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1. a galement b n fici du financement du Gouvernement lui m me travers un contrat d assistance technique entre la FAO et le MINADER UTF CMR 037 CMR financ par les fonds d avance sur le pr t pour la pr paration du projet qui a permis de conduire entre f vrier et juillet 2014 des tudes compl mentaires en appui la pr paration et la pr valuation du PIDMA dans les domaines de la transformation du manioc et du ma s de la m canisation agricole et des semences Ceci constitue une innovation et un excellent exemple pour illustrer la coop ration toujours croissante entre la FAO et le MINADER Les appuis de FAO la pr paration des projets d inves tissement tels ceux pour la pr paration du PIDMA ou du PEA jeunes au Cameroun et r cemment approuv s par la Banque mondiale et le FIDA constituent l une des fonc tions principales de l Organisation savoir la promotion de l investissement en faveur du d veloppement agricole et rural de la s curit alimentaire et nutritionnelle et sins rent dans les cinq Objectifs Strat giques de la FAO adopt s par les pays membres et le Conseil en 2013 Ils sont pilot s par la Division du Centre d investissement TCI et b n ficient de l appui de l ensemble des d partement techniques de la FAO et de ses bureaux d centralis s Ainsi dans le cas du PIDMA la Division des infrastructures et agro industries AGS et la Division de la production v g tal2. afin d accroitre la production et la producti vit des petites exploitations et de favoriser l mergence d unit s de production de seconde g n ration c est dire d entreprises de moyenne et grande taille respectueuses de l environnement Excellence Mesdames et Messieurs les professionnels de l aviculture Mesdames et Messieurs L aviculture camerounaise doit se modernise Elle se modernisera que si nous prenons ensemble les d cisions qui simposent Le cap que nous nous sommes fix s permettra l aviculture de prendre la premi re place qui est la sienne Ce cap tient en deux mots tr s importants qui imposent des d cisions pour mobiliser l ensemble de la profession Le premier mot c est la comp titivit Je sais que c est le cas d une partie de la profession avicole La comp titivit doit tre l n des ma tre mots de l aviculture pour qu elle puisse r sister la concurrence Cette comp titivit requiert une meilleure organisation de la fili re et c est l affaire de tous le producteur le transfor mateur l industriel le distributeur La seule chose qui nous permettra de nous en sortir c est le travail collectif C est la solidarit sur l ensemble de la fili re C est une meilleure organisation et une meilleure structuration de ces fili res Le deuxi me point sur lequel je veux insister c est la qualit L avenir de l aviculture camerounaise se joue dans la qualit et la diversit de ses pr
3. Au demeurant le renforcement des capacit s se pour suivra tr s bient t par l envoi de deux informaticiens pour un approfondisse ment de connaissance dans certains logiciels requis dans le cadre de cette op ration de recensement L enqu te communautaire va d marrer inces samment avec comme zones cibles les arrondissements et les zones de vulga risation agricoles qui apparaissent tre un ciblage r aliste pour la conduite de ladite enqu te Afin de sensibiliser da vantage les parties concern es notam ment les acteurs de terrain le consultant en communication a t d p ch sur le terrain pour mieux expliquer les objec tifs les enjeux et le modus operandi des diff rentes enqu tes en commen ant par l enqu te communautaire afin de susciter la pleine adh sion des com munaut s lors des phases de collecte des donn es notamment Le Cameroun entend utiliser les nouvelles technolo gies de l information notamment les ta blettes dans la collecte et l analyse des donn es Toutefois en raison des al as li s la d fectuosit de la connexion DE LA FAO internet dans certaine contr es recu l es du pays il est fort probable que les outils de collecte classiques tels que les formulaires papier soient concomitam ment utilis s avec ces nouveaux outils technologiques Appui la Promotion des Jardins scolaires dans les Ecoles Primaires du Grand Nord Distribution des intrants et de petits mat r
4. BIMESTRIEL DE LA REPR SENTATION DE LA FAO AU CAMEROUN Repr sentation de la Cameroun 335 rue 1810 Bastos BP 281 Yaound 4 T l 237 22 21 12 42 77 48 60 09 E Fax 237 22 2048 11 G 7 Email FAO CM fao org 5 10 Sept Oct 2014 b REST Eds i EF CPE l r gt 09 1 e 2 _ e ist pe a ar I3 param 7 ded gu gt T TN 8 24 art Editorial r LR 178 3 i 2 n 4 4 e LEE E p b x 1 Fx 4 CR Tai oma Ne rt z Wm m m D LUN ue 3 a T e aw P rad om Er Lr LE iu P t EL Li VA E 1 T malh Fos lt CL S 7 a a F s 4 M ic V ex uir x m c E zo a TP A ad mM T su TJ Ls d 4 5 Ez Tod Als dure r 223 r ous e aor T iai CE lil 4 ER WT riw E 4 Erbe LT KT EXTR Ls L
5. l alimentation des l ves mais aussi apprendre aux enfants men e depuis 2012 pourrait tre dupliqu e dans d autres ta blissements scolaires primaires de la partie septentrionale du Cameroun par le Gouvernement la fin du projet conduire les cultures mara ch res ayant t renforc es depuis Les capacit s des acteurs le lancement du projet en 2012 les intrants et quipements agricoles ayant t livr s a temps il y a de bonnes raisons d esp rer que les r sultats au terme de la pr sente campagne de contre saison soient a la hauteur des attentes de toutes les parties l ves enseignants parents d l ves etc TELEFO 9D D CEMBRE 2014 AU SAWA HOTEL DOUALA ENTITY
6. e les co ts plans de financement b n fices et impacts attendus de tels projets est apparu galement important de pouvoir g n rer une base de donn es des projets pr par s approuv s et effectivement ex cut s autant pour tenir des archives que pour am liorer les fonction de sui vi valuation des grands projets ou ins titutions qui financent les sous projets port s par les b n ficiaires finaux Dans la pr paration et l analyse des projets il est galement important de pouvoir prendre en compte une multiplicit des financements au niveau des sous pro jets apport du promoteur subvention de l Etat financements bancaires ain si qu une analyse de rentabilit co nomique de chaque proposition de sous projet faisant la diff rence entre la situation sans projet et avec projet et de faciliter les calculs et g n rer auto matiquement des indicateurs financiers pertinents tels que le taux de rentabilit interne la valeur actuele nette le retour sur investissement etc Utilisateurs cibl s Les utilisateurs de Rural Invest incluent i les promoteurs de projet eux m mes etles techniciens locaux qui les appuient dans la pr paration de leurs projets plans d affaires iii les grands projets d investis sement ayant une composante d appui aux fili res au d veloppement local et aux coop ratives PME et microentre prises en milieu rural iii les fonds d in vestissemen
