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Introduction Séance inaugurale

1. La n crose h matopo tique infectieus NHI s est tendu n Europe de nouveaux cas tant apparus n Belgique n France en Suisse et en Autriche Un pisode de NHI s est produit chez des truites communes dans l Oregon tats Unis d Am rique augmentant le nombre des h tes de ce virus Des pizooties de NHI ont galement t rapport es en Colombie britannique Canada La vir mie printani re de la carpe VPC reste confin e au continent 237 238 2 39 240 europ en La situation est relativement stable bien qu un nouveau foyer se soit produit chez des cyprins dor s import s au Royaume Uni ce qui a conduit plusieurs nouveaux foyers touchant des esp ces d ornement en eau froide ainsi que des levages industriels Le virus du poisson chat CCV Onchorhyncus masou et le virus de la n crose h matopo tique pizootique NHE restent toujours confin s respectivement aux tats Unis d Am rique au Japon et l Australie La n crose pancr atiqu infectieus NPI et les birnavirus aquatiques restent importants dans toutes les r gions du monde Un birnavirus aquatique appartenant au s rogroupe B a t isol chez la truite arc en ciel au Danemark mais aucune manifestation clinique n est apparue Un autre birnavirus aquatique non virulent a t d tect chez des saumons argent s revenus dans une closerie du Puget Sound dans l tat de Washington t
2. 63 SG RF PARIS mai 1995 Institut interam ricain de coop ration pour l agriculture 84 L OIE l USDA APHIS7 et l IICA contribuent aux phases II et III du d veloppement du programme informatique HandiSTATUS Help with World Animal Disease Status qui doit s achever dans le courant de l ann e 1995 Le manuel d utilisation du programme et les didacticiels ont t publi s en anglais espagnol IICA et fran ais OIE et ont t distribu s avec la version 1 21 du programme Cett version comporte toutes les donn es annuelles concernant 1990 1993 inclus Une mise jour permanente est pr sent possible par la saisie des donn es relatives aux nouveaux foyers de maladies observ s en cours d ann e Un module de transmission des informations a t mis au point pour permettre la saisie des rapports d urgence ainsi que des rapports mensuels et annuels Il sera test dans quelques pays pilotes avant d tre g n ralis Le programme est mis disposition sur Internet gr ce un protocole de transfert de fichiers provenant du serveur de l IICA Il sera prochainement disponible en un point d interconnexion avec EpiVetNet Organisation mondiale de la sant 85 En 1994 l Unit de sant publique v t rinaire de l OMS a pr par trois directives concernant tous les aspects ssentiels de la lutte contre les Salmonelles dans les levages de volailles Une r union de l OMS co
3. vraisemblablement en Ind Toutes les r gions du continent africain l exception de l Afrique du Nord taient concern es par la p ripneumonie contagieuse bovine en 1994 La maladie aurait s vi en Tanzanie depuis ao t 1994 et le Botswana a signal quelques foyers dans le nord ouest de son territoire en mars 1995 En Europe une nette diminution de l incidence de la maladie a pu tre not e en 1994 au Portugal Apr s plusieurs ann es d absence la dermatose nodulaire contagieuse est r apparue au Mali En Angola la maladie s est propag e vers le nord ouest t elle a t en recrudescenc n Afrique du Sud et en Namibie Au Malawi le diagnostic de fi vre de la Vall e du Rift a t confirm chez le mouton Pour la premi re fois des signes cliniques observ s chez des bovins et des ovins au Japon ont t attribu s la fi vre catarrhale du mouton Une forte recrudescence du nombre de foyers de clavel e a t observ n Alg rie et au Maroc Apr s 14 ann es d absence la maladie a de nouveau t signal e en Russie Un foyer est apparu en Gr ce ainsi qu en Moldavie 63 SG RF PARIS mai 1995 113 114 ETS 116 LIY PJ Aucun v nement pid miologique particulier n a t signal en 1994 1 OI propos de la peste quine si ce n est l arr t de toute vaccination contre la maladie en Egypte En Afriq
4. am liorer la qualit microbiologique des volailles et des aliments ainsi que l hygi ne des poulaillers Des mesures compl mentaires associant entre autres les flores de comp tition et les antibiotiques sont actuellement appliqu es Discussion du Th me technique II A 48 Le D l gu de l Allemagne demande si l emploi de facteurs de croissance tels que l avoparcine est susceptible d induire des r sistances Le Docteur Barrow r pond que ces produits n agissent pas directement sur Salmonella et qu ils ne posent donc aucun probl me ce niveau En revanche ces substances suppriment d autres bact ries intestinales en favorisant ainsi la multiplication des salmonelles 6 OMS Organisation mondiale de la sant 63 SG RF PARIS mai 1995 49 50 STe 52 53 54 SE 56 L D l gu d l Allemagne interrog galement sur les variants ent roh morragiques de Escherichia coli qui produisent des v rotoxines susceptibles d tr dangereuses pour le consommateur Le Docteur Barrow pr cise qu il n existe pas d informations g n rales sur ces variants chez les volailles mais que des E coli de ce type n principe limit s aux bovins ont t r cemment isol s chez des volailles Le repr sentant de l OMS indique qu au cours de ces deux derni res ann es l organisation a travaill sur les salmonelloses zoonotiques notamment celles dues
5. Le Comit prend acte du rapport L Directeur g n ral souligne les implications statutaires et financi res de la recommandation de la Commission visant instituer la langue arabe comme l une des langues officielles de l OIE Le Comit ent rine la proposition du Pr sident de confier l tud d cett recommandation la Commission administrative avant toute d cision cJ 63 SG RF PARIS mai 1995 SEPTI ME S ANCE PL NI RE Activit s des Commissions sp cialis es suite Commission pour la fi vre aphteuse et autres pizooties suite 221 222 223 224 225 Peste bovine Le Docteur W P Taylor fait le point sur la peste bovine maladie virale extr mement importante qui touche les bovins les buffles et les petits ruminants Son expos porte principalement sur les m thodes de prophylaxie et notamment sur la mani re dont celles ci pourraient d boucher sur des m thodes d radication qui permettront ce pays d tre d clar indemne d peste bovine en suivant la proc dure OI ti Le D l gu de l Inde f licite le Docteur Taylor pour son expos et approuve sa description de la situation indienne pr sent comme mod le pour la prophylaxie et l radication de la peste bovine Il stim ssentiel qu l OIE ait la responsabilit d officialiser les d clarations des pays revendiquant un statut indemne de peste bovine Le Docteur Cheneau FAO pr cis
6. 140 141 142 143 Des mesures d abattage sanitaire et de surveillance s rologique ont t appliqu es dans l Etat de Basse Californie du Sud au Mexique pour y radiquer la peste porcine classique L Uruguay compte arr ter la vaccination contre cette maladie Un programme d radication de l influenza aviaire est en vigueur au Mexique o ont t d termin es des zones indemnes et des zones sous contr le Plusieurs programmes ont t lanc s en Uruguay afin de d montrer l absence de maladies en particulier de la maladie de Newcastle et la fi vre catarrhale du mouton Une recrudescence de la fi vre charbonneuse a t constat e en Ha ti et le gouvernement de ce pays a accept le financement du programme de lutte contre cette maladie De tr s bons r sultats ont t obtenus en Ontario au Canada en mati re de lutte contre la rage dans la faune sauvage gr ce aux op rations de r partition d app ts par avion En Uruguay deux sp cialistes ont t form s au diagnostic de l enc phalopathie spongiforme bovine gr ce une aide de la Suisse La maladie h morragique virale du lapin a t radiqu e Cuba gr ce y notamment l aide que l OIE a bien voulu apporter ce pays Extr me Orient et Oc anie Un programme d radication de la fi vre aphteuse aux Philippines a re u le soutien de la FAO et de l Australie Un programme d radication de la ra
7. S enteritidis Il attire l attention sur trois publications r centes concernant la pr vention t les mesures d lutte chez les volailles Le D l gu de la Su de demande s il existe des crit res pour d finir le caract re invasif d une salmonelle Le rapporteur r pond que malgr l absence de d finition pr cise une salmonelle est consid r e comme invasiv si 11 peut tr retrouv dans le foie et la rate apr s ingestion Il souligne qu il n existe pas de corr lation stricte entre le caract re invasif et le s rotyp L D l gu d l Italie indique qu un institut napolitain tudie actuellement la vaccination maternelle associ e l utilisation d agents probiotiques L D l gu d la Colombie s inqui te des confusions diagnostiques imputables la vaccination Le rapporteur d plore galement cette possible confusion et souhaite que l on s inspire d un programme allemand qui a rendu obligatoire la d claration des souches isol es dans le but de trouver des solutions ce probl me Le D l gu de la Hongrie indique qu son avis la plupart des probl mes de sant publique r sultent d une contamination au cours du traitement des produits Le rapporteur est galement de cet avis mais il estime que la profession v t rinaire devrait aussi s efforcer d r duir les taux d infection dans les troupeaux d origine En r ponse une question portant
8. de la France s engage soumettre la Commission des normes ses commentaires concernant les projets de chapitres du Manuel portant sur l art rite virale la rhinopneumonie et la peste quines Le Comit prend acte du rapport de la Commission des normes 63 SG RF PARIS mai 1995 SIXI ME S ANCE PL NI RE Activit s des Commissions sp cialis es suite Commission pour la fi vre aphteuse et autres pizooties 171 172 LAS 174 1 9 176 LP Le Docteur W G Sterritt Pr sident de la Commission pr sente les points trait s lors de la r union qui s est tenue au si ge de l OIE du 16 au 20 janvier 1995 Doc 63 SG 12 CS 3A La Commission rend hommage l ancien Pr sident le Professeur Kihm pour la grande qualit de sa pr sidence et sa pr cieuse contribution aux travaux de la Commission La situation de la fi vre aphteuse dans le monde pr sent e dans une autre communication n est pas trait e plus longuement La R solution n IX de la 62 Session g n rale a charg la Commission pour la fi vre aphteuse et autres pizooties de mettre au point la proc dure d acceptation par l OIE des faits expos s par les D l gu s des Pays Membres pour d montrer qu leur pays ou certaines zones d leur territoire satisfont aux dispositions du chapitre 2 1 1 du Code En r ponse la Commission a pr sent pour adoption une r solution proposant un m
9. ditions actuelle et futures du Manuel notamment la classification des preuves diagnostiques devraient tre publi s dans le Bulletin de l OIE et diffus s la demande sous forme de feuilles volantes Lors d une r union commune avec la Commission du Code qui s est tenue en septembre 1994 les sujets suivants ont t discut s enc phalomy lite porcine ent rovirus trichinellose rhinotrach it infectieus bovine stomatite v siculeus t rag En septembre 1994 la Commission a galement revu rapidement le projet du Manuel de diagnostic pour les animaux aquatiques et a discut de cet ouvrage avec le Pr sident la Commission des maladies des poissons et le Bureau de la Commission du Code En r ponse une demande de la Commission du Code des preuves permettant l isolement dans la semence du virus de la diarrh e virale bovine seront incluses dans le chapitre r vis du Manuel portant sur cette maladie Un nouveau chapitre sera ajout au Manuel pour traiter de la maladie de Border La Commission ne souhaite pas ajouter de chapitres consacr s aux maladies des primates non humains car il s agit de questions hautement sp cialis es t les tests n sont g n ralement pas pratiqu s dans les laboratoires de diagnostic v t rinaire Ce point devrait tre discut lors de la prochaine r union commune des deux Commissions Le Directeur g n ral de 1 OIE et le Pr sident de la Commi
10. le traitement de la question de la fi vre aphteuse dans les conditions que vient d adopter la Comit va permettre de tester les proc dures sur une chelle limit e Il sera alors possible d envisager leur extension d autres maladies Le Pr sident sugg re de joindre aux lettres qui vont tre adress es aux pays propos de leur statut vis vis de la fi vre aphteuse une feuill contenant les explications et clarifications que le Comit vient de d terminer comme n cessaires une bonne compr hension du sujet Le D l gu des Etats Unis d Am rique soutient cette proposition Le Docteur Sterritt s engage au nom de la Commission qu il pr side travailler avec le Bureau central pour que toutes ces explications soient bien apport es aux Pays Membres 63 SG RF PARIS mai 1995 208 Le Comit prend acte du rapport de la Commission pour la fi vre aphteus E autres pizooties Activit s des Commissions r gionales Doc 63 SG 11B Commission r gionale pour l Afrique 209 210 211 Le Docteur A M Tour S n gal Pr sident de la Commission donne un compte rendu de la 11e Conf rence de la Commission r gionale pour l Afrique qui a eu lieu Rabat Maroc du 24 au 27 janvier 1995 Il pr sent galement le rapport de la r union de la Commission qui s est tenue le 15 mai 1995 au si ge de l OIE Doc 63 SG 11B AF Le Com
11. Commission du Code zoo sanitaire international 61 62 Le Docteur W H G Rees Pr sident de la Commission indique que le Bureau de la Commission s est r uni au si ge de l OIE du 19 au 23 septembre 1994 pour pr parer de nouveaux chapitres du Cod t r viser les chapitres existants Ces textes ont t soumis aux Pays Membres pour commentaires Les commentaires re us des Pays Membres ainsi que les avis des experts et des Commissions sp cialis es de 1 OIE ont t examin s par la Commission du Code lors de la r union qu elle a tenue du 16 au 20 janvier 1995 Un rapport final a t pr par afin d tre pr sent au Comit international l occasion de la 63 Session g n rale Doc 63 SG 12 CS 1 Les travaux se sont poursuivis pendant l ann e gr ce deux Groupes ad hoc constitu s pour traiter de deux sujets importants la classification des maladies et la protection des animaux lors des transports internationaux Des crit res ont t d finis pour la classification des maladies s ils sont accept s par le Comit international ils seront utilis s pour r viser les listes s il y a lieu La protection des animaux lors des transports est devenue un point sensible du commerce international tant sur le plan politique qu aupr s du grand public La Commission estime par cons quent ssentiel qu l OIE dresse la liste des principes respecter pour sauvegarder le bien
12. gu d l Argentine est d avis qu il ne faut pas trop craindre l apparition de controverses t de tout fa on il s av re que la plupart des Pays Membres de l OIE sont aussi membres de l OMC Il apporte le soutien de son pays ainsi que ceux du Br sil du Paraguay et de l Uruguay l adoption des R solutions n XI et XII Le Pr sident proc de la lecture des R solutions n XI et XII Le Comit adopt ces deux R solutions l unanimit tant entendu que des dispositions relatives la transparence seront introduites dans la proc dure propos e par la Commission Le Pr sident constatant que l OIE va ainsi devenir une r f renc n mati re d information sur les statuts sanitaires des pays l D l gu d l Australie souligne combien il est important de fournir un document clarifiant le sens et l interpr tation donner la R solution la lumi re des commentaires mis par les D l gu s et les questions qu ils ont pos es Le D l gu de l Australie insiste aussi sur l imp rative n cessit que les Codes de l OIE restent jour Il ajoute que l tape qui vient d tre franchie va cr er un pr c dent pour d autres maladies appartenant aux Listes A et B dont les Pays Membres vont vouloir tre reconnus indemnes L OIE peut alors avoir besoin de ressources suppl mentaires pour faire face la demande Le Pr sident se montre d accord avec le D l gu d l Australie sur ces diff rents points
13. il est convenu de reporter l adoption de la r solution lors de la neuvi me s ance pl ni r NEUVIEME S ANCE PLENIERE Projet de mandat et r glement des Repr sentations r gionales Le Pr sident pr sente le document 63 SG 17 modifi selon les observations faites Les amendements pr par s par le D l qu de l Espagne sont galement pr sent s Apr s d bat le point 2 accord au lieu de consultation et le point 6 peut mettre au lieu de mettre du R glement sont modifi s Le projet de R solution n XIX est adopt la majorit deux votant contre et neuf s abstenant La R solution figure sous le n XIX la fin de ce rapport Adoption des R solutions et pr sentation du projet de Rapport final Le projet de rapport final ainsi que la liste des R solutions adopt es pendant la Session g n rale sont distribu s Le Comit proc d nsuite l examen du projet de rapport final auquel sont apport es un certain nombre de modifications sugg r es par les participants Ce rapport sera d finitif le 15 juin 1995 lorsque les propositions ventuelles d amendements formul es par les Pays Membres seront parvenues au Directeur g n ral S ance de cl ture Dans son allocution de cl tur l Pr sident remerci l Comit la Commission administrative Directeur g n ral et ses collaborateurs les Commissions sp cialis es les rapporteurs des th mes techniques et
