Home

Fre - Unesco

1. la Directrice g n rale de l UNESCO de mettre en uvre un certain nombre de mesures notamment de prendre en compte la pertinence et la validit de la Convention sur l enseignement technique et professionnel 1989 et de la Recommandation r vis e concernant l enseignement technique et professionnel 2001 en vue de l ventuelle laboration d instruments normatifs nouveaux ou r vis s qui soient adapt s un monde en mutation Examen d ensemble des instruments normatifs 13 L examen qu a r alis le Secr tariat des instruments normatifs concernant l EFTP s appuie sur un large ventail de contributions qu il s agisse des r sultats des r centes sessions du Conseil ex cutif des conclusions de l tude ind pendante de l tude par l UNESCO des tendances et probl mes actuels en mati re d EFTP des r sultats de la s ance sp ciale du troisi me Congr s international sur l EFTP ou des conclusions g n rales du Congr s 14 En r sum l examen fait ressortir le d calage qui existe entre le contenu des instruments normatifs et les r alit s actuelles Face l volution rapide de la d mographie et des technologies le ch mage des jeunes le sous emploi le d veloppement durable et la paix suscitent des inqui tudes de plus en plus profondes Des approches plus int gr es sont n cessaires dans les domaines d action tels que l ducation la sant la formation et l emploi 15 L EFTP est aujourd hui associ
2. la r solution 36 C 14 des discussions sont en cours pour l organisation d une Conf rence internationale d Etats d di e l examen et l adoption du texte r vis de la Convention Cette conf rence devrait se tenir en 2013 Europe et Am rique du Nord Convention de Lisbonne 1997 une conf rence anniversaire c l brant les 15 ans de la Convention a t organis e Tol de Espagne 19 20 juin 2012 En plus de r fl chir aux effets que l application de la Convention et de ses textes subsidiaires ont exerc s ces quinze derni res ann es cette conf rence vise souligner l importance politique de cet instrument normatif envisager l avenir dans et hors de l Europe et offrir une occasion de dialoguer sur la reconnaissance dans un contexte mondial La 19 R union conjointe des R seaux ENIC R seau europ en des Centres d information sur la reconnaissance des tudes et la mobilit et NARIC Centres nationaux d information sur la reconnaissance acad mique accueillie par l Espagne s est galement tenue Tol de 17 19 juin 2012 36 Conform ment la demande faite par le Comit r gional sur la reconnaissance des tudes des dipl mes et des grades de l enseignement sup rieur en Asie et dans le Pacifique sa 11 session une tude de faisabilit a t lanc e pour examiner une possible future Convention mondiale Cette tude inclura galement des contributions de chaque bureau r gional de la Conve
3. tres humains et la soci t L apparition de risques impr visibles et al atoires mais potentiellement catastrophiques a favoris le d veloppement d approches ax es sur le principe de pr caution qui taient peu reconnues en 1974 Les activit s de recherche qui ont pris une dimension internationale et plus complexe et exigent davantage d investissements sont dans le m me temps remodel es de diverses mani res par les technologies num riques Parmi les d fis auxquels les communaut s scientifiques se trouvent actuellement confront es figurent les nouveaux moyens de circulation de l information scientifique qui facilitent l apparition de formes nouvelles et certains gards probl matiques de comportements scientifiques tout en modifiant les conditions d acc s l information scientifique en supprimant certaines barri res et en en cr ant d autres L expansion et la globalisation se sont galement accompagn es de pressions commerciales et s curitaires croissantes sur la science ainsi que de nouvelles formes plus aigu s de concurrence entre les tablissements Concr tement une des cons quences a t une contractualisation accrue de la recherche scientifique assortie de conditions pouvant porter atteinte aux principes traditionnels de libre acc s et d int r t g n ral Il n est pas certain que les m canismes de mise en uvre des principes thiques puissent s appliquer de la m me mani re la recherche fi
4. 54 54 25 44 68 52 63 Convention de 1970 19 24 23 19 22 15 Total 122 70 37 96 69 70 43 18 46 80 78 95 Convention de 1989 0 3 0 3 5 6 Total 17 0 12 0 6 81 10 63 31 57 Mesures concr tes prises par le Secr tariat pour mettre en uvre les nouvelles proc dures sur le suivi de l application des conventions et recommandations dont le Conseil est charg d assurer le suivi g Convention de 1960 concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l enseignement ED 5 Depuis le lancement de la derni re consultation en 2006 huit tats membres ont ratifi la Convention dont deux en 2010 et un tr s r cemment en 2012 Un certain nombre d Etats membres ont entam le processus de ratification ou envisagent de le faire Cependant le niveau global de ratification reste faible ce qui limite l application universelle de la Convention L importance de l application de cet instrument a fait l objet d une action de sensibilisation qui s est accompagn e d une campagne en faveur de sa ratification visant mieux le faire conna tre Certaines difficult s sp cifiques se posent pendant le processus de ratification comme la structure f d rale de certains pays qui a pu entraver leur adh sion la Convention et la m connaissance de cet instrument en g n ral Dans le cadre de la huiti me Consultation le Secr tariat souhaite obtenir des
5. autres termes concernant la qualification la certification et la validation des acquis ant rieurs l ducation en vue du d veloppement durable et les soci t s vertes ainsi que l valuation des r sultats de l apprentissage 10 Les participants ont estim que toute Recommandation r vis e en mati re d EFTP devrait tre br ve et souple afin de r pondre aux besoins de tous les Etats membres gr ce une approche int gr e en phase avec les autres politiques socio conomiques notamment celles qui concernent la jeunesse et l emploi Malgr le caract re universel d un certain nombre de grands principes les participants ont soulign l importance des sp cificit s nationales et r gionales ainsi que la diversit des cadres d apprentissage dans le domaine de l EFTP 11 D autres s ances du Congr s ont galement pr sent un int r t pour lavenir de ces instruments normatifs Il y a notamment t question des composantes essentielles des syst mes d EFTP et de la pertinence d une normalisation internationale par exemple en mati re d EFTP et de statistiques du march du travail A l ordre du jour figuraient en particulier des s ances consacr es la coop ration et au dialogue interr gionaux ainsi qu la question de la transparence des syst mes de qualification de l EFTP et de la reconnaissance internationale des qualifications 12 Le Congr s a d bouch sur l adoption du Consensus de Shanghai qui recommande
6. lus MM Francesco Margiotta Brogjlio Italie et Klaus H fner Allemagne respectivement pr sident et vice pr sident de la Commission Jusqu ce jour la Commission n a jamais t appel e faire usage de ses bons offices ni exercer ses fonctions de conciliation Pour plus d information sur la Commission http portal unesco org fr ev php URL 1D 23762 amp URL DO DO TOPIC amp URL SECTION 201 html http www unesco org new en education themes leading the international agenda right to 20education monitoring 8eme consultation of member states on their implementation 190 EX 24 Partie page 3 7 Comme indiqu dans le document 189 EX 13 la premi re phase de la cr ation d une base de donn es mondiale sur le droit l ducation et les cadres juridiques correspondants a t men e bien La deuxi me phase qui porte sur l int gration du contenu est actuellement en cours de r alisation Cette base de donn es contiendra des informations par pays sur la ratification et l tat d avancement des rapports sur les conventions de l UNESCO et les autres instruments des Nations Unies relatifs au droit l ducation ainsi que sur les cadres juridiques internes constitutionnel l gislatif et r glementaire les politiques et la jurisprudence 8 En outre la version fran aise de la publication intitul e Mettre en uvre le droit l ducation Compilation d exemples pratiques extraits de la septi me consu
7. tablissements d enseignement sup rieur et de l autre les commissions nationales de l UNESCO et les d l gations permanentes aupr s de l Organisation 22 Cette tude disponible sur demande a fourni des r sultats int ressants 68 des tablissements d enseignement sup rieur r servent une mention sp cifique aux libert s acad miques dans leurs statuts et 60 ont mis en place une politique ou un m canisme de protection de ces libert s acad miques 81 des d l gations ont r pondu que leur pays avait adopt des lois indiquant la mani re dont les libert s acad miques devaient tre prot g es tandis que 63 ont fait tat de l existence d un m canisme national de surveillance de ces libert s 74 d entre elles ont galement signal l existence d un m canisme national de traitement des plaintes Concernant la sensibilisation la Recommandation de 1997 52 des personnes interrog es au sein d tablissements d enseignement sup rieur et 82 de celles issues de commissions nationales et de d l gations permanentes ont d clar conna tre cette Recommandation Cela montre que la communication de l UNESCO des minist res nationaux et des ONG a t assez efficace Toutefois des efforts peuvent encore tre faits pour am liorer la sensibilisation aux Recommandations et assurer leur application Recommandation de 1974 sur l ducation pour la compr hension la coop ration et la paix internationales et l ducatio
8. 13 III le pr sent document contient un rapport r capitulatif et toff sur le suivi de la Recommandation concernant la condition des chercheurs scientifiques 1974 Incidences financi res voir paragraphe 15 Action attendue du Conseil ex cutif d cision propos e au paragraphe 16 190 EX 24 Partie IV I CONTEXTE 1 Le pr sent rapport r capitulatif et toff sur l application de la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques ci apr s d nomm e la Recommandation de 1974 gt est tabli conform ment la d cision 189 EX 13 IlI adopt e par le Conseil ex cutif en f vrier 2012 2 sa 189 session le Conseil ex cutif ayant examin le rapport initial sur le suivi de l application de la Recommandation de 1974 document 189 EX 13 Partie Ill a reconnu l importance de la Recommandation de 1974 et soulign la n cessit d am liorer son efficacit et son suivi conform ment aux r sultats des consultations de 2006 document 175 EX 14 et aux recommandations de la COMEST de 2009 ventuellement sur la base des principes nonc s dans la D claration de 1999 sur la science et l utilisation du savoir scientifique et dans la D claration universelle de 2005 sur la bio thique et les droits de l homme 3 Eu gard au faible nombre de contributions re ues au 15 janvier 2012 en r ponse l exercice de suivi le Conseil ex cutif a exhort les Etats membres s acquitt
