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ﻟﻤﺸﺮوع اﻟﺒﺤﺚ ﺗﻘﺮﯾﺮﻋﺎم Rapport général du projet PNR

1. 4 Re Se pr remm d ER t z 3 2 i D bit 3 1 A 50 100 150 200 250 300 350 400 La Pression Kps ITT 52 85 88 0 CL LL sua a a a a B BBBEBEBEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEPERPBEPEPBEPB PE PE PE PE PE EE EE PE PE PE ES PIS PGE PGE PIE PE PE BB FPE PE PE P E T E F E P E F E E P i P i P P P T iF P tP RR Figure III 2 Courbe D bit Pression du goutteur 4 L h 39 1 2 Banc d essai de la r sistance des mat riaux Un autre banc d essai a pour r le de tester la qualit des mat riaux entrant dans la fabrication des conduites 1l s agit Teneur en noir de carbone A Dispersion du noir de carbone Temps d induction l oxyg nation vieillissement R sistance la pression interne Les essais faits au niveau du laboratoire de l INSID par notre part en pr sence des responsables on port s sur les 3 premiers tests Malheureusement nous n avons pu prendre que les r sultats de l essai de la teneur en noir de carbone les deux autres tant tenus confidentiels 2 R sultats de l analyse et mesure des caract ristiques techniques des goutteurs sur le site exp rimental de l E N S H et discussions Afin d assurer le bon d roulement des exp riences il fallait g rer les deux r seaux d irrigation install s sur notre site exp rim
2. Cu D eau 0 70 z gt A FA I Normale 0 65 Aa h e f Aa I I 0 60 NN 0 55 SE I 1 I I I I 0 40 I h 10 h 20 h 3h 40 h 50 60 h 70 h L Temps Te Fimcbouncne nt Heure E Thu IIL24 Courbes d volution de Cu du goutteur autor gulant de 8 L h 2 2 2 Interpr tation des r sultats Pour bien expliquer les courbes pr c dentes nous les avons combin es avec les courbes d volution d Ec au cours de l exp rimentation le but tant de d terminer les sens de variation du d bit pour cela nous avons suivi les tapes suivantes l Calculer la moyenne et l cart moyen d uniformit 2 Si l cart moyen est faible alors il n ya pas un changement au niveau du d bit d ensemble des goutteurs sinon 1l existe un changement du d bit 3 Si il existe un changement alors il existe une diminution ou une augmentation du d bit moyen et pour cela nous allons voir le sens de variation des courbes d volution de Ec au cours de l exp rimentation 51 les courbe de Ec sont croissantes 2 c est une augmentation du d bit si elles sont d croissantes 2 c est une diminution du d bit 4 Siil y a une diminution du d bit et puisque Cu 70 wis Quo on va avoir deux cas La courbe de Cu est croissante lt Alors c est une diminution du d bit moyen t Cu lt alors B La courbe de Cu est d croissante gt Alors c est une diminution des quatre plus faible
3. 0 80 I Se yok Vla VN VIN 1 k KA ENV 5 AE I I E H JL A AL AR _ 9 05 i i H 0 60 i i i se R P I i i I Cu D eau Normale E jn H i Cu D eau Epur e i Ec D eau Normale 5 D eau Epur e J I 1 i 1 I d zio un as 2 sh mw ide Bee MM q EB f 4 i ch UN 4m 0 20 I I 20 wem 0 238 i I maka I I Temps De Fonctionnement Heure I K L 5 2 mm mmm m mas ma m ma m mm m ma m mm ma A a mama ma m mam mmm ma ma m ma m wm a m m ma m a mm ma a mm ma a maw a ma 1 Figure III 26 Courbes d volution temporelle de et Ec du goutteur autor gulant de 4 L h La variation du coefficient d uniformit pour l eau normale durant l exp rimentation est d un cart moyen de 3 avec une moyenne arithm tique de 75 par contre dans le cas d eau pur e la moyenne arithm tique est gale 58 avec un cart moyen d uniformit de 12 cela implique qu il ya une diminution courbe de est d croissante des quatre faibles d bits et qu il existe des goutteurs en train de se colmater 4 Remarque nous avons remarque que la valeur du Cu de ces goutteurs est tr s mauvaise 73 et 58 Grand cart entre les faibles debits et leur moyenne ceci est une preuve pour les resultats de classement qu on a
4. Goal p gial ale a i Rapport g n ral du projet PNR VEA Sail 9 U 20001500 Minist re de l Enseignement Sup rieur et de la Recherche Scientifique os dE All tell al Direction G n rale de la Recherche Scientifique et du D veloppement Technologique I IDentification du projet E 9 i s ll DNR Organisme pilote Domiciliation du projet ENSH Blida Intitul du projet oie Etude et Valorisation des Eaux Us es pur es irrigation cas des p rim tres agricoles de la Mitidja Chercheurs impliqu s dans le projet un Sall s E ball Nom et pr nom Grade Etablissement employeur Observation ll el A0 d Sall x Wu Pf Een _ Wee BAHBOUH Leila Souad MAA EMHBida _ BENHAFID Mohamed said _ E NSH Blida SALHI Chahrazed Ing nieur d tat 1 D roulement du projet Rappeler bri vement les objectifs du projet et les taches pr vues baal algdll 5 g 5 hall l A Objectifs Mettre en place d une station d irrigation dont les cultures sont adapt es aux eaux pur es Am lioration de la qualit de l eau et son adaptation certaines cultures Adaptation et am lioration des techniques d irrigation aux exigences de la qualit de l eau d irrigation Elaboration d un guide de mise en ceuvre des proc dures de la r utilisation des eaux pur es les taches pr vu
5. ANRH 2010 Note de synth se sur les premi res mesures pi zom triques en utilisant les nouveaux pi zom tres captant la nappe du continental intercalaire dans la wilaya de Ghardaia rapport de l Agence nationale des ressources hydrauliques Ouargla 9p 30 Aoulmi S 2007 Conception de la station d puration dans la ville de Zeddine W Ain defla Alg rie 112p Aviron V Gerard M 2000 R utilisation des eaux us es apr s traitement Paris France 38p Baudot B et Perera P 1991 Guide proc d s extensifs d puration des eaux us es adapt s aux petites et moyennes collectivit s 21p Bechac J Boutin B Mercier P Nuer B 1984 Traitement des eaux us es Edition EYROLLES Bd St Germaine 75005 Paris cedex 05 BekkoucheM Zidane F 2004 Conception d une station d puration des eaux us es de la ville d Ouargla par lagunage M moire d ing nieur Hydraulique saharienne Universit de Ouargla 67p Benhacine Ch Doumbliaouskas A 1983 Irrigation agricole Tipaza 62p Benzayet B 2010 valuation hydrochimique des eaux souterraines de la vall e du M Zab Cas de Oued Labiod M moire d ing nieur ENSA EL HARRACH 97p Bliefert C et Perraud R 2003 Chimie de l environnement Air Eau Sols D chets Edition de boeck 324p Bonnard et Gardel 2000 tude d assainissement et de protection contre les crues de la vall e de l oued M Zab Avant Projet D taill des ouvrages de r tention amont volume 2 4 anne
6. Ec D eau Epur e 0 15 FF s 0 10 Ech I I 3 N f 1i N JA C l Ach WA rn v V AIR bg sn Md 10 Ih sh 7dh al 1 M E 0 15 0 20 0 25 Temps De Fonctionnement Heure Figure III 25 Courbes d volution temporelle de Cu et Ec du goutteur int gr de 2 L h Le coefficient d uniformit Cu pour l eau normale est presque constant durant l exp rimentation avec une moyenne arithm tique de 93 et un cart moyen est gal 1 976 sur une p riode de 60 h et on peut expliquer cela par la faible valeur moyenne de Ec variation du d bit par rapport au d bit initiale lt nominal qui gale 4 Goutteur de la classe A Par contre dans le cas d eau pur e et pour une p riode de 30h la moiti du cas pr c dant l cart moyen du coefficient d uniformit est de 3 6 bien que la moyenne arithm tique du CU soit gal 92 et la valeur moyenne de Ec durant l exp rimentation soit gale alors on peut dire qu il ya des indications de d but de colmatage 52 B Goutteur local Autor gulant de 4 L h Evolutions temporelles de Cu et de Ec des deux d eau 3 0 90 T T T T T T 1 0 85
7. I I 5 00 450 2 D bit Moyen d une 1 h 2 4 00 D bit Moyen de 6 h i 3 50 gt Tendance Polynomiale i 3 00 i I 2 50 h 5h 10h I5h 20h 25h 30h 35h I I I Temps De Fonctionnement heure i I er Figure IIL8 Courbes de la variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 30 heures goutteur 4 L h Eau pur e 42 WEE SES C Goutteur local autoregulant de 5 Variation du debit au cours de l experimentation Hn y 0 003x 0 221x 11 31 0 901 10 00 pu 9 00 Z D bit Moyen d une 1 h 8 00 7 00 D bit Moyen de h 6 00 Gr c Tendance Folynomiale 5 00 0h sh 10 h 15h 20h 25h 30h ash Temps De Fonctionnement heure Ramen mmm emma baam nc cA c Ac cc cA IK i i Figure IIL9 Courbes de la variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 30 heures coutteur 8 T h Fau nur e L objectif de la courbe de tendance est d ajuster nos courbes exp rimentales pour arriver d terminer le sens de variation et d volution du d bit augmen
8. apr s elle descend jusqu la pression minimale avec des intervalles de50K Pa C D terminations de la valeur de m et k selon les relations suivantes 1 X lgp 164 len JO eal GU EEGEN Ip qi k Jn n 2 2 1 2 Protocole exp rimental suivi sur le banc d essai de la r sistance des mat riaux 2 2 1 2 1 Identification du mat riel tester Nous avons test deux types du tube PE Poly thyl ne du m me fabricant fabrication alg rienne La r f rence normative est ISO 6964 l essai de d termination de la teneur en noir de carbone 2 2 1 2 2 Proc dures de l essai A L essai de d termination de la teneur en noir de carbone 36 Nous avons utilis dans cet essai le testeur de noir en carbone cet appareil est utilis afin de d terminer la teneur en noir de carbone des poly ol finiques la m thode d essai se base sur la pyrolyse de mati re plastique dans un flux de gaz inerte azote haute temp rature Nous avons suivi les tapes suivantes Pyrolyse 550 50 C dans un courant d azote pendant 45 min d une quantit sp cifi e de m lange suivi d une calcination 900 50 C Calcul la teneur en noir de carbone partir de la diff rence des massesavant et apr s calcination et pyrolyse 2 2 2 Protocole exp rimental suivi sur le site exp rimental de l E N S H 2 2 2 1 Eaux utilis es pour l exp rimentation L eau utilis e dans nos r seaux provient des conduites
9. ne se pose pas si la conductivit lectrique de l eau d irrigation est inf rieure 700 uS cm entre 700 et 3000 LS cm 1l faut choisir des cultures tol rantes aux sels L eau us e trait e de notre tude pr sente une conductivit lectrique de 2330 uS cm Cette valeur lui conf re une forte salure qui peut provoquer la longue des probl mes de salinisation au niveau du sol La perm abilit d un sol peut tre affect e par la pr sence de mati res en suspension et de graisse dans l eau d irrigation qui peuvent colmater en surface les pores du sol 51 l eau us e pur e contient une teneur en MES gt 10 mg l il faut pr voir un curetage p riodique de la surface de contact pour viter une diminution trop rapide de l infiltration Dans notre cas 1l n y a pas un risque sur la perm abilit du sol car l eau pur e pr sente une teneur moyenne sous le seuil en mati res en suspension 9 3mg l CONCLUSION Du fait de la raret des ressources en eau l utilisation des eaux us es en agriculture devient de plus en plus courante Le volume annuel des eaux us es domestiques rejet es est estim 900 millions Ce sont des quantit s importantes et facilement localisables que le pays ne peut n gliger Le recyclage de ces eaux pour de nouveaux usages apr s traitement peut s av rer une ressource en eau dite non conventionnelle en compl ment de la mobilisation des eaux de surface et souterraine Ce travail av
10. 12 Courbes de la variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 60 heures 20 de pr vision Goutteur 2 L h Eau pur e B Goutteurs locaux autor gulants de 4 et 8 L h du debit au cours de Y experimental Pour le goutteur de 4 L h on a trouve a q 0 75 L h Valeurs dispers es Yaration du debit au cours de Vexperumeni ation Pour le goutteur de 8 L h on a trouve Figure 13 Photos des courbes de variation du d bit Goutteurs 4 et 8 L h Eau normale 45 En plus pour la sensibilit des goutteurs au colmatage on n a remarqu aucune influence ou diminution du d bit durant cette p riode exp rimentale l tat du tamis et ses mailles t dans un bon tat figure IT 14 Figure III 14 L tat du filtre du r seau N 1 diff rentes vues 2 1 2 2 R seau exp rimental aliment par l eau pur e r seau N 2 Dans ce r seau contrairement l autre r seau on a trouv son filtre dans un mauvais tat et ses mailles presque compl tement obstru es figure HI 15 Figure III 15 L tat du filtre du r seau N 2 diff rentes vues Et partir des courbes de variation du d bit figure HI 16 nous avons remarqu une diminution du d bit partir d un certain temps de fonctionnement surtout au niveau de la deuxieme partie goutteurs autor gulant de 4 L h tel qu avec une pr vision de 12 heures ses goutteurs seront totalement co
11. 171p Gaid A 1984 puration biologique des eaux us es urbaines T l re dition OPU Alger 261p Gaid A 1993 Traitement des eaux us es urbaines Doc C 5 220 30p Glanic R et Benneton J P 1989 Caract risation d effluents d assainissement individuel et essais de mat riels d assainissement TSM L eau 84 ann e N11 pp 573 584 Gommella C et Guerree H 1983 Les eaux us es dans les agglom rations urbaines ou rurales Ed EYROLLES 61 boulevard Saint Germain 75005 Paris Idder T 1998 La d gradation de l environnement urbain li e aux exc dents hydriques au sahara alg rienne Impacte des rejets d origine agricole et urbaine et technique de rem diassions propos es L exemple d Ouargla Th se de doctorat Univ Angers 284p 31 INFP 2006 Domain de l eau Projet alg ro canadien En ligne Alg rie 91p page consult e le 12 juin 2013 Journal Officiel De LaRepubliqueAlgerienne 1993 Normes de rejets dans le milieu r cepteur N 46 7 12 Journal Officiel De LaRepubliqueAlgerienne 2012 ANNEXE sp cifications des eaux us es pur es utilis es des fins d irrigation N 41 18 21 Khadraoui A TALEB S 2008 Qualit des eaux dans le Sud alg rien Potabilit Pollution et impact sur le milieu Edition Khyam Constantine 367p Khattabi H 2002 Int r ts de l tude des param tres hydrog ologiques et hydro biologiques pour la compr hension du fonctionnement de la st
12. Comparativement au d bit nominal qui est gal 1 02 1 le d bit calcul tant gal 0 409 l h est inf rieur Ceci peut tre expliqu par e la qualit d eau utilis e e Faible pression l entr e de la parcelle e Des pertes d eau au niveau de plusieurs points Coefficient d uniformit 35 45 Nous remarquons que le coefficient d uniformit est gal 35 4595 dans ce cas le CU est inf rieur 70 CU lt 70 ce qui indique qu il y a une m diocre uniformit dans la distribution de l eau Le r seau a connu un colmatage tr s important des goutteurs d essentiellement la qualit d eau utilis e L ge du r seau 2 ans de fonctionnement Fuites dans les rampes des goutteurs e Pente l g rement importante D bit de la rampe Qr 2617 6l h D bit lin aire 4 267 l h m Dose ramen e pour une irrigation D 196 32 m ha taux de colmatage au niveau des gouteurs 59 9 le taux d obstruction colmatage est estim 59 9 9 le r seau souffre de colmatage en le comparant avec l irrigation par les eaux conventionnelles 8 7 9o et cela est d au d p t d l ments min raux ou organiques en suspension dans l eau ou suite des accumulations d algues Les enqu tes Durant le mois de mai 2013 nous avons effectu une enqu te dans 22 exploitations de statut juridique et de tailles diff rentes dans la commune de Nador tableau 19 Elle avait pour objectif de collecter des donn es s
13. EGU General Assembly 2013 O Author s 2013 CC Attribution 3 0 License study of the sensitivity of PTF specific to the contribution of the structural state on variation in soil water retention sami Touil 1 Aurore Degre 2 and Mohamed Nacer Chabaca 1 1 ENSA Algiers Algeria 2 University of Liege Agro BioTech Belgium The objective of this study was to analyze the sensitivity of estimating water retention properties of 54 soil samplescollected from Lower Cheliff northwestern of Algeria by pedotransfer functions our 70 results show that trainingmodels for input and method adopted reacts differently in estimation of water retention and also influenced bythe size and mode of particle assembly and differences in clay content The water retention curve which wasestablished for three classes proves to be an essential element for understanding the hydrodynamic behavior ofsoil Additional in soil texture clay and clay loam and silty clay nonlinear methods based on variables includingclay fraction behave much better in estimating of mean water retention curve In contrast in well structured soils the multiple linear regression showed a better quality of estimation based on the bulk density and sand fraction as inputs The results suggest that the PTF parametric derived should be used to estimate retention curves rather thanPTF point Keywords Pedotransfer Function Water Retention curve sensitivity PUBLICATIONS Article
14. El Harrach 72 p MESSAHEL M 1988 l irrigation goutte goutte r gime d irrigation alger 338 MESSAITFA M 2007 Les indicateurs de performances en irrigation gravitaire localis e et par aspersion l chelle de la parcelle et de l exploitation Cas de deus exploitations du p rim tre de la Mitidja Ouest M moire d ing nieur INA El Harrach 115 p METAHRI M S 2012 Elimination simultan e de la pollution azot e et phosphat e des eaux us es trait es par des proc d s mixtes cas de la STEP est de la ville de Tizi ouzou th sededoctorat universit de Tizi ouzou 148 p NEUBERT S Benabdallah S 2003 La r utilisation des eaux us es trait es en Tunisie Partie II Etudes et rapports d expertise Bonn 45 p OMS 1989 L utilisaton des eaux us es en agriculture et en aquaculture recommandations avis es sanitaires Organisation Mondiale de la Sant S rie de rapports techniques n 778 0MS Gen ve ROTBARDT A 201l r utilisation des eaux us es trait es perspectives op rationnelles et recommandations pour l action Rapport final 85 SALGHI R 2006 Differents fili res de traitement des eaux Cours Ecole nationaledes sciences appliqu es d AGADIR Universit IBEN ZOHIR ROAUME duMAROC 22 p 64 e SELHANI S 2009 Etude des possibilit s d utilisation des eaux et boues d puration dans l agriculture Cas de la station d puration de BENI MESSOUS M moire d ing nieure Ecole Nationale Pol
