Home

Madagascar - Projet de lutte préventive antiacridienne (PLPA

1. Mener des tudes sur les biotopes acridiens Etudes sur les biotopes acridiens r alis es en 2008 100 Disposer des informations d imageries satellitaires et d un syst me SIG fonctionnel Images satellitaires disponibles 100 et syst me SIG install et partiellement aliment 60 Doter le FOFIFA de la logistique n cessaire et quiper les laboratoires de recherche au niveau du CNA et FOFIFA 01 v hicule mis la disposition du FOFIFA en 2006 puis r cup r en 2009 par le CNA 4 lots d quipements de laboratoire ont t acquis la fin du projet 2009 et repr sentent 75 des 8 lots pr vus Les 4 lots non acquis 25 ont t d clar s infructueux et non relanc s Ces quipements sont encore emball s et non fonctionnels au niveau du si ge du CNA Betioky Assurer le suivi environnemental 3 suivis environnementaux r alis s et rapport final r alis par l Office National de l Environnement en 2008 Cahier des charges environnementales partiellement appliqu 70 Entreprendre la formation sp cialis e des cadres du projet et du CNA et entreprendre des formations diplomantes Le personnel cadre du projet et du CNA est form sur les techniques de gestion de projet 100 09 sessions de formation dans le cadre du programme NAMTA et 01 session en suivi valuation 7 formations dipl mantes r alis es 90 2 PhD en cours de soutenance 3 DEA 2 Masters une fo
2. disposant des m mes performances soit elle aussi homologu e Le CNA consid re qu il y a encore des aspects qui restent tester notamment tout ce qui concerne l utilisation la manipulation et la disponibilit du manuel d utilisation La mission a inform que le manuel de l utilisation de ce biopesticide tait disponible en langue fran aise et anglaise notamment la FAO ii Etude du d terminisme de la gr garisation d sagr garisation ICIPE cette tude a pour objectif de permettre la connaissance de la nature mol culaire des ph romones responsables de la gr garisation d sagr garisation en vue de l utilisation de ces substances dans la lutte contre le criquet migrateur Pour la ph romone d agr gation des adultes les essais sur terrain programm s pour la campagne 2008 2009 n ont pas eu lieu faute de cibles au mois de juin Concernant la ph romone d agr gation des larves les travaux accusent un grand retard malgr la r alisation des essais au laboratoire en juillet 2009 Les r sultats ont d j t pr sent s lors du colloque et il est attendu que les th sards malgaches l ICIPE pr senteront leur soutenance en mai 2010 Concernant la r alisation des essais sur terrain de la ph romone d agr gation des adultes la FOFIFA a tout fait pour que l ICIPE collabore avec elle dans leur r alisation mais sans r sultats jusqu ce jour Pourtant ces essais sont importants et tout doit tre tent pour les r aliser
3. les travaux r alis s par le FOFIFA sur les ennemis naturels des acridiens durant 4 ans ils sont utiles mais n cessitent un largissement et approfondissement Le nombre d agents identifi s est toutefois jug faible par rapport au potentiel lev de la biodiversit existante dans l le Concernant la question de la remise des quipements labo du CNA au FOFIFA soulev e dans les aides m moires ant c dents la mission a constat que ces quipements sont toujours stock s Betioky o ils n y a pas de comp tences pour les utiliser ce jour 24 Colloque de restitution des r sultats de recherches ce colloque a t tenu les 17 et 18 septembre 2009 Antananarivo en la pr sence des partenaires techniques et financiers BAD FAO GTZ UE la soci t civile les repr sentants des firmes de pesticides les Universit s de Tana et Tul ar les Directions techniques du MAEP MEF CNA FOFIFA PLPA ONE etc Ce colloque a permis aussi de remettre officiellement le manuel de lutte pr ventive antiacridienne Madagascar au Gouvernement L acte du colloque est toujours en cours d laboration 25 Ce manuel de lutte pr ventive antiacridienne synth tise des dizaines de travaux pr c dents dont au moins 4 manuels 2 tomes du manuel antiacridien le manuel du Locusta et le pr cis de lutte en un avec une int gration et une r actualisation tr s r cente des donn es disponibles sur le Locusta et le Nomadacris ainsi que les outil
4. rentes parties prenantes pour le bon d roulement de la lutte pr ventive iii d finir le cadre g n ral li l utilisation des biopesticides et iv laborer un programme environnemental pour le suivi et l valuation des impacts 17 Les conclusions de l EIE ont d montr que le PLPA ne devrait pas avoir d effets cologiques n fastes au contraire en tant qu op ration pr ventive il contribuait mieux pr server l quilibre agro cologique que menace constamment le risque d invasion L EIE a d velopp une approche environnementale sp cifique au probl me de lutte contre les criquets Madagascar Ce plan tient compte d un environnement particuli rement fragile du fait i des esp ces end miques et ii des contingences li es la sant des populations et la protection des cultures contre une pollution chimique Un suivi environnemental ad quat devrait permettre l ajustement du protocole de lutte contre ce fl au 18 Durant l ex cution du projet TONE a suivi de pr s les questions d impacts sur l environnement durant la phase curative o un volume tr s important de pesticides chimiques a t utilis Des donn es collect es et analys es par TONE ont permis d viter ou d amoindrir les effets n gatifs potentiels sur la sant humaine la v g tation et la faune Aussi suite cette analyse on a limin des pesticides toxiques en les rempla ant par de nouvelles mol cules moins toxiques 19 L ONE
5. alisation des 2 5 objectifs de d veloppement du projet Les objectifs et les rendements ainsi qu ils sont pr sent s dans le cadre logique 3 sont mesurables et quantifiables Le cadre logique pr sente les risques et les hypoth ses cl s 3 La capacit et l engagement politique du pays sont la hauteur de la complexit 2 5 du projet La conception du projet contient une analyse satisfaisante des risques 3 Les syst mes de passation des march s de gestion financi re de suivi et ou 3 autres processus sont fond s sur les syst mes qu utilisent d j le gouvernement et ou d autres partenaires Les responsabilit s en ce qui concerne l ex cution du projet sont clairement 2 d finies Les documents requis pour la mise en uvre documents sur les sp cifications la 2 5 conception la passation des march s etc sont pr ts au moment de l valuation Les indicateurs de suivi et le plan de suivi sont adopt s 2 La collecte des donn es de r f rence est achev e ou en cours 2 NOTE PARTIELLE DE LA CONCEPTION ET DE L ETAT DE PREPARATION DU 3 PROJET Supervision Conformit de la Banque aux Mesures de protection environnementale 3 Dispositions fiduciaires 4 Accords conclus dans le cadre du projet 4 La qualit de la supervision de la Banque a t satisfaisante en termes de dosage 2 des comp tences et de praticabilit des solutions La surveillance de la gestion du projet par la Banque a t satisfaisante 3 Le PAR a t fourni temps
6. curit alimentaire par la protection des cultures et des r coltes L objectif sp cifique du projet tait de pr venir les invasions acridiennes futures en maintenant la population acridienne en de du seuil de gr garisation sur une base durable 2 D crire les principales composantes du projet en indiquant comment chacune contribuera la r alisation des objectifs du projet Pour atteindre les objectifs assign s le projet comprenait les composantes suivantes i Surveillance acridienne qui contribue l atteinte de l objectif travers a la d tection et le contr le pr coce d une augmentation de la population acridienne par la prospection b l intervention pr coce et rapide contre les premiers regroupements des criquets et c l appui aux b n ficiaires dans la sensibilisation la formation et l organisation ii Recherche et formation la recherche consistait l exp rimentation et la diffusion de m thodes alternatives lutte biologique en r ponse aux exigences de pr servation de l environnement La formation concernait le renforcement des capacit s nationales en mati re de lutte antiacridienne et iii Gestion et coordination du projet le projet devait tre ex cut par une Cellule d Ex cution log e au sein du Centre National Antiacridien Ceci facilitait l appropriation et la durabilit des acquis du projet L assistance technique tait pr vue en appui l ex cution du projet 3 Evalue
7. des conditions de vie de la population et de protection de l environnement Ces objectifs taient pertinents dans la mesure o ils r pondaient des besoins strat giques du Gouvernement de Madagascar qui 39 met en priorit la lutte pr ventive antiacridienne Les risques et co ts conomiques et environnementaux internalis s des luttes curatives sont tr s lev s alors que dans le cas de la lutte pr ventive ces risques et co ts sont ma trisables Ces orientations strat giques du Gouvernement sont refl t es aussi au niveau de la strat gie de lutte antiacridienne de 1998 mise jour en 2008 dans le document de vision moyen terme de la lutte antiacridienne Cette pertinence d objectif est en parfaite coh rence avec les aspirations des paysans dans la mesure o cette lutte emp che des pertes de plus de 50 des productions agricoles dans leurs champs et par cons quent contribue au moins au maintien de leurs revenus fragilis s par les invasions acridiennes et les calamit s naturelles ll 2 Efficacit 39 Le PLPA a connu des difficult s depuis son d marrage Il n est entr en vigueur que le 29 avril 2002 avec un retard de dix mois par rapport la date pr visionnelle de mise en vigueur Les principales activit s d appui institutionnel d assistance technique de formation et de mise en place d outil d aide la d cision n taient op rationnelles qu en 2006 et 2007 Le processus de passation des march s avec la mu
8. dispositions n cessaires pour permettre la signature rapide des accords de pr t et de don le 08 05 2001 soit un mois apr s l approbation du projet par le Conseil Fr quence tr s importante des Supervisions 17 missions d une dur e moyenne de 10j mission et d une composition moyenne de 2 experts mission mais aucun acridologue ni environnementaliste n ont t associ s ces missions Aussi 8 Charg s de projet se sont succ d s raison d une moyenne d un Charg an La proximit du bureau MGFO a jou un r le important dans la r solution des probl mes rencontr s et la validation rapide des dossiers qui rel vent de ses attributions et a r duit les effets mais partiellement appliqu en particulier pour les aspects de proximit des magasins de stockage des pesticides des lieux administratifs et d habitation et l enfouissement des emballages vides au lieu de les restituer aux fournisseurs L emprunteur s est acquitt de sa contrepartie au del des pr visions d caissement de 225 par rapport aux pr visions du RE Tous les audits annuels ont t r alis s l exception de l exercice 2009 en cours d engagement Cependant 40 de ces rapports ont t transmis la Banque en retard par rapport aux dates convenues La mise en vigueur est intervenue 12 mois apr s la signature du pr t contre un maximum de 6 mois selon les r gles de la Banque t convenues Au total 3 recommandations
9. la mission aupr s des b n ficiaires et des responsables de l administration Certes d autres efforts nationaux et internationaux ont contribu cette am lioration substantielle qui reste encore relativement fragile L objectif sp cifique de pr venir les invasions acridiennes futures en maintenant la population acridienne en de du seuil de gr garisation sur une base durable est confirm pour la stricte dur e de mise en uvre du projet Toutefois il est difficile de confirmer la durabilit des acquis du projet tant donn que pour l ann e 2010 la phase gr gaire est relativement importante tout au moins dans le cas de Locusta Migratoria Pour Nomadacris les campagnes de lutte pr ventive financ es par le projet ont bien r duit le seuil son niveau le plus bas ce qui fait que cette ann e il ne pr sente pas de danger IL3 Efficience 41 L efficacit d atteindre les r sultats assign s par le projet ne refl te pas n cessairement l efficience conomique du projet Les quipements de laboratoire ont t acquis mais encore emball s et non exploit s depuis pr s d une ann e Les quipements de transmission de donn es antiacridiennes ont t mis en place dans les diff rentes structures du CNA mais sont actuellement non fonctionnels Il en va de m me pour le logiciel de suivi valuation acquis par le CNA Les d passements normes au niveau des cat gories construction et r habilitation et v hicul
