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Octobre - Uniopss

1. l enfance et la jeunesse Elle relevait aussi avec satisfaction la nomination d une minis tre d l gu e aux personnes g es et l autonomie tout en d plorant que la question de la compensation de la perte d au tonomie ne concerne que les personnes g es et rappelait sa demande d abroger la barri re d ge des 60 ans Lriopss p Plus proches plus solidaires plus forts NW Lrtype Elle demandait que les acteurs de l ESS et les repr sentants des associations et les syndicats d employeurs de notre sec teur participent la grande Conf rence sociale annonc e avec les partenaires sociaux habituels de fa on enrichir le dialogue social du dialogue civil en vue de la reconstruction de la coh sion sociale Elle exprimait sa satisfaction du projet d un plan quinquennal et interminist riel de lutte contre les exclusions qui tait une demande forte des associations r unies au sein du collectif Alerte anim par l UNIOPSS D autres nombreux points et annonces seraient relever mais soyez assur s de la vigilance de l UNIOPSS et des URIOPSS sur la mise en uvre des politiques qui se mettent en place Les prochains votes de la loi de finances et du budget de la S curit sociale retiendront parti culi rement notre attention Je vous fais cho de deux points sur lesquels l UNIOPSS est interve nu tr s r cemment et pour lesquels il y a une certaine urgence Les emplois d avenir La loi vient
2. L URIOPSS Bretagne tait repr sent e la commission CNUES PA qui s est tenue le 6 septembre dernier Les points suivants ont t abord s Intervention membres de la commission Europe Intervention de Michel THIERRY IGAS Inspection G n rale des Affaires Sociales Fondation JM Bruneau Compte rendu de l audience de l UNIOPSS par Mich le De launay SSIAD Perspectives de d blocage d une rallonge de 50 M suppl mentaires pour le fond d aide SSIAD Une d pense suppl mentaire La revalorisation des actes infirmiers effectu s par les lib raux ou les centres de soins Services d aide domicile cahier des charges des exp ri mentations Le collectif de l Aide domicile alerte sur les persistances des difficult s financi res du secteur Les plans d aide et la prestation d aide m nag re CNAV situation au sortir de l t Le compte rendu r alis par l URIOPSS Bretagne a t envoy par mail l ensemble des adh rents agissant dans le domaine des personnes g es et de l aide domicile II est galement retrouver sur notre site Internet www Fiche 68286 REVUE D INFORMATION Aide et soins domicile FORMATION 23 octobre L URIOPSS Bretagne organise une formation Inter tablissements sur Les obligations conven tionnelles de la Branche de l Aide Domicile L objectif de cette formation est de permettre d ac qu rir des m thodes d utilisation et de lecture de la
3. la retraite anticip e des assur s handicap s Page 15 Afin de ne pas p naliser les personnes handicap es touch es par la r forme des structures de travail op r e par la loi de 2005 qui pour rappel a distingu les Esat ex centres d aide par le travail qui seuls composent le milieu prot g et les entreprises adapt es ex ateliers prot g s et CDTD qui rel vent depuis du milieu ordinaire la Cnav pr cise que certaines orientations prises avant cette r forme peuvent galement tre assimil es une RQTH Ainsi les personnes non reconnues comme travailleur handicap mais qui ont fait l objet d une d cision de placement ou d orientation dans une structure d aide par le travail quelles qu en soient la nature et la d nomination Esat CAT atelier prot g CDTD mentionn e sur l attestation d livr e par l organisme comp tent MDPH ou ancienne COTOREP ouvrent elles droit galement au dispositif de d part anticip la retraite gt Lettre du 6 septembre 2012 Caisse nationale d assurance vieillesse Retraite anticip e des assur s handicap s Reconnaissance de la qualit de travailleur handicap aux personnes b n ficiant d une orientation ou d un placement dans une structure d aide par le travail Commission UNIOPSS Handicap du 2 octobre 2012 La commission Handicap de l UNIOPSS s est r unie le 2 octobre dernier Les points suivants ont t abord s Rentr e sociale
4. par message lectroni que le 6 septembre 2012 Page 9 Etablissements de Sant H pital et acc s aux soins Le 7 septembre la ministre de la Sant a confi Edouard Couty une mission pour r tablir un pacte de confiance pour l h pital Ce conseiller ma tre la Cour des comptes ancien directeur des h pi taux et pr sident de la F d ration hospitali re de France de Rh ne Alpes est charg de r fl chir la place de l h pital dans le syst me de soins et ses liens avec les autres acteurs m decine de ville secteur m dico social ses modalit s de fonctionnement et la r novation du dialogue social Apr s une phase de consultation il devra remettre ses conclusions Marisol Touraine fin d cembre La ministre prendra alors des mesures l gislatives et r glementaires ou bien ouvrira des n gociations D ores et d j elle annonce une grande loi d acc s aux soins pour 2013 Plusieurs mesures vont galement tre prises dans la prochaine loi de financement de la s curit sociale r introduction de la notion de service public hospitalier fin de la convergence tarifaire public priv et am lioration de la tarification l activit pour d velopper la qualit des soins S agissant des d passements d honoraires elle a cette fois ci clairement averti que si les n gociations n aboutissent pas elle passer a par la loi m me si ce n est pas ce qu elle souhaite g
5. tat d esprit dans la conception et la mise en uvre des politiques sociales La participation de la soci t civile accompagn e d un soutien la vie associative La Publication des Pr occupations prioritaires et demandes de l UNIOPSS pour 2012 2017 Ces pr occupations s inscrivent dans la continuit de la plate forme pr c dente Elles proviennent des observations de terrain et des proposi tions formul es par les adh rents nationaux et r gionaux de l UNIOPSS r unis au sein des diff rentes commissions Elles int grent donc vos contributions d acteurs de terrain S ap puyant sur une analyse transversale des champs sanitaire social et m dico social elles sont reli es par le fil rouge de la restauration n cessaire de la coh sion sociale fortement en tam e par les mutations et les crises successives qui traver sent notre monde et notre soci t Largement diffus es aux nouveaux ministres et membres de leur cabinet ainsi qu aux administrations centrales r gionales et d partementales en lien avec notre secteur elles sont syst matiquement pr sen t es et remises lors des rendez vous organis s par lU NIOPSS avec les d cideurs politiques et les parlementaires L objectif tant que les pr occupations demandes et proposi tions de notre mouvement soient visibles et prises en compte dans les nouvelles politiques publiques qui vont tre mises en uvre Dans l t et depuis la nomination du nouveau gouv
6. 09 40 913 Peu importe donc que le salari ne soit pas en mesure d tablir un lien entre le d faut de visite et une quelconque d faillance dans son tat de sant qui aurait pu tre d tect e par le m decin du travail L arr t de la Cour d Appel a donc galement t censur pour avoir refus d acc der la demande de dommages int r ts pr sent e par le salari au motif que le certificat m dical qu il produisait ne d mon trait aucun lien de cause effet avec l tat d pressif qu il all guait La jurisprudence de la Cour de Cassation sur les visites m dicales obli gatoires est donc particuli rement favorable aux salari s Le rattachement l obligation de s curit de r sultat de l employeur permet de sanctionner coup s r la moindre carence de la part de ce dernier Dans cet esprit la Cour de Cassation consid re que le salari peut aller jusqu prendre acte de la rupture de son contrat de travail aux torts de l employeur Celle ci sera n cessairement jug e justifi e et produire les effets d un licenciement sans cause r elle et s rieuse Cass Soc 6 octobre 2012 n 09 66 140 Cass Soc 22 septembre 2011 n 10 13 568 Une mani re d inciter les entreprises se conformer strictement aux exigences l gales gt Le dossier jurisprudence du 16 09 2012 Liaisons sociales n 16183 Page 44 FORMATION 8 9 novembre L URIOPSS Bretagne organise une formation Inter tablissemen
7. Elle recommande donc de maintenir l ch ance de 2015 mais avec une r vision rapide des exigences pour les ERP existants dans un sens plus performantiel Il faut trouver un nouveau point d quilibre supportable par les diff rents secteurs concern s mais garantissant le maintien d une dynamique forte pour l acces Sibilit plaide le rapport Ses auteurs proposent donc non pas de d roger l obligation d accessibilit par des mesures de substitu tion mais d assouplir les r gles techniques applicables comme par exemple le degr de pente d une rampe d acc s en r visant dans la concertation les arr t s relatifs aux ERP existants Ils recommandent aussi la construction d un ch ancier plus r alis te au regard des possibilit s des collectivit s et des entreprises S agissant des ERP construire la mission juge la r glementation actuelle globalement justifi e int gr e et accept e l excep tion du secteur du tourisme o les normes du neuf sont en partie excessives Dans ce secteur elle pointe d ailleurs la fr quente inadaptation des r gles d accessibilit que ce soit pour le neuf ou l ancien qu elle recommande de mieux adapter la r alit du terrain et des contraintes conomiques Pour les logements neufs elle pr conise d autoriser la livraison de ceux dont l am na gement int rieur ne serait pas imm diatement accessible mais pourrait le dev
8. Le 27 septembre dernier l URIOPSS Bretagne organisait sa Rentr e Sociale des Associations Ce rendez vous annuel a r uni plus de 250 personnes Nous vous proposons de retrouver la suite l allocution d ouverture de cette Rentr e Sociale 2012 2013 de Daniel HARDY Pr sident de l URIOPSS Bretagne Cette journ e s est articul e autour de deux th mes Les grandes orientations de la politique sanitaire m dico sociale et sociale avec la pr sentation Conjoncture conomique des politiques sociales 2012 2013 par Richard GELIS Economiste au Cr dit Coop ratif Actualit r glementaire en mati re sociale et r formes l gislatives annonc es pour les association de solidarit S quence anim e par V ronique DORVAL Directrice adjointe de l URIOPSS Bretagne avec la participation d Alain VILLEZ Conseiller technique secteur Personnes g es l UNIOPSS L ensemble des th mes est d velopp par l quipe de l URIOPSS Bretagne Les Lois des 2 janvier et 4 mars 2002 10 ans et apr s Conf rence d bat par Arnaud VINSONNEAU Juriste et expert de l action sanitaire et sociale L ensemble des diaporamas et documents sont votre disposition sur notre site Internet www Fiche 67107 Journ e de Rentr e Sociale Intervention d ouverture par Daniel Hardy Pr sident de l URIOPSS Bretagne Mais avant de revenir sur nos convictions et nos choix d action je remercie l ensemble des adh rents pr sents les rep
9. M me si celles ci ne sont pas encore clairement identifi es les r sultats de l tude publi e par l Insee le 30 ao t dernier portant sur l ann e 2009 mettent en viden ce les effets de la crise de 2008 une augmentation de la pauvret d un demi point en un an une augmentation des salari s et des ch meurs pauvres ainsi que des carts de revenus avec en corollaire une accentuation des in galit s Cette situation est d autant plus pr occupante que les statistiques de l Union europ enne nous confirment que les enfants sont plus vuln rables la pauvret et l exclusion sociale que les autres groupes REVUE D INFORMATION Les r ponses apporter cette situation que ce soit dans le court le moyen ou le long terme sont complexes et supposent des choix politiques et conomiques cruciaux dans une p riode o les cartes politiques vont tre rebattues la faveur des lections pr si dentielles et l gislatives de 2012 Les orientations et les moyens affect s la politique familiale ne vont pas chapper ces choix Le d fi est de taille promouvoir l acc s universel de tous les en fants quelle que soit leur origine socioculturelle l ducation tout en prenant en compte les situations de vuln rabilit afin de r tablir une certaine quit dans l acc s ces droits et une certaine gali t des chances Comme le soulignait il y a plus de 15 ans Ren Lenoir3 nos soci t s dites d
10. cis en gestion tarification par exemple l tat des lieux des r formes budg tai res Banque de mod les directement exploitables cadre normali s de BP et de CA rapport budg taire bilan financier du si ge Textes en vigueur R capitulatif des derniers d crets arr t s circulaire Guide de estion udg taire gt Rendez vous www guide gestion fr Ce service sera prochainement accessible vous pouvez vous renseigner aupr s de lU RIOPSS pour plus de rensei gnements Page 37 R union d Information Un point sur les heures suppl mentaires et Compl mentaires Quelles exon rations de char ges Quelle r glementation applicable 20 novembre De 9h30 12h30 Rennes La loi de finances rectificative pour 2012 est venue remettre en cause les exon rations de charges sociales et fiscales sur les heures suppl mentaires et compl mentaires Cette fin annonc e de la loi TEPA s applique de mani re diff rente en fonction des organisations du temps de travail en vigueur au sein des associations modulation cycle temps partiel C est l occasion de revenir plus globalement sur la r glemen tation applicable aux heures suppl mentaires et compl men taires toutes les heures effectu es en plus sont elles des heures suppl mentaires ou compl mentaires Comment maijorer ces heures Quelles exon rations de charges prati quer Quelle incidence des diff rents modes
11. cise que les grands axes d finis par ces textes seront compl t s par les orientations que le gouvernement d finira prochainement sur proposi tion de la ministre en charge des personnes handicap es Il ajoute que dans certains cas compte tenu notamment de la nature et de la port e du texte l insertion de dispositions sp cifiques relatives aux personnes handicap es ne se justifiera pas Reste pr ciser la natu re de ces cas Afin d assurer la bonne prise en compte du handicap les travaux de pr paration d un projet de loi devront syst matiquement inclure une r flexion sur l insertion dans le texte de dispositions sp cifiques aux personnes handicap es Cette r flexion et ses cons quences sur le contenu du texte seront retrac es par une fiche diagnostic handicap Le mod le de cette fiche figure en annexe de la circulaire ll est pr cis qu elle devra comporter en cas d absence de disposi tions sp cifiques aux personnes handicap es les explications et justi fications n cessaires Cette fiche alimentera l tude d impact du projet de loi correspondant et devra obligatoirement tre jointe au dossier de tout projet de loi transmis au cabinet du Premier ministre et au secr tariat g n ral du gouvernement La fiche diagnostic handicap permettra en outre la ministre char g e des personnes handicap es de s assurer du respect de l objectif de prise en compte de la situation des personnes en situatio
12. convention collective de la branche de l aide de l accompagnement des soins et des services do micile d analyser la port e et le contenu du texte conventionnel et de ma triser l articulation du nou veau texte avec le statut conventionnel existant Anim e par Elodie RUE RIOCHE Conseill re tech nique juriste de l URIOPSS Bretagne PROGRAMME Le champ d application L analyse du contenu articulation de la convention avec le statut col lectif existant Retrouvez le programme complet de la formation sur notre site Internet www Fiche 64648 Et pour toute information et inscription contactez l URIOPSS Bretagne au 02 99 87 51 52 ou uriopss uriopss bretagne asso fr REVUE D INFORMATION SSIAD Une d pense suppl mentai re La revalorisation des actes in firmiers effectu s par les lib raux ou les centres de soins Dans ce contexte incertain les SSIAD ont faire face la revalorisa tion tarifaire de certains actes infirmiers effectu s par les lib raux ou les centres de soins En effet l UNCAM a sign le 28 septembre 2011 avec les syndicats repr sentant la profession des infirmiers lib raux un avenant n 3 la convention nationale des infirmiers lib raux Cet avenant approuv par arr t minist riel du 25 novembre 2011 pr voit la revalorisation de certains actes infirmiers et la cr ation d une majoration de coordination infirmi re MCI pour les prises en charge des patients en soin
13. de l interm diation locative mobilisation des logements vacants Le pilotage de ce plan doit se faire avec les acteurs de l urgence et de l insertion institutionnels comme associatifs mais aussi de la Sant de la Justice des collectivit s et les personnes concern es elles m mes Aujourd hui plus que jamais la d fense des plus vuln rables doit tre la priorit absolue du gouvernement Les personnes et les familles la rue ne peuvent plus attendre nous pouvons et nous devons le faire H bergement des sans abri le gouvernement annonce des me sures d urgence En r ponse cet appel du collectif des associations unies pour un plan d urgence le Premier ministre a voulu montrer qu il avait en tendu leur appel en annon ant le 20 septembre Matignon de vant les membres du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale un plan d urgence pour les sans abri de 50 millions d euros en compl ment duquel une s rie de mesures sp cifiques l Ile de France seront mises en uvre En attendant que se concr tise le plan quinquennal promis par le gouvernement Je sais que les associations attendent du gouvernement la ga rantie qu elles auront cet hiver les moyens de faire face la de mande mais aussi que la sortie de la p riode hivernale sera diff rente des pr c dentes avec leurs cort ges de remises la rue a expliqu Jean Marc Ayrault au cours d
14. gime ne pr sentait pas le caract re collectif exig par la loi Pour le plus grand soulagement des entreprises le Tass avait invalid la position de l Urssaf dans un jugement du 8 avril 2010 en consid rant que la loi ne formule aucune interdiction explicite de se r f rer une classification interne une entreprise ou un groupe Le r gime social de faveur tait donc pleinement applica ble REVUE D INFORMATION L Urssaf a n anmoins fait appel de cette d cision et a finalement ob tenu gain de cause aupr s de la cour d appel de Versailles qui a infir m le jugement Pour les juges d appel il est parfaitement possible d utiliser une clas sification conventionnelle comme crit re de d finition de la cat gorie objective de b n ficiaires d un r gime de pr voyance ou de retraite suppl mentaire N anmoins les crit res de classification retenus doivent tre suffisamment pr cis et ne pas relever d une appr ciation arbitraire de l employeur Or en l esp ce la classification retenue reste tr s impr cise d s lors qu elle ne permet pas de conna tre quels emplois sont expres s ment vis s par cette cat gorie qu elle ne renvoie pas express ment une cat gorie d finie par une ou plusieurs conventions de branche l appartenance des entit s du groupe plusieurs conventions collectives ne rendant pas impossible le renvoi des niveaux plus pr cis de classification
15. gradation des conditions conomiques Pr s de 20 des moins de 18 ans vivent sous le seuil de pauvret La pauvret explose dans les familles monoparentales Enfin les in galit s se creusent Le revenu annuel des 10 de personnes les plus modestes est de 10 430 celui des 10 les plus ais s de 36 270 soit 3 5 fois plus La France est inqui te et angoiss e On y consomme beaucoup d an xiolytiques et de somnif res Le climat ambiant est pessimiste cafar deux Nous observons tous du d sarroi La coh sion sociale est me nac e et nous observons la mont e de l intol rance et de la tentation du rejet de l autre Dans cette poque l URIOPSS Bretagne reste tr s attentive vous accompagner pour vous permettre de rester d termin combatif et cr atif Nous esp rons vivement que cette journ e vous apportera des raisons de ne pas d sesp rer et de comprendre que notre choix d tre ensemble et avec vous doit nous permettre de ne pas baisser les bras le pire n tant jamais certain Au quotidien vous agissez dans le cadre des projets de vos organisa tions prenant des initiatives responsables pour non seulement contenir les effets des graves situations constat es aujourd hui sou vent dans l urgence mais aussi pour participer d mocratiquement la construction de lavenir d une soci t dans laquelle la coh sion sociale doit rester une priorit Vos projets et vos actions sont por teurs d esp ra
16. la pr vention des expulsions ou bien encore le recours la sous location et au loge ment adapt l acc s direct au logement de droit commun via la mobilisation des contingents de logements sociaux ou enfin le recours l accompagnement social pour viter le retour la rue Au lendemain de la r union organis e Matignon la ministre de l Egalit des territoires et du Logement a annonc une s rie de mesures compl mentaires l Ile de France o les besoins en mati re d h bergement sont plus pressants encore qu ailleurs Articul es autour de quatre axes ces mesures vont tre mises en uvre d s aujourd hui a pr cis C cile Duflot le 21 septembre dans un communiqu Page 32 REVUE D INFORMATION Il s agit en premier lieu de faire de la pr vention des expulsions une priorit notamment par une intervention sociale d s le premier mois d impay et lorsque la proc dure n aura pas pu tre vit e par l organisation syst matique d une intervention sociale de dernier recours L offre d h bergement sera par ailleurs compl t e avec entre autres la finalisation des appels projets Etat r gion Ville de Paris permettant la cr ation de 150 places suppl mentaires destin es des publics cibles 100 ont d j t cr es dans ce cadre le lancement de trois appels projets en r ponse des besoins sp cifiques femmes et familles monoparentales jeunes en errance personnes
17. r des pratiques tarifaires tr s diff rentes dans les ARS Devant cette situation le col lectif des 16 a saisi nouveau la DGCS pour obtenir une clarification sur la prise en compte de la MCI pour les SSIAD En attendant la r ponse qui devrait intervenir tr s prochainement l Uniopss et les f d rations recommandent plut t de ne pas payer la MCI sauf si un travail de coordination sp cifique peut tre justifi par l infirmier lib ral ou le centre de soins gt Ces l ments sont extraits du compte rendu de la r union de la CNUESPA du 6 septembre 2012 que nous tenons votre disposition Page 19 Tarification des SSIAD une nou velle enqu te I n y aura pas de r forme de la tarification des services de soins infir miers domicile Ssiad en 2013 Suite au recueil de donn es r alis en fin d ann e 2011 la DGCS lance une nouvelle enqu te nationale relative aux modalit s d allocation des ressources aux Ssiad qui sera conduite entre le 15 octobre et le 16 novembre 2012 gt TSA l actualit de l action sociale du 5 octobre 2012 Des tarifs rigoureusement enca dr s Le minist re de l Economie et des finances rappelle les conditions de d rogation la r glementation des prix des services d aide et d accompagnement domicile agr s qui interviennent aupr s des publics fragiles Ainsi seules l am lioration des prestations ou la modification des conditions de gestion ou d exploitation du serv