9. contribue au rapport de la Commission Le large bande au service du d veloppement num rique pr vu pour juillet 2012 Cette contribution inclura les premiers r sultats du Rapport mondial 2012 sur la mise en place des IDN iv en mars 2012 une nouvelle 190 EX 24 Partie page 9 publication intitul e Net LANG R ussir le cyberespace multilingue a t publi e par le R seau mondial pour la diversit linguistique MAAYA et C amp F Editions France L UNESCO a appuy financi rement cette publication qui promeut la Recommandation de 2003 contient une pr face de la Directrice g n rale et propose des conseils aux d cideurs et dirigeants politiques ainsi qu aux chercheurs et professionnels concernant la cr ation d un cyberespace v ritablement multilingue Action attendue du Conseil ex cutif 39 Au vu de ce qui pr c de le Conseil ex cutif souhai itera peut tre adopter une d cision libell e comme suit Le Conseil ex cutif 1 Rappelant les r solutions 15 C 12 2 et 23 C 29 1 la d cision 165 EX 6 2 la r solution 32 C 77 les d cisions 170 EX 6 2 171 EX 27 174 EX 21 175 EX 28 176 EX 33 182 EX 31 184 EX 20 185 EX23 1 186 EX 19 I 187 EX 20 I et 189 EX 13 I relatives au premier volet du mandat du Comit sur les conventions et recommandations CR qui a trait l application des instruments normatifs Ayant examin le document 190 EX 24 Partie et le rapport du Comit sur les
10. dans les six langues officielles avaient t adress s certains participants et des exemplaires imprim s avaient t mis disposition sur place Cette s ance tait ouverte tous les participants au Congr s 7 La s ance de deux heures a t suivie par 70 participants venant de 50 pays Le Congr s international tait une r union technique caract re non repr sentatif cat gorie IV et les participants cette s ance sp ciale y assistaient en leur qualit d experts individuels et non en tant que repr sentants d Etats membres 8 Les participants ont eu un d bat passionn au cours duquel ils ont confirm que ces instruments normatifs gagneraient tre actualis s rejoignant ainsi les conclusions de l tude ind pendante En tant que sp cialistes de l EFTP n ayant pas n cessairement une bonne connaissance des diff rents instruments juridiques internationaux les participants ont concentr 190 EX 24 Partie III page 2 leur attention sur le contenu la pertinence et le champ d application des instruments en particulier la Recommandation r vis e de 2001 9 Les participants ont soulign que la Recommandation devait accorder une plus grande attention la demande d EFTP et mettre davantage l accent sur l apprentissage tout au long de la vie Ils ont sugg r de revoir les concepts et domaines d action essentiels tels que l enseignement technique et professionnel ETP la gouvernance et d
11. informations concr tes et plus d taill es sur les principaux obstacles que rencontrent les Etats membres dans le processus de ratification Cela lui permettrait d tre mieux inform des obstacles surmonter 6 Comme le pr voit la d cision 184 EX 20 et conform ment la proc dure par tapes la huiti me Consultation a t ouverte selon les principes directeurs pour l tablissement des rapports adopt s par le Conseil ex cutif dans sa d cision 186 EX 19 Il Des actions de sensibilisation sont men es pour encourager les Etats tablir des rapports dans le cadre de cette Consultation La date limite de soumission des rapports nationaux a r cemment t repouss e Les r sultats de la Consultation seront pr sent s au Conseil ex cutif sa 192 session 2013 1 http portal unesco org fr ev php URL ID 46874 amp URL DO DO TOPIC amp URL SECTION 201 html S agissant du Protocole de 1962 instituant une Commission de conciliation et de bons offices charg e de rechercher la solution des diff rends qui na traient entre Etats parties la Convention concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l enseignement il a t ratifi par 33 tats r partis par groupe lectoral comme suit Groupe 12 44 44 Groupe Il O 0 Groupe III 7 21 21 Groupe IV 4 9 09 Groupe V a 7 14 89 Groupe V b 4 21 05 Suite un vote par correspondance les membres de la Commission ont
12. la municipalit de Kob le Syndicat des enseignants et personnels de Tokyo le Syndicat des enseignants et personnels des tablissements secondaires deuxi me cycle du Hokkaido et le Syndicat g n ral des enseignants et personnels du Hokkaido Une communication additionnelle dat e du 5 avril 2010 a t pr sent e par le Syndicat des enseignants et personnels des tablissements pour enfants handicap s de la pr fecture de Kanagawa SINSHOKYOSO La communication du gouvernement contenait une d claration du MEXT qui d veloppait ses propos ant rieurs sur l valuation des enseignants leurs comp tences et les mesures disciplinaires Le gouvernement avait dit auparavant qu il continuait d encourager les conseils de l ducation locaux suivre les Directives relatives au 190 EX 24 Partie Il Annexe page 2 syst me de gestion du personnel pour les enseignants dispensant un enseignement inappropri publi es en f vrier 2008 qui ont t pr sent es la mission d enqu te II estimait que les conseils de l ducation pr fectoraux et les principaux conseils de l ducation municipaux continuaient de g rer correctement les consultations avec les organisations d enseignants sur la question de l valuation des enseignants Lorsque certains enseignants sont jug s d pourvus de la capacit d ex cuter correctement leur travail les autorit s locales leur octroient une formation pour am liorer leurs comp tences p dago
13. le biais de leurs acad mies et associations professionnelles A cette fin il conviendrait de pr voir une large consultation publique pour pr parer l examen par les Etats membres de l UNESCO de propositions sp cifiques en vue de la r vision du texte de la Recommandation de 1974 13 Question 6 Pensez vous que cette tude pr liminaire devrait tre examin e par le Conseil ex cutif en 2013 en vue de l inscription l ordre du jour de la 37 session de la Conf rence g n rale de la question de l opportunit de r viser la Recommandation de 1974 La majorit des r ponses cette question ont t positives Dans une contribution il a toutefois t soulign qu il semblait trop optimiste d envisager que le processus d examen des questions relatives la r vision de la Recommandation de 1974 puisse s achever en 2013 compte tenu de la n cessit de consulter les diff rentes parties prenantes Le groupe de travail ad hoc devrait disposer d au moins 18 mois pour soumettre au Conseil ex cutif un rapport qui serait ensuite transmis la Conf rence g n rale 14 Question 7 Si un processus d examen de la Recommandation de 1974 tait mis en uvre en vue de la r vision ou de la mise jour de ce texte pr f reriez vous qu il porte essentiellement sur les aspects sp cifiques de la Recommandation du texte qui pourraient tre am lior s ou sur l examen des questions g n rales auxquelles un instrument normatif actuell
14. les Etats membres et renforcer la coop ration internationale et r gionale 4 Les conclusions de l tude ind pendante ont t pr sent es au Conseil ex cutif document 187 EX 20 Partie IV Lors du d bat sur ce point il est clairement apparu que certains Etats membres estimaient que ces instruments demeuraient pertinents Si le faible taux de ratification de la Convention semblait premi re vue indiquer un manque de reconnaissance quant la pertinence de ces instruments les discussions ont toutefois laiss penser que certains Etats membres consid raient la Convention comme un texte de r f rence bien qu ils ne laient pas ratifi 5 Dans sa d cision 187 EX 20 IV le Conseil ex cutif a pri la Directrice g n rale d inclure dans la pr paration du troisi me Congr s international sur l EFTP mai 2012 une discussion sur le contenu la pertinence et le champ d application de la Convention sur l enseignement technique et professionnel 1989 et de la Recommandation r vis e concernant l enseignement technique et professionnel 2001 afin de permettre l Organisation de r examiner ces instruments normatifs Discussions tenues lors du troisi me Congr s international sur l EFTP 6 Lors du troisi me Congr s international sur l EFTP le Secr tariat a organis une s ance sp ciale sur le th me R examen des instruments normatifs de l UNESCO relatifs l EFTP Des hyperliens vers ces instruments normatifs
15. t con u pour des personnes cl s dans les Etats membres susceptibles d am liorer l ducation des adultes au niveau national en soutenant la mise en uvre du suivi de CONFINTEA VI Le programme de bourses d tude est quant lui ouvert aux tudiants et stagiaires anglophones de tous les Etats membres g Recommandation r vis e de 1978 concernant la normalisation internationale des statistiques de l ducation ISU 29 LISU a commenc de fournir aux pays une formation et d autres formes d appui pour les aider adapter leur syst me de fourniture de donn es sur l ducation la nouvelle Classification internationale type de l ducation CITE temps pour les premi res enqu tes internationales pr vues en 2014 Fin avril d but mai 2012 la classification r vis e a t pr sent e aux pays de l Asie de l Est du Sud et de l Ouest dans des ateliers r gionaux qui se sont tenus Bangkok Des 190 EX 24 Partie page 7 ateliers seront respectivement organis s d but octobre et d but novembre pour les tats arabes et pour les pays d Afrique du Sud et de l Est D autres r gions seront cibl es en 2013 En outre les quipes de conseillers r gionaux et multipays en statistique de l ISU bas es hors Si ge ont fourni un appui local aux statisticiens et leurs homologues nationaux dans le cadre de leurs activit s ordinaires avec les pays 30 LISU travaille actuellement l laboration d un manuel d utilisation po
16. t 2012 Original anglais Point 24 de l ordre du jour provisoire APPLICATION DES INSTRUMENTS NORMATIFS PARTIE IlI APPLICATION DE LA CONVENTION DE 1989 SUR L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL ET DE LA RECOMMANDATION REVISEE DE 2001 CONCERNANT L ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL EFTP R sum Conform ment la d cision 187 EX 20 IV la Directrice g n rale pr sente les conclusions du r examen par le Secr tariat des deux instruments normatifs que sont la Convention de 1989 sur l enseignement technique et professionnel et la Recommandation r vis e de 2001 concernant l enseignement technique et professionnel EFTP Ce r examen s appuie sur la consultation d experts concernant le contenu la pertinence et le champ d application de ces instruments normatifs men e dans le cadre du troisi me Congr s international sur l EFTP tenu Shanghai 14 16 mai 2012 sur l tude de l UNESCO consacr e aux tendances et probl mes mondiaux en mati re d EFTP ainsi que sur d autres faits nouveaux r cents dans ce domaine Le pr sent document n a aucune incidence financi re ou administrative Action attendue du Conseil ex cutif d cision propos e au paragraphe 24 190 EX 24 Partie III Contexte 1 L UNESCO est charg e d assurer le suivi de l application de deux instruments normatifs concernant l enseignement et la formation techniques et professionnels EFTP savoir la Convention de 1989 sur l ense
17. 89 EX 13 III les Etats membres ont t express ment invit s donner leur point de vue sur le processus qui pourrait tre adopt en temps utile afin d valuer l opportunit de r viser et de mettre jour la Recommandation de 1974 5 Outre les 18 tats membres qui ont r pondu en janvier 2012 Allemagne Arm nie Autriche Belgique Commission francophone et germanophone pour l UNESCO Chypre Danemark gypte ex R publique yougoslave de Mac doine Finlande Japon Kazakhstan Lettonie Malawi Monaco Philippines Pologne Portugal et Slovaquie 14 autres Etats membres avaient soumis leurs contributions l ch ance du 9 juillet 2012 ou peu apr s cette date Australie Azerba djan Br sil Canada Chine Etats Unis d Am rique France Ouzb kistan P rou Qatar R publique de Cor e R publique islamique d Iran S n gal et Venezuela R publique bolivarienne du L Egypte et le Danemark ont soumis des contributions suppl mentaires en plus des r ponses au questionnaire diffus le 8 juin 2012 Au moment de la r daction du pr sent document 32 Etats membres au total avaient exprim leurs vues et opinions dans le cadre du processus de consultation Un certain nombre d Etats membres ont par ailleurs indiqu qu ils transmettraient d autres contributions une date ult rieure Un document analytique rassemblant toutes les contributions y compris celles non prises en compte dans le pr sent rapport sera mis disposi