10. la r duction du budget du CNA de 50 en 2010 cot du disfonctionnement partiel des outils d aide la d cision et de l insuffisance de la formation du personnel du CNA la durabilit de ces acquis pr sente des risques s rieux et semble non garantie Aussi la durabilit institutionnelle esp r e par le PLPA la fin de son intervention et qui consiste en la mise en place et le renforcement d une institution nationale qui prendra en charge et de fa on durable la rel ve de la lutte pr ventive antiacridienne ne semble pas tre atteinte malgr la restructuration du CNA deux reprises et l appui financier accord par la Pr sidence en 2007 Cette structure est encore fragile et a besoin de plus d accompagnement en mati re de planification strat gique de gestion d organisation et de suivi valuation de renouvellement et renforcement de son parc automobile et a besoin aussi de plus de formation et de cadres techniques comp tents pour qu elle soit v ritablement op rationnelle Le statut actuel et le niveau de r mun ration du CNA n est pas aussi en faveur du recrutement des comp tences Par cons quent cette structure reste tributaire d une volont politique d termin e am liorer la situation actuelle et garantir une durabilit institutionnelle efficace 11 E CONCEPTION ET ETAT DE PREPARATION A LA MISE EN UVRE DU PROJET La conception du projet tait bas e sur les r sultats des tudes et reche
11. lutte antiacridienne ayant t financ s par la est sous tendu par une Banque et par d autres bailleurs de fonds la analyse de la capacit conception du projet a tenu compte des le ons du pays et de son tir es des interventions pr c dentes Toutefois engagement politique les capacit s institutionnelles du pays n taient pas assez bien analys es RISQUE ET projet tient donn que la lutte antiacridienne n est pas ATTENUATION suffisamment compte nouvelle pour le pays La conception du projet des risques avait tenu compte des risques organisationnels et analys s budg taires dans la formulation des conditions de d caissement et des engagements de l emprunteur ainsi que dans le financement de certaines activit s environnementales UTILISATION DES c Les syst mes de Les lois et r glements nationaux en mati re EVALUATION DU b La conception du Les risques techniques taient faibles 8 3 SYSTEMES DU passation des d acquisition de biens et services ont t discut s PAYS march s de gestion et jug es acceptables La CEP avait une bonne financi re de suivi connaissance des r gles de passation des et ou autres sont march s Les proc dures de passation des fond s sur des march s de la BAD ont t adopt es et syst mes qu utilisent appliqu es d j le gouvernement et ou d autres partenaires 12 Pour les dimensions ci apr s attribuer des notes d valuation distinctes pour la Note de l valu
12. n a pas jou de r le dans le suivi des fonds pr vus sur les financements de l Union Europ enne et la Coop ration Fran aise Cette t che a t toujours consid r e parmi les attributions du CNA L absence d un manuel de proc dures du PLPA consistant et identifiant clairement ses responsabilit s par rapport au CNA dans la coordination et la mise en uvre du projet est l origine de certaines difficult s de collaboration entre la CEP et le CNA 36 Passation des march s depuis le d marrage effectif du projet 75 march s ont t conclus dans le cadre du PLPA dont 33 de travaux 19 de biens d quipement et 23 de services pour un montant global de 14 938 millions d Ariary 4 899 669 UC ce qui repr sente 83 du total des d caissements Un total de 17 des d caissements a concern les petites d penses et les d penses de fonctionnement Plus de 36 des march s ont t conclus apr s la date de cl ture initiale du PLPA pr vues en d cembre 2007 Ces march s ont t r alis s concurrence de 80 par des firmes nationales Le service international a concern essentiellement l assistance technique la recherche et la formation Plus de 44 du montant total contract a port sur des travaux de g nie civil 25 sur des quipements et 31 sur des services de consultants Ceci note bien l ampleur des infrastructures de base et l importance des activit s de renforcement des capacit s institutionnelles des struct
13. par le CNA est effective depuis d but d cembre 2009 Cette restructuration avait pour objectif d adapter ces structures au nouveau contexte de d signation des chefs de Fokontany de fa on impliquer ces derniers dans le fonctionnement des 33 BVLA et de fa on avoir une BVLA par Fokontany La mission a pu visiter et discuter avec 5 de ces BVLA Cette visite a permis de noter un degr significatif de conscience par rapport au probl me acridien et de volont dans la contribution l avertissement et la lutte Ces BVLA avaient chacun des kits de protections complets et ont fait la d monstration sur leurs utilisations d Impact Environnemental 16 Le Projet de lutte pr ventive antiacridienne a t class en cat gorie environnementale tant donn que la composante surveillance acridienne du projet pouvait avoir des impacts n gatifs sur l environnement cause de l acquisition et la manipulation des pesticides Des impacts limit s pouvaient appara tre surtout pendant la construction des infrastructures pr vues dans le projet La BAD a financ en ao t 2000 une EIE compl te prenant en compte non seulement les effets toxiques chimiques mais aussi la toxicit des biopesticides Les principaux objectifs de l EIE consistent i identifier et valuer l importance et la probabilit d occurrence des impacts potentiels ii d finir les principales activit s les ressources correspondantes et les responsabilit s des diff
14. transport 34 emmagasinage La mission na pas observ le compacteur mais vu les explications donn es ce dernier n est pas dans les normes 22 Le CNA et les fournisseurs de produits chimiques ont cr e un site d enfouissement des emballages de plastiques 14 km de Betioky dans lequel 8 334 bidons y ont t enterr s suivant la convention CNA CROPLIFET Ceci n est pas conforme aux clauses du cahier de charges environnemental qui pr voit leur destruction suivant des normes environnementales acceptables L ONE a confirm qu elle n a jamais donn son aval la cr ation de ce site I 2 Composante Recherche Formation a Recherche 23 Le PLPA a pr vu en mati re de recherche de conduire les th mes suivants i lutte biologique contre le criquet migrateur FOFIFA ICIPE il s agit de tester et d homologuer un biopesticide partir de souches IMI330 189 de Metharizium anisopliae var acridum Les tests d efficacit au champ ont t r alis s avec succ s au mois de mai 2008 et une confirmation de ces essais grande chelle a eu lieu au mois de mars 2009 Le comit d homologation malgache a homologu le produit le 2 juillet 2009 et les r sultats de cette activit ont t pr sent s lors du colloque national sur la lutte pr ventive anti acridienne tenu les 17 18 septembre 2009 Le FOFIFA assure une efficacit de ce produit concurrence de 80 Cependant il souhaite que la SP9 une souche locale de Metarhizium
15. 006 aucun remplacement n a eu lieu et d un comptable Durant la mise en uvre du projet la CEP tait responsable de la gestion et la coordination de toutes les activit s financ es sur le fonds FAD Les activit s techniques du projet ont t assur es par la structure du CNA 34 Malgr les difficult s que le PLPA a rencontr son d marrage le d part pr coce des responsables de suivi valuation et de passation des march s la mise en place du staff technique au si ge du CNA et la multitude des partenaires du projet cette structure l g re a pu maintenir une coordination raisonnable des diff rentes activit s du projet et une gestion acceptable des fonds qui lui ont t confi s En effet la quasi totalit des pr visions physiques assign es au projet sur les ressources de la BAD ont t r alis s et tous les services travaux et quipements ont t r ceptionn s avec satisfaction avant la date d ach vement du projet prorog e au 30 d cembre 2009 l exception d un seul march qui a t r sili Le taux des march s infructueux cause des sp cifications techniques ou manque de concurrence n a pas d pass les 10 Tous ces march s ont t repris et conclus sauf l acquisition partielle des quipements de laboratoire qui n a pas t relanc e faute de temps et de moyen humain 35 La dur e de r glement des factures sur le fonds de roulement tait dans les normes sans d passer les d lais co
16. 15 Strat gie d urgence antiacridienne SURA mai 2010 CNA 17 Rapport d enfouissement des emballages vides 2009 CNA Rapports des partenaires Rapport sur l impact environnemental de la lutte 1 antiacridienne Madagascar UE 2003 VE 19 Convention de financement avec UE PASA 98 2004 2006 UE Govememeni Malgache Mission d valuation des performances et des conditions de 20 durabilit du CNA UE ISE gE Rapport final sur les travaux du CIRAD en appui au CNA S dans le cadre du PLPA 2003 ARAD Autres 22 Note synth tique de la situation acridienne actuelle mai 2010 PLPA 30 Annexe 6 Etat de r alisation des composantes et performances du projet I REALISATION DES COMPOSANTES 1 1 Composante Surveillance acridienne a R seau d avertissement acridien 5 B timents le Projet a permis la construction et r habilitation de b timents pour bureaux et logements en particulier la construction d un si ge pour le CNA Tul ar et la r habilitation du local du PLPA et du Centre antiacridien de Betioky CAB ainsi que l quipement en mobilier de 6 zones anti acridiennes ZA 25 postes anti acridiens PA Au total 33 sites de construction et r habilitation ont t r alis s Les travaux sont globalement r alis s correctement et ont t r ceptionn s sauf pour le ZA de Befandriana et le PA de Manja o le contrat de travaux a t r sili car l entreprise n a pas honor ses engagements bien qu
17. 15 05 2009 Sp cialiste infrastructure Agro conomiste Acridologue 25 Total 173 25 Annexe 4 Liste des march s conclus Ann e N Nature du march Date d attribution Montant du Entreprise Mode de march BAD passation MGA HT 2003 04 1 V hicule 4x4 16 05 2003 126 544 000 100 IAPSO Proc dure IAPSO 2003 04 2 Mat riel informatique 09 12 2004 13 101 000 100 ALPHATEK AON 2003 04 3 Mat riel bureautique 09 12 2004 6087 034 100 CBL AON 2003 04 4 Mat riel informatique 09 12 2004 6 346 131 100 ITS AON 2003 04 5 Mobilier de bureau 01 12 2004 33 015 000 100 MALGA AON 2003 04 6 Mobilier de bureau 01 12 2004 26 980 560 100 CIMELTA AON 2005 7 Mat riels de 15 07 2005 217 843 837 100 Technique AON prospection et pr cision 2005 8 Mat ri ls de traitement 30 06 2005 107 435 700 100 Agrivet AON 2005 9 Mat riels de 01 07 2005 672 854 500 100 Telemad AON transmission 2005 10 Mobilier de bureau 2 01 06 2005 22 792 000 100 Tsarama AON 2006 11 Mat riels de protection 04 10 2005 55 166 000 100 Tiana AON 2006 12 Mat riels de 04 10 2005 449 369 000 100 La Demeure AON campement 2006 13 Mat riels didactiques 04 10 2005 37 543 820 100 Rapa AON 2006 14 Outillages m caniques 07 10 2005 274 148 516 100 Taza AON 2006 15 M
18. 2007 annulation de 550 000 UC en 2005 3 Rapport d ach vement du CEP avril 2010 C Par sources de financement N Source Pr visions Pr visions R alisations Performance 1 r vis es 2 3 3 1 3 2 1 FAD 5 762 37 5 760 00 5 372 75 93 24 93 28 2 FAD 1 161 18 1 160 00 556 68 47 94 47 99 3 UE 1 560 76 1 560 00 1 018 00 65 22 65 26 4 SCAC 835 92 835 92 414 00 49 53 49 53 5 B n ficiaires 24 74 24 74 0 00 0 00 6 Gouvernement 1 095 31 1 095 31 2 471 70 225 66 225 66 Total 10 440 281 10 435 97 9 833 13 94 18 94 22 1 M moradum PLPA BAD janvier 2001 2 Rapport de la revue mi parcours avril 2007 3 Rapport d ach vement du CEP avril 2010 pour les ressources de la BAD Le montant d caiss sur les ressources de la coop ration fran aises a t estim sur la base de la mobilisation de l assistance technique rapport final CIRAD 2004 Les donn es relatives la contribution de l UE ont t estim es partir des rapports 2004 2006 du programme d appui la S curit Alimentaire de l UE PASA98 et l entretien avec l UE 23 Annexe 3 Contribution de la Banque A Nature des Nombre de Composition des 3 N RORA Date ee jour missions personnes missions Agro conomiste 1 Evaluation janv 01 3 Agronome Non d
19. 4 NOTE PARTIELLE DE LA SUPERVISION 3 NOTE GENERALE DE LA PERFORMANCE DE LA BANQUE 3 18 PERFORMANCE DE L EMPRINTEUR Conception et tat de pr paration Les responsabilit s en ce qui concerne la mise en uvre du projet sont clairement 2 d finies Les documents requis pour la mise en uvre documents sur les sp cifications la 2 5 conception la passation des march s etc sont pr ts au moment de l valuation Les indicateurs de suivi et le plan de suivi sont approuv s la collecte des donn es 2 de base est achev e ou en cours NOTE DE LA CONCEPTION DU PROJET ET DE SON ETAT DE PREPARATION 2 Mise en uvre L emprunteur s est conform aux Mesures de protection environnementale 2 Dispositions fiduciaires 3 Accords conclus dans le cadre du projet 2 5 L emprunteur a t attentif aux conclusions et recommandations formul es par la 3 Banque dans le cadre de sa supervision du projet L emprunteur fonde ses d cisions sur les informations tir es du suivi 2 5 NOTE PARTIELLE DE LA MISE EN UVRE 3 NOTE GENERALE DE LA PERFORMANCE DE L EMPRUNTEUR 3 J TRAITEMENT ETAPE SIGNATURE ET OBSERVATIONS DATE V rifi par le Chef de Division du Secteur 19 APPENDICE Echelle de notation et correspondances NOTE EXPLICATION 4 Tr s satisfaisant R alisation parfaite aucune faille 3 Satisfaisant La majorit des objectifs son
