 Appareils petites dimensions Autres e 0 07 45 15 ANA Mat riel informatique 1 11 Televiseurs et amp crans 24 07 Appareils grandes dimensions 29 60 E Mat riel informatique 22 939 t E T l viseurs et crans 497 622 t E Appareils
401. n HFN et certaines administrations communales est planifi pour le premier trimestre 2007 1 4 5 Projet Intranet Minist re de l Environnement Fin 2006 le projet concernant la mise en place d un portail d entreprise pour le Minist re de l Environnement a abouti un premier prototype fonctionnel Le portail d entreprise contient les fonctionnalit s suivantes e gestion de ressources mat rielles salles de r unions v hicules de service infrastructures informatiques le partage et l archivage de documents la gestion d une phototh que forums de discussions outil de sondage interne Depuis le mois de novembre 2006 la gestion des salles de r unions et du v hicule de service a t assur e par le biais de cette application Durant une p riode transitoire la r servation s est faite par email D but 2007 les diff rents utilisateurs pourront consulter cette application et r server les salles et les v hicules de service par le biais d un navigateur internet partir de leur poste de travail 1 4 6 GIS Mise disposition d informations g ographiques num riques Le Minist re de l Environnement a t sollicit maintes reprises pour la mise disposition de donn es g ographiques num riques Les requ rants sont en majeure partie constitu s de bureaux d tudes travaillant l laboration de projets environnementaux Il s agit entre autres des donn es suivantes O
402. n d un nouveau g oportail en relation avec les donn es RECORDER du Mus e National d Histoire Naturelle et du g oportail de l eCadastre 3 1 4 Les contacts interr gionaux Des contacts professionnels avec les stations de recherche foresti re de Trippstadt Rh nanie Palatinat et de Freiburg im Breisgau Baden W rtemberg ont port sur la gestion et le monitoring des r serves foresti res int grales ainsi que sur la pr servation du potentiel g n tique de certaines esp ces arborescentes rares 3 1 5 Les r unions de service Les chefs de cantonnement ont t rassembl s en deux r unions de service o les principaux sujets ci apr s ont t discut s r partition du bois de trituration et du bois de chauffage statut des ouvriers forestiers march du bois march pluriannuel plan national de d veloppement durable formation du technicien de l Environnement for t en volution libre certification des for ts mat riel forestier de reproduction 3 1 6 La gestion du personnel effectifs bureaux formation continue 3 1 6 1 Le relev du personnel Le tableau ci dessous montre le relev du personnel fin 2005 Fin 2004 Mouvements au Fin 2005 cours Ing nieurs 17 5 1 C1 185 18 C2 5 R dacteurs 10 b3 C5 2 12 b6 10 25 25 b4 25 Exp ditionnaires 1 1 1 b9 7 1 7 1 7 1 Pr pos s 4 4 65 C11 Cantonniers d 4 Police Grand 18 Ducale 4 107 75 1 150
403. n dans le corps du r glement en discussion d une approche en 2 tapes pour ce qui est des NO diesel la deuxi me tape comportant des valeurs sensiblement plus strictes en comparaison avec la premi re phase 26 OGM Le Conseil Environnement du 9 mars 2006 a tenu un d bat d orientation sur les organismes g n tiquement modifi s ce qui a fourni l occasion de poursuivre de mani re approfondie les discussions entam es en d cembre 2005 sur l utilisation future des OGM L initiative pour un tel d bat avait t lanc e en octobre 2005 par le Luxembourg l objectif tant d analyser et de r viser un processus d autorisation consid r comme tant peu transparent et insuffisamment d mocratique Les d l gations ont pr conis une plus grande transparence des proc dures ainsi qu une information plus compl te et mieux adapt e pour les consommateurs Dans ce contexte a t soulev un double souci savoir e la n cessit de veiller une bonne coordination entre toutes les instances concern es notamment entre la Commission l Autorit europ enne de s curit des aliments et les autorit s nationales comp tentes e l imp ratif consistant tenir davantage compte des cons quences possibles long terme de l utilisation de ces produits et partant d intensifier les recherches scientifiques cet gard CONCLUSIONS BIODIVERSITE COP 8 la CONVENTION sur la diversit biologique mars 2006
404. n de d chets inertes Le dossier introduit en date du 20 f vrier 2003 par la soci t Cloos pour am nager un centre de gestion pour d chets inertes sur l ancien crassier de Mondercange a t annul en date du 12 mars 2006 En effet l am nagement et l exploitation du centre de gestion pour d chets inertes a t remplac par le dossier N 1 04 0311 04 PD 02 du 6 ao t 2004 Le tout s inscrit dans une approche globale qui prend ses d buts avec les travaux pr liminaires de s curisation de certaines parties du crassier suivi de l am nagement et de l exploitation du centre en question et finalement l am nagement d une couche d tanchement d finitive sur les parties critiques du crassier Dossier C I 1 03 0073 Dossier D chets N 03 PT 03 Rappelons ici que la soci t Cloos S A avait re ue l autorisation pour proc der la s curisation du crassier de Mondercange en date du 12 septembre 2005 et que les travaux en question vont bon train Dossier C I 1 04 0374 Dossier D chets 04 PD 03 Parcs conteneurs En date du 22 mars 2004 le service d hygi ne de la Ville de Luxembourg avait introduit une demande de modification pour le parc conteneurs exploit par la Ville et couvert par les arr t s N 3 98 0575 C I et 98 PC 04 d chets Il s agissait principalement de r am nager l entr e du parc conteneurs L arr t de modification a t d livr en date du 24 mars 2006 Dossier C I 3 04 0072 Dossier D
405. n de visiter l exposition du centre d accueil e Du 13 mai jusque fin juillet 2006 le centre d accueil Ellergronn a accueilli l exposition sur le centenaire de la ville d Esch dans le hall d exposition de l Ellergronn Pendant toute la dur e de l exposition le centre d accueil tait ouvert les week ends et a accueilli des centaines de visiteurs Depuis le mois d octobre 2006 le centre d accueil Ellergronn en collaboration avec le service ducatif du mus e national d histoire naturel accueille des classes de l enseignement primaire de tout le Grand duch dans le cadre du programme mam Mus e an d Natur op e flotte Site Une salle de classe am nag e avec du mat riel didactique accueille les classes au cas o les conditions m t orologiques ne permettent pas des activit s l ext rieur Parall lement le Panda Club fait r guli rement des activit s dans et autour le centre d accueil Le centre d accueil A Wiewesch Manternach Le centre d accueil A Wiewesch est bien implant au c ur du village rural de Manternach et se pr te id alement pour r aliser des activit s promouvant les produits r gionaux et pour soutenir le d veloppement durable Le centre d accueil est le point de d part de deux sentiers didactiques dont l un le sentier Manternach Lellig sera prochainement recueilli dans le classeur des auto p destres Le centre d accueil A Wiewesch
406. n est en pr sence d un blocage du renouvellement et d une absence totale d essences de lumi re en r g n ration Le peuplement montre donc une certaine h t rog n it dans les diam tres qui est favorable l orientation souhait e en futaie irr guli re mais accuse par contre une surface terri re trop lev e pour permettre la fois un renouvellement en essences de lumi re notamment en ch ne et galement une architecture optimale des houppiers Le site de KOERICH situ en for t communale de Koerich parcelle n 15 et en for t domaniale de Septfontaines parcelles n 7 et 10 avec au total une surface concern e de 43 40 ha la placette dendrom trique se limite 37 ha Le peuplement est dominante de h tre 79 de la surface terri re totale avec une forte concentration dans la cat gorie GB pour 53 de la surface terri re de l essence En accompagnement on trouve le ch ne 20 de la surface terri re totale avec une concentration dans les cat gories DM et GB pour 90 de surface terri re de l essence ainsi que le charme l pic a commun et le bouleau moins de 0 5 de la surface terri re totale En terme dendrom trique la surface terri re totale est proche de 30 m ha en moyenne et le volume l hectare est d environ 470 m La courbe de r partition des diam tres des tiges est en forme de cloche du type Gauss typique de la futaie r guli re avec un pic dans les c
407. n la mati re eu gard ses propres engagements ainsi qu aux l ments prendre en compte en vue du d veloppement d options pour des arrangements post KYOTO Le Conseil europ en de printemps 2007 sera cens d terminer la voie suivre en vue d un accord post KYOTO tout en pr cisant la contribution potentielle de PUE un tel accord et en d finissant les strat gies UE consistant assurer la transition technologique vers une conomie faibles missions de CO ainsi que l int gration des consid rations climatiques dans d autres politiques en particulier la s curit nerg tique et l innovation Le Conseil environnement de f vrier 2007 pr parera le terrain cet effet Les n gociations venir se basent sur 5 l ments les engagements post Kyoto discussions acc l rer en 2007 et finaliser en 2009 le r examen du Protocole la COP MOP 4 en 2008 pr parer par la COP MOP 3 en 2007 la proposition russe relative un engagement volontaire des PVD le dialogue entre Parties dans le cadre de la Convention climat les fonds sp ciaux CONCLUSIONS BIODIVERSITE Le Conseil environnement 18 d cembre 2006 a adopt des conclusions en la mati re En date du 23 mai 2006 la Commission a saisi le Conseil d une communication intitul e enrayer la diminution de la biodiversit l horizon 2010 et au del La communication d crit l tendue du probl me et analyse l ad q
408. n seul agrandissement d une zone d activit s Bascharage a t autoris conform ment la l gislation sur les tablissements class s Avant le d p t d un dossier de demande relatif une zone d activit s l Administration de l Environnement est en principe d j saisie du dossier En effet un dossier de demande conforme aux dispositions de la loi en question doit pr ciser les incidences d un projet sur l environnement en tenant compte de la situation y existante Par cons quent il y a lieu de consulter les autorisations d j d livr es pour les tablissements class s situ s dans les alentours imm diats de la zone d activit s projet e En fonction de l tendue du projet la constitution de cet inventaire repr sente une charge de travail plus ou moins importante A part de s adresser directement aux tablissements d j existants dans les alentours imm diats du projet le requ rant peut solliciter aupr s de l Administration de l Environnement la consultation de son archive N anmoins cet archive ne peut pr tendre d tre complet du fait que ce n est qu avec l entr e en vigueur de la loi du 9 mai 1990 que le Ministre de l Environnement est devenu comp tent en mati re d tablissements class s Depuis cette date toutes les pi ces sont archiv es aupr s de l Administration de l Environnement Ainsi il appert que la r gularisation d une zone d activit s en voie d am nagement est bien plus complexe que l laboratio
409. ne avant la chute du feuillage Ces feuilles sont ensuite entrepos es dans des sacs en plastique selon la sp cificit de l esp ce ou du lieu de pr l vement Ensuite les feuilles s ch es sont plac es dans un herbier et ou mises en culture pour passer la p riode hivernale selon la pr sence ou non d une chenille pupe dans une mine Parall lement cette tude on peut proc der une analyse vue compl mentaire pour retrouver des mines d autres familles de microl pidopt res en particulier lors d un d but d tude tardif dormance Au cours de l ann e 2006 5 r serves foresti res int grales ont t inventori es Les r sultats de cet inventaire seront publi s l ann e prochaine 3 3 7 Les donn es sur le patrimoine historique et culturel en for t Les zones bois es conservent encore d importants t moins de notre patrimoine historique et culturel non d truits par des travaux ruraux des am nagements d infrastructures ou de travaux de remembrement et d am nagement du territoire Afin de pouvoir assurer la connaissance et la pr servation des nombreux sites arch ologiques historiques et culturels en for t l administration a consacr des moyens accrus la politique de pr servation de ces sites de notre patrimoine historique situ en for t luxembourgeoise Cet aspect constitue d ailleurs un des objectifs du Programme Forestier National et fait partie des crit res et indicateurs paneurop
410. nerwald construction de cl tures d boisement et nettoiement de for ts r sineuses dans le cadre d un projet de biodiversit Schoenfels 620 heures e entretien des alentours du ch teau de Schoenfels 32 heures 192 Triage forestier de Koerich entretien et gestion de l ancienne d charge Steinfort d une superficie de 2 5 hectares organisation Konscht an der Eich dans le cadre de Leaderplus 60 heures entretien et am lioration de la r serve naturelle Stengeforter Steekaulen 2 hectares et de la r serve naturelle Millebierg 0 5 hectare taille de 1200 m tres de haies en zone verte Steinfort et de 3000 m tres a Koerich am nagement cologique dans la zone artisanale Windhof travaux de plantation et de taille d arbustes vidange p riodique des poubelles en for t 140 heures planification d un sentier de d couverte Stengeforter Steekaulen planification d un centre d accueil Steinfort installation d un r seau de cl tures t moins de d g ts de gibier 65 r unions avec les communes et tablissements publics et sorties en for t encadrement d un stagiaire garde forestier encadrement de 10 tudiants pendant deux semaines durant les vacances scolaires Tous les triages forestiers e travaux de martelage des coupes feuillues annuelles dans les propri t s foresti res soumises au r gime forestier e ventes locales de bois de chauffage e installation de laies de d bardage dans certaines for t
411. nes 11 20 13 15 25 51 Faons 14 15 19 23 16 26 Total daims 45 67 53 77 70 115 Nombre de r ponses consid r es de 605 EEN de chasse 584 590 571 576 579 560 3 5 3 L adjudication du droit de chasse 3 5 3 1 Donn es statistiques concernant les syndicats et lots de chasse Le territoire du Grand Duch de Luxembourg comprend actuellement 422 syndicats de chasse essentiellement les sections lectorales des communes qui regroupent les propri taires des terrains agricoles et forestiers non b tis Ces syndicats administrent 600 lots de chasse En outre il existe encore deux r serves cyn g tiques o le droit de chasse appartient l tat domaine du Grunewald ancien parc gibier de Hosingen ainsi que le domaine priv du Grunewald o le droit de chasse appartient S A R le Grand Duc La surface totale des lots de chasse adjug s est de 252 000 ha y compris les terres b ties non chassables dont environ 58 de terrain agricole 35 5 de terrain bois et 6 5 de terrain b ti La surface moyenne d un lot de chasse est de 419 ha terrain b ti compris 3 5 3 2 L lection des coll ges des syndics Suivant les termes de la loi sur la chasse tous les propri taires de terrains non b tis rurales et forestiers comprises dans le territoire d une section lectorale de commune sont constitu s en syndicat de chasse Les affaires du syndicat sont g r es par un coll ge syndical qui se compose d un
412. nette progression des visiteurs Ainsi si en 2000 le Centre tait fr quent par 2 340 visiteurs dont 23 groupes le Centre comptait quelque principalement par le fait que la majeure partie de la salle d exposition de la Maison de la For t tait inaccessible pour des raisons de transformation Ainsi en juin 2007 la Maison de la For t pr sentera une nouvelle exposition ceci dans le cadre du projet Interreg Pro Holz Pro Bois 199 3 2 9 16 Activites diverses du chef de cantonnement e Presentation des plans de cultures et de coupes aupr s des communes propri taires e Diverses expertises en vue d arrondir le domaine forestier de l Etat soit au total 2 50 ha ou 4 dossiers e Prise en charge de deux tudiants suivant des tudes universitaires a Fribourg Breisgau e Prise en charge d un tudiant du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck dans le cadre de son m moire de fin d tudes e Arpentage de 3 projets de chemins forestiers repr sentant une longueur totale de 2 km e Suivi de 15 projets de chemins forestiers totalisant une longueur de 16 km Devis conseils techniques contr le sur le terrain contr le des factures Dans ce contexte il faut surtout relever l installation d un nouvel acc s avec place d ancrage pour le ponton pi tonnier du Lac de La Haute S re Ce dernier a d tre d plac suite des travaux d agrandissement de la base nautique du lac e Suivi du projet Kaul planific
413. nformations de nature conomique sociale et cologique Plus loin il est galement crit que la publication r guli re et une extension du syst me des indicateurs du d veloppement durable seront r alis es Enfin le premier Plan National de D veloppement Durable du Luxembourg PNDD publi au printemps 1999 pr cisait clairement dans sa section sur l ex cution et le monitoring du plan pages 91 et 92 que le Gouvernement fera reposer sa politique environnementale sur des donn es des statistiques et des indicateurs comparables et fiables sur une information scientifique valable sur une valuation des co ts et de l avantage d action ou de l absence d action La liste d indicateurs fait partie int grante du Plan National pour un D veloppement Durable Elle sera progressivement adapt e suivant les r sultats des travaux en cours sur les indicateurs au niveau de la Commission Europ enne Par ailleurs ce document mentionnait aussi que des indicateurs significatifs doivent permettre d valuer objectivement la progression de la r alisation du Plan et que le Luxembourg visera soutenir l action internationale visant d finir des indicateurs de d veloppement durable et valuer les d penses au titre de l aide l environnement Il est plus que vraisemblable que des dispositions similaires existeront dans le deuxi me PNDD du Luxembourg Proposition Le Groupe de Travail Indicateurs de D
414. nibles sur la qualit de l air et les principales sources d missions potentielles la r gion analyser a t fix e la Ville de Luxembourg aux communes entourant la Ville Walferdange Sandweiler Hesperange Leudelange Bertrange et Strassen et l a roport de Luxembourg voir carte ci dessous x eu 4 7 7 GK e wes SC r MAN N d A VE ADS ar SH er gr EILER LA TOY m df de FAN Ki ZE IA Ze ORIGINE CADASTRE DROITS RESERVES L ETAT DU GRAND DUCHE DE LUXEMBOURG 1997 COPIE ET REPRODUCTIONS INTERDITES Les polluants qui ont t choisis pour le programme d action sont les oxydes d azote NOx et les particules fines PM 5 ceci pour les raisons voqu es ci apr s Les NOx sont l origine du d passement observ pour le NO Pour les PM on a constat dans plusieurs villes europ ennes que lorsque la valeur limite pour le NO tait d pass e celle pour les PM l tait aussi la source d mission principale le trafic routier tant la m me Au niveau du territoire de la Ville de Luxembourg les PM ont seulement t valu es la station de mesure Luxembourg Bonnevoie o un d passement de la valeur limite n a pas encore t observ Cette station de mesure est toutefois moins expos e au trafic routier que celle Luxembourg Centre boulevard Royal o les mesurages de PM ont commenc en mars 2006 et o la premi re valuation des r sultats pr vue p
415. nik vereinbarung PCHard Sof o ware En effet assez souvent des objets pr cieux aboutissent dans la poubelle grise Beaucoup de choses pourraient en fait tre r utilis es Des conomies en mati res premi res et en nergie ainsi qu une contribution importante la pr vention des ressources et de l environnement pourraient tre r alis es Le principe de la cr ation d une bourse de recyclage des d chets a t d j inscrit dans la loi de 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Contrairement d autres pages qui ont comme but la vente ou l change d objets d occasion la bourse de recyclage de l Administration de l Environnement s adresse aux priv es et aux industriels Ainsi sont offerts galement des mat riaux qui normalement n apparaissent pas sur les pages des march s virtuels comme par exemple des mat riaux de construction exc dentaires des terres d excavation du compost d autres d chets de production etc La bourse luxembourgeoise de recyclage R emploi et recyclage de mat riaux et de produits 88 La bourse de recyclage permet de faire des offres et demandes gratuitement Elle sert d intermediaire entre les usagers Elle n a pas d influence sur les prix les conditions de transport etc Afin de pouvoir mettre des annonces sur la plate forme du site Internet il faut d abord s enregistrer Ensuite des offres et des demandes peuvent tre ins r es l aid
416. nimum il sera toutefois tr s difficile d inverser la courbe de la capitalisation en volume et celle du renouvellement semis perches et petits bois fortement d ficitaire actuellement Cependant des rotations r duites devront permettre moyen terme d atteindre tout de m me l orientation envisag e 3 3 8 6 Conclusion g n rale Une pratique soutenue et r guli re permettra une progression certaine dans la ma trise de cette approche multifonctionnelle de I irr gularisation de peuplements feuillus h t rog nes voire irr guliers 3 3 9 La participation la f te foresti re Clervaux En 2006 la traditionnelle f te foresti re B schfest a Clervaux s est d roul e du 27 au 30 juillet et a t organis e par l association Les B cherons du Nord en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts A l origine cette f te traditionnelle avait comme objectif principal d attirer l attention du public sur la for t et sur les personnes qui y exergaient leur travail mais au fil du temps des concours nationaux et internationaux ainsi que des d monstrations se sont d velopp s et font jusqu ce jour partie du programme de la f te foresti re La f te a galement subi une nouvelle orientation au cours des derni res trois ann es pour autant que les chevaux de trait jouissent aujourd hui avec l aide de l Administration des Eaux et For ts et de l IDAC International Drau
417. nique de Mamer Le nombre de visiteurs est estim plus de 1000 personnes L v nement s adresse au grand public et aux professionnels concern s par la construction l architecture ou le design et propose des niveaux de lecture diff renci s et adapt s aux int r ts de chacun de ces publics Un parcours au terme duquel l vidence de l utilisation du bois dans l architecture et le design s impose naturellement Le fil rouge de cet v nement est d offrir une vision diff rentielle de l architecture et de la construction en bois li e aux sp cificit s des quatre r gions L exposition aborde six th matiques et d bute sur un panorama de l architecture bois travers des exemples choisis dans les quatre r gions et des projets prestigieux pingl s aux quatre coins du monde Le commentaire voque les questions urbanistiques et celle de l int gration de la construction en bois dans l environnement 163 Apr s ce tour d horizon architectural le visiteur est invit comprendre comment le bois gr ce des propri t s techniques et cologiques bien particuli res est un mat riau liant tradition et haute technologie Cette approche du bois mat riau est compl t e par une information sur les produits d riv s du bois et leur d veloppement dans le b timent et le design industriel Le troisi me chapitre plonge le public dans la structure m me de la construction en bois Les diff rents sys
418. nisation et le traitement de celles ci et donc la qualit des r sultats issus du deuxi me cycle de l inventaire La d marche suivie pour cette analyse complexe a t de consid rer chacune des fiches d encodage de la base de donn es de l IFL1 L valuation de chaque fiche a donn lieu si n cessaire des remarques sur les variables de la fiche et ou sur des th mes rassemblant plusieurs variables Cette d marche fiche par fiche pr sentait l avantage de permettre une analyse syst matique de tous les l ments de la m thodologie Le nouveau document labor a servi de base aux travaux en cours concernant la mise en uvre de PIFL2 Une phase de concertation r unions et changes de mails entre les acteurs du suivi scientifique et de l administration a eu lieu dans le but e d analyser la synth se de l valuation e de discuter de vive voix des probl mes ax s sur la m thodologie e de fournir des renseignements n cessaires la cr ation du module d encodage de l IFL2 e et d alimenter la r daction du nouveau guide m thodologique de l IFL2 3 3 5 2 Travaux relatifs la mise en uvre de l IFL2 Les caract ristiques pratiques de l inventaire La mani re de concevoir la permanence de l inventaire a fait l objet de nombreuses discussions avec la FUSAGx dans le courant de 2006 Les objectifs fix s se sont orient s vers un inventaire de type continu signifiant que l inv
419. nn e encore globalement positif Nous pouvons galement constater une augmentation des demandes provenant des citoyens par le biais du portail de l Environnement en 2006 Plus de 400 demandes ont ainsi t trait es dans ce cadre en 2006 19 1 4 3 Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature Au cours de l ann e 2006 l application servant au traitement des dossiers introduits dans le cadre de la loi concernant la conservation de la nature et des ressources naturelles a subi quelques modifications l g res dans le cadre de la maintenance corrective et de la maintenance volutive Un syst me a t mis en place pour que toutes les d cisions concernant les dossiers CN puissent tre num ris es et int gr es dans la base de donn es Un certain nombre de nouveaux utilisateurs ont t form s l application et int gr s au flux de dossiers 1 4 4 Projet WebHeBa Hecken amp Baamkadaster L application de gestion des haies et arbres solitaires HeBa est en service depuis 2001 Les d veloppements de la nouvelle application WebHeBa dont l objectif primaire tait la centralisation des bases de donn es ont t termin s en 2006 La nouvelle application est bas e sur une architecture 3 tiers afin de faciliter le d ploiement et de r duire les co ts de maintenance La migration des donn es qui sont actuellement utilis es par la station biologique de l ouest le SIAS la fondatio
420. ns l int r t des milieux naturels et des esp ces de la faune et de la flore rares cofinanc dans le cadre d un projet Interreg III a t finalis en 2006 Pour rappel toutes les communes situ es de part et d autre de la fronti re belgo luxembourgeoise vont faire l objet d une valuation cologique et paysag re suivant une m thode commune L objectif est la d finition de zones centrales de protection de la nature de zones de d veloppement et de zones de liaisons En 2007 une mise a niveau des donn es de la zone pilote incluant les communes luxembourgeoises de Troisvierges et Wincrange sera r alis e Activit s diverses e Taille m canique de haies sur le territoire de plusieurs communes e Entretien du monument de l Europe Troisfronti res pr s de Lieler e Realisation d un cadastre informatis des arbres situ s l int rieur des localit s du Parc Naturel de la Haute S re en coop ration avec le service du parc communes du Lac de la Haute S re 2e partie e Cartographie de la v g tation naturelle potentielle dans la commune de Clervaux e Projets de protection des esp ces rares et mena es Chouette chev che mise en place de 8 nouveaux nichoirs nettoyage et contr le de 100 nichoirs baguage de 8 jeunes et un adulte L action men e depuis 5 ans porte manifestement ses fruits puisque en 2001 seul un couple de chouette nichait dans la r gion alors qu en 2005 3 nich es ont t invento
421. ns la for t communale du Howald l aide du cheval ardennais e D gagement des sentiers touristiques dans le triage de Hesperange Installation d une passerelle en bois qui traverse un pr humide Fentange au lieu dit Op der Sterz Entretien du parking cologique de Mensdorf avec plantation de 10 arbres solitaires Entretien de sentiers p destres sur le territoire de la commune de Betzdorf R unions pour la gestion des r serves naturelles R unions et visites des lieux dans la cadre de la mise double voie de la ligne du chemin de fer entre P tange et Luxembourg e R unions pour la r alisation des remembrements viticoles 266 Gestion de la carriere de Lasauvage Nettoiement enl amp vement des ordures le long des sentiers touristiques R fection d installations r cr atives bancs Visites des lieux et r unions pour l am nagement des d charges r gionales Planification de constructions agricoles Finalisation et impression d une brochure sur les am nagements cologiques l int rieur de l agglom ration 3 4 2 2 L Arrondissement CN Centre Traitement des dossiers d autorisation pr vus par la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles En 2006 l Arrondissement CN Centre a t saisi par 701 nouvelles demandes d autorisation Le nombre r el de ces dossiers est plus lev vu que les nombreux avant projets et les recours
422. ns nos for ts travers les diff rentes poques et d expliquer l importance de leur protection et sauvegarde d une ventuelle destruction Le projet de publication s inscrit dans la continuit de la mise en uvre d une gestion foresti re durable et des r solutions de Helsinki Lisbonne crit re 6 ainsi que d une sensibilisation du public et en particulier des gestionnaires forestiers qu ils soient publics communaux ou priv s aux sites historiques et culturels pr serv s en for t leur fragilit et sensibilit s et aux imp ratifs d une protection contre d ventuelles destructions 3 3 11 2 La publication Der Einsatz von Zugpferden in Land und Forstwirtschaft in der Landschaftspflege sowie im kommunalen und touristischen Bereich La conception r dactionnelle de cette publication a d j t achev e en 2005 mais la mise en page d finitive ainsi que l impression de la publication ont t r alis es en 2006 Ce livre se pr sente sous format 205 x 275 mm et comporte exactement 80 pages de texte compl t par des photos des tableaux et des illustrations Un des buts principaux de cette publication est de donner une vue d ensemble sur les diff rentes possibilit s et opportunit s d utilisation du cheval de trait Ces opportunit s se pr sentent au milieu forestier domaine classique de l utilisation des chevaux de trait mais aussi dans des domaines nouveaux comme par exempl
423. nseil de juin 2005 le Conseil environnement du 18 d cembre 2006 a rejet la majorit qualifi e et sur base de d cisions d ment motiv es deux propositions de d cision de la Commission visant les mesures de sauvegardes prises par l Autriche 33 Le Conseil Environnement du 24 juin 2005 avait en effet rejet la majorit qualifi e chacune des huit propositions de d cision soumises par la Commission visant obtenir la lev e des mesures de sauvegarde prise respectivement par cinq EM dont le Luxembourg l encontre de plusieurs vari t s de plantes transg niques qui avaient t autoris es dans l Union Europ enne Parmi ces mesures de restriction ou d interdiction provisoires de l utilisation et de la vente d OGM figuraient les d cisions prises par l Autriche l encontre des ma s T 25 et MON 810 Le Conseil avait eu gard aux incertitudes scientifiques et au principe de pr caution invit la Commission r examiner les propositions de d cision et tout particuli rement saisir l autorit europ enne de s curit alimentaire EFSA en vue d valuations suppl mentaires EFSA ayant conclu dans un avis du 29 mars 2006 que la mise sur le march des OGM vis s par les mesures de sauvegarde autrichiennes n tait pas susceptible d entra ner des effets n gatifs sur la sant ou l environnement la Commission a soumis en date du 9 octobre 2006 des propositions visant le retrait desd
424. nt d un parking cologique Wemperhaard am nagament d un parking cologique Diekirch amenagament d un parking cologique Mensdorf am nagement de plusieurs parkings cologiques autour de la r serve naturelle Haff R imech Brochures Le service de la conservation de la nature labore actuellement les brochures suivantes brochure du sentier Mensdorf d pliants des centres d accueil Ellergronn et A Wiewesch brochure du sentier Schifflange brochure du sentier au Conzefenn brochure du sentier au Grundhof brochure du sentier Naturpur brochure du sentier au Schwaarzenhaff Jongeb sch brochure du sentier Natura2000 au Ellergronn brochure du sentier Gousselerbierg Schoenfels brochure du sentier Mensch cker Manternach brochure sur les parkings cologiques brochure sur la gastronomie en rapport avec la viande issue du p turage extensif 259 3 4 1 12 Groupes de travail En 2005 l Administration des Eaux et For ts a particip aux groupes de travail suivants e Groupe interminist riel Pollution des sols agricoles dans la plaine alluviale de l Alzette e groupe d accompagnement du projet for ts en libre volution e Panda Club 3 4 1 13 Articles de presse e Auszeichnung bei wissenschaftlicher Konferenz Der Dachs unter der Lupe e Renaturierungsprojekt weckt internationales Interesse Deutsche Spezialisten an der Alzette bei Schifflingen
