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RST 135, septembre 2013 - Références en santé au travail

1. 1 HUMAINS 5 PROPRI T S Les papillomavirus sont des virus extr mement r pandus sp cifiques de l homme ou d une esp ce ani male Ce sont des virus acide d soxyribonucl ique ADN non en velopp s de petite taille tropisme pith lial La capside structure prot ique entourant le g nome des HPV les rend extr mement r sis tants dans le milieu ext rieur facili tant ainsi leur transmission Il existe plus de 100 types de HPV parmi lesquels plus de 40 ont un tropisme muqueux et peuvent in fecter le tractus ano g nital et les voies a rodigestives sup rieures D autres ont un tropisme cutan sp cifique Tous ont pour caract ris tique essentielle de favoriser la pro lif ration b nigne ou maligne des cellules qu ils infectent PATHOLOGIES ASSOCI ES AUX HPV tableau 1 Les pathologies associ es aux HPV chez l homme varient selon le g no type impliqu Parmi les diff rents types il faut distinguer les HPV dits haut risque HPV HR dont les l sions provoqu es ont un risque lev d volution vers un cancer et les HPV dits bas risque HPV BR car ils ne sont pas en g n ral asso Ci s au d veloppement d un cancer Mais les co infections par des papil lomavirus de diff rents types sont fr quentes et une infection HPV peut associer des HPV HR et des HPV BR gt PAPILLOMAVIRUS BAS RISQUE HPV BR La plupart des HPV entrainent des
2. des AT MP sur le risque d AT MB l impact de la conjoncture cono mique sur la sant surtout celui de la crise sur la d claration des IJ et Effet de contexte 424 16 Socag e conomique Systeme de tini 1 7 Entreprise e e Sew a ccenpen quie de ch mage taux de natalit et tan can D i me de ains derit de m decins p n raltes pourren tage AD contrhle des arr ts maladie 69 Entreprise i amateur de salaire relati ei taux de Envie des du trail par d actreit et par d partement tte de contente scxcia exano nique 4 qysb rm Ge dans entep O Qi Let total effet de composition a effet de contente 1 l impact du cancer sur le parcours professionnel gt PART DE LA VARIABILIT INTERD PARTEMENTALE EXPLIQU E PAR LES VARIABLES CL S Effet individuel Age d entr e Statut d occupation pass e Temps de travail 2 5 56 HEI Affections de longue dur e 36 Effet syst me de 56185 Arr ts de travail contr l s DI M 314 d emnipraticiens 08 102 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ARR TS DE TRAVAIL REGARD PORTE PAR LES PRESCRIPTEURS Lehr Drylewicz Facult de m decine Tours Une tude r cente de la Soci t fran aise de m decine g n rale rapporte qu un m decin g n ra liste r alise en moyenne 18 7 actes par
3. o 4 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 peut que les m decins du travail des entreprises de travail tem poraire n aient pas une connais sance compl te des expositions des int rimaires dans les entre prises utilisatrices L exposition aux canc rog nes chimiques est donc plus impor tante pour les jeunes travailleurs pr caires ou non Les activit s confi es aux apprentis et aux nou veaux embauch s comme le net toyage de zones empoussi r es ou le d graissage de pi ces sont souvent risque Des axes de pr vention prioritaires devraient se d gager vis vis des jeunes sala ri s encadr 4 Cette forte expo sition des plus jeunes est un l ment majeur prendre en compte afin d am liorer la pr vention d s le d but de la carri re du salari et pr server sa sant tout au long de son activit professionnelle LES HOMMES PLUS FORTEMENT EXPOS S QUE LES FEMMES Les hommes sont beaucoup plus fr quemment expos s aux canc rogenes chimiques que les femmes Les domaines profession nels o les expositions sont les plus fr quentes ceux de la main tenance et du BTP sont pr do minance masculine 7 et m me domaine professionnel identique les hommes demeurent plus ex pos s Les expositions les plus fr quentes pour les hommes sont les gaz d chappement diesel 6 96 des hommes y sont expos s les huiles min rales enti res 4 96 les pouss
4. 56 605 22 34 NESSUN 21 32 96 19 30 96 036 54 5 21 33 s um N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ganes ou en exposition corps entier Aussi des mesures de pr vention sont particuli rement importantes mettre en uvre pour limiter cette exposition Il est ainsi indispensable de mettre en place une surveillance syst ma tique par dosim trie des extr mit s de cette population expos e Linformation des professionnels concern s est galement un l ment crucial afin de les inciter r fl chir sur leur organisation de tra vail il serait par exemple l gitime d quilibrer pour un m me op ra teur les actes proximaux et distaux Par ailleurs il serait n cessaire d im pulser des tudes permettant de r duire l exposition lors de 1 r ali sation de ces actes et de promouvoir cette r flexion avec les op rateurs sur des techniques robotisation et les installations afin de permettre une r duction de l exposition lors de ces actes Enfin certains quipements de pro tection individuelle apportent une protection efficace Le tablier quivalent plomb pour l exposition corps entier un tablier de protection d une paisseur en quivalent de plomb de 0 5 mm est souhaitable il r duit d un facteur 40 l intensit du rayonnement diffus ces tabliers doivent tre adapt s la morphologie et comporter des manches de facon prot ger e
5. couleur du fond circulation du fait de probl mes techniques nombre d anses capillaires lon gueur des anses 9 d autre part la difficult de lire certains param tres sur clich s c est le cas en particulier de l oed me qui semble plus difficile lire sur cli ch que lors del examen in vivo Aucune des alt rations souvent peu importantes n est vraiment sp cifique et seule la pr sence simultan e de plusieurs d entre elles peut orienter vers une origine radique CONCLUSIONS Les r sultats de cette tude ont clairement tabli une association entre les alt rations micro vascu laires et l exposition aux rayonne ments ionisants Cette tude qui n a pris en compte finalement que 6 param tres sur les 10 propos s par B Perdereau a retrouv des r sultats significatifs lors des comparaisons de groupes professionnels mais n a pu d montrer l int r t de l utilisa tion de la capillaroscopie lors de la surveillance individuelle Au del de cet aspect sp cifique la capillaroscopie les intervenants en radiologie interventionnelle sont particuli rement expos s aux rayonnements ionisants que ce soit en exposition localis e certains or gt TUDE DE L INFLUENCE DES TROIS INDICES D EXPOSITION SUR INDICE MORPHOLOGIQUE Type de proc dure Cardiologues Radiologues Distale lointain DL 20 Interm diaire DP DL 9 16 Distale proche DP 32 57 Proche 49
6. Gants et v tements protecteurs Programme de formation des employ s relative l utilisation et l entretien de l quipement de protection individuelle Au niveau de 1 salle de traitement le responsable s curit laser salle doit s assurer que les mesures de pr vention sont bien respect es pendant les traitements MESURES DE PROTECTION COLLECTIVE gt SIGNALISATION Pendant l utilisation du laser l ac c s de la salle doit tre r glement pictogramme laser appos e sur la porte lumi re rouge afin de tenir l cart des fum es laser les employ s du service non indispen sables aux interventions gt VENTILATION G N RALE La ventilation g n rale est insuf fisante en elle m me pour capter leur point d origine les fum es g n r es par les lasers Toutefois il faut s assurer de la bonne ventila tion de la salle renouvellement de l air 15 20 cycles heure gt ASPIRATION LOCALE L aspiration des fum es laser au plus proche de leur source et au fur et mesure de leur production est une des mesures de protection les plus efficaces contre les irritations au niveau des yeux du nez et des poumons et elle r duit l exposition aux agents infectieux La premi re tape est de choisir entre un syst me d aspiration cen trale avec raccord fix au mur et un syst me d aspiration portable Les crit res prendre en compte sont l encombrement physique du sys t me l
7. N 135 ACTUALIT S es INFOS RETENIR 9298 NOUVEAUT S DE UINRS PARTICIPEZ LA RECHERCHE N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 INFOS RETENIR 0 0 0 0 0 58 Evolutions mati re de radioprotection et cons quences sur l acc s aux donn es dosim triques AUTEURS C Gauron Abadia Benoist Guillemy INRS es volutions relatives la radioprotection sont nombreuses depuis peu certaines sont publi es d autres en cours de publication Ainsi l arr t du 2 mai 2012 abroge l arr t du 28 ao t 1991 concernant les recommandations aux m decins du travail pour la surveillance m dicale des travail leurs expos s aux rayonnements ionisants La r forme de la sant au travail pr voit que les m de cins du travail s appuient dans le cadre de leur activit quotidienne sur des recommandations de bonnes pra tiques Une recommandation r cente ayant le la bel HAS Haute Autorit de sant concerne la surveil lance m dico professionnelle de l exposition interne des travailleurs aux radionucl ides en installations nucl aires de base Parall lement un arr t vient d tre publi relatif la carte individuelle de suivi m dical et un autre est attendu relatif aux modalit s de formation de la per sonne c
8. e la premi re introduit les notions de base de radioactivit e la deuxi me permet d approfon dir ces notions avec deux chapitres qui traitent de l quivalence masse nergie et des aspects nerg tiques des d sint grations avant de pro c der un inventaire des radionu cl ides naturels et artificiels e la derni re partie du livre est consacr e l utilisation des ra dionucl ides essentiellement en m decine en arch ologie et dans les sciences de la terre puis une analyse assez approfondie des produits radioactifs qui se forment dans les r acteurs nucl aires Le livre propose galement plus de 200 exercices ainsi que leurs solu tions gt C M rivier Eps Per sonne comp tente en radioprotec tion Principes de radioprotection R glementation Les Ulis ditions EDP Sciences 2010 376 p LINSTN publie depuis 2007 une collection d ouvrages sp cialement concus pour la formation profes sionnelle des PCR Cet ouvrage s adresse galement toutes les personnes impliqu es dans les domaines de la radioactivit d si rant acqu rir des connaissances ou les renforcer Ce premier volume correspond au module de base de la formation PCR et permet une approche globale de la probl ma tique Il comprend trois parties les rayonnements ionisants et leurs ef fets biologiques la radioprotection des travailleurs et la r glementa tion Les autres volumes plus cibl s
9. la synth se d autres produits chimiques peintures colles la manufacture de polym res ou de produits conte nant du 1 3 butadi ne l utilisation manipulation de butane et ou de gaz de p trole liqu fi s GPL Responsable d tude contacter Sarah Burzoni T l 03 83 50 85 60 sarah burzoni inrs fr D partement M trologie des polluants INRS 1 rue du Morvan CS60027 54519 Vand uvre l s Nancy Cedex SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 21 PARTICIPEZ LA RECHERCHE Evaluation des expositions percutan es aux bisph nols A et S par biom trologie aupr s des agents de caisse nviron 186 ooo salari s agents de caisse dans la grande distribution seraient potentielle ment expos s aux bisph nols principalement A et S via l exposition des tickets thermiques Viennent galement s y ajouter les personnels des commerces de proximit L Agence nationale de s curit sani taire de l alimentation de l environnement et du travail ANSES a publi en avril 2013 les r sultats d une valuation des risques du bisph nol A pour la sant humaine Cette valuation centr e sur la femme enceinte conclut que la manipulation de tic kets thermiques pourrait conduire des situations risque pour 4 types d effets chez l enfant naitre touchant la glande mammaire le cerveau et les fonctions cognitives l appareil reproducteur f mi nin le m tabolisme ob sit
10. D finie par l article annexe 13 7 du Code de la sant publique une source de rayonnements ionisants d signe un appareil une substance radioactive ou une installation pou vant mettre des rayonnements ionisants ou des substances radioac tives Une substance radioactive correspond dans sa d finition toute substance qui contient un ou plusieurs radionucl ides dont l acti vit ou la concentration ne peut tre n glig e du point de vue de la radio protection On diff rencie classiquement la ra dioactivit naturelle issue de l en vironnement rayonnements cos miques rayonnements telluriques radon et radio isotopes naturels de la radioactivit artificielle issue des acti vit s humaines m dicales scienti fiques industrielles et militaires Dans le cadre des activit s hu maines une substance radioactive peut tre utilis e sous la forme d une source dite scell e ou non scell e selon qu elle dispose ou non d un conditionnement per mettant de pr venir une disper sion de mati res radioactives dans le milieu ambiant Il existe trois modes d exposition possibles aux rayonnements ioni sants e l exposition externe distance irradiation la source tant loi gn e de l organisme e l exposition externe au contact contamination externe la source tant au contact de la peau du su jet e l exposition interne par incor poration inhalation ingestion ou p
11. PERSPECTIVES D EVALUATION ET DE PRISE EN CHARGE gt 1 ABORDER ET INTERROGER UN SUJET SUICIDAIRE Ces entretiens sont souvent in tenses et peuvent tre boulever sants pour le m decin du travail ou tout autre membre de l quipe pluridisciplinaire confront s des r cits de vie tr s douloureux Quel que soit le contexte de la consulta tion il est essentiel qu elle s orga nise dans le respect de la confi dentialit en tant disponible Ce temps doit permettre au sujet de se sentir compris et de pouvoir s ex primer en confiance Lintervenant le laisse parler soutient ses propos de facon empathique et prend le temps n cessaire pour contenir les manifestations de tristesse ven tuelles pleurs d sarroi colere Dans un premier temps il s agit de se pr senter et de demander au travailleur ce qui l a conduit au rendez vous est ce une d marche spontan e ou par injonction hi rar chique Qu en attend il A t il h sit avant de prendre rendez vous Cela permet de connaitre les repr sentations du sujet et de rappelerle cadre de l entretien m dical Si le salari n a pas parl sponta n ment de ces id es suicidaires le m decin du travail peut l interroger simplement et directement ce sujet en restaurant son sentiment d appartenance c est dire en par lant dans un premier temps des autres Par exemple Quand je vous coute cela me fait penser d autres salari s dont j ai
12. cadences lev es 4 Autres travaux la conduite de v hicules moteur mentionn s aux articles 311 1 et R 323 25 du Code de la route r sultant de la nature des missions d volues au salari a conduite d quipements destin s au levage de charges ou de personnes ARTICLE 3 L arr t du 20 octobre 2004 fixant la liste des travaux effectu s dans les entreprises agri coles et n cessitant une surveillance m dicale est abrog ARTICLE 4 Le directeur des Affaires financi res sociales et logistiques est charg de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique francaise Fait le 6 mai 2013 Pour le ministre et par d l gation Le directeur des Affaires financi res sociales et logistiques C Ligeard SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 INFOS RETENIR Arr t du 20 juin 2013 fixant le mod le de fiche d aptitude Journal Officiel du 3 juillet 2013 pp 11109 11111 ARTICLE 1 Le contenu de la fiche d aptitude pr vue l article 4624 47 du Code du travail et l article R 717 28 du Code rural et de la p che maritime est conforme au mod le figurant en annexe ARTICLE 2 Les arr t s du 24 juin 1970 fixant les mod les du dossier m dical et de la fiche de visite du travail et du 8 juillet 1985 modifi relatif aux do cuments pr vus par l article 40 du d cret n 82 397 du 11 mai 1982 rela tif l organ
13. l tude soit 24 de l effectif des m decins sollicit s Trente quatre cas d inaptitudes pour souffrance morale au poste de travail ont t d crits en juillet 2012 Vingt huit inaptitudes ont t prononc es en 2012 et 6 en 2011 Cette r parti tion r sulte du fait qu la date du recueil des informations 12 m de cins sur 17 avaient prononc leurs 2 derni res inaptitudes durant l ann e 2012 4 m decins en avaient prononc une en 2012 et une en 2011 et un m decin avait prononc ses deux derni res inaptitudes en 2011 Ces inaptitudes ont concern 25 femmes et 9 hommes Dix sept inaptitudes ont eu pour cadre des micro entreprises 10 salari s 14 des petites entreprises 11 250 sa lari s et 3 des entreprises de taille interm diaire 251 5 ooo salari s score moyen de 3 06 1 52 Le tableau I pr sente toutes les ca t gories de l inventaire utilis par ordre d croissant de score d impli cation dans l inaptitude DESCRIPTION ANALYTIQUE PAR FACTEUR DE RISOUES Au sein de la cat gorie Rela tions sociales l analyse d taill e montre qu avec des pr valences de 73 96 70 96 et 67 des inapti tudes les 3 premiers facteurs de risques de cette cat gorie sont ceux intitul s pas peu de contact entre les coll gues pas peu de structure de soutien en cas de dif ficult s et pas peu de r unions d informations Par ailleurs les facteurs qui b n ficient des sc
14. l heure actuelle de traitement valid pour le syndrome d hypersensibilit lectromagn tique o Les prises en charge globales et pluridisciplinaires des personnes sont privil gier o Le pronostic est d autant meilleur que la prise en charge est pr coce sur dition INRS ED 5004 Paris INRS 2002 4 p 6 Bisseriex LAURENT P CABARET P C AL Les sources de rayonnements non ionisants jusqu GHz Champs lectromagn tiques dition INRS ED 4202 Paris INRS 2004 4 p 7 NF EN 50527 1 Proc dure pour l valuation de l exposition des travailleurs porteurs de dispositifs m dicaux implantables actifs aux champs lectromagn tiques Partie 1 G n ralit s Norme francaise homologu e NF EN 505274 Juillet 2010 Indice de classement C 99 1301 La Plaine Saint Denis AFNOR 2010 46 p 8 Proc dure pour l valuation de l exposition des travailleurs porteurs de dispositifs m dicaux implantables actifs aux champs lectromagn tiques Partie 2 1 sp cification d valuation pour les travailleurs avec un simulateur cardiaque G n ralit s Norme francaise homologu e NF EN 50527 2 1 Indice de classement C 99 130 2 1 La Plaine Saint Denis AFNOR 2011 77 p 9 BissERIEx C LAURENT CABARET P RENARD C ET AL Les stimulateurs cardiaques Champs lectromagn tiques dition INRS ED 4206 Paris INRS 2004 4 p 10 Knave BG Wou RI Vos
15. les id es suicidaires correspondent l laboration mentale consciente d un d sir de mort qu il soit actif ou passif Le sujet pr sentant ces id es est appel patient suicidaire Romano Cellule d urgence m dico psychologique du SAMU 94 Cr teil et Inserm U669 la crise suicidaire est une p riode o le patient pr sente un risque suicidaire lev Les causes peuvent tre multiples contexte socio envi ronnemental pathologie psychia trique et ou somatique associ e ou sous jacente Le patient pense tre dans une impasse il est envahi par des id es suicidaires et se convainc que le suicide est la seule issue possible les quivalents suicidaires sont des comportements risque qui t moignent d un d sir inconscient de mort Pour autant il n y a pas d intention directement formul e Ces comportements peuvent tre type de mutilations d alcooli sations massives et brutales de conduites sexuelles risque de conduite grande vitesse d addic tion m dicamenteuse La conduite suicidaire est associ e un v ritable processus pouvant comporter des recherches de solu tions puis des id es suicidaires qui lorsqu elles se figent m nent des sc narios suicidaires Le terme de menace suicidaire peut appa ra tre dans les dossiers m dicaux ou dans la litt rature m dicale Il correspond l intensit des id es suicidaires et au niveau de risque de crise suicidair
16. oui non gt Port d un dosimetre poignet non Port d un dosimetre doigt mon pe Pen syst matique lors de tout acte radioex posant ou non des nimis Observations el 3 8585 d ungu ale ungue ale bimn atmphie cutan e perte de p caz des mains L desquameno des doigts deradiodemmte autres pr cises FICHE DE RECUEIL F uultats d s dosim tries POITRINE POIGNETS Desi nene mensuel 03 2090 02 2097 01 2007 Y Si possible cumul vie m5 EXPOSITION DES EXTREMITES AUX RAYONHEMENTS IONISANTS 415 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 51 VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie d identification du patient numero de D semaine Gars l arme IHHHBHEBBHH HHE Pour Hate 18 1117 Cle presume EXPOSITION DES EXTREMITES AUX RAYOMMEMENTS IONISANTS CRE ET MODIFICATIONS CAPILLAIRES 1143 31 5 passive bagues f j ag 13 serre HHEBBHBHH F 1 4 L HE 52 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 VU DU TERRAIN Inaptitudes pour souffrance
17. une bonne connaissance de la r gle mentation et de ses sources est donc aussi une n cessit De m me que pour les risques chimique et biologique 9 il n existe pas de site unique pour rechercher l information m me si certains sites sont incontournables comme ceux G Abou Anoma A Bijaoui C Gauron d partement tudes et assistance m dicales INRS de lAutorit de s ret nucl aire ASN et de l Institut de radioprotec tion et de s ret nucl aire IRSN qui restent les organismes de r f rence en mati re de s ret nucl aire et de radioprotection en France Pour chaque type de recherche d infor mation une description d taill e du contenu et du mode d interrogation des sites et ou d ouvrages recom mand s est propos e La liste des sites et ouvrages pr sen t e ici est le r sultat d une r flexion qui a pour finalit de permettre l utilisateur d acc der des sources d informations jug es fiables et per tinentes pour sa recherche Cepen dant cette liste n est pas exhaustive et l utilisateur pourra l enrichir lors de ses interrogations r guli res Il n est pas n cessaire de rechercher syst matiquement dans toute la liste Linterrogation r guli re de ces sites permet l utilisateur de mettre en place sa propre proc dure de re cherche en fonction de ses objectifs Une mise jour dans les bases de donn es bibliographiques doit tre syst matiquement r alis e quel que soit le
18. Dimensionality of coping factor stability using the Ways of Coping Questionnaire Psychol Rep 1988 62 3 763 70 a VITALIANO PP Russo J CARR RD ET AL The Ways of Coping Checklist revision and psychometric properties Multivariate Behav Res 1985 20 1 3 26 138 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX R DACTEURS Langevin V d partement Expertise et conseil technique INRS Boini S d partement pid miologie en entreprise INRS Francois M d partement Homme au travail INRS Riou A d partement Expertise et conseil technique INRS FRPS 34 Ce document appartient une s rie publi e r guli rement dans la revue Elle analyse les questionnaires utilis s dans les d marches de diagnostic et de pr vention du stress et des risques psychosociaux au travail L article par les m mes auteurs Les questionnaires dans la d marche de pr vention du stress au travail TC 134 Doc M d Trav 2011 125 23 35 pr sente cette s rie et propose au pr venteur une aide pour choisir l outil d valuation le mieux adapt Noms des auteurs Van Veldhoven M Meijman T Objectifs valuation de la charge psychoso ciale au travail et du stress profes sionnel Ann e de premi re publication 1994 Cadre d finition mod le Le questionnaire V cu du travail VT a t mis au point
19. Gestion de l emploi et des comp tences Formation au poste non formalis e Dispositif de formation continue n anticipant pas les volutions technologiques e D finition de fonction ou fiche de poste non formalis es Pas de promotion interne Pas de r compense financi re ou autre syst me de valorisation Pas de dispositif de gestion des comp tences Pas de dispositif de gestion des carri res CAT GORIE Contexte de l entreprise Incertitudes sur l avenir Forte concurrence mutation technologique P riode de restructuration Contrat de travail pr caire Saisonnalit de l activit non anticip e Pression sur la r alisation des objectifs R glement int rieur muet sur des points de sant s curit Document unique d valuation des risques absent ou non actualis 54 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ment impliqu dans l inaptitude ou totalement accessible la pr ven tion Pour chaque cat gorie et facteur de risques les scores d fi nitifs de l implication et de l acces sibilit la pr vention r sultent des moyennes arithm tiques des scores attribu s par l ensemble des m decins R SULTATS DONN ES G N RALES Surles 70 m decins de l Association de m decine du travail des Alpes Maritimes sollicit s sur la base d un volontariat pour participer l tude 17 ont accept et r alis
20. SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 55 VU DU TERRAIN Tableau II gt FR QU ENCE SCORE D IMPLICATION DANS LES INAPTITUDES ET SCORE D ACCESSIBILIT LA PREVENTION DES TROIS PREMIERES CATEGORIES DE FACTEURS DE RISQUES PSYCHOSOCIAUX Score moyen d accessibilit la pr vention Rang par Facteur de risques psychosociaux Fr quence Se SEN fr quence Cat gorie Relations sociales Pas peu de contacts entre les coll gues 73 2 75 2 08 2 Pas peu de structures de soutien en cas de difficult s 70 3 65 2 22 B Pas peu de r unions d informations 67 96 2 59 2 27 4 Pas peu de temps d expression formalis s sur le travail 61 2 95 2 40 5 Pas peu de participation des salari s aux prises de d cisions 48 3 00 2 31 6 SE formalis au salari sur sa 48 2 81 2 31 7 ee bad entre les services travaillant sur le m me 48 2 56 1 94 Organisation du travail 1 Relations et interactions avec le public 82 2 41 1 85 2 Dysfonctionnements dans le d roulement du travail 73 271 2 00 3 Planification des t ches faite oralement 64 2 76 2 43 4 Latitude d cisionnelle r duite 61 3 20 2 30 5 Travail r p titif ou rythme impos par des contraintes de production 61 2 10 1 90 6 Informations limit es aux consignes de travail 58 2 26 1 74 7 Horaires atypiques altern s ou travail de nuit 58 1 84 1 58 8 Fiches de postes en d calage avec le travail r ellement effectu 55 3 44 2 72 9 Objectifs
21. chelle rythme et quantit de travail pr sente un coefficient de saturation bas Pour la dimension conditions de travail trois facteurs sont d gag s conform ment la composition des trois chelles de cette dimension Il va de m me pour la dimension relations de travail 4 facteurs d gag s pour 4 chelles Pour la dimension bien tre l analyse factorielle fait appa raitre trois facteurs pour les trois chelles N anmoins deux items sont bifactoriels et un item de l chelle implication dans l orga nisation se retrouve de fait sur le facteur changement d emploi Pour la dimension tensions men tales et motionnelles cinq fac teurs sont d gag s retrouvant la composition des cinq chelles de cette dimension N anmoins trois items de l chelle qualit du som meil saturent galement le facteur besoin de r cup ration Vets Notelaers et De Witte 2009 mentionnent la r alisation d ana lyses factorielles confirmatoires surle VT confirmant sa validit de structure ou de construit dans le cadre d une th se de doctorat aux Pays Bas Van Veldhoven 1996 e Validit discriminante Des analyses de variance simples ou multiples font apparaitre des diff rences dans les r ponses aux chelles du VT selon la cat gorie socioprofessionnelle le niveau de qualification l ge le travail de jour vs le travail post la langue n erlanda
22. des m ca nismes conduisant la sensibilisa tion obligera utiliser une combi naison de ces trois approches Jusqu r cemment les sensibi lisants respiratoires ou cutan s ne constituaient pas une priorit r glementaire dans le cadre du r glement REACH Cependant la derni re adaptation aux progr s du Classification Labelling and Packaging a vu l apparition d une sous cat gorisation des sensibili sants en tant que substances tr s pr occupantes susceptibles d tre soumises la proc dure d autorisa tion Les intervenants ont soulign la difficult d identifier les sensibi lisants respiratoires du fait de l ab sence de tests adapt s et d valuer quantitativement les risques la plu part des mesures r glementaires prises jusqu maintenant tant fond es sur les dangers et non sur les risques Dans ce contexte ont t pr sent es lors de deux communi cations les d marches d velopp es par l Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l en vironnement et du travail ANSES et le DGUV F d ration des caisses allemandes d assurance accident pour valuer quantitativement les risques de sensibilisation cutan e et classer les substances en fonc tion de leur pouvoir sensibilisant en prenant en compte les donn es hu maines disponibles animales et les donn es alternatives tests in vitro in silico in chemico La troisi me conf rence invit e a pr sent la
23. des pr cau tions compl mentaires contact 9 Le risque de zona au cours de la vie est de 10 et de 1 1 grossesses n y a aucun risque foetal en cas de zona survenant chez la mere m me en p riode p rinatale Des pr cautions particuli res de type contact doivent tre mises en place lors de la prise en charge d une femme enceinte pr sentant un zona si elle est prise en charge en milieu de soins Le traitement ma ternel sera fonction de la clinique et du terrain GRIPPE C Charlier Woerther rappel que les signes cliniques de la grippe ne sont pas modifi s chez la femme enceinte Il existe un risque accru de complications maternelles en cas de grippe saisonni re augmentation du nombre d hospitalisations mul tipli par 177 7 9 selon les donn es de la litt rature et de pneumopa thies virales 10 vs 1 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 109 SUIVI POUR VOUS Les d terminants de la s v rit de la grippe chez la femme en ceinte sont la survenue au cours du 3 trimestre 4 13 des d c s concernent des femmes enceintes surtout au 3 trimestre et l exis tence d une comorbidit telle que l ob sit ou l asthme Les ges extr mes moins de 18 ans et plus de 40 ans ainsi que le retard au traitement sont galement des facteurs de mauvais pronostic La grippe n est pas t ratog ne mais la mortalit et la morbidit n ona ta
24. gique des compos s tudi s Dans le domaine de la sensibilisation cutan e il s agit de l identification des caract ristiques lectrophiles des produits chimiques La for mation d un complexe hapt ne prot ine est un pr requis pour le d veloppement d une sensibili sation cutan e et la structure des hapt nes doit tre tr s sp cifique Par exemple dans les r actions crois es latex fruit tels que la ba nane l avocat ou le kiwi une partie de la r action crois e repose sur la ressemblance structurelle entre l h v ine hev b 6 02 allergene ma jeur du latex et des domaines h v ine like des plantes chitinases de classe 1 Le premier mod le ORSA pourles allergies cutan es d velop p en 1982 par Robert et Williams consistait en des corr lations entre la capacit de sensibilisation et des param tres physicochimiques pour plusieurs agents d alkylation L index relatif d alkylation IRA a t utilis pour quantifier le degr d alkylation d une prot ine et le corr ler avec le potentiel de sensi bilisation Ouelques syst mes ex perts ont t cit s DEREK for Win dows Deductive Estimation of Risk from Existing Knowledge TOPKAT Toxicity Prediction by Komputer Assisted Technology CASE Multi CASE Computer Automated Struc ture Evaluation et TIMES SS TIs sue MEtabolism Simulator for Skin Sensitization En vue de remplacer les tests men s sur l animal il est admis que la complexit
25. hyperlipid mie Selon les hypoth ses retenues ce risque concernerait les enfants naitre des femmes enceintes manipulant des tickets thermiques au cours de leurs activit s professionnelles et ou du fait d expositions envi ronnementales essentiellement alimentaires Le niveau de confiance associ ces r sultats est quali fi de limit par les experts En effet les mod les et hypoth ses retenus contribuent probablement surestimer les expositions internes calcul es en lien avec la manipulation de tickets thermiques L INRS a mis au point une technique d analyse dans les urines du bisph nol A et du bisph nol S utilis en substitution du bisph nol A et propose d valuer en collaboration avec les services de sant au travail l exposition des personnels ces compos s suite l utilisation de tickets thermiques Objectif valuer les expositions aux bisph nols et S de populations professionnellement expos es suite la manipulation de tickets thermiques principalement les agents de caisse en les comparant des popula tions non professionnellement expos es t moins Protocole Sur prescription du m decin du travail l INRS effec tuera des recueils urinaires de personnes expos es et de t moins issus des m mes entreprises un questionnaire sur les modalit s d exposition et les facteurs de contami nation environnementale sera galement rempli Une analyse des tickets sera r
26. l amiante Ministere charg du Travail Journal officiel du 7 juillet 2013 pp 11350 11 351 Outre la correction d erreurs de r f rences le d cret mo difie l article 6 du d cret n 2012 639 du 4 mai 2012 relatif aux risques d exposition l amiante afin de reporter au 1 janvier 2014 l obligation de certification selon le nouveau r f rentiel des entreprises intervenant dans le domaine du retrait et de l encapsulage de l amiante au 1 juillet 2014 l obligation de certification des entre prises effectuant le retrait de l enveloppe ext rieure des b timents au 1 juillet 2014 l obligation d accr ditation pour l ensemble du processus d analyse des organismes effec tuant les mesures de l empoussi rement Arr t du 8 avril 2013 relatif aux r gles techniques aux mesures de pr vention et aux moyens de protec tion collective mettre en ceuvre par les entreprises lors d op rations comportant un risque d exposition l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 17 avril 2013 pp 6 704 6 706 En application des articles R 4412 111 et R 4412 113 du Code du travail cet arr t d termine les conditions de choix et d entretien des moyens de protection collective mettre en ceuvre par les entreprises lors d op rations comportant un risque d exposition l amiante ainsi que les r gles techniques respecter en fonction des niveaux d empoussi rement estim s et des processu
27. la COFREND la CARSAT Centre Ouest et l IRSN Ces fiches constituent un aide m moire des bonnes pratiques mettre en ceuvre pour r aliser en s curit une op ration de radio N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 graphie industrielle gamma sur chantier gt FICHES M DICO PROFESSIONNELLES DU CISME Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www fmp cisme org L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en francais et il existe une liste al phab tique des fiches disponibles Le CISME est une association but non lucratif c est l organisme re pr sentatif de la majorit des ser vices interentreprises de sant au travail en France Les fiches sont pr sent es en trois parties les caract ristiques g n rales les caract ristiques m dico professionnelles une partie en savoir plus Chaque fiche sous forme de ta bleau d crit les caract ristiques techniques et organisationnelles d une profession et les lie aux nui sances et contraintes leurs effets sur la sant la surveillance m di cale et la pr vention gt FICHES M TIERS ET ACTIVIT S DU MINIST RE CHARG DU TRAVAIL Elles sont accessibles sur Internet cette adresse www travailler mieux gouvfr Metiers et Activites html L acc s est gratuit La recherche et les r sultats sont en fran ais Une liste alphab tique des fiches est aussi disponibl
28. lectronique 16 0 14 5 M canique travail des m taux 34 9 29 7 Industries de process 25 5 20 4 Mat riaux souples bois industries graphiques 28 6 28 7 Maintenance 47 9 42 0 Ing nieurs et cadres de l industrie 13 4 7 4 Transports logistique et tourisme 12 4 9 6 Artisanat 27 6 29 4 Gestion administration des entreprises 41 1 0 8 Informatique et t l communications 0 9 0 4 tudes et recherche 8 8 6 1 Administration publique professions juridiques arm e et police 07 2 1 Banque et assurances 0 1 0 1 Commerce 3 0 273 H tellerie restauration alimentation 1 0 1 0 Services aux particuliers et aux collectivit s 9 1 Communication information et spectacle 3 3 27 Sant action sociale culturelle et sportive 10 4 6 0 Enseignement formation 7 0 4 2 Autres politique religion et non class s ailleurs ns ns STATUT Apprenti stagiaire 18 8 25 4 int rimaire 14 8 13 4 CDD 9 7 6 9 CDI 13 8 10 6 Fonctionnaire ou agent statut 8 2 6 0 TAILLE 1 9 salari s 148 13 4 D TABLISSEMENT 10 49 salari s 13 6 10 1 50 199 salari s 12 0 9 9 200 499 salari s 11 7 9 1 500 salari s ou plus 14 5 8 4 ns non significatif pas assez de salari s interrog s dans ce domaine Dans la mesure o les enseignants de l ducation nationale ne sont pas couverts par l enqu te SUMER ces chiffres sont consid rer avec pr caution Salari s qui travaillent dans une entreprise publique ou anciennement publique et b n
29. plus ou moins prononc s suivant les tats existent la fois pour l employ et pour l employeur Les r gimes d assurance peuvent tre ou non int gr s un ensemble de protection sociale dans les pays d Europe de l Est beaucoup moins que dans les pays d Europe de l Ouest par exemple De m me suivant les pays le ou les orga nismes responsables d pendent du minist re charg de la Sant ou de celui charg des Affaires sociales ce qui se traduit par une approche diff rente Dans certains pays d Europe l ArTr d bute par une autod claration du salari 2 3 jours en Allemagne et en Suisse 2 semaines en Su de 6 semaines aux Pays Bas En suite l employ justifie son absence en fournissant un certificat m di cal La p riode maximale de l ArTr avec indemnit s journali res U peut tre flexible ou fixe comme au Royaume Uni de 28 semaines ou en France de 156 semaines Depuis quelques ann es il est constat que la s paration entre arr t maladie et aptitude diminue ce qui est principalement au fait que le salari est incit trouver une solution pour reprendre le tra vail au plus t t Diff rentes mesures de r inser tion ont t mises en place en Europe e analyse fonctionnelle des in capacit s de travail diagnostic m dical par le m decin traitant ou du travail mancipation de l employ ma lade soutien et accompagnement du malade en arr t de longue du
30. tat de n cessit qui pr voit que ne peut tre LJ p nalement responsable la personne qui face un danger actuel ou imminent qui menace elle m me autrui ou un bien accomplit un acte n cessaire la sauvegarde de la personne ou du bien sauf s il y a disproportion entre les moyens employ s et la gravit de la menace Dans le cas pr sent le fait de r aliser une injec tion sur les prescriptions du m decin r gulateur du SAMU et ce afin de sauver la victime parait corres pondre aux l ments constitutifs de l article 122 7 du Code p nal En effet m me si le SST provoque par son geste inadapt l aggravation de l tat de la vic time mais dans le m me temps lui sauve la vie il ne pourra voir sa responsabilit p nale engag e pour blessures involontaires Le SST se trouvait dans un tat de n cessit et devait accomplir ce geste On pourra toujours s interroger sur l hypoth se o le geste inadapt provoque le d c s de la victime Dans le cas pr sent cette ventualit semble rare Aspect op rationnel Face un salari qui ne r pond pas aux appels mais qui respire et dont l ant c dent de diab te insuli no d pendant est connu la conduite tenir par le SST peut tre la suivante e Alerter ou faire alerter les secours suivant les consignes de l entreprise e Placer la victime en position lat rale de s curit e Lors du contact avec le m decin r gulateur du SAMU d crir
31. test es celle contenant trois facteurs a t retenue aboutissant une version 27 items le premier facteur est compos de 10 items et rend compte de 11 16 6 de la variance totale selon les groupes coping centr sur le probl me le second facteur est compos de 9 items et rend compte de 10 12 de la variance totale selon les groupes coping centr sur l motion le troisi me facteur est compos de 8 items et rend compte 12 dela variance totale selon les groupes recherche de soutien social 9 Validit crit ri e concomitante Des corr lations significatives ont t observ es entre certaines des sous chelles de la version courte 42 items de Vitaliano 1985 et l anxi t et la d pression mesur es par la Symptom Check List SCL 90 R Derogatis et al 1977 Les corr lations entre la dimension coping centr sur l motion de la WCC et l anxi t trait mais galement l anxi t tat mesur es par le STAI Y cf FRPS 27 sont significativement positives 0 41 et 0 26 respectivement Les sujets anxieux tat et surtout trait ont tendance utiliser des strat gies de coping centr sur l motion Cousson et 81 1996 Aucune corr lation significative n a t observ e entre la d pression mesur e par le CES D cf FRPS 12 et les 3 sous chelles francaises de coping Cousson et al 1996 FID LIT e Fid lit test retest La version f
32. tion de dispositions du Code du travail relatives et aux risques lectriques et au risque hyperbare ARTICLE 1 Apr s l article 4424 10 du Code du travail il est ajout un article R 4424 11 ainsi r dig Art R 4424 11 Dans les tablissements et services participant la pr vention et aux soins et dans les tablissements pratiquant des soins de conserva tion des mesures de pr vention des blessures et des risques de contamination par des agents biologiques pathog nes sont d termin es par un arr t conjoint des ministres en charge du Travail et dela Sant pour adapter la protection des travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants aux par ticularit s des activit s r alis es ainsi qu aux modali t s d usage des objets perforants Cet arr t pr cise les cat gories d tablissements et services concern s Pour ces cat gories d tablisse ments et de services il pr cise galement les r gles applicables en vertu du chapitre V du pr sent titre l information et la formation des travailleurs et rela tives aux risques li s l usage d objets perforants ainsi que les dispositions du chapitre VI du pr sent titre applicables la prise en charge du travailleur bless en cas d accident de travail survenu avec un objet perfo rant et aux modalit s de suivi de tels accidents On entend par objet perforant tout objet ou instru ment usage m dical ou n cessaire
33. tion des d chets et son r le ainsi qu un dossier d di aux diff rents centres de stockage Ces supports sont accessibles gratuitement et en francais l adresse suivante www asn fr index php Les ac tivites controlees par l ASN Dechets Installations en deman telement gt ANDRA LANDRA a pour missions de concevoir et exploiter les centres de stockage accueillant les d chets radioactifs et de surveiller leur volution long terme et leur impact sur l homme et l environ nement L ANDRA est galement charg e de recenser lensemble des d chets radioactifs pr sents en France de collecter ceux d te nus par les particuliers ou encore d assainir les sites ayant t pol lu s par de la radioactivit Sur son site principal l ANDRA propose plusieurs types de docu ments visant fournir des infor mations relatives la gestion des d chets radioactifs sous la forme de diff rentes rubriques Ce site est accessible gratuitement et en francais l adresse suivante www andra fr Le site propose l acc s des dos siers sp cifiques accessibles par tir de la page d accueil destin s aux diff rents types de produc teurs et ou de d tenteurs de d chets radioactifs afin de les guider dans leur d marche de gestion et notamment d limination de leurs d chets LANDRA est galement l origine d autres sites dont un enti rement d di la gestion des d chets ra dioactifs plus p dagog
34. 2011 du Conseil fixant les normes de bases relatives la protection sanitaire contre les dangers r sultants de l exposition aux rayonnements ionisants Sur cette base et apr s avis du Groupe permanent d experts en radioprotection des travailleurs GPRAD et de la Commission sp cialis e n 2 relative la pr vention des risques pour la sant au travail du Conseil d orientation sur les conditions de travail COCT la Direction g n rale du Travail DGT et l ASN ont adop t le 23 novembre 2011 une position commune sur la mise en ceuvre du projet europ en de document de suivi radiologique propos par HERCA ils soutiennent cette initiative favorisant la mise en place d un sys t me de suivi communautaire de l exposition aux rayonnements ionisants ils formulent toutefois deux remarques el une encourageant HERCA r fl chir un dispositif lectronique d changes de donn es auquel seraient connect s des syst mes centralis s de chaque tat membre e l autre invitant les autorit s francaises r fl chir SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 INFOS RETENIR des volutions r glementaires encadrant les modalit s de suivi dosim trique incluant l acc s ces donn es Le contenu du passeport europ en propos par HERCA int gre l ensemble des informations relatives l iden tit du travailleur ainsi que celles concernant les r sul tats dosim triques Deva
35. Aver wous eu des interruptions d activit 3 oui mon ehiminge mdiointerventionnelle ehmurgie radio mterventionnelle chiure mio interventionnelle 1 radio mierventionnelle de 1 chiuine interventionnelle mdio interventionnelle ehmurgie rudis mterventionnelle Avez vous d ja travaill dans ie tube au C eu mon dessus de la mble instramernt de 15 que 1 Couture L autres pr cisez 24 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 49 VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie EXPOSITION DES EXTREMITES AUX IONISANTS ET MODIFICATIONS CAPILLAIRES qaadentification du patient ACTIVIT PROFESSIONNELLE ACTUELLE EXPOSANTE AUX RAMONNEMENTS ICNISANTS Activit s expersarntes sur l site enncern eui men ES Depuis combien de tomps Nbr de viscation sernasina d actmsdvacation Activit s exposartes dans d autres 58 5 99 C men Depuis combien de temps Mbr de vacationsisemaing d actesheacarmn coins de vos patients ont ib pr sent ure radiodarmite post proc dure 7 1 eui CT man Mrs total IT P Nitr annuel estimi nh Dans vate activit actuelle quel out L ACTE RADIDEXPOSANT pour l ape rabeu
36. L tude s effectue en deux temps Lors de la visite de reprise un autoquestionnaire de 15 minutes remplir par le salari dans la salle d at tente un h t roquestionnaire de cinq minutes rempli par le m decin du travail pendant la visite m dicale trois mois un h t roquestionnaire de 15 minutes mener par le m decin du travail soit par t l phone soit en face face Ces questionnaires valid s exploreront les symp t mes r siduels la tol rance au traitement la moti vation au travail le sentiment d efficacit profession nelle l accueil par les coll gues et leur connaissance de la maladie le rapport que le patient entretient avec ses pens es et ce qui est important pour lui son inser tion sociale Crit res d inclusion En plus de son accord deux crit res sont n cessaires pour inclure un patient un arr t de travail ayant pour motif un syndrome d pressif ou quivalent une dur e d arr t sup rieur 15 jours cons cutifs Le plus grand choix possible de secteurs d activit ou de postes de travail sera le bienvenu Responsable d tude contacter Dr Jean Christophe Seznec T l 06 17 81 61 81 jcseznec yahoo fr INSERM U669 15 rue des Halles 75001 Paris SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 23 CONNAISSANCES ET R F RENCES GRAND ANGLE VU DU TERRAIN PRATIQUES ET M TIERS SUIVI POUR VOUS
37. Le Fac simil est le fichier pdf du texte tel qu il est paru au Journal Officiel de la R publique Francaise Acc s aux codes Sur la page d accueil cliquer sur les Codes en vigueur puis sur Code de la sant publique ou sur Code du travail Ces deux codes sont organis s en deux parties l une l gislative ar ticles pr c d s de la lettre L l autre r glementaire d crets en Conseil d tat et Conseil des ministres lettre R d crets simples lettre D Ces codes sont divis s en plusieurs parties elles m mes subdivis es en livres en titres et en chapitres Une num rotation d cimale 4 chiffres a t adopt e le 1 chiffre indique la partie le 2 le livre le 3 le titre et le 4 le chapitre Tous les articles concernant la ra dioprotection sont dans la 1 par tie du Code de la sant publique et dans la 4 partie du Code du travail M me si le site de L gifrance reste la r f rence en mati re de r glemen tation fran aise la plupart des sites pr sent s dans cet article proposent des rubriques visant fournir des informations r glementaires leurs visiteurs dans le domaine de la radioprotection C est particuli re ment le cas du site de l ASN gt Actualit s juridiques de l INRS LINRS r alise tous les mois une s lection des textes officiels int ressant l hygi ne et la s curit du travail et venant de paraitre en France et en Europe Cette
38. Le salari peut consulter le m de cin du travail directement en fai sant part de son malaise et de ses id es noires ou d une d pression La demande d aide n est pas toujours tr s explicite et peut tre ambivalente par honte ou g ne d exposer sa faiblesse et ses difficult s et souvent par crainte des cons quences sur son aptitude au poste de travail Dans d autres cas ce sont ses coll gues ou res ponsables qui l incitent prendre N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 rendez vous sans qu il l ait r elle ment souhait Le niveau d labora tion de la demande n est alors pas le m me il est n cessaire de laisser au patient un certain temps pour qu il s approprie cette d marche ILest important d valuer l intensit de la souffrance psychique et de re p rer les ventuelles cons quences sur la sant du patient troubles du sommeil troubles alimentaires as th nie perte d int r t douleurs dif fuses sans explication somatique changement de comportement irritabilit retrait et abandon des centres d int r t habituels consom mation et recours inhabituels ou excessifs aux m dicaments l alcool et ou aux drogues repli sur soi anxi t fatigue distorsions cognitives avec vision cynique et d sabus e d elle m me et d autrui Il peut y avoir des manifestations explicites d id es ou d intentions suicidaires par le discours je veux
39. Les param tres de tendance centrale moyenne m diane et de dispersion quartiles inf rieur et sup rieur pour chaque chelle sont indiqu s Biais critiques limites Le questionnaire VT comporte de nombreuses chelles et items ce qui aboutit un questionnaire as sez long Les 42 questions compl mentaires isol es apparaissent de ce fait surabondantes Dans le rap port Vets Notelaers et De Witte 2009 il est indiqu que des utilisa tions partielles du VT ont t r ali s es par exemple une s lection de 10 chelles Les auteurs signalent galement une version courte du VT 36 questions r parties sur 11 chelles le Short Inventory to Mo nitor Psychosocial Hazards SIMPH dont les premi res analyses de vali dit de structure interne sont encou rageantes mais indiquent des am liorations possibles de cette version r duite Notelaers et 81 2007 Il peut paraitre tonnant que les auteurs belges conservent la struc ture d origine du questionnaire alors que les analyses factorielles quils effectuent leur indiquent des voies d am lioration possibles En particulier la fusion des deux chelles diversit du travail et possibilit s d apprentissage ap parait pertinente ce que confirme galement les analyses factorielles effectu es sur la version courte du VT Notelaers et al 2007 Lors de la passation du question naire les items des chelles sont regroup s e
40. SUIVI POUR VOUS Arr t de travail de l analyse la reprise Pr vention des infections transmises de la m re l enfant Les allergies professionnelles Conf rence INRS 2013 sur la recherche en sant au travail MISE AU POINT Risques infectieux des fum es laser exemple des papillomavirus humains N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 R F PAGE FRPS 33 P 135 FRPS 34 P 139 OR 79 P 145 OR 80 P 147 OR 81 P 150 OUTILS REP RES RISQUES PSYCHOSOCIAUX Ways of Coping Checklist WCC Questionnaire V cu du travail VT VOS QUESTIONS NOS R PONSES Quelles sont les cons quences sur la sant li es l utilisation d un cran de moins de 13 pouces Un sauveteur secouriste du travail peut il injecter du glucagon un salari diab tique en hypoglyc mie Quels sont les risques reprotoxiques encourus chez une esth ticienne enceinte massant avec des huiles essentielles PAGE P 154 P 159 P 165 P 167 P 175 P 182 A VOTRE SERVICE AGENDA D octobre 2013 juin 2014 FORMATIONS Formations 2014 de l INRS en sant et s curit au travail Stages et enseignement post universitaire LIRE VOIR S lection d ouvrages JURIDIOUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 avril au 15 juillet 2013 Recommandations aux auteurs SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL
41. a connu une augmentation de 76 96 atteignant 1 383 examens en 2011 1e nombre de visites de pr reprise a progress de 48 330 en 2011 En fin le nombre d inaptitudes a aug ment de 148 6 passant de 115 286 Lobjectif de la visite de reprise est d estimer si les capacit s du salari et son tat de sant sont en ad qua tion avec les contraintes impos es par son travail Elle a lieu quelle que soit la dur e l ArTr en cas de mala die professionnelle ou de cong maternit Pour les autres causes d ArTr des diff rences existent entre le r gime g n ral et le r gime agricole L article R 4624 22 du Code du travail dispose que l examen de reprise a lieu apr s une absence d au moins trente jours pour cause d accident du travail de maladie ou d accident non professionnel Dans le cadre de l article R 717 17 1 du Code rural cette visite a lieu apr s une absence pour cause d accident du travail d une dur e d un mois cette dur e tant port e 2 mois en cas de maladie ou d accident non professionnel La visite de pr reprise quant elle est initi e par le m decin conseil le salari lui m me ou son m de cin traitant l issue de celle ci le m decin du travail peut tablir des pr conisations pour l employeur afin de favoriser la reprise du sa lari Lorsqu une inaptitude est envisag e la visite de pr reprise permet une mise en relation du salari avec des services sociaux ou sp ciali
42. alis e afin de v rifier la pr sence de bisph nol A ou 5 9 Les r sultats seront transmis au m decin du travail analys s et publi s de mani re collective et anonyme Phasage de l tude 1 phase r alisation de la cin tique d limination vingt agents de caisse devront fournir leurs urines pen dant 24 h 10 personnes utilisant des tickets base de bisph nol A 10 avec du S Les agents pourront apparte nir la m me entreprise ou des entreprises diff rentes 2 phase valuation des expositions Une centaine d agents sont recherch s ainsi qu un nombre quiva lent de t moins Les t moins devront travailler dans la m me entreprise mais ne pas manipuler de tickets Dans cette phase d tude seules les urines des deux derni res heures de travail seront r cup r es Dans tous les cas un questionnaire court sera rempli en fin de journ e par les participants les tickets seront ana lys s pour v rifier la pr sence de bisph nol Des agents INRS viendront sur place r cup rer les urines qui doivent tre congel es imm diatement Personnels recherch s Agents de caisse Personnels en contact fr quent avec des papiers ther mosensibles tickets de cartes bancaires r sultats d exa mens m dicaux changement des rouleaux de tickets de cartes bancaires Responsables d tude contacter Sophie Ndaw Alain Robert D partement Polluants et sant laboratoire Surveillance biologique de
43. au travail ou du secteur Dans certaines situations un am nagement du poste de travail ou un changement d affectation est envisageable Ce peut tre le cas par exemple lorsqu est voqu un harc lement Lorigine de la souf france peut tre galement per sonnelle la reprise d une activit en salle d accouchement par une sage femme venant de perdre son nouveau n r active cette souf france Cette proc dure d am na gement du poste de travail est pr parer afin de ne pas majorer un ventuel sentiment d injustice et ou d incompr hension dela part du salari 1l est conseill de consigner dans le dossier m dical de sant au travail du salari l ensemble des d marches faites et des contacts pris par le m decin INTERVENIR SUITE UN SUICIDE En entreprise comme dans tous lieux d exercice professionnel les interventions suite un suicide se ront diff rentes selon qu il soit sur venu sur site ou en dehors En cas de suicide sur le lieu de travail les in tervenants ont prendre en charge des personnes expos es un v ne ment traumatique et endeuill es Il s agit aussi de g rer des aspects mat riels et d tre imm diatement confront s aux enqu tes m dico judiciaires Lorsque le suicide a lieu en dehors du site et du temps pro fessionnel domicile absence de coll gues t moins hors du cadre de l accident de trajet le niveau d exposition des impliqu s n est pas le
44. cet homme a d j pris des m dica ments achet s en pharmacie et se sent mieux Un ArTt est prescrit dont la finalit est plut t d ordre administrative 2 une ouvri re de 45 ans consulte pour une angine virale f brile Cette fois ci la patiente re fuse l ArTr par peur de perdre son emploi alors qu un arr t de 48 h semble m dicalement justifi Elle repartira sans tre arr t e 3 un agent bancaire de 51 ans consulte pour insomnie et an goisse l anamn se il raconte tre soumis une pression de ses sup rieurs hi rarchiques pour atteindre ses objectifs de travail et qu il ne peut plus la supporter Dans cette situation l ArTr est un acte th rapeutique part enti re il est urgent d extraire ce patient de son milieu professionnel car ce dernier est la cause de sa souffrance psy chique Dans un deuxi me temps une solution est d finir moyen terme afin que ce salari r int gre son travail 4 le mari d une enseignante de 5O ans est suivi pour un cancer m tastas Face l inefficacit des chimioth rapies des soins pallia tifs sont entrepris L enseignante consulte alors son m decin trai tant et demande un ArTr l arr t est le traitement transitoire d une souffrance psychique et permet la pr paration du deuil Il prend la place d un traitement psychotrope tandis que d autres consultations permettront la patiente d avan cer vers un choix de reprise d
45. cristalline le plomb et ses d riv s ne figurent pas dans la liste de Directive l UE 2 929 000 43 1245 000 europ enne 1 et 2 Leur croisement permet donc d tre au plus pr s de l ensemble inai P wed 2 181 000 10 1 3 361 000 des produits chimiques reconnus comme canc rog nes au plan des deux scientifique Comme les intitul s du questionnaire de l enqu te SUMER sur les produits chimiques ne correspondent pas Champ salari s France m tropolitaine et R union Source DARES DGT DGAFP enqu te SUMER 2010 1 Le texte du r glement CE 1272 2008 bas sur les recommandations internationales du Syst me G n ral Harmonis de classification et d tiquetage des produits chimiques SGH est paru au Journal officiel de l Union europ enne en d cembre 2008 2 Une famille de produits chimiques regroupe des produits de composition diff rente mais ayant une action similaire par exemple les solvants ou probablement canc rog nes moins un canc rog ne chimique Une approche par m tiers pour l homme encadr 2 Lenqu te SUMER permet aussi de rep rer des expositions d autres canc rog nes physiques ou chimiques n entrant pas dans les crit res retenus pour cette publica tion encadr 3 UNE EXPOSITION PLUS IMPORTANTE POUR LES OUVRIERS SURTOUT DANS LA CONSTRUCTION ET LES ACTIVIT S DE MAINTENANCE Les ouvriers sont les plus expo s s puisqu ils repr sentent plus des deux tiers des salari s expo
46. domaine de l utilisation pacifique de la technologie nucl aire Cr e en 1957 par les Nations Unies en tant qu organisme ind pendant elle compte 152 tats membres En 2005 l AIEA a annonc la cr a tion du Centre des incidents et des urgences IEC Celui ci est notam ment charg de coordonner en r ponse aux tats qui en font la demande une assistance rapide lorsque survient un incident ou une urgence nucl aire ou radiologique LIEC participe galement l va luation et l laboration de plans d urgence l organisation d exer cices internationaux de niveaux divers et la formation des pre miers intervenants en cas de si tuations d urgences Pour plus d informations sur ce centre suivre le lien www ns iaea org tech areas emergency L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en anglais D CHETS RADIOACTIFS gt ASN LASN labore la r glementation relative la gestion des d chets radioactifs et r alise notamment des inspections chez les diff rents producteurs de d chets et aupr s de l ANDRA Elle contr le l organi sation g n rale mise en place par cette derni re pour l acceptation des d chets des producteurs Elle appr cie aussi la politique et les pratiques de gestion des d chets des producteurs de d chets ra dioactifs Le site de l ASN propose un dos sier de pr sentation sur la ges N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013
47. en milieu Ir perbarc ari bes R 412 48 4451 5 1 cese du travail ct article 11 1E de d cret 8790 277 die 28 mars 99809 12 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 INFOS RETENIR D cret n 2013 607 du 9 juillet 2013 relatif la protection contre les risques biologiques auxquels sont soumis certains travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants et modifiant les dispositions relatives la protection des travailleurs intervenant en milieu hyperbare Journal Officiel du 11 juillet 2013 pp 11 543 11 544 Publics concern s travailleurs et employeurs des secteurs de la pr vention et des soins Objet pr vention des risques biologiques dans les lieux et tablissements les travailleurs sont sus ceptibles d tre en contact avec des objets perforants Entr e en vigueur le texte entre en vigueur le len demain de sa publication Notice le d cret a pour objet de pr voir des mesures sp cifiques de protection aux risques biologiques li s aux objets perforants par transposition de la directive 2010 32 UE portant application de l accord cadre relatif la pr vention des blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et sanitaire conclu par l HOSPEEM Association europ enne des employeurs hospitaliers et la FSESP F d ration syn dicale europ enne des services publics Il corrige galement cette occasion des erreurs de codifica
48. l exposition aux substances organiques INRS Vandoeuvre T l 03 83 50 8513 sophie ndaw inrs fr alain robert inrs fr Dominique Lafon D partement tudes et assistance m dicales chef du projet Bisph nol A INRS Paris T l 0140 443127 dominique lafon inrs fr 22 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 PARTICIPEZ LA RECHERCHE L 1 1 Reprise de travail apr s arr t maladie pour syndrome d pressif es patients en arr t de travail pour un syn drome d pressif pr sentent une vuln rabilit la reprise du travail La succession d arr ts dans ce cadre conduit souvent la mise en invalidit Le retour l emploi de ces personnes est donc un moment sen sible dont les ressorts sont peu connus Pourtant il s agit d un enjeu majeur en termes de sant de bon fonctionnement de l entreprise et de co t pour la soci t Cette p riode est source de risques psycho so ciaux sp cifiques L Institut national de sant et de la recherche m dicale INSERM U 669 initie une tude prospective pour connaitre plus pr cis ment ces risques afin de mieux accompagner ces salari s Objectifs de l tude Identifier les facteurs pr dictifs de reprise du travail chez les personnes en arr t maladie pour syndrome d pressif Proposer aux m decins traitants et aux m decins du travail des crit res objectifs pour accompagner ces patients lors de la reprise de travail Protocole
49. la pratique des soins de conservation susceptible de couper de per forer de piquer de blesser et pouvant transmettre un agent infectieux lorsqu il est souill par du sang ou tout autre produit biologique Il constitue un quipe ment de travail au sens de l article L 4311 2 ARTICLE 2 l Au I de l article R 4461 19 du Code du travail le mot relative est remplac par le mot absolue ll La section 4 du chapitre V du titre du livre V de la quatri me partie du Code du travail est remplac e par les dispositions suivantes Section 4 Risques lectriques Sous section 1 Utilisation des installations lectriques Art R 4535 11 Les travailleurs ind pendants et les employeurs qui exercent directement une activit surun chantier de b timent et de g nie civil sont sou mis aux dispositions des articles 4226 1 4226 21 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 13 INFOS RETENIR Sous section 2 Op rations sur ou au voisinage des installations lectriques Art R 4535 12 Les travailleurs ind pendants ou les employeurs qui exercent directement une acti vit sur un chantier de b timent et de g nie civil lorsqu ils effectuent des op rations sur les instal lations lectriques ou dans leur voisinage ont un niveau de connaissance des risques li s l lectricit et des mesures prendre pour intervenir en s cu rit qu
50. la sid rurgie fusion dans des fours creuset traitement for mage et le travail des m taux sou dage et brasage de pr cision dans HYPERFR QUENCES Les ondes lectromagn tiques hautes fr quences proviennent des machines utilisant l lectro thermie par effet di lectrique On les retrouve dans le secteur du bois lors des activit s de s chage de formage et de collage du bois de m me que dans lindustrie textile papeti re et plastique l orf vrerie lors du s chage du d coupage du Tableau I gt LE SPECTRE LECTROMAGN TIQUE Source Fondation sant et radiofr quences www sante radiofrequences org 3 300 Hz Extr mement R seau lectrique et lectrom nager basses fr quences 30 kHz 300 GHz Radiofr quences Radiodiffusion t l diffusion t l phone mobile WIFI four micro ondes radars communications par satellites 385 THz 750 THz Visibles Soleil lasers 3 PHz 30 PHz Rayons X Radiologie k kilo 10 M M ga 105 G Giga 10 T T ra 10 P P ta 10 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 29 GRAND ANGLE formage du moulage et du sou dage des mati res plastiques 6 Cas particulier des salari s porteurs de stimulateurs cardiaques Il n existe ce jour aucun texte r gle mentaire qui traite de l exposition aux champs lectromagn tiques des travailleurs implant s Pourtant on estime pr s de 15 000 le nombre de salari s q
51. lectrocardiographie L analyse de la VRC permet d avoir acc s de facon non invasive aux caract ris tiques du syst me nerveux auto nome SNA par un traitement des donn es dans un domaine tempo rel et dans un domaine fr quen tiel Plus pr cis ment les densit s spectrales LF low frequency et HF high frequency de la variabilit cardiaque caract risent respective ment les composantes ortho et pa rasympathique C est donc le ratio LF HF qui repr sente l tat du SNA Chez les sujets lectrosensibles la balance SNA sympathique SNA parasympathique semble l g re ment diff rente de celle des sujets sains 36 37 Le protocole de mesure le plus uti lis est celui d crit en 1996 par la So ci t europ enne de cardiologie etla Soci t nord am ricaine d lectro physiologie 38 Aujourd hui cette mesure de la variabilit du rythme cardiaque est utilis e essentielle ment chez les sportifs afin d valuer leur tat de forme cardiaque et de possibilit de r cup ration Elle est galement utilis e titre plus exp rimental chez les nourrissons qui N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 pr sentent un reflux gastro ceso phagien RGO L association des perturbations du SNA associ es au RGO a t r cemment mise en vi dence chez l adulte 39 mais n avait jamais t tudi e chez l enfant et le nourrisson Mesure de l activit lectrodermale En 2007
52. niveaux croissants permet de me surer la gravit d un v nement L acc s cette chelle est possible partir de diff rents sites dont celui de l ASN qui a labor un document d explication disponible l adresse www asn fr index php S informer Dossiers Les situations d urgence Que faire en cas d accident L inci dent L accident gt IRSN Il propose un lien intitul Instal lations nucl aires accessible en suivant l onglet Base de connais sances de la page d accueil Ce lien donne acc s diff rents dossiers dont l un d entre eux est d di au retour d exp rience de lIRSN sur des incidents et accidents notables avec des points de situations r gu liers et les enseignements tirer de ces v nements Des chapitres consacr s aux accidents de Tcher nobyl Ukraine 1986 ou plus r cemment de Fukushima Daiichi Japon 2011 y sont par exemple pr sent s Cette rubrique est en francais et est consultable gratuitement l adresse www irsn fr FR connais sances Installations nucleaires Pages Home aspx L IRSN a galement produit un rap port actualis en 2006 qui dresse le bilan des accidents graves dus aux rayonnements ionisants sur venus dans les secteurs civil in dustriel m dical et militaire Son objectif est de fournir une revue explicative et critique des acci dents les plus repr sentatifs ayant caus des dommages graves aux victimes et propose les principal
53. partant des donn es issues du rap port de l IRSN 3 qui indiquait que SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 41 Tableau I la moyenne de la dose pour les pro c dures distales tait de 0 29 mSv alors que celle pour les proc dures proches atteignait 0 92 mSv La dose d un acte a t d termin e en fonc tion du codage des proc dures en 4 classes proche distal proche inter m diaire distale par lIRSN et les doses moyennes des actes ont t extrapol es respectivement 0 9 0 6 8 0 45 et 0 3 mSv ANALYSE STATISTIQUE Elle a port sur les indices syn th tiques par doigt la corr lation entre doigts d un m me sujet tant prise en compte par l incor poration d un facteur al atoire su jet Les indices tant de nature or dinale le mod le statistique est un mod le de r gression logistique ordonn e ou mod le cotes pro portionnelles Ce mod le lin aire g n ralis mixte est ajust dans le cadre Generalized Linear Latent and Mixed Model 4 DESCRIPTION DE LA POPULATION Cardiologue Fab Radiologue Effectif ASPECTS THIQUES Apr s avis favorable du Comit consultatif sur le traitement de 1 formation en mati re de recherche dans le domaine de 1 Sant l ac cord de la Commission nationale de l informatique et des libert s CNIL a t obtenu le 17 septembre 2007 Chaque sujet a t inform du d roulement de l examen capilla
54. railles qui ne peut se d cider sans l accord des proches La pr sence du m decin du travail peut tre ici pr cieuse pour rep rer des agents qui manifesteraient des r actions inqui tantes effondre ment motionnel propos suici daires propos d lirants Des rituels s organisent fr quem ment l gard de 1 famille avec par exemple la constitution de gerbes de fleurs adress es au nom de l entreprise ou du service le jour des fun railles Ces rituels participent la restauration d une coh sion d quipe mise mal par le d c s violent d un des leurs Ils t moignent aussi de l attention celui qui est d c d et sa famille ce qui est un temps humanisant pr sent dans toutes les cultures La survenue d un deuil sur le site du travail augmente le risque de d liaison des liens intersubjec tifs autrement dit des liens entre personnes avec expression d une souffrance ant rieure au sein des quipes r activations de conflits anciens tensions inhabituelles entre coll gues Aussi la r alisa tion de ces rituels permet de conte nir ces d liaisons et de participer la restauration d un objectif com mun au groupe professionnel En dehors des actions d informa tion il est important que la direction pr voie d organiser rapidement un temps d change si des revendica tions particuli res se manifestaient Ce peut tre le cas par exemple lors d un suicide dans un contexte sup
55. ration des op rateurs en limitant la dur e d utili sation des mat riels en instaurant des pauses au moins 5 minutes toutes les heures lorsque la t che est intensive D autres mesures de pr vention sont galement mettre en ceuvre comme quitter p rio diquement l cran des yeux changer de temps en temps de posture au cours de la journ e et bouger pendant les pauses 9 Ces mesures sont d autant plus faciles prendre qu elles n induisent aucun co t suppl mentaire Quant l utilisation des t l phones mobiles des tudes ult rieures devront d terminer si les contraintes posturales observ es sont suscep tibles de g n rer des TMS 6 BIBLIOGRAPHIE 1 Ergonomie valuation des postures de travail statiques Norme internationale ISO 11226 2000 F Rectificatif technique AC1 Mai 2006 La Plaine Saint Denis AFNOR 2000 2006 25 p 2 p 2 Can F M crans de visualisation Sant et ergonomie dition INRS ED 924 Paris INRS 2005 104 p 3 Le travail sur cran Des ordinateurs et des hommes INRS 2011 www inrs fr accueil situations travail bureau travail ecran html 4 YouNc JG TruDEAU One D Mapp ET AL Touch screen tablet user configurations and case supported tilt affect head and neck flexion angles Work 2012 41 1 81 91 5 Ergonomie de l interaction homme syst me partie 410 crit res de conception des dispositifs d entr e physiques Nor
56. ri s Apr s un bref rappel r gle mentaire ce document abordera diff rents points quelle terminologie adopter quels sont les postes concern s quels sont les diff rents types de fiche de poste quel est son contenu qui prend en charge la r daction de la fiche de poste sa validation et sa mise jour titre d exemple une fiche de poste est pr sent e en annexe R f INRS ED 6027 2 dition 12 p Avr CR Faba ma de panie Les fiches toxicologiques de l INRS Nouvelles fiches FT 295 Ac tate de vinyle e FT 296 Triflusulfuron e FT 297 PFOS et ses sels e FT 298 BPS Refontes e FT 60 Cadmium et compos s e FT 279 BPA Mise jour partielle e FT 174 Halothane SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 17 NOUVEAUT S DE L INRS T lphones mobiles et stations de base Champs lectromagn tiques Cette fiche fait partie d une collec tion consacr e aux risques li s aux champs lectromagn tiques Au sommaire caract ristiques d mission des t l phones mobiles et des stations de base r glementation et niveaux d ex position risques pour l homme moyens de pr vention risques li s au champ magn tique autres risques bibliographie R f INRS ED 4200 2 dition 4 p Captage de fibres c ramiques r fractaires sur poste fixe Guide de pr vention Ce guide
57. risque En ce qui concerne les tablettes tactiles une tude r cente s est int ress e la variation des postures de la t te et du cou lors de l utilisation de 2 d entre elles dans 4 positions diff rentes tablette pos e sur les genoux et tenue dans une main 1 tablette pos e sur les genoux 2 tablette pos e sur une table avec une inclinaison de 15 ou 45 3 et enfin tablette po s e sur une table avec une inclinaison de 73 ou 63 4 Les angles de flexion de la t te et du cou sont significativement plus importants quelle que soit la position d utilisation de la tablette num rique que ceux observ s lors de l utilisation d un ordinateur de bureau En revanche l angle de flexion du cou et de la t te en position 4 tablette pos e sur une table avec une faible inclinaison est inf rieur celui obtenu dans les 3 autres positions Les auteurs pr conisent donc de poser la tablette sur une table directement en face de l utilisateur sur un socle relev une hau teur et une distance suffisantes pour les t ches de visionnage d cran afin de limiter les flexions 1 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 145 t te et du cou r duire les douleurs et avoir un confort visuel Cependant dans cette position les poignets se trouvent en hyper extension lors de la frappe sur l cran 4 Le positionnement de la tablette doit donc tre adapt en fonction de 1 t che Il est
58. sont d taill s plus loin RECHERCHE PAR RADIONUCLEIDES gt RECHERCHE SUR INTERNET gt Sites francais Fiches Radionucl ides IRSN INRS Elles sont accessibles gratuite ment e Sur le site de l INRS l adresse suivante www inrs fr en tapant radionucl ides dans le moteur de recherche N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Sur le site de l IRSN l adresse suivante www irsn fr FR profes sionnels sante documentation Pages guides aspx Ces fiches sont labor es conjoin tement par l IRSN et l INRS et ont t r alis es l intention des per sonnes en charge de la radioprotec tion Elles se veulent synth tiques et pratiques Divis es en plusieurs parties elles traitent des diff rents aspects se rapportant l utilisa tion du radionucl ide allant de ses propri t s chimiques physiques et biologiques la conduite tenir en cas d accident ou d incident Les recherches et les r sultats sont en francais Fiches Radionucl ides de l IRSN Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante wwwirsn fr FR Larecherche publications documentation fiches radionu cleides Pages Fiches radionu cleides aspx L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en fran ais Elles se pr sentent sous forme syn th tique et traitent des compor tements et actions des principaux radionucl ides dans les principaux compartiments des cosyst