20. 7 2007 82 057 749 100 Ese AON SAM S Constructi on 27 2008 16 construction bureau 08 07 2007 169 374 831 100 Ese SOA AON PLPA 2009 7 construction bureau et 19 09 2009 74452053 100 ESE AON logement RAPA 2009 18 construction bureau et 19 09 2009 75 251 253 100 ESE AON logement RAPA 2009 19 construction bureau et 19 09 2009 73 276 440 100 ESE AON logement FENOSO A S TOTAL TRAVAUX 4 059 140 170 au montant total des march s 27 Nombre de march s de Biens 19 nombre total de march s 25 Ann e N Nature du march Date d attribution Montant du Part de Entreprise Mode de march la passation MGA banque 2006 1 Travaux de recherche 22 04 2005 1411775 100 Gr gr 376 2006 2 Recherche 22 04 2005 717 977 700 100 Gr gr 2007 3 Suivienvironnemental 07 04 2006 318 496 000 100 ONE Gr gr 2007 4 Travaux de recherche 15 03 2006 108 867 319 100 FOFIFA Gr gr 2008 5 Assistant technique 05 04 2007 230 217 527 100 CIRAD LR 2008 6 Assistant technique 05 04 2007 362 882663 100 CIRAD LR 2009 7 Mise en place du syst me d information du 77 120 000 100 ENI Gr gr CNA TSAPIC 2009 8 Travaux de 3PA 19 09 2009 35 840 000 100 ESPACE LR INGENIE RIE 2009 9 Restructuration des 05 06 2009 50 129 800 100 ONG ONG LR BLAS MIEZA
21. E DU EVALUATION Note de PROJET l valuation Retards au d marrage et pendant l ex cution en raison i du temps mis pour la satisfaction des conditions de d caissement ii des difficult s rencontr es lors de recrutement de issen l assistance technique iii 24 mois les retards dans la signature de la convention de recherche avec le FOFIFA et iv les difficult s de contracter l institution de formation exig es par le RE 14 PERFORMANCE DE LA BANQUE Mesures de protection environnementale Dispositions fiduciaires Accords conclus dans le cadre du projet c La supervision de la Banque a t satisfaisante en termes de dosage des comp tences et de praticabilit des solutions d La surveillance de la gestion du projet par la Banque a t satisfaisant b Conformit de la Banque aux n gatifs de la multitude des chefs des missions Cahier des charges environnementales pr par s Le projet a t reclass en cat gorie environnementale 1 Une tude environnementale tait l une des conditions satisfaire avant l valuation finale du projet Un cahier de charges environnemental a t exig mais non rigoureusement suivi Les engagements financiers de la Banque ont t globalement respect s en terme de paiements directs et de reconstitution du compte sp cial Un retard dans la premi re alimentation a t constat La Banque a pris les
22. E c Mentionne les Les risques sont mentionn s mais il manquait la stabilit 3 risques et les politique comme hypoth se de r ussite du projet hypoth ses cl s D RESULTATS ET RENDEMENTS RESULTATS OBTENUS Dans le tableau ci dessous valuer pour chaque principale activit les r alisations par rapport aux r sultats pr visionnels en se fondant sur le cadre logique pr sent la Section C Noter le degr de r alisation des r sultats attendus Calculer les notes pond r es en proportion approximative du co t des activit s du projet La somme des notes pond r es s affichera automatiquement et correspondra la somme des notes pond r es Ignorer la note automatiquement calcul e si vous le souhaitez et justifier PRINCIPALES ACTIVITES Note de Proportion des Co ts du Note R sultats Attendus R sultats Obtenus l valuatio Projet pond r e n en pourcentage g n r ainsi que mentionn dans automatiqu le rapport d valuation ement 1 Des b timents de la lutte 34 b timents de la lutte antiacridienne construits et antiacridienne construits et r habilit s et des moyens r habilit s 100 16 logistiques et outils d aide la v hicules et 30 motos acquis d cision acquis 100 283 stations cr es 86 et outils d aide la d cision SIG TSAPIC BLU et fonctionnels 60 IMI homologu manuel de lutte antiacridienne disponible souch
23. KA 2009 10 Restructuration des 05 06 2009 86 590 000 100 ONG ONG LR BLAS SAGE 2009 11 Restructuration des 05 06 2009 11 164 500 100 ONG ONG LR BLAS ADRIS 2009 12 Restructuration des 05 06 2009 89 480 000 100 LOVA ONG LR BLAS REVE 2006 13 Audit externe 2004 04 10 2005 38 524 750 100 Fivoarana Gr gr 2005 2006 2009 14 Audit externe 2007 2008 30 12 2008 28 447 000 100 CABINET LR DELOITT TE 28 2003 15 Formation du personnel 03 09 04 553 262 500 100 CIRAD Gr gr 2004 2003 16 Formation en master 29 10 04 70 098 840 100 FOFIFA Gr gr 2004 2005 17 Formation des paysans 08 04 05 93 150 000 100 Lova reve LR BLA 2005 18 Formation des paysans 08 04 05 54 087 507 100 FITAFA LR BLA 2005 19 Formation des paysans 08 04 05 40 135 000 100 Miezaka LR BLA 2005 20 Formation des paysans 08 04 05 53 908 500 100 Rano amp var LR BLA y 2005 21 Formation des paysans 08 04 05 87 100 000 100 Lova reve LR BLA 2006 22 Form dipl en Doc et 22 04 05 207 641 500 100 Gr gr Master 2008 23 Formation dipl m en Doc 22 04 07 8153640 100 ICIPE Gr gr et Master Avenant S TOTAL SERVICES CONSULTANTS 4735 050 122 au montant total des march s 32 Nombre de march s de Biens 23 nombre total de march s 31 75 march s 14 938 009 TOTAL GENERA
24. L 256 4 899 669 UC 29 Annexe 5 Liste des principaux documents consult s N Intitul Date Auteur Rapports du projet Rapport d valuation Proposition visant l octroi d un Pr t 1 FAD de 5 78 Millions d UC et d un Don FAT De 1 29 Million janvier 2001 BAD d UC en vue de financer le projet de Lutte Pr ventive Antiacridienne Madagascar 2 S BAD Gouvernement 2 Accord de pr t et de don PLPA Mai 2001 Malgache 3 Etude d impact Environnemental 01 mars 00 BAD 4 Rapports trimestriels et annuels du projet de Lutte Pr ventive 2003 2009 PLPA Antiacridienne 5 Aides m moires des missions supervision de la Banque 17 2003 2009 ee charges des E MGFO et charg s des 6 Rapport de revue mi parcours Mai 2007 projets 7 Rapport d ach vement Interne CEP Avril 2010 CEP Rapports contractuels avec le projet 8 Rapports finaux d audit externe du PLPA CNA par l ONE 2006 2007 2008 ONE 9 Rapports d assistance technique acridologue 5 2007 2008 2009 CIRAD 10 Rapports assistance technique logisticien acridologue 5 2008 2009 CIRAD 11 Rapport FOFIFA CIRAD 8 2006 2007 2010 FOFIFA amp CIRAD 12 Memoire de DEA sur le Nomadacris 2 2009 Universit Tulear Rapport du CNA 13 Rapports annuels du CNA 2008 2009 CNA 14 Vision strat gique de la lutte antiacridienne Madagascar 2007 CNA horizon 2012
25. MGFO Agronome Membres de l quipe du RAP S RANDRIATSIFERANA Sp cialiste en infrastructure MGFO Z A GHOUDI Consultant Agro conomiste M A BABAH EBBE Consultant Acridologue B CONTEXTE DU PROJET Faire un r sum du bien fond de l assistance de la Banque Texte sur quel d fi du d veloppement porte le projet Strat gie g n rale de l emprunteur pour relever ce d fi activit s de la Banque dans ce s pays et dans ce secteur durant l ann e derni re et performance et activit s en cours financ es par la Banque et d autres sources ext rieures qui compl tent font doublon ou se rapportent ce projet Veuillez citer les sources concern es Exprimez vous sur la force et la coh rence de cette justification 300 mots au plus Tout autre propos pertinent sur les origines et l historique du projet doit tre si besoin pr sent l annexe 6 intitul Description du Projet Madagascar subit une invasion pisodique de criquets migrateurs Locusta migratoria capito et de criquets nomade Nomadacris septemfasciata Le premier est consid r comme l insecte le plus conomiquement dangereux mena ant les cultures et les p turages pendant les p riodes d invasion et causant des d g ts et des pertes allant jusqu 50 de la production agricole qui contribue concurrence de 14 8 au PIB total En 1997 les pertes ont t estim es 6 6 millions de dollars Le PLPA s inscrit dans le
26. RAPPORT D ACHEVEMENT DE PROJET RAP A INFORMATIONS SUR LE PROJET ET DATES CLES INFORMATIONS DE BASE R f rence du Projet Titre du Projet Pays Madagascar N projet F MDG PL AA 2001 2 Projet de Lutte Pr ventive N du pr t 2100 1500 00565 Antiacridienne PLPA Instrument s de Pr t Pr t FAD et Don FAD Secteur Agriculture Cat gorie Environnementale 1 Engagement Initial Montants Annul s Montant D caiss D caiss Pr t FAD 5 760 000 UC Pr t FAD 387 251 81 UC Pr t FAD 5 372 748 19 UC Pr t FAD 93 28 Don FAD 1 160 000 UC Don FAD 603 320 67 UC Don FAD 556 679 33 UC Don FAD 48 Emprunteur Gouvernement de la R publique de Madagascar Organe s d Ex cution Sous la tutelle du Minist re charg de l Agriculture l organe d ex cution du PLPA tait la Cellule d ex cution du projet CEP cr e et mise en place au sein du Centre National Antiacridien CNA depuis 2002 Elle tait coordonn e par un chef de projet Le Comit de suivi et de pilotage CSP du projet au niveau du Minist re de l Agriculture repr sent par les membres du Conseil du CNA tait l organe national de suivi et de pilotage du PLPA La composante Recherche Formation a t mise en uvre travers le Centre de recherche agronomique malgache FOFIFA avec l appui technique du Centre international de physiologie et d cologie des insectes ICIPE et du Centre international de la recherche agricole e
27. a t contract par le PLPA en fin 2004 pour coordonner le suivi de l EIE et statuer sur son permis environnemental auquel est joint le plan de gestion environnemental de pesticides PGEP sous forme de cahier des charges environnemental CCE Dans ce cadre l ONE a effectu 3 missions d audit environnemental en 2006 2007 et 2008 et a formul des recommandations par rapport aux exigences du CCE 20 La mission a revu en d tail ce cahier des charges environnemental et son tat d ex cution Elle a not que plusieurs de ces exigences ne sont toujours pas appliqu es Il s agit notamment de toutes celles qui sont relatives aux anciens magasins de stockage Les magasins cr s par le projet sont de meilleure qualit Ils sont situ s un peu plus loin par rapport aux bureaux et aux habitations Le magasin du CNA Tul ar les deux magasins de Betioky des pesticides et des emballages vides et l ensemble des magasins des PA visit s ne sont pas positionn s suivant les normes proximit des habitations des bassins d eau les enfants jouent proximit 21 Les emballages vides sont toujours stock s dans les magasins de stockage notamment Betioky sud et Ejeda Les emballages sont r utilis s par le CNA lui m me pour le transport du Gasoil ce qui est un tr s mauvais exemple pour le reste de la population malgache Une tr s grande partie des emballages vides est rendue sans bouchons ce qui fait qu elles contaminent tout le circuit
28. a BAD plus de 80 des march s dont environ 50 de travaux de g nie civil ont t ex cut s par des entreprises et fournisseurs locaux ce qui a contribu directement l enrichissement relatif de ces prestataires et l emploi de la main d uvre locale Sur le plan social aussi le fait de construire les logements du personnel d op ration dans leurs zones et postes d intervention et de les mettre dans des conditions optimales d h bergement a t consid r comme une motivation qui aura un impact positif sur la productivit de ce personnel et sur sa stabilit sociale 41
29. a an et le taux de l ordre de 100 000 ha an et le taux de d une ann e l autre traitement au moins 85 traitement est de 75 en moyenne et parfois pas au bon moment Seuil critique de gr garisation ne Gr garisation maitris es et pas d invasion en Rapports annuels du PLPA Retour la lutte curative d passe pas 5 000 individus ha pour le Nomadacris et 2 000 pour le Locusta de fa on durable 2003 2009 mais pas de fa on durable situation de recrudescence avanc e en 2010 et du CNA Investigations de la mission et requ tes du gouvernement en 2010 la FAO d urgence Composante 1 Surveillance Acridienne Cr er 06 zones de lutte antiacridienne 06 zones cr es 100 des pr visions cr er 24 postes d avertissement antiacridien 25 postes cr s 100 des pr visions Cr er 200 stations d observations 154 stations d observation cr es 76 des pr visions Cr er 130 stations m t orologiques 129 stations m t orologiques cr es 99 des pr visions Construire le si ge du CNA n est pas pr vu par le RE mais pr vu lors de la revue mi parcours 01 si ge administratif pour le CNA avec logement fonctionnaires non pr vu initialement est cr en 2008 100 R habiliter 01 bureau et 01 logement CAB 02 locaux CAB r habilit s 100 des pr visions Equiper les infrastructures antiacridiennes cr es et acqu rir la logistique n
30. anque en mati re de d veloppement rural et d am lioration des conditions de vie de la population et de la protection de l environnement La lutte pr ventive antiacridienne r duit norm ment les d g ts sur la production agricole et limite les effets environnementaux n gatifs et par cons quent rejoint les axes strat giques de la BAD d Conforme aux Cadre avec la Politique de la Banque qui vise all ger la 3 priorit s g n rales de la Banque pauvret et garantir la s curit alimentaire et faire b n ficier des retomb es positives les couches rurales pauvres 4 Pr senter le cadre logique En l absence de cadre logique remplir le tableau ci dessous en indiquant l objectif global du projet les principales composantes du projet les principales activit s de chaque composante et les r sultats et rendements attendus ainsi que les indicateurs de mesure de la r alisation des rendements Vous pouvez cr er des rang es suppl mentaires pour les composantes activit s r sultats ou rendements si n cessaire OBJECTIFS RESULTATS VISES A RESULTATS OBTENUS A L ACHEVEMENT SOURCES DE RISQUES A L EVALUATION 2001 2010 VERIFICATION l ACHEVEMENT OBJECTIF Une r duction des pertes Aucune invasion n a eu lieu durant la mise en Statistiques du pays et Les r sultats atteints sont SECTORIEL le projet d environ 30 000 tonnes de uvre du projet 2003 2009 Les pertes de entretiens de la missi
