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Rapport sur le suivi des rapports spéciaux de la Cour des comptes

1. Depuis la publication du premier rapport sp cial de la Cour sur le suivi de ses recommandations et compte tenu de la forte augmentation du nombre de recommandations et des demandes adress es la Commission celle ci a toutefois affin les instructions destin es ses services en demandant ces derniers lorsqu ils r pondent de telles recommanda tions ou demandes d indiquer clairement s ils les acceptent et de pr ciser si possible dans quelle mesure elles ont t mises en uvre VII Les cat gories int gralement mises en uvre en cours de mise en uvre pratiquement tous les gards en cours de mise en uvre certains gards pas du tout mises en uvre s o dans le cadre actuel ou ne sont plus perti nentes et l ments probants insuffisants ont t utilis es par la Cour dans son rapport sp cial n 19 2012 publi la fin de l ann e 2012 La Commission par l interm diaire de son comit de suivi des audits se livre actuellement une r flexion approfondie sur es suites qu elle donne aux recommandations et demandes afin de renforcer le processus en la mati re et elle consultera a Cour sur cette question MISE EN UVRE DE 62 RECOMMANDATIONS PAR LA COMMISSION 152 Le syst me de suivi d valuation de la l horizon 2020 comporte des objectifs clairs une s rie d indicateurs qui devraient permettre d valuer les r alisations les r sultats et l i
2. devenue non pertinente ou impossible v rifier La Cour a consid r qu une recommandation avait t int gralement mise en uvre lorsque la Commission avait pris toutes les mesures correctrices raisonnables et proportionn es relevant de sa comp tence et qu aucun probl me important ne restait r soudre La Cour a confirm l tat d avancement de la mise en uvre au moyen d entretiens et de pi ces justificatives provenant des DG concern es sans toutefois recourir des informations au niveau des tats membres ou des pays b n ficiaires Bien que l examen vise d terminer quelles mesures ont t prises par la Commission pour donner suite aux recommandations de la Cour aucune valuation de l incidence de ces mesures n a t effectu e car cela aurait n cessit la r alisation d audits de suivi distincts et approfondis dans les domaines concern s Par ailleurs la Cour a examin les proc dures concern es des DG et pass en revue les manuels les lignes directrices les plans et les rapports publi s L examen a port en particulier sur l application informatique RAD utilis e par la Commission pour enregistrer et contr ler les informations relatives aux mesures de suivi qu elle a prises 2 Les proc dures examin es concernaient la DG budget ainsi que les cinq plus grandes DG la DG Agriculture et d veloppement rural la DG Politique r gionale et urbaine la DG Emploi affaires social
3. Cultiver le succ s 3 95 sous ii x L efficacit du soutien 4 95 sous iii X apport par l Union 5 europ enne aux programmes x op rationnels en faveur des 6 97 x producteurs de fruits et l gumes annexe 7 98 x 8 99 x 9 100 x 1 1 x RS n 6 2009 2 2 x L aide alimentaire 3 3 x de l Union europ enne en faveur des personnes 4 4 x d munies une valuation 5 5 x des objectifs ainsi que des moyens et des m thodes 6 6 x utilis s annexe 111 7A 7 7 7 1 1 x 2 2 x RS n 5 2010 Mise en uvre de l approche 3 3 x Leader pour le d veloppement 4 4 x rural annexe IV 5 5 6 6 x RS n 3 2008 Le Fonds de solidarit 46 de l Union europ enne dans quelle mesure son intervention est elle J 47 x rapide efficiente et souple annexe V RS n 17 2009 1 50 sous a x Les actions de formation 50 b professionnelle pour les 1 SOUS femmes cofinanc es par le Fonds social europ en 3 53 annexe VI 1 1 x RS n 6 2008 2 2 X Aide la r habilitation 3 3 7 apport e Commission europ enne apr s le tsunami 4 4 x et l ouragan Mitch annexe VII 5 5 X 6 6 X TLOZ 131341X1 1 YNOd ANN11d04N1 31910 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 15 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 16 VUE D ENSEMBLE DES RECOMMANDATIONS EXAMIN ES P
4. la r duction de la pauvret Source RS n 18 2009 Synth se 3 La Cour a valu si l appui du Fonds europ en de d veloppement l int gration conomique r gionale avait t efficace en Afrique de l Est et de l Ouest r gions qui ensemble absorbent largement plus de 50 du montant total des cr dits allou s aux pro grammes r gionaux du FED La Cour a examin l ap proche de la Commission europ enne en la mati re sa gestion de l aide octroy e ainsi qu un chantillon de projets individuels Elle a estim en conclusion que globalement l appui du FED l int gration co nomique r gionale n a t ce jour que partiellement efficace et cela cause de plusieurs facteurs Les recommandations de la Cour 4 La Cour a recommand la Commission 1 de subordonner l appui l int gration r gionale la signature rapide d un accord sur la mani re de parve nir la convergence n cessaire entre les organisations r gionales 2 de rendre ses strat gies r gionales et nationales plus coh rentes 3 d examiner si la dotation financi re des programmes r gionaux n est pas trop lev e 4 de d finir clairement les responsabilit s des diff rentes d l gations dans les r gions concern es 5 de mettre en place un m canisme de coordination appropri entre les diff rentes d l gations d une r gion donn e 6 de faire le point sur les ressources allou es aux d l ga
5. PO programme op rationnel QSG groupe d appui la qualit Quality Support Group RAD recommandations actions d charge RS rapport sp cial SMART sp cifiques mesurables r alisables pertinents et dat s specific measurable achievable rele vant timely Tl technologies de l information TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 YNOD XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 Uu N N w LL gt lt LLJ a LL a 5 LL un a w un LLJ A gt u lt Lil c gt lt gt lt u a wn un a lt un UI gt gt wn LLJ l gt un a lt SYNTH SE I Dans le pr sent rapport la Cour expose les r sultats de son second examen des suites donn es par la Commission aux recommandations formul es par la Cour dans des rapports sp ciaux ant rieurs IL L examen visait r pondre la question g n rale suivante La Commission assure t elle un suivi appropri des recommandations d audit formul es par la Cour dans ses rapports sp ciaux Cette question a ensuite t scind e en deux sous questions La Commission a t elle tabli des lignes directrices et des proc dures ad quates pour les activit s de suivi et La Commission dispose t elle d informations de gestion ad quates et fiables
6. galit des chances entre hommes et femmes sur le march du travail ont repr sent environ 3 milliards d euros pour la p riode 2000 2006 Ces mesures apportent un com pl ment aux programmes ou actions que les Etats membres ont la possibilit de mettre en ceuvre sans le concours de l UE Pour la p riode de programma tion 2007 2013 le budget affect aux actions sp ci fiques a baiss sensiblement l accent ayant t mis davantage sur approche int gr e de la dimension hommes femmes Source Note d information ECA 10 06 3 La Cour a examin si les actions de formation profes sionnelle pour les femmes cofinanc es par le Fonds social europ en au cours de la p riode de program mation 2000 2006 avaient fait l objet d une s lection et d un suivi appropri s Les recommandations de la Cour 4 S agissant de la s lection des actions de formation professionnelle la Cour a recommand 1 que les futurs programmes op rationnels labor s par les tats membres et approuv s par la Commission soient tablis partir d une analyse des conditions du march du travail 2 qu une proc dure de s lection de projets bien con ue soit mise en place dans les Etats membres et appli qu e de mani re appropri e 3 que la Commission continue suivre la mise en place par les tats membres d indicateurs appropri s et r alistes et que des donn es fiables soient recueillies dans les tats mem
7. gt gt gt ET L GUMES 1 Le rapport sp cial n 8 2006 tait consacr l ef ficacit du soutien apport par l UE aux pro grammes op rationnels en faveur des producteurs de fruits et l gumes 2 Depuis 1996 l UE attribue une aide aux producteurs de fruits et l gumes hauteur de 50 du co t des mesures qu ils adoptent visant entre autres am liorer la qualit des produits r duire les co ts de production et am liorer les pratiques environne mentales Seuls les producteurs qui se regroupent au sein d organisations de producteurs OP et qui commercialisent leurs produits dans ce cadre peuvent b n ficier de l aide incombe aux Etats membres d approuver les mesures propos es par les organisa tions de producteurs dans le cadre des programmes op rationnels et de verser l aide En 2004 le montant de l aide s est lev 500 millions d euros Source Note d information ECA 06 21 3 La Cour a v rifi l efficacit de ce r gime d aide en se fondant principalement sur un chantillon de 104 me sures s lectionn es de mani re al atoire sur 30 pro grammes op rationnels achev s au sein de huit tats membres sur une valuation des proc dures des tats membres et de la Commission ainsi que sur une analyse des informations disponibles aupr s de cette derni re Les recommandations de la Cour 4 La Cour a recommand la Commission de simplifier le r gime d aide
8. DES RAPPORTS D AUDIT DE LA PERFORMANCE DE LA COUR EST UNE COMPOSANTE INDISPENSABLE DU PROCESSUS D OBLIGATION DE D 41 610 L 9V 0 RENDRE COMPTE ET PEUT CONTRIBUER LA MISE EN UVRE EFFECTIVE DES RECOMMANDATIONS DU RAPPORT PAR LA COMMISSION DANS LE PR SENT RAPPORT LA COUR EXPOSE LES R SULTATS DE SON SECOND EXAMEN DES SUITES DONN ES PAR LA COMMISSION SES RECOMMANDATIONS CE DERNIER A PORT SUR UN CHANTILLON DE 62 RECOMMANDATIONS FORMUL ES PAR LA COUR DANS DIX RAPPORTS SP CIAUX RS PUBLI S ENTRE 2006 ET 2010 SUR LA BASE DE SON EXAMEN LA COUR ESTIME EN CONCLUSION QUE LA COMMISSION ASSURE UN SUIVI APPROPRI DE SES RECOMMANDATIONS L EXAMEN DE L CHANTILLON MONTRE EN EFFET QUE 83 DES RECOM MANDATIONS DE LA COUR ONT T MISES EN UVRE INT GRALEMENT OU PRATIQUEMENT TOUS GARDS PAR LA COMMISSION CE QUI A CONTRIBU AM LIORER LA GESTION FINANCI RE DANS UN CERTAIN NOMBRE DE DOMAINES DU BUDGET DE L UE COUR DES COMPTES EUROP ENNE ISBN 978 92 9241 616 4 917 8 164 92921416 m Office des publications
9. coordination entre EuropeAid la BEI et le Service europ en pour l action ext rieure SEAE a t consid rablement renforc e De plus EuropeAid a organis des sessions d information et des forma tions l intention du personnel des d l gations de l UE charg de ces m canismes afin de rationaliser la mise en uvre le suivi et l tablissement de rapports au niveau local CONVENTIONS DE GESTION 9 Une nouvelle convention de gestion concernant la mise en uvre des op rations financ es par le bud get g n ral de l UE a t conclue la fin de 2012 entre l UE et la BEI Elle apporte des am liorations en mati re de respect et de surveillance de l environne ment ainsi que de visibilit des financements de l UE et d tablissement de rapports ANNEXE IX ANNEXE X _ RECETTES GESTION DE LA TR SORERIE 1 Le rapport sp cial n 5 2009 tait consacr la gestion de la tr sorerie la Commission 2 Les principales t ches de gestion de tr sorerie la Commission sont a la planification et la pr vision en mati re de tr sorerie et plus particuli rement les pr visions de tr sorerie et les pr l vements sur les comptes ressources propres b la gestion des op rations de tr sorerie recettes et paiements et c la gestion des comptes bancaires 3 La gestion de la tr sorerie la Commission rel ve de deux directions g n rales DG la DG Budget et la DG Affaires con
