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1. ministère de l`environnement 1 2. administration

1. Les documents et les cartes de synth se qui int grent une multitude d informations de surcro t dans des domaines assez sp cialis s pour offrir au gestionnaire forestier une vue d ensemble de sa for t constituent des aides excessivement pr cieuses Les cartes d aptitude foresti re bas es sur des donn es stationnelles p dologiques et cologiques illustrent parfaitement ce type de document Les cartographies d aptitude stationnelles sont r alis es gr ce au document de r f rence intitul Guide de boisementl des stations foresti res au Luxembourg Sch matiquement cette m thode permet de confronter les caract ristiques stationnelles des for ts analyser avec les exigences cologiques de 28 essences feuillues et 14 essences r sineuses contenues dans ce guide que ce soit dans un contexte de production optimale de production extensive ou de survie cologique Les propositions d essence qui en d coulent sont pr sent es sur une carte et comment es dans le manuel qui l accompagne Le choix d finitif d essences les proportions et le type de m lange demeurent toujours charge de l am nagiste voire du gestionnaire en fonction de la politique foresti re r gionale ou des objectifs sylvicoles Mais dor navant ses d cisions pourront tre prises non plus dans le cadre d un peuplement isol mais dans celui du domaine entier De plus gr ce la d limitation des contraintes influen ant la
2. EE Depuis Depuis Depuis 1987 Depuis 1987 Depuis Depuis Depuis Structure 1987 2002 Ancien container Local am nag 2002 1987 1987 d accueil Local dans Construction pos surun dans un ch teau Ancien container Ancien container Local dans d un b timent nouvelle en rome mis d eau de e pos sur pos sur un b timent es artenant b ton mis disposition par commune de emplacement mis emplacement mis lt disposition appartenant S E O PEtat quipements la Ville de disposition par la la Ville Burmerange disposition par Luxembourg Ville de d Esch Alzette la commune de e Vianden Luxembourg Beckerich Situation au 31 12 2004 LC Luxembourg Centre 502 dioxyde de soufre LB Luxembourg Bonnevoie NO NO et NO9 oxydes d azote ES Esch Alzette monoxyde d azote et dioxyde d azote EL Elvange Mondorf les Bains ozone VI Mont St Nicolas Vianden CH4 HCT m thane et hydrocarbures volatils totaux SM Station m t o Luxembourg monoxyde de carbone Poussi re 0 poussi re en suspension fraction inhalable particules lt 10 Equipement ancien de 1987 CO2 dioxyde de carbone BTX benz ne tolu ne xyl nes Non quip compos s soufr s sauf dioxyde de soufre DIRVT direction du vent VITVT vitesse du vent Pression pression atmosph rique TEMP temp rature Pt_Ros e point de ros e 60
3. 82 35 projets pilotes ont t lanc s dans 21 pays La r partition des ces tudes tait de la fa on suivante agriculture p che et sylviculture 15 importation et exportation des d chets 10 d chets d emballages 7 et pr traitement de d chets 3 Les premiers r sultats de ces tudes ont t pr sent s aux deux r unions De plus EUROSTAT a pr sent les proc dures respecter lors des prochains appels d offres La demande du Luxembourg concernant le projet pilote sur l importation et l exportation des d chets a t retenue Le projet pilote a t r alis en 2004 et les r sultats ont t transmis EUROSTAT fin de l ann e Le Luxembourg doit encore r aliser son projet pilote sur les d chets de l agriculture Un prochain appel d offres va tre lanc d but 2005 2 5 1 1 4 La directive 2004 12 CE du Parlement europ en et du Conseil du 11 f vrier 2004 modifiant la directive 94 62 CE relative aux emballages et aux d chets d emballages La directive 2004 12 CE a t adopt e en date du 11 f vrier 2004 et publi e au Journal officiel le 18 f vrier 2004 Elle vise clarifier davantage la d finition du terme emballages contenue dans la directive 94 62 par l introduction de certains crit res et d une annexe contenant des exemples illustratifs Ainsi elle pr cise par exemple que les articles con us pour tre remplis au point de vente et les articles usage unique vendus remplis
4. 3 2 2 Vente de bois En ce qui concerne les bois d uvre de h tre de ch ne et de r sineux ils ont t vendus en 34 soumissions La majeure partie du bois d industrie feuillu et r sineux a t vendue par des march s de gr gr Le bois de chauffage a t vendu dans des ventes locales 3 2 3 Les subventions Les subventions accord es aux propri taires forestiers priv s et communaux constituent un outil important du Gouvernement dans l orientation de la gestion des for ts vers une gestion respectueuse de l environnement naturel D au fait que la majeure partie des petites propri t s foresti res priv es se trouvent au cantonnement forestier de Wiltz c est dans ce cantonnement que le travail administratif des dossiers de subvention demande un temps de travail important En ce qui concerne les d tails des demandes de subvention de l ann e 2004 ils sont repris dans les tableaux figurant en annexes 176 3 2 4 Wiltz 3 2 4 1 Exploitation des coupes Conform ment l application d une sylviculture proche la nature les travaux d claircies dominaient Des coupes rases ont t uniquement r alis es dans le cadre de la lutte contre les attaques des scolytes et lors du d boisement de fonds de vall es enr sin s et ceci dans un int r t cologique g n ral Le volume global exploit lors de l exercice 2003 2004 se chiffre 19 000 dont 3250 de feuillus qui corresp
5. la maintenance mise jour de POS de la majorit du parc des micro ordinateurs et des serveurs en service 182 afin de les s curiser au maximum La cellule informatique a par ailleurs install en 2004 quelques 64 graveurs et environ 15 disques durs externes amovibles suppl s en majeure partie par le CIE afin de garantir la sauvegarde des donn es essentielles des stations de travail isol es hors domaine De m me sept imprimantes couleur laser r seau ainsi que 75 imprimantes N B locales fournis int gralement par le CIE ont t install es dans les services r gionaux ainsi que dans les triages Les stations de travail et serveurs r cup r s et restitu s au CIE ont t pr alablement nettoy s avec un logiciel sp cial afin de garantir la non r cup ration des donn es confidentielles des utilisateurs La mise disposition de donn es cartographiques num riques aux bureaux et soci t s externes dans le cadre d un contrat de travail avec l administration a t continu e en 2004 Plus de 48 demandes ont t trait es Le recours momentan des soci t s de service informatique a t indispensable en raison des capacit s limit es du service en terme de personnel disponible pour ces t ches 3 7 1 3 Assistance aux utilisateurs L assistance permanente aux utilisateurs assur e par la cellule informatique pour plus de 130 utilisateurs est essentielle pour le bon fonctionnement de l ensemble du syst m
6. 1h 200 Th 1l0ugm 8h 65ugm 24h Moyenne 1990 2000 2002 1 SS 2 aseene La population de nouveau t inform e par voie de presse lors des d passements de la valeur seuil de 180 ugm conform ment la r glementation en vigueur Cette obligation d information du public est galement garantie b n volement les samedis dimanches et jours de f te par le service de la qualit de Pair Les actions d information du public en 2004 ont t r alis s l aide d envois de communiqu s de presse ozone e Les recommandations pour la population en cas d pisode de pollution par l ozone diffus es l aide de communiqu s de presse sp ciaux sont r alis es en deux tapes Etape 1 partir de 160 ug m d ozone recommandations afin de lutter contre l augmentation des concentrations d ozone en r duisant les missions de gaz pr curseurs viter l utilisation de la voiture utilisation accrue des transports en commun conduite automobile des vitesses moins lev es r duction de fa on g n rale de l utilisation de moteurs combustion renoncer d importants travaux de peinture base de solvants organiques tape 2 partir de 180 ug m d ozone recommandation aux automobilistes de ne pas mettre en service des voitures missions lev es en gaz polluants recommandation aux automobilistes de limiter la vitesse 90 km h sur auto
7. de nombreuses r unions et visites des lieux au sujet de projets communaux extensions de G cr ation de zones de verdure entretien ou renaturation de cours d eau construction de stations d puration et priv s Dans le cadre de l instruction des dossiers CN beaucoup de requ rants en particulier des agriculteurs prennent contact avec l arrondissement avant l introduction de leur demande pour pr senter leur projet et tre conseill quant aux options d autorisation Le chef d arrondissement a galement activement particip 7 r unions de concertation constructions agricoles 237 3 4 13 2 1 Aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 37 demandes de subventions pour des travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t trait es l arrondissement N Nord pour l exercice 2004 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit 1805 m haies d alignement 257 arbres fruitiers 58 80 ares coupe rase de taillis cr ation respectivement entretien de milieux naturels et semi naturels pour un montant total de 42867 62 e 5 plantation de brise vents 10 communes ont b n fici d un subventionnement de 50 pour la mise en uvre de mesures sur la base de leur cartographie des biotopes resp de leur plan vert et ceci pour un montant total de 70307 83 3 4 13 2 2 Restauration
8. laboration d un d pliant et d une brochure d information mise en place de huttes d observation mise en place de tours d observation mise en place d un chemin sur pilotis e Zone prot g e Pont Mis re Boulaide am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information laboration d un d pliant et d une brochure d information mise en place de huttes d observation mise en place de tours d observation mise en place d abris pour b tails e Zone prot g e Manternacher Fiels laboration d une brochure au sujet du sentier didactique Pierre MOES mise en place de panneaux suppl mentaires et d un panneau d entr e dans le sentier didactique Pierre MOES e Zone prot g e Haard Dudelange am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information 3 4 1 4 Centres d accueil Le Service de la Conservation de la Nature de l administration des Eaux et For ts envisage de proc der l ouverture de divers centres d accueil au Grand Duch de Luxembourg Ils constituent un compl ment important des zones prot g es auxquelles ils sont rattach s Leur fonction primordiale est de fournir aux visiteurs les informations n cessaires sur l objet de la zone prot g e en question les valeurs naturelles de la faune et de la flore sur place et les mesures de gestion propos es pour le site Ces centres d accu
9. 12 323 78 dont 10 860 41 m de feuillus ce qui correspond un volume exploit de 2 6 Le volume total des r alisations a augment de 2 11 254 78 m par rapport l exercice 2003 autres Bulls 1160 35 3 2 7 2 Ventes de bois Au total le cantonnement de Luxembourg Est a organis six ventes publiques r gionales ensemble avec le cantonnement de Grevenmacher dont trois ventes de feuillus deux ventes de bois r sineux et une pr vente de feuillus En 2004 un total de 21 907 m a t mis en vente propri taires domaines de l Etat communes S A R tablissements publics tous confondus ce qui repr sente un niveau comparable l ann e pr c dente 20 311 3 2 7 2 1 Bois d industrie Le tableau suivant donne un aper u sur la quantit de bois d industrie par essence Autres feuillus 4373 3 2 7 2 2 Le bois en tant que source d nergie Le service de la fourniture de bois de chauffage conna t un succ s identique aux ann es pr c dentes 730 st res de bois de chauffage ont t livr s au courant de l ann e 2004 aux habitants des communes de Schuttrange et Niederanven En pr vision de la mise en service d un chauffage de copeaux bois la nouvelle mairie de Niederanven il incombait au triage de Niederanven d assurer la fanification et la construction de hangars servant au stockage de copeaux 186 Dans le m me contexte i
10. 181 3 2 4 16 Divers En 2004 les activit s suivantes sont encore souligner e pr sentation des plans de cultures et de coupes aupr s des communes propri taires e diverses expertises en vue d arrondir le domaine forestier de l Etat soit au total 61ha ou 17 dossiers e prise en charge de deux tudiants suivant des tudes foresti res e expertises r alis es au profit de l Enregistrement et Domaines e r union de concertation avec le Naturpark Uewersauer et les P cheurs du en vue d installer des pontons flottants sur le lac de la Haute S re pouvant ainsi regrouper la majeure partie des barques des p cheurs e r unions de concertation avec les sapeurs pompiers en vue de coordonner les efforts entre les divers acteurs e r unions de concertation avec les services CN responsables concernant des dossiers d envergure nationale r serves naturelles d ponies r gionales agrandissement respectivement renaturation de carri res e r unions de concertation avec les partenaires des projets Interreg renaturation des fonds de vall es enr sin s e diverses r unions avec l ONR concernant un remembrement forestier sur la commune du Lac de la Haute S re Dans ce cadre deux missions demandant un grand investissement de travail sont relever r alisation d un projet de r seau de chemins forestiers 30km en troite collaboration avec des employ es de PONR et un expert forestier particip
11. 2000 0 RAR MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange Au cours de l ann e 2004 deux essais de mise en application de compost ont t poursuivis e L utilisation du compost dans les communes projet pilote men avec la commune de Sandweiler et pr sent en date du 22 avril 2004 au Centre Culturel Sandweiler aux jardiniers communaux et e Les effets du compost en cultures agricoles projet de recherche effectu Everlange sur les champs d essais du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck et de la Centrale Paysanne Les rapports complets des deux essais sont disponibles aupr s de l Administration de l environnement 2 5 5 Les parcs conteneurs A la fin de 2004 20 parcs conteneurs taient fonctionnels au Grand Duch de Luxembourg Le parc conteneurs de Redange sur Attert a ouvert ses portes au public en mi septembre 2004 Etant donn que l Administration de l environnement n obtient les rapports annuels des parcs conteneurs qu au d but de l ann e suivante les donn es indiqu es par la suite se rapportent 19 parcs conteneurs et l ann e 2003 Les nouveaux formulaires de rapports d activit s 2004 ont t r vis s par la Division des d chets et sont disponibles sur le portail Internet www environnement public lu au guichet virtuel de l Administration de l environnement Pou
12. 3 4 6 Remembrements remembrement agricole de Mondorf remembrement de Burmerange remembrement agricole de Mompach remembrement viticole Schengen 228 remembrement viticole de Remerschen remembrement viticole de Wellenstein remembrement de Stadbredimus Greiveldange remembrement Schwebsange 3 4 7 Restaurations des habitats humides 3 4 7 1 Etude de faisabilit Alzette entre la limite communale de Schifflange Mondercange et le CR 164 Alzette dans la r serve naturelle Roeserbann laboration d une tude hydrog ologique Alzette au lieu dit am Pudel Schifflange Alzette et Kiemelbaach Schifflange Alzette entre Lorentzweiler et Lintgen Chiers dans la zone industrielle Hahneboesch Sanem Dippach Esch sur Alzette Filsdorferbaach Filsdorf Flaxweilerbaach Flaxweiler Korelbaach dans la zone prot g e Haff R imech Moselle au lieu dit H ttermillen extension du projet d j ex cut R ierbaach en amont de Lasauvage Weilerbaach en amont de Pettingen commune de Mersch Eisch entre Bour et Mariendall Aalbach entre Bous et Stadtbredimus 3 4 7 2 Projets d ex cution Alzette entre Brill et Dumontshaff Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen Attert Bissen Chiers sur divers tron ons Korn Rodange 3 4 8 Biodiversit En 2004 environ 300 ha de surfaces agricoles ont t mises sous contrat en application du r glement grand d
13. Beaufort Beaufort P tschei P tscheid Junglinster Junglinster Redange H xembourg Ville de Luxembourg adtbredim adtbredim 1 Srm 20 Wassergehalt 90 Liter Heiz l Faktor 3 185 kg je Liter Heiz l 174 3 1 15 R unions de service Les chefs de cantonnement ont t rassembl s en deux r unions de service o les principaux sujets ci apr s ont t discut s statut des ouvriers forestiers march du bois march pluriannuel plan national de d veloppement durable formation du technicien de l Environnement for t en volution libre certification des for ts mat riel forestier de reproduction nouvelle maladie du h tre Les chefs de cantonnement leur tour ont rassembl leurs pr pos s forestiers en 21 r unions de service 3 1 16 Contacts interr gionaux Des contacts professionnels avec les stations de recherche foresti re du Rh nanie Palatinat et de Baden W rtemberg ont port sur la gestion et le monitoring des r serves foresti res int grales ainsi que sur la pr servation du potentiel g n tique de certaines esp ces arborescentes rares L administration des Eaux et For ts nou des contacts scientifiques avec les universit s de Fribourg en Brisgau et l universit de Sussex Le 16 et 17 mars 2004 l administration a r uni des experts fran ais du r seau Renecofor Niederanven au sujet de l Etat sanitaire de la for t 175 3 2 L
14. En 2004 le SuperSpillMobil a t sollicit pendant 102 jours alors qu en 2003 il n tait utilis que pendant 72 jours Pour la premi re ann e le nombre de participants aux diff rents jeux a t compt Ce nombre s est lev en 6475 participants 123 2 5 10 5 L entrep t de Colmar Berg Apr s la fin des travaux de r am nagement des locaux en d but de l ann e 2004 toutes les activit s ont t transf r es vers les nouveaux halls Le SuperDrecksK scht dispose ainsi d une infrastructure moderne correspondant toutes les exigences en mati res de s curit et de protection de l environnement Il faut notamment mentionner les l ments suivants e un sol tanche et r sistant aux diff rents produits e des murs des toitures et des portes r sistantes au feu selon les normes exig es e des surfaces externes tanch fi es et raccord es des syst mes de collecte des produits d vers s e des syst mes de surveillance et d alarmes automatiques pour la d tection de fuites ou d incendies ventuels e r cup ration des eaux de pluies provenant des toitures et l utilisation des ces eaux des fins industrielles e l utilisation des huiles et des graisses alimentaires transform es en biodiesel dans les chaudi res En automne 2004 les services administratifs log s Luxembourg Cloche d Or ont galement t transf r s vers Colmar Berg C est ainsi que d sormais
15. Plusieurs th mes seront trait s dans la brochure Holzbau der Landschaftsplanung afin de donner des appuis techniques et promotionnels sur ce type de construction Plus particuli rement les sujets suivants seront analys s e principales caract ristiques du bois telles que la densit la r sistance l humidit la durabilit le retrait les d fauts du bois etc e constructions en bois immerg es avec des indications sur la durabilit les essences r sistantes et les d g ts caus s par les bact ries les champignons et les insectes protection chimique et protection constructive du bois d fauts ou imperfections pouvant survenir dans les constructions en bois exemples d ex cution au Grand Duch de Luxembourg et l tranger suppl ment litt raire photographies 3 4 10 3 2 Elaboration d une brochure intitul e architecture rurale et conservation de nature En effet l administration des eaux et for ts est appel e mettre des avis au sujet des constructions implanter en zone verte c est dire souvent dans des paysages intacts L observation des anciens paysages permet de conclure que leur caract re et leur beaut sont souvent d termin es non seulement par la nature mais aussi par les constructions de l homme Dans le pass les constructions de l homme ont souvent abouti une valorisation esth tique du paysage ancienne ferme implant e au milieu d un paysage intact
16. cette date aux locataires de chasse pour la p riode cyn g tique 2003 2006 est le suivant MM mouflon m le 932 MF mouflon femelle 1 025 SM sanglier m le 13 263 SF sanglier femelle 13 248 Le relev des mouflons et sangliers tir s pendant les six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort Esp ce MOUFLON 200001 200102 200203 200204 mouflons m les mouflons femelles 2 agneaux 7 Total Total mouflonst RCE de r ponses consid r es de 605 possibles Esp ce SANGLIER 1998 99 1999 2000 2000 01 2001 02 2002 03 2003 04 sangliers m les 1 419 1 778 1553 1798 1334 1729 sangliers femelles 1 084 1 219 1171 1484 1001 1448 1 5 982 1 234 993 1291 825 1165 Nombre de r ponses consid r es 3 5 8 Statistiques relatives au gibier tir En vue de suivre l volution du cheptel gibier une statistique du gibier tir est tablie annuellement par l administration des Eaux et For ts A cet effet les locataires de chasse sont invit s communiquer l administration le nombre de gibier tir sur leur lot de chasse la fin de l ann e cyn g tique Le taux de r ponse pour le retour des questionnaires qui est de l ordre de 95 et plus est consid rer comme excellent la page suivante le tableau de tir provisoire de l ann e cyn g tique 2003 04 allant du 1 ao t 2003 au 31 juillet 2004
17. cette occasion aux d put s Dans ce cadre une visite a galement t organis e Colmar Berg Le projet sera prochainement soumis au vote 2 5 1 2 3 La transposition en droit national de la directive 2000 53 CE du Parlement europ en et du Conseil du 18 septembre 2000 relative aux v hicules hors d usage Suite l examen de la conformit engag par les services de la Commission concernant la transposition en droit luxembourgeois de la Directive 2000 53 CE du Parlement europ en et du Conseil du 18 septembre 2000 relative aux v hicules hors d usage la Commission a consid r que certaines obligations d coulant de la directive semblent ne pas avoir t incorpor es de fa on ad quate dans l ordre juridique luxembourgeois En date du 29 d cembre 2003 la Repr sentation Permanente aupr s de l Union Europ enne a transmis une mise en demeure de la Commission infraction n 2003 2208 en relation avec la transposition de la directive 2000 53 CE au minist re de l Environnement Les remarques formul es par la Commission concernaient notamment les points suivants e promotion des mesures de pr vention la possibilit de conclure des accords environnementaux entre le Ministre et les secteurs conomiques concern s e l autorisation pr alable du ministre de l Environnement des tablissements d livrant un certificat de destruction au propri taire ou au dernier d tenteur d un v hicule hors d usage par les resp
18. quipements lectriques et lectroniques voir chapitre correspondant plus haut les travaux relatifs la mise en uvre pratique de cette r glementation ont t poursuivis L objectif est d tre pr t pour le 13 ao t 2005 date laquelle la directive doit tre mise en application Dans le cadre des travaux pr paratoires un certain nombre de r unions de travail ont eu lieu avec les repr sentants de la Chambre de Commerce de la Chambre des M tiers de la Conf d ration de Commerce ainsi que de l asbl ECOTREL L asbl ECOTREL a t cr e en date du 19 f vrier 2004 Ses membres sont des soci t s luxembourgeoises qui ont des responsabilit s en tant que producteurs aux termes de la directive DEEE ECOTREL a vocation de devenir organisme agr pour reprendre les responsabilit s l gales de ses membres 110 Dans le cadre des discussions avec les milieux professionnels les sujets principaux suivants ont t abord s e une liste d taill e des quipements lectriques et lectroniques avec des crit res permettant de faire la distinction entre les DEEE m nagers et les DEEE non m nagers e les modalit s de collecte des DEEE m nagers e contenu d un ou de plusieurs accords environnementaux fixant les d tails de la collecte et de la prise en charge du financement de la gestion des DEEE e la n cessit d une cellule de compensation financi re pour la facturation de la gestion des DEEE pour ceux p
19. un niveau tr s faible 2 4 2 2 R seaux de mesure des retomb es de poussi res Esch Alzette et Differdange Ces r seaux de mesure surveillent l environnement en milieu urbanis au voisinage d installations industrielles mettrices de poussi re Ce contr le est un indicateur pr cieux des missions de poussi re en provenance des sites sid rurgiques ainsi que des crassiers Les niveaux de retomb es de poussi re sont valu s et compar s aux normes allemandes Accessoirement aux sites sensibles les niveaux en m taux lourds sont galement d termin s l aide de techniques analytiques plus pouss es Le r seau d Esch Alzette se compose d une trentaine de placettes et le r seau Bergerhoff Differdange comporte pas loin de 20 placettes En 2004 la moyenne annuelle en retomb es de poussi re Esch Alzette et Differdange se situe pr s de 0 20 g m jour comme en 2003 et 2002 La valeur limite annuelle de 0 35 g m jour en application en Allemagne prise comme r f rence n est pas d pass e Les maximums mensuels en 2004 observ s Esch Alzette et Differdange sont de 0 3 g m jour n y pas de d passement de la limite fix e 0 65 g m jour en Analyse de l volution des teneurs en m taux lourds dans les retomb es de poussi res e Esch Alzette les niveaux des m taux lourds chrome aluminium et vanadium se maintiennent un niveau assez bas depuis les
20. 125 D charge de Folkendange droite une phase exploit e et r ensemenc e au milieu une phase en exploitation et gauche les phases en attente d tre exploit es d d charge de Rosswinkel La d charge de Rosswinkel n a accept en 2004 que de faibles quantit s En effet le volume initialement pr vu a t quasiment rempli en 2003 Sur demande de l Administration des eaux amp for ts un volume suppl mentaire de 38 000 m3 pour assurer une meilleure int gration de la d charge dans le paysage a t autoris e remblai de Brouch Dans carri re de la soci t Feidt Brouch un remblai visant restituer en partie le paysage initial a t mis en exploitation Apr s le remblai qui constitue la premi re tape l exploitant envisage d am nager la carri re int grale en d charge pour d chets inertes f d charge de Bridel Vu le manque de capacit s dans la d charge am nag e dans la carri re de Bridel l acceptation de d chets a t limit e aux matins De ce fait l acceptation a pu tre continu e Toutefois une suspension prochaine de l exploitation de la d charge jusqu ce que l extraction des roches ait cr de capacit s nouvelles et fort probable g remblai de H ihenhaff Apr s une ann e normale d exploitation du remblai de H ihenhaff une continuation en 2005 semble de plus en plus incertaine Les frais suppl mentaires n cessit s pour la r ali
21. Agriculture UN Il 37 Boucheries 7 A 6 E 27 Boulangeries 5l Coa 76 e E Chantier selon concept SDK O Al O Organisations religieuses O o Pharmacies EL ll DI D uae 118 2 5 10 2 2 Les contacts avec les entreprises L objectif de la SuperDrecksK scht Dr Betriber est d assister les entreprises dans la mise en uvre d une gestion cologique des d chets A ces fins une part consid rable des activit s de l action consiste dans le contact avec les entreprises Ce contact peut avoir diff rentes formes allant d un simple conseil donn par t l phone jusqu l analyse de la situation dans un tablissement et l laboration d un concept sp cifique de gestion des d chets Le tableau suivant r sume les diff rents contacts qu il y a eu avec les entreprises DE Analyse de l tablissement laboration d un concept La formation du personnel des entreprises rattach es a pris de plus en plus d ampleur Si en 2004 le nombre absolu de s ances de formation a diminu par rapport 2003 le nombre des personnes form es par contre a augment Il faut constater que d sormais des tablissements industriels demandent la formation en mati re de gestion des d chets pour l ensemble de leur personnel 2 5 10 2 3 Le label de qualit Le nombre des entreprises rattach es la SuperDrecksK scht Betriber et qui disposent du label de qualit e
22. Les perspectives d utilisation des informations g n r es par ce projet restent nombreuses ex Atlas de r partition des plantes foresti res communes ou rares et ou prot g es Nul doute que cette synth se statistique facilitera encore davantage l acc s des donn es un public toujours plus large et averti et qu elle constituera pour les g n rations futures un document de r f rence pour valuer l volution monitoring de nos v g tations foresti res 3 3 10 2 La participation au bulletin annuel de la LLCTF Le traditionnel bulletin annuel de la Ligue Luxembourgeoise du Coin de Terre et du Foyer Gaart an Heem intitul Mein Taschenbuch 2005 cette ann e comme th me la for t et la gestion foresti re Dans une dizaine d articles sont pr sent s sous une forme concise mais de mani re coh rente les principaux sujets s articulant autour de la foresterie en commen ant par l volution historique des for ts en passant par les diff rentes conditions naturelles rencontr es en for t pour aboutir aux nouveaux l ments de la politique foresti re actuelle 217 La brochure contient les chapitres suivants e Historische Entwicklung des Luxemburger Waldes Entwicklung des Waldbildes im 20 Jahrhundert e Einwirkung der Natur auf die Waldentwicklung Bedingungen bestimmen das nat rliche Waldbild Standortsfaktoren sind verantwortlich f r die Diversit t unserer W lder
23. au printemps 2005 3 3 7 Le d veloppement d une base de donn es pour la gestion des informations concernant le patrimoine historique et culturel en for t En milieu agricole et urbain les nombreux travaux de terrassement ainsi que la pratique du labour profond ont mis jour et oblit r des vestiges jusqu alors pr serv s sous terre durant des si cles ou des mill naires les effa ant tout jamais et appauvrissant ainsi notre patrimoine historique La for t par contre a tr s souvent gard le souvenir des empreintes du pass pouvant t moigner d poques longtemps r volues Pour les gestionnaires de ces for ts il en r sulte une obligation morale et thique de continuer veiller la conservation de ce patrimoine pr cieux Or il n est possible de bien prot ger que ce qu on conna t Or maints sites arch ologiques se trouvent actuellement cach s sous une couche plus ou moins paisse de terre mais ne sont pas pour autant l abri d une ventuelle destruction par une pelle m canique amen e proc der des terrassements en vue par exemple de la construction d un chemin forestier A c t des sites arch ologiques auxquels on pense en premier lieu en parlant de patrimoine historique tumuli et autres lieux de s pulture vestiges de constructions gallo romaines sanctuaires gallo romains voies romaines sur lev es chemins creux qui ont pu exister depuis de nombreux si cles la for t abrite galement d autres objet
24. entam s en 2003 puis finalis s en 2004 for t communale de Grevenmacher 679 01 ha for t communale de Mamer 404 90 ha for t communale de Strassen 413 90 ha for t communale de Walferdange 211 36ha TOTAL 3 578 53 ha Les inventaires suivants ont t r alis s en 2004 197 L inventaire suivant a t entam en 2004 for t domaniale de Steinsel 150 ha Une cartographie du r seau de la voirie foresti re conform ment aux instructions concernant la cartographie des am nagements forestiers a t confectionn e pour les propri t s suivantes TOTAL 3 041 04 ha Selon les situations et le degr de difficult cette cartographie a t r alis e e main lev e sur base des indications topographiques du fond topographique de ou bien par rapport la position des parquets issus de l inventaires d am nagement e localisation de points successifs au GPS e par arpentage l aide d une boussole foresti re par rapport des points de r f rence 3 3 3 La cartographie d aptitude stationnelle Nos connaissances en mati re d cologie foresti re s affinent chaque jour obligeant le forestier int grer un nombre sans cesse croissant de param tres dans la gestion quotidienne de la for t Parall lement les missions dont il est charg sont de plus en plus nombreuses notamment en raison de la diversification des r les jou s la for t production r cr ation cologie chasse
25. est lev 305 Des haies ont t plant es restaur es et entretenues sur une longueur de 3 000 m dans les communes de Betzdorf Schlossbusch Lannebierg Biwer W isserd Dalheim Heedscheier Grevenmacher Teschebaach et Manternach Rotary Loetschen Des vergers ont d compl t s et taill s dans les communes de Betzdorf Banzelt Riedgen Biwer Dr isch Bous Kapell Flaxweiler Dr i Maarken Mertert Divers et Remerschen Haff R imech Des lisi res de for ts ont t cr es et entretenues sur une longueur de 5 500 m dans les for ts communales de Biwer Dalheim Buchholtz Engelsgronn Flaxweiler Doudboesch Grevenmacher Aak Golgrouf Mompach P febierg Denneboesch Remerschen Steppchen Stoellchesboesch Schengen Grouf et Wellenstein Steppchen Hommelsbierg Des zones humides et des mares ont t am nag s et au lieu dit Haff R imech Remerschen des berges des tangs ont t remis en tat Des pelouses s ches et maigres ont t entretenues et restaur es gr ce au p turage extensif et au fauchage sur une surface de 15 ha Il s agit des communes de Burmerange Kuebend llchen Flaxweiler Op Hierden P llembierg Grevenmacher Kelsbaach P rdsmaart et Remerschen Kl ibierg En automne un inventaire des ruisseaux du cantonneme
26. jour rapide des donn es issues de l IFL1 en cas de chablis importants et simultan ment l valuation de l importance des d g ts en cas de temp tes tornades de nature modifier significativement l ensemble de la for t a galement t demand e d analyser les possibilit s d un traitement plus approfondi des donn es permettant de caract riser la biodiversit en particulier au sein des lisi res afin de fournir des indicateurs de diversit v g tale et de qualit d habitats ainsi que de proposer un traitement des donn es relatifs ces objectifs et en ad quation avec la nature et le degr de finesse des informations r colt es par l inventaire y compris le calcul d indices de biodiversit D autres travaux pris en charge la FUSAGX consistaient dans l laboration de propositions concr tes bas es sur les exp riences issues de 1 pour une meilleure prise en compte des aspects li s la diversit biologique dans le cadre des inventaires d am nagement notamment estimation du bois mort caract risation des lisi res et interfaces estimation de la valeur biologique des lisi res et interfaces ainsi que des biotopes rares relev s de donn es phytosociologiques des essences ligneuses Ces trois points ont fait l objet d un rapport technique Epurage de la base de donn es Il s agit d une valuation de la coh rence de toutes les donn es enregistr es au sein de la bas
27. le sorbus domestica puisse tre plant e raison de 411 arbres dans deux enclos am nag s Grevenmacher Cons cutivement ses tudes Munich un ing nieur forestier de Bavi re a fait un stage au cantonnement de Grevenmacher 3 2 9 9 Manifestations r gionales Les pr pos s forestiers ont organis ensemble avec les diles locaux la Journ e de l arbre dans les communes de Betzdorf Biwer Burmerange Grevenmacher Lenningen Manternach Mompach Mondorf et Remerschen Il y a lieu de relever la pr sence de Monsieur le Ministre Lucien Lux lors de la plantation de 45 arbres fruitiers dans les alentours de l cole r gionale de Born Globalement 1 500 arbres fruitiers arbustes ou arbres forestiers autochtones ont t plant s lors de ces manifestations Lors de ventes locales les pr pos s ont vendu du bois de chauffage exploit dans les for ts communales de Betzdorf Biwer Bous Burmerange Junglinster Manternach Mertert Mondorf Remerschen Remich Stadtbredimus et Wellenstein La plupart du temps ces ventes de d tail du bois de chauffage sont accompagn es d une Lietsch Ceci est une f te populaire traditionnelle caract re r gional coorganis e en g n ral par les Eaux et For ts la commune et le corps des sapeurs pompiers Le cantonnement de Grevenmacher a organis la journ e En Dag mam Fierschter an der Natur au profit de 27 classes primaires de 17 communes Il est pr vu d tendre c
28. nergies nouvelles et renouvelables Le ministre de l environnement est autoris imputer sur ce fonds a b d e g h h la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives dans l un des domaines dont question dessus aux projets reconnus d int r t public par le Gouvernement en Conseil la prise en charge jusqu 100 des d penses relatives au syst me de gestion des d chets probl matiques en provenance des m nages uniquement une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 66 du co t de l investissement concernant la r alisation de projets de compostage et ou de bio m thanisation de d chets organiques et de boues d puration caract re r gional une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t de l investissement concernant l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets ou de sites contamin s en application de l article 16 point 3 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 40 du co t d investissement pour les parcs conteneurs communaux et intercommunaux permettant la collecte s par e des d chets m nagers et assimil s et conformes au r glement grand ducal du ler d cembre 1993 relatif l am nagement et la gestion des parcs conteneurs destin s la collecte s lective de diff rents fract
29. savoir 1 principe du d veloppement durable 2 sauvegarde de l environnement naturel amp de la diversit biologique 3 gestion durable des d chets 4 lutte contre l effet de serre et la pollution atmosph rique 5 conciliation conomie cologie moyennant la proc dure commodo incommodo et 6 promotion des nergies renouvelables et de l utilisation rationnelle de l nergie Un aper u succinct des actions s inscrivant dans le cadre de la politique g n rale du minist re est donn dans ce premier chapitre En 2004 l administration g n rale du minist re a plus particuli rement concentr ses travaux sur huit domaines e application et l int gration du principe de d veloppement durable l Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal l information et la sensibilisation du public les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables la protection de la nature et des ressources naturelles avec la nouvelle loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles la promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel e collaboration du minist re aux planifications en cours en mati re d am nagement du territoire l instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG Pour une information plus compl te sur les diverses actions entreprises il est renvoy aux chapitres
30. t faites pour recenser des quipements dont surtout des transformateurs dont l existence est connue ou suppos e mais dont les propri taires ou d tenteurs sont inconnus En effet il a d tre constat que dans de nombreux cas les propri taires effectifs de transformateurs ne savent pas qu ils en poss dent un Dans d autres cas les propri taires sont des soci t s immobili res trang res avec leurs si ges dans d autres capitales europ ennes ce qui ne facilite pas les contacts Actuellement les quipements suivants sont recens s nombre 93 14 22 2 0 58877 05877 040 Pour les transformateurs leur r partition selon la puissance est la suivante nombre trafos huile trafos huile nombre trafos secs trafos secs 100 499kVA 201 00 099 107 gt 1000 3 En qui concerne la concentration dans les transformateurs refroidis aux huiles min rales la r partition est la suivante imite de d tection 2209 641 H 1251560 8 55000110 en r sulte que 88 73 des transformateurs refroidis aux huiles min rales pr sentent des concentrations en PCB inf rieures 50 ppm et ne sont d s lors pas soumis une restriction d utilisation Seulement 2 6 de ces quipements pr sentent des concentrations sup rieures 500 mg kg et doivent tre limin s ou d contamin s au plus tard le 31 d cembre 2005 Le restant soit 8 67 des t
31. un potentiel de production int ressant la stabilit des monocultures de h tre ne peut tre garantie sur ces sols en raison de la relative compacit et de la structure de l argile assez grossi re au del de 60cm Son adaptation y est donc limit e partout Dans les vallons il est peine tol r adaptation cologique Sa pr sence loin d tre proscrite dans propri t reste toutefois li e un m lange en particulier avec le ch ne sessile afin d accro tre la stabilit des massifs Ce m lange est particuli rement n cessaire sur les placages limoneux o le h tre est tr s comp titif l gard des autres essences mais o les risques de tassement des limons sont importants entra nant des perturbations de la circulation de l eau dans le sol et de la p n tration des racines pour les essences peu vigoureuses Le changement de la composition des essences dans l enceinte des diff rents peuplements et notamment le comportement du h tre en absence de toute intervention sylvicole constituera donc un des aspects les plus int ressants de la future r serve foresti re int grale Betebuerger B sch La for t communale de Bettembourg compte un nombre important de zones humides d origine naturelle ou artificielle dont l int r t cologique est manifeste Ces zones bien qu enclav es dans des types d aptitude plus vastes ne peuvent pas tre consid r es comme des zones foresti res Au contraire l
32. une mesure auxiliaire En 2004 le nombre de plants mis en terre s est lev 51 534 soit 42 282 de feuillus et 9 252 de r sineux 3 2 6 5 P pini res Les p pini res du cantonnement forestier de Mersch et particuli rement celle du Marienthal ont produit 14 427 plants 7 500 plants ont t repiqu s L inventaire 2004 des plants en p pini re s levait 39 392 plants 3 2 6 6 Travaux d am lioration En ce qui concerne les travaux d am lioration les nettoiements ont t effectu s sur 103 38 ha et avec 217 30 ha les d gagements sont toujours importants 3 2 6 7 Voirie foresti re La voirie foresti re a t am lior e par empierrement sur une longueur de 3320 m en for t communale et sur 1550 m en for t domaniale ce qui fait un total de 4870 m 3 2 6 8 D g ts de gibier Des d g ts caus s par le cerf ont t constat s en for t communale de Bissen en for t domaniale de Boevange et en for t domaniale de Bourglinster Par ailleurs l abroutissement prioritaire du ch ne par le chevreuil cause un probl me majeur dans les recr s Les d g ts de gibier caus s par les sangliers dans les pr s et champs ont t inventori s 342 endroits diff rents totalisant une surface de 107 32 ha 184 3 2 6 9 Conservation de la nature Le nombre de dossiers CN trait s par les 11 triages du cantonnement forestier s est lev 448 et le nombre de dossiers CN en for t trait s par le chef de cant
33. 1 04 0208 04 CF 01 29 05 2004 Wincrange Oberwampach 1 04 0259 04 CF 02 01 07 2004 Hesperange Fentange 1 04 0319 04 CF 03 16 08 2004 Bastendorf Tandel 1 04 0387 04 CF 05 01 10 2004 Bastendorf Tandel 1 04 0511 04 CF 07 17 12 2004 e Le dossier de demande concernant l installation de co fermentation situ e Weiswampach pr voit le remplacement et l agrandissement de l installation de cog n ration y install e e Les installations pr vues Oberwampach et Fentange sont des installations de co fermentation agricoles typiques e Le premier dossier concernant l installation situ e Bastendorf sollicite une modification de l installation existante par l ajoute d une cat gorie de d chets suppl mentaire e deuxi me dossier concerne une modification de l infrastructure d alimentation du digesteur 2 5 15 1 5 Parcs conteneurs e Au cours de l ann e 2004 deux dossiers de demande concernant des parcs conteneurs ont t introduits s agit de demande de modification de parcs conteneurs N 3 04 0072 04 PC 01 19 02 2004 R dange sur Attert 3 04 0257 04 PC 03 03 09 2004 01 10 2004 1 04 0346 04 PC 0202 03 09 2004 01 10 2004 e dossier concernant le parc conteneurs de la ville de Luxembourg concerne le r am nagement de l entr e e Les dossiers de demande pour les parcs conteneurs de R dange Attert et de Diekirch concernent des modifications des heures d ouvertures 140 2 5 15 1 6
34. 3 6 2 Activit s en mati re de chasse L Entit mobile assure le contr le de l exercice de la chasse en g n ral savoir contr le des diff rents modes de chasse approche battue chien courant contr le des p riodes et heures d ouverture l gales contr le du permis de chasse contr le de l autorisation de port d arme contr le du marquage concernant le transport du gibier contr le du certificat de vaccination pour chien contr le et relev des cerfs m les tir s conform ment l article 7 du r glement grand ducal du 19 juillet 2004 concernant l ouverture de la chasse contr les d installations cyn g tiques e conseils et initiation pour la capture de rats musqu s fouines et autres animaux causant des dommages e enqu tes et rapports concernant les infractions la l gislation en mati re de chasse 3 6 3 Activit s en mati re de p che L Entit mobile exerce les t ches suivantes en mati re de p che e contr les de l exercice de la p che en g n ral e appui logistique et p ches lectriques sur requ te du Service de la Gestion de l Eau 261 3 6 4 Autres activit s e investigations enqu tes suppl mentaires et suivi des dossiers sur requ te du parquet du tribunal d arrondissement respectif enqu tes suppl mentaires et suivi de diff rents dossiers sur requ te des minist res de tutelles enqu tes concernant des plaintes et d nonciations enqu tes et rapports concern
35. EMAS 2 2 1 Loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement Le Service s occupe de l instruction des demandes en vue d obtenir un agr ment minist riel sur base de la loi pr cit e La liste des personnes agr es est r guli rement mise jour et publi e notamment sur internet Statistiques pour l ann e 2004 nouveaux renouvel s modifi s d arr t s Contr le de substances dans le milieu gazeux Emissions d ondes J6 Tu Substances dans les milieux liquide et solide ooo Zo EES aec e a a o R ceptions relatives aux autorisations 1 14 10 2 27 d exploitation Management environnemental et s e 6 La liste des personnes agr es est constamment tenue jour et publi e sur le site internet www emwelt lu 2 2 2 Management environnemental s agit de la promotion de participation volontaire des organisations un syst me communautaire de management environnemental et d audit EMAS Le Service est repr sent dans les comit s suivants e comit interminist riel pour la gestion du syst me communautaire de management environnemental et d audit 28 e Conseil national d accr ditation de certification de normalisation et de promotion de la qualit Minist re d
36. HS l exclusion du 502 Ces compos s soufr s sont mis sporadiquement par l entreprise de fabrication de p te papier situ e Harnoncourt Virton en Belgique notamment lors de dysfonctionnements des installation de d pollution Reconnaissables leur mauvaise odeur choux pourris ces gaz m me faible concentration peuvent incommoder la population Probl matique du point de vue fonctionnement car assez instable des mesures fiables n ont pratiquement pas pu tre obtenus en 2004 Vu l absence de r sultats une valuation des niveaux et des pointes ventuelles n a pas pu tre r alis e 2 4 2 5 R seau de biosurveillance autour des sites industriels importants Install progressivement depuis l automne 1995 ce r seau peut comporter selon l importance des sites surveiller jusqu 16 points de surveillance Le r le de ce r seau consiste valuer les retomb es atmosph riques traces et notamment les polluants organiques tels que les dioxines et furannes PCDD PCDF Sont galement analys s les hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP les polychlorobiph nyles PCB et les m taux lourds repr sent s par le plomb le zinc le cadmium le chrome le mercure l arsenic et le nickel La priorit reste la surveillance par bioindicateur des zones urbanis es proximit des aci ries arc lectrique d Esch Schifflange d Esch Belval et de Differdange L usine d incin ration d ord
37. Schifflange Cit um Benn Cit Emile Mayrisch et un degr moindre Schifflange Rue du Moulin Rue du Stade le seuil sanitaire pr ventif pris comme r f rence est d pass Les r sultats de retomb es de poussi res obtenus l aide de r seau Bergerhoff montre des retomb es plus importantes en poussi res s dimentables en ao t et septembre 2004 aux sites sensibles 66 R seau de biosurveillance Niveaux de dioxines furannes et d tect s par bioaccumulation dans les mousses terrestres non lav es AM P O1 O OMS TEQ PCDD PCDF PCE par g de mati re s che SEPT 2001 AVRIL 2002 SEPT 2002 AVRIL 2003 SEPT 2003 AVRIL 2004 R seau de biosurveillance Niveaux de dioxines et de furannes d tect s par bioaccumulation dans les l gumes feuilles Seuil sanitaire Seuil sanitaire R f rence zone rurale 0 lb LOL URL RULL RW MSI Nam GH lh DI LL de poids sec N Oo E WHO TEQ PCDD PCDF J di o Br a Ai d E SFS Es d SZ Ss j KI A a Sites d observation C Chou fris XVI 30 septembre 12 d cembre 2003 Chou fris XVII 18 mai 20 juillet 2004 E C leri 11 20 juillet 20 septembre 2004 Chou fris XVIIL 06 octobre 14 d cembre 2004 67 e PLOMB La fi
38. Schlass Berbourg am nagement cologique du parc de loisirs centre scolaire et sportif Lorentzweiler am nagement cologique d un rond point Lorentzweiler am nagement cologique d une piste cyclable Lorentzweiler am nagement cologique le long de la r naturation Walferdange am nagement cologique des alentours de la nouvelle cole Roodt Syr am nagement cologique des alentours du terrain de football Mensdorf am nagement cologique des alentours d un b timent Noerdange am nagement cologique des alentours d un b timent Remerschen 3 4 10 2 Parkings cologiques Il s agit d un am nagement cologique des aires de stationnement En effet la surface de roulement du parking cologique n est pas recouverte de macadam asphalte goudron ou b ton afin que la v g tation herbac e naturelle puisse s installer spontan ment sur les parties non sollicit s par la circulation L ordre interne du parking est atteint non pas par la construction de bordures en pierre mais par la mani re de disposer les arbres les haies ou les poteaux en bois Le parking cologique facilite donc non seulement l acc s du public mais entra ne aussi une valorisation cologique et paysag re du site 230 Un projet a t r alis e am nagement d un parking cologique Walferdange Diff rents projets sont en cours de r alisation am nagement de plusieurs parkings cologiques d
39. Suite la mise en service de l autoroute vers la Sarre le trafic automobile passe environ 1 km de la station de mesure d Elvange pr s de Mondorf les Bains Or cette station a pour mission d valuer la pollution de fond en milieu rural et de fournir des donn es pour v rifier le respect des valeurs limites en mati re de protection des cosyst mes et de la v g tation Or dans l annexe VI b de 1 directive europ enne 1999 30 CE du Conseil du 22 avril 1999 il est dit clairement que les points de pr l vement doivent tre situ s plus de 5 km d une autoroute Le transfert de la station d Elvange vers un autre site a t d cid Un nouvel emplacement t trouv sur le territoire de la commune de Junglinster entre les villages de Beidweiler et Eschweiler Une station toute neuve sera install e d but 2005 R seau observatoire co lich nique La mise en place d un r seau national de surveillance de la qualit de lair par l observation des peuplements de lichens epiphytiques des fins d valuation et de surveillance long terme de la qualit de l air confi e la firme BIOMONITOR Conseil amp Expertise en Environnement a t entreprise Cette technique sp cifique de bioindication sert valuer la qualit de l environnement dans le milieu air avec la possibilit de suivre l volution de cette qualit sur une p riode longue 10 20 ans Les modifications enregi
40. __2 gt gt EEN Hl 228 Atelier de marbres ou 2 1 EE p tisserie en Installation de lavage 1 LL 10 A rodromes et EE charcuterie Volailles D E 50 Scieries Brasseries et E E 1532 Nettoyages a se Installation de IT EEN E L illustration suivante montre l volution du nombre de dossiers trait s par la Division des d chets depuis l ann e 1997 150 Comparaison pour chaque ann e mentionn e des desser de demande par rapport aux nombres des pogd introduits et des ppg complets pendant les demm Auge ann es coul es BHomine des dossiers de demande des dossiers un pp qu ONomire des ppgd complets Ge K 3 Se 17 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 ann e de r ference En regardant les 5 branches d activit s des tablissements les plus repr sent es ayant tablis un plan de pr vention et de gestion des d chets on constate notamment que les dossiers bureaux et magasins de vente sont en progression par rapport l ann e derni re Evaluation des dossiers rentr s par branche d activit Stations fixes de distribution d essence 2 Ateliers de r paration Etablissements de production X Magasins pour la vente au d tail et en gros X Bureaux g EI o H D e 5 2 1997 1998 1999 2000 20
41. chets N 02 CF 05 En date du 31 janvier 2003 M Paul Cannive de M llendorf a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gradables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel a t d livr en date du 17 mai 2004 Dossier N 1 03 0027 Dossier D chets N 03 CF 01 En date du 5 septembre M Paul Cannive de M llendorf introduit un dossier sollicitant la modification des r servoirs finals en b ton arm pour le digestat de son installation de co fermentation en tant que bassins terrestres La modification t autoris e en date du 17 mai 2004 Dossier C I N 1 03 0449 Dossier D chets N 03 CF 04 En date du 4 d cembre 2003 M Gast Welbes de Canach a introduit un dossier de demande pour pouvoir accepter et utiliser des d chets de p tes alimentaires dans son installation de co fermentation L autorisation a t accord e en date du 10 juin 2004 Dossier N 1 03 0564 Dossier D chets N 03 CF 05 2 5 15 2 7 Autres En date du 13 ao t 1998 la soci t Hydroaluminium de Clervaux a introduit un dossier de demande pour pouvoir augmenter sa capacit de production Cette entreprise utilise des d chets d aluminium pour r aliser des produits de haute qualit pour le secteur de l industrie d aluminium Des informations suppl mentaires ont t
42. curisation des vieux arbres bordant les chemins dans le parc Au triage de Dudelange les travaux d am nagement et d entretien de biotopes suivants ont t ex cut s e fauchage et d broussaillage de pelouses s ches et d gagement de la v g tation envahissante devant divers fronts de taille e entretien de deux vergers situ s zone verte fauchage de plusieurs pelouses humides sur terrain communal Le triage de Bettembourg en collaboration avec le Service de la Conservation de la Nature et la fondation H llef Dr d Natur r am nag l ancien verger Altenhoven Ces travaux ont n cessit le d broussaillage de la surface et la mise en cl ture 3 2 7 9 La for t lieu de loisir 3 2 7 9 1 Recr ation En for t p riurbaine la r cr ation est l une des fonctions essentielles Pour que la for t reste accueillante les installations de loisir les chemins et sentiers doivent tre constamment entretenues Ainsi en 2004 le cantonnement de Luxembourg Est entretenu 155 9 km de sentiers touristiques L am nagement d installations de loisir peut tre chiffr 4 708 heures de travail La fraction du budget mise en uvre pour l am nagement de l infrastructure destin e la r cr ation en for t repr sente une fraction de budget non n gligeable En particulier ces travaux portent sur e l entretien de promenades sentiers didactiques sentiers V T T et hippiques ainsi que des panneau
43. d puration Les prix d limination varient fortement tant donn que beaucoup de stations ne savent pas toujours distinguer les frais de transport et les frais d limination des boues Les petites stations ont souvent des difficult s estimer la quantit r elle des boues produites en mati re s che Frais d limination sp cifiques 10 000 100 000 1 000 000 Equivalent habitant des stations d puration Eqh 2 5 6 4 Les d chets de d grillage et de d sablage Quelques 1 000 t de d chets de d grillage 1 7 kg par habitant quivalent et 800 t de d chets de d sablage 1 34 7 kg par habitant quivalent ont t produits en 2003 au Luxembourg Ces d chets ont t principalement limin s vers les deux d charges pour d chets m nagers et assimil s au Luxembourg Les frais d limination ont pourtant fortement vari Rechengut pe Se 1 000 10 000 00 000 Frais d limination sp cifique t Equivalent habitant des stations d puration Eqh 102 Les graphiques suivants montrent la relation entre la quantit de d chets produits et la quantit d eaux assainies D chets de d grillage kg Eah a Quantit d eau m Eqh jour Ba Es D 2 Ka Bh n 2 amp D Q 0 20 0 30 0 40 Quantit d eau 2 2 5 6 5 Le su
44. e d essences arbustives et de solitaires et contribuera stabiliser les peuplements 3 2 9 2 Vente de bois En 2004 le cantonnement de Grevenmacher a organis neuf ventes Les prix de notre essence principale qui est le h tre ont chut jusqu atteindre le niveau du prix du bois de trituration Par contre le ch ne en g n ral et les r sineux de faibles moyennes dimensions ont tant soit peu chapp la baisse massive des prix 3 2 9 3 R g n ration plantation travaux de culture Apr s les importantes gland es de la d cennie coul e et apr s l installation de la r g n ration naturelle du ch ne il y a lieu de proc der des coupes secondaires voire de r aliser les coupes d finitives indispensables Au vu de l volution du prix des grumes de ch nes nous avons forc la mise en lumi re des semis et des jeunes plants sur une surface de 30 ha Des coupes d finitives au profit de la r g n ration naturelle du h tre et d autres essences feuillues ont eu lieu sur une surface de 20 ha Ces interventions ont eu lieu dans la for t soumise des communes de Betzdorf Bergerbusch Nurris Stockbusch Bousboesch Biwer D ckt St ck Kr iw nkel Dr ckege Gronn Haard Junglinster Faascht Kosselt Gehaansreich Dalheim Dellkoppen Manternach Aessen Mertert Sernig et Remerschen Routr iser 3 2 9 4 Voirie foresti re Sept chemins f
45. e dans le m me but que pour le Betebuerger B sch c d de donner la possibilit des esp ces menac es de se retirer dans ces aires de repos 203 Avancement du projet Le dossier de classement pour le projet Enneschte B sch se trouve sur le chemin de la proc dure de classement Le projet a t pr sent devant le conseil sup rieur pour la protection de la nature ainsi que devant le conseil sup rieur pour la chasse L installation d un sentier didactique dans la future zone prot g e est en pr paration Le sentier didactique comportera en tout dix panneaux dont deux panneaux avec des informations g n rales sur la r serve qui seront dispos s l acc s principal de la r serve l int rieur d une construction d accueil sp cialement con ue cet effet Ces panneaux ayant pour objectif d informer le visiteur sur le type de r serve la d limitation les principaux objectifs ainsi que les charges impos es aux visiteurs Les autres panneaux seront install s en for t le long du sentier didactique Le texte a t labor par le Service de l Am nagement des Bois les illustrations ainsi que la mise en page par un atelier de graphisme Ce dernier est galement en charge de la coordination technique de tous les travaux li s la confection mat rielle des panneaux En ce qui concerne la r alisation et l am nagement de la construction d accueil qui sera dispos l entr e principa
46. et dot de 130 000 est d encourager les activit s des ONG et des fondations d utilit publique uvrant dans le domaine de la protection de l environnement au niveau national par leur contribution la r alisation de la politique nationale et communautaire dans le domaine environnemental Les projets ligibles doivent se situer dans le cadre des priorit s de la politique gouvernementale en mati re de protection de l environnement humain et naturel et de d veloppement durable savoir la sauvegarde de la diversit biologique la lutte contre le changement climatique l am lioration de la qualit de la r duction des d chets l utilisation rationnelle et la protection du sol l int gration de la dimension environnementale dans l conomie en particulier les PME de l artisanat et du secteur tertiaire l agriculture l habitat et l urbanisme Pour l ann e 2004 les 12 projets suivants ont t retenus Rettung der Schwalben L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga Regulus Junior L tzebuerger Natur a Vulleschutzliga Erhalt der regionalen Obstsortenvielfalt H llef Dr d Natur Leitfaden Naturschutz H llef d Natur Espace p dagogique sur biodiversit Ecole Nature Lasauvage Syst me d information du public par internet Mouvement Ecologique Zukunftspiloten Mouvement Ecologique Sensibilisierung zur nachhaltigen Entwicklung Mouvement Ecologique Umweltausstellung f
47. et la g ologie Ensuite un diagramme de l amplitude cologique est fourni Des tableaux accompagn s de cartes pr cisent la localisation des relev s ayant identifi ce type de formation ainsi que la r partition l int rieur des secteurs cologiques Puis sont fournies les donn es concernant les esp ces inventori es dans cette formation ainsi que les statistiques concernant leurs variantes hydriques et leurs variantes en de substitution Chaque lecteur en fonction de sa curiosit ou de son int r t trouvera dans ces fiches de descriptions cosyst miques des informations permettant notamment d identifier les formations foresti res les plus rares sur base des crit res d identification floristiques de localiser les aires g ographiques de r partition ou types stationnels g ologie p dologie topographie les plus propices telle sous association ou d estimer la diversit v g tale de nos divers types de for ts naturels et semi naturels Dans un contexte aussi pr occupant que celui du changement climatique et de l rosion de la biodiversit la cartographie des v g tations foresti res et le recueil de statistiques dont question permettent de d finir et argumenter une politique de pr servation de la biodiversit des for ts luxembourgeoises coh rente Les choix et les d cisions peuvent d sormais se prendre non plus dans un contexte isol mais comme la r sultante d une vision globale
48. forestiers concern s mais galement au niveau du service de la Chasse 3 5 1 1 Historique La zone de surveillance En date du 10 octobre 1999 une premi re zone de surveillance relative la peste porcine a t install e par l administration des services v t rinaires dans le nord est du pays apr s qu un cas de peste porcine a t confirm chez un sanglier quelques kilom tres de la fronti re luxembourgeoise Lutzkampen en Rh nanie Palatinat Par la suite cette zone de surveillance t largie plusieurs fois Les premiers cas de peste porcine sur le territoire du Grand Duch de Luxembourg ont t constat s en octobre 2001 A partir du 14 juin 2002 tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg t d clar zone de surveillance Ce statut a t maintenu durant les ann es 2003 et 2004 Les cas virologiquement positif e Relev des cas de peste porcine constat s chez le sanglier au Grand Duch de Luxembourg depuis 2001 Ann e 2001 Ann e 2002 RU SES Le dernier cas de peste porcine classique a t constat en ao t 2003 3 5 1 2 Les r percussions sur l exercice de la chasse Les directives sanitaires suivantes mises en 2001 par l administration des services v t rinaires restaient valables pour 2004 e interdiction absolue d alimenter les sangliers avec des d chets d abattoir ou de cuisine e tous les sangliers tir s doivent tre amen s dans un centre de ramassage o
49. ge floristique qui accompagne ces formations foresti res Le pr sent projet pr voit d aller plus loin dans les mesures de protection en renon ant du moins par parties tout forme d exploitation sylvicole Sur le plan technique la zone constituera une r serve foresti re int grale 3 3 5 8 Le projet de r serve foresti re int grale Saueruecht Beaufort Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de h traies du Melico Fagetum ainsi que des for ts de ravins du Tilio Acerion qui se sont install es d une fa on naturelle sur les pentes et les boulis de pente de la vall e de la S re inf rieure La zone d limit e se subdivise en trois parties distinctes avec chaque fois un autre type de v g tation caract ristique Sur le plateau on est en pr sence d un sol sableux plus ou moins sec o le h tre constitue l essence principale Sur les sols limono sableux de la partie centrale on retrouve galement des h traies mais cette zone comporte aussi de nombreux boulis de pierres sur lesquels des essences pionni res ont pu s installer En bas de versant sur les sols sablo limoneux faiblement gleyifi s de nombreuses zones de suintement rendent le terrain particuli rement humide Cette partie est favorable l installation d essences des milieux frais m sohygrophiles voire m me hygrophiles 207 Cette succession de di
50. habitat durable la r alisation de colloques sur les diff rents aspects de la probl matique li s l habitat durable et la mise en place d une exposition itin rante reprenant ce th me g n ral de l habitat durable Les r sultats attendus de ce volet sont changes de professionnels de la construction e la mise en r seaux de ceux ci par diff rents moyens tels que le r f rentiel le site Internet de Route du Bois les circuits de la Route du Bois et l adh sion l op ration Penser For t Agir bois e campagne de sensibilisation et d ducation des citoyens l utilisation du mat riau bois dans un souci de d veloppement durable et int gr e d finition d outils touristiques transr gionaux communs via notamment la mise place d une signal tique commune d un site internet La participation budg taire de l administration des Eaux et For ts au volet 3 actions 3 2 3 3 et 3 4 du projet est de 342 500 EUR sur les 4 ann es La participation budg taire du Groupement des Sylviculteurs aux volets 1 2 et 3 actions 1 1 1 2 1 3 2 1 et 3 1 du projet est de 621 595 EUR sur les 4 ann es Ces participations sont financ es par le minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural En ce qui concerne les actions entreprises en 2004 dans le cadre de ce projet il convient de citer les suivantes e Une s ance d information destin e
51. l option chasse Deux candidats 67 ont r ussi l examen un candidat 33 a t ajourn et a d subir une preuve suppl mentaire dans la branche Connaissances pratiques en mati re de surveillance de la p che preuve suppl mentaire qu il a pass avec succ s En fin de compte des trois candidats qui se sont pr sent s l examen trois 100 ont donc r ussi l examen Evolution de la participation l examen d admission Option Chasse Inscriptions Participation R ussites Refus _ e wo oo 8 P rsa 5 12000 B B 100 e gt 11 one a gt 0 Option P che Inscriptions Participation R ussites Refus 4 13 5 25 EURE 20020 22004 B E y osje j 3 5 11 Le Conseil Sup rieur de la Chasse Suivant les termes de la loi du 2 avril 1993 modifiant et compl tant la l gislation sur la chasse le Conseil Sup rieur de la Chasse a pour mission e d adresser de son initiative des propositions au Ministre en mati re de chasse et de conservation du gibier e d mettre son avis sur toutes les questions et tous les projets que le Ministre lui soumet et notamment sur les mesures l gislatives et r glementaires touchant directement la chasse Au cours de l ann e 2004 le Conseil Sup rieur de la Chasse s est uni deux fois et a discut les mati res suivantes 259 calendrier d ouverture de la c
52. lectroniques et la directive 2002 96 CE relative aux d chets d quipements lectriques et lectroniques Apr s la publication d finitive de ces deux directives en 2002 les d cisions suivantes ont t adopt es e d cision de la Commission amendant en vue de l adaptation au progr s technique de l annexe de la directive 2002 95 du Parlement europ en et du Conseil concernant la restriction de l utilisation de certaines substances dangereuses dans les quipements lectriques et lectroniques e d cision du Conseil fixant les modalit s de contr le de la conformit dans les Etats membres et d finissant des formats de donn es aux fins de la directive 2002 96 du Parlement europ en et du Conseil relative aux d chets d quipements lectriques et lectroniques Ces d cisions ont t discut es au sein du Comit d Adaptation au Progr s technique TAC tel qu il a t institu par l article 18 de la directive 75 442 tel que modifi e dont un sous groupe DEEE a t instaur Dans ce TAC le Luxembourg a t repr sent par des fonctionnaires de l Administration de l environnement 2 5 1 1 2 La proposition de directive relative aux piles et batteries En date du 24 novembre 2003 la Commission a pr sent au Conseil une proposition de directive relative aux piles et accumulateurs usag s Les objectifs essentiels de cette proposition sont la mise en place de collectes s lectives pour les pi
53. pass e En analysant les 5 ann es pass es les maxima 8 heures de l ann e en CO se stabilisent autour d une valeur de 2 mg m donc nettement en dessous de la valeur limite OZONE Les d passements des seuils d ozone sont d finis dans la directive europ enne 92 72 et repris dans la r glementation luxembourgeoise r glement grand ducal du 13 mai 1993 portant application de la directive 92 72 CEE du Conseil du 21 septembre 1992 concernant la pollution de l air par l ozone L ann e 2004 est classer comme une ann e pauvre en v nements ozone En qualifiant un pisode de pollution par l ozone avec au moins 2 journ es cons cutives de d passement de la valeur seuil de 180 ugm d ozone un seul pisode est signaler en 2004 30 07 2004 31 07 2004 Le bilan d analyse de la p riode de 5 mois du 01 05 2004 au 30 09 2004 se pr sente comme suit Valeur seuil Nombre de jours de d passements du 01 05 2004 au 30 09 2004 180 En comparant les d passements des seuils pour l ann e 2004 par rapport la moyenne des d passements pour la p riode 1990 2000 dans le tableau ci dessous l ann e 2004 ressemble une ann e moyenne en v nements ozone 63 Moyenne du nombre de jours de d passements des seuils d ozone seuils fix s la directive europ enne 92 72 CEE pour la p riode 1990 2000 conditions de temp rature et de pression 293 K et 101 3 kPa 180
54. r Schulen Emweltberodung L tzebuerg Leitfaden zum Umweltschutz f r die Gemeinden Emweltberodung L tzebuerg Vari t s locales d arbres fruitiers Oekofonds M i Natur an eisen Uertschaften Oekofonds Mouvement Ecologique 1 2 Fonds pour la Protection de l Environnement 1 2 1 R partition des d penses pour 2004 du Fonds pour la Protection de l Environnement Les d penses effectu es courant 2004 sur les cr dits du Fonds pour la Protection de l Environnement s l vent 12 674 914 euros et se r partissent de la fa on suivante e lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit le changement climatique ainsi que l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 2 310 845 euros soit 18 e pr vention et gestion des d chets 6 956 814 euros soit 55 e protection de la nature et des ressources naturelles 3 407 255 euros soit 27 11 Le fonds pour la protection de l environnement t institu la loi modifi e du 31 mai 1999 pour objet it aa ts la pr vention et la lutte contre la pollution de l atmosph re le bruit et le changement climatique la pr vention et la gestion des d chets la protection de la nature et des ressources naturelles l assainissement et la r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contamin s l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des
55. ration Powerbuilder8 et fonctionne en mode client serveur sous Oracle Elle est int ressante galement au point de vue technologique car elle permet un travail informatique collaboratif s curis entre un bureau d tude ext rieur et l Administration des Eaux et For ts La premi re phase de l analyse fonctionnelle d un syst me de gestion informatis dans le cadre du projet Protection de la nature et des ressources naturelles NATURA2000 t r alis e Ce projet pour objectif d informatiser les mesures de gestion dans le cadre de NATURA2000 265 3 7 1 2 1 Acquisition installation et maintenance du mat riel informatique En 2004 30 nouveaux micro ordinateurs et un serveur ont t fournis par le Centre Informatique de l Etat un micro ordinateur un portable et un serveur ont t acquis par l interm diaire du budget de l administration Toutes les stations de travail ont t configur es par la cellule informatique sur base d un master adapt aux besoins des E amp F sous l OS WindowsXP SP2 Un serveur t install en tant que DC fault tolerance du domaine Windows2000 existant et l autre serveur en tant que file server du ressort cartographie GIS Tous les domaines NT existants des services r gionaux 1 e les serveurs ont t supprim s au cours de 2004 Environ 18 micro ordinateurs ont t r install s en 2004 pour migrer le syst me d exploitation Il a t proc d
56. s organis par la Chambre de Commerce e s ance d information dans la commune de Mondercange organis e par le Syndicat Minett Kompost concernant le projet d agrandissement de l installation de compostage 29 avril 2004 e expos lors de la conf rence Compost Marketing and Applications Pratice organis e par European Compost Network in Aschaffenburg 4 et 5 novembre 2004 e pr sentation de l exposition et du CDRom D Emwelt schounen d Emwelt notzen lors de son inauguration Bettembourg 16 novembre 2004 2 5 3 Le projet pilote EUROSTAT En collaboration avec l IUP de l universit de Metz le projet pilote sur les importations et les exportations de d chets a t r alis L objectif du projet tait d laborer une m thodologie pour quantifier les d chets import s et export s au Luxembourg ceci plus sp cialement pour les d chets de la liste verte Plusieurs sources de donn es ont t utilis es Les rapports annuels les dossiers de notification les plans de pr vention et de gestion des d chets ainsi que les statistiques du commerce ext rieur Deux simulations ont t r alis es La simulation 1 consistait utiliser les donn es du registre de commerce Les codes NC nomenclature combin e ont t utilis s 140 codes ont t identifi s comme se composant uniquement de d chets et 60 autres codes contenant la fois des d chets et des produits Pour les d chets import s 1 247 00
57. section BD de Doennange DeWind D 4 Deiffelt section BC de Lullange KEE K l ON N A Medernach 2 1800 section dite des Fermes Total 1 lt 43 2 3 2 2 3 Formulaires de demande d autorisation disponible s Artisanat e Formulaire de demande d autorisation n 130 distilleries F 130 e Formulaire de demande d autorisation n 252 nettoyage sec F 252 Expos n 252 nettoyage sec 252 e formulaires et expos s suppl mentaires labor s la Chambre des M tiers collaboration de l Administration de l Environnement sont tenus disposition sur le site internet de la Chambre des M tiers www chambre des metiers lu Constructions e Formulaire de demande d autorisation Installations de fabrication d asphalte F 31 e Expos sur les installations de fabrication d asphalte EXP 31 e Expos n 42 centrales b ton EXP 42 Infrastructures e Formulaire de demande d autorisation n 143 1 G production d nergie lectrique olienne s Loisirs e Formulaire de demande d autorisation n 311 2 a salles de spectacles 2 3 2 3 Service immeubles et gestion de l nergie 2 3 2 3 1 Analyses et gestions des impacts environnementaux et de la consommation nerg tique d installations frigorifiques dans le secteur agro alimentaire Dans le cadre des dispositions d
58. sp cifiques de ce rapport 1 1 1 Application et int gration du principe de d veloppement durable La politique de d veloppement durable au cours de l ann e 2004 a t marqu e par le vote de la loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable Lors du d bat d orientation du 4 juillet 2002 sur le d veloppement durable la Chambre des D put s a adopt une motion invitant le Gouvernement e tablir un inventaire comportant les diff rents sc narios du d veloppement d mographique et conomique avec ses cons quences sociales et environnementales e mettre en place une l gislation a donnant une base l gale au plan national pour un d veloppement durable b instituant le rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable qui valuera les progr s r alis s vers la durabilit d une mani re scientifique et aussi objective que possible moyennant un syst me d indicateurs de d veloppement durable c instaurant un conseil sup rieur du d veloppement durable d cr ant une commission interd partementale compos e de d l gu s des d partements minist riels cl s devant veiller l int gration du concept de la durabilit dans les politiques sectorielles C est pour r pondre ces d fis et attentes que le l gislateur travers la loi du 25 juin 2004 a cr le cadre dans lequel la politique de d veloppement durable doit prendre fo
59. une partie dite r serve dirig e 7 07 ha et une partie dite zone de d veloppement 0 196 ha e r serve foresti re int grale comporte des anciens peuplements des plantations et des superficies avec de la v g tation pionni re Ces peuplements seront mis en libre volution d s que la zone d limit e sera d clar e zone prot g e e Dans la r serve dirig e sont incluses les surfaces de compensation de la Nordstrooss qui viennent juste d tre plant es et qui seront moyen terme conduites vers des peuplements en libre volution e zone de d veloppement comprend de la propri t priv et a t d limit e afin que le propri taire garde le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e 204 Avancement du projet Une r union d information publique a eu lieu dans la commune de Mersch 20 janv 2004 Les diff rents propos recueillis lors de ces pr sentations ont t int gr s dans le dossier de classement lequel a ensuite pu tre finalis et envoy sur le chemin de la proc dure de classement Le projet a t pr sent devant le conseil sup rieur pour la protection de la nature L am nagement d une construction d accueil comprenant un panneau d information g n rale est cours d laboration A l int rieur de la r serve naturelle P ttenerb sch il sera renonc l utilisation d autres panneaux Il n est pas pr vu d i
60. vue pour avril 2006 3 5 3 2 Donn es recueillies Jusqu ce jour des donn es collect es sur 2230 sangliers ont t utilis es le contenu de 950 estomacs t analys en plus les donn es sur les 8124 sangliers analys s l Administration des Services V t rinaires peuvent tre utilis es 249 3 5 3 3 Litt rature Une recherche litt raire t entam e sur le sujet et un premier r sum a t r dig concernant l effet d affouragement sur la mortalit le succ s reproducteur et le comportement des sangliers 3 5 3 4 Pr sentations Les premiers r sultats ont t pr sent s sous forme d un poster au 5 International Wild Boar and Suidae Symposium Cracovie en Pologne en septembre 2004 Dans le cadre du 150 anniversaire du Naturmus e et dans le cycle des Doctorants du Mus e National d Histoire Naturelle le projet et des r sultats pr liminaires ont t pr sent s sous forme d une projection Power Point 3 5 3 5 Contacts Les changes internationaux tant tr s importants dans une recherche sur une esp ce si largement r pandue un petit r seau de chercheurs sanglier est en train de se construire suite au congr s Cracovie 3 5 3 6 R sultats Les premiers r sultats pr liminaires et provisoires de cette tude sont disponibles sous forme de posters Voici les grands traits 79 des sangliers sont tir s aux chasses en battue n 1830 76 des sangliers tir
61. 0 B2 31 03 2007 und Umwelttechnik 49 065029241 18 7 Europa Allee 6 D 54343 F hren BETAVI S A R L 4 rue Dicks 352 26531302 B1 B2 BP 33 352 26531305 E2 E3 31 03 2006 L 3801 Schifflange 29 BIOMONITOR A12 A212 A321 A4 Boulevard de la P trusse 96 352 292030 1 L 2320 Luxembourg 1352 290059 ES 31 03 2005 F3 BLASY DR DR BUSSE Niederlassung der Agrolab GmbH 49 081437901 Moosstrasse ee D 82279 Eching am Ammersee sauf C9 C10 und 1 31 03 2007 AGROLAB Labor f r Landwirtschaftliche Untersuchungen G m b H Sie er Kirchstrasse 2 D 85416 Oberhummel E3 ENGINEERING ENERGY ENVIRONNEMENT S A R L 352 26008186 31 03 2006 Rue Laurent Menager 107 L 2143 Luxembourg ECO CONSEIL SARL 18 Avenue Marie Adelaide 51325 26632220 01 03 31 03 2005 L 5635 Mondorf les Bains E amp CONSULT S A R L EN 352 316161 1 Rue de Lib ration 9b F 352 31616160 D3 31 03 2005 L 8245 Mamer SERVICES 1 Harburger Schlossstrasse 6 12 ge EE 8 31 03 2005 D 21079 Hamburg ENECO S A 152 route de Tr ves E 31 03 2006 L 2630 Luxembourg F1 F3 ENERGIE ET ENVIRONNEMENT S A Ing nieurs conseils Se E8 31 03 2005 99 rue Andethana F1 L 6970 Hostert Niederanven ENVIRONMENTAL SERVICES Division de 565 Belgium S A Een 5 Anci
62. 04 0442 Dossier D chets N 04 PT 13 2 5 15 1 9 Autorisations d importation Au cours de l ann e 2004 les dossiers de demande suivants ont t introduits aupr s de la Division des d chets Nom 02 IM 02 01 25 07 2003 20 04 2004 M Fr Binck 04 IM01 20 01 2004 02 03 2004 Fumier de volailles M J P Nau 04 IM 03 16 06 2003 09 08 2004 Fumier de volailles M V Kauffman 04 IM 04 06 08 2004 17 08 2004 Fumier de volailles M J Schummer 04 IM 05 14 08 2004 24 11 2004 Fumier de volailles En date du 16 d cembre 2004 la soci t Intermoselle S r l re u les prolongations sollicit es pour les arr t s minist riels couvrant l importation des d chets mentionn s crapr s IM 01 91 06 12 2004 17 12 2004 R sidus industriels OXITON IM 01 93 06 12 2004 17 12 2004 G teaux de filtration Guilini Chemie 98 IM 04 06 12 2004 17 12 2004 2 5 15 2 Dossiers d autorisations introduits avant 2004 et finalis s en 2004 Durant l ann e 2004 les tablissements suivants ont t autoris s en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 2 5 15 2 1 Site du SIGRE au Muertendall En date du 22 f vrier 2002 le SIGRE a introduit un dossier de demande en vue de pouvoir am nager une installation de chauffage montage bloc pour l utilisation des gaz de d charge En ao t 2002 des informations suppl mentaires taient demand es qui nous sont parvenues en f vrier 2003 L
63. 08 06 16 06 07 07 14 09 28 09 19 10 06 12 146 e L installation de co fermentation situ e Beckerich a fait l objet de deux contr les en date du 29 juillet 2004 et 15 novembre 2004 pr alablement sa mise en exploitation officielle Les d ficiences constat es ont t r gularis es e L installation de co fermentation situ e M llendorf pr s de Steinsel fait l objet d un contr le de chantier en date du 29 et du 30 juillet Les d ficiences constat es ont t r gularis es 2 5 15 4 2 Contr le d exploitation e date du 5 mai 2004 l entrep t du port de Mertert a fait l objet d un contr le de part de notre administration Il a t constat que l exploitant ne disposait pas d une autorisation couvrant les op rations dentreposage de d chets en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets e Les d ficiences constat es ont t notifi es l exploitant Celui ci a charg un bureau d tudes en vue d laborer un dossier de demande en bonne et due forme e L installation de co fermentation situ e R dange Attert fait l objet d un contr le date du 29 juillet 2004 Les d ficiences constat es ont t notifi es l exploitant et ont t r gularis es e L installation de co fermentation agricole situ e Tandel et exploit e M M Roeder fait l objet d un contr le en date du 21 septembre 2004 Les constations faites on