59. tions Paris INRA ditions 2003 82 p 10 Hansez I Ia validation du WOCCOQ vers un mod le structurel du stress et du contr le de l activit au travail Th se de doctorat en psychologie Universit de Li ge 2001 www psytrav ulg ac be WOCCQ pages francais publications htm 11 LANGEvIN V Fran ois M Bom S Riou Les questionnaires dans la d marche de pr vention du stress au travail Dossier m dico technique TC 134 Doc M d Trav 2011 125 23 35 12 DESLAURIERS JP HURTUBISE Y La connaissance pratique un enjeu Nouv Prat Soc 1997 10 2 145 58 13 RocHE C IugzAux M SouLA SANDRET N AL Subvertir le concept d inaptitude Strat g Facteur Hum Perform 2002 4 48 52 14 HzRREROS G La violence ordinaire dans les organisations Plaidoyer pour des organisations r flexives Toulouse dition 65 2012 199 p 15 M Marry C M Movies P ET AL Maux du travail d gradation recomposition ou illusion Sociol Travail 2011 53 1 3 36 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 59 VU DU TERRAIN R Les expositions 211 aux produits chimiques canc rogenes en 20107 AUTEURS En 2010 l exposition un au Enqu te SUMER moins un produit canc rog ne Produit chimique au cours de la derni re semaine Canc rog ne travaill e a concern 1
60. tre r alis pendant la grossesse selon les indications immunod pression aspl nie h pa topathie chronique alcoolique dr panocytose homozygote VIH syn drome n phrotique insuffisance respiratoire ou cardiaque Concernant la grippe la r ponse immunitaire au vaccin administr Tableau I gt INDICATION DES VACCINS SELON LA P RIODE pendant la grossesse est compa rable celle hors grossesse Depuis f vrier 2012 la vaccination de la femme enceinte quel que soit le terme de la grossesse par un vac cin trivalent inactiv non adjuvan t est recommand e au moment de la campagne annuelle de vacci nation Cela permet de diminuer la morbidit maternelle et de prot ger le nouveau n Pour les autres vaccinations qui peuvent tre recommand es no tamment lors des voyages les vac cins contre l h patite A le chol ra l enc phalite tiques et la leptos pirose sont des vaccins inactiv s donc autoris s Il en est de m me pour le vaccin contre la typhoide compos de polyosides capsulaires Celui contre la fi vre jaune est un vaccin vivant att nu et ne sera r alis qu en cas d indication abso lue et en suspendant l allaitement Le tableau r capitule les p riodes auxquelles doivent tre pratiqu es les vaccinations Lallaitement ne modifie pas la r ponse immunitaire maternelle aux vaccins Toutes les vaccina tions sont possibles pendant l al laitement hormis celle contre la fi
61. vre jaune Vaccination avant Vaccination pendant Vaccination la grossesse la grossesse de l entourage e ROR s Varicelle Grippe Coqueluche Coqueluche Si indication o ROR Dipht rie t tanos Pneumocoque H patite B SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 113 SUIVI POUR VOUS 023 Les allergies professionnelles Conf rence INRS 2013 sur la recherche en sant au travail Nancy 3 5 avril 2013 AUTEURS V Demange 9 X Simon F X Keller des proc d s 4 d partement Polluants et Cette conf rence organis e par l INRS avec le soutien Allergie du Partenariat pour la Asthme Rhinite recherche europ enne en sant et s curit au travail gie Perosh avait pour but de e dresser un tat des lieux ntad des connaissances sur les allergies ces pathologies invalidantes et tr s souvent sous estim es aussi bien dans leur fr quence que dans leurs cons quences pour les salari s Les points de vue des toxicologues pid miologistes m trologues ing nieurs et professionnels de la pr vention s y sont crois s Ce compte rendu rapporte principalement les aspects m dicaux les autres domaines sont voqu s de fa on plus synth tique 6 F Gagnaire G H delin 9 sant INRS SESSIONS PID MIOLOGIE ET TOXICOLOGIE CONF RENCES INVIT ES La premi re conf rence invit e s est int ress e aux m c
62. 1a Cour des Comptes indique qu il existe une forte disparit d un d parte ment l autre variant dans une proportion allant de 1 3 Afin d analyser ces disparit s d partementales la base de donn es Hygie encadr 1 a t cr e en 2005 sous le pilotage de l IRDES avec la Direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques DARES du minist re du Travail partir de 2 fichiers administratifs fournis par la Caisse 100 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Encadr 1 gt LA BASE HYGIE d esse de la sant en grec La base Hygie permet d tudier les relations entre la sant le travail et la carri re professionnelle et les caract ristiques de l entreprise Elle regroupe des donn es provenant de l employ et de l employeur ce qui repr sente un panel de grande taille soit 550 000 individus et peu pr s 300 000 tablissements Cette base est la fusion du fichier administratif Carri res de la CNAVTS qui retrace la carri re d un individu d s son entr e nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s CNAMTS et la Caisse nationale de l assu rance vieillesse des travailleurs salari s CNAVTS a t tablie une carte de France avec la pro portion des par d partement Par exemple pour le d partement des Ardennes le taux est de 28 9 96 pour les Hautes Alpes de 131 et pour l Indre et Loir
63. 2003 et 2010 ou par la substitution des produits canc rog nes par des produits moins dangereux Ainsile nombre de salari s expos s au trichloro thyl ne a t quasiment divis par 3 entre 2003 et 2010 gr ce l utilisation de produits de substi tution tels que les produits lessi viels comme d graissants Dans les cas d exposition aux canc rog nes la dur e s est ga lement r duite 3 points pour la d exposition pour 1000 salari s en 2010 37 26 18 16 A ou O N H N H amp uw 70 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 part des expositions longues plus de 20 heures sur la semaine pr c dant l enqu te 2 points pour celles des expositions ponctuelles 2h ou moins tableau VI La part des expositions les plus intenses dans l ensemble des entre 2003 et 2010 confirmant cette volution favorable La mise disposition de pro tections individuelles a progress elle aussi Ainsi 19 des situations d exposition s accompagnaient de la mise disposition d une protec expositions a diminu de 5 points tion respiratoire individuelle en Tableau VI 2003 mais 31 6 en 2010 de 37 42 pour la protection cutan e En excluant la ventilation g n rale peu efficace pour les produits chimiques canc rog nes la pro tection collective n a en revanche pas progress entre 2003 et 2010 gt VOLUTION DES EXP
64. 9 H ran Leroy O SANDRET N L exposition aux produits canc rog nes dans le travail Premi res Synth ses Informations 1998 31 2 1 8 10 INRS Principes g n raux de ventilation Guide pratique de ventilation n o ED695 Paris INRS 1989 36p 72 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 PRATIQUES ET M TIERS Recherche documentaire sur les risques li s aux rayonnements ionisants AUTEURS Face la diversit des sources d information concernant les risques li s aux rayonnements ionisants notamment disponibles sur Internet la mise en place d une d marche de recherche parait indispensable Cet article a pour objectif de fournir au lecteur une s lection des supports d information jug s les plus pertinents pour sa m thodologie de recherche en fonction de ses objectifs propres La liste des supports propos e correspond une s lection faite par les auteurs cette liste ne peut donc en aucun cas tre consid r e comme exhaustive Les sites d organismes officiels ou de sources connues dont les documents sont dat s avec mise jour r guli re sont privil gi s de mani re faciliter l acc s des donn es valid es Les informations obtenues sur Internet peuvent tre compl t es par la consultation d ouvrages ou de CD Rom Concernant les ouvrages les ditions indiqu es dans cet article correspondent aux derni res ditions disp
65. CHIMIQUES CANC ROG NES PRIS EN COMPTE EN 2003 ET 2010 Produit Nombre de salari s expos s en 2003 Gaz d chappement diesel 727 500 Huiles min rales enti res 669 100 Poussi res de bois 379 900 Silice cristalline 269 000 Trichloro thyl ne 153 600 Formald hyde 153 600 Goudrons de houille et d riv s bitume 117 100 et brais de p trole Chrome et d riv s 108 000 Amiante 106 600 Hydrocarbures aromatiques halog n s et 104 100 ou nitr s Fibres c ramiques r fractaires 104 000 Nickel et d riv s 97 700 Fum es d gag es par les proc d s dans 92 900 la m tallurgie et l lectrom tallurgie Amines aromatiques et nitrosamines 79 300 Cytostatiques 69 200 Cobalt et d riv s 47 600 Benz ne sauf carburants 47 400 Perchloro thyl ne 47 400 R sines formoph noliques 39 400 Fum es de vulcanisation 38 300 Carbures m talliques fritt s 36 500 Acrylamide 27 800 Cadmium et d riv s 27 700 Arsenic et d riv s 13 800 d exposition Nombre pour 1000 de salari s salari s expos s en 2003 en 2010 42 676 300 38 472 700 22 337 300 15 284 400 9 59 100 122 500 94 100 91 900 6 70 900 6 95 400 6 73 900 6 90 400 5 71400 5 56 700 4 45 500 3 65 100 3 31 600 3 28 300 2 24100 2 12 600 2 38 600 2 26 000 2 33 000 1 6 800 Champ salari s du secteur concurrentiel et h pitaux publics France m tropolitaine hors particuliers employeurs Source DARES DGT DGAFP enqu tes SUMER
66. Connaissance du monde agricole et rural 1 5 j Risque chimique De la toxicologie l valuation du risque 3j Risque chimique Toxicit des produits chimiques 3j Risque biologique Sp cificit des zoonoses 3 5 j Fili res et activit s de production agricole 2 j Ambiance de travail La d marche ergonomique 3 5 j 1 5 j Autres risques professionnels 2 j R glementation du travail La sant s curit au travail 5 j Sant au travail Sant publique Conduite de projet 3 5 Risques physiques et psychosociaux 3 j L tudiant doit soutenir un m moire de fin d tudes Institut national de m decine agricole INMA 14 rue Auguste Comte 37000 TOURS T l 02 47 66 62 32 diplomeG inma fr www inma fr DU Formations de l association C ur et travail Stages destin s aux m decins infirmie re s assistant e s en sant au travail et aux IPRP PARMI LES STAGES 2013 2014 gt Nouvelles pratiques en cardiologie perfectionner les connaissances et pratiques en cardiologie utiles en sant au travail gt Reprise du travail apr s un accident cardiaque gt Lecture de l lectrocardiogramme ECG L lectrocardiogramme en m decine du travail Cardiofr quencem trie gt Urgence cardiologique en milieu du travail gt Toutes les urgences en entreprise gt Cons quences cardiaques du stress au travail Association C ur et travail 27 rue de La Bruy re 75009 Paris T l 01 42 8
67. EN e Travailler sur un cran de moins de 13 pouces Quelles cons quences sur la sant La r ponse de Marie Anne Gautier d partement tudes et assistance m dicales INRS et Francois Cail d partement Homme au travail INRS Les crans de moins de 13 pouces quipent les mi ni portables certaines tablettes tactiles et les t l phones mobiles Leur utilisation peut entra ner des cervicalgies s ils sont situ s trop bas par rapport aux yeux En effet se lon la norme ISO 11 226 1 la flexion du cou ne devrait pas d passer 25 en position statique qui est carac t ristique du travail informatis Le travail sur mini portable fait l objet de tr s peu d tudes peut tre parce que leur utilisation est cens e tre ponctuelle du fait de la petite taille de l cran En revanche un certain nombre d tudes concerne l emploi des por tables Quelques publications portent sur celui des tablettes tactiles et des t l phones mobiles L utili sation de tous ces mat riels s est fortement accrue durant ces derni res ann es d autant plus qu ils peuvent tre utilis s la fois au bureau et en dehors de celui ci comme par exemple dans les transports L utilisation des mini portables g n re la m me contrainte posturale que celle des portables quip s d crans de plus grande taille En effet comme ces crans font corps avec le clavier ils sont g n rale ment trop bas par rapport aux yeux Ainsi des
68. ICPR statement on tissue reactions and Early and Late Effects of Radiation in Normal Tissues and Organs Threshold Doses for Tissue Reactions in a Radiation Protection Context ICRP Publication 118 Ann ICRP 2012 41 1 2 1 322 POINTS RETENIR o L tude sur l exposition des praticiens en radiologie interventionnelle a clairement tabli une association entre les alt rations micro vasculaires des doigts et l exposition aux rayonnements ionisants de ces professionnels o Cette tude qui n a gard au final que 6 param tres parmi les 10 propos s a donn des r sultats significatifs pour la comparaison de groupes mais n a pu d montrer l int r t de la capillaroscopie dans la surveillance individuelle de ces professionnels est indispensable de mettre en place une surveillance syst matique par dosim trie des extr mit s de cette population expos e en radiologie interventionnelle o Au del de la technique capillaroscopique l exposition importante en radiologie interventionnelle n cessite que les mesures de pr vention soient optimis es o Les gants de protection individuelle en latex plomb ne doivent en aucun cas tre utilis s pour les actes impliquant le passage des mains dans le faisceau primaire SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 47 VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie ANNEXE E
69. Installation class e pour la protection de l environnement IEC Incident and emergency centre INB Installation nucl aire de base INES International nuclear event scale INIST Institut de l information scientifique et technique INRS Institut national de recherche et de s curit INSTN Institut national des sciences et techniques nucl aires inVS Institut de veille sanitaire IRPA International radiation protection association IRSN Institut de radioprotection et de s ret nucl aire LNHB Laboratoire national Henri Becquerel NLM National library of medicine OPRI Office de protection contre les rayonnements ionisants PCR Personne comp tente en radioprotection RELIR Syst me francais de retour d exp rience sur les incidents radiologiques RPE Radiation protection expert SAMU Service d aide m dicale urgente SFRP Soci t francaise de radioprotection SIEVERT Syst me informatis d valuation par vol de l exposition au rayonnement cosmique dans les transports a riens SISERI Syst me d information de la surveillance de l exposition des travailleurs aux rayonnements ionisants SPRA Service de protection radiologique des arm es UCSD University of California San Diego UNSCEAR United nations scientific com mittee on the effects of atomic radiation US EPA United States Environmental protection agency BASE DE CONNAISSANCES
70. Intimidation et r sultats valuation de l exposition airmon2o14 inrs fr Pr vention et intervention strat gies pics d expositions www inrs airmon2o14 fr gt R le des acteurs sociaux multi expositions gt Relations de travail Exposition cumul e et pid L gislation et indemnisation miologie Aspects culturels Mod lisation de l exposition 17 20 JUIN 2014 gt Harc lement sexuel gt chantillonnage actif et passif MILAN Italie gt Co ts del intimidation pour des gaz organiques et inorga Conf rence sur l organisation la soci t et l individu niques l intimidation et le chantillonnage et mesure des harc lement au travail a rosols et des bio a rosols RENSEIGNEMENTS chantillonnage et mesures des Parmi les th mes Universit de Milan phases mixtes gt Identifier et mesurer ergonomia unimi it gt chantillonnage et mesure des l intimidation www bullying2014 unimi it about nano a rosols gt Facteurs de risques conference html SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 157 Faire le point des connaissances Sur Audition et travail gt Pathologies neurod g n ratives et travail gt Tra abilit et service de sant autravail gt Les m tiers de l aide et de l assistance domicile L valuation des capacit s cardiorespiratoires gt TIC technologies d information et de communication et organisation du travail P nibilit pr vention profe
71. Janeiro shiftwork20o13 usp br www fsp usp br shiftwork2013 7 8 NOVEMBRE 2013 PARIS France 15 colloque de l Association pour le d veloppement des tudes et recherches pid miologiques en sant travail ADEREST Th mes gt conomie de la pr vention des risques professionnels gt Surveillance m dico professionnelle des travailleurs expos s des manipulations de charges une recommandation de bonne pratique gt R sultats des travaux de prospective m tiers m tiers 2020 et sectorielle secteurs porteurs 2030 154 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 EE Ateliers gt Confort au travail de quoi confort au travail Surveillance des travailleurs parle t on gt Liens entre confort au travail de nuit comment avec quels Dimensions physiques et sant au travail une r ponse outils normes nuisances et zones de aux risques psychosociaux gt valuer les risques confort s curit gt Relations entre confort au psychosociaux Quels outils Dimensions fonctionnelles travail et productivit d une quels moments valuation du confort organisation un indicateur de la Acc s aux donn es de sant satisfaction des salari s sur leur performance au travail environnement de travail RENSEIGNEMENTS Dimensions psychologiques 1118 aderest paris2013 invs sante fr appropriation de l espace confortautravailegmail com www aderest pa
72. Les ma nagers consid rent que l entreprise n est pas en cause notamment en cas d pid mie virale Ouant aux employeurs ils sou haitent r duire le co t de l absen t isme qui est un facteur de d sor ganisation de l entreprise Enfin les repr sentants du person nel estiment ne pas tre suffisam ment cout s par la direction mal gr des alertes r p t es relatives au m contentement des salari s Ils considerent les ArTr comme une forme alternative de conflit social En conclusion chacun reste sur ses repr sentations Aussi est il n ces saire de favoriser le dialogue entre les diff rents acteurs de l entre prise sur la question des ArTr qui concerne toute la soci t francaise ABSENT ISME AU TRAVAIL FACTEURS ET ENJEUX T Rousseau Agence nationale d am lioration des conditions de travail ANACT Lyon LANACT est de plus en plus sollici t e par des entreprises confront es au probl me de l absent isme Les interventions men es par le r seau ANACT impliquent une mobilisa tion commune de l ensemble des acteurs sociaux employeur enca drement repr sentants du person nel salari s m decins du travail En effet une des cl s de r ussite de l intervention est la construction d une d marche concert e de pr vention de l absent isme o l outil du dialogue social est privil gier L absence de d finition consen suelle de l absent isme ne permet pas une approche uniforme
73. Naples Construction d indices synth tiques partir de ces param tres des in dices synth tiques ont t g n r s l un caract risant l extravasa tion c est la somme du code de l d me du nombre de rang es cod et d un score de longueur Ainsi cet indice varie entre o et 6 avec une valeur o indiquant une absence d atteinte et 6 une at teinte maximale 9 le second caract risant la mor phologie capillaire cest la somme des codes de n og n se de distri bution de dystrophies de parcours et d un score de nombres d anses 0 pour un nombre sup rieur ou gal 10 1 pour un nombre de 8 ou de 9 et 2 pour un nombre m dian inf rieur 8 Ainsi cet indice varie entre o et 10 avecune valeur o indi quant une absence d atteinte et 10 une atteinte maximale VALUATION DES EXPOSITIONS Les expositions ont t valu es partir des informations recueil lies dans les questionnaires sur la carri re professionnelle et la des cription de l activit des m decins participants cette valuation a t r alis e en concertation avec l IRSN en prenant en compte leurs r sultats de l analyse des donn es dosim triques par acte la tech nique d examen par exemple abord vasculaire proximal proche du faisceau direct ou distal loi gn e du faisceau le rythme de vacations et nombre d actes par vacation 3 Quatre cat gories professionnelles ont t cr es le groupe des t mo
74. Suite ces analyses la d composi tion des r sultats est pr sent e cf figures 1 et 2 Au total les variables expliquant le plus les disparit s interd par tementales sont la densit des m decins g n ralistes et le taux de contr le par l assurance mala die et l ge d entr e sur le march du travail Elles pourraient tre des leviers importants des politiques de sant visant la r duction des disparit s g ographiques D autres projets de recherche sont en cours lIRDES l tude des d terminants des IJ l analyse des d terminants des accidents du tra vail et maladies professionnelles AT MP l impact des cotisations des entreprises et de la tarification Figure 2 Figure 1 gt PART EN DE LA VARIABILIT INTERD PARTEMENTALE EXPLIOUEE PAR LES DIFFERENTS TYPES DE VARIABLES Effet total 6 653 Effet de composition individuel Etablissement W 78 Assurantie D indisiduel Age d entr e sur le rnarche du rana statut d occupa tier du b n fice rm 3004 rd 30031 M pase iuf le marche du travail temps de travail 62 1 2 1 64 iee b n ficier du r gime Ge 13 CALE aoir change de sEabut 15 3 1 de la CAU tire ALD E Etablisserment palaiee aia carie et au cube taille de l tablisee merni secteur d activit de compediition Individuel e assuraniel e tabilecsement il e
75. Toutefois ces sala ri s ne sont pas en mesure de se prot ger suffisamment terme de stress inadapt est galement employ dans cette situation Il est conseill aux t moins directs de r aliser une d claration d acci dent du travail en vue de faciliter la prise en charge d ventuels troubles post traumatiques survenant dis tance Le certificat m dical initial peut tre r dig ainsi exposition un v nement traumatique majeur susceptible de conduire des troubles post traumatiques ult rieurs En effet tre confront une mort en direct peut entrainer une blessure psychique aux cons quences mul tiples et susceptible d hypoth quer durablement le devenir du salari Apr s l vacuation de la victime il est fortement conseill de faire nettoyer la zone et de proc der aux ventuelles r parations au plus t t Ceci ne peut se faire qu apr s accord des forces de police qui clas siquement font appel des entre prises de nettoyage sp cialis es d faut la pr fecture peut tre sol licit e pour r quisitionner des ser vices d entretien sp cialis s La remise en tat des lieux est es sentielle pour limiter l aggravation des troubles au sein des personnels de l entreprise et permet au plus t t de retrouver un sentiment de s cu rit titre d exemple si un salari s est suicid dans son bureau qu il partage avec d autres l absence de nettoyage de la zone va exp
76. ampli x Figure1 tude maximale faible 0 63 d cart entre les moyennes maximale et minimale des cat gories DISCUSSION INT R TS ET LIMITES L tude pr sente d importantes li mites mais ouvre corr lativement de nouvelles pistes de recherche La premi re limite est relative la m thodologie r trospective sur groupe unique de sujets avec va luation externe d expert qui ne permet d accorder qu une valeur particulierement contextu e aux r sultats Une r plication sous la forme d tude prospective cas t moins avec double valuation impliquant la fois les experts et les salari s devrait permettre de progresser en termes de validit s interne et externe Dans ce futur contexte des renseignements clai rants pourraient tre recueillis sur les pathologies intercurrentes ainsi que sur le v cu de ces inaptitudes leur r partition par anciennet par poste de travail et par secteur d acti vit La seconde limite m thodologique est relative au choix de l outil de mesure et son utilisation comme base d valuation L approche mise en ceuvre n a pas fait l objet d une validation psychom trique recon nue En effet de mani re proto typique linventaire des risques psychosociaux de la CARSAT de Bourgogne Franche Comt 1 s uti lise lors d entretiens en face face men s par des pr venteurs pour rep rer dans le discours de sala ri s d ment cout s des facteurs de risques susceptib
77. assu rer le suivi m dical des travailleurs expos s aux risques et permettent un change d exp riences sur leurs actions de pr vention des risques professionnels Les stages ouverts des publics mixtes compos s de pr venteurs d entreprise fonctionnels s curit m decins du travail et d agents des services pr vention des caisses de S curit sociale codes stages JA N encouragent la mise en synergie des comp tences afin d accroitre l efficacit de leur action dans le do maine de la sant et de la s curit autravail et d atteindre des objectifs communs de pr vention Les stages dont le code est suivi d un ast risque dans le tableau ci apr s sont ceux soumis l OGDPC pour le d veloppement professionnel des m decins et ou des infirmiers Organisation et management de la pr vention Code AB1230 AB1231 BB2230 JJ2331 RR2801 Stage Session D coder l organisation et 1 la strat gie de l entreprise D couvrir les principes et 1 pratiques des syst mes de management de la sant et de la s curit au travail Mieux appr hender 1 les relations entre vieillissement sant et travail D velopper la fonction 1 pr vention en entreprise Assurer les conditions de p r ussite d une formation action PRAP en entreprise ou en tablissement Dur e Date 4 jours 03 02 2014 au 07 02 2014 6 jours 22 09 2014 au 26 09 2014 et 05 11 2014 au 07 11 2014 3 jours 28 10 2014
78. au 30 10 2014 12 jours 10 03 2014 au 14 03 2014 et 07 04 2014 au 11 04 2014 et 12 05 2014 au 16 05 2014 1jour 14 01 2014 ou 03 06 2104 Lieu Co t net Neuves 1035 Maisons Vandoeuvre 1553 l s Nancy Paris TI6 Neuves Mai 3106 sons Paris Co t pris hors site en charge par l INRS D marches m thodes outils Code Bl2330 JJ2301 160 Stage Session Mieux conduire une visite 1 d entreprise Int grer les concepts et 2 m thodes de l ergonomie dans la d marche de pr vention Dur e Date 2 5 jours 07 04 2014 au 09 04 2014 8 jours 12 05 2014 au 16 05 2014 et 02 06 2014 au 06 06 2014 ou 17 11 2014 au 21 11 2014 et 08 12 2014 au 12 12 2014 Lieu Co t net Paris 647 d terminer 207 et Neuves Mai sons Paris hors site et Paris N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 D marches m thodes outils Code JA2301 JA2330 JAo130 JA1731 JA1770 JA2331 Stage Session Dur e Date Lieu Co t net S initier aux m trologies 1 4 jours 20 01 2014 au 24 01 2014 Neuves 1035 employ es pour Maisons la caract risation des expositions professionnelles Exp rimenter une 1 4 jours 20 10 2014 au 24 10 2014 d ter 1035 m thode d identification miner et de pr vention des risques Analyser les accidents et 1 4 jours 17 02 2014 au 21 02 2014 Neuves 1035 incidents par la m thode ou Maisons de l arbre des causes 06 10 2014 au
79. ces situations complexes et haut risque m dico l gal il est impor tant que le m decin du travail etles autres membres de l quipe pluri disciplinaire puissent travailler en r seau avec des structures de soins sp cialis s POINTS RETENIR o Face un salari en tat de souffrance il est n cessaire de savoir aborder la question des id es suicidaires o l existence d un r seau de prise en charge psychologique permet une r ponse rapide et appropri e o Les r actions de deuil ne n cessitent pas syst matiquement une prise en charge psychologique oll est conseill de consigner toutes les d marches effectu es pour le salari date et r sultat des avis ext rieur sollicitation des services sociaux dans le dossier m dical de sant au travail BIBLIOGRAPHIE 1 Kovsss V Er Boisson M Gopor C SAUNERON 5 La sant mentale l affaire de tous pour une approche coh rente de la qualit de vie Paris la Docu mentation francaise 2010 271 p 2 OuEVAUVILLIERS J FINGERHUT A Eps Dictionnaire m dical 3 dition Paris Masson 2001 1589 Conf rence de consensus La crise suicidaire reconna tre et prendre en charge 19 et 20 octobre 2000 Amphith tre Charcot h pital de la Salp tri re Paris Texte court ANAES 2000 www has sante fr por tail upload docs application pdf suicicourt pdf POUR EN SAVOIR 4 Reamer Z Strategies of suicide pr
80. cessaire de s int resser aux m canismes de la socialisation professionnelle dont le cursus scolaire Ceux ci condi tionnent les comportements avant l arriv e sur le march du travail Ainsi l identification de ces fac teurs est une premi re approche mais ne permet pas d tudier pr cis ment les situations dans les quelles l absent isme survient Une analyse socio organisationnelle l chelle de l entreprise ou de cer taines unit s de travail ateliers et ou services parait donc essentielle pour comprendre ce ph nom ne Atitre d exemple est inter venue dans une entreprise de sous traitance automobile employant 1200 salari s r partis sur 7 unit s distinctes o l absent isme est en augmentation depuis plusieurs ann es Les se r partissent en 3 cat gories arr ts de longue dur e aboutissant parfois des d clara tions de maladie professionnelle arr ts de courte dur e accidents du travail de type blessure et arr ts dont la cause n est pas identifi e Au sein de cette entreprise l orga nisation du travail est fond e sur une grande polyvalence des salari s afin de faire face aux absences im promptues La r affectation rapide d un poste et d une quipe de pro duction l autre ne se traduit pas par un largissement des domaines de comp tence des travailleurs Cette logique d organisation pro duit un sentiment fort d interchan geabilit et d anonymat vo
81. chez les femmes et une surrepr sentation des causes rhumatolo giques et traumatiques chez les hommes D autre part une corr lation im portante a t observ e entre les pathologies voqu es par le pres cripteur sur son arr t de travail et le ressenti fonctionnel des travail leurs arr t s Au total 5 6 des arr ts de travail prescrits 48 dossiers ont t consi d r s comme non justifi s par les m decins conseil Aucune diff rence li e au sexe ou la cause fonctionnelle des arr ts d clar e par le malade n a t observ e entre les arr ts consid r s comme justifi s et non justifi s ARR TS DE TRAVAIL DISPARITES REGIONALES ET ASPECTS MICRO ECONOMETRIQUES M A Ben Halima Institut de re cherche et de documentation en conomie de la sant IRDES Paris Cette intervention s appuie sur les r sultats d une tude de lIRDES r alis e entre 2010 et 2011 et inti tul e Arr ts maladie comment expliquer les disparit s d parte mentales Premi res exploitation de la base Hygie En 2008 le montant total vers au titre des par lAssurance mala die en France s est lev 11 3 mil liards d euros soit plus de 5 6 des d penses de sant Ce montant se d compose en 54 pour la maladie 24 6 pour la maternit et 22 6 pour les accidents du travail En 2010 il a atteint 13 milliards d euros Dans son rapport sur la S curit so ciale de 2006 et celui de 2012
82. concordantes ont mon tr que des sujets expos s dans un cadre organisationnel des stimuli aversifs fort niveau de bruit de cha leur ou de densit populationnelle pr sentent un renforcement des af fects hostiles et des conduites agres sives De plus la fatigue et la frustra tion en relation avec des situations organisationnelles sont aussi des circonstances qui conduisent un exc s de prises de risques et de pas sages l acte agressifs par 16 biais de l puisement des ressources autor gulatrices inhibitrices de l agression 4 5 INTERFA AGE L APPROCHE EMPIRIQUE AVEC DES MOD LES TH ORIQUES Pour favoriser le d ploiement de l action le seul recueil des fac teurs de risques est insuffisant Le rep rage des facteurs de risques psychosociaux l uvre dans une situation de travail devrait tre en racin dans un mod le explicatif offrant une approche int gr e du r el Sans mod le th orique expli catif il est d licat de structurer les l ments observ s et ou rappor t s en un tout coh rent suscep tible d expliquer tant l alt ration dela sant des travailleurs et celle de la performance organisation nelle que de justifier la n cessit d une intervention pr ventive 6 7 Il s agirait ainsi de mettre en perspective les pr cieux apports des mod les articulant les dimen sions explicatives pertinentes telles qu une forte demande psy chologique faisant face une
83. d dition diteur ann e nombre total de pages Si donn es disponibles Exemple ouvrage Gresy JE Perez Nuckel R Emont P G rer les risques psychosociaux Performance et bien tre au travail Entreprise Issy les Moulineaux ESF Editeur 2012 223 p Exemple chapitre dans un ouvrage Coqueluche In Launay Piroth L Yazdanpanah Y Eds E Pilly 2012 Maladies infectieuses et tropicales ECN Pilly 2012 Maladies infectieuses et tropicales 23 dition Paris Vivactis Plus 2011 288 90 607 p On entend ici par Ed s le ou les auteurs principaux d un ouvrage qui coordonnent les contributions d un en semble d auteurs ne pas confondre avec la maison d dition Exemple extrait de congr s Bayeux Dunglas MC Abiteboul D Le C Guide EFICATT exposition fortuite un agent infectieux et conduite tenir en milieu de travail Extrait de 31 Congr s national de m decine et sant au travail Toulouse 1 4 juin 2010 Arch Mal Prof Environ 2010 71 3 508 09 Exemple th se Derock C tude sur la capillaroscopie multiparam trique sous ungu ale des expositions chro niques professionnelles en radiologie interventionnelle Th se pour le doctorat en m decine Bobigny Universit Paris 13 Facult de m decine de Bobigny L onard de Vinci 177 p Forme g n rale pour un document lectronique Auteur Titre du document Organisme metteur date du document adres
84. d bit expiratoire de pointe DEP est en moyenne plus basse chez les expos s que chez les non expos s alors que les mesures du NO exhal sont plus lev es chez les expos s que chez les non expos s Des ana lyses compl mentaires sont venir prenant en compte l exposition et comparant les saisons haute et basse expositions Des mesures de marqueurs d in flammation recueillis chez des bou langers travaillant en boulangerie artisanale ont t pr sent es Cent cinq boulangers ont t inclus et ont r alis une spirom trie un test de provocation bronchique non sp ci fique la m tacholine et si besoin un test de provocation bronchique sp cifique Des tests cutan s aux allerg nes pr sents dans lenviron nement ont t galement r alis s ainsi que des dosages s riques de 3 cytokines pro inflammatoires les interleukines 6 et 8 et le TNF a Les boulangers taient g s en moyenne de 41 ans cart type de 11 ans et avaient une dur e d expo sition de 19 ans en moyenne cart type de 12 ans proportion de fumeurs tait de 37 6 Trois groupes ont t constitu s 31 sujets ato piques positivit des tests cutan s au moins un allerg ne pr sent dans l environnement 43 sujets pr sen tant un asthme ou une rhinite pro fessionnels dus la poussi re de fa rine et 31 sujets sains non atopiques Les taux s riques d interleukines 6 et 8 taient inf rieurs de facon sta tistique
85. d molition et les interventions sur des mat riaux des quipements des mat riels ou des articles susceptibles de provoquer l mission de fibres d amiante accomplis dans l exercice des fonctions Le b n fice de ce suivi m dical post professionnel est su bordonn la d livrance sur demande des agents d une attestation d exposition l amiante par la collectivit ou l tablissement dont rel ve l agent int ress au moment de la cessation d finitive de ses fonctions tablie confor m ment au mod le d fini par l arr t du 28 f vrier 1995 modifi D cret n 2013 435 du 27 mai 2013 relatif l attribu tion d une allocation sp cifique de cessation anticip e d activit certains fonctionnaires et agents non titu laires relevant du minist re charg de la Mer Minist re charg de l Environnement Journal officiel du 29 mai 2013 www legifrance gouv fr 5 p Ce d cret pr voit les conditions d attribution pour les fonctionnaires et agents non titulaires relevant du mi nist re charg de la Mer ayant t expos s l amiante d une allocation sp cifique de cessation d activit Lallocation vers e sur demande des int ress s est r ser v e aux agents qui sont ou ont t employ s dans cer taines conditions dans des tablissements de construc tion ou de r paration navales du minist re charg de la Mer D cret n 2013 594 du juillet 2013 relatif aux risques d exposition
86. de croissance attendu de l conomie verte il est important d anticiper les risques nouveaux ou mergents que posent les emplois verts en termes de s curit au travail avant m me qu ils n apparaissent C est la raison de cette tude de l Agence europ enne pour la s curit et la sant au travail EU OSHA dont l objectif est d attirer l attention sur les risques potentiels dans ce domaine et de fournir aux d cideurs de l Union europ enne en particulier des outils qui leur permettront de modeler les lieux de travail de demain et de garantir la sant et la s curit des travailleurs Apr s avoir identifi un certain nombre de sc narios possibles tenant compte du d veloppement des technologies vertes et des conditions conomiques et sociales le rapport traite de diff rents secteurs nergie olienne construction verte bio nergie et aspects nerg tiques des biotechnologies gestion et recyclage des d chets transports verts fabrication verte robotique et automatisation syst mes d nergie domestique et petite chelle batteries et stockage de l nergie transport et distribution de l nergie probl mes de sant et de s curit communs aux divers secteurs European Agency for Safety and Health at Work Gran Via 35 E 48009 Bilbao Espagne Office des publications de l Union europ enne 2 rue Mercier L 2985 Luxembourg 2013 209 p http osha europa eu Perturbateurs endoc
87. de la r ponse par les cellules T r gulatrices Le pouvoir allergisant des produits chimiques peut tre pr dit par dif f rentes m thodes expos es lors de la deuxi me conf rence invi t e La sensibilisation cutan e se d veloppe lors d une exposition certains produits chimiques suscep tibles de provoquer une prolif ra tion des cellules immunitaires avec la peau pour cible lors d une r ex position Linduction de cellules T m moire sp cifiques de l allergene est fr quente puisque jusqu 20 des adultes en Europe pr sentent une sensibilisation cutan e Les cellules T sp cifiques de l allergene reconnaitront le produit chimique en cause et produiront une r action inflammatoire lors d une r exposi tion se traduisant cliniquement par une dermatite allergique de contact Le potentiel allergisant des produits chimiques est valu in vivo depuis le d but des ann es L animal de choix est le cobaye Pendant la der ni re d cennie l utilisation de la souris a suscit un int r t croissant et le test standardis de stimula tion locale des ganglions chez cette esp ce est tr s utilis aujourd hui Le test r glementaire de Buehler datant de 1965 exploreles phases de sensibilisation et de d clenchement Il consiste en une phase de sensi bilisation avec occlusion pendant 6 heures ex cut e 3 reprises Apr s une p riode de repos des patchs sont appliqu s surles flancs des ani maux Loed
88. de laboratoire Chrysonilia sitophila moisissure du marc de caf certaines essences de bois comme l olivier Pour les agents de bas poids mol culaire on peut citer la vancomycine intervenant dans des proc d s pharmaceutiques et divers agents comme l essence de t r benthine le tourteau d argan utilis dans l industrie des cosm tiques ou les acrylates utilis s dans les ongleries COMMUNICATIONS 8 La premi re pr sentation concer nait les effets respiratoires de l ex position aux poussi res de c r ales chez des c r aliers du canton de Vaud en Suisse Les bioa rosols comme la poussi re de c r ales peuvent induire une inflamma tion locale une r action immuno logique et un effet cytotoxique au niveau des voies a riennes Il peut en r sulter diff rentes pathologies comme l asthme la bronchopneu mopathie chronique obstructive la pneumopathie d hypersensibilit et le syndrome toxique des pous si res organiques Les agents incri min s peuvent tre des bact ries des moisissures des substances issues des micro organismes tels les endotoxines ou peptidoglycanes Lobjectif de l tude est de connaitre l impact clinique de l exposition professionnelle aux poussi res de bl et de d terminer des marqueurs biologiques d exposition ces pous si res Deux groupes de salari s ex pos s l un expos de facon saison ni re et l autre de facon perannuelle minotiers sont compar s deu
89. des probl mes de sant compl te les actions des m decins conseil et des services de sant au travail Le tra vailleur social est galement bien identifi par les acteurs externes et les assur s bretons LArTr est une rupture avec l envi Ionnement de travail mais aussi avec l environnement social de proximit modifie les revenus financiers la vie de famille et peut entrainer des difficult s assurer le quotidien La mission du travail leur social est alors d accompagner le travailleur arr t dans ce nouvel environnement m dico adminis tratif Le travailleur social joue le r le de m diateur Il travaille sur tous les freins qui paralysent une reprise du travail Il explore gale ment les ressources personnelles ou mobiliser dans le cadre d un changement d activit En Bretagne les services de la MSA interviennent syst matiquement aupr s des salari s en ArTr depuis plus de 90 jours Un accompagne ment individuel pluridisciplinaire est propos r unissant le m decin du travail le m decin conseil et le travailleur social Dans ce cadre un contrat de r ducation profes sionnelle en entreprise peut tre institu Une reprise progressive du travail est alors envisag e sur une dur e allant de 3 mois 1 an avec si n cessaire une formation prise en charge par l employeur Un outil de reclassement externe galement t d velopp lorsqu il n y a plus de possibilit de ma
90. des professions aussi diverses que les travailleurs sociaux les aides soignants les chefs d entreprise les entrepreneurs de travaux forestiers ou les pr parateurs de commandes de la grande distribution partir de plusieurs exp rimentations de terrain des pistes d actions sont propos es en mati re de diagnostic d analyse et de pr vention du burn out Armand Colin 21 rue du Montparnasse 75006 Paris 2013 272 p SIMONEAU S ST VINCENT M CHICOINE D Les TMS des membres sup rieurs Mieux les comprendre pour mieux les pr venir 2 dition Les troubles musculosquelettiques TMS affectant les membres sup rieurs constituent une probl matique complexe o s entrem le l influence de nombreux facteurs Ce document dresse dans un langage accessible tous un portrait complet de la question On y clarifie ce que sont les TMS comment on les reconnait quels sont les facteurs favorisant leur apparition et quels moyens on peut utiliser pour les pr venir Institut de recherche Robert Sauv en sant et en s curit du travail IRSST 505 boulevard de Maisonneuve Ouest Montr al Qu bec H3A 3C2 Canada 2013 49 p www irsst qc ca Guide de pr vention des troubles musculosquelettiques CC273 2 11 4F Ce document est un manuel de r f rence destin aider les employeurs et les salari s rep rer liminer et maitriser les sources de troubles musculo squelettiques TMS en
91. deux tudes 36 37 ont ga lement retrouv une augmentation significative de l activit lectroder male chezles sujets lectrosensibles La r ponse lectrodermale RED est une modification des propri t s lectriques de 1 peau en r ponse l effort ou l inqui tude Elle cor respond de brusques chutes de la r sistance lectrique cutan e li es au fonctionnement des glandes sudoripares changement de per m abilit et mouvements d ions associ s la lib ration de sueur au niveau du canal excr teur Elev e au cours des tats de faible vigi lance cette r sistance d croit avec l attention la tension affective et l motion Lactivit lectrodermale est sous la d pendance du syst me nerveux sympathique La RED peut tre mesur e soit en enregistrant la r sistance lectrique de la peau soit en enregistrant les faibles courants produits par le corps UNE PRISE EN CHARGE PR COCE Les sympt mes peuvent tre li s une pathologie organique qu il fau dra rechercher ou liminer par un bilan m dical appropri avec l aide du m decin traitant Selon certains auteurs le pronostic est d autant meilleur que la prise en charge est pr coce 13 Il n existe pas l heure actuelle de traitement valid pour le syndrome d hyper sensibilit lectromagn tique 14 Dans une tude r cente les traite ments par ch lation des m taux lourds qui sont parfois propos s ne font pas la p
92. du 20 juin 2013 fixant le modele de la fiche d aptitude D cret n 2013 607 du 9 juillet 2013 relatif la protection contre les risques biologiques auxquels sont soumis certains travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants NOUVEAUT S DE L INRS Brochures affiches et multim dias PARTICIPEZ LA RECHERCHE valuation de l exposition professionnelle au phtalate de di isononyle DINP Caract risation des situations d exposition au 1 3 butadi ne valuation des expositions percutan es aux bisph nols A et S par biom trologie aupr s des agents de caisse Reprise de travail apr s arr t maladie pour syndrome d pressif R F PAGE TC 145 P 27 TF 209 P 39 TF 210 P 53 TF 211 P 60 TM 28 73 TM 29 P 89 TD 200 P 97 TD 201 P 107 TD 202 P 115 TP 17 P 125 CONNAISSANCES ET R F RENCES GRAND ANGLE Intol rance environnementale idiopathique attribu e aux champs lectromagn tiques VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie Inaptitude pour souffrance morale au travail fr quence et accessibilit la pr vention des risques psychosociaux SUMER les expositions aux produits chimiques canc rog nes en 2010 PRATIQUES ET M TIERS Recherche documentaire sur les risques li s aux rayonnements ionisants Suicide et conduite suicidaire Rep rage et perspectives de prise en charge
93. en petits groupes sont des temps de soins qui peuvent tre organi s es en collaboration avec la Cellule d urgence m dico psychologique du SAMU Des structures priv es peuvent galement tre contact es Lobjectif de cette prise en charge psychologique est de permettre aux salari s de mettre des mots sur leurs motions et leurs ressentis ainsi que de parvenir donner un sens ce qui s est pass Le d briefing terme souvent utilis tort est une technique th rapeu tique psychiatrique qui ne peut tre r alis e que par des psycholo gues ou psychiatres form s et qui interviennent toujours deux Ce mode d intervention est tr s cadr avec des r gles pr cises et imp ra tives afin de ne pas survictimiser les participants 10 11 En pratique ce qui est habituelle ment propos rel ve davantage de groupes de paroles l interve nant reste sur le v cu factuel sans chercher demander aux parti cipants de faire des liens avec des v cus ant rieurs En dehors de ces temps qui ont une dimension de soin psycholo gique et de rep rage d ventuels troubles psychotraumatiques il peut aussi tre organis des r u nions d information aupr s de groupes Organis s par les direc tions ces temps ont une dimen sion administrative Ils permettent d expliquer ce qui a t fait de pr senter les d marches entreprises aupr s de la famille et d organiser la participation ventuelle aux fun
94. en sant au travail certaines maladies infectieuses ayant une r percussion sur la grossesse rub ole rougeole vari celle grippe cytom galovirus h patite E paludisme des sujets plus g n raux d pis tage vaccinations m dicaments et grossesse Les communications traitant du m me germe ou de la m me ma ladie ont t regroup es M C Bayeux Dunglas V Caron d partement tudes et assistance m dicales INRS D autres communications concer nant notamment la physiopatho logie de la list riose la fi vre O ou d taillant certaines infections chez le nouveau n virus de l im munod ficience humaine VIH streptocoque B herp s h patite B ne sont pas d taill es ici L en semble des communications est disponible sur le site www infec tiologie com site cemi2013 php OUELOUES MALADIES INFECTIEUSES ET GROSSESSE RUB OLE Cette maladie est transmise par contact prolong et ou r p t avec un cas de rub ole Dans 50 des cas elle est asymptomatique Les complications chez ladulte sont essentiellement des polyarthral gies ou polyarthrites La gravit chez la femme enceinte vient du risque malformatif chez le fcetus SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 107 SUIVI POUR VOUS Le risque de rub ole cong nitale est particuli rement important durant le 1 trimestre O Anselem mater nit de Port Royal Paris 8 pr cis
95. es et qu ils ne d claraient pas plus de sympt mes pendant les expositions r elles que pendant les expositions simul es En tout tat de cause les tudes de provocation ne peuvent explo rer que les effets court terme des CEM AUTRES FACTEURS FACTEURS PHYSIQUES Certains facteurs physiques sont cit s comme facteurs associ s aux plaintes des patients lectrosen sibles Il s agit d un taux d humi dit inf rieur 27 d une temp rature ambiante sup rieure 23 C et de la pr sence de pous si res en relation notamment avec les champs lectriques statiques 28 Les modulations lumineuses seraient galement consid r es comme un facteur susceptible d affecter le syst me nerveux cen tral et ou autonome des personnes dites hypersensibles 29 FACTEURS CHIMIQUES Plusieurs hypoth ses ont t mises sans tre confirm es notamment concernant les amalgames dentaires et les retardateurs de flammes pr sents dans les crans d ordinateur 1 Le diagnostic de sensibilit chimique multiple pourrait tre pour certains auteurs pr dictif de l IEI attribu e aux ondes lectromagn tiques dans certaines tudes 30 FACTEURS ORGANISATIONNELS ET PSYCHOSOCIAUX Des facteurs organisationnels ont t recens s comme favorisant l apparition et ou le maintien des sympt mes d HSE Il s agit d une charge de travail consid r e cornme excessive du manque de support social dela part des coll
96. es issues d tudes ayant utilis quelques chelles du VT VALIDIT e Validit crit ri e concomitante La validit crit ri e concomitante du VT a t tablie partir d une s rie de r gressions lin aires permettant d tablir dans quelle mesure les 19 chelles du VT portant sur les caract ristiques du travail permettent d expliquer de pr dire ausens statistique du terme chacune des 8 chelles de stress bien tre et 140 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 de tensions psychologiques du Les caract ristiques du travail expliquent 31 de la variance du plaisir du travail 29 de la variance de l implication dans l organisation et 16 de la variance de la volont de changer d emploi Les principales caract ristiques du travail qui expliquent ces trois dimensions du bien tre sont les possibilit s d apprentissage les conflits de r le probl mes avec le travail et les relations avec la hi rarchie Les caract ristiques du travail expliquent 27 de la variance du besoin de r cup ration 17 de la variance de la rumination 16 de la variance dela qualit du sommeil 22 de la variance des r actions motionnelles et 13 de la fatigue Les principales caract ristiques du travail qui expliquent ces cinq dimensions des tensions psychologiques sont le rythme et la quantit de travail la charge motionnelle et les changements dans le travail
97. est valid concernant le traitement ant natal de l infection cong nitale CMV m me si trois pistes sont en cours d valuation les immunoglo bulines hyperimmunes le traite ment antiviral et le vaccin D Antona insiste enfin sur la n cessit d am liorer linformation des femmes enceintes sur les me sures d hygi ne et de pr vention H PATITE E J M Perron Institut national de la sant et de la recherche m dicale Toulouse pr cise que l h patite E N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 est la premi re cause d h patite virale aigu dans le monde Elle est souvent trait e sous l angle de la grossesse en raison de l extr me gravit des g notypes 1 et 2 chez la femme enceinte Cependant en France elle ne repr sente pas les m mes dangers Il existe 4 g notypes connus le g notype 1 dans les pays en voie de d veloppement PVD le g no type 2 plut t en Afrique le g no type 3 en Europe aux tats Unis et au Japon Dans les PVD c est un probl me de sant publique du fait d une pr valence lev e des g notypes 1 et 2 responsables de cas dramatiques chez les femmes enceintes la mor talit dans la population g n rale est estim e de 0 5 4 96 elle atteint 10 42 6 chez la femme enceinte En effet ces g notypes sont trans mis par leau de boisson parfois les coquillages rinc s l eau Ils donnent des h patites fulminantes plus souvent
98. et des esters LAgence nationale de s curit du m dicament et des produits de sant ANSM ex Agence francaise de s curit sanitaire des produits de sant AFSSAPS a dit 2 rapports en 2008 destination des producteurs ou des responsables de la mise sur le march d huiles essentielles utilis es comme ingr dients e l un est relatif aux crit res de qualit des huiles essentielles 1 OR 81 S Boulet e l autre propose des recommandations pour va luer le risque des huiles essentielles en vue de leur utilisation dans les produits cosm tiques 2 Il est n cessaire que l valuation du risque li l utilisation d une huile essentielle respecte la d marche d valuation des ingr dients cosm tiques re command e par le Comit scientifique pour la s cu rit des consommateurs CSSC instance europ enne et par l ANSM L valuation comprend e une phase analytique au cours de laquelle la composition quantitative et qualitative de l huile essentielle devra tre recherch e eune recherche bibliographique sur les diff rents compos s chimiques d termin s eune caract risation du danger eune valuation de l exposition eune valuation des risques Toutefois pour une majorit des substances conte nues dans les huiles essentielles il n existe pas d tude de toxicit exp rimentale en vue d valuer le risque pour la reproduction De m me les donn es issues d observations
99. ficient d un statut particulier Champ salari s du secteur concurrentiel et h pitaux publics France m tropolitaine hors particuliers employeurs Source DARES DGT DGAFP enqu tes SUMER 2003 et 2010 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 13 Entre 2003 et 2010 la part des ouvriers parmi les apprentis et stagiaires est pass e de 40 51 L exposition au moins un produit chimique canc ro g ne des apprentis et stagiaires a augment dans les secteurs de la construction et de l industrie manufac turi re et est rest e stable dans les autres Tableau V secteurs baiss de 3 points entre 2003 et 2010 passant de 13 10 tableau IV page pr c dente Cette ten dance a d j t constat e pour l exposition au moins un produit chimique quel qu il soit 1 Elle concerne toutes les cat gories de salari s l exception des appren tis et stagiaires La baisse a t particuli re ment forte dans les tablisse ments de plus de 500 salari s 6 points alors qu elle est plus limit e dans ceux de moins de 10 salari s 1 point Le nombre de salari s expos s a diminu pour tous les canc rog nes chimiques l exception de la silice cristal line des carbures m talliques fritt s du cobalt et du cadmium tableau V Cette baisse peut tre notam ment expliqu e par des change ments de proc d s de production gt LES AGENTS
100. formule Des informations plus op rationnelles et plus diversifi es Des articles d analyse Des outils et des m thodes Pour vous aider mettre en uvre la pr vention des risques professionnels en entreprise AU sommaire du n 232 septembre 2013 D cryptage Bitume vers des solutions pour am liorer la protection des salari s Focus Normalisation Secourir dans des espaces exigus probl me sous estim Dossier Les nanomat riaux bilan et perspectives en sant et s curit au travail Notes techniques Fibres c ramiques r fractaires recommandations pour capter les poussi res Et d autres articles et infos dans les nouvelles rubriques Actualit juridique tude de cas Congr s Formation S lection bibliographique Veille et prospective Fiches HST NOUVEAUT S DE L INRS Brochures livrets fiches et affiches M dicaments cytotoxiques et soignants Manipuler avec pr caution Pour se procurer gratuitement cette affiche les entreprises relevant du r gime g n ral de la S curit sociale s adressent aux services pr vention des CARSAT CRAM CGSS les autres entreprises l INRS R f INRS AD 761 60 x 80 cm et AR 761 9 x 13 5 cm E miana zez bes Re ri de wem d ere id drcum il im Ea a EL LORI a Travailler avec des produits chimiques Pensez pr vention des risques Chez soi ou au travail la manipula tion
101. gues ou des sup rieurs d une insatisfaction au travail d une r organisation du tra vail ou de l introduction rapide de nouveaux quipements 31 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 33 GRAND ANGLE FACTEURS INDIVIDUELS PHYSIOLO GIQUES ET PSYCHOPHYSIOLOGIQUES Le fait que exposition gale seules certaines personnes d veloppent un syndrome d intol rance attri bu e aux ondes lectromagn tiques implique l intervention de facteurs individuels Certains tels que le sexe ou le niveau d tudes ou de revenus restent tr s controvers s La recherche d un stress oxydatif li l action des champs lectromagn tiques n cessite des explorations compl mentaires 32 Des diff rences ont t d crites au niveau de certains param tres dermato logiques et histopathologiques notamment quant au nombre et la distribution des mastocytes au niveau du derme 33 34 avec des r sultats cependant contradictoires Des r sultats contradictoires ont galement t publi s concernant le dosage de m latonine dans la probl matique des effets sur la san t des champs lectromagn tiques Par contre des diff rences appa raissent dans certains dosages hormonaux prolactine thyroxine ACTH pendant le travail sur cran par rapport aux p riodes de repos 22 r sultats qui peuvent tre interpr t s comme une r action de stress En 2001 Lyskov et al d criven
102. impliquant un aussi grand nombre de travailleurs La taille de cet chantillon et la diversit des secteurs d activit donnent l tude un caract re g n ral puisqu elle couvre un large ventail de situations de travail et de contextes industriels Institut de recherche Robert Sauv en sant et en s curit du travail IRSST 505 boulevard de Maisonneuve Ouest Montr al Qu bec H3A 3C2 Canada 2013 54 p www irsst qc ca MAILLARD L Mettre en place une d marche globale de pr vention des TMS Livre blanc Les troubles musculo squelettiques TMS constituent la premi re cause de maladie li e au travail maladie de surcroit largement sous estim e par les statistiques des maladies professionnelles du fait notamment de la non d claration de certains TMS l augmentation continue de la fr quence des TMS en milieu de travail doit tre consid r e comme un signal fort de dysfonctionnement et de p nibilit au travail Ce livre blanc propose une m thodologie adopter pour mettre en place une d marche globale de pr vention des TMS et favoriser le maintien dans l emploi des travailleurs Un projet de pr vention des TMS et sa mise en oeuvre op rationnelle aupr s de 150 agents d une collectivit sont pr sent s titre d exemple ditions Tissot 9 rue du Pr Paillard CS 80109 74941 Annecy le Vieux Cedex 2015 41 p www editions tissot fr CORBEIL P PLAMONDON A TEASDALE N HANDRIG
103. importance du bruit d livr lors de sa mise en marche et son efficacit Les usagers des syst mes muraux d aspiration doivent s assurer que des filtres appropri s sont utilis s en ligne positionn s correctement et que la fente est propre Un indi cateur de changement de filtre doit tre pr sent sur l unit ou une pro c dure pr ventive de maintenance doit tre tablie afin de surveiller 13 dur e de vie du filtre et son effica cit r siduelle et de pr voir un rem placement avant qu il ne devienne satur et donc inefficace Les unit s portables utilisant des filtres jetables sont facilement in t grables dans la plupart des blocs op ratoires et constituent le plus souvent la solution la plus cono mique la plus pratique et la plus efficace Un syst me mobile d aspi ration a souvent une capacit d as piration plusieurs fois sup rieure aux syst mes d aspiration muraux classiques La buse d aspiration des dispositifs mobiles de captage des fum es chirurgicales ou du syst me d aspi SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 131 MISE AU POINT ration du bloc doit tre maintenue au plus pr s du site op ratoire si possible moins de 1 cm des l sions pour capturer de facon efficace les contaminants a roport s g n r s L vacuateur de fum e doit tre ac tiv chaque fois que des particules a roport es sont produites Les vacuateurs de fum e portab
104. information sur le dis positif de prise en charge En effet alors que la mission du m decin traitant comme prescripteur est bien identifi e celle du m decin conseil ou du m decin du travail est moins connue Il en est de m me pour les relations qui peuvent ventuellement exister entre ces 3 acteurs m dicaux Deux types d ArTr sont distingu s Le premier rel ve d une approche classique Il s agit de l ArTr li une maladie une maternit ou un accident du travail Le second com plexe et de plus en plus fr quent concerne l ArTr survenant dans le cadre de troubles psychologiques syndrome d pressif conduite sui cidaire De plus le contexte conomique actuel implique des suppressions de postes et des volutions rapides des entreprises Ceci complique la reprise des salari s apr s un ArTr En cas d impossibilit de reclasse ment par exemple dans l agroali mentaire en zone rurale les cons quences d un licenciement sont fortes socialement et psychologi quement De m me les entreprises comptent de plus en plus de salari s travaillant jusqu 70 ans Sa prise en charge apparait complexe pour l employeur notamment lorsqu un reclassement est envisag gt L INTERVENTION DU M DECIN DU TRAVAIL DANS LA REPRISE De 2005 2011 l activit du service de sant au travail de la MSA du Languedoc a augment tandis que la population rurale suivie a dimi nu Le nombre de visites de reprise
105. jour Cette activit g n re 1 4 ArTr par jour Pour 100 patients examin s au cours d une semaine de 58 heures de travail le m decin prescrit 7 ArTr comprenant les ar r ts initiaux et de prolongation En m decine g n rale l ensemble des prescriptions s appuie sur le principe de l Evidence Based Medi cine qui selon Sackett est l int gration des meilleures donn es de la recherche la comp tence clinique du soignant et aux valeurs du pa tient Il permet au m decin g n raliste d argumenter sa d marche et sa d cision clinique ainsi que d optimiser les strat gies th rapeu tiques en adoptant une approche centr e sur le patient La prescription d un ArTr est donc un processus complexe qui tient compte des l ments biom dicaux tat f brile douleurs d pression suites op ratoires du contexte professionnel type de profession nature du travail mode de trans port mais aussi de la relation de confiance entre le m decin et le malade D autres crit res propres au m decin peuvent intervenir tels que son niveau de tol rance et son degr de disponibilit ou de fatigue au moment de la prescrip tion de l arr t Quatre exemples peuvent illustrer cette complexit d cisionnelle 1 un employ d usine g de 25 ans vient consulter en fin de jour n e pour une gastroent rite virale Il demande un ArTr pour ce jour puisquil n a pas travaill Avant son arriv e en consultation
106. l sions b nignes comme par exemple les HPV 1 et HPV 2 qui sont l origine des verrues cutan es et plantaires ou les HPV 6 et HPV 11 qui repr sentent plus de 85 6 des HPV impliqu s dans les verrues ano g nitales condylomes acu min s Les m mes HPV 6 et HPV 1 peuvent galement provoquer une autre maladie la papilloma tose laryng e Toutes les parties de 126 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 l arbre respiratoire peuvent tre at teintes depuis les narines jusqu au parenchyme pulmonaire avec une pr dilection pour le larynx Ce fait important doit tre pris en compte lors del valuation du risque des soi gnants expos s par voie a rienne aux fum es laser en particulier lors du traitement des condylomes acu min s Tableau I gt TYPES DE HPV LES PLUS FR QUEMMENT RENCONTR S L SIONS PROVOQU ES ET LEUR CLASSEMENT PAR LE CENTRE INTERNATIONAL DE RECHERCHE SUR LE CANCER CIRC HPV1 et HPV2 e Verrues cutan es Non class s e Verrues plantaires Cutan gt PAPILLOMAVIRUS HAUT RISQUE HPV HR Certains HPV sont impliqu s dans de nombreux cancers en diff rents sites HPV16 et HPV18 Muqueux e N oplasies cervicales intra pith liales eCancer du col de l ut rus eCancer de la sph re ano g nitale anus vulve vagin p nis e Cancer de la sph re ORL cavit buccale amygdales pharynx larynx Groupe 1 Sph re ano g nitale Les
107. la d tection les moyens de protection ainsi que les quipe ments et postes de travail Un texte pr liminaire rappelle les notions de base sur la radioactivit et la radio protection de mani re le rendre accessible un public plus large gt LNHB Mini table de radionu cl ides Les Ulis EDP Sciences 2007 131 p Pr sent e en format de poche cette table publi e parle LNHB se veut tre un outil pratique et quo tidien pour tous les travailleurs op rant avec des radionucl ides Le LNHB est le laboratoire national de m trologie dansle domaine des rayonnements ionisants La mini table de radionucl ides a t con ue de mani re per mettre son utilisateur de rep rer rapidement les principales carac t ristiques la p riode radioactive le ou les principaux modes de d s int gration les principales mis sions en terme d nergie et d in tensit des radionucl ides les plus utilis es rencontr es en milieu m dical industriel ou nucl aire la gestion des d chets RECHERCHE PAR SECTEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE Ce type de recherche permet de lis ter l ensemble des risques auxquels un travailleur est expos au cours de son activit professionnelle gt ASN LASN est une autorit adminis trative ind pendante cr e par la loi n 2006 686 du 13 juin 2006 qui assure au nom de l tat le contr le de la s ret nucl aire et de la radioprotection en France afin de
108. la sant et de la s curit sanitaire par les commissions conseils autorit s ou organismes mention n s au I de l article L 1451 31 du Code de la Sant publique le cas ch ant la demande du ministre charg de la San t La charte pr cise les modalit s de choix des experts le processus d expertise et ses rapports avec le pouvoir de d cision la notion de lien d int r ts les cas de conflit d in t r ts et les modalit s de gestion d ventuels conflits ainsi que les cas exceptionnels dans lesquels il peut tre tenu compte des travaux r alis s par des experts en situation de conflit d int r ts TO Arr t du 6 mai 2013 relatif aux travaux agri coles n cessitant une surveillance m dicale renfor c e Minist re charg de l Agriculture Journal officiel du 12 mai 2013 pp 7 973 7 974 Larticle R 717 16 du Code rural d termine les cat gories de travailleurs qui b n ficient d une surveillance m di cale renforc e Il pr voit en outre la possibilit de fixer par arr t une liste de travaux effectu s dans les entre prises agricoles comportant des exigences ou des risques particuliers et qui donnent lieu galement un suivi m dical particulier Dans ce contexte cet arr t vient pr ciser les travaux concern s travaux en hauteur au moyen de cordes travaux exposant aux agents chimiques dangereux conduite d quipements destin s au levage de charges ou de personnes notamment Pour ce
109. le traitement de la viande de gros animaux et le traitement des viandes de SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 167 LIRE VOIR volailles Pour les non salari s et plus pr cis ment pour les exploitants agricoles les secteurs les plus touch s en nombre de TMS sont l levage bovins lait les cultures et levage non sp cialis s la viticulture et cultures c r ali res et industrielles en fr quence l levage de volailles et lapins Les TMS sont devenus un enjeu majeur de pr vention pour les entreprises et pourles services de sant et s curit au travail et plus largement un enjeu de sant publique Ces l ments d information permettent de d terminer les priorit s d actions selon les secteurs professionnels et les r alit s de terrain Ils constituent galement un levier important pour initier ou renforcer des d marches de pr vention en entreprise Mutualit sociale agricole MSA les Mercuriales 40 rue Jean Jaur s 93547 Bagnolet Cedex 2015 87 p http references sante securite msa fr IMBEAU D CHIASSON M E JALLON R FARBOS B et al Interventions pour la pr vention des TMS Mesure de l exposition aux facteurs de risque et aspects conomiques tudes et recherches Rapport R 780 Les troubles musculosquelettiques TMS du dos et des membres sup rieurs constituent un probl me majeur ayant des retomb es du point de vue humain socia
110. les infections n onatales pr coces La mise en place du d pistage a per mis la diminution de l incidence des infections n onatales depuis 1997 AUTRES D PISTAGES Parmi les autres d pistages vo qu s un point particulier a t fait sur le CMV cf paragraphe Quelques maladies infectieuses et grossesse p 110 D autres mala dies telles que les infections Chla mydiae ou l herp s g nital ont t voqu es dont le d pistage n est pertinent qu au cas par cas M DICAMENTS ANTI INFECTIEUX VACCINS ET GROSSESSE M DICAMENTS ANTI INFECTIEUX ET GROSSESSE C Vauzelle Centre de r f rence sur les agents t ratog nes h pital Trousseau Paris a d taill les effets ind sirables et t ratog nes de chaque classe de m dicament Les effets secondaires et contre indications des m dicaments anti infectieux peuvent tre retrouv s sur le site du CRAT www ecrat org La nature du risque varie selon la p riode de la grossesse Pour les m dicaments risque t ratog ne la p riode risque de malforma tions est celle des deux premiers mois Durant les sept mois suivants certains m dicaments peuvent repr senter un risque toxique sur la croissance ou la maturation fce tale Enfin sur toute la dur e de la grossesse certains m dicaments sont susceptibles d avoir des ef fets long terme canc rog n se troubles du comportement La balance b n fice risque se
111. les avanc es et les initiatives prises en mati re de risques psychosociaux au travail au sein des diff rentes jurisprudences nationales Cette comparaison met en lumi re les syst mes qui offrent les outils pour appr hender les risques psychosociaux et ceux qui peuvent tre d ficients dans ce domaine Une analyse pr alable des risques psychosociaux travers la Directive cadre 89 391 CE du 12 juin 1989 et la jurisprudence de la Cour de Justice de l Union Europ enne chapitre 1 pr c de une pr sentation des r gimes jurisprudentiels de pays ayant des l gislations relativement anciennes en mati re de RPS chapitre 2 Le dernier chapitre est une analyse des pays disposant d une l gislation en rapport avec les RPS mais encore de mani re r cente et limit e L Harmattan 5 7 rue de l Ecole Polytechnique 75005 Paris 2013 205 p UHALDE M Ed BUFFIER MOREL M GAYRALC GRANIER F et al Les salari s de l incertitude Solidarit reconnaissance et quilibre de vie au travail Collection Travail et activit humaine Le travail est devenu dans nombre de secteurs d activit de m tiers et de fonctions un lieu de tensions pouvant se r v ler n fastes pour les salari s en tant l origine de stress de souffrance au travail ou d puisement professionnel Cet ouvrage rassemble des enqu tes de terrain s int ressant aux salari s qui parviennent tenir malgr ces troubles du travail main
112. les salari s UNE GRANDE VARIABILIT DES EXPO SITIONS SELON LE CANC ROG NE Trois groupes de produits chimiques canc rog nes au regard des expositions mesu r es dans SUMER peuvent tre distingu s Ces groupes ont t construits en fonction de la pro portion de salari s pour lesquels le score d exposition est sup rieur 1 exposition consid r e comme importante Pour un premier groupe de produits moins de 21 6 des salari s expos s le sont de mani re importante groupe 1 tableau III page suivante Pour un deuxi me groupe de produits plus de 38 des salari s expos s subissent une exposition jug e importante groupe 2 le troi si me groupe inclut les produits interm diaires entre ces deux bornes groupe interm diaire Pour le premier groupe de produits les dur es d exposition sont majoritairement courtes et les intensit s faibles ou tr s faibles Cela concerne l amiante 3v Encadr 5 gt LE SCORE D EXPOSITION AUX PRODUITS CHIMIQUES Ce score est un indicateur synth tique de l importance de l exposition aux produits chimiques construit en croisant l intensit et la dur e hebdomadaire de l exposition a t d fini lors de l analyse des donn es de l enqu te SUMER 1994 9 Il est compos de cinq niveaux qui d finissent une chelle d exposition et non un risque de pathologie l exposition peut tre consid r e comme importante lorsque le score est sup ri
113. leur exposition sur le site Un retour domicile est souhaitable d s que possible si un ou des proche s est sont pr sent s et apr s un avis m dical Ce dernier peut tre pris aupr s du m decin du travail ou du m decin r gulateur du SAMU Lors de l appel t l phonique aux proches des t moins il peut leur tre dit votre proche va bien mais il y a eu un v nement grave au sein de l entreprise avec le d c s d un coll gue et votre proche est choqu Pouvez vous venir le chercher Le terme choqu est celui qui semble le mieux compris Lorsque le proche arrive il faut pouvoir lui expliquer e que le t moin de l accident peut tre dans un tat inhabituel bi zarre ne plus savoir ce qu il fait et que cela est li au choc 9 quil ne faut pas le laisser seul et lui permettre de se reposer au calme e que si cela est possible il puisse voir un m decin connu m decin traitant mais en vitant les heures d attente qui risquent de majorer son anxi t e qu il contacte la moindre ques tion ou inqui tude le SAMU Si aucun proche n est connu ou dis ponible il est recommand d appe ler le SAMU pour que le salari soit pris en charge aux urgences d un centre hospitalier la sur acciden tologie dans ce type de situation est tr s fr quente Un autre type de stress d pass concerne les travailleurs conscients de ce qui se passe et en mesure de communiquer
114. m me car il s agit avant tout de r actions de deuil qui comme le rappelle le psychiatre Michel Hanus 9 ne sont pas en soi psychiatri ser SUICIDE SUR LE SITE DU TRAVAIL gt EN IMM DIAT Que le salari se suicide devant ses coll gues ou que ces derniers le d couvrent inanim il est imp ratif de suivre l organisation des secours de l entreprise e alerter les secours sp cialis s t l phone 15 18 ou 112 Lors de l appel il peut tre n cessaire de solliciter la Cellule d urgence m dico psycho logique du SAMU Celle ci est habi lit e intervenir sur ces situations de mort violente en entreprise Il en existe une par d partement avec un d lai d intervention allant de quelques heures 24h porter secours tout en assurant la protection des t moins e identifier et assurer la protection des t moins directs ne pas les lais N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ser seuls pour viter des actes ina dapt s qui les mettraient en dan ger et les installer dans un endroit le plus calme possible avec des personnes pouvant prendre soin d eux 9 prot ger visuellement la sc ne et en particulier la victime par respect pour elle mais aussi pour limiter l impact visuel sur les t moins En effet la vision de cette sc ne est souvent l origine de reviviscences pour les personnes pr sentes En cas de d c s recouvrir le corps avec un drap n est pas suffisa
115. mai 2013 pp 8 488 8 489 RISQUE BIOLOGIOUE TO D cret n 2013 607 du 9 juillet 2013 relatif la protection contre les risques biologiques auxquels sont soumis certains travailleurs susceptibles d tre en contact avec des objets perforants et modifiant les dispositions relatives la protection des travailleurs intervenants en milieu hyperbare Minist re charg du Travail Journal officiel du juillet 2013 pp 11543 1 544 Ce d cret a pour objet de pr voir des mesures sp cifiques de protection aux risques biologiques li s aux objets perforants par transposition de la directive 2010 32 UE SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 179 JURIDIQUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 avril au 15 juillet 2013 portant application de l accord cadre relatif la pr ven tion des blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et sanitaire conclu par l HOSPEEM Associa tion europ enne des employeurs hospitaliers et la FSESP F d ration syndicale europ enne des services publics Il corrige galement cette occasion des erreurs de codifi cation de dispositions du Code du travail relatives et aux risques lectriques et au risque hyperbare Arr t du 11 juin 2013 modifiant l arr t du 23 janvier 2013 relatif aux r gles de bonnes pratiques tendant garantir la s curit et la s ret biologiques mention n es l a
116. maladie professionnelle Les ant c dents m dicaux de cette patiente retrouvaient l existence d un pisode de pneumonie avec leucocytop nie 6 mois avant le diagnostic de papillomatose laryng e Elle avait exerc plusieurs reprises la fonction d aide op ratoire lors de l ex r se au laser de condylomes ano g nitaux l volution de son infection HPV a t marqu e par la survenue de plusieurs r cidives l tude du poste de travail a r v l que l infirmi re a travaill sans protection respiratoire et sans dispositif de captage ad quats Il n y a pas eu d identification des HPV ni dans les l sions de l infirmi re ni dans les l sions des patients trait s Il est permis de penser que la baisse des d fenses immunitaires a pu lors de la reprise du travail favoriser l infection laryng e de l infirmi re par des HPV contenus dans les fum es laser provenant des l sions des patients les HPV 6 et principaux agents de condylomes ano g nitaux sont galement agents de la papillomatose laryng e Pour ces deux cas la question du risque de transmission du HPV lors des activit s professionnelles est difficile appr cier car le virus peut rester l tat latent dans l organisme pendant plusieurs ann es apr s la contamination Cependant la localisation laryng e des l sions oriente vers une contamination possible par inhalation des fum es laser contenant des particules infectantes de HPV