10. de l UE V La Cour estime galement en conclusion que la Commission dispose de lignes directrices et de proc dures ad quates concernant ses activit s de suivi VI Enfin l examen de la Cour montre que l application informatique RAD comprend des informations de gestion sur les recommandations formul es par la Cour dans les rapports sp ciaux publi s depuis 2008 La Cour estime toutefois que cette application ne permet pas de garantir que la Commission dispose d informations de gestion ad quates et fiables sur l tat d avancement de la mise en uvre des recommandations lorsque celle ci n est que partielle Cela s explique par le caract re absolu des cat gories utilis es par la Commission pour enregistrer l tat d avancement de la mise en uvre des recommandations VII La Cour recommande donc la Commission d affiner l application RAD afin de mieux faire appara tre les recommandations qui n ont t que partiellement mises en uvre INTRODUCTION Dans les normes internationales d audit le suivi des rapports d audit correspond la derni re tape du cycle d audit de la performance qui comporte la planification l ex cution et le Le suivi des rapports d audit de la performance de la Cour est une composante indispensable du processus d obligation de rendre compte et peut contribuer la mise en uvre effective des recommandations du rapport par la Commission La Cour a publi son premier rapport
11. n ont pas encore t approuv es par le l gislateur VALUATION ET SUIVI 8 La Commission a mis en place un syst me pour col lecter des indicateurs de performance cl s utilis s pour l ensemble du 7 PC qui constituent l l ment central des rapports annuels de suivi relatifs ce der nier Un manuel sur l valuation des programmes de recherche a galement t produit fait partie int grante des normes de contr le interne en vigueur la DG Recherche et innovation Cependant aucun document reprenant la strat gie concr te d valua tion n a encore t labor ANNEXE XI 9 Les activit s d valuation des DG Recherche pour le PC sont pr sent coordonn es par le r seau interser vices d valuation de la RDT mais celui ci ne consti tue pas un bureau d valuation conjoint 10 La Commission a cr un entrep t de donn es com mun qui fournit aux utilisateurs des informations sur les r sultats des appels propositions cl tur s du 7 PC y compris sur la participation au 7 PC et sur les statistiques en mati re de performance R PONSES DE LA COMMISSION SYNTH SE VI Les fonctions RAD et les cat gories accept e rejet e termin e et supprim e ont t cr es en 2003 Lorsqu une recommandation est partiellement accept e et donc partiellement mise en uvre les services n ont pas d autre choix que de s lectionner accept e et ensuite termin e
12. par la Cour dans ses rapports annuels ainsi que des demandes formul es par l autorit de d charge dans le cadre de la proc dure de d charge Depuis 2008 l application est galement utilis e pour assurer le suivi des recommandations formul es dans les rapports sp ciaux de la Cour Elle constitue un l ment important du syst me de suivi de la Commission non seulement en tant qu outil d information de gestion permettant la DG Budget et aux autres DG de contr ler les mesures prises pour suivre les recommandations et les demandes mais aussi en tant que source cl d informations pour l tablissement du rapport annuel adress l autorit de d charge La DG Informatique est le fournisseur de l application RAD tandis que la DG Budget en est le propri taire charg de la validation d finitive des informations enregistr es dans l application Selon le document RAD File Discharge Follow up Scope les objectifs de l application RAD sont de cr er une application pour enregistrer les recommandations de d finir des plans d action et d en assurer le suivi ainsi que de respecter lobligation de suivi pour faire rapport au Parlement europ en au Conseil et a la Cour des comptes chaque ann e mais aussi jusqu ce que les recommandations soient cl tur es mises en uvre ou supprim es 21 22 23 LA COMMISSION A TABLI DES LIGNES DIRECTRICES ET DES PROCEDURES AD QUATES CONCERNANT SES ACTIV
13. qui devrait conduire un renforcement de la coordination entre les services centraux et les d l gations ainsi qu entre les d l gations elles m mes Ces lignes directrices d finissent aussi clairement les cas dans lesquels un accord de contribution peut tre conclu avec une organisation r gionale Le renforce ment des quatre d l gations r gionales concern es ne se concr tisera que par l arriv e effective du per sonnel suppl mentaire pr vue pour 2013 et 2014 APPR CIATION SUIVI ET VALUATION DES PROJETS 9 Les groupes d appui la qualit de la Commission valuent syst matiquement les projets programmes propos s Toutefois les lignes directrices th matiques utiliser pour l laboration des programmes projets r gionaux n ont pas encore t finalis es Actuelle ment la Commission revoit galement son syst me de suivi et d valuation ANNEXE IX gt ACTIONS EXTERIEURES ACTIVITES BANCAIRES 1 Le rapport sp cial n 1 2009 tait consa cr aux activit s bancaires couvrant le bassin m diterran en 2 La coop ration entre l UE et les pays tiers m diter ran ens a vu le jour il y a trente ans environ et s est progressivement d velopp e au fil du temps Le cadre relatif aux mesures financi res et techniques MEDA visant a accompagner la r forme des structures co nomiques et sociales dans les pays partenaires dans le contexte du partenariat euro m diterran en a cou
14. r pondre la question g n rale suivante La Commission assure t elle un suivi appropri des recommandations d audit formul es par la Cour dans ses rapports sp ciaux Cette question a ensuite t scind e en deux sous questions o La Commission a t elle tabli des lignes direc trices et des proc dures ad quates pour les activit s de suivi o La Commission dispose t elle d informations de gestion ad quates et fiables sur les recomman dations d audit et sur l tat d avancement de leur mise en uvre Afin de r pondre ces questions la Cour a valu du 1 janvier au 31 mars 2013 un chantillon de 62 recommandations issues de dix rapports sp ciaux qu elle a publi s entre 2006 et 2010 pour v rifier si celles ci ont fait l objet d un suivi par la Commission l chantillon a t s lectionn parmi les rapports sp ciaux publi s il y a au moins deux ans et dont les recommandations sont toujours pertinentes L chantillon a ensuite servi appr cier le caract re ad quat et la fiabilit des informations de gestion de la Commission relatives ces recommandations Les rapports sp ciaux concern s sont pr sent s dans le tableau 1 La Cour a utilis les cat gories suivantes pour valuer l tat d avancement de la mise en uvre des recommandations int gralement mise en uvre mise en uvre pratiquement tous les gards mise en uvre certains gards non mise en uvre
15. tat d avancement de la mise en uvre des recommandations a une incidence n gative sur l ad quation et sur la fiabilit des informations fournies concernant les recommandations dont la mise en uvre n est que partielle TLOZ 131341X1 1 HNOd ANN11d04N1 31910 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 13 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 14 29 30 31 CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS Sur la base de son examen du suivi assur par la Commission des recommandations formul es dans des rapports sp ciaux la Cour estime en conclusion que ce dernier est appropri La Cour a examin les suites donn es par la Commission 62 recommandations formul es dans ses rapports sp ciaux Il ressort de cet examen que la Commission a mis en uvre 49 83 de ces recommandations int gralement ou pratiquement tous les gards et que cela a contribu am liorer la gestion financi re dans un certain nombre de domaines du budget de l UE voir points 9 17 Voir annexes II XI l examen de la Cour concernant les lignes directrices et les proc dures relatives aux activit s de suivi de la Commission montre que de mani re g n rale des lignes directrices et des proc dures ad quates ont t tablies voir points 21 23 32 l examen de la Cour montre que l application informatique RAD comprend des informat
16. vert la p riode 1996 2006 3 Trois types d activit s bancaires relevant des r gle ments MEDA ou des protocoles ant rieurs sont finan c es par le budget de l UE et men es par la Banque europ enne d investissement BEI une assistance technique par l interm diaire du Fonds d assistance technique de la FEMIP Facilit euro m diterran enne d investissement et de partenariat des bonifications d int r ts pour certains pr ts de la et des op ra tions de capital risque Source Note d information ECA 09 18 4 La Cour a r alis un audit des activit s bancaires dans le cadre du programme MEDA et des protocoles ant rieurs pour d terminer si les projets en cours faisaient l objet d un suivi appropri de la part de la Commis sion et de la BEI et s ils avaient atteint leurs objectifs Les recommandations de la Cour 5 La Cour a recommand a la Commission 1 d tablir un programme d valuation et de suivi sp cialement adapt aux activit s bancaires 2 d assurer une coordination efficace de l assistance 3 de n gocier des conventions de gestion appropri es 4 de veiller ce que le suivi assur par la BEI garantisse la mise en uvre appropri e de l ensemble des projets et le respect par les interm diaires promoteurs des obligations financi res et des obligations en mati re d information 5 de d finir une strat gie globale pour les op rations de capital risque et de choi
17. visi bilit de l UE pour tous les projets et toutes les de mandes de subvention Les lignes directrices l inten tion des organisations internationales exigent aussi qu elles assurent la visibilit de l UE lorsqu elles aident la Commission mettre en uvre des programmes ANNEXE VII DURABILIT 10 Les listes de v rification du groupe d appui la qua lit concernant la formulation et l identification des projets permettent toutes de v rifier des aspects de la durabilit des projets au stade de leur conception D autres contr les permettent galement de s assu rer que la durabilit constitue un l ment central de toutes les interventions ANNEXE VIII _ ACTIONS EXT RIEURES APPUI DU FED 1 Le rapport sp cial n 18 2009 tait consacr l ef ficacit de l appui du FED l int gration cono mique r gionale en Afrique de l Est et de l Ouest 2 L int gration r gionale est le processus de tion entre pays limitrophes visant am liorer la stabi lit politique et stimuler le d veloppement cono mique dans une r gion Sur des march s tr s vastes et largement harmonis s la libre circulation des biens des services des capitaux et des personnes permet des conomies d chelle et stimule les changes et l investissement Ainsi l int gration conomique r gionale entre pays en d veloppement est un vec teur de croissance conomique et peut contribuer
18. 5 dans le cadre du programme MEDA et des protocoles ant rieurs RS n 5 2009 La gestion de la tr sorerie la Commission Agriculture 6 Recettes 7 RS n 9 2007 valuation des programmes cadres de recherche et de d veloppement technologique Recherche 5 RDT de l UE l approche de la Commission peut elle tre am lior e Tous les rapports sp ciaux de la Cour sont disponibles l adresse suivante http eca europa eu 2 Lorsqu une recommandation publi e comportait plusieurs parties celles ci ont t r pertori es en tant que recommandations distinctes dans le pr sent rapport afin d analyser correctement les mesures prises par la Commission et d en rendre compte voir annexe TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu EE RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 10 10 MISE EN UVRE DE 62 RECOMMANDATIONS PAR LA COMMISSION INTRODUCTION La Commission assure le suivi des recommandations de la Cour et des demandes formul es par le Parlement europ en et par le Conseil en leur qualit d autorit de d charge pour le budget de l UE L article 166 paragraphe 2 du r glement financier pr voit que la Commission tablit un rapport annuel sur ces demandes dans le cadre de la proc dure de d charge sur l ex
19. AR LA COUR annexe XI Mise en uvre La recom Recomman Int gralement 9 or Non mise mandation Impossible Rapport sp cial dation poine mise en uvre pratiquement acertains uvre n estplus v rifier tous les gards gards pertinente 1 1 7 7 3 3 X 4 4 paragraphe 1 X RS n 18 2009 Efficacit de l appui du FED 5 4 paragraphe 2 x l int gration conomique 6 4 paragraphe 3 r gionale en Afrique de l Est 7 4 he 4 et de l Ouest annexe VIII paragraphe x 8 5 paragraphe 1 X 9 5 paragraphe 2 x 10 6 paragraphe 1 x 11 6 paragraphe 2 x RS n 1 2009 1 45 sous a X Les activit s bancaires couvrant le bassin 2 45 sous b x m diterran en dans le cadre 3 45 sous c x du programme MEDA et 4 46 des protocoles ant rieurs x annexe IX 5 49 X 1 43 paragraphe 1 5005 1 2 43 paragraphe 1 sous 2 3 47 paragraphe 2 sous 1 a RS n 5 2009 La gestion de la tr sorerie 4 47 paragraphe 2 la Commission annexe X sous 2 47 paragraphe 2 5 sous 3 x 6 47 paragraphe 2 sous 4 7 19 x RS n 9 2007 1 V sous i x valuation des programmes 2 V sous ii cadres de recherche x et de d veloppement 3 V sous iii X technologique RDT de l UE ani l approche de la Commission 4 sous iv X peut elle tre am lior e 5 V sous v ANNEXE Il
