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Vendredi 17 octobre - Société Française de Radiologie

1. Jean Pierre Pruvo Jean Fran ois M der 1 Secr taire g n ral de la SFR 2 Pr sident des JFR Des JFR nouvelle formule Bienvenue aux JFR 2014 que le comit des programmes a souhait faire voluer Tout d abord un format diff rent Un congr s sur quatre jours du vendredi au lundi mais un nombre identique de s ances puisqu un cr neau suppl mentaire de formation est propos l apr s midi La journ e de congr s d butera 8h30 pour se terminer 18h45 chaque jour le programme de fin de journ e comportant un grand nombre de s ances de cas cliniques et de dossiers comment s Les possibilit s de visite de l exposition technique sont plus importantes ouverture avanc e 9h30 augmentation de la dur e des inters ances Le village de la radiologie interventionnelle pendant quatre jours La radiologie interventionnelle a maintenant trouv sa vraie place aux JFR en effet son village sera ouvert pendant tout le congr s et quatre jours de formation sont propos s au sein de celui ci Salle Passy Les urgences La SFR et les soci t s d organe en collaboration avec la Soci t Fran aise de M decine d Urgence vous proposent un programme tr s complet pr cisant la place occup e par l imagerie dans le contexte des urgences th me central de nos journ es Une enqu te vient d tre men e par la SFR et la SEMU ses r sultats montrent les difficult s qu il y a dans un grand nombre de centres
2. l avantage des m decins cest que lorsqu ils font une erreur ils l enterrent tout de suite m Tout le programme des JFR a port e de doigts Organiser et planifier sa visite Consulter le programme Evaluer voter et interagir en s ances D couvrir les exposants des JFR 2014 Se rep rer gr ce aux plans interactifs Application JFR pour plateformes iOS et Android Disponible sur Apple App Store et Google Play Store our en savolr sur le m me th me D S ance p dagogique Nuits blanches et pires cauchemars Des complications vitables 17h30 18h45 Salle Maillot Diagnostique amp Interventionnelle lt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 Pancr atites aigu s et chroniques quoi de neuf M Zappa V Laurent 1 H pital Beaujon Clichy 2 H pital Brabois Nancy QJ 0J Lu C D Sia gt g 5 N lt J c a QJ i j 1 u O 5 A N S ance p dagogique Pancr atites aigu s et chroniques quoi de neuf 17h30 18h45 Salle 342 Cette session d di e aux pancr atites va tout d abord s int resser aux pancr atites aigu s Si vous croyez tout savoir sur celles ci d trompez vous Un groupe de travail international a r alis lors de la Conf rence d Atlanta 2012 une mise jour de la terminologie et des classifications de la pancr a
3. Les ganglions intrapulmonaires repr sentent une tiologie fr quente d images nodulaires multiples Ils ont en commun trois caract ristiques un si ge sous pleural ou juxta scissural une taille infra centim trique et une topographie inf rieure au dessous du niveau de la car ne Les nodules p ri scissuraux sont en r gle b nins 2 Les granulomes post infectieux sont une autre cause fr quente de nodules volontiers multiples moins d observer la calcification volontiers centrale dune partie des nodules il est difficile d affirmer ce diagnostic sur les donn es d un seul examen TDM Un syndrome multi nodulaire peut aussi tre l expression d une DIPNECH diffuse idiopathic neuroendocrine cell hyperplasia associ e la pr sence de tumorlets et de carcino des qui se traduisent respectivement par des nodules de moins de 5 mm ou de plus de 5 mm 3 Le caract re multiple des nodules chez des patients asymptomatiques peut faire tort porter le diagnostic de m tastases pulmonaires Il faut alors rechercher un t moin indirect de la prolif ration des cellules neuroendocrines dans la paroi des voies a riennes en recherchant une att nuation en mosa que Des reconstructions en minIP Minimum Intensity Projection ou projection des intensit s minimales peuvent sensibiliser cette d tection Aspects typiques atypiques et particuliers selon l tiologie Typiquement les m tastases pulmonaires se
4. appliquer les recommandations du Guide du bon Usage des examens d imagerie La publication d un guide pratique Ll IRM constitue l autre th me fort des JFR 2014 et un groupe d experts repr sentant chaque soci t d organe et f d ration de la SFR a r dig RM en pratique ouvrage tr s utile compos de fiches d crivant les protocoles d exploration de pathologies les plus fr quentes Des s ances interactives en plus grand nombre Le franc succ s rencontr l ann e derni re par cette nouvelle possibilit d changes entre orateurs et congressistes nous a incit s doubler le nombre des s ances interactives pr s de trente cette ann e dont les s ances de DPC Alors tous votre smartphone o tablette Un programme encore plus international Cette ann e des s ances co organis es avec les soci t s alg rienne belge cor enne japonaise suisse tunisienne viennent enrichir un programme international constitu depuis de nombreuses ann es par les s ances franco allemandes franco latino espagnoles et de l American Institute for Radiologic Pathology AIRP Nous remercions ces soci t s partenaires et amies de contribuer la renomm e des JFR ainsi que les orateurs prestigieux qui ont r pondu l invitation de la SFR Le Canada pays l honneur Compte tenu de la collaboration r cente entre la Canadian Association of Radiologists CAR et la SFR en particulier en ce qui concerne les th
5. approche multidisciplinaire S ance organis e par La SIFEM Salle 252 Avanc es de l IRM en oncologie M thodologie S ance organis e par La SFRMBM Salle 253 Imagerie de la m lle osseuse S ance organis e par La FIC et la SIMS Salle Maillot Ultrasons diagnostiques et th rapeuthiques jusqu o irons nous S ance organis e par Le groupe SFR Ultrasons Salle 342 Le radiologue et la maladie de Crohn les r ponses aux questions des cliniciens S ance organis e par La SIAD Amphi Havane S ANCES SCIENTIFIQUES Imagerie interventionnelle thoracique pulmonaire S ance organis e par La FRI Salle 242 Imagerie p diatrique et neuro p diatrique S ance organis e par La SFIPP et La SFNR Salle 243 IRM cardiaque S ance organis e par La SFICV Salle 251 Radioprotection en milieu m dical partie 1 S ance organis e par Le groupe SFR Radioprotec tion Salle 351 Les relations entre le manipulateur et le patient S ance organis e par L AFPPE et L IFMEM Salle 352 a N CU O S ANCES P DAGOGIQUES Trucs et astuces en radiologie interventionnelle biopsies et drainages S ance organis e par La FRI Salle Passy Maquette du DES de radiologie am liorations r centes et attendues S ance organis e par La SFR Juniors et La CAR Salle 252 Bilan et enjeux de la d l gation aux manipulateurs en chographie Salle 253 S ANCES DE CAS CLINIQUES M tastases thoraciques S ance org
6. a t retenue par les groupements R sah IDF et UniHA pour sa solution de gestion de la dose patient Radiation Dose Monitor Ainsi RDM sera d ploy e dans de nombreux CHU et CH durant les quatre ann es de march Gr ce son interface conviviale et ses outils performants RDM r pond parfaitement la r glementation ainsi qu aux attentes des tablissements publics comme priv s Il s inscrit naturellement dans leur d marche de collecte de contr le d analyse et d optimisation des doses d livr es aux patients lors RDM est en constante volution Venez d couvrir ses nouvelles fonctionnalit s La gestion sp cifique des patients risques La connexion des modalit s de m decine nucl aire Des nouveaux indicateurs de pratiques La consolidation des donn es en radiologie interventionnelle et plein d autres nouveaut s med Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 M tastases pulmonaires M P Revel Radiologie H pital Cochin Paris Fig 1 Miliaire m tastatique inaugurale chez une patiente de 50 ans non fumeuse pr sentant un ad nocarcinome mut pour l EGFR r cepteur du facteur de croissance pith lial La recherche de m tastases pulmonaires est un motif fr quent d examen tomodensitom trique TDM thoracique les l sions infracentim triques chappant le plus souvent au TEP lorsqu il est pratiqu pour le bilan d extension d une n oplasie I inverse la
7. amp Interventionnelle lt JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 Pour en Savoir sur le m me th me S ance p dagogique Pathologies musculaires non tumorales du diagnostic clinique aux techniques de quantification 16h00 17h15 Salle 252 Suite de la page 1 pensatrice des muscles de voisinage Il peut tre diminu en association avec le rempla cement graisseux ou de fa on quasi exclu sive ce qui peut tre le cas chez l enfant Il n existe pas de valeur de r f rence du volume musculaire en fonction de l ge et du sexe et cest surtout la disproportion r gionale qui doit alerter e Le caract re sym trique ou non de l atteinte le caract re sym trique ou asym trique de l atteinte est un l ment d orientation impor tant ex dystrophie facio scapulo hum rale FSH e Le type de d sorganisation intramusculaire ou la texture musculaire dans certaines affections pour l instant peu nombreuses les modifications intramusculaires rev tent un aspect tr s particulier fortement vocateur cf figure 1 e Les l sions orthop diques ventuelles pouvant tre associ es ou retentir sur les muscles de voisinage l sions d g n ra tives s quelles traumatiques proth ses Chez les enfants la visualisation d une ankylose ou d un d faut de d veloppement articulaire pourra
8. caract risent par des nodules arrondis de contours r guliers et de densit homog ne dont la taille est variable souvent plus profus aux lobes inf rieurs Les m tastases de grande taille peuvent perdre leur contour r gulier et pr senter un aspect spicul orientant tort vers une origine primitive pulmonaire Une pr sentation atypique est celle d images d arbres en bourgeon Le plus souvent ces aspects traduisent une atteinte inflammatoire des petites voies a riennes distales mais il peut aussi s agir d une microangiopathie tumorale thrombotique le plus souvent en rapport avec un ad nocarcinome gastrique 4 Il existe dans cette forme s v re avec d c s court terme d atteinte m tastatique la fois des embolies de tissu tumoral et une prolif ration intimale m di e par le facteur de croissance endoth lial VEGF Une atteinte m tastatique localis e des lymphatiques p ri bronchovasculaires peut galement se pr senter sous l aspect d un arbre en bourgeon 5 Les m tastases endo bronchiques sont rares elles peuvent se r v ler par une at lectasie trompeuse et en imposer pour une atteinte primitive s il sagit d une l sion unique Certaines caract ristiques peuvent orienter quant la nature de la l sion primitive lorsque celle ci n est pas connue Les m tastases excav es sugg rent avant tout une origine pidermo de mais elles peuvent aussi tre observ es dans les ad nocarcinomes et dans ce