14. la d nomination propos e de maladie des taches blanches La nouvelle maladie identifi e chez des crevettes en Colombie britannique en 1991 a t attribu e un protozoaire apparent Hematodinum Sur le plan des m thodes diagnostiques les techniques de biologie mol culaire telles que les sondes g niques et l amplification en cha ne par polym rase PCR sont de plus en plus utilis es pour la d tection des agents pathog nes viraux et bact riens chez les poissons L application de ces m thodes a t simplifi t le Manuel de diagnostic pour les animaux aquatiques de l OIE sera r guli rement tenu jour tant donn que la classification propos e pour les maladies des poissons des mollusques et des crustac s a t approuv e par le Comit international en mai 1994 les deux listes qui suivent ont t int gr es dans le Code sanitaire international de l OIE pour les animaux aquatiques et le Manuel de diagnostic pour les animaux aquatiques Maladies d claration obligatoire aupr s de l OIE Autres maladies importantes Aucune autre affection des poissons mollusques ou crustac s susceptible d tre incluse dans les maladies d claration obligatoire n a t identifi e L infection virus bacilliforme maladie des taches blanches pourrait cependant tre incluse dans la seconde liste lorsque des i
15. la seconde phase de l atelier Au cours de cette phase les diverses cat gories d informations re ues et produites par l OIE et chacun des processus de gestion de ces informations ont t analys s avec la participation de l ensemble du personnel du Bureau central En conclusion de l atelier un projet de rapport a t r dig qui a d abord t diffus aux membres de la Commission administrative et aux Pr sidents des Commissions sp cialis es puis toutes les personnes int ress es en particulier les D l gu s des Pays Membres d s qu son contenu et sa forme d finitive ont t arr t s n Recherche Agronomique pour le D veloppement D partement d Elevag t de M decine V t rinair 63 SG RF PARIS mai 1995 Groupe ad hoc sur l harmonisation internationale des produits m dicamenteux usage v t rinaire 272 273 274 215 276 Monsieur J Boisseau Directeur du Centre collaborateur de l OIE pour les m dicaments v t rinaires a fait savoir au Comit que conform ment la R solution n X adopt e lors de la Session g n rale de 1994 recommandant que l OIE soutienne les initiatives visant favoriser l harmonisation des xigences li es l enregistrement des m dicaments v t rinaires la 7 Consultation technique internationale sur l enregistrement des m dicaments v t rinaires qui s est tenu n 1994 a
16. ruminants Cette annexe a t pr par n collaboration avec le Docteur M Thibier EJ consultant de 1 OIE A propos des cheptels d origine des reproducteurs point C 2 le D l gu de la France souhaite qu on en revienne des dispositions mises ant rieurement quant aux d lais pendant lesquels ces cheptels doivent tre indemnes de signes cliniques de plusieurs maladies et formule une nouvell r daction en ce qui concerne la maedi visna et l arthrite enc phalite caprine Au vu de cette situation le Comit d cide de garder cette partie l tude Les D l gu s d Afrique du Sud et d Isra l consid rent qu au point C 3 l exigence de l absence d anticorps sp cifiques vis vis de la fi vre catarrhale du mouton ne se justifie pas tant donn que tous les animaux poss dant de tels anticorps n excr tent pas le virus dans leur semence La r alisation d une preuve d isolement du virus dans la semence leur para t une alternative envisageable Le Comit conserve aussi ce point l tude Article 1 3 2 3 Certification lectronique Cet article suppl mentaire compl te le chapitre 1 3 2 Principes de certification Aucun commentaire n est mis sur l article 1 3 2 3 Chapitre 3 4 10 Art rite virale quine Le chapitre a t r vis car lors de la 62 Session g n rale il avait t demand d y inclure une partie traitant du d placement des chevaux vaccin s Les r
17. Code sur cette maladie a galement t examin de m me que les commentaires des Pays Membres Le Docteur Rees pr cis qu les principales modifications apport es au chapitre consistent formuler plus clairement l article sur la surveillance de la maladie et indique que dans les pays o son incidence st lev e seuls peuvent tre commercialis s les bovins n s trois ans au moins apr s l interdiction de distribuer des aliments base de prot ines de ruminants Ces modifications constituent un renforcement des dispositions actuelles du chapitre Au paragraphe 5 b de l article 3 2 13 4 le Docteur Rees sugg re de remplacer dans la version anglaise le terme issue par first generation progeny et dans la version espagnole le terme no descienden par no han nacido la r daction du texte en fran ais tait d j claire sur ce point 63 SG RF PARIS mai 1995 79 Le D l gu de la France sugg re de remplacer ou par et la sixi me ligne de l article 3 2 13 7 Le Docteur Rees constate que ceci changerait compl tement le sens de l article supprimerait toute possibilit d exception et irait l encontre de l avis mis par le Groupe ad hoc Aucun autre Pays Membre ne s exprim n faveur de ce remplacement Le D l gu de la France sugg re galement d ajouter le membre de phrase ou dont le statut est inconnu la deuxi me ligne de l article 3 2 13 10 apr s lev
18. adopt une recommandation demandant la cr ation par l OIE d un groupe ad hoc charg des questions d harmonisation internationale des m dicaments v t rinaires Ce Groupe ad hoc s est r uni au Bureau central de l OIE en d cembre 1994 et en avril 1995 Des repr sentants des autorit s et de l industrie pharmaceutique de l Union europ enne du Japon et des tats Unis d Am rique ont assist ces r unions Le Groupe ad hoc parachev un s ri d propositions concernant la structure les proc dures de travail et le financement de l organisme international qui devrait tre charg de l harmonisation internationale des produits v t rinaires Cet organisme porterait le nom de Coop ration internationale sur l harmonisation des exigences techniques pour l enregistrement des produits m dicamenteux usage v t rinaire Le Groupe ad hoc souhaite que cet organisme G constitue un forum permettant un dialogue constructif entre les autorit s et l industrie pharmaceutique v t rinaire formule des recommandations pratiques sur les moyens d harmoniser les exigences techniques li es l enregistrement soit g r dans la transparenc t permett au grand public de lui adresser des commentaires sur ces recommandations Le Groupe ad hoc a d fini une s rie de th mes importants relatifs la qualit l innocuit et l efficacit des produits m dicamenteux usage v t rinaire Il a d cid d les trait
19. cette maladie soit class e conform ment aux crit res des Listes et B d s que ceux ci seront accept s par les D l gu s La Commission a rejet une proposition d inclure dans la Liste l h patit virale corps d inclusion des poulets dans la Liste ou B car les donn es l appui de cette demande sont insuffisantes La Commission a recommand d envisager l inclusion des principales maladies virales des abeilles dans les Listes et B lorsque le nouveau syst me de classification aura t adopt En r ponse une proposition d inclusion des maladies des vers soie dans les Listes A ou B la Commission a demand que le Bureau central r unisse des informations sur l tendue et l importance de ces maladies La Commission a not avec regret l absence des rapports annuels du Laboratoir d r f rence d l OIE pour la fi vre aphteuse Pakchong Tha lande malgr les rappels qui lui ont t adress s Elle a d cid d demander au Professeur Kihm Pr sident de la Sous commission de l Asie du sud est pour la fi vre aphteuse de suivre cette affaire lors de la prochaine r union La Commission a demand au Directeur g n ral d inviter les organisateurs de l atelier annuel consacr la bios curit dans le secteur v t rinaire soumettre leurs comptes rendus l OIE pour examen et diffusion ventuelle aux Pays Membres Le Pr sident ouvr
20. des maladies des animaux aquatiques li es aux changes internationaux se tiendra Paris du 7 au 9 juin 1995 La Conf rence sera particuli rement destin aux responsables des r glementations nationales sur l importation et aux autres personnes organisations impliqu es dans le commerce des animaux aquatiques Plusieurs membres de la Commission pour les maladies des poissons ont e repr sent l OIE dans des r unions ou des ateliers internationaux Le Professeur H stein pr sent le projet de R solution n XVI visant autoriser des autorit s ne d pendant pas des Services v t rinaires mais cependant responsables de la situation sanitaire des animaux aquatiques dans leur pays rendre compte de cette situation l OIE Une telle autorisation ne pourrait tre donn e que si le D l gu de l OIE dans le pays la juge opportune Le D l gu de la Norv ge soutient le projet de R solution et s interroge sur l existence d autres domaines o des dispositions similaires pourraient se r v ler n cessaires Le Directeur g n ral indique qu aucune demande d la sorte pour aucun autre secteur de la production animale n a encore t formul e Le D l gu du Portugal explique que dans son pays ce ne sont pas les Services v t rinaires qui sont responsables de la prophylaxie des maladies des animaux marins Ils sont en revanche comp tents pour tout ce qui concerne les
21. des risques partir des informations fournies par l OIE et d autres sources Si un pays ne prend pas en compte la liste et impose un autre pays des conditions plus restrictives que le laisserait supposer le statut qu il a obtenu au niveau de l OIE le premier pays doit tre pr t fournir les arguments scientifiques justifiant sa d cision vis vis du second Le D l gu du Tchad souhaiterait savoir dans quels cas des experts seraient envoy s dans les pays demandeurs et si la situation particuli re des pays n d veloppement a t prise en compte cet gard Le Docteur Sterritt d crit nouveau les tapes successives de l tude des demandes pr sent es par les pays pour tre reconnus indemnes en soulignant que la visite d experts ne sera propos e qu en cas de n cessit Si c est la solution pr conis e par la Commission le pays en sera avis il pourra alors soit retirer sa demande et alors son dossier restera confidentiel soit accepter la visite et il devra en assumer les frais Des organismes sp cialis s dans l assistance aux pays n d veloppement pourraient se montrer pr ts aider ces pays faire face aux d penses encourues Le D l gu de la France s exprimant au nom des 15 Etats membres de l Union europ enne fait savoir que ces Etats acceptent les deux projets de R solutions et soumettront le moment venu leur dossier la Commission L D l
22. e ou faible Le Docteur Rees consid re que ceci n est pas n cessaire car tout pays qui n applique pas un programme de surveillance conforme l article 3 2 13 1 peut tre consid r comme relevant de l article 3 2 13 10 La Commission devrait reconsid rer la question une prochaine r union Les D l gu s de l Argentine de la Russie et de l Uruguay mentionnent les domaines importants o subsistent ncor des incertitudes en ce qui concerne cette maladie et pr f reraient en cons quence qu on reporte toute d cision sur ce point Le Pr sident E 1 Docteur Rees font remarquer qu ils existe d j dans le Code un chapitre sur l enc phalopathie spongiforme bovine et qu il serait pr f rabl d en renforcer les dispositions avec les l ments dont on dispose d ores et d j plut t que de temporiser Tous deux re oivent le soutien des D l gu s de l Iran de la Nouvelle Z land t de la Suisse Le Comit se rallie aussi ce point de vue et demande la Commission du Code de continuer suivre dans le futur les progr s accomplis dans la connaissance de la maladie pour lui proposer le cas ch ant de nouvelles am liorations dans le chapitre 322443 Chapitre 2 1 1 Fi vre aphteuse Annexe 4 3 2 1 Destruction du virus de la fi vre aphteuse Viandes Annexe 4 3 2 2 Destruction du virus de la fi vre aphteuse Produits d origine animale destin s l usage industriel Ann
23. environ des pr visions Les recettes s l vent 16 642 777 50 FRF soit une r alisation inf rieure de 427 222 50 FRF par rapport aux pr visions Les rentr es de contributions atteignent 14 887 005 72 FRF soit un montant sup rieur de 0 7 aux pr visions budg taires Les cessions de publications s l vent un montant total de 812 231 57 FRF soit un montant sup rieur de 12 8 aux pr visions tandis que les recettes de produits financiers atteignent un montant de 397 742 92 FRF inf rieur au montant pr vu L affectation propos e du r sultat est la suivante 62 041 10 FRF pour le Compte sp cial pour activit s op rationnelles Le Compte travaux et quipement s levait 228 076 35 FRF au 1 janvier et 315 820 10 FRF au 31 d cembre 1994 Les recettes 760 000 FRF ont t constitu es par une contribution volontaire 500 000 FRF et par la dotation du Budget ordinaire 260 000 FRF Les d penses ont concern les travaux 158 955 55 FRF et les quipements 513 300 70 FRF soit 672 256 25 FRF au total Le budget de r novation de la salle de conf rences a t tenu s par ment Les recettes 4 000 000 FRF ont t constitu es de contributions volontaires 2 000 000 FRF et d un pr l vement sur tr sorerie disponible 2 000 000 FRF Les d penses 953 636 74 FRF ont concern 1l d but des travaux Le Compte sp cial pour le d veloppement de l in
24. et au Veterinary Research Institute Brno Enfin une r union a eu lieu au Minist re fran ais de la Coop ration Paris 1 9 d cembr 1994 au cours de laquelle la Convention entre le Minist re d Etat au D veloppement rural et la r forme agraire de la R publique malgache et l OIE a t sign e A cette occasion le point a t fait sur les diff rentes actions entreprendre pour le projet d radication de la maladie de Teschen Groupe ad hoc sur la planification appliqu e aux syst mes d information 268 269 270 2 des 17 CIRAD EMVT Centre de Coop ration International F Afin de r pondre l une des recommandations du Groupe de travail de l OIE sur les syst mes d information zoo sanitaire Doc 62 SG 13 GT3 l USDA APHIS a mis la disposition de l OIE titre gracieux un groupe ad hoc de sp cialistes de la planification appliqu e aux syst mes AN d information pour organiser un atelier sp cifique l OIE sur ce sujet La premi re phase de l atelier s est d roul Washington Etats Unis d Am rique o les responsables du Bureau central de l OIE se sont rendus du 31 mai au 4 juin 1994 pour se familiariser avec la m thod t pr parer la seconde phase de l atelier avec l aide des membres du Groupe ad hoc La venue du Groupe ad hoc au si ge de l OIE Paris du 14 au 24 juin 1994 a constitu
25. l Erythr e du Honduras de l Islande de Moldavie et du Qatar nouveaux Pays Membres de l OIE ainsi qu aux repr sentants des pays qui participent la Session g n rale en qualit d observateurs Adoption de l ordre du jour Le Comit adopte l ordre du jour provisoir t le calendrier de la Session D signation de la sous commission de l ordre du jour des 64 et 65 Sessions g n rales Le Comit d signe la sous commission charg e de pr parer l ordre du jour des 64 et 65 Sessions g n rales Cette sous commission plac e sous la pr sidence du Docteur N T Belev Bulgarie est compos des Pr sidents des Commissions r gionales Commission de v rification des pouvoirs Le Comit d signe le Docteur C A Correa Messuti Uruguay et le Professeur A Moussa Egypte pour tablir la liste des D l gu s qui ont pouvoir de leur Gouvernement pour participer aux d lib rations et dont le pays est en r gle en mati re de contributions 63 SG RF PARIS mai 1995 19 20 2E Rapport du Directeur g n ral sur les activit s de l OIE en 1994 Doc 63 SG 1 Le Directeur g n ral pass n revue les r alisations les plus marquantes de l OIE pour l ann e coul e Il indique les changements de personnel intervenus au Bureau central ainsi que la nature des investissements consentis pour compl ter les quipements du Bureau central notamment en mat riel informatiqu
26. les interpr tes Il renouvell ses f licitations au Docteur Blancou pour sa nomination en soulignant la qualit de son travail Le D l gu de l Allemagne au nom de tous les D l gu s de l OIE f licite le Docteur Willis pour son excellent travail en tant que pr sident des sessions R solutions Recommandations 63 SG RF PARIS mai 1995
27. sur l harmonisation internationale des produits m dicamenteux usage v t rinaire et la tenue d un symposium sur ce m me th me aux Etats Unis d Am riqu n d cembre 1994 la pr paration de documents techniques de rapports et d articles de la Revue scientifique et technique concernant les sujets dont l tude a t souhait e par les Pays Membres en 1993 maladies mycoplasmes maladies des cervid s d levage analyse des risques r gionalisation et zonage le d veloppement du syst me HandiSTATUS Le Directeur g n ral rappelle que la nomination du Docteur Y Ozawa comme Repr sentant de l OIE pour l Asie et le Pacifique a permis l OIE de maintenir un haut niveau d activit s dans cette r gion et notamment d y organiser la lutte contre la fi vre aphteuse et la surveillance des maladies animales Il rappelle galement les activit s de coordination du Docteur Belev et le succ s de son action en Europe central t oriental Le Docteur Ozawa est invit par 1 Directeur g n ral pr senter les activit s entreprises n 1994 dans le cadre du Programme OIE Japon Il signale la tenue de quatre r unions sous r gionales La troisi me r union du Groupe de coordination pour le contr le de la fi vre aphteus n Asie du Sud Est Ipoh Malaysia f vrier 1994 E L atelier sur l pid miologie le diagnostic et la surveillance de la peste bovine en coll
