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Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et

1. 123 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie L ASBL la Foire aux Savoir Faire travaille la cr ation d une coop rative d artisans cr ateurs travaillant en Belgique partir de mat riaux de r cup ration Le projet est de faire sortir la production des artisans cr ateurs du seul monde des cadeaux gadgets de fin d ann e pour en faire une vraie force de production de biens de consommation courante capable de cr er des emplois et de r int grer des d chets dans le cycle de production Exemple 15 Le R seau Ressources et la Ressourcerie de la Dyle Les entreprises d conomie sociale actives dans le recyclage et le r emploi ont trait l ann e derni re plus de 150 000 tonnes de d chets parmi lesquelles 50 000 tonnes ont trouv une nouvelle vie dans le circuit de la r utilisation meilleure valorisation possible et plus de 100 000 tonnes ont t recycl es via les circuits classiques Les activit s se regroupent en trois types de fili res Les fili res porteuses Les fili res ax es sur le Les fili res en en termes de r emploi recyclage avec de gros d veloppement volume de collecte mais un taux de r utilisation limit Electrom nagers Bois Mat riaux de d Encombrants D chets verts construction Informatique Emballages V los Livres M taux Cartouches toners Textile Services industriels GSM Les Resso
2. 36 Crit res de green public procurement GPP et Eco labels d une part restrictions de substances dangereuses RoHs Reach CLP d autre part Le CEN le Cenelec et l ETSI d finissent des standards au niveau europ en Le SABE assure la coordination sur les mati res environnementales 37 using organic methods Exemple http ec europa eu environment gpp pdf casestudy4 pdf 38 Exemple http ec europa eu environment gpp pdf GPP 20case 20study1 pdf plus d exemples sur http ec europa eu environment gpp case_en htm 115 me El Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie de l Italie e Contr le et reporting Assurer que les crit res des cahiers des charges plus durables soient effectivement r alis s Propositions d actions Quotas de produits durables et locaux objectifs chiffr s voir politiques Grenelle de l environnement e Pour favoriser la demande e Diffusion des chartes guides et outils existants e Sensibilisation sant voir Italie e Mise en place de partenariat triparties autorit s publiques coles catering pour la mise en place progressive de produits locaux durables dans les menus campagnes de type un aliment CC par semaine ou un repas 100 CC par mois voir France e Renforcer la plus value des produits circuits courts r flexion autour d un syst me de reconnaissance made in circuit court e Articulation entre politique c
3. valorisant Implication Oui Degr d implication variable responsabilisation levier Des citoyens apportent leurs comp tences ou leurs pour engagement disponibilit s ou leurs moyens au service d une cause citoyen commune Alternative ou militance Non revendication Les extraits entre guillemets viennent zero coop de la page d accueil de la coop rative http emissions 134 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S En Wallonie Exemple 17 Auto construction de panneaux solaires thermiques Depuis 1982 les Ateliers de la rue Voot proposent des formations la construction de panneaux solaires thermiques de la th orie la pratique Depuis lors des modules de formation la maintenance et la r paration ont aussi t mis en place Ponctuellement d anciens participants de retrouvent pour mettre b n volement leur apprentissage en pratique L investissement de d part en auto construction est plus faible qu en faisant appel des professionnels Toutefois les participants aux ateliers ne sont pas des concurrents directs des professionnels Ils cherchent mieux conna tre une technique dont ils deviennent ambassadeurs Nombreux sont les participants qui viennent pour le plaisir de faire soi m me d apprendre et de se r approprier quelque chose Seul un tiers d entre eux se forment afin d installer eux m mes des panneaux leur domicile Ils
4. Prix Impact Cr dal tait l un des partenaires d Europe Refresh le 1er salon du Eup financement participatif belge organis par les Halles et DRE KissKissBankBank qui s est tenu du 15 au 17 novembre 2013 aux R sh Halles de Schaerbeek 64 porteurs de projets taient pr sents pour pr senter leur concept aux visiteurs et tenter de r colter de l argent pour le concr tiser en tout ou en partie i i j Le financement de projets locaux par les consommateurs potentiels participe la logique des circuits courts Ce financement participatif est une autre mani re de faire vivre des projets c est pourquoi Cr dal voulait le soutenir le salon et proposer un prix Cr dal y d cernait le prix Cr dal Impact un projet belge actif Bruxelles ou en Wallonie engag dans une dynamique forte de d veloppement durable ou de service la collectivit Par le biais de ce prix Cr dal entendait renforcer son soutien aux initiatives concr tes et originales ayant un impact positif sur l environnement et la soci t Le Prix Cr dal Impact consiste en _ Un investissement de 500 dans chaque projet Une part Partenaire de la coop rative Cr dal offerte qui Donne acc s aux activit s du r seau Cr dal notamment la parution sur notre carte dynamique Permet la participation gratuite aux ateliers la carte organis s par Cr dal Permet de participer et de voter l assembl e g n rale de la coo
5. D cembre 2013 Certains Groupes d Action Locale GAL proposent un interface web l chelle de deux ou trois communes L APAQ W propose une liste de producteurs par province en R gion wallonne Lanc par la Wallonie le r seau Bistrots de terroir vise valoriser les caf s qui proposent des produits wallons En outre des interfaces sont propos es par le secteur associatif __ L ASBL Saveurs Paysannes r f rence les producteurs respectant leur charte Une liste des GASAP Bruxellois est propos e par le R seau des GASAP Une liste des groupes d achats alimentaires en Wallonie est propos e par l ASBL R seau des Consommateurs Responsable RCR L ASBL Nature et Progr s a d velopp le Biotin un bottin des producteurs biologiques implant s en R gion Wallonne Cette association est en train de travailler sur un site destination des groupes d achats alimentaires et des producteurs et pouvant renvoyer le lecteur vers certaines de ces initiatives Similairement la multiplication des sites de rencontre artisans acheteurs ne facilite pas la rencontre Il faut d limiter l artisanat et proposer des r f rences ou renvoyer le lecteur voir le point transformation 0180 Promotion De mani re g n rale la promotion des produits issus du terroir wallon est peu active Les actions existantes gagneraient souvent tre am lior es La liste de producteurs de l APAQ W est peu actualis e 0380 Le rec
6. 137 lt A P _ EE OS El Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 2 Wallonie Exemple 18 R emploi de v los L HeureuxCyclage be est le r seau des ateliers m canique v lo de Wallonie Ces ateliers promeuvent les d placements v lo et visent augmenter le nombre de cyclistes Ils pr nent le recyclage et la revalorisation Ils n ont pas de but lucratif Il existe trois types d ateliers Les Points V los sont des lieux d accueil et d information offrant des services aux cyclistes Les ateliers p dagogiques sont des lieux o apprendre son v lo v lonomie Dans les ateliers d insertion socio professionnelle des personnes sont form es la r paration des v los et des v los d occasion sont revendus Les ateliers v los sont des lieux d apprentissage d insertion et d change Le projet Un v lo pour 10 ans propose d changer les v los au fur et mesure de la croissance des enfants Les enfants signent un contrat pour 65 euros et repartent avec un v lo de seconde main de leur choix D s que celui ci devient trop petit l enfant le remet en l tat et choisit un nouveau v lo Les ventuelles pi ces neuves sont sa charge Un v lo pour 10 ans est propos dans cinq ateliers v los en Wallonie Source http lheureuxcyclage be 1 velo pour 10 ans html c Commerces services formations et entreprenariat classique Les commerces de proximit s incluent
7. Box 8 Motivations des groupes e Tableau 4 Motivations individuelles e Tableau 5 Crit res de s lection des groupes e Tableau 6 Th mes abord s lors des r unions 3 P RENNIT sssecersssieneeenseenianinee net ninaa E E ER ei iece salt 85 e __Box9 Raisons d essoufflement e Figure 5 Evolutions possibles 2 COLLECTIFS DE PRODUCTEURS prorina inin R tement enr Mine sa dines tem Dm a eee inne ae its 90 e Tableau 7 Avantages et inconv nients des collectifs de producteurs 3 STRUCTURES COLLECTIVES MIXTES ii 94 1 NOUVELLES SOLIDARITE S acessos eee aeae Anse manette aoe nes Eie 94 e Tableau 8 Solidarit s 2 STRUCTURES COMMUNES senenn nes e eee senennnn eee ce senennnnneseececenennnn nes ee ce cenenneeseecenenennnneeseeseeennnennne 95 3 FORME JURIDIQUE r2s2a5eiescepeautessatenemetaneatiatensc este gonadnedetedten loue sunmaspencege ne tesceten uen gi necet encens atee Det a tant ttes 99 4 LE FERMENT D UN NOUVEAU MOUVEMENT SOCIAL ssessssssssssssssnsesrerserererrerrererirerirerererirerrrererererererererererene 102 e Tableau 9 Compl mentarit avec d autres mouvements TRANSPOSER LES CIRCUITS COURTS ET DURABLES DANS D AUTRES SECTEURS ECONOMIQUES nsss 104 T VISIONG N RALE r r T er M A de den Mon tentes ete te nn ete eei cet 105 e Box 10 Secteurs pertinents Box 11 Secteurs aux p riph ries e Figure 6 Secteurs e Figure 7 Incitants 2 PRODUITS COMPL MENTAIRES AUX FILI RES COURTES EXISTANTES re
8. Faire est une entreprise de formation par le travail qui vise l insertion sociale et professionnelle des stagiaires par l apprentissage d un m tier du b timent sur des chantiers r els Au quotidien la formation l accompagnement social le suivi p dagogique et la valorisation du travail r alis pour des clients donnent les outils pour re construire sa vie se remettre debout et reprendre pied dans la soci t Chaque ann e 130 nouveaux stagiaires peu qualifi s et accumulant de longues p riodes sans emploi rejoignent l association et se r partissent en 10 corps de m tier sur 300 chantiers Afin de contribuer construire un monde plus juste plus solidaire porteur d avenir pour les g n rations futures Quelque Chose Faire s est lanc l coconstruction isolation renforc e r alis e avec des produits naturels dont l insufflation de cellulose de papier enduits la chaux ossature bois mur en ballots de paille peinture naturelles panneaux photovolta ques chaudi re pellets etc Afin de partager les savoir et savoir faire acquis Quelque chose faire propose aussi des formations ponctuelles destination de formateurs enseignants architectes etc En 2009 un partenariat dans la construction de logements loyer mod r basse nergie ou passif a t tiss avec Relogeas Cette ASBL r nove des b timents insalubres am liorables les loue pour un loyer n exc dant pas 20 des revenus
9. S CONSEIL Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie WA Wallonie entretien d un potager collectif Ils peuvent ensuite changer ces torekes dans des magasins bio ou commerces de seconde main par exemple Alter Echos 2011 Tableau 12 Finance les circuits courts de largent Cr dal Ecus baladeurs Crit re Pertinence Remarques Coh sion conomique Un interm diaire Oui Relation directe chez les Ecus Baladeurs maximum Un interm diaire chez Cr dal et existence de fonds d dicac s Viabilit pour toute Oui Les deux groupes existent depuis 1984 la fili re Les Ecus Baladeurs choisissent de pr ter sans int r t Chez Cr dal des parts avec dividende ont t progressivement cr es afin de toucher un public plus large maximum statutaire 2 5 Les microcr dits personnels visent sortir du surendettement Processus Oui Le petit groupe des Ecus Baladeurs choisit ensemble transparents les projets qu il soutient ou qu il refuse Chez Cr dal les projets soutenus sont pr sent s dans un journal trimestriel ainsi que lors de l assembl e g n rale Durabilit Chez Cr dal volont d inciter les porteurs de projets Crit res une optique durable et existence du microcr dit environnementaux D veloppement Durable Afin d objectiver les crit res Qualit des produits Possible de d cisions une grille d analyse sp cifique est en Modes de Fr quent cours d
10. a Artisanat de bouche et boissons L alimentation durable est la porte d entr e la plus vidente pour les circuits courts durables et de proximit Elle se trouve au croisement des incitants environnementaux de sant de soutien aux producteurs cr ateurs locaux de relocalisation et de r appropriation Les groupements d achats les potagers collectifs et les AMAP sont pionniers en termes de circuits courts organis par les consommateurs Lorsque les GAA sont p rennes le nombre et le type de produits propos s tend augmenter avec le temps Des synergies sont possibles avec l artisanat de bouche boucherie charcuterie boulangerie traiteur etc et les boissons Ainsi la coop rative Agricovert distribue les bi res de la brasserie coop rative de la Lesse dans des groupements d achats En ce qui concerne les surgel s ou plats pr par s les participants des GAA ne sont en moyenne pas int ress s Les autres fili res sont privil gier Agir localement Artisanat de bouche et boissons Freins Principaux Pas de test possible si transformation sauf exception Importance des investissements de d part Normes sanitaires tr s strictes Contrats de brasserie touffants Tr s faibles p rennit des nouveaux projets de petit Horeca Probl mes de tr sorerie Zapping des consommateurs prix final en concurrence internationale Un lieu de transformation requiert un travail d animation besoin de ressources humaines Acte
11. e Perte ventuelle de diversification des canaux de distribution viter Perte de la ma trise de l image de son produit Perte de contr le sur les revenus et perte de revenus Diversit des producteurs en terme De taille De taux de fid lit Certains revendent grossistes d autres pas Motivations Buts commercial social Difficile estimer fonds de commerce Organisation e Individualisme e Questions relationnelles et symboliques de caract res et de valeurs R actions vives des b n voles et partenaires rajoute de la pression e Prob si fonctionnement non d mocratique Impose la tenue e D une comptabilit s rieuse et vigilante __ D une gestion administrateurs b n voles e De travail d animation par ex abattoir Cr ation exigeante en temps et en nergie Si le producteur est tenu par des engagements il peut devoir se d placer pour livrer de faibles quantit s Sources Saveurs paysannes annexe 2a Coen 2010 Groupe one 2011 Lefin 2010 Rapport du groupe de travail circuits courts de commercialisation 2009 accompagnement de projets concrets 91 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie Exemple 5 Agricovert La coop rative finalit sociale Agricovert est un outil commun qui permet de revaloriser le m tier agricole tout en offrant par le biais de circuits courts une alimentation saine et durable Elle r unit 25 coop r
12. nergie et production de CO2 sont fortement li s En Belgique seules 7 43 des fermes passent par des fili res de circuits courts Le march public le magasin de proximit et la vente directe la ferme sont les formules consid r es comme les plus int ressantes par un consommateur sur deux La vente en tourn e le march la ferme la vente par Internet ou le panier collectif ne rencontrent plus qu un int r t chez moins d un consommateur sur quatre Les autres formules recueillent un int r t plus marginal Crioc 2010 Cependant en France 51 des producteurs de miel 46 des producteurs de l gumes des producteurs de fruits et 8 10 des levages laitiers producteurs de volaille et d ufs vendent des produits en circuits courts Cela repr sente plus des du chiffre d affaire de 4 de ces exploitants sur 10 Agreste 2012 Les producteurs coulant leurs produits localement sont en moyenne plus jeunes plus duqu s et sont plus souvent des femmes Ils ont g n ralement connu d autres activit s professionnelles et compl tent souvent leurs revenus par des activit s non agricoles Ils sont plus ouverts travailler en coop ratives Les producteurs des AMAP voir lexique sont souvent de petits exploitants n o agriculteurs Ce travail se concentre sur les circuits courts collectifs en Wallonie Nous aborderons d abord les collectifs de consommateurs ensuite les collectifs de producteurs
13. sociale E Le envi Bien manger bed Poy Canaux Nous affilions nous un r seau m gt mouvement plus large oTo Comment faisons nous conna tre notre Quels sont nos canaux de communication e Marketing classique vitrine e R seau e Tables d h tes e Ev nements enwi Segments de client le A qui s adresse notre offre En quoi nos membres sont ils des clients particuliers Qui sont nos clients les plus importants Ecolo Envi GACS e Associations Revenus modestes e Clients classiques e Ev nements priv s ponctuels Flux de revenus Pour quoi nos clients sont ils pr ts payer Que payent t ils aujourd hui A quelle fr quence Que pr f reraient t ils Nos revenus varient ils selon nos segments de client le Quel est notre autonomie de gestion Sommes nous d pendants de subsides La r partition de notre b n fice favorise t elle le travail plut t que le capital Abonnements cotisations Marge avec ristournes Sous location local Subsides Co ts soci taux Quels sont les co ts sociaux environnementaux et conomiques de notre activit pour la soci t e A minimiser ps To travailleurs la soci t au sens large Finalit de service aux membres la collectivit Quels sont les impacts sociaux environnementaux et conomiques de notre activit envers les b n ficiaires les e Impacts en
14. un peu plus d un million en 2008 ADE 2010 D autres encore cherchent une solution une situation probl matique sur le march conventionnel En Wallonie une ferme disparait tous les semaines 50 des agriculteurs wallons ont disparu en 20 ans et cela va continuer 55 des chefs d exploitation ont plus de 50 ans et on compte 10 arr ts pour 2 reprises On se souvient des producteurs laitiers d versant leur lait dans les champs plut t que de le vendre perte Leur situation ne va pas aller en s am liorant avec la r forme de la PAC Le revenu des agriculteurs wallons varie entre 3 et 7 euros de l heure FJA 2008 Certains estiment m me que si on devait compter ce qu on d pense et le temps qu on met on irait tous pointer au CPAS Le retour hectare est nettement plus important dans les fermes travaillant en CSA Community Supported Agriculture que dans les fermes conventionnelles Duffy 2005 Malgr cela 50 des travailleurs estiment que leur revenu n est pas quitable Il est donc d autant plus important de se poser la question de l int r t conomique des circuits courts en tenant compte non seulement des prix et des marges mais galement des co ts et des b n fices ainsi que des incitants tels que le partage du risque l apport de l change d information et les avantages en terme de gestion Enfin les nombreuses externalit s positives conomiques sociales et environnementales
15. 1 500 porcs abattus par semaine Service rendu aux leveurs parsemaihg coop rateurs collecte des porcs et livraison des carcasses Service la carte dans les plus grands abattoirs priv s pour les particuliers et leveurs proximit CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W d FA 152 C Recommandations issues des d bats ayant prolong la s ance de t moignages Objectif d gager des recommandations partir de deux questions 1 Est il important d avoir des outils de proximit 2 Sioui comment faire pour qu ils se d veloppent et deviennent p rennes Recommandations d gag es DIMINUTION DES COUTS DE PRODUCTION Les charges d investissements et les charges administratives doivent tre proportionnelles la taille des activit s d velopp es AOC ouverture de l AFSCA aux discussions l AFSCA a la m me pr occupation que les acteurs professionnels parvenir contr ler les r sultats plut t que les moyens Les abattoirs co tent chers l AFSCA surtout en bovins L AFSCA
16. 24 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Crit res de fonctionnement la Gouvernance Seuil i Total Crit res Indicateurs Cotation d exclusion cotation Relations internes et implication H f i des personnes dans le projet l entreprise Choix conomiques R flexion sur un co t accept choix Le produit ide produit ou service R flexion sur un co t accept choix Les charges ide type de charge ou consommables mnnnnnnnmnnmnnnnnnennnnnnnnnnnnnmnnnnnenns eme mnnn mn nmammnnnn sd atanmnnnenmsnmmnePanmnnnnnnnmenennenmennenmnenns nn ann Ts e m Choix sociaux Qualit des emplois internes Contrats type pr carit etc Emploi au noir volume travail ico njoint aidant ch mage a conomique etc di Formation Empowerment Conciliation vie priv e vie professionnelle Prise en compte de l galit des Salaires hommes femmes r partition chances pour les travailleurs ides t ches adaptation des horaires i Impact sur la sant et la s curit Conditions de travail ho raires A E P des travailleurs i quipement etc i 25 Choix environnementaux l lbhanoonnoooneooonooonnonennnneonnenonnnnnnnnnnnnnne Gestion respectueuse des ressources Limitation de la consommation Mobilit des travailleurs et du patron Choix des moyens de d placement incitants la mobilit douc
17. Adaptations CD Pas de loyer e FD ne pense pas en demander e Louer une soci t commerciale bail commercial tax gt 30 gt v rifier si c est le cas pour les ASBL Charges si facturation directement l asbl peut d duire tva Attention les dans le PF les factures des animateurs d pendent du nombre d activit s et sont prises en compte dans les charges variables Dans la comptabilit sera en compte services et biens divers o Investissements l ne pas budg ter des subsides non encore obtenus 210 Consid rer camionnette autre mobilier magasin et stockage 2 frigo am nagement cuisine mat riel bureau toilette s che Floreco Amortirles petits montants en un an o Tr sorerie Souhait que les consommateurs payent au comptant ou l avance la commande par ex pour pouvoir mieux soutenir les producteurs en les payant directement A susciter Quand se fera la reprise du stock e Payement tal mais FD doit d j payer la tva e etles autres investissements Etre pessimiste et si subside pr voir la r ception en fin de timing Attention la saisonnalit des ventes de certains produits Vajra par exemple pose question Les chiffres sont bas s sur 2012 mais sont ils r alistes V R sultat 2013 2014 2015 CA 42 048 49 369 Seulement du mois de janvier est sous Ekikrok 47 288 Marge brute 8 239 9 165 9 546 CREDAL ASBL Ass
18. B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w d m 171 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 En outre le rapport SAWB 2010 souligne le manque de formations pratiques au maraichage biologique en Wallonie m me s il existe des structures qui font de l insertion socio professionnelle par ce biais 090 Il serait galement utile d accompagner le lancement dans une activit entrepreneuriale ou d ind pendant voir le point valeur ajout e Au Qu bec Equiterre offre galement un soutien juridique et de l aide pour remplir les dossiers administratifs et demandes de subsides 0100 Outils Les producteurs maraichers ont grand besoin d outils leur permettant de calculer leurs prix de vente en fonction de l estimation de leurs propres co ts ce incluant leur r mun ration 01190 Il est frappant de constater que les maraichers ne comptabilisent en g n ral pas leur temps de travail ce incluant le travail administratif la comptabilit les livraisons Les prix de vente des maraichers sont g n ralement align s sur le march de Rungis Les co ts d pendent de la situation g ographique type et dur e de production de la qualit des sols de la temp rature de l ann e de l
19. Community Land Trust villes en transition co quartiers Ressources Le contenu de ce site se base sur le travail de l Agence Conseil de Cr dal effectu la demande du Ministre Nollet L tude Les circuits courts solidaires et durable de Wallonie est consultable dans son int gralit conclusions Se lancer Infos et outils e Manuel de cr ation GAC GAA RCR e Paniers Saveurs Paysannes e Diversifier e Transformer lait wallonie e Commercialisation en circuit court e Simply Finance e Pr senter son projet d entreprise sociale en 5 tapes Circuits courts Infos e Belgique groupe d achats Saveurs Paysannes e Belgique groupes d achats Minet e Belgique Initiatives citoyennes SAWB e Angleterre Impacts des supermarch s e France alimentation e France CC et lien social e France Circuits court Agriculture et alimentation Infos e Calendrier fruits l gumes BioForum e Situation de l agriculture en Wallonie organigramme du RCR e Agriculture en Belgique en chiffres e Agro cologie et droit l alimentation ONU e Agriculture paysanne peut nourrir le monde Via Campesina e Souverainet alimentaire Oxfam e Fracture alimentaire et agricole mondiale Mazoyer Collectivit s Infos et outils e Manuel mise en place BioForum CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal cr
20. Initialement implant s dans les milieux ouvriers ils ont ressurgis dans les classes moyennes soucieuses d cologie Les produits biologiques ont pris plus en plus d importance 54 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie A CONSEIL 46 Wallonie 2 Fili res existantes Les circuits courts concernent d une part la vente directe d autre part la vente indirecte La vente directe se fait de particulier particulier ou via un collectif de consommateurs ou de producteurs La figure 2 d taille ces diff rentes fili res de commercialisation Figure 7 Fili res de vente en circuits courts Circuits courts Vente directe Collectif de Collectif de Individue consommateurs producteurs la ferme vente cueillette Points de d p t distributeur g tes Foires march s paysans METIER Paniers foires et salons collectifs Tourn es domicile Points de vente avec sans collectifs pr commande Paniers Vente indirecte Individuel Collectif Internet correspondance Via un autre producteur Commerce de proximit transformateur restaurateur Cuisines de collectivit s Interm diaire associatif ou coop ratif 55 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Le maintien de la petite agriculture est devenu une n cessit qui rencontre une identit collective Les dynamiques de circuits courts actuelles naissent et se conc
21. Le meilleur change d informations en circuits courts peut permettre d adapter la production l avance ce qui diminue le risque d invendus De plus les payements anticip s ou imm diats permettent de constituer un fond de tr sorerie et d viter d ventuellement des co ts financier autonomie financi re du producteur Enfin la diversification des canaux de commercialisation permet aux producteurs de multiplier leur nombre de clients ce qui diminue le risque de d faut et accroit leur pouvoir de n gociation face aux grossistes et autres interm diaires 7 Externalit s Les circuits courts sont source de nombreuses externalit s positives ainsi que d effets multiplicateurs Quand l action d un agent conomique affecte la productivit des entreprises on parle d externalit de production C est le cas lorsqu une entreprise de produits chimiques en amont pollue une rivi re et affecte l activit de l entreprise piscicole qui se trouve en aval Similairement les externalit s de consommation affectent l utilit des autres agents Les externalit s non p cuniaires ne sont pas prises en compte dans l analyse conomique classique Pourtant le comportement priv d fini par l quilibre de march n est pas socialement optimal En pr sence d externalit s n gatives les co ts globaux sont sous 3 Le CERD consid re qu il faut viter d avoir un client repr sentant plus de 20 de son chiffre
22. Pour plus de d tails le guide Buying green explique comment int grer des crit res environnementaux dans le respect des r gles europ ennes Le guide de la restauration collective responsable ouvre des possibilit s suppl mentaires dans le cadre fran ais et europ en Le manuel pour l utilisation de l analyse des co ts du cycle de vie analyse la possibilit d int grer le co t des externalit s n gatives en Belgique 183 17 using organic methods Exemple http ec europa eu environment df casestudy4 pdf 18 Exemple http ec europa eu environment gpp pdf GPP X20case 20study1 pdf Plus d exemples sur http ec europa eu environment gpp case_en htm 3 Buying green A handbook on green public procurement 2 edition 2011 European Union chap 3 20 Guide de la restauration collective responsable l intention des collectivit s et des entreprises version 2 Fondation pour la nature et l homme Civam 2011 t Manuel pour l utilisation de l analyse des co ts du cycle de vie ACCV dans les march s publics durables SPP d veloppement durable 2012 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise
23. bottom up et en r seau Enfin nous avons explor les secteurs d activit s ou ce concept peut s appliquer et apporter une plus value Pour chacun de ces secteurs nous avons identifi les acteurs wallons principaux les possibilit s d action des citoyens et acteurs conomiques locaux et la mani re dont les politiques publiques peuvent favoriser leur d veloppement F vrier 2013 lt d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Sn Wallonie CREDAL CONSEIL C line Decamp Sous la direction de Bernard Horenbeek Avec l aide de J r me Rassart Liliane Lebon Fabrice Adam Place de l Universit 16 1348 Louvain la Neuve Belgique 0032 0 10 48 34 73 Celine decamp credal be Ce travail a t aliment par les changes et partenariats avec notamment Agribio Agricovert Brasserie de la Lesse BEP Cellule Qualit Produits Fermiers Cera Crea job Conseils de fili res Centre d Etudes et de Ressources sur la Diversification agricole Ekiko les Ecus baladeurs le D but des Haricots les Grosses L gumes Groupe des Colibris Groupe One GAC La Capucine GAC le p tit maga GAL Transvert GAL entre Sambre et Meuse Institut du D veloppement Durable Li Cramignon Laboratoire de l conomie sociale et solidaire Ma coop Nature et Progr s groupe de travail groupements d achats alimentaires Offices Provinciaux Agricoles R seau des GASAP R seau de soutien l agriculture paysanne
24. celui d un matelot Prise en compte de l galit des chances Z o o To O Discrimination impact direct ou indirect pour les clients N N N N e rs N N 20 Impact du projet produits sur l acc s l am lioration de l ducation la culture le logement le cadre de vie le multig n rationnel Aspects environnementaux Impact du projet produit sur la pauvret et l in galit sociale Pour les b n ficiaires clients Impact du projet produit sur la sant des b n ficiaires clients et des travailleurs Impact du projet produit sur la solidarit Impact du projet produit sur les ressources naturelles auait de l air de l eau du sol impact direct _ lrempmperoes Qualit de l air de l eau du sol impact direct transport par routes Qualit de l air de l eau du sol Prise en compte de la r g n ration Energies renouvelables Impact du projet produit sur les habitats prot g s N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Cycle de vie du produit R flexion globale sur la consommation d nergi Participation l am lioration de l efficacit nerg tique Moteur d une g n ration performante Distance parcourue par les produits ou tude composition distance Moyens de transport utilis s Consommation d nergie la transformation la consommation a
25. commerces Confiance partenariat bas sur le dialogue reconnaissance du savoir faire Gouvernance participative d mocratique organisation collective coop rative Comment sont pris en compte les avis et remarques des travailleurs B n voles pr financement ou capitalisation des consommateurs Comment la solidarit est elle prise en compte dans l entreprise Relations interpersonnelles r seaux sociaux mutualisation des achats du mat riel Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL 2 Diffusion du mod le coop ratif entre producteurs et ou consommateurs Objectif de d part La mise en place d outils coop ratifs va permettre de mieux structurer l offre de produits et ainsi renforcer la dynamique des circuits courts A Worshops Premi rement des ateliers d information ont t organis s aupr s du public des organismes suivants Terre en Vue ULG HEC Challenge pr sentation dans le cadre village circuit court Cr ajob une pr sentation annuelle pour les porteurs de projets Crabe dans le cadre de la formation agriculture BIO EPI cole paysanne ind pendante Institut Eco Conseil formation annuelle de 35 co conseillers R seau Wallon de D veloppement Rural S minaire europ en sur l entrepreunariat rural R seau Wallon de D veloppement Rural R union
26. consommateurs Mise en place d outils financiers favorisant les circuits courts durables Analyse historique sociologique g ographique des circuits courts alimentaires et leur transf rabilit dans d autres secteurs conomiques Accompagnement des premiers projets pilotes R alisations http Wwww circuits courts be 17 Workshops 360 participants Rencontres individuelles Comit s Projets Elaboration d une grille d analyse DD 14 b n ficiaires Mise en place du cr dit Impact 8 cr dits accord s Financements participatifs 3 b n ficiaires Analyse 55 Suggestions pour un plan d action 5 projets collectifs cr s 5 projets collectifs en d veloppement 3 projets r orient s 6 projets en attente d l ments d terminants Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 consert O OUOU A Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL Table des mati res PARTIE I LES CINQ AXES DU TRAVAIL SUR LES CIRCUITS COURTS 1 MISE EN PLACE D UNE PLATEFORME INTERNET DE RENCONTRE ENTRE ENTREPRENEURS DURABLES ET CONSOM ACTEURS A Composition B Cartographie C Grille de crit res d auto valuation 2 DIFFUSION DU MOD LE COOP RATIF ENTRE PRODUCTEURS ET OU CONSOMMATEURS A Worshops B Comit s C Projets 3 MISE EN PLACE D OUTILS FINANCIERS FAVORISANT LES CIRCUITS COURTS DURABLES A Grille
27. d marches source d innovation se d veloppent parce qu elles sont aliment es par les nergies d une base militante Elles sont viables car elles sont participatives Il en va de m me dans les structures mixtes Chacun la possibilit de s impliquer son chelle de contribuer en fonction de ses comp tences son r seau son pargne son temps Les circuits courts collectifs et solidaires sont d centralis s et bottum up Ils partent des probl mes concrets dans leurs cadres sp cifiques Cette diversit augmente la capacit absorber les chocs En m me temps ils sont collaboratifs Le changement requiert le d verrouillage de r gimes sociotechniques Ainsi le blanc bleu belge r unit des acteurs leveurs v t rinaires bouchers consommateurs chercheurs s lectionneurs etc et des normes c sariennes d coupe anatomique conformation au go t etc Pour d velopper des fili res alternatives il est donc essentiel de r unir une mixit d acteurs compl mentaires Le dialogue entre leveurs naturalistes et consommateurs a permis de d passer les visions antagonistes et le lancement du projet B uf des prairies gaumaises Barret et al 2012 Les r ponses adapt es localement les m thodes les connaissances et les outils correspondants sont chang es gratuitement par le bouche oreille les r seaux et les NTIC L organisation est souple et la gouvernance participative permettent chacun d appo
28. des personnes en difficult sociale et financi re mal log es ou sans abri et prioritairement des personnes en voie d insertion socioprofessionnelle et accompagne ces locataires afin de cr er les conditions optimales l insertion socioprofessionnelle En effet Relogeas tait effray e par les co ts nerg tiques assumer par nos locataires Les subsides publics octroy s permettent de r soudre les probl mes d insalubrit mais pas d investir dans l isolation l a ration et le chauffage ad quats pour conomiser au mieux sur les co ts nerg tiques Un projet commun d auto construction a re u le soutien du SPF conomie sociale t retenu dans le cadre de l appel projet Habitat durable 2010 lanc par le ministre wallon du Logement Le syst me Community Land Trust a t choisi afin de r duire le co t du terrain et de contrer l inflation et la sp culation immobili res Source http www qcaf be Enfin l habitat durable s inscrit id alement dans une co r gion Cela touche aux questions d am nagement du territoire de mobilit d int gration dans l conomie de dynamisme des territoires relocalisation de la production et de la consommation ainsi que d agencement 4 L ASBL Habitat et Participation confirme que les probl mes relev s par Concertes en terme d habitat group et d auto construction sont toujours d actualit Cette ASBL propose r guli rement des adaptations