9. indispensable pour liminer une tumeur contenu graisseux cirrhose avec son cort ge de complications insuffisance h patocellulaire hypertension portale et carcinome h patocellulaire Dans cette tiologie le carcinome h patocellulaire peut m me survenir avant le stade de cirrhose compliquant la surveillance de ces patients La st atose h patique est donc une pathologie rencontr e quotidiennement dans notre activit et qui va conduire de multiples questionnements Par exemple compte tenu de l volutivit possible de la maladie quelle conduite devrons nous avoir devant la d couverte fortuite d une st atose h patique tre alarmiste ou rassurant Conseiller une consultation sp cialis e De plus la st atose tant dans cette situation le plus souvent d couverte en chographie ou au scanner l importance de la st atose est difficile appr cier avec ces techniques et ne permet pas de moduler le message renvoy au clinicien Radimetrics Solution int gr e Enterprise Platform Certegra Point of Care Optimisation Tra abilit Partage de donn es d injection Suivi et gestion des donn es d injection Qualit et am lioration des pratiques Documentation p etoptimisation des protocoles Radimetrics Enterprise Platform injection et exposition Bayer HealthCare Tra abilit et analyse de l exposition Rapports et alertes personnalis
10. la biopsie Toutefois celle ci demeurera l outil de dernier recours savoir utiliser lorsqu une r ponse d finitive est n cessaire pour la prise en charge du patient ces probl mes quotidiens et de plus en plus fr quents la s ance sur la st atose h patique organis e par la SIAD tentera d apporter tous les clairages n cessaires la compr hension de la pathologie et la prise en charge des patients m lt P gt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Pour en savolr sur le m me th me S ance p dagogique Foie et st atose diagnostic cons quences pi ges 16h00 17h15 Salle 352 gehealthcare com Continuum pack IRM Passez la vitesse sup rieure DV23 DV24 DV25 Am liorez continuellement les performances de votre IRM Nos plateformes voluent r guli rement et vous offrent des capacit s de diagnostic et de productivit optimis es Advancing healthcare together Faisons progresser la sant ensemble Marketing Communications GE Medical Systems Soci t en Commandite Simple au capital de 85 418 040 Euros 283 rue de la Mini re 78533 Buc Cedex France RCS Versailles B315 013 359 2014 General Electric Company Tous droits r serv s GE Healthcare une branche de General Electric Company JB23953FR Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 Diagnostique amp Interventionnelle Diagnostics d l
11. mes de la qualit de la diffusion des informations et du management il est naturel d honorer le Canada Pour cette occasion la SFR avec le soutien de partenaires industriels est tr s heureuse d accueillir les conf renciers de la CAR ainsi que 9 r sidents venant de plusieurs universit s La conf rence Antoine B cl re Enfin la conf rence Antoine B cl re aura lieu le samedi Le Professeur Yvon BERLAND Pr sident de l Universit de Marseille et Pr sident de l Observatoire National des Professions de Sant ONDPS nous fera part de sa vision sur la d mographie m dicale Gr ce aux soci t s d organe groupes de travail et f d rations de la SFR les JFR 2014 seront n en doutons pas un v nement qui r pondra toutes vos attentes Nous vous souhaitons de tr s belles Journ es Fran aises de Radiologie Vendredi 17 octobre otidien des Journ es Fran aises de Radiolo 1e Diagnostique et Interventionnelle EPST LS IRM musculaire corps entier et myopathies R Y Carlier H pital Raymond Poincar Garches Les maladies neuromusculaires sont aujourd hui mieux connues et diagnostiqu es L imageur doit conna tre les bases de r alisation d interpr tation et d analyse d une IRM musculaire corps entier Les indications sont d termin es apr s discussion multidisciplinaire avec un radiologue inform de la clinique des l ments paracliniques et des hypoth ses diagnostiques La r ali
12. tre renouvel e tous les 10 ans m JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle our en savolr sur le m me th me D S ance p dagogique Diagnostics d licats en imagerie pelvienne comment s en sorlir 8h30 9h45 Amphi Bordeaux QJ 0J Lej b D AjI gt g 5 N lt J c v y i j 1 1 O 5 A nn Seance scientifique Radioprotection en milieu m dical partie 1 10n30 11h45 Salle 351 Le r f rentiel officiel de bonnes pratiques l usage des m decins qui sont amen s demander ou r aliser des examens d imagerie m dicale Plus de 400 situations cliniques parmi les plus fr quentes et ou les plus importantes Application JFR pour plateformes iOS et Android Disponible sur Apple App Store et Google Play Store Diagnostique amp Interventionnelle lt JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 S ANCES DE COURS COURS D INTERET GENERAL IRM multiparam trique du cancer de la prostate Salle 242 COURS D INTERET GENERAL Exploration en imagerie de l hypofertilit du couple Salle 352 COURS D INTERET GENERAL Kystes et Pseudokystes intracr niens Salle Maillot COURS D INTERET GENERAL Traumatologie du membre sup rieur les fondamentaux Salle 351 COURS D INTERET GENERAL Nouveaut s et cancer bronchique classificatio
13. Goo JM Chung MJ Kim MY Atypical pulmonary metastases spectrum of radiologic findings Radiographics 2001 21 403 417 7 Wu SG Hu FC Chang YL et al Frequent EGFR mutations in nonsmall cell lung cancer presenting with miliary intrapulmonary carcinomatosis Eur Respir J 2013 41 417 424 lt JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle l Pour en savolr sur le m me th me S ance de cas clinigues M tastases thoraciques 12h30 13h30 Amphi Bleu gt Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Diagnostique amp Interventionnelle Le Quotidien des JFR Vendredi 19 octobre 2012 Le m tier de dosim triste une sp cialit C Depenweiller E Moerschel 1 AFPPE 2 CHCFM Ress des professions de sant est en volution permanente et la politique de sant publique a pour objectif d ajuster au mieux le syst me de sant aux besoins de la population e La loi HPST du 21 juillet 2009 a r nov le cadre des coop rations entre les profes sionnels de sant et conclut la n cessit de nouveaux m tiers notamment l interface des m tiers m dicaux et param dicaux Le Dipl me Le m tier F f rentiel d activit s Le dipl me R f rentiel de certification F f rentiel de comp tences La formation Crit res d valuation F f rentiel de formation Modalit d valuation et de validation selon
14. O0 ea IN IN RMM ou r union d analyse des pratiques 2 Pancr atites aigu s et chroniques quoi de neuf 10 M tastases pulmonaires 11 Le m tier de dosim triste une sp cialit 2 12 IRM en oncologie Exemple des ultrasons focalis s coupl s l IRM 13 Douleur thoracique aigu 15 Cas du jour l le Quotidien des Journ es Fran aises de Radiologie R dacteurs en chef Jean Pierre Laissy Samuel Merran R dacteurs adjoints Myriam Edjlali Goujon Olivier Naggara Isabelle Thomassin Marie Tisserand Comit ditorial Louis Boyer Philippe Devred Guy Frija Eric de Kerviler Alain Luciani Jean Fran ois M der Jean Pierre Pruvo Alain Rahmouni Directeur de la publication Jean Pierre Pruvo Tirage 5 000 exemplaires Imprim par Barbou impressions RCS Bobigny B572 188 357 Soci t Fran aise de Radiologie Tous droits de reproduction strictement r serv s Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 L Association canadienne des radiologistes T da Costa Agente des Communications CAR uarante ans apr s la d couverte du rayonnement X en 1895 et sa premi re utilisation au Canada en 1896 Montr al un mouvement important pour la reconnaissance de la radiologie comme sp cialit distincte na t au pays et en 1937 l Association canadienne des radiologistes CAR est cr e En sa qualit de porte parole de la profession au C
15. analyse des pratiques V Vidal H Vernhet F Pilleul 1 Marseille 2 Montpellier 3 Lyon l s ance de morbi mortalit Nuits blanches et pires cauchemars des complications vitables est renouvel e cette ann e pour sensibiliser les radiologues interventionnels l analyse a posteriori de cas ayant entra n une complication ou un dommage Plus qu une vraie revue de morbi mortalit RMM cette s ance s apparente une r union d analyse des pratiques Tous les radiologues r alisant des actes de RI quels que soient la difficult technique de lacte leur niveau d expertise et leur volume d activit sont invit s y participer Dans le cadre des actions de DPC ce type de r union est particuli rement adapt la radiologie interventionnelle En effet le formalisme de la RMM effraie et peu de praticiens osent se lancer dans ce type d organisation En revanche la r union d analyse des pratiques est facile mettre en uvre Il s agit d une pr sentation courte de cas vrais en g n ral 10 mn de pr sentation 15 mn de discussion et 5 min de conclusion avec r daction d une ou plusieurs propositions d action corrective La discussion permet la confrontation de pratiques qui varient d une quipe une autre en fonction des contraintes locales humaines structurelles et environnementales Une comparaison avec les textes de recommandations des soci t s savantes est faite quand ils
16. atite chronique sous jacente L tape suivante sera de rechercher une TIPMP par la r alisation d une CPIRM Enfin surtout chez le RAYONNEMENTS IONISANTS ET SANT PEDON TAVANI ONNE AE MEDSQUARE www radiationdosemonitor com T l 01 55 25 62 50 e mail contact med square com Fig 1 Pancr atites aigu s compliqu es de collections a collection pr coce sur une pancr atite d mato interstitielle sans paroi correspondant une collection liquidienne aigu p ri pancr atique CLAP b collection tardive sur une pancr atite aigu n crosante avec une paroi paisse et un contenu h t rog ne correspondant une n crose organis e pancr atique NOP sujet jeune en fin d enqu te une tude g n tique va chercher les g nes CFTR Spink 1 PRSS A noter que la pancr atite auto immune ne provoque quasiment jamais de pancr atite aigu et que les variantes anatomiques ne sont pas retenues comme d examens radiologiques responsables elles seules mais peuvent tre un cofac teur par exemple pancr as divisum et CFTR La deuxi me partie de cette session va s int resser aux pancr atites chroniques Le bilan d imagerie de cette pathologie doit comprendre un scanner sans injection de contraste quel que soit le stade de la maladie Il sera compl t la fois par une acquisition apr s injection de contraste iod et par une IRM Celle ci comprendra le plus souvent des s qu