28. sur la protection crois e vis vis des diff rentes sp ces de salmonelles le Docteur Barrow pr cis que cett protection est tr s limit t qu elle n existe que pendant la p riode de survie de la souche vaccinale dans les intestins L immunit prolong e r sultant de la vaccination est particuli re chaque esp ce B La maladie de Gumboro Doc 63 SG 10B Le Docteur N Eterradossi France pr sente son rapport sur la maladie de Gumboro qu il a r dig n tenant compte des observations de 65 Pays Membres de 1 OIE La maladie de Gumboro bursite infectieuse st pr sent dans 95 de ces pays Dans la majorit d entre eux sont signal es la fois les formes immunod pressive et aigu de la maladie La prophylaxie m dical st en g n ral bas e sur l emploi de vaccins virus inactiv s chez les sujets reproducteurs et de vaccins virus vivant modifi chez les jeunes volailles Le diagnostic de laboratoire de la maladie est le plus souvent ffectu l aide des tests d immunodiffusion n g los e d immunoadsorption enzyme conjugu e ELISA Les mesures de prophylaxie sanitaire utilis es sont tr s variables 63 SG RF PARIS mai 1995 SE 58 5 9 60 Discussion du Th me technique II B Le D l gu de l Iran observe que de multiples questions semblent encor n suspens et que de nombreux travaux compl mentaires restent n cessaires L Docteur Eterrado
29. travail Un chapitre sur les r gles recommand es pour les changes internationaux d agents pathog nes d origine animale est en cours de pr paration et sera examin par la Commission du Code lors de sa prochaine r union Une r vision des chapitres sur la grippe quine la pest squin t la trichinellos st galement pr vu Les travaux se poursuivront sur la classification des maladies sur la base des discussions qui auront lieu au cours de la Session g n rale Le Comit prend acte du rapport de la Commission du Code et adopte l unanimit le projet de R solution n IX qui reprend 1 r sultat des discussions qu il a eues sur les textes que la Commission du Code lui a soumis pour adoption Interventions des Organisations internationales Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture Les principales activit s du Service de la sant animale de la FAO en 1994 sont pr sent es Les premiers r sultats obtenus suite la mise en oeuvre du Syst me de pr vention et de r pons rapide contre les ravageurs et maladies transfronti res des animaux et des plantes EMPRES sont tr s satisfaisants Un nouveau domaine de coop ration et de compl mentarit FAO OIE s est ainsi ouvert La dynamique du programme mondial d radication de la peste bovine devrait tre encore stimul e en particulier par la d claration officielle de pays ou r gions libres de maladie
30. un groupe de travail sur cette question en Allemagne au mois de juin L OMS a pr par un document sur la diff renciation intersp cifique du complexe Mycobacterium tuberculosis 88 Une s rie de r unions tenues depuis 1990 a conduit en 1994 au d veloppement de 18 modules de formation en pid miologie v t rinair t en m decine des populations Ces modules qui devraient tr prochainement propos s devraient tre utiles aux formateurs qui pourront ainsi d multiplier la formation en pid miologie v t rinaire Une consultation de l OMS sur le d veloppement et l application de m thodes g ographiques en pid miologie 7 USDA APHIS Service d inspection Zzoo sanitaire et phytosanitaire du minist re de l Agriculture des tats Unis d Am rique 8 IICA Institut interam ricain de coop ration pour l agriculture 63 SG RF PARIS mai 1995 des zoonoses a u lieu Wusterhausen en Allemagne en mai et juin dernier Des consultations se sont tenues au sein et en marge de l OMS pour discuter du renforcement de la surveillance globale des nouvelles maladies humaines y compris des zoonoses et des maladies zoonotiques d origine alimentaire Organisation panam ricaine de la sant 89 Les deux Centres sp cialis s du Programme de sant publique v t rinaire de 1 OP9S le Centre PANAFTOSA de Rio de Janeiro e
31. 333 334 339 336 337 338 Le Directeur g n ral pr sente l tat actuel du financement de la salle de conf rences et propos qu 1 pr l vement du Fonds de r serve soit maintenu Les cr dits disponibles apr s cl ture du compte relatif la salle de conf rences seront affect s d autres op rations de r novation du Bureau central Projet de budget 1996 et proposition de bar me des contributions pour 1996 Doc 63 SG 6 Le Chef du Service administratif et financier pr sent 1 programme pr visionnel d activit s et les pr visions de d penses et de recettes pour 1996 Le programme pr visionnel d activit s assure la poursuite des programmes en cours en 1995 et le d veloppement des activit s recommand es par le Comit Les pr visions de d penses sont fonction d une part du programme d activit et d autre part d une augmentation pr visible du co t de la 2 vie de l ordre de 1 par an Le projet de Budget ordinaire 1996 70 exercice est quilibr en recettes C n d penses 17 950 000 FRF Les recettes sont constitu es ssentiellement par les contributions 16 200 000 FRF Les autres apports repr sentent 1 750 000 FRF vente de publications produits financiers etc Les charges de fonctionnement totalisent 17 670 000 FRF et la dotation au Compte travaux et quipement s l ve 280 000 FRF 2 Le bar me des contributions 1996 compor
32. E WAVLD sur les biotechnologies pr vue J rusalem en Isra l le 4 ao t 1996 Le Groupe examin les projets de r vision ou de mise jour des chapitres pour la troisi me dition du Manuel et a discut des probl mes qu il sera probablement n cessair d tudier lors de la r daction de la partie biotechnologique inclure dans les chapitres Le Comit prend acte du rapport du Groupe de travail sur la biotechnologie HUITI ME S ANCE PL NI RE Activit s des Groupes de travail suite Groupe de travail sur l enregistrement des m dicaments v t rinaires 290 291 Monsieur Boisseau pr sente un compte rendu des travaux de la 10 R union du Groupe qui a eu lieu les 19 et 20 d cembre 1994 sous la pr sidence du Professeur Gimeno Doc 63 SG 13 GT 2 Le Groupe a t inform de la cr ation par l OIE d un Groupe ad hoc sur l harmonisation internationale des produits m dicamenteux usage v t rinaire Les r unions de ce Groupe sont pr sent es sous la rubrique Rapport sur les r unions des Groupes ad hoc de l OIE 272 276 19 WAVLD Association mondiale des sp cialistes des laboratoires de diagnostic v t rinaire 63 SG RF PARIS mai 1995 292 293 294 295 296 297 298 299 Des projets de formation des responsables de la pharmacie v t rinaire dans les Pays Membres de l OIE sont pr vus pour 1995 1996 en Afrique en Am rique l
33. Introduction l La 63 Session g n rale du Comit international de l OIEl s est tenue au si ge de l Organisation 12 rue de Prony Paris du 15 au 19 mai 1995 sous la pr sidence du Docteur N G Willis Canada Vice Pr sident du Comit international qui rempla ait le Docteur Ahmad Mustaffa b Hj Babjee Malaysia Pr sident xcus Le Docteur R Marabelli Italie a pr sid la deuxi me s ance pl ni re Le Docteur P Ackah Angniman C te d Ivoire a pr sid la troisi me s ance pl ni r 2a Les d l gations de 113 Pays Membres ont particip la Session g n rale 3s Ont galement assist la Session les observateurs de trois pays et de 18 Organisations intergouvernementales et non gouvernementales 4 Le Directeur g n ral le Docteur J Blancou a assist avec voix consultative aux s ances et a assum les fonctions de Secr taire g n ral CE Ont particip la Session g n rale en tant que Rapporteurs des th mes techniques les Docteurs G K Br ckner Afrique du Sud P Barrow Royaume Uni et N Eterradossi France 6 Etaient galement pr sents aux s ances pl ni res les Pr sidents des Commissions sp cialis es de l OIE ainsi que des repr sentants des Groupes de travail et des Groupes ad hoc 7 Le Professeur E J Gimeno Pr sident honoraire ainsi que le Docteur L Blajan Directeur g n ral honoraire de l OIE y ont
34. a Liste B 118 119 120 En 1994 la rage a connu une recrudescenc n Belgiqu t en Suisse En 2 revanche l incidence de la maladie a diminu de 62 en France Au Royaume Uni conform ment aux pr visions le nombre de cas d enc phalopathie spongiforme bovine nregistr s n 1994 tait en diminution d environ 26 par rapport 1993 Trois cas import s ont t observ s en Allemagn t deux cas similaires en Italie La France l Irlande le Portugal et la Suisse ont respectivement signal quatre dix neuf douze et soixante quatre cas chez des animaux autochtones L Australie a signal en novembre 1994 un foyer de varroase dans l une de ses les septentrionales Autres maladies 121 En septembre 1994 Brisbane en Australie des chevaux sont morts ou ont d tre abattus car atteints d un syndrome respiratoire aigu provoqu par un morbillivirus L entra neur des chevaux est mort d une grave affection respiratoire et des anticorps sp cifiques ont t trouv s chez un gar on d curie Un vaste programme de surveillance a t instaur il a montr que le virus causal ne s tait pas propag n d cembr 1994 les autorit s v t rinaires de l Australie ont pu d clarer que la maladie tait radiqu e 63 SG RF PARIS mai 1995 122 THEME TECHNIQUE III Situation zoo sanitaire dans les Pays Membres Doc 63 SG 15 Les points les plus saillants
35. a pas eu de foyers de peste porcine africaine en Espagne Le pourcentage de porcins positifs sur 250 000 animaux test s s l ve d sormais 0 001 dans les zones de surveillance L Union europ enne va prochainement tudier la possibilit de faire passer les 11 communes non indemnes dans la zone de surveillance et il n est pas impossible que l Espagne soit d clar e totalement indemne de la maladie la fin de l ann e En 1994 la situation de la peste porcine classiqu s est l g rement d t rior e en Ukraine par rapport 1993 La Hongrie se maintient en alert vis vis de cette maladie car la vaccination n y est pas pratiqu e et l environnement r gional laisse planer des menaces La vaccination contre la maladie de Newcastle t rendue obligatoire dans les levages amateurs en Allemagne et c est d sormais une condition de commercialisation des oiseaux issus d typ d levage Les ffets b n fiques de cette obligation ont d j commenc se faire sentir L Allemagne la Belgique et la Slov nie consid rent que la vaccination orale des renards n est pas la seule mesure ad quate pour vaincre la rage l o leurs populations sont en fort accroissement Des mesures d r gulation de ces populations risquent de s av rer indispensables Les r sultats obtenus en mati re de vaccination orale des renards ont t tr s satisfaisants en Hongrie mais des contraintes budg
36. a proc dure d adoption un caract re formel et explicite Une R solution en ce sens sera pr sent e au Comit au cours de la semaine Le Docteur Rees pr sente au Comit les textes suivants pour adoption Annexe 4 4 1 1 Protection des animaux pendant le transport international Le projet d annexe comporte deux parties La premi r pr sent les principes g n raux communs tous les transports et la seconde d taille les consid rations sp cifiques aux diff rents modes de transport Le Groupe ad hoc avait d conseill d inclure dans le Code des exigences d taill es concernant des aspects tels que les densit s de chargement la dur e des transports ou la fr quence d alimentation et d abreuvement en raison de la grande diversit des moyens de transport et des conditions climatiques dans les Pays Membres La Commission du Code repris cet avis son compte Pour prendre en compte la suggestion mise par un Pays Membre le Docteur Rees propose au Comit d ajouter la fin du point B 1 de l annexe 4 4 1 1 un paragraphe 5 ainsi r dig 5 Un relev de l esp ce de l ge du sexe et du nombre des animaux transporter doit tre conserv pr cisant le nom de leur propri taire ainsi que leur lieu de d part et leur destination Il souhaite galement remplacer l inspection des animaux par l inspection de tous les animaux dans la premi re phrase du point C 1 de cette
37. aboration avec la FAO et l APHCA4 Lahore Pakistan mars avril 1994 Le Symposium de l OIE sur la maladie d Aujeszky en collaboration avec le Bureau central de l OIE Bangkok Tha lande juin juillet 1994 CI La r union du Groupe de l Asie de l Est tenue Bangkok en juillet imm diatement apr s le Symposium de l OIE sur la maladie d Aujeszky la r union de coordination de l OIE ANASE sur les syst mes d information de la production animale Kuala Lumpur novembre 1994 Le Docteur Ozawa d crit les documents publi s et diffus s par la E Repr sentation de l OIE pour l Asie et le Pacifique Quatre rapports trimestriels sur l pid miologie Quarterly Epidemiology Reports couvrant la p riode allant de janvier d cembre 1994 Un annuaire r gional sur l pid miologie Regional Epidemiology Yearbook 1993 publi en mai 1994 L expos du Directeur g n ral se termine par une br ve pr sentation des Conf rences r gionales organis es dans les Pays Membres Asunci n Paraguay et Stockholm Su de Il rend galement compte des r unions auxquelles l OIF a particip en 1994 et des relations de l OIE avec les autres organisations internationales Le Comit prend acte du rapport du Directeur g n ral FAO Organisation des Nations unies pour l alimentation et l agriculture APHCA Commission r gionale de la prod
38. ait pas les pays ou parties de territoire de pays indemnes de la maladie ce qui a galement t pris en compte Aucun commentair n est mis sur les modifications propos es dans le chapitre 3 2 4 Chapitre 3 4 6 Piroplasmose quine Le Docteur Rees explique que le chapitre r vis a t pr par suite un r union d un Groupe ad hoc qui a pass n revu les informations actuellement disponibles sur la maladie Ce Groupe a tenu compte de l pid miologie de la maladie et du r l des vecteurs t a mis des recommandations concernant les chevaux porteurs d anticorps sp cifiques 63 SG RF PARIS mai 1995 2E 13 74 KI Le D l gu de la France est d avis de supprimer la parenth se au b du paragraphe 2 de l article 3 4 6 2 compte tenu des conditions figurant aux paragraphes 3 et 4 qui suivent Le Comit d cide du retrait de cette parenth se Chapitre 3 2 5 Rhinotrach ite infectieuse bovine Le chapitre a t r vis selon l avis de la Commission des normes sur les proc dures de contr l t selon les commentaires des Pays Membres Le Docteur Rees propose d am liorer la r daction du paragraphe 1 b de l article 3 2 5 2 en le r digeant de la fa on suivante b tous les bovins import s satisfont aux conditions pr vues l article 3 2 5 4 Le Comit accepte cette suggestion Annexe 4 2 2 2 Centres d ins mination artificielle Semence des petits
39. animaux d eau douce A son avis il est essentiel que pour les deux secteurs 1l D l gu rest l autorit qui d clare les maladies l OIE z 63 SG RF PARIS mai 1995 256 29 258 259 260 Le D l gu des Etats Unis d Am rique reconna t que l intention est louable n ce qu elle vise acc l rer les proc dures de d claration Il comprend que le projet de R solution n a pas de caract re contraignant mais l id e d avoir deux voies de d claration risque de causer des d sagr ments Dans son pays les concepts d pid miologie de d claration des maladies animales et d valuation des risques ne sont pas familiers tous les organismes s occupant de maladies des animaux aquatiques Dans ces conditions il pr f rerait qu 1 Bureau central de l OIE continue dialoguer avec 1l D l gu de chaque pays en mati re de pathologie des animaux aquatiques Le D l gu de l Autriche se rallie aux propos du D l gu des Etats Unis d Am rique De son point de vue un r el d sordre risque de s instaurer si les Services v t rinaires sont laiss s de c t et ceci pourrait conduire une situation chaotique Compte tenu des r serves exprim es par les D l gu s pr cit s le Pr sident demande au Professeur H stein et aux D l gu s de l Autriche et des Etats Unis d Am rique de se concerter en vue de prendr n compte ces r serves dans le tex
40. ant le Rapport financier du 68 exercice est adopt par le Comit la majorit un D l gu ayant vot contre Allemagne La R solution figure sous le n III la fin de ce rapport Renouvellement du mandat du V rificateur externe Le Pr sident propose au Comit d accepter de renouveler pour une ann e le mandat de Monsieur J Berthe en qualit de V rificateur externe des comptes de l OIE La proposition de R solution n VI est adopt e l unanimit La R solution figure sous le n VI la fin de ce rapport Budget 1995 Doc 63 SG 5 Le Chef du Service administratif et financier rappell qu 1 budget ordinaire 1995 a t adopt au cours de la pr c dente Session g n rale e qu il est quilibr en recettes et d penses 17 870 000 FRF Le bar me de contributions permettant de r aliser ce budget a galement t fix 1994 DUA Les pr visions de d penses concernant le Compte travaux et quipement s l vent 550 000 FRF pour les travaux notamment pour l am lioration des locaux et la s curit et 630 000 FRF pour l quipement soit un total de 1 180 000 FRF Les recettes pr visionnelles atteignent 870 000 FRF dont 270 000 FRF de dotation de Budget g n ral t 600 000 FRF titre de contribution volontaire Le solde du compte passerait de 315 820 10 FRF au 1 janvier 5 820 10 FRF au 31 d cembre 1995 63 SG RF PARIS mai 1995 332
41. atine en Asie ainsi qu en Europe central t oriental Les num ros d octobre 1994 et de mars 1995 de la Lettre d information sur l enregistrement des m dicaments v t rinaires ont t consacr s la 7 Consultation technique internationale sur l enregistrement des m dicaments v t rinaires L expos de Monsieur Boisseau se termine par la pr sentation du rapport d activit s du Centre collaborateur de l OI pour les m dicaments v t rinaires en 1994 EJ Le Professeur Gimeno d crit bri vement les activit s r centes de l OIE en Am rique latine Des progr s ont t enregistr s en mati re d harmonisation des m dicaments v t rinaires y compris des produits biologiques dans les pays du MERCOSUR R cemment dans le cadre du programme OIE OPS des progr s similaires ont t accomplis dans les pays du Pacte andin JUNAC Un s minaire organis conjointement par l OIE et l OPS au d but de 1996 s appuiera sur ces efforts d harmonisation pour informer et ventuellement inclure les pays latino am ricains qui ne font pas parti d ces deux regroupements conomiques Le D l gu d Uruguay r it re les commentaires formul s par son pays aupr s du Comit international pour demander qu les m dicaments dont l utilisation n est pas autoris e dans le pays d origine soient clairement tiquet s comme tels lorsqu ils sont vendus dans un autre pays Monsi