18. sentant quelque 25 000 tablissements et services ce document recense les actions prioritaires que les associations de solidarit souhaitent voir conduites durant le quinquennat Les Pr occupations prioritaires et demandes de l UNIOPSS s ap puient sur des observations de terrain et une analyse transversale des probl matiques des champs sanitaire social et m dico social Il s agit de demandes concr tes secteur par secteur qui constituent une feuille de route pr cise pour le nouveau gouvernement et les parle mentaires nouvellement lus Elles sont reli es par un fil rouge qui est celui de la restauration de la coh sion sociale fortement entam e par les mutations et les crises successives qui traversent notre soci t Elles soulignent notamment la n cessit d organiser une plus grande transversalit des politiques sociales qui prenne en compte l ensem ble des besoins des personnes accompagn es Selon l int r t du lecteur ou du d cideur Les Pr occupations prioritai res de l UNIOPSS peuvent tre appr hend es dans leur int gralit comme couvrant l ensemble du champ d action de notre mouvement ou par chapitre comme autant de focus sur des domaines sp cifiques auxquels porter une attention particuli re REVUE D INFORMATION Europe Vie associative Emploi Formation Ressources humaines R gulation des institutions sociales R forme de l Etat et des collectivit s territoriales Coop ratio
19. velopp es restent ambivalentes Elles affinent leurs outils juridiques s efforcent de mieux prot ger les droits de l homme mais dans le m me temps l volution tech nologique le ch mage l urbanisation d sordonn e et la soci t du spectacle multiplient les difficult s des enfants et des jeunes Il poursuivait ainsi il faut bien comprendre qu une soci t qui g n re de l exclusion a besoin de plus de police a besoin de plus de juges a besoin de plus de prisons Cela signifie que tous les moyens qu elle n accepte pas de mettre en amont avant la fractu re sociale il faudra les mettre en aval Les pr occupations ci dessous constituent la d clinaison des plateformes port es par l Uniopss sur la petite enfance l enfance et la jeunesse Cons truire l avenir avec les enfants et les jeunes et Pour un Big Bang des politiques Jeunesse r alis es l occasion des lec tions pr sidentielles 2012 Les priorit s de l Uniopss 1 Cr er un grand minist re comp tent pour les questions relati ves la petite enfance l enfance et la jeunesse ou une instance nationale interminist rielle de pilotage et de coordina tion des politiques relatives la petite enfance l enfance et la jeunesse 2 laborer un code de l enfance consolidant l ensemble des dispositions sociales m dico sociales ducatives sanitaires et judiciaires 3 Garantir un droit l ducation pour tous d s la
20. 13 44 h Service prestataire 17 59 h Aidant familial 3 61 h 5 42 h en cas de cessation totale ou partielle de l activit professionnelle et dans la limite de 930 80 mois major de 20 soit 1 072 09 eu ros mois en cas de cessation totale d activit de l aidant lorsque l tat de la personne handicap e n cessite une aide totale et une pr sence constante ou presque Taux de prise en charge 100 si ressources lt ou 25 444 06 et 80 si ressources gt 25 444 06 En tablissement Tarifs de la PCH domicile avec r duction de 10 pour l l ment aide humaine dans la limite minimale de 44 65 mois et 1 50 jour maximale de 89 30 mois et 3 01 jour T l chargez et imprimez le tableau de bord actualis en permanence sur notre site Internet www Fiche 60846 REVUE D INFORMATION W LE DOSSIER DU MOIS A PREOCCUPATIONS PRIORITAIRES ET DEMANDES DE L UNIOPSS 2012 2017 Comme nous vous l indiquions dans l dition de Juillet Ao t de notre Ce document se d cline donc en diff rents chapitres revue d information dans la continuit de sa plateforme pour la cam pagne de l lection pr sidentielle l UNIOPSS interpelle aujourd hui le nouveau gouvernement en communiquant ses Pr occupations priori taires pour les 5 ans venir Fruit du travail collectif des membres de l UNIOPSS plus de 100 ad h rents nationaux et 23 unions r gionales repr
21. Directeur G n ral et dans le respect du projet associatif vous tes charg De l accueil des personnes en situation de handi cap lois 2002 2 et 2005 102 De l animation et de la direction techni que quipe pluridisciplinaire de 55 salari s De la gestion adminis trative financi re budget de 2 7 M et des ressources humaines Du d veloppement de partenariats internes et externes Profil recher ch Dipl me de niveau CAFDES exig Gestionnaire confirm avec qualit s relationnelles et organisationnelles Forte motivation professionnelle Bonne connaissance de la d ficience intellectuelle et troubles psychiques Particularit Conduire la r habilitation architec turale de l tablissement 4 M Conditions d emploi CDI temps plein Application de la CCNT du 15 mars 1966 annexe 6 Cadre Classe 1 Niveau 1 Poste pourvoir en Juin 2013 Envoyer lettre de motivation CV et photo Monsieur le Directeur G n ral Associa tion de la Bret che B P N 3 35630 ST SYMPHORIEN Mail dg breteche asso fr Date limite de d p t des candidatures 23 No vembre 2012 INFIRMIER COORDINATEUR H F Sous la responsabilit du Directeur en collaboration avec le m decin coordonnateur l infirmier coordinateur est responsable de la continui t la s curit et la qualit du prendre soins au quotidien des r sidents de l tablissement Manager exp riment l infirmier coordinateur en cadre
22. Et d en conclure que cette classification interne ne permet donc pas d appr cier dans quelles conditions et selon quelles modalit s d fi nies avec suffisamment de pr cision l ensemble des salari s cadres ou certains salari s cadres des tablissements concern s pourront acc der aux niveaux 7 et plus leur conf rant le droit de b n ficier des avantages attribu s par le r gime compl mentaire En d autres termes une cat gorie objective de b n ficiaires ne peut tre constitu e partir de coefficients issus d une classification inter ne un groupe ou une entreprise si celle ci ne permet pas par ail leurs de renvoyer des niveaux de classification d finis au niveau sup rieur de la branche On ne peut que faire le rapprochement avec le d cret du 9 janvier 2012 qui en application de la loi de financement de la s curit sociale pour 2011 a ult rieurement fix la liste des crit res de d finition de la notion de cat gorie objective Y figurent en effet l appartenance aux cat gories et classifications professionnelles d finies par les conven tions de branche ou les accords professionnels ou interprofessionnels ou encore le niveau de responsabilit le type de fonctions ou le degr d autonomie dans le travail des salari s correspondant aux sous cat gories fix es par les conventions ou les accords mentionn s au 3 ce qui renvoie aux accords pr cit s Bien que l arr t ne cite pas c
23. atteintes de maladie d Alzheimer ou pathologies apparent es permettant la mise en oeuvre des objectifs non atteints des plans et de revisiter certaines dispositions 5 Favoriser la diversification des structures d accueil proposer aux personnes g es par le d veloppement des Petites Uni t s de Vie PUV des foyers logements des accueillants fami liaux REVUE D INFORMATION POLITIQUE DU HANDICAP La politique du handicap doit tre replac e autour du parcours de vie des personnes handicap es Les recommandations inscrites dans ces pr occupations ont pour vocation d oxyg ner un secteur marqu par une logique de cloisonnement La politique du handicap est encore loin d avoir apport toutes ses preuves en mati re d inclusion de l ensemble des membres de la soci t Les textes l gislatifs principalement la loi du 11 f vrier 2005 m ritent d tre confort s par des d crets d application dont la mise en oeuvre tarde voir le jour faute d une politique inclusi ve volontariste L ducation par le biais de la scolarisation fiche 1 l apprentissa ge de l autonomie fiche 2 et la formation professionnelle pour les personnes handicap es fiche 3 constituent autant de mesures entrant dans la m me logique L accessibilit pour tous et tous les types de biens et de services est une n cessit sur laquelle un pilotage national et r gional ne peut plus faire d faut fiche 4 afin que cette affirmatio
24. besoins de l l ve et propose la CDAPH toutes les mesures n cessaires qui concourent la scolarisation Ces mesures sont organis es au sein du projet personnalis de scolarisation de l enfant Ce projet pr cise l orientation et peut comporter le recours une aide humaine du mat riel p dagogique adapt des am nagements p dagogiques d taille la caisse Depuis le 31 ao t les professionnels ont leur disposition une v ritable bo te outils contenant le d cret sur l aide humaine et son document d accompagnement les formulaires du GEVA sco et leur manuel d utilisation ainsi que des exemples de situation illustr s Ces documents sont exclusivement la disposition des professionnels qui peuvent les utiliser pour toute demande li e la scolarisation ou la formation des jeunes handicap s Mais soulignons que faute de publication au Journal officiel le GEVA sco n est pas opposable contrairement au GEVA Le GEVA sco se compose de deux versions l une pour les premi res demandes l autre pour les renouvellements Il comporte en premier lieu un bloc d identification de l l ve et de l tablissement incluant des commentaires sur les points saillants li s la scolarisation La deuxi me partie du document concerne l observation de l autonomie de l l ve dans trois domaines d activit t ches et exigences g n rales relation avec autrui s orienter dans le temps
25. collective ne sont dues que lorsque le salari a effectivement travaill dans les conditions envisag es par celle ci Cass soc 24 1 1985 n 82 41 635 En l esp ce le salari avait demand percevoir des primes de travail de nuit au titre du maintien de salaire pendant les jours f ri s ch m s La cour d appel avait rejet sa demande au motif que selon l accord collectif applicable les primes pour heures de nuit sont vers es en fonction du nombre r el d heures de travail effectif en p riode nocturne La Cour de cassation censure cette d cision Le salari travaillait la nuit de mati re habituelle aussi les primes de travail de nuit correspondaient un l ment de r mun ration n ayant pas un caract re exceptionnel Elles devaient donc tre maintenues pen dant un jour f ri ch m gt Cass soc 27 juin 2012 n 10 21 306 n 1618 FS PB Desrues c St GLS REVUE D INFORMATION Convention collective nationale 1951 la FEHAP formule une re commandation patronale Sans surprise aucun syndicat n a sign l avenant de substitution propos le 28 ao t dernier par la FEHAP F d ration des tablissements hospitaliers et d aide la personne but non lucratif lors de la derni re commission paritaire relative la d nonciation partielle de la convention collective du 31 octobre 1951 CC51 Pour viter qu apr s le 1er d cembre les dispositions inscrites dans la partie d nonc e de
26. curit sociale pour tenir compte de la suppression des exon rations salariales sur les heures sup pl mentaires et compl mentaires dans toutes les entreprises Les articles D 241 13 et D 241 21 241 23 sont supprim s L article D 241 24 du code de la s curit sociale est galement modifi Seuls les employeurs de moins de 20 salari s continuent de b n ficier d une d duction forfaitaire de cotisations patronales en cas d heures suppl mentaires Celle ci reste fix e 1 50 pour toutes les heures suppl mentaires effectu es compter du 1er septembre 2012 Comme aujourd hui le b n fice de cette d duction forfaitaire est subordonn au respect de la r gle communautaire dite des aides de minimis Cette r gle permet l octroi d aides publiques sans obligation de notification la Commission europ enne condition qu elles ne d passent pas un plafond de 200 000 par entreprise pour une p riode de trois ans Le d cret du 4 mai 2012 lequel tenait compte de la TVA sociale modifiait le mode de calcul de l all gement Fillon il est abrog La formule de calcul du coefficient pour l all gement Fillon reste la m me Le coefficient est au plus gal 0 281 pour les entreprises de moins de 20 salari s et 0 260 pour les entreprises de 20 salari s et plus Le d cret confirme que le calcul de la r duction Fillon reste identi que lorsque le salari accomplit des heures suppl mentaires ou compl mentair
27. d tre adopt e par le parle ment et le dispositif serait mis en uvre d s le d but novem bre Les associations seront largement sollicit es pour ac cueillir des jeunes en difficult L UNIOPSS est intervenu pour alerter sur la situation conomique difficile actuelle de beau coup d associations et le fait qu elles ont besoin de person nels qualifi s De m me pour donner des chances de r ussite l objectif d acc s l emploi des jeunes concern s elle a insist pour que soit bien combin s avec l accueil au travail les formations adapt es un accompagnement professionnel et social un tutorat et des liens avec des entreprises Les financements des formations des accompagnements et du tutorat ne semblent pas suffisamment d termin s L efficacit du dispositif n cessitera de bonne articulations entre les di verses partie prenantes L entrepreneuriat social Sujet tr s complexe qui retient toute l attention de l UNIOPSS la r flexion devant tre approfondie rapidement sur ce sujet A l agenda deux points de vigilance justifiant une prise de position Un projet de loi relatif l ESS annonc par Beno t Ha mon Une position de la commission europ enne du 25 10 2011 visant am liorer l acc s au financement la visi bilit et l environnement juridique des entreprises socia les A ce stade et face aux enjeux il appara t n cessaire de clarifier le concept d entreprise sociale qui merge
28. d autre part sur les r percussions ventuelles de cette alt ra tion sur les capacit s de la personne obtenir un emploi ou le conserver En outre depuis la loi sur le handicap du 11 f vrier 2005 la recon naissance de la qualit de travailleur handicap est automatique ment accord e aux personnes ayant t orient es par la commis sion vers un tablissement ou service d aide par le travail Esat vers un centre de r ducation professionnelle CRP ou vers le march du travail qui regroupe outre les entreprises classiques certaines structures du milieu prot g entreprises adapt es ex ateliers prot g s et centres de distribution de travail domicile Constatant que certains assur s handicap s se sont vu refuser la RQTH et donc le droit un d part anticip la retraite alors m me qu ils peuvent justifier de d cisions de placement ou d orienta tion professionnelle en tablissement sp cialis pour personnes handicap es la Caisse nationale d assurance vieillesse a d cid d assimiler certaines situations une reconnaissance de la qualit de travailleur handicap Par cons quent estime t elle toute p riode post rieure la loi du 11 f vrier 2005 pour laquelle d faut de RQTH une orientation ou un placement dans un tablisse ment ou service d aide par le travail est mentionn e sur l attesta tion d livr e par la MDPH doit tre prise en compte pour l ouvertu re du droit
29. d inscription Rendez vous le 13 novembre dans les locaux de l URIOPSS Bretagne 203 G avenue du G n ral Patton 35702 Rennes Cedex 7 Nous vous communiquerons prochainement le programme et le bulletin d inscription lls sont galement disponibles sur notre site Internet sur www uriopss bretagne asso fr Page 42 Protection sociale compl mentai re une cour d appel se prononce sur la notion de cat gorie objecti ve Dans un arr t du 14 juin la cour d appel de Versailles a annul le jugement du Tass de Nanterre qui en mars 2010 avait admis qu une cat gorie objective de b n ficiaires puisse tre d finie partir de classifications conventionnelles internes l entreprise ou au groupe Bien que pass e relativement inaper ue cette nouvelle d cision est lourde de cons quences du fait de la perte du b n fi ce du r gime social de faveur applicable aux contributions patrona les finan ant les r gimes de pr voyance et de retraite suppl men taire Les contributions patronales destin es financer un r gime de pr voyance ou de retraite suppl mentaire sont exclues de l assiet te des cotisations de s curit sociale sous r serve notamment que le syst me de garantie soit obligatoire et collectif ce qui sup pose qu il concerne soit tous les salari s soit une cat gorie d entre eux d finie selon des crit res objectifs CSS art L 242 1 Le 8 avril 2010 invalidant la doctrine administrative de l
30. d organisation du temps de travail Pour vous aider mieux appr hender la r glementation applicable aux heures suppl mentaires et compl mentaires ainsi que ses volutions nous vous proposons une r union d informations Programme Heures suppl mentaires heures compl mentaires de quoi parle t on Les exon rations de charges sociales et fiscales quelle incidence de la loi de finances rectificative pour 2012 La r duction Fillon quel effet de ces modifications sur la r duction g n rale des cotisations sociales Animation Elodie RUE RIOCHE Conseill re technique juridique lU RIOPSS Bretagne Participation 70 de frais d inscription Rendez vous le 20 novembre dans les locaux de l URIOPSS Bretagne 203 G avenue du G n ral Patton 35702 Rennes Cedex 7 Nous vous communiquerons prochainement le programme et le bulletin d inscription lls sont galement disponibles sur notre site Internet sur www uriopss bretagne asso fr Page 38 Emploi Ressources humaines Heures suppl mentaires main tien de la d duction forfaitaire de 1 50 La d duction forfaitaire de cotisations patronales sur les heures suppl mentaires dans les entreprises de moins de 20 salari s est maintenue 1 50 La modification du dispositif d exon rations des heures suppl men taires introduit par la loi de finances rectificatives pour 2012 n ces sitait un d cret Le d cret modifie le code de la s
31. de construction de 150 000 logements sociaux au cours d une audition sur le projet de loi de finances 2013 qui aura lieu d but octobre A suivre www Fiche 68125 REVUE D INFORMATION Intervention sur la situation cono mique et l emploi de Bretagne au CESER Conseil Economique Social et Environnemental de la R gion Bretagne Daniel HARDY Pr sident de l URIOPSS Bretagne si ge au CESER au nom de l URIOPSS Bretagne Lors de la derni re session du lundi 1er octobre Daniel HARDY est intervenu sur la situation conomique de l emploi en Bretagne Cette intervention est la suivante Nous avons t tr s attentifs l initiative de la CGT FO de proposer un voeu propos des plans sociaux en Bretagne et des milliers d em plois menac s Nous pensons toutefois que cette situation grave doit tre abord e de fa on syst mique et transversale et pourrait faire l objet d un travail collectif par le CESER instance repr sentative de la soci t civile Comme l a soulign Pierrick MASSIOT Pr sident de la R gion nous nous trouvons dans une p riode particuli re du fait des changements de gouvernement et des perspectives de nouvelles politiques Pour les acteurs associatifs de l action sociale de la sant et de la solidarit que nous repr sentons ici l heure o lune des priorit s est la restauration des quilibres budg taires comment conjuguer d sendettement comp titivit et protection soci
32. de la formation EAR Fiche internet du programme Evaluation externe Fiche 64721 La coop ration et les regroupements enjeux strat giques et la Fiche 58536 mise en pratique To PT Vers une nouvelle proc dur livran torisations D veloppement insti ga ie e proc dure de d livrance des autorisations tutionnel et vie asso pperaproj ciative Monter un contentieux de la tarification sociale et m dico Fiche 63049 sociale Responsabilit civile et p nale des dirigeants d association Fiche 63047 La r forme de la protection juridique des majeurs R glementation du secteur social et m di co social oae i Secret professionnel et le droit l information des usagers Fiche 63050 8 9 novembre Le directeur manager Fiche 63051 Managemen G Manager une quipe de travail Fiche 62706 ressources humaines A R le et mission du coordinateur d quipe Fiche 65538 N gocier un accord d entreprise Fiche 61046 25 octobre et 27 novembre Fiche 61061 5 6 novembre Brest e Initiation au droit social Droit Social et L gisla Fiche 58531 tion sociale Maladie inaptitude accident du travail la gestion des absen 8 novembre ces Fiche 61062 Le r glement d un commun accord de la rupture du contrat de 13 d cembre travail Fiche 62662 Mettre en place une d marche de pr vention des risques pro 18 d cembre fessionnels le document unique Fiche 62658 Les instances repr sentatives du personnel Gestion financi re
33. des m nages 126 63 Page 22 Allocations personnes handicap es AAH Plafond de ressources personne seule 9 319 08 Plafond de ressources couple 18 638 16 Plafond de ressources par enfant suppl mentaire 4 659 54 Montant mensuel 776 59 Garantie de ressources 955 90 Montant minimal en cas d hospitalisation d h bergement ou de d ten tion 232 98 Compl ment AAH mesure transitoire 100 50 ACTP Taux maximum 865 94 Taux variable de 432 97 757 70 AEEH Allocation de base 127 68 Compl ment 1 re cat gorie 95 76 Compl ment 2 me cat gorie 259 35 Compl ment 3 me cat gorie 367 08 Compl ment 4 me cat gorie 568 85 Compl ment 5 me cat gorie 727 02 Compl ment 6 me cat gorie 1 082 43 Majoration sp cifique pour parent isol 2 me cat gorie 51 87 5 me cat gorie 291 27 3 me cat gorie 71 82 6 me cat gorie 426 93 4 me cat gorie 227 43 PCH A domicile Montants maximaux Aide technique 3960 pour 3 ans Am nagement logement 10 000 pour 10 ans Am nagement v hicule 5000 ou 12000 pour 5 ans Charges sp cifiques 100 par mois pour 10 ans Charges exceptionnelles 1800 pour 3 ans Aide animali re 3000 pour 5 ans Tarifs aide humaine Aide domicile employ e directement 12 22 h Service mandataire
34. et l annon ce d un encadrement des loyers sont des mesures qui vont dans le bon sens L Uniopss rappelle toutefois que l acc s r ussi un logement passe aussi par un investissement dans l accompagnement des per sonnes concern es souvent fortement fragilis es La ministre se dit convaincue de la n cessit de renforcer les dispositifs d accompagne ment notamment pour les b n ficiaires du DALO REVUE D INFORMATION C cile Duflot a apport un certain nombre de pr cisions sur la future loi sur le logement qui a t pr sent e le 5 septembre au Conseil des ministres et qui sera examin e le 24 septembre par le S nat Ce texte pr voit notamment de passer de 20 25 la proportion obligatoire de logements sociaux loi SRU de quintupler les p nali t s qui iront aux tablissements publics fonciers pour le financement du logement social de mettre disposition gratuitement les terrains de l Etat et de r guler les loyers priv s la relocation Cet change avec la ministre du Logement a t aussi l occasion pour l Uniopss de rappeler l attachement des associations de solidarit au principe de l accueil inconditionnel Celui ci doit se traduire galement dans le traitement r serv aux Roms Conform ment l engagement de Fran ois Hollande pendant la campagne pr sidentielle il ne doit pas y avoir expulsion sans solution de relogement ou d h bergement Par ailleurs l Uniopss plaide pour que cette question soit a
35. et l espace m moriser prendre des d cisions respecter les r gles de vie mobilit manipulation se d placer dans l tablissement prendre les transports en commun entretien personnel s habiller prendre ses repas Le niveau d autonomie de l l ve doit tre renseign activit r alis e seul sans aide humaine et sans difficult activit r alis e partiellement avec l aide d un tiers et ou sur sollicitation et ou avec une difficult partielle activit r alis e avec l aide r p t e d un tiers et ou avec une surveillance continue et ou avec une difficult r guli re activit non r alis e Le support permet aussi d indiquer les l ments facilitateurs actuellement en place ainsi que les obstacles la r alisation de l activit L l ve son responsable l gal ou la personne charg e de l aide humaine peuvent galement exprimer leurs remarques gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2775 www Fiche 68102 Accessibilit un rapport recom mande de maintenir l ch ance de 2015 m me si elle ne pourra pas tre tenue L obligation faite aux tablissements recevant du public ERP existants de se mettre en conformit avant le 1er janvier 2015 avec les normes d accessibilit ne pourra en aucun cas tre tenue C est ce que constate comme tout le monde dans son rapport rendu public le 12 septembre la mission charg e d valuer