29. e Acc s la terre e R forme du bail agricole exemple du bail environnemental fran ais e Elaborer une politique d installation sur les terres communales R serve fonci re R gion Wallonne Cartographie Luxembourgeois etc e Formations e Adapter formations pour adultes la pluralit des m tiers e Augmenter formations pratiques au maraichage biologique e Elaborer outils pour estimation des co ts e Distribution e Rayons produits locaux sans marges arri res marges n gocier vs label Garantie d coulement si respect cahier des charges R gulation progressive pr parer avec la grande distribution m tres de rayonnages quotas Continuer les appels projets hall relais Mieux vaut un appel projet continu ou du moins r gulier afin d viter des vagues de projets mal ficel s effet d annonce D velopper points de d p ts dans les coles et gares le long des axes routiers principaux etc Actualiser recensement de l offre DGARNE APAQ W etc Diffuser informations sur march s de d tail march s publics normes accueil du public attentes des franchis s Diffuser points de vente locaux dans les journaux et sur les sites des communes Soutien RH commerciaux pour collectifs de producteurs Envisager des syst mes de garanties pour cr dits afin de pouvoir prendre en compte valeur transform e des produits etc Possibilit s GAA Le RCR Wallonie le r seau des GASAP et le D but des d actions citoyennes Har
30. e Rayons produits locaux sans marges arri res marges n gocier CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y EE Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 vs label Garantie d coulement si respect cahier des charges R gulation progressive pr parer avec la grande distribution m tres de rayonnages quotas Continuer les appels projets hall relais Mieux vaut un appel projet continu ou du moins r gulier afin d viter des vagues de projets mal ficel s effet d annonce D velopper points de d p ts dans les coles et gares le long des axes routiers principaux etc Actualiser recensement de l offre DGARNE APAQ W etc Diffuser informations sur march s de d tail march s publics normes accueil du public attentes des franchis s Diffuser points de vente locaux dans les journaux et sur les sites des communes e Soutien RH commerciaux pour collectifs de producteurs e Envisager des syst mes de garanties pour cr dits afin d
31. local Les caract ristiques de proximit relationnelle sont galement rencontr es bien que la reconnaissance du savoir faire des producteurs ne soit pas d application Les processus sont transparents et l initiative est viable pour toute la fili re De plus les coop ratives fabriquant et fournissant l lectricit verte ne se contentent pas d offrir aux citoyens une source d nergie alternative en r affirmant les principes de solidarit et de responsabilit sociale leur but final est bien de modifier les comportements Concertes 2008 Par ailleurs en terme d incitants les coop ratives oliennes permettent de combattre la concentration excessive de pouvoir de march sont efficaces dans le contexte d asym tries d informations dans la production de biens quasi publics ainsi que d externalit s positives Huybrechts en cours Toutefois la limitation un interm diaire maximum semble impossible atteindre tant donn les r gulations du march barri res l entr e pour l obtention de la licence de 131 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie fournisseur d lectricit et les contraintes techniques de distribution d lectricit qui requi rent le passage par des acteurs r gul s Elia et Ores les deux gestionnaires de r seau lectrique sauf cas d exception o une olienne peut fournir directement une entreprise Comme dans la restauration collecti
32. n ficiaires et les victimes des externalit s peuvent n gocier des accords mutuellement avantageux qui permettent d optimaliser l allocation des ressources Ainsi une entreprise peut par exemple utiliser la chaleur d gag e par une entreprise pour produire de l nergie conomie endog ne Toutefois la mise en uvre de ses solutions est fortement restreinte par l acc s limit l information En outre elles sont souvent per ues comme tr s interventionnistes En consommant en circuits courts les consommateurs valorisent volontairement une partie des externalit s induites par leurs choix de consommation Ils acceptent de prendre en charge un co t additionnel effort temps co t mon taire risque afin de tendre vers un mod le qu ils estiment meilleur pour la soci t dans son ensemble La consommation est progressivement devenue responsable en ce sens qu elle n est plus uniquement centr e autour du rapport qualit prix mais o chaque consommateur prend en compte l quit l environnement et les droits dans ses actes d achat Dupont 2010 Les circuits courts regorgent d externalit s positives ils affectent positivement l utilit et la productivit d agents qui n y prennent pas directement part Tableau 1 Les effets multiplicateurs sont des effets en chaine Les produits de circuits courts durables et locaux sont intensifs en main d uvre c est une source d emploi donc de con
33. rale Statistique et information conomique 2011 Code des march s publics et crit res environnementaux Civam Coen J Alimentation et circuits courts in Initiatives citoyennes l conomie sociale de demain SAWB 2010 Cornille D Langohr J Le secteur de la distribution et son impact sur les prix dans la zone euro Banque Nationale de Belgique Revue conomique d cembre 2011 Cranbrook C The real choice Campaign to Protect rural England 2006 Defourny J in Terre n 137 2012 Demeulenare B Manuel pour l utilisation de l analyse des co ts du cycle de vie SPP D veloppement durable 2012 D velopper le concept et l organisation des circuits courts au sens large habitat finance culture sant ducation et alimentation le labo de l conomie sociale et solidaire 2012 Fondation Rurale de Wallonie Le bois nergie les cahiers de la fondation rurale de Wallonie n 10 janvier 2011 Fontaine K et al Les circuits courts un avenir pour l agriculture en Condroz Famenne UCL 2009 Gr goire A Eco lris une monnaie compl mentaire pour Bruxelles Alter Echos 22 septembre 2011 Guide de la restauration collective Responsable CIVAM 2012 Guide pratique Restauration Collective de Proximit et de Qualit Minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che 2012 Groupe One ASBL Etude sur les dispositifs alimentaires locaux cabinet du Ministre Nolle
34. res environnementaux l impact du projet produit sur les ressources naturelles la biodiversit l impact du projet produit sur les habitats prot g s la r flexion men e sur l nergie grise dans le cycle de vie du produit Afin d valuer la coh rence globale de l entreprise des seuils d exclusion sont galement appliqu s aux crit res de gouvernance Pour les crit res de gouvernance la r flexion sur les choix conomiques portant sur le produit service et les charges la qualit des emplois d velopp s la r flexion sur les choix environnementaux d clin s en interne en termes de consommables et de mobilit CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y m 200 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Le seuil d exclusion est fix 2 pour tous les crit res concern s Ce qui laisse une grande marge d am lioration Le calcul des cotations finales s tablit automatiquement Il est bas sur quatre niveaux d analyse e Un nom
35. ristiques de coh sion conomique et de proximit relationnelle qui leurs sont propres Ils sont l interaction des dynamiques de circuits courts de durabilit et d conomie locale Figure 1 Figure 6 Caract ristiques des circuits courts durables et de proximit Circuits Courts Coh sion conomique Un interm diaire maximum Viabilit conomique tout au long de la fili re Processus de production de transformation et de commercialisation transparents Proximit relationnelle Entreprises taille humaine Reconnaissance du savoir faire des producteurs Liens de confiance de toutes les parties prenantes D veloppement Durable Proximit g ographique Durabilit environnementale Ancrage local de l ensemble des Local R gion Qualit des produits go t acteurs de la fili re Wallonne saisonalit Origine territoriale des mati res Modes de produites en production R gion Wallonne Priorit aux changes les plus locaux possibles respectueux de l environnement Transparence de l origine Circuits courts durables et de proximit Crit res de d finition box 1 49 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S A Wallonie 3 Objectifs Des mod les empiriques pertinents de circuits courts durables et de proximit ont t labor s par des acteurs priv s dans l
36. un horizon de deux ans ou renseigner le lecteur sur son r seau local Nous avions envisag que les consommateurs puissent ajouter des commentaires Cela requerrait toutefois de cr er une page sp cifique de pr sentation de chaque producteur Un mod rateur serait galement n cessaire En outre de par leur configuration ces pages seraient extr mement sujettes aux SPAM et aux attaques group es des hackers Une fois que la grille de crit res est remplie par l entrepreneur une relecture est faite par Cr dal S il n a pas d abus manifeste l inscription est valid e et mise en ligne Les questions et suggestions peuvent tre adress s circuitscourts credal be 10 CONSEIL N Dimension Equitable Durable Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 Crit re Y a t il plus d un interm diaire entre le producteur et le consommateur La r partition du b n fice est elle juste Les modes de production et de fonctionnement sont ils transparents La qualit des emplois est elle l origine des produits et de leurs composantes est elle transparente La production est elle durable Le fonctionnement de votre entreprise est il durable 0 Non 1 Faiblement 2 Fortement 3 100 O Rarement 1 Parfois 2 Souvent 3 Syst matiquement 0 Faible 1 Normale 2 Bonne 3 Excellente O
37. 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y mt Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 N G Favoriser la cr ation de valeur ajout e au niveau local Il existe certaines aides l investissement Elles ne sont pas toujours adapt es Groupe One 2011 recommande que les circuits courts deviennent un axe prioritaire des aides et subsides existants une liste a t tablie et pr conise des investissements compl mentaires 0540 En outre nos partenaires soulignent qu il serait souvent efficace d accompagner la mise en place des diff rents subsides par un accompagnement un coaching ou de l analyse domicile L volution vers plus de durabilit dans l agriculture est cit e en exemple Des besoins aide la structuration des projets et la formalisation juridique sont galement observables 0100 voir les points production et consommation individuelle Par ailleurs les acteurs de terrain avec lesquels nous travaillons font remarquer avec insistance qu il est extr mement difficile de mettre concr tement en place un nouveau projet collectif en ne comptant que sur les participations b n voles Ils se voient d pass s par l investissement temps n cessaire Pouvoir financer des quivalents temps plein animation est une priorit afin de permettre aux proje
38. 197 Es gt A Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL AXE 3 MANUEL D UTILISATION DE LA GRILLE D VELOPPEMENT DURABLE 199 L valuation 199 La grille 200 AXE 5 EXEMPLE DE RAPPORT EKIKROK 14 02 202 Contexte de l tude 202 M thodologie de travail 202 Conseils pour la faisabilit juridique du projet 203 Accompagnement dans le processus de validation de la pertinence et de la viabilit du projet d entreprise 204 Cr ation des groupes de travail 206 R alisation d un plan financier 208 Que reste t il faire 211 Ea Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en eA ni RS mn KKK Rapport final D cembre 2013 Partie I LES CINQ AXES DU TRAVAIL SUR LES CIRCUITS COURTS Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL A 1 Mise en place d une plateforme internet de rencontre entre entrepreneurs durables et consom acteurs Objectif de d part Afin de favoriser les circuits courts entre producteurs et consommateurs il convient de tester les formes de mise en r seau les plus adapt es aux publics concern s en particulier les TIC A Composition Un site internet r unissant des ressources pour l action locale durable et en circuit court a t lanc en d cembre 2013 Le public vis est
39. 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o Ka Wallonie EN CONSEIL Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 Souhait d augmenter le public Souhait de d gager une marge pour financer d autres activit s o Souhaits de d fraiement des b n voles Participation gratuite activit L gumes Frais de transport voir selon b n fice V Avec les GT o Feuille de route o Le GT appels projet r pond l appel de la FRB Isabelle V Fr d rique et Laurent o S occupent des co ts Variables y compris march trajets Investissements Amortissements Proposerait on une date pour avancer V Pr senter le PF l AG de mars PV de Cr dal du 19 01 13 Pr sents Fr d rique Isabelle Laurent Jean Philippe Ekikrok C line Cr dal Points abord s V PF o Rentr es 209 Adaptations CD D gustations seront prix coutant Activit s jardins devraient tre auto portantes d s l an prochain cette ann e frais g n raux de semences March des GACs Epicerie CREDAL ASBL Association sans but lucratif Moins nombreux que pr vu initialement Le march des GACs a rapport une marge brute de 500 euros et permet en outre de faire des stocks moindre co
40. 7 z z z R z A notre connaissance il n y a pas de chiffres sur l volution des march s march s fermiers magasins la ferme etc en Belgique 56 lt CES Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie S 3 Agir localement Agir localement Agriculture et levage Freins Principaux e Acc s au capital e Acc s la terre e Acc s au revenu e Transmission e Comp tences pour pluralit des m tiers Et parfois Acc s des locaux aux march s locaux Dans certaines r gions Ardennes faible densit de population donc peu de client le Concurrence prix avec des produits issus de la production industrielle ou d importation Manque de visibilit du projet Mauvaise image chez une partie de la population des produits locaux terroir Acteurs sp cifiques Formations pratiques Crabe CIM Centre Pilote BIO EPI Devenirs FUGEA ISla Huy ITHCF centre horticole de Gembloux IPEA Formations scolaires Ath Hainaut Ciney EPASC BacAgro Namur La Reid Li ge etc Services techniques Aide la gestion agronomique analyses sols fourrages conseils en rapport conomique comptabilit non fiscale de gestion demandes d aides l investissement r seau d avertissements sanitaire maturit r colte CARAH OPA CER CRA Centre d Etude Bio CTA Centres Agricoles Provinciaux Accompagnement normes sanitaires administratif commercialisation mark
41. Alimentaire Niveau micro CPAS services sociaux piceries sociales restaurants sociaux distributions de colis Contexte l gislatif R vision des aides europ ennes via le BIRB Propositions Soutenir la structuration en r seau r gional afin d actions politiques e D optimiser la distribution e De repenser l approvisionnement du secteur au niveau r gional le contexte l gislatif et les acteurs varient selon les r gions D changer des bonnes pratiques de produire des outils fiches etc Soutenir le d veloppement de cuisines collectives conserveries accessibles aux producteurs transformateurs groupes de citoyens Ressources Aide alimentaire Hubert 2012 bonnes pratiques freins recommandations l intention des pouvoirs publics recommandations pour le secteur etc Epiceries sociales Adam Chaidron 2010 tat des lieux cr ation d un r seau 118 TA T A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie c Tourisme Le tourisme peut allier durabilit environnementale et proximit g ographique La proximit relationnelle et le nombre d interm diaires sont parfois plus probl matiques Toutefois des synergies sont d velopper entre agriculture artisanat et le tourisme notamment les m tiers de bouche Agir localement Tourisme Freins Principaux e Arriv e la pension massive des propri taires d h tels e Acc s au cr dit pour repreneurs ind pendants globalit du s
42. Former Formations et accompagnement proposer ou adapter D velopper Nouveaux supports cr er Communiquer Informations diffuser sensibilisations mener Favoriser la production locale et durable de biens et services coul s au maximum leurs produits sur des march s locaux de proximit R server des emplacements sur les march s 010 D velopper un statut d installation transmission 020 Faciliter l acc s au foncier 030 Elaborer une politique d installation sur les terres communales 040 Adapter les programmes de formation la pluralit des m tiers 080 D velopper les formations pratiques et la transmission 090 Estimer les co ts de production maraichers 0110 Adapter les crit res de durabilit au maraichage 0120 Information 060 March s de d tail aux march s publics aux normes li es l accueil du public 070 Diffuser les attentes des franchis s 0260 Favoriser la transformation locale et durable de biens et services coul s au maximum leurs produits sur des march s locaux de proximit Elargir le PWDR 312 bois 0210 Cr ation d une coop rative d activit d di e aux transformateurs 0150 Cuisines conserveries collectives 0160 Plateforme de vente en ligne li e avec un march artisanal itin rant 0180 Lieux r unissant ateliers formation et vente 0190 Plateformes bois 0200 Favoriser le d veloppement de modes de distribution qui visent changer les biens
43. PF 212 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 2 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o E
44. afin de r fl chir ensemble l organisation des changes au niveau local RECOMMANDATION 8 Promouvoir la viande de qualit et locale chiffrer la part des consommateurs consommant local et ou pr t consommer local investir davantage dans la sensibilisation du consommateur la consommation de viande de qualit et ou locale partir de campagnes de promotion organis es par l APAQ W RECOMMANDATION 9 D velopper l organisation du transport des animaux des leveurs jusqu l abattoir Pas le m tier des leveurs ni des abattoirs possibilit d emploi cr er n cessit d un agr ment AFSCA si longue distance Mutualisation des co ts de transport et de l investissement achat de camion frigo et b taill re CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 N AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y E 155 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 2 Recommendations pour un plan d action circuits courts f vrier 2013 Les recommendations suivant
45. auto valuation et d une am lioration A L valuation La premi re colonne crit res propose la liste des points valuer La seconde colonne indicateurs en reprend une d clinaison adapt e au cadre entrepreneurial Ces listes sont communes tous les projets d entreprise Les crit res et ou indicateurs ne sont donc pas n cessairement tous pertinents pour l ensemble des projets tudi s ex des crit res de gestion participative pour des projets individuels L analyse conomique et financi re est le c ur de m tier de Cr dal Un projet d entreprise dont les composantes sociale et environnementale sont importantes mais qui n assure pas sa viabilit CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y gt mt 199 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 financi re ne peut tre soutenu Pour viter toute tentation de r ponse mitig e sur cet axe la position neutre n est pas pr vue L axe gouvernance permet
46. compos des professionnels de l accompagnement conomique du d veloppement territorial travailleurs des GAL ADL etc des citoyens actifs souhaitant d velopper de nouvelles activit s et associations dans leur sous r gion ainsi que des consom acteurs la recherche d entreprises locales Le site r unit les informations suivantes ces informations sont d taill es en partie l Circuits courts Kesako o Fili res o Secteurs o Avantages et inconv nients Concr tement o Consommer autrement o Produire et entreprendre autrement o Epargner autrement Acteurs locaux En g n ral Agriculture Alimentation boissons tourisme Energie O nO E O Finance o Construction et habitat Ressources Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL B Cartographie Une carte dynamique reprend les acteurs conomiques dont les produits et ou services sont locaux durable quitables et ou participatifs Plus de 1000 adresses ont t r pertori es Afin de promouvoir les circuits courts la recherche est g ographique par code postal L outil tient compte de l adresse IP de l ordinateur pour que la carte s ouvre sur sa r gion Par ailleurs les entreprises et projets r pertori s sont class s la fois par type de service et par mode d organisation Ces cat gories ont t d finies sur base de l tude axe 4 Chaque pro
47. comptes d pargne Incitants fiscaux exon ration du pr compte sur les dividendes avec plafond etc Agir localement Tourisme Freins Principaux e Contexte l gislatif Propositions d actions politiques CREDAL ASBL Association sans but lucratif Arriv e la pension massive des propri taires d h tels Acc s au cr dit pour repreneurs ind pendants globalit du secteur consid r e comme risque manque de diff renciation La comp tence du tourisme tourne en fonction de l gislature ce qui est source d inefficacit Affiner la segmentation du secteur Horeca dans l analyse des dossiers de subsides Sowalfin fonds de participation Augmenter progressivement les crit res Bistrot de terroir et coordonner avec Wallonie des saveurs 165 Int gration permanente du tourisme au minist re de l conomie afin de d velopper une politique de tourisme e Plus coh rente liens avec les points de vente de terroir OPW chambres h tes piceries villageoises bistrot de terroir Wallonie des saveurs e De long terme d pendant de fa on permanente du m me minist re e D velopper des objectifs croissants Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305
48. d Etats Membres est favorable le projet d expertise assist e pourrait se g n raliser INVESTISSEMENT DANS LA CHAINE DE VALEURS Mutualiser les efforts et s adapter aux nouvelles demandes du march en mati re de circuits courts Des r flexions sont d velopper depuis l leveur jusqu aux entreprises de commercialisation cr ation d un r seau au niveau local abattoir de proximit consommation de proximit mutualisation des connaissances des comp tences au niveau de la transformation de la valorisation des prix de vente des co ts de transport levage abattoir abattoir boucher r alisation d conomies d chelle par cette mutualisation une v t rinaire pour plusieurs abattoirs RECOMMANDATION 3 Investir dans des formations sp cifiques aux m tiers de l artisanat dans l agroalimentaire en particulier les m tiers de bouchers et charcutiers en faisant se rapprocher et collaborer les institutions de formations et les f d rations en termes de besoins de formations modules souples revenir avec des savoir faire que l on est en train d oublier comme le m tier de charcutier RECOMMANDATION 4 Promouvoir et revaloriser le m tier de boucher charcutier revaloriser les m tiers de l artisanat dans l agroalimentaire aupr s des jeunes en particulier le m tier de boucher et charcutier revaloriser les salaires des apprentis bouchers et charcutiers RECOMMANDATI
49. d changer localement des services entre les membres d un groupe par l interm diaire d une monnaie virtuelle exprim e en temps 146 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie http clesdesel be Les RES sont des r seaux d changes r ciproques de savoirs Dans les RERs les changes ne sont pas comptabilis s http rers be content les rXC3 A9seaux dechanges r C3 A9ciproques de savoirs francophones de belgique 0 BIBLIOGRAPHIE Adam Chaidron tat des lieux sur les piceries sociales et cr ation d un r seau d piceries sociales en Wallonie et Bruxelles Cr dal et FCSS 2010 Agreste Commercialisation des produits agricoles Service de la statistique et de la prospective 2012 Alimentation et agriculture r sultat du groupe th matique national R seau rural fran ais 2012 APES Circuits alimentaires coop ratifs et consommateurs Bauler T et al Construction of scenarios and exploration of transition pathways for sustainable consumption patterns Belspo 2011 Bertin E et al Explorez le d veloppement territorial durable avec les circuits courts alimentaires Cerdd Bosmans et al Vade Mecum pour l entrepreneur d conomie sociale Febecoop 2002 Buying green A handbook on green public procurement European Commission 2nd Edition 2011 Circuits courts Crioc 2010 Chiffres cl s de l agriculture 2011 Direction g n
50. dans les produits laitiers Seule une fraction de la production est concern e la transformation tant intensive en main d uvre En France 26 des producteurs travaillant en circuit court pratiquent une activit de diversification compl mentaire contre 8 des autres En outre valoriser la sp cificit de son produit permet d en tirer un prix plus important Exemple 2 Les producteurs de b uf biologique par exemple ne peuvent valoriser leur viande au prix bio si elle a t en contact avec de la viande non bio l abattoir la d coupe etc Exemple 2 Le juste prix des l gumes Les producteurs maraichers wallons prouvent des difficult s calculer leurs prix de vente en fonction de leurs propres co ts ce incluant leur r mun ration Ils ne comptabilisent en g n ral pas leur temps de travail et encore moins le travail administratif la comptabilit les livraisons Ils manquent de r f rences Leurs prix de vente sont donc g n ralement align s soit sur les prix d une centrale d achat belge soit carr ment sur le march fran ais de Rungis dont les produits viennent de toute l Europe Hors les co ts d pendent de la situation g ographique type et dur e de production de la qualit des sols de la temp rature de l ann e de la m canisation de l chelle et de la sp cialisation de l usure des sols et les charges sont compos es en grande partie du co t de la mai
51. de nouveaux groupes et rencontre une forte demande En Flandre les Voedselteams proposent de fa on plus organis e des s ances d accompagnement leurs nouveaux groupes L ASBL Saveurs Paysannes termine pour le mois de juin un vade mecum incluant un chapitre sur les groupes d achats communs Il faudrait p renniser cet accompagnement et diffuser cette information 0449 Si les groupes les plus anciens sont issus d associations les GAA les plus r cents naissent de l essaimage autour d un groupe existant autour d un voisinage voir de plus en plus l initiative d un individu Pour sa p rennit ce type de projet doit na tre d un terreau local et tre port de l int rieur par ses acteurs Toutefois il est possible de favoriser ces types de dynamiques en mettant disposition des outils et signaux positifs La g n ralisation de mise disposition de locaux communaux est une piste voqu e par nos partenaires 0450 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w d mt 180 Mise en place de circuits courts rapprochant producte
52. de produits qu ils commercialisent mais galement par la mani re dont ils s inscrivent dans leur environnement ainsi que des modes d organisation interne sp cifiques Des initiatives innovantes inventent de nouvelles formes de gouvernance Consommateurs et producteurs se rencontrent au sein de structures communes Ainsi chez Epivert Exemple 7 la Brasserie de la Lesse SCRL FS Exemple 9 ou l Epicentre Exemple 8 les consommateurs peuvent capitaliser et rentrer dans la gouvernance Ils deviennent les premiers portes drapeaux et commerciaux de la structure dans laquelle ils sont impliqu s Les comp tences des producteurs ne sont pas celles des consommateurs Organiser des quipes s par es avec des rencontres permet de travailler efficacement Exemple 4 Cependant des commissions diff rentes continuent d exister au Conseil National de la Coop ration et par cons quent dans les lois et aides qui s y r f rent pour les coop ratives De consommation Agricoles De production et de distribution De services Exemple 8 L Epicentre A Meix devant Virton les villageois ont repris en coop rative l picerie du village de Meix devant Virton qui allait fermer L Epicentre picerie coop rative villageoise propose des produits locaux charcuterie glaces Elle dispose d un coin halte lieu de rencontre au sein du village Elle propose des d gustations mensuelles de produits d artisans et de prod
53. des personnes ressources par la perte progressive des valeurs ou encore par la transformation du projet professionnalisation Proposer un encadrement organisationnel d s la cr ation du groupe ainsi que des formules flexibles favorise la p rennit des GAA Bien que redout e vivons heureux vivons cach s l id e de structuration en un Mise en r seau fait progressivement son chemin Ce r seau pourrait aider la cr ation l organisation et la p rennisation des groupes Il peut tre source de collectivisation de ressources ainsi que de l gitimit 142 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Les jardins collectifs donneries friperies monnaies compl mentaires r seaux d changes r ciproques de savoirs ou de services sont des alternatives collectives de consommation qui forment le ferment d un nouveau mouvement social Alternativement les Collectifs de producteurs permettent de pallier l absence d conomie d chelle mutualisation des co ts sp cialisations solidarit s diversification etc tout en gardant le contr le sur l enti ret la fili re Tableau 7 L avenir est dans la rencontre des producteurs et consommateurs au sein de Structures communes La coop rative finalit sociale SCRL FS semble la Forme juridique commerciale la plus adapt e Elle permet de rencontrer la condition d identit collective l organisation interne d mocr
54. des co ts rencontr s par les producteurs en circuit long et court et donc de leurs revenus respectifs Le Centre d Etudes et de Ressources sur la Diversification agricole CERD a re u mandat d laborer un r f rentiel pour valuer la performance technique conomique sociale et environnementale des circuits courts sur cinq familles de produits produits base de lait de vache vente directe de viandes bovine et ovine porc charcuterie volailles de ferme fruits et l gumes en France Des donn es ont t r colt es afin d valuer l impact de la commercialisation en circuits courts sur le chiffre d affaire de pr s de 400 producteurs Les r sultats seront disponibles en octobre 2013 Les conclusions seront limit es par l absence des exploitants aillant abandonn leur activit de l chantillon et l invisibilit de certains co ts 64 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie jis H Wallonie Certains circuits courts permettent aux producteurs de s curiser leurs revenus L tablissement de prix n goci s l avance r duit l incertitude sur les prix de vente De plus Le contenu d un panier vendu prix fixe peut tre adapt par les producteurs selon la production effective En outre La transformation permet parfois de s loigner d un march volatile Ainsi les fromages et cr mes ont l avantage de se vendre un prix moins volatile que le lait De m me l ventuelle laboratio
55. des relations directes producteur consommateur coiffeurs boulangers Certains de ces petits commerces sont en danger et ont besoin d tre soutenus Leur pr sence et leur maintien dans les zones rurales sont parfois un v ritable enjeu de d veloppement Toutefois ils ne r pondent pas aux m mes incitants et les circuits courts ne peuvent tre simplement g n ralis s aux petits commerces ou aux productions wallonnes sans perdre leur essence Les r seaux d changes r ciproques de savoirs et de services sont des exemples syst mes d alternatives collectives de consommation int ressants dans les secteurs de la formation et des services Figure 9 Le concept de circuit court de proximit ne peut pas s appliquer dans les secteurs de services aux personnes et aux entreprises sans perdre certaines de ces caract ristiques Toutefois certaines forces des circuits courts durables et de proximit s peuvent y tre d velopp es Similairement La gestion des espaces verts par exemple peut se faire de fa on durable par des entreprises locales d conomie sociale comme Floreco Il est d autant plus facile pour les pouvoir public locaux d y inciter qu ils sont des clients importants de ce secteur De plus de nombreuses entreprises de formation par le travail et entreprises d insertion sont actives dans des domaines auquel le concept de circuit court peut s appliquer de fa on pertinente comme l agriculture durable La Bourrache le
56. dric Vanhorenbeke 1180 Uccle Service de pompes fun bres cologiques actif en R gion Wallonne et Bruxelles l adresse n est jamais communiqu e Structure du financement 30 Montant total n cessaire Apport propre en nature 7 046 Impact 1 an FDS 8 605 ROULEMENT Impact 5 ans INVEST 51 103 Microcr dit Professionel 6 500 Nicolas Scorier 4500 Huy Transport fluvial international de petit gabarit 38m x 5m max 363 T L analyse du dossier de Monsieur Scorier tait positive Toutefois la pr sentation du dossier au comit du 3 d cembre 2013 a t report e En effet le bateau que monsieur Scorier souhaitait acqu rir n tait plus vendre Cependant Monsieur Scorier une piste pour un autre bateau Structure du financement Montant total n cessaire Apport propre en esp ces 10 000 Cr dit Cr dal investissement 57 079 Cr dit pont Cr dal prime RW 27 000 Cr dit Cr dal fonds de roulement 15 000 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Mobius Green sprl Henri Klepfisch 1000 Bruxelles Tri sur site des d chets de chantiers Ce cr dit n a pas encore t d caiss Structure du financement Montant total n cessaire eZ Apports propres en capital 30 000 Cr dit Cr dal investissement 100 000 C Finance
57. e Associations locales citoyennes e Groupes alimentaires potagers collectifs SEL RES donneries etc Monnaies compl mentaires Epi Eco Iris etc Autres Villes en transition Guilde des commerces durables co quartier Propositions e Soutenir les besoins d emploi en Ressources Humaines d actions politiques e Proposer un accompagnement au lancement structuration du projet financier conomique commercial juridique coaching etc e Soutenir l emploi de RH par les collectifs de producteurs e Equivalent temps plein d animation pour cristallisation de projets citoyens Flexibilit du cadre essentielle afin de permettre l innovation e Valorisation communication forte promotion et information par la r gion centralit visibilit l gitimit e Espace d information et de promotion des circuits courts sur le site de la r gion bonnes pratiques efficacit rentabilit p rennit innovation etc plus values informations attentes franchis s march s publics aides tudes sant etc outils collectivit s prix juste etc liens avec listes de points d achats et acteurs APAQ W 108 FA sol Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie Dgarne N amp P RCR bistrots terroir GAL etc agenda Devenir un axe prioritaire des aides et subsides voir Groupe One 2011 D velopper outil pratique fiches sur les possibilit s de dynamisat
58. et animations jeu de la ficelle etc 2 Rencontres conviviales avec d gustations repas autour de fournisseurs Agricovert caf etc 3 Jardin partag Bossi re a Jardin collectif b Aspect didactique c Utilis s dans les stages enfant d Aspect social Rebjou envisager travail avec CPAS etc 4 Epicerie actuellement le jeudi CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 Y AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o Ka Ea Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL _ _ H L J SL S Type de produit Marge moyenne Commentaire Paniers Agricovert 1 euro panier Soit paniers 9 ou 13 euros Oxfam 5 Mais r duction l achat GPFL frais 40 GPFL poulet Produits transform s 10 Tr s petites quantit s Marie Sec Vajra 40 Semences 30 Ferme Bar 20 6 March sec a Pouressai i Achats sur commande achat par Ekikrok si 75 d un sac 25 kg ex ii produit Vajra ils livrent lieu d