15. aire dose ramen e durant l irrigation Uniformit de distribution taux de colmatage au niveau des goutteurs Les eaux pur es utilis es dans notre tude sont celles rejet es par la STEP de Hadjout La station d puration de Hadjout est mise en marche en juin 2006 sa capacit nominale est de 70 000 quivalents habitants elle a t con ue pour traiter un d bit de 11200 m j par le processus de boues activ es faible charge a ration prolong e pour prot ger le milieu r cepteur les normes de rejets et les r sultats des analyses physico chimiques de l eau brute et pur e sont pr sent s respectivement dans le tableau 18 D apr s les r sultats obtenus au niveau de laboratoire de la STEP de Chenoua on remarque que le traitement effectu par la STEP de Hadjout est efficace et que les sp cifications alg riennes des eaux us es pur es utilis es a des fins d irrigation sont respect es Tableau 18 R sultats des analyses physico chimiques de l eau brute et pur e Entr e eau brute Sortie eau pur e Concentration mg l Flux kg Concentration mg l Flux kg DBOS 375 0 4200 336 0 20 Source STEP de Hadjout 2013 Les caract ristiques physico chimiques du sol de la parcelle densit capacit au champ point de fl trissement ont t d termin e en laboratoire physique des sols de l ENSA Cela a permit par la suite de calculer la RU la RFU et les stocks d eau avant et a
16. ces eaux sont biod gradables admissibles par le milieu naturel Ce proc d de traitement par lagunage naturel dans la station d puration de la ville de Gharda a est cologique dans la mesure o il n utilise aucun produit chimique pour traiter les eaux us es et les vacuer sans risques dans le milieu naturel r cepteur Dans le sud du pays et contrairement la zone du nord l implantation des STEP du type lagunage a r ou naturel qui demande une grande surface ne pose pas un probl me RESULTATS Le tableau 21 ci dessous repr sente les valeurs moyennes des param tres mesur s et les normes d interpr tation requises pour l irrigation de l OMS du MFE minist re frangais de l environnement et du JORA Journal Officiel de la r publique Alg rienne Tableau 21 Valeurs des param tres mesur s l entr e et la sortie de la STEP moyenne d irrigation mo mg ge px Ge mm DR mo DBO mg l 151 31 lt 30 NT mg l 40 9 33 47 lt 50 NO mg l 0 29 0 3 r lt 29 Les teneurs moyennes des param tres analys s r pondent aux normes requises c est le cas des param tres suivants T C pH NO NO NT et les param tres bact riologiques coliformes totaux et coliformes f caux l eau pur e peut tre class e comme une eau de qualit m diocre de la classe 3 d apr s le MFE qui est juste apte l irrigation Ainsi on peut classer cette eau dans la cat gorie CF lt 10 d ap
17. d origine agricole par rapport aux mati res organiques urbaines cependant les boues urbaines posent de gros probl mes quant leur utilisation en agriculture et leurs d bouch s Les boues r siduaires produits ultimes de l assainissement de l eau sont sources de mauvaises odeurs C est l pandage de boues liquides qui est le plus malodorant un enfouissement de quelques centim tres lors de l pandage permet de pallier ce d sagr ment Le compostage est un moyen de maitrise des odeurs et de changer les gadoues en de conventionnels terreaux Il est noter que comparativement l pandage des d jections animales les effluves malodorants dus aux boues sont minimes Les Etats de l Union Europ enne interdisent l utilisation de boues sur les herbages 30 jours avant le p turage Pour les cultures maraich res il est interdit d pandre pendant toute la p riode de culture Sur les sols destin s la culture maraich re ainsi que pour la production de fruits et l gumes consomm s l tat cru il est interdit d pandre 18 mois avant la mise en culture normes fran aises Modes d exposition sp cifiques l pandage ngestion de produits animaux et v g taux dans lesquels des polluants se sont bio accumul s e Inhalation c est une voie d exposition professionnelle dont les risques sanitaires sont plac s sous le contr le de la m decine du travail Contact cutan avec les boues Le taux de p n tration cutan e du prod
18. es dans le tableau 12 Tableau 12 Analyse granulom trique de la parcelle Profondeur cm 30 60 60 90 D apr s le triangle des textures ce sol est limono argileux La ressource en eau utilis e pour l irrigation dans notre parcelle provient d oued Nador qui est aliment par les eaux us es pur es de la STEP de Hadjout D bit de pointe 0 129 m s La culture en place dans l exploitation est une parcelle de haricot vert de 3 6 ha Figure 3 Espacement 0 4 m 0 75 m quip e d une installation d irrigation par goutte goutte Figure 3 La culture en place dans l exploitation 11 Les besoins en eau de la culture sont pr sent s dans le tableau 13 les valeurs de l ETM sont pr sent es dans la figure 4 Le mois de pointe est de celui de juin avec des besoins valu s 13086 m ha mois Les besoins totaux sur l ensemble de la campagne sont valu s dans le tableau 14 Tableau 13 Besoins en eau de l haricot vert mm mois mmi mmi m ser ure EC p Lp wpepep p ES e d d Rl a NU ad Lp o S E S po Tee p er Lp mE ES mp T d EE 140 00 120 00 100 00 80 00 60 00 40 00 Jn nn 0 00 sem mars VT juin mBesion 0 00 130 86 BEIM 3521 134 46 12 Figure 4 Repr sente l ETM et les besoins d irrigations Tableau 14 Tabl
19. g la moyenne de l ensemble des d bits mesur s Somme des n valeurs LL Somme des 4 valeurs des d bits les plus faibles Le coefficient d uniformit est Une bonne uniformit se caract rise par une valeur du Cu lev e proche de 100 49 2 2 1 R sultat des essais Les courbes suivantes pr sentent l volution temporelle de Cu de chaque type du goutteur en fonction de la qualit d eau A Goutteur AIT Italy int gr de 2 L h I A u Q G AA Q G WR G Q G u F I Evolutions temporelles de Cu de deux qualit s d eau 1 r I I 1 I i La I i 0 95 j I AA IV VAN Y i i I 097 D b t A i A i i Cu D eau Normale 0 85 E HNH T T 1 13 Cu D eau Epur e i kel I l i i I 0 8 I I I JF j J Jj j 0 75 F H T 1 1 I i I I i i 0 7 I i I 1 0h 10 h 20 h 30h 40 h 50 h 60 h 70 h Temps De Fonctionnement Heure I i Figure IIL 22 Courbes d voluti
20. par des proc d s mixtes cas de la STEP est de la ville de Tizi ouzou th se de doctorat universit de Tizi ouzou 148 p e MILLA A MARNICHE F et al 2012 Apercu de l avifaune du sahel alg rois Algerian journal of arid environment vol 2 n 1 p p 3 15 eNAOURI M 2009 Analyse diagnostic de la gestion de l eau d irrigation dans le p rim tre de la Mitidja Ouest tranche II Etude de quelques indicateurs de performance de l irrigation M moire d ing nieur ENSA El Harrach 90 p e NEUBERT S BENABDALLAH S 2003 La r utilisation des eaux us es trait es en Tunisie Partie II Etudes et rapports d expertise Bonn 45 p eOMS 1989 L utilisaton des eaux us es en agriculture et en aquaculture recommandations avis es sanitaires Organisation Mondiale de la Sant S rie de rapports techniques n 778 0MS Gen ve eOUAFAE M 2012 Enqu te sur la r utilisation des eaux us es en agriculture p riurbaine autour de la ville d Oujda Maroc Science Lib Editions Mersenne Vol 4 N 121101 20 p eROTBARDT A 201l r utilisaton des eaux us es trait es perspectives op rationnelles et recommandations pour l action Rapport final 85p eSEKKOUM M 2004 Contribution l tude de l irrigation au goutte goutte par les eaux us es trait es issues d une laiterie Cas du Sud lait d Igli W B char M moire de magister universit d Ouargla 93 p eSELTZER P 1948 Le climat de l Alg rie Universit d Alger 219 p e T
21. rigoles rares sont ceux pratiquants l aspersion et le goutte goutte La population est en pleine volution et se concentre beaucoup plus au niveau des sites fortement urbanis s de par sa situation g ographique la r gion sera par cons quent sensible l activit humaine qui peut g n rer ventuellement des pollutions r siduelles qui vont affecter l cosyst me et l environnement La station d puration de Kef Doukhane est situ e dans la commune d EL ATEUF qui constitue l aval de la vall e du M Zab d une superficie d environ 79 ha Dimensionnement de la STEP de Ghardaia Capacit 331 700 q hab surface totale 79 ha Nombre de lit de s chage 10 Nombre de bassins 16 devis s en 02 niveaux D bit moyen journalier capacit nominale 46 400 mi Cette station est congue pour produire une eau de qualit conforme aux normes de rejet fix es par l OMS le proc d adopt est le traitement par lagunage naturel qui consiste laisser l eau se reposer dans des bassins ouverts peu profonds de 1 5 m de profondeur pendant une dur e variant de 30 60 jours Il aboutit d une part l abattement de la charge polluante 28 et d autre part la stabilisation des boues produites sous l action des organismes se d veloppant dans le milieu La station d puration re oit son entr e une charge importante de la pollution organique issue des eaux us es d origine domestique et le rapport DCO DBO indique que
22. 20 2 137 144 Tchimogo M 2001 puration des eaux us es de l E N S H par lagunage naturel M moire d ing nieur G nie rurale Blida 132p 32 Terra Messaoud 2011 S minaire sur l eau et les nergies renouvelables Alger Thomazeau Robert 1981 Stations d puration eaux potables eaux us es Ed Technique et documentation paris 435 p THEME 6 ENSH ETUDE DES PERFORMANCES ET FIABILITES DES DIFFERENTS TYPES DE GOUTTEURS EN IRRIGATION LOCALISEE PAR LES EAUX USEES EPUREES INTRODUCTION En micro irrigation ml l eau est distribu e sous pression par un r seau ramifi totalement en mati re plastique Le r seau est compos de l amont l aval d une conduite principale alimentant une ou plusieurs conduites secondaires sur lesquelles sont branch es des rampes plac es parall lement l alignement de la culture Les rampes portent l l ment terminal du r seau appel distributeur metteur ou goutteur Plac le plus souvent au pied du v g tal cet organe d bite l eau gr ce un orifice de tr s faible section la pression atmosph rique Comme pour tout r seau de distribution d eau l uniformit de r partition est le facteur d terminant de la performance du r seau et de l efficience de l arrosage Cette uniformit est largement tributaire du dimensionnement du r seau D un bout l autre de chaque rampe du r seau les diff rences de pressions en absence de pente peuvent tre tr s i
23. L enqu te effectu e nous a permis de constater qu il existe r ellement des possibilit s d utilisation de l eau pur e par la STEP de Ghardaia sans risques dans le secteur agricole en am liorant par des traitements compl mentaires faut noter que cette utilisation doit tre rendue optimale et pour qu il en soit ainsi les conditions suivantes doivent tre remplies il faut adapter les syst mes d irrigation la qualit de l eau employ e il faut optimiser l apport d eau et ajuster la fertilisation aux besoins des cultures On a propos les eaux pur es pour irriguer les palmeraies de la vall e du M Zab parce que les palmiers dattiers repr sentent la culture principale dans cette zone d tude la palmeraie est caract ris e par une grande r sistance aux eaux de mauvaise qualit Ainsi on peut utiliser ces eaux pour irriguer les cultures d agrumes en intercalaire et oliviers comme des brises vents Bibliographie Anonyme 2001 Rapport sur la gestion de la qualit de l eau et des interventions possibles du En ligne Alg rie 11 page consult e le 02 12013 Anonyme non dat L eau en Alg rie http www umc edu dz vf index php actualites et informations theme de la semaine 980 leau en algerie html page consult e le 02Ma12013 ANRH 2005 Note relative aux ressources en eaux souterraines de la Wilaya de Ghardaia rapport de l Agence nationale des ressources hydrauliques Ouargla 19p
24. R Toutant C 1997 Histoires d eaux tout ce qu il faut savoir sur l eau et l hygi ne publique Edition berger Montr al ISBN 2 92141161 3 1 pp 157 159 Le Hyaric R 2009 Caract risation traitabilit et valorisation des refus de d grillage des stations d puration Th se de doctorat INSA Lyon France 190p Liu F Mitchell C C Odom J W Hill D T Rochester E W 1997 Swine lagoon effluent disposal by overland flow effects on forage production and uptake of nitrogen and phosphorus Agronomy Journal 89 900 904 Loucif S 2003 Les ressources en eau et leurs utilisations dans le secteur agricole en Alg rie HTE n 125 pp 95 102 Messaoud S Nacer 2003 Suivi de la qualit des eaux et des sols dans le cadre du d veloppement durable de la r gion de r ghaia Th se de magister INA EL HARRACH 108p MRE 2007 tude r utilisation des eaux us es pur es des fins agricoles ou autres sur tout le territoire national Mission 4 Norme de r utilisation des eaux us es pur es D A P E Nakhala Ramoune K 2013 Etude pr liminaire de la r utilisation des eaux pur es par la station de lagunage a r d Ouargla pour l arrosage d esp ces foresti res M moire de fin d tudes d Ing nieur en Ecologie et Environnement Universit Kasdi Merbah Ouargla 73p 69 Ndiaye Mamadou Lamine 2010 Impact des eaux us es sur la chimie et la microbiologie des sols tude de cas a Pikine Dakar S n gal
25. ans lncation 50 Figure 8 statut juridique des exploitations enqu t es Eau conventionnelle superricielle 2396 Eee wm o La sant ge 41 Eau LATE WE RERO souterraine z 70 superfici Ead F Za i mann 4 Figure 9 nature des eaux d irrigation dans les exploitations enqu t es 23 Nous remarquons que 41 des exploitants d pendent des eaux us es trait es rejet es dans l oued Nador par la STEP de Hadjout et 59 des exploitants utilisent les eaux conventionnelles dont 23 sont des eaux superficielles 32 souterraine et 4 sont les deux On peut dire que les exploitations les plus utilisatrices des eaux us es sont celles dont la superficie totale est inf rieure 5 ha alors que pour les plus grandes d passant 10 ha elles utilisent beaucoup moins les eaux us es pour l irrigation des cultures Cela est d probablement l adoption de cultures en bour cultures non irrigu es comme c r aliculture Bien qu interdite par les pouvoirs publics la r utilisation des eaux us es agriculture autour de la ville de Nador s est d velopp e 4196 des exploitants enqu t s et int resse une diversit de types de cultures dont les cultures maraich res Conclusion L volution r cente des pr l vements certainement accentu e par les derni res ann es de s cheresse s est traduite par des intrusions marines au niveau des forages de la ville de Tipaza et des
26. bit Pression du goutteur 4 L h at Remarque Pour arriver repr senter les quations obtenus par les essais de la courbe de performance nous avons utilis MAFA Traceur de Courbes qui est un logiciel qui permet de calculer dessiner et afficher la courbe d une fonction math matique et aussi le tableau de valeurs directement en ligne a partir ce site web http www mathe fa de fr amp En conclusion de ce travail il ressort que l analyse des caract ristiques techniques des goutteurs de fabrication locales faites au niveau de l INSID et au niveau de notre station exp rimentale est contradictoire En effet la valeur des constantes dimensionnelles K et l exposant m sont diff rentes ceci peut s expliquer par le fait que nous avons travaill sur les quatre meilleurs goutteurs c est dire ceux dont les d bits sortant se rapprochent du d bit nominal et non sur l ensemble des goutteurs 55 De plus le nombre de goutteurs sur une rampe est nettement inf rieur celui du laboratoire de r f rence Cependant en ce qui concerne les valeurs du coefficient de variation du d bit et celle de la variation du d bit nominal elles se rejoignent car notre tude port e sur l ensemble des goutteurs mis en service Ainsi la valeur de K et m aurait du tre mesur e sur l ensemble des goutteurs et non sur un nombre r duit Hormis cette remarque notre travail nous a permis quand m me d observer l volution des d
27. d bits mesur s sur les 4 meilleurs exemplaires de chaque type de goutteur en fonction de la variation de pression allant de 0 5 1 1 5 et 2 bars quatre r p titions voir les r sultats en annexe III A partir de ces r sultats nous avons obtenu les courbes de performance d bit Pression suivantes qui repr sentent la variation du d bit moyen des quatre exemplaires pour les quatre r p titions en fonction de la pression 54 A Goutteur AIT Italy int gr de 2 L h 1 I I I I I I I I I I D bit Pression 1 395x D bit Fression Tendance Fulssance D hit Pression D bit L h 0 50 1 00 1 50 2 00 1 50 Pression Bar e M Figure III 28 Courbe D bit Pression du goutteur 2 L h B Goutteur local autor gulant de 4 L h mum mm RE E i l amp 4 5 i 3 5 3 I 3 2 5 Be D bit Pression 2 1 5 I ke 3 i 0 5 NE x 0 50 1 00 1 50 2 00 2 50 Pression Bar l f Figure IIL 29 Courbe D
28. d ja trouve mais tous que nous int resse ici c est l volution de la variation du coefficient d uniformite durant le temps de fonctionnement est ce que les goutteurs vont conserver les m mes cartements entre les d bits au cours de l experimentation ou non si c est non alors le ph nomene de colmatage s installe 53 C Goutteur local Autor gulant de 8 L h Cu D eau Normale j Cu D eau Epur e D eau Normale 7 Ec D eau Epur e 0 05 L il di h I eck wl 02 ih h o a d DOT Ei 1 1 pari T Figure IIL 27 Courbes d volution temporelle de et Ec du goutteur autor gulant de 8 L h Pour l eau normale nous avons trouv que l uniformit est d une moyenne de 71 avec un cart de 3 et pour l autre cas o on a utilis les eaux pur es l cart moyen d uniformit est de 6 avec une moyenne d uniformit de 71 Nous remarquons que la courbe de Cu dans le cas des eaux pur es est croissante et tend vers 85 cette valeur parait importante et refl te une bonne une umiformit ceci est paradoxale mais peut s expliquer par la diminution du d bit moyen de l ensemble des goutteurs Cu F min w Si Qm 1 alors Cu 2 3 Courbe de performance D bit Pression Ces courbes permettent de d terminer la constante dimensionnelle K et l exposant m 2 3 1 R sultats des essais Les tableaux r capitulent les