36. les associations de solidarit Les mesures comptables ESMS 2012 Guide de Gestion Budg taire Social et M dico Social Emploi Ressources humaines 38 Heures suppl mentaires maintien de la d duction forfaitaire de 1 50 A N de la S curit Sociale pr cise le nouveau r gime social des heures suppl mentaires et le orfait socia Un salari en contrat d accompagnement dans l emploi doit b n ficier d actions de formation FJT extension d un avenant portant sur les b n ficiaires du r gime de pr voyance frais de sant Le Syneas se d sengage de la convention des FJT Les primes de travail de nuit habituel doivent tre maintenues les jours f ri s ch m s Convention collective nationale 1951 la FEHAP formule une recommandation patronale Protection sociale compl mentaire une cour d appel se prononce sur la notion de cat gorie objective Publication de la circulaire sur l application de la p nalit applicable en l absence d accord senior Visite m dicale d embauche Caract re obligatoire y compris pour les salari s en contrat pr caire A noter 16 Ouvrages acquis 20 Ce que vous avez pu lire de nous ce mois ci 10 Le dossier du mois Pr occupations prioritaires et demandes de l UNIOPSS 2012 2017 pages 23 29 Tableau de bord 22 Les partenaires de l URIOPSS Bretagne 45 Les Formations venir 46 Calendrier des formations Inter 2012 47 Les annonces Emploi 49 Vous r
37. lu repr sente au Conseil l ensemble des adh rents et non plus seulement l adh rent qui a propos sa candidature Il est nominativement lu En cons quence il ne saurait perdre sa qualit d Administrateur la simple demande de l adh rent qui a propos sa candidature Un membre ainsi lu perd sa qualit d Adminis trateur l expiration normale de son mandat sauf renouvellement obtenu dans les m me conditions de forme que son lection d s qu il n a plus aucun lien en qualit d Administrateur ou de salari avec un tablissement adh rent l URIOPSS Bretagne une autre URIOPSS ou l UNIOPSS parla d mission Les membres du CONSEIL D ADMINISTRATION Les C tes d Armor Bernard BARRE Lionel BRUNEAU Pascal CONAN Denis HAMAYON Alain TANGUY Le Finist re Jean ELLEOUET Yvon GUILLOU Genevi ve KERDRAON Gilles ROLLAND Erick SCHWARTZ L Ille et Vilaine Marie Christine CARPENTIER Claire CASTELLAN Gilles CHATEL Daniel MANCEL Anne Marie MONNERAYE Claude PAJOT Le Morbihan Daniel HARDY S bastien MAILLARD Jean Luc ROUGNANT Philippe SCHABAILLIE Personne qualifi e Marcel CHOTARD Henri HENAFF Roland JANVIER Paul LE CAM Jean Marc LHUILLIER Le BUREAU Pr sident Daniel HARDY Les Vice pr sidents Directeur de la Maison d Accueil Sp cialis e Les Chants d Eole de Coallia L hon Directeur G n ral de l Association Quatre Vaulx Les Mouettes Saint Cast Le Guildo Directeur G
38. naissance Cr er un contrat territorial de pr vention Mettre en place des moyens adapt s aux ambitions de la justice des mineurs permettant de la rendre effective dans la compl mentarit n cessaire de ses dispositifs Page 27 LUTTE CONTRE LA PAUVRETE ET L EXCLUSION La France est un pays riche cinqui me puissance conomique du monde mais est durement frapp e par la crise conomique sociale et financi re qui touche galement de nombreux autres pays notam ment ceux de la zone euro Dans ce contexte le scandale de la pau vret et de l exclusion demeure Il reste encore 8 millions de pauvres dans notre pays Depuis la crise de 2008 la pauvret est repartie la hausse Tous les indicateurs sont au rouge Et la pr carit s est g n ralis e constituant un immense g chis humain social et conomique Les associations de solidarit constatent qu il ne sert rien de prendre des mesures sociales si dans le m me temps le syst me conomi que et social produit de nouvelles exclusions La politique de lutte contre la pauvret n est pas un secteur part Elle doit tre partie int grante de l ensemble des politiques emploi logement ducation formation sant famille int gration redistribution Elle se joue pour une bonne part l int rieur du syst me conomique o s amorcent les processus d exclusion dans les lacunes des couvertures de la perte d emploi dans la complexit de nos syst mes de
39. notamment dans la r gle mentation europ enne ce niveau les associations la fran aise sont une particularit Nous ne voulons pas que l entreprise sociale glisse vers l entreprise classique Il nous faut travailler sur cette ques tion Il nous faut probablement bouger et ne pas rester crisp sur nos formes actuelles mais ne pas permettre que les associations soient r duites au seul r le d op rateur ou d offreur de services et gardent leur place d un espace citoyen d exercice de la d mocratie Autre sujet d importance l acte III de la d centralisation Favorable s une nouvelle d centralisation l UNIOPSS insiste sur le danger qu il y aurait d connecter la protection sociale du d veloppement de l co nomie et de la soci t civile ainsi que sur la n cessaire articulation JOURN E R GIONALE DE L U RI O PS S Rine OCIAL DES ASSOCIATIONS des r les de la r gion et du d partement le risque serait grand de rompre la coh sion sociale et de renforcer la rumeur infond e et pourtant persistante sur l assistanat L articulation entre d parte ments et r gions doit tre forte pour coordonner leurs actions plu t t que d isoler les d partements en les pla ant dans une logique de quasi d l gation de l Etat dans un contexte de resserrement des moyens L UNIOPSS reste attach e la n cessaire solidarit entre les territoires et souligne l importance d une r forme de la fiscalit loca
40. org Contact Observatoire Vie associative Rapha l MADY 02 99 85 83 17 REVUE D INFORMATION Page 35 31 CONGR S 23 24 25 janvier 2013 Lille Grand Palais Coh sion sociale solidarit s territoires Associations et projets r inventer Les Face au risque croissant de dislocation sociale le congr s de A l Uniopss posera la question des conditions de la coh sion du congres sociale et du devenir des associations de solidarit acteurs Un format renouvel la engag s mais fragilis s par les cons quences de la crise et fois prospectif et participatif les nouvelles r gles du jeu sur les territoires Des tables rondes pour d battre de l actualit protection sociale politiques publiques d centralisation territoires 3 conf rences focus en pl ni re autour d un intervenant phare 12 ateliers r partis sur deux jours Mandicap personnes g es petite enfance jeunesse excdusion b Europe vie associative empiol RH travall social financement tarification coop rations et terroirs partager une Programme actualit s et inscription en ligne sur www congres uniopss fr AVEC LE SOUTIEN DE AVEC LE CONCOURS DE N QT Da cs chor A weemt Ead Mea S Gr A Qu Page 36 REVUE D INFORMATION Comptabilit Gestion Tarification Propositions budg taires 2013 des tablissements et services sociaux et m dico sociaux les r gles res pecter par les associations de so
41. outil tant pour d crire la situation de l l ve que pour valuer les besoins d am nagement de sa scolarit a expliqu aux ASH Jean Michel Lamiaux charg de mission insertion scolaire et professionnelle la CNSA Alors qu il tait pr t avant l t le GEVA sco a vu sa diffusion retard e pour co ncider avec la publi cation du d cret r formant les modalit s d accompagnement Il n aura d impact sur la scolarisation des l ves handicap s qu partir de la rentr e scolaire 2013 En effet la plupart des d ci sions d orientations pour la rentr e scolaire 2012 ont t prises entre avril et juin par les CDAPH a indiqu Jean Michel La miaux Page 13 Selon son manuel d utilisation le GEVA sco est un guide global et volutif couvrant tous les besoins des l ves handicap s dans le cadre de l examen d une demande relative un parcours de scolarisation et ou de formation C est aussi un outil de recueil de donn es s appuyant sur l observation de l enfant en situation scolaire Concr tement explique la CNSA dans son communiqu le GEVA sco est renseign au sein des tablissements scolaires par les quipes ducatives ou les quipes de suivi de la scolarisation r unies par l enseignant r f rent en pr sence de l l ve et de ses parents Il est ensuite adress la maison d partementale des personnes handicap es L quipe pluridisciplinaire de la MDPH analyse alors les
42. participation des usagers les travaux en cours de la CNS en particulier ceux sur les droits des usagers et le rapport annuel qu elle doit adopter le 29 novembre 2012 les r flexions initi es au sein du minist re et des ARS sur les parcours de sant L URIOPSS Bretagne participera au forum et sera repr sent e par le Pr sident gt Pour plus d informations sur le Forum http www sante gouv fr forum des associations agreees rencontre le 08 novembre 2012 html Le projet politique dans les organi sation de l Economie Sociale et So lidaire R le et place de dirigeants lus et salari s Dans le cadre du mois de l Economie Sociale et Solidaire la Chambre R gionale de l Economie Sociale de Bretagne organise en partenariat avec des r seaux dont l URIOPSS des journ es th matiques les 9 16 23 et 30 novembre 2012 Lorient Rennes Morlaix et Saint Brieuc Ces jour n es porteront sur Le projet politique dans les organisa tions de l Economie Sociale et Solidaire R le et place de dirigeants lus et salari s gt Pour plus de renseignements Wwww cres bretagne orq REVUE D INFORMATION Personnes g es Vers de nouveaux parcours de soins pour les patients g s Un arr t publi le 26 septembre encadre les exp rimentations visant optimiser le parcours de soins des personnes g es les efforts devant porter sur la pr vention de leur hospitalisation et l am lioration de la gestion de
43. protection sociale C est la raison pour laquelle les associations et f d rations nationales de lutte contre la pauvret regroup es au sein du collectif ALERTE anim par l Uniopss travaillent depuis 2004 avec les partenaires so ciaux employeurs et salari s Notre soci t a tendance g rer l ex clusion au lieu de travailler sans rel che l radiquer et la pr venir Il faut faire cesser les situations d gradantes qui engendrent la d pendance certaines formes d assistanat humiliant et indigne II faut agir sur les racines de la mis re et des in galit s dans tous les domai nes et surtout avoir comme objectif de soci t un vivre ensemble qui passe par l galit r publicaine et l acc s effectif de tous aux droits de tous Pour cela l tat doit rester le garant de l acc s de tous aux droits fondamentaux La strat gie europ enne 2020 laquelle la France a souscrit s est donn e comme objectif la r duction du nombre de pau vres de 20 millions soit un sixi me d ici 2020 Cela n cessitera au plus haut niveau du gouvernement une volont politique farouche d en finir avec l exclusion C est un projet qui doit mobiliser toutes les for ces de l tat et de la soci t Cela suppose donc que l radication de la pauvret soit l objectif prioritaire du Quinquennat et le mainstream de toute la politique gouvernementale Page 28 Les priorit s de l Uniopss 1 R duire la pauvre
44. souffrant de probl mes psychiques ou bien encore la cr ation d un p le r gional de r servations h teli res sur l ensemble du territoire francilien en lien avec les territoires concern s C cile Duflot entend encore renforcer l acc s au logement notamment par le d veloppement du programme Solibail ou bien encore en renfor ant la formation des travailleurs sociaux l valuation des personnes en demande d h bergement dans leur orientation vers et dans le logement Enfin quatri me et dernier axe l am lioration de la gouvernance au niveau r gional avec notamment la cr ation d une conf rence r gionale des services int gr s d accueil et d orientation franciliens permettant de d velopper un fonctionnement en r seau et portant la pr occupation d un accompagnement renforc et de proximit des personnes gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2776 REVUE D INFORMATION Enfance Famille Jeunesse Centres ducatifs ferm s Chris tiane Taubira pr cise les objec tifs de la mission d valuation La garde des Sceaux a lanc en ao t une mission d valuation des centres ducatifs ferm s CEF avant d envisager la cr ation de structures suppl mentaires conform ment aux v ux du pr sident de la R publique Elle a confi cette mission aux inspections g n rales des services judiciaires IGSJ et des affaires sociales IGAS qui devront rendre leurs conclusions au plus
45. tard le 15 janvier 2013 Dans sa lettre de mission Christiane Taubira expli que ce qu elle attend des inspections A l heure actuelle il existe 43 CEF pour une capacit totale de 476 places Pour la ministre de la Justice ce dispositif m rite ce stade de faire l objet d une valuation approfondie afin que son d veloppement annonc r ponde de fa on efficiente et dans un cadre budg taire contraint aux objectifs d une prise en charge adapt e des mineurs respectueuse de leurs droits justement r partie sur le territoire national et visant garantir leur ducation leur insertion sociale et leur accompagnement vers l autonomie La mission doit donc d finir les modalit s de cr ation de nouveaux centres ou de transformation des structures existantes Pour ce faire l IGSJ et l IGAS doivent se pencher sur la place des CEF dans le dispositif global d h bergement Par exemple quelles diff rences y a t il avec les unit s ducatives d h bergement collectif Quelle est la nature sp cifique au plan qualitatif de la prise en charge ducative en centres du catifs ferm s les modalit s de fonctionnement des CEF et leurs besoins tant en nombre de places qu en termes d implantation g ographi que des structures Au del Christiane Taubira s interroge les centres ducatifs fer m s r pondent ils aux besoins d finis lors de leur cr ation Re pr sentent ils une alternative l incarc rat
46. une r union destin e pr parer la prochaine conf rence contre la pauvret et pour l inclu sion sociale conf rence appel e d boucher sur un plan pluri annuel et dont un atelier consacr aux questions de logement sera pr sid par C cile Duflot L enveloppe de 50 millions d euros sera d gag e sur les budgets des minist res et r partie entre les cr dits de la veille sociale de l h bergement d urgence et de la prise en charge des demandeurs d asile Elle permettra esp re le Premier ministre de maintenir les capacit s d accueil existantes de les toffer sur les territoires les plus en tension de privil gier l h bergement de qualit plut t que le recours l h tel et de renforcer l accompagnement des personnes accueillies y compris l h tel et dans les places ouver tes provisoirement Le gouvernement va par ailleurs demander aux pr fets de r gion d tablir de fa on concert e d ici fin janvier des projets territo riaux de sortie de l hiver Ils devront plus pr cis ment tre ta blis sur la base de diagnostics partag s avec l ensemble des acteurs Etat associations collectivit s locales bailleurs repr sentants des personnes accueillies et avec des objectifs chiffr s Les pr fets devront dans ce cadre travailler sur plu sieurs hypoth ses pr cises indique le Premier ministre vo quant la p rennisation de places hivernales
47. 27 mars 2002 entre le minist re de l Em ploi et de la Solidarit et l Uniopss afin de fixer les bases de relations de coop ration dans la perspective de l labo ration des politiques sociales au service des b n ficiaires de l action sociale au niveau national et territorial 3 Int grer dans les formations destin es aux personnels de la fonction publique une formation sur la diversit des mo des de contractualisation entre les associations les acteurs de l conomie sociale et solidaire ESS et les pouvoirs publics et compl ter cette formation par un stage dans une organisation de l ESS 4 Mettre en place un groupe de travail p renne compos de repr sentants de l tat de l Administration Fiscale des collectivit s locales et d associations organisations de l ESS afin de faire un tat des lieux des mesures fiscales et formuler des pr conisations pour adapter la fiscalit du secteur non lucratif REVUE D INFORMATION POUR UNE POLITIQUE VOLONTARISTE DE L EMPLOI ET DE LA FORMATION DANS LES ASSOCIATIONS DE SOLIDARIT Dans le champ de l action sociale m dico sociale et de la sant le secteur associatif repr sente environ 33 000 structures employeuses et environ 980 000 salari s1 Des pans entiers du secteur sont actuel lement en phase de restructuration dans un contexte de tensions sur les financements et de renforcement de la concurrence La politi que de l emploi et de la formation r sulte en fait de m
48. 3 car il est important qu on ne perde plus de temps a soulign la ministre Les pr fets vont d ailleurs prochainement rece voir des instructions pour laborer un tat des lieux l objectif tant d aboutir un ch ancier r aliste qui fixe des objectifs prioritaires et quilibr s par tablissement gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2775 Appel contributions des profes sionnels de sant sur les besoins en sant des personnes handica p es Les professionnels des tablissements et services m dico sociaux pour personnes handicap es sont invit s r pondre un question naire sur les besoins en sant de leurs usagers L objectif de cet appel contributions lanc par l Agence nationale de l valuation et de la qualit des tablissements et services sociaux et m dico sociaux ANESM est de recueillir leur avis et leur exp rience afin d enrichir une recommandation de bonnes pratiques en cours d laboration Les professionnels peuvent par exemple faire part des difficult s ren contr es en mati re de pr vention et d acc s aux soins des publics accueillis ou encore pr senter leurs strat gies d intervention dans ce domaine explique l ANESM gt Le questionnaire est disponible sur www anesm gouv fr Il doit tre renvoy d ici au 19 octobre prochain REVUE D INFORMATION Le placement en milieu prot g est assimil la qualit de tra vailleur handicap Afin de clarif
49. Ann e 2012 Num ro 8 Les Infor p A ations de l URIOPSS Bretagne REVUE D INFORMATION Secteurs sanitaire m dico social et social Octobre URIOPSS LATA W Portage REVUE D INFORMATION Page 1 Som Un point sur 5 La Rentr e Sociale des Associations Les informations transversales 8 Rentr e sociale 2012 2013 Des promesses aux actes Face aux contraintes conomiques comment mettre en uvre un v ritable changement Intervention sur la situation conomique et l emploi de Bretagne au CESER Conseil Economique Social et Environnemental de la R gion Bretagne 3 mes TRANSVERSALES R seaux t tes de r seaux Peut on vivre sans Fiche de dysfonctionnement de la Permanence Des Soins Ambulatoires Les informations sectorielles 10 Etablissements de Sant 10 H pital et acc s aux soins M dico social 11 L HAD enfin autoris e dans l ensemble des tablissements sociaux et m dico sociaux Handicap 13 Les projets de loi doivent d sormais prendre en compte le handicap Un nouvel outil pour valuer les besoins de l l ve handicap le GEVA sco Accessibilit un rapport recommande de maintenir l ch ance de 2015 m me si elle ne pourra pas tre tenue Appel contributions des professionnels de sant sur les besoins en sant des personnes handicap es Le placement en milieu prot g est assimil la qualit de travailleur handicap Commissio
50. LE pourrait ensuite tre r uni autour du Premier ministre tous les ministres concern s pour arr ter la liste des mesures du Plan quinquennal L annonce de ce plan serait fa tes par le Chef de l Etat son intention pour l instant tant de la faire lors du Congr s de l UNIOPSS 23 24 25 janvier Lille Ne tardez pas vos inscrire ce Congr s o nous devons rendre visible nos enga gements nos convictions et nos propositions L UNIOPSS peut se satisfaire que pour la premi re fois gr ce l action des associations coalis es la pauvret soit devenue un objet politique au plus haut niveau de l Etat Elle restera videm ment vigilante et exigeante sur le contenu du plan et notamment sur les moyens financiers qui lui seront consacr s Je terminerais sur cette information confirmant avec clat que quand les associations sont capables de s unir et de rendre visible leur capacit de coop ration elles peuvent obtenir des r sultats positifs devant b n ficier tous Affirmons nos convictions ayons confiance en nos projets d veloppons nos capacit s travailler ensemble et unis dans le respect de la diversit de ce qui nous distingue Ainsi nous en sommes convaincus les associations resteront des organisations capables de relever le d fi de l galit et de la fraternit dans une soci t menac e par le risque de d saffiliation sociale Restons confiant C est une position strat gique majeure L
51. NT LA MOTIVA TION DE VOS SALARI S Fe Er z AG2R LA MONDIALE vous propose une gamme compl te de solutions en Protection sociale Pr voyance e Sant pargne salariale e pargne retraite Compte pargne Temps Indemnit s de Fin de Carri re AM O M Pour plus d informations sur nos solutions ou D A G N E R pour un diagnostic gratuit contactez nous AG2R LA MONDIALE Mme Dregoire 24 bd de Beaumont TSA 71514 35015 Rennes cedex T l 02 22 06 66 55 Fax O2 22 06 67 31 wWww ag2rlamondiale fr 1 DES SOLU N TIONS AG2R LA MONDIALE REVUE D INFORMATION Page 45 07201 45348 PHOTO AGENCE LE SQUARE Le service formation de l URIOPSS se tient votre disposition pour des formations intra sur mesure r alis es dans votre tablissement ou service Il vous propose galement des formations inter tablissements qui sont dispens es dans les locaux de l URIOPSS Bretagne 15 16 Evolutions comptables et budg taires Public Directeurs responsables de service responsables des ressour et dans le secteur social et m dico social Re en 28 A l issue de cette formation vous aurez acquit des connaissances sur les nou Prix adh rent 600 novembre velles r glementations et les volutions venir dans les domaines comptable et budg taire et comment appliquer ces nouvelles r gles comptables et budg tai Formateur Chantal GESQUIERE res Fiche 58537 Les volutions
52. Patton BP 20219 35702 Rennes Cedex 7 T l 02 99 87 51 52 Fax 02 99 38 54 90 uriopss uriopss bretagne asso fr Page 50 Marie No lle GAUCHER LORPHELIN Comptable Assistante Administrative Comptabilit Assistante Administrative Formation Gestion des contacts fournisseurs mn_gaucher lorphelin uriopss bretagne asso fr Plus proches plus solidaires plus forts REVUE D INFORMATION LE CONSEIL D AMINISTRATION DE L URIOPSS BRETAGNE Conform ment l Article 7 des statuts de l URIOPSS Bretagne L URIOPSS est g r par un Conseil d Administration de 15 membres au moins et 25 membres au plus Les membres du Conseil d Administration sont des repr sentants d ment mandat s des membres actifs et bienfaiteurs lus par l Assembl e G n rale et choisi autant que possible de telle mani re que les d parte ments et les divers secteurs d activit soient quitablement repr sent s des personnes qualifi es en particulier pour leur comp tence dans le champ d action de l URIOPSS ayant voix d lib rative Leur nombre ne peut exc der cinq Ces personnes qualifi es sont lus par le Conseil d Administration sous r serve de ratification par la plus prochaine Assembl e G n rale Les uns et les autres sont lus pour six ans au scrutin secret s il est demand par ou moins un lecteur Leur renouvellement a lieu par tiers tous les deux ans Les membres sortants sont r ligibles D s son lection chaque candidat
