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1. 59 Physical Chemical Characteristics of some Cassava Traditional Meals foutou placali and kokonde MALA Beth tae A ete eae e are at ae ANIA O AG a 120 Bacteriological and Biochemical Study of Honey Sold at Bukavu Central Market in French 189 Dairy Production and Marketing in a Rainfed Agricultural Region of Morocco in French 201 Economics Variation of the Ram Price in Sahelian Zone of Cameroon in French Na ee 15 Consumption of Milk and Dairy Products in the Urban Centres of Burkina Faso in French 21 Policy Analysis Matrix Applied to the Study of Tunisian Sugar Industry in French 51 Biological Constraints in Tomato Production in the Western Highlands of Cameroon in English 89 Supply Response to Risk The Case of Cereal Sector in the North of Tunisia in French 113 Synthesis of Results on Coffee Agronomy Research in Rwanda on 31 March 1994 in French 130 Agropastor on the Productivity of Sheep and Goats in Central Mali in French o o o o o oo 180 222 TROPICULTURA Seeds Production and Cost for Fallow and Anti erosion Management The Case of the Savannah Areas in North Cameroon in French 207 Editorial A Few Words from your Editor Ue AR A A A 1 About the Recent Restructuration of the Belgian Development Cooperation in French 49 Environment Utilization of Non Wood Forest Products in Cameroon The Case of
2. conomie m ritent d tre signal s car ces aspects sont essentiels on peut regretter peut tre l absence d indications pr cises sur tablisse ment des diverses courbes et les attitudes adopter pour maintenir la rentabilit Ces remarques de d tails mises a part ce Guide Pratique est a recommander a la fois pour son ensemble et pour les informations pr cises disponibles Sa publication a t possible gr ce un financement de Administration G n rale de la Coop ration au D veloppement A G C D Bruxelles J H De la sant animale au d veloppement de l homme Le ons de l exp rience de V terinaires Sans Fronti res Michel Bouy amp Jo Dasni re Collection Dossiers pour un d bat n 51 Paris Fondation pour le Progr s de l Homme f vrier 1996 La Librairie FPH 38 rue Saint Sabin F 75011 Paris Prix 18 FF Hors Europe par avion 40 FF Paiement par ch que bancaire ou postal ou mandat l ordre de La Librairie FPH Les auteurs tirent les le ons de l exp rience sur le terrain de l organisation non gouvernementale V terinaires sans Fronti res France VSF F qui depuis 1984 a ex cut des projets de d veloppement dans le secteur levage prin cipalement ax s du moins au d part sur la sant animale Le livre s articule autour de deux grands chapitres m moire et questionnements Le premier d crit et fait une pre mi re analyse des principaux projets VSF F en commen ant
3. levage rentable une mortalit de 2 4 est consi d r e comme normale Cependant au del de ce taux Summary Serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera CHAD A serological survey concerning five fowl diseases are carried out from three subprefectures Mangalm Bitkine Mongo of the North Guera localites situated at 550 km in the North of N Djamena A total of 270 chickens of approximatly 12 months old are bought which 103 around Mangalm 93 around Mongo and 82 around Bitkine The results show low rate of infec tion for Newcastle disease 7 33 Gumgoro disease 8 66 and Salmmonella pullorum infection 8 73 Higher rates are found for infectious bronchitis 32 and Mycoplasma synoviae infection 36 66 Different type 2 3 or 5 of anti bodies are found some times in the same chicken showing that several infec tions circulate in the same hen house As far as the are concerned infectious bronchitis 83 and Mycoplasma synoviae infection 72 have very high rate followed by pullorosis 55 These results prove that these diseases sometimes unkown by field veteri nary agents are widespread Any improvement fowl production need a best control of the diseases by train ing field veterinary agents and poultryman on preven tion poultry disease ily alieu de s inqui ter de toute urgence et d en cher cher imm diatement les causes pour y remedier au plus t t Au Tchad l
4. 710 interviews dans lesquelles figure l espece Terminalia superba 57 Triplochiton scleroxylon 56 Cordia platythyrsa 24 Milicia excelsa 24 Pycnanthus angolensis 24 Alstonia boonel 18 Ricinodendron heudeloti 18 Ficus exasperata 12 and Ficus mucuso 10 5 M thologie Pour la germination des graines les essais ont t conduits dans les placeaux de la p piniere du projet IRA ICRAF Les semences ont t r colt es en 1990 et utilis es la m me ann e Les pr traitements utilis s taient la scarification manuelle SM des graines leurs trempages dans l eau bouillante EB pendant 3 mn dans Pacide sulfurique a 98 HS pendant 20 mn et dans l eau ordinaire EO pendant 24 h Le dispositif exp rimental tait un Split plot 2 8 4 r p titions Les graines non trait es taient consid r es comme le t moin CO Les essences repr sentaient les traite ments principaux tandis que les pr traitements consti tuaient les sous traitements Les placeaux correspon daient aux r p titions L unit exp rimentale tait constitu e de 100 graines Les graines pr trait es ont t mises germer dans des sachets poly thyl nes raison d une par sachet La visite des placeaux s est faite tous les trois jours Le nombre de graines ger m es tait not et les plantules taient r guli rement observ es depuis l apparition des deux premi res feuilles L identification des plantules
5. babilit des rendements rendent ces productions tr s al atoires 12 Les performances de production laitie re identifi es sont faibles et surtout tr s fluctuantes au cours de l ann e L effet de la race est tres visible puisque les vaches de race Pie Noire pure atteignent des pics de lactation de 25 Kg par jour tandis que les TROPICULTURA lo F v Mar Avr Mal Juin Juil Ao t Mois i Oct Nov D c Jan Figure 3 R partition des v lages au cours de l ann e Sep crois es affichent des maxima de 15 kg par jour Ces niveaux sont sensiblement les m mes que ceux re trouv s dans d autres r gions du pays 1 10 14 et in f rieurs aux potentialit s des vaches 11 La fluctuation de la production est fortement li e l talement des v lages avec plus de 50 des v lages en hiver de janvier mars Figure 3 ce qui induit ult rieurement une forte saisonnalit de la collecte du lait La repro duction est exclusivement assur e par la saillie natu relle car il n existe pas de circuit d ins mination artifi cielle Or les taureaux pr sents dans les exploitations ne sont pas des g niteurs de qualit certifi e s agit souvent de taurillons l engraissement que les le veurs utilisent accessoirement comme g niteurs D ailleurs certains leveurs ayant saisi l impact des p riodes d abondance fourrag re Mars Mai sur le comportement sexuel des vaches n h sitent pas ac
6. hexane D s que 80 90 de l insecticide est d grad un volume de 0 1 ml de la solution du milieu est pr lev puis ense menc dans un nouveau milieu de culture et plac dans un agitateur comme pr c demment Cette proc dure est r p t e une dizaine de fois jusqu enrichissement du milieu en bact ries d gradantes 7 L agar purifi est dissous dans le milieu de culture 1 5 pour la pr paration des bo tes de P tri Pr alablement la solution du milieu est st rilis e par autoclavage a 120 C pendant 20 mn Les bo tes sont inocul es avec une portion du milieu de culture enrichi et la surface des bo tes est recouverte par une pulv risation de lindane l aide d une solution d ether sa tur e en lindane 10 selon la m thode de Kiyokama 4 Les bo tes sont ensuite incub es 30 C pendant plusieurs jours Les colonies de bact ries avec une zone claire sont chantillonn es puis transf r es dans un nouveau milieu de culture sur des bo tes de Petri re couvertes du produit et incub es comme pr c dem ment Cette proc dure est r p t e de mani re puri fier les bact ries d composant le lindane Le nombre de bact ries d gradant le lindane peut tre compt selon la m thode MPN 5 utilisant le m me milieu de culture satur de lindane Des chantillons de sol collect s des deux sous par celles ITGC T et NT puis tamis s 2 mm sont utilis s 1 g de sol est m lang a
7. propre a la consommation et constitue un danger pour la sant humaine Introduction Une ruche est prot g e par un enduit la propolis qui maintient son asepsie gr ce ses pouvoirs bact rio statiques et antifongiques 18 22 Le miel y est donc conserv dans des conditions aseptiques Une fois hors de ce milieu il est susceptible d tre contamin lors des manipulations apicoles telles que la r colte l extraction et l exposition la vente C est pendant celles ci que le miel s hydrate et par cons quent de vient un milieu favorable a la prolif ration des micro or ganismes de l air et des germes apport s par les mains de l apiculteur La plupart des apiculteurs minimisent les pr cautions qui s imposent pour le maintien de la qualit du miel a savoir sa r colte son extraction sa conservation et sa commercialisation en conditions aseptiques d ou la pollution de cette denr e La teneur du miel en glu cides 75 tant tres lev e 15 les micro orga nismes peuvent rapidement alt rer ses caract ristiques organoleptiques et physico chimiques alors qu il est de plus en plus utilis en th rapie traditionnelle no tamment contre la toux la gingivite les plaies 9 12 et en alimentation humaine Le pr sent travail se propose d effectuer une tude bact riologique et biochimique du miel vendu au mar ch central de Bukavu en vue de d terminer son ni veau de contamination et de pollution Summary
8. sed for several decades because of a strong global de mand Countries of Eastern Europe and the former USSR were active in the development and exploitation of this rodent In recent years however with growing pressure from environmental groups against the use of animals for fur and with market fluctuations depending on fashion trends the market for furs and especially for coypu fur has declined markedly and for this reason economic activity has diminished to levels that were difficult to afford The market is growing again now and Facultad de Ciencias Veterinarias Universidad Nacional de Rosario Ovidio Lagos y Ruta 33 2170 Casilda Santa Fe Argentina Email ceav unrove edu ar Organism that supported the research The project is supported by the National University of Rosario Received on 30 09 97 and accepted for publication on 21 12 98 212 TROPICULTURA A ed Photo 1 Myocastor coypus Variety obtained by breeders of a cooperative in Cordoba Province Argentina Coypu variety cagimo in our case the CEAV Centro de Estudios Ambientales de Veterinaria has incorporated a new integrated far ming of this rodent especially with the potential of ob taining an animal with the dual purpose of meat and fur 14 15 17 The meat of this rodent is of very good qua lity and is well accepted by the people of various parts of the country especially meat from farms Although the red earthworm Eisenia foetid
9. t pour moi des stimu lants Je les remercie pour leurs pr cieux conseils qui m ont permis de m int resser tr s vite l entomologie R f rences bibliographiques 1 Bousstenguet J 1984 Bio cologie de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti Matile Ferrero et de ses ennemis naturels au Gabon Th se de Doctorat 3e cycle Universit Pierre et Marie Curie Paris VI sp cialit entomologie 151 p 2 Chazeau J amp Couturier G 1986 Col opt res Coccinellidae de C te d Ivoire la faune de la for t de Tal Revue Fr ent N S 7 5 309 330 3 Fabres G 1987 Influence de la capacit limite dans la r gulation de l abondance d un phytophage le cas de la cochenille du manioc Phenacoccus manihoti au Congo Bilan des travaux de l quipe franco congolaise 1985 1987 ORSTOM DGRST 43 52 4 Fabres G amp N non J P 1997 Biodiversit et lutte biologique Le cas de la cochenille du manioc en Afrique J African Zoology 111 1 7 15 5 Herren H R amp Bennett F D 1984 Maladies et insectes nuisibles du ma nioc Propagation et moyens de lutte Institut International d Agriculture Tropicale IITA Communication pr sent e a la conf rence du bureau du Commonwealth pour l agriculture sur l accroissement de la production agricole en Afrique Arusha Tanzanie 12 18 f vrier 1984 11 p 6 Leuschner K 1977 Preliminary observations on the cassava mealybug Proc int workshop on the cass
10. 02 N 162270 Pluvio m trie mm lt 300 300 400 300 400 300 400 300 400 Zone sah lo soudanienne SS Gueye Kadar Dahra Bourel Dakar Bel Air Dakar Hann DRPF Keur S Mb M dina Touba Toul Bambey Zone soudanienne SO Diawara Foundiougne Sonkorong 15 40 N 14 19 0 15 19 N 15 26 0 15 24 N 14 24 0 14 34 N 18 290 14 24 N 17 25 O 1445 N 16470 1450 N 1640 0 14 41 N 16 280 150N 12320 14 07N 16 280 13 55 N 18250 400 500 400 500 400 500 500 600 500 600 500 600 500 600 500 600 lt 00 700 800 700 800 Sols argileux sableux sableux ferrugineux tropicaux sable dunaire ferrugineux tropicaux lessiv s ferrugineux tropicaux lessiv s Sableux Sableux humique sablo argileux sableux sableux sablo argileux sablo argileux sableux Tableau 1 Principales caract ristiques des sites prospect s au S n gal Especes dominantes Eucalyptus camaldulensis Acacia raddiana Indigofera senegalensis Indigofera sp Balanites aegyptiaca Eragrostis pilosa Eragrostis colona Panicum laetum Acacia raddiana Balanites aegyptiaca Indigofera senegalensis Calotropis procera Cenchrus biflorus Acacia seyal Acacia senegal Boscia senegalensis Pennisetum pedicellatum B aegyptiaca Dalbergia melanoxylon Panicum laetum Echinochloa colona Cyperus rotondus Allium cep
11. Dans le parc en r g n ration on n obser ve pas de modification significative dans la composi tion des populations de spores en fonction de la situation du pr l vement par rapport a l arbre Le nombre de spores par 100 g de sol est de 99 avec 9 types diff rents Par contre dans le parc g on ob serve une variation significative dans la composition des populations de spores a la limite de la frondaison des arbres et en plein champ respectivement 74 spores par 100 g avec 6 types differents et 114 spores 100 g avec 10 types diff rents Tableau 4 R partition des nombres et types de spores dans les parcs a Faidherbia albida A Chev Parc en r g n ration Parc g Limite Plein Limite Plein frondaison champ frondaison champ Nombre de spores par 100 g 99b 100b 74b 114a Nombre de types de spores par100g 9b 9b 6a 10b Les chiffres d une m me ligne suivis d une m me lettre ne sont pas significativement diff rent au seuil de 5 test de Newman Keuls Discussion La plupart des sites prospect s dans les zones sah lienne sah lo soudanienne et soudanienne se carac t risent par leur extr me pauvret en spores de Glomales Dans les localit s de Ngaoul Ha r et Mboumba nos r sultats suggerent une perte du po tentiel mycorhizien du sol 0 spore 100 g au voisina ge des especes v g tales chantillonn es La faible pluviosit et l absence de couverture v g tale sem blent compromettre l ins
12. Sra ri Marocain Ing nieur zootechnicien Maitre assistant au D partement des Productions Animales Institut Agronomique et V t rinaire Hassan B P 6202 Rabat 10101 Maroc H Medkouri Marocain Ing nieur zootechnicien Centrale laiti re 83 rue Emir Abdelkader Casblanca AVIS DE CHANGEMENT D ADRESSE CHANGING OF ADDRESS ADRESVERANDERING CAMBIO DE DIRECCION Tropicultura vous int resse D s lors signalez nous temps votre changement d adresse faute de quoi votre num ro nous reviendra avec la mention N habite plus l adresse indiqu e et votre nom sera ray de notre liste You are interested in Tropicultura Make sure to inform us any change of your address in advance Otherwise your issue will be sent back to us with the postal remarks Addressee not traceable on this address and then you risk that your name is struck off from our mailing list U bent in Tropicultura ge nteresseerd Stuur ons dan uw adresverandering tijdig door anders riskeert U dat uw nummer ons teruggezonden wordt met de vermelding woont niet meer op dit adres en uw naam wordt dan automatisch van de adressenlijst geschrapt Si Tropicultura se interesa comuniquenos a tiempo cualquier cambio de direcci n De lo contrario la publicaci n que Ud recibe nos ser devuelta con la menci n No reside en la direcci n indicada y su nombre ser suprimido de la lista de abonados 206 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 207
13. The subsystem functions with a group fo 12 to 15 reproductive females 60 Standard and 40 Cognac Females reach reproductive state at approxi mately 6 months with an average weight of 3 5 kg while males are reproductive at an age of 7 or 8 months at a weight of about 4 5 kg The gestation period lasts 129 132 days with an average of 4 or 5 animals per lit ter allowing two litters per year The young are born with a weight of 180 240 g and are weaned at 45 days with a weight of 800 1000 g Slaughter is at 6 8 months mean weight 4 5 kg The total production is about 50 to 60 young per year with 20 used to replenish the breeders and the rest for slaughter yield of 2 5 to 3 kg of meat per animal at 6 months of age Worms Based on the observed rates of population growth and individual growth for the conditions tn this zone 16 the implementation of this production at the Manure Water Sweepings we arado e Skins Humus Income Figure 1 Flows diagram in the integrated module Commerciahzation TROPICULTURA scale proposed represents the possibility of obtaining a yield of 875 kg of humus per year On this basis the proposed module represents an expected growth of at least 6 to 1 per year which allows sending humus and excess worms to the commercial circuit However at this scale it would be recommendable to recycle this excedent within a wider production cycle with the in corporation of other variants
14. alternes chez Ricinodendron heudelotii et Triplochiton scleroxylon Chez Triplochiton scleroxylon les premi res feuilles sont trilobees tandis que les suivantes sont pentalob es fig 2 Le type morphologique de Pycnanthus angolensis est en accord avec les obser vations faites en for t gabonaise 15 d e Figure 2 Plantules de Ceiba pentandra a Pycnanthus angolensis D Ricinodendron heudelotii c Terminalia superba d et Triplochiton scleroxylon e En ce qui concerne le systeme racinaire le pivot la bore peu de racines lat rales Mais ces derni res sont assez d velopp es chez Cordia platythyrsa Milicia ex celsa Pycnanthus angolensis et Ricinodendron heu delotii Ce systeme est dit extensif par rapport a celui de Alstonia boonei Ceiba pentandra et Triplochiton scleroxylon qui d veloppe de nombreuses racines la t rales fines et ramifi es Le chevelu racinaire est im portant chez Ceiba pentandra Ricinodendron heude lotii et Triplochiton scleroxylon Ces trois esp ces pr sentent un syst me radiculaire dense Les racines lat rales sont plus longues chez Alstonia boonel Pycnanthus angolensis Cordia platythyrsa et Ricinodendron heudelotii Les racines secretent un latex de couleur blanche chez A stonia boonei et brune chez Milicia excelsa Le systeme racinaire est mixte chez Ricinodendron heudelotii car les racines laterales sont autant d velopp es que la racine principale Cette observation
15. coloration verd tre a clat ou reflet m tallique Cette observation a t confirm e par quelques tests biochimiques C est le cas de la souche 11 Tableaux 1 et 2 Sur les 12 souches isol es 10 ont t repiqu es de g lose nutritive contre un seul d EMB lactose et un seul d agar de MacConkey Cette difference est due au fait que chacun de ces deux derniers milieux s lectifs n a d velopp que des colonies a caract ris tiques similaires il n a pas t n cessaire d en multi plier les souches Quelques aspects m taboliques des souches isol es De toutes les souches tudi es seules la 1e et la 5e sont catalase n gative 17 ayant le d savantage de ne pas activer la d composition du peroxyde d hydro gene produit toxique Les autres 83 sont catalase positive Sur les 12 souches tudi es seules la 7e et la 11e fer mentent le lactose en acide lactique soit 17 Toutes les souches ont ferment le glucose en acidifiant le mi lieu lexception de la souche 1 dont le milieu est rest neutre Le test de la d composition de l amidon est positif pour 10 souches soit 83 et n gatif pour les souches 5 et 11 soit 17 Celles ci n ont probablement pas produit d amylase n cessaire la d gradation de l amidon Sur les 12 souches 11 sont des coques soit 92 parmi lesquelles 9 sont Gram positif soit 82 et 2 sont Gram n gatif soit 18 Une seule soit la souche 11 est constitu e
16. gumineuses a grosses graines dont la production de semences ne pose pas de problemes En culture pure les rendements en graines pour ces deux esp ces d passent couramment 700 kg ha et peuvent atteindre 1 500 kg ha si l on apporte une fu mure min rale par exemple 100 kg ha d engrais ter naire 15 20 15 Les besoins en semences d un pay san sont g n ralement modestes quelques dizaines de kilo de mucuna pour mettre en place une jach re am lior e et seulement quelques kilogrammes de pois d angole pour d limiter ses bandes anti rosives Le paysan peut donc facilement produire ses propres se mences si les troupeaux du village ne font pas de d g ts dans les parcelles semenci res en d but de sai son s che p riode de maturation des graines La production de graines de mucuna est favoris e par la mise en place de tuteurs branches d arbres ce qui limite le pourrissement des gousses Le rendement en graines de pois d angole peut tre fortement limit par des d g ts d insectes sur les fleurs et les gousses en formation Le niveau de ces attaques est tr s variable d une ann e l autre et m me l chelle d une r gion Les l gumineuses petites graines Les besoins en semences pour implanter une l gumi neuse petites graines Stylosanthes hamata Calopogonium mucunoides Crotalaria ochroleuca sont g n ralement inf rieurs a 10 kg ha Selon les conditions de culture fertilite du sol pluviom tri
17. qu rir un g niteur uniquement pendant cette p riode Conclusion Les certres de collecte du lait sont des maillons es sentiels de la fili re laiti re car ils mettent la port e des leveurs la possibilit d couler leur lait dans la r gion de Tiflet d pourvue de toute infrastructure in dustrielle locale de transformation du lait Pourtant en d pit de ce r le important ils y connaissent une ro sion de leur vitalit Ceci appara t travers les ab sences fr quentes de leurs adh rents aux r unions leur faible pouvoir de n gociation en tant que pro ducteurs laitiers par rapport l aval dont ils ne peuvent contester les p nalit s ils sont la fois juge et partie dans l valuation de la qualit du lait Par ailleurs l ana lyse des modes d exploitation des troupeaux bovins et des assolements a montr que ce sont les fermes de petite taille moins de 10 ha qui se sont le plus r so lument investies dans la production laiti re Ceci est du a leur plus forte tendance pratiquer des cultures fourrag res et favoriser les effectifs de bovins par rapport aux petits ruminants En revanche dans les grandes exploitations en d pit d un plus fort taux d am lioration g n tique des bovins ce sont les ovins qui dominent les effectifs en raison des avantages de gestion qu ils pr sentent surtout dans les fermes d tenues par des propri taires absent istes N anmoins malgr cette dualit str
18. s effectue l levage la temp rature et lhygrom trie moyennes sont de 27 C et 86 respec tivement et la photop riode est celle du rythme circa dien Les r sultats exp rimentaux sont donn s sous la forme d une moyenne et d un cart type R sultats L ceuf Les ufs de S couturieri sont pondus dans l ovisac de la cochenille P manihoti ll se confondent avec ceux de la cochenille nouvellement pondus et sont donc dif ficilement rep rables La distinction se fonde essen tiellement sur la taille qui est legerement plus grande que celle des ufs de la cochenille L ceuf de S couturieri est oblong de couleur jaune ci tron avec des reflets m talliques bleu tres mesure en moyenne 0 5 mm de grand axe pour 0 3 mm de petit axe La couleur de l uf ne change pas avec l ge 65 ceufs mesur s ont donn une longueur moyenne de 0 5 mm avec un cart type nul tableau 1 La larve Fraichement d gag e du chorion la larve n onate est peu allong e et largie a la partie c phalothoracique Elle est de couleur jaune citron avec des yeux mar rons et mesure de 0 5 a 0 8 mm On distingue dorsa lement deux rang es de taches sombres g n rale ment symm triques Apres 24 heures la larve n onate se recouvre de fila ments blancs qui lui permettent de se confondre avec la structure blanche et cotonneuse de l ovisac de la cochenille La larve a un aspect campod iforme et passe par 4 stades larvaires Le no
19. 16 2 Keur S Mb M dina 1 2 6 9 16 18 19 8 Touba Toul 1 2 4 5 7 8 9 11 12 13 16 18 19 21 41 Bambey 1 4 7 8 16 18 67 Zone soudanienne SO Hele gne 1 16 gt Photo 2 Spores de Glomus aggregatum 8 regroup es en Sonkorong 1 2 3 4 5 7 8 9 11 16 18 88 carpophores non compactes A A A A A ee La barre respr sente 500 um 164 TROPICULTURA la zone sah lienne 8 dans la zone sah lo soudanien ne et 2 dans la zone soudanienne L analyse des r sultats montre que les sols pr lev s au niveau de la zone sah lienne sont en g n ral tres pauvres en spores de champignons MA Les sites de Ngaoul Diawara et Mboumba ou la v g tation est presque entierement d truite sont caract ris s par une absence de propagules endomycorhiziens Le site de Foundiougne qui a fait l objet de prospection dans une zone a forte salinit est caract ris e par sa pauvret en spores Par contre les sites de Touba Toul Bambey et Sonkorong localis s dans les r gions pluvieuses se dis tinguent par leur remarquable richesse en spores Sonkorong est parmi tous les sites le plus riche en pro pagules de champignons MA 88 spores 100 g de sol Effet de Faidherbia albida sur les populations de spores de Glomales Le Tableau IV pr sente le nombre moyen de spores et le nombre de types de spores par 100 g de sol dans un parc age en plein champ et a la limite de frondaison des arbres et de la m me mani re dans un parc en r g n ration
20. 189 Performance of High Yielding Cassava Varieties in Terms of Quantity of Gari per Unit of Labor in Nigeria in English M Tshiunza Fl Nweke amp E F Tollens ooooooocooconcnococcnrnnccoroncnnoncononaroncnnonacaronnnncnrancnanndancnranconrnn 193 Serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera Chad in French A Maho L Y Mopat B Kebkiba G Boulbaye sn 197 Dairy Production and Marketing in a Rainfed Agricultural Region of Morocco in French ML Sari amp H Medkour ca SiS 201 TECHNICAL NOTES Sweeds Production and Cost for Fallow and Anti erosion Management The Case of the Savannah Areas in North Cameroon in French O ka pa a aa a ah Eee Nee a AN GG AA aa anaa NGA ree AG NA Aa I a ten Ena ere reer 207 Minilivestock in Argentina Integration with Agricultural Production in English N R Biasatti E P Spiaggi Liliana Marc amp R J Di Masso occcocconocococonononaccconncnoronanononancnnanincononnnns 212 Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems in French G Deschuvtener ii dai 216 BIBLIOGRAF PEI aia 220 INDEX VOLUME TOP rasaae aa a a a A A E a A aa ae hace 221 TROPICULTURA is a peer reviewed journal indexed by AGRIS CABI and SESAME Graphic Concept 5 Photosetting Van Campenhout 32 2 460 79 42 Fax 32 2 460 76 05 E mail rolandvc unicall t
21. 20 28 7 3 7 0 85 23 0 5a10 ha 16 22 8 129 5 8 1 1 42 17 5 10 20ha 14 20 0 208 0 14 8 2 60 17 6 20 50 ha 15 21 4 478 3 31 9 3 80 11 9 plus de 50 ha 5 7 1 368 2 73 6 4 10 5 6 TOTAUX ou MOYENNES 70 100 0 1258 5 18 0 2 19 12 2 Tableau 3 Contribution des diff rentes esp ces d herbivores aux UGB totales et taux d am lioration g n tique TAG des bovins selon les classes de SAU UGB moyennes Totaux Bovins TAG bovins Petits ruminants Equid s Classe de SAU Nombre en Nombre en Nombre en 0a5ha 8 8 6 4 72 7 70 1 7 19 3 0 7 8 0 5a10ha 17 8 12 0 67 8 83 4 3 24 3 1 4 7 9 10 20 ha 14 7 10 1 68 7 89 3 5 23 8 1 1 7 5 20 50 ha 30 3 19 9 65 7 97 8 9 29 4 1 5 49 plus de 50 ha 68 4 42 9 62 7 100 22 8 33 3 2 7 4 0 MOYENNES 20 9 14 0 67 0 90 5 7 27 3 1 2 5 9 tag entre la jach re 16 0 le maraichage 5 5 les l gumineuses 3 8 et l arboriculture 4 3 Le cheptel total bovins petits ruminants et quid s exploit par les 70 exploitations est de 146 unit s gros b tail UGB dont 66 8 sont constitu s de bovins et 23 8 de petits ruminants ovins principalement seuls 15 caprins ayant t recens s En moyenne chaque unit dispose de 2 UGB L effectif des animaux et leur ventilation selon les bovins les petits ruminants ovins et caprins et les quins connaissent cependant une grande variabilit en fonction de la superficie Tableau 3 En effet les fermes de moins de 10 ha possedent en moyenne moins de 20
22. 211 NOTES TECHNIQUES TECHNICAL NOTES TECHNISCHE NOTA S NOTAS T CNICAS Production et co ts des semences utilis es pour l am lioration des jach res et des am nagements anti rosifs Le cas des zones de savane du Nord Cameroun P Dugu Key words Management of land Legumes Grasses Improved crop fallow Seeds production Seeds cost North Cameroon Resum L entretien de la fertilit des sols cultiv s au Nord Cameroun passe par la vulgarisation des techniques de lutte contre l rosion hydrique et de la jach re am lior e a base de l gumineuses Ces innovations n cessitent de mettre a disposition des paysans des se mences de l gumineuses Calopogonium mucunoldes Stylosanthes hamata Mucuna pruriens Cajanus cajan et de gramin es p rennes Panicum maximum Andropogon gayanus Cenchrus ciliaris Des travaux men s en station ont permis d une part de mettre au point des techniques de production de semences transf rables en milieu paysan et d autre part d valuer les couts de production des semences de l gumi neuses Selon les especes le prix de revient de ces se mences varie de 250 a 1160 fr CFA kg Vu ces prix il est envisageable dans un premier temps de diffuser les semences de ces diff rentes especes La diffusion de ce mat riel v g tal d pend d abord de l int r t que les paysans portent aux techniques de restauration de sols qui leur sont propos es S ils adoptent ces in
23. 7 to 15 days depending on the time of year Manure was offe 214 red in layers approximately 10 cm deep When the sub strate is depleted the worms colonize the food allo wing the harvest of the humus they have abandoned continuous system Later the direction of feeding is in verted with manure deposited on the opposite side allowing a cyclical system Humidity was maintained between 70 and 80 using artificial irrigation when precipitation was insufficient Implementation of the module integration phase The implementation of the integrated module see Figure 1 was in the field with conventional installa tions for the coypus described above and with the worms on the ground under open sky with a covering of plastic mesh 1 mm mesh size and protected by a perimeter wire fence to impede access to predators The manure produced by the coypus together with food remains and the bales used as bedding were ac cumulated in an area designated for storage from which provision to each worm bed was controlled The beds were watered weekly with tap water and periodi cally with water used to wash the coypu pens which was collected and stored Humus was collected per iodically every 2 to 4 months depending on the time of the year and was kept in a storage area from which it was removed to be sifted and packaged in polypropy lene bags of various sizes according to its destination for later commercialization Results Coypu
24. Bacteriological and Biochemical Study of Honey Sold at Bukavu Congo Central Market The honey sold in the central market of Bukavu Congo is produced by traditional bee keepers This article deals with a bacteriological and biochemical study of this product in order to determine ts contamination and pollution levels Results indicated a contamination of faecal origin pres ence of enterobacteria such as Escherichia coll The bacteriological tests showed the presence of bacteria fermenting glucose thus altering the quality of the honey The latter is therefore inappropriate for con sumption and constitutes a danger for the health of hu mans Mat riel et m thodes Echantillonnage st rilisation ensemencement et culture L tude a t r alis e a l Institut Sup rieur Peda gogique de Bukavu 2 30 S 28 51 E 1460 m alt Deux points de vente activit s intenses ont constitu les sites de pr l vement des chantillons Dix pr le vements par site ont t effectu s au hasard La verrerie utilis e a t st rilis e la chaleur s che 160 C pendant 2 heures Quant aux milieux de cultu re ils ont t apr s pr paration st rilis s la chaleur humide 120 C pendant 15 minutes Un ml de chaque dilution a t ensemenc et homo g n is sur le milieu en boite de Petri La culture des bact ries h t rotrophes a robies a t r alis e sur la gelose nutritive la differenciation
25. Chad in French 224 80 93 97 103 109 113 141 147 150 193 207 43 70 80 83 150 171 91 216 161 167 18 26 197 AGRI OVERSEAS associaci n din nimo de lucro ASBL creada con el fin de establecer relaciones profesionales de intereses comunes entre quienes laboran por el desarrollo rural en ultra mar Agri Overseas publica una revista cientifica y de informaci n lt TROPICULTURA gt consagrada a los problemas paises en de sarrollo la cual es editada trimestrialmente por la Direcci n General de la Cooperaci n International D G C l Organizaci n Agri Overseas se compone de instituciones belgas las cuatro Facultades de Ciencias agron micas Gembloux Gante RUG Lovaina Kul y Lovaina la Nueva UCL las dos Facultades de Medicina veterinaria Gante y Lieja el Departamento de Producci n y salud animales del Instituto de Medicina Tropical de Amberes Antwerpen la Secci n interfacultaria de Agronom a de la Universidad Libre de Bruselas las Facultades universitarias Nuestra Se ora de la Paz Namur y la Fundaci n universitaria de Luxemburgo Arlon la Direcci n General de la Cooperaci n International y de algunos miembros individuales Consejo de Administraci n Actualmente esta compuesto de un Presidente el Profesor Dr J Vercruysse un Administrador delegado Dr Ir G Mergeai un Secretario Dr E Thys un Tresorero el Profesor honario Dr P Kageruka y del Profesor hona
26. Especes AB Alstonia boone CE Ceiba pentandra CO Cordia platythyrsa ME Milicia excelsa PA Pycnanthus angolensis RH Ricinodendron heudelotii TE Terminalia superba et TR Tripiochiton scleroxylon Traitements CO Contr le EB Eau bouillante EO Eau ordinaire SM Scarification manuelle HS Acide sulfurique 98 Figure 1 Influence des pr traitements sur la germination des essences TROPICULTURA Pour ce qui est des ph nom nes germinatifs nos ob servations ont permis d identifier une germination pi g e et une hypog e A l exception de Pycnanthus an golensis toutes les especes ont une germination pig e Morphologie des plantules Les plantules sont du type morphologique phan ro cotyle En dehors de Ricinodendron heudelotii et Pycnanthus angolensis poss dant des cotyledons charnus les autres esp ces ont des cotyledons folia c s Chez Alstonia boonei et Milicia excelsa nous avons not la pr sence d un latex blanc dans tout l ap pareil v g tatif Ce r sultat est avec ceux obtenus dans d autres zones cologiques 3 19 S agissant de la dis position des feuilles les deux premieres feuilles sont simples et oppos es chez Alstonia boonel suboppo s es chez Terminalia superba lob es et oppos es chez Ceiba pentandra simples alternes stipul es et a bords dent s chez Cordia platythyrsa Milicia excelsa simples et alternes chez Pycnanthus angolensis enfin lob es et
27. Facultad de Ciencias Naturales y Museo where they were identi fied as Eisenia foetida The above mentioned process was adopted a to confirm the presence of E foetida in the Caseros Department b to start a small scale colony with indi viduals not from commercial sources and c to under take both biological and productive vermiculture eva luations which allows comparisons with data available from populations that has been introduced for com mercial use A breeding colony of 8000 worms was formed under captive conditions with different types of food with ma nure of various domestic species cow horse coypu rabbit This first stage allowed development of mana gement techniques including some recommended by the literature 6 7 as well as some alternatives develo ped by this Center These new management tech niques developed by our research group are based on periodic feeding of the worm beds without prematura tion of the manure Once the worms were adapted to the new captive conditions the worm beds were condi tioned with a density of about 100 000 individuals per m of substrate in order to process in a controlled man ner the manure from the coypu corrals 4 To start there were two beds of 1 m by 2 m each by 0 25 m deep with coypu manure previously aged for four months for subsequent trials Once the population was establi shed worms were fed by the periodic lateral incorpo ration of fresh without aging manure every