42. ats Unis d Am rique Un birnavirus de type EYE a t responsable d une mortalit plus ou moins importante chez les anguilles aux Pays Bas Un autre birnavirus le virus de l ascite de la s riole YAV a provoqu de lourdes pertes conomiques pour l levage de cett sp ce au Japon En Norv ge le nombre de cas cliniques dus au virus de la NPI a augment Cette maladie a galement touch des closeries d eau douce certifi es dans les provinces maritimes du Canada Nouvelle cosse Nouveau Brunswick le du Prince douard Le nodavirus qui est responsable de l enc phalopathi t de la r tinopathie virale a entra n des pertes massives chez diff rentes sp ces marines d levage dans de nombreux Pays Membres En 1994 l iridovirus de la dorade japonaise IVDJ qui avait t d crit au Japon en 1990 a galement t l origine d une mortalit massive dans plusieurs esp ces marines en Asie 241 L an mi infectieuse des salmonid s AIS reste limit e la Norv ge mais la maladie a t ma tris e Le virus pouvant tre l origine de cette maladie a t isol dans une lign e cellulair permanent du rein ant rieur La situation des infections bact riennes class es parmi les autres maladies importantes reste largement inchang e Piscirickettsia salmonis a cependant t d cel en eaux douces au Chili Un micro
43. canisme de reconnaissance de la situation des Pays Membres au regard de la fi vre aphteuse En pr parant ce projet la Commission a soigneusement tenu compte des inqui tudes formul es par les Pays Membres lors de la 62 Session g n rale Les principes du m canisme propos ont t pr sent s comme suit La proc dure repose sur une base strictement volontaire Elle ne s applique qu aux Pays Membres qui demandent un changement de leur statut officiel au regard de la fi vre aphteuse ou bien l tablissement de zones indemnes sur leur territoire Comm demand lors de la 62 Session g n rale le syst me ne s appliquera qu la fi vre aphteuse La Commission a cependant reconnu la n cessit de l utiliser pour la peste bovine et estime qu il devrait servir de mod le pour d autres maladies la suite d une demande de changement du statut officiel au regard de la fi vre aphteuse la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties d cide si la visite d un comit d experts st ou non n cessaire Les frais li s cette visite seront la charge du pays demandeur Si la Commission exige une tell visite le pays en sera inform l avance et pourra la refuser et retirer sa demande de modification du statut reconnu par l OIE La 62 Session g n rale a galement charg la Commission pour la fi vre aphteuse et autres pizooties de propos
44. d information z00 sanitaire Le Professeur J Hilton soci t Telos Consulting explicite les objectifs fix s au projet informatique AVIS Advanced Veterinary Information System Il remercie tous ceux qui ont accept d apporter leur soutien ce projet et y ont contribu un titre ou un autre Le Docteur J Anderson Laboratoire de Pirbright Royaume Uni fait une d monstration des diff rents modules traitant de la peste bovine d j r alis s dans le cadre de ce projet Date de la 64 Session g n rale Le Comit d cide que la 64 Session g n rale aura lieu du 20 au 24 mai 1996 Th mes techniques de la 64 Session g n rale mai 1996 Le Comit modifie la d cision prise en mai 1994 pour les th mes techniques Ces th mes seront intitul s Biotechnologie en production animale avantages et probl mes L application des recommandations et des proc dures de l OIE par les Pays Membres dans le cadre du commerce international en relation avec l Organisation mondiale du commerce 63 SG RF PARIS mai 1995 3124 313 314 Th mes techniques de la 65 Session g n rale mai 1997 Le Comit retient les th mes techniques suivants parmi les propositions de la sous commission de l Ordre du jour Les syst mes de contr le de qualit tels que le syst me ISO 9000 pour l valuation des Services v t rinaires dans le cadre du commerce international Maladies h
45. de l Uruguay fait tat des excellents r sultats obtenus en mati re de prophylaxie de cette maladie notamment la suite de la conclusion de l Accord du Rio de la Plata Gr ce la s ro surveillance de la fi vre aphteus xerc chez les ovins particuli rement adapt e au contexte local il a t possible de d montrer l absence d activit virale dans toute une partie de l Am rique du Sud 45 Le Pr sident conclut la s ance en soulignant combien chacun est convaincu de l importance des syst mes de surveillance des maladies animales 46 Le groupe charg de mettre au point le projet de r solution se compose du rapporteur des Docteurs A I Donaldson Royaume Uni M Keita Mali J King Etats Unis d Am rique F X Meslin OMS6 et des Professeurs V Caporale Italie et U Kihm Suisse TROISI ME S ANCE PL NI RE TH ME TECHNIQUE II Progr s dans le diagnostic et la prophylaxie de deux maladies importantes des volailles la salmonellose et la maladie de Gumboro A La salmonellose Doc 63 SG 10A 47 Le Docteur P A Barrow Royaume Uni pr sente son rapport sur la salmonellose qu il a r dig en tenant compte des observations de 33 Pays Membres de 1 OIE Les mesures de prophylaxie contre les salmonelloses sont fonction de l importance du secteur avicol t de la perception du probl me par le grand public dans les diff rents pays Ces mesures doivent viser
46. des rapports pr sent s par les Pays Membres sont r sum s ci apr s Afrique 1 23 124 125 En Ouganda le virus de la fi vre aphteuse de type O n a pas t isol en 1994 N anmoins la vaccination contre la maladie se poursuit l aide d un vaccin contenant les types O A et SAT 2 Toujours en Ouganda la peste bovine est apparue au nord est dans une zone semi aride o s effectuent de nombreux mouvements de transhumance et qui est d sormais plac e sous contr le Des organisations non gouvernementales ont fait tat de foyers de peste bovine au sud du Soudan aupr s de la PARC mais n ont pas fait parvenir cette information aux autorit s officielles de ce pays A la suite de l apparition de la p ripneumonie contagieuse bovine dans 126 1257 128 129 l extr me nord ouest du territoire du Botswana des mesures d abattage des bovins atteints et de vaccination des animaux risque ont t entreprises pour arriver l radication de la maladie dans la zone infect e C est principalement autour des grandes villes que les probl mes les plus importants ont t rencontr s au Mali en mati re de dermatose nodulaire contagieuse l o sont lev s des animaux issus de croisement avec des animaux import s pour la production laiti re Un programme de vaccination a t entrepris pour sauvegarder cette production Le nombre de cas cliniques sans confirmation de laboratoi
47. du 15 au 17 septembre R union du Groupe ad hoc sur la protection des animaux durant les transports internationaux du 4 au 6 mai R union du Groupe ad hoc sur l enc phalopathie spongiforme bovine les 197 et 2 septembr R union du Groupe ad hoc sur la piroplasmos squin les 28 et 29 novembre Ces quatre r unions avaient pour objectif de pr parer les d cisions de la Commission du Code zo0 sanitaire international et de la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties leurs conclusions ont t pr sent es et incluses dans le rapport de la Commission du Code Zzo0 sanitaire international Groupe ad hoc sur les trypanosomoses animales non transmises par les glossines Doc 63 SG 14 279 280 281 282 283 Le Docteur L Touratier pr sente les activit s de ce Groupe en 1994 Les r sultats de la Campagne panafricaine d radication de la peste bovine sont globalement tr s satisfaisants m me dans les zones o s vit la trypanosomose Il convient cependant de garder pr sent l esprit l effet immunod presseur de la maladie ou des infections inapparentes lors de la mis n oeuvre de campagne de vaccination dans d autres continents afin d viter d ventuelles ruptures d immunit pouvant tre imput es tort aux vaccins employ s La recherche fondamentale sur le m tabolisme et la g n tique des trypanosomes utilisant surtout Trypanosoma brucei mais aussi T v
48. e et pour ntreprendr les premi res tudes d faisabilit de l extension de la salle de conf rences Vittoz Il pr sente un tableau dressant le bilan des r unions conf rences ou cours organis s par le Bureau central en 1994 et il informe le Comit de la publication et de la diffusion du Rapport quinquennal 1990 1994 Il fait le point sur les informations pid miologiques re ues au cours de 22 23 24 25 l ann e et rappelle les efforts faits par le Bureau central pour am liorer le nombre et la qualit de ces informations notamment travers le Bulletin Sant animale mondiale la base de donn es centrale de l OIE et le programme HandiSTATUS Il informe le Comit des actions conduites par le Bureau central pour am liorer les changes internationaux d animaux et de produits d origine animale mise jour et compl ment des textes du Code zo0 sanitaire international pour les mammif res les oiseaux t les abeilles t pr paration du Code zoo sanitaire international pour les animaux aquatiques L Directeur g n ral illustr nsuit 1 succ s des efforts visant am liorer la qualit et la promotion des publications en indiquant que les ventes de ces publications ont atteint un montant de 812 232 FRF en 1994 Il r sume les activit s des quatre Commissions sp cialis es des quatre Groupes de travail et des Groupes ad hoc sur la prophylaxie des maladies a
49. e insiste sur le fait que la surveillance des maladies est un concept tr s li l action il faut au pr alable d finir clairement les objectifs fix s pour les instruments pid miologiques auxquels on compte recourir de fa on savoir pr cis ment ce dont on dispose en mati re d information lorsqu on m ne une action Autrement dit il faut g rer de fa on appropri e les ressources en information dont on dispose pour tre capable de mesurer l efficacit d une action 63 SG RF PARIS mai 1995 EME 38 39 40 41 42 43 Le D l gu du Mali voque les probl mes rencontr s en mati re de surveillance des maladies animales d s lors qu on s adresse des syst mes d levag xtensifs il prend cet effet les exemples de la tuberculose bovine et de la rage Il souhaite que cet aspect qui a t succinctement d velopp dans le rapport pr sent soit pris en compte au moment de l laboration des recommandations sur le th me technique Le Docteur A Kazemi Iran fait siennes ces observations Le rapporteur met l id e de d velopper des lignes directrices propres la surveillance des maladies animales en levage transhumant qui abordent les probl mes d un point de vue pratique et logistique L D l gu d la Jordanie mentionne les difficult s techniques et financi res rencontr es par son pays en mati re de typage du virus de la fi vre a
50. e la discussion sur les R solutions n XI XII et XIII Le Professeur Caporale Italie reconna t que l annexe V du rapport de la Commission qui traite de la p ripneumonie contagieuse bovine constitue un grand pas en avant Cependant il a encore des difficult s accepter certaines parties de ce document notamment celle pr voyant de faire une diff rence ntr statut indemne de la maladie et statut indemne de l infection pour les pays qui ne vaccinent pas Il appelle l attention du Comit sur l importance de la surveillance qui peut tr xerc des degr s divers L D l gu d l Espagne partage les pr occupations du Docteur Caporale car de son point de vue la description des m thodes d surveillance dans le document st rest superficielle L D l gu d l Italie constate qu un d lai fixe de quatre ans est pr vu entre le moment o un pays se d clare provisoirement indemne de la maladie et celui o il est reconnu indemne d infection sans qu il soit fait aucun moment r f rence au syst me de surveillance en place dans le pays consid r Ceci lui apparaissant comme inappropri il met le souhait qu on fixe deux ans en moyenne ce d lai et qu on le module en fonction de l intensit de la surveillance Le Docteur Sterritt reconna t avec les intervenants pr c dents que le mot surveillance m rite d tre d fini en fonction de chaque ma
51. e qu il est indispensable que les efforts d ploy s par les agences de contr le internationales et les gouvernements nationaux pour lutter contre la peste bovine soient coh rents et clairement d finis Il approuve par cons quent la proc dure OIE pour la peste bovine qui a permis de clarifier le programm t d en pr ciser les tapes Les efforts de prophylaxie doivent tre r compens s par l attribution du statut officiel de pays indemne avec les avantages commerciaux qui en d coulent La FAO pr voit de poursuivre sa collaboration avec l OIE et de soutenir concr tement les pays engag s dans la lutte contre la peste bovine Le D l gu de la Gr ce souhaite des pr cisions sur la diff rence qui existerait entre absence de maladie et absence d infection par l agent pathog ne Le Docteur Taylor admet que la distinction n est pas vidente Il indique que la peste bovine peut exister sous une forme tr s att nu t se traduire seulement par une l g re hyperthermie C est pourquoi l absence des formes cliniques ne garantit pas l absence d infection qui doit tre d montr e par l examen s rologique Or cett tape ne peut intervenir que deux ou trois ans apr s la fin du programme de vaccination afin que les animaux non vaccin s soient suffisamment nombreux Le D l gu du Bhoutan fait savoir que la visite d un comit d valuation ne poserait aucun probl me son pays si ce
52. ecommandations concernant le commerce de semence fra che ou congel e ont galement t modifi es en cons quence A la demande de la France le Comit accept les deux modifications suivantes au paragraphe 3 de l article 3 4 10 2 sont ajout s les mots et r guli rement revaccin s apr s imm diatement vaccin s l article 3 4 10 3 est ajout un paragraphe 3 r dig comme le paragraphe 3 de l article 3 4 10 2 tel qu il vient d tre modifi 63 SG RF PARIS mai 1995 76 he 78 Chapitre 2 1 2 Stomatite v siculeuse Suite aux commentaires des Pays Membres la dur e de la p riode de quarantaine et la fr quence des preuves de contr le ont t modifi es Aucun commentaire n est mis sur les modifications apport es au chapitre Dit 2 Classification des maladies La Commission du Code et la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties ont examin le rapport du Groupe ad hoc et les commentaires re us des Pays Membres Le Docteur Rees explique que le document modifi qui figure l annexe XV du rapport de la Commission du Code propose des crit res utiliser pour classer les maladies que l OIE doit prendre en compte Si ces suggestions sont accept es par le Comit le document sera converti en un chapitre du Code soumettre pour approbation lors de la 64 Session g n rale CE classement des maladies sera modifi en cons quence en f
53. en mati re d importations L D l gu d l Autriche se dit pr occup par les aspects l gaux qui peuvent tre sous tendus dans les R solutions n XI et XII il craint que l OIE en passant de t ches purement normatives des activit s tr s op rationnelles ne prenne des risques inconsid r s Le Docteur Sterritt explique que c est la raison pour laquelle le consid rant n 6 a t inclus la demande du Conseiller juridique de l OIE dans la R solution n XI et au n 4 de la R solution n XII Ceci a pout but de bien marquer les limites de la responsabilit de l OIE dans l tablissement de listes d pays indemnes Le D l gu de l Allemagne met alors l hypoth se d un diff rend entre deux pays sur un tel sujet et s interroge sur le r le qu aurait l OIE dans le r glement du litige au niveau de l OMC Il lui appara t l vidence qu la liste de l OIE pourra tr voqu il convient donc de rester tr s prudent quant son utilisation L D l gu des Etats Unis d Am rique apporte sa contribution la clarification du d bat sur ce point l OMC ne veut en aucune mani re que l OIE se substitue ses Pays Membres en mati re 63 SG RF PARIS mai 1995 202 203 204 205 206 207 de proc dures d cisionnelles concernant les importations Il appartient chaque pays de conduire sa propre analyse
54. er en priorit sur la base des principes directeurs qui seront fournis par l industrie pharmaceutique v t rinaire par le truchement de la COMISAl8 Ces priorit s seront incluses dans le document consensuel final qui sera adress aux autorit s et aux industries de l Union europ enne du Japon et des tats Unis d Am rique pour consultation et approbation la fin de 1995 Le D l gu de l Autriche demande si l Union europ enn st r guli rement repr sent e au sein du Groupe ad hoc Le repr sentant de la Commission de la Pharmacop urop enne sugg re qu il serait utile que son organisation participe au Groupe Monsieur Boisseau r pond qu il est de la responsabilit de chaque groupe g ographique participant de d cider de sa composition et que le Groupe ad hoc a bien not la comp tence de la Pharmacop urop enne ce titr Le repr sentant de la Commission de la Pharmacop urop enn attire galement l attention du Comit international sur l existence de plusieurs monographies officiellement approuv es par son organisation sur des produits pharmacologiques et biologiques 18 COMISA Consultation mondiale de l industrie de la sant animale 63 SG RF PARIS mai 1995 Autres Groupes ad hoc 277 278 Quatre autres r unions des Groupes ad hoc de l OIE ont eu lieu en 1994 T z R union du Groupe ad hoc sur la classification des maladies du 17 au 19 janvier puis
