Home

Traitd`U 02/03 FR xp - Association de la Ville et des Communes de

Contents

1. tre dans la rue Le Gouvernement p re adoptif de cette nouvelle police trouva les y a qu ad quats Y a qu largir les comp tences des soci t s priv es de gardiennage d une part et des agents de Pr vention et de S curit d autre part en abr g APS Y a qu leur donner comp tence pour constater sans verbaliser bien entendu ces d range ments en telle sorte que la police qui ne devra plus verbaliser puisque constat a t dress pour ra mener une gestion un peu s rieuse de la vraie ins curit Cea m interpale quelque part dans mon v cu comme on dit dans mon quartier La police communale n existe plus nous le savons Le l gislateur s est cependant prononc pour le maintien de sa culture historique la police doit tre citoyenne la police doit tre de proximit la police doit tre le reflet de la communaut community policing Ce v u sera t il respect en d chargeant largement les forces de l ordre locales de la responsabilit du maintien d une bonne police des espaces publics de la cit chacun d y r pondre et l avenir de juger Soyons cependant clair si les soci t s priv es et les agents de Pr vention et de S curit permettent au municipaliste de r pondre ad quatement aux petites mis res qui pr occupent les citoyens il y a un risque majeur de d sinvestissement dans la police locale Bien entendu une double obligation l gale p se sur l autorit c
2. 03 02 2003 inorum 180479 AM du 29 01 2003 abrogeant l AM du 14 12 2000 pris en ex cution de l art 34 par 2 de l AR du 30 10 1974 portant r glement g n ral en mati re de minimum de moyens d existence et de l art 2 del AR du 13 05 1994 pris en ex cution de l art 12 de la loi du 02 04 1965 ral la prise en charge des secours accord s par les centres publics d aide sociale M B 10 02 2003 inform 182713 AR du 30 01 2003 mod l AR du 13 05 1994 pris en ex cution de l art 12 de la loi du 02 04 1965 ral la prise en charge des secours accord s par les centres publics d aide sociale M B 10 02 2003 inform 182709 AR du 30 01 2003 abrogeant l AR du 22 05 2001 pris en ex cution de l art 5 par 4 al 5 de la loi du 02 04 1965 ra la prise en charge des secours accord s par les centres publics d aide sociale M B 10 02 2003 inform 182706 ETAT CIVIL POPULATION AR du 02 12 2002 r glant l acc s au registre d attente dans le chef de la Banque carrefour de la s curit sociale et de certaines autorit s administratives et institutions de s curit sociale M B 27 01 2003 infor 182395 FINANCES TAXES AR du 23 01 2003 modifiant en ce qui concerne le coeg ficient de revalorisation pour les revenus cadastraux l AR CIR 92 M B 06 02 2003 morum 13133 Trait d Union 2003 02 GESTION COMMUNALE Avis Arr t n 151 2002 du 15 10 2002 de la Cour d Arbitrage La question pr judicielle
3. amp de l ins cription budg taire des dotations compl mentaires de 39 45 et 28 millions d euros obtenues sur la dotation nationale de m me que de la prise en charge des surco ts li s la statutari sation des CALO G Par ailleurs il a t demand que la com mission d accompagnement de la r forme des polices d bute sans plus attendre ses travaux et sugg r quelques points prio ritaires smplification des proc dures administratives tat des lieux des normes budg taires fonctionnales fonctionne ment du secr tariat social modalit s du transfert des b ti ments de l ex gendarmerie collaboration et r partition des taches entre polices f d rale et locale amp mise en place d ASTRID CT M arc T houlen A L AGENDA Vous organisez un v nement lancez un appel projets mettez sur pied une formation ou simplement tes au courant d v nements qui ne sont pas annonc s dans nos colonnes Contactez nous pour nous permettre d offrir la meilleure information possible nos lecteurs Une version compl t e et mise jour de cet agenda est disponible depuis peu sur notre site www avch vsgb be AS Das O Quoi Renseignements 8 3 Journ e des N ations U nies pour les droits de la femme et la paix R solution 32 142 du 16 12 1977 internationale Voir aussi article dans ce Trait d Union 11 3 Bruxelles Palais des Congr s Sustainable M obility for all European M obility Week Conference 11 3 W pi
4. nuisances envi ronnementales tapage vols et vandalisme Les riverains exc d s ont fait circuler une p tition demandant des mesures pour faire cesser ces troubles Par ailleurs il est constat que l tablissement ne respecte pas les heures d ouverture et surtout de fermeture pr vues dans le permis Le responsable de l tablissement a t entendu le 23 sep tembre 1999 dans le cadre d une proc dure de fermeture de l tablissement mais le 26 septembre des faits similaires taient nouveau constat s la suite de quoi le bourg mestre prend le 28 septembre un arr t de fermeture par tielle entre 20h00 et 8h00 d une dur de trois mois Cet arr t est motiv en droit par les articles 133 134ter et 134quater N LC L arr t a t confirm par le coll ge sa premi re s ance Discussion Une activit permise mais qui suscite des troubles l ext rieur sans que rien de particulier soit signal l int rieur voici apparemment un bel exemple d application de l article 134quater Certes on peut toujours argumenter pour savoir si les activit s en question se d roulent bien l int rieur il n est pas pr cis si la friterie est un simple comptoir ou si les clients peuvent y p n trer mais il nous semble que le cas ne devrait pas donner lieu discussions sil n tait une for mulation peu heureuse de la motivation O n lit en effet dans les consid rants de l arr t du bourgmest
5. s C ef L auteur examine d une part les diff rents r les de l ordre public en droit p nal on voit ains qu il sert tout en m me temps de crit res d incrimination de sanction et de r gles proc durales d rogatoires et d autre part ses divers degr s en droit p nal la diversit de ces degr s d pendant tant t des sources des r gles p nales tant t du r gime des r gles p nales 3 Ordre public et domaine public L auteur Etienne Fat me passe d abord en revue les rapports unissant ces deux notions il examine ensuite le contenu de l ordre public en regard sp cialement du domai ne public il se penche enfin sur la poursuite du maintien de l ordre par des autorit s autres que celles de police 4 L obligation d agir pour la protection de l ordre public la question d un droit la s curit par Didier Truch amp M Truchet identifie d abord deux cat gories d obligations d agir pour la protection de l ordre public cale d identification des risques et cale de r agir obli gation de pr vention et de pr caution I1 analyse ensuite deux aspects du droit la s curit pour les citoyens l objet m me de ce droit vivre dans un environnement s r la confrontation aux risques et la sanction du droit la s curit la recherche d une r paration ou d une sanction 5 Ordre public et dignit de la personne humaine un probl me de fronti re par Gilles Lebreton La premi re constatation de l
6. Administration des Pouvoirs Locaux Sa premi re mission a consist tablir un bilan des politiques men es jusqu alors en R gion bruxelloise Une enqu te encore in dite r alis e en 2001 par le Minist re de l Emploi et du Travail et soutenue par l Administration des Pouvoirs Locaux permet d tablir un diagnostic des actions men es en faveur de l galit au niveau local Elle donne un aper u du travail accompli e des r sultats obtenus en mati re d actions positives en faveur du personnel communal et de politique locale d mancipation en faveur de la population N ous en pr sen terons les r sultats dans un prochain num ro La seconde t che de la cellule consiste sensibiliser la politique locale d galit des chances le personnel des com munes et les mandataires Une formation l exercice du mandat communal int grant l galit des chances a donc t organis e pour les lues et a notamment permis de pr senter un expos de Val rie Verzele sur les r sultats des femmes aux derni res dections Ce dernier sappuyait sur une tude r alis e par le Minist re de l emploi et du Travail qui analyse les r sultats des lections du 8 octobre 2000 2 L i a _ still Les dues sont venues de toute la Bagique pour s rencontrer le 28 janvier denie amp changer leur exp rience 1 Vers une d mocratie paritaire Analyse des lections communales et provinciales du 8 octobre 2000 tude r alis e par Claudine
7. M arissal et Ingrid H ansen sous la direc tion d Eliane Gubin et Leen Van M olle Minist re f d ral de l Emploi amp du Travail Direction de l galit des chances Trait d Union 2003 02 CHO DE LA R GION tiques notamment locales Cependant il ne faut pas pour autant consid rer l augmentation du nombre de femmes comme une condition suffisante pour assurer l galit de fait dans la gestion politique La loi Smet Tobback du 24 mai 1994 a introduit pour la premi re fois dans notre syst me ectoral un timide syst me de quotas en ce qui concerne la r partition des candidats sur les listes lectorales Ces derni res ne pouvaient dor na vant pas contenir plus de 2 3 de candidats d un m me sexe Communes Candidates des listes Elues On voit dans le tableau que d s 1994 la moyenne du nombre de candidates atteignait d j ce tiers On consid re g n ralement que pour qu un groupe puisse peser sur une d cision ou influencer une politique il doit repr senter une masse critique d un tiers de ses membres Les r sultats des deux derni res dections communales permet tent de mesurer l volution de la f minisation des organes communaux et d op rer une comparaison r gionale Echevines Coll ge exclusivement masculin du conseil 2o 1004 2000 1994 2000 1994 2000 1008 Non communiqu 77 La situation des femmes Bruxelles est particuli rement encourageante quoi
8. apitale Administration des pouvoirs locaux Service de l E galit des chances T l 02 800 32 02 gpungu mrbc irisnet be Voir aussi les formations reprises notre agenda ou sur Wwww avch vsgb be Vers une d mocratie paritaire Analys des e tions communales amp pro vinciales du 8 octobre 2000 tude r alis e par Claudine Marissal et Ingrid Hansen sous la direction d Eliane Gubin et Leen Van Molle Minist re f d ral de l Emploi et du Travail Direction de l galit des chances 2001 154 pages puis db Hommes amp Femmes l aube du 21 me s de Un manud d utilisation des statistiques sus l angle du genre Minist re f d ral de l Emploi et du Travail Les fenmes amp la poli tique Le profil des candi dates aux dections du 13 juin 1999 Direction de l galit des chances Minist re f d ral de l Emploi et du Travail 2001 40 pages Cette tude analyse le profil des candidates aux lections du 13 juin 1999 On y trouve par appartenance politique leur parcours politique la composition de leur m nage leur profil sco laire leurs opinions sur les femmes en politique ou sur les quotas Ces divers ouvrages peuvent tre consult s ou command s l espace Info du M inist re f d ral de l Emploi et du Travail Rue Bdliard 51 53 1040 Bruxelles T l 02 233 42 14 info meta fgov be Trait d Union 2003 02 publi e au Moniteur belge