117. mes terrestres et aquatiques fiches en vironnement et des cons quences connues sur l homme fiches sant gt Sites internationaux Il est noter que l usage du sys t me international n est pas sys t matique pour l expression des unit s Tables de radionucl ides du DDEP Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www nucleide org DDEP WG DDEPdata htm L acc s est gratuit Les recherches se font par radio nucl ide et les r sultats sont en anglais Ces tables ont t mises au point parle DDEB un groupe de travail in ternational incluant des membres de laboratoires nationaux de dif f rents pays France Allemagne tats Unis Russie Grande Bre tagne Espagne Elles pr cisent les caract ristiques de d sint gration de radionucl ides qui ont fait l ob jet d une valuation sp cifique afin de d gager les meilleures valeurs partir des donn es publi es dans la litt rature scientifique Ces tables font l objet de r visions fr quentes et figurent dans diff rents volumes de publication La mise jour des pages des donn es recommand es est assur e par le laboratoire fran cais LNHB Lusage de ces tables est recom mand dans le cadre de recherches plus approfondies sur les radionu cl ides Fiches de donn es de l US EPA Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www epa gov rpdweboo radionuclides L acc s est gratuit Les recherches se font p
118. milieu de travail Il explique de facon d taill e en quoi les t ches de manutention manuelle peuvent contribuer aux TMS expose les techniques permettant de r duire les blessures et propose des lignes directrices en vue de l laboration d un programme de pr vention des TMS Centre canadien d hygiene et de s curit au travail CCHST 135 rue Hunter est Hamilton Ontario L8N 1M5 Canada 2012 118 p www cchst ca BARBET DETRAYE R CHRETIEN J C LEMERLE B Observatoire des troubles musculosquelettiques des actifs agricoles 2012 Synth se nationale 2006 2010 Les donn es de l Observatoire des troubles musculosquelettiques TMS des actifs agricoles salari s et exploitants montrent l importance consid rable de ces maladies professionnelles 92 du nombre total de maladies sur la p riode de 2006 2010 95 6 pour les salari s agricoles et 85 pour les non salari s agricoles Aucun secteur d activit n est pargn Le nombre de cas et la fr quence des TMS sont caract ristiques des diff rents secteurs d activit agricole Le canal carpien est la localisation la plus fr quente avec plus du tiers des TMS avec et sans arr t Les TMS de l paule affectent plus d une personne sur cing et sont en augmentation chaque ann e Pourles salari s les secteurs les plus touch s en nombre de TMS sont la viticulture le traitement dela viande des gros animaux etles cultures sp cialis es en fr quence
119. morale au travail fr quence et accessibilit la pr vention des facteurs de risques psychosociaux AUTEURS Une tude r trospective exploratoire r alis e partir des dossiers m dicaux de 34 inaptitudes pour souffrance morale a permis de d crire la fr quence des facteurs de risques psychosociaux d estimer leur implication dans l inaptitude ainsi que leur accessibilit la pr vention Les relations sociales l organisation du travail et le contenu des t ches sont les 3 premi res cat gories de facteurs de risques impliqu es dans ces inaptitudes Les scores d accessibilit la pr vention sont la fois faibles et peu dispers s autour dela moyenne g n rale Ces r sultats incitent pratiquer en amont de l inaptitude un rep rage pr coce des d terminants psychosociaux largi aux multiexpositions d autres risques En aval de l inaptitude une d marche de pr vention primaire devrait tre ouverte au profit des salari s encore en poste dans l entreprise Risque psychosocial Souffrance Aptitude Perforation e retard la pr vention des risques psychosociaux par rapport aux autres risques qui p sent sur la sant au travail a t progressivement rattrap gr ce la loi de modernisation sociale de 2002 la jurisprudence qui en a suivi et l implication des pr venteurs qui s y sont investis En d pit de ces efforts pr ventifs les m decins du travai
120. mourir je n en peux plus je voudrais partir ou sous forme de lettres courriels et messages post s sur des r seaux sociaux Au niveau du travail il peut tre constat des accidents r p tition des arr ts de travail r guliers de multiples demandes d examen m dical des conflits inhabituels avec la hi rarchie et ou les coll gues sen timents de d ception de rancceur d humiliation et ou d injustice La menace et la crise suicidaire se traduisent par des signes de rupture par rapport au comportement habi tuel de la personne dont le regrou pement doit alerter l entourage et provoquer une assistance imm diate La conf rence de consensus 3 propose d analyser la menace suici daire en 3 dimensions les facteurs de risque l urgence de la menace et la dangerosit du sc nario suici daire Chacune est valu e s par ment selon trois degr s d intensit faible moyen ou lev La situation n est videmment pas la m me si la menace suicidaire est en relation avec une pathologie psychiatrique manifeste ou si elle est sous ten due par une crise psychosociale La prise en charge d un trouble psy chiatrique est videmment priori taire quand il existe et justifie alors souvent une hospitalisation Il y a urgence lorsqu il existe un sc na rio judiciaire description du mode op ratoire envisag o le patient explique n avoir aucune alternative et avoir pris ses dispositions
121. moustaches aussi appel e diagramme en bo te bo te de Tukey ou boxplot est un graphique de donn es statistiques qui repr sente sch matiquement une distribution SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 141 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX lanc en avril 1999 la constitution d une banque de donn es sur la charge psychosociale du travail et le stress au travail en utilisant le questionnaire VT avec l aide de deux cabinets conseil Quest Europe asbl et l Instituut Persoonlijke KwaliteitsZorg PKZ Entre 1999 et 2007 44 531 question naires ont t renseign s Ces donn es proviennent de 272 inter ventions en entreprise ou groupes d entreprises La r partition selon les secteurs d activit s est la suivante 40 6 des donn es sont issues du secteur industriel 22 des services commerciaux et 38 des services non commerciaux Le questionnaire VT a t compl t par 79 6 de n erlandophones et 21 de francophones L chantillon se compose d un nombre peu pr s quivalent d hommes 49 7 et de femmes 50 3 1 886 moyen des r pondants se situe 39 7 ans cart type 9 9 Les ouvriers 30 et les employ s 35 6 repr sentent l essentiel de l chantillon compl t parles professions interm diaires de la sant et de l enseignement 20 96 les cadres 10 les cadres sup rieurs 4 5 96 et autres fonctions 0 5
122. nu Compte tenu de la sp cificit d es p ce et de la difficult cultiver ces virus le potentielinfectieux des HPV retrouv s dans les fum es de traite ment laser de l sions humaines HPV s est r v l difficile d termi ner Par ailleurs les tudes mettant en vidence la pr sence dADN de HPV dans les fum es laser n ont pas toujours pu pr ciser si l ADN retrou v tait sous forme de virions ou non Les donn es bibliographiques ne permettent pas lheure ac tuelle d obtenir une repr sentation nette du risque infectieux associ l exposition aux fum es laser chez l homme dans les conditions r elles N anmoins la pr sence de frag ments de papillomavirus humain ayant conserv leur pouvoir infec tieux dans les fum es laser de l sions HPV est actuellement forte ment suspect e Le risque s il existe parait peu important mais ne doit pas tre n glig en raison des cons quences d une infection respiratoire papillomavirus VALUATION DU RISQUE Le degr de risque d pend la fois de la nature du danger le type de HPV HPV BR ou HPV HR et de la nature de l exposition charge virale lev e pr sence dADN sous forme de virions Selon la sp cialit m dico chirurgicale les l sions trait es OINRS sont donc plus ou moins risque de contaminer les voies a riennes des soignants suite l inhalation de fum es laser Le risque est plus im portant d une part lo
123. ou si deux injections document es contre la rub ole ont t r alis es ant rieurement Chez les femmes enceintes s ro n gatives une nouvelle s rologie devra tre propos e uniquement 20 SA la recherche d une s ro conversion Une recherche d IgM est demand e en cas de notion de contage de signes cliniques ou chographiques ou si les taux d IgG sont tr s lev s H PATITE B La vaccination de la population g n rale et donc des jeunes femmes contre l h patite B est insuffisante Cette maladie reste insuffisam ment d pist e l occasion des grossesses La recherche de l anti gene HBs doit tre propos e la consultation pr natale du 6 mois afin que des mesures efficaces puissent tre prises rapidement apr s l accouchement pour dimi nuer le risque de transmission de la m re l enfant Le portage varie avec l ge et le pays d origine plus important en Europe de l Est et en Afrique subsaharienne En France d apr s certaines enqu tes r gio nales le d pistage n est pas fait dans 26 des cas TOXOPLASMOSE En France en population g n rale et par cons quent chez les femmes SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 111 SUIVI POUR VOUS enceintes la s ropr valence de la toxoplasmose diminue r guli re ment depuis les ann es 60 Cepen dant elle augmente avec l ge de la m re et est plus marqu e dans le sud de la France La surve
124. ouvrages mais aussi d actes de congr s en science technologie m decine sciences humaines et sociales Cette base propose galement des portails th matiques qui permettent aux chercheurs la consultation en ligne des principales publications et bases de donn es scientifiques par domaine Sa mise jour est quoti dienne gt BASE DE DONN ES INRS BIBLIO Elle est accessible sur Internet l adresse suivante www inrs fr ac cueil produits bdd inrsbiblio html L acc s est gratuit et les recherches se font en francais Cette base recense les principales publications scientifiques et tech niques fran aises et trang res dans le domaine de la pr ven tion des risques professionnels et couvre tous les aspects de la sant de l hygi ne et de la s curit au travail Plus de 70 000 documents y sont pr sents dont 50 des r f rences sont en fran ais et 40 en anglais Chaque ann e environ 2 000 nouvelles r f rences y sont ajout es et un millier de r f rences sont mises jour ou supprim es gt BANQUE DE DONN ES EN SANT PUBLIQUE Elle est accessible sur Internet l adresse suivante www bdsp ehesp fr L acc s est gratuit Les recherches se font en francais via lelien Base documentaire Le r seau BDSP est un groupe ment d organismes dont la ges tion est assur e par l EHESP Ia base couvre l information scien tique et technique produite en France et l tranger depuis 1978 Ch
125. physiopathologie de l asthme professionnel pour com prendre les possibilit s de pr ven tion de cette pathologie Une partie des asthmes professionnels est due des m canismes immunologiques La phase de sensibilisation se fait SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 117 SUIVI POUR VOUS des allerg nes pouvant tre des particules glycoprot ines d origine animale ou v g tale dont la gra nulom trie est importante car elle conditionne leur progression dans l appareil respiratoire ou encore des gaz ou des vapeurs m talliques Lapparition d une sensibilisation n cessite une certaine dose inhal e Il s agit d une r action immunitaire particuli re plus fr quente en cas d atopie pr existante aboutissant la synth se d Immunoglobulines E IgE sp cifiques insuffisamment contr l e par la voie Th1 qui vont se fixer sur les mastocytes basophiles osinophiles macrophages Lors du contact suivant avec la r action antig ne anticorps se d clenche avec d granulation des mastocytes et basophiles lib rant histamine et enzymes synth se de prostaglandines leucotri nes plate let activating factors et de cytokines pro inflammatoires lors de la phase pr coce Ces diff rents m diateurs vont attirer les cellules inflamma toires de type osinophiles et macro phages avec d granulation et syn th se des m mes mol cules lors de la phase tardive Avec l
126. qu il a pas de sur risque pour la m re mais que le risque de rub ole cong nitale est pr sent avant 18 semaines d am norrh e SA Le risque de transmission au foetus est en revanche quasi nul en cas de r infection de la m re Le diagnostic biologique repose sur la recherche d immunoglobulines M IgM mais peut s av rer complexe car peu sp cifique En France la circulation r siduelle du virus est tr s mod r e elle est l origine de moins de 10 cas d infections maternelles par an depuis 2006 alors qu il y avait environ 200 cas annuels jusqu en 1984 Il a pas de surveillance de la maladie en population g n rale mais il existe un r seau de surveil lance chez les femmes enceintes r seau RENARUB ainsi qu un Centre national de r f rence CNR des infections rub oleuses materno foetales depuis 2012 E Delisle Cellule interr gionale d pid miologie Languedoc Rous sillon a pr sent 4 cas r cents de rub ole materno fcetale survenus Montpellier et sa r gion dont 3 cas entre d but avril et fin mai 2012 alors que les derniers cas recens s dans cette r gion dataient de 2001 Lenqu te a permis d identifier un 4 cas qui tait une r infection avec issue de grossesse normale Dans tous les cas il s agissait d une premi re grossesse Les investiga tions n ont retrouv aucune notion de voyage l absence de lien entre les cas et une notion de contage pour seulement 2 des ca
127. quantitative structure acti vity relationship OSAR des anglo saxons a mis en vidence que plus une mol cule contient de fonctions amines plus la probabilit qu elle soit sensibilisante augmente Dans un centre de consultations de pa thologies professionnelles franci lien 37 patients en 10 ans adress s pour une rhinite professionnelle avec ou sans asthme ont r alis un test de provocation nasale sp ci fique une amine pr sente dans les produits qu ils manipulaient au tra vail Parmi eux 7 ont eu un test posi tif doublement de la r sistance na sale mesur e par rhinomanom trie post rieure Ils travaillaient dans le secteur hospitalier ou taient salari s d entreprises de nettoyage Les auteurs concluent en mettant l hypoth se que la fr quence des rhinites ou asthmes profession nels dus aux amines pourrait tre sous estim e et encouragent une exploration aussi exhaustive que possible des substances profession nelles pouvant tre l origine de ces pathologies La dermatite allergique de contact se pr sente comme un ecz ma des mains avec une r action positive aux patch tests faits avec le com posant en cause La dermatite de contact d imitation se pr sente comme un ecz ma des mains pro venant de l utilisation d irritants sans r action aux prick ou aux patch tests Parmi les allerg nes on distingue les allerg nes non pro t iques les hapt nes des allerg nes prot iques Les ha
128. ren dant le nombre d images incluses trop faible pour une interpr tation statistique satisfaisante Ainsi l indice morphologique fon d sur les 5 param tres nombre d anses dystrophies n ogen se distribution et parcours n a pu tre calcul que pour 40 5 6 des images pour au moins un doigt sur huit si on exigeait la concordance des lec teurs par contre l indice calcul sur 4 param tres excluant donc le nombre d anses pouvait tre mesu r pour au moins un doigt sur huit toujours en exigeant la concordance des lecteurs pour 79 8 6 des images L tude de cet indice morpholo gique excluant le nombre d anses capillaires a mis en vidence la cat gorie professionnelle comme facteur explicatif significatif La si gnification statistique de ce facteur est due un indice morphologique significativement plus lev chez les chirurgiens que l on garde ou non les images discordantes et les radiologues que chez les non expo s s tableau 2 La dur e d exposition en ann es par dizaine d ann es chez les chirur giens et chez les radiologues est si gt TUDE DE L INFLUENCE DE LA CAT GORIE PROFESSIONNELLE SUR L INDICE MORPHOLOGIQUE Nombre de sujets inclus 174 Main p 0 27 Cat gorie professionnelle coeff err 0 007 Chirurgiens non expos s 6 812 0 363 p degr de signification coeff coefficient de r gression err erreur standard p oos Tableau III gt TUDE
129. retenues l exposition ces fum es concerne 598 ooo salari s au cours de la semaine pr c dant l enqu te En dehors des produits canc rog nes chimiques il convient de rappeler l existence d autres canc rog nes comme les radiations ionisantes Celles ci sont class es dans le groupe 1 par le CIRC depuis 2012 en 2010 259 000 salari s y taient expos s Le CIRC a classifi le travail de nuit comme canc rog ne 2A depuis 2007 En effet le risque de cancer du sein est augment chez les femmes ayant travaill de nuit 5 Le nombre de femmes travaillant de nuit m me occasionnellement s l ve 759 ooo un quart des salari s travaillant de nuit elles exercent notamment dans le domaine de la sant gt Exposition d autres situations canc rog nes Taux d expo Proportion sition pour de score 1000 salari s sup rieur 1 Nombre de salari s expos s 598 000 28 44 Fum es de soudage d l ments m talliques Radiation ionisante DATR de cat gorie A ou B Travail la nuit m me occasionnellement 259 000 12 3 141 000 145 Champ salari s France m tropolitaine et R union Source DARES DGT DGAFP enqu te SUMER 2010 Lorsque le score est sup rieur 1 l exposition peut tre consid r e comme importante 29 96 Les ouvriers sont majori taires parmi les salari s de ces 5 domaines professionnels 7 Dans la maintenance les expositions les plus fr quentes concernent l
130. risque et d valuer l exposi tion du salari en caract risant les champs lectromagn tiques des mesures au poste de travail cette fin une collaboration troite doit s engager entre le m decin du travail le cardiologue qui a implant le stimulateur le fournisseur du sti mulateur qui en connait les caract ristiques et le chef d entreprise 9 VALUATION DE L EXPOSITION AUX ONDES LECTROMAGN TIQUES Lexposition d pend des caract ristiques de la source fr quence d mission puissance et de 1 dis tance source op rateur intensit FR QUENCE D MISSION Pour valuer l exposition d une per sonne une source lectromagn tique il est n cessaire de connaitre la fr quence d mission de l appareil incrimin donc sa longueur d onde Lorsque la distance entre la source et la personne expos e est inf rieure 16 fois la longueur d onde on se situe dans une zone dite de champ proche zone de Fresnel Dans ce cas les deux grandeurs champ lectrique et champ magn tique doivent tre mesur es ind pendamment Au del la mesure d une grandeur permet de d termi ner l autre par la relation E H 3770 ohms C est la zone de champ lointain ou zone de Fraunhofer 2 PUISSANCE La puissance est la quantit d ner gie mise par un metteur par unit de temps elle s exprime en watt joule s La densit de puissance surfacique S s exprime en W m
131. roscopique au cours d un entretien et une note d information lui a t remise cette note a t sign e parle volontaire et conserv e parle m de cin du travail R SULTATS DESCRIPTION DE LA POPULATION ET DE SES CARACT RISTIQUES D EXPOSITION Apr s limination de 18 sujets pour ant c dents m dicaux ou radiolo Nombre d ann es d exposition cart type Tabagisme Fumeur actuel n 2 6 17 31 Ex Fumeur n 15 29 E 18 Non Fumeur 22 65 28 51 14 2 9 1 12 4 8 4 14 2 9 4 11 17 12 19 20 Bo E 35 53 37 58 Manucure n 96 Loisirs plus de 4 heures 1 3 par semaine n giques 222 sujets ont t int gr s dans l tude et r partis en quatre groupes 35 t moins non expos s 56 cardiologues 66 chirurgiens et enfin 64 radiologues incluant 3 m decins ni radiologues ni cardiologues effectuant des actes de radiologie in terventionnelle ce dernier groupe est indiqu sous le terme radiolo gues dans la suite de l tude Les diff rents facteurs de confusion potentiels ont t examin s le sexe l ge le tabagisme la pr sence de k ratose l onychophagie la manu cure le tabagisme la dur e d activi t de loisir sollicitant les pulpes des doigts tableau 1 Le cursus professionnel de la po pulation expos e a t explor en nombre d ann es minimum 2 mois maximum 37 ans m diane 7 ans et en nombre de va cations du
132. secouriste La responsabilit p nale d un secouriste est elle en gag e lorsqu il r alise des gestes incorrects Le fait de causer la mort ou une incapacit de tra vail plus ou moins importante par maladresse im prudence inattention n gligence ou manquement une obligation de s curit ou de prudence impos e par la loi ou le r glement peut tre puni d amendes ou d emprisonnement Pour que de telles infractions soient caract ris es il faut la r union de deux l ments un l ment mat riel et un l ment moral n y a pas faute si l auteur des faits a accompli les diligences normales compte tenu de la nature des missions ou des fonctions des comp tences du pouvoir et des moyens dont il dispo sait Le juge va appr cier si les diff rents l ments de l infraction sont r unis en tenant compte des possibi lit s et des connaissances de la personne poursuivie C est sous ces r serves que la responsabilit p nale du secouriste pourra tre engag e Cette respon sabilit est personnelle c est dire quele SST ne peut pas tre couvert par son employeur pour des infrac tions p nales commises par lui La qualit de la victime salari e ou non de l entre prise n entre pas en ligne de compte Sauf erreur il n existe pas de jurisprudence appli cable en pareille hypoth se Dans ce prolongement on ne peut pas faire l co nomie de l analyse de l article 122 7 du Code p nal relatif l
133. signaler que la norme ISO 9241 410 5 recommande pour les crans tactiles de positionner les cibles de contact une hauteur inf rieure celle des paules si les crans sont orient s verticalement ou une hauteur gale ou inf rieure celle des coudes si les crans sont orient s horizontalement L utilisation des t l phones mobiles est en aug mentation ces derni res ann es notamment chez les adolescents Malheureusement elle g n re quelques contraintes posturales En effet il a t montr que cette utilisation entrainait une flexion importante du cou et une position inad quate du poignet 6 Par rapport aux hommes les femmes pr sentent une plus grande activit des muscles extenseurs des doigts lors de l envoi des SMS ainsi qu une tendance une plus grande abduction du pouce et des mouve ments plus rapides de celui ci 7 Un appui del avant bras r duit la charge musculaire du trapeze paule tandis qu une entr e de texte avec un pouce au lieu de 2 augmente la fr quence de mouvement de ce doigt et sa vitesse de d placement 8 En conclusion il convient de veiller au bon am nagement des postes de travail quip s de por tables ou de tablettes Avant toute modification une tude de poste est indispensable d identifier les contraintes et de proposer des solutions ad quates compte tenu des caract ristiques de l op rateur et de sa t che Il convient galement de favoriser la r cu p
134. sion de la farine g n rer des pous si res inhalables par la modification SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 123 SUIVI POUR VOUS de ses ingr dients Des tests ont t effectu s en variant les proportions des composants principaux l huile v g tale le sulfate de calcium et le silicate de calcium Un des r sultats de ces travaux montre que le plus faible taux de poussi res est obte nu lorsque l on diminue le sulfate de calcium et que l on augmente l huile v g tale Des questions restent cependant ouvertes quant la qualit du produit fini obtenu et l mergence d autres probl mes ventuels Par ailleurs une tude a t men e pour diminuer le taux de trichlo ramine NC dans les piscines Les tapes principales de cette tude consistaient la mesure des niveaux d exposition au d velop pement de solutions techniques pouvant tre mises en place dans les bassins ainsi qu la r vision de la r glementation et des normes concernant cette probl matique Un contr le de la formation du NC par le d veloppement d un mod le r sultant d une tude hydraulique des bassins a t propos Afin de conna tre l impact des tra vaux sur la r duction des allergies professionnelles des r sultats 15 sus de r seaux de surveillance ont t d taill s Le r seau THOR The Health and Occupational Research network en Angleterre et le r seau RNV3P en Fra
135. supports vi sant expliquer le principe de trai tement des d chets radioactifs au sein des centrales nucl aires Ils se pr sentent sous la forme e d un dossier accessible l adresse http jeunes edf com article les dechets radioactifs 71 e d une animation visualisable en suivant le lien suivant http jeunes edf com article les de chets radioactifs 153 R GLEMENTATION gt L CHELON EUROP EN gt Euratom Ce site est accessible sur Internet l adresse suivante www euratom org L acc s est gratuit Les recherches sont en anglais et les r sultats sont disponibles en anglais et en francais Devant la volont de promouvoir le d veloppement d une industrie nucl aire en Europe un trait com munautaire sign en 1957 a insti tu la Communaut europ enne de l nergie atomique Euratom Ce trait constitue le fondement sur lequel sont adopt s les r gle ments et directives europ ennes en mati re de rayonnements ioni sants Le site Euratom propose dans la rubrique l gislation de sa page d accueil un dossier avec des liens permettant d acc der ces textes de r glementation par redirection vers le site EUR Lex Ce dernier site permet d acc der gratuitement au droit de l Union europ enne et d autres documents consid r s comme publics dans 23 langues officielles de l Union europ enne dont le francais gt L CHELON FRAN AIS gt L gifrance Cett
136. sur son secteur centre m dico psycholo gique consultation hospitali re de souffrance au travail consultation de SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 91 PRATIQUES ET M TIERS psychotraumatisme consultation d addictologie Lorsque la menace suicidaire est consid r e comme faible ou mod r e id es suicidaires floues et peu labor es sans notion de sc nario envisag sans ant c dent sans notion de crise suicidaire une prise en charge ambulatoire ou hospitali re peut tre propos e Le patient peut tre adress au service d accueil des urgences d un centre hospitalier ou tre hospitalis dans un service de psychiatrie Il est alors n cessaire de s assurer de la coop ration du sujet et du soutien de son entourage Qu il y ait ou non hos pitalisation l objectif de cette prise en charge est de permettre au sujet en crise suicidaire de mobiliser ses propres ressources adaptatives et de lui proposer d autres alterna tives Il est conseill au m decin du travail d organiser un nouvel entretien dans les suites proches de cette prise en charge Parfois l valuation de la menace suicidaire peut conduire au rep rage d une situation d urgence C est le cas lors d un refus de toute coop ration du sujet d une grande agita tion d une excitation non contr l e d un tat de distanciation motion nelle d importants troubles psy chiatriques d un suicide plan
137. teint 22 Une tude r alis e en laboratoire en double aveugle sur des volontaires sains indique qu une exposition des radiofr quences 900 MHz pendant ou 60 minutes n entraine pas de symp t mes subjectifs sur ces sujets 23 Enfin un auteur su dois a r alis en 2001 une tude de provocation se rapportant l hypersensibilit aux champs lectriques et magn tiques la fr quence industrielle 50 Hz Celle ci ne permet pas d tablir un lien entre l exposition aux champs lectromagn tiques et les symp t mes qui leur sont pr sum s li s 24 25 Les tudes de provocation ont t consid r es comme le moyen de choix pour explorer le lien de cau salit ventuel entre une exposition des CEM et des sympt mes fonc tionnels Dans une revue syst ma tique r cente bas e sur 46 tudes de provocation en simple ou double aveugle lors d expositions une source de CEM r elles ou simul es avec un total de 1175 sujets lectro sensibles volontaires Rubin et al 26 ne retrouvent pas de preuve suf fisante d un lien entre l exposition aux CEM et la survenue des symp t mes des sujets souffrant d IEI attri bu e aux CEM Quelles que soient les sources d exposition crans catho diques 5o Hz ondes dela t l phonie mobile les tudes ont montr que les sujets lectrosensibles n taient pas plus capables queles t moins de diff rencier les expositions r elles des expositions simul
138. ter utilement les r sultats de ces examens le m decin doit il en demeurer seul destinataire Pour rappel un nombre limit de personnes sp ciale ment habilit es en raison de leur fonction en mati re d application ou de contr le de la radioprotection en entreprise ont acc s certaines donn es En subs tance le m decin du travail est la seule personne auto ris e acc der de facon nominative l ensemble des donn es dosim triques dosim trie externe passive et interne doses efficaces dosim trie op rationnelle Pourlemployeur non seulement les textes ne pr voient aucune communication des informations nominatives dosim triques mais ils lui en interdisent m me l acc s ainsi l article 4451 74 du Code du travail pr cise t il qu au titre des mesures d valuation et de pr vention pr vues l article L 4121 2 l employeur peut exploiter ou bien faire exploiter des fins statistiques sans limitation de dur e les r sultats de la dosim trie passive et de la dosim trie op rationnelle sous une forme excluant toute identification des travailleurs Ainsi l employeur ne peut avoir acc s aux doses efficaces re ues par les tra vailleurs seuls le m decin du travail et la PCR dans les conditions pr cis es ci dessous y ont acc s En mati re de radioprotection la PCR est un acteur essentiel de l entreprise et son r le doit tre confort La PCR est partie prenante dans la mise en p
139. tiples et un v nement de sant Les donn es sur lesquelles les appliquer proviennent de 3 types de sources les bases enregistrant les patch tests N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 r alis s par exemple la base euro p enne ESSCA European Surveil lance System of Contact Allergies la base allemande IVDK Information Network of Departments of Derma tology for the epidemiological study of contact allergies les syst mes de surveillance nationaux par exemple SENSOR Sentinel Event Notification System for Occupational Risks tats Unis SABRE Surveillance of Aus tralian workplace Based Respiratory Events Australie SWORD Surveil lance of Work related and Occupa tional Respiratory Disease Royaume Uni ONAP Observatoire national des asthmes professionnels France RNV3P R seau national de vigilance et de pr vention des pathologies pro fessionnelles France et les bases enregistrant les cas donnant lieu compensation Ces syst mes pr sentent diff rentes limites l effectif du d nominateur n est pas connu donc le calcul de taux est impossible les indicateurs peuvent diminuer du fait d une baisse de la motivation des personnes alimentant les bases de donn es le lien de causalit entre la nuisance et l effet sur la sant n est pas connu les diagnostics ne sont pas standardis s les tests cutan s ont volu dans le temps et selon les pays il existe une s
140. titudes prononc s au cours des 12 derniers mois pour souffrance mo rale au poste de travail conduisant aux tats morbides suivants tats anxieux aigus et chroniques syn SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 53 VU DU TERRAIN dromes d pressifs tats de stress post traumatiques d compensa tion d un tat psychopathologique ant rieurement stable glissements addictifs Afin de standardiser cette analyse un outil commun de rep rage des risques psychosociaux a t retenu Il s agit de celui mis la disposition de pr venteurs par la Direction des risques professionnels de la Caisse d assurance retraite et de la sant au travail CARSAT de Bourgogne Franche Comt pour le diagnostic des risques psychoso ciaux 1 Cet outil encadr 1 labo r partir du mod le de Karasek 2 est un inventaire permettant de d terminer la pr sence ou l absence de 47 facteurs de risques regroup s en 6 cat gories signifiantes contenu de la t che organisation du travail relations sociales facteurs d envi ronnement du travail gestion de lemploi et des comp tences contexte de l entreprise Dans le cadre de l enqu te les m decins ont utilis cet outil pour d terminer la pr valence c est dire recenser dans les dossiers m dicaux les cat gories et les facteurs de risques psy chosociaux de l inventaire associ s aux avis d inaptitude qu ils ont pro nonc s pour s
141. traite de l engagement de la direction de l valuation des risques de la communication et du management pour influer sur les comportements individuels Le dernier chapitre invite anticiper les volutions de la SST aborde l organisation du travail en lien N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ee avec les RPS le bien tre au travail les m decins et assimil s les risque Cet ouvrage prend en et les risques mergents professions param dicales et compte les dimensions sociales Dunod 5 rue Laromigui re 75005 les professionnels de l action organisationnelles et humaines Paris 2013 120 p sociale et de l orientation partir du travail et propose des des donn es de l observatoire pistes de r flexion permettant Evrest 2010 2011 ce document d appr hender des situations RAOULT N GUERIN F fournit un certain nombre complexes par le moyen de Pr venir la p nibilit Des d indications sur le travail et l analyse des risques puis donne engagements aux plans la sant des salari s de ces des points de rep res pour aider d actions m tiers en dehors des m decins comprendre et analyser les Liaisons sociales insuffisamment repr sent s risques Les exemples d crits Une nouvelle obligation l gale dans l chantillon Les r sultats dans l ouvrage sont ceux incite les entreprises agir montrent quelesaides soignantes d organisations industrielles pour diminuer ou supprimer et inf
142. transdisciplinaires qui les sociaux et politiques actuels sur ventail de disciplines y compris conduisent la construction d une ce sujet Ainsi l int r t majeur de l agriculture la sant publique la pens e complexe autour de la ces auditions aura t de montrer sant au travail le marketing et question du risque biologique que le champ des perturbateurs l conomie Il devrait servir aux question qui n cessite urgemment endocriniens d borde aujourd hui gouvernements organisations d tre collectivement pos e Au largement le champ scientifique non gouvernementales et sommaire 1 savoir en biologie propre s inscrivant dans un internationales et au secteur priv aspects politiques juridiques et positionnement socialid ologique prendre des mesures visant conomiques dont un chapitre sur et politique minimiser l exposition aux les risques en milieu de travail ANSES 27 31avenue du G n ral mycotoxines dans les populations approches historiques sociales et Leclerc 94701 Maisons Alfort haut risque Le livre fournit philosophiques Cedex 2013 102 p www anses fr non seulement une description L Harmattan 5 7 rue de l cole scientifique de la pr sence et des polytechnique 75005 Paris 2013 LLL effetsdesmycotoxines maisvaplus 189 p PITT LL Ed WILD C P Ed BAAN loin en soulignant les approches RA Ed GELDERBLOM W C A etal visant r duire l exposition aux Improving public health myc
143. travailleurs au service de sant au travail le partage de confidentialit lui permettrait de travail ler directement avec le service m dical sur l ensemble des donn es dosim triques quelles qu elles soient le maintien de son statut actuel avec un renforce ment de son ind pendance et un acc s l ensemble des r sultats de dosim trie externe Dans les deux cas apparaissent indispensables ela publication de l arr t relatif aux modalit s de for mation de la PCR et de certification des organismes de formation ect l instauration de nouvelles dispositions r glemen taires dans le Code du travail imposant la PCR le res pect de la confidentialit professionnelle concernant les donn es dosim triques auxquelles elle a acc s Enfin cette ouverture ne serait possible que si l em ployeur ne peut en aucune mani re s auto d signer PCR Or la circulaire DGT ASN n du 21 avril 2010 relative aux mesures de pr vention des risques d ex position aux rayonnements ionisants pr voit dans les entreprises de tr s faible effectif une telle auto d si gnation De facon g n rale il semble essentiel que chaque ac teur puisse accomplir sa mission et cet effet dispo ser des informations n cessaires et suffisantes celle ci Un acc s largi tous de l ensemble des donn es dosim triques y compris dosim trie interne ne pour rait qu introduire une confusion des r les des acteurs et partant di
144. tudes ont montr que le travail sur un micro ordinateur portable pos directement sur la table entra ne une flexion importante du cou chez les op rateurs qui ne portent pas de verres progressifs Si l op rateur utilise de facon prolong e un micro ordinateur portable quel qu il soit le clavier doit tre pos sur un rehaus seur pour que le haut de l cran soit environ hau teur des yeux sauf pour les porteurs de verres pro gressifs et un clavier ind pendant doit tre connect au portable L ajout de ce clavier permet galement d loigner l cran des yeux car avec un micro ordi nateur portable la distance il cran est inf rieure S Boulet 50 cm ce qui constitue un facteur de risque de fatigue visuelle 2 Il est signaler que la distance optimale entre l il et l cran d pend de la taille des caract res des chiffres ou des images affich s et non pas de celle de l cran Cette distance est donc adapter en fonc tion de l affichage 3 Par ailleurs certains crans des mini portables pr sentent des reflets de type miroir comme ceux de la grande majorit des portables Ces reflets constituent un important facteur de risque de fatigue visuelle Le positionnement du clavier d un portable sur un rehausseur r duit le risque de reflets dus l clairage artificiel car l cran est alors moins inclin que lorsque ce mat riel est pos sur la table Un affichage fond clair diminue galement ce
145. unique par un expert agr lorsque les CHSCT sont consult s avant une d cision d am nagement important int ressant plusieurs tablissements et modifiant les conditions de sant et de s curit ou les conditions de travail trans formation importante des postes de travail d coulant de la modification de l outillage d un changement de produit ou de l organisation du travail modification des cadences et des normes de productivit li es ou non la r mun ration du travail notamment La loi d taille la composition de cette nouvelle instance employeur repr sentants de chaque CHSCT m decin du travail inspecteur du travail agents des organismes de pr vention de la S curit sociale responsable du ser vice s curit les modalit s de d signation de l expert et le rendu de l avis apr s la remise par l expert de son rapport D cret n 2013 552 du 26 juin 2013 relatif au comit d hygi ne de s curit et des conditions de travail et l instance de coordination Ministere charg du Travail Journal officiel du 28 juin 2013 pp 10 723 10 724 Ce d cret apporte des pr cisions en ce qui concerne la composition de l instance temporaire de coordination des comit s d hygiene de s curit et des conditions de travail qui peut tre mise en place lorsqu un employeur esttenu de consulter plusieurs CHSCT sur un projet com mun plusieurs tablissements Cette instance dont la cr ation est pr vue par l
146. veille r glementaire non exhaustive est accessible gratuitement via le site de l INRS ou directement en sui vant ce lien www inrs fr accueil header actualites juridiques html Une s lection annuelle des princi pauxtextes parus depuis 2000 est galement disponible POUR APPROFONDIR Ce chapitre pr sente des outils compl mentaires permettant d ap profondir ses connaissances ou de cibler un sujet pr cis gt RECHERCHE SUR INTERNET gt Sources d informations interna tionales CIPR Il est accessible sur Internet l adresse suivante www icrp org La CIPR est une organisation inter nationale ind pendante r unis sant plus de 200 experts en radio protection d environ 30 pays Elle a d velopp le syst me internatio nalde protection radiologique uti lis dans le monde entier comme base commune pour les normes de protection radiologique la l gislation les directives les pro grammes et les pratiques ce jour 121 publications ont t produites par la CIPR et concernent lensemble des th matiques sus cit es Ces recommandations bien que sans valeur juridique sont reconnues au niveau internatio nal et servent de r f rences aux diff rentes instances et autorit s nationales en charge de 1 radio protection L acc s ces publica tions est payant pour leur grande majorit bien que certaines d entre elles b n ficient d un acc s gratuit via l onglet Publications du site
147. volontaires ont r alis des t ches li es leur travail et ont r pondu un questionnaire de perception pour faire connaitre leur opinion sur la dext rit la sensibilit tactile etle confort ressentis lorsqu ils portaient ces mod les de gants Six sujets policiers trois pour le tir au pistolet et trois pour la d fense et le contr le d individus ont test cinq mod les de gants deux sujets boueurs ont test quatre mod les de gants et deux sujets horticulteurs ont test trois mod les de gants La port e de cette tude est relativement limit e tant donn le nombre restreint de sujets y ayant particip De maniere g n rale ce sont les mod les les plus souples qui ont t les plus appr ci s et percus comme tant ceux offrant le meilleur confort et permettant la meilleure dext rit manuelle et la meilleure sensibilit tactile En contrepartie ces mod les sont galement ceux qui offrent une r sistance moins lev e aux piq res d aiguilles De plus la majorit des mod les de gants test s forment des replis dans la paume lorsqu on referme les mains Ces replis en plus de nuire la r alisation de t ches manuelles causent une irritation de la peau et un inconfort Par ailleurs les coutures des gants sont tr s incommodantes et diminuent la sensibilit tactile Institut de recherche Robert Sauv en sant et en s curit du travail IRSST 505 boulevard de Maisonneuve Ouest
148. www rpcirkus org Ce site comporte une rubrique Documentation l attention des professionnels de radioprotection et notamment des PCR La rubrique est subdivis e en plusieurs parties qui correspondent aux grands sec teurs d activit s existants indus triel et m dical et propose un acc s gratuit diff rents supports d informations produits par les membres de l association ou par des institutions officielles InVS est accessible sur Internet l adresse suivante www invs sante f Les recherches et les r sultats sont en francais LInVS a un r le de surveillance de vigilance et d alerte dans tous les domaines de la sant publique Cette surveilance concerne des pathologies qui peuvent tre li es aux rayonnements ionisants telles que le cancer de la thyro de LInVS a galement pour mission d va luer le risque Rayonnements ioni sants sur les lieux contamin s Un outil de recherche par mots cl s est disponible sur ce site gt RECHERCHE DANS DES OUVRAGES Revue Radioprotection Cr e en 1966 la revue Radiopro tection dit e par la SFRP publie des articles scientifiques en lan gues francaise et anglaise et pr sente l actualit de la radiopro tection La revue comprend deux parties distinctes La premi re regroupe les articles scientifiques la seconde pr sente les nouvelles de la SFRP et plus g n ralement de la radioprotection Les articles concernent t
149. 0 des salari s de l enqu te SUMER 2010 Sont principalement concern s les ouvriers et les salari s des secteurs de la maintenance et de la construction Les jeunes sont plus fr quemment expos s tandis que les hommes le sont plus fortement La dur e et ou l intensit de l exposition sont jug es importantes dans 38 des cas Bien qu une diminution des expositions soit constat e entre 2003 et 2010 les protections collectives et individuelles sont encore insuffisamment mises en uvre Comme pour les ditions pr c dentes l enqu te SUMER est r alis e sur la base des donn es recueillies par les m decins du travail cf SUMER Pourquoi une nouvelle enqu te en 2009 tudes et enqu tes TF 177 Doc M d Trav 2008 116 521 24 Cetexte a d j fait l objet d une publi cation dans Dares Anal Septembre 2013 N 54 pp 1 9 M L onard Direction r gionale des entreprises de la concurrence de la consommation du travail et de l emploi de Lorraine M Cavet Direction de l animation de la recherche des tudes et des statistiques Minist re en charge du travail En 2010 d apr s l enqu te SUMER 10 6 de l ensemble des salari s soit pr s de 2 2 millions de salari s ont t expos s au moins un produit chimique canc rog ne au cours de la derni re semaine travaill e Les ouvriers et les salari s tra vaillant dans des activit s de maintenance ou dans le secteur de la construc
150. 0 10 28 Fax 01 42 80 36 97 contact coeur et travail com www coeur et travail com SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 165 AGENDA FORMATIONS Actif Sant Travail Formation des professionnels de sant au travail PARMI LES STAGES EN 2014 Nanotechnologies nanomat riaux risques ou incertitudes Rayonnements ionisants pr vention des risques et surveillance m dicale Burn out et comp titivit impulser une dynamique de pr vention de l puisement professionnel en lien avecle management Pratique nouvelle de l entretien infirmier en sant au travail Viellissement p nibilit et enjeux de sant au travail Le projet de service avec et pour les quipes de sant au travail Risque chimique et CMR valuation pr vention nouvelle r glementation Lombalgies cervico dorsalgies nouvelles approches et prophylaxie face aux postes de travail Sommeil et travail horaires atypiques vigilance travail post r cup ration Entretien efficace et approche relationnelle dans les situations difficiles Secr taires assistantes en sant au travail renforcez la dimension communication de votre fonction gt Risques psychosociaux pr vention et prise en charge Urgences en milieu de travail gt Vision et d pistage en sant au travail Risques respiratoires et EFR en sant au travail radiologie thoracique Pr vention des TMS une autre approch
151. 10 10 2014 Vandoeuvre l s Nancy Analyser a posteriori des 1 4 jours 08 12 2014 au 12 12 2014 Vand uvre 1035 v nements graves dus l s Nancy aux risques psychosociaux Mettre en uvre 1 4 jours 24 11 2014 au 28 11 2014 Paris 1035 un entretien et une observation dans le cadre d une action de pr vention des risques psychosociaux Savoir travailler en 1 5 jours 14 01 2014 au 16 01 2014 Paris 1294 pluridisciplinarit dans le champ de la sant et de la s curit au travail et 25 03 2014 au 26 03 2014 Risques sp cifiques Code Stage Session Dur e Date Lieu Co t net Agents chimiques amp biologiques BB1501 Bl1530 valuer et pr venir les 1 4 jours 31 03 2014 au 04 04 2014 Paris 1035 risques li s aux agents chimiques R aliser la surveillance 1 2 5jours 18 11 2014 au 20 11 2014 Paris 647 biologique de l exposition aux agents chimiques SUITE EN PAGE SUIVANTE gt gt gt SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 161 AGENDA FORMATIONS Risques sp cifiques Code Stage Session Dur e Date Lieu Co t net Agents chimiques amp biologiques Cj1030 Caract riser et pr venir 1 2 5jours 16 09 2014 au 18 09 2014 Vandoeuvre 647 les risques li s aux l s Nancy nanomat riaux manufactur s JJo730 Pr venir les cancers 1 4 jours 19 05 2014 au 23 05 20143 Paris 1035 professionnels Cjo701 Mesurer la concentration 2 3 jours 13 01 2014 au 16 01 2014 Paris TI
152. 3 www sf2h net publications SF2H SF2H recommandations air ou gouttelettes 2013 pdf Recommandations nationales sur la pr vention de la transmission crois e pr cautions compl mentaires contact 2009 www sf2h net publications SF2H SF2H prevention transmission croisee 2009 pdf du terme il y a un risque de surve nue d un zona chez le b b avant de 1 an 1 2 96 Au del de 37 SA et jusqu au terme le risque est celui d une varicelle n onatale tout particuli rement si celle de la m re survient entre J 5 et J 2 par rapport l accouchement de mortalit En cas de contage varicelleux chez une femme enceinte il est imp ra tif de se poser 3 questions S agit il d un contact risque La r ponse est oui si c est un contact familial ou d une dur e de plus d une heure dans la m me pi ce La femme est elle prot g e contre la varicelle e A t elle fait une varicelle si oui elle est prot g e e A t elle recu deux doses de vaccin sp cifique si oui elle est prot g e En cas de r ponse n gative ces questions il convient de rassurer plus de 9o des femmes sont immunis es r aliser si possible une s rologie sur un s rum de d but de gros sesse ou moins de 10 jours apr s le contage en pr sence d anticorps la m re est prot g e Mais il faut que cette s rologie ne fasse pas d pas ser le d lai de 4 jours pour l injec
153. 4 au 05 06 2014 Paris 893 INRS d partement Formation Rue du Morvan CS 60027 54519 Vandceuvre le s Nancy Cedex Pour les stages BB2230 2330 JJ2301 JA2330 JJ2331 Dominique Armand gt T l 03 83 50 21 69 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat forl inrs fr Pour le stage AB1230 Myriam Aymonin gt T l 03 83 50 22 98 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat prap inrs fr Pour les stages AB1231 CJo701 CJ1030 JA2301 Nathalie Lallou gt T l 03 83 50 21 70 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat forl inrs fr Pour les stages JA1730 JA1770 N12002 Agn s Matecki gt T l 83 50 21 72 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat forl inrs fr Pour le stage RR2801 Chantal Sapinia gt T l 03 83 50 21 71 Fax 03 83 50 21 88 E mail secretariat prap inrs fr SUITE EN PAGE SUIVANTE 232 163 AGENDA FORMATIONS gt SE PROCURER LE CATALOGUE COMPLET FORMATION 2014 La version compl te du catalogue Formation Sant et s curit au travail 2014 de l INRS est t l chargeable sur le site Web de l INRS www inrs fr et disponible dans sa version imprim e en contactant l INRS par t l phone 01 40 44 30 mail infoGinrs fr ou en renvoyant le coupon joint ci dessous L ensemble des stages et formations distance destination des fonctionnels s curit et hygi ne industrielle concep teurs ing nieurs techniciens membres de CHSCT d l gu s du pe
154. 40 CE Commission europ enne Journal officiel de l Union europ enne n L179 du 29 juin 2013 pp 1 21 Cette directive remplace la directive 2004 40 CE et fixe les prescriptions minimales de s curit et de sant applicables aux travailleurs expos s des champs lec tromagn tiques champs lectriques statiques champs magn tiques statiques et champs lectriques magn tiques et lectromagn tiques variant dans le temps dont les fr quences vont jusqu 300 GHz Elle couvre tous les effets biophysiques directs et indirects connus pro voqu s par des champs lectromagn tiques effets ther miques effets non thermiques courants induits dans les membres interf rence avec des quipements et disposi tifs m dicaux lectroniques risque de projection d objets ferromagn tiques dans des champs magn tiques sta tiques La directive ne traite pas toutefois des effets long terme potentiels de l exposition des champs lectro magn tiques partir du moment o il n existe actuelle ment pas d l ments scientifiques probants bien tablis qui permettent d tablir un lien de causalit Toutefois la directive pr voit la prise en compte par la Commission de l volution des connaissances scientifiques en la mati re Le texte ne porte pas non plus sur les risques d coulant d un contact avec des conducteurs sous tension Les mesures de pr vention d crites par la directive passent la r alisatio
155. AN G et al Impacts biom caniques et ergonomiques de la manutention chez les travailleurs ob ses tudes et recherches Rapport R 781 Lob sit est un probl me mergent qui semble s immiscer dans les probl matiques de sant et s curit du travail La pr valence de blessures musculo squelettiques chez les individus ob ses et les co ts indirects non m dicaux sont plus lev s que N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ceux des travailleurs ayant un poids normal Sachant qu une hausse soutenue du taux d ob sit chez les travailleurs est observ e au Canada cette tude s est int ress e la probl matique ob sit travail Les risques de blessures au dos lors d activit s au travail restent aujourd hui tr s lev s et la profession qui g n re le plus d affections demeure encore celle de manutentionnaire Peu de preuvent existent sur l impact de l ob sit dans les facons d effectuer les t ches de manutention Lobjectif de cette tude est d analyser les strat gies de travail des manutentionnaires ob ses et de les comparer celles des manutentionnaires ayant un poids normal Les impacts biom caniques et ergonomiques de 17 manutentionnaires ob ses et de 20 manutentionnaires avec un poids normal ont t valu s en laboratoire Les t ches tudi es consistaient en des transferts de caisses d un convoyeur un diable et vice versa Le poids de la charge l
156. AVAIL SEPTEMBRE 2013 Figure h t rog ne du fait de la diversit des sources et de l environnement lectromagn tique du poste de tra vail 4 CHAMP LECTROMAGN TIQUE BASSE FR QUENCE Les champs lectrique et magn tique de tr s basse fr quence coexistant dans lenvironnement de tout appareil lectrique en fonc tionnement sont particuli rement importants proximit des lignes de transport lectrique haute et basse tension des transformateurs des alternateurs et des mat riels lectriques On les rencontre gale ment dans l lectrom tallurgie avec les industries de soudage l arc lectrique et les industries de l lec trochloration RADIOFR QUENCES Les champs lectromagn tiques de moyenne fr quence sont retrouv s autour de toutes les machines utili santle proc d d lectrothermie par induction et dans les applications courantes telles que la radiodiffu sion la t l vision la t l phonie mo bile les syst mes d identification 5 Les secteurs d activit concer S Longueur d ande amp Direction de propagation Onde lectromagn tique oscillation coupl e du champ lectrique et du champ magn tique n s sont l industrie lectronique lindustie chimique fabrication de fibres l industrie agroalimen taire cuisson dorage de produits alimentaires s chage ou st rilisa tion de produits en poudre thermo scellage
157. BRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 71 VU DU TERRAIN BIBLIOGRAPHIE 1 AnNAUDO B L ONARD M SANDRET N CAVET M ET AL L volution des risques professionnels dans le secteur priv entre 1994 et 2010 premiers r sultats de l enqu te SUMER Dares Anal 2012 23 1 10 2 ArNauDO B L ONARD M SANDRET N Caver M Les risques professionnels en 2010 de fortes diff rences d exposition selon les secteurs Dares Anal 2013 10 1 12 3 Monographies du CIRC sur l valuation des risques de canc rog nicit pour l homme http monographs iarc fr FR Classification index php en anglais uniquement 4 GuicNoN N SANDRET N Les expositions aux produits canc rog nes Premi res Synth ses Informations 2005 28 1 1 6 5 MENEGAUX F TRuoNG T NGER A CORDINA DUVERGER E ET AL Night work and breast cancer A population based case control study in France the CECILE study International Journal of Cancer 2013 132 924 31 6 DARES La nomenclature des familles professionnelles version 2009 http travail emploi gouv fr IMG pdf FAP 2009_Introduction_ et table de correspondance pdf 7 Le Ru N L volution des m tiers en France depuis vint cinq ans Dares Anal 2011 66 1 20 8 Courror T ROQUEBERT Q SANDRET N La pr vention des risques en entreprise vue par les m decins du travail Dares Anal paraitre
158. DE L INFLUENCE DE LA DUR E D EXPOSITION SUR L INDICE MORPHOLOGIQUE Nombre de sujets inclus 173 Main 0 23 Dur e d exposition par cat gorie professionnelle coeff err Par 10 ann es chirurgiens 0 466 0 177 p degr de signification Coeff coefficient de r gression err erreur standard p lt 0 05 p lt 0 01 44 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Tableau IV gt TUDE L INFLUENCE DES TROIS INDICES D EXPOSITION SUR l INDICE MORPHOLOGIQUE Nombre de sujets inclus Main 0 70 p 0 71 0 49 Log Dur e hebdomadaire de pr sence p 0 04 des mains dans le faisceau Log quivalent de dur e hebdomadaire p 0 03 d acte distal lointain Log Dose hebdomadaire d exposition selon p 0 005 le type d acte p degr de signification Coeff coefficient de r gression err erreur standard p lt 0 05 p lt 0 01 Tableau V gt TUDE L INFLUENCE DE LA DOSE CUMUL E PAR CAT GORIES PROFESSIONNELLES SUR L INDICE MORPHOLOGIQUE Nombre de sujets inclus 160 02 58 2 Main p 0 44 E Log dose cumul e par cat gorie p lt 0 0005 O00347 00334 Par Sv semaine chirurgien coeff err 0 132 0 0362 p degr de signification coeff coefficient de r gression err erreur standard p lt 0 001 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 45 VU DU TERRAIN En conclusion dans toutes les anal
159. Digital Enhanced Cordless Telecommunications HF High frequency tiques couvrant tout le spectre des fr quences induit naturellement des questions concernant les inte ractions avec les tissus biologiques et d ventuels effets sur la sant Depuis deux d cennies de plus en plus de personnes se plaignent de sympt mes non sp cifiques qu elles attribuent des champs lectromagn tiques et qui ont t regroup s sous l appellation intol rance environnementale idiopathique IEI attribu e aux HSE Hypersensibilit lectromagn tique TEI Intol rance environnementale idiopathique ICNIRP Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants LF Low frequency MINI Mini international neuropsychiatric interview OMS Organisation mondiale de la sant PHRC Programme hospitalier national de recherche clinique RED R ponse lectrodermale SIOC Syndrome d intol rance aux odeurs chimiques SNA Syst me nerveux autonome VRC Variabilit du rythme cardiaque champs lectromagn tiques LES CHAMPS LECTROMAGN TIQUES G N RALIT S D FINITIONS L espace de la vie quotidienne de chacun est rempli de rayonnements lectromagn tiques qui font partie int grante de l environnement et couvrent une large gamme de ph nom nes physiques Les rayonnements lectromagn tiques sont une forme de transport de l nergie sans support m
160. E LA GESTION DE L ABSENTEISME W De Boer Academy of Swiss insurance medicine H pital uni versitaire de B le De facon g n rale en Europe l ab sent isme pour cause de maladie demeure un probl me pour l entre prise le salari l assureur et l tat LArTr est pourtant d une grande utilit puisqu il permet le r tablis sement du travailleur d o la cr a tion des diff rents r gimes d assu rance maladie Dans un premier temps l absent isme peut pr venir la d sinsertion du salari Il peut galement prot ger les investis sements de l entreprise et la sant des autres salari s notamment en cas de maladie contagieuse ou de comportement dangereux LArTr est le fait que l employ n est pas son poste Il est un indicateur de la relation entre la sant du sa lari et les exigences de son poste de travail Le sujet malade est au centre des syst mes d assurance maladie Il existe deux concepts sociolo giques l employ a le droit d tre absent de son poste de travail s il est incapable de le faire et pourvu qu il fasse tout ce qui est raisonna blement possible afin de se remettre et de reprendre le travail et le malade doit justifier son absence son poste de travail devant son employeur souvent via le m decin traitant ou l assurance Selon sa propre histoire chaque pays euro p en a choisi un syst me d assu rance maladie public ou priv voire mixte Des stimuli financiers
161. HPV HR sont responsables de la quasi totalit des cancers du col ut rin en particulier deux d entre eux puisque le HPV 16 et le HPV 18 sont l origine d environ 70 90 de ces cancers selon les pays et de plus de 60 6 des n oplasies intra pith liales cervicales CIN de grade 3 Les HPV HR essentiellement le HPV 16 sont aussi associ s la grande majorit des cancers du vagin et de lar gion anale et des cancers dela vulve et du p nis Sph re ORL Lintoxication alcoolo tabagique est classiquement le facteur causal majeur des cancers de la sph re mais les papillomavirus jouent eux aussi un r le pour un certain nombre de ces cancers 6 Les HPV HR seraient impliqu s dans environ 25 des cancers de l oropharynx toutes localisations confondues et dans au moins 50 des cancers de l amygdale Le HPV 16 est le plus fr quemment en cause La transformation maligne d une papillomatose laryng e est rare elle survient chez seulement 3 6 7 des patients Les papilloma toses associ es aux HPV 6 ou n donc non oncog nes ont un risque de transformation canc Groupe 3 Lagent est inclassable quant sa canc rog nicit pour l homme Groupe l agent est canc rog ne pour l homme reuse tr s faible mais certaines formes de papillomatose laryng e sont li es des HPV HR majoritai rement le HPV 16 avec un risque tr s augment de transformation en dysplasie de haut gr
162. IM TRIE Les mesures se font au poste de tra vail du salari dans son environne ment et dans les lieux de passage Le choix de l appareil de mesure doit tenir compte des param tres me surer et dela fr quence du champ G n ralement trois appareils de mesure portatifs sont utilis s pour couvrir le spectre lectromagn tique deo 6o GHz le teslam tre qui permet de mesu rer le champ magn tique statique N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 le champm tre basses fr quences qui permet des mesures d induction magn tique et de champ lectrique jusqu 30KHz ele champm tre hautes fr quences qui permet de mesurer des champs lectriques ou magn tiques de 100 KHz 60 GHz Conform ment au d cret n 2006 61 du 18 janvier 2006 les mesures de l exposition aux ondes radio doivent tre effectu es par des bureaux de contr le ind pendants accr dit s COFRAC Comit fran ais d accr di tation et qui appliquent le proto cole de mesure tabli par l Agence nationale des fr quences ANFR La liste des bureaux de contr le accr dit s COFRAC est disponible sur Internet www cofrac fr Depuis fin avril 2004 les op rateurs de t l phonie mobile prennent en charge financi rement toutes les mesures qui leur sont demand es par crit et font r aliser ces mesures par des bureaux de contr le ind pendants et accr dit s COFRAC En milieu professionnel pou
163. INTENSIT Lintensit du champ d croit rapi dement avec la distance c est dire que plus la personne est loin de la source de champ plus l exposition est faible Les effets surl homme sont fonction de la fr quence et de l intensit du champ Pour une fr quence donn e les effets augmentent avec l inten sit du champ D BIT D ABSORPTION SP CIFIQUE DAS Le d bit d absorption sp cifique DAS est la dose recue et absorb e par un organisme par rapport son poids Il s exprime en watt par kilo gramme Di kal Cest un indicateur utilis pour quantifier le d p t de chaleur dans les tissus Il est fonction du champ lectrique produit l int rieur des tissus par la source mettrice et des propri t s lectriques des tissus bio logiques appel es conductivit et permittivit di lectrique Des exp riences comportementales ont permis de d finirle seuil d un ef fet perturbateur pouvant tre consi d r comme potentiellement nocif Lobservation a montr que ce seuil s accompagnait d un chauffement et qu une l vation de la temp ra ture corporelle de 1 C correspon dait un DAS de 4 W kg pendant 30 minutes Ce ph nom ne a servi de base la d finition de la valeur limite recommand e de DAS moyen corps entier qui est de 0 4 W kg Le DAS local pour la t te et le tronc est de 10 W kg soit 100 mW 10g le DAS local pour les membres est de 20 W kg soit 200 mW 10g DOS
164. Juillet Ao t Septembre 2013 135 R F RENCES gt Revue trimestrielle de l INRS CHAMPS SUICIDE ET CONDUITE RISQUES INFECTIEUX intol rance environnementale Rep rage et perspectives Exemple des idiopathique de prise en charge papillomavirus humains NS sec lt x de Institut National de Recherche een R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL Abonnez vous en ligne la revue trimestrielle R f rences en Sant au Travail est DIRECTEUR DE LA PUBLICATION diffus e gratuitement aux acteurs des services de sant au travail L abonnement est tabli pour une dur e de deux ans Un avis de r abonnement R dactrice en chef GENEVI VE ABADIA BENOIST est envoy ch ance ST PHANE PIMBERT COMIT DE R DACTION R dactrice en chef adjointe ANNE DEL PINE D INFOS ww rst sante travail fr R dacteur PHILIPPE HACHE Secr taire de r daction ANNE SCHALLER Charg e de rubrique Allergologie professionnelle Napa NIKOLOVA PAVAGEAU aid e de CYNDIE JACQUIN BRISBART Charg e d tudes bibliographiques et de veille ANNIE Correctrice CYNDIE JACQUIN BRISBART COMIT SCIENTIFIQUE CATHERINE AUBRY Direction scientifique ISABELLE Barrv D partement Expertise et conseil technique ANNE BARRIER Groupement des infirmier e s du travail Orl ans ARNAUD DESARMENIEN Association fran aise des intervenants en pr vention des r
165. L SEPTEMBRE 2013 AGENDA FORMATIONS 11 12 OCTOBRE 2013 PARIS France T colloque international de psychodynamique et psychopathologie du travail Suicide et travail Th me principal Analyse des processus en cause dans la gen se des suicides au travail RENSEIGNEMENTS Maison de la Chimie 28 bis rue Saint Dominique 75007 Paris virginie herve cnam fr http psychanalyse cnam fr 17 18 OCTOBRE 2013 STRASBOURG France XXVIF congr s de la Soci t d hygi ne et de m decine du travail dans les arm es et industries d armement SHMTAIA Pratiques professionnelles en sant au travail Parmi les th mes Les risques psychosociaux gt Les pratiques sp cifiques certains milieux Les entretiens infirmiers RENSEIGNEMENTS SHMTAIA HIA Val de Gr ce 74 bd de Port Royal 75230 Paris cedex o5 Contact Christine Gouret T6l 0140 5140 82 frank riviere amp gmail com 22 OCTOBRE 2013 STRASBOURG France Rythmes du travail et risques professionnels la lumiere sur le travail de nuit Th mes gt Travail de nuit des salari s en France les chiffres gt Impact du travail de nuit sur les rythmes biologiques gt Travail de nuit et cancer donn es m canistiques et pid miologiques La pr vention organisationnelle et individuelle synth se du rapport HAS La pr vention organisationnelle et individuelle synth se du document CARSAT gt L assistance de l INR
166. LI RES DE TRAVAIL ARM E D cret n 2013 513 du 18 juin 2013 relatif la surveil lance m dicale post professionnelle des militaires expos s des agents canc rog nes mutag nes ou toxiques pour la reproduction Minist re charg de la D fense Journal officiel du 20 juin 2013 www legifrance gouv fr 3p Ce d cret organise une surveillance m dicale post pro fessionnelle destination des anciens militaires de la gendarmerie nationale et des anciens militaires relevant du minist re charg de la D fense ayant t expos s durant leur service un agent canc rog ne mutag ne ou toxique pour la reproduction Sont concern s les per sonnels inactifs demandeurs d emploi ou retrait s qui ne percoivent pas une pension militaire d invalidit pour une infirmit caus e par un de ces agents Ce droit est ouvert sur pr sentation de l attestation d exposition ou de tout document en tenant lieu ayant t d livr par l organisme d emploi du minist re de la D fense ou pour la Gendarmerie nationale du minist re de l Int rieur d s la cessation des fonctions de l agent en son sein Les honoraires et frais m dicaux r sultant de la surveil lance m dicale post professionnelle r alis e sont int gralement pris en charge par les minist res concern s l exclusion des frais de transport de l int ress 9 Arr t du 18 juin 2013 pris en application du d cret n 2013 513 du 18 juin 2013 relatif l
167. Le nouvel article L 4133 1 du Code du travail pr voit ain si que le droit d alerte est ouvert au salari qui estime de bonne foi que les produits ou proc d s de fabrica tion utilis s ou mis en ceuvre par l tablissement font peser un risque grave sur la sant publique ou l envi ronnement Un d cret viendra pr ciser les modalit s de consignation par crit de cette alerte De son c t l em ployeur informe le travailleur qui lui a transmis l alerte de la suite qu il r serve celle ci Aux termes du nouvel article L 4133 2 du Code du tra vail ce droit d alerte est ouvert galement au repr sen tant du personnel au CHSCT qui constate notamment par l interm diaire d un travailleur qu il existe un risque grave pour la sant publique ou l environne ment L alerte est galement consign e par crit dans des conditions qui seront d termin es par voie r gle mentaire En cas de d saccord avec l employeur sur les suites donner l alerte ou en l absence de suite dans un d lai d un mois le travailleur ou le repr sentant du personnel au CHSCT peut saisir le pr fet du d partement La loi tend par ailleurs l obligation g n rale d infor mation des travailleurs qui doit tre dispens e par l em ployeur aux risques que peuvent faire peser sur la sant publique ou l environnement les produits ou proc d s de fabrication utilis s ou mis en uvre par l tablisse ment ainsi que sur les mesures prises pou
168. MISE AU POINT SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 GRAND ANGLE Intol rance environnementale idiopathique attribu e aux champs lectromagn tiques Aspects cliniques et prise en charge en milieu de travail L exposition aux champs lectromagn tiques est de plus en plus pr sente en milieu professionnel li e de nombreuses avanc es technologiques AUTEURS L Bensefa Colas Assistance publique h pitaux de Paris AP HP h pitaux universitaires centre Cochin Broca H tel Dieu Paris Universit Paris Descartes Sorbonne Facult de m decine Paris A Ranchoux Lamodi re interne en m decine du travail Institut national de l environnement industriel et des risques INERIS Verneuil en Halatte Rayonnement lectromagn tique Champ lectromagn tique Rayonnement non ionisant Syndrome Apr s un d intol rance rappel des connaissances indispensables cet article permet de faire le point sur le syndrome d intol rance environnementale idiopathique attribu aux champs lectromagn tiques le tableau clinique ses tiologies et sa prise en charge eh AER Ce Repr sentation du spectre lectromagn tique INRS nenvironnement lec tromagn tique naturel ind pen dant de l activit humaine existe depuis toujours exposant les or ganismes vivants des ondes et champs lectromagn tiques Les principales sources de rayonne me
169. Montr al Qu bec H3A 3C2 Canada 2013 58 p www irsst qc ca JAUREGUIBERRY S CAUMES E Conseils m dicaux aux voyageurs Encyclop die m dico chirurgicale Maladies infectieuses 8 006 P 10 Les conseils m dicaux aux voyageurs permettent de diminuer la fr quence de la pathologie du voyageur Les maladies exotiques embl matiques du voyageur sont domin es parles maladies transmises par les arthropodes arboviroses paludisme ou par voie f co orale h patites virales A et E typhoide diarrh e du voyageur Mais les maladies infectieuses les plus fr quentes sont cosmopolites et les probl mes de sant non infectieux coup de soleil piq res d insectes blessures accidentelles sont courants Les principales r gles de pr vention portent sur les vaccinations contre certaines maladies t tanos poliomy lite dipht rie fi vre jaune h patite A h patite B typhoide m ningocoques rage enc phalite japonaise enc phalite vernoestivale tiques grippe les mesures d hygi ne alimentaire hydrique corporelle sexuelle et les chimioprophylaxies paludisme Un effort particulier doit maintenant viser diminuer la mortalit li e aux accidents de la voie publique et aux noyades qui sont les principales causes vitables de mortalit du voyageur Elsevier Masson 62 rue Camille Desmoulins 92130 Issy les Moulineaux 2013 12 p Mission pr vention en animalerie Les aventures
170. NCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 95 SUIVI POUR VOUS Arr t de travail de l analyse la reprise Colloque de l Institut national de m decine agricole INMA Tours 1 f vrier 2013 AUTEURS Le nombre d arr ts de travail est un des indicateurs du fonctionnement d une entreprise et de la sant de ses salari s Les arr ts de travail s inscrivent dans un projet th rapeutique pour le m decin prescripteur avec des aspects sanitaires sociaux et conomiques L absent isme est responsable de difficult s en termes de performance pour l entreprise en termes financiers pour les pouvoirs publics mais aussi en termes financiers et socioprofessionnels pour la personne en arr t risque de stigmatisation voire de d sinsertion Plusieurs approches et sensibilit s existent concernant ce th me L objectif de ce colloque tait donc de dresser un panorama technico m dical mais galement sociologique de la probl matique des arr ts de travail Un apercu de la vision et des pratiques existantes dans d autres pays d Europe a galement t pr sent Absent isme G Abou Anoma A Schaller d partement tudes et assistance m dicales INRS ARR T DE TRAVAIL D UNE INCAPACITE A TRAVAILLER A UN DROIT S ARRETER UN REGARD SOCIOLOGIQUE D Monneuse Institut d adminis tration des entreprises Paris L arr t de travail ArTr est la fois un probl me individuel et un ph nom ne colle
171. NIQUES APPROCHE EN M DECINE PHYSIQUE ET R ADAPTATION L approche des troubles musculos quelettiques TMS est la fois m dicale sociale et professionnelle De 2009 2011 980 patients ont t pris en charge au CHU de Tours par le service de m decine phy sique et r adaptation pour un TMS chronique Le suivi de ces patients fournit des informations sur les cons quences des ArTr prolong s Ainsi une d t rioration significa tive des capacit s physiques objec tives exemple VO2 max et une pr valence anormalement lev e de sujets ob ses ont t observ es chez les patients arr t s depuis plus de 6 mois De m me des d t riorations affectives et cognitives ont t constat es chez les patients en ArTr depuis plus de 18 mois avec une perception tr s alt r e de leur possibilit de retour au travail Cette alt ration tait majeure chez les personnes en arr t pour cause d accident du travail ou de maladie professionnelle L valuation des patients leur sortie de traitement puis 3 mois montre l importance de la dur e de dans le processus de gu rison et de retour au travail Les sujets se sont majoritairement am lior s sur le plan physique et ont am lior la perception de leur capacit re prendre des activit s physiques En revanche seulement 2 6 ont am lior leur appr hension la reprise du travail Cette observation montre que lorsque le versant profes
172. OSITIONS AUX PRODUITS CHIMIQUES CANC ROG NES ENTRE 2003 ET 2010 en R partition des situations d exposition 2003 2010 DUR E D EXPOSITION PAR Moins de 2 heures 45 47 SEMAINE De 2 moins de 10 heures 27 D De 10 moins de 20 heures 8 8 20 heures ou plus 18 15 Non d clar e 2 B 100 100 INTENSIT Tr s faible 36 38 Faible inf rieure 50 de la VLEP 37 34 Forte autour de 50 de la VLEP 13 8 Tr s forte pouvant d passer la VLEP 2 2 Inconnue 12 18 100 100 SCORE Niveau 1 45 43 D EXPOSITION Tm 16 16 Niveau 3 11 10 Niveau 4 10 8 Niveau 5 6 4 Inconnu 12 19 100 100 PROTECTION COLLECTIVE Aspiration la source 14 12 Vase clos 3 1 Autre 4 7 Aucune 39 35 Non d clar e 26 26 Ventilation g n rale 14 19 100 100 a PROTECTION INDIVIDUELLE Cutan e 37 42 DISPOSITION Respiratoire 19 31 Oculaire 19 26 Aucune protection individuelle d clar e 55 46 VLEP valeur limite d exposition professionnelle score d exposition combinant dur e et intensit voir encadr 5 Le total n est pas gal 100 En effet pour une exposition donn e plusieurs types de protections individuelles peuvent tre mis disposition du salari Champ salari s du secteur concurrentiel et h pitaux publics France m tropolitaine hors particuliers employeurs Source DARES DGT DGAFP enqu tes SUMER 2003 et 2010 14 Score d expo sition sup rieur 1caract risant une exposition importante SEPTEM
173. RMATIONS 14 15 NOVEMBRE 2013 PARIS France Congr s annuel de la Soci t francaise de toxicologie SFT Les nouvelles approches en valuation du risque MOA MOS WOE OSARS et Read Across 1 Threshold of Toxicologic Concern 2 Mode Of Action 3 Margin Of Safety 4 Margin Of Exposure 5 Weight Of Evidence 6 Quantitative structure activity relationship Weight of evidence Parmi les th mes Initiative Europ enne e tox m dicament futures approches gt Approches QSAR et m dicaments L utilisation du TTC en cosm tologie gt Application du TTC et WOE l valuation du risque des emballages alimentaires Applications aux produits phytosanitaires et biocides Applications en valuation du risque chimique Technique du Read Across gt Le Read Across en toxicologie alimentaire gt Le Read Across dans l valuation du risque des pesticides APPEL PARTICIPATION JUSQU AU 15 OCTOBRE 2013 RENSEIGNEMENTS viviane damboise lrb aphp fr www sftox com congres sft2013 21 23 NOVEMBRE 2013 MARSEILLE France Le congr s du sommeil Parmi les th mes gt Syndrome d apn e potentiel des biomarqueurs en pratique clinique gt Du gras du sucre et des apn es gt D pression et sommeil une interaction gt Insomnie cas cliniques diffi ciles gt Cons quences cardio vasculaires des pathologies du sommeil gt Vieillissement et sommeil RENSEIGNEMEN
