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TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME - Infoscience

1. 5 1 BESOINS ATTENTES EN CONSULTATIONS 52 BESOINS ATTENTES EN VISUALISATIONS 5 3 BESOINS ATTENTES EN GESTIONS FONCTIONNEMENTS 5 4 BESOINS ATTENTES DE MISES EN VALEUR 5 5 BESOINS ATTENTES EN TRAITEMENTS 5 6 BESOINS ATTENTES NON FORMULES 6 PERSPECTIVES DE FONCTIONNEMENT DU SIG 6 1 COMMENT VOIR LE FUTUR SIG CHOIX ET VOLONTE 6 2 UN SYSTEME SIG ADDITIONNEL COMPLEMENTAIRE ET MODULABLE 6 3 UN SYSTEME SIG EXTENSIBLE AUX AUTRES DOMAINES 6 4 CONSEQUENCE UN LEGER CHANGEMENT DANS L ORGANISATION 6 5 CONSEQUENCE UN NOUVEL OUTIL INFORMATIQUE 7 ANALYSE DE L EXISTANT INVENTAIRE STRUCTURATION ET ACQUISITION DES DONNEES 7 1 QUELQUES CONSIDERATIONS GENERALES ET DEMARCHE ADOPTEE 7 2 INVENTAIRE ET STRUCTURATION DES DONNEES NECESSAIRES 7 3 LES DONNEES NON NECESSAIRES AU SIG ET POURQUOI 7 4 ACQUISITIONS DONT LA DIMENSION SPATIALE 8 MODELISATION CONCEPTION DU SIG 8 1 ROLE DU SIG 8 2 LA MODELISATION CONCEPTUELLE LE MCD 8 3 DESCRIPTION DU MCD 8 3 1 But du MCD 8 3 2 Les entit s 8 3 3 Les relations 8 4 TRADUCTION DE MCD EN MLD 8 5 LES IDENTIFIANTS 8 6 LES NOUVEAUTES 8 7 LA CREATION D INDICES 8 7 1 Indice de d gustation Id 8 7 2 Indice de vinification 8 8 LE DICTIONNAIRE 9 REALISATION DU PROTOTYPE SIG 9 1 CHOIX DU LOGICIEL 9 2 METHODE D IMPORTATION DES DONNEES DANS MANIFOLD 9 2 1 Projection et syst me de coordonn es
2. Ceci correspond tout fait la RVC qui a e Besoin d identifier les diff rentes th matiques des donn es d essais Et de conserver les donn es d essais historique e Dans le temps bilans mterannuels e Et dans l espace les bouteilles de d gustation Pour notre cas la tra abilit doit permettre de faire le lien entre les bouteilles destin es la d gustation et Pensemble des autres donn es th matiques dont le tout compose la r alisation d un essai A Pheure actuelle les donn es sont r unies par essai et par variante dans leurs cahiers respectifs Cf 4 le fonctionnement de la RVC avec leurs identifiants respectifs diff rents selon le th me permettant de faire ainsi le lien entre les bases de donn es e Le num ro ct ou le titre de Pessai Le code et ou le titre de la variante e Le lieu de production e L ann e essai Les bouteilles de d gustation sont stock es en cave Elles comportent les indications suivantes e ann e de production e e heu de production 81 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Le titre d essai et la variante consid r e e Le num ro dessai figurant dans le cahier de d gustation exemple 98 115 permettant d identifier la variante par le biais de la table des mati res du cahier On reporte donc sur la bouteille les identifiants logiques permettant de conna
3. End Function R sum des points importants Le logiciel SIG choisi est MANIFOLD le syst me de r f rence CH1903 o sont import es et digitalis es les diff rentes couches Le projet s organise en dossiers qui regroupent les couches selon le MCD La digitalisation s appuie sur l orthophoto cal e gr ce au cadastre Au contraire la digitalisation des l ments du syst me d exp rimentation est semi topologique Les relations entre tables permettent d effectuer les relations du MCD et des scripts permettent d effectuer des fonctions sur les attributs des tables Dans ce chapitre Nous montrons comment le SIG parvient r aliser les besoins et attentes des chercheurs Nous mettons en vidence ceci par quelques exemples et illustrations Enfin des scenarii d utilisation du SIG envers les donn es d essais sont cr s ficttvement afin de montrer la souplesse la flexibilit et adaptation du SIG cette situation particuli re 10 Analyse exemples et scenarii 10 1 Exemples et sc narii 10 1 1 Visualisation g ographique 10 1 1 1 Des l ments du domaine L annexe 9 partie 2 illustre les l ments du domaine Le 9 5 donne les explications de leur repr sentation 71 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 10 1 1 2 Des parcelles d essais L annexe 9 partie 1 illustre les l ments du domaine Les parcelles appara
4. Les entit s du groupe de donn es infrastructures et m t orologie repr sentent les objets g ographiques pr sents sur le domaine b timents station m t o annexes laboratoires parcelle libre routes les crit res zonaux administratifs et enfin les points d tudes divers tels que sondages et profils qui contribuent l laboration des cartes sans en faire partie directement Ici la 59 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 repr sentation compl te des objets constituants le domaine a t choisie afin d tre en accord avec la r alit mais aussi et surtout de pouvoir acc der aux donn es Ainsi les donn es m t orologiques sont accessibles par l objet station m t o les donn es administratives par les b timents Pacc s au domaine et Pusage des routes par routes etc Leur r le est de permettre un accord complet avec la r alit et de faciliter acc s aux donn es de mani re simple et intuitive m me si Pon ne conna t pas le domaine en question ce qui est le cas assez r guli rement Les donn es mentionn es sont entre autre nom abr viation courante le responsable l usage etc e L entit du groupe donn es cartographiques est unique unit de sol Elle permet apport complet des donn es p dologiques en mentionnant les caract ristiques indispensables telles que nom de sol profond
5. Ainsi les besoins sont r els apport est ind niable Si comme souvent l offre cr e le besoin alors le SIG aura sa place la RVC dont il s agit encore de d finir les r les Cf 6 perspectives de d veloppement R sum des points importants Le fonctionnement de la RVC est complexe il est le r sultat d ann es d exp rience de la part des chercheurs Le travail en ind pendance est le mode d organisation qui a fait ses preuves Ainsi le SIG doit tenir compte de ce fonctionnement particulier sans le chambouler mais plut t en s adaptant en apportant des choses nouvelles et en cr ant de nouvelles perspectives Le SIG devra se concentrer sur les donn es dites communes et d int r t afin d tre viable Le syst me d exp rimentation mis en place n est pas unique Ainsi le SIG pourra fonctionner pour toutes entreprises fonctionnant selon ce principe en changeant uniquement la structure des tables pour les adapter aux nouveaux cas 41 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre Toutes les informations concernant les besoins et attentes formul s par les chercheurs en r f rence au futur SIG 5 Evaluation des besoins et des attentes Ces besoins et attentes sont formul s par les chercheurs de la RVC Nous parlons ici de besoins et d attentes car il y a une diff rence entre un besoin et une attente Un
6. Ce nouvel objet comporte un nouvel ID et des attributs qui lui sont propres Par relation les attributs des tables li es POBJET indiquent le nouvel objet et non l ancien Signalons pour terminer que Pancien objet existe encore il n est tout simplement plus actif Voici trois cas de figure les plus courants o La cr ation d objets on cr e un nouvel l ment du syst me d exp rimentation La fusion d objets on fusionne deux parcelles en une seule o Le d placement d objets on d place la limite d une parcelle au profit de l une et au d pend de Pautre 10 1 7 3 Autres volont s particuli res D autres volont s particuli res nouvelles rares peuvent tre combl es en s appuyant sur les relations entre tables OBJETS BASES ESSAIS Une recherche peut alors avoir lieu afin de retrouver tout ce qui concerne un l ment ce qui simplifie les choses A ce stade le mod le mis en place au sein du SIG doit encore tre valid am lior afin de savoir si ce dernier rempli bien toutes les t ches m me celles auxquelles nous n avons pas pens 76 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 10 1 8 Analyse spatiale 10 1 8 1 Visuelle Une analyse spatiale visuelle est l analyse de deux param tres crois s graphiquement gr ce une s miologie RONNA y p graphiq tg gi graphique judicieuse par exemple des couleurs diff rentes m
7. laborer un bilan sommaire concluant les variantes des essais au niveau de la parcelle mais aussi des bilans interannuels en un clin d il 8 3 3 Les relations Les relations entre les entit s sont pour la plupart partantes de l entit centrale domaine Ceci permet de se rattacher un l ment semblable pour toutes les entit s On trouve quand m me une structure circulaire entre les entit s du syst me d exp rimentation partir de l entit parcelle Toutes les cardinalit s sont de type 1 1 car la partition du territoire domine pour chaque relation Ainsi on obtient des cardinalit s de ce type pour chaque relation Ceci aura un impact lors de la traduction du MCD en MLD suivant La simplicit s est voulue tre pr pond rante de mani re comprendre le MCD et donc la structure de la base de donn es ce qui la rend accessible Ceci se visualise clairement par la liaison entre les tables objets g ographiques vers les tables bases puis enfin vers plusieurs tables essais Ceci forme une cha ne partir de chaque entit du syst me d exp rimentation La figure 14 ci dessous lillustre Figure 14 la cha ne entre tables du syst me d exp rimentation Objet gt gt Base gt gt Essais 8 4 Traduction de MCD en MLD Afin de permettre l implantation de la base de donn es dans un logiciel il est n cessaire de traduire le MCD en un autre mod le En effet comment implanter le MCD
8. 1 4 POURQUOI UN TEL TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME 1 5 DEROULEMENT DU TRAVAIL 2 UELQUES GENERALITES 2 1 SUR LES SIG 2 1 1 D finition de SIG 2 1 2 Int r ts principaux d un SIG 2 1 3 Quelques notions importantes li es aux SIG 2 1 4 Les enjeux du march actuellement 2 1 5 Les avantages et les inconv nients des SIG 2 2 SUR LE VIGNOBLE 2 2 1 Un peu d histoire 2 2 2 Et maintenant 2 2 3 Quelques connaissances utiles 3 METHODOLOGIE 3 1 MISE EN UVRE 3 2 ROLE DU PROTOTYPE 3 3 PRISE EN COMPTE DES FACTEURS TECHNIQUES ORGANISATIONNELS ET HUMAINS 4 1 LES PROJETS 4 2 LE TRAVAIL 4 3 LES DONNEES 4 4 LE PLAN 4 5 LES CARTES 4 6 LE SYSTEME D EXPERIMENTATION 4 6 1 Les essais 4 6 2 Organisation des essais sur les parcelles 4 DESCRIPTION DU FONCTIONNEMENT ACTUEL A LA RVC 4 6 3 Utilit de ce mode d organisation des essais 4 7 LA GESTION DES DONNEES 4 7 1 Cas g n ral 4 7 2 Un cas particulier VITIDATA 4 7 3 Le traitement des donn es 4 7 4 La publication des donn es 4 7 5 Mise jour des donn es d essais 4 7 6 Historique et tra abilit 4 7 7 Normalisation 4 7 8 Sauvegarde et s curit des donn es 4 8 ANALYSE DE CE FONCTIONNEMENT 4 8 1 Les difficult s consid rer pour le futur SIG dont le probl me spatio temporel 4 8 2 Les faiblesses de ce fonctionnement 5 EVALUATION DES BESOINS ET DES ATTENTES
9. Une partie permanente servant la gestion des donn es courantes telles que les donn es issues de la vinification les donn es de d gustation les contr les et les donn es dites externes Cf 7 Ces donn es seraient des donn es fixes relev es selon une norme permanentes identiques d ann e en ann e Elles forment alors les donn es de base CF 7 les blocs de donn es 2 3 7 45 6 Rappelons que ces donn es sont communes aux projets dans leur ensemble ou du moins que l ensemble des chercheurs peut en avoir besoin La deuxi me partie concerne toutes les donn es non permanentes CF 7 blocs 7 et 8 illustr s pour nous ou bien sp ciales une tude Elles ne concernent que le chercheur en poste sur l tude Ainsi ces donn es sont individuelles la diff rence des premi res plut t de base Ces donn es pourraient tre introduites dans le SIG mais ceci gr ce l intervention d une personne ma trisant la structure du logiciel utilis pour le SIG Ceci ne devrait pas poser de probl me majeur car la base de donn es VITIDATA ne fonctionne pas en autonomie mais est g r e par un consultant ces services sont donc de rigueur lors de la p riode de vinification Le mandat pourrait tre tendu ce gestionnaire pour le SIG et ses applications sp ciales mais aussi en g n ral pour la maintenance et le suivi des ventuels probl mes du SIG Ces deux parties forment alors un SIG qui r pond aux besoins et aux a
10. corr lation Ici nous testons les potentialit s offertes par le SIG en terme de traitement la corr lation que nous recherchons gr ce au SIG existe et est d montr e Les param tres tudi s sont 1 la R serve Hydrique Modale RHM elle repr sente la teneur en eau potentielle du sol modale signifiant valeur la plus probable dans la zone Ce param tre est disponible sur l entier du domaine du Caudoz L unit est le millim tre mm Chaque unit de sol comporte une valeur de RHM 2 le poids des bois de taille les sarments il repr sente le poids des bois de taille de la vigne on appelle ceci les sarments L unit est le gramme par sarment g Ce param tre est d fini de mani re zonale en fonction des donn es disponibles Ainsi une valeur moyenne peut tre fournie pour une parcelle enti re ou bien simplement pour une r p tition ce qui est le cas le plus fr quent Voir les donn es en annexe 24 La situation prise en compte comporte plusieurs facteurs qui tendent amoindrir la relation entre les param tres ce sont Oo Situation non extr me la station de Pully ne fait pas partie des cas de figure extr mes ou la relation appara t comme vidente comme par exemple dans les vignobles du Lavaux ou les pr cipitation ne sont que de 600 800 mm an Pully 1100mm an et ann e 2003 800mm o Choix de l ann e 1997 1997 est une ann e bien arros e qui conduit ainsi un lissage d
11. e on r p te les variantes plusieurs fois sur les r p titions chaque variante se r alise sur des lignes de vignes une ligne est compos e de plusieurs ceps homog nes Ces niveaux sont cod s de sorte pourvoir suivre les donn es Pour telle date Tel code tel essais tel lieu d exp rimentation telles donn es relev es Le codage adopt et valid au fil des ann es est le suivant table 6 L identifiant pour la RVC est le chiffre 1 respectivement 2 3 4 pour les autres stations rattach es la RAC 31 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 NIVEAU CODE EXEMPLE Parcelle de 1 66 non continu 9 R p tition Chiffres romains ou arabes IT ou 2 Variante Lettre majuscule de A D en g n ral A interligne 120 cm B interligne 160 cm C Interligne 200 cm D interligne 240 cm H palissagel mi haut h palissage bas 1 rebiolage normal 2 rebiolage total Sil y a Combinaison de Codage sp cifique selon le syst me de conduite AH1 variantes repr sent sur la ligne G n ralement une lettre associ e un chiffre ligne Num ro croissant 13 14 15 16 T T 19 20 Sauf pour les lignes T signifiant tampon Pied Nombre entier num rotation par ordre logique 12 13 14 15 selon les cas Table T le codage du syst me d exp rimentation
12. es des si cles par les Grecs les Romains les Egyptiens les H breux C est avec les colonisations grecques 500 puis romaine 200 puis par la suite l av nement de la foie chr tienne suite la naissance de J sus Christ que la culture de la vigne va se r pandre travers l Europe puis le monde Le rite chr tien de l eucharistie renforce cette culture les monast res s entourent d enclos r serv s aux vignobles L art de culture de transformation de vinification se poursuit s toffe et se diversifie C est ainsi que peu apr s J sus Christ un moine Dom Pierre P rignon applique les proc d s de la champagnisation ce qui constitua sans le savoir l av nement des fermentations et des vins p tillants dont le champagne est le plus connu Cependant dans les pays o le vin ne se consomme pas pays arabes Moyen Orient o la loi coranique s exerce la culture de la vigne s tend malgr tout du fait de la simple consommation des raisins et de son jus Le monde entier se voit ensuite imposer la culture de la vigne et ses modes de conduite suite aux diff rentes colonisations Ceci favorise alors une fois de plus des vari t s des identit s uniques qui s appr cient encore aujourd hui c est tout ce qui fait la particularit du vin son unicit 2 2 2 Et maintenant Et maintenant Et bien les temps ont chang Les crit res de productivit simplicit uniformit rendement tentent de
13. quentes des chercheurs C table 16 3 E Requ tes s lection lignes r p tition z parcelle x s lection lignes variante y parcelle x s lection r p tition z de parcelle x s lection r p titions parcelle x s lection variante y de parcelle x s lection variantes parcelle x Figure 15 les six requ tes pr d finies gr ce un script REQUETE SELECTION VARIANTES PARCELLE X select from Base variante where Num ro_parcelle 20 REQUETE SELECTION REPETITIONS PARCELLE X select from Base _repetition where Num ro_parcelle 17 REQUETE SELECTION VARIANTE Y DE PARCELLE X select from Base variante where Num ro_parcelle 20 and Num ro_variante Aa REQUETE SELECTION REPETITION Z DE PARCELLE X select from Base _repetition where Num ro_parcelle 20 and Num ro_r p tition 1 REQUETE SELECTION LIGNES VARIANTE Y PARCELLE X select from Base ligne where Num ro_parcelle 20 and Num ro_variante Aa REQUETE SELECTION LIGNES REPETITION Z PARCELLE X select from Base ligne where Num ro_parcelle 20 and Num ro_variante Aa Table 16 les six scripts r alis s des fins de requ tes selon choix 10 1 3 3 Gr ce des jointures entre tables Une jointure correspond au regroupement des attributs d une table dans Pautre gr ce une relation entre deux attributs semblables On peut ainsi par exemple joindre la table r sultats principaux
14. tre les donn es ant rieures c est dire celles qui ont donn le vin et les donn es post rieures c est dire les donn es de d gustation 11 3 Comment la tra abilit est elle assur e gr ce au SIG Il est n cessaire de rappeler cette tape que le SIG forme un ensemble processus structure et contenu Ainsi le SIG peut assurer la tra abilit grace des outils des fonctions processus gr ce la forme de conception de la base de donn es qu il abrite structure et enfin grace l ensemble des donn es dont il dispose contenu 11 3 1 Tra abilit des donn es d essais La tra abilit des donn es d essais est assur e par le lien entre les identifiants des diff rentes tables th matiques des l ments du syst me d exp rimentation r f renc s Cette r f rence permet de conna tre la position donc la provenance des donn es et ceci m me si l objet n existe plus Conservation de Phistorique Pattribut actif de lOBJET vaut alors non mais OBJET existe bel et bien dans le SIG m me s il nest pas visible l cran et des donn es peuvent toujours s y rattacher Les liens entre tables permettent de passer d un th me un autre Cf 10 2 7 La tra abilit est donc assur e entre tables et g ographie L annexe 16 illustre ces liens 11 3 2 Tra abilit du produit le vin Les bouteilles de d gustation contiennent le vin elles doivent aussi permettrent la tra abi
15. 1 Visualisation des donn es tabulaire Afin d illustrer le passage des donn es brutes au donn es SIG un exemple est donn en annexe 15 Elle illustre les donn es brutes de vendange issues du cahier de vendange de VITIDATA pour un essai de greffage herbac Le choix de saisir les donn es par ligne ou directement par variante est d montr 10 1 2 2 Visualisation des donn es g ographiques et de leur correspondant tabulaire L annexe 16 montre comment faire rapidement les liaisons entre les tables OBJET BASE et ESSAIS afin de consulter et visualiser en m me temps les donn es m me si plusieurs tables diff rentes sont n cessaires 10 1 3 Requ tes 10 1 3 1 A l aide du menu barre se ect L annexe 16 illustre ce menu barre situ dans la barre des t ches du logiciel MANIFOLD Des s lections simples sont possibles aussi bien pour des objets g ographiques que pour des attributs de tables 10 1 3 2 A l aide de scripts de requ tes Les scripts sont d finis 9 7 1 Ici ils jouent le r le de recherche d l ments Ils sont appel s query L utilisateur peut ouvrir le gwery et changer le choix de sa s lection l remplace x y et z par les num ros qu il 72 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 recherche C fig 15 Ces requ tes permettent des s lections plus fines Six scripts ont t r alis s pour r pondre aux questions les plus fr
16. 9 2 2 Importation de l orthophoto 9 2 3 Importation des donn es cartographiques 9 3 STRUCTURE DU PROJET ET DES TABLES DANS MANIFOLD 9 3 1 Hi rarchisation du projet 9 3 2 Structure des tables quelques l ments particuliers 9 4 DIGITALISATION ET CORRECTION DES DONNEES SPATIALES 9 4 1 La digitalisation par rapport l orthophoto et le cadastre 9 4 2 La digitalisation semi topologique 9 4 3 La correction des donn es spatiales 9 5 REPRESENTATION SPATIALE DES DONNEES DANS MANIFOLD 9 5 1 Les objectifs de la repr sentation 9 5 2 Les repr sentations des objets au sein du SIG 9 6 LES RELATIONS ENTRE TABLES 9 6 1 Les relations selon le MLD 9 6 2 Les relations logiques pour les chercheurs 9 7 LES SCRIPTS REALISES ET LEURS ROLES 9 7 1 Qu est ce qu un script 9 7 2 Les scripts de concat nation 9 7 3 Les scripts de calcul de surface 9 7 4 Les scripts de cr ation d ID 9 7 5 Les scripts d affichage des coordonn es 10 ANALYSE EXEMPLES ET SCENARII 10 1 EXEMPLES ET SCENARII 10 1 1 Visualisation g ographique 10 1 2 Visualisation et s lection au niveau des tables 10 1 5 Requ tes 10 1 4 Cartes th matiques 10 1 5 Edition de documents 10 1 6 Outils SIG l exemple du containing 10 1 7 Souplesse du SIG au niveau des donn es d essais 10 1 8 Analyse spatiale 10 2 ANALYSE DE FONCTIONNEMENT APPORTS ET LIMITES 11 NOTION APPARENTEE L
17. Il faut aussi mentionner que l usage de la date ou de l ann e d essai est indispensable afin de ne pas m langer les donn es au fil des ann es Un exemple de localisation pour le recueil de donn es pourrait tre le suivant 92Dh2 pour l ann e 2000 Parcelle 9 r p tition 2 variante Dh2 10 Interligne cartement des rangs ne pas confondre avec l espace intercep qui repr sente l espace entre chaque pied de vigne sur une m me ligne 11 Palissage op ration qui consiste attacher les branches de la vigne un support pour les faire pousser en espalier c est dire superpos es dans un plan verticale 12 Rebiolage op ration qui consiste supprimer les entre c urs dits rebiots Un rebiolage total correspond la suppression de tous les entre c urs alors qu un rebiolage normal consiste la suppression des rebiots uniquement dans la zone des grappes 13 Ligne tampon ligne de pieds de vignes permettant de s parer les essais entre eux En g n ral chaque variante est s par e par une ou plusieurs lignes tampons T 32 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Equivalant Parcelle 9 r p tition 2 variante D palissage h rebiolage 2 Ou bien encore Parcelle 9 r p tition 2 interligne 240 palissage bas rebiolage total La localisation du pied n est pas n cessaire dans la plupart de
18. POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans le m me registre il ne faut pas oublier que le SIG apporte ou peut tre joint des bases de donn es compl mentaires externes apportant leurs petits plus qui deviennent vite n cessaires la centralisation de information ne peut faire que du bien si elle est g rer avec discernement R sum des points importants Le SIG permet d ex cuter beaucoup de t ches communes ordinaires mais nouvelles visualisation consultation recherche interrogation dition impression fonctions Le fonctionnement du SIG r pond aux besoins et attentes des chercheurs il permet de g rer divers domaines de diverses natures par adaptation de sa configuration ou tout simplement par utilisation cibl e des l ments le composant On d montre donc ici la possibilit partir d un m me mod le de g rer des cas similaires Dans ce chapitre La tra abilit en g n rale aujourd hui La tra abilit pour les donn es d essais et le vin produit gr ce au SIG son processus sa structure et son contenu 11 Notion apparent e la tra abilit Il est int ressant pour terminer ce projet de travail pratique de dipl me d aborder la notion de tra abilit En effet ce travail a d montr le potentiel certain d un SIG dans une organisation de recherche et il est maintenant temps de s occuper de la notion de tra abilit de voir comment celle ci s int gre gr ce au SIG 11 1 Qu
19. au territoire pour la majorit d entre elles Plus exactement un SIG syst me d information g ographique ou syst me d information r f rence spatiale SIRS est un ensemble d quipements informatiques de logiciels et de m thodes Il rend possible la saisie la validation le stockage et l exploitation des donn es dont la majorit est spatialement r f renc e Les fonctions associ es permettent la simulation du comportement d un ph nom ne naturel le traitement d informations pour la gestion d une entreprise et Paide la d cision Un SIG fonctionne souvent comme une m moire des informations li es au territoire CALOZ 1994 Le principe d un SIG est de mettre en relation ces informations par le biais d attributs afin d identifier de structurer de simuler et de cartographier des r sultats pour visualiser comprendre et aider 2 1 2 Int r ts principaux d un SIG e Faciliter les tudes et les prises de d cision e Editer des cartes des documents e Conna tre pr cis ment l tat des lieux de l espace g ographique pour clairer en temps r el les r flexions e Croiser des informations g ographiques de tous types dans un r f rentiel g ographique commun pour permettre des analyses et visualiser les ph nom nes e Permettre la superposition de cartographies diff rentes offrant la possibilit de rapprochements de renseignements e Mod liser des ph nom nes pour effectuer des simulati
20. des essais pass s aTa 56 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 ROLES DU SIG AU NIVEAU DES TABLES DE DONNEES UNE IMPLICATION POUR LA MODELISATION FONCTIONS OBJET 0 BASE B ESSAIS E ENTITES PARCELLE BASE PARCELLE SYNTHESE PARCELLAIRE PARCELLE zag REPETITION BASE REPETITION REPETITON PEEN L A VARIANTE BASE VARIANTE DONNEES DE DEGUSTATION VARIANTE 7 DONNEES DE VINIFICATION RESULTATS PRINCIPAUX DE PHYSIOLOGIE PAR VARIANTE RESULTATS PRINCIPAUX DE VENDANGES PAR VARIANTES 1 1 i RESULTATS PRINCIPAUX DE CONTROLES PAR VARIANTES l l l LlL _ _ 1 LIGNE BASELIGNE DONNEES DE CONTROLES LIGNE i T i 1 DONNEES DE VENDANGES i i i 1 1 l 1 DONNEES PHYSIOLOGIQUES i l i 1 D Er E E i PIED BASE PIED PROJET SPECIAL PIED PIED e Les blocs de donn es ont une structure matricielle TABLE DE DONNEES 1 par ENTITE LEGENDE 2 par FONCTION Les entit s sont les l ments du syst me d exp rimentation Les fonctions sont les r les des tables au sein du SIG selon leur contenu Figu
21. donn es r f rence spatiale susceptible d tre exploit pour la gestion du domaine de recherche c est dire se devant d tre adapt au fonctionnement de la station et dans une deuxi me tape de r aliser un prototype pour le stockage structur des informations collect es mais aussi pour leur utilisation appropri e Une attention particuli re doit tre apport e aux points suivants Cerner les attentes des chercheurs en mati re de gestion de donn es e Proposer des applications potentielles de la base de donn es g ographique au domaine e Etendre la r flexion la notion de la tra abilit des produits 1 3 Probl matique La probl matique de mise en uvre d un SIG dans une station de recherche telle que la RVC se r sume aux points particuliers suivants que l on retrouve dans bons nombres d organisations e Multitude de donn es e Grandes vari t s de donn es tr s diversifi es e Multiple gestion et utilisation des donn es e Mobilit des collaborateurs e Plusieurs sites de prospection e Projets tudes temporaires et permanents e Fonctionnement actuel ayant fait ses preuves e Introduction d un SIG en collaboration avec d autres bases de donn es e Besoins et attentes des chercheurs pas bien d finis au regard d un SIG e Ftc 14 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 1 4 Pourquoi un tel travail
22. en va ainsi de la survie des essais et de leur r ussite notamment pour les bilans interannuels Il faut aux chercheurs de la RVC garantir la tra abilit de leurs essais pas simplement de la production la consommation mais chaque tape de la saisie de donn es ainsi qu apr s ces tapes afin de conserver un historique qui leur sera utile pour tablir des conclusions d essais Cf 4 le fonctionnement de la RVC 11 2 Qu est ce que permet la tra abilit L objectif premier de la tra abilit est de pouvoir identifier un produit un lot de produits ou encore un service afin de pouvoir le retirer tr s rapidement et avec un maximum de s curit en cas de non conforrit de danger La tra abilit offre galement l avantage de pouvoir intervenir en amont de la distribution en permettant par exemple de contr ler la qualit du produit depuis l origine des ses mati res premi res Ce qui autorise une nette diminution des co ts de non qualit intervenant traditionnellement sur les produits finis De nombreuses statistiques peuvent ressortir d une tra abilit tr s utile pour un service apr s vente on un service marketing Les flux de mati res premi res de produits finis sont galement mieux identifi s En r sum la tra abilit permet d am liorer la qualit le service et l efficacit globale d une entreprise Tir du site www tracehabil com soci t fran aise sp cialis e dans l identification et la tra abilit
23. er une relation entre deux tables Pursssessnisrenensenennismnsnssnssesiniseneseneninste 74 Figure 17 op ration de jointure d attributs d une table lautre sssssssssssssssrsisrsisrissisirssirsirerrisriseee 74 Figure 18 choix de l attribut de liaison lors d une jointure de table 74 Liste des tableaux Table 1 Les missions de la RVC trois missions essentielles d clin es en tudes sssosososoesssssssssesesesesese 14 Table 2 les notions importantes des SIG et leurs explications sssssssssssssiessirsssrsisrrissrissrissrissrrsrreseesrerssees 18 Table 3 d finitions des principaux termes vititoles ssssssssssssssissrisrissrissrssrssesresressressresrrsreseesseessees 21 Table 4 les principaux c pages incontournables sssssssssssssssssererssersresssesseessrreseesseesreeseesneesseresersseenseesseesees 22 Table 5 la typicit des vins selon leur r gion d abha lanterne 24 Table 6 les niveaux du syst me d exp rimentation leur d signation et leur utilit 31 Table 7 le codage du syst me d exp rimentation sssssssssssesssesisesissriessisrrsssrsrissrrresressrresrrssrresresserereessees 32 Table 8 les donn es de VITIDATA et exemple de codes d essais nr 37 Table 9 les points dangereux du fonctionnement de la RVC leur solution au sein de la station sss 40 Table 10 inventaire des_ blocs de donn es n cessaires au SIG nssesssosososesesessssssososososesesesesesesrsesoseseses
24. es est demand L identification gr ce la date permettra un historique comme c est d j le cas actuellement Ce que Pon entend par gestion signifie plut t pouvoir r aliser les man uvres n cessaires au fonctionnement de l entreprise donc g rer Pentreprise Un exemple typique en mati re de gestion de donn es est de pouvoir r aliser une requ te interroger le syst me afin de retrouver une ancienne donn e afin d laborer un suivi dans le temps 5 4 Besoins attentes de mises en valeur Par mise en valeur on entend ici la cr ation de cartes th matiques selon les demandes dition de documents modernes de diffusion aussi bien de cartes que de listing la repr sentation spatiale de donn es d int r t choisies Il s agit donc bien d un besoin venant se greffer sur les donn es et non pas cr ant des donn es Ceci appara trait utile pour deux choses principales l une est la cr ation de documents de synth ses pour les rapports l autres est la cr ation de documents de travail incidence spatiale Un exemple typique de cartes th matiques pouvant tre cr es est celui des cartes repr sentant les parcelles en fonction de leur enc pagement de leur espace interligne de Penherbement ou de leur entretien effectu dont les traitements subits 5 5 Besoins attentes en traitements Par opposition au terme mise en valeur un traitement de donn es cr e d autres donn es par application d
25. est ce que la tra abilit Tra abilit est un mot nouveau Nous entendons par tra abilit l aptitude retracer l historique l utilisation ou la localisation d une entit au moyen d identifications enregistr es La tra abilit permet de suivre et donc de retrouver un produit ou un service depuis sa cr ation production jusqu sa destruction 80 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 consommation La tra abilit n est pas d finie par une loi mais par une norme savoir la norme internationale ISO 8402 Les prochaines normes laissent d ailleurs entrevoir un futur tout trac Ce mot est la mode actuellement En effet incertitude alimentaire le besoin de savoir d o vient le produit le besoin de poursuivre et d attribuer les responsabilit s en cas de dommage et la pouss e non n gligeable du BIO dans les soci t s modernes poussent les consommateurs toujours en savoir d avantage Ceci se comprend ais ment par les derniers scandales poulet la dioxine vache folle poisson d levage au prix fort bl et mais transg nique vendu pour du biologique et enfin pour ce qui nous concerne plus des mill simes m lang s des vins de table Pour notre projet la tra abilit prend une autre tournure moins alarmante mais se devant d tre pr sente pour assurer le suivi des grappes la bouteille destin e la d gustation Il
26. individualit Le remplacement des bases de donn es existantes n est pas envisag Cf 6 perspectives de d veloppement mais le SIG ne pourra pas par exemple remplir toutes les fonctions apport es par les diff rentes bases de donn es en un seul produit Un syst me automatis comme l est VITIDATA ne peut l tre pour l ensemble des bases de donn es dition de codes barres maintenance dition de cahiers Le SIG prend donc sa force dans o Son pouvoir de centralisation de Pinformation pas r alis e jusqu ici o Ses possibilit s d dition de documents g ographiques Sa gestion de Phistorique o Sa gestion des l ments connexes o Ses apports en nouveaut s Cf 8 6 dont les possibilit s de consultation interannuels et intra inter domaine nouveaut r sultant de la centralisation et de l acc s aux donn es permettant soyons certain d augmenter l apport d informations cibl es sur des essais de m me type Ses limites ne sont que temporaires des solutions doivent tre trouv es ult rieurement pourquoi pas lors d un prochain travail de dipl me Cf 12 2 La difficult des liaisons entre tables qui devraient tre automatis es au sein d une m me th matique fonctionnelle d finir selon les besoins pour permettre aux chercheurs de consulter toutes les donn es ayant faire avec le m me identifiant o L absence de masques de saisie qui devraient permettre la convivial
27. l emporter au profit d une guerre des prix et des march s qui s largissent par la venue de vins trangers appr ci s contrario le business du vin doit r pondre des fins de qualit d image d identit il ne doit pas consid rer l uniformit des vins C est pour cette raison que florissent les labels les appellations d origines contr l es des terroirs Un v ritable combat a lieu Un combat entre les proc d s d uniformisation du monde et les particularit s locales qui sont la cl du vin sans lesquelles le vin ressemblerait de Peau En vue de garantir cette panoplie diversifi e et d en cr er d autres d am liorer l existant de combattre les maladies d am liorer les r sistances la qualit la productivit les crit res gustatifs hygi niques nutritionnels etc des organismes de recherche en production viticole ont vu le jour il y a plus d un si cle Leur exp rimentation vise garantir et comprendre les acquis ancestraux g rer les menaces actuelles et pr voir lavenir d un produit presque vieux comme l Homme civilis 2 2 3 Quelques connaissances utiles 2 2 3 1 Terminologie Voici la table 3 ci dessous quelques d finitions de termes utiles la compr hension du monde du vin de la vigne de la viticulture du vignoble DUBOIS 1996 TERME DEFINITION Cep Pied de vigne 20 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN
28. lang es avec une densit de points Ici deux cartes permettant une analyse spatiale visuelle ont t cr es Il s agit de Cf annexe 22 La r serve hydrique modale RHM crois e avec le poids des bois de taille visuellement donner une interpr tation d une ventuelle relation entre les deux param tres est difficile Dans le 10 1 8 2 suivant nous t cherons d analyser cette ventuelle relation par le calcul d un coefficient de corr lation Ja r serve hydrique modale RHM crois e avec le poids des baies aussi ici donner une interpr tation est difficile ceci pour l entier du domaine Toutefois un zoom sur la parcelle 27 permet de mettre en vidence que les baies sont plus lourdes l o la RHM est plus lev e Cependant cette observation n est que locale est ne peut donc pas tre valid e Un calcul s impose donc pour justifier cette observation que nous pouvons qualifier d hypoth se ce stade 10 1 8 2 Par calcul d un coefficient de corr lation Dans cette partie l analyse entre la r serve hydrique modale RHM et le poids des bois de taille est r alis e math matiquement par calcul d un coefficient de corr lation L annexe 23 met en vidence les r sultats graphiques de la m thode alors que l annexe 24 met en vidence les calculs et le r sultat obtenu L objectif est de rechercher une ventuelle relation entre deux param tres d finis dans l espace Ceci est appel
29. m me essai sont d gust s et class s en groupes par une plusieurs lettres appel s groupes de Duncan Un vin est dit significativement diff rent d un autre lorsque aucune de ses lettres le composant ne se retrouve dans celles d un autre vin Pour les donn es de d gustation le d veloppement d un indice a t r alis et les explications figurent ci dessous On le nomme Id P chelle est cardinale unit en 0 La table 13 relate l explication de lindice de d gustation Id Id se calcule comme Au niveau des groupes de vins nombre de fois que la variante est significativement diff rente de ses coll gues nombre de fois que cette variante peut tre significativement diff rente au maximum 100 On peut dire ceci de la mani re plus simple pour une variante nombre de fois qu elle est diff rente nombre de fois qu elle peut au maximum l tre 100 Un vin est consid r significativement diff rent des autres lorsque les groupes de vins tablis lors de la d gustation ne contiennent pas deux fois la m me lettre Ceci est r alis pour chaque qualificatif faisant appara tre une diff rence significative entre les notes 63 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 attribu es par les d gustateurs Ainsi le nombre de fois qu une variante peut tre significativement diff rente de ses voisines vaut le nombre de
30. petit prog fonction donn e Le script est crit dans le langage de programmation du logiciel On l ex cute par un P gage de progr SIE par recompute dans MANIFOLD ce qui en fait une fonction la demande de Putilisateur Les scripts permettent de r aliser des choses que le logiciel ne fait pas de mani re programm e par d faut Dans le pr sent projet on utilise quatre scripts tr s courts qui aident pour beaucoup dans la conception du prototype notamment au niveau de la cr ation des identifiants 9 7 2 Les scripts de concat nation Une concat nation consiste au regroupement de plusieurs champs en un seul c est en quelque sorte une agglom ration de plusieurs mots la suite s par ou non par des Dans le projet ces scripts servent la table m t o et pour toutes les tables essais Il s agit de concat ner les ID des tables de base avec l ann e d essais pour obtenir un autre ID du type txxrxx xxxx txxrxx ID de la table de base correspondante xxx ann e d essais Cf 8 5 Function concatenation concatenation record data Code variante amp amp record data Ann e End Function 9 7 3 Les scripts de calcul de surface Le calcul de la surface se r alise par un script qui limite la pr cision au m tre Il s exerce sur les parcelles les unit s de sol le domaine afin de donner des indications sur la surface des l ments En revanche il ne
31. pouvoir obtenir un vin de qualit Choix de c page enc pagement clonage greffage entretien taille fumure ponctuent la vie de la vigne puis les vendanges la vinification la mise en cave le suivi la r flexion celle du vigneron Passer de la vigne au vin r sulte d un art Ainsi on parle de la cr ation d un vignoble et non de sa plantation Les tapes sont nombreuses On les regroupe en trois parties principales e la culture de la vigne de la nature aux baies e les vendanges et la vinification des baies au jus e le suivi de l laboration du vin du jus au vin 2 2 3 3 Le vignoble Le vignoble d signe un lieu pr cis une r gion tout au plus Il est le r sultat de Punicit de la vigne et par extension du vin Il d pend e du cycle v g tatif de la vigne elle m me e dela nature et exposition du terrain e dela fa on dont la vigne est conduite C est ainsi que sont n s les grands vins Fran ais pour la plupart la France produit a elle seule le quart de la production mondiale en vin ce qui en fait le premier producteur mondial connus du grand public dont on peut citer 21 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e C te du Rh ne e Bordeaux e Bourgogne e Beaujolais e Champagne e Vin du Jura e Vin d Alsace Ces vins portent le nom de leur r gion respective ils y sont apparent s 2 2 3 4 L enc pageme
32. quence un l ger changement dans l organisation Suite la venue du SIG la mise en place d une strat gie d organisation s impose DESPONDS et al 1999 Ainsi chaque collaborateur devra rentrer ses donn es pour les parcelles tant plac es sous sa responsabilit Cette phase est redondante car ces donn es ont d j t saisies par d autres collaborateurs et ajout es leurs cahiers th matiques respectifs Cependant si chacun fait un peu c est tout le monde qui gagne et qui en retira les avantages utilisation du SIG sera alors possible De plus il faudra d signer un responsable un gestionnaire qui entretiendra le SIG r alisation d une maintenance visant aussi bien au maintient des donn es mais aussi de leur structure 6 5 Cons quence un nouvel outil informatique Le SIG sera un nouvel outil informatique une fois de plus Des consid rations d ordre technique apparaissent donc Le SIG se devra d tre simple souple peu co teux voire avec une interface conviviale et efficace afin de ne pas commettre ni d erreurs ni de perte de temps Les acc s seront les m mes que ceux actuellement en vigueur pour les donn es de la base Access VITIDATA savoir une diff rentiation du mode de connexion selon l usage En d autres termes un usage de consultation traitement devra tre diff renti d un usage d insertion modification de donn es Par la suite l id e est que chaque chercheur di
33. ta donn e d signe l ensemble des informations venant se greffer sur les donn es on dit couramment des donn es sur les donn es Mise jour On dit souvent Tenir jour les donn es c est dire que intervalle de temps r guliers la base de donn es se doit d tre en accord avec la r alit Mod le Il repr sente une simplification d une r alit complexe Ainsi une information d crit un mod le de la r alit Normalisation Les donn es doivent tre norm es afin qu elles soient coh rentes changeables en un mot en harmonie Saisie de donn es Repr sente le fait d acqu rir des donn es attributs et donn es r f renc es Il s agit dans cette tape de remplir la base de donn es SGBD Un syst me de gestion de base de donn es SGBD int gr au SIG est un ensemble de logiciels permettant le stockage la gestion et la r cup ration des donn es contenues dans une base de donn es Le SGBD est le moteur du SIG Table C est un listing contenant des informations rattach es un l ment Technologie raster L espace terrain est divis en pixels auxquels on associe une valeur A 17 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 chaque valeur on associe une valeur de gris de couleur ce qui donne une image le territoire Technologie vecteur Le territoire e
34. 000 SGBD notes de cours polycopi EPFL PYTHOUD K CALOZ R 2001 Etude des terroirs viticoles vaudois rapport d avancement 80p laboratoire de SIG EPFL Lausanne RAC 1996 1997 Rapport d activit station f d rale de recherches en production v g tale Nyon 120p SPACCAPIETRA Stephano 2000 bases de donn es classiques notes de cours polycopi EPFL ZUFFEREY V PHYTHOUD K LETESSIER I FERMOND C 2003 Etude des terroirs viticoles vaudois Comportement de la vigne en fonction des conditions p do climatiques rapport interm diaire 2002 station f d rale de recherches en production v g tales de Changins Nyon 131p ZUFFEREY Vivian 2000 Echanges gazeux des feuilles chez vitis vinifera L CV Chasselas en fonction des param tres climatiques et physiologiques et des modes de conduite de la vigne th se EPFZ N 13777 Zurich 335p Sites Internet Station f d rale en production v g tale www admin ch sar rac De la vigne au vin http users swing be john vignevin index htm 86 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 tra abilit www tracehabil com Pour la partie vigne bibliographie compl mentaire CAMEFORT H amp GAMA A Sciences Naturelles Classiques Hachette 1958 CARMERRERE C MADEVON D amp P Les vins de France nologie et g ographie Nathan 1993 COUDERC P Guide pratique et histor
35. 2 situation de la RVC au niveau de la commune de Pully point de localisation 12 Figure 3 plan des parcelles exp rimentales avec leur num ro du domaine de la RVC avec les locaux 13 Figure 4 r sum sans d tail du fonctionnement de la RVC rennes 29 Figure 5 exemple de plan int rieur Cune parcelle dessai sitter tte 30 Figure 6 exemple de localisation de 92Dh2 sur une parcelle d essai 33 Figure 7 diagramme conceptuel d activit de la RVC Simplifi pour le pr sent travail 35 Figure 8 diagramme de flux de donn es de la RVC Simplifi pour le pr sent travail 36 Figure 9 les besoins attentes au sein de la RVC et les offres produites nn 44 Figure 10 le processus d inventaire et de s lection des donn es leur utilisation et les donn es produites 50 Figure 11 xorthophoto du domaine dela RVC nrnrisorinidiinitiinrin hinini 54 Figure 12 les r les du SIG au niveau de groupes de AONR eS sstnnenmesennesninniessese 55 Figure 13 les r les du SIG au niveau des tables de donn es ssssssssssesssesisesiserisrisrissersrreseeereesressriesresse 57 Figure 14 la cha ne entre tables du syst me d exp rimentation Objet gt gt Base gt gt Essais 61 Figure 15 les six regu tes pr d finies gr ce UN SCPI base NT SR ne PR nn tan etre ent 73 8 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Figure 16 comment cr