18. Convention tel qu un protocole rappel des dispositions pr vues dans les autres conventions et examen de la question de l absence de ces organes pour la Convention et de l ventuelle opportunit d en cr er Convention de 1989 sur l enseignement technique et professionnel ED 18 Conform ment la d cision 187 EX 20 IV les instruments normatifs de l UNESCO sur l EFTP ont t examin s lors du troisi me Congr s international sur l EFTP Shanghai Chine 14 16 mai 2012 Les participants ont recommand que soient valu es la pertinence ainsi que l actualit de la Convention de 1989 et de la Recommandation r vis e de 2001 en vue de l laboration ventuelle de textes souples nouveaux ou r vis s qui seraient adapt s un monde en volution et capables de r pondre aux besoins de tous les Etats membres voir galement le document 190 EX 25 Partie IIl g Recommandation de 1960 concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l enseignement ED 19 Voir supra paragraphes 5 9 190 EX 24 Partie page 5 Recommandation de 1966 concernant la condition du personnel enseignant et Recommandation de 1997 concernant la condition du personnel enseignant de l enseignement sup rieur ED 20 Le Comit conjoint OIT UNESCO d experts sur l application des Recommandations concernant le personnel enseignant CEART examinera sa 11 session Gen ve 8 12 octobre des questions relatives ces Re
19. EX 4 4 et la d cision 157 EX 6 3 la Directrice g n rale soumet ci apr s au Conseil ex cutif le rapport int rimaire du Comit conjoint OIT UNESCO d experts sur l application des Recommandations concernant le personnel enseignant CEART qui a trait aux all gations de non respect de ces Recommandations transmises au CEART par des organisations d enseignants voir annexe Aucune incidence financi re ou administrative Action attendue du Conseil ex cutif d cision propos e au paragraphe 5 1 Le Comit conjoint OIT UNESCO d experts sur l application des Recommandations concernant le personnel enseignant CEART a t cr en application des d cisions prises parall lement par le Conseil ex cutif de l UNESCO et le Conseil d administration du Bureau international du Travail OIT en 1967 Il a pour mandat de suivre et promouvoir l application des Recommandations internationales concernant le personnel enseignant la Recommandation OIT UNESCO de 1966 concernant la condition du personnel enseignant et la Recommandation de l UNESCO de 1997 concernant la condition du personnel enseignant de l enseignement sup rieur et de faire rapport ce sujet au Conseil ex cutif de l UNESCO et au Conseil d administration du BIT Dans le cadre de son mandat le CEART examine les communications sous forme d all gations manant d organisations internationales et nationales d enseignants selon lesquelles les dispositions d une ou des deux
20. IT Conseil ex cutif 190 EX 24 Cent quatre vingt dixi me session Organisation Partie des Nations Unies pour l ducation E la science et la culture PARIS le 13 ao t 2012 Original anglais fran ais Point 24 de l ordre du jour provisoire APPLICATION DES INSTRUMENTS NORMATIFS PARTIE I SUIVI G N RAL R sum Faisant suite au paragraphe 4 de la d cision 189 EX 13 I pr sent document contient un rapport global sur les trois conventions et 11 recommandations de l UNESCO dont le Comit sur les conventions et recommandations CR est charg d assurer le suivi y compris une analyse des tendances actuelles quant au suivi de l application de chacun de ces instruments Ce point n entra ne aucune incidence financi re et administrative Action attendue du Conseil ex cutif d cision propos e au paragraphe 39 1 Par sa d cision 189 EX 13 I le Conseil ex cutif a pri la Directrice g n rale de veiller la mise en uvre du cadre juridique adopt sa 177 session sur l application des trois conventions et 11 recommandations dont le Comit CR est charg d assurer le suivi d cision 177 EX 35 Parties et Il 2 Le pr sent document contient apr s un bref tat des ratifications des trois conventions et du Protocole de 1962 un bilan des mesures prises par le Secr tariat pour mettre en uvre ce cadre ainsi qu une analyse des tendances actuelles y compris des difficult s dans la mise
21. a session ordinaire de la COMEST de 2013 pr vue pour mai 2013 Bratislava Slovaquie lll Conclusion 16 En cons quence le Conseil ex cutif souhaitera peut tre envisager d adopter le projet de d cision ci apr s Le Conseil ex cutif 1 Rappelant les d cisions 177 EX 35 I et 189 EX 13 III 2 Ayant examin le document 190 EX 24 Partie IV et le rapport pertinent du Comit sur les conventions et recommandations figurant dans le document 190 EX 3 Exprime sa gratitude aux tats membres qui ont soumis leurs rapports nationaux sur l application de la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques et pris part aux consultations pr liminaires qui ont permis la Directrice g n rale de pr parer le rapport r capitulatif et toff sur l application de la Recommandation de 1974 conform ment la d cision 189 EX 13 III 4 Se f licite des opinions exprim es par les tats membres selon lesquelles la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques repr sente un l ment important d un cadre directeur g n ral en mati re d thique de l activit scientifique et reste ad quate et applicable pour les questions touchant l thique et aux politiques scientifiques auxquelles elle est cens e r pondre 5 Prend note des opinions et vues exprim es par les tats membres en ce qui concerne l opportunit de r viser et de mettre jour la Rec
22. aires le Groupe d experts des classifications des Nations Unies et des sp cialistes issus de r gions en d veloppement Asie Afrique et Am rique latine Un premier projet de classification r vis e sera examin en juillet ao t 2012 par les membres du groupe le Groupe d experts des Nations Unies et les sp cialistes des r gions en d veloppement Si ces experts rendent un avis favorable une deuxi me version sera labor e en vue d une consultation mondiale qui aura lieu dans le dernier trimestre 2012 et laquelle tous les Etats membres pourront contribuer L objectif est de soumettre une version finale pour adoption par la Conf rence g n rale sa 37 session Recommandation de 1980 relative la condition de l artiste CLT 33 sa 36 session la Conf rence g n rale a invit la Directrice g n rale lui transmettre sa 38 session 2015 le prochain rapport consolid sur la mise en uvre de cette Recommandation 36 C R solution 103 Afin de se conformer cette r solution le Secr tariat envisage de consulter au cours de ce biennium pour une deuxi me fois les Etats membres sur l application de cette Recommandation sur leur territoire 34 Il est cependant noter que la Recommandation de 1980 n tant pas incluse dans le grand programme IV du 36 C 5 aucun budget n a t allou pour l exercice biennal afin de mettre en uvre et assurer le suivi effectif de cette Recommandation Recommandation
23. ation r vis e de 2001 le Conseil ex cutif reprendrait l examen de la Convention de 1989 afin de d terminer s il est pr f rable d en suspendre le suivi de la r viser ou de mettre au point et d adopter une convention compl tement nouvelle puis en aviserait la Conf rence g n rale cet gard lorsqu elle adopterait la Recommandation r vis e la Conf rence g n rale pourrait demander la 190 EX 24 Partie III page 4 Directrice g n rale de pr senter un rapport sur l opportunit de telles initiatives compte tenu des discussions qui auront eu lieu avant l adoption de la Recommandation r vis e 23 La recommandation que le Secr tariat adresse au Conseil ex cutif se fonde sur les motifs suivants Premi rement la r vision d une recommandation requiert beaucoup moins de temps que celle d une convention Deuxi mement la proc dure de vote est bien moins lourde puisqu elle ne n cessite qu une majorit simple au lieu d une majorit des deux tiers comme ce serait le cas pour une convention Troisi mement une recommandation entre en vigueur imm diatement apr s adoption par la Conf rence g n rale tandis qu une convention n cessite davantage de temps pour tre ratifi e Quatri mement et surtout la recommandation est un instrument plus souple qui permet plus facilement de mettre en uvre la transformation n cessaire de l EFTP et r pond la n cessit pour le sous secteur de rester valable Enfin la r
24. avec les r visions qui pourraient tre apport es la Recommandation r vis e N anmoins le Secr tariat partage lavis qui ressort de l tude ind pendante et exprim par les sp cialistes lors du troisi me Congr s international sur l EFTP selon lequel long terme une convention internationale n est peut tre pas le type d instrument normatif le plus appropri pour faire avancer la cause de l EFTP dans les Etats membres Cela s explique par la rigidit et le caract re juridiquement contraignant d une convention ainsi que par les situations tr s diverses de l EFTP d un pays l autre L avenir 21 Le moment est id al pour envisager l avenir des instruments normatifs concernant l EFTP Du point de vue du Secr tariat qui refl te celui de la grande majorit des sp cialistes ce jour le statu quo ne favoriserait ni le d veloppement de l EFTP dans les Etats membres de l UNESCO ni un renforcement de la coop ration internationale Le Secr tariat recommande donc au Conseil ex cutif de proposer la Conf rence g n rale sa 37 session d accepter que l on r vise la Recommandation r vis e de 2001 sur la base des discussions tenues lors du troisi me Congr s international sur l EFTP ainsi que d autres volutions r centes 22 La d cision concernant lavenir de la Convention de 1989 serait report e une session ult rieure de la Conf rence g n rale Une fois adopt e la r vision de la Recommand
25. commandations Des groupes de travail ont t constitu s en fonction de th mes pertinents tels que politiques de formation des enseignants et normes d assurance qualit dialogue social dans l ducation bonnes pratiques et tendances au niveau national conditions d emploi gouvernance dans l enseignement sup rieur qualifications requises pour le personnel enseignant des universit s et entr e dans la profession violence et ins curit cons quences de la r cession conomique sur l ducation et les enseignants et all gations 21 Conform ment l article 75 de la Recommandation de 1997 et comme nonc dans le document 189 EX 13 Partie une tude sur la situation des libert s acad miques et de l autonomie institutionnelle a t r alis e dans le cadre de cette Recommandation Cette tude vise recueillir des t moignages de premi re main sur la situation des libert s acad miques et leur protection aux niveaux des tablissements et des pays en s int ressant aux politiques et m canismes mis en place pour prot ger ces libert s aux menaces et entraves pesant sur elles et aux recours dont disposent les membres de la communaut acad mique pour porter plainte et demander r paration pour atteinte ces libert s Les informations ont t recueillies par le biais d un questionnaire labor par l UNESCO et l Association internationale des universit s auquel ont r pondu deux groupes distincts d une part les