174. S sur cette th matique quelles interrogations des entreprises journ e organis e par la CARSAT Alsace Moselle et l INRS EEE dominique kessler carsat am fr Fax 03 88 23 5413 www carsat alsacemoselle fr 22 23 OCTOBRE 2013 PARIS France 50 journ es sant travail du Centre interservices de sant et de m decine du travail en entreprise CISME La sant au travail en 2013 quelles actions des services de sant au travail interentreprises SSTI aupr s des entreprises Th mes gt Transformation du diagnostic de besoin en actions prioritaires gt Actions de communication pour impliquer l entreprise Actions de pr vention en 2013 Surveillances individuelle et collective de l tat de sant en 2013 RENSEIGNEMENTS CISME c letheux cisme org WWW cisme org 4 8 NOVEMBRE 2013 BAHIA Br sil 21 Symposium international Shiftwork and Working Time symposium sur le travail post et le temps de travail Parmi les th mes gt Liens entre horaires sommeil et m tabolisme gt Impact des d sordres du som meil sur la sant la s curit et l efficacit des travailleurs gt Nouvelles tendances en mati re d horaires d cal s Travail post et influence de la lumi re gt Cancer et travail post gt Gestion de 13 fatigue gt Nutrition m tabolisme et acti vit physique RENSEIGNEMENTS Universit de Sao Paulo Institut Oswaldo Cruz de Rio de
175. TS T l 05 56 32 82 29 Fax 05 56 32 79 53 contacte lecongresdusommeil com www lecongresdusommeil com 5 7 D CEMBRE 2013 PARIS France Salon des services la personne Th mes principaux Apprendre reconnaitre le danger adopter les bons gestes au quotidien sensibiliser les salari s aux risques en d placement Th mes abord s par l INRS sur le salon RENSEIGNEMENTS Plan te micro entreprises 72 avenue Victor Hugo 92100 Boulogne Billancourt T l 01 47 61 49 31 Fax 01 47 6149 32 contact salon services personne com www salon services personne com 6 7 D CEMBRE 2013 MARSEILLE France 1 congr s Sant environnement les pathologies environnementales mergentes Parmi les th mes gt D finition de la m decine environnementale son int r t sa place dans la soci t gt Les pathologies infectieuses mergentes gt Le m decin g n raliste de terrain et la veille sanitaire des pathologies mergentes gt Toxicologie et pid miologie deux sciences en mutation gt Les rayons ionisants gt Les rayons lectromagn tiques gt Toxicologie de nanoparticules m talliques de faibles concen trations gt Perturbateurs endocriniens environnementaux et ob sit gt Pollution des lieux de vie et de travail gt Les pathologies environnemen tales le rapport de l homme son environnement RENSEIGNEMENTS T l 96 20 80 contact
176. US S en fibres d amiante ou sur les lieux de travail 02 06 2014 au 05 06 2014 21430 Rep rer valuer et pr venir 1 2 5 jours 14 10 2014 au 16 10 2014 Paris 647 les risques biologiques en entreprise hors milieu de soins Agents physiques 880531 valuer et pr venir 1 2 5 jours 03 09 2073 au 05 09 2013 Paris 638 les risques li s aux champs lectromagn tiques JJo503 valuer et pr venir 1 4 jours 03 06 2013 au 07 06 2013 Neuves 1020 les nuisances sonores Maisons Jo504 valuer et am liorer 1 4 jours 30 09 2013 au 04 10 2013 Neuves 1020 l clairage des lieux Maisons de travail JJo505 valuer et pr venir les 1 4 jours 17 06 2013 au 21 06 2013 Vandoeuvre 1020 risques li s aux vibrations l s Nancy Troubles musculosquelettiques et risques li s aux manutentions manuelles D velopper la 1 1294 pluridisciplinarit dans le cadre d une d marche de pr vention des troubles musculosquelettiques 5 jours 12 05 2014 au 15 05 2014 Paris et 22 09 2014 au 24 09 2014 812131 Facteurs psychosociaux Bl1132 Participer la pr vention 1 2 5jours 08 04 2014 au 10 04 2014 Paris 647 des risques li s aux pratiques addictives en milieu professionnel Bl1131 Ma triser la technique 1 2 jours 24 11 2014 au 26 11 2014 Paris 518 de rep rage pr coce et d intervention br ve pour la pr vention des pratiques addictives en milieu professionnel N12002 Participer une d marche 1 3 jou
177. Version courte fran aise 21 items adapt e pour les patients canc reux partir de la version 27 items Cousson G li et al 2010 Structuration de l outil e version originale r vis e de Folkman et Lazarus 1985 comporte huit sous chelles r solution du probl me esprit combatif ou acceptation de la confrontation prise de distance ou minimisation des menaces r valuation positive auto accusation fuite vitement recherche d un soutien social maitrise de soi 9 La version anglaise de Vitaliano et al 1985 comporte cinq sous chelles r solution du probl me 15 items recherche de soutien social 6 items auto accusation 3 items r valuation positive 8 items vitement 10 items e La version francaise de Paulhan et al 1994 retrouve les cinq sous chelles identifi es par Vitaliano r solution du probl me 8 items recherche de soutien social 5 items auto accusation items r valuation positive 5 items vitement 7 items e La version francaise de Cousson et al 1996 propose une structure tridi mensionnelle coping centr surle probl me 10 items coping centr sur l motion 9 items recherche de soutien social 8 items Modalit s de r ponse et cotation Il est demand aux sujets lors de la passation de la WCC de penser un v nement r cent qui les a pa
178. XPOSITION DES EXTREMITES AUX RAYONMEMENTS IOMISANTS 11 ET MODIFICATIONS CAPILLAIRES N d identification du patient Dae de l interregatalna TEGER Exposition aux radiations ipnisantes L Nom 3 premieres lettres TT Pr nom initiale O Ann e de Naissance Fonction C chirurgien Activit mdiclogie interventicanelle CT CT chirurgie rudbaexpos e m decin non chinergien non radiologue interventinnnelle Ose Pr sence du crit res d oxclusian O ou mdiodenmite aigue au chronique diagnostiqu e Li t c dent de traitement par radiptherapie su niveau des mains LJ ident d accident d irradiation aigue des mains CI Precise tade 41 TT T Pod yarthrite Tumor LI inectivites doe se redermies 1 L1 Crest syndrome ath rapie L1 ascularites artherito de Takayasu cryoghobulinemie mixte arm dengen de MWiesgener s m dicaux radiplogiques LI son de radioth rapie autre qu au niveau des main oui son Localisation dc dents m dicaux non oui CT mmn Diab te Hypertension art rielle O gt dernier Art riopathie dex membres inf rieurs den Suite Maladie de Buerger O Isch mie digitale permanente Acrosymnome 1 5 6 digitale tra
179. a tre dans leur environnement des signaux de danger issus de bact ries virus champignons et issus aussi de la n crose cellulaire D autres signaux de danger sont constitu s par l inflammasome complexe prot ique cytoplas mique et les cytokines pro inflam matoires Pour rappel une r ponse immunitaire n cessite la pr sence d un antig ne reconnu comme du non soi et dangereux la pr senta tion de l antig ne des cellules T ayant des r cepteurs sp cifiques de l antig ne et une r ponse de d fense bien contr l e En l absence de contr le l inflammation l aller gie ou des maladies auto immunes prennent place SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 115 SUIVI POUR VOUS Une allergie un produit chimique est une manifestation clinique due une r ponse immune non contr l e provoqu e par l exposition un produit chimique de poids mol culaire inf rieur 1 Daltons Comme dans toute allergie il y a deux phases la sensibilisation si lencieuse dose d pendante qui est une situation fr quente et l expres sion clinique qui constitue une si tuation rare par rapport la sensibi lisation Une r ponse immunitaire sp cifique au produit chimique est toujours impliqu e Diff rentes tudes publi es par tir des ann es 2000 ont recherch comment les produits chimiques peuvent repr senter un danger reconnu par les cellules dendri tiques e
180. a hauteur de saisie et de d p t de m me que la configuration de l aire de travail ont t modifi s pour examiner les facons de faire des participants Plusieurs mesures biom caniques incluant notamment les moments de force au dos la posture et le d placement des caisses ont t prises afin de juger de l aspect s curitaire et efficient des m thodes de manutention Observ es Les r sultats d montrent clairement que les facteurs anthropom triques des manutentionnaires ob ses induisent un chargement lombaire maximal nettement plus important gt 23 lors du levage etlors du d p t de caisses sur un diable ou sur un convoyeur Peu de diff rences ont t observ es au niveau des attitudes posturales cause d une variabilit inter individu tr s pr sente au sein des deux groupes de participants Le poids des manutentionnaires a permis d expliquer 57 6 dela variation du moment de force maximal transverse au dos lors du soul vement de caisse du sol Ces r sultats sugg rent que la surcharge pond rale d un travailleur ob se entraine indubitablement un effet additif significatif sur les structures musculosquelettiques du dos Cet impact biom canique expose ainsi les manutentionnaires ob ses un risque plus important de d velopper un trouble musculosquelettique lors de la manutention de charges Institut de recherche Robert Sauv en sant et en s curit du travail IRSST 505 boule
181. a loi n 2013 504 du 14 juin 2013 a pour mission notamment d organiser le recours une expertise unique par un expert agr et peut 176 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 galement rendre un avis La d signation des membres de l instance et ses modalit s de fonctionnement sont d taill s choix de 3 repr sentants parmi la d l gation du personnel si geant au CHSCT lors de la premi re r union suivant les lections d lais de transmission de l ordre du jour conservation des proc s verbaux des r u nions d lai de l avis apr s remise du rapport d exper tise d lai de l expertise Par ailleurs le d cret modifie l article R 4614 3 du Code du travail et pr voit d sormais que l ordre du jour des r unions du CHSCT et des documents s y rapportant qui interviendraient dans le cadre d un projet de res tructuration et de compression des effectifs doit tre transmis trois jours au moins avant la date fix e pour la r union du comit au lieu de quinze jours pour les autres sujets SERVICES DE SANT AU TRAVAIL D cret n 2013 413 du 21 mai 2013 portant appro bation de la charte de l expertise sanitaire pr vue l article L 1452 2 du Code dela sant publique Minist re charg de la Sant Journal officiel du 22 mai 2013 pp 8 405 8 408 Ce d cret porte approbation de la charte de l expertise sanitaire qui s applique aux expertises r alis es dans les domaines de
182. a surveillance m dicale post professionnelle des militaires expos s des agents canc rog nes mutag nes ou toxiques pour la reproduction Minist re charg de la D fense Journal officiel du 20 juin 2013 www legifrance gouv fr 2p En application de l article 5 du d cret du 18 juin 2013 cet arr t fixe la nature de la surveillance m dicale post pro fessionnelle aff rente chaque cat gorie d agents mili taires ayant t expos s un ou plusieurs agents canc rog nes ainsi que ses conditions de mise en uvre Il pr cise que la demande adress e par l int ress au ser vice charg de sa mise en uvre au sein du minist re de la D fense ou pour les militaires de la Gendarmerie nationale du minist re de l Int rieur doit tre accompa gn e de l attestation d exposition l un des agents men tionn s l article D 461 25 du Code de la S curit sociale comportant les informations requises par l arr t du 28 f vrier 1995 ou des l ments de preuve aff rents cette exposition fiche d exposition des agents chimiques dangereux qui tait pr vue l article R 4412 41 du Code du travail attestation du m decin de l organisme d em ploi dont l ancien militaire d pendait t moignages Lorsque le droit la surveillance m dicale professionnelle est ouvert le service minist riel concern d termine le protocole m dical pour chacun des agents canc rog nes faisant l objet de ce droit t
183. ade en car cinome in situ ou en carcinome pidermoide infiltrant Toutefois le d terminisme entre HPV et canc rog n se des voies a rodigestives sup rieures est loin d tre aussi clair que celui qui existe entre HPV et cancer du col ut rin VOLUTION DES INFECTIONS HPV Linfection par les HPV est tr s fr quente l ge de 20 ans pr s de 40 des jeunes femmes sont infec t es Un deuxi me pic est observ chez les femmes au moment de la m nopause Le portage ou la conta mination chez les hommes est tout aussi fr quent Selon certaines tudes des HPV ont t retrouv s dans pr s de 20 6 des cas dans la muqueuse des voies respiratoires sup rieures ne pr sentant pas d anomalies l examen macrosco pique Les infections HPV sont le plus souvent transitoires La plupart r gresse en 1 an 18 mois mais 10 20 persistent et exposent en cas de HPV HR au d veloppement ventuel d un cancer Celui ci est pr c d de l sions dysplasiques dont les plus s v res pourraient appara tre parfois rapidement apr s l infection entre 1 et 2 ans 5 C est la persistance de l infection HPV HR qui est le principal facteur de risque de d veloppement des l sions pr invasives et invasives du col de l ut rus En cas de r gression des l sions il est difficile de savoir si l infection est totalement limin e ou si elle persiste sous forme latente L infec tion latente peut sous
184. ale des profes sionnels de l urgence m dicale Ce document intitul Guide national d intervention m dicale en cas d v nement nucl aire ou radiologique est un guide initialement labor par un groupe de travail du conseil scientifique de l OPRI Ses mises jour la plus r cente datant de 2008 sont coordonn es par l ASN avec la collaboration du minist re charg de la Sant des sp cialistes du SAMU de Paris du SPRA de l IRSN du CEA d EDF et des universit s Il se pr sente sous la forme de fiches num rot es et organis es par th matique Il est accessible l adresse suivante www asn fr index php S in former Publications Guides pour les professionnels Situation d urgence SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 79 PRATIQUES ET M TIERS Deux autres guides relatifs aux modalit s de d claration des v nements significatifs en radio protection sont galement dis ponibles sur le site de l ASN Le premier s int resse aux d clara tions dans les domaines des instal lations nucl aires et du transport de mati res radioactives alors que les autres situations sont d crites dans le second document Ces docu ments sont accessibles l adresse suivante www asn fr index php Haut de page Professionnels Les guides de declaration des evene ments significatifs L chelle internationale de gra vit des incidents ou accidents nucl aires INES qui compte sept
185. anismes de la r action allergique aux pro duits chimiques Les fonctions du syst me immunitaire ont t rap 61665 assurer une r ponse bio logique permettant d carter un danger pour l organisme distinguer le soi du non soi reconna tre ce qui est un danger pour l organisme et tol rer ce qui ne l est pas Pour m moire les 2 composantes de l immunit sont l immunit inn e d action imm diate reposant sur des neutrophiles macrophages cel lules Natural Killers et l immunit acquise permettant une r ponse sp cifique par reconnaissance et m morisation de l antig ne et am plification de la r ponse Les cellules dendritiques pr sentatrices de l an tigene doivent distinguer antig nes dangereux virus bact ries n ces sitant une r ponse immunitaire appropri e d antig nes non dan gereux antigene d une plante par 1 d partement pid miologie en entreprise 2 d partement M trologie des polluants 3 d partement Ing nierie exemple n cessitant une tol rance immunitaire gr ce aux cellules T r gulatrices En 1994 l immunolo giste Polly Matzinger met l id e que notre syst me immunitaire peut tre stimul par le stress ou la mort de cellules m me en l absence de risque infectieux De multiples r cepteurs immuns inn s Pattern Recognition Receptors l int rieur et l ext rieur de la cellule dendri tique comme les Toll like Receptors TLR par exemple peuvent recon n
186. anmoins il faut rappeler que le HPV 16 est de loin la cause la plus fr quemment retrou v e parmi les 25 de cancers des voies a rodigestives sup rieures sans origine identifi e ni alcool ni tabac 6 L exposition aux fum es laser lors du traitement de l sions laryn g es est consid r e comme tant moins risque du fait du peu de virus retrouv dans ces l sions et des masses de tissus traiter g n ralement moins importantes Par ailleurs lex r se microlaryngo scopique pr sente l avantage de se pratiquer travers un tube ferm ce qui facilite l aspiration d un maximum de fum es Le risque de d velopper un papillome apr s exposition la fum e laser lors du traitement des l sions laryng es est probablement tr s bas Les l sions cutan es HPV 1 ont habituellement les plus hautes concentrations de particules virales et presque tous les ADN viraux dans les l sions HPV 1 sont retrouv s sous forme de virions Les l sions HPV 2 ont g n ralement une plus basse concentration de virions que celles HPV 1 Toutefois les l sions caus es par HPV 1 ou 2 les diff rents types de verrues cutan es et plan taires sont b nignes La probabilit d infection des muqueuses laryn g es par un HPV 1 ou 2 pr sents dans les fum es laser de l sions trai t es est nulle car ces types de HPV ne se d veloppent pas au niveau des muqueuses respiratoires Certains param tres de r glage des
187. aque mois 2000 r f rences en moyenne sont ajout es la base documentaire SERVICES PRATIOUES gt FORMULAIRES DE D CLARATION ET D AUTORISATION DE L ASN Ils sont accessibles l adresse suivante www asn fr index php Haut de page Professionnels For mulaires Ils sont en francais et sont t l chargeables gratuitement La r glementation francaise d finit les activit s comportant un risque d exposition des personnes aux rayonnements ionisants manant d une source artificielle ou naturelle et a mis en place un r gime d auto risation ou de d claration Ainsi la d tention lutilisation la fabrica tion la distribution l importation et l exportation de sources de rayonne ments ionisants n cessitent d tre autoris es ou d clar es selon la na ture de la source dont il est question et son domaine d utilisation C est l ASN qui accorde ces autori sations et recoit ces d clarations Les formulaires de d claration et d autorisation qui varient selon les caract ristiques et les utilisations de ces sources sont accessibles l adresse Internet sus cit e gt SYSTEME SISERI Ce service est accessible sur Inter net l adresse suivante http siseri irsn fr L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en francais En application de l article R 4451 125 du Code du travail le syst me SISERI a t mis en place par l IRSN afin de pouvoir centraliser v rifier et c
188. ar radio nucl ide et les r sultats sont en anglais Ces fiches sont labor es par l agence de protection environne mentale des tats Unis d Am rique Elles pr sentent douze radionu cl ides consid r s par cette agence comme les plus commun ment rencontr s Les donn es fournies concernent des aspects g n raux de ces radionucl ides modes d exposi tion effets sur la sant et moyens de protection notamment Fiches de donn es de s curit de radionucl ides de l universit de Stanford Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www stanford edu dept EHS prod researchlab radlaser RSDS html L acc s est gratuit Les recherches se font par radionu cl ide et les r sultats sont en anglais Ces fiches sont labor es par le d partement de sant et de s curit environnemental de l universit de Stanford aux tats Unis Elles fournissent des informations syn th tiques r parties dans plusieurs rubriques caract ristiques phy siques dangers en cas d irradiation et protection dangers en cas de contamination interne conditions de dosim trie et pr l vements bio logiques probl mes particuliers et pr cautions prendre Fiches de radionucl ides de l UCSD Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante https ehs ucsd edu rad radionuclide radio nuclide datasheets html L acc s est gratuit Les recherches se font par radio nucl ide et les r sultats s
189. at riel Une onde lectromagn tique EM est la combinaison de deux per turbations l une est lectrique l autre est magn tique Ces deux perturbations qui oscillent en m me temps mais dans deux plans perpendiculaires se d placent la vitesse de la lumi re c est dire kms figure 1 Dans le rayonnement le champ lectrique et le champ magn tique varient dans le temps et se propagent dans l espace Le champ lectrique est cons cutif la pr sence d une tension Lintensit du champ lectrique correspond la force exerc e sur une particule charg e lectrique ment elle s exprime en volt par m tre Le champ magn tique est pr sent quand il y a circulation d un cou rant Lintensit du champ magn tique correspond au d placement de charges lectriques elle s ex prime en amp re par m tre A m 2 3 Les champs lectriques et magn tiques peuvent donc exister ind pendamment l un de l autre Ils peuvent tre de trois origines naturelle champ magn tique terrestre rayonnement mis par notre corps par les toiles par la foudre domestique lignes lectriques ra diot l phones fours micro ondes plaques de cuisson induction tout appareil lectrom nager professionnelle de nombreuses applications industrielles mettent en uvre le principe de l lectro magn tisme soudage par r sis tance lectrolys
190. ates des l sions corporelles r sultant de l accident ou du malaise mais non d en r parer les cons quences S Boulet cette action tant de la comp tence d un infirmier ou d un m decin Le SST doit s en tenir aux gestes qui lui ont t enseign s au cours de sa formation Toutefois le Code du travail article R 4224 14 indique que les lieux de travail doivent tre quip s d un mat riel de premier secours adapt la nature des risques et facilement accessible Ce mat riel peut tre constitu par des brancards trousses de secours ou armoire pharmacie Il appartient au m decin du travail de fixer le contenu de la trousse de secours et les modalit s d utilisation des produits Dans la pratique un protocole d organisation est r dig Sile secouriste administre d autres m dicaments ou produits il pourra ventuellement engager sa res ponsabilit cf sous paragraphe Niveau de respon sabilit du SST en cas de gestes inadapt s Dans certains cas le m decin r gulateur du Ser vice m dical d aide urgente SAMU peut commu niquer au SST une prescription la communication t l phonique est enregistr e et horodat e Une telle prescription est alors licite Elle peut m me corres pondre un tat de n cessit cf sous paragraphe Niveau de responsabilit du SST en cas de gestes ina dapt s Niveau de responsabilit du SST en cas de gestes inadapt s La responsabilit civile d u
191. ation des d partements des questionnaires taient envoy s au personnel re cherchant notamment l existence de sympt mes au niveau du nez pendant le travail d un asthme diagnostiqu par un m decin ou d butant apr s lentr e dans la vie professionnelle en milieu de soins Un dosage s rique d IgE sp cifiques dirig es contre des pneu mallerg nes Phadiatop le latex et les AO tait galement propos L valuation des expositions pro fessionnelles a t recueillie par un questionnaire sp cifique bas sur les t ches r alis es par des tudes de poste et la recherche des compositions des produits utilis s Cinq cent quarante trois sujets taux de r ponse de 77 dont 89 6 de femmes ont parti cip et se r partissaient en 37 6 d infirmiers 16 d aides soignants 17 6 de personnel de nettoyage 18 d autres personnels m decins techniciens et 11 de personnel administratif Un tiers des sujets tait atopique Trois quarts des su jets taient expos s aux AO plus de 95 desinfirmiers aides soignants et personnel de nettoyage et 38 des autres personnels En analyse univari e les infirmiers de m me que les aides soignants avaient un risque plus lev de facon statisti quement significative d avoir un asthme diagnostiqu par un m de cin que le personnel administratif respectivement OR 5 49 IC 95 127 237 OR 5 7 IC 95 124 2612 Le personnel de nettoyage et
192. aux Pays Bas par Van Veldhoven et Meijman 1994 a t labor sur la base d une analyse de cinquante ques tionnaires existants au niveau de la litt rature internationale dans les domaines de la charge psychoso ciale du travail et du stress profes sionnel Ilest apparu que l ensemble de ces questionnaires reposait sur une conception similaire du stress issu d un d s quilibre entre les exi gences du travail et la capacit du salari y r pondre Niveau d investigation Diagnostic Langue d origine N erlandais dans cette langue le sigle du VT est le VBBA Traduction Francais belge Vets Notelaers et De Witte 2009 Vocabulaire Pas de difficult particuli re Versions existantes e Une version 201 items r partis sur 27 chelles VT version int grale e Une version 108 items r partis sur 14 chelles VT version abr g e Structuration de l outil Les auteurs pr sentent deux structu rations possibles du questionnaire Une premi re structuration plut t francophone r partit les chelles en cinq th mes les trois premiers se rapportant aux causes de stress en lien avec le travail caract ris tiques du travail organisation du travail et des relations conditions de travail et les deux derniers aux cons quences pour lindividu bien tre et tension mentale et motionnelle Une autre structuration est utilis e en Flandre pour
193. buent bien un axe g n ral de coping Paulhan et al 1994 Cette analyse a mis en vidence un axe g n ral qui explique 12 6 de la variance totale avec 28 items qui saturent de facon significative cet axe et o l on retrouve les deuxtypes de strat gies d ajustement centr e sur le probl me et centr e sur les motions Puis cette version 42 items a t soumise une analyse en composantes principales avec rotation Varimax afin d identifier les diff rents types de N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 strat gies d ajustement Cinq facteurs ont t identifi s ils repr sentent 35 dela variance totale r solution du probl me 9 4 de la variance totale 8 items vitement 75 de la variance totale 7 items recherche de soutien social 6 5 de la variance totale 5 items r valuation positive 5 9 de la variance totale 5 items etauto accusation 5 7 dela variance totale 4 items Les items peu satur s dansles cing facteurs ont t limin s permettant d aboutir la version 29 items Paulhan et al 1994 Une autre adaptation francaise du WCC a t r alis e par Cousson et al 1996 partir des r ponses de 468 adultes francais tudiants et salari s 247 femmes 221 hommes Une analyse en composantes principales avec rotation Varimax a t effectu e sur les 42 items de la version de Vitaliano et al 1985 Plusieurs solutions ont t
194. ce 42 6 8 3 Ing nieurs et cadres de l industrie 7 3 0 8 Transports logistique et tourisme 977 0 3 Artisanat 29 1 0 7 Gestion administration des entreprises 0 9 0 0 Informatique et t l communications 0 4 0 0 tudes et recherche 7 4 0 9 Administration publique professions juridiques arm e et police 159 0 1 Banque et assurances 0 1 0 0 Commerce 2 5 0 2 H tellerie restauration alimentation 1 0 Services aux particuliers et aux collectivit s 6 2 0 4 Communication information art et spectacle 2 4 0 0 Sant action sociale culturelle et sportive 5 6 0 9 Enseignement formation 5 4 0 1 Autres politique religion et non class s ailleurs ns ns STATUT Apprenti stagiaire 24 0 072 Int rimaire 142 T5 CDD Zell 0 6 CDI 10 7 1 4 Agent statut 15 3 1 4 Fonctionnaire 5 6 0 3 TAILLE 1 9 Salari s 13 3 1 8 D TABLISSEMENT 10 49 salari s 9 8 13 50 199 salari s 9 8 alat 200 499 salari s 9 0 T5 500 salari s ou plus 8 3 0 5 ns non significatif pas assez de salari s interrog s dans ce domaine aucun salari de ce domaine n est expos Dans la mesure o les enseignants de l duca tion nationale ne sont pas couverts par l enqu te SUMER ces chiffres sont consid rer avec pr caution Salari s qui travaillent dans une entreprise publique ou anciennement publique et b n ficient d un statut particulier Champ salari s France m tropolitaine et R union Source DARES DGT DGAFP enqu te SUMER 2010
195. ce environ nementale idiopathique hyper sensibilit attribu e aux champs lectromagn tiques leur sensibilit vis vis de leur exposition ainsi que leur tat de sant et leur qualit de vie Il est pr vu d inclure une cen taine de personnes pr sentant un syndrome d intol rance environ nementale idiopathique attribu e aux champs lectromagn tiques Le recueil de donn es de cette tude pilote nationale multicentrique est pr vu sur 44 mois Les patients sont recus dans le CCPP de leur r gion Plusieurs consulta tions m dicales sont pr vues selon un protocole harmonis au niveau national afin de recueillir les symp t mes de caract riser et mesurer les expositions aux CEM pendant une semaine et d valuer le reten tissement des souffrances psycho logiques et sociales Un suivi des sympt mes est pr vu un an La liste des centres de consultation de pathologie professionnelle et de l environnement participants est disponible sur le site wwwra diofrequences gouv fr CONCLUSION Les sources d exposition aux champs lectromagn tiques sont ubiqui taires et sont en nette augmenta tion suite aux nombreux progr s techniques qui font usage de l lec tricit notamment en milieu de travail Les prolif rations d ondes lectromagn tiques couvrent tout le spectre des fr quences et posent la question d effets potentiels sur la sant L exposition des travailleurs por teurs de disp
196. celles ci Ces gants sont changer r guli re ment En revanche il n est actuellement pas possible d exclure l mission dans l air d un certain nombre de substances BIBLIOGRAPHIE 1 C LAURENT DELERME C Recommandations relatives aux crit res de qualit des huiles essentielles Contribution pour l valuation de la s curit des produits cosm tiques contenant des huiles essentielles AFSSAPS 2008 www ansm sante fr var ansm site storage original application 657257784ff10b 16654e1ac94b60e3fb pdf 2 Recommandations relatives l valuation du risque li l utilisation des huiles essentielles dans les produits cosm tiques AFSSAPS 2010 www ansm sante f var ansm site storage original application 5994856 07aeo49abfac313b71943d612 pdf O Femme enceinte S informer le plus t t possible INRS 2012 www inrs fr accueil situations travail travailleurs particuliers enceinte html O Protection cutan e viter l exposition en particulier des mains tout risque cutan INRS 2011 www inrs fr accueil demarche savoir faire protection individuelle cutane html SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 151 ABONNEZ VOUS SIMPLE CLIC www rst sante travail fr UN ABONNEMENT GRATUIT POUR UNE DUR E DE 2 ANS VOTRE SERVICE P154 AGENDA FORMATIONS p 167 LIRE VOIR 175 JURIDIQUE N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAI
197. cins du travail si gnalent l existence d une protec tion collective dans 21 6 des cas d exposition hors ventilation g n rale et son absence dans 35 des cast La nature de la protection collective d pend for tement du type d exposition et du contexte de travail Lorsque les protections collectives existent il s agit en premier lieu d aspiration la source 13 96 et tr s rarement de syst me en vase clos 1 96 La ventilation g n rale est pr sente dans 19 des situations d expo sition mais ce n est pas une pro tection collective adapt e aux produits canc rog nes puisqu elle admet un niveau de pollution r si duelle sur les lieux de travail 10 66 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Dans le domaine du BTP 57 des salari s expos s au moins un produit chimique canc rog ne n ont aucune protection collective pour au moins un produit Dans le domaine de la maintenance pour 37 des salari s les m decins en qu teurs ne signalent pas de pro tection collective Des protections individuelles peuvent par ailleurs tre mises la disposition des salari s protec tion respiratoire dans 31 des cas d exposition protection cutan e dans 43 des cas et protection oculaire dans 26 des cas N an moins les donn es de lenqu te ne permettent pas de savoir si ces protections sont adapt es aux situations d exposition ni si elles sont effectivement utilis es par
198. congres sante environnement paca org www congres sante environnement paca org 11 13 F VRIER 2014 ESPOO Finlande Conf rence internationale sur la pr vention et la surveillance des maladies li es l amiante Th mes gt Surveillance des expositions Maladies li es l amiante gt M canismes et causes gt pid miologie et volution des maladies li es l amiante gt Surveillance de la sant biomarqueurs et outils de diagnostic D pistage du cancer du poumon li l amiante Exposition l amiante dans les travaux de d samiantage RENSEIGNEMENTS Finnish Institute of Occupational Health FIOH International Commission on Occupational Health ICOH helsinkiasbestos2014 tt1 f1 www ttl fi en international conferences helsinki asbestos 2014 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Ee 25 28 MARS 2014 PARIS France 11 Journ e nationales d tudes et de formation du Groupement des infirmier e s du travail GIT Th me du pr congr s organis par l INRS gt La p nibilit d finition pr vention plan d actions tra abilit des expositions professionnelles compensation Th mes des journ es volution des aspects r glementaires gt Code du travail gt Code de la Sant publique gt Formations et d veloppement professionnel continu DPC gt Infirmier Identit professionnelle Prendre soin en sant au travail Au del d
199. constituent une nuisance pour le personnel du bloc op ratoire 1 La question du risque infectieux li ces fum es revient r guli rement en parti culier depuis que l usage du laser s est r pandu en chirurgie pour de nombreuses indications Deux cas d infections respiratoires papillo mavirus chez des soignants expo s s la fum e laser ont t d crits dans 1 litt rature encadr 1 Linfection par le papillomavirus humain HPV est tr s r pandue Les l sions cliniques sont vari es et incluent notamment les verrues ano g nitales ou condylomes le cancer du col del ut rus les verrues cutan es et la papillomatose laryn g e Le traitement par laser fait partie de l arsenal th rapeutique courant du traitement de ces diff rentes l sions virales Le nombre de soignants potentiellement expo s s aux fum es laser provenant du traitement de ces l sions HPV est important Ces personnels rel vent de diff rentes sp cialit s comme la dermatologie la gyn cologie l oto rhinolaryngologie la p diatrie Contrairement d autres pays la France ne dispose pas de r glemen tation ni de recommandation offi cielle sur la pr vention contre les risques infectieux li s aux fum es laser Une revue de la litt rature et une enqu te sur les pratiques en milieu hospitalier ont fait l objet d une th se en m decine du travail 4 qui a conduit proposer des pistes d am lioration de la s curit d
200. ctif retentissant entre autres sur l organisation du travail et la politique de management L absent isme au travail est un pro bl me complexe objectiver Il est difficile par exemple de comparer les taux d absent isme de deux en treprises lorsqu elles n utilisent pas les m mes rep res jours ouvr s ou jours ouvrables ou lorsqu elles n incluent pas les m mes indica teurs maladies professionnelles accidents du travail De surcro t l absent isme peut mener l in terpr tation et au jugement Un travailleur souffrant d une grave maladie et qui souhaite prot ger sa vie priv e peut d clarer souffrir d une pathologie detypelombalgie ou c phal es ce qui au vu de nom breux ArTr entraine un jugement h tif de la part de ses coll gues En fin il existe galement un absen t isme dit moral tre pr sent mais ne pas travailler multiplier les pauses les retards La question de l abus est r guli re ment abord e lors des d bats sur l ArTr Les discussions sur le nombre de jours de carence entre sec teurs priv et public par exemple prouvent quel point ce sujet est sensible et passionnel en France Il convient en r alit de s inter roger sur les v ritables causes de cet absent isme Une forte hausse du taux d absent isme dans une organisation ne peut pas tre attribu e qu quelques abus Il peut v ritablement s agir d une r ponse collective un malaise convient
201. curit salle une infirmi re Le responsable s curit laser ta blissement en concertation avec les utilisateurs et le m decin du travail pourrait diriger une va luation des risques li s aux lasers pr sents dans l tablissement et mettre en place un programme de pr vention consign dans les protocoles d utilisation des lasers Ce programme doit proposer des mesures de pr vention collective et individuelle ainsi que des mesures de suivi permettant de s assurer du bon fonctionnement et de la bonne utilisation des quipements de protection de leur efficacit et du maintien de la compliance au fil du temps C est galement lui qui doit mettre en place des proc dures de recueil et d analyse de tout inci dent m me mineur survenu lors de l utilisation d un laser et en reti rer les conclusions n cessaires 130 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 EXEMPLES DE PR CONISATIONS SELON LA NORME AM RICAINE ANSI 21361 Les grandes lignes d un programme de s curit mettre en place en entreprise pour l emploi des lasers de classe 3B et 4 peuvent tre ainsi d finies Mesures administratives Politique crite sur la s curit des lasers Affichage de panneaux d avertissement D finition de l autorit et des responsabilit s attribu es au responsable de la s curit des lasers concernant l valuation et la maitrise des risques l
202. d velop pement rapide des techniques et du nombre d actes de radiologie inter ventionnelle l exposition impor tante aux rayonnements ionisants des extr mit s des professionnels de sant qui la pratiquent ainsi que le bilan des travaux concernant l uti lisation de la capillaroscopie pour Observer l effet des rayonnements En particulier dans une tude non publi e dans son int gralit men e de 2001 2003 2 par l Institut Cu en collaboration avec l H pital Georges Pompidou chez 39 m de cins expos s en radiologie interven tionnelle vs 27 m decins non expo s s B Perdereau a confirm des l sions capillaires infracliniques Cette tude a permis de pr ciser les types de l sions microvasculaires les plus fr quentes en rapport avec l irradiation chronique chez ces su jets largement expos s sans notion d accident radique diminution du nombre de rang es des capillaires h t rog n it de la distribution des anses dystrophies ced me et par cours serpigineux Mais les r sultats n ont pas permis d tablir de rela tion quantifi e entre la dose recue et les alt rations observ es faute de pouvoir appr cier les doses r el lement recues au niveau des doigts De plus une des principales limites de l tude tait le fait qu elle n avait pas t effectu e en aveugle De ce constat tait mise en vi dence la n cessit de d velopper une nouvelle tude afin d valuer la techniqu
203. d de la concentration de l anti gene et du temps d exposition mais aussi de la dose inhal e et du d bit de dose pics d exposition Il est pos sible de calculer des seuils d exposi tion en dessous desquels le patient ne pr sente pas de signe clinique ce qui peut aider l am nagement du poste de travail du salari et son maintien au poste Laquatri me conf rence invit e a expos les tendances et mergences dans le domaine des allergies pro fessionnelles en ciblant la dermatite de contact et l asthme profession nels l Agence europ enne pour la s curit et la sant au travail a d fini comme risque mergent pour la s curit et la sant au travail tout risque nouveau et en augmentation Un risque nouveau peut tre un risque inconnu jusqu alors du fait de nouveaux proc d s nouvelles technologies ou nouvelle organi sation du travail ou un risque exis tant mais qui devient perceptible ou pour lequel on a de nouvelles connaissances scientifiques Un risque en augmentation peut l tre parce quil touche un plus grand nombre de travailleurs ou que les ni veaux d exposition augmentent ou encore parce qu il a des effets plus d l t res sur la sant Des m thodes statistiques issues de la pharmaco vigilance permettent de d tecter ces risques mergents On peut par exemple calculer des rapports entre v nements observ s et attendus ou chercher repr senter des expo somes entre des expositions mul
204. d entr e sur le march du tra vail sexe salaire temps de travail les caract ristiques de l tablisse ment nombre de salari s secteur d activit les variables assurantielles r gime d assurance maladie en Alsace Mo selle couverture maladie univer selle l effet de contexte qui est len semble de 3 sortes de variables d partementales le taux de ch mage et le taux de natalit qui sont les variables co nomiques la place de l entreprise par rapport son environnement d termin e l aide d un indicateur de salaire relatif rapport entre le salaire du travailleur et le salaire moyen par secteur d activit et d partement et d un indicateur de gravit de l entreprise rapport du nombre de jours perdus pour ArTr divis par le nombre d heures travaill es dans l entreprise avec le taux de gravit moyen par secteur d activit et d partement l offre de soins 1 densit de m decins g n ralistes le pourcentage d affections de longue dur e et le taux d ArTr contr l s pour mille salari s Les diff rences interd partemen tales r sultent donc de ces deux ef fets de l effet de composition soitla variation de la structure d mogra phique conomique et sociale et de l effet de contexte effet propre des caract ristiques du d partement une fois prises en compte les carac t ristiques des individus Concernant les variables indivi duelles les ho
205. d int r t et deux tests bas s sur ces m thodes sont actuellement en pr validation par le Centre euro p en de validation de m thodes alternatives Le test d activation des cellules humaines est bas sur l utilisation de THP 1 lign e de cel lules de leuc mie monocytaire Les cellules en culture sont expos es des doses croissantes des mol cules tester Apr s 24 heures d incuba tion les cellules sont mises en pr sence d anticorps anti CD86 et ou anti CD54 Les auteurs du test ont montr que l expression des CD86 et CD54 taient de bons marqueurs pr dictifs pour discriminer des substances sensibilisantes de subs tances non sensibilisantes Ie test de sensibilisation cutan e my loide U937 repose sur l utilisation de la li gn e cellulaire de lymphorne histio cytaire U937 Les cellules en culture sont expos es des doses crois santes des mol cules tester Apres 48 heures d incubation les cellules sont mises en pr sence d anticorps anti CD86 Les tests in chemico dans le champ de la sensibilisation cutan e re posent sur la mesure exp rimen tale de la r activit chimique des mol cules tudi es vis vis de peptides naturelles glutathion ou synth tiques et les tests in silico sur les mod les informatiques et statistiques de relation quantita tive structure activit ORSA et les syst mes experts Ces mod les identifient les relations entre struc ture chimique et activit biolo
206. de suicide e la communication autrui d une intention suicidaire e l existence d une impulsivit faci litant le risque de passage l acte tension psychique instabilit agi tation FACTEURS DE RISQUE SECONDAIRES Leur valeur pr dictive est faible en l absence de facteurs primaires Ils ne sont que faiblement modi fiables par les th rapeutiques Ce sont eles pertes parentales pr coces e l isolement social s paration divorce veuvage famille tr s loi gn e e le ch mage ou l existence d im portants probl mes financiers FACTEURS DE RISQUE TERTIAIRES Les facteurs de risque tertiaires n ont pas de valeur pr dictive en l absence de facteurs primaires et secondaires et ne peuvent tre modifi s par une th rapeutique Ce sont e l appartenance au sexe masculin 9 en particulier l adolescence etlas nescence 9 certaines p riodes de vuln rabi lit exemple p riode estivale Au del de ces trois types de fac teurs possibles il est constat que des v nements en apparence ano dins peuvent tre les d clencheurs d un passage l acte exemple jour de cong refus Ces facteurs d clenchants qui seuls n auraient eu aucune r sonance particuli re sont mettre en lien avec les facteurs primaires secondaires ou tertiaires 5 8 RECONNA TRE ET PRENDRE EN CHARGE LES CONDUITES LES CRISES SUICIDAIRES SIGNES D ALERTE ET REP RAGE
207. de L o Tara et Paul Le but de ce document est de faire d couvrir les moyens de pr vention pour lutter contre le risque de transmission de zoonoses dans les animaleries Dans cette bande dessin e 4 petites histoires illustrent des situations r elles de travail en animalerie qui pr sentent un risque de contamination elles donnent les cl s pour pr venir ce risque La MSA Mutualit sociale agricole donne quelques conseils pratiques pour valuer ce risque adapter son comportement et ses protections en cons quence Mutualit sociale agricole MSA les Mercuriales 40 rue Jean Jaur s 93547 Bagnolet Cedex 2015 9 p http references sante securite msa fr Attention les yeux R f 8654 13 Ce livret pr sente les moyens de pr vention pour pr server ses yeux en bonne sant Il illustre les bons gestes appliquer devant des situations de travail pr sentant des risques pour l oeil met l accent sur l organisation du poste de travail etles moyens de protection Il aborde aussi les soins appliquer en cas d accident et la surveillance r guliere de la vue Caisse centrale de la MSA 40 rue Jean Jaur s 93547 Bagnolet Cedex 2013 15 p http references sante securite msa fr N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Juridique Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 avril au 15 juillet 2013 SITUATIONS PARTICU
208. de l emploi en France de valeur Comment g rer la R 783 Ils peuvent tre regroup s en contradiction apparente entre Les policiers les boueurs et les 5 familles professionnelles une activit risque non nul horticulteurs sont tr s pr occup s les aides soignants les et un environnement soci tal parles risques de piq re avec des infirmiers et sages femmes peu propice accepter le aiguilles hypodermiques Ces SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 173 LIRE VOIR piq res les exposent du sang potentiellement contamin et au risque de contracter des maladies transmissibles par le sang telles que le VIH et les h patites B et C Les travailleurs de ces milieux ont besoin de porter des gants r sistant aux piq res d aiguilles tout en conservant une dext rit manuelle etune sensibilit tactile ad quates Le choix de gants de protection pour ces travailleurs est limit puisqu il y a relativement peu de mod les de gants disponibles sur le march qui offrent une r sistance aux piq res d aiguilles Lobjectif de cette tude est d valuer de mani re exploratoire la dext rit manuelle la sensibilit tactile etle confort lorsque des gants r sistant aux piq res d aiguilles sont port s dans un contexte de travail Des modeles de gants ont t test s chez trois groupes de travailleurs soit les policiers les boueurs et les horticulteurs Pour chaque groupe des sujets
209. de la CIPR Cest le cas des publica tions 103 et 105 pour lesquelles sont galement propos es des versions traduites en francais Lobjectif de la publication 103 est la fois d ac tualiser les donn es scientifiques sur les effets des rayonnements et de tenir compte du retour d exp rience sur l application du syst me de radioprotection La publication 105 regroupe quant elle tous les concepts relatifs la radioprotec tion du patient et un r sum des plus r centes publications de la CIPR d di es ce sujet particuli rement important compte tenu de la part que repr sente l exposition m di cale gt 95 dans l exposition aux rayonnements ionisants r sultant des activit s humaines La CIPR a aussi mis disposition sur son site des dossiers p dago giques qui sont extraits des publi cations sus cit es t l chargeables gratuitement en anglais Ces dos siers sont accessibles via l onglet Downloads puis en suivant le lien Free Educational Down loads R f rentiels de l AIEA Bien que l AIEA ne soit pas un orga nisme international de r glementa N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 tion ses activit s dans le domaine de la s ret nucl aire visent tablir des normes multilat rales consensuelles De nombreux pays s appuient sur les recommanda tions de l AIEA en mati re de s ret pour tablir leurs propres normes et r glements Les norm
210. de produits chimiques expose des risques Cette brochure explique ce que sont les risques chimiques de quelle mani re chacun est expos aux produits chimiques quels sont les dommages possibles et comment ils peuvent survenir et affecter la sant Elle indique galement comment pr venir ces risques et donne des cl s pour agir R f INRS ED 6150 36 p Thess Conception des machines et ergonomie Une d marche pour r ussir l int gration des exigences du travail L int gration de l ergonomie la conception des machines permet l entreprise utilisatrice de r duire le nombre d accidents et de mala dies professionnelles et par voie de cons quence les co ts directs et in directs correspondants Elle permet aussi au fabricant d viter les sur co ts engendr s par une mise en conformit et d ventuels recours de fid liser ses clients et de gagner de nouveaux march s L int gration de l ergonomie la conception est avant tout une af faire de d marche qui s applique tout au long du processus de conception de la d finition du be soin aux premiers usages en pas sant par l laboration du cahier des charges les tapes d avant projet de conception d taill e Dans le cadre de cette d marche qui se veut globale it rative et plu ridisciplinaire dix points cl s sont d velopp s en pr cisant pour cha cun quels sont les objectifs com ment les atteindre et les points d
211. de travail modifiables en cours de r alisation 52 2 76 2 12 Cat gorie Contenu de la t che il R percussions importantes de l erreur 73 3 13 1 92 2 Surcharge de travail en un temps limit 70 2 87 2 22 3 Fort volume d informations g rer en peu de temps 64 2 52 2 33 4 Exigence attentionnelle soutenue 64 2 43 1 90 5 Autonomie limit e 64 2 90 2 29 6 cart entre les objectifs d finis et les r sultats obtenus 61 2 65 2 00 7 E dans la r alisation d une t che pour en effectuer 58 2 68 1 95 8 Sous charge de travail 42 1 43 1 36 lences de 18 et 15 avec un score moyen d implication identique de 2 5 Les autres facteurs de risques milieu de travail humide varia tions de temp rature importantes en cours de travail et difficult s pour entendre quelqu un qui parle ont une contribution marginale dans les inaptitudes tudi es En ce qui concerne la cat gorie Gestion de l emploi et des com p tences l analyse montre qu au sein des inaptitudes pour souf france morale 3 facteurs ont une pr valence sup rieure 50 52 pour le facteur intitul d finition de fonction ou fiche de poste non for malis es et 55 6 pour les facteurs pas de promotion interne et pas de r compense financi re ou autre systeme de valorisation De plus le facteur formation au poste non formalis e atteint une pr valence de 39 Pour l ensemble de ces as pects qui rel vent du managem
212. doit d tre nettement en faveur de la m re Le risque serait de sous traiter par peur des effets n gatifs chez le f tus et d induire ainsi une perte de chance pour la m re Un m dicament risque ne veut pas dire qu il est contre indiqu en cas de grossesse VACCINS ET GROSSESSE Anselem rappelle que les objectifs de la vaccination en cours de gros sesse sont de prot ger la femme en ceinte dont l immunit est modifi e pendant cette p riode Ils sont ga lement de prot ger le f tus d ven tuelles f topathies infectieuses et de complications obst tricales et de conf rer une immunit au nouveau n la plupart des vaccins tant non immunog nes dans les premiers mois de la vie sauf celui contre l h patite virale B et le BCG Pour la femme les risques de la vaccination sont ceux des vaccins en g n ral pour le f tus le risque de t ratog nicit est li aux vaccins vivants att nu s Pour le nouveau n le risque d interactions avec les vaccinations au cours du premier mois de vie est th orique mais non confirm Pour les vaccinations qui sont re command es avant la grossesse il convient de se r f rer au calendrier vaccinal La p riode pr conception nelle est en effet le moment id al pour mettre jour les vaccinations coqueluche et notamment celles virus vivant att nu qui n ces sitent une contraception rub ole rougeole Concernant la rub ole une s rolo gie I
213. du 1 janvier 2014 les travailleurs non salari s pourront b n ficier de cette indemnisation conform ment la loi n 20124 404 de financement de la S curit sociale 1 est observ que plus de 50 des ArTr ont une dur e inf rieure 15 jours arr ts qualifi s de courts De m me sur l ensemble des assu r s ayant b n fici d un ArTr en 2011 75 ne l ont fait qu une seule fois Les ArTr qualifi s de r p ti tifs plus de 3 par an sont quant eux peu importants moins de 7 des arr ts Une tude a t men e de sep tembre 2011 mars 2012 par la Caisse centrale de la MSA sur l obtention injustifi e des IJ Parmi 5 090 dossiers examin s 7 0 13 ont t consid r s comme irr gu liers Lextrapolation de ce r sultat lensemble des assur s du r gime agricole correspond un nombre de 822 dossiers potentiellement frauduleux par an Ceci corres pondrait un pr judice financier annuel de 325 ooo euros L analyse des donn es de cette tude a ga lement permis d identifier 2 profils de travailleurs en ArTr injustifi dans des cas 1 s agit de tra SUIVI POUR VOUS Rappel Les indemnit s journali res IJ vers es au titre d une maladie sont vers es tous les 14 jours par l assurance maladie pour chaque jour d arr t de travail y compris les samedis dimanches et jours f ri s mais seulement compter du 4 jour d arr t de trava
214. du pro bl me Lintervenant propose donc de d finir labsent isme comme un t moin de dysfonctionnements au sein de l entreprise qui affectent la capacit des personnes y tre pr sentes Deux aspects principaux et indissociables caract risent cette incapacit l aspect sanitaire et l aspect socioprofessionnel L absent isme r sulte souvent d un cheminement complexe associant des atteintes la sant une usure professionnelle un d sengage ment dus des restructurations mal comprises mais aussi une m dica lisation de certains ph nom nes aff rents aux situations de travail Lintervention de l ANACT conceme principalement le r le et la place des conditions de travail dans la production de l absent isme Plusieurs enqu tes bas es sur des approches quantitatives ont per mis d identifier des facteurs li s l absent isme Parmi eux peuvent tre cit s les jeunes travailleurs de sexe f minin situ s dans la partie inf rieure de la hi rarchie socioprofessionnelle et les grandes entreprises Il convient toutefois de rester prudent vis vis de ces r sultats En effet certaines cat gories de personnes ont tendance tre stigmatis es alors que la d marche explicative des donn es observ es n a pas t r alis e Par exemple le facteur ge est asso cier aux trajectoires des salari s et ce qu ils ont v cu au travail Pour les sujets jeunes il est n
215. e chelle de r ponse de o 10 Lorsque les concepts sont formul s positivement ex diversit dans le travail un score lev indique une situation favorable l inverse lorsque les concepts sont formul s n gativement ex charge mentale c est un score faible qui indique une situation favorable Temps de passation Une heure environ Disponibilit s et conditions d utilisation Le questionnaire et le manuel de codage sont disponibles sur le site du minist re charg du Travail belge l adresse suivante dans le paragraphe publications www emploi belgique be moduleDefault aspx id 28990 Pour toute demande d information compl mentaire relative au questionnaire VT ou la banque de donn es constitu e par le minist re charg du Travail belge il est indiqu de prendre contact avecla Direction de la recherche sur l am lioration des conditions de travail DiRACT rue E Bl rot1 1070 Bruxelles Belgique alain piette emploi belgique be Qualit s psychom triques Les informations relatives aux qualit s psychom triques du VT ont t recueillies en consultant des documents disponibles sur le site du minist re charg du Travail belge Vets Notelaers et De Witte 2009 Vets De Witte et Note laers 2009 La banque de donn es constitu e par ce minist re contient 44 531 r ponses dont 26 357 avec le VT int gral et 9 421 avec le VT abr g le reste tant constitu des don n
216. e IE attribu e aux champs lectromagn tiques 11 Il n existe aujourd hui pas de d fi nition ou de crit res diagnostiques formels d IEI aux ondes lectroma gn tiques en raison de la non sp cificit des sympt mes rapport s de l apparente h t rog n it des personnes touch es et de l absence d tiologie tablie 12 LTEI lectro magn tique regroupe un ensemble de manifestations non sp cifiques attribu es par les sujets qui en souffrent aux champs lectroma gn tiques Il s agit d une sensibilit accrue notamment aux radiofr quences et aux champs lectriques ou magn tiques pourtant rencon tr s des niveaux de fr quence et d intensit auxquels la population g n rale est expos e et largement au dessous des recommandations internationales Ces ondes lectro magn tiques induiraient donc des sympt mes physiques et ou psy chologiques des niveaux d expo sition g n ralement consid r s comme tant inoffensifs pour la sant car tr s faibles TABLEAU CLINIQUE On peut distinguer deux principaux types de sympt mes 13 Les manifestations dermatolo giques type d ryth me facial ruptions cutan es s cheresse cu tan e d mangeaisons sensations de br lures ou de picotements SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 31 GRAND ANGLE D apr s les sujets touch s ces manifestations apparaissent et s aggravent proximit ou lor
217. e four industriel micro ondes 3 LE SPECTRE LECTROMAGN TIQUE Classiquement les ondes sont class es en fonction de leur lon gueur d onde ou de leur fr quence Elles poss dent toutes des caract ristiques et des utilisa tions industrielles propres La fr quence d une onde est le nombre d oscillations par seconde Elle s exprime en hertz Hz ou os cillation par seconde La longueur d onde est la distance physique entre deux variations successives une longueur d onde donn e correspond une seule fr quence caract ristique de l onde qui lui est inversement proportionnelle partir de la fr quence de l onde on peut d terminer l nergie qu elle transporte L nergie est d autant plus grande que la fr quence de l onde est plus lev e Elle r pond la relation proportionnelle E hxf E nergie h constante f fr quence exprim e en joule J Les champs et les rayonnements lectromagn tiques dont la fr quence est inf rieure 10 Hz sont dits non ionisants car l nergie qu ils transportent est trop faible pour produire une ionisation des milieux qu ils traversent tableau 1 ONDES LECTROMAGN TIQUES ET TRAVAIL Lensemble des travailleurs est concern par l exposition aux ondes lectromagn tiques dans un cadre professionnel Lexposition profes sionnelle aux champs lectroma gn tiques est ubiquitaire mais tr s 28 N 135 R F RENCES EN SANT AU TR
218. e vigilance correspondants R f INRS ED 6154 12 p 3 Caen machi H Dres M thanisation de d chets issus de l levage de l agriculture et de l agroalimentaire Risques et presciptions de s curit La valorisation des d chets et le d veloppement d nergies renou velables sont des enjeux environ nementaux d actualit La m thanisation r pond ce double objectif Les d chets issus notamment de l agriculture effluents d levage v g taux et de l agroalimentaire permettent de produire du biogaz valorisable Toutefois les proc d s de m tha nisation mettant en uvre ces d chets g n rent des risques par ticuliers et n cessitent donc des mesures de pr vention adapt es N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Ce document expose les principaux risques li s la mise en uvre d une unit de m thanisation et les prescriptions de s curit asso ci es l intention de l ensemble des acteurs de la fili re conception exploitation maintenance R f INRS ED 6153 40 p Anrs D chets infectieux Elimination des DASRI et assimil s Pr vention et r glementation De nombreux secteurs profession nels se trouvent confront s la gestion de d chets risque infec tieux Cette brochure explicite les diff rents textes r glementaires concernant l limination des DASRI D chets d act
219. e Validit crit ri e pr dictive Vets Notelaers et De Witte 2009 citent une tude Van Veldhoven 1996 montrant la validit pr dictive du VT vis vis de l absent isme fr quence et dur e des absences Toutefois le d tail des r sultats n est pas indiqu et la publication cit e est difficilement accessible th se de doctorat en n erlandais e Validit de structure interne Dans le manuel de codage du questionnaire VT Vets De Witte et Notelaers 2009 des analyses factorielles avec rotation Varimax ont t effectu es sur la base de la structure alternative du VT en six dimensions Pour la dimension contenu du travail l analyse factorielle avec rotation Varimax fait apparaitre 7 facteurs alors qu il y a 8 chelles les items de la diversit du travail et les possibilit s d apprentissage sont sur un seul et m me facteur Les auteurs pr f rent n anmoins maintenir la distinction entre les deux Les autres facteurs corres pondent aux chelles pr d finies N anmoins deux items del chelle participation saturent galement le facteur information et unitem de changement dans les t ches sature non pas le facteur attendu mais celui sur l information Pour la dimension conditions ma t rielles de travail l analyse fac torielle avec rotation Varimax fait apparaitre 4 facteurs retrouvant la composition des quatre chelles de cette dimension Seul un item de l
220. e base est accessible sur Inter net l adresse suivante legifrance gouv fr L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en francais Le site permet de rechercher le texte int gral d un texte publi au Journal officiel de la R publique francaise et d acc der aux diff rents codes du droit francais Des rubriques consacr es aux droits WWW SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 81 PRATIQUES ET M TIERS europ en et international sont ga lement accessibles gratuitement sur le site En mati re de radioprotection les principes fondamentaux de la pr vention des risques li s l utilisa tion de rayonnements ionisants sont d finis dans le Code de la sant publique et dans le Code du travail Une circulaire circulaire DGT ASN n 04 du 21 avril 2010 relative aux mesures de pr ven tion des risques d exposition aux rayonnements ionisants pr cise l ensemble du dispositif r glemen taire concernant l exposition des travailleurs aux rayonnements ionisants Recherche d un texte officiel Sur la page d accueil cliquer sur les autres textes l gislatifs et r glementaires Chaque texte peut tre recherch par son num ro sa date de parution sa date de publi cation et ou des mots du titre La version d origine est le texte ini tial La version en vigueur est le texte modifi par la r glementa tion ult rieure au texte d origine
221. e capillaroscopique dans la surveillance d une population pro fessionnelle expos e Le promoteur de l tude tait l Institut Interuni versitaire de m decine du travail de Paris le de France Pr D Choudat et le pilotage a t assur par l INRS Les diff rents partenaires sont d taill s dans l encadr 1 OBJECTIFS DE L TUDE Les objectifs de cette tude taient de confirmer ou d infirmer les r sultats de l tude pr liminaire ayant observ des anomalies capil laires sur une population expos e de praticiens effectuant des actes SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 39 VU DU TERRAIN de radiologie interventionnelle et d tudier l influence des carac t ristiques de l exposition dur e niveaux de dose fractionnement sur l apparition de ces anomalies capillaires MAT RIEL ET M THODES POPULATION CONCERN E PAR L TUDE L tude pr voyait le recrutement de 200 m decins expos s et 40 m de cins non expos s Il s est effectu dans les h pitaux de quatre r gions le de France Nord Rh ne Alpes et Auvergne Les crit res d inclusion des sujets taient les suivants sujets expos s m decins radio logues chirurgiens cardiologues sur la base du volontariat pr sen tant un risque d exposition des extr mit s lors de la pratique r gu li re d actes comportant l utilisation de rayons X sujets non expos s personnel m dical
222. e contact rougeoleux chez une femme enceinte il est imp ra tif de r pondre ces questions A t elle d j fait une rougeole A t elle recu deux doses de vaccin En cas de doute a telle des anti corps la s rologie doit tre faite alors dans un d lai de six jours En cas de r ponse n gative l une de ces questions la femme est non immunis e Linjection du vaccin dans les 72 heures serait efficace mais il est contre indiqu chez la femme enceinte En revanche l in jection d Ig par voie intraveineuse doit tre envisag e en accord avec les obst triciens Une information sur le risque d chec et la conduite tenir CAT en cas de fi vre d rup tion et ou de survenue d un tableau respiratoire doit tre d livr e En cas de rougeole chez une femme enceinte une confirma tion biologique du diagnostic est possible par un examen de type reverse transcription polymerase chain reaction RT PCR sur un pr l vement salivaire gorge ARN N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 viral Jo J14 ou par s rologie IgM salivaires sanguines 13 J28 Lors de la prise en charge d une rou geole chez une femme enceinte l h pital un isolement respiratoire pr cautions air doit tre mis en place Le traitement consiste en la prescription d antipyr tiques voire d antibiotiques en cas de surinfection bact rienne Les d ci sions sur le plan obst trical ain
223. e de 22 7 Cette carte est en cours d actualisation avec les donn es de 2006 2008 Dans le cadre d une tude italienne publi e en 2000 Ichino et Maggi mettent en avant 6 raisons poten tielles pouvant expliquer ce type de disparit Ce sont des diff rences de caract ristiques entre les po pulations dues la mobilit entre les terri toires dans les secteurs de production et leur environnement sociologiques sur l appr ciation du travail des ArTr et du niveau d exigences de discrimination ou d accepta tion des disparit s entre les d par tements d offre et de demande sur les dans le monde du travail avec les donn es fournies par la CNAMTS celles de l assurance maladie consommations m dicales ALD 1 montant dur e et celles de la branche AT MP Apr s 5 ans et tous les filtres appliqu s la base Hygie comprend essentiellement des salari s du secteur priv r sidant en France m tropolitaine g s de 25 65 ans soit 262 998 b n ficiaires r partis dans 146 495 tablissements march s locaux qui engendre raient des niveaux d exigence l entr e sur le march du travail ou dans les emplois Deux composantes principales per mettent d expliquer les d termi nants des ArTr e l effet de composition qui est l en semble de 3 variables individuelles propres au salari ou son entre prise les caract ristiques individuelles ge
224. e de livrets p dago giques l adresse suivante www cea fr le cea publications livrets thematiques2 livrets thema tiques e d animations dont une sous forme de quiz portant sur la ra dioactivit et permettant de tester ses connaissances d un poster faisant une synth se sur la radioactivit Ces animations et poster sont en fran ais et peuvent tre consult s et ou t l charg s gratuitement l adresse suivante www cea fr jeunes themes gt Dossier INRS sur les rayonne ments ionisants en milieu pro fessionnel Il est accessible sur Internet l adresse suivante www inrs fr accueil risques phenomene phy sique rayonnement ionisant html Le dossier est en francais et peut tre consult gratuitement Cette synth se th matique fait le point sur les risques radiologiques rencontr s dans le monde du tra vail les sources d exposition les ef fets sur la sant la d marche d va luation des risques les moyens de contr le des expositions les me sures de pr vention des risques la r glementation en vigueur et les situations anormales Elle dirige galement vers d autres informa tions telles que les brochures de l INRS ou d autres sites en France ou l tranger gt SFRP Il est accessible sur Internet l adresse www sfrp asso fr La SFRP est une soci t savante et a labor une revue Radioprotection voir plus loin et des plaquettes de synth se sur diff rente
225. e et de passage l acte Cette notion reste toutefois minemment subjective SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 89 PRATIQUES ET M TIERS DE QUELQUES ID ES FAUSSES Les conduites suicidaires sont l ori gine de multiples id es fausses qu il semble important d infirmer e Parler du suicide avec un patient risque de le faire passer l acte au contraire parler avec le sujet lui permet d exprimer sa souffrance ses difficult s ses peurs Cela lui permet de se sentir cout compris voire soulag Le risque de passage l acte n est pas major e Le geste suicidaire un choix un acte courageux un acte de l che t le suicide ne r sulte jamais d un choix librement consenti Il est la cons quence d une impasse exis tentielle et d une souffrance deve nue insupportable e Les patients qui parlent d id es sui cidaires ne passent jamais l acte et ou veulent juste attirer l attention cette affirmation ne peut tre soute nue En effet 70 80 des patients suicidants et suicid s ont voqu le suicide avant leur geste FACTEURS DE RISQUE ET POPULATIONS A RISOUE Les facteurs derisque suicidaire sont des facteurs existants l chelle d une population donn e et actuel lement corr l s avec la survenue d un suicide 3 Il ne s agit donc pas de facteurs individuels Ils sont en interaction les uns avec les autres et peuvent tre ma
226. e les circonstances de la perte de connais sance avec notamment l existence ou non d un traumatisme sila victime poss de sur lui ou proximit un Glucagen kit le signaler communiquer la date de p remption et indiquer si le SST a b n fici d une formation pour l injection e En cas de prescription du m decin r gulateur du SAMU r p ter la prescription pour v rifier sa bonne compr hension et proc der l injection de la dose ordonn e sur le site prescrit e Surveiller la victime e Proc der l vacuation des d chets d activit de soins risque infectieux suivant la r glementation en COUIS 148 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 L quipe pluridisciplinaire de sant au travail a pour BIBLIOGRAPHIE mission d laborer des actions de formation pour les secouristes article R 4624 1 du Code du travail Dans ce cadre le m decin du travail peut former le SST l injec 1 Glucagen Kit 1 mg ml poudre et solvant pour tion du Glucagen kit cette mission peut galement tre solution injectable en seringue pr remplie ANSM 2011 assur e par une infirmi re du service de sant au travail http agence prd ansm sante fr php ecodex frames ph dans le cadre d un protocole Enfin cette formation peut p specid 69301034 amp typedoc N amp ref No201817 htm tre confi e un service hospitalier exemple service 2 Glucagen Avis 14 d cembre 2005 Commiss
227. e par m tiers et activit s Ces fiches d crivent notamment les risques du m tier et les moyens de pr vention gt FICHES D ACTIVIT S DE BOSSONS FUT Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www bossons fute fr L acc s est gratuit La recherche et les r sultats sont en francais Une liste alphab tique des fiches est galement dispo nible par activit ou par secteur d activit s L association Bossons fut est une association ind pendante cr e et anim e b n volement par des m decins du travail de diff rents services de sant au travail Dans ces fiches d activit s profes sionnelles se trouvent une des cription de l activit consid r e des contraintes qu elle occasionne des dangers et des risques pour la sant identifi s gt FICHES FAST DU SITE FORSAPRE Elles sont accessibles sur Internet l adresse suivante www forsapre fr L acc s est gratuit La recherche et les r sultats sont en francais FORSAPRE est le site de la sant au travail dans le BTP Les fiches FAST Fichier actualis de situations de travail r guli rement mises jour d crivent des situations de travail rencontr es dans le BTP et sont r parties en 11 familles d acti vit s qui pr sentent des exigences ou des nuisances voisines Chaque fiche est divis e en plusieurs parties description de l activit professionnelle num ration des exigences synth se des risques accide
228. e rationnelle travers l ost opathie M H Rabinovitch BP 5 34 280 La Grande Motte T l 046729 0467 Fax 0467290491 mhr actif online com www actif online com 166 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 LIRE VOIR A lire voir kan 8 bare de ei PUISEMENT PROFESSIONNEL ARPACCHES INHOMANTIES PLUSIDHSCI PLISULIRT 5 COLIN ELCHEEEHTS ZAWIEJA P GUARNIERI F puisement professionnel Approches innovantes et pluridisciplinaires L puisement professionnel ou burn out est g n ralement d fini comme un syndrome associant un tat d puisement physique et psychique intense un ensemble d attitudes relevant du cynisme et dela d shumanisation et un effondrement du sentiment d efficacit personnelle concernerait de 5 10 6 des travailleurs et dans certaines professions jusqu 40 des effectifs Dans les cas les plus graves il peut conduire la d pression voire la tentative de suicide Si elle est particuli rement abondante la litt rature laquelle il donne lieu repose toutefois sur un nombre finalement assez restreint de travaux th oriques consid r s comme classiques C est pourquoi cet ouvrage r dig par de jeunes chercheurs en psychologie en sociologie ou en sciences de gestion entend ouvrir quelques pistes th oriques ou pratiques s int resse
229. e rayonnements ionisants les irradiateurs et les INB ne sont pas abord s dans ce guide gt Site de Radioprotection Cirkus Radioprotection Cirkus est une as sociation francaise but non lucra tif regroupant des sp cialistes en radioprotection Elle a pour objec tif via son site Internet de consti tuer un outil d information fiable en mati re de radioprotection et s adresse aussi bien aux tudiants qu aux professionnels Lesite del association propose l ac c s des cours de radioprotection t l chargeables gratuitement l adresse suivante www rpcirkus org rp cours radioprotection Des exercices de diff rents niveaux permettant aux visiteurs de tester leurs connaissances y sont gale ment propos s gratuitement en suivant le lien www rpcirkus org rp exercices gt Espace Jeunes du site EDF Le groupe EDF a cr un site Inter net permettant aux personnes int ress es par le domaine de la production et de la consommation d nergie de s informer travers des dossiers animations et vid os sur diff rents aspects int grant cette th matique On peut ainsi y retrouver un dos sier de pr sentation des notions fondamentales de 1 radioactivit sous la forme d une animation en suivant le lien http jeunes edf com article la radioactivite 67 Ce site propose galement des sup ports permettant aux int ress s de comprendre les principes de pro duction d nergie partir des cen tral
230. e temps des l sions chroniques avec destruction pith liale et fibrose apparaissent Il existe galement des m canismes non immunologiques dans l asthme comme les m canismes pharmaco logiques ou d irritation syndrome d hyperr activit bronchique sui vant linhalation de gaz irritant Ces diff rents m canismes peuvent s intriquer rendant le diagnostic et la prise en charge difficiles asthme professionnel est d origine multifac torielle avec des facteurs person nels g n tiques psychologiques et environnementaux allerg nes irritants agents infectieux Les principaux diagnostics diff rentiels sont la bronchopneumopathie chro nique obstructive l emphys me la pneumopathie d hypersensibilit le syndrome d intol rance aux odeurs avec des intrications possibles entre ces pathologies La batterie des tests diagnostiques de lasthme profes sionnel comprend les m mes outils cliniques et paracliniques tests cutan s hyperr activit bronchique non sp cifique que celle d un asthme compl t e par la recherche d IgE sp cifiques de l agent suspect des tests de provocation nasale et des tests de provocation bronchique sp cifiques en milieu de travail ou en milieu sp cialis Les tests r a listes reposent sur des explorations fonctionnelles respiratoires EFR ou des courbes d bit volume r alis es en p riodes d activit profession nelle et d absence d exposition dont l analyse s nt ressera au
231. e titre il pr cise les r gles relatives notamment aux installations de d contamination Concernant les ins tallations de d contamination des travailleurs le texte pr voit la mise en place d installations comportant sauf exception trois compartiments dont deux douches per mettant d assurer successivement la d contamination et une douche d hygi ne un vestiaire d approche dans le prolongement imm diat de l installation de d contami nation quip en si ges et pat res et clair et une zone de r cup ration a r e et clair e comprenant des si ges tables et moyens permettant la prise d une boisson Lorsque lempoussi rement attendu est de deuxi me niveau c est dire sup rieur ou gal la valeur limite d exposition professionnelle et inf rieur 60 fois la va leur limite d exposition professionnelle ou de troisi me niveau c est dire sup rieur ou gal 60 fois la valeur limite d exposition professionnelle et inf rieur 250 fois la valeur limite d exposition professionnelle l arr t pr voit la mise en ceuvre d une s rie de contr les effectuer en cours de travaux mise en place d un dispositif mesu rant et enregistrant en permanence le niveau de d pres sion et quip d un syst me dalerte test l aide d un g n rateur de fum e effectu avant le d but des travaux et p riodiquement mise en place d un bilan a raulique pr visionnel valid par des mesures de vitesse d air l an m