20. D INFORMATIONS DE GESTION AD QUATES ET FIABLES SUR L TAT D AVANCEMENT DE LA MISE EN UVRE DES RECOMMANDATIONS LORSQUE CELLE CI N EST QUE PARTIELLE CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS S1YOddVY 34 IMAS 37 YNS 1804 w RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 ANNEXE ANNEXE II ANNEXE ANNEXE IV ANNEXE V ANNEXE VI ANNEXE VII ANNEXE VIII ANNEXE IX ANNEXE X ANNEXE XI VUE D ENSEMBLE DES RECOMMANDATIONS EXAMIN ES PAR LA COUR AGRICULTURE SOUTIEN APPORT AUX PROGRAMMES OP RATIONNELS EN FAVEUR DES PRODUCTEURS DE FRUITS ET L GUMES AGRICULTURE AIDE ALIMENTAIRE EN FAVEUR DES PERSONNES D MUNIES AGRICULTURE MISE EN UVRE DE L APPROCHE LEADER COH SION FONDS DE SOLIDARIT COH SION ACTIONS DE FORMATION PROFESSIONNELLE POUR LES FEMMES ACTIONS EXT RIEURES R HABILITATION ACTIONS EXT RIEURES APPUI DU FED ACTIONS EXT RIEURES ACTIVIT S BANCAIRES RECETTES GESTION DE LA TR SORERIE RECHERCHE PROGRAMMES CADRES DE RDT R PONSES DE LA COMMISSION ABR VIATIONS FED Fonds europ en de d veloppement FSE Fonds social europ en FSUE Fonds de solidarit de l Union europ enne GAL groupe d action locale MEDA Mesures d accompagnement instrument financier du partenariat euro m diterran en OP organisation de producteurs PC programme cadre
21. ISSN 1831 0850 RATIO V 5 2 RG lt JI gt COUR DES COMPTES EUROP ENNE eL Q Q T RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 57 V 2 Z J T Rapport sp cial N 19 2013 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SPECIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNE POUR L EXERCICE 2012 pr sent en vertu de l article 287 paragraphe 4 deuxi me alin a du TFUE COUR DES COMPTES EUROP ENNE COUR DES COMPTES EUROP ENNE 12 rue Alcide De Gasperi 1615 Luxembourg LUXEMBOURG T l 352 4398 1 Fax 352 4398 46410 Courriel eca info eca europa eu Internet http eca europa eu Rapport sp cial n 19 2013 Points I VII 1 3 4 8 9 17 9 10 11 12 13 17 18 28 21 23 24 28 29 32 TABLE DES MATI RES ABR VIATIONS SYNTH SE INTRODUCTION TENDUE ET APPROCHE MISE EN UVRE DE 62 RECOMMANDATIONS PAR LA COMMISSION INTRODUCTION UNE GRANDE MAJORIT DES RECOMMANDATIONS DE LA COUR FONT L OBJET D UN SUIVI ET D UNE MISE EN UVRE APPROPRI S DE LA PART DE LA COMMISSION EXEMPLES D AM LIORATIONS ET D L MENTS AM LIORER EN MATI RE DE GESTION FINANCI RE EXAMEN DES PROC DURES DE SUIVI DE LA COMMISSION LA COMMISSION A TABLI DES LIGNES DIRECTRICES ET DES PROC DURES AD QUATES CONCERNANT SES ACTIVIT S DE SUIVI L APPLICATION RAD NE PERMET PAS DE GARANTIR QUE LA COMMISSION DISPOSE
22. ITES DE SUIVI La Cour a examin les lignes directrices et les proc dures de la Commission relatives aux activit s de suivi La Cour a constat qu en r ponse aux observations des capacit s d audit interne et celles formul es par la Cour dans son premier rapport de suivi la Commission a pris des mesures importantes pour renforcer ses lignes directrices et ses proc dures relatives aux activit s de suivi Ces mesures comprennent l am lioration de la documentation des proc dures en place et l adoption de nouvelles lignes directrices en mati re de planification d ex cution et de contr le des activit s de suivi ainsi que d tablissement de rapports a leur sujet le traitement en priorit des recommandations demandes tr s importantes et critiques ainsi que l obligation pour les DG de faire rapport au moins une fois par an sur les progr s accomplis dans la mise en uvre des recommandations et des demandes Le manuel d utilisation de l application RAD a t mis a jour dans le cadre d un plan d action tabli par la DG Budget RAD actions 2013 Par ailleurs d autres mesures ont t lanc es comme l organisation de formations la mise en place de rapports sur la mise en ceuvre en temps opportun l am lioration des fonctions de recherche ainsi que la correction d erreurs dans l application RAD L examen de la Cour a montr que l application RAD est assortie de liens vers les unit s comp tentes des d
23. adre du r gime actuel Dans les lignes directrices relatives la mise en uvre des plans annuels 2012 et 2013 les tats membres ont en particulier t invit s mieux structurer leurs programmes autour de besoins et d objectifs clairement d finis 1016 En ce qui concerne les recommandations 7 a et 7 b tant donn que le cadre l gal r vis r glement UE n 121 2012 du PEAD n a pr vu la poursuite du programme que jusqu l ach vement du plan annuel 2013 de distribution la Commission n a pas modifi les modalit s d application en vigueur afin d y souligner l applicabilit des normes de l UE en mati re de march s publics La Commission rappelle n an moins que les normes relatives aux march s publics sont applicables au r gime actuel m me en l absence de dispositions sp cifiques sur ce point 1 En ce qui concerne la recommandation 7 a Outre la r ponse donn e au point 11 la Commission consid re que les lacunes relev es par la Cour dans son rapport sp cial comme le manque d ouverture des offres le caract re limit de la concurrence ou le risque de ne pas obtenir les meilleures conditions ou les meilleurs prix sont li es une mauvaise interpr tation des r gles g n rales d adjudication par certaines autorit s nationales et non l utilisation des stocks d intervention La Commission clarifiera davantage l applicabilit de ces r gles dans les modalit s d application d taill es qui seront tabli
24. annuels 2012 et 2013 En ce qui concerne la recommandation 5 La Commission estime que la mani re dont le PEAD est g r actuellement jusqu la fin du programme marqu e par l ach vement du plan annuel 2013 avec un important l ment de subsidiarit et un ciblage r alis au niveau national conf re le meilleur impact possible ce programme qui doit se concentrer sur les personnes les plus d favoris es qui peuvent varier consid rablement d un Etat membre l autre l instauration de normes suppl mentaires au niveau de l Union pourrait faire obstacle la flexibilit n cessaire que le programme doit pr server afin de s adapter aux situations vari es des plus d munis au niveau local TLOZ 121241X1 1 HNOd INNIIdOUN 31910 S30 XNWIDAdS SLYO ddVY S30 IAINS 31 UNS 1HOddvu RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 R PONSES DE LA COMMISSION 10 En ce qui concerne la recommandation 6 Dans le cadre du processus de r vision du PEAD entam en 2008 la Commission a analys divers sc narios propres encourager les tats membres fixer des objectifs SMART et renforcer le suivi et le compte rendu de la mise en uvre du programme Cependant en raison de la suppression progressive du r gime d cid e finalement par le Conseil et le Parlement europ en seules des am liorations limit es pourraient tre mises en uvre cet gard dans le c
25. atoire de donn es annexe XXIII du r gle ment CE n 1828 2006 aux rapports strat giques des Etats membres de 2009 et 2012 sur la politique de coh sion et aux rapports annuels d ex cution Des indicateurs obligatoires seront en outre inclus dans le projet de cadre r glementaire pour la p riode de programmation 2014 2020 R PONSES DE LA COMMISSION A LANNEXE VII ACTIONS EXTERIEURES REHABILITATION 8 La Commission consid re qu il est difficile de disposer ais ment de ce type d informations compte tenu de la vari t des contextes de reconstruction et des caract ristiques socio conomiques dans les diff rents pays Des informations concer nant les co ts peuvent tre rassembl es ponctuellement mais il n existe pas d informations g n riques sur les co ts per mettant de d terminer l efficience de mani re fiable La Commission estime par cons quent que cette recommandation a t suivie dans toute la mesure du possible R PONSES DE LA COMMISSION R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE X RECETTES GESTION DE LA TR SORERIE 16 Les instructions du comptable arr tant les r gles applicables l ouverture la gestion et la cl ture des comptes fidu ciaires sont en cours de finalisation et devraient entrer en vigueur au d but de 2014 Les discussions finales avec la BEI sur l accord cadre financier et administratif FAFA sont en cours et il est pr vu de signer cet accord prochainement Celui ci comprendra de
26. aux programmes op rationnels et de le rendre plus efficace cet effet la Cour a recom mand la Commission 1 de formuler de nouvelles propositions qui tiennent compte des r sultats de l valuation 2 de clarifier les crit res d ligibilit des d penses et de supprimer les exigences de programmation 3 de reconsid rer les objectifs des programmes op ra tionnels et les listes d ligibilit AGRICULTURE SOUTIEN APPORT AUX PROGRAMMES OPERATIONNELS EN FAVEUR DES PRODUCTEURS DE FRUITS 4 d aligner les proc dures et les r gles en mati re d li gibilit des d penses d finies pour le r gime sur celles des mesures relatives aux investissements dans le domaine du d veloppement rural 5 de collecter davantage d informations concernant les programmes op rationnels et les organisations de producteurs en privil giant un petit nombre d indi cateurs fondamentaux 6 d acqu rir une meilleure compr hension des raisons pour lesquelles la concentration de l offre dans les organisations de producteurs n a pas progress 7 de mieux cibler la politique pour atteindre les objectifs g n raux concentration et adaptation 8 de d terminer si les avantages li s la concentration obtenue gr ce la politique suivie suffisent com penser les in galit s caus es par le fait de limiter l aide aux organisations de producteurs 9 de reconsid rer le m canisme de soutien apport aux producteurs de f
27. bres COH SION ACTIONS DE FORMATION PROFESSIONNELLE Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 Une recommandation n 2 a t mise en uvre pratiquement tous les gards par la Commission tandis que les deux autres n 1 et 3 l ont t cer tains gards Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour ANALYSE DES CONDITIONS DU MARCH DU TRAVAIL 6 L analyse des conditions du march du travail ne fait pas syst matiquement partie des analyses ou des rapports tablis dans le cadre des programmes op rationnels PO actuels Pour la p riode de pro grammation 2014 2020 l alignement sur la strat gie Europe 2020 et les exigences sp cifiques concer nant l laboration des programmes op rationnels devraient toutefois aboutir la r alisation d analyses du march du travail Les projets de r glements pour la p riode 2014 2020 en attente d approbation com portent des dispositions pour une approche ax e da vantage sur les r sultats assortie d indicateurs de r a lisations de r sultats escompt s et d une proc dure pour la s lection des actions et des groupes cibles PROC DURE DE S LECTION DES PROJETS 7 La Commission a diffus une note d orientation sur la transparence des proc dures de s lection des projets dont elle a valu la mise en uvre dans le cadre de ses audits Cependant cette note n tablis sait pas de lien avec l analyse du march du travail r
28. bres seraient mieux plac s pour le faire Elle a galement rejet la recomman dation n 5 concernant l introduction d un certain degr de normalisation des programmes car elle estimait que cela rendrait la programmation moins flexible Elle n a pas encore tabli d objectifs SMART accompagn s d indicateurs de performance ni de lignes directrices contraignantes sur la mise en uvre l intention des Etats membres En outre une r vi sion du syst me de communication des donn es doit encore tre effectu e pour le r gime afin d am liorer la qualit des informations de gestion dont la Com mission dispose la suite des modifications appor t es aux r gles de mise en uvre 11 En raison du caract re limit des mesures correctrices prises par la Commission les insuffisances suivantes persistent 1 comme la directive sur les march s publics n est pas toujours transpos e correctement dans les Etats membres les proc dures ne permettent ni de garan tir une galit d acc s a tous les op rateurs de l UE ni d assurer l obtention des conditions et des prix les meilleurs 2 8 Commission n ayant pas donn suite la recom mandation de supprimer les accords de troc qui reposent sur l utilisation des stocks d intervention re commandation n 7 sous b le risque que ces accords ne soient pas toujours rentables existe toujours ANNEXE IV gt gt gt 1 Le rapport sp cial n 5 2010 tait consac