55. er les Pays Membres ou les zones des Pays Membres qui peuvent tre consid r s indemnes de fi vre aphteuse La Commission a ensuite pr sent une r solution proposant d inscrire parmi les pays indemnes ne pratiquant pas la vaccination les Pays Membres qui sont largement reconnus indemnes de la maladi t d clarent par crit qu ils 63 SG RF PARIS mai 1995 178 179 180 181 182 183 184 185 respectent toutes les exigences de l article 2 1 1 2 du Code selon une proc dure similaire celle d une initiative ant rieure de l OIE Cette r solution proposait galement d utiliser cette liste de base pour valuer les demandes de changement par rapport au statut d j acquis La Commission a travaill sur la R solution n XI de la 62 Session g n rale concernant les mycoplasmes Ell remerci les Docteurs P C Lef vre A Provost et F Thiaucourt pour leurs contributions cette question Elle a abord plus pr cis ment la situation pid miologique actuelle de la pleuropneumonie contagieuse caprine PPCC et des infections apparent es de la mammite mycoplasmes et de la p ripneumonie contagieuse bovine PPCB Le Docteur Thiaucourt a pr par une fiche d information sur la PPCC pour diffusion aux Pays Membres Comm premi r Stap d l radication la Commission a recommand de demander aux Laboratoires de r f rence de l OIE de r unir des donn es sur la distribution g ogra
56. es en mai 1994 dans la composition des Commissions et Groupes de travail Ea Il pr cise un changement d cat gori contributive notifi e au Bureau central le Gabon a ainsi d cid de contribuer en cinqui me cat gori Il pr sent nsuit les principaux points en mati re de gestion du personnel les achats d quipements ainsi que les travaux de r novation et d am nagement de l immeuble du si ge de 1 OIE notamment de la salle de conf rences 63 SG RF PARIS mai 1995 319 320 321 322 323 324 Le Comit adopte le projet de R solution n II approuvant le rapport du Directeur g n ral l unanimit La R solution figure sous le n II la fin de ce rapport Rapport financier du 68e exercice de l OIE 1 janvier 31 d cembre 1994 Doc 63 SG 4 e Le Chef du Service administratif et financier de l OIE pr sente ce rapport qui concerne le Budget ordinaire le Compte travaux et quipement le Compte sp cial pour le d veloppement de l information le Compte sp cial pour activit s op rationnelles le Fonds de r serv t le Compte sp cial OIE Japon Le budget ordinaire 1994 qui avait t arr t en recettes et en d penses 17 070 000 FRF se solde par un exc dent de 62 041 10 FRF Le total des charges d penses d fonctionnement et dotation au Compte travaux et quipement atteint 16 580 736 40 FRF soit 97 1
57. esser de nouvelles barri res commerciales OIE Office international des pizooties 2 OMC Organisation mondiale du commerce 63 SG RF PARIS mai 1995 11 12 13 14 Lox 16 173 18 Apr s l allocution du Pr sident Monsieur Gu rin prend la parole Dans son discours d ouverture Monsieur Gu rin rappelle l importance croissante de l OIE et de ses travaux et assure le Comit de l entier soutien de la France Le texte de l allocution est remis aux participants C r monie de remise des distinctions honorifiques de l OIE Le Docteur Willis apr s avoir rappel que le Comit avait d cid en 1985 que les personnalit s ayant rendu des services minents la science v t rinaire et l OIE pourraient se voir attribuer une distinction honorifique pr sente la personnalit retenue par la Commission administrativ dE Professeur M Truszczynski Pologne qui re oit la m daille d or Apr s avoir prononc l loge du Professeur Truszczynski et rappel les principaux l ments de sa carri re ainsi que les minents services qu il a rendus l OIE le Docteur Willis lui remet la m daille d or A l issue de la c r monie le Docteur Willis d clare ouverte la 63 Session a g n rale de l OIE PREMI RE S ANCE PL NI RE Le Pr sident souhaite la bienvenue aux D l gu s de l Azerba djan de Bosnie Herz govine de
58. eur Boisseau estime que cette demande devrait effectivement tre pris en compt t pr cise que les pays peuvent avoir des raisons diff rentes d interdire l emploi de certains m dicaments notamment du fait des conditions pid miologiques dissemblables Le D l gu de l Italie estime qu il est urgent de s int resser certains probl mes tels que la formation des v t rinaires la prescription et l utilisation correctes des m dicaments y compris l administration chez l animal de produits usage humain Monsieur Boisseau est galement de cet avis et pr cise que la Commission du Codex Alimentarius st sensible cette question en raison des r sidus m dicamenteux dans les aliments et qu elle pr pare actuellement un Code de bonnes pratiques sur ce sujet Le Professeur Gimeno ajoute que les pays du MERCOSUR se sont d j pench s sur cette question importante Le D l gu de l Indon sie fait savoir qu en 1995 son gouvernement et la JICA poursuivront leurs cours de formation et remercie l OIE qui continue d y contribuer Il s inqui te propos du probl me de la protection des consommateurs Monsieur Boisseau pr cise que le Groupe de travail a d j commenc des travaux sur ce point et qu un atelier sur le contr le des r sidus est pr vu courant 1995 Kuala Lumpur Malaysia Le Comit prend acte du rapport du Groupe de travail sur l enregistrement des m dicaments
59. exe 4 3 2 3 Destruction du virus de la fi vre aphteuse Lait et cr me Le Docteur Rees fait savoir que suite la demande d un Pays Membre visant faire reconna tre indemnes de fi vre aphteuse des zones o la vaccination est pratiqu e la Commission du Code et la Commission pour la fi vre aphteuse et autres pizooties ont examin ce point en d tail Ces Commissions ont conclu que ce principe est acceptable sous r serve que des mesures efficaces soient en vigueur pour maintenir l int grit d ces zones Cette nouvelle cat gorie de zone a t ajout e l article 2 1 1 2 et le reste du chapitre a t modifi en cons quence Les cam lid s ont galement t ajout s aux articles correspondants du chapitre Dans la mesure o les experts ne s accordent toujours pas sur leur classification parmi les ruminants le Docteur Rees consid re qu il serait pr f rable plut t que de faire r f rence aux cam lid s tout au long de ce chapitre d ajouter la phrase suivante la fin de l article 2 1 1 3 aux fins du pr sent chapitre les cam lid s sont consid r s comme des ruminants Les annexes concernant la destruction du virus dans la viande les produits d origine animale destin s l usage industriel le lait et la cr me ont t mises jour conform ment aux derni res informations scientifiques et aux commentaires re us des Pays Membres Les Commissions pr cit es ont con
60. formation avait un solde au 17 janvier 1994 de 116 309 86 FRF En 1994 il a t abond de 371 000 FRF t les d penses se sont lev es 296 436 57 FRF Le solde au 31 d cembre 1994 s levait 190 873 29 FRF Le Compte sp cial pour activit s op rationnelles s levait en d but d exercice 459465 06 FRF et 634 350 77 FRF au 31 d cembre 1994 Le Fonds de r serve est pass de 9 798 194 25 FRF au 1 janvier 1994 10 300 714 95 FRF au 31 d cembre 1994 63 SG RF PARIS mai 1995 32 5 326 327 328 329 330 331 Remerciements aux Gouvernements des Pays Membres qui participent au financement de l OIE par des contributions volontaires France Italie Japon et Taipei China Le projet de R solution n VII est adopt par le Comit l unanimit La R solution figure sous le n VII la fin de ce rapport Adoption du projet de R solution concernant la nomination du Directeur g n ral Le projet de R solution n VIII concernant la nomination du Directeur g n ral est adopt par le Comit l unanimit La R solution figure sous le n VIII la fin de ce rapport Rapports des Commissaires aux comptes et du V rificateur externe et adoption du rapport financier du 68 exercice Les rapports des Commissaires aux comptes sont approuv s l unanimit Le Comit prend acte du rapport du V rificateur externe Le projet de R solution n III approuv
61. galement particip S ance inaugurale 8 Le Pr sident sortant le Docteur A S Sidib explique bri vement que 1 Pr sident du Comit international le Docteur Babjee emp ch ne pouvant pr sider la 63 Session g n rale c est le Docteur Willis Vice Pr sident du Comit international qui assumera cette charge 9s Le Vice Pr sident Willis souhaite la bienvenue aux participants et remercie Monsieur Ph Gu rin Directeur g n ral de l alimentation au Minist re de l agricultur t de la p che repr sentant du gouvernement de la R publique fran aise d avoir bien voulu accepter d honorer de sa pr sence la s ance inaugurale de cette 63 Session g n rale 10 Le Docteur Willis faisant fonction de Pr sident de Session lit alors le discours que lui a remis le Pr sident Babjee Dans sa d claration le Pr sident exprime ses regrets de ne pouvoir tre pr sent une Session g n rale qui marque un tournant dans les relations commerciales internationales il voque notamment les nouveaux liens de collaboration tablis entre 1l1 OIE et 1 OMC Il exprime sa confiance dans l action que m ne l OIE travers ses services de conseil technique et d information pour aider r duire les risques et pour affermir les relations conomiques Il soutient par ailleurs que les clauses sociales ou environnementales dans les relations commerciales ne doivent pas servir dr
62. ge est conduit le par le en Indon sie Sur le territoire continental de l Australie tous les r sultats des recherches s rologiques entreprises en mati re d enc phalite japonaise se sont r v l s n gatifs ce jour Le v t rinaire ayant trait les chevaux atteints d un syndrome respiratoire aigu en Australie n a pas pr sent d anticorps sp cifiques dirig s contre l agent causal de la maladie Des anticorps monoclonaux sp cifiques la maladie de Jembrana qui s vit uniquement parmi les bovins de l le de Bali en Indon sie ont t produits dans ce pays Un vaccin a aussi t mis au point partir de suspensions spl niques et sanguines des fins de prophylaxie Des recherches faisant appel des m thodes de culture tissulaire sont en cours Europe 144 De l avis de la Gr ce pour assurer le succ s de la protection priorit doit tre donn e la lutte contre les mouvements ill gaux d animaux sensibles la fi vre aphteuse des pays infect s vers les pays indemnes Dans ce pays le foyer apparu dans le d partement de Serr s a t confirm par le Laboratoire mondial d r f renc pour la fi vre aphteuse Laboratoire de Pirbright gr ce la technique PCR 63 SG RF PARIS mai 1995 145 146 147 148 149 150 Tols 192 Douze foyers de peste porcine classique ont t recens s en Bulgarie en 1994 Depuis 15 mois il n y
63. il lui para t inappropri de laisser des m dicaments v t rinaires entre les mains d accompagnateurs Il est suivi sur ce point par le Comit Enfin le Docteur Rees fait r f rence l analys des r ponses au questionnaire sur le transport des animaux figurant l annexe V du rapport de la Commission du Code il indique que certains d ces l ments pourraient servir d aide m moire La Commission du Code compte donc les reprendre pour proposer au Comit des ajouts l annexe 4 4 1 1 l ann e prochaine Chapitre 3 1 5 Rage Il est apparu n cessaire d ajouter un article au chapitre existant pour traiter du commerce de la semence canine fra che ou congel e provenant de pays infect s par la rage De nouveaux articles ont t pr par s en tenant compte de l avis d un expert qui a confirm que le virus n avait jamais t isol dans la semenc d chiens pr sentant des signes cliniques de la maladie Le D l gu de la France demandant le report de la discussion sur ce point l ann e prochaine le Docteur Rees sugg re au Comit de conserver au moins l article relatif la semence congel e le Comit accepte cette solution Chapitre 3 2 4 Leucose bovine enzootique Le chapitre a t modifi la suite des commentaires formul s lors de la 62 Session g n rale puis par les Pays Membres Plusieurs pays ont galement soulign que le chapitre existant ne reconnaiss
64. is la maladie jugul e le pays sera dans la m me position que tout autre pays indemne alors qu il ne pourra officiellement tre reconnu comme tel tant que les vaccinations se poursuivent La maladie ne pourrait tre introduite accidentellement puisqu un animal contamin vivant est n cessaire M me si elle tait r introduite l affection ne provoquerait qu un foyer limit et facile reconna tre qui serait jugul par la s questration et non par la vaccination La question finale est pos e par le D l gu de Jordanie Pr cisant que dans son pays la vaccination des bovins contre la peste bovine a t arr t e mais que le vaccin continue d tre utilis contre la peste des petits ruminants chez ces animaux il souhaite en conna tre les r percussions Le Docteur Taylor r pond qu il s agit l d un probl me important La solution consist remplacer 1 vaccin contre la peste bovine par le vaccin homologue pour lutter contre la peste des petits ruminants faute de quoi le programme de s rosurveillance serait impossible interpr ter Le Pr sident pr sente au Comit le projet de R solution N XIV sur l tablissement d une liste de pays indemnes de peste bovine La R solution est adopt e Elle figure sous le N XIV la fin de ce rapport Commission pour les maladies des poissons 231 2 32 233 Le Professeur T H stein Pr sident de la Commission pr se
65. it prend acte du rapport t nt rin les recommandations de la Conf rence de Rabat Commission r gionale pour les Am riques 242 213 Le Docteur B G Can Argentine Pr sident de la Commission pr sente le rapport de la r union de la Commission qui s est tenue les 15 et 16 mai 1995 Paris Doc 63 SG 11B AM Le Comit prend acte du rapport Commission r gionale pour l Asie l Extr me Orient et l Oc anie 214 215 Le Docteur W Chaisrisongkram Tha lande Vice Pr sident de la Commission pr sente le rapport de la r union de la Commission qui s est tenue le 15 mai 1995 au si ge de l OIE Doc 63 SG 11B AS Le Comit prend acte du rapport Commission r gionale pour l Europe 216 217 218 Le Docteur N T Belev Bulgarie Pr sident de la Commission donne un compte rendu de la 16 Conf rence de la Commission r gionale pour l Europe qui a eu lieu Stockholm Su de du 28 juin au 1 f juillet 1994 Il pr sent galement le rapport de la r union de la Commission qui s est tenue le 16 mai 1995 au si ge de l OIE Doc 63 SG 11B EU Le Comit prend acte du rapport t nt rin les recommandations de la Conf rence de Stockholm Commission r gionale pour le Moyen Orient 219 220 Le Docteur M Amarin Jordanie pr sente le rapport de la r union de la Commission qui s est tenue le 16 mai 1995 au si ge de l OIE Doc 63 SG 11B MO
66. ivax et T evansi comme mod les st tr s active dans plusieurs pays A signaler notamment l individualisation et l tude de la prot ine transporteuse de glucose qui ouvrira peut tre de nouvelles perspectives sur de nouvelles mol cules trypanocides capables d p n trer les trypanosomes par ce m canisme de transport Des tudes sont actuellement conduites en Afrique centrale pour identifier les vecteurs de T vivax et T congolense dans les zones d pourvues de glossines o persistent cependant les trypanosomoses du b tail Le Groupe recommande la mise en place d un projet d tude du g nome des cam lid s et consid re qu il serait tr s important de recueillir des informations pid miologiques de base dans diff rents types d environnement Les gouvernements t les organismes bailleurs de fonds doivent savoir que l un des probl mes majeurs pour juguler les pertes provoqu es par les trypanosomoses non transmises par les glossines tient souvent l impossibilit de se procurer localement les quelques m dicaments efficaces qui existent Le Groupe a annonc qu il organiserait un Second s minaire international sur les trypanosomoses animales non transmises par les glossines et sur les kin toplastidoses communes l homme et aux animaux y compris les leishmanioses en R publique populaire de Chin n septembre 1996 Le Comit prend acte des rapports des diff rents G
67. juillet septembre 1994 elle a t combattue sans recourir la vaccination Un foyer de fi vre aphteus virus O a t signal en mars 1995 dans un troupeau de bovins et d ovins en Thrace turque Le virus O est rest 1 type le plus souvent isol au Moyen Orient Dans les pays des Am riques infect s par la stomatite v siculeuse c est en Colombie que la maladie a t le plus souvent observ e En 1994 la maladie v siculeuse du porc n a concern que l Italie et les Pays Bas Dans ce dernier pays seuls trois foyers li s pid miologiquement entre eux ont t observ s de janvier mars 1994 En Afrique l Erythr e et l Ouganda sont les deux seuls pays avoir signal l OIE en 1994 la pr sence de la peste bovine sur leur territoire Selon la Campagne panafricaine de lutte contre la peste bovine OUA PARC la maladie s vissait galement en Ethiopie En d cembre 1994 une maladie voquant la peste bovine a touch des buffles sauvages au Kenya Au Moyen Orient des foyers sporadiques ont t observ s dans l extr m st de la Turquie et en Iran En Asie du sud la maladie a affect l Inde dans quatre Etats m ridionaux le Pakistan dans le nord du pays et le Sri Lanka un seul foyer en 1994 En 1994 la peste des petits ruminants a t observ dans des pays d Afrique occidentale et orientale ainsi que du Moyen Orient