17. atrophie haut signal STIR et pr serv s De cette r partition on pourra d duire dans certains cas un diagnostic avec une forte vraisemblance en s aidant des donn es de la litt rature Les performances diagnostiques progressent avec l accumulation et les r visions de cas en staffs multidisciplinaires ou lors des groupes de travail europ ens avec les communications et publications de s ries plus larges avec des descriptions plus pr cises La r alisation d une IRM corps entier ouvre la possibilit de fa on non exceptionnelle de d tecter des l sions extra musculaires de d couverte fortuite dont seul le radiologue a l expertise Conclusion L IRM est un outil utile au diagnostic tiologique des myopathies et dystrophies musculaires mais aussi la surveillance de l volution spontan e ou sous traitement Pour en savoir plus R Carlier MNM et IRM musculaire corps entier apport au diagnostic et au suivi Les cahiers de myologie AFM t l thon 2014 10 22 32 http www afm telethon fr sites default files flip books cahiers_de_myologie_n10 index htm 32 a IRM musculaire corps entier et myopathies L Association canadienne des radiologistes 3 La st atose h patique un probl me quotidien pour le radiologue 3 Diagnostics d licats en imagerie pelvienne comment s en sortir Quelques outils pour avoir les id es claires Radioprotection en milieu m dical Programme du jour
18. de la st atose dans le parenchyme h patique va encore compliquer l analyse Des ph nom nes vasculaires vont conduire une r partition h t rog ne de la st atose avec des sites de surcharge pr f rentiels qui doivent tre reconnus Ces m canismes vasculaires peuvent tre des augmentations ou des diminutions des apports art riels ou portes ils peuvent tre cong nitaux ou acquis l extr me une st atose nodulaire est possible dont le diagnostic diff rentiel avec des tumeurs contingent graisseux pourra tre tr s difficile L anomalie inverse savoir des zones d pargne de parenchyme non st atosique dans un foie de surcharge va aussi cr er des l sions focales pseudo tumorales dont l analyse devra tre soigneuse pour ne pas faire porter tort un diagnostic de tumeur sp cialement dans un contexte canc rologique Or si l tiologie m tabolique est majoritaire 1l existe d autres tiologies la surcharge graisseuse h patique telles que la nutrition parent rale les r sections digestives tendues et surtout certains types de chimioth rapie La recherche de m tastases l appr ciation de leur r ponse au traitement dans un foie de st atose h t rog ne n est donc pas une situation rare La connaissance de ces pi ges et l aide de l IRM avec des s quences adapt es permettent dans la majorit des cas de r soudre ces probl mes et ne laissent heureusement que peu de place pour
19. de v rifier par l obtention d une histologie la nature de toute l sion ind termin e susceptible de modifier la prise en charge En conclusion une d tection optimale des m tastases suppose une analyse en mode MIP ou avec un CAD de l acquisition thoracique La possibilit de simples ganglions intra pulmonaires doit tre discut e devant des nodules multiples Certaines caract ristiques ont valeur dorientation quand la tumeur primitive nest pas connue Lhistologie s impose chaque fois que la nature d une image douteuse conditionne les d cisions th rapeutiques R f rences 1 Park EA Goo JM Lee JW et al Efficacy of computer aided detection system and thin slab maximum intensity projection technique in the detection of pulmonary nodules in patients with resected metastases Invest Radiol 2009 44 105 113 2 Ahn MI Gleeson TG Chan IH et al Perifissural nodules seen at CT screening for lung cancer Radiology 254 949 956 3 Benson RE Rosado de Christenson ML Martinez Jimenez S Kunin JR Pettavel PP Spectrum of pulmonary neuroendocrine proliferations and neoplasms Radiographics 33 1631 1649 4 Uruga H Fuji T Kurosaki A et al Pulmonary tumor thrombotic microangiopathy a clinical analysis of 30 autopsy cases Intern Med 52 1317 1323 5 Moon JW Lee HY Han J Lee KS Tree in bud sign as a manifestation of localized pulmonary lymphatic metastasis from a pancreas cancer Intern Med 50 3027 3029 6 Seo JB Im JG
20. existent Il est propos des actions locales adapt es au terrain visant am liorer la pratique pr vention et gestion des risques cette occasion les non radiologues peuvent tre invit s et cest m me souhaitable cadres de sant pour aborder les points organisationnels et les probl matiques li es au travail en quipe l gistes pour les aspects m dico l gaux anesth sistes cliniciens etc Des radiologues juniors CCA ou en formation peuvent aider la pr paration de la r union Un compte rendu devra mentionner la th matique abord e le nom des participants Pour chacune des th matiques principales il est not en quelques lignes les principales actions propos es pour am liorer la pratique que l on souhaite mettre en place Le compte rendu est adress par mail dans les 15 jours tous les participants comme attestation de pr sence et pourra tre fourni l organisme de DPC Lors des r unions ult rieures il est propos que 15 30 mn soient consacr es l valuation de l efficacit ou des difficult s rencontr es lors de la mise en place des actions correctrices propos es auparavant Cette s ance calqu e sur ce mod le est d une tr s grande p dagogie pour tous et il faut f liciter les orateurs qui viennent faire partager ces moments de solitude afin qu ils ne se reproduisent pas Au final ce type de r union permet de contredire ce vieux dicton tr s d mod du XX si cle
21. kiosques mobiles se d pla ant au c ur de l exposition Ouvert d s le jeudi au troisi me niveau L ARLEQUIN mettra l honneur sushis et makis Congressistes visiteurs et exposants pourront aussi profiter de l espace repos panoramique surplombant la terrasse de l Arlequin L ensemble de ces espaces et services sera en activit d s le petit d jeuner et toute la journ e F ry 10h30 Optimisation des param tres de r glage en cho Doppler Salle 341 P Chirossel Echographie musculosquelettique L paule en 10 points Salle 343 H Guerini C Courthaliac Multimodalit d imagerie thoracique Pr sentation des malformations vasculaires thoraciques Salle 353 A Khalil AC Dany B Tarek S Haddad MF Carette Multimodalit de l imagerie urologique Cancer de la prostate Salle 361 P Puech Atelier de perfusion c r brale Salle 362 Imagerie ant natale Le c ur Salle 364 M Brasseur S ANCES DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en imagerie cardiovasculaire Amphi Bleu COURS THEMATIQUE H morragies m ning es et an vrysmes intra cr niens Place et r le de l embolisation Amphi Bordeaux S ANCES P DAGOGIQUES Stroke quoi qui quand comment S ance organis e par La FRI Salle Passy Optimisation des techniques et protocoles d imagerie pour le guidage des techniques interventionnelles S ance organis e par La FRI Salle 241 Imagerie de la statique pelvienne
22. l acc s la profession le choix entre deux options cr ation d une profession ou cr ation d une sp cialit partir du m tier socle de manipulateur a davantage fait d bat L analyse des diff rents arguments a conduit la DGOS la cr ation du m tier de dosim triste comme sp cialit du m tier de manipulateur particuli rement pour marquer son ancrage dans le soin Au regard des 10 domaines de comp tences en lien avec la conduite des soins et la mise en uvre de la radioprotection en imagerie m dicale m decine nucl aire et radioth rapie au regard de la formation qui pr voit parts gales 2100h des temps de formation th orique soins anatomie physique appliqu e et des temps de formation clinique o l tudiant est confront la pratique soignante aupr s des malades les manipulateurs poss dent un socle de connaissances et un savoir faire solides sur lesquels pourra s appuyer une formation compl mentaire Un groupe de travail r unissant les repr sentants de la DGOS du MESR de PASN de PINCa de la SFRO de la SFMN de la SFPM de l INSTN de l AFPPE et du CHCEM est constitu pour l laboration des r f rentiels d activit s et de comp tences pour la validation des acquis d exp rience et pour d finir la formation n cessaire selon la m thodologie utilis e pour la r ing nierie des formations param dicales cf fig 1 La visite de centres de radioth rapie par la
23. origines thoraciques et extra thora ciques Tableau 1 mais ce sont les origines cardiaques et vasculaires qui engagent souvent le pronostic vital si une prise en charge sp ci fique nest pas rapidement mise en place Les douleurs thoraciques aigu s d origine cardiovas culaire repr sentent plus de 25 des admissions aux urgences chez les patients de plus de 60 ans Le r le de l imagerie et par cons quent du radiologue est crucial non seulement dans le diagnostic mais aussi dans l valuation pronos tique et la prise en charge th rapeutique initiale Le tri des patients par un examen d imagerie l admission aux urgences n est pas d actualit L valuation clinique reste indispensable Elle inclut la caract risation de la douleur l valua tion des facteurs de risques cardiovasculaires et des signes associ s Cette valuation aboutit souvent une probabilit clinique dont le radio logue doit conna tre le principe probabilit d une origine coronaire probabilit clinique d embolie pulmonaire En r alit c est l introduction r cente du scanner cardiaque dans l arsenal des tests outils dont on dispose en urgence qui a repositionn l imagerie en coupe dans un r le encore plus important que dans le pass quand celui ci tait principalement r serv l exploration de l embolie pulmonaire aigu et la dissection de l aorte En effet une tude europ enne multicentrique 1 valuant 360 patients avec doule
24. sant publique est g r e au niveau provincial et non au niveau national Comme telles chacune des provinces comme le Qu bec et l Ontario et chacun des territoires d cident ce que sont les plus grandes priorit s dans leur propre juridiction Cest dans cet environnement que la CAR continue de travailler en collaboration avec les gouvernements du Canada afin de dispenser les meilleurs soins de sant aux patients partout dans le pays m lt T JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle Le Canada a l honneur S ance p dagogique Maquette du DES de radiologie am liorations r centes et attendues 12h30 13h30 Salle 252 Chantale LAPIERRE Programme d un r sident en radiologie l approche Canmed S ance scientifique Perfusion c r brale et pathologie vasculaire 14h00 15h15 Salle 252 Daniela IANCU L analyse du sinus hyperdense sur le scan ner sans contraste dans la thrombose veineuse c r brale Outil intelligent de d tection caract risation et classification BI RADS des l sions du sein d couvrir stand n 1710 niveau 1 Hall Ternes E Le syst me Samsung UGEO RS80A est un dispositif m dical de classe lla fabriqu par Samsung Medison Co Ltd Cor e du Sud et dont l valuation de la conformit a t r alis e par l organisme certifi T V S D CE0123 II est destin au diagnostic m dical par imagerie ultrasonore et tre utilis