425. nt de l observation de nos 96 arbres chantillons Il est vident qu au niveau du territoire national le r seau communautaire 16 x 16 km lui seul ne fournit pas de donn es repr sentatives Les r sultats de l inventaire communautaire ne sont publi s qu avec un an de retard En 2005 pr s d un quart des arbres valu s en Europe ont t r pertori s comme endommag s ou morts Le taux des arbres pr sentant des d g ts a augment continuellement depuis 2001 mais sans d passer le maximum observ dans les ann es 1990 L volution de la d foliation varie selon les essences et les r gions Apr s une nette d t rioration de la situation phytosanitaire en Europe Centrale due la canicule de 2003 l tat de sant des esp ces h tre et pic a semble se stabiliser Par contre pour de nombreuses r gions la situation du ch ne sessile ne s est pas am lior e L tat des houppiers du pin sylvestre s est aggrav au Sud ouest de l Europe mais montre une am lioration en Europe de l Est Il est noter qu au niveau de ce programme la Commission Europ enne et la Commission conomique pour l Europe des Nations Unies ont publi en 2006 deux rapports intitul s e The Condition of Forests in Europe 2006 Executive Report e Europe s Forests in a Changing Environment 1985 2005 Twenty years of Monitoring Forest Condition by ICP Forests 242 3 3 14 3 R seau national de suivi long terme des cosyst mes
426. nt partie de la for t domaniale de Wiltz Merkholtz Comme ce massif touche directement la ville de Wiltz sa fonction sociale prime sur toutes les autres Sur cette aire de repos le service forestier a am nag un chalet avec une place de feu l int rieur ainsi que deux places de feu l ext rieur En 2003 cette aire a t compl t e par une petite aire de jeux pour enfants En 2004 le cantonnement a r alis respectivement restaur en collaboration avec le service CN Nord et le CIGR Wiltz 4 tangs naturels sur ces m mes lieu Ce projet a t poursuivi en 2005 avec la plantation des alentours des tangs Outre la remise en tat du r seau routier et des sentiers plusieurs aires de stationnement ont t am nag es pour les visiteurs En 2006 un pont pi tonnier en bois fut install sur le m me site 198 Par ailleurs les services du cantonnement forestier assurent r guli rement l entretien d un grand nombre de sentiers touristiques et des installations de loisirs Il est noter que ces services d entretien pr sentent annuellement une fraction de budget non n gligeable 3 2 9 14 Contacts internationaux Dans le cadre d un voyage d tudes les tudiants de Fribourg Breisgau Allemagne ont fait une escale de deux jours au Luxembourg Lors de leur visite au cantonnement de Wiltz le chef de cantonnement a pr sent entre autre l historique du taillis de ch ne typique de la r gion ainsi que les
427. nyles ou des polybromodiph nylethers dans diff rents types d quipement lectriques et lectroniques Reste transposer en droit luxembourgeois 3 d cisions de la Commission Europ enne qui ont t publi es au Journal Officiel en date du 12 octobre 2006 savoir la d cision 2006 690 CE 2006 691 CE et 2006 692 CE Le r glement grand ducal du 17 mars 2003 relatif aux v hicules hors d usage Le r glement grand ducal du 17 mars 2003 relatif aux v hicules hors d usage a t adapt par le r glement grand ducal du 7 avril 2006 Cette adaptation a t n cessaire suite une mauvaise transposition en droit national de la directive 2000 53 CE De plus la d cision 2005 673 CE du Conseil du 20 septembre 2005 a t transpos e en droit national Cette d cision vise essentiellement l annexe II de la susdite directive permettant ainsi l utilisation future des certaines substances dans des pi ces de l automobile Les comit s d accompagnement permanents pour les projets d investissements faisant l objet d une loi sp ciale Selon l article 7 de la loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement des comit s d accompagnement permanents doivent tre institu s pour les projets d investissements faisant l objet d une loi sp ciale autorisant la participation financi re de l Etat 84 Etant donn que plusieurs syndicats intercommunaux ont effectu ou pr voient d effectuer dan
428. o Be 2 E E s E o D Ze Ku x E o 2 E N 2 D 10 000 100 000 1 000 000 Einwohnerwerte der Kl ranlagen EW 2 6 6 2 L limination des boues d puration Depuis 2003 les fili res d limination des boues d puration se pr sentent comme suit Fili res 2003 2004 2005 d limination agriculture 50 47 46 compostage 42 32 43 incin ration 8 21 11 La plus grande partie des boues compost es est galement utilis e en agriculture En total 74 44 en poids des boues ont t limin es au Luxembourg et 25 56 des boues taient export es en Allemagne 2 6 6 3 Les frais d limination des boues En g n ral les grandes stations d puration font des soumissions pour r gler l limination des boues d puration Les prix d limination varient fortement tant donn que beaucoup de stations ne savent pas toujours distinguer les frais de transport et les frais d limination des boues Les petites stations ont souvent des difficult s estimer la quantit r elle des boues produites en mati re s che Les frais d limination des boues se situent entre e Incin ration 74 83 euro tonne e Compostage 35 77 euro tonne e Agriculture 8 76 euro tonne 100 x KI k E 0 a x ao O E 2 oO e a KI E W E Q a N Q a 1 000 10 000 100 000 1 000 000 Einwohnerwerte der Kl ranlagen EW
429. o en juin 2006 R flexions sur l homme et les grands pr dateurs Nature Ethique 200 20 21 e Schley L 2006 Von Gro raubtieren und Menschen Nach dem Tod des B ren Bruno in Bayern F scher Jee r an Hondsfrenn 5 06 39 260 e Schley L 2006 Raubtiere und Menschen Nach dem Abschuss des B ren Bruno in Bayern Luxemburger Wort 6 Juli 2006 16 e Schley L 2006 Biber kurz vor Einwanderung De L tzebuerger B sch 1 2006 16 18 e Schley L amp Krier A 2006 Illegale Aussetzung von Rothirschen in Luxemburg nachgewiesen F scher Jee r an Hondsfr nn 4 06 27 Publications scientifiques e Frantz A C Tigel Pourtois J Heuertz M Schley L Flamand M C Krier A Bertouille S Chaumont F amp Burke T 2006 Genetic structure and assignment tests demonstrate illegal translocation of red deer Cervus elaphus into a continuous population Molecular Ecology 15 11 3191 3203 e Schley L 2006 L homme et les pr dateurs de la faune sauvage La situation au Grand Duch de Luxembourg r flexions concernant les mammif res Actes du 5 me Colloque International de Saint Hubert 12 ao t 2005 pp 41 70 Fondation Saint Hubert Saint Hubert Belgique e Schley L amp Krier A 2006 Geographic distribution of the red deer Cervus elaphus in Luxembourg Bulletin de la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois 106 113 116 3 4 1 16 Divers Colloques et groupes de travail supranationaux
430. obile sont les suivantes e enqu tes rapports et proc s verbaux concernant les infractions la l gislation sur la protection de la nature et des ressources naturelles contr les des conditions d autorisations minist rielles contr les des r tablissements des lieux inflig s par d cision minist rielle et par l administration rapports tablis pour le minist re afin d argumenter des fermetures de chantiers contr les effectu s dans le cadre de l coconditionnalit Cross Compliance contr les des r tablissements des lieux sur requ te du parquet g n ral organisation suivi et ach vement des r tablissements des lieux ex cut s par des entreprises en cas de non ex cution par les personnes jug es enqu tes et rapports concernant les remembrements agricoles et viticoles e contr les et rapports concernant le R G D du 14 mars 2002 concernant la pratique de l escalade en milieu naturel e prises d chantillons pour d terminer des pollutions 3 6 2 Activit s en mati re de chasse Parmi les activit s de l Entit mobile en mati re de chasse il faut compter les suivantes contr le de l exercice de la chasse en g n ral contr les des diff rents modes de chasse approche aff t battue chien courant contr les des p riodes et heures d ouverture l gales contr les des permis de chasse contr les des autorisations de port d arme contr les des marquages concernant le transport du gibier contr les
431. ogramme d aides financi res pour les particuliers a d marr L etat d instruction des dossiers se pr sente comme suit tat des dossiers investissements Nombre de dossiers introduits 2005 2006 2 407 Nombre de dossiers finalises 2005 2006 2 291 Nombre de dossiers finalises en 2006 1 931 Nombre d informations suppl mentaires demand en 2006 991 Nombre de dossiers restant finaliser dossiers incomplets 116 Situation 29 1 2007 Un montant global de 2 107 410 4 pour subventionner 2 390 installations a t accord depuis septembre 2005 Il y a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations Aides accord es par type d installation depuis septembre 2005 Type d installation Nombre Aide accord e Capteur photovolta que collectif 3 7200 00 Chaudi re condensation 1 783 209 300 00 Chaudi re gaz ification de b ches de bois 69 177 222 28 Chauffage central copeaux de bois 33 130 170 47 Chauffage central granul s de bois 113 455 368 36 Collecteurs thermiques chauffage et eau chaude 32 152 545 15 Collecteurs thermiques eau chaude sanitaire 320 923 599 14 Conseil technique 7 575 00 Pompe chaleur 6 24 000 00 Raccordement un r seau de chaleur 14 4930 00 Ventilation contr l e 7 21 000 00 changeur g othermique 3 1 500 00 SOMME 2 390 2107410 40 Situation au 29 1 2007
432. oir la pr vention des d chets Apr s un essai pilote effectu en 2004 et qui concernait la promotion des piles rechargeables un projet d finitif a t con u au cours de l ann e 2006 en collaboration avec la Chambre des M tiers la Conf d ration luxembourgeoise de Commerce CIC l Union luxembourgeoise des Consommateurs ULC et les distributeurs Ce projet porte le nom Clever akafen et concerne la promotion aux points de vente de produits qui permettent de pr venir la production des d chets ou leur dangerosit Dans une premi re phase le projet concerne les piles et accumulateurs rechargeables les lampes basse consommation d nergie et les peintures pauvres en substances dangereuses Dans les rayons o ces produits sont mis en vente des affiches indiquent qu il s agit de produits recommand s par la SuperDrecksK scht Des informations plus d taill es sur le projet dont galement une liste des commer ants qui participent au projet peuvent tre consult es sur le site internet www sdk lu 2 6 10 4 La SuperDrecksK scht fir Betriber Les entreprises rattach es l action Le graphique suivant repr sente l volution du nombre des entreprises qui ont adh r la SuperDrecksK scht fir Betriber 112 SuperDrecksK scht fir Betriber Evolution du nombre des entreprises rattach es 2500 2000 1500 1000 500 0 48 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 20
433. ois d chiquet et s ch en 2006 m Commune de Niederanven 300 Commune de Sandweiler 20 Commune de Schuttrange 100 Commune de Contern 280 Commune de Betzdorf 500 Total 1 200 Le chauffage bois du Naturzenter Dans le m me contexte il y a lieu de relever que plus de 75 m 100 st res ont t br l s dans l installation de chauffage bois servant chauffer les locaux du Centre forestier et du Cantonnement ce qui correspond 20 000 litres de mazout 180 3 2 6 3 Etat sanitaire de la for t Au niveau de l tat sanitaire des for ts soumises il est noter que la s cheresse au d but de l ann e a favoris l attaque de scolytes dans certains triages du Cantonnement de Luxembourg Est M me de jeunes peuplements g s de moins de 30 ans ont t touch s comme par exemple ceux de la parcelle 23 du triage Kiem causant des d g ts de 20 m de bois scolyt s Le triage de Dudelange a not une attaque importante de chenilles sur les h tres en printemps 2006 et un tat de sant m diocre des h tres du triage Dans le triage de Sandweiler les h tres sont d p rissants sur les sols limoneux tandis que les d g ts caus s par le bostryche taient insignifiants En g n ral le manque de pr cipitations la s cheresse et les temp ratures exceptionnellement chaudes ont eu un effet n gatif sur la for t ce effet n gatif a cependant partiellement t amorti par les pluies abondantes et les t
434. ois ont t utilis s directement ou mis disposition des fins nerg tiques Volume m copeaux 450 bois de chauffage 2 330 chauffage a bois pour usage interne 240 total 3 020 Livraison de bois de chauffage La demande de bois de chauffage a augment consid rablement par rapport aux ann es pr c dentes La mise disposition ainsi que dans certains cas la livraison n cessite une quantit non n gligeable de la main d uvre Un grand nombre de demandes ont du tre refus es suite la rupture de stock En 2006 les livraisons suivantes ont t effectu es 750 m de bois de chauffage pour les habitants des communes de Schuttrange et Niederanven 426 m de bois de chauffage pour les habitants des communes de Sandweiler et de Contern 220 m de bois de chauffage pour les habitants de la commune de Dudelange et de Frisange 70 m de bois de chauffage triage de Gr newald Waldhof Production de copeaux bois Suite une convention entre les administrations communales de Niederanven et de Betzdorf le responsable du triage de Niederanven s occupe du d chiquetage et s chage des copeaux et organise la mise disposition du bois d nergie pour les deux communes Depuis 2006 le triage de Sandweiler participe aussi la production de copeaux bois Au cours de l ann e 2006 1 200 m 3 000 Sfm ont t manipules 1 m 2 5 Sfm Sch ttfestmeter Volume de b
435. ompris les op rations de compostage et autres transformations biologiques R04 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s 2966331 3353377 4094411 m talliques R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res 589880 702756 407100 inorganiques R09 Regeneration ou autres r emplois des huiles us es 1523899 1324220 1287144 R13 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre 2271751 1448419 1162255 l une des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production R99 Pretraitement avant 323160 170580 0 11797869 11005136 12287814 France D05 Mise en d charge sp cialement am nag e p ex 273300 243860 225000 placement dans des alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc D10 Incin ration terre 258358 160621 2666757 531658 404481 2891757 RO1 Utilisation comme combustible autrement 14283450 14631547 19616582 qu incin ration directe ou autre moyen de produire de nergie R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques 0 2732407 14209574 qui ne sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques R04 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s 245079 8595126 10706941 m talliques R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res 188624799 209605328 196423717 inorganiques R09 R g n r
436. on communale de Le tableau ci dessous reprend les expositions qui ont t organis es en 2006 155 du 18 juin 2005 au 22 octobre 2006 du 21 novembre 2005 au 15 fevrier 2006 du 18 mars au 24mars 2006 du 1 avril 2005 au 1 octobre 2006 du 12 juin au 16 juin 2006 le 18 juin 2006 du 30 juin au 4 juillet 2006 le 8 juin 2006 les 29 et 30 juillet 2006 du 15 au 17 septembre 2006 du 6 au 30 octobre 2006 du 14 au 22 octobre 2006 les 9 et 10 novembre 2006 du 10 novembre au 14 d cembre 2006 demand e par la commune de Mertert Wasserbillig site Wasserbillig participation de l Objectif Plein Emploi et du pr pos Jean Mathey demand e par Servior participation du pr pos Christian Berg demand e par le club de club de p che Les amis de la p che Diekirch participation des pr pos s Jeff Sinner et Jo Andr E amp F seul exposant E amp F seul exposant E amp F les 18 et 19 mars ouverte au grand public apr s exposition destination des coles seul exposant nergies renouvelables de hier et aujourd hui avec ancien moulin cascade 3 tangs murs s che puration biologique oliennes panneaux solaires fourneau copeaux de bois etc Exposition avec le th me Alsace coulisse du hall d entr e am nagement de la place du march fontaine avec tang pav et accessoires 2 cascades d eau biotope for t 5 aquariums
437. on de la nature salle formation r union Direction Juin 19 06 2006 Directeur chefs cantonnement et chefs d arrondissement salle r union r union Direction Juin 27 06 2006 Proholz Probois salle formation r union Direction Juillet 12 07 2006 Conseil sup rieur de la chasse salle formation r union Direction Juillet 14 07 2006 R union interne salle r union r union interne Juillet 20 07 2006 R union d g ts gibier salle r union r union Direction Juillet 25 07 2006 R union Carole Sinner salle r union r union Direction Ao t 09 08 2006 R union Francis Anen 40 50 Personnes salle formation r union externe Septembre 12 09 2006 10 personnes r union Jean Marie Gilson salle r union r union Direction Septembre 18 09 2006 cours lagage arbres salle formation formation Septembre 19 09 2006 r union Monteiro salle formation r union interne Septembre 20 09 2006 Conseil Sup rieur Environnement Marie Paule Kremer salle formation r union externe Septembre 22 09 2006 cours lagage arbres salle formation formation Septembre 28 09 2006 cours PEFC salle formation formation Septembre _ 29 09 2006 cours PEFC salle formation formation Septembre 29 09 2006 R union Dir Chefs Cant 11Pers salle r union r union Direction 187 Octobre 03 10 2006 cours gestion milieu naturel salle formation ormation Octobre 04 10 2006 cours gestion milieu n
438. on de v rification des volumes du parquet ainsi que de la surface en valeur absolue attribu e la r g n ration si la surface du parquet est modifi e e int gration des donn es de 287 inventaires en provenance de l ancienne base de donn es sur mainframe du CIE dans la base ORACLE de l administration Ce travail permet maintenant de faire des calculs statistiques en prenant en compte les inventaires d am nagement de l ensemble des propri t s foresti res soumises au r gime forestier Ceci constitue un compl ment tr s utile aux donn es issues de l Inventaire Forestier National Le module am nagement de INV_AME a t rendu op rationnel et des tableaux synth tiques des r sultats concernant le volet des interventions projet es ont t con us et rajout s Une d marche provisoire a t mise en place permettant l utilisateur de l application de se baser sur une version existante d un inventaire d am nagement pour en cr er une nouvelle version mise jour 3 3 2 4 La mission photogramm trique La couverture a rienne de 2006 a t r alis e dans le cadre des travaux pr paratoires au monitoring dendrom trique dans les r serves foresti res int grales Il s agit en l occurrence d une mission photogramm trique qui a t sp cialement con ue et projet e pour cette application sp cifique Ainsi des prises de vue nadirales en 9 X 9 inch en mulsion infrarouge fausses couleurs diapositiv
439. on des missions de CO intitul Changement climatique Agir pour un d fi majeur Il propose un certain nombre de nouvelles mesures respectivement confirme ou r oriente des mesures existantes n cessaires pour contribuer au respect des engagements auxquels le Luxembourg a souscrit dans le cadre du Protocole de Kyoto ainsi que pour poser les jalons d une strat gie de lutte efficace contre les changements climatiques plus long terme Les mesures y list es concernent aussi bien le domaine des transports que ceux du b timent des nergies renouvelables de l industrie ainsi que l information la sensibilisation le conseil et la formation en nergie sans oublier le recours aux m canismes de projet Parmi les principales mesures mises en uvre en 2006 citons l introduction d une contribution sp ciale Kyoto moyennant un rel vement progressif du taux des accises sur les carburants routiers la r forme de la taxe sur les v hicules routiers selon des crit res environnementaux les efforts en mati re d am lioration des infrastructures des transports en commun etc D autres mesures importantes concerneront le renforcement de la l gislation en mati re d isolation thermique des immeubles la poursuite du r gime d aides pour les conomies d nergie et l utilisation des nergies renouvelables un programme d assainissement nerg tique des b timents publics existants etc Notons pour ce qui concerne les nergies renou
440. on environnementale dans l conomie en particulier les PME de l artisanat et du secteur tertiaire l agriculture l habitat et l urbanisme Pour l ann e 2006 les 8 projets suivants ont t retenus Flouer a Gaart an der Bl i Haus vun der Natur Proper Pab ier L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga Sicherung regionaler Obstsorten H llef fir d Natur Restauration de l habitat de la g linotte des bois H llef fir d Natur LNVL Baach erli wen a verstoen Ecole Nature Lasauvage Nohaltegen Konsum Mouvement Ecologique Erfassung und Sicherung von Feldgeh lzen H llef fir d Natur Umweltdatenbank Emweltberodung L tzebuerg 1 2 Fonds pour la Protection de l Environnement 1 2 1 R partition des d penses pour 2006 du Fonds pour la Protection de l Environnement Les d penses effectu es courant 2006 sur les cr dits du Fonds pour la Protection de l Environnement s l vent 14 762 394 euros et se r partissent de la fa on suivante lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit le changement climatique ainsi que l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 1 854 362 euros soit 13 pr vention et gestion des d chets 10 433 314 euros soit 71 protection de la nature et des ressources naturelles 2 474 717 euros soit 16 Le fonds pour la protection de l environnement a t institu par la loi modifi
441. onn un appui technique 227 Les op rations ont t conduites simultan ment sur deux sites savoir en for t communale de Betzdorf et cheval entre la for t communale de Koerich et la for t domaniale de Septfontaines 3 3 8 1 Le r seau de placettes permanentes L implantation de points de sondage a t r alis e par un bureau sp cialis en g od sie en installant moyennant th odolite lectronique un maillage de points situ s en partie sur un polygone ferm et en partie sur des polygones ouverts Ces polygones ont t rattach s LUREF afin de disposer des coordonn es pr cises permettant de rechercher ult rieurement les points du quadrillage par navigation GPS L espacement entre points a t de 70 m Un certain nombre de points a fait l objet d une d termination double La pr cision de localisation absolue des points a t fix e 50 cm Les points de sondage ont t mat rialis s par des tiges en acier enfonc es ras du sol et des contre lattes en bois non trait ainsi que par une bande vinyle sur les deux arbres les plus proches Les contre lattes et les bandes en vinyl ont t enlev es par l quipe qui a r alis les mesurages dendrom triques par apr s Les points fixes ont t marqu s avec des bornes Faynot t te polyroc Les points de sondage les points fixes et les points issus de la polygonisation ont t r pertori s sur des cartes 1 5 000 Dans la for t du
442. onn es ont t fournies par les tats membres en juin 2006 Les tablissements industriels concern s sont ceux qui tombent sous le champ d application de la directive IPPC Des valeurs seuils ont t d finies pour chacune des 50 substances Toutes les missions d un tablissement qui d passent la valeur seuil fix e pour un polluant donn doivent tre d clar es La d cision EPER fait obligation la Commission europ enne de rendre ces donn es accessibles au public sur l internet Ce site h berg par l Agence europ enne pour l environnement AEE Copenhague a t cr pour satisfaire cette obligation http eper eea eu int eper L EPER poursuit les objectifs suivants e pour le public sensibiliser davantage sur la pollution de l environnement et comparer les missions provenant de diff rents tablissements ou secteurs industriels e pour les industries inciter am liorer ses performances environnementales notamment l gard des meilleures techniques disponibles et innover dans les proc d s industriels e pour les gouvernements nationaux et la Commission europ enne valuer les progr s enregistr s dans la r alisation des objectifs environnementaux fix s au niveau national europ en ou dans les accords internationaux D claration du Luxembourg en 2006 sur les missions de 2004 La deuxi me d claration en juin 2006 sur les missions de 2004 conform ment la d cision EPER a com
443. onnements Cat gories des bois feuillus exploit s en 2006 14 000 00 12 000 00 10 000 00 8 000 00 Grumes D Bois industrie E Bois nergie Volume m 6 000 00 4 000 00 2 000 00 0 00 Diekirch Grevenmacher Mersch Lux Est Lux Ouest Wiltz 3 2 2 Vente de bois 34 ventes r gionales par soumission ont t organis es en 2006 par les cantonnements forestiers pour vendre le bois d oeuvre feuillu et r sineux 1 vente nationale par soumission regroupant tous les cantonnements a t organis e pour vendre les h tres de qualit sup rieure En ce qui concerne le bois d industrie la majeure partie du bois d industrie a t vendue par deux march s de gr gr par la Direction des Eaux et For ts le restant du bois d industrie a t vendu par des ventes de gr gr par les cantonnements Les bois de chauffage ainsi les copeaux de bois ont t vendus par des ventes de gr gr locales 3 2 3 Les aides Les aides aux mesures foresti res et aux mesures de la conservation de la nature accord es aux propri taires forestiers priv s communaux et des tablissements publics constituent un outil important du Gouvernement luxembourgeois dans l orientation de la gestion des for ts vers une gestion durable et respectueuse de l environnement naturel 562 nouvelles demandes en aides ont t adress es en 2006 aux cantonnements
444. ons relatif a sa demande d agr ment Le dossier a t examin et l Administration de l Environnement n a pas eu d objections L agr ment qui a t d livr a titre provisoire est d sormais consid rer valable jusqu au 28 octobre 2010 2 6 8 3 La mise en uvre de la r glementation sur les DEEE En 2006 les notifications d enregistrement des producteurs se sont poursuivies A cette fin la banque de donn es informatique a n cessit plusieurs adaptations Un deuxi me rappel a t envoy en avril 2006 aux entreprises qui n avaient pas encore communiqu l Administration de l Environnement si elles taient concern es ou non par la r glementation en question De plus l Administration de l Environnement intervient r guli rement aupr s des free riders pour se conformer la l gislation Selon le r glement grand ducal du 23 d cembre 2005 modifiant le r glement grand ducal du 18 janvier 2005 la date d entr e en vigueur a t d cal e au 1 avril 2006 Depuis lors l asbl ECOTREL prend en charge le traitement des DEEE de type m nager la sortie des parcs conteneurs d ment autoris s De plus elle met disposition de ses membres et des communes qui ne disposent pas de parcs conteneurs ou qui offrent d autres syst mes de collecte leurs citoyens deux centres de regroupement et de tri pour remettre leurs DEEE gratuitement 2 6 8 4 Les quantit s de DEEE collect s Les d chets d quipement
445. onseil sup rieur pour la protection de la nature en date du 14 juin 2006 Le 21 juillet 2006 le conseil de gouvernement avise le projet favorablement Projet de r serve foresti re int grale Schnellert a Berdorf Consdorf Description generale du projet Le p rim tre d tudes pour le projet recouvre une superficie de 142 02 ha La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum et Luzulo Fagetum qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure et du Mullerthal Par ailleurs il s agit d un massif tr s int ressant tant donn que cette partie de la for t est depuis longtemps g r e d une fa on tr s extensive voire proche de la nature Ainsi la sp cificit du site Schnellert r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte du bois mort mois dans diff rentes phases de d composition A plusieurs endroits une r g n ration naturelle s est install e cr ant des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le tout fait que la zone d limit e comporte d s pr sent certains endroits une image de for t vierge La zone d limit e a d ailleurs d j fait l objet de nombreuses tudes notamment les recherches interdisciplinaires du Mus e d Histoire Naturelle qui ont t men e
446. onservation de la nature un grand nombre de projets a pu tre r alis durant l ann e coul e savoir e plantation et taille de haies e activit s diverses dans le cadre de la journ e de l arbre e collaboration dans le cadre du classement de diverses r serves naturelles e collaboration dans le cadre de divers projets d agriculture extensive dans des futures zones prot g es e collaboration troite avec les responsables du projet Interreg II A Wallonie Lorraine Luxembourg dont l activit principale consiste dans le d boisement de r sineux de fonds de vall es et de zones humides Ainsi quelque 14 ha appartenant une vingtaine de propri taires ont pu tre r alis s La vente des bois ainsi que l tablissement des conventions ont t r alis s ensemble avec les responsables de la Fondation H llef fir d Natur S ajoute cela la pr paration de nouveaux dossiers engageant un suppl ment de d boisement d une 15e d ha e divers travaux r alis s dans les r serves naturelles en collaboration troite avec le service CN Quant au traitement des dossiers CN il est noter que ceux ci ont t trait s en collaboration avec le responsable du service CN Nord dossiers de d frichement boisement neuf am nagement des anciennes d ponies chemins forestiers 3 2 9 13 La for t lieu de loisir En 2002 le service du cantonnement a finalis une aire de repos au lieu dit Kaul faisa
447. ontexte en 2006 peuvent tre r partis en deux cat gories d une part des travaux de nature administrative consistant faire approuver le march conclure avec les bureaux d tudes retenus en vue d accompagner le processus de planification et d autre part la poursuite des travaux conceptuels entam s en 2005 et destin s clarifier la nature et la qualit des donn es de base disposition pour les travaux d identification et de qualification des paysages ainsi que le processus d laboration du plan sectoriel S agissant des travaux de nature administrative ceux ci ont abouti en fin d ann e et non sans difficult s a la conclusion d un march n goci avec deux bureaux d tudes charg s d accompagner et de soutenir les travaux effectu s par le groupe interminist riel charg de l laboration du plan sectoriel Quant la poursuite des travaux d ordre conceptuel la m thodologie pr alablement tablie l tude conceptuelle de 2005 a t adapt e en fonction des donn es de base disponibles des r sultats du groupe paysage du plan national pour la protection de la nature voir l alin a ci dessous et de la volont de proc der aux diff rentes tapes de planification dans le cadre d un processus participatif ouvert aux repr sentants des communes mais aussi aux experts en la mati re issus de la soci t civile L analyse des ensembles paysagers effectuer dans le cadre de cette planific
448. op CS2 les 11 12 et 14 d cembre 2006 pour assurer la ma trise des nouvelles technologies de l information et pour se perfectionner dans l utilisation des principaux outils de travail 3 7 2 Statistiques analyses et mises disposition de donn es En 2006 la Cellule Informatique a contribu la poursuite des travaux en mati re de statistiques foresti res L objectif premier reste l automatisation d une majorit des statistiques foresti res en utilisant les donn es de la gestion foresti re saisies par les pr pos s forestiers dans le cadre de leurs t ches journali res et stock es dans la base de donn es centrale de l administration 290 Les missions en mati re de statistiques foresti res sont e la collecte et l analyse des donn es relatives la comptabilit financi re et mat rielle en mati re de gestion foresti re e les enqu tes statistiques et conomiques sur la gestion foresti re et la fili re bois e tablissement des comptes conomiques forestiers e le suivi des travaux d organisations internationales concernant les statistiques foresti res de gestion Le d part de la personne temporaire en charge a cr un ralentissement important des travaux surtout en ce qui concerne les travaux de mise jour et d am lioration du traitement statistique en vu de leur automatisation Ce poste de travail est inoccup depuis novembre 2006 Les travaux r alis s en 2006 se sont partag s entre la