29. de STAOULELI M moire d ing nieur ENP El Harrach 76 p e DJEBALI O 2008 Contribution la R habilitation de la Station d Epuration de Baraki M moire d ing nieur El Harrach Alger ENP 73 p e FAO 1990 Gestion des eaux en irrigation M thodes d irrigation 65p e FAO 2003 L irrigation avec les eaux us es trait es Manuel d utilisation Bureau R gional pour le Proche Orient et l Afrique du Nord Caire Egypte 67 p e FAO 2008 Manuel des techniques d irrigation sous pression Seconde dition 277 p eFEYEN J 1976 Annales de l Institut Nationale Agronomique irrigation goutte goutte pour vergers Vol 6 n 3 pp 6 19 eFRADJ M 2008 Analyse et diagnostic des performances de l irrigation goutte goutte au niveau d une exploitation agricole priv e de la Mitidja Ouest tranche 1 M moire d ing nieur INA El Harrach 79 p eGeorges M 2009 Le Monde arabe face au d fi de l eau Enjeux et Conflits Institut d Etudes Politiques de Lyon 164 p eHAMTOUCHE S 2012 valorisation des eaux us es pur es de la STEP de ZEMMOURI et dimensionnement d un r seau pour l irrigation a l aval de la station M moire d ing nieur ENSH Blida 100p eHARTANI T 1998 L irrigation par les eaux us es potentialit s et limites d utilisation S minaire sur l puration et la r utilisation des eaux us es Alger p 10 e Journal Officiel de la R publique Alg rienne D cret ex cutif n 93 160 du 10 juillet 1993 e
30. de la membrane de silicone qui devrait r gler le d bit demand et se d former et obturer plus ou moins l orifice de passage de l eau selon les valeurs de la pression Mal construit 57 En g n ral nous pensons qu il faudrait d velopper et fournir des r f rentiels techniques complets sur les mat riels quipements et syst mes avec des sp cifications pr cises afin que les fabricants nationaux puissent s aligner sur les normes internationales In situ il faudrait contr ler les installations la parcelle en mesurant leurs performances r elles et en donnant aux utilisateurs une meilleure connaissance et capacit op rationnelle d ajuster et d am liorer le pilotage et la gestion de leur installation Un syst me de filtration est absolument n cessaire 11 est l l ment le plus cher dans l investissement mais sa pr sence en t te du r seau permet une meilleure long vit du syst me donc un meilleur amortissement Finalement la micro irrigation pour principal but une conomie d eau et ce gr ce son efficience et son coefficient d uniformit d arrosage qui ne peuvent tre lev que si les goutteurs sont performants La r utilisation des eaux us es pur es est une piste int ressante et inevitable l avenir pour la pr servation des ressources hydriques elle sera une vraie solution pour faire face la raret de l eau et pour la pr servation de l environnement De plus en l agriculture ces pratiques
31. difficult s croissantes des exploitations des puits priv s et des forages collectifs d irrigation Devant ce constat et compte tenu du niveau des tudes existantes 1l est pr conis la satisfaction des besoins en eau des villes c ti res partir des eaux de surface le plafonnement des pr l vements des eaux souterraines 95 1 5 2 75 Hm Bien que l usage agricole soit pr dominant la r utilisation des eaux us es doit s inscrire dans un cadre plus large o les diff rents domaines de r utilisation seront pris en compte Plusieurs tudes ont t r alis es sur l irrigation de cultures par des eaux us es pur es Ce principe a t test sur diff rentes cultures comme les agrumes les cultures haute valeur ajout e sous serre les cultures foresti res les fourrages et diff rents types de cultures l gumi res De mani re globale toutes ces tudes confirment le bien fond de cette pratique qui permet des r sultats int ressants tant d un point de vue agronomique qu conomique tout en garantissant si l irrigation est pratiqu e de mani re ad quate une qualit sanitaire satisfaisante Avec l augmentation de la demande en eau li e l augmentation de la population et l am lioration du niveau de vie la r utilisation de l eau us e acquiert un r le croissant dans la planification et le d veloppement des approvisionnements suppl mentaires en eau La r utilisation des eaux us es est une technique en pleine ex
32. eau pur e de la STEP de Ghardaia les eaux pur es peuvent tre class es comme des eaux de qualit m diocre de la classe 3 d apr s le MFE qui sont justes aptes l irrigation Ainsi on peut classer ces eaux dans la cat gorie CF lt 10 d apr s les normes microbiologiques r vis es de l OMS 2000 et 2006 avec une irrigation restreinte pour les cultures suivantes c r ales cultures industrielles fourrag res p turages et forets En revanche une tude de la teneur des m taux lourds de ces eaux est souhaitable dans le laboratoire de chaque STEP afin d liminer les risques qui en r sultent CONCLUSION Au terme de cette tude nous constatons que les eaux us es repr sentent une ressource d eau renouvelable qu il faudra exploiter dans l agriculture l industrie et dans d autres usages municipaux donc constituer sans doute demain l une des solutions incontournables pour notre pays qui souffre norm ment du d ficit hydrique Cette r utilisation ne repr sente pas seulement une option conomique comp titive mais aussi de nombreux avantages sociaux et environnementaux Ainsi cette valorisation doit tre plac e dans le cadre de la gestion int gr e des ressources en eau en laborant une strat gie nationale de la valorisation des eaux us es Les r sultats obtenus lors de cette tude montrent que les eaux us es des stations d puration de Ouargla et Ghardaia dont le traitement se fait respectivement par lagu
33. finis les process de traitement des eaux us es actuellement utilis es en Alg rie le devenir des boues r siduaires qui r sultent de ces traitements ainsi que les effets possibles des eaux us es trait es sur les quipements d irrigation Dans la partie qui suit nous pr sentons succinctement et bri vement les probl matiques les m thodologies utilis es et les r sultats obtenus dans cette approche sur les diff rents aspects abord s IV DEVELOPPEMENT LES THEMES ABORDES niveau ing niorat THEME 1 ENSH BLIDA DIMENSIONNEMENT D UN RESEAU D IRRIGATION LOCALISEE SOUS VERGER D AGRUMES A PARTIR DES EAUX USEES EPUREES DE LA STEP DE HADJOUT TIPAZA Introduction La r utilisation et le recyclage des eaux us es sont essentiels au d veloppement d une politique de gestion durable de l eau et de l environnement car ils assurent une ressource alternative durable en eau la r duction de la pollution de l environnement et la protection de la sant publique Il importe par cons quent de savoir utiliser rationnellement toutes les ressources en eau disponibles quelques soient leurs origines Mat riel et m thodes Zone d tude Notre zone d tude est localis e dans la Wilaya de Tipaza elle est situ e dans le secteur de la vall e de Nador secteur IV du p rim tre Sahel Alg rois Ouest environ 65 km l Ouest d Alger figure 2 1 VE tee Maie aper be pam i sei Figure 2 Localisation de la
34. l tude de la valorisation des eaux us es en maraichage Th se de Doctorat en sciences Universit Hadj Lakhdar Batna p 16 THEME 3 ENSH BLIDA GESTION DES BOUES RESIDUAIRES VALORISATION AGRICOLE ET IMPACT SUR LES RESEAUX D IRRIGATION STEP DE TIPAZA INTRODUCTION 1 au d but du si cle les eaux us es taient peu charg es en polluants chimiques le d veloppement de l industrie et de la consommation des m nages dans les ann es 60 a contribu l enrichissement des eaux us es en polluants organiques et inorganiques Bien que les boues d puration soient aujourd hui consid r es comme des d chets par la nouvelle r glementation elles pr sentent un int r t agronomique r el du fait de la pr sence de mati re organique d azote et de phosphore et d un rapport carbone azote favorable Mais pour valoriser des boues 11 faut la fois respecter l environnement rechercher le co t le plus faible possible et la solution technique la plus satisfaisante Les boues repr sentent un apport de mati re fertilisante tr s bon march en comparaison avec les engrais chimiques En France les boues sont g n ralement c d es gratuitement Ce faible co t constitue un atout majeur de cette pratique Par leur composition les boues une fois pandues contribuent au rendement des cultures Elles contiennent des nutriments pour les cultures et servent d amendement organique et calcique pour am liorer les propri t s physiques et chimiqu
35. station d puration La wilaya d Ouargla se trouve dans le Nord est de la partie septentrionale du Sahara Elle se situe 800 km au sud est d Alger Pour une superficie de 163 323 km la wilaya est constitu e de 21 communes regroup es dans 10 da ras La population de la wilaya est estim e 615 543 habitants soit une densit de peuplement de 3 77 habitants au km L volution de la production d eaux us es est pr sent e dans le tableau 25 Tableau 25 les charges hydrauliques et polluantes aux diff rents horizons ONA 2013 Eaux us es 2005 2015 2030 Taux de branchement 0 0 100 raccord s 142 937 260 102 393 592 D bit total m j 40 906 56 997 74 027 capacit nominale 100 Dans la Wilaya de Ouargla le secteur agricole est limit 11 est vocation pho nicicole Sur les 16 323 300 hectares couverts par la superficie de la Wilaya 4 940 000 hectares sont affect s l agriculture et la superficie agricole utile SAU est valu e 38 400 hectares dont 35 300 hectares en irrigu e et 3 100 hectares en sec La station d puration des eaux us es par le lagunage a r d Ouargla mise en service en 2009 a t r alis e par la soci t allemande Dwydag pour le compte de Elle est situ e dans la r gion de Said Otba au nord de la RNA9 L Objectifs de traitement de la station fix s initialement tait de e Supprimer les nuisances et les risques actuels de contamination au niveau des zones urb
36. 10 63 Journal Officiel de la R publique Alg rienne D cret ex cutif n 93 160 du 10 juillet 1993 r glementant les rejetsd effluents liquides industriels Journal Officiel de la R publique Alg rienne JORA N 60 4 septembre 2005 Journal Officiel de la R publique Alg rienne JORA N 41 15 juillet 2012 KESSIRA M 2005 Gestion de l irrigation avec les eaux non conventionnelles CIHEAM EU DG Research Options M diterran ennes S rie A S minaires m diterran ens n 66 pp 203 216 KHELIFATI O 2008 La r utilisation des eaux us es pur es et des eaux de dessalement dans l agriculture Synth se agronomique ENSA El Harrach 20 p LOUMANI A 2012 Evaluation des dispositifs de r utilisation des eaux us es pur es en Agriculture dans la Mitidja Est et sa p riph rie M moire d ing nieur E N S A El Harrach 54 MECHEBBEK M A 1993 La r utilisation des eaux us es trait es dans l agriculture Etat de l agriculture en M diterran e Ressources en eau d veloppement et gestion dans les pays m diterran ens Bari pp 75 84 MEKHALIF F 2009 reutilisation des eaux r siduaires industrielles pur es comme eau d appoint dans un circuit de refroidissement M moire de magister Universit de SKIKDA 133 p MESLEM S 2010 Diagnostic et comparaison entre irrigation localis e et par aspersion sur culture de pomme de terre lt spunta station exp rimentale de l ENSA El Harrach M moire d ing nieur INA
37. 7 Le d bit moyen de l essai s carte du d bit nominal d clar par le fabricant 8 l h de plus de 7 Ne r pond pas la norme ISO9261 38 Conclusion des essais Les 2 goutteurs ne sont pas conformes la norme ISO9261 Une autre caract ristique tr s importante est aussi d termin e par le banc d essai c estla variation du d bit en fonction de la pression 1 1 2 Courbe d bit pression Pour tracer la courbe d bit pression en prend des pressions croissantes pour les goutteurs non autor gulants et des pressions croissantes et d croissantes pour les goutteurs autor gulants 1 2P max 1ue nd3403ne uou uoi559J0 Jq9p agnos Prnin age Courbe d bit pression autor gulant Figure III 1 Diff rents niveaux de pression pour d terminer la courbe d bit pression des goutteurs autor gulants et non autor gulants Source 1 1 1 2 1 R sultats d essai A Goutteur de fabrication alg rienne Autor gulant De 4 L h B Goutteur de fabrication alg rienne Autor gulant De 8 L h 1 1 2 2 Interpr tation des r sultats A Goutteur de fabrication alg rienne autor gulant de 4 L h Hamm ia m s a UC US s NS s Im s m s m NONO us s ss s ND GO s GO ND GO NO GO NC GO NC HONO HONO NON NON NON NONE s GG GG GG GG G s G s s Ga G G n ann nn Courbe D bit Pression 3
38. D 2009 tude de performances puratoires d un lagunage a macrophytes 54p Mouhouche B 2006 tude en vue d une utilisation durable et efficace des ressources hydriquesen Alg rie Article sous presse 9 p MRE 2007 tude r utilisation des eaux us es pur es des fins agricoles ou autres sur tout le territoire national Mission 4 Norme de r utilisation des eaux us es pur es D A P E Ndiaye Mamadou Lamine 2010 Impact des eaux us es sur la chimie et la microbiologie des sols tude de cas a Pikine Dakar S n gal ditions universitaires europ ennes Allemagne 77p Rejsek F 2002 Analyse des eaux aspects r glementaires et techniques Bordeaux CRDPA 151p Rodier J C Broutin J P Chambon P Champsaur H E T Rodi L 2005 L analyse de l eau eaux naturelles eaux r siduaires eaux de mer 8 Edition Dunod Paris 1383p Rouissat B non dat La gestion des ressources en eau en Alg rie Situation d fis et apport de l approche syst mique Alg rie 15p Salghi R 2004 Diff rents fili res de traitement des eaux Universit IBN ZOHR cole nationale des sciences appliqu es d Agadir ENSA Agadir Maroc 22p Selhani S 2009 Etude des possibilit s d utilisation des eaux et boues d puration dans l agriculture Cas de la station d puration de BENI MESSOUS M moire d ing nieur E N P El Harrach 74p Suschka J Ferreira E 1986 Activated sludge respirometric measurements WaterResearch
39. D H L H H D H R 1 166 18 580 D E E LL i 10 00 E Ne sen D bit Moyen d une 1 h 9 50 RM An Z i 5 9 00 V ATUM D bit Moven de 6 h Ke V 8 50 Tendance de pulssance 200 D TE E E D E Lu 0 h 10 h 20h 30 h 40 h so h 60 h 70 h Temps De Fonctionnement heure Figure IIL6 Courbes de la variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 60 heures goutteur 8 L h Eau normale 41 9 Le travail est fait en utilisant les eaux pur es 2 1 1 2 R seau exp rimental aliment par l eau pur e r seau N 2 A Goutteur AIT Italy de 2 L h Variation du debit au cours de l experimentation dide y 0 000x 0 017x 1 541 R 0 536 1 50 1 40 7 D bit Moyen d une 1 h 1 30 Er D bit Moyen de 6 h 1 20 Tendance Polynomiale 1 10 1 00 h 3h oh 9h 12h i5h 18h 21h 24h 27h 30h 33h Temps De Fonctionnement heure WEITEN IIIA CES Pr I SRE Figure IIL7 Courbes de la variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 30 heures goutteur 2 L h Eau pur e B Goutteur local autor gulant de 4 L h EE S a 1 Variation du debit au cours de l experimentation I 6 50 I 6 00 y 0 002x 0 039x 4 623 mi I 5 50
40. Dans le cadre de la gestion des eaux us es pur es un arsenal juridique pour prot ger utilisateurs et gestionnaires a t mis en place Pour une meilleure protection de l environnement aquatique l eau trait e doit satisfaire certaines normes de rejet qui sont donn es dans le tableau 1 par rapport aux respects des normes d utilisation des eaux pur es et aux risques de contamination par ces eaux pur es De m me les conditions d utilisation ces eaux ont t clairement tablies tableau 2 Tableau 1 Normes de rejets pour l irrigation Normes Alg riennes E _ aae 5 s 3 gt 3 Azote total mg l Huile et graisse mg l 20 Coliformes f caux nombre de CF 100mL 1000 CF 100MI source ANRH ALGER 0 5 ES 0 GS ___ Tableau 2 Normes de r utilisation des eaux us es pur es MRE 2007 JORA 2012 Normes Param tres Unit EN FAO 1985 OMS 1989 JORA 2012 TT UT UT 3 lt 0 7 Aucune restriction ds m 0 7 3 0 restriction l g re mod r e gt 3 0 Forte restriction _ om o Er om s mg l lt 2 Ea Non disponible lt 3 Aucune restriction Non disponible meq l 3 9 restriction l g re mod r e gt 9 Forte restriction Coliformes totaux 100ml Non Streptocoque 100ml 1000 Non Basel f caux Les probl mes qu entraine l utilisation d une eau de m di
41. EP 7 9 zum 8 rjr 76 35 A 74 4 xs NES F vrier Mars Avril Mai Juillet Oct Nov D c Mois Variation du pH l entr e et la sortie de la STEP de l ann e 2010 Figure II 5 Variation du pH l entr e et la sortie de la STEP de l ann e 2010 Resultats et Discussion 1 R sultats du laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation et discussions 1 1 Banc d essai goutte goutte Le banc d essai a pour r le de d terminer les principales caract ristiques des diff rents types des goutteurs 1 1 1 Uniformit du d bit D termination du coefficient de variation lt CV gt selon la norme ISO9261 1 1 1 1 R sultats d essai A Goutteur de fabrication alg rienne Autor gulant De 4 L h Le tableau r capitule les d bits mis par les 25 goutteurs pour une pression moyenne d essai de 215 kps et le CV de goutteur deux essais 1 1 1 2 Interpr tation des r sultats A Goutteur de fabrication alg rienne Autor gulant De 4 L h Le coefficient de variation du goutteur CV 13 37 est sup rieur 7 Seuil admissible aux normes internationales Le d bit moyen de l essai s carte du d bit nominal d clar par le fabricant 4 l h de plus de 7 Ne r pond pas la norme ISO9261 B Goutteur de fabrication alg rienne Autor gulant De 8 L h le coefficient de variation du goutteur CV 28 14 est sup rieur