28. Honduras sauf H potosi du Nicaragua d Australie du Guat mala et de Belize m linda et ceux aux grosses branches du Honduras potosi et Belize santos D une mani re g n rale il appara t donc que du point de vue de la forme les individus provenant de Cuba du Bahamas et d Australie sont de loin les plus beaux pins de la parcelle 72 02 Toutes les autres provenances sont de qualite globale moyenne ou mau vaise tableau 5 Discussion conclusions Dans les conditions de notre experimentation les ca ract res tudi s r v lent des diff rences significatives entre les provenances lls concernaient l adaptation es tim e en pourcentage de survie la vigueur la hauteur et la circonf rence et la forme du tronc la rectitude le nombre de fourches et de queues de renard Les r ponses relatives l introduction des dix sept prove nances de Pinus caribaea ont abouti 9 et 18 ans apr s la plantation quelques observations Le taux de sur vie des provenances tudi es est largement sup rieur 50 les provenances du Honduras sauf H culmi et H limones dans la parcelle 81 2 du Nicaragua et Guatemala poptun ont Une bonne croissance mais g n ralement une mauvaise forme Les provenances du Bahamas andros et Cuba vinales ont moins de multi tiges les provenances de plus belle forme de bonne rectitude ne formant quasiment pas de queue de renard et de fourche aux branches fines et horizontales sont celle
29. International pour la Recherche en Agroforesterie ICRAF a travers le projet IRA ICRAF a qui nous adressons notre profonde gratitude Dr Mc Lawren et Mr D Parker de l unit de biom trie de l Institut de Recherche Agronomique du Cameroun nous ont assist dans l analyse et l interpr tation des donn es R f rences bibliographiques 1 Alexandre D Y 1980 Caract re saisonnier de la fructification dans une for t hygrophile de C te d Ivoire Rev Ecol Terre vie xxxiv 336 350 2 Cox D R 1958 Planning experiments Wiley J amp Sons Inc eds New York USA 308 p 3 Dela Mensbruge G 1966 La germination et les plantules des essences arbor es de la for t dense humide de la C te d Ivoire CTFT Avenue de la belle gabrielle Nogent sur Marne Seine France 389 p 4 Diallo i Danthu P Sambou B Dibor Dione Assane Goudraby amp Karen Poulsen 1996 Effects of differents pretreatments on the germination of Faidherbia albida Del A Chev Seeds International Tree Crops Journal IX 31 36 5 Duguma B Tonye J 4 Depommier D 1990 Diagnostic survey on local multipurpose trees shrubs fallow systems and livestock in south Cameroon Working paper 60 ICRAF Nairobi Kenya 6 Duguma B Kang B T 4 Okali U U 1988 Factors affecting germination of Leucaena Leucaena leucocephala Lam de Wit seed Sci and Techno Proceedings of the International Seed testing Association Cambridge England 23 p 7
30. LL Taille des pontes 1 4 3 7 Moy E type Moy E type 16 4 TROPICULTURA 25 363 24 2 15 Total 20 Total 18 328 13 14 26 24 17 18 19 15 19 21 12 24 16 20 10 11 25 24 25 12 13 14 15 10 14 15 17 Tableau 3 Descendance de S couturieri en condition naturelles Tableau 2 F condit de 15 couples de S couturieri 20 11 19 24 10 22 23 17 11 29 15 y 24 24 25 14 20 13 10 23 2 Nbre d ufs 25 Insectes Couples 1 Imagos 15 e r sum e dans le ta moyenne tableau 3 avec des valeurs extr mes de 10 tion fille Dans les conditions de la serre la dur et 23 cinelle sont facilement reconnaissables est donc possible de les suivre individuellement depuis l closion jusqu l imago et aux larves n onates L de la g couples de S couturieri est de 16 4 3 8 imagos en Contrairement aux ufs les jeunes larves de la coc de d veloppement observ e est r Cycle biologique nera ERA AAA LUTTE RS ETAT SE AOS RSS ARTE Re NET TER Et HSE ES As tote PERRE eS TIPOS ITR Ia SES sass Hire ef RIT ESS ROSES TRE EE tato E pat AAA ess tots cosa CANO FET 525 55 E ARS atan Etat a ett aby E 4 52 A NN PR PANNE ERIS NOIRE Sate t AIRIS STi ERIC cs O PS FETE SE TES a SEE a aa 25258 Seo a StS sa a Ka Na b D At sa CLOS Aa a sauusA0Uu sejuog eve bleau 4 Les valeurs exp rimentales recueillies r REIES F ga ane 2 FARSE
31. Re u le 18 03 98 et accept pour publication le 09 07 98 180 Mat riel et m thodes Les observations sur le terrain juillet 1987 mars 1988 ont t effectu es aux alentours de Niono dans le Mali central pluviom trie 100 mm au Nord 600 mm au Sud temp rature minimum 12 C en janvier maximum 40 C en mars Les parcours sont compos s d un tapis her bac Eragrostis tremula Tribulus terrestris Schoenefeldia gracilis Andropogon gayanus Zornia glochidiata et d une couverture ligneuse d arbres et d arbrisseaux essentiellement compos e de divers Acacias pineux L tude a port sur un effectif de pr s de 1580 t tes de petits ruminants provenant de 56 concessions et sui vis depuis 1986 par le Centre International pour l Elevage en Afrique La collecte des donn es s est faite tous les 15 jours Lors de chaque visite les nais sances et tous les autres v nements survenus depuis le dernier passage ont et enregistr s Tout de suite apres chaque mise bas ou 15 jours au plus tard la m re a t pes e pour obtenir le poids post partum Quant aux jeunes ils ont t pes s cing a six mois apres la naissance pour avoir le poids au sevrage Connaissant le poids au sevrage des jeunes l inter valle entre mises bas I M B et le poids post partum des reproductrices un indice de productivit I P cor respondant au poids de jeunes g produits par kg de poids vif de la m re et par an 9 a t cal
32. W 20 30 2600 2900 86 12 W 700 1500 78 07 W 10 30 1650 89 25 W 500 1700 83 23 W 160 83 48 W 110 88 33 W 5 10 1800 88 20 W 10 2100 vie la hauteur et la circonf rence mesur e 1 30 m du sol Le taux de survie exprime la rusticit tandis que la hauteur et la circonf rence constituent deux estima teurs l un pr coce l autre circonf rence tardif de la vigueur et de la production Les caract res qualitatifs ou de forme not s dans la parcelle 72 02 uniquement portent sur les aspects du f t rectitude queue de renard et fourchaison et de la branchaison finesse angle d insertion des branches Le f t de chaque arbre est reparti en trois billons inf rieur moyen et sup rieur Chacun d eux est dans le cas de la rectitude du f t affect d une note O ab sence de d faut 1 l ger d faut 2 d faut assez im portant et 3 d faut tr s important De m me pour chacun des billons on inscrit le nombre de fourche et de queue de renard Celle ci est la partie du f t d pourvue de verticilles et aux extr mit s d limit es par une insertion plus ou moins abondante de branches Elle induirait une d pr ciation de la qualit du bois L observation de la branchaison porte sur les deux pre miers tiers sup rieurs de la bille Elle concerne la fi nesse des branches not e O branches fines de dia m tre inf rieur 2 cm 1 branches moyennes de diam tre compris entre 2 et 5 cm 2 grosses br
33. ation de verger a graines de clones des meilleurs individus choisis dans les meilleures des cendances forme et vigueur des meilleures prove nances adaptation et vigueur Les r sultats actuels sont des r sultats minimaux ex primant la concurrence intrasp cifique en l absence d claircie L augmentation de la qualit du bois et de la productivit du peuplement doit aussi s appuyer sur un programme de recherche sur les traitements sylvi coles La sylviculture envisag e consistera donc a r a liser les plantations futures avec des clones s lection n s et a haute productivit soumis a des d gagements frequents et des claircies r p t es 187 TROPICULTURA R f rences bibliographiques Besse F 1982 Donn es climatologiques station de Pointe Noire 1931 6 Jamet R 1975 Evolution des principales caract ristiques des sols des 1981 CTFT Congo Pointe Noire 16 p reboisements de Pointe Noire ORSTOM Brazzaville 34 p C T F T 1958 Pinus caribaea Morelet et Pinus elliottii Engelmann fi SE Caract res sylvicoles et m thodes de plantations Bois et for ts des tro N zaa Di Nongamani A Moutsambote JAM Mapangul A 1 PA ONENG piques 62 21 27 floristique dans les monocultures d Eucalyptus et de pins au Congo Cahiers Agricultures 6 169 174 Dagn lie P 1986 Th orie et m thodes statistiques Applications agro nomiques Vol 2 Presses agronomiques Gembloux Belgique 451 p 8 Piton P 1983 Le
34. au voisinage des especes v g tales les plus repr sentatives de la ou des strate s Les chan tillons de sols ont t tamis s mailles de 2 mm ho mog n is s r cup r s dans des sachets en plastique et conserv s a temp rature ambiante Dans chaque parc huit pr l vements de sol ont t effectues entre 10 et 30 cm de profondeur a la limite de la frondaison des Faidherbia albida et huit pr l ve ments en plein champ a une distance gale ou sup rieure a cing fois la distance du tronc a la limite de la frondaison des arbres environnants Tous les pr l ve ments ont t effectu s en 1994 apr s la saison des pluies entre octobre et novembre Extraction et d nombrement des spores Les spores ont t extraites sur trois chantillons de 100 g de sol pour chaque pr l vement selon la m thode de tamisage humide d crite par Gerdemann amp Nicolson 13 La suspension sporale a subi ensuite une double centrifugation eau saccharose 3 afin de s parer les spores des particules de sol et des frag ments racinaires Cette suspension sporale apr s agl tation est vers e dans une bo te de Petri dont le fond est quadrill pour faciliter le comptage des spores Chaque type de spores est reconnu et compt sous la loupe binoculaire Willd M 400 quip e d un bo tier mi crophotographique Nikon Le nombre moyen de spores est exprim pour 100 g de sol sec Identification des spores Les spores ont t exa
35. aux patisse ries et aux desserts le nombre de germes ml sur g lose nutritive tant sup rieur a 3 10 germes 10 ceci sugg re une pollution par des bact ries h t rotrophes a robies Leur nombre lev augmente le risque de la presence des bact ries pathog nes 2 8 16 Le titre bact rien sur EMB lactose et sur agar de MacConkey est de loin sup rieur a 1000 germes ml 10 ce qui prouve une contamination par des coli formes Leur presence dans les eaux des boissons ou dans les denr es alimentaires traduit une pollution d origine f cale 1 3 5 6 10 21 Une tude similaire ef fectuee sur le lait vendu au march central de Bunia Congo a indiqu qu il est de loin plus pollu que le miel vendu au march central de Bukavu soit 125 10 germes ml sur MacConkey 13 Les germes d nombr s sur le milieu de Rahn taient des bact ries lipolytiques Leur raret par rapport aux germes d nombr s sur g lose EMB lactose et MacConkey s expliquerait par la faible concentration 190 Tableau 1 Caract ristiques des colonies isol es N Milieux Diametre Coloration Sou de ches culture Aspect g n ral 1 Gelose 1mm Grise Bomb e aspect laiteux 2 G lose Colonie ponctuelle Jaune 3 G lose Colonie ponctuelle Jaune 4 G lose Colonie ponctuelle Orange 5 G lose Colonie Jaune ponctuelle claire a 6 G lose 1mm Grise Bomb e a aspect laiteux 7 G lose 0 5mm Blanche Aplatie a contour lisse 8 G lose
36. bouillante 85 21 scarification manuelle Ce r sultat sugg re l efficacit de la scarification ma nuelle par rapport aux autres pr traitements Ce r sultat sugg re l efficacit de la scarification manuelle par rapport aux autres pr traitements Ce r sultat cor robore ceux obtenus sur la germination de Leucaena leucocephala 6 de Ricinodendron heudelotii 13 de Tetraptera tetrapleura 16 et de Canarium schweinfur thii 18 Lacide sulfurique a entraine la destruction de nombreuses graines chez Alstonia boonel Milicia ex celsa Pyenanthus angolensis et Triplochiton scleroxy lon Ce r sultat indique que les teguments de ces es peces sont moins durs que ceux de Acacia albida 4 L interaction esp ce x pr traitement est significative P 0 01 Cette caract ristique est li e au comporte ment des graines des esp ces Cordia platythyrsa Milicia excelsa Pycnanthus angolensis et Terminalia superba chez lesquelles la scarification manuelle a permis d obtenir un pourcentage de germination de 100 Fig 1 Chez Ricinodendron heudelotii seule la scarification manuelle a favoris un taux de germina tion lev indiquant l existence d une inhibition t gu mentaire chez cette esp ce L bouillantage des graines a entra n des dommages important chez toutes les esp ces sugg rant que l eau bouillante est entr e en contact avec l embryon GERMINATION Ya AB CE ESPECES
37. comme r sidu de la r gression pour tester les diff rences R sultats et discussion L analyse de la variance pr sent e au tableau 1 met en vidence l influence de certains facteurs socio co nomiques et de gestion sur l indice de productivit des TROPICULTURA Tableau 1 Analyse de variance de l indice de productivit des ovins et des caprins dans le syst me agro pastoral du Mali central Ovins Caprins Source de d 1 F Niveau d 1 F Niveau variation de signi de signi fication fication Caract ristiques socio conomiques Taille de famille 2 9 81 0 0001 2 22 48 0 0001 Enfants 5 15 ans 1 0 23 0 6303 1 38 80 0 0001 Superficie labour e 1 0 18 0 6716 1 0 27 0 6060 Indice de richesse 3 15 96 0 0001 3 3 81 0 0105 Facteurs de gestion Type de l habitat 1 4 35 0 0387 1 19 07 0 0001 Hygi ne de l habitat 1 0 66 0 4168 1 0 66 0 4168 Suppl mentation alimentaire 1 58 72 0 0001 1 67 40 0 0001 Temps de p ture 1 0 79 0 3752 1 0 59 0 4421 ovins et des caprins Les r sultats de cette analyse ta bleau 2 d montrent que entre troupeaux d un m me syst me de production il existe d importantes varia tions de productivit Dans le syst me agro pastoral du Mali central ou se d roule l tude la production ani male constitue au mieux une activit d appoint a l agriculture de subsistance ou de rapport 1 Les pro pri taires par cons quent ne peuvent lui consacrer qu une partie de leur temps et de leur moye
38. cooperative in Miramar Province of Cordoba Argentina were used in this study The installations have a total area of 50 m consisting of 11 corrals with constructed roofs and ce ment floors The animals were arranged in families of one male and 4 or 5 females All animals were marked at birth and were weighed every two weeks to follow their food conversion efficiency and growth 14 15 17 They received no routine medication or vaccines They were fed once per day with a cereal based diet 50 corn with 16 17 crude protein and 7 fiber This diet was supplemented with other products available at dif ferent times of the year sunflower and soya byproducts opting for the most economical without varying the quality of the feed The animals had access to runnning tap water provided through automatic drinkers The total population of the unit was between 45 and 70 animals depending on the point in the harvest cycle EARTHWORMS E foetida has been recorded in many zones and on many occasions 10 13 in Argentina but never before in the Caseros Department of the Province of Santa Fe Thus the first step was to explore possible envi ronments in this zone where E foetida could be found During field studies in 1992 wild samples of this spe cies were found at three sites not far from each other each sharing the characteristics of having quantities of decomposing organic matter 2 Samples were sent to the Universidad Nacional de La Plata
39. de la collecte pendant l ann e 1996 ro 4 Wahda ll 5 A t Malek et 6 Karam sont les plus r gulieres Elles sont caract ris es par des pics tal s sur cing a huit mois et pr sentent une faible amplitu de de variation la collecte la plus basse correspondant aux mois de d cembre et janvier repr sente au moins 60 de la plus haute enregistr e g n ralement en avril et mai En revanche la variation est nettement plus importante au niveau des centres de collecte nu m ro 1 El Wahiaouia 2 El Farah 3 Ain Johra 7 Annor et 8 Sidi Abderrazak ou la production drai n e au mois d avril est deux a trois fois plus elevee que celle obtenue en d cembre Une chute de collecte est enregistr e a partir du mois de d cembre Elle est plus prononc e pour les centres de collecte localis s dans les p rim tres urbains centre num ro 3 d Ain Johra et centre num ro 4 d El Wahda situ s respectivement 2 km du centre de Tiflet et 4 km du bourg de Sidi Allal Bahraoui Elle est due au mois sacr du Ramadan au cours duquel les prix offerts par les consommateurs directs 4 4 5 Dhs par kg de lait en fonction de sa disponibilit sur le march sont nettement sup rieurs ceux pay s par les centres de collecte et qui sont alors de 3 18 Dhs 14 En effet au cours de ce mois il est courant que la demande en lait connaisse un accroissement no table en raison de l image nutritionnelle de marque dont jo
40. des b tonnets Gram n gatif et sa coloration vient confirmer son identification en corro borant les caract ristiques indiqu es dans le tableau 1 verd tre clat m tallique s agit bien d E coli Ce dernier est un b tonnet Gram n gatif dont les colonies prennent un aspect tr s typique d clat m tallique en lumi re indirecte fermente le lactose et quelquefois le glucose mais n attaque pas l amidon 11 19 comme le confirme la souche 11 Tableau 2 Quelques sources de contamination du miel par E coli D une part la r colte du miel certains apiculteurs enduisent leurs visages et mains de la bouse dont l odeur inhiberait l agressivit des abeilles D autre part le trou de vol de la ruche est enduit des r sidus de l ex traction d huile de palme En outre l extraction du miel les apiculteurs ne veillent pas la propret de leurs mains avant le pressage des rayons Enfin cer tains r cipients contenant du miel destin la vente et la cuiller servant mesurer sont expos s l air libre TROPICULTURA Ces pratiques insalubres sont certainement quelques unes des sources de contamination du miel par E coli Des tudes similaires montrent galement que les ma nipulations et pratiques inad quates sont la base de la contamination f cale et de la d t rioration des qua lit s physico chimiques et organoleptiques des pois sons commercialis s au Burundi et au B nin 17 21 Bien
41. en particulier le projet PSANG pour le financement de d placement et achat des oi seaux le projet PMDER pour l achat des kits Mr Djimtoloum Nadjisara et tous les autres collegues de terrain ou de Laboratoire qui ont contribu d une ma ni re ou d une autre a la finalisation de ce travail 199 TROPICULTURA 2 3 4 5 6 7 8 R f rences bibliographiques Arbelot B J F Payon D Mamis J C Gueye amp FSamb Tall 1997 Enqu te sur la pr valence s rologique des principales pathologies aviaires au S n gal Mycoplasmoses pullorose typhose maladie de Newcastle de Gumboro et bronchite infectieuse Revue Elev M d V t Pays Trop Vol 50 n 3 pp 197 203 Asraoui N 1985 Essai d isolement simultan des mycoplasmes aviaires et du virus de la maladie de Newcastle chez la volaille These de Doctorat V t rinaire Rabat IAV Hassan 62 p Boussetta M N haouachi amp B Mlik 1997 Etude s rologique et bac t riologique des Mycoplasmes aviaires dans la r gion du Cap Bon en Tunisie Revue Elev M d Vet Pays Trop vol 50 n 2 pp 93 96 Chabeuf N 1990 Contr le des maladies dans un village de petits aviculteurs en Afrique Wageningen CTA pp 129 137 Courtecuisse C F Japiot N Bloch 4 I Diallo 1990 Enqu te s ro logique sur les maladies de Newcastle et gumboro la pasteurellose et la pullorose chez
42. est pas toujours vidente lorsque Ton met en pr sence des autorites et des administr s faut en tenir compte En vue de d finit un objectif a atteindre Int gration dans met l accent sur la n cessit de prendre en compte le contexte global du milieu en tourant l action avec ses multiples composantes tech niques sociales conomiques et humaines Un tel pro gramme ne peut qu tre horizontal et non vertical Syst me de production se rapporte l ensemble des activit s du groupe cible leur interd pendance l quilibre indispensable entre l homme et son milieu la durabilit des am liorations apport es M thodologie met en vidence la n cessit d aborder un travail aussi complexe avec m thode et rigueur sans improvisation en tous sens si l on programme d intervention efficace Il faut savoir o l on est pourquoi on y est o on veut aller pourquoi et comment Il faut aussi pouvoir valuer en permanence les r sul tats d une action et pr voir des indicateurs quanti fiables cet effet Au del de l approche Elevage il faut veiller lor ganisation g n rale d un programme le montage ins titutionnel et financier est d une importance capitale pour la r ussite de toute op ration 217 TROPICULTURA Il est n cessaire de savoir comment et par qui les dos siers seront tablis tablir les voies d acheminement des demandes de cr dits d terminer les organes d
43. ex cution et de contr le Comment tout cela va t il fonctionner Le sch ma d organisation n est il pas trop lourd Le paysan sy retrouve t il Est il maitre de l am lioration de son sort Ces questions doivent toujours tre l esprit de celui qui participe a un tel d fi Description de la m thodologie d approche Il n y a pas de m thode d approche sp cifique l le vage qui est une activit agricole parmi d autres et qu il faut situer dans son contexte global en tenant compte des contraintes des paysans financi res de temps techniques socio culturelles commerciales approvisionnement credit Eviter la Tour d lvoire associer les paysans tout ce qui les concerne recherche d veloppement vulgarisa tion formation Responsabiliser les acteurs identification d cision valuation Un travail d quipe bien organise est indispensable Dialogue r flexion diagnostic participatif fiches d en qu tes statistiques et monographies villageoises sont les bases de ce diagnostic sont les l ments cl s du processus Le but est de d terminer les objectifs r sultats acti vit s strat gies PIPO indicateurs et suppositions faut valuer la pertinence faisabilit efficience effi cacit durabilit et la rentabilit des actions L appropriation par des acteurs motiv s des th mes et activit s est la condition fondamentale du succ s de l entreprise Trouve
44. gramin es p rennes sur de longues distances est co teux et d t riore la qualit des plants Pour intro duire ces gramin es dans un village on recommande de passer par une phase de semis en p pini re Tableau 2 Les v g taux retenues pour lutte contre l rosion hydrique ESPECES Techniques de mise en place besoins en semences Panicum repiquage des plants a partir de 3a5gpar maximum touffes d ja en place ou de plants metre lin aire RCE CE issus de p pini re Cenchrus ciliaris semis direct le long des parcelles si peu de ruissellement Andropogon pente lt 1 gayanus Vetiver repiquage de plants partir de touffes semis direct nigritiana venant de sites naturels non exp riment Cajanus semis direct sans passer par une 5 8 g par cajan p piniere metre lin aire gramin e l gumineuse TROPICULTURA Les techniques de production de semences transf rables en milieu paysan L valuation des innovations pr vulgaris es jach res am lior es v g talisation des am nagements est ac tuellement en cours dans quelques villages de la Province du Nord Mais avant d entreprendre une large diffusion de ces innovations il est important de savoir si les paysans de cette r gion sont capables de pro duire les semences et les plants des especes pr sen tees ci dessus Les l gumineuses grosses graines Le Mucuna pruriens et le Cajanus cajan pois d ango le sont deux l
45. infinite number of va riants and each of these should include some type of decomposer which in this case is E foetida Obviously the incorporation of primary producers although not tried in this study would reduce the economic cost and perhaps environmental impact of the proposal The incorporation of intensive production systems brings with it an increase in the number of animals per unit area with the consequent increase in production of wastes food remains manure used water etc This situation increases the environmental impact and lost resources Vermiculture has been shown to be an efficient tool for solving such problems closing some cycles avoiding the elimination of wastes returning and maintaining soil fertility and reducing the use of chemical fertilizers 5 In agreement with the other authors 11 15 the most important ecosystemic value ts the maintenance of the diversity The incorporation of non traditional species minilivestock into the traditional production system would contribute to the diversification of agricultural production Acknowledgements The authors are indebted with Dr John Middleton for his critical revision of the English version Literature 1 Altieri M Agroecolog a Bases cient ficas para una agricultura alterna tiva CETAL Chile 1995 2 Biasatti N R Spiaggy E P Marc L Romano M amp Adamich C Acerca de la presencia de Eisenia foetida Savigny 1826 en el d
46. isohy tes du S n gal tablie par Krigeage avec les donn es homog n is es de 67 stations sur la p riode 1951 1980 donn es d apr s Ducousso 1991 163 TROPICULTURA Tableau 2 Principales caract ristiques couleur forme et diam tre approximatif des diff rents types des spores et leur identification Types Couleur Forme Diam tre x um Identification 1 blanc sph rique lt 100 Glomus sp 2 blanc creme a laiteux subspherique 100 lt x lt 400 Glomus sp 3 blanc jaune sph rique 100 lt x lt 300 non identifi 4 blanc squames noires legerement ovale 200 lt x lt 400 Scutellospora verrucosa 5 blanc ovale 200 lt x lt 300 non identifi 6 brun sph rique lt 100 non identifi 7 brun clair fonc grappe compacte carpophore 300 lt x lt 400 Glomus sp 1 8 jaune a rouge fonce grappe non compacte carpophore 50 lt x lt 100 Glomus aggregatum 9 jaune sph rique 100 lt x lt 400 Scutellospora verrucosa 10 jaune dor subsph rique gt 100 non identifie 11 jaune orange irr guli re gt 100 Gigaspora Sp 12 marron sph rique lt 100 non identifi 13 marron clair sph rique lt 100 non identifi 14 marron fonc sph rique lt 100 non identifi 15 marron squames noires ovale lt 100 non identifi 16 noir sph rique 300 lt x lt 600 Scutellospora gregaria 17 noir brillant sph rique lt 100 non identifi 18 rouge subsph rique gt 100 Gigaspora sp 19 rouge clair ovale gt 700 Gigaspora sp 20 rouge fonc subsph rique g
47. l utilisa tion des acacias en Afrique de Ouest These de Doctorat Lyon 260 p 12 El Giahmi A A Nicolson T H 4 Daft M J 1976 Endomycorrhizal fungi from Libyan soils Trans Br Mycol Soc 67 164 169 13 Gerdemann J W amp Nicolson T H 1963 Spores of mycorrhizal Endogone species extracted from soil by wet sieving and decanting Trans Br Mycol Soc 46 235 244 14 Gerdemann J W amp Trappe J M 1974 Endogonaceae in the Pacific Northwest Mycologia Mem 5 1 76 15 IT C F 1991 Stat 1 T C F Manuel d utilisation Editions T C F C r aliers de France 16 Johnson N C Zak D R Tilman D amp Pflefer F L 1991 Dynamics of ve sicular arbuscular mycorrhizae during old field succession Oecologia 86 349 358 A T Diallo S n galais Titulaire du DEA en derni re ann e de Th se a l ENSA 17 Josserant M 1983 La description des champignons sup rieurs Editions Le chevalier S A R L Paris 392 p 18 Le Houerou H N 1989 The grazing land of the African Sahel Ecological Studies 75 Springer Verlag Bertin Heidelberg 282 p 19 Lebrun J P 8 Stork A L 1992 Enum ration des plantes fleurs d Afrique Tropicale Vol 2 Conservatoire et Jardin botaniques d Gen ve 257 p 20 M A B 1979 Carte de la r partition mondiale des r gions arides notes explicatives notes techniques n 7 UNESCO Ed Paris 55 p 21 Morton J B 1992 Problems and solutions for integrati
48. les poules de race locale au Niger Revue Elev M d V t Pays Trop vol 43 n 1 pp 27 29 Grunder G M Schmidt amp K Djabakou 1988 S rologie de la mala die de Newcastle et de la salmonellose S gallinarum pullorum chez les volailles de petites exploitations au Togo Revue Elev M d V t Pays Top vol 41 n 4 pp 327 328 Harry W Jr Yoder N Liston Dury amp R H Stuart 1977 Influence of environnement on airsacculitis effet of relative humidity and air tempe rature on broilers infected with mycoplasma synoviae and infectious bron chitis Avian diease vol 21 n 2 pp 195 208 Heishman J O N O Olson 4 C J Cunninghan 1969 Transmission of Mycoplasma gallisepticum Newcastle disease infectious bronchitis and combination in a three phase broiler house Avian disease vol KIH n 1 pp 1 6 9 10 11 12 13 14 15 16 17 Institut de l Elevage et de M decine V t rinaire des Pays Tropicaux 1978 Situation actuelle et possibilit s de D veloppement de l avicul ture en R publique du Tchad rapport Paris Minist re de la coop ration fran aise 133 p isao Nonomura amp Shiznosato 1975 Infuence of Mycoplasma galli septicum with multiplication of Newcatle diseases virus in chicken Avian Diseases vol 19 n 3 pp 603 607 Lamorelle C 1993 Elevage en r gions chaudes Afriqu
49. management of animals to his appren ticeship of the stock breeder profession and to the de tention of other animal species moyens il a t rapport 10 pour l indice de produc tivit chez les ovins et les caprins exprime en kg de poids vif de jeunes produits par femelle reproductrice et par an des diff rences de l ordre de 5 55 a 12 8 kg entre les meilleurs et les plus mauvais troupeaux dans le systeme agro pastoral Ces differences existent chez les bovins mais elles sont moins marqu es et seule ment partiellement significatives sur le plan statistique Pour expliquer les raisons de telles diff rences de pro ductivit les m thodes de gestion et ou les facteurs socio conomiques ont t globalement mis en cause sans faire la part des choses Convaincu que la connaissance d une telle interaction pourrait permettre de d gager des moyens endog nes d am lioration d j existants dans les syst mes tu di s sans apport excessif d innovations exogenes la pr sente tude se propose d identifier les facteurs de gestion et les caract ristiques socio conomiques res ponsables des diff rences de productivit observ es entre troupeaux de petits ruminants dans le syst me agro pastoral du Mali central Institut de la Recherche Agricole pour le D veloppement B P 33 Maroua Cameroun Centre international pour l Elevage en Afrique actuellement Projet Tog 89 003 FAO BP 4388 25 Av Duisburg Lom Togo
50. par le plus ancien celui du Nord Mali qui a d but lors de la s cheresse de 1984 Ensuite sont pass s en revue ceux du Guatemala deux projets du Honduras du Nicaragua et de la Bolivie pour Am rique latine celui d Afghanistan pour le Moyen Orient celui du Cambodge pour Extr me Orient et ceux du Togo de Guin e et du S n gal pour le continent africain Le chapitre sur les questionnements associ des consid rations d j mises dans l introduction nous am ne au c ur de la r flexion sur le fonctionnement l efficacit et la place d une ONG qui est issue de l action de v terinaires de r gions temp r es mettant leur connaissances leur technicit et leur bonne volont au service de populations d le veurs et d agro leveurs des pays en d veloppement serait trop long de synth tiser le contenu du livre mais les grandes questions que peuvent se poser ce genre d ONG sont anlys es s agit notamment de la probl matique de l aide d urgence et du passage oblig apr s un certain temps vers des actions a plus long terme permettant de rendre l action primaire plus durable En effet apr s la guer re subsiste la crise et il faut la g rer c est donc la collaboration entre urgentiers et d veloppeurs qui doit tre re pens e Et faut il dans le cadre de l urgence s lectionner les pays et r gions o intervenir sur des crit res po litico ethiques ou se pr occuper seulement de sauver ce
51. per mettre leur identification au stade pr coce Ces ren seignements pourront aider dans le choix des technologies agroforesti res appropri es ceci dans la perspective de l int gration formelle de ces essences dans les paysages agraires de la zone foresti re Universit de Ngaound r Facult des Sciences B P 454 Ngaound r Cameroun 2 IRAD ICRAF Projet B P 2067 Yaound Cameroon 3 Universit de Yaound Facult des Sciences B P 812 Yaound Cameroun 4 Universit de Rouen B P 76821 Saint Agnan France Adresse de correspondance Regu le 27 01 98 et accept pour publication le 27 05 98 175 TROPICULTURA Mat riel et m thodes Caract ristiques du site d tude Le travail a t effectu dans la zone forestiere du Cameroun Le r gime climatique est bimodal avec 4 saisons 2 saisons seches et 2 de pluie La temp rature moyenne annuelle est de 24 C tandis que la pluvio m trie totale annuelle est de l ordre de 1600 mm La ve g tation est foresti re et les sols ferralitiques pr do minent Choix des especes Les esp ces qui font l objet de ces investigations ont t s lectionn es a partir d une enqu te ethnobota nique r alis e dans 3 provinces du Cameroun Est Sud et Centre 5 Les r sultats de l enqu te ont r v l que les paysans de la zone foresti re connaissent les plantes associ es aux sols fertiles Parmi ces es sences les plus importantes sont Ceiba pentandra
52. peuvent tre produites directement par les utilisateurs Avec de la main d oeuvre salari e le prix de revient des semences de l gumineuses varie entre 240 et 1160 FCFA kg soit 0 4 U et 2 U kg selon les especes En milieu paysan et en ayant re cours syst matiquement au sarclage m canique en traction animale il est possible de r duire ces prix mais pour cela il faut que les rendements se maintien nent au m me niveau Dans bien des cas le paysan aura des difficult s a trouver la fumure min rale pour ce type de production Pour les especes pluriannuelles Cajanus cajan ou qui se ressement naturellement Stylosanthes hamata Calopogonium mucunoides et Mucuna pruriens les frais de production seront plus faibles en deuxi me ann e Les charges de culture se limitent un simple arrachage des mauvaises herbes et a un apport d en grais mais les frais de r colte restent les m mes A ren dement quivalent le prix de revient des semences en deuxi me ann e sera inf rieur celui des semences r colt es la 1 ann e Un paysan qui souhaite introduire dans son assole ment une parcelle de jach re am lior e doit d une part trouver un fournisseur de semences dans sa r gion et d autre part avoir les moyens financiers pour les ache ter La jach re am lior e les cultures fourrag res les engrais verts ne se d velopperont que si ces innova tions sont techniquement et conomiquement perfor mantes et si le prix de
53. pins tropicaux au Congo Groei en vorm van herkomst van tropische pijnbomen in Congo Crecimiento y forma seg n el origen de pinos tropicales en el Congo A Moutanda D N Zala 8 J G M Kazotti oooooccoccnccncccnccnconnnn non nonnnnnnnnnnnno non ro nn aa aee aane anana anana eee nane 184 Etude bact riologique et biochimique du miel vendu au march central de Bukavu Congo Bacteriologische en biochemische studie van de honing verkocht op de centrale markt van Bukavu Congo Estudio bacteriol gico y bioqu mico de la miel vendida en el mercado central de Bukavu Congo Wa RITA A o A as 189 Performance of High Yielding Cassava Varieties in Terms of Quantity of Gari per Unit of Labor in Nigeria in English Performance des vari t s de manioc a haut rendement en termes de gari produit par unit de travail au Nigeria Prestatie van vari ten van maniok met hoog rendement in Nigeria uitgedrukt als de hoeveelheid gari per werkeenheid geproduceerd Resultado de variedades de mandioca a alto rendimiento en t rminos de gari producto por unidad de trabajo en Nigeria M Tshmunza El NWeke amp EF TOlensS sasaka i ak Ni 193 Enqu te s rologique sur quelques maladies aviaires dans la region du Nord Gu ra Tchad Serologische enqu te met betrekking tot enkele pluimveeziekten in de Noord Gu ra regio in Tsjaad Encuesta serol gica sobre algunas enfermedades av colas en la regi n del Norte Gu ra Tchad A Maho L Y Mopat
54. poulets ont t mis dans les cases par villages et nourris pendant trois jours Le 4 me jour ils sont transf r s par voie routie re et lib r s dans des poulaillers par sous pr fecture au laboratoire de Farcha Au 5 me jour les pr l vements sanguins ont t r a lis s sur tubes venoject la veine alaire Apr s 1 heure d exposition la temp rature ambiante les caillots sont extraits et les s rums r colt s centrifug s 300 t mn pendant 5 mn puis congel s 20 C pour usage ult rieur L analyse s rologique a t faite selon deux tech niques Le test de seroagglutination rapide sur lame pour d tecter des anticorps s riques dirig s contre Salmonella pullorum Le kits ELISA IMMUNOCOM version 81294 en phase solide trivalent pour la maladie de Newcastle souche La Sota la maladie de Gumboro souche X 15 et la bronchite infectieuse souche Massachusetts 41 et bi valent pour Mycoplasma synoviae et Mycoplasma gal lisepticum pour d tecter ou titrer les anticorps s riques dirig s contre les germes correspondants Les tests IMMUNOCOMB utilisent une technique ELISA en phase solide LIMMUNOCOMB est bas sur Putilisation d une carte en matiere plastique COMB qui est sensibilis e avec des antigenes viraux inacti v s Chaque COMB est sensibilis avec les anti genes MG et MS Pour les recherches a partir du sang les gouttes de sang pr lev sur chaque poulet sont absorb es sur