59. et d une convivialit croissante Un encadrement l organisation d s le d part du groupe semble donc favoriser sa p rennit 2 La fr quence des r unions hors livraisons est plus importante parmi les groupes de moins d un an Les discussions autour de l organisation pratique du groupe sont toujours jug es tre le sujet le plus important lors de ces r unions La qualit la quantit et le prix des produits suivent Les discussions autour du choix des producteurs diminuent au cours du temps Les commentaires des r pondants indiquent que cela est d une organisation progressive 84 lt A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie T CONSEIL Wallonie A 3 P rennit Box 9 Raisons d essoufflement des GAA a Flux La composition des groupes r cents fluctue norm ment Au groupe de Saint Gilles g de deux ans au moment de l enqu te de L Minet les gens ne restent que trois six mois A Braine le probl me n est pas d attirer des gens dans le groupe d achats c est de les garder Minet 2003 Chez Li Cramignon seuls 30 35 m nages des 140 que compte le groupe viennent chaque semaine Pour L Minet Les contraintes et les caprices expliquent la majorit des d parts dans les groupes o le flux est important Les groupes les plus anciens sont les plus stables Les raisons techniques y expliquent au moins la moiti des d parts Selon Minet quand il
60. et durables peuvent tre d velopp s bien plus largement Les liens renvoient quelques initiatives concr tes pour plus d exemple voyez la carte Avantages et inconv nients Prenons un exemple concret Un jeune maraicher s installe travaille une petite surface en forte diversification dans le respect des principes agro cologiques Il se rend compte que la marge pratiqu e par les interm diaires repr sente 100 du prix auquel ceux ci lui ach tent ses l gumes frais tr s p rissables Il choisit donc de revendre une partie de sa marchandise via des groupes d achats qui s engagent acheter une certaine part de sa production prix fixe pendant toute l ann e CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 V AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y EA 189 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Avantages Les consommateurs ont acc s une alimentation saine et de qualit produite de fa on transparente Les groupes sont un lieu de rencontre et de convivialit Ils permette
61. finissent des standards au niveau europ en Le SABE assure la coordination sur les mati res environnementales CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W d E 182 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 exemple environnementales en incluant les mots ou quivalent Les villes de Nantes et Rennes requi rent par exemple des produits sans OGM Par ailleurs des crit res relatifs au processus de production sont admis sauf si celui ci est d pos ou accessible uniquement dans un pays ou une r gion Ainsi un pourcentage de mat riaux r utilis s ou recycl s utilis s dans la production du bien peut tre indiqu et l utilisation de m thodes biologiques ou d lectricit renouvelable peut tre requise Enfin il est possible de passer par des crit res de fraicheur et d imposer des d lais courts du champ l assiette comme cela se fait beaucoup dans les collectivit s du Nord de l Italie Il faut diffuser ces informations 070
62. fois le privil ge de visiter une maison ou un lieu d cal avec une vraie personnalit Leur groupe Facebook regroupe pr s de 900 abonn s b R utilisation et r emploi Toute une s rie d objets du quotidien sont consid r s comme des encombrants et jet s alors qu ils peuvent tres revaloris s en tant qu objets ou en tant que mat riaux Le secteur des d chets peut tre vu comme une opportunit de d ployer des initiatives locales partir du moment o on consid re certains types de d chets comme des ressources Le 3 Selon la d finition l gale un artisan est un travailleur ind pendant actif ou une entreprise de maximum 20 travailleurs active dans la production la transformation la r paration la restauration d objets la prestation de services dont les activit s pr sentent essentiellement des aspects manuels et qui d veloppent un certain savoir faire ax sur la qualit la tradition et la cr ation Avant projet de loi de S Laruelle approuv par le conseil des Ministres http www uniondesartisansdupatrimoine be http www createursdebonheur be 120 amp lt CIS Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie SD Wallonie S secteur de l conomie sociale r alise des op rations qui retrouvent le r flexe anti gaspillage de nos a n s Tableau 10 Possibilit s de r utilisation et r emploi R utilisation et r emploi Objets ELALI V tements Trocs de f
63. gestion des d chets et les ressourceries dans les zones non couvertes e Subside au tonnage des intercommunales seules certaines le font BEP IPAM etc e Simplifications administratives optimisation des collectes pour viter les doubles passages e Mise disposition de foncier e Soutenir recherche et d veloppement e Mise en connexion des acteurs locaux et supralocaux e Investir dans les zones non couvertes Luxembourg Brabant de l Est botte du Hainaut e Voir aussi les secteurs construction artisanat et aide alimentaire Possibilit s e D velopper les entreprises d conomie sociale les donneries les d actions citoyennes friperies les Repair caf s points v los etc c Finance La finance locale et participative est une des priorit s tablies par les acteurs de terrain fran ais pour le d veloppement des circuits courts hors de l alimentaire Les circuits courts de l argent permettent de relier directement pargnants et emprunteurs Alternatives conomiques juin 2012 Ils permettent d tablir une dynamique locale autour d un projet g n rateur de richesses en territoire connu en palliant un manque local de certaines activit s et en d veloppant une d marche d accompagnement et ducative l attention des porteurs de projets et en palliant un manque local de certaines activit s ESS 2012 Le respect de la grille des crit res de d finition des circuits courts durables et de p
64. gislatif e R vision des aides europ ennes via le BIRB Propositions d actions Soutenir la structuration en r seau r gional afin politiques e D optimiser la distribution e De repenser l approvisionnement du secteur au niveau r gional le contexte l gislatif et les acteurs varient selon les r gions D changer des bonnes pratiques de produire des outils fiches etc 163 e Soutenir le d veloppement de cuisines collectives conserveries accessibles aux producteurs transformateurs groupes de citoyens Propositions d actions R mun ration au tonnage des acteurs labellis s R cup politiques e Y penser comme crit re pour les march s publics e Favoriser les collaborations entre les intercommunales de gestion des d chets et les ressourceries dans les zones non couvertes e Subside au tonnage des intercommunales seules certaines le font BEP IPAM etc Simplifications administratives optimisation des collectes pour viter les doubles passages e Mise disposition de foncier Soutenir recherche et d veloppement Mise en connexion des acteurs locaux et supralocaux Investir dans les zones non couvertes Luxembourg Brabant de l Est botte du Hainaut Voir aussi les secteurs construction artisanat et aide alimentaire CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxell
65. ils sont en d calage avec la l gislation l levage plein air n est pas bien per u d un point de vue sanitaire pex enregistrement de la fiche ICA pas adapt ce genre d levage Opportunit de p renniser les outils en d veloppant d autres activit s comme un atelier de d coupe adjacent valeur ajout conomie d chelle Expertise contingent e le v t rinaire ne doit pas tre l en permanence Les entreprises publiques permettent une relation d gal gal et laissent le choix aux leveurs volution du march vers de gros abattoirs monopolisation de l agriculture wallonne par de grands groupes priv s risque de n avoir plus qu un ou deux grands abattoirs en Wallonie On regarde de moins en moins la qualit du produit final en se pr occupant de plus en plus de contr le de documents administratifs L autorit sanitaire est un petit tat dans l tat ce n est pas quitable lil ne s agit pas d expertise contingent e le v t rinaire n tant pas obligatoirement pr sent lors de l ante et post mortem mais inform d s que probl mes identifi s par l abattoir Condition modules de formation agr s pour le personnel de l abattoir CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d En
66. internes Parler plut t de durabilit environnementale pour tout le cycle de vie des produits ressources consommables recyclage etc des services modes de fonctionnement internes choix environnementaux dans la gouvernance choix des consommables etc Et respectueux de l homme Est parfois impossible Plut t parler des intrants cas du recyclage ou r emploi consommables pour viter confusion avec outils de production comme oliennes Solution au point pr c dent Proc der par cercles concentriques Une d finition pourrait tre celle de la Commission Europ enne pour qui une petite entreprise a un effectif inf rieur 50 personnes et un chiffre d affaire ou un total bilantaire inf rieur 10 millions d euros Cependant ce crit re vise avant tout refl ter objectivement des relations internes et un mode de gouvernance participatif qui sont eux essentiels Plut t parler des artisans Parfois non adapt olien citoyen etc Importance majeure de la qualit des emplois internes et externes 140 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie CONCLUSION Le progr s technique la maximisation des avantages comparatifs et des conomies d chelle ainsi que la diminution des co ts de transport ont profond ment transform le mod le conomique La lib ralisation du commerce a men un mod le mondialis qui permet d craser les co
67. laboration Souhait terme d un cr dit au production taux d int r t d gressif en fonction de la durabilit du respectueux de projet l environnement Chez les cus baladeurs la durabilit n est pas un Transparence de Oui crit re d acc s mais le groupe y est sensible l origine Localit Proximit g ographique Ancrage local des Oui Crit re d entr e acteurs Origine Wallonne Fr quent Pas un crit re d entr e Les projets accompagn s sont des mati res principalement des projets de services ou ce crit re ne premi res s applique pas bien Priorit aux Fr quent Pas un crit re d entr e changes les plus locaux possibles Proximit relationnelle Taille humaine Oui Tr s forte majorit de tr s petites entreprises accompagn es Reconnaissance du Oui Principe de partenariat savoir faire prod Liens de confiance Oui Voir processus transparents 126 EN CONSEIL Incitants et externalit s Economiques financiers Relations connaissance convivialit Dynamisme conomique Dynamisme territorial D penses publiques Effets multiplicateurs Partage du risque Co ts de transaction Gestion Autonomie d cisionnelle technique conomique Transparence Motivations environnementales Sant Soutien aux producteurs locaux Coh sion sociale Appropriation Organisation interne d mocratique capacit de d cision Sens valeurs morale
68. le d veloppement des transports routiers frigorifiques notamment l internationalisation corr lative des march s alimentaires et le d veloppement de structures industrielles d approvisionnement C est avec la mise en place de la Politique Agricole Commune que les fili res longues se sont d velopp es pour nourrir les Europ ens Langhade 2010 Les ceintures maraich res qui existaient encore autour des villes il y a 35 ans ont progressivement disparu b Le mouvement coop ratif au service des circuits courts Le d veloppement des mouvements coop ratifs s est fait dans la foul e de larges mouvements sociaux Les Box 2 Conditions mouvements ouvriers militants ont d abord voulu maximiser leur pouvoir d achat en r action aux magasins patronaux r action au pain trafiqu meilleur rapport qualit prix etc En 1844 28 tisserands de Rochdale se rassemblent cr ent la Soci t des quitables Pionniers de Rochdale et ouvrent le premier magasin coop ratif afin de garantir l acc s des produits de qualit des prix raisonnables En Belgique les coop ratives de consommation et mutuelles ont t impuls es par les grands mouvements ouvriers de 1860 1890 Des familles ouvri res se sont d abord regroup es en groupes conomiques Ensembles elles achetaient sur commande et b n ficiaient de rabais importants Ces groupes fonctionnaient avec peu d infrastructure sur base du b n volat Mine
69. partages d exp riences r alisation de chantiers de grande taille en commun etc 164 Soutien aux partenariats public conomie classique conomie sociale Soutenir la recherche et d veloppement Proposer des formations techniques sp cialis es et formation des architectes D velopper centrale d achats en co mat riaux Envisager d adapter le syst me de pr t vert social bruxellois en Wallonie Envisager une d rogation aux l gislations en mati re de TVA et de ch mage pour les d marches d auto construction Soutien et promotion de la fili re bois certification incitant etc Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VS EE Wallonie Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 CONSEIL _ S _ SSS3 3 3 3 3KK Agir localement Finance Freins Principaux e Propositions d actions e politiques Frais de fonctionnement lev s Manque de garanties Mise en place de m canismes de garantie publique pour les parts de coop rative citoyennes sur le mod le des
70. pas des marges Plan financier sur 4 ans Travail sur la gouvernance R alisation des statuts Accompagnement structurant R alisation du plan financier Travail sur la gouvernance et r alisation des statuts Accompagnement dans plusieurs demandes de bourses Mise en r seau Accompagnement structurant Mise en lien avec des producteurs wallons Conseil juridique Cr dit Accompagnement structurant Demande de bourse Impulcera R alisation du plan financier du centre de jour dans le cadre d Impulcera Validation du plan financier global Accompagnement structurant 2 Conception du mod le conomique depuis le projet Panier Malin Animations avec les producteurs sur la gouvernance et les aspects juridiques Mise en lien avec des partenaires wallons R alisation d un plan financier sur trois ans Conception des statuts Validation d un deuxi me plan financier Animations sur les coop ratives finalit sociale Rencontres avec les producteurs Accompagnement structurant Travail sur le mod le conomique Plan financier sur trois ans Animations autour du mod le coop ratif aupr s d leveurs Rencontres de parties prenantes BEP abattoir de Gedines Initiative d une table ronde sur les abattoirs de proximit 30 participants Travail en cours sur le mod le conomique Pr sentation du mod le de zone test en agricul
71. possibles Les circuits courts durables et de proximit forment une conomie endog ne Les circuits courts alimentaires existent depuis la naissance des changes conomiques auto consommation vente la ferme march s etc Des formes d organisations collectives ont progressivement vu le jour afin de b n ficier la fois des forces des circuits courts et des forces des circuits longs Ainsi depuis le milieu du 19 si cle la conjonction des conditions d identit collective et de n cessit a permis le d veloppement de coop ratives Sous leur forme historique celles ci ont t mises mal d une part de l ext rieur d veloppement de la mobilit zapping des consommateurs r formes politiques crises conomiques etc d autre part de l int rieur difficult s de gestion et de r action perte de l esprit fondateur etc Aujourd hui les Fili res de commercialisation en circuits courts durables et de proximit naissent autour des produits agricoles de la r appropriation du terroir d une identit locale En effet la relocalisation et sa r appropriation de secteur primaire r pondent aux exc s de la mondialisation et de l agriculture industrielle Ce secteur vital est multi fonctionnel Ses activit s conomiques touchent quotidiennement l alimentation la sant aux liens sociaux ainsi qu aux paysages Il est donc normal que le secteur primaire soit la base d un renouveau des change
72. processus nous accompagnerons les porteurs dans le d veloppement de leur projet Nous aurons un regard critique et structurant sur le projet b Implication attendue Nous nous r unirons une fois Livrable un accompagnement structurant d Reporting lors de chaque r union nous ferons le point sur l tat d avancement e Calendrier pr visionnel avril mai 2012 MODULE 2 Conseils pour la faisabilit juridique du projet a M thode Nous discuterons ensemble avec l aide d un consultant juridique sp cialis en droit des ASBL et en droit des soci t s des statuts ad quats la structure Nous v rifierons la faisabilit juridique des activit s en regard des statuts et de la loi b Implication attendue Nous nous r unirons une fois c Livrable une forme juridique et des statuts ad quats CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y m 202 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 d Reporting lors de chaque r union nous feron
73. producteurs et les consommateurs Moteurs de recherche www groupesalimentaires be APAQ W Saveurs Paysannes le Biotin GAL etc Plateformes Agricovert E411 Epi vert Namur les Grosses L gumes Gaume Topino Bxl Efarmz Bxl Paniers Verts Li ge Hartenboer Flandres etc Caf s restaurants et tourisme Wallonie des saveurs Bistrots de terroir OPW etc 195 initier un projet Le RCR Wallonie le r seau des GASAP et le D but des Haricots Bruxelles peuvent vous aider lancer des projets de groupes alimentaires et de potagers collectifs Pour aller plus loin D autres acteurs bien que non sp cialis s peuvent vous apporter une aide ponctuelle ou qui sait tre int ress s par de nouveau projets La F d ration Horeca Wallonie par exemple vous conseille quant aux contrats de brasserie Tourisme Provelo org Syndicats d initiatives Commissariat g n ral au Tourisme F d rations provinciales Offices de tourisme G tes de Wallonie etc Et pourquoi ne pas co voiturer jusque l avec taxistop covoiturage ou 123envoiture Pour les d placements quotidiens pensez aussi au Gracq et Place O v lo Bruxelles Voiture partager ou encore Cambio Aide alimentaire CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entrepr
74. projet dans le contexte de l conomie sociale Le taux d int r t pour un cr dit d investissement Impact est situ entre 4 75 et 6 Il est variable en fonction des performances sociales et environnementales de l entreprise Nous ne disposons pas de garanties intitutionnelles pour ce type de cr dit Nous demandons donc au porteur de projet l entrepreneur d apporter au moins 50 de garantie personnelle dans ce cadre 27 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Utilisateurs Huit projets ont obtenu un ou plusieurs cr dits Impact pour pour un montant de 435 665 ce qui leur a permis de r unir un montant total de 874 520 En outre deux projets ont b n fici du prix Impact Les projets ayant b n fici d un cr dit Impact ont choisis de travailler avec Cr dal en raison de leur d marche durable et de leur valeurs Bien qu ayant g n ralement acc s au cr dit bancaire ils ont souhait tre financ s par des pargnants de leur territoire de fa on transparente et participative Ces projets ont donc t financ s en partenariats avec des partenaires publics ou encore avec leurs clientsrespectifs lesquels deviennent alors investisseurs mais pas avec des banques SPRL Supersec 1060 Bruxelles R colte conditionnement et distribution de champignons s ch s Si ge social en R gion bruxelloise mais no
75. propri taire 65 lt FA rP Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie Toutefois les co ts de transaction diminuent avec la r gularit des achats ainsi que la vente des groupes r partition du co t fixe Ils diminuent galement avec les liens de confiance que permet la commercialisation en fili re courte en occasion on pr f re acheter la voiture d un proche plut t que celle vendue sur internet En outre les motivations des consommateurs et la pluralit des changes au sein des groupes commerciaux sociaux culturels font que tous ne regardent pas la recherche et l change d information comme des co ts Ces co ts de transaction augmentent avec le degr d incertitude qui concerne la qualit la quantit le prix et la demande Les crit res de sant sociaux thiques et cologiques d pendent du mode de production mais ne sont pas visibles Les asym tries d information sont donc importantes pour les produits alimentaires car la qualit n est pas li e l apparence du produit Dans une optique d adaptation vers d autres secteurs il faut noter que les co ts de transaction croissent avec la sp cificit des ressources impliqu es dans la transaction l information relatives aux ressources rares est plus difficile obtenir Les co ts de transaction sont relativement plus importants s ils ne peuvent se r partir sur des transactions fr quentes 6 Gestion
76. ratives permettent d inscrire l activit dans un territoire d s lors qu elles permettent divers acteurs locaux de s y investir SAWB 2012 Les b n fices de l entreprise affect s localement sont galement source de dynamisation territoriale Pour lancer un projet il faut le bon porteur de projet du temps et de la confiance le soutient des partenaires pour sa mise en uvre effective Les SCRL FS permettent de formaliser la participation et l implication de publics vari s une structure commune Il est ainsi possible de multiplier capital mon taire et capital social Il importe alors qu une personne reconnue joue un r le de traduction afin d arriver tablir un lien entre des visions h t rog nes ainsi qu un apprentissage des nouveaux r les soit permis tout au long de l action SAWB 2012 L implication des pouvoirs publics parmi les coop rateurs est une piste importante pour le futur Des communes situ es autour d un parc naturel par exemple pourraient devenir un acteur important de l laboration d une fili re en circuit court Cette dynamique innovante pourrait favoriser d une part la dynamisation de l conomie locale d autre part la p rennit des initiatives Exemple 10 Un projet de circuit court en SCRL FS ne doit pas perdre son identit au cours du temps Il ne faudrait pas que des consommateurs devenus plus nombreux exigent des prix d achat au d pend du tra
77. recherche galement des limites l expertise v t rinaire RECOMMANDATION 1 R flexion avoir sur les r gles AFSCA pour les petits abattoirs Abattoirs de gros animaux les abattoirs doivent accomplir les d marches gt V vers l AFSCA pour s orienter vers une inspection assist e faire agr er des programmes de formation pour le personnel d abattoir mais un minimum de 1 v t rinaire par abattoir serait encore impos pour les analyse ante et post mortem discuter Abattoirs de volaille le v t rinaire en volailles bloque l organisation de l abattoir pr sent lors de la matin e en plus des probl mes de bien tre animal p riode d attente longue des animaux et le d couragement de la client le de particuliers oblig s d arriver tr s t t et d attendre 4 heures pour reprendre leurs volailles L AFSCA estime qu il y a des pistes de r flexion avoir avec les abattoirs afin d assoubplir la mesure Avoir une cat gorie interm diaire entre les gros abattoirs agr s europ ens et les tueries la ferme adapter les contraintes administratives la taille de l abattoir Harmonisation des r gles AFSCA et des contr les d un contr leur l autre il y a de grosses diff rences d interpr tation du r glement RECOMMANDATION 2 Instaurer une formation infirmier v t rinaire comme en Flandre et en France pour diminuer les frais v t rinaires Remarques Atten
78. revenu capital risque etc Le secteur agro alimentaire touche la sant aux liens sociaux aux paysages ainsi qu la consommation de CO2 Il est la base d un renouveau des changes plus autonomes respectueux confiants et solidaires qu hier VIDEO Et dans d autres secteurs Les boissons l artisanat de bouche de l abattoir la boucherie du moulin au boulanger de la conserverie au traiteur etc les produits d hygi ne le bois de chauffage et la biomasse sont des produits compl mentaires aux circuits courts existants Les collectivit s 1 2 le tourisme et l aide alimentaire sont des fili res compl mentaires pour la vente de produits agricoles en circuits courts En outre le concept de circuits courts durables et de proximit s applique de fa on pertinente des initiatives wallonnes existantes hors des secteurs agricoles et alimentaires artisanat 1 2 et habillement recyclage et r emploi d chets mat riaux de construction nergie textiles d chets organiques v los etc finance 1 2 construction nergies vertes olien photovolta que thermique etc Par ailleurs en p riph rie des circuits courts durables et de proximit les livraisons durables 1 2 la formation l acc s la culture 1 2 et les services peuvent d velopper certaines de leurs caract ristiques Le fonctionnement participatif la fois bottom up et en r seau l utilisation de ressources locales
79. sc narios de transition pour d passer le frein du surcout au passage une alimentation durable La commune d Ottignies Louvain la Neuve a tabli une charte pour les achats alimentaires des coles primaires de la commune les repas sont propos s par TCO service Exemple12 Cet exemple illustre que deux interm diaires sont n cessaires dans la restauration collective Exemple 12 TCO Service TCO service propose 8500 repas par jours dans deux cuisines centrales dans des coles quip es d une cuisine et avec livraison pour les coles environnantes Les livraisons ont lieu minimum deux fois par semaine 4 fois par semaine pour la viande sur tous les lieux de cuisine en m me temps Les produits sont de pr f rence locaux choix par cercles concentriques Les l gumes sont lav s d coup s et emball s en vrac sous vide ou sous plastique 4 gamme La viande est d coup e et fa onn e selon un grammage tr s pr cis De plus les producteurs s adaptent au timing particulier des coles pas d activit durant les vacances scolaires Les prix sont stables et comp titifs car les prix de vente sont cadenass s six mois ou un an 2 5 3 5 par repas Les prix des produits de saison sont concurrentiels par rapport aux surgel s Les d lais de paiement sont acceptables car TCO a galement des d lais assez longs 50 jours au mieux Les exigences en termes de type de produits d lais et conditionnement sont qua
80. solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie S dessus de la recherche des meilleurs prix Q 32 Cette diff rence est particuli rement marqu e en ville et surtout Bruxelles Elle d croit avec le nombre d enfants Cette priorit semble donc tre positivement corr l e au revenu moyen par membre du m nage Les motivations environnementales sont elles plus importantes dans les communes rurales Elles pr dominent dans les groupes les plus anciens En ville elles sont plus importantes parmi les groupes solidaires que les GAC Elles pr dominent chez les parents de deux enfants Les membres des GACs cherchent des produits locaux et de saison avant tout Q30 Enfin les incitants touchant la sant comme l acc s des produits sains ou l incitation manger mieux sont plus importants dans les GACSs et les communes rurales De m me l importance de savoir exactement d o viennent les produits et de pouvoir y associer un visage importe plus la campagne qu la ville Le bonheur de d couvrir des l gumes qu on ne connait pas varie fortement selon les r pondants Il est plus important dans les communes rurales et bien moins dans les groupes solidaires Q 4 Cependant le label ne semble pas int resser les participants Q28 moyenne 2 1 au contraire des m thodes de production En effet un label ne veut pas dire grand chose Pas n cessaire quand on connait la personne et sa fa on de trava
81. sont alors motiv s d abord par l acquisition d une autonomie ensuite par le prix et enfin par la garantie de qualit Auto construire c est aussi choisir plus pr cis ment les caract ristiques du syst me utilis choix du syst me hydraulique des dimensions etc Au prix actuels un syst me d appoint de panneaux solaires thermique est amortit en 6 21 ans substitution de l nergie lectrique du mazout ou du gaz Les primes ne sont pas accessibles tant donn l absence de garanties professionnelles L homologation par un organisme agr est une solution envisageable mais elle m nerait une augmentation des prix Sources Jean Molto http www voot be 135 amp lt 6 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S9 Wallonie Agir localement Freins Principaux Acteurs sp cifiques Propositions d actions politiques Possibilit s d actions citoyennes Ressources Eolien citoyen et photovolta que e Epargne progressive versus investissement initial massif e Manque de clart du contexte l gislatif court terme installation d oliennes prime l investissement etc e Instabilit du march au niveau des revenus e Accompagnement Reddi facilitateurs nergie e Associations Rescoop Apere e Mouvement citoyen Passeurs d nergie e Exemples Clef Vents d Houyet Emissions Z ro Courant d air Nosse Moulin Ateliers de la rue Voot etc
82. sont une d clinaison des d marches de transition Pour faire face au triple d fi du pic p trolier du d r glement climatique et des crises conomiques nous sommes amen s r inventer notre fa on de vivre en soci t Comment En mettant en place ensemble des initiatives de transitions locales et concr tes potagers habitats group s r seaux d change monnaies compl mentaires afin d augmenter notre d pendance aux nergies fossiles d augmenter notre r silience face aux crises et de re cr er du lien entre les individus et avec le vivant Deltae 2012 Tout comme la lab lisation de productions locales comme les Appellations d Origine Contr l e AOC permet d emp cher leur d localisation le Cantal ne peut pas tre produit en Chine les circuits courts de proximit permettent le maintien d activit s sur les territoires et l augmentation de la densit du r seau de distribution Ils valorisent les savoir faire locaux au contraire des supermarch s qui il est reproch d tre la source de perte d infrastructures et de comp tences traditionnelles de perte de caract res distinctifs et de l identit des centres urbains et donc de menace pour le tourisme 19 z j iie Le secteur du d tail alimentaire inclut les produits alimentaires ainsi que les produits d utilisation courante vendus en supermarch s 70 lt FA rP Les circuits courts solidaires et d
83. sur l accompagnement de projets concrets Nous avons fait le choix de privil gier les projets innovants ou caract ris s par une dimension collective voire coop rative entre les producteurs les transformateurs et ou les consommateurs Nous nous sommes galement int ress s aux circuits qui d veloppent un engagement solidaire pr financement partage du risque soutien face des difficult s concr tes tarifs sociaux Les projets accompagn s se situent en Wallonie en campagne comme la ville Certaines structures sont naissantes d autres sont en cours de transformation ou d extension Tous sont financi rement viables moyen terme En vue de tirer des conclusions repr sentatives nous avons compl t ce travail par l analyse quantitative de donn es concernant les groupes d achats ainsi que leurs membres Au cours de ce travail nous analyserons l origine et l volution des fili res courtes au cours du temps et synth tiserons les fili res wallonnes existantes leurs forces et faiblesses chapitre 2 Nous nous pencherons ensuite sur la rationalit conomique des circuits courts chapitre 3 Nous analyseront quantitativement l volution des groupements d achats travers le temps chapitre 4 Nous examinerons les nouvelles solidarit s qui sont en train de se tisser entre consommateurs et ou producteurs chapitre 5 Enfin nous explorerons les secteurs d activit non agricoles ou le concept de circ
84. t pour l picerie Repenser le service proposer aux GACSs et son co t Continuer faire de gros v nements ponctuels sources de revenus march Bossi re avec la Bulle tre nombreux multiplie les r seaux fait marcher le bouche oreille et permet de mieux cerner les attentes des consommateurs gt Augmentation des quantit s attendues Est ce un objectif Le quantifier et mettre comm etc en place pour l atteindre FD Attention bien garder en t te que l augmentation du CA picerie doit permettre d augmenter les activit s d animation A terme soci t commerciale voir point 2 Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE Ni DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w 5 EA Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie EN Rapport final D cembre 2013 CONSEIL e Le CA vient 80 de l picerie 27 Vrac Agricovert ferme Bar marge 20 22 GPFL marge 35 19 Sec Vajra vins huile caf marge 30 Les marges sont en rapport avec le soutien voulu des diff rents producteurs GPFL grossiste etc o Charges
85. terminer 1 ou 2 personne par GAC viennent chercher iii Aspect sensibilisation feuillet recettes iv GAC BW GAC Gembloux v Attention aux r les de chacun Ekikrok n est pas un grossiste Dans une ASBL l activit commerciale n est qu accessoire Tout va bien tant que la part des activit s achat vente picerie et march n est pas trop importante et si activit s non r guli res A terme si a se d veloppe il faudra peut tre penser fonder une soci t commerciale coop rative Contacts Jardin ges voir PJ Isma l Kaouane Fattoria passer par Val rie Rey 0470 10 95 95 Anne Dasnoy Bossi re handicap 0497 47 09 07 Ferme de la Vache CPAS Li ge Les uns et les autres restaurant social http www lesunsetlesautres be http www mloc1080 be milm index2 php s 4 amp l f amp tb th services amp tb2 amp mi les uns amp m2 amp mitc false amp idform Pour la suite 1 CD adapte matrice PF selon activit s pour le 21 septembre CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AR AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w YS EX Mis
86. ts de production au b n fice du consommateur Il est toutefois source de dumping social et environnemental ainsi que de nombreux risques Face la conjoncture des crises qui y sont li es conomiques nerg tiques sociales alimentaires et environnementales les circuits courts permettent de donner du sens la consommation solidarit localit quit durabilit sant etc tout en relocalisant l conomie et en augmentant la r silience de notre soci t Que sont les circuits courts durables et de proximit Ces fili res commerciales se trouvent l intersection des logiques de coh sion conomique et de proximit relationnelle de d veloppement durable et d conomie locale Figure 6 Tableau 14 Les circuits courts sont caract ris s par un nombre r duit d interm diaires la viabilit conomique pour l ensemble de la fili re et des modes de production et de fonctionnement transparents Des liens de confiance existent entre les parties prenantes de la fili re leur savoir faire est reconnu les entreprises sont taille humaine et organis es d mocratiquement Les circuits courts durables proposent des produits de qualit aux origines transparentes et dont les modes de production et de fonctionnement sont respectueux de l homme et de l environnement Les acteurs des circuits courts de proximit sont ancr s sur le territoire les intrants sont locaux et la priorit va aux changes les plus locaux