7. s micro entreprises o si tra vail de planification participative locale a d j eu lieu pour identifier leurs besoins et priorit s cas du PNDP au Cameroun ou quand les id es de sous projets s in s rent dans une d marche fili re cas du PACA et du PIDMA au Cameroun De la dimension et du type d inves tissement appuy s S il est pr vu que la majorit des projets concerne des inves tissements de moins de 5 000 USD cha cun en particulier sil s agit de petites infrastructures o de projets simples ne pr sentant pas d innovations risqu es le Module 3 ne sera pas forc ment obli gatoire S il est envisag que les inves tissements d passent fr quemment 10 000 USD 5 millions de Fcfa conduire alors une analyse d taill e du projet incluant une analyse financi re et co nomique gr ce au Module 3 sera cer tainement n cessaire des besoins en mati re de g n ra tion de rapports de suivi des sous pro jets SP et de donn es pour l valuation ex post des sous projets Si de tels sujets sont consid r s comme importants ce qui est g n ralement le cas pour les grands projets et fonds d investissement tels que PIDMA PACA PNDP PADMIR au Cameroun alors l utilisation pertinence des fonction des tri de la base de don n es Module 4 sera tr s utile Chaque module peut tre adopt par une organisation suite une formation sp cifique d une dur e de 3 6 jours par module selon le
8. une mise en uvre m thodique d une politique gouvernementale d appui au secteur avicole national En effet aux lendemains de la crise de la grippe aviaire de 2006 le Gouvernement a d cid de mettre en place une batterie de mesures d accompagnement pour le secteur avicole notamment l interdiction d importation des poulets et d coupes de volailles en provenance de l tranger la structuration des producteurs locaux et le renforcement de leur capacit la mise leur disposition d appui multiformes notamment en terme d intrants tels que le mais les ceufs couver et autres poussins Cette action s est poursuivie par la recherche conjointe des possibilit s d am lioration de la productivit des installations tant modernes que familiales de production avicole Et les chiffres sont l pour l illustrer L Interprofession avicole du Cameroun compte ce jour environ 9000 exploitants pour pr s de 320 000 emplois En 2013 la production de ses membres seuls tait estim se plus de 46 5 millions de poulets de chair soit environ 70 000 tonnes de viande de poulet avec une production d ufs de table d environ 120 000 tonnes Evidemment cette performance est chelonn e dans le temps et perceptible depuis quelques ann es C est pourquoi lors du Comice Agropastoral d Ebolowa en 201 1 le Chef de l Etat Son Excellence Paul Biya l a reconnu parlant de volaille en disant que la progression la plus remarquable concerne la volaille ce q
9. MINISTRE DE L ELEVABE DES P CHES ET DES INDUSTRIES ANIMALES Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement Excellence Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs Monsieur le Gouverneur de la R gion du Centre Monsieur le D l gu su Gouvernement aupr s de la Communaut Urbaine de Yaound Monsieur le Pr sident de l Interprofession Avicole du Cameroun Mesdames et Messieurs les Directeurs g n raux des entreprises des secteurs publics parapublics et priv s Mesdames et Messieurs les experts scientifiques Mesdames et Messieurs les professionnels de l aviculture Mesdames et Messieurs les exposants Mesdames et Messieurs C est un tr s honneur pour moi et c est avec une grande joie que je me retrouve aujourd hui avec vous pour les c r monies solennelles de lancement de la toute premi re dition du Salon International de Yaound SAVI 2014 dans cette magnifique installation du site de Turcam Hall Yaound Permettez moi d abord de remercier le D l gu du Gouvernement aupr s de la Communaut Urbaine de Yaound ainsi que le Pr sident de l Interprofession Avicole pour les propos aimables ainsi qu ils ont eu notre endroit pour nous souhaiter la bienvenue Je r it re et solennise ces souhaits de chaleureuse bienvenue aux d l gations trang res pr sents ainsi qu aux exposants et participants venus des autres partis du Cameroun Excellences Mesdames et Messieurs Organis par le Minist re de
10. ce th me pour cette dition 2014 est en soi une marque de reconnaissance et un t moignage loquent du r le jou par les petits exploitants dans la s curit alimentaire des populations au Cameroun comme ailleurs dans le monde En effet l agriculture familiale repr sente environ 80 de la production agricole globale au Cameroun et son r le dans l atteinte par ce pays tout a la fois du premier Ob jectif du Mill naire pour le D veloppement OMD1 et de celui du Sommet Mondial de l Alimentation est tout a fait r v lateur de l importance de ce sous secteur D autres v nements non moins importants tels que l organisation du premier salon international de l avi culture du Cameroun SAVI l exp rience prometteuse de l levage en cage des poissons comme strat gie al ternative d accroissement de l offre en poissons la mise en uvre de la phase pilote du recensement g n ral de l Agriculture et de l Elevage une communication sur un logiciel innovant Rural Invest mis au point par la FAO pour une meilleure formulation et analyse des projets d investissement agricoles et ruraux de petite et moyenne dimension et le d veloppement des entre prises en milieu rural les activit s men es dans le cadre des projets de protection et d am nagement des co syst mes des mangroves et des jardins scolaires sont galement au menu de cette dition de votre journal Nous restons votre coute pour recevoir vos r actions qui nous per
11. conservation de la biodiversit et r duire la d gradation des cosyst mes de la mangrove 2 Assurer une durabilit des moyens de subsistance des communaut s locales qui vivent dans et autour des zones de mangroves Durant la p riode de Juillet Aout 2014 les activit s sui vantes ont t men es Composante 1 Renforcement politique et institutionnel Dans le cadre de l activit du projet consistant pr parer des publications semestrielles devant tre distribu es aux principaux acteurs et au grand public l ONG CWCS a boucl les pr paratifs du montage du premier num ro du journal Matanda news comptant pour la deuxi me ann e du projet Des articles de presse ont ainsi t collect s des partenaires de mise en ceuvre du projet sous l ditorial du Repr sentant de la FAO au Cameroun La parution de ce premier num ro est pr vue dans les tout prochains jours Composante 3 Cr ation d aires prot g es de mangroves Le partenaire CWCS a relanc le processus de d classement et de reclassement de la r serve de faune de Douala Ed a en parc national Une s ance de travail a t organis e cet effet le 05 ao t 2014 la D l gation r gionale du Minist re des For ts et de la Faune MINFOF du Littora a Douala en vue d laborer une feuille de route pour l organisation des ate liers d partementaux de la Sanaga maritime et du Wouri Ces ateliers auront pour objectifs d informe