55. pour d terminer les fac 202 teurs influen ant significativement les tendances de l levage laitier en zone pluviale R sultats et Discussion Organisation et fonctionnement des centres de collecte Tous les centres de collecte sont g r s par un conseil d administration dont la fr quence de r union est tr s variable Cinq des huit centres de collecte tudi s ne tiennent pas la r union mensuelle pr vue par le r gle ment notamment en raison des diff rends entre leurs adh rents Ces retards portent atteinte au d veloppe ment des centres en diminuant l int r t que leur portent les leveurs 9 Mais cela ne signifie pas que ces centres de collecte sont paralys s Leur gestion est alors assur e exclusivement par le pr sident et le tr sorier Ces fonctions sont les plus convoit es car elles octroient leur titulaires un prestige certain 1 N anmoins il peut arriver que certains coop rateurs s opposent a cet tat de fait et cr ent alors un nou veau centre de collecte G n ralement ces entit s dis sidentes sont les plus dynamiques et s empressent d appliquer les r glements en vue d attirer un maxi mum de livreurs 1 9 Le lait livr au centre de collecte par chaque leveur subit un premier contr le de la densit pour d tecter d ventuels mouillages ou cr mages Ce contr le ne peut tre r alis syst matiquement pour tous les le veurs car ces derniers affluent au centre de collect
56. qu il y a sauver au niveau des populations La cr ation d associations d leveurs ou d agro leveurs utiles galement pour favoriser la durabilit pousse a r fl chir au r le qu elles jouent dans le d veloppement au sens large du terme au type d association cr er sans tomber dans une mode impos e d ailleurs et qui peut provoquer des conflits dans un certain contexte et la fa on de les amener sans tomber dans l ing rence une autonomie et une prise de d cision dans le secteur Ceux qui sont concern s par la formation dans le domaine de l levage surtout en mati re de sant animale seront particuli rement int ress s par la r flexion ce sujet qui situe la sant animale sa juste place dans le d veloppement de l levage et plus globale ment dans celui des populations concern es par les animaux domestiques Enfin une postface se pr occupe d analyser la motivation et le r le des volontaires expatri s qui participent ces pro jest et en font partie int grante Ce livre clair et concis int ressera donc toutes les personnes pr occup es par le sujet s adresse principalement a un public averti ayant d j t impliqu dans le d veloppement de l levage dans les pays de d veloppement ll est par ailleurs caract ris par une grande honn tet et un souci d am lioration replacant la sant animale dans un contexte plus global d levage de d veloppement rural et de progr s humain E
57. the Forest Project of the Koup Mont 1 A A IA A A Ra LAE ote che tans 70 Distribution and Diversity of Glomalean Endomycorrhizal Fungi of Senegal in French 161 Study of the Rapid Degradation of Lindane in the Soil in French 167 Growth and Form of Provenances of Tropical Pines in Congo in French lt NG 184 Farming Systems Optimizing Sample Surveys in Farming Systems Research in French 1 103 Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems in French 216 Forestry Utilization of Non Wood Forest Products in Cameroon The Case of the Forest Project of the KOUDE IORI URBAN rs bb hee Od congo ae goed Ba E eS eta Ae BE bg ea at a Loi 70 Seed Germination Growth and Development of some Local Tree Species of the Forest Zone UICC sic coco O 175 Growth and Form of Provenances of Tropical Pines in Congo in French 184 Minilivestock Evaluation of Commercial Silkworm Varieties and Rearing Practices in Villages of North Eastern Thailand in French snc ccs ee oh coma AA Geen ee ee Bs ha wens 29 Current Situation of Edible Snails in Indonesia in English J G ee 59 Effect of the Density on the Biomass Production on African Giant Snails Archachatina marginata in Benin in French J G a eee tenes 127 Minilivestock in Argentina Integration with Agricultural Production in English 212 Pa
58. to their fields presence of a cassava pro cessing machine in the village transportation means of cassava output from the fields cassava fresh root yield and labor inputs Improved varieties are here defined as bred varieties which have been released since the 1970 s by the National Root Crops Institute NRCRI and by the International Institute of Tropical Agriculture IITA which has its headquarters at Ibadan in Nigeria Field size was determined by measurement with com pass tape and ranging poles Yield estimation was made for fields which were 9 months old and above except when the farmer had harvested before that time The estimation was based on a representative sample of 40 m2 if the field was small a20 m2 plot was used There were one or two plots per field depending on the size and heterogeneity of the field in terms of soil and toposequence Cassava stands within the sample plot were counted then harvested and fresh roots wei ghed Field production labor information was based on estimates by the farmers for each field the farmer was asked who men women or children under 15 years of age mostly performed each farm operation i e land clearing seedbed preparation planting weeding and harvesting and field to home transportation of cassa va roots The farmer was then asked how many men women or children would complete each of the farm operations in each field in one day This survey was conducted in 1991 1992
59. tous les pays actuellement L approche technique Mettre en place un syst me performant d laboration de dossiers techniques pertinents efficients et effi caces Les aspects propres l levage pourront ici tre mis en vidence On utilisera des m thodes d investigation et de plani fication prouv es qui permettent de proc der par tapes logiques successives dans l laboration des dossiers techniques et financiers des projets et pro grammes Nous citerons le diagnostic global participatif pratiqu notamment au Mali par la CMDT pour les enqu tes et monographies villageoises et la planification des in terventions par objectifs recommand e par l AGCD PIPO L approche financiere Elle doit s appuyer sur les organisations d pargne cr dit existantes Renforcer les garanties d emprunt et l octroi de cre dits des taux concessionnels L pargne cr dit doit tre social mais viter la politique des cadeaux qui n a que des effets pervers Le diagnostic global participatif ll est destin tablir par enqu tes sur le terrain un bilan global de la situation d un village ou d une com munaut statistiques de population sant education activit s productrices revenus etc ll aboutit a une monographie d finissant la situation AVANT projet les problemes principaux et les solutions applicables L avis de tous les secteurs de la population est recueilli La planification par o
60. v g tal propos r ponde un r el probl me des producteurs Les structures de d velop pement doivent donc poursuivre leurs efforts concer nant la vulgarisation des techniques visant une am lio ration de la fertilit des sols une meilleure alimentation des troupeaux et une r duction de l rosion hydrique Le d veloppement de ces innovations s accompagne ra de la production des semences et des plants n cessaires a leur mise en oeuvre Apres formation les paysans produiront eux m mes les semences dont ils auront besoin Parall lement la recherche doit pour suivre la mise au point de techniques de production de semences les moins on reuses tout en recherchant de nouvelles esp ces utiles a ces programmes References bibliographiques 1 Dugu P 1995 Utilisation des l gumineuses en vue d am liorer les pro ductions vivrieres et fourrag res et d entretenir la fertilit des sols Doc multigr IRA Projet Garoua 63 p 2 Klein H 1994 Introduction des l gumineuses dans la rotation c r ale cotonnier au Nord Cameroun gestion et utilisation Maisons Alfort CIRAD EMVT Projet Garoua 184 p P Dugu Francais Dr Ing en Agronomie de l ENSA Montpellier France 3 Roupsard M 1987 Nord Cameroun ouverture et d veloppement These de l Universit Paris X Nanterre France 512 p 4 OnanaJ 1994 Quatre ann es d essais sur les esp ces fourrag res exo tiques en zone soudanienne du Cameroun
61. 0 du sol adapt Cette tude concorde avec celle de Wada 9 ou une biod gradation acc l ree du produit a t constat e par l inoculation de 10 de sol adapt Cette observation n a pas t cepen dant confirm e dans le cas du sol s n galais ou la dif f rence entre la d gradation des deux sols T et NT n tait pas significative p gt 0 1 probablement en raison des traitements ult rieurs irr guliers et d une microflo re non progressivement adapt e La biod gradation acc l r e peut tre fonction de l im portance de la priorit adaptive que constitue pour les bact ries leur possibilit d composer ce produit mi croflore progressivement adapt et cette priorit peut prendre la forme d une capacit d utilisation du pro duit comme source de carbone ce qui semblerait tre le cas pour le premier sol o les traitements ont t appliqu s r guli rement et successivement pendant 3 ann es La croissance de la population bact rienne ne semble pas tre modifi e par la pr sence du lindane lorsque la biod gradation ne donne aucun avantage adaptif aux bact ries ce moment la vitesse de r action serait constante en fonction du temps en raison probablement de l absence d une microflore du sol adapt comme cela pouvait tre le cas pour le second sol Le ph nom ne de biod gradation de ces insecti cides par une microflore progressivement adapt e pose le probl me de la persistance de cette pr
62. 00 Co t par op ration en FCFA Kg r colte au champs 55 165 525 401 vannage triage 55 35 185 160 mat riel 10 10 28 300 Total en FCFA kg 120 210 738 861 en U kg 0 2 0 36 1 25 1 5 Co t enFCFA ha 96000 126000 343908 344400 en U ha 165 217 593 594 100 FCFA 1 FF 0 172 U Tableau 5 Prix de revient des semences de l gumineuses sur les parcelles observ es 1 ann e de culture Mucuna Cajanus Stylosanthes Calopogonium pruriens cajan hamata mucunoides Rendement observ 800 600 466 400 kg ha Frais de culture 99 000 89 000 122 000 120 000 avant r colte FCFA ha Frais de r colte 96 000 126 000 343 908 344 400 FCFA ha Total en FCFA ha 195000 215000 465908 464400 en U ha 336 370 803 801 Prix de revient d un kg de semence en FCFA 243 358 999 1161 en U 0 42 0 62 1 72 2 semences v tues 100 FCFA 1 FF 0 172 U me critere permet d valuer la valeur r elle des se mences obtenues et d estimer si elles sont commer cialisables Les semences de mucuna et de pois d an gole reviennent respectivement a 243 FCFA kg ou 0 42 U kg et 358 fr kg ou 0 62 U kg A ces prix les pay sans peuvent facilement les acheter Par contre les prix de revient des semences du Sty osanthes et du Calopogonium sont 4 a 5 fois plus lev s ce qui limi tera leur commercialisation Pour r duire les charges de travail pour la r colte il est pr f rable de produire les semences de ces l gumi neuses sur
63. 1 S6 est attribu l chantillon et il est consid r comme positif c est a dire qu il pr sente des anticorps d tectables Tous ces kits sont livr s par le Laboratoire Service International rue de Gappas B P01 69210 SAVIGNY France R sultats La mycoplasmose Mycoplasma synoviae la bron chite infectieuse ont des pr valences lev es dans les trois sous pr fectures Celles de la maladie de Newcastle maladie de Gumboro la pullorose et la my coplasmose a Mycoplama gallinarum sont faibles Les pr valences globales de la maladie de Newcastle et Gumboro sont voisines Tableau Toutes ces maladies sont assez r pandues dans les villages Elles ont t d pist es au moins dans un vil lage sur deux Les plus r pandues sont la bronchite infectieuse et les mycoplasmoses surtout la myco plasmose a Mycoplasma synoviae Tableau Il Les pr valences sont plus lev es a l chelle des vil lages et atteignent 100 pour la bronchite infectieu se et d passent 100 pour les deux mycoplasmoses associ es Globalement chacune de cing maladies est d tect e dans plus de 45 des villages Tableau Tableau Pr valence de cing maladies dans les diff rentes localit s Pathologie Nb Nb Nb Nb Nb Nb s ru posi PG s ru s ru s ru s ru s ru s ru tifs test s positifs test s positifs test s positifs Newcastle 50 2 150 11 1 33 Gumboro 50 2 150 13 8 66 Bron 50 20 150 48 3
64. 10 ml du milieu de culture par agitation magn tique pendant 10 mn Les dilutions sui vantes sont effectu es 1071 102 10 104 10 par tir de la solution initiale 5 tubes par dilution Les tubes sont incub es 30 C pendant 4 semaines en agita tion continue Apr s incubation les r sidus de lindane sont d termin s par chromatographie gazeuse Inoculation des sols non adapt s Des chantillons de sols n ayant jamais fait l objet de traitements pr alables au lindane sont utilis s pour l inoculation Les sols sont tamis s puis inocul s par une portion du milieu de culture enrichi pr alablement centrifug Le r sidu est repris dans de l eau distill e Les flacons contenant 20 g de sol et 12 ug de lindane Sui non san MB 00 oo non want OT ve wees AB Sel wane 8 S Figure 2 Biod gradation du lindane sur le sol de Dakar sont incub s a 30 C L extraction et l analyse sont ef fectu es selon la m thode d crite pr c demment Le test de student t a t utilis pour le calcul statistique R sultats et discussion Les figures 1 et 2 repr sentent respectivement les ci n tiques de d gradation du lindane dans les sols al g rien et s n galais Le premier sol pr sente une bio d gradation significativement plus rapide pour le sol adapt a partir de la 2eme semaine p lt 0 005 La dis parition du produit est galement lev e apres l ino culation de 2
65. 16 Mclaren C G 1992 Basic statistical analysis system IRA IRZ Joint Computer Centre Nkolbisson 49 p Mbolo 1990 Germination et croissance des essences foresti res du Sud Cameroun Exemple de quelques l gumineuses et Sapotac es These de 3 me cycle Univ Yaound 268 p Miquel S 1985 Plantules et premiers stades de croissance des esp ces foresti res du Gabon potentialit s d utilisation en agroforesterie These de 3 me cycle Univ Pierre Marie Curie Paris 6 me 157 p P M Mapongmetsem Camerounais Doctorat 3ieme cycle B Duguma Ethiopien Ph D B A Nkongmeneck Camerounais Doctorat d tat E Selegny Francais Professeur 18 19 20 TROPICULTURA Njoukam R 1997 Germination des semences et croissance de l Ai l Papier pr sent au 2nd s minaire international sur l am lioration du Safou et autres ol agineux non conventionnels Ngaound r Cameroun 9 p Taylor C 1960 Synecology and sylviculture in Ghana The Univ College of Ghana pp 93 355 Tonye J 1989 L agriculture en couloir en zone forestiere du Cameroun Communication pr sent e au s minaire national d agroforesterie IRAAICRAF IRDC Yaound Cameroun 10 p 179 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 180 183 Influence de la gestion et du statut socio conomique de l agro pasteur sur la productivit des ovins et des caprins au Mali central S Killanga 8 A Traor Keywords Sheep Goats Productivi
66. 1984 1987 Rapport tech nique N 2 section agrostologie SRZV Garoua 5p 211 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 212 215 Minilivestock in Argentina Integration with Agricultural Production N R Biasatti E P Spiaggi Liliana Marc 8 R J Di Masso Keywords Minilivestock Coypu Earthworms Agroecology Integrated Agricultural production Summary The development of alternative agricultural production can take different forms In Argentina there is an im portant diversity of species available to be incorpora ted into production systems giving support for the use of natural resources based on taking advantage of the regional fauna Moreover the use of different animal species can be incorporated under the concept of the optimization of flows of energy and materials tending to minimize the environmental impact of livestock pro duction and also to make more efficient use of the in gredients required for developing the activity The in tegration of non traditional species minilivestock within the context of sustainable agricultural development was the motivation for the present study A module for rai sing Myocastor coypus coypu or false nutria was de veloped to which was linked a module for raising Eisenia foetida the so called red worm in both cases with a dual purpose Preliminary estimates were made of the productive aspects of both species as well as an analysis of their integration to understand the ext
67. 2 Pulloro 76 7 206 18 8 73 Myco Ms 40 13 120 42 36 66 Myco Mg 40 3 120 17 14 16 Nb nombre s ru s rum PG pourcentage global 198 TROPICULTURA Tableau Il R partition des cing infections selon les villages enqu t s Mangalm Pathologie Nb Nb Nb village villages chant positifs chant Newcastle 5 2 40 Gumboro 5 2 40 Bron 5 5 100 Pulloro 5 4 80 Myco Ms 5 4 80 Myco Mg 5 2 20 village villages positifs Bitkine Total Nb Nb village villages chant positifs villages posi tifs 8 6 75 18 9 50 8 4 50 18 8 44 44 8 87 5 18 15 83 33 8 3 37 5 18 10 55 55 8 6 75 18 13 72 22 8 3 7 5 18 8 44 44 Bron bronchite infectieuse Myco Ms Mycoplasma synoviae Myco Mg Mycoplasma gallinarum pulloro pullorose Deux et m me cing anticorps diff rents ont t trou ves chez des poulets de m me poulailler Ce qui t moignent de l association des infections dans les poulaillers Tableau Ill Tableau IlI Coexistence des infections Quintuple Infection Double Infection Triple Infection Infection Nombre Incfection Nombre Infection Nombre GMs 1 G B Ms 3 GNBMsMg 1 N B 6 B Ms Mg 4 N Ms 1 G N B 1 B Ms 9 Ms Mg 7 N anticorps Newcastle G anticorps anti Gumboro B anticorps anti bronchite infectieuse P anticorps anti pullorose Ms anticorps Ms Mg anticorps anti Mg Discussion Les pr valences de la maladie de Newcastl
68. 3 cat gories les esp ces a crois Sance rapide compos es de Ceiba pentandra Ricinodendron heudelotii et Terminalia superba puis les esp ces a croissance lente Milicia excelsa et enfin les especes a croissance interm diaire au rang des quelles Pycnanthus angolensis Triplochiton scleroxy lon Alstonia boonei Cordia platythyrsa En ce qui concerne la croissance en paisseur Ricinodendron heudelotii repr sente toujours le traite ment le plus performant Ce r sultat sugg re que cette Euphorbiac e appartient a la categorie des essences locales a croissance rapide 13 Cependant la crois sance de ces esp ces indig nes compar e a celle des esp ces exotiques comme Albizia falcataria Calliandra calothyrsus Sesbania sesban etc utilis es dans de nombreuses technologies agroforestieres reste faible L am lioration de la croissance des essences locales a potentiel agroforestier telles que celles consid r es dans ce travail pr sente un int r t particulier pour le d veloppement et exige la mise en ceuvre des travaux de recherche dans differents domaines Par exemple Pinoculation de ces essences au moyen des myco rhizes peut tre envisag e Les esp ces Alstonia boo nei Ceiba pentandra Cordia platythyrsa Ricino dendron heudelotii Terminalia Superba et Triplochiton scleroxylon peuvent tre recommand es pour l agri culture en couloirs a cause de leur reprise facile apr s lagage leur syst me racinaire piv
69. 6 40 33 34 32 29 27 11 85 40 31 75 35 29 30 29 67 75 62 27 28 39 43 82 80 26 25 24 24 39 23 Le nombre de descendants tudi partir de 20 69 Dur e jours Insecte TROPICULTURA tudes C est pourquoi il nous est apparu imp rieux d tudier l entomophage depuis l uf jusqu l imago en passant par les stades interm diaires Nous nous sommes particuli rement int ress s aux principaux param tres biologiques dont la connaissance est fon damentale si Pon envisage une lutte Notre tude apporte un entomophage indig ne de plus dans l entomofaune locale connues de P manihoti au peu d esp ces repertori es ce jour 4 Sur le plan morphologique le d veloppement de 5 couturieri correspond a celui des Col opteres d une mani re g n rale s agit d un d veloppement holo m tabole la larve la nymphe et l imago tant mor phologiquement diff rents entre eux Il n y a pas de diff rences morphologiques notables entre les diff rents stades larvaires d une part et entre le m le et la femelle d autre part L etude de la morphologie de S couturieri a t n cessaire pour une meilleure connaissance de l espe ce qui semble jouer un r le non n gligeable dans la r gulation des populations de la cochenille P manihoti 9 Cette tude morphologique bien que non exhaus tive a compl t la description de Chazeau 4 Couturier 2 qui portait unique
70. Analysis of data The unit for the analysis is the field whose area is converted to hectare for comparison purpose The fields are divided into two groups a with local and b with improved varieties of cassava The number of people men women or children who would comple te each farm operation in one day is equated to man days womandays or childdays of labor and converted to person days by factors of one to one for mandays and womandays and half to one for childdays this is then converted to person days per hectare by dividing by the area of the field For both types of fields the average of the amount of labor allocated to each farm task and total field production labor are computed Field production labor comparison between the two types of fields is done using the Student t test 3 Quantities of cassava output measured from repre sentative plots are converted to quantities per hecta re the average for each type of field is computed and comparison also done with the t test The quantity of gari is computed for each type of field using the conversion rate of 20 from fresh roots to gari 4 Indices local variety yield 100 of gari yield per unit area and per unit labor production and processing labor are computed Results and discussion Root yield per unit area Fresh root yield of the improved cassava varieties 19440 kg ha is 45 higher than the yield of local va rieties 13410 kg ha Table 2 In an independen
71. B Kebkiba 4 G Boulbaye iii iii 197 Production et coulement du lait en r gion d agriculture pluviale au Maroc Productie en verkoop van melk in een streek van regenlandbouw in Marokko Producci n y distribuci n de leche en regiones de agricultura pluviosa en Marruecos SC A A na LEN a ag an a 201 NOTES TECHNIQUES TECHNISCHE NOTA S NOTAS TECNICAS Production et co ts des semences utilis es pour l am lioration des jach res et des am nagements anti rosifs Le cas des zones de savane du Nord Cameroun Productie en kosten van zaden gebruikt voor de verbetering van braakland en voor anti erosie inrichtingen Het geval van savannezones in Noord Kameroen Producci n y costos de semillas utilizadas para el mejoramiento de barbechos y acondicionamientos antierosivos El caso de las zonas de sabanas en el norte del Camer n A tented ul LA aa aaa Rd Kana a NE GA NE a GE Aa a a an tien uN ale aaa ml a aa na aa aaa ad 207 Minilivestock in Argentina Integration with Agricultural Production Mini levage en Argentine Int gration avec la production agricole Mini veeteelt n Argentini Integratie met landbouwproductie Especies no tradicionales en Argentina Su integraci n a la producci n agr cola N R Biasatti E P Spiaggi Liliana Marc 8 R J Di Masso oooniooooocccccccccnononococcnnonononononnonnonnnnnnnnonononnnoninrnnnnnnnncananonns 212 Elevage en milieu tropical Approche participative en vue d une int grat
72. Catsaras M amp Bourgeois C M 1980 Les indices de contamination f cale In Techniques d analyses et de contr le biologique Bourgeois C M et Leveau J Y Coordinateurs APRIA Techniques et Documentation 3 174 187 Gavzer B 1997 How to Prevent Food Poisoning Parade Magazine October 19 4 6 Heselmans R 1994 Conditionnement et vente du miel Fiche technique E09 Rucher Ecole de Mons 4 p Hobs B amp Gilbert J 1974 Microbial counts in the relation to food poi soning in IUFOST Proceedings of the International Congress in Food Science and Technology Madrid 3 159 169 Kitambala K 1996 Le miel et son usage en th rapie traditionnelle Colloque du Centre de Recherche Multidisciplinaire pour le D veloppement CRMD Bunia 10 16 octobre Lamaye J C 1990 Analyse d une denr e alimentaire Protocole simpli fi usage des enseignants Institut Provincial d Hygi ne et de Bact riologie du Hainaut Marchal N amp Bourdon J L 1973 Milieux de culture et identification bio chimique des bact ries DOIN Paris pp 111 117 12 13 14 19 18 19 20 21 22 Martine Dany Mazeau 4 Ghislaine Pautard 1994 De la ruche l h pital l utilisation du miel dans le processus de cicatrisation Panorama M dical 1 8 467 Monondo E Ndusu M amp Bushu M 1996 Etude sur la qualit bact rio logique du lait consomm Bunia Est du Za re et environs Lettre du sous r seau
73. Colonie Jaune ponctuelle claire 9 G lose mm Jaune Bomb e a aspect laiteux orange 10 G lose 2 mm Grise Aplatie 11 EMB 2 mm Verd tre Eclat m tallique Lactose 12 MacConkey Colonie Blanche ponctuelle sans aspect g n ral caract ristique des lipides dans le miel valu e 0 2 15 Les vi brions n ont pas t observ s sur le TCBS agar Cela peut se justifier par l absence d pid mie de chol ra a Bukavu depuis un certain temps Caract ristiques des colonies isol es Les caract ristiques des colonies isolees resultant de leur reconnaissance macroscopique sont pr sent es dans le tableau 1 Tableau 2 R sultats de tests biochimiques du m tabolisme bact rien et de la coloration diff rentielle de Gram des chantillons de miel Tests D com N Production Fermentation position Coloration Sou de la de l amidon de ches catalase dulactose du glucose en glucose Gram 1 Coques Gram 2 Coques Gram 3 Coques Gram 4 Coques Gram 5 Coques Gram 6 Coques Gram 7 Coques Gram 8 Coques Gram 9 Coques Gram 10 Coques Gram 11 Batonnets Gram 12 Coques Gram Test positif Test n gatif Gram Gram positif Gram Gram n gatif Ces r sultats ont contribu a la classification pr somptive des micro organismes et ont permis d iden tifier E coli sur EMB lactose
74. Digestive Tractus on the Seeds Germination of Zizyphus mauritiana Lam in French Effect of Goat Digestive Tractus on the Seeds Germination of Zizyphus mauritiana Lam in French Supply Response to Risk The Case of Cereal Sector in the North of Tunisia in French Influence of Various Physicochemical Treatments of Mucuna pruriens Seeds on the Nutrient Chemical COMPOSITION EMENOM tia a teats Was D sa Sek pg Otten ga a ii Rhodeps Grass Evaluation of Rhodes Grass Cultivars under Emirates in English Factors Involved in the Development of Nutfall Due to Phytophthora katsurae in Ivory Coast in English Performance of High Yielding Cassava Varieties in Terms of Quantity of Gari per Unit of Labor in Nigeria ER AN O NI a DNS KN GS du eal ner 00 Seeds Production and Cost for Fallow and Anti erosion Management The Case of the Savannah Areas in North Cameroon in French y ici a dE AAA AA AA AA aaa Plant Protection Ground Arthopod Attacks on Groundnut Arachis hypogaea L in Burkina Faso in French Utilization of Non Wood Forest Products in Cameroon The Case of the Forest Project of the KOUPE MON Eien ys epica tit dd Oe oe asd hyo eh sd wae es Preliminary Assay on the Effect of Foliar Treatment with the Fungicide on Barley Culture Infected by Sal VENOUS SO Gee ok eee ee Eee awed a EEE Insect Pest Incidence on Cowpea in the Cameroonian Southwest Forest and Western Derived Savanna Zones their Contribu
75. DugumaB 1991 Annual progress repport IRA ICRAF collaborative agro forestry projet 35 p 178 8 Gomez Kwanchai A amp Gomez Arturo A 1984 Statistical procedures for agricultural research 2nd edition 657 p 9 Herzog F amp Brachmann M 1991 Les arbres d ombrage et les utilisa tions dans les plantations de caf et de cacao dans le sud du V Baoule C l rapport 21 p 10 Lavabre M E 1959 Etude de l ombrage sur le cacaoyer Journ Agri Tropi et de Bot Appl XVI 12 683 690 11 Letouzey R 1955 Les arbres d ombrage des plantations agricoles ca merounaises Rev Bois et For ts des Tropiques 12 15 25 12 Mapongmetsem P M 1994 Ph nologie et modes de propagation de quelques essences locales a potentiel agroforestier en zone foresti re Th se de 3 me cycle Univ Yaound 176 p 13 Mapongmetsem P M Duguma B 4 Nkongmeneck B A 1997 Domestication of Ricinodendron heudelotii Baill ex Pax Pierre in the humid lowlands of Cameroon Paper presented at the 2nd International workshop on the improvement of the African pear and other new sources of vegetal oils Ngaound r Cameroun 8 p 14 Mapongmetsem P M Tchiegang Megueni C Akong Zedong C H Nyomo 4 Laissou Moussou 1997 Inventaire et essai de domestication des ol agineux du Cameroun Papier pr sent au 2nd s minaire interna tional sur l am lioration du Safou et autres oleagineux non conventionnels Ngaound r Cameroun 10 p 15
76. Endomycorrhizal Fungi of Senegal in French A T Diallo P L Samb amp M DUCOUSS0 20 NN ane ne rid ele hua denis 161 Study of the Rapid Degradation of Lindane in the Soil in French M Bennaceur J Bastide amp C M Coste ocoococcocccconccnconcnncononornnoncnannnononncnnr enn nana aana eaaa eaaa nagane nee 167 Morphological and Biological Study of Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae Predator of Cassava Mealybug Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Homoptera Pseudococcidae in Ivory Coast in French D Obame Minko amp Kouahou Foua Bi coooocccccoccccconacnccnorocornaroconononononnnononcnnnnrrnnononannanaronncenananis 171 Seed Germination Growth and Development of some Local Tree Species of the Forest Zone in French P M Mapongmetsem B Duguma B A Nkongmeneck 4 S Selegny 175 The Influence of the Management and the Socio Economic Status of the Agropastor on the Productivity of Sheep and Goats in Central Mali in French S Killanga amp A Traore in aan Ba aa AS ah Ka mad Ka eae a a a a E ag kaa a aa adage aaa nang Ta nga aga eae 180 Growth and Form of Provenances of Tropical Pines in Congo in French A Moutanda D N Zala J G M Kazotti oooooccoocoococccononccncnono nono nccnroncnnnonncnncnnonan Kanan ena nenen awane 184 Bacteriological and Biochemical Study of Honey Sold at Bukavu Central Market in French A e A
77. ISSN 0771 3312 WORLD BANK PHOTO by Yosef Hadar Q O D D lt D o Z of go 3 BSE vS 25 Org XZ D O T OE TU 6 amp 5 Or oO 5 0 x Y MN SS Ok D oO Y o o O 3 0 o EU 9 o OH O EE S 5 M 3 S D c d sim g gt O Dre t Z e oa 2 y 5 5 2 oS on gt aS Le D 8 2005 6 O oga c o D O 3 otar 0 E E I oa 20 y o D 0 o o p D D O GS D gt e Ko O gt O 2 2 D gt AT lt x EENH kakake foi HE HAE 88 sass 33 9380 289 BUREAU DE DEPOT AFGIFTEKANTOOR BRUXELLES X BRUSSEL X SOMMAIRE INHOUD SUMARIO VOL 16 17 4 ARTICLES ORIGINAUX OORSPRONKELIJKE ARTIKELS ARTICULOS ORIGINALES Distribution et diversit des champignons endomycorhiziens glomales du S n gal Distributie en diversiteit van arbusculaire mycorrihizia glomalen van Senegal Distribuci n y diversidad de hongos endomycorrhizos glomales del Senegal A T Diallo P 1 Samb 8 M DUCOUSSO ii A A ae ae a 161 Etude de la biod gradation acc l r e du lindane dans le sol Studie van de versnelde biodegradatie van lindaan in de grond Estudio de la biodegradaci n acelerada del lindane en el suelo M Bennaceur J Bastide amp C M Coste ina A A a da Se 167 Etude morphologique et biologique de la coccinelle Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae pr datrice de la cochenille farineuse du manioc Phenacoccus manihoti M
78. Mopat L Y 197 Traor 0 103 Fontem D A 89 Mopat L Y 197 Tshiamala Tshibangu N 70 Gharbi M 64 Mosango M 93 Tshiunza M 193 Gnakri D 120 Moutanda A 184 Van Ranst E 8 Goossens F 21 N Zala D 184 Zoumenou Virginie120 index Countries Algeria 167 Mali 103 180 Arab Emirates 147 Morocco 201 Argentina 212 Nigeria 97 193 Belgique 26 49 216 Republic Democratic of Congo 3 Benin 127 141 Rwanda 130 Burkina Faso 21 43 Senegal 109 161 Cameroon 8 15 37 70 83 89 154 175 207 Suriname 18 Chad 197 Thailand 29 Congo 184 189 Tunisia 51 64 80 113 Indonesia 59 Uganda 93 Ivory Coast 120 150 171 221 TROPICULTURA Index Subjects Animal Nutrition The Influence of the Addition of Extract of Chestnut Tannin on the Nitrogen Balance and the Digestibility of Fresh Grass in Ruminant in French 26 Animal Production Variation of the Ram Price in Sahelian Zone of Cameroon in French 15 Consumption of Milk and Dairy Products in the Urban Centres of Burkina Faso in French 21 The Influence of the Addition of Extract of Chestnut Tannin on the Nitrogen Balance and the Digestibility of Fresh Grass in Ruminant in French Jak NG ee ee eee 26 Current Situation of Edible Snails in Indonesia in English 2 ees 59 Ewe Lambs Early Breeding of the Endogenous Breeds of Sheep in Tunisia in French 64 Effect of the Density on the Biomass Produ
79. ON i 1 a Maroua I I l N AA 00 mm s 800 mm N R PUBLIQUE CENTRAFRICAINE Province du Nord 1 000 mm limite de province JA lsohy tes Figure 1 Situation de la Province du Nord au Cameroun 3 208 Pour am liorer l efficacit des am nagements anti ro sifs des gramin es p rennes ont t retenues pour d limiter les bandes enherb es fixer les cordons pier reux et les berges des mares et stabiliser les ravines tableau 2 Seul le v tiver n a pas fait l objet d essais de multipli cation par semis Pour les autres esp ces Andropogon gayanus Panicum maximum et Cenchrus ciliaris les techniques de semis direct ou de semis en p pini re sont bien ma tris es Toutes les esp ces gramin es et l gumineuses ont t introduites au Nord Cameroun par la recherche sauf Vetiver nigritiana et Andropogon gayanus que l on trou ve naturellement dans cette r gion Pour ces gramin es endog nes les paysans peuvent s approvisionner en plants partir des peuplements naturels s il en existe dans leur village Toutes les semences utilis es actuel lement dans les op rations de d veloppement provien nent du Nord Cameroun soit des stations de recherche soit des am nagements villageois et des parcelles de jach re am lior e des villageois Dans ce cas les pro jets de d veloppement ach tent les semences aux pay sans en fonction de leur besoin Le transport des touffes de
80. PRELUDE SPAE 9 6 7 O M S 1990 Manuel des techniques de base pour le laboratoire m di cal Gen ve pp 235 237 Randon L 1974 Tables de composition des aliments Jacques Lanore Paris 116 p Sikkiler J M 1969 Total Counts as Indexes of Food Quality In Microbiological Quality of Food eds L V Slanetz C O Chichester A R Ganfin 4 Z J Ordal p 102 Sindayigaya E Debevere J 8 Deelstra H 1990 Appr ciation et am lio ration de la qualit bact riologique du poisson commercialis au Burundi Cas de Stolothrissa tanganicae et Luciolates stappersii Tropicultura 8 2 64 68 Six Anne 4 J 1982 La vie priv e des abeilles Ch ne Hachette Paris s p Sonnenwirth A C 1973 The Enteric Bacilli and Similar Gram Negative Bacteria In Microbiology Harper amp Row pp 753 788 Van Pee W Deconinck G amp Castelein J 1968 Microbiologie g n rale Manuel pratique O N R D Kinshasa 146 p Van den Berghe C 4 Oliyide A 1988 Qualit du poisson fume Tilapia spp en fonction des m thodes de transformation et d entreposage en R publique Populaire du B nin Tropicultura 6 2 51 59 Villi res B 1987 L apiculture en Afrique Tropicale GRET Paris 220 p K Kitambala Congolais Licenci Agr g en Biologie Assistant l Institut Sup rieur P dagogique Technique de la 20e Communaut Evang lique au Centre de Afrique 1 S P T C E C A 20 de Bunia R publique D mocratique du C
81. Thijs 220 TROPICULTURA INDEX Index Authors Abba D 15 Gueye M 109 Nadea J P 154 Abdelkafi B 51 Gumedzoe M Y D 89 Nasraoui B 80 Aboua F 120 H De Groote H 103 Ndjigba J D 70 Adoun C 141 Ibrahim Y M 147 Nkongmeneck B A 175 Bastiaensen P 18 Issoufou S 21 Nongonierma A 109 Bastide J 167 Kamenan A 120 Nono Womdim R 89 Bennaceur M 167 Kapseu C 154 Nsengimana C 130 Biasitti N R 212 Kapseu C 37 Nweke F I 193 Boedts B 29 Kavamahanga F 130 Obam Minko D 171 Boughanmi H 51 Kazotti J G M 184 Ortiz R 97 Boulbaye G 167 Kebkiba B 197 Parh I A 83 Broto F 154 Killanga S 180 Pohe J 150 Bulakali B 3 Kitambala K 189 Puiggali J R 154 Car me C 49 Kouahou Foua Bi 171 Rekik M 64 Coste C M 167 Koukand O D 127 Romain R J F 113 Dao B 43 Kriaa Samia 26 Roques M 37 154 de Cauwer Ilse 97 Lumande K 3 Rutunga V 130 Debaveye J 8 Luyindula N 3 Samb Pl 109 161 Deschuytener G 216 Maho A 197 Silou Th 37 Di Masso R J 212 Mahop F 8 Schneider K 59 Diallo A T 161 Mange K 3 Soewondo Dicko 1 0 43 Mansour A 80 Djojosoebagio 59 Dorny P 18 Mapongmetsem P M 37 175 Spiaggi E P 212 Dossa A D 141 Marc Liliana 212 Srairi M I 201 Dossa C S 141 Marwoto R M 59 ter Meulen U 59 Dossou Gb t G 127 Mbaya N 3 Thewis A Ducousso M 161 Medkouri H 201 Tollens E 21 Dugue P 207 M houachi D 113 Traor A 180 Duguma B 175 Mensah G A 141 Traor D 43 Ehouinsou M 127 Mergeai G 1 Traor S 43 Evrard D 49
82. UGB et les bovins y repr sentent plus de 72 de ces UGB En revanche les ex ploitations de plus de 50 ha ont en moyenne plus de 65 UGB et les bovins n y repr sentent que 62 7 des UGB totales L analyse statistique sur les variables a permis de montrer que les potentialit s d alimentation du cheptel d terminent de maniere significative P lt 0 001 la taille du troupeau R 0 85 Par ailleurs la contribution des petits ruminants ovins principale ment aux UGB totales augmente significativement P lt 0 001 avec l accroissement de la SAU au d tri ment de celle des bovins R 0 77 Ceci montre que la production laitiere reste surtout la preoccupation des petits leveurs qui disposent de 1 a 5 vaches lev es sur de petites superficies 6 Cette constatation est aussi conforme la tendance d une plus grande part de la SAU destin e aux cultures fourrag res sur les pe tites exploitations car celles ci visent ainsi garantir un volant de s curit fourrag re pour leur vaches Tableau 2 Concernant la structure g n tique du cheptel bovin elle a t appr ci e par le taux d am lioration g n tique TAG calcul par le ratio suivant 10 TAG Vaches de g notype laitier pur vaches crois es Vaches totales 204 Les r sultats viennent infirmer les conclusions pr c dentes li es la taille du cheptel bovin Tableau 3 ll est en effet paradoxal de voir les leveurs aux grandes dis p