449. opri t priv e et a t d limit e afin que le propri taire garde le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e En ce qui concerne le suivi scientifiques des esp ces un inventaire des chauves souris a t r alis dans le courant de cette ann e La m thode utilis e est identique celle qui avait t appliqu e pour les autres r serves foresti res int grales Il s agit d un comptage qualitatif au moyen de filets ainsi qu l aide de d tecteurs ultra sons Dans le cadre du relev des habitats forestiers la r serve foresti re int grale du P ttenerb sch est la quatri me r serve tre inventori e D s lors un bureau d tudes a eu pour mission d implanter le quadrillage des placettes permanentes afin de pouvoir proc der au relev des points de sondage l ann e prochaine Consulter le chapitre monitoring pour plus de renseignements ce sujet Projet de r serve foresti re int grale Grouf Remerschen Description g n rale du projet La sp cificit du site Grouf r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte des peuplements plusieurs tages structur s dans leur ensemble Le terrain est vallonn avec diff rents types d expositions Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la sur
450. oresti re devront donc tre poursuivies en 2007 Il s agit tout d abord de la cl ture des Comptes Economiques Sylvicoles des exercices 2001 2005 Enfin il a t d cid de d velopper une application informatique pour la saisie de l ensemble des donn es statistiques L ensemble de ces travaux n cessite un personnel qualifi permanent pour assurer au mieux les travaux de statistiques foresti res 292
451. orisation Ce champ d essais est pr vu pour d terminer les engins de chantier mettre en uvre ainsi que la fa on de proc der en vue de r aliser l tanchement de l ancienne d charge En date du 20 septembre 2006 un contr le du chantier de la d charge CASA avant finalisation des principaux travaux a t r alis ensemble avec le bureau d tudes charg du suivi du projet des responsables d Arcelor et du bureau d tudes charg de la surveillance externe organisme agr Contr le d autres exploitations En date du 2 f vrier 2006 le site de l entreprise Cardoso a fait l objet d un contr le En date du 18 avril 2006 un contr le du chantier de l installation de co fermentation Biogas Ourdall a eu lieu ensemble avec l organisme agr charg de la surveillance et du contr le Il s agissait de d terminer la m thode pour v rifier l tanch it au liquide des digesteurs et des r servoirs de stockage final pour digestat et de l tanch it au gaz des digesteurs et des r servoirs pour biogaz et conduites En date du 9 mai une visite du chantier de concassage de l entreprise Weber pr s de Marnach a eu lieu En date du 21 juin 2006 un contr le d un entrep t pour d chets a t r alis Wormeldange Lors de ce contr le il s est av r que l exploitant ne proc dait plus l entreposage et l utilisation de ces d chets et qu il n envisageait plus renouveler son autorisation En date du 28 juin 200
452. ormatique portant sur toutes les proc dures informatiques li es la base de donn es de l IFL1 ainsi que les traitements a t finalis lors de cette convention Etant donn l importance de ce guide et le temps n cessaire sa r daction ainsi que les nombreuses t ches informatiques n cessaires la mise en uvre du second cycle de mesures un programmeur temps plein a t engag en avril 2006 Epurage de la base de donn es de l IFL1 Le travail consistant v rifier la coh rence de toutes les donn es de la base de donn es de l IFLI est effectu de fa on continue lors des divers travaux de la convention Les demandes ponctuelles n cessitant un traitement dans la base de donn es permettent d ailleurs encore assez souvent de relever des incoh rences 211 Cette activit a aliment l valuation de la m thodologie de l IFLI en permettant de d celer non seulement les ventuelles incoh rences par exemple des contradictions dans les donn es d une fiche l autre pr sentes mais aussi les probl mes li s l interpr tation de la m thodologie Les travaux concernant la cr ation du module d encodage de terrain pour l IFL2 ont galement permis d isoler certaines incoh rences existant dans la base de donn es IFL1 L identification de ces derni res est prise en compte et permet dans la mesure du possible l adaptation cons quente du module d encodage Cette d marche permet d am
453. ossier position commune a t transmis au PE pour deuxi me lecture PROPOSITION DE DIRECTIVE MILIEU MARIN Le Conseil environnement du 23 octobre 2006 a tenu un d bat d orientation sur la strat gie th matique et la proposition de directive instituant un cadre pour la protection et la conservation du milieu marin En octobre 2005 la Commission europ enne a pr sent une strat gie pour prot ger l environnement marin de l Europe La strat gie vise assurer que toutes les eaux marines communautaires soient cologiquement saines d ici 2021 dans le but de prot ger ce capital pr cieux qui constitue la base de ressources dont d pendent les activit s conomiques et sociales marines 30 La proposition de directive tablissant un cadre d action communautaire dans le domaine de la politique pour le milieu marin s inscrit dans ladite strat gie La directive propos e a pour objectif final de parvenir un bon tat cologique du milieu marin l horizon 2021 le caract re transfrontalier du milieu marin supposant la prise de mesures coh rentes et l laboration de strat gies coordonn es Le d bat tait destin guider les discussions sur la proposition de directive CONCLUSIONS CLIMAT Le Conseil Environnement du 23 octobre 2006 a d gag des conclusions ayant trait la pr paration de la COP 12 la convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques ainsi que de la COP MOP au pr
454. otamment les op rations d adjudication de cession et d option du droit de chasse 282 3 6 L Entite mobile L Entit mobile de I Administration des Eaux et For ts intervient dans le domaine de la police de la gestion de l environnement naturel et donne appui et assistance aux diff rents services cantonnements arrondissements et triages forestiers de l administration Elle est rattach e la direction de l Administration des Eaux et For ts comme unit op rationnelle et soumise l autorit directe du directeur En 2006 les missions confi es l Entit mobile ont t assum es par quatre fonctionnaires dont un officier de police judiciaire et trois agents charg s de certaines fonctions de police judiciaire Les agents de l Entit mobile constatent les infractions et re oivent les plaintes et d nonciations pour lesquelles les lois sp ciales leur ont attribu les pouvoirs de police judiciaire Ils en rassemblent les preuves et en recherchent les auteurs sur tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg Outre les missions de contr le de surveillance et de police en mati re foresti re et rurale de chasse de p che et de l environnement naturel les agents de l Entit mobile sont appel s participer de nombreuses autres activit s de l administration 3 6 1 Activit s en mati re de protection de l environnement naturel Les activit s en mati re de protection de l environnement de l Entit m
455. otocole de KYOTO novembre 2006 Elles concernent tout particuli rement e la soumission par les Etats membres de rapports sur le progr s accomplis en mati re de respect des engagements de Kyoto et l appel lanc aux Etats membres n ayant pas encore rempli leurs obligations de ce faire e la gouvernance du Fonds d adaptation destin promouvoir des mesures et actions d adaptation aux changements climatiques dans les pays en voie de d veloppement e les tudes men es et en cours portant sur un cadre d investissement en mati re d nergie propre et de d veloppement e initiative de la Commission d tablir un fonds global en mati re d efficacit nerg tique et d nergies renouvelables la promotion de technologies dites nouvelles telles que la capture et la s questration de carbone assortie de l intention de la Commission de saisir le Conseil et le PE de propositions l gislatives en la mati re CONCLUSIONS UTILISATION DURABLE DES RESSOURCES NATURELLES Le Conseil Environnement du 23 octobre 2006 a adopt des conclusions en la mati re Ces conclusions donnent une suite la communication de la Commission pr sent e le 21 d cembre 2005 et intitul e strat gie th matique sur l utilisation durable des ressources naturelles La strat gie cr e un cadre d action qui vise diminuer les pressions sur l environnement qui r sultent de la production et de la consommation des ressources naturelles
456. ou ajoutes ne sont pas inclus dans cette statistique Les aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 76 demandes de subventions pour travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t transmises l arrondissement CN Centre pour l exercice 2006 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit plantation de 14 arbres solitaires et de 145 arbres fruitiers haute tige installation de 110 protections individuelles installation de 360 m de cl tures de protection 47 demandes pour la cr ation et travaux d entretien d habitats naturels ou semi naturels dans les communes de Beckerich Bissen Boevange Ettelbruck Feulen Junglinster Mersch Redange Rosport Saeul Tuntange et Useldange e plantation de 205 m de haies d alignement et plantation de 37 50 m d une rang e suppl mentaire mise en place de 146 13 ares de lisi res foresti res e cr ation de 66 23 ares de galeries alluviales et e 37 30 ares de coupe rase de taillis 15 demandes de subventions ont t trait es dans le cadre des plans verts des communes de Berdorf travaux d entretien des haies et arbres solitaires Boevange Attert tablissement d un cadastre vert Bourscheid mesures cologiques subs quentes la cartographie des biotopes Diekirch plantation et entretien d arbres fruitiers Ermsdorf Einrichtung des Hecken und Baumkataster et diverses
457. ou murin de Bechstein distribution exigences territoriales aut cologie Par la suite Claudine FELTEN ing nieur forestier aupr s de la Fondation H llef fir d Natur et Gilles BIWER biologiste au sein de la L tzebuerger Natur an Vulleschutzliga introduisaient un projet commun de leurs organisations respectives La g linotte des bois pr sentation de l esp ce distribution et gestion de l habitat En tant que dernier orateur le Prof Dr Werner KONOLD de P Institut f r Landespflege der Albert Ludwigs Universit t Freiburg concluait la matin e avec une discussion sur la question La for t comme paysage naturel et culturel Qu est ce qu on peut apprendre pour la Recherche Dans sa conclusion Franz Charles M ller Pr sident de la Fondation H llef fir d Natur se chargeait galement au nom de Georges Bechet directeur du Mus e d histoire naturelle et de Tom Conzemius pr sident de la L tzebuerger Natur an Vulleschutzliga de faire la transition pour le d jeuner au Scoutshome Neuh usgen et pour l excursion de l apr s midi dans la r serve naturelle Laangmuer au Gr ngewald Sur place on pouvait assister aux d monstrations pratiques des th mes voqu s le matin m me Dan NICOLAS du bureau d tudes Luxplan expliquait les crit res de biodiversit dans le cadre de l Inventaire Forestier National alors que Klaus WINKLER de la Forstliche Versuchs un
458. our avril 2007 risquerait de d montrer le d passement de la valeur limite pour les PM 61 Dans une premi re tape des inventaires des missions ont t labor s pour les diff rents types de sources dans la r gion analyser pour l ann e de r f rence 2005 savoir e les installations industrielles et les centrales d nergie le chauffage urbain gasoil gaz et bois le trafic routier le trafic ferroviaire et le trafic a rien L inventaire des missions en provenance des installations industrielles et des centrales d nergie a t tabli sur base des r sultats des mesures des missions disponibles l Administration de l Environnement Au niveau du territoire de la r gion tudier 27 sources d missions ponctuelles ont ainsi t identifi es dont 20 se situent sur le territoire de la Ville de Luxembourg Ann e de r f rence 2005 Commune Type Nombre Emissions NOx Emissions PM10 d installation d installations kg a kg a Ville de Luxembourg Centrales d nergie 16 235000 7 000 Industries 4 17 000 4000 Autres Centrales d nergie 4 10 000 10 Industries 3 166 000 5000 SOMME 27 429 000 16 000 Communes de Walferdange Sandweiler Hesperange Leudelange Bertrange et Strassen Les missions en provenance du chauffage urbain ont t estim es sur base du nombre des differents types d installations de chauffage du nombre d
459. ouveaux modules ont t ajout s Gestion des v hicules et Gestion de la certification Le module v hicule permet la direction de g rer de mani re centralis e la flotte des v hicules immatriculation localisation assurance contr le technique accident carte d essence Le module a certification permet de g rer de mani re centralis e les informations relatives la certification des for ts adh rents dates logos PDF Les fonctionnalit s suivantes ont t ajout es l application en 2006 288 nouveau module de gestion des v hicules nouveau module de gestion de la certification renforcement de la s curit correction de divers bugs La coh rence du mod le conceptuel des donn es a t compl t e et mise jour pour garantir la compatibilit du syst me d information avec l ensemble des applications SALAIRES FICHE TRAVAIL SALAIRES AVANT2004 DBAIDE EFDIR COBUPLAN PLAN GESTION BU CARNETO GESTFVEN MARTELAGE CONCOP INVENTO NATURA2000 3 7 1 2 Analyse et d veloppement de nouvelles applications En 2006 le d veloppement de la nouvelle application BIODIVERSITE avec le syst me MACAA du CIE ASTA a t initi Il s agit d un projet inter minist res et inter administrations Minist re de l Agriculture Minist re de l Environnement Service technique de l Agriculture Centre informatique Administration des Eaux et For ts bureaux d tudes
460. par le Centre Informatique de l Etat 1 micro ordinateur LIS Performance Antec 2 portables Fujitsu Siemens Celsius H240 Pascal Sony Vaio VGN TX3XP B Frank et 1 serveur HP Proliant ML370T4 ont t acquis sur fonds propres Deux imprimantes laser couleur A4 A3 suppl mentaires ont t install es dans des services non quip s par le Centre Informatique de l Etat CN Sud Cantonnement Luxembourg Est Toutes les nouvelles stations de travail ont t re configur es par la Cellule informatique sur base d un master adapt aux besoins des E amp F sous OS WindowsXP SP2 Fin 2006 le parc informatique comprenait 186 micro ordinateurs et 6 serveurs 33 dans les triages 15 dans les services centraux 4 dans les cantonnements 4 dans les arrondissements 1 l cole foresti re 1 au Centre d accueil 1 la Maison de la For t Burfelt 49 installations ont t effectu es en 2006 10 seront r alis es au 1 trimestre 2007 donc en total 59 Le parc des PC apr s remplacement compte 186 unit s le parc des serveurs 6 donc au total 192 machines g rer Le domaine Windows2000 existant a t remplac par un domaine Windows2003 A ces fins Windows2003 serveur SP1 a t d ploy sur 4 serveurs 2 DC s 1 DC Dell PowerEdge 1800 svr16093 2 DC resp print server Dell Poweredge 2600 svr14270 1 serveur de fichiers svr17879 et 1 serveur pr par pour Oraclel0g svr18114 2 serveurs avec Windows2000 restent intou
461. pes dans la proc dure d un dossier de demande 46 24 3 Nombre de dossiers trait s par an tous types d tablissements 47 2 4 4 Service des inspections 49 24 5 Acc s du public l information en mati re d environnement 51 2 4 6 Les d lais de la proc dure d autorisation 52 2 4 7 Les tablissements class s par la r glementation dite SEVESO 53 2 4 8 Service agriculture industrie alimentaire traitement des d chets et tourisme 54 2 4 9 Service construction infrastructures artisanat et loisirs 55 2 4 10 Service Immeuble et Gestion de 1 Energie 58 2 4 11 Service Industries 59 2 4 12 Service Transports et approvisionnement 60 2 5 Division Air Bruit 61 2 5 1 Plan de qualit pour la ville de Luxembourg et environs 61 2 5 2 Rejets atmosph riques en provenance d installations industrielles 63 2 5 3 Polluants organiques persistants 68 2 5 4 Installations de combustion de moins de 3 MW 68 2 5 5 Contr le de fuites dans des quipements frigorifiques et climatiques 71 2 5 6 Echange de quotas de gaz effet de serre 72 2 5 7 Le service d conomies d nergie 74 2 5 8 Le service Bruit 80 2 6 Division des d chets 81 2 6 1 Les activit s dans le domaine l gislatif et r glementaire 81 2 6 2 La r vision du plan g n ral de gestion des d chets 87 2 6 3 Les actions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des d chets 88 2 6 4 Le
462. pl mentaires l int gration des circulaires ouvriers l int gration de crit res de recherche des ouvriers des nouveaux rapports pour les frais de mise disposition l am lioration de l impression la correction de divers bugs L application COBUPLAN est destin e aux trois domaines troitement li s savoir la comptabilit le budget et la planification La partie planification PLAN est fonctionnelle depuis 2002 les parties comptabilit CO et budget BU sont en fonction depuis 2005 Le module de planification permet la saisie et l dition des plans annuels de gestion des propri t s foresti res et des zones prot g es Le module de planification de l application COBUPLAN doit devenir terme un syst me expert qui peut aider les gestionnaires tablir les plans annuels de gestion en se basant sur les donn es des ann es de gestion ant rieures Le module CO permet la gestion des factures Le module BU permet la gestion des budgets et des engagements Les travaux de maintenance r alis s en 2006 sur l application COBUPLAN versions 3 17 3 19 concernent la gestion de factures des budgets et des engagements 287 L application Carnet de denombrement CarnetO qui consiste saisir les mensurations des bois abattus en for t soumise et calculer les volumes a subi les volutions suivantes versions 7 06 7 09 e gestion du mode d abattage e gestion d
463. posage de substances explosives Parmi les tablissements du groupe seuil haut figurent trois d p ts p troliers deux tablissements de production de verre un tablissement de l industrie du caoutchouc un tablissement traitant des catalyseurs une usine de fabrication de produits cosm tiques ainsi qu un tablissement du domaine des transports et de la logistique Les tablissements du groupe seuil bas doivent faire parvenir l Administration de l Environnement des copies de la notification et du document d finissant sa politique de pr vention des accidents majeurs Pour les tablissements du groupe seuil haut des copies de la notification du rapport de s curit et du plan d urgence interne doivent tre transmis l Administration de l Environnement Le contenu de ces documents est d taill dans le r glement en question 53 2 4 8 Service agriculture industrie alimentaire traitement des d chets et tourisme 2 4 8 1 Etablissements soumis autorisation en vertu de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles et de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Il n est pas rare que les tablissements soumis autorisation en vertu de la l gislation sur les tablissements class s doivent galement tre autoris s en vertu de la l gislation concernant la protection de la nature et des ressources nat
464. poser que cette quantit repr sente un taux de collecte de plus ou moins 50 SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des quantit s de graisses alimentaires collect es k 350000 e 300000 250000 200000 150000 100000 50000 Ne d i A D D N D D D D S S D 9 O 9 ON ba c les huiles usagees et les carburants contamines Les quantit s d huiles usag es et de carburants contamin s sont plus ou moins constantes au cours des dix derni res ann es bien que le parc automobile augmente d ann e en ann e Les huiles usag es dans cette fraction repr sentent 98 9 On peut supposer que l volution constat e est le r sultat d une plus grande long vit des huiles dans les moteurs Huiles usag es Carburants 140000 120000 100000 80000 60000 40000 20000 111 d les supports informatiques et les cartouches de toner Les quantites collectees de supports informatiques et de cartouches de toner ont connu au cours des derni res ann es une augmentation impressionnante Supports informatiques cartouches toner 90000 80000 70000 60000 50000 40000 30000 20000 10000 0 gt bh o A OS D zb d D cb EL LE D D D DS DS D SP ES NS LP SS D DS SP ES PS Zi D D D S X Le projet Clever akafen La SuperDrecksK scht n a pas seulement la vocation de collecter les d chets probl matiques en provenance des particuliers elle doit galement promouv
465. pourront faire l objet de charges et servitudes en vue d assurer la sauvegarde et le maintien des paysages menac s Par ailleurs une prise en compte de la dimension paysag re lors de l autorisation de projets en vertu de la loi pr cit e s av re absolument n cessaire d s les phases pr coces de la planification de projets La n cessit de consacrer des efforts accrus en faveur du maintien et du d veloppement de l identit de nos paysages a d ailleurs t identifi e en tant qu action prioritaire lors de la r cente mise jour des indicateurs de d veloppement durable en raison des incidences de plus en plus nombreuses auxquelles les paysages sont expos s Divers chantiers ont t mis en uvre en mati re de protection des paysages au niveau national Ils concernent prioritairement des travaux pr paratoires effectu s dans le cadre de l laboration du plan sectoriel Grands ensembles paysagers et massifs forestiers d un int r t particulier ainsi que des r flexions men es au sujet des crit res d identification et de d limitation des espaces d int r t paysager dans le cadre du plan national pour la protection de la nature La prise en compte de consid rations ayant trait la sauvegarde et la pr servation des paysages a galement connu un renforcement par l entr e en vigueur de la Convention de Florence ou Convention du paysage du Conseil de l Europe convention qui a t ratifi e par le G
466. pplications Les maintenances et les adaptations volutives des applications informatiques sont r alis es en interne Les applications sont d velopp es en langage de 4 me g n ration Powerbuilder Depuis 2006 elles fonctionnent toutes en mode client serveur avec le syst me de gestion de base de donn es relationnelles Oracle sur un r seau Windows2003 Tous les services ext rieurs sont connect s au r seau informatique de l Etat r seau racine Les cantonnements et arrondissements CN sont connect s par lignes lou es et les triages forestiers sont connect s par ADSL Plusieurs applications ont t ouvertes aux bureaux d tudes sous traitants via client VPN et ADSL D une mani re g n rale la s curit de toutes les applications et de la base de donn es Oracle spatiale a t renforc e Dans ce contexte en 2006 6 grands projets ont t men s de front au niveau de la maintenance et de l adaptation volutive des applications e L abandon de la base locale SQLAnywhere vers une architecture client serveur Oracle spatial pour les applications INV AME inventaire d am nagement et CONCOP concordance parcellaire cadastre a t poursuivi Les bureaux d tudes sous traitants sont les principaux utilisateurs de ces deux applications Dans ce contexte il a t n cessaire de mettre en place un nouveau Frame Work applicatif s curis et une gestion de version diff renci e e La mise en uvre d
467. pr s de l Administration de l Environnement Apr s avoir t d clar complet le dossier a t soumis la proc dure d enqu te publique Au cours de cette p riode un repr sentant de l Administration de l Environnement a particip une s ance d information publique A la fin de l ann e 2006 la Commune de Mondercange a mis un avis favorable quant au projet de la d charge Au moment de la r daction du pr sent rapport les avis des communes d Esch Alzette et de Schifflange faisaient encore d faut b le projet de remblai a Rosswinkel exploitant Neu GmbH Les proc dures de recours contre l autorisation du remblai ont suivi leur cours en 2006 Une d cision du Tribunal administratif est attendue pour le d but de l ann e 2007 c le projet de d charge Colmar Berg Roost exploitant Recyma S A Le futur exploitant a charg un bureau d tudes pour pr parer le dossier de demande d autorisation d le projet de d charge de Strassen exploitant R cyma S A Le futur exploitant est en cours d acqu rir les derniers terrains n cessaires la r alisation du projet Une demande d autorisation sera introduite d s que le dossier aura t actualis e le projet de d charge Altwies exploitant Feidt S A Apr s fermeture de l ancienne d charge un nouveau projet est en cours d laboration f le projet d charge Bettembourg Dudelange exploitant Recyma S A Le dossier d autorisation a
468. pr sident et de quatre assesseurs assist s par un secr taire tr sorier adjoint Les mandats du coll ge syndical et du secr taire tr sorier durent neuf ans du 15 mai 2003 au 14 mai 2012 pour la p riode courante 277 Au cours de l ann e 2006 deux syndicats ont proc d au renouvellement du coll ge syndical dont le mandat dure jusqu au 14 mai 2012 De m me 17 syndicats de chasse ont d proc der des lections compl mentaires du coll ge syndical apr s le d c s respectivement la d mission d un membre du coll ge syndical En outre 9 syndicats se sont adjoint un nouveau secr taire apr s la d mission ou le d c s de l ancien secr taire Tous ces dossiers sont contr l s et avis s par le service de la Chasse avant d tre transmis au Minist re de l Environnement en vue de leur approbation 3 5 3 3 Contrats de bail de chasse La grande majorit des contrats de bail de chasse actuellement en vigueur savoir 595 contrats ont t conclus pour la p riode allant du 1 ao t 2003 au 31 juillet 2012 Pour deux autres lots le bal en cours va expirer le 31 7 2008 pour un lot le 31 7 2009 et pour un lot le 31 7 2011 Pour un seul lot l assembl e g n rale des propri taires des terrains a d cid le non relaissement du droit de chasse pour la dur e de cinq ans 1 8 2004 31 7 2009 En 2006 aucun lot de chasse n a t r amodi Pour 26 lots de chasse des conventions ont t conclues entre les syndicat
469. premier jeu d indicateurs pour le Luxembourg a t publi par le Minist re de l Environnement Ce jeu comprenait 27 indicateurs r partis entre les 3 piliers La r vision des indicateurs de d veloppement durable arr t s en juin 2002 a t finalis e Ces indicateurs mis jour ont t rendus public en ao t 2006 Ils peuvent tre consult s l adresse http www environnement public lu developpement durable indicateurs index html Par ailleurs le d veloppement de nouveaux indicateurs de d veloppement durable dans des domaines non couverts par ceux de la publication de 2002 est galement tudi Ces travaux se font dans le cadre des instances initi es par la loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable et plus pr cis ment au sein d un Groupe de Travail compos s de membres de la CIDD La r flexion quant la construction d un nouveau jeu d indicateurs de d veloppement durable suit une logique double Les indicateurs doivent tre d finis de mani re prioritaire en fonction des objectifs du deuxi me Plan et doivent tre en coh rence avec les indicateurs utilis s pour d autres exercices notamment avec le syst me d indicateurs retenus pour le plan national pour l innovation et le plein emploi visant la Strat gie de Lisbonne et avec les syst mes retenus au niveau international Pour davantage d informations ce propos pri re de consult la sec
470. pris les principales tapes suivantes e Le recensement des tablissements qui exer aient en 2004 une ou plusieurs activit s de l annexe I de la directive IPPC e La d termination des missions dans l air des 24 tablissements s lectionn s pour tous les polluants susceptibles du secteur concern de d passer les valeurs seuils de l annexe Al de la d cision EPER La plupart des missions ainsi d termin es sont bas es sur des mesures Les missions de CO et de CH sont bas es sur des calculs Les missions dans l eau ont t fournies par l Administration de la Gestion de l Eau e La s lection des missions dans l air et dans l eau qui ont d pass les valeurs seuils e La v rification des missions d clarer par les exploitants des tablissements concern s 63 e La d claration la Commission europ enne des missions qui ont d pass les valeurs seuils des tablissements s lectionn s dans le format de l annexe A2 de la d cision EPER et dans un rapport g n ral incluant les totaux nationaux par cat gories de sources 43 missions dans l air et 2 missions dans l eau ont d pass les valeurs seuils Le rapport g n ral en 2006 est repris ci dessous Rapport EPER 2006 Luxembourg Totaux nationaux des missions en 2004 selon les cat gories de sources et le code NOSE P correspondant Source cat gories Polluant Emissions dansEmissions dans Emissions activit s de l annexe de la
471. proc d un nouvel change de vues au cours duquel ont t valu es les activit s men es au cours des derniers mois au sein de PUE en particulier pour ce qui a trait aux mesures arr t es par la Commission pour am liorer la mise en uvre de la l gislation europ enne sur les OGM Les d l gations ont appuy les mesures de la Commission visant am liorer la coh rence scientifique et la transparence des d cisions et permettre toutes les parties concern es de d gager un consensus tout en plaidant en faveur d une application renforc e du principe de pr caution dans les proc dures ayant trait l autorisation des OGM et des produits qui en contiennent et l valuation des risques li s ceux ci BIOCARBURANTS BIOMASSE Le Conseil environnement 27 juin 2006 a proc d un change de vues sur le suivi des initiatives dans ces domaines et plus particuli rement du plan d action biomasse tel que pr sent par la Commission en d cembre 2006 et de la strat gie biocarburants telle que pr sent e par la Commission en f vrier 2006 1 6 3 3 Conseil Environnement du 23 octobre 2006 PROPOSITION DE DIRECTIVE QUALITE DE PAIR Le Parlement europ en ayant formul son avis en date du 26 septembre le Conseil environnement du 23 octobre a pu adopter un accord politique A quelques d tails pr s le texte de l accord est identique l orientation politique d gag e en juin 2006 Le d
472. que ces demandes ont t introduits au cours du dernier trimestre 2006 que s explique l cart relativement lev entre le nombre de dossiers introduits et trait s 60 2 5 Division Air Bruit 2 5 1 Plan de qualit pour la ville de Luxembourg et environs Dans le contexte du d passement de la valeur limite annuelle pour le dioxyde d azote NO dans lair ambiant depuis 2003 la station de mesure de Luxembourg Centre boulevard Royal l Administration de l Environnement a t charg e d tablir un programme d action destin am liorer la qualit de l air ambiant L agglom ration concern e est la Ville de Luxembourg et environs La base l gale est l article 7 3 du r glement grand ducal du 17 mars 1998 portant application de la directive 96 62 CE concernant l valuation et la gestion de la qualit de l air ambiant Le programme d action auquel la population aura acc s contiendra notamment des renseignements sur le lieu de d passement la nature l valuation et l origine de la pollution Il pr cisera les sources d mission responsables de la pollution et il indiquera les mesures envisageables pour am liorer la qualit de l air En 2006 l laboration des donn es de base dudit programme a t entam e par l analyse de la situation existante en collaboration avec les Services de la Ville de Luxembourg et le bureau d ing nieur Lohmeyer de Karlsruhe Sur base des informations dispo
473. que du Burfelt ainsi que des informations climatologiques Confection d un mobile pour enfants Mobile en carton bas sur les illustrations r alis es pour un autre jeu Confection de chemises multi usage Chemises en papier fort grammage avec couverture couleurs au th me forestier pouvant servir pour la distribution de documents Sentier de la R N Strombierg Des panneaux suppl mentaires pour le sentier de d couverte de la r serve naturelle du Strombierg ont t d velopp s et confectionn s En plus des plaquettes ont t con ues et confectionn es pour le jardin des herbes et des plantes m dicinales situ pr s du Centre d accueil Europe Direct et qui est int gr dans ce m me sentier de d couverte 3 3 14 Le suivi de l tat phytosanitaire des for ts 3 3 14 1 L inventaire phytosanitaire national Le r seau d observation national qui fonctionne depuis 1984 couvre syst matiquement l int gralit du territoire national Il est constitu de 51 placettes en 2006 localis es chaque point de croisement de coordonn es Gau Krueger divisibles par 4 si ce point tombe dans une surface bois e Chaque placette est constitu e de 24 arbres qui sont marqu s au spray La disposition du r seau national ainsi 239 que sa gestion sont conformes aux recommandations m thodologiques du Manuel du Programme de Cooperation Internationale sur l valuation et de la surveillance des effets de la pollut