36. 355 AB A B 4 01 356 A B C Num ro Code variante Id selon le Id selon le Id selon le Bilan variante Id variante qualificatif qualificatif qualificatif volution fruit finesse 1 01 353 1 9 1 9 2 9 4 9 44 2 01 354 2 9 1 9 1 9 4 9 44 3 01 355 1 9 1 9 2 9 4 9 44 4 01 356 2 9 3 9 3 9 8 9 88 Avec I 3 4 1 gt gt I ressort que la variante 01 356 est plus diff rente de ses coll gues elle se d marque Table 14 exemple de calcul de l indice de d gustation Ld 8 7 2 Indice de vinification Contrairement l indice de d gustation l indice de vinification est bas sur une chelle ordinale Il se rattache la variante et est associ ses coll gues du m me essai au sein de la synth se parcellaire dessai Les chercheurs tablissent un qualificatif binaire permettant de d terminer la qualit le d roulement et l tat de la vinification Les termes propos s sont e Vinification NORMALE signifiant en ordre 64 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e Vinification PROBLEMATIQUE signifiant qu il reste du sucre ou bien qu un go t r duit est pr sent 8 8 Le dictionnaire Le dictionnaire des donn es est P l ment indispensable du SIG Il permet de regrouper Pensemble des d finitions des atttibuts et tables constituant les couches du SIG Il fait aussi appara tre les m ta donn es c est d
37. A TRAC ABILITE 11 1 QU EST CE QUE LA TRA ABILITE 11 2 QU EST CE QUE PERMET LA TRA ABILITE 11 3 COMMENT LA TRA ABILITE EST ELLE ASSUREE GRACE AU SIG 11 3 1 Tra abilit des donn es d essais 11 3 2 Tra abilit du produit le vin 12 CONCLUSION ET PERSPECTIVES 12 1 PERSPECTIVES FUTURES 12 2 ENCOURAGEMENT A POURSUIVRE LE PROJET 12 3 CONCLUSION DU PROJET BIBLIOGRAPHIE AYANT SERVIE CONSIDERABLEMENT POUR CE TRAVAIL SITES INTERNET POUR LA PARTIE VIGNE BIBLIOGRAPHIE COMPLEMENTAIRE TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Que cherchez vous NUMERO DE CHAPITRE CE QUE VOUS Y TROUVEREZ 1 Une introduction g n rale sur le travail et les partenaires 2 Des connaissances sur les SIG et sur le vignoble 3 Une description de la m thode mise en uvre 4 Une description du fonctionnement de la station 5 L valuation des besoins et des attentes des chercheurs 6 Les perspectives de d veloppement du SIG 7 L analyse de l existant les inventaires et les acquisitions 8 La mod lisation et la conception du SIG 9 Le prototypage sur logiciel 10 Des exemples d exploitations utilisations 11 Quelques consid rations sur le tra abilit 12 La conclusion et les perspectives Contenu du CD LE CD ANNEXE AU PRESENT RAPPORT CONTIENT TOUT CE QUI A ETE UTILISE P
38. DOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre Apr s le passage de la r alit la mod lisation au chapitre 8 pr c dent voici le passage de la mod lisation l implantation sur SIG le prototypage Cette tape d crit le syst me exploratoire mis en place qu est le prototype 9 R alisation du prototype SIG 9 1 Choix du logiciel Le logiciel choisi est le logiciel SIG MANIFOLD Ce logiciel a t choisi pour plusieurs raisons O 9 2 La licence d exploitation a un prix modeste d environ 250 US ce qui est abordable pour une organisation de recherche comme la RVC pour quiper au moins un poste informatique Le logiciel dispose d une partie dessin et d une autre partie projet sous forme d explorateur Windows permettant ainsi de conna tre en tout temps la hi rarchisation des donn es au sein du projet La soci t propose de nombreux services et extensions qui peuvent s av rer utiles par la suite De plus la soci t semble tre assez proche de ses utilisateurs ce qui revient une id e de service apr s vente accessible ce qui est toujours agr able Tout le projet tient en un seul fichier extension map inutile de rechercher les couches et de les ouvrir chaque session tout est d j structur et int gr au fichier M thode d importation des donn es dans MANIFOLD 9 2 1 Projection et syst me de coordonn es Afin d tre compatible avec les autres s
39. FACULTE ENVIRONNEMENT NATUREL ARCHITECTURAL ET CONSTRUIT ENAC SECTION SCIENCES ET INGENIERIE DE L ENVIRONNEMENT SSIE ePf a R DES SYSTEMES D INFORMATION GEOGRAPHIQUE OLE p OLYTE HNI QUE FEDERALE DE LAUSANNE D J IN D D A MANN D DA WAT an r INe Se LU S AIDI ANV ZT ODA SAA Conception d un Syst me d information G ographique SIG pour la gestion d un domaine exp rimental Application au domaine exp rimental viticole du Caudoz Pully Suisse Candidat Christophe MERTINA Professeur Fran ois GOLAY Responsable R gis CALOZ Encadrement Karine PYTHOUD En collaboration avec la station f d rale de recherche en production v g tale RAC section viticulture et nologie domaine du Caudoz RVC Pully LAUSANNE f vrier 2004 1 TaSIG EPFL Section SSIE B timent GR CH 1015 Lausanne 2 Station f d rale de Changins RAC Centre viticole du Caudoz CH 1009 PULLY Table des mati res QUE CHERCHEZ VOUS CONTENU DU CD RESUME REMERCIEMENTS LISTE DES ABREVIATIONS LISTE DES FIGURES LISTE DES TABLEAUX LISTE DES ANNEXES 1 INTRODUCTION 1 1 QUEST CE QUE LA STATION FEDERALE DE RECHERCHE VITICOLE DE CAUDOZ RVC 2 OBJECTIF DU TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME 1 3 PROBLEMATIQUE
40. LaSIG encadrement du travail de dipl me M Vivian Zufferey ing nieur agronome au service viticulture nologie de la RAC collaborateur externe en charge du projet M Fran ois Murisier directeur du service viticulture nologie de la RAC directeur externe en charge du projet L ensemble des collaborateurs du LaSIG Pour leur aide aux niveaux informatique et mod lisation L ensemble des collaborateurs de la RVC Pour leur contribution acquisition des donn es TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Liste des abr viations ABREVIATION DESIGNATION DCA Diagramme Conceptuel d Activit DFD Diagramme de Flux de Donn es Id Indice de D gustation ID Identifiant Iv Indice de Vinification LaSIG Laboratoire des Syst mes d Informations G ographiques EPFL MCD Mod le Conceptuel de Donn es MLD Mod le Logique de Donn es RAC station de recherches en production v g tale de Changins Nyons RHM R serve Hydrique Modale RU R serve Utile RVC centre de Recherche Viticole du Caudoz SIG Syst me d Informations G ographique SIRS Syst me d Information R f rence Spatiale synonyme de SIG TPD Travail Pratique de Dipl me Liste des figures Figure 1 situation approximative de la RVC au bord du lac L man VD Suisse sosser 12 Figure
41. OUR REALISER CE TRAVAIL DE DIPLOME DONT Le rapport Word Le prototype SIG et les fichiers utilis s Manifold Les annexes dont le dictionnaire des donn es Word Un dossier contenant divers fichiers et dossiers utilis s pour le pr sent travail Divers La pr sentation Power point D autres documents utiles Divers logiciels TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 R sum La station f d rale de recherche en production v g tale RAC section viticulture et oenologie de Caudoz RVC r alise des exp rimentations tous niveaux sur la vigne mais aussi sur le vin elle tudie influence de certains param tres d terminants sur le vignoble Une multitude essais de tests et d exp riences sont men s chaque ann e et suivis pour une partie d entre elles dans le temps Des conclusions peuvent ainsi tre apport es sur la base d analyses statistiques issues de traitements des donn es Il appara t clairement que les donn es sont nombreuses diversifi es mais aussi tr s h t rog nes non centralis es et surtout non r f renc es au territoire d o pourtant elles proviennent pour la majorit d entre elles Il en d coule une d marche de travail adapt un fonctionnement complexe structur plusieurs niveaux au sein d une m me institution La mise en place d un outil SIG a d j t envisag e mais jamais r alis e Ce travail vise d
42. OZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 2 2 3 8 Q est qui fait la typicit d un vin La typicit d un vin intervient lorsqu un groupe de vins se ressemblent On distingue alors de grandes familles qui sont souvent li es leur r gion de provenance Cf 2 2 3 3 Le vignoble On remarque que le climat intervient de mani re d terminante dans Pexpression des caract res et la typicit des vins La table 5 ci dessous donne quelques informations sur la typicit des vins en fonction de leur grande r gion d appartenance SITE Internet De la vigne au vin Dans les r gions chaudes et ensoleill es la maturit sera lev e les raisins seront alors riches en sucres et peu acides On obtiendra alors des vins chaleureux et cors s dont la typicit s exprimera le mieux dans les vins rouges Dans les r gions plus froides et moins ensoleill es la maturit sera plus faible les raisins seront alors moins riches en sucres et plus acides ils donneront des vins fermes solides et vifs dont les rouges peuvent tre assez tanniques Dans les r gions encore plus froides la limite zone de culture de la vigne la production sera essentiellement une amp gt production de vins blancs secs et nerveux Au del de cette limite climatique le vin obtenu sera tr s acide et l ger en alcool il ne peut alors qu tre exceptionnellement consomm en l tat et doit tre transform c est le cas par exemple des productions r pu
43. SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 C page Plant de vigne cultiv d une certaine mani re il en existe plus de cing mille vari t s dont seulement cinquante int ressent l amateur de vin Pour ce qui est des vari t s europ ennes elles descendent toutes du m me anc tre vitis vinifera G n ralement le plan de vigne doit tre consid r dans sa sp cificit Clone Ensemble lign e d individus issus de la multiplication v g tative d un individu initial Coteau Versant d un plateau d une colline Enc pagement Peuplement d un vignoble Greffage Proc d employ pour reproduire la vigne qui consiste fixer un greffon fragment d un c page que l on d sire reproduire sur un porte greffe Greffe Restauration d un organe par implantation d une portion de tissu emprunt e une autre partie du corps ou un autre sujet Phyllox ra Puceron minuscule parasite des racines de la vigne et son ennemi le plus ravageur Par extension maladie de la vigne due cet insecte Porte greffe Sujet sur lequel on fixe des greffons Sarment Bois de la vigne tige ligneuse et grimpante poussant chaque ann e Vitis vinifera Vari t de vigne sauvage porteuse de raisin pouvant donner du vin Table 3 d finitions des principaux termes viticoles 2 2 3 2 De la vigne au vin La culture de la vigne est une uvre de patience IL faut en effet attendre plusieurs ann es avant de
44. TE SIMPLIFIE DCA Station f d rale de recherche de Pully RVC partenaires ext rieurs objectif RVC recherche viti vinicoles ar le bais d essais projets r colte de donn es structuration D ED Ve 7 RAC ES personnelle traitement comp tences professionnelles collaboration EE ext rieur j retour RAC RVC LEGENDE donn es flux de flux de donn es donn es action ee Figure 7 diagramme conceptuel d activit de la RVC Simplifi pour le pr sent travail 35 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT Diagramme simplifi de Flux de Donn es DFD STATION DE RECHERCHE DE PULLY DOMAINE DU CAUDOZ donn es RAC donn es externes donn es internes _ personnelles diverses donn es publication donn es publi es LEGENDE remarque la lecture du diagramme se fait de haut en bas et de gauche droite comme une lecture traditionnelle ensemble de donn es
45. al seront illustr s ici par les donn es m t o et physiologiques respectivement Une simple description des blocs est fournie Le contenu appara tra dans le dictionnaire des donn es lors de la mod lisation du SIG BLOCS DE DONNEES FORMAT remarque toutes ces donn es sont disponibles en format papier sous forme de cahier ORIGINE SOURCE RESPONSABLE DESCRIPTION DU CONTENU Donn es principales communes et d int r t 1 DE BASE Access Base de donn es VITIDATA fournissant le cahier de vendange RVC Indication des param tres principaux du syst me de conduite 50 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Synth se de diverses bases de donn es Indication des param tres de contr le 2 DE CONTROLE Access Word Excel fournissant le cahier RVC de v g tation au cours des r sultats principaux de la croissance de la des essais viticoles vigne Base de donn es 3 DE VENDANGE Access VITIDATA RVC Indication des donn es fournissant le cahier de de vendange vendange Base de donn es de Indication des donn es 4 DE vinification fournissant de vinification mesur e VINIFICATION Excel K cahier des r sultats RAC au fil du temps de d analyse de maturation vinification fermentation Base de donn es des 5 DE d gustations Indication des donn es D GUSTATION Word
46. annuelles correspondant aux relev s des essais La figure 13 classe les tables de donn es en effectuant cette s paration fonctionnelle On y distingue les cinq entit s du syst me d exp rimentation parcelle r p tition variante ligne pied class s avec leurs trois fonctions num r es ci dessus L ensemble des tables est arrang selon cette matrice ainsi form e Notons que O Il y a cinq tables objets r f renc es correspondant au syst me d exp rimentation qui renseignent sur objet g ographique lui m me Leur correspondent cinq tables tabulaires de donn es de base pluriannuelles correspondant aux donn es de base li es l objet d essais et non plus l objet g ographique Pour chaque entit du syst me d exp rimentation plusieurs tables tabulaires comportant les donn es d essais th matiques annuelles viennent se greffer partir des donn es de base afin de livrer les donn es annuelles d essais Les l ments suivants influencent aussi la conception et le contenu de la base de donn es O O Les requ tes que les chercheurs veulent r aliser La particularit de permettre de r aliser des adaptations d essais en cours d exp rimentation Le probl me spatio temporel prendre en compte Le respect de la structure propos e Le respect du contenu propos Les autres volont s particuli res des chercheurs L affichage des essais en cours d exploitation L archivage
47. arcelle 111 fictive cr e pour d monstration Nous ne pouvons pas illustrer tous les cas de figures recens s mais nous d finissons ci dessous trois grandes cat gories auxquelles appartiennent ces cas Cette souplesse est due rappelons le gr ce la distinction entre les OBJETS de leurs donn es de BASES et de leurs donn es ESSAIS Cf 8 3 Cette distinction a eu lieu lors de la conception du mod le La mod lisation a pris en compte les besoins et attentes des chercheurs en ce sens en voici le r sultat 10 1 7 1 Possibilit d adaptation des essais en cours d exp rimentation Par adaptation des essais en cours d exp rimentation il faut comprendre que le SIG offre la possibilit aux chercheurs de modifier un essai au niveau de ses donn es de base comme il le souhaite Les donn es ESSAIS sont aussi modifi es par l ajout d une ligne la table renvoyant l essai modifi L historique c est dire les informations concernant l essai pr c dent est conserv e Ceci est valable quel que soit lOBJET du syst me d exp rimentation 10 1 7 2 Mobilit spatio temporelle des objets La mobilit spatio temporelle des objets contient la mobilit dans l espace et aussi dans le temps Ceci a impliqu la cr ation d un attribut sur les tables OBJET nomm actif permettant de savoir si POBJET est en cours d essai actuellement ou non Cf 8 3 Si POBJET change alors on a affaire un nouvel objet
48. as sp ciaux existent comme toujours dans ce genre de travaux d exp rimentation Fonctionnement simplifi Le puzzle repr sente L ensemble des combinaisons possibles Dur e de projet Lieu d tude Partag Commun fins Figure 4 r sum sans d tail du fonctionnement de la RVC 4 4 Le plan La station poss de un unique plan papier de ses parcelles d essais L unique possibilit de se rep rer est de faire une photocopie A3 d un plan r alis partir d un extrait cadastral o les parcelles internes ont t trac es la r gle pour les d limiter Cf fig 3 plan du domaine exp rimental de Caudoz Il en est de m me avec des plans int rieurs des parcelles montrant les lignes de vigne et la codification adopt e pour r f rencer les donn es ces plans sont des illustrations de la parcelle r alis s sous Excel ou la main ils servent uniquement se rep rer et prendre quelques notes personnelles Cf fig 5 exemple de plan int rieur de parcelle dessai 4 5 Les cartes Quelques cartes du domaine sont disposition des chercheurs sous forme papier le plus souvent Ce sont par exemple la carte p dologique des lieux la carte de la r serve utile en eau du sol Ces cartes sont r alis es par des bureaux externes mandat s Elles sont imprim es et stock es afin de pouvoir s en servir pour d ventuels travaux notamment des travaux de corr lati
49. ations sa flexibilit le rend pleinement op rationnel condition de toujours conserver le code et la date associ e Ce mode d organisation n est pas unique Ce syst me d exp rimentation peut s appliquer aussi aux autres domaines de recherche fonctionnant selon le m me principe la parcelle d essais la r p tition des essais les variantes tudi es les lignes d exp riences les pieds d tudes 33 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 4 7 La gestion des donn es 4 7 1 Cas g n ral Chaque donn e du domaine est structur e selon son appartenance un th me Pour chaque th me 1l y a dition d un cahier annuel comportant toutes les donn es s y r f rant ce sont des bases de donn es th matiques Donn es de base pour chaque l ment du syst me d exp rimentation Donn es de vinification Donn es de d gustation Donn es de contr le Donn es de vendanges Donn es physiologiques O Oo O O O O O La plupart de ces cahiers sont dit s sur Excel ou Word ils pr sentent les donn es mais aussi des r sultats des bilans ensuite ces cahiers ont la possibilit d tre compar s inter annuellement et inter cahier afin de cr er des bilans et des r sultats principaux Le mode de fonctionnement dit en ind pendance plus haut se justifie par le fait que l acces la consultation la mise en uvre des base
50. au du sol et de profondeur de sol sous forme informatique afin de ne pas alt rer la pr cison e Une orthophoto du domaine pour permettre la digitalisation en compl ment au plan du domaine Cf fig 11 ci dessous Afin de mettre en uvre le SIG la dimension spatiale doit tre acquise Selon quelle pr cision En vertu des besoins et des objectifs des chercheurs la volont d avoir une mise en situation spatiale est dominante De plus pour des raisons conomiques un relev des parcelles est proscrire Ainsi une digitalisation des parcelles selon l orthophoto locale semble tre la m thode la plus simple la plus conomique et surtout la plus fid le la r alit Des retouches locales pourront avoir lieu et alors la pr cision d environ 3 m tres sera atteinte ce qui suffit amplement En effet on pourrait m me penser une structure spatiale purement topologique c est dire un simple agencement de carr s repr sentant des parcelles sur un domaine d limit Cependant si l information g ographique peut tre atteinte facilement pourquoi s en priver L utilisation du SIG n en sera alors que plus fid le ce qui facilite beaucoup de choses et nous restons ainsi en ad quation entre le SIG et le terrain Pour ce qui est des lignes de vigne elles sont acquises selon les plans parcellaires il en est de m me pour les variantes les r p titions et les pieds La position exacte des pieds ne serait pas justifi a
51. besoin est une n cessit alors que une attente est plus consid r e comme un souhait Il est important de signaler que les besoins et attentes donneront naissance une panoplie d offres Cependant il ne faut jamais oublier que loffre cr e le besoin c est dire que lorsque l on a une offre on s interroge on r fl chit et on donne ainsi naissance des besoins suppl mentaires nouveaux auxquels nous n avions pas pens auparavant Ces besoins et attentes peuvent avoir lieu au niveau des donn es consultation visualisation mais aussi au niveau de leur utilisation gestion mise en valeur et traitement MERTINA 20031 La fig 11 r capitule ces besoins 5 1 Besoins attentes en consultations Les donn es tant nombreuses et diversifi es il ressort que la simple consultation de donn es en tant qu information est indispensable Ces informations pourront tre utilis es directement ou bien pour joindre en compl ment un projet Certaines seront r f renc es au domaine d autres non Les donn es consult es devraient tre en premier lieu les donn es d int r t ou et communes On veut dire par l que la consultation pr cise d une donn e cibl e ne devrait pas tre n cessaire mais au contraire une moyenne de donn es g n ralis es serait quant elle indispensable La r f rence au terrain lors de la consultation permettrait de se localiser et d obtenir ainsi des donn es issues d autres parcell
52. btenir un bon niveau de r sistance aux maladies fongiques 2 Adaptation des c pages et porte greffe dans diff rentes situations p doclimatiques suisse Techniques culturales de la vigne 13 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Optimalisation des modes de conduite de la vigne en vue d assurer une production ma tris e et une qualit optimale et de r duire les co ts de production Gestion de l entretien du sol et de la fumure avec pour objectif de proposer des techniques permettant de g rer le stress hydro azot d l enherbement et de garantir la qualit des vins 3 Technologie microbiologie et chimie des vins Mise au point de techniques de vinification avec pour objectif de diversifier les produits viticoles et d am liorer la qualit des vins Testage et s lection de levures et de bact ries en vue d am liorer les fermentations et la qualit des produits Contr le analytique des mo ts et des vins notamment en relation avec l exportation des vins suisses Source Site Internet de la RAC Table 1 Les missions de la RVC trois missions essentielles d clin es en tudes 1 2 Objectif du travail pratique de dipl me L objectif de ce travail de dipl me est de concevoir un syst me d information g ographique SIG permettant la gestion de la RVC Il s agit dans une premi re tape de proposer un mod le de base de
53. chaque base de donn es conserv es par son responsable Pour le futur SIG un dictionnaire descriptif de la base de donn es sera r alis comme il se doit 4 7 8 Sauvegarde et s curit des donn es La s curit des donn es est assur e par des sauvegardes Celles ci sont effectu es quotidiennement par les services en charge au niveau de la conf d ration le gestionnaire Cela revient une garantie de sauvegarde des donn es enregistr es sur les comptes utilisateurs des collaborateurs Il ne va pas sans dire que chaque personne est responsable de ses donn es en dehors des responsabilit s du gestionnaire 4 8 Analyse de ce fonctionnement 4 8 1 Les difficult s consid rer pour le futur SIG dont le probl me spatio temporel Ce mode de fonctionnement comporte quelques difficult s qu il faudra ma triser e Limites de parcelles non fixes selon les essais r alis s ceci repr sente un cas SPATIO TEMPOREL En effet les parcelles peuvent se voir augmenter ou au contraire diminuer de quelques lignes de vignes selon les tudes notamment au niveau de leur nombre de lignes faisant office de tampon lignes T elles peuvent en outre subir toute sorte de transformation selon le bon vouloir des chercheurs pour les besoins de leurs exp rimentations Cette particularit pourra tre surmont e par la s paration de l objet de ses donn es CF 9 r alisation du prototype e R aliser la diff rence entre la parcelle physi