12. exiger la pleine participa tion des porteurs de projets au processus d laboration it rative et participative de leur projet Pouvoir tre utilis par des personnes ayant peu d exp rience pr alable de l la boration de projets de montage de get et d analyse financi re D terminer la viabilit de l investissement technique financi re op rationnelle so ciale environnementale Garantir une analyse comparable de tous les cas Harmoniser la saisie la pr sentation et l interpr tation des donn es saisies et des r sultats Faciliter et automatiser les calculs finan ciers la g n ration des rapports et le contr le des donn es Eviter les erreurs et oublis dans la saisie et les calculs financiers La m thodologie a t test e et uti lis e dans un grand nombre de pays principalement en Am rique latine puis en Afrique et plus r cemment en Asie centrale et en Asie Elle comprend une gamme d outils de formations qui inclue des manuels techniques un logiciel un manuel d utilisation du logiciel et du mat riel pour les formateurs actuel lement Ces outils sont actuellement disponibles en sept langues anglais arabe espagnol francais portugais 11 12 russe et turc autres langues en cours de d veloppement Strat gie de diffusion de la m tho dologie renforcer et responsabiliser les comp tences nationales Rural Invest constitue un bien public mondial d velopp par la F
13. le probl me de disponibilit d alevins et de provendes La d l gation a pris bonne note des dol ances exprim es par les aquacul teurs tout en les assurant de ce que le Minist re a d j pris des dispositions idoines en vue de satisfaire les demandes en alevins et provendes dans la perspective d une mise a l chelle de cette technologie novatrice susceptible d am liorer l offre en produits aquacoles au Cameroun Bonne pratique savoir Les cages piscicoles peuvent avoir diff rentes formes convenance du propri taire et selon ses moyens financiers rectangulaire cubique cyclique celles utilis es dans le cadre de ce projet exp rimental sont de forme cu bique dont deux de 5 m x 5 m et quatre de 4 x 4 avec des profondeurs respectives de 4 m pour les deux premi res et 2 5 m pour les quatre autres Les capacit s de mise en charge des alevins par m3 d eau peuvent tre comprises entre 100 et 200 alevins de 20 grammes chacun maximum l valuation globale du co t d une cage est fonction de la production obtenue Avec l esp ce tilapia l avantage est d avoir deux produc tions par an de six mois chacune Esp ce lev e Tilapia nilotica Oreochromis niloticus poisson d eau douce l aquaculture par d finition est l levage d animaux aqua tiques et concerne aussi bien les poissons les crevettes les crabes et autres La pisciculture quant elle se d finit comme tant l levage de poissons E
14. AO Son d veloppement et sa diffusion fait partie d une des fonctions principales de l Or ganisation savoir la promotion de l investissement en faveur du d velop pement agricole et rural de la s curit alimentaire et nutritionnelle et s ins re dans les cinq Objectifs Strat giques de la FAO adopt s en 2013 A ce titre la m thodologie est accessible tous voir ressources en ligne plus bas travers des actions de renforcement des capa cit s ad quates Cependant seule l utili sation de Rurallnvest par des minist res des organisations ou des projets est soutenue par la FAO Le logiciel ne peut en effet pas tre mis disposition pour une utilisation individuelle tant donn qu une formation de formateurs assur e par la FAO est pr alablement requise Au niveau d un pays donn toutes les organisations n auront pas besoin des m mes modules de Rurallnvest Pour une institution int ress e la premi re tape est donc de contacter le Bureau local de la FAO et ou le Centre d Inves tissement de la FAO pour valuer ses besoins d terminer quels modules sont Valnvest gt Cameroun pertinents en fonction de ses activit s et besoins propres et estimer le co t des formations n cessaires et la meilleure strat gie de diffusion de l adoption de Rurallnvest Ce choix d pendra des b n ficiaires cibl s Le module 1 n est a priori pas n cessaire lorsque seuls des promoteurs individuels sont cibl
15. ES TR rua AW En 4 io Ears m 7 be a P Elevage de poisson en cage CountpyStat Cameroun Journ e Mondiale de l Alimentation 2014 Mangroves Vest Cameroun FAO la pr paration du PIDMA Jourm emondiale de la lutte contre la rage au Cameroun Salon International Avicole de Yao nd SAVY 2014 Recencement g n ral de l agriculture etde l levage la promotion de Jardins Scolaires dans la Grand TeleFood S gt gt a EQUIPE DE R DACTION 10 Septembre Octobre 2014 Directeur de publication Ma Moussa Abari R dacteur en Chef Abdourahman Zourmba Comit de R daction Atanga Felicitas Jilus Fon Armand Ndjock Oumarou Marc Fantinet Contact FAO CM fao org T l 00237 22 21 12 42 Cel 00237 77 48 60 09 Web www fao org E Par Moussa Abari Repr sentant de la FAO au Cameroun Chers lecteurs ch res lectrices C est avec un plaisir toujours renouvel que j ai l in signe honneur d introduire cette dixi me dition de notre bulletin j allais dire votre bulletin FAO Info Ce num ro consacre une large place aux activit s comm moratives de la Journ e Mondiale de l Agriculture c l br e le 22 Octobre 2014 a Ayos dans la r gion du centre sur le th me Agriculture familiale nourrir le monde pr server la plan te Le choix de
16. e et de la protection des plantes AGP ont particip activement aux tudes compl mentaires sur la transforma tion du manioc et ma s la m canisation agricole et les se mences pour identifier les experts et revoir leurs rapports De mani re g n rale les appuis apport s par la Division du Centre d investissement aux pays sont inscrits et pro gramm s dans le Cadre de programmation pays CPP FAO Cameroun Le PIDMA a t approuv par le Conseil d administration CA du groupe de la Banque mondiale le 25 septembre 2014 et la signature des accords de financements est im minente Lors de ce Conseil le PIDMA a suscit un tr s vif int r t des Directeurs ex cutifs les repr sentants des pays membres au CA et a t salu pour son caract re novateur la r plication de son concept dans d autres pays notam ment en Afrique a t encourag e Le PIDMA est novateur plus d un titre En effet s agit d une toute premi re op ration en Afrique de la Global Practice Agriculture pr voyant un partenariat public priv PPP pour appuyer le financement et la r a lisation des sous projets port s par des coop ratives de producteurs Ainsi seront tout d abord sign s des partenariats pro ductifs entre chaque coop rative b n ficiaire et les agro business partenaires lesquels s engagent acheter leur production sous des conditions prix qualit quantit calendrier bien d finis Par ailleurs le