42. Eco techniques d assainissement des eaux us es domestiques volution et perspectives XIIIe Congr s mondial de l Eau Montpellier France 17p Degremont 1978 M mento technique de l eau 8 dition Edition Technique et Documentation Lavoisier 1200p Degremont 1989 M mento technique de l eau Edition Technique et Documentation Lavoisier Degremont 2005 M mento technique de l eau Tome 2 Ed10 788p Dajoz R 1982 Pr cis d cologie Paris Bordas 503 p DSA 2013 Le sommaire agricole dans la wilaya d Ouargla 2p 68 Duguet J P Bernazeau F Cleret D Gaid A Laplanche A Moles J Montiel A Rou G Simon P 2006 R glementation et traitement des eaux destin es la consommation humaine l re dition ASTEE Association Scientifique et Technique pour l environnement Frank R 2002 Analyse des eaux Aspects r glementaires et techniques Ed Sc r n CRDP AQUITAINE Bordeaux 171p Gaid A 1984 puration biologique des eaux us es urbaines T l re dition Alger 261p Gaid A 1993 Traitement des eaux us es urbaines Doc C 5 220 30p Glanic R Benneton J P 1989 Caract risation d effluents d assainissement individuel et essais de mat riels d assainissement TSM L eau 84 ann e N11 pp 573 584 Gommella C et Guerree H 1983 Les eaux us es dans les agglom rations urbaines ou rurales Ed EYROLLES 61 boulevard Saint Germain 75005 Paris Goudjil M Benc
43. IERCELIN J R et Vidal A 2006 Trait d irrigation Tec Et Doc ditions Paris 1266p 26 e XANTHOULIS D et al 2002 Optimisation de la r utilisation des eaux us es trait es en irrigation 73 p ZELLA L SMADHI D 2007 Evolution de l irrigation Larhyss Laboratoire de Recherche En Hydraulique THEME 5 ENSA Ex INA ALGER GESTION DES EAUX USEES EPUREES EN ZONE ARIDE CAS DE LA STEP D EL ATTEUF GHARDAIA INTRODUCTION ET PROBLEMATIQUE La ville de Ghardaia dispose d une station d puration fonctionnelle c est la premi re du genre dans la wilaya actuellement elle est destin e a traiter les eaux us es domestiques produites par la population de la vall e du M Zab par un type de traitement de lagunage naturel Cette station est situ e l aval de la digue d EL Atteuf donc de l ensemble des agglom rations de la vall e Cette station d puration des eaux us es a t con ue pour atteindre les objectifs suivants e Supprimer les nuisances en zones urbanis es e Prot ger le milieu r cepteur et la nappe phr atique e Rendre possible la r utilisation des eaux us es pur es des fins d irrigation L irrigation agricole a besoin de beaucoup d eau surtout dans les r gions sahariennes Actuellement l irrigation se fait depuis des forages c est dire consommation importante des eaux souterraines dont l utilisation pourrait tre r serv e d autres besoins sp cialement ceux li s aux activit s humain
44. JEAN ROBERT ALAIN VIDAL Trait d irrigation 2 d Paris Lavoisier Paris 2006 1266 p 9 YVES PENADILLE GAETAN DEFFONTAINES CHANTAL ROSA ALAIN FARGET Rapport CEMAGREF R sultats des tests Performance des goutteurs faibles d bits et des gaines d arrosage N 91 d France IRRIGAZETTE Novembre D cembre 2005 30 p R f rences Sitographiques 10 www cemadoc cemagref fr Consult le 03 07 2013 11 www FAO org Consult le 05 06 2013 12 www ianor dz Consult le 12 05 2013 13 www irrigazette com Consult le 12 07 2013 14 www irstea fr Consult le 08 05 2013 15 www iso org iso fr Consult le 04 06 2013 16 www mbplast it Consult le 01 05 2013 LES THEMES ABORDES niveau master THEME 6 ENSA Ex INA ALGER QUALITES DES EAUX USEES EPUREES ET IMPACTS SUR LES EQUIPEMENTS EN IRRIGATION GOUTE A GOUTTE AINSI QUE SUR LES SOLS INTRODUCTION Ce travail a pour objectif d tudier l impact de la r utilisation des eaux us es trait es dans la STEP de Hadjout sur le r seau d irrigation localis e et l valuation des param tres physico chimique caract risant les eaux us es rejet es dans l oued Nador au point de pompage au niveau de la parcelle tudi e Pour une meilleure utilisation de cette ressource sp cifique des actions pour les d finitions des opportunit s de r utilisation ainsi que la r glementation de l usage de cette ressource non convention
45. Journal Officiel de la R publique Alg rienne JORA N 41 15 juillet 2012 eKESSIRA M 2005 Gestion de l rrigation avec les eaux non conventionnelles S minaires m diterran ens n 66 pp 203 216 e OUCIF S N 2003 les ressources en eau et leurs utilisations dans le secteur agricole en Alg rie HTE n 125 pp 94 101 25 e I 2010 Contribution l am lioration des pratiques d irrigation gravitaire traditionnelle par cuvettes Cas d une parcelle de poirier dans une exploitation agricole de la Mitidja ouest Tranche I M moire d ing nieur ENSA EI Harrach 86 p eMEKHALIF F 2009 R utilisation des eaux r siduaires industrielles pur es comme eau d appoint dans un circuit de refroidissement M moire de magister Universit de SKIKDA 133 p e MESLEM S 2010 Diagnostic et comparaison entre irrigation localis e et par aspersion sur culture de pomme de terre spunta station exp rimentale de l ENSA EI Harrach M moire d ing nieur INA El Harrach 72 p e MESSAHEL M 1988 l irrigation goutte goutte r gime d irrigation Alger 338 p eMESSAITFA M 2007 Les indicateurs de performances en irrigation gravitaire localis e et par aspersion l chelle de la parcelle et de l exploitation Cas de deux exploitations du p rim tre de la Mitidja Ouest M moire d ing nieur INA El Harrach 115 p eMETAHRI S 2012 Elimination simultan e de la pollution azot e et phosphat e des eaux us es trait es
46. L D 2012 Cours r utilisation des eaux us es 5eme ann e ENSH Blida 2 BULLETIN DE FAO N 36 1983 l irigation localis e calcul mise en place exploitation contr le du fonctionnement FAO Rome 3 MESSAHEL MEKKI 1988 Irrigation goutte goutte R gime d irrigation Edition O P U Alger 4 Mme AZIEZ O 2011 Cours irrigation 4eme ann e ENSH Blida SIJEAN ROBERT TIERCELIN 1978 Trait d irrigation technique et documentation France 6 KHALFI Ahmed 2011 dimensionnement d un r seau de distribution Destine l irrigation du p rim tre de la commune de TIPAZA a partir des eaux us es pur es des STEP de HADJOUT et de TIPAZA M moire fin d tude THEME 2 ENSH BLIDA DIAGNOSTIC DES INDICATEURS DE PERFORMANCES HYDRAULIQUES EN IRRIGATION LOCALISEE A PARTIR DES EAUX USEES EPUREES DE LA STEP DE HAJOUT W TIPAZA Introduction Pour permettre de couvrir les diff rents aspects de la r utilisation il convient de pr ciser la faisabilit de la r utilisation Certaines questions d ordre agronomique et sanitaire demandent tre maitris es afin de pr venir les risques de pollution et de contamination qui peuvent limiter cette utilisation grande chelle et long terme L utilisation de ces eaux us es pur es grande chelle et long terme sur des terres agricoles n cessite qu on pr cise les conditions pour la rendre optimale Il s agit entre autres d largir la gamme des cultures utili
47. Les valeurs de vitesse d infiltration obtenues sont faibles moyenne soit 1 8 12 3 Ressources en eau us es pur es La station d puration des eaux us es urbaines de Hadjout Willaya de Tipaza de type boue activ e faible charge est situ e au nord est de l agglom ration de Hadjout 2 kilom tre de la ville de Hadjout dans la zone industrielle Elle est destin e purer les eaux r siduaires avant rejet dans l oued Bourkika cette station prend en charge les rejets des villes de Hadjout Meurad et Arahaba La construction et la mise en place des quipements de cette derni re permettent d purer les eaux us es r sultants d une population de 70 000 quivalents habitants Les charges hydrauliques sont repr sent es dans les tableaux 7 et 8 Tableau 7 Donn es de la charge Hydraulique A l horizon 2010 A l horizon 2020 D bit journalier 11 200 mj 16 800 m j D bit horaire moyen 467 m h 700 m h D bit de pointe 803 m h 1 176 m h Source STEP de Hadjout Tableau 8 Rendement d limination param tres chimiques DBO 5 kg j Rendement 96 Source STEP de HADJOUT 2012 Le traitement effectu par la STEP de Hadjout est efficace rendement de l ordre de 90 et les normes de rejets sont respect es Pour l tablissement du calendrier cultural adaptable aux diverses conditions du p rim tre d tude nous avons tenu compte Dela vocation agro alimenta
48. ach Alger ENP 76 p FAO 1990 Gestion des eaux en irrigation M thodes d irrigation 65p FAO 2003 L irrigation avec les eaux us es trait es Manuel d utilisation Bureau R gional pour le Proche Orient et l Afrique du Nord Caire Egypte 67 p FAO 2008 Manuel des techniques d irrigation sous pression Seconde dition 277 p FAO UNW DPC UNU INWEH 2011 Projet de Renforcement des Capacit s sur l utilisation sans danger des Eaux Us es en Agriculture Rapport National du Maroc 21 p FEYEN J 1976 Annales de l Institut Nationale Agronomique irrigation goutte goutte pour vergers Vol 6 n 3 pp 6 19 FRADJ M 2008 Analyse et diagnostic des performances de l irrigation goutte goutte au niveau d une exploitation agricole priv e de la Mitidja Ouest tranche 1 M moire d ing nieur INA El Harrach 79 p GEORGES M 2000 De l eau pour tous Documentation photographique n 8014 18p HADJRABAH M 2006 Contribution l tude de traitabilit de la station d puration de R gha M moire d ing nieure Ecole Nationale Polytechnique el Harrach 64p HAMTOUCHE S 2012 valorisation des eaux us es pur es de la step de zemmourn et dimensionnement d un r seau pour l irrigation a l aval de la station M moire d ing nieur Blida ENSH 100p HARTANI T 1998 l irrigation par les eaux us es potentialit s et limites d utilisation S minaire sur l puration et la r utilisation des eaux us es Alger p
49. agriculture ont t prouv s par de nombreux chercheurs En effet leur application am liore les propri t s physique chimique et biologique du sol Korboulewsky et al 2001 White et al 1997 in Bozkurt et Yarilgac 2003 se traduit par une augmentation de la biomasse et du rendement des plantes pommiers Bozkurt et Yarilga 2003 bl hivernal Chang et al 1982a sorgho et du millet Sabey et Hart 1975 mais N Dayegamiye et al 2004 Masoni et al 2002 ont aussi d montr l aspect positif des boues Issues de l industrie vinicole dans l am lioration du rendement du bl d hiver Ait Hamou et Hermouche 1997 ont travaill sur une boue urbaine dig r e et ont pu mettre en vidence son action fertilisante et ont montr que l effet des boues se manifestait et se caract risait par des r sultats avoisinants au fumier de ferme sur le rendement et la qualit des tubercules de pomme de terre Debba 2005 qui a utilis des boues r siduaires lagun es et des boues de produits laitiers a montr que les rendements des parcelles ayant subi les traitements de boues peuvent atteindre le double des parcelles t moins Les deux contraintes majeures qui doivent tre g r es lorsqu on opte pour une valorisation agricole des boues sont les ETM et les pathog nes Des risques sanitaires li s la pr sence de germes pathog nes sont galement prendre en consid ration m me si ceux ci demeurent faibles surtout pour les pro
50. ait plusieurs objectifs Le premier tait l tude de l impact des eaux us es trait es de la STEP Hadjout rejet es dans l oued Nador sur l efficience du r seau d irrigation localis les r sultats d montrent que les eaux us es influencent n gativement sur le comportement du r seau CU 35 Le second objectif de l tude tait l valuation des diff rents param tres de qualit physico chimique des eaux de l oued Nador au niveau de la parcelle tudi e et la comparaison avec les normes de rejets alg riennes Les r sultats de comparaison des teneurs des principaux l ments mesur s dans ces eaux indique qu il n y a pas une diff rence dans les concentration entre ces eaux et les normes les normes de rejets sont respect es donc 1l n y a pas un risque sur le milieu r cepteur sauf la valeur de la CE lev e 2330 uS cm qui peut provoquer la longue des probl mes de salinisation au niveau du sol Le troisi me objectif tant de mettre en vidence la situation des ressources d eau dans la r gion de la ville de Nador par une enqu te cette enqu te par le contact direct avec les agriculteurs nous a rapproch es au plus pr s de la r alit Les donn es recueillies sur le terrain nous informent de l activit des agriculteurs du mode dans un futur projet de valorisation des eaux us es dans cette ville Bibligraphie AMIMOUSSI M et al 2011 Traitement des eaux r siduaires 22p BAGHDADI N 2011 m thodo
51. anis es e Prot ger le milieu r cepteur e Supprimer les risques de remont e des eaux en diminuant le niveau de la nappe phr atique e Se garder la possibilit de r utiliser les effluents pur s Dimensionnement de la STEP d Ouargla e Capacit 400000 q hab l horizon de 2030 surface totale 80 ha Nombre de lits de s chage 11 Nombre de bassins 08 devis s en 03 niveaux D bit moyen journalier 57 000 m j jusqu 2015 et 74027m j l horizon 2030 RESULTATS Le tableau 26 repr sente les valeurs moyennes des param tres mesur s dans les STEP de Ouargla et Ghardaia et les normes d interpr tation requises pour l rrigation de l OMS du MFE minist re francais de l environnement et du JORA Journal Officiel de la r publique Alg rienne Tableau 26 Teneur des param tres mesur s pour les STEP de Ouargla et Gharda a Param tres Effluent trait Effluent trait NL de qualit d eau Ouargla Gharda a d irrigation 66 ms we me qw m e e p mem qme pg s iE NO mg l 0 36 I OMS JORA MFE Les teneurs moyennes des quelques param tres analys s au niveau des deux STEP r pondent aux normes requises c est le cas des param tres suivants C pH NO et les param tres bact riologiques coliformes totaux et coliformes f caux avec enregistrement d un taux de salinit plus lev pour l eau pur e de la STEP de Ouargla par rapport l
52. ant que doit g rer l quipe de recherche suppos e s atteler uniquement ses pr occupations de recherche L aspect logistique achat et approvisionnement pouvant tre d l gu des structures qui m me si elles existent dans certaines universit s sont d pass es ou inefficaces Les sommes allou es pour ces projets sont uniformes et ne tiennent pas compte des sp cificit s des domaines explor s Dans le domaine de l hydraulique elles sont d risoires au vu des quipements n cessaires pour mener des recherches sur terrain Les pr occupations impos es pour la r daction des rapports de recherche sont beaucoup plus orient es vers un syst me de contr le des activit s que pour une capitalisation des r sultats trouv s 72
53. ation de la teneur de noir de carbone par calcination et pyrolyse 2 2 1 1 Protocol exp rimental suivi sur le banc d essai goutte goutte 2 2 1 1 1 Identification du mat riel tester Nous avons test deux types du goutteur autor gulant du m me fabricant fabrication alg rienne ayant des d bits nominaux de 4 et 8 L h r f rence normative est SO 9261 2004 MATERIEL AGRICOLE D IRRIGATION Distributeurs et tuyaux distributeurs 2 2 1 1 2 Condition de l essai La temp rature de l eau durant l essai 23 3 C Pr cision de la mesure 1 Pression P 0 5 D bit Q L eau filtr e 75 100 m a pression ne doit pas varier de plus de 2 9o Echantillon contenant au moins 25 goutteurs pris au hasard La pression maximale du goutteur 4 bars La pression minimale du goutteur 1 bas R p tition deux fois 2 2 1 1 3 Proc dures de l essai A D termination du coefficient de variation CV selon la norme ISO9261 Pour calculer le CV du goutteur on collecte un volume d eau bien d fini durant un temps bien d fini partir des 25 goutteurs la pression moyenne du goutteur ensuite on calcule le CV selon la formule suivante B D termination de la courbe caract ristique selon la norme 1509261 Pour la d termination de la courbe caract ristique d bit pression on soumet les 25 goutteurs leurs pression minimale ensuit on l augmente avec un intervalle de 50 KPa jusqu arriver une pression 1 2P
54. ation de traitement des lixiviats de la d charge d ordures m nag res d Etueffont Belfort France Th se de doctorat 173p Langevin J Lefebvre R Toutant C 1997 Histoires d eaux tout ce qu il faut savoir sur l eau et l hygi ne publique Edition berger Montr al ISBN 2 92141161 3 1 pp 157 159 LeHyaric R 2009 Caract risation traitabilit et valorisation des refus de d grillage des stations d puration Th se de doctorat INSA Lyon France 190p Liu F Mitchell C C Odom J W Hill D T Rochester E W 1997 Swine lagoon effluent disposal by overland flow effects on forage production and uptake of nitrogen and phosphorus Agronomy Journal 89 900 904 Loucif N 2003 Les ressources en eau et leurs utilisations dans le secteur agricole en Alg rie Conf rence internationale sur les politiques d irrigation INRA Messaoud S Nacer 2003 Suivi de la qualit des eaux et des sols dans le cadre du d veloppement durable de la r gion de r ghaia Th se de magister INA EL HARRACH 108p Metahri M S 2012 Elimination simultan e de la pollution azot e et phosphat e des eaux us es trait es par des proc d s mixtes Cas de la STEP de la ville de Tizi Ouzou Th se de doctorat Universit Mouloud Mammri Tizi Ouzou 148p Miourigh M 2011 valuation de la qualit hydro chimique des eaux souterraines de la vall e du M Zab Cas de l Oued N Tissa M moire d ing nieur E N S A El Harrach 75 Monello