53. Quelle position du r seau URIOPSS UNIOPSS Rentr e sociale Quel bilan de la politique du handicap et quelles perspectives R forme de la tarification Lucrativit et handicap Congr s de l UNIOPSS Atelier Handicap Emploi et handicap L URIOPSS Bretagne repr sent e cette r union a r alis un compte rendu de cette commission gt Le compte rendu a t envoy aux adh rents agissant aupr s des personnes en situation de handicap et reste votre disposition sur simple demande Page 16 A noter 4 me rencontre du Forum national des associations agr es repr sen tant les usagers du secteur sanitai re La 4 me rencontre du Forum national des associations agr es coorganis e par la Conf rence nationale de sant CNS la Commission nationale d agr ment des associa tions repr sentant les usagers CNA et la Direction g n rale de la sant aura lieu le jeudi 8 novembre 2012 de 9h 16h30 au minist re des affaires sociales et de la sant 14 avenue Duquesne Paris Ce Forum est un espace d changes entre les associations repr sentant les usagers du syst me de sant la CNS la CNA et les pouvoirs publics permettant de d battre de sujets d actualit La rencontre du Forum de l automne 2012 a un ordre du jour b ti apr s consultation des associations elle ouvrira ou poursuivra la r flexion sur la mise en uvre et l volution de la repr sentation et de la
54. a Direction de la s curit sociale DSS le tribunal des affaires de s curit socia le Tass de Nanterre avait admis qu une classification interne un groupe de soci t s tait admissible pour constituer une cat gorie objective de b n ficiaires Le 14 juin dernier dans une d cision pass e relativement inaper ue mais qui pourrait n anmoins d boucher sur de nombreux redressements Urssaf la cour d appel de Versailles a n anmoins infirm ce jugement Les magistrats se sont vraisemblablement inspir s des crit res pos s par le d cret relatif aux cat gories objectives de salari s du 9 janvier 2012 qui tait pourtant non applicable l poque des faits tait en cause dans cette affaire un r gime de retraite suppl men taire cotisations d finies institu au profit des seuls cadres de niveaux 7 et plus en application de la classification conventionnel le labor e au niveau du groupe auquel appartenait la soci t L Urssaf de Paris entendait soumettre cotisations de s curit sociale les contributions patronales vers es compter du 1er juillet 2008 pour financer ce r gime En effet selon elle et en application de la doctrine administrative de l poque Circ DSS du 21 juillet 2006 et 25 ao t 2005 devenues circ DSS 5B n 2009 32 du 30 janvier 2009 le niveau de classification ou le coefficient de r mur n ration ne permettent pas de d finir des cat gories objectives de sorte que le r
55. a celui des usagers et celui des relais de la puissance publique que sont les associations de l action sociale de la sant et de la solidarit c est dire que soient trait es dans le m me temps les questions d organisation et comp tences ET les questions de financements REVUE D INFORMATION Nous avons besoin de clart et de coh rence dans ce domaine aussi En conclusion Il nous faut travailler collectivement pour contribuer aux r ponses la question suivante A l heure o l une des priorit s est la restauration des quilibres budg taires com ment mener bien les politiques sociales annonc es Comment conjuguer clarification des besoins de financement et comp titivit de notre conomie Pr parer l avenir ne demandet il pas que l on regarde certaines d penses comme un investissement n cessaire pour pr server la coh sion sociale Nous soutiendrons que le CESER a l gitimit participer ce d bat de soci t 3 mes TRANSVERSALES R seaux t tes de r seaux Peut on vivre sans Le Canard Social a organis le 2 octobre dernier la 3 me dition des rencontres Transversales destination des acteurs du secteur social professionnels b n voles lus techniciens Cette ren contre portait sur le th me R seaux t tes de r seaux Peut on vivre sans L URIOPSS Bretagne repr sent e par le Pr sident a particip aux 3 mes transversales Extrait de l article Peut on vi
56. ale L aggravation de la situation conomique et sociale entra ne de nou velles fractures sociales Un niveau de ch mage record 11 4 sur un an en Breta gne Hausse au dessus de la tendance nationale 9 2 Une diminution du niveau de vie Une progression de la pauvret 8 6 millions de personnes en situation de pauvret en France Les retrait s repr sentent 11 des nouveaux pauvres Les enfants sont les premiers touch s La pauvret explose dans les familles monoparentales Les in galit s se creusent Au total nous alertons sur les menaces pesant sur la coh sion socia le et observons la mont e de l intol rance et de la tentation du rejet de l autre voir l actualit r cente Une situation qui n est videmment pas favorable l conomie la croissance et l emploi I nous faut contribuer aux r ponses la question suivante Comment viter les risques de dislocation sociale Comment faire r gresser la pauvret et l exclusion tout en maintenant l efficacit de notre protec tion sociale Ces questions majeures sont aborder simultan ment avec la question de la comp titivit des entreprises dans un environ nement mondial de concurrence Il nous faut conjuguer la performan ce sociale ET la performance conomique Il s agit d un pacte social Nous serons galement attentifs la future loi sur la d centralisation et la r forme de l Etat en esp rant que le souci premier ser
57. au quotidien l ensemble du personnel m dical de l tablisse ment IDE AS AMP ASH Il organise la r partition du travail quoti dien ait en charge de sa planification s assure de la qualit constante des soins prodigu s aux r sidents Il contr le le respect des protoco les en vigueur Il anime le projet de soins aupr s des quipes de soins et est associ l laboration du projet d tablissement En lien avec le m decin coordonnateur et l ensemble des intervenants lib raux au pr s de l tablissement il assure l valuation de la d pendance AGGIR et r ajuste les besoins n cessaires la mise en place des projets de soins individualis s des r sidents Profil Dipl m d tat d infirmier une formation de cadre de sant serait un plus ou une exp rience significative de management du personnel Rigoureux disponible professionnel autonome de solides comp tences mana g riales et un excellent relationnel sont des qualit s requises pour la fonction d infirmier coordinateur R mun ration CCN51 Candidature adresser M LE ROLLAND Directeur EHPAD La Sainte Famille 5 rue Ambroise Par 35370 ARGENTRE DU PLESSIS REVUE D INFORMATION MEDECIN MPR CHEF DU SERVICE MEDICAL MEMBRE DU COMITE DE DIRECTION En tant que m decin MPR responsable de la prise en charge des patients l tablissement SSR En tant que m decin chef du service d pend hi rarchiquement du directeur g n ral a autorit sur les m de
58. avenir tu n as pas le pr voir mais le permettre Antoine de Saint Exup ry URIOPSS W yr Plus proches plus solidaires plus forts W Portage Rentr e sociale 2012 2013 Des promesses aux actes Face aux contraintes conomiques comment mettre en uvre un v ri table changement Nouvelle quipe au pouvoir nouvelle attitude nouvelles priorit s une p riode s ouvre qui donne cette rentr e sociale 2012 2013 une tonalit diff rente des ann es pr c dentes Les premiers signes sont encourageants mais il reste bien des sujets d inqui tude pour le mon de associatif A l heure o l une des priorit s est la restauration des quilibres budg taires comment mener bien les politiques sociales annonc es Pr parer l avenir ne demande t il pas que l on regarde certaines d penses comme un investissement n cessaire pour pr server la coh sion sociale Comme chaque ann e cette poque l Uniopss qui porte aupr s des pouvoirs publics la parole de quelques 25 000 tablissements du secteur sanitaire et social engag s au service des personnes fragili s es fait le point sur les aspects les plus saillants du paysage social Et une fois encore la mati re est surabondante Elle est trait e dans son int gralit dans la publication intitul e Rentr e sociale Enjeux politiques budgets pr visionnels 2012 Comme le pr sident de l Uniopss Dominique Balmary l a rappel lor
59. cins adjoints et les collaborateurs du service fait vivre le service En tant que membre du comit de direction contribue la gestion globale de l tablissement assiste aux conseils d adminis tration et l assembl e g n rale Poste pourvoir pour le 1er jan vier 2013 Le PATIS FRAUX 35770 VERN SUR SEICHE 0299048383 PSYCHOMOTRICIEN ienne Le a psychomotricien ienne aura comme missions La r alisa tion des bilans psychomotricit conduisant la proposition des pistes d accompagnements adapt s La mise en place de prises en charge individuelles et en groupe Une aide la compr hen sion des probl matiques psychiques dans le cadre de la pluridisci plinarit Assure les bilans crits Poste pourvoir pour le 1 novembre 2012 Institut Tomkiewicz Bel Air Route du Gacet 35830 BETTON AIDE SOIGNANT E EHPAD de 70 lits situ Pleine Foug res recherche un e aide soignant e Travail de jour Candidature adresser Madame La Directrice CLH Saint Joseph 46 avenue de la Lib ration 35270 COMBOURG contact clhsaintjoseph com Demandes d emploi Dipl m e Assistante de Service Social depuis juin 2012 recher che un poste d assistant de service social Contact Cynthia LE GOUGE T l 06 69 47 36 70 legouge cynthia live fr Page 49 L EQUIPE DE L URIOPSS BRETAGNE URIOPSS N Pntagne ANIMATION ET CONSEIL TECHNIQUE Nathalie PERRET LAUNAY Directrice Politiques associatives D
60. comptables Les volutions budg taires i i i Public Directeurs gestionnaires Maladie inaptitude accident du travail comptables la gestion des absences 8 novembre Prix adh rent 220 Cette formation vous permettra d acqu rir les connaissances relatives la r gle mentation sur la maladie et l inaptitude du salari et ses cons quences sur le contrat de travail Formateur Cabinet BARTHELEMY Fiche 61062 La suspension du contrat de travail pour maladie ou accident Les effets de la suspension du contrat de travail Le remplacement du salari La fin de la suspension du contrat de travail Les programmes de l ensemble des formations INTER propos es ainsi qu un bulletin d inscription sont retrouver sur notre site Internet wwWw uriopss bretagne asso fr gr ce au num ro de la fiche indiqu Tout au long de l ann e le service formation de l URIOPSS se tient votre disposition pour construire avec vous des formations sur mesure r pondant vos besoins et attentes URIOPSS Bretagne 203 G avenue Patton BP 20219 35702 Rennes Cedex 7 T l 02 99 87 51 52 Fax 02 99 38 54 90 uriopss uriopss bretagne asso fr Page 46 REVUE D INFORMATION a t O n S Retrouvez le programme d taill gr ce au num ro de la fiche sur notre site Internet Calendrier des formations Inter 2012 wwwuriopss bretagne asso fr For SEE 2 Dates dur e Th matiques Intitul
61. cours de nouveaux modes de r mun ration au del de la simple r mun ration l acte des pro fessionnels de sant Il n est pas question de remettre en cause ces financements mais au contraire de les maintenir Pourront s y ajouter des ressources suppl mentaires issues de l enveloppe nationale dot e d un million d euros pour financer entre 10 et 20 projets Pour les projets cibl s sur un module le compl ment de ressources sera plafonn 50 000 Pour ceux qui couvrent les modules 1 et 2 le plafond est port 100 000 En tout tat de cause l engagement de financement portera sur une p riode pluri annuelle au minimum 2 ans avec un ch ancier int gr la convention cadre Il pourra tre r valu l issue de chaque an n e de mise en uvre en fonction des l ments de suivi et d va luation gt TSA l actualit de l action sociale du 27 septembre gt Arr t du 30 ao t 2012 fixant le cahier des charges relatif aux exp rimentations mettant en oeuvre de nouveaux mo des d organisation des soins destin s optimiser les par cours de soins des personnes g es en risque de perte d autonomie en pr venant leur hospitalisation en tablisse ment de sant avec h bergement en g rant leur sortie d h pital et en favorisant la continuit des diff rents modes de prise en charge sanitaires et m dico sociaux Page 17 Le plan Alzheimer est prolong Le plan Alzheimer qui arr
62. cription contactez lURIOPSS Bretagne au 02 99 87 51 52 ou uriopss uriopss bretagne asso fr Page 41 R union d Information La robustesse du r gime de pr voyance 13 novembre De 9h30 12h30 Rennes La r glementation en mati re de pr voyance est dense et complexe et a connu des volutions importantes en 2012 d finition des cat gories objectives pr cisions sur le champ des exon rations Pour remplir les obligations de maintien de salaire pr vues par les conventions collectives ou mettre en place une mutuelle obligatoire de nombreuses conditions sont respecter L enjeu est important puisque certaines exon ra tions de charges sociales et fiscales en d pendent L objectif de cette r union d information est de rappeler les r gles applicables aux r gimes de pr voyance afin de vous permettre de v rifier la robustesse des dispositifs que vous avez pu mettre en place et de les faire voluer si besoin Programme La mise en place des couvertures de pr voyance quel les obligations en droit du travail La souscription et la vie du contrat d assurance Le sort des avantages de pr voyance en cas de rupture du contrat L volution des couvertures de pr voyance les effets d un changement d organisme assureur Les charges sociales et fiscales quelles exon rations sous quelles conditions Animation Ma tre Youna KERMORGANT Barth l my Avocats Participation 70 de frais
63. des tablissements sociaux et m dico sociaux Fiche 62663 CSS 3 TEE Sd Evolution comptable et budg taire du secteur social et m dico 15 16 28 novembre ai social Fiche 58537 Pluriannualit budg taire contrat pluri annuel d objectifs et de 15 octobre moyens CPOM Fiche 58538 16 octobre Comprendre le m canisme du plan pluriannuel de financement Fiche 59641 28 29 novembre et Le toucher dans la relation de soins A Cl der Finist re 13 14 d cembre Fiche 61030 Initiation l analyse transactionnelle Fiche 59958 Dimension esth tique dans l accompagnement des personnes Fiche 61063 Prendre la parole en public Fiche 63055 EE QUOTE Perfectionnement des agents en EHPAD Fiche 63056 D veloppement des prati pr s des personnes accueil lies La d pression du sujet g Fiche 59640 La conduite de r union Fiche 63057 Savoir prendre du recul face des situations d agressivit et ou 25 octobre et 9 29 novembre conflictuelles gr ce des techniques et m thodes de m diation L animation dans un tablissement h bergeant des personnes 12 13 novembre et 6 7 d cembre g es Fiche 47130 Le plaisir de manger et l quilibre alimentaire de la conception du 15 16 et 29 30 novembre LEE LES menu la pr sentation du repas Fiche 63059 n 11 12 13 d cembre ayaan Ei geaion Le circuit du linge en tablissement A des risques Fiche 61059 N h sitez pas vous inscrire d s pr se ent Contactez le se
64. dultes maisons d accueil sp cialis es que de celles pour enfants handicap s instituts m dico ducatifs Sont galement concern s les tablissements pour les personnes en diffi cult s sociales ou rencontrant des difficult s sp cifiques ainsi que ceux du secteur de l addictologie Les structures exp rimentales de caract re m dical et social avec h bergement qui rel vent de l article L 162 31 du code de la s curit sociale telles que les lits d accueil m dicalis s font aussi partie du nouveau champ d intervention de l hospitalisation domicile Les conditions jusqu alors applicables en cas d intervention de l HAD dans les tablissements pour personnes g es sont tendues aux autres structures Il s agit tout d abord de conditions relatives aux soins Ainsi pour m moire ceux ci ne peuvent tre d livr s que si l tat de sant du r sident exige une intervention technique qui ne se substitue pas aux prestations sanitaires et m dico sociales dispen s es par l tablissement L admission en HAD doit galement r pon dre des conditions de prise en charge d finies par arr t Ces conditions variables selon la nature des soins sont relatives notam ment la complexit des soins assurer ou l ampleur des moyens utiliser REVUE D INFORMATION La structure d hospitalisation domicile et l tablissement d h ber gement doivent en outre pr alablement la premi re int
65. e la conf rence de lutte contre la pauvret et pour l inclusion sociale aura finalement lieu les 10 et 11 d cembre prochain C est ce qu a annonc le Premier minis tre le 20 septembre au Conseil national des politiques de lutte contre la pauvret et l exclusion sociale CNLE r pondant ainsi aux craintes exprim es par certains de ses membres quant au bref d lai qui leur tait imparti pour pr parer cet v nement Jean Marc Ayrault a cette occasion pr cis la m thodologie qu il souhaite voir mise en uvre lors de cette conf rence qui doit sans changement aboutir l adoption d but 2013 d un plan quinquennal de lutte contre la pau vret et l exclusion dans le cadre d un comit interminist riel de lutte contre l exclusion L id e avec cette d marche est de d gager les objectifs de notre pays pour les prochaines ann es en mati re de politiques sociales ainsi que les mesures mettre en uvre pour y parvenir a expliqu le chef du gouvernement Jean Marc Ayrault a ainsi indiqu que la conf rence de lutte contre la pauvret et pour l inclusion sociale sera organis e autour de sept ateliers port s par un ou plusieurs ministres celui consacr aux questions de logement sera pr sid par la ministre du Logement C cile Duflot Dans la lign e des r for mes en cours devront y tre notamment abord es les limites persistantes de notre syst me d h bergement qui peine faire acc der au lo
66. e ou partielle la CCN51 de mesurer leurs engage ments conventionnels suite aux volutions du texte conventionnel La CCN51 a t d nonc e partiellement par la FE HAP syndicat signataire en septembre 2011 Aucun accord de substitution n a t sign au cours de la p riode de survie les dispositions d nonc es vont donc dispara tre du texte conventionnel La FEHAP a pris une recommandation patronale pour combler le vide conventionnel qui risquait de na tre Les structures faisant une application volontaire du texte de la CCN51 doivent mesurer les impacts de ces volutions sur le statut collectif applicable aux sala ri s qu elles emploient L objectif de la formation est de d crypter les cons quences strictement juridiques de ces volutions conventionnelles et de permettre aux structures fai sant une application volontaire totale ou partielle de la convention de s curiser leurs pratiques Anim e par Elodie RUE RIOCHE Conseill re tech nique juridique l URIOPSS Bretagne PROGRAMME Rep res juridiques sur les conventions collectives et leurs volutions Les cons quences de l volution de la CCN51 sur le statut collectif applicable aux salari s Un point sur La r mun ration les cong s et jours f ri s la dur e du travail les absences les relations collectives Retrouvez le programme complet de la formation sur notre site Internet www Fiche 68363 Et pour toute information et ins
67. e Gilles CHATEL Morbihan Philippe SACHABAILLIE Secr taire Gilles ROLLAND Secr taire Adjoint Jean ELLEOUET Tr sorier Marcel CHOTARD REVUE D INFORMATION Page 51
68. e cette approche sous un angle global sanitaire et m dico social Ainsi la politique de sant d ploy e en France tend am lio rer l tat de sant de nos concitoyens selon cette dimension o fac teurs biologiques psychologiques sociaux culturels et environne mentaux sont troitement intriqu s Les pr occupations prioritaires structur es autour de trois th matiques fortes la pr vention comme priorit la reconnaissance du secteur but priv non lucratif et la promotion de l articulation des acteurs en sant viendront enrichir les d bats venir et conforter une vision solidaire de la sant Les priorit s de l Uniopss 1 Favoriser l intervention des quipes sanitaires en tablisse ments sociaux et m dico sociaux 2 instaurer un dispositif adapt de pr vention scolaire profes sionnelle et pour les personnes sans emploi 3 Aller vers une loi portant sur l ensemble des addictions 4 Garantir l galit de traitement des h pitaux priv s non lucra tifs et leur assurer transparence et visibilit sur les r gles du jeu 5 Conforter le mod le centre de sant en particulier par un financement adapt ENFANCE FAMILLE JEUNESSE Si l ann e 2011 restera marqu e par les espoirs de changement por t s par la jeunesse des pays arabes elle le sera malheureusement aussi par la rechute de la crise financi re et ses cons quences sur les budgets des tats et sur leur population
69. e personnes en difficult l acquisition de comp tences constitue donc une condition intrins que du CAE Dans la pr sente affaire l employeur s tait engag assurer l adaptation du salari son poste de travail mais ne lui avait pas dispens de formation suppl mentaire Pour la Cour de cassation c est insuffisant l employeur a manqu son obligation Les sanctions encourues sont importantes Lorsque le CAE est dur e d termin e il peut comme en l esp ce tre requalifi en contrat dur e ind termin e L absence de formation peut en outre justifier une d nonciation du CAE l employeur encourt alors le remboursement de la totalit des aides financi res qu il a per ues gt Cass soc 11 juillet 2012 n 11 13 827 n 1723 F D Ros c Coll ge Jean Moulin REVUE D INFORMATION FJT extension d un avenant por tant sur les b n ficiaires du r gi me de pr voyance frais de san t Le minist re du Travail de l Emploi de la Formation professionnel le et du Dialogue social a proc d par arr t l extension de l ave nant n 33 du 17 janvier 2012 la convention collective nationale des organismes gestionnaires des foyers de jeunes travailleurs FJT Sign par les deux syndicats patronaux le Snefos et le Syneas et c t salari s les f d rations CFDT CFE CGC et FO il porte sur les b n ficiaires du r gime de pr voyance frais de sant Son extension le
70. enir sans modification du gros uvre Page 14 REVUE D INFORMATION Rien n est pr vu pour harmoniser les positions des nombreuses commissions d accessibilit alors qu elles disposent avec lavis conforme d un pouvoir quasi d cisionnel rel ve par ailleurs le rap port Pour m moire ces commissions sont notamment charg es de se prononcer sur les demandes de d rogation la r glementation Les auteurs pr conisent donc une harmonisation de leur fonctionne ment pour faire merger une doctrine nationale explicite Plus pr cis ment ils proposent de cr er dans chaque r gion une commis sion de r examen des avis rendus par les commissions locales d ac cessibilit et de confier l observatoire interminist riel de l accessibili t et de la conception universelle la mission de centraliser d analyser et de diffuser les avis des commissions Saluant un rapport s rieux r aliste avec des propositions concr tes Marie Arlette Carlotti a annonc le lancement d une nouvelle mission confi e la s natrice PS Claire Lise Campion Choisie pour sa connaissance du sujet l lue est charg e d entamer la concertation avec le terrain de v rifier que les propositions du rapport vont tre mises en uvre et de voir avec les associations comment on peut innover Elle devra remettre un rapport la fin de l ann e Le gouvernement fera quant lui des propositions concr tes au tout d but 201