64. 3 4 13 3 11 Activit s diverses programme de sauvegarde et de cr ation de biotopes humides dans les communes de Hobscheid Steinfort Septfontaines Koerich Lorentzweiler Lintgen Fischbach Larochette Ermsdorf Medernach Beaufort Consdorf Rosport ex cution de mesures de gestion des pelouses silicicoles Steinfort Schwarzenhaff ex cution de mesures de gestion autour des tangs Steinfort Schwarzenhaff inventaire et ex cution de mesures de gestion de la pelouse s che Amberkneppchen Imbringen plan de gestion de 4 pelouses calcaires Girst Parc Ch teau Schoenfels travaux d abattage d un arbre dangereux de fauchage monitoring mise en uvre de mesures de gestion pour la conservation des prairies s ches sur marne de la commune d Ermsdorf et suivi enl vement d un d p t de d chets Pettingen commune de Mersch restauration de prairies et de p turages dans les zones Habitat Vall e de la Mamer et de l Eisch Vall e de l Ernz blanche Vall e de l Ernz noire 242 3 5 Le Service la Chasse et de la P che section chasse 3 5 1 La lutte contre la peste porcine classique D s l apparition des premiers cas de peste porcine dans la population des sangliers en 2001 l administration des Eaux et For ts a propos ses services au Gouvernement dans la lutte contre cette maladie Cette d cision a engendr un surplus de travail norme non seulement au niveau des triages
65. 31 d cembre 2008 les objectifs minimaux de recyclage suivants pour les mat riaux contenus dans les d chets d emballages doivent tre atteints 60 en poids pour le verre 60 en poids pour le papier et le carton 50 en poids pour les m taux 22 5 en poids pour les plastiques en comptant exclusivement les mat riaux qui sont recycl s sous forme de plastiques 15 en poids pour le bois VV VM La Commission pr sente au plus tard le 30 juin 2005 un rapport au Parlement europ en et au Conseil sur l tat de mise en oeuvre de la pr sente directive et ses incidences sur l environnement ainsi que sur le fonctionnement du march int rieur Ce rapport doit couvrir les questions 83 a de l valuation de l efficacit de la mise en oeuvre et du respect des exigences essentielles b des mesures de pr vention additionnelles visant r duire l incidence environnementale des emballages dans toute la mesure du possible sans porter atteinte leurs fonctions essentielles c du d veloppement possible d un indicateur environnemental en mati re d emballage afin de rendre la pr vention des d chets d emballage plus simple et plus efficace d des plans en mati re de pr vention des d chets d emballage e de l encouragement la r utilisation et en particulier de la comparaison des co ts et des avantages de la r utilisation avec ceux du recyclage f de la responsabilit du producteur y compris ses aspects fi
66. 4 September 2 Oktober Zeitpunkt der K derauslegung Nicht aufgenommen 2 Tag bis 1 Woche nach Auslage aufgenommen am 1 Tag nach Auslage aufgenommen L immunisation des sangliers Avant le d but des campagnes de vaccination en mars 2003 le taux de s roconversion des sangliers tait de 30 19 pour les sangliers de moins de 1 an les plus sensibles la maladie En d cembre 2004 ce taux tait pass 45 34 pour les sangliers de moins de 1 an Ceci d montre l efficacit certaine de la vaccination Vu l volution positive de la situation de la peste porcine classique aucune vaccination des sangliers n est plus pr vue pour l ann e 2005 Cependant le monitoring de la population des sangliers moyennant l chantillonnage d un certain nombre de sangliers tir s devra tre poursuivi en 2005 et 2006 3 5 3 Etude des sangliers Sus scrofa au Grand Duch de Luxembourg 3 5 3 1 Introduction Le but du projet est de d terminer l alimentation la condition et la structure de la population des sangliers au Grand duch de Luxembourg Pour ceci sont utilis es les donn es collect es sur les carcasses de sanglier Les mesures et chantillons proviennent des centres de collecte install s par l Administration des Eaux et For ts dans le cadre de la lutte contre la peste porcine classique Ce projet est r alis par Madame Sandra Cellina dans le cadre d un doctorat en biologie Il a d but en mai 2003 et sa fin est pr
67. 900 ha 5 5 du territoire national se recoupant sur 7 500 ha avec les zones sp ciales de conservation d sign es en vertu de la directive Habitats N de la ZPS d nomination superficie LU0002001 Vall e de la Woltz et affluents de la source Troisvierges 1261 ha LU0002002 Vall e de la Tretterbaach et affluents de la fronti re Asselborn 3056 ha 00002003 Vall e sup rieure de l Our et affluents de Lieler Dasbourg 1741 ha LU0002004 Vall e sup rieure de la S re et affluents de la fronti re belge Esch sur 3583 ha S re LU0002005 Vall e de l Ernz Blanche de Bourglinster Fischbach 219 ha LU0002006 Vall e de la Syre de Moutfort Roodt Syre 375 ha 7 LU0002007 Vall e sup rieure de l Alzette 1029 ha LU0002008 Mini re de la r gion de Differdange Giele Botter Tillebierg Rollesbierg 683 ha Metzerbierg et Galgebierg 100000 _ EE 100002011 ____ 5 EE Le r seau Natura 2000 zones Habitats et zones Oiseaux couvre ainsi 44 718 ha soit 17 7 du territoire national luxembourgeois Les sites luxembourgeois du r seau Natura 2000 seront des zones de gestion durable permettant en principe la poursuite des activit s actuelles des occupants et utilisateurs Souvent les activit s humaines ont permis le maintien des esp ces ou des habitats dans un tat de conservation favorable Elles doivent d
68. 995 Schley L 2004 Characteristics of trees and shrubs felled by a Eurasian beaver Bulletin de la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois 105 133 136 Schley L amp M Leytem 2004 Extensive Beweidung mit Rindern im Naturschutz eine kurze Literaturauswertung hinsichtlich der Einfl sse auf die Biodiversit t Bulletin de la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois 105 65 85 Schley L M Schaul amp T J Roper 2004 Distribution and population density of badgers Meles meles in Luxembourg Mammal Review 34 3 233 240 3 4 12 Colloques et groupes de travail supranationaux Trois communications au 5 symposium international sur le sanglier mais pas de participation y personnelle Cellina S L Schley A Krier amp T J Roper 2004 First results on the diet of wild boar Sus scrofa in Luxembourg 5th international wild boar and suidae Symposium August 31 September 5 2004 Krak w Poland Cellina S L Schley A Krier amp T J Roper 2004 Hunting of wild boar in Luxembourg 5th international wild boar and suidae Symposium August 31 September 5 2004 Krak w Poland Schley L A Krier S Cellina amp T J Roper 2004 Agricultural damage by wild boar Sus scrofa in Luxembourg 5th international wild boar and suidae Symposium August 31 September 5 2004 Krak w Poland 3 4 13 Les activit s des arrondissements de la conservation de la nature 3 4 13 1 Arrondissemen
69. DIOXYDE DE SOUFRE SO La norme de qualit de lair ambiant pour le dioxyde de soufre SO est inscrite dans la directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 Des seuils de protection de la sant humaine 2 normes et des seuils de protection des cosyst mes 2 normes y sont inscrits Le respect des 4 normes de qualit de Pair est assur durablement depuis 1992 MONOXYDE D AZOTE NO En particulier la station de Luxembourg Centre a pour mission sp cifique d valuer la pollution de Pair produite par la circulation automobile et de v rifier si les valeurs limites sont respect es Lors des p riodes d inversion thermique avec de mauvaises conditions d change des masses d air des concentrations horaires lev es gt 500 ugm sont relev es par certaines stations de mesure En 2004 il n y a pas eu de d passement Luxembourg Centre 5 jours en 2003 Ceci renseigne sur la raret des p riodes d inversion de temp rature en 2004 DIOXYDE D AZOTE NO Les normes de qualit pour le dioxyde d azote et les oxydes d azote sont inscrites dans la directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 Concernant la PROTECTION DE LA SANT HUMAINE les valeurs limites suivantes sont en application durant l ann e 2004 e Valeur limite de 260 ug m 293 K 101 3 kPa calcul e sur base de moyennes horaires La norme de qualit pour le NO3 ne tol re que 18
70. Famaplast section B de Soleuvre Adm com de Sanem section A de Sanem 41 Schuttrange Niederanven Parc d activit Syrdall Adm Com de Schuttrange section B de Munsbach et Niederanven section de Niederanven Troisvierges z i in den Allern SICLER section F de Troisvierges Troisvierges z i Troisvierges Gare SICLER section H de Biwisch section F de Troisvierges bei der M hle Wellenstein Adm com de Wellenstein section B de Bech lieux dits Tellefeld et M sberg Wincrange Clervaux z i Eselborn Lentzweiler SICLER soma L t _ Wiltz 1 Adm com de Wiltz section lieu dit Grousslitschent Wormeldange z a Wormeldange Haut Adm com de Section de Wormeldange Wormeldange Section E de Dreiborn Lieu dit Op Tomm Six de ces zones d activit s ont t autoris es en 2004 conform ment la l gislation sur les tablissements class s Avant le d p t d un dossier de demande relatif une zone d activit s l Administration de l environnement est en principe d j saisie du dossier En effet un dossier de demande conforme aux dispositions de la loi en question doit pr ciser les incidences d un projet sur l environnement en tenant compte de la situation y existante Par ns quent il y a lieu de consulter les autorisations d j d livr es pour les tablissements class s situ s dans les alentours imm diats de la zone d activit s projet e En fonction de l t
71. L arr t est en cours de r daction Dossier N 1 99 0221A Dossier D chets N 99 PT 17 01 La soci t ProfilArbed S A introduit en date du 6 septembre 2004 deux dossiers de dmande pour pouvoir r aliser des essais dans leurs fours lectriques de Differdange et d Esch Belval avec des d chets de caoutchouc Les dossiers sont en cours d instruction Dossiers C I N 1 04 0360 et 1 04 0361 Dossiers D chets 04 PT 09 et O4 PT 10 En date du 20 septembre la soci t Ecotec Laubach exploitant une ligne de tri dans la zone industrielle Pafew pr s de Sanem a introduit une demande pour obtenir la prolongation des d lais pour la finalisation des constructions r aliser sur le site Cette modification a t d livr e en date du 14 octobre 2004 Dossier C I N 1 04 0408 Dossier D chets N 04 PT 11 En date du 21 octobre 2004 l entreprise Polygon a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter sur son site pr s de la gare de Mersch un centre de gestion de leur entreprise Le dossier est en cours d instruction Dossier N 1 01 0593A Dossier D chets N O1 PT 01 02 En date du 16 novembre 2004 Paul Wurth S A introduit un dossier de demande pour pouvoir modifier certains aspects en relation avec l installation de traitement de d chets provenant de l industrie sid rurgique par r duction directe Primus situ e Differdange Le dossier est en cours d instruction Dossier N 1
72. Nardecchia Stasiak et Duralloy ont t lanc es Concernant les sites de TrefilARBED Bettembourg et Bissen il y a lieu de noter qu une nouvelle soci t cor enne SAMHAW s est implant e sur le site de la TrefilARBED Bettembourg Les responsables de Tr filerie de Bissen ont introduit un dossier de r gularisation couvrant l ensemble de leur site d exploitation 46 Dans le domaine de l industrie chimique il y a lieu de mentionner le dossier de demande relatif la ligne de production TYPAR introduit dans le cadre du renouvellement des autorisations d exploitation expirant apr s 30 ans de validit La soci t Dupont de Nemours a entre autres introduit une demande concernant une unit de recouvrement de feuils issus de la production TYVEK afin de garantir une diversit de sa palette de produits dans l objectif de r pondre aux nouvelles demandes du march mondial Dans le domaine de l industrie min rale la Division des tablissements class s a principalement t saisie par des dossiers concernant le Groupe GUARDIAN et par la soci t CERATIZIT Le producteur de pi ces en carbure Mamer a introduit en 2004 plusieurs dossiers de demande de transformation et de modification qui r gularisent le d veloppement et la modernisation de la soci t Le Groupe GUARDIAN a continu quiper les diff rents ports du four de production Dudelange par la technologie 3R afin de r duire et de limite
73. Nombreuses communes g rent aujourd hui des parcs de recyclage o les particuliers et les petites entreprises ont la possibilit de se d faire de toute sorte de d chets recyclables et ou dangereux En outre les parcs de recyclage jouent un r le important dans la sensibilisation de la population en ce qui concerne la pr vention des d chets Il est d autant plus important que le personnel des parcs de recyclage soit qualifi et motiv pour rendre conseil aux visiteurs C est pourquoi la Division des d chets et le Centre de Formation Professionnelle d Ettelbruck organisent depuis 1994 des cours de formation pour le personnel des parcs conteneurs Le contenu du cours s tend sur 5 volets la gestion des d chets le traitement des donn es les bases l gales la s curit et la communication En 2004 16 participants venant de 6 parcs de recyclage diff rents ont re u un certificat de formation continue mis par le Minist re de l Education Nationale 86 2 5 2 3 La formation des ouvriers des d charges pour d chets inertes En 2004 une deuxi me session de cours de formation pour ouvrier de d charges a t organis e par l Administration de l environnement et collaboration avec l Institut de Formation Sectoriel du B timent IFSB Contrairement l ann e 2003 o les cours taient en langue fran aise la session de 2004 tait en langues allemande et luxembourgeoise La formation s est d roul e en six demi journ
74. P tange SIACH 24 7 58 7 17 Nickel mg kg m s 17 67 27 67 24 33 18 50 2017 33 86 26 17 0 00 7 00 0 00 BEER REH E EE AE ES 01 1 EE 30 39 20 15 0 1 1 6 3 6 S l nium mg kg m s 104 En plus des param tres demand s par le r glement grand ducal du 14 avril 1990 relatif aux boues d puration l Administration de l environnement a proc d un contr le des concentrations en molybd ne en sel ne en arsenic et en vanadium Le tableau suivant r sume les analyses de boues de quelques stations ayant une capacit de traitement inf rieure 50 000 q h boues sans chaux 2 5 6 5 3 Boues trait es sans chaux valeurs se r f rant 2004 NOM STEP STEP STEP STEP STEP STEP STEP STEP STEP Biwer Clemency Fischbach Frisange Hobscheid Kehlen Kopstal Mamer Martelange Wecker SIFRIDAWE eof 62 soo emf 607 Mare s che re organique 49 35 662 Cuivre mg kg m s 1225 Zinc mg kg m s Plomb mg kg ms Chrome mgkems 3500 3350 2100 ao az 3700 5850 3557 5100 Nickel mg kg ms Vanadium 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 72 71 60 00 Molybd ne 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 2 Calcium Potassium RU 2 3 Arsenic mem 6 9 seo sof 660 66 70 9 6 Azote total Kjeldah Phosphore NOM STEP STEP STEP STEP STEP
75. Pendant les saisons de chasse 2003 et 2004 161 chantillons luxembourgeois ont t collectionn s par l Administration des Eaux et For ts En 2004 157 chantillons ont t collectionn s en Rh nanie Palatinat et en Sarre De t extrait de poils collectionn s de cerfs pr sum s d avoir t introduit ill galement dans le Nord du Grand Duch Les chantillons ont t analys s par 14 marqueurs g n tiques dits microsatellites l Universit de Sheffield Les donn es g n tiques ont en effet permis l analyse du brassage g n tique et ont mis jour une faible structuration de la population Les donn es ont aussi permis de d celer des animaux n appartenant pas la population autochtone En vue de corober cette derni re hypoth se il faudra en plus analyser des chantillons pris en Belgique limitrophe Une collaboration qui permettra l change des r sultats en 2005 a t entam e avec des chercheurs travaillant sur la diversit g n tique du cerf en Belgique Les r sultats finaux de cette tude seront pr sent s en 2005 3 5 5 Colloque sur les chasses pilotes de l U E Sur l initiative de M Claude DELBEUCK pr sident du Conseil de Gestion des Chasses de la Couronne Belgique et de M Francis FORGET Directeur de la R serve du Domaine National de Chambord France une premi re rencontre entre responsables gestionnaires de territoires de chasse royaux pr sidentiels domaniaux ou de sta
76. Place de la for t au Grand Duch de Luxembourg Objectifs de l Inventaire Forestier National M thodologie adopt e Modalit d chantillonnage Typologie Echantillonnage au sol R colte des donn es Au sein du peuplement d terminant A la limite du peuplement d terminant Autour du peuplement d terminant Traitement des donn es Saisie des donn es Traitements Conclusions et perspectives Bibliographie L article sur l utilisation du bois de chauffage pour l almanach Baurekalenner Le Service a mis la disposition de la Centrale Paysanne un article de publication illustr de 14 pages pour l dition 2005 du L tzebuerger Baurekalenner intitul Brennholznutzung fr her und heute 219 L article comporte les chapitres suivants e Brennholznutzung fr her e _ und Brennholznutzung heute e speziell in Luxemburg Brennholzverkauf entlang von Forstwegen Aufarbeiten von Abfallholz durch Selbstwerber e Holz als Energielieferant e Aufschwung f r Brenn und Energieholz auch in Luxemburg Kouertest cker oder Hackschn tzel e Wo kann ich mir mein Kamin und Brennholz besorgen L article contient en annexe une liste de toutes les communes reprises dans l ordre alphab tique qui permet au lecteur de s informer sur la mani re d apr s laquelle les diff rentes communes g rent la mise disposition du bois de chauffage manant de leurs propr
77. S A 6 W llemslach L 5331 Moutfort RMC CONSULTING Rue Nicolas Simmer 1 L 2538 Luxembourg DIPL ING WOLFGANG ROBRECHT Beratender Ingenieur f r Bau und Umwelttechnik Charlottenstrasse 1c 44799 Bochum RUK INGENIEURGRUPPE Niederlassung Luxemburg Port de Mertert L 6601 Wasserbillig SCHORNSTEINFEGER HANDWERK F R DAS SAARLAND E V Technische Pr f und Vertriebsstelle Kahler Allee 37 D 66386 St Ingbert SECOLUX A S B L Route d Arlon 77 L 8310 Capellen SOCOTEC LUXEMBOURG S R L 23 Rue des Bruy res L 1274 Luxembourg Howald SOLETUDE SARL Rue D Zahlen 3 L 5942 Itzig SPITZLEI amp JOSSEN G M B H Fichtenweg 3 D 53721 Siegburg T 49 067422299 F 49 067423742 M 49 01702125560 T 352 26107 127 F 352 26107 128 T 352 356225 1 F 352 356225 40 T 352 443222 1 F 352 443222 20 T 49 0234705569 F 49 0234705525 352 748946 352 748947 49 06894580435 352 460892 1 F 352 461185 352 400752 352 402414 352 26360193 352 26360157 49 0224191920 49 02241919240 D1 D3 D5 F11 F13 F3 03 E5 E6 31 03 2005 F3 A14 31 03 2005 03 4 5 9 31 03 2006 DR TOMBERS amp PARTNER T 49 065816100 ES Hauptstrasse 68 49 065816730 31 03 2005 D 54455 Serrig ANLAGENTECHNIK Regionalbereich Trier Saarbr cken Bahnhofsplatz 8 D 54292
78. Trier 49 06512005100 49 06512005126 33 F12 31 03 2005 INDUSTRIE SERVICE EE 49 1 0 1 91 9 T V RHEINLAND GROUP F 49 0221806 114 EIDE 31 03 2006 Am Grauen Stein D 51105 K ln IMMISSIONSCHUTZ A sauf UND ENERGIESYSTEME A2212 A2222 A34 G M B H 49 02218062756 A4 Am Grauen Stein 49 02218061349 B1 B2 D 51105 K ln E11 2 E3 ES8 F1 T V SAARLAND E V 49 68975060 A sauf Saarbr ckerstra e 8 a 6 973060 14 2212 2222 31 03 2006 D 66280 Sulzbach A34 A4 INDUSTRIE SERVICE D 49 02166857 0 A211 A212 A2211 cs Sch SE 49 02166857 200 A2221 A23 31 03 2005 chelsenweg D 41238 M nchengladbach INDUSTRIE SERVICE 49 071629281 0 SUD GRUPPE 149 071629281166 A2212 A2222 31 03 2006 Grabenwiesenstrasse 4 D 73072 Donzdorf UCL UMWELT CONTROL f 9 10 LABOR SC 10 31 03 2005 Brunnenstrasse 138 D 44536 L nen WPW GEOCONSULT C1 C2 49 06819920 230 D1 D4 Hochstrasse 61 49 06819920 239 ES 71952008 D 66115 Saarbr cken F3 G1 limit certains domaines sp cifiques suivant CODE NACE Annexe la liste des organismes agr s Domaines de comp tence A Substances dans le milieu gazeux Al Substances inorganiques sous fo
79. a t remplac et prolong Un des d fis majeurs pour choisir le parcours exact du chemin consiste mener les visiteurs aux endroits int ressants mais en les canalisant de mani re ce que leur pr sence dans la r serve ne cause pas de nuisances pour la nature ce qui est surtout important aux endroits les plus sensibles du point de vue cologique Au niveau des deux entr es aux galeries des fouilles avaient t entreprises r cemment par la Commune de Remerschen en collaboration avec le Service des Sites et Monuments pour se faire une id e concr te de l tat de conservation de ces galeries en vue d en r am nager une partie des fins didactiques Ces travaux ont permis de constater que les galeries avaient t dynamit es et le projet consistant les reconstruire a t abandonn pour des raisons de co t et des probl mes de s curit 211 Ces travaux de terrassement ont toutefois permis de bien visualiser l endroit o dans le temps se trouvaient les entr es aux galeries et permettent maintenant un regard spectaculaire sur l affleurement naturel de la roche m re ce qui du point de vue didactique constitue un aspect fort int ressant tant donn qu on sera en pr sence d un objet de d monstration grandeur nature Les explications des contextes g ologique et de protection de la nature sont repris sur les panneaux installer ces endroits Pour des raisons d am nagement et de s curit des travaux de terra
80. a essentiellement port sur les questions suivantes e nouvel instrument LIFE en tant qu instrument de soutien des politiques e Uapproche propos e en mati re de programmation e les th mes et actions susceptibles de b n ficier d un financement au titre de la proposition de r glement LIFE e budget allou LIFE d Conclusions Le Conseil a adopt des conclusions sur les changements climatiques strat gies et objectifs moyen et long terme et sur la r vision de la strat gie europ enne pour le d veloppement durable 1 7 Agr ments d livr s dans le domaine de l environnement humain et naturel La liste des personnes physiques et morales titulaires d un agr ment au titre de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l tat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement est jointe en annexe Cette liste est r guli rement mise jour Le relev des organismes agr s dans le domaine de l environnement humain et naturel figure sur le site du minist re de l Environnement www mev etat lu 25 26 2 ADMINISTRATION DE LUENVIRONNEMENT 2 1 Service Juridique 2 1 1 Cr ation d un service juridique La loi du 12 mai 1999 modifiant 1 la loi modifi e du 27 novembre 1980 ayant pour objet la cr ation d une Administration de l Environnement 2 la
81. ancienne route suivant les lignes du terrain naturel etc et sont devenues de v ritables l ments constitutifs de ce dernier Ces constructions en harmonie avec le paysage intact et la nature taient con ues dans un style appel architecture rurale 231 Dans cette brochure les constructions des anciens paysages sont analys es pour en d gager les crit res selon lesquels elles taient con ues r f rences historiques Par la suite il est essay de montrer comment il est possible d appliquer ces crit res aux constructions agricoles modernes et d autres constructions en zone verte 3 4 10 3 3 Elaboration d une brochure Naturnahe Anlage und Pflege von ffentlichen Gr nanlagen L objectif de la brochure est de d crire les am nagements cologiques des espaces verts intra urbaines tels que les bords de route les zones industrielles et les aires de stationnement Plus particuli rement le concept la v g tation et l entretien des espaces seront d crits l aide d exemples r alis s au Grand Duch de Luxembourg et l tranger 3 4 11 Groupes de travail et activit s diverses 3 4 11 1 Groupes de travail e Groupe interminist riel Pollution des sols agricoles dans la plaine alluviale de l Alzette e groupe d accompagnement du projet for ts en libre volution e _ Panda Club 3 4 11 2 Projets d autoroute e laboration de nouveaux projets de convention concernant la route du Nor
82. annexes 9 1296 L61 du 3 3 1997 asor eur aser assor Jasser _ 1510658 Loue m59 saus ES US enes Moarns DEER A 2 LE PS gt gt RER e EY mene sues PE E ereo Minana 0957999 aaas RER e E 0200 EE RR RER 31112000 1 320 du 18 122000 o 27200 01201 1 1 1 m 28 ENEE ETS EE DEE EH eege T E 112201 384 du 812 200 25 022008 15 26 022008 T E LU KE 2 ___ E 8 08 2003 L 215 du 27 08 2003 1497103 149703 149703 149703 149703 TT 26 04 2004 L 123131 du 27 04 04 EE e Een 28 04 2004 L 127 40 du 29 04 04 U 85404 83404 63404 83404 63404 TI Sont publi es au Journal Officiel 1999 C356 01 et 1999 C356 02 du 8 d cembre 1999 les adresses des autorit s scientifiques et des organes de gestion comp tents ainsi que les lieux d introduction et d exportation d sign s Au niveau national Le commerce des esp ces indig nes prot g es par les directives Habitats et Oiseaux est galement r gl depuis la nouvelle r glementation communautaire Le pr l vement commerce d esp ces indig nes prot g es est r gi par la loi pour la protection de la nature et des ressources naturelles de 2004 Les principaux textes l gaux garantissant l application de
83. annuel standardis est devenue n cessaire Le but tait de faire un seul rapport valable pour les petites installations aupr s des agriculteurs et les installations du type professionnel exploit es par des coop ratives Une premi re version du rapport a t envoy e et une r union avec les exploitants a t organis e pour fixer la forme d finitive du rapport Les diff rents rapports standardis s sont d sormais mis sur le site Internet de l Administration de l environnement et y peuvent tre t l charg s Sur demande ces rapports sont encore envoy s et imprim s sur papier ou sur support informatique pour les entreprises sans acc s l Internet 2 5 14 1 Base de donn e principale Apr s cr ation de la base RA 1 int gr e dans le syst me de gestion des donn es la base RA 2 pour la gestion des rapports annuels a t int gr e dans le syst me de gestion des transferts de d chets GD3 En 2004 le fichier pour la gestion des rapports annuels relatifs aux tablissements traitant des d chets a t install et mis en service Pour viter au maximum l encodage manuel des donn es les donn es sur support informatique sont int gr s par transfert automatique Les donn es de l ann e 2003 vont tre utilis es d un c t pour satisfaire les diverses demandes statiques et d autre c t pour tester la base 2 5 15 Les dossiers d autorisations d importation de valorisation et d lim
84. app ts r partis en 2004 tait de chaque fois 2 35 000 app ts pour les deux premi res campagnes et 2 70 000 app ts pour la derni re campagne soit en tout 280 000 app ts r partis en 2004 Afin d atteindre une r partition syst matique des app ts sur tout le territoire du pays l administration des Eaux et For ts a fix pour chaque lot de chasse le nombre de places app ts en moyenne une place app ts pour 50 ha de for t mais au moins une place pour chaque lot de chasse Ainsi les app ts sont r partis sur 1 750 places app ts diff rentes Le nombre d app ts r partir par place est par cons quent de 20 respectivement 40 pour la derni re campagne de vaccination La r partition des app ts sur le terrain t r alis e par les locataires de chasse sur leurs lots de chasse respectifs le pays compte 600 lots de chasse En vue de remettre les app ts aux locataires de chasse l administration des Eaux et For ts a install un r seau de 23 centres de distribution travers tout le pays quip s d un r frig rateur pour l entrestockage des app ts jusqu leur remise aux locataires de chasse Ces centres de distribution sont g r s par les pr pos s forestiers locaux qui assurent ainsi la remise des app ts aux locataires de chasse Cette remise a eu lieu les samedis matin respectifs entre 8 30 heures et 9 30 heures 3 5 2 2 La participation aux campagnes de vaccination La participation d
85. au Nord de Hautbellain faisant partie du bassin versant de la Meuse un projet de p turage extensif l aide de bovins de race Angus a t mis en place sur 6 ha de terrains domaniaux constitu s partiellement d anciennes coupes rases de r sineux en collaboration avec un 238 agriculteur local Des placettes permanentes mises en place et r guli rement contr l es permettent un monitoring de l effet du p turage sur la v g tation D autres mesures de gestion ont galement t suivies scientifiquement en particulier la fauche de la zone prot g e Ne wis ainsi que la r g n ration de la lande Op Baerel Les travaux d am nagement du sentier didactique via botanica dans la zone prot g e Freng Op Baerel RNRF13 ont t poursuivis en 2004 3 4 13 2 5 Propositions d acquisition En 2004 l arrondissement C N Nord n a pas pu effectuer d acquisition 3 4 13 2 6 Participation l laboration de dossiers de classement De nombreuses r unions et visites de terrains ont eu lieu dans le cadre du classement respectivement de la gestion des zones prot g es entre autres les suivantes e Vall e de la Haute S re e Conzefenn e Cornelysmillen e Fooschtbaach 3 4 13 2 7 Remembrements L arrondissement Nord a poursuivi les travaux de mise en oeuvre des mesures de cr ation de bandes herbac es dans le p rim tre du remembrement de Dellen en collaboration avec le Sicona C
86. automatiquement des cartes standardis es en fonction de la situation g ographique des objets s lectionn s ainsi que pour chacun des objets des formulaires permettant la saisie sur papier des informations utiles sur le terrain en vue d un encodage ult rieur au bureau Durant la phase de test la coh rence des donn es et de la base ainsi que le bon fonctionnement des applications d encodage et de traitement des donn es pu tre test cette fin des donn es r elles issues d une enqu te qui avait t men e aupr s des triages forestiers ont t encod es et valid es sur le terrain Les donn es existantes sur les arbres remarquables contenues dans une base de donn es part ont t v rifi es quant leur coh rence puis transf r es dans la nouvelle base de donn es 3 3 8 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus Si le traitement de conversion en futaie r guli re est apparu longtemps comme la solution pour assurer la production de bois de qualit et le renouvellement des peuplements il pr sente toutefois certaines limites En fait ce mode de traitement peut dans certains cas d boucher sur des peuplements artificialis s La circulaire minist rielle du 3 juin 1999 concernant les lignes directrices d une sylviculture proche de la nature par contre d finit un certain nombre d aspects auxquels il est demand de pr ter attention qui en fait sont solutionn
87. automne 2004 Ils disposent alors de temps suffisant pour engager les proc dures n cessaires pour la mise en place d un nouveau transformateur 2 5 10 Les actions de la Super Drecksk scht 2 5 10 1 La SuperDrecksK scht la Biirger 2 5 10 1 1 Les r sultats des collectes Les quantit s collect es au cours des derni res ann es sont reprises dans le tableau et le graphique suivant 113 Ann e Collectes Actions Service Quantit mobiles recyclage particuli res domicile totale EC us 1186 wei Gell 12100 130 86 A987 _ ont mut 13 15 oss nef en 1705 esm Cal es 4608 1990 102 Bo Del 76 10 ter am 430 Tea 275321 281002 556323 23 00 Cal ss nl 0 se r010 2004 482742 _ 1494606 Of 53400 mal 606 SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des quantit s collect es kg 2000000 1600000 1400000 1200000 O Service domicile O Actions particuli res 1000000 Centres de recyclage Collectes mobiles ww 600000 400000 200000 0 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Les quantit s collect es ont encore augment de 6 06 par rapport l ann e pr c dente En tout 2 036 tonnes de d chets probl matiques ont t collect es aupr s des m nages Ceci repr sente 4 5 kg hab an soit 200 grammes de plus que l ann e pr c dente Si on fait
88. autorisation Etables de plus de 200 b tes sur un m me site 149 2 Genehmigungsantrag Nr 149 2 Stallungen mit mehr als 200 Tieren auf der selben Anlage Formulaire de demande d autorisation D p ts permanents de fumier d une capacit totale de plus de 500 m 176 2 Genehmigungsantrag Nr 176 2 Permanente Depots von Stallung mit der Kapazit t von ber 500 m Formulaire de demande d autorisation Porcheries F 285 Genehmigungsantrag Nr 285 Schweinest lle F 285 Kurzexpose Schweinest lle 285 Expos succinct au sujet des porcheries EXP 285 Formulaire de demande d autorisation R servoirs de purin et lisier d une capacit totale de plus de 2 000 m F 298 2 Genehmigungsantrag Nr 298 2 Beh lter f r Jauche und G lle mit einer Gesamtkapazit t von ber 2 000 Beschreibung der besten verf gbaren Technik Boden und Wasserschutz zur G llelagerung in Erdbecken Lagunenform im Gro herzogtum Luxemburg Entwurf D claration relative la mise en exploitation d tablissements vis s par le r glement grand ducal du 26 juillet 1999 fixant les prescriptions g n rales pour les tablissements du secteur agricole qui rel vent de la classe 4 en mati re des tablissements class s Erkl rung hinsichtlich der Betriebsaufnahme von Einrichtungen die von der GroBherzoglichen Verordnung vom 26 Juli 1999 betroffen sind in der die allgemeinen Bestimmungen f r die landwirtschaftlichen Betriebe de
89. chef de cantonnement de Diekirch a continu si ger au moins deux fois par semaine comme membre suppl ant la Commission d Am nagement du Minist re de l Int rieur pris part 53 r unions Avec l entr e en vigueur de la nouvelle loi sur l am nagement des villes et autres agglom rations importantes le soussign a de nouveau t d sign membre suppl ant Mais dor navant sa participation ne sera plus si intensive vu que le membre effectif issu du minist re de l Environnement participera plus activement 3 2 6 Mersch 3 2 6 1 Exploitation des coupes Le volume exploit pour l exercice 2004 s l ve 36 154 09 dont 18 086 48 m de feuillus et 18 067 61 m de r sineux 3 2 6 2 Vente de bois Le nombre de soumissions s est lev sept La recette totale de ces bois s est lev e 1 110 003 71 EUR TVA incluse 3 2 6 3 Etat sanitaire de la for t Une nouvelle forme de d p rissement du h tre a t constat e dans les for ts soumises des triages de Beckerich Boevange R dange et Hobscheid Une tude ce sujet est en cours Environ 3 000 de r sineux d p rissent suite la chaleur extraordinaire de l t 2003 ont d tre exploit s au Roost en 2004 3 2 6 4 R g n ration plantation travaux de culture D apr s les principes d une sylviculture proche la nature les for ts sont r g n r es de pr f rence naturellement le reboisement artificiel n est qu
90. cier sur place les efforts mis en uvre l exp rience gagn e au fil du temps et la r ussite cologique manifeste Le cantonnement forestier de Kirchheim unter Teck D nous a rendu une visite d une semaine Nous avons pu proc der des changes de vues sur des sujets d ordre forestier cologique social ou organisationnel Le cantonnement de Tr ves D a pu appr cier la sylviculture du ch ne mise en uvre dans les alentours de Grevenmacher En outre ils ont pu se rendre compte de la diversit des t ches dont est charg e notre administration Lors de la visite de la Syre renatur e aux alentours de Mensdorf le projet d agriculture extensive y mis en uvre a particuli rement impressionn nos visiteurs Nous nous sommes rendus sur le Plateau de Langres F pour visiter des for ts trait es en futaies irr guli res L exp rience de nos coll gues fran ais sera b n fique pour la gestion de nos propres peuplements Le cantonnement s est rendu la station de recherches foresti res de Trippstadt D pour s informer sur le programme Peuplement graines Celui ci consiste prendre des boutures sur des essences rares aux fins de pr server le mat riel g n tique de l esp ce et de le r g n rer dans des jardins am nag s cet effet Le but consiste croiser les diff rents exemplaires afin de pouvoir r colter les graines Le programme a t adopt et poursuivi de fa on ce qu en 2005 une premi re essence rare
91. cifiques Piles et accumulateurs La quantit de piles et d accumulateurs collect e en 2004 est presque identique celle collect e en 2003 Seulement une augmentation de 0 76 a pu tre constat e 115 SuperDrecksK scht fir Biirger Evolution des quantit s de piles et accumulateurs collect s kg 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 Une analyse plus d taill e montre cependant qu il y a une volution en ce qui concerne les modes de collecte Alors que les quantit s provenant des collectes mobiles ont diminu de 8 78 celles provenant des r cipients de collecte ont augment de 203 Dans le cadre de la SuperDrecks scht fir Betriber des quantit s de 25649 3 kg de piles et d accumulateurs ont t collect s C est ainsi que la SuperDrecksK scht a collect une quantit sp cifique de 208 6 g par habitant Briquets Le projet sp cifique de collecte des briquets usag s a permis d en collecter 263 95 kg soit une augmentation de 55 63 Sachant qu un briquet usag a un poids moyen de 10g cette masse repr sente quelques 263 950 unit s Si les briquets usag s ne constituent pas forc ment un grand probl me environnemental ils repr sentent n anmoins un facteur d ins curit consid rable tant pour les usag s que dans les processus d limination incin ration mise en d charge Huiles et graisses alimentaires En 2004 les quantit s d huiles et de graisses alim
92. compose de la mani re suivante e r alisation d une bibliographie francophone sur la gestion foresti re en irr gulier et la conversion des futaies r guli res en futaies irr guli res e recueil d exp riences pratiques en France sur des r gions naturelles comparables aux conditions stationnelles luxembourgeoises ou s en approchant e synth se des itin raires techniques mis en uvre partir de l tat initial des peuplements 214 e analyse sommaire des diff rents exemples collect s difficult s rencontr es co t de conversion dur e chance de succ s degr d artificialisation La collaboration avec l ONF a galement permis d organiser deux visites sur le terrain tr s int ressantes et tr s fructueuses entre gestionnaires de terrain pour voir et analyser sur le terrain des cas concrets une en France dans la r gion de Langres et une au Luxembourg dans les r gions du Gruenewald et du Muellerthal L tude a galement t pr sent e devant une d l gation du personnel de l Administration Le rapport a par contre aussi mis en vidence les limites de l application d une sylviculture en irr gulier savoir e ma trise parfaite des densit s d ongul s sans quoi tous les efforts investis seront tr s rapidement an antis e intensification des travaux d am nagement et de suivi dendrom trique tant donn que dans le cadre d une sylviculture en irr gulier un pilotage vue comprend un risque majeu
93. d arbres remarquables L arrondissement C N Nord a contribu la protection la restauration et la sauvegarde de 33 arbres remarquables par des tailles d lagage et d claircissement et des mesures de stabilisation 3 4 13 2 3 Plantation dans le cadre de la campagne de cr ation de biotopes en zone verte Dans le cadre de la campagne de cr ation de biotopes en zone verte l arrondissement C N Nord a mis disposition de communes et de collectivit s locales 4195 plants de haies d arbustes et 35 arbres haute tige et 11 arbres fruitiers En outre 227 nichoirs pour diverses esp ces d oiseaux et de chauves souris ont t mis disposition des pr pos s forestiers du cantonnement de Wiltz 3 4 13 2 4 Travaux de gestion dans les r serves naturelles L arrondissement a organis la gestion des zones prot g es en particulier la fauche de zones humides avec vacuation des foins Les z p suivantes ont t entretenues Basbellain Kirchermillen 3 ha Binsfeld Lukeschbaach 2 5 ha Wincrange Ramescher 3 ha Heinerscheid Irich 2 ha Heinerscheid D iffebour 3 ha Grosbous Nei wis 4 ha Weicherdange Br ichen 30 ares Hosingen Sauerwisen 1 5 ha Rambrouch Neimillen 1 ha Bruch 2 ha Comme au cours des ann es pr c dentes une partie de ces surfaces a ensuite t p tur e par des moutons Ce p turage a t organis et accompagn par l arrondissement Dans la z p Fooschtbaach
94. de 40 ug m comme en 2003 lors d un programme de mesurage identique celui ci Les particules se situent des niveaux inf rieurs aux valeurs limites en vigueur La concentration 24 heures de 55 est d pass e une fois Schifflange durant ces 2 semaines de mesurages le r glement tol re 35 d passements de cette valeur par an Comme le montre le tableau ci dessous si l on compare tr s approximativement la moyenne de 30 ug m sur 14 jours de 71 particules mesur es on se situe en dessous de la valeur limite annuelle de 41 6 ug m fix e pour l ann e 2004 Pour les m taux lourds pr sents parmi les particules ni la valeur limite du plomb ni les propositions de valeurs cibles pour le nickel le cadmium et l arsenic ne sont d pass es Des sites de mesure en continu seront probablement n cessaires l avenir installer en milieu urbanis proximit directe pour acqu rir plus de certitude quant aux niveaux en et en m taux lourds susceptibles d tre rencontr s pr s de ces deux sites industriels Le contr le des teneurs dioxines furannes et dans les poussi res voir tableau dessous montre que les valeurs cibles dlemandes sont respect es Ceci est vrai pour le total des PCDD PCDF PCB pr sentes dans l air ainsi que pour les 2 3 7 8 TCDD le groupe de dioxines le plus toxique Les niveaux sont inf rieurs aux valeurs cibles Les teneurs en benz
95. de 50 Les chiffres relatifs l volution du kilom trage des haies ainsi que de rang es d arbres sont tout aussi inqui tants 13 8 pour les haies et 25 8 pour les rang es d arbres 14 Les tendances observ es r sultent d une urbanisation croissante des fonds dans les zones test ainsi que de restructurations dans le domaine de l agriculture vers une utilisation plus intensive des fonds Les r sultats de l tude tant jug s probants la m thodologie d velopp e a t par la suite appliqu e une surface d environ 650 km2 repr sentative du territoire national Les r sultats de cette tude sont attendus pour la fin du premier trimestre 2005 1 3 3 L tablissement d un cadastre des haies et arbres solitaires au niveau des communes A partir du constat que les haies et arbres solitaires constituent des biotopes d une valeur cologique et paysag re et qu ils sont soumis une pression croissante r sultant de l urbanisation et des pratiques agricoles le Minist re de l Environnement fait laborer un programme informatique alphanum rique avec extension possible vers un syst me d information g ographique permettant dans un premier temps l tablissement d un inventaire pr cis de ces structures au niveau d une commune ainsi que l organisation des mesures de gestion visant les entretenir et am liorer Cet outil d utilisation tr s simple permettra ains
96. de la directive habitats article 17 e n cessit d tablir une valuation appropri e des incidences pour tout plan ou projet susceptible d affecter un site Natura 2000 de mani re significative article 12 e refus du plan ou projet par le ministre de l environnement s il porte atteinte l tat de conservation du site concern article 12 2 celles apportant une actualisation et une pr cision l gales non en relation avec la transposition desdites directives notamment au niveau des articles suivants e article 1 introduction de la sauvegarde de la diversit biologique comme objectif de la loi le Luxembourg s y est d ailleurs engag en signant la Convention sur la diversit biologique e article 40 diff renciation de la zone prot g e d int r t national soit en r serve naturelle soit en paysage prot g permettant de mieux distiller les interdictions et r glementations en fonction des menaces pesant sur les sites que le Gouvernement entend prot ger ainsi que de favoriser une meilleure perception du statut de protection par le grand public e articles 46 48 en vue de responsabiliser les communes en mati re de protection de la nature et d y renforcer leur r le la cr ation d zones d int r t communal est d finie et la proc dure de d signation fix e e articles 51 52 la d claration de zones prot g es d int r t national doit tre bas e sur une strat gie nationale en mat
97. de la nature Etant donn qu il s agit d une application qui repose sur une architecture web l int gration des pr pos s forestiers est maintenant possible Un groupe pilote de pr pos s forestiers a t form en d cembre 2004 Ces agents de l administration des Eaux amp For ts sont maintenant totalement int gr s dans le flux des dossiers CN D s lors le rapport du pr pos forestier peut tre int gr dans le dossier lectronique ce qui repr sente une avanc e pr cieuse pour l ensemble du traitement du dossier 1 5 4 GIS Mise disposition d informations g ographiques num riques Tout comme les ann es pr c dentes le Minist re de l Environnement a t sollicit maintes reprises pour la mise disposition de donn es g ographiques num riques Les requ rants sont en majeure partie constitu s de bureaux d tudes travaillant sur des projets environnementaux Il s agit entre autres des donn es suivantes Occupation Biophysique du Sol Donn es Topographiques Orthophotos R serves Naturelles Zones Habitats Zones Oiseaux Corine Landcover 2000 1 100000 Limites administratives 1 5 5 Infrastructure informatique Gr ce la livraison de 6 nouveaux PC par le Centre Informatique de l Etat l infrastructure informatique du Minist re de l Environnement a pu tre significativement am lior e en 2004 Les agents sp cialement recrut s pour la Pr sidence luxembourgeoise du Co
98. de notifications est la suivante volution des dossiers de notifications 600 500 400 EXPORT o NATIONAL IMPORT TRANSIT 300 200 100 0 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 133 L volution du nombre des transferts notifi s est la suivante volution du nombre de transferts de d chets notifi s 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2 5 13 1 8 Tableaux 2 5 13 1 8 1 D chets export s La quantit de d chets export s en 2004 a diminu de 6 vis vis de l ann e 2003 ce qui s explique par la diminution consid rable de l exportation de terres contamin es en 2004 de 16 68 D chets export s par pays seulement d chets soumis une proc dure de notification 2002 2003 All SE Autriche 7 Belgique France Pays Bas 134 D chets export s par pays 2002 2003 et 2004 seulement d chets soumis une proc dure de notification quantit s kg pays traitement 2002 2003 2004 Autriche Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui 153690 134990 298480 sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques Belgique 001 D p t sur ou dans le sol ex mise en d charge 3100 6280 1260 Belgique D05 Mise en d charge sp cialement am nag e p ex placement 4020 10420 0 dans de
99. demand es en date du 22 ao t 2000 et nous sont parvenues en date du 19 juin 2003 Suite des modernisations et des adaptations continuelles de leur processus de production les informations ont fr quemment chang en cours d laboration Finalement apr s concertation sur place l arr t a pu tre d livr en date du 9 novembre 2004 Un recours gracieux a t introduit par Hydroalmuminium en date du 7 d cembre 2004 pour pouvoir adapter de fa on pr cise l arr t Celui ci a t d livr en date du 10 janvier 2005 Dossier N 1 98 0295 Dossier D chets N 98 PT 09 145 L entreprise Guardian S A avait introduit un dossier de demande pour pouvoir utiliser des d chets de verre dans son usine Luxguard I de Bascharage en date du 3 octobre 2002 Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 7 mars 2003 Elles nous ont t transmises en date du 11 avril 2003 Des renseignements compl mentaires nous sont parvenus en date du 9 mars 2003 L arr t t d livr en date du 20 juillet 2004 Dossier N 1 02 0436 Dossier D chets N 02 PT 12 Le dossier de demande concernant l assainissement de l ancienne charge de l usine CASA Dommeldange situ e Dommeldange et introduit par Dommeldange en date du 4 juin 2002 et qui a t compl t en date du 14 f vrier 2003 a pu tre finalis L arr t minist riel a t envoy en tant que projet MecanArbed Des modificat
100. des cours d eau de notre pays Ce document propose deux grandes lignes pour la gestion de ces peuplements savoir le changement des peuplements r sineux en peuplements feuillus et la gestion agricole extensive avec le but d activer ces surfaces pour la protection de l environnement naturel 3 1 14 Commercialisation du bois de trituration La direction des Eaux et For ts a r ussi au cours de l ann e 2004 diversifier l coulement du bois de trituration feuillu essentiellement h tre et ch ne en int ressant une grande entreprise du sud du pays un contrat de vente de bois Le volume de bois de trituration feuillu varie entre 40 000 et 60 000 n an Ce volume constitue environ la moiti du volume de bois feuillu r colt Au cours des derni res ann es nous n avions notre disposition qu un seul acheteur savoir une fabrique de p te papier domicili e Harnoncourt B Cette d pendance totale vis vis d une seule entreprise constituait un risque commercial majeur L coulement de volume de bois de trituration reposera dans le futur sur un troisi me pilier savoir l utilisation du bois de trituration des fins d nergie par le biais des chaudi res copeaux de bois Le tableau ci dessous reprend les installations de chauffage copeaux de bois communales r alis es jusque fin 2004 Kommunale Hackschnitzelanlagen in Luxemburg Stand 01 2005 Mompach Born Niederanven Qberanven
101. des r sultats le nombre des chantillons de sols pr lev s tait de 635 Le nombre de r sultats d analyse variait en fonction des param tres tant donn que diff rents laboratoires taient concern s par les analyses Param tres Nombre de r sultats d analyse en juin 2004 pH mati re organique substances fertilisantes M taux lourds M taux lourds mobiles Hydrocarbures polycycliques organiques polychlorobiph nyles PCB La base de donn es permet de faire diff rentes valuations des r sultats et de tracer ainsi une image de l tat des sols luxembourgeois Ci apr s sont montr s quelques exemples extraits de la base de donn es Le pH de la couche sup rieure des sols 0 30 cm en fonction de l utilisation des sols pH Werte der Oberb den aller Standorte Acker Getreide Gr nland Wiese Median L 25 75 GE Min Max Acker H lsenfr chte Wald und Forst allg Gr nland M hweide Sonderkultur Reben g a 2 gt O lt Brachfl che Graslandbrache 159 La r partition de la concentration arsenic dans les sols luxembourgeois Verteilung der Arsenkonzentrationen 2 20 bad 26 25 30 35 40 gesamt mg kg TS Le graphique montre la relation entre la concentration en cuivre dans les sols et l utilisation des sols dans la r gion sud est du pa
102. devenir un l ment important de la premi re phase du Programme europ en sur le changement climatique cr en juin 2000 A cet effet le projet de r glement qui se fonde sur les articles 95 et 175 du trait vise le confinement l utilisation la r cup ration et la destruction des gaz effet de serre fluor s figurant dans l annexe A du protocole de Kyoto Il r glemente galement l tiquetage et l limination des produits et des quipements contenant ces gaz la notification d informations concernant ces gaz l utilisation de l hexafluorure de soufre la mise sur E march des produits et quipements contenant des gaz effet de serre fluor s ou dont le fonctionnement repose sur ces gaz ainsi que la formation et la certification du personnel intervenant dans les activit s vis es par le projet de r glement Le projet de directive s applique sp cifiquement aux missions de gaz effet de serre fluor s provenant des syst mes de climatisation install s dans des v hicules moteur Il pr voit un syst me progressif de suppression des quipements de climatisation dont le potentiel de r chauffement plan taire est sup rieur 150 b D bat d orientation Le Conseil a men un d bat sur le financement de Natura 2000 partir d un document de r flexion de la pr sidence relatif la communication de la Commission sur le m me sujet 23 La Commission propose d int grer Natura 2000 dans les po
103. diagrammes et de cartes Le d pliant de poche contient 14 pages AS polychromes et est envoy gratuitement toute personne qui en fait la demande 3 3 10 4 Les articles sur l Inventaire Forestier National Deux articles de publication sur l Inventaire Forestier National ont t r dig s en collaboration avec la Facult des Sciences Agronomiques de Gembloux savoir e un article ayant pour but de pr senter de mani re g n rale les r sultats de l IFLI intitul La for t du Grand Duch de Luxembourg sous la loupe de l inventaire forestier national publier dans SylvaBelgica le p riodique de la Soci t Royale Foresti re de Belgique avec les chapitres suivants Introduction Pr sentation g n rale de la for t grand ducale Composition de la for t Conditions stationnelles _ R g n ration de la for t Ressources en bois Exploitation de la for t D g ts Diversit biologique en for t Bos mort Fonctions r cr ative et sociale Conclusions R f rences bibliographiques e un article plus scientifique sur l aspect innovateur des relev s ayant trait la diversit biologique ainsi que des potentialit s de traitement de ces donn es intitul L inventaire forestier national permanent du Grand Duch de Luxembourg et ses aspects m thodologiques para tre dans la Revue Foresti re Fran aise avec les chapitres suivants Introduction
104. dimensions moyennes 2 3b Ainsi depuis octobre 2003 les prix sont la hausse En octobre 2004 les prix pr sentaient une hausse de 10 par rapport la m me p riode de l ann e pr c dente soit 58 n classe 2b A en croire aux informations des pays limitrophes les prix vont augmenter davantage 65 n Sur la totalit des bois r sineux vendus bords de route soit quelque 15 000 m une hausse de 6 3 pu tre constat e par rapport aux recettes de 2003 soit une augmentation du prix moyen de 17 177 Outre le mode de vente la pr sentation de gros lots gt 1 000 m lot joue galement en faveur du prix Ainsi pour les gros lots d pic a de dimension moyenne 2a 2b les meilleurs prix se situaient 107 des prix de base Les bois de plus faible dimension taient vendus des prix de 85 95 3 2 4 3 Bois de chablis En 2004 les d g ts de chablis au cantonnement de Wiltz taient insignifiants 3 2 4 4 Etat sanitaire de la for t Suite aux conditions m t orologiques hors du commun en 2003 on a pu s attendre des r percussions n fastes sur l tat sanitaire de la for t Cet effet n gatif a pu tre constat surtout au d but de l ann e par des d g ts massifs en r sineux occasionn s par le bostryche mais ceci surtout en for t priv e Due aux conditions climatiques favorables de l automne 2003 une 3 g n ration de bostryche a hibern sous l corce des
105. du mat riel de conception plus moderne La menace d un manque d approvisionnement en pi ces de rechange pour pouvoir faire fonctionner les anciens automates de gestion est ainsi cart e En 2004 le nombre de contr le des talonnages corrects des analyseurs en station de mesure s l ve 32 pour un total de 102 pr vus voir tableau ci dessous Le manque de personnel est l explication essentielle pour ce nombre insuffisant d interventions Remarquer que la qualit des mesures peut tre garantie qu l aide d un programme de calibrage rigoureux et fiable li un programme efficace de maintenance pr ventive et corrective Le tableau r capitulatif c dessous montre le nombre d interventions de contr le des calibrages des analyseurs et le manque de visites rattraper pour garantir un service assurance qualit performant L arriv e depuis ces derni res ann es des m thodes de mesure plus complexes telles que la chromatographie en phase gazeuse coupl e l ionisation de flamme utilis es pour pouvoir mesurer les polluants organiques sp cifiques tels que le benz ne stations Luxembourg Ville Centre Hamilius et Luxembourg Bonnevoie et les polluants organiques volatils pr curseurs de l ozone mesurer en milieu rural n cessitera une prise en charge dans le d tail par du personnel sp cialis de l Administration de l Environnement Luxembourg Luxembourg Elvange Mont St Station de Centre B
106. e 2004 les d veloppements du nouveau syst me informatique servant au traitement des dossiers introduits dans le cadre de la loi concernant la conservation de la nature et des ressources naturelles ont t poursuivis En novembre 2004 cette nouvelle application de gestion des dossiers de conservation de la nature fut mise en production La migration des dossiers et des informations de l ancienne base de donn es vers la nouvelle s est tr s bien pass e Au cours des d veloppements le CRP HT et le MEV ont constitu une cellule de testing et ont mis en place une infrastructure permettant de r pertorier tous les probl mes et de suivre l avancement des travaux Plus de 300 bugs et demandes de modifications ont ainsi pu tre rapport s au prestataire de service et tre r solus avant le d ploiement final afin de ne pas perturber les utilisateurs dans leur travail quotidien Lors d une pr sentation un deuxi me prototype fonctionnel a t mis disposition des utilisateurs afin de recueillir un maximum de commentaires sur la nouvelle application et de pouvoir subvenir encore plus sp cifiquement aux besoins des utilisateurs La transition vers la nouvelle application a t assur e par des formations avanc es tous les utilisateurs Une formation a t organis e conjointement par le Centre de Recherches Public Henri Tudor CRP HT et le MEV pour l ensemble des agents traitant les dossiers concernant la conservation
107. es soit en classe soit sur le terrain Les sujets trait s taient les suivants notions l mentaires de la l gislation nationale et communautaire les d chets d finitions et cat gories les modes de gestion des d chets inertes le contr le des d chets le recyclage des d chets inertes la gestion quotidienne d une d charge l ments essentiels prescrits par les autorisations les d charges aspects techniques les d charges aspects g ologiques les risques environnementaux et sant la construction de remblais la gestion de conflits 2 5 2 4 L exposition mobile et le CDRom D Emwelt notzen d Emwelt schounen Le 16 novembre 2004 la Division des d chets pu pr senter une nouvelle exposition mobile appeke D Emwelt notzen d Emwelt schounen ainsi qu un CDRom portant le m me nom L exposition se compose de 20 panneaux en textile et d une caisse avec du mat riel de d monstration Son but est de montrer la relation entre l activit de l homme et les changements de notre environnement En regardant le cycle de vie d un produit une pomme qui vient soit du Luxembourg soit d un pays lointain p ex Indon sie nos habitudes de consommation sont mises en questions L exposition veut surtout passer le message que chacun peut choisir entre plusieurs possibilit s c d avec des gestes simples chacun peut aider pr server dans son quotidien notre environnement 87 Die Umwett nutzen Die Umwelt nutzen
108. est notamment e d encourager les comportements compatibles avec le d veloppement durable et plus particuli rement h protection de la qualit de l air la r duction du r chauffement plan taire et de la pollution sonore e d am liorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualit de l environnement e de mettre en exergue les alternatives l automible en tant que moyen de d placement et de promouvoir l intermodalit La journ e nationale a eu lieu le 22 septembre 2004 donc un mercredi A l occasion de cette journ e les transports en commun offraient un service gratuit tous les utilisateurs Le minist re de l Environnement avait lanc une campagne de sensibilisation au niveau national spots radio annonces dans les journaux affiches colonnes Meurisse 1 1 5 Les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables L ann e 2004 tait marqu e par les discussions autour de l laboration du plan rational d allocation de quotas d mission pr vu par la directive 2003 87 CE du 13 octobre 2003 tablissant un syst me europ en d change de droits d mission Les services du minist re de l Environnement ont eu de nombreuses r unions avec le comit interminist riel Environnement Economie Finances Logement Transports et avec les milieux industriels concern s la FEDIL et les ONGs environnementales La Tripartite nationale
109. et celles Amaltheus margaritatus Im2 Les premi res sont constitu es d argilites marneuses sableuses grises Les secondes sont des marnes argileuses grises concr tions calcaires ferrugineuses et fossilif res Ces marnes sont recouvertes par une argile d alt ration parfois paisse elle m me surmont e par un d p t souvent mince 20 60 cm de limon M thode de travail Pr s de 400 points de sondage ont t r alis s sur le domaine forestier communal de Bettembourg ce qui correspond une densit moyenne d un point de sondage par hectare Ces points de sondage r pertori s ont en outre t compl t s par de nombreux coups de sonde interm diaires simplifi s afin de v rifier la continuit d une unit p dologique et de pr ciser ainsi les limites de celle ci S lectivement un test l acide HCI 20 est pratiqu sur la charge la terre fine ou le substrat afin de d tecter la pr sence de calcaire Pour un sondage sur deux un chantillon de sol est pr lev une profondeur moyenne de 15 et 20 cm dans l horizon min ral Ah afin de d terminer le niveau trophique des stations par l interm diaire de l analyse du pH De nombreux chantillons pr lev s la surface sont galement soumis un test d acidit HCI 20 afin de d tecter la pr sence de calcaire dans la terre fine Afin de mieux appr hender les diverses natures du sol et en particulier la structuration des sols lourds 11 profi
110. favorable Selon les estimations du Minist re de l Environnement 3 millions d par an sont n cessaires en r gime de croisi re pour assurer une gestion ad quate des sites en question Ce r glement couvre tout le milieu naturel et cr e des programmes sp cifiques pour le milieu rural forestier aquatique et urbain La gestion globale des sites sera effectu e par l Administration des Eaux et For ts ce qui n cessitera un renforcement substantiel du Service de la Protection de la Nature en moyens humains 1 1 6 3 La poursuite de la r alisation d un r seau de zones prot g es d int r t national En 2004 le Minist re de l Environnement proc d au classement d une nouvelle zone prot g e s agit du site Deiwelskopp sis sur le territoire de la commune de Mompach r glement grand ducal du 2 avril 2004 On t avalis s par le Conseil de Gouvernement en 2004 les projets de r glement grand ducaux visant le classement en zones prot g es des for ts Enneschte Besch Betebuerger Besch Langmuervet Pettener Besch et qui entre temps ont t introduits dans la proc dure l gislative 1 1 6 4 La Convention de Washington CITES Au niveau europ en La Convention et les r glements europ ens ont cr 8 statuts de protection diff rents I et A B D et Art 4 pour environ 30 000 esp ces de la faune et de la flore sauvages Pour chaque esp ce le statut mondial et le statut com
111. installations photovolta ques b n ficient d une aide financi re de 0 55 par kWh respectivement 0 50 par kWh pour les installations mises en service partir du ler janvier 2003 et respectivement 0 45 par kWh kWh pour les installations mises en service partir du ler janvier 2004 et les installations d nergie hydraulique et de biogaz d une aide financi re de seulement 0 025 par kWh Il faut galement souligner que l lectricit produite partir des oliennes b n ficie des tarifs accord s dans le cadre du fonds de compenstation de sorte que seulement les installations d une puissance sup rieure 1 800 kW ont b n fici de la prime d encouragement cologique R partition des primes accord es par type d installation Ann e 2004 21 9 6 64 2 Capteur solaire photovolta que Centrale hydro lectrique O Eolienne installation fonctionnant au biogaz Situation au 24 1 2005 R partition de l nergie produite par type d installation Ann e 2004 8 52 2 Capteur solaire photovolta que Centrale hydro lectrique O Eolienne installation fonctionnant au biogaz Situation au 24 1 2005 81 2 5 Division des d chets 2 5 1 Les activit s dans le domaine l gislatif et r glementaire 2 5 1 1 Les activit s au niveau communautaire 2 5 1 1 1 La directive 2002 95 CE relative la limitation de certaines substances dangereuses dans les quipements lectriques et
112. jug es substantielles par l administration Ce chiffre inclut aussi les dossiers introduits en vertu de la l gislation relative aux tablissements class s pr c dant celle du 10 juin 1999 En 2004 100 nouveaux dossiers ont t introduits La majeure partie des nouveaux dossiers concerne des modifications ou transformations d tablissements existants et non des demandes d autorisation initiales 2 3 2 5 2 Inspections environnementales Au cours de l ann e 2004 environ 200 contr les environnementaux ont t effectu s Sous contr les environnementaux on entend non seulement les contr les d tablissements sur base de visites des lieux mais aussi les contr les de rapports de r ception ou de contr les p riodiques effectu s par des personnes agr es 47 Environ 35 visites des lieux ont t effectu es 2004 par les agents du Service Ces visites ont t faites suite des r clamations p ex de la part du voisinage d un tablissement incommod par des nuisances de bruit ou d odeurs D autres contr les ponctuels de certains tablissements ont t effectu s soit sur demande du Parquet du Tribunal d Arrondissement soit en collaboration avec la Police Grand Ducale Par ailleurs amp s rapports de r ception ou de contr le p riodique sont impos s soit par les autorisations minist rielles soit par ds lois ou des r glements grand ducaux Ces rapports sont valu s et les suites n cessaire
113. l Environnement laboration de dossiers de classement de R serves Foresti res Int grales cf Service de l Am nagement des bois e laboration de dossiers de soumission pour les sites Natura 2000 cf Service de la Conservation de la Nature e mat riel forestier de reproduction 3 1 2 Personnel 3 1 2 1 Relev du personnel Le tableau ci dessous repr sente l effectif de l administration des Eaux et For ts De l analyse ressort que l effectif a diminu en 2004 de deux personnes par rapport 2003 162 EE Personnel stagiaires Ing nieurs R dacteurs Exp ditionnaires administratifs Exp ditionnaires techniques Pr pos s Agents de Police 1 Employ s toutes carri res confondues 121 5 3 1 2 2 Affectation du personnel fin 2004 fonctionnaires stagiaires Mouvements au Fin 2004 cours de 1 69 E 1 2 1 4 119 5 4 1 lt Le tableau ctdessous repr sente l affectation du personnel de 1 Administration des eaux et for ts ses diff rents services ment nements P che sements 5 7 89 Ing nieurs 4 5 LU Je JI DD dhs es ho R dacteurs 2 le i ae m administratifs Exp ditionnaires 2 2 2 2 EE E PF Pr pos s Je 62 eg fes BS EE BE Agents de Police J1 __ EEE Owo S O Employ s 2 5 1 5 1 0 5 3 8 5 confondues 3 1 2 3 Formation Plusieurs formations continues ont t
114. l ensemble des services de la SuperDrecksK scht est regroup sur un m me site Le comit d accompagnement de SuperDrecksK scht regroupant d une part l Administration de l environnement la Chambre des M tiers et l ex cutant de l action et d autre part des repr sentants du Conseil chevinal des habitants de la cit attenante ainsi que des repr sentants du corps de police et des sapeurs pompiers s est r uni au cours de l ann e trois reprises Au cours de ces r unions l volution des actions en g n ral et celle des activit s sur le site de Colmar Berg en particulier ont t pr sent es et discut es 2 5 11 Les d chets inertes 2 5 11 1 Les mesures en faveur du recyclage des d chets inertes Des tudes ont t entam es en vue de l am lioration du recyclage des d chets inertes L objectif est de mettre en place un syst me de surveillance de qualit des d chets inertes recycl s Ces travaux sont effectu s par un bureau d tude en collaboration avec le laboratoire de contr le et d essais de l Administration des ponts amp chauss es 2 5 11 2 Le plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes Apr s approbation du projet du plan directeur sectoriel d charges pour d chets inertes par le Gouvernement dans sa s ance du 5 d cembre 2003 les Ministres de l Environnement et de l Int rieur ont transmis en date du 13 f vrier 2004 ce projet aux commun
115. la Convention sont e Loi du 19 f vrier 1975 portant approbation de la Convention sur le commerce international des esp ces de faune et de flore sauvages menac es d extinction sign e Washington le 3 mars 1973 e du 21 avril 1989 portant approbation des Amendements de Bonn du 22 juin 1979 et de Gabarone du 30 avril 1983 la Convention sur le commerce international des esp ces de faune et de flore sauvages menac es d extinction sign e Washington le 3 mars 1973 compl tant la loi du 19 f vrier 1975 portant approbation de la Convention sur le commerce international des esp ces de faune et de flore sauvages menac es d extinction sign e Washington le 3 mars 1973 e R glement grand ducal du 21 avril 1989 portant application de la Convention de Washington sur le commerce international des esp ces de faune et de flore sauvages menac es d extinction ex cution des r glements communautaires relatifs l application dans la Communaut de cette Convention La composition de l autorit scientifique luxembourgeoise peut tre consult e dans le M morial B N 20 du 22 mars 2001 Le Minist re dispose suite une exposition itin rante r alis e 2001 sur initiative de l administration des Douanes et Accises de mat riel n cessaire des campagnes de sensibilisation du public 1 1 7 La promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel Les commun
116. la nature Une version remani e du projet de loi tenant compte de lavis du Conseil d Etat en date du 28 septembre 2004 sera finalis e d but 2005 1 1 8 Collaboration du Minist re de l Environnement aux planifications en cours en mati re d am nagement du territoire Le Minist re de l Environnement la suite des conclusions de Integratives Verkehrs und Landesentwicklungskonzept et des actions pr vues au programme gouvernemental d ao t 2004 a lanc une tude conceptuelle visant clarifier la port e les objectifs atteindre le cadrage r glementaire ainsi que les interrelations avec des planifications en cours du projet de plan directeur sectoriel Grands ensembles paysagers et massifs forestiers d un int r t particulier Ce plan sectoriel a comme objectif premier le maintien et la protection tant en ce qui concerne l tendue que la fonction des grands ensembles paysagers et des massifs forestiers Il s agit dans un premier temps d identifier et de d limiter ces espaces et ensuite de d finir les mesures visant leur protection et leur d veloppement avec la pr cision et les arguments d taill s la base de leur d signation conform ment la proc dure r glementaire applicable l instrument du plan directeur sectoriel L tude conceptuelle dont l ach vement est pr vu pour mars 2005 vise pr ciser la d marche appliquer l laboration du plan faire un inventaire et
117. labor par l Administration de l environnement dans le cadre des dispositions de la loi pr cit e Ce projet permet galement d aborder de mani re pratique la technologie du dioxyde de carbone R744 en tant que r frig rant Le comportement ainsi que l efficacit nerg tique du R744 seront compar s un syst me classique fonctionnant au R404A et ce dans des conditions d utilisation r elles 44 2 3 2 3 2 Dossiers du service Immeuble et Gestion de Energien Le tableau suivant repr sente un relev succinct des dossiers de demande introduits les trois derni res ann es aupr s du service Immeuble et Gestion de l Energie Type de dossier Nombre de Nombre de Nombre de dossiers introduits dossiers introduits dossiers introduits EE Commerce cases El Commerce chasse a rmo 7 d ondes magn tiques Installation de cog n ration Etablissement d h bergement restaurant R sidence avec parking souterrain Postes de transformation SOMME 341 On constate que le nombre de dossiers varie d une ann e l autre L augmentation entre 2002 et 2003 vient principalement du fait que le nombre de dossiers concernant les metteurs d ondes magn tiques a augment On peut constater par ailleurs que le nombre de dossiers introduits en 2004 a baiss par rapport l ann e 2003 Ceci provient essentiellement du fait que le nombre de dossiers concernant les metteurs d ondes mag
118. lange d esp ces indig nes et sont soumises diff rentes intensit s de fauchage La d limitation des zones v g tation entretenues de mani re extensive est r alis e au moyen de poteaux en bois ce qui refl te le caract re rural de notre paysage Diff rents projets ont t r alis s e plantations cologiques autour de la station d puration Schifflange e am nagement cologique le long de la r naturation Hesperange e am nagement cologique des alentours du nouveau lyc e Mamer Diff rents projets sont en cours de r alisation am nagement cologique dans la zone industrielle ZARE Ehlerange am nagement cologique dans la zone industrielle du Windhof am nagement cologique dans la zone industrielle de Hosingen am nagement cologique de la future zone d activit Angelsberg pr s de Fischbach am nagement cologique dans la zone industrielle Bombicht Niederanven am nagement cologique dans la zone industrielle Leudelange am nagement des zones de verdures intraurbaines Schuttrange am nagement des zones de verdures intraurbaines dans la commune de P tange am nagement des zones de verdures intraurbaines Consdorf plantations cologiques autour de la station d puration P tange am nagements cologiques des alentours de l Institut St Joseph Betzdorf am nagement cologique du parc d agr ment Beaufort am nagement cologique du parc du
119. llchen et Haff R imech Les trois associations Objectif Plein Emploi ProActif et Co labor ont entre eux trouv un arrangement pour ne pas se faire de la concurrence Une troite collaboration entre eux provoqu e par le minist re de l environnement permet ainsi par exemple Co labor de travailler en sous traitance 3 4 13 1 11 Activit s diverses D gagement du terrain Paerdsmaart Grevenmacher P turage extensif au Potaschhof Participation la Journ e de l Arbre dans diff rentes communes R unions pour la gestion des r serves naturelles et des remembrements viticoles Gestion de la carri re de Lasauvage Nettoiement enl vement des ordures le long des sentiers touristiques R fection d installations r cr atives bancs Am nagement de d charges r gionales Modification des plans de constructions agricoles Elaboration et installation de 2 panneaux explicatifs au Kriipseweier Gonderange Ach vement du sentier viticole Remerschen sentier VITIS Ebauche d une brochure sur les am nagements cologiques l int rieur de l agglom ration 3 4 13 2 L Arrondissement CN Nord Traitement des dossiers d autorisation pr vus par la loi du 11 ao t 1982 resp du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles Entr s l arrondissement 381 dossiers Trait s l arrondissement 309 dossiers Le chef d arrondissement a particip
120. loi modifi e du 4 avril 1974 portant r organisation de l Inspection du travail et des mines ajout au personnel de la carri re sup rieure de l Administration de l Environnement des attach s de direction Sur base de la pr dite loi a t recrut un juriste en juin 2000 compl tant le cadre du personnel de la carri re sup rieure de l Administration de l environnement Dans l organisation interne de l Administration t cr un service juridique qui a pour t che principale de seconder la direction et les diff rentes divisions de l Administration en mati re juridique 2 1 2 Principales activit s du service juridique 2 1 2 1 Participation l laboration de textes l gislatifs et r glementaires Le service juridique a t impliqu dans divers travaux de nature et d intensit variables en vue de la transposition de certaines directives communautaires A cette fin des entrevues avec d autres d partements minist riels et les acteurs professionnels concern s ont r guli rement t organis es Sont mentionner plus particuli rement dans ce contexte les directives 2003 87 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 13 octobre 2003 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre dans la Communaut et modifiant la directive 96 61 CE du Conseil la directive 2003 4 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 28 janvier 2003 concernant l acc s du public l infor
121. mais galement du bassin minier du Luxembourg avec ses sources d mission industrielles ainsi que les missions du r seau autoroutier assez proche 64 La station d Esch Alzette ses sources d mission vari es mesure le niveau de pollution susceptible d tre atteint en milieu urbain industriel Comme les ann es pr c dentes des pointes d hydrocarbures volatils sont observ es durant certaines p riodes en 2004 Les mesures sont encore en cours de validation Le niveau moyen annuel dans les deux stations semble accuser une hausse de 5 par rapport aux ann es pr c dentes DIOXYDE DE CARBONE C02 Les mesurages de dioxyde de carbone dans ar ambiant sont effectu s la station Mont St Nicolas Vianden Ce site a t choisi parce qu il est loign de toute source d mission importante mettrice de dioxyde de carbone Le CO est un gaz effet de serre d o l int r t du suivi de l volution de sa teneur dans l air ambiant dans notre r gion La moyenne annuelle de CO constat e en 2004 est de l ordre de 700 mg m 293 et 101 3 kPa et se maintient un niveau semblable aux ann es pr c dentes Les validations d finitives sont encore en cours COMPOS S SOUFR S sauf SO Un appareil de mesure de compos s soufr s se trouve la station de Beckerich Il a t acquis en 1991 afin de surveiller le niveau des compos s soufr s et majoritairement le sulfure d hydrog ne
122. mais devrait constituer un des travaux principaux pour l ann e 2005 Les travaux courants de compilation des statistiques foresti res ont t les suivants e Collecte des donn es r ception v rification et classement des formulaires statistiques pour les ann es 2001 2002 et 2003 mise jour s fichiers informatiques concernant ces enqu tes statistiques par encodage des donn es r ceptionn es assistance aupr s des pr pos s forestiers en vue du remplissage des formulaires statistiques mise jour r guli re du fichier r capitulant les diff rents questionnaires re us par ann e et pour chaque triage relances r guli res des triages forestiers en vue de la collecte totale des formulaires statistiques pour les exercices 2001 2002 et 2003 cours r flexion sur la modification et l am lioration des formulaires statistiques destin s la collecte des donn es de l exercice 2004 en vue notamment d automatiser et d all ger le processus e Statistiques des Prix de Vente du Bois gestion des documents concernant les ventes de bois r ception et classement des bordereaux et r sultats des ventes pour 2004 traitement des donn es et calcul des statistiques de prix de vente du bois pour la p riode 2003 2004 production de tableaux et graphiques r sumant l volution des prix de ventes de bois ces derni res ann es 267 travail sur la m thodologie employ e en vue d une au
123. mise en place de la certification foresti re leur niveau L action 1 3 elle propose de concevoir r aliser et mettre disposition des entreprises de l exploitation foresti re et de la premi re transformation du bois des outils logistiques adapt s et actualis s leur permettant de mettre en uvre la cha ne de contr le et d offrir au long de la cha ne de transformation du bois des produits certifi s Pour ce faire Gipeblor FNS FEDEMAR et le Groupement des sylviculteurs envisagent des actions d information et de rencontres aupr s des entreprises pour susciter leur adh sion la d marche et des actions de suivi et d am lioration progressive des outils logistiques utilis s dans la mise en place de la cha ne de contr le L action 2 1 elle envisage de fournir aux sylviculteurs les outils pratiques leur permettant e de favoriser concr tement la biodiversit foresti re dans les peuplements qu ils sont charg s de g rer e de cadrer leur action d am nagement et leurs op rations de sylviculteur dans les conditions nouvelles cr es par les chablis sur des bases techniques complexes pr cis es apr s examen de situations vraiment diverses Pour ce faire Gipeblor ONF SRFB et le Groupement des sylviculteurs entament une concertation interr gionale afin de d finir et d laborer deux guides pratiques un sur la biodiversit l autres sur la sylviculture des peuplements irr gularis s desti
124. o l inventaire a t pr sent au conseil des bourgmestre et chevins communes pour lesquelles les travaux de terrain sont achev s et la saisie des donn es est en cours communes pour lesquelles les travaux de terrain sont en cours communes pour lesquelles les travaux pr paratoires sont en cours TOTAL s agit de la Ville de Luxembourg L tat d avancement expos c dessus est repr sent dans le graphique ci dessous 92 71 8 11 117 A cette date les travaux n avaient pas encore commenc dans seulement une seule commune Il ee Verdachtsfl chenkataster Luxemburg 155 Le nombre total des sites actuellement r pertori s s l ve 8055 Afin de permettre aux agents de Administration de l environnement d utiliser le cadastre des sites contamin s comme outil de travail un cours de formation a t organis A cette formation douze agents ont particip Pour rendre l acc s aux informations possible pour certains groupes d int r ts l laboration d un site sp cifique Internet a commenc en 2004 Ce site pr voit deux acc s possibles e un acc s grand public Les personnes int ress es ont acc s des donn es statistiques concernant les sites r pertori s dans les diff rentes communes En outre il est pr vu d y int grer un module avec lequel les particuliers peuvent demander des renseignements pr cis concernant un site sp cifique e un acc s r s
125. ou con us pour tre remplis au point de vente sont consid r s comme des emballages pour autant qu ils jouent un r le d emballage De m me les composants d emballages et les l ments auxiliaires int gr s l emballage sont consid r s comme des parties de l emballage auquel ils sont int gr s Les l ments auxiliaires accroch s directement ou fix s un produit et qui jouent un r le d emballage sont consid r s comme des emballages moins qu ils ne fassent partie int grante d un produit et que tous les l ments ne soient destin s tre consomm s ou limin s ensemble Le principe de la pr vention des emballages est renforc par de nouvelles dispositions telles que par exemple la mise en place de programmes nationaux tendant attribuer aux producteurs la responsabilit de r duire au minimum l impact environnemental des emballages La Commission contribue la promotion de la pr vention en encourageant l laboration de normes europ ennes appropri es De nouveaux objectifs de recyclage et de valorisation des d chets d emballages sont introduits a au plus tard le 31 d cembre 2008 60 au minimum en poids des d chets d emballages doivent tre valoris s ou incin r s dans des installations d incin ration des d chets avec valorisation nerg tique b au plus tard le 31 d cembre 2008 entre 55 au minimum et 80 au maximum en poids des d chets d emballage doivent tre recycl s c au plus tard le
126. participants s levait 300 l ves D autre part 1 faut noter la r ouverture en juin de la Maison de la For t du Burgfried sis au sein du Parc Naturel de la Haute S re Cette institution cherche de son gale dans le pays Son but est d informer le public sur l cosyst me for t son importance pour l homme et pour l environnement en g n ral ainsi que sur sa gestion sylvicole Depuis la pr sentation d une nouvelle brochure traitant du Centre de D couverte en 2001 et surtout gr ce au bateau SOLAR circulant sur le lac de la Haute S re et pour lequel le cantonnement avait install un ponton d amarrage en 2003 nous notons une nette progression des visiteurs Ainsi si en 2000 le Centre tait fr quent par 2340 visiteurs dont 23 groupes le Centre comptait quelque 8000 visiteurs individuels en 2004 ce qui repr sente une hausse de 14 par rapport 2003 et une hausse de 60 par rapport 2002 S ajoutent cela 96 groupes soit 2000 personnes guid s par les pr pos s forestiers du site Dans ce contexte il est noter que le site a t visit par la repr sentation permanente du Luxembourg aupr s de l Union Europ enne en vue de l organisation d une visite des ambassadeurs de l Union Europ enne dans le cadre de la pr sidence Cette visite aura lieu le 1 mai 2005 Enfin il est relever que la cha ne t l vis e belge RTBF r alis un reportage sur la Maison de la for t