9. auteur est que la dignit de la person ne humaine la fois compo sante et concurrente de la moralit publique perturbe la notion d ordre public Deuxi me constat la dignit de la personne humaine trans forme potentiellement l ordre public qui est tout la fois un instrument du maintien de la paix sociale et un instrument d instauration d un ordre moral en instrument d op pression des libert s REDOR MarieJodle sl d L ordre public Ordre public ou ordres publics Ordre public amp droits fondamentaux Actes du colloque de Caen des jeudi 11 amp vendredi 12 mai 2000 Bruylant Bruxdles 2001 434 pages ISBN 2 8027 1452 X D e bevoegdheidsverdeing in het federale Belgie La r partition des comp tences entre Lomme E ANSE RSS L l tat f d ral et les R gions est le r sultat d une s rie de r formes de notre paysage ingitutionnea qui ont commenc en 1970 et se sont d velopp es au cours des ann es C etains m canismes ont surv cus aux remises en question tandis que d autres sont plus r cents Certaines r gles ont t modifi es e amp affin es au EL Fr long des diverses r formes Ma ter Toutes ces modifications ne facilitent pas l application de la l gislation tant les remises en question sont parfois r gu li res et radicales Le praticien affronte la double difficult de devoir perp tuale ment se tenir au courant et de discerner les solutions dans un amas d i
10. bourgmestre adopte une deuxi me ordonnance compl tant la premi re en instaurant une zone de stationnement interdit d un c t de la rue dans laquelle se trouve la seule issue du b timent en travaux Les deux ordonnances sont motiv es en droit par la loi rela tive la police de la circulation routi re le r glement g n ral sur la police dela circulation routi re le code dela route et les articles 119 134 135 et 179 N LC Discussion II appartient au bourgmestre de prendre toutes les mesures n cessaires au maintien de l ordre public I1 dispose cet gard de deux instruments l arr t de police bas sur les articles 133 et 135 134ter ou 134quater N LC et l ordon nance de police bas e sur l article 134 N LC Ces deux ins truments ne se confondent pas et interviennent dans des cas de figure diff rents l arr t de police est quasiment toujours de port e indivi duale c est dire qu il ne s applique qu une personne ou une cat gorie restreinte de personnes un endroit pr cis de la commune et pour une dur e d termin e ou d ter minable cet arr t de police ne peut pas Sanalyser comme l exercice du pouvoir r glementaire communal qui n appartient en r gle qu au conseil communal mais comme l exercice de la police administrative g n rale c est dire une mesure destin e pr venir ou rem dier un trouble de l ordre public l ordonnance de police est un instrument exceptionne
11. du 22 01 03 au 14 02 03 AFFAIRES SOCIALES Ordonnance du 20 12 2002 mod 20 le Chapitre XIIbis de la loi du 08 07 1976 organique des centres publics d aide sociale M B 29 01 2003 smforum 182474 ACCCF 2002 n 147 du 12 12 2002 ra aux conven tions de partenariat conclues entre l Institut bruxellois francophone pour la Formation professionnelle et les organismes d insertion socioprofessionnale pris en ex cu tion de l art 4 par 2 du d cret de la Commission com munautaire fran aise du 27 04 1995 rel l agr ment de certains organismes d insertion socioprofessionnelle et au subventionnement de leurs activit s de formation profes sionnelle en vue d accro tre les chances des demandeurs d emploi inoccup s et peu qualifi s de trouver ou de retrouver du travail dans le cadre de dispositifs coordon n s d insertion socioprofessionnalle M B 31 01 2003 inform 182538 AR du 24 01 2003 pris en ex cution de l art 12 de la loi du 02 04 1965 ra la prise en charge des secours accord s par les centres publics d aide sociale M B 03 02 2003 a 182574 AR du 24 01 2003 pris en ex cution de l art 44 de la loi du 26 05 2002 concernant le droit l int gration socia le MB 03 02 2003 n rum 182566 Avis Arr t n 141 2002 du 9 10 2002 de la Cour d Arbitrage La question pr udicielle rel l art 2 par ler al 1er 2 de la loi du 07 08 1974 instituant le droit un minimum de moyens d existence M B
12. imit et ne constitue qu une toute petite portion du territoire communal les populations vis es sont les seuls usagers de ce quartier bien que cela ne soit pas formellement mentionn il d coule des consid rants que ces mesures n ont de sens que pour la dur e du chantier et qu elles seront appel es prendre fin avec celui ci aucune urgence imp rieuse ne semble devoir imposer l adoption d une ordonnance de police par le bourgmestre De plus la motivation se r f re l article 134 N LC mais il n y a aucune trace de confirmation de la mesure par le conseil communal Pour ajouter la confusion l ordonnance vise la loi sur la police de la circulation routi re qui ne peut pas servir de fondement une ordonnance de police communale Bref nous sommes en pr sence d un des nombreux cas de confusion de comp tences qui am ne le bourgmestre 12 A d faut de quoi ele tablirait une situation permanente 13 Pour d autres exemples voir J ROBERT loc cit p 116 14 I1 en va de m me des arr t s bas s sur les articles 134ter ou 134quater prendre une ordonnance de police l o un arr t aurait suffi 13 Raevons enfin que l article 179 NLC mentionn dans le visa de l ordonnance de police a t abrog en 1992 soit pr s de dix ans avant l adoption de l ordonnance examin e 4 La pr vention peut elle tre r pressive Le 9 mai 2000 la suite de faits de racolage par le perso
13. l Internet ASBL rue Antoine Gautier 25 1040 Bruxelles T l 0497 44 79 40 Fax 02 735 51 06 coordination fete internet net wwu fete internet be M ariem Bousemati Echevine de l Emploi et des Classes Moyennes 20 rue Comte de Flandre 1080 Bruxelles T l 02 412 37 40 Fax 02 412 36 93 mbhouselmati molenbeek irisnet be St phanie de H emptinne S A Editions amp S minaires Avenue des Eglantiers 2b 1180 Bruxelles T 02 649 25 75 Fax 02 649 11 58 editions seminaires skynet be Peter Lamens 58 Tildonksesteenweg 3020 H erent T l 016 23 56 09 Fax 016 29 08 64 opc parkeren be WWw parkeren be M arijke Konings ou Johan Van D uyse SD Opleidingen Brouwersvliet 5 2000 Anvers T l 03 201 72 66 marijkekonings sd be www sdopleidingen be http 20mars francophonie org et http agence francophonieorg http www un org french events ref41 html WWW access eurocities orq Gratia Pungu M inist re de la R gion de Bruxelles C apitale Egalit des chances T 02 800 32 02 Journal officiel s rie C 2002 C 320 13 Commission europ enne Direction g n rale Soci t de l information Programme e C ontenu B timent Jean M onne bureau EUFO 1181 L 2920 IE EContent cec eu int http www cordis lu econtent call201202 htm Instance Rue Bosquetstraat 67 1060 Brussl Bruxelles T l 02 534 94 51 Fax 02 534 84 41 info 4Instance be 02 775 15 19 info ibgebim be
14. ments communaux l utilisation de l eau de pluie l infiltration de l eau de pluie l utilisation de toitures v g tales Concr tement la commune peut mettre une s rie de mesures incitatives ou obligatoires telles que des cam pagnes de sensibilisation des permis d urbanisme obligeant l installation d une citerne et l utilisation de l eau de pluie des primes pour l installation l obligation de cr er des surfaces per Trait a Union 2003 02 m ables dans les nouvelles zones urbaniser une taxe sur les surfaces imperm ables reli es aux gouts linterdic tion de connecter l eau de pluie au syst me de collecte des eaux us es dans les nou velles zones d urbanisme des primes pour d connec ter l eau de pluie du r seau d gouts dans les maisons existantes 3 Troisi me axe d action les communes ont un r le important jouer dans la pr vention et la r duction de la pollution de nos eaux de surfaces et souterraines La cr ation des gouts publics est sans doute l une des comp tences les plus connues des communes M ais les communes peuvent tre particuli rement actives dans bien d autres domaines tels que l puration indivi duele les connections des particuliers au r seau d goutta ge le d couplement des deux r seaux le fait d viter l uti lisation de produits nocifs pour l environnement engrais chimiques pesticides mat riaux de constructions compos s
15. rieux Voil quand m me une bonne occasion de rappaer le lien troit entre la cit au sens grec du terme et la police Police citoyenne ne serait donc qu un pl onasme offert par la nuit des temps La R volution a pris le relais en chargeant le pouvoir communal de faire jouir les habi tants des avantages d une bonne police Sur son chemin la bonne police a crois l int r t communal autre expression go teuse qui a s duit elle le constituant belge de 1830 La police communale pouvait elle trouver meilleurs g niteurs pour sa croissance et sa prosp rit Bien entendu des exemples d indiff rence voire de maltraitance ont exist mais globalement l en fant ne se portait pas trop mal en cette fin de 20 si cle Ce n tait en tout cas pas le plus disgra cieux de la famille O ctopus coupa le cordon ombilical de l int r t communal la police s manci pa vers l int r t g n ral La bonne police dont la responsabilit continue peser sur les paules des mandataires communaux justifia cependant l octroi d une pension alimentaire appel e dota tion Le municipaliste en garde un co t amer A l occasion de cette renaissance il est apparu que le d veloppement harmonieux du nouvel enfant tait perturb par quelques soucis ancillaires papiers sales excr ments canins l g res dis putes citoyennes Ces ph nom nes de trottoir emp chaient la police nouvelle d
16. un v ritable contentieux administratif communal in Trait d Union 2001 02 pp 3 9 2 C est nous qui mettons en vidence 3 dem 4 Sur l impossibilit dans certains cas d utiliser conjointement des articles 134ter et 134quater voir infra Trait d Union 2003 02 aurait caus un dommage s rieux L arr t motive ce der nier en se r f rant la p tition des riverains et au trouble qu ils endurent M me si ce type de motivation ne nous semble pas tre celui que le l gislateur avait en t te lorsqu il ins ra cet article dans la Nouvelle loi communale on ne peut pas notre sens consid rer l arr t comme mal moti v sur ce point ni a fortiori ill gal Enfin notons que le coll ge a confirm l arr t de police fond sur les articles 133 134ter et 134quater alors que le coll ge n a aucune comp tence pour examiner ni par voie de cons quence pour confirmer les arr t s de police fond s sur l article 133 2 Le mieux est l ennemi du bien Un tablissement organise r guli rement des s ances de Karaok ce qui est source de tapages Vingt neuf constata tions effectu es par la police attestent de ces tapages ainsi que de comportements de l exploitant amp des dients mus que chants amp cris l int rieur de l ablissement provoquant des troubles de l ordre public autour del amp ablisement C es d ran gements font l objet de plaintes de la part des riverains L organ