71. ensoriel cognitif psychique moteur et mental Conforter les tablissements et services m dico sociaux dans leur mission ducative Garantir la r mun ration des stagiaires de la formation profes sionnelle D finir le pilotage et sanctuariser les moyens n cessaires pour une soci t accessible Organiser l accompagnement des personnes handicap es vieillissantes D velopper un syst me d information stable et fiable pour mettre en ad quation les besoins des personnes handicap es et l offre existante sur les territoires OUTREMER Ces les de la Cara be de l Oc an Indien auxquelles vient s ajou ter la Guyane vaste tendue ancr e dans le continent sud am ricain ont de multiples caract ristiques communes en particu lier l loignement de l hexagone l exiguit des territoires la forte densit de population hormis la Guyane L environnement tropical les expose diverses catastrophes naturelles cyclones tremble ments de terre tsunamis ruptions volcaniques Leur insularit leur discontinuit territoriale renforc e en Guadeloupe par la confi guration d archipel sont sources de difficult s de communication et engendrent des surco ts dans leur approvisionnement L cono mie sociale et solidaire y prend une place grandissante et tend combler les d faillances des pouvoirs publics notamment dans le domaine de l action m dico sociale Les priorit s de l Unio
72. ent de fond s op re fusion et regroupement d administra tions d un c t affirmation de l chelon r gional comme principal ni veau de d cision dans le champ sanitaire m dico social et social La cr ation du conseiller territorial met en perspective la r organisa tion des collectivit s territoriales Cette nouvelle d nomination du conseiller r gional conseiller g n ral incarnerait le processus de r gionalisation des politiques sociales port es jusqu ce jour par le conseil g n ral La r forme des collectivit s territoriales est en cours Elle a galement t lanc e par le volet fiscal avec la cr a tion de la contribution conomique territoriale mettant en cause l auto nomie financi re des collectivit s locales La remise plat des politi ques publiques a t amorc e par une forte volont politique de r for mer l tat Elle a pris pour cadre la r vision g n rale des politiques publiques RGPP et a abouti une nouvelle structuration des admi nistrations d concentr es DIRECCTE DRPJJ DREAL DRISCS Dans le champ des associations de sant et du m dico social ont t cr es les ARS Le paysage institutionnel est clat et ne permet pas de relever le d fi de la citoyennet et de la proximit Le paysage redessin aboutit faute d approche globale davantage de complexi t s Les priorit s de l Uniopss 1 Faire le bilan de la r forme de la loi du 21 juillet 2009 portan
73. ernement l UNIOPSS son Pr sident et son Directeur g n ral ainsi que des conseillers techniques ont tr s activement tabli les contacts et les rencontres avec plusieurs ministres Les communiqu s de presse principalement diffus s par les jour naux sp cialis s et les comptes rendus de ces rencontres ont t port s votre connaissance sur le site Internet de l URIOPSS ainsi que dans le bulletin mensuel d informations notamment celui de septembre Je soulignerais quelques points saillants Ainsi d s le 25 mai l UNIOPSS diffusait un communiqu expri mant quelques clairages la suite de la nomination du gouverne ment Elle se r jouissait de la nomination d un ministre d l gu l Economie Social et Solidaire ainsi que du maintien de la pr occupation de la vie associative dans le minist re des Sports de la Jeunesse de l Education populaire et de la Vie associative Elle souhaitait cependant un regroupement de la Vie associative et de l ESS sous forme d une D l gation inter minist rielle la Vie Associative et l ESS rattach e au Pre mier ministre pour une approche globale favorisant le plein d veloppement de ce secteur porteur Elle relevait que la jeunesse plac e au c ur du projet pr si dentiel clatait en trois minist res et demandait la cr ation d une instance interminist rielle rattach e au Premier Ministre permettent un pilotage et une coordination des politiques pu bliques relatives
74. ersonnes en difficult s sociales ll aura fallu plus de trois ans pour que le p rim tre d intervention de l hospitalisation domicile HAD soit tendu l ensemble des tablis sements sociaux et m dico sociaux avec h bergement notamment ceux qui accueillent des personnes handicap es Cette extension est d sormais effective avec la parution de deux d crets pris en applica tion de la loi h pital patients sant et territoires du 21 juillet 2009 Des textes d autant plus attendus que le rapport Jacob a en d but d ann e expertis les conditions techniques de cette mesure qui a t accueillie avec satisfaction par les f d rations des deux secteurs Le dispositif sera prochainement pr cis par une circulaire a indiqu la direction g n rale de l offre de soins DGOS dans un communiqu du 11 septembre L objectif rappelle l administration est d viter chaque fois que possible l loignement des dispositifs d accompagne ment dont les usagers b n ficient au quotidien Un comit de suivi devrait galement tre cr Autoris e depuis 2007 dans les tablissements pour personnes g es d pendantes ou non l HAD est aujourd hui possible dans l ensem ble des structures sociales et m dico sociales comportant un h ber gement vis es au de l article L 312 1 du code de l action sociale et des familles Il s agit donc aussi bien des structures pour les person nes handicap es a
75. ervention signer une convention pr voyant les conditions de l intervention de la structure d HAD dans l tablissement Lorsqu il s agit d un ta blissement m dico social ce document doit galement indiquer les modalit s d laboration et d adaptation des protocoles de soins l organisation de l acc s des personnels certains l ments du dossier du patient l organisation des circuits du m dicament ainsi que les modalit s d valuation Enfin les tarifs de l HAD sont minor s de 13 lorsque le patient est h berg dans un tablissement m dico social ou dans une structure exp rimentale de type lits d accueil m dicalis s Cette mesure explique la DGOS a pour objet de valoriser la contribution des quipes m dico sociales la prise en charge et d viter en cons quence d en faire porter le co t deux fois par l assurance maladie qui les finance Les tablissements sociaux ne sont donc pas concern s par cette minoration des tarifs gt D cret n 2012 1030 du 6 septembre 2012 relatif l inter vention des tablissements d hospitalisation domicile dans les tablissements sociaux et m dico sociaux avec h bergement Page 11 Le Catalogue Formation 2012 2013 est paru ations 2012 2013 For FORMATION CONTINUE n A d g URIOPSS D E E NN 2 n L Lrtge a 5 cu Le catalogue r pertorie les principaux th mes que nous sommes en capacit de traiter sur site ou en
76. es Le montant annuel du Smic est major du nom bre d heures suppl mentaires ou compl mentaires L alin a 10 de l article D 241 7 tient compte de la suppression de l article 81 quater du code g n ral des imp ts par la loi de finances rectificative pour 2012 Sont d sormais prises en compte les heu res suppl mentaires au sens de l article L 241 18 du code de la s curit sociale et les heures compl mentaires au sens des arti cles L 3123 17 et L 3123 18 du code du travail Le dispositif de baisse des cotisations familiales mis en place par le d cret du 4 mai 2012 est galement abrog A partir du 1er oc tobre prochain les entreprises continueront d acquitter les cotisa tions d allocations familiales au taux de 5 4 comme aujourd hui gt D cret n 2012 1074 du 21 septembre 2012 relatif la r duction g n rale de cotisations patronales de s curit sociale et la d duction forfaitaire de cotisations patrona les sur les heures suppl mentaires REVUE D INFORMATION La Direction de la S curit Sociale pr cise le nouveau r gime social des heures suppl mentaires et le forfait social La Direction de la s curit sociale DSS diffuse dans une circulaire du 18 ao t un questions r ponses relatif au r gime social applicable aux heures suppl mentaires et au taux du forfait social r sultant de la loi de finances rectificative pour 2012 du 16 ao t 2012 L application de la deuxi me loi de finance
77. es dispositions inapplicables sur la p riode concern e il semble que les magistrats s en soient malgr tout tr s nettement inspir s Rappelons que la circulaire d application du d cret 9 janvier 2012 est toujours en attente de publication et que le Conseil d Etat a t saisi d un recours en annulation dirig contre ce dernier gt Cour d Appel de Versailles 5ech 14 juin 2012 n 10 02764 Liaisons sociales n 16196 REVUE D INFORMATION Publication de la circulaire sur l application de la p nalit appli cable en l absence d accord se nior Les accords conclus dans le cadre du contrat de g n ration ont vocation prendre la place des accords et plans d action seniors Or beaucoup de ces derniers arrivent terme C est pourquoi le gouvernement a d cid dans une circulaire inter minist rielle du 2 octobre 2012 que les entreprises couvertes par un accord ou un plan d action seniors le 4 septembre venant ch ance avant la date limite des n gociations des contrats de g n ration ne seront pas assujetties la p nalit de 1 pendant cette p riode transitoire gt Circ intermin DSS DGT DGEFP SASFL n 2012 17 du 2 octobre 2012 Liaisons sociales n 16198 Page 43 Visite m dicale d embauche Ca ract re obligatoire y compris pour les salari s en contrat pr caire L employeur tenu d une obligation de s curit de r sultat doit en assurer l effectivit en sorte que le man
78. es pouvoirs publics fran ais du groupe d experts de la Commission Europ enne sur l entre preneuriat social GECES et la Commission Europe du Conseil sup rieur de l conomie sociale et solidaire CSESS 2 Instituer un lieu permanent d analyse de concertation et d la boration multipartite en lien avec le Secr tariat g n ral aux affaires europ ennes qui vise porter une vision globale des services sociaux l chelon fran ais et europ en et assurer le suivi de la r glementation europ enne 3 Cr er une journ e de la citoyennet europ enne qui viserait notamment la sensibilisation et la pr sentation de l initiative citoyenne europ enne Adopter le statut de l association europ enne laborer une charte du dialogue civil qui pr voirait les modali t s de participation et de concertation de la soci t civile orga nis e Page 24 VIE ASSOCIATIVE L conomie sociale et solidaire ESS a certes fait l objet de mesu res notables comme en 2010 avec le rapport Vercamer sur l ESS et la renaissance du Conseil sup rieur de l conomie sociale et solidaire CSESS la cr ation du fonds d investissement pour l in novation sociale pr vue en 2012 ou encore la perspective d une future loi sur ESS Il est ind niable que l ESS d une mani re g n rale et les associations du secteur sanitaire et social en particu lier jouent un r le fondamental de coh sion et d utilit sociale et r sistent mieux
79. es rep res de co ts d ga g s selon diff rents groupes homog nes d activit et de mis sions puissent tre utilis s Or dans certains territoires les servi ces de l Etat semblent d j s en inspirer Face leurs interrogations les r ponses que la ministre du Loge ment leur a adress es dans un courrier mi septembre leur parais sent insuffisantes C cile Duflot assure que l enqu te nationale des co ts n a pas pour objectif d aller vers une tarification automati que et qu elle doit tre approfondie N anmoins ajoute t elle la d marche de contractualisation pluriannuelle devra tre int gr e dans le cadre du dialogue de gestion annuel d s 2013 Les asso ciations veulent des pr cisions en termes de m thodologie de ca lendrier et des garanties sur le caract re non opposable de l en qu te nationale des co ts gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2777 nous tenons votre disposition le courrier de la Ministre de l Egalit des Territoires et du Logement envoy aux associations Page 21 Salaires et r mun rations SMIC Horaire 9 40 et Mensuel pour 151 67h 1425 67 Minimum garanti 3 49 Plafond mensuel de s curit sociale 3031 Indemnit s du personnel congr ganiste Valeur du point 16 679 Valeurs du point CCN 51 4 403 CCN 66 CHRS 3 74 Aide domicile 5 302 CCN FJT 1 058 Indemnit s kilom
80. est r uni le 1er octobre 2012 L URIOPSS Bretagne tait pr sente cette r union Les points l ordre du jour taient Bilan rentr e scolaire par la DASEN direction Acad mique des Services de l Education Nationale Information sur les travaux du CNCPH par M Deniau Insertion professionnelle AGEFIPH et Cap Emploi Accessibilit cadre b ti par la DDTM Direction D partementa le des Territoires et de la Mer Plan R gional de Sant travaux en cours par l ARS Bretagne Bilan d activit 2011 de la MDPH Elaboration du futur sch ma d partemental pr sentation de la d marche Pr sentation de l observatoire des besoins des Personnes Handicap es et des Personnes g es par Mme LEGUEN Repr sentations du CDCPH Les l ments communiqu s l occasion de cette r union du CDCPH d llle et Vilaine sont retrouver sur notre site Internet www Fiche 68287 REVUE D INFORMATION Vie Associative p 1 CRANDE ENQU TE ASSOCIATIONS REMNAISES Aidez nous mieux comprendre les associations pour mieux les Soutenir en r pondant au questionnaire en ligne Le traitement des informations demeure strictement confidentiel line donnera lieu aucune communication de donn es des tiers Questionnaire remplir l adresse suivante http www modalisa com enguete associations rennes Aide et version papier disponible t 6 AI v Christine DUMANGET 02 99 85 8313 cdumanget crva rennes
81. et de loi de finances vot lequel devrait selon elle prendre en compte cette ques tion L Uniopss a assur que les associations seraient tr s vigilantes sur ce point Par ailleurs si le chantier de l Etude Nationale des Co ts dans le sec teur Accueil H bergement Insertion devrait se poursuivre la g n ralisa tion de l ENC ne pourrait avoir lieu sans un diagnostic partag collectif pr alable indispensable Un crit de la ministre aux trois r seaux qui se sont fortement mobilis s sur le sujet Uniopss Fnars et FADS devrait confirmer prochainement ces l ments et r pondre ainsi aux interroga tions des associations de solidarit sur ce sujet sensible L Uniopss a abord galement la question de l acc s au logement tr s social pour les personnes aux ressources les plus faibles Sur ce point C cile Duflot a annonc la cr ation d un super PLAI dans les zones les plus tendues Ce nouveau dispositif permettra aux organismes HLM d emprunter un niveau de pr t moins co teux et de proposer ainsi des loyers moins chers La ministre a confirm par ailleurs que le bud get pour le logement et l h bergement serait la hauteur de celui de an pass Concernant la revalorisation de l APL demand e par l Uniopss depuis plusieurs ann es C cile Duflot a indiqu que celle ci n interviendrait pas avant 2014 Sur les engagements pris par le nouveau gouverne ment la construction de 150 000 logements sociaux par an
82. etrouverez tout au long de la revue d information les r f rences et sources des articles gr ce au renvoi gt ainsi que par www Fiche 00000 vous invitant consulter la fiche pratique votre disposition sur le site Internet de l URIOPSS Bretagne www uriopss bretagne asso fr Pour toutes remarques ventuelles sur la parution et la diffusion de notre bulletin n h sitez pas nous contacter documentation uriopss bretagne asso fr REVUE D INFORMATION Page 3 S minaire des administrateurs Bureau Groupe de travail observation Conseil R gional COSTRIM ARS Bretagne Comit de s lection des appels projets CLACT en EHPAD Rencontre ARS F d ration PA PH D l gation UNIOPSS URIOPSS Directeurs d URIOPSS Conseil d Administration de PUNIOPSS Bureau Conf rence des Pr sidents Groupe de travail Droit Social EPL ELITE PUER Associations ERACLE et projets r inventer La robustesse du r gime de pr voyance Un point sur les heures suppl mentaires et compl mentaires Quelles exon rations de charges Quelle r glementation applicable La fiscalit des associations et fondations gestionnaires d tablissements et services sanitaire sociaux et m dico sociaux Les volutions des conventions collectives O en est on Quels enjeux Page 4 REVUE D INFORMATION DE L U R I O PS S JOURN E R GIONALE s E REnrr e OCIAL DES ASSOCIATIONS
83. exp rimenta tions se limitent au seul projet ADF Collectif de l aide domicile C est pourquoi l arr t dispose que les exp rimentations peuvent se d rouler selon deux modalit s une premi re qui correspond la proposition ADF Collectif des 16 une seconde qui reprend les propositions de r forme des rapports IGAS et Poletti sous forme d une tarification horaire maintenue assortie d une dotation de valo risation des missions d int r t g n ral De fait seul le projet ADF Collectif des 16 s inscrit dans une logique de cahier des charges et devrait autoriser une v ritable exp rimentation L arr t pr cise cependant que les deux modalit s d exp rimentation devront faire l objet d une convention d objectifs et de moyens n goci e pour 3 ans maximum entre le Conseil g n ral et le service exp rimenta teur Enfin il est pr vu qu un comit de pilotage national soit install afin de suivre au plus pr s ces deux modalit s d exp rimentation Il conviendra de l articuler avec le Comit national de suivi qui a t install la demande de l ADF et du Collectif au printemps dernier www Fiche 68061 RESEAU DE CONSULTANTS EN GERONTOLOGIE ARCG sous la Direction de EYNARD C Alzheimer system Entre surm diatisation de la maladie et invisibilit des personnes changer notre regard Editions Chronique Sociale 224 pages 2012 Vous pouvez consulter ces ouvrages l URIOPSS Bretagne Pour tout renseignement contacte
84. gage de la convention des FJT Le Syndicat des employeurs associatifs de l action sociale et m di co sociale Syneas a d cid de se retirer du champ des foyers et services de jeunes travailleurs FJT convention collective dont il a t initialement signataire au travers de l ex syndicat Sop afin de se recentrer sur les environnements conventionnels apparte nant la branche Unifed et de travailler l laboration d une convention collective unique CCU dans le p rim tre de la bran che sanitaire sociale et m dico sociale Dans la convention des FJT il ne reste donc c t employeur que le Syndicat national employeur des foyers r sidences sociales et services aux jeunes SNEFOS gt Tsa l actualit de l action sociale du 5 octobre 2012 Page 39 FORMATION 25 octobre et 27 novembre L URIOPSS Bretagne organise une formation Inter tablissements sur Les instances repr senta tives du personnel Cette formation a pour objectif de permettre aux d l gu s du personnel aux d l gu s syndicaux aux membres du CE et aux membres du CHSCT de mieux conna tre leur r le leurs obligations Cette formation sera anim e par un avocat du cabi net Ad Legis Programme Les rep res indispensables en droit du travail Les attributions des d l gu s du personnel des d l gu s syndicaux des membres des CE et CHSCT L exercice de leur mandat Les moyens Retrouvez le programme complet de la for
85. gement autonome les personnes et les familles sans abri les condamnant errer entre la rue l h tel les centres d h bergement et les solutions de fortune D ores et d j des mesures ont t prises pour la p riode hivernale voir ce num ro page 6 celui d di aux questions relatives l emploi sera pilot par le ministre du Travail Michel Sapin et son ministre d l gu charg de la formation professionnelle et de l apprentissage Thierry Repentin Y seront trait s les sujets li s l insertion des jeunes et des personnes les plus loign es de l emploi aux travailleurs pauvres celui consacr aux probl matiques de la sant sera emmen par la ministre de la Sant Marisol Touraine Elle devra no tamment engager des discussions autour des in galit s d ac c s aux soins au travers des d serts m dicaux par exemple celui d di l enfance fragilis e et la r ussite ducative nouveau sera pr sid par Dominique Bertinotti et Georges Pau Langevin respectivement ministres d l gu es charg es de la famille et de la r ussite ducative celui devant traiter de l acc s aux droits des minima sociaux et des tarifs sociaux aura sa t te Marie Arlette Carlotti la ministre d l gu e charg e de l exclusion sociale celui d di l acc s aux services bancaires et la lutte contre le surendettement sera conduit par Pierre Moscovici et Beno t Hamon respectivement minis
86. ice peuvent justifier une augmentation des prix sup rieure celle fix e par arr t Les d ficits engendr s par une mauvaise gestion de l op rateur ne sont notamment pas redevables Parmi les l ments tangibles joindre au dossier la grille des tarifs le bilan comptable le compte d exploitation L obtention ventuelle du fonds de restructuration par le service sera galement prise en compte Notifi e dans les deux mois suivant la r ception de la demande la d cision peut ensuite faire l objet de recours gt Circulaire DGCCRF n 2012 02 du 22 mars 2012 Ouvrages acquis Exp rimentation tarifaire des Ser vices d aide domicile le cahier des charges enfin publi Le cahier des charges des exp rimentations tarifaires introduites par l article 150 de la Loi de finances pour 2012 a t enfin publi par arr t minist riel L Uniopss et le Collectif de l aide domicile l attendaient depuis plusieurs mois l arr t minist riel fixant le cahier des charges destin encadrer et s curiser les exp ri mentations tarifaires pr vues l article 150 de la Loi de finances pour les services d aide domicile est enfin paru Pour l essentiel il s agissait de fixer dans la norme les modalit s de pr figuration du projet de nouvelle proc dure d autorisation tarifi cation labor e par le groupe de travail ADF Collectif de l aide domicile Mais le Minist re ne souhaitait pas que les
87. ier le dispositif de retraite anticip e des personnes handicap es la Caisse nationale d assurance vieillesse pr cise les situations pouvant tre assimil es la qualit de travailleur handi cap Une condition qui permet depuis 2011 aux assur s du r gi me g n ral d assurance vieillesse de partir la retraite d s l ge de 55 ans Le recrutement de travailleurs handicap s en baisse Outre les travailleurs handicap s justifiant d un taux d incapacit permanente d au moins 80 les assur s du r gime g n ral d assurance vieil lesse qui justifient de la qualit de travailleur handicap ouvrent droit depuis la loi du 9 novembre 2010 r formant les retraites au dispositif de d part anticip la retraite Si cette qualit est en principe reconnue par la commission des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH la Cnav pr cise que certai nes orientations en tablissement pour adultes handicap s peu vent tre assimil es une reconnaissance de la qualit de travail leur handicap RQTH Pour pouvoir partir la retraite d s leur 55 ans les assur s du r gime g n ral doivent en principe justifier de la qualit de travail leur handicap Elle est appr ci e par la CDPH institu e au sein de la maison d partementale des personnes handicap es MDPH qui se fonde d une part sur l existence d une alt ration d une ou de plusieurs fonctions physique sensorielle mentale ou psychique et