474. que le nombre de certificats re us en 2006 a l g rement baiss par rapport 2005 tandis que le nombre de certificats enregistr s a encore diminu Il en r sulte une augmentation du nombre de certificats qui n ont pas encore pu tre enregistr s et qui s l ve au 31 d cembre 2006 36086 certificats Le retard de saisie fin 2006 s l ve plus de 2 ans Les chiffres montrent que le personnel et l infrastructure en place pour la saisie sont largement insuffisants Nombre de certificats de r ception et de r vision Ann e Non enregistr s Re us Enregistr s Non enregistr s au ler janvier au 31 d cembre 2001 435 20249 13607 7077 2002 7077 20633 23800 3910 2003 3910 19321 14700 8531 2004 8531 18673 11200 16004 2005 16004 19038 9800 25242 2006 25242 18376 6300 36086 Dans le contexte du contr le de conformit des installations de chauffage 254 lettres de rappel ont t envoy es dont 107 lettres concernaient des installations qui n taient pas conformes aux valeurs limites du r glement 59 certificats de r vision erron s ou incomplets ont t retourn s aux entreprises de contr le pour correction Dans plusieurs cas notamment suite des plaintes de voisinage un contr le de la situation sur place par des agents de l Administration de l Environnement s est av r n cessaire pour rechercher et constater les infractions par rapport au r glement Ainsi l admin
475. quentation du site tait de 880 visiteurs Nombre total de visiteurs en 2005 226 236 Nombre total de visiteurs en 2006 321 136 Nombre de pages consult es en 2005 1 111 713 Nombre de pages consult es en 2006 1 376 881 Evolution de l utilisation du portail emwelt lu 1400000 1200000 1000000 800000 600000 400000 200000 Pages consult es 0 Visiteurs 2006 Statistiques de fr quentation du site pour l ann e 2006 Ee Nombre de Nombre de Nombre de Nombre de P riode Dee j i visiteurs pages consult es fichiers hits Janvier 2006 27 289 119 289 489 211 1 072 011 F vrier 2006 28 711 120 711 511 311 1 091 142 Mars 2006 35 095 165 245 615 906 1 344 095 Avril 2006 26 094 130 990 492 222 1 099 724 Mai 2006 29 079 127 636 543 963 1 257 777 Juin 2006 26 713 110 009 424 430 979 944 Juillet 2006 25 529 120 274 413 307 980 622 Ao t 2006 21 772 92 895 385 446 948 155 Septembre 2006 24 452 94 195 462 153 1 088 906 Octobre 2006 24 205 98 124 465 665 1 132 227 Novembre 2006 24 561 100 076 460 463 1 101 743 Decembre 2006 27 636 97 437 379 928 837 092 Total 321 136 1 376 881 5 644 005 12 933 407 Outre les statistiques de frequentation du site les autres indicateurs permettant de constater la popularit du site sont ceux concernant les fonctionnalit s de feedback et de contact offertes par le site Le feedback re u pour le site reste cette a
476. r le d tablissements de gestion des d chets Site au Muertendall Les activit s la d charge continuent de fa on normale Site du SIDEC au Friedhaff En date du 7 f vrier 2006 le chantier de construction du SIDEC a fait l objet d un contr le de la part de notre administration En date du 8 mai 2006 un contr le du chantier de construction du SIDEC a t r alis Il s agissait de v rifier l tat de la couche d tanchement interm diaire en asphalte et de se concerter avec les responsables de la future d marche suivre En date du 15 juin 2006 une r union de concertation avec l organisme agr du Dr Schellenberg s est tenue au si ge de l Administration de l Environnement En date du 11 juillet une campagne de prise d chantillons sur l tanchement interm diaire en asphalte a t effectu e ensemble avec l organisme agr en charge de l instruction d un repr sentant de l entreprise de construction Strabag du SIDEC et de l Administration de l Environnement Cette campagne devait permettre de d terminer l adh rence de la couche sup rieure la couche inf rieure dont l tanchement est constitu Chantier CASA En date du 12 janvier 2006 un contr le du chantier d assainissement et de r am nagement de l ancienne d charge CASA Dommeldange a t effectu En date du 16 mars 2006 une visite du chantier a t effectu e en relation avec le champ d essais pr vu par l arr t minist riel d aut
477. r les routiers sur les fronti res du Luxembourg sur les autoroutes et l int rieur du pays Le but de ces contr les est la d tection des transferts de d chets non conformes e au r glement grand ducal modifi du 30 novembre 1989 relatif aux huiles usag es e au r glement grand ducal du 11 d cembre 1996 relatif aux d chets dangereux e au r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 concernant le transfert national de d chets e au r glement CEE N 259 93 du Conseil du 1 f vrier 1993 concernant la surveillance et le contr le des transferts de d chets l int rieur l entr e et la sortie de la Communaut Europ enne e au r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 relatif certaines modalit s d application du r glement CEE n 259 93 du Conseil du 1 f vrier 1993 concernant la surveillance et le contr le des transferts de d chets l int rieur l entr e et la sortie de la Communaut europ enne e et la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Dans 14 cas des avertissements crits ont t envoy s aux soci t s respectives Il est pr vu pour l ann e 2007 de continuer les contr les routiers en collaboration avec l Administration des Douanes et Accises Les r sultats de ces contr les sont publi s sur le site Internet ww emwelt lu 2 6 13 7 Les dossiers de notification de transfert des d chets Au cours de l ann e 2006 l
478. r sente un document politique dont le Gouvernement assume la responsabilit finale et qui doit le guider sur la voie du d veloppement durable Une premi re r union de travail de la CIDD en d cembre 2006 a t consacr e l laboration du prochain Plan national pour un d veloppement durable Le Conseil Sup rieur pour le D veloppement Durable CSDD constitue l organe de r flexion de discussion et de conseil en mati re de d veloppement durable Il est en premier lieu un forum de discussion o le d bat contradictoire et direct au sujet des actions du Gouvernement en mati re de d veloppement durable doit trouver sa place Le r glement grand ducal du 14 juillet 2005 a fix la composition l organisation et le fonctionnement du CSDD et c est lors du Conseil de Gouvernement du 13 septembre 2006 qu a t approuv e sa composition La nomination du pr sident et des deux vice pr sidents par le Grand Duc a t faite en date du 24 novembre 2006 tandis que le Conseil de Gouvernement a proc d la nomination des autres membres lors de sa s ance en date du 1 d cembre 2006 Le CSDD s est r uni deux fois au cours du dernier semestre de l ann e 2006 Les indicateurs de d veloppement durable IDD en tant que partie int grante du rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable servent d outil de mesure quant aux progr s r alis s sur la voie du d veloppement durable Au second semestre 2002 un
479. r des contr les sur dossier rapports de r ception et de contr le p riodique rapports de mesure etc et des visites sur les lieux compte rendu des installations et activit s exploit s d tection de non conformit s les rapports et les autres actions suites ces inspections demandes de prise de position information du Parquet information du r clamant 2 4 4 1 Inspections effectu es par des personnes agr es ou par l exploitant Nombre R ceptions contr les p riodiques et autres 388 Contr les p riodiques effectu s par l exploitant 101 Etudes d missions dans l air 131 Etudes d missions de bruits et vibrations 91 Etudes relatives la d tection de pollutions 296 Etudes audits de risques 22 Etudes audits nerg tiques 28 Total 1057 Demandes prise de position par AEN suite ces inspections 228 2 4 4 2 Inspections effectu es par l administration Il s agit d inspections effectu es dans le cadre d un programme d inspection ou la suite d une r clamation pr sent e par un particulier ou d autres administrations En principe l inspection d un tablissement se fait d abord sur base des dossiers de AEN ensuite sur le site de l tablissement 49 Types d tablissements inspect s selon domaines d activites Nombre Industrie min rale et sid rurgique Usines sid rurgiques Centrale b ton D p t
480. ra galement aux membres du comit de porter des points l ordre du jour des r unions Au stade actuel le comit est compos de repr sentants suivants des minist res et administrations concern s des chambres professionnelles patronales des chambres professionnelles des salari s des associations cologiques agr es du Syvicol Le comit se compose de 15 membres qui sont nomm s par le Gouvernement en Conseil pour un terme de trois ans l arr t y relatif a t sign en avril 2006 La composition et le fonctionnement du comit sont d termin s par r glement grand ducal R glement grand ducal du 20 juillet 1999 d terminant la composition le mode de fonctionnement et les indemnit s du comit d accompagnement en mati re d tablissements class s Ledit comit s est r uni le 20 juin ainsi que le 14 novembre 2006 Le d partement a galement introduit des modifications relatives la composition du comit d accompagnement cf chapitre 1 6 L gislation environnementale et Conseils Environnement UE 1 6 1 Lois et r glements grand ducaux publi s au M morial en 2006 R glement grand ducal du 9 janvier 2006 d clarant obligatoire le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes 2006 A 23 p 506 R glement grand ducal du 17 f vrier 2006 modifiant le r glement grand ducal du 24 f vrier 2003 concernant la mise en d charge des d chets 2006 A 36 p 696 R glement gran
481. rand Duch de Luxembourg en 2006 par l adoption de la loi du 24 juillet 2006 portant approbation de la Convention europ enne du paysage ouverte la signature Florence le 20 octobre 2000 1 1 8 1 Le plan sectoriel Grands ensembles paysagers et massifs forestiers d un int r t particulier Suite l ach vement du concept int gr du d veloppement spatial et des infrastructures de transport IVL le Gouvernement a identifi quatre planifications prioritaires d velopper gr ce au recours de l instrument du plan directeur sectoriel en application de la l gislation relative l am nagement du territoire Les quatre secteurs vis s sont le transport le logement les zones d activit s conomiques et les grands ensembles paysagers et forestiers 10 Le dernier des plans sectoriels mentionn s rel ve de la comp tence du Ministre de l Environnement Il a comme objectif premier le maintien et la protection tant en ce qui concerne l tendue que la fonction des grands ensembles paysagers et des massifs forestiers Il s agit dans un premier temps d identifier et de d limiter ces espaces de les qualifier et ensuite de d finir les mesures visant leur protection et leur d veloppement avec la pr cision et les arguments d taill s la base de leur d signation conform ment la proc dure r glementaire applicable l instrument du plan directeur sectoriel Les travaux mis en uvre dans ce c
482. rat de travail avec l administration a t continu e en 2006 3 7 1 4 Assistance aux utilisateurs L assistance permanente aux utilisateurs assur e par la Cellule informatique pour plus de 130 utilisateurs est essentielle pour le bon fonctionnement de l ensemble du syst me informatique de l administration Elle est d environ 1 homme ann e en 2006 Elle se r partit en assistance pour les applications d velopp es en interne 15 en assistance mat riel et bureautique 80 et en assistance aux utilisateurs des syst mes d information g ographique 5 En 2006 l assistance aux utilisateurs du nouveau syst me d information g ographique ArcGIS a t contract e aupr s d un bureau externe Malgr une l g re baisse de l assistance suite notamment au outsourcing de la partie GIS on constate qu avec les ressources humaines actuellement disponibles la Cellule informatique la survie du syst me est tout juste assur e mais sans marge de s curit et tout nouveau d veloppement en interne est fortement ralenti Le recours aux soci t s externes ne r sout pas enti rement ce probl me car l encadrement des projets de d veloppement externe demande un suivi tr s pouss par des experts internes 3 7 1 5 La formation du personnel En 2006 les membres de la Cellule informatique ont particip diverses formations Oracle 10 WinDev 9 AG MS VB Scripting du 16 au 18 janvier 2006 Photosh
483. ration d un syst me de cofinancement des projets d ONG Pour une information plus compl te sur les diverses actions entreprises il est renvoy aux chapitres sp cifiques de ce rapport 1 1 1 Application et int gration du principe de d veloppement durable La loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable a donn une base l gale au Plan national pour un d veloppement durable a institu le rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable a instaur un Conseil Sup rieur pour le D veloppement Durable et a cr une Commission Interd partementale pour un D veloppement Durable compos e de d l gu s des d partements minist riels cl s devant veiller l int gration du concept de la durabilit dans les politiques sectorielles La Commission Interd partementale du D veloppement Durable C DD dont la composition l organisation et le fonctionnement ont t r gl s par le r glement grand ducal du 14 juillet 2005 a d but ses travaux vers la fin de l ann e 2005 Au cours de l ann e 2006 ses travaux se sont concentr s sur l laboration du rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable Le rapport a t adopt en date du 24 octobre 2006 Dans son rapport la Commission s est livr e une valuation de la mise en uvre des mesures inscrites dans le Plan national de d veloppement durable de 1999 notamment l aide d
484. ration des cl tures fauchage e _ Geyershaff Geyersknapp Bech mesures de gestion debroussaillage e Vall es de la Mamer et de l Eisch installation de cl tures e Calmus Hassel Kapweiler propositions pour la gestion r alisation du parcellaire e _ Hossebierg Eppeldorf debroussaillage suivi scientifique de la v g tation Propositions d acquisition En 2006 l Arrondissement CN Centre n a pas fait de proposition en vue d une acquisition d un terrain Participation l laboration de dossiers de classement et de plans de gestion En 2006 le CN Centre a particip l laboration des dossiers de classement des r serves naturelles suivantes RN RD 03 Reisdorf Wangert RN RD 05 L ibierg RN RD 06 Mandelbaach RN RD 09 Amberkneppchen RN RD de la Mamer RN RD 14 a Schwarzenhaff RN Gr newald RN Koedingerbrill pelouses s ches de la vall e de l Alzette 268 Remembrement En 2006 l Arrondissement CN Centre n a pas t saisi par un projet de remembrement Renaturations L arrondissement CN Centre a particip aux projets de renaturation des cours d eau suivants e _ Mamer vall e enti re r unions de concertation avec les responsables communaux l ASTA et le bureau d tudes S re Diekirch Ernz Blanche Larochette Eisch Marienthal Viichtbaach Vichten Ernz Noi
485. re Junglinster Kaasselterbaach Lintgen R unions colloques et conf rences e Assainissement de Lintgen Septfontaines Dondelange Walsdorf Tandel Bettel Lorentzweiler Fouhren Stegen et Ingeldorf e Assainissement de la Vall e de l Our entre Dasbourg et Bettel avec implantation d une STEP internationale Bettel Reisdorf et Stolzembourg e R seau national de d charges pour d chets inertes Brouch Rosswinkel Folschette Rippweiler Putscheid Roost Route du Nord tron on Lintgen Lorentzweiler Groupe de travail des constructions agricoles en zone verte r unions avec l ASTA Transposition de la directive Habitats R unions avec les responsables communaux et visites des lieux en vue de la r vision du PAG de la commune de Beckerich Vichten Schieren Larochette Feulen Junglinster Waldbillig et Ettelbruck e R unions avec les communes en vue de l int gration environnementale dans les PAP e Visites et r unions pour zones d activit s de la commune de Diekirch Fischbach Heffingen Vianden et Roost e Restauration du parc de la Fondation Emile Mayrisch Croix Rouge Nieder Colpach e R union de concertation en vue du r am nagement du centre d accueil de Schoenfels avec les responsables des services concern s des Eaux amp For ts de l organisation St mm vun der Strooss et de l Administration des B timents Publics e Parc olien Redange et Rambrouch e R unions
486. re 356 et 175 m tres elle est inf rieure au seuil critique de 400 m tres au del duquel plusieurs essences comme les fr nes ch ne sessile ch ne p doncul merisier pin sylvestre et les tilleuls pr sentent des sensibilit s particuli res notamment au froid ou la neige collante Pour la plupart de nos essences indig nes la propri t ne pr sente donc aucune contre indication li e l altitude En contrepartie plusieurs essences exotiques comme l pic a commun l pic a de Sitka et les sapins r put es exigeantes en eau ne b n ficient g n ralement pas ces faibles altitudes des niveaux de pr cipitation suffisants pour assurer leurs besoins hydriques La dispersion de la for t communale de Wormeldange sur une large surface cheval sur les plateaux et les versants dominant la vall e de la Moselle explique la relative diversit g ologique observ e Sur les plateaux et versants de pente douce ce sont les couches du Keuper principalement les Marnes pseudomorphoses de sel kml et les marnes dolomitiques du Muschelkalk inf rieur ku qui affleurent Sur le versant escarp de la vall e de la Moselle l rosion a mis nu les roches plus anciennes du Muschelkalk sup rieur Couches entroques mol Couches limites et couches Ceratites mo2 et du Muschelkalk moyen mm Peuplements La for t communale de Wormeldange est largement domin e par les peuplements feuillus en particulier par
487. remiers r sultats chiffr s permet un retour imm diat sur l op ration ex cut e les placettes permanentes quant elles permettront plus long terme 10 ans une premi re analyse comparative tr s instructive et la possibilit de mieux ma triser l itin raire sylvicole choisi 3 3 8 3 Caract ristiques des deux sites pilotes qui ont t retenus Le site de BETZDORF situ en for t communale de Betzdorf parcelles n 39 et partie de 37 avec une surface concern e de 29 42 ha Le peuplement est dominante de h tre 63 de la surface terri re totale et avec une concentration dans les cat gories BM et GB pour 82 de la surface terri re de l essence En accompagnement on trouve le ch ne 35 de la surface terri re totale avec une concentration galement dans les categories BM et GB pour 87 de la surface terri re de l essence ainsi que le charme et l alisier torminal 1 6 de la surface terri re totale 228 En termes dendrom triques la surface terriere totale est proche de 30 m ha en moyenne et le volume l ha est d environ 435 m La courbe de r partition des diam tres des tiges est tr s proche du type exponentiel de r gression avec cependant un creux dans la cat gorie des diam tres 30 cm et une concentration en courbe en cloche pour les cat gories de diam tres 35 55 cm Cette distribution est donc d j proche d une configuration classique de futaie irr guli re mais o
488. reprises rattach es augmente continuellement La quantit moyenne par entreprise s est lev e en 2005 1062 kg En 2006 cette quantit tait de 897 kg seulement soit une r duction de 15 5 Ces chiffres montrent bien que la SuperDrecks scht n a pas l int r t de collecter des quantit s de d chets et d tre ainsi un concurrent face aux collecteurs pr sents sur le march La collaboration avec le Minist re de l Agriculture En collaboration avec le Minist re de l Agriculture et le Maschinenring les collectes de plastiques de silage ont t poursuivies en 2006 Au cours de cette ann e les quantit s totales de ces d chets collect s se sont lev es 682 tonnes soit une augmentation de 4 9 par rapport l ann e pr c dente L volution des quantit s collect es depuis 1999 est reprise dans le graphique ci dessous SuperDrecksK scht fir Betriber Collecte de plastiques de silage tonnes 800 700 600 500 400 300 200 100 o 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 mw Quantit s 363 08 385 46 544 26 507 64 466 88 544 56 650 3 682 1 12 couverwemenT DU GEAND DUCHE DIE LEE ee 115 2 6 10 5 La SuperFreonsK amp scht Dans le cadre de la mise en uvre de la r glementation sur les d chets lectriques et lectroniques un accord de collaboration a t conclu entre l asbl ECOTREL et la SuperDrecksK scht Cet accor
489. resse durant la saison de v g tation des derni res ann es a particuli rement frapp les taillis souvent plant s sur des sols peu profonds 241 L analyse de l tat de sant des for ts luxembourgeoises montre pour la p riode 1984 2006 une degradation continue des houppiers D apres la derniere notation en 2006 cette tendance semble se diriger vers une certaine stabilit au niveau phytopathologique Une interpretation plus nuanc e s av re compliqu e voire impossible faute d inventaires entre 2001 et 2005 La canicule de 2003 a toutefois fait craindre une d t rioration encore plus frappante de l tat des arbres A moyen terme nos for ts r sistent donc relativement bien aux al as climatiques Il ne faut tout de m me pas perdre de vue que l accumulation de telles situations extr mes affaiblit consid rablement la v g tation ligneuse Les mois de juin et juillet se sont ainsi caract ris s par des temp ratures trop hautes et par une pluviosit d ficitaire Les averses du mois d ao t ont permis d viter le pire Les al as climatiques hors norme ont donc une influence n gative sur la situation phytosanitaire de nos for ts De m me l extension de la saison de v g tation y relative favorise une fructification et une floraison de plus en plus abondante qui leurs tour interviennent d une mani re d favorable dans le bilan nerg tique des arbres Les temp ratures extr mes favorisent en outre le
490. resti res europ ennes Une quarantaine de pays europ ens et l Union europ enne sont repr sent s au sein de la MCPFE Des pays non europ ens et des organisations internationales participent en outre en tant qu observateurs De ce fait la MCPFE constitue non seulement un forum de coop ration de ministres responsables des for ts mais permet aussi des organisations non gouvernementales et intergouvernementales de faire apport de leur savoir et de leurs id es Englobant l Europe tout enti re la MCPFE peut tre consid r e comme un exemple de la r ussite d une coop ration transnationale travers tout un continent Elle a toujours consid r les for ts europ ennes comme tant un patrimoine commun et a reconnu que les dangers mena ant ces pr cieux cosyst mes ne se conforment pas toujours des fronti res territoriales ou id ologiques C est pourquoi d s ses d buts le dialogue et la coop ration au sein de la MCPFE ont lanc des ponts entre l Est et l Ouest de m me qu entre le Nord et le Sud de l Europe qui ont permis d changer des id es et de cr er une sensibilisation et une compr hension mutuelles l gard de la diversit des conditions et des situations en Europe La MCPFE constitue aussi un lien privil gi avec des processus plus globaux CNUED FIF FNUF CDB GIF 159 La r union d experts organis e en 2006 concernait la pr paration de la 5 me conference des ministres qui devrait avoir lieu
491. rflug zu verzeichnen In Rheinland Pfalz dauerte die Fangsaison bis zum 6 September an es wurden bis zu diesem Zeitpunkt auch noch K fer gefangen ab dem 19 Juli aber nur noch vereinzelt In Baden W rttemberg dauerte die Fangsaison sogar bis zum 1 November an die letzen nennenswerten F nge waren am 28 Juni danach gab es noch sehr vereinzelt F nge bis zum 13 September Die einzelnen Fallen zeigten gro e Unterschiede in der Anzahl gefangener K fer Die meisten K fer wurden in Perle gefangen Anzahl der pro Standort gefangenen Trypodendron domesticum Luxemburg 2006 Lux 3 Saeul Beckerich 5087 Lux 7 Perle 15216 Lux 11 Bastendorf 2533 Analysiert wurde die durchschnittliche Fangzahl der pro Jahr im jeweiligen Untersuchungsgebiet pro aufgestellten Fallentrakt gefangenen Trypodendron domesticum Im Jahre 2002 wurden in den Untersuchungsgebieten Luxemburg Eifel und Hunsr ck die h chsten Populationsdichten festgestellt Zum Jahre 2003 erfolgte ein starker R ckgang der Population in allen drei Untersuchungsgebieten Im Jahre 2004 kam es in den Untersuchungsgebieten Hunsr ck und Eifel zu einem erneuten starken Anstieg bis auf den jeweils mehr als 4 fachen Wert von 2003 In Luxemburg zeigt sich jedoch eine gegenl ufige Entwicklung hier nimmt die Population weiterhin ab Im Jahre 2005 erfolgt in allen drei Untersuchungsgebieten ein Populationsr ckgang der in Luxemburg nur schwach in der Eifel und im Hunsr ck hingegen
492. ri es Cincle plongeur nettoyage et contr le de 50 nichoirs baguage de 41 jeunes et de 2 adultes Cigogne noire assistance dans le programme Cigognes sans fronti res Chouette effraie nettoyage et contr le de 5 nichoirs baguage de 4 jeunes 272 3 5 Le Service de la Chasse et de la P che section chasse 3 5 1 La lutte contre la peste porcine 3 5 1 1 Historique La zone de surveillance Une premiere zone de surveillance pour la peste porcine classique aupr s des sangliers a t install e le 10 octobre 1999 couvrant le nord est du pays apr s qu un cas de peste porcine avait t confirm chez un sanglier quelques kilom tres de la fronti re luxembourgeoise en Rh nanie Palatinat Par la suite la zone de surveillance a t largie plusieurs fois pour couvrir enfin tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg partir du 13 juin 2002 Les cas virologiquement positifs Relev des cas de peste porcine constat s chez le sanglier au Grand Duch de Luxembourg Ann e 2001 5 Ann e 2002 65 Ann e 2003 4 Ann e 2004 Ann e 2005 Ann e 2006 3 5 1 2 La situation actuelle Contr le de la population des sangliers Le dernier cas de peste porcine classique a t constat en ao t 2003 Depuis cette date toutes les analyses virologiques pour la peste porcine classique ont t n gatives Conform ment la l gislation europ enne en la mati re un contr le syst
493. rmit aux valeurs limites ne peut tre assur e end ans l ch ancier pr vu un EM peut proroger la date butoir et partant tre dispens de l obligation de remplir ses obligations e en ce qui concerne les oxydes d azote et le benz ne et pour une p riode maximale de cinq ans condition qu ait t tabli un plan sp cifique de qualit de l air comprenant les mesures d assainissement e en ce qui concerne les PM 10 pour une p riode de trois ans compter de l entr e en vigueur de la directive condition toutefois que soit tabli le plan en question 29 CONCLUSIONS DECHETS Le Conseil environnement du 27 juin 2006 a d gag des conclusions sur la strat gie th matique ayant fait l objet d un d bat d orientation en mars 2006 CONCLUSIONS ENVIRONNEMENT URBAIN Le Conseil environnement du 27 juin 2006 a d gag des conclusions sur la strat gie th matique pr sent e par la Commission en janvier 2006 Les mesures propos es dans le cadre de la strat gie visent am liorer la mise en uvre des politiques existantes de PUE en mati re d environnement ainsi que de la l gislation au niveau local en soutenant et en encourageant les autorit s publiques dans l adoption d une approche plus int gr e de la gestion urbaine et en invitant les Etats membres appuyer ce processus et exploiter les possibilit s offertes aux Etats membres OGM Le Conseil environnement du 27 juin 2006 a
494. romotion du partenariat entre l Etat et les syndicats de communes ainsi que le renforcement de la d marche scientifique en mati re de protection de la nature un comit de coordination plac sous l autorit du ministre de l environnement a t cr e Le comit de coordination a pour mission d assurer la coh rence et la coordination entre les programmes et activit s r aliser par les syndicats dans le cadre des conventions conclues Le comit est compos de repr sentants du Minist re de l Environnement de l Administration des eaux et eor ts du Mus e national d histoire naturelle ainsi que des repr sentants des syndicats signataires d une convention Le comit de coordination s est r uni deux fois en 2006 1 1 8 Mesures et instruments en mati re de protection du paysage Le paysage constitue du fait de l existence d une multitude de facteurs qui lui portent directement ou indirectement atteinte une des ressources naturelles n cessitant une surveillance et une protection accrue La n cessit de d velopper le monitorage ainsi que l entretien du paysage a d ailleurs t mis en avant par le l gislateur qui a int gr dans la loi modifi e du 19 janvier 2004 relative la protection de la nature et des ressources naturelles une nouvelle cat gorie de zone prot g e savoir les paysages prot g s Ces zones b n ficient d sormais du m me statut de protection que les r serves naturelles et
495. ronnemental Dans le cadre des travaux pr paratoires un certain nombre de r unions de travail ont eu lieu avec les repr sentants de la Chambre de Commerce de la Chambre des M tiers de la Conf d ration luxembourgeoise de Commerce de l asbl ECOTREL ainsi que des communes et des syndicats intercommunaux Les discussions ont abouti a la signature d un accord environnemental entre le Ministere de l Environnement la Chambre de Commerce la Chambre des M tiers la Conf d ration luxembourgeoise du Commerce la F d ration des Artisans l asbl ECOTREL ainsi que les diff rentes communes et syndicats intercommunaux disposant d un ou de plusieurs parcs conteneurs d ment autoris s 105 Le but de l accord environnemental est de fixer les details de la collecte et de la prise en charge du financement de la gestion des DEEE A c t de cet accord environnemental une convention de coop ration entre le Minist re de l Environnement et l asbl ECOTREL a t sign e Cette convention vise certains aspects en mati re d application du r glement grand ducal modifi du 18 janvier 2005 2 6 8 2 L agr ment de l asbl ECOTREL L agr ment d livr en date du 28 octobre 2005 l asbl ECOTREL n tait que provisoire vu que le dossier de demande initial n indiquait pas encore les destinataires ou les centres de tri et de regroupement retenus en d finitive En date du 29 septembre 2006 ECOTREL a introduit le compl ment d informati
496. ronomiques de Gembloux a collabor la mise en uvre du projet dans le cadre d une convention tablie avec l Administration des Eaux et For ts Cette collaboration a notamment consist en la participation aux r unions de concertation la r alisation de certains relev s de terrain et la r daction de notes d orientations Les diverses r serves propositions et recommandations mises par l Universit de Gembloux ont t prises en compte dans l laboration de la m thodologie et la r daction des instructions dans la mesure o elles taient compatibles avec les objectifs fix s Au cours de l tablissement de la m thode deux points essentiels ont t pris en compte e la faisabilit de la m thode dans la majorit des situations rencontr es e un param trage clair de la m thode permettant sa reproductibilit et son contr le Son application sur plus de trois cent hectares soit sur plus de mille observations avec 4 annotations par placette et une placette par hectare a permis d acqu rir une certaine routine concernant les cas standard et d appr hender diverses situations particuli res ayant amen quelques variantes pour l estimation du bois mort pour les cas particuliers La m thode se base sur le relev de param tres descriptifs et quantitatifs relatifs au bois mort sur un nombre limit de parquets Les param tres descriptifs attribu s par parquet sont faits selon une liste de choix Cer
497. rovenance de l installation Minett Kompost ont t transf r es vers d autres installations dont 6 321 4 tonnes en Allemagne Rodersdorf Speckberg et 1 324 4 tonnes vers l installation de biogaz de Redange Attert au Luxembourg e _2 366 9 tonnes de d chets verts en provenance de l installation au Reckendall ont t transf r es vers l installation de traitement des boues d puration Soil Concept Diekirch e 145 7 tonnes de d chets organiques ont t livr es de l installation de Hesp range l installation du SICA Le graphique suivant reprend les quantit s de d chets organiques livr s par habitant En moyenne chaque habitant livrait une quantit de 103 kg de d chets Ce chiffre est relativement bas par rapport aux ann es pr c dentes Ceci est d l installation du SIGRE qui sert en principe une population de 52 978 habitants Par poubelle verte une quantit moyenne de 109 2 kg an a t collect e Quantit s des d chets organiques apport s par habitant kg 200 0 180 2 180 0 172 6 160 0 140 0 EMINETT KOMPOST Mondercange 120 0 BSICA Mamer j 111 7 09 5 RE DSIDEC Angelsberg 100 0 87 3 pue DSIDEC Fridhaff 80 0 BHesperange 7 2 E 61 1 63 7 ElLuxembourg 60 0 ui 55 8 mSIGRE 45 8 38 0 40 0 P N 0 7 23 6 124 5 19 0 19 7 20 0 11 0 7 3 3 9 D 0 0 0 0 Tous l
498. rs 3 2 8 2 L tat sanitaire de la for t Une recrudescence de l attaque des pic as par les scolytes a t constat e en automne 2006 ce qui est la cons quence des extr mes climatiques grande chaleur s cheresse 3 2 8 3 Les r g n rations les plantations les travaux de culture Le nombre de plants mis en terre s l ve 37 755 soit 31 630 feuillus et 6 125 r sineux Les reboisements sont en recul et la r g n ration naturelle est la r gle sous couvert Ainsi sont cr s des peuplements de semences autochtones correspondant notre philosophie d une sylviculture proche de la nature 190 Les for ts sont r g n r es naturellement de pr f rence le reboisement n est qu une mesure auxiliaire Tous ces travaux ont t subventionn s en for t communale et dans les for ts des tablissements publics 3 2 8 4 Les p pini res Les p pini res du cantonnement forestier de Mersch et particuli rement celle du Marienthal ont produit 31 000 plants 2 200 plants ont t repiqu s 3 2 8 5 Les travaux d am lioration En ce qui concerne les travaux d am lioration les d gagements ont t effectu s sur 191 44 ha et les nettoiements sur 152 23 ha 3 2 8 6 Les travaux de voirie La voirie foresti re a t am lior e par empierrement sur une longueur de 5410 m en for t communale et des tablissements publics et sur 1850 m en for t domaniale ce qui fait un total de 7260 m 3 2 8 7