17. 182575 Loi du 20 01 2003 rel au renforcement de la l gislation contre le racisme M B 12 02 2003 inform 182766 Circ GPI 15quater du 29 01 2003 portant des claircis sements en ce qui concerne l application de la r glementa tion sur la position juridique en mati re d engagement externe de personnel CAL og dans la police int gr e structur e deux niveaux M B 13 02 2003 yorum 182815 AR du 16 01 2003 accordant une prime Copernic cer tains membres du personnel du cadre administratif et logistique de la police int gr e structur e deux niveaux M B 13 02 2003 smyorum 182813 AR du 15 01 2003 fixant les r gles particuli res de calcul e de r partition des dotations communales au sain d une zone de police pluricommunale M B 13 02 2003 mforun 182811 URBANISM E CADRE DE VIE AGRBC du 19 12 2002 fixant l entr e en vigueur de l ordonnance du 18 07 2002 rd au droit de pr emption M B 29 01 2003 feras 182472 AGRBC du 12 12 2002 d terminant la liste des actes et travaux d utilit publique pour lesquels les certificats d urbanisme et les permis d urbanisme sont d livr s par le fonctionnaire d gu M B 29 01 2003 err for 182470 Ordonnance du 14 juin 2001 relative aux vide ordures servant l vacuation des d chets m nagers erratum M B 29 01 2003 for 173764 Circ n 18 du 12 12 2002 rel la limitation des empla cements de parcage M B 11 02 2003 inform 182755 N
18. 2001 2005 Appel propositions ouvert VP 2002 6 Direction g n rale Emploi et affaires sociales 15 3 Journ e internationale des Consommateurs Organis depuis 1983 par Consumer international 17 23 3 F te de l Intern 19 3 Discrimination amp march de l emploi Quales sont les Pier mesures en faveur de l int gration profesionndle de de tous D bat dans le cadre de la bourse de l emploi ALL E AE rganis par la commune de M olenbeek 19 3 Bruxelles Le nouveau paysage immobilier commercial Auditoire Jacques S minaire organis par la S A Editions amp Thiery BBL S minaires D e uitbeteding van de controle op het b talend parke ren jurisdische en organisatorische aspecten Symposium organis par la VVSG Tradelec et Optimal Parking Control 14 3 D eadline 19 3 M alines 19 3 Anvers 20 3 Journ e internationale de la francophonie Arbadsreglement in de openbare sto Formation organis e par SD O pleidingen Organisation internationale de la Francophonie O IF Journ e Internationale pour l imination de la digri 21 3 mination raciale Nations Unies r solution 2142 de 1966 21 3 Safety Firg in City Traffic La Haye S minaire organis par ACCESS 21 22 3 4 5 4 La communication le management int grant les et 24 5 questions d galit des chances Bruxelles Formation pour les dues communales Actions indirectes r alise dans le cadre du program me communautaire pluriannud
19. alogue d gal gal pour construire semble Un projet qui a du chien Terre de communes la Badgique convaincue queles petits pays avaient ausi leur r le jouer dans l quilibre du monde bien d cid e ne pas laisser musde a compris ce message et l a port l ext rieur Et s ce petit roquet est celui qui partout au dedans comme au dehors est l coute des hommes de l esprit qui les inspire e des liens qui les unissent alors oui je suis fier d tre un chihuahua 4 T FL L ASSOCIATION EN ACTION Ce 6 f vrier set tenue l Assembl e g n rale des C PAS bruxalois consacr e apr s la pr sentation du rapport d activit s 2002 de la Section par son Pr sident M onsieur M ichel Colson l assurance autonomie M onsieur ean M arc Rombeaux conseiller la Section a expos les enjeux d une assurance autonomie f d rale pour les CPAS Monsieur Steenkiste Chef de cabinet de M adame Vogds M inistre flamande de la Sant a fait une pr sentation tr s compl te de la zorgverzekering et enfin Monsieur L onard responsable recherche et d vadoppement aux M utualit s chr tiennes a fait part de diverses r flexions concernant l assurance autonomie C es expo s s ont encha n sur un large d bat nourri notamment par M adame Laurence Bow chef de cabinet de la Vice Premi re Ministre et Ministre de l Emploi M adame Laurette O nkdinx Le 11 f vrier l Association organisait en marge du Forum p
20. ammes d action et sur le terrain et l chelle territoriale de cette mani re la participation au niveau du bassin hydrogra phique sera diff rente de celle du sous bassin hydrographique La commune en tant que plus peite entit administrative du pays joue un r le primor dial dans la participation du public et ce deux niveaux de la commune vers la R gion l apport des connaissances de la commune vers ses habitants la participation du et des inqui tudes des communes dans le plan de gestion et public les habitants les associations locales dans la ges dans le programme de mesures des bassins et sous bassins tion locale hydrographiques C Philippe Weiler Cet intitul est celui de la campagne de sensibilisation l utilisation rationnelle et la protection de l eau men e derni rement par le WWF Parmi les outils d velopp s on retient le guide pratique Vivons l eau destin aux particuliers professionnels et gestion naires est divis en deux parties qui s attachent l une la r duc tion des quantit s d eau utilis es l autre la qualit de l eau La bro chure m le informations pratiques et explications scientifiques avec un souci p dagogique prononc Le deuxi me volet de la campagne porte sur les autorit s locales Le WWF pr pare actuellement un manuel dans lequel il sera question de leur r le dans la mise en uvre de la Directive cadre Eau de l UE qui demande
21. ant la v ritable nature de l arr t de police savoir un arr t sanction D e tels arr t s doivent tre vit s 5 En conclusion Pour paraphraser le dessinateur Semp on pourrait dire qu avant la modification du 13 mai 1999 rien n tait simple et qu avec l adjonction des articles 134ter et 134quater tout sest compliqu Identifier la r gle applicable pour pr venir ou rem dier une situation de troubles ou de d sordres parfois dans l urgence et videmment une t che ingrate d autant plus ingrate qu trop vouloir bien faire l autorit administra tive risque de ruiner la validit de l acte qu elle adopte On ne saurait cet gard trop insister sur l importance de la motiva tion en fait et en droit de la mesure envisag une moti vation soign e claire non seulement le destinataire de la mesu re mais aussi en premier lieu son auteur sur sa teneur r elle CT Vincent Ramelot 15 S VAN GARSSE De administratieve politiebevoegdheid van de burgemeester in T B P mars 2001 p 145 M ouvement communal N 1 2003 T D e Schutter pr sente les grandes lignes d un projet de loi du gou vernement f d ral qui pr voit la constitution d une base de donn es relative aux d placements domiciletravail de l ensemble des tra vailleurs d entreprises d organisations ou d administrations de plus de 100 personnes Ce projet a pour ambition de poser un v ritable diagnostic en mati re de mob
22. aque ann e Cette r flexion simposait pour que la commune reste en ad quation avec la charte qu elle a ratifi e et dont le cha pitre Eau l engage asurer un contr le amp une r duction Trait d Union 2003 02 progress ve des consommations d eau par l utilisation ration nale la maintenance le recours l eau de pluie amp des qui pements de faible consommation et amdiorer la qualit de l eau ra amp par des meures pr ventives amp un traitement opti mal visant en particulier la r duction de l utilisation de cer tains produits nocifs La premi re tape du projet Les travaux obligatoires pr voyaient d asphalter une partie du parking arri re le solde de la surface tant b tonn et destin au nettoyage des v hicules Les deux surfaces sont s par es par un mur de blocs de b ton alv olaires remplis de plantes tombantes La pente naturelle du terrain permet la r cup ration l ai de de caniveaux transversaux des eaux de nettoyage des v hicules mais aussi des eaux de pluie tomb es sur le par king Ces eaux sont m lang es celles r cup r es sur les toits des divers b timents qui bordent le parking Elles sont ensuite trait es dans un d bourbeur et un s parateur d hy drocarbures avant d tre stock es dans des citernes d une capacit de 12 m Elles servent alimenter le nettoyeur haute pression ainsi qu une dizaine de chasses d eau via une p
23. aux Etats membre de prendre toutes les mesures n ces anne saires pour atteindre l objectif de bon tat de toutes les eaux de j EEI u surface et souterraines pour 2015 au plus tard Ceci implique Vivons L eau notamment le d veloppement et la mise en uvre de plans de ges mas Po ns tion des bassins hydrographiques Este a tin En attendant le manuel pour les communes la brochure Vivons l eau est disponible au WWF Belgique en version papier ou dectronique sur le site http www wwf be WWF Bagique Bd E Jacqmain 1000 Bruxelles T 02 340 09 99 Fax 02 340 09 33 iInfo wwf be That d Union 2003 02 Pour rendre plus directement visble les questions relatives l eau nous faisons suivre la pr ntation de la directive cadre par un exemple de bonne pratique Geoffroy M arinus Consiller en Environnement Uccle explique comment la commune int gre l utilisation rationnalle d eau lors du r am nagement d une ingal lation de lavage U ccle am nage une aire de lavage pour v hicules Les autorit s communales de la R gion de Bruxelles C apitale m nent certainement quantit d actions en mati re d utilisation rationndle de l eau Nombre de projets communaux sont r alis s sans savoir qu ils entrent dans le cadre de la Directive cadre sur l Eau Tel est bien le cas de cet exemple ucclois Ce projet de gestion int gr de l eau concerne un site annexe la maison communale qui abrite d