88. inter tablissements Il n est cependant pas exhaustif Le sur mesure tant notre marque de fabrique soumettez nous toujours votre demande m me quand la r ponse n appara t pas d embl e dans le catalogue Si nous disposons de la comp tence appropri e au sein de l quipe de permanents de l URIOPSS ou de l quipe de formateurs nous mettrons tout en uvre pour vous aider dans les meilleures conditions Les th matiques inter tablissements pour 2013 ont elles t pr s lectionn es au regard des pr occupations que vous nous transmettez r guli rement des volutions que nous pressentons Cette programmation n est cependant pas fig e elle sera enrichie tout au long de l ann e en fonction notamment des nouveaux enjeux des nouveaux textes r glementaires et videmment de vos demandes C est votre qualit d adh rent qui vous permet de b n ficier de ces formations organis es et anim es par l URIOPSS Breta gne Chaque adh rent a re u un exemplaire de ce nouveau catalogue Des exemplaires suppl mentaires peuvent vous tre envoy s Vous pouvez galement retrouver l ensemble des formations sur notre site Internet www uriopss bretagne asso fr Inscription et renseignement URIOPSS Bretagne 02 99 87 51 52 uriopss uriopss bretagne asso fr Page 12 REVUE D INFORMATION Handicap Les projets de loi doivent d sor mais prendre en compte le handi cap Dans une circulaire du 4 septembre le Premier ministre im
89. ion Permettent ils de r pondre aux situations d urgence Des marges de progression sont elles n cessaires pour une prise en charge adapt e la sp cificit de la justice des mineurs Si oui quelles seraient les conditions d un meilleur fonctionnement en termes de prise en charge d organisation g n rale de la structure ou encore de cons titution des quipes ducatives et d encadrement Autant de questions auxquelles la mission devra r pondre gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2776 Page 33 A vos Agenda Rencontre Les porteurs de mandats de l URIOPSS au sein des instances de concertation de PARS 22 novembre De 10h00 16h30 Rennes L URIOPSS propose un temps d changes entre les porteurs de mandats de l URIOPSS Bretagne au sein des instances de concertation de l ARS Conf rence R gionale de la Sant et de l Autono mie les Conf rences de Territoire La rencontre sera galement l occasion de faire un point sur les diff rents travaux men s par ces instances Groupes Th matiques R gionaux Programmes Territoriaux de Sant ainsi que la mise en uvre du Programme R gional de San t Nous vous communiquerons prochainement le programme et le bulletin d inscription lls sont galement disponibles sur notre site Internet sur www uriopss bretagne asso fr Page 34 Mandats Comit D partemental Consulta tif des Personnes Handicap es d Ille et Vilaine Le Comit s
90. ionale de solidarit pour l autonomie CNSA dans un communiqu du 11 septembre Il s agit du GEVA sco d clinaison du GEVA guide de l valuation des besoins de com pensation des personnes handicap es qui sert recueillir des informations relatives chaque enfant handicap en situation sco laire au regard de ses activit s d apprentissage de sa mobilit de sa s curit des actes essentiels de la vie quotidienne de ses activit s relationnelles ou de sa vie sociale Cet outil vise aussi appuyer la r forme des modalit s d accompagnement des l ves handicap s Un r cent d cret a en effet autoris les commissions des droits et de l autonomie des personnes handicap es CDAPH des maisons d partementales prescrire une aide humaine mu tualis e tout en maintenant la possibilit d une aide individuelle Le GEVA sco est le fruit d un groupe de travail mis en place d s 2010 par la CNSA en lien avec la direction g n rale de l enseigne ment scolaire pour r fl chir la demande et la prescription d auxiliaires de vie scolaire individuels harmoniser sur l ensemble du territoire les pratiques d valuation des maisons d partementa les et produire un outil commun aux MDPH et l Education natio nale Il a fait l objet d une exp rimentation depuis mars 2011 dans dix MDPH Globalement les quipes de l Education nationale et des maisons d partementales se sont d clar es 80 satisfaites de l
91. ive son terme la fin de l ann e va tre prolong C est ce qu a annonc le pr sident de la R publique le 21 septembre devant le comit de suivi du plan l occasion de la journ e mondiale consacr e cette maladie Le plan sera m me largi l ensemble des maladies neurod g n ratives a t il pr cis De son c t la ministre de la Sant a indiqu qu une valuation va tre men e mesure par mesure entre la fin de l ann e 2012 et le d but de l ann e 2013 La prolongation du plan aura lieu d s 2013 vavec des financements maintenus a t elle assur Le dernier bilan r alis par le comit de suivi du plan montre qu un peu plus de la moiti de ses mesures ont un niveau de r alisation de 90 100 plus particuli rement dans le domaine de la recherche Mais les mesures relatives aux structures prenant en charge les mala des structures de r pit quipes sp cialis es domicile unit s sp cifiques l h pital ou en maisons de retraite connaissent en revan che un retard de mise en uvre 45 63 de r alisation Le comit souligne toutefois que les objectifs de cr ation d unit s sp cifiques seront atteints fin 2012 Il rel ve en outre une am lioration de la qualit vet une restructuration qui progresse pour les accueils de jour gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2776 Page 18 Compte rendu de la CNUESPA du 6 septembre 2012
92. l application des r gles d accessibilit du cadre b ti pour les per sonnes handicap es Un rapport finalis en octobre 2011 par lins pection g n rale des affaires sociales le conseil g n ral de l envi ronnement et du d veloppement durable et le contr le g n ral conomique et financier mais que le gouvernement pr c dent n avait pas m diatis Face au constat la ministre d l gu e aux personnes handicap es a assur que le gouvernement ne se r signe pas a tout en admettant que les choses vont tre difficiles Les recommandations de la mission ont re u un accueil mitig du secteur associatif Face l ampleur consid rable des travaux r aliser l objectif tait d j hors d atteinte il y a cinq ou six ans alors que le contex te conomique tait plus favorable estiment les auteurs du rap port Et c est encore plus vrai aujourd hui avec un niveau de r ali sation qui est estim 15 Ils d plorent pour les ERP existants souvent anciens des normes techniques trop exigeantes et trop rigides le plus souvent identiques celles tablies pour les constructions nouvelles Cette situation risque d aboutir alternati vement des co ts tr s lev s de mise en accessibilit ou des d rogations larges et nombreuses alertent ils L approche de l ch ance suscite des comportements attentistes une partie des acteurs anticipant un report note encore la mission
93. la convention ne disparaissent la FEHAP a d cid de prendre une recommandation patronale Cette derni re aborde les 15 points que la FEHAP souhaitait modifier lors des n gociations et reprend les disposition de l accord du 13 avril dernier dit de restauration D s qu elle sera agr e par le minist re du Travail cette recommandation s imposera aux adh rents Selon la FEHAP cette d cision permet d viter le vide conventionnel pr judiciable l ensemble des professionnels intervenant dans les tablissements et services qui sinon se verraient appliquer les dispositions du code du travail De leur c t les cinq organisations syndicales CFE CGC Sant social CFTC Sant sociaux CFDT Sant sociaux F d ration nationale de l action sociale FO CGT Sant et action sociale rejettent unanimement cette recommandation et demandent qu elle ne soit pas agr e Elles appellent les salari s se r unir pour pr parer les conditions du rapport de force sous toute forme d action pouvant aller jusqu la gr ve pour faire reculer la f d ration patronale et maintenir la convention collective gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2773 REVUE D INFORMATION FORMATION 23 novembre L URIOPSS Bretagne organise une formation Inter tablissements sur La convention collective du 31 octobre 1951 Cette formation pour objectif de permettre aux structures appliquant de mani re volontaire total
94. la crise en termes d emplois et de r ponses ap port es aux besoins sociaux Cependant il existe un paradoxe entre le r le d utilit sociale de l ESS et des associations du sec teur sanitaire et social et la politique publique qui leur est consa cr e En effet il n y a plus de d l gation interminist rielle l co nomie sociale rattach e au Premier ministre depuis longtemps et la Vie associative a connu plusieurs al as minist riels ces derni res ann es alors m me que les tats g n raux de l ESS organi s s par le Labo ESS ont rassembl 5 000 personnes en juin 2011 La mise en place d une politique publique globale relative aux as sociations et l conomie sociale et solidaire est n cessaire Elle devrait s accompagner de la reconnaissance de la participation des associations de solidarit au dialogue civil et la contribution aux politiques publiques ainsi que d une adaptation et d une clarifi cation de la fiscalit du secteur non lucratif Les priorit s de l Uniopss 1 instaurer l initiative du Minist re d l gu l ESS un dispositif de concertation et de d cision avec le Minist re des Sports de la Jeunesse de l ducation populaire et de la Vie associative L objectif tant de prendre en compte le mod le associatif qui repr sente les de l ESS 2 Appliquer la charte d orientation des relations entre l tat et les associations du secteur sanitaire social et m dico social sign e le
95. le Concr tement les r gions vont se voir transf rer la gestion des fonds europ ens pour la p riode 2014 2020 Leurs comp tences le d veloppement conomique la formation l innovation l am na gement du territoire feront qu elles seront les interlocuteurs de tous les acteurs conomiques et sociaux Elles piloteraient la future banque d investissement En mati re sociale elles financeront avec l Etat les formations des jeunes en contrat d avenir et les contrats de g n ration Elles verront leur responsabilit renforc e en mati re de formation des ch meurs Elles devraient coordonner et animer le service public d orientation pour rapprocher le profil des jeunes des besoins des entreprises Faisons un focus sur La Conf rence nationale de lutte contre la pauvret et le plan quinquennal de lutte contre l exclusion et la pauvret Fran ois Hollande a annonc la tenue d une Conf rence nationale de lutte contre le pauvret pour pr parer un Plan quin quennal interminist riel de lutte contre la pauvret souhait par l UNIOPSS et les associations r unies au sein du collectif Alerte Cette Conf rence se tiendra d but d cembre au Conseil Economi que Social et Environnemental Paris Elle sera ouverte par le Pr sident de la R publique lui m me et conclue par le Premier Ministre Une premi re Elle comportera 7 ateliers anim chacun par un ministre Un comit interminist riel de lutte contre l exclu sion CI
96. le qui subit depuis deux ans une baisse des financements publics alors que les besoins sociaux s accroissent Le pr sident de l Uniopss attend par ailleurs les orientations du gou vernement sur le sujet capital du financement de la protection socia le dans un contexte peu rassurant le d ficit du r gime g n ral tant d un milliard d euro suppl mentaire par rapport aux pr visions de la LFSS pour 2012 Page 8 Enfin conclut il nous serons tr s attentifs l laboration de la future loi sur la d centralisation en esp rant que cet Acte III ait le souci premier de l usager et celui des relais de la puissance publique que sont les associations dans le domaine de l action sociale c est dire que soient trait es dans le m me temps les questions d organisation et de comp tences ET les questions de financement Nicolas Cl ment directeur g n ral de l Uniopss est revenu ensui te sur le projet de loi portant cr ation des emplois d avenir actuel lement en discussion Il a expliqu que si l Uniopss saluait la volont de s adresser des publics fragilis s elle avait avec plusieurs autres acteurs de l Economie sociale et solidaire port un certain nombre d amendements au projet de loi Objectif faire en sorte que le chiffre de 150 000 emplois d avenir puisse tre effectivement atteint et permettre aux associations principal terrain d accueil de ces jeunes de pouvoir y contribuer san
97. li darit Les tablissements et services sociaux et m dico sociaux doivent transmettre leurs propositions budg taires avant le 31 octobre 2012 Le r seau UNIOPSS URIOPSS a r alis une note qui vise rappeler les r gles respecter lors de leur construction et transmission Elle a t labor e compte tenu de la r glementation connue au 28 juillet 2012 La note pr cise les points suivants les exigences pos es par la r glementation en mati re de pr sentation des propositions budg taires d finition et forme du budget plan de comptes documents transmettre pluri annualit les r gles de transmission des propositions budg taires date modalit s destinataires les cons quences du non respect des formes de pr sentation ou du d lai de transmission des informations sur Rebeca la liste de la r glementation et des circulaires budg taires et tarifaires Cette note est retrouver sur notre site Internet www uriopss bretagne asso fr www Fiche 68097 Les comptables ESMS 2012 Pour les tablissements sanitaires priv s l arr t du 31 janvier 2012 modifie l arr t du 22 janvier 2008 modifi pour int grer les disposi tions du d cret du 29 avril 2010 relatif l organisation financi re et l investissement immobilier des tablissements de sant L arr t donne l ensemble des modifications apporter au plan de comptes mesures Pour les tablissemen
98. mation et le bulletin d inscription sur notre site Internet www Fiche 61061 Et pour toute information et inscription contactez l URIOPSS Bretagne au 02 99 87 51 52 ou uriopss uriopss bretagne asso fr Page 40 Les primes de travail de nuit ha bituel doivent tre maintenues les jours f ri s ch m s Lorsqu un salari travaille la nuit de mani re habituelle les primes de travail de nuit correspondent un l ment de r mun ration n ayant pas un caract re exceptionnel et doivent tre maintenues les jours f ri s ch m s Selon l article L 3133 3 du Code du travail le ch mage des jours f ri s ne peut entra ner aucune perte de salaire pour les salari s totalisant au moins trois mois d anciennet dans l entreprise ou l tablissement Cette r gle a pour cons quence que le salari remplissant cette condition a droit au maintien de son salaire de base et de tous les l ments ayant la nature d un compl ment de salaire En revanche sauf stipulation conventionnelle expresse contraire les indemnit s ou majorations de salaire destin es compenser des suj tions li es aux conditions particuli res d ex cution du tra vail pr vues par une convention collective ne sont pas dues au salari qui n ayant pas travaill en raison du ch mage d un jour f ri n a pas eu supporter ces suj tions Ainsi les majorations pr vues en cas de travail les dimanches et jours f ri s en feu continu par la convention
99. n 2 Promouvoir un tarif li aux besoins des personnes projet de vie et au projet d tablissement et abandonner les tarifs pla fonds Favoriser ainsi une tude nationale sur les besoins les prestations et les co ts permettant de d finir un intervalle de co t et d instaurer une tarification n goci e qui inclue la pluri annualit 3 Promouvoir des coop rations qui am liorent r ellement la qualit de la prise en charge des publics et qui ne r pondent pas qu une r duction des moyens si l efficience est re chercher la baisse des co ts n est pas forc ment imm diate mais appr cier dans le temps 4 Veiller conserver l ancrage territorial et une diversit des acteurs quant leur taille leur identit et leur capacit d inno vation 5 D velopper des outils destination des administrations et des collectivit s territoriales visant promouvoir les relations partenariales entre associations et pouvoirs publics de mani re respecter le projet associatif et la capacit d initiative des associations REVUE D INFORMATION SANTE La sant est aujourd hui entendue par tous dans l acception large que lui a donn e l Organisation Mondiale de la Sant un tat de com plet bien tre physique mental et social et qui ne consiste pas seule ment en une absence de maladie ou d infirmit La restructuration du secteur op r e par la loi H pital patients sant et territoires confirm
100. n ral du Centre Hospitalier Saint Jean de Dieu L hon Dinan Directeur G n ral de l Association Les Nou lles Pl rin Directeur G n ral D l gu du groupe de l Hospitalit Saint Thomas de Villeneuve Lamballe Pr sident de l Association Don Bosco Landerneau Finist re Administrateur de la Fondation Mass Tr vidy Quimper Directrice de l EHPAD La Retraite Quimper Directeur G n ral de l Association Les Amiti s d Armor Brest Directeur G n ral de l Association Kan Ar Mor Douarnenez Directrice du Centre M dico Psycho P dagogique Redon Charg e de mission de la F d ration d partementale ADMR Saint Gr goire Pr sident de l Association ASSAD Redon Directeur G n ral de l Association La Bret che H d Repr sentante de la Congr gation des Filles de J sus Rennes Administrateur de l Association ASFAD Rennes Association Le Moulin Vert Si ge social Paris Etablissements Morbihan Directeur G n ral de l Association Kervihan Br han Directeur des Etablissements PHARE de l Association AMISEP Le Roc Saint Andr Directeur G n ral de l Association Gabriel Deshayes Auray R f rent Congr gations R f rent Personnes g es Directeur G n ral de la Fondation Mass Tr vidy Responsable M dico Social l Association Coallia Professeur l Ecole des Hautes Etudes en Sant Publique Pr sident d honneur Pierre MANIER C tes d Armor En cours de nomination Finist re Henri HENAFF Ille et Vilain
101. n traduite depuis la loi du 30 juin 1975 et confort e par la loi du 11 f vrier 2005 puisse se concr tiser Les personnes handicap es vieillissantes fiche 5 dont le nombre ne cesse de cro tre laiss es pour compte car prises en tau par la construction d un syst me aux r ponses binaires personnes g es ou personnes handicap es doivent recevoir l accompagne ment dont elles ont besoin Il s agit de prendre conscience que la personne qu elle soit en situation de handicap ou pas doit pouvoir agir en fonction de ses capacit s l exercice de la vie citoyenne La politique du handicap et les politiques interminist rielles de compensation des cons quences r gulant ce secteur doivent pren dre en compte qualitativement ces pr occupations afin de promou voir les possibilit s et les libert s de chacun par la logique de com pensation Comprendre quels sont les besoins des personnes handicap es par des syst mes d information pertinents est une n cessit afin que chaque acteur concourant au faire soci t prenne la mesu re des pr rogatives qui lui incombent ce titre ces fiches ont pour but de d tecter certaines lacunes transformant le ph nom ne ordinaire qu est le handicap en une multitude de contraintes quotidiennes qui devraient tre compens es Page 29 Les priorit s de l Uniopss f D finir les priorit s pour l ducation inclusive en direction des jeunes en situation de handicap s
102. n Contractualisation Sant Enfance Jeunesse Famille Lutte contre les exclusions Personnes g es Personnes en situation de handicap Outremer Ce dossier du mois vous pr sente de mani re synth tique les priorit s et demandes de UNIOPSS pour chacun de ces domai nes INI 4 j 2012 2017 Pr occupations prioritaires et demandes de l Uniopss pi Page 23 EUROPE Le single market act et la strat gie Europe 2020 imposent un rythme de r formes dense l Europe particuli rement dans cette p riode de crise L Acte pour le march unique adopt par la Commission Euro p enne en avril 2011 ouvre 12 chantiers pour relancer le march unique en 2012 qui sont autant de leviers pour relancer la croissance et l emploi Parmi ces chantiers l Uniopss suit plus particuli rement les sujets transversaux comme les initiatives sur l entrepreneuriat social qui fait partie de l conomie sociale et sur les services sociaux d int r t g n ral et la coh sion sociale services d int r t conomique g n ral SIEG Elle s int resse galement la dimension citoyenne qui merge en Europe notamment depuis avril 2012 avec l initiative citoyenne et l ann e 2013 qui sera ann e europ enne de la citoyen net Les priorit s de l Uniopss 1 Assurer le suivi de la mise en oeuvre des r glementations sur l entrepreneuriat social notamment en tablissant un lien r gulier entre le repr sentant d
103. n UNIOPSS Handicap du 2 octobre 2012 Personnes g es 17 Vers de nouveaux parcours de soins pour les patients g s Le plan Alzheimer est prolong Compte rendu de la CNUESPA du 6 septembre 2012 Aide et soins la personne 19 SSIAD Une d pense suppl mentaire La revalorisation des actes infirmiers effectu s par les lib raux ou les centres de soins Tarification des SSIAD une nouvelle enqu te Des tarifs rigoureusement encadr s Exp rimentation tarifaire des Services d aide domicile le cahier des charges enfin publi Pauvret Exclusion 20 Rencontre de l Uniopss avec C cile Duflot Des avanc es en mati re d acc s au logement pour les plus d munis AHI les associations veulent plus de lisibilit sur la tarification La conf rence de lutte contre la pauvret report e d cembre Appel pour un plan d urgence H bergement des sans abri le gouvernement annonce des mesures d urgence Enfance Famille Jeunesse 33 Centres ducatifs ferm s Christiane Taubira pr cise les objectifs de la mission d valuation Page 2 REVUE D INFORMATION Mandats 34 Comit D partemental Consultatif des Personnes Handicap es d llle et Vilaine Vie Associative 35 Grande enqu te sur les associations rennaises Les informations techniques 37 Comptabilit Gestion Tarification 37 Propositions budg taires 2013 des tablissements et services sociaux et m dico sociaux les r gles respecter par
104. n de han dicap en lien avec les ministres et avec l appui du secr tariat g n ral du comit interminist riel du handicap Les choix propos s pourront tre soumis si n cessaire l arbitrage du Premier ministre ou de son cabinet REVUE D INFORMATION Les tudes d impact des projets de loi lesquelles sont publi es devront retracer la r flexion pr alable relative au handicap Et ce m me si le texte ne comporte pas de dispositions sp cifiques ce titre Dans ce cas ce choix sera expliqu dans l tude d impact Le Premier ministre ajoute que les lignes directrices pour l labo ration des tudes d impact diffus es par le secr tariat g n ral du gouvernement seront actualis es pour y int grer la d marche mise en place par la pr sente circulaire Enfin la ministre d l gu e charg e des personnes handicap es et de la lutte contre l exclusion et le secr tariat g n ral du comit interminist riel du handicap et le secr tariat g n ral du gouverne ment apporteront leur appui aux ministres si n cessaire gt Circulaire du 4 septembre 2012 relative la prise en comp te du handicap dans les projets de loi Un nouvel outil pour valuer les besoins de l l ve handicap le GEVA sco Les professionnels des maisons d partementales des personnes handicap es MDPH et de l Education nationale disposent d un outil commun pour valuer les besoins de l l ve handicap a annonc la caisse nat
105. nce et mettent en uvre la conviction qu une autre vie est possible L id ologie du march prenant le pas sur l int r t g n ral et aggravant la situation des plus vuln rables il nous faut agir avec conviction et confiance pour redonner sa place la responsabilit collective laquelle se substitue les individualismes M me si nos organisations peuvent elles aussi tre fragilis es et tra verser des perturbations aux effets quelquefois graves soyez certains que nous sommes toujours en capacit d agir l UNIOPSS et les URIOPSS gr ce notamment votre adh sion votre confiance et votre fid lit Pr cis ment Comment agissons nous Vous avez eu connaissance de notre appel aux candidats aux derni res lections pr sidentielles et l gislatives pour redonner du sens aux politiques sociales et faire de la coh sion sociale une priorit La Plate forme politique de l UNIOPSS Restaurer la Coh sion sociale retrouver la confiance en alertant sur le risque de d saffiliation social Celle ci souligne l brantement de notre soci t et l affaiblissement de nos valeurs d galit et de fraternit Elle propose de fonder les politiques sociales venir sur la restauration de la coh sion sociale et le retour de la confiance ceci partir de quatre orientations principales La promotion d une soci t d inclusion Le maintien du socle solidaire de notre protection socia le Un changement d
