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Télécharger les Actes du séminaire des élus 2010

1. Le pr sident est l organe ex cutif la chambre pour mission de repr senter la Chambre et de l animer A ce titre ilconvoque et pr side les assembl es g n rales et les sessions du bureau ouvre dirige les d bats suspend et clos les s ances ila voix pr pond rante en cas de partage dans les votes des d lib rations il est le repr sentant l gal la Chambre dans tous les actes de la vie civile il correspond avec les pouvoirs publics les membres du gouvernement et toutes instances nationales ou internationales aupr s desquelles il doit promouvoir les int r ts de la Chambre l veille la mise en uvre des politiques du plan d action et des budgets de la Chambre ilestl ordonnateur des d penses de la Chambre lest garant de l ex cution des d cisions de l assembl e g n rale V 3 Les attributions du bureau Les attributions du bureau sont pr vues aux articles 6 et 9 du r glement int rieur annex au d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre La composition du bureau doit tre repr sentative de l ensemble des branches et cat gories professionnelles qui composent la Chambre Le bureau assiste le pr sident dans l exercice de
2. La d l gation r gionale est compos e des membres lus de la r gion Elle pour mission sous l autorit du pr sident de la Chambre et conform ment au r glement int rieur d animer la vie conomique de la r gion d informer les op rateurs conomiques collecter les informations n cessaires la bonne marche de la Chambre IV 7 Les services de la chambre Ceux ci sont pr vus l article 16 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre Ainsi sous l autorit du pr sident les services de la chambre sont dirig s par un directeur g n ral nomm apr s consultation du bureau par le pr sident et plac sous son autorit Le directeur g n rale organise coordonne et contr le l ensemble des services IV 8 Les d l gu s consulaires Les d l gu s consulaires sont des personnes non lues d sign es s qualit par le pr sident de la Chambre en raison de leur exp rience dans tous secteurs de l conomie nationale 15 ont mission l ou ils r sident d aider de facon significative la Chambre accroitre son efficacit travers des partenarial divers avec les milieux d affaires et les op rateurs conomiques Leurs actions doivent relayer celles de la Chambre et contribuer la promotion des
3. OBSERVATIONS SECTORIELLES Forces Faiblesses Opportunit s Menaces DOMAINES CONSULTATION ET REPRESENTATION OBSERVATIONS Les textes concernant les domaines objet de consultation sont assez explicites Cependant les textes relatifs la repr sentation ne le sont pas de sorte qu il n est pas ais de connaitre l tendu et le r le de l lu dans les conseils et lors des repr sentations La coh sion n est pas toujours homog ne entre les lus et les permanents RECOMMANDATIONS Jouer pleinement la mission consultative avec la production d outils de r flexion tudes enqu tes statistiques sur les donn es conomiques Renforcer la communication aupr s des plus hautes instances chef de l tat et des institutions pr sentation de la CCI travers les foires et des expositions Renforcer la repr sentation dans secteurs d activit s et tablir nominative des lus qui y sont Sensibiliser les lus sur l absent isme et sa cons quence sur les activit s de repr sentation Cr er une obligation d information et de compte rendu de r union sur les grandes d cisions lors des repr sentations dans les soci t s Faire preuve de rigueur et de t nacit lors des repr sentations au sein des comit s ext rieurs et communiquer sur les orientations et l avis de la CCI Possibilit
4. 9 Les conditions d inscription sur la liste lectorale et les conditions d ligibilit Les articles 4 et 10 du d cret 92 20 du 08 janvier 1992 portant r gime lectoral de la Chambre ainsi que les articles 10 et 11 du d cret 2002 360 du 24 juillet 2001 modifiant et compl tant le d cret n 92 20 d finissant les conditions d inscription sur la liste lectorale ainsi que les conditions d ligibilit Mais ces textes sont insuffisants et impr cis sur les conditions relatives l exercice du commerce d une part et sur celles relatives aux peines subies par un chef d entreprise commerciale individuelle dirigeant de soci t commerciale entreprise ou tablissements publics caract re commercial d autre part Ainsi l lu consulaire doit aussi remplir les conditions g n rales d exercice de la profession commerciale Pour les chefs d entreprises individuelles personnes physiques pas tre pas frapp d incapacit d exercice de la profession commerciale ne pas tre frapp d incompatibilit ou d interdiction l exercice du commerce Pour les repr sentants des soci t s commerciales industrielles ou de services tablissements publics caract re commercial ou industriel satisfaire au nom de la soci t aux obligations d inscription au registre du commerce et du cr di
5. AU TITRE DE LA PLACE INSTITUTIONNELLE DE LA DANS L ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DE LA COTE D IVOIRE La commission apr s analyse des textes qui fondent la CCI CI a fait les recommandations suivantes Attributions de la chambre de commerce et d industrie commission recommande la modification de l art 2 7 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la afin que soit conf r e la CCI CI la mission d organiser des foires et des expositions et que cette mission soit largie aux salons e l art 4 la commission recommande que les v ux que la CCI CI pourrait soumettre au Gouvernement lui soient transmis par l interm diaire des Minist res techniques int ress s Pour que les attributions conf r es la CCI CI puissent tre effectivement mises en ceuvre la commission recommande que la CCI CI fasse un audit d efficacit de son organisation et de son fonctionnement pour les adapter auxdites attributions Les entit s appel es chambre de commerce en C te d Ivoire La commission recommande que le Gouvernement se saisisse de cette question afin que ces entit s ne constituent pas des chambres de commerce parall les et concurrentes Rapports de la avec les organisations professionnelles La commission rec
6. COMMISSION 3 u GESTION ET FONCTIONNEMENT DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE GESTION M Pierre CHAUDRON Rapporteur Mme V ronique EKRA RAPPORT DE L ATELIER ETUDES DOCUMENTAIRES OBSERVATIONS GENERALES Forces Faiblesses Opportunit s Menaces DOMAINES OBSERVATIONS RECOMMANDATIONS Nom de l atelier Pr sident MISSIONS Les lus connaissent tr s peu les textes portant sur les missions sp cifiques et g n rales de la CCI constituant ainsi un frein et une limite aux conditions d exercice efficace du fonctionnement et de la gestion de la l Institution Formation des lus et s minaire explicatif des textes de base Sensibiliser les Elus pour une implication plus pouss e de la connaissance des textes Proposer une note explicative des missions et leur impact sur l environnement conomique ORGANISATION Beaucoup de d cisions organisationnelles sont peu communiqu aux membres lus s ils ne font pas le d placement au si ge notamment les nominations des hauts cadre et les mouvements organisationnels interne Directions trop centralis es Faiblesse organisationnelle dans la communication Communiquer avec les lus sur les d cisions organisationnelles Envoyer par internet les informations organisationnel
7. 0 8 Een actes Pus s minaire RAPPORT GENERAL Les actes du s minaire der 9 Les actes du s minaire RAPPORT GENERAL DU SEMINAIRE Les 23 et 24 septembre 2010 s est tenu l H tel Pr sident de Yamoussoukro un s minaire de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire CCI CI sur le th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire CCI CI face aux d fis nationaux et internationaux Plac sous le Haut Patronage du Pr sident de la R publique et le Parrainage du Minist re du Commerce le s minaire a t rehauss par la pr sence du Directeur de Cabinet du Ministre de l Industrie et de la Promotion du secteur priv Monsieur AGUIE Germain et effectivement pr sid par le Directeur de Cabinet Adjoint du Ministre du Commerce Monsieur ADOHI Jean Pierre Les op rateurs conomiques lus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire r unis en assembl e G n rale le mercredi 03 f vrier 2010 ont au cours des d bats accord qu un s minaire soit organis pour non seulement r pondre efficacement aux pr occupations de l Etat mais galement redynamiser les commissions cr es cet effet conform ment l article 16 du d cret 92 21 du 08 janvier 1992 Premier d une s rie ce s minaire sera l occasion pour les lus de la Chambre de Commerce et d Ind
8. LE MOT DU PRESIDENT Mesdames Messieurs les Elus Chers Coll gues A l issue du S minaire de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire qui s est tenu Yamoussoukro du 23 au 25 septembre 2010 je vous adresse mes sinc res remerciements pour votre appui et votre participation active aux r flexions initi es dans les Commissions de travail mises en place par le Comit de Pilotage Depuis septembre 2002 vous avez consenti tous les efforts et sacrifices pour que notre Institution acqui re la notori t que nous lui connaissons aujourd hui mais aussi pour que les missions de la CCI CI soient pleinement exerc es sur toute l tendue du territoire Gr ce vos travaux en Commissions valid s en Pl ni re puis en Assembl e G n rale les permanents de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire vont s approprier vos recommandations et amplifier les actions de l Institution Le rapport de restitution des travaux du s minaire qui vous est remis aujourd hui est important puisqu il vous servira de guide jusqu nos prochains travaux Je tiens donc vous exprimer mes sinc res remerciements pour votre implication et vous assurer de la mise en ceuvre rapide de vos propositions Je vous prie de croire Madame Monsieur en l assurance de mes sentiments tr s cordiaux Jean Louis BILLON Les actes du s minaire 3 Les act
9. Le mode de scrutin 58 Les actes du s minaire e 1 Les op rations lectorales Le contentieux lectoral 11 3 La composition de la C C I C I La composition de la Chambre est d crite par le d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre le r glement int rieur de 1992 annex et adopt par l assembl e g n rale de la Chambre le 24fevrier 1994 Les membres titulaires lus Ils sont charg s de d finir la politique de la C C I C I ainsi que les actions et orientations que les collaborateurs permanents mettront ensuite en uvre Ils se regroupent en assembl e g n rale 15 ont pour fonction de mettre en ceuvre les actions et orientations d finies par les lus Ainsi lus et collaborateurs sont mobilis s en permanence autour du pr sident pour accompagner soutenir et f d rer les entreprises Les permanents s occupent de l administration de la Chambre 4 Les devoirs et les droits de l lu Les devoirs des lus Ils d coulent des textes r gissant le fonctionnement de la Chambre et de ceux pouvant permettre la bonne ex cution de ses missions notamment l article 31 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le f
10. soit toujours pr sente ou repr sent e au cours des r unions auxquelles elle est convoqu e par les diff rentes tutelles Que la CCI CI sorte de la tutelle financi re du minist re du commerce Que la CCI CI propose l Etat les recommandations du cabinet Mondon sur le financement de ses activit s par le biais des centimes additionnels Que la CCI CI monte un dossier technique pour justifier le montant des appuis budg taires demand s Mission d appui aux entreprises Absence de m canisme d accompagnement de financements des activit s des entreprises Pour renforcer la mission aux entreprises il faut la cr ation d un fond d appui au financement des entreprises log la CCI CI Que la CCI CI communique efficacement sur ses services pour mieux les faire connaitre faut l implication de la CCI CI dans la cr ation du tribunal de commerce 3 Formation Que la CCI CI offre des services de formations sp cifiques et adapt s aux besoins du monde professionnel Que la CCI CI renforce son partenariat avec l HEC Paris dans le cadre de la formation continue Que la CCI CI obtienne le retour de la gestion de l Ecole de commerce et de Gestion ECG de la tutelle du minist re du Commerce Que l Etat requiert l avis obligatoire de la CCI CI dans la mise en place des programmes de l Enseignement technique Que la CCI CI Participe activement dans les conseils de gestion des Ecoles Techniques en vue d une formation de qua
11. Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire L e S 5 uSEMINAIRE Yamoussoukro 23 24 septembre 2010 Th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d ivoire d face aux d fis nationaux et internationaux D INDUSERIS DS 1 SEMINAIRENATIONAL LalChambre de Commerce de Cote V 179173 face auxd fis Yamoussoukro 22 23 24 5eptembre 2010 Ho telPr sident Les Actes du Seminaire Les actes du s minaire 1 LE MOT DU PRESIDENT n Erit 3 TERMES DE REFERENCE dese 5 RAPPORT GENERAL DU SEMINAIRE 2 15 Dag etes el o eade Odes hax coe 11 SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS DES COMMISSIONS eee eene 19 RAPPORTS DES COMMIISSIO INS 55 2 aai 26 LES COMMUNICATIONS DES 5 etie i o 46 INDICE GLOBAL DE SATISFACTION DU SEMINAIRE DES ELUS 23 24 SEPTEMBRE 2010 69 nupisic 72 Les actes du s minaire e 1
12. e 5 Les incidents de fonctionnement et les sanctions dans l activit des lus Les dispositions juridiques relatives aux incidents et les sanctions dans l activit des lus sont vagues et insuffisants notamment l article 3 du d cret n 92 20 du 08 janvier 1992 portant r gime lectoral de la Chambre l article 9 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre ainsi que l article 11 du d cret 2001 431 du 18 juillet 2001 et les articles 10 et 11 du d cret 2002 360 du 24 juillet 2001 modifiant et compl tant le d cret n 92 20 Les articles 10 et 15 du r glement int rieur de 1992 ne tirent que les cons quences de l obligation d assiduit de l lu Ce sont les articles 5 8 du projet de r glement int rieur de 2006 qui en font une pr sentation un peut plus exhaustive mais qui demeure vague cependant Ainsi concernant les personnes physiques et morales tout membre lu qui cesse de remplir les conditions d ligibilit fix es par les textes en vigueur est tenu de pr senter sa d mission au pr sident de la CCI CI qui apr s en avoir inform l assembl e g n rale saisit le ministre en charge des lections de la CCI CI L autorit ainsi saisie ent rine cette d mission par un arr t Lorsque la d claration n a pas t faite par l int ress pour les personnes morales la soci t qu il repr sente ou tout autre membre lus peut en inform
13. entreprises ivoiriennes IV 9 Les membres correspondants Apr s le renouvellement de la Chambre les d l gations r gionales proposent au bureau en vue de leur d signation par l assembl e g n rale des membres correspondants choisis parmi les op rateurs conomiques de leur r gion Le nombre total des membres correspondants est au maximum de 27 par d l gation r gionale raison de trois membres pour chacune des trois cat gories des trois branches d activit Les membres correspondants sont des op rateurs conomiques de la r gion inscrits sur la liste lectorale consulaire Ils participent aux activit s d animation de la r gion V LES ATTRIBUTIONS DES ORGANES DE LA C C I C I V 1 Les attributions et missions de la 1 Elles sont d finies aux articles 2 8 du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre et consistent en La consultation et la repr sentation aux fins de donner l administration publique les avis et renseignement sur la vie conomique notamment obligatoirement sur les r glements commerciaux et industriels et toute reforme de l gislation commerciale industrielle douani re et conomique facultativement sur la r glementation douani re fiscale particuli rement sur les droits et taxes acquitt s par le commerce et l industrie ou percus par son Interm diaire savoir les taxes en r mun ration des servi