17. en forte augmentation Dans la R gion du centre l on d nombre depuis le d but 2014 189 personnes mordues par des chiens suspects de rage et le d partement du Nyong et So o a enregistr lui seul une cinquantaine de personnes mordues La meilleure mani re de lutter contre cette maladie est de faire vacciner les animaux de compagnie et en particulier les chiens Strat gie globale de lutte contre la rage Pour aborder avec succ s la lutte contre la rage plusieurs actions peuvent tre men es L on peut citer entre autres La sensibilisation du grand public La surveil lance activit indispensable pour orienter les actions La vaccination de masse pour une rupture du cycle de transmission de la rage La collaboration multisectorielle La sensibilisation du grand public est un des l ments importants pour r aliser avec succ s des programmes de lutte contre la rage Toute communaut doit tre responsable de l encadrement de ses chiens en s effor ant pr venir les morsures et a conna tre la conduite tenir en cas de morsure La surveillance est un fondement important pour comprendre les tendances et orienter les actions visant liminer la rage Pour se faire la capacit des acteurs de terrain pouvoir collecter les chan tillons de bonne qualit est indispensable est de m me du renforcement de la capacit des laboratoires pouvoir confirmer un cas de rage etla d claration de la maladie est essentielle p
18. ge le petits ex ploitants en particulier les jeunes et les femmes a travers la facilitation de l acc s au financement aux intrants agricoles afin d am liorer leurs capacit s productives pour davantage accro tre l offre de produits alimentaires dans un Cameroun qui s urbanise de plus en plus En somme 4e choix du th me de cette dition est un hommage eif nemarque naissance du r le important que joue les petits exploitants de part le monde dans le cadre de la lutte contre la faim et l ins curit alimentaire devrait conclure le Repr sentant de la FAO Dans son discours d ouverture le Ministre de l Agri culture et du D veloppement Rural a r it r l engagement du Gouvernement camerounais a migrer vers une agriculture de seconde g n ration c est dire une agriculture plus pro ductive plus comp titive et pr servatrice de l environnement dans laquelle l agriculture familiale continuera de jouer un r le central en compl mentarit avec les moyennes et grandes exploitations La c r monie d ouverture a t suivie par une visite guid e des stands d exposition ou divers produits agri coles de grande qualit r v lateurs des fortes potentialit s dont regorge le Cameroun ont t pr sent s La journ e a pris fin par la remise de mat riels et intrants agricoles aux organisa tions des producteurs les plus m ritantes afin de les encoura ger a am liorer davantage leurs performances pour accroitre
19. her termin s 2 gt Projet Cr er nouveau Fn cours D i Afficher termin s 4 Une m thade participative pour l formulation et le sulvi des petits projets d investissement milieu rural WERE pi 51 EF a Par 17 je PERTE IB MARRAGE DUPIDMAN a zu ntre juillet 2013 et fin 2014 la FAO a apport un appui tr s substantiel au Cameroun pour appuyer la pr paration et le d marrage du Projet d investisse ment et de d veloppement des march s agricoles d un co t de 170 millions de dollars des Etats Unis d Am rique cofinanc par le Cameroun le groupe de la Banque mondiale Association internationale de d velop pement AID et Soci t financi re internationale SFI les coop ratives b n ficiaires les institutions financi res par tenaires banques commerciales tablissements de mi crofinance et de leasing camerounais et la Coop ration japonaise Au total ce ne sont pas moins que six experts de la FAO et l quivalent de 45 personnes semaines tra vers quatre missions d appui qui ont t mobilis s pour appuyer la pr paration du PIDMA jusqu son approbation Des ressources suppl mentaires ont t mobilis es pour la p riode novembre 2014 juin 2015 pour accompagner le d marrage du projet La 1 re mission FAO d appui la pr paration dirig e par M Marc Fantinet conomiste principal TCI s est ren due a
20. iels agricoles aux coles impliqu es dans le projet e projet financ sur les ressources du programme de coop ration technique vient de prendre fin En raison des disponibilit s financi res et du retard de d marrage du projet la FAO Cameroun a mis la disposition des tablissements scolaires cibl s des intrants et mat riels agricoles afin d accompagner les coles concern es pour la conduite d une troisi me campagne de cultures ch res A cette fin la FAO vient de mettre la disposition des 48 coles cibl es 500g de semence d amarante 10kg de se mence d oignon 1 6kg de semence de morelle noire 30kg de semence d oseille de guin e 01kg de semences de tomate 30kg de semence de gombo et 01 1g de semence de carotte 50g de semence de laitue ainsi que 560 houes 40 dabas 40 machettes 20 pioches 40 pelles 40 fourches 40 r teaux 08 brouettes 520 arrosoirs 04 double d cam tres et 08 tonnes d engrais NPK et Ur e ont t distribu s 48 coles primaires du grand Nord pour la p rennisation des activit s de jardins scolaires La faim et la malnutrition sont les principaux pro bl mes affectant les l ves issus des familles pauvres dans le Grand Nord A cause de la malnutrition les facult s cognitives l activit physique et la r sistance aux maladies de ces l ves sont r duites La FAO encourage les tablissements scolaires cr er des jardins scolaires en vue non seulement d am liorer