29. cution du budget de l UE La Cour expose dans la pr sente section les r sultats de son examen relatif la mise en uvre par la Commission d un chantillon de 62 recommandations formul es dans dix rapports sp ciaux publi s par la Cour entre 2006 et 2010 L valuation n a pas port sur le traitement des demandes du Conseil et du Parlement Un aper u de chacune des 62 recommandations valu es par la Cour est pr sent l annexe I tandis qu une br ve synth se des audits concern s des recommandations des mesures de suivi prises ensuite par la Commission ainsi que des questions qui doivent encore tre trait es est fournie aux annexes Il XI 11 12 UNE GRANDE MAJORIT DES RECOMMANDATIONS DE LA COUR FONT L OBJET D UN SUIVI ET D UNE MISE EN UVRE APPROPRIES DE LA PART DE LA COMMISSION Les mesures de suivi concernant trois des 62 recommandations s lectionn es et examin es par la Cour n ont pu tre v rifi es car les l ments probants requis taient uniquement disponibles aupr s des pays b n ficiaires qui n entrent pas dans le cadre du pr sent examen voir point 7 La Commission n a pas mis en uvre trois autres recommandations toutes li es l audit de l aide alimentaire voir annexe III S agissant de deux autres recommandations qui avaient t initialement rejet es l une concernant l aide alimentaire voir annexe III a t par la suite mise en uvre int gralement ta
30. de d veloppement technologique de l UE et visait a d terminer si l approche de la Commission pou vait tre am lior e 2 Parmi le large ventail de politiques mises en ceuvre dans l Union europ enne afin de renforcer l innova tion et la comp titivit les programmes cadres PC de RDT sont l instrument financier le plus important qui contribue a la strat gie de Lisbonne et l objec tif de Barcelone au niveau communautaire Par le biais des PC la Communaut octroie des fonds a des chercheurs de l Union europ enne de pays asso ci s et au dela Les budgets de ces programmes ont connu une forte augmentation au fil des ans pour atteindre 7 217 millions d euros par an avec le 7 PC 2007 2013 3 Uaudit avait pour objectif de d terminer si la Commis sion dispose d une approche ad quate pour valuer les r sultats des PC cette fin la Cour a v rifi si la Commission respectait les obligations l gales et si son syst me d valuation et de suivi r pondait aux attentes des parties prenantes Source Note d information ECA 07 40 4 L audit de la Cour a port sur les dispositions en ma ti re d valuation et de suivi en vigueur la Commis sion depuis 1995 pour les trois derni res p riodes de programmation 4 5 et 6 PC et a galement trait des perspectives concernant le 7 programme cadre en cours 2007 2013 Les recommandations de la Cour 5 La Cour a formul les recommandations
31. de nombreux tats membres la plupart des producteurs ne sont pas membres d une organisation et elle s efforce de rendre les organisations de producteurs plus attrayantes Entre temps dans le cadre du r examen en cours du r gime on cherche mettre au point de nouvelles mesures propres favoriser non seulement la mise en place d organisations de producteurs mais aussi de nouvelles formes de coop ration entre les agriculteurs R PONSES DE LA COMMISSION R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE III AGRICULTURE AIDE ALIMENTAIRE EN FAVEUR DES PERSONNES D MUNIES 5 En ce qui concerne les recommandations 2 et 6 La Commission approuve l valuation de la Cour et renvoie ses observations aux points 8 et 10 de l annexe Ill En ce qui concerne les recommandations 7 a et 7 b La Commission pour les raisons expos es aux points 11 11 a et 11 b de l annexe Ill ne peut approuver que partielle ment l appr ciation de la Cour En ce qui concerne les recommandations 3 et 5 La Commission a rejet ces recommandations pour les raisons indiqu es au point 10 de l annexe III 8 En ce qui concerne la recommandation 2 La Commission approuve l observation de la Cour et r it re son point de vue selon lequel le r gime a eu un puissant effet de levier sur le d veloppement d initiatives dans le domaine alimentaire ou de mesures connexes mises en uvre par des organismes priv s et des pouvoirs publics est vrai cependant que les synergi
32. de suivi en 2012 RS n 19 2012 Dans ce dernier la Cour avait observ que le suivi de ses recommandations d audit par la Commission devait tre renforc Normes internationales d audit des institutions sup rieures de contr le des finances publiques ISSAI 3000 et 3100 Dans le pr sent rapport la Cour expose les r sultats de son second examen des suites donn es par la Commission aux recommandations formul es par la Cour dans ses rapports sp ciaux ant rieurs TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 N RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 TENDUE ET APPROCHE Pour le pr sent examen du suivi des recommandations assur par la Commission la Cour s est appuy e sur une analyse des syst mes r alis e en 2011 par les structures d audit interne de la Commission Cette analyse indiquait en conclusion que le syst me de contr le interne en place dans les diff rentes directions g n rales fournissait Une assurance raisonnable quant la r alisation de la mise en uvre des recommandations publi es par la Cour Toutefois les structures d audit interne ont galement relev des probl mes auxquels il convient de rem dier et ont recommand d am liorer les fonctionnalit s et les m canismes d tablissement de rapports de l application RAD Le pr sent examen visait
33. demandes afin de renforcer le processus en la mati re et elle invitera la Cour apporter une contribution constructive cet gard La Commission accepte d valuer la possibilit de d velopper davantage l application RAD afin d am liorer l information fournie au management R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE II AGRICULTURE SOUTIEN APPORT AUX PROGRAMMES OP RATIONNELS EN FAVEUR DES PRODUCTEURS DE FRUITS ET L GUMES 8 La concentration de l offre des organisations de producteurs au cours des derni res ann es peut tre illustr e par l augmentation de 12 2 du taux d organisation des OP au sein de l EU 27 au cours de la p riode 2004 2010 La crois sance de la concentration de l offre des OP est particuli rement visible dans l EU 15 alors que le taux d organisation global a atteint 47 7 en 2010 pour 33 7 en 2004 Les outils disponibles soutien aux groupements de producteurs et les changements introduits par la r forme taux de cofinancement plus lev et aide financi re nationale pour les programmes op rationnels dans les tats membres pr sentant un faible degr d organisation ou ayant adh r l Union en 2004 ou plus tard se sont r v l s efficaces dans certains cas au Portugal et en Pologne par exemple La p riode consid r e est toutefois trop br ve pour permettre une plus forte augmentation dans l EU 12 similaire celle enregistr e dans l EU 15 Us La Commission est consciente du fait que dans
34. der JO L 368 du 23 12 2006 p 15 ANNEXE IV SUIVI 10 Les orientations fournies par la Commission per mettront vraisemblablement d am liorer les travaux d valuation en cours et l valuation ex post Cepen dant les informations disponibles ce jour ne sont pas encore suffisantes pour d montrer la valeur ajou t e apport e par Leader ANNEXE V gt COHESION FONDS DE SOLIDARITE 1 Le rapport sp cial n 3 2008 tait consacr au Fonds de solidarit s interrogeait sur la rapidi t l efficience et la souplesse de son intervention 2 Le Fonds de solidarit de l Union europ enne FSUE a t institu en 2002 en r ponse aux graves inon dations qui ont s vi en Allemagne en Autriche en R publique tch que et en France a t con u pour marquer la solidarit a l gard des Etats membres subissant les cons quences de catastrophes natu relles A la fin de 2006 une aide de plus de 1 milliard d euros avait t octroy e au titre du Fonds pour 23 catastrophes Source Note d information ECA 08 10 3 Le Conseil souhaitait que l aide apport e par le FSUE soit rapide efficiente et souple L audit portant sur le FSUE a vis a d terminer si le Fonds avait atteint ces objectifs et si les Etats b n ficiaires en taient satisfaits Les recommandations de la Cour 4 La Cour a recommand a la Commission 1 6 mettre en place des proc dures garantissant que des lign
35. e au tsunami survenu dans l oc an Indien actions ext rieures 15 16 17 Il convient toutefois d assurer un meilleur ciblage des r gimes d aide en incluant des objectifs SMART et de meilleurs indicateurs de performance dans les programmes agriculture Il faut aussi am liorer les informations comparatives concernant les co ts fournies aux responsables de la mise en uvre et du suivi actions ext rieures Ces am liorations favoriseraient le renforcement de l obligation faite aux tats membres et aux b n ficiaires de rendre compte de l utilisation du financement de l UE Une meilleure coordination et le renforcement des capacit s des parties prenantes sont des l ments importants pour garantir l efficacit et l efficience des d penses de l Union S agissant de l appui du Fonds europ en de d veloppement FED une intensification des efforts d int gration r gionale en Afrique soutenue par la Commission a t constat e Ces efforts ont comport entre autres une am lioration de la coordination entre les organismes r gionaux et l change d orientations entre les services centraux de la Commission et les d l gations de l UE dans les pays partenaires Des mesures ont aussi t prises pour renforcer la coordination entre la Commission et les autres bailleurs de fonds tels que la Banque europ enne d investissement et la Banque europ enne pour la reconstruction et le d veloppement actions ext rieu
36. ecommand e INDICATEURS APPROPRI S ET R ALISTES 8 La Commission a diffus des lignes directrices pour la p riode de programmation actuelle et a propos des orientations et des indicateurs obligatoires pour la prochaine p riode de programmation qui figurent dans le projet de r glement ANNEXE VII _ ACTIONS EXT RIEURES R HABILITATION 1 Le rapport sp cial n 6 2008 tait consacr la r habilitation apr s le tsunami qui a frapp l oc an Indien ainsi qu apr s l ouragan Mitch 2 Le tsunami du 26 d cembre 2004 dans l oc an Indien a fait plus de 200 000 victimes et caus des dom mages s levant environ 10 milliards d euros La r ponse apport e par la Commission en mati re d aide humanitaire d urgence qui tait destin e sauver des vies et subvenir aux besoins imm diats a t suivie d une aide la r habilitation plus long terme de quelque 300 millions d euros en vue de reconstruire les infrastructures de base et de constituer le fonde ment d un d veloppement durable Source Note d information ECA 08 13 3 Dans son rapport sp cial n 3 2006 la Cour avait d j examin la r ponse en mati re d aide humanitaire apport e initialement par la Commission la suite du tsunami Ce second audit rapport sp cial n 6 2008 a port sur la phase de r habilitation qui a suivi ainsi que sur les 250 millions d euros que la Commission avait consacr s aux mesur
37. es de r habilitation apr s l ouragan Mitch qui a touch l Am rique centrale en octobre 1998 Les recommandations de la Cour 4 La Cour a recommand la Commission 1 concevoir rapidement des projets de r habilitation et d associer les b n ficiaires 2 poursuivre ses efforts en pleine coop ration avec les autres donateurs pour am liorer la transparence des fonds et mettre en place un syst me de contr le de la qualit ind pendant 3 de s assurer de la disponibilit d informations compa ratives concernant les co ts et de la d finition d objec tifs clairs pour les projets 4 de mieux anticiper l augmentation sensible des prix la suite des catastrophes naturelles 5 de veiller assurer une visibilit ad quate des projets financ s par l UE 6 de garantir la durabilit des projets au terme du finan cement de l UE Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 Quatre recommandations n 1 2 5 et 6 ont t mises en uvre int gralement par la Commission tandis que les deux autres 3 et 4 l ont t pra tiquement tous les gards Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour AM LIORATION DE LA GESTION ET DE LA COOP RATION 6 La Commission a cr et renforc l unit Gestion des crises et de la fragilit qui rel ve d EuropeAid En outre elle a publi plusieurs communications dont le programme pour le changement le pla