25. une insuffisance respiratoire L IRM corps entier est r alis e en d cubitus dorsal bras rig s et genoux fl chis seule position supportable par le patient dans la machine Vues reconstruites frontales pond r es T1 partir de 7 paliers d acquisition suc cessifs chevauch s Sur ces vues frontales on peut objectiver l importance du remplacement graisseux diffus au sein des groupes musculaires droite coupe axiale pond r e T1 orient e perpendiculairement au grand axe du f mur pour obtenir une anatomie compr hensible Sur cette coupe axiale de la cuisse le tissu graisseux sous cutan appara t tr s abondant Les groupes musculaires pr sentent une texture particuli re avec la pr servation d une bande centrale dont le signal est proche du muscle non pathologique fl ches Cet aspect int resse pratiquement tous les muscles de la cuisse en dehors du gracile ce qui donne un aspect tigr tiger like La pr sentation clinique associ e cette texture tr s particuli re oriente for tement vers une maladie du collag ne 6 maladie d Ullirch ou de Bethlem Suite page 2 BOURSES JACQUES SAUVEGRAIN REMISE DES DIPL MES AUJOURD HUI 12H00 Espace international niveau 3 Bourse Jacques Sauvegrain Cette ann e 13 bourses sont attribu es par la SFR des jeunes radiologues trangers pour leur permettre d assister aux Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique
26. urgences e Une qualit optimale des images seule garante d une interpr tation avec un haut de niveau de confiance et d une reproductibilit des examens de jour comme de nuit e Une formation appropri e des radiologues mais aussi des techniciens et de tous les par tenaires de la cha ne Un des objectifs de la s ance Douleur thora cique aigu co organis e par la SFICV et la SIT ce vendredi est de permettre d acqu rir les l ments cl s qui permettent de comprendre savoir faire et savoir interpr ter un scanner des coronaires dans le contexte des douleurs thora ciques en urgence Les douleurs d origine cardiaque sont certes importantes mais ne doivent aucunement cantonner le radiologue l exploration du c ur uniquement Le r le du radiologue ne peut tre pleinement jou sans consid rer l exploration de la totalit du thorax Le scanner est depuis longtemps l examen de premi re ligne dans le diagnostic et l valuation pronostique de lem bolie pulmonaire aigu Cependant la possibilit d valuer la perfusion pulmonaire par le scanner risque de changer les sch mas classiques d in vestigation Il est par cons quent important de conna tre comment et quand envisager la perfu sion pulmonaire Entit s r cemment renomm es et reclassifi es les syndromes aortiques aigus doivent leur d finition et leur compr hension la s miologie que le scanner donne dans lana lyse de la paroi de
27. DGOS et la pr sence de dosim tristes en exercice aux r unions de travail permet de bien cerner le p rim tre de la profession sachant que le dosim triste exercera sous la double responsabilit du m decin et du physicien m Exclusivit s JFR 2014 ELAN L IRM 1 5T SANS COMPROMIS S curit et confort des patients tunnel 63 cm et toutes les s quences silencieuses Pianissimo Qualit des examens FOV homog ne 55cm et nouvelles antennes 16 Flex Productivit et innovation Nouveau MPower v 3 et positionnement automatique AutoLine f D veloppement durable Consommation r duite EcoMode et implantation sur 23m gt ULTRASONS IRM SCANNER X RAY SERVICES wwWw toshiba medical fr Les dispositifs d imagerie m dicale IRM ELAN sont de classe lla Conformit valid e par l organisme de certification TUV Rheinland 0197 Fabriqu s par TOSHIBA MEDICAL Systems Pour un bon usage merci de vous reporter aux manuels d utilisation Prise en charge par l Assurance Maladie des examens r alis s sous cer taines conditions consultez les modalit s sur ameli fr Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 IRM en oncologie Diagnostique amp Interventionnelle Exemple des ultrasons focalis s coupl s l IRM M Guye B Quesson 1 Pr sident de la SFRMBM 2 Directeur de recherche au CNRS a Soci t Fran aise de R sonance Magn tique en Biologie et M decine SFRMBM organise comme ch
28. ables ki r CERTEGRA est un dispositif m dical de classe 1 Pour plus d informations lire attentivement la notice d utilisation Non rembours Sec Soc La plateforme Certegra permet la gestion des informations relatives l injection rehauss e par un produit de contraste partir de dispositifs MEDRAD ainsi que l change de ces informations avec d autres dispositifs du service d imagerie Fabricant Medrad inc One Medrad Drive Indianola PA 15051 0780 U S A Distributeur Bayer Healthcare S A S 13 rue Jean Jaur s 92815 Puteaux France Mars 2014 RADIMETRICS est un dispositif m dical de classe l Pour plus d informations lire attentivement la notice d utilisation Non rembours Sec Soc RADIMETRICS est un logiciel informatique qui offre des informations relatives la dosim trie et des outils tout au ong du flux de travail de radiologie pour le m decin prescripteur le radiologue le manipulateur le m decin clinique le responsable de la s curit des rayonnements et l administration Il s int gre pleinement aux syst mes PACS existants au moen des normes DICOM et HL7 RADIMETRICS fait un suivi de la dose absorb e par organe r gion de la dose efficace CIPR 60 et CIPR 103 du PDL de l IDSV et du SSDE Fabricant Medra inc One Medrad Drive Indianola PA 15051 0780 U S A Distributeur Bayer Healthcare S A S 13 rue Jean Jaur s 92815 Puteaux France Mars 2014 1 Manuel d utilisation Certegra et docu
29. ait responsable de 60 de la dose d li vr e par l imagerie m dicale e La radiologie p diatrique reste une attention particuli re en raison de la radiosensibilit des enfants et les donn es pid miologiques de ces trois derni res ann es qui semblent malgr des biais m thodologiques mettre en relation dans cette population exposition aux rayonnements ionisants et apparition de cancer e La radiologie interventionnelle et les actes radioguid s qui permettent de proposer des NOUVEAU par la SFR et la SFMN Application GBU explorations et des traitements efficaces aux patients mais qui exposent le patient et l op ra teur des doses qui peuvent tre lev es Entre 2007 et 2013 parmi les 67 v nements signi ficatifs de radioprotection recens s par l ASN 18 ont entra n des l sions radio induites chez les patients Il ne faut pas oublier galement que l am lioration de la radioprotection du patient est une voie efficace d am lioration de la radioprotection des travailleurs Pendant les JFR 2014 vous pourrez assister de nombreux v nements portant sur la radioprotection et dont l accent a t mis sur la radioprotection patient e Une s ance portera sur l optimisation en tomodensitom trie Cette s ance organi s e avec nos coll gues suisses permettra de montrer qu il s agit d une probl matique lar gement partag e en Europe et de donner aux participants des pistes d optimisat
30. ale 3 A Masse tumorale en regard de l ischio N h sitez pas participer jambier gauche et d poser votre diagnostic l espace multim dia Rupture du corps musculaire du carr f moral Enth sopathie des ischio jambiers isol e Conflit ischio f moral D sinsertion de l obturateur externe 8h00 19h00 niv 3 Service de radiologie H pital Avicenne Bobigny Homme g de 37 ans pr sentant au lendemain d un retour de Tha lande un tableau vocateur de pneumopathie Trois antibioth rapies d une semaine actives sur les germes communautaires sont successivement prescrites devant la persistance de la fi vre Finalement toujours f brile 39 3 semaines du retour et devant l apparition d une dyspn e le patient consulte aux urgences Il rapporte alors des voyages r guliers en Tha lande o il pratique la randonn e en outre il s est fait r aliser un large tatouage lors de son dernier s jour Il est tabagique 20 PA Il wa aucun ant c dent m dical A l examen physique il n existe pas de signe extra respiratoire Un scanner thoracique est r alis Fig 1 4 Le m diastin ne pr sentait pas d anomalie Tuberculose Carcinome pidermo de bronchique surinfect Pneumonie n crosante Staphylococcus Aureus Coccidio mycose 2 et 3 Coupes axiales M lio dose e Coupe coronale RE bb aia her DU en nn nn mm TT PE M Le RER CH EE r pass na Mes FA
31. anada la CAR d fend des normes de pratique lev es en imagerie centr e sur les patients en apprentissage continu et en recherche Les m decins membres de cette association sont reconnus comme tant les experts assurant des soins s curitaires efficaces et de qualit la population canadienne gr ce aux techniques d imagerie interventionnelle vis e diagnostique ou th rapeutique De nos jours la CAR compte plus de 2 000 membres et est active sur plusieurs fronts Parmi ses responsabilit s la CAR e d fend les int r ts des radiologistes aupr s des gouvernements des professionnels de la sant et des chefs de file en mati re de technologie pour favoriser l utilisation optimale de lima gerie diagnostique Elle a pour objectif de veil ler ce que les tests appropri s soient r alis s et interpr t s ad quatement informe les gouvernements la population et les m dias des avantages et des risques de l imagerie diagnostique des enjeux qui y sont li s et des solutions qu elle propose e labore des lignes directrices des guides des avis et des nonc s de position e d veloppe et g re des programmes d agr ment Stand 1107 Niveau 1 CUIDE D INTRODUCTION L IMACERIE M DICALE UTILISATION ET SURET DES RAYONS X dont le Programme d agr ment en mam mographie et le Programme d agr ment en ost odensitom trie e cr e agr e et promeut des occasions de d veloppement profe
32. anis e par La FIC et La SIT Amphi Bleu Echographie de contraste S ance organis e par Le groupe SFR UItrasons Amphi Havane SYMPOSIUM Imagerie multi param trique Quoi de neuf S ance organis e par OLEA MEDICAL Salle Maillot Olea metal inpri danmgsig jor n Imagerie c r brale WORKSHOP L lastographie ShearWave du sein en pratique S ance organis e par SUPERSONIC IMAGINE Salle 241 C OUPERSONIC 7 imagine The Theragnostic Company conf rence Antoine B cl re Demain S ANCE PL NI RE 12h30 13h30 Amphith tre Bleu YVON BERLAND Pr sident de l Observatoire National de la D mographie des Professions de Sant D mographie des Professionnels de Sant sujet de pr occupation majeur pour l organisation venir de la sp cialit d imagerie m dicale 14h00 ATELIERS Soumettre et publier un article scientifique radiologique trucs et astuces Salle 341 P Soyer V Vilgrain H Trillaud Echographie musculosquelettique Epaule Perfectionnement Priorit aux man uvres dynamiques Salle 343 D Jacob D Montagnon Multimodalit d imagerie digestive Bilan pr op ratoire du cancer du pancr as MP Vullierme Salle 353 Multimodalit du syst me nerveux central Imagerie en pathologie tumorale J Savatovsky Salle 361 Atelier d chographie Exploration des abords vasculaires pour h modialyse P Cuingnet O Pichot Salle 362 Prise en cha