232. e travaill e Cette m thode permet de se r f rer une situation concr te r cente mais conduit sous valuer le nombre de salari s dont les expositions sont li es des activit s ponctuelles ou irr guli res qui ont moins de chances d avoir eu lieu au cours de cette p riode que les activit s r guli res Sont ici consid r es canc rog nes les substances class es par le centre international de recherche sur le cancer CIRC 3 en groupe 1 l agent ou le m lange est canc rog ne pour l homme ou groupe 2 2A probablement canc rog ne pour l homme ainsi que celles class es par l Union europ enne UE en cat gorie 1 substances et pr parations que l on sait tre canc rog nes pour l homme ou cat gorie 2 substances et pr parations pour lesquelles il existe une forte pr somption que l exposition de l homme de telles substances et pr parations peut provoquer un cancer ou en augmenter la fr quence Le nouveau systeme de classification et d tiquetage des produits chimiques selon le r glement europ en CLP Classification Labelling and Packaging of substances and mixtures n a pas t int gr dans cette publication afin de faciliter les analyses comparatives 2003 2010 Le choix de s appuyer sur ces deux classifications est similaire celui effectu pour analyser les r sultats de SUMER 2003 4 permettant ainsi une analyse comparative Chaque classification ne liste pas de ma
233. e une pr dominance des sympt mes dermatologiques alors que les sympt mes de type neurov g tatif sont plus fr quents en France aux tats Unis en Allemagne et en Grande Bretagne Dans certains pays tels que la Su de l hypersensibilit aux ondes lectromagn tiques est reconnue comme un handicap sans n cessit de relation causale Cette reconnais sance oblige l employeur prendre en compte ces sympt mes et am nager le poste de travail de la personne atteinte En France ce syndrome reste relati vement peu connu du grand public et des professionnels de sant mais il devient une pr occupation mer gente de sant publique cristallis par le d veloppement croissant des nouvelles technologies utilisant les ondes lectromagn tiques N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 TIOLOGIES DE L INTOL RANCE AUX CHAMPS LECTROMAGN TIQUES EXPOSITION AUX CHAMPS LECTRO MAGN TIQUES Si aucune tude d exposition des personnes hypersensibles aux ondes lectromagn tiques n a t r alis e en France la litt rature internatio nale et notamment europ enne r pertorie un grand nombre de tra vaux destin s mieux comprendre le syndrome d hypersensibilit aux ondes lectromagn tiques Les premi res tudes des symp t mes subjectifs rapport s aux champs lectriques et magn tiques ont t r alis es en Russie chez des ouvriers occup s la mainte nance de l
234. ectionn s les outils tradi tionnels d Internet tels que les mo teurs et m tamoteurs de recherche peuvent tre utilis s en gardant l esprit que les informations four nies peuvent ne pas tre valid es 86 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 gt FICHE R CAPITULATIVE DE LA D MARCHE DE RECHERCHE DOCUMENTAIRE BASE DES CONNAISSANCES IRSN www irsn fr FR connaissances Pages Home aspx dossiers th matiques www cea fr le cea publications livrets thematiques2 livrets thematiques animations et posters www cea fr jeunes themes INRS www inrs fr accueil risques phenomene physique rayonnement ionisant html SFRP www sfrp asso fr section Publications CNRS www dgdr cnrs fr cnps guides radioprotection htm Radioprotection Cirkus cours www rpcirkus org rp cours radioprotection exercices www rpcirkus org rp exercices Espace Jeunes du site EDF animation http jeunes edf com article la radioactivite 67 support http jeunes edf com une nucleaire 2 OUVRAGES DJ er Manuel pratique de radioprotection Ed 2007 CHeuer Y La radioactivit manuel d initiation Ed 2006 Jimoner C ET AL Personne comp tente en radioprotection Principes de radioprotection R glementation Ed 2010 RECHERCHE PAR RADIONUCL IDES SITES FRANCAIS Fiches Radionucl ides IRSN INRS site de l INRS www inrs fr radionucl id
235. el qu il est d crit dans les an nexes II et III de l arr t susvis du 28 f vrier 1995 pris en application de l article D 461 25 du Code de la S curit sociale Lorsque la demande de surveillance concerne une expo sition un agent canc rog ne ne figurant pas en annexe de l arr t du 28 f vrier 1995 la d cision de prise en charge est rendue par le service minist riel concern sur avis de son m decin charg des pensions militaires d invalidit Celui ci s assure que la substance incrimin e est bien un agent canc rog ne et pr cise dans sa d ci sion d acceptation le protocole de surveillance m dicale mettre en ceuvre Les examens pris en charge sont ceux pr vus par le proto cole m dical de surveillance ORGANISATION SANT AU TRAVAIL CHSCT Loi n 2013 316 du 16 avril 2013 relative l ind pen dance de l expertise en mati re de sant et d environ nement et la protection des lanceurs d alerte Parlement Journal officiel du 17 avril 2013 pp 6 465 6 467 Cette loi cr e au profit des salari s et des repr sentants du personnel au comit d hygi ne de s curit et des SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 175 JURIDIQUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 avril au 15 juillet 2013 conditions de travail CHSCT un droit d alerte de leur employeur en mati re de sant publique et d environ nement
236. emaine tableau II Lintensit de l exposition est estim e par les m decins du travail en fonction de diff rents crit res la quantit de produit utilis e ou lib r e par le proc d de fabrication le mode op ratoire ainsi que la protection collective existante et son efficacit Cette estimation ne repose pas toujours sur des r sultats de pr l vements et d analyses Le plus souvent il s agit d une appr ciation d expert bas e sur la connaissance des en treprises et de l activit des sala ri s L intensit est jug e tr s faible oufaible parles m decins du travail dans 72 des situations d exposi tion Elle est estim e forte autour de 50 de la valeur limite d exposi tion professionnelle pour 8 des situations d exposition et tr s forte d passant la VLEP pour 2 d entre elles Cette intensit forte ou tr s forte est plus souvent signal e dans les domaines pro fessionnels mat riaux souples bois industries graphiques 20 des cas et industries de process 14 96 ainsi que pour les apprentis et stagiaires 14 partir du calcul d un score d exposition combinant dur e et intensit encadr 5 l exposition peut tre consid r e comme im portante lorsque le score est sup rieur 1 pour 38 6 des situations d exposition le niveau d exposi tion d passe ce seuil DES PROTECTIONS COLLECTIVES ET OU INDIVIDUELLES ENCORE INSUFFISANTES Les m de
237. ent le facteur d finition de fonction ou fiche de poste non formalis es a le score d accessibilit la pr vention le plus lev de 2 7 Enfin l analyse de la cat gorie Contexte de l entreprise montre 3 facteurs de risques saillants avec une pr valence de respectivement 45 36 et 27 6 des inaptitudes pour les facteurs pression sur la r alisation des objectifs incerti tudes sur l avenir et p riode de restructuration Mais alors que le document unique d valuation N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 des risques est absent ou non tualis dans 30 des cas d inap titudes pour souffrance morale au poste de travail l accessibilit de ce facteur une d marche de pr vention atteint un score cons quent de 3 7 DESCRIPTION SYNTH TIQUE PAR CROISEMENT DE CRIT RES La prise en compte simultan e des deux crit res implication dans l inaptitude et accessibilit la pr vention pour les diff rentes cat gories de facteurs de risques montre que celles les plus impli qu es dans les inaptitudes b n ficient aussi des meilleurs scores d accessibilit la pr vention Il s agit ici des cat gories Relations sociales Organisation du tra vail et Contenu de la t che fi gure 1 Il faut toutefois noter que les scores moyens d accessibilit la pr vention sont la fois faibles et peu dispers s avec une
238. ente en radioprotection Ra dioprotection pratique pour l indus trie et la recherche Sources scell es Les Ulis EDP Sciences 2010 226 p gt B MM Cursr V Doug LAM J ET AL Nucl ide 3 dition Les Ulis EDP Sciences 2010 1 CD Rom Publi par le LNHB ce CD Rom cor respond la version informatis e des tables de radionucl ides du DDEP cf chapitre Recherche par radionucl ides p 70 Ce CD Rom est la fois en anglais et en francais Une fois install il donne acc s une base de donn es organis e par nucl ide et mode de d sint gration avec une descrip tion des caract ristiques physiques g n rales et sp cifiques de ces nu cl ides Un outil filtre permet d ef fectuer une recherche en fonction de crit res pr cis tels que la demi vie d un radionucl ide ou encore son mode de d sint gration Des onglets Information et pro existent galement au niveau dela fen tre principale Ces onglets proposent l acc s un guide d uti lisation du logiciel ainsi qu une explication d taill e du contenu des diff rentes rubriques propos e dans l interface N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 MISE JOUR BIBLIOGRAPHIQUE Une fois le ou les document s obtenu s la mise jour bibliogra phique peut tre effectu e afin d actualiser ses connaissances et de s assurer que de nouvelles donn es scientifiques n ont pas
239. entre la majorit des situations d exposi tion soit 1 7 million Treize produits chimiques can c rogenes composent le groupe interm diaire incluant des m taux les huiles min rales enti res les fum es de vulcanisation les amines aromatiques les r sines Un million trois cent mille situa tions d exposition rel vent de cette cat gorie UNE BAISSE DES EXPOSITIONS ENTRE 2003 ET 2010 champ constant et partir d une liste similaire de produits canc rogenes la proportion de salari s expos s au moins un produit chimique canc rog ne a 68 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Tableau IV gt VOLUTION DES EXPOSITIONS AU MOINS UN PRODUIT CHIMIQUE CANCEROGENE ENTRE 2003 ET 2010 en ENSEMBLE 13 5 10 4 SEXE Hommes 20 3 16 5 Femmes 4 3 2 9 TRANCHE Moins de 25 ans 17 0 16 2 D GE 25 29 ans 13 5 11 5 30 39 ans 13 4 9 5 40 49 ans 12 7 10 5 50 ans et plus 12 5 7 5 CAT GORIE Cadres et professions intellectuelles sup rieures 3 3 2 1 SOCIALE Professions interm diaires 11 0 6 7 Employ s administratifs 0 8 1 7 Employ s de commerce et de service 5 3 3 4 Ouvriers qualifi s 30 8 27 8 Ouvriers non qualifi s ouvriers agricoles 22 4 18 5 SECTEUR Agriculture 21 9 13 3 D ACTIVIT Industrie 21 1 16 7 Construction 34 7 31 9 Tertiaire 8 7 6 3 DOMAINE Agriculture marine p che 22 7 PROFESSIONNEL B timent travaux publics 37 3 33 3 lectricit
240. equency fields 30 Leva1ois P Hypersensitivity of 38 Heart rate variability Standards Bioelectromagnetics 2003 24 3 human subjects to environmental of measurement physiological 152 59 electric and magnetic field exposure a interpretation and clinical use 22 B BerG ArneTz BB review ofthe literature Environ Health Task Force of the European Society MELIN L ET AL A cognitive behavioral Perspect 2002 Suppl 4 613 18 of Cardiology and the North treatment of patients suffering from 31 Eriksson N H c J KH American Society of Pacing and electric hypersensitivity Subjective SANDSTR M M AL The psychosocial Electrophysiology Eur Heart J effects and reactions in a double blind work environment and skin 1996 17 3 354 81 provocation study J Occup Environ symptoms among visual display 39 Dosrex L Nowakowski M Med 1996 38 8 752 58 terminal workers a case referent Mazur M Herman RM AL 23 Korvisro M HaaraLa Krause CM study Int 7 Epidemiol 1997 26 6 Disturbances of the parasympathetic REvoNSUO ET AL GSM phone signal 1250 57 branch of the autonomic does not produce subjective symptoms 32 inner Kormonin HEDMAN nervous system in patients with Bioelectromagnetics 2001 22 3 P ARNETZ BB The effect of gastroesophageal reflux disease 212 15 supplementary antioxidant therapy in GERD estimated by short t
241. erm heart 24 Lvskov E Hansson patients who report hypersensitivity rate variability recordings J Physiol K Neurophysiological study to electricity a randomized controlled Pharmacol 2004 55 Suppl 2 77 90 of patients with perceived electrical trial MedGenMed 2001 3 2 11 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 37 VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie AUTEURS Gauron P Wild M Grzebyk Derock K Champion P Cohen Menez A S Tellart H Thieb Une cohorte de 187 professionnels expos s et de 35 professionnels non expos s a t constitu e afin d tudier l influence des caract ristiques de l exposition sur l apparition d anomalies capillaires chez des praticiens effectuant des actes de radiologie interventionnelle Chaque sujet a b n fici d un examen clinique et capillaroscopique d un questionnaire ainsi que d une valuation dosim trique en collaboration avec l IRSN Les fr quences des alt rations des capillaires indices morphologique et d extravasation ont t compar es entre les sujets expos s et les non expos s La comparaison du groupe de param tres caract risant l indice Radiologie interventionnelle Rayonnement ionisant Radioprotection Capillaroscopie morphologique met en vidence des diff rences
242. ermatite de contact aux prot ines La sensibilisa tion par le contact avec les prot ines est fr quemment li e au travail les manifestations cliniques sont va ri es et peuvent induire des erreurs diagnostiques L tiquetage de ces dermatites n cessite des prick tests etnon des patch tests pour identifier responsable SESSION M TROLOGIE L valuation de l exposition des salari s des substances et des microorganismes allerg nes repose sur des approches m trologiques di versifi es dont les r sultats restent souvent d licats interpr ter en termes de risques encourus Les pr sentations et les discussions concer nant cette probl matique ont t l occasion de r pertorier les connais sances et les pratiques actuellement disponibles mais aussi de lister cer tains questionnements et verrous scientifiques Les expositions concernent de nom breux salari s dans des environ nements professionnels vari s Ce constat a d ailleurs t bien illustr par les diff rents lieux de travail in vestigu s tablissements agricoles entreprises de l agroalimentaire ins tallations de traitement du caf vert docks portuaires usines de trans formation de crustac s h pitaux industrie pharmaceutique labora toires plates formes de compostage scieries entreprises de nettoyage salons de coiffure etc Les tudes pr sent es ont galement d montr la diversit des substanc
243. ersonnel administratif ainsi qu une associa tion positive entre l utilisation de sprays et l asthme L identification de substances chimiques particu li res est difficile en pid miologie les produits sont plus souvent identifi s par l usage qui en est fait que par leur composition Les pro grammes de surveillance syst ma tique des pathologies profession nelles peuvent avoir des donn es sur la substance chimique consid r e comme responsable de la patho logie Le programme de surveillance syst matique des pathologies pro fessionnelles aux tats Unis Sen tinal Event Notification System for Occupational Risks SENSOR a mis en vidence 300 cas d asthme en relation avec le travail d aux pro duits de nettoyage dont 3 dus l thanolamine dans les 4 tats par ticipants sur la p riode 1993 1997 Les donn es du RNV3P montrent une stabilit du nombre de cas d asthme en relation avec le travail d aux produits de nettoyage hor mis les ammoniums quaternaires en France de 2001 2009 enregistr sur la p riode 2008 2010 2 d asthmes avec latence dus aux amines Les tudes de cas rapportent de fa on plus pr cise l agent respon sable de la pathologie Depuis les ann es 50 une vingtaine de publi cations concerne les amines dans divers secteurs d activit industrie chimique pharmaceutique m tal lurgie Une analyse publi e de type relation quantitative structure activit
244. es dans le moteur de recherche site de l IRSN www irsn fr FR professionnels sante documentation Pages guides aspx Fiches Radionucl ides de l IRSN www irsn fr FR Larecherche publications documentation fiches radionucleides Pages Fiches radionucleides aspx SITES INTERNATIONAUX Tables de radionucl ides du DDEP www nucleide org DDEP WG DDEPdata htm Fiches de donn es de l US EPA www epa gov rpdweboo radionuclides Fiches de donn es de s curit de radionucl ides de l universit de Stanford www stanford edu dept EHS prod researchlab radlaser RSDS html Fiches de radionucl ides l UCSD https ehs ucsd edu rad radionuclide radionuclide datasheets html OUVRAGES Delacroix D Er AL Guide pratique Radionucl ides et radioprotection Ed 2006 Mini table de radionucl ides Ed 2007 RECHERCHE PAR SECTEUR ACTIVIT PROFESSIONNELLE Dossiers de pr sentation par l ASN des grands secteurs d activit s professionnelles www asn fr partie les activit s contr l es Bilan annuel l IRSN de la surveillance des expositions professionnelles pour les activit s civiles et de d fense www rsn fr FR expertise rapports expertise radioprotection homme Pages radioprotection homme aspx Fiches de l INRS fiches radioprotection en secteur m dical www rst sante travail fr rst outils reperes radioprotection html fiches radioprotection en secteur recherche www rst san
245. es venir 20 mSv an BIBLIOGRAPHIE 1 GAURON C DEROCK C DoNADILLE L CHOUDAT D La technique de radiologie interventionnelle et l exposition des professionnels Grand angle TC 143 R f Sant Trav 2013 133 19 28 2 PERDEREAU B GAURON C BRIXY F ASSELAIN B AL Contr le par capillaroscopie sous ungu ale des radioexpositions en milieu hospitalier Arch Mal Prof Environ 2004 65 2 3 264 3 MERAT F DONADILLE L REHEL JL GAURON C valuations dosim triques des extr mit s chez les praticiens enimagerie interventionnelle Arch Mal Prof Environ 2010 71 3 495 96 4 SKRONDAL A RABE HESKETH 5 Generalized latent variable modeling multilevel longitudinal and structural equation models Boca Raton Chapman amp Hall CRC 2004 528 p 5 GUERSEN J CASSAGNES L MECHIN G RAVEL A ET AL Interventional radiologists a necessary evolution of leaded protective aprons design J Vasc Interv Radiol 2013 24 3 443 6 JACOB S BOVEDA 5 BAR BREZIN ET AL Interventional cardiologists and risk of radiation induced cataract Results of a French multicenter observational study Int J Cardiol 2013 167 5 1843 47 7 GUERSEN J L REHEL JL CHARVAIS A ET AL Int r t des gants radio att nuateurs en radiologie interventionnelle une valuation exp rimentale Radioprotection 2011 46 3 387 97 8 CLEMENT CH ED
246. es lecons quil convient d en tirer Ce rapport intitul Les accidents dus aux rayonnements ionisants est t l chargeable gratuitement en francais l adresse suivante www irsn fr FR Larecherche pu blications documentation collec tion ouvrages IRSN Pages docu ments reference aspx gt RELIR OTHEA est accessible sur Internet l adresse suivante www othea net L acc s est gratuit Les recherches sont en francais et les r sultats sont en francais et en anglais Le r seau RELIR est le syst me francais de retour d exp rience sur les incidents radiologiques 1l est anim par le CEPN en collabo ration avec l INRS l IRSN l INSTN et l Institut Curie Des incidents radiologiques survenus dans dif f rents secteurs d activit s sont s lectionn s et analys s par un r seau d experts en radioprotection RPE puis sont pr sent s sous forme de fiches p dagogiques Celles ci pr sentent les circons tances de l incident et ses cons quences radiologiques pour les travailleurs et est compl t e par une liste de lecons tirer et des recommandations visant infor mer les professionnels Du fait de sa collaboration avec l Agence de protection sanitaire britannique HPA le site Internet RELIR OTHEA est d sormais en fran ais et en anglais gt CENTRE DES INCIDENTS ET DES URGENCES DE l AIEA LAIEA est la principale organi sation mondiale de coop ration scientifique et technique dans le
247. es soignants expos s SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 125 O Photo Alto MISE AU POINT 3v Encadr 1 gt CAS CLINIQUES PUBLI S Cas cliniques publi s Deux cas cliniques d infection respiratoire HPV chez le personnel de sant suspect s tre d origine professionnelle ont t publi s Le premier cas 2 publi en 1991 est rapport chez un chirurgien visc ral de 44 ans travaillant dans un h pital d Oslo et ayant t expos aux fum es laser lors de traitements de l sions ano g nitales HPV a d velopp des l sions laryng es multiples dues HPV de type 6 et Ti Ces virus isol s des l sions du chirurgien sont connus pour provoquer des l sions ano g nitales comme celles trait es par le chirurgien Celui ci a t soign par ex r se des l sions HPV au laser n a pas eu de r cidive jusqu l ann e de publication de ce cas L tude du poste de travail du chirurgien a r v l des mesures de pr vention inadapt es contre les risques infectieux des fum es laser absence de syst me d aspiration la source utilisation de masques inappropri s contre le risque infectieux L origine professionnelle de sa contamination a donc t fortement suspect e Le deuxieme article 3 publi en 2003 en Allemagne d crit le cas d une infirmi re en chirurgie gyn cologique victime d une papillomatose laryng e qui a b n fici d une reconnaissance en
248. es actions de pr vention mises en ceuvre pour pr venir les risques li s la pr sence de 13 butadi ne dans les tablissements concern s Protocole LINRS r alise des interventions dans les tablisse ments des secteurs industriels identifi s pour recueil lir des informations n cessaires l tude Un ques tionnaire est envoy pr alablement la visite Les changes ont lieu au cours d une r union de travail et une visite des locaux permet de d couvrir l activit de l tablissement et d observer les situations r elles de travail Un rapport est ensuite r dig et adress aux acteurs de la pr vention impliqu s Les donn es g n rales du 1 3 butadi ne production consommation l observation des situations et des modalit s de travail et le bilan des actions en mati re d valuation actuellement mises en place permettent de faire tat de la mise en uvre du 1 3 butadi ne au niveau national et d avoir une meilleure connaissance des risques associ s son utilisation Secteurs recherch s Pour r aliser ses interventions l INRS recherche acti vement des entreprises volontaires issues des sec teurs de la production de 1 3 butadi ne son utilisation pour la production de caoutchoucs polybutadi ne PB styr ne butadi ne SBR nitrile butadi ne NBR et autres d adiponitrile de latex sty r ne butadi ne de n opr ne CR de r sines acryloni trile butadi ne styr ne ABS
249. es allergenes rencontr es prot ines du soja ou de crustac s microorganismes fon giques ou bact riens enzymes d ori gine microbiologique allerg nes d origine animale Par cons quent les m thodes de mesure qui ont t d crites sont diversifi es tant au niveau de l chantillonnage que de l analyse L chantillonnage est r alis par des pr l vements des allerg nes a ro port s voie d exposition respira toire poste fixe ou en individuel et sont parfois compl t s par des pr l vements de surface de type couvil lonnage voie d exposition cutan e Par commodit les pr l vements N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 sur filtre demeurent les plus utilis s mais d autres m thodes de collecte sont disponibles et m riteraient d tre plus largement tudi es Les conditions op ratoires d bit et dur e de pr l vement par exemple varient d une tude l autre et pour la majorit des allerg nes a ropor t s il n existe pas de consensus sur la fraction conventionnelle cible privil gier inhalable thoracique alv olaire Peu de donn es existent concernant les distributions granu lom triques des a rosols contenant des allerg nes ou les diam tres des particules prendre en consid ra tion De r cents travaux sugg rent par exemple que de nombreux frag ments fongiques submicroniques fragments de spores ou de myc lium 1 um puisse
250. es de s curit de l AIEA Safety Standards sont accessibles l adresse suivante www ns iaea org standards documents pub 1151 5 1181 96 Le site met galement disposition gratuitement un certain nombre d ouvrages et de brochures traitant de sujets d actualit s en mati re de s ret nucl aire et radiologique Ces documents sont accessibles en sui vant le lien www iaea org Publica tions Un moteur de recherche par mots cl s en francais ou en anglais existe galement UNSCEAR Il est accessible sur Internet l adresse suivante www unscear org LUNSCEAR cr en 1955 a pour mission d valuer les niveaux et les effets des expositions aux rayon nements ionisants et d en faire rapport Pour les gouvernements et organisations du monde entier les estimations de cette structure constituent une base scientifique qui leur permet d valuer les risques d irradiation et d tablir des me sures de s ret Depuis sa cr ation l UNSCEAR a publi 20 tudes ma jeures Ces publications sont t l chargeables gratuitement dans la rubrique Publications du site et sont en anglais IRPA Il est accessible sur Internet l adresse suivante www irpa net LIRPA est une association interna tionale cr e en 1965 qui compte parmi ses membres la plupart des soci t s savantes de radioprotec tion on y retrouve notamment la SFRP France la HPS Health phy sics society ta
251. es entretiens infirmiers gt Sant La sant au travail m nage t elle la sant des infirmiers D finitions travers l histoire Souffrance et bien tre des soignants M canismes de d fense mis en jeu gt Travail Les missions et l activit des infirmiers en sant au travail Restituer le travail infirmier entre pairs entre professionnels de sant dans l quipe pluridisciplinaire Communiquer accompagner duquer en sant au travail RENSEIGNEMENTS Groupement des infirmier e s du travail GIT APPEL COMMUNICATIONS JUSQU AU 20 D CEMBRE 2013 17 rue du Colis e 75008 Paris secretariat git france org www git france org infirmier php 15 19 JUIN 2014 gt Sp ciation chimique Organisation du travail et MARSEILLE France gt Qualit des mesures incerti intimidation Airmon 2014 The 8 tudes gt Effets sur la sant et r habili International Symposium Surveillance biologique bio tation on Modern Principles marqueurs de l exposition Psychophysiologie for Air Monitoring and Adaptation l intimidation Biomonitoring Symposium APPEL COMMUNICATIONS Difficult avec le management sur le contr le de l air et le JUSQU AU 15 D CEMBRE 2013 gt D nonciation biomonitoring Discrimination L INRS est l un Incivilit s Parmi les th mes des co organisateurs du symposium gt Diff rences entre les sexes gt Pr l vement atmosph rique Violence physique et surveillance de l air RENSEIGNEMENTS gt
252. es huiles min rales enti res les gaz d chappement diesel les hydrocarbures aro matiques halog n s et les fibres c ramiques r fractaires utilis es en particulier en remplacement de l amiante dans de nombreux secteurs d activit Dans le do maine du BTP les expositions les plus fr quentes concernent la silice cristalline b tons mortiers ciments les poussi res de bois les gaz d chappement diesel et les goudrons de houille et d riv s d clar e DES EXPOSITIONS PLUS FR QUENTES POUR LES JEUNES Seize pour cent des salari s de moins de 25 ans sont expos s au moins un canc rog ne chimique pour les plus de 50 ans cette pro portion est de 7 Les salari s d ge interm diaire 25 49 ans ne s loignent pas de la moyenne tableau I Les apprentis et stagiaires sont particuli rement expos s aux canc rog nes chimiques 24 d expos s Vingt sept pour cent d entre eux travaillent dans deux des cinq domaines les plus expo sants le BTP et la m canique tra vail des m taux En contr lant les variables les plus d terminantes de l exposition au moins un can la surexposition des apprentis tient essentiellement au fait qu ils sont jeunes et souvent ouvriers alors que leur statut ne joue pas en soi de r le sp cifique Cependant dans le domaine m canique travail des m taux 70 des apprentis ouvriers sont expo s s contre 35 6 de l en
253. es nucl aires travers des dos siers des animations des vid os et une foire aux questions r ponses des questions fr quemment po s es couvrant un champ d infor mations allant de la production du combustible nucl aire son condi tionnement apr s utilisation dans les centrales Ces supports sont ac cessibles gratuitement sur Internet l adresse suivante http jeunes edf com une nucleaire 2 gt RECHERCHE DANS DES OUVRAGES gt DJ GRANIER R Manuel pratique de radioprotection 3 di tion Paris Technique et documen tation Lavoisier 2007 666 p Ce manuel pr sente les bases scientifiques les dispositions l gislatives et r glementaires et les moyens techniques de mise en ceuvre de la radioprotection dans les secteurs m dical et industriel la recherche et les INB Rassem blant des connaissances th o riques et des informations pra tiques il vise permettre toute personne confront e des exposi tions aux rayonnements ionisants d analyser les postes de travail et de participer la formation et l information des personnels ex pos s notamment gt Cuzrr Y La radioactivit ma nuel d initiation Paris Collection Nucleon Les Ulis ditions EDP Sciences 2006 557 p Cet ouvrage propose la fois une premi re initiation mais aussi un approfondissement des connaissances dans le domaine de la radioactivit Il contient trois grandes parties
254. es particuliers mentionn s l article 2 du pr sent arr t Il met en place chaque ann e avec l quipe pluridisciplinaire les actions en milieu de tra vail appropri es ARTICLE 2 Les travaux comportant des exigences ou des risques particuliers sont les suivants 1 Au titre des contraintes physiques marqu es les travaux de manutention manuelle de charges lourdes sous r serve de l application des dispositions des articles D 4152 12 D 4153 39 D 4153 40 et 4541 9 du Code du travail travaux en hauteur effectu s au moyen de cordes dont l utilisation est d finie aux articles R 4323 89 et R 4323 90 du Code du travail 2 Au titre de l environnement physique agressif les travaux exposant aux agents chimiques dangereux mentionn s l article R 4412 3 du Code du travail lestravaux dans les puits conduites de gaz conduits de fum es cuves r servoirs citernes fosses galeries et dans les autres lieux vis s aux articles R 4222 23 et R 4222 24 du Code du travail les travaux exposant de basses ou hautes temp ratures impos es par les proc d s de travail mis en ceuvre lestravaux de pr paration de conditionnement de conservation et de distribution de den r es alimentaires susceptibles d entrainer des allergies les travaux en atmosph re contr l e pour la conservation des denr es 3 Au titre de certains rythmes de travail les travaux comportant des gestes r p titifs
255. est destin informer et donner des r ponses pratiques et des conseils de pr vention pour la r alisation de syst mes de cap tage de poussi res lors de l usinage de produits base de fibres c ra miques r fractaires FCR sur des postes de travail fixes Les entre prises concern es sont les fabri cants de et les utilisateurs qui mettent en uvre ces mat riaux R f INRS ED 6156 24 p hrs ais de 1 marier Le valuation des risques professionnels Aide au rep rage des risques dans les PME PMI L valuation et la pr vention des risques professionnels font partie des responsabilit s de tout chef d entreprise L objet de cette brochure est d ai der les responsables initier de mani re simple une d marche de pr vention dans leur entreprise en les aidant rep rer les risques et en leur proposant des exemples de mesures de pr vention mettre en uvre R f INRS ED 840 5 dition 32 p tnra I og ent gti Comment mettre correctement ses bouchons d oreille Cette vid o de format court est disponible sur le site de l INRS Le bruit est une nuisance majeure dans le milieu professionnel qui a des cons quences sur la sant des salari s surdit stress fatigue et la qualit de leur travail Il est galement un facteur d accident e masquage des signaux d alerte La r glementation acc
256. ets diab tiques trait s par insuline est la survenue d une hypo glyc mie Lorsque cette derni re est s v re et ne per met pas au sujet de se resucrer per os l injection par voie sous cutan e ou intramusculaire de glucagon substance hyperglyc miante peut tre indiqu e cet effet certains patients se voient prescrire par leur m decin traitant ou leur endocrinologue un kit asso ciant un flacon de glucagon en poudre et une seringue pr remplie de solvant Glucagen kit Ce kit est des tin tre utilis par l entourage du sujet diab tique lorsqu il a perdu connaissance Une reconstitution du produit est n cessaire avant injection Les effets secon daires sont rares et sont essentiellement des naus es et des vomissements 1 La Commission de la transparence de la Haute autorit de sant HAS a rendu en 2005 un avis rela tif au Glucagen kit faisant apparaitre que le service m dical rendu est important et que le rapport effi cacit effets ind sirables est important 2 Il est donc possible qu un sauveteur secouriste du travail SST soit sollicit pour utiliser ce kit d injec tion lors de la prise en charge d un salari ayant perdu connaissance Cette situation est aborder sous 3 as pects r glementaire op rationnel et pr ventif Aspect r glementaire R le du SST Face un accident ou un malade l intervention du SST a pour objet de pr venir les complications im m di
257. eur 1 compte tenu de la gravit potentielle de toute exposition un produit chimique canc rog ne et de l absence d effet de seuil en dessous duquel la survenue d une pathologie serait improbable En effet dans le cas de l exposition un agent canc rog ne le danger pour la sant existe d s qu il y a exposition quelle que soit la dur e ou l intensit gt Calcul du score d exposition aux produits chimiques 9 Ces valeurs sont fix es sur la base d une valua tion scientifique des effets sur la sant des substances dangereuses et des niveaux d exposition professionnelle Cependant elles ne sauraient constituer une garantie de ne pas contracter une maladie tout particuli rement pour les produits canc rog nes o il n existe pas d effet de seuil d o l importance de r duire l exposition au niveau le plus bas possible 10 La ventilation g n rale est recens e par SUMER parmiles protections collectives contre l exposition aux produits Dur e hebdomadaire de l exposition De10 moins de moins de 10heures 20 heures 20 heures ou plus chimiques mais ne peut tre consid r e comme pleinement efficace pour les produits canc rog nes elle n emp che de N Moins de vid 2heures Tr s faible al 1 Faible 1 2 Forte 2 3 Tr s forte 3 4 encadr 6 le trichloro thyl ne les carbures m talliques fritt s les cytostatiques et le benz ne La connaissance de leur forte toxi c
258. evention focus on health care J Affect Disord 1996 39 2 83 91 5 CHaRazAc BruNEL M Pr venir le suicide Clinique et prises en charge Paris Dunod 2002 258 p 6 CHavacNar JJ ED Pr vention du suicide Mon trouge John Libbey Eurotext 2005 200 p 7 Happ P Bay D La pr vention du suicide R le des praticiens et des diff rentes structures de soins Paris Doin diteurs 1997 54 p 8 Warrer M Kermarrec I Id es ou conduites suicidaires orientation diagnostique et Suicide en lien avec le travail R ponse d urgence et signal d alerte INRS 2012 www inrs fr accueil risques psychosociaux suicide html 55 1 7 Guvor S LANGEVIN V BASILE S ET AL D marche d enqu te paritaire du CHSCT concernant les suicides ou les tentatives de suicide Edition INRS ED 6125 Paris INRS 2012 40 p conduite tenir en situation d urgence Rev Prat 1999 49 15 1685 90 9 Hanus M Les deuils dans la vie deuils et s parations chez l adulte chez l enfant Paris Maloine 1994 331 p 10 Romano H VERDENAL GAUTEUR E Sauveteurs et v nements traumatiques Prise en charge psychologique des victimes et gestion du stress professionnel Issy les Moulineaux Elsevier Masson 2011 131 p 11 Romano CHarDIN Ep L aide m moire de l urgence m dico psychologique Paris Dunod 2013 241 p SEPTEMBRE 2013 R F RE
259. expert de son choix pour avis avant acceptation LE TEXTE Le texte r dig en francais est adress la r daction sous la forme d un fichier Word envoy par mail ou fourni sur une cl USB Les r gles l mentaires de frappe dactylographique sont respec t es le formatage est le plus simple possible sur une colonne sans tabulation ni saut de pages La frappe ne se fait jamais en tout majuscules Titre intertitre ou noms d auteurs sont saisis en minuscules La bibliographie est plac e en fin de texte par ordre alphab tique de pr f rence suivie des tableaux et illustrations et enfin des annexes Tout sigle ou abr viation est d velopp lors de sa premi re appa rition dans le texte Les sous titres de m me niveau sont signal s de facon identique tout au long du texte Un r sum en francais maximum 10 lignes accompagne l article ainsi que des points retenir il s agit quelques phrases br ves de pointer les l ments essentiels que le ou les auteurs souhaitent que l on retienne de leur article La liste des auteurs noms initiales des pr noms est suivie des r f rences du service et de l organisme ainsi que la ville o ils exercent leur fonction Des remerciements aux diff rents contributeurs autres que les auteurs peuvent tre ajout s LES ILLUSTRATIONS ET LES TABLEAUX Les figures photos sch mas ou graphiques sont num rot s et appel es dans le texte Tous les l ment
260. faible latitude d cisionnelle et un faible soutien social 2 ou encore le d s quilibre des termes de l change contractuel entre l effort fourni par les salari s et la r com pense allou e par lorganisation que celle ci passe par le statut l estime et ou les gratifications 8 On peut aussi faire appel la pers pective psychodynamique centr e sur le conflit relatif la nature du travail bien fait et aboutissant au travail emp ch par la prolif ration des proc dures et l rosion du r le m diateur du jugement de m tier des pairs au profit du jugement d utilit gestionnaire de l organisation Enfin le mod le multidimensionnel du WOCCO WOrking Conditions and Control Questionnaire est par ticuli rement complet puisqu il explique le stress au travail la fois par les ressources disponibles les contraintes temporelles la confiance en l avenir la planifi cation des t ches et le niveau de contr le percu par les travailleurs sur leur situation 10 Lobjectif de cette num ration non exhaus tive est d aborder la probl ma tique r currente relative au choix du mod le th orique retenir Celui ci fait usuellement l objet de larges discussions sur la base d arguments de toutes natures allant du scientifique au politique De mani re pragmatique il appa rait que ce qui importe avant tout cest de disposer d une approche th orique pour animer les plans de pr vention plut t que de ne
261. ffica cement les zones axillaires 5 Les lunettes de protection radiolo gique pour la protection du cristal lin une tude effectu e par l IRSN entre octobre 2009 et avril 201 a montr une augmentation du risque d opacit s sous capsulaires post rieures d un facteur 4 chez les cardiologues interventionnels par rapport aux t moins 6 Par contre la protection des mains est beaucoup plus difficile il est es sentiel de rappeler aux op rateurs que le port des gants latex radiopro tecteurs est une fausse s curit En effet le port des gants de protection individuelle modifie le param trage automatique du mat riel radiolo gique quand la main passe dans le faisceau direct ce qui augmente la dose d livr e Ces gants ne doivent donc en aucun cas tre utilis s pour les actes impliquant le passage des mains dans le faisceau primaire 7 Enfin il convient de maintenir une grande vigilance sur l valuation dosim trique du cristallin En effet la Commission internationale de protection radiologique CIPR a revu r cemment la baisse le seuil de dose quivalente l il 8 sus ceptible d induire une cataracte pr coce qui passe de 2 o 5 Gray en dose cumul e elle a recommand la diminution de la limite de dose annuelle professionnelle autoris e de 150 mSv 20 mSv Cette limite est en cours de r vision au niveau des normes de base europ ennes et devrait donc tre abaiss e dans les ann
262. gG est obligatoire en d but de grossesse Si celle ci reste n gative au cours de la grossesse une vacci nation de rattrapage est n cessaire en post partum sous contraception N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 pendant 2 mois sauf si la femme a d j b n fici de deux doses de vaccin auparavant Aucun cas de foetopathie n a t rapport en cas de vaccination accidentelle pendant la grossesse registre de 797 cas il n y a pas d indication recourir une interruption m dicale de gros sesse dans ce cas Une simple sur veillance chographique est recom mand e Concernant 1 rougeole il est rap pel que 2 doses de vaccin vaccin trivalent rougeole oreillons rub ole ROR sont recommand es pour tous les sujets n s apr s 1980 Il s agit d un vaccin vivant att nu qui est contre indiqu pendant la grossesse Il n y a pas de cas d em bryo f topathie d crit en cas de vaccination accidentelle en cours de grossesse En cas de contage rou geoleux les femmes enceintes non immunis es peuvent recevoir des IgG polyvalentes dans les 6 jours noter par ailleurs qu une dose de vaccin ROR est recommand e pour les professionnels de sant et de la petite enfance n s avant 1980 non vaccin s et sans ant c dents connus de rougeole ou de rub ole Concernant la varicelle des Ig poly valentes peuvent tre indiqu es en cas de contage chez une femme enceinte non immuni
263. galement de rappeler que l ArTr comporte un aspect d l t re puisqu il isole appauvrit peut signifier l inutilit et qu en cas de d pression il constitue aussi un facteur aggravant En sociologie un concept admis est que notre discours est li notre position Les m decins du travail les employeurs les repr sentants du personnel les managers ou les SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 97 SUIVI POUR VOUS responsables des services de res sources humaines tiennent donc des positions diff rentes Les salari s fran ais ont tendance sous estimer leur nombre de jours dArTr annuels C est un biais col lectif renforc par un sentiment de m fiance vis vis du jugement des coll gues Les professionnels de sant au travail rapportent un manque d coute de la part des employeurs qui estiment fr quemment que le m decin du travail l infirmi re le psychologue ou l assistante so ciale est dans l exag ration Pour les services des ressources humaines le nombre d ArTr d acci dents du travail et de maladies professionnelles r sulte principa lement de la pression et du stress subis par les salari s qui seraient li s une politique manag riale inadapt e parfois cons quente au manque de formation du personnel encadrant Pour l encadrement l absent isme rel ve de la responsabilit des res sources humaines mais est aussi v cu comme une fatalit
264. ge pr coce des d terminants psy chosociaux notamment ceux li s aux relations sociales l organi sation du travail et au contenu de la t che ainsi que l am lioration de l accessibilit des pr venteurs l arsenal relationnel technique et r glementaire d intervention devraient donner des marges de man uvre op rationnelles en amont de la d cision Ainsi l inap titude d un salari singulier pour souffrance morale au poste de travail doit attirer l attention sur les risques psychosociaux organi sationnels qui continuent peser sur d autres salari s de l entreprise et justifier la mise en ceuvre d un plan de pr vention 15 Remerciements Les auteurs remercient pour leur participation l tude les docteurs Aicardi F Bailet M Blanc Cascio F Bourret D Cougnot C Gautrand D Guyomard A Joret JP Mathiasin R Monville A M Orst I Paidassi E Rarivoson E Remy POINTS RETENIR o Une d marche r flexive r cursive revenant sur les conditions empiriques ayant abouti l inaptitude est utile pour tirer des le ons permettant de renforcer les pratiques pr ventives o En amont de l inaptitude un rep rage pr coce des d terminants psychosociaux largi aux multiexpositions d autres risques devrait tre pratiqu o Le rep rage pr coce des d terminants li s aux relations sociales l organisation du travail et au contenu de la t che devrait offrir des marges d interven
265. gie Plusieurs auteurs ont mis en vidence la pr sence d ADN de HPV dans les fum es laser La pr sence de fragments de papillomavirus hu main ayant conserv leur pouvoir infectieux dans les fum es laser de l sions HPV est fortement suspec t e Plusieurs auteurs et organismes de pr vention consid rent donc que les fum es laser pr sentent un risque de contamination pour les soignants Bien que pouvant appara tre peu important ce risque ne doit pas tre n glig en raison des cons quences d une atteinte respiratoire papillo mavirus Deux cas d infection HPV au niveau laryng chez le personnel de sant possiblement d origine professionnelle d crits dans la litt rature doivent alerter Pour les personnels de sant les fum es des traitements laser des l sions g nitales sont les plus risque du fait de l aptitude des principaux types de HPV infectant les voies g nitales infecter galement les voies respiratoires Lexposition aux fum es laser lors du traitement de l sions laryng es est consid r e par les auteurs comme tant moins risque du fait de la technique op ratoire et d une charge virale moins lev e dans ces l sions Pour la pr vention de ces risques professionnels les acteurs de pr vention en sant au travail doivent envisager la mise en place de pro grammes de pr vention de forma tion et d information au sein des h pitaux Il est propos de nommer des
266. group es Cinq facteurs sont mis en vidence sur 42items mais l un de ces cing facteurs est finalement scind entrois soit huit facteurs au total Folkman et Lazarus 1985 Suivant la m me d marche 75 couples mari s quiont compl t la WCC s par ment et cinq reprises plusieurs analyses en composantes principales avec rotation oblique ont t r alis es sur les donn es regroup es Huit facteurs sont mis en vidence sur 5o items repr sentant 46 2 dela variance totale Folkman et al 1986 Vitaliano et al 1985 ont galement proc d une tude dela validit de structure interne du WCC partir de la version originale de Folkman et Lazarus 1980 sur un chantillon de 425 tudiants l analyse en composantes principales a r v l six facteurs et 46 items ont t retenus dans un premier temps Puis sur la base de l analyse du contenu des facteurs le facteur 2 a t scind en deux sous chelles le facteur 5 et le facteur 6 ont t limin s car le facteur ne repr sentait que 4 dela variance totale et les items du facteur 6 saturaient aussi significativement le facteur 1 la version courte finale du WCC contient 42 items r partis en cing sous chelles Vitaliano et al 1985 La version francaise 42 items issue dela traduction de la version de Vitaliano et al 1985 a t soumise une premi re analyse en composantes principales afin de v rifier que les items contri
267. happement diesel pour 46 d entre eux l exposition au gaz d chappement diesel est consid r e comme importante Champ salari s France m tropolitaine et R union Source DARES DGT DGAFP enqu te SUMER 2010 12 Soit en France m tropolitaine les salari s du secteur concur rentiel et des h pitaux publics hors particuliers employeurs ment plus complexe la protection tant collective qu individuelle Les canc rog nes de ce groupe sont les fum es d gag es parles proc d s de la m tallurgie et l lectro m tallurgie les poussi res de bois les goudrons de houille et d riv s bitume et brais de p trole les gaz d chappement diesel le nickel et d riv s et la silice cristalline Ce Proportion de Nombre d exposition scores sup de salari s pour 1 000 rieurs 1 pour les Groupe expos s salari s salari s expos s de produits 798 000 37 46 2 537 500 25 37 interm diaire 369 600 17 48 2 294 900 14 38 2 139 400 7 23 interm diaire 115 300 5 27 interm diaire 111 000 5 47 2 106 400 5 26 interm diaire 96 100 4 31 interm diaire 93 200 4 39 2 81 400 4 17 d 79000 4 28 interm diaire 72 100 3 69 2 66 200 3 23 interm diaire 64 200 3 7 1 62 800 3 36 interm diaire 49 400 2 18 d 39 700 2 21 interm diaire 38 800 2 17 1 36 900 2 18 1 30 300 1 25 interm diaire 29 800 1 27 interm diaire 24 500 1 35 interm diaire 16 200 1 36 interm diaire 8 200 0 ns groupe de produits conc
268. humaines sont quasi inexistantes C est le cas notamment pour les 3 substances que votre salari e utilise La recherche de donn es biblio graphiques dans diff rentes bases de donn es n a pas permis de trouver d tude valuant les risques vis vis de la reproduction concernant ces 3 huiles ni de donn e rapportant des effets chez l homme Par ailleurs toutes ces huiles sont extraites par des proc d s aqueux entrainement la vapeur d eau expression froid Aussi en plus de leur caract re 150 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 lipophile ces produits pr sentent galement une ten dance hydrophile ce qui laisse envisager un passage transcutan Vous vous retrouvez donc dans le cas d une sa lari e enceinte se servant de substances pour les quelles il n existe pas de donn e vis vis de leur reprotoxicit tandis que les conditions d utilisation entra nent probablement une absorption par voie cutan e voire par inhalation Par pr caution il est prudent d viter l exposi tion notamment pendant les 3 premiers mois de la grossesse Les huiles essentielles ne doivent pas tre consid r es comme des ingr dients courants mais comme des substances particuli res non d nu es d effets secondaires 2 L utilisation de gants fins en nitrile lors des soins sous r serve qu elle soit techniquement possible et adapt e aux substances peut viter le contact cutan avec
269. i res de bois 3 et la silice cristalline 2 96 Certains domaines profession nels majoritairement f minins sont galement concern s par les expositions aux canc rog nes chimiques 6 6 des salari s des domaines sant action sociale et services aux particuliers et aux collectivit s sont expos s Les femmes sont plus expos es que les hommes aux cytosta tiques produits utilis s dans les traitements par chimioth rapie et dans une moindre mesure au formald hyde et aux amines aro matiques Les salari s des petits tablisse ments moins de 10 salari s sont plus fortement expos s au moins un produit chimique canc rog ne 13 6 contre 8 dans les tablisse ments de 500 salari s et plus Les politiques formalis es de pr ven tion sont moins d velopp es dans les petites unit s 8 ainsi dans les petits tablissements il n existe pas de protection collective pour 44 des situations d exposition un produit chimique canc rog ne contre 25 dans les tr s grands tablissements LA MULTI EXPOSITION CONCENTR E DANS LES DOMAINES DE LA MAINTE NANCE ET DU BTP Un pour cent des salari s a t expos au moins trois pro duits canc rog nes lors de la der ni re semaine travaill e avant l enqu te La multi exposition concerne en premier lieu les sala ri s des domaines de la mainte nance 8 d expos s et du BTP 5 96 les ouvriers qualifi s 4 et tr s ma
270. i s au laser Gestion des incidents et des accidents y compris le signalement les enqu tes les analyses et les mesures de correction Formation et instruction du personnel charg de l utilisation et de l entretien des lasers Constitution d un comit sur la s curit des lasers tablissement d un programme d assurance qualit y compris l inspection r guli re des appareils au laser Syst me de jumelage compagnonnage durant les travaux d entretien pour assurer la fourniture des premiers soins et l appel l aide en cas de blessures ou d accident Examen de la vue intervalles r guliers Mesures d ing ni rie Ventilation par aspiration la source M thodes de s curit int gr e i e commandes automatiques d obturation pour prot ger les yeux de l utilisateur du faisceau laser r fl chi M canisme de verrouillage et clef de commande pour interdire toute mise en marche non autoris e du laser Suppression des surfaces r fl chissantes pr sentes dans la pi ce Couvre fen tre pour absorber le faisceau laser diffus Verrouillages int gr s aux panneaux d acc s et obturation automatique pour prot ger le personnel charg de l entretien Verrous de s curit ou verrouillage des commandes pour interdire tout acc s non autoris la zone des lasers sous surveillance Protection individuelle Protection oculaire appropri e Appareil de protection respiratoire ad quat
271. idents et blessures combin es tait plus faible que celui de la population g n rale Chez les hommes le nombre de d c s par blessure par des machines tait plus lev que dans la population g n rale Health and Safety Executive HSE PO Box 1999 Sudbury Suffolk CO10 2WA Royaume Uni 2013 59 p www hse gov uk FROST G BROWN T The pesticide users health study An analysis of cancer incidence 1987 2004 Enqu te sur la sant des utilisateurs de pesticides Analyse de l incidence des cancers 1987 2004 Research Report 956 En anglais Le registre PUHS Pesticide Users Health Study a t exploit pour tudier la sant des utilisateurs britanniques de pesticides ayant obtenu un certificat d pandage SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 169 LIRE VOIR selon la r glementation sur le Contr le des Pesticides Control of Pesticides Regulations CORP 1986 Ce rapport pr sente les donn es sur l incidence des cancers chez les agriculteurs inscrits ce registre entre 1987 et 2004 Durant cette p riode parmi les 62 960 inscrits 1720 cas de cancers ont t enregistr s L incidence des cancers tait plus faible par rapport la population g n rale Les incidences des cancers de la l vre de la cavit buccale et du pharynx des appareils digestif et respiratoire et les cancers du syst me urinaire taient nettement inf rieures au
272. ifi et ou de moyens disposition pour le r aliser et en acc s direct d absence de relais et de soutien ext rieur Dans cette situation l hospitalisa tion est n cessaire Elle peut tre impos e sans consentement du pa tient l objectif tant de prot ger sa vie Un contact t l phonique avec le Service d aide m dicale urgente SAMU permet d organiser cette hospitalisation Dans ce contexte d urgence un traitement m dicamenteux symp tomatique anxiolytique et ou s datif peut tre initi par le m de cin du travail en cas de souffrance majeure d agitation irr pressible pour permettre la poursuite d une prise en charge ad quate 4 ASSURER UN SUIVI ET UNE VALUATION Lesuivid unsalari pourlequelune conduite suicidaire a t rep r e n cessite une vigilance toute parti culi re du m decin du travail Il est n cessaire d organiser des entre tiens r guliers pour voir l volution de l agent et de faire le lien avec les autres m decins intervenants m decin traitant psychiatre En cas de besoin un appel au SAMU pour avis du m decin r gulateur peut tre pr cieux Les appels au SAMU sont enregistr s ce qui permettra 51 n cessaire au m decin de prou ver toutes les d marches quil a pu faire pour le salari De m me il est souvent utile de s assurer du relais par les intervenants sociaux qui ont pu tre sollicit s assistante sociale de l entreprise du service de sant
273. igestives sup rieures Lett Infectiologue 2009 29 1 19 27 7 H e G M reau P DORNIER G SERVENT JP ET AL Les lasers Le point des connais sances sur 2 dition dition INRS ED 5009 Paris INRS 2004 4 p 8 Derrick JL Li PTY Tanc SPY CD Protecting staff against airbone viral particles in vivo efficiency of laser masks J Hosp Infect 2006 64 3 278 81 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 133 OUTILS REP RES p 135 RISQUES PSYCHOSOCIAUX p 145 VOS QUESTIONS NOS R PONSES N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Risques psychosociaux outils d valuation Ways of Coping Checklist WCC CAT GORIE STRAT GIES D ADAPTATION AU STRESS R DACTEURS Langevin V d partement Expertise et conseil technique INRS Boini S d partement pid miologie en entreprise INRS Francois M d partement Homme au travail INRS Riou A d partement Expertise et conseil technique INRS FRPS 33 Ce document appartient une s rie publi e r guli rement dans la revue Elle analyse les questionnaires utilis s dans les d marches de diagnostic et de pr vention du stress et des risques psychosociaux au travail L article par les m mes auteurs Les questionnaires dans la d marche de pr vention du stress au travail TC 134 Doc M d Trav 2011 125 23 35 pr sente cette s rie et pr
274. ignes haute tension et ont retrouv une augmentation de sympt mes subjectifs non sp ci fiques tels que c phal es irritabi lit troubles de la concentration et du sommeil fatigue 17 Ces r sul tats n ont toutefois pas t confir m s par d autres tudes similaires r alis es en Europe au Canada et aux tats Unis 1 Dans la gamme des radiofr quences des tudes ont t r alis es sur la pr valence des sympt mes subjectifs chez des utilisateurs de t l phonie mobile Globalement ces tudes indiquent une augmentation des sympt mes subjectifs sensations de chaleur au niveau de l oreille ou de la face c phal es inconfort vertiges difficul t s de concentration fatigue avec l augmentation du temps d appel et du nombre d appels par jour 18 20 Ces sympt mes ont t mis en relation avec le d bit d absorp tion sp cifique et expliqu s hypo th tiquement par une stimulation 18 21 D autres tudes r alis es en France aupr s de personnes r si dant proximit de stations de base 20 ne permettent pas de condure une relation entre sympt mes ressentis et exposition aux champs Beaucoup d tudes de provocation en double aveugle ont galement t r alis es notamment en Su de et en Norv ge chez des travailleurs sur cran pr sentant des troubles dermatologiques Les travailleurs interrog s n ont pas t capables de dire sil appareilincrimin tait allu m ou
275. il apr s un d lai de carence de 3 jours vailleurs salari s temps partiel et absents de leur domicile lors du passage du contr leur les 40 de cas restants corres pondent des travailleurs sans adresse postale propre domicili s chez d autres personnes et dont les arr ts sont prolong s par des m decins diff rents Au cours de cette tude les m de cins conseils de la MSA ont gale ment examin 1000 assur s en ArTr dorigine professionnelle ou non Les b n ficiaires d ArTr de courte dur e moins de 15 jours et ou difficilement transportables ont t exclus de cette proc dure d exa men Les sujets examin s g s de 16 plus de 55 ans taient compos s de 54 6 d hommes et la r partition des hommes et des femmes par tranche d ge tait uniforme Ouel que soit le secteur professionnel les travailleurs arr t s d claraient avoir une activit principalement physique 70 des sujets Les pathologies mises en cause lors de ces ArTr taient principalement repr sent es par les troubles mus culosquelettiques 38 6 96 Des diff rences ont t observ es entre les hommes et les femmes notamment une plus grande proportion de femmes exercant une activit s dentaire e une fr quence plus importante d arr ts maladie d origine profes sionnelle chez les hommes une pr dominance des prescrip tions d arr ts pour des pathologies de type tumoral et psychologique
276. illance s rologique se fait d s le d but de la grossesse en l absence de r sultats crits fai sant consid rer l immunit comme acquise Si cette premi re s rologie est n gative un suivi mensuel est mis en place durant toute la gros sesse et dans les jours qui suivent l accouchement Cette surveillance s rologique s ac compagne de conseils d hygiene et alimentaires SYPHILIS La d tection se fait en d but de grossesse 1 trimestre existe un traitement tr s efficace pour la femme et pour l enfant Tr s peu de cas de syphilis cong nitales sont observ s en France 20 cas entre 2004 et 2007 ils sont essentielle ment li s la pr carit migrants gens du voyage D PISTAGES NON OBLIGATOIRES MAIS PROPOSER DE FACON SYST MATIQUE VIRUS DE L IMMUNOD FICIENCE HUMAINE VIH Ce d pistage n est pas obligatoire et n cessite le consentement de la m re Le test doit tre propos en d but de grossesse avant la 10 SA car une prise en charge pr coce des femmes s ropositives permet de r duire la transmission de la m re l enfant La prise en charge est assur e par une quipe sp ciali s e Le d pistage et le traitement par antir troviraux ont permis de faire diminuer le taux de trans mission m re enfant STREPTOCOQUE DU GROUPE B Ce d pistage par pr l vement vagi nal est recommand entre la 35 et la 38 SA En effet l infection tar dive de la m re a un impact sur
277. in tien dans l emploi Ce sont des mo dules de remobilisation envisag s en concertation avec le m decin du travail le m decin conseil et le tra vailleur social Pendant sa p riode d arr t la personne peut se former 8 semaines sur un nouveau projet professionnel 106 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 SUIVI POUR VOUS Pr vention des infections transmises de la m re l enfant 18 colloque sur le Contr le pid miologique des maladies infectieuses Paris 15 Mars 2013 AUTEURS Certaines maladies infectieuses peuvent avoir un retentissement sur le d roulement de la grossesse Leur pr vention ou leur prise en charge pendant cette p riode pr sente quelques particularit s qui doivent tre connues des professionnels de la sant au travail Risque biologique Grossesse Femme enceinte D pistage Vaccination e th me de ce dix hui ti me colloque sur le Contr le pi d miologique des maladies infec tieuses CEMI tait la pr vention des infections transmises de la m re l enfant Organis e sous forme de sessions la journ e a abord des th mes tels que l pid miologie et la physiopa thologie de certaines infections les th rapeutiques anti infectieuses et grossesse les infections chez la femme enceinte et les infections du nouveau n Cet article rapporte uniquement certaines des probl matiques qui peuvent tre rencon tr es
278. inaire pour un probl me multifactoriel Revue de la litt rature Eur Rev Appl Psychol 2005 55 1 51 67 2 815588 C LAURENT P CABARET P C ET AL G n ralit s sur les rayonnements non ionisants jusqu 300 GHz Champs lectromagn tiques dition INRS ED 4201 Paris INRS 2005 4 3 Size R C GRUET P Becker M ET AL Exposition des travailleurs aux risques dus aux champs lectromagn tiques Guide d valuation des risques dition INRS ED 6136 Paris INRS 2013 33 p 4 S ze R MO Mansour E M REAU P ET AL Effets biom dicaux des champs lectromagn tiques et m decine du travail Nimes 27 28 septembre 1997 Notes de congr s TD 88 Doc M d Trav 1998 73 47 53 abandonn 5 M reau P DORNIER HzRRAUIT J ET AL Champs et ondes lectromagn tiques 0Hz 300 GHz 2 dition Le Point des connaissances POINTS RETENIR o Les champs lectromagn tiques sont ubiquitaires en milieu professionnel et doivent faire l objet d une valuation o l hypersensibilit lectromagn tique syndrome analogue celui des sensibilit s chimiques multiples s int gre dans le cadre de l intol rance environnementale idiopathique o Aucune tude n a permis de montrer un lien formel entre l exposition aux champs lectromagn tiques et l apparition des sympt mes chez les personnes hypersensibles oll n existe pas
279. inapti tude du salari au poste de travail que seul le m decin du travail peut constater L avis m dical d aptitude ou d inaptitude d finitif doit en outre mentionner les d lais SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 177 JURIDIQUE Textes officiels relatifs la sant et la s curit au travail parus du 1 avril au 15 juillet 2013 et voies de recours devant l inspecteur du travail en cas de contestation de cet avis m dical par le salari ou l em ployeur Ce mod le de fiche est un mod le commun aux services de sant au travail du r gime g n ral et ceux du r gime agricole RISQUES CHIMIQUES ET BIOLOGIQUES RISQUE CHIMIQUE AMIANTE D cret n 2013 365 du 29 avril 2013 relatif au suivi m dical post professionnel des agents dela Fonction publique territoriale expos s l amiante Minist re charg de l Int rieur Journal officiel du 2 mai 2013 www legifrance gouv fr 2 p Ce d cret met en place un suivi m dical post profes sionnel au profit des agents de la Fonction publique ter ritoriale ayant t expos s l amiante au cours de leur activit professionnelle Sont concern es d une part les activit s ayant donn lieu fabrication et transforma tion de mat riaux contenant de l amiante et d autre part les travaux de retrait ou d encapsulage d amiante et de mat riaux d quipements et de mat riels ou d ar ticles en contenant y compris dans les cas de
280. inarit et visant rendre plus efficaces les actions de pr vention des risques professionnels men es en entreprise par les divers acteurs en sant et s curit au travail Les pages qui suivent pr sentent de facon succincte l offre de formation de l INRS propos e aux profes sionnels de sant au travail Elle est class e en quatre rubriques organisation et management de la pr vention d marche m thodes outils risques sp cifiques secteurs sp cifiques Certains stages sont sp cifiques aux m decins du travail code stage BB et plus largement aux infirmier re s et aux IPRP des services de sant au travail code stages BI d autres s adressent tous les pr venteurs en entreprise y compris m decins du travail codes stages JJ et CJ et des responsables de services de sant au travail code stage RR d autres encore sont propos s aux agents des services pr ven tion des caisses de S curit sociale et aux m decins du travail code stage AB SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 159 AGENDA FORMATIONS Les formations propos es aux m decins des services de sant au travail s inscrivent dans le cadre d un perfectionnement m dico technique Elles visent d velop per les capacit s des participants utiliser les m thodes de d tec tion et d valuation des risques en entreprise appr cier l efficacit des moyens de pr vention
281. inrs fr Enqu te sur l int r t la mise en place d une formation INRS Allergies professionnelles destination des membres des services de sant au travail L INRS va proposer une formation concernant les allergies professionnelles pour les intervenants des quipes de sant au travail m decins infirmier e s intervenants en pr vention des risques profession nels IPRP Nous souhaitons recueillir vos attentes et votre exp rience en ce domaine en remplissant le questionnaire ci dessous et en le retournant avant le 31 d cembre 2013 l adresse suivante INRS d partement pid miologie en entreprise 1rue du Morvan CS 60027 54519 Vand uvre l s Nancy cedex Vous pouvez galement r pondre en vous connectant l adresse Internet suivante https enquetes inrs fr allpro form allpro accueil htm L INRS vous remercie par avance du temps que vous voudrez bien consacrer cette enqu te Renseignements g n raux Fonction au sein du service de sant au travail SST M decin dutravail L Infirmier re en sant au travail IST U IPRP L Assistant e Avez vous en charge des entreprises un risque d allergie professionnelle est identifi oui U Si dans quel s secteur s d activit L Agriculture sylviculture et p che 1 Industrie manufacturi re industries extractives et autres LL Construction L Commerce de gros et de d tail transports h bergement et res
282. ins e le groupe des cardiologues lorsque l activit cardiologie intervention nelle a t coch e e le groupe des chirurgiens lorsque l activit chirurgie radioexpos e a t coch e 9 le groupe autres expos s qui regroupe les expos s n ayant coch ni l activit cardiologie interven tionnelle ni l activit chirurgie radioexpos e quasi exclusivement compos de radiologues Plusieurs variables ont t cod es Concernant le cursus professionnel relatif l exposition aux rayonne ments ionisants 2 param tres ont t pris en compte la dur e totale d exposition au cours de la carri re en tenant compte des ventuelles interrup tions le nombre total de vacations au cours de la carri re entrainant une exposition Concernant la quantification de l exposition r sultant de l acti vit au moment de l tude les informations du questionnaire ont permis de d finir des indices d exposition hebdomadaire et des indices d exposition cumul e sur l ensemble de la p riode pendant laquelle l activit demeure iden tique Trois indices ont t ainsi d expositions d finis calcul s partir des actes les plus fr quents ou les plus expo sants d crits et affect s d un fac teur de correction pour tendre les actes d taill s aux actes r alis s la dur e hebdomadaire de pr sence des mains dans le faisceau en minutes semaine valu e par les
283. ion de d endocrinologie sous le contr le du m decin du travail la transparence HAS 2005 www has sante fr portail Un des points devant tre abord est la pr vention et la upload docs application pdf cto32364 pdf conduite tenir vis vis des accidents d exposition au sang Aspect pr ventif La survenue d une hypoglyc mie doit rester un v R f rences en Sant au Travail www rst sante travail fr rst nement rare et exceptionnel Aussi lors des examens header sujets az parindex html recherchelndexAZ sauveteur m dicaux il est n cessaire de s assurer que le salari secouristedu travail SAUVETEUR SECOURISTE DU connaisse les signes d hypoglyc mie faim troubles vi TRAVAIL suels troubles sensitifs troubles moteurs et sache r a Hache P Dulieu R Deluz D Cassan P et al Sauvetage gir promptement avec notamment un resucrage per os secourisme du travail rep res l usage du m decin du travail De m me afin de pr venir le risque d hypoglyc mie Pratiques et m tiers TM 23 R f Sant Trav 2012 130 87 99 il convient d valuer la sollicitation physique du poste de O Ferreira M Le sauvetage secourisme du travail Droit en travail et de pr voir des pauses pour les collations et ou pratique Trav S cur 2012 733 42 44 les contr les glyc miques SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 149 VOS QUE NOS R PONSES Massages professionne
284. ique que le pr c dent Il est accessible gratui tement par un lien direct situ au niveau de la page d accueil du site principal ou l adresse suivante www dechets radioactifs com Ce site s organise autour de 4 grandes rubriques qui font le point sur la radioactivit en g n ral et ses uti lisations les d chets radioactifs et leurs risques les solutions de ges tion et les enjeux des progr s r ali 865 dans ce domaine La page d ac cueil du site propose galement l acc s des vid os animations et dossiers dans une section intitu l e m diath que De m me la section kit enseignant offre la possibilit de faire le point de ses connaissances et de s exercer par l interm diaire de dossiers et d ani mations organis s en modules en lien avec les programmes officiels d enseignement scolaire de niveau secondaire gt IRSN Il est accessible l adresse sui vante www irsn fr Un dossier d information sur la gestion des d chets radioactifs est accessible par un lien direct situ au niveau de la page d accueil et intitul Ia gestion des d chets radioactifs Ce dossier est divis en 4 parties intitul es e Que savoir sur les d chets ra dioactifs 9 Quelle gestion pour les d chets vie longue e Le stockage en couche g ologique profonde l international e Le stockage en couche g ologique profonde en France gt ESPACE JEUNES DU SITE EDF Ce site propose des
285. ire un N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 sentiment de d saffection envers le travail Par ailleurs les modalit s de pro duction changeant tr s fr quem ment un taux important de pi ces de carrosserie d fectueuses est ob serv Paradoxalement il est inter dit aux op rateurs d intervenir sur les l ments de programmation des presses alors m me qu ils d tectent les d fauts et qu ils savent en corriger l origine Cette qualit d faillante a une incidence sur la charge de travail r elle des op rateurs Chaque poste comporte une charge de travail th orique et prescrite X pi ces l heure Mais en situation r elle la charge de tra vail volue en fonction du taux de non qualit et des interventions n cessaires pour corriger chaque pi ce Pour faire face ce surcro t de charge de travail les op rateurs sont contraints de se h ter et de prendre plus de risques au d tri ment de leur sant L analyse sta tistique portant sur ces proc d s de travail met en vidence une corr lation entre la non qualit la sortie des presses et l absent isme partir d un tel diagnostic il est possible de proposer aux acteurs de l entreprise des pistes concr tes d am lioration pour pr venir l ab sent isme La remise en cause de la polyvalence des salari s obser v e dans cette entreprise n ces site notamment d tre discut e ARR TS DE TRAVAIL EN EUROP
286. irmi res rapportent plus mais de nombreux l ments les facteurs d finis comme souvent des horaires d cal s sont ais ment d clinables une constitutifs de la p nibilit au ou irr guliers devoir traiter organisation financi re une travail ce titre il est demand trop vite une op ration qui soci t de service un service aux entreprises de conduire demanderait davantage de soin public une collectivit locale un diagnostic des situations et des contraintes physiques un service de sant Un premier de travail et de d tecter celles marqu es par rapport aux chapitre aborde la notion de risque qui sont caract ris es par femmes de l chantillon Evrest travers son histoire sa culture les facteurs de p nibilit Cet elles b n ficient en revanche plus ses enjeux et sa repr sentation ouvrage propose une analyse souvent d une entraide suffisante par l environnement soci tal de la probl matique dans son et consid rent que leur m tier leur Le second chapitre pr sente des ensemble des diff rentes facettes permet d apprendre Les aides outils et m thodes sollicit s dans de la p nibilit et de l volution de soignantes pr sentent plus que le cadre de l analyse de situations la sant au travail la n gociation les autres femmes des douleurs et de projets risques Les deux en entreprise en vue de la mise ost o articulaires g nantes dans derniers chapitres d crivent le en place d un plan d actions en le t
287. is ou francais le sexe le secteur d activit letype de contrat de travail et le temps de travail temps plein temps partiel Vets Notelaers et De Witte 2009 FID LIT e Consistance interne Pour les chelles portant sur les caract ristiques du travail les coef ficients alpha de Cronbach varient entre 0 69 et 0 94 Pour les chelles portant sur les cons quences ces coefficients varient entre 0 75 et 0 95 Vets Notelaers et De Witte 2009 Pour les donn es sp cifiquement francaises de la base de donn es belge les auteurs indiquent que les coefficients alpha sont pour la plupart des chelles sup rieurs 0 80 Seules quatre chelles charge motionnelle plaisir au travail implication dans l organisation rumination pr sentent des coef ficients alpha inf rieurs 80 mais toujours sup rieurs 0 65 La consistance interne des chelles du VT est donc satisfaisante Sensibilit La dispersion des r ponses aux 27 chelles est indiqu e d une part par des histogrammes et d autre part par des boites moustaches La sensibilit des chelles est tr s variable selon les chelles Vets Notelaers et De Witte 2009 talonnage Vets Notelaers et De Witte 2009 Dans le contexte de la loi belge de 1996 sur le bien tre au travail la DiRACT auparavant d nomm e institut national de recherche sur les conditions de travail INRCT La bo te
288. isation et au fonction nement des services m dicaux du travail en agriculture sont abrog s ARTICLE 3 Le directeur g n ral du Travail et le directeur des Affaires financi res sociales et logistiques sont char g s chacun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent arr t qui sera publi au Journal officiel de la R publique francaise Fait le 20 juin 2013 Le ministre du Travail de l Emploi de la Formation professionnelle et du Dialogue social Pour le ministre et par d l gation Le directeur g n ral du Travail J D Combrexelle Le ministre de l Agriculture de l Agroalimentaire et de la For t Pour le ministre et par d l gation Le directeur des Affaires financi res sociales et logistiques C Ligeard ANNEXE art R 4624 47 4524 49 du code du travail ou R 717 28 du code rural et de la p che maritime Fiche d aptitude m dicale kismni et Cacher du servi TE de eee Misc pour de la fiche d entreprise minva 1 1 Cone eu les ches a ail nalis a ales ar 1727 4 44 2 47 4431 2 alie coe diu tror Date de i Dic d emipmehe 32 ea A tasa ca 516158 ou emplois dans la himig de iron Let did mu RT e code a D TIT M I dis er de der per 88 22 0550 9198 85369 818186 61856 PS Ed EI Date de l tude de p