38. es directrices d taill es concernant les informations a fournir dans la demande parviennent a l tat demandeur en temps utile 2 d tablir un contact direct avec l organisme charg d laborer la demande dans l tat membre ou dans l tat en voie d adh sion Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 Les deux recommandations ont t int gralement mises en uvre Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour LIGNES DIRECTRICES POUR LES TATS DEMANDEURS 6 La qualit des demandes a t am lior e comme le montre la r duction du nombre de demandes refu s es et de demandes pour lesquelles des informations suppl mentaires ont t sollicit es T Une r vision du r glement sur le FSUE permettrait d obtenir d autres am liorations concernant la phase d valuation et les phases suivantes ce qui faciliterait l ex cution des paiements TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 SILdWOD 530 YNOD XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1Y0ddVY 23 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 24 ANNEXE VI gt gt gt POUR LES FEMMES 1 Le rapport sp cial n 17 2009 tait consacr aux actions de formation professionnelle pour les femmes cofinanc es par le Fonds social europ en 2 Les actions de formation professionnelle pour les femmes principal moyen sp cialement financ par le FSE de promotion de l
39. es en ce qui concerne le recours aux stocks d intervention dans le cadre du futur Fonds europ en d aide aux plus d munis 2 En ce qui concerne la recommandation 7 b la suite de la r ponse donn e au point 11 dans le cadre du Fonds europ en d aide aux plus d munis il sera tenu compte des propositions de la Cour visant permettre aux tats membres de choisir d couler les stocks d intervention sur les march s des produits de base agricoles et de consacrer les recettes ainsi obtenues l achat des produits finaux n cessaires chaque fois que les conditions r gissant les accords de troc pourraient tre jug es insuffisantes R PONSES DE LA COMMISSION R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE IV AGRICULTURE MISE EN UVRE DE L APPROCHE LEADER 8 La proposition de la Commission relative au r glement applicable au Feader pour la p riode 2014 2020 article 67 para graphe 2 se fonde sur une approche harmonis e entre l ensemble des Fonds ESI tout en restant conforme aux r gles en vigueur sur les aides d tat En ce qui concerne l absence d am lioration au cours de la p riode actuelle il convient de rappeler que dans le cadre du trilogue relatif l alignement sur le trait de Lisbonne les institutions n ont pas pu s entendre sur la proposition COM 2010 537 voir les indications de la Cour au point 3 Les deux propositions pr voient que le soutien du Feader n est accord aux d penses effectu es qu apr s la pr se
40. es et inclusion la DG D veloppement et coop ration EuropeAid ainsi que la DG Recherche et innovation auxquelles la plupart des recommandations de la Cour sont adress es TABLEAU 1 RAPPORTS SP CIAUX EXAMIN S DANS LE PR SENT RAPPORT DE SUIVI Nombre de recommandations d audit analys es Domaine budg taire Rapport sp cial RS n 8 2006 Cultiver le succ s L efficacit du soutien apport par l Union europ enne aux Agriculture 9 programmes op rationnels en faveur des producteurs de fruits et l gumes RS n 6 2009 L aide alimentaire de l Union europ enne en faveur des personnes d munies Agriculture 8 une valuation des objectifs ainsi que des moyens et des m thodes utilis s RS n 5 2010 Mise en uvre de l approche Leader pour le d veloppement rural RS n 3 2008 Le Fonds de solidarit de l Union europ enne dans quelle mesure FSUE 2 son intervention est elle rapide efficiente et souple RS n 17 2009 Les actions de formation professionnelle pour les femmes cofinanc es Coh sion 3 par le Fonds social europ en RS n 6 2008 Aide a la r habilitation apport e par la Commission europ enne Actions ext rieures 6 apr s le tsunami et l ouragan Mitch RS n 18 2009 Efficacit de l appui du FED l int gration conomique r gionale Actions ext rieures 11 en Afrique de l Est et de l Ouest RS n 1 2009 Les activit s bancaires couvrant le bassin m diterran en Actions ext rieures
41. es pourraient tre encore encourag es Cette question a galement t abord e dans le cadre de l analyse d impact 2008 et dans la proposition ult rieure de nouveau r glement du Conseil En raison de la suppression progressive du r gime d cid e par le Conseil et le Parlement europ en en 2012 de telles mesures ne pourraient pas tre mises en uvre dans le cadre du r gime actuel La Com mission s est n anmoins efforc e d encourager la cr ation de synergies et de compl mentarit s avec d autres actions nationales ou locales en appelant dans ses lignes directrices non contraignantes pour les plans annuels de 2012 et de 2013 la description de tels liens 10 En ce qui concerne la recommandation 3 La Commission rappelle que ce sont les tats membres et non la Commission qui sont les mieux plac s pour adapter les actions aux besoins sp cifiques nationaux et locaux Le respect du principe de subsidiarit va de pair avec une efficience accrue du r gime lorsque le ciblage des b n ficiaires demeure du ressort des tats membres Cela ne signifie pas qu il faut renoncer au ciblage mais que celui ci doit relever des tats membres qui sont tenus d inclure dans leurs plans des informations compl tes sur les b n ficiaires et les organisations caritatives participant au programme Cet aspect a t particuli rement mis en vidence par la Commission dans ses lignes directrices non contraignantes pour la mise en uvre des plans
42. iciels infor matiques afin de recueillir des donn es destin es a contr ler l efficacit du r gime d aide Elle s est galement appuy e sur les r sultats de l valuation de 2008 et d tudes ult rieures pour s assurer que le soutien aux OP permet r ellement de renforcer le pouvoir de n gociation des agriculteurs Cepen dant des am liorations sont encore possibles pour rendre plus attrayante l adh sion aux organisations de producteurs ANNEXE Ill gt gt gt 1 Le rapport sp cial n 6 2009 tait consacr a l aide alimentaire en faveur des personnes d munies 2 A la suite de l hiver particuli rement rigoureux de 1986 1987 la Communaut a adopt un programme qui visait a sortir des produits agricoles des stocks communautaires d intervention pour qu ils soient remis gratuitement des organisations caritatives charg es ensuite de les distribuer aux personnes dans le besoin La mesure a t largement salu e et est toujours en vigueur aujourd hui Ce programme poursuit essentiellement deux objectifs un objectif social apporter une contribution notable au bien tre des citoyens les plus d munis et un objectif de march stabiliser les march s des produits agricoles gr ce la r duction des stocks d intervention La par ticipation des tats membres au programme est facul tative Le budget est pass de 307 millions d euros en 2008 500 millions d euros en 2009 pour les 18 tats membres par
43. iff rentes DG et de proc dures qui sont bien document s Cela signifie qu il existe une piste d audit pour toutes les recommandations enregistr es dans l application et que l tat d avancement de leur mise en uvre est aussi mis jour L examen a galement montr que la DG Budget a mis en place des proc dures qui permettent d assurer une s paration claire des fonctions afin de sauvegarder l int grit des donn es enregistr es dans l application RAD Rapport sp cial n 19 2012 http eca europa eu 24 25 26 L APPLICATION RAD NE PERMET PAS DE GARANTIR QUE LA COMMISSION DISPOSE D INFORMATIONS DE GESTION ADEQUATES ET FIABLES SUR L TAT D AVANCEMENT DE LA MISE EN UVRE DES RECOMMANDATIONS LORSQUE CELLE CI N EST QUE PARTIELLE La Cour a valu l ad quation et la fiabilit des informations contenues dans l application RAD sur les 62 recommandations examin es Pour chaque recommandation ou demande l application RAD reprend des donn es essentielles comme le niveau de priorit essentielle tr s importante importante ou souhaitable l tat d avancement de sa mise en uvre rejet e accept e supprim e ou termin e la date de sa mise en uvre pr vue et r elle et la r ponse exhaustive et officielle apport e par la Commission Conform ment aux r gles de la Commission ses r ponses aux recommandations de la Cour doivent respecter des crit res sp cifiques et notamment faire c
44. ions de gestion sur les recommandations formul es par la Cour dans les rapports sp ciaux publi s depuis 2008 La Cour constate toutefois que l application RAD ne permet pas de garantir que la Commission dispose d informations de gestion ad quates et fiables sur l tat d avancement de la mise en uvre des recommandations lorsque celle ci n est que partielle Cela s explique par le caract re absolu des cat gories utilis es par la Commission pour enregistrer l tat d avancement de la mise en uvre des recommandations voir points 24 28 RECOMMANDATION La Commission devrait affiner l application RAD afin de mieux faire appara tre les recommandations qui n ont t que partiellement mises en uvre Le pr sent rapport a t adopt par la Chambre CEAD pr sid e par Igors LUDBORZS Membre de la Cour des comptes Luxembourg en sa r union du 17 d cembre 2013 Par la Cour des comptes Las Cuar V tor Manuel da SILVA CALDEIRA Pr sident ANNEXE _ VUE D ENSEMBLE DES RECOMMANDATIONS EXAMIN ES PAR LA COUR Mise en uvre La recom P Recomman Int gralement Non mise mandation Impossible Rapport sp cial dation voint mise en uvre Pratiquement acertains en uvre n est plus 8 v rifier tous les gards gards pertinente 1 94 x 2 95 sous i X RS n 8 2006
45. ions les organisations r gionales ainsi que les pays membres de ces organisations poursuivent leurs activit s en vue de parvenir une plus grande int gration r gionale notamment par la mise en uvre au niveau national des engagements en faveur de l int gration pris au niveau r gional La Commission a continu soutenir le processus d int gration r gionale pour renforcer la coordination et la convergence entre les organisations r gionales ainsi que pour am liorer le suivi et l valuation Cependant le manque d int r t pour la poursuite de l int gration r gionale demeure dans certains pays membres de ces organisations et les capacit s institutionnelles des deux organisations r gionales restent faibles COH RENCE DES STRAT GIES R GIONALES NATIONALES ET AFFECTATION DES FINANCEMENTS 7 La Commission a engag un certain nombre d actions pour assurer une plus grande coh rence entre les niveaux r gional et national des strat gies et des ac tions d int gration r gionale Cette coh rence accrue devrait devenir plus visible dans le cadre du 11 FED Une r affectation plus r aliste des fonds entre les dif f rentes r gions a galement t r alis e une partie des cr dits du 10 FED ayant t r affect s l initia tive nergie durable pour tous ANNEXE VIII D L GATIONS 8 En 2010 la Commission a tabli et diffus une note d orientation sur la gestion des programmes r gio naux
46. lairement tat des mesures concr tes que la Commission envisage de prendre pour corriger les insuffisances d tect esf Sur les 62 recommandations figurant dans l chantillon de la Cour 46 taient enregistr es dans l application RAD Les 16 recommandations qui ne l taient pas avaient toutes t formul es dans des rapports sp ciaux publi s avant 2008 voir point 20 Les r ponses officielles de la Commission avaient t d ment enregistr es pour l ensemble des 46 recommandations figurant dans l application RAD La Commission y indiquait que la mise en uvre tait termin e pour 38 de ces 46 recommandations Or il ressort de l analyse des pi ces justificatives des DG effectu e par la Cour que seules 20 de ces recommandations pouvaient tre consid r es comme int gralement mises en uvre 6 http intracomm ec testa eu budg rep external proced_frhtml 27 28 Cette divergence entre les donn es enregistr es par la Commission et les r sultats de l valuation de la Cour a t relev e pour 18 recommandations et concerne des cas o la Commission n a proc d qu une mise en uvre partielle La mise en uvre de ces recommandations est enregistr e comme tant termin e car les cat gories utilis es dans l application RAD ne facilitent pas l encodage d une mise en uvre partielle La Cour constate que le caract re absolu des cat gories utilis es par la Commission pour enregistrer l