24. ce int gr e n a comme ambition que de garantir aux autorit s et aux citoyens un service minimal quivalent sur l ensemble du territoire du Royaume Rien n em p cherait donc d instaurer un service maximal diff rent ET Jacques Bouvier Secr taire communal de Schaerbeek 1 Capital n 98 de novembre 1999 sous le titre Votre ville est elle bien g r e p 150 Trait d Union Association de la Ville et des Communes de la R gion de Bruxelles Capitale ashl Rue d Arlon 53 4 1040 Bruxelles T l 02 233 20 04 Fax 02 280 60 90 Welcome avch vsgb lrisnet be R daction publi avcb vsgb frisnet be WW avch vsgb be Publi avec le soutien de la R gion de Bruxelles Capitale de Dexia et de la SMAP una N 2003 02 6 mars 2003 Direction Marc Thoulen Coordination Philippe Delvaux R daction Jacques Bouvier Philippe Delvaux Patricia Despretz Celine Lecocg Geoffroy Marinus Gratia Pungu Vincent Ramelot Hildegard Schmidt Marc Thoulen Philippe Weiler Traduction Liesbeth Vankelecom Kevin Cuppens Karen Foelen Secr tariat Michel De Greef C line Lecoce Alain Veys Trait d Union est imprim sur papier recycl 50
25. ction de l eau participant ainsi la r alisation de l objectif environ nemental de bon tat de toutes les eaux tel qu il est fix par la DCE Quatre th mes prioritaires peuvent tre d gag s La commune un acteur de changement C et une asigance particuli rement nombreuse amp int resse qui a Suivi les divers poss o a i r S j p i r E i i E Enf i La Er ii E l E a u 1 Une brochure intitul e G uide pour une gestion int gr e de l eau au niveau local a d ailleurs t dit e par le W WF Elle est principalement destin e aux autorit s locales de la R gion wallonne mais contient de nombreuses informations qui peuvent tre utiles au del des fronti res r gionales i 2 Directive tablissant un cadre pour une politique communautaire dans le domaine de l eau commun ment appa e D irective cadre sur l eau parlement europ en 2000 60 CE 23 10 2000 JOCE s rie L 327 22 12 2000 That d Union 2003 02 pour le niveau local titre d exemples 1 L am nagement cologique des cours d eau des zones humides et des plaines inondables est un des l ments centraux dans une politique de gestion int gr e de l eau En Belgique pendant plusieurs ann es c est une politique d am nagements durs des cours d eau qui a t men e nombreux sont les cours d eau rectifi s et canalis s les berges b tonn es les bras morts disparus les zones hu
26. de m taux lourds et finalement la sensibilisation relative aux sujets d crits ci dessus 4 Enfin quatri me axe pour les autorit s locales l article 14 de la DCE nonce l obligation g n rale pour les Etats membres d encourager la participation active de toutes les parties concern es la mise en uvre dela directive Si la diffusion ouverte et opportune d information constitue une premi re tape importante elle ne suffit pas pour obtenir une r elle participa tion impliquant un processus interactif et dynamique D e m me certaines consultations du public n offrent que difficilement voire m me pas du tout aux consult s la possibilit de participer pleine ment et d influencer concr tement les processus de planification et de d cision Il est donc important de recon na tre que les diff rents groupes qui composent le public auront leurs propres opinions besoins priorit s et attentes Pour garantir le succ s les processus d informa tion de consultation et de parti cipation devront tre adapt s aux groupes cibles sp cifiques la participation des groupes M la pr sente l directive cadre d int r ts particuliers devrait op rer un aur leau niveau strat gique par exemple par la repr sentation au sein des comit s consultatifs des bassins Les communaut s locales devraient par contre davantage chercher et valoriser une participation au niveau des progr
27. diff rencie des articles 133 et 135 en ce que ces derniers concernent des troubles l ordre public tandis que le premier ne semble pas requ rir comme condition d application de tels troubles Donc deux cas d application diff rents mais pas exclusifs il est parfaite ment possible qu une activit non autoris e par la loi ou le permis et rencontrant les autres conditions de fond de 134ter urgence risque de dommage s rieux constitue ga lement un trouble de l ordre public donnant lieu ainsi l in tervention du bourgmestre sur la base des articles 133 et 135 de mani re concurrente Essayons de classer ces diff rentes bases d intervention Soit il y a une activit non conforme sans plus c est l article 134ter qui peut s appliquer Soit il y a un trouble de l ordre public l int rieur sans plus on appliquera les articles 133 et 135 Soit il y a un trouble de l ordre public l int rieur et l ext rieur les articles 133 et 135 suffisent sans qu il soit besoin de Sembarrasser des conditions plus strictes de l article 134quater des troubles de l ordre public seul l article 134quater peut tre utilis Soit il y a activit non conforme et un trouble l int rieur les articles 134ter ou 133 et 135 peuvent tre uti lis s concurremment sans pour autant que cela soit n cessaire Activite conforme LIQU oU non nt i eur 5 Voir b v b a H orex Stad H assat R v S
28. e jours souvre le d lai de soixante jours pour proc der au paiement Trente soixante au lieu de nonante donc Par ailleurs pour viter que le cahier sp cial des charges pr voie des d lais de paiement plus longs que ceux fix s l article 15 du cahier g n ral de charges l article 3 1 et 2 de l arr t royal a t modifi par l adjonction de la disposition suivante Qua que sit le march les d ais dans lesquas les paiements sont organis s l artide 15 du cahier g n ral des charges ne peuvent en aucun cas tre ren dus plus longs par le cahier sp cial des charges Toute dispo stion contraire du cahier p cial des charges et r put e non crite Rappelons que comme le cahier des charges ne vaut que pour les march s de travaux dont le montant est sup rieur 5500 euros H TVA cette disposition ne leur est pas applicable article 3 83 de l arr t 2 de modifier le mode de calcul du taux des int r ts de retard C est un tout nouvel article 15 84 du cahier g n ral des charges qui est introduit Dor navant le taux des int r ts de retard sera celui appliqu par la Banque centrale euro p enne son op ration principale de refinancement la plus r cente effectu e avant le premie jour de calendrier du semestre en question lorsgue la transaction concern a t effectu e son une proc dure d appa d offres taux fixe Le taux est major de 7 et arrondi au demi point de pourcen
29. e nombreux ser vices administratifs et techniques au rang desquels le garage communal Ce dernier dispose d une cour int rieure o se trouve actuellement une installation temporaire de nettoya ge manua haute pression des v hicules A l arri re une aire de parking donne directement sur la voirie Les objectifs Les objectifs visaient une gestion int gr e de l eau dont une am lioration quantitative r duction de la consomma tion recours l eau de pluie une am lioration qualitative en termes de nature de char ge et de pollution des eaux une am lioration financi re la cr ation d un r servoir tampon rendu n cessaire par la surface imperm abilis e soit environ 600 m une am lioration du coefficient ruissellement infiltra tion notamment par des plantations un r am nagement des installations du garage communal Chacun de ces objectifs Sinscrit dans un contexte pr cis la Commune d Uccle a adh r en 2000 la Charte Entreprise Eco dynamique propos e par l IBGE ce site communal a obtenu en 2002 un Label Entreprise Eco dynamique d une toile pour r compenser la qualit de sa gestion environnementale une demande de permis d environnement de classe 1B est en cours une augmentation r guli re des consommations d eau a pu tre observ e lors d un audit interne La consommation qui atteignait quelques 1 100 m en 1999 augmente de 10 environ ch
30. en dergdijk onderzoek op touw zet naar analogie met gangbare praktijken in de priv sector T D dmotte bes preekt deze meing van de klantvrienddijkheid CHO DE LA R GION Le 8 mars est la journ e de Nations unies pour les droits de la femme A cette occasion et dans la foul e de l Assembl e des dues locales organis e par l Union des Villes et Communes badges qui ses tenue le 28 jan vier dernier l h tel de ville de Bruxelles nous publions une contribution de M adame Gratia Pungu dela celule galit des Chances mise en place par la R gion LA REPR SENTATION DES FEMMES AU NIVEAU LOCAL Bruxelles terrain favorable des axes majeurs de la politique communautaire visant renforcer la place des femmes dans la prise de d cision La participation politique quilibr e des hommes et des La volont d augmenter la proportion de femmes en poli femmes est depuis la fin des ann es 80 l un des chevaux de tique s appuie entre autres sur l id e d am liorer la repr sen bataille des deux M inistres f d rales de l galit qui se sont tation d mocratique et de mieux prendre en compte les succ d es M iet Smet et Laurette O nkdinx C est aussi un besoins sp cifiques des hommes et des femmes dans les poli En d but de l gislature le gouvernement r gional se promettait d accorder une attention toute particuli re l ga lit des chances D ans cette optique une cellule charg e de cette question a t cr e l
31. er une sli 4 am lioration permanente p Geoffroy M arinus En rapport avec ce th me quelques dates retenir Daeo Quoi Rensignements CE PE Nations Unies 14 3 Bruxelles Karreveld Conf rence sur le th me de l eau Organis e par la commune de M olenbeek 14 21 28 3 amp 4 11 4 Formation ur le d doppement durable Grivegn e Organis e par le CRIE et l Institut d Eco p dagogie Espace Balvaux 22 3 Journ e mondiale de l eau Gestion erg tique durable des b timents amp quipe ments municipaux 8e conf rence Energie Cit s 3 4 4 Cracovie Service Eco Consal Aicha Boulbayem 7 rue du Niveau T l 02 412 36 86 Fax 02 412 37 68 ecoconsal molenbeek irisnet be Vanessa Rasquinet Centre R gional d initiation l Environnement Rue Fusch 3 4000 Li ge T l 04 250 95 83 crieliege swing be www education environnement be crie R solution 47 193 du 22 d cembre 1992 Assembl e g n rale des N ations Unies http www un org french events ref41 html Energie Cit s Nathalie M oroge T l 00 33 3 81 65 36 81 krakow energiecites org www energiecites org Trait d Union 2003 02 O qu est la bonne police Tout potache un peu frott au grec ancien r pondra la gare Tout autre que ce potache restera perplexe devant cette r ponse la police deux niveaux n a t elle pas eu quelques difficult s int grer la police des gares justement Restons s