14. la commission recommande que le Gouvernement se saisisse de cette question pour ne pas qu elle cr e une concurrence d loyale leur institution Elle a galement recommand de faire la promotion de la CCI CI par des actions de publicit de lobbying des op rations portes ouvertes et des s minaires afin de sensibiliser les pouvoirs publics La synth se des recommandations des commissions ci apr s instruit sur l int r t des s minaristes pour leur institution 16 Les actes du s minaire 1 SYNTH SE DES RECOMMANDATIONS Map DES COMMISSIONS rq Les actes du s minaire 17 Les actes du s minaire SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS DES COMMISSIONS AU TITRE DU STATUT DE L ELU CONSULAIRE Apres avoir fait un examen minutieux du projet de r glement int rieur dont les propositions figurent en annexe la commission s est pench sur les droits et devoirs de l Elu consulaire et recommande e d informer et sensibiliser les op rateurs conomiques sur les missions de la Chambre e de faciliter la vie des entreprises En ce qui concerne les droits de l lu e Revalorisation par le Bureau dans un d lai d un mois proposition de l assembl e des frais de transport des membres lus en tenant compte du rench
15. la prochaine Assembl e G n rale un projet de r vision du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Fait Yamoussoukro le 24 septembre 2010 Les actes du s minaire 31 e COMMISSION 2 u CREATION GESTION DES PROJETS D INTERET PUBLIC ET MOBILISATION DES RESSOURCES FINANCIERES n nom dearer Cr ation gestion des projets d int r t public et mobilisation des ressources financi res Pr sident ARMAND Rapporteur KOUAKOU CASIMIR RAPPORT DE L ATELIER R unie les 23 et 24 septembre 2010 dans le cadre du s minaire des Elus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d lvoire sur le th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire face aux d fis nationaux et internationaux la commission sur la Cr ation gestion des projets d int r t public et mobilisation des ressources financi res fait des observations et des recommandations la CCI CI par rapport aux diff rentes missions de la CCI CI Avant cela le pr sident de la commission a fait un rappel des missions de la CCI CI qui sont au nombre de quatre e Mission de repr sentation Mission d appui aux entreprises e Mission de Formation e Mission de cr ation gestion d infrastructures conc d es fait intervenir Monsieur Fr d rique B pour partager l exp rience du financement de la
16. r t public V 1 Les attributions de l assembl e des lus Les attributions de l assembl e des lus sont d crites l article 2 du r glement int rieur annex au d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre Sans que l num ration ci apr s soit exhaustive l assembl e g n rale se r unit principalement pour d finir la politique g n rale de la Chambre et d terminer les moyens n cessaires sa mise en ceuvre d terminer les objectifs les orientations et d une facon g n rale la strat gie de la Chambre consulaire arr ter les positions de la Chambre par rapport aux questions relevant de ses missions prendre les d cisions caract re budg taire et financier concernant notamment les emprunts garanties d emprunts et cautions diverses Jes acquisitions locations ou ali nations d immeubles lancement d actions nouvelles ou l ouverture d tablissements Jes prises ou abandons de participations dans des soci t s de capitaux la participation de la des organismes ou son retrait les contrats et concessions V 2 Les attributions du pr sident Celles ci sont d finies aux articles17 et 27 du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre et l article 5 du r glement int rieur de 1992 64 Les actes du s minaire ix 1
17. rissement des co ts des prestations dans le pays Mise en place de fa on urgente un groupe de travail qui devra soumettre la prochaine Assembl e G n rale un projet de r vision du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d lvoire AU TITRE DE LA CREATION GESTION DES PROJETS D INTERET PUBLIC ET MOBILISATION DES RESSOURCES FINANCIERES La commission apr s analyse des missions de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Mission de repr sentation d appui aux entreprises de formation de cr ation gestion d infrastructures conc d s a fait une vingtaine de recommandations Mission de repr sentation Rendre effective la pr sence de la aux r unions auxquelles elle est convoqu e par les diff rentes tutelles Sortir la CCI CI de la tutelle financi re du minist re du commerce e Proposer l Etat les recommandations du cabinet Mondon sur le financement des activit s de la CCI CI par les centimes additionnels Monter un dossier technique pour justifier le montant des appuis budg taires demand s par la CCI CI l Etat Mission d appui aux entreprises Cr er un fonds d appui au financement des entreprises log la CCI CI e Communiquer efficacement sur les services de la CCI CI pour les faire conna tre e Impliquer la CCI CI dans la cr ation du tribunal de c
18. sentatives des int r ts conomiques en Cote d lvoire le d cret 92 19 du 8 janvier 1992 portant cr ation de la chambre de commerce et d industrie le d cret n 92 20 du 8 janvier 1992 portant r gime lectorale de la chambre de commerce et d industrie tel que modifi par les d crets n 92 280 du 21 avril 1992 2001 431 du 18 janvier 2001 et 2002 360 du 24 juillet 2002 56 Les actes du s minaire 1 le d cret 92 21 du 28 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la chambre de commerce et d industrie Jes dispositions de son r glement int rieur Ces dispositions ne permettent plus la Chambre de faire face aux d fis nationaux et internationaux Il LA CREATION DE LA C C I C I La vocation de la est d accompagner l entreprise quelque soit sa taille et dans le secteur d activit auquel elle appartient dans toutes les tapes de son d veloppement Le si ge de la Chambre de Commerce et d Industrie de Cote d lvoire est situ 6 Avenue Joseph ANOMA 01 BP1399 Abidjan 01 I 1 Pr sentation de la C C I C I En prenant une nouvelle dimension la est devenue un interlocuteur et un partenaire conomique de poids aupr s des services de l Etat de la r gion du d
19. 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre C est le r glement int rieur de la Chambre de 1992 adopt par l assembl e g n rale le 24 f vrier 1994 et annex au d cret n 92 21 du 8 janvier et le projet de r glement int rieur de 2006 qui en font une pr sentation exhaustive Les actes du s minaire 61 9 IV 1 L assembl e g n rale des lus L assembl e g n rale constitue l organe d lib rant de la Chambre Ses d cisions se prennent sous la forme de d lib rations Elle est compos e de l ensemble des membres lus et ne peut se r unir valablement que si toutes branches et cat gories confondues sont pr sentes L assembl e g n rale connait de toutes les questions qui rel vent des attributions de la Chambre telles qu elles sont d termin es par les textes en vigueur l exception de tous autres sujets IV 2 Le Pr sident Le pr sident est l organe ex cutif de la Chambre IV 3 Les membres du bureau 15 sont d sign s par l assembl e g n rale d installation de la Chambre et ont pour mission d assister le pr sident IV 4 Les commissions consulaires Ce sont des commissions d tude organes de r flexion et de propositions que peut mettre en place le pr sident de la Chambre Celles ci
20. A quoi m tais je engag en me pr sentant aux lections consulaires participer aux assembl es g n rales de la CCIP une fois tous les 15 jours Y A participer aux commissions en principe 2 se r unissant 1 fois par mois Y A participer au moins 1 conseil d tablissement On m avait dit il faut que tu puisses donner journ e par semaine j en ai donn entre 1 2 par semaine Je dis j en ai donn parce que vous le savez cette activit est b n vole 1 2 par semaine parce qu ce que l on fait la chambre viennent s ajouter les diff rentes repr sentations l ext rieur B n volat assiduit disponibilit Si vous m me n tiez pas lu vous diriez ce type est fou et vous quitteriez la salle Mais vous tes lu vous aussi de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Comme la chambre de Paris qui est la fois locale r gionale et nationale par construction vous avez une mission de consultation et de repr sentation une mission de gestion d quipements une mission de formation et une mission d appui aux entreprises Alors vous me comprenez Nous nous sommes engag s parce que nous avons t lus par nos pairs pour les repr senter nous nous sommes engag s apporter notre voix leurs voix au sein de la chambre pour que aid s par les quipes de permanents nous puissions Y Dire au gouvernement ce que pensent les entreprises et c es
21. Article 8 Lorsque le membre lu d mis de son mandat repr sente une soci t cette derni re en est inform e par le pr sident Elle dispose de 30 jours francs pour d signer si elle le souhaite un nouveau repr sentant Ce dernier doit remplir les conditions d ligibilit requises par les textes en vigueur Article 9 alin a 1 modifi ajout du terme ou repr sentant de personne morale en lieu et place de tout membre lu Article 9 tout membre lu ou repr sentant de personne morale qui refuse d exercer tout ou partie de ses fonctions ou s abstient sans motif l gitime de se rendre aux r unions et assembl es de la chambre pendant six mois cons cutifs le pr sident peut adresser une mise en demeure crite ventuellement avec copie l entreprise qu il repr sente en informe l assembl e g n rale Article 10 l alin a 2 a t supprim TITRE ORGANISATION DE LA CHAMBRE Article 13 La liste des organes a t compl t e par trois autres organes Les d l gations r gionales La Direction G n rale Les D l gu s consulaires Par cons quent trois chapitres sont ainsi ajout s au titre qui n en comportait que quatre Chapitre 5 Les d l gations r gionales Chapitre 6 La Direction G n rale Chapitre 7 Les D l gu s consulaires Article 17 l alin a 2 a t supprim faut aussi noter que e chapitre 3 est devenu Chapitre 2 le Pr sident le chapitre
22. CCIP France Ce dernier a inform les participants qu une taxe professionnelle est pr lev e sur environ 33 000 entreprises Sur cette taxe professionnelle une autre taxe est pr lev e et revers e la CCIP Cette taxe repr sente environ 40 96 du budget de la CCIP 40 96 proviennent des ressources propres la CCIP frais d colage tudes men es pour les collectivit s les parcs d exposition etc 20 des ressources restantes proviennent des subventions conseils g n raux et r gionaux La CCIP investit beaucoup dans la formation Cette formation est continuellement adapt e aux besoins des entreprises Les tudiants sortis de ces coles trouvent en g n ral un emploi dans les six mois qui suivent leur formation Le rapporteur Les actes du s minaire 33 9 COMMIISSION 2 CREATION GESTION DES PROJETS D INTERET PUBLIC MOBILISATION DES RESSOURCES FINANCIERES Pr sid e par M Armand AKOBE aid de M KOUAKOU Casimir la commission a fait les recommandations suivantes Missions Observations Recommandations 1 Mission de repr sentation La CCI CI n est pas suffisamment repr sent e dans les structures d cisionnelles de l Etat Cela ne favorise donc pas le suivi de certains dossiers clefs Que la
23. Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Ce film a fait la pr sentation g n rale de la CCI CI historique missions et organisations et mis en relief les activit s de la mandature 2002 2008 A la suite de ce film Le Pr sident Jean Louis BILLON est intervenu pour relever le contexte difficile dans lequel a d but ladite mandature marqu e par la crise militaro politique que connait la C te d Ivoire depuis Septembre 2002 et dont l impact a t n gatif sur les activit s de ladite Institution Cependant elle n a pas emp ch la CCI CI d organiser plusieurs actions d int r t certain au b n fice des entreprises Dans son intervention le Pr sident Jean Louis BILLON a indiqu qu avec la sortie de crise des d fis sont relever notamment dans le domaine de la formation et dans celui du fonctionnement r gulier des commissions de la CCI CI galement souhait une parfaite collaboration entre la Chambre et les pouvoirs publics Enfin il a interpell l ensemble des lus consulaires sur la n cessit de faire un bilan objectif sur les actions accomplies et des propositions concr tes sur celles faire afin de rendre la CCI CI plus moderne et plus dynamique Avant d aborder la deuxi me communication le Pr sident de la mandature pr c dente Monsieur Georges N DIA a fait une intervention Celle ci a d but par des remerciements l endroit du Pr sident Jean Louis BILLON pour l avoir associ ce s minaire consacr
24. Programme d action commerciale les lus de la Chambre de commerce avaient t associ s le projet aurait connu un sort diff rent Il est de m me pour les projets telle la cr ation de centre de commerce international CCIA auquel la Chambre n a pas t associ L Etat a galement laiss sans suite certains projets de la Chambre de commerce Le projet d un centre de formation et d information envisag au temps du pr sident Massieye sur l emplacement de l actuel site de la Mosqu e du Plateau n a pas connu une suite heureuse en est de m me du projet de parc d exposition que l ensemble des organisations consulaires souhaitaient voir r aliser Au financier la part de l Etat dans le budget de la Chambre de commerce s est r duite au fil des ann es Au cours cette p riode 1963 1992 l une des grandes raisons de l instabilit de la Chambre de commerce fut le non renouvellement des lus consulaires Apr s 1964 1968 o le mandat des lus fut renouvel l lection de mai 1977 bien que les lecteurs furent identifi s ne put tre organis cause l Etat qui ne jugeait pas le moment opportun Cette situation contribua vider la Chambre de commerce de sa substance puisque au fil des ann es les lus d missionnaires ou d c d s ne pouvaient remplacer que par une lection I n est pas tonnant dans ces conditions qu en d pit de la pr sence du pr sident Massieye 1960 1985 ami personnel du pr sident Houphou t Bo
25. au bilan de la CCI CI Il a relev le caract re de service public de la et pr sent sa vision des rapports qui doivent exister entre une chambre et les pouvoirs publics a ensuite f licit l quipe dirigeante actuelle et formul ses vceux de succ s et de r ussite pour la tenue de ce s minaire La deuxi me communication a eu pour th me Droits et devoirs de l lu consulaire Cette communication a fait l objet de trois interventions des conf renciers suivants e Un lu Monsieur Fr d ric Brunet d l gu la Chambre de Commerce et d Industrie de Paris pour le continent Africain repr sentant le Pr sident de cette institution e Un historien Monsieur Rapha l BEKOIN Ma tre assistant au D partement d Histoire de l Universit de Bouak Unjuriste Monsieur SERI Henri Juriste Dipl m de l Universit de Nancy Les actes du s minaire 13 La communication a t celle de M Fr d ric Brunet d l gu de la de Paris pour le continent africain et repr sentant le Pr sident de cette institution au cours de son intervention partag son exp rience d lu consulaire de la CCI de Paris Se pronon ant sur les devoirs M Brunet a indiqu les quatre devoirs caract ristiques de tout lu b n volat assiduit disponibilit et implication Quant aux droits de l lu ils se r sument au droit d expression face aux organismes ext rieurs au no