68. l ci ne se trouve confront e en plusieurs occasions des objections venant de Pays Membres sur la reconnaissance du statut indemne d autres pays par manque de connaissance des dossiers Il souhaite donc qu une compl te transparence soit assur e afin d viter ce genre de d boires Le Docteur Sterritt pense qu il est possible d instaurer dans la proc dure un syst me permettant aux pays qui le souhaitent d acc der l information pertinente avant que la Commission ne prenne une d cision A l attention du D l gu de l Autriche il pr cise que l examen des objections pr sent es par les pays dans le cadre de la proc dure n aboutira aucune saisine de 1 OMC Le D l gu de l Allemagne s inqui te de l impact qu aura la liste une fois constitu e sur le commerce international et notamment des obligations ventelles qu elle pourrait entra ner pour les pays exportateurs Le Pr sident souligne qu il s agit l d un point fondamental Il rappelle que figure parmi les missions de l OIE la diffusion d informations sur les maladies animales dans ce cadre les propositions de la Commission si elles sont suivies par le Comit constitueraient un largissement de cett mission sans pour autant g n rer des obligations pour les Pays Membres Ces derniers auront tout simplement plus d informations fiables et pr cises leur disposition n anmoins il leur appartiendra toujours de prendre les d cisions finales
69. l a t port la connaissance de la Commission que la FAO est pr te aider les pays tudier la cr ation de banques Le Docteur Y Cheneau de la FAO a pr sent la Commission les grandes lignes de la Conf rence sur la fi vre aphteuse organis e conjointement par l OPS la FAO et l OIE au Br sil qui devrait se tenir durant l t 1996 La Commission a not qu un module du syst me AVIS Advanced Veterinary Information System doit faire l objet d une d monstration lors de la 63 Session g n rale La Commission a adress ses remerciements aux Laboratoires de r f rence d l OIE et au Bureau central pour la pr paration des fiches de r f rence pour les maladies des Listes et B Elle r examinera prochainement ce point avec la Commission du Code zoo sanitaire international et la Commission des normes 63 SG RF PARIS mai 1995 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 La Commission a not la multiplication des syst mes de diffusion lectronique des informations stim qu l OIE doit imp rativement s efforcer de les utiliser pour diffuser rapidement des donn es fiables La Commission a pris acte des conclusions formul es sur la maladie de Teschen lors du symposium international sur les infections porcines Picornavirus qui s est tenu Greifswald n Allemagne n mai 1994 Elle recommande que
70. ladie examin e En pr cisant l intensit de la surveillance qui s exerce dans chaque cas il est possible d avoir une id e pr cise du degr de s curit qu on peut obtenir d s lors qu il s agit de qualifier des pays comme indemnes 63 SG RF PARIS mai 1995 196 197 198 199 200 201 Le Pr sident demande au Professeur Caporale et aux Docteurs F Garrido Abell n Espagne et Provost France de se joindre au Docteur Sterritt pour constituer un petit groupe de travail pour examiner comment pourrait tre reformul e la R solution n XIII en fonction des commentaires qui viennent d tr xprim s Au sujet de la R solution n XI le D l gu de l Allemagne demande quelques claircissements sur la fa on dont la Commission va proc der dans la pratique pour d terminer la liste de base Le Docteur Sterritt rappelle ce que la Commission avait d j fait il y a deux ans envoi d une lettre aux D l gu s concern s xamen des r ponses obtenues et dit que la Commission compte proc der l identique pour mettre jour l information collect e l poque Autrement dit chaque pays qui a d j sollicit la reconnaissance de son statut indemne de fi vre aphteuse sans vaccination devra pr senter nouveau sa demande Le D l gu du Royaume Uni exprime quelques r serves quant la proc dure propos e par la Commission dans son rapport Il craint en effet que cel
71. m me annex Enfin pour tenir compte des possibilit s offertes par les transbordeurs modernes il nonce une nouvelle r daction du point D 2 de l annexe 4 4 1 2 qui s tablirait ainsi en g n ral les v hicules contenant les animaux doivent tre charg s n dernier t peu avant le d part du transbordeur moins de pouvoir placer le v hicule un endroit disposant d une ventilation suffisante 63 SG RF PARIS mai 1995 69 70 As Apr s discussion ces trois propositions formul es par le Docteur Rees sont accept es par le Comit Le D l gu de la France pr cise que tout au long de ses interventions il va s exprimer au nom des 15 Etats membres de l Union europ enne Il demande la suppression de la seconde partie du point A 1 de l annexe 4 4 1 1 consid rant que le v t rinaire qui va inspecter les animaux ne peut donner aucune assurance en la mati re alors que sa responsabilit civile et surtout p nale peut tr ngag n cas de probl me Le Pr sident et 1 Docteur Rees lui font remarquer qu c est un principe g n ral qui est d fini ici et qu il n est pas question de certification Pour r soudre la difficult la solution pr conis e par le D l gu de l Uruguay d ajouter dans la mesure du possible avant tre exempts est retenue par le Comit Le D l gu de la France demande aussi le retrait du paragraphe d au point A 2 car
72. moparasitaires et r ponse immunitaire sp cifique PROJETS DE R SOLUTIONS Syst mes d observation et de surveillance des maladies animales en prenant pour mod les les mycobact rioses animales la maladie de Newcastle la fi vre aphteuse et la rage Le projet de R solution n XVII est adopt l unanimit La R solution figure sous le n XVII la fin de ce rapport Progr s dans le diagnostic et la prophylaxie de deux maladies importantes des volailles la salmonellose et la maladie de Gumboro Le projet de R solution n XVIII est adopt l unanimit La R solution figure sous le n XVIII la fin de ce rapport SES 316 317 318 DEUXI ME S ANCE ADMINISTRATIVE L appel des D l gu s faisant appara tre que 95 pays sont repr sent s cette deuxi me s ance administrative le quorum est atteint Rapport du Directeur g n ral sur la gestion les r alisations et les activit s administratives de l OIE en 1994 Doc 63 SG 3 Le Directeur g n ral rend compte au Comit de l adh sion en 1994 de six pays B larus Bosnie Herz govine Comores Erythr e Honduras et Qatar Le nombre des Pays Membres tait donc de 140 au 31 d cembre 1994 Ce nombre est pass 143 en mai 1995 gr ce l adh sion de l Azerba djan de l Islande et de la Moldavie Il fait galement tat de la d signation de nouveaux D l gu s aupr s de Tl OIE et rappelle les modifications intervenu
73. n tait la question du co t xtr mement lev pour un pays qui ne tirera aucun profit de la reconnaissance du statut de pays indemne Il demande si la visite d un comit d valuation est toujours indispensable pour obtenir le statut officiel de pays indemne Le Docteur Taylor r pond que pour un petit pays qui adresse r guli rement ses rapports il ne devrait pas tre n cessair de demander une mission d valuation La Commission pourrait examiner les dossiers Paris t prendr nsuit une d cision sur la n cessit d un visite sur place 63 SG RF PARIS mai 1995 226 227 228 229 230 Le D l gu du Kenya attire l attention sur le probl me du d placement des animaux en Afriqu par del les fronti res nationales qui a des cons quences sur les programmes de prophylaxie Il demand ses pays voisins de collaborer la prophylaxie et l radication de la peste bovine Le D l gu du Ghana fait savoir que son pays a abandonn la vaccination g n ralis e au profit de la vaccination aux fronti res Il demande au Docteur Taylor s il recommanderait d abandonner la vaccination Il existe un risque de r introduction de l infection car le Ghana importe des animaux de boucherie Le Docteur Taylor r pond que la vaccination devrait tre arr t e d autant que son maintien est co teux Le pays devrait pr sent suivre la proc dure OIE en collaboration avec ses voisins Une fo
74. n du Directeur g n ral de l OIE 94 Le Pr sident rappelle que le Docteur J Blancou a t nomm Directeur g n ral en mai 1990 pour un mandat de cinq ans d butant le 1 janvier 1991 et qu il a fait conna tre au Comit international en mai 1994 son souhait de voir son mandat renouvel 9 OPS Organisation panam ricaine de la sant 10 PANAFTOSA Centre panam ricain pour la fi vre aphteuse T INPPAZ Institut panam ricain pour la protection alimentaire et les zoonoses 12 MERCOSUR March commun sud am ricain 13 JUNAC Junte de l accord de Carthag ne 14 ATEA Agence internationale pour l nergie atomique 15 AMV Association mondiale v t rinaire 63 SG RF PARIS mai 1995 95x 96 Ds 98 99 100 101 La Commission administrative propose sa candidature au Comit La Commission de v rification des pouvoirs constate que 112 Pays Membres participent la 63 Session g n rale Cent douze pays peuvent tre admis participer aux d lib rations du Comit Le Professeur Bardonnet rappelle le mode de scrutin qui avait t d cid par le Comit lection au scrutin secret en pr sence des seuls D l qu s officiels en trois tours si cela est n cessair Pour tre lu un candidat doit obtenir au premier tour de scrutin les 2 3 au moins des suffrages exprim s au deuxi me tour la majorit absolue et au troisi me tour la majorit relative Apr s v rifica
75. nformations compl mentaires seront disponibles Information sur les activit s de la Commission pour les maladies des poissons Les textes pr par s pour le Code sanitaire international pour les animaux aquatiques et le Manuel de diagnostic pour les animaux aquatiques ont fait l objet de nombreuses discussions lors de la r union de d cembre 1994 de la Commission pour les maladies des poissons Ils ont t r vis s en tenant compte des commentaires re us des Directeurs des Services v t rinaires des Pays Membres qui les textes r vis s ont t adress s sous la forme d un prototype du Code et du Manuel La Commission pour les maladies des poissons est extr mement reconnaissante au Bureau central de l OIE pour la qualit de l assistance fournie lors de la pr paration du Code et du Manuel Le Professeur H stein fait un r sum du contenu des prototypes de ces documents et du projet de R solution n XV qui les concerne L adoption d ces textes par le Comit international est soumis la discussion par le Pr sident 63 SG RF PARIS mai 1995 247 248 249 Le D l gu de la France s exprimant au nom des 15 Etats membres de l Union europ enne fait savoir que l Union est favorable l harmonisation en mati re de maladies des animaux aquatiques mais qu elle tient mettre certaines r serves techniques quant la classification de plusieurs maladies et ce
76. nimales Madagascar sur la classification des maladies sur la p a lanification appliqu e aux syst mes d information sur la protection des nimaux durant les transports internationaux sur l enc phalopathie spongiforme bovine sur les trypanosomoses animales non transmises par les glossines et sur la piroplasmose quine Il rend compte de onze r unions organis es en collaboration avec les Pays Membres de l OIE et ou les organisations internationales puis il r sume les activit s des quatre Centres collaborateurs et des 113 Laboratoires de r f rence de l OIE ainsi qu celles des Consultants ayant travaill pour l Office en 1994 Il mentionne la tenue d un cours sur l administration et la gestion des Services v t rinaires organis Dakar S n gal l intention des pays africains francophones Il fait le point sur la suite donn e aux R solutions de la 62 Session g n rale ainsi qu aux recommandations des Conf rences r gionales signalant notamment la cr ation d un Groupe ad hoc sur la protection des animaux durant les transports internationaux dont les travaux ont permis de pr parer les annexes correspondant au Code zoo sanitaire international l adoption formelle par le Comit partir de 1994 de tous les textes et amendements du Code 63 SG RF PARIS mai 1995 26 27 28 29 30 3 4 5 la cr ation d un Groupe ad hoc
77. nomm pour la brucellose et de l Institut agronomique et v t rinaire Hassan II de Rabat Maroc d sign pour l chinococcose hydatidose La liste des Laboratoires de r f renc st 63 SG RF PARIS mai 1995 195 156 LOS 158 159 160 pr sent tr s compl t t seule une situation grave justifierait l addition de nouveaux laboratoires On compte actuellement 115 Laboratoires de r f rence pour 37 maladies ou groupes de maladies de la Liste A ou B et quatre Centres collaborateurs de l OIE Suite aux notifications adress es par les Pays Membres concern s la Commission a approuv la nomination de plusieurs nouveaux experts dans les Laboratoires d r f renc d j d sign s La Commission des normes et la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties estiment que M l All Russian Research Institute for Animal Health de Vladimir en Russie devrait tre nomm Laboratoire r gional de l OIE pour la fi vre aphteuse Il est cependant primordial que l Institut mette en application les recommandations formul es en mati re de bios curit Avant la r union de f vrier 1995 114 Laboratoires de r f renc t quatre Centres collaborateurs avaient adress 99 rapports pour 1994 Ceux ci ont St xamin s t la Commission a t impressionn e par la qualit et l tendue des activit s d crites Elle souhaite exprimer sa gratitude aux D l gu s des pays o se t
78. nsacr e aux souches d Escherichia coli produisant une toxine de type Shiga s est tenue Bergame en Italie au mois de juin Une consultation sur l pid miologie et la prophylaxie de la campylobact riose chez l homme et les animaux a eu lieu Bilthoven aux Pays Bas au mois d avril 86 L OMS a continu de promouvoir la recherche sur la vaccination orale des chiens contre la rage La cinqui me consultation de l OMS sur l immunisation orale des chiens contre cette maladi s est d roul n juin Gen ve l Unit de sant publique v t rinaire L OMS a continu de promouvoir la coop ration entre les pays qui conduisent des campagnes d immunisation orale des renards contre la rage L OMS a galement organis un atelier sur la rage dans les Pays Baltes Tallin en Estonie au mois de f vrier et organis la mission en Bulgarie d un sp cialiste de cette maladie 87 Un groupe international de sp cialistes a d fini des protocoles d tude visant valuer les nouveaux traitements contre la brucellose humaine dans les zones end miques ainsi que les m thodes de diagnostic pr coce de la maladie En ce qui concerne la tuberculose zoonotique due Mycobacterium bovis l Unit de sant publique v t rinaire a organis une consultation commune OMS FAO OIE sur les vaccins contre la tuberculose animale Gen ve au mois d ao t dernier L Unit a galement t l origine de la r union d
79. nte les activit s et les projets de la Commission qui s est r unie du 5 au 8 d cembre 1994 Doc 63 SG 12 CS 4 La r union de la Commission a t prolong e d un jour afin de terminer les travaux sur le Code sanitaire international de l OIE pour les animaux aquatiques et le Manuel de diagnostic pour les animaux aquatiques Des repr sentants de la FAO Docteur R Subasinghe du NACAl6 Docteur M N Kutty et du Japon Docteurs Y Inui et K Fujii ont particip la r union Une repr sentante du Chili tait galement invit e mais elle n a pu tre pr sent Informations sur les maladies des animaux aquatiques Les agents pathog nes num r s dans le Code continuent d avoir un impact grave sur l levage des poissons des mollusques et des crustac s En 1994 les observations majeures ont t les suivantes 16 NACA R seau des centres d aquaculture en Asie Pacifique 63 SG RF PARIS mai 1995 234 2 39 236 La septic mie h morragique virale SHV continue de provoquer des pertes importantes dans les levages urop ens d truites arc en ciel et a r cemment touch les levages de turbots en cosse Des tudes sont en cours sur les sources infectieuses potentielles En Am rique du Nord de nouvelles souches du virus de la SHV ont t isol es chez des harengs du Pacifique au large de l Alaska de l tat de Washington et de la Colombie britannique
80. onction des besoins Le D l gu de la France souligne l impact consid rable que ne devraient pas manquer d avoir ces propositions sur le commerce international Une discussion s engag ntre les D l gu s de l Argentine de l Australie du Royaume Uni CT Docteur J G van Bekkum Pays Bas propos de l valuation des pertes conomiques du concept de r gion et des cons quences retard es mais n anmoins d vastatrices que peuvent avoir certaines maladies animales incubation longue En conclusion le Docteur Rees propose que la Commission du Code s attache dans les prochains mois pr parer un projet de chapitre du Code sur la classification des maladies animales partir des l ments d j disponibles et des commentaires que les Pays Membres voudront bien lui faire parvenir sur ce sujet dans les tout prochains mois Chapitre 3 2 13 Enc phalopathie spongiforme bovine La Commission du Code et la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties ont discut avec un expert de l volution de l enc phalopathie spongiforme bovine dans les pays o elle s vit Un document a t pr par par cet expert o il est fait tat des informations scientifiques les plus r centes Ce document a t diffus aux Pays Membres avec le rapport de la Commission du Code Le rapport d un Groupe ad hoc qui a mis des recommandations en vue de modifier le chapitre du
81. organisme consid r comme appartenant aux Rickettsiaceae a par ailleurs entra n une mortalit massive chez des tilapias lev s en tang Taipei China en 1992 93 La flexibact rios sembl un probl me croissant dans de nombreux pays F maritimus est un agent pathog ne important chez les poissons marins au Japon en cosse et en Espagne 63 SG RF PARIS mai 1995 242 243 244 245 246 En ce qui concerne les maladies des mollusques exception faite d une l g re extension de Bonamia en Irlande la situation pid miologique de Bonamia et Marteilia semble stable chez les hu tres plates Un protozoaire SPX dont les caract ristiques ultrastructurales voquent celles d Perkinsus spp a t rapport dans des levages de coquilles Saint Jacques japonaises en Colombie britanniqu t quelques infections herp svirus ont t signal es en France chez des hu tres du Pacifique Dans le domaine des maladies des crustac s la yellowhead disease maladie de la t te jaune continue de provoquer des pertes massives dans les levages d crevettes n Tha lande elle a aussi t observ n Indon sie Un virus bacilliforme en forme de b tonnet a t l origine d une mortalit massive dans les levages de crevettes au Japon Taipei China et en R publique populaire de Chine Les sujets infect s pr sentent des marques blanches sur la surfac intern d la cuticule d o