32. ge comprend un commentaire sur les dispositions relatives la r parti tion des comp tences Une pr sentation des dispositions l gales pr c de un aper u historique et une liste de r f rences Ensuite des passages des travaux parlementaires explicitent les dispositions enfin la jurisprudence et des com mentaires en pr cisent la port Le dernier chapitre se cl t par une bibliogra phie Bref tout ce dont l utilisateur a besoin est rassembl Les r gles sont examin es selon une nouvelle approche Au lieu d tudier par R gion chaque mati re l analyse est transversale aux trois R gions et l Etat f d ral C est un outil tr s utile pour les administrations qui doivent conna tre et appliquer les r gles l gales Bref un ouvrage conseiller ceux qui doivent jongler avec la r glementation environnementale dans leur travail quotidien De beogdhadsedding in h federale Bdgi Brugg Die Keure Plugeurs volumes Disponibles uniquement en n xlandais Pour le volume id ram L Lavrysn amp G van H agendoren Lefmili i en waterbeheer 1999 114 pages Titre des autres volumes H uissesting O pabarewerken en verker Strafrechtdijke bevoegdha d van gmenshappen en geweten M edia Wetenshappaijk onderzoe En gbdad Migrantmbdad Jeugdbexherming Gezondhadshdad Lambermont de taathevorming van 2001 amp enfin Gebruik van de talen Trait d Union 2003 02 M arch s publics de nouvelles r gles en ma
33. ilit des g n rateurs importants de tra fic que sont les p les d emplois Les f tes de l Internet approchent et Chaudfontaine prouve par son exp rience que les communes n entendent pas rater le coche du num rique Elle vient d inaugurer son Virtua Private network outil qui interconnecte tous les b timents publics ainsi que les domiciles des chevins pour leur permettre de r aliser chez eux une partie de leur travail En novembre prochain s tiendra la 2e conf rence belge de la qualit dans les services publics En attendant cet v nement P Van Wersch revient sur la derni re conf rence internationale sur la qualit qui Trait d Union 2003 02 et tenue Copenhague amp o la Bagique bien repr sent e a pu mettre en valeur ses bonnes pratiques Lokaal nr 3 Vijf jaar asdbdad in vogelvlucht F Crauwels maakt een balans op van de voornaamste wijzigingen in het vreemdaingenbdad Zij belicht achtereenvolgens de asielprocedure het spradingsplan de materide opvang de financi le steun en de lokale opvanginitiatieven M et de Lokale Emancipatie Effecten Rapportage LEER kunnen de lokale beleidsmakers hun sportbeleid evalueren op gender teneinde discriminatie op te sporen en op te heffen L D ecalf schetst de vier stappen van de evaluatie Lokaal nr 4 M yery shopping is e n techniek waarbij en anonieme klant een dieng bezoekt en nadien zijn ervaringen rapporteert Kortrijk is het eerste openbaar bestuur dat e
34. isation de spectacles de karaok est interdite par le permis d urbanisme de l tablissement Le responsable de l tablissement est entendu le 30 octobre 1999 entre temps de nouveaux faits se produisent En cons quence de quoi le bourgmestre prend le 2 mai 2000 un arr t de fermeture partielle de l tablissement entre 20h00 et 8h00 pour une dur e de trois mois motiv en droit par les articles 133 alin a 2 134ter 134quater et 135 52 NLG Cet arr t a t confirm par le coll ge sa premi re s ance Discussion Si la Nouvelle loi communale donne au bourg mestre trois bases juridiques pour intervenir savoir 133 et 135 combin s 134ter 134quater c est qu elles ont pour objet trois cas de figure dif f rents qui peuvent ventuellement se recouper mais qui visent donc par hypoth se trois types mm LI ALINIA UUNIC pB d intervention diff rents La diff rence la plus nette existe entre l article 134ter activit s ill gales ou non permises et l article 134quater activit s licites mais entrainant un trouble l ext rieur 134quater venant apr s 134ter c est que les cas vis s par 134quater ne sont pas rencontr s par 134ter donc que les activit s dans l tablissement ne posent en elles m mes pas de probl me par opposition 134ter Donc par d finition une m me situation ne peut donner lieu l application des deux articles Par ailleurs l article 134ter se
35. l du moins en th orie qui permet au bourgmestre d adopter des r glements de police la place du conseil communal exceptionna parce qu elle requiert des conditions de fond tr s sp ciales limitativement num r es l article 134 10 ainsi que des conditions de formel En tant qu exercice du pouvoir r glementaire elle jouit de toutes les caract ristiques de l ordonnance de police du consal elle peut imposer ou interdire des comportements et pr voir des sanctions pour la violation de ces dispositions Par ailleurs on sait qu en vertu de l article 135 2 alin a 2 1 NLC la police de la circulation routi re en tant qu ale Sapplique des stuations permanentes ou p iodiques ne peut pas faire l objet d un r glement de police mais unique 9 ROBERT Police administrative Comp tences respectives du bourgmestre et du conseil communal in M ouv Comm 1999 2 p 115 10 Catastrophe meute danger de grande ampleur ou tout autre v nement impr vu lorsque le moindre retard dans la prise de mesure contre ces v nements risque de mettre en danger la s curit des habitants 11 Le bourgmestre doit en donner communication imm diate et motiv e au conseil communal e l ordonnance cesse de produire ses effets s elle n est pas confirm e par le consal sa premi re s ance Trait d Union 2003 02 ment d un r glement compl mentaire relatif aux voies publiques bas sur l article 2 de la loi
36. mides remblay es Or aujourd hui en vertu dela D CE le gou vernement et les autorit s locales doivent exploiter les zones humides et les plaines inondables dans le cadre d une approche alternative et durable de lutte contre les inonda tions Pour tenter de r soudre ces probl mes au niveau local voici quelques exemples d actions la renaturation des berges de cours d eau par techniques de g nie v g tal le d veloppement d un r glement communal de protec tion des zones humides le maintien ou le d veloppement d un couvert forestier favorable par nature l objectif de la r tention des eaux en amont et dans les sols une plantation de haies et de bosques bien r fl chie a pr vention du ruissellement urbain en interdisant le recouvrement des foss s ou en remettant les foss s en ser vice 2 Deuxi me axe important l utilisation rationnelle de l eau Une grande partie de l eau disponible est n cessaire au maintien des cosyst mes aquatiques qu il s agisse de cours d eau ou de syst mes terrestres tels que les zones humides En Belgique plus de 40 de la totalit de l eau disponible est utilis e Cependant la consommation domestique repr sente environ un tiers de la consommation totale du pays Pour enrayer ce ph nom ne plusieurs possibilit s souvent simples Soffrent au niveau local tales que l utilisation rationnelle de l eau dans les maisons les PME et les b ti
37. mpli quent sans cess Les intervenants en provenance d autorit s locales et f d rales ont pr sent leurs exp riences pratiques de gestion environnementale interne ainsi que les tapes qui ont men l enregistrement EM AS de leur administration D e quoi inspirer et aider nos communes d sireuses de se lancer dans l aventure D ans le cadre du programme de coop ration internationale communale 2003 ce ne sont pas moins de 11 nouveaux pro jets de partenariat qui sont arriv s sur les bureaux de notre Association laquelle les a pr sent s au comit de section de la Direction g n rale de la Coop ration au D adoppement Cdui ci en a pr lectionn 6 au d but du mois de f vrier Anderlecht Evere Saint G illes Schaerbeek Bruxelles Ville et M olenbeek Saint Jean Afin de garantir la bonne ex cution de ces projets l Association a aussit t d marr une formation consacr e la gestion de projets de d vaoppement Celle ci L ASSOCIATION EN ACTION s tend sur quatre jours le module th orique tait organis ces 12 amp 13 f vrier le module pratique doit se d rouler durant la premi re quinzaine de mars Last but not least l Association signait ce 12 f vrier avec ses associations s urs et l aval de la Conf rence des bourgmestres une d marche adress e au Premier Ministre M onsieur Guy Verhofstadt relativement la r forme de la police I s agissait d abord de s assurer de l adaptation l indice sant
38. n nel d un tablissement exploitant une terrasse consign s par proc s verbal un avertissement est adress par lettre l ex ploitant l informant que des mesures plus s v res seraient prises en cas de r cidive Le 15 mai 2000 un proc s verbal est dress pour des faits similaires la suite de quoi l autorisation de terrasse de l tablissement est retir e pour une dur e de 7 jours D eux nouveaux proc s verbaux sont dress s pour les m mes raisons le 10 ao t 2000 et le 29 ao t 2000 L exploitant et un membre du personnel ont en cons quence t entendus une troisi me personne concern e par les faits vis s entre temps licenci e a galement t convoqu e mais ne sest pas pr sent e Cependant un nouveau P V a t dress pour faits de racolage le 20 septembre 2000 en pleine proc dure li e la mesure de police examin e En cons quence l autorisation de terrasse est retir e pour une p riode d un mois Discussion Les arr t s de police que peut prendre le bourgmestre sur la base des articles 133 alin a 2 et 135 82 dela Nouvaleloi communale ont pour objet de maintenir ou de r tablir l ordre public 4 IIs n ont pas pour fonction de servir de sanction un comportement interdit m me sils s appli quent des faits incrimin s par exemple par un r glement communal puisque la sanction de ces comportements ne peut tre inflig e que par l autorit l galement d sign e cet effe
39. nforma tions amp de constructions pas toujours clair En outre on ne dispose ce jour toujours pas d un commentaire syt matique de l ensemble de la l gislation institutionnale D ebevoegdhadsverdding in het federale Begi s rie des ditions D ie Keure publi e depuis 1999 tente de combler cette lacune en tablissant un commen taire des articles des principales dispositions fixant la r partition des comp tences On peut stuer l ouvrage entre une publication feuillets mobiles amp un livre car chaque partie de la s rie peut tre lue s par ment Pour l ensemble de la s rie l diteur a fait appa des auteurs experts en la mati re et qui adaptent r guli rement les monographies l volution de la l gidation et de la jurispru dence A titre d exemple nous recensons ici le premier volume Leefmilieu en water beleid d Luc Lavrysen r f rence en mati re de droit de l environnement R f rendaire la Cour d arbitrage amp professeur en droit de l environnement l universit de Gand il a acquis une exp rience consid rable II examine tous les aspects de la r partition des comp tences rdatives l environnement et la ges tion de l eau dans la Bagique f d rale comme les questions relatives aux normes impos es par les r gions en mati re de bruit caus par les avions ou les moyens d obliger les soci t s de distribution d eau fournir un minimum d eau potable gratuitement L ouvra