26. conventions et recommandations ce sujet 190 EX Prie instamment nouveau les tats membres de s acquitter de leurs obligations juridiques aux termes de l article VIII de Acte constitutif de l UNESCO en ce qui concerne les rapports p riodiques sur la suite donn e aux conventions et recommandations Prie la Directrice g n rale de veiller la mise en uvre de ce nouveau cadre juridique par les secteurs de programme et l Institut de statistique de l UNESCO ISU responsables des conventions et recommandations dont le Comit sur les conventions et recommandations assure le suivi D cide de poursuivre l examen de ce point sa 191 session Ce document est imprim sur du papier recycl IT Conseil ex cutif 190 EX 24 Cent quatre vingt dixi me session Organisation Parti e des Nations Unies pour l ducation la science et la culture PARIS le 13 ao t 2012 Original anglais Point 29 de l ordre du jour provisoire APPLICATION DES INSTRUMENTS NORMATIFS PARTIE II APPLICATION DE LA RECOMMANDATION DE 1966 CONCERNANT LA CONDITION DU PERSONNEL ENSEIGNANT ET DE LA RECOMMANDATION DE 1997 CONCERNANT LA CONDITION DU PERSONNEL ENSEIGNANT DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR RAPPORT DE LA DIRECTRICE G N RALE SUR LES ALL GATIONS RE UES PAR LE COMITE CONJOINT OIT UNESCO D EXPERTS SUR L APPLICATION DES RECOMMANDATIONS CONCERNANT LE PERSONNEL ENSEIGNANT CEART R sum Conform ment la d cision 154
27. de 150 000 dollars des Etats Unis pr lev sur le Fonds d urgence Ces s minaires visent permettre aux participants de disposer de toutes les informations et outils disponibles en mati re de lutte contre le trafic illicite de biens culturels et d acqu rir les connaissances indispensables afin de devenir eux m mes formateurs l chelle locale Mesures concr tes pour mettre en uvre la proc dure de suivi de l application 16 la demande des tats et experts r unis en mars 2011 l occasion du 40 anniversaire de la Convention de 1970 la Directrice g n rale a convoqu les 20 et 21 juin 2012 au Si ge de l UNESCO une r union des Etats parties la Convention pour examiner en profondeur l impact des mesures prises par ces Etats afin d en optimiser la mise en uvre d valuer son efficacit en particulier au regard des nouvelles tendances du trafic illicite de biens culturels et d laborer des strat gies en vue notamment d une meilleure application 17 Dans ce contexte le Secr tariat a pr par un document de travail C70 12 2 MSP 6 pr sentant aux Etats parties un examen des options envisageables concernant le suivi de cet instrument afin d en am liorer la mise en uvre r vision totale ou partielle du texte proc dure suivre en cas de d cision des Etats parties en ce sens ainsi que les implications l gales d une telle r vision proc dure suivre en cas de cr ation d un instrument additionnel la
28. de 1993 sur la reconnaissance des tudes et des titres de l enseignement sup rieur ED 35 Depuis 1975 l UNESCO a mis en place cinq conventions r gionales et une convention interr gionale de reconnaissance mutuelle des grades dipl mes et tudes Ces conventions r gionales sont des instruments juridiquement contraignants qui visent promouvoir et faciliter la mobilit acad mique L valuation par l UNESCO de l application de la Recommandation de 1993 passe essentiellement par le suivi de la mise en uvre des conventions r gionales et interr gionales 190 EX 24 Partie page 8 Asie Pacifique Convention de Tokyo 2011 la 11 session du Comit r gional sur la reconnaissance des tudes des dipl mes et des grades de l enseignement sup rieur en Asie et dans le Pacifique tenue parall lement un s minaire d experts sur les Centres nationaux d information a t organis e conjointement par le Bureau de l UNESCO Bangkok le Conseil cor en de l enseignement universitaire et le Minist re de l ducation de la science et de la technologie de la R publique de Cor e S oul 23 24 mai 2012 Un groupe de travail charg d laborer un projet de texte subsidiaire la Convention r gionale sur la reconnaissance des tudes des dipl mes et des grades de l enseignement sup rieur en Asie et dans le Pacifique se r unira en Chine en octobre 2012 Afrique Convention d Arusha 1983 conform ment
29. e la diligence requise et la bonne foi Analyse des tendances actuelles et difficult s dans la mise en uvre et le suivi 11 Face l explosion du march de l art aux dommages caus s au patrimoine par les conflits arm s l utilisation des biens culturels dans le blanchiment d argent et autres activit s criminelles ainsi qu l exploitation du patrimoine par les populations locales touch es par la pauvret la Convention de 1970 doit faire face de nombreux d fis Outre l universalit de la Convention les d fis majeurs concernent la lutte contre le trafic illicite de biens culturels de nature arch ologique non encore d couverts et l adoption de lois nationales permettant d y faire face sur la base des normes internationales la r alisation et la mise jour d inventaires la tenue de bases de donn es d uvres vol es la formation de la police et des douanes l adoption de certificats d exportation le d veloppement de campagnes de sensibilisation et de r gles d thique etc 12 Pour l UNESCO et ses partenaires l objectif principal reste que tous les pays s accordent sur ce socle juridique et le compl tent en devenant galement parties la Convention d UNIDROIT A l heure actuelle il est difficile de d gager une analyse des raisons pour lesquelles certains pays ne ratifient pas ces conventions Pour ce qui concerne celle de 1970 le nombre d Etats ayant transmis leur rapport permettant d obtenir une analyse en
30. eignants Le ZENKYO a pr conis la cr ation d un forum consultatif regroupant toutes les parties int ress es pour faire en sorte que les dispositions pertinentes de la recommandation de 1966 soient mieux comprises et entamer un processus de consultations de bonne foi 9 Le ZENKYO a joint sa communication les examens des initiatives prises par les organisations affili es dans plusieurs pr fectures pour r soudre les probl mes qui se 190 EX 24 Partie Il Annexe page 3 posent sur les lieux de travail en collaboration avec les conseils de l ducation locaux en suivant les principes nonc s dans la recommandation de 1966 et les recommandations du CEART Ces examens ont expos certains des probl mes qui selon le ZENKYO se posent quand les syndicats d enseignants et les autorit s locales charg es de l ducation ont des avis divergents sur des questions de principe et n ont pas de m canismes de dialogue social pour r gler ces questions Si des progr s ont t accomplis ici ou l le ZENKYO et certains des syndicats affili s continuent de croire qu il serait possible de faire mieux de part et d autre comme cela a t mentionn Tokyo au sujet de la d finition et de l application des principes de consultation et de n gociation et dans le Hokkaido au sujet de l absence all gu e de consultation et de n gociation v ritables sur diverses politiques et pratiques relatives aux enseignants notamment le maintien en a
31. em et non pas tels qu ils figurent dans la recommandation Dans ce contexte le champ des n gociations est l une des principales questions qu il faut r gler de fa on que les questions comme le syst me d valuation des enseignants ainsi que la 190 EX 24 Partie Il Annexe page 5 r mun ration et les allocations au m rite ou en fonction de la performance qui affectent directement ou indirectement les conditions d emploi ne soient pas automatiquement exclues de l objet des n gociations 16 Le comit conjoint a not que le ZENKYO et le JTU avaient indiqu que le gouvernement japonais tait d termin examiner les principes et institutions r gissant les relations entre les travailleurs et l encadrement dans la fonction publique nationale Les deux organisations ont estim que les efforts d ploy s pour tablir un dialogue social r el dans le secteur de l ducation tant au niveau national qu celui des pr fectures contribueraient au succ s de cet examen Dans son dernier rapport le JTU a inform le CEART que les grandes lignes des nouvelles politiques r gissant la fonction publique nationale avaient t annonc es En fonction du r sultat des d lib rations du parlement et de l incidence sur les enseignants aux niveaux pr fectoral et municipal les r formes allant dans ce sens laissent pr sager un climat de dialogue social plus r el en rapport avec les dispositions de la recommandation de 1966 et donc un
32. ement pertinent sur l thique des sciences et les politiques scientifiques devrait r pondre Diff rents points de vue ont t exprim s ce sujet Certains Etats membres ont propos une r vision totale de la Recommandation qui mette l accent sur la responsabilit sociale des chercheurs et sur l thique de 190 EX 24 Partie IV page 5 la recherche en tant que deux grands sujets prioritaires au stade actuel du d veloppement technologique 15 Incidences financi res Les mesures recommand es dans le pr sent rapport sont couvertes par une disposition du document 36 C 5 Un plus ample suivi de la mise en uvre de la Recommandation de 1974 en consultation avec les organes comp tents s agissant des questions relatives l examen par les Etats membres de l opportunit de r viser ou de mettre jour ce texte compte d ment tenu du r le de la science dans les d cisions adopt es par la Conf rence des Nations Unies sur le d veloppement durable Rio 20 peut tre pleinement assur par le personnel durant le temps de travail Il est entendu que tout groupe d experts ad hoc cr afin de mener des travaux techniques dans ce domaine fonctionnerait sans r unions physiques et que ses activit s seraient organis es de mani re n avoir aucune incidence sur le budget ordinaire de l UNESCO Il est envisageable de mobiliser des financements extrabudg taires pour assurer une participation plus large par exemple dans le cadre de l
33. en uvre et le suivi de chacun de ces instruments normatifs tat des ratifications des Conventions de 1960 1970 et 1989 3 la date de r daction du pr sent document la Convention de 1960 concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l enseignement a t ratifi e par 97 Etats la Convention de 1970 concernant les mesures prendre pour interdire et emp cher l importation l exportation et le transfert de propri t illicites des biens culturels par 122 pays et 17 Etats ont ratifi la Convention de 1989 sur l enseignement technique et professionnel Par rapport au document pr sent la derni re session un Etat a ratifi la Convention de 1960 ainsi que son Protocole de 1962 et deux autres ont ratifi la Convention de 1970 190 EX 24 Partie page 2 4 Le tableau ci dessous indique le nombre de ratifications par groupe lectoral de l UNESCO pour ces trois conventions ainsi que le pourcentage de ratifications de ces instruments au sein de chacun des six groupes lectoraux Une liste compl te des Etats parties et non parties par groupe lectoral a t mise en ligne sur le site Internet de l UNESCO consacr aux activit s du CR Nombre de ratifications par groupe lectoral Conventions pourcentage de ratifications au sein de chaque groupe lectoral Groupe Groupe Il Groupe lil Groupe IV Groupe V a Groupe V b Convention de 1960 15 22 18 11 21 10 Total 97 55 55 88