499. rs de l ann e 2006 les dossiers de demande suivants concernant des parcs conteneurs ont t introduits Il s agit exclusivement de demande de modifications de parcs conteneurs existants Commune N C I N D chets Date entr e Autorisation Mersch 3 06 0078 02 PC 01 02 13 03 2006 examen R dange sur Attert 3 06 0232 02 PC 02 02 28 07 2006 examen Mersch 3 06 0233 02 PC 01 03 28 07 2006 examen Wiltz 3 06 0234 97 PC 02 04 28 07 2006 examen Diekirch Friedhaff 1 06 0356 02 PC 04 02 28 07 2006 examen Wiltz 3 06 0355 97 PC 02 05 12 12 2006 examen Concasseurs mobiles Durant l ann e 2006 les demandes d autorisations suivantes ont t introduites pour des concasseurs cribleurs mobiles Nom de l entreprise N C A N D chets Date entr e Autorisation Kurt prolongation 3 99 0314 06 CM 01 31 01 2006 examen Ecogec 3 06 0672 06 CM 02 14 02 2006 examen ICCO 3 06 0138 06 CM 03 27 04 2006 06 07 2006 Baatz 3 06 0306 06 CM 04 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0307 06 CM 05 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0308 06 CM 06 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0309 06 CM 07 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0310 06 CM 08 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0311 06 CM 09 03 11 2006 23 11 2006 Baatz 3 06 0312 06 CM 10 03 11 2006 23 11 2006 Manu Concassage 3 06 0343 06 CM 11 05 12 2006 examen Cialux 3 06 0329 05 CM 01 28 11 2006 30 11 2006
500. rs la fraction la plus importante Cependant le graphique ci dessus montre que la tendance constat e au cours des derni res ann es continue selon laquelle de plus en plus d entreprises avec de grands effectifs adh rent la SuperDrecksK scht 113 Les secteurs les plus repr sent s dans la SuperDrecksK scht fir Betriber sont les suivants Secteur Entreprises Nombre d employ s commerce 223 10 476 distribution et r paration de voitures automobiles 209 4 379 h tels restaurants et campings 173 2 197 Etablissements de soins et de la sante 154 14 377 Etablissements de service 151 5 629 Etablissements et services publics administrations 143 4 521 Stations de service 127 1 115 Banques et assurances 102 16 196 Construction 99 6 589 En tout le nombre des personnes employ es dans des entreprises qui ont adh r la SuperDrecksK scht Dr Betriber s l ve a 129 962 personnes Ceci repr sente 40 1 de l emploi total du Luxembourg Le label de qualit de la Super Drecksk scht Le label de la SuperDrecksK scht est d cern aux entreprises qui assurent une gestion cologique de leurs d chets conforme au concept de la SuperDrecksK scht Il peut tre d cern au plus t t 6 mois apr s l adherence d une entreprise En moyenne l attribution du label se fait cependant apr s un an de participation A la fin de l ann e 2006 1010 entreprises disposaient du label de qual
501. rs s tend sur 5 volets la gestion des d chets le traitement des donn es les bases l gales la s curit et la communication En 2006 16 participants venant de 8 parcs de recyclage diff rents ont t inscrits au cours Nom Pr nom Parc de recyclage Deltour Claude Esch sur Alzette Eckardt Patrick Oeko Center Hesperange Emrich Viktor Bech Kleinmacher Graffe Jean Claude Ville de Luxembourg Heuker Wim Institut St Joseph Betzdorf Loor Pascal SIDEC Mahnen Antoine Ville de Luxembourg Meyer Henri Esch sur Alzette Paulus Roland Esch sur Alzettte Reiser Roger Esch sur Alzette Thill Jerry Ville de Luxembourg Thimmesch Frank Strassen Vitv Armand SIDEC Wagner Anton Bech Kleinmacher Wies Patrick SIVEC Wirth David SIVEC 2 6 3 8 Le projet pilote Pr vention de d chets dans le commerce de d tail En 2006 le projet pilote Pr vention de d chets dans le commerce de d tail qui tait lanc en 2005 ensemble avec la Ville de Rumelange et l association des commer ants de Rumelange a t poursuivi Le projet s adresse en premi re ligne aux commer ants en d tail qui veulent offrir leur client le des produits favorables l environnement Un point essentiel du projet Pr vention de d chets dans le commerce de detail est l information directe des citoyens lors de l achat Les commer ants de d tail qui participent s engagent volontairement de remplir les cr
502. rtain nombre de projets dans les domaines identifi s par le PAF bois Energie promotion du mat riau bois 3 1 10 2 Comit Permanent Forestier En 2006 l Administration des Eaux et For ts a particip aux r unions et aux travaux du Comit Permanent Forestier CPF de la Commission Europ enne Les principaux sujets trait s concernent le suivi de la nouvelle r glementation sur la protection des for ts contre les agents biotiques et abiotiques notamment le feu Forest FOCUS la mise en uvre du PLAN d action forestier de l Union Europ enne et la mise en uvre des accords de partenariat FLEGT pour la lutte contre le commerce du bois ill gal 3 1 10 3 Conf rence des Ministres pour le Protection des For ts en Europe En 2006 l Administration des Eaux et For ts n a pas particip la r union d experts organis e par l Unit de Liaison de Pologne dans le cadre Conference des Ministres pour le Protection des For ts en Europe MCPFE ni aux diff rents groupes de travail concernant la pr paration de la 5 conf rence des ministres La Conf rence minist rielle pour la protection des for ts en Europe MCPFE est une initiative de coop ration politique de haut niveau Elle porte sur des opportunit s et des menaces communes concernant les for ts et la foresterie et encourage la gestion durable des for ts en Europe Cr e en 1990 elle est la plate forme politique pour le dialogue sur des questions fo
503. rtification r gionale PEFC en signant un engagement de qualit La demande est adress e par le propri taire de for ts publiques la direction de l AEF La direction enregistre la demande informe le chef de cantonnement et le pr pos forestier et d livre l attestation de participation la certification r gionale sur base de la certification r gionale e Le propri taire paye une cotisation quinquennale l asbl PEFC Luxembourg pour l utilisation de l attestation e Un auditeur externe et ou interne v rifie les pratiques de gestion et leur ad quation l engagement de qualit 160 En 2006 une vingtaine de propri taires ont re u une attestation de participation la certification r gionale suite leur d cision d adh rer la certification r gionale en signant un engagement de qualit Le nombre total de propri taires avoir re u une attestation de participation la certification r gionale s l ve donc a plus de 60 propri taires repr sentant plus de 24 de la surface bois e Les travaux de l Administration des Eaux et For ts concernent surtout la promotion du syst me aupr s des propri taires et des gestionnaires forestiers ainsi qu une s rie de modifications et d adaptations du Syst me de Management Environnemental SME L Administration des Eaux et For ts a organis des audits internes en deux phases savoir un audit interne du SME et des audits internes de terrain L aud
504. rvice de la Chasse et de la P che son secr tariat est assur par un fonctionnaire du m me service Le nombre de gibier autoris tirer dans le cadre du plan de chasse pendant la p riode cyn g tique 2006 2009 est le suivant y compris recours introduits cerfs m les 631 cerfs femelles 580 Cerfs faons 1 238 Chevreuils 28 311 A titre d information ci apr s le nombre de dispositifs de marquage accord s pour des p riodes cyn g tiques pr c dentes Esp ce P riode 1997 2000 P riode 2000 03 P riode 2003 06 P riode 2006 09 Cerf m le 518 Cerf femelle 526 2 Cerf faon Total cerf 859 1 044 1 468 2 449 Total chevreuil 25 390 26 388 27 804 28 311 Il faut souligner que ces chiffres ne doivent pas tre confondus avec le nombre de gibier tir r ellement qui est nettement inf rieur Le tableau de tir des esp ces de cerf et chevreuil des six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort cerfs m les 58 71 Biches 65 94 Faons 55 ar Base 178 Nombre de r ponses consid r es de 605 territoires de chasse 275 Espece CHEVREUIL 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 Brocards 2941 2983 3062 3023 3131 2953 Chevrettes 2220 2330 2422 2324 2399 2426 Chevrillards 1932 1999 2098 1832 2064 2111 Total chevreuils 7 093 7 490 7 582 7 179 7 594 7 490 Nombre de r ponses consid r es de 605 a de chasse 584 590 571 576 579 560
505. s Cet ouvrage pr sente la for t luxembourgeoise sur base de donn es statistiques obtenues lors du premier Inventaire Forestier National pour le Grand Duch de Luxembourg qui a t r alis dans un r seau d observation permanent d environs 5 200 placettes L objectif de cette publication est de fournir des informations objectives et fiables sur les ressources forestieres nationales ainsi que sur les aspects li s la notion de biodiversit en for t Le but de l Inventaire Forestier National savoir de constituer un v ritable observatoire de la for t a t atteint Ce livre constitue un ouvrage de r f rence pour tous ceux qui sont int ress s la for t en g n ral mais aussi son r le de production ses r les r cr atifs et de protection Il contient des l ments suffisamment vulgaris s pour veiller aussi l int r t d un public non forestier Le livre a t pr sent la presse en juillet 2005 et s est ensuite retrouv dans plusieurs articles de journal 3 3 12 L tude sur l tablissement d une methode de relev du bois mort Le bois mort constitue un indicateur reconnu pour l valuation de la biodiversit en for t et figure parmi les crit res de gestion durable des ressources foresti res La pr sence de bois mort terre et sur pied dans les diff rentes cat gories de grosseur et divers degr s de d composition assure le d veloppement d une flore et d une
506. s exposition sp cialement con ue pour cette foire les r serves en trois dimensions les essences de bois l utilisation du bois les routes du bois Bois Habitat invit s de Namur activit s pour les enfants vente aux ench res de trois silos de copeaux de bois animations pour les enfants sonorisation cam ras infrarouges et crans stand sp cialement con u pour cette manifestation 2 grands aquariums en verre avec groupes de refroidissement cascades 3 tangs biotope eau biotope for t et animaux empaill s les essences du bois et l utilisation bois organigramme de l administration et d coration montage fourniture mat riel arbres etc sonorisation et lumi res 156 3 1 10 Les processus internationaux 3 1 10 1 Conseil de l Union Europ enne En 2006 l Administration des Eaux et For ts a pris en charge le suivi les dossiers et a particip aux r unions du groupe de travail For ts du Conseil de l Union Europ enne Le groupe de travail s est r uni sept fois Bruxelles et plusieurs reprises l tranger New York Helsinki pour coordonner la position de PUE Les principaux dossiers trait s au groupe du Conseil taient la pr paration du GT et du 7 Forum des Nations Unies sur les For ts et l adoption du Plan d Action Forestier de PUE Le 6 me Forum des Nations Unies sur les For ts La r solution adopt e au FNUF6 en f vrier 2006 d cide de renforcer l
507. s allocutions de bienvenue de la part de Jean Jacques Erasmy Directeur de l Administration des Eaux et For ts et Raymond Aendekerk Pr sident de l asbl Haus vun der Natur des experts allemands belges et luxembourgeois pr sentaient diff rentes analyses et projets concrets provenant du Luxembourg et d Allemagne en relation avec la protection de la nature et la biodiversit en for t Le Prof Dr Jacques RONDEUX de la Facult universitaire des Sciences agronomiques de Gembloux Unit de Gestion des Ressources foresti res et des Milieux naturels exposait le sujet L apport de l inventaire forestier permanent du Grand duch de Luxembourg dans le suivi de la diversit biologique en for t Suivait la pr sentation du Dr Werner MAURER du Forschungsanstalt f r Wald kologie und Forstwirtschaft Rheinland Pfalz sur quelques r sultats en relation avec la biodiversit des cosyst mes forestiers Mesures de conservation du polymorphisme g n tique d esp ces d arbres risque d extinction e g cormier alisier torminal peuplier noir Le Dr Winfried B CKING de la Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Baden W rttemberg Abteilung Wald kologie encha nait avec Urw lder von Morgen Erfahrungen mit Bannw ldern in Baden W rtemberg Apr s une courte pause Markus DIETZ de a Institut f r Tier kologie und Naturbildung pr sentait une esp ce rare du milieu forestier le Vespertilion
508. s d chets 28 L objectif du d bat d orientation tait notamment de guider la discussion sur la proposition de directive 1 6 3 2 Conseil Environnement du 27 juin 2006 PROPOSITION DE DIRECTIVE INONDATIONS Le Conseil environnement du 27 juin 2006 est parvenu un accord politique sur cette proposition ayant fait l objet d un d bat d orientation en mars 2006 Le dossier position commune a t transmis au PE pour deuxi me lecture PROPOSITION DE DIRECTIVE QUALITE DE PAIR Dans l attente de l avis du PE le Conseil environnement du 27 juin 2006 a d gag une orientation g n rale sur la proposition de directive concernant la qualit de l air ambiant et un air pur pour l Europe Le Conseil Environnement de mars 2006 avait consid r qu il sera important que les consid rations de sant publique continuent tre prises en consid ration lors des n gociations et de garder l esprit l objectif visant r duire l exposition des personnes la pollution atmosph rique notamment aux particules fines Le Conseil Environnement avait galement consid r qu il sera n cessaire lors des n gociations futures sur la directive de reconna tre l importance d une marge de man uvre accrue pour les Etats membres afin qu ils puissent respecter leurs obligations Lorsque les Etats membres peuvent prouver qu ils ont pris toutes les mesures raisonnables pour mettre en uvre la l
509. s d chets organiques 93 2 6 5 Les parcs conteneurs 97 2 6 6 Les boues d puration 99 2 6 7 Les d chets d emballages 103 2 6 8 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 105 2 6 9 Les v hicules hors d usage VHU 107 2 6 10 Les actions de la SuperDrecksK scht 108 2 6 11 2 6 12 2 6 13 2 6 14 2 6 15 2 6 16 2 6 17 2 6 18 Les d chets inertes Les statistiques d chets Les transferts de d chets Les tablissements de valorisation et d limination de d chets Les plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s Les contr les environnementaux Les sites contamin s Le syst me de surveillance du sol 117 121 124 131 141 145 145 148 3 ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS 3 1 La Direction 3 1 1 3 1 2 3 1 3 3 1 4 3 1 5 3 1 6 3 1 7 3 1 8 3 1 9 3 1 10 3 1 11 3 1 12 3 1 13 3 1 14 3 1 15 3 1 16 3 1 17 3 1 18 3 1 19 G n ralit s Les travaux l gislatifs Participation des groupes de travail interminist riels Les contacts interr gionaux Les r unions de service La gestion du personnel effectifs bureaux formation continue La formation La Cellule ouvriers forestiers Les activit s de sensibilisation et d information du public Les processus internationaux La certification des for ts Le plan de d veloppement rural Le projet Interreg III B Probois Proholz Le suivi du Programme Forestier
510. s de chasse et les locataires du droit de chasse des lots respectifs en vue de la modification du contrat de bail initial admission d un colocataire suppl mentaire renonciation d un locataire sa part indivise du droit de chasse au profit de ses colocataires transfert du droit de chasse d un locataire un autre En outre pour 9 lots de chasse le ou un des locataires du droit de chasse est d c d en 2006 Ainsi une option a t pr sent e par les locataires survivants respectivement les h ritiers en vue de la continuation du contrat de bail de chasse Le service de la Chasse a contr l et avis les dossiers en question 3 5 4 Statistiques relatives au gibier tir En vue de suivre l volution du cheptel gibier une statistique du gibier tir est tablie annuellement par le service de la chasse A cet effet les locataires de chasse sont invit s communiquer l administration le nombre de gibier tir sur leur lot de chasse la fin de l ann e cyn g tique Le taux de r ponse pour le retour des questionnaires qui est de l ordre de 95 et plus est consid rer comme excellent Ci apr s le tableau de tir provisoire de l ann e cyn g tique 2005 06 allant du 1 ao t 2005 au 31 juillet 2006 561 des 605 territoires de chasse ont t pris en compte soit 92 7 Yo 278 Cantonnement forestier Diekirch Greven macher Luxbg Est Wiltz Total gibier tir Gibier accident tro
511. s de loisirs de la commune de Niederanven lors des vacances scolaires Le triage de Hesperange a r alis une plantation d une haie de charmes et d rables sycomores dans g p g p y la for t domaniale Buchholz avec les enfants de l cole primaire de Hesperange dans le cadre de la Journ e de l arbre 3 2 6 16 Divers Am nagement du b timent du Centre forestier Cr ation d une annexe en vue d une augmentation du nombre des bureaux et de am nagement d une r ception avec centrale t l phonique g rant les appels ainsi que les visiteurs pour le centre forestier et le SIAS respectivement la station biologique Formation Le triage de Sandweiler a accueilli deux l ves du lyc e Technique d Ettelbr ck pendant les vacances scolaires Le pr pos du triage de Kiem a donn un apport substantiel lors de l organisation et du d roulement des cours de formation continue des ouvriers forestiers e 2 cours PEFC pour ouvriers forestiers coorganisateur 2 cours d abattage de gros feuillus Fred Mathias 1 cours grimpeur Fred Mathias 2 cours de s curit en g n ral coorganisateur 1 cours taille arbre fruitiers Peste porcine Le triage de Sandweiler a assur l administration du centre de collecte de cadavres jusqu au 1 5 06 t che qui fut poursuivie par le triage de Kiem Le triage de Kiem s est charg du d placement du conteneur r frig ratif ainsi que de sa connexion une fosse septique nouvelle et
512. s durant l ann e 2006 ont t effectu es d office ou bien sollicit es par d autres administrations et services publics respectivement par des organisations d utilit publique ou des particuliers Des relations troites sont entretenues avec les services et triages forestiers de l administration le Minist re de l Environnement ainsi qu avec les services de l Administration de l Environnement l Unit de Contr le de l Administration des Services techniques de l Agriculture Une collaboration troite est galement entretenue avec les deux parquets des tribunaux d arrondissements et le parquet g n ral Des missions concert es avec les pr pos s forestiers ainsi que des interventions d appui ont t r alis es notamment en ce qui concerne la protection de la nature et des ressources naturelles la for t la p che et la chasse 3 6 7 Formation Les agents de l Entit mobile ont fr quent au cours de l ann e 2006 les cours de formation continue sur e l application pratique du logiciel ArcGIS e l introduction la manipulation du logiciel Photoshop CS2 e application du r glement CE n 853 2004 fixant des r gles sp cifiques d hygi ne applicables aux denr es alimentaires d origine animale e la d termination pratique de l ge des cerfs tir s au moyen de crit res simples 285 3 7 La Cellule informatique 3 7 1 Informatique 3 7 1 1 Maintenance et adaptation amp volutive des a
513. s en place y compris celles op rant dans le cadre de conventions maritimes r gionales lesquelles couvrent la r gion ou sous r gion maritime concern e Une telle coop ration est galement de mise avec les pays tiers en se fondant sur les programmes et activit s labor s dans le cadre de structures issues d accords internationaux Le compromis a consist ajouter que la coordination et la coop ration sont tendues lorsque cela est opportun tous les Etats membres situ s dans le bassin hydrographique d une r gion ou sous r gion marine y compris les Etats membres enclav s en vue de permettre aux Etats membres faisant partie de cette r gion ou sous r gion de remplir leurs obligations au titre de la future r glementation en utilisant les structures de coop ration pr vues par cette derni re ou par la directive cadre 2000 60 CE eaux gt ad autorit s comp tentes L article 6 pr voit que les Etats membres sont tenus de d signer la ou les autorit s comp tente s pour chaque r gion ou sous r gion marine concern e Le compromis consiste ajouter que les Etats membres situ s dans le bassin hydrographique d une r gion ou sous r gion marine sont galement tenus cette obligation ceci des fins de coop ration et de coordination En outre l article relatif aux destinataires de la directive a t compl t e par une disposition selon laquelle les Etats membres enclav s sont tenus de met
514. s essences d accompagnement et les essences secondaires pr sentent des niveaux d adaptation divers selon l cologie de chacune d elle et les caract ristiques de la station Quel que soit leur degr d adaptation la pr sence de ces essences en m lange dans les peuplements est tr s utile car certaines ont la capacit de mobiliser et mettre en circulation de grandes quantit s de min raux qui peuvent faire d faut d autres Globalement les sols de la for t communale de Wormeldange sont tr s peu favorables la sylviculture des r sineux Aucune essence r sineuse n est propos e sans aucune r serve en raison de leur sensibilit la compacit ou de la pr sence possible de calcaire actif faible profondeur 3 3 4 2 La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Bertrange Conditions naturelles La for t communale de Bertrange couvre une superficie de 315 ha La for t est constitu e de quatre massifs distincts de tailles diff rentes L nneschte B sch et le massif situ au lieu dit H en sont respectivement situ s au sud et au sud ouest de l agglom ration de Bertrange Le troisi me massif est situ l ouest de l agglom ration au lieu dit Heed en continuit avec la for t communale de Mamer lieux dits Dudschleed et Houscht La derni re partie au nord est constitu e d une fine bande bois e situ e sur les versants du Tossebierg L Ennesc
515. s les fourr s des r g n rations naturelles s imposent de plus en plus Comme la r g n ration naturelle a t largement favoris e durant les deux derni res d cennies et suite une transformation d une partie des peuplements r sineux en peuplements feuillus ce type de travail va probablement dominer la prochaine d cennie Comme ces interventions favorisent collectivement les sujets d avenir il importe que ces travaux soient ex cut s par un personnel averti 3 2 9 8 Voirie Une bonne infrastructure est indispensable une exploitation rationnelle et conforme aux exigences d une sylviculture proche de la nature Dans ce sens il importe que les distances de d bardage soient minimis es et que le r seau des chemins carrossables soit adapt aux exigences des grumiers d aujourd hui De m me le succ s du dossier Bois Energie d pend entre autres d une vidange rationnelle du bois 195 Vu le terrain accident de l Oesling la planification et la construction de nouveaux chemins forestiers voire la r fection et l empierrement de chemins existants pr sentent une t che de premier ordre au cantonnement Ceci vaut aussi bien pour la for t soumise que pour la for t priv e En outre une bonne voirie est indispensable en cas d incendie Ceci vaut entre autres pour acc der aux versants bois s autour du Lac de la Haute S re En 2006 20 projets r alis s en collaboration troite avec le cantonnement
516. s ont t trait es pour la for t priv e et 25 demandes pour la for t soumise en 2006 au Cantonnement de Diekirch Les demandes de subventions se sont r parties comme suit e en for t priv e 85 demandes pour des travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc 3 demandes pour des travaux de voirie foresti re e en for t communale soumise 25 demandes pour des travaux sylvicoles courants tels que plantations claircies mesures de protection etc 5 demandes pour des travaux de voirie foresti re 3 2 4 8 For t priv e Comme par le pass des contacts r guliers avec des propri taires forestiers priv s ont t entretenus soit sur demande individuelle soit indirectement par l entremise du conseiller du Groupement des Sylviculteurs a s b l a Des visites des lieux ont eu lieu chaque fois que cela s imposait notamment pour les demandes concernant la construction de chemins forestiers et en particulier pour la d finition des trac s sur le terrain pour les claircies le choix des essences et l appr ciation de travaux forestiers ex cut s par des entreprises foresti res 3 2 4 9 D g ts de gibier Compar l ann e 2005 o le nombre de d clarations de d g ts de gibier sur les pr s et champs s est lev 907 celui de 2006 s est vu baiss 323 totalisant une superficie de 108 34 ha Outre cela trois dossiers de d g ts de gibier en for
517. s pauvres qui sont les mieux repr sent es 83 L habitat du Luzulo Fagetum occupe une superficie de 7 Cette for t d tient pour la plus grande partie un aspect caract re de for t cath drale avec une strate arbustive quasi manquante La zone foresti re Laangmuer est d clar e zone prot g e d int r t national en date du 7 novembre 2005 La zone prot g e englobe une superficie de 102 94 ha et se partage en deux parties distinctes savoir une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone tampon Le but recherch par la cr ation d une zone tampon est celui de pouvoir am nager une lisi re de for t suivant des crit res cologiques Avancement du projet L inauguration de cette r serve a eu lieu le 7 juin 2006 en pr sence de Monsieur le Ministre de l Environnement ainsi que du bourgmestre de la commune concern e Afin de mieux informer le public sur les diff rents aspects cologiques de cette nouvelle zone prot g e une construction d accueil a t am nag e l entr e principale de la r serve Cette installation est constitu e principalement de deux murets en ma onnerie semi s che lesquels sont install s de part et d autre du panneau d information g n ral Ce panneau d crit les principales caract ristiques de la r serve ainsi que les raisons pour lesquelles cette for t a t mise sous protection int grale Des panneaux d information ont t instal
518. s pendant une p riode de trois ans Cette tude pr conise entre autre une extr me prudence quant l exploitation foresti re du Schnellert Le dossier de classement pour la r serve naturelle foresti re de Berdorf Consdorf Echternach RN RF 05 lequel a t labor pour le compte de Minist re de l Environnement va m me plus loin en recommandant que le site soit int gralement g r en tant que r serve foresti re int grale Etat d avancement Le dossier de classement est finalis et a t remis par le bureau d tudes La surface de la future zone prot g e est de154 ha La commune de Berdorf en est le principal propri taire avec 123 ha suivi de la commune de Consdorf avec 31 ha Le restant appartient principalement des propri taires priv s En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Ce zonage s explique comme suit e d un c t les propri t s des deux communes qui ont donn es leur accord de principe pour participer au projet est int gr e dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficiera des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette partie pourra continuer tre exp
519. s prescrits par la l gislation et la r glementation nationales et internationales en mati re de protection de la nature et des ressources naturelles de lutte contre la pollution atmosph rique et le bruit de lutte contre le changement climatique de protection des eaux de pr vention et de gestion des d chets d assainissement et de r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contamin s d utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 3 l aide devra tre modul e en fonction des crit res g n raux suivants consid r s soit s par ment soit conjointement le caract re local r gional national ou international du projet le caract re exemplaire innovateur pr ventif ou contraignant du projet une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 75 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la constitution du r seau de zones prot g es conform ment l article 2 de la loi concernant la protection de la nature une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la coh rence cologique du r seau des zones prot g es par le maintien et le d veloppement des l ments du paysage qui rev tent une importance pour la faune et la flore sauvage
520. s requises par les nombreuses Directives Reglements ou accords volontaires auxquels le Luxembourg est tenu Rencontrer au mieux ces objectifs devrait nous offrir par la m me occasion davantage d information sur l tat de notre environnement Enfin en 2006 la cellule statistique a repr sent activement le minist re dans les r unions ou organes internationaux suivants e Commission europ enne DG ENV Climate Change Committee Working Group Il e Commission europ enne Eurostat DIMESA Director s Meeting of Environmental Statistics and Accounts Groupes de Travail sur les Comptes de l Environnement et mati res connexes Groupe de Travail sur les IDD e Agence Europ enne pour l Environnement r unions PFN EIONET voir ci dessus r unions relatives la production et la communication de donn es sur l tat de l environnement et Conseil d administration e OCDE Comit des Politiques d Environnement EPOC et Groupe de Travail sur l Information et les Perspectives environnementales WGEIO e OCDE UNECE Eurostat Joint Working Group on Statistics for Sustainable Development 1 4 Service Informatique 1 4 1 Projet SIGenv2 Syst me d information g ographique de l Environnement La deuxi me g n ration du syst me d information g ographique de l Environnement SIGenv2 est utilis e de plus en plus fr quemment par les agents du Minist re de l Environnement et les agents de l Administration des Eau
521. s sont appr ci s au del du territoire qu ils recouvrent et des fronti res nationales En outre certains paysages pr sentent des caract ristiques communes de part et d autre d une fronti re et des mesures transfrontali res sont alors n cessaires pour appliquer les principes d action Enfin les paysages sont expos s aux influences favorables ou d favorables de processus qui peuvent se d clencher dans d autres zones et faire sentir leurs effets par del les fronti res C est pourquoi il est l gitime de s occuper des paysages au niveau europ en La diversit et la qualit des valeurs culturelles et naturelles li es aux paysages europ ens forment un patrimoine commun des Etats europ ens ce qui leur impose de prendre en charge ensemble les moyens propres garantir de fa on concert e la protection de ces valeurs Seule une convention internationale l chelle du Conseil de l Europe peut contribuer atteindre cet objectif afin de fournir une r f rence juridique aux autres initiatives internationales uvrant dans ce domaine La Convention europ enne du paysage laisse aux Parties le choix des moyens utiliser dans leurs ordres juridiques internes pour s acquitter des obligations d coulant de celle ci Les moyens juridiques administratifs fiscaux et financiers mis en place dans chaque pays aux fins de la mise en uvre de la convention doivent s inscrire le plus harmonieusement possible dans les traditions nationales De
522. s soumises au r gime travaux r alis s dans le cadre de la certification des for ts 3 2 9 Le cantonnement de Wiltz 3 2 9 1 L exploitation des coupes Conform ment l application d une sylviculture proche la nature les travaux d claircies dominaient Des coupes rases ont uniquement t r alis es dans le cadre de la lutte contre les attaques des scolytes et lors du d boisement de fonds de vall es enr sin s ceci dans un int r t cologique g n ral Le volume global exploit lors de l exercice 2005 2006 se chiffre 28 300 m dont 3 000 m de feuillus ce qui correspond un volume exploit de 4 7 m ha an et repr sente une hausse de 54 par rapport l ann e pr c dente Les raisons en sont multiples savoir une m canisation de plus en plus intense gt 4 000 m en 2006 une hausse cons quente du prix des bois et des coupes de calamites provoqu es d une part par le bostryche dans les r sineux et d autre part par la maladie du h tre dans les feuillus Le volume de bois scolyt s s l ve 2 000 m s y ajoute un volume de bois non n gligeable situ directement autour des foyers bostrych s Partant le volume total r alis d au scolyte s l ve quelques 5 000 m En feuillus seul du bois de trituration et du bois de chauffage ont t r alis s La raison en est que la maladie du h tre fait toujours ravage 1 200 m en provenance de coupes sanitaires e