127. pays 132 Le but de ces contr les est la d tection des transferts de d chets non conformes e au r glement grand ducal modifi du 30 novembre 1989 relatif aux huiles usag es au r glement grand ducal du 11 d cembre 1996 relatif aux d chets dangereux e au r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 concernant le transfert national de d chets e r glement CEE N 259 93 du Conseil du f vrier 1993 concernant la surveillance et le contr le des transferts de d chets l int rieur l entr e et la sortie de la Communaut Europ enne e r glement grand ducal du 16 d cembre 1996 relatif certaines modalit s d application du r glement CEE n 259 93 du Conseil du 1 f vrier 1993 concernant la surveillance et le contr le des transferts de d chets l int rieur l entr e et la sortie de la Communaut europ enne e et la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets 2 proc s verbaux ont t dress s contre les soci t s de transports ou d autres soci t s impliqu es Dans 9 cas des avertissements crits ont t envoy s aux soci t s impliqu es Il est pr vu pour l ann e 2005 de continuer les contr les routiers en collaboration avec les BM des Douanes et Accises ainsi que d effectuer des contr les suppl mentaires en collaboration avec des autorit s trang res 2 5 13 1 7 Les documents de suivi L volution des dossiers
128. porte sur le contenu des demandes d autorisation A nsi un r sum non technique des donn es pr sent es dans le cadre d une demande doit tre joint lle ci s agit d informer mieux le public de l objet des diff rents dossiers Par ailleurs la demande doit renseigner dor navant sur sa conformit par rapport aux dispositions du plan d am nagement communal le cas ch ant celles de la l gislation sur la protection de la nature et celles de la l gislation sur l am nagement du territoire Il s agit pour le requ rant de se rendre compte au stade de la planification de son projet des contraintes ventuellement fix es dans le cadre de la d finition des zones d implantation du plan d am nagement communal Comme par le pass l autorit comp tente ne pourra autoriser un tablissement class que dans une zone pr vue ces fins en conformit avec la l gislation pr cit e En 2004 cette loi a t modifi e par la loi du 28 mai 2004 portant cr ation d une Administration de la gestion de l eau La constatation des infractions la loi pr cit e du 10 juin 1999 dite commodo incommodo peut se faire par les fonctionnaires de l Administration de la gestion de l eau asserment s ces fins En 2004 la loi a t modifi e par ailleurs par la loi du 23 d cembre 2004 1 tablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre 2 cr ant un fonds de financement des m canism
129. r glement CE N 1598 2002 de la Communaut du 6 septembre 2002 concernant l assistance administrative mutuelle entre organismes mutuels ont t analys s et coordonn s avec les experts Le registre national des mat riels de base des diverses essences admises sur le territoire de notre pays a t compl t La plupart des 18 peuplements retenus d finitivement ont t parcourus pendant la p riode de d foliation afin d appr cier la forme g n rale des ph notypes et plus particuli rement la couronne des arbres diverses mesures sylvicoles sont projet es afin que les peuplements suffisent pleinement aux normes de peuplements graines A partir du registre national la liste nationale pr vue au r glement CE N 1587 2002 de la Commission a t dress e pour tre communiqu e la Commission L administration des Eaux et For ts a galement particip aux r unions du groupe semences de la Commission Europ enne et aux activit s du r seau pan europ en sur la protection des ressources g n tiques en for t EUFORGEN en repr sentant le Luxembourg la r union du r seau des feuillus nobles qui a eu lieu en Italie en avril 2004 173 3 1 13 Gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau Au cours de l ann e 2004 l administration des Eaux et For ts a dit un document analysant les probl mes conomiques cologiques et paysagers li s la pr sence de peuplements r sineux le long
130. r seau durant l ann e 2004 L installation des nouveaux automates de gestion des stations de mesure connu quelques difficult s Le syst me tant devenu plus complet mais aussi plus complexe l op ration de configuration des automates n a pas t un exercice facile Un certain nombre de probl mes au niveau du suivi technique des appareils de mesure restent encore actuellement r gler La r gularit de fonctionnement de l quipement de mesure impliqu dans l analyse du benz ne en continu reste difficile ma triser et n cessite une surveillance particuli rement vigilante avec intervention rapide du personnel en cas de dysfonctionnement y a galement la n cessit du constructeur de faire de temps autre des r visions d taill es de l appareil afin de garantir un fonctionnement plus r gulier et en vitant des pannes ou blocages qui se pr parent au cours du temps de fonctionnement L analyseur de compos s soufr s SH mesurant essentiellement l hydrog ne sulfur H2S et dans un degr moindre les compos s organiques soufr s mercaptans les plus simples tels que sulfure de m thyle et sulfure de dim thyle est encore rest l arr t durant l ann e 2004 La soci t ayant charge la maintenance du r seau a des difficult s pour pouvoir faire fonctionner durablement cet analyseur en continu Noter que les niveaux en compos s souf s sont tr s faibles quelques ce qui exig
131. restauration de lisi res Pret 1032752 64578 10973 29 794894 9427 02 2 182 40 31 ____ 14594 18597 74 1364546 13 645 06 DOUGLAS EPICEA 2 DOUG 501 3 l re tranche RESTAURATION FORETS RESINEUSES 43 53 8 4 al 19 531 4 e a 158 Regl Kl d a gt 2 gt E gt Kee Ee ae tranche EE EE Ke 1037757 mes EH Em MES TEE Mn ces FREE 275
132. roche demeure d ermite e ruine de maison d habitation r cente ou de chalet chalet de chasse e inscription sur corce d un arbre ou sur roche e industrie sid rurgique hangar industriel fosses pour le sciage en long de bois e chapelle calvaire oratoire e croix de chemin monument en pierre e traces de la guerre entonnoir de bombe tranch es traces des blind s refuge de r fractaires e lieux de culte de rencontre de justice mis en relation avec des l gendes des histoires e mur en ma onnerie s che e monuments m galithiques e mine galerie carri re en surface production de meules e monument naturel formation rocheuse trange e four chaux haut fourneau meule de charbonnier e borne foss de s paration e tumulus autre lieu de s pulture e divers e ruine d habitation gallo romaine villa romaine temple e eau moulin captage de source aqueduc canal qanat puits lavoir abreuvoir barrage e chemin chemin creux voie romaine voie ferr e transport de personnes et industriel e mardelles avec origine artificielle tangs ou vestiges d importance conomique ou technique 213 Le moteur de recherche permettant la s lection de donn es moyennant une combinaison de crit res afin de faciliter la manipulation des donn es est op rationnel et la liaison avec la cartographie fonctionne ces deux modules devant toutefois encore tre affin s L application permet de g n rer
133. s p sent entre 10 et 70 kg n 1569 48 des sangliers tir s sont de sexe m le 46 femelle pour 6 le sexe n a pas t indiqu n 8954 L alimentation est compos e de 894 50 issus du nourrissage artificiel c r ales majoritairement ma s 29 v g taux naturels glands faines plantes herbac es racines fruits 18 issus de culture v g tale c r ales fruits 1 animaux insectes polych tes mammif res reptiles oiseaux En 2005 ces r sultats seront contr l s et compl t s par une tude plus d taill e des constituants et une valuation des estimations de volumes Les tractus g nitaux pr lev s et les autres donn es relev es seront aussi analys s en 2005 3 5 4 Recherche sur la g n tique du cerf au Luxembourg et dans les r gions limitrophes Un projet de recherche commandit par le service de la Chasse sur la diversit g n tique du cerf Cervus daphus au Luxembourg ainsi que dans les r gions voisines de l Allemagne a t mis en uvre par M Alain Frantz en collaboration avec l universit de Sheffield Le but de l tude est l analyse du brassage g n tique entre les cerfs dans notre r gion pour voir si la population est compos e de diff rentes unit s g n tiques En plus les informations g n tiques ont permis de tester une application de la m thode pour d celer des individus provenant de populations trang res et ill galement rel ch s dans notre pays 250
134. s par l application d une gestion en irr gulier r colte par arbre ou groupe d arbres et non par peuplement m lange d essences d ges multiples abandon de l ordre spatial structuration verticale longues p riodes de r volution structure d ges h t rog ne peuplements non r guliers grande diversit naturelle C est donc naturellement que quelques gestionnaires de terrain et notamment en Allemagne et en Suisse se sont tourn s plus ou moins r cemment vers un traitement irr gulier des peuplements Cette volution s est traduite essentiellement par la conversion en futaie irr guli re pied pied et dans une moindre mesure par la mise en uvre de traitement en futaie irr guli re par bouquets et parquets Les gestionnaires en France mettant en uvre des traitements irr guliers ont pour objectifs galement une meilleure valorisation des peuplements en place l ment qui est aussi la base des volutions des derni res d cennies L Office National des For ts de France ONF a eu comme mission de r diger un recueil des exp riences fran aises dans ce domaine Ce rapport s inscrit dans un besoin de mieux adapter la gestion foresti re aux contraintes actuelles il a pour objectif de synth tiser les connaissances r centes en mati re de gestion en futaie irr guli re en France de les illustrer par la description d exemples concrets de gestion et d analyser les r sultats de ces pratiques L tude se d
135. serves Foresti res Int grales RFD du Bio Monitoring du R seau CE NATURA 2000 de l application de certaines r solutions du Programme Forestier National PFN ou du Plan National de D veloppement Durable PNDD avec la mise en place du r seau national Biodiversit etc La publication de synth se sur les r sultats du projet de cartographie des habitats forestiers au Grand Duch de Luxembourg constitue la suite logique et l aboutissement du projet de la cartographie des v g tations foresti res Elle d crit d abord les principales tapes et bases m thodologiques du projet de la cartographie des v g tations foresti res pr sente une vue d ensemble synoptique des principaux r sultats statistiques et esquisse les utilisations effectives et les perspectives d applications possibles La partie centrale de la publication regroupe les r sultats d taill s et comment s des analyses g ostatistiques approfondis r alis es au niveau des 44 principales formations foresti res cartographi es Ces r sultats sont pr sent s sous forme de fiches de description cosyst mique des habitats forestiers naturels et semi naturels du G D de Luxembourg Chaque fiche reprend une description g n rale de la formation foresti re puis indique la surface occup e et la repr sentativit de la formation dans l ensemble fournit les statistiques accompagn s d histogrammes pour la pente l exposition l altitude
136. sont d sinfecter P riode d ouverture de la chasse Comme d j pour les ann es cyn g tiques 2002 03 et 2003 04 la chasse au sanglier sans distinction de sexe et de poids reste ouverte pendant toute l ann e cyn g tique 2004 05 1 ao t 2004 31 juillet 2005 Le mode de chasse au chien courant battue est autoris pendant la p riode du 15 octobre 2004 au 28 f vrier 2005 3 5 1 3 Les incitations financi res pour la chasse aux sangliers Afin d encourager les chasseurs de proc der une r duction importante des sangliers le syst me de primes et de d dommagement d cid en date du 1 mars 2002 par le conseil de gouvernement t maintenu pour toute l ann e 2004 Ainsi l Etat se porte en principe acqu reur de tout sanglier tir au prix de 100 par pi ce sans distinction de poids Tous les sangliers tir s doivent tre amen s obligatoirement aux diff rents centres de collecte o un chantillon sang organes en est pris pour tre analys Les carcasses sont ensuite limin es par le clos d quarrissage fili re dite destruction En 2004 3 100 demandes en vue de l obtention de la prime de 100 ont t introduites D s l automne 2002 une deuxi me fili re dite consommation a t cr e pour r pondre aux sensibilit s thiques de certains chasseurs qui pr f rent la mise sur le march des sangliers tir s plut t que de les abandonner la destruction contre indemnisatio
137. t envoy es dont 370 lettres concernaient des installations qui n taient pas conformes aux valeurs limites du r glement 53 lettres concernaient des installations qui n ont pas t soumis la r ception obligatoire et 109 lettres concernaient des installations qui n avaient pas respect les d lais pour les contr les p riodiques 119 certificats de r vision erron s ou incomplets ont t retourn s aux entreprises de contr le pour correction 74 Rendement Installations de chauffage au mazout Ann e 2003 Nombre d installations gt 95 90 lt lt 95 16 20 ans Lu 906 gt 95 90 lt lt 95 Suivant le r glement grand ducal pr cit du 23 d cembre 1987 les r visions obligatoires ne peuvent tre effectu es que par des personnes ayant soit le brevet de ma trise en chauffage soit le certificat de contr leur Ce dernier certificat peut tre obtenu en suivant un cours de perfectionnement en mati re de l gislation des installations de chauffage de th orie de combustion et de pratique de mesurage Depuis 1979 la Chambre des M tiers organise en collaboration avec l administration de l Environnement des cours de formation en vue de former des contr leurs qualifi s En 2004 un cours en langue fran aise et un cours en langue allemande ont t organis s 2 4 3 2 Les installations de combustion ayant une puissance calorifique sup rieure 3 MW Les installations d
138. tout en participant activement la r alisation de travaux forestiers Le centre d accueil Wiewesch Manternach profite d un int r t accru du personnel enseignant qui utilise cette nouvelle infrastructure pour acc der aux sites naturels et pour porter les techniques d antan la connaissance des l ves Le pr pos du triage de Manternach en collaboration avec ses coll gues a initi un nouveau projet 425 l ves ont pu proc der durant la saison des fruits la r colte de pommes tomb es par terre Par la suite les l ves ont eux m mes activ un pressoir fruits pour produire leur propre jus de pommes Ce pr pos a organis galement 19 visites guid es au profit de classes scolaires int ress es Parall lement l affluence de groupes d adultes y va en croissant 53 groupes d adultes ont pu tre accueillies au centre En effet la force d attraction de la for t des ravins de la r serve naturelle Manternacher Fiels a gagn en vigueur gr ce au centre d accueil Les pr pos s forestiers ont organis sur base du b n volat de la population le ramassage d ordures d pos es clandestinement dans la nature Ces d tritus d origines diverses ont t ramass s en zone verte ainsi que le long des routes rues et chemins en g n ral A ces fins des quipes de travail ont d tre compos es Celles ci sont form es de citoyens de la commune des membres des diff rentes associations du syndicat d in
139. trois projets il s agissait d un empierrement de chemins forestiers existants au vu de les rendre carrossables aucune nouvelle construction n a t entreprise Les d penses y aff rentes en for t communale s levaient 45 497 64 et en for t domaniale 34 339 22 Reste encore signaler que des petits travaux d entretien et de r fection courants ont t ex cut s partout o cela s imposait 182 3 2 5 5 Travaux forestiers subventionn s Quarante deux demandes de subvention pour travaux forestiers ont t trait es pour la for t priv e pour un montant de 48 835 71 et seize demandes pour la for t soumise pour un montant de 54 350 13 3 2 5 6 For t priv e Tout comme en 2003 le cantonnement forestier a continu assurer des contacts r guliers avec des propri taires forestiers priv s soit sur demande individuelle soit indirectement par l entremise du conseiller du Groupement des Sylviculteurs Lors de ces contacts tr s souvent sur les lieux il s agissait de services de conseils concernant la construction de chemins forestiers le choix des essences et l appr ciation de travaux forestiers ex cut s par des tiers 3 2 5 7 Conservation de la nature Les travaux de remise en valeur des pelouses s ches du ont t poursuivis en collaboration avec l arrondissement CN Centre Sous la surveillance de leurs enseignants et du pr pos forestier territorial
140. ts a particip activement l organisation de diverses Journ es de l Arbre initi es par la Fondation H llef Dr d Natur respectivement de diverses Journ es de la Nature organis es par certaines administrations communales pour leurs classes scolaires En date du 21 mai 2004 le nouveau sentier forestier Clemency a t inaugur en pr sence de Monsieur Eug ne Berger secr taire d Etat l Environnement A cet effet aussi bien un d pliant qu une brochure ont t publi s en vue de fournir les explications n cessaires aux visiteurs dudit sentier 3 2 8 16 Divers En 2004 8 66 ha de terrains ont t expertis s en vue d une acquisition par les communes ou l Etat 0 24 ha ont t expertis s en vue d une indemnisation par la CEGEDEL tandis que 1 08 ha ont t expertis s pour le compte de l administration de l Enregistrement et des Domaines dans le cadre d une succession 3 2 9 Grevenmacher 3 2 9 1 Exploitation des coupes Lors du martelage des coupes les principes d une sylviculture proche de la nature ont t appliqu s Des efforts de rajeunissement de la for t ainsi que la propagation de la biodiversit ont t poursuivis Des interventions ont eu lieu notamment le long des routes et autoroutes voies et sentiers fr quent s ainsi que le long des chemins de fer Ces mesures ont t prises aux fins d am liorer la s curit et d y installer une lisi re de for t Cette bande sera constitu
141. une valuation compl te des donn es de bases n cessaires sa mise en uvre d velopper une m thodologie relative la qualification des paysages proposer des pistes possibles pour pallier l absence de donn es dans certains domaines et in fine d velopper un cahier des charges des travaux ex cuter dans le cadre de la mise en uvre du plan sectoriel Ces travaux seront par ailleurs accompagn s par un groupe interminist riel compos de repr sentants de tous les d partements minist riels dont les activit s ont des incidences possibles sur les paysages 10 En outre du plan sectoriel mentionn le Minist re de l Environnement a contribu la suite des travaux dans le contexte du PS Transports Par ailleurs il a particip au groupe interminist riel charg d accompagner le Plan d Occupation du Sol A roport et environs o ses objectifs ont t d assurer aux activit s li es directement et indirectement aux op rations a roportuaires un d veloppement suivant les principes arr t s au Plan National pour un D veloppement Durable Les m mes principes ont guid les repr sentants du minist re au groupe interminist riel charg d assister l laboration du Masterplan relatif au Ban de Gasperich 1 1 9 L instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG L objectif g n ral du cr dit inscrit l article 15 0 33 005 du Minist re de l Environnement
142. urgence dans le domaine artisanal tudes de risque et plans d urgence dans le domaine p trolier tudes de risque et plans d urgence dans le domaine des immeubles R ceptions relatives aux autorisations d exploitation R ceptions de tout quipement et toute installation mis en uvre sauf ceux repris sous F2 et F3 R ceptions d tablissements du domaine industriel R ceptions d tablissements du domaine artisanal y compris le domaine de comp tence F121 R ceptions d tablissements du domaine p trolier R ceptions de r servoirs fixes et des tuyauteries annexes y compris la mise en place R ceptions d tablissements du domaine des immeubles R ceptions des metteurs d ondes lectromagn tiques Supervisions et certifications de travaux d assainissement de charges polluantes anciennes Management environnemental et audit V rificateurs environnementaux dont question au r glement CE N 761 2001 du 19 mars 2001 36 2 3 La Division des Etablissements Class s 2 3 1 La loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s a t modifi e une premi re fois par la loi du 19 novembre 2003 L objet essentiel de cette modification consistait transposer de fa on pr cise et compl te la Directive 96 61 CE du Conseil du 24 septembre 1996 relative la pr vention et la r duction int gr es de la pollution Une autre modification de cette loi
143. vue de la modification du contrat de bail initial admission d un colocataire suppl mentaire renonciation d un locataire sa part indivise du droit de chasse au profit de ses colocataires transfert du droit de chasse d un locataire un autre En outre pour 10 lots de chasse le ou un des locataires du droit de chasse est d c d en 2004 Ainsi une option a t pr sent e par les locataires survivants respectivement les h ritiers en vue de la continuation du contrat de bail de chasse Le service de la Chasse a contr l et avis les dossiers en question 3 5 7 Plan de chasse et marquage du gibier 3 5 7 1 La base l gale La base l gale pour l tablissement des plans de chasse aux esp ces cerf et chevreuil et le marquage du grand gibier est constitu e par le r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 3 5 7 2 Le plan de chasse aux esp ces cerf et chevreuil p riode cyn g tique 2003 2006 Les plans de chasse pour le tir des esp ces cerf et chevreuil valables pour la p riode cyn g tique 2003 06 allant du ao t 2003 au 31 juillet 2006 ont t tablis au cours du premier semestre de l ann e 2003 252 Le nombre de gibier autoris tirer dans le cadre du plan de chasse pendant la p riode cyn g tique 2003 2006 est le suivant 5 cerfs femelles 27 666 A titre d information c apr s le nombre de dispositifs de marquage accord s pour des p riodes cyn g tiques pr c dentes Esp ce P riode
144. y eu une augmentation e du nombre de polluants surveiller e du nombre de r seaux de mesure e du nombre de stations de surveillance e du nombre de campagnes de mesure sp cifiques Un certain volume de donn es est enregistr automatiquement Un autre volume non n gligeable n cessite une saisie manuelle Avant la publication d finitive de rapports de mesurages concernant Pair ambiant la qualit des donn es est effectuer Etant donn que le rapport d activit annuel doit tre finalis apr s un mois qui suit l ann e coul e il n est plus possible comme les ann es pr c dentes de fournir un rapport complet avec tables des valeurs et repr sentations graphiques d taill es Ces documents seront donc trait s dans les mois venir L ensemble des tableaux de valeurs ainsi que les repr sentations graphiques seront accessibles sur le site internet du gouvernement du Grand Duch de Luxembourg une adresse qui doit encore tre pr cis e 2 4 2 1 R seau de mesure de soufre et de fum e noire SF8 Le r seau SF8 se compose comme en 2003 de 9 stations Une station se trouve au centre de Luxembourg ville 4 autres sont plac es dans le bassin minier du Luxembourg Les quatre stations restantes sont plac es en retrait par rapport ces sites pour permettre l valuation de ces polluants dans l arri re pays lors de leur transport vers ces r gions de proximit Les niveaux en SO continuent de se maintenir
145. 0 tonnes de d chets et de produits ont t transport s En ne prenant en compte que les codes NC contenant uniquement des d chets on trouve que 1 245 000 tonnes de d chets ont t import es en 2001 Les d chets import s sont en majorit 89 des d chets m talliques acier aluminium fer et cuivre 91 Pour les d chets export s on trouve que 439 000 tonnes de d chets et produits ont t transport es On trouve encore que 438 500 tonnes de d chets ont t export es La simulation 2 se base quant elle sur les dossiers de notifications les rapports annuels des transporteurs de d chets les rapports annuels des installations de traitement des d chets et sur une enqu te En 2001 environ 3 millions de tonnes de d chets ont t import s 96 sont des d chets m talliques fer et acier Le reste se compose de d chets de bois de verre de plastique mais aussi de fumier de volailles Ces d chets proviennent essentiellement 4 64 de France 25 7 et de Belgique 6 9 donc des 3 pays frontaliers pourcentage repr sent sur le graphique suivant EDE OFR OBE ENL ENOWDK ESE Bop Pour quantifier les d chets export s les dossiers de notification les rapports annuels des transporteurs n gociants et ceux des communes ont t utilis s Il a t valu que presque 1 million de tonnes de d chets ont t export 50 en sont des terres dexcavation mais des d chets de pa
146. 0000 1500000 1000000 Une grande partie des d chets trait s au Luxembourg sont mis en d charge Il s agit surtout de d chets d excavation Les m taux ferreux et les m taux non ferreux sont recycl s dans les installations nationales Les d chets inorganiques recycl s au Luxembourg sont majoritairement des d chets de construction et d molition mais aussi des d chets en provenance de la sid rurgie Mode de traitement des d chets export s 300000 250000 200000 To nn es 150000 100000 HI a A vi D01 D05 D09 D10 D12 D13 D14 D15 R01 R02 R04 5 R09 R10 R11 R12 R13 Les d chets export s sont majoritairement recycl s e Recyclage des d chets organiques R03 Les d chets export s et trait s sont des d chets de bois de papier carton et des mati res plastiques e Recyclage des m taux et de leurs alliages R04 Les d chets m talliques sont export s pour tre soumis un traitement Apr s ce traitement les d chets sont r import s pour tre transform s en produits neufs dans la sid rurgie nationale e Recyclage des d chets inorganiques R05 Le recyclage des d chets inorganiques consiste majoritairement dans la valorisation des d chets d excavation et de construction qui vu le manque de capacit s nationales sont export s e des d chets au profit du sol R10 Les d chets utilis s sont majoritairement des d chets d excavation
147. 004 la mise jour du portail de l environnement www emwelt lu t poursuivie Gr ce au CMS content managment system de nouveaux documents ont pu tre int gr s au site par diff rents agents du Minist re de l Environnement de l Administration de l Environnement et de l Administration des Eaux amp For ts Statistiques de fr quentation du site P riode Visiteurs Nombre de pages consult es Nombre de fichiers Nombre de hits Mars 2004 10302 67136 310971 1047229 Avril 2004 9456 54009 267192 853203 Mai 2004 12565 58714 268325 807662 Juin 2004 12802 57786 248894 777170 Juillet 2004 13989 61918 251326 750549 Ao t 2004 13422 57875 229436 693203 Septembre 2004 15672 80998 322139 929854 Octobre 2004 14799 65804 321553 914681 Novembre 2004 15330 63591 317270 904190 D cembre 2004 14802 60261 278623 766099 18 Usage sunnary for public lu isics Sites 17700 10332469 Mar Apr Jun Jul Aug Sep Oct Now Dec Jan Feb Outre les statistiques de fr quentation du site les autres indicateurs permettant de constater la popularit du site sont ceux concernant les fonctionnalit s de feedback et de contact offertes par le site Globalement le feedback re u pour le site est plut t encourageant et permet parfois galement d obtenir des suggestions d am liorations int ressantes En ce qui concerne l interaction entre le citoyen et l administration nous pouvons con
148. 01 2002 2003 2004 ann e de r ference la fin de l ann e 2004 environ 1961 ppgd taient enregistr s dans la base de donn es dont 812 ppgd approuv s 1049 ppgd en voie de traitement ainsi que 100 ppgd abrog s 2 5 16 3 Les rapports annuels des tablissements class s Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissements class s il est demand aux exploitants e detenir un registre avec les quantit s et les modes de valorisation ou d limination des d chets e d tablir un rapport annuel sur la gestion des d chets Le rapport annuel est transmettre pour le 31 janvier au plus tard l Administration de l environnement 151 En 2004 87 tablissements class s ont pr sent un rapport annuel sur la gestion des d chets dont 66 rapports ont pu tre approuv s par la Division des d chets A la fin de l ann e 2004 environ 228 rapports annuels ont t enregistr s dans la base de donn es dont 179 approuv s 32 en voie de traitement ainsi que 17 abrog s 2 5 16 4 La r vision trisannuelle des plans de pr vention et de la gestion des d chets Dans le cadre des autorisations minist rielles des tablissements class s il est demand aux exploitants de proc der une r vision trisannuelle de leur plan de pr vention et de gestion des d chets En effet ce n est que par un suivi r gulier de la gestion des d chets dans les tablissements qu on peut esp rer une certaine prise de consci
149. 04 le cantonnement a r alis respectivement restaur en collaboration avec le service CN et le CIGR Wiltz quatre tangs naturels sur ces m mes lieu Le projet sera finalis en 2005 avec l am nagement des alentours des tangs tels plantation mise en place de passerelles en bois et restauration de sentiers Par ailleurs les services du cantonnement forestier assurent l entretien d un grand nombre de sentiers touristiques et des installations de loisirs est noter que ces services d entretien pr sentent annuellement une fraction de budget non n gligeable 3 2 4 14 Contacts internationaux En 2004 les contacts internationaux suivants ont t r alis s e visite du cantonnement forestier de Bernkastel Allemagne e voyage de service en Pologne entrepris ensemble avec plusieurs fonctionnaires de la carri re sup rieure en vu de la visites de la for t vierge de Bi loni ze 3 2 4 15 Manifestations r gionales Deux types de manifestations dominent les activit s de relations publiques au cantonnement de Wiltz D abord il faut relever les maintes journ es en for t avec les diverses coles r gionales Ces journ es quasiment institutionnalis es sont chaque fois organis es par le pr pos territorialement comp tent et en collaboration avec les coll gues des triages adjacents Est remarquer dans ce cadre le rallye SNJ organis annuellement au Centre de D couverte de la for t du Burgfried Le nombre de
150. 04 et le 11 novembre 2004 avait les objectifs suivants valuation des niveaux de poussi res en suspension dans lair ambiant ainsi que les teneurs m taux lourds qui leurs sont associ s deuxi me valuation concernant l influence g n rale des sources diffuses autour des aci ries arc lectrique et quantification des poussi res en suspension dans l air ainsi que les m taux lourds deuxi me valuation des teneurs en nickel cadmium et arsenic afin de comparer les niveaux aux valeurs cibles propos s dans un projet de directive europ enne relative ces trois m taux contr le de la pr sence de dioxines furannes associ es aux poussi res fines PM fraction thoracique lt 10 valuation du niveau dans lair ambiant et comparaison aux propositions allemandes de valeurs cibles R sultats et premi res conclusions Remarque concernant la direction pr pond rante du vent soufflant du site d exploitation aci rie vers le site de collecte des poussi res vents favorables pour les mesurages Esch Belval du 14 10 27 10 2004 50 du temps vents favorables en provenance du secteur sud sud ouest Esch Schifflange du 29 10 11 11 2004 38 des vents d favorables de direction est nord est 17 du temps vents favorables du secteur sud ouest Concernant les poussi res totales en suspension dans l air ambiant pas de d passement de la valeur limite de 80 ug m avec un niveau proche
151. 1 MINIST RE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 La politique g n rale du Minist re de l Environnement 111 1 1 2 1 1 3 1 1 4 11 25 1 1 6 117 1 1 8 1 1 9 Application et int gration du principe de d veloppement durable L Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal L information et la sensibilisation du public Participation la semaine europ enne de la mobilit du 18 au 24 septembre 2004 et la journ e nationale En ville sans ma voiture du 22 septembre 2004 Les mesures contre le changement climatique et en faveur des nergies nouvelles et renouvelables La protection de la nature et des ressources naturelles La promotion du partenariat Etat communes en mati re d environnement naturel Collaboration du Minist re de l Environnement aux planifications en cours en mati re d am nagement du territoire L instauration d un syst me de cofinancement des projets d ONG 1 2 Fonds pour la Protection de l Environnement 1 2 1 1 2 2 R partition des d penses pour 2004 du Fonds pour la Protection de l Environnement Le comit de gestion du fonds pour la protection de l environnement 1 3 Le syst me d information g ographique sur l environnement SIG ENV 1 3 1 1 3 2 1 3 3 1 3 4 La cartographie sur l Occupation Biophysique du Sol OBS L laboration d un monitoring de l volution des paysages L tablissement d un cadastre des haies et arbres solitaires
152. 1992 94 P riode 1994 97 P riode 1997 2000 P riode 2000 03 Un Las _ Cerf m le 448 325 455 518 Cerf femelle 603 329 404 526 Chevreuil 15 689 24 637 25 390 26 388 Il faut souligner que ces chiffres ne doivent pas tre confondus avec le nombre de gibier tir r ellement qui est nettement inf rieur Le tableau de tir des esp ces de cerf et chevreuil des six derni res ann es cyn g tiques se pr sente comme suit y compris le gibier accident ou trouv mort cerfs m les 28 58 45 58 57 53 Biches 38 69 55 65 73 57 Faons 30 50 40 55 72 47 Todes 7 140 778 202 157 Nombre de r ponses consid r es Brocards 2971 3166 2941 2983 3062 3013 Chevrettes 2243 2378 2220 2330 2422 2308 Chevrillards 2128 2196 1932 1999 2098 1828 Total chevreuils 7 342 7 740 7 093 7 490 7 582 7 149 Nombre de r ponses consid r es 3 5 7 3 Demandes en r vision L article 8 du r glement grand ducal modifi du 16 mai 1997 instituant un plan pour la chasse aux esp ces cerf et chevreuil et d terminant les modalit s du marquage du grand gibier dispose que les plans de chasse arr t s par le ministre de l environnement peuvent faire l objet d une r vision si au cours d une p riode cyn g tique la structure de la population du gibier sur un lot de chasse subit des modifications importantes ou si des d g ts consid rables aux cultures sont constat s Sur base de cet article 30 d
153. 3 18 206761 53937 25 4166 37 6693 8 137035 _137288 56 270 2 004 sur corce 160 000 140 000 120 000 100 000 80 000 60 000 40 000 20 000 1995 91312 13 026 22 VORNUTZUNG ENDNUTZUNG KALAMITAT 1998 1999 2000 2001 ann e foresti re 271 2002 2003 2004 TLT 69 INL IT 60 9 ET YSF 97 8L TI 69 180 LT 8ST E6 I IO LET I IS 669 1 STPS 6TY8S T LESYI T 6L 6EL OL SOTT 809 0591 IS 6LL 1580 68 OSTET ZUM HOSMAN 1 ISHOHIOANAXNI HIM 1 SS TT ammeu uonogord qnd Glod 70909 aympuos nbin SUBI jonbnoq 2 UOTOUOF att Bee SADIUTSP 5 DOUD UOHONHSUOO Rapport statistiques Le 18 02 2005 Date Proc s verbeux demande comprise entre 1 01 2004 et 31 12 2004 Nombre de demandes propri taire nr TE css BOISEMENT HETRE CHENE CLOTURE 1 5 METRES HAUTEUR 1 CLOTURE 2 METRES HAUTEUR CONSTRUCTION CHEMIN FORESTIER 23 CONVERSION TAILLIS PAR VIEILLISSEMENT ROLE BEE SOLT a Cr ation ou restauration de Weer E
154. 3933 19514431 525820 395820 61700 11280 48700 0 50010 48720 0 5440 384364 160532 15660910 11880920 460593 228748 163499306 114804970 4604002 825402 8470310 2871050 576954 599068 652882 712007 0 0 2535860 67087520 7365154 9086556 25039715 0 0 0 287520 261158 14317030 245079 188788579 1903065 583500 631828 523182 201440 La grande majorit des d chets export s 87 55 moyennant notification est soumise une op ration de valorisation 600000 500000 d chets export s moyennant notification en tonnes 400000 300000 200000 100000 1997 1998 1999 2000 2001 2002 136 2003 2004 qtte D t qtte R t 2 5 13 1 8 2 D chets import s En ce qui concerne les d chets import s et soumis une notification la quantit a fortement augment 88 28 Ceci est d une augmentation de 91 24 des importations de d chets utilis s pour la production du clincker d chets import s moyennant notification en tonnes 70000 60000 50000 40000 Botte R t 30000 20000 10000 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2 5 13 1 8 3 Transferts de d chets nationaux Les quantit s de d chets transf r s au sein du Grand Duch de Luxembourg et soumis une notification ont consid rablement augment par rapport 2003 augmentation de 20 99 Les d chets soumis une op ration de valorisatio
155. 4 R alisation d un monitoring ornithologique LNVL floristique universit de Fribourg en Br et faunistique inventaire de sauterelles Filsdorf R serve naturelle Filsdorfer Grund restauration de prairies humides et des p turages le long du Filsdorferbach D but du p turage extensif en juillet 2004 Wilwerdange R serve naturelle Conzefenn restauration des habitats humides dans le fond de vall e par l enl vement de peuplements de r sineux et le remplacement par une formation v g tale de valeur cologique sup rieure Mise en uvre d un p turage extensif avec des bovins de race Highland Cattle Bettembourg p turage bovin et exploitation d un verger haute tige dans la r serve naturelle Um Bierg Troisvierges projet de p turage extensif de pr s humides dans la future r serve naturelle de Cornelysmillen Roeser r naturation de Alzette dans la r serve naturelle Roeserbann dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de Alzette Life nature Schifflange r naturation de l Alzette et instauration d un projet d agriculture extensive dans la r serve naturelle Dumontshaff dans le cadre du projet de revalorisation cologique de la vall e sup rieure de l Alzette Life nature Dreiborn recherche d un mode de gestion pour maintenir des surfaces ouvertes suite la cessation d activit s agricoles du centre soci
156. 5 Die Umwelt nutzen d die Umwelt schonen die Umwelt schonen die Umwelt schonen Ein Apfel nut Weltreise oder wie man beirm die mwali chonas hanis 4 ABFALL a 4 e SG SEI Litauen Un accent particulier est mis sur la gestion des d chets apr s le cycle de vie d un produit M me si la collecte et le recyclage des d chets sont aujourd hui bien d velopp s au Luxembourg il n y pas tout le monde qui participe la collecte s lective En plus le recyclage ne constitue que le second choix c est la pr vention des d chets qui devrait primer nos actions Die Umwelt nutzen D Die Umwelt nutzen Die Umwelt nutzen die Umwelt schonen die Umwelt schonen g die Umwelt schonen Ruts die Schimurg der Umwelt sart Alter tetes doch gahs sihamard mt ihi wn BENETTEUNDJONATHAN d Ge b y E En premi re ligne l exposition s adresse aux jeunes entre 6 et 15 ans Un guide particuli rement labor pour les enseignants sert pr parer le sujet avec les coliers En novembre et en d cembre 2004 l exposition tait voir au centre sportif de la commune de Bettembourg ainsi qu au centre de recyclage SICA Kehlen En 2005 l exposition peut tre visit e au SIDEC Fridhaff Diekirch au Minett Kompost Mondercange et au SIGRE Flaxweiler 88 D mwelt notzen D mwelt schounen fe PO Le CDRom D Emwelt n
157. 5 limoneux argileux en surface de profondeur utile variable mais b n ficiant d un apport lat ral quasi permanent 199 Appr ciation du comportement des essences Gr ce ses racines puissantes le ch ne sessile est l essence productive la mieux adapt e aux plateaux et versants de la for t communale de Bettembourg Son adaptation est totale sur 98 de la superficie de la propri t et cologique sur les autres 2 c est dire dans les vallons Le ch ne sessile constitue donc une essence incontournable que ce soit en peuplement plus ou moins pur ou comme constituant principal d un m lange Sa pr sence au sein d un m lange permet d augmenter la stabilit du peuplement et d assurer la mise en circulation des l ments min raux de profondeur Compte tenu de ses exigences sp cifiques en mati re d approvisionnement en eau le ch ne p doncul n est pleinement adapt que dans les zones b n ficiant d un apport d eau lat ral repr sentant 16 de la superficie totale de la propri t Ailleurs les r serves en eau ne sont pas suffisamment soutenues tout au long de l ann e pour garantir une croissance optimale Le m lange du p doncul avec le ch ne sessile est alors indispensable dans des proportions qui d pendent des capacit s de stockage en eau notamment en relation avec l paisseur de limon Le h tre peut tre pr sent sur l ensemble de la for t communale de Bettembourg Cependant malgr
158. 572 des 605 lots ont t pris en compte soit 94 5 254 Depuis que le Grand Duch de Luxembourg a t d clar zone de surveillance concernant la peste porcine classique tout sanglier tir ou trouv mort doit tre amen obligatoirement un des centres de collecte install s sur le territoire du pays A part de la prise d chantillons d analyse pour le laboratoire v t rinaire il a t possible d obtenir un certain nombre d informations suppl mentaires sur les sangliers entre autre en ce qui concerne l poque de l ann e o a lieu le tir ainsi que la r partition des classes d ge des sangliers tir s Ces donn es peuvent tre d une importance certaine pour une future gestion de l esp ce Nombre de sangliers tir s en 2004 Octobre 2004 De Il ressort de ce tableau que la plus grande partie des sangliers savoir 75 est tir e pendant les chasses en battue mois d octobre f vrier Nombre de sangliers tir s en 2004 255 Gibier i Mersch accident trouv mort Cantonnement 27 i Greven Diekirch forestier i macher Gibier poil Cerf m le Sanglier m le Laie Marcassin Total san Brocard Chevrette Chevrillard Total chevreuils Mouflon m le Mouflon femelle Daim m le Daine Faon Total daims Chat sauvage Bereet PO Er PRIT A EE EIER Gibier plumes Faisan Esp ces non chassables 256 I
159. 98 3 3 4 Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National 200 3 3 5 constitution d un r seau de r serves foresti res int grales 201 3 3 6 Le d veloppement d un circuit didactique pour la r serve naturelle foresti re du Strombierg 209 3 3 7 Le d veloppement d une base de donn es pour la gestion des informations concernant le patrimoine historique et culturel en for t 212 3 3 8 La collaboration avec l ONF dans le domaine de la gestion des peuplements irr guliers feuillus 214 3 3 9 La participation la f te foresti re Clervaux et la Journ e Nationale du Cheval de Trait 215 3 3 10 Les nouvelles publications 215 Les Services de la Conservation de la Nature 221 3 4 1 Les r serves naturelles 221 3 4 2 Acquisitions de terrains dans l int r t de la conservation de la nature 223 3 43 Information du public en mati re de la conservation de la nature 223 3 4 4 Etudes et inventaires 225 3 4 5 Agriculture 227 3 4 6 Remembrements 228 3 4 7 Restaurations des habitats humides 229 3 4 8 Biodiversit 229 3 4 9 Natura 2000 229 3 4 10 Am nagements cologiques 230 3 4 11 Groupes de travail et activit s diverses 232 3 4 12 Colloques et groupes de travail supranationaux 233 3 4 13 Les activit s des arrondissements de la conservation de la nature 233 Le Service de la Chasse et de la P che section chasse 243 3 5 1 La lutte contre la peste porcine classique 243 3 5 2 La vaccination des sangl
160. Air Bruit 2 4 1 Travaux du groupe directeur europ en dans le programme CAFE Clean Air For Europe Les travaux du groupe directeur europ en programme CAFE ont t continu s durant l ann e avec de nombreux sous groupes sp cialis s dans les diff rents domaines Le but atteindre dans le programme CAFE est d introduire une strat gie int gr e et long terme de l am lioration et du maintien d une bonne qualit de l air Ce programme a pour mission essentielle de d velopper des propositions pour pouvoir mener une politique de l air en Europe Le groupe directeur europ en a t lanc en 2001 par la Commission Europ enne afin de mettre en oeuvre l aide d une approche int gr e une politique efficace de l air en Europe et de fournir les outils appropri s aux d cideurs La Commission Europ enne est le ma tre d uvre du programme CAFE et fixe les grandes orientations ainsi que le but atteindre savoir mener une politique efficace de l air en Europe Les Etats Membres sont r guli rement invit s aux d bats afin d apporter des l ments pour affiner ce programme Rappelons que cette strat gie int gr e d une bonne qualit de l air en Europe prend en compte tous les l ments importants comme l valuation de la qualit de l aide de techniques de mesures performantes les effets des polluants sur l homme les effets des polluants sur la v g tation les effets des poll
161. Carton Verre creux M taux Mati res plastiques Bois charg s D chets D chets probl matiques encombrants 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2 2000 o 2001 2002 02003 La quantit annuelle totale des d chets collect s dans les parcs conteneurs a augment de 52 656 tonnes en 2002 56 915 tonnes en 2003 ce qui repr sente une croissance de 8 1 Le graphique suivant indique les quantit s sp cifiques par habitant des zones d attraction des parcs conteneurs pour quelques fractions Dar Cutter sous Maur stane Damage Dean ratiregtesn immiss Quantit s sp cifiques par habitant habitant 188 kg ETS m22040 Se Saa SS d LEI m1959 epp 22002 2001 e2002 82105 20 ds a La quantit annuelle moyenne de tous les d chets d pos s par habitant des zones d attraction des 19 parcs conteneurs a augment de 142 kg pour l ann e 2002 149 kg pour l ann e 2003 5 3 99 D eee nee R partibon de poids des fractions de d chets collect es dans les parcs de recyclage en 2003 D chets enconbrants 122 D chets prot matiques Matieres ptstiques 17 D crels rees n au total 60015 tonnes En analysant la r partition en pourcentage de poids des diff rentes fractions de d chets collect es dans les parcs conteneurs 2003 on peut observe
162. Concasseurs mobiles Durant l ann e 2004 les demandes d autorisations suivantes ont t introduites pour des concasseurs cribleurs mobiles 2 5 15 1 7 Aires d entreposage temporaires pour boues d puration Durant l ann e 2004 les demandes d autorisations suivantes ont t introduites pour pouvoir entreposer temporairement des boues d puration et leur pandage au profit de l agriculture Nom du demandeur SEDE B n lux 04 PE 02 19 04 2004 15 07 2004 SEDE B n lux 04 PE 03 10 05 2004 15 07 2004 SEDE B n lux 04 PE 06 26 08 2004 17 11 2004 SEDE B n lux Erpeldange 04 PE 07 31 08 2004 17 11 2004 SEDE B n lux 04 PE 08 23 11 2004 10 01 2005 2 5 15 1 8 Autres En date du 13 janvier 2004 la soci t Hein D chets S r l a introduit un dossier de demande pour pouvoir accepter des fractions suppl mentaires dans son installation de tri sise pr s de Bech Kleinmacher L arr t t d livr en date du 23 janvier 2004 Dossier N 1 04 0016 Dossier D chets N 00 PT10 et 02 PT 05 02 En date du 20 janvier 2004 Luxotherm a introduit une demande pour obtenir une modification des d lais impos s par l arr t minist riel couvrant l exploitation de cette installation La modification a t autoris e en date du 2 mars 2004 Dossier N 1 01 0170A 01 09 01 La Soci t Paul Wurth S A introduit un dossier de demande en date du 25 f vrier 2004 pour pouvoir effectuer des essais sur des
163. D13 Regroupement pr alablement l une des op rations 766719 785647 7707168 num rot es D1 D12 Allemagne 015 Stockage pr alablement l une des op rations num rot es D1 1896474 1236079 2155097 D12 Allemagne 099 Pr traitement avant 0 0 7580 Allemagne R01 Utilisation comme combustible autrement qu incin ration 3049384 10844756 8667857 directe ou autre moyen de produire de nergie Allemagne R03 Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne 24147964 21991172 22532869 sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques Allemagne R04 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s 48060322 46209646 28279813 m talliques Allemagne R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 84907609 81844253 38881295 135 Allemagne Allemagne Allemagne Allemagne Allemagne Allemagne Allemagne France France France France France France France France Pays Bas Pays Bas Pays Bas Pays Bas R09 R10 R11 R12 R13 R98 R99 D01 D05 D09 D10 R01 R04 R05 R13 D10 R02 R04 R05 R g n ration ou autres r emplois des huiles us es Epandage sur le sol au profit de l agriculture ou de l cologie Utilisation de mat riaux r siduels obtenus partir de l une des op rations num rot es R1 R10 Echange de d chets en vue de les soumettre l une quelconque op rations num r
164. Die nat rlichen Waldgesellschaften in Luxemburg e Nat rliche Vielfalt in unseren W ldern Strukturreichtum eine Voraussetzung f r die Biodiversit t im Wald Waldinterne Kleinstrukturen und Kontaktgesellschaften des Waldes erh hen die Artenvielfalt e Unser Wald als Schutzgut Non der Notwendigkeit einer Wald und Biodiversit t Schutzpolitik Wird unser Wald gesetzlich gesch tzt Konkrete Umsetzung des Waldschutzes in Luxemburg Wissenschaftliche Grundlagen und technische Orientierungshilfen f r einen effizienten Schutz im Wald e Zertifizierung von Wald und Holz Wald und Holzzertifizierung ein Oeko Label f r den nachhaltigen Forstsektor Wie es zum Konzept der Zertifizierung kam FSC eine globale Schlussfolgerung e Trend zum naturnahen Waldbau Was versteht man unter naturnahem Waldbau Welche Erfolge erwartet man sich vom naturnahen Waldbau Wie sieht denn nun naturnaher Waldbau im Praktischen aus Kein naturnaher Waldbau ohne Monitoring e Wald ein wichtiger Rohstofflieferant Holz ein vielseitig einsetzbarer Rohstoff Welche Bedeutung kann Holz als Co2 neutraler Energielieferant haben e Was ist mein Wald wert Grunds tzliche Werte des Waldes Wie bestimmt man den Handelswert einer Waldparzelle e Staatliche Unterst tzungsprogramme und Hilfsgelder Subsidien im Wald e Glossar Mein Tachenbuch 2005 brochure en polychrome de 96 pages A5 richement il
165. H 36 Schlammwiss Aalbach communes de Betzdorf de Niederanven et de Schuttrange RN ZH 51 Filsdorfergrund communes de Dalheim et de Frisange RN RD 34 Lannebuer communes de Frisange et de Weiler la Tour RN ZH 54 Mamerdall communes de Bertrange de Kehlen de Kopstal de Lintgen de Lorentzweiler de Mamer de Mersch de Steinsel et de Strassen RN RF 21 A la Haute Saule commune de P tange RN ZH 40 Am Dall et Kouprich commune de Wincrange RN ZH 07 et 08 Am Pudel communes d Esch sur Alzette et de Schifflange RN ZH 43 Biergerkraiz commune de Walferdange RN sans indice Brucherbierg communes de Kayl et de Schifflange RN sans indice K idenger Brill communes de Fischbach de Heffingen de Junglinster et de Larochette RN RD 08 Conzefenn communes de Troisvierges et de Weiswampach RN ZH 06 e Cornelysmillen commune de Troisvierges RN ZH 04 Gr newald communes de Junglinster de Lorentzweiler de Luxembourg Ville de de Niederanven de Sandweiler de Steinsel et de Walferdange RN sans indice Pellembierg et Wackelterbierg communes de Flaxweiler et de Wormeldange RN PS 10 et 12 Pont Mis re et Bruch communes de Boulaide et de Rambrouch RN ZH 16 et 84 Vall e de la Schlinder communes de Bourscheid de Consthum et de Hoscheid RN RF 14 Weimericht commune de Junglinster RN PS 14 3 4 1 3 Travaux de gestion dans les r serves naturelles e prot g e Keel
166. I SEPT 2003 AVRIL 2004 L valuation de la situation en mati re d a rocontaminants en d terminant les niveaux en plomb par la m thode des l gumes feuilles lav s durant la p riode d cembre 2003 d cembre 2004 en appliquant le crit re sanitaire de comestibilit de l gumes donne les r sultats suivants r sum s dans la figure ci dessous 68 R seau de biosurveillance Teneurs en plomb bioaccumulation dans les l gumes feuilles Contr les aux sites les plus sensibles des d passements des teneurs maximales l gumes lav s 1 17 Teneur maximale ne pas d passer r glement CE N 466 2001 du 8 mars 2001 Commission de Bruxelles 0 9 0 6 0 33 0 RL DIFFERDANGE DIFFERDANGE ESCH ALZETTE ESCH ALZETTE ESCH ALZETTE SCHIFFLANGE SCHIFFLANGE R f rence Cit S Thomas RuedesJardins AnElsebrech Rued Ehlerange Lallange Rue Cit UmBenn Rue du Moulin l gume feuille des Nicolas Mannes lav du Tramways commerce ___1 fris XVI 30 septembre 12 d cembre 2003 E Chou fris XVII 18 mai 20 juillet 2004 C leri 1 20 juillet 20 septembre 2004 Chou fris XVIII 06 octobre 14 d cembre 2004 E 5 2 Ei bat Site d observation Durant l ann e 2004 les teneurs maximales en plomb dans les l gumes feuilles expos s sont rest s en dessous de la valeur limite Seuls aux deux sites sensibles Esch Alzette Cit jardini re An Elsebre
167. Les r frig rateurs collect s et qui contiennent des fr ons continuent tre trait s selon la norme de la RAL G tegemeinschaft R ckproduktion von FCKW haltigen K hlger ten Les mousses d isolation r cup r es exemptes de fr ons sont r utilis es dans divers secteurs industriels en tant que mati re premi re secondaire Une part est valoris e en tant que mat riel d absorption pour recueillir des huiles d vers es Pour cette application ces mousses sont commercialis es sous le nom de Oeko Pur En 2004 les mousses ainsi r utilis es au Luxembourg correspondaient 9 150 r frig rateurs 122 2 5 10 4 Le SuperSpillMobil Le SuperSpillMobil vise sensibiliser les enfants au sujet de l environnement moyennant divers jeux Les jeux sont con us pour les jeunes de diff rents ges depuis l cole maternelle jusqu aux adolescents Les adultes peuvent galement y participer en particulier en comp tition avec leurs enfants On peut y jouer aussi bien seul qu en quipe et chaque participant se voit remettre comme petite r compense un article de la SuperDrecksK scht par exemple une peluche un tshirt ou une casquette Le SuperSpillMobil propose actuellement les jeux suivants Habitats Jeu de collecte Que sentons nous Questions et r ponses Jeu d eau Jeu sur l nergie Spuer Wat Le SuperSpillMobil est mis gratuitement la disposition d coles d associations ou de communes au Luxembourg
168. STEP STEP STEP Moersdorf R dange Rosport Steinfort Tuntange Uebersyren Vichten Windhof SIAS pH Je 690 LB 0 400 zoo 750 Zine mg kg ms 944 0 Plomb mg kg zz 00 00 1 10 1 30 1 00 1 55 1 01 1 72 1 10 1 50 Ell RS 0 Chrome mg kg ms 28 00 37 00 30 00 39 50 28 50 41 50 35 00 80 00 i 5 19 00 21 00 22 00 21 00 20 00 22 50 26 00 32 00 Mercure 0 25 1 70 0 46 0 97 0 10 1 80 0 40 0 34 mg kg m s 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 60 00 119 00 mg kg m s Molybd ne 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 67 00 mg kg m s 660 EECH EEGEN 800 660 S l nium 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 mg kg m s 105 2 5 7 Les d chets d emballages La gestion des emballages et des d chets d emballages au Grand Duch de Luxembourg est d termin e par le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 relatif aux emballages et aux d chets d emballages Ce r glement s applique tous les emballages mis sur le march luxembourgeois et tous les d chets d emballages qu ils soient utilis s ou mis au rebut par les industries les commerces les bureaux les ateliers les services les m nages ou tout autre niveau quels que soient les mat riaux dont ils sont constitu s 2 5 7 1 La pr vention et la r utilisation des emballages L article 5 du r glement concerne plus particuli rement la pr vention et la r utilisation des emballages et des d chets d e
169. TTWEIL G M B H Rottweiler Strasse 13 D 78628 Rottweil 352 358541 352 356530 49 062158615 0 49 0621582354 49 0681379975 3 49 0681379975 40 49 030787970 0 49 030787970 11 49 02534807 0 49 02534807 110 T 352 436676 1 F 352 436264 49 09115434540 49 09115434541 49 0741 174 36 30 49 0741 174 36 59 31 D3 4 5 71 92 1 B1 B2 1 2 04 5 71 F3 A sauf A14 A34 et A4 C sauf C9 et C10 D1 D2 D3 D6 1 4 5 A11 A12 A21 A22 1 2 5 D3 8 2 31 03 2005 31 03 2006 31 03 2005 31 03 2005 31 03 2006 31 03 2006 31 03 2005 31 03 2005 49 02203 980989 49 02203 980991 F12 31 03 2005 352 251788 5 352 251789 31 03 2005 31 03 2008 31 03 2005 INSTITUT SCIENTIFIQUE DE SERVICE PUBLIC Rue de Ch ra 200 B 4000 Li ge KRAMER SCHALLTECHNIK GMBH Siegburger Stra e 39 D 53757 Sankt Augustin HELMUT KUMM amp FRANK KREBS Ingenieurb ro f Meteorologie u technische kologie Tulpenhofstrasse 45 D 63067 Offenbach am Main LABORATOIRE DES RESSOURCES HYDRIQUES UNIVERSITE DE LIEGE Avenue de Longwy 185 6700 Arlon LUXCONTROL S A 1 av des Terres Rouges BP 349 L 4004 Esch sur Alzette LUXPLAN S A Parc d activit s Capellen 85 87 Bo t
170. Uebersyren e Les compost des installations de compostage Sidec Angelsberg Kehlen Esch Alzette Reckenthal et Hesp range ont t pr lev s et contr l s 12 fois 2 5 18 Les anciennes d charges 2 5 18 1 La d charge du Ronnebierg Comme pour les ann es pr c dentes des campagnes r guli res d chantillonnage des eaux souterraines et des sources pouvant tre influenc es par l ancienne d charge du Ronnebierg ont t effectu es Le d tail des r sultats des analyses pourra prochainement tre consult sur le site Internet de notre administration www emwelt lu gt d chets gt inspections environnementaks Par rapport aux concentrations des chlorures qui pr sentent un indicateur fiable de l impact de la d charge sur les eaux on peut tirer en r sum les conclusions suivantes 153 e Dans les sources des alentours les concentrations ont fortement diminu Cette tendance vers la baisse continue Dans la majorit des sources les chlorures sont inf rieurs la valeur oPW de la liste ALEX 02 pour les eaux souterraines 200 mg Une exception est donn e pour le point de pr l vement n 13 source de la Chiers o les derniers r sultats montrent un l ger d passement de cette limite e Dans les forages autour de la d charge la tendance vers la baisse est moins spectaculaire Ceci est d au fait que pour les forages qui se trouvent proximit imm diate de la surface tanch fi e de la d
171. a communication politique et scientifique en Europe et assurer le succ s d une coop ration troite sur une vaste gamme de questions ayant trait aux for ts et la foresterie Ce dialogue n implique pas seulement des repr sentants des gouvernements des pays participants mais aussi une vari t de parties prenantes englobant des ONG caract re cologique et social des associations de propri taires de for ts l industrie foresti re de m me que des organisations intergouvernementales Bien que les acteurs impliqu s repr sentent une vari t d opinions et d int r ts ils ont en commun la vocation d assurer le d veloppement et la protection durables des for ts en Europe Englobant l Europe tout enti re la MCPFE peut tre consid r e comme un exemple de la r ussite d une coop ration transnationale travers tout un continent Elle a toujours consid r les for ts europ ennes comme tant un patrimoine commun et a reconnu que les dangers mena ant ces pr cieux 164 cosyst mes se conforment pas toujours des fronti res territoriales ou id ologiques C est pourquoi d s ses d buts le dialogue et la coop ration au sein de la MCPFE ont lanc des ponts entre l Est et l Ouest de m me qu entre le Nord et le Sud de l Europe qui ont permis d changer des id es et de cr er une sensibilisation et une compr hension mutuelles l gard de la diversit des conditions et des situations en Europe La MCPFE consti
172. a survie de ces cosyst mes particuliers n cessite un apport de lumi re incompatible avec la pr sence d un tage arborescent classique est donc conseill d y garantir un meilleur apport de lumi re par la constitution d une zone tampon de type lisi re arbustive 3 3 4 Les travaux en relation avec l Inventaire Forestier National En 2004 la collaboration avec la Facult des Sciences Agronomiques de Gembloux t poursuivie L quipe du prof Rondeux a pris en le suivi scientifique ainsi que l assistance technique de l ensemble des op rations ayant vu le jour en 2004 dans le domaine de l Inventaire Forestier National R ponses au questionnaire FRA 2005 Le D partement des For ts de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture conjointement avec la Commission Economique pour l Europe des Nations Unies a lanc en 2004 une vaste enqu te sur les ressources foresti res mondiales intitul Global Forest Resources Assessment 2005 FRA 2005 La FUSAGKx s est occup e des r ponses cet important questionnaire de 33 pages sur base des r sultats du premier cycle de mesure 1998 2000 de l Inventaire Forestier National Permanent du Grand Duch de Luxembourg IFL1 les donn es fournies correspondant donc l tat de la for t luxembourgeoise en 1999 date de r f rence de IFL1 200 Mise jour globale du guide m thodologique En f vrier 1999
173. ablissement de nouvelles statistiques de relev s des travaux et synth ses des heures l tablissement de statistiques pour les triages de SAR la correction de divers bugs En plus des travaux de maintenance proprement dit la documentation des donn es de l application SALAIRES a t totalement remise jour L ancienne application SALAIRES a t adapt e et migr e Elle s appelle maintenant SALAIRES AVANT2004 version 5 12 Cette application permet de consulter toutes les donn es g r es avant le 1 janvier 2004 L application COBUPLAN est destin e aux trois domaines troitement li s savoir la comptabilit le budget et la planification Seule la partie planification PLAN est fonctionnelle depuis 2002 Le module de planification permet la saisie et l dition des plans annuels de gestion des propri t s foresti res et des zones prot g es Le module de planification de l application COBUPLAN doit devenir terme un syst me expert qui peut aider les gestionnaires tablir les plans annuels de gestion en se basant sur les donn es des ann es de gestion ant rieures En 2004 nous avons d velopp et test les deux parties manquantes savoir la Comptabilit CO et le budget BU Les travaux de maintenance r alis s 2004 sur l application KCOBUPLAN versions 3 02 3 09 concernent la gestion de factures des budgets et des engagements La prise en compte de la gestion du
174. abstraction des d chets d amiante ciment et des bonbonnes gaz les quantit s de d chets probl matiques collect s sont les suivantes 114 Cl 2450 15 mell mmm Cal 1 o o ap 2004 ces quantit s repr sentent 3 9 kg hab Il ressort des tableaux ci dessus que les quantit s collect es par les collectes mobiles ont l g rement diminu par rapport 2004 Toutefois le nombre des visiteurs tait de 45 707 soit 2 de plus que l ann e pr c dente En moyenne chaque visiteur a remis 10 7 kg En acceptant cette quantit pour les centres de recyclage les d chets probl matiques qui y ont t remis proviennent de 139 683 m nages 2 5 10 1 2 Les diff rents types de d chets collect s Les d chets probl matiques collect s en 2004 sont constitu s des fractions suivantes quantit s exprim es en kg Peintures 659939 Accumulateurs 261875 Graisses de fritures 255971 Amiante ciment 235345 Huiles usag es 116086 M dicaments 75589 Piles 68445 divers 53061 Bombes a rosols 49513 Roofing 49147 Supports informatiques cartouches toner 44756 R cipients gaz 29325 Bases 24395 Solvants 23230 Tubes fluorescents 21084 Produits phytopharmaceutiques 13866 Radiateurs lectriques 12361 Filtres huiles 10963 Ampoules lectriques 10591 Acides 6679 Produits photochimiques 6526 Produits chimiques de laboratoires 5570 Produits non identifi s 365 2 5 10 1 3 Certains d chets sp
175. adables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel t d livr en date du 23 janvier 2004 Dossier N 1 02 0284 Dossier D chets N 02 CF 08 En date du 6 ao t 2002 M Eug ne Heuertz de Brachtenbach a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gradables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel a t d livr en date du 9 mars 2004 Dossier N 1 02 0310 Dossier D chets N 02 CF 09 En date du 14 ao t 2002 M Romain Wester de Neidhausen a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gradables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel a t d livr en date du 9 mars 2004 Dossier N 1 02 0349 Dossier D chets N 02 CF 10 En date du 10 septembre 2002 M Roger Doncketzchank de Beiler introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gradables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel t d livr en date du 9 mars 2004 Dossier N 1 02 0158 Dossier D
176. agne de vaccination a t labor par l administration des services v t rinaires de concert avec l administration des Eaux et For ts formulaire devait tre rempli par les locataires de chasse respectifs la fin de chaque double campagne de vaccination Le taux de r ponse tait assez bien on a constat en effet un retour des formulaires de l ordre de 67 pour les trois campagnes de vaccination L valuation des formulaires retourn s a donn les r sultats suivants Les places d app ts selon leur tendue Impfkampagnen KSP 2004 Aufschl sselung der K derpl tze nach Ausdehnung nach Zahl der Pl tze 250 499 500 1200 Quadratmeter Quadratmeter 13 4 keine Angabe 8 150 249 3 49 Quadratmeter Quadratmeter 36 20 247 Taux de consommation des app t Impfkampagnen KSP 2004 Aufnahme der Impfk der 3 April 12 Juni 3 Juli 4 September 2 Oktober Zeitpunkt der K derauslage O Nicht aufgenommene K der Aufgenommene K der Impfkampagnen KSP 2004 Aufschl sselung der K deraufnahme nach Wildarten 3 April 12 Juni 3 Juli 4 September 2 Oktober Zeitpunkt der K derauslage O Nicht aufgenommene K der Durch anderes Wild aufgenommene K der Durch Schwarzwild aufgenommene K der 248 Impfkampagnen KSP 2004 Aufnahme der Impfk der 3 April 12 Juni 3 Juli
177. aire d laborer court terme durant l ann e 2005 un plan d action et ou un programme pour d montrer quelles mesures sont appliquer afin de se conformer aux valeurs limites pour l ch ance fix e dans la directive europ enne Ensuite la qualit de l air est am liorer de fa on significative au point de mesurage concern Noter que le point de mesurage Luxembourg Bonnevoie Rue de Bonnevoie face la Banque et Caisse d Epargne de l Etat ne d passe pas la valeur limite augment e de la marge de d passement actuellement en vigueur mais d passe l g rement la valeur limite de 40 respecter partir du 01 01 2010 Polluant NO2 moyenne annuelle 70 protection de la sant humaine valeur limite marge de tol rance 60 S be e 50 A Dals E i e e seuil d valuation maximal 32 ANE AS ES TEE KE EE Ye EE EE Ge A seuil d valuation minimal 26 g m o ot o o o zt oO e Oo o o o o oO Gi Gi Gi ei e e e e e e e e DN DN DN DN CN LUXEMBOURG Centre LUXEMBOURG Bonnevoie ESCH ALZETTE Oxydes d azote NO protection des cosyst mes La valeur limite est respect e aux
178. aisies s l ve 81290 Ces installations repr sentent une puissance calorifique totale de 3700 MW Les missions en 2004 sont estim es sur base d une consommation en mazout de 232000 tonnes Installations de combustion au mazout de moins de 3 MW Tonnes en 2004 Co 712000 Les installations de chauffage au mazout de moins de 3 MW doivent tre contr l es au moins tous les 2 ans Les certificats de r vision sont saisis par l administration Pour la saisie des certificats de r vision et des protocoles de r ception l administration de l Environnement avait sa disposition au cours de l ann e 2004 une seule employ e plein temps Elle tait second e par une employ e CAT mises disposition temporairement par l administration de l Emploi Les chiffres montrent que le nombre de certificats re us en 2004 est sensiblement le m me qu en 2003 tandis que le nombre de certificats enregistr s a diminu substantiellement Il en r sulte une augmentation du retard de saisie de 88 par rapport l ann e pass e qui se situe au 31 d cembre 2004 16004 certificats Les chiffres montrent que le personnel et l infrastructure en place pour la saisie sont insuffisants Nombre de certificats de r ception et de r vision Ann e Non enregistr s Re us Enregistr s Non enregistr s au ler janvier au 31 d cembre Dans le contexte du contr le de conformit des installations de chauffage 844 lettres de rappel ont
179. alyses de bioindicateurs tr s sensibles la pollution par des m taux lourds confirment ces r sultats car il y a absence de probl mes de comestibilit de l gumes cultiv s Rodange 2 4 2 3 R seau de mesure des m taux lourds et des sulfates en suspension dans l air C est notamment en milieu urbain et urbain industriel que les m taux lourds et les sulfates en suspension dans l air sont mesur s Luxembourg Centre Boulevard Royal Esch Alzette et Luxembourg Eich Pour les m taux lourds une valeur limite respecter est celle du plomb avec 0 5 ug Pb d air ambiant calcul e en moyenne annuelle La directive europ enne 1999 30 CE DU CONSEIL du 22 avril 1999 retenu la valeur limite de 0 5 correspondant la valeur guide de TOMS pour la protection de la sant humaine Les m taux lourds arsenic cadmium mercure et nickel devront l avenir tre analys s de plus pr s Pour ces m taux des valeurs cibles seront introduites sous peu Le dispositif de collecte comportera probablement l avenir une t te de mesure de particules PM poussi res lt 10 um ces particules repr sentant la partie inhalable des poussi res Actuellement la teneur en plomb dans l air ambiant est tr s faible et se situe une valeur faible de l ordre de 0 05 Pb m qui correspond 10 de la valeur limite du plomb Les sulfates 501 se maintiennent tous les sites un niveau annuel tr s faib
180. anique et du tri de d chets m nagers et assimil s Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 11 mai 2004 En date du 5 ao t 2004 ces informations nous sont parvenues Le dossier de demande est tenu en suspens Dossier 1 04 0167 Dossier D chets N 04 05 En date du 19 mai 2004 la soci t Polygone a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter un entrep t pour d chets provenant de leurs activit s et situ Bonnevoie Dossier 1 04 0195 Dossier D chets N 04 PE 04 En date du 4 juin 2004 l entreprise CircuitFoil S A a introduit un dossier de demande pour r gulariser la situation de son usine CircuitFoil situ e dans la zone industrielle pr s de Wiltz Le dossier est en cours d instruction Dossier 1 04 0204 Dossier D chets N 04 PTO8 Une demande a t introduite en date du 26 mai 2004 par la soci t J Lamesch Exploitation tendant adapter la liste des d chets acceptables dans son nstallation de traitement physico chimique couverte par l arr t minist riel 96 PT 02 tel qu il a t modifi par l arr t minist riel N 03 PT 01 Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 20 ao t 2004 En attendant le dossier est tenu en suspens Dossier N 1 04 0205 Dossier D chets N 03 PT 01 01 En date du 27 mai 2004 l entreprise Horsch a introduit un dossier de demande pour pouvoir entreposer temporairement des d ch
181. ann e 2005 verra la r alisation et la mise en service des premiers ateliers Si l essai est concluant il est projet d largir le projet et d offrir encore des activit s suppl mentaires L exploitation des installations sera assur e par un tiers 3 2 5 9 Divers Le chef de cantonnement de Diekirch membre du groupe d tudes ayant pour objet la sauvegarde du patrimoine naturel de la Petite Suisse luxembourgeoise particip en 2004 quatre r unions de ce groupe et la visite grand ducale en date du 19 octobre 2004 dans la for t communale de Berdorf Le secr tariat de ce groupe fond il y a quinze ans est assur depuis plusieurs ann es par ks chefs de cantonnement de Diekirch Le groupe a eu une entrevue et une sortie sur le terrain avec des repr sentants de la f d ration luxembourgeoise de l escalade sportive afin de rechercher avec l accord du Secr taire d Etat l Environnement un site d escalade alternatif Le groupe est favorable cette d marche qui enl vera certainement de la pression du site fragile de la Wanterbaach Berdorf Le chef da cantonnement a activement particip sept r unions pr paratoires et d organisation du symposium en mai 2005 Paysages de gr s en Europe pour lequel l administration des Eaux et For ts figure parmi les organisateurs Les r unions se sont tenues au Mus e National d Histoire Naturelle qui assure la coordination g n rale 183 2004 le
182. ans la r serve naturelle Haff R imech am nagement d un parking cologique Rodange am nagement d un parking cologique Ettelbruck am nagement d un parking cologique Weiswampach am nagement d un parking cologique aux alentours du centre d accueil projet de Schoenfels 3 4 10 3 Brochures en cours de r daction 3 4 10 3 1 Elaboration de la brochure Holzbau in der Landschaftsplanung Lors de l laboration de diff rents projets de constructions en bois il s est toujours av r que les bureaux d tudes et les corps de m tiers ne disposent plus des connaissances techniques en mati re d utilisation du bois dont disposaient encore les g n rations pr c dentes utilisation du bois non trait utilisation du bois en milieu p riodiquement submerg et exond Lors de la conception et de l ex cution de ces projets de vieilles connaissances artisanales sur les constructions en bois ont pu tre r activ es Par ailleurs des connaissances ayant subsist l tranger notamment en Bavi re en Suisse et en Autriche ont pu tre transpos es au Luxembourg Dans cette brochure seront r unies toutes ces informations sous forme didactique Un emploi plus fr quent du bois n aurait pas seulement des avantages pour la protection des paysages mais serait galement favorable au d veloppement des for ts luxembourgeoises qui souffrent actuellement d un manque de d bouch s pour le bois
183. ant la police rurale et foresti re enqu tes et rapports concernant le respect de la l gislation ayant pour but d assurer la protection de la vie et le bien tre des animaux enqu tes et contr les concernant le r glement grand ducal du 22 avril 1999 fixant les conditions pour la d tention de daims destin s la production de viande gestion et mise en d p t de l armement et des munitions de l Administration des Eaux et For ts initiation au tir de chasse pour les candidats l examen de chasse familiariser les candidats chasseurs avec les armes et leurs munitions manipulation des armes mise en uvre des armes collaboration l preuve de tir l examen de chasse organisation instruction et surveillance de la formation de tir ayant pour but de permettre au personnel de l administration des Eaux et For ts porteurs d une arme de service de s entra ner au tir am liorer et d assurer leurs performances informations et conseils d ordre pratique particuliers ONG communes collaboration diverses expositions et actions de sensibilisation du public collaboration troite avec l Administration de l Environnement le Service de la Gestion de l Eau et la Police Grand Ducale 3 6 5 Dossiers trait s par l Entit mobile en 2004 Au tableau c dessous sont repr sent s les dossiers trait s 2004 Dossiers trait s en 2004 Objet Nature Chasse P che ue dossiers 172 3s kk 65 de ces d
184. appliqu e des zones test choisies de fa on assurer une repr sentativit des paysages luxembourgeois L tendu de la zone d tudes est chaque fois de 20 25 km e R gion de Clervaux e Vall e de l Alzette entre Luxembourg et Mersch verte interurbaine entre Luxembourg et Esch Alzette En vue d tendre l analyse de l volution des paysages dans le temps le consultant a en outre des bases de donn es OBS88 et OBS99 eu recours des photos a riennes ainsi qu des cartes topographiques tablies en 1962 Le but de l op ration consistait montrer l aide de ces trois zones test les variations dans la fa on d utiliser l espace des ann es 1962 respectivement 1988 et 1999 Les r sultats obtenus ne sont certainement pas repr sentatifs de l volution sur l ensemble du territoire Cependant il est possible d en d duire avec certitude des tendances de d veloppement applicable chacune des zones d analyse Ainsi le pourcentage de l utilisation des sols des fins agricoles a diminu entre 1962 et 1999 d environ 12 dans chacune des zones test alors que les surfaces r serv es la sylviculture ne varient que peu Les zones urbanis es quant elles accusent une nette augmentation Cette tendance est particuli rement marqu e dans la deuxi me et troisi me zone test Par contre les surfaces occup es par des vergers ainsi que des zones humides ont diminu de plus
185. arr t minist riel a finalement t d livr en date du 1er mars 2004 Dossier N 1 02 0040 Dossier D chets N CD 01 94 02 143 2 5 15 2 2 D charges pour d chets inertes Centres r gionaux pour la gestion de d chets inertes CRGDI En date du 28 novembre 2003 l entreprise Sabli re Hein a introduit un dossier de demande pour pouvoir utiliser la gravi re situ e pr s de Remerschen comme centre r gional pour la gestion de d chets inertes non contamin s L arr t minist riel a t d livr en date du 14 avril 2004 Dossier 1 03 0554 Dossier D chets 03 PD 04 2 5 15 2 3 Traitement de d chets En date du 7 mai 2003 l entreprise J Lamesch Exploitation S A a introduit une demande pour obtenir une prolongation de l arr t N P 6 87 dat au 8 mars 1988 et d livr en vertu de la loi du 26 juin 1980 concernant l limination des d chets couvrant l installation de tri pour d chets de papiers cartons et mati res plastiques situ e dans la zone industrielle Wolser Nord pr s de Bettembourg L arr t minist riel N 03 PT 07 d livr en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets a t envoy au requ rant en date du 5 f vrier 2004 Dossier N 307 86 Dossier D chets N 03 PT 07 En date du 10 juin 2004 l arr t minist riel N 98 PT 07 01et 02 a t d livr Interaction Faubourg suite aux dossiers de demande introdui
186. arri res t moignent des activit s d exploitation de jadis Int r t du sentier didactique Le projet consiste concevoir et am nager un sentier p dagogique poss dant un int r t triple e cologique du fait qu il traverse une zone prot g e tr s int ressante du point de vue de sa v g tation naturelle constitu e en partie d rabli res de ravin scolopendre et de h tra s tr s proches de la nature sur le flanc est et en partie d une v g tation thermo x rophile sur le sommet mais aussi en raison de la topographie exceptionnelle et du caract re tr s impressionnant des falaises qui surplombent le flanc est culturel et historique notamment du fait de son point de d part dans la localit de Schengen tant entendu qu il existe en l occurrence un lien direct entre les aspects culturels et historiques d velopper et l historique de la r serve naturelle e g ologique tant donn que le Strombierg est remarquable plus d un gard dans ce domaine ancienne carri re de pierres dolomitiques anciennes mines de gypse seul endroit ou appara t un 210 affleurement de D vonien dans le Gutland affaissements sur le sommet et boulements rocheux sur le flanc est les aspects g ologiques tant intimement li s aux aspects biologiques de la r serve naturelle L aspect innovateur du sentier projet est donc bien celui de combiner des aspects cologiques des aspects culturels et historiques ainsi son
187. ation la taxation des fonds forestiers remembrer soit 720ha 3 2 5 Diekirch 3 2 5 1 Exploitation des coupes Au vu de la situation sur les march s la devise pour les abattages est rest e la m me qu en 2003 et pour certains propri taires les r alisations ont encore une fois t revues la baisse Si jusqu pr sent la majorit des propri taires publics s est montr e compr hensive et coop rative il faut noter les premiers signes d inqui tude et de m contentement 3 2 5 2 Etat sanitaire de la for t Un foyer tr s localis d un d p rissement du h tre d la maladie d nomm e Buchenkomplexkrankheit constat en 2003 dans la for t communale de Beaufort pu tre tenu sous contr le gr ce la vigilance et l intervention rapide du pr pos La progression du fl au en 2004 a t insignifiante 3 2 5 3 R g n ration plantation travaux de culture Dans le cas de la r g n ration des peuplements un recours la r g n ration naturelle est favoris Ainsi les reboisements artificiels ont pu tre r duit un minimum Les travaux culturaux de l ann e 2004 se sont limit s essentiellement l limination de la v g tation adventice de fa on extensive des terrains rebois s dans les ann es 1990 3 2 5 4 Voirie foresti re L exercice 2004 vu deux projets de voirie foresti re en for t communale de 1860 m et un projet en for t domaniale de 3 350 Dans les
188. au cantonnement a fait ses preuves La composition de ce couvert est tr s vari e savoir vieux peuplements feuillus r sineux ou taillis de ch ne fortement claircis au pr alable m l zes plant s large cartement v g tation pionni re sur des vieilles coupes rases interrompue par des laies Comme les jeunes plantes sont mieux prot g es contre le gel la s cheresse et l ensoleillement elles se d veloppent plus rapidement qui r duit les frais de d gagements Suite la s cheresse de 2003 et aux conditions m t orologiques favorable de l ann e les fa nes et gland s taient abondantes Partant plusieurs coupes pr paratoires ont t entam es pour assurer le succ s de ces r g n rations naturelles 3 2 4 6 P pini res En vu des travaux de transformation pr vu sur le site Burgfried les activit s au niveau de la p pini re sont mis au ralenti Nonobstant vu les fa n es et gland es abondantes 350 kg de semences autochtones ont t r colt es en vu de la productions de plants forestiers En outre la p pini re coop re troitement avec les responsables de la Maison de la Nature dans le cadre de la production d ancienne vari t s d arbres fruitiers Un premier essai de 400 plants a t lanc au printemps 2004 Il s agit de greffes de diverses vari t s de pommiers et de poiriers mises sur des souches robustes La r colte de ces jeunes arbres est pr vue pour 2007 Par la suite
189. au niveau des communes La cartographie des fonctions climatiques valuation climat qualit de Pair 1 4 Statistiques de l Environnement 1 5 Service Informatique 1 5 1 1 5 2 1 5 3 1 5 4 1 5 5 1 5 6 Projet SIGenv Syst me d information g ographique de Environnement Projet Site Internet Portail de l Environnement Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature GIS Mise disposition d informations g ographiques num riques Infrastructure informatique Projets interminist riels 1 6 L gislation environnementale et Conseils Environnement UE 1 6 1 1 6 2 Lois et r glements grand ducaux publi s au M morial en 2004 Conseils Environnement 1 7 Agr ments d livr s dans le domaine de environnement humain et naturel 2 ADMINISTRATION DE L ENVIRONNEMENT 2 1 Service Juridique 2 1 1 212 Cr ation d un service juridique Principales activit s du service juridique 2 2 Le Service Agr ments et Management environnemental GA ND ra ch 10 11 11 11 13 13 13 14 15 15 26 26 26 26 28 2 2 1 Loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement 28 2 2 2 Management environnemental 28 2 3 La Division des Etablissements Class s 37 2 3 1 La l
190. au pied des d p ts Les analyses ont relev que les r sidus d incin ration pr sentent de fortes concentrations en zinc D autres param tres dont galement les et les PDCC PCDF pr sentent en fonction de l chantillon des concentrations sup rieures aux valeurs normales Une contamination des alluvions n a cependant pas pu tre trouv e Moyennant de nombreux entretiens avec des t moins de l poque il a t essay de retracer l origine des d chets Selon les informations dont nous disposons actuellement il semble qu il s agit de d chets de production initialement destin s une autre d charge mais d pos s pr s de Bissen sur initiative de la personne en charge de leur vacuation C est la suite qu un incendie s est d clar dans les d p ts de pneus ce qui explique les traces d incin ration et les couches de cendres A l poque il a t essay d teindre le feu en le recouvrant de roches et de sables Il reste d sormais rechercher les responsabilit s respectives et v rifier qui en cas d assainissement devra assumer les frais de ces travaux 2 5 19 3 2 Le terrain situ la Pulverm hle anciennement EXPRESS SERVICE S A Les entreprises administratives qui exploitaient l immeuble et le terrain de l ancienne industrie de nettoyage sec EXPRESS SERVICE S A ont toutes d m nag Actuellement le site en question n est plus exploit Un organisme agr a t charg pa