26. des ressources d cret de 1983 e Mettre en place un service d appui au montage de dossiers financier e Etablir un partenariat avec la BNI Renforcement des capacit s Formation Encadrement Mettre en place de fa on p riodique des formations sur la cr ation la gestion d entreprises et le contr le interne D velopper la formation par alternance e Cr er des incubateurs et des p pini res d entreprises Conseils aux entreprises e Renforcer les capacit s et moyens du service appui aux entreprises la CCI CI e Int grer un CGA au Sein de la CCI CI e Mettre en place un appui financier pour participer aux foires et expositions Partenariat e et organiser des foires salons et congr s e et organiser des rencontres to B entre entreprises lvoiriennes et trang res e nciter la construction d un Parc d exposition e Cr er un cadre de partenariat avec les associations professionnelles e Promouvoir les actions de la CCI CI travers les m dias Informations conomiques e Constituer une base de donn es conomiques r guli rement mise jour des opportunit s d affaires des ventes d entreprises des contentieux entre op rateurs conomiques par la CACI e Faire promotion du site internet de la CCI CI e D velopper l interconnexion avec les r gions 22 Les actes du s minaire 9
27. es respectivement par e Le Pr sident du Comit de Pilotage M ADOU Assal Le Maire de la Commune de Yamoussoukro M KOUAKOU Gnramgb Jean e Le Pr sident de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire M Jean Louis BILLON e Repr sentant du Ministre de l Industrie et de la Promotion du Secteur priv M AGUIE Germain Le Repr sentant du Ministre du Commerce M Jean Pierre Le Pr sident du comit de pilotage du s minaire Monsieur ADOU Assal a dans son intervention situ le cadre du pr sent s minaire avant de faire une br ve pr sentation de la situation de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire CCI CI li e au contexte sociopolitique de notre pays depuis 2002 relev que les lus qui n ont pas trouv d appui la CCI CI ont abandonn les activit s quotidiennes Aussi n a t il pas manqu de sensibiliser les lus consulaires sur la n cessit de faire un bilan sinc re de la mandature 2002 2008 et des propositions constructives en vue de redynamiser la CCI CI La CCI CI est belle Rendons la plus utile C est en ses termes que Monsieur ADOU Assal a conclu son discours Ensuite le repr sentant du Maire de la commune de Yamoussoukro Monsieur KOUAKOU Gnramgb Jean a souhait la bienvenue aux participants puis a encourag les s minaristes mener des r flexions pertinentes afin de proposer des solutions idoines aux difficult s conomi
28. implication Alors quels sont ces droits Je ne sais pas si c est un droit mais pouvoir travailler avec des permanents sur des th mes des probl matiques qui sont ceux de nos entreprises des entreprises que nous repr sentons c est une richesse extraordinaire Avoir le droit de s exprimer face des organismes ext rieurs je pense aux repr sentations ext rieures je suis par exemple administrateur de l Universit de Paris X Nanterre au titre de la chambre avoir le droit de s exprimer au nom du monde de l entreprise c est aussi une satisfaction inhabituelle J ai envie que la voix des entreprises soit entendue l elle l est peu j ai le droit de le faire J ai aussi le droit de dire mon avis en assembl e g n rale m me s il est contraire celui de la majorit m me s il contredit celui d un lu patron d une entreprise mille fois plus grosse que la mienne et de la e d fendre et parfois de faire changer le cours des d cisions Ca il faut vraiment tre lu pour pouvoir le faire Tout l heure j ai mis dans les devoirs le b n volat ca veut dire qu on n a pas le droit r mun ration Donc certains pourraient me dire que c est du non droit r mun ration qu il faut parler Notre mission est difficile Nous sommes chefs d entreprises Nous avons une ou plusieurs entreprise s qu il faut faire tourner en tant lu non seulement on n est pas pay s mais le temps que l on passe la chambre
29. j avais 2 entreprises de conseil en informatique et t l coms d un peu plus de 100 ing nieurs J avais t pr c demment 3 ans d l gu consulaire En France les d l gu s consulaires ne font pas grand chose en dehors de voter pour des juges des tribunaux de commerce Les actes du s minaire 47 se trouve qu il y avait dans les Hauts de Seine d partement de la petite couronne parisienne qui est un des quatre d partements couverts par la CCIP il y avait dans les Hauts de Seine un Vice Pr sident Services qui lui r unissait les d l gu s consulaires du monde du service pour leur demander leur avis sur leur secteur Et il en tenait compte la chambre en tenait compte C est pour cela que j ai d cid de me pr senter aux lections consulaires Ma motivation c est d apporter une voix parmi les autres parmi 79 autres pour remonter des informations des avis des requ tes notre gouvernement nos ministres notre administration j allais d couvrir la mission consultative Ma motivation c tait aussi de faire profiter les entreprises les acteurs d entreprises de mon exp rience de ce que j avais appris je d couvrais la mission d appui aux entreprises En participant aux assembl es g n rales commissions et conseils d tablissement j ai d couvert les deux autres missions Y L enseignement et nos 12 coles La gestion des infrastructures essentiellement tourn e vers les parcs d exposition
30. le 24 septembre 2010 Le Pr sident e D Les actes du s minaire 43 9 Les actes du s minaire nr me COMMUNICATIONS DES EXPERTS Ej Les actes du s minaire 45 LES COMMUNICATIONS DES 5 Monsieur Fr d ric Brunet Elu et d l gu de la Chambre de Commerce et d Industrie de Paris pour le continent Africain repr sentant le Pr sident de cette institution Monsieur Rapha l BEKOIN Historien Ma tre assistant au D partement d Histoire de l Universit de Bouak Monsieur SERI Henri Juriste Dipl m de l Universit de Nancy Les actes du s minaire 9 Th me droits et devoirs de l lu consulaire INTERVENTION DE M BRUNET PLENIERE DU 23 09 10 Monsieur le Ministre de l industrie et de la promotion du secteur priv Monsieur le Pr sident de la Chambre du Commerce et de l Industrie de C te d Ivoire Monsieur le Pr fet Monsieur le repr sentant du Ministre de l Industrie Monsieur le repr sentant du Ministre du Commerce Monsieur l
31. lu consulaire est clarifi Le bureau de la Chambre commerce compos de membres lus tait reparti en trois cat gories les Francais les Europ ens assimil s et les africains Ces derniers devaient avoir une connaissance suffisante de la langue francaise et savoir l crire avant d tre membres du bureau C est partir du 11 mai 1911 que le premier r glement int rieur de la Chambre de commerce est formellement tabli A travers ce r glement il s agissait de pr ciser les r gles de l lection du pr sident de l institution le r le et le fonctionnement du bureau ainsi que de ses rapports avec l administration Concernant l lu consulaire membres du bureau ils pouvaient formuler des propositions par crit au pr sident de la Chambre de commerce En outre les membres correspondants qui sont aussi des lus avaient toute latitude par devoir ou par obligation par voie d initiative ou la demande du pr sident de la Chambre de commerce d adresser toute communication ou correspondance sur toutes les questions rentrant dans les attributions de la Chambre de commerce C est ce premier r glement int rieur qui servi d outil de fonctionnement aux diff rents bureaux de la Chambre de commerce pendant la p riode coloniale Les lus consulaires se sont toujours fait le devoir de se r unir r guli rement bien que des facteurs ext rieurs ont handicap parfois leurs initiatives En 1914 les rapports difficiles entre les membres du bur
32. lus consulaire la Chambre de commerce fut associ e dans la construction des ouvrages de 52 Les actes du s minaire 1 grandes envergures coloniale notamment le percement de canal de Vridi d Assinie la construction du barrage d Ayam le d marrage du pont d Abidjan Pont Houphou t Boigny la construction de la grande poste du Plateau et l organisation conomique de la colonie Par son regard visionnaire la Chambre de commerce prit position pour le choix d Abidjan comme capital au d triment de Bingerville A travers les lus consulaires la Chambre de commerce a su pouser l environnement local Elle tait saisi de tout probl me conomique et jouait m me un r le social important que ne pr voyaient pas ses textes Elle a favoris le sport d entreprise de 1956 1957 l Asec d Abidjan eut pour pr sident d honneur le pr sident de la Chambre de commerce aid les tudiants ivoiriens en France par des subventions et d autres associations qui demandaient son assistance Les lus consulaires voulaient que leur institution ressemble celle de la France Pour faire face la complexit des probl mes la Chambre de commerce institua d s 1938 des commissions de travail fiscalit l gislation commerciale douane et domaine ports wharfs che
33. r t certain pour les diff rentes communications En t moignent les interventions et questions faites sur lesdites communications En ce qui concerne les interventions il faut mentionner celles manant de certaines d l gations r gionales de la CCI CI Ainsi M AHOUA Tour d l gu du moyen Cavally a insist sur la n cessit d une pr f rence nationale permettant aux ivoiriens d tre plus pr sents dans le tissu conomique ivoirien De m me la d l gation de la Marahou a fait des propositions sur les strat gies de relance et de d veloppement des activit s de ladite r gion La n cessit de la transformation de certains produits tels que l igname et l anacarde a fait partie de ses requ tes Les questions qui s en sont suivies ont port sur toutes les communications et particuli rement sur e Le bilan de la mandature 2002 2008 et les perspectives de la CCI CI e lexp rience de la CCI de Paris et mani re dont la CCI CI pourrait s en inspirer la r mun ration de l lu consulaire 14 Les actes du s minaire e 1 e pr sence et la contribution des femmes dans l animation de la CCI CI e Les ressources de la CCI CI La pr sence des CCI dans les autres pays notamment les pays anglophones e Les
34. ses fonctions pr pare l assembl e g n rale et fixe notamment son ordre du jour Il pr pare les grandes options strat giques et conomiques de la Chambre qu il soumet l assembl e g n rale saisit les commissions et coordonne leurs travaux bureau arr te le projet de budget primitif ou rectificatif de la Chambre et recueille l avis de la commission charg e du budget avant que ledit projet soit soumis l examen de l assembl e g n rale l veille l ex cution des d lib rations de l assembl e g n rale en veillant au respect des conditions qui y sont pr vues assiste le pr sident dans l organisation et le suivi de l activit des services de la Chambre V 5 Les attributions des commissions consulaires Les attributions des commissions consulaires sont d crites l article 16 d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre et l article 13 du r glement int rieur annex au dit d cret Les commissions constituent les organes consultatifs et de r flexions de la Chambre Elles ont pour missions principales d tudier les questions relatives aux domaines conomiques objets de leurs intitul s et de proposer les grandes orientations et strat gies de d veloppement de la Chambre dans ces mati res Dans les domaines de leur comp tence les commissions mettent des avis qui sont destin s au pr sident de la Chambre au bureau ou l
35. 1908 Mais pour atteindre un tel objectif il importe travers l histoire de cette institution de jeter un regard r trospectif en arri re pour voir comment les lus consulaire du pass Laurent Lasserre Massieye Niamk Louis Joseph Allou Bright et d autres lus illustres qui avaient ces m me contraintes dans des conditions plus difficiles que ceux d aujourd hui ont aider la Chambre de commerce jouer son r le Les actes du s minaire 51 9 I L lu consulaire face ces obligations pendant la p riode coloniale 1908 1960 La situation de l lu consulaire a volu travers le temps Les premiers textes concernant la Chambre de commerce date de 1903 C est cette date que fut cr e les Chambres consultatives de commerce et des mines de Grand Bassam et de Grand Lahou Par la suite en 1905 en remplacement de ces Chambres consultatives il est cr e un Comit consultatif de l agriculture du commerce et l industrie Dans les deux premi res initiatives la situation de consulaire n est pas clairement d finie car C est l Administration coloniale qui choisissait les membres du bureau parmi les fonctionnaires et les non fonctionnaires Par contre dans le d cret du 23 d cembre 1908 cr ant la Chambre de commerce de C te d Ivoire le statut de l
36. 2 est devenu Chapitre 3 le Bureau TITRE V FONCTIONNEMENT DE LA CHAMBRE Article 44 modifi ajout de au moins tous les deux 02 mois comme p riodicit des r unions des commissions Article 44 Les commissions se r unissent au moins tous les deux 02 mois pour le bon fonctionnement de la chambre etun alin a 2 nouveau a t ajout et libell comme suit Elles peuvent tre r unies aussi souvent que l exige l int r t de la CCI CI Article 45 supprim ST Es Les actes du s minaire 29 Article 46 modifi 15 jours au lieu de 8 jours comme d lai de convocation des commissions par le Pr sident Article 46 Les commissions sont r unies sur convocation de leur pr sident adress e par tout moyen crit quinze 15 jours au moins avant chaque r union Chaque convocation indique la date l heure le lieu et l ordre du jour de la r union Article 47 alin a 3 supprim Unarticle nouveau est propos ce qui concerne ce titre Article nouveau La commission budget conomie et finances donne galement son avis pr alablement la d lib ration de l assembl e g n rale sur Ja r glementation fiscale et douani re et notamment sur les droits et taxes acquitt s par le commerce et l industrie ou per us par son interm diaire Jes taxes destin es r mun rer les services conc d s par la puissance publique ou ex cut s r gle le r gime du travail applicable au comme
37. CI la Commission a constat que les attributions conf r es la lui permettent de jouer pleinement son r le dans le d veloppement conomique N anmoins elle a relev quelques faiblesses de nature entraver certaines des actions de la CCI CI Ainsi l article 2 7 la commission observe que le d cret n attribue pas express ment la CCI CI la mission d organiser des foires et expositions La commission recommande la modification de cet article afin que soit conf r e la CCI CI la mission d organiser des foires et expositions et que cette mission soit largie aux salons A l article 4 la Commission observe que l interm diation par le Minist re de tutelle pourrait tre source de blocage La Commission recommande que les vceux que la CCI CI pourrait soumettre au gouvernement lui soient transmis par l interm diaire des Minist res techniques int ress s Pour que les attributions conf r es la CCI CI puissent tre effectivement mises en uvre la Commission recommande que la CCI CI fasse un audit d efficacit de son organisation et de son fonctionnement pour les adapter auxdites attributions AU TITRE DES ENTITES APPELEES CHAMBRE DE COMMERCE 5 EN D IVOIRE La Commission constate une prolif ration d entit s appel es Chambres de Commerce trang res sur le territoire national La Commission s interroge sur la l galit de ces associations tant donn que le d cret n 92 19 du 8