523. s suivants ont t r alis s en 2006 e for t communale de Bettembourg 361 30 ha e for t communale de Hesperange 352 30 ha e for t communale de Hesperange usufruit 34 59 ha e for t communale de Junglinster 118 82 ha e for t communale de Kehlen 466 29 ha e for t communale de Lintgen 362 55 ha e for t communale de Saeul 245 62 ha Total 1 941 47 ha Les inventaires suivants ont t entam s en 2006 e for t domaniale de Bissen 43 00 ha e for t communale de Folschette anc com 220 14 ha e for t communale de Rambrouch anc com 524 63 ha Total 787 77 ha Une cartographie du r seau de voirie ainsi que des orthophotos ont t r alis es pour les propri taires suivants for t communale de Bettembourg 361 30 ha for t communale de Heseperange 352 30 ha for t communale de Hesperange usufruit 34 59 ha for t communale de Hobscheid 598 04 ha 202 e for t communale de Junglinster 118 82 ha e for t communale de Kehlen 466 29 ha e for t communale de Lintgen 362 55 ha e for t communale de Saeul 245 62 ha Total 2 539 51 ha Une cartographie du r seau de voirie a t r alis e pour les propri taires suivants e for t communale d Echternach 645 44 ha e for t communale de Mompach 643 80 ha Total 1 289 24 ha 3 3 2 3 Travaux sur l application En 2006 la Cellule informatique a r alis les changements suivants sur l application de saisie des donn es d inventaire e ajout d une foncti
524. s un futur proche des investissements importants pour la r alisation d infrastructures en mati re de gestion des d chets plusieurs comit s d accompagnement ont t cr s Ces comit s ont pour mission de suivre la mise au point des projets d investissement et leur ex cution sur le plan technique financier et budg taire d aviser les projets d infrastructures en ce qui concerne leur ligibilit une participation financi re tatique imputable au fonds pour la protection de l environnement et de proposer le cas ch ant Monsieur le Ministre de l Environnement les modalit s de subvention des projets Les membres des comit s d accompagnement sont d sign s par arr t s minist riels Les comit s se composent de repr sentants du ministre de l Environnement des ministres de l Int rieur et du Budget ainsi qu un d l gu du ma tre de l ouvrage concern Le comit d accompagnement SIDEC Le comit d accompagnement permanent relatif l am nagement et l installation des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s de la d charge Friedhaff fut cr par r glement grand ducal du 20 d cembre 2001 En 2004 5 le comit d accompagnement a pr par un rapport avec les aspects techniques et financiers des investissements du SIDEC Le rapport final ensemble avec une proposition de texte pour un projet de loi ont t transmis au Ministre de l Environnement Le projet de loi en question t
525. sements class s et les dispositions d urbanisme faillites et cessations d activit s meilleures techniques disponibles droits acquis etc De nombreux probl mes juridiques se sont galement pos s dans l application d autres l gislations environnementales et connexes la l gislation tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre mise en place du registre luxembourgeois de gaz effet de serre la l gislation relative aux d chets la l gislation sur l acc s l information environnementale la l gislation sur la proc dure administrative non contentieuse la l gislation relative la protection des donn es la l gislation relative aux agr ments la responsabilit environnementale la r glementation relative aux subventions pour l utilisation rationnelle d nergies renouvelables etc Le service juridique a en outre contribu l laboration de certaines r ponses la Commission des Communaut s Europ ennes suite des mises en demeure et avis motiv s adress s au Grand Duch de Luxembourg dans le cadre de la transposition voire de l application de certaines normes communautaires 37 2 2 2 3 Constitution de dossiers requis dans le cadre de proc dures contentieuses Dans le cadre de la plupart des recours contentieux port s devant les juridictions administratives le service juridique a pr par en collaboration avec les diff rentes divisions concern es des notes
526. siles 2 6 15 Les plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s Conform ment l article 21 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets les tablissements artisanaux commerciaux et industriels doivent tablir un plan de pr vention et de gestion des d chets ppgd lors de l introduction d un dossier de demande d autorisation en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La Division des d chets assure la v rification et le suivi de ces ppgd Notamment les trois tapes suivantes sont mises en uvre e V rification du premier plan de pr vention et de gestion des d chets tabli par l tablissement e Demande d un rapport annuel sur les quantit s de d chets produits tablissement de la classe 1 e R vision trisannuelle du plan de pr vention et de gestion des d chets Les mesures sont le cas ch ant accompagn es par des visites des lieux 2 6 15 1 La base de donn es des dossiers de gestion des d chets Toutes les informations en relation avec la pr vention et la gestion des d chets figurant dans les ppgd des tablissements les rapports annuels et les r visions sont saisies et centralis es dans une base de donn es ACCESS A la fin de l ann e 2006 environ 3136 dossiers subdivis s en 2512 ppgd 468 rapports annuels et 156 r visions de ppgd taient enregistr s dans cette base de donn es dont e 17
527. sise en vue d am nager une installation pour le tri et le traitement de d chets de ferraille L arr t a t sign et notifi en date du 15 f vrier 2006 Dossier C I N 1 05 0203B Dossier D chets N 05 PD 02 01 131 En date du 9 mai 2006 un bureau d tudes a introduit un dossier de demande au nom et pour le compte de l entreprise Recyma S A en vu de l am nagement et de l exploitation d un centre r gional pour la gestion de d chets inertes pr s de Bettembourg et Hellange sur le territoire des communes de Dudelange Bettembourg Frisange et Roeser En date du 6 juillet 2006 des informations suppl mentaires ont t demand es qui nous sont parvenues en date du 12 juillet Les arr t s minist riels d autorisation sont en cours de pr paration Dossier C I N 1 06 0245 Dossier D chets N 06 PD 01 Dans le cadre du dossier mentionn auparavant un dossier concernant les travaux de pr paration pour am nager la piste d acc s vers le centre de gestion pour d chets inertes a t introduit par le m me bureau d tudes en date du 18 juillet 2006 Celui ci a t consid r ensemble avec le dossier 1 06 0245 Dossier C I N 1 06 0337 Dossier D chets N 06 PD 02 Installations de compostage En date du 6 juillet le SIDEN a introduit un dossier de demande pour pouvoir mettre jour les autorisations couvrant l exploitation de l installation de compostage pour boues provenant de stations d puration d eaux us es
528. sition d informations g ographiques num riques 20 1 5 tablissements class s 21 1 5 1 Journ e de r flexion sur la l gislation relative aux tablissements class s 21 1 5 2 Proc dures et d lais d instruction 22 1 5 3 Collaboration entre administrations concern es dialogue et change d information avec les milieux professionnels 22 1 5 4 R vision de la nomenclature 22 1 5 5 Conditions d am nagement et d exploitation types 22 1 5 6 Le comit d accompagnement en mati re d tablissements class s 23 1 6 L gislation environnementale et Conseils Environnement UE 23 1 6 1 Lois et r glements grand ducaux publi s au M morial en 2006 23 1 6 2 Projets de loi et de r glement grand ducal soumis la proc dure d approbation 25 1 6 3 Conseils Environnement 25 1 7 Agr ments d livr s dans le domaine de l environnement humain et naturel 34 2 L ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT 35 2 1 L organisation 35 2 1 1 Le personnel de l administration 36 2 1 2 Les locaux de l Administration de l Environnement 36 2 2 Service Juridique 37 2 2 1 Cr ation du service juridique 37 2 2 2 Principales activit s du service juridique 37 2 3 Le Service Agr ments et management environnemental 39 2 3 1 Personnes agr es 39 2 3 2 Management environnemental 45 2 4 La Division des Etablissements Class s 46 2 4 1 La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 46 24 2 Les principales ta
529. sse 4 2006 cessation daetivie Y 4 a 2 2 195 430 368 370 339 356 279 297 md ie initiale 5 48 2 4 4 Service des inspections Le 27 avril 2001 le Parlement europ en et le Conseil ont publi la recommandation 2001 331 CE du 4 avril 2001 pr voyant des crit res minimaux applicables aux inspections environnementales dans les Etats membres Cette recommandation couvre les inspections environnementales d tablissements d installations et d activit s qui doivent faire l objet d autorisations permis ou licences en vertu du droit communautaire environnemental en vigueur installations r glement es La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s couvre une grande partie de ces installations Le Service des inspections de la Division des tablissements class s de l Administration de l Environnement a t cr en septembre 2005 Il est en charge de veiller ensemble avec les autres services de la division e enregistrer le suivi des autorisations r cemment d livr es e donner suite aux demandes du Parquet des tribunaux d arrondissement e r aliser un programme d inspection tel que recommand par les instances de UE e donner suite aux r clamations concernant des nuisances et pollutions pr sent es par des particuliers Les inspections comprennent la v rification de la conformit des installations aux exigences environnementales applicables en se basant su
530. stark ausgepr gt ist 2006 erfolgt ein erneuter Populationsanstieg Die Entwicklung der Fangzahlen zwischen 2002 und 2006 auf den Fallenstandorten in Rheinland Pfalz entspricht den Erwartungen bez glich der Populationsentwicklung indem im Jahr nach einem Extremereignis wie der D rre 2003 ein starker Anstieg der Population zu erwarten ist letztere bei Nachlassen der f r das Insekt g nstigen Bedingungen aber wieder auf das Ausgangsniveau zur ckgeht Latenz Ungekl rt bleibt jedoch warum diese Entwicklung auf den drei Fallenstandorten Luxemburgs gegenl ufig verl uft 246 Neben dem Vergleich des Populationsniveaus in den verschiedenen Regionen wurden noch folgende Aspekte analysiert e Populationsdynamik an den einzelnen Fallenstandorten e Jahreszeitlicher Verlauf des K ferfluges e Geschlechterverh ltnis Im Rahmen der Auswertung wurden auch die K ferarten Trypodendron lineatum und Trypodendron signatum unterschieden Um hier in Zweifelsf llen eine Entscheidungshilfe zu bekommen wurde es angedacht von mehreren Exemplaren bei denen die Artunterscheidung zwischen Trypodendron lineatum und Trypodendron signatum mit den vorhandenen Mittel nicht eindeutig m glich ist Fotos anzufertigen und anschlie end eine DNA Analyse durchzuf hren Auf diese Weise sollte es m glich sein einen besseren Eindruck von der Merkmalsauspr gung beider Arten zu bekommen Zusammenarbeit mit Prof Lakatos von der Universit t Sopron Ungarn 247 3 4
531. station de base le pluviom tre et le m t basculant portant l an mo girouette et le capteur de rayonnement Les diff rents capteurs ainsi que la station elle m me sont homologu s par METEO FRANCE La station mesure et enregistre 7 param tres e temperature de l air ambiante e temperature du sol 10 cm de profondeur e pluviom trie quantit de pluie 243 hygrom trie humidit de l air vitesse du vent direction du vent rayonnement solaire global En 2006 part de la maintenance annuelle des deux stations une mise l heure a t effectu e sur HETL2 pr cipitation annuelle en mm HET LI 725416134 715 604 8 617 4 948 2 958 2 900 6 846 2 HET L2 741 6 683 2 655 4 584 0 798 6 1024 4 999 4 952 4 869 2 E probl mes techniques entre le 16 mai et le 30 juin 2006 HETL2 et entre le 1 septembre et le 9 octobre 2006 HETLI Tandis que la station du Waldhof a mesur 741 6 mm de pr cipitation annuelle en 2006 celle du P nzebierg n en a enregistr que 725 4 mm Les valeurs se situent en dessous des moyennes pluriannuelles calcul es pour les deux stations Cette diminution des pluies peut tre observ e depuis l ann e 2002 Par rapport l ann e pr c dente les deux stations ont enregistr une nette augmentation des pr cipitations Pour les stations du P nzebierg et du Waldhof le mois d ao t s est montr le plus pluvieux Le tableau suivant permet de comparer les temp r
532. stations le mois d ao t fait exception En ne tenant pas compte de l habilit des arbres de s approvisionner par la r serve en eau utile des sols on peut donc dire que les arbres ont t soumis un certain effet de stress hydrique pendant certains mois notamment en juillet 2006 caract ris s par un d ficit hydrique positif 244 Station m t orologique du P nzebierg Temp ratures moyennes et pr cipitations D ficits hydriques potentiels ETP P mm mensuelles S mm Pluie mm 140 0 120 0 1 Temp moy C 100 0 A 80 0 60 0 40 0 g 20 0 0 0 Hot 20 0 v frar oer o ov ec 40 0 60 0 a 80 0 Station m t orologique du Waldhof Temp ratures moyennes et pr cipitations D ficits hydriques potentiels ETP P mensuelles mm mm 180 160 Pluie mm 120 0 140 1 Temp moy C 100 0 120 0 0 o Te GE 40 0 60 0 0 1 80 0 100 3 3 14 4 Interreg IIA DeLux Projekt Entwicklung von Strategien zur Sicherung von Buchenw ldern Im Rahmen des Interreg IIA DeLux Projektes Entwicklung von Strategien zur Sicherung von Buchenw ldern 2003 2005 wurden im Jahr 2006 knapp ein Jahr nach dem Abschlusssymposium die gesammelten Ergebnisse in Form von Beitr gen in einem gemeinsamen Band der Administration des Ea
533. stier de l Ellergronn Esch Alzette qui a t ouvert entretemps au grand public 3 2 7 14 Les manifestations r gionales L Administration des Eaux et For ts a particip activement l organisation de diverses Journ es de l Arbre initi es par la Fondation H llef fir d Natur respectivement de diverses Journ es de la Nature organis es par certaines administrations communales pour leurs classes scolaires 3 2 7 15 Divers L arrondissement des domaines et expertises En 2006 2 3560 ha de terrains ont t expertis s en vue d une acquisition par les communes ou l Etat 3 2 8 Le cantonnement de Mersch 3 2 8 1 L exploitation des coupes et vente des bois Le volume exploit pour l exercice 2006 s l ve 31 161 35 m 15 547 72 m feuillus et 15 613 63 m r sineux Vu la demande de plus en plus importante en bois de chauffage 1 633 44 m et 3 074 st res de bois de chauffage ont t vendus des particuliers habitant prioritairement dans les diverses r gions du cantonnement Ce volume important est compos de bois en st res de bois longs et de menus bois La recette totale du bois s l ve 1 215 436 03 EUR TVA incluse La moyenne par m est de 39 00 EUR TVA incluse Le nombre de ventes par soumission organis es ensemble avec le cantonnement voisin de Diekirch s l ve 7 La derni re vente de fin d cembre 2006 tait une vente nationale de h tre et concernait cinq cantonnements forestie
534. structions pour la r alisation des travaux d am nagement Afin de rendre les travaux d am nagement coh rents et dans la perspective que des bureaux d tudes seront appel s pr ter une assistance technique l administration les instructions suivantes ont t r dig es e Instructions du Service de l Am nagement des Bois concernant les am nagements forestiers du 15 d cembre 2006 e Instructions du Service de l Am nagement des Bois concernant la cartographie r alis e dans le cadre d un am nagement forestier du 15 d cembre 2006 3 3 1 2 Am nagement de la for t communale de Berdorf 644 ha Les travaux en relation avec l tablissement d un plan d am nagement forestier pour la propri t foresti re de la commune de Berdorf ont t entam s en 2006 mais aboutiront seulement courant 2007 3 3 1 3 Plan Simple de Gestion de la for t communale de Reckange 58 ha Le service de l am nagement des bois a confi l Institut pour le D veloppement Forestier France un projet pilote consistant proposer sur le mod le actuellement utilis en France pour l laboration de plans simples de gestion en for t priv e un plan d am nagement abr g pour la propri t foresti re de la commune de Reckange 58 ha Ce plan d am nagement abr g contient un programme d interventions ainsi que des indicateurs de suivi de ce programme Des r gles g n rales de gestion ont t tablies pour
535. sup rieure de l Alzette Vall e de la Mamer et de l Eisch Grunewald Haff R imech et Vall e sup rieure de la Moselle Dudelange Haard Vall e de la S re inf rieure Machtum Pellembierg Froumbierg Greivenmaacherbierg Zones humides de Bissen et Fensterdall Wilwerdange Conzefenn Cruchten Bras mort de l Alzette Fingig Reifelswinkel Leitrange Heischel Grass Moukebrill Massif forestier du Ielboesch Massif forestier du Aesing Massif forestier du Waal Aspelt Lannebur Am Kessel 3 4 1 11 Am nagements cologiques Zones industrielles et zones de verdures intra urbaines Le concept de ces projets consiste dans am nagement des alentours imm diats des b timents dans une zone industrielle et des zones de verdures intra urbaines suivant des crit res cologiques Les 258 plantations sont compos es uniquement d esp ces indig nes Les surfaces herbac es sont constitu es d un m lange d esp ces indig nes et sont soumises diff rentes intensit s de fauchage La d limitation des zones v g tation entretenues de mani re extensive est r alis e au moyen de poteaux en bois ce qui refl te le caract re rural de notre paysage Les am nagements r alis s en 2006 sont les suivants am nagement cologique autour de deux entreprises Remerschen am nagement cologique pr s du ch teau de Colnet d Huart Bertrange am nagement cologique dans un lotissement Graulinster am n
536. t 2 6 10 1 La mise en uvre de la loi du 25 mars 2005 relative au financement et au fonctionnement des actions de la SuperDrecksK amp scht Au cours de l ann e 2006 les documents requis pour l appel public de candidatures pour l ex cution future des actions de la SuperDrecksK scht furent finalis s Pour ce faire un groupe de travail ad hoc a t institu avec des repr sentants du Minist re de l Environnement de l Administration de l Environnement et de la Chambre des M tiers Les documents suivants ont t labor s e lavis de march e le cahier d taill des charges comprenant les clauses contractuelles g n rales les clauses contractuelles administratives et les clauses techniques De m me les crit res de s lection des candidats en conformit avec les dispositions de la loi du 25 mars 2005 ont t arr t s A la suite de ces travaux l appel de candidatures a t envoy en date du 2 octobre 2006 au Journal officiel des Communaut s europ ennes et a t publi en date du 4 octobre 2006 dans la presse indig ne La date limite de remise des dossiers de candidatures a t fix e au 15 novembre 2006 2 6 10 2 Les contrats de franchise Depuis quelques ann es d j les actions de la SuperDrecksK scht suscitent un grand int r t aupr s d institutions et de soci t s trang res L objectif est de mettre en place dans leurs r gions ou pays respectifs cette m me activit A cet e
537. t en 2006 170 r unions sorties sur le terrain et soumissions Les sorties dans les triages forestiers s l vent 115 dont 20 martelages dans les peuplements de feuillus 13 r unions ont t organis es avec le service CN en relation avec diff rents dossiers en cours autoroute sentiers didactiques autorisations plans de gestion 35 autres r unions ont eu lieu aupr s du cantonnement avec les pr pos s de triage les bureaux d tudes les communes etc Les activit s des triages forestiers Triage forestier de Lorentzweiler e organisation d un week end de biodiversit e p turage extensif de 7 50 ha dans les pelouses s ches e organisation de 2 manifestations Lintgen et Lorentzweiler dans le cadre de la journ e nationale de l arbre e action Bongerten plantation de 170 arbres fruitiers avec installation de 170 protections individuelles e taille de 280 arbres fruitiers Triages forestiers de Mersch Est et Ouest e fonctionnement du centre de collecte de sangliers au Marienthal 170 heures prest es et remise de 325 sangliers e action Bongerten avec 26 classes primaires 10 classes pr scolaires et 4 classes pr coces de l cole de Mersch nombre de participants 653 enfants entretien du sentier Sannert am nagement du sentier didactique au Mamerdall plantation d arbres pour les nouveaux n s au lieu dit auf Haard organisation de la vente locale de bois de chauffage au Recke
538. t introduit aupr s de l Administration de l Environnement Il a t d clar complet et transmis le 25 septembre 2006 aux administrations communales concern es en vue de la proc dure d enqu te publique pr vue par la loi A la fin de l ann e 2006 les communes de Bettembourg Dudelange Roeser et Frisange ont mis des avis favorables quant au projet Dans aucune des communes une r clamation contre le projet n a t introduite g le projet de d charge Folschette exploitant Feidt S A Le dossier d autorisation a t introduit aupr s de l Administration de l Environnement et suivra la proc dure pr vue par la l gislation relative aux tablissements class s En ce qui concerne l acc s vers cette d charge le dossier d autorisation est en cours d valuation aupr s de l Administration des Eaux et For ts Des cr dits pour la r alisation de cet acc s sont inscrits dans le budget de l Administration des Ponts et Chauss es 2 6 11 5 Les quantit s de d chets inertes accept s aux centres r gionaux et dans les grands remblais Le tableau suivant reprend les quantit s de d chets inertes mis en d charge dans les centres r gionaux pour d chets inertes 119 C Folschette Bettborn 49520 0 0 0 0 0 o CNE Folkendange ol 0 of 80568 223454 175598 157070 Rosswinkel 61800 75000 100000 45000 500 of o EC Brouch Reckane 0 0 of 20881 525961 809295 852640 E H ihenhaffEinde
539. t t nou s avec le STATEC pour mettre sur pied en 2007 et conform ment aux textes communautaires et internationaux un Syst me d Inventaire National La collaboration a d marr fin 2006 par le souhait du Minist re de l Environnement d adjoindre un module intitul nergie environnement au mod le de simulation et de pr visions conomiques LuxMod d velopp par le r seau d conomistes EcoMod pour le compte du STATEC Le d veloppement de ce module dans un premier temps focalis sur les bilans nerg tiques sera un premier jalon dans la mise en place du Syst me National d Inventaire En ce qui concerne des travaux pour le compte de l Agence Europ enne pour l Environnement AEE rappelons que c est la cellule statistique qu a t confi e la gestion du r seau EIONET de PAEE au Luxembourg Ce r seau met en rapport des Centres Th matiques Environnementaux CTE et des Centres Nationaux de R f rence CNR L AEE charge chacun des CTE qui sont des consortiums d administrations d instituts de centres de recherche etc qui ont un contrat avec l Agence de collecter traiter et analyser l information relative son domaine d expertise missions atmosph riques qualit de l air qualit de l eau biodiversit etc Pour obtenir des donn es ainsi que tous les commentaires avertis qui se doivent de les accompagner afin de convenablement les interpr ter et de correctement
540. t mes constructifs sont expos s et situ s dans leur contexte historique et g ographique Le visiteur est amen saisir les aspects techniques et les diff rences et avantages particuliers de chacun des cinq syst mes pr sent s Cette section traite galement des bardages et toitures et des questions connexes de la mise en uvre du bois de sa pr servation et de sa durabilit Isolation thermique et acoustique performances nerg tiques fondations aspect sant et confort co t souplesse d utilisation et adaptabilit les atouts du bois sont ensuite d velopp s La cinqui me section pr sente les m tiers du bois d hier aujourd hui et une s rie d informations pratiques sur les formations existant aujourd hui dans le secteur du bois L exposition s ach ve sur la mise en perspective de la construction en bois avec le d veloppement durable Le commentaire rappelle ici les enjeux environnementaux mondiaux li s l augmentation des gaz effet de serre Il voque les diff rents programmes de mobilisation mis en place par les autorit s publiques des diff rentes r gions Il d taille enfin comment la gestion durable des for ts et l utilisation du bois dans la construction sont des moyens efficaces de lutte en regard de cette probl matique plan taire La sc nographie de l exposition est diversifi e et particuli rement riche Elle m le un parcours de panneaux graphiquement d pouill s de nombreux docum
541. t Kopstal tude g ologique et hydrog ologique du sous sol laboration d un plan d am nagement cologique tude agricole laboration d inventaires floristiques dans la Vall e de la Mamer r alisation d une tude hydrog ologique entre Mersch et Schoenfels tude de faisabilit concernant la restauration d habitats humides de la plaine alluviale de la Mamer entre Thillsmillen et Kopstal restitution d habitats humides de la plaine alluviale de la Mamer entre Direndall et Mersch renaturation de la Mamer entre le Gousseldinger Tunnel et Mersch cartographie g omorphologique et caract risation de la plaine alluviale et des pentes adjacentes tude g ologique et prise de position sous forme d expertise de la renaturation de la Mamer tude de la nappe phr atique et des temp ratures y relatives tude concernant la restauration des habitats humides dans la zone sp ciale de conservation Vall es de l Eisch et de la Mamer entre Bour et Mariendall laboration d un sentier didactique dans la Vall e de l Eich et de la Mamer L Administration des Eaux et For ts a continu en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es laborer respectivement finaliser des projets de convention concernant la Route du Nord Par ailleurs I Administration des Eaux et For ts a fait des propositions d acquisitions diverses 3 4 1 7 Remembrements Dans l int r t de la sau
542. t de protection d un grand ensemble paysager en vertu de la l gislation relative l am nagement du territoire plan sectoriel ou alors d signer en tant que paysage prot g en vertu de la l gislation relative la protection de la nature tant entendu que les espaces qui devront faire partie de cette derni re cat gorie devront tre de taille plus r duite que les premiers et tre expos s des incidences notables justifiant les charges et servitudes pr vues pour ces fonds par la loi pr cit e En dernier lieu le groupe de travail a fourni des pistes quant la mise en uvre d instruments de gestion des espaces d int r t paysager que ce soit au niveau de la sensibilisation du grand public cette th matique ou alors qu il s agisse d outils de planification et d am nagement de ces territoires Les r sultats des travaux du groupe trouvent leur reflet dans le plan d actions propos au plan national Ils serviront de base l laboration du plan sectoriel Grands ensembles paysagers et massifs forestiers d un int r t particulier voir sous 1 1 7 1 ci dessus 12 1 1 8 3 La Convention de Florence Convention du paysage Les populations europ amp ennes demandent que les politiques et les instruments qui ont un impact sur le territoire tiennent compte de leurs exigences concernant la qualit amp de leur cadre de vie Elles estiment que cette qualit repose entre autres sur le sentim
543. t douglas 2 3 pic a 1 3 ares 0 00 0 00 88 00 88 00 Reboisement pic a ares 0 00 0 00 2 757 59 2 757 59 Reboisement pic a 1 2 douglas 1 2 ares 0 00 0 00 148 50 148 50 Reboisement pic a 2 3 douglas 1 3 ares 0 00 0 00 233 90 233 90 Reboisement h tre ch ne ares 1 374 80 250 00 3 080 84 4 705 64 R g n ration naturelle autres r sineux ares 0 00 12 00 0 00 12 00 R g n ration naturelle h tre ch ne ares 12 057 00 0 00 1 583 74 13 640 74 R g n ration naturelle pic a ares 800 00 0 00 144 00 944 00 Regeneration naturelle rable fr ne ares 0 00 0 00 100 00 100 00 Restauration for ts r sineuses ares 0 00 320 00 1 081 95 1 401 95 170 Le montant total des aides s l ve en 2006 1 746 152 91 Il s est r parti de la fa on suivante parmi les trois types de propri taires e 687 427 44 pour les communes e 380 888 22 pour les tablissements publics e 677 837 25 pour les priv s Compar e l ann e 2005 le montant total des aides allou es s est r duit de plus de un million d euro ce qui peut tre expliqu par le fait qu en 2005 l Administration des Eaux et For ts avait proc d la subvention d exceptionnellement beaucoup de surfaces de r g n rations naturelles h tre ch ne en for t communale Le montant des aides allou es aux propri taires forestiers priv s galement connu une baisse de 200 000 3 2 4 Le cantonnement de Diekirch
544. t et ensuite valu s l aide d un programme statistique Les r sultats ont t publi s sous forme d un document crit appel Bodenmonitoring Luxemburg et d un CDRom Ces documents sont disponibles l Administration de l Environnement ht dsberieht nach Abschluss i robungsk mpagne Ne it Etant donn que le r seau des points chantillonn s lors de la premi re phase du projet ne permet pas encore de faire une interpolation entre les points une deuxi me campagne d chantillonnage a t effectu e en automne 2006 au sud ouest du pays A part des param tres d j analys s lors de la premi re campagne p ex m taux lourds substance organique granulom trie capacit de r tention des sols il a t d cid de d terminer galement la concentration en hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP sur les trois profondeurs dans les sols 148 3 ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS 3 1 La Direction 3 1 1 G n ralit s Trois dossiers importants pour l Administration des Eaux et For ts ont n cessit des efforts d passant la normale e Dans le cadre de la lutte contre la peste porcine dans la population des sangliers l Administration des Eaux et For ts a mobilis son personnel au cours de l ann e 2006 Ainsi l administration a g r 11 centres de collecte dans lesquels les sangliers abattus dans notre pays ont t analys s cf Chapitre Service de la Chasse e Des efforts ont t
545. t et leur bureau d tude a eu lieu sur le site m me pour d terminer les informations requises pour compl ter les dossier de demande introduit pour couvrir l entreposage de d chets de cendre volantes et autres En date du 11 juillet 2006 une r union de travail a eu lieu au site de l entreprise Feidt pr s de Folschette Il s agissait de d terminer les derni res d marches r aliser en vue de compl ter le dossier de demande introduit par le bureau d tudes pour mettre jour les autorisations d exploitation du site et de proc der un ventuel agrandissement de la carri re En date du 13 septembre 2006 une r union de travail a eu lieu avec les responsables de CircuitFoil S A pr s de Wiltz Il s agissait de d terminer les codes europ ens de d chets envisag s tre accept s par la soci t l avenir et les ventuelles mesures prendre pour leur entreposage modifications d arr t s documents introduire dans le dossier de demande etc En date du 29 septembre 2006 une r union a eu lieu au si ge de l Administration de l Environnement ensemble avec les responsables de l a roport des bureaux d tudes concern s et des entreprise en charge des travaux pour d terminer la marche suivre pour la r alisation du nouveau Cargocentre et les pistes de circulation aff rente La probl matique discut e tait celle de la contamination des anciens mat riaux constituant les pistes en question par des hydrocarbures aroma
546. t le fait que le prix du bois de h tre volue toujours un tr s faible niveau Le tableau ci dessous repr sente le volume de bois r alis en 2006 dans Le Cantonnement de Wiltz 193 Essence Volume exploite m H tre 2 216 Ch ne 813 Autres feuillus 38 Total feuillus 3 067 Epicea 20 085 Douglas 3 886 Pin 768 Autres r sineux 478 Total r sineux 25 217 Grand total 28 284 3 2 9 2 Ventes des bois Au total le Cantonnement de Wiltz a organis 2 ventes r gionales 4 ventes locales bois de chauffage ainsi que 183 ventes de gr gr de bois d industrie r sineux et feuillus et 4 appels d offres Quant aux ventes r gionales le cantonnement recourt principalement au mode de la pr vente L experience montre que ce modus est en g n ral financi rement plus int ressant pour le propri taire que la vente de bois abattu Ainsi sur 15 210 m de r sineux propos s aux ventes r gionales 13 480 m ont t vendus en pr vente voire en vente sur pied Tel qu indique plus haut la vente de bois feuillus a t limit e du bois de trituration et du bois de chauffage Vu l explosion des prix p troliers en 2005 la forte demande sur le march du bois de chauffage se confirme Une stabilisation de cette demande un niveau lev n est toujours pas en vue ceci malgr les cabrioles du prix du p trole durant l exercice coul 50 81 baril Actuellement le prix du