87. 000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE Permettre officiellement aux ch meurs de s investir b n volement D velopper et p renniser accompagnement cr ation Mise disposition de locaux au niveau communal Clarifier information exigences sanitaires voir proposition Map Fugea Faciliter passage de t moin Conseil pour p rennisation transformation sous forme commerciale tudier les trajets effectu s par les producteurs consommateurs pour rationaliser coordonner ribution Soutenir et d velopper les syst mes d changes locaux dont les monnaies compl mentaires Diffuser le mod le coop ratif Inclure orientation vers conomie sociale de distribution lors de la r forme des APE la Code NACE n accepte pas les commerces de d tail Introduire crit re de localit dans la r forme des IDESS Elargir la mesure 312 du PWDR maisons multiservices A 157 l coulement de produits locaux Soutenir cr ation de lieux mixtes ateliers formation vente Cr er march itin rant li plateforme de vente en ligne Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 Ni DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y m Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Agir localement Agriculture et levage Freins Principaux e Acc s au capital Acc s la terre e Acc
88. 01890 Une seconde possibilit serait de soutenir la cr ation de lieux r unissant des ateliers des lieux de formation louer et un lieu de vente regroupant diff rentes productions 0190 Nous travaillons avec l Asbl a Foire aux Savoir faire afin d envisager d autres possibilit s innovantes Bois Les d chets bois issus des entreprises de parcs et jardins services communaux et particuliers sont bien souvent inutilis s Hors la demande en bois de chauffage est r currente au sein des GACs en R gion Wallonne Les d chets bois pourraient tre transform s en plaquettes de qualit uniforme dans des plateformes bois recouvrant les territoires de quatre cinq communes et revendus en circuits courts 0200 Cr dal et Floreco ont r alis une tude ce sujet 2009 La mesure 312 de l axe 3 du Plan Wallon de D veloppement Rural vise favoriser la cr ation et d veloppement des micro entreprises Elle pr voit des aides sp cifiques aux produits de seconde transformation du bois Cette mesure pourrait tre largie aux produits de premi re transformation du bois dans le cadre de la r vision du PWDR pour 2014 afin de faciliter la cr ation de ces plateformes bois 0210 D Distribution Les difficult s en termes de logistique et donc de distribution ont t mentionn es de mani re r currente dans de nombreux travaux En effet les m tiers de logistique demandent du temps des capacit s et des investissements sp cifiq
89. 16 en Wallonie Avec elles 62 fermiers arr tent leurs activit s Dans ce contexte le mouvement Terre en vue rassemble des citoyens des associations et des acteurs publics qui souhaitent faciliter l acc s la terre en Belgique Le mouvement permet l installation le maintien et le d veloppement de projets agro cologiques qui assurent la fertilit des terres long terme et renforcent la coh sion sociale locale Il contribue la r silience des projets qu il soutient en favorisant la diversification au niveau de la production de la transformation et de la distribution l change des savoirs et savoir faire ainsi que le d veloppement de fili res et potentiels locaux Le mouvement a t fond en utilisant la sociocratie afin de respecter la voix de chacun Il fonctionne selon la confiance mutuelle et met disposition des outils de gouvernance collective participative et efficace Le mouvement initi en 2011 acqu t ses premi res terres en 2012 Il est compos d une ASBL et d une coop rative finalit sociale La coop rative est l instrument foncier du Mouvement Elle constitue un outil d investissement citoyen et solidaire Elle acquiert des terres agricoles nourrici res et leur rend leur statut de bien commun Elle confie ces terres long terme des agriculteurs s inscrivant dans des syst mes de circuits courts et des r seaux locaux d agriculteurs L ASBL accompagne les projets d installation cr e
90. 4 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE wW y E Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 A CONSEIL 3 Axe 5 Exemple de rapport Ekikrok 14 02 Contexte de l tude Les porteuses et d autres personnes ont l intention de cr er une association ayant pour but d informer et de sensibiliser les citoyens l alimentation durable et locale Afin de r aliser cet objectif l asbl organisera notamment l organisation d v nements de sensibilisation et de formation la distribution et le pr t de mat riel la mise disposition de locaux la gestion de jardins cologiques partag s ainsi que la distribution et l change de produits d alimentation durable Les porteuses de projet demandent Cr dal Conseil de l aider dans le choix d un statut juridique appropri la structure dans l accompagnement global et structurant du projet et dans la r alisation d un plan financier pour veiller la faisabilit conomique du projet M thodologie de travail Dans l offre Cr dal avait pr vu de d cliner son travail en deux parties La premi re partie d marr e en avril 2012 jusque ao t 2012 se d coupait en trois modules MODULE 1 Accompagnement dans le processus de validation de la pertinence et de la viabilit du projet d entreprise a M thode Au cours du
91. 6 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W d m 181 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Plus proche de nous des outils gagneraient tre diffus s au niveau r gional 0520 La commune d Ottignies Louvain la Neuve a tabli une charte pour les achats alimentaires des coles primaires de la commune De m me Bioforum a d velopp un guide m thodologique et un guide technique afin de faciliter le tournant vers une restauration collective durable Bruxelles Les collectivit s traitent avec tr s peu d interlocuteurs Toutefois si la volont existe de commencer par certains produits les yaourts aux fruits sont cit s en priorit production locale existante surcout mod r go t qualit s de conservation Cela demande des adaptations tant au niveau de la production investissement dans des unit s de transformation plus larges que des collectivit s variation des tailles 0530 March s publics Par ailleurs les march s publics doivent s attribuer par appel d offre et respecter des normes de non discrimination de transparence de proportionnalit ainsi que le principe de libre concurrence Ces principes imposent d assurer l accessibilit au march des divers acteurs europ ens En cons quence les crit res de proximit ne sont pas ad
92. AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF EE Wallonie Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 CONSEIL Sn Agir localement Eolien citoyen et photovolta que Freins Principaux Propositions d actions politiques CREDAL ASBL Association sans but lucratif Epargne progressive versus investissement initial massif Manque de clart du contexte l gislatif court terme installation d oliennes prime l investissement etc Instabilit du march au niveau des revenus Mise en place d un fonds de portage de coop rative citoyennes de production nergie renouvelable Mise en place de m canismes de garantie publique pour les parts de coop rative citoyennes sur le mod le des comptes d pargne Incitants fiscaux exon ration des dividendes etc Soutien public l accompagnement au montage financier et juridique de ces coop ratives Ouvrir l acc s de l auto construction aux primes Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE
93. ATIONS POUR UN PLAN D ACTION CIRCUITS COURTS F VRIER 2013 156 3 SUGGESTIONS POUR UN PLAN D ACTION CIRCUITS COURTS JUIN 2013 167 A Production 170 L gislation 170 Information 171 Formation 171 Outils 172 Augmenter l offre 172 B Transformation 173 Produits alimentaires 173 Produits artisanaux 173 Bois 174 C Distribution 174 N CONSEIL F Wallonie Rapport final D cembre 2013 Economie sociale de distribution Petite et moyenne distribution Horeca Grande distribution Structures logistiques Consommation individuelle Interfaces Promotion Tourisme Consommation collective Groupements d achats Collectivit s March s publics Favoriser la cr ation de valeur ajout e au niveau local PARTIE IV ANNEXES 1 A C D AXE 1 CONTENU DE LA PLATEFORME INTERNET DE RENCONTRE ENTRE ENTREPRENEURS DURABLES ET CONSOM ACTEURS Page d acceuil Circuits courts Kesako Fili res Secteurs Avantages et inconv nients Concr tement Consommer autrement Produire et entreprendre autrement Epargner autrement Acteurs locaux Passer l action Agriculture Alimentation boissons tourisme Energie Finance Construction et habitat Ressources Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en 174 176 176 177 178 178 178 179 180 180 180 181 182 184 185 186 186 186 188 189 189 191 191 192 193 193 194 194 195 196 196 196
94. CONSEIL A Wallonie Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 Recherche Action Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final Depuis 1984 Cr dal propose aux citoyens de placer leur argent de mani re thique et solidaire en parts de coop rateurs Avec ces fonds la coop rative octroie des cr dits au secteur associatif des microcr dits aux entrepreneurs exclus bancaires et aux particuliers ayant des revenus modestes Par ailleurs avec le soutien de la R gion Wallonne et du Ministre Cr dal Identifie promeut et accompagne les associations entreprises solidaires groupes de producteurs et de consommateurs qui rapprochent dans le cadre de circuits courts les producteurs et les consommateurs en Wallonie Propose sur le principe du partenariat un accompagnement dans la structuration du projet la r alisation d un plan financier d une strat gie commerciale ainsi que des conseils pour la faisabilit juridique du projet Construit des outils de cr dit adapt s ces projets et propose concr tement des financements leur cr ation ou leur d veloppement microcr dit DD et Cr dit Impact Axes de travail Mise en place d une plateforme internet de rencontre entre entrepreneurs durables et consom acteurs Diffusion du mod le coop ratif entre producteurs et ou
95. Consommer autrement Alimentation Les groupements d achats alimentaires GAA sont des groupes de citoyens qui organisent p riodiquement l achat en gros de produits locaux de qualit et les r partissent entre leurs membres de dix trente parfois plus L activit est autog r e et repose sur le b n volat Alternativement les jardins potagers collectifs permettent de produire des l gumes sains et savoureux de rencontrer ses voisins d changer des savoirs et des pratiques et d conomiser de l argent En r action Enfin des groupes solidaires comme les GASAP Bruxelles et les AMAP choisissent de s engager dans la dur e avec des producteurs locaux de partager les risques climatiques avec les agriculteurs ou de pr financer certains co ts D autres d cident de faciliter l acc s la terre En effet en Wallonie le revenu des agriculteurs wallons varie entre 3 et 7 euros de l heure FJA 2008 Pr s de 50 fermes disparaissent toutes les semaines en Belgique 50 des agriculteurs wallons ont disparu en 20 ans Objets utiles Les donneries sont des syst mes de dons d objets utiles en bon tat Les ressourceries et les magasins de seconde main donnent une nouvelle vie vos biens usag s Les repaires caf vous apprennent le faire vous m me Les trocs de v tements remettent en jeu les v tements en tat stock s au fond de vos armoires Les pr teries organisent le pr t d objets sur le m me mod le VI
96. Cr dal propose ses coop rateurs des parts avec ou sans dividende L enjeu est de proposer une v ritable alternative qui ne soit pas marginale Figure 10 103 w lt CES s solidaires et durables en Wallonie S Wallonie En TRANSPOSER LES CIRCUITS COURTS SOLIDAIRES ET DURABLES DANS D AUTRES SECTEURS ECONOMIQUES 104 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 1 Vision g n rale Le concept de circuit court durable et de proximit Box 1 peut s appliquer directement d autres secteurs que l agriculture Premi rement les circuits courts existants peuvent proposer d autres produits Deuxi mement des secteurs conomiques compl mentaires peuvent proposer des produits de circuits courts agricoles Troisi mement certaines initiatives existantes respectent d j tous les principes des circuits courts durables et de proximit et ne se trouvent ni dans le secteur de l agriculture ni dans celui de lalimentation Cependant certains secteurs demandent un assouplissement des crit res de d finition Box 10 Secteurs d activit o le concept de circuits courts durables de proximit peut s appliquer de fa on pertinente gt Produits compl mentaires gt Secteurs existants ou pouvant se d velopper en circuits courts e Artisanat de bouche e Boissons e Artisanat et habillement e Hygi ne e Recyclage e Bois nergie o R emploi de mat riaux o Utilisation de d ch
97. D veloppement Durable Contexte Composition Utilisateurs Exemple confidentiel d utilisation de la grille DD B Cr dit Impact Contexte Description Utilisateurs C Financement participatif Monnaies compl mentaires Prix Impact 4 ANALYSE HISTORIQUE SOCIOLOGIQUE G OGRAPHIQUE DES CIRCUITS COURTS ALIMENTAIRES ET LEUR TRANSF RABILIT DANS D AUTRES SECTEURS CONOMIQUES Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en 10 13 13 13 14 16 16 16 17 18 19 27 27 27 28 31 31 32 33 EN Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL 5 ACCOMPAGNEMENT DES PREMIERS PROJETS PILOTES 34 A Exemple de plan d action et des t ches r aliser 38 B Exemple Business Model Canvas pour l conomie sociale 39 PARTIE II ANALYSE 40 PARTIE III RECOMMENDATIONS POLITIQUES 149 1 PROBL MATIQUE DES ABATTOIRS DE PROXIMIT OCTOBRE 2013 150 A R flexion sur l avenir des outils d abattage de proximit en Wallonie 150 B R sultats de la matin e d changes du 4 octobre 2013 sur la probl matique des abattoirs de proximit 151 Analyse SWOT pour le maintien d veloppement des abattoirs de proximit 151 C Recommandations issues des d bats ayant prolong la s ance de t moignages 153 DIMINUTION DES COUTS DE PRODUCTION 153 INVESTISSEMENT DANS LA CHAINE DE VALEURS 154 2 RECOMMEND
98. DEO CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y m 191 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Services et savoirs Les syst mes d change locaux SEL permettent d changer localement des services entre les membres d un groupe par l interm diaire d une monnaie virtuelle exprim e en temps Similairement les RES sont des r seaux d changes r ciproques de savoirs VIDEO En pratique voyez les acteurs locaux ainsi que la carte des GAA SEL donneries RES friperies etc Produire et entreprendre autrement Entreprenariat collectif Les coop ratives de producteurs permettent de pallier labsence d conomie d chelle mutualisation des co ts sp cialisations solidarit s diversification etc tout en gardant le contr le de l enti ret la fili re L avenir est dans la rencontre des producteurs et consommateurs au sein de structures communes consommateurs producteurs pouvoirs publics locaux associations La coop rativ
99. Eviter la concurrence frontale avec arguments identiques et la perte de rep res qui en r sultent pour les consommateurs Acc s un poids plus cons quent dans les n gociations Echange de savoir faire Convivialit et change Collectiviser e Un outil tel un site internet voire un syst me de payements en ligne Pouvoir faire appel des professionnels au niveau informatique et au niveau graphique Am liorer le marketing Proposer la gestion personnalis e de chaque abonnement Limiter les asym tries d information Apport important d un m diateur lors de la cr ation de coop ratives Valorisant Gain de temps pour le producteur Inconv nients Risques e Financiers mais responsabilit limit e e Les probl mes climatiques ou de nuisibles deviennent plus pressants si pas de revente Eviter de reconstruire des hi rarchies voire des interm diaires conomiques qui capteraient une partie de la plus value au d triment des producteurs peut tre limit par statuts Les dividendes sont tax s apr s l exon ration du pr compte de 180 euros pour les coop ratives agr es CNC Perte du contact direct avec le client mais possibilit s de roulement visites etc Concurrence possible Au niveau des prix e Cannibalisation des productions personnelles e l peut y avoir concurrence entre sa propre production et les ventuels achats compl mentaires Crainte d int gration 100 e Aspect exclusivit
100. L UNION EUROP ENNE w VF EE 166 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 A CONSEIL 3 Suggestions pour un plan d action circuits courts juin 2013 A Cadre logique pour un plan d action Favoriser une conomie endog ne et quitable en vue d une transition vers le d veloppement durable 167 Minist re du D veloppement Durable 5 juin 2012 CONSEIL CREDAL CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 i AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF KE ps Wallonie Rapport final D cembre 2013 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Les difficult s concr tes rencontr es sur le terrain par les acteurs que nous accompagnons et nos associations partenaires d une part Le plan d action fran ais pour d velopper les circuits courts d autre part alimentent notre r flexion et nous permettent d ores et d j d esquisser quelques pistes de leviers possibles pour l action politique l intention de la distribution des produ
101. ON 5 Soutenir le d veloppement d ateliers de d coupe collectifs Pour soutenir le circuit court en Wallonie colis de viande boucherie la ferme et de proximit CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y m 154 N AOC Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 faciliter la t che des bouchers et des leveurs en annexant un atelier de d coupes agr aux abattoirs RECOMMANDATION 6 Mettre en place un groupe de travail avec les petits abattoirs pour voir dans quelle mesure il est possible de mutualiser la main d uvre les v t rinaires au sein d un groupement d employeurs Par ce biais il serait galement int ressant que les informations circulent entre abattoirs pex au niveau de la gestion des d chets et des solutions envisageables pour diminuer les co ts en abattoirs et dans les boucheries RECOMMANDATION 7 Mettre en place des groupes de travail par abattoir de proximit avec leveurs et bouchers d une r gion
102. R seau Wallon de D veloppement Rural R seau des Consommateurs Responsables R seau des acteurs Wallons pour une alimentation durables Inter Environnement Wallonie App tits Champ Solidairement Terre en vue etc ainsi que des contributions de Concertes Ecores la F d ration des services sociaux Saveur Paysanne l OPA Ciney Ressources et bien d autres 41 S E lt d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 2 Wallonie Table des mati res ETAT DES LIEUX ne ne tee D ee rade a a es ea aia 45 1 INTRODUCTION semis nn in a ee ee en sant t se AT it tee 46 CONTEXTE PP PR aa aaae ae a aaee ae aaa eieae iaidd dia 46 D FINITION ea e Rd Re donnee aee a E aE ON 48 e Box 1 D finition e Figure 1 Caract ristiques 3 OBJECTES Sn nt De es ten RS a et 50 2 CIRCUITS COURTS EXISTANTS nn nn serre ee nenu ce cemeneeeennnneecenneseeenneceennneeccennceeeenneeeeenneeeeennnee 52 T HISTORIQUE 25e22 RSS nm armee Dee E tete tn none nette Rent Genet 00e Cas gta n 0e De Us aa tete c es dent Gus ec Ce sec 52 Box 2 Conditions d mergence e Box 3 Raisons d essoufflement 2 FILI RES EI E 22222220 EE E E EE E T EE E E 55 e Figure 2 Fili res de vente en circuits courts 3 AGIR LOCALEMENT RS ee Dennis ne di Se ose scie ts D ae 57 3 INCITANTS AVANTAGES ET GONVENTENTES nt le 59 1 FORCES ET FAIBLESSES DES CIRCUITS COURTS EN WALLONIE rss nnes rss seen cenneenneeneeneeneenneeneeneeeneennee 60 e Tableau 1 Avanta
103. Rarement 1 Parfois 2 Souvent 3 Syst matiquement Non Faiblement Fortement 100 Non Faiblement Fortement 100 N KR O O w N R D tail si clique Une des principales caract ristiques des circuits courts r side dans la r duction du nombre d interm diaires entre producteur et consommateur Y a t il une r partition quitable de la marge Y a t il une r flexion sur les co ts La viabilit conomique est elle prise en compte pour toutes les parties prenantes Le relation commerciale est elle durable dans le temps Communication rencontres r guli res Type de contrat charte emploi au noir volume de travail conjoint aidant formation empowerment conciliation vie priv e profess Prise en compte de l galit des chances pour les travailleurs salaires hommes femmes r partition des t ches etc Impact sur la sant et la s curit des travailleurs conditions de travail horaires quipement poste de travail outils adapt s etc Informe t on les consommateurs sur l origine des produits qui sont vendus ou qui rentrent dans la composition du produit pays r gion type de producteur Impact sur les ressources naturelles R cup ration Recyclage R flexion sur l nergie grise Gestion respectueuse des ressources limitation de la consommation choix des consommables gestion des d chets Mobilit des travailleurs et du patron
104. SCIC La sortie Les communes et provinces sont des personnes morales de droit public La m me r flexion pourrait tre faite en ce qui concerne les groupements d int r t conomique GIE Les GIE ne peuvent rechercher des b n fices pour leur compte propre Ils pr sentent les avantages de requ rir des frais et des formalit s de constitution limit s et la loi est d une grande souplesse quant leur fonctionnement Cependant le fonctionnement pouvoir admissions sorties doit tre enti rement anticip dans le contrat de d part certaines d cisions doivent obligatoirement se prendre l unanimit et la responsabilit des membres est illimit e apr s condamnation du GIE ce qui complique l implication de personnes morales de droit public Enfin et surtout aujourd hui les GIE ne peuvent engager que des DEDP en CDI temps plein 100 w lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie d un coop rateur peut alors tre conditionn e l entr e d un nouveau coop rateur du m me groupe dans le cas o cette sortie implique qu une personne plus de 10 des voix mettant par l en p ril le respect de l agr ment CNC ou de la finalit sociale Exemple 10 Les soci t s d int r t collectif En France les soci t s coop ratives d int r t collectif SCIC associent autour d un projet des acteurs salari s des acteurs b n ficiaires clients usagers
105. Si vous h sitez venez la premi re rencontre des groupes qui vous int ressent et choisissez en connaissance de cause Jardins partag s collectifs Epicerie iadbl a acc s un terrain st soubaite l utiliser pour sed Nathalie pihia Er riqu LE Passage Qes activit s Bkiko vers Ekikrok Inter gacs March vrac Soutien aux Gacs Gas 207 Anne Sophie Maintenance Qu site Ekikrok be Construction st maintenance Qed Listes de contacts Support en communication Qes autres quipes Enqu tes suite aux activit s as L ALIMENTATION SAINE ET DURABLE DE LA TH ORIE LA PRATIQUE CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w ya EE Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 R alisation d un plan financier Nous avons propos une matrice le 21 septembre nous avons eu des changes par mail et par t l phone nous nous sommes rencontr s les 5 octobre 4 d cembre et 19 janvier 5 10 12 Explication du fonctionn
106. Yannick Hostie mara chage biologique 7830 Silly Julien Daubresse levage de brebis et production de fromage 5650 Walcourt Lhamo Svaluto Ferro restauration durable thib taine 1060 Bruxelles Julie Antoine boulangerie et traiteur itin rant deux cr dits 1370 Jodoigne Suite l accompagnement de Cr dal les deux entrepreneurs bruxellois pr cit s se fournissent aupr s de coop ratives de producteurs wallonnes telles que Agricovert et Corposain 18 Mise en place de circuits cou Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL rts rapprochant producteurs et consommateurs en Exemple confidentiel d utilisation de la grille DD GRILLE D ANALYSE Cotations Aspects commerciaux Opportunit du secteur Cotation Commentaires ventuels Lettres d intention pour des bateaux de ce gabarit Idem Hu d implanation localsationt 1 ooo a RES 1 Attitude face la concurrence connaissance diff renciation Monsieur m explique que c est difficile de se diff rencier tous les bateliers transportent leur marchandise de la m me mani re Capacit NU E face une Peut transporter diff rents nouvelle concurrence types de marchandises Capacit RE de UT a o a M Strat gie et vision conomique long terme ooo aooo Oo o oo o Redynamiser le secteur des petits gabarit p renniser un m tier favoriser un mode de transport vert Aspects financiers Cotation Commentair
107. a m canisation de la sp cialisation de usure des sols Les charges sont compos es en grande partie du co t de la main d uvre qui varie fortement selon les pays titre d exemple 60 70 du prix des pommes Le r seau des GASAP Agricovert et Cr dal r alisent de premiers travaux pouvant alimenter l laboration d outils d estimation du prix juste De plus les crit res d am lioration continue de durabilit Interreg DurAgrlSO14001 IDA devraient tre adapt s au maraichage 0120 Enfin les monnaies compl mentaires entre professionnels m ritent d tre investigu es dans une optique de relocalisation de l conomie 0130 Augmenter l offre Une conclusion r currente des travaux existants est la grande difficult d augmentation de l offre Groupe One 2011 sugg re de r aliser une tude de march pour mesurer la demande des collectivit s publiques par province ou sous r gion agricole App tits champs m ne un projet pilote sur le territoire de Namur Nous participons au groupes de travail production et fili re Le BEP a lanc un appel d offre pour une tude technico commerciale qui quantifie les besoins des collectivit s sur ce territoire Il est n cessaire de donner un signal fort eux producteurs Elaborer un cahier des charges et proposer une garantie d coulement s il est respect 0140 permettrait d inciter le d marrage de productions adapt es ou des reconversions depuis la production
108. able et respectueuse de l environnement Proposer aux consom acteurs des l gumes et fruits locaux et de saison sains et qualit Accompagner les jeunes producteurs selon une approche cologique taille humaine formation compl mentarit producteurs install s et d butants garantie d coulement qui permet de se concentrer sur la production etc Renouer la proximit entre le consom acteur et le producteur Favoriser l change de savoirs formation continue changes de pratiques et de services logistique t ches administratives communication Capitaliser les connaissances au niveau des proc dures juridiques pour l acc s la terre Les leveurs et mara chers de rencontrent mensuellement afin de fixer les prix planifier les plans de cultures d avoir des changes techniques etc Des consom acteurs GAC particuliers etc se rencontrent trimestriellement autour des aides diverses de la sensibilisation de la communication etc Enfin une quip permanente se rencontre mensuellement au sujet de la communication et de la commercialisation Les d cisions sont prises en sociocratie 92 iE Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S9 Wallonie Dans un premier temps Agricovert propose des paniers de produits locaux Dans un deuxi me temps la coop rative projette d co construire un hall relais agricole avec un atelier de premi re transformation ou de d
109. aire maximum et les consommateurs Viabilit conomique tout au long de la fili re Processus de production de transformation et de commercialisation transparents gt Des produits r pondant aux attentes des citoyens et de la soci t en termes d environnement et de sant publique o Qualit des produits go t fra cheur saisonnalit durabilit hygi ne o Modes de production respectueux de l environnement o Transparence de l origine gt Des circuits de proximit g ographique o Ancrage local de l ensemble des acteurs de la fili re o Origine territoriale des mati res produites en Wallonie o Priorit aux changes les plus locaux possibles gt et relationnelle o Entreprises taille humaine o Reconnaissance du savoir faire des producteurs o Liens de confiance de toutes les parties prenantes 3 Acteurs Pour une Economie Solidaire Nord Pas de Calais tLe p le Inpact regroupe diverses associations fran aises qui visent orienter l agriculture vers des syst mes de production qui soient la fois respectueux de l environnement des attentes soci tales et viables pour les producteurs 48 f Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Sf S SH Wallonie A Les circuits courts durables et de proximit cumulent les caract ristiques de durabilit environnementale du d veloppement durable la proximit g ographique de l conomie locale Wallonie avec des caract
110. alimentaire Elle cherche d velopper des formations destination des usagers et favoriser leur mise l emploi A Bruxelles ASBL Worms et le D but des Haricots proposent de valoriser les d chets organiques en les compostant Groupe One imagine galement de r cup rer les d chets de l Horeca vers les fermes Bisa Eupen travaille plus grande ampleur iii Energie Dans certains zoning verts la chaleur d gag e par une entreprise est r cup r e par une entreprise voisine pour produire de l nergie D autres possibilit s sont ouvertes par la biom thanisation Voir aussi bois nergie iv Mat riaux de construction Des mat riaux de construction peuvent tre r utilis s par des entreprises d conomie sociale r utilisation de barres d aciers briques lavabos transformation en gravier etc voire revaloris s par la d construction lavabo bois brique pour le r emploi etc Groupe One et Ressources travaillent sur ces possibilit s v Objets et chutes industrielles Les donneries permettent des changes directs de biens usag s entre particuliers Figure 4 Le Repair caf offre un cadre ou apprendre r parer ses v tements appareils lectriques informatiques jouets et autres objets abim s Particuliers et sp cialistes b n voles s y retrouvent tous les mois http www epiceries solidaires or Shttp www wormsASBL org https sites google com site repaircafebrussels nome
111. ans but commercial ciblant comme public les autres membres et avec contrepartie de points sans valeur mon taire en dehors du groupe le cumul d une allocation de ch mage avec une activit au sein d un service d changes sociaux est consid r e comme l exercice d une activit b n vole et est autoris e Le ch meur doit toutefois d clarer son activit au bureau de ch mage Elle souligne l importance du bon sens et dit tre favorable au syst me coop ratif mais il ne faut pas que le caract re commercial s installe Les changes au sein des GAA rel vent selon l acceptation g n rale de la sph re priv e mais ils ne rentrent pas dans cette d finition car ils n appartiennent pas des r seaux reconnus et ont un 7 Destin s aux personnes pr caris es qui vendent des produits d alimentation ou de premi re n cessit des prix inf rieurs de 30 pourcent minimum ceux pratiqu s par la grande distribution 17 magasins sont agr s Arr t du Gouvernement wallon du 21 juin 2007 modifi par l arr t du Gouvernement wallon du 27 mai 2009 8 Chambre des repr sentants commission des affaires sociales r ponse une question de M Dufrane 8926 07 f vrier 2012 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alo
112. ant etc outils collectivit s prix juste etc liens avec listes de points d achats et acteurs APAQ W Dgarne N amp P RCR bistrots terroir GAL etc agenda Devenir un axe prioritaire des aides et subsides voir Groupe One 2011 D velopper outil pratique fiches sur les possibilit s de dynamisation territoriale que sont les circuits courts qu est ce qui existe quelles politiques aides partenaires institutionnels leviers etc Mieux canaliser structurer les changes d in formations Encourager les r les d information et de stimulation des pouvoirs publics locaux e GAA CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y5 m N Wallonie Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 e Dist CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1
113. antes des m canismes de sp culation Cr dal est une coop rative qui favorise exclusivement les projets solidaires en Wallonie et Bruxelles Hefboom fait de m me en Flandre Des groupes d pargne locaux comme les Ecus baladeurs L Aube Le Pivot La Bou e ou encore La Fourmi Solidaire choisissent de soutenir des projets qui leurs tiennent particuli rement c ur D Acteurs locaux Agir localement ce n est pas compliqu et a peut commencer par de petits gestes Vous trouverez ici secteur par secteur e Des associations et des mouvements citoyens rejoindre ou essaimer e Des exemples pouvant tre source d inspiration e Des structures pouvant accompagner le d veloppement votre projet e Des formations sp cifiques CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o Ka Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL Passer l action Lancement d activit s et formation e Agences conseil en conomie sociale Cr dal Conse
114. ape be docs doc 664 133 S CONSEIL Incitants et externalit s Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie ARE COS LE ts correspondants Economiques financiers Relations connaissance Oui convivialit Dynamisme conomique Oui D autres projets oliens sont l tude ou en demande Dynamisme territorial Oui de permis D penses publiques Non Effets multiplicateurs Non Partage du risque Non Co ts de transaction Non Gestion Non Autonomie Oui d cisionnelle technique conomique Transparence Oui La coop rative est fond e sur l honn tet la transparence la responsabilit sociale et l altruisme Motivations Oui La soci t a pour objet la promotion des nergies environnementales renouvelables et des techniques environnementales A3 statuts Impact du projet sur les ressources naturelles et le cycle de vie du produit Sant Non Soutien aux producteurs Non locaux Coh sion sociale Appropriation Oui Les buts sont de se r approprier l nergie et de mettre en place un circuit court du producteur au consommateur Organisation interne Oui Coop rative un homme une voix d mocratique capacit de d cision Relations connaissance Oui convivialit Sens valeurs morales Oui La coop rative a pour valeurs fondamentales la authenticit d mocratie l galit l quit et la solidarit
115. aque type de groupe les incitants qui touchent l identit et neutralit quant la comparaison des prix avec les grandes surfaces Q 50 sont positivement corr l es la dur e de participation des membres L importance de la place accord e aux valeurs et 82 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie SD Wallonie S l change d information recettes bons plans lors des r unions hors livraisons augmente progressivement Au contraire l importance de manger mieux est n gativement corr l e la dur e de participation des membres Les motivations environnementales elles ne varient pas en fonction de la dur e de participation Trois explications diff rentes coexistent 1 L largissement du public 2 L apprentissage des participants 3 L abandon des non convaincus La corr lation n gative entre l importance de manger mieux et la dur e de participation par exemple peut tre due l largissement r cent des GAA un public plus large moins militant Deuxi mement cette motivation pourrait disparaitre progressivement une fois satisfaite au profit d incitants plus altruistes La sant serait alors un crit re d approche pertinent afin de stimuler la multiplication des initiatives de circuits courts Enfin il apparait que les incitants sanitaires ne durent pas Cette corr lation n gative serait alors expliqu e par l abandon progressif des n
116. arifier le mod le conomique Identification des parties prenantes Recherche du lieu Valider agencement offre prix canaux segments de client le fournisseurs partenaires cl s ressources internes activit s co ts Choix du lieu Evaluer et am liorer agencement offre prix canaux segments de client le fournisseurs partenaires cl s ressources internes activit s co ts Evaluer l identification des parties prenantes gouvernance Identifier les flux de d cisions D terminer les fonctions R aliser un organigramme du personnel encadrement ex cution clair mais chauffeur en plsu voir selon PF gouvernance Enclencher le recrutement de personnel Identit Identifier segments de client le Max fin septembre Ex cuter le plan de Marketing Identifier types de relations client Finaliser le plan de communication Identifier canaux de distribution communication D terminer positionnement Cr er identit visuelle nom R aliser un plan de communication logo objectif fin septembre Cr er des outils de comm a brochure site web Finances D terminer besoin d investissement R unir capital de d part le R aliser les investissements et de tr sorerie capital variable Revoir le seuil de rentabilit le Identifier capacit s de financement Entrer dossiers de financement contr ler Identifier les flux financiers Affiner seuil de rentabilit Elaborer un plan f