55. bits en fonction du temps et de la pression pour les deux qualit s d eau utilis es et de pouvoir pr voir le colmatage des goutteurs Le protocole exp rimental demande tre affin afin de pouvoir g n raliser nos conclusions CONCLUSION Afin d tudier les performances et fiabilit s des goutteurs en fonction de la qualit de l eau et contr ler les caract ristiques techniques des quipements d irrigation les canalisations de PE nous avons t amen s diviser le travail en 2 parties une partie portant sur le contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation et leur fonctionnement et une deuxi me partie consacr e au suivi in situ du ph nom ne de colmatage et la sensibilit des diff rents types de goutteurs L installation des dispositifs exp rimentaux sur les deux sites nous a permis un suivi des param tres tudier savoir les coefficients de variation et d uniformit et leur volution la courbe de performance et les caract ristiques des distributeurs m k la teneur en noir de carbone des conduites et leur pr diction de la r sistance aux UV Les rayons Ultraviolets et le colmatage des goutteurs Dans une premi re tape nous avons contr l les quipements d irrigation au sein du laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation de PLN S D selon les normes et nous avons trouve que v Les goutteurs autor gulant alg rie
56. d alimentation e eau potable pour ce qui est de l eau normale et de la station d puration de Tipaza pour l eau pur e 2 2 2 1 1 Eau us e pur e A Localisation de la STEP La STEP est situ e la sortie de la ville de Tipaza sur la route allant vers Chanoua Elle est destin e purer les eaux r siduaires avant rejet dans l oued Nador Cette station prend en charge les rejets de TIPAZA NADOR SIDI MOUSSA et SIDI AMAR Elle est fonctionnelle depuis janvier 2008 La capacit nominale de la station d puration de Tipasa est de 70 000 quivalents habitants elle a t con ue pour traiter un d bit de 10 500 ms J par le processus de boues activ es faible charge Elle traite principalement les eaux us es urbaines domestiques B Caract ristiques physico chimique des eaux us es pur es Les param tres physico chimiques sont principalement pH La conductivit lectrique Les mati res en suspension MES l entr e de la STEP CE la sortie de la STEP F vrier Mars Avril Mai Juillet Mois m uh und LU CS E CH r 2 Kai E e Variation de la conductivit lectrique l entr e et la sortie de la STEP de l ann e 2010 Figure II 4 Variation de la conductivit lectrique l entr e et la sortie de la STEP de l ann e 2010 37 Courbes pH pH l entr e de la STEP pH la sortie de la ST
57. de la coop ration Alg ro Espagnole entre le MADR et l Agence Espagnole de Coop ration Internationale pour le d veloppement Il est quip actuellement de quatre bancs d essais basiques et sera compl t au fur et Figure II 1 Le Laboratoire du L INSID Les bancs d essais sont Banc d essai goutte goutte Banc d essai d aspersion Banc d essai de r sistance des mat riaux Banc d essai de durabilit des asperseurs Pour le banc d essai de la r sistance des mat riaux nous avons quatre essais Essai de d termination de la teneur en noir de carbone par calcination et pyrolyse Essai de d termination de la dispersion du noir de carbone Essai de d termination du temps d induction l oxydation Essai de d termination de la r sistance la pression interne 34 2 1 2 Description du site exp rimental au niveau de l Ecole Nationale Sup rieure d Hydraulique Nous avons r alis une installation prototype repr sentant deux r seaux de micro irrigation plac s derri re le laboratoire de l Ecole Nationale Sup rieure de l Hydraulique Les diff rents mat riels utilis s sont d crits en d tail dans l annexe WI il bii x x x 4 sn a UI qn E 4 d STI e e F 4 Figure 2 Le site exp rimental d E N S H L objectif de ces dispositifs exp rimentaux install s est le suivi in situ de la sensibilit des diff
58. ditions universitaires europ ennes Allemagne 77p ONA 2009 Projet de la remont des eaux de la vall e de Ouargla Rejsek F 2002 Analyse des eaux aspects r glementaires et techniques Bordeaux CRDPA 151p Rodier J C Broutin J P Chambon P Champsaur H E T Rodi L 2005 L analyse de l eau eaux naturelles eaux r siduaires eaux de mer 8 Edition Dunod Paris 1383p Rouissat B non dat La gestion des ressources en eau en Alg rie Situation d fis et apport de l approche syst mique Alg rie 15p SalghiR 2004 Diff rents fili res de traitement des eaux Universit IBN ZOHR cole nationale des sciences appliqu es d Agadir ENSA Agadir Maroc 22p Selhani S 2009 tude des possibilit s d utilisation des eaux et boues d puration dans l agriculture Cas de la station d puration de BENI MESSOUS M moire d ing nieur E N P El Harrach 74 Suschka J Ferreira E 1986 Activated sludge respirometric measurements Water Research 20 2 pp 137 144 Tchimogo M 2001 puration des eaux us es de l E N S H par lagunage naturel M moire d ing nieur G nie rurale Blida 132p Terra Messaoud 2011 S minaire sur l eau et les nergies renouvelables Alger Thomazeau Robert 1981 Stations d puration eaux potables eaux us es Ed Technique et documentation Paris 435 p PUBLICATIONS ET COMMUNICATIONS COMMUNICATIONS Geophysical Research Abstracts Vol 15 EGU2013 13592 1 2013
59. duits qui ont t pr alablement compost s ou d shydrat s En outre le pouvoir purateur du sol a ses limites Malgr le danger imm diat qui peut tre caus par les pathog nes 115 demeurent plus maitrisables que les probl mes li s aux ETM Soudi 2005 Bibliographie 1 BECHAC J BOUTIN P MERCIER B BUER P 1984 Traitement des eaux us es P1 9 2 ECOSSE D 2001 Techniques alternatives en vue de subvenir la p nurie d eau dans le monde D E S S lt Qualit et Gestion de l Eau gt x Fac Sciences Amiens P15 17 21 26 3 KOLIAI D 2012 20130 Cours de la r utilisation des eaux us es pur es 5 Ann e 4 LAZAROVA V 1998 CIRSEE Lyonnaise des Eaux et lt La r utilisation des eaux us es gt L eau l industrie les nuisances P3 17 5 Mohand said OUALI Cours de proc d s unitaire biologique et traitement des eaux 200 Edition OPU 6 Furet G Synthese bibliographique sur lieffet hygiEnisant du chaulage des boues d Epuration Journ es techniques des 5 et 6 juin 1997 Aspects sanitaires et environnementaux de l pandage des boues d puration urbaines 7 International Association on Water Qality UK Water Research Center 18 8 Mr BENTERROUCHE Ilhem m moire pour l obtention du dipl me magist re en Ecologie et Environnement Universit Mentouri Constantine intitul R ponses co physiologiques d essences foresti res urbaines soumises une fertilisation avec
60. e le taux de colmatage Y L importance de mettre disposition des agriculteurs du personnel qualifi et sp cialis dans les diff rents domaines de l agronomie pour qu ils puissent am liorer leurs rendements Bibliographie 1 ADEME 1994 Agence de l environnement et de la maitrise de l nergie cole nationale v t rinaire de Nantes minist re de l Agriculture et de la P che ENSP cole nationale de la sant publique Les germes pathog nes dans les boues r siduaires des stations d puration 14 urbaines Guide et cahiers techniques Connaitre pour agir p 89 2 BECHAC J BOUTIN P MERCIER B PN 1984 traitement des eaux us es Eyrolles paris p 101 3 BAHBOUH S 2011 Cours d irrigation 5 ann e cours agro p dologie 3 ann e ENSH 4 M R E 2007 Etude de r utilisation des eaux us es pur es des fins agricoles ou autres sur tout le territoire national Mission 4 Norme de r utilisation des eaux us es pur es BRISSAUD Universit de Montpellier 5 ONA Office nationale d assainissement unit de Hadjout 6 ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE 1989 Rapport d un groupe scientifique de l OMS Gen ve s rie 778 7 KOLIAL D 2012 Cours da la r utilisation des eaux us es 3 ann e ENSH 8 CHABACA M N MERABET B 2007 Analyse technique de la pratique de l irrigation sur quelques exploitations de la Mitidja ouest p 6 7 9 TAMRABET L 2011 Contribution a
61. e part et d autre part permettrait d att nuer la pression sur les ressources conventionnelles plus adapt es l alimentation en eau potable des populations La r utilisation des eaux us es des fins agricoles est une pratique r pandue partout dans le Monde particuli rement dans les pays en voie de d veloppement et qui se r pand de plus en plus du fait de la raret croissante des ressources en eau surtout dans les r gions arides et semi arides MATERIEL ET METHODE Nous avons exp riment une tude sur une parcelle irrigu e par le syst me goutte goutte dans une exploitation agricole pr s de la ville de Nador willaya de Tipaza afin de valoriser la r utilisation des eaux us es sous ce syst me Nous avons r alis galement une enqu te aupr s des agriculteurs de cette r gion pour avoir leur avis sur cette pratique Le sol de la parcelle est de type limoneux fins argileux figure 6 19 1 La parcele chose La rruryteypsmrru pe Lu Le ftre mag Conduite principale Lee paortezranmipes Les rampes Figure 6 Dispositif exp rimental Dans notre parcelle de 420 m on a 8 rampes espac es de 0 75 m avec une longueur de 80 m dont les goutteurs sont espac s de 0 10 m Le nombre total de goutteurs est de 6400 d bitant chacun en moyenne 0 409 Uh Les mesures r alis es sur site concernent Temps de remplissage du r seau d bits des goutteurs d bit de la rampe d bit lin
62. eau r capitulatif des besoins totaux en eau Cultures Superficie B nets B Efficience B pruts B bruts ha mm m ha Totaux Vin m ha Totaux m3 m3 D Haricot 130 86 1308 6 4710 96 0 75 1744 8 vert Le r seau d irrigation est aliment par l oued il distribue l eau vers la parcelle irriguer par une motopompe 2600 tr min compos e de deux turbines Les quipements absence d un bassin de stockage de la station de t te d un r gulateur de pression d un r gulateur de d bit d un manome tre La canalisation principale est en poly thyl ne de diam tre 80 mm et de longueur 250 elle alimente le porte rampe dont le diam tre est de 70 mm et la longueur de 120 m La r partition de l eau dans les rangs de la culture d haricot se fait par des gaines en plastique souple avec goutteurs incorpor s de diam tre 16 mm cartement entre goutteurs 11 cm et de longueur de 80 m figure 5 Figure 5 Sch ma repr sentatif du r seau d irrigation localis e de la parcelle 13 RESULTATS Temps de remplissage du r seau 52 min et 3 s D bit moyen mesur d un goutteur 1 12 l h d bit fabriquant 1 6 I h Coefficient d uniformit 59 07 faible D bit de la rampe 121 263 6 l h D bit lin aire 7 38 l h constructeur 1 9 7 5 Pression en bout de rampe sur 5 rampes entre 1 45 et 0 44 bars Taux de colmatage au niveau des goutteurs 47 2 taux pour les eaux conventionnelles 20 Tab
63. ental R seau t moin l eau Normale ou conventionnelle R seau exp rimental l eau pur e pour cela nous avons v rifi le d bit en sortie des goutteurs aliment s par les deux qualit s d eau Nous rappelons que l objectif de ces dispositifs exp rimentaux install s est le suivi in situ de la sensibilit des diff rents goutteurs au colmatage alors nous avons cherch v rifier que les goutteurs restaient exempts de colmatage au travers de la v rification du d bit en sortie de chaque type du goutteur de chaque r seau Les suivis du d bit en fonction de pression et du temps sont mentionn s en d tail dans l annexe 2 1 Variation du d bit des goutteurs L objectif est de suivre l volution du d bit de l ensemble des goutteurs fabrication locale et trang re au cours de l exp rimentation 2 1 1 R sultat des essais Les courbes ci dessous montrent les variations des d bits moyens des trois types des goutteurs de chaque r seau 2 1 1 1 R seau t moin aliment par l eau normale r seau N 1 A Goutteur AIT Italy Int gr de 2 L h Variation du debit au cours de l experimentation y 2E 5x 0 002x 1 424 f 7 R 0 743 LI amp I i i D bit Moyen d une 1h I D bit de 6 h 5 v I Tendance Polynominale i I Dh 10 h 20h 30 h 40 h 50 h 60 h 70h i l Temps De Fonctionne
64. es L importance de la station d puration est li e non seulement la protection de l environnement mais galement permet de destiner les eaux us es pur es comme une nouvelle ressource d eau qui puisse couvrir les besoins agricoles et minimiser le gaspillage des eaux souterraines dans les zones arides C est dans ce cadre que nous nous sommes int ress s un cas pr cis et particulier qui est le suivi de la qualit physico chimique et bact riologique des eaux us es avant et apr s leur traitement par lagunage naturel de la station d puration de Ghardaia Pour cela plusieurs questions se posent Y Est ce que ce proc d d puration est efficace dans cette r gion notamment au niveau des charges polluantes ou 1 n cessite un traitement compl mentaire Y e proc d de lagunage naturel est t il convenable avec les conditions climatiques de la r gion de Ghardaia Y La qualit d eaux pur es au niveau de la station est elle conforme aux normes de rejet et apte pour une utilisation agricole S1 oui Quelle est la classification de ces eaux pur es dans le domaine de l irrigation Quelles sont les cultures irrigu es avec ces eaux et quel est le syst me d irrigation le plus convenable avec ces eaux MATERIEL ET METHODES La vall e du M Zab se situe 600 km au sud d Alger dans la wilaya de Ghardaia sur le plateau Hamada au Sahara septentrional Les cinq villes qui composent la pentapole du M Zab El Atteu
65. es Recherche bibliographique et synth se de protocole d tude Preparation du terrain et implantation des cultures Restitution des r sultats exp rimentaux Analyse et interpr tation des r sultats de recherche Redaction de la synth se finale du travail de recherche diffusion et publication des r sultats et participation aux s minaires nationaux et internationaux Elaboration d un guide au profit des utilisateurs des eaux pur es pour les cultures agricoles RAPPORT FINAL PROJET PNR ENSH BLIDA 2012 2013 THEMATIQUE GENERALE DU PROJET II ETUDE ET VALORISATION DES EAUX USEES EPUREES EN IRRIGATION CAS DES PERIMETRES AGRICOLES DE LA MITIDJA III PREAMBULE En Alg rie les contraintes du climat la croissance d mographique les transformations conomiques et sociales sont l origine d une demande en eau sans cesse croissante Parall lement le recours l irrigation est devenu une n cessit tant donn l importance du d ficit hydrique climatique et l intensification de l agriculture Or face ces demandes les ressources en eau sont rares et insuffisantes Ainsi pour satisfaire l ensemble des besoins en eau du pays et afin de r server les eaux de bonne qualit l alimentation en eau potable une des solutions serait d utiliser des eaux de qualit marginale en agriculture Les ressources en eau en Alg rie sont limit es vuln rables et in galement r parties Pour une population de 38 millions d
66. es du sol surtout si elles sont chaul es ou compost es Des micro organismes pr sents dans le sol d gradent en partie les mati res organiques apport es par les boues et les transforment en l ments min raux disponibles pour la plante Une autre partie des mati res organiques est incorpor e au sol et contribue l entretien d une structure favorable au d veloppement des racines Les quantit s pandues doivent rest es compatibles avec les besoins des cultures en l ments min raux Dans ce cadre on appliquera une gestion raisonn e de la fertilisation en se r f rant en particulier la m thode du bilan La qualit des boues urbaines en l ments traces m talliques s est largement am lior e pendant les 20 derni res ann es et est g n ralement en dessous 15 des seuils r glementaires Les niveaux de contamination sont g n ralement en dessous des seuils r glementaires PROBLEMATIQUE Le recyclage des boues d puration Il existe trois voies de recyclage des boues d puration La valorisation agricole l oxydation thermique la mise en d charge Dans notre cas on s int resse la valorisation agricole La valorisation agricole est confront e la concurrence des sous produits de l agriculture les d jections animales et les sous produits des industries agroalimentaires provenant des fili res de transformation animale et v g tale Aucune donn e scientifique ou cologique ne permet de privil gier la biomasse
67. f 27 Bounoura Melika Beni Isguen et Ghardaia se situent sur les minences rocheuses au dessus de la Chebka filet oued du M Zab qui irriguent les palmeraies o les villes modernes se d veloppent 181 263 habitants r sident dans la vall e du M Zab dont 114 003 Ghardaia en 2012 La densit de population est de 372 habitants km pour la ville de Gharda a L volution de la production d eaux us es est pr sent e dans le tableau 20 Tableau 20 l volution de la production des eaux us es dans la vall e du M Zab Bonnard et Gardel 2000 Eaux us es 1996 2000 2010 2020 2030 EH raccord s 108 163 120 870 172 530 240 920 331 700 D bits moyens 15 143 116922 24154 33 729 46 438 La r gion de Ghardaia est caract ris e par un climat typiquement saharien avec l abondance de deux saisons l une chaude et s che d avril septembre et l autre temp r e d octobre a mars Les ressources en eaux sont surtout et largement domin es par les eaux souterraines qui sont contenues dans deux grands aquif res ceux du continental intercalaire CI et du complexe terminal CT L agriculture repr sente la principale activit dans la vall e dont l occupation du sol est r partie en trois tages e lapho niciculture agriculture des palmeraies e les arbres fruitiers e cultures mara ch res et fourrag res en intercalaires Le syst me d irrigation se fait par submersion traditionnelle partir des seguias