21. ier recensement de l agricul ture date de 1984 tandis que celui de l levage date des ann es 1970 le Gouvernement camerounais a sollicit l appui de la FAO pour conduire un re censement g n ral de l agriculture et du cheptel La FAO a r pondu favora blement cette requ te en d cidant de mobiliser les ressources du programme de coop ration technique pour accom pagner le Cameroun dans la mise en uvre d une phase pr paratoire tout en r affirmant sa disponibilit a accom pagner cette op ration pour la phase proprement dite du recensement une fois la phase pr paratoire achev e Le projet relatif a la phase pr paratoire a t lanc en Avril dernier et la FAO s est ensuite attel e a mobiliser toute l exper tise requise experts de la FAO consul tants internationaux et nationaux pour initier le renforcement des capacit s des cadres des Minist res de l Agriculture et du D veloppement Rural et de l Elevage P ches et Industries Animales travers le d ploiement de plusieurs missions Parall lement des quipements infor matiques et autres supports ont t acquis et mis la disposition de la coor dination nationale du projet Un voyage d tude au profit des deux principaux responsables des Minist res concern s a t organis au Togo et au Mali dans le cadre de partage d exp riences avec ces pays qui ont d j r alis le recen sement g n ral de l agriculture et de l levage par le pass
22. l Elevage des P ches et des Industries Animales en partenariat avec l Interprofession Avicoles du Cameroun IPAVIC le Salon Avicole Internationale de Yaound SAVI est tout d abord une vibrante illustration de la mise en uvre du partenariat public priv Ce regroupement des professionnels de la fili re avicole est aussi le lieu de d monstration du fort potentiel de la fili re avicole dans notre pays et en Afrique Centrale s inscrit dans le cadre des missions du MINEPIA qui assure la promotion des levages et met en ceuvre la politique du gouvernement en la mati re s agit donc d une action de promotion destin ouvrir le march du Cameroun aux nouvelles technologies d velop p es dans le secteur de l aviculture moderne Le Salon Avicole International de Yaound fera d couvrir l excellence du savoir faire des exposants camerounais et trangers notamment les accouveurs fournisseurs de souches producteurs d aliments importateurs et distributeurs d intrants leveurs de poulets de chair producteurs d ufs de consommation promoteurs des chaines d abattage im portateurs de mati res premi res triturateurs fournisseurs d additifs transformateurs de viande de volailles et des ufs et fournisseurs des m dicaments et autres produits v t rinaires usage avicole Excellence Mesdames et Messieurs L organisation de ce salon r pond non seulement un besoin d exhibition du savoir faire des exposants mais
23. l offre de produits agro sylvo pastoraux et halieutiques Durant toute la semaine qui a pr c d la c l bration de cette journ e divers v nements dont le point de presse du Ministre de l Elevage p ches et industries animales assurant l int rim du Ministre de l Agriculture et du D veloppement Rural le mess ge du Directeur G n ral de par le Repr sentant r sident et plusieurs missions radiodiffus es et t l vis es sur l importance de la journ e mondiale de l ali mentation et particuli rement du th me de la pr sente di tion ont t relay es par divers media notamment le Morning Safari Bonjour Cameroon Calling CRTV Radio et T l vision et d autres Le 26 d octobre CRTV Radio a lanc sur la station Dimanche Midi une mission sp ciale ayant comme objectif de faire une synth se des v nements de la semaine La presse crite Cameroon Tribute Quotidien Mutations et Quotidien Le Jour a galement couvert cette th matique dans ses pages interviewant Mr Essimi Menye Ministre de l Agriculture et du D veloppement Rural HUET Fun leFood www fao org GCP CMR 030 GFF SUSTAINABLE COMMUNITY BASED MANAGEMENT AND CONSERVATION OF MANGROVE ECOSYSTEMS IN CAMEROON e projet de gestion communautaire et de conserva tion des cosyst mes de mangroves au Cameroun vise deux objectifs dont un de conservation et un de d veloppement savoir 1 Renforcer la
24. le 07 ao t 2014 dans le cadre de la mise en place d un essai pi lote d aquaculture La formation a cibl les femmes impliqu es dans l aquaculture des crevettes et portait sur la construction des nouveaux types de cages d aquaculture Une dizaine de femmes leadeurs repr sentant cing communaut s a ainsi t form e la construction des cages cylindriques qui sont ap pel es remplacer les cages rectangulaires sur lesquelles ont t observ s certains d fauts Dans le but de mener une tude transfrontali re du com merce du bois de la mangrove OPED a lanc un appel consultation et recrut un consultant L objectif global de cette tude est d analyser le flux transfrontalier du bois de mangrove entre le Cameroun et les pays voisins en faisant ressortir la quantit et la qualit du bois trafiqu ainsi que son utilisation et les acteurs impliqu s Au final l tude per mettra d avoir une vue globale sur les principales menaces qui p sent sur la zone transfrontali re de mangrove entre le Cameroun le Nigeria et la Guin e Equatoriale leurs cons quences ou impacts sur les cosyst mes de mangrove Sur la base de cette identification des menaces des solutions seront envisag es de commun accord entre ces trois pays de ma ni re faire reculer le commerce ill gal de bois de mangrove transfrontalier Composante 5 Gestion et suivi du projet Une mission de suivi a t organis e par la coordination
25. lle peut se pratiquer aussi bien dans les tangs terre les bacs b tonn s les b ches mais aussi dans les cages sur les plans d eau 4 7 Renforcement de la collaboration institutionnelle cr ation des r seaux et le renforcement des capacit s Journ e Mondiale de l Alimentation La Journ e Mondiale de l Alimentation 2014 au Cameroun a t c l br e le 22 octobre 2014 Le th me de la JMA de cette ann e est l Agriculture Familiale Nourrir le monde pr server la plan te La c r monie d ouverture a t pr sid e par le Ministre de l Agriculture et du D veloppement Rural Monsieur Essimi Menye en pr sence du Ministre de la Promotion de la Femme et Famille le Ministre des Travaux Publics le Ministre D l gu aupr s du Ministre de l Agriculture et du D veloppement Rural du Repr sentant de la FAO au Cameroun et du Repr sentant du du Gouverneur de la r gion du Centre des auto rit s administratives et coutumi res du d partement h te Apr s le discours de bienvenue du maire de la ville d Ayos le Repr sentant de la FAO a dans son adresse mis exergue le r le important que joue l agriculture familiale dans la lutte contre l ins curit alimentaire au Cameroun ou pr s de 8096 de la production agricole globale est produite par les petits exploitants Le Repr sentant de la FAO au Cameroun a de mand au Gouvernement de soutenir davanta