54. ciel SIG il est n cessaire de conna tre les diff rents r les du SIG Ces r les du SIG r pondent aux besoins et attentes des chercheurs Les figures 12 et 13 ci dessous illustrent les r les du SIG au niveau de l ensemble des donn es Au niveau des groupes des donn es fig 12 il est n cessaire de ne pas m langer les th matiques Ainsi il est pr f rable d isoler les donn es d essais des donn es g n rales et des donn es cartographiques Trois groupes de donn es de m me th matique sont donc cr s Le quatri me groupe est celui concernant le domaine Ce dernier donne acc s l ensemble des domaines de recherche ce qui fait du SIG un SIG modulable et extensible l ensemble des stations fonctionnant sur le m me principe C est partir du domaine que les autres groupes de donn es sont atteignables Les noms donn s ces groupes de donn es sont le domaine donn es cartographiques infrastructures et m t orologie et enfin stations de recherche essais Entre ces groupes de donn es reli es l entit centrale domaine des traitements pourront avoir lieu entre les donn es d essais et les donn es cartographiques Ces traitements sont le plus souvent des calculs statistiques r alis s avec le logiciel WIDAS ou des interpr tations purement scientifiques Aussi la jonction des bases de donn es ext rieures doit tre pr vue notamment pour les donn es m t orologiqu
55. coles chimie des vins Un essai repr sente donc la r alisation concr te d une exp rimentation sur une parcelle Il y a toujours un essai par parcelle qui effectue les tests n cessaires pour l tude ou le projet en question L essai est la source de donn es 3 3 4 6 2 Organisation des essais sur les parcelles Nous avons vu que des essais sont r alis s sur des parcelles dites parcelles d essais Ces parcelles d essais sont alors d coup es en une grille qui partitionne le territoire selon plusieurs niveaux elle s adapte aux essais o viennent se rattacher les donn es 30 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Les niveaux constituent chaque fois une partition inclusive du territoire Ceci signifie que la parcelle est d coup e en r p titions qui contiennent plusieurs variantes compos es de lignes elles m mes compos es de pieds La table 5 ci dessous explique l organisation NIVEAU DESIGNATION UTILITE Parcelle Partition du domaine de la RVC Permettre la r alisation d un essai r pondant aux projets R p tition Subdivision d une parcelle en plusieurs parties Permettre une r p tition des variantes de Pessai afin g n ralement 3 ou 4 d obtenir un chantillon statistique repr sentatif des donn es avec absence de biais ou d h t rog n it du terrain d essat Variante ou Repr sente la
56. couche repr sente une cat gorie d informations appartenant la m me th matique Exemple couche de la couverture du sol couche des b timents DFD Le diagramme de flux de donn es montre les relations les chemins les traitements autrement dit le parcours des donn es au sein d une entreprise Dictionnaire Le partage d informations entre de nombreux partenaires exige une approche globale et concert e ce qui implique une r f rence spatiale commune et surtout des d finitions partag es Digitalisation Comme Pon passe d une figure papier une figure num rique raster par le scanner on passe de l image raster la vectorielle par la digitalisation Donn e C est une information pouvant aussi tre spatiale c est dire cartographique Donn e r f renc e C est une donn e li e au territoire elle dispose donc de coordonn es Donn e r f rentielle C est une donn e laquelle d autres int ress s que le g rant rattachent des informations Echelle Elle indique le degr de d tail de repr sentation de l information spatiale MCD MOD signifie Mod le Conceptuel de Donn es d crit les composantes les objets et leurs liaisons de la r alit qui seront trait es par le syst me ind pendamment des aspects logiciels et mat riels Ce mod le sert de fondement la conception d une base de donn es M ta donn e Une m
57. de vendange par variante Cf Fig 16 les attributs D grappage Poids_grappes Poids_bates Poids_bois_taille Pourriture_raisin Fertilit de la table r sultats principaux donn es de contr le par variante Cf Fig 17 par le biais de leur num ro dessai Num ro_essai Cf Fig 18 73 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 ai Manifold System RYC Figure 17 op ration de jointure d attributs d une table l autre File Edit view MESE Tools Window Help mi DH Open Drawing Open Script dd Address Match BP Design Match key fields in Name fe IR_brix P_foliaire K_foliaire Mg_foliaire STF Relink Unilink pH Acidit _totale Acidit _tartrique Index_foliaire Acidit _malique Poids_rognage Indice_formol Longueur_rameaux Remarque Remarque Num ro_essai Num ro_essai Figure 16 comment cr er une relation entre deux tables Relations x Figure 18 choix de l attribut de liaison lors d une jointure e ARRE de tabie _ Relation p pe FNum ro_essai R SULTATS PRINCIPAUX donn es de contr Column M D grappage Poids_grappes FM poids_baies F1 Poids_bois_taille Pourriture_raisin M Fertilit C N_tester Mert 10 1 4 Cartes th matiques Une carte th matique est une carte r unissant des donn es par sujets identique
58. e fonctions Un traitement peut tre d appliquer une moyenne sur un chantillon de donn es semblables Pour ce qui est de la RVC les traitements proprement dits sont r alis s gr ce des logiciels pr cis et d finis pour l ensemble des stations de recherche f d rale Exemple du programme statistique WIDAS Ainsi les chercheurs souhaiteraient effectuer des traitements sous forme d analyse spatiale jusque l impossible sous cette forme plut t que d avoir acc s des fonctions existant d j avec des logiciels communs La recherche de corr lation entre la r serve hydrique modale et le poids des bois de taille en est un exemple voir 10 1 8 Les exemples restent encore d finir plus pr cis ment en fonction de loffre du futur SIG et des projets pour lesquels une analyse spatiale sera la bien venue Toutefois on peut citer l exemple d analyses de corr lation d un param tre en fonction des cartes th matiques cr es et des cartes spatiales de base comme la p dologie des lieux 5 6 Besoins attentes non formul s Ne sont pas formul s les besoins en terme d applications sp ciales On entend par l la mod lisation adjonction de modules suppl mentaires pour la r alisation d applications pr cises ou encore la composante 3 D Nous restons ainsi dans le cas d un logiciel SIG standard 43 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT CHRISTOPHE MERTINA FEVRIER 2004 Les ch
59. e optimale les diff rents supports informatiques utiliser pour Pimplantation du SIG Le MCD utilise un formalisme c est dire une fa on connue cod e de repr sentation des donn es Le formalisme choisi est le formalisme entit relation Il est compos des l ments suivants e Des entit s e Des relations e Des attributs dont des identifiants e Des cardinalit s Le mod le entit _ relation est expliqu la table 12 ci dessous Les donn es sont structur es sous forme de tables entit s rectangles reli es entre elles par des relations Le nom des tables figure dans la partie haute de chaque rectangle Les attributs sont list s dans le corps du rectangle ils repr sentent les informations se rapportant la table Les attributs soulign s sont des identifiants c est dire les attributs permettant de retrouver un objet de la table gr ce son unicit devant tre garantie Chaque table a une r f rence g ographique illustr e par un ic ne dans le coin droit des entit s point pour ponctuel ligne pour lin aire et surface pour surfacique correspondant une couche dans le SIG c est dire un ensemble spatial d objets g ographiques appartenant une m me th matique PYTHOUD CALOZ 2001 Table 12 description du mod le entit relation Le MCD est d crit 8 3 Il a t r alis gr ce au logiciel outil case POWER AMC 7 et mis au p
60. echerche r f renc e Son extensibilit d autres domaines font de ce projet un projet qui m rite d tre poursuivi afin de montrer aussi bien la g n ralisation de loutil SIG que son application aux autres institutions fonctionnant selon le m me sch ma 84 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Ces institutions peuvent aussi bien tre des organisations de recherche que des vignerons des vignobles ou des grandes caves Les extensions sont multiples et les apports peuvent avoir des implications importantes voire grandissimes 12 3 Conclusion du projet Apr s avoir suivi une d marche traditionnelle pour le monde des SIG les objectifs fix s sont atteints Le pr sent rapport assorti de ses annexes permet une bonne compr hension de la probl matique et expose la r solution mise en uvre Cette r solution n est pas unique elle s inspire des m thodes et des outils disposition elle s est voulue simple extensible et modulable afin de r aliser un SIG souple et flexible r pondant aux besoins et attentes des chercheurs utilisant le plus possible les donn es et les structures en place La mod lisation du probl me a permis de dissocier les OBJETS de leurs attributs de permettre la mobilit spatio temporelle des l ments du syst me d exp rimentation ainsi que de r pondre aux volont s des chercheurs et de leurs essais Les deux princi
61. elles La volont de rester proche de P tat actuel de fonctionnement cette id e d j d velopp e 6 1 et 6 2 permet au SIG de ne pas tre quelque chose de tout neuf mais plut t de compl mentaire sur une base connue La simplicit de retrouver les l ments d une part grace la partition du territoire qui cr e Pindividualit d un objet lorsque celui ci est inclus dans un autre et autre part par des identifiants qui respectent la codification actuelle Ainsi il n est pas introduit d identifiant tout nouveau afin de ne pas troubler la r flexion qui se veut simple et d ductive allant du g n ral au particulier Un exemple trouver la ligne num ro 89764 n aurait pas eu de sens mais trouver la ligne 4 de la variante G de la parcelle 6 sur le domaine de Caudoz n est pas difficile on peut la trouver soit m me Les ci dessous donnent une br ve description des entit s et des relations du MCD le dictionnaire des donn es tant toutefois la r f rence 8 3 2 Les entit s L entit domaine est l entit centrale du MCD C est partir elle que toutes les autres entit s sont reli es ceci pour la simple raison que le SIG se doit d tre modulable et extensible aux autres stations de recherche L entit comporte quelques informations br ves son identifiant lui est propre le nom du domaine et son abr viation apparaissent aussi Son r le est central elle est le c ur de la base de donn es
62. enions en compte ou non CONCLUSION l chantillonnage est la cause principale de cet cart entre coefficient de corr lation Un chantillonnage par surface de variante individuelle doit tre pris en compte afin d obtenir une population plus repr sentative d un ph nom ne tr s local Malgr tout le SIG montre sa r elle potentialit si chantillonnage est en ad quation avec ce qu il repr sente alors la corr lation est v ritablement illustr e et d montr e Les perspectives sont nombreuses notamment dans les situations comme celle ci o P chantillonnage ponctuel co te cher et prend beaucoup de temps 78 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 10 2 Analyse de fonctionnement apports et limites En se reportant la figure 9 du 5 qui tra ait le bilan de l valuation des besoins des chercheurs on peut dire que le SIG a accomplit sa mission De nouveaux besoins risquent de voir le jour En effet l apport d une nouvelle technologie cr e des besoins on dit commun ment offre cr e la demande Ceci est vrai pour l dition de documents la r alisation des cartes th matiques Pour ce qui est le la base de donn es elle m me elle doit faire ses preuves au sein de l entreprise dans des conditions d exploitation r elles Le SIG n apporte cependant pas une r ponse tous les d tails qui existent et qui font de chaque entreprise une
63. ercheurs ne souhaiteraient pas qu il y ait redondance totale entre les diff rentes bases de donn es Ainsi le futur SIG se devrait d tre principalement une porte d entr e la dimension BESOINS CONSULTATION VISUALISATION GESTION MISE EN VALEUR TRAITEMENT spatiale absente actuellement OFFRES Acc s linformation simple Acc s la dimension spatiale Augmentation fonctionnement entreprise Cr ation de documents g ographiques et de listing Fonctions d analyses spatiales principalement EXEMPLES Consultation des donn es de base c page plantation Visualisation des plans du domaine et des parcelles dessai Visualisation des couches d informations R alisation d interrogations sur les donn es de vendange Publication de cartes th matiques et de listes associ es Analyse de corr lation entre diff rentes couches Figure 9 les besoins attentes au sein de la RVC et les offres produites R sum des points importants Les besoins et attentes des chercheurs en mati re de gestion de donn es n cessaires au fonctionnement de l entreprise sont traditionnels pour les SIG Toutefois les chercheurs 44 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 ne souhaitent pas avoir une redondance totale des donn es avec les bases th matiques La fonction spatiale doit tre prioritaire pour des do
64. ermet de g rer Paffichage l cran en ne montrant que les objets o cet attribut vaut oui les attributs ann e d but objet et ann e fin objet permettent de conna tre la dur e de vie de l objet et par la m me occasion de r aliser des requ tes afin de retrouver des objets ayant exist s par le pass un nouvel objet tant cr e apr s une p riode d interruption enfin le num ro courant utilis par les chercheurs est joint partir de la table de base correspondante Ces quelques attributs de chaque table OBJET permettent de retrouver des objets de visualiser les objets coutants et de r aliser un historique spatio temporel 67 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 o Pour les tables BASE on trouve les attributs valables pluri annuellement concernant les donn es de base relatives l objet durant une certaine p riode il y a donc distinction entre les dur es de vie de objet et de Pessai ceci permet la flexibilit du syst me envers les donn es et leur lien g ographique toute donn e tant toujours r f renc e directement ou par liaison laide des identifiants l identifiant automatiquement g n r de ces tables tant appel code et non ID o Les tables ESSAIS elles n ont rien de sp cial si ce n est la g n ration automatique d un ID dat permettant d identifier chaque ligne de la table permettant l au
65. ers au sein de chaque chercheur Communication Am liorer le p le communication en utilisant des supports modernes de diffusion cr er encore une fois acc s au terrain par des cartes th matiques illustrant les projets les conclusions Diffusion sous d autres formes r alisation avec d autres logiciels sous d autres formes tableur graphiques mais r el besoin d acc s au domaine Table 9 les points dangereux du fonctionnement de la RVC leur solution au sein de la station 40 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 On remarque que le fonctionnement actuel n est tout simplement pas adapt une gestion commune des donn es il y a chaque fois une parade adapt e qui contourne les points dangereux pour les SIG D ailleurs cette gestion commune des donn es est elle possible par un SIG pour une entreprise si complexe En effet ce mode de fonctionnement est au contraire parfait pour des personnes travaillant en ind pendance partir de donn es regroup es par th me ce qui est le cas Cependant notre r le n est pas de chambouler une organisation et un mode de fonctionnement acquis mais nous nous devons de remarquer les dysfonctionnements les probl mes de mani re en tenir compte lors de la mise en uvre du SIG qui se devra d tre adapt la situation et r pondant aux besoins et attentes
66. es valeurs de RHM sur le domaine Particularit des terres de Pully ces terres constituent des bonnes r serves en eau qui conduisent des poids de grappe et des poids de bois de taille importants 77 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Oo Petit domaine exploratoire la surface utilis e pour tudier la corr lation ne constitue pas une surface exploratoire assez importante elle n est en plus que l g rement vari e o Echantilonnage faible chantillonnage des unit s de RHM est pr cis une dizaine de m tres environ et les valeurs des poids de bois de taille ont t relev es par r p tition ce qui constitue des moyennes par zones Nous sommes ainsi dans une situation non vidente o le calcul d un coefficient de corr lation apportera un aspect math matique PRECAUTION PRENDRE les deux param tres doivent tre coh rents ensemble C est dire que les param tres doivent pouvoir tre analys s ensemble dans des conditions homog nes et identiques sur toute la surface d tude commune Dans notre cas nous devons tre attentifs cette pr caution En effet le syst me d exp rimentation conduit la r alisation d essais diff rents sur chaque parcelle o les m mes param tres attributs sont relev s pour chaque essai Il est donc faux de rechercher une corr lation entre param tres homologues mais provenant de conditio
67. es d essais permettant acc s aux donn es de coll gues Un exemple typique de consultation attendu est celui des donn es de base date de plantation surface de la parcelle nombre de ceps type de c page etc 5 2 Besoins attentes en visualisations N ayant pas de plans corrects disposition le SIG devrait permettre d diter des plans du domaine mais aussi des parcelles voire des zooms plus pr cis Ceci pour l unique besoin de visualisation et de 15 R alis suite des entretiens 42 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 prise de notes personnelles de discussions interactives de rep rage pour les invit s et les stagiaires et de guide de travail pour les ouvriers La composante est donc indispensable On retiendra aussi l ensemble des couches sous forme de cartes telles que la carte p dologique la carte des paisseurs de sol venir la carte des teneurs en eau du sol qui repr sente des sources d informations spatiales Un exemple typique de visualisation est de pouvoir consulter n importe quel plan de parcelle rapidement de pouvoir l diter et localiser un endroit L introduction de labels devrait permettre de localiser les objets rapidement 5 3 Besoins attentes en gestions fonctionnements Avoir acc s aux fonctions classiques des bases de donn es requ tes gestion du temps conservation archivage des donn
68. es donn es sont stables Une fois relev es elles restent fixes Ceci est d au fait que ces donn es sont dat es 1l y a donc notion d historique Mais attention il y a juste mise jour lorsque l essai parcellaire change il y a alors naissance d une nouvelle parcelle d essais la place de Pancienne Toutefois les donn es non relatives aux essais suivent une mise jour classique lorsqu une donn e n est plus d actualit on Pefface et on la remplace par la nouvelle valable C est le cas pour les donn es g n rales administratives 4 7 6 Historique et tra abilit La gestion de l historique est assur e par la date souvent remplac e par l ann e d essai La tra abilit voir ce sujet le 10 concerne le suivi d un l ment de son lieu de production son lieu de consommation Ici de la vigne la bouteille de vin Afin de permettre cette tra abilit il y a des codes ou identifiants diff rents selon chaque base de donn es th matiques et donc aussi selon chaque chercheur pour les donn es personnelles qui permettent de remonter les informations Ceci se r alise par le titre de l essai et le nom du domaine que chaque chercheur conna t et retrouve Il n y a pas d harmonie entre codification des diff rentes bases de donn es th matiques Le futur SIG ne devrait apporter plus qu un seul code l identifiant unique de l l ment dessai Le SIG devra regrouper ces diff rents c
69. es et administratives mais n est pas envisag e pour le pr sent travail de dipl me 54 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT ROLES DU SIG AU NIVEAU DES GROUPES DE DONNEES UNE IMPLICATION POUR LA MODELISATION DOMAINE 1 METEO A INFORMATIONS GENERALES DONNEES D ESSAIS TRAITEMENTS FEVRIER 2004 ADMINISTRATION DONNEES CARTOGRAPHIQUES LEGENDE th me de donn es acc s aux th mes ou aux liens externes P N traitements o al bd acc s aux lien externe Figure 12 les r les du SIG au niveau de groupes de donn es 55 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Pour ce qui est des blocs de donn es C 7 2 et table 10 Il est important de pouvoir distinguer les fonctions des diff rents blocs Ces fonctions sont O Fonction dobjet g ographique afin de dissocier l objet g ographique de l objet d essais pour permettre la mobilit spatio temporelle des objets Fonction de donn es de donn es de base afin d informer sur les donn es dites de base fixes durant plusieurs ann es pour le m me objet d essais Fonction de donn es d essais afin d informer sur les donn es
70. eseses 52 Table 11 inventaire des donn es existantes mais non n cessaires au SIG 52 Table 12 description du mod le entit relation num an etes 58 Table 13 description du mode de calcul de l indice de d gustation Id 64 Table 14 exemple de calcul de l indice de d gustation 10 tn RS 64 Table 15 la repr sentation des objets des couches au sein du SIG sn nettes 69 Table 16 les six scripts r alis s des fins de requ tes selon thoiX ssssssssssssssrsssesssesisrissressrisssrsrrssenseeseens 73 Liste des annexes NUMERO TITRE 1 Dictionnaire des donn es 2 Manuel d utilisation simplifi du SIG 3 Principe de lecture des codes des unit s de sol 4 Structure g n rale du Mod le Conceptuel de Donn es MCD 5 Mod le conceptuel des donn es 6 Mod le Logique des Donn es MLD 7 Hi rarchisation du projet sous MANIFOLD 8 Les tables OBJETS BASES et ESSAIS 9 Quelques illustrations des r sultats de la digitalisation TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 10 La repr sentation objets au sein du SIG 11 M thode de digitalisation des l ments du syst me d exp rimentation 12 Visualisation des l ments du syst me d exp rimentation pour la parcelle 9 13 Visualisation des l ments du syst me d exp rimentation pour la parcelle 17 14 Visual
71. eur hydromorphie roche m re Son r le est principalement triple la fois de permettre l acc s aux informations cartographiques d autre part de permettre l dition de cartes illustratives et de cartes th matiques et pour finir d tre le support de base de traitements et d analyses spatiales L unit de sol repr sente le plus petit ensemble zonal ayant des caract ristiques identiques sur un ensemble de param tres d finis Autrement dit il suffit d un seul param tre diff rent pour conduire la g n ration d une autre unit Ces unit s de sol ont t d finies par une entreprise sp cialis e en p dologie La table se compose de codes pour chaque param tre suivis de leur signification afin de ne pas avoir recours la d codification en tout temps mais aussi de permettre d inscrire la valeur effective du param tre et non sa classe d appartenance L annexe 3 donne la d codification des unit s de sol Reste noter que ces unit s son identifi es par une tiquette se basant sur les param tres essentiels d crivant objectivement d unit Un identifiant unique est joint chaque unit ID e Enfin la plus grande partie des donn es fait partie du groupe station de recherche donn es d essais Les cinq entit s composant ce groupe sont les l ments du syst me d exp rimentation d crit 4 6 Ce sont la parcelle la variante la r p tition la ligne et enfin le pied Ils repr sentent ici u