68. ficie de 3 ha La technique d irrigation utilis e est celle du goutte goutte RESULTATS Evaluation de la qualit de l eau au niveau de la parcelle pour l irrigation Le tableau 23 nous montre les analyses physico chimiques de l eau pur e par la STEP de Hadjout Tableau 23 Les analyses physico chimiques de la STEP de Hadjout us cm 2081 5 2029 Conductivit lectrique MEE Eau pur e source STEP de Hadjout 2013 Les r sultats des mesures des param tres physico chimiques temp rature PH conductivit DCO etc effectu es sur un chantillon d eau us e pur e pr lev au point de pompage d eau au niveau de la parcelle sont pr sent s dans le tableau 24 Tableau 24 Les analyses physico chimiques de l eau de la parcelle R sultats Conductivit lectrique 2330 60 Nous avons remarqu que la temp rature pr sente une variation entre la sortie de la STEP 25 14 C et la parcelle d tude 18 8 C cette variation peut influer sur les r actions physiques chimiques et biologiques du milieu Les mati res en suspension repr sentent l ensemble des particules min rales et organiques contenues dans les eaux us es les eaux us es trait es au niveau de notre parcelle sont caract ris es par une concentration de 9 3 mg l la teneur enregistr e en mati res en suspension est sup rieure la concentration des eaux pur es la sortie de la STEP 6 3125 mg l mais e
69. g l Les concentrations des nitrates la sortie de la STEP cette valeur est admissible pour l irrigation selon les normes de rejets alg riennes 30 mg l e es eaux us es tudi es sont caract ris es par des teneurs en phosphates acceptables comme une eau d irrigation car elle est gale 1 49 mg l tandis que les normes de rejet du phosphate selon la FAO se situent entre 1 et 5 mg l On remarque aussi qu il n y a pas une diff rence entre la valeur du phosphate de l eau tudi e et la sortie de la STEP L impact sur le sol 61 Ces impacts sont d une importance particuli re pour les agriculteurs puisqu ils peuvent r duire la productivit la fertilit et le rendement de leurs terres Le sol doit rester un bon niveau de fertilit chimique et physique afin de permettre une utilisation durable long terme et une agriculture rentable Les probl mes pr vus au niveau du sol sont asalinisation J alcalinit et la r duction de la perm abilit du sol l accumulation d l ments potentiellement toxiques FAO 2003 long terme l utilisation d eaux us es accroit toujours la salinit des sols et des eaux souterraines car ces eaux contiennent plus de sels que l eau douce De ce fait il est n cessaire d associer l utilisation des eaux us es des pratiques permettant de limiter la salinisation La salinit est un param tre essentiel pour juger de la qualit de l eau d irrigation Le probl me de salinit
70. habitants les ressources renouvelables 2 en eau sont de 550 m an par habitant Cette moyenne est tr s faible compar e la moyenne des pays du Moyen Orient et de l Afrique du Nord qui est de 1250 ou la moyenne mondiale qui est de 7500 m Le seuil de la raret de l eau est de 1000 m an habitant de ce fait l Alg rie est un pays o l eau est rare Dans ces conditions d ficitaires en ressources en eau le secteur de l agriculture est le plus gros demandeur en eau Dans ce contexte l utilisation des eaux us es pur es est devenue une n cessit et 1l faut qu elle fasse partie int grante de la strat gie de mobilisation de toutes les ressources disponibles En Alg rie la consommation en eau s accroit de mani re soutenue depuis cette derni re d cennie Cela entraine aussi un d veloppement de la pollution des eaux qui son tour si elle n est pas maitris e peut polluer l environnement et alt rer les eaux souterraines Les eaux pollu es rejet es avoisinent les 900 millions de m tre cube soit environ 20 des eaux superficielles emmagasin es dans les barrages L Alg rie souffre d un manque d eau chronique et toutes les solutions sont envisag es pour en limiter les cons quences C est ainsi qu une politique de mobilisation et d utilisation des eaux conventionnelles souterraines et de surface ainsi que des eaux non conventionnelles dessalement de l eau de mer eaux saum tres eaux us es a t mise en place r cemment
71. heikeh S 2011 Etude de la pollution min rale et organique des eaux souterraines de la cuvette de Ouargla Sud Est Alg rien M moire d ing nieur Universit de KASDI MERBAH Ouargla 59p Harrouz N et Benhedid H 2011 Contribution l tude de la performance d unestation d puration des eaux us es par lagunage Ouargla M moire de fin d tudes d Ing nieur en cologie et Environnement Universit Kasdi Merbah Ouargla 124p Idder T 1998 La d gradation de l environnement urbain li e aux exc dents hydriques au Sahara alg rienne Impacte des rejets d origine agricole et urbaine et technique de rem diassions propos es L exemple d Ouargla Th se de doctorat Univ Angers 284p INFP 2006 Domain de l eau Projet alg ro canadien En ligne Alg rie 91p page consult e le 12 juin 2013 Journal Officiel De LaRepubliqueAlgerienne 1993 Normes de rejets dans le milieu r cepteur N 46 7 12 Journal Officiel De LaRepubliqueAlgerienne 2012 ANNEXE sp cifications des eaux us es pur es utilis es des fins d irrigation N 41 18 21 Khadraoui A 2006 Eaux et sols en Alg rie gestion et impact sur l environnement 236p Khattabi H 2002 Int r ts de l tude des param tres hydrog ologiques et hydro biologiques pour la compr hension du fonctionnement de la station de traitement des lixiviats de la d charge d ordures m nag res d Etueffont Belfort France Th se de doctorat 173p Langevin J Lefebvre
72. ipale et le plus haut plac sur le plan topographique Chaque ilot sera desservi par une prise d irrigation depuis le r seau de distribution La prise sera toujours situ e sur la limite de l ilot sur le c t amont dans le cas de petites surfaces et au centre dans le cas de grandes parcelles Les classes de taille de l ilot ainsi que les d bits d quipements sont indiqu s dans le tableau 11 Tableau 11 D bits normalis s des prises Taille de l lot S ha D bit d quipement de la prise l s S lt 15 15 lt S lt 20 20 lt S lt 25 25 lt S lt 30 Donn es g n rales Cultures Orange espacement 5 m 5 m Caract ristique de la ressource en eau Eau us e pur e de la station d puration de Hadjout Caract ristique des goutteurs D bit nominal 4 Uh Pression nominale 10 Espacement des goutteurs Im Caract ristiques des conditions climatiques Besoins en eau journaliers pour le mois de pointe 7 21mm Conditions de travail Une irrigation journali re temps maximum journalier de travail 16h 24h surface totale irriguer 7 56 ha D bit maximum journalier 10 13 l s Besoins d irrigation bruts Bp 6 02 mm Fr quence d arrosage 11 jours Dur e d arrosage 3 h jour Nombre de postes 6 Choix des goutteurs dans notre zone d tude la densit des cultures 2 goutteurs de d bit 4l s arbre Nombre des goutteurs 1008 Nombre de rampes 24 Bibliographie 1 KOLA
73. ire de la r gion 7 Du choix des services agricoles de la wilaya qui tendent vers la diversification et l intensification des cultures pratiqu es dans la r gion D un aper u sommaire sur les qualifications de la main d oeuvre actuelle dans la conduite des cultures envisag es Des disponibilit s des moyens de production De la demande commerciale traduisant les profils des agriculteurs Y YV Les cultures retenues doivent pr senter une combinaison harmonieuse entre elles afin de bien conditionner la r ussite technique et financi re de notre syst me de culture La r partition culturale les besoins totaux en eau pour ces cultures sont repr sent s dans les tableaux 9 et 10 Tableau 9 Surface occup e par les diff rentes cultures Type des Cultures Surface occup e ha pomme de terre 30 12 Vignes 85 12 P cher 39 6 Tableau 10 R capitulatif des besoins totaux en eau pour toute la surface de la culture Surface Cultures besoins nets m Efficience Besoins bruts m3 occup e 0 75 19 8 Agrumes 90 12 526742 39 702323 187 Besoins en eaux totaux m3 d 1682667 86 2243557 15 Le mode d arrosage qui nous int resse dans notre tude est l irrigation localis e micro irrigation ou goutte goutte R sultats Dimensionnement d un lot type Pour le choix de l ilot on choisit celui qui pr sente le plus de contraintes savoir le plus loign par rapport la source princ
74. leau 15 Comparaison entre les param tres mesur s et les normes Param tres Mesur s Normes D bit lin aire l h m 7 38 1 8 selon Constructeur Pression manom trique 1 68 0 30 0 55 Constructeur bar Uniformit de distribution 59 07 70 Cemagref Vo O Taux d obstruction L efficience d application 30 L efficience d application est un indicateur de performance 30 est loin de la norme 80 90 ce qui montre une mauvaise application de l irrigation et l irrationalit dans la gestion de cette eau d irrigation Les besoins d irrigation de l haricot vert tels qu estim s par Cropwat 8 sont de 2686 1 et sur le terrain nous avons calcul ces besoins sur la base de la mesure effectu e 2280 8 m ha ceci s explique par la non maitrise de la dose n cessaire et de la pratique d irrigation par l agriculteur peu performante malgr que l eau est fournie gratuitement par la STEP Conclusion L valuation des performances de l irrigation par goutte goutte a permis d analyser l impact de l utilisation des eaux us es pur es sur le syst me d irrigation et d apr s les r sultats obtenus pr c demment on peut en conclure que la performance de l irrigation est faible A cet effet nous recommandons ce qui suit Y Acquisition de station de t te compl te installer au niveau des parcelles Y La n cessit d installation de filtres efficaces pour r duir
75. les boues d puration 2007 P30 57 71 96 9 Mathieu Buffet M moire de fin d tudes pr sent pour l obtention du Mast re Sp cialis Gestion Traitement et Valorisation des D chets 2010 France P6 12 24 10 KAROUNE Samira M moire en vue de l obtention du dipl me de magist re intitul Effets des boues r siduaires sur le d veloppement des semis du ch ne li ge Quercus suber L 2008 Constantine P4 31 81 90 THEME 4 ENSA Ex INA Alger VALORISATION DES EAUX USEES EPUREES A DES FINS AGRICOLES SOUS SYSTEME D IRRIGATION GOUTTE A GOUTTE REGION DE TIPAZA INTRODUCTION L Alg rie se situe parmi les pays les plus pauvres en mati re de potentialit s hydriques soit en dessous du seuil th orique de raret fix par la banque mondiale 1000 m par habitant et par an Si en 1962 la disponibilit en eau th orique par habitant et par an tait de 1500 m elle n tait plus que de 720 m en 1990 680 m en 1998 et estim e environ 500 m actuellement Elle ne sera que de 430 m en 2020 et serait encore plus r duite ramen e aux ressources en eau mobilisables Pour r pondre cette situation d puisement des ressources naturelles et la protection de l environnement le recours l puration des eaux us es urbaines souvent charg es en l ments nutritifs tels que l azote et le phosphore repr senterait une source d eau et d engrais additionnelle renouvelable et fiable pour l agriculture d un
76. liminaire ce qui vaut une production de 273 750 tonnes de MS an EDIL Inf EAU 1996 Les boues urbaines repr sentent moins de 2 des d chets pandus pour enrichir le sol des fins agronomiques en remplacement de la fertilisation chimique et 16 organique des sols alors que les d jections animales en repr sentent 94 Toutefois le recours d autres fertilisants induits aussi des polluants dans les sols sans que cela ne suscite outre mesure de pol miques Remarque la plus part des chiffres et r glementations sont frangais ou europ ens Et en Alg rie g n ralement on applique les r glementations fran aises En ce qui concerne l pandage en Alg rie d est presque nul L utilisation des boues d puration dans le domaine agricole est une n cessit 11 n existe pas en effet aujourd hui et probablement pour la d cennie prochaine d alternative cr dible 51 on prend en compte d une part les nuisances pour l homme et son environnement et d autre part le co t pour la soci t de la destruction des quelques milliers de tonnes de mati re s che produites en Alg rie d autant que la production de boues d puration pourrait augmenter Et pour l agriculteur elles constituent une mati re fertilisante particuli rement bon march Nous avons choisit comme site pour aborder le probl me des boues r siduaires en Alg rie la STEP de Tipaza La zone d tude est localis e dans la Wilaya de Tipaza elle est situ e dans le secteu
77. lle est tr s inf rieure 30 mg l consid r comme concentration limite des eaux destin es l irrigation selon les norme de rejets alg riennes La DBOS traduit la quantit d oxyg ne mol culaire utilis e par les micro organismes pendant une p riode d incubation de 5 jours 20 C pour d composer la mati re organique dissoute ou en suspension contenue dans un litre d eau Les eaux tudi es ont montr des valeurs relativement lev es 6 2 mg I par rapport aux rejets de la STEP 2 266 mg elles peuvent tre attribu es une contamination de ces eaux par une autre source de pollution Mais elles sont accept es comme des eaux destin es l irrigation selon les normes de rejets alg riennes DBOS lt 30 mg 1 La DCO permet d appr cier la concentration en mati res organiques ou min rales dissoutes ou en suspension dans l eau au travers de la quantit d oxyg ne n cessaire leur oxydation chimique totale Selon les normes de rejets alg riennes les eaux pur es destin es l irrigation doivent pr senter des DCO inf rieures 90 mg l et comme les eaux au niveau de notre parcelle ont une valeur de DCO de 70 mg l Ces eaux sont donc dans les normes Malgr la diff rence remarquable avec les eaux la sortie de la STEP 39 14 mg l Les autres param tres du tableau e concentration des nitrates N NO3 des eaux tudi es est de 2 59 mg l elle est inf rieure 6 86 m
78. lmat es figure HL 1 7 46 Variation du debit au cours de l experimentation Variation du debit au cours de l experimentation 11 0 10 00 KI 1 Kn Ta 6 00 iF i i h 3h Eh Oh lh 16h Eh 21h Hh 17h 3ih Jh h 5h i5h 20h 35h 38h Mh Goulteur Ini gr 2L h d Goutieur Autor gulant 8 Lh Variation du debit au cours de rin d 6 80 TTTTTTT I fe TTITTTTTTTITIT L T DH VE LT L T L L L L IL L LL KK 1 L L L sse T LLTLTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT 5 4 4 50 ao ALICE LI 3 50 HHHH A Abu ee E lt lt E E H U L l 1 2 0 H ih Ah Li h 1 h Z0 h 35 h A bh 35 h Gouttear Autor gulant 4 L T S F Figure IIL16 Photos des courbes de variation du d bit pour les trois types des goutteurs Eau pur e Temps De Fonctionnement heure M Variation du debit au cours de l experimentation Pr vision 12 heure i 6 50 i 6 00 gx dL ER 5 00 y 0 002x2 0 039x 4 623 s KA 0 820 4 50 Lk Ee lb Fe 400 1 LL L I L L LLL 1 D bit Moyen de 6 h E EE E E 3 79 RES Tendance F
79. logique de la valorisation des eaux us es pur es dans l irrigation cas de STEP de Tipaza M moire d ing nieur Blida ENSH 104 p BAKEL E 2010 conception de la station d puration de la ville de tissemsilt W TISSEMSILT M moire d ing nieur Blida ENSH 117 p 62 BAUMONT S Lefranc A 2004 R utilisation des eaux us es pur es risques sanitaires faisabilit en le de France Observatoire R gional de Sant d le de France 176 p BOULAHBAL O AIT HAMOU 2001 Effets des eaux us es trait es sur les propri t s chimiques du sol et sur le comportement d un v g tal INRAA n 9 pp 5 16 Centre r gional pour l eau potable et l assainissement faible co t CREPA 2007 Contr le et suivi de la qualit des eaux us es protocole de d termination des param tres physico chimiques et bact riologiques 48 p COMPAORE M L 2003 Cours de micro irrigation 135p DERWICH E et al 2010 Caract risation physico chimique des eaux de la nappe alluviale du haut Sebou en aval de sa confluence avec oued FES Larhyss Journal n 08 pp 101 112 DESHAYES M 2008 Guide pour l tablissement des Plans d Assurance de la Qualit dans le cadre de la r alisation des stations d puration de type boues activ es en lots s par s M moire de Projet de Fin d Etudes INSA de Strasbourg 79 DJABELKHIR K 2007 Contribution la R habilitation de la Station d Epuration de STAOUELL M moire d ing nieur El Harr
80. male 1 Ps E SSS Bes LE Temps De Fonctionnement Ec KASS BEE AE NE AAEE aaa Sp HELME Evolution tua ad de Ec de deux qualit s d eau c D eau Epur e Ec D eau Normale I I Ec L vn tira aunis PS Temps De Fonctionnement Heure Figure IIL20 Courbes d volution temporelle de Ec du goutteur autor gulant de 8 L h 48 w r Remarque nous avons observ l apparition de signes de colmatage sur certain goutteurs de m me nous avons trouv aussi des goutteurs presque compl tement colmat s comme les goutteurs autor gulants de 4 L h num ros G3 4 Goutteur 4 de la troisi me ligne et G3 6 Goutteur 6 de la troisi me ligne Figure 3 21 Variation du debit au cours de l experimentation joutteur G3 6 Groutteur 53 4 D bit L h oh sh 10 h 15 h 20 h 25h 30 h 35 h Temps De Fonctionnement Heure Figure IIL 21 Variation du d bit des goutteurs autor gulants 4 L h G3 4 et 63 6 Eau pur e 2 2 Uniformit de la distribution de d bit dans les goutteurs L valuation de l uniformit temporelle de la distribution de l eau repose en partie sur l analyse du coefficient d uniformit Cu Ce coefficient correspond au rapport du d bit moyen des quatre d bits les plus faibles au d bit moyen de l ensemble des mesures
81. me 1509261 qui d finit deux classes A et B correspondant aux exigences suivantes v Classe A La variation de d bit moyen de l chantillon Ec par rapport au d bit nominal qin et la valeur du CV sont inf rieures 5 v Classe B La variation de d bit moyen de l chantillon Ec par rapport au d bit nominal qin et la valeur du CV sont sup rieures 5 et inf rieures 10 Pour le d bit nominal 1 bar Notre pression de service nous l avons tir partir de la courbe de performance De bit Pression fourme par le revendeur CHIALI dans son catalogue technique Figure III 11 Courbe de performance et la page 4 du catalogue technique de CHIALI 44 3 Pour la sensibilit des goutteurs au colmatage nous n avons remarqu aucune influence ou diminution du d bit durant cette p riode exp rimentale de m me dans le cas d une pr vision de 20h bas e sur le pass l aide d une courbe de tendance ad EE du debit au cours de l experimentation Pr vision de 20 h I i I 1 55 2E 05x 0 002x 1 424 R 0 743 el 1 50 rr i Z las E A x D bit Moyende6h 1 a UO d IMBI a L L L L L L L D L D T L T T H l L L TE 1 1 I S Tendance Polynominale 1 35 I l 1 30 0h 20h 40h 60 h 80 h 100 h i i i E Temps De Fonctlonnement heure Figure