34. er de leurs obligations juridiques au titre de l article VIII de l Acte constitutif de l UNESCO et pr senter des rapports sur l application de la Recommandation de 1974 Le Conseil ex cutif a pri la Directrice g n rale de pr parer et de lui pr senter sa 190 session un rapport r capitulatif et plus toff sur l application de la Recommandation de 1974 prenant en compte les contributions nationales re ues apr s le 15 janvier 2012 Le Conseil ex cutif a enfin invit la Directrice g n rale inclure dans ce rapport des esquisses de propositions concernant un processus de consultation qui permette d valuer l opportunit de r viser et de mettre jour la Recommandation de 1974 sur la base des consultations engag es avec les Etats membres les organisations intergouvernementales et non gouvernementales internationales et les organismes nationaux et r gionaux comp tents avec la participation active de la COMEST 4 Le 8 juin la Sous Directrice g n rale pour les sciences sociales et humaines ADG SHS a crit l ensemble des Etats membres pour leur demander de soumettre le 9 juillet 2012 au plus tard leurs contributions sur des questions relatives l application de la Recommandation de 1974 En vue de faciliter la pr paration des contributions et de s assurer que les informations pr sent es par les Etats membres permettent au Secr tariat de l UNESCO de pr parer le rapport toff conform ment la d cision 1
35. ernement a conclu qu il respectait l esprit de la recommandation de 1966 l attention tant port e en priorit au bien tre des enfants et que dans l esprit de ses observations pr c dentes selon lesquelles certaines des recommandations figurant dans les rapports du CEART reposaient sur une compr hension erron e du r gime l gal de la fonction publique au Japon les efforts seraient poursuivis compte tenu de la situation et du r gime l gal du Japon 8 Dans ses communications le ZENKYO indiquait que le MEXT avait distribu une traduction japonaise des documents du CEART y compris le rapport int rimaire de 2008 et le rapport de la mission d enqu te aux fonctionnaires des conseils de l ducation locaux Le ZENKYO a aussi inform tous les conseils de l ducation locaux du contenu du rapport en vue d tablir un dialogue social avec eux Il encourage les organisations affili es tenir des consultations et tablir le dialogue Il lance aussi des campagnes r gionales pour mieux sensibiliser les parties vis es la recommandation de 1966 et il s achemine vers le recours aux bons offices de l OIT et de l UNESCO pour tablir des m canismes de consultation et de n gociation Pourtant il consid re qu une version japonaise de la recommandation de 1966 mutuellement convenue comme l a pr c demment recommand le CEART renforcerait les consultations et les n gociations entre les conseils de l ducation et les organisations d ens
36. est ad quate et applicable pour les questions touchant l thique et aux politiques scientifiques auxquelles elle est cens e r pondre Toutefois il ressort de la majorit des contributions nationales qu une r vision de la Recommandation de 1974 serait souhaitable Les arguments suivants ont t avanc s en faveur de la r vision et de la mise jour du texte de la Recommandation i Au cours des 38 ann es qui se sont coul es depuis l adoption de la Recommandation le monde a connu de profonds changements Dans les ann es 1950 et 1960 une des principales pr occupations tait la n cessit d une part de garantir le statut des chercheurs scientifiques pour prot ger leurs droits et leurs libert s iii iv 190 EX 24 Partie IV page 3 et emp cher leur utilisation des fins incompatibles avec les valeurs humaines universelles et la survie de lhumanit et d autre part de pr venir les effets secondaires involontaires de la technologie en particulier son impact n gatif sur l environnement Aujourd hui le r le de la science dans la vie humaine s est consid rablement accru et l on attend des chercheurs la fois qu ils appuient notamment le d veloppement conomique et qu ils comprennent le monde Dans le m me temps les progr s scientifiques suscitent parfois crainte et anxi t surtout l gard des effets et cons quences possibles de la recherche scientifique et des volutions technologiques pour les
37. giques De l avis du gouvernement cette formation ne constitue pas une modification de la situation dans l emploi de sorte que les normes relatives l quit proc durale nonc es dans la recommandation de 1966 paragraphe 50 ne s appliquent pas Par ailleurs les proc dures suivies en la mati re ne sont pas contraires l esprit de la recommandation 5 Le gouvernement a soulign que dans le cadre du syst me l gal national l valuation au m rite ne faisait pas l objet de n gociations en vertu de la loi sur la fonction publique locale article 55 clauses 1 et 3 Si l valuation d un enseignant d bouche sur des modifications du traitement des heures de travail ou d autres conditions de travail l enseignant a le droit de d poser un recours administratif 6 Le gouvernement jugeait que les points de vue de l OIT et de l UNESCO sur les questions examin es taient importants m me s il na pas express ment opt pour la possibilit de solliciter les services consultatifs techniques de l OIT et de l UNESCO cet effet et que toutes les parties comprenaient parfaitement les dispositions de la recommandation de 1966 S agissant des recommandations pr c dentes du CEART le gouvernement avait distribu des copies des rapports de 2008 et 2009 et fourni des explications suppl mentaires la conf rence de janvier 2010 des directeurs des personnels des conseils de l ducation pr fectoraux et municipaux 7 Le gouv
38. gue social notamment des consultations et des n gociations ont servi prendre des d cisions sur ces questions qui sont au centre des politiques et des pratiques relatives l ducation et la profession enseignante Le rapport int rimaire rend compte des informations fournies par le Gouvernement japonais par le Minist re de l ducation des sports de la culture de la science et de la technologie et travers lui des observations des bureaux pr fectoraux de l ducation par le Syndicat japonais des enseignants et personnels de l ducation ZENKYO et plusieurs de ses branches au niveau pr fectoral ou municipal et par le Syndicat des enseignants du Japon JTU 4 En cons quence le rapport int rimaire ci joint est soumis l examen du Conseil ex cutif de l UNESCO Le rapport a galement t soumis au Conseil d administration du BIT Projet de d cision propos 5 Le Conseil ex cutif souhaitera peut tre adopter une d cision libell e comme suit Le Conseil ex cutif 1 Rappelant ses d cisions 154 EX 4 4 et 157 EX 6 3 2 Ayant examin le document 190 EX 24 Partie Il et le rapport du Comit sur les conventions et recommandations CR ce sujet 3 Prend note du rapport int rimaire du CEART relatif aux all gations de non respect de certaines dispositions de la Recommandation de 1966 de l OIT UNESCO au Japon qui figure en annexe du document 190 EX 24 Partie Il 4 Invite la Directrice g n rale commu
39. ignement technique et professionnel et la Recommandation r vis e de 2001 concernant l enseignement technique et professionnel 2 Comme indiqu dans la Strat gie pour lEFTP d cision 181 EX 8 et document 182 EX INF 5 l UNESCO a command une tude ind pendante sur l impact de ces instruments normatifs qui devait en particulier d terminer pourquoi 17 Etats membres seulement avaient ratifi la Convention La Strat gie pr voyait que sur la base de cette tude l Organisation choisirait peut tre d actualiser la Recommandation d ciderait de l avenir de la Convention ou laborerait un nouvel instrument normatif sur les comp tences professionnelles portant sur l ensemble du secteur de l enseignement et de la formation 3 L tude ind pendante a avanc les raisons suivantes pour expliquer la non ratification de la Convention de 1989 tr s peu d experts des diff rents pays ont connaissance de cet instrument il n existe aucune strat gie pour le promouvoir la gouvernance de l EFTP au niveau national qui est complexe n cessite une coordination interminist rielle et la participation des partenaires sociaux Mentionnant l action normative men e par l Organisation internationale du Travail OIT et l Union europ enne dans des domaines connexes l tude s est pench e sur l utilit des instruments juridiques internationaux et a recommand de recourir des l gislations non contraignantes pour faire progresser l EFTP dans
40. iques et des technologies COMEST Il ressort de la majorit des r ponses cette question que la pr paration d une tude pr liminaire devrait tre confi e un groupe d experts ad hoc compos de l ensemble des membres de la COMEST ou de plusieurs d entre eux ainsi que de repr sentants de diff rentes commissions nationales pour l UNESCO ou d l gations permanentes aupr s de l Organisation Plusieurs pays se sont dits pr ts d signer leurs repr sentants ce groupe d experts ad hoc Les pr c dents travaux de la COMEST concernant l opportunit de r viser le texte de la Recommandation de 1974 devraient tre d ment pris en consid ration et servir de base aux travaux du groupe de travail ad hoc 12 Question 5 Quelles parties prenantes devrait on consulter au sujet de cette tude pr liminaire sur les aspects techniques et juridiques li s l opportunit de r viser la Recommandation de 1974 a t propos que lors des consultations concernant l ventuelle mise jour de la Recommandation de 1974 on fasse r f rence la D claration de 1999 sur la science et l utilisation du savoir scientifique et la D claration universelle de 2005 sur la bio thique et les droits de l homme tout en s employant donner suite aux d clarations de principes thiques pour la science labor es par les organes intergouvernementaux concern s y compris au niveau r gional et par les communaut s scientifiques par
41. la majorit des r ponses re ues que les pratiques institutionnelles dans les pays concern s respectent les principes nonc s dans la Recommandation de 1974 Plusieurs pays en d veloppement ont toutefois indiqu que leur situation conomique actuelle pouvait entraver l application des principes de la Recommandation de 1974 tels que le financement public de la recherche scientifique et la promotion des carri res scientifiques dans les tablissements publics notamment celles des jeunes chercheurs par le versement d allocations l tablissement d horaires de travail appropri s de perspectives d ducation et de formation et d incitations pour que ces chercheurs uvrent au service de leur pays etc L aide aux pays en d veloppement en particulier aux pays africains tant une des priorit s de l UNESCO il a t soulign que la Recommandation devrait faire r f rence aux exigences et aux besoins sp cifiques de la recherche scientifique qui doit tre men e par ces pays et par les chercheurs scientifiques qui y travaillent 10 Question 3 Dans quelle mesure consid rez vous la Recommandation comme un cadre ad quat et actuellement applicable pour les questions touchant l thique et aux politiques scientifiques auxquelles elle est cens e r pondre La majorit des Etats membres ont soulign que la Recommandation de 1974 en tant qu l ment d un cadre directeur g n ral en mati re d thique de l activit scientifique
42. ltation des Etats membres sur l application de la Convention et de la Recommandation concernant la lutte contre la discrimination dans le domaine de l enseignement a t r alis e et largement diffus e aupr s des commissions nationales minist res d l gations permanentes ONG et divers partenaires Cette publication pr sente des mesures concr tes prises au niveau national dans le cadre de l action normative de l UNESCO et l exercice du droit l ducation dans le contexte de l EPT La version espagnole est en cours d laboration 9 Le suivi a continu d tre renforc dans le cadre de la collaboration avec le syst me des Nations Unies Les Etats sont encourag s ratifier la Convention par l Examen p riodique universel et l examen des rapports par les organes cr s en application de trait s sur les droits de l homme Convention concernant les mesures prendre pour interdire et emp cher r sppe UNESCO Paris 1970 10 La Convention de 1970 est depuis plus de 40 ans le socle juridique international en mati re de lutte contre le trafic illicite de biens culturels A la demande de l UNESCO ce socle a t compl t en 1995 par la Convention d UNIDROIT sur les biens culturels vol s ou illicitement export s qui a combl les lacunes de la Convention de 1970 en droit international priv sur des points tels que la restitution des biens culturels vol s m me s ils ne sont pas inventori s l indemnit quitabl