26. logiques et pr ciser les 15 61 les mod les de SP par fili res Enfin la 4 me mission avril mai a consist in t grer les r sultats de tous ces travaux dans le document de projet PAD lors de mission d valuation ex ante du projet dirig e par la Banque mondiale en vue de sa n gociation entre le groupe de la Banque mondiale et le Gouvernement lesquelles ont t conduites avec succ s en mai 2014 Tous ces appuis ont t possibles gr ce au Programme de coop ration FAO Banque mondiale FAO CP pilot par la Division du Centre d investissement de la FAO qui f te cette ann e son cinquanti me anniversaire Il a en effet t tabli en 1964 et a pris progressivement de l ampleur pour constituer aujourd hui l un des programmes phares de coop ration de la FAO au niveau mondial Selon ce pro gramme la FAO et la Banque mondiale partagent les co ts et responsabilit s d appui aux pays membres de la FAO pour pr parer des projets d investissement soumettre au financement de la Banque mondiale appuyer leur d mar i 5 WORLD BANK GROUP rage et leur mise en uvre conduire des tudes secto rielles de revue mi parcours et d valuation des projets financ s des actions de renforcement des capacit s des acteurs nationaux en appui la promotion de l investis sement dans le secteur agricole etc voir www fao org investment ourwork fr l appui la pr paration du
27. mes d organisa tions de producteurs OP PLANOPAC et des tablissements de mi crofinance EMF partenaires du PADMIR CamCCUL ADAF Associations des MC2 Cr dit du Sahel R seau Binum Tontine UCCGN et du Bureau du FIDA au Cameroun Apr s une pr senta tion g n rale de la m thodologie un ra pide tour des fonctionnalit s du logiciel a t effectu puis l opportunit et les modalit s de sa diffusion au Cameroun au b n fice des divers types d acteurs minist res Plateformes et OP banques et EMF ont t discut es La r union a suscit un tr s vif int r t et de nombreux participants ont exprim leur souhait de recevoir l assistance technique de la FAO pour diffuser la m thodologie et le logiciel au sein de leurs organisations respectives travers un programme de renforcement des capacit s Origines et objectifs de la m thodologie La m thodologie et le logiciel Rural Invest ont t d velopp s progressi vement par la FAO depuis 1998 en r ponse au d ficit d outils adapt s pour appuyer de mani re participative simple et d centralis e l identification la formulation et l valuation ex ante de projets d investissement agricoles et ruraux de petite moyenne dimension et le d veloppement des entreprises en milieu rural Coop ratives groupements de producteurs de femmes micro en treprises etc En effet depuis la fin des ann es 90 les
28. mettrons d am liorer la qualit de notre produit commun lecture L levage de poissons en cage au Cameroun a ville de Mbalmayo a accueilli la mission conjointe conduite par S E Dr Taiga Ministre de des P ches et des Industries Animales et Monsieur Mai Moussa ABARI Repr sentant de la FAO au Cameroun dans le cadre de la visite de terrain d un des sites pilote du projet sur l levage de poissons en cage Cette visite a per mis a la mission minist rielle de senqu rir de l volution de ce projet mis en place avec l assistance technique et finan ci re de la FAO dans le cadre de la Facilit du Programme de Coop ration Technique TCP Facility 165 changes entre les b n ficiaires et les membres de la mission ont permis de mettre en exergue l importance de cette technique d le vage des poissons qui est nouvelle au Cameroun avec des avantages av r s illustr s par la pr sentation des poissons de taille appr ciable trois mois juste apr s la mise en cage des alevins alors que le cycle de production est pr vu pour une dur e de six mois D j en cette premi re ann e d ex p rimentation sur ce site pilote situ a quelques encablures de la ville de Mbalmayo les aquaculteurs b n ficiaires de ce projet voquent des probl mes de commercialisation de poissons cons cutivement a une relative surproduction En termes de difficult s soulev es il faut relever
29. module concern et le nombre total de modules choisis Une formation type demande 2 3 sessions distinctes de formation initiale puis de recyclage et de capitalisation et changes d exp riences tal es sur une p riode de 3 12 mois une attention particuli re tant apport e aux tudes de cas pour r pondre aux besoins sp cihques de chaque organisation utili satrice L adoption d un nombre limit de modules diminue cette p riode Les co ts de diffusion de Rurallnvest d pendent donc des modules choisis du lieu de formation et du fait que des formations soit ou non combin es Dans tout les cas il est de la responsabilit de l organisation utilisatrice de fournir un espace pour la formation le mat riel n cessaire et des ordinateurs individuels r pondant aux sp cifications requises pour le fonctionnement du logiciel Rurallnvest et le financement du trans port du logement et de la restauration des participants aux formations La FAO fournit les formateurs les manuels tech niques le logiciel version administra teur et version utilisateur et le mat riel de formation Pour plus d informations Les personnes int ress es m thodo logie sont convi s acc der aux ressources disponibles en ligne sur le site de la FAO Site internet Rurallnvest http www fao org investment ruralinvest rural invest fr en sont disponibles en t l chargement libre les manuels des module
30. nationale du projet en Ao t 2014 pour dresser un tat des lieux et le niveau d avancement des activit s des ONG OPED CWCS CamEco sur le terrain Au cours de cette mission une s ance de travail avec le PMU a permis de s accorder sur l organisation d une r union de coordination durant le mois d octobre 2014 Julius NIBA FON et Jean Hude Moudingo Ekindi Kribi tel 75593138 email nibafongyahoo co uk 10 Cameroun Alnvest gt Une approche participative et d centralis e pour formuler et analyser des projets d investissement agricoles et ruraux de petite et moyenne dimension et le d veloppement des entreprises en milieu rural l initiative conjointe du MINADER du FIDA de la Banque mondiale et de la FAO une s ance de pr sen tation et de discussion de la m thodo logie et du logiciel Rural Invest anim e par M Marc Fantinet conomiste princi pal Division du Centre d investissement FAO Rome s est tenue avec succ s le 12 novembre dans les locaux de la Banque mondiale Yaound La s ance a r uni une trentaine de participants prove nant du MINADER Direction des or ganisations professionnelles agricoles Programme national de vulgarisation agricole PNVRA Service du cr dit ru ral du MINEPAT Direction g n rale de la coop ration des unit s de coor dination de certains projets en cours d ex cution rattach s au MINDAER et au MINEPAT PIDMA PACA PNDP PADFA PADMIR des platefor