191. aux lus architectes ing nieurs etc s est d roul e Mersch en date du 1 d cembre dans le cadre de l action 3 2 Penser for t Agir bois Avec plus de 200 participants cette manifestation a b n fici d un grand succ s Les th mes de la soir e taient la contribution du Grand Duch au projet Interreg Proholz Probois la red couverte du bois nergie comme combustible durable l utilisation du bois comme mat riau d exception en construction ainsi que la certification foresti re et la tra abilit du bois 170 e Les premiers r sultats de l audit de l offre for t et bois de l action 3 3 Route du bois sont pr sents Des listes exhaustives avec les r alisations en bois les entreprises de la fili re bois et les offres touristiques ont t labor es Parall lement une analyse de la demande a t faite pour regarder o le produit Route du bois pourrait tre plac Des th mes concernant la route du bois ont t labor s Les prochaines d marches entamer consistent maintenant de d barrasser les listes de tous les l ments n ayant pas d int r t pour la Route du bois et de fixer le concept de cette route e Dans le cadre de l action 3 4 l administration des Eaux et For ts organis le 12 et 13 novembre 2004 une visite de r alisations architecturales en bois pour les architectes et professionnels de la fili re bois wallonne et lorraine Le progra
192. avril 2001 pr voyant des crit res minimaux applicables aux inspections environnementales dans les tats membres 2001 331 CE Le programme ainsi que les r sultats des contr les sont publi s sur le site Internet du Minist re de l Environnement www emwelt lu D une fa on g n rale la plus grande majorit des d charges est conforme la quasi totalit des exigences des autorisations d exploitations 2 5 11 5 Les travaux en relation avec la cr ation de nouvelles d charges Les efforts de l Administration de l environnement pour cr er de nouvelles d charges ont t poursuivis au cours de l ann e 2004 A la suite l tat de la situation pour les diff rents projets est expliqu a le projet de d charge de Mondercange Les planifications d taill es relatives la d charge ainsi qu l assainissement des anciens d p ts sid rurgiques ont t poursuivies et pr sent es aux repr sentants communaux En outre des tudes de stabilit ont t r alis es A la suite le dossier de demande d autorisation commodo a t pr par Celui relatif la premi re phase de l assainissement a t introduit aupr s de l Administration de l environnement En ce qui concerne le projet de la piste cyclable le long du crassier piste qui constitue une condition pour la commune de Mondercange pour pouvoir accepter la d charge un compromis a t trouv e entre l Administration des eaux amp for ts e
193. bdivis s en 1961 228 rapports annuels et 66 r visions de ppgd taient enregistr s dans cette base de donn es dont e 1028 dossiers approuv s e 1104 dossiers en voie de traitement e 123 dossiers abrog s Les 1104 dossiers en voie de traitement se composent principalement de 407 dossiers pour lesquels un ppgd un rapport annuel ou une r vision ont t demand s 223 dossiers pour lesquels le ppgd est exig 6 mois apr s le d but de l exploitation 413 dossiers pour lesquels des informations suppl mentaires ont t demand es 61 dossiers ouverts pour des raisons diverses 147 2004 les fonctions suivantes ont t int gr es dans le logiciel ppgd mdb e la gestion int gr e des courriers en relation avec les dossiers sur la gestion des d chets e l enregistrement de l historique des d cisions administratives sur l tat des dossiers e gestion des ch ances informations suppl mentaires rappels rapports annuels et r visions de ppgd des dossiers et tablissements e l utilisation du code et du point de nomenclature des tablissements class s pour la gestion administrative des dossiers e les liens avec d autres bases de donn es de l Administration de l environnement e gestion de l archivage des dossiers de la gestion des d chets La mise en page des crans de saisie a t revue et adapt e pour pouvoir utiliser les nouveaux outils de gestion de dossiers L image cidessous r
194. bierg Remerschen Heedbaach et D ieregaard Krommfur Remich Riederboesch Roodt Syre Wuermer Boesch P llembierg et Kelsbaach Wormeldange ont t soigneusement entretenus sur une longueur totale d passant 39 000 m Le sentier international reliant les r gions m diterran ennes la Hollande et traversant les territoires des communes de Remich et Stadtbredimus fait l objet d un entretien r gulier tout comme les sentiers fr quent s Biwerboesch et D ckt St ck Betzdorf et Biwer K schtewee Betzdorf H ichtwee Biwer Branebusch et Haardt Canach Buchholtz Dalheim Widdebierg Betzdorf et Flaxweiler Houwald Grevenmacher Berbourgerwald Biwer et Manternach Hierberboesch Mompach Elvinger Gl icht Mondorf Kuebendaellchen Wellenstein Aalbaach Stadtbredimus Buschland Jongeboesch et R imecher Boesch Remich et Wuermerboesch Wormeldange Cette partie du r seau galement utilis e des fins de loisirs s tend sur une longueur de plus de 60 000 m Des contr les de s curit ont eu lieu pour les sentiers p destres situ s sur les territoires des localit s de Betzdorf et Biwer Biwerboesch Canach et Lenningen Branebusch Haardt Dalheim Buchholz Hunnebierg Kiem Schengen Stroumbierg Wellenstein Reef Mondorf Wouer Remich Heedbaach Salzbur et Sta
195. bois issu de for ts g r es durablement et consid r es comme une ressource renouvelable et qui m nage l environnement e prendre les mesures visant maintenir et renforcer les services rendus par les for ts pour la protection contre les risques naturels e transposer scrupuleusement les dimensions sociales et culturelles de la gestion foresti re durable dans les politiques conduites dans le secteur forestier e utiliser les programmes forestiers nationaux et sub nationaux comme catalyseurs d une coordination intersectorielle efficace qui t moigne d un processus d cisionnel quilibr e prendre les d cisions int ressant les for ts sur la base de donn es scientifiques prendre les mesures qui soutiennent et renforcent la recherche et qui favorisent la recherche interdisciplinaire e continuer d velopper la coop ration entre les pays se trouvant dans des situations socio conomiques diff rentes notamment en Europe centrale et orientale e prendre des mesures efficaces afin de promouvoir la bonne gouvernance et l application des lois foresti res combattre la r colte ill gale des produits forestiers et le commerce de ces produits et contribuer aux efforts internationaux d ploy s dans ce domaine e prendre des mesures concr tes pour contribuer la r duction globale des concentrations de gaz effet de serre et promouvoir le concept de gestion foresti re durable en relation avec la CCNUCC et le Protocole de K
196. certation avec les responsables communaux ASTA et le bureau d tudes S re Diekirch Ernz Blanche Larochette Eisch Marienthal Weilerbaach Mersch 3 4 13 3 10 R unions colloques et conf rences conseil d administration du Service National de la Jeunesse assainissement de Lintgen Septfontaines Dondelange Walsdorf Tandel Bettel Lorentzweiler Fouhren Stegen assainissement de la Vall e de l Our entre Dasbourg et Bettel avec implantation d une STEP internationale Bettel Reisdorf et Stolzembourg r seau national de d charges pour d chets inertes Rosswinkel Folschette Rippweiler Putscheid Roost contournement de Mersch et de Colmar Berg Route du Nord tron on E27 N11 Mersch Groupe de travail des constructions agricoles en zone verte r unions avec l ASTA transposition de la directive Habitats visite des lieux en vue de la r vision du PAG de la commune de Vichten Echternach Reisdorf et Schieren visites et r unions pour zones d activit s de la commune de Diekirch Hschbach Heffingen et Vianden restauration du parc de la Fondation Emile Mayrisch Croix Rouge Nieder Colpach r union de concertation en vue du r am nagement du centre d accueil de Schoenfels avec les responsables des services concern s des Eaux amp For ts et de l Administration des B timents Publics r union Nordstaad parc olien Redange et Rambrouch
197. ch et Schifflange Cit um Benn des d passements importants ont t constat s durant la p riode du 20 juillet au 20 septembre 2004 Les r sultats du r seau Bergerhoff confirment ces r sultats avec des retomb es plus importantes de poussi res pr s de ces sites sensibles et notamment une augmentation sensible des niveaux en plomb contenues dans les poussi res s dimentables Des activit s sur le terrain des sites sid rurgiques avec ses sources d mission diffuses ainsi que les activit s p riph riques d assainissement des crassiers ceci en p riode s che juillet ao t sont probablement l origine de cette soudaine remont e des niveaux en plomb Lors de d passements de la valeur maximale en plomb les habitants du quartier concern ont re u lavis par courrier et par communiqu de presse que les l gumes feuilles sont impropres la consommation 2 4 2 6 R seau observatoire co lich nique Durant 2004 les premiers travaux d investigation et de rep rage des sites s lectionner pour d finir le r seau de biosurveillance par observation de la flore lich nique ont t entrepris Ce r seau doit fournir des donn es suppl mentaires relatives la qualit de l air En effet l observation des peuplements de lichens un endroit donn permet de compl ter les r sultats des r seaux de mesure physico chimiques de la qualit de Les lichens Flechten sont des organismes primitifs form s par un
198. charge a t introduit par l exploitant Ce dossier a cependant t d clar incomplet du fait que l exploitation de la carri re sur le m me site n a plus t couverte par une autorisation commodo Le dossier de demande a d tre compl t en ce sens d le projet de d charge de Colmar Berg Nommern Le projet n a pas encore pu tre concr tis Des probl mes au niveau des propri t s encore d tre r solus e autres projets Des investigations ont t faites afin de trouver des sites pour des d charges nouvelles dans la r gion sud est le centre et le centre est 2 5 11 6 Les quantit s de d chets inertes L ensemble des quantit s de d chets inertes accept s dans les centres r gionaux c est dire les d chets d pos s et les d chets soumis un recyclage sont repris dans le tableau suivant Manach 65124 68508 44480 5000 siod Sen Fong Rosswinkel Commune 18000 43000 68000 80000 110000 53000 onsdorf EE OR ES 2 5 EI N E E En emd Fi F Schotterwerke 200947 364608 134148 26346 29817 80798 201031 Moersdorf Rippweiler Commune 107662 96871 165191 256050 133521 186020 270273 Useldange arri re Cloos Bridel 825277 1021269 560673 689270 689213 44356 ER 1 52 i m 162958 uantit s exprim es tonnes Fridhaff Bamerthal H
199. charge l change des eaux souterraines se fait plus lentement De ce fait les eaux du forage A pr sentent toujours des concentrations importantes en chlorures bien qu inf rieures celles mesur es lorsque la d charge n avait pas encore t d saffect e Les forages C et D pr sentent des concentrations en chlorures inf rieures 200 mg l L ancien exploitant a l obligation de surveiller la d charge apr s sa d saffectation Ces travaux sont faire par un organisme agr Ils concernent notamment les l ments suivants e les eaux de percolation tassement et le glissement de la d charge e les gaz de d charge Au moment de la r daction du pr sent rapport le rapport de l organisme agr relatif la surveillance durant l ann e 2004 n tait pas encore disponible 2 5 18 2 Les anciennes d charges communales Le contr le des anciennes d charges communales pour d chets inertes a t poursuivi en 2004 Au cours de ces inspections 25 d charges ont t contr l es par la Division des d chets Les travaux de r amenagement d finitif ont t achev s pour les d charges des communes suivantes e commune de Flaxweiler d charge Grackelsgr cht e commune de Tuntange d charge Heltzenberg e commune de Waldbredimus d charge Hinterster Kuesselt Lors du contr le de l ancienne d charge Eischen la Division des d chets a constat que des quantit s importantes de mati res inertes et de
200. che par type d aide et par type de propri taire Type d aide Commune tablissement Personne Total TRANCHE I public priv e Cr ation ou restauration de lisi res 11 477 77 11 477 77 foresti res Cr ation protection restauration ou 8 190 75 281 335 70 13 570 60 303 097 05 entretien d habitats naturels ou semi naturels Installation de cl tures de protection LL 557 37 55737 instalation de protections individuelles 84 1640 d eau Plantation d arbres fruitiers haute tige 5 707 13 5 707 13 LJ LL 470 82 47082 Plantation de haies 9900 end ali alavas NENG eg vents et de galeries alluviales Plantation de rang e s suppl mentaire s 238 10 238010 TOTAL 19 712 92 2146142 32251004 235 Montants pay s en par tranche par type d aide et par type de propri taire Type d aide Commune Etablissement Personne Total Re I e Cr ation ou restauration de lisi res 11 477 77 11 477 77 Fa NS Wee Plantation de haies d alignement 99 00 99 00 RS ll vents et de galeries alluviales Plantation de rang e s suppl mentaire s 23810 238 10 TOTAL 11 477 77 7 0 00 3370 1181487 3 4 13 1 6 Cr ation et restauration de zones humides e Am nagent d un bras secondaire le long de la Moselle au Taupeschwues en collaboration avec l administration des ponts et chauss es et le Schifffahrtsamt Trier R naturation de la M
201. chets apport s en 2003 tonnes 18 580 00 6 256 94 2 173 96 MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxemburg Mondercange Une certaine quantit de ces d chets n tait pas trait e dans les installations de compostage savoir e 5 873 tonnes de d chets organiques en provenance de l installation Minett Kompost ont t export es vers l Allemagne e 2 607 tonnes de d chets verts en provenance de l installation au Reckendall ont t transf r es vers l installation de traitement des boues d puration Soil Concept Diekirch Le graphique suivant reprend les quantit s de d chets organiques livr s par habitant En moyenne chaque habitant livrait une quantit de 121 kg de d chets Par poubelle verte une quantit moyenne de 98 4 kg an a t collect e 93 Quantit s des d chets organiques apport s par habitant en 2003 kg 250 0 D MINETT KOMPOST Mondercange SICA Mamer D SIDEC Angelsberg 9 SIDEC Fridhaff Hesperange 9 Luxembourg Tous les d chets Collecte separ e Branches haies Tontes de gazon 2 5 4 2 Les fili res de valorisation du compost En 2003 les six installations ont produit une quantit totale de 13 050 tonnes de compost dont 463 tonnes de compost frais installation Minett Kompost Le graphique suivant montre les fili res de valorisation du compost Le compost frais est notamment utlis en vit
202. chiens de chasse Les cours ont t enseign s par 11 charg s de cours 257 3 5 9 3 Initiation pratique au tir de chasse En troite collaboration avec les associations de chasseurs l administration des Eaux et For ts a propos le programme suivant aux candidats e Initiation la manipulation d armes pour d butants 1 s ance e s curit lors des op rations de tir d monstration de tir 1 s ance e Initiation pratique au tir de chasse 3 s ances L entra nement proprement dit est organis par les associations de chasseurs 3 5 9 4 Examen de chasse 76 personnes dont 8 redoublants taient inscrites aux cours pr paratoires 55 personnes dont 6 redoublants se portaient candidats en vue de se pr senter aux diff rentes preuves de l examen et taient recevables 1 candidat n tait pas recevable faute d avoir pr sent un carnet de stage valable Des 54 candidats qui ont t admis participer aux diff rentes preuves de l examen 2 candidats ne se sont pas pr sent s aux preuves de tir Des 52 candidats 100 qui se sont pr sent s aux preuves de tir 8 candidats 15 4 ont t refus s Au total on notait 2 checs 3 8 l preuve de tir la carabine sur silhouette de brocard 100 m 3 checs 9 6 l preuve de tir la carabine sur silhouette de sanglier courant et 3 checs 5 8 l preuve de tir au fusil sur plateaux d argile En outre 1 candidat 1 9 ne s e
203. contr le de l impact des d charges sur les eaux souterraines En 2004 ces programmes ont t publi s sur le portail Internet de 1 Environnement www emwelt lu gt d chets gt inspections environnementales Ils ont en outre t ex cut s sur le terrain Les r sultats aff rents l exception de celles sur la surveillance des eaux aux alentours des d charges ont galement t mbli s par voie de l Internet en sera plus amplement question dans les chapitres correspondants du pr sent rapport 152 2 5 17 2 Les recherches d infractions en mati re de d chets La Division des d chets a t saisie d un certain nombre de plaintes C est ainsi qu en 2004 la Division des d chets est intervenue dans 57 cas e 21 plaintes concernaient des d p ts de d chets non conformes ou sauvages e 4 plaintes concernaient des probl mes d amiante d p t ill gal Un d p t avec des quantit s importantes 500 tonnes de d chets d amiante ciment se trouvait sur un site d une entreprise Ces d chets taient stock s 501 l air libre soit conditionn s dans des big bags dont une grande partie tait d j d chir e e 8 plaintes concernaient l assainissement de terres contamin es par des hydrocarbures suite un incident de travail accident lors du remplissage d un r servoir mazout d versement de mazout 400 600 litres dans un tang pollution du sol avec du mazout provenant d un r servoir souterrai
204. ctionnement des appareils de mesure en continu et calibration de ces appareils D terminations fractionn es du diam tre de particules fines Partikelkorngr Bien verteilung Contr les des missions Contr les de la qualit de l air Biomonitoring D termination de la qualit de l air par biomonitoring les travaux d analyse de laboratoire sont exclus Odeurs Contr les des missions Contr les de la qualit de l air missions d ondes Bruit Contr les des missions Contr les des niveaux de bruit dans les alentours D terminations de la puissance acoustique Vibrations Contr les des missions Contr les des vibrations dans les alentours Ondes lectromagn tiques Mesurages de champs lectriques Substances dans les milieux liquide et solide Prises d chantillons Mesures des d bits D terminations de param tres physiques et physico chimiques D terminations des cations et des anions D terminations de substances pouvant tre mesur es ensemble hydrocarbures hydrocarbures halog n s hydrocarbures polycycliques aromatiques pesticides etc D terminations de compos s gazeux D terminations de param tres globaux D terminations d autres substances inorganiques ou organiques que celles d termin es sous C4 C7 Contr les du fonctionnement des appareils de mesure en continu et calibration de ces appareils Contr les de la teneur en soufre des gasoils et de la teneur en plomb des essences D ch
205. ctroniques et lectriques a t collect e dans 18 des 19 parcs conteneurs Cela repr sente une moyenne 6 76 kg par habitant pour les communes attach es aux parcs conteneurs Ce chiffre contient des fractions qui ne sont pas soumises la l gislation sur les DEEE Le graphique crapr s repr sente l analyse en d tail de la composition des d chets lectriques lectroniques sans composants dangereux 100 D tail de la fraction d chets lectriques lectroniques sans composants dangereux en de poids collect s dans les parcs de recyclage en 2003 Augen 1 73 rformaique 251 Zongteta peties 30 89 T t viseurs crans 21 02 _ ppwols grandes DMat rielinfwmatique 37 985 1 dirmentians 34 95 BT lw seurs et crans 331 667 1 DaAppareik iectriquas grandas dimansians 528 799 t ES Appareils tectriques petites dmencions 558 161 1 D utres quipements lectroniques sans composants dangereux 29 222 1 Total 1512851 t 2 5 6 Les d chets produits par les stations d puration La Division des d chets demande annuellement aux stations d puration ayant une capacit sup rieure 2000 quivalents habitants de faire un rapport sur la quantit de boues et de d chets produit En 2003 33 stations d puration ont re u un questionnaire de la part de l Administration de l environnement Etant donn que m me apr s plusieurs rappels 3 stations n ont pas r pon
206. d e suivi de la proposition d acquisition de terrains concernant les boisements compensatoires pour la route du Nord e suivi des mesures compensatoires pr vues la loi du 27 juillet 1997 autorisant le Gouvernement proc der la construction d une route reliant Luxembourg Ettelbruck 3 4 11 3 R am nagement de d charges e ram nagement de l ancienne d charge communale de Canach 3 4 11 4 Communiqu s de presse e Visite du projet de conservation de la nature dans la vall e de la Syre par le Ministre de l Environnement Lucien LUX e Visite du projet de protection de la nature Mensdorf par une d l gation de l administration des eaux et for ts de Rh nanie Palatinat e Visite du projet de protection de la nature Mensdorf par la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois e Arriv e des Galloways Mensdorf e Visite du projet de protection de la nature Mensdorf par la commission r gionale Saar Lor Lux Trier Westpfalz e Production de a Viz au centre d accueil A Wiewesch avec des classes d cole primaire e Visite du projet de r naturation de l Alzette Walferdange par le Prof Dr Hartmut VOGTMAN premier conseiller du Ministre de l Environnement allemand J rgen TRITTIN e Castor visites l tranger plantation de saules par coles primaires 6 communiqu s e Visite de l administration des eaux et for ts Boppard commercialisation de la viande de H
207. d chets sid rurgiques provenant de France et de Belgique dans l installation de r duction directe Differdange Primus L arr t minist riel a t d livr en date du 10 mars 2004 pour une dur e de six mois En date du 25 ao t une demande de prolongation nous t adress e et l arr t a t prolong pour une p riode suppl mentaire de six mois Dossier C I N 1 04 0080 Dossier D chets N 04 PT 01 En date du 19 mars 2004 la soci t Intermoselle S A introduit un dossier de demande pour pouvoir effectuer des essais avec des boues de papiers dans son usine pour la production de clincker Rumelange Cette demande a t refus e en date du 13 avril 2004 Dossier C I N 1 04 0124 Dossier D chets N 04 La soci t Hein D chets S r l introduit en date du 21 mars 2004 un dossier de demande pour pouvoir modifier le broyeur pour bois install sur son site pr s de Bech Kleinmacher L arr t 141 modifi t d livr en date du 12 mai 2004 Dossier N 1 04 0112 Dossier D chets N 94 PT 01 01 En date du 29 mars 2004 la soci t Biogas R iden un der Attert a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter sur le site de l installation de co fermentation pr s de R dange Attert une installation de refinage d herbes Dossier N 1 04 0130 Dossier D chets N 04 PT 02 En date du 1 avril 2004 la soci t Intermoselle S A introduit un dossie
208. d chets v g taux y taient r guli rement d pos es depuis la cl ture d finitive de ce site Cette fa on d agir tant contraire la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets ainsi qu la loi modifi e du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles la commune a t somm e de faire enlever les d chets d pos s depuis la date de fermeture de la d charge et de r tablir le profilage de la d charge arr t au moment de la d saffectation Depuis 2003 toutes les d charges communales sont d finitivement ferm es Une exception est donn e par celle de qui continue tre exploit e en tant que remblai selon les dispositions de la loi du 11 08 1982 relative la protection de la nature et des ressources naturelles Au courant de l ann e 2005 les travaux de r am nagement d finitif commencent sur les d charges Heinerscheid au lieu dit Auf Scheuerfeld et Auf der Scheid Kalborn Remich et Consthum 2 5 19 Les sites contamin s 2 5 19 1 Le cadastre des anciennes d charges et des sites contamin s La mise en place d un cadastre des anciennes d charges et des sites contamin s ou susceptibles d tre contamin s a t poursuivie au cours de l ann e 2004 Au 16 d cembre 2004 l tat d avancement des travaux tait le suivant 154 communes pour lesquelles l inventaire est complet dont communes
209. d passements par an Apr s le 1 1 2010 plus aucun d passement est tol r Des d passements sont essentiellement observables la station de Luxembourg Centre Le trafic automobile y est la source d mission principale La qualit de lair est aggrav e en cas de situations m t orologiques d favorables Un d passement de la valeur horaire de 260 ug NO m a t constat 2004 Esch Alzette avec 266 ug NO m e Valeur limite de 52 ug m 293 101 3 kPa appliqu e la moyenne annuelle En 2004 la valeur limite augment e d une marge de tol rance et inscrite dans la directive est de 52 ug NO m Cette valeur limite n est pas respect e Luxembourg ville Le niveau moyen annuel en 2004 Luxembourg Centre est de 54 ug NO m contre 57 ug NOaim en 2003 avec une valeur limite de 54 ug m Donc pour la deuxi me ann e cons cutive il y d passement des valeurs limites La cause principale de ce niveau excessif en est la circulation automobile et des programmes et ou plans d action sont entreprendre afin d assurer le respect de la valeur limite POUSSIERE Des normes de qualit de lair ambiant pour la fraction sp cifique des poussi res PM ont t introduites particulate matter de taille lt 10 um et qui peuvent p n trer dans les poumons La directive 1999 30 CE reprise dans le r glement grand ducal du 24 juillet 2000 d crit en d tail ces nouvelles normes e
210. d velopp es en langage de 4 me g n ration Powerbuilder Elles fonctionnent soit en mode local avec le syst me de gestion de base de donn es relationnelles SQL Anywhere soit en mode client serveur avec le syst me de gestion de base de donn es relationnelles Oracle sur un r seau Windows2000 Tous les services ext rieurs sont connect s au r seau informatique de l Etat r seau racine Les cantonnements et arrondissements CN sont connect s par lignes lou es et les triages forestiers sont connect s par ligne ISDN Dans ce contexte en 2004 cinq grands projets ont t men s de front au niveau de la maintenance et de l adaptation volutive des applications e la vision compl te des application SALAIRES CARNETO et EFDIR la suite du nouveau statut des ouvriers forestiers int gration au personnel de l Etat le 1 janvier 2004 e l informatisation du journal de d penses par l interm diaire de l application COBUPLAN et la prise en compte de NATURA2000 dans l laboration des plans de gestion e la premi re phase de l analyse fonctionnelle d un syst me de gestion informatis dans le cadre du projet Protection de la nature et des ressources naturelles NATURA2000 a t r alis e e la cr ation d une nouvelle application pilote PLAN GESTION BU Cette derni re permet au Syndicat Intercommunal SIAS d laborer des plans de gestion conjointement avec les unit s territoriales de l Adminis
211. d s a A A i ai i POS Ai d gt He a En conclusion cette tude a permis au courant de cette premi re ann e de cartographier dans partie Sud du pays national au moins 6 g tes de reproduction du Murin de Bechstein une indication de 2 g tes suppl mentaires de reproduction est encore v rifier ult rieurement Pour les ann es 2005 et 2006 il est pr vu que le projet s tendra sur k territoire centre et nord du pays national de fa on r pertorier toutes les zones susceptibles de peupler les esp ces qui font l objet de cette tude Inventaire des odonates dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach e Inventaire des orthopt res dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach e Inventaire des odonates dans la zone de r naturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen e Inventaire des orthopt res dans la zone de r naturation de Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen e inventaire avifaunistique de Frisange e inventaire de sauterelles Schifflange Brill e monitoring d otseaux nicheurs le long de la Syre 3 4 4 2 Flore e inventaires floristiques des projets d exploitation extensive Frisange Diekirch Schoenfels et Reckange e cartographie d taill e de la v g tation dans la zone de la Syre r natur e entre Mensdorf et Munsbach dans le cadre d un travail de fin d tudes universitaires 3 4 4 3 Divers e Gutachten zum Bericht R
212. dactique de la commune de Roeser 189 3 2 8 Luxembourg Ouest 3 2 8 1 Exploitation des coupes Les exploitations effectu es peuvent tre r parties de la mani re suivante selon le propri taire EE 261833 EE EL R IT SC H 3 2 8 2 Vente de bois Les six ventes de bois du cantonnement forestier de Luxembourg Ouest se sont tenues aux dates suivantes e Feuillus 30 1 2004 12 3 2004 et 2 4 2004 e R sineux 21 11 2003 21 6 2004 et 13 8 2004 3 2 8 3 Bois de chablis En ce qui concerne les bois de chablis seulement quelques arbres isol s tomb s lors de faibles temp tes locales sont signaler 3 2 8 4 Etat sanitaire de la for t Jusqu pr sent le cantonnement forestier de Luxembourg Ouest a t pargn par la nouvelle maladie du h tre Seulement en fr t communale de Dippach une trou e d arbres atteinte par cette maladie a t d tect e au d but de l hiver 2003 2004 La crainte d une prolif ration massive du bostryche dans les peuplements r sineux suite la s cheresse exceptionnelle de l t 2003 ne s est pas av r e en 2004 3 2 8 5 R g n ration plantation travaux de culture Au total 48 525 plants de feuillus et 1 900 plants de r sineux ont t mis dans la terre Les taux de reprise taient de 84 chez les feuillus et de 80 chez les r sineux 3 2 8 6 P pini res Actuellement aucune p pini re n est exploit e sur le territoire du cantonnem
213. dans cet ordre d id es que les autorisations d exploitation des tablissements mises en vertu de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s demandent g n ralement la d nomination d une personne responsable pour les questions environnementales 85 Cette formation aide notamment donner des r ponses aux questions suivantes Quelle est la fonction du d l gu environnement et d chets dans une entreprise Quelles connaissances de base devrait avoir cette personne en mati re de l gislation environnementale De quelles techniques pourrait elle se servir pour organiser la gestion des d chets dans son entreprise Comment pourrait elle le mieux communiquer dans son entreprise ainsi qu avec des personnes externes fournisseurs administrations publiques etc La dur e du cours est de 4 jours avec la visite de deux tablissements Trois volets sont instruits e connaissance des d chets techniques et m thodes e Les bases juridiques e La communication Le cours a t offert au printemps et en automne aux entreprises 1 fois en fran ais 1 fois en luxembourgeois En tout une trentaine de personnes venant de diff rentes entreprises ont suivi la formation Les participants ont obtenu un certificat de qualification mis par le Minist re de l Education Nationale Photo Les participants du cours d automne lors d une visite de la SIDOR 2 5 2 2 La formation Personnel des parcs conteneurs
214. de l investissement en attente de traitement est pass de 3736 dossiers au d but de l ann e 2004 5137 au 24 janvier 2005 78 Nombre et subventions accord s par type d installation en 2001 2004 Type d installation ubvention accord e 1 000 Analyse d tanch it Capteur solaire photovolta que Chaudi re bois Chaudi re condensation Cog n ration lee NI O Lan amp amp N ka Collecteurs thermiques eau chaude sanitaire Conseil technique Echangeur g othermique N N LA IS A Maison basse nergie Maison passive S Raccordement un r seau dechar Oo o y 24 Situation au 24 1 2005 Collecteurs thermiques chauffage et eau chaude Concept nerg tique Elimination amiante des po les lectriques Lo We kal Go I un Lo Depuis la mise en oeuvre du programme d aides financi res et jusqu au 24 janvier 2005 un montant global de 49 250 300 t accord pour subventionner 10 463 installations a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations La majorit des subventions accord es concernent les installations photovolta ques 81 des aides financi res et 31 des installations et les chaudi res condensation 60 des installations et 16 des aides financi res La puissance totale install e des 3237 installations photovolta ques s
215. de quelque 200 demandes par mois en d but de l ann e 2003 plus de 400 demandes par mois en fin d ann e 2003 pour atteindre 1086 unit s en f vrier 2004 De juillet en novembre 2004 le nombre de demandes par mois est pass 250 ce qui peut s expliquer par le changement de r gime introduit par le r glement grand ducal du 28 juillet 2004 En d cembre 2004 le nombre de demandes de nouveau d passer les 600 2002 2003 2004 Total Moyenne Total Moyenne Total Moyenne ann e mensuelle ann e mensuelle ann e mensuelle 5092 5691 Autres 4 8880 Situation au 24 1 2005 27 28 77 Demandes introduites par mois 2001 2004 1400 120 1000 Demandes par mois Et Mois Situation au 24 1 2005 Malgr la mise disposition par l administration de formulaires de demande sp cifiques 60 des demandes introduites ne sont pas compl tes et donnent lieu des demandes d informations suppl mentaires Les raisons principales tant des formulaires qui ne sont pas int gralement remplis et des factures qui font d faut Dans 8 cas l administration de l Environnement a proc d des v rifications sur place Il va sans dire que l augmentation massive des demandes introduites entre 2003 et 2004 a eu des r percussions importantes sur le fonctionnement du service des conomies d nergie de l administration de l Environnement Ainsi le nombre des demandes d ai
216. de la nature a su an antir ces critiques par une argumentation scientifique fond e bas e sur des tudes projets et exp riences europ ennes c f publication scientifique Extensive Beweidung mit Rindern im Naturschutz eine kurze Literaturauswertung hinsichtlich der Einfl sse auf die Biodiversit t Projets en cours de r alisation e Mamerdall revalorisation paysag re et cologique de la future zone prot g e de la vall e de la Mamer D but du p turage extensif avec du b tail de race Galloway en mai 2004 Construction d un abri didactique pouvant servir d abri b tail e Haute S re Projet d agriculture extensive dans les futures r serves naturelles Pont Mis re et Bruch P turage extensif des prairies de la plaine alluviale de la S re et de ses confluents 160 ha D but du p turage extensif en mai 2004 227 Hellange lieu dit Belgrad restauration d un habitat humide dans le cadre d une mesure compensatoire de la route de liaison avec la Sarre Premi re commercialisation locale de viande Highland issue du projet de p turage extensif dans des restaurants Frisange en d cembre 2004 Beggen projet de p turage extensif par des bovins de race Galloway de terrains agricoles en friche R serve naturelle Schlammwiss restauration des habitats humides de la plaine alluviale de la Syre Mise en uvre d un p turage extensif par des bovins de race Galloway en juillet 200
217. de particuliers pour des raisons de sensibilisation en mati re de chauves souris En effet la plupart des personnes priv es concern es sentaient de par la pr sence des chauves souris leur qualit de vie perturb e et les agents des Eaux et For ts ont chaque fois r ussi convaincre ces personnes du contraire et par cons quent ces sites de reproduction ont pu tre maintenus Des solutions diverses ont t propos es ces personnes L administration des Eaux et For ts est galement intervenue plusieurs reprises aupr s d instances tatiques ou communales aux prises avec les m mes probl mes que les personnes priv es 3 4 4 Etudes et inventaires 3 4 4 1 Faune 3 4 4 1 1 Projet Murin de Bechstein L administration des Eaux et For ts a conclu d but 2004 un contrat un bureau d tudes tranger portant et sur le recensement de chauves souris peuplant principalement la for t luxembourgeoise et sur la d termination de leurs habitats essentiels Ce contrat pluriannuel s tendant sur trois ann es 2004 2006 a comme dessein primaire de r pertorier ces chiropt res et plus particuli rement l esp ce Murin de Bechstein qui se cristallise comme l une des esp ces majeures de ce genre de chauves souris Il est important de signaler ou avant le d but de l tude dont question aucun g te de reproduction de Murin de Bechstein n tait connu par les autorit s comp tentes Par cons quen
218. de subside faisait d faut avant le commencement des travaux La demande de subside introduite par la commune de Steinsel pour le suivi scientifique des travaux ex cut s dans les zones Zapp et Haan a t retenue pour 2004 A partir de 2005 les inventaires sur le terrain seront r alis s tous les 5 ans 3 4 13 1 4 tudes Accompagnement agronomique du p turage itin rant laboration d un plan de gestion pour la r serve naturelle Telpeschholz Nospelt Inventaire de la v g tation et de 2 groupes d insectes dans la r serve naturelle Telpeschholz Nospelt laboration d un plan de gestion pour la r serve naturelle a Kuebend llchen Wintrange laboration d un inventaire de la v g tation dans la r serve naturelle Kuebebierg Weimerskirch laboration d un plan de gestion pour la r serve naturelle P llembierg Ahn tude sur la stabilit des galeries dans la r serve naturelle Kelsbach Grevenmacher Inventaire des Acul ates Stechimmen dans la r serve naturelle Haard Dudelange Conception des zones pour le monitoring de la gestion du Bofferdanger Muer Hautcharage tude de la mise en forme des alentours de l entr e d une galerie dans la r serve naturelle Strombierg Schengen tude sur le p turage itin rant avec des moutons dans les r serves naturelles Ex cution de la phase I pour la r alisation d une brochure sur l am nage
219. des de bois et des boues d puration La r partition des d chets dangereux et non dangereux tels que d finis l article 1 paragraphe 4 de la directive 91 689 du Conseil du 12 d cembre 1991 relative aux d chets dangereux se fait de la fa on suivante La majeure partie 98 sont des d chets non dangereux Repartition des d chets dangereux et non dangereux g rer au Luxembourg en 2003 Non dangereux D Dangereux 130 2 5 13 Les transferts de d chets 2 5 13 1 Transfert de d chets 2 5 13 1 1 Les dossiers d autorisation de collecteurs et de courtiers de d chets Pendant l ann e 2004 117 demandes d autorisations de ramassages et de transports de d chets et de courtiers n goces de d chets ont t introduites Il s agissait de 73 nouvelles demandes en vue de l obtention d une autorisation de ramassage et de transport de d chets et de 44 nouvelles demandes en vue de l obtention d une autorisation de n goce courtage de d chets En plus 57 demandes respectivement d extension ou de renouvellement des autorisations existantes ont t introduites 2 5 13 1 2 Evolution des demandes d autorisation 180 160 _ 100 N goce 80 Total 60 j nn Sri Ei IS SS Fe ER RE WIEN WII 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2 5 13 1 3 Evolution des demandes d extension de renouvelleme
220. des agglom rations Apr s prospection minutieuse des sites villes et zones rurales travers tout le pays en faisant une pr s lection avec 18 sites envisageables 8 sites de l observatoire colich nique ont t finalement retenus Il s agit des sites Dudelange Esch Alzette P tange Luxembourg Bonnevoie Luxembourg Merl Hollerich Mondorf les Bains Grosbous Beckerich Le r seau observatoire co lich nique est maintenant pr t pour l identification de l ensemble des esp ces lich niques sur les arbres suivie de l application d une proc dure standardis e VDI 2 4 2 7 Programme de mesure et de surveillance des pluies et des esp ces chimiques dissoutes En 2004 une troisi me station de mesure de collecte des pluies a rejoint ce r seau Apr s Esch Alzette et Beckerich Luxembourg ville est dot e d un site de collecte Le collecteur est install sur le toit de la Villa Louvigny Rappelons que les mesurages concernent les esp ces chimiques dissoutes dans les pluies en provenance des sources d mission d oxydes de soufre d oxydes d azote de chlorures et de m taux lourds La station de Beckerich a essentiellement pour mission de fournir des donn es concernant la pollution de fond en milieu rural et en retrait des sources d mission importantes La surveillance des esp ces chimiques dissoutes dans les pluies est encourager car elle est placer dans le cadre international protocoles la c
221. des sites proches de sources d mission importantes aci ries arc lectrique diverses entreprises L exposition de l gumes feuilles choux fris s et c l ri feuille r seau de biosurveillance montrait des niveaux trop lev s en plomb attribuables des a rocontaminants La teneur maximale en plomb tol rable de 0 3 mg kg ou encore 0 3 ug g de poids frais tait d pass e certains sites en 2004 avec des teneurs variant entre 0 4 et 1 2 mg Pb kg Des campagnes suppl mentaires d analyse de l gumes cultiv s poireaux dans les jardins chez les particuliers ont donn des informations compl mentaires Ces analyses ont pour but e de confirmer les r sultats des l gumes feuilles du r seau de biosurveillance et de faire des rapprochements avec les d terminations de m taux lourds dans les retomb es de poussi res Des r ponses doivent aussi tre recherch es lorsque des valuations contradictoires apparaissent dans les r sultats e de continuer la s rie d valuation de comestibilit de l gumes cultiv s dans les jardins m mes aupr s des habitants entreprise depuis 1992 Le poireau a t choisi parce qu on peut trouver ce l gume en automne et en hiver jusqu aux mois de mars avril C est un l gume qui est largement r pandu dans les jardins Les analyses de poireaux pr lev s en mars 2004 et en octobre 2004 ainsi que de salades pr lev s au mois juin 2004 n ont pas mis en vidence des conce
222. dtbredimus Aalbaach Leur longueur globale totalise 16 000 m L aire de repos et de pique nique tr s fr quent e appel e Deysermillen se situant au bord de la r serve naturelle Kelsbaach a t entretenue et surveill e en permanence Tous les sentiers sont quip s d installations de loisirs fabriqu es pour la plupart dans nos ateliers bancs tables poubelles et panneaux Une aire de rencontre t am nag e au Widdebierg collaboration avec 4 classes du pr scolaire dans le cadre du projet Natur erliewen an der Schoul Les cabanes d observation de la r serve naturelle Haff R imech ont t entretenues La piste cyclable Charlys Bunn de Bech Beidweiler t entretenue en collaboration avec l Administration des Ponts et Chauss es Nous avons soutenu les travaux d am nagement de la nouvelle piste cyclable Janglis Bunn d Ellange Wellenstein Une coupe de s curit d envergure eu lieu sur toute la longueur du trac 194 La piste questre Dalheim Heedscheier Medingen Syren t entretenue sur une longueur de 8 000 m 3 2 9 8 Contacts internationaux Le cantonnement de Grevenmacher s est rendu Eppelborn au pays de la Sarre pour visiter un site recolonis par le castor il y a quatorze ans de cela Aux fins de r ussir le site a jadis d tre pr par et le r seau de ruisseaux et de fleuves avec leurs berges a d tre restaur Nous avons pu appr
223. du 1 mars 2004 s est galement pench e sur le dossier Le 31 mars 2004 la Commission Environnement de la Chambre des D put s avait organis un hearing Finalement le 13 avril le minist re de l Environnement avait envoy le projet du plan national la Commission Europ enne Le projet pr voyait entre autres une quantit d allocation de 3 514 000 tonnes par an pour la p riode 2005 2007 pour 19 installations une r serve pour nouveaux entrants de 400 000 tonnes comprise En date du 27 avril le minist re de l Environnement a d pr senter et d fendre le projet devant le groupe de travail 3 Emissions trading du comit des changements climatiques Bruxelles Par courrier du 14 mai 2004 la Commission Europ enne a fait savoir qu elle d sire obtenir des informations suppl mentaires de la part du Luxembourg Une d l gation luxembourgeoise s est rendue le 26 juillet Bruxelles aupr s de la DG Environnement et la DC Concurrence pour donner des explications la Commission Cette derni re a finalement fait savoir qu elle n acceptera pas le plan national d allocation dans sa forme pr sent e en avril et a notamment demand au Luxembourg de r duire la quantit de quotas accord s aux entreprises concern es y compris la r serve pour nouveaux entrants Les n gociations avec la Commission Europ enne ont finalement abouti l acceptation du plan remani en date du 20 octobre 2004 Le plan adopt pr voit
224. du au questionnaire les donn es suivantes refl tent la situation de 30 stations d puration en 2003 2 5 6 1 Les quantit s de boues d puration produites Suivant les indications des stations d puration quelques 7 750 tonnes de boues mati re s che ont t produites en 2003 En moyenne chaque station d puration a produit 13 kg m s par habitant quivalent par an min 2 kg max 33 kg Etant donn que les petites stations n effectuent pas une d shydration de leurs boues les quantit s ont du tre estim es pour ces installations D kgms Eqh a sch Q o O Q E 100 000 1 000 000 Equivalent habitant des stations d puration 2 5 6 2 L limination des boues d puration En 2003 les fili res suivantes ont t poursuivies pour l limination des boues d puration e 50 en agriculture 42 en compostage e 8 en incin ration 101 La plus grande partie des boues compost es est galement utilis e en agriculture En tout 80 des boues ont t limin es au Luxembourg 20 des boues taient export es en Allemagne Verbrennung BRD 8 20 Kompostierung BRD Landwirtschaft 11 18 LUX 49 13 Kompostierung LUX 31 50 2 5 6 3 Les frais d limination des boues En g n ral les grandes stations d puration font des soumissions pour r gler l limination des boues
225. e Engineering der Biotop Anlage Brill in Mamer 10 Zwischenbericht 226 3 4 5 Agriculture 3 4 5 1 Agriculture extensive L agriculture extensive constitue un outil id alement adapt pour la gestion de r serves naturelles qui permet une revalorisation cologique et paysag re des sites concern s Depuis l exercice 2002 l administration des eaux et for ts fait r aliser parall lement au dossier de classement une tude agricole afin de proposer aux agriculteurs des mesures de gestion concr tes adapt es la gestion de r serves naturelles notamment du point de vue de la conservation de la restauration et du d veloppement de la biodiversit tout en garantissant la rentabilit conomique de ces terrains Il s agit donc d une nouvelle approche en mati re de conservation de la nature bas e sur l id e qu il devrait tre possible de g n rer des rendements conomiques sur la base d un projet environnemental Le but de l tude agricole consiste d terminer en accord avec les exploitants des terrains qui pourraient faire l objet dun p turage pour du b tail bovins chevaux ch vres moutons production de fourrage ou production d nergie partir de biomasse Les tudes agricoles y relatives comprennent les tapes suivantes e rechercher des terrains et des agriculteurs susceptibles de participer au projet e d terminer des m thodes d exploitation extensive susceptibles d tre appli
226. e Postale 108 L 8303 Capellen DR H MARX G M B H Gewerbepark 1 D 66583 Spiesen Elversberg MICROPOLLUANTS TECHNOLOGIE Impasse des Anciens Hauts Fourneaux 5 Zone industrielle du Gassion F 57100 Thionville MOBILE UMWELT ANALYTIK DR R FEGER Schiessrain 11 D 77652 Offenburg NOVATEC G M B H Rue de Mondorf 26 L 5541 Remerschen T F 352 32 042527150 32 042524665 49 22419338090 49 22419338091 49 069884349 49 069818440 32 63230811 32 63230804 352 547711 1 547711 266 352 547711 255 352 306161 1 352 305609 49 682197180 F 49 6821971850 T 33 0382882290 33 0382882294 49 078172105 49 078172105 352 26665084 352 26665484 32 F2 2 C1 C2 C3 C4 CS C6 C7 C8 4 1 12 21 2211 2221 A23 A31 A32 A33 B1 B2 C D1 D2 D3 E2 E4 ES E6 E8 E9 F1 F3 61 03 4 5 7 sauf C9 C10 D sauf DS Ed ES E6 F3 A2212 ES F3 D3 E5 E6 E9 F1 F3 31 03 2005 31 03 2006 31 03 2007 31 03 2005 31 03 2006 31 03 2005 31 03 2005 31 03 2006 31 03 2006 31 03 2005 31 03 2006 DIPL ING PAUL PIES Birkenstrasse 34 D 56154 Boppard PROg na S A Rue d Arlon 2 L 8399 Windhof PROSOLUT
227. e association permanente entre un champignon et une algue Des observations men es depuis les ann es 1960 ont montr que parmi les lichens certaines esp ces taient sensibles des polluants dans l air et d autres moins Lorsque les polluants augmentent les esp ces disparaissent progressivement en fonction de leur sensibilit D autres esp ces r sistant mieux aux polluants peuvent alors prolif rer jusqu que l environnement change et que des esp ces plus adapt es aux nouvelles conditions re prennent leur place Le choix des phorophytes arbres qui portent les lichens est d une importance primordiale La qualit du phorophyte esp ce ge port environnement local repr sente un facteur d terminant concernant la pr sence et surtout l volution de la flore lich nique Une s lection rigoureuse des sites constitue la premi re tape la plus importante pour cr er ce r seau observatoire co lich nique Les arbres inventori s se limitent autant que possible 2 genres les tilleus Tilia sp et les rables Acer sp En cas de difficult s pour trouver ces 2 genres les fr nes Fraxinus excelsior et les peupliers 69 Populus sp sont inclus dans la s lection Ce choix pr cis est justifi par le fait que ces essences sont les plus aptes tre colonis es par les lichens et apparaissent souvent comme arbres solitaires ou comme arbres d alignement autant dans les villes qu l ext rieur
228. e augment e de la marge de d passement Les directives pr voient alors la mise en oeuvre de plans d action afin d am liorer la qualit de l air dans les zones concern es et de se mettre en conformit avec l exigence qui est le respect des normes de qualit amp l air inscrites dans les directives europ ennes Au Luxembourg trois zones de surveillance sp cifiques de la qualit de l air ont t d finies e la zone qui correspond au canton de Luxembourg 238 km population 126534 notamment avec la ville de Luxembourg et les agglom rations autour de la capitale e la zone qui correspond au canton d Esch Alzette 243 km population 135859 caract ris e une concentration assez importante d industries e la zone compos e par les 10 cantons restants 2105 km population 181657 et qui repr sente en grande partie le milieu rural Un bref r sum de la situation de la qualit de l air au Luxembourg dans les 3 zones est pr sent c dessous Les polluants suivants doivent respecter une valeur limite ou une valeur limite augment e d une marge de d passement tol r 53 Dioxyde de soufre SO protection de la sant humaine Respect de la valeur limite Dioxyde d azote NO protection de la sant humaine La valeur limite augment e de la marge de d passement n est pas respect e au centre de la Ville de Luxembourg Place Hamilius ceci pour la deuxi me ann e cons cutive Il est n cess
229. e combustion ayant une puissance calorifique sup rieure 3 MW et aliment es en gas oil doivent tre autoris es individuellement par le ministre de l Environnement conform ment au r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 relatif aux installations de combustion aliment es en combustibles liquides Les missions en g n ral sont limit es selon les exigences de la meilleure technologie disponible en ce qui concerne les missions maximales en suie en monoxyde de carbone en dioxyde de soufre en oxydes d azote et en poussi res ainsi que le rendement minimal 75 Actuellement une trentaine de sites comprenant des installations de combustion ayant une puissance calorifique sup rieure 3 MW et fonctionnant soit au mazout soit au gaz sont inventori s Deux installations fonctionnent encore au fuel oil lourd La puissance totale des installations de combustion ayant une puissance calorifique sup rieure 3 MW s l ve 280 MW Conform ment aux autorisations d livr es sur base du r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 pr cit les installations de combustion ayant une puissance calorifique sup rieure 3 MW doivent tre contr l s r guli rement par des organismes agr s Les missions peuvent tre estim es sur base des consommations des diff rents combustibles en 2004 et qui s l vent 13 000 000 1 pour le gasoil 50 000 000 Nn pour le gaz naturel et 4 000 000 1 pour le fuel oil lourd Tonn
230. e de donn es et de faire des propositions concr tes de modifications Cet aspect est consid r r guli rement dans le cadre de notre collaboration avec la FUSAGX au fur et mesure des traitements mis en place notamment dans le cadre de l valuation de la biodiversit Cela permet de d celer les incoh rences pr sentes dans la base de donn es de m me que les probl mes d interpr tation de la m thodologie Dans tous les cas les causes de ces incoh rences probl me d encodage mauvaise compr hension ou mauvaise appr ciation sont recherch es et consign es afin d apporter des am liorations dans le cadre du deuxi me cycle 3 3 5 La constitution d un r seau de r serves foresti res int grales 3 3 5 1 La r serve foresti re int grale Haard Dudelange En ce qui concerne ce projet un plan de gestion a t labor par le Service Am nagement des Bois conform ment au r glement grand ducal du 30 juillet 1994 d clarant zone prot g e le site Haard Hesselsbierg Staebiere En effet ce r glement pr voit de d limiter une zone l int rieur de la r serve naturelle qui sera g rer en tant que r serve foresti re int grale 201 Le choix des for ts mettre en libre volution s est fait sur base des propositions tablies dans le document du Minist re de l Environnement Naturwaldkonzept f r Luxemburg ainsi qu en tenant compte des avis des chefs des cantonnements et de l arrondiss
231. e de l administration des Eaux et For ts le cantonnement forestier de Mersch le Panda Club le natur mus e en collaboration avec l administration communale de Mersch Comme lors de l dition pr c dente 8 ateliers pratiques ont t organis s pour les enfants et les jeunes gens La participation ces ateliers a donn aux enfants la possibilit de prendre part un concours avec de nombreux prix caract re didactique la cl Par la suite une conf rence illustr e Powerpoint a t visionn e pour les personnes int ress es dans l enceinte m me de l glise de Mersch Simultan ment une retransmission en direct de la colonie de Grands Murins ca 500 individus colonisant l glise de Mersch a t pr sent e l aide de deux cam ras infra rouges La soir e s est termin e dans les alentours de l glise ainsi que dans le parc situ quelques m tres pour y observer la chasse nocturne des chauves souris l aide de d tecteurs ultrason 224 Comme chaque ann e cette manifestation organis e dans tous les pays signataires de l accord de Londres et sous le haut patronage du secr tariat Eurobats pour la protection des chiropt res Europe a connu un grand succ s avec la participation d environ 650 personnes 3 4 3 4 Sensibilisation du public en mati re de chauves souris Au cours de l ann e 2004 l administration des Eaux et For ts est intervenue maintes reprises aupr s
232. e des dossiers Emetteurs d ondes magn tiques et Poste de transformation Environ 75 r unions de consultation avec les personnes concern es surtout des professionnels du domaine ont eu lieu en 2004 45 2 3 2 3 3 Immeubles Formulaires de demande mis disposition du public Formulaire Partie G n rale F IMM PG Formulaire Synth se Immeuble F IMM SYNTH Formulaire Synth se Energie F IMM ENERGIE Formulaire Surface de bureau F 64 A Formulaire Magasin pour la vente au d tail F 226 Formulaire Maisons de soins maisons de retraite foyers pour personnes g es hospices centres int gr s pour personnes g es F 102 Formulaire H tels et autres tablissements d h bergement F 198 Formulaire Salle de spectacle F 311 2 a Formulaire Restaurant F 307 Formulaire Climatisation et r frig ration F 305 Formulaire Installation de cog n ration F 143 1 e Formulaire Groupe lectrog ne F 143 1 e f Ces diff rents formulaires ont t compl t s avec diff rents documents savoir Un expos concernant la production de froid EXP 305 Un expos concernant les groupes lectrog nes EXP 143 1 e f Un expos relatif aux demandes d autorisation d un immeuble EXP IMM Un document d nomm Aper u des diff rents formulaires de demande d autorisation de la s rie Immeuble e Faux d extinction Notwendigkeit und Gestaltun
233. e du Cheval de Trait une conf rence a t organis e avec Monsieur Pit Schlechter pr sident de la F d ration Europ enne du Cheval de Trait pour la Promotion de son Emploi sur le th me de l utilisation du cheval de trait en agriculture biologique 3 3 10 Les nouvelles publications 3 3 10 1 La publication de synth se sur les r sultats du projet de cartographie des habitats forestiers au Grand Duch de Luxembourg Le projet de la cartographie des v g tations foresti res du Grand Duch de Luxembourg prit naissance la fin des ann es 80 La direction scientifique et le d veloppement m thodologique du projet furent confi s une quipe du Centre d Ecologie foresti re de la Facult des Sciences Agronomiques de Gembloux sous la direction du Professeur Ren VANESSE assist par Maurice DETHIOUX et Andr THILL Ceux ci r alis rent au cours des ann es 1987 et 1988 une vaste campagne de prospection phytosociologique stationnelle et dendrom trique des for ts feuillues naturelles et semi naturelles du territoire luxembourgeois afin de compl ter par 479 relev s suppl mentaires un dispositif d inventaire pr existant fort de 349 unit s 215 Le traitement statistique de ces donn es permit aux scientifiques belges d laborer des cl s de d termination typologique des principales formations naturelles et semi naturelles du G D de Luxembourg calqu es sur des mod les av r s et bas es sur la pr senc
234. e et des boulis de pente qui le rendent pratiquement inaccessible aux tracteurs de d bardage les arbres d p ris sont rest s sur place et se d composent lentement Cette situation est tr s appr ci e par un certain nombre d oiseaux et d insectes qui du moins un certain stade de leur volution trouvent leur nourriture ou leur refuge dans le bois d p rissant ou mort Au sommet du Strombierg se trouve un biotope pr cieux form de boussailles denses et de bosquets entre lesquels subsistent des parties recouvertes d une v g tation herbac e x ro thermophile abritant quelques plantes rares Notamment de par la nature tr s accident e du terrain et le d veloppement luxuriant d arbustes et de plantes grimpantes mais aussi en raison de la pr sence de falaises tr s impressionnantes l ensemble du site donne une impression sauvage et tr s proche de la nature Le site du Strombierg pr sente galement de tr s int ressants aspects des points de vue g ologique et du patrimoine industriel En fait le flanc est et le plateau du monticule sont encore profond ment marqu s par l exploitation du gypse et des pierres dolomitiques qui y fut pratiqu e L exploitation du gypse se faisait en mines souterraines celle des pierres dolomitiques en carri res ciel ouvert Le minage du sous sol a suscit d importantes crevasses de la surface du plateau Les vestiges de ponts de m ts en acier de rails de galeries effondr es et de c
235. e informatique de l administration Elle est d environ 1 5 homme ann e en 2004 Elle se r partit en assistance pour les applications d velopp es en interne en assistance mat riel et bureautique plus de 75 et en assistance aux utilisateurs des syst mes d information g ographique En 2004 c est surtout l assistance aux utilisateurs des syst mes d information g ographique qui consid rablement augment en raison de l utilisation progressive du nouveau syst me ArcGIS et de l installation de ArcSDE Un grand nombre d analyses et de compilations de donn es ont d tre prises en charge directement par la Cellule Informatique Sur base de ces chiffres on constate ou avec les ressources humaines actuellement disponibles la cellule informatique la survie du syst me est tout juste assur e mais sans marge d s curit et tout nouveau d veloppement en interne est impossible voir compromis Le recours aux soci t s externes ne r sout pas enti rement ce probl me car l encadrement des projets de d veloppement externe demande un suivi tr s pouss par des experts internes 266 3 7 1 4 La formation du personnel En 2004 les membres de la Cellule Informatique ont particip s a diverses formations PowerBuilder9 MapXtr me etc pour assurer la ma trise des nouvelles technologies de l information et pour se perfectionner dans l utilisations des principaux outils de travail 3 7 2 Statistiques a
236. e l Economie e Comit d accr ditation Office Luxembourgeois d Accr ditation et de Surveillance Minist re de l Economie La documentation y relative est publi e sur le site internet www emwelt lu Liste des organismes agr s au ler f vrier 2005 en vertu des dispositions de la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour l accomplissement de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement Date de Limitation ACOUSTIC TECHNOLOGIES 32 23448585 B1 B2 31 03 2005 Avenue Brugmann 215 32 23462099 E2 E3 1050 Bruxelles ACUSTICA 2000 Bureau d Acoustique Dominique 32 23542226 B1 B2 31 03 2006 Pleeck Avenue Marie Louise 61 F 32 23513390 E2 i B 1410 Waterloo AIB VIN OTTE A sauf LUXEMBOURG A S B L A14 A22 A34 A4 74 M hlenweg AS L 2155 Luxembourg se B1 B2 352 491006 1 0008 D1 D2 D4 D5 sauf E7 E8 F1 F3 1 T l phone Coordonn es Fax Comp tences ANALYTICO MILIEU B V Gildeweg 44 46 31 0342426300 Pe GE 31 03 2007 459 31 0342426399 NL 3770 AL Barneveld D2 AST ENVIRONNEMENT S A R L 352 021227624 D3 65 avenue de la Gare 352 400083 L 1611 Luxembourg 8702 Zollikon PROF DR ING HARALD BEITZEL IBU Institut f r Bauverfahrens T 49 065029241
237. e l environnement t contact e l Administration des eaux amp for ts au sujet de deux d p ts de d chets ainsi que de l parpillement d anciens pneus proximit du ruisseau Aftert dans la r gion de Bissen au lieu dit Kallekhaff Pneus dispers s dans la zone alluvionnaire Films plastiques dispers s dans la zone alluvionnaire 156 L emplacement de ces d chets constitue une des rares for ts alluviales et t repris dans la liste des zones class es selon la directive Habitats Il s agit de la zone 1170001014 Zones humides de Bissen et Finsterdall L Administration de l environnement a t demand e pour caract riser les d chets d pos s Des fouilles ont t r alis es en date du 5 mars 2004 sur le d p t situ l Ouest et dans la p riode du 30 mars au 2 avril 2004 sur le d p t situ l Est e ce qui concerne la composition des d p ts de d chets il s est av r que le d p t l Ouest est exclusivement constitu de d chets inertes Le deuxi me d p t ne consiste que pour deux tiers de terres d excavation et de roches Le restant est constitu de pneus marqu s en partie de traces d incin ration ansi que d une couche de cendres Ces d chets sont recouverts de roches et de sables Fouilles dans le d p t Est e Lors de la deuxi me enqu te des chantillons ont t pris en vue de leur analyse tant dans la couche des ndres que dans les alluvions
238. e la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s et notamment l article 13 le Ministre de l Environnement doit fixer dans son arr t des conditions qui ont pour objet de r aliser la pr vention et la r duction int gr es des pollutions en provenance des tablissements de prot ger l environnement humain et naturel et de promouvoir un d veloppement durable ceci en tenant compte des meilleures techniques disponibles L application des meilleures techniques disponibles dans le domaine de la r frig ration et de la climatisation pr sente un d fi constant Afin de relever ce d fi le Groupe CACTUS en collaboration troite avec l Administration l environnement et le Henri Tudor CRTE met plusieurs de ses installations caract ristiques disposition d une tude concernant l utilisation rationnelle de l nergie et la limitation des fuites de r frig rants dans les grands magasins du secteur alimentaire Cette tude a d but en 2004 Elle se poursuivra en 2005 et 2006 Elle comprendra aussi bien des installations existantes que des installations correspondant aux plus r cents progr s techniques Les r sultats de cette tude devraient nous amener fixer des crit res d acceptation et ou de refus de certaines installations de production de froid du secteur alimentaire en compl ment l expos 305 d j existant relatif aux installations de climatisation et de r frig ration
239. e naturelle Kelsbach Grevenmacher laboration d un sentier didactique dans la r serve naturelle Strombierg Schengen tude sur la stabilit des galeries dans la r serve naturelle a Kelsbach Grevenmacher Am nagement d une aire de 6 ares avec des cailloux 16 32 pour que le petit Gravelot Flussregenpfeifer puisse nidifier au Haff R imech Remerschen e Installation de 2 animaux sculpt s en bois servant comme bancs aux classes faisant une visite ducative au Haff R imech 3 4 13 1 8 P turage itin rant avec des ch vres et des moutons Le troupeau du berger SCHWARTZ a t divis en deux Un petit groupe p ture en permanence sur les pelouses s ches au nord du CN Sud et sur une partie du CN Centre tandis qu un groupe plus lev 400 moutons et 100 ch vres broute l herbe sur les anciennes carri res du bassin minier 236 3 4 13 1 9 Remembrement e Remembrement agricole Mompach e Remembrements viticoles Schengen Remerschen Stadtbredimus 3 4 13 1 10 Conventions e L arrondissement Sud de la conservation de la nature a dirig la mise en valeur des pelouses s ches entre Rumelange et Esch Alzette travaux qui ont t relev s dans une convention entre le minist re de l environnement et l association Objectif Plein Emploi e minist re a galement conclu une convention avec ProActif pour l ex cution de travaux dans les r serves naturelles Kuebend
240. e ou l absence d esp ces indicatrices Les r sultats furent publi s en 1991 dans un premier rapport provisoire intitul Typologie foresti re Evaluation bio conomique des for ts au Grand Duch de Luxembourg En vue de leur adaptation au travail de cartographie en continu les cl s de d termination furent valid es durant trois ann es 1991 1993 par le bureau d tudes EFOR ing nieurs conseils Luxembourg charg de cette mission par le Minist re de 1 Environnement Les principales pr cisions et modifications apport es la version initiale de l ouvrage port rent sur l ajoute de nouveaux crit res d identification de sous associations et variantes suppl mentaires ainsi que sur la composition des groupes d esp ces indicatrices Au terme de cette p riode test face l abondance des zones artificialis es cons cutives aux chablis massifs des ann es 84 et 90 l objectif initial de cartographie potentielle dut tre abandonn au profit d une cartographie des formations foresti res actuelles ou pr sentes Les adaptations furent int gr es dans une version d finitive du rapport publi en 1993 intitul Evaluation bio conomique des for ts du Grand Duch de Luxembourg Typologie foresti re R VANESSE Facult des Sciences Agronomiques de Gembloux 1993 a En d finitive 10 associations foresti res naturelles et semi naturelles subdivis es en 33 sous associations pour la r gion
241. e sur l environnement SIG ENV 1 3 1 La cartographie sur l Occupation Biophysique du Sol OBS La cartographie OBS constitue la base du SIG ENV En 1999 dix ans apr s le survol ayant servi l laboration de la base de donn es d origine le Minist re de l Environnement fait r aliser de nouvelles prises de vue servant l actualisation des donn es Ce vol a t effectu au mois de mai 1999 Les livraisons r sultant de l interpr tation de ces photos a riennes infrarouges couleurs r alis es l chelle du 1 15000 sont les suivantes e diapositives originales et copies contact e cl d interpr tation relative tous les types de biotopes existant au Luxembourg e digitalisation des donn es r sultant de la photo interpr tation la base de donn es OBS de 1988 et du contr le de terrain e base de donn es g ographiques sous format Arc Info e atlas cartographique au 1 20000 A partir de la base de donn es OBS une multitude d applications secondent entre temps le Minist re de l Environnement dans sa t che de gestion de l environnement et des paysages Il y a lieu d en mentionner trois pour lesquels les travaux ont t entam s respectivement achev s le y monitoring de l volution des paysages le cadastre des haies et arbres solitaires et la cartographie des fonctions climatiques 13 1 3 2 L laboration d un monitoring de l volution des paysages Le monitoring de
242. e t che de premier ordre au cantonnement Ceci vaut aussi bien pour la for t soumise que pour la for t priv e En outre une bonne voirie est indispensable en cas d incendie Ceci vaut entre autres pour acc der aux versants bois s autour du Lac de la Haute S re En ce qui concerne la construction de nouveaux chemins forestiers carrossables 1 200 m ont t r alis s en for t soumise et 3 720 m en for t priv e En for t soumise 3 200 m sont encore en phase de r alisation En ce qui concerne l empierrement de chemins forestiers carrossables 12 600 m ont t r alis s en for t soumise et 1 200 m en for t priv e En for t soumise 7 100 m sont encore en phase de r alisation En ce qui concerne la planification et l arpentage de nouveaux chemins forestiers 6 700 m ont t r alis s en for t soumise et 1 200 m en for t priv e Le grand nombre de projet est voir en relation avec la disponibilit d un volume important de mat riel de recyclage voire d excavation En effet la fourniture de mat riel rocheux calibr en provenance directe de carri re devient de plus en plus on reuse Partant il faut absolument profiter de la disponibilit de bon mat riel d excavation 3 2 4 9 Travaux forestiers subventionn s Durant l ann e 2004 le nombre de dossiers trait s a diminu 879 ce qui pr sente une diminution de 23 par rapport l ann e 2003 Ceci quivaut une moyenne de 88 demandes trait es par tria
243. e un appareil tr s stable Les conditions de fonctionnement semblent trop contraignantes avec du mat riel de ce type d j presque trop ancien L analyseur dioxyde de carbone pr sentait des instabilit s graves et apr s maintes interventions il t abandonn d finitivement en f vrier 2004 D j en ao t septembre et d cembre 2003 des d faillances conduisaient la perte de 35 des donn es de l ann e 2003 L analyseur atteignait 10 ann es de fonctionnement et il a subi maintes modifications pour pouvoir tre int gr dans le r seau de mesure de la qualit de l air Son remplacement t effectu en avril 2004 Le relev au 31 12 2004 des analyseurs des quipements de contr le des signaux de mesure des analyseurs et des capteurs m t orologiques est r sum dans le tableau c dessous 59 STATION LB S EL Bk M GE er RSR SR e CES 7 EE Poussi re Poussi re Poussi re Ei 10 10 Poussi re 5 Syst me Air z ro Air z ro Air z ro Air z ro Ge z ro z ro de contr le du signal Gaz Gaz talon Gaz talon Gaz talon talon Gaz talon de mesure talon Automate Syst me Syst me de Syst me de Syst me de Sie de Syst me de Syst me de de gestion de 2004 2004 2004 2004 2004 2003 KATRE DPI DIRVT DIRVT m t o EE EE Presion TEMP
244. ec l tanchement interm diaire de la d charge Ces travaux ont t interrompus parce que l entreprise de construction charg e des travaux a d annoncer son insolvabilit en d but de l ann e L arr t a t adapt et d livr en date du 17 ao t 2004 Dossier 1 04 0315 Dossier D chets N 01 CD 01 03 Voir aussi dans le dernier chapitre de la pr sente partie 2 5 15 1 2 D charges pour d chets inertes Centres de gestion pour d chets inertes En date du 23 janvier 2004 l entreprise Carri re Feidt a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter un centre r gional pour la gestion de d chets inertes non contamin s pr s de Folschette Des informations suppl mentaires ont t pr par es En date du 17 juillet 2004 l entreprise TRAGEC a introduit un dossier de demande pour pouvoir prolonger le temps d exploitation du centre r gional pour la gestion de d chets inertes non contamin s pr s de Rippweiler dans la commune d Useldange L arr t t d livr en date du 17 ao t 2004 Dossier 1 02 0251 Dossier D chets N 02 PD 02 01 En date du 6 ao t 2004 l entreprise Cloos S A a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter un centre r gional pour la gestion de d chets inertes sur le site de l ancien crassier de Mondercange Des informations suppl mentaires ont t demand es et en date du 16 novembre 2004 elles ont t introduites aupr s de notre admi
245. ectorales des communes qui regroupent les propri taires des terrains agricoles et forestiers non b tis Ces syndicats administrent 600 lots de chasse En outre il existe encore deux r serves cyn g tiques o le droit de chasse appartient l tat domaine du Grunewald ancien parc gibier de Hosingen ainsi que le domaine priv du Grunewald o le droit de chasse appartient S A R le Grand Duc La surface totale des lots de chasse adjug s est de 252 000 ha y compris les terres b ties non chassables dont environ 58 de terrain agricole 35 5 de terrain bois et 6 5 de terrain b ti La surface moyenne d un lot de chasse est de 419 h terrain b ti compris 251 3 5 6 2 L lection des coll ges des syndics Suivant les termes de la loi sur la chasse tous les propri taires de terrains non b tis rurales et forestiers comprises dans le territoire d une section lectorale de commune sont constitu s en syndicat de chasse Les affaires du syndicat sont g r es par un coll ge syndical qui se compose d un pr sident et de quatre assesseurs assist s par un secr taire tr sorier adjoint Les mandats du coll ge syndical et du secr taire tr sorier durent neuf ans du 15 mai 2003 au 14 mai 2012 pour la p riode courante Alors qu en principe les syndicats de chasse r unis en assembl e g n rale auraient d se doter d un nouveau coll ge des syndics avant le 1 mai 2003 3 syndicats n ont proc d qu au c
246. egiel Cr ation protection restauration ou entretien d hnbitata naturels en 7 Es Sege Deeg CRIER ee ES EEE pro DEN Ha Ee Ki ae LI Do p OTECTION INDIVIDUELLE PREFABRIQUEE EPICEA 1 3 EBOISEME FPICEA gt REGENERATION NATURELLE ERABLEFRENE 7 2 273 Rapport statistiques Le 18 02 2005 Date Proc s verbaux demande comprise entre 01 01 2004 et 31 12 2004 Coupe rase de taillis are S EUR RTE 1 LO KS Er ren LAGAGE FEUILLUS ar Entretien ou restauration d arbres remarquables UR est de cl tures de protection m tallatior ONVERSION TAILLIS PAR VIEILLISSEMENT ares 15000 _ een de protections individuelles pi ces on protection restauration ou entretien d habitats naturels oon EBOISEMENT DOUGLAS ares EBOISEME ERREURS D eea REBOISEMENT EPICEA 1 2 DOUGLAS 1 2 ares Le SNS 1 REBOISEME AG BR PRE Le ae EGENERATION NATURELLE ERABLE FRENE ares ESTAURATION FORETS RESINEUSES ares 274 des montants pay s par tranche Date Procts verbaus demande comprise entre 01 01 2004 et 31 12 2004 Montants pay s en propri taire CLOTURE 1 5 METRES HAUTEUR 670 50 Saa mat 55784 51 CONSTRUCTION CHEMIN FORESTIER LI 1342128 118030498 131 451 74 Ne E E Cr ation ou
247. eil sont ouverts au grand public c d aux personnes priv es aux associations int ress es aux classes d coles etc La gestion des centres d accueil sera assur e sous la direction du Service de la Conservation de la Nature de l administration des Eaux et For ts 222 Le centre d accueil A Wiewesch Manternach t inaugur en mai 2004 et est op rationnel conna t un succ s croissant tant de la part des tablissements scolaires que du c t des groupes organis s et des touristes Plusieurs autres centres d accueil sont projet s centre d accueil de l Ellergronn pr s d Esch Alzette centre d accueil du Haff R imech centre d accueil de Schoenfels centre d accueil de Waldhof centre d accueil du moulin de Kalborn Le centre d accueil de l Ellergronn est en phase de finalisation Son inauguration est projet e en 2005 En ce qui concerne les centres d accueil de Haff R imech et Schoenfels des plans de construction ont t labor s Le d but des travaux est pr vu pour 2005 Dans le projet du Waldhof des pourparlers ont t men s entre temps avec les minist res concern s Concernant le Moulin de Kalborn une tude intitul e Projet de r habilitation du moulin de Kalborn Etude d impact sur l environnement naturel le paysage et le patrimoine culturel a t labor e au cours de l ann e 2001 par un bureau d tudes pour le compte de la Fondation H llef fir d Natur qui est actuellement propr
248. eillance continuelle d un organisme agr Ces travaux ont pu tre termin s en mi d cembre 2004 Le dernier contr le de l ann e a t effectu en date du 6 d cembre 2004 A part l application des couches de protection et de drainage sur les talus en forte pente au fur et mesure que la d charge sera remplie et utilis e les travaux peuvent d s lors tre consid r s comme tant termin s Le surveillant externe devra encore nous faire parvenir un rapport final avec ses observations et des plans actualis s Le parc conteneurs pour particuliers et entreprises situ dans la zone d entr e du site du SIDEC a pu tre ouvert au public en mi d cembre Les travaux y relatifs avaient d marr en d but d ann e et sont all s de bon train Le remodelage de la d charge son engazonnement et les travaux y relatif ont galement pu tre achev s Il ne reste plus l heure actuelle que des travaux de r paration effectuer sur le bassin pour eaux de percolation suite la d couverte d une fuite dans la premi re couche de la double membrane recouvrant ce bassin Le dossier de demande y relatif sera introduit aupr s de l Administration de l environnement au cours de l ann e 2005 2 5 15 4 Contr les effectu s durant l ann e 2004 2 5 15 4 1 Contr le de chantiers Durant l ann e 2004 le chantier du SIDEC a fait l objet d un suivi r gulier durant les travaux de r alisation de l tanchement interm diaire en asphalte 27 05
249. eloppement durable C est pourquoi le Minist re de l Environnement encourag financi rement les actions locales et r gionales programm es en vue de d velopper le potentiel des communes comme instruments du d veloppement durable Les projets suivants ont ansi b n fici d une aide financi re 2004 total des aides allou es 180 000 campagne Nature for people SICONA actions de sauvegarde pour les chauves souris SICONA week end biodiversit Naturpark Uewersauer conseil en mati re d nergie Syndicat intercommunal de R idener Kanton conseil en mati re d nergie Esch Alzette conseil en mati re d nergie A C Schuttrange conseil en mati re d nergie A C Rumelange d fragmentation des habitats SICONA Naturpark Erlebnisprogram Our Naturpark Sensibilisation du public en mati re de d chets Rumelange M i Natur an Duerf amp Stad SICONA nachhaltiger Ressourcenschutz SICONA 1 1 3 et la sensibilisation du public La pr servation de l environnement concerne chaque citoyen Afin de faire progresser l engagement de chacun l Etat se doit de rendre accessible au public les informations en mati re d environnement 1 1 3 1 Emweltinfo 1 2004 Cette dition de l EmweltInfo est enti rement consacr e la protection de la nature et plus particuli rement la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature
250. elouses calcaires de ta t gion de Junginser Ste as 000001022 Zn 19 200001024 Machtum Palernbierg I Froumbierg Gtemecebeg 25h lge Hautcharage 1 Dahlem Asselbomer et ouferdanger Muer 164a LU000102 Bertrange Gr vesera Baier CS LU0001028 Diferdange Est Pr nzebierg Anciennes mines et carrieres 1156 ha 1000001029 R gion de la Moselle sup rieure Spiel 24 LU0001080 Esch surAzette Sud Est Anciennes Seene 95h 725 000001031 Dudelange Heard 26 000001032 Dudelange Ginzebierg 1 D reb sh ere 2s 000001034 Wasserbilig Carri re de Dome Toral Calmes Schimpach Cari res de Schimpach Miha 30 LU0001087 Perie Ancienne Ardosere JL am Calmes Troisvierges Xira 2 00000102 o 1000001043 Trone Hofe Soe CU000044 Cruchten Bras mor de Taze 35 LUo001045 Gonderange Rodenbourg Faas Zira 36 LUo001051 Wark Niederfeulen Waken 1 3 Calmes Capellen Are de senice et Schulze 000001066 Grosbous Set tel 401000001087 feel 2r LU000 1070 Grass azm LU000 1072 Massif forestier du Stefeschboesh sra mmm Lieser i kee Cal Massi forester du Faascht mra as 000001075 Massifforester 5h Calmes MassifforestercuWa 07h e 12 zones de protection sp ciale d environ 13
251. em ose fhem hos fre few LE us on few fre face eur _ o ee bos ue ber he us ___ sua fen fo ww fes pas fem foen heo hon pe fo pass e bone Joux fon ea aex fea pou Je fos ors om em fao pee en fes om ee GT forse pie kea koe we fso er per Joe fe fou eur run wmo eee pes gt Joie eo on me Dee Gem eu teen ONAZIANGNE ONZIN IVS Z OH DOVN Z OH IN 5 S007 109 ENNI LIN OHOINAXN T SANLIOZHAHSSON D SAA NAAA TAVM NAHOT ILNAAAAO NAG 00 T 007 TOOT 100 000 666 I 866 I 1661 966 I S66 I v66 66 I T66 I 1661 066 I 686 I 886 I L86 I 986 I S86 I v86 I 86 I T86 T 1861 086 I 6461 8561 1161 Somme Volume m F R A vw 908 36731 4 32162 288895 5609 53619 o 50 ss 26 67 52 975 73 Mmo P zo76 206761 EISEN 85 111 58 52 176 98 137 288 56 Volume m3 qualit F R l grumes 2 perches 3 trituratio 4 trituratio S empil s 6 non fa on Total n long n court n s Ah 4 1 gt 3 2 26204 59 3787 26 31724 66 4670 86 270 82 518 54 6 39 5 52 1726 63 26 44 28 75 6 75 62 07 13 9 42848 59 2067 61 1370 35 6905
252. emandes en r vision du plan de chasse concernant 37 lots ont t introduites au cours de l ann e 2004 par les adjudicataires des lots de chasse respectifs et ont t avis es par la Commission cyn g tique au cours de trois r unions De ces 30 demandes en r vision 28 demandes ont t avis es favorablement ou favorablement en partie par la commission cyn g tique et des dispositifs de marquage pour le tir suppl mentaire de cerfs respectivement de chevreuils ont t accord s aux locataires de chasse respectifs Deux demandes concernant 4 lots de chasse ont t avis es d favorablement 253 Esp ces de gibier concern es par les demandes en r vision une demande peut concerner plus d une esp ce Cerf m le Cerf femelle Nombre de demandes introduites 20 2 Nombre de demandes avis es favorablement 0 2 Nombre de demandes avis es d favorablement 1 1 Nombre suppl mentaire d animaux autoris s tirer 19 39 46 3 5 7 4 Le marquage du mouflon et du sanglier La chasse aux esp ces sanglier et mouflon ne tombe pas sous les dispositions relatives l tablissement d un plan de chasse Le transport de ces esp ces est n anmoins soumis la fixation pr alable d un dispositif de marquage Ces dispositifs peuvent tre demand s par les adjudicataires du droit de chasse aupr s de l administration des Eaux et For ts Ainsi le nombre de dispositifs de marquage attribu s jusqu
253. ement Des r unions d information et de concertation ont eu lieu avec les communes de Kayl et de Dudelange ainsi qu avec la commission pour l environnement de la Ville de Dudelange La surface d limit e pour le projet recouvre une superficie de 156 63 ha et appartient principalement l Etat 125 40 ha Les superficies bois es appartenant la commune de Kayl ou des propri taires priv s et qui se trouvent l int rieur de la d limitation propos e ne seront pas g r es en tant que RFI mais pourront continuer tre exploit es Seules les propri t s domaniales ne seront plus exploit es A ce sujet les propri taires de ces fonds forestiers ont tous t inform s du pr sent projet par courrier postal ainsi que par appel t l phonique tout comme pour les locataires de chasse qui ont galement t contact s dans le cadre de l laboration du plan de gestion Des r unions d information publiques ont eu lieu dans les communes de Dudelange 17 sept 2004 et de Kayl 30 sept 2004 Le projet a galement t pr sent devant l association Fr nn vun der 25 mars 2004 Finalement le Ministre de l Environnement a sign le plan de gestion en date du 21 octobre 2004 et par cons quent les superficies propos es dans le cadre du plan de gestion seront g r es en tant que r serve foresti re int grale 3 3 5 2 Le projet de r serve foresti re int grale Betebuerger B sch Bettembo