43. n relative aux droits de l homme et aux libert s fondamentales ED 23 L UNESCO a rejoint le Groupe de contact international sur l ducation la citoyennet et aux droits de l homme cr sous l impulsion du Conseil de l Europe en vue d assurer une coop ration troite entre les diff rentes initiatives internationales existant en la mati re Les organisations membres en mars 2012 se sont r unies pour la premi re fois en mars 2012 pour changer des informations sur les volutions r centes et ont voqu leur future coop ration Le Groupe sollicite d autres entit s intergouvernementales r gionales et internationales uvrant dans ce domaine afin Le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l homme HCDH l UNESCO le Bureau des institutions d mocratiques et des droits de l homme de l Organisation pour la s curit et la coop ration en Europe OSCE BIDDH la Commission europ enne l Agence des droits fondamentaux de l Union europ enne FRA l Organisation arabe pour l ducation la culture et les sciences ALECSO l Organisation des Etats am ricains OEA et le Conseil de l Europe 190 EX 24 Partie page 6 d assurer une repr sentation quilibr e sur le plan g ographique Il lance actuellement un site Web et des bulletins d information Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques SHS 24 Conform ment la d cision adopt e par le Conseil sa derni re se
44. nal sur l enseignement technique et professionnel 1999 la premi re r vision remontant 1974 La r viser une nouvelle fois aujourd hui permettrait d actualiser cet ensemble de normes et pratiques ce qui pourrait tre utile pour les Etats membres 19 Dans le sillage du troisi me Congr s international sur l EFTP tenu Shanghai mai 2012 et compte tenu de la place de plus en plus importante qu occupe l EFTP dans les agendas nationaux et internationaux le contexte et la dynamique sont actuellement tr s propices une nouvelle r vision de la Recommandation r vis e de 2001 Les sp cialistes y compris au sein du Secr tariat sont pour la plupart favorables une r vision de la Recommandation r vis e de 2001 La Convention de 1989 sur l enseignement technique et professionnel 20 Il appartient aux 17 tats parties la Convention de 1989 sur l enseignement technique et professionnel de d cider de continuer tre li s ou non par la Convention Celle ci offre un ensemble coh rent de concepts et principes directeurs pour le d veloppement de l EFTP dans les tats membres en particulier pour ce qui est d endosser la responsabilit publique de formuler des politiques et de d finir des strat gies pour l enseignement technique et professionnel consid r comme partie int grante du syst me ducatif Article 2 et de faciliter la coop ration internationale Article 6 Une nouvelle Convention assurerait la coh rence
45. nanc e et ex cut e par le secteur priv et celle conduite en tout ou partie par le secteur public Les valeurs d autonomie et de libert de la science ainsi que le bien tre et les droits des chercheurs ne sont pas remis en question mais leur cadre et leurs implications actuels pourraient l tre Par cons quent certains consid rent que la Recommandation de 1974 doit tre r vis e en vue de refl ter la diversit des contextes dans lesquels travaillent les chercheurs scientifiques et de d finir plus pr cis ment leurs responsabilit s sociales Dans une des contributions il est propos de modifier le titre de la Recommandation en rempla ant condition des chercheurs scientifiques par condition et responsabilit sociale des chercheurs scientifiques Bien qu elle conserve sa valeur la Recommandation de 1974 p tit sur certains points importants d un langage d pass et d un cadre excessivement troit qui exclut ou sous estime des probl mes contemporains majeurs concernant notamment le genre le r le du secteur priv et de la recherche militaire la globalisation de la science et de la technologie et l impact des nouvelles technologies de l information La Recommandation de 1974 est ant rieure la notion de durabilit telle qu elle ressort actuellement de la r flexion internationale sur les questions environnementales La Recommandation mentionne les probl mes environnementaux mais n est pas d pourvue d an
46. niquer le rapport int rimaire du CEART au Gouvernement japonais et au Syndicat japonais des enseignants et personnels de l ducation ZENKYO ainsi qu au Syndicat des enseignants du Japon JTU et leur demander de prendre les mesures de suivi n cessaires qui sont recommand es dans ce rapport 190 EX 24 Partie II Annexe ANNEXE Examen compl mentaire des all gations re ues du Syndicat japonais des enseignants et personnels de l ducation ZENKYO du Syndicat des enseignants du Japon JTU et du Syndicat Nakama Contexte 1 Les informations d taill es concernant cette all gation sont expos es dans les rapports du comit conjoint ses huiti me neuvi me et dixi me sessions 2003 2006 et 2009 et dans ses rapports int rimaires de 2005 et 2008 En 2008 le gouvernement japonais par l interm diaire du minist re de l Education des Sports de la Culture de la Science et de la Technologie MEXT et le ZENKYO ont invit le comit conjoint envoyer une mission d enqu te pour recevoir des informations sur l all gation formul e par le ZENKYO et les vues du MEXT concernant les points vis s par l all gation La mission a aussi entendu les points de vue de diverses parties prenantes du secteur de l ducation y compris le JTU et d autres organisations d enseignants les conseils de l ducation pr fectoraux les organisations nationales d employeurs et de travailleurs les repr sentants des associations de paren
47. normes ne sont pas appliqu es dans les Etats 190 EX 24 Partie Il page 2 membres Il se r unit tous les 3 ans Paris ou Gen ve pour ses activit s notamment pour l examen de ces cas Son r glement pr voit galement l tablissement de rapports int rimaires sur les cas dont il est saisi entre les sessions ordinaires afin de proc der plus rapidement l examen des all gations et d y donner suite en temps utile dans l int r t des parties prenantes dans les tats membres sur la base des principes du dialogue social 2 Le rapport int rimaire CEART INT 2011 1 pr sent en annexe contient l examen par le CEART du cas concernant le Japon depuis le dernier examen de ces all gations la dixi me session du Comit qui s est tenue l UNESCO Paris du 28 septembre au 2 octobre 2009 Le Conseil ex cutif a examin les parties pertinentes du rapport de la dixi me session relatives aux all gations pr sent es par les organisations d enseignants sa 185 session en 2010 185 EX 23 Partie III B a 3 Le rapport int rimaire examine les informations et faits nouveaux communiqu s dans l affaire relative au Japon qui est toujours tudi e par le CEART depuis sa mission d enqu te d p ch e au Japon en avril 2008 et l examen de nouveaux l ments en 2009 Les questions l tude concernent l valuation des enseignants les comp tences et les mesures disciplinaires ainsi que l valuation au m rite Des formes de dialo
48. ntion qui seront pr sent es et analys es lors d une r union d experts de la r gion qui se tiendra en Chine en octobre 2012 Les r sultats de l tude de faisabilit seront soumis en temps voulu au Conseil ex cutif pour examen et d cision Recommandation r vis e de 2001 concernant l enseignement technique et professionnel ED 37 Voir supra paragraphe 18 Recommandation de 2003 sur la promotion et l usage du multilinguisme et l acc s universel au cyberespace CI 38 Au cours du premier semestre 2012 l UNESCO a pris plusieurs mesures propres faciliter la prise en compte par les Etats membres de cette Recommandation dans leurs politiques l gislations et strat gies nationales Malgr des ressources financi res limit es l Organisation a poursuivi son action de sensibilisation sur ces questions l chelon international i en mai 2012 pendant le Forum 2012 du SMSI Gen ve Suisse l UNESCO a lanc avec l OCDE et ISOC une tude intitul e Les aspects conomiques de la cr ation de contenu local et infrastructure locale de l Internet qui sera diffus e par l UNESCO lISOC et l OCDE ii l UNESCO travaille avec EURid l laboration du Rapport mondial 2012 sur la mise en place des noms de domaine internationaux IDN qui sera pr sent au Forum sur la gouvernance de l Internet Bakou Azerba djan novembre 2012 et au Forum de suivi SMSI 10 f vrier 2013 ii l UNESCO en coop ration avec EURid
49. nts ont r pondu au questionnaire sur la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques Afghanistan Bosnie Herz govine Cuba F d ration de Russie Jordanie Kenya Mexique et R publique de Maurice En cons quence les 40 tats membres suivants ont exprim leurs points de vue et opinions dans le cadre du processus de consultation Afghanistan Allemagne Arm nie Australie Autriche Azerba djan Belgique Bosnie Herz govine Br sil Canada Chine Chypre Cuba Danemark gypte tats Unis d Am rique ex R publique yougoslave de Mac doine F d ration de Russie Finlande France Japon Jordanie Kazakhstan Kenya Lettonie Malawi Maurice Mexique Monaco Ouzb kistan P rou Philippines Pologne Portugal Qatar R publique de Cor e R publique islamique d Iran S n gal Slovaquie et Venezuela R publique bolivarienne du Ce document est imprim sur du papier recycl
50. ommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques 6 Invite la Directrice g n rale cr er un groupe d experts ad hoc dont le mandat consisterait notamment laborer un premier projet d tude pr liminaire sur les aspects techniques et juridiques li s l opportunit de r viser la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques 7 Invite galement la Directrice g n rale organiser des consultations en ligne avec un large ventail d acteurs et de parties prenantes concernant les l ments de la Recommandation de 1974 qui pourraient n cessiter une r vision 8 Prie la Directrice g n rale de pr senter l tude pr liminaire susmentionn e au Conseil ex cutif sa 191 session en vue de l inscription l ordre du jour de la 37 session de la Conf rence g n rale de la question de l opportunit de r viser la Recommandation de 1974 Ce document est imprim sur du papier recycl AAA III Conseil ex cutif 190 EX 24 pre Cent quatre vingt dixi me session Partie IV Add des Nations Unies pour l ducation E la science et la culture PARIS le 28 septembre 2012 Original anglais fran ais Point 24 de l ordre du jour provisoire APPLICATION DES INSTRUMENTS NORMATIFS PARTIE IV RECOMMANDATION DE 1974 CONCERNANT LA CONDITION DES CHERCHEURS SCIENTIFIQUES ADDENDUM Apr s la publication du document 190 EX 24 Partie IV les tats membres suiva