31. oduits Elle exige de nous tous imagination innovation am lioration permanente des infrastruc tures et enfin respect scrupuleux des normes de production Au vu des efforts consentis par le secteur priv nous vous savons capables d atteindre ces objectif certes ambitieux mais indispen sables pour vous pr parer la concurrence favoriser la conqu te des nouveaux march s et vous arrimer aux standards internationaux Comme vous le savez tous l aviculture est en n en point douer un vivier d emplois s r pour la jeunesse de notre pays Nous devons tous ensembles gouvernement dans ses diff rentes composantes responsables politiques secteur priv ONG aviculteurs leveurs pisciculteurs contribue renforcer les investissements dans cette fili re Le Gouvernement est convaincu de la justesse de ces objectifs et de leur faisabilit C est pourquoi nous avons ensemble plac cette dition du Salon International de Yaound sous le th me de L AVICULTURE COMME LEVIER DE CROISSANCE ETVESTEUR DE Excellences Monsieur le Pr sident de l Interprofession Avicole du Cameroun Mesdames et Messieurs les professionnels de la fili re avicole Mesdames et Messieurs Je ne saurai terminer mon propos sans remercier tr s chaleureusement toutes celle et tous ceux qui ont contribu la r alisation de cette 1 re dition du Salon Avicole International de Yaound Je pense aux membres du Gouvernement p
32. our leur important soutien au Comit d organisation pour les sacrifices consentis l Interprofession Avicole du Cameroun pour la mobilisation des producteurs au Commissaire G n ral du SAVI 2014 et tous les personnels du Minist re de l Elevage des P ches et des Industries Animales pour l animation du Salon J exprime aussi ma profonde gratitude la FAO pour son appui constant et assistance tous les exposants qui l ont soutenu avec tant de g n rosit ainsi qu aux universitaires pour leurs riches et importantes communications Je tiens remercier sinc rement et chaleureusement nos h tes venus de loin pour le temps qu ils vont nous consacrer C est sur ces notes de satisfaction et d invitation de recherche permanente de comp titivit et de qualit que je d clare ouverte la premi re dition du salon Avicole International de Yaound Vive le partenariat public priv Vive la coop ration internationale Vive le Cameroun qui visiblement merge sous la tr s haute impulsion de son illustre chef Son Excellence Paul Biya Pr sident de la R publique Je vous remercie de votre aimable attention INTERNATIONAL DE YAOUNDE fr Re Qvi N ES 22 TCP CMR 3501 RECENSEMENT G N RAL DE L AGRICULTURE ET DE L LEVAGE ASSISTANCE PR PARATOIRE fin de faire face l obsoles cence des donn es statis tiques dans le secteur de l agriculture et de l levage le dern
33. our identifier les zones risque La vaccination de masse des animaux de compagnie en particulier des chiens va permettre de rompre le cycle de transmission de la rage s agit donc d une activit phare est reconnu que la vaccination d au moins 70 des chiens interrompt le cycle de transmission chez les chiens et vers l homme car il existe des vaccins s rs efficaces et financi rement abordables contre la rage canine La collaboration multisectorielle va permettre d liminer la rage car la lutte contre cette maladie exige une implication coh rente et durable de gestion des acteurs de la sant humaine de la sant animale et de la communaut enti re i eh SOUS LE HAUT PATRCINAGE DU MINISTRE DE L ELTYV AGI DIS P CHES ET DES INDUSTRIDS EMENT DES carACITES DES PER EE DU SUR LA COL EMINE SMT DES ECHANTILLONS DIAGNOSTIC DE LA RA MAALMA YO H TEL RELAIS b AU 3 OCTOBRE 2014 MEER 2014 ainst Rabies SUR LA COLLECTE LA LE HAUS PATRONAGE DU DE L OUIVAGI DES P CHES DES INDUSTRIES ANIMALE NOSTIC DE LA RAGE ANIMALE DES CAPACIT 7 RSONNELS DU MINEPIA SUR LA COLLEC DES CHANT guta PAUR LE DIAGNOSTIC DE LA RAGE j AMATO HOT Aii UD EE 2 AU 3 CCTOBRE 2014 1959 Edition du Salon Avicole Internationale de Yaounde SAVI 2014 DISCOURS D INAUGURATION DE MONSIEUR LE
34. projets d investissement agricoles et ruraux pr par s et g r s par les b n ficiaires eux m mes approches d veloppement local et ou commu nautaire participatives et en appui au d veloppement des fili res des OP coo p ratives et des microentreprises PME rurales ont assum un r le de plus en plus important dans le d veloppement durable du secteur agricole et rural Appuyer les communes les communau t s locales les promoteurs priv s et les OP concevoir et mettre en ceuvre leurs propres projets d investissement qu ils soient g n rateurs de revenus ou de nature sociale infrastructures locales et Seres ces 8 12 18 mer un r le plus actif dans les d cisions concernant leur propre d veloppement en assurant une meilleure appropriation des propositions par les porteurs de pro jet et une maximisation des chances de r ussites et impacts des projets financ s En outre les exp riences de promotion des investissements locaux encourag es par les Gouvernements les banques ru rales et les institutions financi res inter nationales ont d montr l importance d apporter aux techniciens nationaux travaillant avec les porteurs de projets des outils adapt s pour identifier les be soins en terme d investissement labo rer des propositions de projets viables durables et bien argument s sur les plans techniques social environnemen tal financier et conomique et estimer de mani re harmonis
35. r le public et valider les d limitations propos es pour le nouveau parc national La s ance de travail a regroup toutes les principales parties pre nantes y compris le D l gu R gional de MINFOF du Littoral les D l gu s D partementaux de la Sanaga Maritime et du Wouri les Conservateurs de la Reserve de Faune Douala Ed a et le Lac Ossa l Unit de Coordination Technique du projet et des associations locales impliqu es dans la gestion des res sources de mangrove Au cours de ladite s ance de travail il a t demand au partenaire CWCS d actualiser l avis au public relatif ce processus qui date de 2010 Dans le but de faciliter l activit d attribution des for ts communales des mangroves dans les localit s de Bamousso et Ekondo Titi le m me partenaire CWCS a organis le 28 ao t 2014 Ekondo Titi un atelier regroupant toutes les parties prenantes afin d laborer une feuille de route Il est noter que la d marcation territoriale entre les sites propos s pour les for ts communales et le parc National de Ndongor n est pas tout fait claire l Unit de coordination technique du projet a recommand au partenaire de mise en ceuvre de prendre attache avec l Institut National de la Cartographie imitation des diff rents sites des for ts pour une meilleure d communales Composante 4 Gestion durable de ressources de la mangrove Le partenaire OPED a organis un atelier de formation kribi