106. nces qui subsis tent tant dans l offre de services l issue des plans Solidarit grand ge et Alzheimer que dans les moyens en cr dits et en personnels dans les tablissements d h bergement de personnes g es d pen dantes Ehpad les services de soins infirmiers domicile IAD et les services d aide domicile Il convient galement de finaliser les chantiers engag s en mati re de r forme de tarification tout en r visant profond ment les bases sur lesquelles ces chantiers ont t ouverts partir des conclusions des exp rimentations engag es notamment dans les services d aide domicile les Ssiad et les Ehpad Les priorit s de l Uniopss 1 Poursuivre l am lioration de la qualit de vie et de soins en Ehpad et r viser les bases de la r forme de la tarification des Ehpad introduite par l art 63 de la LFSS pour 2009 qui a insti tu la forfaitisation des tarifs soins et la convergence tarifaire 2 N gocier la sortie de crise des services d aide domicile en r formant la tarification des services prestataires et en r ins crivant leurs activit s en direction des publics fragiles dans les modes de r gulation propres aux tablissements sociaux et m dico sociaux 3 Parachever les objectifs de cr ation de places de Ssiad et revoir les bases et les modalit s de r forme de la tarification 4 Reconduire dans le cadre d un nouveau plan Solidarit Grand Age un programme sp cifique pour les personnes
107. pose la prise en compte syst matique du handicap dans les projets de loi Dans le cadre des engagements relatifs au handicap pris par le pr si dent de la R publique le Premier ministre donne dans une circulaire du 4 septembre ses directives aux ministres et ministres d l gu s pour la mise en uvre de la politique interminist rielle en la mati re Il explicite les modalit s de prise en compte du handicap dans les pro jets de loi avec notamment l tablissement d une fiche diagnostic pr alable l laboration de l tude d impact Le Premier ministre de mande une application imm diate de la circulaire pour les projets de loi ordinaire Il souhaite galement qu ils soient attentifs l objectif de prise en compte de la situation des personnes handicap es lors de la pr paration des autres projets de textes Les ministres et ministres d l gu s devront d sormais int grer des dispositions sp cifiques aux personnes en situation de handicap dans chaque projet de loi Ces dispositions devront s inscrire en coh rence avec la strat gie d ensemble concernant ces personnes Cette strat gie pr cise le Premier ministre a pour socle la convention internationale relative aux droits des personnes handicap es des Nations unies ratifi e par la France le 18 f vrier 2010 et la loi du 11 f vrier 2005 pour l galit des droits et des chances la participation et la citoyennet des personnes handicap es Jean Marc Ayrault pr
108. ppr hen d e de mani re interminist rielle ce que souhaite galement la ministre du Logement L Uniopss a pris bonne note par ailleurs de l ouverture du droit de travailler aux Roms non plus fin 2013 com me envisag au d part mais plus t t Enfin l Uniopss a abord le plan pluriannuel interminist riel de lutte contre la pauvret et l exclusion Elle s est r jouie de l annonce de ce plan qu elle avait port durant la campagne pr sidentielle aupr s de Fran ois Hollande au travers du collectif ALERTE qu elle anime La conf rence annon ant les grandes lignes de ce plan devrait donc se tenir la mi novembre www Fiche 67772 AHI les associations veulent plus de lisibilit sur la tarifica tion L UNIOPSS la FNARS la Fondation de l arm e du salut la Croix Rouge et la FEHAP veulent rencontrer la directrice g n rale de la coh sion sociale Sabine Fourcade propos de la tarification du secteur de l accueil de l h bergement et de l insertion AHI En juin dernier les trois premi res avaient demand la suspension de la contractualisation qui doit lier depuis 2011 les associations et l E tat En cause le manque de r gles partag es dans les n gociations budg taires Les associations contestent en effet la repr sentativit et la fiabilit de l enqu te nationale des co ts men e en 2010 aupr s de seulement 120 tablissements d h bergement Elles souhaitent sa g n ralisation avant que l
109. priorit s de l Uniopss 1 Garantir l effectivit du droit des personnes fragiles 2 Associer les acteurs pr sents sur les territoires la d finition des sch mas et l laboration des programmes 3 Abroger la proc dure d appel projet 4 Inscrire tous les dispositifs d intervention domicile dans la r glementation sociale et m dico sociale R FORME DE L TAT ET DES COLLECTIVIT S TERRITORIALES Apr s un premier bilan de la d centralisation la r vision constitu tionnelle de 2003 a confort la r publique d centralis e Cette relance qui axe le transfert de comp tences aux conseils g n raux a vite t contrari e dans un premier temps par l absence de financement pour assurer les nouvelles comp tences transf r es puis par la r vision g n rale des politiques publiques RGPP et la r forme des collectivit s territoriales La r forme de l tat avec la RGPP R vision g n rale des politiques publiques et celle des collectivit s locales ont pris forme en 2010 Si la r forme des col lectivit s locales n a t qu amorc e pour tre effective avec les conseillers territoriaux en 2014 la r forme de l tat pour le sec teur des associations de solidarit a commenc en avril 2009 pour aboutir la constitution le 1er avril 2011 des Agences r gionales de sant ARS Les autres cadres institutionnels ont galement t r organis s justice ASSEDIC ANPE Page 25 Un mouvem
110. pss 1 Apporter des r ponses urgentes aux besoins en infrastructu res et quipements en intensifiant et en acc l rant la pro grammation et le financement en facilitant la r alisation des projets accroissement des autorisations d engagement et r duction des d lais d attribution des cr dits de paiement fonds d investissement et de garantie r serve fonci re 2 Am liorer les conditions de gestion des institutions revalorisation du coefficient g ographique sanitaire et exten sion au social et m dico social mise en place de centrales d achat ou de r f rencement exon rations de charges 3 Accompagner les porteurs de projets dans leurs initiatives centres de ressources observatoires banques de donn es plateformes d ing nierie de projet soutien aux actions exp ri mentales et innovantes 4 Former en quantit suffisante de mani re satisfaisante et adapt e les professionnels cadres et dirigeants en implan tant sur place des coles de formation orthophonistes psy chomotriciens ergoth rapeutes Les fichiers lectroniques des Pr occupations prioritaires et demandes de l UNIOPSS version int grale et chapitre par chapitre peuvent tre consult s et r cup r s sur le site Internet de l URIOPSS Bretagne www Fiche 66763 W Page 30 W REVUE D INFORMATION Suite de la page 20 La conf rence de lutte contre la pauvret report e d cembre Initialement pr vue les 12 et 13 novembr
111. quelle le Collectif demande un plan d ur gence qui vise 1 D cr ter un moratoire sur les expulsions locatives sans relo gement avec d dommagement des propri taires et sur les d mant lements sans solution des campements d habitat insalubre 2 Evaluer rapidement les besoins gr ce des cellules d urgen ce territorialis es sous l gide du Pr fet avec l aide des 115 SIAO DGCS associations qui devront tablir dans la fou l e un plan d action ambitieux 3 partir des besoins recens s mettre en oeuvre des r ponses dignes et adapt es pour appliquer les principes inscrits dans la loi d inconditionnalit de l accueil et de continuit de la prise en charge Cr ation p rennisation de places d h bergement le pr sident de la R publique s est engag cr er 15 000 places suppl mentaires sur 5 ans recherche de solu tions alternatives transitoires utilisation de b timents et de terrains disponibles et rapidement mobilisables Accompagnement individualis et global des personnes par un renforcement des quipes de travailleurs sociaux Renforcement des quipes mobiles lorsqu elles sont insuffisantes ou fragilis es pour aller au devant des personnes 4 Simultan ment organiser une op ration massive d acc s au logement mobilisation de tous les contingents Pr fectures Action Logement collectivit s bailleurs d veloppement du conventionnement priv vocation sociale
112. quement son obligation cause n cessairement un pr judice au salari dont le juge doit fixer la r paration Manque cette obligation l employeur qui n a pas pris les dispositions n cessaires pour soumettre un salari la visite m dica le d embauche l occasion d un contrat dur e d termin e de quel ques journ es En l esp ce un salari avait t engag par trois contrats dur e d termin e d animation commerciale pour des interventions r aliser au cours du mois de d cembre l une d une dur e de 3 5 heures une autre de 2 heures et une derni re de 14 heures Compte tenu de la bri vet de la relation de travail l employeur n avait pas pris la peine de soumettre le salari une visite m dicale d embauche Or l article R 4624 10 du Code du Travail qui rend celle ci obligatoire n op re aucune distinction selon la nature du contrat Appliquant ce texte la lettre la Cour de Cassation a donc censur la d cision de la Cour d Appel qui avait jug que l employeur n avait pas manqu son obli gation de s curit de r sultat en n organisant pas de visite m dicale d embauche dans ce cas particulier Par le pr sent arr t la Cour de Cassation rappelle en outre que le salari a automatiquement droit des dommages int r ts en l absen ce de visite d embauche car il est consid r en jurisprudence que cette carence lui cause n cessairement un pr judice Cass Soc 5 octobre 2012 n
113. qui ont sta tutairement fond le dialogue social 2 Mieux prendre en compte l emploi et son financement dans la cha ne des d cisions publiques planification appels projets et autorisation contrats d objectifs et de moyens tarification valuation 3 Mieux prendre en compte et financer les particularit s des formations sanitaires et sociales 4 Conforter et financer notamment avec le DLA et en affirmant le r le des r seaux associatifs les dispositifs g n raux de soutien l emploi et la viabilit des associations REVUE D INFORMATION D MOCRATIE SANITAIRE ET R GULATION DES INSTITUTIONS SOCIALES ET M DICO SOCIALES La promotion dans la loi du 21 juillet 2009 portant r forme de l h pital et relative aux patients la sant et aux territoires de la d mocratie sanitaire s inscrit dans la ligne des lois du 2 janvier 2002 de r novation de l action sociale et du 4 mars 2002 relative au droit des malades et la qualit du syst me de sant C est pour l U niopss sur ce socle que repose le droit des personnes fragilis es par la maladie la perte d autonomie ou l exclusion sociale C est dans le respect de ces droits fondamentaux que les associations de sant d action sociale et de solidarit d veloppent leurs projets de r ponses adapt es ces situations La sp cificit de leur r le dans l exercice de ces missions d int r t g n ral et d utilit sociale doit tre reconnue Les
114. r sentants des pouvoirs publics des unions et f d rations M Richard GELIS conomiste au Cr dit Coop ratif M Alain VILLEZ conseiller technique l UNIOPSS Mme Nathalie PERRET LAUNAY Directrice et toute l quipe de l URIOPSS ainsi que M Arnaud VINSONNEAU expert et tr s fin connaisseur de l action sanitaire et sociale qui nous propose une conf rence d bat por tant sur Les lois des 2 janvier et 4 mars 2002 10 ans apr s et apr s En pr parant cette intervention d ouverture de la Journ e de Rentr e Sociale de l URIOPSS Bretagne je relevais trois informations la une d un grand quotidien du soir En France la situation des entreprises est grave Elles vont mal La France ne figure m me plus dans le peloton des 20 premi res conomies du monde Les plans sociaux succ v dent aux fermetures d usines Les dipl m s des pays mergents sont d sormais plus nom breux que ceux des pays occidentaux La mont e de la Chi ne est spectaculaire il y a autant d tudiants chinois que d habitants au Canada soient 34 millions la moiti de la population de la France Malgr la crise la philanthropie s enracine en France En 10 ans le paysage de la g n rosit a t boulevers dans notre pays Les nouveaux donateurs veulent donner davan tage de sens leur argent Un d bat majeur que nous proposons un moment o les avan c es et les esp rances notamment port s pa
115. r les associations les professionnels les usagers et leurs familles il y a dix ans sont confront es aux r alit s du monde d aujourd hui en profonds bouleversements Vous connaissez tr s bien les effets de ces bouleversements entrainant de nouvelles fractures sociales Un niveau de ch mage record avec des perspectives d ag gravation Des plans sociaux En Bretagne les trois piliers de l conomie sont touch s automobile agroalimentaire t l Un monde en bouleversement profond Une soci t fran aise en mutation Quels choix avons nous Le repli le chacun pour soi z l intol rance Ou bien l ouverture la confiance la cr ativit l inven tivit pour maintenir la justice sociale et l galit et r veiller la frater nit de Plus proches plus solidaires plus forts REVUE D INFORMATION communication Une diminution du niveau de vie 3 6 millions de personnes sans logement ou mal log es URIOPSS Page 5 JOURN E R GIONALE DE L URLO PS S 2 Dr Rinrr OCIAL DES ASSOCIATIONS 15 de personnes contraintes de renoncer des soins m di caux pour des raisons d insuffisance de moyens financiers et ne pouvant avoir de mutuelle Une progression de la pauvret 8 6 millions de fran ais soit 14 1 de la population vit avec moins de 964 retenu com me seuil de pauvret Les retrait s repr sentent 11 des nouveaux pauvres Les enfants sont les premiers touch s par la d
116. rend obligatoire pour tous les employeurs et tous les salari s compris dans le champ d application de la convention collective compter du 12 ao t 2012 y compris ceux non adh rents des organisations qui l ont paraph Sans changement par rapport la situation ant rieure l avenant chaque salari d une association gestionnaire de foyers et services pour jeunes travailleurs doit tre inscrit ce r gime compter du premier jour du mois suivant le 6tejour d activit chez son em ployeur Toutefois et toujours sans changement il peut sa demande expresse y tre inscrit d s sa prise de fonctions la coti sation tant alors sa charge exclusive pendant les 60 premiers jours d activit L avenant pr cise les cas de d rogation au carac t re obligatoire du r gime en r f rence la r glementation Sept cat gories de salari s sont concern s dont ceux sous contrat dur e d termin e et les travailleurs saisonniers b n ficiaires d un contrat de travail d une dur e inf rieure 12 mois Dans tous les cas ceux qui souhaitent b n ficier d une dispense doivent formuler express ment et par crit leur volont de ne pas adh rer au r gime aupr s de leur employeur dans un d lai maximum de deux mois apr s leur embauche gt Arr t du 2 ao t 2012 portant extension d accords et d ave nants examin s en sous commission des conventions et accords du 12 juillet 2012 Le Syneas se d sen
117. roit Associatif Coordination de l animation transversale des secteurs sanitaire et social Animation du secteur sanitaire n perret launay uriopss bretagne asso fr V ronique DORVAL Directrice Adjointe Responsable de l activit formation Coordination et pilotage de l animation sectorielle m dico sociale et sociale vie associative Animation des secteurs Personnes Ag es et Enfance Famille Jeunesse v dorval uriopss bretagne asso fr Elodie RUE RIOCHE Conseill re Technique Droit Social et Ressources Humaines Droit de l Action Sociale Animation du secteur Handicap e rue uriopss bretagne asso fr C line HERVE Conseill re Technique Coordination de la communication et information Animation du secteur Organisation territoriale et transversale Animation du secteur Petite Enfance cherve uriopss bretagne asso fr Emilie MARTIN Conseill re Technique Ing nierie formation et suivi p dagogique Animation des secteurs Economie sociale et solidaire Aide domicile et Insertion Exclusion e martin uriopss bretagne asso fr Carmen GUINEBAUD Conseill re Technique Ing nierie formation et suivi p dagogique D marche d valuation c quinebaud uriopss bretagne asso fr ADMINISTRATION INTERNE Isabelle LEROUX Secr taire Accueil Standard Secr tariat Gestion des contacts adh rents Lleroux uriopss bretagne asso fr URIOPSS Bretagne 203 G avenue du G n ral
118. rvice formation de l URIOPSS formation inter uriopss bretagne asso fr Tel 02 99 87 51 52 Pour rappel le service formation Intra est aussi votre disposition pour tout renseignement sur nos prestations formation intra uriopss bretagne asso fr Vous recrutez L URIOPSS peut vous aider L URIOPSS Bretagne met la disposition de ses adh rents deux outils pour les aider recruter leurs collaborateurs Sur notre site internet www uriopss bretagne asso fr vous pouvez saisir une offre d emploi dans la rubrique annonces emploi saisir une offre Une fois identifi vous acc dez un formulaire dans lequel vous pouvez d crire le poste que vous proposez missions exp rience salaire Apr s validation elle sera mise en ligne dans la rubrique Annonces Emploi voir les offres et elle sera visible sur l ensemble des sites du r seau UNIOPSS URIOPSS Diffus plus de 300 exemplaires notre mensuel d information par le biais de la rubrique Annonces emploi vous permet galement de communi quer chaque mois vos offres d emploi Ces deux services sont gratuits pour nos adh rents Offres d emploi DIRECTEUR IME H F L Association de La Bret che cr e en 1969 400 usagers dans 6 tablissements avec 200 salari s en Ille et Vilaine recrute dans le cadre d un d part en retraite 1 DIRECTEUR H F d IME sur REN NES SEES SIPFpro 95 jeunes en semi internat Mission Sous l autorit du
119. s ce cadre Jean Marc Ayrault leur a demand de faire remonter du terrain des l ments de diagnostic des t moignages des propositions pour pouvoir utiliser des cho ses concr tes pr cises op rationnelles des choses qui ont march Enfin le CNLE sera associ une mission d valuation des objec tifs qui auront t fix s dans le cadre de ces travaux gt Actualit s sociales hebdomadaires n 2776 Page 31 Appel pour un plan d urgence Communiqu de Presse du collectif des Associations Unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal log es Paris le 20 septembre 2012 Lors de sa conf rence de presse du 19 septembre le Collectif des associations unies a appel la mise en oeuvre d un plan d urgence imm diat pilot par l Etat Le Collectif a pris acte d orientations port es par le gouvernement dans le domaine de l acc s au logement qui vont dans le bon sens rel vement de la Loi SRU de 20 25 mobilisation du foncier et des logements vacants Ces premi res mesures doivent tre confir m es et renforc es sachant que de r elles inqui tudes persistent quant aux moyens financiers d ploy s pour produire 150 000 loge ments sociaux par an et lutter activement contre l habitat indigne Par ailleurs les personnes sans abri et mal log es ne peuvent plus attendre les effets de r formes qui ne se mesureront que sur le long terme C est la raison pour la
120. s de cette conf rence de presse de rentr e sociale La rentr e est dure en raison de l aggra vation de la situation conomique et sociale plus de 3 millions de demandeurs d emplois 8 6 millions de personnes en situation de pauvret Cette rentr e s accompagne aussi de plusieurs signes d espoir donn s par le nouveau gouvernement dont M Balmary souligne l esprit de concertation L exemple le plus significatif selon lui est la mise en place du plan interminist riel et pluriannuel de lutte contre la pauvret et l exclusion qui avait t demand par le collectif ALERTE anim par l Uniopss L affaire est en route puisque sur le mod le de la conf rence sociale de juillet dernier une Conf rence va lancer le th me au CESE les 10 et 11 d cembre prochain Le pr si dent de l Uniopss souligne galement les efforts engag s dans plu sieurs domaines comme le logement social l acc s aux soins sans oublier la promesse de remise en chantier du projet relatif la com pensation de la perte d autonomie Dominique Balmary note toutefois plusieurs sujets d inqui tude Face la situation conomique actuelle tout d abord comment viter les risques de dislocation sociale comment faire r gresser la pauvret et l exclusion tout en maintenant l efficacit de notre protection sociale D autre part quelle va tre l attitude des pouvoirs publics vis vis du monde associatif de l action sanitaire et socia
121. s nouvelles face au ch mage et de Catherine Barbaroux pr sidente de l Association pour le droit l initiative conomique pour les questions sant de Michel Legros vice pr sident des formations l Ecole des hautes tudes en sant publi que pour les questions enfance ducation de Dominique Ver sini ancienne d fenseure des enfants et de Pierre Yves Ma dignier pr sident d ATD quart monde pour les questions acc s aux droits de Bertrand Frago nard pr sident du Haut Conseil de la famille pour les questions surendettement de Fran ois Soulage pr sident du Secours catholique pour les questions de gouvernance des politiques publiques de Michel Dinet pr sident du conseil g n ral de Meurthe et Moselle et de Michel Thierry inspecteur g n ral des affaires sociales et vice pr sident du Conseil sup rieur du travail so cial Ces groupes de travail seront compos s d une quinzaine de participants parmi lesquels devront figurer des membres du CNLE dont deux du coll ge des repr sentants de personnes en situation de pauvret et de pr carit Chacun de ces groupes dont la coordination sera assur e par Marie Arlette Carlotti de vra remettre au gouvernement une quinzaine de jours avant la tenue de la conf rence un rapport de travail synth tique ta blissant un diagnostic mais aussi proposant des objectifs et des pistes de r formes Dan
122. s o peut tre mise en cause la responsabilit du professionnel Cette formation est r alis e par un juriste sp cialiste en Droit des malades et intervenante l universit de Rennes I L EDUCATION THERAPEUTIQUE DU PATIENT Les participants pourront s approprier les bases l gislatives th oriques et p dagogiques du concept d ducation th rapeuti que du patient et envisager terme sa d clinaison pratique tre sensibilis aux enjeux du d veloppement de l ducation th rapeutique du patient situer l ducation th rapeutique du patient dans le contexte l gislatif tre sensibilis la posture et la d marche ducative requise de la part du soignant se situer dans une d marche projet port e par un service Cette formation est r alis e par un formateur sp cialis en ducation et promotion de la sant AV ations 2012 2013 Renseignements aupr s de l URIOPSS et retrouvez l ensemble de nos forma connue tions dans notre catalogue formations notre site Internet H N h sitez pas nous contacter pour vos besoins en formation REVUE D INFORMATION M dico social L HAD enfin autoris e dans Pen semble des tablissements sociaux et m dico sociaux L hospitalisation domicile est d sormais possible non plus seule ment dans les tablissements pour personnes g es mais aussi dans les structures pour adultes ou enfants handicap s et dans celles ac cueillant des p