38. EU ANATOLE OK 29 Jean Louis BILLON OK 30 KACOU ELISABETH OK 31 KANATE VALY OK 32 KANTE MOHAMED OK 33 KEITA ABDOUL Karim OK 34 KOFFI Jean OK 35 KOFFI Konan C OK 36 KONE N FA KABA OK Les actes du s minaire 73 9 t 8 37 KOREKI Fr d rick OK 38 KOSSONOU Kouadio OK 39 KOTOKLO R n C OK 40 KOUAKOU KOUASSI OK 41 KOUAKOU PRIVAT OK 42 YEBOUA OK 43 KRAJ OK 44 KOUASSI ATSE P OK 45 LOUKOU Michel OK 46 MAGUIRAGA BAKARY OK 47 MAMADOU SYLLA OK 48 MELEDJE Hilaire OK 49 Mme M BRA ep P OK 50 MOUSSA FOFANA OK 51 N DRI Adrien OK 52 N GORAN N GOTTA A OK 53 N GUESSAN Justine OK 54 N GUESSAN K Eugene OK 55 SAUHI Raymond OK 56 SAVANE BRAHIMA OK 57 Fofana OK 58 SONAN MOUSSO A OK 59 SOULEYMANE Silu OK 60 SOW MAMADOU OK 61 SYLLA Fatime OK 62 TALL EL HADJ Yacouba OK 63 TANGARA Amadou OK 64 TCHIMOU YAO OK 65 TIACOH A Nathalie OK 66 TIDIANE TRAORE OK 67 TOURE Faman OK 68 TOURE Gaoussou OK 69 TOURE Issoumaila OK 70 TRAORE BRAHIMA OK 71 WADJA EUGENE OK 72 YAO Maurice
39. I par exemple Lerenforcement des capacit s de formation des membres Elus et des permanents de la CCI CI La commission Gestion et fonctionnement de la CCI CI a t sensible l inadaptation des ressources humaines aux missions de la CCI CI Elle recommande dans un bref d lai d tablir un audit social et organisationnel pour permettre de formuler un organigramme adapt aux besoins humains et financiers de la CCI CI ainsi que la cr ation d un d partement des lus dot de moyens cons quents La commission Quels appuis de la aux entreprises a parmi ses propositions importantes recommand de mettre en place la un service d appui au montage de dossiers financiers souhait un partenariat avec la BNI et incit la cr ation d incubateur et de d entreprises La place institutionnelle de la CCI CI dans l environnement conomique et social de la C te d Ivoire a aussi occup une grande partie des discussions au sein des commissions Les recommandations essentielles qui ont retenues l attention des participants ont t de modifier l article 2 7 du d cret n 92 21 du 08 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de CCI CI afin que soit conf r e la CCI CI la mission d organiser des foires et des expositions et que cette mission soit largie aux salons Pour ce qui concerne les entit s appel es Chambre de Commerce en C te d lvoire
40. Monsieur ASSOUMOU M a et Mme OHOUO EXAMEN DU PROJET DE REGLEMENT INTERIEUR Apr s examen de ce texte la commission fait les amendements suivants PREAMBULE Un pr ambule est propos au r glement int rieur Le pr sent R glement Int rieur est destin d crire les droits et devoirs de l Elu consulaire ainsi que les proc dures de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Il est tabli en tenant compte du d cret n 92 19 portant cr ation de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre de Commerce et d Industrie et du r glement int rieur de 1992 adopt par l Assembl e G n rales du 24 f vrier 1994 L Institution consulaire comprend 156 membres lus par cat gorie et par branche d activit 52 membres pour la 1 branche COMMERCE 52 membres pour 2 branche INDUSTRIE 52 membres pour la 3 me branche SERVICES Bien qu lus par les seules entreprises de leur cat gorie les membres de la Chambre de Commerce et d Industrie une fois d sign s sont les repr sentants des int r ts de l ensemble du Commerce de l industrie et des Services TITRE I DISPOSITIONS GENERALES L ancien titre est modifi et comprend deux articles Article 1 La Chambre de Commerce et d Industrie est plac e sous la tutelle du Ministre Commerce et de l Industrie Article 2 Le pr sent
41. OK 73 YEO ALLAMAN OK DELEGUES CONSULAIRES 74 AMBLEA RAYMOND PROSUMA OK 75 BARADJI DJIBRIL BRACODIS OK 76 KASSY E CHRISTIAN ELECTRA CI OK 77 OUATTARA ISSOUFOU OK PAPA NOUVEAU JB AMG OK Les actes du s minaire 1 e AUTRES PERSONNALITES 79 ADOHI PIERRE Minist re du Commerce OK 80 AGUI A GERMAIN MIPSP OK 81 KOUASSI OK 82 BRUNET FREDERIC CCIP OK 83 DALLY BONIFACE Minist re du Commerce OK 84 DJAMA MOISE CO CIC OK 85 DOUMBIA ISMAEL FENACCI OK 86 ETTIEN KONIN JEAN BETHANIE OK 87 KOFF SEGUI OK 88 KOMOIN FRANCOIS CCI CACI OK 89 KONATE ADAMA MIPSP OK 90 KOUAKOU BROU DENISE Chambre d Agriculture OK 91 Leon OK 92 NIAMKE GERARD MIPSP OK 93 TIE YOUAN MIPSP OK 94 TRA BI EMMANUEL MIPSP OK 95 ZKROU PAUL MPME OK Les actes du s minaire 9 Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire 01 BP 1399 Abidjan oi 225 20 33 1600 fax
42. R glement Int rieur d termine le mode de fonctionnement des organes de la Chambre de Commerce et d Industrie Assembl e G n rale Pr sident Bureau Commissions D l gations R gionales et la Direction G n rale Il d finit leurs missions et leurs pouvoirs TITRE II COMPOSITION DE LA CHAMBRE Article 7 modifi ajout de toute personne physique ou morale en lieu et place de tout tnembre lu et l alin a 2 ajout de la CCI CI 28 Les actes du s minaire 1 e Article 7 Toute personne physique ou morale qui cesse de remplir les conditions d ligibilit fix es par les textes en vigueur est tenue de pr senter sa d mission au pr sident de la CCI CI qui apr s en avoir inform l assembl e g n rale saisit le ministre en charge des lections la Ce dernier ent rine cette d mission par un arr t A d faut de d claration par l int ress la soci t qu il repr sente ou tout autre membre lu peut en informer le pr sident de la Le pr sident de la chambre apr s en avoir inform l assembl e g n rale saisit le ministre en charge des lections la qui par arr t d clare l int ress d missionnaire d office Article 8 modifi le terme entreprise supprim et remplac par le terme soci t
43. apais que les 2034 lecteurs inscrit repr sentant le commerce 1266 les services 589 et l industrie 179 dans les 10 r gions de la C te d Ivoire ont lu la liste conduite par M Seydou Diarra Depuis lors les lus consulaires travers la personne de leur pr sident font entendre le point de vue des acteurs conomiques d pouill s tout parti pris Cette bonne marche de la vie consulaire a conduit des lections en 2002 au cours desquelles les lecteurs de la Chambre de commerce et d industrie apport rent leur suffrage la liste conduite par Jean Louis Billon Install dans un contexte de crise militaro politiques les lus consulaires se sont fait le devoir d attirer travers leur pr sident l attention des autorit s politiques sur le drame des entreprises et les solutions dont ils avaient besoin En se positionnant sur tous les sujets conomiques du fait de ses attributions la Chambre de commerce est devenue le barom tre de l conomie Conclusion Depuis 1908 jusqu aujourd hui les lus consulaires ont eu plus de devoirs que de droits 15 n ont rien cherch pour eux m me par exemple en utilisant la Chambre de commerce pour leur profit personnel Ils sont caract ris s par le b n volat et se sont toujours efforc s de ne pas utilis s leur institution comme un instrument de parti politique Les acquis de la C te d Ivoire mati re d infrastructures au lendemain de l ind pendance sont le fait des lus des di
44. ar un Expert Historien et un Expert Juriste 14h45 15h45 Echanges sur les communications 02heures 15h45 16h00 16h00 19h00 Travaux en commission Commissions 1 Statut de l lu Consulaire Examen du r glement int rieur droit et devoir de l lu Cr ation gestion des projets d int r t public et mobilisation des ressources financi res Etat des lieux projets r alis s et cours nouvelles propositions Gestion et fonctionnement de la CCI CI redynamisation modernisation et adaptation des services et des organes de la CCI CI l environnement actuel Quels appuis de la aux entreprises aide la cr ation au d veloppement la promotion la formation Place institutionnelle dans l environnement conomique et social de la C te d Ivoire Attribution du d cret 92 19 Relation avec les institutions et les tutelles Relation avec les administrations relation avec les organisations professionnelles 09800 10h30 10h15 11h00 10h15 14h00 14h00 15h30 15h30 17h30 18h30 19h30 19h30 20h00 6 Les actes du s minaire e 1 Les actes s minaire 7 Ss
45. assembl e g n rale selon la nature des d cisions prendre Les actes du s minaire 65 9 V 6 Les d l gations de signatures Les d l gations de signatures sont organis es l article 27 du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre et a l article 5 du r glement int rieur annex au dit d cret Ainsi conform ment au r glement int rieur et apr s en avoir inform l assembl e des lus le pr sident de la Chambre peut d l guer sa signature des collaborateurs mais dans des situations pr cises La d l gation de signature du pr sident est toujours r vocable VI LES AXES STRATEGIQUES DECLINABLES EN ACTIONS POUR RELEVER LES DEFITS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX Pour r pondre et relever les d fis nationaux et internationaux le bureau des lus et le pr sident peuvent d finir des axes strat giques qui peuvent tre d clin s en actions s agit par exemple dela contribution la croissance conomique qui suppose que les entreprises s installent dans les conditions les meilleures investissent se d veloppent et se transmettent Cela suppose que soient prises en compte les insuffisances actuelles et que soient d velopp es des actions en r seau conception
46. causes de la prosp rit de la CCI CI pendant la p riode coloniale et celle imm diatement post rieure l ind pendance de la CCI e n cessit d un lobbying de la CCI CI Les experts ont donn des r ponses satisfaisantes aux diff rentes pr occupations lesquelles ont fait par ailleurs l objet de d bats dans les travaux des commissions Les travaux du s minaire se sont poursuivis dans les cinq commissions d finies pr alablement conform ment aux pr occupations des op rateurs conomiques lus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire COMMISSION 1 Statut de l Elu consulaire COMMISSION 2 Cr ation gestion des projets d int r t public et mobilisation des ressources financi res COMMISSION 3 Gestion et fonctionnement de la e COMMISSION 4 Quels appuis de la aux entreprises e COMMISSION 5 Place institutionnelle de la CCI CI dans l environnement conomique et social de la C te d Ivoire L examen des questions en commission a suscit un vif int r t chez les participants et donn lieux des changes riches et constructifs Les conclusions et recommandations de ces commissions font l objet d un rapport de chaque commission et d un rapport g n ral pr sent par le comit scientifique Dans l ensemble le s minaire et les propositions faites par les cing commissions ont eu pour objectifs d interpeller les autorit s publiques sur les missions et les a
47. cement SA Constitution une base de donn es sur les aides et financement disponible pour les entreprises au plan national et international Mise en place d un fond de garantie Mise en place d un fond d investissement par la CCI CI Utiliser l autonomie financi re de la CCI CI pour mobiliser des ressources d cret de 1983 Mise en place d un service d appui au montage de dossiers financier Partenariat avec la BNI RENFORCEMENT DE CAPACITES Formation Encadrement Mettre en place de facon p riodique des formations sur la cr ation la gestion d entreprises le contr le interne D velopper la formation par alternance Cr ation d incubateur et de p pini res d entreprises Conseils aux entreprises Renforcer les capacit s et moyens du service appui aux entreprises de la CCI CI Int grer un CGA au Sein de la CCI CI Mise en place d appui financier pour la participation des foires et expositions PARTENARIAT Initier et organiser les foires salons et congr s Initier et organiser des rencontres B to B entre entreprises lvoiriennes et trang res Incitation de la construction d un Parc d exposition Cr ation d un cadre de partenariat avec les associations professionnelles Promouvoir les actions de la CCI CI travers les m dias INFORMATIONS ECONOMIQUES Constituer une base de donn es conomique r guli rement mise jour des opportunit s d affaires des ventes d entreprises et des conten
48. ces conc d s par l Etat la l gislation du travail dans le commerce et l industrie OR Les actes du s minaire 63 9 syst me d organisation de la formation professionnelle La Pr sentation de ses vues sur les moyens de favoriser le d veloppement conomique du pays surtout commercial et industriel Jes codes des investissements politique de financement des investissements a fixation des mercuriales La repr sentation dans divers tablissements et organismes d int r t collectif conomique et financier travers la prise de participation dans le capitale de certains organismes la participation aux conseils d administration participation aux comit s de gestion et comit s techniques la cr ation et la gestion d quipements de services en concourant la construction la programmation la r alisation et la gestion d quipements publics d int r t g n rale formation en contribuant la formation des hommes tous les niveaux aux m tiers du commerce et de l industrie J appui aux entreprises l aide la promotion et au d veloppement de l entreprise par l apport de toute forme d assistance la gestion d quipements en Contribuant la cr ation de services d int
49. de repr sentation au sein d une conf rence nationale des chambres consulaires Participation par d l gation de ses membres la fixation des mercuriales Les lus et les permanents doivent travailler en symbiose L lu reste l interlocuteur officiel de la CCI et lors des r unions le permanent doit toujours faire un rapport ou un PV l approbation et l avis du membre lus les liste tous une L APPUI AUX ENTREPRISES l se pr sente sur plusieurs formes et consiste dans la gestion des grandes crises conomiques les conseils aux entreprises les tudes et les informations sur l conomie Renforcer l appui classique y adjoindre d autres appuis comme l dition des bulletins conomiques ou des bulletins d opportunit s d affaire Pr voir et organiser des certification des Entreprises proc dures de FORMATION Mission pr vue par les textes mais peu exploit e Faire du lobbying aupr s des d cideurs pour la gestion d autres tablissements de formation d di aux domaines couverts par les activit s de la CCI Concevoir et mettre en place un syst me d appr ciation des tablissements de formation dans le cadre d une certification nationale Concevoir un annuaire des tablissements et le mettre la disposition des entreprises GESTION DES INFRASTRUCTURE ET DES EQUIPEMENTS ET DES SERVICES Textes complets Acqu rir d autres immobilisations partir de l exploitation des te
50. e art 3 4 Pour ne pas que lus consulaires utilisent la Chambre de commerce comme un instrument de combat et de propagande politique selon l article 34 de ce d cret de mai 1963 toutes discussions toutes d lib rations politiques sont interdites au sein de la Chambre de commerce En outre les d lib rations prises en dehors de ces attributions ou contraire aux dispositions du d cret sont nulles et non avenues En dehors de ces restrictions les lus de la Chambre de commerce ont l obligation de donner dans le cadre des r unions du bureau de l institution au cours de l assembl e g n ral ou dans les travaux en commissions tout avis sur les questions conomiques d int r t g n ral C est travers tous ces diff rentes actions que la Chambre de commerce peut tre amen e mettre des voeux au nom de l ensemble des lus Les actes du s minaire 53 9 Les lus de la Chambre de commerce conscient de leurs missions ont donn la pleine mesure de leur d sir de partager l information conomique tous notamment travers le bulletin quotidien d information g n ral le bulletin des comptes rendus des s ances pl ni res et le bulletin mensuel Le Bulletin mensuel avant sa disparition en 1990 d une centaine de pages comprenait une tude co