117. artenariat avec la commune un accompagnement technique a t propos Dans le prolongement des activit s du Collectif Energie Gembloux Nosse Moulin a t cr e avec une partie de ces citoyens et r unit aujourd hui 70 coop rateurs en vue de l achat d une olienne citoyenne En ville plusieurs familles r unies en coop rative pourraient investir collectivement dans des panneaux photovolta ques partag s sur quelques toits Des modules thermiques suppl mentaires pourraient tre ajout s localement aux panneaux photovolta ques Enfin des dynamiques collectives d auto construction peuvent int grer l utilisation d nergie renouvelable Exemple 17 47 ros 2 A 5 5 j Sauf dans le cas non r gi par le march d un particulier qui construit une olienne dans son jardin 132 Wallonie Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S CONSEIL Tableau 13 Emissions Z ro Consommons l lectricit que nous produisons selon un circuit court Crit res Pertine Remarques nce Coh sion conomique Un interm diaire Non Les produits requ rant une forte teneur technologique maximum sont exclus car ils requi rent trop d interm diaires sp cialis s Toutefois la commercialisation se fait de lani re particuli re Emissions Z ro vend l nergie produite Dour Qui vrain via Ecopower pour b n ficier de tarifs grandes quantit s plus int ressants Viabili
118. artes guides et outils existants e Sensibilisation sant voir Italie Mise en place de partenariat triparties autorit s publiques coles catering pour la mise en place progressive de produits locaux durables dans les menus campagnes de type un aliment CC par semaine ou un repas 100 CC par mois voir France Renforcer la plus value des produits circuits courts r flexion autour d un syst me de reconnaissance made in circuit court Articulation entre politique circuit court de la restauration collective et future mise en place du label entreprise Eco syst mique crit res du label adapt s pour le secteur de la restauration avec reconnaissance des aspects approvisionnement local 162 renforcer l offre Renforcer la dynamique r seau mise en commun des petits producteurs afin que les volumes demand s par la restauration collective soient rencontr s logique coop rative Appuyer financi rement et commercialement le d veloppement de plateforme de distribution circuit court voir Strasbourg Munich Encadrer la mise en place d une offre produit circuit court r pondant aux attentes du secteur nouveaux produits adapt s conditionnements ad quats Faciliter le dialogue entre les acteurs producteurs vs catering pour d diaboliser l image de la restauration collective aupr s des petits producteurs e Si la volont existe de commencer par certains produits les yaourts aux fruits sont cit s en pr
119. ateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 2 Axe 3 Manuel d utilisation de la grille D veloppement Durable Le cr dit Impact de Cr dal a t mis en place pour r pondre aux besoins financiers d entreprises pr sentant un impact soci tal positif important notamment en termes de prise en compte du d veloppement durable Les caract ristiques du cr dit sont adapt es aux sp cificit s du projet Nous avons cependant souhait lier le taux d int r t aux performances soci tales de l entreprise Afin de limiter la subjectivit inh rente ce type d analyse lors de l instruction des dossiers il s est av r utile de d velopper une grille de lecture commune tous les projets d entreprises tudi s La grille d valuation d veloppement durable propose une photographie d un projet d entreprise sur base d un syst me de cotation selon quatre axes les crit res conomiques les crit res sociaux les crit res environnementaux et les crit res de gouvernance La premi re partie l valuation permet de situer l entreprise pour chaque indicateur utilis dans une fourchette de tr s n gatif tr s positif La seconde partie la grille traduit ces informations en un positionnement de l entreprise par rapport aux diff rents axes du d veloppement durable Elle permet donc l entreprise de d terminer quels sont ses points forts et ses points faibles en vue d une
120. ateurs producteurs du Brabant Wallon et de Namur mara chers leveurs artisans et une centaine de coop rateurs dont 4 sont membres du conseil d administration Deux tiers des producteurs sont des n o agriculteurs install s hors cadre familial 5 sont en couveuse d entreprise Les commandes hebdomadaires sont livr es dans une vingtaine de points de d p t entre Namur et Bruxelles En se r unissant les producteurs mutualisent des co ts et des services de stockage de transformation de commercialisation et de logistique et limitent le risque financier et commercial En outre des formations et conseils techniques sont diffus s avec laide de l Asbl Crabe Des conseils de gestion et acc s au financement sont propos s avec l aide de Cr dal A terme un groupement d employeur est envisag afin de de rationaliser le temps de travail et de d velopper des emplois au sein des fermes Enfin Agricovert est un lieu d change convivial de rencontre de soutien psychologique et de solidarit pour les producteurs qui travaillent souvent de mani re isol e La rencontre des producteurs et des consom acteurs permet de Cr er avec les producteurs des fili res de commercialisation en circuits courts leurs garantissant un revenu d cent Offrir des emplois durables notamment pour des personnes peu qualifi es D velopper un r el commerce quitable et local Sensibiliser le consommateur une agriculture paysanne dur
121. atif e Dans les march s publics voir Turin Strasbourg etc e Jouer sur les incitants un titre vert les caract ristiques pr cises du produit demand taux en sucre les souhaits exprim s saisonnalit tra abilit et le choix de races et de vari t s produites localement vont par exemple inciter certains offreurs r agir plut t que d autres La description des caract ristiques du produit fini mais pas de ses intrants peut d crire les qualit s quantit s et fiabilit s d sir es et demander une description des processus utilis pour atteindre ces crit res Elle peut inclure des sp cifications techniques mesurables du produit ou service mais pas de l op rateur et peut se r f rer des normes europ ennes ou nationales par exemple environnementales en incluant les mots ou quivalent Les villes de Nantes et Rennes requi rent par exemple des produits sans OGM Des crit res relatifs au processus de production sont admis sauf si celui ci est d pos ou accessible uniquement dans un pays ou une r gion Ainsi un pourcentage de mat riaux r utilis s ou recycl s utilis s dans la production du bien peut tre indiqu et l utilisation de m thodes biologiques ou d lectricit renouvelable peut tre requise Il est possible de passer par des crit res de fraicheur et d imposer des d lais courts du champ l assiette comme cela se fait beaucoup dans les collectivit s du Nord
122. atique ainsi que l inscription de l activit dans son territoire Des consommateurs des producteurs ainsi que des pouvoirs publics locaux peuvent y participer capitaliser et entrer dans la gouvernance Ces nouveaux changes solidaires sont la fois d centralis s et bottum up et participatifs Partir des situations sp cifiques locales favorise la r silience L organisation souple la gouvernance participative et la mise en r seau permet d changer m thodes connaissances et outils La mixit d acteurs facilite le d verrouillage des r gimes sociotechniques Ce fonctionnement permet d allier efficacement leur capital conomique social et culturel des producteurs et consommateurs Ces circuits courts durables de proximit participent un changement de paradigme Ils d cloisonnent les consommateurs int ress s par les prix et les citoyens soucieux du futur Ils nous montrent qu il est possible de consommer de produire et d pargner en consid rant de fa on compl mentaire les impacts soci taux conomiques sociaux locaux et environnementaux Ils repr sentent une mise pratique quitable et endog ne du d veloppement durable Face aux crises ils montrent que les changements de comportement individuels peuvent prendre de l ampleur Ils sont un moyen de passer d un probl me individuel je n ai plus confiance en une r ponse collective Ils sont source d implication citoyenne et d appropriation de po
123. au del du bien ou du service propos de s assurer de la coh rence globale de l entreprise au regard du d veloppement durable II permet avant tout d viter le greenwashing B La grille Les cotations reprises sur l valuation s inscrivent automatiquement sur la grille selon une traduction chiffr e 1 crit re tr s peu rempli impact tr s n gatif 2 crit re peu rempli impact n gatif 3 crit re neutre sans impact 4 crit re rempli impact positif 5 crit re bien rempli impact tr s positif Lorsque le crit re est sans objet pour l activit la case est laiss e vide et ne sera pas comptabilis e Le nombre de crit res valuables est port 17 pour les crit res conomiques 9 pour les crit res sociaux 12 pour les crit res environnementaux et 18 pour les crit res de gouvernance Nous avons choisi d tendre la notion de durabilit forte aux diff rents types de capital environnemental mais galement conomique et social Des seuils d exclusion sont d finis pour les crit res jug s non n gociables dans l attribution d un caract re de d veloppement durable Pour les crit res conomiques pour la raison expos e ci dessus tous les crit res conomiques font l objet d un seuil d exclusion Pour les crit res sociaux l impact du projet produit sur la qualit des emplois externes l impact du projet produit sur la sant des b n ficiaires clients et des travailleurs Pour les crit
124. avenir des outils d abattage de proximit en Wallonie Le nombre d abattages en Wallonie a recul entre 2010 et 2012 pour presque toutes les sp culations viandeuses minoritaires en Wallonie 3 5 pour les porcs et 14 pour les volailles et a augment pour les bovins 9 Les abattoirs se sp cialisent et abandonnent leur activit multi esp ces Les abattoirs plus sp cialis s sont un atout important pour une r gion si le volume d abattage est cons quent Mais c t de cela des plus petites structures sont galement n cessaires pour garder un tissu conomique dans les zones rurales et une diversit et une quantit d levage qui permettent l approvisionnement local de tous types de viande Les abattoirs de proximit sont donc une part importante dont les leveurs ont besoin dans des nombreux cas pour pouvoir continuer d velopper leur activit et parfois obligatoire pour la valoriser localement Mais le reste de la fili re ateliers de d coupe artisans bouchers et charcutiers en ont galement besoin afin de pouvoir donner une valeur ajout e aux productions viandeuses wallonnes Le F d ration wallonne de l Agriculture FWA la fili re avicole et cunicole FACW BioForum Wallonie le Bureau conomique de la province de Namur BEP et la coop rative CREDAL ont voulu d marrer un groupe de travail afin de r fl chir un programme sp cifique de soutien des abattoirs de proximit et aux acteurs de la f
125. blics Puissance o tookw h 100 500 kW 500 kW et plus Encore ind termin Combustibles bois utilis s Connexes de l industrie du bois Plaquettes foresti res Granul s de bois R seau de chaleur G Projets fonctionnels A Hana Travaux en cours Plates formes bois nergie fonctionnelles ou en projet gt Pan Pis Phersie DS lappementilers PBE le RE i o Document d information fourni par la FRW F RW conomisons amp D R pa EA z l nergie Facilitateur bois nergie Secteur public R GION WALLONNE be frw be http www frw be fileadmin user upload wallonie pbe Fiche descriptive RESEAU DE CHALEUR Version Mai_2012 pdf http www frw be index php id 78 112 FA El Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie Exemple 11 un r seau de chaleur en circuit court Malempr Dans le contexte difficile de l agriculture la recherche de la ma trise compl te d une nouvelle source de revenus par des agriculteurs a men la conception d un r seau de chaleur Malempr Des habitants en SCRL FS ach teront l lectricit produite par une chaudi re centrale aliment e par des plaquettes labor es partir de haies plant es par des agriculteurs locaux en SCRL Les haies seront coup es tous les 10 ans afin de permettre un renouvellement de la biodiversit Un accord avec la commune est galement envisag pour l entretien de
126. bois de chauffe e Association Valbiom Finance e Epargne Cr dal Epargne de Proximit e Information Financit P ch s bancaires Fairfin e Aides Sowalfin ISA Construction et habitat e R seaux d artisans et entreprises sp cialistes Clubs C durable Cluster co construction Wallonie et grappes co construction Beauraing Picardie Enghien etc Cluster Ecobuild Bruxelles Union des Artisans du Patrimoine e Associations Greenwal plateforme formation innovation conseil Les pieds sur terre Habitat et Participation Ressources e Exemples wallons Entreprise de formation par le travail Chanvre ballots paille r emploi vente de mat riaux durables et formations etc CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF El Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 N e Que faire d autre R employer des mat rieux participer des chantiers d auto construction participatifs e Mouvements citoyens Habitats partag s
127. bre minimum de crit res doit tre analys pour chaque axe o Les 17 crit res de l axe conomique o Sparmiles9 crit res de l axe social o 8 parmi les 12 crit res de l axe environnemental o 12 parmi les 18 crit res de l axe gouvernance Parmi ceux ci tous les crit res d terminant un seuil d exclusion doivent tre valu s e Une cotation minimale doit tre atteinte par axe Elle se d termine de la mani re suivante o Total de points obtenus nombre de crit res cot s gt 3 e Les seuils d exclusion doivent tre d pass s Pour ceux ci la cotation obtenue doit tre gt 2 e Pour chaque projet valu la cotation pour les crit res conomiques gt 3 doit tre compl t e par une cotation gt 3 5 pour un des trois autres axes social ou environnemental ou de gouvernance Le non respect d un de ces 4 niveaux entraine l exclusion du caract re d veloppement durable du projet d entreprise Une grille finale reprend l ensemble des valuations et propose un aper u de la performance globale 201 Cette performance calcul e selon les quatre axes se traduit visuellement dans un graphique CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 043
128. ccompagnement la structuration du groupe d s son origine est source de p rennit c Evolution D une part les participants les plus r cents acceptent mieux que certains s investissent moins que d autres en fonction des d sirs de chacun Q19 que certains passent 86 4 FA rP Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie pisodiquement Q16 la r mun ration de certains membres Q18 la cr ation d un cadre juridique Q45 et le compl ment avec des produits Venant des grossistes en hiver Q26 Ces personnes sont galement fortement oppos s l tablissement de contrat qui implique que les personnes qui se d sistent trouvent un rempla ant Q16 mais favorables aux coop ratives de producteurs Q36 D autre part les circuits courts moins co teux en temps se multiplient et attirent un plus large public Les paniers et les points de d p ts permettent la diversit de la gamme et la flexibilit des horaires et sont sujet moins de contraintes collectives au d pend de la convivialit et du lien direct avec le producteur Il existe donc un public est ouvert une certaine professionnalisation de l offre Essaimage Les participants des GAAs ne veulent pas que leur groupe se d veloppe grandisse Q46 Ils sont pour l essaimage de petites initiatives et trouvent qu il faudrait qu il y ait plus de groupe d achats comme le leur particuli rement dans les communes rurales
129. ces ou de produits Producteurs e EVA e RDC e Maison verte et bleue e Dioxyde de Gambette Activit s cl s Quelles sont nos activit s cl s Quelles activit s requi rent nos relations avec nos clients nos canaux de distribution nos flux de revenus Transolvente de nowrritwre Logistique e Fonctionnement interne e Animation Sensit Ressources cl s devons nous g ee Mat rielley e Humaines e Financi rey Quelles mobiliser ressources Proposition de valeur Quelle services produits A quel segment de client le est notre offre de s adresse cette offre A quel s besoins r pond t elle e Magasin e Restourant Coury de misine terme Traiteur Relations Clients Quel type de relation tablissons nous avec nos diff rents segments de client le Est il question de participation d mocratique Comment Participatif membres b n voles faire soi m r MER s e Clienty classiques invit s Structure de co ts Quelles sont les co ts fixes Investissements sa entreprise sociale Quelles ressources et activit s cl s sont les plus ch res e Co ts variables produits e Co ts fines investissements cuisine mat riel frigos camionnettes salaires loyer aires loyers et variables de mon Valeurs cl s Quelles sont les valeurs centrales de notre entreprise sociale Quel est sa finalit
130. cette question En France la Chambre d Agriculture d Ile de France et la Chambre d Agriculture de Seine et Marne ont tabli un partenariat avec la SNCF afin de distribuer chaque semaine 20 tonnes de l gumes 2500 familles dans plus de 40 gares Les points de vente locaux le long des axes routiers principaux 0370 E Consommation individuelle Interfaces Un nombre consid rable d initiatives proposent des interfaces destin s faciliter la rencontre locale entre certains producteurs et les consommateurs En ce qui concerne les produits alimentaires un nombre croissant de sites internet rel ve d initiatives priv es Topino Efarmz Paniers Verts D autres initiatives rel vent partiellement du public http www transilien com web TransilienPrint do urlModule site accueil service transilien panier fraicheur SNCF cache bypass amp media print CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o E 178 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final
131. chant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 ee _u Fili res Circuits courts Vente directe Vente indirecte onsommateur A la ferme Foires ntemet ente cueillette Points de d p t marc sans spondan listributeur g tes narcnes paysans orresponaance Marches Paniers Jia un autre 188 foires et salons i ollectifs producteur ommerce de GASAP Points de vente proximite ave fat AMAP ollectifs transformate imande restaurateur Tourn es domicile Panier Cuisines de i collectivit s Intermediaire associatif ou atif CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 5 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w ya Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Secteurs Les circuits courts durables et de proximit sont n es autour des produits agricoles de la r appropriation du terroir d une identit locale Ils r pondent aux exc s de la mondialisation et de l agriculture industrielle ainsi qu aux difficult s des producteurs
132. choix des moyens de CONSEIL A Local Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 Vos produits sont ils durables Les acteurs de la fili re sont ils locaux Toutes vos mati res premi res proviennent elles Ou viennent elles syst matiquement du producteur le plus proche Votre impact conomique local est il Participatif Les consommateurs rencontrent ils les producteurs Les relations au sein de votre entreprise sont elles participatives Des personnes externes s impliquent elles dans votre entreprise Votre entreprise a t elle un impact sur la solidarit 1 Non 2 Faiblement 3 Fortement 4 100 O Non 3 Oui 0 De plus de 200 km 1 de moins de 200 km 2 de moins de 80 km 3 de moins de 50 km 0 Nul 1 Faible 2 Fort 3 Essentiel O Rarement 1 Parfois 2 Souvent 3 Syst matiquement 0 Non 1 Faiblement 2 Fortement 3 100 O Rarement 1 Parfois 2 Souvent 3 Syst matiquement 0 Nul 1 Faible 2 Fort 3 Essentiel d placement incitants la mobilit douce Attention sp cifique la qualit go t fra cheur saisonnalit impact sur la sant durabilit label travail sur le cycle de vie du produit potentiel de r utilisation recyclage etc Inscription dans le r seau conomique local compl mentarit avec les autres
133. compte Il serait int ressant d tendre cette analyse d autres m tiers charpentiers L acc s la terre est l un des principaux probl mes rencontr s par les agriculteurs Le bail agricole trop strict m ne en pratique une diminution des terres propos es en location aux agriculteurs Le bail ferme va devenir une comp tence r gionale Il est n cessaire d laborer une nouvelle forme de bail 030 Celle ci pourrait s inspirer du bail environnemental fran ais 2005 Nous continuons 5 Un groupe de travail Circuits courts et commercialisation a t cr en 2009 sur demande du minist re fran ais de l agriculture et de la p che La note de synth se mise suite ce travail est disponible en annexe document 1 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 y AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y E 170 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 travailler avec la fonci re Terre en vue afin d approfondir ces pistes Il faudrait galement laborer une p
134. conventionnelle De mani re plus indirecte il est galement possible d laborer des politiques d augmentation continue de la demande voir le point consommation CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w i m 172 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 C Transformation Le rapport du Groupe One avait conclu la n cessit de soutenir l investissement n cessaire la cr ation d activit s interm diaires de transformation des produits locaux en produits finis commercialis s localement Nous ouvrons ici plusieurs pistes dans la continuit de cette recommandation Produits alimentaires La possibilit de tester son activit en couveuse ou en coop rative activit permet notamment des ch meurs de longue dur e de tester une activit d ind pendant afin de se lancer sur des bases solides Ces structures n ont toutefois pas la possibilit d accompagner des transformateurs En effet il leur faudrait chaque
135. coupe ainsi qu un magasin A terme l id e n est pas de grandir ind finiment mais plut t d essaimer de petites structures respectueuses du sol de l environnement du travailleur et des consom acteurs qui permettront leur tour de cr er localement d autres emplois durables http www agricovert be le projet 93 va Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 2 Wallonie 3 STRUCTURES COLLECTIVES MIXTES 1 Nouvelles solidarit s Nous sommes t moins d une triple dynamique solidaire La diffusion des modes d achats directs et group s s accompagne de l augmentation des groupes solidaires et de la prise de nouvelles responsabilit s Certains consommateurs mettent ponctuellement la main la p te D autres appuient la transition vers des modes de production sp cifiques durables voir biologiques Ainsi des syst mes de garanties participatives sont en train de se mettre en place Chapitre 4 2 d D autres encore participent l achat de machines ou de terres Exemple 6 Par ailleurs les groupes qui s appellent solidaires d veloppent effectivement des pratiques solidaires particuli res Pr s de la moiti d entre eux sont li s par contrat avec leurs producteurs 93 des groupes solidaires pr financent leurs achats En outre certains vont parfois chercher les livraisons chez les producteurs au contraire de la majorit des autres groupes Cependant majoritairement ci
136. crit res de localit 0400 Il serait int ressant de d velopper de diffuser la liste des points de vente locaux dans les journaux communaux et sur le site des communes 0410 Enfin la Wallonie pourrait soutenir des actions de communication au grand public pour d velopper l image du producteur et valoriser les m tiers locaux Elle devrait par exemple cr er un espace sp cifique sur son site internet afin de diffuser largement ces informations de valoriser les bonnes pratiques efficacit rentabilit p rennit innovation et de montrer la volont publique de soutien l mergence d initiatives de circuits courts en Wallonie 0429 Tourisme Les syndicats d initiative le Commissariat g n ral au Tourisme les f d rations provinciales et les offices de tourisme travaillent la promotion du tourisme wallon Selon certains de nos partenaires les poup es russes et nombreux doublons sont source d inefficacit et de gaspillage de moyen De plus reporting et valuations suite au subsides feraient d faut La comp tence du tourisme tourne en fonction de l gislature ce qui est source d inefficacit Le tourisme devrait tre int gr de fa on permanente au minist re de l conomie 0430 F Consommation collective Groupements d achats Les consommateurs qui souhaitent se structurer en groupes d achat alimentaire GAA requi rent un accompagnement sp cifique Le RCR offre un accompagnement b n vole la cr ation
137. cteurs des transformateurs et des consommateurs Ces pistes sont pr sent es selon la m thode du cadre logique Cadre logique Objectif global Objectifs sp cifiques Activit s R sultats Contribution du projet aux objectifs impact d une politique ou d un programme B n fices finaux pour la population cibl e Changement court et moyen terme dans les conditions du d veloppement Avantages directs destin s aux groupes cibles T ches r aliser pour obtenir les r sultats souhait s Produits ou services tangibles intangibles apport s fournis ou ex cut s par le projet CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE Plan d action pour les circuits courts Favoriser une conomie endog ne et quitable en vue d une transition vers le d veloppement durable Colonnes du tableau 168 Lignes du tableau Cellules du tableau Les num ros 0X0 renvoient une explication d taill e dans le texte M DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF EE R guler L gislations et r formes mettre en uvre ou transformer
138. cuits courts solidaires et durables en Wallonie TT Wallonie S d Evolution des motivations Le prix est un crit re de choix des produits plus important dans les groupes les plus anciens La production locale toujours le premier crit re de choix des produits Elle importe relativement moins dans les groupes de plus anciens La vari t indig ne des produits est un crit re de s lection plus important dans les groupes les plus r cents Tableau 5 Crit res de s lection moyenne groupes Dur e moyenne lan 2 ans 3 4ans gt 10 CULES Go t 3 33 3 3 3 4 3 6 2 0 Label bio 2 25 2 3 1 4 2 7 2 5 M thodes de production 3 8 3 6 3 6 4 0 3 7 Difficult s financi res du producteur 2 0 1 8 2 6 2 2 1 0 D j connu par d autres groupes d achats 2 1 3 0 1 6 2 1 1 0 Contact communication 2 4 2 6 2 4 2 4 2 3 Sur une chelle de 0 4 donn es IDD 2010 enqu te groupes Tableau 6 Th mes abord s lors des r unions Importance des th mes abord s lors des 1 2ans 3 4 ans gt 10 ans r unions Discussions autour de l organisation pratique Tr s imp Tr s imp Moyenne du groupe Qualit quantit prix des produits Imp Moyenne Imp Les recettes changes de bons plans Moyenne Moyenne Imp L id al de soci t auquel vous voulez Faible Moyenne Moyenne im correspondre vos valeurs p Votre position dans l espace public Nulle faible Faible Faible Donn es IDD 2010 enqu te groupes Au sein de ch
139. d affaire 66 lt FA rP Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie estim s et les b n fices sur valu s Au contraire dans le cas d externalit s positives bilat rales il est int ressant d augmenter la production Ainsi dans le cas d un producteur de pommes et d un apiculteur plus de pommes alimentent plus d abeilles qui r partissent plus de semences Plus pragmatiquement une agriculture respectueuse des sols et de l environnement b n ficie chacun au contraire de l utilisation massive de pesticides Co t b n fice social co t b n fice priv co t b n fice impos aux autres agents Diff rentes solutions permettent th oriquement de tendre vers un quilibre optimal Les d fenseurs des interdictions et des incitants s opposent comme ce fut le cas il y a quelques ann es au sujet d utilisation de d sherbants dans les cultures de ma s Les incitants peuvent tre les suivants Taxation Pigouvienne taxer l entreprise qui pollue La taxe doit tre calcul e partir du co t marginal ce qui pose des probl mes d quit les comportements extr mes tant plus probl matiques Cr er un march pour l externalit quotas de CO2 L int gration verticale des deux entreprises permet de maximiser la somme de leurs utilit s Dans l exemple usine chimique et p che des travailleurs enlev s en amont seront plus productifs en aval Les b
140. daire ont des besoins r guliers Pas de diversification des canaux pas d adaptation de la production quantit de travail l avance pas d avantage en terme de tr sorerie au contraire existence de franchise Incitant important pour les projets accompagn s Ind pendance Projets wallons et bruxellois Formes de solidarit innovantes Chez les Ecus baladeurs les d cisions de prennent selon lavis de chacun des membres Cr dal est une coop rative finalit sociale un homme une voix Respect de crit res thiques Solidarit Impact sur l galit des chances Dividende social Chez les Ecus baladeurs tous les membres rencontrent les porteurs de projets tour de r le Degr d implication variable chez Cr dal b n voles etc Sensibilisation r seau Et pendant ce temps Cr dal milite avec votre pargne 127 lt d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie S Agir localement Finance Freins Principaux Frais de fonctionnement lev s Manque de garanties Acteurs sp cifiques Epargne Cr dal Ecus baladeurs Information Financit P ch s bancaires Fairfin Aides Sowalfin ISA Propositions Mise en place de m canismes de garantie publique pour les d actions politiques parts de coop rative citoyennes sur le mod le des comptes d pargne Incitants fiscaux exon ration du pr compte sur les dividendes avec plafond etc Possib
141. des GALs 24 Kap Vert Inter ADL Hainaut Bioforum Wallonie s minaire sur le mod le coop ratif R seau des Grosses L gumes Gaumes Participation la journ e entreprendre de Groupe One La dur e de ces ateliers a vari de quelques heures plusieurs journ es Le nombre de participants a vari d une dizaine une centaine exceptionellement plus Au total nous estimons que 360 personnes ont assist ces ateliers Par ailleurs de nombreuses rencontres individualis es ont permis d orienter des porteurs de projets individuels et collectifs B Comit s Nous avons particip aux comit s suivants Comit de pilotage de l tude de faisabilit technico conomique pour la cr ation d une plateforme de transformation BEP Comit de suivi de Saveurs Paysannes Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 App tit champ groupes de travail fili re et production C Projets l expertise et le savoir faire accumul s Par l accompagnement des projets concrets axe 5 Par l analyse du potentiel wallon axe 4 Est mobilis e par l ensemble de Cr dal lors de l accompagnement d acteurs d conomiques ainsi que lors de cr dits en ce qui concerne La mise en r seau et la recherche de partenaires L inscription du projet dans son environnement sous r gional Les ressources et personnes ressources vers lesquell
142. des productions et sa rentabilit pour chacune des parties prenantes C est un changement dans l attitude qui consiste voir le profit personnel comme le but premier Un passage d une culture de la comp tition une culture de la coop ration Les circuits courts durables et de proximit sont li s avec des mouvements plus larges comme l cologie laltermondialisme les mouvements de simplicit volontaire de Slow Food de Villes en transition En effet les quatre dimensions conomiques sociales environnementales et locales des circuits courts durables et de proximit se retrouvent dans d autres secteurs et mouvements Tableau 9 L conomie sociale par exemple tend travailler localement et respecte les principes suivants Finalit de service aux membres ou la collectivit plut t que de profit Autonomie de gestion Processus de d cision d mocratique Primaut des personnes et du travail sur le capital dans la r partition des revenus La particularit des circuits courts durables de proximit consiste ne pas consid rer ces quatre dimensions comme s par es mais bien comme compl mentaires et faisant partie d un tout Ces circuits ne s opposent pas aux autres secteurs et mouvements bas s sur les m mes valeurs Ils n en sont pas une critique L id e est simplement d aller quand c est possible un pas plus loin de demander et d afficher le respect la fois des crit res conomiques sociaux
143. du cadre l gislatif 129 S CONSEIL lt A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie des paysages Le projet Vue sur Mer 2050 Mesnil Eglise offre ce sens un exemple int ressant de superposition de r seaux interd pendants fonci re mutualisation des constructions donc des achats r seau d occupants r seaux d artisans locaux r seau de chaleur parc de v los et v hicules photovolta ques et pourquoi pas monnaie locale LPST 2012 Agir localement Freins Principaux Acteurs sp cifiques Contexte l gislatif Propositions d actions politiques Habitat co construction et construction durable Manque de production locale d co mat riaux donc co ts de transports et prix plus lev s Pas de label concernant les mat riaux cologiques qualit nergie grise etc Formation importante donc peu rentable au d but Petites entreprises donc acc s limit de gros march s Image bobo information incompl te de la client le et des fabricants de mat riaux Prix lev des assurances pour certaines techniques voir Reddi Acc s au capital R seaux d artisans et entreprises sp cialistes Clubs C durable Cluster coconstruction Wallonie et grappes coconstruction Beauraing Picardie Enghien etc Cluster Ecobuild Bruxelles Union des Artisans du Patrimoine Associations Greenwal plateforme formation innovation conseil Les pieds sur ter
144. duit des co ts fixes sp cifiques la diversification des fili res de commercialisation ne doit donc pas se faire aux d pends d une chelle minimale Par ailleurs les circuits courts sont source de nombreuses externalit s positives et effets multiplicateurs dynamisme conomique et territorial coh sion sociale ventuels effets environnementaux et diminution des d penses publiques Qu en est il des circuits courts collectifs Le nombre des Groupements d Achats Alimentaires GAA double tous les deux ans en Wallonie Figure 8 Il en existe dans un quart des communes wallonnes principalement dans les r gions plus ais es Figure 9 Si les groupes les plus anciens sont issus d associations des groupements de fait puis des individus isol s ont pris le relais multiplication par essaimage Les Motivations sont alternatives localistes environnementales et sanitaires Les groupes solidaires se d veloppent et prennent de nouvelles responsabilit s vis vis des producteurs L Evolution des motivations refl te la sensibilisation des participants l largissement du public p riode de recherche de sens normalisation etc ainsi que l abandon des non convaincus la sant n est pas un incitant de longue dur e etc La faible P rennit des GAA est expliqu e par les flux importants des participants dus aux rejets des contraintes aux motivations ponctuelles aux raisons techniques par la centralit
145. e Utilisation d outils de mesure des Pilotage des performances DD performances DD iLes priorit s DD d finies sont elles irelevantes pour l activit Mise en place d un processus id am lioration continue i Gouvernance nombre Go 0 SE SEE SEE EE RES LE 0 RE EE RS ER RQ CC EEE EEE D Nb cotations Seuil d exclusion Cote ES Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 eee Seuil d exclusion Evaluation de l axe conomique i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i msansanausanpanS i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i i Evaluation cumulative des axes A Evaluation globale du projet un nombre minimum de crit res doit tre cot pour chaque axe certains crit res importants doivent Cl s d analyse obtenir une cote min seuil d exclusion chaque axe doit obtenir une cote minimum l axe conomique viable doit tre compl t par un axe social ou cologique ou gouvernace FORT Commentaires Economique Gouvernance Social Environnemental 26 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 B Cr dit Impact Contexte La finance locale et participative est une des priorit s tabl