123. s palliatifs et de ceux n cessitant des pansements complexes L Uniopss et le collectif inter associatif des SSIAD avaient saisi la CNAM en 2011 afin de v rifier l applicabilit de la MCI pour les pa tients pris en charge en SSIAD Dans sa r ponse en date du 30 sep tembre 2011 le directeur de la CNAM avait laiss entendre que cette majoration ne serait vraisemblablement pas due dans la mesure o les personnes en SSIAD b n ficiaient d j d une coordination infir mi re Toutefois il pr cisait qu il appartenait l Etat qui tarifie les SSIAD d appr cier si cette revalorisation tait applicable De fait la position de l Etat est arriv e via la circulaire de campagne budg taire pour 2012 du 5 avril dernier qui a confirm que l ensemble des revalorisations pr vues l avenant n 3 de la CNI taient applica bles aux SSIAD Pour preuve de cet engagement une somme de 8 3 ME a t pr vue dans le cadre de l ONDAM m dico social pour finan cer ces mesures Dans ces conditions et depuis l adaptation de la nomenclature des actes professionnels NGAP intervenue le 27 mai dernier ces revalo risations sont r put es opposables aux SSIAD et aux ARS Les infir miers lib raux et les centres de soins seraient donc fond s facturer leurs actes en int grant l incidence de ces revalorisations Toutefois la position affich e par la DGCS dans la circulaire budg tai re s est r v l e l usage tr s ambig e et a g n
124. s rectificative pour 2012 suscite nombre d interrogations Aussi la DSS a t elle labor un questions r ponses diffus par circulaire du 18 ao t destin r pondre aux interrogations des cotisants sur l entr e en vigueur des mesures de la loi modifiant le r gime social applicable aux heures suppl mentaires et compl mentaires et relevant le taux du forfait social gt Circulaire N DSS 5B 2012 319 du 18 ao t 2012 relative au r gime social applicable aux heures suppl mentaires et au taux du forfait social r sultant de la loi n 2012 958 du 16 ao t 2012 de finances rectificative pour 2012 Liaisons sociales n 16173 Un salari en contrat d accompa gnement dans l emploi doit b n fi cier d actions de formation Le contrat d accompagnement dans l emploi dur e d termin e peut tre requalifi en contrat de travail dur e ind termin e si l employeur n assure pas la formation du salari Il r sulte de l article L 5134 22 du Code du travail qu en concluant un contrat d accompagnement dans l emploi CAE l employeur s engage mettre en uvre au b n fice du salari des actions de formation professionnelle et de validation des acquis de l exp rience Pour la Cour de cassation cet engagement doit imp rativement se traduire par la mise en uvre d actions concr tes en faveur du salari Ce type de contrat assorti d une aide financi re de l Etat a en effet pour objet l insertion professionnelle d
125. s se mettre en difficult L Uniopss s inqui te notamment de l instauration dans le texte actuel d une formation obligatoire pour ces jeunes que les associations devront assurer sans que les financements corres pondants soient fl ch s pas plus que les mesures d accompagne ment pourtant indispensables 2012 2013 Rentr e sociale des associations sanitaires sociales et m dico sociales ji ENJEUX POLITIQUES BUDGETS PR VISIONNELS 2013 UNIGPSS URIOPSS tagpors ln S bidadt s Jeanne Dietrich conseill re technique Emploi Logement de l U niopss a voqu quant elle le projet de loi Duflot en discus sion l Assembl e nationale Saluant l objectif de construction de 150 000 logements sociaux et le renforcement des obligations des communes de construire du logement social elle s est interrog e sur les conditions de mise en oeuvre de ces objectifs face notam ment la baisse pr visible annonc e du budget du logement dans le cadre du PLF 2013 L Uniopss dans les amendements qu elle a port s a demand de rendre obligatoires d une part le quota de 30 de PLAI logements accessibles aux personnes aux revenus les plus bas dans la construction des 150 000 logements sociaux pr vus dans les communes et d autre part le quintuplement des p nalit s en cas de non respect de la loi SRU Elle fera par ailleurs valoir la n cessit d un budget du logement en coh rence avec l objectif affich
126. s sorties d h pital Raison d tre des agences r gionales de sant ARS le d cloisonne ment des secteurs sanitaire et m dico social va franchir un cap sup pl mentaire la faveur de l exp rimentation de nouveaux modes d or ganisation des soins destin s optimiser le parcours de soins des personnes g es en risque de perte d autonomie Autoris es par l article 70 de la loi de financement de la s curit sociale pour 2012 ces exp rimentations doivent tre men es d s cette ann e pour une p riode n exc dant pas 5 ans dans le respect d un cahier des char ges fix par un arr t du 30 ao t Texte en pr paration depuis le d but de l ann e dont la publication tardive peut surprendre En effet les professionnels avaient d j connaissance d but juin d une liste de 11 projets retenus r partis dans 7 r gions dont la Bretagne Bourgogne Bretagne Ile de France Limousin Lorraine Pays de la Loire et Provence Alpes C te d Azur alors que l arr t publi le 26 septembre limite le cadre des exp rimentations 5 r gions De fait ce que confirme le cahier des charges les ARS int ress es par la participation ces exp rimentations devaient se manifester avant le 15 janvier 2012 Concr tement les exp rimentations poursuivent un ou deux objec tifs pr venir l hospitalisation des personnes g es module 1 et ou am liorer la gestion de leur sortie et des suites de leur s jour hospita lier mod
127. sant d un groupement de professionnels ainsi que les tablissements de sant impliqu s dans le projet REVUE D INFORMATION Conforme au cahier des charges cette convention peut pr voir la participation d une ou plusieurs collectivit s territoriales et d un ou des tablissements m dico sociaux Il ne s agit l que d une fa cult non d une obligation Toutefois la participation d un tablis sement m dico social sera port e au cr dit du projet C est dire si leur inclusion s av re en pratique indispensable De mani re assez classique la convention doit pr ciser la dur e de l exp rimentation les conditions annuelles et pluriannuelles de son suivi et de son valuation ainsi que les conditions de sa d nonciation Elle doit galement fixer le montant et les modalit s d affectation des finan cements per us pour l exp rimentation les conditions de verse ment des financements par l assurance maladie devant aussi tre d finies Le circuit financier est pour le moins complexe Certains sites s en gageant dans les exp rimentations de la LFSS pour 2012 peuvent d j disposer de ressources provenant par exemple du FICQS Fonds d intervention pour la qualit et la coordination des soins des dotations MIGAC missions d int r t g n ral et aide la contractualisation ou encore d un financement d rogatoire s agis sant des maisons de sant pour lesquelles des exp rimentations sont autoris es permettant le re
128. t Ces personnes doivent tre associ es l laboration des politiques publiques et en premier lieu des politiques de lutte contre la pauvret Pour cela des outils existent CCPA3 CCRPA4 coll ge ad hoc du CNLES5 Il convient d organiser une participation de personnes en situa tion de pauvret aux instances consultatives qui laborent suivent la mise en oeuvre et valuent les politiques au niveau national et territorial Il est n cessaire d am liorer fortement l acc s aux droits Beaucoup de personnes pauvres ignorent leurs droits ou re noncent les faire valoir Il importe de simplifier les droits de d velopper l information au plus pr s des populations concer n es de ne pas stigmatiser les personnes qui demandent leurs droits et de sanctionner les refus de soins Enfin les associations demandent que toutes les politiques publiques et notamment toute nouvelle loi fassent l objet ex ante d une tude d impact de leurs mesures sur la pauvret et l exclusion REVUE D INFORMATION PERSONNES AGEES Pour le secteur des personnes g es la prochaine mandature doit tre principalement l occasion de renforcer l effort de solidarit que r clame le prolongement des mesures d ajustement des moyens en gag s dans les tablissements et services domicile pour mieux r pondre l volution des besoins des personnes g es en manque d autonomie Dans cette perspective il convient de pallier les care
129. t doit tre un objectif central du Quinquen nat Les associations de solidarit proposent que la Nation se donne un objectif de r duction de la pauvret d un tiers en cinq ans Pour cela l indicateur mon taire ancr dans le temps sera abandonn et des indicateurs consensuels adop t s avec le CNLE et l ONPES et suivis dans le temps Afin d atteindre cet objectif le gouvernement doit tout d abord s engager sanctuariser le principe de la protection sociale En effet la grave crise conomique et sociale qui secoue notre pays impose plus que jamais l absolue n cessit de maintenir notre protection sociale au niveau qui est le sien aujourd hui s agit en effet d un des derniers filets de s curit pour nos concitoyens Toute r duction de notre protection sociale conduirait une paup risation grave d une large part de la population Afin de tenir l objectif de r duction de la pauvret le gouver nement fera adopter par le Parlement une loi de programma tion quinquennale interminist rielle pour lutter contre toutes les dimensions de la pauvret revenu minimum emploi loge ment sant ducation formation etc Cette loi sera pr pa r e et valu e par une Conf rence annuelle de lutte contre la pauvret r unissant tous les acteurs notamment associatifs Les associations demandent que les pouvoirs publics d ve loppent une politique participative l gard des personnes en situation de pauvre
130. t Actualit s Sociales Hebdomadaires n 2774 Ce que vous avez pu lire de nous ce mois ci Nous vous proposons chaque mois cette rubrique qui re prend toutes les informations que nous avons pu vous faire parvenir au cours du mois par courriel Mois de Septembre 2012 06 09 Ensemble des Fiche de dysfonction adh rents nement de la PDSA 19 09 Ensemble des Pr visions conomi adh rents ques du r seau URIOPSS UNIOPSS Page 10 Les Formations Sant Etablissements de Sant L URIOPSS Bretagne propose l intention des associa tions structures tablissements services agissant dans le domaine sant sanitaire des formations adapt es et sp cifiques Par exemple LE DROIT DES PATIENTS Cette formation a pour objectif de permettre aux participants d acqu rir des connaissances sur l volution du droit des pa tient et de r fl chir aux enjeux thiques et juridiques du droit des patients Cette formation est r alis e par un juriste sp cialiste en Droit des malades et intervenante l universit de Rennes I LE SECRET PROFESSIONNEL ET LE DROIT A L INFORMA TION DES USAGERS Il s agit de renforcer les connaissances des participants sur le droit des usagers et notamment le droit l information r fl chir aux impacts sur leur pratique quotidienne en mati re de parta ge d informations am liorer leur pratique dans le respect de la r glementation et des droits des usagers analyser les ca
131. t cr ation des ARS 2 Mesurer l impact pr visible de la r forme des collectivit s territoriales du 10 d cembre 2010 3 Conforter la d centralisation de l action sociale les coordina tions et les articulations entre les d cideurs 4 Analyser les rat s de la d centralisation et am liorer le parte nariat avec les associations 5 Constituer une plateforme politique concert e sur la d centra lisation et la r forme de l tat Page 26 TARIFICATION COOP RATION CONTRACTUALISATION M THODE ET OUTILS DES R FORMES POLITIQUES l heure actuelle le secteur social et m dico social fait face de profondes mutations et la naissance d une nouvelle r gulation le contexte conomique et politique incite fortement la restructu ration du secteur par le biais de la contractualisation et de la coo p ration dans un contexte de contraintes budg taires fortes et de r forme de la tarification transformant le mode de financement des tablissements et services sociaux et m dico sociaux ESMS Les priorit s de l Uniopss 1 Adopter une nouvelle m thodologie de concertation pour toute r forme avec les acteurs et partenaires du secteur notam ment les associations qui doit entrecroiser l valuation des besoins les r f rentiels existants Cette concertation peut porter sur les outils tels qu un observatoire des besoins un syst me d informations partag es les sch mas et plans d ac tions la tarificatio
132. tre de l Economie et des Finan ces et ministre d l gu charg de la consommation celui ax sur la gouvernance des politiques de solidarit sera anim par Marylise Lebranchu ministre de la R forme de l Etat et de la D centralisation et Fran ois Lamy ministre d l gu charg de la ville REVUE D INFORMATION Au del a pr cis le Premier ministre des th matiques transver sales telles que la pr carit des jeunes l insertion des personnes plac es sous main de justice l in galit dont sont victimes les femmes face au risque de pauvret et les probl matiques sp cifi ques certains territoires comme les zones urbaines sensibles et les collectivit s d outre mer irrigueront l ensemble de ces ate liers Afin de pr parer ces derniers le chef du gouvernement propose la mise en place de sept groupes de travail au sein du CNLE qui seront pilot s par une ou deux personnalit s reconnues pour leur ma trise des sujets abord s certaines d entre elles ayant d ores et d j t identifi es par le chef du gouvernement et ayant accept cette mission Il s agit pour les questions logement h bergement d Alain R gnier d l gu interminist riel l h bergement et l acc s au logement et de Christophe Robert d l gu g n ral adjoint de la Fondation Abb Pierre pour les questions emploi formation professionnelle de Jean Baptiste de Foucauld fondateur de Solidarit
133. triques CCN 51 jusqu 5 CV 0 59 et partir de6CV 0 71 CCN 66 CHRS Selon bar me fiscal Aide domicile V hicule automobile 0 35 et 2 roues 0 15 R mun ration horaire du personnel m dical et param dical Hors CCN M decin G n raliste 120 408 3 h 30 M decin sp cialiste 34 512 Actes AIS AMI Lettre cl AIS 2 65 Lettre cl AMI 3 15 Majoration de nuit de 20h 23h 9 15 et de 23h 5h 18 30 Majoration Dimanche 8 00 IFD indemnit s de d placement 2 50 Majoration d acte unique MAU 1 35 Forfait Hospitalier Cas g n ral 18 jour Hospitalisation dans un service de psychiatrie 13 50 jour Allocations personnes g es Allocation de solidarit aux personnes g es Personne seule 777 16 mois Couple 1 206 59 mois Plafond de ressources personne seule 9 325 98 Plafond de ressources m nage 14 4791 10 Somme mensuelle laiss e la personne plac e 93 minimum Indice de r f rence des loyers et prix la consommation 1er trimestre 2 me trimestre 2011 120 31 3 me trimestre 2011 120 95 4 me trimestre 2011 121 68 1er trimestre 2012 122 37 S rie Hors tabac ao t 2012 M nages urbains dont le chef est ou vrier ou employ 124 86 et Ensemble des m nages 125 06 S rie incluant le tabac ao t 2012 Ensemble
134. ts sociaux et m dico sociaux priv s l arr t du 11 janvier 2012 actualise la liste des comptes du plan comptable des tablissements et services priv s sociaux et m dico sociaux Afin d affiner l information et son traitement de nouveaux comptes sont cr s Contrairement au secteur sanitaire l arr t ne donne pas la liste des comptes nouveaux mais le plan de comptes complet ce qui oblige une lecture compar e des plans de comptes pour param trer les nou veaux comptes de comptabilit aussi le d tail de ces nouveaux comptes et modifications est retrouver sur notre site Internet www Fiche 67855 REVUE D INFORMATION Guide de Gestion Budg taire So cial et M dico Social destination des responsables associatifs le guide de gestion budg taire social et m dico social du r seau UNIOPSS URIOPSS pr sente toutes les clefs de la gestion des budgets pr visionnels des comptes administratifs des CPOM et de la tarification pour l tablissement Articul autour de 11 tudes th matiques il apporte des analyses et des explications sur Les enjeux du financement et de la tarification Les derni res r glementations applicables Les outils de contractualisation Les r formes de la tarification Des fonctionnalit s pour tre au fait des volutions r glementai res Actualit s au plus pr s des volutions r glementaires et bud g taires Zoom analyse approfondie sur un sujet pr
135. ts sur Le directeur manager Cette formation l intention des Directeurs G n raux et Directeurs a pour objectif de leur permettre d apprendre asseoir sa l gitimit manag riale en d veloppant savoir faire et savoir tre dans l exerci ce de son activit se positionner en tant que mana ger et d finir son r le vis vis de l institution et de son quipe et faire face aux probl matiques ren contr es et savoir prendre du recul Anim e par Odile PIERRARD Formatrice sp ciali s e dans le management PROGRAMME Rep rer son style de management Int grer une vision globale et transversale du mana gement Identifier ses r les et responsabilit s Retrouvez le programme complet de la formation sur notre site Internet www Fiche 63051 Et pour toute information et inscription contactez l URIOPSS Bretagne au 02 99 87 51 52 ou uriopss uriopss bretagne asso fr REVUE D INFORMATION Ag2r La Mondiale oap 24 Bd Beaumont A mL a a Cedex 44104 Nantes cedex 4 AG2R LA MONDIALE Tel 02 22 066655 o Tel 02 51 84 09 68 www ag2rlamondiale com oger wadii Cr dit coop ratif MUTUELLE Mutuelle St Christophe X 3 rue de l Alma i i 45 rue Fernand Robert EDIT CS 86407 Sai nt Christophe CS 16917 35604 Rennes Cedex 35069 Rennes Cedex COOPERATIF Tel 02 99 85 96 96 ASSURANCES Tel 02 99 30 15 48 www credit cooperatif coop Www msc assurance fr Tribune libre de nos partenaires D VELOPPER DURA BLEME
136. ule 2 S agissant de ces efforts men s en aval de l hospitali sation le cahier des charges se d marque en imposant notamment la mise en place d outils techniques L am lioration de l organisation intra hospitali re doit ainsi se traduire par la cr ation d un indicateur de suivi des dates pr visionnelles de sortie Par ailleurs le minist re de la sant exige terme la mise en place d un syst me d information fiable et s curis au service dans un premier temps des acteurs impliqu s dans l exp rimentation puis dans un second temps des autres acteurs de sant du territoire formalis dans le projet de san t Les consignes restent souples aucun d lai n tant fix par le cahier des charges qui pr voit au contraire que ce syst me d informa tion puisse tre install de mani re progressive Quelques pr ci sions d ordre g n ral sont par ailleurs apport es sur la nature des donn es collect es anonymis es elles portent sur les caract ristiques de la population incluse dans l exp rimentation les parcours de soins et le service rendu La mise en uvre des exp rimentations qui reposent sur le volonta riat suppose la conclusion d une convention entre les repr sentants institutionnels directeur g n ral de l ARS et directeur de l organisme local d assurance maladie et des professionnels du secteur sanitaire les professionnels de sant ou les repr sentants d une maison de sant d un centre de
137. ultiples orienta tions les politiques sectorielles et leur financement les politiques de professionnalisation et de qualification les politiques de r mun ration les politiques de soutien au b n volat et au volontariat etc Celles ci conditionnent non seulement la viabilit des activit s mais aussi le sens du travail les conditions de travail le climat social la qualit de l emploi et ainsi au final la qualit pour l usager Dans ce contexte soutenir la formation est un enjeu central pour r pondre aux besoins de l emploi en professionnels sanitaires et sociaux qualifi s Or les normes financi res actuelles de la formation professionnelle tout au long de la vie ne prennent pas suffisamment en compte les sp cifici t s de l emploi et des formations sanitaires et sociales Parall lement la r gulation financi re des tablissements sanitaires et sociaux fait obstacle au financement de la formation en alternance des jeunes et ob re ainsi la formation de professionnels qualifi s en nombre suffi sant La viabilit le devenir et la qualit de ces emplois supposent une politique volontariste port e par l ensemble des acteurs concer n s pouvoirs publics partenaires sociaux mouvements et r seaux associatifs Les priorit s de l Uniopss 1 Conforter la concertation avec les associations sur les ques tions de l emploi et de la formation malgr le fait qu elles ne soient pas officiellement reconnues par les textes
138. vre sans r seaux dans l action sociale Que faut il en attendre Faut il s en m fier Une soixantaine d acteurs du sec teur social en ont d battu avec des d cideurs du monde conomi que le 2 octobre Rennes lors de la matin e Transversale du Canard Social La premi re du genre en r gion Bretagne organi s e en partenariat avec la Caisse d Epargne Bretagne Pays de la Loire et le Conseil g n ral d Ille et Vilaine gt L article complet est retrouver sur le site Internet www lecanardsocial com Fiche de dysfonctionnement de la Permanence Des Soins Ambula toires Dans le cadre de la mise en uvre du cahier des charges r gional de la Permanence Des Soins Ambulatoires PDSA une fiche de recueil de dysfonctionnement a t valid e par les associations d partementales de la permanence des soins les SAMU Centre 15 SOS M decins le conseil r gional et les conseils d partemen taux de l ordre des m decins l URPS M decins et l ARS Bretagne celle ci est donc votre disposition D s pr sent les tablissements constatant un dysfonctionne ment sont invit s compl ter et transmettre syst matiquement l ARS Bretagne cette fiche renseign e l occasion de tout incident pouvant tre constat durant les horaires de PDSA Une synth se des fiches r ceptionn es sera r alis e d ici 6 mois et permettra d adapter ventuellement le dispositif en place gt Cette information vous t envoy
139. z nous au 02 99 87 51 52 ou uriopss uriopss bretagne asso fr Page 20 REVUE D INFORMATION Pauvret Exclusion Rencontre de l Uniopss avec C cile Duflot Des avanc es en mati re d acc s au logement pour les plus d munis Communiqu de presse de l UNIOPSS du 6 septembre 2012 Le 28 ao t dernier l Uniopss a t re ue par la ministre du Logement C cile Duflot L occasion d aborder un certain nombre de questions centrales pour les associations de solidarit h bergement d urgence logements sociaux revalorisation de l APL accueil des Roms sans oublier la prochaine conf rence de lutte contre la pauvret et l exclu sion qui devrait avoir lieu la mi novembre L Uniopss repr sent e par Dominique Balmary pr sident Nicolas Cl ment directeur g n ral Jeanne Dietrich conseill re technique EmploiLogement et Claude Chaudi res animateur du groupe Pr vention H bergement Logement ont t re us par C cile Duflot le 28 ao t Au cours de cette rencontre l Uniopss est revenue sur la promesse faite au Collectif ALERTE par Fran ois Hollande alors candidat de cr er 15 000 places d h bergement suppl mentaires en cinq ans L ob jectif tant pour le secteur Accueil H bergement Insertion de ne pas aborder l hiver 2012 dans le m me climat de tension que celui de l an dernier Sur ce point C cile Duflot a indiqu qu elle pr ciserait la hau teur des places suppl mentaires envisag es une fois le Proj

Octobre - Uniopss

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