51. ommandations contenues dans son rapport int rimaire de 2008 concernant l valuation des enseignants leur comp tence ainsi que les mesures disciplinaires et l valuation au m rite en plus de la consultation et de 190 EX 24 Partie II Annexe page 4 13 14 15 la n gociation A cet gard le comit conjoint rappelle par ailleurs que dans son rapport de 2009 il a appel lattention sur les dispositions importantes de la recommandation de 1966 concernant une protection ad quate contre les actions arbitraires affectant la situation professionnelle des enseignants paragraphe 46 la n cessit de garanties proc durales en cas d application de proc dures disciplinaires paragraphes 47 52 la non discrimination paragraphe 7 et les enseignantes ayant des charges de famille paragraphes 54 58 Le comit conjoint appr cie les efforts d ploy s par les parties dans le pr sent cas y compris les autorit s locales charg es de l ducation le ZENKYO et ses organisations affili es locales les repr sentants du MEXT et ceux du JTU au niveau national pour tablir le dialogue social entre eux sur les questions de fond voqu es ci dessus Dans l id al ces proc dures devraient tre appliqu es titre r gulier et non pas seulement en cas de diff rend ou de divergence d opinions Compte tenu des l ments d information dont il dispose bien que certains progr s aient t not s aux niveaux pr fectoral et m
52. on d instruments normatifs nouveaux ou r vis s qui soient adapt s un monde en mutation 4 Ayant examin le document 190 EX 24 Partie Il et le rapport du Comit sur les conventions et recommandations ce sujet 190 EX ___ 5 Recommande la Directrice g n rale d envisager des partenariats avec d autres organisations concern es telles que l Organisation internationale du Travail OIT et de consulter le r seau UNESCO UNEVOC sur la teneur de nouvelles r visions la Recommandation r vis e concernant l enseignement technique et professionnel 2001 6 Demande la Directrice g n rale de lui pr senter sa 191 session une tude pr liminaire concernant les aspects techniques et juridiques li s l opportunit d une nouvelle r vision de la Recommandation r vis e de 2001 concernant l enseignement technique et professionnel en vue de soumettre cette tude la Conf rence g n rale sa 37 session Ce document est imprim sur du papier recycl An IH Conseil ex cutif 190 EX 24 Cent quatre vingt dixi me session Organisation Partie IV des Nations Unies pour l ducation E la science et la culture PARIS le 13 ao t 2012 Original anglais Point 24 de l ordre du jour provisoire APPLICATION DES INSTRUMENTS NORMATIFS PARTIE IV RECOMMANDATION DE 1974 CONCERNANT LA CONDITION DES CHERCHEURS SCIENTIFIQUES R sum Conform ment aux d cisions 177 EX 35 I et 189 EX
53. pplication des allocations fond es sur la performance Dans sa communication le SINSHOKYOSO a aussi voqu le refus de dialoguer au sujet du maintien en application du syst me d valuation du personnel dans les coles pour enfants handicap s de la pr fecture de Kanagawa en cho aux questions soulev es durant la mission d enqu te de 2008 10 Le JTU a indiqu que le 3 juin 2011 le gouvernement japonais avait pr sent des propositions pour mettre en uvre les changements fondamentaux apport s aux relations professionnelles dans la fonction publique sous la forme d un projet de loi sur les relations de travail des agents publics et de projets de loi connexes sur le syst me des relations entre les syndicats et l encadrement qui permettraient aux agents de la fonction publique au niveau national de conclure des conventions collectives d tablir un nouveau bureau national des agents de la fonction publique d examiner les droits des agents de la fonction publique nationaux au regard des m canismes de r glement des diff rends et d examiner les relations professionnelles des agents de la fonction publique locaux du point de vue de la conformit un nouveau syst me national L incidence de ces propositions si elles sont adopt es sur la condition des enseignants au Japon n est pas encore claire Au cours des d lib rations sur les propositions l gislatives le JTU escompte n anmoins qu il y aura une certaine am lioration des pos
54. pports d tape nationaux de CONFINTEA VI visent offrir un tableau clair de la situation complexe qui pr vaut dans le domaine de l ducation des adultes Les pays ont t invit s tenir compte dans la compilation de leurs rapports du large ventail d acteurs et de parties prenantes y compris les organisations non gouvernementales les syndicats les mouvements sociaux les organisations confessionnelles les partenaires sociaux et les organismes de d veloppement bilat raux et multilat raux et les autres acteurs priv s Les Etats membres ont t pri s de compl ter et de transmettre leur rapport PUIL avant fin mars 2012 Mi mai des rapports provenant de plus de 100 Etats membres de toutes les r gions avaient t re us 27 Le projet de Lignes directrices de l UNESCO pour la reconnaissance la validation et l accr ditation des acquis de l apprentissage non formel et informel a t finalis partir d une consultation ant rieure avec les Etats membres et des r sultats de l examen par les pairs fournis par les bureaux hors Si ge et les instituts centres pour l ducation Ces lignes directrices seront diffus es aupr s des Etats membres l t 2012 28 l occasion de son 60 anniversaire en mai 2012 l UIL a offert six stages de recherche CONFINTEA et quatre bourses d tude CONFINTEA qui se d rouleront l Institut et couvriront une p riode d tude d un mois Le programme de stages de recherche a
55. profondeur des obstacles sa ratification reste limit 48 Etats avaient r pondu la derni re consultation de 2011 13 En outre la Convention ne pr voit pas express ment d organes destin s assurer un suivi r gulier de l application de la Convention Les Etats parties et non parties qui auraient pu s exprimer en qualit d observateurs ne disposent donc pas de cadre de discussions pour http unesdoc unesco org images 0021 002154 215443f patf 190 EX 24 Partie page 4 d battre de leurs difficult s quant la mise en uvre de ce trait et de leurs propositions pour en am liorer l application Activit s entreprises par le Secteur en faveur de la ratification 14 Un des objectifs constants du Secr tariat est l accroissement du nombre de ratifications L activit prioritaire du Secr tariat consiste par cons quent multiplier le nombre d ateliers de formation juridiques et pratiques et de sensibilisation en direction des r gions victimes du trafic illicite et d ficitaires en ratifications Ainsi en cinq ans 12 Etats sont devenus parties la Convention 15 Afin de poursuivre les efforts entrepris au cours du 35 C 5 et d am liorer la mise en uvre et l effectivit de la Convention au niveau des Etats la Directrice g n rale a d cid de multiplier les ateliers de formation en 2012 notamment en Am rique latine en Afrique et dans le sud est europ en en allouant cet effet un budget
56. r glement des autres questions initialement soulev es dans le pr sent cas Recommandations 17 Le comit conjoint recommande que le Conseil d administration du BIT et le Conseil ex cutif de l UNESCO a prennent note de la situation voqu e ci dessus b communiquent les constatations formul es ci dessus au gouvernement japonais au ZENKYO et au JTU en priant instamment les parties de faire fond sur le dialogue d j tabli en renfor ant les discussions de bonne foi aux niveaux national et pr fectoral dans le but de r soudre les questions identifi es dans les rapports ant rieurs du comit conjoint d une mani re mutuellement acceptable c demandent que le gouvernement le ZENKYO et le JTU informent le comit conjoint des faits nouveaux et des progr s accomplis en ce qui concerne ces probl mes de fa on qu il puisse examiner ces renseignements conform ment aux proc dures approuv es d demandent que le gouvernement le ZENKYO et le JTU informent le comit conjoint des progr s accomplis dans les politiques gouvernementales r cemment annonc es pour r gir l emploi dans la fonction publique nationale et de leur ventuelle incidence sur les sujets soulev s dans les rapports ant rieurs du comit conjoint Ce document est imprim sur du papier recycl IIHI Conseil ex cutif 190 EX 24 Re Cent quatre vingt dixi me session Partie Il pour l ducation la science et la culture PARIS le 27 ao
57. ragraphe 49 de la recommandation lles organisations d enseignants devraient tre consult es lors de l institution de proc dures disciplinaires Selon le sens classique du terme consultation l encadrement se r unit avec les organisations d employ s pour discuter librement et r ellement des actions propos es avant d agir Si la fin de ce processus l employeur et les repr sentants des employ s ne sont pas d accord l encadrement peut passer l action De m me aux termes du paragraphe 75 de la recommandation les autorit s devraient tablir et appliquer r guli rement une proc dure de consultation avec les organisations d enseignants sur des questions telles que la politique de l enseignement gt En revanche le paragraphe 82 fait r f rence la n cessit de n gocier les traitements et les conditions de travail entre les employeurs des enseignants et les organisations de ces derniers et le paragraphe 83 de la recommandation dit que d es proc dures devraient tre tablies par voie de r glementation ou par voie d accord entre les int ress s pour garantir aux enseignants le droit de n gocier par l interm diaire de leurs organisations avec leurs employeurs publics ou priv s Le paragraphe 84 expose les dispositions prendre au cas o les parties aux n gociations ne parviendraient pas un accord Le gouvernement comme le ZENKYO ont utilis les termes consultation et n gociation en tand
58. sibilit s de n gociation qui sont actuellement r duites de nombreux points tant consid r s comme des questions de fonctionnement gestion chappant toute n gociation et que le dialogue social pourra tre am lior sous la forme d une consultation institutionnalis e et non pas simplement d auditions formelles comme l avait auparavant recommand le CEART 11 Entre temps le JTU a indiqu qu il avait particip avec le MEXT un sommet international sur la profession enseignante l occasion duquel la valeur du dialogue social avait t reconnue dans les questions concernant le recrutement et le traitement des enseignants ainsi que la participation des syndicats aux r formes de l ducation A la suite du remaniement gouvernemental le JTU avait intensifi le dialogue avec les hauts fonctionnaires du MEXT Cependant les conditions du dialogue social pour ce qui est des associations locales et des conseils de l ducation pr fectoraux ne se sont pas particuli rement am lior es Le JTU consid re qu il faut absolument une r forme l gislative pour tablir un syst me stable pour les consultations ou les n gociations entre les syndicats et l encadrement n importe quel niveau central ou local Constatations 12 M me si les communications r centes des parties ne font pas express ment r f rence toutes les questions initialement soulev es dans le pr sent cas le comit conjoint juge important de rappeler les rec
59. ssion d cision 189 EX 13 Ill le Secr tariat soumet la pr sente session un rapport de synth se r capitulatif et plus toff sur l application de la Recommandation de 1974 voir document 190 EX 13 Partie IIl Recommandation de 1976 sur le d veloppement de l ducation des adultes ED 25 Conform ment au plan d action adopt par le Conseil ex cutif dans sa d cision 189 EX 13 Il un groupe d experts a t constitu par l Institut de l UNESCO pour l apprentissage tout au long de la vie UIL Il est compos de six repr sentants gouvernementaux et non gouvernementaux issus d Etats membres et refl tant un large ventail de politiques et pratiques en vigueur en mati re d apprentissage et d ducation des adultes dans toutes les r gions La premi re r union du groupe d experts aura lieu les 10 et 11 juillet 2012 les participants r aliseront une tude pr liminaire pour examiner et clarifier les aspects techniques et juridiques li s l opportunit de r viser la Recommandation de 1976 26 En novembre 2011 les tats membres ont t pri s de produire des rapports nationaux sur le d veloppement de l ducation des adultes au moyen d une grille de rapport afin de fournir des donn es pour le Rapport mondial sur l apprentissage et l ducation des adultes GRALE 2012 qui est essentiel pour assurer le suivi de la Recommandation comme l a reconnu la Conf rence g n rale dans sa r solution 36 C 13 Les ra