82. ment heure i aai nb bak alcalde vu aii TET ETE v EVER TES ie TO TOT ero rear Tis as P et deg Figure 4 Courbes de variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 60 heures goutteur 2 L h Eau normale 40 Remarque le debit utilis est le debit moyen des 24 goutteurs integres 8 par rampe qu on a deja choisi et sp cifie B Goutteur local autor gulant de 4 L h I Variation du debit au cours de l experimentation i 6 5 ee M y 8E 05x 0 008 5 259 i 1 1 ri R 0 125 P l lt as 1 i Doce I AIS i S ES Jn r1 a D bit Moyen d une 1 h i VV URN 1 D bit Moyen de 6 h a TIM E 40 Tendance Folynomlale i 3 5 i l i h 10 h 20 h 30 h 40 h 50 h 60h 70h i Temps De Fonctionnement heure i Figure 5 Courbes de variation du d bit durant le temps de fonctionnement de 60 heures goutteur 4 L h Eau normale Remarque le d bit utilis est le d bit moyen de 18 goutteurs tous les goutteurs qui ont ete d ja montes C Goutteur local glod de 8 L h i Variation du debit au cours de l experimentation FRI 8 919x0016 WK D
83. mportantes Ces carts engendr s par les pertes de charge induisent des variations de d bit des goutteurs qui causent une h t rog n it de distribution et donc d alimentation en eau et en fertilisants de la culture Ces d viations sont jugul es principalement par le choix appropri des dimensions des conduites du r seau de la structure g om trique du r seau des facteurs d exploitation pression fournie en t te du r seau et des caract ristiques du goutteur En effet le calcul des syst mes d irrigation localis e n cessite la connaissance au moins approximative des param tres de l quation de flux et une indication sur la variabilit de fabrication du goutteur Ainsi La pr sente tude a t r alis dans le but d valuer les performances hydrauliques de certains goutteurs commercialis s sur le march national et d am liorer la compr hension du fonctionnement des goutteurs de micro irrigation vis vis du risque de colmatage et les cons quences sur leur durabilit L objectif de ce travail peut tre r sum comme suit Etudier les performances hydrauliques et m caniques des goutteurs Contr ler les caract ristiques techniques des quipements d irrigation et leur Fonctionnement le colmatage des goutteurs ainsi que l homogen it des d bits sortants dans le temps suivant le protocole exp rimental retenu 33 Mat riels Et M thodes 1 Introduction Pour tudier les performances e
84. nage a r et naturel sont des eaux us es pur es d une qualit m diocre n cessitant un traitement tertiaire qui permet de les utiliser dans le domaine agricole 67 l irrigation sans aucun risque un stockage dans des bassins est n cessaire pour mieux affiner ces eaux L enqu te effectu e nous a permis de constater qu il existe r ellement des possibilit s d utilisation de l eau pur e par les STEP d Ouargla et de Ghardaia sans risques dans le secteur agricole en am liorant par des traitements compl mentaires faut noter que cette utilisation doit tre rendue optimale et pour qu il en soit ainsi les conditions suivantes doivent tre remplies il faut adapter les syst mes d irrigation la qualit de l eau employ e il faut optimiser l apport d eau et ajuster la fertilisation aux besoins des cultures On a propos les eaux pur es pour irriguer les palmeraies de la r gion d Ouargla et de Ghardaia parce que les palmiers dattiers repr sentent la culture principale dans ces zones d tudes galement la palmeraie est caract ris e par une grande r sistance aux eaux de mauvaise qualit Ainsi on peut utiliser ces eaux pour irriguer les cultures d agrumes en intercalaire et oliviers comme des brises vents Bibliographie Anonyme 2001 Rapport sur la gestion de la qualit de l eau et des interventions possibles du En Alg rie 1 1p page consult e le 02Ma12013 Anonyme
85. nelle sont r alis es travers l tude de r utilisation des eaux us es pur es l chelle nationale par le minist re des ressources en eau achev es en d cembre 2008 Les principales conclusions de cette tude pour un renforcement des allocations d eau pour l agriculture d o extension des superficies irrigu es 800 millions de m augmentation graduelle de taux de r utilisation de 37000 ha 280 millions de m court terme 80000 ha 600 millions de m moyen terme et 100 000 ha 800 millions de m long terme MATERIEL ET METHODES La station d puration de Hadjout est mise en marche en juin 2006 sa capacit nominale est de 70 000 quivalents habitants elle a t con ue pour traiter un d bit de 11200 m j par le processus de 59 boues activ es faible charge a ration prolong e pour prot ger le milieu r cepteur Les analyses physico chimiques de l eau brute et pur e de la STEP de Hadjout sont repr sent es dans le tableau 22 Tableau 22 analyses physico chimiques de l eau brute et pur e Entr e eau brute Sortie eau pur e Param tres Concentration mg l Flux Concentration Flux kg mg l 0 1 me j 0 1 pw 0 Source STEP de Hadjout 2013 La r gion faisant l objet de notre tude fait partie du p rim tre sahel alg rois ouest Elle est situ e l Ouest de la wilaya de Tipaza dans la commune de Nador La parcelle exp rimentale a une super
86. non dat L eau en Alg rie http www umc edu dz vf index php actualites et informations theme de la semaine 980 leau en algerie html page consult e le 02Ma12013 Aoulmi S 2007 Conception de la station d puration dans la ville de Zeddine W Ain defla Alg rie 112p Aviron V Gerard M 2000 R utilisation des eaux us es apr s traitement Paris France 38 Baudot B et Perera P 1991 Guide proc d s extensifs d puration des eaux us es adapt s aux petites et moyennes collectivit s 21p Bechac J Boutin B Mercier P Nuer B 1984 Traitement des eaux us es Edition EYROLLES Bd St Germaine 75005 Paris cedex 05 Bekkouche M Zidane F 2004 Conception d une station d puration des eaux us es de la ville de Ouargla par lagunage M moire d ing nieur Hydraulique saharienne Universit de Ouargla 67p Benhacine Ch Doumbliaouskas A 1983 Irrigation agricole Tipaza 62p Bliefert C et Perraud R 2003 Chimie de l environnement Air Eau Sols D chets Edition de boeck 324p Bondon D Pitrasanta Y 1994 Le lagunage cologique Ed ECONOMICA Paris 112p Boulkroune B 2008 Estimation de l tat des syst mes non lin aires a temps discret Application a une station d puration Th se de doctorat universit Nancy En lignelfel archives ouvertes fr docs 00 34 74 65 PDF These boulaid pdf page consulter le 07 05 2013 Brouillet J L Picot B Sambuco J P Gaillard L Soteras G Valarie I 2008
87. ns sont hors normes soit pour l homog n it de fabrication le coefficient de variation ou soit pour la loi d bit pression la courbe de performance ce engendre une h t rog n it des d bits avec comme cons quences un arrosage de mauvaise qualit des apports irr guliers de fertilisants et un mauvais d veloppement de la culture 56 wap To grgoo E mp HONO r v La teneur en noir de carbone de nos conduites ne correspond pas la norme le pourcentage tant inf rieur 2 ce que va causer la d gradation du polym re par les UV En effet lorsque l effet de protection du noir de carbone est r duit 1 affecte n gativement sur les performances du poly thyl ne et diminue la r sistance au vieillissement car i entra ne une moindre opacit la lumi re ce qui favorise la prolif ration des algues chlorophyc es Colmatage organique Dans une seconde tape nous avons test au sein du laboratoire de l E N S H le mat riel d irrigation localis e en conditions r elles et ce en le soumettant des apports r p t s d eaux us es trait es l objectif tant de suivre le colmatage des distributeurs et l homog n ite des d bits sortants des goutteurs du r seau en le comparant au m me type du r seau mais irrigu avec de l eau conventionnelle Cette exp rimentation nous a permis de conclure que v Le r seau d eau pur e est plus affect par le colmatage que le r seau d eau n
88. ocre qualit varient tant en nature qu en gravit les plus communes sont les suivantes Salinit perm abilit toxicit Pour le probl me de la salinit 1l faut 1 Choisir des cultures tol rantes une salinit existante ou ventuelle 2 Pr vision et surveillance de la dynamique des sels et de l volution des sols sous l effet de l irrigation avec une telle eau 3 Irriguer plus fr quemment pour am liorer l approvisionnement en eau de la culture 4 Appliquer r guli rement un suppl ment d eau pour satisfaire le besoin de lessivage 5 Changer de m thode d irrigation en adopter une qui permette de mieux lutter contre la salinit 6 Modifier les pratiques culturales Pour le probl me de la toxicit 11 faut 1 Arroser plus fr quemment 2 Pr voir un suppl ment d eau pour le lessivage 3 En cas de toxicit par le sodium utiliser des amendements tels que le gypse et le soufre La plaine de la Mitidja que nous avons cibl comme site de notre approche pour une utilisation maitris e en irrigation avec les eaux us es trait es concentre environ 25 de la population totale de l Alg rie ainsi que 5 7 des superficies irrigu es le tissu industriel y est tr s d velopp avec les zones de R ghaia Rouiba Blida Oued Smar figure 1 lad 348g a He st Est os Sup Eg 2979 ha A dgravitaire Triste Figure 1 La plaine de la Mitidja Dans notre approche nous avons d abord d
89. olynomiale 3 00 mmm CE RE H J U H 2 50 h 10 h 20h 30h 40 h 50 h L Figure IIL17 Courbes de variation du d bit goutteur 4 L h durant le temps de fonctionnement de 30 heures Pr vision de 12 h Eau pur e Les courbes suivantes Figure HLIT et 18 et 19 des volutions temporelles du pourcentage de variation des d bits de distribution par rapport au d bit initial Ec pour les differentes types du goutteur des deux r seaux montrent le changement du d bit et comparent bien les deux cas cas d eau normale et le cas d eau pur e 47 Evolution temporelle de Ec de deux qualit s d eau I i I 05 Ser d 10 h Sih 60 h 70h TI iU 0 15 0 10 mm bm eg Em mm m Ec D eau Epur e Ec D eau Normale mm uu emp 0 10 0 15 seen esse wama mm SSS 0 20 o Temps De Fonctionnement Heure Fa SCH Figure IIL 18 Courbes d volution temporelle de Ec du goutteur int gr de 2 L h 7 Evolution temporelle de Ec de deux qualit s d eau 1 0 04 0 40 en em sa sss m em mam Gumi mam mam fm m mm em Ec D eau Epur e NM NA A ANN oh 10h 2dh dh 4dh sdh th Tih l 1 y D eau Nor
90. on temporelle de Cu du goutteur int gr de 2 L h B Goutteur local autor gulant de 4 L h u SSS P PS PS Sa PS P SIS SSS P PS Pa PS PS Pa SSS Pa Pm e SSS P P GSS PS PS GSE PS PS ER FS PR D Gss 1 I Evolution temporelle de Ec de deux qualit s d eau I de L1 1I I 1 31 Te i I I i 0 90 4 em Sch 1 1 1 l I I t i i t I nai T 1 1 T s ss T zeg TA I J I ca D eau Normale I MTS a IPS I L 1 I 1 I ng j i u I 1 SS HEH I Sack r d AA A L 1 50 4 W4 ANA D e I NM I i I I 0 45 1 WM w uo T 1 i 0 40 0h 10 h 20h 30 h 40 h s h h 70 h i Temps De Fonctionnement Heure s d Figure IIL23 Courbes d volution temporelle de Cu du goutteur autor gulant de 4 L h 50 C Goutteur local autor gulant de 8 L h Evolution mgeet de Ec de deux qualit s d eau F i i I 1 00 r 1 d I I E Es E i vs 0 75 ANT I
91. ormale c est dire une dur e de vie moindre que l autre r seau et on peut l expliquer par la composition des eaux us es pur es surtout les composants chimiques qui peuvent rendre les parois internes des goutteurs plus rugueuses les rendant plus sensibles au colmatage par la suite v Durant la variation journali re du d bit moyen et pour les deux r seaux nous avons remarqu une augmentation des d bits en sortie de goutteurs de temps l autre nous supposons que ce comportement du fluide au sein du labyrinthe des goutteurs peut tre d deux facteurs distincts A D une part en se d posant dans les angles des chicanes les particules lissent l coulement et le d place vers une trajectoire centrale ou la vitesse peut tre plus grande et le cisaillement plus faible B D autre part les particules peuvent interagir avec les petites chelles de l coulement et ainsi diminuer l nergie cin tique de l coulement Cette lamimisation tend augmenter le d bit moyen de l coulement dans le labyrinthe v Le goutteur int gr italien r pond toutes les normes ISO soit pour l homog neit de fabrication ou soit pour la loi d bit pression avec une bonne valeur d uniformit par contre les goutteurs en d rivation autor gulants de fabrication alg riennes bien qu ils suivent la norme de la loi d bit pression leurs coefficient de variation et d uniformit sont hors normes et on peut expliquer cela par le mauvais r le
92. pansion principalement associ e l agriculture De nombreuses solutions techniques permettent de r pondre aux normes de r utilisation existantes Les avantages de la r utilisation et du recyclage des eaux us es sont reconnus par de nombreux pays ils sont inscrits dans leurs sch mas directeurs de l eau et dans leur politique nationale Bibliographie e AMMAR H 2005 Diagnostic des pratiques de l irrigation par les techniques de micro irrigation et de l aspersion Cas du p rim tre de la Mitidja ouest tranche M moire d ing nieur ENSH Blida 108 p e AMMAR BOUDJELLAL A BAMMOUN R 2006 D termination des besoins en eau des cultures irrigu es de la wilaya de Tipaza l aide du logiciel Cropwat 4 3 Cas du p rim tre de la Mitidja Ouest M moire d ing nieur ENSA El Harrach 96 p 24 e BAGHDADI N 2011 Approche m thodologique de la valorisation des eaux us es pur es dans l irrigation cas de STEP de Tipaza M moire d ing nieur ENSH Blida 104 p e BAKEL E 2010 Conception de la station d puration de la ville de Tissemsilt W TISSEMSILT M moire d ing nieur ENSH Blida 117 p eBAUMONT S LEFRANC A 2004 R utilisation des eaux us es pur es risques sanitaires et faisabilit en le de France Observatoire R gional de Sant d le de France 176 p eCOMPAORE M L 2003 Cours de micro irrigation 135p eDJABELKHIR K 2007 Contribution la R habilitation de la Station d Epuration
93. peuvent permettre d enrichir certains sols tr s pauvres ou faible potentiel agronomique gr ce leur capacit fertilisant Notre modeste travail nous permis de nous poser beaucoup de questions et de comprendre que plusieurs axes de recherches peuvent tre entam s et d velopp s R f rences Bibliographiques 1 Anonyme MANUEL D UTILISATION Banc de distributeurs d irrigation localis s INSID Alger 1 d Valencia Laboratoire d Ing nierie Agricole Universit Polytechnique Novembre 2009 76p 2 Anonyme Rapport CEMAGREF D termination de la sensibilit au colmatage physique Finesse de filtration N 94 France IRRIGAZETTE Mar Juin 2006 25p 3 A PHOCAIDES Manuel des techniques d irrigation sous pression 2 d Organisation des nations unies pour l alimentation et l agriculture 2008 308p 4 C CHOSSAT et al Irrigation localis e IRRIGATION Guide pratique 3 d Paris Cemagref ditions 2003 344p 5 INSTITUT ALGERIEN DE NORMALISATION Documentation ISO 9261 2004 Mat riel Agricole D irrigation Distributeurs et tuyaux distributeurs 2 Alger 2004 22p 6 LAKHDAR ZELLA BRAHIM MOUHOUCHE Guide pratique de micro irrigation Alger Office des publications universitaires 2003 61 p 58 7 Ollier CH et Poir e M Irrigation les r seaux d irrigation th orie technique et conomie des arrosages France Evrolles 1981 8 TIERCELIN
94. pr s irrigation L irrigation par submersion est le proc d le moins couteux mais c est probablement celui qui pr sente le plus de risques pour les ouvriers agricoles L irrigation par aspersion ne doit tre utilis e pour les cultures de fruits et de l gumes que si les effluents ont la qualit recommand e l irrigation par submersion est viter pour les l gumes C est l irrigation souterraine ou localis e qui peut assurer le plus haut degr de protection de la sant en particulier quand la surface du sol est recouverte de b ches en plastique ou de paillis En outre l eau est utilis e plus efficacement et les rendements sont souvent plus lev s Toutefois ce proc d est couteux et les eaux us es doivent subir un traitement pouss et fiable pour liminer les solides en suspension afin d viter l obstruction des petits orifices gicleurs par lesquels l eau est diffus e dans le sol RESULTATS Dans cette partie nous allons pr senter les r sultats de mesures des travaux effectu s en irrigation et essayer de les interpr ter il s agit essentiellement de Les r sultats des mesures effectu es dans la parcelle irrigu e par les eaux us es pur es Suivi des teneurs en eau dans le sol et mesure de l efficience d application Le temps de remplissage du r seau 5 23 minutes ce qui veut dire que la dur e d arrosage Da doit tre sup rieure ou gale 52 3 min D bit des goutteurs 0 409 1 h
95. r s les normes microbiologiques r vis es de l OMS 2000 et 2006 avec une irrigation restreinte pour les cultures suivants c r ales cultures industrielles fourrag res p turage et foret En revanche une tude de la teneur des m taux lourds de cette eau est souhaitable dans le laboratoire de la STEP afin d liminer les risques qui pourraient en r sultent CONCLUSION Au terme de cette tude nous constatons que les eaux us es repr sentent une ressource d eau renouvelable qu il faudra exploiter dans l agriculture l industrie et dans d autres usages municipaux donc constituer sans doute demain l une des solutions incontournables pour notre pays qui souffre norm ment du d ficit hydrique Cette r utilisation ne repr sente pas seulement une option conomique comp titive mais aussi de nombreux avantages sociaux et environnementaux Ainsi cette valorisation doit tre plac e dans le cadre de la gestion int gr e des ressources en eau en laborant une strat gie nationale de la valorisation des eaux us es Les r sultats exp rimentaux obtenus lors de cette tude montrent que les eaux us es de la station d puration de Ghardaia dont le traitement se fait par lagunage naturel sont des eaux us es pur es d une qualit m diocre et n cessitent un traitement tertiaire pour les utiliser dans le domaine agricole l irrigation sans aucun risque un stockage dans des bassins est n cessaire pour mieux affiner ces eaux