146. e finalit sociale semble la forme juridique commerciale la plus adapt e Elle permet l organisation interne d mocratique l inscription de l activit dans son territoire ainsi qu une identit collective Des consommateurs des producteurs ainsi que des pouvoirs publics locaux peuvent y participer capitaliser et entrer dans la gouvernance Une ASBL n a pas de vocation commerciale Pour plus de d tails groupements d employeurs etc voir les ressources Entrepreneuriat f minin L entrepreneuriat f minin est source d enseignements dans des domaines tels que la prise en compte des valeurs d quit de solidarit et de durabilit dans le choix des fournisseurs dans la politique de prix ou dans la gestion du personnel la conciliation vie personnelle sociale familiale et professionnelle ainsi que l aspect relationnel Autant de femmes que d hommes envisagent de cr er leur entreprise Mais d importantes in galit s de genre subsistent et seul 30 des ind pendants sont des femmes Il est d s lors important d encourager et de rendre visible entrepreneuriat f minin Cr dal Entreprendre propose des formations destination de femmes qui souhaitent valider un projet d entreprise CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alos
147. e par la centrale et l agriculteur a donc moins de comptabilit d exploitation faire Le r seau pr ne un prix juste et quitable aussi bien pour le producteur que pour le consommateur Aussi un travail est il fait en amont pour essayer de r duire les co ts de production Source RWDR 2010 27 4 Le chemin le plus court de la terre au client 90 Economique Financier Autonomie Organisation Tableau 7 Avantages et inconv nients des collectifs pour les producteurs AVEC Importantes conomies d chelle e Fournitures production co ts logistiques etc Mutualisation des outils de production transformation commercialisation Possibilit de sp cialisation Compl mentarit des plans de production Partage du temps de travail ex afin d tre pr sent par roulement sur les lieux de vente Possible solidarit Mutualisation des risques e Limite le stress de fournir temps et en volume e Coop rative peut endosser en son nom les contrats avec les producteurs Opportunit s d acc s des nouveaux march s e Elargissement de la gamme de produits e Elargissement des volumes e Augmente visibilit e Toucher un public qui se situe en dehors de la zone d achalandage du producteur Optimisation de la distribution e Davantage de professionnalisme au niveau des services de livraisons et de commandes e Toucher un public plus jeune ou qui a moins le temps e Proposer des services suppl mentaires
148. e Mise en place d un fonds de portage de coop rative citoyennes de production d nergie renouvelable e Mise en place de m canismes de garantie publique pour les parts de coop rative citoyennes sur le mod le des comptes d pargne e Incitants fiscaux exon ration des dividendes etc e Soutien public l accompagnement au montage financier et juridique de ces coop ratives e Ouvrir l acc s de l auto construction aux primes e En ville plusieurs familles r unies en coop rative pourraient investir collectivement dans des panneaux photovolta ques partag s sur quelques toits e Des modules hybrides nergie thermique et photovolta ques permettent un meilleur rendement pas de surchauffe e Voir mission de mise ne place d un Fonds Energie Citoyenne par Cr dal et Syneco 136 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie 5 Une conomie aux p riph ries des circuits courts durables et de proximit a Culture A priori la culture semble tre en opposition m me avec l id e de circuit court La proximit g ographique et la coh sion conomique en limiteraient la fois l acc s et la port e L int r t du public est suscit par la diversit et la nouveaut La culture ne peut vivre en vase clos Cependant on sent plus r cemment une relance de la formule coop rative avec des exp riences en milieu agricole ou dans les services mais gal
149. e d achats c est aussi r fl chir la construction d une autre consommation et d une autre soci t Je participe un groupe d achats pour moins nuire l environnement Je participe un groupe d achats pour soutenir les agriculteurs locaux Un groupe d achats c est donner la possibilit tout le monde de pouvoir participer s int grer dans un syst me de valeurs une autre fa on de penser Je participe un groupe d achats pour me garantir l acc s des produits sains bons pour la sant Ce que j aime dans ma participation un groupe d achats c est de ne pas tre passif mais co acteur de mon approvisionnement en nourriture Etre membre d un groupe d achats c est une forme de militantisme Se retrouver avec des l gumes qu on ne conna t pas les d couvrir etc c est un vrai bonheur Ce qui est important c est de pouvoir mettre un visage et des mains sur un produit de savoir exactement d o il vient Si les magasins traditionnels ne vendaient que des produits locaux et de saison les groupes d achats perdraient leur raison d tre C est pour me procurer des produits frais que je participe un groupe d achat Sur une chelle de 5 5 donn es IDD 2010 enqu te individuelle Le soutien aux agriculteurs locaux vient ensuite nouveau cet incitant est essentiel dans les groupes solidaires Similairement ceux ci placent la fid lit au producteur largement au 80 Les circuits courts
150. e de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y gt mt 186 Rapport final D cembre 2013 74 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie CET CONSEIL EE _ Pas plus d un interm diaire Viabilit pour tous Modes de production et de fonctionnement transparents Acteurs locaux Mati res premi res locales Ou changes les locaux possibles CREDAL ASBL Association sans but lucratif Qualit des produits Production et fonctionnement respectueux de l environnement Origine transparente Gouvernance participative Reconnaissance du savoir faire Confiance Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 h AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w IA KE 187 Mise en place de circuits courts rappro
151. e dynamique locale tradition locale d entraide et de mutuellisme sur des d marches participatives en faveur du d veloppement local et sur un environnement institutionnel favorable Elle peut avoir une dimension id ologique qui s abreuve anciennement une tradition religieuse ou au mouvement ouvrier soit plus r cemment aux mouvances r gionalistes et cologistes Itcaina 2009 Box 3 Raisons d essoufflement des coop ratives au 20 si cle Les coop ratives ouvri res ont d abord t mises mal par la crise et le ch mage de masse des ann es 30 La faillite de la Banque Belge du Travail causa un traumatisme et d montra la sensibilit des coop ratives au march classique Par la suite l augmentation du pouvoir d achat qui suivit la deuxi me guerre mondiale induisit une forte diversification de la demande et la baisse de la fid lit aux magasins familiaux L apparition du self service d but des ann es 50 l augmentation de la mobilit et la lev e de la loi cadenas en 1958 permirent l essor des grandes surfaces En outre l conomie coop rative innovera dans le secteur de la consommation en inventant le succursalisme int gration des fonctions de gros et de d tail Bosmans et al 2002 Une autre loi cadenas visant limiter la prolif ration des grandes surfaces a t r instaur e le 29 juin 1975 exigence d un permis sp cifique partir d une surface nette de 1500 m en cent
152. e en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 2 FD liste les co ts et travaille un premier jet et l envoie CD 3 R unionle 5 octobre confirmer 4 A plus long terme a Clarifier transferts d actifs ekiko ekikrok b Statuts b n voles c Subsides Cr ation des groupes de travail Un travail de structuration et de prospective a t demand l ASBL en parall le l laboration du plan financier 5 groupes de travail ont t cr s par l ASBL 206 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 w h AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE VS Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 A L ASBL Ekikrok a mis aur pied 5 groupes de travail Si vous voua sentez pr t e a rejoindre une de cea quipes n h aitez paa envoyer un mail la personne responsable du ou des groupes qui vous int reusent ou via info ekikrok be Toute aide eut bienvenue que ce aoit 1h ou 1 2 journ e par mois
153. e et territorial En outre ces produits peuvent ventuellement tre durables et les mati res premi res peuvent parfois tre locales Toutefois et bien que l habillement soit tout de m me relativement r current au niveau familial le caract re moins r current des achats limite l change d information et la r duction progressive des co ts de transaction L engagement la planification l avance et le partage du risque ne sont pas possibles Les incitants pour le producteur r sident simplement dans l appropriation des marges et le contr le de la fili re La relation de confiance doit alors se baser sur le r seau consommateurs producteurs Exemple 14 Associations de cr ateurs L Union des Artisans du Patrimoine rassemble 45 artisans de toutes les provinces wallonnes Cette ASBL a pour but de sauver les savoirs accumul s au fil des g n rations et de d fendre et promouvoir le statut de l Artisan Des membres b nistes menuisiers vitriers tailleurs de pierre mosa stes restaurateurs de luminaires ou de peintures r pondent des march s en association momentan e Les cr ateurs de bonheurs investissent un lieu priv un dimanche apr s midi par mois Ces ventes priv es 100 pop amp fun sont des rencontres conviviales des moments privil gi s qui visent promouvoir le travail de jeunes stylistes professionnels et la d couverte de cr ateurs amateurs et autres bidouilleurs C est aussi chaque
154. e l information Les circuits courts permettent la cr ation de lien social entre urbain ou n o ruraux et ruraux Ils sont un moyen de pallier au cloisonnement des identit s sociales citoyen consommateur producteur ESS 2012 Le soutien aux producteurs locaux est une des premi res motivations avanc es par les membres de groupes d achat La confiance qui se cr e alimente les changes et la durabilit du lien Au cours du temps des formes innovantes de solidarit sont d velopp es afin de faire face aux difficult s rencontr es par les producteurs De plus les fili res courtes permettent aux consommateurs de donner un sens la consommation en y int grant dans une recherche d authenticit et de coh rence les dimensions sociales environnementales de qualit de convivialit ainsi que de proximit Certains y voient m me la source de gains de temps et d panouissement Ils ont une dimension ducative En outre les fili res courtes permettent l augmentation de l autonomie des individus et l appropriation de leur travail Elles sont un levier pour susciter la r flexion la participation et l engagement citoyen Elles permettent aux individus d investir de nouveaux espaces de gouvernance la r appropriation de la soci t par les citoyens le renforcement de la d mocratie ESS 2012 a D penses publiques L am lioration de la qualit des produits et de l alimentation induit une diminutio
155. e pouvoir prendre en compte valeur transform e des produits etc Agir localement Bois nergie 150 Freins Principaux e Plaquettes surfaces de stockage importantes n cessaires mais moins ch res donc int ressantes pour les collectifs Investissement initial important Freins culturels D bat sur la valorisation prioritaire du bois fabrication de panneaux ou nergie Propositions d actions Elargir la mesure 312 du PWDR aux produits de premi re politiques transformation du bois Multiplier les partenariats publics citoyens Exemple 11 Faire appel aux IDESS pour effectuer des travaux de taille de bois de chauffe pour le compte d un particulier notamment dans le cadre de parcelles communales ou provinciales CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 A AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w ya EEE Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Agir localement Artisanat de bouche et boissons Freins Principaux e Pas de test possible si transformation sauf exception e Importa
156. e secteur agricole Afin de soutenir et d approfondir cette dynamique Jean Marc Nollet Ministre du D veloppement durable a confi Cr dal la mission de r aliser une analyse historique et sociologique des circuits courts agricoles et analyser le possible d veloppement de ces circuits dans les secteurs non agricoles L analyse du possible d veloppement des circuits courts durables de proximit dans les secteurs non agricoles est un premier pas en vue d y accompagner des projets pilotes En effet cette analyse s inscrit dans un projet global Les objectifs de la mission confi e Cr dal concernent 1 L exp rimentation Mise en place d une plateforme de rencontre entre entrepreneurs durables et consom acteurs 2 Les outils coop ratifs Diffusion du mod le coop ratif entre producteurs et ou consommateurs 3 Les outils financiers Mise en place d outils financiers favorisant les circuits courts durables 4 La reproduction du mod le agricole Analyse historique sociologique g ographique des circuits courts alimentaires et leur transf rabilit dans d autres secteurs conomiques 5 Accompagnement de projets pilotes Cette mission a d but le 1 janvier 2012 et elle se termine le 30 juin 2013 pour les quatre premiers objectifs Le cinqui me se cl ture le 31 d cembre 2013 Le quatri me objectif a pour r sultat le pr sent rapport qui est finalis au 30 septembre 2012 Cette recherche action est bas e
157. ecteur consid r e comme risque manque de diff renciation Acteurs sp cifiques Syndicats d initiative Commissariat g n ral au Tourisme F d rations provinciales Offices de tourisme G tes de Wallonie etc Existence de poup es russes et doublons Peu de reporting et valuation des subsides Voir aussi Agir localement artisanat de bouche Contexte l gislatif La comp tence du tourisme tourne en fonction de l gislature ce qui est source d inefficacit Propositions Affiner la segmentation du secteur Horeca dans l analyse des d actions politiques dossiers de subsides Sowalfin fonds de participation Augmenter progressivement les crit res Bistrot de terroir et coordonner avec Wallonie des saveurs Int gration permanente du tourisme au minist re de l conomie afin de d velopper une politique de tourisme e Plus coh rente liens avec les points de vente de terroir OPW chambres h tes piceries villageoises bistrot de terroir Wallonie des saveurs De long terme d pendant de fa on permanente du m me minist re D velopper des objectifs croissants 119 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 4 Secteurs ou le concept de circuits courts peut s appliquer de fa on pertinente a Artisanat et habillement L artisanat et l habillement sont des pistes explorer par la suite Le d veloppement de ces fili res est une possible source de dynamisme conomiqu
158. edal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF EE 197 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 e Collectivit s e Collectivit s 2 e Co t carbone menus e March s publics Belgique BioForum e March s publics cycle de vie e March s publics EU e March s publics EU 2 e R pondre un appel d offre France Cerd Hygi ne Infos e Normes sanitaires Belgique e Normes Afsca position Map Fugea e Belgique loi GAA Nature et Progr s e Techniques de conservation Cerd e France loi assouplissement petits producteurs e S curit sanitaire Grain 198 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 M AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W VF EXI Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consomm
159. el Lanc http web2 ult index 5 producteurs sur le site collaboration avec 15 fermes et transformateurs locaux alltux be kari defa Lanc Un march commun de GACSs a t organis Collaboration avec un CPAS et plusieurs coles http ekikrok be Lanc Cr dit de 45 000 euros Lanc https sites google com site jardi nagesjardinages Lanc http www lagrelinette be 15 producteurs principaux En cours Autour de 20 producteurs Autour de 350 m nages En cours Malgr des difficult s personnelles rencontr es par les porteurs de projet 140 m nages inscrits et en rotation autour de 35 par semaine En cours En cours En cours Suite une tude de faisabilit et une tude de cr dit nous avons r orient ce projet qui ne nous semblait pas viable Ce projet tout de m me vu le jour http le relais du triporteur be home Localisation Gembloux Province de Namur et Brabant Wallon Bruxelles Producteurs en Brabant Wallon et Province de Namur Pr accord pour un terrain en Brabant Wallon Florennes Entre Sambre et Meuse Meix devant Virton Province du Luxembourg Herve Province de Li ge Province de Namur Province de Luxembourg Str e Province de Li ge Han Gaume Bruxelles Producteurs en Brabant Wallon Travail r alis par Cr dal 1 Accompagnement dans la conception innovantes des r mun rations selon le travail fournir et non
160. elocalisation de l conomie la cr ation d activit en milieu rural et l activit participative Notre ambition est donc de faire tourner cette brasserie et de s en servir ensuite comme moteur de d veloppement pour mettre en place toute une s rie d activit s agricoles culturelles et touristiques et relationnelle Nous avons jusqu ici re u le soutien d peu pr s 160 coop rateurs tant des particuliers que des agriculteurs bio des habitats group s ou des associations La Brasserie est galement coop ratrice de Cr dal et membre fondatrice d Agricovert Les associ s ne recherchent donc qu un b n fice patrimonial limit et les b n fices engrang s par la soci t sont r investis dans le projet en vue de poursuivre la finalit sociale Ils sont aussi nos premiers et nos meilleurs commerciaux Sources http www brasseriedelalesse be interview de Norbert Buysse 97 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie L analyse des motivations des membres des GAA nous a montr que la sp cificit de ces circuits est la premi re motivation des participants Les circuits courts pionniers se sont d velopp s dans une dynamique de r appropriation d autonomie d alternative thique voire de militantisme Ils se caract risent par une organisation interne d mocratique ainsi que l implication la responsabilisation et l apprentissage progressif des acteurs Ces
161. ement du plan financier PV de Cr dal du 4 12 12 Pr sents Fr d rique Isabelle Laurent Ekikrok C line Cr dal Points abord s V Les5 GT V D veloppement des activit s dont march nouvelles activit s dont sant V Passage en revue des remarques de Laurent V Co ts y Marge et facturation des activit s Pour la suite 208 V C line o int gre l ments discut s au PF et remet ensemble les diff rentes versions Activit s hors piceries Cotisations Ca cv mois o Soccupera de la page tr sorerie une fois que les co ts seront mieux tablis o Se renseigne sur les distributeurs durables Bruxelles o Fait un mini pv V Avecle CA o Pour les GT Faire une feuille de route nombre de participants vis s fr quence des activit s estimation de temps n cessaire afin de valoriser le b n volat etc La page activit s du PF peut servir de base Quels objectifs en termes de public et d adh rents Qu est ce qu Ekikrok propose aux GACs Qu est ce qu Ekikrok propose aux inter GACs o Pratiquement Local location Reprise du stock Frigos reprise et investissement o Evolution de l picerie CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795
162. ement une r flexion dans des secteurs particuliers comme la culture sur la transformation ventuelle d associations en coop ratives pour accompagner une dynamique de professionnalisation X Itcaina 2009 La culture est par essence un lieu d change Certains ateliers culturels permettent la participation et la rencontre Diff rentes dynamiques de micro m c nat permettent l engagement de citoyens spectateurs producteurs pour la cr ation et la diffusion de ce bien commun en dehors des circuits marchands et institutionnels C est le cas des Associations pour le Maintien des Alternatives en mati re de Cr ation culturelle et Artistique AMACCA De son c t Trempolino propose ses abonn s un panier culturel trimestriel un march et un espace de d p t vente d di aux cr ations r gionales ou d artistes en r sidence Similairement des initiatives de m dias alternatifs r pondent aux m mes souhaits d autonomie et d alternative b Mobilit douce Les services de livraisons durables sont en pleine explosion Bruxelles Dioxydes de gambette livre des produits locaux City Logistics et Green Company livrent des colis en v lo et voiture lectrique Les crit res de proximit relationnelle et surtout de coh sion conomique posent question Cependant ces services sont ind niablement locaux et durables 5 http amacca centerblog net 51 http www trempo com LES CIRCUITS COURTS
163. ements Horeca en Wallonie comptent 7700 employeurs Selon la F d ration Horeca Wallonie le secteur horeca est mis en difficult par la crise la diminution des r servations du tourisme d affaire l interdiction de fumer et la demande croissante des fournisseurs d tre pay s la livraison De nombreux propri taires atteignent l ge de la pension et dans certaines r gions 1 3 des CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W E 176 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 h tels sont vendre ou remettre Cependant les banques demandent autour de 40 fonds propres au candidat repreneur Le secteur est globalement consid r risque Pour la f d ration il faudrait affiner la segmentation du secteur dans l analyse des dossiers de subsides Sowalfin Fond de participation 0300 De plus les contrats de brasserie sont touffants Ils limitent le choix du g rant quant aux produits vendus et donc l introduction de produits et
164. ennes Produits base de cellulose pourraient venir de recyclage Ressources Concertes 2007 initiatives existantes et freins Reddi 2012 techniques mat riaux acteurs et Swot pour diff rentes techniques perspectives pour un r seau aides existantes labels proposition de formations Labels VIBE Anvers Haute qualit environnementale association HQE Pierres et Marbres de Wallonie etc Avis du CA de Quelque chose faire sur les freins du parcours emploi et ceux de la dynamique collective associative http www qcaf be sous_menul_administration html e Energies renouvelables L achat et la production d oliennes et de panneaux solaires combinent parfois des motivations environnementales et alternatives avec des caract ristiques relationnelles typiques de circuits courts ainsi que son financement via des coop ratives citoyennes dans une optique de r appropriation La coop rative olienne Emissions z ro a t fond e en 2007 Depuis 2010 elle poss de une olienne Dour et une Qui vrain La coop rative revendique consommer l lectricit que nous produisons selon un circuit court Cette initiative est examin e en d tail dans la Tableau 13 La durabilit du projet ne fait aucun doute Bien que les oliennes aient une trop forte teneur technologique pour tre produits en circuits courts ces outils permettent des acteurs locaux produisent de l nergie localement pour le march
165. ensement de l offre et de son potentiel devait tre pris en charge par la DGARNE mais nous n avons pas de nouvelles de ce c t 0390 La d marche des Bistrots de terroir est int ressante mais n est pas aboutie La communication est mauvaise Le r seau ne pr sentent pas les producteurs fournisseurs ni sur le site ni dans l information touristique propos e par les tablissements labellis s Le nombre de produits requis est http www uniondesartisansdupatrimoine be accueil http www artisans be http www lesartisans be artisans artindex view http www artisans wallons be a la une bonjour tout le monde comment 24 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y m 179 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 tr s faible et ne va pas augmenter Plut t que de se disperser et de lancer le nouveau projet Wallonie des Saveurs la r gion devrait continuer sur sa lanc e et conditionner son soutien au respect croissant de
166. ent et leur valuation se fasse en r seau Enfin les circuits courts durables de proximit participent un changement de paradigme Ils d cloisonnent les consommateurs int ress s par les prix et les citoyens soucieux du futur Ils nous montrent qu il est possible de consommer de produire et d pargner en consid rant de fa on compl mentaire les impacts soci taux conomiques sociaux locaux et environnementaux lls sont repr sentent une mise pratique quitable et endog ne du d veloppement durable Partir d une base per ue comme quitable accept e et valoris e collectivement permet d accepter durablement des contraintes par exemple environnementales 6 Pertinence des crit res de d finition hors du secteur agricole L application de la d finition des circuits courts durable et de proximit des exemples wallons a mis en lumi res la n cessit la n cessit de souplesse L adaptabilit des crit res hors du cadre agricole est examin e dans le Tableau 14 139 S CONSEIL Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie WA Wallonie Tableau 14 Pertinence de la d finition des circuits courts durables et locaux hors du secteur agricole Crit res gt Coh sion conomique de la production la commercialisation O O Les parties prenantes sont constitu es par le producteur un interm diaire maximum et les consommateurs Viabilit conomique tout au long de la fi
167. ent pas servir l enrichissement personnel des associ s Ce statut transversal peut tre adopt par les diff rentes formes de soci t s commerciales La soci t coop rative finalit sociale SCRL FS a t choisie par plusieurs des projets de circuits courts accompagn s par Cr dal En effet elle permet le d veloppement du projet commercial autour des valeurs qui l incitent C est une mani re de rencontrer la condition d identit collective identifi e plus haut La finalit sociale doit tre d finie dans les statuts Chaque ann e ces soci t s doivent r aliser un rapport sp cial sur la r alisation de leur but De plus les limitations la r mun ration du capital favorisent le maintien de l outil au service des producteurs Deuxi mement la gestion d mocratique permet l implication de tous Une coop rative permet aux producteurs de garder la maitrise de l enti ret de la cha ne de production tout en se sp cialisant dans leur m tier Les SCRL FS ouvrent aux travailleurs le droit de devenir associ s Dans ce cas aucun associ ne peut avoir plus de 5 des voix De plus d coupler la participation en capital et le pouvoir de d cision favorise le sentiment d appartenance et l implication des diff rents acteurs 99 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Troisi mement les SCRL FS s inscrivent en grande majorit dans l conomie de proximit Les coop
168. entrent sur ce secteur Les produits agricoles sont la base d un renouveau des changes plus autonomes respectueux confiants et solidaires qu hier La relocalisation et sa r appropriation de secteur primaire r pondent aux exc s de la mondialisation et de l agriculture industrielle Le nombre d agriculteurs wallons a t divis par 2 5 en 30 ans En outre les agriculteurs et leveurs subissent une forte concurrence font peu de marge et sont menac s par la d r gulation du march par r formes successives de la PAC Ils sont donc amen s diversifier leurs activit s Ces derni res ann es des coop ratives d usagers se cr ent autour d une sorte de r appropriation du terroir d une culture presque disparue d une identit locale Elles combinent r alisme conomique et un souci plus global de la communaut Defourny 2012 Le secteur agricole vital est multi fonctionnel Il touche quotidiennement l alimentation la sant aux liens sociaux ainsi qu aux paysages Les produits alimentaires non transform s donc dit frais sont consomm s de fa on quotidienne et sont fortement associ s la sant donc valoris s Ils repr sentent une part en diminution constante du budget du m nage De plus lauto consommation reste relativement fr quente dans les campagnes elle ne demande pas de ma trise technologique ou d intrants particuli rement complexes ou rares En outre alimentation consommation d
169. environnementaux et locaux Les circuits courts durables de proximit d montrent que ces 4 dimensions peuvent tre compl mentaires et non antagonistes Tableau 9 Compl mentarit avec d autres mouvements Crit res Valeurs sous jascentes de proximit itable volontaire qui D veloppeme nt durable Commerce Economie Simplicit Economie endog ne Circuits durables Economiques Equit Sociaux Confiance respect Environnementaux Gestion durable des ressources renouvelables Confiance solidarit autonomie 102 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Les GAA les jardins collectifs les donneries les friperies les r seaux d changes r ciproques de savoirs et de services voir lexique sont des syst mes d alternatives collectives de consommation Celles ci peuvent tre vues comme le ferment d un nouveau mouvement social NMS Ils partagent en effet les caract ristiques id ologiques organisationnelles et de composition des NMS lls remettent en cause les normes et valeurs centrales du syst me social conomique et politique pr dominant Dans cette entreprise de recomposition d un mieux vivre ils se r f rent des valeurs g n rales telles que l galit la solidarit la participation Les incitants id ologiques et de solidarit sociabilit partage d un mode de vie sont importants Les NMS sont caract ris s par une tr s
170. errain axe 5 Notre volont est de r unir l information de premi re ligne utile pour toute personne souhaitant Consommer produire et pargner de fa on quitable durable locale et participative A Page d acceuil Il existe des d alternatives de consommation d pargne et de production locales quitables durables saines et transparentes Elles sont loin d tre marginales En Wallonie plus de 110 000 personnes travaillent dans pr s de 6 000 entreprises d conomie sociale Un europ en sur trois est membre d une coop rative Dans le monde les coop ratives repr sentent 100 millions d emplois Environ 10 000 personnes sont membres d un groupement d achat en Wallonie Il en existe dans un quart des communes et leur nombre double tous les deux ans Vous trouverez sur ce site des id es et des outils pour vous orienter et aller de l avant produire agir et consommer autrement dans le respect vos valeurs B Circuits courts Kesako Les circuits courts sont des fili res commerciales qui rapprochent producteurs et consommateurs au b n fice de chacun En fait par circuit court on entend des circuits courts durables et de proximit En effet commercialiser des fraises produites grand renfort d engrais chimiques en Wallonie est local mais n est pas durable Similairement commercialiser des pommes bios N o Z landaises n est pas local CREDAL ASBL Association sans but lucratif Plac
171. ertion et impact social sont au c ur du projet Ressourceries Faible du a la plus faible r gularit des achats qu en ce qui concerne l alimentation bien que partiellement compens par la vari t des produits offerts Implication citoyenne forte dans les projets de Repairs caf s donneries pr teries etc 122 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie V tements Les trocs de fringues friperies sont des syst mes d changes directs de v tements entre particuliers Figure 9 Les magasins de seconde main les remettent les v tements sur le march Ainsi la boutique de seconde main Betty Lou propose les robes dessin es par Lululibertate des retouches transformations et ateliers couture de la styliste Sophie Sallets les trois femmes s tant rencontr es via la formation Affaires de Femmes Femmes d Affaires De plus certains stylistes redonnent vie des textiles Toutefois les aprioris des consommateurs sur les V tements de seconde main rendent cela difficile valoriser un prix r mun rateur en dehors des v tements sur mesure ii Exc dents et D chets verts En France l Association Nationale pour le D veloppement des Epiceries Solidaires AnDES met en place des ateliers chantiers d insertion permettant de valoriser les exc dents de la fili re fruits et l gumes en les transformant destination des piceries Solidaires et des autres r seaux de l aide
172. es ventuels Prise de risque financier du client Niveau d endettement professionnel Gros cr dit mais possibilit de revendre le bateau Gros cr dit mais possibilit de revendre le bateau Poids des charges fixes Charges importantes Ind pendance par rapport un unique Les affr teurs ne semblent fournisseur client pas tr s nombreux Rentabilit Tout juste mais Monsieur a un mode de vie qui ne n cesssite pas des rentr es importantes Investissement rentabilit Tr sorerie Gros investissement pour peu de b n fices Fonds de roulement constituer sur les 2 premi res ann es Capacit autofin de l activit Tout juste mais OK 19 Wallonie Rapport final D cembre 2013 A CONSEIL Aspects organisationnels R alisme du plan d action Impact du projet sur la vie priv e Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Cotation Commentaires ventuels Positif pour son panouissement personnel mais challenge pour la vie de famille Inscription dans un r seau conomique local Coop rative hollandaise Compl mentarit entre commerces 3 Autres aspects du DD Approche non concurrentielle GRILLE D ANALYSE COTATIONS N N neutre Impact du projet produit sur l emploi Cotation Commentaires ventuels Cr ation d emplois court et moyen termes Cr ation de son propre emploi Emploi internes
173. es crit res de choix qui les gouvernent et commencent percoler le march La soci t et le secteur public peuvent gagner s inspirer de la vision syst mique et de long terme de l approche participative et des syst mes de valorisation collectifs de l appropriation de la transversalit et de l articulation entre les diff rents secteurs et comp tences concern s d velopp s dans les circuits courts 144 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie Et maintenant Par leur durabilit leur localit et leurs modes d organisation les circuits courts durables et de proximit ouvrent des pistes pour construire une conomie bas e sur des emplois de qualit notamment dans le cadre du plan Marshall 2 Vert En effet l identification d initiatives de circuits courts innovantes et non agricoles souligne leur compl mentarit avec des politiques publiques telles que Plalliance emploi environnement ax e sur la construction et la r novation durable le plan valorisation d chets ou encore le projet de nouveau cadre de r f rence pour l olien qui ouvre la voie la participation publique et citoyenne En outre le projet Verdir port par PULG souligne la compl mentarit potentielle entre circuits courts durables de proximit reconversion de sites industriels et recherche haute valeur ajout e Ce travail n est que le premier pas d un projet plus global Des circuits court
174. es diriger les porteurs Ainsi certains projets ont t sensibilis s aux valeurs de la coop rative m me s ils n ont pas choisi cette forme juridique En cons quence de nouveaux mod les de coop ration ont t d velopp s 14 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie EN Rapport final D cembre 2013 Exemple de diffusion du mod le coop ratif la boulangerie de Julie Antoine 6941 Heyd Un cr dit de 25 000 euros a t accord Madame Antoine pour le lancement de sa boulangerie En compl ment ce cr dit Julie Antoine fait appel avec succ s au financement citoyen Ses consommateurs ont en effet compl t son besoin en capital de d part Les int r ts de ces pr ts leurs sont pay s directement en pains Structure du financement Montant total n cessaire Apport propre en esp ces 3 000 Apport propre en nature 1 750 Cr dit Cr dal investissement 18 323 Cr dit Cr dal tr sorerie 6 677 Autres pr ts 5 500 TLU PSTITLULTE bo 15 0333 M bi artisanale 14812 html Mon projet est d ouvrir une boulangerie artisanale de type paysanne Heyd commune de Durbuy domicile La boulangerie s appellera Le jour du pain Je souhaite fabriquer le pain avec du levain naturel principalement des farines biologiques moulues sur meule de pierre dont les c r ales sont cultiv es en Wal