547. t priv e ont t trait par le Chef de Cantonnement et ses pr pos s comptabilisant au total 2 ha 3 2 4 10 Peste porcine centres de collecte pour gibier Aucun nouveau cas de peste porcine n a t constat en 2006 au Cantonnement de Diekirch L pizootie de la peste porcine a donc compl tement disparu sur le territoire du Cantonnement forestier de Diekirch ce qui a engendr une nette diminution des activit s dans les centres de collecte pour gibier abattu ou mort 3 2 4 11 Conservation de la nature 358 dossiers CN ont t trait s par les pr pos s forestiers des triages du Cantonnement de Diekirch Les travaux d entretien r guliers des pelouses s ches du Hossebierg ont t poursuivis en collaboration avec l Arrondissement CN Centre de Mersch et avec le concours actif des l ves du Lyc e Technique Agricole Ettelbruck Ces derniers ont travaill sur le site sous la surveillance de leurs enseignants et sous la direction scientifique d un bureau d tudes 172 3 2 4 12 La for t lieu de loisir Le r le r cr atif des for ts du Cantonnement de Diekirch est tr s important pour le tourisme luxembourgeois En effet une des grandes r gions touristiques du Grand Duch de Luxembourg se situe au Cantonnement de Diekirch savoir le M llerthal avec ses paysages du gr s de Luxembourg Ainsi en 2006 le Cantonnement de Diekirch a proc d l entretien la remise en tat et l installatio
548. tains param tres tels que les essences constitutives du bois mort le degr de d composition ou le type de bois mort sur pied sont exprim s en termes de pr sence et de dominance Ils peuvent faire l objet d annotation sur la fiche de terram au cours de l estimation quantitative L estimation quantitative se fait par voie d estimation visuelle sur les placettes de mesures des surfaces terri res Quand les surfaces terri res du peuplement principal ne sont pas mesur es un r seau de placettes 237 circulaires ou transects sp cifiques au bois mort peut tre r alis sur le parquet Enfin on peut recourir l estimation unique quand les autres m thodes ne sont pas applicables La surface du parquet et le type de r partition du bois mort conditionne en effet le choix de la m thode d chantillonnage L estimation se fait par cat gorie de bois mort toutes essences et classes de d composition confondues en fonction des dimensions des pi ces de bois observ es dans les diff rentes cat gories sur une surface de r f rence d finie par l op rateur La m thode labor e pr voit trois mani res diff rentes d estimation quantitative e sot par attribution d une classe de volume e soit par l estimation de la longueur totale des pi ces de bois observ es e soit par l estimation du volume des pi ces de bois observ La m thode d attribution des classes de volumes est la plus rapide et permis d
549. teurs collectivit s leveurs etc e r aliser des projets pilotes visant cr er une dynamique aupr s d autres agriculteurs e r aliser ult rieurement des documents de communication concernant le projet et les produits disponibles brochure panneaux etc Durant l ann e 2006 l Administration des Eaux et For ts a poursuivi et renforc la coop ration avec les agriculteurs Plusieurs projets ont pu tre mis en uvre A Mensdorf et Frisange a d but la phase de la commercialisation ainsi que la sensibilisation du public 255 En 2006 le p turage avec du b tail rustique de race Galloway a t d velopp dans la r serve naturelle Dumontshaff dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature Des pourparlers ont t entam s avec les restaurateurs de la r gion pour initier la commercialisation L Institut f r Landespflege de l universit Albert Ludwig de Fribourg en Br a proc d une tude d acceptabilit concernant le projet de la r naturation et du projet de p turage extensif dans la section Schifflange et Bergem de la commune de Schifflange Le monitoring scientifique pour les diff rents projets a t poursuivi rigoureusement en 2006 Citons titre d exemple le projet Mensdorf o le monitoring floristique est assur par Institut f r Landespflege de l universit Albert Ludwig de Fribourg en Br le
550. th me g n ral du stand du Minist re de l Environnement fut le changement climatique qui s est d clin lui m me de la mani re suivante une partie du stand en collaboration avec le Minist re des Transports et d autres partenaires a t consacr e la semaine de la mobilit une deuxi me parties plus particuli rement l aspect scientifique du ph nom ne des changements climatiques Enfin l Administration de l Environnement a pr sent le programme des subventions en mati re de l efficacit nerg tique et d nergies renouvelables Cette derni re partie a t pr sent e une seconde fois pendant la Semaine du Logement A la Foire de l Etudiant le minist re a pr sent ensemble avec l Administration de l Environnement et l Administration des Eaux et For ts ses missions ainsi que la composition et la formation de son personnel 1 1 4 N gociations internationales dans le domaine des changements climatiques Sur la sc ne internationale l ann e 2006 a t marqu e par la 12 conf rence des parties la convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques COP12 2 conf rence des parties agissant comme r union des parties au protocole de Kyoto COP MOP2 laquelle s est tenue Nairobi du 6 au 17 novembre 2006 Premi re r union en Afrique subsaharienne sous la convention cadre la conf rence de Nairobi a r uni pr s de 6000 participants de 188 pays Le Luxembourg
551. tien des plantations de haies dans le cadre du remembrement Biwer Cr ation d un biotope au lieu dit im Ahl 0 43 ha enl vement des pic as limination des r manents plantation de saules par les l ves de l cole primaire de Grevenmacher Cr ation d un biotope roseli re au lieu dit Scheiwichwis 0 82 ha enl vement des pic as et limination des r manents Restauration de 28 arbres fruitiers au Potaschhof Restauration d un ch ne end ans la ville de Grevenmacher Restauration de 20 arbres fruitiers Wintrange Taille de 32 Neelschesbieren Gostingen Taille et restauration de saules t tards dans la commune de Weiler la Tour Enl vement partiel d un tilleul remarquable Clemency l arbre n a pas r sist une temp te Taille de poiriers au triage de Wormeldange et de Schengen Taille et restauration de saules t tards dans la commune de Weiler la Tour Plans verts Un accord pour une subvention de 15 426 67 a t donn la commune de Betzdorf pour la plantation et la taille d arbres et de haies La commune de Bous a re u une subvention de 10 367 26 pour l ex cution de mesures pr vues dans sa cartographie de biotopes La demande de subside introduite par la commune de Steinsel pour le suivi scientifique des travaux ex cut s dans les zones Zapp et Haan a t retenue un subside de 2084 98 a t pay Le SIAS a re u un subside de
552. tiers et 2 pour la construction de chemins forestiers travaux forestiers chemins Nouvelles demandes EEE DE O Anciens dossiers trait s demande avant 2006 Refus s Proc s verbaux provisoires 2 Proc s verbaux d finitifs Li Nouvelles demandes tat avis de r ception 1 Subsides pay s 7 Le montant des proc s verbaux ordonnanc s en 2006 pour les reboisements et r g n rations naturelles s est lev 14 458 La surface totale trait e a t de 1 897 60 ares 3 2 6 9 La for t priv e Au niveau de la for t priv e aucun v nement exceptionnel n est signaler 3 2 6 10 D g ts gibier 216 d clarations de d g ts de gibier sur les champs et pr s ont t introduites par les propri taires respectifs 74 42 ha Deg ts gibier 2006 Triage n ha Hesperange 79 21 41 Bettembourg 57 39 36 Niederanven 21 9 Sandweiler 35 4 1 Kiem 16 3 62 Dudelange 6 2 33 Waldhof 2 3 6 Total 216 74 42 182 3 2 6 11 Conservation de la nature R serves foresti res int grales Au sein du cantonnement forestier de Luxembourg Est trois r serves foresti res int grales ont t class es e Laangmuer e Beetebuergerb sch e Haard Les trois triages concern s Waldhof Dudelange et Bettembourg ont effectu s des travaux de s curisation des chemins et de la voie publique en abattant des arbres d p rissants et dangereux Les sentiers des
553. tiers organise en collaboration avec l Administration de l Environnement des cours de formation en vue de former des contr leurs qualifi s En 2006 un cours en langue allemande a t organis 70 2 5 5 Contr le de fuites dans des amp quipements frigorifiques et climatiques Les fuites de gaz du type chlorofluorocarbones CFC ou hydrochlorofluorocarbones HCFC ont un effet d appauvrissement de la couche d ozone stratosph rique Ces gaz ont en outre un impact sur l effet de serre Les hydrofluorocarbones HFC d velopp es et commercialis es depuis les ann es 1990 afin de remplacer les CFC et HCEC n ont pas d effet destructeur sur la couche d ozone stratosph rique N anmoins ils ont galement un impact sur l effet de serre effet qui est toutefois plus faible que celui des CFC et HCFC M me si les CFC et HCFC sont en disparition dans les quipements ils peuvent persister pendant plusieurs dizaines d ann es dans l atmosph re et ainsi continuer d truire la couche d ozone en stratosph re La NASA avait observ en octobre 2006 que le niveau de la couche d ozone stratosph rique au dessus de l Antarctique avait atteint un nouveau record bas En juin 2000 le Parlement Europ en et le Conseil ont contraint les Etats membres de l Union europ enne par le r glement CE N 2037 2000 prendre toute les mesures pr ventives r alisables afin de r duire au minimum voire m me liminer les fuites de CF
554. tif aux piles et accumulateurs contenant certaines mati res dangereuses Projet de r glement grand ducal concernant la gestion des d chets de l industrie extractive Projet de r glement grand ducal modifiant le r glement grand ducal modifi du 29 novembre 2002 concernant le transfert national de d chets 1 6 3 Conseils Environnement 1 6 3 1 Conseil Environnement du 09 mars 2006 STRATEGIE THEMATIQUE AIR Le Conseil Environnement du 9 mars 2006 a adopt des conclusions sur la communication de la Commission portant strat gie th matique sur la pollution atmosph rique telle qu elle a t pr sent e par la Commission en septembre 2005 Une partie de la strat gie est mise en uvre au moyen d une r vision de la l gislation actuelle sur la qualit de l air ambiant dont les deux principaux l ments sont les suivants e simplification des dispositions existantes et fusion de cinq instruments juridiques en une seule directive e introduction de nouvelles normes de qualit de lair pour les particules fines PM 2 5 pr sentes dans l atmosph re 25 La strat gie vise r duire de pr s de 40 d ici 2020 par rapport aux chiffres de 2000 le nombre de d c s pr matur s provoqu s chaque ann e par des maladies li es la pollution atmosph rique Elle vise galement r duire sensiblement la superficie des for ts et autres cosyst mes qui sont endommag e par des polluants atmosph riques Les
555. tilisateur la fourniture des donn es demand es 3 1 16 Participation au groupe EUFORGEN 3 1 16 1 Le peuplier noir arbre de l ann e 2006 Depuis 1989 le curatium Arbre de l ann e choisit chaque ann e une essence qui est particuli rement mise en valeur dans les milieux forestiers Cette ann e le choix est tomb sur le peuplier noir En effet cette esp ce pr sente un r le cologique de premier plan elle est inscrite aupr s de l organisation EUFORGEN r seau scattered broadleaves dont l objectif primordial est de coordonner la conservation d esp ces tr s rares Afin d analyser le peuplier noir dans notre pays nous avons choisi le Centre de Recherche d Ecologie foresti re de la Rh nanie Palatinat comme partenaire En effet le peuplier noir est directement menac d extinction dans notre pays Il ne saurait subsister qu au moyen de mesures de conservation et de r introduction Suite aux nombreux hybrides utilis s dans la plantation du peuplier une pollinisation entra nant une pollution g n tique a provoqu son quasi disparition L endiguement des zones alluviales mais aussi l enfoncement des cours d eau et de la nappe phr atique en sont galement la cause Aux fins de la cartographie de cette esp ce une feuille de description morphologique a t divulgu e au milieu forestier 165 N anmoins la diff rentiation entre les nombreuses formes notamment la variation
556. tion co sacs E respectueux de l environnement B moderne E sympatique E responsable E attractive Dinutile E exag r e B d pensi re 2006 0 20 40 60 80 100 Au niveau des achats on constatait que le nombre de sacs usage unique diminuait de 3 sacs 2 4 sacs par achat pendant la p riode de 2004 2006 dans les grandes surfaces commerciales 104 2 6 7 2 Les taux de valorisation des emballages Conform ment la directive 94 62 CE relative aux emballages et aux d chets d emballages le Grand Duch de Luxembourg doit annuellement d clarer les taux de valorisation des d chets d emballages la Commission Europ enne Depuis 2000 les taux de recyclage et de valorisation en poids des d chets d emballages ont vari comme suit Mat riau d emballage 2000 2001 2002 2003 2004 Verre 82 6 91 1 83 5 90 4 93 5 Papier carton 36 7 594 60 2 63 4 64 5 Plastiques 35 9 33 7 28 3 23 5 34 5 M taux 68 1 76 7 79 1 69 8 66 4 TOTAL 58 9 69 5 615 86 7 90 6 1 OI 6 Taux de recyclage des diff rents mat riaux Taux de valorisation Taux de valorisation y compris l incin ration des d chets d emballages dans des installations avec r cup ration d nergie Remarques Les taux de recyclage et de valorisation tel que d fini par le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 relatif aux emballages et aux d chets
557. tion 1 4 de ce rapport d activit La l gislation devra permettre au processus de d veloppement durable de se mettre en place et de se d velopper en promouvant l int gration sectorielle du d veloppement durable dans les politiques et en largissant le d bat jusqu l ensemble de la soci t civile Documentation Termes de Reference pour le Groupe de Travail Indicateurs de Developpement Durable de la Commission Interdepartementale du Developpement Durable Introduction La Loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique national de d veloppement durable M morial A N 102 du 2 juillet 2004 pr cise en son Article 14 alin a 2 deuxi me tiret que le Rapport National sur la mise en uvre du D veloppement Durable RNDD comprend une description une analyse et une valuation de la politique de d veloppement durable sur base d indicateurs de d veloppement durable Le RNDD indique ce m me Article 14 doit tre tabli tous les deux ans L annexe la d claration gouvernementale de 2004 renseigne dans sa section relative au Minist re de l Environnement que le d veloppement durable est une notion qui se pr te valuation r guli re L volution des indicateurs du d veloppement durable retenus devra tre observ e afin de permettre une appr ciation et le cas ch ant des am nagements politiques Cette observation s ins re dans une d marche r solue de collecte et de traitement d i
558. tion de l Energie 58 Nombre de dossiers 2002 2003 2004 2005 2006 introduits Type de dossier Bureau administratif classe 3 34 17 12 14 15 Bureau administratif classe 1 54 52 39 50 60 Commerce classe 3 6 8 6 11 12 Commerce classe 1 41 47 23 25 28 Etablissement de soins 18 17 27 18 13 Emetteurs d ondes magn tiques 61 107 62 99 169 Installation de cog n ration 3 5 3 4 0 tablissement d h bergement restaurant 16 15 16 12 10 Chalet 12 10 12 2 1 R sidence avec parking souterrain 22 17 25 24 31 Postes de transformation 34 62 54 34 Divers 29 39 54 57 45 SOMME 296 368 341 368 421 Les 421 dossiers introduits sont r partis comme suit 98 dossiers concernaient une demande de modification non substantielle selon l article 6 286 dossiers concernaient une demande d autorisation selon l article 7 2 dossiers concernaient une cessation d activite 21 recours gracieux 14 dossiers concernaient respectivement une prolongation du d lai de mise en exploitation et une autorisation limit e moins d un an On constate que plus du tiers env 36 de tous les dossiers introduits au sein de la division des tablissements class s ont t attribu s au service Immeuble et Gestion de l Energie 2 4 10 2 Dossiers trait s Le tableau ci apr s reprend le nombre de dossiers trait s au cours des quatre derni res ann es Nombr
559. tion des Eaux et For ts Ainsi le nombre de dispositifs de marquage attribu s jusqu cette date aux locataires de chasse pour la p riode cyn g tique 2006 2009 est le suivant MM mouflon m le 982 MF mouflon femelle 1 054 SM sanglier m le 14 521 SF sanglier femelle 14 520 Le relev des mouflons et sangliers tir s pendant les six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort 276 Espece MOUFLON 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 mouflons m les 54 58 mouflons femelles 48 55 agneaux 21 25 Nombre de r ponses consid r es Esp ce SANGLIER 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 sangliers m les 1553 1798 1334 1752 1557 1923 sangliers femelles 1171 1484 1001 1470 1239 1498 marcassins 993 1291 825 1165 1049 1576 Total sangliers 3 717 4 573 3 160 4 387 3 845 4 997 Nombre de r ponses consid r es de 605 ri de chasse 584 590 571 576 579 360 Il y a encore lieu de remarquer que l esp ce daim esp ce non indig ne mais pr sente dans certaines r gions du pays n est pas soumise un plan de chasse ni l obligation de marquage Le relev des daims tir s pendant les six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort Esp ce DAIM 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 2004 05 2005 06 Daims 20 32 21 39 29 38 Dai
560. tiques polycycliques En date du 10 octobre 2006 une r union de concertation a eu lieu avec les responsables d Arcelor de notre administration division d chets et Commodo et des bureaux d tudes en charge de la constitution d un dossier de demande pour solliciter les autorisations n cessaires pour am nager et exploiter une d charge pour d chets provenant de la sid rurgie pr s de Differdange Pafewee En date du 14 novembre 2006 une r union de concertation sur l arr t de prolongation pour l exploitation de l installation de compostage pour boues provenant de stations d purations urbaines SIDEN ensemble avec les responsables du SIDEN avec l exploitant et des fonctionnaires en charge des dossiers a eu lieu dans la cadre de la proc dure administrative non contentieuse telle que pr vue par la loi en question En date du 20 d cembre 2006 l arr t minist riel de prolongation a t d livr 140 En date du 11 d cembre 2006 une r union de travail a eu lieu au si ge de l ancienne Intermoselle Groupe Ciments Luxembourgeois S A Rumelange pour v rifier au pr alable les informations contenues dans les renseignements suppl mentaires introduire dans le cadre du dossier demande sollicitant les autorisations n cessaires pour exploiter une installation de fabrication de clinker pouvant utiliser des d chets en tant que mati res de substitution tant pour les mati res premi res pour clinker que pour les carburants fos
561. tituent la base de donn es elle fournit une description enti re de la base de donn es savoir e la description des tables noms des tables nombre de champs par table et le r le ou la fonction de la table dans la base de donn es et e la description des champs nom type taille contraintes description et fonction Mod lisation logique des donn es Le guide informatique propose une mod lisation logique des donn es qui repr sente un sch ma relationnel des donn es issue de la mod lisation conceptuelle puis organisationnelle des donn es Elle est exprim e en formalisme entit relation et contraintes d int grit Description des modules d encodage et de traitement fonctions et proc dures Il existe dans la base de donn es deux types de modules contenant la programmation informatique d une part les modules du traitement principal des donn es r colt es sur le terrain et d autre part les modules d exploitation des donn es Cette partie d crit et commente le code source des proc dures et des fonctions pr sentes dans les modules d encodage et de traitement 3 3 5 6 Collaborations internationales Dans la continuit des actions entreprises au cours des conventions pr c dentes le suivi scientifique de la part de la FUSAGXx assure la pr sence de l IFL au sein du r seau ENFIN European National Forest Inventory Network et ce par l interm diaire du Prof J Rondeux membre du Comit
562. tre en vigueur uniquement celles des dispositions n cessaires pour assurer le respect des prescriptions des articles 5 et 6 et le cas ch ant de communiquer la Commission des dispositions existantes Le compromis est acceptable pour l ensemble des d l gations l approche flexible permettant au Luxembourg de prendre les mesures qui s imposent dans le cadre de structures existantes notamment au titre de la directive eaux gestion au niveau des bassins hydrographiques et au titre de la Convention dite d OSPAR relative la protection du milieu marin de l Atlantique du Nord Est Ladite Convention laquelle le Luxembourg est partie contractante pr voit que les Parties contractantes prennent toutes les mesures possibles afin de pr venir et de supprimer la pollution ainsi que les mesures n cessaires la protection de la zone maritime contre les effets pr judiciables des activit s humaines de mani re sauvegarder la sant de l homme et pr server les cosyst mes marins et lorsque cela est possible r tablir les zones marines qui ont subi ces effets pr judiciables 32 CONCLUSIONS CLIMAT L change de vues parall le a l adoptions de conclusions qui a eu lieu au Conseil environnement du 18 d cembre 2006 tait bas sur un questionnaire labor par la pr sidence et ayant trait notamment la strat gie dont entend se doter l UE et tout particuli rement au r le qu elle entendra jouer e
563. troduction d une contribution changement climatique sur les carburants et modifiant la loi modifi e du 23 d cembre 2004 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre cr ant un fonds de financement des m canismes de Kyoto et modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 10 modification de la loi modifi e du 22 juin 1963 fixant le r gime des traitements des fonctionnaires de l Etat 11 tablissement de la participation du Grand Duch de Luxembourg aux Fonds carbone de la Banque Mondiale et de la Banque Europ enne pour la Reconstruction et le D veloppement 12 modification de la loi modifi e du 8 juin 1999 sur le budget la comptabilit et la tr sorerie de l Etat 2006 A 239 p 4710 Conventions Loi du 1 d cembre 2006 portant approbation de l Amendement la Convention faite Aarhus Danemark le 25 juin 1998 sur l acc s l information la participation du public au processus d cisionnel et l acc s la justice en mati re d environnement tel qu il a t adopt la deuxi me r union des Parties la Convention tenue Almaty Kazakhstan du 25 au 27 mai 2005 2006 A 211 p 3646 1 6 2 Projets de loi et de r glement grand ducal soumis la proc dure d approbation Projets de r glement grand ducal Projet de r glement grand ducal modifiant le r glement grand ducal du 23 mai 1993 rela
564. trophique des stations par l interm diaire de l analyse du pH Ces chantillons sont collect s individuellement et le m me jour mis s cher l air libre L analyse du pH eau est r alis e 48 72 heures plus tard Afin de mieux appr hender les diverses natures du sol et en particulier la structuration des sols lourds 9 profils fosses p dologiques ont t r alis s Des chantillons de terre 500g y ont t pr lev s entre 10 et 20 cm et vers 50 60 cm de profondeur et ont fait l objet d une analyse chimique Les l ments suivants ont t mesur s pour chaque chantillon pH H20 pH KCI teneur en K P Mg Ca Na Mn ainsi qu une analyse granulom trique pour les chantillons pr lev s en surface R sultats de l aptitude stationnelle Dans la for t communale de Wormeldange les diverses combinaisons hydriques trophiques coupl es la situation de la station dans le paysage ont t regroup es pour retenir 6 types d aptitude effectifs Un septi me type est propos pour les 3 anciens d potoirs d ponies pr sents dans la propri t A Plateaux et versants de pente lt 40 sans apport lat ral en eau cons quent A 1 Peu ou pas de calcaire actif lt 60 80 cm de profondeur A 1 1 Sols couverture limoneuse paisse gt 40 cm ou argile de surface bien structur e bonne capacit de r tention en eau bonne p n tration des racines peu ou pas de calcaire actif moins de 80 cm de profondeur A
565. ts climatiques les ministres de l environnement ont soulign la n cessit d aboutir d ici quelques ann es un r gime international de r duction des missions au del de 2012 qui permette d viter que l augmentation de la temp rature mondiale annuelle moyenne ne d passe 2 C par rapport aux niveaux de l poque pr industrielle Les fourchettes de r duction des missions au niveau mondial ainsi que la part de l effort devant tre assum par les pays d velopp s correspondant ce sc nario 2 C avaient d j t retenues par le Conseil en mars 2005 sous Pr sidence luxembourgeoise A Nairobi une attention particuli re a t port e aux questions qui rev tent une importance toute premi re pour les pays en voie de d veloppement Ainsi un accord sur la gestion du Fonds d adaptation pr vu par le Protocole de Kyoto qui affecte une partie des ressources g n r es par le m canisme pour un d veloppement propre au financement de projets concrets dans les pays en d veloppement a pu tre trouv En mati re d action future les n gociations ont bien avanc en ce qui concerne les engagements des pays industrialis s pour la p riode post 2012 Les Parties ont adopt un plan de travail d crivant en d tail les tapes suivre pour parvenir un accord En parall le l ensemble des Parties la Convention ont particip la deuxi me session du Dialogue pour une action concert e long terme
566. ts et aux jeunes que les d chets ont une valeur et qu ils repr sentent une source de mati res secondaires pr cieuses Les l ves avaient pour t che de fabriquer des objets d art partir de d chets d quipements lectriques et lectroniques Les enfants pouvaient donner libre cours leur cr ativit Ils pouvaient utiliser des objets lectriques des pi ces d ordinateurs des CD des c bles etc Cette premi re dition du concours Konscht am Schrott tait r serv e aux classes de la r gion Nord 17 classes scolaires ont particip au concours et ont pr sent environ 50 objets d art Ceux ci sont d sormais expos s au centre de Colmar Berg Les travaux peuvent tre valu s par les visiteurs pendant l exposition ainsi que sur le site Internet www sdk lu Comme au cours des ann es pr c dentes les activit s de la SuperDrecksK scht en g n ral et de l entrep t en particulier ont t suivi par le comit d accompagnement repr sentant la commune de Colmar Berg les riverains l Administration de l Environnement la Chambre des M tiers et l ex cutant des actions Ce comit s est r uni trois reprises 2 6 11 Les d chets inertes 2 6 11 1 Le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes Le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes a t rendu obligatoire par le r glement grand ducal du 9 janvier 2006 publi au M morial A N 23 en date du 13 f vri
567. uation de la r ponse apport e par PUE ce jour Elle passe en revue les principaux domaines d intervention politique ainsi que les objectifs et les mesures permettant d atteindre les objectifs de 2010 et de r tablir la biodiversit Ceux ci figurent sous la forme d objectifs et de mesures sp cifiques dans le plan d action communautaire l horizon 2010 et au del L objectif communautaire consistant freiner la perte de la diversit biologique l horizon 2010 avait t consacr par le Conseil Europ en de G teborg en 2001 et r affirm dans la strat gie de Lisbonne en 2005 ainsi que dans la strat gie r vis e pour le d veloppement durable de 2006 La vision plus long terme du futur cadre politique fera l objet d un large d bat y compris au Conseil Environnement du 20 f vrier 2007 Il s agit tout particuli rement de d terminer quel type de nature nous voulons dans l UE et quel doit tre le r le de PUE dans la pr servation de la nature l chelon mondial Les conclusions ont consist notamment soutenir la discussion d taill e et la mise en uvre cons quente du plan d action promouvoir l int gration de la biodiversit et des services li s aux cosyst mes dans les autres politiques et programmes et pr ciser cette fin les mesures d appui d ordre financier et administratif y compris le recours des indicateurs biodiversit OGM En prenant le pas sur le Co
568. uide de r f rence et en vue de faciliter l action des agents de l administration des eaux et for ts sur le terrain un cadastre national de ces biotopes sera r alis court terme sur base de crit res scientifiques et selon un processus transparent 1 1 6 2 L amp laboration du Plan national concernant la protection de la nature Conform ment l article 51 de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles le Ministre tablit en collaboration avec d autres administrations nationales les communes les syndicats de communes et les milieux concern s un Plan national concernant la protection de la nature d ici janvier 2007 Les groupes de travail th matiques agriculture esp ces habitats paysages sensibilisation ont achev leurs travaux et leurs conclusions ainsi qu un avant projet du PNPN ont t pr sent s l occasion de deux tables rondes en pr sence du Ministre de l environnement L avant projet a ensuite t soumis pour avis toutes les parties prenantes Le plan national doit guider la politique en mati re de protection de la nature pour la p riode 2007 2011 1 1 6 3 L observatoire de l environnement naturel La loi du 3 ao t 2005 concernant le partenariat en mati re de protection de l environnement pr voit la mise en place d un observatoire de l environnement naturel compos de repr sentants du Minist re de l Environnement et de l Admin
569. ule d encodage de l IFL2 Il a t d cid de proc der la saisie semi automatique des donn es du second cycle de mesures in situ par l interm diaire d un encodeur portable de terrain Pour cela un module d encodage des donn es int grant la fois des fonctionnalit s de contr le et des tests de plausibilit doit tre cr La cr ation de ce module d encodage a pu d buter gr ce l accomplissement des travaux relatifs la cr ation de la base de donn es de l IFL2 Le d veloppement de cet outil se base sur le nouveau guide m thodologique de l IFL2 qui est actuellement en cours de r daction Des proc dures et des fonctions utilisant des tables param trables sont pr vues pour v rifier la validit des valeurs saisies 3 3 5 4 Caract risation de la biodiversit Ce point consiste analyser toutes les donn es r colt es en mati re de biodiversit afin de fournir des indicateurs de diversit v g tale et de qualit des habitats La finalit des travaux relatifs ces objectifs consiste en des propositions de traitements sous forme de modules permanents existants dans la base de donn es de l IFL2 On dispose d une liste d indicateurs de biodiversit et de qualit des habitats tablie partir des donn es brutes ou labor es contenues dans la base de donn es de l IFL1 L tat actuel de cette liste d indicateurs doit encore tre r vis Etant donn que les travaux de
570. un sentier didactique laboration d une brochure am nagement de plusieurs sentiers sur pilotis travaux d entretien et de fauchage du sentier laboration de panneaux d information am nagement d un parking cologique laboration de panneaux descriptifs et explicatifs du parking e Zone prot g e Schlammwiss Mensdorf laboration d une brochure balisage du sentier construction d une plate forme d observation mise en place de panneaux d information e Zone prot g e Vall e de la Haute S re Bruch Pont Misere pr s de Boulaide am nagement d un sentier didactique planification d une tour d observation d un pont et de sentiers sur pilotis laboration de stations interactives sur le sentier laboration d une brochure e Zone prot g e Mamerdall pr s de Schoenfels am nagement d un sentier didactique a Gousselerbierg avec brochure e Zone prot g e Schwaarzenhaff Jongeboesch pr s de Steinfort am nagement d un sentier didactique laboration d une brochure et d une pr sentation PowerPoint e Zone prot g e Manternacher Fiels Manternach am nagement du sentier M nschecker avec brochure e Zone prot g e Ellergronn pr s d Esch sur Alzette am nagement d un sentier didactique et laboration d une brochure actualisation d une brochure et du balisage concernant un sentier existant e