31. arch s ont t conclus et financ s sur les fonds de la BAD dont quatre en 2006 et deux en 2009 pour l acquisition de 135 000 litres et 150 tonnes de produits de traitement pour un montant global de 2 394 139 564 MGA soit l quivalent d environ 800 000 UC Ces importantes quantit s ont appuy le CNA pour maintenir la population acridienne en de du seuil de gr garisation b Outil d aide la d cision SIG LMC Syst me d Information G ographique pour le Locusta Migratoria Capito et actualisation des biotopes 12 Le syst me d information g ographique le SIG LMC est un outil d velopp par le CIRAD dans le cadre du protocole le liant avec le FOFIFA Il est install depuis d cembre 2009 au Service d avertissement et de surveillance SAS de Betioky Cet outil est centr sur laire gr garig ne du Criquet migrateur lieu privil gi des op rations de pr vention destin es emp cher le d veloppement des invasions Il permet mensuellement de suivre la situation acridienne et de localiser les zones risque de pullulation et de transformation phasaire du Criquet migrateur dont la cartographie des biotopes a t r actualis e et int gr e dans le dit SIG Il repose sur la confrontation mensuelle de trois sources d informations hauteurs de pluies densit structure ph nologique et tat phasaire des populations acridiennes distribution g ographique des biotopes du Criquet migrateur Ce SIG constitue un outil de s
32. at riels divers 07 10 2005 58 282 500 100 Alphonse AON 2007 16 logiciel de comptabilit 30 03 2006 28 350 000 100 SOFTWELL AON 2007 17 Pesticides 10 11 2006 259 000 000 100 FIAVAMA AOI 2007 18 Pesticides 06 11 2006 413 800 000 100 PROCHIMA AOI D 2007 19 Pesticides 06 11 2006 519 760 000 100 PROCHIMA AOI D 2007 20 Pesticides 07 11 2006 467 039 564 100 Chimac AOI sdcAgrl 2007 21 v hicule 4x4 01 04 2006 2 820 249 100 IAPSO AOI 2007 22 30 motos 01 04 2006 10 470 968 100 IAPSO Proc dure IAPSO 2008 23 Logiciell informatique 03 10 2007 158 665 000 100 TECHNIVAL AON 2008 24 Mat riel informatique 03 10 2007 52 993 508 100 TECHNIVAL AON 2009 25 Pesticides 26 01 2009 140 000 000 100 PROCHIMA AON D 2009 26 Pesticides 26 01 2009 594 540 000 100 FIAVAMA AON 2009 27 Mat riels 24 09 2009 18 188 632 100 NEW AON informatiques INFOCOM 2009 28 Connexion du CNA 24 09 2009 397 677 788 100 GULFSAT AON 2009 29 Mat riel de laboratoire 26 12 2008 32 671 033 100 MEDICAL AOI INTERNATI ONAL 2009 30 Mat riel de laboratoire 26 12 2008 234 549 104 100 MEDICAL AOI INTERNATI 26 ONAL 2009 31 Mat riel de protection 23 12 2008 645 000 000 100 BRICOBAT AON 2009 32 Mat riel de protection 23 12 2008 10 050 000 100 BRICOBAT AON 2009 33 Mat riel de laboratoi
33. ation performance de la Banque et la performance de l emprunteur Banque Emprunteur CLARTE d Les responsabilit s Les responsabilit s en ce qui concerne la mise en 2 2 en ce qui concerne la uvre taient confuses et le r le de chacune des mise en uvre du diff rentes structures intervenantes n a pas t projet sont clairement concr tis dans un manuel de proc dure depuis le d finies d marrage du projet Ceci a cr des interf rences parfois conflictuelles en particulier entre le CNA et la CEP Aussi le changement fr quent du Charg de projet la Banque a eu des impacts n gatifs PREPARATION A e Les documents Le chef de projet n a t nomm qu en novembre 2 5 25 LA PASSATION requis pour l ex cution 2002 et le premier march n a t conclu qu en mai DES MARCHES documents sur les 2003 soit deux ans apr s la date de signature des sp cifications la accords de financement Les dossiers d appels conception la d offres pr par s par le projet ont t examin s par passation des la Banque au cours de l ex cution du projet march s etc sont pr ts au moment de l valuation PREPARATION f Les indicateurs etle Les indicateurs taient sp cifi s dans le rapport 2 2 AU SUIVI plan de suivi sont d valuation avec une certaine incoh rence avec les adopt s annexes Aucun plan de suivi amp valuation n existait DONNEES DE h La collecte des Aucune situatio
34. cadre de la Lettre de politique de d veloppement rural d finie en 1994 II rejoint le Document de strat gie de r duction de la pauvret tabli en novembre 2000 Il rev tait une importance particuli re pour le Gouvernement malgache car il devait permettre de s curiser la production agricole Suite l invasion acridienne de 1999 le Gouvernement Malgache a sollicit l appui de la Banque qui a r pondu favorablement par une aide d urgence de 544 070 UC et a ensuite contribu la formulation d un Programme National de Lutte Antiacridienne PNLA qui comprenait un volet de lutte curative et un autre de lutte pr ventive C est dans le cadre de ce dernier volet que le PLPA a t identifi en ao t 1997 pr par en juillet 1998 et valu en septembre de la m me ann e Suite sa reclassification environnementale de la cat gorie 2 1 le projet a t r valu en mai 2000 et sign en mai 2001 Le PLPA a t cofinanc par l UE et la France Depuis 1977 la Banque a financ plus de 30 op rations dans les diff rents secteurs 430 000 M UC environ 80 d caiss s dont 4 dans le secteur agricole sont en cours de r alisation Le Bureau MGFO ouvert en 2005 a am lior la gestion de ces projets C OBJECTIF DU PROJET ET CADRE LOGIQUE 1 Enoncer le s Objectif s de D veloppement du Projet ainsi qu ils sont pr sent s dans le rapport d valuation Au plan sectoriel le projet devait contribuer au renforcement de la s
35. cessaire 5 v hicules acquis 100 BAD 10 autres v hicules ont t acquis et mis la disposition du CNA dont 8 par l UE et 2 par la coop ration fran aise 30 motos 100 acquis 2000 Kits acquis 100 50 BLU acquis 135 000 L 150 tonnes de pesticides acquis Mettre en place les outils de transmission lectronique de TSAPIC acquis et en place mais pas fonctionnel l information TSAPIC Composante 2 Tester et homologuer le bio M tharizium anisoplie var acridum IMI Recherche et pesticide 330189 test et homologu en juin 2009 Formation Mener une tude de d terminisme de la gr garisation et d gr garisation Une tude de d terminisme de la gr garisation et d gr garisation r alis e 100 mais le m moire de fin d tudes n est pas encore soutenues 80 Mener des essais d association ph romones biopesticides et ou insecticides M tharizium Essais d association ph romones biopesticides test seulement en labo et ou insecticides M tharizium finalis s 70 Rapports trimestriels et annuels du PLPA Poursuivre la recherche de souches locales mycopesticide Une souche locale de mycopesticide identifi e Inventorier les entomopatag nes entomophages des sauterelles Un acarien et un entomopatog ne identifi s en 2008 Conduire une tude sur le Nnomadacris septemfasciata Etude sur le Nomadacris septemfasciata r alis e en 2008 100
36. de type Nissan Hard body acquis par l UE Le remplacement de ces v hicules dans 1 2 ann es semble n cessaire Les aspects de maintenance de ce mat riel sont aussi signal s par les diff rentes missions ant c dentes de l assistance technique du PLPA et de l UE Sur les 30 motos acquises sept 23 ont des pannes diverses cause du manque de pi ces d tach es sur place Le mat riel informatique est fonctionnel mais devra tre mis niveau tous les 2 3 ans en particulier pour les ordinateurs utilisant le SIG LMC Le mat riel de traitement portable dos est fonctionnel mais n cessite une mise niveau pour son utilisation pour les formulations Ultra Low Volume T tes de micron air AU 8000 acqu rir Son augmentation est galement n cessaire Le mat riel de protection est encore en bon tat mais sa distribution aux agents a omis une pi ce ma tresse qui sont les lunettes de protection ce qui expose les agents de terrains des risques d intoxication Les kits de cholinest rase sont command s mais ne sont pas encore arriv s 11 Fourniture de produits chimiques de traitement le rapport d valuation du PLPA ne pr cise pas de fa on explicite les quantit s de produits de traitement acqu rir sur les fonds de la BAD ni le budget estimatif pour ces acquisitions Toutefois l accord de pr t mentionne les modalit s de passation des march s suivre pour l acquisition des pesticides Depuis le d marrage du projet six m
37. e les b timents sont utilis s et fonctionnels actuellement Tous ces b timents sont maintenant fonctionnels et occup s par les services du CNA Toutefois pour des raisons techniques et co t lev par rapport la norme six de ces constructions ne disposent pas d lectricit ni de l eau malgr les efforts d ploy s par le projet pour r soudre le probl me entre autres en cr ant des puits 6 En outre il est signaler que l assistance technique du CIRAD recrut e par le projet en 2007 apr s la date du d marrage des travaux de construction de ces postes acridiens a fait une analyse d taill e du r seau des PA et a mis des r serves sur la pertinence de la distribution g ographique de sept de ces postes 30 Des propositions ont t faites pour des emplacements alternatifs en tenant compte de la dynamique saisonni re du probl me acridien Mais tenant compte de consid rations sociales et humaines et d un minimum d acc s aux besoins vitaux le positionnement de quatre de ces PA ne pouvait pas tre r alis autrement Le projet a pu modifier l emplacement des 3 derniers d cid s apr s la revue mi parcours pour les mettre dans les endroits recommand s dont celui de Beomby Soahazo et Amboahangy Ces constructions ont t jug es de qualit acceptable pour durer moyennant un entretien courant Le CNA inscrit chaque ann e un montant pour l entretien mais celui ci semble insuffisant En 2010 le budget du CNA est de
38. e locale de mycopesticide identifi e progr s dans les connaissances sur le criquet Nomade 2 Les r sultats de la recherche sont disponibles 3 Comp tences techniques 19 cadres form s 100 25 2 5 11 0 275 am lior es du personnel du sessions entreprises pour les CNA et CEP et de la techniciens de la lutte population antiacridienne 100 et 7 th ses PhD et Masters financ es 1736 membres BVLA sensibilis s Acquis de la recherche non vulgaris s en milieu r el 4 Cellule d ex cution du projet CEP cr e et uniquement 3 33 0 99 cr e et appuy e par l assistance technique mobilis e 33 de l assistance technique NOTE GENERALE DES RESULTATS correspond la somme des notes pond r es 3 Cochez ici pour ignorer la note auto calcul e Donner les raisons pour lesquelles la note auto calcul e a t ignor e Inscrire la nouvelle note ou r inscrire la note auto calcul e 3 Il RENDEMENTS OBTENUS souhaitez et justifier 1 En utilisant les donn es disponibles sur le suivi valuer la r alisation des rendements attendus Importer les rendements attendus du cadre logique pr sent dans la Section C Attribuer une note pour le degr de r alisation des rendements attendus La note g n rale des rendements sera automatiquement calcul e et correspondra la moyenne des notes de l valuation Ignorer la note automatiquement calcul e
39. en antiacridien et un acridologue ont t mis la disposition du CNA en avril 2007 jusqu avril 2009 33 hommes mois des pr visions mis disposition Mettre en place un bureau de liaison Tana 1 Bureau de liaison Tana cr e et un cadre a t install 100 5 Pour chaque dimension du cadre logique indiquer bri vement deux phrases au plus quel point le cadre logique a contribu la r alisation des objectifs mentionn s ci apr s Noter l valuation en utilisant l chelle de notation fournie l appendice 1 En l absence de cadre logique attribuer cette section la note 1 CARACTERISTIQUES DU CADRE LOGIQUE EVALUATION NOTE LOGIQUE a Pr voit un La relation causale entre les activit s les r sultats et les 2 5 encha nement causal objectifs n est pas bien claire au niveau de la matrice du logique pour la cadre logique du RE Toutefois la conception de cette r alisation des objectifs matrice a clarifi les objectifs et les r sultats attendus et a de d veloppement du facilit l valuation des performances du projet Une projet adaptation de la matrice a t entreprise lors de l ach vement pour mieux voir cette relation de cause effet MESURABLE b Enonce les objectifs La majorit des indicateurs identifi s au niveau de la 3 et les rendements de matrice du cadre logique sont quantifiables et mesurables mani re mesurable et quantifiable DETAILL
40. en consid rant des alternatives l ICIPE iii Essais sur des associations ph romones biopesticide ICIPE de tels essais devrait permettre d tudier l efficacit de lutte combinant l utilisation de ph romones et de biopesticide Ces essais ne pourraient tre r alis s qu apr s la r alisation des essais sur terrain des ph romones ce qui pose encore probl me iv Etude du criquet nomade FOFIFA CIRAD la partie terrain de cette tude qui avait pour objectif de mieux conna tre cet autre insecte moins connu que le criquet migrateur et qui cause galement des d g ts sur les cultures dans le nord du pays a t achev e Ces travaux ont t tout d abord r alis s dans le cadre du Projet de contribution la lutte antiacridienne le PCLA financ par la coop ration Fran aise de 2001 2003 Franc et al 2005 Lecoq et al 2006 Ils ont t poursuivis dans le cadre du PLPA de 2005 2009 en collaboration entre le CNA le FOFIFA et le CIRAD Les divers travaux r alis s au sein du PLPA ont permis de continuer faire progresser les connaissances sur le criquet 1 Rapport CNA d cembre 2008 35 nomade et d apporter des informations sur deux aspects cl s savoir les phases et la dynamique des populations Les connaissances nouvelles pr sent es devraient permettre au CNA de mieux organiser sa strat gie de surveillance et de lutte contre cette esp ce La mission juge que ces r sultats sont tr s