72. fournissant le cahier RAC de d gustation annuelle des r sultats de des vins d gustations Indication des param tres ext rieurs 6 EXTERNES Rapport de Done Le x conduite de la vigne exemple Internet m t orologie et RAC ni nr mais ayant une m t orologique semblable importance pour ce travail param tres climatiques 7 PROJET SPECIAL Indication des Base de donn es Le chercheur param tres d int r t Excel i Exemple de la personnelles responsable de projet selon le projet pour physiologie nous la physiologie 8 PROJET SPECIAL Exemple non disponible Non disponible actuellement mais envisag Donn es spatiales Base de donn es Plans de situation du PLANS RVC Papier ou Excel RVC domaine et de P ersonnelles pers Pint rieur des parcelles Cartes diverses en CARTES DE BUREAUX Papier Base de donn es RVC ee avec D TUDE personnelles environnement du domaine DE REPERAGE DE Papi Cartes nationales et RVC Utilisation e reperao BASE cadastrales 51 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Table 10 inventaire des blocs de donn es n cessaires au SIG 7 3 Les donn es non n cessaires au SIG et pourquoi Comme il y a t signal au 7 1 la m thode d inventaire des donn es se passe en trois temps Ici la table 11 illustre les donn es existantes in
73. futures Pour l implantation du SIG au sein de la RVC les tapes suivantes sont pr voir e Digitalisation compl te des l ments du syst me d exp rimentation Validation du mod le mis en place discussion quant des changements de vision du probl me Adaptation fonctionnelle du prototype la station de recherche Construction de masques de saisie afin de rendre plus conviviale le syst me Programmation des consultations les plus courantes Maintenance du syst me Formation des collaborateurs Le prototype r alis constitue un premier pas largement d grossit mais pas encore parfait comme pourrait le faire un professionnel de la chose Il faut donc mon avis continuer ce projet l am liorer augmenter ses capacit s et ses ouvertures Cf suivant Le 6 revient plus amplement sur les perspectives future du SIG son mode de conception s en inspire et le r sultat est concluant Toutefois la navigation au sein des tables notamment entre identifiants doit tre am lior e afin d tre d une utilisation plus directe ceci pourra peut tre exister sous forme de masques de saisie de cr ation de tables pour d autres services fonctionnant selon le m me sch ma conceptuel et de consultation Ceci est le point le plus critique du prototype r alis 12 2 Encouragement poursuivre le projet En plus d avoir t un projet int ressant ce projet est porteur En effet il s immerge dans la R
74. hapitre L organisation g n rale de la station de recherche Des explications concernant le processus de r alisation des essais le syst me exp rimentation Le mode de gestion des donn es R flexion et analyse de ce fonctionnement 4 Description du fonctionnement actuel la RVC On d crit ici le fonctionnement actuel de la RVC RAC 1996 MERTINA 2003 celui ci est adapt la situation et la place de la RVC au sein de la RAC On rappelle que la RVC r alise des essais sur les modes de conduite de la vigne elle ne r alise pas en principe d essais phytosanitaires 4 1 Les projets Les diff rents projets ou tudes men s la RVC sont des essais consult un exemple de travaux ZUFFEREY 2000 Ces essais sont de deux types o Les essais permanents Oo Les essais temporaires Les essais permanents sont des projets long terme suivis dans le temps au fil des ann es Ils permettent le suivi de la vigne au niveau de ses param tres les plus essentiels afin de conna tre et d tablir par l une base de donn es de sa vie Leur utilisation des fins statistiques est majeure surtout en statistique temporelle L exemple le plus simple et le plus courant est celui du suivi de la production en jus de raisin au fil des ann es Les essais temporaires sont des projets de court terme durant le temps de exp rimentation et du recueil des donn es cibl es En effet ces projets sont cibl s dans le se
75. ig 3 plan du domaine Les autres donn es peuvent venir d un lieu d exp rimentation externe le plus souvent d autres stations f d rales L ensemble des donn es relev es n est pas r f renc spatialement au terrain Autrement dit les donn es viennent du territoire qui est en occurrence l ensemble des parcelles d essais mais sans possibilit de les visualiser Ces donn es sont alors li es au territoire par des identifiants permettant de retrouver leur lieu de provenance Un code est donc en place afin de retrouver le lieu tel code tel lieu Cependant on note imm diatement la difficult pour un chercheur nouveau de se retrouver rapidement dans tous ces lieux id e de rattacher visuellement ces donn es au terrain est n e il serait alors plus facile de se rep rer n oublions pas que le cerveau m morise bien plus facilement des donn es visuelles que des donn es dites cod es 8 INRA Si ge 147 rue de l Universit 75338 Paris Cedex 07 France 9 Un code est un syst me de symboles abr g par rapport au langage ordinaire repr sentant une information ici une localisation sur le terrain 28 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 La figure 4 ci dessous r sume le fonctionnement simplifi de la RVC Une partie seulement des cas de figure est abord e car des combinaisons de cas peuvent avoir lieu et des c
76. il faut le traduire en une forme permettant sa compr hension afin de pouvoir Pimplanter physiquement par la suite dans le logiciel choisi Nous ne d veloppons pas ici les r gles qui r gissent cette traduction Toutefois il est important de signaler que les cardinalit s 1 1 pr sentes au niveau de chaque relation du MCD permettent de ne pas cr er de tables suppl mentaires issues de relations autres cardinalit s Ainsi les tables sont celles des entit s sans tables de relation interm diaires Les identifiants constituent un moyen unique de rep rage Ils s ajoutent aux tables entit s afin de permettre le suivi des relations sans que des tables relations soient cr es Le MLD figure annexe 6 8 5 Les identifiants Ce paragraphe a pour but d expliquer les identifiants choisis pour chaque table de m me fonction et pourquoi o Les tables OBJETS font toutes intervenir un ID c est dire un identifiant unique pour toute la base de donn es Cette ID est le r sultat d un num ro automatique 16 MLD Mod le Logique des Donn es 61 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 o Les tables BASES comportent un code_nom de l objet auquel se rattache les donn es de base sous la forme txxrxxx x et y tant des chiffres Ceci signifie table xxx record yyy unique pour toute la base de donn es On peut ainsi multiplier les donn es de base pour le m me
77. ique des vins de France Le pr aux clercs 1984 ENJALBERT H amp B L histoire de la vigne et du vin Bordas Edition Bardi 1987 FOULONNEAU C Guide pratique de la vinification Armand Collin collection verte 1991 FREYDIGER J amp GERVER F Les vins Edition Saud 1972 FRIBOURG G amp SARFATI C La d gustation Conna tre et comprendre le vin Edisud collection de l universit du vin 1989 GAUTIER J F Histoire du vin Presse universitaire de France collection Que sais je 1992 NAVARRE J P amp C Manuel d nologie Edition J B Bailli re collection d enseignement agricole 1979 RIBEREAU GAYON J amp P PEYNAND E amp SUDRAND P Sciences et techniques du vin Tome 1 Edition Dumod 1972 Christophe MERTINA gt Lausanne f vrier 2004 87
78. ire les donn es sur les donn es pr sentes en tant qu attributs dans le SIG Le dictionnaire annex est complet Il repr sente une r f rence de base pour le SIG Les utilisateurs devront le conserver leurs c t s afin d utiliser correctement le SIG de comprendre sa structure et son mode de fonctionnement On peut dire aussi que la visualisation du MCD aide la compr hension sans apporter les l ments introduits par le dictionnaire Le dictionnaire figure en annexe 1 Les m ta donn es surchargent la base et cr ent une redondance elles ne sont pas directement utilis es mais plut t d int r t second particulier Leur connaissance est indispensable et sauve bien des situations Exemple la m thode utilis e pour la r colte de donn es physiologiques ne figure pas dans les donn es directement ce n est pas un attribut mais elle devrait figurer dans les m ta donn es afin de comprendre ce qu a fait la personne en charge de la saisie qui n est pas forc ment celle qui analysera les donn es Il faut signaler les donn es sur les donn es mais ne pas rentrer pour autant dans les d tails R sum des points importants L ensemble des tapes de la mod lisation a t r alis e de mani re laisser une grande souplesse et adaptation du SIG afin de r pondre la plus grande partie des demandes tout en restant assez simple et intuitif 65 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAU
79. isation des abels 15 Passage des donn es brutes aux donn es tabulaires au sein du SIG 16 Requ tes s lections et liens entre tables OBJET BASE ESSAIS 17 Exemples de cartes th matiques 18 Plan du domaine exp rimental de Pully r alis par le SIG 19 Exemples de listing des donn es 20 Exemples de zyout 21 Illustration de l outil containing 22 Exemples d analyses spatiales visuelles 23 Illustration de la r alisation d une analyse spatiale et spatial overlay 24 Analyse spatiale entre la RHM et le poids des bois de taille 25 Exportation de donn es tabulaire vers EXCEL 26 Illustration de la flexibilit et souplesse du SIG envers les donn es d essais gr ce la parcelle 111 fictive 10 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre Description sommaire localisation missions du mandataire la RVC Les objectifs du travail et la probl matique associ e Pourquoi un tel travail Les tapes du d roulement du travail 1 Introduction 1 1 Qu est ce que la station f d rale de recherche viticole de Caudoz RVC Situ e sur la commune de Pully Cf fig 1 et 2 localisation de la RVC la RVC r alise des recherches sur le vignoble Ces travaux sont en troite collaboration avec 4 station f d rale de recherche en production v g tale de Changins RAC pr s de Nyon dont elle est une section parmi tan
80. isir les donn es ligne par ligne ou bien directement par variante ce qui est beaucoup plus rapide et qui correspond mieux a la situation actuelle Ainsi les tables entour es de point s de la figure 13 sont regroup es car elles contiennent les m mes attributs Toutefois on ne retrouve la structure identique de la base de donn es VITIDATA que si il n y a qu une seule ligne par variante pour chaque r p tition Le lecteur r fl chira sur cette phrase elle permet de saisir correctement Pesprit de conception et les chercheurs Pesprit de classement ce qu ils appellent commun ment une r p tition devient ici une variante dans une r p tition Ensuite des variantes aux parcelles une interpr tation libre est possible par les chercheurs Elle permet de faire un bilan par essai donc par parcelle sur les diff rentes variantes composant lessat La r p tition ne comporte pas beaucoup d informations car on rappelle que son unique r le est de 60 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 permettre le brassage statistique des donn es afin d obtenir un chantillon repr sentatif pouvant d ailleurs tre moyenn sous cette condition Le r le fondamental de ce groupe de donn es est de permettre la r colte des informations aux diff rents niveaux du syst me d exp rimentation de les synth tiser automatiquement l o on le souhaite et enfin d
81. issent dans des couleurs diff rentes sans overlap afin de pouvoir les distinguer Le ton des couleurs est terne 10 1 1 3 Des l ments du syst me d exp rimentation Les l ments du syst me d exp rimentation ont t mis en vidence au 9 4 et 9 5 ainsi que dans l annexe 9 o l on visualise la structure de ces l ments formant une partition du territoire On rappelle que ces l ments sont digitalis s de fa on ce que aucun l ment n en cache un autre L annexe 12 pr sente la parcelle 9 l annexe 13 la parcelle 17 10 1 1 4 Cr ation de labels Les labels sont des attributs stock s dans des tables qui apparaissent sur leurs l ments g ographiques respectifs Ceci permet d avoir une tiquette sur les objets dont on d sire conna tre le nom ou un renseignement L annexe 14 illustre ces labels Ils ont t cr s sur tous les l ments du syst me d exp rimentation et permettent ainsi aux chercheurs de se retrouver Les couleurs ont aussi ce r le chaque l ment n a pas son label surtout si l objet est dissoci comme les variantes par exemple Ceci vite une surcharge graphique 10 1 2 Visualisation et s lection au niveau des tables NOTE LES DONNEES ONT ETE INTRODUITES DE MANIERE LA PLUS FIDELE POSSIBLE POUR L ANNEE 2001 TOUTEFOIS CERTAINES D ENTRES ELLES S INSPIRENT DE LA REALITE AFIN DE POUVOIR ILLUSTRER LES DONNEES MANQUANTES POUR CAUSE DE PIQURE ACETIQUE 10 1 2
82. it du syst me encore plus qu il ne Pait actuellement La difficult de r aliser une analyse spatiale avec ce logiciel qui devrait tre programmer si cela est possible afin de rendre la manipulation assist e Cela dit les implications ext rieures de ce SIG sont importantes et multiples En effet le SIG apporte la possibilit de g rer un domaine Cette gestion est assez libre elle est simplement guid e Le domaine en question peut tre un domaine de recherche un domaine viticole une grande cave traitant avec plusieurs domaines une coop ratives de vignerons Le mod le mis en place doit tre soit adapt un cas pr cis ou bien dans la plupart des cas utilis selon les besoins de lentreprise Ainsi un vigneron n utilisera que la partie parelle des donn es d essais il pourra se cr er tout de m me quelques r p titions et variantes pour ces propres recherches ou pour cr er sa propre base de donn es afin de mieux comprendre mieux conna tre mieux exploiter son domaine Toute la fili re est alors touch e En plus de cette consid ration sur les implications ext rieures dues au SIG il faut rappeler que le SIG a tout d abord t cr pour tre extensible aux autres domaines viticoles de recherche mais aussi aux autres domaines de recherche ayant une relation r f renc e sous la forme du syst me d exp rimentation 79 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ
83. itif c est dire qu il n est le plus souvent pas retenu comme tel dans l laboration du syst me d finitif mais s en inspire fortement Le prototype doit surtout montrer les probl matiques les besoins les enjeux mais aussi servir de formation et de premier contact avec les collaborateurs Il se doit d tre volutif pour permettre son am lioration continue en vue d une optimalisation Le pr sent travail s implique enti rement dans cette perspective 3 3 Prise en compte des facteurs techniques organisationnels et humains L ensemble des besoins et attentes mentionn es 5 repr sente un cas classique Cependant il ne faut pas laisser de c t tous les aspects techniques organisationnels et humains MERTINA 2003 DESPONDS et al 1999 qui se cachent derri re ces volont s En effet le choix d un logiciel peut tre influenc par son prix d achat licence d exploitation avant d tre retenu pour ces qualit s La formation des collaborateurs peut tre un frein non n gligeable la volont de mettre en place un tel syst me SIG il est possible que Porganisation actuelle paraisse suffisante pour les collaborateurs qui ne voient alors pas int r t de s engager dans une voie pour laquelle ils ne per oivent pas d avantages directs Il est donc vident qu une volont de la direction doit tre manifeste que les besoins soient valid s et approuv s afin de permettre au projet de mise en uvre du SIG de v
84. jaune Unit de sol Surface Beige et contour noir Sondages Point Point orange Profils Point Cibles rouges Pieds Point Marron clair Lignes Ligne Noire paisse R p titions Surface Violet p le et contour noir Variantes Surface Couleurs vives et discriminantes au contour noir Parcelles Surface Couleurs ternes et discriminantes au contour noir Table 15 la repr sentation des objets des couches au sein du SIG 9 6 Les relations entre tables 9 6 1 Les relations selon le MLD Les relations entre tables sont celles donn es par le mod le logique des donn es MLD Cf annexe 6 le MLD Les identifiants sont les moteurs des liaisons entre tables 9 6 2 Les relations logiques pour les chercheurs Afin de se retrouver rapidement et de ne pas perdre de vue les identifiants logiques habituels les chercheurs ont souhait avoir dans chaque table les l ments Domainenum ro parcelle titre essai obtenus par liaison la table base parcelle jointure D autres relations sont cr es au besoin pour clarifier la lecture par jointures entre tables Cf 10 1 3 3 partie sur les jointures 69 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 9 7 Les scripts r alis s et leurs r les 9 7 1 Qu est ce qu un script Un script est dans MANIFOLD et g n ralement en informatique un petit programme r alisant une pt est IFOLD ctg que un
85. le de magazine Les projets temporaires particuliers La multitude des projets ne justifie pas une centralisation absolue de toutes les donn es produites surtout de celles qui ne sont utilis es qu occasionnellement Exemple Etude de P change gazeux des feuilles Les interventions effectu es Par interventions on entend travaux effectu s Ils sont identiques et r guliers sur l ensemble du domaine ils sont aussi classiques pour la vigne On rappelle que la RVC n tudie pas l tat phyto sanitaire de la vigne contrairement la RAC Ainsi ils ne sont pas utiles car pas tudi s Exemple traitement fongique Table 11 inventaire des donn es existantes mais non n cessaires au SIG 7 4 Acquisitions dont la dimension spatiale Apr s avoir r alis l inventaire des donn es il faut faire l inventaire des acquisitions pr voir Ces acquisitions doivent r pondre aux perspectives du futur SIG besoins et attentes des chercheurs Ce sont e Le parcellaire du domaine du Caudoz Cf fig 3 du d but forme papier e Les plans de la structure interne des parcelles autrement dit les plans de plantation des vignes Cf Fig 5 du d but forme papier 52 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e Les cartes relatives la repr sentation spatiale d un ph nom ne temporel carte des sols des profils et sondages des teneurs en e
86. lisation Le fonctionnement actuel ne permet pas un regroupement commun des donn es ainsi il est difficile de parvenir un renseignement se trouvant dans une autre base La centralisation des donn es n a pas lieu Seules les bases de donn es th matiques existent Chaque chercheur se sert de ce qu il a besoin parmi une panoplie de donn es Il dispose en outre de ses propres donn es Restriction de potentialit Que cela soit pour la visualisation pour la production de cartes ou l dition de documents les possibilit s actuelles sont faibles voire inexistantes Les possibilit s de traitement sont effectu es gr ce des logiciels f d raux identiques pour toutes les stations de recherche WIDAS Pour P dition cartographique les possibilit s sont absentes Structuration des donn es Malgr la multitude et la diversit des donn es celles ci ne sont pas toujours structur es convenablement Ceci est renforc par Pindividualisme r gnant La structuration des donn es est en ordre pour les bases communes mais sinon chaque chercheur est responsable de ses structur es ou pas donn es Dispersion des donn es Il y a absence de syst me f d rateur La codification n est pas la m me selon la base th matique ceci cr e alors une recherche des informations difficiles si ce ne sont pas les siennes Sauf pour les bases th matiques communes le restant des donn es est disp
87. lit du produit Ainsi sur la bouteille contenant rappelons le le vin issu de la vinification d une variante d un essai pour un domaine il faut apposer le code de cette variante code variante En effet cet identifiant permet de faire le lien entre les tables et donc de retrouver toutes les informations se rapportant au vin contenu dans cette bouteille Exemple le code t94 r5 devrait tre appos sur la bouteille de la parcelle 17 pour l essai de greffage variante C gamay herbac bien s r les autres identifiants logiques devraient tre conserv s afin de permettre aux chercheurs de garder leurs habitudes R sum des points importants La notion de tra abilit doit tre assur e que cela soit au sein de la RVC ou dans la vie courante aujourd hui Le SIG permet d assurer cette tra abilit correctement par le biais de ses identifiants faisant les relations entre tables L introduction sur tiquette des bouteilles destin es la d gustation du code variante permet alors d assurer la tra abilit 82 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 83 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre Les conclusions de ce projet Les perspectives futures L encouragement poursuivre le projet 12 Conclusion et perspectives 12 1 Perspectives
88. lte des informations se r alise par lignes puis par variantes et non plus par r p tition comme dans la base de donn es VITIDATA e e choix de saisir les donn es selon le niveau du syst me d exp rimentation pied ligne variante parcelle est possible e La possibilit de saisir les donn es plusieurs niveaux la fois est possible ainsi les lignes appartenant la m me variante constituent soit des donn es ligne par ligne soit une synth se des lignes au niveau de la variante les contenant e Des interpr tations ont lieu pour les variantes afin de pouvoir les diff rentier ces interpr tations sont libres elles doivent cependant permettrent le rep rage des l ments discriminants e Des bilans et conclusions d essais sont accessibles au niveau des parcelles e L acc s aux donn es d int r t et ou communes est imm diat sans se perdre dans les donn es secondaires e apport de nouveaux attributs jusque l sous entendus ou inexistants e La possibilit de stocker des informations non seulement chaque niveau du syst me d exp rimentation mais aussi pour n importe quelle dur e allant du groupe d ann es au jour comme pour les donn es physiologiques 62 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e Il est possible de consulter les donn es sur plusieurs ann es les bilans interannuels sont visibles dans la m me table et
89. me d exp rimentation Toutefois VITIDATA ne code pas la r p tition mais elle ajoute un identifiant de type entier pour simple moyen de recherche rapide ainsi que le num ro de la station de recherche soit pour nous le num ro 1 Ceci se r alise sous le logiciel Access Une dition de codes barres est possible par VITIDAT A ils sont appos s sur les caisses de vendange et permettent ainsi d identifier automatiquement la provenance et d y faire correspondre les donn es s y r f rant ceci lors de la vinification au laboratoire CONTENU DE VITIDATA Donn es g n rales Exemple Domaine Changin Parcelle 5 C page Aligot Interligne 200 115 Plantation 1984 Conduite Guyot simple Porte greffe 3309 Intercep 85 Tampon Gew rztraminer Donn es de vendange Exemple R p tition A1 Index 2 5 43 Surface 21 44 Nombre de ceps 16 Clone 263 Date de vendange 28 09 Kilogramme 24 4 Kg m2 1 138 IR Brix 21 6 TR Oe 90 1 D20 20 1 0924 PH 3 10 Acide total 8 8 Acide tartrique 8 0 Acide malique 3 1 Ind form 11 0 EXEMPLES DE CODES D ESSAITS Essai simple 2 5 43 A1 Essai complexe 1 27 1 A NC NS non rebiol NC NS non rebiol pour domaine de Changin parcelle 5 identifiant 43 variante A ligne 1 pour domaine de Caudoz parcelle 27 identifiant 1 variante ligne Table 8 les donn es de VITIDAT A e