40. nne tourn e vers l avenir La Directive cadre communautaire dans le domaine de l eau 2 DCE est un instrument audacieux et r solument orient vers le futur aux vastes Implications pour la gestion des res sources en eau et des cosyst mes aquatiques partout en Europe Appliqu e de mani re exhaustive et opportune la DCE peut devenir la premi re directive de d veloppement durable de l UE Elle oblige les pays d Europe mettre en place une gestion int gr e au niveau des bassins hydrogra phiques il sagit essentiellement de concilier l ensemble des processus natures et des activit s humaines qui influencent le cycle de l eau dans un bassin hydrographique donn La caract ristique principale de la DCE qui d termine tous les autres l ments du texte est l utilisation des bassins hydrographiques en tant qu unit de base de toutes les actions de planification et de gestion des ressources en eau La DCE reconnait que l eau respecte les limites physiques et hydrologiques des bassins et non les fronti res politiques et administratives Principalement par le d veloppement et la mise en uvre des plans de gestion de bassins hydrographiques la DCE tend de mani re g n rale r aliser en 15 ans l horizon 2015 l objectif de bon tat pour toutes les eaux de surface et souterraines europ ennes Ki La commune dispose d un ensemble d outils q i lui per mettent de mener une action positive pour la prote
41. ommunale payer sa dotation fix e par le pouvoir f d ral et couvrir le d ficit des zones des fois que la subvention f d rale ne suffi rait pas Limiter l intervention des dus communaux repr sentant la soci t civile cette stricte obligation alimentaire sans v ritable comp tence dans l organisation et la gestion de la police locale c est vi demment courir le risque d alimenter et d amplifier la remise en cause de ce mode de financement C est videmment aussi courir le risque d une bonne police x vitesses en fonction de la rentabili t des soci t s priv es ou de la richesse des 589 communes belges Avec leurs tenues blanches la coloniale leurs calibres 38 la canture leurs BM W 750 neuves amp leurs lunettes noires fa on flics de Miami les 180 policies municipaux cannois agacent prodigieusement les gendarmes locaux M ais ils g n rent un v ritable pactole Les PV qu ils ditribuent aux estivants mal gar sle long dela Croistte rapporte la ville 15 millions de francs par an sit 52 fois plus qu Sarcdles une commune qui compte presque autant d habitants 1 Remplacez pour voir les mots les 180 policiers municipaux cannois par les 180 agents de Pr vention et de S curit de la commune X et PV par constats Bien entendu il faudra galement supprimer les mots leurs calibres 38 mais pour combien de temps encore M ais c est vrai aus que la loi sur la poli
42. ompe de rehausse Le trop plein est raccord l gout L installation fonctionne pr sent et donne enti re satisfac tion La seconde tape La cour int rieure d barrass e de l aire de nettoyage des v hicules sera refaite au printemps Les cuves d une ancien nestation service aujourd hui hors d usage seront excav es L uned alles en parfait tat sera reconvertie en citerne d eau de pluie Elle recevra les eaux de la cour mais aussi du reste des toitures Celles ci alimenteront le solde des chasses d eau et serviront l entretien de la propret de la cour DANS NOS COMMUNES Au vu de l audit interne on peut esp rer terme une r duc tion de 15 20 de la consommation d eau de distribu tion La concr tisation de cette tape permettra d atteindre une gestion int gr e de toutes les eaux sur ce site Le co t D ans ce type de projet il faut diff rencier les co ts obliga toires li s la gestion de l eau des co ts facultatifs La cr a tion d un r servoir tampon est de toute fa on indispensable Les seuls surco ts li s la gestion int gr e de l eau sont le s parateur d hydrocarbures et le d bourbeur la pompe et les canalisations qui vont aux chasses Le surco t total est valu moins de 10 15 du budget M ais n est ce pas le prix payer pour prot ger notre envi ronnement et une ressource aussi fondamentale que l eau Ce surco t permet d inscrire ce projet dans une a
43. on Centre Cultura M arcel H icter La M arlagne 13 3 Bruxelles La Fondation Universitaire H ow e government is tranforming the public scor S minaire organis par 4Instance M aisons de Repos amp M aisons de Repos amp de Soins Qualit du b ti amp qualit de vie quales raations Q udle r alit conomique Formation pour les gestionnaires de maisons de repos organis e par H abitat et Participation asbl et Espace Environnement ACCESS EUROCITIES for a New M obility Culture 18 Square de M amp us 1050 Bruxelles T l 02 552 08 74 Fax 02 552 08 89 info destree be ou k vancluysen eurocities be www mobilityweek europe org wwuw access eurocities org Fran oise Jadoul T 071 300 300 ou Pascale T hys T 010 45 06 04 Instance Rue Bosquet 67 1060 Bruxelles T l 02 534 94 51 Fax 02 534 84 41 info 4lnstance be 13 14 3 Espagne Terrassa Le compromis des villes en mati re d galit des chance entre les femmes amp les hommes Conf rence internationale dans le cadre du projet City D ona citydona terrassa org Trait d Union 2003 02 baoi gui 14 15 3 Parlement citoyen sur la consommation durable Bruxelles IBGE CRIOC ACRR Observatoire Bruxellois de la Consommation D urable M is en ouvre de la d cision du Consl du 20 d cembre 2000 rdative un programme concernant la drat gie cadre communautaire en mati re d galit entre les femmes et les hommes
44. our le d veloppement durable et en partenariat avec nos associations s urs f d rale et flamande l Institut bruxellois pour la Gestion de l Environnement le Consal des Communes et R gions d Europe et le Service public f d ral pour la Sant publique la S curit de la chaine alimentaire et l Environnement un s minaire consacr au syst me de management et audit environnemental EM AS Sousle Suite page 2 SOMMAIRE IC 1 ASENTEEN EEE S EEEE E ETIT ET 2 Un deuxi me regard sur les pouvoirs de police GU DOUME rieron tepar EEEN 4 PUTO Line re diese cerises 8 et 13 La repr sentation des femmes au niveau local 9 LORNO ne ne memint ose pee 12 M arch s publics de nouvelles r gles en mati re de retard de paiement 14 La Directive cadre sur l eau quels liens avec les autorit s locales 15 U ccle am nage une aire de lavage pour v hicules 18 O qu est la bonne police 20 titre EM AS Qud int r t pour les autorit s locales cqui ci Sadressait l ensemble des communes de Belgique Initialement con u pour les entreprises d sireuses d valuer g rer et am liorer leurs r sultats sur le plan de l environne ment ce syst me est accessible aux administrations publiques depuis 2001 et leur donne de nouveaux moyens de g rer les questions environnementales qui se multiplient amp se co
45. ous reviendrons dans un prochain num ro sur cette cir culaire TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION Loi programme du 24 12 2002 Simplification admi nistrative amp E government art 409 M B 07 02 2003 err for 181478 O rdre public ou ordres publics Ce livre entend refaire le point sur la notion d ordre public la lumi re des volutions r centes en la mati re Les th mes g n raux abord s sont primo de savoir s l ordre public a le m me contenu les m mes fonctions dans les diff rentes disciplines juridiques qui l utilisent et secundo d in terroger ces disciplines sur la mani re dont eles per oivent les relations entre l ordre public et les droits fondamentaux On retiendra plus particuli rement parmi les contributions d ninents sp cialistes du droit public 1 Introduction g n rale la fonction de l ordre public dans l ordre juri dique dans laquelle l auteur Etienne Picard aborde dans une pre mi re partie la question des rapports entre le contenu del ordre public et son fondement II tente d abord d en d terminer le contenu tr s divers son la discipline laquelle il sapplique puis d identifier le contenant qu il peut constituer pour enfin examiner son fonde ment D ans la deuxi me partie de son expos M Picard tablit les rapports entre les fondements de l ordre public et son sens 2 Ordre public droit p nal t droits fondamentaux par Agn
46. pproche rationnelle et conomiquement acceptable de l environne ment La formation du personnel Le projet pourrait ne consister qu en ces quelques am nage ments mais ne serait ce pas l se donner bonne conscien ce environnementale et aller droit l chec Pour pleine ment r ussir il faut aussi pr voir une formation et afficher des informations r currentes afin de garantir la bonne utili sation et la bonne compr hension des motivations par l uti lisateur Une r duction du foss d incompr hension qui existe entre concepteur et utilisateur est d autant plus vitale d s lors que la dimension environnementale trop souvent abstraite vient se surimposer Conclusion N ous n avons pas encore suffisamment de recul pour valuer ce projet et en tirer de r elles conclusions Toutefois l intro duction de ce type de d marche si simple au sein des ser vices communaux est un signe positif et encourageant pour l avenir m me si cela reste malheureusement encore trop rare Les dimensions novatrices et d originalit y sont sans doute pour beaucoup Le challenge motive mais osera t on s en plaindre dans cette qu te ardue vers le changement des men talit s et l int gration de l environnement dans les choix techniques et politiques Une troisi me tape s annonce la r vision des types de d tergents utilis s pour le nettoyage des v hicules Affaire suivre N est ce pas l la philosophie du label vis
47. que l on note l instar des autres r gions une chute marqu e de proportion entre le nombre de candidates et celui d lues et ensuite entre celui d lues et celui d chevines A Bruxelles la commune de Woluwe Saint Lambert est depuis longtemps la plus f minis e de la capitale autant par son nombre de conseill res que par celui d chevines Autre enseignement de cette tude les diff rences entre la Flandre et la Wallonie se sont estomp es Vers une d mocratie paritaire fourmille d informations chiffr es de ce type ventil es par R gion ou par parti d l ments d explication ou d hypoth ses d interpr tation des diff rences mais aussi de pistes pour am liorer la repr sen tation des femmes Ainsi le vote en faveur des femmes est il influenc par une s rie de crit res au rang desquels on rel ve la densit de la population la pr sence d trangers le pour centage rdatif d hommes et de femmes dans la population lectrice ou encore le niveau de revenus M and pour l galit A cet gard une autre enqu te para tre men e par le Service galit des Chances de la R gion et sur laquelle nous reviendrons dans un prochain num ro r v le que 8 communes disposent d un mandataire chevin ou bourg 2 Les donn es sont issues de l ouvrage Vers une d mocratie paritaire Analyse des lections communales e provinciales du 8 octobre 2000 N ous avions d j abord la mati re dans T