33. aque ann e une journ e th matique autour de la recherche en RMN aux JFR Cette ann e le th me est PIRM en oncologie Le but est de montrer la fois les d veloppements les plus r cents et les applications les plus prometteuses Ces approches seront abord es dans deux demi journ es Au cours de la matin e l objectif est de pr senter les derniers d veloppements m thodologiques en IRM de perfusion et de diffusion mis en uvre pour le diagnostic et ou le suivi th rapeutique des pathologies tumorales Le r le de la microvascularisation dans la tumorig n se et la progression tumorale sera tudi sous langle des nouveaux agents de contraste et s quences d IRM permettant d valuer la perfusion et la perm abilit capillaire L int r t de PIRM de diffusion dans le bilan d extension des l sions tumorales sera pr sent en comparaison avec les autres s quences d IRM conventionnelle et d autres techniques innovantes comme l lastographie La s ance de l apr s midi est d di e d une part d autres modalit s d imagerie diagnostique et th rapeutique coupl es PIRM l apport tr s r cent du couplage TEP IRM et l int r t du couplage ultrasons IRM dans le diagnostic et la th rapie des cancers seront abord s D autre part des aspects innovants dans le domaine fonctionnel et m tabolique seront aussi abord s avec la pr sentation des agents de contrastes dits fonctionnalis s et des m thodes de spec
34. ct re tr s profus des m tastases pulmonaires r alisant un aspect de miliaire m tastatique est rarement pr sent dembl e et doit faire voquer deux diagnostics Le premier est celui d une origine thyro dienne le second celui d ad nocarcinome bronchique mut pour PEGFR epithelial growth factor facteur de croissance pith lial 7 figure 1 On con oit en effet que la d r gulation de la prolif ration pith liale qui devient ind pendante de la fixation du ligand au r cepteur donne un caract re floride des manifestations tumorales Lorsque la l sion primitive est d j connue et suivie l hypoth se m tastatique devant des images nodulaires multiples doit tre galement valu e en fonction du type et du stade de la tumeur primitive et pas uniquement sur des crit res morphologiques Toute image nodulaire chez un patient porteur de sarcome quelle que soit sa taille et sa densit est a priori suspecte d tre une localisation secondaire l inverse chez une patiente trait e pour un cancer du sein indemne de m tastases osseuses et h patiques l hypoth se de m tastase pulmonaire devant un ou plusieurs nodules est improbable Chez les patients suivis pour tumeur pidermo de ORL les m tastases tant g n ralement tardives dans l volution la constatation d un nodule pulmonaire doit plut t sugg rer la possibilit d une tumeur primitive bronchique associ e La r gle reste ici galement
35. d couverte fortuite de nodules pulmonaires multiples ventualit fr quente pose la question de leur ventuelle nature secondaire y compris chez les patients sans contexte n oplasique d j identifi Il est donc important de conna tre les aspects typiques et atypiques des m tastases pulmonaires ceux qui orientent vers une tiologie sp cifique mais aussi le moyen d viter ou limiter les erreurs de d tection et d interpr tation D tection des m tastases La totalit du volume pulmonaire doit tre acquise en une apn e avec reconstruction de coupes fines de 0 6 1 25 mm qui permettent un post processing de type MIP projection des intensit s maximales Ce post traitement sensibilise la d tection des nodules permettant de les distinguer des structures vasculaires qui de nodulaires en coupes fines deviennent lin aires en MIP Les nodules juxta vasculaires peuvent chapper l analyse visuelle Les syst mes de d tection automatique utilis s comme deuxi me lecteur am liorent galement les performances en mati re de d tection 1 L injection de produit de contraste n est pas utile la d tection ou caract risation des m tastases pulmonaires Diagnostic diff rentiel Il existe de nombreuses tiologies b nignes lorigine d images nodulaires du parenchyme pulmonaire y compris pour les nodules multiples qui ne doivent pas tre syst matiquement interpr t s comme tant m tastatiques
36. dans le cadre d examens d imagerie g n rale cardiologiques vasculaires obst triques et gyn cologiques Lisez attentivement la notice d utilisation ainsi que les commentaires relatifs aux examens d imagerie m dicale du Guide de bon usage des examens d imagerie m dicale de la HAS actualis en 2012 Pris en charge par l assurance maladie Ce dispositif m dical est un produit de sant r glement qui porte au titre de cette r glementation le marquage CE SAMSUNG ELECTRONICS FRANCE SAS au capital de 27 000 000 RCS Bobigny 334 367 497 Si ge social Samsung Electronics France Ovalie CS 2003 1 rue Fructidor 93484 St Ouen Cedex Date d tablissement 15 09 2014 R f rence HME AD3 092014 Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 Diagnostique amp Interventionnelle La st atose h patique un probl me quotidien pour le radiologue C Aub V Vilgrain 1 Radiologie CHU Angers 2 Radiologie H pital Beaujon Clichy Loo de la st atose h patique est inqui tante Dans de nombreux pays occidentaux elle est devenue une cause majeure d h patopathie et aux tats Unis la surcharge h patique en graisse est maintenant la premi re cause d h patopathie chronique chelle mondiale la st atose h patique d origine m tabolique touche plus de 40 de la population Si elle est fortement li e au surpoids elle l est encore plus au syndrome m tabolique qui ne s accompagne
37. du taux d hospitalisation qui permet tait le retour domicile des patients lorsque l examen tait n gatif Dans l tude ROMICAT II 501 patients ont b n fici d une strat gie avec scanner des coronaires quand 499 autres patients randomis s ont eu une prise en charge stan dard En moins de 8 6 heures hospitalisation a t vit e pour 50 des patients Le temps pour atteindre le diagnostic final y compris chez les patients avec syndrome coronarien aigu a t r duit de plus de 40 Les v nements majeurs 28 jours taient moins importants dans le groupe scanner 2 v nements Il est int ressant de noter que dans ces deux cas le scanner avait montr une st nose de plus de 50 mais le test fonctionnel tait n gatif Pour garantir dans la pratique courante les performances diagnostiques et le succ s th ra peutique obtenus dans ces tudes quatre conditions sont n cessaires e Une s lection appropri e des patients linte raction du radiologue avec l environnement clinique est fondamentale Sa connaissance de l valuation clinique initiale probabilit pr test ainsi que des strat gies diagnos tiques et de prise en charge des syndromes coronariens aigus est indispensable e Des infrastructures et les ressources humaines adapt es ces ressources doivent tre dimen sionn es ou redimensionn es pour r pondre l int gration de cette nouvelle technique d imagerie dans le monde des
38. effet thermique mais uniquement un effet m canique sonoporation force de radiation acoustique sur les tissus Le monitoring dynamique des effets m caniques et thermiques peut tre effectu par IRM en utilisant des techniques d acquisition sp cifiques Pour cela des s quences rapides d imagerie de temp rature et d imagerie de la force de radiation acoustique ont t d velopp es permettant un suivi multi coupes de l volution du traitement avec une cadence pouvant aller jusqu 10 images seconde Ces images sont envoy es en temps r el vers une console s par e d di e au traitement des images correction de mouvement calcul de la temp rature et ou du d placement tissulaire induit par la pouss e ultrasonore calcul de la dose thermique cumul e affichage qui doit assurer tous retrouv s un jour dans des situations cocasses aga antes ou stup fantes Rendez vous l espace Paroles et Patients niveau 3 o vous trouverez des histoires v cues repr sent es sous forme humoristique un temps de calcul avec une latence minimale Ce monitoring permet d interagir dynamiquement avec le dispositif d ultrasons focalis s pour e moduler l intensit de l onde ultrasonore ex asservissement automatique de la temp ra ture e viter d alt rer des structures saines incluses dans le c ne de propagation ex c tes e suivre une cible mobile ex tumeur du foie se d pla ant avec la respira
39. eijs MF Schu jf JD Cramer MJ Mollet NR van Mieghem CAG et al Diagnostic accuracy of 64 slice computed tomo graphy coronary angiography a prospective multicenter multivendor study J Am Coll Cardiol 2008 52 2135 44 2 Goldstein JA Chinnaiyan KM Abidov A Achenbach S Berman DS Hayes SW et al The CT STAT Coronary Computed Tomographic Angiography for Systematic Triage of Acute Chest Pain Patients to Treatment Trial J Am Coll Cardiol 2011 58 1414 1422 3 Litt HI Gatsonis C Snyder B Singh H Miller CD Entrikin DW et al CT angiography for safe discharge of patients with possible acute coronary syndromes N Engl J Med 2012 366 1393 1403 4 Hoffmann U Truong QA Schoenfeld DA Chou ET Woodard PK Nagurney JT et al Coronary CT angiography versus standard evaluation in acute chest pain N Engl J Med 2012 367 299 308 27 Prix Hermann Fishgold Ce prix destin r compenser un livre ou une monographie a t d cern l ouvrage Imagerie de l oreille et de l os temporal Francis VEILLON Avec Jan W Casselman Philippe Meriot Sophie Cahen Riehm Henri Sick Collection Imagerie m dicale Lavoisier ig JERS FR Vendredi 17 octobre 2014 Mi 1 M Cavet A Kulsk Service d imagerie m dicale CHU Henri Mondor Cr teil Douleurs de hanche gauche d allure m canique chronique chez une patiente de 50 ans Une IRM est r alis e 3 T2 FS coupe axiale T2 FS coupe coron
40. ences de diffusion et peut tre pr cis e par l injection de s cr tine particuli rement dans le cas du diagnostic diff rentiel avec le cancer Cette imagerie en coupe va rechercher les alt rations morphologiques des canaux et du parenchyme et appr cier l atteinte fonctionnelle de la glande pan cr atique aux diff rents stades de la maladie Elle per met galement de d tecter les complications pouss e aigu pseudo kystes st nose biliaire complications vasculaires art rielles et veineuses survenue d un can cer LIRM permet particuli rement d identifier les diff rentes formes de pancr atites chroniques Trois formes de pancr atite peuvent mimer un authentique cancer en raison de leur composante fibreuse Ce sont les pancr atites paraduod nales les atteintes focales des pancr atites auto immunes et les noyaux isol s de pancr atite chronique Il faut cependant toujours voquer un ad nocarcinome en pr sence d un syndrome de masse tissulaire et d un retentissement canalaire biliaire et ou pan cr atique L imagerie associant scanner et IRM est indispensable en ayant connaissance du contexte clinique et des donn es biologiques dosage des IgG4 L choendoscopie peut s av rer n cessaire en association avec des biopsies au moindre doute m RADIATION DOSE MONITOR LE BON R FLEXE POUR UNE OPTIMISATION DE LA DOSE Mesdauare acteur majeur du march du DACS Dose Archiving and Communication System