90. n et d utilisation Le r sultat du travail sera donc un prototype de SIG qui permettra de r pondre au plus grand nombre des besoins des chercheurs et de mettre en vidence les avantages et probl mes d coulant de Putilisation d un SIG pour une telle organisation de recherche Tout l int r t du travail r side en cette interrogation Un SIG pour Caudoz Pourquoi Comment 1 5 D roulement du travail Les tapes de travail sont les suivantes e Interview des chercheurs en charges du domaine e Inventaire des donn es et des besoins e Mod lisation Conception d un prototype SIG but multiple e Essai grandeur nature conclusion propositions R sum des points importants La RVC le mandataire r alise des essais vitivinicoles sur un domaine de recherche L objectif du travail de dipl me est de s interroger sur l utilit la mise en uvre la conception et le prototypage d un SIG pour la gestion du domaine La probl matique est complexe mais traditionnelle pour ce genre d entreprise 15 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre Tous les l ments n cessaires de conna tre pour ce travail concernant les SIG et le VIN 2 Quelques g n ralit s 2 1 Sur les SIG 2 1 1 D finition de SIG Simplement un SIG est un syst me informatique permettant de travailler avec des donn es r f renc es
91. ne partition du territoire c est dire un d coupage successif du territoire sans recoupement possible Chaque entit contient des blocs de donn es c est dire un ensemble de donn es issues d une m me source cf 7 2 Maintenant il est important de bien comprendre la chose suivante afin de distinguer les r les des tables selon leur fonction objet base et essais Cf 8 1 chaque table g ographique du syst me d exp rimentation est li e respectivement sa table des donn es de base qui est elle m me li e une ou plusieurs tables th matiques des donn es d essais Ceci donne alors une structure trois niveaux objet base essais coordonn e dans Pespace et dans le temps En effet les objets g ographiques sont dissoci s de leurs attributs plurtannuels eux m mes distingu s de leurs attributs annuels Ceci permet une acceptation des modifications d essais en cours d exp rimentation et permet aussi la prise en compte du probl me spatio temporel Les donn es formul es sur l entit pied restent sur le cep elles permettent ainsi tude au cas par cas Il n y a pas de synth se des informations des ceps la ligne Les lignes comportent les donn es qui y sont relatives il en est de m me pour les r p titions et les variantes Ceci est vident mais le chercheur a la possibilit de saisir les informations au niveau qu il le souhaite ce qui lui laisse libre choix Ainsi par exemple il peut sa
92. nn es d int r t et communes Dans ce chapitre Les choix et volont s quant au futur fonctionnement du SIG 6 Perspectives de fonctionnement du SIG 6 1 Comment voir le futur SIG choix et volont Comme d j discuter au fil de ce rapport la proposition est la suivante Un SIG f d rateur des donn es essentielles int r t commune pour essais redondants et permanents Il est important de signaler d s pr sent que le choix de ne pas chambouler ce fonctionnement t r alis Le futur SIG devra s int grer dans une structure existante et r pondre aux besoins et attentes des chercheurs de sorte leur apporter un plus plut t que des contraintes organisationnelles qui nutraient leurs travaux Afin de ne pas cr er de mauvaises interpr tations des donn es le SIG sera en acc s unique pour les chercheurs et ayants droits une connexion l Internet pour la consultation simple n est pas souhait e Quelques volont s e Possibilit d extension l ensemble des stations de recherche et de leurs sections de recherches utilisant sur les m mes m thodes d essais parcelle r p tition variante e Possibilit d tre modulable en fonction des projets de recherches e Applicable aux autres stations en vue d une semi centralisation pour les donn es d int r ts et ou communes e Laisser la structure actuelle afin de ne pas modifier les habitudes de travail dans une organisati
93. nnaissance du fonctionnement actuel ce qui a t fait 4 fonctionnement actuel de la RVC Aussi il est important que cet inventaire r ponde aux besoins et attentes formul es par les collaborateurs ainsi qu aux perspectives de fonctionnement du SIG sa place au sein de la RVC il ne faut pas arriver avec un projet tout cuit Ceci signifie que l inventaire des donn es se d compose en deux parties La premi re partie consiste a survoler l ensemble des donn es tr s nombreuses pour la RVC qui en poss de aussi la RAC puis dans une seconde partie de trier ces donn es afin de ne garder que celle qui sont utiles pour le SIG Rappel les objectifs de linventaire sont les suivants GOLAY 2000 e 1 identifier les informations utilis es sur les documents mentionn s par les utilisateurs ainsi que le niveau de perception de ces informations e 2 recenser les documents existants leur qualit et leur contenu e 3 permettre de d gager les goulots d tranglement dans la circulation et la diffusion des informations Le DCA Diagramme conceptuel d activit et le DFD Diagramme de Flux de Donn es situ s 4 7 servent encore une fois mieux comprendre la situation particuli re de la RVC Le choix du niveau de d tail pour cet inventaire a t de se focaliser sur des blocs de donn es appartenant au m me th me et surtout faisant partie de la m me base th matique au sein de la RVC En d autres termes les sp cificatio
94. nnels ou techniques Des solutions ces quelques inconv nients peuvent tre apport es par un accompagnement au changement une explication du pourquoi changer et de la motivation 6 Une base de donn es est dite relationnelle lorsque son fonctionnement est bas sur des r gles math matiques rigoureuses d nomm es alg bre relationnel 19 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 2 2 Sur le vignoble Le vin est infini dans sa diversit Il n existe pas deux ann es deux caves deux endroits produisant un vin identique et c est la nature du vin que d exprimer plus ou moins clairement les conditions de sa production et l tat de ses mati res premi res DUBOIS 1996 Cette partie s inspire principalement de cet ouvrage ainsi que du site Internet De a vigne au vin bttp users swing be jobn vignevin index htm et du guide du vin DUMAY 1967 2 2 1 Un peu d histoire Bien des l gendes voquent les origines du vin On sait toutefois que la plus ancienne viticulture se situe en Transcaucasie entre la mer Caspienne et la mer Noire et que les tudes ont montr scientifiquement que des vases vinaires dataient de 1500 av J C A l origine le vignoble n existe pas Il r sulte de Part de la culture de la vigne sauvage wfis vinifera Cette culture de la vigne que Pon nomme aussi conduite de la vigne cet art est d crit au fil des ann
95. non dans plusieurs cahiers s par s e Des attributs d interpr tation permettent de discriminer les variantes entre elles et ceci m me sur plusieurs ann es e Les requ tes de s lection permettent de trier les donn es afin de choisir celles qui int ressent e L ensemble des donn es est centralis e L acc s aux autres domaines est possible e Enfin la visualisation spatiale apporte la dimension manquante et permet toutes les manipulations induites e Ftc 8 7 La cr ation d indices Les blocs de donn es de d gustation et de vinification repr sentent une finalit des essais dans le sens que leurs r sultats sont discriminants En effet la d gustation met en vidence les vins significativement diff rents au niveau de certains qualificatifs et la vinification peut d tecter une vinification normale dune vinification probl matique Il n en est pas de m me pour les autres blocs de donn es qui repr sentent des donn es plut t brutes n cessitant une synth se et une interpr tation 8 7 1 Indice de d gustation Id Pour les donn es de d gustation il a t opportun de cr er un indice qualifiant la variante Ceci pour un but obtenir un indice permettant de distinguer les variantes entre elles et de mettre ainsi en vidence de potentielles diff rences significatives Ceci est une discrimination Ceci a t r alis pour les donn es de d gustation au niveau des groupes de Duncan Les vins issus d un
96. ns d exp rimentation diff rentes METHODE SUIVIE Cette relation peut tre d termin e en croisant les deux couches contenant chacune les valeurs et non les classes de leur param tre respectif Ce croisement s effectue par polygone overlay Ceci revient trouver le plus petit polygone commun chaque couche et de lui attribuer la valeur correspondante pour le premier param tre et de m me pour le second Ensuite le calcul d un coefficient de corr lation o entre les couples de valeurs 1 2 ainsi form s donne une indication sur la part de relation entre les deux param tres Si ce coefficient vaut 1 ceci signifie que les deux param tres sont li s par une relation ils sont donc d pendants Au contraire s il vaut 0 il n y a aucune relation entre eux La valeur 1 signifie une d pendance totale oppos e e COVARIANCE 1 32 VARIANCE D VARIANCE 2 1 2 Soit e o 1 32 0 1 o 2 dans 1 1 RESULTAT Un coefficient de 0 45 est obtenu en analysant les couples de valeur dans leur totalit En enlevant 6 couples de valeurs marginales sur 41 couples repr sentant ainsi 16 de la surface d analyse nous obtenons un coefficient de 0 77 INTERPRETATION les facteurs tendant amoindrir la relation ne jouent pas un r le d terminant dans le calcul Ce sont plut t les valeurs marginales et non aberrantes car elles existent qui conduisent deux interpr tations diff rentes que nous les pr
97. ns du futur SIG ne sont pas abord es dans cette partie inventaire 49 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT La d marche a t la suivante e 1 inventaire des blocs de donn es e 2 au sein m me de ces blocs de donn es s lection tri et structuration des param tres d int r t et ou commun r pondant aux besoins et attentes formul s qui donneront plus tard les attributs Le tri est r alis directement car les chercheurs on lhabitude et voient imm diatement quelles donn es serviront o non dans le SIG toutefois des conseils leur sont apport s e _3 inventaire des acquisitions n cessaires FEVRIER 2004 Ainsi il n a pas t n cessaire de restructurer les donn es mais de bien les traiter par blocs entit ensemble coh rent afin de trier Putile de linutile pour le SIG en vertu des perspectives formul es Enfin des acquisitions sont pr vues notamment de cartes La figure 10 ci dessous r capitule le choix de d marche adopt Ensemble des donn es Tri S lection Structuration Donn es n cessaires au SIG Figure 10 le processus d inventaire et de s lection des donn es leur utilisation et les donn es produites 7 2 Inventaire et structuration des donn es n cessaires Ci dessous table 10 sont d crits les 10 blocs de donn es dans leur totalit sans mention de leur contenu Les blocs externes et sp ci
98. ns o leur objectif est d fini pour un but pr cis Ce genre tude peut durer de la simple journ e exp rimentation plusieurs ann es de mesures Ils peuvent d boucher sur toutes sortes de r sultats et d analyses Une tel essai serait dans un cas tr s court l tude de Peffet d un orage de gr le et dans un cas plus long P tude de l effet de l orientation des lignes de vignes sur la maturit du raisin Ces essais quel que soit leur type sont r alis s sur des parcelles le permettant On appelle ses parcelles des parcelles d essais Cf fig 3 plan du domaine En effet selon l essai men le choix de la 27 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 parcelle d essais est diff rent Ce choix est r alis en fonction de la disponibilit des parcelles pour les essais de la possibilit de r aliser cet essai sur telle parcelle et de l exp rience des collaborateurs qui connaissent mieux que personne le domaine et ses particularit s Les projets peuvent tre suspendus temporairement pour des raisons diverses puis repris en temps ult rieur On dit alors qu ils sont en attente De plus les projets peuvent tre r alis s en collaboration avec d autres institutions nationales ou internationales on parle alors de collaboration externe dans ce cas a contrario d interne pour des projets trait s au sein de la RVC Pour exemple nous citeron
99. nsion spatiale e Visualisation du territoire e Possibilit d dition de plans et de cartes e Possibilit d dition de cartes th matiques e Possibilit de discuter sur des probl matiques r f rence spatiale carte en main e Limitation des sources d erreurs par rapport un syst me dit cod du fait de la visualisation discussion dition de documents e Cr ation de synth ses et de documents de synth se pr pr par s ou non contenant d une part les informations tabl es et d autre part leur repr sentation spatiale titre tables l gendes coordonn es zoom orientation Conservation du fonctionnement actuel e organisation g n rale maintenue e conservation des donn es existantes e continuit du mode de diffusion des donn es publication synth ses cahiers 5 Cartes r unissant des donn es par sujets identiques ou par types de r sultats 18 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e habitudes des collaborateurs conserv es sans changement fondamental R ponse aux besoins et aux attentes de la plupart des collaborateurs e consultation possible des donn es en vue d informations e requ tes interrogations possibles e gestion des donn es de mani re relationnelles e historique conserv e possibilit de traitements des donn es statistiques corr lations e p
100. nt et les principaux c pages L enc pagement est caract ris par le c page et par la densit de plantation N importe quel c page ne peut convenir nimporte quel terrain Aussi est il choisi en fonction non seulement de la nature du vin produire mais aussi des param tres locaux qui constitueront par la suite un vignoble Les c pages sont greff s pour la grande majorit d entres eux Cf 2 2 3 5 Les greffes La table 4 ci dessous num re les quelques c pages incontournables DUBOIS 1996 CEPAGE CARACTERE Chardonnay Chasselas peau fine Chasselas C page r put originaire de la Sa ne et Loire donnant des raisins blancs de table Fendant Vin blanc Suisse du Valais Gamay C page noir donnant des vins rouges Gewurztraminer C page blanc donnant des vins parfum s surtout cultiv dans l Est de la France Merlot C page le plus souvent rouge cultiv dans le Bordelais Muscat C page dont les baies ont une saveur musqu e caract ristique Pinot noir C page fran ais renomm cultiv notamment en Bourgogne Riesling C page blanc donnant de petits raisins cultiv sur les bords du Rhin et dans d autres r gions du monde Sylvaner C page blanc cultiv dans PEst de la France Autriche la Suisse et Allemagne 2 2 3 5 Les greffes Table 4 les principaux c pages incontournables L utilit de la greffe r side dans le fait que la vigne peut ou plut t doit t
101. objet ceci sur plusieurs ann es Un exemple objet est le m me Pessai change les donn es changent toutes elles aussi il en est de m me si les conditions d exp rimentation voluent en cours d essais un nouveau code est alors de rigueur faisant appel des ann es diff rentes Il y donc un code unique chaque fois qu il y a au moins un attribut de la table qui change o Les tables ESSAIS comportent un JD nom de la table d essais Les m mes consid rations que pr c demment sont valables Toutefois ici cet identifiant n est pas repris par liaison d autres tables Ainsi sa forme est code_nom de l objet ann e d essai il permet d identifier une ligne record et une seule pour toute la base de donn es la recherche est donc plus facile et plus rapide que par succession d identifiants o Des LIENS LOGIQUES permettant de se rep rer rapidement dans les essais sont cr s par laison la table base parcelle Ce sont le nom du domaine le num ro de la parcelle dessai et le titre de l essai 8 6 Les nouveaut s Les nouveaut s apport es par le SIG sont les suivantes elles sont soit totalement nouvelles c est dire inexistantes pr c demment soit vues d une autre fa on ce qui cr e aussi une nouveaut par rapport l tat de fonctionnement actuel de la station de recherche e lya une distinction entre l objet et ses donn es laissant une grande souplesse d exploitation e La r co
102. odes afin d acc der aux autres donn es 4 7 7 Normalisation Au sein d une base de donn es donc aussi d un SIG une multitude de donn es peut tre enregistr e Afin que ces donn es soient coh rentes elles doivent tre norm es Ceci signifie qu elles doivent r pondre des crit res pr cis permettant la coh rence entre elles Il faut ainsi e un dictionnaire des donn es permettant de conna tre les donn es leur type leur repr sentation e des m ta donn es permettant d obtenir des donn es sur les donn es c est dire des sources d information sur les donn es 38 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e des normes internes de fonctionnement comme par exemple des indications sur les formats d change des donn es leur structuration leur responsable Au sein de la RVC la normalisation est partielle On distingue les donn es normalis es ce sont celles qui entrent dans les bases de donn es th matiques Il y aussi les autres donn es qui sont personnelles et qui sont donc ainsi au go t de son pr tendant Ainsi on peut dire que les dictionnaires de donn es sont absents car les chercheurs disposent de ces dictionnaires en tant que connaissance professionnelle si il y a risque de confusion unit ceci est mentionn Les m ta donn es apparaissent sous les termes date personne mat riel et m thode au sein de
103. oir le jour Ainsi un SIG ne s improvise pas il ne se met pas en place non plus gr ce un coup de baguette magique Il est le r sultat d une d marche collaboratrice entre acteurs C est ainsi que la collaboration entre le concepteur et les utilisateurs doit tre la plus efficace possible Dans la plupart des cas les utilisateurs ne connaissent pas les outils de type SIG leur fonctionnement et leur utilisation D autre part le concepteur ne conna t pas la mati re dans laquelle les utilisateurs travaillent au quotidien C est pour cette raison que la collaboration si Pon veut qu elle soit fructueuse doit tre troite afin que la compr hension des parties soit parfaite Souvent une approche pratique des concepts SIG fonctionne mieux qu une approche th orique C est cette approche qui a t mise en place pour ce travail au sein de la RVC e Choisir les moyens techniques en commun ne rien imposer aller vers les moyens les plus op rationnels e Respecter au mieux l organisation actuelle des membres de l entreprise e Mettre en place un processus participatif Ceci conditionne la r ussite du projet et surtout son acquisition grandeur nature par extension du prototype R sum des points importants La m thode de travail s inspire d une d marche conventionnelle en SIG 26 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce c
104. on d j passablement complexe 45 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e Limiter les m langes des donn es rester fid le au mod le actuel de classement et structuration des donn es d o la mise en place des blocs de donn es suivant e Permettre d tre op rationnel rapidement pour utiliser les fonctionnalit s nouvelles du SIG s exercer et cr er leurs nouvelles offres et les nouveaux besoins e R pondre pr cis ment aux besoins et attentes des chercheurs ne pas s loigner des objectifs fixer 6 2 Un syst me SIG additionnel compl mentaire et modulable Le SIG dit additionnel compl mentaire et modulable est alors la solution adapt e la situation particuli re de la station de recherche Par additionnel il faut comprendre que le SIG ne doit pas craser l existant mais bien le compl menter Ainsi la base de donn es VITIDATA doit rester active les autres bases de donn es th matiques peuvent elles aussi rester actives ou bien dispara tre pour tre implant es dans le SIG Par modulable il faut comprendre que le SIG devrait pouvoir s adapter facilement aux diff rents besoins des chercheurs en mati re de donn es et de traitements possibles ainsi que pour le genre d essais men s sur le syst me d exp rimentation Notamment les possibilit s spatio temporelles Le SIG serait alors d compos en deux parties distinctes
105. on entre ph nom nes exemple la teneur en eau du sol a t elle une influence sur la maturit du raisin 29 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 PLAN D ESSAI PARCELLE 4 REPETITION i REPETITION E REPETMIOH Fi TARA TES RTS ST NAT TITI TAITA ATIZTIAT Palisesge bis Ha 75 em Palissage ml haute Him 1250m An ataria 120 cm issariigne 180 cm e ansongna 206 em D 2 laterliqne 240 om 1 Rssiohige ronne Relais ial Pianaion 1316 Chaneslas Figure 5 exemple de plan int rieur d une parcelle d essai 4 6 Le syst me d exp rimentation 4 6 1 Les essais Le syst me d exp rimentation se base pour le vignoble et en g n ral pour l agriculture sur le syst me de conduite Le syst me de conduite est un mode de culture choisi pour le vignoble c est dire la fa on de mener la vigne et ceci se r alise sur le long terme En effet il existe plusieurs fa ons de conduire le vignoble palissage haut bas interligne large fin rebiolage normal total orientation des rangs hauteur de tronc syst me de taille etc Pour mener ces exp rimentations des essais sont r alis s Ces essais suivent les objectifs des tudes ils sont regroup s en 4 th mes am lioration et multiplication du mat riel v g tal techniques culturales entretien des sols et modes de conduite techniques vini
106. onc concevoir un SIG qui permette la gestion du domaine exp rimental La probl matique est donc sp cifique un th me pr cis celui de la viticulture la RVC mais elle est facilement extrapolable d autres domaines d activit s semblables c est dire fonctionnant selon la m me structuration de donn es Ce rapport expose les d marches d analyse de conception et de r alisation du prototype de SIG Il aborde aussi les probl mes avantages et inconv nients d un tel syst me et il met en vidence les possibilit s et probl matiques d extension Il donne quelques recommandations et aspects importants li s la probl matique Pour terminer la notion de tra abilit tr s la mode en ces temps de suivi alimentaire est apparent e au sujet 3 Afin de ne pas confondre les lieux et les sp cialisations au sein de la RAC labr viation RVC est employ e pour sp cifier le domaine tudi savoir le domaine du Caudoz Pully sp cialis dans la viticulture et P nologie 6 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Remerciements Je tiens remercier toutes les personnes qui mont permis de mener bien ce travail En particulier M Fran ois Golay professeur au LaSIG directeur du travail de dipl me M R gis Caloz collaborateur scientifique au LaSIG responsable du travail de dipl me Mme Karine Pythoud collaboratrice au