51. e repr sentant du Ministre de l Economie et des Finances Monsieur le Maire de la Commune de Yamoussoukro Messieurs les vices pr sidents de la CCI de Mesdames et Messieurs les Elus Honorables Mesdames Messieurs D Lorsque le Pr sident Jean Louis BILLON m a propos venir devant vous pour vous livrer le t moignage d un lu de la CCIP sur le th me droits et devoirs de l lu consulaire j ai tout de suite dit oui Puis apr s avoir raccroch j ai r fl chi et je me suis dit que je m tais peut tre un peu engag la l g re Je suis lu la CCIP depuis 13 ans D l gu du Pr sident pour l Innovation par les nouvelles technologies depuis 10 ans et ce titre pr sent aux r unions du bureau Et pourtant r pondre cette question quels sont les droits et devoirs de l lu consulaire ne m a pas paru si vident Alors je me suis plong dans les livres les brochures et les textes un ouvrage paru l occasion du bicentenaire de la CCIP sur lequel de grands historiens ont travaill diverses pr sentations de la CCIP papier ou web le r glement int rieur Pas si simple Mais j ai eu la satisfaction de constater que ce que je lisais et que je n avais jamais lu merci Jean Louis de m en avoir donn l occasion de m y avoir oblig ce que je lisais n tait pas loin de ce que je pensais en tout cas de ce que je vivais Lorsque je me suis pr sent j avais 40 ans et
52. eau de la Chambre de commerce et le gouverneur Angoulvant au sujet d lection contest e ont paralys la vie de l institution En outre la situation li e la premi re guerre mondiale et plus tard la seconde guerre mondiale a affaibli l action de ces lus consulaires cause du d part d un certain nombre de membres pour la m tropole Ces deux situations montrent que quand l environnement politique est malsain cela peut affecter les lus dans l exercice de leurs droits et devoirs En d pit de ces situations f cheuses le bon fonctionnement de la Chambre de commerce travers l action de ces lus a permis la C te d Ivoire de faire des progr s dans le domaine conomique ou social La naissance du port d Abidjan l agrandissement de l a roport d Abidjan dont elle voulait avoir la gestion la cr ation d une cole de commerce l organisation des grandes foires d Abidjan 1934 1935 1936 1951 la mise en place de l inspection des produits ont vu le jour gr ce l initiative des lus consulaires Conscient de leurs devoirs et s appuyant en cela sur les attributions que la loi donnait la Chambre de commerce ils n h sitaient pas informer le bureau de la Chambre de commerce de tout dysfonctionnement dans l conomie Grace eux l Administration coloniale fut constamment inform au sujet du dysfonctionnement des wharfs de la poste des routes cr er et des d cisions conomiques corriger Par le d vouement de ces
53. edynamiser la et rendre ses commissions plus efficientes les op rateurs conomiques lus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire r unis en assembl e g n rale le 03 f vrier 2010 sous la pr sidence de Monsieur Jean Louis BILLON Pr sident de la CCI CI ont d cid qu un d bat soit instaur sur la probl matique du r le consulaire de la La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire face aux d fis nationaux et internationaux Ces d bats auront lieu dans le cadre de plusieurs s minaires Le s minaire inaugural est pr vu du 23 au 25 septembre 2010 Objectifs Cr er un cadre de r flexion et de concertation des op rateurs conomiques pour valuer l action de la CCI CI sur la mandature 2002 2008 et tudier les perspectives de relance conomique dans la p riode de reconstruction post crise R sultats attendus Au terme de ces s minaires les r sultats ci apr s sont attendus bilan dela mandature est connu valuation des actions de la est r alis e Une strat gie de redynamisation de la est d finie et planifi e Le positionnement efficient de la CCI CI face l Etat est d fini es op rateurs conomiques sont parfaitement sensibilis s aux missions de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire les commissions des lus sont redynamis es et rendues plus fonctionnelles Les lus ont une co
54. entifique poursuivra ses travaux de synth se des recommandations afin de proposer des axes de r forme au Pr sident de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire pour en extraire une matrice de mesures susceptible d aider la CCI CI dans son fonctionnement venir Fait Yamoussoukro le 24 septembre 2010 Le Comit scientifique 24 Les actes du s minaire 1 gn RAPPORTS DES COMMISSIONS E Les actes du s minaire 25 S Les actes du s minaire COMMISSION 1 u STATUT DE L ELU CONSULAIRE n STATUT DE L ELU CONSULAIRE Pr sident Dr EHOUSSOU Rapporteurs M ASSOUMOU M a et Mme OHOUO RAPPORT DE COMMISSION R unie les 23 et 24 septembre 2010 dans le cadre du s minaire des Elus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d lvoire sur le th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire face aux d fis nationaux et internationaux la commission Statut de l Elu consulaire avait pour mission d examiner le PROJET DE REGLEMENT INTERIEUR DE LA et LES DROITS ET DEVOIRS DE L ELU CONSULAIRE Cette commission a travaill sous le regard expert de Monsieur Henri SERI avec comme pr sident le Dr EHOUSSOU et comme rapporteurs
55. er le pr sident s 60 Les actes du s minaire Dans ce cas le pr sident de la Chambre apr s en avoir inform l assembl e g n rale saisit le ministre en charge des lections de la CCI CI qui par un arr t d clare l int ress d missionnaire d office Toutefois le membre lu qui cesse de remplir les conditions d ligibilit moins de six mois avant le renouvellement de l assembl e g n rale demeure en fonction sauf s il a t condamn des peines infamantes ou l interdiction d exercer une activit commerciale Lorsque le membre lu d mis de son mandat repr sente une entreprise cette derni re en est inform e par le pr sident Dans ce cas elle dispose de 30 jours francs pour d signer si elle le souhaite un nouveau repr sentant qui doit remplir les conditions d ligibilit requises par les textes en vigueur Lorsqu un membre lu refuse d exercer tout ou partie de ses fonctions ou s abstient sans motif l gitime de se rendre aux r unions et assembl es de la Chambre pendant six mois cons cutifs le pr sident peut apr s en avoir inform l assembl e g n rale adresser une mise en demeure crite ventuellement avec copie l entreprise qu il repr sente s il s agit d un mandataire Si l
56. es lus Redynamiser les commissions avec le renforcement de l effectif des permanents aux commissions Renforcer la capacit et la formation des permanents et des Elus sur des th matiques pointus Constituer un panel d experts pour un appui ext rieur techniques e Pr voir un budget cons quent pour les experts redynamiser les commissions R organiser les commissions par th mes e suivre strictement les conclusions des travaux des commissions valid s par le bureau et par l Assembl e G n ral recenser toutes les conclusions des travaux dans un rapport annuel A Les actes du s minaire 21 e renforcer l quipe en place avec l apport d une quipe pluridisciplinaire hautement qualifi e Cr er une direction des Elus pour consid rer leurs activit s la doter de moyens cons quents Gestion de l administration des services N cessit imp rieuse d un audit social et organisationnel revue de salaire comp tence proc dure profils de carri re formation continue AU TITRE DE QUELS APPUIS DE LA CCI CI AUX ENTREPRISES Financement e inciter la cr ation d une soci t anonyme pour la recherche de financement SA Constituer une base de donn es sur les aides et financement disponible pour les entreprises au plan national et international Mettre en place un fond de garantie et d investissement la CCI CI e Utiliser l autonomie financi re de la CCI CI pour mobiliser
57. es du s minaire e e 9 TERMES DE REFERENCE Nature du projet S minaire Th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire face aux d fis nationaux et internationaux Contexte de la demande Etablissement public jouissant de la personnalit civile et de l autonomie financi re cr e par d cret 92 19 du 08 janvier 1992 la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire a quatre missions principales la repr sentation et la consultation l assistance et le conseil la cr ation et la gestion des infrastructures et la formation La CCI Cl est plac e sous la tutelle du Minist re du Commerce Monsieur Jean Louis BILLON depuis 2002 pr side aux destin es de cette institution centenaire qui en est sa deuxi me lection de son histoire Les organes de cette institution se sont install s officiellement la veille de la crise arm e du 19 septembre 2002 pour participer au d veloppement de l activit conomique conform ment aux missions qui lui ont t confi es par l Etat de C te d Ivoire art 2 du d cret N 92 21 de Janvier 1992 Pour r pondre efficacement aux pr occupations des op rateurs conomiques plusieurs commissions destin es recueillir leurs avis et faire des propositions l Etat sur les sujets qui sous tendent la vie de leurs entreprises et de l conomie ivoirienne ont t cr es Afin de r
58. et l organisation de la strat gie conomique internationale nationale r gionale d partementale ou communale par la r alisation de diagnostiques des informations conomiques de premier plan disponibles Dans le but d animer cette strat gie la Chambre peut r aliser des tudes et prendre position sur des sujets majeurs tels que les projets d infrastructure prioritaires les recommandations en mati re de zone d activit zone portuaire zone franche zone industrielle etc de conforter la l gitimit de la Chambre vis vis des entreprises en confortant en compl ment de ce qui a d j t fait le d veloppement de la fonction marketing et le lobbying etc LES ACTIVITES INSTITUTIONELLES DE LA CCI CI AVEC L ETAT LES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET SES PARTENAIRES I s agit en application des articles 2 8 du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre de promouvoir des activit s de celle ci avec son territoire et ses partenaires telles que les projets de territoire projet de d veloppement des politiques commerciales et industrielles des collectivit s locales etc les actions partenariales de la C C I C I avec les institutions VIII L ADMINISTRATION FINANCIERE VIII 1 Le budget Pour mener ses actions avec efficacit et c l rit la Chambre doit disposer d un budget annuel de fonction
59. eur et de t nacit lors des repr sentations au sein des comit s ext rieurs et communiquer sur les orientations et l avis de la CCI e Faire travailler en symbiose les lus et les permanents l lu reste l interlocuteur officiel de la CCI lors des r unions et le permanent doit toujours faire un rapport ou un PV l approbation et l avis du membre lus Mission d appui aux entreprises Renforcer l appui classique et y adjoindre d autres appuis comme l dition des bulletins conomiques ou des bulletins d opportunit s d affaires e Pr voir et organiser des proc dures de certification des Entreprises Mission de formation e Faire du lobbying aupr s des d cideurs pour la gestion d autres tablissements de formation d di aux domaines couverts par les activit s de la CCI CI e Concevoir et mettre en place un syst me d appr ciation des tablissements de formation dans le cadre d une certification nationale Concevoir un annuaire des tablissements et le mettre la disposition des entreprises Mission de gestion d infrastructures conc d es e Acqu rir d autres immobilisations partir de l exploitation des textes e Mener des actions plus dynamiques pour reprendre les quipements perdus e Etre pr sents sur des activit s immobili res pr vues dans nos textes comme les ports les gares routi res Gestion des commissions Renforcer la communication entre les membres lus Remobilisation d
60. ff rentes Chambres consulaires de ce pays Quand leur cri et leurs avis sont compris par l Etat l conomie s en porte mieux C est pourquoi pour une sortie de crise r ussie au plan conomique la Chambre de commerce et d industrie doit tre associ e Quand la C te d Ivoire subissaient les effets pervers de la crise des ann es 1930 et de la Deuxi me guerre mondiale par ses action la Chambre de commerce a att nu ce d sordre conomique Les organisations consulaires sont donc par l action des lus les v ritables solutions aux crises conomiques Depuis quatre si cles elles font leurs preuves en France Les actes du s minaire 55 9 Th me LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE C TE D IVOIRE FACE AUX DEFIS NATIONAUX ET INTERNATIONAUX n INTERVENTION DE M Henri SERI dipl m en Droit priv mention droit des affaires de l universit des Sciences Juridiques et Economiques de Nancy France Henri SERI est dipl m en Droit priv mention droit des affaires de l universit des Sciences Juridiques et Economiques de Nancy France exerc des postes de Conseiller Juridique en Cabinet et de Directeur en entreprises publiques et priv es A ce titre il a particip plusieurs missions conf rences et s minai
61. het unique de d p t des tats financiers des entreprises D velopper un centre de promotion des investissements Elaborer des tudes de faisabilit s des projets d infrastructures tels que la cr ation d un parc d exposition march abattoirs gares routi res etc AU TITRE DE LA GESTION ET FONCTION DE LA CCI CI La commission apr s analyse des missions et de l organisation de la Chambre de Commerce de d Industrie de C te d lvoire a fait des observations pour ce qui concerne les missions l organisation et le fonctionnement de la CCI CI Puis a tabli les recommandations ci apr s Recommandations g n rales Initier des s minaires de formation des lus pour expliquer les textes de base de la CCI CI Sensibiliser les Elus pour une implication plus pouss e de la connaissance des textes Proposer une note explicative des missions et leur impact sur l environnement conomique Communiquer avec les lus sur les grandes d cisions organisationnelles Envoyer par internet les informations organisationnelles dont on pourrait d terminer la fr quence ou par distribution de courrier R actualisation et r activation des emails des lus afin de faciliter leur acc s l information Mettre un mode op ratoire et un manuel d utilisation de la consultation internet performant Mettre disposition des lus un annuaire par secteur d activit Pr voir un organigramme connu publi et nominatif pour informer les lus voir p
62. igny les lus consulaire en petit nombre furent d motiv s et l on assista plus tard apr s de la mort de Massieye cette pisode de dissolution car la Chambre de commerce ne pouvait plus jouer son r le parce que les lus consulaire taient priv s de leur droit et devoir du fait de l Etat Refusant de voir dispara tre cet outil de progr s la reforme de 1992 vit la naissance de la Chambre de commerce et d industrie 54 Les actes du s minaire e 9 nouveaux d fis pour les lus consulaires 1992 2002 L ann e 1992 est une p riode importante pour lus les consulaires En effet apr s 1968 date de la derni re lection la Chambre de commerce cette institution ne connut plus d lection jusqu cette reforme de 1992 Dans ce nouveau texte les droits et devoirs ant rieurs des lus sont r affirm s pas de d lib ration politique la fonction de l lu est gratuite l lu ne peut appartenir deux chambres consulaires la fois Il doit et il peut donner ses avis dans les organes de Chambre de commerce et d industrie sur un certain nombre de questions conomiques Tous ces acquis du pass ont but de permettre aux lus consulaires de faire de leur institution un outil au service de l int r t g n ral C est dans ce climat