41. es aigu s et chroniques quoi de neuf S ance organis e par La SIAD Salle 342 Nuits blanches et pires cauchemars Des complications vitables S ance organis e par La FRI Salle Maillot S ANCES SCIENTIFIQUES Elastographie et mammographie S ance organis e par La SIFEM Salle 251 Evolutions techniques en imagerie thoracique S ance organis e par La SIT Salle 351 S ANCES DE CAS CLINIQUES Imagerie canc rologique des lymphomes S ance organis e par La FIC la SFR Juniors et la SFMN Salle 241 Imagerie de l appareil g nital et urinaire masculin S ance organis e par La SIGU Salle 242 Imagerie ost o articulaire S ance organis e par La SIMS et la SFR Juniors Amphi Bordeaux Imagerie radiop diatrique S ance organis e par La SFIPP et la SFR Juniors Amphi Havane S ANCE D INTERPR TATION Imagerie neurologique S ance organis e par La SFNR Amphi Bleu La Soci t Fran aise de Radiologie remercie les partenaires qui participent l organisation des ateliers des JFR ATELIERS MULTIMODALIT S organis s avec le soutien de ATELIERS D CHOGRAPHIE organis s avec le soutien de esaote intrasense HITACHI Inspire the Next OUPERSONIC PHILIPS SIEMENS W FERSI TOSHIBA The Theragnostic Company Leading Innovation gt gt Interventionnelle JFRE Journ es Fran aises de Radiologie TEE Diagnostique et interventionnelle 9 RMM ou r union d
42. gerie de la perfusion en oncologie Salle Maillot S ANCES P DAGOGIQUES Avanc es de l IRM en oncologie Applications S ance organis e par La SFRMBM Salle 253 L h moptysie de l angioscanner l embolisation S ance organis e par La FRI Salle Passy Syndr mes extra pyramidaux S ance organis e par La SFNR Salle 241 Pathologies musculaires non tumorales du diagnostic clinique aux techniques de quantification S ance organis e par La SENR et La SIMS Salle 252 Foie et st atose diagnostic cons quences pi ges S ance organis e par La SIAD Salle 352 17h30 Echo Doppler Comment je fais un cho Doppler des art res r nales perfectionnement JM Corr as Salle 341 Echographie musculosquelettique Muscles du mollet et tendon d achille Salle 343 D Folinais P Thelen Multimodalit des urgences abdominales et pelviennes Imagerie de la douleur lombaire aigu Salle 353 Ruyer Dosim trie patient Radioprotection du patient en scanographie Salle 361 JF Chateil P Roch Atelier d chographie Echographie des ganglions cervicaux PY Marcy Salle 362 Prise en charge des d tresses vitales Prise en charge de l arr t cardio respiratoire B Vivien Salle 364 S ANCES DE COURS COURS D INTERET GENERAL H morragies pelviennes Salle 252 COURS D INTERET GENERAL Occlusions au scanner a bloque a coince ou a tourne Salle 352 S ANCES P DAGOGIQUES Pancr atit
43. icats en imagerie pelvienne comment s en sortir Quelques outils pour avoir les id es claires A Jalaguier Coudray I Thomassin Naggara N Perrot E Poncelet M Bazot 1 Marseille 2 Paris 3 Valenciennes est au cours d une s ance organis e par la SIFEM que seront pr sent s quelques diagnostics d licats en IRM pelvienne La s ance d butera par une mise au point sur les images pelviennes simples en chographie et les images complexes qui n cessitent une IRM pelvienne Trois types de diagnostics parfois d licats en IRM pelvienne ont t choisis pour cette s ance e T ratome mature versus t ratome immature e L sion pith liale borderline versus maligne ou l sion b nigne e L iomyome versus l iomyosarcome Le but de cette s ance est de donner aux radiologues les outils n cessaires pour arriver au diagnostic Tout d abord les myomes sont une patho logie extr mement fr quente Dans le cadre d un bilan IRM pr th rapeutique le r le du radiologue est de reconna tre des myomes aty piques et de le pr ciser au chirurgien pour qu il ne r alise pas dans ce cas de morcellation Le myome ut rin est classiquement en hyposignal T2 cependant le myome peut fr quemment se remanier d g n rescence hyaline grais seuse kystique et son signal en T2 devient interm diaire Le radiologue doit toujours garder l esprit le diagnostic de l iomyosar Fig 1 IRM
44. icul temps reel I 1 r y r r r r ro Cerveau San Foie Rean Prostate Fibrome ut nin D diacement A principe du monitoring par IRM des HIFU Les images IRM dynamiques sont transf r es et trait es en temps r el pour afficher les informations de temp rature et ou de d placement induits par les HIFU Ces donn es permettent d ajuster l nergie envoy e par la sonde HIFU asservissement automatique de la position du c ne ultrasonore et de l intensit mise B Organes cibles des traitements HIFU guid s par IRM C Exemple de r sultats pr cliniques obtenus sur le foie en respiration libre L IRM de temp rature permet de visualiser la distribution de la temp rature dans le foie coupes coronale et sagittale montrant l chauffement induit et sur la peau pendant un tir HIFU de 20 secondes une cadence de 12 images par seconde La courbe de temp rature au point focal permet de calculer la dose thermique cumul e L nergie ultrasonore mise par le transducteur est att nu e et absorb e par les tissus Cette nergie est convertie en chaleur induisant une l vation de temp rature locale qui peut tre mise profit pour provoquer une n crose de coagulation La mont e de temp rature d pend de l intensit et de la dur e de l onde mise et de son interaction avec le tissu cibl Londe ultrasonore peut galement tre appliqu e pendant une dur e suffisamment courte pour ne pas induire d
45. ie des maladies infectieuses S ance organis e par La SFR Juniors et Le GREF Amphi Bordeaux Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 16h00 Echo Doppler des membres sup rieurs art riel et veineux initiation Salle 341 K Belattar Echographie musculosquelettique Nerfs du membre sup rieur L Court J Adolphe Salle 343 Multimodalit du pelvis f minin Imagerie et douleurs pelviennes Salle 353 M Bazot Echographie endocavitaire Echographie endorectale de la prostate Salle 361 F Cornud Atelier d chographie Apport de l chographie dans la prise en charge des dysthyro dies Salle 362 J Tramalloni H Monpeyssen infiltrations du rachis cervical et lombaire D Krause P Pottecher Salle 364 S ANCES DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en imagerie p diatrique Amphi Bleu COURS D INTERET GENERAL Imagerie des pathologies des voies excr trices sup rieures Salle 242 COURS D INTERET GENERAL Imagerie des infections chez le sujet immunod prim non VIH Salle 243 COURS D INTERET GENERAL Biopsies mammiaires comment bien g rer ses r sultats Salle 342 COURS D INTERET GENERAL De la sp cificit du signal T1 T2 et diffusion au diagnostic Amphi Bordeaux COURS D INTERET GENERAL Les nouvelles armes du radiologue dans le traitement des lombo radiculalgies Salle 351 COURS THEMATIQUE Douleurs pelviennes et mammaires Amphi Havane COURS THEMATIQUE Int r t de l ima
46. ion dans diff rents domaines urgences abdominales explorations pulmonaires et tude du cr ne en p diatrie e Deux s ances scientifiques durant lesquelles les communications couvriront les trois domaines prioritaires et permettront de faire tat des avanc es r centes Ces th matiques ss En fr D SFMN Le Guide du bon usage sur votre smartphone tablette Guide du Bon Usage des examens d imagerie m dicale publi En ce qui concerne les t ratomes l encore le radiologue a un r le primordial puisque c est lui qui oriente le diagnostic et donc le type de chirurgie Il est capital qu une patiente ayant une suspicion de t ratome immature soit prise en charge de fa on optimale d s sa chirurgie car cela conditionne son pronostic Le t ratome immature est une tumeur exceptionnelle tou chant plus volontiers la femme jeune Classique ment le t ratome immature est de grande taille unilat ral et contient un tr s faible contingent graisseux l est donc majeur de r aliser des s quences T1 et T1 fat sat et de comparer de fa on rigoureuse pour d tecter un petit contin gent graisseux Enfin lorsque le radiologue suspecte une tumeur pith liale il est important de reconna tre quel type et quel degr de malignit En effet le traitement diff re en fonction du degr de malignit mais aussi du type histologique La pr sence de v g tations est pathognomonique de tumeurs pith liales Ces v g tatio
47. l aorte Le dernier objectif de la session n est pas seulement de savoir explorer et identifier ces l sions aortiques mais aussi de conna tre les principes de la prise en charge des patients qui sont principalement dict s et guid s par le scanner S il y a un domaine o la radiologie est au carrefour de plusieurs disciplines c est celui du diagnostic des douleurs thoraciques aigu s Force est de constater qu avec les r cents d veloppe ments dans l imagerie cardiaque nous sommes d sormais au centre de la prise en charge des patients Ce qui nest pas sans cons quences En effet cela suppose une adaptation des infrastruc tures l acquisition de nouvelles connaissances et la formation des quipes Pour en savoir plus et partager vos opinions venez nous rejoindre la session Douleur thoracique aigu Origines des douleurs thoraciques aigu s Cardiaques Spasme coronaire Dissection coronaire Pour en Savoir sur le m me th me S ance p dagogique Douleur thoracique aigu 14h 15h15 Salle Maillot Maladies coronaires obstructives ath roscl rose Anomalies cong nitales Syndrome X Valvulopathies Myocardites P ricardites Vasculaires Syndromes aortiques aigus Embolie pulmonaire aigu Pulmonaires non vasculaires M diastinales Pari tales thoraciques Gastro intestinales Psychiatriques Tableau 1 tiologies des douleurs thoraciques aigu s R f rences 1 Meijboom WB M
48. lement qui porte au titre de cette r glementation le marquage CE Nouvel chographe Philips Affiniti vos c t s chaque jour wWww philips com affiniti ET sn E par l innovation Choisir un nouvel chographe impliquait auparavant de faire de multiples compromis Avec Philips Affiniti tablissez rapidement et en toute confiance des diagnostics pr cis La performance par l innovation la productivit par l ergonomie Nouvel chographe Affiniti d couvrir sur le stand Philips Healthcare durant les JFR 2014 Niveau 1 Hall Ternes innovation you innovation et vous Le Quotidien des JFR Vendredi 17 octobre 2014 Diagnostique amp Interventionnelle JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle 5 Douleur thoracique aigu nous tions au carrefour des sp cialit s pour son diagnostic nous sommes d sormais au centre de la prise en charge des patients qui en souffrent S Dine Qanadli G Ferretti 1 Radiologie Centre Hospitalier Universitaire Vaudois Lausanne 2 Radiologie CHU Grenoble Malgr les efforts faits durant la derni re d cennie les maladies cardiovasculaires restent une des principales causes de mortalit des pays industrialis s Ces maladies peuvent rev tir diff rentes expressions cliniques La douleur thoracique aigu est cependant le mode de r v lation commun Certes celle ci peut avoir plusieurs
49. les voies d acc s au dipl me Dans le cadre de la VAE Dansle cadre de la formation Chr ction G n rale de l Offre d Soins DGOS Fig 1 M thodologie d laboration des r f rentiels propos e par la DGOS TOSHIBA Leading Innovation gt gt e Le rapport du Professeur Y Berland de janvier 2011 pr conise que les m tiers en sant de niveau interm diaire mergent de m tiers socles existants e Les travaux du Comit National de suivi des mesures pour la radioth rapie 2008 2011 rel vent qu il est n cessaire de reconna tre tr s rapidement des m tiers corollaires comme les dosim tristes e Le troisi me plan cancer 2014 2019 pr voit de faire voluer les formations et les m tiers de la canc rologie Dans ce contexte la DGOS a engag un travail en vue de la reconnaissance de la profession de dosim triste en tant que profession de sant Une premi re r union en pr sence des organismes soci t s savantes et associations professionnelles concern s dont l AFPPE s est tenue le 11 avril 2014 e Au vu des activit s des dosim tristes en exercice environ 400 troitement li es au parcours de soins des patients les partici pants taient rapidement d accord sur le fait que le m tier de dosim triste soit consid r comme profession de sant moyennant les dispositions l gislatives n cessaires e Pour