107. ons e _ Doter les collaborateurs d un outil moderne pour la gestion des territoires 16 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 2 1 3 Quelques notions importantes li es aux SIG Le tableau 2 ci dessous pr sente succinctement les diff rents l ments que lon rencontre rapidement lorsque l on est confront aux SIG GOLAY 1999 amp 20001 NOTION EXPLICATION Attribut C est une information rattach e un l ment Base de donn es relationnelle Une base de donn es est constitu e de l ensemble des informations n cessaires au fonctionnement d une entreprise ou d une organisation ensemble dont la gestion est assur e par un logiciel appel syst me de gestion de base de donn es SGBD Moteur de la base de donn es le SGBD permet de d crire les donn es et de les travailler de maintenir leur int grit de g rer les transferts d assurer la s curit et le contr le des acc s Dans le cadre des SIG et dans la majorit des cas le SGBD associ est de type relationnel il est int gr directement au SIG Une base de donn es est dite relationnelle parce que son fonctionnement est bas sur des r gles math matiques rigoureuses d nomm es alg bre relationnel Carte th matique Sont des cartes r unissant des donn es par sujets identiques ou par types de r sultats le th me de la carte Couche Une
108. ossibilit de mise en valeur des donn es cartes th matiques e connexion ventuelle du SIG d autres bases de donn es externes 2 R ponse contre Pindividualisme e donn es de base communes l ensemble des collaborateurs e pas de probl me de sources de donn es diff rentes Perspectives de d veloppement particuli rement int ressantes et nombreuses e nouveaut s dans la gestion des donn es dans leur mise en valeur et leur traitement e apports nouveaux jusque l ignor s e meilleur rendement du fait de la gestion commune des donn es de base e r ponses aux lacunes du syst me actuel de fonctionnement D autres avantages existent mais sont plus sp cifiques des circonstances pr cises 2 1 5 2 Inconv nients e N cessit d une motivation et d une formation des collaborateurs au nouveau syst me e Manifestation d une volont de changement en vue d une am lioration e Formation d une personne pour la maintenance du SIG ou mise en place d un mandat de gestion e N cessit de travailler selon une m thode d finie en concertation afin d obtenir des donn es communes utilisables fiables jour e L ger changement des habitudes de travail e N cessit d une autonomie des collaborateurs face au SIG pour promouvoir un travail efficace MERTINA 2003 On remarque que les inconv nients sont plut t d ordre humain avant d tre op ratio
109. out pour les exportations importations entre SIG Une capture d cran permet d obtenir une image tif jpg ce qui peut rendre service pour introduire une image dans un document tel un rapport Pour les donn es tabulaires annexe 25 donne l exemple de Pexportation d une table en format EXCEL utilis par les chercheurs pour le traitement des donn es Des importations de tables sont aussi possible depuis plusieurs formats mais attention garder une rigueur tant au niveau de la hi rarchisation du projet que des attributs contenus dans la table 10 1 6 Outils SIG l exemple du containing Un outil SIG est un outil implant par d faut dans le logiciel qui permet d effectuer une t che d finie L exemple choisi ici est l outil containing Il permet de s lectionner des objets contenus dans d autres 75 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Ceci est utile pour les l ments du syst me d exp rimentation qui forment une partition du territoire o les objets s englobent les uns les autres La parcelle contient les r p titions et les variantes les r p titions et les variantes contiennent les lignes les lignes contiennent les pieds On imagine facilement les applications qui en d coulent un exemple est donn annexe 21 10 1 7 Souplesse du SIG au niveau des donn es d essais L annexe 26 illustre cette partie gr ce la p
110. pales difficult s de ce travail ont t d une part la compr hension du fonctionnement de la station de recherche et d autre part le prototypage sur un logiciel jusque l inconnu Nous esp rons avoir fait en sorte que le SIG ait le plus de chance possible de voir le jour sous cette forme ou sous une forme voisine Cf pr c dents Pour terminer soulignons l importance de la collaboration entre acteurs sans laquelle aucune solution valable n aurait t trouv e 85 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Bibliographie Ayant servie consid rablement pour ce travail DESPONDS N JEANGROS B TROXLER J 1999 Uxlit d un syst me d information r f rence spatiale pour un domaine agricole exp rimental Revue suisse Agric 31 3 1 7 DUBOIS Jacques 1996 Les vignobles vaudois tude g ographique viticole regards sur leu pass et leur pr sent pr visions quant leur avenir Yens sur Morges ditions Cab tia ISBN 288295 181 7 DUMAY Raymond 1967 Guide du vin le livre de poche pratique Paris ISBN 2 253 00376 X 475 p GOLAY F 1999 SIRS 7 notes de cours polycopi EPFL GOLAY F 2000 SIRS 2 notes de cours polycopi EPFL MERTINA Christophe 2003 Avant projet de d veloppement d un SIG pour la gestion du domaine viticole exp rimental de Candoz s minaire interdisciplinaire laboratoire de SIG EPFL PLAZANET C 2
111. permettre au SIG d tre un moyen additionnel en tant qu outil nouveau Cf 6 perspectives du futur SIG e Veiller l int gration du SIG au sein de la RVC ceci afin de permettre son utilisation judicieuse 4 8 2 Les faiblesses de ce fonctionnement Le tableau 9 ci dessous illustre le fait que ce mode de fonctionnement comporte des risques pour le monde des SIG que contourne d une certaine mani re la RVC FAIBLESSE POURQUOI SOLUTION RVC Ind pendance Il y a risque de duplication de redondance et un usage de donn es suppos es communes mais en r alit diff rentes pr senter pourrait se L ind pendance est adapt e aux projets de recherche ceci n excluT pas une collaboration entre chercheurs Les donn es sont issues de bases communes avant toute utilisation Les projets sont bien r partis chaque personne sait ce qu elle a faire Normalisation Si il n y a pas de dictionnaire d crivant les donn es et que les m ta donn es sont absentes alors il y a risque de confusion et d emploi de donn es non plausibles La simple consultation de donn es rassembl es par un autre collaborateur devient vite difficile sauf si ce dernier a pris soin de documenter son travail Les donn es habituelles sont acquises suite la formation Les m ta donn es sont relev es par le chercheur en charge du projet sous la forme date personne lieu mat riel m thode Centra
112. phique encore une fois non justifi pour les m mes raisons que pr c demment En effet la position des lignes de vigne importe peu du moment que celles ci sont localis es de mani re semi topologique On entend par l que les l ments du syst me d exp rimentation soient localis s dans leur parcelle respective leur place respective topologiquement sans donc tre r f renc s de mani re absolue Une structure topologique pure reviendrait une repr sentation sch matique des l ments sans m me des coordonn es mais de fa on plut t ordinale que cardinale ce qui n est pas notre cas ici le choix ayant t fait 7 4 9 4 3 La correction des donn es spatiales La correction des donn es spatiales a lieu lorsque des tables vectonielles sont import es dans le SIG sans digitalisation des l ments C est le cas pour les unit s de sol p dologique La correction consiste rendre les couches import es compatibles avec les couches digitalis es Cette compatibilit consiste rendre conforme les limites des couches en pr sence En effet la couche unit de sol import e a t digitalis e sur la carte nationale CN25 alors que les couches digitalis es prennent leurs marques sur lorthophoto et le cadastre Il en ressort des diff rences au niveau des limites que l on doit corriger Dans cette tape il ne faut que ramener l objet de la couche unit de sol sur les objets de la couche parcelle q
113. pratique de dipl me Le besoin de lier les informations au terrain auquel elles se rapportent pour une grande partie d entres elles devient actuellement la mode pour des raisons simples convivialit des syst mes SIG meilleures structurations des donn es visualisation spatiale possibilit s multiples de traitements et de fonctions Fini le temps des listing difficilement agr ables Les attentes des chercheurs vont dans ce sens il leur para t indispensable d effectuer leurs travaux en relation avec la dimension spatiale et ceci pour plusieurs raisons allant de la simple visualisation des parcelles d essais jusqu au besoin d tablir des cartes th matiques ou des analyses spatiales Les donn es leur disposition sont nombreuses et diversifi es elles sont int gr es dans un sch ma de fonctionnement o le chercheur choisit les donn es dont il a besoin pour mener bien ses tudes et projets On peut appeler ceci un fonctionnement la carte Les donn es ont besoin en outre d tre centralis es Les perspectives de d veloppement futur sont nombreuses du simple syst me d information g ographique SIG au syst me global de gestion int grale des donn es avec possibilit s de traitements et d analyses allant vers une mise en valeur des donn es Le SIG projet devrait comporter de nombreux avantages en plus du syst me actuel de fonctionnement mais apporter aussi ses limites et ses contraintes d exploitatio
114. probl matique tudi e Elle r p t e sur Permettre la r alisation de diff rentes variantes proc d plusieurs r p titions pour un essai Ligne Division de la variante au nombre de lignes la Permettre la r alisation d une variante homog ne composant identique sur une m me ligne Pied D composition de la ligne au nombre de pieds la Conna tre Porigine exacte des donn es issues composant cas exceptionnel d un essai l entit d tude la plus fine Table 6 les niveaux du syst me d exp rimentation leur d signation et leur utilit Ainsi il y aura normalement autant de vins diff rents g n r s que de variantes d essais pour une parcelle Ces vins sont issus des m mes modes de conduite ils sont donc de m me nature On omet donc souvent de pr ciser quelles sont les r p titions justes utiles pour le brassage statistique des donn es et les lignes le d tail de mesure des donn es n est pas n cessaire mais toutefois on retrouve de quelle ligne proviennent les donn es car il y a unicit de la variante au sein de la r p tition pour se contenter au rep rage suivant domaine parcelle titre de l essai et variante consid r e Exemple Domaine de Pully parcelle 20 essai hauteur de tronc variante Ba Pour r sum on peut dire que e chaque domaine r alise des essais on r alise un essai par parcelle e e chaque essai est compos de plusieurs variantes
115. qualificatifs significativement diff rents nombre de variantes 1 Le terme 1 s explique par le fait qu une variante ne peut pas tre diff rente d elle m me il faut donc la retrancher En adoptant les notations suivantes on trouve une formule simple pour l indice Soit V le nombre de Variantes composant l essai Soit QSD le nombre de Qualificatif Significativement Diff rent Soit S la Somme des diff rences significatives de la variante compar e ses coll gues repr sentant le num rateur Soit N QSD V 1 repr sentant le d nominateur Alors Id S N 100 remarque si N 0 alors Id Si Id 0 alors la variante n est pas significativement diff rente de ses coll gues au contraire si Id 100 la variante est totalement diff rente de ses coll gues elle a cumul toutes les diff rences possibles sur tous les qualificatifs N Table 13 description du mode de calcul de l indice de d gustation Id Le tableau 14 ci dessous illustre par un exemple concret les calculs pour la page 85 du cahier des d gustations de 2001 qui fait appara tre des diff rences significatives pour trois qualificatifs l essai comportant 4 variantes Num ro Code variante Groupe vin Groupe vin Groupe vin variante selon le selon le selon le qualificatif qualificatif qualificatif volution fruit finesse 1 01 353 BC A A 2 01 354 C A AB 3 01
116. que Pobjet et la parcelle d essai la table contenant les donn es l une tant la parcelle du plan et l autre tant la concr tisation pour une dur e d finie de la r alisation d un essai e Une gestion de l historique importante comme la plupart des donn es ont une relation temporelle l acc s aux donn es ant rieures devra tre possible e La notion de tra abilit elle devra tre pr cis e et sa valeur dans un tel contexte r valu e afin d uniformiser sa gestion e Un mod le de donn es interne au SIG se devant d aller vers les donn es prioritaires le SIG devrait tre r alis d abord pour les donn es appartenant aux projets permanents puis au cas pas cas pour les projets temporaires Les donn es communes et d int r t devront tre trait es en priorit e Les redondances la structuration des donn es au sein d un mod le commun devra les viter e Les contraintes techniques organisationnelles et humaines elles pourront influencer la mise en uvre du SIG de mani re consid rable si des r elles volont s de progr s sont absentes de la part des collaborateurs 39 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 e Les normalisations devront tre effectu es pour le SIG gr ce un dictionnaire sans changement manifeste pour les collaborateurs e La volont de ne pas chambouler le fonctionnement actuel ceci pour
117. re 13 les r les du SIG au niveau des tables de donn es Ces pr requis doivent tre pris en compte avant de mod liser car ils impliquent la mod lisation Celle ci peut alors commencer 57 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 8 2 La mod lisation conceptuelle le MCD Une fois ces diff rentes tapes franchies besoins attentes r les perspectives il est n cessaire de passer la transcription des informations relev es au niveau de la r alit aux informations n cessaires Cette tape est la mod lisation GOLAY 1999 amp 20007 PLAZANET 2000 SPACCAPIETRA 2000 Elle consiste une repr sentation simplifi e de la r alit d pendant du concepteur et de sa perception afin de pouvoir passer ensuite une implantation de cette r alit mod lis e sur un logiciel SIG Pour parvenir cela on utilise un MCD un Mod le Conceptuel de Donn es Celui ci deux principales finalit s e Repr senter synth tiquement et simplement le r sultat de la recherche effectu e analyse des besoins et des attentes perspectives de d veloppement et les r les du SIG afin de le monter aux futurs utilisateurs et de discuter avec eux pour d tecter d ventuelles discordances et d ventuels probl mes e Mod liser le r sultat de travail de recherche de fa on compl tement ind pendante d un logiciel SIG ce qui permettra de choisir de mani r
118. re am lior e afin de r sister notamment aux maladies et de favoriser un enracinement robuste Les complications commencent s rieusement c est un professionnel qui greffe ceci est un art qui demande r flexion et application Un exemple bien connu des vignerons est celui du phyllox ra Comme les racines de la vigne europ enne ne supportent pas les piq res du phyllox ra elles doivent tre remplac es gr ce au greffage par des racines am ricaines 7 Phyllox ra Puceron minuscule parasite des racines de la vigne et son ennemi le plus ravageur Par extension maladie de la vigne due cet insecte 22 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 2 2 3 6 La conduite de la vigne La conduite de la vigne repr sente tout un art qui se choisi au d part avec l enc pagement et qui se poursuit au fil du temps avec l entretien La conduite est encore une fois un choix qui se r alise par le vigneron en fonction de crit res le plus souvent issus d une connaissance du c page utilis de la terre fournie et du travail accumul Nous citerons les interventions suivantes qui permettent la conduite de la vigne e Ja culture e Ja fertilisation les traitements e Ja taille Changer de mode de conduite c est changer un ensemble d l ments qui constituent pris dans leur ensemble le vin Aussi dit on que chaque cep sa propre individualit Il est impo
119. re le MCD et la structure au sein du SIG dans la mesure du possible seuls quelques noms diff rent ou bien des couches sont structur es d une fa on l g rement diff rente du MCD pour des raisons de prototypage L annexe 7 pr sente la totalit de la hi rarchisation du projet On distingue les o Dossiers qui repr sentent les groupes de donn es o Drawing qui sont en fait les objets r f renc s o Tables associ es au drawing qui contiennent les attributs des objets o Tables non associ es ou libres qui contiennent les blocs de donn es Fig 13 et 14 Oo Scripts qui sont des fonctions r alisant des op rations sur les tables Cf 9 7 o Cartes qui sont des regroupements de plusieurs drawing dans une m me vue O Query qui sont des requ tes pr par es pour effectuer des s lections pr d finies o Layout qui sont des masques d impressions pr d finis 9 3 2 Structure des tables quelques l ments particuliers Comme expliqu 8 1 et 8 3 3 ainsi qu aux figures 13 et 14 les tables se divisent en tables OBJET tables BASE et tables ESSAIS Selon chaque division des caract ristiques leurs sont propres voir annexe 8 o Pour les tables OBJET un ID unique pour toute la base est attribu chaque objet g ographique les ID des autres objets li s sont ajout s comme le veut le mod le logique des donn es annexe 6 un attribut nomm actif pouvant comporter les valeurs binaires out non p
120. ropre gr ce EXCEL permettant de repr senter correctement les diff rents l ments composants le MCD Le MCD figure en annexe 5 58 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 8 3 Description du MCD 8 3 1 But du MCD Comme cit plus haut le MCD permet la repr sentation simplifi e de la r alit per ue demand e n cessaire afin de pouvoir l implanter dans le SIG Ici quelques l ments importants doivent tre pris en consid ration ce sont L appr ciation du degr de d tail seul les attributs les plus pertinents ont t conserv s Ce sont les attributs communs et d int r t Le respect des groupes et des blocs de donn es selon les th matiques abord es les donn es sont structur es afin de ne pas se perdre et que les recherches soient intuitives c est dire sans avoir lire et comprendre une structuration complexe La possibilit d extension l ajustement des tables et leurs relations permet l extension aux autres domaines de recherche ceci par le biais de l entit centrale rattachant toutes les autres domaine Il en est de m me pour l acc s au serveur m t o et aux donn es administratives stock es sur d autres bases La possibilit d tre modulable les tables suppl mentaires peuvent tre cr es dont deux ici sont d j pr tes afin de recevoir des attributs d ventuels projets ou de cartes nouv
121. rtant d adapter les techniques culturales notamment le mode de conduite au c page et la r gion afin de pouvoir laborer un vin de caract re 2 2 3 7 Les l ments ayant un effet sur la vigne et par extension sur son mode de conduite Ces l ments sont nombreux Si Pon laisse de c t le mode de conduite r sultant du choix du vigneron il est des param tres que le vigneron doit apprendre conna tre pour faire en sorte que son vin puise tout son caract re dans des particularit s rarement reproduites Le premier param tre est le temps il conduit laboration de diff rents vins dont les meilleurs sont appel s mill simes Il n existe pas deux ann es identiques qui donneront le m me vin Le deuxi me param tre est l espace caract ris par des conditions de localisation qui lui conf re aussi bien des facteurs climatiques que li s au relief On citera par exemple e intensit lumineuse e La temp rature e Les pr cipitations e Ja pente e L altitude e environnement montagneux plat proche d un lac e Le macroclimat e Les microclimats Tous ces param tres ont alors une influence sur la composition chimique du vin influence qui manifestera ces effets lors de chaque tape qui m nera le vin son unicit Ce sont principalement e La teneur en sucre e acidit e J encavage e La mise en bouteille 23 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUD
122. s base de donn es Flux de donn es ren processus Mod le DFD Package Diagramme Diagramme simplifi de Flux de Donn e DESCRIPTION SOMMAIRE DU DIAGRAMME l ensemble des donn es est collect es les donn es sources peuvent tre internes ou externes la RVC cet ensemble est structur en bases de donn es th matiques la base de donn es personnelle regroupe toutes sortes de donn es diff rentes l utilisation des donn es est possible le travail a lieu les donn es de sortie sont multiples et diverses certaines internes la RVC d autres externes des publications externe ou interne permettent une diffusion des donn es ces donn es de sortie sont r utilis es comme donn es sources selon les projets Figure 8 diagramme de flux de donn es de la RVC Simplifi pour le pr sent travail 36 FEVRIER 2004 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 4 7 2 Un cas particulier VITIDATA Les donn es th matiques param tres viticoles sont centralis es une fois mesur es gr ce une base de donn es principale nomm e VITIDATA d o r sulte alors le cahier de vendange Cf table 7 le syst me VITIDATA existant contenu et code et 7 2 3 le cahier de vendange Le codage permettant de lier les donn es aux essais et par cons quent au terrain est bas sur le syst
123. s applique pas sur les l ments du syst me d exp rimentation qui ne sont digitalis s que de mani re semi topologique Le calcul des surfaces se fait dans ce cas par les chercheurs par mesure sur le terrain lors de la cr ation de l essai Function surfacemetrecarre surfacemetrecarre round record data area End Function Function surfacehectare surfacehectare surfacemetrecarre 10000 End Function 9 7 4 Les scripts de cr ation d ID La cr ation d ID unique dans toute la base se r alise en prenant le num ro de la table incluse dans le logiciel pr c d de t en la concat nant avec le num ro de la ligne record pr c d de r On obtient donc un ID du type txxryy avec xx le num ro de la table et yy celui de la ligne de cette table C 8 5 Ceci se r alise sur toutes les tables BASE Function iduniquebasevariante iduniquebasevariante t amp table id amp r amp record id End Function 9 7 5 Les scripts d affichage des coordonn es Ce script r alise Paffichage des coordonn es Y X en les limitant au m tre des donn es ponctuelles que sont les profils et les sondages afin de pouvoir les retrouver sur le terrain Function Xcoordinate Xcoordinate round record data x I 70 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 End Function Function Ycoordinate Ycoordinate round record data Y I
124. s cas sauf applications sp ciales du fait que la ligne est compos e d un ensemble homog ne de m mes pieds La figure 6 montre l exemple de ci dessus Le trait pais localise la chose PLAN D ESSAI PARCELLE REPETITION AE PETITION M TTi 2 Ti i Tii Tit Tii T i Ton 1 T 1 REPETMIOH Fi E T IT a ET1i1Z Ti d T Paiisesge bas He PS Em Pelissope ml haule H 125 cm Fhartation 1086 Chonitilai A lsariigne 120 on D a hierijnt 2340 im i Atick ronnai 2 Reoioge tal Figure 6 exemple de localisation de 92Dh2 sur une parcelle d essai 4 6 3 Utilit de ce mode d organisation des essais Ce mode d organisation des essais permet D avoir disposition les donn es d essais De pouvoir s adapter aux besoins de Pexp rience en cours d exp rimentation De pouvoir changer d essais lorsqu il en est question D obtenir un chantillon repr sentatif des donn es gr ce un brassage de celles ci sur le territoire gr ce la r p tition permettant ainsi de proc der des analyses statistiques En d autres termes il y a r p tition des essais afin de ne pas introduire de biais ou de fausser des r sultats De cr er un historique complet lorsque les donn es sont assorties de leur date Cependant la location spatiale de Pancienne parcelle dessai n est pas possible Ainsi ce mode d organisation est totalement adapt aux exp riment