83. Wada H Senoo K amp Takai Y 1989 Soil Sci Plant Nutr 35 1 71 77 Wandiga S O 8 Mghenyi J M 1988 in Isotope techniques for studying the fate of persistent pesticides in the tropics IAEA TECDOC 476 Vienna 77 84 M Bennaceur Alg rien Docteur en nutrition Ing nieur agronome Charg de recherche Chef de la division Agrochimie du CDNT Alger J Bastide Fran ais Docteur en chimie organique Directeur de recherche au Centre de phytopharmacie Directeur du Groupe d Etudes et de Recherches ap pliqu es pluridisciplinaires l Universit de Perpignan C M Coste Fran ais Docteur Professeur l Universit de Perpignan Directeur du Centre de phytopharmacie de l Universit de Perpignan ERRATA Volume 16 17 3 page 2 de couverture au sommaire ainsi que page 4 de couverture dans le contents lire O D Koudand en place de O D Koukand Une omission a galement t faite Monsieur G Dossou Gb t co auteur de l article n a pas t cit en page 127 ni repris en page 129 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 171 174 Etude morphologique et biologique de la coccinelle Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae predatrice de la cochenille farineuse du manioc Phenacoccus manihoti Matile Ferrero D Obame Minko amp Kouahou Foua Bi Keywords Predator Description Mealybug Cassava Ivory Coast R sum Scymnus couturieri est une coccinelle qui a t d cri t
84. a Bauhinia rufescens Dalbergia melanoxylon Tephrosia sp Acacia seyal Acacia raddiana Acacia nilotica nilotica Indigofera senegalensis Especes examinees Eucalyptus camaldulensis Indigofera senegalensis Indigofera senegalensis Acacia seyal Allium cepa Acacia senegal Balanites aegyptiaca Dactyloctenium aegyptium Chloris prieurii Eragrostis pilosa Dichrostachys glomerata Piliostigma reticulata Acacia senegal Alysicarpus ovalifolius Balanites aegyptiaca Eragrostis tremula Eragrostis pilosa Indigofera sp Acacia senegal Acacia senegalensis Guiera senegalensis Faidherbia albida Pennisetum glaucum Eucalyptus camaldulensis absence de vegetation Combretum glutinosum Combretum aculeatum Acacia senegal Zizyphus mauritiana Piliostigma reticulata Pennisetum pedicellatum Acacia nilotica nilotica Eragrostis pilosa Indigofera sp Acacia senegal Acacia senegalensis Guiera senegalensis Faidherbia albida Pennisetum glaucum Eucalyptus camaldulensis absence de v g tation Pennisetum pedicellatum TROPICULTURA Usage Terre agricole irriguee jachere r cente jach re r cente paturage maraichage paturage jach re r cente p turage parc agroforestier parc agrofestier inconnu parc agroforestier exploitation agricole parc agroforestier exploitation agricole exploitation agricole e Cf Carte des
85. a is not a native to our country it has been introduced to Argentina and is easily found in sites with abundant decomposing organic matter This annelid is from the Eurasian family Lombricidae but its actual distribution is very wide and generally cosmopolitan 12 This ear thworm lives in the superficial layer and unlike many other common earthworms does not form galleries in deep soil according to the ecological classification of earthworms 3 it is a member of the group of epigeic forms lt does not exceed 6 7 cm in length but al though small its capacity to survive and to transform organic matter combined with its abilities for rapid growth and multiplication make it a species particularly suited for the needs of agricultural production It is also the most widely used species of annelid for earthworm production worldwide an activity which is in full ex pansion in our region The rodent and the annelid species mentioned above were integrated in an experimental module to evaluate Photo 3 Earthworms Eisenia foetida baha Photo 2 Myocastor coypus At the research unit of the Veterinary Faculty National University of Rosario Wild variety among other factors the relative abundance of each other for an adequate and complementary farming func tioning These studies set conditions for the design of integrated production systems which can be easily adopted by the local producers They also bring infor mati
86. a d gradation des sols Certains v g taux sont cependant capables de s installer et de se maintenir dans les sols pauvres en l ments min raux gr ce en partie a des micro organismes symbiotiques en particulier des champignons mycorhiziens a arbuscules MA Ces derniers qui appartiennent a l ordre des Glomales et Ecole Nationale Sup rieur d Agriculture ENSA B PA 296 Thi s S n gal Summary Distribution and Diversity of Glomalean Endomycorrhizal Fungi of Senegal In arid and semi arid tropical areas characterized by plant ever increasing damage arbuscular endomycor rhizal fungi seem to play a major role in the conquest of new terrestrial spaces and are essential for the sur vival of most plant communities under diverse edaph ic and environmental conditions However the distri bution and the diversity of indigenous fungal species in Senegal have been very little investigated to date The goal of this study was to evaluate spore populations of Glomales from soil samples withdrawn from several sites located in the sahelian sahelo soudanian and soudanian areas The spores extracted by wet sieving and decanting method were counted and identified Our findings highlight the presence of the three genera Glomus Scutellospora and Gigaspora and the absence of Acaulospora Entrophospora and Sclerocystic species in different sites in which soil spore contents were generally poor However diversity and relative abundanc
87. ableau 2 Tableau 2 Pourcentage de d gradation du lindane dans les tubes contenant le milieu de culture satur en lindane 10 102 103 104 105 Sol poss dant un histo rique de traitement 1 89 1 80 3 67 5 20 1 0 Sol de poss dant pas un historique de traitement 1 60 2 55 7 21 9 0 0 Chaque valeur repr sente la moyenne cart type de plusieurs tubes Le nombre de colonies par gramme de sol est d termin par la m tho de MPN 1 Sol ITGC Alger L extraction est effectu e l hexane et l analyse des r sidus est d termin e par CPG Apr s enrichissement du milieu de culture 7920 bac t ries par gramme de sol pour le sol adapt contre 10 pour le sol non adapt les bact ries d gradantes sont encore pr sentes a la dilution de 104 ce qui repr sente un pourcentage de d gradation de 20 1 pour le sol poss dant un historique de traitement alors qu il est nul pour le sol non adapt L inoculation du milieu de culture enrichi figures 4 et 5 a permis de constater une d gradation tres rapide du produit due probablement a la presence d une micro flore d gradante importante qui s est d velopp e lors de l enrichissement du milieu Une bact rie Bacillus sp responsable de la biod gradation acc l r e dans le sol de l ITGC a t isol e et identifi e D autres facteurs li s aux conditions environmentales peuvent galement intervenir dans ce ph nom ne et bien souvent les cond
88. age Conclusion Au cours de la pr sente tude les pratiques d leva ge des petits ruminants ont t abord es dans le sys teme agro pastoral du Mali central Lincidence de ces pratiques sur la productivit des moutons et des ch vres qui ne sont pas d j g r s de la m me fa on est extr mement variable D une mani re g n rale l tude montre qu il existe des diff rences de produc tivit hautement significatives d un troupeau l autre Les causes l origine de ces diff rences sont proba blement li es aux aptitudes personnelles du propri taire de part le temps les moyens et la main d uvre affect s ces levages et aux strat gies de gestion qu il emploie ou aux pr f rences qu il t moigne pour l une ou l autre de ces deux esp ces de petits rumi nants De fait c est cette source de variation que se raient imputables les plus grandes differences de pro ductivit observ es R f rences bibliographiques 1 CIPEA Centre International pour l Elevage en Afrique 1981a Tendances et perspectives de l agriculture et de l levage en Afrique tropicale Document de travail n 5 Addis Abeba CIPEA 124 pp 2 Dicko M S 8 Sangar M 1982 R sultats obtenus en nutrition animale en 1981 Document de programme n AZ 70 CIPEA Bamako Mali 3 Harvey W R 1977 User s guide for LSML 76 least squares and maximum likelihood computer program Ohio State University Columbus USA 4 Ma
89. agua alamicamba 13 7 a 60 6 ab Nicaragua karawala Non mesur e 60 2 abc Dispositif en blocs complets a huit r p titions Toutes les mesures ont t effectu es sur 50 arbres par placeau Le taux de survie a 9 ans est de 87 en moyenne Les provenances dont les valeurs sont suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 par le test de Duncan du Nicaragua karawala alamicamba et santa clara du Honduras potosi limones guanaja et culmi d Australie et du Guatemala poptun Le groupe 2 a croissance faible est constitu des provenances de Cuba vinales et cabanas et du Bahamas andros il s agit d ailleurs des vari t s caribaea et bahamensis Dans la parcelle 81 2 Nicaragua alamicamba et N ka rawala Honduras guanaja confirment leur bonne crois sance et constituent avec Belize bermudan landing et Belize mountain pine ridge le groupe 1 Le groupe 2 comprend les provenances du Honduras los limones et culmi Les r sultats obtenus pour la circonf rence confirment ceux sur la croissance en hauteur des arbres entre les provenances En effet on retrouve les deux groupes pr c dents Cette confirmation des r sultats se justifie encore par le coefficient de corr la tion tablie entre la hauteur et la circonf rence r 0 9 On constate que les arbres les plus gros sont aussi les plus grands tels sont les cas par exemple des provenances des Bahamas andros et Honduras poto si La circ
90. anches de diam tre sup rieur 5 cm et 3 au moins une tr s grosse branche de diam tre sup rieur ou gale 10 cm et l angle d insertion des branches sur le tronc not O insertion horizontale 1 insertion aigu branches tr s obliques formant un angle sup rieur ou gal a 45 avec le f t et 2 insertion tr s aigu branches formant un angle inf rieur a 45 avec le f t La qualit globale de chaque provenance a t d finie selon les expressions tres bonne tr s bonne rectitu de du f t absence ou non de fourches et de branches bonne bonne rectitude et branches plus ou moins fines moyenne rectitude moyenne branches moyennes et mauvaise normes d fauts de forme Analyse statistique des donn es La comparaison statistique des provenances a t ef fectu e par analyse de variance Les diff rences si gnificatives entre traitements ont t mises en viden 185 TROPICULTURA ce par le test de Duncan Les donn es relatives au taux de survie ont t transform es selon l expression arc sinus de la racine carr e du et ce pour obtenir une distribution normale Celles relatives a quelques va riables qualitatives rectitude finesse et angle des branches ont t exprim es pour chacune d elles selon un indice correspondant a la note moyenne Celle ci est obtenue en pond rant par 3 2 et 1 les notes des billons sup rieur moyen et inf rieur L indice le plus faible traduit la meilleure
91. and collection of data This paper is based on information collected in 65 1 International Institute of Tropical Agriculture IITA Ibadan c o L W Lambourn amp Co Carolyn House 26 Dingwall Road Croydon CRY 3EE England 2 Katholieke Universiteit Leuven Department of Agri Economics Leuven Received on 20 12 96 and accepted for publication on 17 06 98 193 TROPICULTURA Table 1 Definition of climatic zones climatic zone mean datly months of temperature mean range dry season C temperature C lt 60 mm rain lowland humid gt 22 lt 10 lt 4 highland humid lt 22 lt 10 lt 4 sub humid gt 22 gt 10 4 6 non humid gt 22 gt 10 6 9 Source Carter and Jones 1 Nigerian villages as part of the Collaborative Study of Cassava in Africa COSCA Climate population den sity and market infrastructure formed the bases for sampling Following Carter and Jones 1 four clima tic zones were defined from temperature and duration of dry periods within the growing season Table 1 Information available on all weather roads railways and navigable rivers was derived from the 1987 Michelin travel maps and used to create a market ac cess infrastructure map of Africa This map was divided into good and poor zones according to the density of the roads railways or navigable waterways Population density from the United States Census Bureau unpu blished was used to calculate population densities and create a population m
92. anti corps diff rents trouv s chez certains oiseaux ont prouv que dans un poulailler peut s vir plusieurs infections ll a t remarqu que la bronchite infectieuse s vit dans 83 de villages la mycoplasmose a Mycoplasmas synoviae 72 et la pullorose 55 Ces r sultats montrent que ces maladies souvent mal connues par les agents de terrain sont tres repandues dans ces localit s lis permettent de conclure que toute am lioration de la production aviaire dans la r gion n cessite une bonne ma trise de ces maladies par l encadrement des agents de terrain et des aviculteurs sur la bonne conduite d levage avicole Introduction Aujourd hui le nombre total de volailles dans le monde est consid rable et exc de de loin celui des petits ru minants des porcins et des bovins La contribution de la volaille l apport de prot ine animale par habitant varie selon les r gions 16 En Afrique beaucoup de maladies aviaires sont pr sentes et perturbent la pro duction L importation des souches de volaille perfor mantes tait l origine de l apparition de nouvelles ma ladies comme la maladie de Gumboro Cette derni re frappe surtout les jeunes poulets Elle est peu connue par les leveurs en Afrique car l immunod pression qu elle provoque d clenche d autres maladies qui la masquent 11 15 Les maladies sont l un des facteurs qui conditionnent au plus haut degr la rentabilit de l aviculture Dans un
93. ap of Africa This was divided into high 50 or more persons km2 and low fewer than 50 persons km2 demographic pressure zones The three maps of climate population density and market access infrastructure were overlaid to create zones with homogeneous climatic demographic and market conditions Each climate population densi ty market zone with fewer than 10 000 ha of cassava was excluded as unrepresentative of cassava growing areas The remaining areas which formed the poten tial survey regions were divided into grids of cells of 12 latitude by 12 longitude to form the sample frame for site selection Sixty five grid cells were selected randomly and one village was selected randomly in each of the grid cells Figure 1 In each selected village a list of farm households was compiled and grouped into large medium and small units according to their size with the assistance of key informants Farm households that cultivated 10 ha or more of all crops were excluded One farm household was randomly selected from each stratum A total of 195 farm households was selected Information was taken at the field level on all cassava fields cultivated Fig 1 Map of Nigeria locations of survey sites 194 by each of the selected farm households The infor mation collected included among others cassava va rieties local or improved planted in each field crop area data planting densities distance from farmers homesteads
94. arbres entre les provenances de la parcelle 72 02 Provenances Survie Hauteur m Circonf moyenne cm Australie 72 9 abc 186a 56 2 ab Bahamas andros 59 1 de 12 1d 33 6 d Belize melinda 75 4 ab 17 7 ab 53 5 b Belize santos 71 0 abcd 16 0b 53 5 b Cuba cabanas 63 8 cde 15 7 c 43 2c Cuba vinales 65 2 bcde 150c 44 3 c Guatemala poptun 70 6 abcd 18 0 a 54 5 ab Honduras brus 69 9 abcde 17 7 ab 54 7 ab Honduras culmi 64 0 cde 179a 53 9 ab Honduras guanaja 57 8e 182a 59 5 a Honduras limones 64 4 bcde 18 4 a 54 7 ab Honduras potosi 67 5 abcde 187 a 59 5 ab Nicaragua alamicamba 77 9a 18 4 a 55 4 ab Nicaragua karawala 71 3 abc 18 8 a 57 3 ab Nicaragua santa clara 63 0 cde 186a 54 9 ab Dispositif en blocs complets a cing r p titions Les mesures de hauteur et de circonf rence ont t effectu es sur 30 arbres par placeau Les provenances dont les valeurs sont suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 par le test de Duncan La variable taux de survie a t analys e apres transformation en arc sinus de la racine carr e du 186 Tableau 4 Comparaison de la hauteur et de la circonf rence des arbres entre les provenances de la parcelle 81 2 Provenances Hauteur Circonf rence moyenne m cm Belize bermudan landing 13 3 a 59 6 abc Belize mountain pine ridge 12 8 a 59 2 abc Honduras culmi 11 5b 55 9 bc Honduras guanaja 13 7 a 61 9 a Honduras los limones 11 6b 55 7 C Nicar
95. aspora 9 Un inventaire des especes v g tales endomycorhiz es r alis pendant la saison seche dans la zone du lac Retba 28 indique que les esp ces x rophytes taient bien pourvues en mycorhizes arbus culaires tandis que les sols tres sal s ou gorg s d eau en permanence ne sont pas favorables a leur pr sen ce Des prospections de sols effectu es dans les zones sah lienne et soudano guin enne ont montr une in tense vie symbiotique depuis les horizons sup rieurs jusqu aux nappes phr atiques 10 Cependant les tudes sur la connaissance de la dis tribution et de la diversit des Glomales du S n gal demeurent encore tr s fragmentaires L objet du pr sent travail porte sur l tude de la r partition colo gique des champignons MA dans des habitats naturels et semi naturels situ s dans diff rentes zones co g ographiques du S n gal et de influence de Faidherbia albida A Chev sur les populations de spores dans deux systemes parcs situ s pres de la lo calit de Touba Toul Mat riel et m thodes Zone d tude La zone d tude est situ e entre les isohy tes 300 et 800 mm correspondant d une part aux zones sah lienne SA 300 400 mm sah lo soudanienne SS 400 600 mm et soudanienne SO 600 900 mm d apr s la d finition des zones biog ographiques de Le Houerou 18 et d autre part aux zones arides ETP P lt 2 et semi arides 0 2 lt ETP P lt 0 5 d apres la classifi
96. assure un minimum d du cation sanitaire aux vendeurs du miel au march cen tral de Bukavu Remerciements Nos sinc res remerciements au D partement de Biologie de l I S P Bukavu pour avoir allou ses labo ratoires la r alisation de ce travail Toute notre grati tude au Professeur N Byamungu I S P Bukavu pour ses directives ainsi que pour les r actifs mis a notre disposition Nous exprimons notre reconnaissance au Docteur Ing nieur B A Ruhigwa Professeur a lISPT CECA 20 Bunia pour ses suggestions et a PIng nieur G Chauvaux FSAG pour la documen tation qu il nous a g n reusement fournie 191 TROPICULTURA 10 1T R f rences bibliographiques Borrigo A F Arrabal F amp Romero P 1982 Study of Microbiological Pollution of a Malaga Littoral Area Relationship between Faecal Coliforms and Faecal Streptococci VI journ es Etud Pollution Cannes 2 4 d cembre 561 566 Bourgeois C M 1980 La microflore a robie m sophile totale In Techniques d analyses et de contr le dans les industries agro alimen taires Le contr le microbiologique Bourgeois C M et Leveau J Y Coordinateurs APRIA Techniques et Documentation 3 93 97 Buttiaux R 1971 Micro organismes pathog nes et toxinog nes des ali ments Cahiers Nutr Diet 6 3 28 29 Carbonnelle B Denis F Marmonier A Pinon G 4 Vargues R 1987 Bact riologie m dicale Techniques usuelles SIMEP Paris p 15
97. atile Ferrero Morphologische en biologische studie van het lieveheersbeestje Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae roofdier van de meelachtigeschildluis Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Estudio morfol gico y biol gico de la mariquita Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae predator de la cochinilla harinosa de la yuca Phenacoccus manihoti Matile Ferrero D Obame Minko amp Kouahou Foua Bi ccc ccececeecccecececeeetaveesceeceneaseeccccnaeasseceseaeseseeeuauauettenereeuvgcesuuevanauaes 171 Germination des semences d veloppement et croissance de quelques essences locales en zone foresti re Kieming van de zaden en ontwikkeling en groei van enkele lokale boomsoorten in de woudzone Germinacion de semillas desarrollo y crecimiento de algunas especies locales en zonas forestales P M Mapongmetsem B Duguma B A Nkongmeneck amp S Selegny ooooooococccccccconococccononnnnncnnnn non nnncnnan ranas 175 Influence de la gestion et du statut socio conomique de l agro pasteur sur la productivit des ovins et des caprins au Mali central Invloed van het beheer en het socio economische statuut van de landbouwerveteler op de productiviteit van schapen en geiten in centraal Mall Influencia de la gesti n y de la condici n socioecon nomica del agro pastor sobre la productividad de ovinos y caprinos en Mali central S KIand a As Toore ta AA E Mt 180 Croissance et forme des provenances des
98. ava mealybug HTA Ibadan Nigeria 15 19 7 Nwanz K F 1982 Relationships between cassava root yields and crop infestations by the mealybug Phenacoccus manihoti Tropical Pest Management 28 27 32 8 Obame Minko D 1991 Effet de quelques facteurs temp rature et hy grom trie sur la f condit et le cycle biologique de la cochenille du ma nioc Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Homoptera Pseudococcidae M moire de D E A Universit Nationale de C te d Ivoire 64 p 9 Obame Minko D 1993 Etude de l entomofaune inf od e a Phenacoccus manihoti Matile Ferrero en basse C te d Ivoire Relation trophique entre l h te Phenacoccus manihoti Homoptera Pseudococcidae un parasi te Epidinocarsis lopezi Hymenoptera Encyrtidae et un pr dateur Scymnus couturieri Coleoptera Coccinellidae These de Doctorat 3e cycle Universit Nationale de C te d Ivoire 145 p D Obame Minko Gabonais Doctorat 3 me cycle sp cialit entomologie Universit nationale de la C te d Ivoire DEA en cologie tropicale option cologie animale Universit nationale de C te d Ivoire Assistant au D partement de Biologie de la Facult des Sciences de l Universit des Sciences et Techniques de Masuku USTM Kouahou Foua Bi Ivoirien Doctorat d Etat s sciences naturelles sp cialit entomologie Universit nationale de C te d Ivoire Doctorat 3 me cycle sp ciali t entomologie Universit de Paris VII France Professeu
99. aviculture reste l tat tradition nel dans sa quasi totalit et repr sente une activit non n gligeable Elle occupe une place notable parmi les diff rentes sp culations dans l levage et m rite une attention particuli re 9 14 Actuellement l approvisionnement en volailles de grandes villes est essentiellement assur par des pro vinces comme le Nord Gu ra situ e 550 km de N Djam na La maladie de Newcastle est la principa le cause de mortalit de volaille signal e dans cette r gion Afin de conna tre l importance de cette maladie et bien d autres une enqu te s rologique sur des maladies infectieuses a t men e dans trois sous pr fectures de ladite r gion Mangalm Mongo et Bitkine Elle a Laboratoire de Recherches V t rinaires et Zootechniques de Farcha B P 433 t l 52 74 75 amp 52 75 76 Fax 235 52 74 76 amp 235 52 83 02 N Djam na Tchad Re u le 10 09 98 et accept pour publication le 28 04 99 197 TROPICULTURA concern la maladie de Newcastle la bronchite in fectieuse la pullorose la maladie de Gumboro et les mycoplasmoses Cet article en pr sente les r sultats Mat riel et m thodes Au total 278 poulets non vaccin s ont t achet s dont 103 dans 5 villages de Mangalm 93 dans 5 villages de Mongo et 82 dans 8 villages de Bitkine Le poids le sexe l ge et le marquage aux pattes ont t r alis s au moment de l achat Les
100. bjectifs PIPO Cette m thode de planification consiste a d terminer avec tous les concern s groupes cibles Administration coop ratives associations ONG sec teur priv bailleurs de fonds au cours d ateliers sp cifiques succ dant a une preparation minutieuse sur le terrain sensibilisation les divers l ments constitu tifs d un projet ou d un programme les problemes principaux les solutions a pr coniser les objectifs global et sp cifique a atteindre les r sultats a produire les activit s a mettre en ceuvre les moyens n cessaires humains et financiers Des indicateurs de performances et les sources d in formation sont tablis Les strat gies a suivre plans de la bataille sont la borees Les conditions de r ussite ind pendantes du projet suppositions importantes critiques ou fatales sont analys es l ensemble de ces donn es est synth tis dans un cadre logique qui r sume de facon claire et pr cise tout le projet Cet ensemble doit alors tre soumis a une tude d ap pr ciation globale ou les crit res suivants seront soi gneusement analyses Pertinence Efficience Efficacit Durabilit G Deschuytener Belge Ing nieur agronome D G C l TROPICULTURA Rentabilit financi re conomique culturelle et so ciale Une appr ciation globale est alors tablie qui per mettra de prendre une d cision sur la prise
101. bjective of the study was to evaluate germination capacity develop ment and growth rate of the seedlings of the above mentionned species The results showed that manual of seeds was clearly superior to the use of the other methods For the initial growth Ceiba pentandra and Ricinodendron heudelotii had the fastest growth All the species developped tap root system tegent d j lors des d frichements culturaux comme Alstonia boonei Ceiba pentandra Cordia platythyrsa Milicia excelsa Pycnanthus angolensis Ricinodendrum heudelotii Terminalia superba et Triplochiton scleroxy lon Ces essences leur fournissent de nombreux pro duits fruits chenilles fourrage legumes et leur ren dent des services restauration de la fertilit des sols ombrage 9 10 11 Bien que de nombreux travaux aient t consacr s a ces essences 1 12 peu d in vestigations a notre connaissance ont t accordees a leur croissance initiale en dehors des renseigne ments g n raux qui les qualifient d essences a crois sance rapide et au d veloppement de leurs plantules A cela s ajoute l incapacit des paysans les identifier au stade juv nile Ce manque d informations sur la morphologie de ces plantules limite s rieusement la domestication de ces arbres par les agriculteurs de la zone foresti re du Cameroun L objectif de cette etude est de fournir des informations relatives a la morpho logie et a la croissance des plantules pouvant
102. cadre de l afforestation des savanes c ti res congolaises jug es impropres l agriculture les fo restiers de ce pays y ont introduit des esp ces crois sance rapide parmi lesquelles les Pins tropicaux De nombreux essais sp cifiques mis en place ont permis de retenir trois esp ces Pinus caribaea P oocarpa et P patula spp tecunumanii Pinus caribaea qui pr sen te une fructification pr coce favorable aux travaux d am lioration a fait l objet d essais de provenance afin de juger de sa variabilit g ographique Les premiers r sultats obtenus sur des arbres jeunes ont montr un taux de survie lev une bonne vigueur ph notypique et un meilleur aspect des provenances du Honduras par rapport celles du Bahamas et de Cuba 8 Le pr sent travail a pour objet de rechercher les pro venances de Pinus caribaea var hondurensis les mieux adapt es aux conditions cologiques des savanes c tieres congolaises Une telle tude trouve son int r t dans la recherche du mat riel v g tal bien adapt et de bonne qualit a mettre a la disposition des organismes de reboisement Mat riel et m thodes La zone d tude La savane c ti re de Pointe Noire utlis e pour l affo restation est situ e au sud du Congo a 5 de latitude CRFL ex CTFT Congo BP 764 Pointe Noire Congo Summary Growth and Form of Provenances of Tropical Pines in Congo In order to select the necessary vegetal material for the afforesta
103. can be in troduced in the farmer s environment on the one hand and on the other hand can be used to evaluate the cost of legumes seeds production Depending on the spe cies the total price of seeds production varies from 250 to 1160 FCFA kg 0 5 U to 2 U kg Based on these prices it seems possible in the first step to dif fuse these seeds varieties The diffusion of the vegetal material depends firstly on the interest that farmers at tach to techniques of soil restauration which are pro posed to them If they adopt these innovations they can easily produce seeds that they need after been trai ned to the techniques developed by research Cameroun Actuellement autour de Garoua les pay sans rencontrent d importants problemes de d gra dation des terres baisse g n rale de la fertilit chi mique et extension des reseaux de ravines dans les parcelles cultiv es Le projet de d veloppement DPGT D veloppement Paysannal et Gestion de Terroir intervient sur len semble de la zone cotonni re du Cameroun ll appor te son appui aux associations de producteurs qui sou haitent faire face a ces problemes de d gradation des 207 TROPICULTURA Tableau 1 Les l gumineuses retenues pour l am lioration des jach res ESPECES Techniques de mise en place Besoins en p rennit de la jach re am lior e les ann es suivantes semences Stylosanthes hamata semis associ au mals 10 kg ha par ressemis naturel et r sistanc
104. cation de l cosyst me ou de la bio c nose 4 les entomophages locaux participent l quilibre de l environnement cologique o ils vivent En effet l introduction d un agent exotique exige l ta blissement d inter relations nouvelles entre l auxiliaire introduit et les composantes de la bioc nose d acceuil Summary Morphological and Biological Study of Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae Predator of Cassava Mealybug Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Homoptera Pseudococcidae in Ivory Coast Scymnus couturieri is a coccinellidae which was first described from Ivory Coast 2 But that morphological description was just based on the adult The trophic ac tion developed by Scymnus couturieri in the regulation of the abundance of the cassava mealybug led us to precise that description and to extend our knowledge of the coccinellidae by studying the morphological aspects and the biological parameters The study brings to the fore the holometaboly development the low fecondity and the long lasting biological cycle of the predator pour la constitution dun complexe entomophage par ticulier permettant la r gulation 4 S couturieri a retenu notre attention du fait de son ac tion predatrice exerc e sur la cochenille farineuse du manioc C est pourquoi une tude morphologique et biologique a t envisag e afin de conna tre mieux le Col optere Mat riel et M thodes Mat riel Le ma
105. cation de l UNESCO 19 Seize sites d finis geographiquement par la localit ou le lieu dit le plus proche des sites de pr l vement ont fait l objet de prospection Figure 1 Les principales caract ristiques de ces sites sont pr sent es dans le Tableau 1 Dans l une des sites proximit de la localit de Touba Toul situ e dans la zone sah lo soudanienne lin fluence du Faidherbia albida A Chev sur les popula tions de spores de Glomales est tudi e dans deux syst mes parcs de cet arbre qui diff rent principale ment par l ge des individus qui les composent un PU aa ca 4 Ngaouk E Mbouba LA GAN Gandiolais SA m Babore Gu ye Kadar rat Dahra LT Bourel S Keur SM M dina Touba Toul d a x Bambe pe sf 00 mm Dakar BebAir Foundiougne NAO Tr PA pee A Ne Remi Figure 1 Localisation des sites prospect s dans les zones sah lienne SA sah lo soudanienne SS et soudanienne SO du S n gal 162 parc compos exclusivement d individus g s et un parc en r g n ration o toutes les classes dage sont repr sent es Faidherbia albida est une l gumineuse de la famille des Mimosaceae 19 souvent associ e aux cultures dans le Bassin arachidier s n galais o la pr servation de l arbre dans les champs de mil est une pratique tr s ancienne Pr levements des sols Les pr levements ont ete effectu s entre 10 et 20 cm de profondeur
106. ction on African Giant Snails Archachatina marginata ABEN FONC dd bie Sam eet doa EAS a oe Ab Sa ee aa oa 127 Agropastor on the Productivity of Sheep and Goats in Central Mali in French 180 Serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera Chad in French 197 Dairy Production and Marketing in a Rainfed Agricultural Region of Morocco in French 201 Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems in French 216 Appropriated Technology Utilization of Non Wood Forest Products in Cameroon The Case of the Forest Project of the Koupe MOnt OVO seror Seay tone nce he ea aan E ti als ee aaa 70 Fans and Resistances Park in Drying Technologies Appropriate for Tropical Environment in French 154 Dairy Production and Marketing in a Rainfed Agricultural Region of Morocco in French 201 Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems in French 216 Bacteriology Bacteriological and Biochemical Study of Honey Sold at Bukavu Central Market in French 189 Serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera Chad in French 197 BIDIOOGFADNY M Ai Ka ee a ee ew eee 47 159 220 Consumption Consumption of Milk and Dairy Products in the Urban Centres of Burkina Faso in French 21 Current Situation of Edible Snails in Indonesia in English
107. cul suivant la formule Poids au sevrage x 365 jours I M B AAA li Poids post partum de la mere L indice de productivit ainsi obtenu a t soumis a une analyse de la variance dont les sources de varia tion taient les facteurs de gestion et les caract ris tiques socio conomiques des agro pasteurs sus ceptibles d tre a l origine des diff rences de productivit observ es entre troupeaux d ovins et des caprins 8 Les analyses finales ont t faites par la m thode des moindres carr s 3 qui s adapte parti culi rement aux donn es relatives aux sous classes renfermant des nombres in gaux d observations Les parametres utilis s avec cette m thode ont t a pour les caract ristiques socio conomiques la taille de la famille 9 22 et 34 personnes en moyenne le nombre d enfants g s de 5 a 15 ans dans le m nage 5 et 11 enfants en moyenne la superficie labour e 9 5 et 32 5 ha en moyenne et l indice de richesse ou l effectif total du betail d tenu exprim en unit s de b tail tropical 1 bovin 0 7 UBT 1 petit ruminant 0 1 UBT 4 8 34 et 62 UBT en moyenne b pour les facteurs de gestion le type d habitat bon ou mauvais l hygi ne de l habi tat bonne ou mauvaise la compl mentation alimen taire avec ou sans compl mentation et le temps de p ture 480 et 580 minutes par jour La moyenne r siduelle des carr s a t utilis e dans la m thode des moindres carr s
108. culture qui n entraine pas de grandes perturbations des horizons cultiv s per met le d veloppement la plupart des champignons MA associ s aux cultures De m me l analyse des types de sols des sites de prelevements r vele que le sol sa bleux est favorable a l installation de populations le v es de Glomales sous plusieurs climats et latitudes 1 6 7 En outre la difference significative observee dans la composition des populations de Glomales dans le parc g de Faidherbia albida permet d mettre l hy poth se de l influence positive du couvert v g tal et de la culture sur la r partition et la dynamique des po pulations de spores Ces diff rents r sultats nous per mettent de penser que la distribution naturelle des spores de Glomales serait sous le contr le de facteurs daphiques et ou de la composition floristique 6 16 Les diff rents taxa endomycorhiziens identifi s sur la base des caract res morphologiques et cellulaires des spores appartiennent aux genres Glomus Gigaspora et Scutellospora La predominance des genres Glomus et Gigaspora dans les sols tropicaux arides et semi arides est en concordance avec les r sultats anterieu rement obtenus au S n gal 8 9 28 en Libye 12 et au Nig ria 23 Le genre Scutellospora quoique bien re pr sent ne refl te pas l importance de ce groupe par rapport au genre Gigaspora En effet la cr ation du genre Gigaspora 14 tant ant rieure a celle du genre Sc
109. d ve loppement socio conomique quitable et durable et au tout premier plan l acteur principal le paysan lui m me de se remettre en question lui et ses pratiques traditionnelles afin d adapter son mode de vie et son systeme de production a son environnement actuel Eco d veloppement participatif et durable Cette br ve introduction aura permis de mettre en vi dence les dimensions multiples du d veloppement est avant tout de nature humaine et sociale avant d tre technique Les problemes de politique d organisation de la so ci t de macro conomie et de commerce internatio nal conditionnent le d veloppement Ce sont des sup positions qui peuvent tre importantes critiques ou fatales L agronome comme tout technicien m decin ingenieur ou ducateur doit en tenir compte dans sa planification s il veut atteindre les objectifs de d ve loppement qu il s est fixe TROPICULTURA doit tre un agro co socio anthropologue avec un solide bon sens pratique et un esprit bien organis doit pouvoir observer comprendre r fl chir conce voir communiquer et persuader doit tre courageux et form pour affronter ces t ches difficiles La formation classique d ing nieur pr pare t elle bien a la dimension humaine de la t che La r ponse ap partient a chacun car il n y a pas de solution toute faite L Universit n est que l antichambre d une biblioth que Elle nous d