41. ensibilit de l annexe 3 si pertinent Le PLPA a mis en place des infrastructures de base importantes pour la lutte antiacridienne r ceptionn es globalement dans les normes et respectant plus ou moins les clauses contractuelles l exception de quelques localit s qui sont jusqu ce jour d pourvues d eau et d lectricit pour des raisons purement techniques Il a dot les locaux administratifs et techniques des quipements n cessaires et d un minimum de logistique pour assurer cette fonction d alerte pr coce et pr ventive antiacridienne Des quipements de laboratoire et de communication ont t aussi acquis sur les fonds du PLPA travers la composante recherche et formation et plusieurs acquis ont r sult de cette injection massive d investissement dans le cadre du projet Des investissements importants ont t mise en place par le PLPA pour doter le pays de comp tences dans le domaine de la lutte antiacridienne organiser et former les b n ficiaires locaux et restructurer les BVLA en des organismes plus dynamiques plus efficaces et encore plus op rationnels dans leur mission de surveillance et de pr vention antiacridienne Tous ces acquis cot des allocations budg taires importantes au CNA sur les ressources du budget de l Etat depuis sa cr ation supposent un niveau de durabilit acquis jusqu fin 2009 Toutefois apr s l ach vement des aides des principaux bailleurs de fonds et du PLPA et suite
42. es dans les zones de reproduction La contribution r elle du Gouvernement essentiellement sous forme de fonctionnement a d pass 225 les pr visions initiales ce qui d montre la priorit qu a accord la politique nationale cette lutte antiacridienne jusqu 2009 Aucune contribution financi re de la population n a t constat e 3 Harmonisation Indiquer si la Banque s est explicitement employ e harmoniser les instruments syst mes et ou approches avec les autres partenaires L absence d un protocole sign entre les trois bailleurs de fonds ext rieurs pour coordonner leurs financements mutuels et parall les des activit s du PLPA est regretter En effet chacun de ces bailleurs de fonds a sign un accord bilat ral avec le gouvernement dans des cadres diff rents les uns des autres mais tous orient s vers l appui la lutte antiacridienne La Banque a toutefois tenu inform s les partenaires techniques et financiers actifs dans le secteur Madagascar que ce soit lors des missions de la Banque ou des r unions du secr tariat multi bailleurs pour le d veloppement rural dont MGFO est membre 4 Pour chaque aspect de la mise en uvre du projet indiquer dans quelle mesure le projet a atteint les objectifs ci apr s Pr senter une valuation succincte deux phrases au plus et attribuer une note d valuation en utilisant l chelle de notation figurant l appendice 1 ASPECTS LIES A LA MISE EN UVR
43. es diff rentes composantes et activit s de lutte antiacridienne Recherche d veloppement formation professionnelle formation acad mique vulgarisation et un esprit partenarial et de compl mentarit entre les institutions de d veloppement structure de recherche institutions acad miques au niveau national et international CNA CEP FOFIFA Institut sup rieur CIRAD ICEPE Toutefois ce partenariat reste encore fragile et m rite d tre consolid Ainsi l identification d un programme multidimensionnel int gr et concert qui touche aussi bien la lutte antiacridienne que l am lioration des conditions de vie et des revenus de la population rurale de la r gion sud de Madagascar est d une grande utilit La dimension environnementale et l implication de la femme et des jeunes dans l ventuel processus d identification et de d cision devait tre prises en consid ration avec plus de rigueur au niveau de la formulation et l valuation 2 Si au cours de l ex cution du projet on peut constater un dynamisme et un niveau acceptable d exploitation et de fonctionnalit des infrastructures de base et des investissements institutionnels on ne s aper oit de la durabilit des acquis qu en fin du projet A ce titre la responsabilit du concepteur et des signataires des accords de financement est une r alit du faite de l absence d une strat gie claire de sortie et de d sengagement du projet depuis le moment de la conception et ce dans un
44. es et quipement o les ratios taient respectivement de 307 et 151 par rapport aux pr visions initiales et ce au d triment de l assistance technique qui n a t mise en place qu la fin du projet refl te un 40 manque d efficience du fait que certains co ts unitaires taient relativement plus lev s contre aussi des pr visions sous estim es De plus l utilisation des ressources destin es au renforcement des capacit s en faveur du g nie civil n etait pas toujours dans le sens d une efficience conomique surtout que le projet avait assign des objectifs institutionnels durables Enfin l annulation de 52 du don r serv la formation ne semble pas tre en faveur d une efficience conomique du projet ILA Impact conomique 42 L impact des projets de d veloppements rural et des projets institutionnels est tr s difficile quantifier d s l ach vement du projet Pour le PLPA la tendance de l impact conomique a t constat e travers les discussions et les entretiens avec les b n ficiaires et les autorit s locales Si les d g ts caus s par les criquets n ont pas d pass les 10 de la production agricole tout au long de la dur e op rationnelle du PLPA 2003 2009 alors qu une invasion moyenne peut causer plus de 40 50 de d g ts on peut attribuer une r duction de d g ts potentiels de l ordre de 30 40 dans la zone du PLPA Sur le montant global d caiss sur les ressources de l
45. is r currents de fonctionnement lev s location de la bande passante en particulier o D lai de mise au point de plusieurs ann es impliquant une formation lourde des agents de terrain o Le recours aux logiciels libres implique une formation suppl mentaire et des connections Internet fiables rapides et faible co t o Seules les ZA sont int gr es au r seau ce qui implique une liaison renforc e PA ZA et surtout des postes pluviom triques PP o L volution technologique est rapide elle est susceptibles d offrir des palliatifs concurrentiels c ble optique BlackBerry o Les performances de la BLU semblent amplement suffisantes pour la transmission des donn es acridiennes Ce syst me a fonctionn parfaitement Madagascar jusqu un pass r cent Il fonctionne encore dans d autres domaines et sous d autres cieux o Le syst me TSAPIC introduit incontestablement un facteur de modernit dans le traitement des donn es mais il pr sente galement une vuln rabilit et une d pendance vis vis des sources nerg tiques o Enfin le TSAPIC ne peut pas avoir sa raison d tre s il ne peut pas se connecter avec le SIG LMC et l alimenter c Appui aux b n ficiaires 15 Le Projet a permis la constitution et la formation de 152 Brigades villageoises de lutte anti acridienne BVLA Aussi apr s le recrutement de 4 ONG pour la restructuration de ces BVLA et la mise en place de 96 autres la prise en main des 248 BVLA
46. isponible Financier Chef de division 2 Supervision du 27 10 au 09 11 2001 3 Agro conomiste 13 Agronome a rancementdu du 22711 au 3 12 2002 g AgroSconomisie 11 projet Agronomes 4 Supervision du 22 06 au 11 07 2003 1 Agro conomiste 14 5 Supervision du 17 04 au 30 04 2004 g Agronome 13 Analyste financier 6 Supervision du 25 11 au 09 12 2004 2 Agro conomistes 15 Directeur Sectoriel Chef de DivisionSectoriel Repr sentant Am lioration du SE S 7 portefeuille du 29 09 au 12 10 2005 T ANANSEMRENCET 5 agricole Sp cialiste des acquisitions Charg de d caissement Agro conomiste Agronome A ME d c05 2 Auditeurs Non disponible 9 Supervision du 30 04 au 13 05 2006 2 Agro conomistes 13 Repr sentant r sident R SEE du 19 au 31 mars 2007 go Monu 5 portefeuille Agro conomiste Agronome 11 Revue mi du 16 au 30 mai 2007 2 Agroeconomiste 14 parcours Agronome Agronome 12 Supervision du 29 11 au 06 12 2007 2 Sp cialiste en 8 acquisition 13 Supervision REA gala uie 1 Agronome 4 Sp cialiste des 14 Supervision du 27 02 au 05 03 2008 2 acquisitions 6 Agro conomistes Agroeconomiste 15 Supervision du 19 10 au 28 10 2008 3 Agronome 9 24 Supervision du 11 au 20 05 2009 Agronome Charg de d caissement Supervision du 17 au 26 11 2009 Agro conomiste Sp cialiste infrastructure Sp cialiste des acquisitions Ach vement du 20 04 au
47. ky alors que l assistance technique du projet jugeait que le strict minimum ne doit pas descendre en dessous de 80 postes 31 9 R seau de transmission par Bandes Lat rales Uniques BLU Ce r seau sert la transmission des donn es acridiennes et pluviom triques Les 6 ZA et les 24 PA apr s fusion de 2 PA ont t quip s de nouvelles BLU qui sont op rationnelles depuis juillet 2008 sauf le PA de Miary dont le poste ancien tait en panne lors de la visite de la mission Le CNA n a pas t inform par le dit PA auparavant et a pris acte du remplacement dudit BLU dans les jours qui suivent 10 Mat riels et quipements pour l op rationnalisation du r seau d avertissement le projet a permis l acquisition des divers quipements et mat riels v hicules motos mat riel informatique mat riel de prospection et de campement mat riel de traitement et de protection mat riel didactique pour la formation ainsi que des pesticides pour les traitements La derni re acquisition de pesticides dans le cadre du Projet et des mat riels de laboratoire ont eu lieu en janvier 2009 Celle relative aux kits de protection pour les BVLA a t r alis e en juin 2009 La mission a pu v rifier l tat et la fonctionnalit de ce mat riel sur le terrain dans les zones visit es Le parc v hicule est encore fonctionnel mais est insuffisant et vieillissant et commence d montrer des signes de faiblesse en particulier pour les 4x4 pickup
48. l ordre de 50 du budget annuel moyen des ann es 2007 2009 T Stations fixes d observation il s agit des stations d observation acridienne o sont r alis es les prospections et la collecte des donn es acridiennes La localisation de ces stations a t actualis e dans le cadre des prestations de l assistant technique acridologue Actuellement 152 stations fixes g o r f renc es sont fonctionnelles Ce r seau de stations dites fixes malgr les transformations qu elles continuent subir extension des d friches occupation par des cultures etc continue tre utile aussi bien pour le volet op rationnel de l avertissement acridien mais aussi pour la recherche en l occurrence les dispositifs visant comprendre les ph nom nes tel que la reconstitution du cycle biologique dans ces stations les compl mentarit s entre les zones les migrations saisonni res la comparaison des ann es et la relation des v nements acridiens aux donn es pluviom triques etc 8 Stations m t orologiques le CNA dispose actuellement de 129 stations m t orologiques dont 60 ont t quip es dans le cadre du PLPA Toutefois ces r seaux n arrivent pas tre enti rement fonctionnels particuli rement les stations g r es par les autres op rateurs nationaux SAP ONG Ainsi au cours des 5 derniers mois uniquement 60 postes en moyenne soit 38 ont envoy des donn es au Service d avertissement et de surveillance de Betio
49. lisations 1 parcours 3 3 1 3 2 2 Surveillance 356600 4658 00 4510 00 126 97 Acridienne 2 Recherche formation 1 160 00 610 00 556 00 48 91 Gestion et 1242 00 1102 00 866 00 70 79 coordination Frais g n raux 952 00 Total 6 920 00 6 370 00 5 932 00 86 93 Sources 1 M moradum PLPA BAD janvier 2001 2 Rapport d ach vement CEP Avril 2010 3 Rapport d ach vement CEP Avril 2010 retravaill par le consultant et le comptable du PLPA B Par cat gorie Pr t FAD Cat gories Pr visions Revue mi D caissements Performance Accord de pr t parcours 3 SE 3 2 1 2 RSS Construction et 430 00 1 202 91 1 320 19 307 021 109 75 Be Re V hicules et 1 mi 00 2 Ka 93 2 nm 15 RES 69 LES 16 Ras Services Assistance m 300 00 Ega 453 50 Z 016 84 Sas 22 du 96 technique consultations et tudes __4 Fonctionnement 1 860 00 890 78 866 56 ___INon allou f 740 00 2 89 mn nen mmn nl n Source 1 Accord de pr t FAD mai 2001 2 Rapport de la revue mi parcours avril 2007 3 Rapport d ach vement du CEP avril 2010 22 Don FAD Cat gories Pr vision Revue mi D caissements RE 1 ne 3 3 1 3 2 Services 1 020 00 9 00 556 68 54 58 91 26 Recherche Formation ___ Non allou 140 00 1 160 00 610 00 en as Sources 1 Accord de pr t FAD mai 2001 2 Rapport de la revue mi parcours avril