50. mentation technique P3T 2 Manuel d utilisation Radimetrics Plate forme d entreprise Sur le lieu de prise en charge 23502 0314 L FR RI 03 2014 0005 Bayer HealthCare SAS au capital de 47 857 291 14 706 580 149 RCS Lille Produit de contraste Injecteur automatique Solution informatique Autre question fr quente lorsqu un clinicien demande une quantification de la st atose quelles indications sont licites quelle technique faut il utiliser Si l IRM est maintenant confirm e comme l examen de r f rence pour la quantification non invasive de la st atose quelles s quences doivent tre choisies quelles techniques utiliser 2 chos 3 chos multi chos spectro MR Les experts cliniciens et radiologues r unis lors de la s ance organis e par la SIAD ce vendredi aborderont toutes ces questions de pratique quotidienne pour donner des r ponses argument es et proposer des techniques de quantifications simples rapides et fiables En plus de ces probl mes li s directement la prise en charge de la maladie st atosique la pr sence de st atose va perturber l analyse du parenchyme h patique par la modification du signal h patique induite et donc par la modification du contraste l sionnel L analyse des l sions h patiques qu elles soient focales ou plus diffuses devra donc tenir compte de la pr sence de st atose Le caract re possiblement inhomog ne
51. n staging traitement personnalis Salle 342 S ANCES P DAGOGIQUES Imagerie de l hypertension S ance organis e par La SFICV et La SIGU Salle 241 Pathologie infectieuse c r brale une conduite tout terrain S ance organis e par La SFNR Salle 251 Evaluation de la r ponse tumorale en imagerie Comment faire en pratique clinique S ance organis e par La FIC Salle 252 Am lioration de la prise en charge des patients dans les services d imagerie m dicale S ance organis e par La FIC et Le groupe SFR Association de patients Salle 253 Diagnostics d licats en imagerie pelvienne comment s en sortir S ance organis e par La SIFEM Amphi Bordeaux L h patopathie chronique les ultrasons qu en attendre S ance organis e par Le groupe SFR Ultrasons Amphi Havane S ANCE SCIENTIFIQUE Imagerie en pathologie ORL S ance organis e par Le CIREOL Salle 243 Afin de permettre aux congressistes visi teurs et exposants de profiter pleinement des JFR une attention toute particuli re est port e cette ann e sur les syst mes de restauration Le Niveau 1 accueille LE PASSY un espace am nag confortablement permettant toute la journ e de se restaurer autour d une assiette gourmande de prendre une pause ou d changer Situ dans le hall Ternes LES TERNES proposent des sp cialit s de tartes sal es et de sandwiches toast s In dit sur les JFR le niveau 2 inaugurera des
52. ns peuvent tre exo et ou endophytiques lorsqu elles sont uniquement exophytiques il faut savoir les reconna tre et ne pas poser tort le dia gnostic de portion tissulaire maligne Cette s ance permettra de faire le point sur ces pathologies qui peuvent poser des probl mes aux radiologues m seront galement largement couvertes par les posters lectroniques e Les ateliers Dosim trie Patient traiteront trois th mes deux sont trait s depuis plu sieurs ann es la radiologie classique et la scanographie Le troisi me est un nouvel ate lier qui portera sur la radiologie intervention nelle Ces ateliers permettent d aborder de fa on d taill e et pratique les notions impor tantes de dosim trie patient e La formation pr sentielle du DPC Am liorer les pratiques en radioprotection des patients lors d un examen tomodensitom trique suivi des niveaux de r f rence dia gnostiques NRD organis sous l gide de l ODPC RIM se d roulera durant les JFR La radioprotection des patients a t rete nue dans l arr t du 26 f vrier 2013 comme l un des th mes des orientations nationales du D veloppement Professionnel Continu DPC Les JFR sont galement l occasion d acqu rir la qualification en radioprotection des patients en passant l preuve dipl mante il s agit d un contr le des connaissances qui doivent tre acquises en auto formation Cette qualification est obligatoire et doit
53. orienter vers une arthro grypose e Les ant c dents neurologiques sont aussi importants pr ciser devant une r partition tr s superposable la topographie d une racine ou d un tronc nerveux Les s quences STIR ou T2 Fat Sat toujours confront es celles pond r es T1 permettent dobjectiver une augmentation anormale du contenu en eau des muscles hypersignal Cela nest pas sp cifique et peut traduire une inflammation ex polymyosites une d nervation ex neuropathie un processus l sionnel actif ex dystrophie type FSH L absence de sp cificit et les pr cautions HITACHI Inspire the Next Embracing life through innovation Hitachi reconnait le besoin d avoir des services de sant efficaces dans notre soci t aujourd hui et pour le futur de chacun Se basant sur des technologies innovantes Hitachi s engage am liorer le diagnostic et les traitements tout en am liorant le ressenti des patients VISITEZ NOUS AU STAND N 100 NIVEAU 1 HALL PASSY www hitachi medical systems fr n d interpr tation ne doivent cependant pas faire ignorer l apport de ces s quences qui ont d autre part l int r t de d tecter des l sions extra musculaires Pour l interpr tation globale de l examen on regroupera au sein d un tableau comportant plus de 100 muscles r partis au sein de neuf sous r gions anatomiques les informations concernant les muscles affect s remplacement graisseux
54. pas forc ment d un exc s pond ral Elle pr domine dans les pays occidentaux mais touche aussi certaines tranches de la population des pays asiatiques ou africains o une part grandissante de la population est confront e une alimentation trop riche d s quilibr e La st atose h patique est tr s fr quemment associ e au syndrome m tabolique et notamment au diab te de type 2 et aux risques cardiovasculaires qui l engendrent Sa prise en charge par les endocrinologues et les sp cialistes des pathologies cardiovasculaires conduit une sous estimation de l atteinte h patique propre Or l volution de la st atose va conduire une r elle maladie h patique qui va voluer pour son propre compte Le passage de la st atose la st ato h patite est une tape cruciale de l volution de l h patopathie Celle ci est mal comprise et peu d l ments qu ils soient cliniques ou biologiques en permettent le diagnostic pr coce Cette st ato h patite une fois install e conduira la fibrose puis la Fig 1 Scanner pour bilan d extension d un ad nocarcinome colique a D couverte d une l sion nodulaire hypodense IRM T1 en phase b et en opposition de phase c St atose focale pseudo tumorale L IRM permet de suspecter le diagnostic en montrant l effondrement du signal des nodules sur la s quence T1 en opposition de phase L analyse des autres s quences T2 diffusion post gadolinium a t
55. pelvienne montrant une masse intra ut rine h t rog ne sur les s quences en T2 sagittale a et axiale b en hypersignal diffusion c sans chute de l ADC 1 6 x 10 3 mm2 sec d en rapport avec un myome remani come ut rin bien qu il s agisse d un diagnostic rare La diffusion avec calcul de P ADC est un outil indispensable dans le diagnostic de l io myome versus l iomyosarcome En effet un ADC lt 1 est fortement suspect Le radiologue doit rechercher galement des remaniements h morragiques et des contours irr guliers qui orientent vers le diagnostic de myome atypique ou de l iomyosarcome Radioprotection en milieu m dical H Ducou Le Pointe Radiologie H pital Trousseau Paris L radioprotection est cette ann e encore un sujet d int r t majeur pour notre sp cialit En effet le 17 janvier 2014 la directive 2013 59 Euratom a t publi e au Journal Officiel de l Union europ enne Cette directive regroupe en tenant compte des avanc es de la CIPR 103 les 5 directives pr c dentes portant notamment sur la radioprotection du public des travailleurs et des patients Concernant la radioprotection du patient trois domaines prioritaires se distinguent e La tomodensitom trie qui dans le rapport IRSN de mars 2010 Exposition de la popu lation fran aise aux rayonnements ionisants li e aux actes de diagnostic m dical en 2007 repr sentait 10 des actes r alis s en France mais t
56. rge des r actions allergiques aux produits de contraste Salle 364 C Mouton Faivre P Dewachter S ANCE DE COURS COURS APPROFONDI IRM pratique en ORL Amphi Bleu S ANCES P DAGOGIQUES Les manipulateurs et l Imagerie interventionnelle sous diff rentes modalit s S ance organis e par L AFPPE L IFMEM et La FRI Salle Passy Mise au point sur l imagerie et le traitement des lymphomes S ance organis e par La SFIPP Salle 241 Remise de la m daille d honneur de la SFR au Dr Sylvia Neuenschwander Thyro de quoi de neuf en 2014 S ance organis e par Le CIREOL Salle 242 Inflammation des gros vaisseaux comment utiliser l imagerie m tabolique et fonctionnelle Salle 243 Le scanner cardiaque pour tous S ance organis e par La SFICV Salle 251 Pharmacovigilance Douleur thoracique aigu S ance organis e par La SFICV et La SIT Salle Maillot infiltrations des structures nerveuses S ance organis e par La SFNR Salle 352 D pistage organis du cancer du sein performances actuelles et volutions potentielles S ance organis e par La SIFEM Amphi Havane S ANCES SCIENTIFIQUES Perfusion c r brale et pathologie vasculaire S ance organis e par La SFNR Salle 252 Imagerie digestive S ance organis e par La SIAD Salle 342 Imagerie en gyn cologie r pondre aux questions des patientes et des cliniciens S ance organis e par La SIFEM Salle 351 S ANCE DE CAS CLINIQUES Imager
57. rices relatives aux demandes d examen en radiologie Elles ont pour objectif de veiller ce que les examens les mieux adapt s soient r alis s de fa on optimale afin que les patients profitent pleinement des avantages de l imagerie diagnostique ainsi que de l expertise des radiologistes En sus d avoir effectu une mise jour labor e de ses lignes directrices relatives aux demandes d examen en radiologie au cours des derni res ann es la CAR veille l laboration continue de lignes directrices de pratiques nationales Au cours des deux derni res ann es la CAR a compl t Les lignes directrices de pratique en mati re d chographie de la prostate et des structures voisines Les lignes directrices de pratique et normes techniques de la CAR en mafi re d imagerie du sein et d intervention et les Normes techniques de la CAR en mati re de rapport d ost odensitom trie La CAR a aussi d velopp d autres guides utiles notamment les Directives sur le cycle de vie de l quipement d imagerie m dicale au Canada les Cibles concernant les temps d attente maximum pour l imagerie m dicale IRM et TDM ainsi que Ze Guide d introduction l imagerie m dicale utilisation et s ret des rayons Le Canada est constitu de dix provinces et de trois territoires Un param tre qui ajoute la complexit de la mise en uvre d une quelconque ligne directrice ou d un guide l chelle nationale est le fait quau Canada la