254. ement comp tent les l ves du Lyc e Technique Agricole d Ettelbruck ont de nouveau proc d au d broussaillage des deux pelouses enclav es dans la for t communale Sur le m me site le pacage stationnaire avec des moutons n a pas r ussi notre enti re satisfaction Le projet est toujours accompagn par un bureau d tudes sp cialis L tude de faisabilit pour un agrandissement et une renaturation de la for t alluviale in Odel sur la rive droite de la S re en aval de la station d puration d Echternach a t finalis e et pr sent e la commune d Echternach Les experts apr s avoir fait un tat des lieux d taill et apr s avoir identifi toutes les contraintes ont conclu la faisabilit du projet Ils ont propos plusieurs variantes techniques et financi res et esquiss les prochaines tapes en cas de r alisation du projet L administration communale a favorablement accueilli l initiative et a d j entrepris les premi res d marches aupr s du minist re de 1 Environnement pour que le projet puisse tre r alis 3 2 5 8 For t lieu de loisir Sur initiative du pr pos forestier territorialement comp tent la commune de Vianden en tant que propri taire forestier mais galement en tant que promoteur du tourisme local et r gional a donn son accord pour un projet pilote d un parcours d aventures dans la for t communale L autorisation minist rielle a t accord e et l
255. en Europe La cellule d organisation et d ex cution a anim les groupes de travail compos s des repr sentants des secteurs public minist res de l Agriculture des Finances de l Economie de l Environnement du Tourisme etc priv propri taires gestionnaires exploitants industries du bois chambres professionnelles Syndicats professionnels etc associatif clubs et associations de naturalistes sportifs chasseurs etc et scientifique mus es experts bureaux d tudes amp centre de recherche coles et universit s etc Cette quipe a op r sous la direction d un comit de pilotage compos de repr sentants de l administration des Eaux et For ts et des minist res de l Agriculture et minist re de l Environnement Le minist re de l Agriculture de la Viticulture et du D veloppement rural en a assur le financement Un Comit de Pilotage comprenant des repr sentants des Eaux et For ts du minist re de l Agriculture et du minist re de l Environnement assur la supervision g n rale de l op ration En 2004 les travaux ont d bouch sur la r daction d un document national de consensus reprenant les d fis pour la for t luxembourgeoise une vision globale pour la for t de demain les grands objectifs les propositions de mesures pour la for t Toutes les informations concernant le PFN sont disponibles sur le site www pfn lu 3 1 8 Projet Interreg Probois Pr
256. en GEOLOGICA S A 132 081567872 F3 31 03 2005 Parc Crealys 4 rue Phocas Lejeune B 5032 Gembloux Les Isnes ENVIRO SERVICES INTERNATIONAL S A R L 352 520980 E4 ES E9 31 03 2006 Zone industrielle et commerciale 352 520985 F3 31 03 2005 L 3378 Livange Dipl Ing UDO FISCHER VDI Beratender ingenieur 49 2832405723 f r Bau und Umwelttechnik M 49 1722583119 4 5 31 03 2005 Postfach 1514 49 2832405724 D 47614 Kevelear 30 FUGRO ECO CONSULT SARL Zone industrielle L 5366 M nsbach WERNER GENEST amp PARTNER Parkstrasse 70 D 67061 Ludwigshafen GEOSAN Burg Vandenbogaerdelaan 42 a S x r e B 8870 Izegem GEOTECHNIK UND CONSULTING IM GRUNDBAU Saargem nder Strasse 72 D 66130 Saarbr cken GFA Gesellschaft f r Arbeitsplatz und Umweltanalytik m b H Niederlassung Berlin Ehemals MPU GmbH GradestraBe 50 D 12347 Berlin GFA Gesellschaft f r Arbeitsplatz und Umweltanalytik m b H Otto Hahn Strasse 22 D 48161 M nster Roxel GOBLET LAVANDIER amp ASSOCIES Ing nieurs Conseils rue J P Sauvage 17 L 2514 Luxembourg Kirchberg Bo te Postale 2125 L 1021 Luxembourg WERNER HASSELBACH L lsdorfer Strasse 34 D 51143 K ln HOLMALUX G M B H 9 rue de Luxembourg L 8077 Bertrange IB A INGENIEURB RO F R AKUSTIK DIPL ING U BARTSCH VDI Im Weller 4 D 90482 N rnberg IFM INSTITUT F R MATERIALFORSCHUNG DR SCHELLENBERG RO
257. ence Plusieurs tablissements ont t invit s en 2004 d actualiser leur plan de pr vention et de gestion des d chets dat de plus de trois ans et ceci surtout suite une demande d autorisation de modification non substantielle de l tablissement article 6 de la gislation relative aux tablissements class s En outre quelques entreprises ont volontairement pr sent une actualisation de leur documentation sur la gestion des d chets A la fin de l ann e 2004 environ 66 r visions de ppgd taient enregistr s dans la base de donn es dont 39 approuv s 21 ppgd en voie de traitement ainsi que 6 abrog s Rapport d volution de la pr vention et de la gestion des d chets 806 D ppgd complets ppgd gt 3 an r viser o r visions de ppgd r visions clotur es 2000 2001 2002 2003 estimation sans prise en compte des nouveaux dossiers de 2005 2 5 17 Les contr les environnementaux 2 5 17 1 Les programmes d inspections environnementales Sur base de la recommandation du Parlement europ en et du Conseil du 4 avril 2001 pr voyant des crit res minimaux applicables aux inspections environnementales dans les tats membres 2001 331 CE des programmes de surveillance en mati re de d chets ont t labor s au cours de l ann e 2003 Ces programmes concernent notamment le contr le des d charges pour d chets inertes le contr le des transferts de d chets et le
258. endue du projet la constitution de cet inventaire repr sente une charge de travail plus ou moins importante A part de s adresser directement aux tablissements d j existants dans les alentours imm diats du projet le requ rant peut solliciter aupr s de l Administration de l environnement la consultation de son archive N anmoins cet archive ne peut pr tendre d tre complet du fait que ce n est qu avec l entr e en vigueur de la loi du 9 mai 1990 que le Ministre de l Environnement est devenu comp tent en mati re d tablissements class s Depuis cette date toutes les pi ces sont archiv es aupr s de l Administration de l environnement Ainsi il appert que la r gularisation d une zone d activit s en voie d am nagement est bien plus complexe que l laboration d un dossier de demande relatif la cr ation d une nouvelle zone En outre les zones d activit s figurent en annexe du r glement grand ducal du 7 mars 2003 concernant l valuation des incidences de certains projets publics et priv s sur l environnement Il en r sulte qu une zone d activit s est soumise une valuation des incidences sur l environnement lorsqu il r sulte d un examen cas par cas effectu par l autorit comp tente qu un projet d termin est susceptible d avoir des incidences notables sur l environnement L Administration de l environnement d finie en tant qu autorit comp tente assure l instruction des dossiers
259. ent forestier de Luxembourg Ouest 3 2 8 7 Travaux d am lioration En 2004 163 68 ha ont subi des travaux de d gagement tandis que des travaux de nettoiement ont t effectu s sur une surface de 211 81 ha 190 3 2 8 8 Voirie foresti re Sur le territoire du cantonnement huit projets de chemins carrossables nouveaux au total de 4 470 m ont t r alis s Le projet d un chemin d une longueur de 1 300 m a t introduit dans la proc dure d autorisation pr vue par la l gislation D autre part 1 890 m de chemins d j existants ont t r fectionn s A l avenir les travaux se limiteront surtout l entretien de la voirie existante 3 2 8 9 Travaux forestiers subventionn s Les travaux forestiers suivants ont t subventionn s d bardage cheval 676 67 m reboisements de feuillus 614 80 ares mise en place de cl tures 340 m 1 claircie dans des peuplements r sineux 715 00 ares restauration de for ts r sineuses 106 70 ares 3 2 8 10 La for t priv e Le cantonnement de Luxembourg Ouest n a pas t sollicit par des demandes en conseil de la part de propri taires forestiers priv s 3 2 8 11 D g ts de gibier Les d g ts caus s surtout par le sanglier ont diminu significativement 28 69 ha ont t indemnis s en 2004 66 40 ha en 2003 soit 82 expertises 127 expertises en 2003 ce qui signifie une diminution de 45 expertises par rapport l ann e pr c dente Une r gi
260. entaires collect es se sont lev es 255 971 kg Ceci repr sente une augmentation de 9 3 par rapport l ann e pr c dente SuperDrecksK schit fir Biirger Evolution des quantit s de graisses alimentaires collect es kg 300000 250000 200000 150000 100000 50000 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 Avec la mise en service du nouvel entrep t des quipements techniques ont t install s pour manipuler les bidons contenant des huiles et des graisses alimentaires de fa on plus optimis e Ces quipements comprennent notamment les l ments suivants 116 e un carrousel de bain marie destin pouvoir vidanger les r cipients plus facilement e un r cipient sp cial de collecte des huiles et graisses alimentaires e une installation de lavage des r cipients de collecte en vue de leur r utilisation 90 5 des huiles et graisses collect es sont soumises un proc d de transformation en biodiesel Pour l instant ce diesel est r utilis dans les chaudi res de l entrep t de la SuperDrecksK scht Colmar Berg En vue de l utilisation de ce diesel dans les v hicules mis en uvre par les actions une enqu te commodo incommodo relative l installation d une station distribution a t men e en 2004 L autorisation aff rente est attendue dans les prochaines semaines 2 5 10 2 La SuperDrecksK scht Dr Betriber 2 5 10 2 1 Les entreprises rattac
261. entre et le bureau d Etudes ERSA Dans le cadre du remembrement forestier de Tarchamps l arrondissement a t saisi d un projet de voirie foresti re 3 4 13 2 8 R unions colloques et conf rences En sa qualit de membre du bureau le chef d Arrondissement particip de nombreuses r unions du bureau et du comit du syndicat mixte du Parc Naturel de la Haute S re En outre comme repr sentant du minist re de l Environnement au sein du groupe de travail Etat communes dans le cadre de la cr ation du Parc Naturel de l Our il est galement actif dans le cadre de la r alisation du Plan vert directeur pour le parc naturel de l Our Le Sous Groupe Sud du Groupe de travail Inventaire des instruments politiques et zones naturelles transfrontali res de la section Conservation de la nature et protection des sites de la Commission sp ciale pour l Environnement du BENELUX dont fait partie le chef d Arrondissement a poursuivi ses travaux La premi re partie de la phase principale du Plan de Base Ecologique et Paysager transfrontalier avec la Wallonie destin coordonner et aligner les mesures de gestion de part et d autre de la fronti re dans l int r t des milieux naturels et des esp ces de la faune et de la flore rares cofinanc dans le cadre d un projet Interreg t r alis en 2004 Pour rappel toutes les communes situ es de part et d autre de la fronti re belgo luxe
262. ents climatiques Le projet de directive a pour objet de lier les m canismes de projet du protocole de Kyoto la mise en oeuvre conjointe et le m canisme de d veloppement propre MDP au syst me d change de quotas d mission de l Union europ enne ce qui permettrait aux entreprises d utiliser les cr dits d mission r sultant des activit s entreprises au titre de la MOC et du MDP pour leur mise en conformit dans le cadre dudit syst me 1 6 2 2 Conseil Environnement du 28 juin 2004 a Accord politique Proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil visant limiter la teneur en soufre de certains combustibles liquides utilis s sur les navires de mer dans le cadre de la directive 1999 32 Les propositions de modifications de la directive 1999 32 visent pour l essentiel tendre son champ d application tous les combustibles liquides d riv s du p trole utilis s sur les navires op rant dans les eaux des Etats membres Les nouvelles dispositions devraient entra ner une r duction substantielle des missions de dioxyde de soufre 22 Proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil concernant la gestion de la qualit des eaux de baignade La proposition contient des dispositions concernant le contr le et la classification de la qualit des eaux de baignade et pr voit une large information du public ce sujet ainsi que des options de gestion globale Elle
263. epr sente le masque principal de saisie du logiciel ppgd mdb Consultation de l historique des d cisions administratives et des courriers envoy s Microsoft Access PPGD Version 2 03 Le logiciel distingue entre les donn es sur les tablissements class s les donn es sur les diff rents dossiers plans de pr vention et de gestion des d chets rapports annuels et r visions de ppgd et les donn es sur la gestion des d chets Le sch ma fonctionnel ci dessous indique les liens entre les donn es 148 banque de donn es __ PPGD tablissements ORGA Les dossiers PPGD d chets DECHET minal f d chets rapport anime f d chets tablissement rapport ammel d chets _ r vision 3 ann e d chets rapport annuel d chets Pour les besoins statistiques le logiciel dispose de la possibilit de trier les tablissements selon leur appartenance la Nomenclature statistique des Activit s conomiques dans 1 Communaut Europ enne NACE et d identifier les dossiers selon la nomenclature des tablissements class s Le tableau ci dessous indique l volution du nombre de dossiers par an enregistr s dans la banque de donn es Dossiers rapports annuels Dossiers r visions de ppgd otal dossiers otal tablissements Dossiers ppgd 2 5 16 2 Les plans de pr vention et de gestion des d chets examin s en 2004 En 2004 la Division d
264. er encore les activit s effectu es par certains triages forestiers e Triage forestier de Lorentzweiler d broussaillage et p turage dans pelouses s ches 7 5 ha plantation et protection de 240 arbres fruitiers taille de 306 arbres fruitiers organisation de la Journ e de l arbre Lintgen et Lorentzweiler laboration d un DVD de documentation Natur erliewen an der Schoul CTE E amp F administration communak de Lorentzweiler e Triage forestier de Mersch Ouest installation sentier Sannert avec inauguration de celui ci fonctionnement du centre de ramassage pour sangliers dans le cadre de la peste porcine monitoring fabrication de bancs en bois visites au mus e du Marienthal ce forestier de Koerich entretien de l ancienne d charge de Koerich entretien de mares en for t Koerich entretien et am lioration de r serves naturelles Stengeforter Steekaulen et Millebierg taille de haies en zone verte r alisation parking cologique vidange des poubelles en for t am nagement cologique Windhof planification d un centre d accueil Steinfort encadrement d un stagiaire garde forestier et de dix tudiants e Triage forestier de Bissen sortie avec coliers Vichten enl vement de r sineux au Helmeschhaff 185 3 2 7 Luxembourg Est 3 2 7 1 Exploitation des coupes Le volume global exploit lors de l exercice 2004 se chiffre
265. er une installation de co fermentation de d chets biod gradables ensembles avec des mati res f cales et agricoles dans la commune de Consthum Les informations suppl mentaires qui avaient t demand es en date du f juillet 2003 nous sont parvenues en date du 4 novembre 2003 L arr t a t d livr en date du 1 octobre 2004 Dossier N 1 03 0110 Dossier D chets N 03 CF 02 Installations agricoles En date du 12 avril 2002 M Lucien Fohl de Schuttrange introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets 144 biod gradables non probl matiques ensembles des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel a t d livr en date du 19 janvier 2004 Dossier C I N 1 02 0122 Dossier D chets N 02 CF 04 En date du 24 avril 2002 M Fern Weydert de Betzdorf a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gradables non probl matiques ensembles avec des mati res provenant de son exploitation agricole L arr t minist riel a t d livr en date du 19 mars 2004 Dossier C I N 1 02 0158 Dossier D chets N 02 CF 05 En date du 11 juillet 2002 M Michel Miny de Nommern a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter une installation agricole pour la co fermentation de d chets biod gr
266. erich 14 Juli 12 17 Uhr Ecole Dellh icht Esch Alzette 31 Juli 10 18 Uhr Echternach 0l August nachmittags Total des participants 1700 Bastelen mat Offall est une activit qui s adresse des groupes d enfants ensemble des instruments de musiques sont fabriqu s partir de d chets destin s l abandon Comme l Oeko Bassin l activit Bastelen mat Offall peut tre gratuitement command e par des communes ou des organisations En 2004 les rendez vous suivants ont eu lieu 89 Date 04 Ju 14 16 Uhr 09 Juli 10 11 45 Uhr 09 Juli 14 16 Uhr Hallen des Service Technique 10 Juli Regionalschule Harlange use JI Lieu d organisation 10 Juli Prim rschule Kiem Luxembourg 14 00 18 00 Uhr 13 Juli 14 00 18 00 Uhr Prim rschule Rumelange 14 Juli 14 16 Uhr Schule Wahl 30 August 14 17 Uhr Festsaal der Schule Vichten 26 September 14 00 20 00 Parc Gerlache Differdange Uhr Total des participants 2 5 2 6 La poubelle parlante Den Emweltcomputer gt En 2003 Toni qui habite dans une poubelle verte est n Il s agit plus particuli rement d un ordinateur quip d un touch screen qui est incorpor dans une poubelle verte En lan ant le programme Toni commence expliquer le tri des d chets la maison et le juste traitement des d chets organiques Den Emweltcomputer Toni peut tre gratuitement lou par des associations des communes des sup
267. ermarch s etc En 2004 les rendez vous suivants ont eu lieu Dates Jiiudemphemet 2 5 2 7 Les publications en mati re de pr vention et de gestion des d chets e En 2004 l Administration de l environnement Division des d chets pu pr senter une nouvelle brochure au sujet de La protection de l environnement dans le domaine administratif Cette brochure constitue un guide pour une gestion pr ventive des d chets de bureau A c t d une description des d chets des conseils et exemples pratiques sont donn s afin d viter et de r cup rer un maximum de d chets produits A la fin du guide se trouve un exemple d une liste de contr le pour les tablissements ainsi que des adresses utiles en mati re de gestion des d chets au Grand Duch de Luxembourg La brochure peut tre command e gratuitement via le site Internet de l Administration de l environnement www emwelt lu 90 domaine administrat 1f D i e Fn plus la Division des d chets mensuellement publi des articles dans la revue de la Ligue du Coin de Terre et du Foyer tirage 35 000 exemplaires par article traitant diff rents sujets en mati re de gestion des d chets 2 5 2 8 Les autres actions e fonctionnement et les missions de la Division des d chets de l Administration de l environnement ont t expliqu s dans le cadre du cycle de formation Environnement et qualit module B Les d chets et les sites contamin
268. erv aux communes Chaque commune aura acc s aux donn es essentielles des sites r pertori s sur son territoire La mise disposition de ces donn es se fera galement sous forme de shape files qui permettra aux communes d utiliser les donn es informatiques g ographiques dans la planification de leur territoire L acc s ces donn es se fera exclusivement moyennant un mot de passe exclusif r serv chaque commune La mise en ligne de ce site Internet est pr vue pour la premi re moiti de l ann e 2005 2 5 19 2 L inventaire des r servoirs mazout Parall lement l inventaire des anciennes d charges et des sites contamin s l inventaire des r servoirs mazout existants enlev s ou d saffect s a t poursuivie Au 16 d cembre 2004 cet inventaire a t cl tur dans 59 communes La connaissance des emplacements actuels et anciens de ces r servoirs est essentielle sachant que les r servoirs mazout constituent une source de pollution importante De nombreux r servoirs mazout ou les tuyaux les reliant aux chaudi res pr sentent des fuites trop souvent des d versements se produisent lors de la fourniture de mazout En 2004 l Administration de l environnement a t saisie de 18 cas de pollutions accidentelles du sol en relation avec des r servoirs mazout 2 5 19 3 Quelques cas de sites contamin s 2 5 19 3 1 Ancienne d charge proximit de Bissen L Administration d
269. es les syndicats de communes les associations de la protection de la nature l Administration des Eaux et For ts notamment son service Conservation de la Nature le Mus e National d Histoire Naturelle chacun dans les missions qui les concernent sont appel s coop rer en vue de la mise en uvre de la politique de la protection de la nature du Minist re de l Environnement Les communes sont appel es contribuer par leurs activit s la r alisation des objectifs de la protection de la nature de fa on g n rale et sur le territoire communal en particulier C est la raison pour laquelle le Minist re de l Environnement a conclu en 2004 cinq conventions avec respectivement le SICONA Ouest le SICONA Centre le Naturpark Uewersauer le STVOUR et le SIAS pour un montant total de 360 000 EUR en vue de r aliser des prestations pour le compte des communes membres du syndicat du syndicat lui m me du Minist re de l Environnement ainsi que pour le compte de tiers A moyen terme les syndicats existants devraient tendre leurs activit s dans ce domaine d autres communes de fa on atteindre une couverture territoriale de la totalit du Grand Duch Afin de donner un cadre l gal au partenariat en question le gouvernement a approuv en 2004 un projet de loi concernant la promotion du partenariat entre l Etat et les syndicats de communes ainsi que le renforcement de la d marche scientifique en mati re de protection de
270. es cantonnements forestiers 3 2 1 Exploitation des coupes Tel qu il est indiqu dans le tableau crapr s le volume de bois r alis s est lev en 2004 137 000 m de bois dont 62 de feuillus et 38 de r sineux Ce volume est sensiblement le m me que celui de 2003 Compar l ann e 1995 o le volume r alis s levait encore 190 000 le volume r alis en 2004 diminu de 28 En effet depuis les grands chablis de 1999 le march de bois ne s est plus consolid et les prix des bois n ont plus atteint ceux d auparavant Pour rem dier ce ph nom ne l administration des Eaux et For ts a d cid de diminuer les coupes de bois et de ne r aliser celles ci que dans les peuplements requ rant une intervention sylvicole urgente Le volume r alis en 2004 reste en dessous du volume r alisable sans que le rendement soutenu soit en p ril En prenant en compte le fait que les accroissements annuels en volume de nos for ts atteignent des seuils jamais atteints auparavant il s ensuit que le volume sur pied de nos for ts est en nette augmentation Exercice 2004 Volume Volume Ch ne 23 489 33 H tre 57 937 34 Charme 1 797 48 Autres feuillus 1 812 24 Epic a 37 553 15 Douglas 5 823 66 Pin 5 955 73 M l ze 662 65 Autres r sineux 2 181 79 52 176 98 BE TOTAL 137 288 56 100 Les d tails de l exploitation des coupes se trouvent dans les tableaux figurant en annexes
271. es d chets a avis 274 dossiers de demande d autorisation introduits en vertu de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s en ce qui concerne la n cessit d tablir un plan de pr vention et de gestion des d chets conform ment l article 21 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Le taux des dossiers de demande avec un plan de pr vention et de gestion des d chets reste stable 75 Le taux des ppgd consid r s comme complets tait de 65 La r partition des ppgd tablis par branche d activit est reprise dans le tableau suivant 149 Dossiers introduits en Dossi Ppgd consid r s i PARR ossiers avec un Nr D signation 2004 n cessitant un ppgd d nombre comme complet nombre PPE en 2004 nombre Magasin pour la vente au d taileten gros 198 H tels et autres tablissements d h bergements 240 5 68 239 241 Etablissements de 304 236 267 production 328 114 68 181 296 14A 262 142 Stations fixes de distribution d essence et ou de gasoil Ateliers et garages de r paration et d entretien EE maison de soin EE 326 33 2 222 2 68 criblage Ateliers de constructions m talliques et ateliers m caniques EE EENEG Campings 32 Ateliers de travail du o ebom Lili SO NE SN RE d chets ouvert 22 20000 7 construction 307 Restaurants E e
272. es de Kyoto 3 modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Lorsque les missions d un gaz effet de serre proviennent d une installation soumise aux dispositions de la loi pr cit e du 23 d cembre 2004 l autorisation d livr e au titre de la loi dite commodo incommodo ne comporte pas de valeur limite d mission pour les missions directes de ce gaz moins que cela ne soit n cessaire pour viter toute pollution locale significative 2 3 2 Activit s sp cifiques en 2004 A c t du courrier sortant concernant directement la proc dure d autorisation d tablissements class s accus s de r ception demandes d informations compl mentaires envois aux administrations communales en vue de la proc dure d enqu te publique notifications d arr t s aux requ rants et aux administrations communales il y eu 12 courriers demandant au requ rant de signer sa demande Dans 2 cas le demandeur d autorisation a t inform que l tablissement demand en autorisation n est pas soumis aux dispositions de la loi commodo Dans le cadre de la loi du 10 ao t 1992 concernant la libert d acc s l information en mati re d environnement la Division des tablissements class s a t sollicit e dans 40 cas pour fournir une information relative l environnement concernant un dossier pr cis Dans le cadre de la loi du 1 d cembre 1978 r
273. es en 2004 SO2 1 Fuel SOMME 104 165171 2 4 4 Rejets atmosph riques en provenance d mstallattons industrielles 502 ere E 66 Ut 2 4 4 1 Emissions de dioxines et furannes en provenance des aci ries lectriques En 2004 l administration de l Environnement a proc d c t des campagnes de mesures r guli res prescrites par les autorisations d exploitation des campagnes suppl mentaires de mesure des missions de dioxines et furannes Les campagnes non annonc es ont t r alis es l aci rie lectrique d Esch Schifflange en octobre l aci rie lectrique de Differdange en novembre et l aci rie lectrique de Belval en f vrier P riode des mesures Valeur moyenne Valeur moyenne arrondie ARES 12 15 octobre 0 063 lt 0 1 ProfilARBED novembre Profil ARBED 3 6 f vrier 0 058 lt 0 1 Valeur limite 0 1 r sultat pas encore disponible avant la fin de r daction du pr sent rapport d activit Un d passement de la valeur limite pour les missions de dioxines et furannes n a pas t constat 2 4 5 Le service d conomies d nergie 2 4 5 1 Aides financi res aux particuliers pour les investissements En juillet 2001 le programme d aides financi res aux particuliers pour les investissements r alis s dans le contexte de l utilisation rationnelle de l nergie et de la mise en uvre des sources d nergie renouvelables t institu par r glement
274. es indicateurs traitant d aspects environnementaux il faut souligner que la cellule statistique a t nomm e Centre National de R f rence en ce qui concerne les travaux de reporting de Agence Europ enne pour l Environnement LEET Ceci implique la participation des groupes de travail ainsi que des changes de vues par l interm diaire de groupes de discussions sur Internet En 2004 la cellule fut partie prenante d une des deux r unions organis es par Copenhague au cours desquelles furent voqu es diverses approches afin d analyser les performances d un pays dans des domaines environnementaux vari s ainsi que des m thodes de construction d indicateurs agr g s sur l tat de l environnement Toujours dans le cadre des travaux de rappelons que c est aussi la cellule statistique qu a t confi e la revitalisation et la mise jour du r seau EIONET de l AEE au Luxembourg Ce r seau met en rapport des Centres Th matiques Environnementaux et des Centres Nationaux de R f rence L AEE charge chacun des qui sont des consortiums d Administrations d instituts de centres de recherche etc qui ont un contrat avec l Agence de collecter traiter et analyser l information relative son domaine d expertise missions atmosph riques qualit de Pair qualit de l eau biodiversit etc Pour obtenir des donn es ainsi que tous
275. es locataires de chasse aux campagnes de vaccination a t exemplaire Ainsi des 280 000 app ts disponibles en 2004 273 020 app ts 98 ont t enlev s aux centres de distribution par les locataires de chasse 245 Carte Vaccination des sangliers contre la peste porcine classique lots de chasse n ayant pas particip la r partition des app ts Campagnes 2004 Lots n ayant pas particip la vaccination 6 distributions 2 lots 5 distributions 3 lots 4 distributions 3 lots 3 distributions 4 lots 2 distributions 7 lots 1 distribution 46 lots ET WEE Nombre d app ts disponibles 280 000 100 Dont enlev s 273 020 98 non enlev s 6 980 2 Lots de chasse concern s 100 Ont particip en moyenne 585 97 N ont pas particip en moyenne 19 3 Surface du pays concern e 2 584 ha 100 A particip en moyenne 2 506 ha 97 N a pas particip en moyenne 78 ha 3 246 65 lots diff rents 10 76 ont omis de participer la distribution des app ts au moins une fois 2 lots n ont particip aucune des 6 distributions 3 lots n ont pas particip 5 distributions 3 lots n ont pas particip 4 distributions 4 lots n ont pas particip 3 distributions 7 lots n ont pas particip 2 distributions 46 lots n ont pas particip 1 distribution 3 5 2 3 Evaluation des campagnes de vaccination Un formulaire d valuation de la camp
276. es pour avis En septembre 2004 les avis rendus par les communes ont t transmis par le Minist re de l Int rieur l Administration de l environnement pour valuation Il r sulte de cette valuation que e 104 communes ont mis un avis e 104 communes ont avis le projet favorablement 92 31 alors que 9 communes ont mis un avis d favorable 7 69 e 7 des communes qui ont mis un avis d favorable sont du canton d Echternach et motivent leur refus notamment par le fait que le projet de la d charge de Rosswinkel projet auxquelles elles s opposent fait partie int grante du projet e les deux autres communes qui ont mis un avis d favorable sont directement concern es par des projets de d charges 124 Commune d avis el avis favorable avis d favorable En date du 29 novembre 2004 le Conseil Sup rieur pour Am nagement du Territoire a rendu son avis relatif au projet du plan sectoriel 2 5 11 3 Le r seau actuel La situation actuelle en mati re de d charges pour d chets inertes se pr sente comme suit a d charge de Nothum L exploitation de cette d charge suit son cours normal b d charge de Hosingen L exploitation de cette d charge suit son cours normal c d charge de Folkendange La d charge de Folkendange a t mise en exploitation en d but de l ann e 2004 Depuis la premi re phase de la d charge a d j t remplie et r ensemenc e
277. ess derri re la nouvelle mairie Schouweiler R naturation de la Mierbaach le long de la nouvelle cole primaire Bascharage Entretien des zones humides Engelsratt Mamer Nettoyage et r am nagement de l tang Eitzpoul Remich Entretien des tangs au Haff R imech Remerschen 3 4 13 1 7 Travaux de gestion dans les r serves naturelles Remplacement de panneaux d informations Aarnescht Kelsbach Installation de protections individuelles pour arbres fruitiers Haard Giele Botter L iffraechen Installation d un enclos de nuit Nachtweide pour les moutons Haard D broussaillage des pelouses s ches envahies de broussailles Bassin minier Installation de panneaux ducatifs Brill Schifflange Enl vement de d blais Haard Dudelange Protection de plantes rares orchid es gentiane orpin vermiculaires par des cl tures temporaires filet lectrique lors du p turage itin rant e Pose d une cl ture autour des r serves naturelles Sonnebierg Walferdange et oa Kuebebierg Weimerskirch avec des passages canadiens pour permettre l acc s des excursionnistes en vue du p turage itin rant e Mise en place de pontons dans la r serve naturelle Haff R imech Remerschen Installation d un passage pi tonnier en bois traversant le nouveau bras de la Moselle au Taupeschwues Bech Kleinmacher Installation d un garde corps dans la r serv
278. essible ou bien par la route qui relie Schengen Contz les Bains ou bien par des chemins viticoles partir de la localit de Schengen Le Strombierg s rige en protub rance de forme allong e dispos e en direction nord sud dont le sommet aplati prend la forme d un plateau troit est essentiellement constitu de for ts feuillues La cr te de ce plateau est orient e vers l est et se termine en falaises abruptes suivies de flancs tr s fortement escarp s Le site comprend donc des parties expos es l Est et au Nord ainsi que des parties plates situ es au sommet du monticule Ici se trouve un point de vue constitu d une plate forme rudimentaire d limit e par une balustrade en m tal qui permet une vue panoramique superbe sur la vall e de la Moselle les tangs de la r serve naturelle Haff Remich l cluse d Apach les collines avoisinantes situ es sur les territoires fran ais et allemand avec notamment la tr s importante r serve naturelle Hammelsberg Le d nivellement au sein de la r serve naturelle entre le niveau de 209 la plate forme et celui de la Moselle est de 146 m et se joue sur une distance horizontale de seulement 300m Le point de vue se situe sur une corniche surplombant des falaises hautes d une cinquantaine de m tres pic qui t moignent de l ancienne affectation du site comme carri re de pierres dolomitiques Aux pieds de ces falaises gisent de grands blocs de roches qui se sont d
279. et des ressources naturelles Cette loi constitue une actualisation de la l gislation sur la protection de l environnement naturel de 1982 et transpose dans la l gislation nationale deux directives europ ennes l une concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages la directive Habitats l autre concernant la conservation des oiseaux sauvages la directive Oiseaux En ancrant dans ce texte l obligation d laborer des plans de gestion pour les zones prot g es en collaboration avec les gestionnaires des terres le l gislateur voulait mieux concilier la protection de la nature avec les activit s de l homme D autre part l accent est mis sur une coop ration accrue avec les communes dans le domaine de la protection de la biodiversit Enfin un plan national de la protection de la nature devra permettre de fixer terme une nouvelle strat gie nationale en la mati re A la derni re page l Administration des Eaux et For ts informe sur le retour probable par migration naturelle du castor au Luxembourg 1 1 4 Participation la semaine europ enne de la mobilit du 18 au 24 septembre 2004 et la journ e nationale En ville sans ma voiture le 22 septembre 2004 Lanc e en 1998 en France la journ e du 22 septembre 2003 a t d clar e journ e europ enne sans voiture 2000 la Commissaire pour l Environnement Mme Margot Wallstr m L objectif d une telle action
280. et ou de gasoil EXP 224 1 4 e Formulaire de demande d autorisation n 325 stations fixes de distribution d essence et ou de gasoil 325 e Formulaire de d claration de la classe 4 D claration de mise en place et d exploitation d une station fixe de distribution de gasoil dont la capacit totale des d p ts est sup rieure 300 litres et inf rieure 20 000 litres FD 325 1A Expos succinct n 325 stations fixes de distribution d essence et ou de gasoil 325 e Expos Les installations de r cup ration active des gaz avec membrane 12 mai 2003 EXP 325 RECGAZ 120503 e Expos succinct Les installations de s paration de liquides l gers p ex hydrocarbures EXP 325 S p 48 2 3 2 6 Statistiques 2004 2 3 2 6 1 Aper u des dossiers commodo trait s en 2004 Type Sous type Classe du Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers D cisions de dossier dossier cours d pos s es soumis retourn s une EP d une EP demande initiale 1 509 262 227 151 139 158 230 LA 4 IL am 20 ENEE ONE ET 4 EC 6 modification En 1 extension transformation me Somme 108 ee chelonn e selon 5 GE e de modification _ art 6 31 1999 149 GE 234 49 2 3 2 6 2 Aper u des dossier
281. ets D terminations de la composition des d chets Analyses de d chets 35 D3 D4 DS D6 11 2 4 5 E6 E7 E71 E72 8 9 91 911 92 93 F 1 F11 F111 F12 F121 F13 F2 F3 G1 Expertises sur les mesures internes de gestion des d chets Contr les de la qualit de l imperm abilisation de d charges l aide de couches min rales Contr les de la qualit de l imperm abilisation de d charges l aide de couches synth tiques D terminations des missions d installations de traitement de d chets dans le contexte des contr les mentionn s ci dessus tudes d impact tudes d impact dans le domaine de la pollution de l air tudes d impact relatives aux odeurs tudes d impact dans le domaine de la lutte contre le bruit tudes d impact dans le domaine des vibrations tudes d impact dans le domaine de la protection et de la gestion des eaux tudes d impact dans le domaine de la protection du sol sous sol et ou eaux souterraines tudes d impact d installations de traitement de d chets tudes d impact pour la cr ation de zones de protection des eaux Analyse hydrog ologique Plan de gestion Audits et tudes nerg tiques tudes de risque et plans d urgence par rapport la protection de l environnement tudes de risque et plans d urgence dans le domaine industriel tudes de risque et plans d
282. ets inertes non contamin s sur leur site d exploitation amp Hamm Dossier 1 04 0207 Dossier D chets N 04 PE 05 En date du 1 juin 2004 un dossier de demande a t introduit par la soci t J Lamesch Exploitation pour pouvoir am nager et exploiter une installation de traitement de balayures sur son site dans la zone industrielle Wolser Nord pr s de Bettembourg En date du 20 ao t 2004 des informations suppl mentaires ont t demand es Dossier N 1 04 0214 Dossier D chets N O4 PT 07 En date du 1 juin 2004 un autre dossier t introduit par Interaction Faubourg pour pouvoir am nager un entrep t pour les d chets d mont s et tri s dans une annexe au b timent existant et ainsi agrandir les capacit s d entreposage dans leur atelier de d montage pour ferrailles lectriques et lectroniques situ au lieu dit Schl ifmillen Bonnevoie L arr t a t d livr en date du 27 octobre 2004 Dossier N 1 04 0213 Dossier D chets N 04 PT 06 En date du 2 juillet 2004 la soci t J Lamesch Exploitation a galement introduit un dossier de demande en vue d obtenir la prolongation de l arr t minist riel N 99 PT 17 couvrant 142 l am nagement et l exploitation d une installation de d contamination pour v hicules hors d usage Des renseignements compl mentaires ont t demand s en date du 23 novembre Celles ci nous sont parvenues en date du 29 d cembre 2004 et du 13 janvier 2005
283. ette manifestation toute la r gion l instar des Waldschultage en Rh nanie Palatinat Le nombre des l ves inscrits s est augment de 203 en 2002 328 en 2003 pour aboutir 445 en 2004 Pour l instant nous ne sommes plus m mes d accepter d avantage d coliers int ress s une participation En tous cas il est pr vu pour les ann es venir de maintenir cette journ e notre programme et de garder le nombre des inscriptions au niveau atteint en 2004 195 Les pr pos s ont organis 50 excursions guid es au profit de classes scolaires Le pr pos du triage de Flaxweiler a collabor avec le SNJ et les L tzebuerger Guiden Scouten durant 10 journ es enti res une classe verte dans le chalet Nic Rollinger Neihaisgen Le m me pr pos organis des activit s et dispens des explications quatre classes du pr scolaire dans le cadre du projet Natur erliewen an der Schoul Il y a lieu de mentionner tout particuli rement la trentaine de visites guid es dans la r serve naturelle Haff R imech dispens es environ 1500 amateurs de la nature De plus 20 classes scolaires se sont fait expliquer l cosyst me de la RN Haff R imech Le pr pos forestier du triage de Remerschen a accompagn les classes du pr scolaire de la r gion Ceux ci ont effectu des visites hebdomadaires en for t durant les mois de mars juillet Les l ves ont pu profiter de l exp rience du pr pos
284. eu dit Langwies etc Bettembourg Z A E Krakelshaff Minist re de l Economie section A de Bettembourg lieu dit Krakelsacht Biwer Z A Hofdriesch Consorts Lang et Frank section D de Wecker lieu dit op Huefdr isch Contern Z A Weihergewann Minist re de l Economie section C de Contern nationale et communale Adm com de Contern lieu dit Weihergewann Echternach SIAEE section C de la Ste Croix syndicat intercommunal lieu dit Oben der Langheck Grevenmacher Biwer Z I Potaaschberg SIAEG section de Grevenmacher syndicat intercommunal section D de Wecker lieu dit Potaaschberg Hosingen ZAER SICLER section E de Hosingen syndicat intercommunal lieu dit Auf der Hoch Hosingen z a Happerfeld Adm com de Hosingen section E de Hosingen lieu dit Happerfeld Junglinster Z I Langwies Adm com de Junglinster section B de Junglinster lieu dit In der Langwies Leudelange z i Grasb sch Adm com de Leudelange European Business Park z i European Business Park aopen Bisnes a Mertert Z A Kampen OKAM Mondorf les Bains Le triangle vert SIAER section A dite d Ellange section B de Mondorf lieu dit Dudent Rambrouch z a Riesenhof Adm com de Rambrouch _ Remerschen Adm com de Remerschen section de Flouer SEO lieu dit Schengerwis Remich z a Jongeb sch Adm com de Remich section A dite des Bois Sanem z a Um Woeller
285. europ enne examen pr vu apr s plusieurs report en 2005 Bien que la finalit de ces travaux soit donc de fournir la Commission europ enne un outil d valuation du d veloppement durable le d roulement et les conclusions de ceux ci ne sont pas sans int r ts pour les Etats membres et partant pour le Luxembourg En effet les r unions de la TF SDI permettent de confronter des id es des les opposer d ventuelles vues divergentes d autres Etats membres d imaginer de nouveaux indicateurs etc Rappelons enfin que les travaux de la TF SDI sont compatibles avec la production d indicateurs structurels au niveau europ en Ces derniers s inscrivent dans le cadre de la Strat gie de Lisbonne de l Union europ enne dont un des aspects est le suivi des volutions structurelles dans les domaines 1 de l emploi 2 de l innovation et de la recherche 3 des r formes conomiques et 4 de la coh sion sociale Lors du Sommet de G teborg en juin 2001 un cinqui me domaine environnement fut sugg r L ensemble de ces indicateurs fait l objet d une communication annuelle amp la Commission au Conseil et est d battue et analys e lors des Sommets de Printemps En 2004 le Minist re a donc particip et contribu l laboration des indicateurs structurels environnement pour le Luxembourg indicateurs qui seront pr sent s au cours du Sommet de Printemps 2005 Pour rester dans le domaine d
286. eux documents traitant du contr le des mouvements transfronti res de d chets tout en r glant les probl mes pos s par la mise en application du r glement CEE 259 933 et en favorisant l harmonisation des 201 l chelon international dans le domaine des transferts transfronti res de d chets Il s agit de remplacer le r glement CEE no 259 93 b Etat d avancement des travaux Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil visant tablir un syst me concernant l enregistrement l valuation et l autorisation des substances chimiques ainsi que les restrictions applicables ces substances REACH et instituer une Agence europ enne des produits chimiques pour g rer ce syst me Les principaux objectifs de la politique communautaire en mati re de substances chimiques sont d viter la contamination chimique de l air de l eau du sol et des b timents de pr venir toute atteinte la diversit biologique et d am liorer la sant et la s curit des travailleurs ainsi que de la population en global La proposition REACH vise pr server un quilibre d licat entre les b n fices pour l environnement et les incidences d une r glementation sur la comp titivit de l industrie europ enne Proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil visant lier le syst me d change de quotas d mission de l Union europ enne aux m canismes de projet du protocole de Kyoto sur les changem
287. f rents endroits dans le cadre des travaux de remembrement sont entretenues et surveill es par les Eaux et For ts Des visites des lieux de nombreuses r unions avec les administrations concern es font partie de nos t ches Les conditions impos es dans l autorisation minist rielle sont contr l es au fil de leur ex cution sur le terran Il en est de m me des travaux r aliser dans le cadre du remembrement viticole ex cut aux lieux dits Duussebierg Fiels Kolteschlach et Reichelter sur le territoire de la commune de Remerschen En g n ral en ce qui concerne la Conservation de la nature les contacts et la collaboration avec d autres organismes ou administrations ont augment ONR SIGRE Cegedel Sites et Monuments Rotary Club Environnement Ponts et Chauss es Cadastre ASTA commissions communales diverses B timents Publics et syndicats d initiative Des rencontres et r unions ainsi que des visites des lieux ont lieu par dizaines 3 2 9 7 La for t lieu de loisir Les parcours fitness et les sentiers didactiques Widdebierg et Brill Betzdorf et Flaxweiler Weckerboesch Biwer Haardt gt Canach Dreiborn Watholz Flaxweiler Groussfooscht Grevenmacher Wein und Naturerlebnispfad Grevenmacher Pietert Keltsbaach Grevenmacher Wormeldange Pierre Moes Manternach Kuebendaellchen Remerschen Haff R imech Remerschen Stroum
288. ff rents types de v g tation conf re un aspect particuli rement int ressant la zone La surface de la future zone prot g e est de 111 92 ha La commune en est les principal propri taire avec 51 Le restant appartient principalement des propri taires priv s 48 5 l Etat ne poss dant que 0 5 de la surface totale Avancement du projet Le fonds pour la protection de l environnement a donn son accord pour financer l laboration du dossier de classement Une association de bureaux d tudes a re u comme mission d tablir ce dossier 3 3 5 9 Le projet de r serve foresti re int grale R ef Wellenstein Description g n rale du projet L int r t de la zone d limit e se caract rise par des conditions stationnelles et micro stationnelles tr s vari es ainsi que par le fait que le site propos comble un d ficit jusqu pr sent de la repr sentation des for ts correspondant cette caract risation stationnelle dans le secteur cologique de la Moselle Par ailleurs l association phytosociologique que l on trouve sur 95 de la surface d limit e est celle du Melico Fagetum caricetosum laquelle est assez rare au niveau national tant donn qu elle est uniquement stationn e sur les sols riches en calcaire La zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 54 61 ha et appartient int gralement une commune Avancement du projet Le fonds pour la protection de l envir
289. fin de les int grer dans le syst me Cette int gration devrait tre finalis e d but 2005 De nombreuses t ches en plus des travaux courants relatifs la statistique foresti re devront donc tre poursuivies en 2005 Il s agit tout d abord de terminer la collecte et le traitement des formulaires statistiques pour les exercices 2001 2002 et 2003 Puis la r flexion au niveau de la modification de ces formulaires devra se poursuivre afin de les adapter au mieux et de tendre terme vers une automatisation et une int gration au syst me informatique Enfin il faudra travailler autour d une automatisation des calculs relatifs aux prix de vente de bois ainsi qu la finalisation des Comptes Economiques Sylvicoles ou encore des Frais de Gestion pour les ann es 2002 et 2003 L ensemble de ces travaux n cessite un personnel qualifi permanent pour assurer au mieux les travaux de statistiques foresti res 3 8 Annexes Les tableaux suivants se rapportent au chapitre 3 2 Les cantonnements forestiers 268 69 CE CE 2 7 us uss peu ken keo ma BR EH es fa _ EL LE on foen re s f es per fa on fers eue kee fun pee er ae we Jos ER poo o pue keo hme eo _ bose es hee new jem use E en Re ac ea ua
290. forcer la fili re bois interr gionale en assurant vers le grand public la promotion du p le d excellence transfrontalier qu elle constitue Cette initiative con ue sur le principe de l inter r gionalit sera men e sur l ensemble du territoire par les partenaires suivants l Administration des Eaux et For ts du Grand duch de Luxembourg Forstamt Ahrweiler et Valbois RN ce dernier assurant la coordination de l ensemble Les grandes tapes de r alisation de cette action sont e la r alisation d un audit dont l objectif est le recensement de l offre for t et bois du territoire concern et la d finition des th matiques e la cr ation des circuits de la du Bois transr gional en liaison avec les th matiques et les r f rences d finies e la r alisation des outils de promotion et de communication ad quats plaquette de pr sentation multilingue site Internet borne interactive signal tique communication presse et e p rennisation de la Route du Bois L action 3 4 coordonn e par Bois amp Habitat et r alis avec le concours de Gipeblor et l Administration des Eaux et for ts du Grand duch de Luxembourg elle vise mettre sur pied de v ritables outils de communication concernant la certification du bois et l habitat durable Pour ce faire les partenaires proposent l organisation de visites encadr es de r alisations concr tes pour les architectes et professionnels de l
291. g von L schwasserr ckhaltungseinrichtungen Empfehlungen f r das Genehmigungsverfahren EXP 136 LW1 e Formulaire de demande d autorisation n 302 radiations non ionisantes radiofr quences comprises dans la bande de fr quence de 10 Hz 3000 GHz F 302 e Expos succinct n 302 metteur d ondes lectromagn tiques t l phonie mobile cellulaire EXP 302 2 3 2 4 Service Industries Le service INDUSTRIE traite essentiellement les dossiers relatifs aux activit s du secteur de l industrie travaillant les m taux du secteur de l industrie chimique du secteur de l industrie du caoutchouc et du secteur de l industrie min rale Dans le domaine de l industrie travaillant les m taux pr domine la r gularisation de tous les sites du Groupe ARCELOR C est dans ce contexte que le site de Profil ARBED d Esch Belval et celui du Laminoir de Dudelange ont t revus et autoris s en 2004 apr s que les exploitants respectifs aient compl t et adapt leur demande en cours conform ment aux exigences techniques et l gislatives des ann es 2000 En ce qui concerne les diff rents sites du Groupe ARCELOR qui ont t lou s des soci t s exercent des activit s auxiliaires la sid rurgie le Groupe ARCELOR a entam en 2004 la r gularisation de tous les sites sur lesquels les activit s ch maient depuis plusieurs ann es Dans ce contexte des proc dures de cessation d activit s et de remise en tat des sites
292. ge Au tableau crapr s sont regroup s les diff rents types de traitement Nouvelles demandes Proc s verbaux d finitifs Proc s verbaux commune et tablissement publics 65 65 54 Les 330 proc s verbaux r alis s durant l ann e 2004 correspondent une surface totale trait e de 283 ha d bardage au cheval chemins forestiers protection individuelle pr fabriqu e plan simple de gestion et cl ture non compris Par rapport 2003 ceci quivaut une diminution de 45 de la surface trait e et de 35 des proc s verbaux r alis s 179 Il est noter que les aides pour 1 claircie restauration de for ts r sineuses compris ainsi que pour les travaux de d bardage au cheval dominaient largement les autres aides Ainsi ces deux types de travaux pr sentaient 70 des dossiers trait s ce qui est une augmentation de 10 par rapport 2003 Au total 105 ha d claircies 1 claircie et restauration ont t subventionn s Le volume de bois d bard l aide du cheval et subventionn par l Etat s l ve 13800 mg En 2003 ce volume s levait encore 23900 La situation sur le march du bois est telle que le d sint r t du propri taire vis vis de sa for t devient pr occupant M me les efforts du Groupement des Sylviculteurs a s b l en vu de favoriser les travaux de collectivit ne changent gu re la situation 3 2 4 10 La for t priv e Le cantonnement forest
293. glant la proc dure administrative non contentieuse la Division a transmis dans 24 cas l exploitant m me une information relevant des dossiers d tenus par l administration et relatives son tablissement La Division a t contact e une fois par le M diateur du Grand Duch de Luxembourg dans un cas ayant t coul en force de chose jug e par les tribunaux administratifs Le nombre d appels t l phoniques re us par le secr tariat est d environ 150 180 par semaine 37 2 3 2 1 Service agriculture industrie alimentaire traitement des d chets et tourisme 2 3 2 1 1 Etablissements soumis autorisation en vertu de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles et de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s D une part maints tablissements doivent tre autoris s par le Ministre de 1 Environnement en vertu de la loi pr cit e de 2004 D autre part il n est pas rare que les m mes tablissements soient galement soumis autorisation du Ministre de l Environnement en vertu de la loi pr cit e de 1999 D une part la loi de 2004 sur la protection de la nature et des ressources naturelles concerne des crit res tels que l implantation des immeubles leur architecture des aspects visuels conservation du paysage tandis que d autre part la loi de 1999 sur les tablissements class s concerne les crit res de l exploitati
294. grand ducal du 17 juillet 2001 instituant un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des sources d nergie renouvelables Depuis la mise en uvre du programme d aides financi res 16669 demandes ont t introduites dont 8889 en 2004 76 Etat des dossiers investissements Introduits en 2001 2004 1666 9917 Informations suppl mentaires demand es 1425 5137 Situation 24 1 2005 Demandes introduites par type d installation et par mois 2004 1600 10000 Photovolta que Chaudi re condensation EIReste 1400 1200 7500 1000 800 Nombres de demandes 600 400 200 Situation au 24 1 2005 Au cours de l ann e 2002 le nombre des demandes pour la mise en place d installations photovolta ques s levait en moyenne 20 installations par mois Cette situation a chang brusquement au cours de l ann e 2003 En d cembre 2003 plus de 600 demandes pour installations photovolta ques ont t introduites pour atteindre en f vrier 2004 une pointe avec presque 800 demandes De mars d cembre 2004 en moyenne 147 demandes d installation photovolta que par mois ont t introduite Par ailleurs il y a lieu de relever que le nombre de demandes d aide l investissement pour la mise en place de chaudi res condensation au gaz a aussi augment substantiellement en passant
295. gure ci dessous montre les niveaux en plomb observ s l aide de la m thode des mousses Des fluctuations importantes des niveaux de ce m tal sont observables Differdange Le niveau reste un niveau significativement lev Schifflange Les sites les plus expos s sont Differdange zone proche de la rue des Jardins et de la Cit Grey Esch Alzette R merich ainsi que Schifflange Cit um Benn Cit Emile Mayrisch L influence d une source d mission ponctuelle voire d un ensemble de sources d mission ponctuelles mais probablement diffuses assez proches de ces sites sont rechercher dans un rayon maximal d environ 1500 m Noter que les nombreux travaux d assainissement pr s des trois aci ries arc lectrique peuvent constituer durant certaines p riodes des sources d missions de polluants m talliques et organiques Cet apport ne provient donc pas forc ment d une exploitation industrielle en production normale R seau de biosurveillance Niveaux en plomb d tect s par bioaccumulation dans les mousses terrestres non lav es Seuil caract risant l influence d une source d mission ponctuelle euil caract risant les villes et les bassins industriels R f rence zone rurale o LS E D D RR da Leef d Site d observation pour la bioaccumulation SEPT 2001 AVRIL 2002 SEPT 2002 AVRIL 2003 M X
296. h es l action Le nombre des entreprises rattach es la SuperDrecksK scht Dr Betriber est pass au 31 d cembre 2004 1515 unit s Ceci repr sente une augmentation de 20 2 par rapport l ann e pr c dente SuperDrecksK scht fir Betriber Evolution du nombre des entreprises rattach es 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2003 En tout 285 tablissements ont t nouvellement rattach s alors que 30 tablissements rattach s ont arr t leurs activit s en 2004 L volution du nombre des entreprises en fonction de leur taille est reprise dans le tableau suivant 1999 2000 2001 2002 2003 2004 1 9 employ s 10 19 employ s o 131 Pour les diff rentes cat gories l volution est la suivante 1 9 employ s 8 8 10 19 employ s 32 8 20 49 employ s 31 4 50 99 employ s 21 3 100 employ s 22 5 117 Alors que la progression pour les entreprises occupant moins de 10 employ s est seulement de 9 les progressions pour les autres cat gories sont beaucoup plus importantes Par secteur d activit nombres d entreprises rattach es ainsi que le nombre des employ s correspondants est repris dans le tableau suivant d tablissements concern es Electriciens Tsolations et toitures Viticulture Hl 173 Nettoyage de Patients Production de boissons 7 a Laboratoire Jl H
297. hasse pour l ann e cyn g tique 2004 05 quivalence et reconnaissance d examens de chasse de pays tiers indemnisation des d g ts caus s par le gibier mode de financement avant projet de r glement grand ducal concernant les conditions et modalit s de l examen d aptitude pour la d livrance du premier permis de chasse avant projet de loi concernant les chasses administratives et modifiant la l gislation sur la chasse e de r glement grand ducal d clarant zone prot g e d int r t national et r serve naturelle le site Pellembierg sis sur le territoire des communes de Flaxweiler et de Wormeldange e de r glement grand ducal d clarant zone prot g e d int r t national et r serve naturelle la zone humide Am Pudel englobant des fonds sis sur les territoires de la Ville d Esch sur Alzette et de la commune de Schifflange e avant projet de r glement grand ducal d clarant zone prot g e la r serve naturelle Betebuerger B sch englobant des fonds sis sur le territoire des communes de Bettembourg Leudelange et Roeser e de r glement grand ducal d clarant zone prot g e d int r t national et r serve naturelle la zone foresti re Laangmuer englobant des fonds sis sur le territoire de la commune de Niederanven 3 5 12 Rapports avec le public Une attribution importante du service de la chasse est l information et le contact permanent avec le
298. hen Junglinster surveillance et contr le du pacage surveillance de la population d Orchis et du gen vrier fauchage e _ Geyershaff Geyersknapp Bech mesures de gestion e Vall es de la Mamer et de l Eisch installation de cl tures _abattage et plantations installation d abris 3 4 13 3 6 Propositions d acquisition En 2004 l Arrondissement CN Centre n a pas fait de proposition en vue d une acquisition d un terrain 3 4 13 3 7 Participation l laboration de dossiers de classement et de plans de gestion R serves naturelles RN RD 06 Mandelbaach RN RD de la Mamer RD 14 Schwarzenhaff RN Gr newald RN Koedingerbrill 3 4 13 3 8 Remembrement En 2004 l Arrondissement CN Centre n a pas t saisi par un projet de remembrement 3 4 13 3 9 Renaturations L arrondissement CN Centre a particip aux projets de renaturation des cours d eau suivants e Lauterbornerbaach et a Osweilerbaach Echternach r unions de concertation avec les responsables communaux l ASTA le Service des Sites et Monuments et le bureau d tudes Alzette Colmar Berg r unions de concertation avec les responsables communaux l ASTA et le bureau d tudes 241 Attert Bissen r unions de concertation avec les responsables communaux l ASTA et le bureau d tudes Mamer vall e enti re r unions de con
299. i CS 5 Les quantit s accept es 2004 aux centres r gionaux pour d chets inertes correspondent un ee 3 volume de plus ou moins 2 6 millions de 128 Aux quantit s mentionn es ci dessus s ajoutent celles qui ont t d pos es dans certains remblais autoris s sur base de la l gislation sur la protection de la nature Ces remblais repr sentent une masse d un ordre de grandeur de 109 000 de tonnes Il faut galement mentionner un remblai technique r alis par l entreprise Cloos SA sur le site Pafew d une masse de 226 845 tonnes Le tableau suivant reprend les quantit s de d chets inertes accept s aux centres r gionaux pour d chets inertes et soumis un recyclage En 2004 le taux moyen de concassage sur les d charges est de 6 8 EL EL EL EL Berl EL Carri re Feidt Folschette A Tied me II D 4 Gamera men ee EE EE TNT 99 EE E E 2 5 12 Les statistiques d chets La nouvelle base de donn es mise en place par l Administration de l environnement permet d sormais de g rer les donn es statistiques pour la totalit des rapports annuels introduits Mode de traitement des d chets produits et import s au Luxembourg 129 4000000 3500000 3000000 2500000 200
300. i re de protection de la nature fond e sur des bases scientifiques coh rentes et transparentes d nomm e plan national concernant la protection de la nature 1 1 6 2 La constitution du r seau Natura 2000 au Luxembourg Pour donner satisfaction aux exigences communautaires en mati re de d signation de sites Natura 2000 le Minist re de l Environnement a envoy en date du 23 janvier 2004 une mise jour des donn es concernant les types d habitats et d esp ces En r sum le Luxembourg a ainsi d sign e 47 zones sp ciales de conservation qui couvrent une surface totale de 38 337 ha soit 15 3 du territoire national N code du site d nomination superficie Habitats eng Valee deTOur de Ouren fehler 2 000001003 Valee deta Treterbaach LUO00 1004 Weicherdange Dee L it CT Valee sup rieure Wilz 1 Derenbach Veste 1h CS LU000 1008 Val es de de la Wilz de la et de fa Leligerbaach 253 ha e 000001007 Vale sup rieure S refac du barrage 026 ha e 000001010 Grosbous Betrag TI ha Cal Valee de noire Beau Berdot 4h 10 Lu0001013 Vale de de la Fronti re Useldange Lie 11 Lu0001014 Zones humides de Bissen et Fensterdal 47h Clesse get mg Leen Bois de Herborn I Echtemach Bei 1162ra 14 00001017 Valge deta S r inf rieure Tarl 95200001018 Vale de la Mamer leet 16 LU0001020 P
301. i t s foresti res 3 3 10 5 La brochure Biotope im Wald Cette brochure a t labor e dans le cadre de la certification PEFC et a pour but d aider les propri taires de for t priv e mieux reconna tre certains biotopes en for t et les inventorier Les biotopes suivants sont d crits e for ts alluviales for ts de ravin lisi res de for t clairi res en for t affleurements rocheux lots de vieux bois mardelles et tourbi res sources et zones de suitement ruisseaux mares et tangs 220 3 4 Les Services de la Conservation de la Nature 3 4 1 Les r serves naturelles 3 4 1 1 Les r serves class es par r glement grand ducal En 2004 une nouvelle zone prot g e a t class e par r glement grand ducal e Deiwelskopp RN PS 03 2 avril 2004 Il s agit d une pelouse s che englobant des fonds sis sur le territoire de la commune de Mompach La superficie totale s l ve 60 98 hectares Elle est caract ris e par une pelouse s che du type M sobrometum sur une pente expos e au sud entour e de for ts de feuillus ch naies charmaies 3 4 1 2 Les r serves en cours de proc dure Haedchen commune de Walferdange RN RD 24 Ne bruch communes de Grosbous et de Wahl RN 18 Neimillen commune de P tange RN 92 Griechten commune de Bascharage RN RF 17 Aalbaach communes de Bous et de Stadtbredimus RN ZH 57 Reier commune de Mompach RN Z
302. i taire du site et qui s est d clar e d accord de mettre la disposition les b timents en place Dans ce contexte le Minist re de l Environnement avait donn son accord de principe en dte du 6 ao t 1999 pour la r alisation de ce projet Le dossier est actuellement en voie d laboration 3 4 2 Acquisitions de terrains dans l int r t de la conservation de la nature En 2004 des terrains d une contenance totale de 3 1974 hectares ont t acquis pour un prix total de 65 405 48 euros dans l int r t de renaturation du projet Life Nature et du remembrement En 2004 une annulation d un acte administratif de 2003 diminue le total des acquisitions de 0 1010 hectares et les d penses de 1 767 50 euros 3 4 3 Information du public en mati re de la conservation de la nature 3 4 3 1 Organisation et activit s diverses Le Panda Club est patronn par le Mus e National d Histoire Naturelle l administration de l Environnement l administration des Eaux et For ts et le Service National de la Jeunesse Le Service de la Conservation de la Nature est membre du conseil d administration du Panda Club Le Panewippchen organe de liaison du Panda Club et journal sur la protection de la nature pour jeunes est support financi rement par le Service de la Conservation de la Nature en raison d un num ro sur quatre publi s 223 3 4 3 2 Campagne d information Ech kommen r m Benny de Biber Dans le cadre du retou
303. i aux services communaux et au Minist re de l Environnement de disposer d informations pr cises relatives la nature et l tat des haies et arbres solitaires existants Il a t diffus aupr s d une cinquantaine de communes dans le courant de l ann e 2002 Sous la direction du service de la conservation de la nature de l Administration des Eaux et For ts un groupe de travail est charg de la r daction d un cahier des charges type permettant la r alisation d un inventaire coh rent de ces structures v g tales sur l ensemble du territoire national Ce cahier sera la base d un programme national de relev s sur le terrain Les donn es ainsi relev es constitueront le fondement d un programme de gestion des haies et arbres solitaires qui sera reli aux bases de donn es centrales du minist re En dehors de ses fonctions de v ritable outil de gestion pour les communes et les syndicats intercommunaux oeuvrant dans le domaine de la conservation de la nature le programme contribuera alimenter et tenir jour les bases de donn es nationales telle la BD OBS occupation biophysique du sol 1 3 4 La cartographie des fonctions climatiques valuation climat qualit de Pair Les donn es relatives l occupation biophysique du sol relev es partir des photos a riennes prises en 1999 ont permis gr ce au survol avec scanner thermique d entamer un projet d identification des aires de constitutio
304. i garantie L application a aussi t mise jour 2004 versions 5 02 5 04 la suite de la prise de la nouvelle application PLAN GESTION BU L adaptation volutive de l application de gestion des subsides DBAIDE destin e l ensemble des services r gionaux a t r alis e versions 3 00 3 03 par une soci t de service ext rieure suite un manque de ressources internes en personnel Une nouvelle dimension spatiale l int gration dans un Syst me d Information G ographique a t apport e l application DBAIDE version 4 00 pilote l essai La mise en production de ces fonctionnalit s spatiales est pr vue pour P t 2005 La Cellule Informatique a supervis les travaux de d veloppement en assurant la description des fonctionnalit s et en validant les travaux r alis s des tests appropri s La premi re version de l application DBAIDE t mise en production en janvier 2003 Les fonctionnalit s suivantes ont t ajout es l application en 2004 recherche intervenants rapports statistiques am liorations de fonctionnalit s existantes dition saisie analyse du module triage simplifi ajout d un module spatial cartographique L application EFDIR versions 1 05 1 09 a pour but de permettre la cellule ouvrier et la cellule informatique la bonne g stion des informations ouvriers entre l APE la Tr sorerie et l Administration des Eaux e
305. iculture Les fili res de valorisation du compost m r sont plus diversifi es l horticulture professionnelle et les jardiniers priv s sont les clients pr f rentiels Minett Kompost a livr une grande partie de son compost dans la production de substrat de terre Fili res de valorisation du compost Autres Particuliers Commerce Travaux publics Substrat de terre Horticulture Viticulture 8 Agriculture Commune Compostfrais Compost m r Compostfrais Compostm r Compostfrais Compostm r Compostfrais Compostm r Compostfrais Compost m r Compostfrals Compost m r MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Diekirch Hesperange Luxembourg Mondercange 2 5 4 3 Le contr le du compost Le compost produit par les installations de compostage est mensuellement contr l par l Administration de l environnement En plus la qualit des composts est r guli rement v rifi e par des laboratoires externes dans le cadre du label allemand RAL RAL G tezeichen Kompost 94 Les param tres suivants ont t r guli rement v rifi s pH conductibilit teneur en eau teneur en sel poids sp cifique mati re organique carbone calcul m taux lourds vanadium molybd ne arsenic s l nium HAP PCB potassium magn sium total et soluble sodium azote total et soluble phosphore total et soluble Le tableau suivant ne reprend que les moyennes des analyses effectu es par le Labora
306. iels 3 1 4 1 Organismes g n tiquement modifi s En 2004 l administration des Eaux et For ts a particip aux r unions du comit interminist riel OGM Les principales activit s concernaient l analyse des demandes d autorisation d utilisation confin e d OOM au Luxembourg et des projets de r glements grand ducaux en vue de la transposition de la directive 2001 18 CE e modification des annexes du r glement grand ducal du 17 avril 1998 d terminant les informations que doivent contenir les demandes d autorisation de projets de diss mination volontaire d organismes g n tiquement modifi s et de projets de mise sur le march e principes applicables l valuation des effets n fastes potentiels sur la sant humaine l environnement e lignes directrices pour l tablissement des rapports d valuation en mati re de demandes de mise sur le march d organismes g n tiquement modifi s e exigences en mati re de surveillance des organismes g n tiquement modifi s ayant fait l objet d une autorisation 3 1 4 2 Syst mes d information g ographiques CTI SIG L administration des Eaux et For ts a particip en 2004 aux activit s de la Cellule Technique du groupe de travail Interminist riel Syst mes d Information G ographique CTI SIG Le groupe assure un change d informations permanent entre les diff rents minist res et administrations Le principal projet
307. ier travaille en troite collaboration avec le Groupement forestier de Wiltz Ainsi une partie des excursions foresti res organis es ce groupement est assur e par le personnel du cantonnement 3 2 4 11 D g ts de gibier Le tableau montre qu il y a eu en 2004 une baisse sensible du nombre des dossiers 21 par rapport l ann e 2003 Par contre la superficie ayant subie des d g ts a fortement augment 41 Ceci est d autant plus surprenant que l on s attendait plut t une baisse des d g ts et ceci suite aux mesures prises dans le cadre de la peste porcine Surface ha Nombre de dossiers eg 3318 1999 125 34 ml e On note une moyenne de 26 dossiers par triage ce qui repr sente une baisse de 20 par rapport 2003 La moyenne des d g ts se chiffrait 37 ares par dossier soit une augmentation de 44 par rapport 2003 faut avouer que le nombre de d claration de d g ts non justifi s d g ts lt 5 ares ou lt 1 a fortement baiss Concernant les d g ts de cerfs en for t 14 dossiers ont t introduits en 2004 En tout 15 8 ha de for t r sineuse taient concern s avec un d g t estim au total 23 800 Reste noter que les d g ts de gibier en for t ne sont rarement d clar s 3 2 4 12 Conservation de la nature Dans le cadre de la conservation de la nature un grand nombre de projets a pu tre r alis durant l ann e coul e sav
308. iers contre la peste porcine classique 245 3 5 3 Etude des sangliers Sus scrofa au Grand Duch de Luxembourg 249 3 5 4 Recherche sur la g n tique du cerf au Luxembourg et dans les r gions limitrophes 250 3 5 5 Colloque sur les chasses pilotes de l U E 251 3 5 6 L adjudication du droit de chasse 251 3 5 7 3 5 8 3 5 9 3 5 10 3 5 11 3 5 12 Plan de chasse et marquage du gibier Statistiques relatives au gibier tir Examen de chasse Examen d admission la fonction de garde particulier asserment Le Conseil Sup rieur de la Chasse Rapports avec le public 3 6 L Entit mobile 3 6 1 3 6 2 3 6 3 3 6 4 3 6 5 3 6 6 Activit s en mati re de protection de l Environnement naturel Activit s en mati re de chasse Activit s en mati re de p che Autres activit s Dossiers trait s par l Entit mobile 2004 Divers 3 7 La Cellule Informatique 37 1 3 7 2 Informatique Statistiques analyses et mises disposition de donn es 3 8 Annexes 252 254 257 259 259 260 261 261 261 261 262 262 262 263 263 267 268 1 MINIST RE DE L ENVIRONNEMENT 1 1 La politique g n rale du Minist re de l Environnement L accord de coalition du Gouvernement en mati re d environnement datant de juillet 2004 a d fini les axes strat giques essentiels de la politique g n rale du Minist re de l Environnement Ceux ci constituent les lignes directrices de la politique cologique
309. ighlands e Grosse Schafscherung auf der Sch ferei Schwarz in Everlingen Sch fer und Forstverwaltung im Dienste der Natur e Seltene Muscheln von Bisamen bedroht Bestand in der Sauer innerhalb von 3 Jahren halbiert 232 3 4 11 5 Reportages t l vis s projet d agriculture extensive Frisange effets positifs du p turage sur la biodiversit RTL projet d agriculture extensive Mensdorf arriv e des bovins de la race Galloway RTL retour potentiel du castor au Luxembourg collaboration de l Administration des Eaux et For ts avec les autorit s des r gions limitrophes RTL premier coup de pelle du projet de r naturation de l Alzette entre Dumontshaff et Lameschermillen par le Ministre de l Environnement Lucien LUX RTL visite du projet d agriculture extensive dans la vall e de la Syre par le Ministre de l Environnement Lucien LUX RTL 3 4 11 6 Publications Petits articles dans le magazine REVUE sur les sujets suivants brame du cerf chat sauvage chauves souris renaturation de Alzette Schifflange Schley L C Sinner S Venske amp A Stern 2004 Biber in Luxemburg Administration des Eaux et For ts Luxembourg 20 S 3 4 11 7 Publications scientifiques Frantz A C M Schaul L C Pope F Fack L Schley C P Muller amp T J Roper 2004 Estimating population size by genotyping motely plucked hair the Eurasian badger Journal of Applied Ecology 41 985
310. il est propos de r unir les mati res th oriques en trois branches quivalentes de 40 points chacune Crit re de r ussite deux tiers des points pour l ensemble des branches e preuve orale Une dur e de 30 minutes par candidat semble appropri e e Les attestations d livr es en cas de r ussite des diff rentes preuves sont valables pour cinq ann es cons cutives e programme des mati res enseign es est pr voir comme annexe au r glement en vue d une meilleure lisibilit du r glement et pour une plus grande facilit en cas de modification du programme 258 3 5 10 Examen d admission la fonction de garde particulier asserment En 2004 un examen d admission la fonction de garde particulier asserment eu lieu le 7 d cembre 2004 dans les locaux de l administration des Eaux et For ts Les cours pr paratoires ont t organis s par l association des gardes particuliers asserment s AGPA Les branches examin es lors de l examen ont t les suivantes e Epreuve crite 1 Th orie judiciaire 2 L gislation en relation avec la protection de la nature 3 Garde particulier et soci t 4 L gislation sur la chasse p che e Epreuve orale e Connaissances pratiques en mati re de surveillance de la chasse p che 3 5 10 1 Les r sultats de l examen d admission session 2004 Trois candidats se sont pr sent s aux diff rentes preuves dont un avait choisi l option p che et deux
311. ils sont visc r s et o un chantillon sang organes est pris aux fins d analyse au laboratoire v t rinaire les sangliers destin s la consommation ne sont lib r s par le v t rinaire responsable qu apr s que le r sultat n gatif de l analyse est disponible e les sangliers dont l analyse s est r v l e positive ou douteuse sont d truits par les services v t rinaires e recommandation pour les chasseurs d viter le contact avec des exploitations d levage de porcs domestiques De m me les directives et recommandations pour l exercice de la chasse aux sangliers suivantes ont t rappel es aux chasseurs 243 e intensifier la chasse au sanglier en vue d arriver une r duction consid rable de la population des sangliers e tirer un maximum de jeunes sangliers qui sont le groupe le plus sensible la maladie ainsi il est recommand que le tableau de tir se compose de 70 de marcassins lt 1 an et de 15 20 de sangliers de l ann e e ne pas tirer les laies meneuses afin de ne pas d sorganiser les compagnies et leur organisation sociale e ne pas utiliser des chiens courants chassant de grandes distances lors des battues e viter d am nager de grands emplacements d affouragement centraux qui conduisent une concentration des sangliers et par cons quent favorisent la contagion e avant et apr s tout contact avec des sangliers les chaussures utilis es tout comme les v hicules de transport
312. in s d utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables l aide devra tre modul e en fonction des crit res g n raux suivants consid r s soit s par ment soit conjointement le caract re local r gional national ou international du projet le caract re exemplaire innovateur pr ventif ou contraignant du projet une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 75 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la constitution du r seau de zones prot g es conform ment l article 2 de la loi concernant la protection de la nature une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d am nagements des frais d tudes et des acquisitions de terrains en vue de la coh rence cologique du r seau des zones prot g es par le maintien et le d veloppement des l ments du paysage qui rev tent une importance pour la faune et la flore sauvage 2 3 12 Les aides pr vues sous h et 1 sont allou es sous condition que les b n ficiaires soient un ou plusieurs communes ou un syndicat de communes ayant pour objet la protection de l environnement naturel un tablissement d utilit publique ayant pour attribution la protection de l environnement naturel 1 2 2 Le comit de gestion du fonds pour la protect
313. in d assurer la survie du sorbier domestique Sorbus domestica Le sorbier domestique est consid rer comme une des essences foresti res les plus menac es de notre pays En effet sur 1104 sujets enregistr s en 1902 Brandt n en a pu identifier que 33 exemplaires en 1986 Une cartographie syst matique ex cut e en 2002 par M Sascha WERNICKE en collaboration avec nos pr pos s forestiers a pu r pertorier 88 exemplaires dans 2 r gions de provenances naturelles savoir dans la r gion de Manternach Grevenmacher ainsi que dans la r gion de la Moselle situ e au sud de Manternach Grevenmacher La r partition des sujets tant individuelle et isol e les sorbiers domestiques souffrent de d pression g n tique et ne sont plus porteurs de graines de sorte qu ils sont directement menac s de disparition 3 1 11 2 Travaux pr paratoires pour la conservation et l am lioration du sorbier domestique Aux fins de la conservation et de l am lioration de la diversit g n tique du sorbier domestique dans nos r gions une convention de coop ration entre notre Minist re de l Environnement et le Minist re de l Environnement de la Rh nanie Palatinat a t conclu en janvier 2004 Le Centre de Recherche pour l cologie foresti re et la sylviculture FAWF de Trippstadt a t charg de la coop ration avec nos services Sur la base de ce contrat les travaux suivants ont t r alis s en 2004 48 sorbiers bien venan
314. ination de d chets 2 5 15 1 Dossiers d autorisation introduits au cours de l ann e 2004 e Durant l ann e 2004 les dossiers suivants ont t introduits aupr s de notre Division 33 Dossier en tout 138 2 5 15 1 1 Site du SIDEC au Friedhaff En date du 20 avril 2004 le SIDEC a introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploiter sur le site du Friedhaff une installation de traitement biologique des d chets m nagers et assimil s Cette installation sera combin e avec l installation m canique d j en op ration sur le site Sur cette installation certaines modifications seront n cessaires pour pouvoir faire parvenir les d chets y trait s dans l installation de traitement biologique L utilisation des eaux de percolation provenant de la d charge pour d chets m nagers et assimil s a t pr vue par le SIDEC en tant que moyen pour r duire l effet n gatif de celles ci sur l environnement Des informations suppl mentaires ont t demand es en juin 2004 Dossier 1 04 157 Dossier D chets N 04 PT04 Le SIDEC a introduit un nouveau dossier de demande annulant le premier en date du 21 octobre 2004 Le dossier a t consid r comme complet et sera adress aux communes aff rentes pour la proc dure pr vue par la loi Dossier 1 04 0415 Dossier D chets N 04 PT 12 En date du 1 juillet 2004 le SIDEC a introduit un dossier de demande pour pouvoir reprendre les travaux en relation av
315. influence du milieu rural avec ses activit s d agriculture intensive Les compos s anioniques NO7 NO SO il faut ajouter l ion du groupe des cations font partie d a rosols dits secondaires constitu s SOA NH et HSONH Ils r sultent de la transformation dans l atmosph re des polluants primaires NH NO et SO Finlayson Pitts et Pitts 1986 Ces a rosols peuvent servir de noyaux de condensation aux gouttes d eau Ils peuvent aussi tre lessiv s par la pluie tombante Les r sultats concernant les anions ne donnent pas une id e claire de l volution des niveaux Les niveaux de certains anions donnent l impression de rester sur un palier Le niveau du SO atteint son niveau de l ann e 2003 Les niveaux en sulfate sont pratiquement identiques Esch Alzette et Beckerich Noter que l exploitation d finitive des r sultats annuels du r seau de surveillance des pluies n est pas encore termin e et qu il reste encore traiter et int grer les mois de novembre et de d cembre 2004 2 4 2 8 Campagnes sp ciales de mesurages durant l ann e 2004 Campagne de contr le des niveaux en poussi res totaux en suspension dans l air ambiant ainsi que des particules D termination de m taux lourds dans les poussi res Programme de mesurage roximit des aci ries arc lectrique d Esch Belval et d Esch Schi programme de mesure r alis entre le 14 octobre 20
316. int r t n est pas seulement ducatif mais galement touristique sachant toutefois que le but du projet est clairement celui de sensibiliser le public pour les aspects ayant trait la conservation de la nature Le point de vue existant d j actuellement au sommet du Strombierg permet une vue superbe sur la vall e de la Moselle notamment sur les deux sites majeurs de la r gion les tangs de Remerschen avec la zone prot g e Haff R imech et le futur centre d accueil du Haff R imech et puis du c t fran ais la tr s connue r serve naturelle Hammelsberg La zone prot g e Strombierg avec son sentier didactique devrait d ailleurs constituer un des sites satellites de ce futur centre d accueil Haff R imech dans la mesure ou les visiteurs de ce centre d accueil devraient y trouver des informations les incitant aller d couvrir d autres aspects ayant trait la protection de la nature Le sentier didactique de la zone prot g e Strombierg et son point de vue sont aussi rattach s un sentier auto p destre ainsi qu au sentier de grande randonn e M diterran e Hollande Actuellement le point de vue peut tre acc d pied ou bien partir de Schengen par diff rents itin raires ou bien partir de Contz les Bains F Par l am nagement d un sentier p dagogique l ensemble du site en g n ral et les installations existantes p ex le point de vue en particulier sont utilement valori