50. ltitude d approbations et de non objections les retards au niveau de l alimentation du compte du projet et de r glement des factures de certaines entreprises ont pu affecter l efficacit du projet en terme d atteinte des r sultats assign s en temps requis Il a fallu proroger le projet deux reprises jusqu fin 2009 pour se rapprocher des r sultats assign s Aussi sur les six rapports d audit annuel entrepris par le projet uniquement 66 de ces rapports ont t pr par et transmis la BAD temps Toutefois malgr ces difficult s le PLPA a r ussi mettre en place une infrastructure de base importante des quipements et outils consid rables en particulier d aide la d cision SIG LMC le manuel De plus le PLPA a permis une am lioration visible des comp tences nationales travers la formation pratique et op rationnelle des cadres et techniciens et travers le financement de certaines th ses dans le domaine de lutte antiacridienne mais aussi des travaux de recherche et de d veloppement des produits biologiques alternatifs plus sains pour l environnement 40 La contribution du PLPA l objectif strat gique de r duction des pertes de production agricole est certaine vu que depuis le d marrage effectif du projet aucune invasion n a eu lieu Les d g ts caus s par les criquets depuis 2003 jusqu fin 2009 dans les zones d intervention du PLPA n ont jamais d pass s les 5 10 selon les entretiens de
51. n de r f rence au d marrage du 2 2 REFERENCE donn es de r f rence projet n a t identifi e Le rapport d valuation est achev e ou en traitait la situation acridienne dans sa globalit sans cours chiffrer les indicateurs dans la zone du projet en situation avant projet F MISE EN UVRE 1 Donner les principales caract ristiques de l ex cution du projet quant aux aspects suivants respect des calendriers qualit des constructions et autres travaux performance des consultants efficacit de la supervision par la Banque et efficacit de la surveillance par l emprunteur D terminer dans quelle mesure la Banque et l emprunteur ont veill au respect des mesures de sauvegarde 300 mots au plus Tout autre propos concernant la mise en uvre devra tre pr sent l annexe 6 intitul Description du projet Le PLPA sign en 2001 na d marr effectivement qu en 2004 Il a t prorog deux reprises jusqu fin 2009 La conjoncture politique en 2002 Madagascar le d m nagement du si ge de la BAD et la lourdeur des proc dures administratives ont t not s comme principaux facteurs de ces retards Les pr visions physiques initiales et l allocation entre les diff rentes cat gories ont t actualis es lors de la revue mi parcours en 2007 Globalement la qualit des r alisations physiques est conforme aux sp cifications exig es Le niveau de r alisation financi re des infrastruc
52. n ont pas La plupart des recommandations ont t ex cut es enti rement par le projet mais parfois avec un certain retard par rapport aux dates butoirs t r alis es pour des raisons techniques et 15 proc durales particuli rement celle relative la validation du plan de gestion des risques soit 12 du total des recommandations non r alis es jusqu la mission de supervision de novembre 2009 g L emprunteur a collect et Les rapports trimestriels et annuels d activit s ont 29 utilis pour les prises de t transmis la Banque souvent avec un peu de d cisions les informations tir es retard Il convient de noter l absence d un syst me du processus de suivi de suivi valuation fonctionnel au sein le la cellule d ex cution du projet Le logiciel TOMPRO a t mis en place en 2007 pour la gestion comptable G ACHEVEMENT 1 Le PAR a t il t fourni temps conform ment la Politique de la Banque Date de r alisation de 98 de Date PAR t envoy Ecart en NOTE DE L EVALUATION d caissement ou date de cl ture si a pcr afdb org mois g n r automatiquement applicable Si l cart est gale ou inferieur a 6 mois la note est de 4 Si l cart est sup rieur 6 mois la note est de 1 Jusqu la date d ach vement uniquement 93 28 d caiss s sur le pr t et 48 sur le don D crire bri vement le processus RAP D crire la mani re dont l emprunteur et le
53. nombiky Mahabouka La mission a observ des infestations larvaires et essaimmantes sur son parcours Beomby et sur laxe Tulear Hiosy Au terme de la mission une r union de synth se s est tenue le 07 05 2010 sous la pr sidence de M le Directeur G n ral de l Agriculture et en pr sence des diff rents partenaires du PLPA 16 H LECONS TIREES DE L EVALUATION R sumer les principales le ons que la Banque et l emprunteur peuvent ventuellement tirer des rendements du projet 300 mots au plus Tout autre propos concernant la mise en uvre devra tre pr sent l annexe 6 intitul Description du projet 1 La probl matique de la lutte antiacridienne est assez complexe et multidimensionnelle Elle est engendr e en effet par des contraintes multiples et interd pendantes touchant la fois les aspects institutionnels techniques organisationnels sociaux conomiques et essentiellement environnementaux Toute strat gie visant la compr hension et la ma trise de cette probl matique doit adopter une approche int gr e favorisant l identification la hi rarchisation et le traitement de ces contraintes d une mani re globale selon une approche progressive dans le temps it rative et partenariale impliquant l ensemble des acteurs avec une d finition et une r partition claires des responsabilit s et des attributions Durant la p riode d ex cution le PLPA a r ussi tisser une interaction positive entre l
54. ntractuels Les rapports d activit trimestriels et annuels du PLPA ont t toujours S Rapport de la mission d valuation de performance et durabilit du CNA UE novembre 2008 38 pr par s mais parfois remis avec un certain retard Toutefois la CEP na pas pu mettre en place un syst me de planification et suivi valuation coh rant et int gr qui aurait servi comme outil d aide la d cision Le TOMPRO avec un seul module comptable n a t mis en place qu en fin 2006 pour qu il soit op rationnel partir de l exercice 2007 En comptabilisant le rapport d audit 2009 qui n est pas encore engag plus de 40 de ces rapports ont t transmis la BAD en retard par rapport aux d lais contractuels Le retard dans l acquisition des prestations de l audit de l exercice 2009 risque de ne pas pouvoir remettre le rapport temps De plus les pi ces justificatives du dernier fonds de roulement n ont pas t encore communiqu es la BAD La mise en place d un syst me de transmission de donn es TSAPIC la fin du projet n tait pas un choix efficace du fait que le temps de formation et de rodage des utilisateurs n tait pas suffisant L annulation de 52 du don FAD destin la formation des cadres n tait pas en faveur d une utilisation efficiente des ressources financi res du projet quoi que la responsabilit n est pas exclusive la CEP Elle incombe aussi au Gouvernement et la BAD Cette structure l g re
55. ntre National Antiacridien CNA Le projet devait s appuyer sur le personnel du CNA pour ex cuter ses t ches sur le terrain postes et zones antiacridiennes Cette Cellule devait comprendre i le personnel cadre sp cialis en protection des v g taux d tach du CNA 1 chef d unit Prospection 1 chef d unit Intervention et 1 chef d unit Recherche op rationnelle 1 agro conomiste responsable de suivi valuation et 1 logisticien ii le personnel contractuel 1 comptable gestionnaire 3 secr taires et 3 chauffeurs et iii l assistance technique Acridologue Acridologue Logisticien et 1 sp cialiste des acquisitions Une antenne de liaison devait tre bas e Antananarivo Le Conseil d Administration du CNA devait assurer le r le de suivi et pilotage du projet et les comptes du projet devraient faire l objet d audit annuel 29 Depuis le d marrage effectif du PLPA le Conseil d Administration du CNA a assur le r le du Comit de suivi et pilotage du projet Il est compos de repr sentants des diff rents minist res et autres entit s Minist re de l Agriculture tutelle technique du PLPA Minist re des Finances et du Budget tutelle comptable et financi re du PLPA Minist re charg de l Environnement Minist re charg de la D centralisation et de l Am nagement du Territoire Minist re charg de l ducation Nationale et de la Recherche Scientifique les R gions d Atsimo Andrefana de l Androy de l Anosy e
56. objectif de passation de la fonctionnalit et de la continuit aux structures p rennes qui peuvent tre administratives ou civiles La pr paration d un manuel de proc dure de mise en uvre du projet au moment de la formulation qui int gre une strat gie de sortie et de passation aux structures p rennes est d une grande importance pour le bon d roulement de la gestion de la coordination et de la durabilit des acquis du projet 3 L autre enseignement important et li la fonctionnalit et la durabilit des acquis est a n cessit d engagement de toutes les r formes institutionnelles et le renforcement de capacit s et la mise en place des syst mes d information et des outils d aide la d cision d s le d marrage du projet pour leur donner plus de chance d tre ma tris s et exploit s apr s l ach vement du projet 4 D autres enseignements tir s de l ex cution de ce projet montrent que la d marche participative et l implication de tous les acteurs concern s donneront des r sultats positifs et substantiellement durables quoi que le processus est relativement long Cette lenteur devrait tre prise en consid ration dans les processus de formulation du projet et d valuation de ses performances L indicateur de d caissement ne devrait pas tre lui seul le crit re de jugement de ces performances en particulier durant les premi res ann es de d marrage De m me les proc dures administratives de mise en u
57. on avec fragiles et peu durables contribuait au paddy et 60 000 tonnes de production taient uniquement de l ordre de 5 les diff rents partenaires L ann e 2010 annonce un renforcement de la s curit alimentaire par la protection des cultures et des r coltes manioc est obtenue d s l ann e 4 du projet 10 risque d invasion vu la conjoncture politique et la fragilit de la structure de rel ve OBJECTIF SPECIFIQUE Pr venir les invasions acridiennes futures en maintenant la population acridienne en de du seuil de gr garisation sur une base durable Une structure nationale de lutte antiacridienne fonctionnelle est en place Le CNA est en place mais manque de comp tences techniques et le niveau organisationnel est insuffisant Rapport d audit de l UE 2008 rapport CNA 2010 et investigations de la mission Statut actuel du CNA fragile et conjoncture politique difficile D cisions prises sur la base d un syst me d alerte pr coce le lutte antiacridienne fonctionnel Les outils d aide la d cision acquis SIG LMC BLU et TSAPIC mais partiellement aliment s et pas tous fonctionnels Investigations de la mission fiabilit peu lev e de l information collect e au niveau des stations d observation et m t orologiques Superficie infest ne d passent La moyenne des superficies infest es est de Rapports annuels du CNA Cumul des zones infest es pas 50 000 h
58. ple en relation avec le rythme et typologies spatiales des couvertures pluviom triques pourrait certainement am liorer davantage ses performances 14 Le TSAPIC syst me de transmission de donn es de surveillance acridienne en permanence interconnect es reliant les ZA et Betioky a t mis en place dans un cadre partenarial avec le projet par l Ecole nationale d informatique de Fianarantsoa ENI en avril 2009 Le d veloppement du logiciel a t r alis en septembre 2009 La formation des utilisateurs ainsi que l assimilation dudit logiciel a eu lieu en octobre 2009 Le mat riel informatique n cessaire pour le fonctionnement du TSAPIC a t livr et l installation des connexions a t tablie La mission a assist la pr sentation TSAPIC et plusieurs d monstrations de transmission des donn es qui n ont malheureusement pas toutes r ussis La mission a eu aussi de multiples discussions avec les diff rents concepteurs et utilisateurs de cet outil Elle consid re ce qui suit o Il s agit l d une r flexion utile pour un r seau complexe de communication qui d passe le seul cadre de la transmission des donn es de terrain dont il reste ajuster les contenus des entit s d information les fiches d observation o Il pr sente aussi certaines lourdeurs fonctionnelles qui laissent le syst me perfectible o Son co t est important parall lement un retour incertain sur l investissement et impliquant des fra
59. r bri vement deux phrases au plus les objectifs du projet sous trois angles noter l valuation en utilisant l chelle de notation fournie l appendice 1 CARACTERISTIQUES DES OBJECTIFS DU EVALUATION NOTE PROJET PERTINENTS a Pertinent au regard Les objectifs du projet sont pertinents et r pondent 4 des priorit s de parfaitement aux besoins strat giques du Gouvernement de d veloppement du pays Madagascar qui met en priorit la lutte pr ventive priorit s antiacridienne surtout que l agriculture malgache est confront e aux attaques de diff rents ravageurs des cultures en particulier les criquets qui causent des d g ts importants allant parfois jusqu plus de 60 de la production agricole REALISABLES b Objectifs jug s Les objectifs sont relativement ambitieux par rapport aux 2 r alisables au regard d lais envisag s du fait que le projet touche des aspects des contributions au institutionnels de r forme de recherche de formation et projet et des d lais d am lioration de comp tence et d introduction de envisag s nouvelles technologies d alerte et de lutte biologique alternatives Les impacts de tels investissements sont plut t moyen et long terme pour qu ils soient durables COHERENTS c Conforme la Les objectifs assign s au projet refl tent une coh rence 3 strat gie nationale ou avec les axes strat giques nationaux et r gionaux de la r gionale de la Banque B