82. phique de la PPCC La Commission pr sente au Comit international une r solution recommandant l acceptation du texte r vis des Normes recommand es pour les syst mes de surveillance pid miologique de la p ripneumonie contagieuse bovine La Commission recommande galement au Comit la mise jour de la publication de l OIE de 1987 sur la PPCB La Commission recommande au Comit international l acceptation de 1 All Russian Research Institute for Animal Health de Vladimir Russie comme Laboratoire de r f rence r gional de l OIE pour la fi vre aphteuse ce qui est accept par le Comit La Commission a approuv les activit s de la Sous commission de l Asie du sud est pour la fi vre aphteus La Commission a pr sent les discussions qui ont port sur la n cessit et l int r t des banques de vaccins pour la fi vre aphteuse et d autres maladies ainsi que sur les ressources financi res disponibles cet effet conform ment la R solution n XII de la 62 Session g n rale La Commission a conclu qu il serait souhaitable de mettr n place une banque de virus de la fi vre aphteus de typ SAT pour les pays menac s par ces types de virus Les Commissions r gionales doivent valuer la n cessit de banques r gionales Trois crit res d valuation du besoin de banques d antig nes pour d autres maladies ont t pr sent s I
83. phteus t de s ro surveillance de cette maladie Le rapporteur rappelle que la s ro surveillance ne constitue pas un m thode de routine mais vient en compl ment d autres m thodes n particulier la surveillance clinique qui rest ssentiell De l avis du D l gu de l Allemagne on a atteint un paradoxe en mati re de maladie de Newcastle la surveillance devrait tr xtensiv dans les grands levages industriels qui en g n ral sont tr s bien contr l s du point de vue sanitaire et intensive vis vis des levages amateurs o se rencontrent la plupart des probl mes Cette surveillance intensive s av r cependant difficile et co teuse Le D l gu de la Syrie milit n faveur de programmes de lutte conjoints particuli rement en mati re de fi vre aphteuse entre pays voisins qui ont des fronti res relativement perm ables aux mouvements de troupeaux incontr l s Le D l gu des Etats Unis d Am rique met en exergue deux id es qui lui paraissent importantes aujourd hui se pose d abord le probl me de l apparition de maladies nouvelles qui r sultent notamment de changements dans la d mographie animale et de l intensification du commerce La m decine v t rinaire a un r le essentiel jouer dans ce domaine d s lors qu il s agit de zoonoses Par ailleurs avec le d veloppement du commerce international il devient de plus en plus n cessair d disposer de sys
84. r la suite vis vis des ovins Il s interroge sur la validit d une telle strat gie Le Docteur A I Donaldson pr cise qu tout programme de surveillance doivent tre fix s des objectifs dans un pays indemne de fi vre aphteuse o la vaccination n est pas pratiqu e la surveillance s rologique chez les ovins permet de savoir si l infection est active dans cett sp ce chez laquelle les sympt mes ne sont pas toujours tr s apparents alors qu une surveillance cliniqu intensiv S r v l g n ralement suffisante chez les bovins et les porcins En r ponse une question pos e par le D l gu de la Colombie propos de la surveillance de la tuberculose bovine le rapporteur indique que le syst me le plus appropri d pend dans chaque pays du stade d radication auquel il est parvenu La tuberculination est essentielle dans une premi re tape mais elle est co teuse En fin d radication il est possible comme plusieurs pays l ont v rifi de faire reposer principalement la surveillance sur les inspections d abattoirs Les D l gu s d l Inde de l Indon sie et de Taipei China posant des questions sur le concept de zonage en mati r d fi vr aphteuse le Pr sident sugg re d examiner ce point lors de la discussion du rapport de a la Commission de l OIE pour la fi vre aphteus t autres pizooties Le Professeur V Caporale Itali
85. rapport de la FAO AIEA sur l tablissement de proc dures d assurance qualit externes utiliser avec les trousses ELISA de la FAO AIEA Lors de la r union du mois de f vrier une proposition d introduction et de plan a t pr par pour les directives s appliquant l valuation qualitative des laboratoires Les travaux se poursuivront lors de la prochaine r union de la Commission Les travaux de pr paration de la prochaine dition du Manuel se d roulent toujours de mani re satisfaisante La Commission a pass beaucoup de temps revoir et discuter certains points sp cifiques des textes Un certain nombre de r visions propos es la liste des preuves prescrites des preuves de substitution et des autres preuves ont t accept es La plupart des chapitres nouveaux ou r vis s ont t retourn s par les auteurs et en sont au stade de la relecture ou de la v rification ou bien ont t adress s aux Pays Membres pour commentaires 63 SG RF PARIS mai 1995 161 162 163 164 165 166 Suite la suggestion du Groupe de travail sur la biotechnologie il a t demand aux auteurs des diff rents chapitres du Manuel d inclure ou d ajouter les m thodes biotechnologiques qui s appliquent La Commission propose d annexer au chapitre d introduction sur la biotechnologie un exemple de protocole d application de la PCR Les amendements aux
86. re s est accru r cemment au sud du Tchad Il n y a pas eu de foyers de pest sSquine au Mozambique en 1994 Au Maroc aucune vaccination contre la peste quine n a t entreprise depuis fin 1994 Ce pays a par ailleurs d pos un dossier relatif au recouvrement d statut de pays indemne de peste quine compter de juillet 1995 L existence d un vaccin efficace contre la peste porcine africaine serait tr s utile pour lutter contre la maladie en Ouganda A la fin de 1994 des foyers de fi vre charbonneuse sont apparus dans la r gion de Ndjamena au Tchad La maladie a t principalement propag e par les tabanid s 130 La trypanosomose continue de poser des probl mes dans le nord ouest de l Ouganda tant chez les bovins que chez l homme alors qu un programme de lutte int gr est mis en oeuvre au sud est qui donne de bons r sultats Am riques 131 Aucune foyer de fi vre aphteuse ne s est produit en Argentine depuis le 27 avril 1994 Tous les efforts sont faits pour arriver dans les meilleurs d lais son radication La partie occidentale du Paraguay n a connu aucun foyer depuis 14 mois et sa partie orientale depuis 8 mois Le programme de prophylaxie qui y a t lanc depuis 1992 porte ses fruits puisque le 2 nombre de foyers a diminu de 50 entre 1993 et 1994 63 SG RF PARIS mai 1995 132 133 134 135 136 137 138 Asie 139
87. roupes ad hoc de l OIE 63 SG RF PARIS mai 1995 Activit s des Groupes de travail Groupe de travail sur la biotechnologie 284 285 286 287 288 289 Le Docteur C Bostock rend compte des travaux de la r union du Groupe pr sid e par le Docteur J R Gorham et qui s est tenue les 28 et 29 novembre 1994 Doc 63 SG 13 GT 1 Le Groupe a examin la Lettre d information de l OIE sur la biotechnologie v t rinaire L acquisition d un nouveau logiciel a permis la fusion des bases de donn es existantes facilit la sortie des donn es sous forme de tableaux et rendu possible l analyse statistique de ces donn es Le Groupe ue a recommand que l OIE diffuse des copies papier de la Lettre d information de 1994 tous les Pays Membres de l OIE ainsi qu aux laboratoires qui ont r pondu au questionnaire mais en soulignant l existence et la souplesse d utilisation de la version informatis e Plusieurs membres du Groupe ont pr sent et discut leur s lection personnell d nouvelles techniques ou nouveaux produits issus de la biotechnologi t r cemment entr s dans la pratique courante Le Groupe a fait tat de l int ressante session sur la biotechnologie que l OIE a co parrain e avec la WAVLDI9 en Argentine en novembre 1994 Il a recommand un programme et sugg r des intervenants qui pourraient tre invit s par l OIE participer la prochaine session OI
88. rouvent les Laboratoires de r f rence ainsi qu aux xperts d sign s pour le pr cieux soutien apport aux activit s de l OIE CO Une proposition a t re u n vue de cr er un groupe de travail charg de standardiser la technique de l amplification en cha ne par polym rase PCR mais la Commission n a pu avaliser cette suggestion Il s agit d un sujet difficile et il n exist ncor aucune standardisation ce jour La Commission est cependant parfaitement consciente de l int r t d cett m thode pour le diagnostic Aussi est il demand aux auteurs des chapitres de la prochaine dition du Manuel des normes recommand es pour les preuves diagnostiques et les vaccins d inclure cette m thodologie dans leur texte s il y a lieu La standardisation international des preuves diagnostiques a progress pour la fi vre aphteuse la peste bovine la p ripneumonie contagieuse bovine la peste porcine classique la rage la brucellose la grippe quine et l art rite virale quine Des commentaires ont t re us sur les directives concernant la validation des preuves diagnostiques des maladies infectieuses Ils ont t transmis l auteur du chapitre correspondant du Manuel Lors de la pr paration de directives pour l valuation des laboratoires et les contr les des comp tences la Commission tiendra compte des normes de l Organisation internationale de normalisation et du
89. rtains d lais impartis pour en tre consid r comme indemne Si dans un premier temps l Union avait pens demander repousser l adoption du Code et du Manuel pour les animaux aquatiques il appara t maintenant la lecture du projet de R solution que ces r serves qui seront pr sent es et adress es l OIE par l Union Europ enne pourront tre prises en compte lors de la prochaine Session g n rale si c est bien le cas l Union ne s opposera pas son adoption Le Professeur H stein assure le Comit international que la Commission pour les maladies des poissons poursuivra ses efforts pour que les deux textes soient sans cesse am lior s Il invite les D l gu s des pays appartenant l Union urop enn nvoyer Ll OIE par crit leurs commentaires d taill s Ceux ci seront examin s par la Commission avec la plus grande attention et les amendements n cessaires seront soumis au Comit international l ann e prochaine Le Comit international retient cette solution et en cons quence adopte 250 291 252 293 254 299 l unanimit le projet de R solution n XV Le texte figure sous le n XV la fin de ce rapport La brochure sur les maladies des poissons sera r vis e d s que le Cod t le Manuel auront t publi s Une Conf rence internationale de l OIE consacr e la Pr vention de la propagation
90. s les plus importants qui sont survenus dans le monde en 1994 Doc 63 SG 2 et au cours des premiers mois de 1995 Maladies de la Liste A 103 Quelques foyers de fi vre aphteuse due au virus O ont t signal s en Libye et en Tunisie en 1994 Pour la premi re fois la pr sence du virus de type SAT 3 de la fi vre aphteuse a t constat e en Namibie dans la bande du Caprivi Une suspicion de fi vre aphteuse a t port e au sud ouest de la Zambie en octobre 1994 L Uruguay a d cid en juin 1994 d arr ter toute 63 SG RF PARIS mai 1995 104 105 106 107 108 109 vaccination des bovins contre la fi vre aphteuse sur son territoire L incidence de la fi vre aphteus n Argentine a diminu d environ 90 de 1993 1994 alors qu une volution oppos e se produisait au Br sil Le Paraguay consid re que le nord ouest de son territoir st une zone indemn sans vaccination Quatre foyers de fi vre aphteuse sont apparus en avril 1994 dans des zones frontali res au Tadjikistan La Malaysia p ninsulaire a connu de nouveaux pisodes de fi vre aphteuse dus au virus de type O au nord ouest de son territoire tandis qu une pizootie due au virus Asia 1 se propageait au nord est Aux Philippines sur l le de Luzon des foyers dus aux virus O A et C ont t constat s partir de l t 1994 Une pizootie de fi vre aphteuse due au virus O a s vi en Gr ce de
91. s risques a estim qu il devrait tre possible de regrouper les exp riences en mati re d valuation pour constituer une sorte de corpus de lois communes et que cette approche devrait tre encourag e gr ce au partage des informations Le Sous groupe sur l ducation et la formation a d fini une s rie de formations dans le domaine des syst mes d information zoo sanitaire afin que chaque pays puisse choisir les modules les mieux adapt s sa situation Le Groupe a continu de s int resser au d veloppement de ProMED 21 pour d terminer dans quell mesur l OIE pourra tirer profit de cette initiative Le Groupe a par ailleurs assist plusieurs d monstrations de syst mes d information con us par des pays et organisations il a tudi le rapport du Groupe ad hoc de l OIE sur la classification des maladies et recens les modules de formation propos s en mati re d pid miologie v t rinair t de m decine des populations Le Bureau central s est connect au r seau Internet et a engag un chef de projet informatique Le Groupe a recommand 1 que le Bureau central mette n oeuvre les mesures n cessaires la satisfaction des objectifs et du calendrier fix s dans le PSI et dans le plan de transition pr vu pour l adoption finale de HandiSTATUS 2 que l OIE fasse une description pr cise du nouveau poste d informaticien r le et responsabilit s et soumette
92. ses conclusions au Groupe de travail pour commentaires 3 que l OIE fasse le n cessaire pour s assurer de l existence de la documentation et des syst mes de sauvegarde appropri s pour prot ger ses bases de donn es et ses ressources en mati re de technologie de l information 4 qu partir d une tude de sa Commission administrative l OIE d finisse et adopte une politique claire de promotion et de diffusion de l information sous une forme lectronique et envisage la possibilit de tirer un avantage financier de ce type d activit 21 ProMED Programme international appliqu la surveillance des nouvelles maladies infectieuses 63 SG RF PARIS mai 1995 305 306 307 308 309 310 311 Le D l gu de l Allemagne s d clare tr s impressionn par l expos du Docteur King et souhaite que les projets voqu s s concr tisent rapidement Il constate que les informations contenues dans la base de donn es centrale de l OIE n taient pas accessibles directement en ligne via Internet pour des raisons de s curit Le Docteur King fait allusion des accidents qui sont survenus dans un pass r cent aux Etats Unis d Am rique ce sujet pour en conclure que l OIE doit tenir le plus grand compte des probl mes de sauvegarde de l int grit des donn es lorsqu elles seront accessibles par Internet Le Doc
93. sid r comme insuffisantes les donn es scientifiques disponibles sur la destruction du virus dans les produits pharmaceutiques les boyaux la cas ine acide les sabots les onglons les os les cornes et les troph es de chasse Aussi les travaux devront ils se poursuivre dans ces domaines 63 SG RF PARIS mai 1995 80 81 82 83 L D l qu d la France remarque qu il appara t difficile de prouver l absence d activit virale sur un territoire Le D l gu du Japon exprime la m me opinion Le Docteur Rees reconna t que c est un exercice a priori difficile mais il indique que la Commission pour la fi vre aphteus t autres pizooties consid re qu ce n est pas impossible Plusieurs pays l ont d ailleurs d j fait Le Docteur Rees ayant demand aux deux D l gu s pr cit s de lui faire parvenir prochainement leurs autres commentaires qui ne concernent pas les propositions d ajouts ou de modifications au chapitre 2 1 1 et ses annexes formul es par la Commission du Code le Comit adopte ces ajouts et modifications Textes soumis pour commentaires Le projet de chapitre sur les zoonoses transmissibles par les primates non humains est pr sent au Comit pour observations et commentaires L Docteur Rees demande aux D l gu s de bien vouloir faire parvenir leurs contributions sur tous ces sujets au Bureau central avant le 31 ao t 1995 Futur programme de
94. ssi est de cet avis et estime qu une r solution devrait porter sur les travaux de recherche consid rables qu il conviendrait de conduire Le D l gu de la Hongrie indique que d apr s lui la pr sence de souches immunosuppressives dans une zone donn e devrait prot ger contre les formes virulentes de la maladie Le rapporteur fait observer que l absence de marqueurs viraux exploitables rend difficile ce jour la d termination des virus pr sents dans une zone et donc les conclusions d finitives cet gard Le D l gu de Nouvelle Cal donie demande si l apparition de cas de maladie de Gumboro conduit inexorablement l apparition de cas suraiqgqus et si l on est obligatoirement contraint in fine d utiliser un vaccin virus invasif pour la prophylaxie Le Docteur Eterradossi constate le ralentissement d la propagation des cas aigus en cas de vaccination toutefois plusieurs Pays Membres ont indiqu qu ils avaient finalement t contraints d employer des vaccins virus invasif pour ma triser la multiplication des formes aigu s Le groupe charg de mettre au point le projet de r solution se compose des deux rapporteurs des Docteurs J A C rdenas Zorro Colombie D Carton Nouvelle Cal donie A Kazemi Iran F X Meslin OMS N Voetz Allemagne et du Professeur Ali A M Moussa Egypte QUATRI ME S ANCE PL NI RE Activit s des Commissions sp cialis es