110. d sol provient d une parcel le agricole pres de la capitale s n galaise Dakar Des sols non trait s issus des m mes parcelles ont servi de t moins Les sols sont pr lev s et tamis s a 2 mm puis stock s a 4 C jusqu analyse Un m lan ge de 20 de sol trait T et de 80 de sol non trai t NT est effectu pour les sols des deux r gions M thode 20 g de sol contenant 12 ug de lindane pur dilu dans l eau distill e sont introduits dans chaque flacon de 125 ml 4 flacons par analyse Les sols pr alablement tamis s sont bien m lang s de mani re a bien homo g n iser le produit et l humidit de chaque sol est ra men e 22 Les flacons sont ferm s l aide de pa rafilm et plac s dans un incubateur 30 C Une proc dure similaire est effectu e pour le sol non trait et le m lange des deux sols T et NT Une op ration 167 TROPICULTURA identique est r p t e pour le sol s n galais Les ana lyses sont effectu es le 1er jour et la 1 re 2 me 3 me 4eme 6eme et 8eme semaine apres application du produit L effet de la st rilisation par autoclavage des sols a 120 C pendant 20 mn sur la d gradation du lin dane a galement t effectu e Extraction L extraction est effectu e par agitation magnetique pendant une heure utilisant un m lange acetone hexa ne V V 1 1 Le m lange est centrifug a 15000 tr min pendant 10 mn filtr et vapor a sec a l vaporateur rota
111. de ma ni re avoir un centre dans chacune des 8 communes rurales constituant le cercle de Tiflet Dans les com munes o plus d un centre est fonctionnel le plus actif volume de lait collect et disposant des registres d in formations les mieux tenus a t s lectionn Tous les centres ont fait l objet de visites r p t es en vue d ap pr hender leur organisation conseil d administration activit s quotidiennes et leurs r percussions sur l activit de production laiti re dans la r gion Par ailleurs l volution mensuelle des quantit s de lait r ceptionn es en 1996 a t mesur e Ces centres de collecte ont aussi servi de base la s lection de fermes laiti res y adh rant o une valuation des modes de production de lait a t conduite Au total 70 exploitations ont t choisies de mani re a disposer d un chantillon repr sentatif des diff rentes cat gories d leveurs Un questionnaire d taillant les aspects de structure des fermes retenues superficie totale exploit e assolements taille du troupeau bovin structure g n tique du cheptel bovin part des bovins dans les esp ces animales totales poss d es et d organisation de la conduite de l atelier laitier repro duction alimentation traite main d uvre leur a t soumis Les r sultats obtenus l issue de ces en qu tes ont t d pouill s et soumis des m thodes statistiques de corr lation 13
112. des coliformes sur l agar lactos l osine et au bleu de methylene EMB lactose et sur l agar de MacConkey la recherche des bact ries lipolytiques sur le milieu de Rahn et celle des vibrions sur le TCBS agar La culture du miel pr lev di rectement a la ruche a t r alis e sur la g lose nutri tive D nombrement des germes sur diff rents milieux La bo te de P tri a t divis e en quatre parties gales et les colonies ont t compt es dans un quartier choisi au hasard Le nombre de bact ries par ml Institut Sup rieur P dagogique de la Communaut Evang lique au Centre de l Afrique 1 S PT C E C A 20 PO Box 21285 Nairobi Kenya Re u le 09 06 95 et accept pour publication le 30 01 98 189 TROPICULTURA d echantillon a t calcul en multipliant le chiffre glo bal par le facteur de dilution Isolement et purification des souches Douze colonies isol es partir de dix pr l vements ont t repiqu es sur la g lose nutritive coul e en bo tes de P tri ou dans des tubes essai inclin s Etude biochimique du m tabolisme bact rien Une goutte d eau oxyg n e solution 3 a t coul e sur un inoculum pr lev d une souche pure Celle ci se montre soit catalase positive par d gagement im mediat de bulles d oxyg ne soit catalase n gative par absence de cette r action La fermentation du glucose a t test e en repiquant les souches pures sur un mili
113. diversidad de especies susceptibles de ser incorporades a los siste mas productivos dando impulso al uso de los recursos naturales basado en el aprovechamiento de la fauna regional Adem s de la utilizaci n de las distintas es pecies animales puede incorporarse el concepto de optimizaci n de los flujos energ ticos y materiales ten diendo a minimizar el impacto ambiental de las pro ducciones pecuarias y a aumentar la eficiencia en el uso de los insumos requeridos para el desarrollo de las actividades productivas Con el objetivo de integrar es pecies no tradicionales a la producci n agropecuaria dentro del marco conceptual del desarrollo agrope cuario sustentable se implement un m dulo de cr a de Myocastor coypus falsa nutria o coypo al que se integr un segundo m dulo para la cr a de Eisenia foe tida lombriz roja ambos con doble prop sito Se pre sentan y discuten algunas evaluaciones preliminares referidas a aspectos productivos de ambas especies The captive breeding of M coypus dates back to the beginning of this century in our country and from the 1930s in other paris of the world like Poland Russia and the United Kingdom among others This species has originated from our temperate climatic zone and has an aquatic habitat associated with rivers creeks and lagoons of the moist Pampas and the subtropics 9 Originally the production of this rodent was mainly to obtain fur and this tendency continued and increa
114. e le rendement en semences de ces l gumineuses varie de 200 a 600 kg ha Le paysan pr levera sur ses par celles fourrag res ou de jachere am lior e les se mences dont il a besoin l ann e suivante en veillant d une part a ne pas d truire le mulch qui couvre le sol et d autre part a laisser un stock de semences suffisant au sol pour assurer la repousse des l gumineuses La recolte des semences de crotalaire est tres facile dans la mesure ou les gousses sont peu d hiscentes a maturit et non consomm es par les troupeaux La r colte peut tre ainsi diff r e a une p riode ou le paysan dispose de temps en janvier voire en f vrier Le ren dement en graines d pend de la densit de la culture et de l importance des d g ts occasionn s par les insectes foreurs des gousses il d passe rarement 400 kg ha La production de semences de Stylosanthes hamata et de Calopogonium mucunoides est beaucoup plus d licate D une part il faut d sherber les parcelles afin de faciliter la r colte et de limiter le taux d impuret s D autre part la r colte des semences demande beau coup de travail a une p riode ou les paysans sont oc cup s ramasser le coton Pour ces deux l gumi neuses les rendements d une culture pure bien entretenue varie de 300 a 600 kg ha Une technique de r colte des semences de Stylosanthes hamata peu co teuse en travail a t tes t e avec succes en station et en milieu paysan Lorsqu
115. e au m me moment 14 Si le lait n est pas fraud il est soumis syst matiquement au contr le de l acidit La mesure de la quantit de lait livr e est toujours ap proximative par d faut Elle profite donc au centre de collecte aux d triments des leveurs Le cumul an nuel de ces exc dents peut atteindre des volumes im portants et constitue la principale source de finance ment des centres de collecte 9 Le camion citerne de lusine laiti re r cup re le lait quotidiennement Le chauffeur proc de au contr le de l acidit et du mouillage pour l ensemble des cuves avant de mesu rer le volume de lait collect ll pr l ve aussi un chan tillon de chaque bac destin au laboratoire de lusine en vue du paiement du lait la qualit taux butyreux uniquement Le centre est pay chaque quinzaine ce niveau plusieurs probl mes se posent Par exemple le camionneur est souvent accus tort ou raison de diminuer les quantit s r elles de lait livr es ll tient aussi sa merci le centre de collecte en p rio de d exc dents de production puisqu en jouant sur l ordre de son passage il peut refuser du lait en ar guant de la saturation de sa citerne 9 Dans cette si tuation le lait peut tre totalement perdu car les centres de collecte s avouent impuissants s assurer de la qualit de leur lait 1 Ils ne peuvent donc pas contester les d cisions des industriels relatives aux p nalit s pou
116. e production output of cassava in Nigeria high yielding varieties have been developed and released by the National Root Crops Research Institute NRCRI and by the International Institute of Tropical Agriculture IITA Their performance is generally determined in terms of quantity of fresh roots produced per unit area However in Africa labor is often more constraining than land because farm operations are manually per formed As a consequence labor input in crop pro duction is higher in Africa than in most developing re gions 6 Moreover in the particular case of Nigeria most of the cassava produced is used in processed forms such as gari lafun fufu abacha etc Cassava processing is intensive in the use of labor 4 since roots are manually processed with traditional techniques Resume Performance des vari t s de manioc a haut rendement en termes de gari produit par unit de travail au Nigeria La pr sente tude compare les quantit s de gari pro duites par unit de travail entre les vari t s de manioc a haut rendement et les vari t s locales Le gari est un produit granul obtenu par r tissage de la p te fer ment e de manioc est largement consomm au Nig ria et dans la plupart des pays de l Afrique de l Ouest Les r sultats de l tude montrent que malgr la sup riorit en rendement de manioc frais des vari t s am lior es sur les vari t s locales la diff rence en termes de gari produit
117. e Agriculture n 204 pp 16 28 Maho A 1997 Cas de coccidiose caecale chez des pondeuses apres diverses manipulations Revue Elev M d V t Pays Trop vol 50 n 1 pp 37 39 Malik B S 4 KC Verma 1969 Coexistence of antibodies against chronic respiratory disease infectous laryngotracheitis and infectious bronchitis on poultry farms of uttar pradesh andhra pradesh and Madras Avian Disease vol XIII n 4 pp 695 699 Oriol A 1987 Elevage rentable des poulets de rapport Guide Pratique Paris Vecchi SA 199 p Petit F 1991 Manuel d aviculture en Afrique Paris Rhone M rieux 74 p Smith A J 1992 L levage de la volaille Paris Agence de la coop ration culturelle et technique 183 p Villegas P S H Fleven amp D P Anderson 1975 Effet of route of Newcastle disease vaccination on the incidence of airsacculitis in chic ken infected with mycoplasma synoviae Avian Diseases vol 20 n 2 pp 395 400 A Maho Tchadien V t rinaire Chef de Service en Bact riologie L Y Mopat Tchadien DSS Chef de Service d Epid miologie B Kebkiba Tchadien PHD Directeur de Laboratoire de Farcha G Boulbaye Tchadien Agent technique Service de bact riologie 200 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 201 206 Production et coulement du lait en region d agriculture pluviale au Maroc M T Srairi amp H Medkouri Keywords Dairy co
118. e chez Milicia excelsa est en accord avec les obser vations faites au Cameroun 7 La croissance vertica le et lat rale des axes a rien et souterrain est consid rable chez Ceiba pentandra et Ricinodendron Tableau 1 Croissance des axes a rien et souterrain des plantes 7 mois Essences Tige Racine Hauteur Diam tre Hauteur Diam tre cm cm cm cm Alstonia boonei 50d 0 45c 30e 0 60c Ceiba pentandra 88a 0 60b 90a 0 95b Cordia platythyrsa 68b 0 40d 30e 0 85b Milicia excelsa 30e 0 30f 37d 0 30e Pycnanthus angolensis 48d 0 259 48c 0 40d Ricinodendron heudelotii 90a 0 85a 65b 1 00a Terminalia superba 87a 0 35e 27f 0 50d Triplochiton scleroxylon 58c 0 40d 259 0 50d Moyenne 64 93 0 63 44 00 0 45 PPDS 0 05 3 70 1 43 15 7 0 11 CV 3 86 12 30 1 65 2 16 Les essences suivies par la m me lettre ne sont pas significativement diff rentes 177 TROPICULTURA heudelotii Chez ces deux esp ces le d veloppement des axes est sensiblement gal et sugg re un quilibre parfait entre les deux axes du moins pour les sept pre miers mois Concernant la croissance de l axe souterrain on note que Ceiba pentandra cro t plus rapidemment en hau teur que les autres tandis que sur le plan lat ral c est Ricinodendron heudelotii qui occupe le premier rang La croissance de l axe souterrain chez Triplochiton scleroxylon est plus lente Le comportement de ces essences dans leur croissance initiale 7 mois permet de les classer en
119. e de certains pieds 35 a 40 jours apres le mais ou en culture pure et semis Calopogonium en ligne mucunoides Mucuna pruriens Crotalaria en culture semis a la vol e 16 kg ha ochroleuca Cajanus cajan en culture pure 15 kg ha OU associ au mais 6 8 kg ha en culture pure semis en ligne 24 kg ha semences v tues en saison s che par ressemis naturel ressemis naturels sont possibles dans les parcelles prot g es culture annuelle pas de ressemis culture pluriannuelle pas de ressemis semences comprenant l enveloppe externe ou semences non d cortiqu es sols LIRAD Institut de Recherche Agricole pour le D veloppement a t sollicit pour apporter un conseil technique et fournir le materiel vegetal n cessaire au programme d am nagement et de gestion des sols cul tives Ce programme comporte deux grands volets la vulgarisation de techniques visant a limiter la bais se de fertilit des sols fumure organique jach re am lior e de courte dur e et l appui aux populations pour la r alisation d am nagements anti rosifs bas s sur des bandes enherb es en courbes de niveau Les v getaux retenus et les besoins en semences Diverses l gumineuses fixatrices d azote ont t rete nues pour les jacheres am lior es de courte dur e suite aux travaux men s au Nord Cameroun en station 2 4 et en milieu paysan 1 tableau 1 y r e e e NI de l Extr me Nord 2 mm
120. e de dons a la naissance a la circoncision au mariage ou en pr h ritage En sa qualit de co pro pri taire l enfant trouve son compte en pr levant le lait de ces animaux et doit de ce fait fournir des efforts pour assurer leur survie Les enfants n influencent pas la productivit des ovins qui passent leur temps soit au paturage avec le berger soit dans la concession avec le propri taire Dans la recherche des causes responsables des diff rences 181 TROPICULTURA m thode des moindres carr s moyens Tableau 2 Moyennes de l indice de productivit g des ovins et des caprins dans le syst me agro pastoral du Mali central estim es par la Caprins err std n x err std 50 8 140 681 2a 23 5 43 8 97 749 1b 20 5 81 9 53 522 0c 29 4 32 7 214 537 3a 20 5 43 8 76 764 3b 27 1 38 6 147 673 6 25 5 31 6 143 628 0 16 8 67 9 115 633 3ab 30 6 57 6 68 646 5ab 21 9 56 2 69 712 9a 26 2 87 6 38 610 4b 36 3 45 3 5 799 3a 71 2 36 0 285 632 6b 20 0 555 45 699 Oa 44 8 34 0 245 732 9b 37 0 41 1 83 799 1a 39 7 37 4 207 632 8b 41 2 27 3 268 729 0 35 7 55 2 22 702 9 48 6 Ovins Variable n X Caract ristiques socio conomiques Taille de la famille 9 personnes 50 643 7a 22 personnes 81 799 0b 34 personnes 33 916 1b Enfants 5 15 ans 5 116 790 7 11 48 781 8 Superficie labour e 9 5 ha 79 671 1a 32 5 ha 85 901 4b Indice de richesse 4 UBT 47 1151 8a 8 UBT 50 876 9b 34 UBT 38 722 6b 62 UBT 29 393 8c Facteurs de
121. e et de Gumboro sont faibles mais plus lev es a chelle des villages Elles sont pr sentes dans 50 des villages Cela explique leur importance et peut probablement justifier les plaintes des agents de terrain Bien que la maladie de Gumboro ne soit pas signal e les r sul tats ont montr qu elle circule dans la r gion Les pr valences des mycoplasmoses et de la bron chites infectieuses sont lev es Ces maladies s vis sent dans plus de 60 des villages Le Mycoplasma synoviae est l agent le plus r pandu La pullerose a t d pist e aussi dans plus de 50 des villages mais le nombre d oiseaux infect s est faible Les r sultats obtenus pour la maladie de Newcastle de Gumboro et de la pullorose diff rent de ceux trouv s au S n gal au Niger et au Togo 1 5 6 Par contre ceux de la bronchite infectieuse et des Mycoplasmoses se rapprochent de ceux trouv s au S n gal au Maroc et en Tunisie 1 2 3 Toutefois en Tunisie c est la pr valence de l infection a Mycoplasma gallisepticum qui est plus lev e Ces maladies tr s r pandues dans les villages sont sans doute les causes de pertes de volailles dont se plaignent les aviculteurs et les agents de terrains La pr sence de plusieurs anticorps diff rents trouv s parfois sur un m me oiseau montre les associations des infections dans les poulaillers Des observations similaires sont faites aussi ailleurs 2 10 13 17 Une infection provoque moin
122. e la plante porte une grande quantit de se mences a maturit celles ci sont recueillies dans de larges plateaux en plastique tenus d une main tandis que l autre main tape les plantes sur le plateau Le m lange de semences et de folioles est mis ensuite a s cher au soleil puis un battage vannage permet de r cup rer les semences s agit de semences v tues c est dire comprenant l enveloppe entourant la grai ne Cette technique a l avantage de maintenir la v g tation en place ce qui est recherch dans le cas des jach res am lior es Une seule personne peut r colter par jour 2 3 kg de semences v tues avec un inves tissement en mat riel de l ordre de 2000 FCFA soit 3 5 U comprenant des sacs et un plateau Mais le ren dement r colte est plus faible qu avec les techniques habituelles de fauchage de la plante o de r colte m canis e environ 300 kg ha contre 600 kg ha Le Calopogonium mucunoides a une maturit tal e dans le temps De plus ses gousses sont rapidement d hiscentes La r colte manuelle des gousses de pe tite taille demande beaucoup de temps et des pas sages r guliers dans la parcelle En station exp ri mentale et avec de la main d oeuvre salari e on peut ainsi obtenir des rendements lev s allant jusqu a 800 kg ha Les paysans par contre ont beaucoup de diffi cult s a r aliser ce type de r colte La technique qui leur est propos e consiste a couper les plantes l
123. e of spore populations in some sites seemed related to the increase of rainfall as well as soils and plants factors la classe des Zygomycetes sont des micro organismes du sol tr s ubiquistes pr sents dans la plupart des taxons v g taux et dans 67 des familles v g tales 25 Leur r le dans l am lioration de la nutrition phos phat e la r sistance et la survie des plantes au stress hydrique comme la protection contre certains agents pathog nes telluriques a fait l objet d innombrables tudes aussi bien chez les esp ces ligneuses que chez les vari t s horticoles et c r ali res 2 27 Au S n gal des tudes sur des associations avec Azadirachta indica A Juss Casuarina equisetifolia Forst et Acacia senegal L Wild itlustrent la variabilit des in fections endomycorhiziennes dans le cas d arbres Departement de Biologie V g tale Facult des Sciences et Techniques Universit Cheikh Anta Diop de Dakar B P 5005 Fann Dakar S n gal Direction des Recherches sur les Productions Forestieres Institut S n galais de Recherche Agricole B P 2312 Dakar S n gal Adresse actuelle Laboratoire de recherches sur les Symbiotes des Racines BSFT ENSAM INRA 2 Place Viala 34 060 Montpellier Cedex 1 France Regu le 17 03 97 et accept pour publication le 24 03 98 161 TROPICULTURA croissant dans des zones semi arides et signalent la pr sence de deux genres de ces champignons Glomus et Gig
124. e pour la premi re fois de C te d Ivoire 2 Mais cette tude morphologique n a port uniquement que sur Padulte de l insecte L action trophique d velopp e par S couturieri dans la r gulation de l abondance de la cochenille farineuse du manioc Phenacoccus maniho ti nous a amen s a approfondir cette description et a la compl ter par l tude des aspects morphologiques et des param tres biologiques du pr dateur Le d ve loppement holom tabole la faible f condit et la dur e tr s longue du cycle biologique caract risent le pr dateur Introduction Les d g ts caus s par la cochenille P manihoti Matile Ferrero sur le manioc sont spectaculaires et s obser vent le plus souvent au niveau du feuillage et des bour geons en particulier Pratiquement toute la ceinture de culture du manioc est menac e 1 3 et pres de 4 5 millions d hectares de manioc sont en p ril 5 Selon Nwanz 7 les cons quences de ces d g ts sont estim es 700 millions de francs cfa soit 30 de la production totale en tuber cules sans compter des pertes en boutures et feuilles fraiches Depuis l observation de cette dramatique situation des moyens de lutte se sont multipli s et s orientent pr f rentiellement vers la lutte biologique par utilisation d agents biologiques locaux ou exotiques Contrairement aux auxiliaires exotiques dont l adap tation la zone d introduction n cessite une acclima tation avec modifi
125. en charge du projet par un bailleur de fonds Conclusion L approche participative en vue de l int gration de l le vage dans les syst mes de production agricole en mi lieu tropical rel ve d une analyse d ensemble du mi lieu o les param tres d levage ne sont pas les seuls tre pris en consid ration Une m thodologie de travail rigoureuse est n cessai re pour aboutir des r sultats efficaces et durables 219 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 220 BIBLIOGRAPHIE BOEKBESPREKING BIBLIOGRAPHY BIBLIOGRAFIA Aviculture semi industrielle en climat subtropical oneee Guide pratique oo A Buldgen 4 al Format 15 7 x 23 5 cm 128 pages 15 tableaux 10 figures ou plans dessins Editions Les Presses Agronomiques de Gembloux 2 Passage des D port s B 5030 Gembloux Belgique T l 081 62 22 42 Fax 081 61 45 44 Prix 925 BEF pour les commandes manant des pays ACP 40 Cet ouvrage d a Buldgen et ses collaborateurs A Parent P Steyaert et D Legrand consti tue un excellent guide pour les aviculteurs d butants ou chevronn s qui travaillent en mi lieu subtropical Le texte est clair simple et facile a lire m me si quelques rare termes sur tout v t rinaires ne sont malheureusement pas expliqu s Des encadr s gris s font ressortir les donn es essentielles dans cet opuscule qui vise une meilleure efficacit de l avicultu re en pays chauds Les deux chapitres sur la main d uvre et sur l
126. ent to which diversification linked with complementation tends to optimize the system Introduction Argentina is the most southern country of South America It shows a wide variety of bioclimatic condi tions ranging from the subtropical forests in the North of the country with poorly defined seasons and avera ge precipitation of 2000 mm to the Patagonia a table land region constituting the Southern tip of the country with a cold and windy climate and a rainfall less than 200 mm a year Santa Fe state is located in the Central East of the country in the middle of the vast and humid grassy plain known as Pampas with a temperate cli mate and annual average precipitation of 1200 mm The Faculty of Veterinary Sciences where this investigation was Carried out is located in Casilda City in the South of the state at 60 km from the Parana River This river is also the natural habitat of wild coypus Myocastor coypus a rodent which reaches an average adult weight of 6 7 kg and is found in family groups of one male with several females The females have on an ave rage 4 to 5 young per litter with up to 2 litters per year Centro de Estudios Ambientales CEAV C tedra de Gen tica y Biometr a Resumen Especies no tradicionales en Argentina Su inte graci n a la prducci n agr cola El desarrollo de alternativas de producci n agrope cuaria puede tener distintas formas de abordaje En Argentina se dispone de una importante
127. epartamento Caseros Provincia de Santa Fe Argentina Anales de la Sociedad de Biologia de Rosario 1995 3 Bouche M B Lombriciens de France Ecologie et Systematique Paris Inst Natn Rech Agron 671 pp 1972 4 Di Masso R J Marc L B amp Biasatti N R Earthworms Eisenia foetida Savigny growth in coypu and other animal faeces as nutritional substra ta Megadrilogica 6 12 105 109 1997 5 Edwards C A 4 Neuhauser E F Earthworms in waste and environmen tal management SPB Academic Publishing The Hague The Netherlands 1988 6 Ferruzzi C Manual de Lombricultura Mundi Prensa Madrid 1986 7 Fuentes Yag e J L La crianza de la lombriz roja Ministerio de Agricultura Pesca y Alimentacion Madrid 1987 8 Griva E amp GodoyJ C Actas del Primer Congreso de Producci n Nutriera CIUNR Rosario 1973 9 Hardouin J Minilivestock from gathering to controlled production Biodiversity and Conservation 4 220 232 1995 10 Mischis C Las lombrices de tierra de la Provincia de C rdoba Argentina Bolet n de la Academia Nacional de Ciencias de C rdoba Argentina Tomo 59 3 y 4 C rdoba 1991 11 Pesci R Documentos de proyectaci n ambiental Serie de Desarrollo Sostenible CEPA La Plata Argentina 1994 12 Reynolds J Earthworms Biology and Ecology Course Manual Oligochetology Laboratory Canada Ontario 1996 13 Righi G Introducci n al estudio de las lombrices del s
128. ermination de la part de la produc tion en basse lactation par rapport la production an nuelle totale Pour ce faire il suffit de calculer le ratio suivant Volume de lait collect durant la basse lactation Se NUL Collecte totale Dans le tableau 1 les ratios de saisonnalit de la pro duction au niveau des huit centres de collecte tudi s sont consign s pour les ann es 1992 1996 Il appa ra t que le param tre de saisonnalit volu la hausse de 31 9 40 3 Cela veut dire que l effet de la saisonnalit tend s estomper Les leveurs veulent ainsi profiter du meilleur prix du lait en basse lactation moyennant les compl ments alimentaires tels les sous produits agro industriels 6 10 Pour l ann e 1996 les courbes retra ant les livraisons mensuelles de lait aux huit centres de collecte ont t dress es Figure 2 Il existe deux principaux types de courbe diff renci s par l amplitude de la variation entre la p riode de pic de livraison et la p riode de livraison minimale Les courbes des centres de collecte num 140000 120000 100000 L a 80000 7 E I o 6000 o ol a r e 4 een I e x ee NY e i O O O 20000 Te EE E y A A A 01 a O Nasa de 4 4 J F M A M J J A S o N D Mois 1 x El Wahiaouia 2 HH El Farah 34 Ain Johra Wahdall 5 A Ait Malek 6 Karam Lo Anno 8 Sidi Abderrazak Figure 2 Evolution mensuelle
129. est en accord avec celle r alis e dans la for t ghan enne 19 Chez Triplochiton scleroxylon les racines tertiaires sont fines courtes de couleur noire et densement ramifi es dans le premier tiers du pivot Dans la zone m diane on note l existence de tr s peu de racines secondaires l extr mit il exis te quelques racines longues et ramifi es d coule de cette description que le syst me radiculaire de toutes ces essences est pivotant bien que pr sentant quelques variantes Croissance initiale et d veloppement des plantules Pour ce qui est de Take a rien la croissance verticale et lat rale varient de 30 cm Milicia excelsa a 90 cm Ricinodendron heudelotii puis de 0 25 cm Pycnanthus angolensis a 0 85 cm Ricinodendron heu delotii respectivement L analyse de la variance r ve le l existence d une diff rence significative P 0 001 entre les diff rentes especes Cette disparit est in duite par Ricinodendron heudelotii Ceiba pentandra et Terminalia superba Ce r sultat sugg re que chacu ne des esp ces tudi es adopte un mod le de crois sance ind pendamment des autres bien que plac es dans les m mes conditions cologiques du milieu Une analyse plus fine au DMRT Duncan Mutiple Range Test montre que les esp ces Celba pentandra Ricinodendron heudelotii et Terminalia superba sont les plus performantes tandis que Milicia excelsa est la moins efficace Tableau 1 La croissance lente obser v
130. et positif qui se traduit par une am lioration de la productivit comme le d montre le tableau 2 Dans le syst me agro pas toral du Mali central il est g n ralement not deux types d habitats l levage au piquet et l levage en enclos a labri ou non des intemp ries La pr sente tude r vele tableau 2 qu un habitat bon c est a dire qui associe a la fois le piquet et l enclos contribuerait a am liorer la productivit des moutons et des ch vres Quand les animaux sont attach s au piquet l int rieur d un enclos non seulement les malades sont d tect s facilement et les absences vite constat es par le nombre de piquets vides mais les pertes par suite de vol ou attaque des pr dateurs sont r duites De m me les stress d ordre climatologique favorables l volu tion des pneumopathies 4 5 et 6 sont att nu s Les moutons tant conduits ensemble par un m me ber ger les temps de pature enregistres pendant le suivi semblent correspondre en r alit a l abondance de nourriture en hivernage et apr s les r coltes soit 480 mn et la p nurie alimentaire en saison s che 580 mn o les moutons parcourent plusieurs kilom tres la recherche de p turage En r alit une distinction de vrait tre faite entre temps d absence dans les concessions et temps de p ture car cette derni re TROPICULTURA notion englobe le temps perdu en d placement pour atteindre le p tur
131. eu pr par essentielle ment base de cette substance glucose Apr s 48 heures d incubation l tuve l acidification a t d tect e en ajoutant quelques gouttes de m thyle rouge la culture Le virage au jaune pH sup rieur 5 0 in dique un est n gatif tandis que le virage au rouge pH inf rieur 4 8 indique un test positif 20 Pour contr ler la d composition de l amidon en glu cose diff rentes souches bact riennes isol es ont t inocul es dans le bouillon nutritif et les solutions de Fehling A et B ont servi pour le test La coloration diff rentielle de Gram t r alis e selon la m thode d crite par Carbonnelle et al 4 et par PO M S 14 R sultats et discussion D nombrement des germes sur diff rents milieux Le d nombrement des germes a donn une moyenne de 738 102 684 102 533 103 12 10 et 0 germes ml respectivement sur g lose EMB lactose MacConkey Rahn et TCBS agar pour du miel manipul Cependant rien ne s est d velopp de la culture du miel pr lev di rectement a la ruche ce qui confirme l aseptie dans cette derniere 13 Bien que l incubation ait t r ali see a 37 C pendant 48 heures pour tous les milieux sa dur e a t exceptionnellement de 7 jours pour le mi lieu de Rahn le d veloppement bact rien s y tant avere tres lent L appr ciation de l tat sanitaire des chantillons a t faite selon les normes belges appliqu es
132. from the field TRAMEAN 1 if means of transportation is headload or backload and O if otherwise availability of cassava processing ma chine in the village CACINE 1 if there is no cassava processing machine in the village and 0 if otherwise CACINE Table 4 Parameter estimates of explanatory variables of adoption of improved cassava varieties VARYT The results of analysis Table 4 show a negative and statistically significant relationship between distance to fields and cultivation of improved cassava varieties This means that where fields are located far away from farmers homesteads the adoption of high yielding va rieties of cassava is not likely to have much success because of the reasons given above This will be par ticularly the case in areas of high demographic pressure resulting in land scarcity and the need to travel longer distances to and from fields 7 Tshiunza et al 8 found that about 75 of cassava fields in sub Saharan Africa are located far away from farmers homesteads as a result of demographic and market pressures on land Transportation by headload backload bears a negati ve and statistically significant relationship with the li kelihood of adoption of improved cassava varieties This means that the lack of motorized vehicles for the transportation of cassava output from fields is likely to impede the adoption of high yielding cassava varie ties Lack of cassava processing machine in the villa
133. ge has a negative and statistically significant relation ship with the likelihood of cultivation of improved cassava varieties Conclusion Cassava fresh root yield per unit area is significantly higher 45 for the improved varieties than for the local However field production labor per unit area is also higher 11 for the improved varieties As a re sult their advantage in terms of cassava root yield per unit labor is only 30 When transportation and pro cessing activities are taken into account gari yield per person day is only about 8 higher for the improved varieties This is because field to home transportation activity and the processing of cassava into gari are highly labor intensive and the processing labor requi variable parameter standard Wald Pr gt h estimate error Chi square Chi Square rements per unit weight are constant These results in dicate that high yielding cassava varieties do not have mercer os pees ar or 0 2091 a significant advantage kg of gari per person day over LOCATE 1 7292 0 7271 5 6555 0 0174 S l d TRAMEAN 0 5526 0 3342 D 7329 0 0983 local varieties Asa result the level of their adoption is CACINE 1 2027 0 4736 6 4490 0 0111 negatively related with distance to fields headload Statistics a does transportation means and absence of a processing 509 ne nai machine in the village It is suggested that field to Chi2forcoy 21598 home transportation of fresh roots as well as proces wi
134. gestion Type de l habitat Bon 35 858 8a Mauvais 129 686 5b Hygi ne de l habitat Bonne 16 696 1a Mauvaise 148 849 1b Suppl mentation Avec 80 898 9a Sans 84 646 3b Temps de p ture 480 min j 145 796 6 580 min 19 748 7 n nombre d observations x moyenne err std erreur standard Dans une m me colonne les moyennes affect es de diff rentes lettres l int rieur d un m me groupe diff rent P lt 0 05 de productivit observ es entre troupeaux le berger pourrait ne pas tre l origine puisqu il n est que char g de conduire les animaux au p turage La location des services d un berger professionnel prouve que l agro pasteur qui est avant tout agriculteur ne ma tri se pas parfaitement le m tier d leveur C est pour cette raison que la taille de la famille a un effet signifi catif sur la productivit des ovins puisque le contr le des effectifs des animaux les soins accord s aux nou veaux n s la compl mentation alimentaire et dans une moindre mesure les soins sanitaires sont laiss s Fini tiative du m nage voire du sous m nage L levage des ovins reste aussi une activit entreprise g n rale ment par les agro pasteurs plus riches capables de payer le berger toute l ann e Les r sultats de la pr sente tude montrent qu aussi bien chez les ch vres que chez les moutons les pro pri taires les plus riches ne sont pas n cessairement ceux qui ont les meilleurs troupea
135. ido o adaptado De todos modos se guardar un ejem plar en los archivos de Agri Overseas Los autores recibir n gratuitamente 20 publicados separatamente del art culo Instrucciones pr ticas El manuscrito comprender como maximo 10 p ginas escritas a m quina con doble interlinea y con un margen a la izquierda de 5 cm en papel blanco de formato DIN A4 21 x 29 7 cm a sobre disqueta Presentaci n Titulo corto y en min sculas Autores debajo del t tulo los apellidos en min sculas para las iniciales del nombre nombre completo para las damas con as terisco para remitir a la nota en pie de p gina donde figurar la identificaci n de las instituciones Palabras claves 7 como m ximo en Ingl s Keywords Resumen en el idioma del art culo y en Ingl s Max 200 palabras Introducci n Material y m todos u observaciones Resultados Discuci n Conclusiones Agradecimientos Las referencias bibliogr ficas se dar n por orden alfab tico seg n el apellido de los autores y ser n numeradas de 1 a x Referir an el texto a estos n meros entre par ntesis _as referencias comprender n Para las revistas el apellido de los autores seguido de las iniciales de los nombres el a o de publicaci n el t tulo completo del art culo en el idioma de origen el t tulo de la revista el n mero del volumen subrayado la primera y la ltima p gina Ejemplo Poste G 1972 Mechanisms of virus induced cell fusion Int Rev Cyt
136. iga 5 1987 Etude de l pid miologie des pneumopathies des petits ruminants In Diallo A K 1987 Activit s de recherche du CIPEA Mali en 1986 Comit scientifique et technique INRZFH 16 25 juin 5 Traor A 1985 Causes de mortalit avant le sevrage chez les ovins et les caprins du systeme agro pastoral du Mali central pp 119 126 in Wilson R T et Bourzat D diteurs les petits ruminants dans l agricultu re africaine Addis Abeba ILCA CIPEA 6 Traor A 1987b L levage au Mali central mortalit et morbidit chez les ruminants sous gestion traditionnelle dans la zone de Niono PD AZ 163 CIPEA Bamako Mali 7 Wilson R T 1982 The social and economic importance of goats under traditional management in the semi arid zone of northern tropical Africa pp 186 195 in Proceedings III World Conference on Goat Production and Diseases Tucson Arizona 10 15 janvier 1982 8 Wilson R T 1986 Livestock production in central Mali Long term studies on cattle and small ruminants in the agropastoral system llca Research Report No 14 international Livestock Centre for Africa Addis Abeba Ethiopia 9 Wilson R T 4 Light D 1986 Livestock production in central Mali Economic characters and productivity indices for traditionally managed goats and sheep Journal of Animal Science 62 567 575 10 Wilson R T de Leeuw P N 4 de Haan C 1983 Recherches sur les sys temes des zones arides du Mali r sultats pr limi