289. isques professionnels de services interentreprises de sant au travail Le Mans MicHez Farcy D partement tudes et assistance m dicales Maria GONZALEZ Service de pathologie professionnelle h pital civil de Strasbourg NATHALIE GUILLEMY D partement tudes veille et assistance documentaires Guy H DELIN D partement pid miologie en entreprise CorzrrE Le B CLE D partement tudes et assistance m dicales MAH TissoT D partement Produits d information JEAN PIERRE D partement Homme au travail CHRISTOPHE Panis Centre de consultation de pathologie professionnelle h pital Fournier Nancy MARTINE PLAWNER D partement Formation Jean Louis PoyaRD D partement Expertise et conseil technique ALAIN ROBERT D partement Polluants et sant ONT PARTICIP LA FABRICATION DE CE NUM RO ATELIER CAUSSE D pot l gal 3 trimestre 2013 N 156762 ISSN 2261 544X R F PAGE AC 57 P 5 AC 58 P 9 TO 11 P 11 TO 12 P 12 TO 13 P 13 P 16 P 20 21 P 22 23 ACTUALIT S INFOS RETENIR volutions en mati re de radioprotection et cons quences sur l acc s aux donn es dosim triques Enqu te sur l int r t de la mise en place d une formation INRS Allergies professionnelles destination des membres des services de sant au travail Arr t du 6 mai 2013 relatif aux travaux agricoles n cessitant une surveillance m dicale renforc e Arr t
290. it pour la sant des op rateurs a amen un d veloppement tech nologique important afin d assu rer une pr vention efficace Par exemple dans les op rations de d samiantage ou de pr paration des produits cytostatiques une protection individuelle vient tr s souvent compl ter la protection collective afin d assurer au mieux la pr servation de la sant des sa lari s Le nombre de cas d exposi tions ce premier groupe de pro duits est de 271 000 Le deuxi me groupe de pro duits pour lequel plus de 38 pas l exposition des salari s 2 3 parinhalation directe des 3 4 polluants 4 5 11 Dans les autres cas la non 5 5 r ponse indique sans doute que le m decin ne dispose pas de l information Encadr 6 EXPOSITION L AMIANTE Cette exposition ne concerne quasiment que des hommes tr s majoritairement ouvriers qualifi s du secteur de la construction Certains sont des professionnels du retrait de l amiante d flocage d calorifugeage D autres les plus nombreux ont une exposition ponctuelle lors de r novations de b timents lectriciens plombiers couvreurs Une nette baisse de l exposition l amiante est constat e en 2003 le nombre de salari s expos s l amiante au cours de la semaine pr c dant l enqu te tait de 107 000 en 2010 sur le m me champ cette exposition concerne 71000 personnes soit une diminution d un tiers Cette volution est li e la foi
291. ites des diff rents r seaux existants www rpcirkus org reseaux pcr Des ouvrages sp cifiquement con us dans le but de contribuer la formation des PCR ont t r ali s s par l INSTN ils sont cit s dans les chapitres Base de connais sances cf p 68 et Pour appro fondir cf p 76 de cet article CONCLUSION Du fait de la diversit des sources d informations notamment dis ponibles sur Internet la mise en place d une proc dure de recherche requiert du temps mais une fois r alis e elle permet d en gagner M me si certains sites sont consi d r s comme incontournables cette d marche reste personnelle et le choix des sources utilis es doit tre adapt la nature de l information recherch e et la personne r alisant la d marche Cette derni re n cessite gale ment d tre r guli rement adapt e l volution des connaissances et l apparition de nouvelles sources d informations dont la question de la validit devra tre syst mati quement soulev e Les sites s lec tionn s sont pour leur majorit en acc s libre sur Internet et peuvent donc tre consult s dans tous les services de sant au travail Il est important de rappeler qu une telle d marche ne peut pr tendre tre exhaustive en termes de sources d informations en sant au travail mais elle permet de cibler les sites jug s les plus pertinents En cas d absence d informations sur les sites s l
292. ivalant celui des travailleurs auxquels sont confi es ces op rations Section 5 Risque hyperbare Art R 4535 13 Les travailleurs ind pendants ainsi que les employeurs qui exercent directement une activit sur un chantier de b timent et de g nie civil sont soumis aux dispositions du titre VI du livre IV du Code du travail Le d cret du 11 janvier 2011 susvis est ainsi modifi 1 Au premier alin a de l article 6 la r f rence L 1424 4 est remplac e par la r f rence L 1424 2 2 Au premier alin a de l article 7 les mots 4461 8 R 4461 10 et R 4461 51 du pr sent d cret sont rem plac s par les mots R 4461 9 et R 4461 49 du Code du travail ARTICLE 3 La ministre des Affaires sociales et de la Sant et le ministre du Travail de l Emploi de la Formation pro fessionnelle et du Dialogue social sont charg s cha cun en ce qui le concerne de l ex cution du pr sent d cret qui sera publi au Journal officiel de la R pu blique francaise Fait le 9 juillet 2013 par le Premier ministre Jean Marc Ayrault Le ministre du Travail de l Emploi de la Formation pro fessionnelle et du Dialogue social Michel Sapin La ministre des Affaires sociales et de la Sant Marisol Touraine 14 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Abonnez vous LA REVUE TRIMESTRIELLE TECHNIQUE DE L INRS Nouvelle
293. ivil gi avec ce dernier permet de suivre les ArTr et de chercher ensemble des solutions pour le patient Lexistence d un langage commun entre tous les professionnels de sant m de cins traitants mais aussi m decins hospitaliers permet de faciliter l valuation de la dur e des ArTr En 2012 le contr le m dical des caisses normandes de la MSA a enregistr 20 500 ArTr Les m de cins conseil ont examin plus de 4 dossiers et ont convoqu pr s de 800 personnes les dossiers comportant un ArTr de plus de 45 jours sont syst matiquement examin s avec les questions sui vantes De quoi souffre le malade Que va t il devenir Quel est son SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 105 SUIVI POUR VOUS projet Que sait il de sa maladie Face certaines pathologies telles les lombosciatiques chroniques ou les troubles psychologiques des fili res d accompagnement sont mettre en place en vue de la r adap tation au travail gt LE R LE ET LES MISSIONS DU TRA VAILLEUR SOCIAL L EXEMPLE DES CAISSES BRETONNES Le conseil d administration de chaque caisse r gionale d finit sa propre politique d action sanitaire et sociale avec toutefois un socle commun d orientations nationales Dans les deux caisses bretonnes de la MSA Portes de Bretagne Ille et Vilaine Morbihan le r le du tra vailleur social s est recentr sur les salari s en activit rencontrant
294. ivit de soins risques infectieux et assimil s ainsi que l limination des pi ces anato miques Sont d crits les secteurs d activit s touch s tablissements de soins laboratoires d analyse les diff rentes mesures concernant l em ballage de ces d chets l entrepo sage le transport le pr traitement l incin ration et la tracabilit de la fili re Le suivi de toutes ces mesures permettra de limiter les risques biologiques encourus par les per sonnels intervenant tout le long de la fili re d limination des d chets infectieux R f INRS ED 918 4 dition 52 p rs Risque chimique fiche ou notice de poste Aide m moire technique La constitution de la fiche de poste d coule des r sultats de l valua tion des risques professionnels qui sont consign s dans le document unique pr vu aux articles R 4121 1 R 4121 4 du Code du travail Elle s int gre dans le processus de pr vention du risque chimique mis en place pour pr server la sant et la s curit des travailleurs Elle est un support d aide incontournable lors de la formation du nouvel arri vant au poste de travail correspon dant Les textes r glementaires d fi nissent un cadre g n ral sans fournir plus de pr cisions quant l laboration d une fiche de poste Il est cependant de la responsabi lit de l employeur d tablir un tel document dans le but de former et d informer l ensemble de ses sala
295. jor s en pr sence d autres facteurs d crits ci apr s Tout sujet est susceptible de pr senter une certaine vuln rabilit psychique en raison d v nements ant rieurs survenus souvent au cours de l enfance pertes paren tales pr coces carences affectives violence maltraitance ou s vices Cette vuln rabilit psychique est susceptible de favoriser un passage l acte suicidaire sous l influence de diff rents facteurs Le suivi de personnes expos es des v ne ments traumatiques a montr que ces situations peuvent permettre aux sujets de trouver des ressources m connues individuelles fami liales sociales professionnelles Ces facteurs de protection leur per mettent de se d gager de l impact traumatog ne de l v nement de le d passer et d acqu rir de cette dou loureuse exp rience des ressources suppl mentaires ceci correspond au processus de r silience Dans une perspective pragmatique et pr ventive Rihmer 4 a propos de classer les facteurs de risque en 3 cat gories elles m mes reprises par la conf rence de consensus consacr e la crise suicidaire 3 FACTEURS DE RISQUE PRIMAIRES Les facteurs primaires ont une valeur d alerte importante Ils sont en forte interaction les uns avec les autres et peuvent tre influenc s fortement par les th rapeutiques Ce sont e les troubles psychiatriques e les ant c dents familiaux et per sonnels de suicide et tentatives
296. joritairement des hommes 2 contre 0 2 des femmes Deux pour cent des salari s de moins de 30 ans ainsi que 2 6 des salari s des petits tablissements moins de 10 salari s sont concer n s par lexposition au moins trois produits chimiques canc ro genes tableau I La multi expo sition concerne beaucoup moins de salari s que l exposition au moins un produit canc rog ne mais ce sont les m mes cat gories de salari s qui sont les plus tou ch es A Encadr 4 gt LES PRINCIPES DE LA PR VENTION DES EXPOSITIONS AUX CANCEROGENES Conform ment aux principes g n raux de pr vention article L 4121 2 du Code du travail la pr vention des expositions aux canc rog nes passe d abord par la suppression des agents canc rog nes ou leur substitution par des produits moins dangereux En cas d impossibilit la protection doit tre de pr f rence collective la plus efficace possible afin d viter au salari tout contact avec la substance canc rog ne par voie cutan e ou respiratoire Les proc d s en vase clos l encoffrement par exemple les sorbonnes ou hottes de laboratoire la captation la source sont reconnus comme les plus adapt s D autres techniques moins efficaces peuvent galement tre mises en ceuvre comme la m canisation ou l automatisation des proc d s par exemple la pulv risation de solvants La ventilation g n rale n emp che pas l inhalation directe des polluants par
297. kman et Lazarus qui passent de deux 1980 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 137 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE STRAT GIES D ADAPTATION AU STRESS huit facteurs 1985 Paulhan et al et Cousson et al qui aboutissent deux versions fran aises dont le nombre d items et de facteurs sont diff rents Pour Folkman et Lazarus 1980 ces diff rences appuient la validit d une approchetransaction nelle du stress Scherer et al 1988 expliquent cette relative instabilit par le fait que les diff rentes tudes sont r alis es sur des chantillons diff rents tudiants malades et pour des v nements diff rents La stabilit factorielle doit tre tudi e personne situation identique Par ailleurs Aldwin et Revenson 1987 soulignent le fait que les relations causales entre strat gies d adaptation et sant mentale sont bidirectionnelles La WCC est parfois d nomm e WCQ Ways of Coping Questionnaire BIBLIOGRAPHIE a ALDWIN CM REVENSON TA Does coping help A reexamination of the relation between coping and mental health J Pers Soc Psychol 1987 53 2 337 48 a COUSSON BRUCHON SCHWEITZER M QUINTARD B NUISSIER J ET AL Analyse multidimensionnelle d une chelle de coping validation fran aise de la WCC Psychol Fr 1996 41 2 155 64 COUSSON G LI COSNEFROY CHRISTOPHE V SEGRESTAN CROUZET ET AL The Ways
298. l American National Standards Ins titute d critles m thodes de travail s curitaires respecter encadr 3 Elle recommande l tablissement d un programme de s curit des lasers pour les lieux de travail o l on se sert de lasers de classe 3B ou 4 9 Ces mesures pourraient servir de base l laboration d un pro gramme coh rent dans les h pi taux francais o le laser est utilis Apr s l tude de la litt rature et des recommandations internationales et apr s les observations faites dans diff rents services hospita liers plusieurs mesures sont pro pos es ci dessous afin d am liorer la pr vention des risques infectieux li s aux fum es laser PR VENTION ORGANISATIONNELLE Il est n cessaire d envisager la mise en place d un programme standar dis de pr vention de formation et d information concordant au sein des h pitaux afin d homog n iser la pr vention contre les risques li s aux lasers et notamment les risques infectieux li s aux fum es laser Au niveau de l tablissement il est propos de nommer un respon sable de s curit laser tablis sement et au niveau de chaque salle de traitement un responsable s curit laser salle La nature de ces deux responsables de s curit est laiss e la libre appr ciation de chaque tablissement Le res ponsable s curit tablissement pourrait par exemple tre un ing nieur biom dical et le responsable s
299. l et conomique Ainsi au cours des dernieres ann es plusieurs m thodes d valuation de l exposition aux facteurs de risque MEEFR de TMS ont t propos es par la communaut scientifique afin de soutenir les efforts de pr vention Toutefois relativement peu d information existe sur l utilisation pratique de ces diff rentes m thodes en milieu de travail Celles ci sont nombreuses ce qui complique pour le praticien le choix d une m thode appropri e au contexte de l intervention Aussi l valuation conomique d une intervention est un aspect jug strat gique par les intervenants pour encourager les entreprises pr venir les TMS Pourtant les m thodes existantes ne sont pas ou peu utilis es dans les entreprises pour proc der une telle valuation Cette tude s est d roul e sur une p riode de plus de six ans dans le secteur manufacturier et dans celui des p pini res foresti res publiques Elle visait trois objectifs principaux 1 effectuer le suivi des interventions men es en milieux de travail 2 utiliser et comparer diff rentes m thodes d valuation des facteurs de risque de TMS 3 valuer diff rents aspects conomiques associ s aux TMS et aux interventions Cette tude est la premi re comparer autant de MEEFR de TMS partir d un chantillon aussi large de situations de travail provenant d entreprises de diff rentes tailles de secteurs manufacturiers aussi vari s et
300. l influence de certains facteurs immunod pression par exemple voluer nouveau vers une reprise de la pro lif ration des cellules infect es et la formation des l sions dues au HPV La r ponse immune est essentiel lement sp cifique du type de HPV N anmoins une protection crois e est observ e pour certains HPV SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 127 MISE AU POINT 1 La charge virale est la quantit de virus pr sente dans un milieu biologique donn Face une contamination par des HPV la r ponse immunitaire in duite est tr s variable d un individu l autre en fonction de facteurs g n tiquement d termin s Cette variabilit conditionne le risque de persistance virale et le risque de survenue de tumeurs L immu nit cellulaire joue un r le majeur dans la r gression de l infection et la pr vention des r infections avec un m me type viral La r ponse hu morale pr vient l infection de nou veaux sites et les r infections par la pr sence d anticorps neutralisants Lalt ration des d fenses immuni taires cellulaires spontan e fac teurs g n tiques ou acquise ma ladies traitements augmente la persistance et la fr quence non seulement des infections HPV HR mais aussi des infections b nignes condylomes ou l sions cutan es TRANSMISSION Les papillomavirus sont essentiel lement transmis d un individu un autre par contact direct de
301. l sont r guli rement amen s prononcer des inaptitudes secondaires aux cons quences de la souffrance morale au poste de travail Il est alors pos sible d voquer la pr vention qui aurait pu viter cette sanction s il avait t possible d identifier un p rim tre de facteurs de risques critiques et de r duire celui ci en amont de linaptitude Cette d marche r flexive men e a poste riori pr sente l int r t de revenir sur les pratiques de remonter pas pas de l aval vers l amont en par tant des inaptitudes d j pronon c es pour en apprendre davantage en termes de pr vention Lobjectif de ce travail d enqu te descrip R Chakroun E Barr Association de m decine du travail des Alpes Maritimes Nice tive est double Il s agit d une part d indiquer quels sont les facteurs de risques retrouv s dans ces inap titudes et d estimer s il aurait t en la circonstance possible de les pr venir Il s agit d autre part d ins crire ces r sultats descriptifs dans une articulation entre la pratique et les mod les th oriques explica tifs du stress au travail pour leur donner un sens en termes d inter vention pr ventive M THODOLOGIE Une tude r trospective descriptive a t men e aupr s de m decins du travail volontaires Il s agissait pour chaque m decin de d crire par tir du dossier m dical des salari s les risques psychosociaux pr sents dans les deux derniers cas d inap
302. la version n er landaise du VT Elle comporte six th mes quatre pour les causes de stress en lien avec le travail les deux derniers sur les cons quences tant identiques la premi re clas sification tant donn que les informations disponibles sur les qualit s psycho m triques du VT sont pr sent es selon cette seconde structuration c est celle ci qui est d taill e page suivante cf tableau pour les deux versions int grale et courte du VT 1 version int grale 19 chelles mesurentles caract ristiques du tra vail les causes et 8 mesurent les cons quences en termes de stress bien tre et de tensions psycholo giques Au del de ses 27 chelles et de ses 201 items le VT int gral comprend galement 42 questions compl mentaires isol es SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 139 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE QUESTIONNAIRES TRANSVERSAUX VT VT Th me e Ge int gral abr g CAUSES Contenu du travail Conditions mat rielles de travail Conditions de travail Relations de travail CONS QUENCES Bien tre Tension mentale et motionnelle Diversit dans le travail 6 X X Possibilit s d apprentissage 4 X X Autonomie dans votre travail 11 X X Participation 8 X X Manque de pr cision dans le travail 5 X Changement dans les t ches 5 X Information 7 X Probl mes avec le travail 6 X Rythme et quan
303. lace de la pr vention contre les rayonnements ionisants dans l entreprise elle est nomm e directement par l em ployeur agit sous la responsabilit de l employeur et n a pas de statut particulier pr servant son ind pen N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 dance Elle a besoin d informations collectives et indi viduelles n cessaires l valuation des risques et pour analyser les r sultats des mesures de radioprotection mises en place ce jour elle peut obtenir communica tion des doses efficaces recues par les travailleurs sous une forme nominative et sur une p riode de r f rence n exc dant pas 12 mois et bien s r connait les r sultats de dosim trie op rationnelle En dehors du cas de la dosim trie interne il pourrait tre envisag que la PCR puisse avoir acc s aux r sul tats dosim triques externes qui comme d autres dosim tries physiques sonom trie par exemple ne peuvent tre assimil s des examens m dicaux rele vant du secret m dical Ceci tant cette ouverture ne peut tre raisonnable ment permise que si une r flexion tr s prochaine ment pr vue par la DGT et l ASN permet de renforcer la reconnaissance et la professionnalisation des PCR Deux approches pourraient tre tudi es ele renforcement de son ind pendance par exemple une possibilit serait que la PCR soit rattach e fonc tionnellement pour la partie surveillance dosim trique des
304. laie cutan e du radio l ment Enfin deux types d effets sont sus ceptibles d apparaitre suite une exposition des rayonnements ionisants les effets d termi nistes ou obligatoires et les effets stochastiques ou al a toires La nature les m canismes physiopathologiques la gravit et le pronostic de ces deux types d effets sont fondamentalement diff rents Les effets d terministes englobent les syndromes d irradiation aigu et les br lures radiologiques Les N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 cancers et les effets g n tiques sont de l ordre des effets stochastiques Les donn es publi es r cemment tendent montrer que les cata ractes dites radio induites pos s deraient quant elles la fois certaines sp cificit s des effets d terministes et des effets stochas tiques Les sites et ouvrages d crits dans cette partie permettent d acqu rir les notions de base fondamentales en mati re de risque radiologique gt RECHERCHE SUR INTERNET gt IRSN Il est accessible sur Internet l adresse suivante www irsn fr Les recherches et les r sultats sont en francais LIRSN est un tablissement public francais r f rence nationale en mati re de recherche et d exper tise sur les risques nucl aires et radiologiques Cet organisme a de nombreuses missions mise en place de programmes de recherche formation enseignement e
305. lasers sont galement associ s un risque plus important de retrouver des particules virales infectantes dans les fum es d gag es Il a t d montr que l utilisation du laser MISE AU POINT 2 Les classes de danger des lasers sont d finies par la norme EN 60825 1 A2 En pratique m dico chirurgicale les lasers employ s appartiennent la classe 4 laser capable de produire des r flexions diffuses dangereuses une faible puissance rendait plus probable la pr sence de virus viable dans les fum es laser Par ailleurs l utilisation d une faible intensit n cessite un temps de contact plus long et d gage plus de fum e d o une exposition plus importante des soignants L utilisation du laser avec un r glage de sa puissance optimis par rapport la nature des tissus traiter permettrait de r duire ce risque RECOMMANDATIONS EN FRANCE SUR LA PREVENTION CONTRE LES RISOUES DES FUMEES LASER Les recommandations en termes de s curit lors de l utilisation de laser labor es jusqu ce jour en France ont pour seul but de limiter les risques de br lures pour l ceil et la peau et de pr venir le risque incendie La France ne dispose pas de r gle mentation ni de recommandation officielle sur la pr vention contre les risques infectieux li s aux fum es laser contrairement aux pays de l Europe du nord et ceux du continent nord am ricain La norme ANSI 7136 1 pr par e
306. lations humaines la motivation chez les psychosociologues la motivation chez les psychologues et cogniticiens et les th ories de la motivation dans les entreprises post tayloriennes Dunod 5 rue Laromigui re 75005 Paris 2013 128 ARNAUD D Le harc lement moral dans l enseignement S vices publics Ouestions contemporaines Le harc lement moral au travail est g n ralement associ au monde de l entreprise priv e lorsque la course au profit conduit l intensification des pressions sur les salari s Pourtant il cause galement de multiples d g ts dans les services publics Cet ouvrage est un recueil de t moignages de personnels de l ducation nationale victimes de pratiques abusives et de harc lement moral L Harmattan 5 7 rue de l Ecole Polytechnique 75005 Paris 2013 170 p LEROUGE L Ed AUBERT MONPEYSSEN T BLATMAN M CALATA 1 et al Les risques psychosociaux en Europe Analyse jurisprudentielle Droit communautaire Allemagne Belgique Espagne France Italie Pays Bas Royaume Uni Su de Cet ouvrage propose d tudier les risques psychosociaux RPS sous l angle juridique et plus pr cis ment de la jurisprudence dans les principaux pays europ ens et surle plan du droit de l Union europ enne La position du droit communautaire et des syst mes allemand belge britannique espagnol francaise italien n erlandais et su dois montre les diff rentes approches
307. le ne sont pas modifi s par la grossesse mais qu en revanche il existe un exc s d hospitalisations vs 96 de pneumopathies risque relatif RR multipli par 2 ou 3 et de d c s maternels RR mul tipli par 6 O Anselem confirme ces donn es en rappelant que les risques maternels de la rougeole sont des manifestations telles que pneumopathie h patite enc pha lite aigu et panenc phalite subai gu scl rosante PESS Concernant les risques obst tricaux et f taux il n y a pas de risque t ratog ne Cependant pr cise C Charlier Woer ther il existe un exc s de fausses couches et de morts fcetales in ute ro MFIU dans les 14 jours suivant l ruption 18 6 des grossesses un exc s de pr maturit 25 vs 7 96 et enfin en cas d infection dans les 10 jours pr c dant l accouchement un risque de rougeole cong nitale plus s v re qu une rougeole post natale PESS multipli par 16 Deux modes possibles de contami nation sont identifi s pour la rou geole n onatale soit une transmis sion ant natale pendant la vir mie maternelle en cas de rougeole sur venant en fin de grossesse soit en post natal par voie a rienne L incu bation d une forme ant natale est courte 2 10 jours apr s l infection maternelle Elle est potentiellement grave il existe un sur risque de forme fulminante ainsi qu un sur risque de PESS de survenue pr coce avant l ge de 2 ans En cas d
308. les utilisent un ou plusieurs types dif f rents de filtres et d absorbeurs qui requi rent un contr le et un rem placement r gulier Les filtres usa g s doivent tre consid r s comme pr sentant un risque infectieux et doivent tre limin s de facon s cu ris e dans la fili re des d chets d ac tivit de soins risques infectieux DASRI INFORMATION ET FORMATION DES EMPLOY S Les personnes travaillant dans les salles d op ration peuvent davan tage se prot ger des fum es et adapter leurs pratiques de mani re minimiser les risques si elles connaissent les m canismes de pro duction les risques ainsi encourus et les possibilit s de se prot ger apparait important d informer sur un mode d utilisation du laser des puissances optimales lorsque cela est possible pour limiter le risque infectieux des fum es laser Le per sonnel soignant doit tre associ aux choix des protections collec tives et individuelles appropri es et form leur utilisation Comme il est recommand dans certains pays la validation d une formation sp cifique pr alable l affectation un poste exposant au laser et ses fum es pourrait tre requise MESURES DE PROTECTION INDIVIDUELLE En plus de la tenue chirurgicale blouse gants coiffe le personnel m dical doit porter des protections oculaires adapt es au type de laser utilis ainsi qu une protection respiratoire Les masques chirurgi caux cla
309. les autres personnels n avaient pas de risque d asthme plus lev de facon statistiquement significa tive que le personnel administratif respectivement 2 38 IC 95 0 48 11 85 OR 1 52 IC 95 0 29 8 07 En analyse multivari e le risque d asthme diagnostiqu par un m decin en cas d exposition aux AO tait multipli par 8 par rapport aux salari s non expos s IC 95 96 184 3105 Les salari s r alisant des t ches g n rales de d sinfection avaient un risque d asthme multipli par 3 Intervalle de confiance 95 1 17 8 52 et ceux r alisant des t ches de dilu tion de produits d sinfectants par 4 IC 95 134 12 00 par rapport ceux ne r alisant pas ces t ches Les salari s pr sentant un asthme ou des sympt mes au niveau du nez lors du travail n avaient pas plus souvent des IgE sp cifiques dirig es contre les AO que les sala ri s ne pr sentant pas d asthme ou de sympt mes au niveau du nez alors que c tait le cas pour les IgE dirig es contre le latex En effet 36 des 14 salari s pr sentant des N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 IgE dirig es contre le latex avaient un asthme diagnostiqu par un m decin vs 10 des 480 salari s qui n avaient pas d IgE p 0 01 De plus 21 6 des salari s pr sen tant des IgE dirig es contre le latex pr sentaient un asthme ayant d but apr s l entr e dans la vie professionnelle en milieu de soi
310. les d avoir un retentissement psychosocial en l absence d action de pr vention Le choix qui a t fait ici de l utiliser comme grille de lecture orient e vers le rep rage a posteriori dans les dossiers m dicaux de facteurs de risques pr alablement r per Positionnement des facteurs de risques en fonction de leur implication dans les inaptitudes pour souffrance morale et de leur accessibilit la pr vention 5 Relations poristes OT Organisation du travail Contenu de la tache GEL Gestion de l emploi et des comp tences CEtp Cantexte de l entreprise Een Environnement de travail implication dans F inaptitude j gu ARES 3 S ea Accessibilst A la pr vention SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 57 VU DU TERRAIN tori s par les m decins en dehors d un contexte d tude n est pas exempt de biais Ce choix a toute fois permis d offrir une base empi rique minimale d harmonisation des contributions de lensemble des m decins investigateurs Mais l avenir il s agira d utiliser a prio ri un outil de mesure valid sus ceptible d valuer la pr valence et de permettre d estimer la contribu tion explicative des diff rents fac teurs de risques dans l av nement des inaptitudes Dans ce contexte de niveau de preuves r duit l tude qui a t men e se con oit d abord comme une tude exploratoire int gr e da
311. les salari s Son effet est donc limit en tant que protection collective pour les produits canc rog nes Les protections individuelles ne peuvent elles seules tre suffisantes Elles viennent donc compl ter les autres dispositifs En effet leur utilisation n est pas syst matique parce que contraignante et n cessite des renouvellements fr quents qui ne sont pas toujours effectifs Leur mise disposition ne signifie pas qu elles soient utilis es Enfin la pr vention passe aussi par des modifications organisationnelles visant limiter les dur es d exposition et le nombre de salari s expos s et par des actions de formation qui compl tent les mesures de pr vention technique DES EXPOSITIONS DE DUR E ET OU D INTENSIT IMPORTANTES DANS 38 DES CAS Au total lenqu te recense pr s de 3 4 millions de situa tions d exposition au cours de la derniere semaine travaill e les salari s pouvant tre expos s plusieurs produits chimiques can c rog nes Dans pr s de la moiti des cas les expositions sont ponctuelles et ont dur moins de 2 heures dans la semaine pr c dant l enqu te Cependant pour 23 des exposi 7 Par exemple pour les int rimaires la protection collective est non d clar e dans 43 des situa tions d exposition contre 25 des cas pour l ensemble des salari s 8 La probabilit que les hommes soient expos s au moins un produit chimique canc ro g
312. les sont augment es la vacci nation n tant pas possible avant de 6 mois Un exc s de fausses couches de MFIU et de pr maturit est galement not Un passage de la m re l enfant avec la survenue d une grippe cong nitale est pos sible mais tr s rarement d crit En cas de contage grippe chez une femme enceinte le recours un traitement prophylactique par osel tamivir Tamiflu chez la femme enceinte est indiqu si 3crit res sont r unis contact troit m mes lieux de vie contact direct face face moins d un m tre r cent moins de 48 heures avec un cas confirm ou clinique typique de grippe La prise en charge d une grippe chez une femme enceinte peut n cessiter une confirmation biolo gique sur les s cr tions nasopha ryng es Sans en attendre les r sul tats un traitement par oseltamivir doit tre instaur le plus pr coce ment possible quels que soient la s v rit clinique le terme et la pr sence ou non d autres facteurs de risque associ des antipyr tiques et ventuellement des antibio tiques en cas de surinfection bac t rienne Un isolement respiratoire pr cautions goutelettes est n cessaire en cas d hospitalisation Pour pr venir la survenue d une grippe chez la femme enceinte certaines mesures sont indispen sables viter tout contact avec des sujets pr sentant une sympto matologie grippale le respect des mesures d hygi ne notammen
313. linique de l lectrosensi bilit a t la publication d Eltiti et al 15 Avec un questionnaire de 57 items quantifi s rempli par 3 633 t moins et 88 sujets lectro sensibles l analyse en composante principale 8 permis d obtenir une structure en 8 sous chelles neurov g tative cutan e auditive c phal es cardiorespiratoire li e au froid locomotrice et li e l allergie identique chez les t moins et chez les sujets lectrosensibles et ne dif f rant chez ces derniers que par l in tensit des sympt mes L absence de toute autre explication m dicale et un score symptomatique sup rieur un seuil d termin exp ri mentalement permet de proposer des crit res diagnostiques utiles aux tudes exp rimentales Dans une revue syst matique de la litt rature r cente 12 Baliastas et al mettent en vidence que les femmes et les personnes g es de plus de 40 ans sont plus fr quem ment atteintes Dans la majorit des tudes il s agit de sujets pr sentant une hypersensibilit au tod clar e avec des sympt mes non sp cifiques attribu s par les patients eux m mes une ou plu sieurs sources de CEM dans les 20 minutes 24 heures apr s l ex position Seul un nombre restreint d tudes s appuie sur une valuation m dicale et ou psychiatrique pour caract riser les cas LOMS reconna t depuis 2004 ces sympt mes et leurs cons quences sur la sant des patients mais i
314. ls aux huiles essentielles Existe t il des risques reprotoxiques La r ponse de Dominique Lafon d partement tudes et assistance m dicales INRS Une esth ticienne utilise des huiles essentielles pour effectuer des massages raison de 3 heures par jour Ces produits sont les suivants huile essentielle de lavande CAS 90063 37 9 huile essentielle de palmarosa CAS 91722 54 2 huile essentielle de v tiver CAS 84238 29 9 Cette salari e est actuellement enceinte Quels sont les risques reprotoxiques encourus Il existe plusieurs d finitions des huiles essen tielles Nous retiendrons celle adopt e par la Com mission de la pharmacop e europ enne Produit odorant g n ralement de composition complexe obtenu partir d une mati re premi re v g tale bota niquement d finie soit par entrainement la vapeur d eau soit par distillation s che soit par un proc d m canique appropri sans chauffage L huile essen tielle est le plus souvent s par e de la phase aqueuse par un proc d physique n entrainant pas de change ment significatif de sa composition 1 Les huiles essentielles constituent des m langes complexes de compos s organiques poss dant des structures et des fonctions chimiques tr s diverses cest notamment le cas de l huile de v tiver qui com porte plusieurs dizaines de substances tels que des hydrocarbures sesquiterp niques des alcools des ald hydes des c tones
315. luer les responsabilit s qui incombent chacun y compris au m decin dans la d finition et la mise en ceuvre de mesures de pr vention SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 Le guide EFICATT Exposition fortuite un agent infectieux et Conduite tenir en milieu de travail est accessible en ligne sur www inrs fr eficatt labor par un groupe de travail r unissant des m decins de diverses sp cialit s et pilot s par l INRS en collaboration avec le GERES il met disposition les l ments utiles l valuation du risque afin de d finir les actions entreprendre et le suivi mettre en place face une exposition professionnelle un risque infectieux onm Aca par aera infecti Agent pathogene et pathologies Que faire en cas d exposition Cas particulier du laboratoire Dinani l ments de r f rence Nouveaut s 2012 2013 Mises jour depuis 2012 ENQU TE I COURS NS eee ENQUETE Votre avis nous int resse Que vous d couvriez les fiches EFICATT aujourd hui ou que vous soyez utilisateur r gulier ou occasionnel Cela ne vous prendra que quelques minutes pour r pondre au questionnaire en ligne www inrs fr eficatt Vos r ponses permettront de faire voluer ces fiches en fonction de vos avis et de vos besoins Merci de votre participation oo gt CONTACT Dr Marie C cile BAYEUX DUNGLAS INRS D partement EAM marie cecile bayeux dunglas
316. me et l ryth me sont ensuite valu s par lecture oculaire par un technicien exp riment Le test r glementaire de maximisation chez le cobaye datant de 1969 com bine des injections dans le derme de ladjuvant complet de Freund et une exposition sous occlusion pendant 48 heures Des patchs sont ensuite appliqu s sur les flancs des animaux et l ced me et l ryth me valu s par lecture oculaire par un technicien exp riment Le test de l d me de l oreille de souris repose sur l exposition de l piderme et l utilisation d injections du compl ment complet de Freund dans l pi derme pour la phase de sensibilisa tion Lexposition de l piderme est r alis e 3 reprises surla peau abra s e del abdomen Le produit tester ou le v hicule utilis sont d pos s sur la face dorsale de chaque oreille La sensibilisation est valu e en mesurant l oed me de l oreille plus important du c t expos Le test r glementaire de stimulation locale des ganglions lymphatiques chez la souris est bien adapt pour d ter miner des seuils de sensibilisation Contrairement aux tests r alis s sur le cobaye ce test ne n cessite pas d injection dans le derme ni d adju vant Le stress des animaux est ainsi moindre Ce test a cependant cer taines limites n cessitant de pr f rer les tests classiques sur le cobaye dans certains cas par exemple cer tains m taux donnent des r sultats faussement n gatifs lor
317. me francaise homologu e NF EN ISO 9241 410 A1 Ao t 2008 Indice de classement X 35 122 410 A1 Plaine Saint Denis AFNOR 2008 107 p 6 JE Deman JB THomas N CHAKRAVARTY ET AL Postures typing strategies and gender differences in mobile device usage an observational study Appl Ergon 2012 43 2 408 12 7 Gusrarsson PW HAGBERG M Thumb postures and physical loads during mobile phone use a comparison of young adults with and without musculoskeletal symptoms J Electromyogr Kinesiol 2010 20 1 127 35 8 GusrarssoN E PW LINDEGARD HAGBERG Technique muscle activity and kinematic differences in young adults texting on mobile phones Ergonomics 2011 54 5 477 87 9 Mieux vivre avec votre cran dition INRS ED 922 Paris INRS 2004 8 p 146 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Sauveteur secouriste du travail SST et hypoglyc mie Un SST peut il injecter du glucagon un salari diab tique La r ponse de Sandy Basile d partement tudes veille et assistance documentaire INRS et Philippe Hache d partement tudes et assistance m dicales INRS Face un salari diab tique trait par insuline et en tat d hypoglyc mie avec perte de connaissance un sauveteur secouriste du travail peut il injecter du glucagon par voie sous cutan e Un des risques importants chez les suj
318. ment ou l entretien d quipements d ima gerie par r sonance magn tique IRM destin s aux soins aux patients dans le secteur de la sant ou li s la recherche dans ce domaine SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 181 infirmi re collage 800 Infirmi re soufflage Sujet cdi D EXPOSITION ntration en oxyde de di thyle ppmy Concei E L T T 3500 370 3900 400 430 4500 470 4900 5100 5300 5500 Temps s Fig 2 Expositions individuelles durant un collage ppm partie par million en volume G KERBAOL INRS EDWIGE BSIP Vous avez r alis une tude men une enqu te de terrain Vous souhaitez publier vos r sultats faire partager votre exp rience ou solliciter d autres quipes La rubrique vous est ouverte Contactez nous sur le site 0 Proposer un article G Kerbaol INRS RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS LA REVUE La revue R f rences en Sant au Travail a pour objet d apporter aux quipes des services de sant au travail des informations m di cales techniques et juridiques utiles l accomplissement de leurs missions Cette revue p riodique trimestrielle est publi e par l INRS Institut national de recherche et de s curit La r daction se r serve le droit de soumettre l article au comit de r daction de la revue ou un
319. ment significative chez les sujets pr sentant un asthme ou une rhinite professionnels par rapport aux autres sujets ce que les auteurs expliquent par la prise quotidienne de corticoth rapie La proportion de sujets ayant un NO exhal sup rieur 35 ppb tait diff rente dans les 3 groupes de facon statistiquement significative et tait la plus lev e chez les sujets pr sentant un asthme ou une rhinite professionnels 75 46 chez les atopiques et 8 chezles sujets sains Les auteurs concluent de ces r sultats que les cytokines pourraient constituer une r ponse de d fense chez les sujets atopiques ou sains et pourraient de ce fait jouer le r le de marqueurs d exposition La mesure du NO exhal pourrait tre un param tre de surveillance de l inflammation des voies a riennes 9 Les ammoniums quaternaires AQ sont utilis s tr s fr quem ment dans des produits de net toyage et de d sinfection mais leur r le dans l augmentation de l inci dence de l asthme dans le secteur de la sant ces derni res ann es n est pas clairement tabli Une tude a recherch les liens entre asthme et exposition profession nelle aux d sinfectants et plus particuli rement aux ammoniums quaternaires parmi des infirmiers aides soignants et agents de net toyage dans 7 tablissements de soins publics ou priv s Un tirage au sort stratifi sur le service a per mis d identifier 700 salari s Apr s des r unions d inform
320. mmes s arr tent moins que les femmes Un effet lin aire et croissant par rapport est constat Un individu en arr t l ann e pr c dente aura plus tendance l tre nouveau Lorsque le r gime est dot d un taux de remboursement lev 100 en Alsace Moselle les ArTr sont plus nombreux mais aussi de plus courte dur e tre b n ficiaire de la couverture m dicale univer selle a un effet n gatif sur la probabilit d avoir un ArTr souffrir d une affection de longue dur e galement Les personnes travail lant temps partiel s arr tent moins que celles temps plein Plus le salaire est lev correspondant fr quemment au niveau de res ponsabilit de l individu moins ce dernier d clare d ArTr nombre d ArTr croit avec la taille de l entre prise le secteur de l industrie tant le plus touch SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 101 SUIVI POUR VOUS Arr t de travail de l analyse la reprise La variable d partementale la plus importante est la densit de m de cins g n ralistes pour 10 000 habi tants plus celle ci est grande plus nombreux sont les ArTr Quant aux indicateurs de salaires relatifs meilleure est la position de l indi vidu par rapport son groupe de r f rence moins il est discrimin et d clare d ArTr En revanche plus le taux de gravit de l entreprise est lev plus nombreux sont les arr ts
321. motion et 0 73 pour l chelle recherche de soutien social La bonne consistance interne de la version francaise 21 items galement t retrouv e chez des patients canc reux Cousson G li et al 2010 Sensibilit Pas d information disponible talonnage e Version francaise 29 items 501 adultes salari s et tudiants 172 hommes et 329 femmes g s de 20 35 ans Pauhlan et al 1994 Pas de description des scores dans l article e Version francaise 27 items 468 adultes salari s et tudiants 221 hommes et 247 femmes g s en moyenne de 27 5 ans Cousson et 81 1996 Moyenne et cart type des scores observ s pour les trois chelles identifi es Biais critiques limites Hormis la validit de structure in terne et la consistance interne qui ont t souvent tudi es par les m mes auteurs parfois les autres propri t s psychom triques sont peu tudi es Il serait int ressant d utiliser le Coping Inventory for Stressful Si tuations CISS adapt en francais cf FRPS 29 ou m me le Brief COPE Muller et Spitz 2003 comme cri de validit concourante Observations particuli res M me si les grands types de stra t gies d ajustement sont retrouv s par les analyses en composantes principales le nombre de dimen sions ainsi que les items qui les constituent sont variables d une tude l autre et parfois m me chez les m mes auteurs Fol
322. n dique qu il n y a pas de lien formel tabli avec les champs lectroma gn tiques 16 En effet c est devant des similitudes entre les patients atteints d hypersensibilit lectro magn tique et ceux se plaignant d intol rance aux odeurs chimiques sujets SIOC que l OMS a propos de r unir sous le m me descripteur d intol rance environnementale idiopathique ces sujets pouvant pr senter la m me hypersensibilit g n ralis e et des profils sympto matiques tr s proches ne diff rant ventuellement que par quelques sympt mes li s la source d expo sition laquelle les sympt mes sont attribu s PR VALENCE Lestimation de la pr valence de l IEI lectromagn tique varie d un pays l autre probablement du fait d approches m thodologiques diff rentes 1 5 en Suede 32 en Californie 3 5 en Autriche 5 en Suisse et 13 4 Ta wan 12 Aucune estimation fiable n est actuellement disponible en France Dans l ensemble des pays euro p ens le syndrome d IEI attribu aux champs lectromagn tiques est en augmentation Une tude r alis e par Schr ttner et Leitgeb en 2008 n sur un chantillon de 1 population autrichienne retrouve en effet une volution de 2 en1994 3 5 en 2008 de sujets se d clarant intol rants aux ondes lectromagn tiques LIEI lectromagn tique prend dif f rentes formes cliniques selon les pays Dans les pays scandinaves on retrouv
323. n il est assez proche du COPSOO Copenhagen Psychosocial Questionnaire autre questionnaire d origine n erlandaise NDLR qui fera l objet d une prochaine fiche FRPS qui propose trois versions possibles version longue 141 ques tions 30 chelles version moyenne 95 questions 26 chelles version courte 44 questions 8 chelles 142 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 BIBLIOGRAPHIE a VETS C NOTELAERS DE WITTE H Analyse de la charge psychosociale du travail en Belgique r sum de 10 ans de recherche fond es sur la banque de donn es de la DiRACT Mission du service Public F d ral Emploi Travail et Concertation sociale 2009 www emploi belgique be moduleDefault aspx id 28990 VETS DE We NOTELAERS Analyse de la charge psychosociale du travail en Belgique manuel de codage des donn es de le DiRACT Mission du service Public F d ral Emploi Travail et Concertation sociale 2009 www emploi belgique be moduleDefault aspx id 28990 NOTELAERS G DE WITTE H VAN VELHOVEN M VERMUNT JK Construction and validation of the Short Inventory to Monitor Psychosocial Hazards M d Trav Ergonomie 2007 44 1 11 18 a VAN VELDHOVEN M Psychosociale arbeidsbelasting en werkstress these Doctoraal Proefschrift Rijksuniversiteit Groningen Lisse Swets amp Zeitlinger 1996 VAN VELDHOVEN MEUMAN TF Het meten van psychosociale a
324. n cas de co expositions par le biais d une surveillance biologique Objectifs de l tude Les objectifs de cette tude sont d obtenir des don n es d exposition professionnelle au DINP via la sur veillance biologique puis d estimer les doses internes journali res des salari s expos s et de les com parer avec les doses admissibles propos es par les instances europ ennes 150 pg kg j et am ricaines 120 ug kg j Secteurs concern s Lindustrie du PVC souple sont produits ou utili s s les compounds vinyliques et ou les plastisols ces applications renfermant g n ralement de 20 40 de DINP Celles ci sont destin es la plasturgie pour de nombreuses utilisations industrielles dans des domaines vari s comme les articles de loisirs la c blerie l ameublement les rev tements de sols divers l automobile les chaussures M thodologie e Dans chaque entreprise participante une quipe de l INRS r alisera des pr l vements urinaires aupr s de salari s expos s et non expos s au DINP Ces recueils auront lieu en d but et fin de poste de travail pendant 5 jours cons cutifs Trois m tabolites repr sentatifs de l exposition au DINP seront dos s le phtalate de mono 4 m thyl 7 hydroxy octyle 7OH MMeOP le phtalate de mono 4 m thyl 7 oxo octyle 70xo MMeOP et le phtalate de mono 4 m thyl 7 carboxyheptyle 7car boxy MMeHP En cas de co exposition 4 autres m tabolites d
325. n d une valuation des risques valuation par l employeur de tous les risques pour les travailleurs dus aux champs lectromagn tiques sur le lieu de tra vail et si n cessaire mesure ou calcul des niveaux des champs lectromagn tiques auxquels les travailleurs sont expos s la mise en ceuvre d un plan d action incluant des me sures techniques et organisationnelles visant emp cher le d passement des valeurs limites choix de m thodes de travail n cessitant une exposition moindre des champs lectromagn tiques choix d quipements mettant des champs lectromagn tiques moins intenses formation des travailleurs limitations de la dur e et de l intensit de l exposition disponibilit d quipements appropri s de protection individuelle mesures techniques visant r duire l mission de champs lectromagn tiques y compris lorsque c est n cessaire le recours des m ca nismes de verrouillage de blindage mesures appropri es en mati re de d limitation et d acc s l information et la formation des travailleurs infor mation notamment sur les r sultats de l valuation sur 180 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 la mesure ou les calculs des niveaux d exposition aux champs lectromagn tiques sur la mani re de d pister les effets nocifs d une exposition sur la sant et de les signaler sur les pratiques professionnelles s res permet tant de r duire les risq
326. n des pro duits de sant et des actes dans la perspective de la mission au rem boursement ainsi que l laboration de programmes de sant publique Le second axe porte sur l am liora tion de la qualit et de la s curit des soins allant dela production de recommandations de bonne pra tique l laboration de parcours de soins Larticle 53 de la loi n 2009 879 du 21 juillet 2009 a introduit une dis position pr voyant la possibilit pour l Union nationale des caisses d assurance maladie et les caisses nationales charg es de la gestion d un r gime obligatoire d assu rance maladie de consulter la HAS sur tout projet de r f rentiel de pratique m dicale labor dans le cadre de leur mission de gestion des risques La HAS a d j mis dans ce cadre 44 avis soumis par la Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salari s CNAMTS et relatifs des r f ren tiels de dur es indicatives d ArTr Ces documents se pr sentent sous la forme de fiches recto verso proposant des dur es indicatives d ArTr en fonction d une pathologie ou suite un acte avecune prise en compte du type d emploi s den taire ou physique Pour r pondre ces sollicitations la HAS r alise des revues des recom mandations pratiques cliniques fran aises et internationales sur les th mes de sant concern s et interroge les soci t s savantes gt ARR TS DE TRAVAIL ET TROUBLES MUSCULOSQUELETTIOUES CHRO
327. n s adressant au secr ta riat de la SFRP dont l adresse figure sur son site L acc s ces actes est payant et leur liste est disponible l adresse suivante www sfrp asso fr spip php articles CEA Le CEA propose sur son site l acc s des vid os portant sur diff rents sujets qui permettent d explici ter certains proc d s et activit s SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 83 PRATIQUES ET M TIERS Ainsi les th mes de la surveillance de l environnement de la mesure de la radioactivit ou encore la pr sentation des laboratoires d tudes et de fabrication de combustibles avanc s sont propos s Ces vid os en francais peuvent tre consult es gratuitement sur Internet l adresse suivante www cea fr jeunes themes dans les ru briques radioactivit et nergie nucl aire CEPN Il est accessible sur Internet l adresse suivante www cepn asso fr Le CEPN est une association but non lucratif dont l objectif est d va luer la protection de l homme contre les dangers des rayonnements ioni sants sous ses aspects techniques sanitaires conomiques et sociaux Les membres actuels de l associa tion sont au nombre de quatre l IRSN le CEA EDF et AREVA Le site propose un acc s gratuit aux dossiers communications et rapports du CEPN ainsi qu aux r sum s des articles publi s Radioprotection Cirkus Il est accessible l adresse
328. n secouriste est elle enga g e lorsqu il r alise des gestes incorrects Le geste inadapt ou incorrect d un SST provo quant une aggravation de l tat de sant de la vic time salari doit tre consid r comme un accident du travail Ainsi le salari qui a t victime d un acci dent du travail voit son dommage r par de mani re forfaitaire parla Caisse primaire d assurance maladie CPAM par le biais d une indemnisation SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 147 En raison de cette prise en charge par la CPAM le salari victime d un mauvais geste d un salari SST ne peut engager la responsabilit civile de ce dernier En effet un tel recours n est normalement pas pos sible lorsque la victime de l accident et le secouriste sont tous les deux salari s dela m me entreprise En revanche lorsque la victime n est pas salari e de l entreprise et qu elle est cliente ou visiteur de celle ci dans le cas d un supermarch par exemple l article 1384 alin a 5 du Code civil dispose les ma tres et les commettants sont responsables du dommage caus par leurs domestiques et pr pos s dans les fonctions aux quelles ils les ont employ s Cet article appliqu au monde de l entreprise signi fie que l employeur commettant est responsable des dommages caus s par ses salari s pr pos s dans les fonctions auxquelles ils les a employ s en l occurrence dans les fonctions de
329. naire pour les riverains de lignes hautes tension et trans formateurs un questionnaire pour les possesseurs de WIFI ou de t l phone portable DECT un question naire pour les riverains des stations relais de t l phonie mobile L asso ciation pour la sant environne mentale les hypersensibilit s et les allergies du Qu bec a mis en place un questionnaire sur l hy persensibilit environnementale L universit de B le en Suisse a la bor un questionnaire s adressant aux personnes qui se sont plaintes d un mauvais tat de sant li une exposition aux CEM Enfin un autoquestionnaire a t r dig par M Crasson dans le cadre d une tude r alis e par un groupe de recherche belge le BBEMG et l uni versit de Liege 13 EXAMENS COMPL MENTAIRES valuation de la variabilit du rythme cardiaque Au cours de deux tudes r alis es en 2001 Lyskov et al ont retrouv sans et avec exposition aux ondes lectromagn tiques une plus grande variabilit du rythme car diaque chez les sujets se d clarant lectrosensibles 24 25 La variabi lit du rythme cardiaque VRC est une mesure des variations de la fr quence cardiaque Elle est consi d r e comme un indicateur de l activit de r gulation autonome de la fonction circulatoire Cette mesure de variabilit du rythme cardiaque s effectue par enregis trement non invasif pendant une dur e donn e de l intervalle R R par
330. nce Si dans les PVD l espoir repose sur le d veloppement d un vaccin en France des conseils di t tiques simples peuvent suffire viter d tre expos PALUDISME D apr s M Cot Institut de re cherche pour le d veloppement Paris le paludisme chez la femme enceinte est responsable dans le monde de nombreux avortements Il n y a pas de transmission m re enfant mais pour la m re il existe un risque de d velopper un palu disme clinique voire une forme grave de type enc phalite f brile Par ailleurs les risques de fausse couche de pr maturit et de mor tinatalit sont augment s La principale recommandation est donc de reporter les voyages vers les zones risque pour les femmes enceintes En cas de d placement imp ratif il convient de diminuer au maxi mum l exposition en dormant en milieu urbain sous moustiquaire impr gn e et en utilisant des r pulsifs bien que certains n aient pas fait preuve de leur innocuit sur le f tus Le choix du traitement chimiopro phylactique s av re d licat les pro duits les plus inoffensifs tant les moins efficaces D PISTAGES OBLIGATOIRES ET RECOMMANDES D Antona InVS Saint Maurice a trait des d pistages obligatoires et recommand s lors de la gros sesse D PISTAGES SYST MATIQUES OBLIGATOIRES RUB OLE Le d pistage est obligatoire lors de la premi re consultation pr natale si est apport e une preuve crite de l mmunit
331. nce ont servi de base pour cette tude Les allergies de contact li es au chrome et l asthme professionnel li au latex ont dimi nu alors que des mesures de pr vention taient prises pour r duire ces expositions Une tendance simi laire a t observ e dans les deux r seaux en France et en Angleterre allant dans le sens d une certaine efficacit des actions de pr vention dans ces deux pays Le programme d taill et les pr sen tations des intervenants sont dispo nibles sur le site de la conf rence Allergies professionnelles www inrs allergiepro2013 fr site FR 124 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 MISE AU POINT Risques infectieux des fum es laser exemple des papillomavirus humains AUTEURS Lors du traitement par laser de l sions cutan es ou muqueuses dues des papillomavirus humains l sions HPV le personnel m dical peut tre expos par voie respiratoire ces virus par le biais des fum es chirurgicales Une revue de la litt rature et une enqu te sur les pratiques en milieu hospitalier ont conduit proposer des pistes d am lioration de la s curit des soignants expos s Risque biologique Laser Fum e Personnel soignant Milieu de soins Chirurgie S Peyrot C Le B cle d partement tudes et assistance m dicales INRS n sant au travail les fum es chirurgicales
332. ne est deux fois plus importante que celle des femmes toutes choses gales par ailleurs SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 65 VU DU TERRAIN Tableau II gt LES EXPOSITIONS AUX PRODUITS CHIMIQUES CANC ROG NES EN 2010 R partition des situations d exposition en DUR E Moins de 2 heures 46 D EXPOSITION De 2 moins de 10 heures 28 PAR SEMAINE 7 TRANCHE D GE 5 10 moins de 20 heures 8 20 heures ou plus 15 Non d clar e 3 100 INTENSIT Tr s faible 38 Faible inf rieure 50 de la VLEP 34 Forte autour de 50 de la VLEP Tr s forte pouvant d passer la VLEP Inconnue 18 100 SCORE Niveau 1 44 D EXPOSITION Niveau 2 16 Niveau 3 10 Niveau 4 8 Niveau 5 4 Inconnu 18 100 PROTECTION Aspiration la source 13 COLLECTIVE Vase clos Autre 7 Aucune 35 Non d clar e 25 Ventilation g n rale 19 100 EM PROTECTION Cutan e 43 31 DISPOSITION Oculaire 26 Aucune protection individuelle 46 d clar e VLEP valeur limite d exposition professionnelle score d exposition combinant dur e et intensit encadr 5 Le total n est pas gal 100 En effet pour une exposition donn e plusieurs types de protections individuelles peuvent tre mis disposition du salari Champ salari s expos s France m tropolitaine et R union Source DARES DGT DGAFP enqu te SUMER 2010 tions la dur e d passe 10 heures par s
333. ni re identique les produits chimiques canc rog nes ainsi les gaz d chappement diesel les huiles min rales enti res la silice syst matiquement ceux de la liste du CIRC ou de l UE des choix ont t op r s Une famille de produits chimiques est conserv e quand plusieurs produits de cette famille sont canc rog nes les expositions sont alors en partie major es C est le cas par exemple pour les huiles min rales enti res ou pour les amines aromatiques En revanche d autres familles n ont pas t retenues comme canc rog nes car l utilisation de produits canc rog nes n y est pas majoritaire Les expositions sont alors en partie minor es C est le cas par exemple pour les fongicides ou pour les pesticides Les choix retenus ont t motiv s par la volont d tablir une vision large des situations d exposition aux produits chimiques canc rog nes par construction ils ont leurs limites et peuvent tre questionn s Cependant les contours de cette analyse sont tres proches de la r alit des expositions aux produits chimiques canc rog nes dans les entreprises gt Exposition aux agents chimiques canc rogenes selon la liste choisie Nombre de situations d expositions un produit chimique canc rog ne Nombre de salari s expos s Proportion de salari s expos s aumoinsun aumoinsun produit chimique produit chimique canc rog ne canc rog ne CIRC 1 et 2A 2 142 000 9 9 3 109 000
334. ns vs 4 des salari s sans IgE dirig es contre le latex p 0 03 Dans cette tude transversale la d finition de l asthme s est faite uniquement sur questionnaire et est peu sp ci fique L tude ne distingue pas les asthmes aggrav s par le travail des asthmes professionnels Cepen dant une association positive entre exposition et risque lev d asthme est observ e que ce soit en termes de poste de t che ou d exposition aux Ceux ci ne paraissent pas avoir un fort pouvoir sensibilisant mais plut t un effet irritatif dans l apparition des sympt mes res piratoires La plupart des travail leurs expos s dans cette tude ne connaissent pas exactement la composition des produits qu ils uti lisent et particuli rement la pr sence d AQ Des formations adap t es devraient tre mises en place pour mieux les informer et les for mer leur utilisation Par exemple pour les t ches de dilution de pro duit celui ci tait trop concentr du fait de l utilisation d un contenant trop petit pour la dilution Le caract re asthmogene de cer taines amines est reconnu mais bien que les amines soient fr quem ment utilis es en milieu profession nel elles apparaissent rarement parmi les nuisances responsables d asthmes professionnels indem nis s Les tudes pid miologiques ont mis en vidence un risque plus lev d asthme chez le personnel de nettoyage par rapport d autres professions comme le p
335. ns le courant de la recherche action Ce courant applicable dans les sciences sociales depuis les travaux de Kurt Lewin 1946 cit dans 3 s adresse des r alit s sociales complexes se propose d investiguer celles ci en y indui sant un changement susceptible de produire des connaissances en vue de la r solution d un pro bl me concret 3 Le changement introduit ici consiste offrir une occasion formelle de revenir sur les inaptitudes pour souffrance morale au poste de travail pour en inf rer par un recueil syst ma tique et coll gial des facteurs de risques dont la prise en compte en amont aurait permis d en viter la survenue Les r sultats de cette premi re approche attirent ainsi latten tion sur le fait que dans les inap titudes pour souffrance morale au poste de travail de nombreux facteurs de risques psychosociaux organisationnels interagissent des fr quences lev es De plus des facteurs d environnement physico chimiques sont galement impli qu s Ces l ments plaident pour une prise en compte par les pr ven teurs des multiexpositions et pour le rejet des attitudes simplificatrices attribuant la souffrance morale au poste de travail des dispositions li es la personnalit de salari s particuliers ou des conflits inter personnels suppos s ext rieurs l organisation du travail Pour distancier encore ces attributions externes des sujets singuliers des tudes
336. nsitoire Syndrome de Raynaut arcs LT chimioth rpie C1 inhibiteur calcique a 1 1 hormonoth rap e 1 coiis Vasocomsbricteurs antscoagulant LJ b tabloguants notamment v rapamil diltiazen rif dipine n 48 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 EXPOSITION DES EXTREMITES AUX IONHISANTS ET MODIFICATIONS CAPILLAIRES d identification du patient LEI HABITUDES DE VIE Lassirsactivitiis manan les solicitant les pulpes des doigts escalade CT bricolage C jardinage Frequience d heuresisemame gt 4 hours semmire en cong s arinuels seulement Consommation ck mbac Etes vous actuellement fumeur CT eui non Nbr de cigarettes par jour Avez vous 806 furneur O mon be Depuis combien d ann e avez vous arr t de Tumer Onychophag e 1 non Mamicurie mon TELA HISTORIQUE DU CURSUS PROFESSIONNEL EXPOSANTS AUX RAYONNEMENTS IONISANTS hors radiologie conventionnelle Type d activit Fr quence de l exposition P riode etdur g Duer de vacations amaire du plus r cent au plus ancien DIN TTT DD DE el DATT IUT ell chirurgie mdio interventionnelle LLLI chirurgie C 1 TT ehimungie interventionnelle 1 1 OOO
337. nsolider ou actualiser leur connaissance de la fonction pr vention gt trois stages plus particuli rement destin s aux responsables des ressources humaines et aux mana gers qui ont int grer une politique senior dans le management et l organisation de la sant et s curit au travail de leur entreprise ou bien qui ont pilo ter des d marches de pr vention collective sur des sujets d actualit comme les pratiques addictives et les risques psychosociaux gt une formation qui s inscrit dans une dynamique d action et dans une perspective de pluridisciplina rit destination des professionnels des services de sant au travail sollicit s dans des actions de pr ven tion des troubles musculosquelettiques gt deux formations pour les formateurs d organismes de formation qui travaillent dans les secteurs de la petite enfance et les tablissements d h bergement pour personnes g es d pendantes Pour les services de sant au travail l dition 2014 est plus particuli rement marqu e par gt une offre diversifi e de formations sur des th matiques de pr vention th matiques transversales visant l appropriation de concepts d marches m thodes et outils essentiels pour la pr vention des risques professionnels risques particuliers touchant les entreprises et des secteurs d activit sp cifiques comme celui de la biotechnologie en d veloppe ment gt des stages favorisant la pluridiscipl
338. nt tre a rosoli S s partir de surfaces contamin es par des moisissures Lexistence de ces fragments interroge sur leur pouvoir allerg ne qui semble tre sup rieur celui d entit s fongiques plus volumineuses et sur la capacit des appareils de pr l vement les collecter efficacement L exposition des microorganismes peut tre valu e en utilisant dif f rentes m thodes analytiques culture microscopie biologie mo l culaire dont la compl menta rit des r sultats m riterait d tre plus largement exploit e L identi fication des esp ces microbiennes chantillonn es en utilisant pr f rentiellement des techniques mol culaires est reconnue comme n cessaire pour une interpr ta tion plus pertinente des r sultats Lint r t de quantifier en paral l le d autres compos s non aller g nes B D glucanes endotoxines mycotoxines a t soulign par plusieurs orateurs Concernant les allergenes sp cifiques prot ines enzymes et autres mol cules d in t r t de nombreuses m thodes existent galement Des exemples de techniques immuno enzyma tiques comme ELISA Enzyme Lin ked ImmunoSorbent Assay ou de couplage de techniques s paratives ou analytiques chromatographie li quide et spectrom trie de masse en tandem par exemple ont t mises en ceuvre dans les travaux pr sen t s Le traitement de l chantillon efficacit d extraction digestion apparait co
339. nt Il est pr f rable dans la mesure du possible d utiliser un paravent ou de mettre des tables sur le c t Le corps de la victime peut rester plusieurs heures sur placetant que le m decin l giste mandat par les forces de lordre n est pas intervenu puis les services fun raires eux m mes r quisition n s Il n est pas dans les missions du SAMU des sapeurs pornpiers ou des forces de police d assurer ce type detransport e pr venir un ou des proche s de la victime appel par un respon sable hi rarchique e informer au plus t t les coll gues directement concern s coll gues assurant la suite horaire collabo rateurs directs absents ce jour l conjoints travaillant dans la m me entreprise Les t moins directs peuvent pr sen ter des r actions de stress d pass type de fuite panique inhibition stuporeuse conduite automatique tat de dissociation p ritrauma tique 5 Ces r actions exposent les salari s un risque de sur accident mais aussi aux incompr hensions de leurs coll gues Ce peut tre le cas par exemple d un agent conti nuant de travailler comme si rien ne s tait pass et sans porter secours Ces r actions restent m connues et peu prises en charge alors qu elles t moignent d une v ritable bles sure psychique et sont pr dictives de troubles post traumatiques Les personnes en stress d pass doivent tre isol es au calme sans rester seules pour limiter
340. nt ajust Ce document de sensibilisation s adresse aux pr venteurs et aux salari s et montre comment placer efficacement les diff rents types de bouchons d oreille D autres outils sur les PICB sont dis ponibles cette adresse www inrs fr accueil header actualites pro tection individuelle contre le bruit html Risque infectieux respiratoire en milieu de soins quel masque porter Cette nouvelle affiche in dique quand utiliser un masque chirurgical ou un masque de protection respi ratoire pour qu un soignant un patient ou un visiteur soit correctement prot g contre les risques infectieux SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 19 PARTICIPEZ LA RECHERCHE valuation de l exposition professionnelle au phtalate de di isononyle DINP e phtalate de di isononyle DINP est un des substituts de choix du phtalate de di 2 thyl hexyle DEHP utilis comme plastifiant du PVC Plus de 500 tonnes ont t utilis es dans l Union Euro p enne en 2004 Le DINP n est pas class parmi les agents canc rog nes mutag nes toxiques pour la reproduction mais certains auteurs le citent comme perturbateur endocrinien En France aucune donn e d exposition professionnelle au DINP n est renseign e Nous vous proposons de participer une tude de l INRS qui vise valuer l exposition professionnelle au DINP et au DEHP e
341. nt ces volutions il sembl important aux experts de l INRS de r fl chir aux cons quences en termes d acc s aux donn es dosim triques ainsi qu l volution concomitante du r le et des missions de la PCR La DGT et l ASN approuvent l initiative de HERCA dans la mesure elle tend contribuer la cr ation d un syst me de suivi communautaire de l exposition aux rayonnements ionisants dans un contexte de libre circulation des travailleurs l chelon europ en Il appara t en effet indispensable de mettre en place un moyen d change efficace des informations dosim triques et radiologiques concernant les travailleurs ext rieurs transfrontaliers permettant une tra abilit de l exposition de ces derniers quel que soit le pays d intervention Il convient cependant de rester prudent quant aux ventuelles volutions r glementaires relatives la confidentialit des donn es dosim triques indivi duelles particuli rement sur les possibilit s d tendre l acc s de nouvelles donn es dosim triques pour les PCR et l employeur ce jour pour des raisons videntes de pr servation du secret m dical du respect des libert s individuelles des travailleurs et en vertu du principe de proportion nalit l acc s la communication et l exploitation des r sultats dosim triques sont strictement encadr s par la l gislation francaise Code de la sant publique Code du travail et limit s aux n cessaire
342. ntre eux et avec l inti tul de l chelle ce qui peut cr er un effet de halo La r partition des chelles du VT en deux classifications possibles intro duit de la confusion Il aurait t pr f rable que les auteurs n en re tiennent qu une seule par exemple sur la base d une analyse factorielle confirmatoire de second degr d terminant la classification qui refl te le mieux lorganisation des chelles entre elles Cette absence de choix entre l une ou l autre classification s explique sans doute par un d faut de cadre th orique qui permettrait d orga niser les chelles en fonction d un modele de lecture et de compr hension des situations de travail Les intitul s des chelles et des di mensions th mes ne sont pas tou jours tr s explicites Par exemple l chelle probl mes avec le travail est en fait une chelle portant sur le concept de conflits de r le L chelle changement d emploi porte plus pr cis ment sur l intention de quit ter son emploi La facon dont les scores sont conver tis sur une chelle de o 10 n est pas expliqu e tr s clairement Observations particuli res Le questionnaire VT est un ques tionnaire explorant la fois un ensemble de sources de stress li es au travail et un ensemble de cons quences au niveau individuel Il offre la possibilit d utiliser une version int grale une version abr g e voire une version courte Dans sa conceptio
343. nts lectromagn tiques sont le champ magn tique statique terrestre le rayonnement radio lectrique mis par les toiles et le rayonnement mis par la foudre M me l organisme humain met un rayonnement lectromagn tique sous forme de radiations infrarouges Toutefois depuis quelques d cen nies cet environnement lectro magn tique s est profond ment modifi de par l utilisation crois sante de l lectricit dans les pays industrialis s 1 Aux sources naturelles terrestres cosmiques s ajoutent aujourd hui les sources artificielles dues aux nombreux progr s techniques qui font usage de l lectricit et qui trouvent une application dans des domaines aussi vari s que l industrie la m decine les t l communications la recherche l ducation Cette proli f ration des ondes lectromagn SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 27 GRAND ANGLE gt GLOSSAIRE ACTH adr nocortico trophine Association pour la sant environnementale les hypersensibilit s et les allergies du Qu bec ANFR Agence nationale des fr quences BBEMG Belgian bioelectromagnetic group CCPP Centre de consultation de pathologie professionnelle CEM Champ lectromagn tique COFRAC Comit francais d accr ditation CRIIREM Centre de recherche et d information ind pendant sur les rayonnements lectromagn tiques non ionisants DECT
344. nts du travail num ra tion des nuisances synth se de la pathologie professionnelle rencon tr e et des tableaux de maladies professionnelles correspondants rappel des actions pr ventives pos sibles synth se des l ments dela surveillance m dicale INCIDENTS ACCIDENTS ET URGENCES RADIOLOGIQUES Pour toute situation carac t re d urgence un ing nieur d astreinte de l IRSN peut tre contact 7 jours sur 7 et 24 h 24 au num ro suivant 06 073156 63 Lorsquun v nement survient dans une installation nucl aire il est qualifi d incident ou d acci dent en fonction de sa gravit et de ses cons quences sur les popu lations et l environnement On parle de situation d urgence radiologique lorsqu un v nement risque d entrainer une mission de mati res radioactives ou un niveau de radioactivit susceptible de por ter atteinte la sant publique gt ASN L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en francais LASN a r alis un dossier relatif aux situations d urgence abordant notamment les probl matiques de la pr paration l urgence de la conduite tenir en cas d accident ou encore les plans d organisation en cas de crise Ce dossier est acces sible l adresse suivante www asn fr index php S informer Dos siers Les situations d urgence Le site de l ASN propose galement l acc s un document servant de support p dagogique pour la formation nation
345. of Coping Checklist WCC validation in French speaking cancer patients J Health Psychol 2010 15 8 1246 56 DEROGATIS LR The SCL 90 R administration scoring and procedures manual Baltimore Clinical Psychometric Research unit Johns Hopkins University 1977 a FOLKMAN S LAZARUS RS An analysis of coping in a middle aged community sample J Health Soc Behav 1980 21 3 219 39 a FOLKMAN S LAZARUS RS If it changes it must be a process study of emotion and coping during three stages of a college examination J Pers Soc Psychol 1985 48 1 150 70 uFOLKMAN S Lazarus RS DUNKEL SCHETTER DELONGIS A ET AL Dynamics of a stressful encounter cognitive appraisal coping and encounter outcomes J Pers Soc Psychol 1986 50 5 992 1003 a FOLKMAN S LAZARUS RS Manual for the ways of Coping Questionnaire Palo Alto Consulting Psychologists Press 1988 33 p a LAZARUS RS FOLKMAN S Stress appraisal and coping New York Springer publishing company 1984 445 p a MULLER L SPITZ E valuation multidimensionnelle du coping validation du Brief COPE sur une population fran aise Enc phale 2003 29 6 507 18 PAULHAN I NUISSIER J QUINTARD COUSSON F ET AL La mesure du coping Traduction et validation francaises de l chelle de Vitaliano Vitaliano et al 1985 Ann M d Psychol Paris 1994 152 5 292 99 SCHERER RF WIEBE FA LUTHER DC ADAMS JS
346. om tre Enfin l arr t d taille les modalit s de r alisation de la mesure du niveau d empoussi rement en fin de travaux avant toute restitution de la zone Arr t du 11 avril 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifu geage l amiante susceptibles d ouvrir droit l alloca tion de cessation anticip e d activit des travailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 24 avril 2013 pp 7146 7147 Arr t du 10 mai 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des tra vailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 23 mai 2013 pp 8 487 8 488 Arr t du 10 mai 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des tra vailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 23 mai 2013 p 8 488 Arr t du 10 mai 2013 modifiant et compl tant la liste des tablissements de fabrication flocage et calorifugeage l amiante susceptibles d ouvrir droit l allocation de cessation anticip e d activit des tra vailleurs de l amiante Minist re charg du Travail Journal officiel du 23