96. r de la vall e de Nador secteur IV du p rim tre Sahel Alg rois Ouest environ 65 km l Ouest d Alger RESULTATS Dans notre cas on choisit la norme frangaise NFU 44 041 Suite au bulletin d analyse qui a t remis du laboratoire R gional Centre ONEDD concernant les analyses des trois chantillons de boue STEP Tipaza Hadjout et Kolea et leurs mesures en teneur en l ments traces Plomb et Mercure les r sultats obtenus sont conformes la norme fran aise 44 041 sachant que les normes sont Plomb Pb 800 mg kg Mercure Hg 10 mg kg Le tableau 16 Repr sente les teneurs en Hg et Pb des boues produites par les diff rentes STEP de Tipaza Tableau 16 Teneur en Hg et Pb des boues des diff rentes STEP de Tipaza R sultats Param tres Unites Step Hadjout Step Kolea Step Tipaza Normes Po 140 177 58 5 ISO 8288 1986 Source STEP de TIPAZA 2013 Pour les autres teneurs en l ments traces pour la STEP de Tipaza les r sultats sont dans le tableau 17 Tableau 17 Teneurs en ETM des boues de la STEP de Tipaza Param tres mesures au laboratoire R sultats Norme 44 041 Cadmium mg kg 0 47 20 Chrome mg kg 6 73 Cuivre mg kg 30 53 17 Nickel mg kg 11 06 200 Zinc mg kg 133 66 3000 Chrome Cuivre Nickel Zinc mg kg 181 98 4000 Plomb Pb mg kg 58 5 800 source STEP de Tipaza 2013 La Valorisation Agricole Les effets b n fiques de l utilisation des boues dans l
97. rents goutteurs au colmatage Nous avons travaill sur une surface de 160 m 20m x 8m sur laquelle nous avons dispos deux r seaux d irrigation localis e tel que le premier r seau est destin l eau normale ou conventionnelle du robinet par contre l autre r seau est aliment par l eau pur e de la station de traitement et d puration des eaux us es du CHENOUA de la wilaya de Tipaza cette eau est stock e dans une b che d eau enterr e pr s de notre r seau Chaque r seau est constitu de trois parties contenant trois rampes Chaque partie comporte un type du goutteur qu on le doit tester Figure II 3 Le site exp rimental d E N S H Sch ma Explicatif Figure IL3 Le site exp rimental d E N S H Sch ma Explicatif li mm x ka sr d 35 2 2 Protocoles exp rimentaux suivis sur les deux sites 2 2 1 Protocol exp rimental suivi sur laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation INSID Puisque nous somme dans le cas d irrigation localis e nous avons utilis le banc d essai goutte goutte Le banc d essai est con u pour permettre la d termination du coefficient de variation de fabrication des goutteurs et de la courbe caract ristique selon la m thode indiqu e dans la norme ISO 9261 ou UNE 68075 pour toute sorte de goutteurs ainsi que pour les tuyauteries mettrices le banc d essai de r sistance des mat riaux nous avons fait l essai de d termin
98. s es d adapter les syst mes d irrigation la qualit des effluents et la culture irrigu e et d ajuster la fertilisation aux besoins des cultures Dans le pr sent travail nous nous int ressons la question de la performance de l irrigation en tudiant une exploitation agricole dans la Mitidja ouest Cette plaine vu son histoire et son haut potentiel productif constitue depuis longtemps un important pourvoyeur de produits agricoles non seulement pour la capitale mais aussi pour les autres r gions du pays En abordant ce travail trois objectifs principaux taient fix s Evaluation des dispositifs de r utilisation des eaux us es pur es en agriculture dans la Mitidja ouest de d gager les indicateurs de performances de l exploitation et les syst mes d irrigation utilis es Faire une comparaison entre la pratique des irrigants et les normes recommand es 10 L exploitation tudi e La r gion faisant l objet de notre tude est localis e dans la Wilaya de Tipaza est situ e dans la valle de loued Nador lt secteur IV gt du p rim tre Sahel Alg rois Ouest environ 60 km l Ouest d Alger Notre tude a t r alis e dans une parcelle qui couvre une superficie de 3 6 ha d haricot vert irrigu en goutte goutte par les eaux pur es Les coordonn es de l exploitation sont Latitude 36 34 19 N Longitude 02 24 11 E Altitude 10 m Les caract ristiques du sol de notre parcelle sont indiqu
99. s d bits amp Cu 1 alors Qai Remarque le but du calcule de l uniformit moyenne est de v rifier et prouver les resultats du classement et la qualit de chaque type de goutteur que nous avons deja trouve Resultats des essais de coefficient de variation tel que V Si Cu gt 90 L uniformit des d bits est tr s bonne et l tat de notre r seau est parfait 51 Wm wama mm me mm mm mm mm mm mm v Si Cu lt 90 70 gt L uniformit des d bits est Mauvaise et l tat de notre r seau est mal v Si Cu lt 70 2 L uniformit des d bits est tr s Mauvaise et l tat de notre reseau est catastrophique C1 apr s sont repr sent es les courbes combinant l volution du coefficient d uniformit et EC A Goutteur AIT Italy int gr de 2 L h Evolutions temporelles de Cu et de Ec des deux qualit s d eau 1 05 7 1 I I 1 1 00 4 4 _ j 1 0 95 87 ken Mi l 0 90 t L 1 I 1 3 I I I I lI 0 70 0 65 _ 0 60 E 0 55 i i i y Cu D eau Normale 0 50 en d I Cu D eau Epur e 35 0 30 Ee D eau Normale 0 25 0 20 I
100. soumis le 20 09 2013 la revue BASE Biotechnologie Agronomie Soci t et Environnement http www presseagro be base Chabaca mn Hartani T Djebbara M Imache A 2013 Une approche multi chelle pour valuer les performances des syst mes d irrigation cas de la plaine de la Mitidja Alg rie Bilan Financier Bilan financier par rubrique Equipements scientifiques 400 000 DA Equipements informatiques 500 000 DA Consommables informatique et scientifiques 500 000 DA Consommables papeterie et de bureau 100 000 DA Taux de consommation 100 Contraintes rencontr s Retard dans la dotation de la part de la dgrst Probl mes bureaucratiques pour l achat de l quipement appel d offres choix du fournisseur cela peut prendre 01 ann e 02 ann es pour s quiper cad la fin du projet N cessit d all ger les proc dures dans ce sens 71 RECOMMANDATIONS Ces projets sont int ressants du point de vue temps imparti 2 ans Le domaine de recherche concern recherche d veloppement permet de s attaquer des probl matiques qui peuvent tre analys es et trouver peut tre des solutions ponctuelles ou d finitives Cependant les proc dures de gestion et de fonctionnement doivent tre adapt es cette dur e Dans l universit alg rienne le syst me de gestion est lourd et inefficace Les conditions impos es pour l achat de mat riel sont un v ritable parcours du combatt
101. t fiabilit s des goutteurs et contr ler les caract ristiques techniques des quipements d irrigation les canalisation de poly thyl ne et leur fonctionnement nous avons fait des tests au sein du laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation qui fait partie de l Institut National Des Sols de l Irrigation et du Drainage D Alger En parall le et dans l optique d tudier les probl mes techniques pos s par la r utilisation des eaux us es pur es par l irrigation localis e la micro irrigation nous avons men une tude sur le terrain qui consiste tester du mat riel d irrigation localis e en conditions r elles soumis des apports r p t s d EU trait es On suivra le colmatage des distributeurs et l homog n it des d bits sortants des goutteurs d une installation prototype repr sentant deux r seaux de micro irrigation plac s derri re le laboratoire de l Ecole Nationale Sup rieure de l Hydraulique Ces tests ont port sur les quipements d irrigation fournis par trois constructeurs Goutteurs et conduites locaux goutteur AIT Italy tranger 2 Description des sites d tudes et du protocole exp rimental 2 1 Description des sites exp rimentaux 2 1 1 Description du laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation Le laboratoire de contr le des caract ristiques techniques des quipements d irrigation est le fruit
102. tation diminution et m me obtenir des pr visions bas es sur le pass pour des p riodes souhait s du futur et on a choisi le type de la courbe de tendance entre six type Lin aire Logarithmique Polynomiale Puissance Exponentielle Moyenne mobile partir du coefficient de d termination r tel que le type est plus fiable lorsque son coefficient de d termination r est gal ou proche de 1 Dans nos cas le type le plus utilis est le type de tendance polynomiale qui est g n ralement utilis e pour repr senter des fluctuations de donn es Elle s av re bien pratique notamment pour analyser des pertes et des profits sur un vaste ensemble de donn es 43 2 1 2 Interpr tation des r sultats 2 1 2 1 R seau t moin aliment par l eau normale r seau N 1 A Goutteur AIT Italy Int gr 2 L h Nous Calculons Le coefficient de variation ven du deti au cours de Cexperimcenmanon7 Cv et Ee la variation de d bit par rapport au d bit 5 Tel que o q Ecart type du d bit d D bit Moyen D bit Nominal Goutteur 2 L h Eau normale On trouve que G q 0 03 L h l cart type est faible alors les donn es sont tr s proches les unes des autres selon protocole Cemagref notre goutteur est tr s bon TB Ec 4 selon protocole ISO notre goutteur est de Classe Cv 275 Remarque 1 Le protocole ISO a d fini une classification pr sent e dans la nor
103. ts e Evacuer l effluent sans alt rer la qualit du milieu r cepteur superficiel ainsi que les ressources en eau tant superficielles que souterraines e Suppression des apports hydriques la nappe superficielle e Valorisation des effluents trait s valorisation agricole Apr s une comparaison avec les eaux us es pur es de la STEP de Gharda a qui traite galement les eaux us es par lagunage naturel nous avons voulu savoir Y Quels sont les rendements puratoires de chaque proc d d puration et quel est le taux d abattement des bact ries Y La qualit de ces eaux pur es est elle conforme aux normes de rejet et apte pour une utilisation agricole Si Quelle est la classification de ces eaux pur es dans le domaine de l irrigation Quelles sont les cultures irrigu es avec ces eaux et quel est le syst me d irrigation le plus convenable avec ces eaux MATERIEL ET METHODES est n cessaire de bien connaitre zone d tude afin de d terminer et cerner Les principaux facteurs influen ant le traitement des eaux us es et de ce fait la qualit des eaux pur es Ainsi on s int ressera l environnement du site situation g ographique conditions 65 climatiques ressources en eau et en sol agricultures structures sociales locales ainsi qu aux caract ristiques des eaux us es traiter D autant plus que c est en fonction de ces derniers que se fait le choix m me de l implantation de
104. uit toxique d pend du niveau de pollution du sol de la quantit d pos e sur la peau du temps de contact et surtout de la liposolubilit du polluant Ce dernier facteur extr mement important dans 1 diffusion transcutan e fait que pour les m taux cette voie semble n gligeable comparativement la diffusion des polluants organiques dont certains sont tr s liposolubles ngestion d eau souterraine et de surface contamin es par percolation Risques environnementaux Jusqu tout r cemment la plupart des tudes sur la dynamique des l ments traces m talliques apport s par pandage de boues dans les sols avait pour objectif les transferts sol plante et pour finalit les risques de contamination de la chaine alimentaire C est pourquoi dispose de peu de donn es publi es Dans la mesure o les ETM apport s au sol s accumulent ou sont nouveau recycl s dans le milieu long terme seule leur limination la source permet de les soustraire de ce cycle MATERIEL ET METHODES En Alg rie et selon une enqu te faite par le bureau d tude EEC edil portant sur l tat des stations d puration urbaines et industrielles en exploitation et en projet la capacit totale des stations d puration s l ve 14 332 110 Equivalents Habitants et rapporte que ce chiffre peut atteindre le nombre de 15 000 000 Equivalents Habitants vu que la capacit de plusieurs stations n est pas encore arr t e en phase d tude pr
105. ur 21 o les syst mes d irrigation pratiqu s o le type d eau utilis dans les exploitations Le questionnaire comporte trois grandes parties interd pendantes o L identification de l exploitant et les caract ristiques de l exploitation agricole o Les conditions de production superficies irrigu es source d irrigation mode d irrigation diff rentes cultures irrigu es etc o Les productions rendements destinations des r coltes Tableau 19 La liste des agriculteurs enqu t s poems e Cherbi Ali EAC 34 EE Cow EE Me s WEE CE I r x pow e 5 cw o EE Chaque exploitation comprend de 1 3 agriculteurs sauf les deux 10 et 34 qui comprennent respectivement 35 et 46 agriculteurs Les figures 7 8 et 9 pr sentent certains des r sultats d enqu te 22 Le our entige lt 20 20 30 30 40 40 50 900 60 gt 60 Figure 7 Le pourcentage des exploitants enqu t s tranche d ge Sur la figure 7 nous remarquons que d une part pr s de 18 de nos enqu t s ont un ge compris entre 40 et 60 ans et d autre part que plus de 3 4 de notre chantillon concerne des jeunes ruraux dont l ge ne d passe pas les 40 ans nous retrouvons seulement 4 des agriculteurs qui d passent les 60
106. xes Gharda a 165p Bondon D Pitrasanta Y 1994 Le lagunage cologique Ed ECONOMICA Paris 112p Boulkroune B 2008 Estimation de l tat des syst mes non lin aires a temps discret Application a une station d puration Th se de doctorat universit Nancy En ligne fel archives ouvertes fr docs 00 34 74 65 PDF These boulaid pdf page consulter le 07 05 2013 Brouillet J L Picot B Sambuco J P Gaillard L Soteras G Valarie I 2008 Eco techniques d assainissement des eaux us es domestiques volution et perspectives XIIIe Congr s mondial de l Eau Montpellier France 17p Dajoz R 1982 Pr cis d cologie Paris Bordas 503 p Degremont 1978 M mento technique de l eau 8 dition Edition Technique et Documentation Lavoisier 1200p Degremont 1989 M mento technique de l eau Edition Technique et Documentation Lavoisier Degremont 2005 M mento technique de l eau Tome 2 Ed10 788p DPAT 2012 Annuaire statistique 2011 volume 1 rapport annuel 91p DSA 2012 Atlas agriculture Rapport annuel Ghardaia 14p Duguet J P Bernazeau F Cleret D Gaid A Laplanche A Moles J Montiel A Riou G Simon P 2006 R glementation et traitement des eaux destin es la consommation humaine 1 dition ASTEE Association Scientifique et Technique pour l environnement Frank R 2002 Analyse des eaux Aspects r glementaires et techniques Ed Sc r n CRDP AQUITAINE Bordeaux
107. ytechnique el Harrach 74 p e TIERCELIN J R et Vidal A 2006 Trait d irrigation Tec Et Doc ditions Paris 1266p e ZELLA L SMADHI D 2007 Evolution de l irrigation Larhyss Journal Laboratoire de Recherche En Hydraulique Souterraine et de Surface universit de BISKRA ALGIRIE n 06 pp 65 80 THEME 7 ENSA Ex INA ALGER ETUDE COMPARATIVE DE LA GESTION DES EAUX USEES EPUREES ENTRE LA STEP DE GHARDAIA ET LA STEP D OUARGLA INTRODUCTION Le traitement des eaux us es est devenu un imp ratif et un enjeu social et environnemental incontournable puisqu un effluent non trait contamine le milieu naturel et celui de l Homme compte tenu des risques sanitaires qu il pr sente N anmoins les m thodes conventionnelles d assainissement sont marginales du fait de leur co t lev d investissement et de maintenance Il convient donc de trouver des m thodes bas co t capables de traiter efficacement les eaux En cela les syst mes de traitement des eaux par lagunage sont une alternative ad quate Elles fonctionnent comme assimilateurs biologiques en retirant des compos s tant biod gradables que biod gradables ainsi que les microorganismes pathog nes Grace leurs bonnes performances puratoires l implantation d une station d puration par lagunage a r Ouargla est dans le cadre de contr ler la qualit des eaux cette station d puration des eaux us es a t con ue pour atteindre les objectifs suivan
108. zone d tude Extrait de carte topographique de Tipaza l chelle 1 250000 Climat La zone de l tude est caract ris e par un climat de type m diterran en humide et pluvieux en hiver chaud et sec en t Les principales caract ristiques climatiques sont pr sent es dans les tableaux 3 4 Set 6 Tableau 3 Pluviom trie moyenne mensuelle 1980 2011 Mois sept janv mars avril jun juil aout ann e Source ANRH Blida Tableau 4 Temp ratures moyennes mensuelles et annuelles 198842011 Ee E Mois Janv Fev mars avril mar juil aout sept dec annuelle Source ANRH Blida Tableau 5 Humidit s moyennes mensuelles station de Tipaza Mos ew qmm mei pum mi es se Humidit 64 45 62 15 68 19 65 12 71 26 79 12 80 12 70 36 71 30 75 67 79 13 78 25 Source ANRH Blida Tableau 6 Moyenne mensuelle de l vaporation E emm sii 73 03 101 85 124 31 159 68 211 25 231 11 207 30 162 38 126 58 76 93 63 84 Source ANRH Blida La zone de Hadjout jouit d un climat semi aride et caract ris par des hivers chauds Les sols sont g n ralement profonds et leurs contraintes sont d ordre physico chimique hydromorphie teneurs en calcaire actif lev es Les conductivit s hydrauliques sont tr s lentes en particulier dans la tranche de sol 100 200 cm de profondeur avec des valeurs de K de quelques dixi mes de cm seulement

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