60. thropocentrisme Il serait souhaitable de r viser la Recommandation de 1974 Une Recommandation d ment r vis e constituerait une d claration forte et pertinente sur l thique des sciences en tant que fondement de politiques scientifiques qui favoriseraient la cr ation d un ordre institutionnel propice la r alisation de l article 27 1 de la D claration universelle des droits de l homme 190 EX 24 Partie IV page 4 vi Cependant aucune d marche effectu e pour r viser ou mettre jour la Recommandation de 1974 y compris les consultations en la mati re ne devrait contribuer restreindre ou limiter la validit ou l applicabilit du texte existant Au contraire conform ment la d cision prise par le Conseil ex cutif sa 189 session les Etats membres de l UNESCO devraient tre instamment pri s de prendre d ment en consid ration dans leurs politiques scientifiques nationales les principes g n raux nonc s dans le texte actuel de la Recommandation de 1974 11 Question 4 qui selon vous devrait tre confi e une tude pr liminaire des aspects techniques et juridiques li s l opportunit de r viser la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques si une telle d cision tait adopt e par le Conseil ex cutif a Au Secr tariat b un groupe d experts ad hoc ou une autre entit telle que la Commission mondiale d thique des connaissances scientif
61. tion en ligne le moment venu 6 Le processus de consultation a fait intervenir diff rentes parties prenantes Il ressort de certaines contributions nationales qu elles ont t tablies en consultation avec des communaut s scientifiques nationales y compris des acad mies nationales des sciences et des minist res charg s de la recherche scientifique 190 EX 24 Partie IV page 2 7 Conform ment la d cision 189 EX 13 Ill d autres consultations ont t organis es avec la COMEST A sa session extraordinaire Paris France 2 4 juillet 2012 la COMEST a examin la question de l thique des sciences ainsi que l application de la Recommandation de 1974 et a adopt pour conclure une Recommandation sur l opportunit de r viser et de mettre jour la Recommandation de 1974 concernant la condition des chercheurs scientifiques Cette d claration a confirm l opinion d j exprim e par la COMEST selon laquelle la Recommandation de 1974 se verrait renforc e et mieux adapt e aux enjeux actuels en mati re d thique et de politiques scientifiques si l on proc dait certaines mises jour afin de refl ter les grands changements survenus dans l organisation institutionnelle et sociale des sciences depuis 1974 I R sum des r ponses re ues des tats membres et de la communaut scientifique 8 Question 1 Dans quelle mesure pensez vous que la l gislation nationale dans les domaines couverts par la Recommanda
62. tion respecte les principes nonc s dans cette derni re La majorit des r ponses re ues pr cisent que la l gislation nationale des pays concern s respecte les grands principes nonc s dans la Recommandation de 1974 tels que la non discrimination la libert et l autonomie des chercheurs scientifiques et le respect de leurs droits humains et de leurs libert s fondamentales Plusieurs Etats membres ont toutefois soulign que la condition des chercheurs scientifiques variait consid rablement dans la plupart des pays en d veloppement en raison des diff rents contextes scientifiques ducatifs culturels conomiques sociaux et politiques pr valant dans ces pays Dans certains pays on a estim que les l gislations nationales vis es par la Recommandation de 1974 mettaient plut t l accent sur la promotion des sciences et des technologies en tant que vecteurs de croissance conomique et accordaient moins d attention la recherche scientifique cr ative visant am liorer le bien tre culturel et mat riel des citoyens ou la recherche scientifique contribuant la r solution des d fis mondiaux Conform ment la Recommandation de 1974 le r le social des chercheurs scientifiques m riterait souvent d tre mieux reconnu 9 Question 2 Dans quelle mesure pensez vous que les pratiques institutionnelles dans les domaines couverts par la Recommandation respectent les principes nonc s dans cette derni re Il ressort de
63. ts et d enseignants et des experts ind pendants Le rapport int rimaire de 2008 contenait un r sum complet de examen des conclusions de la mission par le comit conjoint Dans le rapport de la dixi me session figure l analyse des r sultats de la mission d enqu te de 2008 du comit conjoint ainsi que du rapport int rimaire y compris les recommandations concernant les am liorations qui pourraient tre apport es aux politiques du gouvernement relatives au syst me d valuation des enseignants l valuation au m rite la fixation des traitements et aux consultations et n gociations avec les organisations d enseignants sur ces questions Le gouvernement japonais le ZENKYO le Syndicat des enseignants du Japon JTU ou NIKKYOSO et le Syndicat Nakama ont pr sent des informations et observations additionnelles sur ces rapports au cours de la p riode 2008 09 Faits nouveaux 3 Depuis la dixi me session le comit conjoint a examin des communications additionnelles celle du gouvernement dat e du 19 ao t 2010 celles du ZENKYO dat es du 16 avril 2010 et du 22 octobre 2010 et celles du JTU dat es du 10 mars 2010 et du 12 juillet 2011 Les communications du ZENKYO contenaient de longues d clarations de cinq de ses organisations affili es le Syndicat des enseignants et personnels des tablissements secondaires de la pr fecture d Aichi le Syndicat des enseignants et personnels des tablissements secondaires de
64. un ventail toujours plus large de professions et comp tences dans tous les secteurs conomiques dans les organismes du public comme du priv ainsi que dans l emploi ind pendant Il est d sormais dispens sous les formes les plus diverses et dans de multiples cadres avec le concours d un vaste ensemble de parties prenantes 16 Les politiques nationales d EFTP ont galement connu des volutions consid rables notamment en ce qui concerne l articulation entre enseignement et formation et le monde du travail ainsi que le r le de l EFTP dans l apprentissage tout au long de la vie La reconnaissance 190 EX 24 Partie IIl page 3 de l apprentissage informel non formel et formel est per ue comme tant de plus en plus importante pour la mobilit sociale et g ographique 17 L adoption des instruments normatifs a t suivie de l mergence de nouveaux agendas concernant par exemple l co responsabilisation de l EFTP ou la participation des jeunes et d une volution des concepts comme en t moigne notamment l apparition de nouveaux termes ou expressions tels que d veloppement des comp tences techniques et professionnelles qui sous entendent une dimension transversale de l EFTP Recommandation r vis e de 2001 concernant l enseignement technique et professionnel 18 La Recommandation a t r vis e pour la derni re fois en 2001 compte tenu des tendances identifi es lors du deuxi me Congr s internatio
65. unicipal le comit conjoint conclut que les exemples de dialogue social r el sont encore rares et entrav s par un manque de compr hension mutuelle des termes de la recommandation de 1966 Bien que le gouvernement ait assur au comit conjoint que les parties comprenaient le sens de la recommandation de 1966 du point de vue de la langue et de la culture japonaises les emplois de la terminologie anglaise que font les deux parties pr tent confusion pour les lecteurs dans cette langue En outre le gouvernement a cit certains articles de la loi sur la fonction publique locale l appui de sa position selon laquelle les questions vis es dans les all gations ne sont pas des points pouvant faire l objet de n gociation ou sont des points concernant l administration et la gestion qui n entrent pas dans le champ des n gociations Le comit conjoint note que la communication du gouvernement a t faite avant qu il ne modifie son approche des relations professionnelles au niveau national comme indiqu plus haut Le comit conjoint n a pas examin de version anglaise de la loi sur la fonction publique locale cit e par le gouvernement et il ne lui appartient pas d interpr ter la l gislation nationale sur cette question Cependant le comit conjoint est charg de surveiller l application de la recommandation de 1966 qui tablit une distinction claire entre n gociation et consultation Par exemple aux termes du pa
66. ur fournir aux pays une aide suppl mentaire et des exemples La sortie de ce manuel est pr vue pour le second semestre 2012 Eurostat et l OCDE produisent galement des mat riels similaires pour les enqu tes r alis es par leurs Etats membres respectifs 31 L ISU a consult l ensemble des pays hispanophones et lusophones au sujet des termes employ s dans la version espagnole de la CITE 2011 pour d crire les niveaux 6 Licence et 7 Master de la CITE des pr occupations ayant t exprim es par certains Etats membres sur le fait que le terme propos pour le niveau 6 Licenciatura correspondait au titre d un dipl me pouvant tre d livr aux deux niveaux Suite cette consultation deux nouveaux termes ont t adopt s Grado en Educaci n Terciaria o Equivalente et Maestr a Especializaci n o Equivalente pour d signer les niveaux 6 et 7 de la CITE Le texte espagnol de la classification sera modifi en cons quence 32 Parall lement aux activit s d appui la mise en uvre de la CITE 2011 les travaux ont commenc en vue de r viser les domaines de l ducation de la CITE 1997 qui ne lont pas t pour la CITE 2011 Un nouveau groupe consultatif technique constitu pour diriger cette r vision s est r uni pour la premi re fois en mai 2012 Montr al Ses membres sont des experts en classification ou en ducation d sign s par des organisations Union europ enne OCDE et BIT ou des organismes parten
67. vision de la Recommandation r vis e de 2001 prendra en compte les principes fondamentaux de la Convention de 1989 qui restent pertinents au regard du d veloppement futur de l EFTP permettant ainsi de pr server l essence de la Convention de 1989 Projet de d cision propos 24 Apr s avoir examin le pr sent document le Conseil ex cutif souhaitera peut tre adopter une d cision libell e comme suit Le Conseil ex cutif 1 Rappelant la r solution 34 C 87 ainsi que ses d cisions 177 EX 35 I et Il 184 EX 20 et 187 EX 20 IV 2 Rappelant galement la d cision 181 EX 8 par laquelle il a approuv la Strat gie pour l enseignement et la formation techniques et professionnels EFTP et le document 182 EX INF 5 dans lequel la Strat gie a t amend e 3 Prenant en consid ration les d lib rations du Conseil ex cutif sa 187 session ainsi que le Consensus de Shanghai Recommandations du troisi me Congr s international sur l enseignement et la formation techniques et professionnels Transformer l EFTP Construire des comp tences pour le travail et la vie Shanghai mai 2012 dans lequel le Congr s a recommand la Directrice g n rale de l UNESCO de prendre en compte la pertinence et la validit de la Convention sur l enseignement technique et professionnel 1989 et de la Recommandation r vis e concernant l enseignement technique et professionnel 2001 en vue de l ventuelle laborati

Fre - Unesco

Contents

Download Pdf Manuals

Related Search

Related Contents