36. s 1 2 et 3 de la m thodologie en sept langues dont le fran ais Version de d monstration du logiciel version 4 0 http apps3 fao org riv demo lo gin lang fr ou http www fao org investment ruralinvest software fr en o sont pr sent s des cas types de projets et avant projets g n rateurs de revenus ou non et sur laquelle les utilisateurs peuvent saisir leur propres avant projets et projets Des informations compl mentaires peuvent tre obtenues aupr s du Bureau pays de la FAO ou des points focaux suivants au Centre d In vestissement pour l Afrique Messieurs Marc Fantinet Marc Fantinet fao org Anglais Fran ais et Takayuki Hagiwara Takayuki Hagiwara fao org Anglais Par Marc Fantinet Economiste principal Division du Centre d investissement FAO Rome gt Page Avant Prajets 5 Des revenus Avant projet E Cr er nouveau En cours 1 Afficher termin e 10 gt Projet Cr er nouveau 5i En cours 0 Afficher termin s 11 gt Une m thode participatlve pour fa et le saii des petits projets d investissement en milieu url Znvest Avant Projets Projets 5 Projets Rechercher Aide Configuration Pas de revenus A gt Liens Internet gt cours Example Commercial 12 11 14 a E Cr er nouveau i En cours 0 i Affic
37. s sous projets des coop ratives seront cofinanc s par leurs promoteurs minimum de 1096 une subvention du PIDMA maximum de 5096 et un pr t moyen terme MT octroy par les institutions financi res partenaires minimum de 40 gr ce aux instruments nanciers mis en place par la SFI dans le cadre du projet La facilitation de l acc s au financement par cr dit MT travers une approche int gr e dans laquelle chaque par tie Coop rative promotrice agrobusiness banquier a un r le et des responsabilit s clairement d termin s consti tue une des cl s de la r ussite du PIDMA A ce jour trois banques commerciales ont d j sign une convention de partenariat avec le PIDMA Afriland First Bank BICEC Ecobank des n gociations avec d autres banques et EMF sont en cours Et des conventions globales de partenariat ont d j t sign s par le PIDMA avec cing agrobusiness Guiness Cameroun Nestl Etablissements Nkam proven derie SOCOCHAIR et le Syndicat national des boulangers du Cameroun Par Marc Fantinet Economiste principal Division du Centre d investis sement FAO Rome Marc Fantinet fao org RuralllMInvest 15 c r monie de lancement de la campagne natio nale de vaccination des animaux de compagnie et de sensibilisation des populations contre la rage u Cameroun cette la maladie est end mique et les cas de morsures et griffures des chiens sont
38. t et de garantie nationaux et iv les banques publiques et priv es et les EMF ayant un important portefeuille en milieu agricole et rural ou la volont d en d velopper un Modules type de projets trait s et principes fondateurs La m thodologie Rurallnvest est com pos e d une s rie de quatre 4 modules permettant de r pondre ces besoins d appui aux investissements locaux MODULE 1 Identification participative des priorit s locales d investissement MODULE 2 Pr paration et analyse d avant projets MODULE 3 Formulation analyse finan ci re d taill e et valuation ex ante de projets MODULE 4 Suivi et valuation gestion du portefeuille de projets avant projets base de donn es Elle permet de traiter aussi bien des projets g n rateurs de revenus agri coles d levage forestiers etc que des producteurs productifs non directement g n rateurs de revenus infrastructures d acc s aux march s et bassins de pro duction et des projets de nature en vironnementale ou sociale l essentiel est d assurer que l on appuie un inves tissement seulement si la proposition de projet est APPROPRI E et FAISABLE s agit donc d un d marche QUALIT pour am liorer la formulation et le suc c s des projets financ s Rural Invest a t concu et progressi vement d velopp dans le souci de Permettre de traduire les besoins r els et les priorit s des porteurs de projets Promouvoir et
39. u Cameroun en juillet 2013 ont particip galement un fonctionnaire agronome et un fonctionnaires en cr dit et finances rurales Elle a travaill avec l quipe multi mi nist rielle de pr paration du projet ENP et a rencontr des repr sentants des organisations paysannes OP des producteurs et des agrobusiness des trois fili res cibl es ma s manioc sorgho les instituts de recherche agricole IRAD et les institutions financi res potentiellement int ress es Elle a permis de pr ciser les donn es collec ter dans les r gions d intervention par l ENP dans le cadre d une tude de r f rence sur les fili res et bassins de pro duction d appuyer l laboration des co ts et modalit s de financement des activit s par composante et de pr parer des mod les technico conomiques de sous projets SP par fili re et une premi re bauche de l analyse financi re et conomique globale du projet Lors de la 2 me mission octobre 2013 les co ts et activit s par composante ont t raffin s avec l ENP et des ateliers participatifs organi s s par les plateformes d OP ont t tenus avec des repr sentants d OP venant de toutes les r gions du Cameroun Durant la 3 me p riode de mission f vrier mars 2014 la demande du MINADER d autres experts ont approfondi les probl matiques de transformation m canisation et se mences et pour d tailler l analyse des march s des options techno
40. ui a eu pour effet d en r duire consid rable ment les importations Si ces chiffres d montrent une performance appr ciable ils ne doivent pas occulter la demande croissante en prot ines animales ni l existence de grandes marges de progressions pour cette sp culation C est pourquoi ensemble avec le secteur priv nous avons d cid de favoriser la cr ation d un cadre p renne de rencontre et d change afin de faciliter l augmentation de la productivit la transformation et la commercialisation des produits Le Salon Avicole International de Yaound devra permettre aux op rateurs camerounais non seulement d exposer leu savoir faire mais aussi de nouer de fructueux contacts avec des partenaires d ici et d ailleurs De m me ce salon sera aussi l occasion pour le Cameroun de b n ficier d importantes communications scientifiques relatives au d veloppement de l aviculture avec les universitaires et autre experts ici pr sents Ceci permettra notre pays d en tirer un avantage commercial mais aussi d affermir son leadership au plan avicole dans la sous r gion et en Afrique subsaharienne avec des retomb es pr visibles en termes d acquisition des parts de march de transfert des technologies de labellisation made in Cameroun L objectif final est comme le rappelait encore le Chef de l Etat Son Excellence Paul Biya au Comice d Ebolowa je cite d avancer dans la voie de la modernisation de l agriculture de l levage
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