175. es en 2007 ils sont 60 en 2011 En Flandre les Voedselteams d marrent en 1996 et sont 120 en 2011 Figure 3 Figure 8 Evolution du nombre de GAA Gac Casap Voedselteams 2003 2005 2007 2009 2011 Source Saveurs Paysannes 2011 74 TA lt m Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 6 Wallonie Figure 9 R partition g ographique des GAA AON a E ZOT f icht g a T 4 FN LL y D ee O Je A s Ai Las ARE par HF 10 GAA GAC GAS GASAP arain et potagers collectifs Les groupes et circuits d changes non mon taires fleurissent galement Syst mes d changes libres SEL R seau d change de savoirs RES Donneries R seau des Consommateurs Responsables 2012 Malgr cette volution r cente l opinion qu en Belgique a ne marche pas reste r pandue Nous n aurions ni la culture du go t ni celle de la collaboration Les circuits courts relevant souvent uniquement de la sph re priv e il est difficile d obtenir des informations fiables concernant leurs participants Afin d en savoir plus l Institut du D veloppement Durable IDD a men en 2010 deux premi res grandes enqu tes quantitatives concernant les GAA et leurs membres en Wallonie et Bruxelles Selon eux la participation aux GAA est souvent la recherche d une voie de sortie du syst me dominant alternative mais pas forc ment contestataire Box 6 Des in
176. es entre les producteurs et les entrepreneurs locaux permet de diminuer les co ts de transaction En outre certains entrepreneurs en co construction choisissent de travailler dans une logique de formation d appropriation et de solidarit C est le cas de Quelque Chose Faire Exemple 16 Une autre piste int ressante consiste accompagner des personnes aux revenus faibles dans des d marches d auto construction et d auto r novation de leur habitat Cette piste se heurte toutefois encore aujourd hui au fait que les personnes concern es sont tr s majoritairement b n ficiaires du ch mage et ne peuvent d s lors entrer dans ce type de d marche sans se voir sanctionner Concertes 2007 L habitat durable c est aussi co habiter L habitat group offre des possibilit s importantes en terme de r duction de la consommation d nergie mais aussi en terme de 128 lt A P _ EE GSS A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Sn Wallonie cr ation de lien social pour des personnes fragilis es Or aujourd hui encore la personne qui b n ficie d un revenu de remplacement d une allocation de ch mage d un revenu d int gration etc se voit p naliser financi rement si l autorit comp tente la reconna t comme cohabitante puisque le montant des allocations est automatiquement adapt la baisse Concertes 2007 Exemple 16 Quelque Chose Faire Quelque Chose
177. es ont t faites dans le rapport d analyse historique sociologique g ographique des circuits courts alimentaires et leur transf rabilit dans d autres secteurs conomiques En outre les acteurs cl s des possibilit s d action citoyenne et des ressources ont galemment t identifi es Ces informations sont disponible dans la partie II de ce rapport Agir localement D une mani re g n rale Freins Principaux e Besoin d accompagnement et d aide au lancement e Pluralit de m tiers donc pluralit des comp tences n cessaires parmi lesquelles comp tences de gestion e Besoin d impulsion valorisation des plus values par les pouvoirs publics Propositions d actions Soutenir les besoins d emploi en Ressources Humaines politiques e Proposer un accompagnement au lancement structuration du projet financier conomique commercial juridique coaching etc Soutenir l emploi de RH par les collectifs de producteurs Equivalent temps plein d animation pour cristallisation de projets citoyens Flexibilit du cadre essentielle afin de permettre 156 l innovation e Valorisation communication forte promotion et information par la r gion centralit visibilit l gitimit e Espace d information et de promotion des circuits courts sur le site de la r gion bonnes pratiques efficacit rentabilit p rennit innovation etc plus values informations attentes franchis s march s publics aides tudes s
178. es pouvoirs limite le r le de l tat et met l accent sur la libert individuelle comme valeur fondamentale L tat se retrouve non plus dans une posture de r gulation et d tat providence mais bien dans celle d une nouvelle articulation entre le march et la soci t civile Crit res Indicateurs g n raux Indicateurs sp cifiques Relation producteurs consommateurs Relation structures et acteurs des CC Interconnaissance Lien social Relation entre producteurs et entre consommateurs Confiance Circulation de l information Ressources nas E Mutualisation des ressources du r seau R sea humaines u Ressources Plasticit du r seau territoriales Unit sociale du r seau Implication individuelle dans le r seau Engagement f 7 de 2 Implication du collectif dans le r seau Participation Des personnes Capacit s Du r seau Des exp riences d piceries sociales coop ratives groupements d achats tables ouvertes ou restaurants associatifs montrent que les circuits courts peuvent apporter des r ponses en mati re de lutte contre les in galit s alimentaires de cr ation de lien social de soutien aux agriculteurs fragilis s de maintien et de dynamisation du tissu rural Extraits de Torchy A et al 2012 Les indicateurs y sont d taill s 72 Va Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie CONSEIL CIRCUITS COURTS COLLECTIFS S f a s Le
179. et anime un r seau d associations et de citoyens partenaires d veloppe une expertise relative l acc s la terre et labore un plaidoyer et des propositions politiques A terme une fondation viendra le compl ter afin de permettre les legs de terres Sources http www terre en vue be projet de charte du mouvement Terre en vue 2 Structures communes Exemple 7 Epi vert Chez Epi vert l picier n a plus pour but de maximiser son profit mais bien par la confiance d aider le consommateur faire des choix pour une alimentation locale durable et de qualit Il a un nouveau r le de mise en relation Cette coop rative finalit sociale r unit producteurs et consommateurs qui souhaitent soutenir une agriculture paysanne familiale locale socialement et environnementalement soutenable L picerie propose les produits de 18 producteurs fermes et coop ratives wallons Elle a pour objectif de fournir un prix r mun rateur pour les producteurs et de valoriser les produits durables et wallons et en circuits courts les plus locaux possibles L picerie a pour objectif de limiter le gaspillage et ne fonctionne qu avec un stock r duit Les consommateurs sont invit s anticiper leurs achats 95 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Les circuits courts durables et de proximit ne se caract risent non seulement par les secteurs o ils s inscrivent et par le type
180. et de bons plans ou tout simplement par une bonne ambiance lors des permanences Les groupes d clarant une convivialit lev e sont galement les plus nombreux participer des activit s parall les Extraits de l enqu te sur les syst mes alimentaires locaux Lefin et al IDD 2010 76 S Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie e Wallonie 2 Analyse L Institut du D veloppement Durable IDD nous a permis d examiner les r ponses deux enqu tes effectu es en 2010 La premi re enqu te touche 27 GAA diff rents soit 35 des groupes r pertori s en 2009 par Saveurs Paysanne La deuxi me compl mentaire d taille les r ponses de 93 participants Nous les avons utilis es pour analyser l volution de la cr ation des groupes des motivations et du public au cours du temps a Description Les deux chantillons sont compos s de jeunes participants La moiti des groupes r pondants existent depuis deux ann es maximum au moment de l enqu te Seuls 12 des groupes indiquent avoir t cr s plus de 5 ans avant l enqu te Cette tendance se retrouve parmi les r pondants l enqu te individuelle 50 des r pondants de groupes solidaires et un tiers des r pondants de GAC d clarent participer leur groupe depuis moins de deux ans au moment de l enqu te 75 des r pondants individuels habitent dans des communes urbaines Tableau 3 Composition des chantillons Enqu te
181. et leurs impacts en termes d emploi ainsi que de d penses publiques sont essentielles prendre en compte pour avoir une vision d ensemble de la situation et de son importance 8 II n existe pas en Wallonie d information statistique repr sentative de la situation conomique des producteurs travaillant en circuits courts Beaucoup d assertion sont donc consid r es comme vraies sans v ritables fondements Bien que leur situation d pend de circonstances sp cifiques telles que le climat la densit de population etc nous devons donc nous baser sur des tudes r alis es dans d autres cadres L tude de Duffy a t r alis e aux Etats Unis o la sp cialisation en monocultures grande chelle est beaucoup plus pouss e qu en Belgique et le retour l hectare devrait donc tre sup rieurs conomies d chelles avantages comparatifs etc L cart entre les CSA et l agriculture conventionnelle devrait donc tre encore plus important en Belgique 59 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 1 Forces et faiblesses des circuits courts en Wallonie Les avantages et inconv nients de la commercialisation en circuits courts pour les consommateurs les producteurs et la soci t sont synth tis s dans les tableaux 1 et 2 Ces forces et faiblesses concernent six domaines les ressources le march l organisation la durabilit le sens et les r glements Les l ments
182. et parmi les participants depuis moins d un an Q49 Ils trouvent qu il est important de faire conna tre le syst me d autres personnes Q41 Toutefois ils ne sont g n ralement pas pr ts s investir personnellement pour aider la cr ation de nouveaux groupes la variance est importante Q42 Lors des r unions le th me de la formation de nouveaux groupes est en moyenne jug peu important mais cela varie fortement d un groupe l autre ii Mise en r seau L id e de raffermir les liens existants continue de faire son chemin en Wallonie Des contacts inter GACs se mettent progressivement en place au niveau sous r gional Des informations et contacts sont chang s des outils comptables et informatiques sont mutualis s Certains groupes organisent ensemble l achat group de produits plus rares ou plus lointains huile d olive fruits l gumineuses Toutefois nombre de projets de circuits courts existants et de leurs participants craignent qu une structuration du mouvement n implique un contr le sanitaire et ou fiscal d initiatives relevant actuellement de la sph re priv e En cons quence l id e de structuration est vite per ue comme tant intrusive En outre l institutionnalisation l volution en gros machin qui abandonne en partie les objectifs des fondateurs la r cup ration de ce qui au d part sortait des sentiers battus est redout e par les personnes ayant impuls ces initiative
183. et services produits et transform s localement et durablement Pr voir des points APE 0220 introduire des crit res de localit dans les aides IDESS 0240 Autoriser officiellement la participation b n vole des ch meurs aux GAA 0250 Elargir le PWDR 321 maisons multiservices 0280 Segmentation horeca subsides 0300 R gulation de march s quotas 0320 Rayons produits locaux sans marges arri res promotion 0270 Populariser les halls relais 0330 Espaces de stockages et plateformes logistiques 0340 Centrales d achats pour collectivit s restaurateurs 0350 inciter les consommateurs individuels pr f rer lachat de biens et services produits et transform s localement et durablement Int grer le tourisme au minist re de l conomie 0430 Actualiser la liste de l APAQ W 0380 Am liorer Bistrots de terroir 0400 Diffuser la liste des points de vente locaux dans les journaux et sites des communes 0410 Inciter les collectivit s publiques et priv es pr f rer l achat de biens et services produits et transform s localement et durablement Quotas dans les collectivit s publiques 0490 la cr ation 0440 A la p rennisation 0470 March s publics 070 Locaux communaux 0450 Sensibilisation sant 0510 Diffusion chartes et guides pour collectivit s 0520 Recenser l offre DGARNE 0390 D velopper un espace sp cifique sur le site de la r gion 0420 Commerciaux producteu
184. eting ou conomique rentabilit CQPF Accueil Champ tre Saveurs Paysannes Fili re Conseils de Fili res Wallons APAQ W OPW Syndicats FWA FUGEA MAP UNAB Trouver des producteurs et consommateurs locaux e Moteurs de recherche www groupesalimentaires be APAQ W Saveurs Paysannes le Biotin GAL etc Agricovert E411 Epi vert Namur les Grosses L gumes Gaume Topino Bxl Efarmz Bxl Paniers Verts Li ge Hartenboer Flandres etc Caf s restaurants et tourisme Wallonie des saveurs Bistrots de terroir etc Associations Bioforum Natagora Cuestas Faune et Biotope Nature et Progr s Mouvement Terre en Vue etc Autres Service de Remplacement Agricole Agricall etc Contexte l gislatif Incertain r vision de la PAC Incomplet pas de statut pour installation nouveaux agriculteurs hors cadre familial pas de statut d installation transmission etc Tr s trop strict normes sanitaires bail agricole etc et 57 lt d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 2 Wallonie manque de conseil de terrain en amont des contr les Propositions e Adapter le Contexte l gislatif d actions politiques e Demander les adaptations pour petites structures au niveau europ en D velopper un statut d installation transmission hors cadre familial e R server inciter emplacements de march s pour locaux e Certifications labels etc
185. ets et gt Fili res compl mentaires exc dents o Revalorisation de biens usag s e Collectivit s e Finance e Tourisme e Construction et habitat e Aide alimentaire e Production d nergie o Eolien o Photovolta que o Thermique En outre le concept de circuit courts durable et de proximit peut galement s appliquer aux secteurs qui ne respectent que certaines des trois logiques sous jacentes durabilit localit coh sion en perdant certaines de ses caract ristiques Une conomie aux p riph ries des Box 11 Secteurs aux p riph ries des circuits courts durables et de proximit circuits courts durables et de proximit peut se d velopper en respectant certains de leurs atouts Les incitants au d veloppement de chacun de ces secteurs e Culture et les modalit s de d ploiement e Mobilit douce envisageables en cons quence d pendent e Formation galement de la des logique s dans e Services laquelle ils secteur s inscrivent 105 EE i lt El Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie lt Wallonie Enfin certains secteurs et types d activit sont exclus des fili res courtes La Figure 6 situe les secteurs envisag s en fonction des logiques de circuits courts de localit et de coh sion La Figure 7 d crit les incitants correspondants Ensembles les Figure 6 6 et 7 d crivent les crit res de d finition applicables et les incitants pertinents pour le d veloppement de chacun des sect
186. eurs envisag s Figure 6 Secteurs Circuits Courts D veloppement Durable Local R gion Energie bois Wallonne Alimentation durable GAA AMAP agric urbaine Artisanat de bouche Boissons Brasserie de la Lesse Aide alimentaire Ferme de la vache piceries sociales Tourisme produit transform s pour collectivit s TCO Produits d hygi ne et d entretien Hecyclage batiments biens usag s textiles ch ts nergie Finance Ecus balladeurs Cr dal monnaies compl mentaires Sant Commerces de proximit Quelque chose faire osse Moulin atovolta que Livraisons dioxyde de gambette Secteurs Exemples 106 P4 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie P Wallonie EN CONSEIL Figure 7 Incitants Circuits Courts Economiques financiers Partage du risque Co ts de transaction Gestion Marges Qualit des emplois internes et externes Coh sion sociale Sens valeurs morales authenticit Autonomie d cisionelle technique conomique Gouvernance d mocratique capacit de d cision Appropriation Convivialit Rencontres outien aux producteurs locaux D veloppement Sens Dynamisme conomique Durable Dynamisme territorial Local R gion Wallonne Transparence change de savoirs Aternative ou militance revendications Mot
187. euvent tre des personnes physiques ou morales Dans les soci t s coop ratives responsabilit limit e SCRL les associ s sont responsables concurrence de leurs apports Les SCRL permettent de formaliser le respect de certaines valeurs Le conseil national de la coop ration CNC r unit les coop ratives qui respectent l id al coop ratif Gestion d mocratique Le principe de base est un homme une voix Cette r gle peut tre temp r e mais personne ne peut avoir plus de 10 des voix Les parts conf rent les m me droits et obligations Dividende mod r limit 6 net Les associ s peuvent b n ficier de ristournes Adh sion libre ouverte toute personne s engageant respecter les statuts Administrateurs et commissaires d sign s par l assembl e g n rale Les administrateurs exercent leur mandat titre gratuit La soci t est au service de ses membres L agr ment CNC renouveler tous les 4 ans permet entre autre l exon ration du dividende sous 180 euros pour les associ s personnes physiques et l exemption de l obligation de prospectus en cas d appel public l pargne En outre la SCRL permet de r unir tant capital de d part que du capital variable Les soci t s finalit sociale FS ont un but non lucratif m me si elles ont des activit s commerciales Elles poursuivent un but social qui rel ve de l int r t collectif Les b n fices ne peuv
188. exemple y double presque entre la premi re et la troisi me ann e de participation Q 2 83 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie jis H Wallonie Ces groupes participent majoritairement au r seau structur des GASAP Les animateurs de ce r seau sont tr s militants et organisent beaucoup de r unions de sensibilisation la r alit de producteurs Ainsi une journ e par an les consommateurs vont chercher leurs 800 paniers Tour et Taxi rencontrent des producteurs et boivent un petit verre et participent des d bats Au cours du temps les rencontres en face face avec les producteurs les visites la ferme le sentiment d appartenance un groupe social et la r gularit du groupe voir le chapitre 3 2 poussent les participants s int resser aux conditions de production et le travail des producteurs et aux enjeux sous jacents Il semble donc pertinent d abord de proposer des formules flexibles r unions timing afin d attirer un public plus large moins militant et parfois initialement plus concern par les prix ou les facilit s propos s ensuite de g n raliser la sensibilisation et le travail en r seau sur le mod le des GASAP iii Abandon des non convaincus L enqu te ne nous renseigne pas sur les abandons La taille moyenne des groupes parait stable Cependant nous savons que les GAA connaissent des flux de participants importants et que la p rennit des groupes es
189. exte l gislatif e Dans les march s publics voir Turin Strasbourg etc e Jouer sur les incitants un titre vert les caract ristiques pr cises du produit demand taux en sucre les souhaits exprim s saisonnalit tra abilit et le choix de races et de vari t s produites localement vont par exemple inciter certains offreurs r agir plut t que d autres La description des caract ristiques du produit fini mais pas de ses intrants peut d crire les qualit s quantit s et fiabilit s d sir es et demander une description des processus utilis pour atteindre ces crit res Elle peut inclure des sp cifications techniques mesurables du produit ou service mais pas de l op rateur et peut se r f rer des normes europ ennes ou nationales par exemple environnementales en incluant les mots Le ou quivalent Les villes de Nantes et Rennes requi rent par exemple des produits sans OGM Des crit res relatifs au processus de production sont admis sauf si celui ci est d pos ou accessible uniquement dans un pays ou une r gion Ainsi un pourcentage de mat riaux r utilis s ou recycl s utilis s dans la production du bien peut tre indiqu et l utilisation de m thodes biologiques ou d lectricit renouvelable peut tre requise Il est possible de passer par des crit res de fraicheur et d imposer des d lais courts du champ l assiette comme cela se fait beaucoup dans les collect
190. fois un num ro d agr ment sp cifique pour l AFSCA Nous pr conisons la cr ation d une coop rative d activit d di e aux transformateurs mettant disposition des locaux et outils adapt s en vue de tester leur activit 0150 Ainsi les aspirants boulangers bouchers fromagers et autres pourraient lancer leur activit moindre risque en d veloppant petit petit leur client le De m me nous souhaitons investiguer l id e de cuisines conserveries collectives 0160 Les producteurs pourraient y transformer leurs produits par s chages salage vinaigrage ou cuisson au weck et emballage sous vide afin de r soudre le probl me de l coulement lors des pics de productions notamment pour les l gumes en t Ces cuisines conserveries collectives seraient lou es de petits transformateurs alimentaires n ayant pas les moyens d investir dans des cuisines respectant les normes de l AFSCA Par ailleurs des groupes locaux GAC habitats group s membres de jardins collectifs pourraient galement louer ces lieux afin d y conserver leurs produits Enfin il faut faciliter la mise aux normes sanitaires des petits transformateurs 0170 La mise aux normes devrait se faire de mani re chelonn e afin de permettre aux petits transformateurs de r aliser les investissements n cessaires La Cellule Qualit Produits fermiers CQPF informe les agriculteurs au sujet des normes sanitaires Toutefois nous ne connaissons pas d inte
191. fonction de leur m thode de production et leur proximit g ographique Pour la grande majorit des r pondants l enqu te les GAA sont une occasion de se positionner par rapport la soci t et ses valeurs et de r fl chir activement la construction par le local d une autre soci t et d une autre consommation Ces r pondants acceptent d investir plus de temps pour en retirer des relations et des produits de qualit Les discours plus marginaux sont vari s Pour les h donistes le plus important r side dans la qualit des produits frais sains locaux Les alterlocalistes sont soucieux de s investir activement et b n volement pour changer le local au travers des groupes d achats Penser global agir local Les altermondialistes sont plus militants conscients de poser des actes pour la soci t soucieux de bien distinguer les GAA du syst me traditionnel et oppos s toute forme d institutionnalisation Pour les conomes les groupes d achats repr sentent surtout un moyen de se procurer des produits de qualit un moindre co t Enfin une minorit de d us souhaiteraient davantage d organisation et d efficacit La plupart des personnes interrog es consid rent le niveau de convivialit en leur sein comme assez lev Celui ci se manifeste par une participation active de la plupart des membres au fonctionnement du groupe par des changes informels de recettes
192. gasin la ferme un stand les machines n cessaires au nettoyage l emballage etc Vendre des paniers par internet par exemple demande de cr er un site ad quat C est un co t fixe qui ne varie pas selon la quantit de produits effectivement vendus Le co t de ce site doit tre pay par les paniers qu il permet de vendre En outre les co ts varient selon les fili res de commercialisation Etre pr sent plusieurs jour par semaine sur un march par exemple repr sente un travail important et emp che de faire autre chose pendant ce temps au contraire de la vente sur champ Les pertes dues aux invendus sont plus importantes quand les produits sont plus p rissables Multiplier ses fili res de commercialisation veut dire multiplier ses co ts fixes Il faut que le revenu par unit vendue en vaille la peine ce qui veut dire qu il faut atteindre une taille minimale pour tre rentable Multiplier les fili res de commercialisation permet toutefois aux producteurs de diversifier les risques r pond aux attentes et aux habitudes de la diversit des consommateurs 4 Partage du risque Certains circuits courts permettent de partager le risque entre les producteurs et les consommateurs Plus l activit est risqu e et ou plus les producteurs sont averses au risque plus ces fili res courtes sont int ressantes pour les producteurs U Il n existe pas notre connaissance de comparaison globale du chiffre d affaire et
193. ge ou des quotas de produits durables et sans marges dans les magasins de quartier de la grandes distribution devraient tre lanc s sur le mod le des certificats verts Ces quotas devront augmenter progressivement tant en ce qui concerne les types de produits que le pourcentage pr sent Les produits durables devront tre d finis par consensus Il faudra s associer avec des PME de transformation De premi res pistes afin de s inscrire dans les marges de man uvre ouvertes dans Les installations de cog n ration de qualit ou utilisant des sources d nergies renouvelables se voient d livrer des certificats verts par la Commission wallonne pour l Energie CWAPE Les fournisseurs d lectricit doivent obtenir un quota de certificats verts proportionnel leur volume de vente d lectricit Ce quota atteindre par les fournisseurs conna t une hausse annuelle progressive La valeur du certificat est proche mais inf rieure la p nalit inflig e aux fournisseurs d lectricit qui ne remplissent pas leur quota Ceux ci doivent d s lors acqu rir des certificats verts Un march de certificat vert est cr Source http energie wallonie be nl systeme d octroi de certificats verts html IDC 6384 amp IDD 12277 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprise
194. ges e Tableau 2 Inconv nients 2 R CUP RATION DES MARGES sssssscscscsesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesesenes 63 3 CO TS FIXES ET CO TS MARGINAUX us sisisisisisssesssssesessse tn 1111 1n 111r 1n tntu 1n nEn EnEn nEn es recenser 64 4 PARTAGE DU RISQU 2 2 5 2 ame amet messe dede sonce nie dense sec E ten R EEE cie datent tent oc EE uece ne it nse se seen 64 5 CO TS DE TRANSACTIONS ET ASYM TRIES D INFORMATION use seceesenuasecenneesenceeesenneeeceeneesesneeceeesseeeceesseseee 65 O2 GESTION ESE EEE EE E AEA dieser etes dc n Gender EAEN A ace en Denc se et den Dec cet 0 66 Tes EXTERNALIT S uni races tetes ere dont ae Pa dei mare Det das der da re ru E E en ne den reset tes da ce fine 66 Box 4 4 types de valeur ajout e __Box 5 Coh sion sociale CIRCUITS COURTS COLLECTIFS 2 28 ins tosusscebedtaneniens es cnnurvananeenme cannes ai aa a i aaa ia 1 LES GROUPEMENTS D ACHATS ALIMENTAIRES nn ns se nenennceseseeeeccnnneneseseeeesnee 74 1 INTRODU TION 5 2425a5 errant ae E terne One ec E Sd n does re ane n ON casses rec ledit nec cette 74 e Figure 3 Evolution quantitative e Figure 4 R partition g ographique _Box6 Caract ristiques 42 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie 2 ANALYSE sirrin eieaa a a ane a a a a A ae a a aaa en en mi eu 77 e Tableau 3 Composition des chantillons e Box7 Vers des initiatives individuelles
195. gitimit Organisation LP ofession LL alisation TEE Critique valeurs gt percole gt lt 4 les politiques March incorpor eV publiques ation frustration Institution alisation 89 5 lt A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie TS Wallonie 2 COLLECTIFS DE PRODUCTEURS Arr tez de vouloir que l agriculteur fasse tout je suis pas commer ant Les circuits courts r pondent des incitants sp cifiques pour les producteurs comme l autonomie le partage du risque etc Cependant la sp cialisation et la taille d une exploitation tendent favoriser sa rentabilit Il importe toutefois de ne pas reproduire les circuits longs au niveau local La multiplication des plateformes logistiques sur un territoire n est donc pas forc ment pertinente Les regroupements de producteurs permettent des gains d efficacit en mutualisant les co ts de commercialisation et de n gociation Elles permettent de mettre de l information en commun de diversifier la gamme des produits offerts et le risque tout en se concentrant sur son m tier Les regroupements coop ratifs de producteurs permettent de pallier l absence d conomie d chelle tout en gardant le contr le de l enti ret de la fili re L exp rience d Agricovert SCRL FS montre qu une coop rative de producteurs permet une gestion d mocratique est source de convivialit ainsi que d cha
196. gne Minet 2003 Ils peuvent prendre la forme de groupements d achats communs GAC de groupement d achats solidaires GAS de GASAP ou d AMAP Dans le syst me des AMAP les consommateurs partagent donc le risque de la production avec l agriculteur Le panier est pr financ hauteur des co ts de production estim s en incluant un revenu d cent pour le producteur Ils discutent ensemble des denr es produire et se mettent d accord sur les m thodes agronomiques employer extraits de http www reseau amap org amap php Les GASAP sont des Groupes d Achat Solidaires de l Agriculture Paysanne Ils sont inspir s des AMAP Un GASAP est un groupe de citoyens qui s associent directement avec un producteur paysan pour acheter de fa on r guli re et long terme et ce en circuit court de quoi se nourrir en produits de saison de qualit Cela peut tre des l gumes mais aussi des fruits du fromage etc C est un groupe de soutien l agriculture paysanne et un mode de commercialisation directe se basant sur l conomie locale Il permet de soutenir des producteurs locaux travaillant selon des m thodes respectueuses de l environnement et des savoir faire traditionnels L objectif est que le producteur soit le principal b n ficiaire de la vente de ses produits Il constitue une alternative la grande distribution Le producteur principal de chaque GASAP souvent mara cher labore avec chaque groupe un co
197. haleur d un processus industriel La chaufferie centralis e peut tre constitu e d une ou plusieurs chaudi res ou unit s de cog n ration fonctionnant avec diff rents types de combustibles fossile mazout gaz charbon renouvelable biomasse s che dont le bois humide ou huile v g tale g othermie ou un mixte des deux Un r seau de chaleur permet de mutualiser les investissements et le recours aux nergies renouvelables et d optimiser le dimensionnement et le fonctionnement d une chaufferie centralis e plus simple entretenir Il est particuli rement efficace si les consommateurs sont compl mentaires saisonnalit etc et concentr s dans un p rim tre restreint Toutefois laborer un r seau de chaleur requiert la sensibilisation en amont de tous les consommateurs potentiels ainsi que des travaux de g nie civil importants De plus l achat et l installation d une chaufferie au bois co tent g n ralement 3 5 fois plus cher qu une chaufferie classique co ts des chaudi res des syst mes d acheminement des travaux de g nie civil etc En revanche entre 2000 et 2010 le prix de l nergie bois est ma tris Entre 2000 et 2010 le prix moyen de 10 kWh entr e chaufferie a oscill entre 20 et 44 centimes pour le bois nergie Celui du fuel entre 29 et 99 centimes FRW 2011 Figure 8 Localisation des projets bois nergie publics en Wallonie Projets pu
198. icots Bruxelles peuvent vous aider lancer des projets de groupes alimentaires et de potagers collectifs paniers acheter en circuit court et ou local Garanties participatives Finance citoyenne Ressources Etude sur les dispositifs alimentaires locaux 2011 Circuits courts et commercialisation 2009 Bail environnemental fran ais 2005 Cahier des charges pour denr es non sensibles en Flandre Prix juste R seau des GASAP Agricovert Cr dal 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 3 INCITANTS AVANTAGES ET INCONVENIENTS Ces derni res d cennies la taille moyenne des exploitations agricoles et le nombre d interm diaires ont graduellement augment avec le soutien de la politique agricole commune Les conomies d chelle et les avantages comparatifs poussent en effet la sp cialisation Pourquoi donc vouloir produire et transformer petite chelle et commercialiser en circuits courts Certains souhaitent travailler avec plus d autonomie D autres n auraient pas assez de capitaux pour s organiser autrement Dans la commune de Rotheux par exemple le prix de la terre agricole d passe 26 000 euros l hectare En comptant le capital foncier terres am liorations fonci res b timents et quotas de production et le capital d exploitation cheptel vif cheptel mort et capital circulant l ensemble des capitaux engag s dans une exploitation agricole s l ve en moyenne
199. ies par les acteurs de terrain fran ais pour le d veloppement des circuits courts hors de l alimentaire Les circuits courts de l argent permettent de relier directement pargnants et emprunteurs Alternatives conomiques juin 2012 Ils permettent d tablir une dynamique locale autour d un projet g n rateur de richesses en territoire connu en palliant un manque local de certaines activit s et en d veloppant une d marche d accompagnement et ducative l attention des porteurs de projets et en palliant un manque local de certaines activit s ESS 2012 Le respect de la grille des crit res de d finition des circuits courts durables et de proximit a t analys dans l analyse de laxe 4 de ce travail disponible en deuxi me partie de ce rapport Le travail sur les circuits courts et l extension du microcr dit d veloppement durable avec la cr ation de la grille d analyse DD ont permis de conclure qu une impl mentation vers un outil de financement adapt destin un public plus large que le public sp cifique du microcr dit et des projets de plus grande ampleur tait n cessaire Description Cr dal a donc d velopp le cr dit Impact Un cr dit de maximum 100 00 200 000 en cas de cr dit immobilier destin des entrepreneurs souhaitant Entreprendre durablement ou dans les services la collectivit Sans tre forc ment exclu bancaire ni vouloir poser leur
200. il Gyn co SAW B Propages AGES Progress Febecoop e Structures d Accompagnement l Autocr ation d Emploi SAACE sans test AFFA Cr dal Entreprendre Arebs Creo Groupe One Jecr emonjob e SAACE avec test Avomarc Azimut Challenge Crea job Job in SACE Step by Steppes Start construction e Autres BEP AID UCM R seau Wallon de D veloppement Rural Solvay Entrepreneurs Format PME FJE PME Cr ation SMart DIES R seau Diane etc e Guichets d entreprises e Pour s y retrouver infos entreprises Animateurs socio conomiques structures de d veloppement local etc e R gionaux RWDR IEW RAWAD RSAP etc e Supra communaux GAL Parcs Naturels etc e Communaux Agenda 21 PCDN PCDR ADL etc Mouvement citoyens e Groupes alimentaires potagers collectifs SEL RES donneries repair caf s etc 194 e Monnaies compl mentaires Epi Eco Iris etc e Autres Villes en transition Guilde des commerces durables co quartier associations locales citoyennes e Faites appel ce qui existe entreprises d conomie sociale recyclage Ressourceries points v los etc Agriculture e Formations pratiques Crabe CIM Centre Pilote BIO EPI Devenirs FUGEA ISla Huy ITHCF centre horticole de Gembloux IPEA La Reid e Formations scolaires Ath Hainaut Ciney EPASC BacAgro Namur La Reid Li ge etc e Accompagnement normes sanitaires administratif commerciali
201. ili re viande Des actions et pistes concr tes devraient sortir de ce groupe pour tre communiqu es au politique mais aussi pour d velopper le secteur Une premi re rencontre s est tenue Namur le 4 octobre 2013 entre diff rents acteurs de la fili re Les principaux constats et opportunit s et revendications sont expos s ci apr s CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y E 150 Wallonie Rapport final D cembre 2013 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en B R sultats de la matin e d changes du 4 octobre 2013 sur la probl matique des abattoirs de proximit Analyse SWOT pour le maintien d veloppement des abattoirs de proximit partir des t moignages des abattoirs et leveurs recueillis lors de la matin e Pr alables distinction entre abattoirs de volailles et abattoirs de bovins porcs ovins et quid s et au sein de ceux ci abattoirs publics et priv s Atouts forces Faiblesses difficult s Opportunit s Menaces Abattoirs volailles lap