317. ion de l environnement La loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement a cr en son article 6 un comit de gestion du fonds Le r glement grand ducal du 15 novembre 1999 d termine les modalit s de fonctionnement dudit comit l arr t minist riel du 11 janvier 2000 porte d signation des membres dudit comit Conform ment la loi pr cit e les missions du comit concernent e la planification pluriannuelle des d penses du fonds e l ajustement du rythme des d penses aux disponibilit s financi res du fonds e la r orientation progressive du fonds vers des investissements de nature pr ventive En 2004 le comit s est r uni 10 fois a mis des avis sur tous les projets et demandes de subsides financer par le Fonds pour la Protection de l Environnement 46 nouveaux projets ont t engag s 22 projets en relation avec la lutte contre le changement climatique et ou l utilisation rationnelle de l nergie et la promotion des nergies nouvelles et renouvelables 2 projets en relation avec la pr vention et la gestion des d chets et 22 projets en relation avec la protection de la nature et des ressources naturelles La description des projets qui ont t financ s par l interm diaire du Fonds pour la Protection de l Environnement se trouve dans d autres chapitres du pr sent rapport d activit 1 3 Le syst me d information g ographiqu
318. ions des d chets m nagers encombrants ou assimil s une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 25 du co t d investissement des infrastructures intercommunales d limination des d chets m nagers et assimil s y compris les ouvrages techniques annexes ainsi que du co t des adaptations des installations existantes de nouvelles technologies et des normes plus s v res de protection du sol des eaux de l air et en mati re de gestion des d chets une aide pouvant tre port e au maximum jusqu 50 du co t d investissement dans des travaux d infrastructure ainsi que les frais d tudes et d penses connexes y relatifs pour d autres projets dans les diff rents domaines de la protection de l environnement pr cis s par la loi en tenant compte des contraintes suivantes 1 les promoteurs des projets devront tre une ou plusieurs communes un syndicat de communes un tablissement public ou un tablissement d utilit publique les projets devront r pondre aux orientations aux crit res et aux normes prescrits par la l gislation et la r glementation nationales et internationales en mati re de protection de la nature et des ressources naturelles de lutte contre la pollution atmosph rique et le bruit de lutte contre le changement climatique de protection des eaux de pr vention et de gestion des d chets d assainissement et de r habilitation de sites de d charge de d chets et de sites contam
319. ions faisant partie de l usine gaz Celle ci est galement tr s importante pour d terminer plus facilement dans une 3i me tape les points de prises d chantillonnage en vue d laborer une tude d terminant l envergure de la contamination sur la totalit du site et son impact sur l environnement 2 5 19 3 4 Lyc e technique Mathias Adam site PED P tange En mars 2004 les travaux d assainissement ont d but sur le site destin l emplacement du nouveau Lyc e technique Mathias Adam dans le PED P tange Le site en question faisait partie d un ancien site sid rurgique L tude du sol effectu par un organisme agr a r v l des contaminations en HC hydrocarbures en HAP hydrocarbures aromatiques polycycliques ainsi qu en m taux lourds comme le Zn zinc et le Pb plomb L assainissement du terrain s est d roul sans probl mes majeurs et en juin 2004 le terrain a t d clar assaini apr s v rification par un 2i me organisme agr 2 5 20 Le syst me de surveillance du sol Monitoring En 2004 les travaux pour un syst me de surveillance du sol travers le Grand Duch de Luxembourg ont t poursuivis L chantillonnage des sols tait termin en 2003 pourtant il restait le comptage des vers et des micro organismes et la d termination de l activit biologique des sols 158 Un premier rapport interm diaire du monitoring du sol a t finalis en juin 2004 Au moment de l valuation
320. ions g n rales sont encore effectuer et l arr t pourra tre d livr en d but 2005 Dossier N 1 02 0228 Dossier D chets N 02 PD 05 2 5 15 3 Activit s sur les chantiers du SIDEC et du SIGRE 2 5 15 3 1 Site du SIGRE au Muertendall En dates du 30 juin et du 28 juillet 2004 des r unions avec les responsables du SIGRE et le bureau d tudes charg de l laboration des dossiers de demande en relation avec l am nagement de la d charge pour d chets m nagers et assimil s ont t effectu es Il s agissait de prendre les mesures n cessaires pour pouvoir r aliser pour 2009 l extension pr vue de la d charge sur le site du Muertendall Notons ici que l extension de la d charge est pr vue sur le site cl tur de Muertendall La surface de la d charge ouverte ainsi que la surface pr vue pour l extension sont maintenues un minimum pour r duire le plus possible la g n ration d eaux vacuer L installation de traitement pour eaux de percolation a pu tre mise en service pour test Les autres activit s la d charge continuent de fa on normale 2 5 15 3 2 Site du SIDEC au Friedhaff Suite l insolvabilit en d but de l ann e de l entreprise charg e des travaux de r alisation de la membrane interm diaire en asphalte les travaux ont t suspendus Les travaux en relation avec l tanchement interm diaire sur la d charge ont pu tre repris partir d ao t 2004 Le chantier tait sous la surv
321. irection de l administration des Eaux et For ts comme unit op rationnelle et soumis l autorit directe du directeur En 2004 les missions confi es l Entit mobile ont t assum es par quatre fonctionnaires dont un officier de police judiciaire et quatre agents charg s de certaines fonctions de police judiciaire Les agents de l Entit mobile constatent les infractions et re oivent les plaintes et d nonciations pour lesquelles les lois sp ciales leur ont attribu les pouvoirs de police judiciaire Ils en rassemblent les preuves et en recherchent les auteurs sur tout le territoire du Grand Duch de Luxembourg Outre les missions de contr le de surveillance et de police en mati re foresti re et rurale chasse p che et environnement naturel les agents de l Entit mobile sont appel s participer de nombreuses autres activit s de l Administration 3 6 1 Activit s en mati re de protection de l Environnement naturel Les activit s en mati re de protection de l Environnement naturel sont les suivantes e enqu tes et rapports concernant les infractions la l gislation sur la protection de la nature et des ressources naturelles e prises d chantillons pour d terminer des pollutions e contr les et rapports concernant le R G D du 14 mars 2002 concernant la pratique de l escalade en milieu naturel e contr le des r tablissements des lieux e rapports concernant la demande de fermeture de chantiers
322. isme applicables en a t de m me en ce qui concerne la relation entre la l gislation sur les tablissements class s et celle sur la proc dure administrative non contentieuse Dans certains proc s des experts ont t nomm s principalement pour se prononcer sur la question de l application des meilleures techniques disponibles qui doivent tre impos es Au cours de l ann e 2004 une quarantaine de recours contentieux a t dirig e contre des d cisions prises en application de la l gislation sur les tablissements class s Dans certains litiges des voisins et ou administrations communales et ou organisations pour la protection de l environnement ont agi ensemble Dans la majorit des cas les demandeurs d une autorisation ont agi contre une d cision de refus Dans certains cas les demandeurs ont consid r les conditions d exploitation impos es comme tant trop s v res La majorit des recours qui sont intent s par des voisins sont bas s sur une diminution all gu e de leur qualit de vie en raison de l autorisation accord e Il arrive assez souvent que la preuve des inconv nients all gu s n est pas rapport e Sous r serve qu il est assez difficile de sch matiser et de dresser un bilan il est permis de dire qu une tr s grande majorit des d cisions minist rielles attaqu es ont t confirm es quant leur l galit par les juridictions administratives Le service juridique recense galement la jurispr
323. ite r serve foresti re int grale comprend une zone de qui tude Ce zonage s explique comme suit e d un c t les propri t s des communes ayant donn leur accord pour participer au projet sont int gr es dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficieront des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite zone de d veloppement afin que ceux ci aient le choix de participer au projet m me apr s le classement de la zone prot g e tant donn que personne ne sera forc de participer ce projet e la zone de qui tude a t d limit e dans le but de pr server des esp ces de la faune et de la flore qui sont particuli rement menac es et qui n cessitent des zones de repos sp ciales 202 Avancement du projet Le dossier de classement pour la future RFI B teberger B sch se trouve sur le chemin de la proc dure de classement Le projet a t pr sent devant le conseil sup rieur pour la protection de la nature ainsi que devant le conseil sup rieur pour la chasse Le conseil de gouvernement a mis un avis favorable pour le pr sent projet en date du 24 septembre 2004 Par ailleurs l am nagement d une construction d accueil ainsi qu un sentier didactique est en cours d laboration Le sentier didactique comportera en tout sept panneaux dont deux pan
324. itiative avec la participation des ouvriers forestiers et communaux Ces manifestations ont eu lieu sur les territoires des communes de Betzdorf Biwer Bous Dalheim Grevenmacher Lenningen Manternach Mertert Mondorf Remich et Stadtbredimus 3 2 9 10 Divers La mise en pratique de l tude relative l audit organisationnel a t poursuivie Plusieurs r unions et rencontres ont eu lieu pour se concerter sur la r partition des t ches la d limitation des comp tences sur k territoire et se d cider quant au si ge des futures entit s r gionales A cette fin les localit s des Eaux et For ts Grevenmacher ont t r am nag es r nov es et adapt es aux futurs besoins Sur leur demande les conseils des communes de Canach et de Dalheim ont t guid s travers la for t communale durant une journ e enti re Les activit s pratiques mettre en uvre au profit des for ts et des cosyst mes ont t expliqu es Le rapport a ainsi pu tre tabli avec les plans de gestion approuver Le classement des for ts Grouf et Reef Remerschen et Wellenstein en r serves foresti res int grales a t poursuivi De nombreuses r unions avec les coll ges chevinaux et aussi avec le grand public ont eu lieu Depuis quatre ann es d j le centre de ramassage de cadavres de sangliers de Berbourg est g r par le pr pos du triage de Manternach Dans le cadre de la lutte contre la peste porcine des chanti
325. ivi de la qualit des boues d puration Conform ment au r glement grand ducal du 14 avril 1990 l Administration de l environnement a proc d un contr le r gulier des boues des stations d puration Les valeurs suivantes reprennent les valeurs moyennes des r sultats d analyses des stations d puration de P tange Diekirch Mersch Schifflange Ville de Luxembourg Beggen et Bonnevoie et Bettembourg Les boues chaul es sont reprises s par ment tant donn que les valeurs indiqu es se basent sur la mati re s che 103 2 5 6 5 1 Boues trait es sans chaux valeurs se r f rant 2004 NOM STEP STEP STEP STEP STEP STEP STEP Beggen Bettembourg Bleesbruck Bonnevoie Mersch P tange Schifflange SIDEN SIDERO SIACH SIVEC Mati re s che 17 17 26 77 23 87 14 62 747 23 83 23 30 Mati re organique 49 65 45 70 49 50 48 02 4454 45 46 55 00 Cuivre mg kg m s 189 67 309 33 355 33 274 50 226 14 204 67 Zinc mg kg m s 1564 67 1891 67 1491 33 2167 67 1455 58 1453 57 1143 00 Plomb mg kg m s 111 83 99 33 67 67 118 33 77 17 79 43 73 33 ge Chrome mg kg m s 34 50 45 83 40 17 51 33 3 51 57 43 00 Vanadium mg kg m s 60 00 88 50 60 00 63 17 60 00 75 57 62 83 Molybd ne mg kg m s 67 00 67 00 67 00 67 00 6700 67 00 67 00 dent 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 20 00 44 2 7 5 2 6 6 2 5 6 5 2 Boues trait es avec de la chaux valeurs se r f rant 2004 NOM STEP Beggen STEP
326. l volution des paysages a t choisi comme application test de comparaison de donn es issues de diff rentes versions de la cartographie relative l occupation biophysique du sol Il s agit en l occurrence des donn es relev es respectivement en 1988 et en 1999 A partir d une analyse des l gendes de la structure des donn es ainsi que de leur comparabilit g om trique le consultant charg de la r alisation des travaux a labor une m thodologie de comparaison des donn es issues des deux bases de donn es Cet exercice s est av r comme tant assez d licat du fait que la l gende structurant les donn es a t modifi e consid rablement pour la mise jour de 1999 En effet OBS88 pr sentait comme particularit un nombre lev de classes de donn es dites mixtes c d dont les attributs ne peuvent tre clairement affect s une cat gorie de la l gende OBS99 Une r attribution de plus de 1700 classes mixtes OBS99 vers des classes plus pr cis ment d finies l OBS99 t effectu e De m me OBS88 attribuait toutes les routes qu il s agisse de routes nationales ou de chemins ruraux une largeur pr d finie identique OBS 99 redress ce fait en attribuant aux routes leur largeur r elle rendant ainsi les r sultats au niveau du taux de scellement de surfaces plus r alistes Ici encore une m thodologie de comparaison de donn es a t d velopp e par le consultant Et
327. l a lieu de relever que plus de 120 st res ont t br l s dans la chaudi re de bois servant chauffer les locaux du Centre forestier et du cantonnement La consommation de mazout ainsi pu tre r duite de pas moins de 20 000 litres par rapport l ann e pr c dente A l image de Niederanven le triage de Dudelange offre depuis cette ann e la possibilit aux habitants de la commune de se faire livrer du bois de chauffage d coup sur mesure domicile 3 2 7 3 Bois de chablis Dans le cantonnement forestier de Luxembourg Est il n y a pas eu de d g t notable provoqu par des temp tes durant l ann e 2004 3 2 7 4 Etat sanitaire de la for t A part des d g ts de bostryche dus la canicule de 2003 aucun v nement phytosanitaire extraordinaire n est signaler 3 2 7 5 P pini res En vue des travaux de restructuration de la p pini re domaniale de Waldhof les activit s au niveau de l levage de semis ont t mises au ralenti Ainsi la majorit des planches et des plates bandes n a plus t mise en culture Les travaux se sont se concentr s aux t ches suivantes levage de plantes hautes tiges pour les besoins de l administration et des communes levage de plantes foresti res indig nes pour boisements de compensation partie int grante du nouveau centre d accueil de la r serve naturelle Gr newald refuge pour gibiers confisqu s 3 2 7 6 Travaux forestiers subventionn
328. l Environnement En 2004 l laboration de 13 plans de gestion pour des zones sp ciales de conservation t mise sur rail couvrant 36 8 de la surface totale des ZSC Vall e de la Mamer et de l Eisch R gion de la Moselle sup rieure Dudelange Haard Gr ngewald Machtum Pellembierg Froumbierg Gr ivemaacherbierg Vall e de la S re inf rieure Fingig Re felswinkel Grass Moukebrill Heischel Zones humides de Bissen et Fensterdall Massif forestier du Waal Massif forestier du Aesing Wilwerdange Conzefenn Par ailleurs deux plans de gestion pour des zones de protection sp ciale sont en voie d laboration Haff R imech Dudelange Haard Un troisi me plan est d or et d j termin et sera officialis prochainement par arr t minist riel Vall e sup rieure de P Alzette Ces trois plans couvrent une sruface de 13 7 de la surface totale des ZPS L instrument financier ad quat pr vu par le r glement grand ducal instituant un ensemble de r gime d aides pour la mise en uvre de programmes de sauvegarde de la diversit biologique par des mesures de conservation des habitats naturels ainsi que de faune et de la flore sauvages menac es publi au M morial en date du 22 mars 2002 doit permettre d indemniser les exploitants agricoles et forestiers subissant des pertes de r coltes ou faisant des efforts suppl mentaires en vue de maintenir un tat de conservation
329. l environnement e garantissant sous certaines conditions l acc s h justice en mati re d environnement au niveau de la Communaut Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil relative aux piles et accumulateurs ainsi qu aux d chets de piles et d accumulateurs S agissant des principales questions d battues au sein du Conseil piles nickekcadmium et objectifs de collecte l accord pr voit e une interdiction partielle des piles nickekcadmium portables qui ne couvrirait pas les piles utilis es dans a les quipements m dicaux les clairages de secours et les syst mes d alarme et c les outils lectriques sans fil Toutefois la Commission devrait r examiner rapidement la d rogation relative aux outils lectriques sans fils Du fait de l interdiction aucune obligation de contr le des flux de d chets ne serait impos e aux Etats membres e des objectifs en deux tapes pour la collecte des piles portables 25 des ventes annuelles moyennes atteindre quatre ans apr s la date de la transposition puis 45 huit ans apr s cette date e une p riode de transposition de deux ans pour les Etats membres afin qu ils puissent mettre en vigueur les lois r glements et dispositions administratives n cessaires au respect de la directive b D bat d orientation Proposition de r glement dite REACH 24 Echange de vues Proposition de r glement LIFE La discussion
330. l r sulte de ce tableau que seulement la moiti des sangliers tir s ont un ge inf rieur une ann e Ce taux est sensiblement inf rieur celui recommand par l administration dans ses instructions en vue de la lutte contre la peste porcine 70 de marcassins lt 1 dans le tableau de tir Les chasseurs devront par cons quent encore d ployer des efforts suppl mentaires envers un tir accru de sangliers jeunes notamment en vue d une limitation de la population un niveau acceptable 3 5 9 Examen de chasse Les personnes d sireuses d obtenir leur premier permis de chasse doivent avoir pass avec succ s un examen d aptitude L organisation des cours pr paratoires ainsi que de l examen de chasse incombe l administration des Eaux et For ts notamment au service de la Chasse 3 5 9 1 Stage pratique Avant de pouvoir se pr senter l examen de chasse les candidats doivent accomplir un stage pratique Pour la session 2003 2004 celui ci a eu lieu pendant la p riode du 1 juin 2003 au 15 mai 2004 Le stage est accompli aupr s d un locataire de chasse titulaire d un permis de chasse et adjudicataire d un lot de chasse depuis au moins 5 ans Le choix du ma tre de stage est fait par les candidats eux m mes Les mati res sur lesquelles le stage porte essentiellement ont les suivantes Connaissance de la faune sauvage et plus particuli rement des esp ces class es comme gibier reconnaissance des empreintes d animaux a
331. lature et classification des tablissements class s le l gislateur a exprim la volont de faciliter aux tablissements artisanaux l obtention d une autorisation d exploitation conform ment la loi en question La facilit se situe notamment au niveau de la proc dure d autorisation En effet les demandes d autorisation de ces tablissements ne doivent pas tre soumises une enqu te publique lorsque ces tablissements respectent les crit res de la nomenclature Les tablissements en question sont num r s au r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 sous les nos 32 atelier de travail du bois 33 ateliers d entretien de v hicules 34 ateliers de constructions m talliques 42 centrales b ton 49 d p ts de bois 52 bonneterie 53 boucheries charcuteries 57 boulangeries p tisseries 62 fabrication de brosses 64 buanderies 87 charpentier 88 chaudronneries 89 fabrication de chaussures 94 chocolateries confiseries 171 forges 207 imprimeries ateliers d h liogravure de flexographie et de s rigraphie 222 installations de lavage 228 ateliers pour le travail des marbres 241 travail des m taux 249 moulins c r ales 258 fabrication d outils et 267 application de peintures Ne sont consid r es comme zone d activit commerciale artisanale et industrielle que celles d ment autoris es en vertu de la l gislation sur les tablissements clas
332. le de l ordre de 3 ugin depuis plusieurs ann es d j Ce constat est mettre en relation direct avec les mesures de dioxyde de soufre SO gazeux Les niveaux annuels en SO sont tr s faibles de l ordre de 5 ug SO m Ceci confirme la quasi disparition du polluant soufre Ce polluant ne subsiste plus qu l tat de traces et il est pr sent en Europe qu des sites tr s sp cifiques La r glementation des teneurs en soufre dans les combustibles la perfection des installations de d pollution des gaz l mission et la restructuration de l industrie sid rurgique en Europe de Ouest tous ces param tres ont contribu s ce que le polluant dioxyde de soufre soit pratiquement limin 2 4 2 4 R seau automatique de contr le de la qualit de l air 2 4 2 4 1 Modifications et quipements nouveaux dans le r seau durant l ann e 2004 L analyseur de dioxyde de carbone install dans la station situ e au Mont St Nicolas pr s de Vianden a pr sent des anomalies importantes de fonctionnement Install en 1994 adapt deux reprises du point de vue conception au besoins du r seau le moniteur est arriv en janvier 2004 en fin de vie apr s 10 ann es de fonctionnement Cette dur e de fonctionnement correspond la dur e de vie moyenne d un analyseur Le nouvel analyseur CO a commenc ses mesures fin avril 2004 57 Tous les automates de gestion des stations ont t remplac s par
333. le de la r serve celle ci aura d abord pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolisera l entr e principale de la r serve Elle permettra aux visiteurs de se procurer des premi res informations g n rales sur le projet et ceci tout en tant l abri du trafic fort dense du C R adjacent tant donn que la hauteur int grale des panneaux mesurera 2 10 m et formera ainsi quasiment un bouclier anti bruit 3 3 5 4 Le projet de r serve foresti re int grale P ttenerb sch Mersch Pettingen Description g n rale du projet La sp cificit du ttenerb sch r side principalement dans la diversit des essences qui s est d velopp e naturellement sur une aire de chablis important La recolonisation naturelle avec des essences pionni res donn naissance diff rents types de peuplements structur s dans leur ensemble C est ce degr de dynamisme lev 40 de la surface d limit e est occup e par des peuplements tr s jeunes de moins de 16 ans qui conf re un aspect particuli rement int ressant la zone pour la constitution d une r serve foresti re int grale La superficie totale du P ttenerb sch compris les surfaces de compensation de la Nordstrooss est de 67 15 ha L Etat est propri taire de l int gralit de la surface d limit e La zone d limit e se subdivise en trois parties distinctes savoir une partie dite r serve foresti re int grale 59 89 ha
334. les commentaires avertis qui se doivent de les accompagner afin de convenablement les interpr ter et de correctement les agr ger au niveau europ en les CTE comptent sur les NRC qui sont leurs relais et leurs principales sources d information semblait donc logique de confier l organisation de ce r seau EIONET la cellule statistique elle m me demanderesse de donn es sur l environnement au Luxembourg En cons quence la cellule est le Point Focal National PFN du r seau au Luxembourg En tant que PFN elle repr sente trois fois par an le Luxembourg aux r unions des PFN des Etats membres ou associ es de AEE Lors de ces r unions les PFN donnent leurs avis techniques sur les travaux de et sur la fa on dont ils sont organis s Production de divers rapports sur l tat de l environnement en Europe tels que Signaux Environnementaux Rapport 2005 sur l Etat de l Environnement SOER 2005 etc et d finition du type d information collecter et par quelles m thodes m thodologies typologies d indicateurs 17 1 5 Service Informatique 1 5 1 Projet SIGenv Syst me d information g ographique de l Environnement Apr s avoir mis en exploitation l application Intranet du Syst me d information g ographique de l environnement fin 2003 l ann e 2004 fut principalement marqu e par l int gration de nouveaux utilisateurs Le syst me a ainsi t mis disposi
335. les deux syst mes r pondent aux crit res d une gestion durable leur application pratique peut poser des probl mes l une ou l autre cat gorie de propri taires soit en raison du syst me d cisionnel soit en raison du co t du syst me 166 L administration des Eaux et For ts a contribu 2004 la poursuite des travaux du groupe de travail PEFC en vue de d finir les modalit s d une certification des for ts au Luxembourg suivant ce sch ma s agit d un syst me de reconnaissance mutuelle d initiatives de certifications nationales au niveau europ en dont la base commune sont les crit res les indicateurs et les recommandations qui ont t labor s aux conf rences minist rielles de Helsinki et de Lisbonne ainsi que lors des suivantes r unions d experts Le certificat PEFC assure que le bois est originaire de for ts g r es suivant les principes d une gestion durable conform ment aux crit res d finies dans ce processus paneurop en est d livr sur base d une expertise r alis e par un organisme officiel de certification accr dit et ind pendant En 2004 les travaux de communication et de promotion de PEFC Luxembourg a s b l ont t pris en charge par la nouvelle cellule INTERREG du Groupement des Sylviculteurs et ont t appuy s par l administration des Eaux et For ts en collaboration avec le bureau d tudes EFOR Outre la promotion du syst me les travaux concernaient surtout la finali
336. les et accumulateurs usag s la collecte d un taux minimal de piles et d accumulateurs la garantie du recyclage et de la valorisation des piles et accumulateurs usag s la r duction voire l interdiction des certaines substances dangereuses dans les piles et accumulateurs dont plus particuli rement le cadmium e la prise en charge des frais de gestion des piles et accumulateurs par les producteurs La proposition de directive a t discut e au sein du groupe de travail du Conseil Dans le cadre des n gociations relatives cette proposition la Division des d chets a fait intervenir ses remarques et commentaires Cette proposition de directive a trouv un accord politique au sein du Conseil Environnement du 20 d cembre 2004 2 5 1 1 3 R glement du Parlement europ en et du Conseil relatif aux statistiques sur la gestion des d chets CE n 2150 2002 En 2004 deux r unions du groupe Statistiques de l Environnement sous groupe Statistiques sur la gestion des d chets ont eu lieu La r daction du Manuel d utilisation fixant les crit res minimaux pour la collecte et le contr le de la qualit des donn es a t poursuivie EUROSTAT a d fini le format pour la transmission des donn es conform ment aux annexes I et du r glement L ann e 2004 est la premi re ann e de r f rence pour laquelle les pays doivent fournir les donn es statistiques sur la production et le traitement des d chets
337. les responsables de la Maison de la Nature s occuperont de la vente voire de la cr ation de nouveaux vergers dans les diverses communes de l Oesling 178 3 2 4 7 Travaux am lioration Comme les ann es pr c dentes les travaux d claircies dans les peuplements r sineux dominaient En outre les travaux de nettoiement dans les fourr s de r g n ration naturelle s imposent de plus en plus Comme la r g n ration naturelle a t largement favoris e durant les deux derni res d cennies et suite une transformation d une partie des peuplements r sineux en peuplements feuillus ce type de travail va probablement dominer la prochaine d cennie Comme ces interventions favorisent collectivement les sujets d avenir il importe que ces travaux soient ex cut s par un personnel averti 3 2 4 8 Voirie foresti re Une bonne infrastructure est indispensable une exploitation rationnelle et conforme aux exigences d une sylviculture proche de la nature Dans ce sens il importe que les distances de d bardage soient minimis es et que le r seau des chemins carrossables soit adapt aux exigences des grumiers d aujourd hui De m me le succ s du dossier Bois Energie d pend entre autres d une vidange rationnelle du bois Vu le terrain accident de l Oesling la planification et la construction de nouveaux chemins forestiers voire la r fection et l empierrement de chemins existants pr sentent un
338. li res est tr s satisfaisant 3 2 4 2 Vente de bois Au total le cantonnement de Wiltz a organis trois ventes r gionales sept ventes locales bois de chauffage ainsi que quelque 111 ventes de gr gr de bois d industrie r sineux et feuillus Quant aux ventes r gionales le cantonnement recourt principalement au mode de la pr vente L exp rience montre que ce modus est en g n ral financi rement plus int ressant pour le propri taire que la vente de bois abattu Ceci vaut aussi bien pour les r sineux que pour le bois feuillu Ainsi sur 12 200 m de r sineux propos s aux ventes r gionales 9 050 m ont t vendus en pr vente Quant au bois d uvre feuillu h tre le cantonnement a galement proc d une pr vente au d but de la saison des ventes Or similaire l ann e pr c dente les prix se situaient un prix trop bas pour la qualit offerte savoir 80 des prix de base soit 53 5 n classe 5 Partant les lots de bois de qualit repr sentant 20 de la totalit des coupes feuillus ont t retir s de la vente est noter que le volume abattu di bois de ch ne tait insignifiant par rapport au reste des coupes Tel que signal en 2003 la valeur du gros bois r sineux gt classe 3b a fortement r gress par rapport 1999 30 pour se stabiliser des prix l g rement inf rieurs 50 n Par contre il y a une forte demande pour les bois longs de qualit de
339. lit s en tant que mat riau de construction une plaquette de pr sentation accompagnera ces r unions e la r alisation d un annuaire de l offre bois b timents Grande R gion sous forme papier et CDrom destination des candidats b tisseurs publics et priv s e en la r alisation par la FNS d un guide technique pr sentant les produits en bois transform s dans la r gion concern e et leurs utilisations adapt es et correctement prescrites dans le domaine de la construction ainsi que la pr sentation des normes en vigueur suivi de l volution et mise jour r guli re des prescriptions europ ennes f d rales et r gionales guide destination des architectes et ma tres d ouvrage 169 e la cr ation d une base de donn es bois au niveau de la Grande R gion reprenant l ensemble des organisations qui d veloppent des actions bois des centres de recherches li s ce domaine afin d tre inform de ce qui se fait en la mati re sur chacune des r gions concern es et de cr er un r seau et une synergie entre eux e parall lement toutes ses tapes une strat gie de communication via les m dias le site Internet La Route du Bois et la participation des foires et salons permet de faire conna tre ces outils de promotion L action 3 3 intitul e La Route du Bois partie int grante de l op ration Penser For t Agir Bois d crite ci dessus elle pour but de ren
340. litiques plus larges de la Communaut mati re de gestion des terres et par cons quent le cofinancement communautaire des projets Natura 2000 devrait tre assur en priorit au moyen d instruments financiers existants de la Communaut c Conclusions Le Conseil a adopt les conclusions sous le titre propret intelligence comp titivit les possibilit s offertes par les innovations co efficaces dans le cadre du processus de Lisbonne 1 6 2 4 Conseil Environnement du 20 d cembre 2004 a Accord politique Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil concernant l application aux institutions et organes de la Communaut europ enne des dispositions de la Convention d Aarhus sur l acc s l information la participation du public au processus d cisionnel et l acc s la justice mati re d environnement Le projet de r glement vise appliquer aux institutions et organes de la Communaut europ enne les exigences d coulant de la Convention d Aarhus notamment e garantissant au public le droit d acc s aux informations environnementales d tenues par les institutions ou organes communautaires e veillant ce que les informations environnementales soient progressivement rendues disponibles au moyen de bases de donn es lectroniques facilement accessibles au public e pr voyant la participation du public en ce qui concerne les plans et programmes relatifs
341. llons sont pris sur les animaux abattus et un relev en est tabli Celui ci retient les donn es relatives aux sangliers et aux chasseurs aux fins d octroyer le subside pr vu pour l abattage de ces animaux La gestion de ce centre exige beaucoup d organisation et se fait en collaboration avec le Service de la chasse et le Service v t rinaire du Minist re de l Agriculture Ces activit s se trouvent sous la surveillance des services des Institutions Europ ennes Bruxelles 196 3 3 Le Service de l Am nagement des bois et de l Economie foresti re 3 3 1 L am nagement forestier Le Service de l Am nagement des Bois ne poss de actuellement plus aucun ing nieur am nagiste et a par cons quent d abandonner ses activit s dans le domaine des am nagement forestiers a Projet de proc s verbal d am nagement de la for t communale de Wormeldange 474 ha tabli pour la p riode 2001 2010 L am nagement de la propri t communale de Wormeldange a t envoy e pour approbation la commune de Wormeldange en mars 2003 mais n a jusqu ce jour pas encore t approuv b Plan Simple de Gestion de la for t communale de Sanem 71 ha L am nagement de la propri t communale de Sanem tabli par un bureau d tudes sous la forme d un plan simple de gestion a t approuv par le Conseil Communal de la commune de Sanem le 25 juin 2004 3 3 2 Les inventaires forestiers d am nagement Les inventaires suivants ont t
342. ls p dologiques ont t r alis s Des chantillons de terre y ont t pr le v s 20 et vers 60 cm de profondeur et ont fait l objet d une analyse chimique Les l ments suivants ont t mesur s pour chaque chantillon pH pH KCL teneur en K P Mg Ca Na Mn ainsi qu une analyse granulom trique pour les chantillons pr le v s en surface Les r sultats de ces analyses de profil ont permis d appr cier le niveau de structuration du sol et de mieux appr hender les observations des relev s p dologiques r alis s la tari re R sultats de l aptitude stationnelle L aptitude stationnelle a permis d identifier apr s fusion de certains types d aptitude similaires 4 types stationnels dont deux sur plateaux et versants de pente inf rieure 20 savoir e sols couverture limoneuse ou couches bien structur es structure poly drique tr s fine moyenne peu paisse lt 40 capacit de stockage en eau moyenne lt 60cm et ne b n ficiant d aucun apport lat ral e 5015 couverture limoneuse ou couches bien structur es paisse 240 bonne capacit de stockage en eau gt 80 cm et ne b n ficiant d aucun apport lat ral ainsi que deux types dans les vallons les d pressions et les bas de versant savoir sols limoneux argileux en surface de profondeur utile variable capacit de stockage en eau variable et b n ficiant d un apport lat ral variable 501
343. lule informatique gr ce une application sp cifique L application SALAIRES pr sente un ensemble de fonctionnalit s n cessaires l tablissement des tats de salaire des ouvriers forestiers Ces fonctionnalit s concernent e gestion des donn es de base ouvriers formation fiche m dicale nature des travaux etc e la saisie des fiches de travail localisation dur e et nature des travaux e l int gration des donn es de e dition des formulaires tats de salaire d comptes etc 263 L application SALAIRES permet de tenir compte des situations de gestion complexe auxquelles sont confront es les cantonnements et les triages forestiers en raison de la gestion multi propri taire et multi contrat collectif de la force de travail disponible En 2004 la maintenance de l application SALAIRES a mobilis 30 des ressources de maintenance volution de la version 5 05 5 14 En effet l application a t revue compl tement la suite du nouveau statut des ouvriers forestiers int gration au personnel de l Etat le 1 janvier 2004 Les travaux r alis s concernent la nouvelle fiche de travail la gestion des ouvriers inter triages et inter cantonnements la gestion des suppl ments et de la mise disposition de mat riel la suppression du tarif de b cheronnage la gestion de la masse salariale provenant de la gestion des formations et des fiches m dicales l t
344. lustr par des photos a t dit en 34 500 exemplaires et a t distribu gratuitement tous les membres de la LLCTF 3 3 10 3 La brochure La for t du Grand Duch de Luxembourg en bref Le nouveau d pliant intitul La for t du Grand Duch de Luxembourg en bref pr sente sous forme structur e et tr s condens e les principaux chiffres sur la for t luxembourgeoise il s appuie sur notre projet Inventaire Forestier National Permanent 1998 2000 qui a t r alis en collaboration avec la Facult Universitaire des Sciences Agronomiques de Gembloux ainsi que sur la cartographie de la v g tation foresti re naturelle et semi naturelle du Grand Duch de Luxembourg 1993 2002 En fait une premi re publication des r sultats de l IFL t dit e en d cembre 2003 sous forme d un livre de 210 pages intitul La for t luxembourgeoise en chiffres qui est en vente dans les librairies au prix de 38 85 EUR Cette publication a trouv un cho tr s positif dans la presse sp cialis e internationale Les objectifs la m thodologie et les r sultats de l IFL sont galement publi s sous forme de texte et sous forme d images sur la page Internet de l Administration des Eaux et For ts sous la rubrique For ts Dossiers th matiques 218 Le nouveau d pliant publi 2004 ne contient que les principales donn es sur la for t luxembourgeoise sans commentaires sous forme de tableaux de
345. m nagement des terrains de chasse construction et entretien de miradors les diff rents modes de chasse approche battue affouragement et agrainage visc ration d au moins 3 pi ces de grand gibier traitement du petit gibier apr s tir Pour tre admis l examen les candidats doivent justifier au moins 20 pr sences sur le terrain au moyen d un carnet de stage qui leur est d livr par l administration des Eaux et For ts avant le commencement de la p riode de stage 3 5 9 2 Cours pr paratoires th oriques Les cours pr paratoires th oriques l examen de chasse session 2003 2004 ont eu lieu pendant la p riode du 2 octobre 2003 au 25 mai 2004 Ont eu lieu 30 s ances de 2 heures 1 s ance par semaine chaque fois de 18 30 20 30 heures l Ath n e de Luxembourg Les mati res trait es pendant les cours sont Introduction 1 s ance L gislation sur la chasse 3 s ances Armes et munitions 4 s ances Connaissance du gibier petit gibier 4 s ances Connaissance du gibier grand gibier 4 s ances Am nagement des territoires de chasse 2 s ances Exploitation des chasses modes de chasse 2 s ances Ecologie protection de la nature 2 s ances Maladies du gibier 2 s ances Agriculture 1 s ance Sylviculture 1 s ance Ethique de la chasse 1 s ance Traditions locales de la chasse 1 s ance Chiens de chasse 1 s ance th orique et 1 s ance sous forme de d monstration pratique du travail des
346. mation en mati re d environnement et abrogeant la directive 30 313 CEE du Conseil et la directive 2003 35 CE du Parlement Europ en et du Conseil du 26 mai 2003 pr voyant la participation du public lors de l laboration de certains programmes relatifs l environnement et modifiant en ce qui concerne la participation du public et l acc s la justice les directives 85 337 et 96 61 CE du Conseil La division des tablissements class s de l Administration de l environnement a troitement collabor avec le service juridique pour laborer certains avant projets de r glements grand ducaux relatifs des tablissements relevant de la classe 4 de la nomenchture des tablissements class s 2 1 2 2 Elaboration d avis et de conseils juridiques pour l administration et le minist re Le service juridique a r guli rement t consult pour examiner des questions juridiques qui se sont pos es dans le cadre de la proc dure dite commodo incommodo De nombreux probl mes juridiques se sont galement pos s dans l application d autres l gislations environnementales et connexes la r glementation relative aux subventions pour l utilisation rationnelle d nergies renouvelables la qualification de certaines substances comme des d chets au regard de la l gislation relative aux d chets l application de la l gislation sur l acc s l information environnementale l application de la l gislation sur la proc du
347. mballages et pr voit la possibilit pour le Ministre de l Environnement de conclure des accords volontaires avec les responsables d emballages et ou le ou les organisme s agr s Un tel accord volontaire a t sign en date du 22 janvier 2004 entre le Ministre de l Environnement repr sent par le Secr taire d Etat l Environnement et l organisme agr Valorlux a s b l L accord volontaire a pour objet de pr ciser les modalit s de gestion et de promotion de sacs de caisses r utilisables et uniformes d nomm co sacs dans le secteur de la distribution alimentaire au Grand Duch de Luxembourg En outre il d termine des objectifs concernant le taux de part de march des co sacs par rapport aux sacs usage unique et met le cadre pour valuer le succ s du projet Par cet accord Valorlux s est engag e proposer parmi ses membres du secteur de la distribution alimentaire un contrat type de collaboration au projet et veiller la production et la distribution des co sacs en nombre n cessaire et en temps voulu En outre les partenaires ont convenu lancer plusieurs actions de promotion des co sacs Apr s une premi re phase de lancement les co sacs sont mis en vente chez les distributeurs Les distributeurs s engagent mettre les co sacs en vente un prix unique L impact du projet est valu par l administration de l Environnement Le suivi du projet est assur par un gr
348. mbourgeoise vont faire l objet d une valuation cologique et paysag re suivant une m thode commune L objectif est la d finition de zones centrales de protection de la nature de zones de d veloppement de la nature et de zones de liaisons Le chef d arrondissement a particip la conf rence paneurop enne annuelle de la convention de RAMSAR et a pu y pr senter bri vement la nouvelle zone introduite en collaboration avec la R gion wallone et concernant le bassin versant de la Haute S re 239 3 4 13 2 9 Activit s diverses e Taille m canique de haies sur le territoire de plusieurs communes e Entretien du monument de l Europe Trois Fronti res pr s de Lieler e R alisation d un cadastre informatis des arbres situ s l int rieur des localit s du Parc Naturel de la Haute S re en coop ration avec le service du parc communes de Heiderscheid 2 partie e Cartographie de la v g tation naturelle potentielle dans la commune de Wahl e Projets de protection des esp ces rares et mena es Chouette chev che mise en place de 15 nouveaux nichoirs nettoyage et contr le de 120 nichoirs baguage d oiseaux Cincle plongeur mise en place de 10 nichoirs baguage de 59 jeunes 3 4 13 3 L Arrondissement CN Centre 3 4 13 3 1 Traitement des dossiers d autorisation pr vus par la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des ressources naturelles En 2004 l Arrondisse
349. ment cologique interurbain laboration d un plan de gestion des pelouses s ches du bassin minier laboration d un plan de gestion du Giele Botter entre Niedercorn et P tange 3 4 13 1 5 Traitement des dossiers d autorisation En 2004 714 demandes d autorisation ont t trait es par notre service territorialement comp tent 234 Demandes de subvention pour travaux de cr ation et de restauration de biotopes 127 demandes de subsides dont 81 demandes du SICONA 7 demandes de communes et 39 demandes de particuliers ont t trait es en 2004 par notre service Relev des quantit s r alis es et subsidi es par type d aide et par type de propri taire public priv e Cr ation ou restauration de lisi res 463 00 463 00 se ll 16 381 49 Cr ation protection restauration ou 562 671 22 27 141 19 606 193 90 entretien d habitats naturels ou semi naturels Installation de cl tures de protection m 563 00 563 00 Installation de protections individuelles 165 00 165 00 pi ces Weiden LL d eau plants Plantation d arbres fruitiers haute tige 307 00 307 00 Plantation d arbres solitaires plants 38 00 38 00 Plantation de haies d alignement 100 00 100 00 Plantation de haies de bosquets de brise vents et de galeries alluviales ares Plantation de rang e s suppl mentaire s 481 00 481 00 Montants pay s par tran
350. ment Centre a t saisi par 621 nouvelles demandes d autorisation Le nombre r el de ces dossiers est plus lev vu que les nombreux avant projets et les recours ou ajoutes ne sont pas inclus dans cette statistique 3 4 13 3 2 Les aides pour l am lioration de l environnement naturel Sur base du r glement grand ducal du 22 octobre 1990 91 demandes de subventions pour travaux de cr ation et de restauration de biotopes ont t transmises l arrondissement CN Centre pour l exercice 2004 La r partition des demandes de subvention se pr sente comme suit Plantation de 18 arbres solitaires et de 1 095 arbres fruitiers haute tige installation de 842 protections individuelles installation de 881 m de cl ture 40 demandes pour la cr ation et travaux d entretien d habitats naturels ou semi naturels dans les communes de Beckerich Bettendorf Bissen Boevange Bourscheid Feulen Hobscheid Junglinster Koerich Mersch Nommern Redange Saeul Steinfort Tuntange Useldange et Vichten restauration de 8 arbres remarquables plantation de 1 207 m de haies d alignement et 8 cr ations restaurations de lisi res foresti res 13 demandes de subventions ont t trait es dans le cadre des plans verts des communes de Bastendorf plantation et entretien d arbres 2004 Bourscheid mesures cologiques subs quentes la cartographie des biotopes pour 2004 Diekirch mesures d ex cution de la cartographie des biotopes po
351. mis un avis favorable pour le pr sent projet en date du 24 septembre 2004 L installation d une construction d accueil avec un panneau d information dans la future zone prot g e est en pr paration Cet am nagement aura d abord pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolisera l entr e principale de la r serve Les visiteurs pourront ainsi se procurer des premi res informations g n rales sur le projet telles que p ex la taille de la zone prot g e les objectifs poursuivis ou encore un extrait du r glement grand ducal En ce qui concerne la r alisation et l am nagement de la construction d accueil celle ci est constitu e principalement de deux murets en ma onnerie semi s che lesquels serviront de base pour installer le panneau d information g n rale A l int rieur de la r serve naturelle il sera renonc l utilisation de panneaux d information Le sentier didactique pr vu dans une tape ult rieure dans l enceinte de cette RFI fonctionnera avec un r f rentiel sous forme de brochure distribu e par exemple dans la commune de Niederanven ou dans le centre d accueil projet du Waldhaff 3 3 5 6 Le projet de r serve foresti re int grale Grouf Remerschen Description g n rale du projet La sp cificit du site Grouf r side dans sa structure qui est assez diversifi e Une partie importante de la future r serve comporte des peuplements plusieurs tages st
352. mme tait vari coles b timents industriels centre de conf rence centre sportif et culturel lotissement auberge de jeunesse imprimerie etc ont t visit s En octobre 2005 l administration des Eaux et For ts organisera un colloque au Grand Duch sur les habitations en bois basse nergie 3 1 9 Manifestations nationales et internationales 3 1 9 1 Journ e de l arbre La journ e de l arbre a t comm mor e le 13 novembre 2004 dans une s rie de communes avec le support actif des ing nieurs et pr pos s des Eaux et For ts La plantation symbolique d un verger a t organis e la Fondation H llef Dr d Natur et l Administration communale de Mompach Born 3 1 9 2 Expositions 2004 Le tableau c dessous repr sente les expositions organis s en 2004 par les Eaux et For ts Demandeur Redange Attert Manternach d cembre murs s che et animaux empaill s L ntgen for t murs s che et animaux empaill s novembre Natur d couverte nature et constructions en bois Branebuerger Moart commune 18 juillet zones humides aquariums biotope for t de Bastendorf murs s ches expo bois esp ces expo bois transformation animaux empaill s et meubles design SERVIOR 12 au 28 novembre chalet mur s che montagnes rivi re et 2004 et du 30 animaux empaill s novembre au 10 janvier 2005 d cembre Differdange 3 1 9 3 Participation au B schfest Clervaux Soucieux de prom
353. mplois des huiles us es 1602090 1390757 1552279 Belgique R13 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une 2314237 2016929 1908740 des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production Belgique R99 Pr traitement avant 0 184580 323160 Allemagne 001 D p t sur ou dans le sol ex mise en d charge etc 7114240 62294719 15073157 Allemagne 003 Injection en profondeur p ex injection des d chets pompables 400140 424700 534916 dans des puits des tangs ou des bassins etc Allemagne 005 Mise en d charge sp cialement am nag e ex placement 210390 212499 232387 dans des alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres de l environnement etc Allemagne D08 Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste 41661717 31866640 18554380 aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 Allemagne 009 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette 1717523 3593059 4914103 liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc Allemagne 010 Incin ration terre 3352416 2159385 4650896 Allemagne 012 Stockage permanent p ex placement de conteneurs dans une 10200 9160 0 mine etc Allemagne
354. mps de nouveaux projets ont pu tre gagn s pour la mise en uvre du concept de la SuperDrecksK scht sur les chantiers de construction En particulier la suite de discussions avec des responsables de l Administration des b timents publics il a t retenu que les futurs chantiers de cette administration int greraient le concept SuperDrecksK scht 121 2 5 10 3 La SuperFreonsK scht Le tableau suivant r sume les quantit s de r frig rateurs collect s depuis 1991 verre l ammoniaque pentane sa o J 8283 2262 R frig rateurs R frig rateurs R frig rateurs R frig rateurs isol s la mousse isol s la laine de fonctionnant fonctionnant au TOTAL gt SuperFreonsK scht Evolution du nombre de r frig rateurs collect s en fonction du type 8000 6000 4000 2000 R frig rateurs fonctionnant au pentane 0 R frig rateurs fonctionnant l ammoniaque R frig rateurs isol s la laine de verre R frig rateurs isol s la mousse PUR 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Par rapport 2003 le nombre de r frig rateurs collect s a l g rement diminu de 1 27 Cette baisse s explique essentiellement par une r duction du nombre des r frig rateurs fonctionnant au pentane Ce type d appareil avait connu en 2003 une progression importante Tous les autres types de r frig rateurs ont connu une augmentation
355. munautaire d terminent conjointement les proc dures d importation et d exportation appliquer permis certificats notifications d importation ou d exportation autres dispositions Pour faciliter la mise en uvre de la Convention une banque de donn es officielles se trouve sur Internet notamment les statuts de protection mondiaux europ ens des 30 000 esp ces concern es la liste des 167 Parties la Convention et des r serves mises les textes de centaines de d cisions et r solutions de la Conf rence des Parties depuis 1976 amp les notifications officielles en provenance du Secr tariat Les adresses URL de ces banques de donn es sont e Secr tariat CITES Gen ve www cites org e R glementation europ enne et banque de donn es www traffic org e WCMC Species database http www www unep wcmc org Le r glement du Conseil CE 338 97 du 9 d cembre 1996 relatif la protection des esp ces de la faune et de la flore sauvages par le contr le de leur commerce est toujours en vigueur depuis le ler juin 1997 Un bref aper u des r glements connexes est donn dans le tableau ci dessous Tableau 04 05 2004 Ensemble de la r glementation communautaire relative la protection des esp ces de la faune et de la flore sauvages par le contr le de leur commerce abrog CONTENU Textes CIE TETE IG GEI ZER Mod le des linter suspensive docu pr tation d
356. n es relatives aux DEEE collect s s par ment au cours des derni res ann es Consid rant le fait qu une grande partie des donn es proviennent des dossiers de notification pour le transfert de d chets une s paration entre d chets d origine m nag re et assimil e et d origine non m nag re n est pas possible Les donn es relatives aux parcs de recyclage pour l ann e 2003 voir chapitre aff rent dans le pr sent rapport indiquent une quantit de 2 289 357 kg de DEEE tels qu ils sont couverts par la directive 2002 96 Ceci repr sente une quantit sp cifique de 4 88 kg hab En admettant que seuls des m nages remettent leurs d chets des centres de recyclage et que les centres de recyclage ne sont pas les seuls syst mes de collecte o des particuliers peuvent remettre leurs DEEE on peut conclure que le Luxembourg respecte d s pr sent le taux moyen annuel de collecte de la directive Ce taux est de 4 kg hab et doit tre atteint au plus tard le 31 d cembre 2006 111 2 5 9 Les quipements contenant les PCB et les En ex cution de la directive 96 59 CE du Conseil du 16 septembre 1996 concernant l limination des PCB et des PCT ainsi que du r glement grand ducal aff rent un inventaire relatif aux quipements contant des PCB PCT des concentrations sup rieures 50 mg kg a t tabli au cours des derni res ann es Au cours de l ann e 2004 des recherches plus d taill es ont
357. n s aux techniciens gestionnaires des for ts et aux propri taires publics et priv s Parall lement un r seau de placettes exp rimentales et de r f rences testant ainsi les options culturales et les sylvicultures appropri es est mis en place Des visites de terrain sont organis es ainsi qu une vulgarisation des r sultats et une formation du personnel forestier concern sur chacune des r gions concern es L action 3 1 men e Gipeblor Woodnet et E Groupement des sylviculteurs elle consiste en l organisation d une information continue des m dias r gionaux sur la d marche de certification foresti re et la r alisation de visites d entreprises de rencontres de t moignages afin de relater l avancement de la d marche et l engagement des diff rents partenaires associ s L action 3 2 intitul e Penser For t Agir Bois elle est men e sur l ensemble des r gions de fa on concert e par l Administration des Eaux et For ts du Grand duch de Luxembourg Forstamt Ahrweiler et Valbois RN sous la coordination de ce dernier Elle consiste e l organisation de r unions d information et de sensibilisation aupr s des pouvoirs publics des leaders d opinion des d cideurs des architectes des professionnels de la construction du grand public sur la for t la fili re bois et ses enjeux conomiques au sein de la Grande R gion du bois dans la construction et l am nagement et de ses potentia
358. n tiques a diminu Le tableau crapr s reprend le nombre de dossiers trait s au cours des trois derni res ann es Nombre de dossiers trait s en Nombre de dossiers trait s en Nombre de dossiers trait s 2002 2003 en 2004 BE E E Sont consid r s comme dossiers trait s aussi bien ceux concernant les autorisations d exploitation d livr es que ceux concernant les refus ainsi que les dossiers annul s cause du d passement des d lais pour introduire des informations suppl mentaires demand es aux requ rants Par rapport l ann e 2002 on peut constater que le nombre de dossiers trait s en 2003 et 2004 a augment sensiblement Le chiffre relativement lev de 2003 vient du fait qu une personne a pu tre engag e en 2003 pour une p riode de plusieurs mois afin de traiter environ 100 dossiers d metteurs d ondes magn tiques Dans le domaine des demandes d autorisation d immeubles la mise disposition de formulaires et d expos s y relatifs porte ses fruits La qualit des dossiers de demande s est constamment am lior e au cours des derni res ann es Cependant beaucoup de dossiers ne peuvent pas encore tre consid r s comme complets l gard des crit res fix s l article 7 de la loi et des informations suppl mentaires doivent tre demand es On peut chiffrer le nombre de dossiers incomplets environ 80 en 2004 ce qui correspond 37 des dossiers introduits abstraction fait
359. n de 100 En 2004 16 des sangliers tir s ont ainsi t destin s cette deuxi me fili re 3 5 1 4 Les centres de collecte pour sangliers tir s En vue de la collecte des sangliers tir s et la prise d chantillons pour l analyse au laboratoire v t rinaire de l tat un r seau de 15 centres de collecte a t cr entre 1999 et 2002 par les deux administrations ayant des attributions en mati re de lutte contre les pizooties Depuis 2002 ces centres ont tous t quip s de deux cellules frigorifiques Onze des centres sont g r s par l administration des Eaux et For ts plus sp cialement par les pr pos s forestiers r gionalement comp tents et quatre par des personnes priv es sous contrat avec l administration des services v t rinaires de l tat Les centres sont ouverts aux chasseurs sur rendez vous sept jours sur sept durant toute l ann e Pendant l ann e 2004 3 700 sangliers ont t trait s par les centres de collecte La collecte des chantillons d analyse prises de sang et organes aupr s des centres de collecte et leur transport vers le laboratoire de m decine v t rinaire est assur e par l administration des Eaux et For ts Ainsi pendant l ann e 2004 environ 50 000 km ont t parcourus en vue de l acheminement des chantillons d analyse vers le laboratoire v t rinaire 244 3 5 1 5 Perspectives Le dernier cas de peste porcine sur sanglier a t constat en date du 13 ao
360. n de compostage pour boues d puration au Friedhaff SoilConcept introduit un dossier de demande pour pouvoir accepter des d chets suppl mentaires dans son installation Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 16 juillet 2004 Le dossier est actuellement en suspens Dossier C I 1 04 0119 Dossier D chets N 97 UC 01 04 2 5 15 1 4 Installations de co fermentation Installations g r es en coop rative e Un dossier de demande a t introduit en date du 16 ao t 2004 pour pouvoir am nager et exploiter une installation de co fermentation pr s d Arsdorf dans la commune de Rambrouch Dossier N 1 04 0328 Dossier D chets N 04 CF 04 e Un autre dossier de demande a t introduit en date du 31 ao t 2004 pour effectuer certaines modifications sur l installation de co fermentation de R dange Attert Dossier N 1 04 0355 Dossier D chets N 01 CF 01 05 e date du 26 novembre 2004 la soci t Biogas Ourdall a introduit un dossier de demande en vue de solliciter une modification de son installation projet e pr s de Consthum et couverte par l arr t minist riel N 03 CF 02 Dossier C I N 1 04 0476 Dossier D chets N 04 CF 06 Installations agricoles e Durant l ann e 2004 4 dossiers de demande ont t introduits en vertu de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s pour pouvoir am nager et exploiter des installations de co fermentation agric oles
361. n dont la paroi avait rouill avec le temps e odeur d sagr able 13 plaintes ont t introduites pour des raisons d incin ration c bles lectriques bois impr gn s styropor et plastiges Dans onze des cas mentionn s ci dessus la Division des d chets a pr lev des chantillons aupr s des personnes ou entreprises priv es suite des plaintes Elle s est galement investie pour r soudre les probl mes et pour aboutir le cas ch ant la remise en tat du site 2 5 17 3 Les travaux de surveillance par campagne r guli re d chantillonnage Les campagnes r guli res de contr le de certains tablissements par chantillonnage ont t poursuivies en 2004 par la Division des d chets Il s agit notamment des campagnes suivantes e Les eaux de surface et les eaux souterraines puits de forage dans les alentours des d charges pour ordures m nag res SIDEC et SIGRE et des anciennes d charges SIDA et Ronnebierg ont t chantillonn es quatre fois e Il en est de m me pour le site de la d charge pour mat riaux inertes Folkendange et l ancienne d charge de Wiltz Z I Salzbaach e Les boues d puration des stations d puration recevant une charge de pollution sup rieure 50000 quivalents habitants ont t chantillonn es tous les deux mois janvier mars mai juillet septembre et novembre Beggen Bettembourg Bleesbreck Bonnevoie Esch Schifflange Mamer Martelange Mersch P tange et
362. n et des couloirs d coulement de l air frais Le p rim tre d tude englobe toute la partie sud du territoire ainsi qu une large part des zones urbanis es s tendant au nord jusqu Diekirch Les temp ratures relev es en situation nuit et jour permettront par croisement avec un mod le num rique de terrain et des donn es relatives l occupation biophysique du sol de d limiter avec pr cision les aires susmentionn es En outre par superposition aux donn es relatives la qualit de Pair il sera possible de fournir des informations quant la qualit des masses d air ainsi identifi es Enfin la cartographie des fonctions climatiques permettra quant elle d identifier les points de conflit constituant des barri res l coulement d air frais Ces informations devront tre prises en compte par exemple lors de l extension des zones urbanis es ou lors de la mise en place de nouvelles infrastructures de transport Elles constituent galement une aide pr cieuse d argumentation dans le cadre de la constitution de zones vertes interurbaines et des travaux relatifs la mise en place d un plan directeur sectoriel relatif aux grands ensembles paysagers et massifs forestiers d un int r t particulier 15 Les donn es de fonctions climatiques sont int gr es au syst me d informations g ographiques du Minist re de l Environnement Le Minist re de l Environnement choisi de soumet
363. n extrait du tissu des bourgeons contenant l enyme actif sur un gel muni d un champ lectrique L extrait r v l par un colorant sp cifique forme une ou plusieurs bandes dont l interpr tation se fait par les sp cialistes du Centre de Recherches Les tudes comparatives avec d autres sp cimens de diverses provenances ont r v l que les sorbiers de notre pays constituent un collectif g n tiquement sp cifique sur 48 individus pas moins de 44 sont g n tiquement diff rents Les analyses g n tiques vont se poursuivre pour l interpr tation de la diversit g n tique dans la prog niture des arbres s lectionn s de m me la comparaison g n tique avec d autres provenances de la Rh nanie Palatinat de la Suisse et de la France sera possible 3 1 12 Mat riels forestiers de reproduction Le projet de loi concernant la production et la commercialisation des mat riels forestiers de reproduction visant transposer en droit national la directive 1999 105 CE du Conseil du 22 d cembre 1999 trouv des objections du Conseil d Etat de sorte que des amendements gouvernementaux se sont av r s n cessaires Le Conseil d Etat a surtout insist que certaines prescriptions contenues dans la loi soient introduites pour voie de r glement grand ducal Des contacts ont t tablis avec les responsables de nos pays voisins France Allemagne Belgique o la l gislation est d j en application Les modalit s du
364. n ont augment de 24 32 et les d chets soumis une op ration d limination ont l g rement augment de 3 48 L augmentation des d chets transf r s soumis une op ration de valorisation s explique par l augmentation des quantit s de poussi res de filtration contenant des m taux non ferreux transf r s vers l installation Primorec de 235 22 d chets transf r s au GDL moyennant notification en tonnes 80000 70000 60000 50000 D qtte D t 40000 30000 20000 10000 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 137 2 5 14 Les statistiques par les rapports annuels standardis s Apr s laboration et mise jour au cours des cinq derni res ann es de rapports annuels standardis s P Administration de l environnement vient de standardiser les rapports suivants a V hicules hors usage Dans le cadre du r glement grand ducal du 17 mars 2000 relatif aux v hicules hors d usage transposant en droit national la directive 2000 53 CE des taux de r utilisation et de valorisation doivent tre atteints Plusieurs formats de rapports annuels standardis s ont t r dig s et mis disposition des diff rents acteurs intervenants e Etablissement de traitement e Importateur e N gociant e Point de reprise b Installations de cofermentation Vu la croissance du nombre des installations de cofermentation les trois derni res ann es la r daction d un rapport
365. naires r gionaux de la d marche de certification d une part et de l ensemble des partenaires concern s par le projet La concertation porte sur des changes d exp rience et de savoir faire entre les partenaires que sont Gipeblor ONF CRPF Woodnet SRFB Groupement des sylviculteurs sur les mati res suivantes e contenu de la d marche de l ensemble de la certification foresti re e d finition des modalit s pratiques de mise en uvre et application sur les r gions concern es ainsi que les proc dures de suivi et de contr le e actualisation de la d marche au cours du temps 168 Parall lement chaque partenaire met en place les proc dures de suivi et de contr le au sein de sa r gion Les r sultats attendus sont de favoriser les collaborations et les synergies interr gionales afin d homog n iser les pratiques de suivi et de contr les entre les r gions afin d viter des distorsions de concurrence et favoriser ainsi les changes commerciaux de bois certifi s L action 1 2 elle vise mobiliser les propri taires forestiers publics et priv s et gestionnaires pour provoquer leur adh sion la d marche d ensemble dans le but d augmenter la proportion de for ts g r es durablement Pour ce faire les partenaires Gipeblor ONF CRPF SRFB et Groupement des sylviculteurs envisagent sur chacun de leur territoire mais de fa on concert e des r unions d information et des actions d appui de
366. nale du Howald pendant les apr s midi furent organis es Le triage de Hesperange sur demande de l Administration communale de Hesperange particip au montage d une exposition ayant pour sujet le S dtirol L exposition eu lieu dans le Howald au mois de novembre 2004 L exposition tait transform e en paysage enneig pour No l 3 2 7 10 Manifestations r gionales Dans le cadre de la Journ e de l arbre une bordure de for t a amp plant e dans le triage de Hesperange au CIPA Howald Les projets ont t r alis s avec l aide des enfants de l cole primaire 3 2 7 11 Divers Dans le cadre de la lutte contre la peste porcine le cantonnement de Luxembourg Est et plus pr cis ment Es triages de Sandweiler et de Kiem g rent deux centres de collecte de sangliers tu s 588 sangliers ont t collect s en 2004 Les pr pos s des triages de Hesperange et de Bettembourg ont particip 10 campagnes de distribution d app t de vaccin contre la peste porcine En mati re de chasse trois battues de contr le et une pouss e ont t organis es par les triages de Kiem et de Waldhof dans la r serve cyn g tique du Gr newald Dans le triage de Waldhof il y a eu 21 ramassages de gibier tu par des voitures dont 4 sangliers 11 chevreuils 65 renards 1 fouine En tant que garde g n rale de l Administration des Biens de Son Altesse Royale la gestion de la propri t bois e e
367. nalyses et mises disposition de donn es En 2004 la Cellule Informatique a contribu la poursuite des travaux en mati re de statistiques foresti res L objectif premier reste l automatisation d une majorit des statistiques foresti res en utilisant les donn es de la gestion foresti re saisies par les pr pos s forestiers dans le cadre de leurs t ches journali res et stock es dans la base de donn es centrale de l administration Les missions en mati re de statistiques foresti res sont e collecte et l analyse des donn es relatives la comptabilit financi re et mat rielle en mati re de gestion foresti re e les enqu tes statistiques et conomiques sur la gestion foresti re et la fili re bois e tablissement des comptes conomiques forestiers e suivi des travaux d organisations internationales concernant les statistiques foresti res de gestion La poursuite du contrat CAT par un contrat de mise au travail a permis de garder la personne comp tente en poste et de continuer les travaux de mise jour et d am lioration du traitement statistique dans de bonnes conditions Ces travaux se sont partag s entre la collecte des formulaires statistiques aupr s des pr pos s forestiers et la compilation de donn es statistiques demand es par les organismes nationaux et internationaux Quant la phase d automatisation de la collecte statistique elle n a pu r ellement tre lanc e cette ann e
368. nanciers g des mesures visant r duire davantage et terme le cas ch ant liminer progressivement d ici 2010 les m taux lourds et autres substances dangereuses dans les emballages Ce rapport est accompagn le cas ch ant de propositions de modification des dispositions pertinentes de la pr sente directive sauf si de telles propositions ont t pr sent es entre temps La nouvelle directive doit tre transpos e en droit national au plus tard pour le 18 ao t 2005 2 5 1 2 Les activit s au niveau national 2 5 1 2 1 Le projet de r glement grand ducal relatif aux d chets d quipements lectriques et lectroniques Suite l adoption des directives 2002 95 CE et 2002 96 CE l Administration de l environnement labor un projet de r glement grand ducal transposant ces directives en droit national ceci apr s concertation avec la Chambre de Commerce la Chambre des M tiers la Conf d ration luxembourgeoise du Commerce la F d ration des Artisans ainsi que certaines f d rations directement concern es par le sujet Le projet de r glement grand ducal a galement t pr sent au Conseil de Coordination en mati re de gestion des d chets m nagers et assimil s dont certaines remarques formul es par les repr sentants des syndicats intercommunaux ont t reprises Dans sa s ance du 30 avril 2004 le Conseil de Gouvernement a approuv le projet de r glement grand ducal Un avis c
369. naturelle du Gutland et 30 sous associations pour celle de 1 Oesling furent diff renci es puis rattach es un niveau de productivit valuation bio conomique calcul partir des donn es dendrom triques r colt es La cartographie phytosiciologique en continu des for ts luxembourgeoises totalisant plus de 90 000 hectares d buta r ellement au printemps 94 R alis e par 4 cartographes durant la p riode de v g tation avril septembre elle se poursuivit jusqu P t 2002 Plus de 13 000 relev s phytosociologiques furent effectu s et encod s sur le logiciel de saisie botanique SPECIES d velopp par le Mus e National d Histoire Naturelle MNHN Les cartes au nombre de 97 sur l ensemble du pays r alis es en continu l chelle du 10 000i me sur fond topographique portent les limites des sous associations et variantes hydriques ainsi que la localisation des relev s phytosociologiques en coordonn es Luxembourg L ensemble des cartes furent digitalis es sous format Arc Info les donn es sur les esp ces mises relation avec la banque de donn es BD LUXNAT du MNHN avant d tre int gr es dans le Syst me d Informations G ographiques SIG ENV du Minist re de l Environnement Gr ce au projet de Cartographie des v g tations foresti res le Grand Duch de Luxembourg fut parmi les premiers pays disposer d un outil cartographique constitu en SIG relatif aux habitats forestie
370. nce technique de la FVA pour la programmation d un syst me de relev et d exploitation des donn es adapt au besoins luxembourgeois e Assistance technique de la FVA pour le d veloppement d un cahier des charges pour le mesurage et l installation des placettes concentriques e Formation par la FVA pour la photo interpr tation des peuplements e Formation par la FVA pour les relev s de terrain ainsi que l exploitation de ces donn es e Formation par la FVA pour la r daction du document final r sultant de l exploitation de diff rentes sources de donn es et qui fournissant un aper u complet sur l tat de la recherche dans une RFI Ces travaux sont consid rer comme des travaux pr paratoires pour la mise en place du suivi permanent des r serves foresti res int grales au Grand Duch de Luxembourg Il s agit d laborer une m thodologie adapt e nos besoins et par la suite d utiliser cette m thodologie pour le monitoring de l ensemble des RFI 3 3 6 Le d veloppement d un circuit didactique pour la r serve naturelle foresti re du Strombierg Description du site La r serve foresti re du Strombierg d une superficie de 29 2 ha a t d clar e zone prot g e en vertu du r glement grand ducal du 20 avril 1993 Elle est situ e dans la vall e de la Moselle dans l extr mit sud est du pays au Sud de la localit de Schengen et en contact direct avec la fronti re fran aise Elle est acc
371. ndicateurs environnementaux Agence Europ enne pour l Environnement Eurostat OCDE etc En juin 2003 le Minist re a publi son deuxi me rapport d Environnement en Chiffres 2002 2003 A ce jour cette publication n est toujours disponible qu au format PDF sur le site Internet du Minist re http www environnement public lu functions apropos du_site mev publications MEV index html Ceci s explique par le fait que l outil informatique choisi pour la refonte des sites Internet des divers Minist res et Administrations de l Etat luxembourgeois n est pas particuli rement adapt la publication en ligne de statistiques et de graphiques susceptibles d tre mis jour de mani re r guli re D s lors plut t que de passer un temps consid rable porter sur le site la grosse centaine d indicateurs d velopp s par le Minist re il a t d cid de repenser les modalit s de ce transfert qu il s agisse des indicateurs de la publication Environnement en Chiffres 2002 2003 ou de ceux mettre jour de d veloppement durable publi s en 2002 Ce travail pr vu pour l ann e 2004 a t report au second semestre 2005 apr s la Pr sidence de PUE car la mise en ligne du Portail des Statistique coordonn par le STATEC a elle aussi pris du retard Or le Minist re souhaite b n ficier des enseignements de ce portail pour d velopper la mise en ligne et la mise jour r guli re de ses indicateurs e
372. ne 52 Dans le contexte des poussi res inhalables l introduction d une valeur limite pour les particules 5 particules lt 2 5 est l tude au sein de la Commission Du point de vue environnemental une telle valeur limite est ambitieuse mais les particules doivent tre quantifiables avec une technique de mesure r aliste mesurant avec une pr cision suffisante les niveaux 5 Le maintien de la valeur limite PM particules lt 10 est fortement souhait par les Etats Membres En mati re d missions d ammoniac en provenance de l agriculture une meilleure valuation de la relation entre la directive nitrate les missions en NO et en m thane est demand e En fait il est souhait de faire une approche int gr e du cycle azote 2 4 1 1 Obligations de transmission de donn es fournir par l Administration de l Environnement la Commission Europ enne en mati re de qualit Tam Tous les tats Membres de l Union Europ enne sont oblig s informer tous les ans la Commission Europ enne l aide d un questionnaire pr cis tabli l annexe de la d cision 2004 461 CE sur la situation de l valuation de la qualit de lair ambiant dans leurs pays respectifs La Commission Europ enne ainsi un droit de regard rapide pour contr ler le respect des valeurs limites et des valeurs limites augment es d une marge de tol rance Les seuils d valuation maximaux et minima
373. ne tampon autour de la partie r serve foresti re int grale et contient galement une pelouse s che Cette partie pourra continuer tre exploit e comme avant le classement e les zones de qui tude ont t d limit es dans le but de pr server des esp ces de la faune et de la flore qui sont particuli rement menac es et qui n cessitent des zones de repos sp ciales 206 Dans le cadre de l laboration du dossier de classement les propri taires priv s ont t contact s par courrier postal Parall lement les communes ont t inform es sur l tat d avancement du dossier de classement ainsi que du projet de r glement grand ducal Une r union d information publique a eu lieu dans la commune de Remerschen 9 d c 2004 Les diff rents propos recueillis lors de ces pr sentations ont t int gr s dans le dossier de classement qui par la suite va suivre le chemin de la proc dure de classement 3 3 5 7 Le projet de r serve foresti re int grale Manternacher Fiels Manternach Description g n rale du projet La cr ation d une r serve foresti re int grale sur ce site se justifie par la pr sence de plusieurs associations foresti res rares au Luxembourg savoir les h traies calcicoles ainsi que les for ts de ravins du Tilio Acerion sur les couches fissur es du Muschelkalk avec de nombreux boulis qui r sultent de leur mode d rosion et par les menaces pour les stations sensibles pouva
374. neaux avec des informations g n rales sur la r serve qui seront dispos s l acc s principal de la r serve l int rieur d une construction d accueil sp cialement con ue cet effet L un de ces deux panneaux informera le visiteur sur le type de r serve la d limitation les principaux objectifs ainsi que les charges impos es aux visiteurs dans la L autre fournira un aper u des r serves naturelles qui se trouvent dans les environs de la RFI Les cinq autres panneaux seront install s en for t le long du sentier didactique La particularit du sentier didactique consiste dans le fait que les panneaux seront sp cialement con us pour des enfants de l cole primaire c d les sujets trait s seront pr sent s de fa on attirer la curiosit et permettre la compr hension des plus jeunes pour cette nouvelle valeur environnementale En ce qui concerne la r alisation et l am nagement de la construction d accueil celle ci sera constitu e principalement de deux murs en ma onnerie s che en forme de qui serviront de base pour installer les panneaux d informations g n rales Cet am nagement qui sera dispos l entr e principale de la r serve aura d abord pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolisera l entr e principale de la r serve Elle permettra aux visiteurs de se procurer des premi res informations g n rales sur le projet 3 3 5 3 Le projet de r serve f
375. nementaux 152 2 5 18 Les anciennes d charges 153 2 5 19 Les sites contamin s 154 2 5 20 Le syst me de surveillance du sol Monitoring 158 3 ADMINISTRATION DES EAUX ET FORETS 162 3 1 G n ralit s 162 3 1 1 L gislation 162 3 1 2 Personnel 162 3 1 3 Processus internationaux MCPFE CFP Conseil UE etc 164 3 1 4 Participation des groupes de travail interminist riels 166 3 1 5 Plan de d veloppement rural 2000 2006 166 3 1 6 Certification des for ts 166 3 1 7 Programme forestier national 167 3 1 8 Projet Interreg Probois Proholz 168 3 1 9 Manifestations nationales et internationales 171 3 1 10 Travaux caract re scientifique 172 3 1 11 Mat riel forestier de reproduction 172 3 2 3 3 3 4 3 5 3 1 12 Mat riels forestiers de reproduction 173 3 1 13 Gestion des peuplements r sineux le long des cours d eau 174 3 1 14 Commercialisation du bois de trituration 174 3 1 15 R unions de service 175 3 1 16 Contacts interr gionaux 175 Les cantonnements forestiers 176 3 2 1 Exploitation des coupes 176 3 2 2 Vente de bois 176 3 2 3 Les subventions 176 3 24 Wiltz 177 3 2 5 Diekirch 182 3 2 6 Mersch 184 3 2 7 Luxembourg Est 186 3 2 8 Luxembourg Ouest 190 3 2 9 Grevenmacher 192 Le Service de l Am nagement des bois et de l Economie foresti re 197 3 3 1 L am nagement forestier 197 3 3 2 Les inventaires forestiers d am nagement 197 3 3 3 La cartographie d aptitude stationnelle 1
376. nes est ajout e la contribution des OMS TEQ dus la pr sence des Cette exigence provient de POMS et correspond un renforcement de la lutte dans le contr le des niveaux relatifs ces classes de substances canc rig nes que repr sentent les dioxines furannes et les PCB La figure ci dessous montre l valuation de la situation l aide de la biosurveillance par les mousses Le milieu rural Beckerich Osweiler Nospelt pr sente des niveaux bas caract risant la pollution de fond Les sites de Leudelange SIDOR Bettembourg et Wiltz sont proches de cette pollution de fond Les sites proches de zones d activit s industrielles importantes Differdange Esch Alzette et Schifflange montrent des niveaux significativement plus lev s Schifflange Cit um Benn Cit Emile Mayrisch montre le niveau moyen le plus lev Le niveau moyen atteint renseigne aussi sur la possible proximit d une source d mission ponctuelle ou encore de plusieurs sources d missions diffuses Durant l ann e 2004 figure ci contre on constate g n ralement un maintien des niveaux par rapport 2003 La surveillance par les choux feuilles polylob es et le c leri feuille montre pour la majorit des sites durant la p riode du 30 septembre 2003 au 14 d cembre 2004 des niveaux PCDD PCDF PCB inf rieurs au seuil sanitaire pr ventif donc une situation saine voir figure ci contre On constate Ou aux deux sites Schifflange
377. niques d abattage de gros feuillus 4 cours 2 jours _ Tracteurs de d bardage 2 cours 2 jours Taille des arbres fruitiers 5 cours 2 jours np Total 302 3 1 3 Processus internationaux MCPFE CFP Conseil UE etc En 2004 l administration des Eaux et For ts a particip la premi re r union organis e par la nouvelle Unit de Liaison de Pologne dans le cadre Conf rence des Ministres pour la Protection des For ts en Europe MCPFE qui a eu lieu Varsovie en octobre 2004 La Conf rence minist rielle pour la protection des for ts en Europe MCPFE est une initiative de coop ration politique de haut niveau Elle porte sur des opportunit s et des menaces communes concernant les for ts et la foresterie et encourage la gestion durable des for ts en Europe Cr e en 1990 elle est la plate forme politique pour le dialogue sur des questions foresti res europ ennes Une quarantaine de pays europ ens et l Union europ enne sont repr sent s au sein de la MCPFE Des pays non europ ens et des organisations internationales participent en outre en tant qu observateurs De ce fait la MCPFE constitue non seulement un forum de coop ration de ministres responsables des for ts mais permet aussi des organisations non gouvernementales et intergouvernementales de faire apport de leur savoir et de leurs id es Depuis ses d buts en 1990 le dialogue au sein de la MCPFE r ussi intensifier l