47. leure d finition de la base juri dique et de ses modalit s d application en mati re d approvisionnement en produits ali mentaires destin s aux personnes d munies ainsi que b par la suppression des accords de troc Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 Deux recommandations 1 et 4 ont t int grale ment mises en uvre par la Commission une n 2 t pratiquement tous les gards deux n 6 et 7 sous a certains gards et trois 3 5 et 7 sous b n ont pas t mises en uvre TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 19 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 20 Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour UN FINANCEMENT FUTUR AU TITRE DE LA POLITIQUE DE COH SION REMPLACE CELUI AU TITRE DE LA POLITIQUE AGRICOLE COMMUNE PAC 6 Le r glement UE n 121 20127 modifi le r gime actuel de distribution de denr es alimentaires afin de pr voir une p riode de suppression graduelle La p riode de suppression graduelle prend fin au terme du plan annuel de 2013 apr s lequel le r gime actuel expirera 7 Le r glement propos COM 2012 617 final du 24 oc tobre 2012 porte cr ation du Fonds europ en d aide aux plus d munis FEAD pour la p riode 2014 2020 qui viendra compl ter les instruments de coh
48. miques et financi res depuis janvier 2010 Par ailleurs la structure d audit interne de la DG Affaires conomiques et financi res a examin en 2011 les dispositions r vis es relatives au traitement des amendes encaiss es titre pro visoire et a conclu que les activit s taient g r es efficacement GESTION DES R GIES D AVANCES 15 La DG Budget propose en troite collaboration avec les d l gations de l UE les solutions les plus cono miques pour la gestion des r gies d avances Ces pro c dures de s lection sont document es et leur res pect est v rifi lors des visites d inspection effectu es par la DG Budget Ces derni res peuvent entra ner la formulation de recommandations dans les rapports d inspection remis au SEAE COMPTES FIDUCIAIRES 16 Bien que la plupart des dispositions du r glement financier soient appliqu es depuis le 1 janvier 2013 les nouvelles r gles relatives aux instruments finan ciers et la gestion indirecte n entreront en vigueur que le 1 janvier 2014 L accord cadre financier administratif FAFA politiques et orientations pour la gestion de certains comptes fiduciaires entre la BEI et la Commission doit toujours tre sign de m me que les instructions sp cifiques sur les comptes fiduciaires ANNEXE XI gt RECHERCHE PROGRAMMES CADRES DE RDT 1 Le rapport sp cial n 9 2007 tait consacr l va luation des programmes cadres de recherche et
49. mpact des mesures et instruments relevant de la PAC II convient cependant de noter que toute valuation a toujours un co t et qu il faut souvent trouver un juste quilibre entre la charge administrative et les co ts pesant sur les b n ficiaires et les administrations d une part et les avantages d coulant d informations d taill es et r centes d autre part En outre les indicateurs ne peuvent pas tre consid r s s par ment mais doivent faire l objet d une analyse attentive et d une interpr tation dans le contexte qui est le leur EXAMEN DES PROC DURES DE SUIVI DE LA COMMISSION 26 L application RAD ne comporte que quatre cat gories accept e rejet e termin e et supprim e Par cons quent lorsqu une recommandation est partiellement accept e et donc partiellement mise en uvre les services de la Com mission n ont pas d autre choix que de s lectionner accept e et ensuite termin e Ce d calage entre la cat gorisa tion de la Commission et celle de la Cour des comptes peut justifier l cart entre le nombre de recommandations que la Cour consid re comme ayant t int gralement mises en uvre et celles qui sont class es comme termin es dans l application RAD voir aussi la r ponse au point VI Harmoniser les cat gories utilis es par la Commission et la Cour pourrait tre l un des sujets discuter l avenir entre les deux institutions comme indiqu dans la r ponse la
50. n de mise en uvre et la strat gie de r duction des risques de catastrophes ainsi que la communica tion sur la r silience ce qui repr sente une avanc e importante pour l approche qui consiste tablir un lien entre l aide d urgence la r habilitation et le d veloppement 7 l tablissement des rapports et le suivi assur par l in term diaire du secr tariat du Fonds fiduciaire multi donateurs et d un expert technique ind pendant ont galement t am lior s TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 25 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 26 INFORMATIONS COMPARATIVES CONCERNANT LES CO TS ET OBJECTIFS CLAIRS POUR LES PROJETS 8 La Commission continue de veiller ce que la mise en uvre de ses projets soit valu e Toutefois EuropeAid ne s assure pas que des informations comparatives concernant les co ts soient facilement disponibles afin de servir de r f rence pour permettre un suivi des co ts des projets VISIBILIT DES FINANCEMENTS DE L UE 9 La m thodologie normalis e d EuropeAid pour les missions de v rification effectu es par les services centraux aupr s des d l gations de l Union euro p enne a t r vis e afin d inclure plusieurs contr les concernant la visibilit des financements de l UE Le groupe d appui la qualit value galement la
51. n 2014 2020 sont encore en cours d adoption au moment de l tablissement du pr sent rapport N anmoins dans le cadre de ses propositions pour la p riode 2014 2020 la Commission a pris des mesures concr tes pour tenir pleinement compte de ces recommandations La mise en uvre des recommandations rel vera du nouveau cadre l gislatif De plus alors que la Commission ne dispose d aucune base juridique pour imposer aux tats membres telle ou telle proc dure de s lection des projets elle constate n anmoins avec satisfaction que ses actions ont port leurs fruits et contribu am liorer la situation dans ce domaine Les nouvelles lignes directrices pour la p riode de programmation en cours font clairement cho ces recommandations tout comme les modifications apport es aux programmes op ra tionnels ce qui concerne notamment l attribution de moyens dans le cadre de ces programmes et la fixation de leurs priorit s TLOZ 121241X1 1 HNOd INNIIdOUNA 31910 S30 4N0 XNWIDAdS SLYO ddVY 34 IAINS 31 UNS 1HOddvu RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 R PONSES DE LA COMMISSION 6 La Commission se f licite des conclusions de la Cour Les tats membres seront en effet invit s fournir une analyse du march du travail lors de la prochaine p riode de programmation L article 87 du projet de r glement portant dispositions communes renforcera en outre l a
52. ndis que la seconde concernant la gestion de la tr sorerie voir annexe X l a t pratiquement tous les gards Sur les 59 recommandations qu elle a pu valuer la Cour a constat que 49 83 avaient t mises en uvre int gralement ou pratiquement tous les gards que sept autres 12 avaient t mises en uvre certains gards et que trois 5 n avaient pas t mises en uvre 13 14 EXEMPLES D AM LIORATIONS ET D L MENTS AM LIORER EN MATI RE DE GESTION FINANCI RE Une simplification des programmes d aide et une clarification des proc dures relatives aux subventions ou aux aides comme les crit res d ligibilit ont t constat es en ce qui concerne le programme d aide de l UE en faveur des producteurs de fruits et l gumes agriculture et le Fonds de solidarit de l Union europ enne Dans le cas de ce dernier l am lioration de la qualit des demandes a entra n une r duction du nombre de celles qui n cessitaient une sollicitation d informations suppl mentaires de la part de la Commission Deux mesures se distinguent galement s agissant des programmes de formation professionnelle cofinanc s par le Fonds social europ en coh sion savoir l am lioration des orientations tablies par la Commission l intention des tats membres sur les proc dures de s lection de projets ainsi que l introduction d indicateurs de performance obligatoires De m me des pr
53. ntation d une demande l autorit comp tente 9 En qui concerne la prochaine p riode des orientations sur les proc dures visant viter les conflits d int r ts figurent dans le projet de document d orientation sur le d veloppement local men par les acteurs locaux labor par les quatre DG voir la r ponse au point 9 au chapitre 4 3 page 26 Les proc dures r gles et structures de travail appliqu es la prise de d cision doivent garantir que la s lection des projets est conforme aux objectifs de la strat gie qu elle s effectue selon des modalit s non discriminatoires et transparentes et qu elle vite en particulier tout risque de conflit d int r ts Concernant ce dernier point il convient que les GAL tablissent des proc dures crites expliquant comment ils entendent traiter ce risque ex comptes rendus de r unions abstention lors du vote d clarations crites En ce qui concerne les d clarations d int r ts la Commission estime que des orientations sont suffisantes 10 L valuation ex post constituera l l ment essentiel pour valuer la valeur ajout e du programme Leader R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE VI COH SION ACTIONS DE FORMATION PROFESSIONNELLE POUR LES FEMMES 5 La Commission prend acte de l analyse de la Cour Les recommandations 1 et 3 ne sont en effet mises en uvre qu cer tains gards parce que les dispositions pour la future p riode de programmatio
54. oc dures am lior es d valuation de la durabilit des projets au stade de la demande ont t mises en place la suite de l audit relatif au tsunami qui a frapp l oc an Indien actions ext rieures Gr ce ces am liorations l aide peut tre mieux cibl e et par suite plus efficace et plus efficiente Pour suivre la mise en uvre et valuer les r sultats des programmes et actions de l UE il faut disposer d informations fiables sur la performance Des am liorations en la mati re ont t constat es dans un certain nombre de domaines examin s Premi rement bien que les projets de r glements relatifs au Fonds de coh sion pour la p riode de programmation 2014 2020 restent essentiellement fond s sur les intrants ils comportent des dispositions pour une approche ax e davantage sur les r sultats et pr voient des indicateurs en mati re de r alisations et de r sultats escompt s coh sion D autre part s agissant du programme d aide de l UE en faveur des producteurs de fruits et l gumes la collecte d informations aupr s des tats membres s est am lior e gr ce aux nouvelles orientations aux mod les et aux logiciels informatiques fournis par la Commission agriculture Enfin des am liorations ont galement t constat es en mati re d tablissement de rapports de suivi et de communication d informations par les responsables de la mise en uvre du programme de r habilitation men en r pons
55. omiques et financi res La pre mi re est responsable de la gestion de la tr sorerie de tout le budget g r par la Commission et du Fonds europ en de d veloppement la seconde est char g e de la gestion de la tr sorerie d autres postes non inscrits au budget et de l investissement des fonds communautaires Source Note d information ECA 09 30 4 Laudit de la Cour avait pour principal objectif d va luer la qualit de la gestion de la tr sorerie de la Com mission et notamment de v rifier a si la Commission respecte les r gles et les r glements applicables en mati re de gestion de tr sorerie b si la Commis sion a mis en place des syst mes de contr le interne qui permettent d assurer une bonne gestion de la tr sorerie Les recommandations de la Cour 5 La Cour a recommand la Commission 1 d analyser le fonctionnement du syst me actuel des comptes ressources propres afin de r duire les soldes de ces comptes 2 d am liorer la documentation des proc dures relatives son syst me de pr vision de tr sorerie 6 S agissant des syst mes de contr le interne la Cour a galement recommand la Commission 1 d am liorer la surveillance de ses activit s de gestion de la tr sorerie 2 d am liorer la documentation de sa gestion des risques 3 de mettre en place une politique harmonis e et des lignes directrices appropri es concernant l ouverture de comptes fiduciai