60. r les raisons pour lesquelles la note auto calcul e a t ignor e Inscrire la nouvelle note ou r inscrire la note auto calcul e 2 10 2 Autres rendements Commenter les rendements additionnels non pr vus dans le cadre logique et qui portent notamment sur les questions transversales genre par exemple Aspect genre aussi bien dans sa conception que dans sa mise en uvre le PLPA n a pas cibl de fa on sp cifique la femme rurale Il est vrai que l activit de lutte antiacridienne est traditionnellement du ressort de l homme Toutefois la femme a b n fici comme l homme de l am lioration du revenu de la famille travers la r duction des d g ts sur la production agricole Dans la composition des BVLA dans l avertissement des autorit s dans la gestion du personnel de traitement des foyers et bandes larvaires et dans la protection environnementale travers la non utilisation domestique des emballages vides des produits de traitement et la sensibilisation des enfants pour les loigner des zones de traitement et de stockage des produits chimiques 3 Menaces qui p sent sur la viabilit des rendements obtenus Souligner les facteurs qui affectent ou pourraient affecter les rendements du projet long terme ou leur viabilit Mentionner toute nouvelle activit ou changement institutionnel ventuellement recommand pour assurer la viabilit des rendements L analyse devra s inspirer de l analyse de s
61. rches scientifiques men s dans le cadre de projets ant rieurs Projet PNUD FAO MAG 70 523 de 1970 Projet de protection des v g taux de la GTZ initi en 1988 Elle a tenu compte des enseignements tir de la mise en uvre des projets de lutte d urgence contre le criquet Madagascar 1998 2000 que le FAD a cofinanc avec l UE FIDA BM la FAO le PNUD et le Gouvernement malgache Les le ons tir es des interventions ant rieures consistaient en i la faible implication des populations b n ficiaires et des institutions de recherche ii l absence de recherche de m thodes alternatives durables et iii la faible participation de l Etat dans le financement des charges r currentes La strat gie envisag e par le PLPA privil giait l engagement des populations travers la restructuration des BVLA l utilisation des biopesticides en sous traitant la composante recherche et formation au FOFIFA ICIPE CIRAD et la prise en charge par l Etat des charges r currentes 2 Pour chaque dimension de la conception et de l tat de pr paration la mise en uvre du projet pr senter une br ve valuation deux phrases au plus Attribuer une note d valuation en utilisant l chelle de notation figurant l appendice 1 ASPECTS LIES A LA CONCEPTION ET A EVALUATION Note de L ETAT DE PREPARATION DE LA MISE EN l valuation UVRE DU PROJET REALISME a Du fait de sa Plusieurs projets de d veloppement rural et de complexit le projet
62. re 23 12 2008 50 733 520 100 TECHNIQU AOI E ET PRECISION S TOTAL BIENS 6 143 818 964 au montant total des march s 41 Nombre de march s de Biens 33 nombre total de march s 44 Ann e N Nature du march Date d attribution Montant du Entreprise Mode de d engageme march BAD passation nt MGA 2003 2004 1 b timent 17 01 2005 65 021 060 100 ESPACE LR 2003 2004 2 b timent 17 01 2005 78 635 000 100 EC plus LR 2003 2004 3 b timent 17 01 2005 37 937 000 100 Mad LR consult 2003 2004 4 b timent 17 01 2005 36 737 000 100 Mad LR consult 2007 5 Construction bureau 16 05 2006 301 998 767 100 Ese AON logement Manasoa 2007 6 Construction bureau 19 05 2006 222 495 857 100 Ese AON logement Vonona 2007 7 Construction bureau 15 05 2006 469 126 264 100 Ese La AON logement Joie 2007 8 Construction bureau 15 05 2006 355 035 314 100 ECA AON logement 2007 9 Construction bureau 21 05 2006 217 725 146 100 Ese AON logement SOGEM 2007 10 Construction bureau 19 05 2006 368 779 177 100 Ese AON logement LAHINDR OY 2007 11 Construction bureau 22 05 2006 285 494 330 100 Ese AON logement MBELO 2007 12 Construction bureau 22 05 2006 308 840 387 100 Ese SOA AON logement 2007 13 Construction bureau 15 05 2006 330 557 836 100 Groupe AON logement d entrepris e 2008 14 b timent si ge 08 07 2007 506 344 706 100 Ese AON Andrisoa ECA 2008 15 construction Betioky 08 0
63. rmation en ecotoxicologie et une en SE Formation des agents de terrain sur la lutte antiacridienne 15 sessions Pr parer un manuel de lutte antiacridienne Le manuel de lutte pr ventive antiacridienne est disponible en 500 exemplaires au CNA 100 Sensibiliser et former les b n ficiaires 25 sessions de formation r alis es pour 1736 b n ficiaires sur une dur e de 2 jours par session 03 ateliers r gionaux r alis s 152 Brigades de lutte antiacridienne restructur s et 96 nouvelles Brigades cr s Composante 3 Gestion et Coordination Cr er une Cellule d Ex cution du Projet mettre sa disposition 4 cadres nationaux Chef de projet Chef unit prospection Chef unit intervention et Chef unit recherche et un comptable contractuel et les doter des moyens bureautiques La CEP a t cr e en novembre 2002 Un chef de projet a t nomm en 2002 un responsable passation des march s un responsable suivi valuation un comptable contractuel ont t recrut s par le projet Les trois chefs d unit s ont t mis la disposition de la CEP jusqu mai 2004 puis r cup r s par le CNA n cessaires R aliser les audits des comptes 6 audits annuels r alis s 2003 2008 Audit du projet 2009 est en cours mettre la disposition du CNA une assistance techniques Acridologue Acridologue logisticien et un sp cialiste en acquisition 72 h mois Un logistici
64. s cobailleurs ont particip l tablissement du document Souligner toute incoh rence dans les valuations pr sent es dans le pr sent RAP Donner la composition de l quipe et confirmer si une visite approfondie a t effectu e Mentionner toute collaboration substantielle avec d autres partenaires au d veloppement Indiquer dans quelle mesure le bureau de la Banque dans le pays s est impliqu dans l tablissement du pr sent rapport Indiquer si les commentaires de la revue des pairs ont t fournis a temps indiquer les noms et les titres des pairs de revue 150 mots au plus La mission d ach vement a d marr le 20 avril 2010 par une premi re prise de contact avec le Charg de projet au si ge de la BAD Tunis Elle a s journ Madagascar du 22 avril au 15 mai 2010 Au cours de son s jour Madagascar sous la supervision de MGFO la mission a pu discuter avec les diff rents partenaires nationaux du projet en particulier le PLPA le CNA la Direction de la protection des V g taux TONE le FOFIFA le Maire de la Commune de Mahaboboka ainsi que les partenaires internationaux FAO Coop ration Fran aise UE La mission s est rendue Tulear et a visit le projet le si ge du CNA le d partement technique de Betioky 4 zones acridiennes Befandriana Ejede Sakaraha Ihosy 7 postes antiacridiens Ankaraobato Soahazo Beomby Beahitse Miary Ranohire lhosy et 3 Brigades villageoises Antanimiheva Ma
65. s d aide la d cision y inclus le SIG LMC et les fiches de collecte des donn es Ce manuel est indiscutablement le deuxi me meilleur produit soft du projet apr s le SIG LMC Il est tr s appr ci par les agents de terrain m me s il n est pas arriv partout 1 des 7 PA visit s ne l a pas re u encore Sa traduction en langue malgache sera d une grande utilit 26 b Formation 27 Dans le cadre de cette sous composante il tait pr vu de r aliser les activit s suivantes i Formation dipl mante il s agissait de former 4 cadres sup rieurs dans divers domaines qui int ressent la lutte anti acridienne La premi re formation portait sur un master en Syst me d Information Localis pour l Am nagement du Territoire SILAT Elle est achev e Les trois autres formations portaient sur un master en biopesticides et deux PhD en m diateurs chimiques les ph romones Le master a t obtenu en d cembre 2009 l Universit de Tul ar mais le d tenteur de ce DEA n a pas t integr au sein du CNA Les deux PhD sont r alis s l ICIPE Nairobi et sont finalis mais leurs soutenance n a pas encore eu lieu Elles seraient pr vues dans le mois courant Ces 36 formations dipl mantes r alis es par le projet ont t d une tr s grande utilit pour le CNA qui souffre actuellement d une insuffisance en sp cialistes dans le domaine de la lutte antiacridienne ii Formation de courtes dur es plusieurs forma
66. satisfaisants et apportent du nouveau l aide la d cision en particulier pour le Nomadacris La mission a aussi rencontr la professeur de l Universit de Tul ar avec deux de ses tudiants qui ont fait deux th ses sur le sujet et qui malheureusement n ont pas pu encore tre int gr s dans le CNA ce qui est plus que n cessaire vu le manque de sp cialistes au sein de cette structure Cette coop ration partenariale entre l universit et le CNA est encourager vu la compl mentarit vidente Le CNA a des moyens op rationnels mais n est pas destin faire des recherches L universit fait de la recherche mais n a gu re de moyens et en particulier pas de moyens op rationnels v Inventaire des entomopathog nes phages ainsi que d autres activit s telles que la mise jour de la collection d herbier ont t r alis s De plus un champignon Beauvaria pathog ne end mique a t identifi Les souches isol es de ce champignon ont t caract ris es g n tiquement par le laboratoire EBCL France Les premiers essais sur le criquet ont donn de bons r sultats pr liminaires mais les tests en champs grande chelle qui auraient d tre r alis s en f vrier n ont pas pu tre r alis s en 2009 et en 2010 en raison des pluies tardives dans le sud et du manque de mobilit des agents anti acridiens pendant la crise politique Ces essais ne pourront donc tre termin s que sur d autres financements Concernant
67. si vous le RENDEMENTS Pr visions R alisations 1 Le pays est dot de structure et d infrastructures ad quates et fonctionnelles de lutte pr ventive antiacridienne 2 Des m thodes alternatives de lutte antiacridienne en particulier les bio pesticides compatibles avec les exigences de la pr servation de l environnement et de l importante biodiversit de Madagascar sont mises au point et utilis es 3 Un syst me de formation continu au niveau du CNA est op rationnel et profite l ensemble du personnel de la lutte antiacridienne Note de l valuation Infrastructures de base en place mais les structures actuelles de lutte pr ventive sont fragiles II leur manque les comp tences techniques et organisationnelles Des r sultats de la recherche sont acquis homologation de l IMI mais non test s et vulgaris s en milieu r el Cahier des charges environnementales disponible mais partiellement appliqu L ensemble du personnel du CNA a t form 2 dans le cadre du PLPA Le niveau de formation et de recyclage reste toutefois insuffisant 4 Une structure d ex cution du projet fonctionnelle et efficace a ex cut le projet terme Une cellule d ex cution du projet tait 3 fonctionnelle jusqu l ach vement du projet avec une prorogation de 2 ans NOTE GENERALE DES RENDEMENTS Correspond la moyenne des notes de l valuation 2 BEM Cocher ici pour ignorer la note calcul e Donne
68. t atteints en d pit de quelques lacunes 2 Moyen Projet partiellement abouti Presque autant de r sultats que de lacunes 1 M diocre Tr s peu de r alisations et de graves lacunes NA Sans objet N B Les formules sont arrondies la d cimale sup rieure ou inf rieure Pour les calculs seuls des nombres entiers sont retenus LISTE DES ANNEXES Annexe 1 Carte de la zone du projet Annexe 2 Co ts du projet et financements Annexe 3 Contributions de la Banque Annexe 4 Liste des march s sign s Annexe 5 Liste des principaux documents consult s Annexe 6 Etat des r alisations des composantes et performances du projet 20 Annexe 1 Carte de la zone du projet S surtes 1 Tiro Hape ANTSERANANA Se K AT En My Fe Be fan K G 4 T T M e ve anana eAndikens re r DAMASIMA net MAHAJIANGA i Ambatondre ayr eva Tronc Fsromemanti y j had 2 M rO J Antananarivo e AD at o were y N NTANANARTVO M GHG ra J T na d L AN ka PA losy Antsirete mE T e a e nas F mr OT Eog Arts M G LEGENDE 5 x k YOK Z ARY y 7 L eo af egaa P e LEE ndoi A alsha ants er Zone ci projet 21 Annexe 2 Co ts du projet et financements BAD en milliers d UC A Par composante Pr t Don R vision Performance N Composantes Pr visions mi R a
69. t d Ihorombe 30 Le CNA cr en 2000 avant m me le d marrage du PLPA est un Etablissement public caract re administratif EPA Il est compos i d une direction bas e Tulear qui coordonne et supervise les activit s du CNA et du projet PLPA ii d un d partement technique op rationnel bas Betioky iii d un d partement partenariat et environnement et iv d un d partement administratif et financier Cette structure assure la planification et la mise en uvre de toutes les activit s relatives la lutte antiacridienne et coordonne tous les financements nationaux et ext rieurs relatifs ces activit s Toutes les activit s de terrain du PLPA sont ex cut es travers les diff rents d partements et structures locales du CNA Des r unions mensuelles de coordination planification et suivi tait tenues r guli rement entre la structure l g re du projet CEP et le CNA Le personnel cadre sp cialis en protection des v g taux 1 chef d unit Prospection 1 chef d unit Intervention et 1 chef d unit Recherche op rationnelle pay s sur le budget du CNA et l Assistance technique pr vue initialement au sein de la CEP ont t mis la disposition du CNA dans un objectif d appui institutionnel de la structure nationale p renniser et pour viter le double emploi avec le projet 37 31 L analyse du budget du CNA des quatre derni res ann es montre une volont politique pour renforcer cet