137. ile et sont plus pauvres en surface et sans structure d finie 6 lls se classent dans la cat gorie des sols ferralitiques fortement d satur s de la classification fran aise La v g tation naturelle est une savane herbeuse faible ment arbustive repr sent e par des pieds de Annona arenaria Thonn dispers s La v g tation herbac e est constitu e essentiellement de Loudetia simplex Nees Digitaria sp et Andropogon sp Laboratoire d cologie appliqu e et de protection des v g taux Institut de D veloppement Rural Universit Marien Ngouabi BP 13647 Brazzaville Congo Re u le 31 07 96 et accept pour publication le 03 06 98 184 TROPICULTURA Tableau 1 Origines et coordonn es g ographiques de quelques provenances de Pinus caribaea Origines Provenances Latitude Honduras Los limones 14 03 N Culmi 15 06 N Potosi 15 20 N Brus lagoon 1545 N Guanaja 16 27 N Nicaragua Karawala 12 58 N Alamicamba 13 34N Santa clara 13 48 N Bahamas Andros 24 53 N Guat mala Poptun 16 21 N Cuba Los cabanas 22 40 N Vinales caya la mula 22 33 N Honduras Santos 17 34 N britanique Melina 17 01 N Belize Mat riel v g tal Il s agit de dix sept provenances de Pinus caribaea Morelet regroup es dans deux parcelles exp rimen tales d sign es 72 02 et 81 2 Elles sont originaires d Australie d Am rique centrale et de la mer des Cara bes tableau 1 Le dispositif exp rimental de chaque parcel
138. ion d mographique que conna t de nombreuses r gions tropicales se traduit par un raccourcissement ou une limination de la jach re et une destruction insidieuse de la for t Ainsi le probl me de la reconstitution de la fertilit des sols jadis r solu par ce m me syst me n a plus trouv de solution Les options actuelles consistent renverser la tendance en pratiquant une agriculture durable o l exploitant pourra long terme non seulement stabiliser son exploitation mais prot ger la for t et les sols tout en augmentant sa produc tivit agricole L agroforesterie est l une des alterna tives pouvant r pondre ces objectifs Mais il se trouve que pour de nombreuses technologies jach re am lior e jardins de case agriculture en couloirs etc in troduites dans cette zone les paysans pr f rent les essences locales aux esp ces exotiques dont la plu part leur sont inconnues Parmi les pr f rences pay sannes figurent au premier rang les esp ces qu ils pro Summary Seed Germination Growth and Development of some Local tree Species of the Forest Zone Studies were conducted on eight indigenous multi purpose trees species Alstonia boonei De Wild Ceiba pentandra L Gearth Cordia platythyrsa Bark Milicia excelsa Welw c c Berg Pycnanthus angolensis Welw Warb Ricinodendron heudelotii Bail Pierre ex Pax Terminalia superba Engl et Diels et Triplochiton scleroxylon K Schum The o
139. ion dans les syst mes de production Veeteelt in de Tropen Integratie in de productiesystemen door een inspraakbevorderende aanpak Ganader a en medio tropical Enfoque participativo con miras a su integraci n en los sistemas de producci n MATOS CIV COTO dE Sd era es aie ga A cdt 216 BIBLIOGRAPHIE BOEKBESPREKING BIBLIOGRAFIA cooocooccocononccnccnconononononnnnnnrncocnno nn nono nono ENE aaa eaaa aane eaaa 220 INDEX VOLUME 181 7 INDIGES VOLUMENES Td ii en 221 English Contents on back cover The opinions expressed and the form adapted are the sole responsability of the author s concerned Les opinions mises et la forme utilis e sont sous la seule responsabilit de leurs auteurs De geformuleerde stellingen en de gebruikte vorm zijn op de verantwoordelijkheid van de betrokken auteur s Las opiniones emitidas y la forma utilizada conciernen unicamente la responsabilidad de los autores ARTICLES ORIGINAUX ORIGINAL ARTICLES TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 161 166 OORSPRONKELIJKE ARTIKELS ARTICULOS ORIGINALES Distribution et diversite des champignons endomycorhiziens Glomales du Senegal A T Diallo Pl Samb amp M Ducousso Keywords Arbuscular endomycorrhizal fungi Glomales Glomus Scutellospora Gigaspora Senegal R sum Dans les zones tropicales arides et semi arides carac t ris es par une d gradation sans cesse croissance du couvert v g tal les champignons endomycorhiziens se
140. iorit adaptative dans les sols trait s particuli rement dans la perspective d applications ult rieures de ces pro duits En effet si l adaptation se maintient partielle ment en l absence du substrat jusqu une nouvelle application du produit la biod gradation de ce dernier Figure 3 Effet de la st rilisation sur la d gradation du lindane sur le sol de l ITGC TROPICULTURA ne conna tra plus une phase de latence aussi longue que lors du premier traitement 3 pouvant entra ner ainsi un chec du traitement par manque de couverture de la p riode de risque La figure 3 illustre bien le r le des microorganismes dans la dissipation du produit La d gradation est interrompue suite l absence des microorganismes limin s par la chaleur La d grada tion du lindane s op rerait de plus en plus rapidement et proportionnellement en fonction du nombre d ense mencement sur le milieu de culture utilis Cette pro c dure a permis au bout du 10 me ensemencement d obtenir une d gradation de plus de 95 du produit en moins de 4 jours contre plusieurs semaines pour le milieu non enrichi Le tableau 2 repr sente le pour centage de d gradation du lindane dans les tubes contenant le milieu de culture satur en gamma HCH selon diff rentes dilutions Le pourcentage de d gra dation du sol adapt est de 89 1 pour une dilution de 107 alors qu il ne repr sente que 60 2 pour le m me sol non adapt t
141. itions qui favorisent une d gra dation acc l r e du lindane sont celles qui sont les plus favorables a une activite ou a une croissance mi crobienne ll en est ainsi d une l vation de temp ra ture et d humidit ou encore d un apport de carbone 169 TROPICULTURA Sul nen wont Q Selasa nant mocult E 8 3 Figure 4 Biod gradation du lindane dans le sol ITGC inocul par le milieu de culture enrichi Sel nen wand OS Soi nan vend accent e 3 E f E Figure 5 Biod gradation du lindane dans le sol de Dakar inocul par le milieu de culture enrichi R f rences bibliographiques Forrest M Lord K A 4 Walker N 1981 Environ Pollut A24 93 Harris C R Chapman R A Harris C 4 Tu C M 1984 J Env Sci Health B19 1 1 11 Kaufman D D 8 Edwards D F 1983 in IUPAC pesticide chemistry Human Welfare and the environment 1 Miyamoto et al cds NV Pergamon Press 177 182 Kiyokara H Nagao K 4 Yiono K 1982 Appti Env Microbiol 43 454 Manual of method for general bacteriology 1981 American Society for mi crobiol Ed Philip Gerhardt Washington DC 2006 Mercedes M De Andr a 4 Flores Ruegg E 1988 in Isotope technique for studying the fate of persistent pesticides in the tropics IAEA TECDOC 476 Vienna 53 59 Senoo K amp Wada H 1989 Soil Sci Plant Nutr 35 1 79 87 Sethunathan N 1973 J Agric Food Chem 21 602
142. le est celui en blocs complets al atoires Les caract ristiques initiales de chaque parcelle sont donn es dans le tableau 2 Les parcelles tudi es ont t mises en place selon des m thodes semblables celles qui sont utilis es par les soci t s d afforesta tion Les diff rentes op rations comprennent la pr paration du terrain le labour la plantation et le sarcla ge Au niveau du suivi des peuplements tr s peu a t fait si ce ne sont les d gagements les sept premi res ann es Aucune claircie n a t pratiqu e les peu plements tant l origine destin s la fourniture de bois de p te dont l exploitabilit est fix e vingt ans Caract res tudi s et collecte des donn es Les caract res quantitatifs concernent le taux de sur Tableau 2 Caract ristiques des parcelles exp rimentales Caract ristiques Parcelle 72 02 Parcelle 81 2 Nombre de provenances 15 7 ou de traitements Nombre de blocs 5 8 Nombre total de placeaux 75 56 Nombre d individus par placeau 49 7x7 64 8x8 Ligne de bordure 2 de Pinus 1 de Honduras caribaeae versepuy HV2 Surface totale 3 62 ha 4 69 ha Ecartement 25mx25m 35mx35m Date de mise en place Novembre 1972 D cembre 1981 Dispositif exp rimental en blocs complets al atoires Longitude Altitude m Pluviom trie mm 86 42 W 700 660 85 37 W 550 1600 2000 88 25 W 650 1200 84 40 W 10 2600 2800 8554 W 75 2300 83 34 W 5 10 3200 3500 84 17
143. mblent jouer un r le majeur dans la conqu te par les v g taux de nouveaux espaces terrestres et la survie des communaut s v g tales sous diverses conditions daphiques et environnementales Malgr un regain d int r t pour ces micro organismes la distribution et la diversit des esp ces de champignons indig nes dans les sols du S n gal ont t jusqu ici tr s peu tu di es s agit donc dans ce travail d valuer les popu lations sporales de Glomales dans divers sols provenant de sites situ s dans les zones sah lienne sah lo sou danienne et soudanienne Les spores extraites Selon la m thode du tamisage humide ont t d nombr es et identifi es Nos r sultats mettent en vidence la pr sence de genres Glomus Scutellospora et Gigaspora et l absence de spores d Acaulospora d Entro phospora et de Sclerocystis dans les diff rents sites dont les sols sont en g n ral tr s pauvres en spores Certains sites pr sentent cependant une diversit et une abondance relative en spores de Glomales sans doute a mettre en relation avec l abondance des pluies la nature du sol sableux et l influence de la composition floristique Introduction Au regard des conditions de temp rature et d claire ment les tropiques sont des zones a fort potentiel de production agricole Mais cet avantage est limit par l influence de contraintes hydriques et daphiques ll en r sulte une destruction du couvert v g tal et l
144. mbre de segment somatiques est de 11 et ne varie pas quel que soit le stade larvaire En dehors de la taille qui augmente et des pi ces buccales qui deviennent vuln rantes il n y a pas de grandes differences morphologiques d un stade l autre On note des filaments de soie aux bords lat raux des segments et au niveau de l extr mit pos t rieure La taille de la larve ne varie pas avec le sexe La larve de deuxi me stade mesure de 0 8 1 mm de long celle du troisi me stade de 1 1 3 mm et enfin celle du quatri me stade de 1 3 3 mm La mesure de 65 larves de chaque stade a donn une longueur moyenne de 0 7 mm et un cart type de 0 1 pour le premier stade 0 9 mm et 0 1 pour le deuxi me stade 1 2 mm et 0 1 pour le troisi me stade et 2 2 mm et 0 7 pour le quatri me stade tableau 1 172 Tableau 1 Taille moyenne et cart type des stades de d veloppement de S couturieri Moyenne mm E type uf 0 5 0 L 0 7 0 1 Lo 0 9 0 1 La 1 2 0 1 La 2 2 0 7 Imago 1 8 0 La nymphe Au terme de son d veloppement la larve de 4e stade L4 cesse progressivement de s alimenter elle se fixe sur un support par sa partie post rieure puis se replie sur elle m me c est le d but de la nymphose Entre les 3e et 4e jours qui suivent le d but de la nymphose ap parait la couleur brune du tegument nymphal ainsi que sa couverture s tifere On peut distinguer 8 a 10 seg ments abdominaux dont les 4 premiers son
145. ment sur l imago de l esp ce Sur le plan de la biologie l tude des principaux ca ract res biologiques au laboratoire est indispensable pour mieux comprendre le comportement de l insecte dans son milieu de vie naturel Cette tude nous a montr que la coccinelle est troi tement li e la cochenille P manihoti La ponte des ufs dans l ovisac du ravageur pourrait dans une cer taine mesure justifier cette adaptation du pr dateur son h te L holom tabolie observ e nous a permis de conna tre la coccinelle sous ses diff rentes formes biologiques Ce qui permet de mieux suivre son volution au champ D apr s les r sultats exp rimentaux chaque femelle de S couturieri peut pondre en moyenne 1 8 1 2 ufs par jour 9 alors que la f condit est de 24 2 1 4 ufs au total Comparativement au rythme de ponte et la f condit de P manihoti qui sont tr s lev s 3 a 60 ufs par jour et 200 400 ufs respectivement selon Leuschner 6 S couturieri peut priori tre per u comme un auxiliaire ne pouvant jouer un r le r gula teur consid rable sur le ravageur Mais tout le cycle biologique du Coccinellide offre plut t un grand int r t dans la mesure o outre l imago les larves consomment galement la cochenille De plus la dur e de vie de l imago forme la plus vorace du Coccinellide est en moyenne de 52 4 23 3 jours soit sensiblement deux mois au cours desquels le pr date
146. min es sous la loupe binocu laire s par es suivant la couleur la forme la taille et certaines structures caract ristiques saccule sporif re bouclier de germination bulbe suspenseur puis photographi es Chaque type de spore est plac sur lame dans un milieu de montage permanent le PVLG polyvinyl alcool acide lactique et glyc rol 23 sans co loration prealable ou apres coloration au r actif de Meizer 17 L identification a t effectu e au micro scope photonique optiphot de Nikon selon la cl de d termination de Schenck et P rez 26 Les speci mens de chaque type de spores sont d pos s l her bier de l ORSTOM Dakar S n gal Analyse des r sultats Les types de spores observ s sont mentionn s pour chaque site tudi ainsi que le nombre de spores par 100 g de sol Dans les observations r alis es a Touba Toul les donn es de nombres de types de spores et sur les nombres de spores par 100 g de sol ont fait l objet d une analyse de variance avec le logiciel Stat I T C F 15 2 facteurs contr l s l ge du parc et la proximit de l arbre afin de tenter de mettre en vi dence si la pr sence de l arbre dans les champs a une influence sur les populations de spores de Glomales Sites Coordon n es Zone sah lienne SA Ngaoul Ha r Mboumba Baborel Gandiolais 16 30 N 15 01 O 16 26 N 14 220 16 10 N 14 01 O 16 03 N 14 08 O 16
147. mycorrhizal fungi Trans Brit Mycol Soc 81 37 45 30 Walker C 1992 Systematics and taxonomy of the arbuscular endomy corrhizal fungi Glomales A possible way forward Agronomie 82 192 207 31 Walker C amp Sanders F E 1986 Taxonomic concepts in the Endogonaceae lll The separation of Scutellospora gen nov from Gigaspora Gerd amp Trappe Mycotaxon 27 169 182 32 Wu C G 1993 Glomales of Taiwan IV A monograph of Sclerocystis Glomaceae Mycotaxon 49 327 349 33 Wu C G Liu Y S Hwuang Y L Wang Y P amp Chao C C 1995 Glomales of Taiwan 5 Glomus chimonobambusae and Entrophospora kentinen sis spp nov Mycotaxon 53 283 294 Dr p i Samb S n galais Maitre de conf rences Universit Cheikh Anta Diop UCAD Dr M Ducousso Francais chercheur DRPF ISRA 166 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 167 170 Etude de la biod gradation acc l r e du lindane dans le sol M Bennaceur J Bastide amp C M Coste Keywords Lindane Treatments Rapid Degradation Soil Microrganism R sum Une biod gradation rapide du lindane a t observ e dans les sols trait s plusieurs fois avec l insecticide Le taux de disparition du lindane augmente avec la fr quence des applications s est constitu probable ment une microflore progressivement adapt e qui est a Porigine de ce ph nomene Une bact rie Bacillus sp responsable de la biod gra dation rapide du p
148. n and justifies frequent stagnations of milk deliveries to those centers From another point of view a large va riation in the technical management of dairy herds was noticed This was explained by the effects of structu ral parameters agricultural area number of dairy cows and by weak possibilities to cultivate forages for the cows It was obvious that smallholders agricul tural area lt 10 ha had a greater concern with dairy ac tivity as a different trend was observed on big farms agricultural area gt 50 ha where sheep and suckling COWS were given priority Echelle 1 1000 000 Oc an Atlantique i N maja fh Be Hepa Figure 1 Situation de la zone d tude Institut Agronomique et V t rinaire Hassan B P 6202 Rabat 10101 Maroc Centrale Laiti re 83 rue Emir Abdelkader Casablanca Maroc Re u le 21 04 98 et accept pour publication le 22 07 98 201 TROPICULTURA de Tiflet sachant que la production laitiere au Maroc a toujours t cantonn e dans les seules r gions irri gu es 10 Or il est connu qu une filiere aussi longue que la filiere laitiere repr sente un r el moyen de d veloppement des zones rurales non irrigu es 10 6 pour peu que soient r unies les conditions n cessaires a la production et a la transformation du lait 7 8 L analyse de fili re constitue des lors un outil puissant pour dresser un diagnostic des activit s en cours 5 Le pr sent
149. n 3 fois plus lev s pour les l gumineuses petites graines qui n cessitent d une part plus de temps pour la collecte au champ et pour le vanna ge triage et d autre part plus de mat riel Le co t global de production peut tre valu par ha ou par kg de semences produites tableau 5 Ce deuxi Tableau 3 Les charges de culture pour la production de semences de l gumineuses Mucuna Cajanus Stylosanthes Calopogonium pruriens cajan hamata mucunoides semences v tues Semences kg ha 25 15 8 6 prix du kg en FCFA 1000 1000 4000 5000 FCFA ha 25000 15000 32000 30000 Fertilisation 100 kg ha NPKen 22000 22000 22000 22000 FCFA ha Op rations culturales FCFA ha Labour 24000 24000 24000 24000 Semis 8000 8000 12000 10000 1 sarclage 10000 10000 12000 12000 2 sarclage 10000 12000 12000 Tuteurage 10000 Arrachage herbes 8000 8000 TOTAL AVANT RECOLTE en FCFA ha 99000 89000 122000 120000 en U ha 170 153 210 203 prix des semences vendues par les stations de recherche ces co ts correspondent aux prix des prestations pour la r alisation de ces diff rentes op rations amortissement et fourniture du mat riel compris 100 FCFA 1 FF 0 172 US 210 Tableau 4 Frais de r colte des semences de l gumineuses Mucuna Cajanus Stylosanthes Calopogonium pruriens cajan hamata mucunoides surface observ e 0 25 ha 0 20 ha 0 45 ha 0 17 ha rendement kg ha 800 600 466 4
150. naires Cipea Rapport de recherche No 5 Centre International Pour l Elevage en Afrique Addis Abeba Ethiopie S Killanga Camerounais Msc en production animale attach de recherche a l Institut de la Recherche Agricole pour le D veloppement a Maroua A Traor Malien Dr en M decine V t rinaire Ph D chercheur au CIPEA Mali expert FAO 183 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 184 188 Croissance et forme des provenances des pins tropicaux au Congo A Moutanda D N zala amp J G M Kazotti Keywords Growth Form Provenance Tropical pine Congo R sum En vue de s lectionner du mat riel v g tal n cessaire pour Pafforestation des provenances de Pinus cari baea Morelet d Am rique centrale d Australie et de la mer des Caraibes ont t compar es a partir de deux essa s selon un dispositif en blocs complets al atoires Des diff rences significatives entre provenances ont t not es selon certains caract res quantitatifs taux de survie croissance en hauteur et en circonf rence et de forme finesse des branches fr quence de fourches 9 et 18 ans apres plantation Il a t pro pos de nouvelles introductions de provenances ou de meilleures descendances des meilleures provenances en vue d augmenter la vari t g n tique Des traite ments sylvicoles sont galement n cessaires pour augmenter la qualit du bois et la productivit du peu plement Introduction Dans le
151. nces sont donc r alisables par les paysans s ils disposent d un minimum de mat riel que l on trou ve facilement sur les march s sac b che plateau Les co ts de production des semences Les co ts de production en parcelle exp rimentale Le calcul des co ts de production des semences des gramin es n a pas t possible du fait des faibles quantit s r colt es en 1995 Le prix de revient des se mences des l gumineuses a t calcul a partir d ob servations r alis es en station en 1995 comprend d une part les charges de culture y compris les intrants et d autre part les frais de r colte et de pr paration des semences avant stockage Les charges de cultu re ont t valu es a partir des tarifs des prestataires de service en vigueur dans la r gion de Garoua Les frais de r colte ont t valu s en pesant les produc tions journalieres et en enregistrant les temps de tra vail consacr s aux diff rentes op rations r colte au champ s chage transport vannage et triage A cela s ajoutent les d penses en mat riel sacherie b che plateau cuvette La main d oeuvre salari e qui a r alis les r coltes tait r mun r e au co t horaire de 126 FCFA ou 0 2 U Les l gumineuses grosses graines mucuna et pois d angole dont le semis et l entretien sont faciles sont moins co teuses cultiver que les autres l gumi neuses tableaux 3 et 4 Les frais de r colte par ha sont enviro
152. no vations ils pourront facilement produire les semences dont ils auront besoin apr s avoir t form s aux tech niques de production mises au point par la recherche Le contexte La pluviom trie annuelle de la province du Nord Cameroun figure 1 varie de 900 mm 1200 mm du nord au sud et permet de conduire dans de bonnes conditions les 4 cultures principales de la r gion ma s Zea mays cotonnier Gossypium hirsutum sorgho Sorghum bicolor et arachide Arachis hypogaea La densit de population de cette province est faible 19 habitants km mais son taux de croissance est lev 6 par an du fait de l installation de paysans mi grants venant de la province de l Extr me Nord du CIRAD TERA BP 5035 34032 Montpellier Cedex 1 France Recu le 23 10 96 et accept pour publication le 16 02 98 Summary Seeds Production for Fallow and Anti Erosion Management The Case of the Savannah Areas in North Cameroon The maintenance of cultivated soils fertility in North Cameroon relies on the extension of the techniques of water erosion control and improved legume crop fal lows These innovations require that seeds must be come available to farmers These seeds are legume seeds Calopogonium mucuno des Stylosanthes ha mata Mucuna pruriens Cajans cajan or perennial grasses Panicum maximum Andropogon gayanus Cenchrus ciliaris On station research has developed the techniques of seeds production which
153. ns L influence de l indice de richesse et de la taille de la fa mille au sens large c est dire englobant les adultes les enfants et les collat raux tous vivant dans une concession peut s expliquer par le fait que le temps et la main d uvre affect s l levage des moutons et des ch vres varient consid rablement d une conces sion l autre Le tableau 2 montre que la productivit des ovins s am liore au fur et mesure que la taille de la famille s l ve le contraire est observ chez les ca prins Les ovins et les caprins semblent ne pas tre g r s de la m me fa on A plusieurs occasions et lors des discussions avec les agro pasteurs il est apparu que le r le des enfants tait d terminant dans l leva ge des caprins Le nombre d enfants dans une conces sion influence hautement la productivit des caprins plus ce nombre est lev plus la productivit est bonne A l ge de 5 15 ans en effet l enfant qui inter vient exceptionnellement dans les travaux champ tres a pour principale occupation dans la concession la garde ou la conduite des animaux Il s occupe surtout des caprins parce que pendant toute l ann e les mou tons des diff rentes concessions tout comme les boeufs sont regroup s en troupeaux et conduits par un berger professionnel r mun r Dans une conces sion le troupeau des caprins est tres souvent consti tu en partie des avoirs des enfants a travers la pra tiqu
154. ns cutives avec le lindane et d une parcelle s n galaise trait e par le m me produit mais de mani re irr guli re Division agrochimie CDTN 2 Bd Frantz Fanon Alger Alg rie Centre de phytopharmacie Universit de Perpignan France Re u le 20 08 97 et accept pour publication le 22 04 98 Summary Rapid Biodegradation of Lindane Soil The rapid degradation of lindane in soils after multiple treatments was studied under laboratory conditions The rate of lindane disappearance increased with the increase in the frequency of application After the four th application of lindane more than 85 of the applied chemical was lost within 8 weeks 70 in control soil The rapid loss of lindane in the field for the long term experiment itself suggested that some lindane decom posing microrganisms had accumulated A bacteria Bacillus sp was isolated as lindane de composing microrganism Materiel et m thodes Pesticide Le lindane isomere gamma 1 2 3 4 5 6 hexachlorocy clohexane poudre mouillable 5 est fourni par Asmidal Alg rie Le lindane standard 2 ppm provient de AIEA Agence Internationale de l Energie Atomique Une gamme d talons tablie a partir du standard est pr par e a partir de la solution mere Sols Les sols proviennent de deux r gions p doclimatiques diff rentes Le premier sol provient de la station exp rimentale de l ITGC Institut Technique des Grandes Cultures a Alger Le secon
155. nuer des disparit s r gionales flagrantes Leur finalit principale est de pro curer les leviers financiers n cessaires a la relance de la croissance conomique notamment par la valorisa tion d avantages naturels et humains d ja existants 11 La r gion de Tiflet au nord est du Maroc Figure 1 correspond parfaitement a ces nouvelles orienta tions de l aide au d veloppement agricole car elle pr sente de nombreux atouts retenant l attention des in vestisseurs proximit des march s urbains de Rabat de K nitra et de Mekn s F s al as climatiques moins prononc s que dans d autres zones pr cipitations an nuelles moyennes de 500 mm r partis sur 55 jours sp culation fonci re encore timide Tout ceci explique la dynamique actuelle d installation de projets agricoles dans la r gion ou un surplus d investissements de vrait am liorer les performances actuelles du secteur agricole Dans cette optique il y a lieu de s interroger sur la via bilit du secteur de levage bovin laitier dans la zone Summary Dairy Production and Marketing in a Rainfed Agricultural Region of Morocco The study of the management of eight milk collecting centers located in Tiflet a rainfed agricultural zone of Morocco showed that those institutions only play an in termediary role in the dairy sector even if they are sup posed to assume a more important function Their or ganisation disallows them to promote dairy productio
156. ol 33 157 222 Para las obras el apellido de los autores seguido de las iniciales de los nombres el a o de publicaci n el titulo completo de la obra el nombre del editor el lugar de edici n la primera y la ltima p gina del capitulo citado Ejemplo Korbach M M 4 Ziger R S 1972 Heterozygotes detection in Tay Sachs disease A prototype community screen ing program for the prevention of recessive genetic disorders pp 613 632 in B W Volks en S M Aronson Editors Sphingolipids and allied disorders Plenum New York ablas y figuras ser n presentadas cuidadosamente en p ginas separadas y con numeraci n ar biga al verso Las figuras es ar n dibujadas de modo profesional Las fotograf as se entregar n non montadas y bien contrastadas sobre papel brillante y tumeradas al verso Los titulos y las leyendas se escribar n en una misma pagina separada Jbservaciones Evitar las notas al pie de la pagina Evitar el empleo de guiones Evitar las may sculas in tiles Dar la nacionalidad los diplomas y la funci n de cada autor Dar la traducci n del titulo en Ingl s a Comisi n de redacci n se reserva el derecho de rechazar los art culo que no est n conformes a las prescripciones susodichas English text in N 1 Texte francais dans le N 2 Nederlandse text in Nr 3 TROPICULTURA 1998 99 Vol 16 17 N 4 Four issues a year 4th timester of 1999 CONTENTS ORIGINAL ARTICLES Distribution and Diversity of Glomalean
157. on of glomalean taxonomy systematic biology and the study of endomycorrhizal pheno mena Mycorrhiza 2 97 109 22 Morton J B amp Benny G L 1990 Revised classification of arbuscular my corrhizal fungi Zygomycetes a new order Glomales two new subor ders Glomineae and Gigasporineae and two new families Acaulosporaceae and Gigasporaceae with an emendation of Glomaceae Mycotaxon 37 471 491 23 Omar M B Bolland L amp Heather W A 1979 A permanent mounting me dium for fungi Bull Br Mycol Soc 13 31 32 24 Redhead J F 1977 Endotrophic mycorrhizas in Nigeria species of the Endogonaceae and their distribution Trans Br Mycol Soc 69 275 280 25 Sieverding E 1991 Vesicular Arbuscular Mycorrhiza Management in Tropical Agrosystems Schriftenreihe der GTZ 224 374 p 26 Schenck N C amp P rez Y 1987 Manual for identification of VA mycorrhi zal fungi First Edition Synergetic Publications Gainesville Florida USA University of Florida 245 p 27 Strullu D G Perrin R Plenchette C amp Garbaye J 1991 Les mycorrhizes des arbres et des plantes cultiv es Ed Tech et Doc Lavoisier 28 Thoen D 1987 First observations on the occurrence of Vesicular Arbuscular Mycorrhizae VAM in Hydrophytes Hygrophytes Halophytes and Xerophytes in the region of Lake Retba Cap Vert Senegal during the dry season M m Soc Roy Bot 9 60 66 29 Tommerup C 1983 Spore dormancy in VA
158. on which may be extrapolated to other species by calculating the amount of manure produced and the amount of earthworms necessary for its processing As this approach must be designed within the bounds of economic reality and the ability to put it into practice commercial tests were made at the local level to esti mate the potential demand for meat and fur from the coypus and for humus produced by the worms These studies take also into account the feasibility of future sales of live worms for the establishment of new mo dules or as a protein source for commercial diets The integration was made under the conceptual framework of sustainable agricultural development working to wards the implementation of systems sustainable in time from economic and environmental points of view The very idea of using a valueless waste product coypu manure as the basic input for a productive activity worms is at the least an interesting approach to the theme The operative focus used is based in concepts of Agroecology understood as the science that unites understanding of ecosystems based in applied ecolo gy with agricultural production 1 PALA E SMS Photo 4 A bed of earthworms at the research unit Veterinary Faculty N U R The washe of coypus is processed and transformed in humus 213 TROPICULTURA Materials and methods COYPU Two varieties standard or wildtype from the local area and Cognac obtained from a producers
159. onference moyenne des arbres varie de 33 6 cm 59 5 cm dans la parcelle 72 02 et de 55 7 cm 61 9 cm dans la parcelle 81 2 Caracteres qualitatifs Les r sultats sur les caract res qualitatifs sont consi gn s dans le tableau 5 Ils sont tres h t rog nes Les provenances jugees int ressantes en ce qui concerne les tiges multiples sont celles qui en possedent peu apparait ainsi que la provenance Bahamas andros a un nombre relativement bas de tiges multiples tandis que la provenance Nicaragua karawala en d tient un nombre assez lev La provenance Cuba cabanas pr sente les meilleurs atouts au point de vue de la rec titude la moins int ressante est celle de Belize san tos De m me Honduras potosi Honduras guanaja H limones Belize m linda Belize santos et Guatemala poptun sont des provenances a rectitude m diocre Cuba vinales et C cabanas ne font pratiquement pas de queue de renard contrairement a Honduras brus et Nicaragua karawala qui en pr sentent un nombre lev Les provenances de Cuba et la provenance de Belize santos sont les moins fourchues Les arbres les plus fourchus proviennent du Bahamas andros et du Guatemala poptun On distingue trois groupes d indi vidus en ce qui concerne la finesse de branches ceux TROPICULTURA ae Tableau 5 Comparaison des caract res qualitatifs exprim s selon des indices entre les provenances de la parcelle 72 02 Provenances N moyen N moyen N pond
160. ongo 192 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 193 196 Performance of High Yielding Cassava Varieties in Terms of Quantity of Gari per Unit of Labor in Nigeria M Tshiunza FI Nweke amp E F Tollens Key words Cassava Yield Gari Labor Adoption Summary This paper compares the quantities of gari produced per unit of labor from high yielding and local varieties of cassava in Nigeria Gari is a cassava based granule obtained by roasting fermented cassava paste It is wi dely consumed in Nigeria and many other West African countries The results of the study show that although high yielding cassava varieties are superior to local va rieties in terms of fresh roots per unit area the diffe rence in terms of gari kg per unit labor person day between the two is not significant This is due to high labor requirements for transportation and processing activities incurred by high yielding varieties The study further indicates a negative relationship between the adoption of high yielding cassava varieties and distan ce to fields the use of headload backload as trans portation means and lack of processing machines in the village This means that farmers are less likely to adopt high yielding varieties of cassava where trans portation and processing activities of cassava are car ried out manually Introduction Cassava is a major staple in Nigeria where it ranks se cond in importance after yam In order to increase th
161. onibilit s fonci res diminuer leur int r t pour les bo vins tout en persistant investir dans des vaches am lior es R 0 89 Ceci vise peut tre la r affirmation de leur niveau social par le choix de races prestigieuses plut t que de chercher r ellement valoriser leurs ca pacit s 2 11 14 Le calendrier alimentaire du cheptel bovin montre l existence de deux types de ressources fourrag res g n ralement consomm es en continu sur toute l an n e les aliments produits sur l exploitation qui consistent en pailles et chaumes fourrages secs avoine princi palement et herbe des jach res lors des ann es plu viom trie favorable La paille aliment strat gique peut aussi tre achet e 9 Les fourrages irrigu s sont ab sents et seule l orge en d primage est consomm e en vert pour favoriser son tallage les aliments concentr s soit sous forme simple telle que la pulpe de betterave et le son de bl soit sous forme d aliments compos s 6 dont usage s affirme depuis les campagnes de sauvegarde du cheptel or ganis es par l Etat en ann e de s cheresse Le bilan fourrager montre que les aliments concentr s restent la base de la production laiti re les r sidus de la c r aliculture tant plus consid r s comme un appoint d entretien 9 Les fourrages occupent ainsi dans ce type de syst me de production une place mi neure car l exigu t des surfaces conjugu e l impro
162. onne des moyens de r flexion que nous de vons savoir utiliser bon escient en investissant beau coup de nous m me La position de l levage dans les syst mes de production tropicaux L levage tropical traditionnel toujours t par es sence extensif et peu on reux permet de valoriser des espaces naturels non utilis s par les agriculteurs Sa productivit dans ces conditions est basse mais contribue nourrir les populations a un niveau pro t ique cependant assez faible beaucoup de pays afri cains ne consomment pas plus de 10 kg de viande par personne et par an La production de lait est d risoire et quasi entierement auto consomm e femmes enceintes et enfants en bas age ly a moins d un si cle en Europe l Elevage tait en core consid r comme un Mal n cessaire justifi par le besoin de fumier Aujourd hui il est devenu une sp culation part en tiere compl mentaire a l agriculture et source de di versification du revenu Il devrait en tre de m me dans les pays du Sud par ticuli rement en Afrique sub saharienne ou les an ciennes coutumes sont rest es tenaces L Afrique du Nord l Am rique du Sud et l Asie pr sentent des situations tr s diff rentes car l levage y a d ja acquis une dimension conomique moderne pra tiqu par des soci t s ou des leveurs modernes pri v s Un rapide survol de la situation permet de distinguer trois types d exploitati
163. ons agricoles en Afrique Agriculture seule Elevage seul Association Agriculture Elevage Ces diff rences correspondent souvent a des diff rences ethniques Peuhls leveurs Djermas agricul teurs Haoussas et Touaregs agro pasteurs au Niger par exemple et a des modes de vie diff rents no mades et s dentaires Les relations entre nomades et s dentaires se sont ta blies sur des bases quitables et favorables a l equilibre du milieu les agriculteurs demandaient aux leveurs de faire paitre leurs troupeaux sur leurs champs apres la r colte afin de b n ficier d une fumure organique naturelle gratuite En contrepartie les animaux b n ficiaient a leur tour de r sidus de cultures pour leur ali mentation en saison seche pailles de mil et de sorgho fanes de ni b et d arachides Cet quilibre a cependant t rompu depuis une ving taine d ann es Les s cheresses qui ont s vi au Sahel depuis les an n es 70 ont d grad les p turages forcant les le veurs a descendre plus t t vers les zones de cultures du Sud et a entrer dans des champs non encore r colt s d ou conflits violents et sanglants Invers ment la pression d mographique pousse les agriculteurs a mettre en culture des terres tradition nellement r serv es au p turage a la grande colere des leveurs De ces constatations il appara t que la solution r side mi chemin et doit se concr tiser par le d velop