347. omp tente en radioprotection PCR D autres volutions sont l tude avec des cons quences pr visibles sur l largissement de la com munication de certaines donn es dosim triques en particulier le projet europ en de passeport de dose propos par le groupe HERCA Heads of the European Control Authorities l initiative de l Autorit de s ret nucl aire ASN l Association des responsables des Autorit s euro p ennes de contr le de la radioprotection HERCA a t cr e en 2007 dans 16 but de parvenir une meil leure harmonisation de la radioprotection en Europe Dans le cadre de ses travaux relatifs la radioprotec tion des travailleurs transfrontaliers HERCA a adopt un projet de document de suivi radiologique visant r pondre aux exigences de la directive 90 641 Eura tom concernant la protection op rationnelle des tra vailleurs expos s un risque de rayonnements ioni sants au cours de leur intervention en zone contr l e Parmi ces recommandations le groupe HERCA pro pose la cr ation d un passeport dosim trique euro p en harmonis afin de d velopper au sein de l Union europ enne une approche commune de la radiopro tection et de la r glementation relative la s ret nucl aire Ladite recommandation a t transmise la Commission europ enne en vue de son inclusion dans les normes de bases europ ennes 855 et notamment dans une proposition de directive du 29 septembre
348. on tr s fr quemment ren contr dans l industrie Son effi cacit est augment e lorsqu une d marche d analyse de la produc tion de poussi res est r alis e Les l ments principaux pour mettre en place une aspiration localis e effective sont le captage l encoffre ment et le r cepteur L adaptation de hottes au dessus des sources de polluants auxquelles on ajoute un contr le efficace du captage des poussi res augmente la perfor mance des actions de pr vention De plus la formation aux techniques de captage permet d am liorer les connaissances des installateurs de dispositifs d aspiration la source Dans le cadre d une tude une m thode permettant de d terminer les niveaux d mission des machines utilis es dans les boulangeries a t d velopp e dans le but de r duire les missions et de conce voir des machines avec dispositifs de captage efficaces Un des objec tifs de cette tude est de lab liser les quipements en utilisant une m thode de mesure normalis e Diff rents param tres ont t pris en compte comme la g n ration de la farine les d p ts la position de la source de polluant Les princi paux r sultats montrent des varia tions importantes sur la mesure de concentration en farine Des tra vaux compl mentaires sont encore n cessaires pour fabiliser cette m thode Une seconde tude concernant la farine des boulangers a t men e dans le but de diminuer la propen
349. onibles Recherche documentaire Rayonnement ionisant Radioprotection 1 Buaou Recherche documentaire en toxicologie acc der l information pertinente Pratiques et m tiers TM 22 R f Sant Trav 2012 130 71 86 Buaoul A Recherche documentaire sur les risques biologiques Acc der l information pertinente Assistance TP 5 Doc M d Trav 2008 115 431 51 nmati re de risque radio logique la connaissance des notions fondamentales de la radioactivit est un pr alable la compr hen sion des enjeux de la radioprotec tion Cet article se propose donc dans un premier temps de donner une vision pratique des ressources sa disposition pour acqu rir ces connaissances s articule ensuite en diff rentes parties bas es sur des th matiques de recherche jug es pertinentes Ainsi une recherche par radionucl ide est propos e qui a pour but d aider valuer les risques li s l exposition du salari une source sp cifique La recherche par activit professionnelle permet de d finir les types de risque selon la profession du salari Les situations d urgences radiologiques ou encore la probl matique de la gestion des d chets radioactifs sont galement des l ments incontournables abor d s ici Enfin les activit s mettant en uvre des sources de rayonne ments ionisants peuvent tre ame n es susciter un certain nombre d interrogations d ordre juridique
350. onnaire magnetic field exposure and recording 34 Ganci S JonaussoN O A Bioelectromagnetics 2007 28 2 of electrophysiological characteristics theoretical model based upon mast 137 51 Bioelectromagnetics 2001 22 7 cells and histamine to explain the 16 Champs lectromagn tiques 457 62 recently proclaimed sensitivity to et sant publique Hypersensibilit 26 Rusin GJ Nigro HERNANDEZ R electric and or magnetic fields in lectromagn tique Aide m moire WEssely 5 Idiopathic environmental humans Med Hypotheses 2000 296 Gen ve OMS 2005 3 p intolerance attributed to 54 4 663 71 17 Crasson M 50 60 Hz electricand electromagnetic fields formerly 35 Rusin GJ L NIETO magnetic field effects on cognitive electromagnetic hypersensitivity HERNANDEZ R VAN RONGEN E ET function in humans a review Radiat An updated systematic AL Do people with idiopathic Prot Dosimetry 2003 106 4 333 40 review of provocation studies environmental intolerance attributed 18 T Meo SA Association Bioelectromagnetics 2010 31 1 1 31 10 electromagnetic fields display of mobile phone radiation with fatigue 27 Bercovisr U WAHLBERG JE Skin physiological effects when exposed to headache dizziness tension and sleep symptoms and disease during work electromagnetic fields A systematic disturbance in Saudi population Saudi with visual display terminals Contact review of pro
351. ons documentation collection ouvrages IRSN Pages documents reference aspx RELIR OTHEA www othea net Centre des incidents et des urgences de l AIEA http www ns iaea org tech areas emergency D CHETS RADIOACTIFS Gestion des d chets de l ASN www asn fr index php Les activites controlees par l ASN Dechets Installations en demantelement Sites de ANDRA sur la gestion des d chets radioactifs www andra fr et www dechets radioactifs com Gestion des d chets radioactifs de l IRSN wwwiirsn fr partie La gestion des d chets radioactifs Espace Jeunes du site d EDF dossier http jeunes edf com article les dechets radioactifs 71 animation http jeunes edf com article les dechets radioactifs 153 R GLEMENTATION L CHELON EUROP EN Euratom www euratom org L CHELON FRAN AIS L gifrance www legifrance gouv fr Actualit s juridiques de l INRS www inrs fr accueil header actualites juridiques html POUR APPROFONDIR SOURCES D INFORMATIONS INTERNATIONALES CIPR www icrp org R f rentiels de l AIEA www ns iaea org standards documents pubdoc list asp s 11 amp l296 et www iaea org Publications UNSCEAR www unscear org IRPA www irpa net SOURCES D INFORMATIONS NATIONALES Partie Professionnels de sant de l IRSN www irsn fr Normes et r les des instances www irsn fr FR connaissances Sante radioprotection normes radioprotection Pages sommaire aspx Collection
352. onserver l ensemble des r sul tats des mesures individuelles de l exposition des travailleurs aux rayonnements ionisants Le syst me SISERI via un acces In ternet s curis met disposition des m decins du travail et des per sonnes comp tentes en radiopro tection les donn es dosim triques SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 85 PRATIQUES ET M TIERS des travailleurs qu ils suivent selon les r gles fix es par le Code du travail Ces donn es peuvent galement tre restitu es aux ins pecteurs du travail et de radiopro tection ainsi qu aux travailleurs concern s ou ayants droits sur demande crite Enfin certains organismes de re cherche peuvent tre autoris s dans le cadre de conventions acc der ces donn es non nomi natives pour exploitations statis tiques dans une perspective d op timisation de la radioprotection des travailleurs et dans le cadre d tudes pid miologiques gt SYST ME SIEVERT Ce service est accessible sur Inter net l adresse suivante www sie vert system org L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en fran ais La r glementation europ enne adopt e en 1996 impose aux en treprises exploitant des avions la surveillance de l exposition de leur personnel navigant En France les pouvoirs publics ont mis en place le syst me SIEVERT Ce service caract re professionnel est dispo nible sur un
353. ont en anglais Ces fiches sont labor es par l Universit de Californie de San Diego Les donn es fournies sont galement synth tiques elles concernent des informations g n rales sur les moyens de protec tion ou encore de d tection gt RECHERCHE DANS DES OUVRAGES gt Deracroix D GUERRE JP LEBLANC P Guide pratique Radionucl ides et radioprotection Manuel pour la manipulation de substances ra dioactives dans les laboratoires de faible et moyenne activit 2 di tion Les Ulis EDP Sciences 2006 262 p Ce guide pratique est essentielle ment destin aux utilisateurs de radionucl ides travaillant au sein de laboratoires o sont mises en ceuvre des substances radioactives Il concerne l ensemble des secteurs scientifiques et techniques la m decine la biologie la recherche ou l industrie Ce guide pr sente plus SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 TI PRATIQUES ET M TIERS de 200 fiches traitant des radionu cl ides les plus couramment ren contr s Il constitue un recueil de donn es scientifiques techniques et m dicales soit issues de diverses publications de r f rence soit d termin es par les auteurs partir de mod les Ces donn es ont pour objectif d aider l utilisateur dans sa d marche visant principalement quantifier les risques d exposition externe au contact ou interne par incorporation li s la manipulation optimiser
354. opose au pr venteur une aide pour choisir l outil d valuation le mieux adapt Noms des auteurs Folkman 5 Lazarus M Objectifs Mesure des strat gies d adaptation ou d ajustement mises en uvre face un v nement situation stressant e Ann e de premi re publication 1980 r vis e en 1985 Cadre d finition mod le Les strat gies d ajustement ou coping en anglais d signent l en semble des processus cognitifs et comportementaux qu un individu interpose entre lui et un v nement per u comme mena ant pour ma triser tol rer ou diminuer l impact de celui ci sur son bien tre phy sique et psychologique Lazarus et Folkman 1984 On ne cherche pas d crire les r actions de stress par les v nements auxquels le sujet est expos mais par la facon dont il gere la situation Le concept de stra t gie d ajustement est issu d une conception dynamique du stress selon laquelle le stress ne d pend pas seulement de l v nement ni de lindividu mais d une transac tion rencontre entre l individu et lenvironnement approche tran sactionnelle du stress Lazarus et Folkman 1984 Lazarus et Folkman proposent deux types de r gulation e le coping centr sur le probl me ensemble des efforts entrepris pour affronter la situation e le coping centr sur les motions ensemble des tentatives effectu es pour contr ler la tension motion nelle induite parla situation Une syn
355. orde la prio rit la r duction du bruit la source ou lors de sa propagation Ps EN nudis IS US 18 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 encoffrement des machines trai tement acoustique Lorsque ces protections collectives sont inapplicables ou ne suffisent pas les salari s doivent porter des protecteurs individuels contre le bruit PICB Si beaucoup de salari s se pro t gent nombreux sont ceux qui n ont recu aucune information sur la mise en place correcte d un bou chon d oreille Port des masques par les soignants Le secteur des soins et celui de l aide la personne peuvent expo ser les salari s des risques infec tieux du fait de leur proximit avec les malades Pour se prot ger les profession nels dans certaines situations de soins doivent porter des masques chirurgicaux ou des masques de protection respiratoire Sans le savoir en choisissant un masque inadapt ou en n ajustant pas correctement leur masque res piratoire le personnel peut tre expos un risque infectieux alors qu il pense tre prot g Deux nouveaux outils de sensibili sation r pondent ces questions Les masques de protection respiratoire l h pital Cette vid o mise en ligne sur le site de l INRS explique pourquoi il est recommand dans certains cas de choisir un masque de protection respiratoire et comment celui ci doit tre correcteme
356. ores d accessibilit la pr vention les plus lev s sont ceux intitul s pas peu de temps d expression for malis sur son travail moyenne 2 40 pas peu de participation des salari s aux prises de d cisions moyenne 2 31 et pas peu de retour d information formalis au salari sur sa contribution aux r sultats moyenne 2 31 ex quo tableau II Au sein de la cat gorie Organi sation du travail les facteurs de risques intitul s relations et inte ractions avec le public dysfonc tionnements dans le d roulement du travail et planification des t ches faite oralement sont les facteurs les plus pr sents dans respective ment 82 96 73 6 et 64 6 des inapti tudes Les facteurs intitul s fiches de postes en d calage avec le travail r ellement effectu planifica tion des t ches faite oralement et latitude d cisionnelle r duite re cueillent les scores moyens d acces sibilit la pr vention les plus le v s de la cat gorie respectivement 2 72 2 43 et 2 30 tableau II Au sein de la cat gorie Contenu de la t che les facteurs de risques intitul s r percussions impor tantes de l erreur surcharge de travail en un temps limit et fort volume d informations g rer en peu de temps sont ceux les plus pr sents dans les inaptitudes avec respectivement 73 96 et 64 des cas Par ailleurs les fac
357. oser le lendemain matin ses coll gues aux traces visuelles de cette mort ce qui est hautement traumatisant Un autre exemple est celui d un tra vailleur qui a mis fin ses jours en se projetant en moto sur la grille de l entreprise Tant que cette partie de cl ture n a pas t chang e les sala ri s ont t confront s chaque jour SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 93 PRATIQUES ET M TIERS la trace de ce suicide entra nant des r actions de panique et des r acti vations constantes gt EN DIFF R Il peut tre propos aux salari s t moins ou ceux qui se sentent concern s des espaces de parole individuelle et dans certains cas des groupes de parole anim s par un psychiatre et ou un psychologue form s Les temps individuels ou les r unions de petits groupes entre personnes qui se font confiance sont privil gier Il convient d vi ter la r union des t moins directs avec d autres salari s qui taient ab sents Les prises en charge de grands groupes sont d conseill es En effet elles r unissent des personnes aux histoires individuelles et profes sionnelles tr s diff rentes avec des niveaux relationnels tr s variables l gard dela victime Cette h t rog n it peut conduire une d stabili sation de l quipe et des individus bien plus qu un temps apaisant et r parateur psychiquement Ces prises en charge individuelles ou
358. ositifs m dicaux implantables actifs aux champs lectromagn tiques n cessite une valuation pr cise des risques et une discussion multidisciplinaires entre le m decin du travail le car diologue les fabricants et un centre de consultation de pathologie pro fessionnelle De plus en plus de personnes se plaignent d une intol rance envi ronnementale idiopathique attri bu e auxondes lectromagn tiques BIBLIOGRAPHIE EN PAGE SUIVANTE gt gt SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 35 GRAND ANGLE ce jour il n existe pas de d finition ou de crit res diagnostiques formels de ce trouble en raison de la non sp cificit des sympt mes rapport s et de lab sence d tiologie tablie En l tat leur souffrance doit tre prise en compte et le traitement doit tre principalement centr sur la prise en charge sanitaire des sympt mes dans un cadre pluri disciplinaire Les th rapies comporte mentales semblent tre l une des pistes th rapeutiques Pour la premi re fois en France une tude visant valuer un protocole de prise en charge sp cialis e de ces patients a d but au premier trimestre 2012 Elle permettra de caract riser les patients la structure de leurs symp t mes et les expositions auxquelles elles sont soumises en vue d un traite ment ventuel BIBLIOGRAPHIE 1 Crasson L hypersensibilit l lectricit une approche multidiscipl
359. oste Coste qui deen don ciun faber en applicorese der art E 1 22 8 4412 47 er E 441 2 de conde ilie Salari d une surveillance m dicale nenlonrc e SMR ml 0 Nature de l examen Embauche Visite p riodique Visite de reprise Ala demamde Date de D pr c dente visite maimik salari p nodsque malade professionnelle de l employeur La qas ch ant das du pr c dont du aa du m decin du mlin elite og mor 27 es iun EEUU E Date du pren coira de aires cus Lei naiue 17 24 em ot ade da Conzelusbaas Ape a vise 5 en un seul examen H 4474 1 po da pes ob 7 T dar cor ba Tanga indi Cga de pri repriese cn dae d de l examen Heure de convocation s Nom ei signature du m decin Heure d arriv e Heure de d part ui revoir di Cet ani dure dn ka dun mis im 51 Fui pur ete pecomamander geer mn de da 52 31 dan RAA LSA da de asail oua R 7 18 49 coder saral ode bs pirig marci Ce d lai A 17 bag pour ka anis concernant lex salaries 61825 des chantiques dangerous des konixanis cu 13 89195
360. otoxines dans le but d am liorer MAUGERI S through mycotoxin control la sant publique dans les pays Th ories de la motivation au Am liorer la sant publique faible revenu travail gr ce au contr le des International Agency for Research 2 dition Les topos mycotoxines on Cancer IARC 150 cours Albert Cet ouvrage s int resse aux IARC Scientific Publication 158 Thomas 69372 Lyon Cedex 08 modeles th oriques labor s En anglais 2012 151 p par les diff rents courants Les mycotoxines sont des toxines scientifiques traitant de la fongiques qui contaminent motivation au travail Il offre la plupart des produits pour PANOFF J M Ed BASTIDE J C une analyse critique des apports l alimentation humaine et BAUDIN MAURIN M P de chacun et montre en quoi animale travers le monde y BELLENGER P LE BACLE C et al elle repr sente une avanc e compris les aliments de base des Le risque biologique Une pour la pens e manag riale Au populations les plus pauvres et les approche transdisciplinaire sommaire un essai de d finition plus vuln rables Par cons quent Sociologie et environnement de la motivation au travail la l exposition humaine et animale L approche anthropocentrique motivation chez les classiques la l un ou plusieurs de ce vaste historique du risque biologique motivation au sein de l cole des SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 171 LIRE VOIR re
361. ouffrance morale au travail Chaque cat gorie et chaque facteur de risques ont ensuite don n lieu une valuation de leur im plication dans l inaptitude et de leur accessibilit la pr vention L impli 3v Encadr 1 cation dans l inaptitude est l impor tance que le m decin a accord e une cat gorie ou un facteur de risques dans la d cision multifacto rielle d inaptitude L accessibilit la pr vention est l appr ciation par le m decin de la capacit de l entre prise mettre en uvre une action de pr vention sur une cat gorie ou un facteur de risques impliqu dans l inaptitude L valuation a donc fait appel des jugements d experts en l occurrence les m decins qui ont prononc ces inaptitudes Ces juge ments ont t formalis s au moyen d chelles ordinales 5 niveaux de 1 pour pas du tout impliqu dans l inaptitude ou pas du tout accessible la pr vention 5 pour totale gt INVENTAIRE DES RISQUES PSYCHOSOCIAUX TABLI D APR S l OUTIL DE REP RAGE R ALIS PAR LA CARSAT BOURGOGNE FRANCHE COMT 1 CAT GORIE Contenu de la t che Fort volume d informations g rer en peu de temps Exigence attentionnelle soutenue autonomie limit e e Interruption dans la r alisation d une t che pour en effectuer une autre cart entre les objectifs d finis et les r sultats obtenus Surcharge de travail en un temps limit Sous charge de t
362. ous d claration des maladies professionnelles Des m thodes statistiques d analyses de s ries temporelles permettent de prendre en compte certaines de ces limites comme l odds ratio rap port par exemple On fait l hypo th se que la sous d claration est constante dans le temps et quelle n emp che pas d observer des varia tions au cours du temps Concernant les tendances dans le domaine des allergies profession nelles en Europe on observe des dif f rences d volution de fr quence des dermatites de contact entre pays et entre secteurs d activit On constate une baisse de la fr quence de limplication du nickel des chromates et du formald hyde En revanche on remarque une aug mentation pour le Kathon CG bio cide utilis dans les huiles de coupe d tergents les r sines poxy et les agents de vulcanisation du caoutchouc gants Les tendances globales pour l asthme profession nel sont la baisse avec des diff rences entre secteurs On observe une diminution de la fr quence de l implication pour les ald hydes les isocyanates les animaux de labora toire le latex et une augmentation pour les biocides Le point sur les nouveaux agents responsables d asthme profession nels a t publi r cemment Pour les agents de haut poids mol cu laire on peut citer la poudre de riz la chicor e le turbot des agents am liorants de la farine de bl comme la peroxydase la gerbille comme animal
363. ous les aspects th orique et pratique de la protection de l homme et de l envi ronnement vis vis des rayonne ments ionisants et non ionisants Chaque article est valu par des experts du domaine choisis par le comit de r daction Le contenu des articles est disponible gratui tement l adresse suivante www radioprotection org La partie Magazine de la revue est consultable sur le site www sfrp asso fr dans la rubrique RP MA GAZINE La revue publie galement des num ros sp ciaux et des actes de congr s ou de journ es scienti fiques gt Collection PCR des ouvrages de l INSTN En compl ment du premier vo lume de ces ouvrages pr sent dans le chapitre Base de connais sances cf p 68 l INSTN a publi trois autres volumes consacr s aux diff rents secteurs d activit s industrie et recherche institu tions m dicales et tablissements nucl aires ainsi qu au type d uti lisation des rayonnements source scell e ou non Les r f rences de ces ouvrages sont les suivantes 8 PIN A PEREZ S VIDECOO J AMMERICH M Personne comp tente en radio protection Radioprotection pra tique pour les INB et ICPE Les Ulis EDP Sciences 2009 234 p 9 BrucHET Personne comp tente en radioprotection Radioprotec tion pratique pour l industrie et la recherche Sources non scell es Les Ulis EDP Sciences 2009 318 p Moreau JC AMMERICH M Personne comp t
364. oxines ont le potentiel des micro organismes pathog nes r ponse la probl matique des de contribuer divers effets d abord pour l esp ce humaine perturbateurs endocriniens ind sirables sur la sant humaine et ensuite pour les plantes et et comprendre les trajectoires y compris les cancers m me de animaux domestiqu s Cette personnelles qui ont contribu ou faibles concentrations Comptetenu vision toujours tr s actuelle est contribuent la d finition publique l omnipr sence de l exposition devenue clairement r ductionniste des perturbateurs endocriniens dans de nombreux pays il existe avec les d veloppements de comme risque En d finitive la un besoin urgent d une r ponse la g n tique mol culaire et question de l incertitude autour internationale coordonn e au de la biologie synth tique des perturbateurs endocriniens probl me de la contamination des De nombreux universitaires traverse divers courants de aliments par les mycotoxines Ce et professionnels d origines pens es mettant en avant livre a pour but de sensibiliser la tr s diverses tentent de sortir des consid rations et ou des communaut internationale sur le de la voie r ductionniste et positionnements personnels et probl me des mycotoxines 0305 un d terministe qu on leur impose ou professionnels qui recoupent format accessible un large public en empruntant des chemins les questionnements d bats etutileauxd cideurs dans un large
365. participants c est le produit du nombre d actes d crits par semaine de la dur e moyenne d un acte du pourcentage de temps de pr sence de la main dans le faisceau affect d un facteur de correction pour tendre les actes d taill s aux actes r alis s e un quivalent dur e d exposi tion hebdomadaire pour une pro c dure distale Lobjet de cet indice tait d int grer dans la dur e 1 diff rence entre les types de proc dure proche ou dis tale Les dur es des actes taient pond r es par un facteur propor tionnel la dose recue moyenne par type de proc dure Les proc dures ont t cod es en 4 types proche distal proche inter m diaire distale en coordination avec l IRSN partir de leur valua tion Un rapport de 1 3a t mis en vidence par l IRSN entre les doses recues lors d une proc dure distale et les doses recues lors d une pro c dure proche Les coefficients uti lis s ont t respectivement 3 2 1 5 et 1 Le coefficient d une proc dure distale tant fix 1 la dur e tait exprim e comme si tous les actes taient r alis s suivant une proc dure distale c est dire pour une proc dure proximale le dur e est multipli e par 3 une dose d exposition hebdoma daire les proc dures tant cod es en 4 niveaux proche distale proche interm diaire distale exprim en ms v semaine La dose moyenne d un acte par type de proc dure tait fix e en
366. pas en disposer du tout situation qui n est malheureusement pas si rare Mais quitte disposer d une approche th orique autant disposer de la plus pertinente au vu de la situation concr te ce qui implique parfois d arbitrer entre le mod le le plus informatif le mieux accept par les partenaires sociaux et le plus porteur de pers N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 pectives de d ploiement d un plan de pr vention effectif 11 Selon Kurt Lewin Il n y a rien de plus pratique qu une bonne th orie cit dans 12 CONCLUSION Cette tude exploratoire n avait pas pour vocation d tudier les crit res d cisionnels qui orientent vers une inaptitude au poste de travail Ces derniers ne sauraient reposer sur le seul bilan des contraintes mais portent gale ment un soin attentif l valua tion des astreintes et du contexte d un possible reclassement dans l entreprise Toutefois l inaptitude qui arrive au terme d un certain parcours ne manque pas d inter roger les pr venteurs sur leur mis sion comment continuer pr ve nir prot ger et aider reclasser 13 L approche propos e r pond donc une d marche r flexive r cursive sur les pratiques en usage 14 Elle consiste revenir sur ses pas pour analyser les formes et les effets de l activit afin d en tirer des pr conisations pour le renforcement du cceur de m tier de pr venteur Aussi le rep ra
367. peau peau ou de muqueuse muqueuse Chez un m me individu le virus peut se propager apr s desqua mation des cellules infect es d un pith lium un autre par un ph nom ne d auto inoculation Cette transmission par contact serait favoris e par les microabrasions cutan es ou muqueuses La trans mission par les mains le linge ou les surfaces contamin es parait galement possible L infection par les HPV estla plus fr quente des in fections sexuellement transmises Les l sions b nignes sont tr s conta gieuses puisqu associ es une charge virale lev e alors que les l sions pr canc reuses ou canc reuses associ es aux HPV HR sont peu contagieuses du fait de l int gration des virus au g nome des cel lules infect es et dela faible produc tion virale en surface des cellules Les tudes sugg rent galement la possibilit d une transmission verticale de la m re l enfant au moment de l accouchement Cer tains auteurs discutent la possibili t d une contamination pr coce en p riode post partum ou p rinatale lors des soins l enfant Une conta mination par passage transplacen taire a galement t voqu e TRAITEMENT En fonction du type de l sions et de leur localisation diff rents traitements de l infection par les HPV sont utilis s notamment la cryoth rapie chirurgica le un traitement k ratolytique ou antiviral Le traitement au laser fai
368. pidement et sans signe r si duel et un prick test cutan positif la prot ine concern e Les patients avec une urticaire de contact non immunologique pr sentent les m mes signes cliniques mais avec un prick test n gatif La dermatite de contact aux prot ines est d finie par un ecz ma chronique ou r cur rent des mains chez des personnes expos es des prot ines ayant un prick test positif aux prot ines Une urticaire imm diate est possible apr s le contact avec les prot ines mais n est pas la r gle Une trentaine de fruits et l gumes diff rents a t rapport e dans la litt rature comme pouvant tre l origine de dermatite de contact aux prot ines mais aussi des pices comme le cumin l ail le persil la coriandre le curry le papri ka les viandes de b uf cheval porc mouton le lait et les fromages les farines et l alpha amylase le pois son et les fruits de mer Des plantes non comestibles ont galement t rapport es comme tiologie pos sible le chrysanth me le ficus ainsi que le latex Des cas de der matite de contact aux prot ines ont galement t rapport s suite au contact avec des liquides biolo giques liquide amniotique salive sang ou organes d animaux et leurs poils Il peut s agir de mammi feres de poissons d amphibiens de vers ou de parasites anisakiase Les cons quences professionnelles des dermatites de contact aux prot ines semblent plus impor
369. pos de souffrance au travail En effet d une part les salari s ont besoin de se sentir cout s notam ment lorsqu ils ont des inqui tudes voire de la col re D autre part le suicide d un salari sur le site du travail est un v nement haute ment fragilisant pour ses coll gues et pour l institution ou l entreprise laquelle il appartenait SUICIDE L EXT RIEUR Il s agit avant tout de ne pas parti ciper aux rumeurs et de s assurer de la r alit du d c s avant toute annonce officielle Lexp rience montre qu il ne faut pas psychiatri ser les r actions du deuil qui pour m moire n est pas une maladie Les coll gues qui connaissaient le d c d peuvent tre tristes ce qui est une r action adapt e Il peut leur tre transmis des coordonn es de professionnels susceptibles de les prendre en charge consultations de psychotraumatisme associations de professionnels de sant du type Vivre son deuil ou France Linstauration syst matique de cel lules d coute dans ce type de situa tion n est pas indiqu e En effet cela renvoie aux professionnels lid e que leurs r actions sont patholo giques et cr e une confusion car le lieu du travail n est pas un espace th rapeutique 3 Un des r les de la direction est d in former le personnel du d c s sans toutefois donner les causes de la mort Cela appartient la famille par respect de la vie priv e Aussi titre d exemple l employeu
370. prot ger les travailleurs les patients le public et l environne ment des risques li s l utilisation des rayonnements ionisants Lesite del ASN propose des dossiers de pr sentation des grands sec teurs d activit s professionnelles mettant en uvre des sources mettrices de rayonnements ionisants secteur industriel de la recherche et m dical Chaque dossier commence par une pr sentation g n rale de ces secteurs et des utilisations qui sont faites des sources de rayonnements cette pr sentation succ dent un point surles enjeux de s ret dans ces diff rents secteurs puis un rappel sur le r le men par l ASN Pour chaque dossier diff rentes rubriques existent destin es apporter des informations plus pr cises Ces dossiers th matiques sont accessibles directement sur la page d accueil dans la partie les activit s contr l es du site l adresse suivante www asn fr gt IRSN Tous les ans lIRSN tablit un rapport qui dresse le bilan des r sultats de la surveillance des expositions professionnelles aux rayonnements ionisants pour les activit s civiles et de d fense Ces bilans annuels sont t l char geables gratuitement en francais l adresse suivante www irsn fr FR expertise rapports expertise radioprotection homme Pages radioprotection homme aspx gt INRS LINRS propose plusieurs types de fiches qui sont r dig es en fran ais et peuvent tre t l charg e
371. pt nes peuvent provoquer une urticaire et des r ac tions d hypersensibilit retard es localis es ecz ma dermatite de contact ou syst miques ecz ma g n ralis r actions cutan es ef fets secondaires des m dicaments Lurticaire est explorer avec des prick tests ou des intradermo r ac tions lecture diff r e Les r actions d hypersensibilit retard e sont explorer avec des patch tests lus J2 et J4 pour les r actions localis es compl t s pour les r actions syst miques avec des prick tests et des intradermo r actions lecture dif f r e Les prot ines sont l origine de la synth se d Ig E antiprot ines Celles ci peuvent tre l origine d histaminolib ration muqueuse et cutan e provoquant une urti caire de contact un angio ced me ou un choc anaphylactique SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 121 SUIVI POUR VOUS dune histaminolib ration pou vant provoquer une rhinite une conjonctivite ou un asthme ou des r actions retard es par la fixation de l IgE sur les cellules den dritiques avec pr sentation de la prot ine et activation des cellules T ayant pour r sultat la dermatite atopique et la dermatite de contact aux prot ines Les personnes ayant une urticaire de contact immunologique pr sentent imm diatement une papule ryth mateuse apr s contact des prot ines sp cifiques avec la peau disparais sant ra
372. pu m occuper et qui dans un tel contexte avaient cer taines fois des id es noires voire des envies de mourir Cette formula tion permet au patient de ne pas se sentir seul dans cette situation et luilaisse entendre que l intervenant est en capacit de le comprendre Cela permet au salari de t moigner de sa d tresse sans trop de crainte d tre jug Les formulations utili s es vitent les termes renforcant la culpabilit pourquoi les jugements de valeurs et la stigma tisation Le m decin du travail de vrait privil gier les reformulations du type Si je comprends bien Quand je vous coute ce que je comprends c est ou Pour que je vous comprenne bien pouvez vous m expliquer gt 2 REP RER LES VENTUELS FAC TEURS DE PROTECTION ET OU DE VULN RABILIT Lobjectif est de d gager des alterna tives qui n auraient pas t rep r es comme telles par le sujet personnes ressources au niveau familial social ou professionnel Ce peut tre en posant la question suivante Ha bituellement lorsque vous vivez des situations difficiles y a t il quelqu un qui peut tre une aide gt 3 PROPOSER UNE ORIENTATION VOIRE INTERVENIR Une prise en charge psychoth rapeutique est souvent souhai table Celle ci peut tre difficile mettre en ceuvre dans l urgence Aussi il est conseill au m decin du travail d int grer en amont un r seau de prise en charge
373. que les virus de l h pa tite A Il n y a pas de transmission interhumaine En France les cas d h patite de g notype 1 et 2 sont uniquement des cas d importation Les g notypes 3 et 4 ont un r ser voir animal rats lapins et surtout porcs En France une grande majo rit 90 des porcs d levage sont infect s La plupart des cas est li e l ingestion de foie de porc cru ou de figatelles base de foie de porc mang es crues Dans les cas autochtones humains rapport s en France aucun cas d h patite fulmi nante ou d atteinte chez la femme enceinte n est rapport La clinique quel que soit le g no type est semblable celle de l h patite A incubation de 40 jours et asymptomatique dans 2 3 des cas S il existe des manifestations cliniques apr s la phase prodro mique il s agit d une phase ict rique de une deux semaines Il n existe pas de passage la chro nicit Une tude pid miologique men e dans le sud ouest de la France a montr que les virus re trouv s sont tr s majoritairement de g notype 3 et 97 6 des cas sont autochtones Par ailleurs un cas rapport d h patite E de g notype 3 en France chez une femme enceinte d crit une symptomatologie peu mar qu e avec absence d atteinte cli nique du b b Cette symptomato logie diff rente de celle rencontr e dans les PVD pourrait tre due la nature du g notype et aux condi tions d hygi ne de vie correctes en Fra
374. qui nonce les prescriptions mini males de s curit en ce qui concerne l exposition des travailleurs aux champs lectromagn tiques CEM Elle d finit des valeurs d clenchant l action VDA et des valeurs limites d exposition VLE Dans les recommandations desti n es au public une marge de s curi t suppl mentaire a t int gr e de facon tenir compte des personnes les plus fragiles enfants personnes g es femmes enceintes sujets im munod prim s LE SYNDROME D INTOLERANCE ENVIRONNEMENTALE IDIOPATHIQUE ATTRIBUE AUX CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES Les premiers sympt mes non sp cifiques attribu s la proximit de sources de champs lectromagn tiques ont t d crits au d but des ann es 80 en Norv ge et en Su de ho s agissait notamment de travailleurs expos s des crans d ordinateur et qui pr sentaient principalement des manifestations cutan es au niveau du visage de type ryth me transitoire ou pru En l absence de crit res dia gnostiques d finis Knave et al 10 regroupent ces sympt mes sous le terme d hypersensibilit l lec tricit expression qui trouvera par lasuite d autres synonymes tels que lectrosensibilit hypersen sibilit lectromagn tique HSE sensibilit lectrique hyper sensibilit aux champs lectriques et magn tiques ou plus r cem ment intol rance environnemen tale idiopathiqu
375. r e adaptation du poste de travail de mani re participative cr ation d un groupe de travail r unissant l employ l employeur et le m de cin du travail pour trouver une solution Globalement la position du m de cin traitant en Europe apparait complexe son r le d ducateur et de conseiller tant plus ou moins renforc d un pays l autre C est parfois lui qui donne son accord pour la reprise du travail En Angle terre aux Pays Bas en Suisse ou en Allemagne les m decins traitants sont form s inform s voire sp cialis s pour d livrer une aptitude au travail Union europ enne de m decine d assurance et de s curi t sociale UEMASS a mis en ligne une comparaison des pratiques en 2010 de 9 pays www uemass com SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 99 ARR TS DE TRAVAIL ET INDEMNIT S JOURNALIERES DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES EN AGRICULTURE J Houssinot Caisse centrale de la Mutualit sociale agricole Bagnolet En cas de maladie ou d accident d origine non professionnelle les travailleurs non salari s du r gime agricole ne b n ficient actuellement pas dI contrairement aux salari s Ceci explique qu en 2011 le montant des I vers es aux salari s s est lev 365 millions d euros contre 42 mil lions d euros pour les non salari s alors que le nombre de travailleurs dans chaque cat gorie est quasi ment identique Toutefois comp ter
376. r LE PLUS FREQUENT deu ventuellement les choux plus fr quents 7 Acn facultatif Le nombre d actes par La technique La vole d abord Le type de procedure proche ou 155810 proche ditake poche distale Le POS mayen produ dose surface en jen gras Le tempga d irradiation par acte en me TI 111 BB mcm Pen minimam La pr sence des mains dans le faisceau Ld ouis BER zs 887 souveni W 87 rarement x mon 9 Dom le cas ou des actes cit s comme LES PLUS FRECQUENTS ne SONT PAS LES PLUS EXPOSANTS pricise dam vore activi actuel 8 type d irmerviention LE PLUS EXPOSANT fou eventu 8 80 fes ceux plus expsants La fr quente merreuelle La technique La vit d alsord Le type de proc dure procheoudistale L proche ditake Le POS moyen produit dose surface Tera Le temps d irradiation Gar acte en mn mim La pr sence des mains dans de faisceau CT cuis RR souvent MA 80 souvent MA ET memeni 30 50 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 MODIFICATIONS CAPILLAIRES d identification du patient PORT DU DOSIMETRE PASSIF Port d un dosim tre poitrine C oui C non Port syst matique lors de tout acte radioexposant C eui non Localisation sur le tablier de piombi eui non sous le tablier de plomb
377. r les entreprises du r gime g n ral les mesures peuvent tre effec tu es par les centres de mesures physiques des caisses r gionales d assurance retraite et de sant au travail CARSAT ou de la CRAMIF appuy s par l INRS en tant que de besoin 3 ASPECTS R GLEMENTAIRES Les limites d exposition adopt es aujourd hui en France sont bas es sur les recommandations de la Commission internationale de pro tection contre les rayonnements non ionisants ICNIRP Cette com mission est charg e depuis 1992 d tudier les risques potentiels li s aux diff rents types de rayonne ments non ionisants Elle a pour r le d laborer des guides interna tionaux pour l tablissement de limites d exposition et de traiter de tous les aspects de la protection contre ces rayonnements pour les travailleurs et pour le public En collaboration troite avec l OMS l ICNIRP d veloppe ses recomman dations en s appuyant sur une revue compl te et critique de la litt rature scientifique pour identifier tous les effets nuisibles connus ainsi que tous les effets biologiques qui pour raient avoir des implications impor tantes pour la sant Le respect de ces limites devrait garantir que les travailleurs expos s des champs lectromagn tiques sont prot g s de tout effet nocif connu sur la sant Ces valeurs ont t reprises dans la directive euro p enne 2004 40 CE et remise jour dans la directive r vis e 2013 35 CE
378. r peut transmettre ce type d information factuelle Tel jour telle heure la N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 femme de m a contact pour m informer de son d c s Si des questions insistantes apparaissent il peut tre r pondu le d c s s tant pass l ext rieur de l institution je n ai pas le droit de transmettre des l ments qui appartiennent ses proches Il n est pas conseill au m decin du travail de se substituer l em ployeur pour faire l annonce du d c s En effet en agissant ainsi le m decin du travail ne pourrait plus tre dans une position d coute Ce type d annonce est donc r aliser de vive voix par l employeur et ou les collaborateurs les plus directe ment concern s Les e mails sont tr s informels et leur lecture peut tre particuli rement violente pour des personnes ne s y attendant pas du tout Des rituels peuvent s organiser l gard de la famille lors des ob s ques L exp rience montre qu ils n ont pas la m me n cessit que dans le cas d un suicide survenu sur le site du travail CONCLUSION Selon les situations la crise suici daire peut tre contenue rapide ment gr ce un rep rage et une orientation adapt s Dans d autres cas son inscription peut tre du rable lorsqu elle se manifeste no tamment chez des patients pr sen tant des troubles psychiatriques Afin d assurer la prise en charge de
379. r y rem dier Larticle L 4141 1 du Code du travail s en trouve modifi Enfin la loi largit les cas de r unions exceptionnelles du CHSCT aux v nements graves li s l activit de l tablissement ayant port atteinte ou ayant pu por ter atteinte la sant publique ou l environnement article L 4614 10 Loi n 2013 504 du 14 juin 2013 relative la s curisa tion de l emploi Journal officiel du 16 juin 2013 pp 9 958 9 975 Cette loi cr e dans le Code du travail un article L 4616 1 qui permet l employeur de mettre en place une ins tance temporaire de coordination lorsqu il est amen consulter les CHSCT de plusieurs tablissements sur un projet qui les concerne Cette instance temporaire a alors pour mission de don ner son avis sur les projets communs ces tablisse ments projets dam nagement important modifiant les conditions de sant et de s curit ou les conditions de travail de modification importante des postes de travail d introduction de nouvelles technologies plans d adaptation tablis lors de la mise en ceuvre de muta tions technologiques importantes et rapides Cette instance peut de plus tre mise en place lorsque les CHSCT de plusieurs tablissements sont saisis pour avis par l employeur le CE ou les d l gu s du personnel d une question relevant de leur comp tence L instance temporaire de coordination pourra gale ment organiser le recours une expertise
380. ra num rique 6 m gapixels munie d un clai rage par fibre optique Ce mat riel tait reli un micro ordinateur portable pour assurer la mobilit maximale de l ensemble Lors de chaque examen capillaros copique les images ont t recueil lies sur tous les doigts except le pouce en se centrant sur l axe m dian de chaque doigt avec un faible grossissement X10 et un fort grossissement X150 et centra lis es sous forme de photos en vue du codage La dur e de chaque examen tait environ de minutes question naire et capillaroscopie M THODOLOGIE DE LECTURE DES CAPILLAROSCOPIES Organisation de la lecture Cinq capillaroscopistes ont parti cip au codage qui s est effectu par les m decins capillaroscopistes le Dr A S Tellart Lille le Pr J N Fiessinger et les Dr Champion Dr E Teluja et Dr P Cohen Paris le Dr H Thiel Clermont Ferrand le Pr P Carpentier et le Dr C Menez Grenoble les experts de l INRS Dr C Gauron M Grzebyk P Wild et de l IRSN L Donnadille B Perdereau f Institut Curie et le Pr R Pennarola Universit de Naples s ances Pour chaque s ance une lecture en aveugle tait effectu e et l ordre de lecture tait compl tement randomis Chaque image a ainsi t attribu e al atoirement 3 lecteurs de facon ce que le m me lecteur lise successivement mais dans un ordre al atoire le doigt gauche et le doigt d
381. rancaise 27 items de la WCC a t administr e deux fois 59 sujets une semaine d intervalle Lors des deux passations il tait de mand aux sujets de penser au m me v nement stressant Le coefficient de corr lation est de 0 90 pour le coping centr sur le probl me de 0 84 pour le coping centr sur l mo tion et de 075 pour la recherche de soutien social Cousson et al 1996 On peut donc consid rer que la fid lit test retest est satisfaisante e Consistance interne Les coefficients alpha de Cronbach observ s pour les huit chelles de la version originale r vis e de Folkman et Lazarus compl t e par 108 tu diants varient de 0 59 0 88 Folk man etLazarus 1985 Les coefficients alpha de Cronbach observ s pour les huit chelles de la version originale r vis e compl t e parles 75 couples varient de 0 61 0 79 Folkman et al 1986 Les coefficients alpha de Cronbach des cinq sous chelles de la version courte de Vitaliano 1985 sont tou jours sup rieurs 0 70 et globale ment l g rement meilleurs que ceux dela version originale de Folkman et Lazarus 1980 Les coefficients alpha de Cronbach ont t calcul s afin de v rifier la consistance interne des trois chelles identifi es dans la version fran aise 27 items de Cousson et al 1996 0 79 pour l chelle coping centr sur le probl me 0 72 pour l chelle coping centr sur l
382. rant la vie enti re mi nimum 80 maximum 20 m diane 2 000 Les carri res des chirurgiens sont sensiblement plus courtes que celles des deux autres populations expos es au tant en nombre d ann es qu en nombre de vacations durant la vie enti re figures 1 et 2 Le nombre d actes exposants est tr s variable selon les groupes mi nimum 1 toutes les 2 semaines maximum 150 par semaine m diane 9 par semaine figure 3 DESCRIPTION DU NOMBRE DE PARAM TRES CAPILLAROSCOPIOUES COD S Le nombre total d images incluses dans l tude a t de 1 782 images Le nombre de participants dont aucun doigt n a pu tre examin car les images n taient pas lisibles par les 3 codeurs a t de 33 se r partis sant de la facon suivante 11 cardio logues 12 chirurgiens 3 radiologues et 7 t moins 42 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 T Y TS CARMIOLOGLUE BADIOLOGUE 55 050 052 El 8 08 80 65 56 20905 bebe d acte Meerber ei H Y o0 nons T0 000 EL vice D s IO Merde de eng gien qumul rs Merrber Ge cumalen Figure 3 Nombre d actes exposants par semaine selon les diff rentes cat gories professionnelles si Makes gapeanti pae Mornbes da
383. ravail R percussions importantes de l erreur CAT GORIE Organisation du travail Horaires atypiques horaires altern s travail de nuit e Travail r p titif Rythme de travail impos par des contraintes de production Dysfonctionnements dans le d roulement du travail e Latitude d cisionnelle r duite Relations et interactions avec le public e Informations limit es aux consignes de travail Fiches de postes en d calage avec le travail r ellement effectu Objectifs de travail modifiables en cours de r alisation e Planification des t ches faite oralement CAT GORIE Relations sociales Pas peu d changes entre les services travaillant sur le m me processus Pas peu de r unions d informations Pas peu de temps d expression formalis s sur son travail Pas peu de participation des salari s aux prises de d cisions Pas peu de retour d information formalis au salari sur sa contribution aux r sultats Pas peu de contacts entre les coll gues Pas peu de structures de soutien en cas de difficult s CAT GORIE Facteurs d environnement du travail Milieu de travail humide e Variations de temp rature importantes en cours de travail Difficult s pour entendre quelqu un qui parle Utilisation de produits chimiques clairage artificiel Pas d ouverture sur l ext rieur Risque d agression possible CAT GORIE
384. ravail lien entre l analyse des risques la passant par la gestion des fins de Groupement d int r t scientifique gestion et la maitrise des risques carri res De nombreux exemples volutions et relations en sant au Cet ouvrage se conclut par une de diagnostics et d accords sont travail GIS Evrest c o ISTNF 235 pr sentation de ce que peut tre pr sent s titre d illustration avenue dela recherche CS 50086 l apport de l analyse des risques ditions Liaisons 1rue Eug ne 59373 Loos Cedex 2013 4 p la ma trise des risques et Armand Peugeot 92586 Rueil http evrest istnf fr ditions Management et Soci t Malmaison Cedex 2013 333 p EMS 17 rue des M tiers 14123 Cormelles Le Royal 2013 338 p DELEUZE G IPPERTI P LEROYER A l analyse des risques Concepts Les m tiers de la sant et de outils gestion maitrise GAUVIN LARAJ l action sociale Collection Pratiques Gants r sistant aux piq res Une exploration partir des d entreprises d aiguilles valuation de la donn es 2010 2011du dispositif Les risques font partie int grante dext rit manuelle de la Evrest de la vie des entreprises et sensibilit tactile et du confort Les m tiers dela sant et de leurs acteurs doivent prendre pour les travailleurs tude l action sociale repr sentent plus des d cisions et mener des exploratoire de 18 million d emplois soit pr s activit s risque cr atrices tudes et recherches Rapport de 7
385. rbeidsbelasting met een vragenlijst de vragenlijst beleving en beoordeling van de arbeid VBBA Amsterdam NIA 1994 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 143 R F RENCES EN SANT AU T EST AUSSI SUR INTE masses daz Vu du terrai Praliqued d r tine Ba i Miss paint A reueg ation titten 8 DIE d irere J biologique de kar vetet ipi reg Phones a A Produits chimiques 865655 pa 85 reueg A Guide EFGATT i vota avis nous Pr verion de D raramiesion crasse G r vola De TOUTEA LEA AC VER n i ennen EES runog nes peu de eat 188 CUP De fait l 18 58 2813 Colega de Geen d Sam leanaciendux est m connus dutant parian sur ala acufranca m cucins du init qoi 5 ets demire Cet articie recense ies Liebe ro COS donn es disponibles et aborde les mesures da pr vention metre en paa JETEDI Ha cor du 905983 08559 Lire l article 97 29 58 2253 Coledu Pour Al ara Docuit Heath FOH Korea Docapanionat TPAFC el Gorma dir 3 prc utin eninin 465 65 85 tih cher 58 9 A0 RETROUVEZ SUR rst sante travail fr ad e B3 L num ro n Cours REFERENCES
386. responsables s curit laser ta blissement et salle et d laborer un programme standardis de pr vention des risques laser Concernant le risque infectieux des fum es laser la formation et l infor mation continue du personnel une aspiration locale efficace et l utilisa tion d appareils de protection res piratoire FFP2 peuvent contribuer am liorer la s curit des personnels N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 BIBLIOGRAPHIE 1 U Farcy M I R EGGER M ET AL Fum es chirurgicales risque et mesures de pr vention Dossier m dico technique TC 137 Doc M d Trav 2011 127 383 95 2 Harmo P Nazss Laryngeal papillomatosis with human papillomavirus DNA contracted by a laser surgeon Eur Arch Otorhinolaryngol 1991 248 7 425 27 3 Carro 1 880855 T Larynxpapillomatose Erstmaligne Anerkennung als Berufskrankheit bei einer OP Schwester LaryngoRhinoOtologie 2003 82 11 790 93 4 Pevror 5 Papillomavirus et fum es laser quel risque pour les soignants Th se pour le doctorat en m decine Paris Universit Paris XI Facult de m decine Paris Sud 2011 215 p 5 Arann S Hantz S Denis F Papillomavirus les virus et la physiopathologie de l infection M d Ther P diatr 2010 13 1 5 19 6 Roncin L TOUZALIN A F rury HJ Papillomavirus humains et tumeurs des voies a rod
387. reuve de leur efficacit 11 Il semble que les th rapies cogniti vo comportementales centr es sur les sympt mes et non sur leurs causes et les prises en charge glo bales et pluridisciplinaires des per sonnes soient privil gier 14 Le traitement doit se concentrer sur la prise en charge des sympt mes et sur le tableau clinique et non sur le ressenti des personnes viter l ex position En effet bien qu efficaces au d but les mesures de pr vention pour r duire l exposition en milieu professionnel et personnel sont terme d l t res Plusieurs auteurs 13 rapportent une aggravation et une chronicisation de la sympto matologie suite au d veloppement de conduites d vitement ayant pour cons quence une d sinsertion socioprofessionnelle un isolement et l atteinte de la qualit de vie sans qu il y ait pour autant une dispari tion des sympt mes Lorientation pr coce vers un centre de consultation de pathologie pro fessionnelle CCPP peut s av rer utile d une part pour refaire le point sur les expositions et les risques sanitaires connus d autre part pour proposer une prise en charge glo bale des patients qui sont parfois en errance m dicale Une tude nationale multicentrique dans le cadre d un programme hos pitalier national de recherche dli nique PHRC faisant participer plu sieurs CCPP a t d but e en mars 2012 Elle vise valuer chez les pa tients atteints d intol ran
388. revanche l analyse du groupe de param tres d extravasation n a mis en vidence aucune diff rence significative entre les groupes d expos s et les t moins La population de l tude pr limi naire tait compos e de radiologues et cardiologues pourcentage envi ron gal et avait mis en vidence des diff rences significatives entre cette population expos e sans dif f rencier les cat gories profession nelles expos es et la population de t moins Ici les cat gories profes sionnelles ont t tudi es s par ment et la population compos e de cardiologues ne diff re pas de celle des non expos s par contre les r sultats mettent en vidence des diff rences significatives pour la cat gorie professionnelle des radio logues et des chirurgiens Ce r sultat peut paraitre surpre nant mais la comparaison des actes effectu s par les diff rentes cat gories professionnelles met en vi dence que 36 des 66 chirurgiens et 21 des 64 radiologues ont pour les actes les plus fr quents des actes class s proximaux par l IRSN contre seulement 4 des 56 cardiologues tableau 6 Les limites des r sultats de cette tude qui n ont pas confirm l en semble des anomalies capillarosco piques relev es dans l tude pr li minaire tiennent probablement plusieurs types de raisons d une part l limination d em bl e de certains param tres du fait de la lecture sur clich s Tableau VI
389. riniens Synth se et tude des auditions Rapport d appui scientifique et technique Dans le cadre du travail qu elle m ne sur les perturbateurs endocriniens et le bisph nol A l Agence nationale de s curit sanitaire de l alimentation de l environnement et du travail ANSES a cr un sous groupe de travail incertitudes et soci t au sein du groupe de travail sur les perturbateurs endocriniens Ce sous groupe a t charg de traiter la question des repr sentations sociales et scientifiques autour des incertitudes li es la probl matique des perturbateurs endocriniens Dans ce cadre une douzaine d auditions a t men e dans le but de prendre en compte et d clairer les interrogations de la soci t sur les perturbateurs endocriniens Ce rapport en rend compte Cette d marche originale d ouverture aux parties prenantes et de synth se des positions des divers acteurs de la controverse avait comme objectif de permettre une caract risation des diverses formulations des certitudes et des incertitudes qui entourent les perturbateurs endocriniens et de cette facon mieux identifier certains d terminants de la controverse Deux autres objectifs taient galement poursuivis N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ee caract riser le spectre d actions groupe de toxines est tr s r pandue s est longtemps limit e l tude consid r es pertinentes en Les mycot
390. ris2013 0rg organisationnel attachement http confortautravail weebly com aulieu de travail contr le de l espace de travail LL 3 Existe t il un ou des conforts 7 8 NOVEMBRE 2013 au travail NANTERRE France gt Impact des diff rences Colloque internationalsur sociod mographiques le confort au travail Impact des situations organisationnelles Th mes gt Quelles sont les gt Le confort au travail Regards cons quences individuelles crois s de la psychologie et ou organisationnelles de environnementaleetdessciences situations de travail marqu es de gestion par la pr sence ou l absence d un 15 NOVEMBRE 2013 PARIS France Journ e nationale 2013 des IPRP de services interentreprises de sant au travail co intervenir en sant au travail pourquoi comment Th mes Les contextes d intervention n cessitent de plus en plus fr quemment la mobilisation de plusieurs disciplines autour d un m me projet de pr vention ou plus globalement autour de questions de sant au travail Cette journ e portera sur la mise en place de diff rentes formes de co interventions et questionnera les conditions de leur faisabilit de leur r ussite et de leur p rennit EN Association Fran aise des Intervenants en pr vention des risques professionnels de Services interentreprises de Sant au Travail AFISST contact afisst fr www afisst fr gt gt gt SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 155 AGENDA FO
391. rnet revues ouvrages Rep rage des agents sensibilisants classification tiquetage FDS M canismes physiopathologiques des ph nom nes allergiques Donn es pid miologiques secteurs et professions les plus touch s Donn es cliniques Diagnostic en consultation de pathologie professionnelle Proc dures de reconnaissance en maladie professionnelle Prise en charge en milieu de travail d cision d aptitude Mesures de pr vention cibl es sur certains postes de travail 1 2 3 a aca aad aaa aaa aaa aaa uaa aad aaa aaa Table ronde discussion sur des probl mes concrets que vous rencontrez Autres pr cisez Vous pouvez nous faire part de vos commentaires ventuels Merci de votre participation 10 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 INFOS RETENIR Arr t du 6 mai 2013 relatif aux travaux agricoles n cessitant une surveillance m dicale renforc e Journal Officiel du 12 mai 2013 pp 7 973 7 974 ARTICLE 1 Au vu des r sultats de l valuation des risques r alis e par l employeur et des mesures particuli res de pr vention et de protection qui en r sultent conform ment aux articles L 4121 1 L 4121 5 du Code du travail le m decin du travail d termine les modalit s parti culi res du suivi m dical des travailleurs affect s habituellement aux travaux comportant des exigences ou des risqu
392. rnme une tape primor diale de l analyse qu il convient de parfaitement valider Si les avanc es m trologiques sont ind niables concemant l valuation des exposi tions aux allerg nes les orateurs ont toutefois estim que beaucoup de travail restait effectuer dans l ave nir concernant le d veloppement et la standardisation de m thodes ce titre la compl mentarit des travaux de laboratoire et de terrain sera n cessaire Enfin il a t clairement rappel que le manque de valeurs limites d exposition professionnelle appli cables aux microorganismes et aux substances allerg nes constituait un frein dans l interpr tation des r sultats de mesure et dans l va luation des risques li s ces conta minants Quelques valeurs guides sont toutefois propos es spores de moisissures bact ries cultivables subtilisine par certains instituts ou pays mais elles ne sont pas stric tement fond es sur des relations exposition r ponse issues d tudes pid miologiques Les approches m trologiques actuellement ploy es m ritent d tre encore am lior es mais participent d j gran dement objectiver les expositions et enclencher des actions de pr vention pour r duire les niveaux de concentrations ou tout simplement mieux informer les salari s SESSION PR VENTION Lutilisation de la ventilation pour liminer les poussi res autour d un poste de travail est un vecteur de pr venti
393. roit d un m me sujet Param tres tudi s L tude morphologique des champs capillaroscopiques permet d obtenir des donn es quantitatives et quali tatives sur les diff rentes caract ris tiques du r seau microvasculaire et ses ventuelles anomalies Dans l tude pr liminaire lana lyse de ces donn es avait conduit B Perdereau retenir 10 para m tres pour d crire les diff rents types d alt rations touchant la microvascularisation Dans cette tude seuls 8 param tres ont t repris En effet le travail sur photo n cessaire la lecture en aveugle n a pas permis d tudier la dyna mique circulatoire et la couleur de fond Ainsi ont t tudi s N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 3 param tres caract risant le cri d extravasation le nombre de rang es visibles la longueur des anses capillaires et la pr sence d un cedeme 5 param tres caract risant le cri t re morphologique le nombre d anses capillaires observables par mm la pr sence de n ogen se capillaire la distribution des capil laires les dystrophies mineures et majeures et le caract re serpigineux du parcours capillaire Les diff rents param tres ont t co d s en 3 niveaux o 1et 2 le niveau o correspondant la normalit Les images pour lesquelles une n ogen se capillaire a t cod e ont t valid es ou invalid es par le Pr Pennarola de l universit de
394. rs 07 04 2014 au 10 04 2014 Neuves de pr vention des risques Maisons psychosociaux JA1730 Mettre en uvre 1 8 jours 12 05 2014 au 16 05 2014 Neuves 2071 une action de pr vention et Maisons des risques psychosociaux 06 10 2014 au 10 10 2014 et en pluridisciplinarit Vand uvre l s Nancy 162 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Secteurs sp cifiques Code Stage Session Dur e valuer et pr venir 1 les risques dans les laboratoires de recherche et d veloppement en biotechnologies 3 5 jours 880470 Am liorer les situations 1 de travail sur poste informatis dans les activit s de bureau JJ2030 3 5 jours INRS d partement Formation 65 boulevard Richard Lenoir 75011 Paris Pour les stages BB1501 JA2331 JJo730 Sylvie Braudel gt T l 0140 44 30 42 Fax O1 40 4414 19 E mail secretariat forp inrs fr Pour les stages JJ2030 2131 Christine Hartmann gt T l 0140 44 30 11 Fax 0140 44 1419 E mail secretariat forp inrs fr Pour les stages 880531 BI1131 811132 Bl1530 JJo503 JJo504 JJo505 JJ1430 lisabeth L al gt T l 0140 44 14 11 Fax 0140 44 1419 E mail secretariat forp inrs fr Pour le stage BBo470 gt T l 01 40 44 31 58 Fax 01 40 4414 19 E mail secretariat forp inrs fr SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 Date Lieu Co t net 29 09 2014 au 02 10 2014 Paris 893 02 06 201
395. rsonnel formateurs sont quant eux signal s dans les revues Hygiene et s curit du travail et Travail et s curit publi es par l INRS et consultables sur leurs sites respectifs www hst fr et www travail et securite fr Pour obtenir le catalogue d taill Formation Sant et s curit au travail 2014 remplir et renvoyer le coupon r ponse ci dessous BON DE COMMANDE DU CATALOGUE FORMATION 2014 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 SEPTEMBRE 2013 NEE RON EEE Adresse 0 1 0 10111 10101 155 867 o enata dete n eite tede Effectif de l entreprise H T RO TEI COPIC D RETOURNER INRS d partement Formation 65 boulevard Richard Lenoir 75011 Paris 164 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Formations en Sant et s curit au travail Institut national de m decine du travail INMA Dipl me de m decine agricole ann e universitaire 2013 2014 PUBLIC ET OBJECTIF Donner aux m decins des notions fondamentales sur les probl mes de sant li s aux conditions de vie et de travail en agriculture pour permettre d exercer la m decine du travail en agriculture D ROULEMENT Cette formation repose sur l enseignement de 10 modules distincts articul s sur six semaines au total et valider sur une dur e de une ou deux ann es au choix de l tudiant
396. rsque la charge virale des l sions trait es est lev e et d autre part lorsque qu il s agit d un HPV HR Le plus grand risque de contracter des l sions par inhalation est en as sociation avec le traitement des l sions g nitales HPV BR 6 et 11 car ces types de HPV les plus fr quem ment retrouv s dans les verrues g nitales sont aussi capables d in fecter la muqueuse des voies res piratoires Ces verrues g nitales en phase prolif rative contiennent de grandes quantit s de virions Elles peuvent galement tre tr s nom breuses et parfois volumineuses de telle sorte que les masses de tis sus retirer sont tr s importantes ce qui peut augmenter l intensit et la dur e d exposition des soi gnants photos ci dessous Il y aurait potentiellement plus de virions lib r s lors du traitement des l sions g nitales b nignes HPV que lors du traitement des l sions du cancer g nital HPV Le g nome des HPV BR n est pas int gr au g nome de la cellule h te comme c est le cas pour les HPV HR responsables de l sions de haut grade ou de cancer HPV 16 et 18 Traitement des l sions g nitales au laser gauche avant l intervention droite apr s celle ci SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 129 Ces l sions contiennent habituel lement peu de virions ce qui th o riquement diminue le risque de contamination du tractus respira toire encadr 2 N
397. rte pad SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 43 VU DU TERRAIN Exposition des praticiens en radiologie interventionnelle apport de la capillaroscopie ANALYSE STATISTIQUE DES INDICES SYNTH TIQUES INDICE MORPHOLOGIQUE Lors du calcul des indices seuls ont t pris en compte les param tres cot s par les trois lecteurs du fait de l h t rog n it de lecture due une gnificativement associ e ce crit re morphologique contrairement aux cardiologues tableau 3 Les indices d exposition r sultant de l activit des m decins au moment de l tude sont galement significa tivement associ s ce crit re mor Lestimation de dose cumul e dur e d exposition en ann es x dose heb domadaire en Sievert log transfor m e par cat gories professionnelles est significativement associ e l in dice morphologique pour les chirur giens et les radiologues contraire variabilit d interpr tation entre phologique tableau 4 ment aux cardiologues tableau 5 les capillaroscopistes Ont t ainsi exclus Tableau II les r sultats pour lesquels au moins un lecteur avait consid r qu un param tre n tait pas d ter minable 9 le param tre longueur des anses car lu par un seul capillaros copiste Par ailleurs le param tre nombre d anses a d tre galement exclu du fait d un probl me technique survenu dans un des centres
398. rticle R 5139 18 du Code de la Sant publique Minist re charg de la Sant Journal officiel du 26 juin 2013 pp 10531 10546 Cetexte apporte des modifications l arr t du 23 janvier 2013 qui d finit les r gles de bonnes pratiques de s curit biologique applicables aux op rations de production fabrication transport importation exportation d ten tion offre cession acquisition et emploi de certains mi cro organismes ou toxines dont l emploi serait de nature pr senter un risque pour la sant publique ainsi que les produits qui en contiennent la liste de ces micro orga nismes est fix e par un arr t du 30 avril 2012 Les modifications apport es concernent notamment le recours des prestataires ext rieurs sous traitants pour l ex cution d une op ration pr alablement autoris e la proc dure de fonctionnement d grad en cas d indispo nibilit d un quipement et non plus seulement en cas de panne et la s curisation des donn es RISQUES PHYSIQUES ET M CANIQUES RISQUES PHYSIQUES CHAMPS LECTROMAGN TIQUES 9 Directive 2013 35 UE du Parlement europ en et du Conseil du 26 juin 2013 concernant les prescriptions mi nimales de s curit et de sant relatives l exposition des travailleurs aux risques dus aux agents physiques champs lectromagn tiques vingti me directive par ticuli re au sens de l article 16 paragraphe 1 de la direc tive 89 391 CEE et abrogeant la directive 2004
399. rticuli rement boulevers s trou bl s et d indiquer pour chacune des strat gies propos es s ils les avaient utilis es pour faire face cet v nement Le mode de r ponse est bas sur une chelle detype Likert 4 modalit s non plut t non plut t oui et oui La construction des scores est bas e sur la somme des r ponses chaque item constituant la sous chelle Dans la version fran aise 27 items Cousson et 81 1996 chaque item est c t 1 non 2 plut t plu t t oui ou 4 oui sauf l item j ai contenu gard pour moi mes mo tions o la cotation est invers e Temps de passation Dix minutes environ Disponibilit s et conditions d utilisation Domaine public pour la version r vis e de Folkman et Lazarus 1985 Copyright et payante pour la version dit e chez Mind Garden accessible avec son manuel d utilisation sur le site de Mind Garden www mindgarden com products wayss htm La version fran aise 29 items est disponible dans l article de Paulhan et al 1994 La version fran aise 27 items est disponible en annexe de l article de Cousson et al 1996 Qualit s psychom triques VALIDIT e Validit de structure interne La version originale r vis e de Folkman etLazarus 1985 a t compl t e trois reprises par 108 tudiants Plusieurs analyses en composantes principales avecrotation oblique ont t r alis es sur les donn es re
400. s une prise de conscience collective de la gravit de cette exposition et aux volutions r glementaires et techniques successives ce qui montre l int r t d efforts de pr vention quivalents pour chacun des produits canc rog nes SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 67 Tableau III gt LES AGENTS CHIMIQUES CANC ROG NES PRIS EN COMPTE EN 2010 Classement 2012 Europ en 1 al 1 1 1 3 al 2A 1 T 2 2B 1 1 1 al 1 1 2 2B 1 2 2B 2 1 Let 1 3 2 2 1 1 3 2A 2 2A 3 1 1 1 1 Voir encadr 2 Produit Gaz d chappement diesel Huiles min rales enti res Poussi res de bois Silice cristalline Formald hyde Plomb et d riv s Goudrons de houille et d riv s bitume et brais de p trole Hydrocarbures aromatiques halog n s et ou nitr s Chrome et d riv s Nickel et d riv s Amiante Fibres c ramiques r fractaires Fum es d gag es par les proc d s dans la m tallurgie et l lectrom tallurgie Cobalt et d riv s Trichloro thyl ne Amines aromatiques Cytostatiques Cadmium et d riv s Carbures m talliques fritt s Benz ne sauf carburants Perchloro thyl ne Acrylamide R sines formoph noliques Fum es de vulcanisation Arsenic et d riv s Centre international de recherche sur le cancer La description des 3 groupes est pr sent e page 67 Lecture 37 salari s sur 1000 sont expos s au gaz d c
401. s Colloques et Lignes directrices de l IRSN www irsn fr FR Larecherche publications documentation collection ouvrages IRSN Pages Les collections d ouvrages scientifiques de l IRSN 2537 aspx Section Manifestations de la SFRP www sfrp asso fr Vid os de la rubrique radioactivit et nergie nucl aire du CEA www cea fr jeunes themes CEPN www cepn asso fr Rubrique Documentation du site de radioprotection de Cirkus www rpcirkus org InVS www invs sante fr OUVRAGES Revue Radioprotection www radioprotection org Collection PCR des ouvrages de l INSTN B MM aL Nucl ide CD ROM 2010 MISE JOUR BIBLIOGRAPHIQUE Base de donn es Medline www ncbi nlm nih gov pubmed Base de donn es Refdoc www refdoc fr Base de donn es INRS Biblio www inrs fr accueil produits bdd inrsbiblio html Banque de donn es en Sant Publique www bdsp ehesp fr SERVICES PRATIQUES Formulaires de d claration et d autorisation de l ASN www asn fr index php Haut de page Professionnels Formulaires Syst me SISERI http siseri irsn fr Syst me SIEVERT wwwe sievert system org R seaux PCR www rpcirkus org reseaux pcr 88 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 PRATIQUES ET M TIERS Suicide et conduite suicidaire Rep rage et perspectives de prise en charge AUTEUR La conduite suicidaire d un salari ou ses cons quences est
402. s Les issues de grossesse pour les 3 primo infec tions ont t une issue normale une interruption m dicale de gros sesse et une mort f tale in utero pourle 3 cas mais non li e l infec tion rub oleuse Il est finalement conclu une circulation mod r e du virus limit e Montpellier et ses environs au cours du printemps 2012 Les donn es de s ropr va lence sont en faveur de l existence de r servoirs d individus r ceptifs ne permettant pas d exclure des r mergences localis es avec un im pact possible chez les fernmes en ceintes Cette conclusion renforce l importance d une meilleure sen sibilisation au rattrapage de la vac cination chez les jeunes adultes et tout particuli rement les femmes en de procr er ROUGEOLE C Charlier Woerther maladies infectieuses h pital Necker Paris a tout d abord pr sent le contexte pid mique de 1 rougeole en France avec un nombre croissant de cas passant de 1 500 en 2009 pr s de 15 ooo en 201 Parmi eux 38 6 ont plus de 20 ans et 5o des rougeoles chez les plus de 30 ans n cessitent une hospitalisation La vaccination sp cifique est insuffi sante en France les rougeoles de l adulte surviennent chez des sujets non vaccin s 86 ou mal vaccin s avec une seule dose 14 En France 10 des femmes en ge de procr er ne sont pas prot g es Diff rentes tudes ont mis en vi dence que les signes cliniques de la rougeo
403. s cu rit et l efficacit des soins Au total la prescription d un ArTr est un acte m dical int gr dans un plan de soin existe un certain nombre d avantages pour les pa tients accepter l ArTr dont l aide la gu rison et la pr vention des complications De plus la limita tion des d placements du patient peut galement tre b n fique pour la soci t lorsqu il existe une pathologie infectieuse Par contre le refus d ArTr peut comporter des risques qui sont valuer retard de gu rison complication diminu tion de la productivit Enfin en cas SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 103 SUIVI POUR VOUS d arr t de longue dur e le m decin devra envisager la reprise du travail pour viter une sinistrose TABLE RONDE L ARR T DE TRAVAIL UNE COMPOSANTE DE LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIOUE AVEC SES BONNES PRATIOUES F Duclos Caisse Centrale de MSA Bagnolet 1 1 Deutscher Caisse Centrale de MSA Bagnolet B Fouquet Service de m decine physique et r adaptation CHU Tours W De Boer Academy of Swiss insurance medicine B le O Scemana Haute autorit de sant Saint Denis La Plaine gt R LE DE LA HAUTE AUTORIT DE SANT DANS LA D TERMINATION DE R F RENTIELS DE DUR E DES ARR TS DE TRAVAIL Le p rim tre de comp tence de la Haute autorit de sant HAS est d fini selon 2 grands axes Le pre mier concerne l valuatio
404. s e La vacci nation post exposition est contre indiqu e pendant la grossesse mais possible dans le post partum la vaccination 2 injections est recom mand e en pr conceptionnel pour les femmes non immunes sous contraception pendant 2 mois Au cun effet n a t rapport lors d une vaccination accidentelle contre la varicelle r alis e en cours de gros sesse sur 362 foetus expos s Le vaccin contre l h patite B est compos d antigenes de surface sans pouvoir infectant La couver ture vaccinale contre l h patite B est de 42 en France La vaccination est possible chez la femme enceinte si elle est indiqu e Le vaccin contre le t tanos est compos d anatoxine t tanique La vaccination est possible en cours de grossesse ou en cours d allaite ment si un rappel est n cessaire Il n y a pas de d lai particulier res pecter avant une grossesse Les recommandations de vaccina tion contre la coqueluche ont pour objectif de r duire les infections n onatales qui peuvent tre s v res et potentiellement mortelles Ainsi la mise jour de la vaccina tion de l entourage ou strat gie de cocooning est sp cifiquement recommand e conjoint fratrie fu turs grands parents Si la vaccina tion dela femme n a pas t mise jour avant la grossesse elle le sera en post natal Le vaccin contre le pneumocoque est constitu de polyosides cap sulaires n est pas contre indi qu et peut