58. rtains sarcomes notamment les ost osarcomes o un pneumothorax peut tre r v lateur de l atteinte secondaire pulmonaire 6 Les m tastases massivement calcifi es sont Diagnostique amp Interventionnelle le fait des sarcomes mais elles surviennent le plus souvent lorsque le primitif est d j connu Des calcifications plus mod r es peuvent tre observ es dans les ad nocarcinomes posant le probl me d un diagnostic diff rentiel avec d ventuels hamartomes ou granulomes La r gle doit tre le recours l histologie au besoin par vid othoracoscopie dans tous les cas o l aspect r alis est douteux et o le fait d affirmer ou infirmer le statut m tastatique a une influence directe sur la d cision th rapeutique L obtention d un diagnostic par ponction percutan e d pend de la taille des nodules de leur si ge et de l expertise locale Il est plus difficile de ponctionner des nodules infra centim triques lorsqu ils si gent aux lobes inf rieurs car d une apn e sur l autre les nodules ont un positionnement diff rent qui rend le geste compliqu s il nest pas r alis en scopie Le caract re hypervasculaire supposant la r alisation d une injection de contraste est surtout le fait des tumeurs r nales La pr sence d un halo p riph rique en verre d poli traduit le plus souvent le caract re h morragique d une m tastase c est le cas notamment des angiosarcomes diffus Le cara
59. sation repose sur une tude multipaliers de la t te aux pieds sans couper les bras avec l antenne corps ou l aide d un r seau d antennes avec une r solution spatiale suffisante La pr cision de la description des l ments d une myopathie d pend du nombre de muscles explor s et d une excellente connaissance de l anatomie musculaire Sur les s quences de base pond r es T1 on pr cisera e Les muscles ou groupes musculaires manquants absence totale de visualisation d un ou plusieurs muscles ou amyo plasie e Le remplacement graisseux intra musculaire t moigne d une destruction des fibres musculaires Il est estim qualitativement sur toute la hauteur de chaque muscle des muscles masticateurs jusqu aux orteils On utilise la classification de Mercuri adaptation de la classification TDM de Goutallier et Bernageau divis e en quatre stades 1 normal 2 remplacement graisseux inf rieur 30 3 estim entre 30 et 60 4 sup rieur 60 Le remplacement peut tre tr s localis e Le volume musculaire on peut avoir une adaptation ou hypertrophie com PRE MEDAILLE DU CENTRE ANTOINE BECLERE Salon d honneur niveau 3 en cas de l sion d un muscle Fig 1 Homme de 27 ans pris en charge de fa on symptomatique dans un centre de r ducation depuis l enfance Le patient pr sente de s v res r tractions des coudes et des genoux une scoliose thoraco lombaire ainsi qu
60. ssionnel continu et de recherche afin que les radiologistes demeurent l avant garde Le nombre de changements importants en mati re d imagerie diagnostique est en hausse Au Canada et ailleurs dans le monde les vecteurs de changement Intuitive Solution RIS PACS Full WEB BACKBONE it SYSTEMX lu Editeur amp int grateur de solutions pour l imagerie m dicale www system x fr 0810 664 476 Diagnostique amp Interventionnelle DIRECTIVES SUR LE CYCLE DE VIE DE L ECAUIFEMENT D IMLAGERDBE MECHCALE AU CAMADA RAPPORT PRINCIPAL FRONT PEOTI FAR E d t Taim Act of Baia i DARE ar den clecopnten sont vidents pressions fiscales croissantes pr occupations grandissantes li es la radioprotection et preuves d utilisation clinique inappropri e Une solution visant l accroissement de la pertinence des demandes d examen d imagerie m dicale pourrait r gler les probl mes d imagerie inappropri e mais galement ceux li s d autres d terminants des soins de sant L association m ne plusieurs efforts pour explorer de telles solutions et travaille avec les intervenants pour atteindre les soins d imagerie m dicale les plus s curitaires et les plus efficaces possible Une grande partie de ce travail repose sur les troites collaborations entre la CAR des experts reconnus et des organismes professionnels l laboration de lignes directrices de pratiques nationales ainsi que de lignes direct
61. ter et gr en A A RE Enr RES FPE LP EP per go LES i E nr rl 2 que n Tac piad LS Aep wat PET EE 5 Faint imat LPS F de aiet j ETEA Er e l ipn Fi miia t T ri r M ELFATIX CHENE TT Le Live sn JORT S Madame et Monsieur le Pr Guy Pallardy ont r uni une collection de plus de 500 cartes postales concernant l imagerie m dicale Tr s vari es elles donnent un aper u de P volution technique et des installations Certaines montrent avec humour la perception non m dicale de ces rayons myst rieux Un diaporama permet de d couvrir cette collection avant qu elle ne soit accessible sur le serveur de la SFR niveau 3 hall Havane OGRO
62. tion Lobjectif du couplage IRM HIFU est d assurer un traitement efficace de la zone pathologique efficacit th rapeutique tout en prot geant les structures adjacentes s curit pour le patient et en offrant un temps de traitement minimal r duction des co ts et confort pour le patient Cette r sentation abordera les aspects P P technologiques et m thodologiques des ultrasons focalis s guid s par IRM et pr sentera les applications cliniques Les limitations des techniques actuelles seront abord es ainsi que des ouvertures potentielles vers d autres perspectives th rapeutiques offertes par cette technologie non invasive guid e en temps r el par imagerie E A IT EL ijs Ne respiez pas lt JFRE Journ es Fran aises de Radiologie Diagnostique et interventionnelle 3 our en savolr sur le m me th me D S ance p dagogique Avanc es de l IRM en oncologie Applications 16h00 17h15 Salle 253 J d Le syst me Philips Affiniti est un dispositif medical de classe Ila fabriqu par Philips Healthcare et dont l valuation de la conformit a t r alis e par l organisme certifi BSI 0086 Il est destin au diagnostic m dical par imagerie ultrasonore Les actes diagnostiques sont pris en charge par les organismes d assurance maladie dans certaines situations Lisez attentivement la notice d utilisation Ce dispositif m dical est un produit de sant r g
63. tite aigu pour permettre une meilleure communi cation entre les diff rents intervenants m dicaux Vous trouverez ici la traduction fran aise valid e par la SIAD des termes anglophones utilis s lors de la conf rence Les modifications les plus marquantes sont cliniques concernant l volution et la s v rit de la pancr atite aigu mais aussi radiologiques avec d une part la distinction entre pancr atite d mato interstitielle et pancr atite n crosante et d autre part l introduction d une nouvelle termino logie pour les collections pancr atiques qui prend en compte la pr sence ou non de n crose et le d lai par rapport au d but de la maladie en l absence de n crose les collections seront d abord des collec tions liquidiennes aigu s pancr atiques puis pour ront devenir des pseudokystes en cas de n crose elles seront des collections aigu s n crosantes qui deviendront des n croses organis es pancr atiques Le deuxi me volet concerne la d marche diagnos tique devant une pancr atite aigu L imagerie en coupe sera n cessaire apr s avoir limin les causes fr quentes alcoolique et biliaire Les autres causes pancr atites non non B sont biologiques tricly c rides hypercalc mie insuffisance r nale faciles diagnostiquer par une analyse rigoureuse du bilan biologique Le scanner ventuellement r alis dem bl e recherchera une pancr atite en amont d un cancer ou une pancr
64. troscopies dans le diagnostic des tumeurs c r brales L approche multimodale et le couplage d autres techniques d imagerie avec PIRM est donc au centre de cette journ e Parmi tous ces sujets d int r t le couplage ultrasons IRM pr sent lors de cette s ance est un des exemples de l avantage de la multimodalit dans ce domaine Bruno Quesson nous pr sente ci apr s les principes et enjeux de cette technique Les ultrasons focalis s de haute intensit en anglais HIFU pour High Intensity Focused Ultrasound gt guid s par IRM offrent une approche th rapeutique non invasive Les ultrasons focalis s sont mis par un dispositif extracorporel transducteur permettant de concentrer une onde ultrasonore fr quence de l ordre du MHz de haute intensit dans une r gion de l espace de quelques millim tres appel e point focal Ces transducteurs sont g n ralement en forme de calotte sph rique et compos s de plusieurs l ments actifs ind pendants r seau d metteurs comprenant entre 200 et 1000 l ments g n rant un c ne ultrasonore focalis par interf rence constructive des ondes acoustiques mises individuellement par chaque l ment du r seau Cette technologie est compatible IRM et permet de d placer le point cibl dans l espace en modulant les caract ristiques des signaux lectriques alimentant chaque metteur RM dynamique Transducteur HIFL Temp rature lempersture nsc sec Ca
65. ur thoracique aigu ou angor instable avait montr des valeurs pr dictives positive et n gative respectivement de 86 et 97 dans la d tection et l exclusion d une st nose coronaire significative Cependant ce sont surtout les r centes tudes randomis es multicentriques CT STAT 2 ACRIN PA 3 et ROMICAT IT 4 qui ont permis de mieux tudier la valeur du scanner dans une population cible appropri e et de mieux d finir sa place dans le diagnostic le pronostic et le processus d cisionnel th rapeu tique La premi re conduite dans 16 centres a inclus 699 patients ayant une douleur thoracique aigu et une faible probabilit pr test de maladie coronaire Alors que 338 patients ont eu une stra t gie standard de prise en charge bas e sur la scintigraphie de perfusion 361 patients ont b n fici d un scanner coronaire Cette tude a montr un gain dans le temps jusqu au diagnostic dans le groupe du scanner r duction de 54 un gain du co t dans la strat gie avec scanner r duction de 38 et un pourcentage d v nements majeurs 6 mois similaires L tude ACRIN PA avait inclus s z i P j f HaGERL pihi Bi D CALE 4 4 1370 patients avec une probabilit pr test faible ou interm diaire Elle a montr que la strat gie d utilisation du scanner coronaire en premi re ligne a permis non seulement de raccourcir le temps pour obtenir le diagnostic mais aussi une r duction

Vendredi 17 octobre - Société Française de Radiologie

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