63. int ress ne d f re pas cette mise en demeure il peut tre d mis de ses fonctions par un arr t du ministre en charge des lections de la CCI CI L autorit est saisie cette fin par le pr sident de la Chambre apr s que l int ress ait t invit faire valoir ses observations devant le bureau de la Chambre S agissant des membres des commissions en cas d emp chement ceux ci sont tenus d informer le pr sident de la commission ou du conseil Apr s trois absences dans l ann e le Pr sident de la Chambre peut adresser l int ress un rappel l ordre dont il avise le pr sident de la commission ou du conseil En cas de nouvelle absence le membre concern peut tre radi d office de la commission ou du conseil 5 Le r glement int rieur Les articles 11 et 21 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre renvoient au r glement int rieur le soin de r gler et d crire certaines proc dures applicables la Chambre Pour ce faire le r glement int rieur devient un document normatif destin r gir l organisation et le fonctionnement de la Chambre Il contient aussi les droits et les devoirs des membres de la Chambre et d crit certaines proc dures applicables la C C I CI IV LE FONCTIONNMENT DE LA C C I C I Les organes lus de la Chambre sont vaguement d crits par les articles 10 19 du d cret n 92 21 du 8 janvier
64. janvier 1992 portant cr ation de la institue une seule Chambre de Commerce et d Industrie pour le territoire de la R publique La Commission recommande que le gouvernement se saisisse de cette question afin que ces entit s ne constituent pas des Chambres de commerces parall les et concurrentes 42 Les actes du s minaire e AU TITRE DES RAPPORTS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE D IVOIRE AVEC LES ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES La Commission constate l existence d organisations professionnelles appel es d fendre les int r ts de leurs adh rents La Commission constate que la CCI CI de part ses missions a vocation d fendre les int r ts de l ensemble du secteur conomique La Commission note que certaines organisations professionnelles ont tendance s approprier certaines pr rogatives de la CCI CI La Commission recommande que la sensibilise les pouvoirs publics sur sa place institutionnelle et ses missions La Commission recommande en outre qu un cadre de concertation permanent soit institu avec les organisations professionnelles IV AU TITRE DES RELATIONS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE AVEC LES POUVOIRS PUBLICS La Commission constate que la place institutionnelle et le r le de la CCI CI se
65. l rit La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire devra savoir profiter pleinement de cette nouvelle dynamique offerte par ce s minaire pour tracer les grands axes de la comp titivit de nos entreprises Pour le Comit de Pilotage ADOU Assal 70 Les actes du s minaire e Y Liste de pr sence Les actes du s minaire 71 Les actes du s minaire LISTE DE PRESENCE SEMINAIRE CCI CI YAMOUSOUKRO 23 24 SEPTEMBRE 2010 MEMBRES ELUS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE C TE D IVOIRE 1 ADAMA TOURE OK 2 AHOUA NGODJIGUI TOURE OK 3 AKOBE Armand OK 4 ALLAH Kouadio J C OK 5 ASSALE ADOU OK 6 ASSOUMAN Konan OK 7 ASSOUMOU MEA OK 8 BI TIE Pascal OK 9 BAKARE LATIFU OK 10 BOSSO ASSAMOI OK 11 CHAUDRON Pierre W OK 12 COFFI ABOYA OK 13 DELAFOSSE Ren OK 14 DIALLO Patrick OK 15 DIAWARA Bouyaguy OK 16 DIBY K Achille OK 17 DIBY LEGUEBE Pierre OK 18 DIOP AMADOU OK 19 DJESSOU Apolinaire OK 20 DJIBO Nicolas OK 21 DONHO Awa OK 22 DOUKA Christophe OK 23 EHOUSSOU Narcisse OK 24 EKRA BLIN OK 25 EMERUWA Edjikeme OK 26 ENOBLE EBE OK 27 FADIGA Yacouba OK 28 GU
66. les dont on pourrait d terminer la fr quence ou par distribution de courrier R actualisation et r activation des emails des lus afin de faciliter leur acc s l information Pr voir un mode op ratoire et un manuel d utilisation de la consultation internet performant Mise disposition des lus d un annuaire par secteur d activit grandes Pr voir un organigramme connu publi et nominatif pour information des lus voir proposition d organigramme Cr ation de sous direction plus op rationnelle Eclatement et autonomie de certains centres de profits Renforcer la communication organisationnelle entre le si ge et les r gions en int grant en plus le marketing Absence d organigramme Faire un audit social et organisationnel d finitif FONCTIONNEMENT plus du fonctionnement Pr voir des services dans le domaine des mines classique des organes existant p trole b timent et travaux publics d autres dispositions et d autres Initi des th mes pr cis au cours des AG li s domaines devront tre prise en certain centre d int r ts commun compte Les assembl es g n rales sont Mieux organiser les missions des d l gations trop comptables consulaires r gion entre les lus et les permanents Accentuer la communication relationnelle entre les La communication lus institutionnelle est faible en r gion PEN 36 Les actes du s minaire
67. lit Que des dispositions utiles soient prises pour le recouvrement des sommes dues par l Etat au titre de la formation Que la CCI CI mette en place des programmes de formation sp cifiques r pondant aux besoins de ses ressortissants aussi dans les secteurs tertiaires qu industriels sur l ensemble du territoire national Mission de cr ation gestion d infrastructures conc d es Les services conc d s sont le PESAGE le PNSF le March de Gros de Bouak le Trie Que la CCI CI mette en place une commission ad hoc charg e des services conc d s compos e d lus de permanents et d experts ext rieurs afin de garantir les int r ts financiers de la CCI CI Que la CCI CI tudie les modalit s de prise de participation aux grands projets d infrastructures Que la CCI CI obtienne le retour du transi inter tat la CCI CI Obtenir le r agissement la hausse du tarif du pesage Que la CCI CI prenne des dispositions pour que le certificat d origine soit exclusivement mis par la CCI CI Veillez obtenir la concession du pesage l essieu Cr ation d un guichet unique de d p t des tats financiers des entreprises D velopper un centre de promotion des investissements Conduire des tudes de faisabilit s des projets d infrastructures tels que la cr ation d un parc d exposition march abattoirs gares routi res etc Les actes du s minaire
68. m du monde de l entreprise et en assembl e g n rale Enfin M Brunet a mis l accent sur l enrichissement personnel que l lu consulaire tire de son implication au service des entreprises et de l int r t g n ral La seconde intervention a t faite par M Rapha l BEKOIN Ma tre assistant au D partement d Histoire de l Universit de Bouak Dans son intervention M BEKOIN a jet un regard sur la de la CCI CI travers le th me R le de la CCI CI travers les droits et devoirs de l lu consulaire de 1908 2002 Dans un expos enrichissant l historien a pr sent lesdits droits et devoirs dans trois p riodes 1908 1960 puis 1963 1992 et enfin 1992 2002 Au terme de cette pr sentation il a indiqu que nonobstant le r le important de la CCI CI dans le d veloppement conomique de la CI l lu consulaire semble avoir plus de devoirs que de droits La derni re intervention a t faite par M SERI Henri Juriste Dipl m de l Universit de Nancy Dans son analyse du th me il a surtout relev l impr cision et l inad quation des textes actuels qui consacrent les droits et devoirs de l lu consulaire Face l volution de l environnement des affaires et des activit s commerciales industrielles et des services il propose une r forme urgente des textes r gissant le fonctionnement de la CCI CI Les changes de la pl ni re d ouverture du S minaire Les s minaristes ont manifest un int
69. mblent tre m connus par les pouvoirs publics La Commission recommande que sensibilise les pouvoirs publics sur sa place institutionnelle et ses missions une plate forme d changes soit cr e avec la Commission des affaires conomiques et sociales de l Assembl e Nationale CCI CI joue effectivement son r le d interface entre le secteur priv et les pouvoirs publics pour les questions concernant le d veloppement conomique V AU TITRE DES RELATIONS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE AVEC LES PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT La Commission constate que les partenaires au d veloppement jouent un r le important dans le d veloppement conomique La Commission constate que de plus en plus ces partenaires au d veloppement passent par le truchement d institutions non tatiques pour octroyer des appuis au secteur priv PME et PMI La Commission recommande que les relations de la CCI CI avec les partenaires au d veloppement soient renforc es et que la CCI CI joue effectivement son r le d interface entre le secteur priv et les partenaires au d veloppement VI AU TITRE DE LA COMMUNICATION INSTITUTIONNELLE La Commission constate qu il existe un d ficit dans la communication interne et externe de la CCI La Commission recommande la cr ation d un service de communication et la mise de v ritables strat gies de communication et de lobbying Yamoussoukro
70. mins de fer r seau routier travaux publics Toutes ces commissions auxquelles les ivoiriens taient associ s ont permis d avoir des tudes conomiques assez exhaustives sur la C te d Ivoire C est cause de cet acharnement au travail que ces lus consulaires malgr la gratuit de leur fonction ont la veille de l ind pendance laiss un bilan assez logieux 1 la reforme de 1963 1992 la situation des droits et devoirs de l lu consulaire face un Etat postcolonial La r forme du 17 mai 1963 portant organisation des Chambres de commerce en C te d Ivoire marque un saut qualitatif dans l histoire des organisations consulaires Ce nouveau texte traduit la volont des autorit s ivoiriennes de se servir de ces institutions comme un instrument de d veloppement Plac sous tutelle du Minist re des finances des affaires conomiques et du plan les attributions de la Chambre de commerce sont renforc es et les principes qui doivent guider l action des lus consulaires sont clairement affirm s Ainsi il est affirm que les fonctions des membres de la Chambre de commerce sont gratuites et ne donnent lieu aucune r tribution directe ou indirecte suivant en cela les principes qui ont guid la naissance de ces institutions Dans ses obligation l gard de la Chambre de commerce tout membre lu qui deux reprises successives s est abstenu de se rendre aux convocations sans motif est d clar comme d missionnair
71. n avais le courage je ferais du business avec l tranger parce que maintenant je sais qui m adresser Voil pour les mois les richesses que l on retire de nos chambres Nos chambres ont besoin de nos exp riences de nos richesses En retour nous en tirons nous tellement plus de richesses J ai peut tre t trop enthousiaste presque lyrique mais cela fait 13 ans que je le suis et le reste et j esp re repartir pour une prochaine mandature de 5 ans Je vous souhaite vous aussi de longues ann es dans votre chambre et vous remercie de votre coute et de ne pas tre sortie en me traitant de fou 50 Les actes du s minaire 9 Th me Le r le de la Chambre de commerce et d industrie de C te d Ivoire travers les droits et devoirs de l lu consulaire de 1908 2002 INTERVENTION DE M TANOH RAPHA L BEKOIN Ma tre assistant d partement Histoire Universit de Bouak Introduction La Chambre de commerce et d industrie est une institution particuli re que la C te d lvoire a h rit e de la colonisation C est une institution qui a r ussit traverser le temps au point qu il y a deux ans de cela elle f tait son centenaire La Chambre de commerce c est aussi l une des inventions fran aises que la Fra
72. nce a utilis non seulement pour son d veloppement mais aussi comme instrument de la colonisation Partout o la France a cr e des colonies elle a install des Chambres de commerce et d industrie ainsi que des Chambres d agriculture Les Etats africains au moment de leur ind pendance aurait pu dissoudre ces institutions au nom de la souverainet retrouv mais ce ne fut pas le cas Souvent ces Etats si l on prend le cas de la C te d Ivoire d s le d but de l ind pendance notamment par le d cret du 17 mai 1963 a renforc les assises de ces institutions En janvier 1992 pour tenir compte de l volution de l activit conomique l Etat ivoirien a apport de nouvelles orientations la Chambre de commerce et d industrie Tous ces actes pour une institution h rit e de la colonisation montrent que la Chambre de commerce et d industrie est un v ritable instrument de d veloppement et de progr s Au cceur de ce syst me se trouve les acteurs conomiques qui de facon d mocratique et libres sont choisis par leurs pairs pour repr senter les diff rentes branches d activit s conomiques Cette proc dure leur assure donc une ind pendance l gard de pressions ext rieures Dans l ensemble ce th me invite r fl chir sur la mani re dont l lu consulaire travers la connaissance de ces droits et devoirs peut aider son institution accomplir efficacement ses t ches selon les missions que lui conf rent ses textes depuis
73. nement vot par ses lus en assembl e g n rale 165 ressources de la Chambre devraient pouvoir tre constitu es 66 Les actes du s minaire ix 1 d une quote part de certaines taxes d terminer ou proposer pour l essentiel derecettes propres de subventions publiques de dons et legs Ces ressources sont d finies l article 23 du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre LA REFORME DE LA 1 1 Cette reforme s impose au regard du th me du s minaire mais galement des observations qui auront t faites quant l insuffisance des textes de la Chambre eu gard l volution de l environnement des affaires et l volution des activit s dans les secteurs commerciaux industriels et des services de l conomie en g n ral IX 1 Les insuffisances actuelles de la Chambre IX 2 Les perspectives de la Chambre IX 3 Le cadre institutionnel et juridique de la Chambre Ainsi il est utile de rappeler que bon nombres d institutions exercent les attributions de la Chambre Ce chevauchement d activit s n est gu re de nature faciliter le dynamisme de la Chambre car ces institutions concurrentes empi tent gravement sur les at
74. ner l institution une image de respectabilit et de s rieux SE E a Les actes du s minaire 59 9 Les droits des lus Il s agit des droit repr sentation de la CCI un conseil de gestion ou d administration Jl indemnisation des membres suivant le bar me fix par le bureau pour les frais de transport les frais de repr sentation Mais il ne saurait exister de r tribution directe ou indirecte des lus Au titre des avantages pendant la dur e de son mandat chaque membre lu se voit attribuer une carte de membre d lu et une cocarde officielle servant identifier son v hicule Cependant le membre lu est tenu de restituer ces l ments l expiration de son mandat Au titre des garanties contre les risques qui surviendraient au cour et l occasion de ses fonctions tout membre lu charg d une mission ponctuelle ou couvrant la dur e de son mandat et pouvant engager sa responsabilit personnelle sera couvert dans le cadre de cette mission par une assurance souscrite par la Chambre Pour ce faire la Chambre assure les membres lus contre les pr judices qu ils peuvent subir dans l exercice ou l occasion de leurs fonctions consulaires condition que leur responsabilit p nale ne soit pas engag