56. pproche ax e sur les r sultats Te En ce qui concerne la n cessit relev e par la Cour de renforcer le lien entre les proc dures de s lection des projets et une analyse du march du travail il convient de noter qu il n existe pas de base juridique permettant a la Commission d obliger les comit s de suivi a r viser les crit res de s lection lorsqu une analyse actualis e du march du travail r v le de nouveaux probl mes La Commission consid re en outre que la modification des priorit s et du financement correspondant des programmes a un niveau sup rieur permet de prendre en consid ration de mani re plus judicieuse l volution du march du travail En r alit les changements apport s aux programmes se refl tent n cessairement dans la s lection des projets Grace aux recommandations de la Cour et aux efforts consid rables d ploy s par la Commission des changements significatifs ont t introduits dans de nombreux programmes Ces modifications traduisent l impact de la crise socio conomique notamment sur le march du travail Elles introduisent la red finition des priorit s et la r affectation des moyens financiers ce qui conduit a modifier le type et le nombre des projets s lectionn s sur le terrain 8 La Commission souscrit a l analyse de la Cour Des progr s ont t accomplis au cours de la p riode de programma tion 2007 2013 gr ce aux exigences d finies en mati re de communication oblig
57. r a la mise en uvre de l approche Leader pour le d ve loppement rural 2 Leader est l approche retenue pour appliquer la poli tique de d veloppement rural de l UE au moyen de partenariats locaux les groupes d action locale appe l s GAL l approche Leader repose sur l hypoth se selon laquelle elle apporterait une valeur ajout e par rapport a une m thode classique de mise en ceuvre normative top down Les approches participatives et l interaction entre diff rents secteurs au niveau local sont cens es y mettre en valeur le potentiel 3 La valeur ajout e et la bonne gestion financi re de l ap proche Leader rel vent au premier chef de la respon sabilit des GAL La Commission partage avec les Etats membres la responsabilit de superviser la performance des GAL de s assurer qu ils suivent l approche Leader et qu ils appliquent syst matiquement les normes les plus lev es en mati re de bonne gestion financi re Source Note d information ECA 10 27 4 La Cour a v rifi si l approche Leader a t mise en uvre suivant des modalit s qui apportent une va leur ajout e et avec un minimum de risques pour la bonne gestion financi re Les recommandations de la Cour 5 La Cour a recommand la Commission 1 de veiller ce que la r glementation d finisse de fa on suffisamment claire les normes requises dans le cadre particulier de Leader s agissant de l ligibilit des co ts d
58. ration des modalit s d organisation de la gestion d Horizon 2020 La cr ation d une unit unique affect e au traitement des donn es et l tablissement de rapports pour l ensemble de a politique de recherche permettra de renforcer l approche commune de l valuation gr ce la fourniture de donn es coh rentes et compl tes sur la mise en uvre et les r sultats d Horizon 2020 TLOZ 121241X1 1 HNOd INNIIdOUN 31910 S30 XNWIDAdS SLYO ddVY S30 IAINS 31 UNS 1HOddvu COMMENT VOUS PROCURER LES PUBLICATIONS DE L UNION EUROPEENNE Publications gratuites un seul exemplaire sur le site EU Bookshop http bookshop europa eu exemplaires multiples posters cartes aupr s des repr sentations de l Union europ enne http ec europa eu represent_fr htm des d l gations dans les pays hors UE http eeas europa eu delegations index_fr htm en contactant le r seau Europe Direct http europa eu europedirect index_fr htm ou le num ro 00 800 6 7 89 10 11 gratuit dans toute l UE Les informations sont fournies titre gracieux et les appels sont g n ralement gratuits sauf certains op rateurs h tels ou cabines t l phoniques Publications payantes sur le site EU Bookshop http bookshop europa eu Abonnements aupr s des bureaux de vente de l Office des publications de l Union europ enne http publications europa eu others agents index_fr htm LLE SUIVI
59. recommandation suivant le point 32 TLOZ 121241X1 1 HNOd INNIIdOUNA 31910 S30 XNWIDAdS SLYO ddVY S30 IAINS 31 UNS 1HOddvu RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 R PONSES DE LA COMMISSION 27 Les recommandations de la Cour comportant souvent des sous recommandations la Commission entreprend depuis peu de scinder ces recommandations dans l application RAD afin de faciliter leur suivi La Commission pr voit que cette pratique entra nera une r duction du nombre de recommandations mises en uvre partiellement Voir galement les r ponses de la Commission aux points VI et 26 28 Voir les r ponses de la Commission aux points VI VII et 27 CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS 327 Depuis la publication du premier rapport sp cial de la Cour sur le suivi de ses recommandations et compte tenu de la forte augmentation du nombre de recommandations et de demandes adress es la Commission celle ci a affin les instructions destin es ses services en demandant ces derniers lorsqu ils r pondent de telles recommandations ou demandes d indiquer clairement s ils les acceptent et de pr ciser si possible dans quelle mesure elles ont t mises en uvre RECOMMANDATION La Commission par l interm diaire de son comit de suivi des audits se livre actuellement une r flexion approfondie sur les suites qu elle donne aux recommandations et
60. res Enfin le renforcement des capacit s institutionnelles observ dans le domaine des activit s bancaires couvrant le bassin m diterran en gr ce la mise en place d unit s sp cialis es la Commission EuropeAid devrait favoriser la promotion et la gestion d instruments financiers innovants actions ext rieures 3 Des objectifs sont SMART lorsqu ils sont sp cifiques mesurables r alisables pertinents et dat s Specific Measurable Achievable Realistic and Timely C LOC 121241X1 1 HNOd INN11d04N1 31910 S30 XNWIDAdS SLYOddYY SAG IAINS 31 ENS LYOddYVY 11 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 12 18 19 20 EXAMEN DES PROC DURES DE SUIVI DE LA COMMISSION La DG Budget de la Commission coordonne et contr le le processus de suivi cet effet une application informatique appel e RAD est utilis e collectivement par les DG pour enregistrer les informations de gestion relatives aux recommandations d audit et aux demandes formul es dans le cadre de la d charge L application RAD reprend les r ponses officielles que la Commission y a apport es et l tat d avancement des mesures de suivi prises par les diff rentes DG qui sont responsables au premier chef de leur mise en uvre D velopp e en 2003 l application RAD est un outil informatique con u pour assurer le suivi des recommandations mises
61. res 4 de rechercher une solution optimale pour le traite ment des amendes encaiss es a titre provisoire 7 S agissant des r gies d avances la Cour a galement recommand 1 que les exigences tablies pour les proc dures d appel d offres en vue de la s lection des banques soient res pect es et que la proc dure de s lection soit correc tement document e Mise en uvre des recommandations de la Cour 8 Cinq recommandations n 2 3 4 6 et 7 ont t mises en uvre int gralement par la Commission tandis que les deux autres 1 et 5 l ont t pra tiquement tous les gards TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 S30 YNOD XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 31 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 32 Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour ANALYSE DES COMPTES RESSOURCES PROPRES 9 La DG Budget est parvenue r duire les soldes de fin d exercice en 2008 2009 et 2011 malgr l absence de modification du syst me de perception des res sources propres aupr s des tats membres tant donn que ce syst me est r gi par le Conseil la Com mission n est pas comp tente pour le modifier PROC DURES RELATIVES AU SYST ME DE PR VISION DE TR SORERIE 10 Les outils de pr sentation en mati re de pr vision de tr sorerie ont t r vis s en 2009 et la gestion ac
62. ruits et l gumes de l UE Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 Sur les neuf recommandations de la Cour huit n 1 3 4 5 6 7 8 et 9 ont t int gralement mises uvre et une n 2 a t mise en uvre pratique ment tous les gards TLOZ 131341X1 1 YNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 17 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 18 Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour SIMPLIFIER LE R GIME D AIDE ET LE RENDRE PLUS EFFICACE 6 Les principales am liorations comprennent une sim plification du r gime d aide op r e au moyen des mesures suivantes 1 remplacement des multiples r glements d application par un r glement unique 2 suppression de l aide la transformation 3 ciblage de l ensemble de l aide sur des organisations de producteurs de produits frais ou de produits frais destin s la transformation 4 int gration des domaines du secteur des fruits et l gumes dans le r gime de paiement unique 5 renforcement de l efficacit du r gime d aide en faveur des programmes op rationnels par une plus grande concentration de l offre partir des OP 7 Lors de l approbation d un programme op rationnel il est pr sent fait r f rence la strat gie nationale et aux mesures destin es rem dier aux surcom pensation
63. s La Commission a galement clarifi les crit res d ligibilit des d penses dans le cadre des programmes op rationnels 8 Cependant bien que le taux de participation moyen aux organisations de producteurs ait constamment augment avec 43 en 2010 EU 27 il reste inf rieur l objectif de 60 tabli par l organisation com mune de march dans le cadre de la r forme de 2007 ANNEXE II RENFORCEMENT DE LA PROGRAMMATION DU SUIVI ET DE L VALUATION 9 La Commission a mis en place de nouveaux instru ments pour rendre l aide plus attrayante 1 les groupements de producteurs ont t couronn s de succ s dans les nouveaux tats membres de l UE notamment en Pologne 2 les nouvelles mesures de pr vention et de gestion des crises r colte en vert et non r colte se sont av r es efficientes au cours de la crise de l E coli en 2011 3 l assurance r colte devient progressivement un outil pr cieux pour pr venir les pertes de revenu 4 le taux d affiliation aux OP savoir le pourcentage de l offre trait par les OP a augment de 10 dans l UE depuis 2007 10 La Commission a pr serv la coh rence dans le cadre des programmes op rationnels de d veloppement rural en s assurant que les tats membres affectent les ressources de mani re efficace entre les diff rents secteurs et priorit s 11 La Commission a aussi tabli des lignes directrices et des mod les et d velopp des log
64. s orientations pour les comptes d instruments financiers et la gestion d actifs R PONSES DE LA COMMISSION L ANNEXE XI RECHERCHE PROGRAMMES CADRES DE RDT 7 Les actes juridiques d Horizon 2020 sont conformes l approche globale propos e par la Commission consistant pr senter une logique d intervention explicite et un nombre limit d indicateurs de performance cl s 8 La Commission s est engag e devant le l gislateur formuler une strat gie d ensemble pour l valuation et le suivi d Horizon 2020 comme indiqu notamment dans son analyse d impact La Commission consid re que les dispositions en la mati re figurant dans les actes juridiques et les principes de base nonc s dans l analyse d impact pour la strat gie d valuation d Horizon 2020 sont en grande partie align s sur les observations du rapport de la Cour des comptes La Commission va mettre au point une strat gie int gr e d valuation pour l ensemble des actions Horizon 2020 en se fondant sur ces dispositions et principes 9 La Commission a envisag de cr er un bureau conjoint mais a finalement retenu une approche diff rente pour le 7 PC actuel anmoins m me s il n existe pas de bureau d valuation conjoint le syst me aujourd hui en place pour le 7 PC garantit une approche coh rente en mati re d valuation ce qui r pond la recommandation de la Cour La Commission travaille actuellement l labo