48. r l k EDITO Trait d Union Ville et Communes de Bruxelles Capitale N 2003 02 6 mars 2003 D u zinneke au chihuahua Notre pays c es dire amp ss gouvernants amp son peuple toutes nuances confondues a clairement manifest sa pr f rence l gard d un r glement pacifique du contentieux iraquien Ceci en ignorant les pressions le chantage et l insulte de celui qui cherchant marquer de sa patte le d but de ce mill naire aboyait le plus fort mais n avait pas convaincu Une postion qui ne manque pas de mordant A la laise dela vialle Europe Oui certes pour autant qu on ne r f re pas des nations mais des id es Cales de l humanisme classique amp du si cle des lumi res de la primaut de la pense sur la force t du dialogue sur l affrontement M ais nom d un chien cette attitude senracine tout autant dans les traditions profondes de notre pays terre de bon sens et de g n rost pour qui ce sont d abord les gens qui importent qui cultive l art du compromis et dela n gociation pour arriver au mieux vivre engmble terre de fronde auss qui set toujours oppos e aux abus des si gneurs et des conqu rants Ces valeurs sont ausi celles qui sus tendent historiquement les rapports des pouvoirs locaux avec d autres molosses institutionnels Les communes au plus pr s de la sagesse populaire ont de tous temps refus la toute puissance des puissants mais accept avec eux un di
49. r dernier l Association organisait en collaboration avec le WWF un s minaire sur l eau l in tention des communes et ce dans le cadre de l ann e internationale de l eau douce Philippe Wealer res ponsable de l unit eau douce du WWF nous expos les moyens d action des pouvoirs locaux pour la mis en uvre de la directive cadre sur l eau dont la transposition dans l ordre juridique belge est actuellement en cours La Directive cadre sur l eau quels liens avec les autorit s locales C est dans le cadre d un projet subsidi par la Commission europ enne que l Unit eau douce du WWF Belgium a men une r flexion sur la gestion int gr e de l eau l che lon local Un angle d approche qui prend tout son sensau regard de ce qu impose la Directive cadre communautaire dans le domaine de l eau Par ailleurs le r le des autorit s et des autres partenaires locaux s est impos comme un l ment essentiel dans le d veloppement et la gestion de pro jets environnementaux au travers de nombreux projets men s depuis des ann es par notre ONG dans diff rentes parties de l Europe Pour poursuivre la r flexion une fructueuse collaboration entre l Association de la Ville et des Communes de la R gion de Bruxelles C apitale et le WWF a permis l organi sation du s minaire Pour une gestion int gr e de l eau Bruxelles centr sur la situation de la R gion bruxelloise ONF Une directive europ e
50. rait d Union Pour une mise en perspective au niveau europ en voir Philippe D elvaux 11 n y a pas de m re de l Europe in Trait d Union 2000 6 page 15 16 Pour une analyse de la situation dans les 19 communes voir Philippe D elvaux malleure repr sentation f minine vraiment in Trait d Union 2001 3 page 15 17 et 2001 4 page 19 erratum Notons que les amp udes divergent l g rement quant leurs r sultats O n veillera donc comparer ceux ci avec la plus grande prudence 3 II s agit bien des pourcentages des seules chevines l exclusion des femmes bourgmestres Trait d Union 2003 02 mestre responsable de l galit des chances Berchem Bruxelles Etterbeek Ganshoren Jette Koekelberg Uccle Saint Gilles e Woluwe Saint Lambert Sur l ensemble les diff rentes familles politiques sont repr sent es Q uatre vingt huit communes flamandes sur 308 disposent d un mandataire ayant l galit des chances dans ses attributions et la Wallonie en compte 24 pour 261 communes Ces mandataires cumulent l galit des chances d autres attributions tr s diversifi es affaires sociales enseignement jeunesse emploi urbanisme citoyennet tat civil Cependant le cumul ne se produit jamais avec les finances l aide sociale le personnel la mobilit le sport ou le loge ment Pourtant cette derni re mati re appelle une atten tion particuli re pour les femmes N e pensons qu au cas des famille
51. ral l art 80 NLC AR de codification du 24 06 1988 M B 10 02 2003 mmforum 180656 PERSONNEL AR du 5 11 2002 accordant une aide financi re cer taines villes et communes pour le recrutement de person nel suppl mentaire charg de la pr vention de la crimi nalit et de l accueil en mati re de toxicomanie M B 23 01 2003 for 164667 AR du 23 12 2002 apportant diverses mod la loi du 05 04 1994 r gissant le cumul des pensions du secteur public avec des revenus provenant de l exercice d une acti vit professonnale ou avec un revenu de remplacement M B 24 01 2003 sforum 182359 AR du 23 01 2003 pris en ex cution des art 15 et 17 de la loi du 05 09 2001 visant am liorer le taux d emploi des travailleurs M B 11 02 2003 inrem 182748 AR du 03 02 2003 portant diverses mesures r glamen taires en vue de Le certaines proc dures de contr uen 12 02 2003 mforun 182783 POLICE S CURIT AM du 10 01 2003 r glant les communications entre les centrales de gardiennage amp le point de contact policier M B 22 01 2003 WA 182305 AR du 5 11 2002 Personnal Directive MFO 5 du 23 12 2002 ra aux missions caract re f d ral ex cuter par la police locale lors des missions de protection sp ciale des personnes et des biens mobiliers et immobiliers M B 27 01 2003 inforum 182397 Circ du 03 01 2003 rel au ravitaillement des per sonnes en tat d arrestation l exclu
52. re Consd rant que la dient e provoque r guli rement sur la voie publique des attroupements puis Consd ant que l ordre public autour de l ablisment et troubl du fait des comportements de la dient e l int rieur de ct amp ablis ment or selon que l on se trouve dans l un ou l autre cas la base l gale sera diff rente Et bien plus certaines condi tions devront ou non tre respect es la confirmation par le coll ge et la dur e maximale de trois mois Attention donc bien motiver l arr t en indiquer clairement la base l ga le et le cas ch ant l accomplissement des formalit s pres crites Un deuxi me fait est reproch l exploitant de l tablisse ment ne pas respecter les conditions d exploitation ce qui donne lieu une mesure de fermeture partielle bas e sur l article 134ter4 Rappelons que la mise en uvre de cet article r clame les conditions de fond suivantes le risque de dommage s rieux le non respect des conditions d exploita tion et l absence de recours organis en extr me urgence par une autre r glementation Les conditions de forme requises sont l audition de la personne et la confirmation par le col l ge des bourgmestre et chevins Enfin la dur e maximale de la mesure est de trois mois Le seul point d licat dans la pr sente est de d terminer si un retard ventuel dans l intervention du bourgmestre 1 V RAM ELOT En route vers
53. relative la police de la circulation routi re coordonn e par l arr t royal du 16 mars 1968 Ne restent donc de comp tence purement communale que les situations qui ne sont ni p riodiques ni permanentes soit les situations temporaires et exception nelles Celles ci pourront faire l objet d un arr t de police par exemple pour interdire la circulation une rue dont une ou plusieurs maisons risquent de s effondrer voire si les conditions sont rencontr es et pour autant que la mesure soit limit e dans letemps 2 d une ordonnance de police du bourgmestre Une fois ces r gles l gales rappel es attachons nous analy ser la mesure prise par le bourgmestre D ans le cas pr sent quoi avons nous affaire un arr t ou une ordonnance Certes l ordonnance impose des mesures assez contraignantes et vise plus d un individu et ele n indique aucune date au del de laquelle les mesures cesseront d avoir effet Elle comporte galement des disposi tions constituant des interdictions interdiction de station ner aux endroits d limit s interdiction tout v hicule tranger au chantier d acc der telle rue dont la viola tion constitue une infraction de roulage Enfin elle pr voit un mode de publicit par affichage tel qu organis par l ar ticle 112 N LC Cependant il nous semble qu elle r unit davantage les caract ristiques de l arr t de police le quartier vis est parfaitement d
54. s monoparentales constitu es dans leur crasante majorit de femmes et qui r unissent 16 18 des m nages avec enfants On peut regretter le manque de convergence avec la mobilit puisque les femmes disposent moins sou vent de v hicules et plus elles sont g es plus cette affirmar tion se confirme elles se d placent en fonction d imp ratifs plus divers courses garde des enfants gt Notons qu en 1994 aucun mandataire de l galit des chances n avait t d sign La position exceptionnelle de Bruxelles manifeste au vu de ces donn es qu il s agisse du pourcentage de femmes ou de celui des mandataires responsables de l galit m me si ce terme peut rev tir plusieurs r alit s et public cibles bien dif f rents permet d esp rer que notre r gion se r v lera un ter rain propice et novateur pour l galit entre hommes et femmes DT Gratia Pungu 4 H ommes et Femmes l aube du 21 me si cle Un manual d utilisation des sta tistiques sous l angle du genre Minist re f d ral de l Emploi et du Travail 5 On trouve des d ments d une analyse sexu e des d placements dans l Enqu te nationale sur la mobilit des m nages C ette tude men e par les Services f d raux de Affaires scientifiques SST C et dont nous avons d j parl Trait d Union 2000 8 et 2001 8 vient de faire l objet d une publication Plus de renseignements Gratia Pungu M inist re de la R gion de Bruxelles C