378. nistration Le dossier sera transf r aux communes respectives pour la proc dure pr vue par la l gislation concernant les tablissements class s En date du 22 septembre 2004 l entreprise Cloos S A a introduit un dossier de demande en vue de r aliser des travaux pr liminaires pour stabiliser le crassier de Mondercange Ces travaux sont n cessaires pour pouvoir r aliser le centre r gional pour la gestion de d chets inertes qui sera r aliser sur le site du crassier Mondercange Des L arr t est en cours de r daction 2 5 15 1 3 Installations de compostage En date du 14 mars 2004 le SIDEN a introduit une demande en vue de la prolongation de l arr t minist riel N 97 UC 01 d livr en vertu de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets et autorisant celui ci am nager et exploiter pour une p riode d essai de cinq ans une installation destin e au compostage de boues d puration avec des mat riaux structurants au lieu dit Friedhaff pr s de Diekirch L arr t devait venir terme le 17 septembre 2004 En date du 16 juillet des informations suppl mentaires ont t demand es Un arr t provisoire couvrant l exploitation de l installation pour la p riode durant laquelle les informations suppl mentaires devraient tre constitu es a t d livr en date du 17 septembre 2004 pour une p riode d un an 139 e date du 21 mars 2004 l exploitant de l installatio
379. nseil de l Union europ enne ont galement t quip s d ordinateurs portables La base de donn es CN a t migr vers un nouveau serveur Un Firewall a t install et configur 20 1 5 6 Projets interminist riels Dans le cadre du groupe de travail interminist riel SIG GTIM SIG le service informatique a particip activement aux projets suivants e Projet Enrichissement de la BDTopo En 2003 le GTIM SIG avait lanc une tude visant d terminer une m thodologie pour int grer les noms de rues dans la BDTopo Suite aux r sultats de l tude le groupe de travail a d cid de charger un prestataire de services d ex cuter les travaux tels que d finis par l tude fin de pouvoir disposer d une couche d informations contenant les noms de rues pour l ensemble du territoire luxembourgeois Les travaux devraient aboutir fin janvier 2005 e Mise en place d un site web pour le GTIM SIG De janvier 2004 mars 2004 un site web a t d velopp pour le groupe de travail interminist riel Syst mes d information g ographique http www sig public lu Ce site a t mis en ligne en mai 2004 Le site respecte charte de normalisation de la pr sence sur Internet de l Etat et est totalement int gr dans le CMS Content Managment System ce qui permet aux diff rents membres de la cellule technique SIG d en assurer la mise jour Le site contient des informations sur les missions du groupe de t
380. nstaller un sentier didactique dans l enceinte de cette RFI Dans la phase actuelle l unique panneau d information disposer l entr e de la r serve avec la construction d accueil aura d abord pour fonction d attirer la curiosit des visiteurs et symbolisera l entr e principale de la r serve Elle permettra ensuite aux visiteurs de se procurer des premi res informations g n rales sur le projet telles que p ex la taille de la zone prot g e les objectifs poursuivis ou encore un extrait du r glement grand ducal En ce qui concerne la r alisation et l am nagement de la construction d accueil celle ci est constitu e principalement de deux murets en ma onnerie semi s che en forme de L Dans l encadrement de chacun de ces deux murets seront appos s des planches en bois qui feront fonction de banc Ces deux murets serviront galement de base pour installer le panneau d information g n rale 3 3 5 5 Le projet de r serve foresti re int grale Laangmuer au Gr ngewald Description g n rale du projet Ce site qui fait partie du massif du Gr ngewald est repr sentatif pour les h traies acidiclines du Gr s de Luxembourg D ailleurs c est l association foresti re du Melico Fagetum avec ses sous associations les plus pauvres qui sont les mieux repr sent es 83 L habitat du Luzulo Fagetum occupe une superficie de 7 Cette for t d tient pour la plus grande partie un aspect carac
381. nt 80 70 60 50 Transport 0 N goce Total 40 30 20 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 131 2 5 13 1 4 Evolution des arr t s minist riel o Transport nouvelles soci t s N goce nouvelles soci t s D Transport extension renouvellement N goce extension renouvellement D Refus Retraits 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2 5 13 1 5 Evolution des demandes d informations suppl mentaires 0 Transport 0 N goce a Total 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Le nombre total d arr t s minist riels mis au cours de l ann e 2004 est de 146 2003 151 arr t s Ce nombre se compose de 91 autorisations de ramassage et de transport de d chets de 42 autorisations pour les tablissements ou entreprises qui veillent l limination ou la valorisation des d chets pour le compte de tiers et 13 refus d autorisation 2 5 13 1 6 Les contr les routiers en relation avec les transferts nationaux ou internationaux de d chets Pendant l ann e 2004 l Administration de l environnement en collaboration avec une quipe sp ciale des Brigades Motoris es des Douanes et Accises a effectu 6 contr les routiers sur les fronti res du Luxembourg sur les autoroutes et l int rieur du
382. nt r sulter des travaux sylvicoles m me douces L tendue de cette rablaie de ravin est d ailleurs l une des plus importantes au Grand Duch de Luxembourg Compte tenu de la raret de ces associations foresti res au Grand Duch de Luxembourg une protection au sens le plus stricte s impose Dans ce contexte le r glement grand ducal du 6 mai 2000 pr voit un certain nombre d interdictions pour la zone prot g e Celles ci sont toutefois insuffisantes pour suffire aux objectifs poursuivis dans le cadre du projet de for ts en libre volution Le nouveau dossier de classement aura pour but de proposer une adaptation voire une modification du r glement grand ducal du 6 mai 2000 en fonction des nouveaux objectifs de la zone prot g e La surface de la zone prot g e est de 124 14 ha Les communes en sont les principaux propri taires avec 62 5 Le restant appartient int gralement des propri taires priv s Avancement du projet Un dossier de classement est en cours d laboration par le Service Am nagement des Bois Ce dossier vise la modification du r glement grand ducal du 6 mai 2000 qui d clare zone prot g e la zone foresti re Manternacher Fiels Dans sa constitution actuelle le but de la r serve naturelle est de prot ger par une gestion foresti re appropri e les rablaies de ravin ainsi que les h traies qui l avoisinent et qui se trouvent encore dans un tat tr s proche de la nature avec tout le cort
383. nt susceptibles d tre renatur s et recolonis s par le castor a t r alis Par la suite avec l aide des triages de Biwer Canach Grevenmacher et Remich un r am nagement des lits et des berges de diff rents cours d eau a t entam Les boutures de saules ainsi mises en place sont destin es constituer des obstacles naturels de fa on inonder des parties du thalweg Les pr pos s forestiers ont d d penser une nergie consid rable pour contribuer mener bien un projet de renaturation de la Syre Ces travaux ont t suivis par un projet de p turage extensif sur une surface d une quarantaine d hectares Des n gociations avec les propri taires ont eu lieu des contrats ont t tablis et les chantiers ont t surveill s Un enclos d une longueur de 2 500 m et une tour d observation ont t construits Les parcs urbains de Wasserbillig et du bain thermal Mondorf sont entretenus par nos soins en collaboration avec les services communaux sp cialis s 193 Dans le cadre de la construction de l autoroute de la Sarre d importants boisements de compensation ont d tre r alis s Ces mesures ont t effectu es sur le territoire des communes de Burmerange Mondorf et Remerschen Le contr le et l entretien mettre en uvre exigent des efforts suppl mentaires Un remembrement agricole a eu lieu dans les communes de Biwer Burmerange Dalheim Mompach et Mondorf Les plantations r alis es en dif
384. ntrations excessives en plomb Ceci montre la complexit d une surveillance par biosurveillance car visiblement les diff rents bioindicateurs n accumulent pas de la m me fa on Notamment les poireaux qui sont des l gumes tiges de la campagne de pr l vement du 18 octobre 2004 montrent tous les sites des niveaux en plomb inf rieurs la limite maximale ne pas d passer Par contre les r sultats du c leri feuille font appara tre aux deux sites sensibles Esch Alzette An Elsebrech et Schifflange Cit um Benn des d passements importants de la valeur limite en accord avec les r sultats de retomb es de poussi res du r seau Bergerhoff 73 2 4 3 Les installations de combustion 2 4 3 1 Les installations de combustion ayant une puissance calorifique inf rieure 3 MW Le r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 relatif aux installations de combustion aliment es en combustible liquide est l un des r glements cl dans le cadre de la lutte contre la pollution de l air et de l effet de serre En ce qui concerne l application du r glement les installations de moins de 3 MW fonctionnant au gasoil doivent subir une r ception chaque fois qu un nouveau br leur ou une nouvelle chaudi re sont mises en service Les r ceptions sont effectu es par la Chambre des M tiers suite une convention entre cette derni re et le Gouvernement Le nombre d installations de combustion au mazout de moins de 3 MW s
385. ntroduites est rest pratiquement le m me savoir e 82 des d clarations taient conformes Les exploitants ont re u un accus de r ception leur rappelant d tre conforme aux prescription du pr dit r glement e 16 des d clarations taient non conformes du fait qu une ou plusieurs pi ces requises par le r glement grand ducal n taient pas jointes la d claration Les exploitants ont t invit s par crit faire parvenir les pi ces manquantes la Division des Etablissements Class s e 2 des d clarations n taient pas acceptables du fait que les tablissements d clar s ne relevaient pas d apr s le r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenclature et classification des tablissements class s de la classe 4 mais de la classe 3B voire de la classe 1 Les exploitants ont t invit s par crit introduire un dossier de demande d autorisation conforme la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 38 2 3 2 1 3 Formulaires de demande d autorisation disponibles Agriculture Circulaire au sujet des installations fonctionnant au biogaz Formulaire de demande d autorisation concernant les installations stockant du biogaz ou fonctionnant au biogaz Biogaz F 44 Genehmigungsantrag Nr 44 Biogas F 44 Expos sur les installations stockant du biogaz et sur celles fonctionnant au biogaz 44 Expos betreffend Biogasanlagen EXP 44 Formulaire de demande d
386. nvironnementaux et de d veloppement durable En outre leur int gration dans le Portail des Statistiques est aussi envisager faisabilit pertinence M me si l int gration des ndicateurs a t report e la cellule statistique a malgr tout contribu alimenter le Portail de l Environnement en prenant en charge la mise jour de plusieurs sections du site actualit s th mes du d veloppement durable et de l air pages relatives au Minist re de l Environnement page des liens pour ne citer que les principaux apports Relativement aux aspects statistiques du d veloppement durable soit les indicateurs de d veloppement durable la cellule a au cours du premier semestre 2004 activement particip diverses r unions du groupe de travail sur les indicateurs de d veloppement durable mis sur pied par Eurostat Task Force Sustainable Development Indicators SDD Plus pr cis ment la cellule s est impliqu e dans les sous groupes traitant du d veloppement conomique et des modes de consommation et de production Cette implication se traduisit par la recherche et la d finition d indicateurs pertinents pour illustrer ces th matiques au travers de discussions et de brainstormings 16 L objectif de la SDI est de d finir un jeu d indicateurs de d veloppement durable en vue de l examen et de la reformulation ventuelle de la Strat gie de D veloppement Durable de l Union
387. o ducatif de l tat proximit de la r serve naturelle de P llembierg Wellenstein R serve naturelle Kuebend llchen r tablissement d une pelouse s che et de zones humides par l enl vement de r sineux Vall e de l Ernz Noire Grundhof projet de p turage extensif avec des bovins de la race Aberdeen Angus R serve naturelle Lannebuer am lioration des structures cologiques des surfaces en question R serve naturelle Manternacher Fiels Am lioration des structures cologiques dans la r serve naturelle l aide de p turage et de fauchage extensif Promotion des produits de l agriculture extensive dans le cadre du centre d accueil A Wiewesch Manternach laboration d une tude agricole pour le site Sch iferei Heed Gonnerange laboration d une tude agricole pour la future r serve naturelle Koedinger Brill laboration d un concept d am nagement cologique du parc municipal in Bedingen Diekirch par la mise en uvre d un projet de p turage extensif par des bovins de race Highland Cattle R daction d un article sur les effets du p turage extensif avec bovins sur la biodiversit R f rence compl te Schley L amp M Leytem 2004 Extensive Beweidung mit Rindern im Naturschutz eine kurze Literaturauswertung hinsichtlich der Einfl sse auf die Biodiversit t Bulletin de la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois 105 65 85
388. o a pyr ne BaP dans l air ambiant pour les p riodes consid r es et aux trois sites choisis sont inf rieures la valeur cible propos e dans un projet de directive europ enne D autres contr les des niveaux en dioxines et furannes dans les particules seront n cessaires l avenir pour confirmer ses r sultats Aci rie Aci rie ADMINISTRATION DE ESCH ESCH L ENVIRONNEMENT Belval SCHIFFLANGE POUSSI RES PMio E et METAUX LOURDS 14 10 2004 29 10 2004 be ech D ss proximit des aci ries arc 14 jours 14 jours lectrique Unit Valeur limite R f rence Poussi res Poussi res en physique VL ou PM suspension dans l air ambiant Valeur cible 293 K et 101 3 hPa EM 42 49 58 72 VL moyenne 24 ot 1 d passement durant heures en 2004 55 moyennes 24 22 35 d passements r glement heures tol r grand ducal du MIN 18 20 MIN 17 11 E 24 juillet 2000 Moyennes sur la p riode de mesure de 14 jours _ VL moyenne 1999 30 CE et DM 28 33 30 34 ug m annuelle en r glement 2004 41 6 3 juiet 2000 Directive Plomb 110 95 130 80 ng m VL 500 Zo Viet 2000 505 395 860 425 2619 16 15 Proposition pour un projet de Nickel 19 7 10 6 7 6 2 9 VC 20 drectve europ enne Param tre Proposition pour Cadmium 1 40 1 15 2 45 1 15 ng m Ai lt Genen pour un pr
389. oholz Fin 2003 les 13 partenaires du projet ont donn leur accord financier et le projet a re u le feu vert du Secr tariat commun ENO de Lille pour d marrer au ler janvier 2004 L asbl Valbois RN est le chef de fil du projet Les autres partenaires sont en Wallonie la Soci t Royale Foresti re de Belgique Woodnet la F d ration Nationale des Scieries Fedemar Bois amp Habitat en Lorraine l association Gipeblor le au Luxembourg le Groupement des Sylviculteurs l administration des Eaux et For ts et en Sarre l administration foresti re locale L ensemble du projet est divis en trois volets Volet 1 La Certification foresti re sa mise en uvre avec les acteurs de la fili re for t bois Volet 2 L am lioration de la qualit de la gestion foresti re durable Volet 3 Valorisation de la d marche de certification foresti re promotion du mat riau bois des techniques et des produits du bois Ce volet subdivis en 4 actions consiste mettre en place une v ritable politique d information et de sensibilisation aupr s des pouvoirs publics des leaders d opinion des d cideurs des architectes des professionnels de la construction du grand public Les actions auxquelles participent le Groupement des Sylviculteurs et l administration des Eaux et For ts de 2004 2007 sont L action 1 1 elle consiste mettre en place une v ritable collaboration entre les diff rents gestion
390. oi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s 37 2 3 2 Activit s sp cifiques en 2004 37 2 4 Division Air Bruit 52 2 4 1 Travaux du groupe directeur europ en dans le programme CAFE Clean Air For Europe 52 2 4 2 Les r seaux de mesure de la qualit de l air 55 2 4 3 Les installations de combustion 74 2 44 Rejets atmosph riques en provenance d installations industrielles 76 2 4 5 Le service d conomies d nergie 76 2 5 Division des d chets 82 2 5 1 Les activit s dans le domaine l gislatif et r glementaire 82 2 5 2 Les actions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des d chets 85 2 5 3 Le projet pilote EUROSTAT 91 2 5 4 Les d chets organiques 93 2 5 5 Les parcs conteneurs 98 2 5 6 Les d chets produits par les stations d puration 101 2 5 7 Les d chets d emballages 106 2 5 8 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 110 2 5 9 Les quipements contenant les PCB et les PCT 112 2 5 10 Les actions de la SuperDrecksK scht 113 2 5 11 Les d chets inertes 124 2 5 12 Les statistiques d chets 129 2 5 13 Les transferts de d chets 131 2 5 14 Les statistiques par les rapports annuels standardis s 138 2 5 15 Les dossiers d autorisations d importation de valorisation et d limination de d chets 138 2 5 16 Les plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s 147 2 5 17 Les contr les environ
391. oir e plantations et tailles de haies activit s diverses dans le cadre de la journ e de l arbre collaboration dans le cadre du classement de diverses r serves naturelles collaboration dans le cadre de divers projets d agriculture extensive dans des futures zones prot g es d gagements voire d boisement de fonds de vall es et de zones humides entre autres deux coupes rases en for t domaniale longeant des rivi res soit au total 2 4ha e cr ation et r am nagement de plusieurs tangs en for t domaniale savoir quatre au Domaine de Wiltz Merkholtz et un au Domaine Kiischpelt la plantation des alentours sera r alis en2005 180 Quant au traitement des dossiers CN il est noter que ceux ci ont t trait s en collaboration avec le responsable du service CN Nord dossiers de d frichement boisements neufs am nagement des anciennes d ponies chemins forestiers 3 2 4 13 La for t lieu de loisir En 2002 le service du cantonnement a finalis une aire de repos au lieu dit Kaul faisant partie de la for t domaniale de Wiltz Merkholtz Comme la for t de la Kaul touche directement la ville de Wiltz sa fonction sociale prime sur toutes les autres Sur cette aire de repos le service forestier a am nag un chalet avec une place de feu l int rieur ainsi que deux places de feu l ext rieur En 2003 cette aire a t compl t e par une petite aire de jeux pour enfants En 20
392. ojet de Arsenic 8 8 lt 2 6 lt 2 6 ng m directive europeenne 2 1 5805 1002 si valeur entre parenth ses correspond la valeur trouv e lors d un exercice pr c dent en 2003 72 Aci rie Aci rie DIOXINES FURANNES et PCB sr te ESCH ESCH Benzo a pyr ne BaP L ENVIRONNEMENT Belval SCHIFFLANGE SE dans les poussi res Fe 14 10 2004 29 10 2004 F e e sci proximit des aci ries arc Param tre 7 jours 7 jours lectrique Poussi res PM10 en Unit Valeur cible VC R f rence Kg et valeur Poussi res suspension dans l air ambiant physique d orientation VO PM moyenne sur 7 jours Moyenne 293 K et 101 3 hPa annuelle roposition au Dioxines furannes ur et PCB 35 52 NEE VC 150 Immissionsschutz PCDD PCDF PCB WHO TEQ LAI TA Luft p Groupe des dioxines L nderausschuss f les plus toxiques 1 1 3 3 8 2 8 2 fg m mises 2 3 7 8 TCDD WHO TEQ LAI TA Luft Proposition pour ae ade ngm wen un BaP europ enne Mesure du benzo a pyr ne Luxembourg Ville place Hamilius P riode de mesure 27 11 2003 03 12 2003 14 jours Proposition pour un projet de Benzo a pyr ne ng m VC 1 directive BaP europ enne si valeur entre parenth ses correspond la valeur trouv e lors d un exercice pr c dent en 2003 Contr les suppl mentaires des teneurs en m taux lourds dans des l gumes cultiv s chez l habitant
393. on de l tablissement et la protection de l environnement humain et naturel qui en r sulte telle que les eaux us es l air odeurs le bruit les d chets la faune et la flore Sans vouloir mettre en chec le principe suivant lequel chaque autorit administrative intervenant en vue de l autorisation d un tablissement statue dans le cadre de ses comp tences propres telles que d limit es par la loi les positions de l Administration des eaux et for ts et celles de l Administration de l environnement sont concert es si n cessaire Dans le cadre de cette proc dure de concertation 118 dossiers de demande ont t transmis la Division des tablissements class s y a lieu de constater que e pour 22 dossiers la demande requise en vertu de loi du 10 juin 1999 faisait d faut e 17 requ rants ont par la suite introduits la demande requise et les demandes ont t avis es positivement 84 dossiers ont directement pu tre avis s positivement e 12 dossiers restent tre trait s 2 3 2 1 2 D clarations en vertu du r glement grand ducal du 26 juillet 1999 fixant les prescriptions g n rales pour les tablissements du secteur agricole qui rel vent de la classe 4 en mati re d tablissements class s Environ 122 d clarations ont t introduites en 2004 dans le cadre du pr dit r glement Ce nombre a l g rement augment par rapport l ann e 2003 Le degr de conformit des d clarations i
394. on extr mement touch e reste comme en 2003 la commune de Kehlen suivie par les communes de Mamer et de Steinsel 3 2 8 12 Conservation de la nature En mati re de conservation de la nature 508 dossiers ont t trait s au total par les pr pos s forestiers De son c t le cantonnement forestier a particip l laboration de divers dossiers en mati re de conservation de la nature comme p ex la gestion de pelouses s ches l aide d un p turage itin rant lam nagement de sentiers de d couverte de la nature l laboration de plans de gestion des haies ou de zones Natura 2000 l laboration de dossiers de classement de r serves naturelles la renaturation de cours d eau etc 3 2 8 13 La for t lieu de loisir La vocation des for ts entourant les centres urbains la capitale et les villes du bassin minier volue de plus en plus vers la r cr ation et la d tente de la population r gionale A cet effet les chemins et sentiers forestiers sont continuellement entretenus En vue de minimiser les conflits entre promeneurs et cavaliers un balisage de chemins destin s au sport questre s impose localement Malheureusement les actes de vandalisme des installations r cr atives et l abandon de d chets en pleine nature ne cessent d augmenter 3 2 8 14 Contacts internationaux Aucun contact international n est signaler 191 3 2 8 15 Manifestations r gionales L administration des Eaux et For
395. onc tre poursuivies La d signation d un site ne signifie donc pas priori l arr t ou la modification des activit s d j pratiqu es Ce principe est clairement ancr dans la directive Les Etats membres ont le choix des moyens utiliser pour g rer un site ils peuvent tre de nature r glementaire imposition de servitudes et de charges l int rieur d une zone prot g e de nature contractuelle signature d une convention de gestion avec un propri taire ou administrative r gime d autorisations Le Ministre de l Environnement du Luxembourg a d cid de privil gier largement les mesures contractuelles et administratives D s 2003 des plans de gestion sont syst matiquement tablis site par site en partenariat avec tous les acteurs concern s notamment les exploitants agricoles et forestiers l instar des documents d objectifs fran ais Il est particuli rement important de concevoir une gestion int grant de fa on r aliste et pragmatique toutes les utilisations actuelles du site comme l agriculture la sylviculture la chasse et la p che les loisirs le tourisme et l urbanisation Ces plans de gestion doivent permettre d identifier les objectifs d anticiper et de r soudre d ventuelles difficult s avec les propri taires ou les utilisateurs du site de d finir les moyens d actions et de planifier long terme sa conservation Les plans de gestion seront arr t s par le Ministre de
396. oncert de la Chambre de Commerce et de la Chambre des M tiers intervient en date du 23 ao t 2004 Le Conseil d Etat rend son avis en date du 17 d cembre 2004 Le r glement grand ducal a t sign par le Grand Duc en date du 18 janvier 2005 et publi au M morial A du 31 janvier 2005 2 5 1 2 2 Le projet de loi relative au fonctionnement et au financement des actions de la Super Drecksk scht En date du 2 mars 2004 le Conseil d Etat a mis son avis relatif au projet de loi relative au fonctionnement et au financement de l action SuperDrecksK scht Les critiques du Conseil d Etat concernaient principalement la dur e pr vue pour la conclusion des contrats Le projet initial pr voyait une dur e maximale de 20 ans Le Conseil renvoi ce sujet une d cision prise par la Commission europ enne en date du 17 septembre 2001 dans l affaire ayant trait la soci t Der gr ne Punkt Duales System Deutschland AG Sur base de cet avis le projet de loi a t amend La dur e maximale pour les contrats a t ramen e 10 ans Divers points ont t modifi s pour tre coh rents avec la loi du 30 juin 2003 sur les march s publics En date du 12 octobre 2004 le Conseil d Etat a mis son deuxi me avis 84 Le projet a ensuite t discut la Commission de l Environnement de la Chambre des D put s Diverses informations et explications ont t donn es de vive voix par l Administration de l environnement
397. ond un volume exploit de 3 2 m ha an qui repr sente une baisse de 25 par rapport l exercice pr c dent Cette baisse s explique par deux ph nom nes D une part le cantonnement n a pas su r aliser des claircies m canis es et d autre part les d g ts provoqu s par le bostryche sont rest s minimes En effet suite un enl vement minutieux de tous les lots de scolytes en automne 2003 et suite un changement de la situation m t orologique partir du mois d avril 2004 pluviosit lev e abaissement de la temp rature la population des scolytes a fortement baiss et les attaques ont t plut t rares lt 1000 au total Le volume de bois de chauffage s l ve 1650 mz Dans le cadre du d boisement des fonds de vall e enr sin s une seule coupe rase f t r alis e dans la for t domaniale Il s agissait d un peuplement d pic as d une superficie de 1 7 ha longeant le cours d eau de la Wiltz Vu la proximit l eau le terrain est r guli rement inond Il reste noter que l application d une sylviculture proche de la nature implique des interventions plus rapproch es dans les m mes peuplements avec cependant un pr l vement de volume nettement moindre Le r sultat de cette sylviculture vu sur une d cade est tr s encourageant Le d veloppement de la r g n ration naturelle sous couvert en vue de transformer les futaies r guli res en futaies irr gu
398. onnement a donn son accord pour financer l laboration du dossier de classement 3 3 5 10 Les autres projets de r serves foresti res int grales RFT en cours Le conseil communal de Berdorf a donn son accord de principe pour participer au projet Naturb sch avec une partie de sa for t communale Plus pr cis ment 11 s agit du massif du Schnellert 141 ha lequel est g r d une fa on tr s extensive et qui par cons quent pr sente d j actuellement un degr de naturalit tr s lev 3 3 5 11 Autres activit s dans le domaine du projet Naturb sch Le projet Naturb sch a t pr sent dans le cadre de la Soci t des Naturalistes au Mus e d Histoire Naturelle Le titre de cette pr sentation tait le suivant Les r serves foresti res int grales au Luxembourg et en France La pr sentation sur les r serves biologiques de France a t assur e par Monsieur Nicolas Drapier de l Office National des For ts ONF lequel est un des principaux responsables pour la d signation et la gestion des RFI en France Plusieurs r unions d information ont eu lieu avec le comit de suivi du projet Naturb sch qui est compos par des repr sentants du MENV du MNHN de l ADEF ainsi que de divers ONG Le projet Naturb sch a galement t pr sent lors de la r union annuel du Cataenat lequel fait parti du r seau Renecofor qui lui est un r seau de suivi long terme des cosyst mes forestier
399. onnement s est lev 53 Dans ce contexte il convient de relever quelques dossiers particuliers comme la construction de la future conduite d eau du SEBES ainsi que l exploitation de carri res en milieu forestier Brouch et Folschette Le cantonnement forestier de Mersch et plus particuli rement le tria ge forestier de Mersch Ouest ont contribu plusieurs projets concrets de biodiversit dans les vall es de l Eisch et de la Mamer Il s agit de constructions de cl tures de d broussaillages de plantations d arbres fruitiers de conceptions de sentiers didactiques au Gousselerbierg et Ansembourg et de constructions de pavillons pour les promeneurs Par ailleurs plusieurs estimations de for ts priv es ont t finalis es afin de proc der des acquisitions ventuelles dans le cadre des mesures compensatoires de la route du Nord De nombreuses r unions ont t organis es avec les bureaux d tudes dans le cadre des mesures compensatoires de la route du Nord avec le service CN central concernant la biodiversit les renaturations de cours d eau Eisch Mamer Ernz blanche et le classement de r serves naturelles avec l administration des B timents Publics concernant le centre d accueil Schoenfels 3 2 6 10 Divers Le chef de cantonnement a particip aux groupes de travail du Plan Forestier National et de sa mise en pratique savoir le groupe Penser for t Agir bois Sont relev
400. onnevoie Mondorf Nicolas Beckerich Contr les les Bains Vianden 6 M L bam 8 9 8 5 mw 7 oe 5 CS Nombre de contr les annuels jug s n cessaires Analyseur BTX Nombre de contr les annuels jug s n cessaires L Administration de l Environnement continue l information du public par voie de presse Les communiqu s de presse hebdomadaires sont diffus s en d but de semaine Les teneurs dans l air ambiant en dioxyde de soufre 502 dioxyde d azote NO et en ozone dans l air ambiant sont publi s sur une base r guli re Une nouvelle pr sentation des r sultats en tenant compte des directives europ ennes r centes en mati re de normes de qualit de l air avec de nouvelles valeurs limites est r aliser dans les plus brefs d lais Sur Internet un site a t cr e par le minist re de l environnement sous www environnement public lu choisir la rubrique Air Bruit Des informations y sont fournies concernant les r seaux de mesures les polluants les normes de qualit de l air en vigueur La diffusion de communiqu s de presse sp ciaux en p riode de smog estival pollution par l ozone gt 160 ugi t activ e durant la p riode d t 2004 La pollution par l ozone s est manifest e sur une p riode de 10 jours fin juillet et d but ao t 58 2 4 2 4 2 Probl mes techniques de fonctionnement du
401. onsables d un point de reprise ou une installation de traitement e reprise sans frais des v hicules hors d usage ayant une immatriculation au Luxembourg d au moins 6 mois au cours des 12 derniers mois pr c dant sa mise hors d usage e les exigences minimales en mati re de collecte et de traitement des v hicules hors d usage e normes concernant la codification informations concernant le d montage e la transposition de l annexe de la directive concernant les sites de stockage En r ponse ces remarques le minist re de l Environnement a transmis ses observations pr par es par la Division des d chets la Commission Europ enne 2 5 2 Les actions de formation d information et de sensibilisation dans le domaine de la gestion des d chets 2 5 2 1 La formation Etre responsable des d chets dans l entreprise En 2004 l Administration de l environnement ensemble avec le Centre National de Formation Professionnelle Continue d Ettelbruck ont propos nouveau des cours de formation tre responsable de la gestion des d chets dans l entreprise aux entreprises En effet la d nomination d un d l gu pour les questions environnementales compris la gestion des d chets dans une entreprise est assez courante En fonction de l envergure du travail les entreprises optent pour un service environnemental ou bien la t che est assur e par un e employ e c t d autres fonctions C est galement
402. onvention sur la pollution atmosph rique transfronti re longue distance comme la lutte contre les missions d oxydes d azote ou leurs flux transfronti res fait Sofia le 31 octobre 1988 la nouvelle r duction des missions de soufre sign Oslo le 14 juin 1994 et le protocole relatif la r duction de l acidification de l eutrophisation et de l ozone troposph rique sign G teborg en d cembre 1999 La collecte des pluies est effectu e sur une base hebdomadaire Le syst me est con u pour ne collecter que des pr cipitations essentiellement sous forme de pluies et occasionnellement sous forme de gr le de neige et parfois du brouillard Les param tres suivants sont analys s e et conductivit e cations H Na NH K Ca Mg e anions NO SO e m taux Pb Cd As Ni Hg Zn Cr Fe Mn Al Cu Hg Conclusions essentielles pour l ann e 2004 Les niveaux annuels de certains cations en 2004 voluent dans des domaines de concentration comparables celles observ es 2003 Remarquer qu aux ions Na auquel est assoc naturellement Pion chlorure Ca et Me est attribu une origine naturelle origine marine et terrig ne mais qui peuvent comporter une origine anthropique par exemple activit industrielle 70 La teneur en ion ammonium continue d tre significativement plus lev e Beckerich par rapport Esch Alzette et semble s expliquer par l
403. oresti re int grale Enneschte B sch Bertrange Description g n rale du projet La sp cificit du Enneschte B sch r sulte du fait que la zone d limit e repr sente les ch naies charmais sur sols frais ainsi que les h traies sur marnes argileuses du Gutland du Sud L association foresti re la plus fr quente est celle du Primulo Carpinetum avec 62 de la surface d limit e L association du Melico Fagetum occupe quant elle uniquement 30 de la superficie Le restant de la future est recouvert de feuillus en m lange de r sineux ainsi que de broussailles et arbustes En ce qui concerne les peuplements on remarque un taux lev d anciennes ch naies En effet pratiquement la moiti de la superficie se compose de ch naies qui comportent des ch nes de plus de 140 ans La surface d limit e pour le projet recouvre une superficie de 87 ha est appartient int gralement aux communes de Bertrange 84 5 ha et de Leudelange 2 5 ha La future zone prot g e est constitu e d une seule et unique partie dite r serve foresti re int grale laquelle comprend une zone de qui tude Etant donn que l int gralit de la d limitation propos e appartient deux communes et que celles ci ont donn leur accord quant la participation au projet aucune autre zone suppl mentaire n a d tre d limit e pour la future zone prot g e La zone de qui tude pour l yEnneschte B sch a t d limit
404. orestiers carrossables ont t construits sur une longueur de 2 200 m Ceux ci ont t compl t s de fa on syst matique par des laies de d bardage car une sylviculture proche de la nature ne peut se passer d un r seau de vidange adapt Ainsi le compactage du sol est limit aux seules laies et les trajets de d bardage sont r duits ce qui constitue un avantage conomique consid rable 192 Rappelons ici qu un r seau de chemins empierr s bien d velopp ne profite pas seulement la for t mais bien au grand public aux sportifs et autres adeptes de la nature ainsi qu aux chasseurs 3 2 9 5 D g ts de gibier La propagation de la r g n ration naturelle du ch ne sur d importantes surfaces entra ne obligatoirement l intensification des mesures de protection Cette essence de m me que les autres esp ces feuillues nobles repr sentent le menu de pr dilection du grand gibier Par cet abroutissement s lectif un appauvrissement de diversit et l absence d une polyculture en sont les cons quences Pour y rem dier il s agit soit de r duire le cheptel soit de construire d avantage d enclos Ainsi des cl tures d une longueur de 5 070 m ont t construites En contrepartie des cl tures de 3 620 m ont t enlev es l o la hauteur des jeunes plants a d pass une hauteur de 2 m 3 2 9 6 Conservation de la nature En 2004 le nombre de dossiers CN trait s par le personnel du Cantonnement de Grevenmacher s
405. organis es par la direction des Eaux et For ts Ces formations ont permis aux participants de parfaire leurs connaissances professionnelles dans diff rents domaines et de relever le d fi de certaines nouvelles technologies Au total 234 personnes ont particip aux diff rents cours de formations Mati re du cours Initiation aux notions de base et l utilisation concr te de l outil ArcGis Les oiseaux du Grand Duch de Luxembourg Initiation au OS 163 3 1 2 4 Formations destination des ouvriers forestiers En l ann e 2004 l administration des Eaux et For ts a organis des cours de premiers soins pour les ouvriers forestiers Ces cours ont t dispens s par la Protection Civile Ils sont motiv s par le fait que le travail dans les for ts soumises au r gime forestier comporte des risques particuliers pour la s curit et la sant des ouvriers forestiers Au total 99 personnes ont particip aux diff rents cours de premiers soins Nombre de participants 3 mai 2004 28 juin 2004 19 avril 2004 28 juin 2004 Ettelbruck 3 mai 2004 28 juin 2004 9 mai 2003 27 juin 2003 ot 99 Par ailleurs plusieurs cours de formation continue combinant les aspects de sant et de s curit au travail avec les techniques sp cifiques du travail forestier ont t organis s Au total 302 personnes ont particip aux diff rents cours de formations Nombre de participants Ergonomie 4 cours 1 jour Tech
406. ossiers 58 dossiers en mati re de protection la nature et 7 dossiers en mati re de chasse ont abouti un proc s verbal jusqu au 31 d cembre 2004 3 6 6 Divers Les diff rentes activit s et interventions effectu es par l Entit mobile de l administration des Eaux et For ts durant l ann e 2004 ont t effectu es d office ou bien ont t sollicit es par d autres administrations et services publics respectivement par des organisations d utilit publique ou des particuliers Les agents de l Entit mobile ont fr quent des cours en mati re d informatique l gislation concernant la protection de la nature et des ressources naturelles nouvelle loi sur la conservation de la nature et de premiers soins Les agents de l Entit mobile ont prest 295 heures suppl mentaires en 2004 Des relations troites sont entretenues avec les services et triages forestiers de l administration Des missions concert es et des interventions d appui ont t r alis es en troite collaboration avec les pr pos s forestiers notamment en ce qui concerne les actions se rapportant la l gislation sur la protection de la nature et des ressources naturelles la for t et la chasse 262 3 7 La Cellule Informatique 3 7 1 Informatique 3 7 1 1 Maintenance et adaptation volutive des applications Les maintenances et les adaptations volutives des applications informatiques sont r alis es en interne Les applications sont
407. ot es R1 R11 Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production Op ration de tri Pr traitement avant D p t sur ou dans le sol p ex mise en d charge etc Mise en d charge sp cialement am nag e p ex placement dans des alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc Incin ration terre Utilisation comme combustible autrement qu incin ration directe ou autre moyen de produire de nergie Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s m talliques Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques Mise en r serve de mat riaux en vue de les soumettre l une des op rations num rot es R1 R12 l exclusion du stockage temporaire avant collecte sur le site de production Incin ration terre R cup ration ou r g n ration des solvants Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s m talliques Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 2505269 2895449 8789482 48412026 5106960 7100788 10711546 3967450 1818
408. otzen d Emwelt schounen traite les sujets de l exposition d une fa on interactive peut tre utilis c t de l exposition pour expliquer d une mani re simple les interactions entre notre environnement et les activit s humaines Le CDRom est e vente dans les librairies au Luxembourg au prix de 8 euros Les enseignants peuvent commander le CDRom gratuitement via e mail aupr s de la Division des d chets voir sous www emwelt lu 2 5 2 5 Les jeux didactiques Oeko Bassin et Bastelen mat y a quelques ann es la Division des d chets a con u dans le cadre des activit s Aktioun Superkompostk scht plusieurs jeux didactiques servant sensibiliser les enfants aux questions de la gestion des d chets L Oeko Bassin constitue un jeu de p che aux produits cologiques c d au lieu de la p che aux canards les enfants sont appel s p cher des emballages cologiques des produits compostables des batteries rechargeables etc Le jeu est mis gratuitement disposition des communes ou des organisations En 2004 les rendez vous suivants ont eu lieu Lieu d emplacement 15 Mai 10 17 Uhr Forum pour l emploi Diekirch 04 Juni Foyer scolaire Limpertsberg Luxembourg 06 Juni 11 14 Uhr Am Park zu Mertert 20 Juni 10 00 18 00 Uhr Haus vun der Natur Luxembourg 26 Juni 14 18 Uhr Waldschoul Esch Alzette 02 Juli 15 19 Uhr Foyer du Jour Kaweechelchen Hautcharage 10 Juli Schule Ko
409. oupe de travail qui se compose de repr sentants de Valorlux de l administration de l Environnement et de la Conf d ration luxembourgeoise du Commerce 106 e sac r utilisable Pr server seit ma nature Dossier de synth se Photo Informations aux commer ants La Division des D chets a men une enqu te aupr s des distributeurs et des consommateurs concernant l acceptation des co sacs Suivant une premi re valuation quelques 290 000 co sacs ont t distribu s en 2004 Ciapr s quelques exemples de l enqu te consommateur effectu e en septembre 2004 dans plusieurs supermarch s Pourquoi utilisez vous des sacs r utilisables Grund bezogen auf Sonstiges 7 o Que faites vous si vous avez oubli vos sacs r utilisables Antwort Anzahl RL bezogen auf 815 RE ET Sonstiges NN Pensez vous que les sacs usage unique devraient tre achet s bezogen auf Gei n O E 107 2 5 7 2 La banque de donn es relative aux emballages Suivant le r glement grand ducal modifi du 31 octobre 1998 relatif aux emballages et aux d chets d emballages la Division des d chets est responsable de la gestion des banques de donn es concernant les quantit s d emballages consomm s r utilis s valoris s et limin s sur le territoire national Elles devraient fournir notamment des informations sur l ampleur les caract ris
410. ourant de l ann e 2004 l lection de ce nouveau coll ge syndical dont le mandat dure du 15 mai 2003 au 14 mai 2012 De m me 43 coll ges syndicaux ne se sont adjoints un nouveau secr taire tr sorier qu en 2004 au lieu de 2003 En 2004 17 syndicats de chasse ont d proc der des lections compl mentaires du coll ge syndical apr s le d c s d un membre du coll ge syndical Pour la m me raison 4 syndicats ont lu un nouveau pr sident En outre 10 syndicats se sont adjoints un nouveau secr taire apr s la d mission ou le d c s de l ancien secr taire Tous ces dossiers sont contr l s et avis s par le service de la Chasse avant d tre transmis au minist re de l Environnement en vue de leur approbation 3 5 6 3 Baux de chasse La grande majorit des contrats de bail de chasse actuellement en vigueur savoir 595 contrats ont t conclus pour la p riode allant du 1 ao t 2003 au 31 juillet 2012 Pour deux autres lots le bail en cours va expirer le 31 7 2008 pour un lot le 31 7 2009 et pour un lot le 31 7 2011 Pour un seul lot l assembl e g n rale des propri taires des terrains a d cid le non relaissement du droit de chasse pour la dur e de cinq ans 1 8 1999 31 7 2004 En 2004 aucun nouveau contrat de bal de chasse n a donc t conclu Cependant pour 51 lots de chasse des conventions ont t conclues entre les syndicats de chasse et les locataires du droit de chasse des lots respectifs en
411. ouvoir l utilisation du cheval de trait dans la gestion foresti re et agricole dans les r serves naturelles l administration des Eaux et For ts a particip pour la premi re fois une grande manifestation dans le nord du pays savoir le B schfest 29 7 1 8 2004 171 3 1 10 Travaux caract re scientifique Les travaux suivants caract re essentiellement scientifique ont t initi s respectivement suivi par les services de l administration des Eaux et For ts Buchen Entwicklung von Strategien zur Sicherung FVA Trippstadt Interreg Komplexsterben von Buchenw ldern A Peste porcine dans la Diet condition and population structure of the Sandra Cellina doctorante population des wild boar Sus scrofa Linnaeus 1758 Universit de Sussex sangliers population in the Grand Duchy of Universit t Freiburg D Luxembourg and the effects of supplementary feeding Col opt res Influence de champignons pathog nes sur la Anna Isabelle Ordonnez mortalit de col opt res CRP Sant Eaux et For ts Institut vini viticole 3 1 11 Mat riel forestier de reproduction 3 1 11 1 Projet de conservation et d am lioration g n tique de diff rentes essences foresti res diss min es ou menac es de disparition Le programme voqu s inscrit dans le cadre du programme europ en EUFORGEN protection des ressources g n tiques en Europe Dans une premi re tape un projet a t labor af
412. perange Luxembourg Ade Laboratoire de l eau et de l environnement Agro Agrolab interne laboratoire interne la station Luxc Luxcontrol Plan Plancotec Compatibilit avec les plantes Rendement du m lange de contr le avec 50 de compost en 120 0 100 0 80 0 60 0 n 13 Agro 4 interne 9 n 17 Agro 5 interne 12 MINETT KOMPOST SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange Ade Laboratoire de l eau et de l environnement __Agro Agrolab _interne laboratoire interne la station _Luxc Luxcontrol Plan Plancotec 96 Les graphiques suivants montrent les variations des param tres NPK pendant les ann es 2000 2003 ounan TER SERRE EEE EEE IEEE EEE EEE NO mg l mt 400 0 350 0 300 0 250 0 200 0 150 0 100 0 50 0 0 0 RANK MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange P20 soluble mg l m f 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500 0 RARR RERA HARR MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Angelsberg SIDEC Fridhaff Hesperange Luxembourg Mondercange 97 K 0 soluble mg l m f 14000 12000 10000 8000 6000 4000
413. pier carton 7 5 et des chutes de m taux ferreux 7 y sont galement contenus Presque la moiti des d chets partent vers la France 37 vers l Allemagne et 14 vers la Belgique 500 000 000 39 489 804 450 000 000 400 000 000 355 069 158 350 000 000 300 000 000 250 000 000 Quantit s kg 200 000 000 132 484 716 150 000 000 100 000 000 21 950 538 PHARE SUN 11470710 2371936 54 000 44 060 17 960 0 DE NL ES IT CH NO AT Une m thodologie a t labor e dont la couverture des donn es a t valu e 90 92 L tude a montr clairement que contrairement l id e de d part le Luxembourg importe plus de d chets qu il n en exporte 2 5 4 Les d chets organiques Six installations Angelsberg Diekirch Hesp range Mamer Mondercange Reckendall ont t fonctionnelles en 2004 pour le compostage des d chets organiques en provenance des communes Etant donn que l Administration de l environnement ne re oit les rapports annuels que pour le 31 mars de l ann e les chiffres pr sent es se r f rent l an 2003 2 5 4 1 Les quantit s de d chets organiques accept es Les graphiques suivants r sument les quantit s des d chets livr s pour l ann e 2003 Au total 56 607 65 tonnes de d chets organiques ont t accept s dans les six installations de compostage au Luxembourg Quantit s des d
414. plan vert des communes en liaison avec la nouvelle application PLAN GESTION BU L application Carnet de d nombrement CarnetO qui consiste saisir les mensurations des bois abattus en for t soumise et calculer les volumes a subi les volutions suivantes versions 7 01 7 03 adaptation au nouveau statut des ouvriers et la suppression du tarif de b cheronnage au 1 janvier 2004 L application Vente de bois qui consiste automatiser toutes les op rations intervenants dans le processus de la vente des bois quelle que soit la proc dure soumission ench res vente de gr gr etc a t revue version 6 04 6 05 pour les adaptations suivantes e correction de divers bugs e r vision des statistiques Parall lement la maintenance des applications les tables des bases de donn es ont galement t mises jour Plusieurs milliers de lignes de scripts SQL ont t g n r es automatiquement gr ce l application et distribu es par le r seau ou la messagerie lectronique dans les cantonnements et les triages pour mettre jour toutes les bases du syst me Ces modifications concernent les nouvelles tables pour les donn es des salaires les nouvelles affectations du personnel et 264 les changements du parcellaire forestier La mise jour rapide fiable et coh rente des donn es de base du syst me informatique dans les cantonnements et dans les triages est ains
415. public int ress Ainsi le service est contact r guli rement par des particuliers des associations des bureaux d tudes des administrations des syndicats de chasse etc afin de fournir des renseignements respectivement en vue d une collaboration Les principales sollicitations sont les suivantes e demandes de renseignements par les bureaux d tudes et les particuliers dans le cadre de l laboration de plans verts d tudes d impact de plans d am nagement r gionaux ou d tudes diverses e demandes d information de la presse e demande de faire des expos s au sein de diff rentes commissions e demandes d organisation et de participation des rallyes nature de journ es de la nature des expositions e demandes d informations p riodes d ouverture de la chasse modes de chasse autoris s permis de chasse cours pr paratoires et examen de chasse etc e demandes des syndicats ou des locataires de chasse en vue d informations concernant le d roulement de certaines proc dures l gislatives et administratives notamment les op rations d adjudication de cession et d option du droit de chasse 260 3 6 L Entit mobile L Entit mobile de l administration des Eaux et For ts intervient dans le domaine de police de la gestion de l environnement naturel et donne appui et assistance aux diff rents services cantonnements arrondissements et triages forestiers de l administration Elle est rattach e la d
416. qu es dans les zones prot g es fauchage p turage race e laboration d un concept de p turage d termination de la charge en b tail p turage toute l ann e ou pendant la saison de v g tation etc e estimer le rendement agricole des surfaces concern es estimation du rendement quantitatif et qualitatif en viande par exemple et les revenus de l agriculteur incluant les subventions potentielles e rechercher des d bouch s pour les produits id alement la conclusion de contrats avec des clients locaux est recherch e bouchers restaurateurs collectivit s leveurs etc e r aliser des projets pilotes visant cr er une dynamique aupr s d autres agriculteurs e r aliser ult rieurement des documents de communication concernant le projet et les produits disponibles brochure panneaux etc L ann e 2004 tait caract ris par la mise en uvre du p turage extensif dans plusieurs r serves naturelles pour lesquelles une tude agricole avait t r alis e pr alablement et pour lesquelles un accord a t trouv avec les propri taires et les exploitants Ceci tait notamment le cas pour les projets Mensdorf la Haute S re Filsdorf et Wilwerdange Durant les mois d t 2004 les projets de valorisation cologique et paysag re au moyen d un p turage extensif par des races rustiques taient la cible de critiques d un mouvement du milieu associatif Le service de la conservation
417. r sente comme suit Getr nkebereich Mehrweganteile bei Getr nken insgesamt und nach Getr nkebereichen ohne DEUTSCHLAND Milch 1 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2000 Getr nke insgesamt ohne WW 72 87 72 27 72 21 71 33 70 13 68 68 64 98 61 13 56 24 Milch Mineralwasser 89 53 8903 88 68 8831 8744 8494 8096 7403 6833 Fruchts fte u andere 38 76 38 24 37 93 36 81 35 66 34 75 33 62 33 16 29 46 Getr nke ohne Erfrischungs getr nke mit ECH 7666 7531 77 50 77 76 77 02 74 90 66 96 60 21 53 97 Bier LL 8103 7907 79 02 7788 7614 7483 72 81 7084 67 09 Wein 2854 3042 2866 2810 2620 2675 2503 2541 2529 Pasteurisierte Konsummilch 26 e 28 24 30 20 50 o 25 Ge 21 Ge 18 16 D 13 insgesamt davon Mehrweg 2469 22 54 20 10 17 99 15 20 13 20 11 80 11 50 10 20 Schlauchbeutel 225 5 907 1050 12 22 9701 8 701 710 440 3 10 En comparaison avec les donn es disponibles pour l Autriche la situation se pr sente comme suit Getr nkebereich OESTEREICH Mehrwegquoten 1 Luxemburg 2002 sterreich 2002 2 5 8 Les d chets d quipements lectriques et lectroniques DEEE 2 5 8 1 Travaux pr paratoires pour la mise en uvre de la r glementation sur les DEEE Outre le volet r glementaire concernant la transposition en droit national de la directive 2002 96 CE relative aux d chets d
418. r sineux Cependant suite un printemps 2004 pluvieux et froid cette population n a pas su se d velopper correctement et la population a fortement baiss par la suite Quant aux feuillus c est le h tre qui est le plus touch Si les attaques de scolytes sont minimes voire nulles les attaques par les champignons se multiplient Si la premi re vague de la maladie complexe du h tre semblait tourner vers son d clin en 2003 la h traie se voit confront e une nouvelle vague partir du printemps 2004 Ces attaques par des champignons peuvent tre observ es dans quasi toutes les h traies d l Oesling Par endroit les champignons se d veloppent une vitesse telle que des peuplements entiers en souffrent et risquent de d p rir va de soi qu il faudra veiller de pr s l volution de cette maladie Un autre effet de cet t exceptionnel est la floraison suivie d une fructification exceptionnelle de la majorit des essences foresti res Or comme la fructification demande un apport d nergie important aux arbres ce ph nom ne a affaibli davantage les peuplements forestiers 3 2 4 5 R g n ration plantation travaux de culture Les plantations sur coupes rases ont t limit es aux parcelles o l ancien peuplement a d c der cause d une attaque de bostryche soit 6 ha Toutes les autres plantations ont t r alis es sous couvert 6 ha Cette m thode pratiqu e depuis plusieurs ann es
419. r Klasse 4 f r den Bereich der klassifizierten Einrichtungen festgelegt sind Industrie alimentaire Formulaire de demande d autorisation n 130 distilleries F 130 Expos succinct n 130 distilleries EXP 130 Formulaire de demande d autorisation n 170 forages en profondeur F 170 Expos succinct n 170 forages en profondeur 170 Tourisme Formulaire de demande d autorisation n 67 campings F 67 Expos succinct n 67 campings EXP 67 Formulaire de demande d autorisation n 251 installations de natation F 251 Expos succinct n 251 installations de natation EXP 251 Traitement des d chets Formulaire de demande d autorisation n 19 2 travaux d assainissement et d enl vement d amiante et de produits contenant de l amiante Expos n 19 2 travaux d assainissement et d enl vement d amiante et de produits contenant de l amiante Expos succinct n 125 d contamination de sites EXP 125 Formulaire de demande F 63 2 a concasseurs mobiles Fiche signal tique FS 63 2 a lieu d exploitation d un concasseur mobile Expos succinct EXP 63 2 concasseurs mobiles 39 2 3 2 2 Service construction infrastructures artisanat et loisirs 2 3 2 2 1 Zones d activit s commerciales artisanales et industrielles Avec l entr e en vigueur de la loi du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s ainsi que du r glement grand ducal modifi du 16 juillet 1999 portant nomenc
420. r de d boucher moyen terme sur des peuplements d grad s ou de toujours revenir sur une situation de futaies quiennes 3 3 9 La participation la f te foresti re Clervaux et la Journ e Nationale du Cheval de Trait La traditionnelle f te foresti re B schfest Clervaux qui s est d roul e du 29 juillet au ao t 2004 a t organis e par l association Les B cherons du Nord en collaboration avec l Administration des Eaux et For ts A c t du programme traditionnel constitu par des concours de b cheronnage et de d bardage ainsi qu un concours hippique de saut d obstacles cette manifestation a permis de pr senter aux visiteurs les machines et modes de travail tant t antiques tant t modernes pour une utilisation du cheval de trait dans h gestion de zones naturelles Tandis que lors des f tes foresti res pass es les d monstrations du travail des chevaux de trait s taient limit es au seul d bardage en for t l accent a t mis en 2004 sur l utilisation du cheval de trait dans les milieux ouverts Ainsi les visiteurs ont pu admirer le savoir faire de huit chevaux de trait et de leurs meneurs dans des travaux aussi vari s que le labourage la fauchage le fanage ainsi que la r colte des foins A c t de ces utilisations du cheval de trait en agriculture l utilisation d un porteur moderne pour les travaux de d bardage a galement t montr e Dans le cadre de la Journ e National
421. r de demande pour pouvoir utiliser des cendres volantes dans son usine pour la production de clincker Des informations suppl mentaires ont t demand es en date du 17 mai 2004 Elles nous sont parvenues en date du 26 novembre 2004 Le dossier sera envoy aux communes aff rentes en vue de la proc dure pr vue la loi Dossier N 1 04 0135 Dossier D chets N 04 PT 03 En date du 13 avril 2004 la soci t Polygone a introduit un dossier indiquant la cessation d activit s sur son site de Bonnevoie En date du 15 avril 2004 le fonds pour le d veloppement du logement et de l habitat a introduit un dossier de demande pour pouvoir entreposer temporairement des scories provenant du chantier des anciens terrains CFL pr s de Rumelange sur un site situ le long de la route menant de Rumelange Esch L autorisation a t d livr e en date du 24 ao t 2004 pour une p riode d un an Dossier 1 04 0146 Dossier D chets N 04 PE 01 En date du 26 avril 2004 un dossier de demande a t introduit par la SDK afin de couvrir l am nagement de r servoirs et d une station de distribution aff rente pour pouvoir utiliser du diesel biologique L arr t minist riel est en cours de r daction Dossier 1 04 0164 Dossier D chets N 02 PR 01 01 La soci t Intermoselle S r l a introduit en date du 30 avril 2004 un dossier de demande en vue de pouvoir effectuer des essais avec des combustibles issus du traitement m c
422. r durablement les missions NO En ce qui concerne le site de production Bascharage le groupe a entam plusieurs tudes afin de d terminer la possibilit de r duire les missions de NO par la m thode secondaire SCR bas e sur l injection d ammoniaque avec un passage des fum es travers des catalyseurs En ce qui concerne l industrie de caoutchouc la Division des tablissements class s continue la r vision des autorisations et demandes de la soci t GOODYEAR en vue d une r gularisation notamment des usines TIRE PLANT WIRE PLANT et FABRIC PLANT Le tableau c dessous montre un relev par domaine d activit des dossiers finalis s en 2004 Domaine d activit EE Industries travaillant des m taux Industries min rales 9 En raison de la diversit et de la complexit des entreprises industrielles l administration ne peut laborer des formulaires de demande d taill s Elle se limite dans ce domaine un formulaire d ordre g n ral 2 3 2 5 Service transports et approvisionnement 2 3 2 5 1 Dossiers cl tur s Pendant l ann e 2004 141 dossiers de demande d autorisation ont t trait s Il s agit d un c t de dossiers qui ont abouti une autorisation minist rielle mais aussi de dossiers qui ont t cl tur s cause de d passements de d lais de dossiers annul s ou de demandes introduites en vertu de l article 6 comme modification non substantielle mais qui ont t
423. r l ann e 2005 le tableau de saisie des quantit s de d chets lectriques et lectroniques t adapt suite la directive 2002 96 relative aux d chets d quipements lectriques et lectroniques 98 Le graphique suivant reprend les quantit s totales collect es de 1994 2003 pour les fractions papier carton verre creux m taux mati res plastiques bois charg s d chets probl matiques et d chets encombrants Par rapport l ann e 2002 on constate que tout comme les ann es pr c dentes les quantit s papier carton verre creux m taux mati res plastiques et les d chets probl matiques ont augment Le bois charg et les d chets encombrants ont de nouveau augment apr s une ann e de baisse Ann e Papier Carton creux M taux Mati res plastiques charg s D chets probl matiques D chets encombrants 1994 REISE 51137 128257 ELE 139921 REGER 454 1995 282037 a 216524 559146 31101 a 1996 3355 67 1565 22 2120 70532 3677 42 60254 ene 1999 5185 60 ___ 2457 24 2817 65 1038 55 5184 00 938 91 EARCH 000 EE 3275 55745 EC 10166 516535 623563 3502 55007 92129 EE 2002 695863 202728 mose on RRC RRE 6 6 Quantit s globales collect es dans les parcs de recyclage Papier
424. r le calcul d une moyenne annuelle et doit prot ger la sant humaine La valeur limite est respecter partir du 1 1 2010 Jusqu au 31 d cembre 2005 une marge de d passement de 5 ug m est accord e et ajouter la valeur limite Ainsi jusqu au 31 d cembre 2005 la teneur en benz ne dans ambiant ne devrait pas exc der 10 ug m 62 Le niveau moyen annuel benz ne estim 3 ug m en 2004 se situe une valeur inf rieure la valeur limite La validation d finitive des r sultats doit encore tre r alis e afin d affiner cette valuation de la teneur en benz ne au site de Luxembourg Centre La baisse des niveaux en benz ne dans l air ambiant est essentiellement attribuable la diminution de la teneur en benz ne dans l essence commercialis e MONOXYDE DE CARBONE CO La directive europ enne 2000 69 CE du 16 novembre 2000 reprise dans le r glement grand ducal du 25 juillet 2002 fixe une valeur limite de 10 mg m pour le monoxyde de carbone relative la protection de la sant humaine valeur reprise de l O M S Elle repr sente le maximum journalier de la moyenne 8 heures relev sur le site de mesure La valeur limite du monoxyde de carbone est respect e aux trois sites de mesure Luxembourg Centre Luxembourg Bonnevoie et Esch Alzette Les valeurs moyennes 8 heures maximales de l ann e se situent entre 2 8 et 3 3 mg m Depuis 1995 la valeur limite de 10 mg m n est plus d
425. r le propri taire actuel du terrain afin d effectuer une tude du sol du sous sol et des eaux souterraines Cette tude devrait clarifier la situation sur l envergure de la contamination et sur les possibilit s d assainissement ou de s curisation possible 157 2 5 19 3 3 Ancienne usine gaz situ e rue St Querin Grund Luxembourg ville Lors des travaux effectu s par l administration communale de la ville de Luxembourg en hiver 1993 une ancienne cuve contenant un liquide noir d gageant de fortes odeurs a t trouv e aupr s de l ancien emplacement de l usine de gaz rue St Querin Grund L acc s vers ce terrain a imm diatement t ferm au public Apr s v rification du contenu de la cuve il a t constat qu il s agissait d un m lange de goudron eaux se pr sentant sur forme liquide et p teuse Ce produit est typique pour les anciennes usines gaz tout comme le fait d effectuer son stockage dans une cuve se trouvant dans le sol Des analyses ont confirm une forte concentration de HAP hydrocarbures aromatiques polycycliques Les anciens plans de l usine gaz ne comprenaient aucune indication sur la capacit de cette cuve En premier lieu il a t d cid de pomper la phase liquide de la cuve et de la faire vacuer par une soci t agr e Ensuite une tude historique du terrain complet a t effectu e par un organisme agr afin de d terminer avec la plus grande exactitude les diverses installat
426. r probable du ostor au Grand Duch de Luxembourg le Service de la Conservation de la Nature poursuivi ensemble avec le Minist re de l Environnement la campagne d information Ech kommen r m Benny de Biber Les actions suivantes ont t r alis es e publication de la brochure Biber in Luxemburg R f rence compl te Schley L Sinner S Venske amp A Stern 2004 Biber in Luxemburg Administration des Eaux et For ts Luxembourg 20 S e deux conf rences sur le castor au Mus e national d histoire naturelle 19 avril 2004 respectivement au ch teau de Clervaux 20 avril 2004 dans le cadre de la s rie de conf rences de la Soci t des Naturalistes Luxembourgeois e communication sur le castor dans le Panewippchen organe de liaison du Panda Club et journal sur la protection de la nature pour jeunes e participation un workshop an Bavi re concernant la gestion du castor e visite de sites castor en Sarre avec le cantonnement de Grevenmacher e lancement du projet pilote Lebensraumverbesserung f r den Biber dans le cantonnement de Grevenmacher avec 3 actions de plantation de saules avec l aide de classes des coles primaires de Grevenmacher Junglinster et Lenningen 3 4 3 3 STE Nuit Europ enne de la chauve souris Mersch Le 10 juillet 2004 a eu lieu l glise de Mersch la 8 me Nuit Europ enne de la Chauve Souris organis e par le Service de la Conservation de la Natur
427. r que les d chets probl matiques 1 9 et le verre creux 0 8 ont gagn du terrain En appliquant une pond ration sur le poids total les d chets inertes 1 1 la fraction des autres d chets 0 7 les d chets encombrants 0 5 et les d chets papier carton 0 5 ont perdu du terrain par rapport 2002 Une pr sentation plus d taill e des donn es sur les quantit s de d chets collect s dans les parcs conteneurs est disponible sur le site Internet www environnement public lu d chets statistiques et indicateurs activit s des parcs conteneurs Les graphiques suivants montrent une analyse des fractions des d chets lectriques et lectroniques collect s dans les parcs conteneurs Composition en de poids des d chets lectriques lectroniques collect s dans les parcs de recyclage en 2003 7 des fractions non per lo directive 2KLSRGKE et avec composants acosmutateurs dangereux 1058 001 sans Composants 138 dangereux 50 07 ludes D n supports de donn es 259 composants dangereux 1512851 t appareiles frigorfgues Bavec composants dangereux 0138 25 55 Dpibes el accumulateurs 271 005 34 4821 Dhbes fluorescents 22 04 Bsupronts de donn es 55 4551 Basparsiles frigorifques 254 2571 Total 2 551 31 En 2003 la quantit totale de 2 561 3 tonnes de d chets le
428. rand ducal du 28 d cembre 2001 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique solaire de la biomasse et du biogaz M morial A N 135 du 28 juillet 2004 Texte coordonn du r glement grand ducal du 17 juillet 2001 instituant un r gime d aides pour la promotion de lutilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des sources d nergie renouvelables M morial N 135 du 28 juillet 2004 Texte coordonn du r glement grand ducal du 28 d cembre 2001 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique solaire de la biomasse et du biogaz M morial N 135 du 28 juillet 2004 21 Loi du 23 d cembre 2004 1 Etablissant un syst me d change de quotas d mission de gaz effet de serre 2 Cr ant un fonds de financement des m canismes de Kyoto 3 Modifiant l article 13bis de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s M morial N 210 du 30 d cembre 2004 1 6 2 Conseils Environnement 1 6 2 1 Conseil Environnement du 02 mars 2004 a D bat d orientation Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil concernant les transferts de d chets La proposition a pour objet de transposer dans la gislation communautaire une d cision du Conseil de l OCDE ainsi que la convention de M le r vis e ces d
429. ransformateurs peuvent continuer tre utilis s jusqu au 31 d cembre 2010 Les donn es de l inventaire permettent galement de calculer la masse totale des PCB encore pr sente dans des transformateurs au Luxembourg Sur base du volume total des huiles et des concentrations en PCB on peut fixer cette masse 343 17 kg 112 Le tableau suivant montre la r partition des concentrations PCB dans transformateurs en fonction de leur ann e de construction Ann e de lt limite de lt S50mg kg 50 500mpg kg 500 5000mg kg gt 5000m g kg construction d tection se SS 76 1950 1954 o 1960 1964 1965 1969 1970 1974 O AO PE _ 1 200204 La majorit des transformateurs qui pr sentent des concentrations en PCB sup rieures 50 mg kg ont t construit avant 1985 Bien que l utilisation des PCB ait t interdite depuis la fin des ann es 80 on constate que quatre transformateurs datant d apr s 1990 ont encore des concentrations en PCB comprises entre 50 et 500 mg kg Comme les quipements dont les liquides contiennent plus que 500 mg kg de PCB PCT ne sont plus autoris s tre utilis s partir du 31 d cembre 2005et qu ils par cons quent tre limin s ou d contamin s les propri taires de ces quipements en ont t inform s par lettre circulaire en
430. raphique l cran et sur papier moyennant des pictogrammes renseignant leur nature la localisation g ographique des diff rents objets inventori s Tous les objets identifi s lors de l inventaire doivent un certain moment tre visit s sur le terrain ils sont photographi s cette occasion et leurs coordonn es g ographiques sont mesur es l aide d un r cepteur GPS Le d veloppement de la base de donn es de structure fort complexe a pu tre achev en 2004 de m me que le module servant l encodage des donn es La base de donn es contient 3 grands types de donn es e les donn es sur le patrimoine historique en for t e les donn es sur les arbres remarquables situ s en premier lieu hors for t e les donn es sur les arbres abritant des plantes ou des animaux rares notamment des mousses rares des chauves souris des oiseaux rares Afin d assurer la coh rence des donn es le choix pour la plupart des variables doit tre fait sur base de listes d roulantes pr d finies L ensemble des cat gories constituant les diff rentes variables ont t d finies et valid es Les cat gories d finies pour la variable objet sont les suivantes e arbre cornier arbre remarquable e ponceau tunnel autres constructions r centes e faune flore arbre e signes d anciennes occupations du sol e ch teau ch teau fort camp retranch fortification du Moyen Age e grotte caverne abri sous
431. ravail sur les projets en cours sur les membres du groupe ainsi qu un certain nombre de documents t l chargeables 1 6 L gislation environnementale et Conseils Environnement UE 1 6 1 Lois et r glements grand ducaux publi s au M morial en 2004 R glement grand ducal du 12 janvier 2004 modifiant le r glement grand ducal du 06 avril 2001 concernant la disponibilit d informations sur la consommation de carburant et les missions de CO l intention des consommateurs lors de la commercialisation des voitures particuli res neuves M morial A N 4 du 23 janvier 2004 Loi du 19 janvier 2004 e concernant la protection de la nature et des ressources naturelles e modifiant la loi modifi e du 12 juin 1937 concernant l am nagement des villes et autres agglom rations importantes e compl tant la loi modifi e du 31 mai 1999 portant institution d un fonds pour la protection de l environnement M morial A N 10 du 29 janvier 2004 Loi du 25 juin 2004 relative la coordination de la politique nationale de d veloppement durable M morial A N 102 du 2 juillet 2004 R glement grand ducal du 20 juillet 2004 modifiant le r glement grand ducal du 17 juillet 2001 instituant un r gime d aides pour la promotion de l utilisation rationnelle de l nergie et la mise en valeur des sources d nergie renouvelables M morial N 135 du 28 juillet 2004 R glement grand ducal du 20 juillet 2004 modifiant le r glement g
432. re administrative non contentieuse l application de la l gislation relative la protection des donn es l application de la l gislation relative aux agr ments la responsabilit environnementale la coop ration transfronti re l application des meilleures techniques disponibles ainsi de suite Pour 2004 deux dossiers m ritent d tre rappel s 1 L implantation d une grande surface commerciale en Belgique proximit directe de la fronti re luxembourgeoise fait couler beaucoup d encre Le service juridique a contribu l examen juridique de ce dossier 2 Les dossiers commodo incommodo a rogare et a roport profond ment d battus depuis 1999 ont d finitivement t jug s par le Tribunal administratif 26 2 1 2 3 Constitution de dossiers requis dans le cadre de proc dures contentieuses Dans le cadre de la plupart des recours contentieux port s devant les juridictions administratives le service juridique a pr par en collaboration avec les diff rentes divisions concern es des notes explicatives en vue de la pr paration des m moires en d fense La majorit des recours concernaient la l gislation sur les tablissements class s L interf rence entre la l gislation sur les tablissements class s et la l gislation sur l am nagement du territoire a souvent t au c ur des litiges p ex la possibilit de l implantation d un tablissement class au regard des dispositions d urban
433. re des chaudi res copeaux de bois surtout communales est en nette augmentation par rapport aux ann es pr c dentes Une vingtaine d installations utilisant des copeaux de bois est op rationnelle respectivement sont en voie de planification Une brochure d information destination des communes conna t un succ s franc cf 3 1 6 Commercialisation du bois de trituration 4 La maladie complexe du h tre a engendr une collaboration intense avec les administrations foresti res et des instituts de recherche des pays voisins cf Chapitre Service de Am nagement des bois 5 Le Programme Forestier National Le Programme Forestier National Luxembourgeois a t finalis au cours de l ann e 2004 La r alisation du DEN est exig par de nombreux textes internationaux en mati re de gestion foresti re durable Ce programme consiste rassembler tous les acteurs de notre soci t int ress s de pr s ou de loin la for t Ainsi les propri taires de for ts publiques et priv s les associations en mati re de protection de la nature et de la chasse les entrepreneurs forestiers les marchands de bois etc discutent dans des forums avec la but de d finir les grandes lignes d une politique en mati re de gestion de for ts cf Cellule informatique 3 1 1 L gislation Des documents de travail ont t labor s dans les domaines crapr s conventions route du nord certification des for ts Fonds pour la Protection de
434. ris en charge ECOTREL sans provenir d un de ces membres Ces discussions doivent tre poursuivies et les r sultats doivent tre mis en uvre jusqu au 13 ao t 2005 Afin de pouvoir g rer d une part les notifications d enregistrements des producteurs qui ont opt pour une solution individuelle et d autre part les rapports annuels tant de ces producteurs que d ECOTREL une banque de donn es informatiques est en train d tre mise en place Un des objectifs du logicel est de fournir aux diff rents producteurs responsables la possibilit de fournir l Administration de l environnement les donn es requises via une plate forme Internet En m me temps ce logiciel devra permettre notre administration de calculer les parts de march s des diff rents responsables ainsi que les quantit s de DEEE collect es sans avoir besoin de saisies manuelles et fastidieuses de donn es 2 5 8 2 Quantit s de DEEE collect s Bien que la r glementation relative aux DEEE ne soit pas encore en vigueur ces d chets sont n anmoins collect s de fa on s lective depuis un certain temps Les structures principales qui collectent ces d chets sont les parcs de recyclage les collectes de porte porte organis es par les communes la SuperDrecksK scht Dr Biirger et la SuperFreonsK scht En outre des DEEE provenant des milieux professionnels sont directement pris en charge par des collecteurs agr s Le tableau suivant reprend les don
435. rme de gaz 11 Contr les des missions A12 Contr les de la qualit de l air A13 Contr les du fonctionnement des appareils de mesure en continu et calibration de ces appareils A14 Contr les des instruments de mesure vis s l article 13 4 du r glement grand ducal modifi du 23 d cembre 1987 relatif aux installations de combustion aliment es en combustible liquide ou gazeux A2 Substances organiques sous forme de gaz A21 Substances autres que ceux reprises sous A22 A211 Contr les des missions A212 Contr les de la qualit de l air A22 Substances hautement toxiques dans des petites concentrations notamment dioxines et furannes A221 Contr les des missions 2211 Prises d chantillons 34 2212 222 2221 2222 A23 A3 A31 A311 A312 A32 A321 A322 A33 A34 A341 A342 A4 A41 AS 51 52 B1 B11 B12 B13 B2 B21 B22 B3 B31 1 2 C3 C4 CS C6 C7 C8 C9 C10 D D1 D2 Analyses Qualit de l air Prises d chantillons Analyses Contr les du fonctionnement des appareils de mesure en continu et calibration de ces appareils Poussi res composition des poussi res et compos s chimiques adsorb s aux poussi res Contr les des missions Prises d chantillons Analyses Qualit de l air Prises d chantillons Analyses Contr les du fon
436. rme et se concr tiser dans les prochaines ann es au Luxembourg ainsi que les structures institutionnelles appel es y donner suite dans l optique d un processus d cisionnel int gr La loi instaure d une part le Conseil Sup rieur pour le d veloppement durable qui constitue l organe de r flexion de discussion et de conseil en mati re de d veloppement durable Il est en premier lieu un forum de discussion qui doit permettre galement le d bat contradictoire et direct au sujet des actions du Gouvernement en mati re de d veloppement durable L autre instrument institu par la loi est la Commission interd partementale du d veloppement durable comprenant des repr sentants de tous les d partements minist riels et qui a comme mission principale de pr parer et de r diger le plan national pour un d veloppement durable qui est soumis dans la suite au Gouvernement pour approbation Une autre mission de la commission consiste tablir un rapport concernant la mise en uvre du d veloppement durable dans les diff rentes politiques sectorielles Les autres instruments pour la mise en uvre de l action gouvernementale sont e plan national pour un d veloppement durable tabli tous les 4 ans doit pr ciser les domaines d action les objectifs et les actions prendre dans la perspective du d veloppement durable et repr sente un document politique dont le Gouvernement assume la responsabilit finale et qui doi
437. route et 60 km h sur toutes les autres routes viter l emploi de peintures solvants organiques Un syst me d change de donn es entre diff rents tats membres de l UE est maintenu sur une base journali re et r guli re depuis plusieurs ann es La valeur maximale d ozone relev e le jour pr c dent par des stations repr sentatives choisies dans chaque pays ainsi que la derni re mesure du matin disponible est transmis l organisme collecteur Technology plc au Royaume Uni au plus tard 12 heures Le bloc de donn es collect es est redistribu tous les pays participants Ces donn es sont int ressantes pour observer la situation des niveaux d ozone atteints dans les pays voisins ainsi que le d placement g ographique de l pisode de pollution par l ozone en Europe COMPOSES ORGANIQUES VOLATILS METHANE CH4 ET HYDROCARBURES TOTAUX Les niveaux des hydrocarbures organiques les plus volatils et les plus simples du point de vue structure chimique hydrocarbures aliphatiques de Cg g n ralement sont valu s Elvange Mondorf les Bains et Esch Alzette Les analyseurs d terminent l aide de deux canaux de mesure le m thane et les hydrocarbures totaux HCT m thane hydrocarbures aliphatiques La station rurale d Elvange pr s de Mondorf les Bains mesure l influence des compos s organiques volatils transport s plus longue distance en provenance de la Sarre de la Lorraine
438. rs naturels et semi naturels sur la totalit de sa couverture bois e La compatibilit de la typologie utilis e avec celle de la Directive Habitats Faune Flore 92 43 conf re cette cartographie une place de premier plan dans la mise en oeuvre de cette directive europ enne et de son r seau de sites pr server baptis Natura 2000 Les applications pratiques qui peuvent en tre faites sont nombreuses et de premi re importance pour la pr servation des for ts et de leur biodiversit outre la r alisation de plusieurs outils technico financiers de mise en uvre de la Directive Habitats la cartographie a t la base de la s lection des massifs forestiers int grer dans le r seau de for ts int grales en libre volution Elle a donn lieu resp contribu la publication de 3 ouvrages de r f rence le Guide d identification et de gestion int gr e des habitats forestiers d int r t communautaire R gions Luxembourg et Wallonie les Cahiers d Habitats Forestiers ainsi qu un ouvrage richement illustr d information du grand public intitul Les For ts naturelles et semi naturelles du G D de Luxembourg 216 La cartographie des v g tations foresti res trouvera par la suite d autres applications dans le cadre des projets d am nagement des for ts des plans de gestion des futures Zones Sp ciales de Conservation des Habitats Naturels d Int r t Communautaire ou des R
439. ructur s dans leur ensemble Le terrain est vallonn avec diff rents types d expositions Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melico Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe un vingti me de la zone R sineux feuillus en m lange broussailles et arbustes recouvrent le restant de la future zone d limit e pour le projet recouvre une superficie de 154 ha et appartient presque int gralement la commune Uniquement 5 appartiennent des propri taires priv s Avancement du projet Le dossier de classement pour le projet Grouf est finalis ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Par ailleurs la partie dite r serve foresti re int grale comprend deux zones de qui tude Ce zonage s explique comme suit e d un c t la propri t de la commune qui a donn son accord pour participer au projet est int gr e dans la partie dite r serve foresti re int grale et b n ficiera des primes biodiversit apr s le classement en tant que zone prot g e e de l autre c t les propri t s des propri taires priv s sont incluses dans la partie dite r serve dirig e Cette zone constitue une sorte de zo
440. s 208 Le Service Am nagement organis une excursion avec le D partement des Sciences et de la Gestion de l Environnement de la FUL d Arlon Le but de cette excursion tait d abord de montrer aux tudiants les diff rences qui existent entre une for t g r e et une for t qui pr sente de nombreuses caract ristiques d une for t naturelle et d expliquer ainsi le fonctionnement des cosyst mes forestiers Par la suite les habitats sp cifiques des for ts g es ont t pr sent s ainsi que la faune et de flore qui sont inf od s ce type de milieu sp cifique 3 3 5 12 Le monitoring dans les RFI Afin de pouvoir r aliser le suivi scientifique des cosyst mes forestiers dans les RFT le Service s est assur la collaboration de la Forstliche Versuchs und Forschungsanstalt Baden W rttemberg FVA qui dispose d une exp rience r ussie et de longue date en la mati re Ainsi un contrat de trois ans 2004 2006 a t conclu entre la FVA et l Administration des Eaux et For ts pour une assistance scientifique et technique des au Grand Duch de Luxembourg Cette collaboration comporte les domaines suivants e Assistance scientifique de la FVA pour le d veloppement d une m thodologie adapt e aux besoins luxembourgeois permettant un relev exhaustif des peuplements forestiers dans une r serve cette m thodologie se basant essentiellement sur celle utilis e au Baden W rttemberg e Assista