125. s de donn es th matiques est libre Chaque collaborateur a sa disposition les cahiers et ses propres donn es personnelles qu il peut utiliser selon ses volont s G n ralement les donn es des projets temporaires sont individuelles et personnelles celles des projets permanents sont des donn es communes Les donn es d int r t sont des donn es dont chaque collaborateur a g n ralement besoin de conna tre au sein d une base de donn es th matiques Ainsi le futur SIG ne pourra pas int grer pour ce pr sent travail Pensemble des donn es mais les donn es communes et d int r t Une fois que toutes les donn es d tude ont t acquises alors elles sont rassembl es trait es et publi es Il est important de signaler que toutes ces donn es sont internes au domaine elles ne sont pas diffus es directement de mani re brute mais sous forme de synth ses par peur de mauvaise interpr tation et d impossibilit d exploitation La figure 7 pr sente le diagramme conceptuel d activit simplifi e pour la RVC La figure 8 pr sente le diagramme de flux de donn es pour la partie qui nous int resse dans ce travail Le 7 explique plus pr cis ment les bases de donn es th matiques leur contenu et leur structure dans la partie inventaire des donn es 34 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 DIAGRAMME CONCEPTUEL D ACTIVI
126. s la collaboration avec un autre d partement de la RAC elle m me ou bien encore un partenariat fran ais avec P Institut National de Recherche Agronomique INRA 4 2 Le travail On peut noter la particularit des chercheurs travailler en autonomie Ceci s explique par le fait que ce ne sont pas toujours les m mes chercheurs qui travaillent sur les m mes projets au m me moment et avec les m mes collaborateurs Des chercheurs peuvent aussi venir momentan ment travailler la station viticole pour un projet temporaire Ainsi autonomie est de rigueur afin de mener bien les projets Ceci permet aussi de toujours avoir une personne responsable par projet mais aussi par domaine de recherche 4 3 Les donn es Pour ce qui est des projets permanents l organisation est rod e et fait ses preuves elle est adapt e ce mode de fonctionnement En effet les donn es communes sont regroup es une fois relev es dans des bases de donn es Ensuite les collaborateurs peuvent s y r f rer r aliser leurs traitements et ajouter leurs donn es personnelles afin d obtenir le r sultat cherch Ceci d montre le travail en autonomie relative Dans tous les cas d tude une multitude de donn es sont relev es Il est important de signaler que Pusage des donn es peut tre personnel mais aussi commun Il y a donc utilisation multiple des donn es Les donn es relev es la RVC sont issues de son domaine exp rimental Cf f
127. s ou par types de r sultats ce qui donne le th me de la carte Ici cinq cartes th matiques ont t r alis es annexe 17 ce sont o Carte th matique des unit s de sol p dologique Carte th matique des profondeurs de sol Carte th matique de la r serve hydrique modale RHM des sols Carte th matique de la r serve utile des sols RU O O O oO Enfin la carte th matique effectuant le croisement entre le type de roche m re et le type de sol Ces cartes th matiques sont munies o D une l gende o D une orientation 74 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 O Et d une chelle Elles illustrent les th matiques les plus fr quemment utilis es par les chercheurs Le choix d une s miologie graphique a t r alis pour chaque carte Cette s miologie se veut simple et intuitive jeux de couleur marron pour le sol et bleu pour les teneurs en eau allant des couleurs fonc es aux couleurs claires lors de la d croissance du ph nom ne repr sent 10 1 5 Edition de documents 10 1 5 1 Par impression directe O Pour des donn es graphiques il est possible dimprimer ce qui est vu P cran par une impression directe Il est ainsi possible de cr er toute sorte de vues sur des l ments Il est toutefois pr f rable imprimer depuis une ap on peut choisir les couches visibles leur ordre de succession mais aussi d introd
128. spose du SIG son bureau qu il utilise les blocs de donn es situ es sur un espace disque commun et sauvegarde personnellement ses propres donn es et traitements effectu s Ceci pour viter la multiplication des fichiers de donn es sans connaissance de leur contenu utilisation g n ration la souplesse du SIG r side en ses aspects Il y a ainsi bon espoir de d veloppement R sum des points importants Un super syst me SIG n est pas appropri pour la RVC C est un SIG additionnel compl mentaire et surtout modulable selon les essais et les modifications en cours exp rience qui est propos pour des donn es d int r t et communes Le SIG devra tre extensible aux autres domaines de recherche Toutefois le SIG apportera un nouvel outil qu il faudra g rer par l apport d une nouvelle strat gie d organisation 48 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre L inventaire et la structuration des donn es Les acquisitions r aliser et les donn es non n cessaires malgr leur existence quotidienne Des explications sur l acquisition de la dimension spatiale des l ments du syst me d exp rimentation 7 Analyse de lexistant inventaire structuration et acquisition des donn es 7 1 Quelques consid rations g n rales et d marche adopt e La prise en compte de lexistant n cessite une bonne co
129. ssi une souplesse du syst me 9 4 Digitalisation et correction des donn es spatiales Pour cette partie consulter annexe 9 qui illustre quelques r sultats de la digitalisation par l image 9 4 1 La digitalisation par rapport l orthophoto et le cadastre La digitahisation par rapport l orthophoto permet de digitaliser les parcelles d essais ainsi que toutes le infrastructures du domaine Cette digitalisation est r f renc e au territoire donc fid le de la r alit quelques m tres pr s On estime la pr cision entre la digitalisation et la position cadastrale des objets environs 3 m tres Cette pr cision est suffisante pour le projet une autre acquisition tel qu un relev topographique ne serait pas justifi e conomiquement et apporterai une pr cision non n cessaire Le cadastre sert en outre de calage du p rim tre ext rieur du domaine de Caudoz s 9 4 2 La digitalisation semi topologique L annexe 11 d crit la m thode pas pas afin de r aliser une digitalisation rapide et conforme des l ments du syst me d exp rimentation La digitalisation semi topologique concerne la digitalisation des l ments du syst me d exp rimentation En effet leur digitalisation s op re partir d un plan papier r alis la r gle ou sur informatique gr ce EXCEL Il n y a donc pas de possibilit de r f rencer ces objets la seule possibilit serait de r aliser un relev topogra
130. st repr sent par des primitives g ographiques a contrario de la technologie raster Traitement Il regroupe toutes les op rations n cessaires pour obtenir une information pertinente partir des donn es de la base Table 2 les notions importantes des SIG et leurs explications 2 1 4 Les enjeux du march actuellement Comme tous les enjeux de march ils r sultent du rapport qualit prix La qualit des diff rents logiciels doit tre appr hend e en fonction des besoins des utilisateurs La concurrence est rude Les prix on tendance baisser pour une qualit et des fonctionnalit s toujours plus perfectionn es Les possibilit s de mise en place existent sont nombreuses rapides et r ellement int ressantes du point de vue de leur service rendu et de leur fonctionnalit Nous tendons une g n ralisation d ici quelques ann es des syst mes SIG Ils vont remplacer peu peu les donn es papier et s int grer dans notre quotidien tout comme l a remarquablement fait l Internet Une multitude d entreprises proposent leurs services pour ce genre de travaux 2 1 5 Les avantages et les inconv nients des SIG 2 1 5 1 Les avantages L apport de la mise en place d un syst me SIG est non n gligeable Ci dessous sont dress s les points les plus importants qui suffisent prouver qu un SIG peut avoir sa place dans une organisation de recherche MERTINA 2003 Acc s la dime
131. sur cette probl matique e Est il utile de mettre en place un SIG la RVC e Comment le rendre efficace adapt fonctionnel sans complexit en restant proche d un comportement connu e Qu apporte le SIG quels sont les avantages et les inconv nients d un tel syst me 4 Site Internet www admin ch sar rac section viticulture et nologie 11 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 W ue 4 CN W pr Figure 1 situation approximative de la RVC au bord du lac L man VD Suisse St Ging y ATE Figure 2 situation de la RVC au niveau de la commune de Pully point de localisation 12 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Figure 3 plan des parcelles exp rimentales avec leur num ro du domaine de la RVC avec les locaux Missions 1 S lection et tude des c pages S lection clonale des principales vari t s cultiv es en Suisse Chasselas Pinot et Gamay et des sp cialit s valaisannes dans le but de rep rer les meilleurs clones de les diffuser certification et de conserver une diversit g n tique Cr ation et s lection de nouveaux c pages m tis de vinifera et hybrides intersp cifiques dans le but d accro tre la palette des c pages tr s limit e dans certaines situations climatiques et d o
132. t es de Champagne Table 5 la typicit des vins selon leur r gion d appartenance A partir de ces g n ralit s la r alit peut tre diff rente car les variations climatiques seront plus complexes et feront intervenir les climats locaux et les microclimats Ainsi c est la r sultante de tous ces param tres li s au climat qui donnera finalement le caract re particulier des vins issus d un terroir donn A ce terme de cette description nous pouvons dire que nous avons juste effleur le domaine de la viticulture Mais notre travail consiste la mise en uvre d un SIG et non d un mode de conduite pour la vigne Le SIG qui devra tenir compte des param tres voqu s dans ce chapitre R sum des points importants Un SIG est un syst me permettant de availler avec des donn es r f renc es au territoire On parle du caract re de la personnalit de l unicit d un vin comme celui d un tre Conduire un vignoble est un art aboutissant une uvre Le SIG devra int grer ces notions afin d tre adapt la situation 24 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Dans ce chapitre L explication de la m thode choisie et mise en uvre pour le travail Le r le du prototype Discussion des aspects organisationnels techniques et humains pour le projet 3 M thodologie 3 1 Mise en uvre Afin de mener bien un proje
133. t il est indispensable de mettre en place une m thode Cette m thode doit nous permettre d laborer un SIG fonctionnel qui r ponde aux besoins et attentes des chercheurs et qui soit r sistant dans le temps G n ralement la m thode d laboration du SIG se base sur les principes suivants GOLAY 1999 amp 2000 D limitation du cadre de l tude D marche allant du g n ral au particulier du plus concret au plus abstrait D marche par tapes R flexion ind pendante de toute solution informatique Prise en compte de la r alit existante C est selon cette d marche que ce travail de dipl me progresse elle repr sente la d marche conventionnelle traditionnellement utilis e pour la mise en uvre de SIG GOLAY 1999 amp 2000 Les tapes sont les suivantes que l on retrouve en t te de chapitre 1 Analyse du fonctionnement actuel de l entreprise description 2 Analyse de l existant et inventaire des donn es recherche 3 Evaluation des besoins et des attentes discussion 4 Evaluation des perspectives de d veloppement du SIG proposition 5 Conception du SIG mod lisation 6 R alisation du SIG implantation 7 Illustration du fonctionnement exploitations extensions utilisation 25 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 3 2 R le du prototype Un prototype est un syst me exploratoire Ainsi il n est pas d fin
134. t d autres Sa mission Cf table 1 les missions de la RAC est d tudier la vigne au sens large du terme Une multitude de donn es sont ainsi collect es elles sont de natures diversifi es du point de vue de leur source et de leur type mais aussi tr s nombreuses Quatre collaborateurs sont post s Caudoz pour ce qui est de la partie wiiculfure et oenologie la majorit des collaborateurs tant la RAC Leurs fonctions sont essentiellement li es la recherche en partenariat avec diff rentes unit s nationales et internationales ce sont donc des chercheurs Ils travaillent en suivant dans le temps des essais r alis s sur des parcelles du domaine de 4 hectares Cf fig 3 plan du domaine exp rimental de Caudoz Ce dernier comprend galement des bureaux d une station m t o d importance nationale et un petit laboratoire Il a d j t envisag la mise en place d un syst me centralis f d rateur permettant de traiter les donn es selon les besoins des chercheurs Pour ce syst me l vocation d un SIG n est pas nouvelle Depuis ces r flexions le choix d une base de donn es traditionnelle a t r alis et a fait ses preuves pour un secteur d activit les autres secteurs d activit conservant les bonnes vielles m thodes des cahiers de donn es ind pendants mais si fiables Aujourd hui opportunit de la r alisation du projet cantonal zerroirs viticoles vaudois a permis de se pencher un peu plus
135. t exemple de codes d essais 14 VITIDATA a t mise en place en 1998 par un bureau priv 37 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 4 7 3 Le traitement des donn es Le traitement des donn es se fait surtout de mani re individuelle sur la base des donn es communes des diff rentes bases th matiques et aussi des donn es individuelles mesur es De l sont tir s les v ritables r sultats des tudes Les traitements sont le plus souvent des analyses des moyennes des tests statistiques ou r sultats de fonctions 4 7 4 La publication des donn es Les r sultats conclusions des tudes sont publi s exemples ZUFFEREY 2000 RAC 1996 dans des rapports officiels mais aussi sous forme d articles de synth se dans des revues sp cialis es telle que a revue suisse d agriculture C est ici l unique acc s aux donn es disponibles pour le public sous forme de conclusions sans acc s direct aux donn es mesur es qui sont conserv es des fins statistiques et historiques Le 7 traite plus en d tail cette partie donn es 4 7 5 Mise jour des donn es d essais La mise jour des donn es consiste au remplacement d une donn e par une autre l ancienne n tant plus d actualit c est dire obsol te Pour la RVC le probl me ne se pose pas La mise jour des donn es d essais n est pas n cessaire En effet l
136. tations de recherche et les autres domaines sur toute la Suisse le syst me de projection Suisse t choisi Pour ce qui est des coordonn es leur syst me est le syst me national r glementaire avec Bern ayant pour coordonn es Y 600000 X 200 000 Le tout est donc dans le syst me CH1903 utilis par la mensuration officielle 66 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 9 2 2 Importation de l orthophoto L orthophoto servant la digitalisation des parcelles d essais Cf 7 4 et 9 4 elle doit tre import e dans le syst me CH1903 Le logiciel MANIFOLD permet les transformations il faut lui stipuler que notre orthophoto de la zone du Caudoz doit tre en New Swiss Grid 9 2 3 Importation des donn es cartographiques Les donn es cartographiques import es directement donc non digitalis es sont les donn es de la couche unit de sol Cette couche a t labor e par une entreprise de p dologie gr ce au logiciel ARCVIEW Son importation ne pose par de probl me de reconnaissance de fichier mais on doit sp cifier New Swiss Grid afin de rester dans le syst me CH 1903 et d tre ainsi compatible avec toutes les autres couches 9 3 Structure du projet et des tables dans MANIFOLD 9 3 1 Hi rarchisation du projet Les dossiers folders respectent la structure du MCD Ceci facilite l exploration des donn es Il y a ad quation ent
137. ttentes des chercheurs De plus le fonctionnement actuel n est pas modifi de mani re consid rable La solution est modulable et compl mentaire au syst me actuel Le SIG apporterait alors une touche de fraicheur de nouveaut s en mettant disposition de l ensemble des chercheurs des donn es communes de base pour leurs travaux assorties de donn es sp cifiques aux tudes particuli res tout ceci r f renc 6 3 Un syst me SIG extensible aux autres domaines Le syst me extensible est vu comme un SIG ouvert sur les autres domaines de recherche pouvant tre utilis par l ensemble des collaborateurs Il regrouperait l ensemble des donn es concernant les th mes communs ou d int r t Il permettrait la consultation des donn es en commun par th me section de recherche identique quel que soit le domaine Exemple tude du vignoble Changins Pullly Gudo Leytrons et Diolly ainsi que des possibilit s de liaisons ext rieures comme par exemple aux donn es administratives m t orologiques et inter intra domaine inter intra 46 CHRISTOPHE MERTINA TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME FEVRIER 2004 UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT section de recherche La partie administrative reste encore discuter elle ne fait pas partie du travail mais elle est tout de m me propos e 47 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 6 4 Cons
138. ui est la r f rence car cal e sur le cadastre Il ne faut en aucun cas modifier les limites internes des zones car il y aurait ce moment l modification g ographique de la donn e spatiale ce qui n est pas le cas pour les limites ext rieures qui sont simplement rendues conformes On peut parler d un rattrapage 68 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 de digitalisation r alis avec succ s grace au SIG Cette correction doit avoir lieu afin d exploiter au mieux toutes les couches entre elles notamment pour les analyses spatiales o une coh rence entre couches est n cessaire 9 5 Repr sentation spatiale des donn es dans MANIFOLD 9 5 1 Les objectifs de la repr sentation Principalement trois objectifs ont t suivis ici la table 15 les d crit au 9 5 2 que Pon retrouve aussi en annexe 10 Discerner rapidement les objets des diff rentes couches Faciliter la visualisation et la s lection des l ments Cr er la convivialit de l espace de travail 9 5 2 Les repr sentations des objets au sein du SIG COUCHE TYPE D ENTITE REPRESENTATION Zones Surface Neutre et contour rose Routes Surface Gris points et contour noir B timents Surface Hachures marron clair et contour noir Station m t o Surface Hachures paisses marron clair et contour noir Domaine Surface Neutre et contour
139. uire les labels cr s le menu we permettant Pintroduction de l gendes chelles orientations Un exemple est disponible annexe 18 Pour les donn es tabulaires il est possible d imprimer directement une table le format d impression est convivial et permet ainsi une lecture ais e des donn es couleurs altern es pour diff rencier les lignes de donn es Un exemple est disponible annexe 19 10 1 5 2 Par ayout Le ayout est un masque d impression pr d fini des donn es graphiques Il permet des impressions avec titre chelle l gende orientation ins r automatiquement O O Pour des donn es graphiques Dans le logiciel MANIFOLD existent deux types de ayout les layout fixes et les zyouf libre Le layout fixe imprime une carte d finie c est la carte du domaine pour notre exemple annexe 20 3 Le layout libre permet d imprimer ce que Pon choisi par s lection ce sont des zooms parcellaires ayant pour titre libre Pully Parcelle R p tition Variante que le chercheur compl te selon son choix Voir ce sujet Pannexe 20 1 et 20 2 Pour les donn es tabulaires il est d finit par d faut voir pr c dent 10 2 5 1 10 1 5 3 Par exportation O Pour des donn es graphiques on peut toujours exporter des donn es graphiques dans un autre format par le menu exportation de MANIFOLD Le format propos est le format d change de donn es reconnu dxf mais sert surt
140. ussi bien conomiquement que pour les besoins du syst me La structure pour ces l ments est donc plut t topologique mais que partiellement car ils s inscrivent dans une parcelle qui elle est r f renc e Le 9 4 1 explique acquisition par digitalisation par rapport l orthophoto et le cadastre R sum des points importants les donn es tant tr s nombreuses et diversifi es elles ont t structur es en 10 blocs de donn es appartenant au m me th me th me existant d j au sein de la RVC afin de ne pas modifier les m canismes mis en place au niveau de la gestion des donn es Les acquisitions de donn es sont peu nombreuses et rapides obtenir la dimension spatiale est acquise grace une orthophoto r gionale Les l ments du syst me d exp rimentation sont acquis sur la base des plans de parcelle sous forme semi topologique Le tout forme un ensemble harmonieux et fid le de la r alit 53 TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME CHRISTOPHE MERTINA UN SIG POUR CAUDOZ POURQUOI COMMENT FEVRIER 2004 Figure 11 orthophoto du domaine de la RVC Dans ce chapitre Des explications concernant la mod lisation de la probl matique Les Mod les Conceptuels et logiques de donn es Les l ments cr s pour le SIG ainsi que les nouveaut s apport es 8 Mod lisation conception du SIG 8 1 R le du SIG Avant de r aliser la mod lisation de la probl matique et de limplanter sur logi
141. ventori es lors de l entretien mais non n cessaires au futur SIG Elles ne r pondent pas aux perspectives futur du SIG Une justification est apport e DONNEES NON NECESSAIRES POURQUOI Donn es non spatiales Les donn es non spatiales sont des donn es qui n ont pas de relation avec le terrain Comme cit 6 les perspectives du futur SIG sont ax es sur un moyen additionnel orient terrain d acc s aux donn es et fonctions spatiales Exemple listing de publications Donn es or RVC Le but du SIG n est pas de s occuper de l ensemble des donn es de la RAC li es la viticulture mais uniquement des donn es communes et d int r t utiles la RVC Exemple les donn es des essais de la station de Changin Bilans interannuels Les bilans interannuels constituent des donn es de synth se sur plusieurs ann es il est donc possible de retrouver ses donn es brutes en consultant diff rents cahiers de diff rentes ann es Ces bilans sont tablis selon les th mes et les besoins ils sont sous forme de rapport th matiques Exemple bilan interannuel des essais physiologiques Les publications Les documents publi s de sortie constituent leur tour des donn es En effet leur contenu est une synth se th matique de multitudes d essais Le SIG ne peut pas comporter ce genre d informations pour la simple raison que se sont des rapports sur les donn es Exemples rapport d activit artic

TRAVAIL PRATIQUE DE DIPLOME - Infoscience

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