65. sion existants et notamment le Fonds social europ en RENFORCEMENT DE LA SYNERGIE 8 Dans le cadre du r gime actuel la DG Agriculture et d veloppement rural a pr sent une feuille de route pour l adoption de la modification du plan 2012 de distribution de denr es alimentaires aux personnes les plus d munies et la Commission a publi en mars 2012 de nouvelles lignes directrices sur la mise en uvre a l intention des Etats membres 9 La nouvelle proposition COM 2012 617 final pr voit une obligation pour les associations caritatives qui distribuent les denr es alimentaires ou les autres produits aux personnes les plus d munies de r ali ser galement des activit s en vue de la r int gra tion sociale des personnes b n ficiaires de l aide La proposition est en voie d adoption par les organes l gislatifs de l UE R glement UE n 121 2012 du Parlement europ en et du Conseil du 15 f vrier 2012 modifiant les reglements du Conseil CE n 1290 2005 et CE n 1234 2007 en ce qui concerne la distribution de denr es alimentaires aux personnes les plus d munies de l Union JO L 44 du 16 2 2012 p 1 ANNEXE III EVALUATION DE L INCIDENCE DE LA MESURE 10 Cependant la Commission n a pas pris d autres me sures pour assurer un meilleur ciblage du r gime re commandation n 3 et pour renforcer l obligation de rendre compte de l aide alimentaire per ue arguant du fait que les Etats mem
66. sir le processus de mise en uvre le plus efficace Mise en uvre des recommandations de la Cour 6 L ensemble des cinq recommandations ont t int gralement mises en uvre par la Commission Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour PROGRAMME D VALUATION ET DE SUIVI 7 La Commission a entre autres introduit les modifi cations cl s ci apr s qui sont d ordre organisationnel et proc dural 1 2008 EuropeAid mis en place une nouvelle quipe au sein de l unit charg e des activit s ban caires couvrant le bassin m diterran en pour donner suite aux observations de la Cour dans les meilleurs d lais 2 le cadre de la r organisation d EuropeAid une nouvelle unit a t cr e en 2011 pour promouvoir coordonner et g rer les instruments financiers inno vants du portefeuille des relations ext rieures dans les r gions couvertes par EuropeAid ainsi que pour en assurer le suivi 3 8 la fin de 2009 EuropeAid a tabli des lignes direc trices d taill es l intention de la BEI afin de d finir clairement sa s lection des nouvelles op rations financ es par le budget de l UE TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 34 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 29 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 30 COORDINATION DE L ASSISTANCE 8 Depuis 2010 la
67. suivantes 1 il convient de rendre la logique d intervention plus explicite dans la future l gislation 2 une strat gie int gr e d valuation devrait tre labor e 3 il conviendrait d envisager la mise en place d un bureau d valuation conjoint charg de coordonner les activit s d valuation des DG Recherche pour l ensemble du PC 4 la collecte et l valuation des donn es ainsi que l ta blissement de rapports leur sujet devraient tre optimis s 5 1 Commission devrait d finir le type et l tendue de l valuation et clarifier la fa on dont les valuations peuvent tre utilis es Mise en uvre des recommandations de la Cour 6 Quatre recommandations 1 3 4 et 5 ont t mises en uvre int gralement par la Commission tandis qu une n 2 l a t pratiquement tous les gards TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS LHOddVu 33 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 Ww gt Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour LOGIQUE D INTERVENTION 7 Les nouvelles propositions l gislatives comprennent une description claire et compl te des objectifs sp cifiques du financement de la recherche ainsi qu un nombre limit d indicateurs cl s pour l valuation des r sultats de l impact Toutefois ces propositions
68. sur les recommandations d audit et sur l tat d avancement de leur mise en uvre HI L examen de la Cour a comport une valuation des suites donn es par la Commission un chantillon de 62 recommandations formul es par la Cour dans dix rapports sp ciaux RS publi s entre 2006 et 2010 Pour cet chantillon la Cour a valu l tat actuel d avancement de la mise en uvre des recommandations ainsi que les informations de gestion dont la Commission elle m me dispose sur cet tat d avancement La Cour a galement examin les proc dures concern es des directions g n rales DG et pass en revue les manuels les lignes directrices les plans et les rapports publi s en accordant une attention particuli re ceux concernant l application RAD recommandations actions d charge Cette application est l outil informatique utilis par la Commission pour contr ler son suivi des recommandations de la Cour et des demandes formul es par l autorit de d charge dans le cadre de la proc dure de d charge IV Sur la base de son examen la Cour estime en conclusion que la Commission assure un suivi appropri de ses recommandations L examen d un chantillon de recommandations montre en effet que 83 des recommandations de la Cour ont t mises en uvre int gralement ou pratiquement tous les gards par la Commission ce qui a contribu am liorer la gestion financi re dans un certain nombre de domaines du budget
69. t trois n 1 4 et 6 l ont t certains gards Dans un seul cas la recommandation n 5 les informa tions probantes disponibles taient insuffisantes pour permettre la Cour d mettre un avis car les pro grammes 2014 2020 n taient pas encore disponibles Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour NORMES CLAIRES 7 L tablissement de r gles plus claires concernant les comit s de d cision des GAL a constitu la principale am lioration 8 La principale faiblesse r side dans le fait que les d penses encourues avant l approbation des demandes de subvention restent ligibles TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 21 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 22 CONFLITS D INT R TS 9 L obligation d viter les conflits d int r ts est pr vue par le r glement CE n 1974 2006 portant moda lit s d application Cependant celui ci n exige pas sp cifiquement que les d clarations d int r ts soient document es et rendues publiques ce qui constitue rait un garde fou efficace 8 R glement CE n 1974 2006 de la Commission du 15 d cembre 2006 portant modalit s d application du r glement CE n 1698 2005 du Conseil concernant le soutien au d veloppement rural par le Fonds europ en agricole pour le d veloppement rural Fea
70. ticipants Source Note d information ECA 09 51 3 Dans le contexte d un march et d une situation so ciale en pleine volution la Cour a contr l la bonne gestion financi re du programme au cours de la p riode 2005 2008 et sa mise en uvre dans quatre tats membres Espagne France Italie et Pologne qui ont d pens la plus grande partie des ressources financi res de l UE Les recommandations de la Cour 4 La Cour a recommand la Commission 1 dese poser la question de savoir s il convient de conti nuer financer une mesure de cette nature au titre de la politique agricole commune 2 d encourager les tats membres inscrire le pro gramme dans le cadre de la politique sociale et am liorer la coordination et la coop ration avec d autres acteurs cl s des actions sociales AGRICULTURE AIDE ALIMENTAIRE EN FAVEUR DES PERSONNES DEMUNIES 3 de d finir des priorit s en vue de s lectionner les b n ficiaires et les interm diaires de l aide 4 de revoir le point de la r glementation qui limite les denr es alimentaires destin es la distribution 5 d envisager d introduire un certain degr de normalisation 6 d encourager les Etats membres fixer des objectifs sp cifiques mesurables r alisables pertinents et dat s SMART pour la mise en uvre du programme 7 de garantir une concurrence plus large et l obtention des meilleurs prix sur le march a par une meil
71. tions pour la programmation et la mise en uvre de ses programmes r gionaux 7 de ne recourir aux conventions de contribution avec les organisations r gionales que s il est av r que leur gestion financi re est conforme aux normes internationales 8 d aider les organisations r gionales am liorer la coor dination entre elles de m me qu entre elles et leurs tats membres 9 d aider les organisations r gionales tablir des sys t mes de suivi 10 de d finir des objectifs SMART pour les projets 11 de veiller davantage que des rapports de bonne qualit soient r guli rement tablis sur l tat d avan cement des projets et ce que les r sultats de ceux ci fassent syst matiquement l objet d un suivi et d une valuation Mise en uvre des recommandations de la Cour 5 recommandations n 3 4 5 7 et 8 ont t mises en uvre int gralement par la Commission quatre n 1 2 9 et 10 l ont t pratiquement tous les gards et dans deux cas n 6 et 11 la Cour n tait pas en mesure de se prononcer sur le degr de mise en uvre TLOZ 131341X1 1 UNOd ANN11d04N1 31410 530 XNWIDIdS 13 04494 34 IMAS 37 YNS 1804 27 RAPPORT SUR LE SUIVI DES RAPPORTS SP CIAUX DE LA COUR DES COMPTES EUROP ENNE POUR L EXERCICE 2012 28 Principaux l ments relev s dans le cadre du suivi de la Cour INT GRATION R GIONALE 6 Dans les deux r g
72. tualis e de la tr sorerie pr voit pr sent une com munication crite mensuelle Une actualisation des proc dures de pr sentation et de pr vision de la tr sorerie qui datent de 2010 est galement en cours AM LIORATION DE LA SURVEILLANCE 11 La politique de gestion des risques de la DG Budget est r guli rement r vis e et les limites et exigences adapt es Des discussions sur l am lioration de la ges tion des risques et des amendes ont galement eu lieu entre la DG Budget et la DG Affaires conomiques et financi res 12 La politique de gestion des risques financiers de la Commission a t publi e en 2012 En outre la DG Budget a mis en place une politique de gestion des risques pour les op rations de tr sorerie et de paiement et des proc dures sp cifiques pour les risques op rationnels sont en place afin d assurer la continuit des activit s 13 La Commission a tabli des indicateurs relatifs aux op rations de tr sorerie Ceux ci font l objet d un suivi r gulier et les exceptions ou les carts par rapport aux objectifs sont analys s et font l objet d un suivi ANNEXE X TRAITEMENT DES AMENDES ENCAISS ES TITRE PROVISOIRE 14 La DG Budget et la DG Affaires conomiques et finan ci res ont conclu un contrat de niveau de service la fin de 2009 De plus un fonds relatif aux nouvelles amendes encaiss es titre provisoire a t cr il est g r par la DG Affaires cono
73. u caract re quitable des d cisions en mati re de d penses et de la composition des comi t s de d cision des GAL 2 s assurer avec les Etats membres que des garde fous efficaces sont mis en place pour viter les conflits d int r ts et de v rifier qu ils fonctionnent correctement AGRICULTURE MISE EN UVRE DE L APPROCHE LEADER 3 d examiner conjointement avec les Etats membres les contraintes pesant actuellement sur les actions locales afin de permettre la mise en uvre de strat gies locales plus innovantes et multisectorielles 4 de s assurer que les Etats membres exigent des GAL qu ils tablissent des objectifs sp cifiques mesurables et r alisables pour les strat gies locales de d velop pement 2007 2013 5 de v rifier d une mani re suffisamment d taill e l ave nir que les programmes comportent effectivement les l ments sp cifiques essentiels pour que Leader soit efficace et efficient et apporte une valeur ajout e 6 de s assurer qu elle peut rendre compte de la valeur ajout e et de la bonne gestion financi re de Leader et de coordonner l action des tats membres pour faire en sorte que les syst mes de contr le et de surveil lance fournissent une assurance quant au caract re quitable et transparent des proc dures Mise en uvre des recommandations de la Cour 6 Deux des six recommandations n 2 et 3 ont t mises en uvre pratiquement tous les gards e

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