441. s Pour l ann e 2004 le nombre total de subsides pay s s l ve 77 Au tableau crapr s sont r capitul s les diff rents types de traitement Nouvelles demandes Proc s verbaux provisoires Proc s verbaux d finitifs Total des dossiers trait s Les 28 proc s verbaux pour reboisement ou r g n ration r alis s correspondent une surface totale trait e de 43 36 ha Un subside a t accord pour la construction d un chemin forestier 3 2 7 7 D g ts de gibier 193 d clarations de d g ts de gibier sur les champs et pr s ont t introduites par les propri taires respectifs 3 2 7 8 Conservation de la nature L entretien de plusieurs plantations de haies et d un biotope aquatique r alis es dans le cadre des mesures compensatoires de la route de liaison avec la Sarre sont relever parmi les travaux que le cantonnement de Luxembourg Est a entrepris en faveur de la conservation de la nature 187 Dans la r serve naturelle Haard au triage de Dudelange ont t r alis s les travaux suivants Entretien et r fection de la place pique nique l entr e de la r serve naturelle Haard Reconstruction de deux cabanes en bois Schutzh tte l int rieur de la r serve Haard e Entretien d un verger dans la r serve naturelle Haard Le parc public Leh est entretenu par notre le personnel du triage de Dudelange Dans ce cadre a proc d un lagage de s
442. s commodo trait s pendant la p riode du 1er ao t 1999 date de la mise en vigueur de la loi du 10 juin 1999 jusqu en fin 2004 Type Sous type Classe du Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers Dossiers D cisions de dossier dossier encours d pos s complets incomplets soumis retourn s notifi es une EP d une EP Us no s 2 2 107 o Somme 208 297 ion 1 E Een ah a lem ooe an N PE Rees cessation Ge UE RUE PRE EE LEE IN EEE 50 2 3 2 6 3 Dossiers enregistr s sous l empire de la loi de 1990 En ce qui concerne les demandes sollicit es sous l empire de l ancienne loi c est dire avant le 1 ao t 1999 l administration a trait 1 437 dossiers savoir Tr Somme CN 17 6_ 3 Les dossiers annul s sont pour une bonne part remplac s par de nouveaux dossiers enti rement revus et actualis s par les requ rants Ces nouveaux dossiers figurent parmi ceux introduits en vertu de la l gislation actuellement en vigueur Outre les dossiers pr cit s la Division des Etablissements Class s attend dans 222 cas une r ponse de la part du requ rant des informations suppl mentaires demand es y a par ailleurs 398 dossiers qui doivent tre trait s par l administration 51 2 4 Division
443. s s A part le Minist re de l Environnement le pr sent projet permet de r unir autour d un m me th me savoir la r serve naturelle du Strombierg un nombre exceptionnel de partenaires qui soutiennent activement le projet e la commune de Remerschen notamment pour les aspects culturels historiques et touristiques e l entreprise KNAUF qui a connu ses d buts dans les mines de gypse du Strombierg e service des Sites et Monuments pour l exploitation mini re et les aspects culturels et historiques e Service G ologique pour les aspects g ologiques Diff rents aspects du projet Outre les travaux de conception et de r daction du texte ainsi que les travaux de graphisme et production des 23 panneaux une mise en tat du sentier existant est effectu e ainsi qu une mise en valeur des anciennes entr es des galeries Des travaux d am nagement et de remise en tat du sentier existant taient n cessaires afin de le rendre plus praticable Dans le pass il y avaient diff rentes zones o l on ne pouvait pas passer sans difficult s Le chemin a t d gag et l assise du chemin par endroits tre r am nag e un endroit des escaliers en pierres naturelles ont t am nag es La grande majorit de ces travaux ont t effectu s la main M me les escaliers qui montent le long des falaises ont t dans un assez mauvais tat ici les marches ont t r ajust es et le garde corps m tallique
444. s s En effet les zones d activit en tant que telles sont galement reprises dans la nomenclature des tablissements class s sous le point 363 Par cons quent ces zones sont galement soumises autorisation pr alable en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La cr ation respectivement l am nagement d une telle zone figure dans la nomenclature pr cit e comme tablissement de la classe 1 Une demande relative la cr ation d une nouvelle zone doit par cons quent tre soumise une enqu te publique Les autorisations concernant les zones d activit s comprennent des conditions d am nagement et d exploitation jug es n cessaires pour la protection des int r ts vis es l article ler de la loi Lorsqu un tablissement artisanal tel que d fini la nomenclature s installe dans une zone d activit s autoris e le Ministre de l Environnement dispose de toutes les informations pour juger si l impact sp cifique de cet tablissement n aura pas d effets n gatifs sur les alentours imm diats Le r pertoire des zones industrielles ainsi que des zones d activit s autoris es selon la l gislation relative aux tablissements class s est indiqu ci apr s 40 Exploitant Bascharage Z A Zaemer Adm com de Bascharage section C de Bascharage lieu dit Zaemer Bascharage ZI Bommelscheuer Minist re de l Economie sections D et C de Bascharage li
445. s alv oles tanches s par es recouvertes et isol es les unes et les autres et de l environnement etc Belgique Traitement biologique non sp cifi ailleurs dans cette liste 1259340 5147690 2627109 aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 Belgique D09 Traitement physico chimique non sp cifi ailleurs dans cette 2609054 2111456 2144768 liste aboutissant des compos s ou des m langes qui sont limin s selon l un des proc d s num rot s D1 D12 p ex vaporation s chage calcination etc Belgique D10 Incin ration terre 1181815 1086814 1065743 Belgique D14 Re conditionnement pr alablement l une des op rations 14357 47329 65860 num rot es D1 D12 Belgique R01 Utilisation comme combustible autrement qu incin ration 656843 544159 992086 directe ou autre moyen de produire de nergie Belgique R02 R cup ration ou r g n ration des solvants 34680 30099 15480 Belgique Recyclage ou r cup ration des substances organiques qui ne 391278 3076722 3103784 sont pas utilis es comme solvants y compris les op rations de compostage et autres transformations biologiques Belgique RO4 Recyclage ou r cup ration des m taux ou des compos s 2812019 2656795 2972489 m talliques Belgique R05 Recyclage ou r cup ration d autres mati res inorganiques 49972169 437008 582870 Belgique R09 R g n ration ou autres r e
446. s int ressants valeur culturelle comme par exemple des t moignages des deux guerres mondiales refuges de r fractaires des t moignages de professions disparues comme celle des charbonniers de petits monuments en pierre avec des inscriptions des arbres remarquables ou simplement pittoresques La for t autrefois lieu des brigands et des hors la loi des sorci res des lutins et autres esprits malicieux abrite galement des monuments caract re religieux des oratoires des croix des chapelles des demeures d ermite forestier La for t pr sente galement des signes de la pr sence humaine r cente qui peuvent avoir un int r t culturel Comme la for t est une propri t fonci re ses limites sont souvent mat rialis es sur le terrain par des bornes ou des arbres cornier Certains difices en for t comme par exemple certains ponts certains captages de source peuvent tre plus qu une simple construction technique 212 Le but des travaux r alis s 2004 dans le domaine de la protection du patrimoine historique et culturel en for t a t celui de d velopper et de mettre en place une base de donn es permettant de rassembler les informations existant dans ce domaine et de mettre ces informations disposition des gestionnaires de terrain en vue d en assurer une meilleure protection A cette fin la base de donn es a t reli e un syst me d information g ographique permettant de visualiser sur une carte topog
447. s pour les liquides alimentaires pour les ann es 2002 et 2003 Suivant les statistiques disponibles il existe 253 acteurs dont 76 entreprises ayant leur si ge au Luxembourg qui mettent des liquides alimentaires au march luxembourgeois Dans une premi re phase uniquement les acteurs luxembourgeois taient consid r s pour la d termination des taux Ces entreprises ont t demand es par la Division des d chets de remplir un questionnaire sur le volume d emballages r utilisables et non r utilisables mis sur le march taux de r ponse 66 Apr s consolidation des donn es la situation suivante se pr sente pour le Grand Duch de Luxembourg Relevante F llg ter Getr nke Abf llquoten nach Bezugsjahren Vol LAN Bezeichnung e Bier 29141 294 08 Sonstiger Wein 9605 9609 09 Sonstige alkokolischen Getr nke 9985 099 85 Total On constate que les taux d emballages r utilisables ont fortement baiss en 2003 par rapport 2002 S il s agit d une tendance manifeste ou d une variation normale des stocks par exemple ceci devrait se confirmer par le recensement des donn es pour 2004 109 D diff rentes m thodes d analyse la comparaison des taux avec d autres pays europ ens n est possible que dans certaines limites Pourtant on peut constater que les taux des emballages r utilisables au Luxembourg sont en g n ral en dessous des taux des pays voisins En Allemagne la situation se p
448. s sur 35 tol r s Luxembourg Bonnevoie 5 d passements sur 35 tol r s en 2003 et 2 d passements Esch Alzette 1 d passement sur 35 tol r s en 2003 n y donc pas de d passement de la valeur limite moyenne 24 heures de 55 ug Pa Jm en 2004 e Valeur limite moyenne annuelle 41 6 ug m 293 101 3 kPa respecter 2004 lors de la phase 1 Valeur limite moyenne annuelle de 20 ug m 293 K 101 3 kPa respecter partir du 1 1 2010 lors de la phase 2 e L exploitation de la majorit des donn es r colt es au courant de l ann e 2004 donne comme r sultat provisoire une moyenne annuelle de 21 ug m Luxembourg Bonnevoie 28 ugim en 2003 et 17 ug m Esch Alzette 22 ug m en 2003 Il n y a donc pas de d passement de la valeur limite moyenne annuelle de 41 6 ug Pa Jm en 2004 Le r sultat de la moyenne annuelle du niveau de poussi res PM lt Esch Alzette donne sans facteur correctif une valeur de 13 14 ug m 2003 et 15 ug m en 2002 Les niveaux annuels sont comparables et semblent en l ger recul BENZENE C6H6 La directive europ enne 2000 69 CE du 16 novembre 2000 reprise dans le r glement grand ducal du 25 juillet 2002 fixe une valeur limite pour le benz ne 5 Le benz ne est le premier polluant dans l air ambiant caract re canc rig ne pour lequel une valeur limite a t introduite La valeur limite de 5 1g m est bas e su
449. s y r serv es Dans environ 60 cas une prise de position a t demand e l exploitant d un tablissement suite une inspection environnementale qui a r v l des non conformit s 5 des tablissements visit s ne disposaient pas d une autorisation d exploitation telle que requise par la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s Dans environ 20 cas le Parquet du Tribunal d Arrondissement t inform 2 3 2 5 3 Formulaires de demande d autorisation disponibles e Formulaire de demande d autorisation n 11 compresseur d air F 11 e Formulaire de demande d autorisation n 33 ateliers et garages de r paration et d entretien pour v hicules F 33 e Expos succinct n 33 ateliers et garages de r paration et d entretien pour v hicules EXP 33 e Formulaire de demande d autorisation n 36 garages et parkings couverts F 36 e Formulaire de d claration de la classe 4 D claration de mise en place et d exploitation d un parking couvert pouvant recevoir entre 5 et 20 v hicules FD 36 1 e Expos succinct n 36 garages et parkings couverts 36 e Formulaire de demande d autorisation n 224 1 4b d p ts d essence et ou de gasoil F 224 1 4b e Formulaire de d chration de la classe 4 D claration de mise place et d exploitation d un d p t de gasoil d une capacit allant de 300 litres 20 000 litres FD 224 4A e Expos succinct n 224 1 4 d p ts d essence
450. sammelte PVC 1 360 2 885 7 550 Verpackungen L analyse des produits emball s dans les supermarch s donn une image h t roclite Six supermarch s de diff rentes cha nes commerciales ont t visit s et les produits emball s dans des plastiques en PVC avec et sans marquage ont t recens s 108 Voici l exemple de 3 supermarch s Produkt Supermarkt 1 Marke Warengruppe Eigenmarke Bereich Food NonFood Emmental Suisse Rape K se F Produkt Supermarkt 2 Marke N N Produkt Supermarkt 3 Marke Warengruppe Food NonFood us tze f r Motor le STP F 1 _ einigungsmittel f r Innenraum Felgen reiniger Polierwach ahrzeugzubeh r olierwachs Buch Fa 3 5 1 SEET igur Mickey Mouse Si K phone CH A T b b confort olol olal a sels E 5 E SE O AER SIEIS 09 dk 0a lt lt 5 5 5 WEE 3f SIE 2 SIS nu gt 5 515 ET On peut conclure de l analyse des produits emball s que malgr l article 8 de la directive 94 62 CE relative aux emballages et aux d chets d emballages la plus grande partie des emballages n est ms marqu e et que les emballages en PVC sont notamment utilis s dans le domaine non alimentaire 2 5 7 2 2 Les emballages r utilisables Les taux des emballages r utilisables ont t d termin
451. sation de ce remblai font que les d penses globales d passent le montant de 7 5 millions d euros montant partir duquel une loi de financement sp ciale est requise h la d charge du Pafew Au cours de l ann e 2004 le chemin central qui repr sente une entaille entre les deux parties de la d charge a t remblay Pour l instant la couche finale est en cours d tre mise en place La d charge sera ensuite d finitivement ferm e 126 1 la d charge d Altwies Les capacit s de la d charge d Altwies sont d finitivement puis es L exploitation doit tre suspendue jusqu ce que l avancement de la carri re ait cr de nouveaux volumes pour le d p t de d chets inertes j la d charge de Moersdorf L exploitation de cette d charge suit son cours normal k la d charge de Remerschen L exploitation de cette d charge suit son cours normal 2 5 11 4 Le contr le des d charges pour d chets inertes Toutes les d charges pour d chets inertes ont t soumises en 2004 un contr le du respect des obligations qui d coulent de l autorisation tablie en vertu des dispositions de la loi du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets Le contr le a t effectu selon une syst matique tablie en 2003 et qui s inscrit dans le programme des inspections environnementales telles qu exig es la recommandation du Parlement europ en et du Conseil du 4
452. sation de la r daction du sch ma et la mise en uvre du premier projet pilote en for t priv e au Luxembourg En 2004 le sch ma de certification PEFC Luxembourg a t introduit officiellement aupr s du PEFCC pour de la reconnaissance du syst me En octobre 2004 le Conseil de gouvernement a donn son accord pour permettre une certification des for ts de l Etat suivant les standards du FSC standard bas sur la norme allemande et du PEFC standard luxembourgeois 3 1 7 Programme forestier national Le programme forestier national PFN est un programme intersectoriel d orientation strat gique pour le d veloppement du secteur forestier qui est plac sous le patronage conjoint du minist re de P Agriculture de la Viticulture et du D veloppement Rural et du minist re de 1 Environnement L origine des PFN remonte la Conf rence des Nations Unies de Rio 1992 ax e sur la conservation de la diversit biologique et l utilisation durable des ressources naturelles La volont de concr tiser un PFN au Luxembourg r sulte entre autre des engagements sign s par le gouvernement en avril 2003 Vienne lors de la Conf rence Minist rielle sur la Protection des For ts en Europe Le PFN est un programme intersectoriel qui doit fournir des orientations strat giques pour le d veloppement du secteur forestier en harmonie avec les autres secteurs de l conomie nationale pr voit la consultation et la participation de
453. sbaach Grevenmacher restauration d un ancien vignoble e Zone prot g e Um Bierg Bongert Altenhoven Bettembourg am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information restauration du Bongert Altenhoven e Zone prot g e Schlammwiss Ubersyren construction d un chemin sur pilotis pour baguage d oiseaux 221 e Zone prot g e Aarnescht Niederanven am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information dition d une brochure d information e Zone prot g e Pr nzebierg Giele Botter am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information laboration d un d pliant et d une brochure d information e Zone prot g e P llembierg Ahn et Niederdonven construction de vignobles en ma onnerie s che am nagement d un sentier didactique dition d une brochure e Zone prot g e Haff R imech Remich am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information mise en place d une hutte d observation mise en place de tours d observation installation d un mur pour hirondelles am nagement d une zone de r cr ation am nagement d une plate forme de baignade e Zone prot g e Conzefenn Weiswampach Troisvierges am nagement d un sentier didactique mise en place de panneaux d information
454. sement vont introduire leur demande pour l obtention de la prime d lectricit seulement au d but de l ann e 2005 Ceci explique la diff rence entre les nombre des installations subventionn es pour l investissement d une part et pour la prime d lectricit d autre part Nombre et primes accord s par type d installation en 2001 2004 Type d installation Nombre Prime accord e Energie produite kWh Capteur solaire photovolta que 1 157 335 49 2 241 023 Centrale hydro lectrique Chen nstallation fonctionnant au biogaz omme 515 1 831 614 53 29212181 Situation au 24 1 2005 80 Un montant global de 1 831 614 53 a t accord 2004 pour la production de 29 212 181 kWh d lectricit partir des sources d nergies renouvelables soit en moyenne 0 063 kWh Par rapport l ann e 2003 le montant global des primes accord es a augment de 222 en passant de 568270 1 831 614 53 tandis que l nergie produite n a augment de seulement 100 14 609 982 kWh en 2003 et 29 212 181 kWh en 2004 Ceci s explique par le fait que d une part le nombre globale des centrales hydro lectriques des installations fonctionnant au biogaz et des olienne n a augment de 38 en passant de 31 43 installations en 2004 D autre part le nombre des capteurs solaires photovolta ques augment de 141 en passant de 196 installations en 2003 472 installations en 2004 D autre part les
455. sites ruraux Particules inhalables en suspension dans l air d un diam tre gt 10 um protection de la sant humaine Respect de la valeur limite moyenne annuelle de 41 6 ug m fix e pour l ann e 2004 La valeur limite de 20 ug m fix e pour la phase 2 et respecter partir du 1 1 2010 n est pas respect e Plomb essentiellement dans les poussi res en suspension dans l air protection de la sant humaine Respect de la valeur limite en 2004 Benz ne C6H6 protection de la sant humaine Respect de la valeur limite Monoxyde de carbone CO protection de la sant humaine Respect de la valeur limite 54 2 4 2 Les r seaux de mesure de la qualit de l air Changements marquants intervenus au courant de l ann e 2004 e R seau de collecte des pluies Un nouveau collecteur de pluies ouverture et fermeture automatique a t acquis Le r seau de collecte des pluies comporte maintenant 3 stations avec la nouvelle station install e Luxembourg Ville en plein parc de la ville sur le toit de la Villa Louvigny Minist re de la Sant Situ e en milieu urbain avec ses sources d missions notamment la circulation automobile il sera int ressant de quantifier les esp ces chimiques dissoutes dans les pluies Un int r t particulier est accord aux oxydes d azote et dans un degr moindre les oxydes de soufre et les m taux lourds R seau automatique de contr le de la pollution de l air
456. ssement suppl mentaires ont toutefois encore d tre r alis s Une cl ture en bois ronds de robinier a t mise en place pour viter que les visiteurs ne se rapprochent trop des parois mises nu et soient bless s par des pierres qui pourraient ventuellement se d tacher Le projet initial consistant remettre en tat l acc s aux galeries a t remplac par l am nagement d une aire de repos ainsi que d un abri contenant des panneaux d information Ces am nagements l endroit ou se trouvait dans le temps un des acc s aux galeries rappellent les activit s d exploitation r alis es jadis dans les galeries et mat rialisent galement l entr e la r serve naturelle Les d blais qui dans le cadre de l exploitation du gypse taient sortis de la mine mais qui n taient pas achemin s vers l usine de traitement taient d charg s sur place et constituent actuellement des boulis int ressants du point de vue cologique D o l int r t d aborder les aspects g ologiques dans le cadre du sentier didactique de la r serve naturelle et de faire le lien avec les aspects ayant trait la conservation de la nature A d faut de pouvoir montrer les min raux qui furent exploit s dans une des galeries m me une exposition de pierres naturelles donnent un aper u sur les formations g ologiques typiques pour le site Les am nagements ont pu tre achev s en majeure partie en 2004 Le sentier sera enti rement termin
457. st effectu e par le cantonnement de Luxembourg Est Le cantonnement ainsi que les triages territorialement comp tents ont collabor aux projets de classement des r serves foresti res int grales suivantes e Projet de r serve int grale Betebuerger B sch Bettembourg e Projet de r serve int grale Laangmuer au Gr newald e Projet de r serve int grale a Diddelenger Hardt Dudelange Dans le cadre de la coop ration avec l Office National des For ts France concernant la gestion des placettes d observation longue dur e des cosyst mes forestiers le cantonnement a organis en mars 2004 la r union annuelle des observateurs du r seau Pr s de 80 personnes ont assist la r union dont 70 forestiers du r seau fran ais Le cantonnement a particip aux r unions de suivi du projet Interreg Probois Proholz projet ayant comme but la promotion et la vulgarisation du bois Autres activit s voquer e laboration d un cahier de charges et d un bordereau de soumission pour l acquisition de deux tracteurs de d bardage pour les triages de Contern et de Gr newald Kiem e guidance du projet Interreg concernant le d p rissement du h tre e r union de travail avec l Administration de l A roport pour pr venir l intrusion de gibier dans l ar al de l a roport Findel et laborer des proc dures d action en cas d urgence e laboration des panneaux pour le sentier forestier di
458. st pass de 491 en 2003 637 en 2004 soit une augmentation de 29 7 BEEN EELER 10 79 employ s 71 E 119 2 5 10 2 4 Les d chets collect s Si d un c t l objectif principal de la SuperDrecksKEscht Dr Betriber est le conseil et l assistance des entreprises en vue de la mise en place d une gestion cologique de leurs d chets un service de collecte est assur pour pouvoir garantir tout moment l vacuation des d chets m me en petites quantit s En 2004 2 293 tonnes de d chets ont ainsi t collect es dont plus ou moins la moiti par la SuperDrecksK scht Dr Betriber elle m me l autre moiti tant collect e par des collecteurs agr s travaillant en sous traitance Comme la vocation de la SuperDrecksK scht Dr Betriber n est pas celle d tre collecteur de d chets les entreprises rattach es sont inform es par l action sur les collecteurs agr s existant sur le march SuperDrecksK scht fir Beetriber Eingesammelte Mengen und angeschlossenen Betriebe 4000000 3500000 3000000 2500000 2 2000000 E D H N lt 1500000 1000000 500000 a Gesamtmenge e Betriebe 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 Il ressort du graphique ci dessus que l volution des quantit s de d chets collect s affiche une l g re tendance vers la baisse alors que le nombre d entreprises rattach es conna t une augmenta
459. st plus pr sent au deuxi me essai et a t consid r comme ayant chou aux preuves en question Des 43 candidats qui se sont pr sent s l preuve crite 1 candidat 1 9 a t refus Lors de l preuve orale 1 candidat a t refus de sorte que 41 candidats 78 8 ont r ussi toutes les preuves de l examen de chasse En outre un candidat a r ussi les preuves crite et orale de l examen de chasse et se soumettra en 2004 aux preuves de tir Finalement 1 candidat d tenteur d un certificat reconnu quivalent la partie th orique de l examen de chasse luxembourgeois a particip l preuve de tir et y a r ussi 3 5 9 5 Modification du r glement grand ducal ducal concernant les conditions modalit s de l examen d aptitude pour la d livrance du premier permis de chasse Un groupe de travail pr sid par le chef de service de la Chasse s est r uni plusieurs fois en vue de discuter sur certaines modifications porter au r glement grand ducal concernant les conditions et modalit s de l examen d aptitude pour la d livrance du premier permis de chasse Les changements les plus substantiels par rapport la r glementation existante propos s sont les suivantes e Les trois preuves de l examen peuvent tre pass es s par ment e attendant une r forme plus substantielle de l preuve de tir aucun changement n est actuellement propos pour cette preuve e preuve crite
460. stater une augmentation significative des demandes provenant des citoyens par le biais du portail de l Environnement Le portail de Environnement class 4 sur 1700 sites En novembre 2004 une tude men e par le Dortmunder ProfNet Institut f r Internet Marketing en coop ration avec l Universit de Canberra de l Universit de Singapour et d autres universit s a plac le portail de l Environnement www emwelt lu la 4 place parmi les classements individuels Les chercheurs ont ainsi analys 1700 sites web gouvernementaux de 180 pays d apr s 146 crit res parmi lesquels la mise en page le contenu et l interactivit Classements individuels des 10 premiers sites Senat France 70 0 Points Senado de la Rep blica Mexique 69 0 Points Der Bundeskanzler Allemagne 68 5 Points Minist re de l Environnement Luxembourg 68 0 Points Korea net Cor e du sud 67 5 Points Assembl e Nationale France 67 5 Points Bundesministerium f r Wirtschaft Allemagne 66 5 Points The Official Government Portal of the Republic of the Philippines Philippinnes 66 0 Points Se A Z r ko D Fo Department of Housing and Urban Development USA 66 0 Points 10 Secretaria de Contraloria y Desarrollo Administrativo Mexique 65 0 Points 10 Congreso de los Diputados Espagne 65 0 Points 19 1 5 3 Projet AFFLUX Gestion des dossiers conservation de la nature Au cours de l ann
461. str es dans la composition de la flore lich nique peuvent tre attribu es des changements sp cifiques dans la composition des polluants notamment gazeux oxydes d azote dioxyde de soufre transport s par voie a rienne et qui agissent sur l cosyst me Les informations collect es l aide de ce r seau de lichens piphytiques servent de compl ment aux donn es en provenance des r seaux de mesure existants en mati re de qualit de de l Administration de l Environnement Un rep rage minutieux des stations d observations lich niques d finissant le r seau tait n cessaire ainsi que le relev des peuplements des lichens encore en cours Le relev des diff rents r seaux de mesures permettant la surveillance et l valuation de la qualit de l air au niveau national et dans certains cas au niveau local est r sum dans le tableau ci dessous R seau D signation Nombre de num ro stations 1 Le r seau de mesure du dioxyde de soufre m thode de l acidit 10 forte et de la fum e noire 2 Les r seaux de mesure des retomb es de poussi res 50 placettes 2 LL EE 5 LE D 55 OBSERVATION CONCERNANT L EXPLOITATION DES RESULTATS DE MESURES ET LA PRESENTATION DES DONNEES TABLEAUX DES VALEURS ET GRAPHIQUES Au fil des ann es le volume des donn es de mesurages g n r puis traiter relatif l valuation de la qualit de l air est devenu important On peut constater qu il
462. sylviculture ou ayant une incidence directe sur la p rennit et la qualit de la station comme la sensibilit au compactage le gestionnaire peut effectuer des choix d essences r ellement critiques et objectifs La cartographie d aptitude appara t donc comme un fabuleux outil de synth se mis disposition du forestier en mati re de choix d essences de r le de la for t et d impact des interventions sylvicoles En synth tisant les caract ristiques stationnelles d un massif bois la carte d aptitude permet au gestionnaire de tirer le meilleur parti de la station de respecter son potentiel de production et de d finir une sylviculture adapt e chacune des multiples facettes de sa for t 198 La cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Bettembourg En 2004 la cartographie d aptitude stationnelle pour la for t communale de Bettembourg 345 ha a t r alis e Conditions naturelles Cette propri t foresti re est constitu e de deux massifs distincts B tebuergerb sch et Moosselter distants d environ 3 kilom tres de part et autre de la ville de Bettembourg La majeure partie de la propri t se pr sente sous forme de plateau de versant en faible pente lt 20 et de vallons peu profonds l ensemble tant peu marqu au niveau de l exposition La for t communale de Bettembourg est r partie sur les assises g ologiques du Lias Moyen comprenant les couches Pleuroceras spinatum 1513
463. t t notifi es l exploitant Entre temps il a introduit des dossiers de demande en vue de la r gularisation la situation 2 5 16 Les plans de pr vention et de gestion des d chets des tablissements class s Conform ment l article 21 de la loi modifi e du 17 juin 1994 relative la pr vention et la gestion des d chets les tablissements artisanaux commerciaux et industriels doivent tablir un plan de pr vention et de gestion des d chets ppgd lors de l introduction d un dossier de demande d autorisation en vertu de la loi modifi e du 10 juin 1999 relative aux tablissements class s La Division des d chets assure la v rification et le suivi de ces ppgd Notamment les trois tapes suivantes sont mises en uvre 1 V rification du premier plan de pr vention et de gestion des d chets tabli par l tablissement 2 Demande d un rapport annuel sur les quantit s de d chets produits tablissement de la classe 1 3 R vision trisannuelle du plan de pr vention et de gestion des d chets Les mesures sont le cas ch ant accompagn es par des visites des lieux 2 5 16 1 La base de donn es des dossiers de gestion des d chets Toutes les informations en relation avec la pr vention et la gestion des d chets figurant dans les ppgd des tablissements les rapports annuels et les r visions sont saisies et centralis es dans une base de donn es ACCESS fin de l ann e 2004 environ 2255 dossiers su
464. t cette tude a t lanc e d une part en raison du manque flagrant d informations g n rales concernant tous les chiropt res peuplant le milieu forestier tout particuli rement le Murin de Bechstein et d autre part pour la mise en place ult rieure d un programme de protection des zones foresti res qui seront d termin es int ressantes par cette tude pluriannuelle Le Murin de Bechstein esp ce qui se trouve r pertori e l annexe et IV de la directive Habitats n cessite pour la survie d une population saine des for ts feuillues bien structur es et riches en arbres morts Par cons quent une carte a t tablie en commun accord avec les responsables de l administration des Eaux et For ts d terminant les zones analyser en premier lieu Lors de la premi re ann e les parties sud sud ouest et sud est du territoire national ont t examin es et le r sultat tait d embl e tr s convaincant En effet en proc dant une premi re analyse des sites Buchholz Houwald Bettembourg Haardt Moersdorf Kuerdbusch Manternach Felsmillen et Wellenstein Kuebend llchen 9 esp ces diff rentes de chauves souris ont t d cel es avec entre autres 23 individus de l esp ce Murin de Bechstein cf tableau ci dessous sur une totalit de 89 individus toutes esp ces confondues 225 25 o 20 15 LL 10 N 5 0 S ZE ES D d
465. t re de for t cath drale avec une strate arbustive quasi manquante Sa situation proximit de l agglom ration de Luxembourg est particuli rement int ressante de par le fait que les habitants de la Ville auront la possibilit d entrer directement en contact avec ce type de r serve sp cifique La future zone prot g e englobe une superficie de 102 94 ha La future zone prot g e appartient d sormais int gralement l Etat tant donn que la partie de la zone d limit e qui appartenait un propri taire priv a t rachet e par l Etat La future zone prot g e se partage en deux parties distinctes savoir une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone tampon Le but recherch par la cr ation d une zone tampon est celui de pouvoir am nager une lisi re de for t suivant des crit res cologiques Avancement du projet Les habitants de la commune de Niederanven ont t inform s de ce projet lors d une pr sentation publique qui s est tenue le 6 avril 2004 au Sennigerberg Ainsi le dossier de classement a pu tre finalis tout en int grant les propos recueillis lors de cette pr sentation dans le dossier lequel se trouve actuellement sur le chemin de la proc dure de classement 205 Le projet t pr sent devant le conseil sup rieur pour la protection de la nature ainsi que devant le conseil sup rieur pour la chasse Le conseil de gouvernement a
466. t 2003 Conform ment la r glementation en vigueur le contr le syst matique de tous les sangliers tir s ou trouv s morts devra tre poursuivi jusqu au 14 ao t 2005 A partir de cette date le contr le syst matique pourra tre limit sur tous les sangliers trouv s morts ainsi que tous les sangliers tir s jusqu un poids de 50 kg non vid lt 1 partir du 15 ao t 2006 et dans l hypoth se qu aucun sanglier s ro positif n a plus t d tect les restrictions pourront enfin tre lev es 3 5 2 La vaccination des sangliers contre la peste porcine classique En 2002 le Gouvernement d cide de mettre en uvre la vaccination des sangliers contre la peste porcine Les campagnes de vaccination sont r alis es sous la responsabilit de l administration des Services V t rinaires en troite collaboration avec l administration des Eaux et For ts et les locataires de chasse En 2003 eurent lieu les trois premi res campagnes de vaccination double r partition Afin de consolider les r sultats obtenus trois nouvelles campagnes de vaccination double r partition ont t r alis es en 2004 savoir e le 6 mars respectivement le 3 avril 2004 e le 12 juin respectivement le 3 juillet 2004 e le 4 septembre respectivement le 2 octobre 2004 3 5 2 1 La r partition des app ts de vaccination Chaque campagne consiste en une double r partition d app ts contenant le vaccin de la peste porcine Le nombre d
467. t CN Sud En 2004 le service a d pens la somme totale de 275 053 27 du budget disponible Particle 15 2 12 302 pour la protection et am nagement de l environnement naturel 233 3 4 13 1 1 Plantations dans le cadre de la cr ation des biotopes en zone verte Plantation de 10 arbres fruitiers au triage de Dudelange Plantation de 500 arbres au triage de Wormeldange Aktioun Benny de Biber Plantation de 36 arbres fruitiers sur l ancien d potoir de Beyern Plantation de 163 arbres fruitiers au triage de Flaxweiler Aktioun Bongert Plantation de 32 arbres fruitiers au triage de Roodt Syre Aktioun Bongert Plantation de 50 m de haies au triage de Roodt Syre 3 4 13 1 2 Taille et entretien d arbres et de haies Taille d arbres au verger Altenhoven Bettembourg Taille de poiriers au triage de Wormeldange 3 4 13 1 3 Plans verts La commune de Schifflange a re u une subvention de 11 319 61 pour l am nagement d un Bauregaard et pour la plantation d arbres et d arbustes au lieu dit in den Hedingerstrachen Un accord pour une subvention de 15 539 52 t donn la commune de Betzdorf pour la plantation et la taille d arbres et de haies La commune de Junglinster a re u une subvention de 9 000 pour l ex cution de mesures pr vues dans sa cartographie de biotopes Une subvention de la facture introduite par la commune de Differdange n a pas t trait e vue qu une demande
468. t For ts Elle g n re notamment automatiquement des fichiers CSV qui peuvent tre ensuite charg s dans le syst me comptable de l Etat Elle permet l int gration des dnn es des salaires de Elle calcule de fa on d taill e la r partition et le co t de la masse salariale des ouvriers forestiers entre les diff rents propri taires Domaines Communes Etablissements publics Dans ce cadre de nouveaux modules ont t ajout s e int gration des donn es salariales des ouvriers provenant de l APE calcul des heures suppl mentaires des ouvriers calcul de la r partition provisoire de la masse salariale des ouvriers cl ture des fiches de travail des ouvriers gestion et paiement de la mise disposition de mat riel La coh rence du mod le conceptuel des donn es a t compl t e et mise jour pour garantir la compatibilit du syst me d information avec les applications SALAIRES SALAIRES AVANT2004 DBAIDE EFDIR PLAN GESTION BU 3 7 1 2 Analyse et d veloppement de nouvelles applications En 2004 l application PLAN GESTION BU versions 1 00 1 01 a t d velopp e en interne milieu de l ann e et a t mise en production en octobre 2004 Cette application pilote a t r alis e en urgence pour permettre au Syndicat Intercommunal SIAS d laborer des plans de gestion conjointement avec les unit s territoriales de l Administration des Eaux et For ts Elle est crite en langage de 4 me g n
469. t l Administration des ponts amp chauss es notamment en qui concerne le trac de cette piste en relation avec la r serve naturelle Am Bauch Une demande d autorisation aff rente en vertu de la l gislation sur la protection de la nature a t introduite par l Administration de ponts amp chauss es b le projet de d charge de Rosswinkel Le projet de la deuxi me phase de la d charge de Rosswinkel avait d j t soumis une enqu te publique dans le cadre de la proc dure d autorisation commodo incommodo La commune de Consdorf ainsi que les autres communes limitrophes concern es par le projet avaient mis un avis n gatif L argument essentiel r sidait dans le fait que ces communes craignaient un impact de la d charge sur les captages d eau potable dans la r gion de Wolpert 127 Afin de pouvoir prendre une d cision en pleine connaissance de cause une tude hydrologique a t demand e Les r sultats de cette tude ont montr qu il n existe aucun lien entre la d charge et les captages mentionn s c dessus Sur base de ces connaissances les autorisations d exploitation pour la d charge ont t accord es en janvier 2005 le projet de d charge Bettborn Folschette Tous les probl mes li s au trac de la nouvelle voie d approche vers la d charge ont pu tre d finitivement r solus Un premier dossier de demande pour l autorisation de l exploitation de la d
470. t le guider sur la voie du d veloppement durable e le rapport national sur la mise en uvre du d veloppement durable tabli tous les deux ans doit d crire d une mani re scientifique et aussi objective que possible la situation du Luxembourg en mati re de d veloppement durable en vue de tirer les enseignements tant des succ s engrang s que des erreurs commises e les indicateurs de d veloppement durable partie int grante du rapport doivent servir d outil de mesure quant aux progr s r alis s sur la voie du d veloppement durable Dans son avis du 2 mars 2004 concernant le projet de loi relatif la coordination de la politique nationale de d veloppement durable le Conseil d Etat pr conis que la composition l organisation et le fonctionnement du Conseil Sup rieur pour le d veloppement durable et de la Commission interd partementale du d veloppement durable soient r gl s par voie de r glement grand ducal La mise en uvre de cette r glementation est en voie de proc dure La future l gislation devra permettre au processus de d veloppement durable de se mettre en place et de se d velopper en promouvant l int gration sectorielle du d veloppement durable dans les politiques et en largissant le d bat jusqu l ensemble de la soci t civile 1 1 2 L Agenda 21 local le d veloppement durable au niveau communal Les communes sont des acteurs privil gi s d une politique nationale vers un d v
471. t le nombre de d passements tol r s Cette m me directive recommande aux tats membres de UE le commencement des mesurages de particules PM 5 particules lt 2 5 pouvant p n trer particuli rement profond ment dans les poumons 61 Les particules en suspension dans l air ambiant sont mesur es dans les stations d Esch Alzette et de Luxembourg Bonnevoie Esch Alzette les mesurages des particules PM lt sont men es en parall le avec les mesurages PM Les campagnes de mesure pour d montrer l quivalence de notre technique de mesure utilis e avec la m thode de r f rence m thode gravim trique et prescrite dans la directive 1999 30 CE ont t continu es en 2004 Les r sultats montrent que les niveaux sont sous valu s de fa on non n gligeable et que le ficteur correctif de 1 2 recommand par le groupe d experts aupr s de la Commission en mati re de mesurages doit tre maintenu PROTECTION DE LA SANT HUMAINE e La valeur limite de 55 ug m 293 101 3 kPa est respecter en 2004 en terme de moyennes 24 heures Lors de la phase 1 le nombre de d passements tol r s an ne devra pas exc der 35 jours Lors de la phase 2 le nombre de d passements tol r s par an ne devra pas exc der 7 jours partir du 1 1 2010 En appliquant le facteur correctif recommand de 1 2 aux mesurages effectu s 2004 les premi res valuations font appara tre 4 d passement
472. tach s des falaises Du point de vue botanique ces boulis constituent les parties les plus int ressantes de la r serve naturelle Les roches sont tomb es les unes sur les autres de mani re laisser entre elles un certain espace vide dans lequel l air peut circuler en tant refroidi Ainsi par temps chaud des courants d air frais peuvent tr s bien y tre ressentis La topographie g n rale la pr sence de vallons troits et de falaises importantes qui abritent les stations contre le soleil et les vents ainsi que la pr sence de marnes aquif res situ es en dessous des boulements conditionnent la formation d un micro climat frais et humide Ces facteurs combin s l exposition est du flanc ainsi qu au degr actuel de la couverture foresti re contribuent la formation d rabli res de ravin surtout aux pieds de la muraille dolomitique et qui constituent un type d habitat forestier class d int r t communautaire prioritaire La station est caract ris e par sa richesse en mousses et en foug res et notamment par l abondance de Phyllitis scolopendrium qui est une esp ce prot g e Pour le reste le versant est occup dans sa partie inf rieure par une h traie assez g e entrecoup e par un lot de r g n ration et par de la v g tation pionni re exub rante issue de quelques carri res Etant donn que le massif forestier en question n a gu re t exploit en raison de sa situation topographique d favorabl
473. tion importante Il faut en d duire que les quantit s moyennes collect es directement par la SuperDrecksK scht Betriber aupr s des entreprises sont en forte diminution 2 5 10 2 5 La collaboration avec le Minist re de l Agriculture Comme les ann es pr c dentes des collectes de films plastiques de sillages ont t organis es par la SuperDrecksK scht fir Betriber en collaboration avec le Minist re de l Agriculture et le Maschinenring Les quantit s collect es sont reprises dans le graphique suivant 120 SuperDrecksK scht fir Betriber Collecte de plastiques de silage tonnes 500 ____ 400 200 200 2000 2001 2002 2003 385 46 544 26 507 64 466 88 Au cours de l ann e 2004 la probl matique de l vacuation d un autre d chet est apparue dans le secteur agricole Il s agit notamment des filets plastiques utilis s pour le conditionnement des bottes de foin s agit d un d chet difficilement recyclable du fait de sa structure et de sa pollution par des adh rences de foin Des recherches continuent afin de pouvoir proposer en 2005 une solution de valorisation pour ce type de mat riaux 2 5 10 2 6 La gestion des d chets sur les chantiers de construction Les chantiers de construction de la DEXIA BIL sur le site de Belval Est ainsi que de l cole primaire de Schifflange se poursuivent _ Chantier de la DEXIA BIL Esch Belval En m me te
474. tion de nouveaux agents du Minist re de l Environnement et de l Administration des Eaux et For ts Un certain nombre de formations cet outil ont t assur es en interne notamment pour le personnel de l Administration des Eaux et For ts Brigade mobile pour les cantonnements forestiers de Luxembourg Est Grevenmacher Mersch et Wiltz ainsi que pour tous les pr pos s forestiers y rattach s Actuellement une centaine d utilisateurs se connecte r guli rement au SIGenv Les donn es contenues dans le SIGenv sont les suivantes Fonds de plans topographiques 1 5000 1 20000 amp 1 100000 en noir amp blanc et en couleur Orthophotos 2001 1 pixel 50cm x 50cm R serves naturelles 2003 1 20000 Zones Habitats 2003 1 20000 Zones Oiseaux 2003 1 20000 Parcs naturels Occupation biophysique du sol OBS 1999 Corine Landcover 2000 1 100000 Limites administratives Fin 2004 un projet de r actualisation de l Intranet SIGenv a t lanc Ce nouvel outil aura les m mes fonctionnalit s que la version actuelle du SIGenv avec en plus des facilit s de communications avec d autres applications comme par exemple le logiciel AFFLUX Il permettra galement l dition de donn es g ographiques sera encore plus ergonomique et pourra tre utilis dans diff rents navigateurs Ce projet devrait aboutir un site op rationnel d ici le mois d avril 2005 1 5 2 Projet Site Internet Portail de l Environnement En 2
475. tiques et l volution des flux d emballages et des d chets d emballages y compris les informations relatives au caract re toxique ou dangereux des mat riaux d emballage et des l ments utilis s pour leur fabrication En 2004 une tude sur les emballages en PVC et une tude sur les emballages r utilisables a t effectu e sur le march luxembourgeois afin de compl ter les donn es disponibles la Division des d chets 2 5 7 2 1 Les emballages en PVC La quantit d emballages en PVC polyvinylchlorid mise sur le march luxembourgeois a t valu e de la fa on suivante 1 D termination des emballages en PVC d clar s l asbl Valorlux 2 D termination des d chets d emballages en PVC collect s 3 Analyse des produits emball s aux supermarch s Crapr s sont esquiss s en bref les r sultats de cette enqu te La quantit des emballages mise sur le march et d clar e Valorlux variait entre 1999 et 2001 entre 41 8 tonnes 49 tonnes Kategorien PVC Mengen nach Bezugsjahren 1999 2001 kg Gew kg Gew Gew A 2 4 6 20 933 271 22151815 5296 22115593 Non Food 2120127 5733 19676082 4704 22 198367 50 00 49 062 398 te 41 827 897 gie 44 313 961 Datenquelle Deklarationsdatenbank VALORLUX La quantit de d chets d emballages collect e pendant la m me p riode a augment de 1 3 tonnes 3 55 tonnes Verpackungen Mengen kg 1999 2000 921 Einge
476. toire de l Eau et de l Environnement Kompost Kompost Kompost Kompost Kompost i Angelsberg Fridhaff Hesperange Mamer Reckenthal Kompost SIDEC SICA 75 si 312 346 28 57 268 237 S F pae i Poids sp cifique 456 86 427 16 578 38 557 47 547 9 Conductibilit lectrique 2 39 0 89 1 53 1 60 2 01 25 mS cm Cuivre mg kg m s 20 0 28 88 35 08 28 56 38 9 8 567 Cadmium 0 34 0 34 0 40 0 39 0 42 0 51 00887 Chrome 16 43 20 10 20 19 19 97 19 11 30 92 0 08 0 08 0 08 0 08 0 12 0 08 mg kg m s La 4 1 1 5 9 2 64 6 3 2 7 6 6 5 0 1 9 Arsenic 4 46 3 64 7 91 5 83 2 11 12 mg kg m s 7 7 el ssiu Magn sium oo EE r Li d 13 83 ergi oe meng zl mei NE 1516 151 Sei ea ma mi 7 Gul oi mwy D Je O 115 86 135 85 146 06 147 13 137 89 200 92 h N K EN mg kg m s Nickel mg kg m s 8 80 13 00 12 69 11 28 10 59 15 75 assium 95 Ci apr s suivent quelques graphiques sur la qualit des composts 2003 Mati res organiques en de la m s n 20 Ade 10 Agro 10 n 37 Ade 16 Agro 21 MINETT Kompost SICA Mamer SIDEC Mondercange Angelsberg SIDEC Diekirch Hes
477. tomatisation progressive partir des donn es pr sentes dans le syst me e Comptes Economiques Forestiers La compilation des comptes conomiques forestiers notamment pour les ann es 2001 2002 et 2003 n a pu progresser les donn es provenant des formulaires statistiques collect s aupr s des pr pos s forestiers n tant pas encore disponibles e D clarations mensuelles au syst me Intrastat servant de base aux statistiques sur le commerce intra communautaire e Elaboration des Frais de Gestion pour l exercice 2001 e Jl est noter les difficult s rencontr es lors de la compilation de ces frais de gestion notamment par une absence de r ception des donn es n cessaires aux calculs e Mise jour des tableaux statistiques concernant les th mes des ressources et productions foresti res de la publication annuelle Annuaire statistique du STATEC e Participation la publication Le Luxembourg en Chiffres du STATEC la fourniture de donn es statistiques foresti res mises jour e R ponse et envoi du questionnaire annuel Joint Forest Questionnaire 2004 r alis par Eurostat l UNECE la FAO et chiffres demand s production foresti re et quantit s enlev es de bois ronds commerce du secteur forestier importations exportations commerce du secteur forestier ouvrages en bois transform s et papiers transform s e Travail sur les anciennes donn es inventaire EFAME a
478. tous les groupes d int r ts li s de loin ou de pr s au secteur forestier Des groupes de travail seront organis s sous la guidance d une cellule d organisation et d ex cution pour traiter un ensemble de th mes cl Le PFN a pour objet d tablir un cadre social et politique pour la conservation la gestion et le d veloppement durable de tous les types de for ts de fa on renforcer l efficacit des engagements op rationnels et financiers des secteurs publics et priv s Dans cette optique le PFN est une partie int grante du programme de d veloppement national Le PFN doit aboutir la pr paration d une s rie de documents comprenant e un examen du secteur forestier ses tendances historiques sa situation actuelle et les projections pour l avenir associ aux principaux probl mes relev s e une d claration de politique foresti re e une strat gie long terme e un plan d action y compris une description des r formes et des programmes entreprendre De novembre 2003 mars 2004 60 personnes r parties en 3 groupes se sont relay es pour d battre d une multitude de sujets li s la for t et sa gestion durable Dix r unions ont t organis es et anim es par l administration des Eaux et For ts en collaboration avec le bureau d tudes EFOR Les 167 th mes trait s ont t structur s selon les six crit res d finis par la Conf rence Minist rielle sur la Protection des For ts
479. tout en collaborant avec les autres autorit s ayant des responsabilit s sp cifiques en mati re d environnement 2 3 2 2 2 Zones oliennes En 2004 un parc olien nouveau d une puissance totale install e de 3 6 MW t autoris Le parc olien de Wincrange a t modifi de sorte que la puissance lectrique totale install e a augment 2004 de 2 8 MW par rapport l ann e pr c dente Un relev des sites est fourni crapr s 42 Nombre d oliennes Puissance unitaire Puissance totale rotorique m install e Diam 43 H 1 4 section dite de Herborn al en 2 Putscheid 2 JNORDEX Nachtmanderscheid Site Commune Section 7 2 gt 2 pp N 500 0 00 40 3 3 Heiderscheid 3 40 3 section de Heiderscheid section de Heiderscheid 7 66 1800 section B de Ringel Bourscheid section E de Kehmen Scheidel 4 Wincrange section OA de Allerborn section OC de Derenbach N N section OD de 70 4 0 Oberwampach II 5 Heinerscheid 3 NEG MICON section C de Heinerscheid section F de Hupperdange section D de Fischbach section E de Grindhausen 5 1000 section de Heinerscheid 3 Enercon E66 1800 hs ee Remerschen 1 NEG MICON 0 Wes 7 Preizerdaul 2 JDEWIND D4 0 section de Reimberg EN Wincrange Enercon E 40 0 section AD de Boxhorn ou
480. trait en 2004 concernait l am lioration des donn es de la topographie BD L TC 3 1 5 Plan de d veloppement rural 2000 2006 Les activit s entreprises en 2004 par l administration des Eaux et For ts dans le cadre du suivi de l axe 4 sylviculture du Plan de D veloppement Rural 2000 2006 concernent l tablissement des statistiques concernant les engagements annuels L application DBAIDE t adapt e pour permettre une automatisation plus pouss e de la mise disposition de donn es La finalisation de l avant projet de modification du RGD du 10 octobre 1995 concernant les aides aux mesures foresti res en agriculture et en for t en relation avec la loi du 24 juillet 2001 concernant le soutien au d veloppement rural et son r glement d ex cution a t postpos e 3 1 6 Certification des for ts La certification des for ts est un instrument volontaire qui est susceptible de promouvoir la gestion durable des for ts Dans le cadre de ses activit s de promotion du d veloppement durable le Gouvernement tient soutenir les initiatives de certification en tant qu instruments de march volontaires Deux syst mes sont actuellement potentiellement applicables au Luxembourg le FSC et le PEFC Ils ont t analys s et d clar s conformes aux crit res d une gestion durable des for ts par le Ministre de l Environnement Le choix de l un ou l autre syst me incombe aux propri taires En effet m me si
481. tration des Eaux et For ts Cette d marche favorise une meilleure gestion en amont et en aval des travaux e l adaptation volutive de l application de gestion des subsides DBAIDE destin e l ensemble des services r gionaux notamment l ajout d une dimension spatiale cartographique Ces adaptations ont t d velopp es par une soci t de service faute de ressources internes 3 7 1 1 1 Les applications d am nagement En 2004 la maintenance de l application d inventaire d am nagement mise en production d but 1998 concerne les deux modules NV versions 2 04 et INV_AMEO versions 2 05 2 06 pour les points suivants e am lioration de l import export des inventaires e correction de divers bugs 3 7 1 1 2 Les applications de la gestion foresti re Le projet d informatisation de la gestion foresti re regroupe les applications de saisie et de vente des bois de la planification annuelle de la comptabilit et des salaires des ouvriers forestiers Les applications de la saisie et de la vente des bois abattus en for t soumise c d le martelage le d nombrement le transfert et la vente de bois proprement dite sont totalement op rationnelles dans les cantonnements et les triages depuis octobre 1996 et l application de calcul des salaires des ouvriers forestiers est op rationnelle depuis but 2001 La gestion des tables des bases de donn es de la gestion foresti re est r alis e par la cel
482. tre une telle analyse les projets cl r sultant de l adoption par le Gouvernement de l IVL Ainsi les travaux menant au Masterplan du Ban de Gasperich ont pris en compte les donn es climatiques et le projet a t modifi de fa on garantir le maintien des couloirs d coulement des masses d air frais en provenance de la for t de Kockelscheuer vers les quartiers de Gasperich et Luxembourg Gare 1 4 Statistiques de l Environnement La cellule statistique form e au second semestre 2000 au sein du Minist re de l Environnement pour principaux objectifs e la conception de projets statistiques e la recherche la production le traitement le contr le et la validation de chiffres sur l tat de l environnement sur les pressions qui s exercent sur lui sur les impacts de sa d t rioration et sur les r ponses qu on y apporte mod le DPSIR e diffusion des chiffres voqu s au point pr c dent sur support papier publication ou lectronique site Internet du Minist re e support aux Administrations d pendant du Minist re dans leurs travaux de pr parations de donn es et de reporting pour les organismes internationaux e la coordination des travaux de nature statistique sur l environnement transmission et suivi des demandes transmission et diss mination des r ponses etc e la participation des groupes de travail ou des groupes d experts traitant de statistiques et d i
483. trois derni res ann es Le d p t de plomb apport par les poussi res se situe une moyenne annuelle autour de 50 ug m jour en dessous de la valeur limite moyenne annuelle de 100 jour en vigueur en R F A Durant certaines p riodes mars avril juin juillet des augmentations brusques des niveaux en plomb sont observables a certains sites variant entre 121 et 678 ug m jour Des activit s d assainissement du sol 56 impliquant des boues provenant des lavages des gaz de haut fourneaux de la fili re classique de production d acier aujourd hui arr t e sont tr s probablement une fois de plus li es cette brusque augmentation des niveaux en plomb et en zinc Le mois suivant tout retourne une situation normale pour reprendre sporadiquement apr s e Differdange les niveaux en m taux lourds sont faibles Pourtant un changement de situation est signaler dans les quartiers Cit Thomas Sidney et Cit Henri Grey avec par p riodes des retomb es assez importantes en poussi res et des valeurs assez lev es en plomb variant entre 129 et 631 ug m jour La valeur limite moyenne annuelle du plomb de 100 ug m jour en vigueur en R F A n y est pas respect e e Rodange la surveillance de la situation l aide du r seau Bergerhoff local ne montre pas de situation anormale Les niveaux en retomb es de poussi res et en m taux lourds se maintiennent des niveaux faibles Les an
484. ts en date du 19 avril 2002 et du 19 d cembre 2002 Cet arr t couvre l augmentation des capacit s d entreposage ainsi que l installation d un compacteur Dossiers N 1 02 0160 et 1 03 0001 Dossiers D chets 98 PT 07 01 et 98 PT 07 02 2 5 15 2 4 Entreposage de d chets inertes En date du 8 juin 2001 l entreprise Alleva Fr res de P tange avait introduit une demande pour pouvoir am nager et exploiter un entrep t pour d chets inertes non contamin s sur un terrain sis cheval sur les communes de P tange et de Bascharage L arr t minist riel a t d livr en date du 10 novembre 2004 Dossier 1 01 0423 Dossier D chets N 01 PE 02 2 5 15 2 5 Parcs conteneurs Le SIDEC avait introduit un dossier de demande en date du 5 d cembre 2002 pour pouvoir am nager et exploiter un deuxi me parc conteneurs Mersch En date du 23 septembre 2004 l autorisation a t d livr e Dossier N 3 02 0245 Dossier D chets N 02 PC 01 En date du 19 d cembre 2003 le SIDEC a introduit un recours gracieux contre l arr t minist riel N 02 PC 02 couvrant l am nagement et l exploitation d un parc conteneurs R dange Attert L arr t minist riel a t confirm en date du 21 mai 2004 2 5 15 2 6 Installations de co fermentation Installations g r es en coop rative En date du 19 mars 2003 la coop rative Biogas Ourdall avait introduit un dossier de demande pour pouvoir am nager et exploit
485. ts ont t retenus comme arbres plus et leurs caract ristiques ph notypicales ont t d crites sur une liste de recensement de m me que les donn es du milieu naturel Chaque arbre a t escalad par un grimpeur professionnel d apr s une technique sp ciale emprunt e la sp l ologie afin d viter tout endommagement de l corce des arbres Les pousses finales les plus vitales ont t pr lev es dans la cime aux fins de coupe des greffons de m me une partie des bourgeons a servi aux analyses isoenzymiques 172 Le greffage a t r alis par le Centre de Recherche qui cultive les transplantas pendant une saison 3 1 11 3 Installation d un verger graines L objectif principal du projet consiste dans l installation d un verger graines afin d assurer la conservation du sorbier domestique ex situ et d en augmenter la diversit g n tique La conservation du g notype est r alis e par la multiplication des structures g n tiques des arbres reproduits par greffage en copies g n tiquement identiques Ramet L augmentation de la diversit g n tique sera assur e par la libre pollinisation de ces copies d arbres plant s en r p tition L installation du verger graines se fera en 2005 sur des terrains appropri s dans la r gion de Grevenmacher 3 1 11 4 Analyses g n tiques La technique de r v lation des isoenzymes lectrophor se consiste faire migrer u
486. tue aussi un lien privil gi avec des processus plus globaux CNUED FIF FNUF GIF etc La r union organis e en 2004 concerne le suivi de la mise en uvre de la d claration g n rale et des 5 r solutions de Vienne Ces r solutions concernent les domaines suivants V1 Renforcement des synergies favorables la gestion foresti re durable en Europe gr ce une coop ration intersectorielle et aux programmes forestiers nationaux V2 Augmentation de la viabilit conomique de la gestion foresti re durable en Europe V3 Pr servation et augmentation des dimensions sociales et culturelles de la gestion foresti re durable en Europe V4 Conservation et am lioration de la biodiversit biologique des for ts en Europe V5 Changements climatiques et gestion foresti re durable en Europe Dans ce cadre le Luxembourg s est engag e renforcer les conditions de la viabilit conomique de la gestion foresti re durable et d fendre le r le jou par les for ts la foresterie et les industries li es aux for ts au niveau du maintien et du d veloppement des moyens de subsistance ruraux mais aussi de la satisfaction des exigences des soci t s urbanis es e promouvoir les incitations visant la protection et la gestion foresti re durable et supprimer les mesures qui ont des effets n gatifs sur les for ts et leur diversit biologique e prendre les mesures qui font progresser les utilisations rationnelles du
487. tut comparable s est tenue en octobre 2003 St Hubert B Un deuxi me colloque a t organis au Domaine de Chambord du f au 3 septembre 2004 L objectif tait en plus d un change d exp riences sur la gestion int gr e des territoires mod les de tenter de d velopper un projet de Code de bonnes pratiques voire une bauche d un proc d de Certification europ enne de chasse durable Le colloque tait organis par le Domaine National de Chambord associ la FACE F d ration des Associations de Chasse et de Conservation de la Faune Sauvage de l U E La Commission Europ enne s est montr e tr s int ress e et s est fait repr senter par la DG Environnement Le nombre de participants au colloque t de 5 venant de neuf pays diff rents de l UE seulement sur invitation personnelle Le Luxembourg a t repr sent par Monsieur Albert LUDIG Directeur l administration des biens de S A R le Grand Duc gestionnaire des chasses grand ducales et par le chef du service de la Chasse en tant que gestionnaire des chasses domaniales Le colloque s est termin avec l laboration de lignes directrices de bonne pratique pour assurer une chasse durable 3 5 6 L adjudication du droit de chasse 3 5 6 1 Donn es statistiques concernant les syndicats et lots de chasse Le territoire du Grand Duch de Luxembourg comprend actuellement 422 syndicats de chasse essentiellement les sections l
488. uants sur la mati re les inventaires d mission la mod lisation les mesures relatives aux sources d mission les seuils nationaux d mission La coop ration troite avec des organismes internationaux comme POMS et la convention UNECE des Nations Unies renforce cette strat gie int gr e Le programme CAFE est con u pour le long terme et comporte plusieurs cycles chacun ayant une dur e d environ 5 ans Le but du premier cycle de CAFE consiste proposer vers la fin 2005 la strat gie int gr e d une bonne qualit de lair en proposant des moyens d action politiques et des d cisions pour agir Le programme CAFE poursuit d autres buts tels que la transparence des donn es des informations tendues le renforcement de la base scientifique en mati re de la qualit de l air Durant 2004 le groupe directeur a travaill sur la d finition de la ligne de base du programme CAFE et le sc nario de r duction maximale et techniquement possible de la pollution Une r vision de la l gislation existante en mati re de qualit de Pair est pr voir mais la Commission ne pr voit pas de changement en ce qui concerne les valeurs limites en vigueur des polluants surveill s actuellement De nouveaux d veloppements scientifiques et des estimations provisoires montrent que les effets n gatifs sur la sant caus s par les poussi res en suspension dans l air sont beaucoup plus importants que l exposition l ozo
489. ubventionn es est de 12 9 MW R partition selon les aides octroy es 81 Capteur solaire photovolta que 8 Chaudi res condensation O Reste Situation au 24 1 2005 79 R partition selon les types d installations 9 31 60 2 Capteur solaire photovolta que 8 Chaudi res codensation Reste Situation au 24 1 2005 2 4 5 2 Aides financi res pour la production d lectricit En d cembre 2001 le programme d aides financi res pour la production d lectricit produite partir des nergies renouvelables a t institu par r glement grand ducal du 28 d cembre 2001 instituant une prime d encouragement cologique pour l lectricit produite partir de l nergie olienne hydraulique solaire de la biomasse et du biogaz Au cours de l ann e 2004 1012 demandes ont t introduites Dossiers production d lectricit introduits en 2004 Demandes introduites 1016 Demandes accept es 515 Demandes refus es 1 Informations suppl mentaires demand es 583 Demandes en traitement 3 Situation au 24 1 2005 Un montant global de 1 831 614 53 a t accord pour subventionner 515 installations y a lieu de remarquer qu un dossier de demande peut concerner plusieurs installations Par ailleurs il faut pr ciser que la plupart des installations mises en service au cours de l ann e 2003 et 2004 ayant b n fici d une aide financi re l investis
490. ucal du 22 mars 2002 instituant un ensemble de r gimes d aides pour la sauvegarde de la diversit biologique augmentant ainsi la surface totale sous contrat 3300 ha 3 4 9 Natura 2000 En 2004 la mise en uvre des directives 92 43 CEE du Conseil du 21 mai 1992 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages et 79 409 CEE du Conseil du 2 avril 1979 concernant la conservation des oiseaux a t poursuivie En effet le Minist re de l Environnement a command apr s de bureaux d tudes l tablissement des plans de gestion pour les zones Natura 2000 suivantes e Aspelt Lannebuer Am Kessel Fingig Reifelswinkel Grass Moukebrill Leitrange Heischel Zones humides de Bissen et Fensterdall Massif forestier du Waal 229 Massif forestier du Aesing Wilwerdange Conzefenn Vall e de l Alzette Vall e de la S re inf rieur Machtum Pellembierg Haff R imech et R gion de la Moselle sup rieure Vall e de la Mamer et de l Eisch 3 4 10 Am nagements cologiques 3 4 10 1 Zones industrielles et zones de verdures intra urbaines Le concept de ces projets consiste dans l am nagement des alentours imm diats des b timents dans une zone industrielle et des zones de verdures intra urbaines suivant des crit res cologiques Les plantations sont compos es uniquement d esp ces indig nes Les surfaces herbac es sont constitu es d un m
491. udence rendue notamment en mati re de protection de l environnement naturel et humain La jurisprudence est importante dans la mesure o elle permet d orienter l activit administrative et de fournir des indices ou r ponses des probl mes non r solus ou se r p tant r guli rement 2 1 2 4 Autres activit s Le service juridique a assist de nombreuses r unions pour fournir des conseils juridiques ou discuter de dossiers d actualit Il est galement en charge de la gestion de certains documents offic iels luxembourgeois et communautaires Le service juridique est repr sent dans certains comit s d accompagnement 27 2 2 Le Service Agr ments et Management environnemental Le Service est charg de l application de la l gislation sur les personnes agr es c est dire la loi du 21 avril 1993 relative l agr ment de personnes physiques ou morales priv es ou publiques autres que l Etat pour de t ches techniques d tude et de v rification dans le domaine de l environnement et de la mise en uvre du syst me de management environnemental et d audit dit EMAS c est dire le r glement grand ducal du 19 avril 2002 relatif des modalit s d application et la sanction du r glement CE N 761 2001 du Parlement europ en et du Conseil du 19 mars 2001 permettant la participation volontaire des organisations un syst me communautaire de management environnemental et d audit
492. un guide m thodologique de plus de 300 pages avait t sorti pour les travaux de terrain ayant trait IFL1 Ce guide m thodologique faisait fonction de cahier des charges technique pour l appel d offres qui fut la base du march conclu avec un consortium de trois bureaux d tudes pour les travaux de terrain relatifs l IFL1 Tout au long de ces travaux et ceci malgr le degr de d tail fort lev du guide m thodologique les bureaux d tudes ont t confront s des probl mes pour lesquels le guide m thodologique ne donnait pas de r ponse Ces probl mes ont t analys es par le Service en collaboration avec la FUSAGX En novembre 1999 les r ponses aux questions du d but des travaux ont t mises sur papier dans le cadre d une mise jour du guide m thodologique sous la forme d une annexe au document de base Apr s les questions m thodologiques n ont plus t rassembl es mais taient trait es sous forme de notes disparates Une partie du travail de la FUSAGx de 2004 consistait rassembler tous ces documents sous la forme d une annexe unique au document de base intitul e Mise jour globale du guide m thodologique 2004 Travaux d analyse m thodologique La a t demand e d analyser dans quelle mesure la m thodologie de l IFL1 pourrait tre tendue un recensement rapide des d g ts en cas de chablis importants Cette analyse devrait d boucher sur une m thode permettant la mise
493. une diminution de la quantit de quotas accord s de 468 000 tonnes pour la p riode 2005 2007 par rapport au projet initial soit une r duction de 156 000 tonnes par an Le Minist re de l Environnement galement poursuivi ses efforts pour promouvoir les nergies nouvelles et renouvelables e Chambres des M tiers en coop ration avec notre d partement a organis un nouveau cycle de formation en mati re de mise en valeur des sources d nergies renouvelables aboutissant l obtention du label Energie fir d Zukunft e L Ordre des Architectes et des Ing nieurs conseils a continu son programme de formation Bauen und Energie en troite collaboration avec l Oekofonds ainsi que l Agence de l Energie le CRTE le CRP Henri Tudor PIST le GIE SITEC et notre d partement e Les r gimes d aides pour l utilisation rationnelle de l nergie et des nergies renouvelables ont t modifi s par r glement grand ducal du ler ao t 2004 e Luxembourg est devenu leader mondial en ce qui concerne la puissance photovolta que install e par habitant Fin 2004 quelques 22 000 KW taient raccord s au r seau CEGEDEL soit plus de 50 Watt par habitant 1 1 6 La protection de la nature et des ressources naturelles Pour 2004 il convient de mettre en exergue les chantiers suivants 1 1 6 1 Le vote par la Chambre des D put s de la loi du 19 janvier 2004 concernant la protection de la nature et des resso
494. ur 2004 Diekirch plantation et entretien d arbres fruitiers en 2004 Fouhren plantation et entretien d arbres 2004 Ettelbruck suivi de la pelouse calcaire Lopert pour 2004 Lintgen plantation et entretien d arbres fruitiers et de vergers 2004 Lorentzweiler plantation et entretien de vergers et d arbres pour 2004 n a pas t engag cr dit d pass Mersch am nagement d un tang dans le parc communal subside pour 2004 Rosport gestion des pelouses calcaires Hoelt 2004 Rosport conservation et entretien d arbres fruitiers en 2004 Useldange am nagement d un parking cologique en 2004 Useldange mesures d ex cution de la cartographie des biotopes en 2004 240 3 4 13 3 3 Restauration d arbres remarquables En 2004 les restaurations d arbres remarquables suivantes ont t effectu es e taille de r duction d un tilleul dans le parc du ch teau de Schoenfels e taille de r duction d un vieux ch ne Godbrange et expertise 3 4 13 3 4 Plantations dans le cadre de la campagne de la cr ation de biotopes en zone verte En 2004 l Arrondissement CN Centre a effectu une plantation d une haie Girst ancienne d charge et d une haie Niederfeulen 3 4 13 3 5 Travaux de gestion dans les r serves naturelles e Weimericht Junglinster suivi scientifique de l volution de la flore des pelouses s ches entretien et r paration des cl tures e Amberkneppc
495. urces naturelles Les modifications apport es l ancienne loi de 1982 sont de double nature 1 celles relatives la transposition l gale des directives communautaires 79 409 concernant la conservation des oiseaux sauvages Directive et 92 43 concernant la conservation des habitats naturels ainsi que de la faune et de la flore sauvages Directive Habitats comportant notamment les l ments crapr s e constitution d un r seau Natura 2000 de zones prot g es d int r t communautaire habitats et oiseaux devant assurer le maintien ou le r tablissement dans un tat de conservation favorable des habitats et des esp ces des annexes et de la directive habitats et des esp ces de l annexe de la directive oiseaux article 34 e la d signation des zones sp ciales de conservation par r glement grand ducal avec indication pour chaque site des objectifs de conservation article 34 e obligation de prendre pour chaque zone des mesures de conservation appropri es pouvant tre de type r glementaire administrative ou contractuelle article 37 e tablissement pour chaque site d un plan de gestion arr t par le ministre de l Environnement article 37 e l instauration d un r gime d aides en faveur de la sauvegarde de la diversit biologique articles 37 et 53 e l interdiction de d truire ou de d t riorer les habitats et les esp ces des annexes et IT
496. ures m nag res pr s de Leudelange apr s plusieurs ann es d observation et le constat de niveaux bas en compos s organiques ne repr sente qu une source d mission de dioxines furannes de moindre importance Quatre campagnes d exposition et d analyse de bioindicateurs sont r alis es afin de couvrir toute l ann e et d assurer une surveillance sans discontinuit Les esp ces suivantes ont t utilis es pour l ann e 2004 e les mousses esp ce Brachythecium rutabulum P riode de croissance normale dans leur milieu naturel de la mi septembre la mi avril e les choux verts feuilles polylob es esp ce Brassica oleracea La p riode d exposition s tend g n ralement de mi mai vers mi juillet et de mi septembre mi d cembre Lors de cette 65 exposition au site d observation ce l gume feuille se charge en polluants traces lors de la phase de croissance e c leri feuille esp ce Apium graveolens La phase de croissance fix e pour le c l ri feuille dans ce programme de surveillance est de mi juillet mi septembre volution durant les ann es 2001 2004 e DIOXINES FURANNES et PCB PCDD PCDF PCB Depuis l ann e 2004 l Administration de l Environnement applique d une part l expression des niveaux en quivalence de toxicit pour les dioxines et furannes OMS TEQ telle qu elle est d finie par POMS D autre part l expression des OMS TEQ pour les dioxines et furan
497. urg Description g n rale du projet Betebuerger B sch est repr sentatif pour les h traies voire les ch naies charmais sur les sols argileux frais assez humides du Gutland du Sud Les nombreuses sources ainsi que les petits ruisseaux lui conf rent un aspect particulier et sont l origine de diff rents types d habitats forestiers Une autre particularit du Betebuerger B sch provient du fait que ce massif n a pratiquement pas t touch par les derni res temp tes et d tient ainsi un pourcentage lev d anciens peuplements Parmi les associations foresti res les mieux repr sent es se trouvent l association du Melic o Fagetum qui recouvre plus de la moiti de la surface d limit e ainsi que l association du Primulo Carpinetum qui occupe pr s d un dixi me de la zone Bouleaux broussailles et arbustes r sineux peupliers et fr nes recouvrent le restant de la future RFI La superficie propos e pour le projet de r serve foresti re int grale est de 244 6 ha Les communes sont propri taires de la plus grande partie c d 62 Le restant se r partit de la fa on suivante 31 de la surface d limit e appartiennent des propri taires priv s et 6 5 l Etat En ce qui concerne le zonage de la future r serve naturelle deux parties distinctes ont t propos es une partie dite r serve foresti re int grale et une partie dite zone de d veloppement Par ailleurs la partie d
498. ux introduits dans les directives europ ennes permettent aux Etats Membres d all ger les dispositifs de mesurages fixe install s de fa on permanente et qui sont assez co teux En ce qui concerne le Grand duch de Luxembourg la couverture territoriale de contr le de la qualit de l air est parmi une des meilleures de l Union Europ enne Pr cisons encore que lorsque le seuil d valuation maximal forc ment inf rieur la valeur limite n est pas d pass l valuation de la qualit de l air ambiant peut tre r alis e par une combinaison de campagnes de mesurages et de techniques de mod lisation directive cadre 1996 62 article 6 3 Lorsque le seuil d valuation minimal n est pas d pass il est possible de se borner l emploi des techniques de mod lisation ou d estimation objective pour valuer les niveaux directive cadre 1996 62 CE article 6 4 Un d passement des seuils d valuation minimaux et maximaux est d termin d apr s les concentrations mesur es au cours des cinq ann es pr c dentes si les donn es disponibles sont suffisantes Un seuil d valuation est consid r comme ayant t d pass si sur ces cinq ann es pr c dentes il a t d pass pendant au moins trois ann es individuelles Une attention particuli re est vou e aux zones o la qualit de l air pour un polluant sp cifique est mauvaise avec d passement de la valeur limite voire de la valeur limit
499. vise remplacer la directive existante afin de tenir compte des connaissances scientifiques acquises depuis son adoption en 1976 Elle est en outre destin e compl ter la directive au traitement des eaux urbaines r siduaires et la directive relative la pollution par les nitrates partir de sources agricoles b D bat d orientation Proposition de r glement dite REACH c Conclusions Le Conseil a adopt des conclusions concernant la communication de la Commission intitul e Vers une strat gie th matique pour la pr vention et le recyclage des d chets 1 6 2 3 Conseil Environnement du 14 octobre 2004 a Accord politique Proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil concernant la gestion des d chets de l industrie extractive Ce projet de directive vise d finir un minimum d exigences afin d am liorer la gestion des d chets de l industrie extractive en vue de pr venir les accidents li s au traitement et l limination des d chets miniers et d en limiter les effets n fastes sur l environnement et la sant humaine Proposition de r glement du Parlement europ en et du Conseil relatif certains gaz effet de serre fluor s et Proposition de directive du Parlement europ en et du Conseil concernant les missions provenant des syst mes de climatisation des v hicules moteur et modifiant la directive 70 156 Ces projets d actes l gislatifs sont destin s
500. x explicatifs sur les chemins d acc s e am nagement et entretien de places pique nique chalets didactiques cabanes et bancs de repos e am nagement et entretien de biotopes 3 2 7 9 2 Information du grand public Les visites guid es ont trouv un grand succ s aussi bien aupr s des l ves qu aupr s des citoyens Dans le triage de Bettembourg deux visites guid es furent organis es dans les for ts communales de Bettembourg Abweiler et de Roeser Crauthem sur le th me Biotopes et pr sence du sanglier Le triage de Hesperange a organis des visites guid es en for t avec les enfants des classes enfantines et primaires Par ailleurs dans le cadre du fauchage de l herbe l aide du cheval de trait le long des chemins forestiers Drousbach Howald Schackender Lach et Itzig le triage de Hesperange a organis des visites guid es destin es montrer et explique le travail de fauchage aux chevins de la commune de Hesperange et aux coles primaires int ress es de la commune Au triage de Dudelange des sorties en for t avec les classes scolaires ont eu lieu 188 Le triage de Niederanven a particip ensemble avec le SIC Niederanven la cr ation d une brochure portant sur le sujet Natur Kultur und Geschichte in der Gemeinde Niederanven Der Lehrpfad Hostert Rameldingen Le triage de Hesperange a particip aux Vakanzaktivit iten de la Commune de Hesperange Trois sorties en for t commu
501. yoto e prendre d autres mesures pour maintenir conserver restaurer et renforcer la diversit biologique des for ts notamment de leurs ressources g n tiques en Europe mais aussi l chelle mondiale En 2004 l administration des Eaux et For ts a particip aux travaux du Comit Forestier Permanent CFP de la Commission Europ enne Les principaux sujets trait s concernent le suivi de la nouvelle r glementation sur la protection des for ts contre les agents biotiques et abiotiques notamment le feu Forest FOCUS ainsi que la pr paration d une nouvelle strat gie foresti re europ enne En 2004 l administration des Eaux et For ts a activement particip aux travaux du Groupe de Travail FORETS du Conseil de PUE en we de pr parer la Pr sidence luxembourgeoise de l Union Europ enne en 2005 Les principaux dossiers trait s en 2004 concernent le plan d action communautaire FLEGT lutte contre l abattage ill gal de bois et la pr paration d une position 165 commune de PUE en vue des n gociations au FNUFS New York en mai 2005 pour d terminer le futur arrangement international sur tous les types de for ts Dans ce cadre l administration des Eaux et For ts a particip en septembre 2004 New York au Groupe Ad Hoc d experts sur l examen d un mandat en vue de l laboration d un cadre juridique concernant tous les types de for ts 3 1 4 Participation des groupes de travail interminist r
502. ys o les concentrations les plus lev es taient d tect es DEET t EEN 1 D ei 4 y obere untere Standortbe Nutzung Horizont Tiefen Tiefen zeichnung symbol grenze grenze cm cm d Sonderkult 1 60R ur Reben Sonderkult 13R mm ur Reben ssw b Wald und i 7 Forst allg 160 26 3 ADMINISTRATION DES EAUX FORETS 3 1 G n ralit s Cinq dossiers importants pour l administration des Eaux et For ts ont n cessit des efforts d passant la normale 1 Dans le cadre de la lutte contre la peste porcine dans la population des sangliers l administration des Eaux et For ts a mobilis son personnel au cours de l ann e 2004 Ainsi l administration a g r 11 centres de collecte dans lesquels tous les sangliers abattus dans notre pays ont t analys s En outre notre personnel a organis la distribution des app ts destin s la vaccination des sangliers cf Service de la Chasse 2 Le 1 janvier2004 les ouvriers forestiers travaillant pour le compte de l administration des Eaux For ts ont re u le statut d ouvrier de l Etat 3 Des efforts importants ont t investis dans le dossier tendant promouvoir l utilisation de bois comme combustible dans des chaudi res Cet effort s inscrit dans une politique ayant pour but de r duire l utilisation des combustibles fossiles et d augmenter en cons quence les combustibles renouvelables Le nomb

1. ministère de l`environnement 1 2. administration

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