405. s gratuitement e Les fiches radioprotection en secteur m dical Elles sont acces sibles sur le site du p riodique R f rences en sant au travail pu bli par l INRS l adresse suivante www rst sante travail fr rst outils reperes radioprotection html Un groupe de travail auquel par ticipent l ASN la DGT l IRSN et l INRS a mis au point ces fiches et r alise leur mise jour Chaque fiche est r dig e par type d activit et pr sente les diff rentes proc dures de travail les types de dangers sp cifiques l analyse des risques et leur valuation ainsi que les m thodes de pr vention Pour illustrer ces diff rents l ments un exemple d tude de poste d une installation type pr sentant une application de la d marche de mise en place du zonage et du classe ment des travailleurs est aussi pro pos e depuis 2011 Certaines fiches sont galement accessibles via le site g n ral de l INRS e Une nouvelle s rie de fiches ra dioprotection en secteur recherche sera d but e partir dela fin de Tan n e 2013 et accessible l adresse www rst sante travail fr rst outils reperes radioprotection html eLes fiches gammagraphie Elles sont accessibles sur le site de l INRS l adresse suivante www inrs fr en tapant gammagraphie dans le moteur de recherche Il s agit d une s rie de trois fiches labor es par un groupe de tra vail anim par l INRS auquel ont particip
406. s s au alors qu ils ne constituent que 29 de l ensemble des salari s Cette exposition concerne d abord les ouvriers qualifi s 28 6 d entre eux sont expos s puis les ouvriers non qualifi s 19 tableau I page 58 Parmi les quatre grands secteurs d activit celui de la construction est le plus concer n avec 32 de ses travailleurs expos s au moins un produit chimique canc rog ne Dans l industrie 18 des salari s sont expos s t privil gi e au travers des domaines professionnels afin de mieux mettre en vidence les groupes de salari s les plus expo s s aux produits chimiques canc rog nes Parmi les 22 grands domaines professionnels 6 5 exposent par ticuli rement leurs salari s la maintenance 43 le b timent et travaux publics BTP 32 la m canique travail des m taux 31 le domaine des mat riaux souples bois industries graphiques 30 et l artisanat 62 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 gt AUTRES CANC ROG NES REP R S PAR L ENQU TE SUMER Les fum es de soudage d l ments m talliques sont class es 2B par le CIRC depuis 1990 au vu des r sultats de nombreuses tudes pid miologiques et ne sont pas ce jour class es par l UE Elles n ont pas t int gr es dans la liste des canc rog nes tudi s ici puisque seules les substances class es 2A par le CIRC ont t
407. s s La r glementation permet dor navant de d clarer une inaptitude en une seule visite pour les 2 r gimes s il y a eu une visite de pr reprise dans un d lai de 30 jours au plus Lorsqu un reclassement est envi sag le m decin du travail liste les t ches exclure les t ches r ali sables sans aide et celles qui n ces sitent une adaptation Le r le d li cat du m decin du travail est celui d expert aupr s de l employeur et de l employ en tudiant les capa cit s du salari li es son tat de sant sans mettre en avant le dia gnostic m dical Au sein dela MSA la proximit des services m dicaux est une particu larit qui facilite les changes entre le m decin conseil et le m decin du travail pour le b n fice du salari En r sum le m decin du travail est une interface entre le monde m dical et le monde du travail che ville ouvri re entre l employeur le salari 16 m decin conseil le m de cin traitant et les services sociaux gt LE R LE ET LES MISSIONS DU M DE CIN CONSEIL Le m decin conseil a plusieurs missions dont celle de contr le et d expertise m dico sociale Il un r le dans la pr vention et un r le d accompagnement pour viter l invalidit dans le cadre des de longue dur e Il travaille en lien direct avec tous les services de la caisse de S curit sociale le service social le m decin du travail et le m decin traitant Le lien pr
408. s M HzDsTRO M LD AL Work with video display terminals among office employees I Subjective symptoms and discomfort Scand J Work Environ Health 1985 1 6 457 66 11 SCHR TTNER J 1 6 8 N Sensitivity to electricity temporal changes in Austria BMC Public Health 2008 8 310 12 BAuarsas C Van LEBRET E RUBIN GJ Idiopathic environmental intolerance attributed to electromagnetic fields IEI EMF a systematic review of identifying criteria BMC Public Health 2012 12 643 13 Electrosensibilit EHS Belgian BioElectroMagnetics Group 2013 www bbemg ulg ac be fr sante electrosensibilite html 14 Les radiofr quences Mise jour de l expertise relative aux N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 ANTS radiofr quences Rapport d expertise hypersensitivity Int 7 Psychophysiol 33 GANGIS JoHANssoN Skin collective Avis de l AFSSET Maisons 2001 42 3 233 41 changes in screen dermatitis versus Alfort AFSSET 2009 469 p 22 p 25 Lvskov E SANDSTR M M classical UV and ionizing irradiation 15 Errr S D Zouckou KH Provocation study of related damage similarities and Russo R AL Development and persons with perceived electrical differences Exp Dermatol 1997 evaluation of the electromagnetic hypersensitivity and controls using 6 6 283 91 hypersensitivity questi
409. s besoins des diff rents acteurs en charge de la mise en ceuvre d ac tions de pr vention Dans le cadre de la pr servation de la sant des travail leurs et de la tracabilit des expositions les donn es collectives ne peuvent suffire et le recueil de don n es individuelles auxquelles seul le m decin du travail a acc s est indispensable C est ainsi que les r sultats des examens individuels r sultats d exa mens effectu s lors de la visite m dicale ou de l entre tien sant travail tests d acuit visuelle audiom trie analyses urinaires EFR r sultats de surveillance biolo gique sont des l ments du dossier m dical du tra vailleur il s agit de donn es m dicalis es nomina tives En ce qui concerne la dosim trie interne les exa mens adapt s la surveillance de l exposition interne examens radiotoxicologiques ou anthroporadiom triques sont des examens biologiques prescrits et analys s par le m decin De ces r sultats une chelle peut donner une correspondance de diagnostic et de niveau de gravit clinique De m me qu une anomalie d un audiogramme peut avoir une origine extrapro fessionnelle un r sultat anormal d un examen radio toxicologique urinaire ou anthroporadiom trique peut provenir d un examen diagnostic effectu chez le travailleur ou d un traitement m dical donn es per sonnelles relevant strictement du secret m dical Ain si seul en mesure d interpr
410. s de l usage d quipements lectriques et disparaissent lors de l loigne ment de la source mettrice Elles surviennent quelques minutes quelques heures apr s l usage ou le travail proximit des sources mettrices Les manifestations neurov g tatives sont plus fr quemment voqu es mais peu sp cifiques Parmi elles on peut retrouver des sensations de fatigue intense et g n ralis e des c phal es des troubles du sommeil des troubles de la m moire et de la concentra tion des troubles de l humeur ou des troubles anxieux une sensation d oppression thoracique ou une dyspn e des troubles de l app tit ou des douleurs abdominales une dysgueusie un tremblement des extr mit s Certains patients lectrosensibles rapportent galement des troubles de la sph re nez gorge oreilles comme des picotements dans la gorge ou des irritations oculaires Plus r cemment une distinction a t propos e entre l lectrosensibi lit g n ralis e et la sensibilit aux seules radiofr quences de la t l phonie mobile 14 Dans la majorit des cas lorsqu il est r alis lexamen clinique est sans particularit les sympt mes sont de faible ampleur et aucun d entre eux ne constitue un signe pathognomonique N anmoins ils peuvent parfois alt rer de mani re tr s importante la sant physique et mentale des patients et donc leur qualit de vie Une tape importante dans lap proche c
411. s de l utili sation du test de stimulation locale des ganglions lymphatiques L valuation actuelle de la sensibili sation cutan e repose sur les tests in vivo Cependant l interdiction en 2013 de l utilisation des tests in vivo pour la cosm tique en Europe et le programme REACH Registra tion Evaluation Authorisation and Restriction of Chemical substances dont un objectif principal est le d veloppement de m thodes alter N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 natives l utilisation d animaux poussent au d veloppement rapide de tests in vitro in chemico ou in silico du potentiel sensibilisant des produits chimiques Les tests in vitro reposent principa lement sur l utilisation de cellules pr sentatrices de l antig ne CPA et l observation des changements ph notypiques induits par les produits chimiques Comme ces cellules sont difficiles isoler de la peau des m thodes de g n ration de CPA par tir de cellules humaines mononu cl aires du sang p riph rique ou de cellules souches h matopoi tiques CD34 sont utilis es Il est alors pos sible de suivre l expression des pro t ines CD86 et CD54 la lib ration de l interleukine 1b ou l internalisation des mol cules du complexe majeur d histocompatibilit de classe 1 en pr sence de produits chimiques Lutilisation de lign es cellulaires avec des caract ristiques de cel lules dendritiques suscite beaucoup
412. s mis en ceuvre Ild finit dans un premier temps les dispositions qui s ap pliquent la fois aux travaux de retrait ou d encapsulage d amiante et de mat riaux d quipements et de mat riels ou d articles en contenant y compris dans les cas de d molition et aux interventions sur des mat riaux des quipements des mat riels ou des articles susceptibles de provoquer l mission de fibres d amiante 178 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Ces r gles concernent la pr paration de l op ration re p rage et consignation des r seaux susceptibles de pr senter des risques marquage de tous les quipements contenant de l amiante vacuation du lieu l utilisation et l entretien des quipements de travail installations lectriques installations d a ration et d aspiration des poussi res quip es de filtres de type HEPA minima installations de distribution d air respirable la mise en place de confinements en fonction des niveaux d empoussi rement g n r s et la tracabilit des contr les consignation dans le registre de s curit des r sultats des mesurages d empoussi rement dates de change ment des filtres des quipements de protection collective param tres de surveillance du chantier Larr t d taille ensuite les prescriptions suppl mentaires respecter lors des op rations de retrait et d encapsulage d amiante ou de mat riaux en contenant c
413. s relativement rares En de l ducation nationale le nombre de m decins de outre le salari remplit seul dans la salle d attente un pr vention rapport au nombre d agents du minist re autoquestionnaire qui porte sur son v cu du travail est inf rieur celui observ dans les autres minist res et permet d valuer les facteurs psychosociaux de ainsi que les minist res sociaux et celui de la Justice risque rencontr s sur le poste de travail enqu te s est Les premiers r sultats de l enqu te SUMER 2010 ont fait d roul e sur le terrain de janvier 2009 avril 2010 l objet de deux publications la premi re sur l volution 47 983 salari s ont r pondu interrog s par 2 400 des expositions aux risques depuis 1994 1 la seconde m decins du travail Ouatre vingt dix sept pour sur les diff rences sectorielles en 2010 2 cent d entre eux ont accept de r pondre 1 Pour plus de d tails concernant les modalit s de pond ration de l enqu te se reporter au document de travail dela DARES M thodologie du redressement de l enqu te SUMER 2010 http travail emploi gouv fr IMG pdf note methodologie redresse ment Sumer2010 pdf SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 61 VU DU TERRAIN 3v Encadr 2 gt LES PRODUITS CHIMIQUES CANC ROG NES Dans le cadre de l enqu te SUMER le m decin du travail rel ve les produits chimiques auxquels a t expos le salari sur la derni re semain
414. s th ma tiques dont une part importante est consacr e la radioactivit naturelle Ces documents se pr sentent sous la forme de livrets t l chargeables gratuitement dans la section Publications du site de la SFRP La plupart de ces documents existe galement en version papier mais leur obtention est payante Guide de radioprotection du CNRS Ce guide est accessible sur Internet ladresse suivante www dgdr cnrs fr cnps guides radioprotec tion htm Il est en francais et peut tre consult gratuitement Le CNRS est un organisme public francais de recherche caract re pluridisciplinaire qui m ne des recherches dans l ensemble des domaines scientifiques technolo giques et soci taux Le CNRS a labor un guide effec tuant une synth se sur la pr ven tion en mati re de radioprotec tion Ce dernier est destin toute personne amen e participer l organisation ou la mise en uvre d exp riences li es l utilisation de sources de rayonnements ioni sants se divise en deux parties le corps du document aborde le sujet de mani re g n rale sous la forme de onze chapitres et les fiches techniques traitent de points SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 75 PRATIQUES ET M TIERS particuliers signalisation appareils de mesures LU offre la possibilit d tre consult par chapitre ou fiche de mani re individuelle Les g n rateurs d
415. s travaux le m decin du travail est juge de la nature et de la fr quence des examens et entretiens que comporte cette surveillance renforc e en tenant compte des recommandations de bonnes pratiques existantes sous r serve d un examen p riodique tous les 30 mois ou tous les 48 mois lorsque sont mis en place des entre tiens infirmiers interm diaires Le m decin du travail met en place chaque ann e avec l quipe pluridisciplinaire les actions en milieu de tra vail appropri es Arr t 11 juin 2013 d terminant la liste des tests recueils et traitements de signaux biologiques qui ne constituent pas un examen de biologie m dicale les cat gories de personnes pouvant les r aliser et les conditions de r alisation de certains de ces tests recueils et traitements de signaux biologiques Minist re charg de la Sant Journal officiel du 15 juin 2013 pp 9 914 9 917 TO Arr t du 20 juin 2013 fixant le mod le de fiche d aptitude Ministere charg du Travail Journal officiel du 3 juillet 2013 pp 1109 11 111 La modification de ce mod le est cons cutive la r forme de la m decine du travail qui a renforc le suivi individuel de l tat de sant des travailleurs Ainsi la fiche d aptitude est unifi e quel que soit le type d examen r a lis examen d embauche examen p riodique examen de reprise ou examen la demande elle permet de pr ciser les conclusions relatives l aptitude ou l
416. s visuels sont clairement identifi s et l gend s Les photographies sont fournies sous format num rique PDF EPS TIFF OU JPG compress s zipp s et envoy s par mail Leur r so lution est obligatoirement de qualit haute d finition 300 dpi Ces recommandations aux auteurs s inspirent des exigences uniformes dit es par le groupe de Vancouver Ce groupe de r dacteurs de revues biom dicales r uni en 1978 afin d tablir des lignes directrices sur le format des manuscrits est devenu depuis le Comit international des r dacteurs de revues m dicales CIRRM et a produit une cinqui me dition des exigences uniformes Le style Vancouver de ces exigences est inspir en grande partie d une norme ANSI American National Standards Institute que la NLM National Library of Medicine a adopt e pour ses bases de donn es ex Medline Les nonc s ont t publi s dans le num ro du 15 f vrier 1997 du JAMC Journal de l Association M dicale Canadienne Les directives aux auteurs sont galement disponibles en francais sur le site Internet dela CMA Canadian Medical Association l adresse suivante www cma ca LES R F RENCES BIBLIOGRAPHIQUES Les r f rences bibliographiques sont destin es conforter la cr dibilit scientifique du texte permettre au lecteur de retrouver facilement le document cit La bibliographie plac e en fin d article de pr f rence par ordre alphab
417. se Internet Exemple M nard C Demorti re G Durand E Verger P Eds et al M decins du travail m decins g n ralistes regards crois s INPES 2011 www inpes sante fr CFESBases catalogue pdf 1384 pdf Forme g n rale pour une base de donn es Nom de la base de donn es Organisme metteur ann e de mise jour de la base adresse Internet Exemple BIOTOX Guide biotoxicologique pour les m decins du travail Inventaire des dosages biologiques dis ponibles pour la surveillance des sujets expos s des produits chimiques INRS 2012 www inrs fr biotox Forme g n rale pour un CD Rom ou un DVD Auteurs Nom s pr nom s initiales Titre du CD Rom Num ro d dition Collection Ville d dition diteur ann e 1 CD ROM si donn es disponibles Exemple and BEls with 7 edition documentation CD ROM 20171 Cincinnati ACGIH 2011 1 CD Rom La remise d un texte pour publication dans R f rences en Sant au Travail emporte cession du droit de reproduction de repr sentation de modification et d adaptation
418. semble des ouvriers D apr s les m decins du travail enqu teurs 14 des int rimaires sont expos s contre 11 pour les salari s en contrat dur e ind termin e CDI mais ce taux d ex position est relativement faible compte tenu du fait qu ils sont tr s majoritairement ouvriers I se 3 Les expositions aux agents chimiques canc rog nes dans chacun des secteurs d activit niveau 1 Naf rev 2 sont d taill es dans une annexe statistique consultable sur le site Internet de la DARES www travail emploi gouv fr gt tudes recherches statistiques de la Dares gt Statistiques gt Conditions de travail et sant gt Les enqu tes Surveillance m dicale des expositions aux risques professionnels SUMER 4 La nomenclature des familles professionnelles FAP tablit une correspondance entre le r pertoire op rationnel des m tiers et des emplois ROME utilis par P le emploi pour classer les offres et les demandes d emploi et la nomenclature des professions et cat gories socioprofessionnelles PCS utilis e par Institut national de la statistique et des tudes conomiques INSEE dans ses enqu tes Les m tiers sont regroup s par familles professionnelles elles m mes rassembl es en grands domaines professionnels au nombre de 22 5 l aide d un mod le conom trique de type Logit expliquant l exposition au moins un agent chimique canc rog ne par l ge et le genre des salari s leur cat gorie
419. serveur Internet acces sible aux seules entreprises qui en ont fait la demande aupr s de la direction g n rale de l aviation ci vile Toutefois une partie publique permet un particulier d estimer la dose recue lors d un voyage Le syst me fournit des valeurs d exposition qui prennent en compte les routes emprunt es par les avions Ces valeurs sont calcu l es partir de mod les v rifi s sur plusieurs dizaines de vols En cas d ruption solaire le syst me SIE VERT permet galement d en va luer l impact sur la dose re ue gt R SEAUX PCR Les PCR dont les d signations for mations et fonctions sont d finies par la r glementation sont des ac teurs incontournables de la radio protection en France Depuis une quinzaine d ann es et l initiative de professionnels du secteur m di cal de l industrie et de la recherche se sont d velopp s des r seaux de PCR Ils ont pour but de mettre en commun l exp rience des PCR de mettre jour les connaissances et les d veloppements r glemen taires et techniques en radiopro tection tout en favorisant l appui mutuel des PCR Les objectifs des r seaux r gionaux et leurs relations avec les institutions publiques scientifiques ou commerciales sont pr cis s dans une charte thique sign e en 2011 Ladresse suivante propose un acces gratuit cette charte une plaquette d information sur les r seaux PCR ainsi que des liens directs pour les s
420. si que la CAT pour le nouveau n se ront prises en concertation entre les sp cialistes Dans tous les cas la v rification et la mise jour du calendrier vaccinal de l entourage est indispensable VARICELLE D apr s C Charlier Woerther la vari celle est une infection rare chez la femme enceinte La s ropr valence de la maladie en Europe est sup rieure 90 et plus de 9o des femmes qui ne se rappellent pas avoir fait une varicelle sont prot g es Le contage varicelleux d une femme enceinte est un motif tr s fr quent de demande d avis m dical probabilit de survenue chez une femme r ellement non immune est de1 1000 O Anselem pr cise qu une pneu mopathie survient dans 28 des cas de varicelle chez la femme enceinte Cette affection est parti culi rement s v re surtout en cas de tabagisme et au 3 trimestre de la grossesse L impact de la varicelle sur le f tus est variable en fonction du terme au moment de la survenue de la mala die chez la m re Entre o et 20 se maines d am norrh e SA le risque de varicelle cong nitale est de 1 2 Cela peut entrainer un retard de croissance in utero RCIU des cicatrices cutan es des anomalies des extr mit s ainsi que des ano malies neurologiques et oculaires Entre 21 36 SA et jusqu 3 semaines Recommandations nationales sur la pr vention de la transmission crois e par voie respiratoire Air ou gouttelettes 201
421. significatives entre les chirurgiens ou les radiologues par rapport aux non expos s mais pas chez les cardiologues les indices de l exposition actuelle et la dur e d exposition sont significativement associ s ce crit re morphologique Par ailleurs aucun r sultat significatif n a t mis en vidence sur les crit res d extravasation Cette tude d montre la n cessit de mettre en place une surveillance syst matique par dosim trie des extr mit s de cette population expos e et d impulser des tudes permettant de r duire l exposition lors de ces actes P Carpentier A Chamouxs R De Gaudemaris J N Fiessinger A Sobaszek L Donnadille Pennarola B Perdereaut D Choudat Institut national de recherche et de s curit INRS Assistance Publique H pitaux de Paris AP HP CHU Grenoble 4CHU Univer sit Lille Nord de France SCHU Clermont Ferrand Institut de radioprotection et de s ret nucl aire IRSN 7 Universit de Naples 8 T Institut Curie Universit Paris Descartes Sorbonne Paris Cit AP HP H pitaux Universitaires Paris Centre Remerciements aux services de sant au travail des CHU Lille Clermont Ferrand Grenoble de l Assistance Publique H pitaux de Paris des services de sant des arm es et aux praticiens ayant accept de participer cette tude n pr c dent article publi dans la revue R f rences en Sant au Travail 1 a rappel le
422. sion nel n est pas int gr dans la prise en charge d s le d part le retour dans le monde professionnel reste une pro bl matique majeure Une des possi bilit s envisag e estla mise en place d un contrat th rapeutique avec les patients Ce contrat consiste notam ment fixer pr cocement une visite de pr reprise aupr s du m decin du travail en fin de soins Enfin la prise en charge peut par fois se heurter des situations o le patient pr sente une appr hension la reprise tr s importante appe l e galement stade pr contem platif L encore l importance de la composante socioprofessionnelle et d une prise en charge pluridi mensionnelle est mise en avant TABLE RONDE LES ENJEUX DU RETOUR AU TRAVAIL DES CONTRADICTIONS A LA CONCERTATION ENTRE MEDECINS CONSEIL ET MEDECINS DU TRAVAIL UN EXEMPLE D ACCOMPAGNEMENT A LA REPRISE J Albouy DIRECCTE Centre Orl ans J C Le Squeren groupe Ermitage Bulgn ville J M Pastor MSA Languedoc Montpellier P Dubois MSA C tes Normandes Caen D Sabel MSA des Portes de Bretagne Rennes 104 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 gt ARR TS DE TRAVAIL LE REGARD DE L EMPLOYEUR L employeur se pr occupe des ArTr et de leur fr quence En effet il existe une relation entre ceux ci et le climat social au sein de l entre prise Toutefois la gestion de l ArTr apparait complexe car il existe un manque d
423. sociale leur statut d emploi leur fonction principale le domaine professionnel de leur m tier la taille de l tablissement et le secteur d activit 6 Toutes choses gales par ailleurs le statut d int rimaire r duit de moiti la probabilit qu une exposition au moins un agent chimique canc rog ne soit SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 63 VU DU TERRAIN Tableau I PROPORTION SALARI S EXPOS S AU pos Proportion de salari s expos s au Proportion de salari s expos s au UN PRODUIT CHIMIQUE CANCEROGENE EN 2010 en EE SE in trois produits ue ENSEMBLE 10 1 1 2 SEXE Hommes 16 1 2 0 Femmes 2 8 0 2 TRANCHE Moins de 25 ans 15 7 2 0 D GE 25 29 ans 11 7 1 9 30 39 ans 9 6 1 2 40 49 ans 10 0 1 1 50 ans et plus 7 4 0 6 CAT GORIE Cadres et professions intellectuelles sup rieures 2 3 0 3 SOCIALE Professions interm diaires 7 0 1 0 Employ s administratifs 1 6 0 0 Employ s de commerce et de service 4 4 0 2 Ouvriers qualifi s 28 1 3 6 Ouvriers non qualifi s ouvriers agricoles 18 9 2 0 SECTEUR Agriculture 155 0 6 D ACTIVIT Industrie 17 7 1 7 Construction 31 9 4 8 Tertiaire 6 4 0 8 DOMAINE Agriculture marine p che 13 4 0 8 PROFESSIONNEL B timent travaux publics 32 3 4 9 lectricit lectronique 16 2 0 2 M canique travail des m taux 31 4 3 2 Industries de process 20 6 2 9 Mat riaux souples bois industries graphiques 30 3 0 9 Maintenan
424. ssionnelle ou compromis soci tal Congr s Mational APPEL COMMUNICATIONS JUSQU AU 6 JANVIER 2014 Claire Verfaillie T l 03 28 55 06 26 contact santetravail lille2014 fr 158 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 Les formations 2014 de l INRS Sant et s curit au travail INRS s efforce chaque ann e d adapter son offre de formation aux attentes de ses publics aux pr occupations d actualit en mati re de pr vention et aux besoins de comp tences nouvelles La formation est une des missions de l Institut dont la comp tence dans ce domaine est reconnue C est pourquoi en 2015 l INRS pr c demment agr au titre de la formation m dicale sur la p riode 2008 2012 a adress un dossier l Organisme gestion naire du d veloppement professionnel continu OGDPC pour mettre en ceuvre dans ce nouveau dispositif des programmes de d veloppement pro fessionnel continu pour les m decins du travail et les infirmier e s Pr venteurs en entreprise professionnels des ser vices de sant au travail d cideurs d entreprise res ponsables des ressources humaines et formateurs d organismes de formation pourront d couvrir dans l dition compl te 2014 du catalogue des formations en sant et s curit au travail onze offres nouvelles gt un parcours de cinq formations accompagn es distance pour les pr venteurs d entreprise qui sou haitent co
425. ssiques ont pour fonction de prot ger les patients des gout telettes orales ou nasales de toute personne pr sente dans le bloc op ratoire Les masques chirurgi caux ne conviennent donc pas pour assurer la protection respiratoire du personnel m dical vis vis des risques biologiques papillomavi rus autres virus bact ries cellules canc reuses Il existe certes des masques chirur gicaux vendus comme assurant une protection sp ciale laser La protection suppl mentaire appor t e par le masque laser en situation de travail par rapport aux masques chirurgicaux semble tre minime alors que selon certaines tudes l appareil de protection respiratoire FFP2 apporte une protection 27 fois plus lev e que le masque laser 8 Les demi masques de filtration des particules r pondant la norme EN 149 2001 A1 2009 filtre de classe FFP2 au moins constituent donc une protection appropri e contre les composants particulaires des fum es chirurgicales en particulier contre les papillomavirus et autres composants d origine biologique Ces appareils de protection respi ratoire FFP2 doivent tre utilis s en compl ment et non en remplace ment des syst mes d aspiration locale CONCLUSION Le traitement au laser des l sions cutan es ou muqueuses dues des papillomavirus humains est tr s r pandu entra nant une exposition des soignants des fum es laser en particulier en gyn cologie et derma tolo
426. t publi es En effet la date de publication d un document n est pas forc ment celle de la r alisation de la bibliographie Pour tre exhaustif il est conseill de d buter la recherche avec cinq ans d ant riorit Il convient de d finir la strat gie de recherche en d terminant la requ te d interro gation par des mots cl s Les r sul tats obtenus sont des r f rences ou notices incluant une description bibliographique d taill e avec ou sans r sum L acc s au texte int gral de l article est le plus souvent payant gt BASE DE DONN ES MEDLINE La base de donn es Medline via l interface Pubmed est accessible sur Internet l adresse suivante www ncbi nlm nih gov pubmed L acc s est gratuit Les recherches et les r sultats sont en anglais Cr e par la NLM Medline couvre tous les domaines biom dicaux biochimie biologie m decine cli nique conomie thique odonto logie pharmacologie psychiatrie sant publique toxicologie m de cine v t rinaire plus de 15 millions de r f rences La mise jour est quotidienne Les monographies et r sum s de congr s ne sont pas index s gt BASE DE DONN ES REFDOC Elle est accessible sur Internet l adresse suivante www refdoc ft L acc s est gratuit Les recherches se font en francais ou en anglais Cr e par l INIST membre du CNRS Refdoc donne acc s plusieurs dizaines de millions de r f rences d articles d
427. t conduisant une r ponse immunitaire qui lui est sp cifique Plusieurs de ces tudes ont montr que des hapt nes peuvent activer directement des cellules dendri tiques in vitro ainsi que des TIR comme dans le cas du nickel par exemple Les hapt nes peuvent aussi modifier l environnement microcellulaire de la cellule dendri tique appel pimmunome par la production de d riv s oxyg n s r actifs reactive oxygen species ROS des anglo saxons de ligands endo g nes pour les TLR et par l induction de la mort cellulaire avec lib ration d ad nosine tri phosphate et acti vation de l inflammasorne De plus l pimmunome peut tre modifi diff remment selon la structure chimique ou l activit de l hapt ne Pour devenir un antig ne un pro duit chimique doit donc pouvoir tre reconnu par le syst me immu nitaire donc pouvoir se lier une prot ine et pouvoir alors g n rer des pitopes sp cifiques reconnus par des r cepteurs sp cifiques des cellules T Beaucoup de produits chimiques peuvent induire une sensibilisation avec des anticorps et des cellules dirig s contre eux sans induire de r action allergique car la r ponse immunitaire est bien contr l e On parle de tol rance immunitaire p riph rique La survenue d allergies peut tre la cons quence de facteurs d clen chants par exemple une infection concomitante et ou une rupture de la tol rance immunitaire et ou un manque de contr le
428. t le lavage des mains et la vaccination qui est recommand e quel que soitle terme de la grossesse CYTOM GALOVIRUS CMV M Leruez Ville Centre national de r f rence du CMV laboratoire associ H pital Necker Enfants malades Paris et D Antona InVS Saint Maurice ont fait un point sur l infection CMV et son d pis tage L infection CMV reste la premi re cause d infection cong nitale dans les pays d velopp s En France en viron 50 des femmes enceintes sont s ron gatives pour le CMV M Leruez Ville a expliqu que d apr s les donn es de 1 litt ra ture dans 90 des cas l infection cong nitale CMV est asympto matique Les formes cong nitales symptomatiques sont de gravit variable Leur pronostic est sou vent s v re avec notamment des risques de s quelles qui peuvent tre importants infirmit motrice c r brale retard mental pilepsie chorior tinite surdit Enfin si le pronostic est bon pour les nou veau n s asymptomatiques la naissance des s quelles tardives sont possibles surdit dans 13 6 des cas En France comme rappel D Antona depuis l avis mis par l Agence nationale d accr ditation et d valuation en sant ANAES en 2004 le d pistage s rologique syst matique de l infection CMV chez la femme enceinte n est pas recommand Les arguments pour cette d cision taient notamment l absence de vaccin etde traitement pr natal valid e
429. t nucl aire et susceptibles de fournir diff rents types d informations La recherche d informations peut galement se faire par mots cl s depuis la page d accueil du site Un dossier consacr l laboration des normes en radioprotection et aux r les des diff rentes instances internationales et nationales est accessible gratuitement l adresse suivante www irsn fr FR connais sances Sante radioprotection normes radioprotection Pages sommaire aspx D autre part l IRSN dite plusieurs collections d ouvrages dont la col lection Colloques qui rassemble des contributions des colloques ou congr s La collection Lignes directrices rassemble des guides et des ouvrages de recommanda tions comprenant notamment des traductions des recommandations de la CIPR Ces diff rentes collec tions sont accessibles l adresse suivante www irsn fr FR Lare cherche publications documen tation collection ouvrages IRSN Pages Les collections d ouvrages scientifiques de l IRSN 2537 aspx SFRP Il est accessible sur Internet l adresse suivante www sfrp asso fr Les supports de communications orales de nombreuses manifesta tions scientifiques portant sur la probl matique des rayonnements ionisants sont t l chargeables gra tuitement dans la section Mani festations du site de la SFRP Des actes de diff rents congr s et journ es techniques peuvent ga lement tre obtenus en version papier e
430. t partie de l arsenal th rapeu tique courant de certaines l sions dues aux HPV Mais quelle que soit la m thode th rapeutique utilis e aucune ne permet l radication du virus ce qui explique la fr quence des r cidives ce d autant plus que le virus persiste en zone p ril sion nelle La chimioth rapie et la radio th rapie font partie du traitement des l sions canc reuses Il existe actuellement deux vaccins d velopp s contre le HPV dans le cadre de la pr vention du cancer du col de l ut rus Le vaccin quadriva lent prot ge contre les infections par les HPV 6 11 16 et 18 le vaccin bivalent contre les HPV 16 et 18 LASER ET FUM ES LASER Le laser lumi re amplifi e par stimulation d mission de rayon nements est une source de rayon nements optiques coh rents les ondes qui constituent le faisceau sont en phase incorpor e dans un appareil mettant un faisceau de rayonnements monochromatiques c est dire ayant une longueur d onde d finie ultraviolets visibles ou infrarouges 7 Les divers caract ristiques et para m tres de r glage du faisceau lon gueur d onde dur e de l exposition nergie d livr e lui conf rent la possibilit d induire dans les mat riaux et tissus biologiques des ef fets thermiques photochimiques photoablatifs ou disruptifs sur les tissus vivants L effet thermique r sulte de l absorption par les tis sus de l nergie transport e par le faiscea
431. t pour la premi re fois une distinction entre patients lectro sensibles et sujets contr les quant leurs caract ristiques physiolo giques de base 24 25 la variabi lit du rythme cardiaque et l activit lectrodermale seraient diff rentes sugg rant pour les premiers une pr disposition physiologique la sensibilit aux stresseurs environ nementaux physiques et psychoso ciaux Plus r cemment Rubin et al se sont int ress s aux tudes recherchant des perturbations physiologiques ou cognitives cons cutives une exposition aux CEM chez des pa tients pr sentant une IEI attribu e aux CEM 35 Apr s avoir identifi 29 tudes de provocation en simple ou double aveugle ils ne retrouvent pas de preuve d un effet physio logique li l exposition aux CEM chez les sujets inclus EXPLORATION DIAGNOSTIOUE QUESTIONNAIRES Il existe l heure actuelle plu sieurs questionnaires utilis s dans les pays francophones Ils visent recenser de mani re exhaustive les diff rents sympt mes ressen tis et r pertorier de fa on pr cise toutes les sources d exposition Le Centre hospitalier universitaire de Brest a labor un formulaire de d claration de pathologie environ nementale Le CRIIREM Centre de recherche et d information in d pendant sur les rayonnements lectromagn tiques non ionisants a propos trois questionnaires dif f rents selon les personnes cibles un question
432. t qu il n existait pas de v ritable consensus sur la prise en charge des infections ma ternelles Aussi les cons quences n gatives de ce d pistage anxi t augmentation du nombre d am niocent ses interruptions m di cales de grossesse non justifi es pr dominaient sur les risques de d ficit ou de s quelle grave Dix ans apr s l avis de l ANAES M Leruez Ville explique que cer taines donn es ont volu e L index d avidit des IgG est un test indispensable qui compl te le profil s rologique dans le diagnos tic de primo infection maternelle L imagerie chographie et ima gerie par r sonance magn tique du cerveau fcetal permet d affiner le pronostic de l infection fcetale avec une excellente valeur pr dic tive positive 100 6 et une bonne valeur pr dictive n gative 88 96 Mais les cas s v res sont actuel lement sous diagnostiqu s car en l absence de contexte connu d infection CMV la sensibilit de l chographie syst matique pour rep rer les anomalies c r brales associ es aux cas graves de CMV est seulement de 30 96 Concernant ces deux points une formation de lensemble des ac teurs biologistes m decins g n ra listes gyn cologues obst triciens serait n cessaire Pour l oratrice au vu de ces diff rents l ments l indication d un d pistage pendant la grossesse m riterait d tre rediscut e Il a t si gnal en outre qu ce jour rien n
433. t veille en radioprotection et contribution l information du public appui technique en mati re de risques nucl aires et radiologiques appui op rationnel en cas de crise ou de situation d urgence radiologique r alisation d analyses mesures et dosages pour des organismes pu blics ou priv s Le site de l IRSN propose un rappel de connaissances g n rales sur la radioactivit travers plusieurs dossiers dans la rubrique Acc s direct de la page d accueil via l onglet Base de connaissances Lacc s ces dossiers est gale ment possible l adresse sui vante www irsn fr FR connais sances Pages Home aspx gt CEA Le CEA tablissement public indus triel et commercial fran ais inter vient dans quatre grands domaines la d fense et la s curit les technolo gies pour l information les technolo gies pour la sant et les nergies de type nucl aire et renouvelable Le CEA propose sur son site diff rents l ments d information des tin s toute personne int ress e par le domaine du nucl aire Ces l ments sont accessibles dans des rubriques intitul es La radioacti vit et L nergie nucl aire et se pr sentent sous la forme e de dossiers th matiques parmi lesquels des points synth tiques sur l atome la radioactivit l ner gie nucl aire ou encore l imagerie m dicale Ces dossiers th matiques peuvent tre t l charg s gratuite ment sous form
434. tantes que les dermatoses des mains profession nelles dues au contact avec de la nourriture Une r cente tude da noise a observ qu elles conduisent plus souvent un changement de profession 62 vs 43 6 p 0 02 et les arr ts maladie de 3 semaines ou plus sont plus fr quents 62 vs 30 96 0 02 Une description des cas de dermatite des mains ou des avant bras avec test positif aux pro t ines venus en consultation en der mato allergologie du CHU de Nancy de 2006 2012 a t r alis e Vingt Six cas parmi les 5882 patients 0 44 ayant eu des explorations allergologiques en raison de r ac tions cutan es d hypersensibilit ont t inclus Il s agissait de 20 cas de dermatites de contact aux pro t ines dont 17 taient li es au tra vail de 5 cas d urticaires de contact et d un cas d une nouvelle entit appel e ruption fixe alimen taire neutrophilique qui tous les 6 taient li s au travail Ce cas d ruption fixe alimentaire neu trophilique concerne un cuisinier pr sentant des plaques bulleuses des avant bras r currentes toujours au m me endroit Les patch tests et prick tests effectu s sur les cicatrices sont positifs avec les poissons et les crevettes en lecture imm diate et retard e La pr valence de l ato pie tait de 46 6 chez les patients ayant eu des explorations allergolo giques en raison de r actions cuta n es d hypersensibilit et de 56 chez ceux ayant une d
435. tauration L Information et communication Q Activit s financi res et d assurance LL Activit s immobili res O Activit s sp cialis es scientifiques et techniques et activit s de services L Administration publique enseignement sant humaine et action sociale Autre s activit s Seriez vous int ress e par une formation dans ce domaine oui U Si oui combien de temps seriez vous pr ts y consacrer 17 21 15jrs 222 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 9 INFOS RETENIR Recherche d informations sur les allergies professionnelles Avez vous d j cherch des informations concernant ce risque Si quelle fr quence gt 1 fois mois L lt 1 fois mois L ponctuellement L1 gt Avez vous eu des difficult s trouver des informations pertinentes oui U Avez vous interrog une ou plusieurs source s d information lors de votre derni re recherche oui U Ouvrage revue El eelere Site Internet 0 AUCUNE Q gt Quel tait le secteur d activit ou le poste de travail concern 2 ettet Contenu de la formation Allergies professionnelles Avez vous d j cherch des informations concernant ce risque non gt Quels sujets souhaiteriez vous y voir abord s en fonction de vos priorit s 1 absolument 2 ventuellement 3 pas du tout Ressources documentaires inte
436. te travail fr rst outils reperes radioprotection html fiches gammagraphie wwwinrs fr gammagraphie dans le moteur de recherche Fiches m dico professionnelles du CISME www fmpcisme org Fiches M tiers et Activit s du minist re charg du Travail wwwitravailler mieux gouv fr Metiers et Activites html Fiches d activit s de Bossons Fut www bossons fute fr Fiches FAST du site FORSAPRE www forsapre fr INCIDENTS ACCIDENTS ET URGENCES RADIOLOGIOUES ASN dossier des situations d urgence www asn fr index php S informer Dossiers Les situations d urgence guide national d intervention m dicale en cas SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 87 PRATIQUES ET M TIERS d v nement nucl aire ou radiologique www asn fr index php S informer Publications Guides pour les professionnels Situation d urgence d claration des v nements significatifs en radioprotection www asn fr index php Haut de page Professionnels Les guides de declaration des evenements significatifs chelle internationale de gravit des incidents ou accidents nucl aires INES www asn fr index php S informer Dossiers Les situations d urgence Oue faire en cas d accident L incident L accident IRSN installations nucl aires www irsn fr FR connaissances Installations nucleaires Pages Home aspx accidents dus aux rayonnements ionisants www rsn fr FR Larecherche publicati
437. tenir leurs rep res et parfois m me inventer de nouvelles mani res de travailler Cet ouvrage est structur autour des 3 grands types d incertitudes li es au travail qui se sont d gag s lors des enqu tes l incertitude li e au changement permanent l incertitude li e la reconnaissance au travail et l incertitude li e la conciliation vie professionnelle vie hors travail Les diff rentes contributions s accordent autour d un constat et d une th se unifi e les salari s parviennent tenir dans les d sordres du travail et des organisations en s appuyant sur des collectifs non institu s de nature de p rim tre et d orientation vari s Les diff rents chapitres illustrent chacun une forme singuli re de collectif visant r pondre ces incertitudes Octar s ditions 24 rue Nazareth 31000 Toulouse 2013 200 p Capsecur Conseil Manager sant et s curit au travail Pour une approche humaine de la pr vention des risques Cet ouvrage apporte un clairage sur certaines notions fondamentales pour le management de la sant et de la s curit SST dans les entreprises Le premier chapitre s int resse laSSTen tant qu enjeu pour l entreprise et la soci t Il rappelle quelques d finitions les grandes dates de la SST et les cons quences p nales et conomiques des accidents du travail Le deuxi me chapitre place la SST au coeur 1 strat gie de l entreprise Il
438. teurs fort volume d informations g rer en peu de temps autonomie limit e et surcharge de travail en un temps limit b n ficient des scores moyen d accessibilit la pr vention les plus lev s de la cat gorie respectivement 2 33 2 29 et 2 22 tableau II Par ailleurs dans la cat gorie Envi ronnement de travail le facteur risque d agression possible est au premier plan avec une pr valence de 42 6 et un score moyen d impli cation de 3 5 Les facteurs relatifs aux locaux pas d ouverture sur l ex t rieur et utilisation de produits chimiques atteignent des pr va Tableau I gt SCORES D IMPLICATION ET D ACCESSIBILIT LA PR VENTION DES FACTEURS DE RISQUES RECENS S DANS LES INAPTITUDES POUR SOUFFRANCE MORALE AU TRAVAIL Par ordre d croissant de score d implication les 3 cat gories de facteurs de risques les plus impli qu es dans les inaptitudes pour Environnement du travail Contexte de l entreprise Gestion de l emploi et des comp tences Relations sociales Scores moyens et carts types Organisation Contenu du travail t che souffrance morale sont Implication 155 3 09 1 62 3 06 2 47 1 57 2 25 1 30 1 89 1 34 9 les relations sociales avec un 1 52 l inaptitude score moyen de 3 30 1 55 l organisation du travail avec un score de 3 09 1 62 9 le contenu des t ches avec un
439. th se des tudes men es sur les strat gies d ajustement fait appara tre un troisi me type de r gulation la recherche de soutien social Cousson et al 1996 Niveau d investigation Diagnostic Langue d origine Anglais US Traduction Nombreuses traductions dont ita lienne portugaise norv gienne su doise russe et francaise Pauhlan et 81 1994 Cousson et al 1996 Vocabulaire Pas de difficult particuli re pour une population adulte Versions existantes e Version originale anglaise 68 items avec des modalit s de r ponse en oui non Folkman et Lazarus 1980 puis une s rie de r vision 1984 1985 1986 1988 dont une des modifica tions est le changement de format pour les modalit s de r ponse 4 au lieu de 2 Il existe galement une version datant de 1988 tr s l g re ment modifi e par rapport la ver sion r vis e de Folkman et Lazarus 1985 qui a t dit e d abord chez Consulting Psychologists Press puis chez Mind Garden e Version courte anglaise 42 items Vitaliano et a 1985 issue de la ver sion originale de Folkman et Lazarus 1980 SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 135 RISQUES PSYCHOSOCIAUX CAT GORIE STRAT GIES D ADAPTATION AU STRESS e Version courte fran aise 29 items Pauhlan et al 1994 27 items Cousson et al 1996 toutes deux adapt es partir de la version de Vitaliano et al 1985 e
440. ticules d ADN peuvent circuler des vitesses lev es et sur des distances pouvant aller jusqu 2 m tres du champ op ratoire POTENTIEL INFECTIEUX DES PARTICULES DE PAPILLOMAVIRUS RETROUV ES DANS LES FUM ES LASER La pr sence d ADN nu de HPV est elle une condition suffisante pour contaminer les personnes expo s es la fum e ou l ADN doit il tre sous forme de virions pour tre infectant encadr 2 En exp rimentation animale 4 il a t prouv in vitro que l ADN de papillomavirus bovin retrouv dans les fum es de fibropapillomes bovins trait s au laser garde un po tentiel infectieux Les r sultats de ce test ont montr qu une proportion significative de l ADN viral d tect dans la fum e tait sous forme de virions 3v Encadr 2 gt PAPILLOMAVIRUS ADN NU VIRION ET INFECTIOSITE Les virions se forment uniquement au niveau des cellules pith liales diff renci es les plus externes Un virion est une particule virale compl te en situation extracellulaire et capable de survivre sous forme cristalline et d infecter une cellule vivante Cette particule comprend le mat riel g n tique ADN et la capside C est l interaction entre les prot ines de la capside et des r cepteurs la surface de l pith lium d une cellule qui conditionne l entr e du virus dans la cellule Ainsi au moins en th orie les virions repr sentent un risque d infection plus lev que l ADN viral
441. tion d immunoglobulines si elle est n cessaire Quelle est l anciennet du contage inf rieur ou sup rieur 4 jours En cas de contact risque datant de 96 heures maximum chez une femme non prot g e le vaccin ad ministr dans les 72 heures serait efficace mais il est contre indi qu chez la femme enceinte En revanche l injection d Ig par voie intraveineuse doit tre envisag e en accord avec les obst triciens Si le contact date de plus de 96 heures la prescription d antivi raux est envisager avec les obst triciens Une information sur le risque d chec etla CAT en cas de fi vre et ou d ruption doit dans tous les cas tre d livr e faudra penser vac ciner la femme en post partum en l absence de survenue de varicelle En cas de suspicion de varicelle chez une femme enceinte la confir mation biologique par une analyse de type PCR IF IF immunofluores cence d une l sion peut tre n ces saire Un traitement maternel par antiviraux est prescrit per os ou par voie intraveineuse en fonction de la gravit Si cela survient avant 20 SA une surveillance chogra phique est n cessaire risque de f topathie 1 2 apr s 36 SA une prise en charge en fonction de la date de l accouchement est r ali s e en milieu sp cialis Par ailleurs la prise en charge d une femme en ceinte avec une varicelle l h pital n cessite un isolement respiratoire pr cautions air al
442. tion sont les plus concern s y compris par la multi exposition Les expositions sont plus fr quentes chez les jeunes et concernent beaucoup plus souvent des hommes que des femmes Les canc rog nes les plus souvent cit s sont les gaz d chappement diesel les huiles min rales enti res les poussi res de bois et la silice cristalline Trente huit pour cent des situations d exposition sont de dur e et ou d inten sit importantes Une protection collective localis e existe dans 21 6 des situations d exposition et une ventilation g n rale des locaux dans 19 des cas Entre 2003 et 2010 la proportion de salari s expos s au moins un produit chimique canc rog ne a diminu passant de 13 6 10 6 sur le champ commun aux enqu tes SUMER 2003 et 2010 secteur concurrentiel et h pitaux publics Cette baisse est constat e pour la grande majorit des pro duits chimiques concern s 60 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 EE nis n 2010 2180000 international de recherche sur le salari s du champ de l enqu te cancer CIRC ou l Union euro ns SE 1 Le champ de l enqu te SUMER en SUMER soit 10 d entre eux ont p enne UE ont d finies comme 2616 couvre 92 des salari s de France t expos s au moins un produit telles m tropolitaine et de la R union salari s chimique canc rog ne au cours de Plus pr cis ment il s agit deg 1560160 concurrentiel des fonc
443. tions SC lt publiques hospitali re et territoriale et la semaine pr c dant l enqu te se substances class es par le CIRC en environ 40 des agents de la Fonction lon les m decins du travail enqu groupe1 ou groupe 2 2A ainsi publique de l tat l exception de teurs encadr 1 que celles class es par l Union euro l ducation nationale des minist res sociaux et de celui de la Justice pe substances class es ici can prenne en cat gorie 1 oj le CIRC esk uia organisme d gen dant de c rog nes sont celles que le Centre gorie 2 c est dire canc rog nes l Organisation mondiale de la sant OMS YEncadr 1 gt l ENQU TE SUMER L enqu te Surveillance m dicale des expositions aux l autoquestionnaire Ces salari s sont repr sentatifs de risques professionnels SUMER dresse une cartographie pr s de 22 millions de salari s et le champ de l dition des expositions des salari s aux principaux risques de 2010 couvre 92 des salari s professionnels en France Elle permet de r aliser des Le protocole de l enqu te SUMER 2010 est identique outils d aide au rep rage des expositions et de d finir celui des enqu tes de 1994 et 2003 afin de permettre les des actions de pr vention prioritaires pour les acteurs comparaisons dans le temps L enqu te SUMER 2010 est impliqu s dans le domaine du travail et de la sant au entr e dans le cadre des grandes enqu tes statistiques tra
444. tions pr ventives Hacquin M C Repaire M et Trillaud L BIBLIOGRAPHIE 1 Les risques psychosociaux Outil de pr diagnostic Carsat Bourgogne Franche Comt www carsat bfc fr index php objectifs risques psychosociaux 2 KARASEK R THEORELL T Healthy work stress productivity and the reconstruction of working life New York Basic Books 1990 381 p 3 THi TART RA M thodes de recherche en management Paris Dunod 2003 537 P B Gue L l agression humaine Paris Dunod 2010 152 5 FREEMAN M MURAVEN M Self control depletion leads to increased risk taking Soc Psychol Personal Sci 2010 1 175 81 6 T MERMILLIOD Les risques psychosociaux au travail les indicateurs disponibles DARES Anal 2010 81 1 12 o En aval de l inaptitude et au del de la prise en compte du salari concern une d marche de pr vention devrait tre ouverte au profit des autres salari s en poste dans l entreprise 7 Dessous C GERNET I Psychopathologie du travail Collection Les ges de la vie Issy les Moulineaux Elsevier Masson 2012 155 p 8 5 J Adverse health effects of high effort low reward conditions J Occup Health Psychol1996 1 1 27 41 9 Dzjouns C L valuation du travail l preuve du r el Critique des fondements de l valuation Conf rence d bat Paris 20 mars 2003 Collection Sciences en ques
445. tique est toujours saisie en minuscules Dans le texte les l ments bibliographiques sont indiqu s entre crochets auteurs ann e de publication et lettre alphab tique lorsque plusieurs articles du ou des m mes auteurs ont t publi s la m me ann e Si la bibliographie est num rot e elle suit l ordre d apparition des r f rences dans le texte Lorsqu il y a plus de quatre auteurs ajouter la mention et al Les titres des revues sont abr g s selon la liste de l Index Medicus www nlm nih gov Forme g n rale pour un article Nom s pr nom s initiales Titre de l article Titre de la revue abr g ann e volume num ro suppl ment ou partie premi re derni re pages de l article Si donn es disponibles Pour les auteurs anonymes la r f rence bibliographique commence par le titre de l article ou de l ouvrage Pour un article ou un ouvrage non encore publi mais d j accept par l diteur joindre la mention paraitre Si volume avec suppl ment 59 suppl 3 Si num ro avec suppl ment 59 5 suppl 3 Si volume et partie 59 Pt Exemple article de revue Souques M Magne Lambrozo J Implantable cardioverter defibrillator and 50 Hz electric and magnetic fields exposure in the workplace Int Arch Occup Environ Health 2011 84 1 1 6 Forme g n rale pour un ouvrage Nom s pr nom s initiales Titre de l ouvrage Num ro d dition Collection Ville
446. tit de travail X X Charge motionnelle 7 X X Charge mentale 7 X Efforts physiques 7 X Incertitude quant l avenir 4 X R mun ration 5 X Possibilit s de carri re 4 X Relations avec les coll gues 9 X X Relations avec votre chef direct 9 X X Possibilit s de contact 4 X Communication 4 X Plaisir au travail 9 X X Implication dans l organisation 8 X X Changement d emploi 4 X Besoin de r cup ration T X X Rumination 4 X X R actions motionnelles au travail 12 X Fatigue au travail 16 X Oualit du sommeil 14 X Modalit s de r ponse et cotation La plupart des chelles pr sente des modalit s de r ponse de type Likert en fr quence 4 modalit s jamais parfois souvent toujours Les mo dalit s de r ponse des trois chelles dela dimension bien tre sont de type binaire oui non de m me que celles des chelles besoin de r cup ration rumination et qua lit du sommeil L chelle r actions motionnelles au travail pr sente 4 modalit s de r ponse gradu es de pas du tout tout fait Pour l chelle fatigue au travail est propos e une chelle visuelle ana logique exemple 1 difficult s de concentration 5 pas de difficul t s de concentration Le questionnaire pr sente des items invers s Pour le calcul des scores les moda lit s de r ponse sont transform es surun
447. ts unis ou encore la SRP Society of radiological protec tion Royaume Uni Lobjectif pre mier de l IRPA est de promouvoir l am lioration de la radioprotection en constituant un lieu d changes des diff rents professionnels enga g s dans ce domaine Ainsi tous les 4 ans des congr s internationaux sont organis s une grande partie des supports de communication est accessible gratuitement sur le site de l IRPA en anglais gt Sources d informations natio nales IRSN Il est accessible gratuitement l adresse suivante www irsn fr La recherche d informations peut se faire de 3 mani res correspon dant 3 rubriques de la page d ac cueil du site selon que l int ress est un chercheur un client ou un professionnel de sant Dans la partie professionnels de sant diff rents dossiers sont propos s notamment des dossiers intitul s radioprotection des patients radioprotection des travailleurs qui permettent d acc der rapide ment des guides rapports fiches d informations et textes r glemen taires relatifs la radioprotection des patients ou des travailleurs Une rubrique documentation fournit galement un certain nombre de rapports et de guides techniques La rubrique liens utiles propose une liste de sites redirigeant vers des organismes nationaux et interna tionaux ainsi que vers des soci t s savantes impliqu es dans la gestion du risque radiologique e
448. type de recherche atm de v rifier si de nouvelles donn es scientifiques ont t publi es Enraison du grand nombre de sigles utilis s pour les bases de donn es les sites ou les structures g rant ces sites un glossaire est propos encadr 1 page suivante SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 73 PRATIQUES ET M TIERS Encadr 1 gt GLOSSAIRE AIEA Agence internationale de l nergie atomique ANDRA Agence nationale pour la gestion des d chets radioactifs ASN Autorit de s ret nucl aire BDSP Banque de donn es en sant publique BTP B timent et travaux publics CARSAT Caisse d assurance retraite et de la sant au travail CEA Commissariat l nergie atomique et aux nergies alternatives CEPN Centre d tude sur l valuation de la protection dans le domaine nucl aire CIPR Commission internationale de protection radiologique CISME Centre interservices de sant et de m decine du travail en entreprise CNRS Centre national de la recherche scientifique COFREND Conf d ration francaise des essais non destructifs DDEP Decay data evaluation project DGT Direction g n rale du travail EDF lectricit de France EHESP cole des hautes tudes en sant publique EURATOM European atomic energy community FAST Fichier actualis de situations de travail HPA Health protection agency ICPE
449. u DEHP seront galement dos s Responsable d tude contacter Ren Gaudin T l 83 50 85 12 rene gaudin inrs fr D partement Polluants et sant INRS rue du Morvan CS60027 54519 Vand uvre les Nancy Cedex 20 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 PARTICIPEZ LA RECHERCHE DS Caract risation des situations d exposition au 1 3 butadi ne e 13 butadi ne est un gaz produit lors de la fabrication d thyl ne et utilis en synth se orga nique dans la fabrication de caoutchoucs de r sines d mulsions latex et du n opr ne Il est galement contenu sous forme de traces d mpuret s notam ment dans le butane et les gaz de p trole liqu fi s GPL Les sources d expositions professionnelles peuvent tre observ es au cours de e la production l utilisation en tant que mati re premi re caout choucs synth tiques interm diaires de fabrication la manufacture de polym res en contenant e le transport et le stockage du 1 3 butadi ne ou des produits en contenant l tat de trace ou d impuret Objectifs de l tude 9 Confirmer la pr sence de 13 butadi ne dans des secteurs d activit s pr alablement identifi s par la bibliographie Apporter de la connaissance sur la mise en ceuvre du 1 3 butadi ne donn es g n rales origine quan tit produite consomm e les modalit s de travail et de fonctionnement Estimer qualitativement l
450. u laser et de sa d grada tion locale en chaleur Cette action constitue de tr s loin le m canisme pr dominant dans les applications th rapeutiques du laser en parti culier en chirurgie Les effets obte nus varient de l hyperthermie la coagulation voire la volatilisa tion du tissu en fonction du degr d chauffement et de la dur e de l exposition Lors du traitement laser les tissus infect s sont chauff s et vola tilis s Le terme fum es laser d signe la fum e d gag e par les cellules lors de cet chauffement Cette fum e est compos e 95 de vapeur d eau et 5 de subs tances nocives parmi lesquelles se trouvent des substances chimiques toxiques oxydes d azote et de soufre ammoniac des particules de taille respirable des cellules viables des bact ries et des virus La vapeur d eau sert de v hicule ces diff rents composants 1 FUM ES LASER ET HPV PR SENCE DE HPV DANS LES FUM ES LASER Plusieurs tudes 4 ont mis en vi dence la pr sence d ADN de HPV dans la fum e de traitement au laser de l sions chez l homme sans pr juger du caract re infectieux de cet ADN Cela a t prouv aussi bien lors du traitement de verrues plantaires que de condylomes ano 128 N 135 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL SEPTEMBRE 2013 g nitaux ou de n oplasies cervicales intra pith liales ou de papillomes laryng s Lors du traitement par laser ces par
451. u tra vail ou de cong sans solde Une tude quantitative r alis e par Bercier et al sur 34 m decins g n ralistes a identifi 2 facteurs pr dictifs de prescription d ArTr qui sont une demande d arr t faite en milieu de consultation et des arguments vocateurs d une souf france au travail En Su de L fgren et al ont interrog 5 455 m decins Les r sultats montrent que 3 l ments semblent poser des diffi cult s lors de la prescription d un ArTr un d saccord possible avec le patient l valuation de la dur e de l arr t ainsi que la connaissance du type et des capacit s de travail du patient Le m decin joue un r le soci tal lorsqu il prescrit un ArTr En effet alors qu il prot ge les int r ts du patient la r glementation le rend garant de la viabilit conomique du syst me de sant D une part l article 8 du Code de d ontologie m dicale dispose que le m decin doit sans n gliger son devoir d assistance morale limiter ses prescriptions et ses actes ce qui est n cessaire la qualit la s curit et l efficacit des soins D autre part l article L 162 23 du Code de la S curit sociale introduit l aspect conomique des soins puisqu il dis pose que les m decins sont tenus dans tous leurs actes et prescrip tions d observer dans le cadre de la l gislation et de la r glementation en vigueur la plus stricte conomie compatible avec la qualit la
452. ues r sultant d une exposition et enfin information des travailleurs risques particu liers notamment ceux portant des dispositifs m dicaux implant s actifs ou passifs tels que des stimulateurs cardiaques les travailleurs portant m me le corps des dispositifs m dicaux tels que les pompes insuline et les femmes enceintes une surveillance appropri e de la sant des travailleurs La directive fixe des valeurs limites d exposition qui couvrent les liens scientifiquement bien tablis entre les effets biophysiques directs court terme et l exposition aux champs lectromagn tiques Ces li mites d exposition sont li es au niveau d exposition et la fr quence des champs lectromagn tiques et sont fond es sur les recommandations de la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants CIPRNI Les VLE relatives aux effets sensoriels les VLE relatives aux effets sur la sant et des valeurs d clenchant l ac tion sont tablies l annexe II en ce qui concerne les effets non thermiques champs entrant dans la gamme de fr quences comprises entre o Hz et 10 Mhz et en annexe III pour les effets thermiques champs entrant dans la gamme de fr quences comprises entre 100 kHz et GHz Des d rogations l application des dispositions de la directive sont pr vues dans certaines conditions pour les activit s li es l installation l essai l utilisation au d veloppe
453. uip s de stimulateurs cardiaques Deux normes four nissent un mode op ratoire pour valuer le risque pour les travailleurs portant un ou plusieurs dispositifs m dicaux implantables actifs vis vis de l exposition des champs lectriques magn tiques et lec tromagn tiques rencontr s sur un lieu de travail 7 8 Elles proposent diff rentes approches pour r aliser l analyse de risque provenant de l exposition aux champs lectroma gn tiques sur le lieu de travail L va luation inclut la probabilit d effets cliniquement significatifs et tient compte la fois de l exposition tran sitoire et de l exposition prolong e dans des zones sp cifiques du lieu de travail Les fr quences observer portent sur la bande allant de o Hz 3 GHz Au dessus de 3 GHZ il est admis qu aucune perturbation avec le stimulateur cardiaque ne se pro duit lorsque les limites d exposition ne sont pas d pass es 8 Les principales cons quences de l ex position aux champs lectromagn tiques pour le stimulateur sont le risque de d tection de signaux lec triques extracardiaques le risque de d clencher une stimulation fr quence maximale et la reprogram mation ou la d programmation du stimulateur Ces ph nom nes restent en g n ral rares et tran Sitoires cessant lorsque le salari implant s loigne de la source 3 9 Dans les entreprises il est donc n cessaire d identifier les postes de travail
454. une situation que peut rencontrer un m decin du travail ou un autre membre de l quipe pluridisciplinaire de sant au travail Le rep rage et l valuation de cette conduite ainsi que l existence d un r seau de soins sp cialis s permettent une orientation rapide et adapt e du salari en tat de souffrance En cas de passage l acte la prise en charge du personnel de l entreprise ob it certaines r gles bas es entre autres sur l exp rience des Cellules d urgence m dico psychologiques L employeur et le m decin du travail ont chacun un r le propre lors des actions individuelles et collectives Souffrance Risque psychosocial Suicide n France pr s d un d c s sur 50 est un suicide En novembre 2009 un rapport du Centre d analyse strat gique consacr 1 sant men tale 1 a relev que si la d pression touche pr s de 3 6 de la population fran aise la d tresse psychologique toucherait 1 francais sur 5 Len semble de ces ph nom nes pou vant mener au suicide concerne galement le monde du travail DELA CONDUITE SUICIDAIRE AU SUICIDE DEFINITIONS La conduite suicidaire regroupe des entit s cliniques multiples et h t rog nes le suicide est l action de se don ner volontairement la mort 2 la tentative de suicide TS est un terme utilis pour d crire les gestes intentionnels d une personne pour mettre fin sa vie Ce sujet est dit suicidant
455. vail Elle a t lanc e et g r e conjointement par la reconnues par le Conseil national de l information Direction g n rale du travail et en son sein l inspection statistique CNIS puisqu un avis d opportunit m dicale du travail et la Direction de l animation de favorable et le label de qualit statistique lui ont t la recherche des tudes et des statistiques DARES accord s respectivement en 2007 et 2008 En 1994 La Direction g n rale de l administration et de la l enqu te couvrait l ensemble des salari s surveill s fonction publique DGAFP a galement particip au par la m decine du travail du r gime g n ral et de la financement de l enqu te de 2010 dans le cadre d un Mutualit sociale agricole MSA En 2003 elle a t largissement aux trois versants de la fonction publique tendue la fonction publique hospitali re EDF GDF Cette enqu te pr sente le double int r t de reposer La Poste la SNCF et Air France Les salari s de la RATP d une part sur l expertise professionnelle du m decin les gens de mer les agents des collectivit s territoriales du travail qui peut administrer un questionnaire parfois et titre exp rimental 40 des agents de la fonction tr s technique et d autre part sur le grand nombre publique de l tat ont t int gr s l enqu te SUMER de salari s enqu t s ce qui permet de quantifier 2010 l exception majeure concernant les enseignants des expositions des risque
456. vard de Maisonneuve Ouest Montr al Qu bec H3A 3C2 Canada 2013 48 p www irsst qc ca BROWN T HARDING A H FROST The pesticide users health study An analysis of mortality 1987 2005 Enqu te sur la sant des utilisateurs de pesticides Analyse de la mortalit 1987 2005 Research Report RR958 En anglais Le registre PUHS Pesticide Users Health Study a t exploit pour tudier la sant des agriculteurs britanniques ayant obtenu le certificat d pandage selon la r glementation sur 16 Contr le des Pesticides Control of Pesticides Regulations CORP 1986 Ce rapport pr sente les donn es de mortalit chez ces agriculteurs entre 1987 et 2005 Durant cette p riode parmi les 59 085 hommes et 3 875 femmes inscrits PUHS 1 628 d c s ont t enregistr s Par rapport la population g n rale au Royaume Uni les utilisateurs de pesticides ont une mortalit plus faible toutes causes confondues et en particulier tous cancers confondus 165 maladies non malignes du syst me nerveux des organes sensitifs de l appareil circulatoire respiratoire et digestif Cette faible mortalit pourrait tre expliqu e par l activit physique pratiqu e par la population tudi e et le faible taux de tabagisme Une surmortalit par my lome multiple chez les hommes et les femmes a t mise en vidence Parmi les hommes et les femmes le nombre de d c s toutes causes externes acc
457. vocation studies Med J 2004 25 6 732 36 Dermatitis 1994 30 4 197 204 Bioelectromagnetics 2011 32 8 19 Sanpsrr M WILEN J OFTEDALG 28 STENBERG B Eriksson N KH 593 609 Hansson K Mobile phone use H c J AL Facial skin symptomsin 36 Andrzejak R Poreba R Poreba M and subjective symptoms Comparison visual display terminal VDT workers Derkacz A et al The influence of the of symptoms experienced by usersof A case referent study of personal call with a mobile phone on heart analogue and digital mobile phones psychosocial building and VDT rate variability parameters in healthy Occup Med Lond 2001 51 1 25 35 related risk indicators Int J Epidemiol volunteers Ind Health 2008 46 4 20 SANTINI R SEIGNE M BONHOMME 1995 24 4 796 803 409 17 FAIvRE L BOUFFET S ET AL Symptoms 29 Sanpsrr M M Lvskov E 37 Parazzini M RAVAZZANI P reported by mobile cellular telephone BERGLUND A MEDVEDEV S ET AL TocnoLa G THUR CZY G ET AL users Pathol Biol 2001 49 3 222 26 X Neurophysiological effects of Electromagnetic fields produced by 21 Wir n J SaNpsrR M Hansson flickering light in patients with GSM cellular phones and heart rate MurpK Subjectivesymptoms among perceived electrical hypersensitivity J variability Bioelectromagnetics 2007 mobile phone users a consequence of Occup Environ Med 1997 39 1 15 22 28 2 122 29 absorption of radiofr
458. volontaire ayant une acti vit clinique sans exposition aux rayonnements ionisants de classes d ge et de sexe homog nes celles des sujets expos s Les crit res d exclusion concer naient les sujets atteints de patholo gies pr sentant des r percussions microvasculaires d origine non ra dique les sujets dont l anamn se d voile rait un accident d irradiation aigu D ROULEMENT DE L TUDE Chaque m decin participant l tude a b n fici d un examen cli nique accompagn d un autoques tionnaire anonymis en annexe recueillant des donn es sur son pass professionnel sa sant et ses habitudes de vie et d un examen capillaroscopique 3e Encadr 1 gt ORGANISATION ET PARTENAIRES DE L TUDE La d finition du protocole de l tude le recueil et l analyse des donn es ont associ le Pr D Choudat de l Universit Paris Descartes AP HP les services de sant au travail des Centres hospitaliers universitaires de Clermont Ferrand Pr A Chamoux Grenoble Pr R de Gaudemaris Lille Pr A Sobaszek et les m decins en sant au travail de l Assistance publique H pitaux de Paris ainsi que les centres de m decine de pr vention des arm es Paris EHMP Ensemble hospitalier militaire parisien CONDUITE PRATIQUE DE L EXAMEN CAPILLAROSCOPIQUE Les quatre sites ont utilis un mat riel identique soit un vid o mono zoom de marque Nachet com portant une cam
459. x groupes de travailleurs du tertiaire non expos s l un compos s de r si dents urbains et l autre de r sidents ruraux Chaque groupe constitu de 30 salari s est vu deux fois 6 mois d intervalle saison basse exposition saison haute exposition avec recherche par questionnaire de sympt mes rythm s par le tra vail r alisation de spirom tries et de mesures de NO monoxyde d azote exhal mesurant l inflam mation osinophilique des voies a riennes Lexposition profes sionnelle est recherch e par l his toire professionnelle recueillie par questionnaire par la quantifica tion des moisissures bact ries et endotoxines dans les poussi res auxquelles les salari s sont expo s s et par le dosage d immunoglo bulines s riques dirig es contre ces microorganismes et endotoxines Des r sultats pr liminaires ont t pr sent s au congr s portant sur la saison haute exposition fr quence des fumeurs actuels est plus lev e chez les minotiers 52 6 que chez les saisonniers 29 etles non expos s ruraux 2196 et urbains 9 On observe une plus grande pr valence des sympt mes au ni veau respiratoire du nez des yeux et de la peau chez les expos s que chez les non expos s respective ment 50 96 57 45 96 et 36 vs SEPTEMBRE 2013 R F RENCES EN SANT AU TRAVAIL N 135 119 SUIVI POUR VOUS 6 19 16 et 6 96 Ind pendam ment du statut tabagique la valeur du
460. x chiffres nationaux Ceci est r v lateur d un mode de vie sain par rapport la population g n rale notamment en termes de tabagisme et d activit physique L incidence du cancer du testicule et du my lome multiple tait lev e chez les hommes en particulier parmi ceux pratiquant la pulv risation des cultures au sol En outre les hommes pulv risant des pesticides sur cultures au sol depuis 10 14 ans pr sentaient un exc s de my lome multiple L incidence du cancer dela peau non m lanome tait lev e la fois chez les hommes et les femmes en particulier chez les hommes ayant un certificat d exploitation manuelle et ayant obtenu un certificat depuis 15 ans ou plus Cependant l exposition au soleil facteur de risque de cancer cutan non m lanome doit galement tre prise en compte en tant que facteur de confusion pour mieux valuer les effets d une exposition aux pesticides Health and Safety Executive HSE PO Box 1999 Sudbury Suffolk CO10 2WA Royaume Uni 2015 23 p www hse gov uk BRUN E Ed IRASTORZA X Ed BRADBROOK S DUCKWORTH M et al Green jobs and occupational safety and health foresight on new and emerging risks associated with new technologies by 2020 Emplois verts et s curit et sant au travail tude prospective des risques nouveaux et mergents li s aux nouvelles technologies dans les ann es 2020 TE RO 12 005 EN C En anglais Au vu du rythme
461. x varia tions du volume expiratoire maxi mal par seconde VEMS ou d hy perr activit bronchique entre les p riodes ou sur des mesures it ra tives de d bit de pointe ou de VEMS Les limites de ces tests r alistes sont l absence de contr le de r alisation des man uvres d expiration for c e et de mesure de la dose inhal e pouvant g n rer des difficult s de r alisation et d interpr tation Les tests en milieu sp cialis peuvent utiliser des a rosols liquides solu tion dans laquelle l allerg ne est di lu utilisation d un n buliseur avec dosim tre des gaz comme pour les isocyanates cabine avec mesures de la concentration atmosph rique et de la dur e d exposition ou chambre d inhalation avec mesures de la concentration atmosph rique et du volume d air inhal ou des a rosols solides capsule contenant la dose dilu e dans une poudre inerte ou chambre d inhalation avec mesures de la concentration atmosph rique et du volume d air inhal Ces tests sp cifiques ont permis de mettre en vidence la variabilit inter indivi duelle de la variation du VEMS su jets plus r actifs que d autres pour une m me quantit d allergene et aussi la variabilit de la r activit des allerg nes farine de seigle in duisant de plus grandes variations de VEMS que 1 farine de riz pour une m me quantit par exemple Ces tests ont aussi permis de mod liser la variation du VEMS Celle ci d pen
462. yses concernant les indices morphologiques des diff rences significatives sont observ es entre les t moins et respectivement les chirurgiens et les radiologues En re vanche aucune diff rence statisti quement significative entre les car diologues et les t moins n appara t INDICE D EXTRAVASATION Contrairement l analyse des in dices morphologiques l analyse de l indice d extravasation n a mis en vidence aucune diff rence signifi cative entre les groupes d expos s et les t moins DISCUSSION Cette tude confirme les r sultats de l tude pr liminaire ayant mon tr une association entre l alt ration de param tres capillaroscopiques et l exposition aux rayonnements ionisants L analyse s appuie sur l tude des 2 groupes de param tres d finis par B Perdereau le groupe de para m tres caract risant l extravasation d me nombre de rang es et lon gueur des anses et le groupe de pa ram tres caract risant la morpholo gie des capillaires nombre d anses n ogen se dystrophies parcours et distribution des capillaires La comparaison du groupe de para m tres morphologiques met en vidence des diff rences statisti quement significatives entre les chirurgiens et les radiologues par rapport aux t moins non expos s Par contre aucune diff rence statis tiquement significative concernant ce groupe de param tres morpho logiques n apparait entre les cardio logues et les t moins En

RST 135, septembre 2013 - Références en santé au travail

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