75. nnaissance approfondie de leurs droits et devoirs es missions d assistance de la CCI CI dans le paysage d appui aux entreprises sont connues et renforc es Des propositions sont faites l Etat pour am liorer l environnement des affaires et rendre les entreprises ivoiriennes comp titives Date du S minaire Du 22 au 25 septembre 2010 inaugural Participants P 200 estim s Personnes En interne Elus CCI CI et Permanents ressources En externe Minist res Experts Institutions Ambassades Coordination Comit scientifique Les actes du s minaire 5 PROGRAMME Yamoussoukro le 22 23 24 25 septembre 2010 Mercredi 22 septembre 2010 Accueil et installation des participants l h tel partir de 17H Jeudi 23 septembre 2010 D but du s minaire des membres lus 08h00 09h00 Accueil installation des invit s en salle pl ni re et inscription dans les commissions 09h00 09h15 09h15 09h30 09h30 09h45 09h45 10h00 10h00 10h15 Allocution d ouverture du Ministre du Commerce Premi re Communication mandature 2002 2008 bilan et perspectives Pr sentation M Jean Louis BILLON Pr sident de la CCI CI 10h45 11h00 Cocktail d ouverture 10h15 10h45 11h00 13h00 Echanges 02heures 13h00 14h00 Deuxi me Communication Droits et devoirs de l Elu consulaire 14h00 14h45 Communication faite par des experts des Chambres consulaires CPCCAF assist s p
76. nomique des notes d informations diverses le compte rendu des travaux en commission les accords commerciaux les statistiques conomiques les r glementations touchant le commerce etc Ces tudes d une grande utilit pour les acteurs conomiques sont le fruit de travail des hommes de terrain et qui vivent les r alit s de l entreprise et non des bureaucrates C est conscient de ce pragmatisme que l Etat ivoirien avait conc d la Chambre de commerce l approvisionnement de la Cote d Ivoire en riz jusqu en 1990 Les lus de la Chambre de commerce soucieux de la noblesse de leur mission ont r ussi ce pari jusqu ce m me Etat te ce privil ge comme il le fait d ailleurs pour d autres choses En effet au cours de la p riode 1963 1992 l Etat ivoirien a bafou le droit de ces lus consulaires lorsqu il pr f rait collaborer avec les organisations professionnelles sur des sujets qui relevaient des attributions de la Chambre de commerce En 1990 au moment de l existence de la commission de coordination du programme de stabilisation et de relance conomique pour tout le secteur priv seuls deux groupements conomiques savoir l union patronale de C te d ivoire et le syndicat des commer ants importateurs et exportateurs scimpex ont parl au nom du secteur priv Cette marginalisation de l institution consulaire commen a dans les premiers moments de l ind pendance Si dans les ann es 1970 lors du lancement de son projet PAC
77. ommande que la CCI CI sensibilise les pouvoirs publics sur sa place institutionnelle et ses missions Elle recommande en outre qu un cadre de concertation permanent soit institu avec les organisations professionnelles Relations de la avec les pouvoirs publics La commission recommande que e aCCI CI sensibilise les pouvoirs publics sur sa place institutionnelle et ses missions e Une plate forme d changes soit cr e avec la commission des affaires conomiques et sociales de l Assembl e Nationale e La CCI CI joue effectivement son r le d interface entre le secteur priv et les pouvoirs publics pour les questions concernant le d veloppement conomique Relations de la avec les partenaires au d veloppement La commission recommande que les relations de la avec les partenaires au d veloppement soient renforc es et que la CCI CI joue effectivement son r le d interface entre le secteur priv et les partenaires au d veloppement Communication institutionnelle La commission recommande la cr ation d un service de communication et la mise en ceuvre de v ritables strat gies de communication et de lobbying Les actes du s minaire 23 LES ENSEIGNEMENTS GENERAUX Les lus ont jug opportun de l ach vement de ce s minaire 115 ont beaucoup appris au sujet de la connaissance de l institution Ils ont appr ci la proximit avec les autres lus 115 ont souhai
78. ommerce Mission de formation e Proposer des services de formations sp cifiques et adapt s aux besoins du monde professionnel Renforcer le partenariat HEC dans le cadre de la formation continue Sortir la gestion de l Ecole de commerce et de Gestion ECG de la tutelle du minist re du Commerce et le rendre la d e Les actes du s minaire 19 Requ rir l avis de la dans la mise en place des programmes d Enseignement technique Participer aux conseils de gestion des Ecoles Techniques en vue d une formation de qualit Mettre en place des dispositions pour recouvrer les sommes dues par l Etat au titre de la formation Etablir des programmes de formations sp cifiques r pondant aux besoins de ses ressortissants aussi dans les secteurs tertiaires qu industriels sur l ensemble du territoire national Mission de gestion d infrastructures conc d es Mettre en place une commission ad hoc charg e des services conc d s compos e d lus de permanents et d experts ext rieurs afin de garantir les int r ts financiers de la CCI CI Etudier les modalit s de prise de participation aux grands projets d infrastructures Obtenir le retour du Transit Inter Etat TRIE la CCI CI N gocier la hausse du tarif du pesage Prendre des dispositions pour que le certificat d origine soit exclusivement mis par la CCI CI N gocier la concession du pesage l essieu Cr er un guic
79. on ne le passe pas dans notre entreprise et ce n est pas la chambre qu on fait des affaires C est vrai et c est probablement pour cela que le pourcentage de retrait s augmente parmi les lus de nos chambres Ce n est pas mon t moignage c est mon sentiment profond que je vais vous donner Repr senter les autres c est faire abstraction de soi de ses besoins de ses int r ts m est arriv de voter des d cisions qui allaient me faire perdre de l argent parce qu elles taient bonnes pour les entreprises en g n ral et en l esp ce pas pour les miennes Les actes du s minaire 49 9 Et c est pour cela qu il ne faut pas mon avis attendre de retour int ress de la chambre contrepartie ni privil ge ni pr f rence Notre l gitimit en tant que repr sentant des entreprises de toutes les entreprises est fond e sur le b n volat Le vrai retour c est la richesse personnelle qu on en retire J ai appris beaucoup de choses j ai eu envie de faire beaucoup de choses y compris en termes de business j ai d velopp des activit s parce que ce que j ai vu la chambre m en a donn l id e et l envie J ai rencontr des gens comme vos gr ce la chambre d couvert la face conomique de nombreux pays Et vous voyez si j e
80. onctionnement de la Chambre pour ce qui concerne les droit aux articles 4 10 et 21 du r glement int rieur de 1992 tels qu annex s au d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 adopt par assembl e g n rale de la Chambre le 24 f vrier 1994 Toutefois relevant les insuffisances et les lacunes des textes sus vis s les articles 10 11et 12 du projet de r glement int rieur de 2006 a list ces droits et devoirs de mani re plus claire et exhaustive en pr voyant au besoins l instar des lus des conseils municipaux et g n raux certains avantages qui peuvent tre attach s au statut de l lu consulaire 15 sont relatifs comp tence et l efficacit conform ment aux obligations pr vues assiduit des lus pour assurer le bon fonctionnement des organes auxquels ils appartiennent disponibilit afin de consacrer de leurs temps aux travaux des organes d appartenance discipline par le respect des textes qui r gissent la Chambre l esprit de sacrifice en privil giant l int r t collectif et non individuel dans le traitement des dossiers charge malgr le caract re b n vole des interventions discr tion en respectant la confidentialit des d bats en assembl e ouverture par l association de toutes les comp tences utiles l laboration et la remise de rapport pour toutes les missions individuelles ou collectives effectu es la cr dibilit et honorabilit pour don
81. partement et de la commune C est un r le qui lui permet de mieux repr senter les int r ts des ses membres notamment dans les prises de d cisions en mati re d appuis aux entreprises de formation professionnelle et d am nagement du territoire Etablissement public jouissant de la personnalit civile et de l autonomie financi re cr e par d cret 92 19 du 8 janvier 1992 la chambre de Commerce et d industrie de Cote d lvoire C C I C I a quatre missions principales savoir la repr sentation et la consultation l assistance et le conseil la cr ation et la gestion des infrastructures et la formation La CCI CI est plac e sous la tutelle du Minist re du Commerce L ORGANISATION DE LA C C I C I La est compos e d une quipe de membres titulaires et de personnels permanents Les lus titulaires sont des chefs d entreprises lus par leurs paires tous les cinq ans Ils sont b n voles et repr sentent l industrie le commerce les services Les permanents sont des collaborateurs salari s 11 2 La formation de la 1 1 La formation de la C C I C I doit tre repr sentative de l ensemble des branches et cat gories professionnelles qui la composent telles que pr vues l article 3 du d cret n 92 19 du 08 janvier 1992 portant cr ation de la Chambre et d finis en annexe du d cret pr cit Les actes du s minaire 57
82. ques que traverse la C te d Ivoire Intervenant la suite du repr sentant du Maire de Yamoussoukro le Pr sident de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire Monsieur Jean Louis BILLON a exprim sa pleine satisfaction face la pr sence massive des participants au s minaire Apr s leur avoir souhait la bienvenue il a invit les lus consulaires faire un bilan objectif de la mandature en cours et proposer des solutions pour pr parer l institution la relance conomique afin de relever les d fis nationaux et internationaux Quant au repr sentant du Ministre de l Industrie Monsieur AGUIE il a d abord pr sent les excuses et les regrets du Ministre de l Industrie et de la Promotion du Secteur priv M DOSSO Moussa qui n a pu participer au s minaire Il a par la suite relev trois symboles que lui inspire la tenue du pr sent s minaire s agit respectivement du lieu de la p riode et du th me du s minaire Explicitant sa pens e il a mentionn la pertinence pour l organisation du s minaire du choix du lieu ville natale du premier Pr sident de la R publique de C te d Ivoire et capitale politique du choix de la p riode p riode de sortie de crise en C te d Ivoire et du choix du th me en ce qu il permet la CCI CI d aborder tous les aspects de sa mission En outre Monsieur AGUIE a assur la du soutien du minist re et invit e prendre sa place afin d apporter des
83. r unissent les lus autour des pr occupations conomiques Ainsi la Chambre peut constituer en son sein des commissions pour d battre des probl mes techniques administratifs conomiques ou fiscaux qui se posent ses membres et pr parer les positions et d cisions prises en Assembl e G n rale IV 5 La vacance des si ges La vacance des si ges est r gl e par l article 12 du d cret 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre En cas d emp chement du pr sident celui ci est suppl e par le premier vice pr sident ou d faut par un vice pr sident qu il d signe En cas d absence simultan e du pr sident et des vices pr sidents le membre du bureau qui a t lu par le plus grand nombre de voix est charg d assurer l int rim de la pr sidence moins d une d lib ration contraire de Chambre qui en ce cas peut d signer un int rimaire avec l accord du minist re de tutelle Toute vacance de poste au sein du bureau au cours d un mandat est combl e par l assembl e sa plus prochaine s ance En cas de vacances de la moiti des postes le bureau est r lu dans sa totalit par l assembl e g n rale IV 6 Les d l gations locales La CCI CI est repr sent e au niveau de chaque r gion administrative par une d l gation r gionale sise au chef lieu de r gion 62 Les actes du s minaire 1
84. rce et l industrie l organisation de la formation professionnelle toutes les questions importantes int ressant l conomie de la R publique de C te d Ivoire Article 49 supprim Article 50 supprim TITRE VI DISPOSITIONS FINANCIERES BUDGET ET TRESORERIE L ordre des articles 53 54 et 55 t modifi comme suit Article 53 devient l article 54 L article est modifi approuve en lieu et place de adopte et le terme annexe comptable est supprim Article 54 devient l article 55 Article 55 devient l article 53 TITRE VII LES DELEGATIONS REGIONALES DE LA CHAMBRE Titre converti chapitre 5 TITRE VIII LES SERVICES DE LA CHAMBRE Titre converti en chapitre 6 la Direction G n rale Article 73 d plac et ins rer dans le chapitre 1 TITRE IX LES DELEGUES CONSULAIRES Titre converti chapitre 7 Article 79 modifi ajout de l Assembl e G n rale du Pr sident ou du Bureau 30 Les actes du s minaire 9 Article 79 Les d l gu s consulaires peuvent par d cision sp ciale de l Assembl e G n rale du Pr sident ou du Bureau tre appel s prendre part aux travaux des commissions de la chambre TITRE X LES MEMBRES CORRESPONDANTS Ce titre a t enti rement supprim Par cons quent tou
85. res tant au plan national qu international comme rapporteur pr sident et expert gouvernemental aupr s d institutions internationales telles que la Banque Mondiale BM l ONU la CNUDED le Fonds Mon taire International FMI etc est actuellement expert consultant aupr s du groupe de la Banque Africaine de D veloppement BAD FAD depuis 1992 est membre de l association d Hommes d Affaires Britanniques British Businessmen s Association Il est g rant du cabinet Expertise Consulting Les devoirs et les droits de l lu La Chambre de commerce et d industrie est pour l lu un cadre de r flexion de concertation et d actions pour r pondre efficacement aux pr occupations des op rateurs conomiques relativement leurs entreprises et l conomie ivoirienne D s lors soucieux d apporter leurs contributions l panouissement d un secteur conomique dynamique ces lus devront s investir dans les fonctions qu ils occupent dans l organisation les attributions et le fonctionnement de la 1 ainsi que dans ses organes LE CONTEXTE HISTORIQUE DE LA C C I C I 1 1 Le cadre l gislatif et r glementaire L organisation et le fonctionnement de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire ci apr s d nomm e la chambre ou la CCI CI sont r gis par les textes l gislatif et r glementaires anciens notamment loi n 60 340 du 28 octobre 1960 portant institution des assembl es repr
86. rmanents et des Elus sur des th matiques pointus Constituer un panel d experts ext rieur techniques Pr voir un budget cons quent pour les experts et la redynamisation des commissions pour un appui R organiser les commissions par th mes suivi strict des conclusions des travaux des commissions par une validation par le bureau et par l assembl e recenser toutes les conclusions des travaux dans un rapport annuel renforcer l quipe en place avec l apport d une quipe pluridisciplinaire hautement qualifi cr ation d un service pour consid rer les activit s des lus comme des services et le doter de moyens cons quents ADMINISTRATION DES SERVICES La derni re revue organisationnelle date de 2002 N cessit imp rieuse d un audit social et organisationnel revue de salaire comp tence proc dure profils de carri re formation continue Les actes du s minaire 9 COMMISSION 4 u QUELS APPUIS DE LA CCI CI AUX ENTREPRISES n Nom de l atelier QUELS APPUIS DE LA CCI CI AUX ENTREPRISES Pr sident PROFESSEUR EMERUWA M YAI Alexandre Rapporteur RAPPORT DE L ATELIER RESOLUTIONS FINANCEMENT Incitation la cr ation d une soci t anonyme pour la recherche de finan