55. sion de celles qui font l objet d un crou dans un tablissement p nitentia re M B 28 01 2003 snforum 182433 Circ GPI 11bis du 15 10 2002 Directives compl mentaires en mati re d valuation du personnd M B 29 01 2003 syforum 182476 Ordonnance du 20 12 2002 mod l ordonnance du 19 07 2001 organisant la tutelle administrative sur les zones de police pluricommunales de la R gion de Bruxelles C apitale M B 29 01 2003 morun 182468 AR du 31 01 2003 rel l octroi d une subvention f d rale au profit des zones de police exc dentaires M B 04 02 2003 inforum 182593 AR du 15 01 2003 portant l octroi d une allocation f d rale compl mentaire aux communes en vue du finan cement du co t suppl mentaire statutaire durant l ann e 2001 M B 04 02 2003 sorum 182591 AM du 05 12 2002 accordant une prolongation de l aide financi re de l Etat certaines communes dans le domai ne de la s curit e de la pr vention du cambriolage M B 06 02 2003 mforun 182654 Circ GPI 32L du 29 01 2003 concernant les directives amp les formalit s suivre dans le cadre de la proc dure de statutarisation des membres du personnel du cadre administratif et logistique des services de police M B 07 02 2003 morun 182685 AR du 10 12 2002 mod l AR du 25 04 1997 portant ex cution de l art 71 par 1bis des lois coordonn es rdl aux allocations familiales pour travailleurs salari s M B 11 02 2003 infor
56. t 6 september 1999 arrest nr 82 188 n 4 3 2 6 Voir VAN HERCK P Bevoegdheid van de burgemeester om instellingen te sluiten na de inwerkingtreding van de wet van 13 mei 1999 tot invoering van gemeentelijke administratieve sancties in Binnenband janvier 2000 17 p 27 7 L utilisation des deux base l gales ne permettrait d ailleurs pas d adopter une mesure plus s v re que ce que permettent d j les articles 133 et 135 Trait d Union 2003 02 M ais il ne peut y avoir utilisation conjointe des articles 134ter et 134quater en tout cas pour lem mefait puisque cela signifierait que l activit n est pas conforme aux condi tions d exploitation et que dans le m me temps elle est permise mais qu elle entra ne des troubles l ext rieur D ans le cas d esp ce l activit non autoris e est prouv e reste tablir que la mesure doit tre prise d urgence sous peine de voir des dommages s rieux qui comme nous l avons d j rappel doivent tre vus comme autre chose que de simples dommages Si cette deuxi me condition est rencontr e mais cela ne ressort gu re de la motivation de l arr t l article 134ter peut servir de base l intervention du bourgmestre D autre part les troubles l ordre public sont galement d montr s les plaintes des habitants en attestent En revanche la motivation de l arr t nonce des comportements de l ex ploitant et des clients musique chan
57. t et selon les formes l galement prescrites Lorsque le fait vis constitue une infraction un r glement de police c est soit le juge soit le fonctionnaire communal soit le col l ge des bourgmestre et chevins qui peut adopter ladite sanction Trait d Union 2003 02 Si le fait de racolage est effectivement incrimin par le r gle ment de police de la commune il peut tre sanctionn d une peine de police ou d une sanction administrative Si ce m me fait constitue galement un trouble l ordre public atteinte la tranquillit publique la s curit publique ou la commodit du passage m me l ger il peut faire l objet d un arr t de police circonstanci M ais un arr t de police Sanctionnant un comportement infractionnel constitue rait une ill galit manifeste N och onde de oude regime les articles 133 et 135 noch onder he nieuwe regime les articles 134ter et 134quater bexhikt de burgmm te over de moge lijkhad adminigratieve sancties te namen Politiemaatregden m dergdijke finalitat dienen dan ook net als voorheen door de Raad van State te worden vernigigd 1 gt En l occurrence les termes utilis s dans le proc s verbal infraction r cidive le manque de proportion entre les faits reproch s et la mesure adopt mais galement le d faut pour l auteur de la mesure de d montrer v ritable ment un trouble de l ordre public ne laissent gu re planer de doute qu
58. tage sup rieur Une possibilit de r duction subsiste charge pour le pou voir adjudicateur de d montrer dans le cahier sp cial des charges ou les documents contractuds que des raisons objectives permettent de consid rer que cette r duction ne constitue pas un abus manifeste l gard de l adjudicataire Enfin les int r ts de retard ne sont pas dus lorsqu ils sont inf rieurs 5 euros par paiement au lieu de 55 euros actuellement Derni re remarque l arr t royal produit ses effets au 8 ao t 2002 date laquelle la directive devait tre transpo s e les march s conclus avant cette date restant soumis aux dispositions r glementaires ant rieures TT Vincent Ramelot 1 Arr t royal du 17 d cembre 2002 modifiant en ce qui concerne la lutte contre les retards de paiement dans le cadre de march s publics et de concessions de travaux publics l arr t royal du 26 septembre 1996 tablissant les r gles g n rales d ex cution des march s publics et des concessions de travaux publics Inforum n 181 802 2 Pour es renseignements voir S POURVOYEUR Retard de paiements principes pour les march s publics de travaux in Construction 16 29 janvier 2003 1 12 13 3 S il sagit d une proc dure d appel d offres taux variable le taux prendre en consid ration est le taux d int r t marginal r sultant de cet appel d offres UNE de revenus SRONIQUES be Trait d Union 20037 02 En janvie
59. ti re de retard de paiement Le 21 d cembre dernier est paru au M oniteur belge un arr t royal modifiant la r glementation belge en mati re de march s publics pour la mettre en conformit avec la direc tive du Parlement et du Conseil europ ens 2000 35 CE concernant la lutte contre le retard de paiement dans les transactions commerciales Les modifications en question sont apport es l arr t royal du 26 septembre 1996 tablissant les r gles g n rales d ex cution des march s publics et des concessions de travaux publics et son annexe le cahier g n ral des charges En deux mots il s agit 1 d inscrire dans la r glementation la r gle que le paiement doit se faire dans un d lai de soixante jours d faut de quoi les int r ts commencent courir Attention ces dis positions ne concernent que les march s de travaux Pour les cas de paiement unique ou de paiement du solde des travaux la disposition selon laquelle l adjudicataire dispose d un d lai de nonante jours pour payer article 15 81 3 alin a 2 est abrog e ainsi que l alin a 3 de la m me disposition Les nouveaux alin as rempla ant ceux abrog s reprennent en fait les m mes dispositions mais les articulent diff remment d sormais en cas de paiement unique ou de paiement du solde le pouvoir adjudicateur dispose de trente jours pour proc der aux v rifications vis es au 1er 2 puis la fin de ce d lai de trent
60. ts et cris l int rieur de l tablissement provoquant des troubles de l ordre public autour de l tablissement sans pour autant dire quels sont ces troubles l ext rieur de l tablissement ce qui Sapparente la justification de l application de 134quater Comme quoi les diff rentes bases l gales ne se compl tent pas forc ment pour rencontrer une situation de fait Et trop vouloir les imbriquer l une dans l autre l autorit risque de d naturer cette base l gale ou de se contredire dans sa motivation 3 D ans les m andres de la circulation routi re D es travaux importants de r novation et d extension d un immeuble communal perturbent la circulation dans les quartiers environnants une des art res bordant l immeuble est r serv e la circulation du chantier des locaux mobiles sont install s le long d une autre voirie de telle sorte que le b timent n a plus d issue que sur une seule art re En cons quence la circulation et le stationnement sy font plus denses voire anarchiques Le bourgmestre d cide donc de r guler circulation et stationnement et adopte le 13 ao t 2001 une ordonnance de police mettant sens unique cer taines rues interdisant toute circulation dans telle art re organisant un syst me de cartes de riverains pour les habi 8 V RAM ELOT loc dt p 8 tants de telle autre organisant le stationnement altern et d pla ant un arr t de bus Le 21 septembre 2001 le
61. visant encourager le 21 3 d veloppement amp l utilisation du contenu num rique Dedine europ en sur les r aux mondiaux aind qu promou voir la divest linguigique dansla oci amp de l infor mation 2001 2005 Programme e Contenu Appel propositions 25 3 Bruxelles Le leagng pour le secteur public La Fondation S minaire organis par 4Instance Universitaire jusqu au 31 3 Plan te vivre ou jeter Bruxelles H alles Exposition cr e par l Association des Cit s et Saint G ry R gions pour le recyclage ACRR ae Arbadsedemet in de openbare stor Formation organis e par SD O pleidingen E government award 2003 he Commission europ enne e EIPA A L AGENDA IBGE T l 02 775 75 92 Fax 02 775 76 21 ecocons ibgebim be http www ibgebim be EV ENT S FR parlementcitoyen index htm ou O BCD Rue des Chevaliers 18 1050 Bruxelles T 02 547 06 83 Fax 02 547 06 01 observ oivo crioc org http www observ org FR Journal officiel s rie C 2002 C 291 08 Commission europ enne DG Emploi et affaires sociales Unit galit entre femmes et hommes Rue Joseph 11 37 1049 Bruxelles Fax 02 299 80 83 empl g01 cer eu int http europa eu int comm employment social equ_opp index fr htm Le th me de cette dition est Control of the Food Chain The GM Link http www consumersinternational org En Belgique voir aussi http www oivo crioc org F te de
62. www ibgebim be IBGE T M arijke Konings ou Johan Van D Lyse SD Opleidingen Brouwersvliet 5 2000 Anvers T 03 201 72 66 marijke konings sd be www dopleidingen be Ann Stoffas Information O fficer eEurope Awards Project M anagement Secretariat European Institute of Public Administration EPA 00 31 43 329 6 329 www e europeawards org T Suite en page 19 Trait d Union 2003 02 UN DEUXIEME REGARD SUR LES POUVOIRSDE POLICE DU BOURGMESTRE Dans un pr c dent num ro nous vous exposons les premiers ensignements que l on pouvait tirer des articles 134ter et 134quater alors r cemment ins r s dans la Nouvelle loi communale D eux ans ont pas de nouveaux cas d application sont pr sent s de nouvelles r flexions ont merg de nouveaux ensigne ments peuvent en tre tir s Nous vous commentons donc ci dessous quelques cas d application d arr t s de police qui nous semblent typiques de la difficult qu ont ces deux nouvelles dipostions sins rer dans l ars nal juridique et dans les pratiques communales 1 Un tablissement troubles multiples Le premier cas examin nous emm ne dans l univers de la restauration rapide made in Brussels Un rapport de police du 17 septembre 1999 indique sur la base de pas moins de 23 constatations que la client le d une friterie est la source de nombreux troubles sur la voie publique attroupements rixes agressions

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents

    取扱説明書 山陽計器製作所  Manual de Instrucciones  MODEL: Port-A-Saw  取扱説明書  Oracle® Learning Management  Dell PowerConnect W-IAP108/109 MIB Guide  THE DL-POLY-2 USER MANUAL  BLANCO CLARON 700-IF/A  

Copyright © All rights reserved. Failed to retrieve file