164. operatives Smallholders Dairy herd Management Rainfed agriculture Morocco R sum L tude du fonctionnement de huit centres de collecte du lait localis s en zone d agriculture pluviale au Maroc dans la r gion de Tiflet a montr que ces structures jouent un simple r le d interm diaires entre leveurs et unit s industrielles laiti res Leur mode de gestion s oppose a la promotion de l activit laiti re et justifie les reculs p riodiques de la collecte Par ailleurs lor ganisation de la production laiti re dans les exploita tions agricoles r vele une grande variation des d ci sions techniques des leveurs Celles ci sont fortement conditionn es par les caract ristiques structurelles de leurs exploitations dont les plus significatives sont la superficie agricole utile SAU la taille du troupeau bovin ou la part des superficies fourrag res dans l as solement Il s est ainsi av r que ce sont les plus pe tits propri taires fonciers SAU lt 10 ha qui se sont le plus investis dans la production laiti re tandis que les grands propri taires SAU gt 50 ha accordent plus d in t r t aux bovins allaitants et aux ovins Introduction Longtemps laiss es pour compte par les politiques de d veloppement agricole au Maroc les r gions d agri culture pluviale connaissent un regain d inter t de la part des pouvoirs publics 2 Ainsi les investissements y ont t encourag s en vue d att
165. or local variety of 64 kg person day 100 Yield per unt arog held per unit labor Ry 3 Indices of fresh root weld per und ares loca variety Wald of 2582kg ha 100 and per unit of labor local variety of 4 8 Kg parson day 100 Nweke et al 4 estimated the labor input in the peeling and roasting activities in the making of gari as 20 wo mandays per ton of fresh roots At yield rates given above Table 3 the processing labor would be 389 person days ha for the improved and 268 person days ha for the local varieties a difference of about 45 The processing labor is proportionate to the fresh root yield per unit area because processing is carried out manually and labor input does not decline with quantity processed It is worth noting from the foregoing that more labor is required to process cassava into gari than to produce cassava fresh roots Cassava yield per unit labor On average 83 kg of cassava root yield in fresh form are produced per person day of labor with improved varieties and 64 kg with local varieties this represents a difference of about 39 in favor of the improved va rieties Figure 2 Gari yield per person day of labor is 5 3 kg for improved varieties and 4 8 kg for local this represents a difference of only 8 in favor of improved varieties Figure 3 This gap is substantially narrower than the gap in the gari yield as well as in fresh root yield per unit area This is because
166. ors qu une bonne proportion des gousses est presque a maturit puis a les faire s cher au soleil La coupe et la r colte du Calopogonium sont assez rapides mais peu de paysans disposent du mat riel ad quat pour faire s cher les plantes b che ou aire de s chage Apr s deux semaines les gousses arriv es a maturit ont toutes clat les semences sont r cup r es par simple balayage et vann es Avec cette technique peu co teuse en travail la quantit de semences r colt e est faible 300 a 350 kg ha et le taux de graines im matures de couleur verte est lev Les gramin es p rennes La r colte manuelle des semences d Andropogon gayanus et de Cenchrus ciliaris est facile car les inflo rescences restent sur les plantes pendant une quin zaine de jours apres maturit Par contre les graines de Panicum maximum tombent a terre d s maturit et il n est pas possible de les ramasser Une technique simple consiste recouvrir les inflorescences d une ou plusieurs touffes avec un sac en propylene Les se mences tomberont dans le sac Pour viter le pourris sement des semences il faut proc der l ensachage apres la fin de la saison pluvieuse Avec une trentaine de pieds de Panicum le paysan peut r colter la se mence dont il aura besoin l ann e suivante une cen taine de grammes qui seront sem s en p piniere Pour toutes ces esp ces la production et la r colte 209 TROPICULTURA des seme
167. otant et l appetan ce des feuilles de Terminalia superba et Triplochiton scleroxylon Les racines pivotantes ne font pas concur rence avec les cultures car ces derni res puisent leurs l ments nutritifs dans les 10 premiers centimetres du sol 20 N anmoins le systeme racinaire peut varier suivant le type de sol et le type d amenagement donn a la plante Conclusion La scarification manuelle est le pr traitement le plus performant test sur les semences Ceiba pentandra est sensible a tous les pr traitements Ricinodendron heudelotii est une essence a dormance t gumentaire La germination est hypog e chez Pycnanthus ango lensis et pig e chez le reste des especes tudi es Le syst me racinaire est g n ralement pivotant l ex ception de Ricinodendron heudelotii qui pr sente un systeme mixte Bien que toutes les especes tudi es soient des pionni res h liophiles seules Ceiba pen tandra Ricinodendron heudelotii et Terminalia superba se rangent dans la cat gorie des esp ces locales croissance rapide La scarification manuelle est le pr traitement le plus performant Le syst me radiculaire des essences tudi es est pivotant Le latex blanc est pr sent dans tout l appareil v g tatif de A stonia boo nei et Milicia excelsa L bouillantage et l acidification ont entrain la destruction des semences Remerciements Les travaux dont les r sultats sont expos s ici ont t financ s par le Centre
168. par unit de travail homme jour entre les deux vari t s de manioc n est pas significati ve Ceci est essentiellement d au fait que le transport des racines fra ches de manioc ainsi que leur transfor mation en gari exigent relativement plus de travail pour les vari t s am lior es que pour les vari t s locales En outre l tude indique l existence d une relation n gative entre l adoption des vari t s am lior es de ma nioc avec la distance au champ l utilisation de la t te ou du dos comme moyen de transport des r coltes et Pabsence de machine de transformation de manioc dans le village Ceci voudrait dire que les chances d adoption des vari t s de manioc a haut rendement sont tr s maigres l ou le transport du manioc frais ainsi que sa transformation se font essentiellement la main This means that processing labor per unit weight is constant irrespective of the quantity processed Consequently as yield per unit area increases pro cessing labor per unit area also increases In addition harvested crops including cassava are still mostly transported by headload and backload The objective of this study is to quantitatively measure the effect of the increase in cassava yield on labor productivity at the processing level and examine the implications in terms of the adoption of improved varieties The pro cessed cassava product chosen is gari which isa gra nule widely consumed in Nigeria Methodology Sampling
169. pe ment d exploitations mixtes associant l agriculture et l levage par des nouveaux rapports entre agriculteurs et leveurs et par un changement des mentalit s Un commerce de fourrage naturel commence d ailleurs se d velopper au Mali au Burkina Faso et au Niger entre zones pastorales et zones agricoles avec leva ge Parall lement la sp cialisation des zones pastorales traditionnelles en pays naisseur pour la production et la croissance d animaux de qualit Azawak par exemple dans des troupeaux reproducteurs de vaches et de jeunes animaux sevr s lev s en ranching et des zones agricoles en pays leveur traction em bouche et production laiti re associant agriculture et levage pourrait permettre de restaurer l ancienne compl mentarit d int r ts sur un niveau de producti vit plus lev grace a une meilleure alimentation des animaux respect des charges des parcours et pro duction de fourrages dans les fermes D finition de la m thodologie d approche participative en vue de l int gration de l levage dans les syst mes de production Approche signifie qu il n y a pas de solution toute faite ll faut observer r fl chir analyser conclure d cider et agir Participative indique qu il faut collaborer avec tous les concern s sans dirigisme ext rieur pr tabli avec un esprit d quipe collectif ou chacun peut s exprimer li brement Cette libert d expression n
170. piaggi Argentinian Veterinarian Professor and Researcher at the Enrironmental Studies Center of the Veterinary Faculty of the National University of Rosario Head of the Science 4 Technology Secretariat of the Veterinary Faculty of the National University of Rosario Liliana Marc Argentinian Veterinarian Professor and Researcher at the Environmental Studies Center of the Veterinary Faculty of the National University of Rosario R J Di Masso Argentinian Agronomist Engineer Professor of Genetics Research Director at the Veterinary Faculty of the National University of Rosario 215 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 216 219 Elevage en milieu tropical Approche participative en vue d une int gration dans les systemes de production G Deschuytener Keywords Breeding Planification Farming system Parameters of Pertinency Efficiency Evaluation R sum La place de l levage en milieu tropical est fonction du milieu environnant et doit tre d cid e par les paysans eux m me en fonction de leurs propres priorit s Une planification rigoureuse prenant en compte tous les param tres de pertinence et d efficience est indis pensable ainsi qu une valuation permanente des r Sultats Introduction L levage est pratique dans les milieux tropicaux de puis des temps imm moriaux On en retrouve des re productions pr historiques sur des gravures rupestres du Sahara datant de plus de 10 000 ans Il
171. que les denr es alimentaires soient pour la plupart correctement trait es aux Etats Unis les recherches r centes font de plus en plus tat des maladies cau s es par des produits contamin s viandes fruits l gumes vendus sur les march s 6 Les conditions de stockage de transport et de vente des denr es alimentaires devraient tre plus saines afin de garantir la sant des consommateurs 6 13 17 21 Conclusion L tude bact riologique et biochimique du miel vendu au march central de Bukavu a permis de comprendre en partie le m tabolisme bact rien dans cette denr e alimentaire En effet la pr sence d ent robact ries dont E coli est une preuve de contamination f cale ce qui rend ce miel impropre la consommation car il peut constituer pour la population une source de contamination en cas d pidemie ent rique Les tests biochimiques ont indiqu la pr sence des bact ries fermentant le glucose et alt rant ainsi la qua lite du miel Consid rant la mauvaise qualit bact riologique de ce miel et les ventuelles cons quences n fastes y aff rentes alors qu il est de plus en plus utilis en th ra pie traditionnelle et en alimentation nous sugg rons Que l Association des Apiculteurs du Kivu API KIVU multiplie les campagnes de sensibilisation et renfor ce les mesures d encadrement des apiculteurs Que le pouvoir tatique par l entremise de son ser vice d hygi ne publique
172. r Angle des Finesse des Rectitude Qualit de tiges de fourches de queues branches branches globale multiples de renard Australie 1 1 ab 0 1 bc 0 2 de 1 4 abc 1 3 bcd 2 8 cd Tr s bonne Bahamas andros LOC 04a 0 3 de 0 8 d 1d 2 8 cd Tres bonne Belize melinda 1 1 bc 0 1 bc 0 4 de 1 4 abc 1 4 abcd 4 6 abc Mauvaise Belize santos 1 1 ab 0 0 c 0 5 cde 1 5 ab 2 0 a 54a Mauvaise Cuba cabanas 1 0 be 0 0c 00 e 0 9 cd 1 1 cd 2 0 d Tr s bonne Cuba vinales 1 0 bc 0 0 c 00e 1 0 bcd 1 1cd 2 9 cd Tr s bonne Guat mala poptun 1 1 be 0 4 a 1 0 abc 1 2 abcd 1 8 ab 4 0 abc Mauvaise Honduras brus 1 1 bc 0 1 abc 13a 1 3 abcd 1 6 abcd 3 6 bed Moyenne Honduras culmi 1 0 be 0 2 abc 0 3 de 1 5 ab 1 5 abcd 3 8 bcd Moyenne Honduras guanaja 1 1 be 0 1 abc 0 6 bed 1 4 abc 1 6 abcd 4 4 abc Mauvaise Honduras limones 1 1 be 0 3 ab 0 3 de 1 4 abc 1 7 abc 4 1 abc Mauvaise Honduras potosi 1 1 ab 0 2 abc 0 6 cd 1 4 abc 1 9 ab 5 0 ab Mauvaise Nicaragua alamicamba 1 1 abc 0 1 abc 1 0 abd 1 1 abcd 1 5 abcd 3 8 abcd Moyenne Nicaragua karawala 12a 0 1 bc 11ab 1 0 bed 1 5 abcd 3 9 abcd Mauvaise Nicaragua santa clara 1 1 be 0 2 abc 0 5 cde 16a 1 3 bcd 3 7 bcd Moyenne N nombre Dispositif en bloc complets a cing r p titions Les provenances dont les valeurs sont suivies d une m me lettre ne sont pas significativement diff rentes au seuil de 5 par le test de Duncan aux branches fines Bahamas andros Cuba vinales et C cabanas ceux aux branches moyennement grosses du
173. r la base de carac t res morphom triques propres aux spores de Sclerocystis pr conise le maintien de la totalit des esp ces dans leur genre originel Le genre Entrophospora qui ne renfermait que trois esp ces 24 s est enrichi d une nouvelle esp ce Entrophospora kentinensis 33 ll serait int ressant pour mettre en vidence la diver sit des Glomales dans les stations d utiliser l une des m thodes de pi geage recommand es par Morton 21 et Walker 31 qui permet d extraire un nombre moyen de spores relativement plus important que celui obte nu partir d une extraction effectu e directement avec le m me sol non dilu Cette technique permet en outre de disposer de spores de tout ge en quantit et en qualit pour des tudes syst matiques fines 21 31 m me si par ailleurs elle ne tient pas compte de la comp tition entre especes de champignons pour la colonisation du systeme racinaire de la plante h te et d un ventuel tat de dormance des spores 5 29 R f rences bibliographiques 1 AbeJ I P Masuhara G amp Katsuya K 1994 Vesicular arbuscular mycor rhizal fungi in coastal dune plant communities Spore formation of Glomus sp predominates under a patch of Elymus mollis Mycoscience 35 233 238 2 Allen M F 8 Boosalis M 1983 Effects of two species of VA mycorrhizal fungi on drought tolerance of winter wheat New Phytol 93 67 76 3 Allen M F Moore Jr T S amp Chris
174. r les taux butyreux inf rieurs 35 g par kg de lait en absence d une interprofession veillant aux int r ts de tous 14 Un facteur important de la production laitiere est son caractere saisonnier tres prononc nettement li aux caract ristiques climatiques Ceci permet de distin guer deux p riodes institutionnalis es par les pouvoirs publics TROPICULTURA Tableau 1 Evolution de la saisonnalit de la collecte au niveau des centres tudi s Centre n 1 2 3 4 Ann e 1992 32 1 29 6 31 2 25 2 1993 41 3 42 6 42 2 39 0 1994 33 5 32 2 29 4 33 2 1995 35 4 36 2 31 6 38 8 1996 40 2 39 2 39 7 40 8 5 6 7 8 Moyenne 36 3 37 3 31 95 35 1 42 9 40 54 33 1 38 3 de 30 1 33 37 37 2 39 5 37 9 36 6 36 65 38 1 42 4 39 2 43 0 40 33 Ratio exprim en entre le volume de lait collect en basse lactation et le volume collect pendant toute une ann e Donn es non disponibles une p riode de haute lactation qui dure du 15 f vrier au 15 ao t caract ris e par une relative abondance fourrag re au cours de cette p riode le prix du litre de lait chute 2 62 dirhams marocains C est une p riode o des exc dents de production sont fr quents 10 une p riode de basse lactation faible production qui dure du 15 ao t au 15 f vrier et o le prix du litre augmente de 20 pour se stabiliser 3 18 dirhams marocains La saisonnalit de la production peut tre valu e moyennant la d t
175. r leurs archives et les ont aid s dans le choix d un chantillon repr sen tatif d exploitations laiti res Une mention sp ciale est aussi r serv e aux diff rents leveurs qui ont accept de r pondre sans aucune r serve aux nombreuses questions R f rences bibliographiques 1 Abouennajah A 1996 R le des coop ratives dans le d veloppement du monde rural cas du secteur laitier M moire de cycle de formation Economie spatiale et planification Universit d Aix Marseille ill France p 79 2 Akesbi N 1996 La politique d ajustement structurel dans l agriculture au Maroc risques et p rils du d sengagement de l Etat pp 71 87 in M Elloumi Editor Politiques agricoles et strat gies paysannes au Maghreb et en M diterran e occidentale INRA Tunisie p 172 3 Auriol P 1989 Situation laiti re dans les pays du Maghreb et du Sud Est de la M diterran e Options M diterran ennes 6 51 72 4 Bellinguez A 1994 Etude de l impact des projets sur les syst mes de pro duction laitiers p riurbains a Bamako Mali Th se d ing nieur du Centre National d Etudes Agricoles des R gions Chaudes CNEARC Montpellier France p 154 5 Bencharif A Chaulet C Chehat F Kaci M Sahli Z 1996 La fili re bl en Alg rie le bl la semoule et le pain Editions Karthala Paris p 238 6 Bourbouze A Chouchen A Eddebbarh A Pluvinage J Yakhlef H 1989 Analyse compar e de l effet des politique
176. r titulaire la Facult des Sciences et Techniques de l Universit nationale de C te d Ivoire 174 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 175 179 Germination des semences d veloppement et croissance de quelques essences locales en zone forestiere P M Mapongmetsem B Duguma B A Nkongmeneck 4 E Selegny Keywords Indigenous species Germination Development Initial growth R sum Des tudes ont t conduites sur huit essences locales usages multiples Alstonia boonei De Wild Ceiba pentandra L Gearth Cordia platythyrsa Bark Milicia excelsa Welw c c Berg Pycnanthus angolensis Welw Warb Ricinodendron heudelotii Bai Pierre ex Pax Terminalia superba Engl et Diels et Triplochiton scleroxylon K Schum Le but de l tude tait d valuer les capacit s germinatives la croissan ce initiale et le d veloppement des plantules la p pi ni re Les r sultats ont montr que la scarification ma nuelle est le pr traitement le plus efficace Ceiba pentandra et Ricinodendron heudelotii montrent une croissance rapide Le syst me racinaire des esp ces est pivotant Introduction Dans la plupart des r gions tropicales du monde la culture itin rante sur br lis reste encore le syst me agricole pr dominant On peut consid rer que cette pratique agricole est biologiquement et conomique ment int ressante tant que la pression d mographique n est pas trop importante Actuellement l explos
177. r une motivation d action souvent d int r t fi nancier direct pour l leveur exemple des vaches 1 2 Jersey et des haies anti rosives de setaria au Burundi levage laitier intensif chez les maraichers et les pro ducteurs d oranges en Tunisie La professionnalisation des agriculteurs et des leveurs sera vis e par une sensibilisation formation et vulga risation dispens es par un encadrement comp tent et responsable de ses actes devant les b n ficiaires contrats On s efforcera toujours d appuyer des ini tiatives existantes L approche terroir Doit tre globale afin de prendre en consid ration l in t r t de toutes les parties propri t et utilisation des terres couloirs pour le mouvement du b tail L approche institutionnelle ll faut s appuyer sur l organisation administrative d centralis e en respectant ses comp tences propres Collaborer avec toutes les ressources humaines dis ponibles associations villageoises ONG bureaux d tudes secteur priv banques Caisses de cr dit approvisionnement en intrants 218 La r gle de contrats de services liant les associations de producteurs ces organisations selon des cahiers de charge pr cis doit se g n raliser de fa on res ponsabiliser chaque partenaire Tirer parti des programmes d ajustement structurel de d centralisation administrative et de privatisation des activit s de production qui sont l honneur dans
178. rasitology Ovine Toxoplasmosis in Suriname and its Possible Impact on Human Infection 1 E ate es ge accent Se ST een RS ew Ne ee a a 18 Morphological and Biological Study of Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae Predator of Cassava Mealybug Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Homoptera Pseudococcidae in NON Coastin French eects se A at Es wr OE eed dee eS ee Ee Oe SEE 171 Serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera Chad in French 197 Plant Breeding Rhodeps Grass Evaluation of Rhodes Grass Cultivars under Emirates in English 147 Plant Production Effects of Inoculation with Rhizobium TAL 1147 Glomus Clarum in a Nursery on Racosperma Auriculiforme Growth and Nodulation in Democratic Republic of Congo in French 3 223 TROPICULTURA Assessment of Cane Yields on Well drained Ferralsols in the Sugar cane Estate of Central Cameroon EA E A A IN A D A E eR Physico Chemistry of Cameroonian Safou Tree Fruits Dacryodes edulis in French Preliminary Assay on the Effect of Foliar Treatment with the Fungicide on Barley Culture Infected by ello RULES ee 010 LEE AA A O AE Chemical Characteristics of Six Woody Species for Alley Cropping in English Genotype by Environment Interaction and Testing Environments for Plantain and Banana Musa spp L Breeding in West Africa in English 00 SA AA A ae Effect of Goat
179. rioDr Ir J Hardouin como miembro Comit de Redacci n Actualmente est constituido por el Dr Ir G Mergeai jefe de redacci n y de los redactores delegados siguientes el Profesor J Deckers por la ecolog a la fertilidad de suelos y los sistemas de explotaci n el Profesor Dr J C Micha por la pesea y la pis cicultura el Profesor C Renard por la agrostologia y la fitotecni el Doctor E Thys por la producci n animal y caza el Profesor P Van Damme por la Agronom a y foresteria y el Profesor J Vercruysse por la Salud animal El secretariado trata directamente otros temas propios de la compentencia de la revista econom a sociolog a etc Secretar a Redacci n Agri Overseas Tropicultura c o D G C Of 1 511 Rue brederode 6 B 1050 Bruselas B lgica Tel 32 2 51 90 476 E mail MiDesmetObadc fgov be Distribuci n gratuita seg n petici n escrita RECOMENDACIONES PARA LOS AUTORES Condiciones generales Los manuscritos original y cuatros copias ser n enviados a Agri Overseas a la direcci n arriba mencionada Estos pueden ser escritos en uno de los cuatro idiomas sigiuentes Franc s Ingl s Neerland s y Espa ol Indicar claramente la direcci n del autor Presentar la traducci n inglesa del titulo Cada art culo ser sometido por la Comisi n de Redacci n a 2 lectores especializados en el tema tratado y ser eventualmente devuelto al autor para ser correg
180. roduit a t isol e Introduction Certains pesticides sont consid r s comme les com pos s chimiques persistants relativement moins tol r s dans la bioc nose et pouvant pr senter des risques d accumulation dans l environnement Des travaux r cents cependant ont montr que cette persistance tait r duite dans les pays tropicaux et chauds ou les conditions climatiques sont diff rentes et l activit mi crobienne des sols beaucoup plus complexe 6 10 Une dissipation rapide du produit peut galement s op rer dans les sols poss dant un historique de trai tement pouvant donner lieu par ailleurs un ph no mene d adaptation et une perte d efficacit du trai tement Cela tait le cas par exemple pour le diazinon qui pr sentait une cin tique de d gradation plus rapide lors des taitements successifs des sols 1 du m thyl pa rathion dans les sols des rizi res 8 ainsi que du car bofuran sur des sols sablo argileux 2 Les donn es sur le ph nom ne de la biod gradation acc l r e et des bact ries d gradants les insecticides organochlor s sont assez mal connues et la persis tance du ph nom ne d adaptation des sols a fait l ob jet d un nombre r duit d tudes malgr l importance agronomique croissante de ce probl me Dans ce travail nous nous sommes int ress s tudier ce ph nom ne sur des sols provenant d une parcelle al g rienne trait e pendant trois ann es co
181. s est bas e sur des caract res juv niles types morphologiques forme des cotyl dons et disposition des premi res feuilles 3 17 Sept mois apr s germination les plantules ont t soigneusement sorties des sachets raison de 5 plants par r p tition La hauteur et le diam tre des axes a rien et souterrain ont t mesur s l aide d un double d cim tre et d un pied coulisse En ce qui concerne la description des racines nous avons adopt la nomenclature d crite en C te d Ivoire 3 Le syst me racinaire est pivotant lorsque les ra cines lat rales sont moins d velopp es que la racine principale dans le cas contraire il est tra ant Lorsque les deux ont sensiblement le m me d veloppement le syst me est dit mixte Selon que les racines secon daires sont plus ou moins nombreuses on a un syst me intensif ou extensif 176 Les analyses ont port sur la variance et la plus petite diff rence significative effectu es l aide du pro gramme Bstat 15 R sultats et discussion Germination des semences L effet esp ce a t significatif P 0 001 du fait des esp ces Ceiba pentandra et Terminalia superba o un taux de germination de plus de 59 a t enregistr Le pourcentage de germination varie de 13 3 Ricinodendron heudelotii 62 3 Ceiba pentandra Quant l effet pr traitement on note une diff rence significative P 0 001 Le taux de germination varie de 8 19 eau
182. s d Australie de Cuba et Bahamas Elles se ca ract risent malheureusement par une adaptabilit et une vigueur faibles sauf celles d Australie Ces r sul tats se rapprochent de ceux de Piton 8 en ce qui concerne le taux de survie la vigueur des arbres la rectitude moyenne du f t et la finesse des branches La sup riorit des arbres de la parcelle 81 2 par rap port a ceux de la parcelle 72 02 en ce qui concerne la circonf rence s explique par la diff rence d cartement entre les arbres dans les deux parcelles ll est de 3 5 m x 3 5 m dans l une parcelle 81 2 et 2 5 m x 2 5 m dans autre Plusieurs hypotheses peuvent expliquer cette variabilit des r sultats telles que le genotype et l in fluence des facteurs climatiques et edaphiques Somme toute cette etude montre que les provenances les plus vigoureuses ne sont pas les plus interessantes au point de vue de la forme Les provenances tudi es n ont pas encore atteint l ge adulte pour la production de bois d ceuvre et les performances comme l adaptation ne sont pas bien connues On ne peut consid rer la collection des pro venances suffisamment complete pour qu il soit inuti le de penser a r introduire de nouvelles On pourrait aussi introduire de nouvelles descendances des pro venances plusieurs dizaines par provenance dont l in t r t est connu bonnes performances en vue d aug menter la vari t g n tique Ceci a terme pourrait permettre la cr
183. s de pertes dans une population de poulets que plusieurs infections En effet il est montr que l infection a Mycoplasma gal lisepticum baisse significativement le poids des oi seaux atteints Cependant l apparition de la bronchi te infectieuse ou de la maladie de Newcastle au sein d une telle population infect e provoque une morta lite plus lev e 7 8 Bien que la pasteurellose la variole aviaire et la mala die de Newcastle soient des maladies connues en Afrique pour lesquelles les prophylaxies m dicales sont appliqu es des attentions particulieres doivent tre port es aussi sur d autres maladies dont les ef fets sur la production ne sont pas n gligeables 4 Toute am lioration de la production des volailles villa geoises passe par une maitrise de ces pathologies et par la mise en place d un bon programme d encadre ment et de suivi sanitaire 4 12 Conclusion La maladie de Newcastle ne pourrait tre la seule res ponsable des mortalit s aviaires au Nord Gu ra comme le signalent les agents de terrain ll existe d autres mal connues comme la maladie de Gumboro la bronchite infectieuse et les mycoplasmoses qui contribueraient directement ou indirectement a la perte des volailles dans la r gion Toute am lioration de l aviculture dans cette region doit tenir compte de l existence de ces maladies mal connues Remerciement Nous tenons a remercier tous ceux qui nous ont per mis de realiser ce travail
184. s essais provenances de Pinus caribaea et P oocarpa au Congo CTFT Congo Pointe Noire 9 p Ehrhart Y 1989 Exploration de la variabilite de Pinus caribaea hondu 9 3 p A e A ar 9 Portefaix C 1987 Exploration de la variabilit g n tique du pin laricio de Grison F 1972 Essais d introduction de pins tropicaux dans les savanes c tieres du Congo GERDAT CTFT Nogent sur Marne 30 p Corse Pinus nigra Arn ssp laricio var corsicana Loud Perspectives pour Pam ioration de l espece These doct ing INA Paris Grignon 105 p A Moutanda Congolais ing nieur des eaux et for ts Chercheur au Centre de Recherche Foresti re du littoral C R FL D N zala Congolais Ing nieur de d veloppement rural des eaux et for ts docteur en biologie v g tale et foresti re Maitre assistant l Institut de D veloppement Rural Universit Marien Ngouabi J G M Kazotti Togolais Ing nieur de d veloppement rural AVIS Nous rappelons a tous nos lecteurs particuli rement ceux r sidant dans les pays en voie de d ve loppement que TROPICULTURA est destin a tous ceux qui ceuvrent dans le domaine rural pris au sens large Pour cette raison il serait utile que vous nous fassiez connaitre les adresses des Institutions Ecoles Facult s Centres ou Stations de recherche en agriculture du pays ou de la r gion o vous vous trou vez Nous pourrions les abonner si ce n est d ja fait Nous pensons ainsi grace a votre aide pou
185. s laiti res sur les structures de production et de collecte dans les pays du Maghreb Options M diterran ennes 6 247 258 7 DeBoer J 1981 Socio economic aspects of dairying in developing coun tries J Dairy Sci 64 2453 2462 8 De Jong R 1996 Dairy stock development and milk production with smallholders Doctoral Thesis Wageningen Institute of Animal Sciences The Netherlands p 216 9 Eddebbarh A 1978 Les centres de collecte du lait Bilan national et tude compar e du fonctionnement These d ing nieur zootechnicien Institut Agronomique et V t rinaire Hassan Rabat Maroc p 121 205 TROPICULTURA 10 Guessous F 1991 Production fourrag re et syst mes animaux Actes 13 SAS 1988 SAS User s Guide Statistics version 6 03 Edition 1988 Editions Institut Agronomique et V t rinaire Hassan Il p 125 14 Srairi M T 1997 Production et commercialisation du lait dans un syste 11 rskov E R 1993 Reality in rural development aid with emphasis on li me oasien cas du p rimetre irrigu du Tafilalet L Espace V t rinaire vestock d Rowett Research Services Ltd Aberdeen p 88 Maroc 12 5 11 12 Pluvinage J 1992 Lassociation de l levage l agriculture en zone s che m diterran enne Situation archaique ou combinaison performante S minaire ANPA FEZ CIHEAM Elevage en systemes de production c r aliere m diterran ens Rabat Maroc Publication n 49 de la FEZ pp 213 218 M T
186. s semences n est pas prohibitif A raison de 8 kg ha de graines de Stylosanthes hama ta l investissement en semences se monte 32 000 Fr ha ou 56 U ha si le paysan doit les acheter 4 000 F kg 7 U kg tarif en vigueur dans les stations de recherche Dans ce cas il n est pas envisageable de diffuser cette l gumineuse qui reste secondaire pour le paysan par rapport a ses cultures vivrieres Un prix compris entre 1000 et 1500 FCFA 1 8 U et 2 6 U par kg de semences pourrait tre acceptable pour les paysans soit une charge de 8 000 a 12 000 FCFA ha 4 US a 21 U ha Pour faciliter l acquisition de ces semences les pro jets de d veloppement peuvent les subventionner ou mieux organiser un systeme de cr dit avec rembour sement en nature Mais il faut rechercher tres rapide ment l autonomisation des paysans qui doivent pro duire eux m mes les semences de l gumineuses et de gramin es dont ils ont besoin Evaluation des besoins en semences et en plants Depuis une trentaine d ann es les structures de d ve loppement tentent de vulgariser le Stylosanthes ha mata comme culture fourragere Mais cette l gumi neuse reste toujours cantonn e aux stations de recherche et les leveurs qui Putilisent r guli rement sont en nombre tres limit Cet exemple montre que l adoption d une espece par les paysans n implique pas seulement de commercia liser des semences un prix raisonnable Elle n cessi te que le mat riel
187. se pratique toujours sous des formes extr mement vari es en Afrique en Am rique du Sud et en Asie ou l on retrouve diff rentes formes d levage bovin ovin caprin quin camelin porcin et aviaire S y ajoutent des types d levage particuliers propres certains mi lieux antilopes agoutis cobayes etc Ceci nous montre que de tout temps l homme a int gr dans ses activit s de production primaire des ani maux de toutes sortes pour varier son alimentation et son revenu Cette longue pratique d levages domes tiques a permis l homme d acqu rir des connais sances de plus en plus pr cises sur la meilleure facon d int grer ces levages dans les syst mes de produc tion agricole de facon a en assurer la productivit et la durabilit Mais si les conditions d exploitation du milieu naturel sont demeur es assez stables pendant des mill naires aussi longtemps que les progr s scientifiques et tech niques n ont pas eu de cons quences importantes sur l homme et son milieu il en va tout autrement sur l en semble de la plan te et particuli rement dans les pays tropicaux depuis trois quart de si cle Les contacts plus troits avec les pays d velopp s haute technologie l exploitation plus intensive des res sources naturelles endog nes agricoles et mini res l aspiration un niveau de vie plus confortable et un revenu mon taire plus lev l am lioration des condi tions d h
188. such as gardens chic kens pigs etc to optimize the system Integrated module The integration was analyzed using the following proportions 50 coypus 1 460 kg of sweepings and worm beds of 1 m with approximate ly 100 000 individuals each This model can be transferred to other species based on the estimation of the average quantity of manure produced per animal per day Using coypu the calcu lated quantity is approximately 55 g per animal per day combined with wash water which in turn has a certain quantity of bedding and lost food 0 851 g per day All this produces a total of 4 kg of organic matter per day which combined with 30 water can be processed by 10 000 worms in one bed of 1 m by 2 m each with an average density of 100 000 individuals per 1 m which in turn produces 875 kg of humus per year 16 Discussion The system described allows speculation about the in tegration of species to optimize the use of available re sources at small and medium scales and above all when it is time to consider the incorporation of alter native species to traditional production of larger scale not substitutive but rather complementary The adoption of criteria to substitute unidirectional flows with closed cycles might be a superior alternati ve for the use of living resources The extension to other uses by way of the incorpora tion of other species integrating further links or a cycle of inputs could be done with an
189. t son niveau le plus lev au 6e jour pour ensuite d cro tre et devenir nul au 14e jour dure de 3 5 jours dans nos conditions d tude avec aux jeunes larves de se nourrir des l closion Les une moyenne de 3 9 jours et un cart type de 0 8 Une tude r alis e sur 65 ceufs r Eclosion 1 SA oo62 0 go COST O N OQ X E Cane oo 530 n gt D 7 D 2 UN NON 5 J cz O cot gt 1n Iov O55 0 07 330 oO fe O0 D D o2 Dw POR td DEDO DOLE n oa O N c 2330 925 6 joce Oc oY 2370 8 piss EW s C zocg d d5 lt Gex 9 Sais gt mo o 5 38 O D ds OL L n ESO E226 O O oes E gat Ogy gt E EQ E u do OQ YN N ERDO 9 2 0 0 ESS bg 0 8 D Y O N m Cor Do N WW I y V 2 D HSE GENO A 1000 A son complet d veloppement embryon est anime de mouvements qui occasionnent une pression sur le chorion qui clate progressivement au bout de 15 a20 minutes La jeune larve qui en sort reste dans un pre mier temps coll e sur le chorion elle sen d gage quelques minutes plus tard Descendance 22 80 173 19 23 3 21 Ec type 20 13 19 16 57 Moy 52 4 18 17 75 Total 2098 15 16 80 40 50 14 84 31 42 38 39 45 en conditions naturelles 13 12 86 38 1er coutur 11 75 54 61 Phenacoccus manihoti n a jamais fait l objet de telles 35 36 37 10 34 57 Tableau 5 Dur e de vie de 40 adultes de S 68 8
190. t riel animal est compos de la cochenille P ma nihoti et de la coccinelle S couturieri Ont t utilis es des bo tes d levage de 10 cm de diam tre en mati re plastique transparente et a r es Les observations ont t r alis es au microscope st r oscopique loupe binoculaire de marque Wild M5 Nous avons utilis le papier millim tr pour les diff rentes mesures de lon gueur des insectes M thodes et Techniques levage de couturieri Les adultes group s par 10 dans des bo tes d leva ge sont nourris au moyen d ufs de P manihoti Ils D partement de biologie de l Universit des Sciences et Techniques de Masuku B P 943 Franceville Gabon D partement de biologie et l Universit d Abidjan 22 B P 582 Abidjan 22 C te d Ivoire Adresse de correspondance D Obame Minko B P 694 Franceville Gabon Re u le 29 07 97 et accept pour publication le 05 05 98 171 TROPICULTURA ont a leur disposition un peu de coton imbib d eau Leur nourriture est renouvel e tous les jours Pour ob servation du cycle de d veloppement des couples sont isol s dans des bo tes d levage jusqu la ponte D s l apparition des ufs de S couturieri ces couples sont s par s de ceux ci et sont transf r s chaque matin dans une boite propre L observation de ceuf et le suivi du d veloppement de la larve jusqu l adulte sont l objet de l tude mor phologique Dans la serre o