87. roposition d organigramme Cr er des sous directions plus op rationnelles Renforcer la communication organisationnelle entre le si ge et les r gions en int grant en plus le marketing Faire un audit social et organisationnel Pr voir des services dans le domaine des mines p trole b timent et travaux publics Initier des th mes pr cis au cours des AG li s certains centres d int r ts commun Accentuer la communication relationnelle entre les lus Les actes du s minaire 1 Recommandations sp cifiques Mission de repr sentation e Jouer pleinement la mission consultative avec la production d outils de r flexion tudes enqu tes statistiques sur les donn es conomiques e Renforcer la communication aupr s des plus hautes instances chef de l tat et des institutions pr sentation de la travers les foires et des expositions Renforcer la repr sentation dans tous les secteurs d activit s et tablir une liste nominative des lus dans ces secteurs e Sensibiliser les lus sur l absent isme et sa cons quence sur les activit s de repr sentation e Cr er une obligation d information et de compte rendu de r union sur les grandes d cisions lors des repr sentations dans les soci t s e Faire preuve de rigu
88. solutions aux d fis de l emploi 12 Les actes du s minaire 1 Enfin Monsieur ADOHI repr sentant le Ministre du Commerce a exprim les excuses et les regrets de M YAPO YAPO Callixte titulaire de ce d partement qui n a pu assister au s minaire Par la suite il a rappel bri vement les enjeux du s minaire et exprim les attentes du Ministre qui souhaite que les travaux du s minaire aboutissent des propositions judicieuses qui permettent la fois l Etat et la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire d aborder dans les meilleures conditions la p riode de reconstruction post crise qui s amorce de mani re irr versible puis a d clar ouverts les travaux du S minaire de la CCI CI portant sur le th me LA CCI CI face aux d fis nationaux et internationaux La s ance pl ni re qui a suivi a consist conform ment au programme la pr sentation de deux communications Monsieur Pierre CHAUDRON Pr sident de la commission Commerce des services et distribution la CCI CI a t d sign comme Mod rateur de ladite s ance La premi re communication a eu pour th me MANDATURE 2002 2008 Bilan et perspectives Cette communication a d but par la pr sentation d un film documentaire sur la Chambre de
89. t que les diff rentes r solutions soient appliqu es pour que la chambre joue pleinement son r le Les lus ont compris la sous exploitation de la au vu de ses pr rogatives pour eux l institution doit se battre pour prot ger ses acquis PERSPECTIVES La cr dibilit d une chambre de commerce et d industrie n est jamais totalement acquise M me si des textes donnent toute la l gitimit elle doit se battre tous les jours pour exister pour exister elle doit faire ceuvre utile pour les entreprises et remplir galement ses mission vis vis des pouvoirs publics Pour retrouver les services qu elle a perdus la CCI CI doit n cessairement se renforcer et compter sur l implication de tous ses membres lus avec l appui d une organisation permanent efficiente Conclusion En conclusion les s minaristes se f licitent de la tenue de ce s minaire qui leur a permis de s informer et de se rapprocher encore davantage de leur Institution Le comit de pilotage et le comit scientifique se f licitent galement de la qualit des travaux et adresse leurs remerciements l ensemble des participants Elus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire et particuli rement Monsieur Jean Louis BILLON Pr sident de ladite institution qui n a m nag aucun effort pour parfaire la r ussite de ce s minaire malgr les difficult s financi res que rencontre actuellement notre Institution Enfin le comit sci
90. t important parce que dans les gouvernements il ny pas beaucoup de personnes qui sachent ce qu est une entreprise Former les futurs collaborateurs de nos entreprises en fonction de leurs besoins ce n est pas toujours le cas de l Education Nationale 48 Les actes du s minaire 9 Y Mettre en place les infrastructures dont les entreprises ont besoin les politiques pensent souvent plus aux individus qu aux entreprises c est vrai que les entreprises ne votent pas Y Aider les entreprises se cr er et se d velopper Moi j ai appris une chose on peut faire le minimum syndical la demi journ e la chambre de Paris On peut aller en assembl e g n rale et lire le journal ou r pondre ses mails Ce n est pas cela tre lu Tout l heure j ai dit b n volat assiduit disponibilit J ai oubli une chose l implication Nos pairs nous ont lus pour cela pour que nous nous impliquions dans la chambre pour que nous les repr sentions que nous les aidions que nous leur facilitions la vie Notre implication est un devoir vis vis de nos pairs Je crois avoir r pondu la seconde partie du th me de la communication sur les devoirs de l lu consulaire b n volat assiduit disponibilit et surtout
91. t mobilier telles que d crites aux articles 27 et 28 de l Acte uniforme de l OHADA relatifs au droit commercial g n ral en sera de m me pour le chef d entreprise individuelle commer ant comme il est pr vu aux articles 26 et 27 de l Acte uniforme de l OHADA relatifs au droit commercial g n ral satisfaire aux obligations fiscales conform ment la l gislation ivoirienne Toutefois il est important de rappeler que sur ces conditions les textes paraissent insuffisants impr cis et laconiques Par cons quent il faudrait tenir compte la fois de l inscription au registre du commerce et du cr dit mobilier et des d cisions de r habilitation ou des mesures d amnistie faisant disparaitre les d ch ances ou interdictions dues des peines infamantes prononc es l encontre de chefs et dirigeants d entreprises et soci t s commerciales industrielles ou de service comme il est dit l article 24 de l Acte uniforme de l OHADA relatifs au droit commercial g n ral Ainsi s il est l gitime d assurer une cr dibilit et l honorabilit des lus en cartant aux besoins les chefs d entreprises ou dirigeants v reux ou malhonn tes en revanche il est l gal et se sera justice de ne pas maintenir dans l infamie le chef d entreprise ou le dirigeant simplement malchanceux un moment donn En outre la formation de la Chambre exige que soient observ s tablissement et la r vision des listes lectorales
92. te notion relative ce terme membres correspondants est supprim e dans le pr sent projet de r glement int rieur TITRE XII DISPOSITIONS FINALES Article 88 l alin a 1 de cet article devient l article 89 et l alin a 2 l article 88 Article 89 Le pr sent r glement int rieur entre en vigueur apr s son adoption par l assembl e g n rale de la chambre et son approbation par le ministre de tutelle Article 88 Le pr sent r glement int rieur ne peut tre modifi que par l assembl e g n rale extraordinaire r unie sur convocation du pr sident ou des 2 3 des membres lus 1 LES DROITS ET DEVOIRS DE L ELU CONSULAIRE Les devoirs de l Elu Les devoirs de l Elu conform ment aux textes fondateurs ont t approuv s par la commission La comp tence L assiduit La disponibilit e discipline e discr tion L ouverture e La cr dibilit Propositions 1 Information et sensibilisation des op rateurs conomiques sur les missions de la Chambre 2 Facilitation de la vie des entreprises Les droits de l Elu En ce qui concerne les droits l Elu deux recommandations ont t faites savoir 1 La revalorisation par le Bureau dans un d lai d un mois proposition de l assembl e des frais de transport des membres lus en tenant compte du rench rissement des co ts des prestations dans le pays 2 La mise en place urgente d un groupe de travail qui devra soumettre
93. tieux entre op rateurs conomiques CACI Faire la promotion du site internet de la CCI CI D velopper l interconnexion avec les r gions Les actes du s minaire 1 e COMMISSION 5 u PLACE INSTITUTIONNELLE DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE DANS L ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DE LA COTE D IVOIRE PLACE INSTITUTIONNELLE DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET Nom de l atelier D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE DANS L ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DE LA COTE D IVOIRE Pr sident Dr KOMOIN Fran ois Rapporteur M YAO Nanan Raoul RAPPORT DE L ATELIER R unie les 23 et 24 septembre 2010 dans le cadre du s minaire des Elus de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire sur le th me La Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire face aux d fis nationaux et internationaux la commission Place institutionnelle de la CCI CI dans l environnement conomique et social la C te d Ivoire fait des observations et des recommandations L AU TITRE DES ATTRIBUTIONS DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE COTE D IVOIRE A la lecture du d cret n 92 21 du 8 janvier 1992 fixant les attributions l organisation et le fonctionnement de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d lvoire CCI
94. tributions l gales de la C C I C CI Les actes du s minaire 67 9 Les actes du s minaire INDICE GLOBAL DE SATISFACTION DU SEMINAIRE DES ELUS 23 24 SEPTEMBRE 2010 3 Assez 4 Tr s Total Elus satisfait satisfait satisfait satisfait Accueil 14 2 30 2 Transport Logistique 1 5 2 4 72 H bergement 1 83 9 9 2 Apport des Intervenants 1 2 36 z Restauration 1 7 9 2 Fond documentaire 77 9 4 3 72 Organisation 4 37 7 Rapport de la mandature 1 7 21 72 Film documentaire 4 35 3 72 60 50 40 30 m 11 satisfait 20 m 2 2 Peu satisfait 10 m 3 3 Assez satisfait m 4 4 Tr s satisfait 0 2 e M 5 a e e a 5 S S 29 S 49 S SP s 4 AS gt gt Ki gt 4 9 gt A d S lt af Indice global de satisfaction Ej Les actes du s minaire 69 rois jours durant des lus des autorit s et certains partenaires ont abandonn leurs entreprises leurs familles et leurs services pour se soumettre aux contraintes du s minaire de la Chambre de Commerce d Industrie de C te d Ivoire en rangeant dans le
95. ttributions que conf rent la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire CCI CI le d cret de 1992 ainsi que les charges qui en d coulent 15 ont eu galement pour objectif de montrer le r le et l importance de la CCI CI dans le d veloppement conomique de la C te d lvoire surtout en cette p riode de reconstruction post crise Les discussions au sein des commissions ont fait apparaitre quelques propositions relatives la refonte m me du d cret de 1992 qui serviront de base de travail pour la commission de suivi qui sera mise en place pour veiller la mise en ceuvre des diff rentes recommandations qui auront t faites dans chaque atelier La commission Cr ation gestion des projets d int r t public et mobilisation des ressources financi re s est dite pr occup e par l absence d appui et de financement adapt aux entreprises en difficult Elle pr conise entre autres e La cr ation d un fond d appui au financement des entreprises log la CCI CI e l implication de la CCI CI dans la cr ation des tribunaux de commerce Lamise en place de formations adapt es au monde professionnel e La cr ation d un guichet unique de d p t des tats financiers des entreprises e La prise de participation de la CCI CI dans les grands projets d infrastructures nationales Les actes du s minaire 15 Le renforcement des partenariats existants et aussi avec les institutions financi res comme la BN
96. urs placards titres et aisances mat rielles d montrant ainsi leur attachement notre Institution Consulaire Le s minaire a t l occasion de constater que la communaut des lus regorge d experts dans divers domaines dont la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire peut disposer pour mener bien toutes les actions allant dans le sens de l appui l entreprise nationale Hommages soient rendus au Pr sident et au Directeur G n ral de la Chambre de Commerce et d Industrie de C te d Ivoire pour leur appui constant au comit de pilotage du s minaire au comit scientifique aux pr sidents des cinq ateliers et aux collaborateurs permanents qui pendant des mois ont consacr la majeure partie de leur temps aux travaux pr paratoires de ce s minaire Nous venons de prendre un engagement collectif travers les diff rentes r solutions prises par les cinq ateliers qui ont enregistr un nombre impressionnant de participants Une chose est d organiser des s minaires et de prendre des r solutions Une autre est de les appliquer Nous proposons donc que le Pr sident et son bureau s approprient les r sultats des travaux de ce s minaire historique hi rarchisent les diff rentes actions mener et cr ent des quipes projets pr sid es par un lu assist d un collaborateur permanent et d un expert ext rieur Ces quipes projets devront tre rattach es aux commissions techniques r activer avec c
97. ustrie de C te d Ivoire d apporter leurs contributions l action de leur institution d num rer les probl mes rencontr s au quotidien dans les diff rents secteurs d activit du monde conomique et de faire des propositions l Etat pour un d veloppement harmonieux de l conomie lvoirienne Ce s minaire pr sente un double int r t Dresser le bilan de la mandature 2002 2008 e Faire des propositions l Etat et renforcer son r le d interface entre l Etat et le secteur priv Le pr sent s minaire est donc l occasion de prendre des r solutions m me d aider la CCI CI r pondre pleinement ses d fis nationaux et internationaux Le s minaire s est d roul en quatre phases principales c r monie d ouverture e Les travaux en ateliers La pr sentation des synth ses des travaux l Assembl e G n rale Les travaux en pl ni re ont t marqu s par trois moments e c r monie d ouverture les communications etles changes faisant suite aux communications La c r monie d ouverture a t pr sid e par le Repr sentant du Ministre du Commerce Monsieur ADOHI Jean Pierre Directeur de Cabinet Adjoint et avait pour invit d honneur le Les actes du s minaire 11 e Ministre de l Industrie et de la Promotion du Secteur Priv repr sent par Monsieur AGUIE Germain Directeur de Cabinet La c r monie d ouverture a t marqu e par cinq allocutions prononc
98. xtes Mener des actions plus dynamiques travers pour reprendre les quipements perdus Etre pr sents sur des activit s immobili res pr vues dans nos textes comme les ports les gares routi res Les actes du s minaire PRATIQUES DU TERRAIN OBSERVATIONS GENERALES Forces Faiblesses Opportunit s Menaces DOMAINES LES COMMISSIONS OBSERVATIONS Manque de motivation D faut d initiative sur des th matiques qui pourraient pr senter des axes de r flexions dans les interpellations et sur des tudes Manque de communication sur le contenu et la fr quence des r unions et sur l absence des pr sidents de commission L accompagnement des permanents dans les commissions manque de dynamique Sous effectif des permanents pour assurer le suivi de toutes les commissions Expertise limit sur des th matiques pointues pour l animation des commissions Repenser la segmentation des commissions car elle est d pass e alors que les probl mes sont identiques 90 Les conclusions des travaux en commissions ne sont pas suivies et ne font pas l objet de rapport lors des AG RECOMMANDATIONS Renforcer la communication entre les membres lus Remobilisation des lus Redynamiser les commissions le renforcement de l effectif des permanents aux commissions Renforcer la capacit et la formation des pe

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