95. ssion des normes ont particip au Symposium sur l valuation des risques li s aux produits biologiques v t rinaires qui s est tenu Arlington Virginie tats Unis d Am rique du 5 au 7 d cembre 1994 Ils ont co pr sid la s ance intitul D veloppement d objectifs et mis n oeuvre de strat gies et ont pr sent une communication sur le r le des organisations internationales et r gionales dans la r glementation des produits biologiques v t rinaires Ils sont galement intervenus dans l laboration des recommandations finales du symposium 167 Erreur Source du renvoi introuvable la suite d une question pos e 168 169 170 sur le vaccin Rev 1 la Commission reconna t les difficult s inh rentes son utilisation mais consid re qu il s agit toujours du vaccin de choix contre la brucellose des petits ruminants Elle souligne qu avant l emploi les vaccins de type Rev 1 doivent tre soumis un contr le de qualit effectu par un laboratoire reconnu au plan international conform ment aux normes tablies par l OMS et l OIE Le Professeur Truszczynski pr sente le projet de la R solution n X concernant l adoption par le Comit des amendements au Manuel Le Comit adopte l unanimit cette R solution qui fiqure la fin de ce rapport sous le n X Dans le cadre de la R solution n X l Union europ enne par la voix du D l gu
96. t mes standards d observation et de surveillance des maladies animales Le D l gu de la Suisse abond n ce sens t rappelle les efforts d j entrepris ce sujet par l OIE propos de la peste bovine Il pense que l OIE devrait envisager de mener un r flexion similaire sur d autres maladies De l avis du rapporteur il faudrait d abord mettre l accent sur les maladies de la Liste A sans peut tre chercher syst matiquement tre aussi pr cis que pour la peste et la p ripneumonie contagieuse bovines CI Le Professeur Caporale met des doutes sur la possibilit de d velopper des lignes directrices r pondant toutes les situations dans lesquelles s trouvent les Pays Membres de l OIE son avis chaque pays doit d gager ses propres solutions en fonction de ses moyens et de ses objectifs Le rapporteur consid re qu un minimum de recommandations ces pays s av re indispensable ils doivent en effet savoir quelles donn es collecter et comment les pr senter d fa on ce qu elles soient acceptables non seulement par les organisations internationales mais aussi par leurs partenaires commerciaux 63 SG RF PARIS mai 1995 44 L D l gu d la Colombie ayant d crit tr s bri vement le syst me de surveillance de la fi vre aphteuse mis en plac n Am rique du Sud sous les auspices du Centre panam ricain de lutte contre la fi vre aphteuse le D l gu
97. t l INPPAZ de Buenos Aires continuent d assumer les fonctions de Laboratoire de r f rence d l OIE pour la fi vre aphteus t la tuberculose bovine respectivement 90 Le Centre PANAFTOSA a travaill en collaboration avec l OIE la pr paration de manuels et de directives sur les syst mes d information la surveillance pid miologique la r gionalisation et l analyse des risques 91 Un projet r gional a t mis en place avec 1l OIE en association avec l INPPAZ pour l enregistrement des m dicaments v t rinaires dans les Pays Membres du MERCOSUR et de la JUNAC Une analyse des r gles nationales existantes a t conduite et des activit s de suivi ont t men es notamment la pr paration de projets de formulaires harmonis s pour les proc dures d valuation des m dicaments v t rinaires et la cr ation d une base de donn es commune au sein de 1 INPPAZ Organisation mondiale du commerce 92 Monsieur J Magalh es repr sentant de l OMC rappelle bri vement le r l de cette organisation et ses liens troits de collaboration avec l OIE Il indique qu il d veloppera plus largement ces informations lors du s minaire qui aura lieu au si ge de l OIE le 23 mai prochain Autres Organisations internationales 93 Le Pr sident demande aux repr sentants de l AIEA et de 1l AMVIS de pr senter un bref rapport oral sur les activit s de leurs organisations en relation avec l OIE PREMI RE S ANCE ADMINISTRATIVE Nominatio
98. taires emp chent un recours plus syst matique cette m thode de prophylaxie De plus en plus de cas de tuberculose bovine dus Mycobacterium tuberculosis sont diagnostiqu s en Hongrie En Azerbaidjan aucune pizootie grave n est apparue au cours des trois derni res ann es mais la tuberculose et la brucellose bovines restent des probl mes pr occupants Contrairement ce qu indique le rapport quinquennal du Directeur g n ral de l OIE il existe des cas d enc phalopathie spongiforme bovine apparus l ext rieur du Royaume Uni qui ne peuvent tre rapport s ni l importation de bovins ni l importation de farines de viandes et d os en provenance de ce pays Le Pr sident propose au vote la R solution n I portant sur l adoption par le Comit du rapport du Directeur g n ral et du rapport sur la situation zoo sanitaire mondiale en 1994 Cette R solution est adopt e l unanimit Activit s des Commissions sp cialis es suite Commission des normes 153 154 Le Professeur Truszczynski Pr sident de la Commission pr sente les rapports des r unions qui se sont tenues du 19 au 22 septembre 1994 Doc 63 SG 12 CS 2A et du 20 au 23 f vrier 1995 Doc 63 SG 12 CS 2B La Commission a examin un certain nombre de candidatures la fonction de Laboratoire de r f rence Deux ont t accept es Il s agit du Kimron Veterinary Institute Isra l
99. te du projet de R solution n XVI Il pr sente au Comit le projet de R solution n XVI ce sujet La R solution est adopt e apr s amendement au cours de la s ance suivante Le texte figure sous le n XVI la fin de ce rapport Le Comit prend acte du rapport de la Commission pour les maladies des poissons Activit s des Centres collaborateurs et des Laboratoires de r f rence de l OIE 261 262 2633 264 Le Docteur R Reichard Chef du service scientifique et technique de l OIE r sume les activit s des Centres collaborateurs et Laboratoires de r f rence de l OIE dont les rapports seront adress s tous les Pays Membres en juin 1995 Le D l gu de l Afrique du Sud donne alors des d tails compl mentaires sur les activit s du nouveau Centre collaborateur d Onderstepoort au nom de son Directeur Le laboratoire a particip au Congr s africain sur la pollution de l environnement et les r sidus ainsi qu la pr paration de la 2 Conf rence internationale sur les maladies transmises par les tiques qui doit se d rouler prochainement Le laboratoire organise r guli rement des cours sur les maladies pizootiques Adoption des projets de R solutions n IX et XIII Le Comit adopte le projet de R solution n IX qui reprend le r sultat des discussions qu il a eues sur les textes que la Commission du Code lui a soumis pour adoption Le texte figure so
100. te une augmentation d environ 0 5 par rapport au bar me 1995 La valeur de l unit contributive passe de 19 100 FRF 19 200 FRF Le projet de R solution n IV d penses et recettes budg taires de l OIE pour le 70 exercice 1 janvier au 31 d cembre 1996 est adopt la majorit un D l gu ayant vot contre Allemagne et un autre s tant abstenu Japon Le projet de R solution n V contributions financi res des Pays Membres de l OIE pour 1996 est adopt la majorit un D l gu ayant vot contre Allemagne et deux autres s tant abstenus Gr ce Japon Les R solutions figurent sous le n IV et n V la fin du pr sent rapport Election aux postes vacants des bureaux de Commission r gionale Le Pr sident demande aux Pr sidents des Commissions r gionales concern es de faire conna tre leurs propositions concernant la composition des bureaux Le Comit adopte l unanimit les propositions faites Commission r gionale pour les Am riques Vice Pr sident Dr J A C rdenas Zorro Colombie Commission r gionale pour le Moyen Orient Vice Pr sident Dr Ali A Arab Emirats Arabes Unis Secr taire g n ral Dr M M Amarin Jordanie 63 SG RF PARIS mai 1995 339 340 341 342 343 344 345 Projet de mandat et r glement des Repr sentations r gionales Le Pr sident pr sente le document 63 SG 17 Apr s d bat
101. teur J M Scudamore Royaume Uni souligne l importance que rev t HandiSTATUS pour que les Pays Membres disposent de l information zoo sanitaire en temps voulu A propos des maladies nouvelles il pense qu il faut prendre de grandes pr cautions dans l utilisation des informations que pourraient fournir les Laboratoires d r f rence n ffet les Pays Membres qui utilisent leurs services le font sous le sceau de la confidentialit Enfin l OIE va jouer un r le de plus en plus important en mati re d valuation des risques si des valuations des risques faites par des Pays Membres sont diffus es lectroniquement par l OIE comme l a sugg r le Groupe de travail il faudra alors diff rencier de fa on extr mement claire ce qui mane de ces pays de ce qui a t adopt par le Comit international Le Comit prend acte du rapport du Groupe de travail sur l informatique et l pid miologie Le Professeur Caporale Directeur g n ral de l Institut zo0 prophylactique de Teramo en Italie pr sente bri vement les objectifs et le contenu des 18 modules d pid miologie v t rinair t de m decine des populations mis au point dans son institut en sa qualit de Centre collaborateur de la FAO et de l OMS pour l pid miologie v t rinaire Plusieurs de ces modules ont d j t test s dans diff rents pays et les r sultats obtenus sont tr s satisfaisantes Exemple de syst me
102. tion du nombre des participants le Pr sident indique que 110 D l gu s sont pr sents et que ce nombre tant sup rieur au quorum le vote peut avoir lieu Le Docteur Blancou se pr sente aux D l gu s et quitte la salle de Conf rences Le Docteur Ackah Angniman C te d Ivoire t le Docteur Voetz Allemagne sont d sign s comme scrutateurs Le Docteur Blancou recueille 108 voix sur 110 votants au premier tour Le Docteur Willis d clare que le Docteur Blancou est nomm Directeur g n ral de l OIE pour une p riode de cinq ans partir du 1 janvier 1996 Le Docteur Blancou de retour en s ance remerci les Membres du Comit pour lui avoir accord leur confiance qu il esp re m riter au cours de son second mandat Il rend hommage l action de tous les responsables de l OIE notamment celle de tous ceux qui ont contribu au succ s actuel de cette organisation Il sollicite le soutien de tous les Membres du Comit de la Commission administrative des Commissions sp cialis es et des Groupes de travail ainsi que des experts et de tous ses collaborateurs du Bureau central pour la dur e de ce nouveau mandat 102 CINQUI ME S ANCE PL NI RE Rapport sur la situation z00 sanitaire mondiale en 1994 et au d but de 1995 Le Docteur T Chillaud Chef du service de l information et des changes internationaux de l OIE pass n revue les v nements pid miologique
103. tre des animaux au cours des transports 63 SG RF PARIS mai 1995 63 64 65 66 67 68 La Commission a galement propos dans son rapport de r viser ou de compl ter les chapitres existants sur la rage la leucose bovine enzootique la piroplasmose quine l art rite virale quine la stomatite v siculeuse la rhinotrach ite infectieuse bovine l enc phalopathie spongiforme bovine et la fi vre aphteuse Une nouvell annexe concernant les centres d ins mination artificielle qui collectent la semence des petits ruminants ainsi qu un article consacr la s curit de la certification lectronique ont galement t tablis Le rapport comporte aussi le d tail des points soumis au Comit pour examen et commentaires des Pays Membres ainsi qu un aper u du programme de travail futur de la Commission L Pr sident s f licit d l important travail accompli au cours de l ann e par les membres d la Commission t remercie n leur nom le Bureau central pour l excellent soutien apport la Commission par le a personnel de l OIE Le Docteur Rees rappelle au Comit qu il avait t convenu lors de la 62 Session g n rale que les d cisions visant compl ter ou modifier le Code feraient l objet de R solutions Cette approche a t retenue sur le conseil du Professeur D Bardonnet Conseiller juridique de l OIE afin de conf rer l
104. uction et de la sant animales pour l Asie et le Pacifique ANASE Association des nations de l Asie du Sud Est 63 SG RF PARIS mai 1995 31 32e 33 34 35 36 DEUXI ME S ANCE PL NI RE TH ME TECHNIQUE Syst mes d observation et de surveillance des maladies animales en prenant pour mod les les mycobact rioses animales la maladie de Newcastle la fi vre aphteuse et la rage Doc 63 SG 9 Le Docteur Br ckner Afrique du Sud pr sente son rapport sur les syst mes d observation et de surveillance des maladies animales en prenant pour mod les les mycobact rioses animales la maladie de Newcastle la fi vre aphteuse et la rage qu il a tabli en tenant compte des commentaires mis par 41 Pays Membres sur ce sujet Il d crit les m thodes d observation et de surveillance de ces maladies animales En conclusion pour participer au commerce international et r pondre aux exigences qui le caract risent il demande aux Pays Membres d s efforcer d am liorer constamment leurs syst mes d observation et de surveillance des maladies animales Discussion du Th me technique I Le Docteur Marabelli et tous les D l gu s qui interviennent dans la discussion f licitent le rapporteur pour son brillant expos Le D l gu de la Gr ce fait r f rence aux mesures d radication de la fi vre aphteuse mises en oeuvre r cemment dans son pays et la s ro surveillance exerc e pa
105. ue du Sud la peste porcine africaine est rest e confin e dans la zone de surveillance de la maladie existant dans la province du Transvaal du Nord Au Mozambique contrairement ce qui s tait pass depuis 1960 la maladie a t observ e au sud du fleuve Save Absente depuis 1964 la maladie est r apparue au Kenya En Espagne par d cision de la Commission europ enne pris n d cembre 1994 la zone non indemne de peste porcine africaine a t r duite 11 communes des provinces de Huelva S ville et Cordoue la zone de surveillance portant quant elle sur 100 communes La peste porcine classique a t introduite au Costa Rica en f vrier 1994 El a t observ n ao t 1994 en Malaysia p ninsulaire Durant cette m me ann e la maladie a t en recrudescence dans plusieurs pays d Europe Des abattages massifs de porcs ont t op r s pour cette raison en Allemagn t en Belgiqu Un foyer circonscrit de peste aviaire vraisemblablement d une forte concentration d oiseaux sauvages a t observ en Australie Le diagnostic de peste aviaire a t port au Mexiqu n janvier 1995 L Afrique du Sud le Swaziland et le Zimbabwe ont t confront s un s rieux probl me de maladie de Newcastle en 1994 Un pisode de cett maladie qui ne semblait pas d une souche v log ne a t observ Taipei China en mars 1995 Maladies de l
106. us le n IX la fin de ce rapport Le Comit adopte le projet de R solution n XIII relative aux Normes recommand es pour les syst mes de surveillance pid miologique de la p ripneumonie contagieuse bovine Le texte figure sous le n XIII la fin de ce rapport 63 SG RF PARIS mai 1995 265 Rapport sur les r unions des Groupes ad hoc de l OIE Le Directeur g n ral r sume les activit s des Groupes ad hoc de l OIE en 1994 Groupe ad hoc sur la prophylaxie des maladies animales Madagascar 266 261 5 Aa Le Groupe s est r uni au si ge de l OIE Paris en janvier 1994 avec la participation du CIRAD EMVTI7 et de deux experts malgaches L objet de la r union a t d tudier la situation sanitaire actuelle Madagascar et de d finir les strat gies de prophylaxie les plus efficaces contre la maladie de Teschen Une deuxi me r union s est tenue Paris en mai 1994 entre les repr sentants de l OIE du CIRAD EMVT de la Banque mondiale et du Veterinary Research Institute de Brno R publique tch que Au cours de cette r union il a t convenu que la premi re phase du projet d radication de la maladie de Teschen commence en ao t 1994 et que deux missions compl mentaires soient entreprises en janvier et en juillet 1995 pour valuer la phase pr paratoire Parall lement le Laboratoire de Brno fournirait le vaccin et un chercheur malgache suivrait une formation au CIRAD EMVT Paris
107. v t rinaires 20 JICA Agence japonaise de coop ration internationale 63 SG RF PARIS mai 1995 Groupe de travail sur l informatique et l pid miologie 300 301 302 303 304 Le Docteur King Etats Unis d Am rique fait un compte rendu des travaux du Groupe appel auparavant Groupe de travail sur les syst mes d information zoo sanitaire qui s est r uni sous sa pr sidence du 17 au 21 octobre 1994 Fort Collins Colorado Etats Unis d Am rique Doc 63 5G 13 GT 3 Le Groupe a approuv les recommandations incluses dans le rapport du Groupe ad hoc sur la planification appliqu e aux syst mes d information PSI et a d velopp des strat gies n vu d la mis n oeuvr d chaque recommandation Des d tails sur ce groupe sont pr sent s dans la rubrique Groupes ad hoc sur la planifaction strat gique appliqu aux syst mes d information 268 271 Le Groupe a discut xamin les actions men es par ses quatre sous groupes Le Sous groupe sur l Information zoo sanitaire a fait le point sur le d veloppement de HandiSTATUS et a d fini un plan de mis n oeuvr une proc dure d valuation pilote Le Sous groupe sur la surveillance des maladies a examin plusieurs syst mes de surveillance nationale et r gionale et a favoris le partage des informations sur les syst mes de surveillance nationaux au sein de la communaut internationale Le sous groupe sur l analyse de

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