70. t de d veloppement CIRAD Huit Organisations non gouvernementales ONG ont t associ es la mise en uvre de certaines activit s locales restructuration et formation des Brigades villageoises de lutte antiacridienne BVLA Cofinanciers et Autres Partenaires Ext rieurs Coop ration Fran aise 835 920 UC Union Europ enne 1 560 000 UC et Gouvernement Malgache 1 100 000 UC Il DATES CLES Note de Concept du Projet Rapport d valuation Approbation par le Conseil Approuv par Com Ops Approuv par Com Ops d Administration Non disponible Janvier 2001 29 mars 2001 Restructuration s Partielle mi parcours du 16 au 30 mai 2007 Date initiale Date effective Ecart en termes de mois SIGNATURE 01 04 2001 08 05 2001 01 mois ENTREE EN VIGUEUR 01 06 2001 29 04 2002 10 mois REVUE A MI PARCOURS 01 12 2003 30 05 2007 40 mois CL TURE 31 12 2007 30 12 2009 24 mois Ill RESUME DES NOTES CRITERES SOUS CRITERES NOTES RENDEMENT DU PROJET R alisation des R sultats 3 R alisation des Rendements 2 Respect du Calendrier 3 RENDEMENT GENERAL DU PROJET 3 PERFORMANCE DE LA Conception et tat de Pr paration Identifi depuis 1997 valu 2 BANQUE en 1998 et soumis au conseil en 1999 puis reclass en cat gorie environnementale 1 r valu en mai 2000 puis r actualis en f vrier 2001 et approuv par le conseil en mars 2001 Le rapport d
71. te structure et la rendre fonctionnelle de fa on plus durable Mais l organisation interne et la planification strat gique et op rationnelle sont peu ad quates avec plus de 33 de personnel administratif dans une institution technique Par ailleurs plus de 50 du parc v hicules et 31 des motos ont t mis en r forme La fin des programmes des principaux bailleurs de fonds Coop ration Fran aise Union Europ enne FAO et l ach vement du PLPA en 2009 qui contribuait selon l ann e concurrence de 25 50 du budget fonctionnement du CNA cot de la conjoncture politique qui a eu comme cons quence directe la r duction de pr s de 50 du budget de l ann e 2010 du CNA a rendu plus fragile cette structure et la positionn dans une situation difficile pour r pondre aux exigences de la lutte pr ventive 32 Tout ceci a caus le d marrage de la recrudescence acridienne en cours et annonce une campagne 2010 2011 difficile de lutte antiacridienne En effet des bandes larvaires tout au long des routes et des essaims d j form s ou en cours de formation ont t observ s notamment par la mission Monsieur RAKOTONDRA VELO Maire de la Commune de Mahabouka a parl d une perte des productions de l ordre de 50 dans le village de Mahaboboka de la Zone de Sakaraha Cette recrudescence risque d voluer en situation d invasion si le CNA n arrive pas casser la dynamique en cours tout en se pr parant d s maintenant un trai
72. tement intensif d ici la fin de l ann e et ce travers la pr paration d une strat gie d urgence proactive mais r aliste mobilisation des ressources humaines et financi res lancement des appels d offres pour l acquisition des pesticides et des pi ces de rechange temps entretien du parc et du mat riel recyclage des agents op rationnels de surveillance et de lutte pr paration des contrats pour les traitements a riens et ventuellement information des diff rents partenaires Les principales causes qui favorisent la recrudescence en cours et l invasion ventuelle sont essentiellement la conjoncture politique qui a entrain des restrictions budg taires l organisation interne au niveau du CNA qui a commenc la campagne de lutte avec un certain retard et peu efficacement ainsi que l ach vement du PLPA qui appuyait les efforts du CNA et finan ait une grande partie de la lutte pr ventive Des conditions pluviom triques favorables ventuelles au cours des semaines prochaines pourraient acc l rer ce risque d invasion en permettant aux populations acridiennes actuelles de faire une ponte avant la fin la saison prochaine 33 La Cellule d Ex cution du projet CEP tait bas e Tul ar Le staff cadre tait compos d un chef de projet fonctionnaire mis disposition au CNA d un responsable de passation des march s fonctionnel jusqu fin octobre 2008 d un responsable suivi valuation qui a quitt le projet en fin 2
73. tions dans ce cadre ont t r alis es au profit des cadres et agents du CNA Une formation en suivi valuation a t r alis e au profit d un cadre du CNA Aussi une formation sp cialis e en cotoxicologie a b n fici un cadre qui occupe actuellement le poste de responsable environnemental au CNA Dix sept formations locales de courte dur e ont t organis es au profit des agents techniques du CNA dans les domaines de l acridologie et les techniques d application Enfin 19 cadres du CNA et du CEP ont b n fici de formations dans le cadre du programme AMTA NAMTA North Africa Management Training in Agriculture dans divers domaines de gestion des projets Deux sessions de formation sur les techniques d application ont t r alis es une session th orique en novembre 2008 et une session pratique en avril 2009 Ces formations de courte dur e ont donn de bons r sultats en particulier celles dispens es dans les domaines techniques et gestion de projets Toutefois les besoins de recyclage pour le personnel antiacridien en tr s grande majorit nouveau et ayant des backgrounds non techniques en l absence surtout des anciens exp riment s ayant t admis faire valoir leurs droits la retraite sont encore normes 1 2 Composante Gestion et coordination du Projet 28 Pour la gestion du projet le rapport d valuation de 2001 avait pr vu la cr ation d une Cellule d ex cution CEP log e au sein du Ce
74. tures de base et des quipements a d pass largement les pr visions 307 et 150 La mobilisation de l assistance technique a t de l ordre de 33 et 52 des ressources r serv es la formation ont t annul s Les outils de transmission de donn es et d aide la d cision ne sont fonctionnels qu concurrence de 60 et les acquis de la recherche m ritent d tre vulgaris s en milieu r el Le cahier des charges environnemental a t appliqu partiellement 13 2 Commenter le r le des autres partenaires bailleurs de fonds ONG entreprises etc Evaluer l efficacit des modalit s de cofinancement et de la coordination des bailleurs de fonds le cas ch ant La conception initiale du projet a pr vu un co t global r partie concurrence de 66 5 sur les ressources de la BAD Pr t FAD et don FAD 15 sur les ressources de l UE 10 5 sur le budget propre du Gouvernement et 8 sur les ressources de la coop ration fran aise La contribution de l UE tait destin e financer partiellement la formation l assistance technique les quipements et le fonctionnement Environ 80 de ces montants ont t engag s et d caiss s La contribution de la coop ration fran aise mobilis e concurrence de 50 a t men e par le CIRAD et a permis essentiellement de proposer une ad quation du r seau de surveillance des populations des criquets migrateurs en fonction de l volution des conditions naturell
75. ures nationales dans le cadre de ce projet Il PERFORMANCE GLOBALE DU PROJET 37 La performance du PLPA est le r sultat de l effort conjugu des principaux partenaires savoir le Gouvernement avec ses structures de d cision d ex cution et de supervision particuli rement le Minist re de l agriculture le CNA la CEP et FOFIFA la BAD en tant que bailleur de fonds principal du PLPA les autres bailleurs de fonds qui ont contribu au programme de lutte antiacridienne et les b n ficiaires locaux dans les zones d intervention du projet travers leur contribution active dans l avertissement acridien et dans le traitement des criquets Pour appr cier cette performance du PLPA l examen a port sur les indicateurs classiques de performance d efficacit d efficience d impact et de durabilit des acquis du projet ll 4 Pertinence 38 Sur le plan strat gique le PLPA avait assign comme objectif sectoriel de contribuer au renforcement de la s curit alimentaire par la protection des cultures et des r coltes et comme objectif sp cifique de pr venir les invasions acridiennes futures en maintenant la population acridienne en de du seuil de gr garisation sur une base durable Le rapport d valuation du PLPA approuv par le Conseil de la BAD en janvier 2001 refl te une parfaite coh rence des objectifs assign s au projet par rapport aux axes strat giques de la Banque en mati re de d veloppement rural d am lioration
76. urveillance et d aide la d cision devant permettre gr ce aux cartes de risque acridien de conduire plus efficacement les op rations de surveillance et de lutte pr ventive Les informations du mois en cours diagnostic mensuel de la situation acridienne peuvent tre confront es celles des mois ant rieurs afin d affiner l valuation du risque de pullulation s quences temporelles d v nements favorables Ce SIG a permis d j d avertir sur la situation acridienne en cours gr ce ses cartes des 22 niveaux des risques distribu s par le SAS pour le mois de mars et avril 2010 Ces cartes refl taient relativement bien les r alit s du terrain telles que confirm es par le chef du service d intervention du CNA et du chef de zone de Sakaraha et la mission Et ce malgr le faible niveau d alimentation de ce SIG en donn es acridiennes et pluviom triques 13 Le SIG qui a n cessit beaucoup de temps et de travail intense pour son laboration la cartographie de ses 40 biotopes et 90 r gions naturelles en utilisant 6 images Landsat est certainement le premier outil d aide la surveillance et la d cision le plus utile que le projet a pu mettre en place au CNA Il d passe de loin les capacit s et les potentialit s des SIG antiacridiens existants par ailleurs RAMSES de la FAO titre d exemple Toutefois un investissement additionnel dans une couche suppl mentaire des biotopes de tailles plus petites 25x25 km par exem
77. valuation pr sente des incoh rences entre le rapport principal et les tableaux de co ts et une rigidit au niveau de certains choix techniques Les objectifs sont relativement ambitieux Supervision Fr quence tr s importante de supervision 17 2 missions mais sans acridologue ni environnementaliste 8 Charg s de projets se sont succ d s raison d une moyenne d un Charg an PERFORMANCE GENERALE DE LA BANQUE 2 PERFORMANCE DE Conception et tat de Pr paration Identification depuis 1997 2 L EMPRUNTEUR pour une mise en vigueur 5 ans apr s en 2002 Incoh rences et rigidit du rapport d valuation accept par le Gouvernement L instabilit du r gime socio politique et les v nements politiques de janvier 2002 ont limit la performance de l emprunteur dans la conception du projet Ex cution Retard de d marrage d passement des cat gories 1 fonctionnalit insuffisante des outils d aide la d cision et des quipements de laboratoire prolongation du projet de 2 ans et annulation de 52 du don FAD PERFORMANCE GENERALE DE L EMPRUNTEUR 15 IV RESPONSABLES DU PROJET AU SEIN DE LA BANQUE FONCTIONS A L APPROBATION A L ACHEVEMENT Directeur R gional A D MTEGHA F BLACK ORSB Directeur Sectoriel L I UMEH A ABOU SABAA OSAN Charg de Projet H A LAM Agronome LAAJILI agro conomiste Chef de l quipe du RAP B BOEDTS Responsable du bureau
78. vre du Gouvernement et de la Banque auraient d tre plus performantes si les d lais de d caissement de non objection et de mise disposition des cr dits n cessaires de traitement des dossiers par les commissions des march s et de reconstitution du compte sp cial du projet taient moins longues La mise niveau des proc dures nationales avec plus de d l gation de pouvoir aux structures r gionales de la Banque permettraient d am liorer les performances des projets 17 I RESUME DES NOTES OBTENUES PAR LE PROJET Toutes les notes de l valuation sont automatiquement calcul es par l ordinateur partir de la section pertinente du RAP Note de CRITERES SOUS CRITERES l valuation RENDEMENT DU R alisation des r sultats 3 PROJET R alisation des rendements 2 Respect du calendrier 3 NOTE GENERALE DES RENDEMENTS DU PROJET 3 PERFORMANCE DE Conception et tat de pr paration LA BANQUE Les objectifs du projet sont pertinents pour les priorit s de d veloppement du pays 4 Les objectifs du projet sont r alisables au regard des contributions au projet et du 2 calendrier pr visionnel Les objectifs du projet sont conformes la strat gie nationale ou r gionale de la 3 Banque Les objectifs du projet sont conformes aux priorit s g n rales de la Banque 3 Le cadre logique pr voit un encha nement causal logique pour la r

Madagascar - Projet de lutte préventive antiacridienne (PLPA

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Madagascar - Projet de lutte pr&eacute;ventive antiacridienne (PLPA

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

Madagascar - Projet de lutte préventive antiacridienne (PLPA