191. t 100 non identifi 21 rouge squames noires subsph rique 500 lt x lt 800 Gigaspora sp R sultats Distribution et diversit des populations de spores Nos observations indiquent la pr sence de 21 types de spores ou cotypes appartenant aux genres Glomus Gigaspora et Scutellospora Tableau Photos 1 et 2 Scutellospora gregaria type d nomm 16 est l espece la plus fr quente dans les chantillons de sols suivie respectivement par Glomus sp type 1 Scutellospora verrucosa types 4 et 9 et Gigaspora spp 11 18 et 19 Les especes Glomus aggregatum type 8 a carpophores non compactes et Glomus sp 1 type 7 a carpophores compactes ont t observ es Le tableau III pr sente le nombre de spores par 100 g d chantillon de sol ex trait ainsi que le nombre de types de spores observ es dans les diff rents sites prospect s au S n gal 6 dans Photo 1 Spores de Glomales apres extraction par la m thode du Tableau 3 tamisage humide Glomus spp 1 2 7 Scutellospora R partition des populations de spores dans les diff rents sites gregaria type 16 Gigaspora spp 10 11 visit s au S n gal Sites Types observ s Nombre moyen de spores 100 g de sol Zone sah lienne SA Ngaoul 0 Ha r 1 16 2 Mboumba 0 Baborel 1 16 6 Gandiolais 1 9 10 16 17 18 6 Zone sah lo soudanienne SS Gueye Kadar 16 18 Dahra 1 4 7 8 9 11 12 14 15 16 18 19 7 Bourel 11 16 2 Dakar Bel Air 1 4 16 20 4 Dakar Hann DRPF 7
192. t couverts lat ralement par une structure particuli re en forme de r ceptacle s parant la t te de l abdomen Lanymphe mesure en moyenne 1 8 mm de longueur avec un cart type de 0 1 L adulte S couturier adulte est une petite coccinelle de taille inf rieure a 2 mm ovale et finement pileuse La mesu re de 65 couturieri adulte a donn une longueur moyenne de 1 8 mm et un cart type nul tableau 1 Par la m me tude a t relev e une largeur moyen ne de 1 3 mm avec un cart type nul et la plus gran de largeur tant de 1 5 mm Chez le m le la t te est enti rement jaune Chez la fe melle le front est brun sombre L ecusson est brun a brun sombre Les lytres sont noirs avec chacun une tache floue brun jaune Les deux taches peuvent se joindre post rieurement pour d limiter au centre une tache noire en fer de lance plus ou moins large Les appendices sont jaunes Les cing premiers segments abdominaux ainsi que l extr mit du sixi me sont jaune a brun clair Etude biologique et thologique Ponte et f condit Juste avant la ponte la femelle reste immobile et sou leve les lytres ensuite elle baisse son abdomen anim de mouvements contractiles brusques durant 3 a 4 se condes suivis du d p t d un ceuf La coccinelle pond RES sits wi ce q SS ps A Satter ce S D Cc Lo aka v o gt 2 D a O de D a D 3 un D o en o o D 2
193. t nulle conf re aux petits rumi nants une importance toute particuli re dans la vie des leveurs traditionnels et des paysans Au cours de la premi re phase du programme du Cen tre International Pour l Elevage en Afrique C I PE A au Mali 10 des donn es relatives la productivit ont t recueillies sur des troupeaux chantillons des dif f rentes esp ces animales lev es dans divers sys t mes pastoraux et agro pastoraux du Mali central L analyse de ces donn es indique parfois d impor tantes variations de productivit d un troupeau l autre bien qu appartenant au m me syst me de production Partant de l estimation par les moindres carr s Summary The Influence of the Management and the Socio Economic Status of the Agropastor on the Productivity of Sheep and Goats in Central Mali A study of causes responsible of productivity differ ences between sheep and goats flocks in a central Malian village belonging to an agropastoral subsystem associated to a rainfed millet culture was carried out from July 1987 to March 1988 Management factors socio economic characteristics of agropastors and sheep and goats productivity parameters were simul taneously followed up and analysed The results have shown that both sheep and goats were not managed in the same manner and that the observed causes of productivity differences between flocks are related to the agropastor s personnal production means to his methods of
194. t sur Table 2 Cassava fresh root yield kg ha and gari yield kg ha of local and improved varieties of cassava yield local n 105 improved n 35 fresh roots 13410 19440 gari 2682 3888 vey Nweke et al 4 obtained 19600 kg ha for the im proved varieties and 11200 kg ha for the local in the humid climate zone of Nigeria IITA obtained averages of 21000 kg ha in 1983 23500 kg ha in 1984 and 16000 kg ha in 1985 in researcher managed on farm trials with the improved varieties in three locations wi thin the humid zone of Nigeria 2 Improved varieties are more tolerant than local varieties to common di seases such as African cassava mosaic disease ACMD and cassava bacterial blight CBB and to pests such as cassava green mite CGM and the cas sava mealybug CMB Gari yields are 3888 kg ha for the improved varieties and 2682 kg ha for local varie ties Table 2 Labor input per unit area Survey results show that the amount of labor allocated to land clearing operations is lower in fields with high yielding varieties of cassava than with local varieties Table 3 This is because high yielding varieties are more widely adopted where market and demographic pressures on land are higher in these areas the fal low period is usually shortened which results in less dense vegetation to be cleared 7 Seedbed prepara tion labor and planting labor are higher for the impro ved varieties than for the local It has been noticed
195. tade est la plus courte 3 2 0 4 jours Celle du quatri me eme s stade est la plus longue et est de 7 2 0 7 jours La oN tades sont comparables 5 9 0 8 jours et 5 3 0 5 jours respectivement Celle du deuxi le a 13 1 9 jours En tenant compte de ces va leurs la dur e du cycle biologique de S couturieri est de 38 5 2 1 jours aN sieme sS E nymphe a une dur e moyenne de d veloppement ga lent que les dur es moyennes du premier et du troi a L O gt y Q 5 E dans l ovivac de la cochenille Ceci protege les ceufs des pr dateurs ventuels et des intemp ries et permet Figure 2 Rythme moyen de ponte de 15 couturieri 38 5 13 1 9 2 La Nymphe Cycle 0 7 7 La 5 3 0 5 3 2 0 4 Tableau 4 Lo Cycle biologique de couturieri Ly 5 9 0 8 9 0 8 P manihoti Une tude de la dur e de vie ceuf 3 ce 9 elle est donc la plus utile dans la lutte contre la La forme imaginale de S couturieri tant la plus vora Dur e de la vie de l imago Stade Dur e jours Ecart type cochenille le que l incubation ve LA pontes sont irr guli res et on peut observer par endroit des tas de 3 4 ufs isol s La figure 1 pr sente la dis tribution de fr quences de la taille des pontes En levage la moyenne des pontes f condit est de 24 2 1 4 ufs tableau 2 La figure 2 montre que le rythme de la ponte attein
196. tallation et la survie des my corhizes arbusculaires En effet ces micro organismes sont r put s pour leur sp cificit de symbiotes biotro phiques obligatoires vis a vis de la plante h te Dans la zone sah lo soudanienne ou la d gradation du cou vert v g tal est moins prononc e les r sultats obtenus TROPICULTURA indiquent que la distribution des spores semble suivre celle des isohy tes du nord vers le sud avec une abon dance fortement marqu e dans la r gion du Bassin arachidier Par contre la raret des Glomales a Foundiougne malgr une situation pluviom trique fa vorable pourrait tre li e a la teneur lev e en sels des sols conductivit lectrique 5 millimhos 1 5 a 20 C due l avanc e de la mer l int rieur des terres Ce r sultat est par ailleurs mentionn dans les travaux de Thoen 28 qui ont montr que les sols tres sal s ne sont pas favorables a l installation des symbioses en domycorhiziennes Ces r sultats contrastent avec ceux obtenus dans les sites des localit s de Touba Toul Bambey et Sonkorong qui pr sentent une richesse en spores et une diversit plus importante des types de spores Les particularit s observ es dans ces sites si tu s dans des exploitations agricoles ou agrofores tieres font penser que la nature de la couverture v g tale intervient dans l abondance et la diversit des spores de Glomales Dans ces zones de culture la faible m canisation de l agri
197. tensen M 1979 Growth of vesicular ar buscular mycorrhizal and nonmycorrhizal Bouteloua gracilis in a defined medium Mycologia 71 666 669 4 Almeida R T 4 Schenck N C 1990 A revision of the genus Sclerocystis Glomaceae Glomales Mycologia 82 703 714 5 An Z Q Hendrix J W Hershman D E amp Henson G T 1990 Evaluation of the Most Probable Number MPN and wet sieving methods for de termining soil borne populations of endogonaceous mycorrhizal fungi Mycologia 82 5 576 581 6 BaA M Dalp Y Guissou T 1996 Les Glomales d Acacia holosericea et d Acacia mangium Bois et For ts des Tropiques 250 4 trimestre 1996 7 Dalp Y 1989 Inventaire et r partition de la flore endomycorhizienne de dunes et de rivages maritimes du Qu bec du Nouveau Brunswick et de la Nouvelle Ecosse Rev Ecol Syst 116 219 236 8 Diallo A T 1994 Contribution l tude taxonomique et cologique des Glomales Champignons endomycorhiziens du S n gal DEA UCAD Dakar 66 p 9 Diem H G Gueye l Gianinazzi Pearson V Fortin J A 4 Dommergues Y R 1981 Ecology of VA mycorrhizae in the Tropics the semi arid zone of Senegal Acta Oecologica Oecol Plant 2 53 62 10 Diop T A Plenchette C Strultu D G Gueye M amp Dreyfus B L 1994 Acacias du S n gal un espoir pour l agriculture La Recherche 269 25 1045 1047 11 Ducousso M 1990 Importance des symbioses racinaires pour
198. th DF 3 p 0 0001 sing activities be mechanized especially in areas cha Percent of correct specification 33 3 racterized by relative land scarcity Literature 1 Carter S E 4 Jones PG 1989 COSCA Site selection procedure COSCA Working Paper No 2 Collaborative Study of Cassava in Africa International Institute of Tropical Agriculture Ibadan 19 p 2 International Institute of Tropical Agriculture IITA 1986 Root and Tuber Improvement Program Annual Report for 1985 Ibadan 115 p 3 Mezei L M 1990 Practical spreadsheet statistics and curve fitting for scientists and engineers Prentice Hall New Jersey 311 p 4 Nweke F i Ezumah H C amp Spencer S C 1993 Farm level performance of improved cassava varieties in the humid forest zone of Nigeria Journal of Farming Systems Research Extension 3 2 83 95 M Tsiunza Zairian Dr in Applied Biological Sciences of K U L 5 NwekeFl Dixon A G O Asiedu R 4 Folayan S A 1994 Cassava varietal needs of farmers and potential for production growth in Africa COSCA Working Paper No 10 Collaborative Study of Cassava in Africa International Institute of Tropical Agriculture Ibadan 239 p 6 Tshibaka T B 1987 Food crop production in the Zairian basin empirical evidence and policy issues International Food Policy Research Institute Washington DC 125 p 7 Tshiunza M 1996 Agricultural intensification and labor needs in the cas Sava producing zones of s
199. that where improved varieties are adopted farmers tend to plow their land more use more manure and fertilizers and adopt a higher planting density 5 7 However weeding labor is lower in fields planted with improved varieties of cassava than with local Improved cassa va varieties usually establish a low canopy that hinders the development of weeds through shading Following the significant yield difference in favor of the improved varieties labor requirements per unit area for harves ting and transportation are significantly higher for im proved varieties than for local As a result total labor including both field production and transportation labor is higher 20 for the improved varieties than for the local Table 3 Table 3 Field production and processing labor person days ha of local and improved varieties of cassava operation local improved sd variation n 105 n 35 sd of local clearing 52a 46b 29 12 seedbed 34a 48b 21 41 planting 29a 35b 19 21 weeding 42a 34b 24 24 harvesting 53a 71b 37 34 subtotal 1 210a 234b 48 11 transportation 79 114 43 44 subtotal 2 289 348 52 20 processing 3 268 389 ye 45 grand total 2 3 557 737 32 For each farm operation means with the same letter are statistically the same p 0 05 TROPICULTURA j i Y ld per unit area Yield per unit tabor Fig Z indices of fresh root yiekd per unk area local variety Wald of 13410kg na 100 and per unti of lab
200. tif Le r sidu est repris dans 20 ml d hexane pur et analys par chromatographie phase gaz GC Girdel muni d un ECD Les conditions op ratoires sont les suivantes temp rature de colonne 200 C temp ra ture d injection 240 C temp rature de d tection 300 C colonne capillaire chromapack pression 1 bar gaz azote pur Le rendement d extraction des sols contamin s vo lontairement par une concentration connue de lindane est estim 89 de moyenne S lection des microorganismes d gradants le lindane Le milieu de culture table 1 satur en lindane 5 ppm apr s agitation magn tique 70 C et aseptiquement filtr sur membrane millipore 0 22 um est utilis comme milieu pour l enrichissement des bact ries d gradants le lindane et l utilisant comme seule source de carbone et d nergie Tableau 1 Composition du milieu de culture KH PO 1g KHsPO 1g NHANO3 1g Fe S04 3 omg Na2 Mo04 2H20 5mg MnS04 4H20 5mg Eau distill e 1000 mi pH 7 Chaque fraction de 10 ml du milieu est plac e dans un tube a essai auquel est inocul 0 01 g de sol adapt 4 84 non trad MB 00 out non upah 220 ooi eant A Somos 000 200 4 00 600 8 00 Semaines Figure 1 Biod gradation du lindane sur le sol de l ITGC Alger 168 Les tubes essai sont incub s 30 C en agitation continue et la d termination du produit est effectu e par GC toutes les 24 h apr s extraction l
201. tion provenances of central America aus tralian and the Caribbean Sea Pinus caribaea Morelet were compared from two randomised complete block design trials Significant differences were observed be tween provenances according to some quantitative characters survival rate height and girth growth and form thinness branches pitchfork frequency 9 and 18 years after planting lt was proposed to re introduce provenances or the best descendants from the best provenances in order to improve genetic variety Silvicultural systems are also necessary to improve both wood quality and stand productivity Sud 11 54 de longitude Est et a une altitude de 16 m 1 Le climat est de type tropical avec une succession de deux saisons bien distinctes la saison seche de quatre mois juin septembre et la saison des pluies d oc tobre a mai avec un ralentissement des pr cipitations de d cembre a janvier La pluviom trie moyenne an nuelle est d environ 1200 mm La temp rature moyen ne annuelle est de 25 C Lhumidite de lair demeure lev e m me en saison seche entrainant des ros es importantes favorables a une bonne croissance des arbres Les sols de la r gion de Pointe Noire sont for m s sur un mat riau sableux a sablo argileux ou les min raux alt rables sont pratiquement absents lls sont d une assez grande homog n it Les sols du p rim tre d afforestation sont de texture sableuse ne renfermant que tres peu d arg
202. tion to Yield Loss in Foumbot and their Control in English Biological Constraints in Tomato Production in the Western Highlands of Cameroon in English Factors Involved in the Development of Nutfall Due to Phytophthora katsurae in Ivory Coast VENOMS ER Beckie Gath HR ar A A a ee Be Re Bens Cake ee wg ates Morphological and Biological Study of Scymnus couturieri Chazeau Coleoptera Coccinellidae Predator of Cassava Mealybug Phenacoccus manihoti Matile Ferrero Homoptera Pseudococcidae in v rn Coast FOO aaa Se aed a he ee sR eee Soo oe dare ool Rural Development Policy Analysis Matrix Applied to the Study of Tunisian Sugar Industry in French Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems in French Soil Science Distribution and Diversity of Glomalean Endomycorrhizal Fungi of Senegal in French Study of the Rapid Degradation of Lindane in the Soil in French Veterinary Science Ovine Toxoplasmosis in Suriname and its Possible Impact on Human Infection in English The influence of the Addition of Extract of Chestnut Tannin on the Nitrogen Balance and the Digestibility of Fresh Grass in Ruminant in French Ewe Lambs Early Breeding of the Endogenous Breeds of Sheep in Tunisia in French serological Investigation on Five Fowl Diseases in the North Region of Guera
203. transportation and processing labor requirements per unit area are sub stantially higher for the improved varieties than for the local Transportation activity requires more than one third of field production labor requirements for the local varieties and almost half of field production labor re 195 TROPICULTURA quirements for the improved varieties Transportation and processing labor requirements are respectively almost 45 higher for the improved varieties than for local cassava From the foregoing analysis it can be hypothesized that the adoption of high yielding varieties of cassava may be hindered where transportation and processing activities are manually carried out This is tested by examining using the logit model the impact of dis tance to fields LOCATE transportation means TRA MEAN and the availability of a cassava processing machine in the village CACINE on the probability of adoption of improved varieties of cassava VARYT The explicit function which explains the likelihood of adop tion of improved varieties is given as VARYT f LOCATE TRAMEAN CACINE where VARYT cultivation of improved variety of cassa va in a field VARYT 1 if improved va riety is planted in the field and 0 if not LOCATE location of cassava fields in relation to farmers homesteads LOCATE 1 if field is distant to farmers homesteads and 0 if otherwise TRAMEAN means of transportation of cassava out put
204. travail vise a pr senter les indicateurs ma jeurs caract risant la production et la collecte du lait chez des adh rents de centres de collecte coop ratifs dans la r gion de Tiflet Ces structures assurent dans cette zone en l absence de toute infrastructure indus trielle locale de transformation du lait un r le de relais indispensable pour acheminer le lait aux usines lai tieres sises a Rabat et surtout a Casablanca distantes respectivement de 70 et 160 km Elles permettent donc de s curiser l coulement de la production dans le marche national surtout dans un contexte ou la consommation locale est faible eu gard a troites se des pouvoirs d achat En aval cette tude se pro pose d analyser les modes de commercialisation du lait par les leveurs et de d crire l organisation des centres de collecte coop ratifs En amont il s agira de caract riser le patrimoine foncier et animal des ex ploitations laiti res pour clarifier les options techniques retenues par les diff rentes cat gories d leveurs Mat riel et m thodes Avec pr s de 20 centres de collecte du lait implant s depuis 1975 dans le cercle administratif de Tiflet cette zone est celle qui est la mieux lotie en centres de col lecte de lait dans les r gions d agriculture pluviale au Maroc Dans le cadre de ce travail 8 centres de col lecte de lait ont t retenus Les centres ont t choi sis en fonction de leur situation g ographique
205. ty Management Socio economy Agropastors Central Mali R sum Une tude des causes responsables des diff rences de productivit entre troupeaux d ovins et des caprins dans un village du Mali central appartenant au sous systeme agro pastoral associ a la culture pluviale du mil a t entreprise de juillet 1987 a mars 1988 Les facteurs de gestion les caract ristiques socio cono miques des agro pasteurs et les param tres de pro ductivit des ovins et des caprins ont t simultan ment suivis et analys s Les r sultats ont montr que les ovins et les caprins n taient pas g r s de la m me fa on et que les causes des diff rences de productivi t observ es entre troupeaux sont li es aux moyens de production personnels de l agro pasteur a ses m thodes de gestion des animaux son apprentissage de la profession d leveur et la d tention des autres ani maux Introduction Dans le Mali central les petits ruminants repr sentent 22 2 de la biomasse des ruminants domestiques 8 lls constituent ainsi une importante ressource non seu lement dans le secteur de la production animale mais aussi dans l ensemble de l conomie du pays L aptitude procurer de la viande du lait des liquidi t s et d autres produits 7 m me dans des conditions cologiques particuli rement difficiles de la zone semi aride et a des poques de l ann e o la production des bovins est pratiquemen
206. ub Saharan Africa Ph D dissertation Katholieke Universiteit Leuven 159 p 8 Tshiunza M Nweke FI amp Tollens E 1997 Cassava field to home trans portation labor needs African Journal of Root and Tuber Crops 3 1 43 45 F I Nweke Nigerian Project Leader of the Collaborative Study of Cassava based at the International Institute of Tropical Agriculture Ibadan Nigeria E F Tollens Belgian Professor at the Department of Agri Economics at the Katholieke Universiteit Leuven in Belgium 196 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 197 200 Enqu te s rologique sur quelques maladies aviaires dans la region du Nord Gu ra Tchad A Maho L Y Mopat B Kebkiba amp G Boulbaye Key words Investigation Serology Chickens Chad R sum Une enqu te s rologique portant sur cing maladies aviaires a t effectu e dans trois sous pr fectures Magalm Mongo Bitkine du Nord Gu ra localit s situ es a 550 km au Nord de N Djam na Au total 278 poulets g s de 12 a 24 mois ont t achet s dont 103 dans 5 villages de Mangalm 93 dans 5 de Mongo et 82 dans 8 de Bitkine Les r sultats s rologiques r a lis s ont montr des taux d infection faibles pour les maladies de Newcastle 7 33 de Gumboro 8 66 et la pullorose 8 73 Des taux lev s ont t obte nus avec la bronchite infectieuse 32 Yo et l infection a Mycoplasma synoviae 36 66 L existence des 2 3 et m me 5
207. ucturelle entre petites et grandes exploitations les performances de production sont en deca des potentiels des vaches Elles se caract risent par leur forte saisonnalit d termin e par la concen tration des v lages de janvier mars Ces tendances impliquent une fragilite du systeme de production lai tiere en zone pluviale puisqu il se retrouve otage des al as climatiques et des interm diaires impliqu s dans la commercialisation du lait De plus les conditions techniques sous jacentes la production laiti re fai blesse des disponibilit s fourrag res recours anar chique aux concentr s raret des g niteurs absence de conseil zootechnique chez toutes les cat gories de producteurs sont autant de contraintes qu il im porte de r soudre notamment par la constitution d en tit s d encadrement des leveurs Ces derni res pour raient se greffer sur le cadre juridique des centres de collecte d j existants pour tre proximit des le veurs et pour gagner rapidement leur confiance Sinon en l absence de ces actions les espoirs de generation de revenus sur lesquels reposent les investissements actuels dans le domaine de l levage bovin laitier se raient compromis moins que les leveurs ne s orga nisent de leurs propres initiatives Remerciements Les auteurs tiennent remercier les responsables des centres de collecte de lait du cercle administratif de Tiflet qui leur ont permis de consulte
208. uelo de la Provincia de Santa Fe Argentina Revista de la Asoc de Cs Naturales del Litoral Santa Fe Argentina Climax 1980 14 Spiaggi E P Mansilla M I 4 Di Masso R J Feed efficiency and relati ve average daily weight gain in coypu Myocastor coypus Com Biol 13 4 438 1995 15 Spiaggi E P Mansilla M I amp Di Masso R J Tama o asint tico y tasa de maduraci n para peso corporal en nutrias Myocastor coypus Rev Arg Prod Anim 16 2 181 186 1996 16 Spiaggi EP Biasatti N R Marc L B Mansilla M I 4 Di Masso R J An lisis econ mico productivo de un sistema integrado de cr a de nutrias y lombrices Rev Arg Prod Anim 16 Sup 1 25 26 1996 17 Spiaggi E P Benaglia A amp Di Masso R J Heterotic and maternal ef fects on growth traits in coypu Myocastor coypus Com Biol 14 3 339 1996 18 Spiaggi E P Biasatti N R Marc L B amp Di Masso R J Implementaci n de un Sistema Productivo Integrado Nutrias Lombrices en el marco de un Desarrollo Agropecuario Sustentable UNR Ambiental 2 103 112 1996 19 Viglizzo E 8 Filippin C Los Agroecosistemas de la Argentina In Elementos de Pol tica Ambiental H C mara de Diputados de la Pcia de Buenos Aires Buenos Aires Argentina 1993 pp 109 132 N Biasatti Argentinian Biologist Professor and Researcher at the Environmental Studies Center of the Veterinary Faculty of the National University of Rosario E S
209. uit ce produit aupr s des je neurs 7 Ceci in duit un afflux de lait vert le circuit informel de com mercialisation qui contribue amplifier davantage la chute de la quantit totale collect e par les centres 8 Cette tendance contourner la livraison du lait aux centres m me si elle est antagoniste avec leurs r glements internes montre que les leveurs sont conscients que la politique actuelle des prix du lait la production n est plus ouvertement en leur faveur 2 6 Caract risation des modes de production dans les exploitations laiti res La surface agricole utile SAU moyenne des exploita tions laiti res retenues lors de l enqu te est environ de 18 0 ha L chantillon des 70 unit s pr sente cepen dant une large gamme de superficies Nous avons ar bitrairement class les exploitations en 5 cat gories selon la SAU Tableau 2 Il en ressort que les petites exploitations moins de 10 ha sont les plus nom breuses et exploitent le moins de surface conforme ment aux observations d Auriol 3 L occupation des sols est principalement domin e par les c r ales 58 2 de la SAU et a un degr moindre par les fourrages 12 2 de la SAU Le reste est par 203 TROPICULTURA Tableau 2 Classes de SAU et part des fourrages dans l occupation des sols Exploitations SAU exploit e ha Part des fourrages Classe de SAU Nombre en Totale Moyenne Surface moyenne ha en de SAU Oa5dha
210. un disque de papier buvard Chaque disque est lu dans une cellule de la PLAQUE DE DEVELOPPEMENT contenant le tampon de dilution des anticorps En cas d utilisation des s rums comme dans le cas du pr sent travail les pr levements sont dilu s dans la m me cellule contenant le tampon de dilution des anticorps En suite le COMB est intro duit directement dans les cellules contenant le tam pon de dilution des anticorps S ils sont pr sents dans les cellules contenant le tam pon de dilution de anticorps les anticorps sp cifiques aux antigenes du COMB s attacheront sp cifique ment sur le COMB Ensuite le COMB est trans f r dans une solution contenant un conjugu anti poulet qui se fixera sur les anticorps pr alablement fix s sur le COMB Enfin le COMB est finalement plac dans un compartiment contenant un chromog ne sp cifique de l enzyme du conjugu La lecture se fait en comparant l intensit de la colo ration produite sur les spots antig ne du COMB des chantillons avec celles des t moins positifs et n ga tifs Si un spot chantillon pr sente une coloration iden tique ou inf rieure a celle du contr le n gatif l chan tillon est not z ro ce qui correspond a l absence d an ticorps d tectables Si un spot chantillon pr sente une coloration sup rieure ou inf rieure celle du t moin positif une va leur S variant de S
211. une surface limit e tout en recherchant un rendement lev L intensification de ces productions n cessite d apporter une fertilisation min rale et de soigner les d sherbages Les essais de r colte de semences de l gumineuses en milieu paysan Afin de diffuser plus largement ces l gumineuses il a t possible d acheter des semences quelques pay sans ayant r alis des jacheres am lior es et des TROPICULTURA lignes de pois d angole Comme en station la r colte du mucuna du pois d angole et de la crotalaire a t facilement r alis e par les paysans La r colte de Stylosanthes et de Calopogonium est beaucoup plus d licate et peut s av rer impossible si des adventices comme Pennisetum pedicellatum se d veloppent au dessus des l gumineuses Ces productions peuvent constituer une source de re venu int ressante si elles trouvent des preneurs Une famille de 3 personnes peut r colter en 5 heures 4 kg de semences de Stylosanthes hamata achet s 1500 FCFA kg ou 2 6 U kg soit un revenu de 400 fr heure ou 0 75 U heure bien sup rieur a celui observ en milieu rural 100 a 150 fr heure ou 0 2 0 25 U heure Diffusion des esp ces et valuation des besoins en semences et plants Diffusion du mat riel v g tal propos Les r sultats obtenus en station et en milieu paysan au Nord Cameroun montrent que les semences de l gumineuses et de gramin es p rennes pour les es peces retenues ici
212. ur pourra consommer la cochenille Cette particularit constitue un avantage ind niable et peut compenser dans une certaine mesure le handicap cr par une dur e trop longue du cycle biologique 38 5 jours de l auxiliaire par rapport la dur e du cycle du ravageur qui se situe autour de 27 jours dans nos conditions climatiques 8 L tude des caract ristiques morphologiques bas e essentiellement sur la reconnaissance des diff rents stades de vie du pr dateur a permis de mieux conna tre l insecte En d pit de l avantage offert par une dur e de vie im portante de l imago on rel ve des faiblesses au niveau des param tres biologiques du pr dateur faible vitesse de ponte et dur e trop longue du cycle essentiellement Ainsi pour faire une appr ciation r elle de l efficacit de couturieri dans la lutte contre P manihoti une tude quantitative int grant les niveaux et la vitesse de consommation du ravageur doit tre envisag e Remerciements Je voudrais que les Professeurs Aouti Akossi Salomon et Foua BI Kouahou du laboratoire de zoologie et bio logie animale de l universit nationale de la C te d Ivoire re oivent ici l expression de ma profonde et respectueuse reconnaissance Il en est de m me de Monsieur Roger Vuattoux Directeur de la station co logique de Lamto en C te d Ivoire Ces trois minentes personnalit s du monde scientifique sont aussi mes anciens Professeurs ils ont
213. utellospora plus r cente 30 toutes les especes de ce genre d crites avant 1986 ont t rang es parmi les Gigaspora De m me la difficult d observer cer tains caracteres discriminants du genre Scutellospora bouclier de germination paroi interne flexible sur des spores pr lev es au champ rend probable une confu sion de genres Enfin ces deux genres sont phylog n tiquement tres proches et ce n est pas un hasard s ils ont t taxonomiquement inclus dans une m me famille celle des Gigasporaceae 22 31 Parmi les six genres des trois familles Glomaceae Acaulosporaceae et Gigasporaceae formant l ordre des Glomales trois sont repr sent s au S n gal les deux genres paucisp cifiques Entrophospora et Sclerocystis ainsi que le genre Acaulospora n ont pas t observ s Cette absence s expliquerait par le fait 165 TROPICULTURA que les deux premiers genres sont peu repr sent s en especes Par contre la difficult d observer et d iden tifier des especes d Acaulospora est souvent li e a la fragilit des structures annexes de leurs spores sac cules sporiferes hyphes de connexion Cependant leur exploration est possible par piegeage des spores sur plante h te 8 Le genre Sclerocystis a recemment subi une r vision par Almeida 4 Schenck 4 qui ont rang les esp ces dans le genre Glomus l exception de S coremioides Cependant cette r vision n a pas t accept e par Wu 32 qui su
214. ux tableau 2 Au contraire les agro pasteurs les moins riches ont des troupeaux souvent plus performants Une telle relation tablie entre la mauvaise performance des troupeaux et la richesse des agro pasteurs ne peut s expliquer que par la d tention des troupeaux vari s et de taille 182 importante par des agro pasteurs les plus riches o les animaux ne b n ficient pas tous de la m me at tention A cette explication s ajoute la pr f rence que les agro pasteurs ont pour l une ou l autre des deux esp ces de petits ruminants car beaucoup d entre eux semblent croire que par rapport aux ovins les caprins sont r sistants posent moins de probl mes et offrent davantage de produits d levage Le mode de conduite des petits ruminants dans le sys t me agro pastoral du Mali central se caract rise par une exploitation tr s importante des p turages natu rels des jach res et des champs apr s r colte 1 L apport d aliment compl mentaire sous forme de sous produits de r colte et m me sous forme de sel gemme n est pas une pratique quotidienne La com pl mentation alimentaire se fait donc occasionnelle ment Dans certains cas elle se fait par l interm diai re des animaux de valeur comme les nes les chevaux et les b ufs de labour Quand le compl ment alimen taire est de bonne qualit et que les effectifs des pe tits ruminants qui le re oivent sont r duits une telle pratique finit toujours par avoir un eff
215. valeur R sultats Caracteres quantitatifs Les tableaux 3 et 4 r sument le comportement des dif f rentes provenances dans les parcelles 72 02 et 81 2 en ce qui concerne le taux de survie la hauteur moyen ne et la circonf rence moyenne des arbres Cependant en l absence d claircie les arbres des diff rentes pro venances sont assujettis a la concurrence intrasp ci fique L analyse de variance montre des diff rences globalement significatives entre les provenances Dix huit ans apres la mise en place des plantations les provenances tudi es ont un taux de survie large ment sup rieur a 50 mais toujours inf rieur a 80 La discrimination des provenances les unes des autres est relativement difficile du fait de nombreux chevau chements constat s entre les moyennes de celles ci La provenance de Honduras guanaja parait cependant comme la moins r sistante aux conditions cologiques du p rim tre d afforestation de Pointe Noire D une mani re g n rale la hauteur moyenne des arbres est assez lev e Elle varie de 12 1 m 18 8 m pour les in dividus de la parcelle 72 02 g s de 18 ans et de 11 5 a 13 7 m pour ceux de la parcelle 81 2 g s de 9 ans A l int rieur de chaque parcelle on distingue deux groupes de provenances Dans la parcelle 72 02 le groupe 1 croissance forte rassemble les provenances Tableau 3 Comparaison des caract res quantitatifs taux de survie hauteur et circonf rence moyennes des
216. voir rendre un grand service a la communaut pour laquelle vous travaillez Merci BERICHT Wij herinneren al onze lezers eraan vooral diegenen in de ontwikkelingslanden dat TROPICULTURA bestemd is voor ieder die werk verricht op het gebeid van het platteland en dit in de meest ruime zin van het woord Daarom zou het nuttig zijn dat u ons de adressen zou geven van de Instellingen Scholen Faculteiten Centra of Stations voor landbouwonderzoek van het land of de streek waar u zich bevindt Wij zouden ze kunnen abonneren zo dit niet reeds gebeurd is Met uw hulp denken we dus een grote dienst te kunnen bewijzen aan de gemeenschap waarvoor u werkt Dank U 188 TROPICULTURA 1998 99 16 17 4 189 192 Etude bact riologique et biochimique du miel vendu au march central de Bukavu Congo K Kitambala Keywords Honey Bacteria Biochemistry Contamination Consumption R sum Le miel vendu au march central de Bukavu Congo est produit par des apiculteurs traditionnels Le pr sent article consiste en une tude bact riologique et biochimique de cette denr e en vue de d terminer son niveau de contamination et de pollution Les r sultats obtenus ont mis en vidence une conta mination d origine f cale pr sence d ent robact ries dont Escherichia coli Les tests biochimiques ont in diqu la pr sence des bact ries fermentant le glucose et alt rant ainsi la qualit du miel Celui ci est donc im
217. ygiene et de sant ont transform radicale ment les modes de vie et de production et port at teinte aux quilibres naturels ancestraux La croissance D G C rue Brederode 6 1000 Bruxelles Recu le 01 12 98 et accept pour publication le 07 04 99 216 Summary Tropical Breeding A Sharing Approach in Order to Integrate the Farming Systems Breeding in tropical countries depends of the Environment and must be planned according to pea sant themself s priorities Severe planification is needed according to all para meters of pertinency and efficiency as well as a per manent evaluation of the results d mographique tr s lev e de la plupart de ces pays de 2 5 3 5 par an et la pratique de certains sys temes d exploitation d vastateurs ne visant que des int r ts financiers imm diats for ts quatoriales et sa vanes bois es ont accru fortement la pression sur des ressources naturelles fragiles et provoqu leur d gra dation rapide Surpopulation et d gradation des ressources natu relles particuli rement de la fertilit des sols ont amen des situations humaines et conomiques ca tastrophiques Elles ne sont pas sans lien avec les tra giques venements du Rwanda par exemple Dans ces conditions les pratiques d agriculture et d levage ancestrales sont s rieusement remises en question et il est imp ratif pour l agronome ou pour quiconque est concern par les problemes dun

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