571. une nouvelle cat gorie copeaux e gestion de la certification foresti re L application Martelage version 3 02 g re les relev s de d signation des arbres destin s aux ventes En 2006 l application a t pr par e pour la migration vers Oracle10g et PB10 5 L application Vente de bois qui consiste automatiser toutes les op rations qui interviennent dans le processus de la vente des bois quelle que soit la proc dure soumission ench res vente de gr gr a t revue version 6 08 6 14 pour les adaptations tr s importantes suivantes e revision complete de l application dans le cadre de la vente nationale e mise en uvre d un nouveau module Catalogue de vente nationale informatis Parall lement la maintenance des applications les tables des bases de donn es ont galement t mises jour Plusieurs milliers de lignes de scripts SQL ont t g n r es automatiquement gr ce l application GESTFDBA L application GESTFDBA a aussi t mise jour en 2006 versions 5 08 5 10 Un nouveau module d administration cartographique a t mis en uvre Il doit compl ter la maintenance des donn es spatiales d Oracle Ce nouveau module a t crit langage DotNet et s integre dans le nouveau framework DotNet L adaptation volutive de l application de gestion des subsides DBAIDE destin e l ensemble des services r gionaux a t
572. ung a M llvermeidung an der Schoul A C Steinsel conseil en mati re d nergie Syndicat intercommunal de R idener Kanton concept nerg tique A C Petange conseil en mati re d nergie A C Rumelange 1 1 3 L information et la sensibilisation du public La pr servation de l environnement concerne chaque citoyen Afin de faire progresser l engagement de chacun l Etat se doit de rendre accessible au public les informations en mati re d environnement Dans ce cadre la campagne suivante doit tre cit e 1 1 3 1 Energiespuercampagne Partenaire de la campagne europ enne sur la sensibilisation en mati re de changement climatique le Minist re de l Environnement a voulu compl ter celle ci par une campagne plus cibl e sur les conomies d nergie La campagne s est d roul e en trois phases e lancement le 6 juin 2006 r alisation d un spectacle sur la Place d Armes distribution d une brochure conseils pratiques pour conomiser de l nergie et d affiches r alis es cet effet e Semaine de la mobilit et Oekofoire e Sensibilisation dans les coles secondaires La campagne sur les conomies d nergies a suivi ces trois phases dans un premier temps des annonces dans les journaux et des spots la radio s adressaient plus particuli rement aux m nages priv s en mettant l accent sur les potentiels de r duction de la consommation d lectricit priv e la deuxi m
573. upr s du public Schifflange et Bergem concernant le projet de r naturation de P Alzette respectivement le projet de p turage extensif avec les bovins de la race Galloway e Plan d am nagement du site Weidendall Kopstal en respectant le projet de renaturation de la vall e de la Mamer e Renaturation de la vall e de la Mamer e Realisation d une tude concernant la restauration des habitats humides dans la zone sp ciale de conservation Vall e de l Eisch et de la Mamer entre Bour et Mariendall e Etude de faisabilit concernant la restauration des habitats humides de la plaine alluviale de la Mamer entre Thillsmillen et Kopstal Renaturation de la Mamer entre Mersch et Schoenfels tude hydrog ologique Restitution d habitats naturels Vall e de la Mamer Elaboration d inventaires floristiques dans la vall e de la Mamer Projekt Weidendall Entwicklung eines extensiven landwirtschaftlichen Nutzungskonzeptes 3 4 1 6 Valorisation cologique et paysag re Agriculture extensive L agriculture extensive constitue un outil id alement adapt pour la gestion de r serves naturelles qui permet une revalorisation cologique et paysag re des sites concern s Depuis l exercice 2002 l Administration des Eaux et For ts fait r aliser parall lement au dossier de classement une tude agricole afin de proposer aux agriculteurs des mesures de gestion concr tes adapt es la gestion de r serves naturelles
574. ur fournir des conseils juridiques ou discuter de dossiers d actualit Il est galement en charge de la gestion de certains documents officiels luxembourgeois et communautaires Le service juridique est repr sent dans certains comit s d accompagnement 38 2 3 Le Service Agr ments et management environnemental Le Service est charg de l application de la l gislation sur les personnes agr es c est dire la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement et de la mise en uvre du syst me de management environnemental et d audit dit EMAS c est dire le r glement grand ducal du 19 avril 2002 relatif des modalit s d application et la sanction du r glement CE N 761 2001 du Parlement europ en et du Conseil du 19 mars 2001 permettant la participation volontaire des organisations un syst me communautaire de management environnemental et d audit EMAS 2 3 1 Personnes agr es Le Service s occupe de l instruction des demandes en vue d obtenir un agr ment minist riel sur base de la loi pr cit e La liste des personnes agr es est r guli rement mise jour et publi e notamment sur internet Au courant de l ann e 2006 11 organismes nouveaux ont t agr s alors que 44 arr t s d agr ment ont t
575. ur un montant total de 89 342 12 Restauration d arbres remarquables L Arrondissement CN Nord a contribu la protection la restauration et la sauvegarde de huit arbres remarquables par des tailles d lagage et d claircissement et des mesures de stabilisation En outre une quinzaine d arbres ont fait l objet d une expertise de sant en vue de leur conservation Plantations et am nagements en zone verte Avec l aide des pr pos s forestiers une cinquantaine d arbres haute tige et quelques 3600 arbustes ont t plant s en zone verte Une dizaine de bancs de repos provenant d ateliers prot g s ont t mis en place dans le triage forestier de Grosbous au Monument de l Europe Lieler ainsi que dans la vall e de la Schlinder 270 Travaux de gestion dans les r serves naturelles L Arrondissement CN Nord a fait ex cuter la fauche de zones humides avec vacuation des foins sur les surfaces suivantes Allerborn Brill 0 5 ha Basbellain Cornelysmillen 1 ha Bavigne Nobent 2 ha Binsfeld Lukeschbaach 2 5 ha Clervaux Uschler 1 ha Grosbous Neiwiss 4 ha Hautbellain Fooschtbaach 2 ha Heinerscheid D iffebour 3 ha Heinerscheid Irich 2 ha Hoffelt Kalebour 1 ha Holler Wopich 1 5 ha Holtz Flatzbour 1 5 ha Hosingen Sauerwisen 1 5 ha Martelange Bruch 2 ha Rambrouch Neimillen 1 ha Sonlez Pamer 2 ha Troine Habich 1 ha Weicherdange Br ichen 0 30 ha Wei
576. ur utile ainsi que le d veloppement racinaire R sultats de l aptitude stationnelle Le nombre d finitif de stations a t ramen aux 5 types repr sent s sur la page suivante En plus des cinq types d aptitude la carte des stations foresti res informe sur les risques de compactage et d rosion du sol Le risque de compactage se manifeste surtout sur les stations du type 1 et 4 En effet les sols lourds glevifi s des bas fonds de la station 1 sont les plus fragiles Les sols de la station 4 situ s sur les parties les plus hautes du relief pr sentent un risque de d gradation hydromorphe par tassement des horizons superficiels qui origmellement pr sentent une bonne structuration Ces deux stations couvrent pr s un tiers de la surface du domaine La mise en uvre d engins lourds sur ces sols peut entra ner des d g ts importants et devrait se limiter aux chemins existants et la p riode de gel Dans les jeunes peuplements un cloisonnement d exploitation appropri doit tre mis en place Le risque d rosion se pr sente sur uniquement sur les versants de pente sup rieure 20 sur mat riaux sableux dans la partie nord est du domaine Sols des fonds de vall es et des d pressions avec pr sence de calcaire actif en bas de profil 40 80 cm sur marne calcaires Sols argileux lourds gleyifi s peu moyenenemt profond apport d eau lat ral quasi permanent Sol des bas de versants et des vallons sur marnes d
577. urelles D une part la loi de 2004 sur la protection de la nature et des ressources naturelles concerne des crit res tels que l implantation des immeubles leur architecture des aspects visuels conservation du paysage tandis que d autre part la loi de 1999 sur les tablissements class s concerne les crit res de l exploitation de l tablissement et la protection de l environnement humain et naturel qui en r sulte telle que les eaux us es l air odeurs le bruit les d chets la faune et la flore Sans vouloir mettre en chec le principe suivant lequel chaque autorit administrative intervenant en vue de l autorisation d un tablissement statue dans le cadre de ses comp tences propres telles que d limit es par la loi les positions de l Administration des Eaux et For ts et celles de l Administration de l Environnement sont concert es si n cessaire Dans le cadre de cette proc dure de concertation 74 dossiers de demande ont t transmis la Division des tablissements class s Il y a lieu de constater que e pour 16 dossiers la demande requise en vertu de la loi du 10 juin 1999 faisait d faut e 10 requ rants ont par la suite introduits la demande requise et les demandes ont t avis es positivement e 52 dossiers ont directement pu tre avis s positivement e 6 dossiers restent tre trait s 2 4 8 2 D clarations en vertu du r glement grand ducal du 26 juillet 1999 fixant les prescript
578. urg Dans une prochaine tape une strat gie et des plans d action seront d velopp s en collaboration avec d autres minist res et administrations concern s Le Luxembourg a en outre l obligation de fournir r guli rement des donn es de surveillance de POP dans l environnement En 2006 les travaux d actualisation d une tude r alis e en 1993 94 sur les teneurs en dioxines furannes dans l environnement au Grand Duch de Luxembourg ont t d marr s A c t des dioxines et furannes seront galement analys s les teneurs en PCB HCB et HAP Les chantillons sont pris dans les sols les s diments des rivi res l air et les aiguilles de sapins Les lieux des prises d chantillons sont choisis si possibles aux m mes endroits que lors de l tude en 1993 94 afin de pouvoir analyser l volution des teneurs en POP dans l environnement En novembre 2006 36 chantillons de sol ont t pris sur l ensemble du territoire du Grand Duch La plupart des lieux des prises d chantillons tait proximit directe de sources d missions potentielles Les prises d chantillons dans les autres milieux ainsi que la pr sentation et l interpr tation de tous les r sultats auront lieux au cours de l ann e 2007 2 5 4 Installations de combustion de moins de 3 MW Le r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 relatif aux installations de combustion aliment es en combustible liquide est l un d
579. urnaher Waldbau Versuche einer Definition 3 4 Naturnaher Waldbau und Forsteinrichtung 3 5 Die forstliche Bestandesstruktur und die aktuelle und k nftige Bedeutung strukturierter Mischw lder im Rahmen einer naturnahen Waldbewirtschaftung 3 5 1 Die Bestandesstruktur der forstlichen Fl che 3 5 2 Vor und Nachteile von einschichtig und stufig mehrsichtig aufgebauten Waldbest nden 3 5 3 Die Struktur der forstlichen Fl che in Luxemburg 3 5 4 Die aktuelle und k nftige Bedeutung strukturierter Mischw lder im Rahmen einer naturnahen Waldbewirtschaftung 3 6 Welche Auswirkungen hat die berf hrung von gleichf rmigen Altersklassenw ldern in naturnahe strukturreiche Mischbest nde auf die Forsteinrichtung 3 6 1 Von der Ertragstafel zur Kontrollstichprobe 3 6 2 Ver nderungen auf konomischer Ebene 3 6 3 Ver nderungen aus waldbaulicher Sicht 3 6 4 Ver nderungen auf der Ebene des Forstbetriebs 4 Konkrete Beispiele zur praktischen Umsetzung des naturnahen Waldbaus 4 1 Holzernte 42 Die berf hrung oder Umwandlung gleichf rmig aufgebauter Altersklassenw lder in strukturierte Laub bzw Laub Nadelholz Mischw lder durch Voranbau unter Schirm 4 2 1 Der Vorbau unter Schirm 4 2 2 Vorteile des Vorbaus unter Schirm 4 2 3 Methoden des Vorbaus unter Schirm 4 3 Geeignete Mischungsformen f r die berf hrung Gleichf rmiger Altersklassenw lder in strukturierte Mischbest nde unter Anwendung des Vorbaus unter Schirm 4 4 Bestand
580. urs l Administration des Eaux et For ts a propos le programme suivant aux candidats e Initiation la s curit lors des op rations de tir et la manipulation d armes 2 s ances 280 Initiation pratique au tir de chasse 3 s ances Ces cours d initiation ont t suivis de nombreuses s ances d entra nement proprement dit organis es en troite collaboration avec les associations de chasseurs 3 5 5 4 Examen de chasse 49 personnes dont 7 redoublants taient inscrites aux cours pr paratoires 36 personnes dont 7 redoublants se portaient candidats en vue de se pr senter aux diff rentes preuves de l examen Toutes taient recevables La participation aux diff rentes preuves de l examen a t la suivante Des 34 candidats qui se sont pr sent s l preuve crite 30 candidats 88 2 ont r ussi l preuve et 4 candidats 11 8 ont t refus s Des 30 candidats qui se sont pr sent s l preuve orale 28 candidats 93 3 ont r ussi l preuve et 2 candidats 6 7 ont t refus s Des 31 candidats qui se sont pr sent s aux diff rentes disciplines de l preuve de tir 23 candidats 74 2 ont r ussi toutes les disciplines 8 candidats ont t ajourn s et ont d se pr senter l preuve de rattrapage discipline Manipulation d armes et mesures de s curit 2 candidats discipline Tir la carabine sur cible silhouette de brocard 100 m 2 candidats discipl
581. ustrielles ainsi que des zones d activit s autoris es selon la l gislation relative aux tablissements class s est indiqu ci apr s Exploitant Bascharage Z A Zaemer Adm com de Bascharage section C de Bascharage lieu dit Zaemer Bascharage Z 1 Bommelscheuer sections D et C de Bascharage 1 Ministere de l Economie lieu dit Langwies etc Bettembourg Z A E Krakelshaff Minist re de l Economie section de Bettembourg lieu dit Krakelsacht Bissen Z A Klengbuusbierg Adm com de Bissen section B de Bissen Sud lieu dit op der Poukwies 55 Biwer section D de Wecker lieu dit op Huefdreisch Contern section C de Contern lieu dit Weihergewann Echternach section C de la Ste Croix lieu dit Oben der Langheck Grevenmacher Biwer section A de Grevenmacher section D de Wecker lieu dit Potaaschberg Heinerscheid section D de Fischbach lieu dit Auf der Hoschtert Hosingen section E de Hosingen lieu dit Auf der Hoeh Hosingen section E de Hosingen lieu dit Happerfeld Junglinster section B de Junglinster lieu dit In der Langwies Z A Hofdriesch Z A Weihergewann nationale et communale Z I Potaaschberg z a Happerfeld Z I Langwies Consorts Lang et Frank Minist re de l Economie Adm com de Contern SIAEE syndicat intercommunal SIAEG syndicat intercommunal Adm com de Heinerscheid SICLER syndicat intercommunal Adm com de
582. utre la r partition de l effectif actuel dans les diverses carri res Le groupe de travail charg d analyser la situation sp cifique des ouvriers forestiers au sujet des d placements de service effectu s au moyen de la voiture priv pour se d placer aux chantiers en for t s est r uni une premi re fois en d cembre 2006 Une solution d finitive pour une revendication formul e de longue date par les ouvriers forestiers semble donc port e de vue Au cours de 2006 dix ouvriers ont quitt l Administration des Eaux et For ts pour cause de d part la retraite d mission licenciement ou d c s Il a t proc d huit engagements pour compenser ces d parts Le reclassement des ouvriers forestiers d clar s inaptes par le m decin de travail exercer leur travail reste un probl me pr occupant En l absence d emplois adapt s ces salari s il devient en effet de plus en plus difficile trouver des t ches appropri es en tenant compte des capacit s physiques r duites de ces personnes En 2006 trois ouvriers forestiers reconnus inaptes exercer leur travail ont fait l objet d un reclassement interne au sein de notre administration Avec la collaboration de la cellule informatique il a t proc d au calcul des frais de gestion des ouvriers forestiers pour les travaux ex cut s dans les for ts soumises au courant de 2005 Au total 165 154 factures pour un montant total 8 239 089 EUR ont
583. uv mort Gibier poil Cerf m le Biche Faon Brocard Chevrette Total Sanglier m le Laie Marcassin Mouflon m le Mouflon femelle Agneau Daim m le Daine Faon Blaireau Gibier plumes Faisan Becasse Autour Chevrillard Total daims _ 216 292 218 726 240 Esp ces non chassables 279 3 5 5 Examen de chasse Les personnes d sireuses d obtenir leur premier permis de chasse doivent avoir pass avec succ s un examen d aptitude L organisation des cours pr paratoires ainsi que de l examen de chasse incombe l Administration des Eaux et For ts notamment au service de la chasse 3 5 5 1 Stage pratique Avant de pouvoir se pr senter l examen de chasse les candidats doivent accomplir un stage pratique Pour la session 2005 2006 celui ci a eu lieu pendant la p riode du 1 juin 2005 au 31 mars 2006 Le stage est accompli aupr s d un locataire de chasse titulaire d un permis de chasse et adjudicataire d un lot de chasse depuis au moins 5 ans Le choix du ma tre de stage est fait par les candidats eux m mes Les mati res sur lesquelles le stage porte essentiellement sont les suivantes Connaissance de la faune sauvage et plus particuli rement des esp ces class es comme gibier reconnaissance des empreintes d animaux am nagement des terrains de chasse construction et entretien de miradors les diff rents modes d
584. uveau en automne 2006 afin de pouvoir poursuivre ses tudes 2 1 2 Les locaux de l Administration de l Environnement Au cours de l ann e 2006 la d cision a t prise pour relocaliser l Administration de l Environnement ensemble avec l Administration de la Gestion de l eau dans le B timent administratif construire Belval Les travaux pr paratoires pour la planification ont t entam s Cette relocalisation est devenue n cessaire suite au manque accru de surfaces pour permettre un fonctionnement optimal Pour palier dans l imm diat ce manque des bureaux suppl mentaires ont t lou s dans un immeuble situ dans la route d Esch Luxembourg Les services concern s ont d m nag au d but de l ann e 2007 36 2 2 Service Juridique 2 2 1 Cr ation du service juridique La loi du 12 mai 1999 modifiant 1 la loi modifi e du 27 novembre 1980 ayant pour objet la cr ation d une Administration de l Environnement 2 la loi modifi e du 4 avril 1974 portant r organisation de l Inspection du travail et des mines a ajout au personnel de la carri re sup rieure de l Administration de l Environnement des attach s de direction Sur base de la pr dite loi a t recrut un juriste en juin 2000 Dans l organisation interne de l administration a t cr un service juridique qui a pour t che principale de seconder la direction et les diff rentes divisions de l administration en
585. uvellement des infrastructures d limination des d chets m nagers et assimil s du SIDOR fut cr par r glement grand ducal du 31 juillet 2005 En 2006 le comit a commenc tablir un rapport technique et financier r sumant la situation du syndicat intercommunal SIDOR et d crivant la modernisation de l installation d incin ration Leudelange Etant donn que le contrat d exploitation de l actuel exploitant de l installation d incim ration vient expiration en 2008 et une partie des installations de l usine notamment les fours arrivent la m me poque au terme de leur amortissement le SIDOR a d cid de lancer pour les futures installations de traitement des d chets sur le site du SIDOR un appel d offres fonctionnel c est dire un appel d offres qui ne d finit pas le type de traitement des d chets mais qui laisse aux soumissionnaires la libert de proposer les technologies qu ils estiment les plus adapt es L appel d offre fixait diff rents crit res qui ont t la base de la d cision d adjudication du march Parmi ces crit res figurait non seulement le co t de l investissement mais aussi le co t d exploitation et la qualit cologique de la technologie offerte Il a encore t d cid que l appel d offres porterait sur la conception la r alisation et l exploitation sur une p riode de 20 ans des installations de traitement des d chets propos es En juillet 2006 le
586. ux et For ts und der FAWF in der Reihe Mitteilungen aus der Forschungsanstalt f r Wald kologie und Forstwirtschaft Rheinland Pfalz ver ffentlicht Die Ergebnisse wurden entsprechend der verschiedenen Teilprojekte in Einzelbeitr gen dargestellt Das Projekt hat nicht nur zur Erhaltung der Buchenw lder der Grenzregion beigetragen sondern auch zu einer weit ber das Projekt hinausgehenden intensiven und vertrauensvollen Zusammenarbeit zwischen den Forstverwaltungen des Gro herzogtums Luxemburg und des Landes Rheinland Pfalz gef hrt 3 3 14 5 Grenz bergreifendes Monitoring des Trypodendron domesticum in Luxemburg Rheinland Pfalz und Baden W rttemberg Die W lder Luxemburgs werden regelm ig von Insektenkalamit ten heimgesucht welche betr chtliche kologische als auch konomische Sch den verursachen k nnen Hierzu geh ren Ips typographus ein ber chtigter Borkenk fer in Fichtenbest nden sowie ein Sch dling der Buche Trypodendron domesticum Die FraBaktivit t der beiden Insektenarten ist zugleich f r eine Destabilisierung der Best nde als auch f r eine nicht zu vernachl ssigende Entwertung des Stammholzes verantwortlich So geht u a von Trypodendron domesticum welchem eine bedeutende Rolle in der zurzeit beobachteten Buchenkomplexkrankheit zukommt als Prim rsch dling ein betr chtliches Gef hrdungpotential f r unsere einheimischen Buchenw lder aus Zum einen wurde in einer Reihe 245 von Projekten
587. v rifi s pH conductibilit teneur en eau teneur en sel poids sp cifique mati re organique carbone calcul m taux lourds Zn Cu Cr Hg Cd Pb Ni vanadium molybd ne arsenic s l nium HAP PCB potassium magn sium total et soluble sodium azote total et soluble phosphore total et soluble Ci apr s quelques exemples d analyses 8 a O Mati res organiques en de la m s 50 0 48 0 46 0 44 0 42 0 40 0 38 0 36 0 r MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 95 N total de la m s 2 5 2 0 2 05 1 85 A 1 88 1 P 1 40 i 1 02 1 E 0 0 r r MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange o Ade Laboratoire de l Eau et de l Environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 2 6 4 4 Les essais d application du compost Au cours de l ann e 2005 deux essais de mis en application de compost ont t poursuivis 1 L utilisation du compost dans les communes de Sandweiler et de Bettembourg et Les effets du compost en cultures agricoles projet de recherche effectu
588. veau seuil les missions de dioxines et furannes des trois aci ries lectriques devront tre d clar es voir graphique ci apr s Dioxines et furannes PCDD F I TEQ 1 2 1 1 Seuil EPER 1 g a 0 9 0 8 0 7 Zoe 0 5 0 4 0 3 0 2 0 1 0 2001 2004 2001 2004 2001 2004 ARES Esch Schifflange Seuil PRTR 0 1 g a parti ProfilArbed Differdange ProfilArbed Esch Belval Pour certains polluants notamment pour les m taux lourds on peut observer des variations importantes entre 2001 et 2004 Ces variations feront l objet d un examen plus approfondi N anmoins on peut d j signaler que les valeurs d missions pour les m taux lourds peuvent pr senter des incertitudes lev es En effet elles ont t d termin es sur base des mesures des concentrations dans les rejets qui souvent se situaient des niveaux inf rieurs aux limites de d tection Dans le cadre d un travail de stage aupr s de l Administration de l Environnement en t 2006 une meilleure m thodologie a t d velopp e pour la d termination des missions de m thane en provenance des d charges pour d chets solides L application de cette nouvelle m thode de d croissance de premier ordre pour la d termination des missions en 2004 permet une meilleure estimation des missions de m thane par rapport la plus simple m thode de bilan de mati re utilis e pour
589. vec la pr vention et la gestion des d chets et 12 projets en relation avec la protection de la nature et des ressources naturelles La description des projets qui ont t financ s par l interm diaire du Fonds pour la Protection de l Environnement se trouve dans d autres chapitres du pr sent rapport d activit Pour ce qui des projets en relation avec la lutte contre le changement climatique et ou l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables des 12 projets engag s 11 seront r alis s par une commune et un projet seront r alis par un tablissement public Pour ce qui concerne la nature des projets il s agit de e 2 concepts nerg tiques de b timents communaux e 3 chauffages plaquettes ou copeaux de bois avec r seau de chaleur e projet de capteurs solaires thermiques pour un centre int gr pour personnes g es e 5 projets d tablissements scolaires et ou sportifs basse consommation d nergie ou de type passif et e projet de construction d une mairie basse consommation d nergie 1 3 Statistiques de l Environnement La cellule statistique form e au second semestre 2000 au sein du Minist re de l Environnement a pour principaux objectifs e la conception de projets statistiques e la recherche la production le traitement le contr le et la validation de chiffres sur l tat de l environnement sur les pressions qui s
590. vegarde de la nature l Administration des Eaux et For ts s est impliqu e dans les remembrements suivants remembrement agricole de Mondorf remembrement de Burmerange remembrement agricole de Mompach remembrement viticole Schengen remembrement viticole de Remerschen remembrement viticole de Wellenstein remembrement de Stadbredimus Greiveldange remembrement Schwebsange 257 3 4 1 8 Restaurations des habitats humides Etude de faisabilite Alzette dans la r serve naturelle Roeserbann laboration d une tude sur les s diments Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen Dipbach Esch sur Alzette Filsdorferbaach Filsdorf Flaxweilerbaach Flaxweiler Reierbaach Weilerbaach Projets d ex cution e Alzette entre Brill et Dumontshaff e Attert Bissen 3 4 1 9 Biodiversit En 2006 environ 200 ha de surfaces agricoles ont t mis sous contrat en application du r glement grand ducal du 22 mars 2002 instituant un ensemble de r gimes d aides pour la sauvegarde de la diversit biologique 3 4 1 10 Natura 2000 En 2005 la mise en uvre des directives 92 43 CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages et 79 409 CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux a t poursuivie Actuellement les plans de gestion pour les zones Natura 2000 suivantes sont en cours d laboration Vall e
591. velables que le Minist re de l Environnement ensemble avec le Minist re de l Economie et du Commerce Ext rieur a mandat l agence de l nergie d laborer une tude des potentiels des sources d nergies renouvelables Les r sultats de cette tude sont attendus d but 2007 Pour ce qui concerne le secteur de l industrie conform ment la directive 2003 87 CE du 13 octobre 2003 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre dans la Communaut le Luxembourg a notifi la Commission europ enne en date du 18 juillet 2006 son plan national d allocation de quotas PNAQ pour la p riode 2008 2012 p riode Kyoto A noter que ce PNAQ a t discut lors d un s minaire en date du 19 juin 2006 auquel tous les acteurs int ress s ont pu participer Dans sa d cision du 29 novembre 2006 la Commission demande au Luxembourg de r duire le volume des allocations au secteur concern par le syst me communautaire d change de quotas pour atteindre le montant de 2 69 millions de tonnes de CO par an alors que le plan d allocation pr voyait un volume de 3 95 millions de tonnes dont 3 17 millions de tonnes par an pour les installations existantes Depuis lors divers points dont le champ d application de la directive et une ventuelle erreur de calcul de la part de la Commission font l objet de discussions avec cette derni re Une nouvelle d cision de la Commission est atten
592. x amp For ts Les informations contenues dans le SIGenv2 sont les suivantes Fonds de plans topographiques 1 5000 1 20000 amp 1 100000 en noir amp blanc et en couleurs Orthophotos 2001 1 pixel 50cm x 50cm Orthophotos 2004 1 pixel 50cm x 50cm R serves naturelles 2006 1 20000 Zones Habitats 2006 1 20000 Zones Oiseaux 2006 1 20000 Parcs naturels Occupation biophysique du sol OBS 1999 1 20000 Corine Landcover 2000 1 100000 Limites administratives Limites des triages forestiers Un service WMS Web Map Service contenant les zones de protection d int r t national et communautaire a t mis en place fin 2006 Ce service web respecte les sp cifications Open GIS de l Open Geospatial Consortium et pourra l avenir tre utilis par d autres minist res et administrations Des premiers tests en vue de l int gration des informations d livr es par l Administration du Cadastre et de la Topographie ont galement pus tre r alis s D s la mise en production du portail eCadastre les donn es concernant le parcellaire cadastral num rique PCN pourront tre consult es L int gration de nouvelles orthophotos dans l application est pr vue pour l ann e 2007 18 1 4 2 Projet Site Internet Portail de l Environnement Le nombre de visiteurs du portail de l environnement a encore augment en 2006 par rapport aux ann es pr c dentes En 2006 la moyenne journali re de fr
593. x es 90 m ha et 20 du volume sur pied La surface terri re bien entendu refl te tr s bien ce coup de pouce donn la dynamique lumineuse Le pr l vement s est concentr sur les cat gories GB et TGB et une grande majorit au sein de l essence h tre comme nous l avions programm Le bilan L op ration envisag e a t parfaitement bien men e au regard des orientations techniques souhait es b Site de KOERICH Les premiers l ments chiffr s Surface martel e 22 32 ha cloisonnements compris Volume pr lev 63 3 m ha Soit 13 4 du volume total pas d indication de pr l vement par cat gorie En r partition H tre 92 4 du volume total Ch ne 7 4 du volume total Charme divers 0 2 du volume total Surface terri re pr lev e 4 44 m ha L analyse Malgr la m me pratique du martelage des cloisonnements en simultan avec le restant de la parcelle le volume pr lev reste inf rieur aux orientations souhait es 230 Le bilan La crainte de cr er de grandes ouvertures par pr l vement de TGB expliquent en grande partie les r sultats obtenus lors des op rations de martelage Cependant l apparente fragilit du peuplement entra nait juste titre une certaine r ticence aux coups de marteau La peur d un envahissement des ouvertures par la ronce et ou la foug re aigle n a fait qu accentuer cette h sitation Avec un accroissement estim 10 12 m ha an au mi
594. xi me r serve foresti re int grale au Luxembourg o un suivi des habitats forestiers a t effectu Les placettes permanentes ont t implant es et relev es au cours de cette ann e Le compte rendu de ce relev de terrain devrait probablement tre publi l ann e prochaine Pour plus d informations ce sujet consulter le chapitre monitoring Dans le cadre du suivi des esp ces un inventaire des papillons de nuit a t r alis Les r sultats de cette tude devraient galement tre publi s l ann e prochaine En ce qui concerne les mesures de gestion effectu es il s agit pour la plus grande partie de mesures de s curisation le long des chemins forestiers ainsi que du balisage de la RFI Ce balisage ayant pour but d indiquer au visiteur les chemins qu il pourra utiliser l int rieur de la r serve et qui par cons quent sont s curis s par le gestionnaire de la zone prot g e Des d marches ont t entreprises afin de supprimer les sentiers balis s qui traversent la zone de qui tude afin de respecter les dispositions du r glement grand ducal lequel pr voit un acc s limit cette zone particuli re de la r serve foresti re int grale Une deuxi me r union du comit de suivi a eu lieu afin que les diff rentes parties concern es administration communes propri taires priv s puissent changer des informations sur la gestion ainsi que sur les activit s autour de cette nouvelle zone prot
595. zones non prioritaires telles qu elles sont retenues dans le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes ainsi que des distances par rapport aux agglom rations La commission de suivi du plan directeur sectoriel a s lectionn les propositions de sites dont les capacit s possibles pourraient permettre d y installer de fa on conomiquement rentable une d charge Ces propositions de sites sont actuellement soumises une valuation d apr s les crit res num r s l annexe V du r glement grand ducal du 9 janvier 2006 d clarant obligatoire le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes Les propositions de sites seront alors soumises la proc dure de d termination des sites telle qu elle est fix e par l article 5 dudit r glement 2 6 11 3 Le r seau actuel La situation actuelle en mati re de d charges pour d chets inertes se pr sente comme suit a la d charge de Nothum L exploitation de cette d charge suit son cours normal b la d charge de Hosingen L exploitation de cette d charge suit son cours normal c la d charge de Folkendange L exploitation de cette d charge suit son cours normal d le remblai de Brouch Le remblai autoris pour la restitution partielle du paysage dans la carri re de la soci t Feidt Brouch est en exploitation normale La capacit autoris e sera probablement puis e au courant de l ann e 2007 e la d charge de Br

Environnement - Gouvernement du Grand

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