202. ilit s Le pr financement mensuel annuel des produits l agriculteur d actions citoyennes est un acte militant port par une petite couche de la population Pour rassurer et attirer un public plus nombreux un organisme financier tampon peut agir comme levier fonds d dicac s etc d Construction et habitat Durable l coconstruction vise diminuer la consommation des ressources et les impacts environnementaux des b timents tout au long de leur cycle de vie nergie grise fabrication recyclage des mat riaux performances nerg tiques des b timents etc Reddi 2012 L utilisation de mat riaux locaux n est pas syst matiquement possible mais certains des mat riaux de construction sont produits par des producteurs wallons C est le cas de la paille agglom r e de la chaux du chanvre du lin de l argile du bois de la pierre etc Cependant certains de ces produits sont g n ralement import s C est le cas de 80 du bois utilis dans la construction Contrairement la construction industrielle qui a pour but d conomiser la main d uvre le b ti cologique promeut le travail humain le savoir faire artisanal et l conomie locale LPST 2012 Le secteur de la construction durable est intensif en main d uvre Des entrepreneurs locaux sont parfois le seul interm diaire entre les producteurs de certains mat riaux et les futurs habitants L tablissement de relations r guli r
203. iller d avoir un label sur le produit qu on re oit Le label bio europ en en est arriv prot ger l agriculture industrielle bio et ses entreprises de transformation Leurs pratiques sont les m mes que dans l industrie de l agro alimentaire conventionnelle simplement les intrants sont diff rents Les syst mes de garantie participatifs semblent donc tre une option int ressante pour les circuits courts durables et de proximit Ainsi chez les Grosses L gumes chaque producteur re oit 2 journ e par an des consommateurs d autres producteurs et membre des asbl du m me r seau Le but de cette visite est de voir expliquer comprendre comment les l gumes sont produits notamment par rapport la charte des Grosses l gumes C est aussi l occasion d changer sur les techniques et les savoirs utilis s et leur ventuelle ad quation chez d autres producteurs et pourquoi pas dans le jardin des abonn s pr sents C est surtout une occasion d changes en toute confiance A la suite de cette visite le r seau tablit une fiche de visites comprenant ce qui a t vu discut interrog et r pondu dans un rapport qui a le m me contenu de base pour tous les producteurs 7 Commentaire d un GASAP en compl ment de l enqu te individuelle IDD 23 http grosses legumes over blog com pages Svsteme de Garantie Participative SGP 2581582 html 24 3 Ibidem 81 lt Les cir
204. in et entre des groupes Risque de fatigues des porteurs et des motivations Risque de tensions entre les personnes Et parfois Temps pour les courses Temps de pr paration Producteur Soci t externalit s LE Risque de faillites Difficult de contr le fiscal Rentabilit faible mara chage Salaires peu lev s et fluctuants Diversit des m tiers gt diversit des co ts Difficult d estimation des co ts Probl mes de tr sorerie Apparition de gros producteurs concurrents dans la niche Diversit des m tiers gt diversit des investissements en quipement v hicule adapt lieu de vente transformation Investissements et amortissements tr s importants et tr s long terme se d barrasser de ses dettes pr c dentes avant de passer en bio etc Probl me d acc s aux capitaux et cr dits Acc s la terre difficile Diversit de m tiers production logistique transformation commercialisation vente communication Manque de formation initiale ou continue d accompagnement technique Contexte de perte de savoirs traditionnels Creux p riodiques de la demande saisonnalit Consommateurs plus exigeants parfois Volumes pour collectivit s Eloignement g ographique des clients demande concentr e en ville Pas de patriotisme alimentaire Manque de labels en Wallonie Faible mutualisation des informations sur les d marches suivre Manque de connaissa
205. inancier calcul du seuil de rentabilit Juridique D terminer la forme juridique qui Adopter des statuts d finitifs Se conformer aux autorisations convient Cr er la structure et r glements sp cifiques au R aliser des statuts Obtenir agr ments techniques secteur a Identifier obtenir autorisations et r glements sp cifiques au secteur g sanitaires acc s profession E permis reprise d chet voir avec T O Ewbank Gouvernance R aliser un organigramme de Mise en place des organes de Op rationnaliser la gouvernance Eventuellement finaliser le recrutement de personnel Partenaires r seau membres producteurs Avec qui Identifier la liste des fournisseurs partenaires qui composent la chaine de valeur les conditions de partenariat cr ation charte crit res de choix des producteurs Formaliser le r seau et les partenariats Identifier une quipe de porteurs de d part Valider la liste des fondateurs de la structure Valider affiner la liste des fournisseurs partenaires qui composent la chaine de valeur les conditions de partenariat SGP logistique Evaluer les fournisseurs partenaires qui composent la chaine de valeur les conditions de partenariat C Exemple Business Model Canvas pour l conomie sociale Partenaires cl s Qui sont nos partenaires et nos fournisseurs cl s Qu apportent ils en termes de services de comp ten
206. ins Abattoirs multi esp ces client le plurielle particuliers et professionnels v ritable r le social 2 000 clients souplesse et flexibilit petites et grandes quantit s d animaux D veloppement des circuits courts qualit de volailles non trouv e ailleurs plein air volailles plus g es Le code wallon de l agriculture inscrit l importance des petits abattoirs dans le contexte de d veloppement r gional Qualit sanitaire aussi bonne que dans de grands abattoirs avec des cadences plus faibles Les scandales ne viennent jamais par les petits N atteint pas les seuils d abattage pour rentabiliser les frais fixes qui sont de plus en plus lev s lavages AFSCA frais d analyses personnel gt d ficit chronique Cohabitation particuliers et professionnels et gestion des diff rentes cat gories Bio salmonelle etc et esp ces lapins canards poulets etc Travail fa on pas de valeur ajout e pour l abattoir Manque de moyen pour mise aux normes en 2017 Exigences en termes d hygi ne reposant sur un objectif de moyens et non de r sultats cela repr sentant un co t financier non n gligeable Pas de cat gorie interm diaire il faut tre CEE ou pas Expertise contingent e le v t rinaire vient le matin et apr s l abattage pour l analyse ante et post mortem bien tre animal diminu e les animaux restent 5 6 heures dans le hangar avant aba
207. ion d abattoirs locaux et autres ateliers de transformation meuneries tueries fromageries mielleries D velopper une centrale d achat pour restaurateurs Proposer un mod le de contrat s inspirant des contrats franchis franchiseur Sensibiliser les GAA tendre leur gamme de produits achet s produits secs huile bi re miel ou autre CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 Nf AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y n Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 N CONSEIL Agir localement Cuisines de collectivit s Freins Principaux e Les collectivit s traitent avec tr s peu d interlocuteurs e Demande des adaptations au niveau de la production investissement dans des unit s de transformation plus larges logistique adapt e flexibilit pour adapter les volumes aux exigences diversit des produits pr par s en 4 gamme etc Demande des adaptations au niveau des collectivit s variation des tailles grammages moins pr cis autres produits Cont
208. ion du concours Best Belgian Beer of Wallonia Coh sion conomique L objet social de notre SCRL FS est bien videmment de brasser et de distribuer de la bi re mais galement toutes les activit s que l on peut retrouver autour c est dire la production agricole des mati res premi res le maltage de l orge les activit s festives et culturelles autour de la bi re ainsi que de mani re plus g n rale la production et la distribution de produits agricoles artisanaux issus de la culture et de l levage transform s ou non Nous avons souhait inscrire notre projet dans un mod le conomique dont l objet principal est la cr ation d activit et non la recherche du profit maximum On travaille en circuit court pour la vente Nous avons des points de d p t sur Namur et dans la r gion il s agit de particuliers chez qui les clients peuvent venir chercher leur commande Les bi res sont aussi distribu es par Agricovert et nous livrons certains groupes d achats communs Crit res environnementaux Nous souhaitons galement que ces activit s puissent s inscrire dans une conomie au service de la collectivit et respectueuse de l environnement Les ingr dients sont le plus locaux possibles et 95 99 sont actuellement bio Afin d avoir la meilleure bi re possible mais aussi de soutenir l agriculture biologique Proximit g ographique La finalit sociale de la coop rative est la r
209. ion territoriale que sont les circuits courts qu est ce qui existe quelles politiques aides partenaires institutionnels leviers etc Mieux canaliser structurer les changes d in formations Encourager les r les d information et de stimulation des pouvoirs publics locaux e GAA Permettre officiellement aux ch meurs de s investir b n volement D velopper et p renniser accompagnement cr ation Mise disposition de locaux au niveau communal Clarifier information exigences sanitaires voir proposition Map Fugea Faciliter passage de t moin Conseil pour p rennisation transformation sous forme commerciale tudier les trajets effectu s par les producteurs consommateurs pour rationaliser coordonner e Distribution Soutenir et d velopper les syst mes d changes locaux dont les monnaies compl mentaires Diffuser le mod le coop ratif Inclure orientation vers conomie sociale de distribution lors de la r forme des APE la Code NACE n accepte pas les commerces de d tail Introduire crit re de localit dans la r forme des IDESS Elargir la mesure 312 du PWDR maisons multiservices l coulement de produits locaux Soutenir cr ation de lieux mixtes ateliers formation vente Cr er march itin rant li plateforme de vente en ligne 109 w lt CES Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie S 2 Produits compl mentaires aux fili res courtes existantes
210. iorit production locale existante surcout mod r go t qualit s de conservation CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y ma Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Agir localement Aide alimentaire Freins Principaux e Manque de coordination entre les initiatives CPAS et associatif etc manque de liens avec les secteurs de l insertion et de l conomie sociale e Normes sanitaires rigides limitent l action produits non p rissables non p rim s mais date de vente pass e etc et impliquent des investissements importants pi ce frigorifiques pour distribution de colis etc e Les appels projets existants ne permettent g n ralement pas la dynamique positive entrain e par la mixit des publics e L exigence de preuves de pr carit en vue de cibler le public est stigmatisante e Les projets subsidi s court terme ont du mal se p renniser ce qui entraine des frustrations et restreint les motivations Contexte l
211. ircuit court de la restauration collective et future mise en place du label entreprise Eco syst mique crit res du label adapt s pour le secteur de la restauration avec reconnaissance des aspects approvisionnement local e Pour renforcer l offre e Renforcer la dynamique r seau mise en commun des petits producteurs afin que les volumes demand s par la restauration collective soient rencontr s logique coop rative e Appuyer financi rement et commercialement le d veloppement de plateforme de distribution circuit court voir Strasbourg Munich e Encadrer la mise en place d une offre produit circuit court r pondant aux attentes du secteur nouveaux produits adapt s conditionnements ad quats e Faciliter le dialogue entre les acteurs producteurs vs catering pour d diaboliser l image de la restauration collective aupr s des petits producteurs Si la volont existe de commencer par certains produits les yaourts aux fruits sont cit s en priorit production locale existante surcout mod r go t qualit s de conservation Ressources Guides et outils CIVAM 2012 Minist re de l alimentation de l agriculture et de la p che 2012 charte de la commune d Ottignies Louvain la Neuve outils Bioforum etc Etudes sous r gionale Etude technico conomique BEP Ecores en cours Fontaine 2009 Projet pilote App tits Champs RAWAD March s publics http www quidedesachatsdurables be exemples de clause
212. ises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 Y AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W o Ka Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie EN Rapport final D cembre 2013 CONSEI Niveau macro BIRB Niveau m so Banque alimentaire F d rations Resto du C ur Croix Rouge etc Associations caritatives saint Vincent de Paul etc Niveau micro CPAS services sociaux piceries sociales restaurants sociaux distributions de colis Energie Energies vertes e Accompagnement Reddi facilitateurs nergie e Associations Rescoop Apere e Exemples wallons Clef Vents d Houyet Emissions Z ro Courant dair Ateliers de la rue Voot Nosse moulin etc e Que faire d autre Construire ses propres panneaux photovolta ques investir collectivement dans des oliennes des panneaux photovolta ques partag s sur quelques toits e Mouvement citoyen Passeurs d nergie Collectif nergie Gembloux Bois nergie e Accompagnement FRW Plan bois nergie et d veloppement rural PBEDR facilitateurs bois nergie secteur public secteur entreprise secteur domestique e Que faire d autres Cr er des plateformes bois 4 5 communes faire appel aux entreprises 196 d conomie sociale pour effectuer des travaux de taille de
213. it entre producteurs et consommateurs d une m me localit tout comme le lien au territoire Ils donnent un sens la consommation en y int grant dans une recherche d authenticit et de coh rence les dimensions sociales environnementales de qualit de convivialit ainsi que de proximit Enfin ils contribuent la promotion de pratiques favorables l environnement au maintien de l agriculture p riurbaine et met en valeur le patrimoine naturel et les paysages Exemple 1 Evolution du mod le agricole Avec le progr s technique l cart de productivit entre l agriculture la plus manuelle et la mieux quip e est pass de 1 contre 10 dans l entre deux guerres 1 contre 2000 la fin du 20 si cle Mazoyer 2002 En parall le l intensivit en main d uvre a diminu dans nombre de secteurs Ainsi le nombre d agriculteurs wallons a t divis par 2 5 en 30 ans de 60 141 ETP en 1980 24 315 en 2010 et le nombre d exploitations par 2 6 de 37 843 en 1980 14 502 en 2010 alors que le nombre de tracteurs augmentait de 53 L accent a t mis sur les conomies d chelles La superficie moyenne des exploitations wallonnes a t multipli e par 2 5 entre 1980 et 2010 de 20 7 51 1 hectares alors que la surface agricole utilis e diminuait de 5 Par ailleurs afin de maximiser les avantages comparatifs l agriculture s est fortement sp cialis e d une r gion du monde l au
214. itiatives comme Brusselicious sont cet gard int ressantes 75 F1 IS Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie SD Wallonie Box 6 Caract ristiques des GAA en Wallonie et Bruxelles En Belgique la plupart des groupes d achats alimentaires GAA sont n s tr s r cemment Ils comptent entre 10 et 20 m nages Une majorit d entre eux se r unissent r guli rement en dehors des livraisons principalement pour discuter de l organisation pratique du groupe et dans une moindre mesure du choix des producteurs et des produits Ils sont plus ou moins organis s ou institutionnalis s La plupart poss dent un compte en banque qui leur est propre organisent les paiements l avance et sont livr s par le s producteur s un local permanent Le public des r pondants est f minin 68 jeune actif souvent temps partiel tr s peu ouvrier et tr s duqu Age Statut Actifs Education 16 29ans 13 Au foyer 9 16 29ans 13 Au foyer 9 30 49 ans 60 Pr pensionn 8 30 49 ans 60 Pr pensionn 8 50 64 ans 26 Ch meur 4 50 64ans 26 Ch meur 4 65 1 Etudiant 1 65 1 Etudiant 1 Ce qui motive le choix des produits r side principalement dans leur caract re local production locale et vari t s indig nes leur go t et dans une moindre mesure leur prix Les producteurs sont le plus souvent choisis en
215. ivations thiques Implication responsabilisation levier pour engagement citoyen Motivations environnementales Diminution d penses publiques Effet multiplicateurs Relocalisation Sant 107 amp lt mx d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Agir localement DAE R E Freins Principaux e Besoin d accompagnement et d aide au lancement e Pluralit de m tiers donc pluralit des comp tences n cessaires parmi lesquelles comp tences de gestion e Besoin d impulsion valorisation des plus values par les pouvoirs publics Acteurs e Animateurs socio conomiques et structures de d veloppement local etc e R gionaux RWDR IEW RAWAD RSAP etc e Supra communaux GAL Parcs Naturels etc e Communaux Agenda 21 PCDN PCDR ADL etc e Lancement d activit s et formation e Agences conseil en conomie sociale Cr dal Conseil Syneco SAW B Propage s AGES Boutique de gestion Progress Febecoop Structures d Accompagnement l Autocr ation d Emploi SAACE avec test Avomarc Azimut Challenge Crea job Job in SACE Step by Steppes Start construction SAACE sans test AFFA Cr dal Entreprendre Arebs Creo Groupe One Jecr emonjob Guichets d entreprises Autres BEP AID UCM Trame Solvay Entrepreneurs Format PME FJE PME Cr ation Smart Dies R seau Diane etc e Pour s y retrouver infos entreprises e Mouvements Citoyens
216. ivit s du Nord de l Italie 2 Crit res de green public procurement GPP et Eco labels d une part restrictions de substances dangereuses RoHs Reach CLP d autre part Le CEN le Cenelec et l ETSI d finissent des standards au niveau europ en Le SABE assure la coordination sur les mati res environnementales 3 using organic methods Exemple http ec europa eu environment gpp pdf casestudy4 pdf 4 Exemple http ec europa eu environment gpp pdf GPP X20case 20study1 pdf plus d exemples sur http ec europa eu environment case en htm CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 Nf AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y Li Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 e Contr le et reporting Assurer que les crit res des cahiers des charges plus durables soient effectivement r alis s Propositions d actions Quotas de produits durables et locaux objectifs chiffr s voir politiques Grenelle de l environnement e Pour favoriser la demande e Diffusion des ch
217. jectif de formation et d approvisionnement alimentaire comme au CPAS des Bons Villers Ils permettent de renforcer le lien entre usagers et associations La mixit des publics apporte souvent une dynamique tr s positive mais les appels projets exigent souvent de travailler exclusivement avec un public pr caris Hubert 2012 Les circuits courts permettent de cr er du lien social entre les b n ficiaires de l aide alimentaire et les producteurs et de leur donner acc s une alimentation saine et de qualit Des synergies peuvent tre mises en place afin de renforcer l efficacit du travail social de l aide alimentaire de fa on adapt e aux mutations sociales conomiques et environnementales que connaissent nos soci t s En outre de nombreux CPAS poss dent encore des terres inoccup es propices l agriculture Par exemple le restaurant social les Uns et les Autres initi par la Mission locale de Molenbeek est galement un service d insertion professionnelle formation en cuisine service en salle et permet la participation des usagers par la culture de mini potagers communautaires en bacs les sols tant pollu s Soutenir des projets pilotes qui r cup rent les invendus et les transforment pour conservation est autre une possibilit voir les exemples fran ais du Potager de Marianne et du r seau des piceries solidaires ANDES Exemple 13 Circuits courts et aide alimentaire La Ferme de la Vache
218. jet peut appartenir plusieurs cat gories Il est galement possible de faire une recherche g ographique par cat gorie Les cat gories d finies sont les suivantes Types de produits Modes d organisation Agriculture Associations et mouvements citoyens Art et culture Commerce Construction et r novation Accompagnement et formation Restos et bars Parcs jardins et am nagements ext rieurs Logistique et livraison R emploi Epargne et finance Energie Autres En outre une cartographie du m me type a t con ue sur la nouvelle homepage du site de Cr dal afin de mettre en lien les clients et les coop rateurs de notre r seau Toutes les pages du site Cr dal y renvoient Une promotion de l outil via facebook mailing et twitter a t faite au moment du lancement Les entrepreneurs mis en vidence ont t contact s sp cifiquement Mise en N Wallonie place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 Des circuits courts et ee Hal abord 1 solidaires en Belgique ps agi Beauvechain A i verijse li oegaar Louvain la neuve ES NS EE Len enesius Rod y x T ta L HE z Doiceau P w Tout v va NS TRE y Rixensar PopAgne 100 Alter IAT Le met j Agence nues raine l All ud Lasne ann f Orp Jauche Aa Agence de presse sp cialis e d te VW P 2 H Thomas Lemaigre 1060 ENS Ottignies Louvairflai
219. l R duction de la d pendance aux importations et am lioration de la balance commerciale Augmentation densit du r seau de distribution Relocalisation conomie et emplois Am lioration sant Diminution ob sit Protection biodiversit Respect des sols v g taux animaux Moins d emballage Moins de transport Diminution empreinte cologique Moins de CO2 Levier pour susciter la r flexion l engagement citoyen et politique 61 Organisation Economique N pe E v E w n n D n v gt w v w pe SU a E O OU w TD a E w Q w pS O emps StructurationGamme Information R glements CREDAL Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Lu Wallonie Tableau 2 Inconv nients des circuits courts durables et locaux Consommateur Co t Public ayant des revenus moyens lev s et ou ayant un niveau de formation lev Besoin de comp tences formelles et informelles gestion de groupes animation comptabilit Offre insuffisante dans certaines r gions R gularit p nurie en hiver surproduction en t P rennit de l offre Et parfois Distance Visibilit de l offre Confusion entre les concepts Confusion entre les labels tiquetages Manque d info des publics pr caris s sur qualit alimentaire Image luxueuse M connaissance des produits Suppose des changements d habitudes Rotation au se
220. l Food Miles Comparative Energy Emissions Performance of New Zealand s Agriculture Industry Research Report No 285 Licoln University July 2006 Saveurs Paysannes Bonnes pratiques et conseils pour les paniers de l gumes 2012 Saveurs Paysannes Annexe 2a Projet de coop rative de mara chers Saveurs Paysannes Le circuit court la vente directe quelles pratiques quels avantages The impact of out of centre stores on local retail employment National Retail Planning Forum 1998 Torchy A et al circuits courts et coh sion sociale CELAVAR INRA 2012 148 Ea Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 Sn MH Partie III RECOMMENDATIONS POLITIQUES CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 P W b m AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE 149 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL 1 Probl matique des abattoirs de proximit octobre 2013 A R flexion sur l
221. lace de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 A D veloppement Durable 1 Crit res conomiques Viabilit conomique Le produit la client le Opportunit du secteur Client le existante Relation fournisseurs L aspect financier Niveau d endettement Poids des charg ind pendance par rapport un unique fournisseur client Investissement Rentabilit apacit d autofinanc de l activit 2 ee P L emplace me u d implantation Localis L aspect commercial Attitude face la concurrence Promotio n Publicit R alisme du plan d action Nbre h semaine de km etc R action face une nouvelle Capacit d adaptation concurrence Capacit dvlp nouveau produit Strat gie et vision conomique Impact conomique iCompl mentarit avec autres Impact sur le dvlp conomique icommerces inscription dans r seau conomique local Economique nombre cotations exclusion cote Nb cotations Seuil d exclusion Cote Wallonie ER Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 Impact du projet produit su l emploi Cr ation d emplois court et moyen termes Emploi internes 4 si porteur seul 5 si autres emplois idem Emplois externes ina sauf si flag s curit salaire travail des enfants Qualit des emplois ex
222. large autonomie l gard des organisations tablies et a fortiori des partis politiques traditionnels lls sont caract ris s par le regroupement souple d un nombre de groupes primaires de petite taille et souvent implantation locale au sein desquels se construisent des liens motionnels et de solidarit Le degr d implication est tr s Variable Les liens horizontaux interpersonnels s entrecroisent et se multiplient forment des r seaux interpersonnels Les liens qui se tissent entre les diff rents groupes et organisations qui poursuivent un objectif commun forment des r seaux inter organisationnels L organisation est d centralis e polyc phale et souple Le leadership est fragile charismatique ou bas sur l expertise scientifique La nouvelle classe moyenne tr s duqu e active dans le tertiaire et le non marchand y est fortement surrepr sent e Rihoux 1997 Les germes de ce nouveau mouvement social peuvent disparaitre si les nergies militantes s puisent sans qu il ne parvienne se consolider Ils peuvent s institutionnaliser et avoir un impact sur les politiques publiques ce qui peut mener sa disparition ou l mergence de nouvelles militances Ils peuvent se transformer en soci t s commerciales ou en initiatives innovantes Dans certains cas il est possible d adapter le mod le un plus large public tout en respectant les valeurs de base Ainsi
223. li re Processus de production de transformation et de commercialisation transparents Des produits r pondant aux attentes des citoyens et de la soci t en termes d environnement et de sant publique O O Qualit des produits go t fra cheur saisonnalit durabilit hygi ne Modes de production respectueux de l environnement Transparence de l origine Des circuits de proximit g ographique O Ancrage local de l ensemble des acteurs de la fili re Origine territoriale des mati res produites en Wallonie Priorit aux changes les plus locaux possibles et relationnelle Entreprises taille humaine Reconnaissance du savoir faire des producteurs Liens de confiance de toutes les parties prenantes A adapter Essentiel A adapter A adapter A adapter Essentiel Essentiel A adapter Essentiel A clarifier A adapter Essentiel Pertinence Remarques Certains secteurs comme la restauration collective ou l nergie demandent une plus grande flexibilit Exemple 12 Tableau 10 Dans le cas du recyclage plut t parler des fournisseurs Comprend l impact sur le d veloppement conomique local emploi compl mentarit avec autres commerces inscription dans un r seau local r flexion long terme etc Notions sous jacentes importantes d quit et de solidarit Pour les services il faut plut t parler des modes de fonctionnement
224. liance emploi environnement peuvent tre une source d inspiration Selon l APLSIA les distributeurs franchis s ne peuvent traiter avec un grand nombre d interlocuteurs Il serait int ressant d imaginer des commerciaux qui repr sentent un grand nombre de producteurs et d marchent les petits distributeurs 0230 La forme juridique la plus appropri e doit encore tre investigu e Une r forme des APE suffisamment flexible pour pouvoir soutenir ce type d initiatives collectives serait un incitant consid rable la commercialisation en circuits courts ainsi qu la coop ration entre producteurs En outre les aides aux Initiatives de D veloppement de l Emploi dans le Secteur des Services de proximit finalit sociale IDESS sont propos es entre autres aux magasins sociaux Une dimension localit des produits vendus pourrait tre introduite dans le cadre de la r forme des IDESS 0249 Les crit res des Bistrots du Terroir peuvent tre une source d inspiration bien qu ils ne soient pas aboutis L isolement g ographique renforce les difficult s de commercialisation rencontr es par les producteurs Il pourrait donc galement tre pris en compte Une circulaire de ONEM permet aux ch meurs de s engager dans les syst mes d changes libres SEL M De Coninck ministre de l emploi explique ce sujet que si les activit s de services d changes sociaux constituent une entraide ponctuelle de courte dur e s
225. litiques publiques Ces alternatives n ont pas vocation grandir mais essaimer Fiqure 10 Progressivement elles percolent le march global Les paniers et points de d p ts permettent de toucher un public disposant de moins de temps tout en gardant une certaine proximit Les produits durables locaux et de qualit artisanale deviennent aujourd hui une nouvelle niche commerciale Certaines se professionnalisent en innovant d autres sont totalement incorpor es et perdent leur essence L industrialisation des circuits courts par les grandes enseignes permettra de proposer des produits locaux un plus large public tout en diminuant leur int r t tant pour les consommateurs et des producteurs A moins que le politique ne r glemente afin de clarifier les crit res de la d marche circuits courts Comment transposer ces nouveaux changes solidaires dans d autres secteurs 143 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Les boissons l artisanat de bouche de l abattoir la boucherie du moulin au boulanger de la conserverie au traiteur etc les produits d hygi ne le bois de chauffage et la biomasse sont des Produits compl mentaires aux circuits existants Les collectivit s le tourisme et laide alimentaire en Wallonie sont des cCircuits d coulement compl mentaires aux circuits courts agricoles existants De plus le concept de circuits courts durables et de proximi
226. local Des r sultats similaires ont t trouv s pour le lait deux fois moins d nergie et les pommes moins 60 Pour une comparaison avec la France voir les fili res viande bovine et ovine en Nouvelle Z lande le dossier conomie et levage septembre 2010 68 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie jr gt Wallonie cologiques et ou biologiques De m me les producteurs qui coulent leur produit en circuit court sont plus soucieux que la moyenne de leur impact sur leur environnement b Dynamisme conomique Choisir des produits de circuits courts durables de proximit cest choisir une production d pendance aux importations intensive en main d uvre qui favorise la concurrence et r duit la Les circuits courts sont intensifs en main d uvre En Belgique nous n avons pas de donn es statistiques sur les exploitations agricoles qui commercialisent en circuit court A titre de comparaison en France les exploitations vendant en circuit court utilisent 2 2 unit s de travail annuel les autres exploitations 1 4 alors que leur surface agricole utilis e est nettement plus importante Barry 2010 En Wallonie 24 315 personnes soit 17 778 unit s de travail ann e UTA exploitent 740 885 hectares soit 41 hectares par UTA Statbel Un mara cher fort diversifi peut travailler une surface d un deux hectares Similairement plus de supermarch s veut dire moins de peti
227. lonie Rapport final D cembre 2013 Composition La grille d valuation propose un syst me de cotation selon quatre axes les crit res conomiques les crit res sociaux les crit res environnementaux et les crit res de gouvernance Economique Gouvernance 6 Social 17 Environnemental La premi re partie l valuation permet de situer l entreprise pour chaque indicateur utilis dans une fourchette de tr s n gatif tr s positif La seconde partie la grille traduit ces informations en un positionnement de l entreprise par rapport aux diff rents axes du d veloppement durable Elle permet donc l entreprise de d terminer quels sont ses points forts et ses points faibles en vue d une auto valuation et d une am lioration Un exemple d utilisation de la grille d veloppement durable et son manuel d utilisation sont respectivement disponibles dans la premi re et quatri me partie du rapport Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Utilisateurs La grille D veloppement Durable a permis de s lectionner tous les entrepreneurs b n ficiaires d un cr dit Impact ainsi que six projets qui ont b n fici d un microcr dit D veloppement Durable Dominique Vanderstraeten friterie mobile bio Maxime Everaert cantine moderne base de produits bios et locaux 1000 Bruxelles
228. lonie et une cuisson au feu de bois La boulangerie sera implant e en campagne dans une r gion touristique o il n existe plus ce type de boulangerie l ancienne Les pains seront vendus principalement en local magasin l atelier cr ation d un r seau de familles relais dans les villages proches groupements d achat collectif d p t dans les magasins de terroir comptoirs de ventes la ferme et sup rettes de village Durbuy Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 3 Mise en place d outils financiers favorisant les circuits courts durables Objectif de d part Renforcer les dynamiques de circuits courts par la mise en place d outils financiers qui r pondent de mani re ad quate aux besoins des acteurs Certains projets de circuits courts durables ont besoin de cr dits pour se concr tiser Pour ce type de projets l acc s bancaire reste difficile Cr dal a pris l option de les soutenir de deux mani res Par la conception et mise en uvre d une grille d auto valuation de la durabilit d un projet Par la cr ation du Cr dit Impact destin des petites et moyennes entreprises ou des associations dont le projet s inscrit clairement dans le d veloppement durable ou le service la collectivit 14 projets ont b n fici de ces outils et ou cr dits voir infra A Grille D veloppement D
229. lors des produits d appel Les producteurs ne devraient ni placer les produits en rayon ni venir rechercher les invendus pas de marges arri res Les marges devraient tre n goci es En change pendant une dur e de d marrage les pouvoirs publics feraient la promotion de l initiative label N accepter que certaines enseignes permettrait de jouer sur la comp tition et l imitation entre elles D autre part la mesure 321 Plan Wallon de D veloppement Rural PWDR se r f re la fermeture de petits commerces et pr voit de soutenir financi rement la cr ation de maisons multiservices Cette mesure trop rigide d marre difficilement RWDR Ruralit s 12 2011 Dans le cadre de la r forme du PWDR cette mesure devrait tre largie afin de permettre la cr ation de nouveaux lieux d coulement pour les produits locaux 0280 Le travail de la Plunkett Fondation peut tre une source d inspiration Par ailleurs de tr s petits magasins situ s dans des zones g ographiques isol es vendent des produits de producteurs locaux Ce canal de commercialisation d pend cependant de la survie de ces petites piceries et magasins franchis s Certains de nos partenaires soulignent galement qu il serait important de soutenir financi rement ces structures existantes mais isol es et fermant les unes apr s les autres 0290 Horeca Le secteur horeca est peu d localisable et principalement compos de petites entreprises les 15000 tabliss
230. ment leurs valeurs L environnement et le soutien aux agriculteurs locaux viennent ensuite galit Ils sont suivis par la sant et la qualit des produits tableau 4 La proposition qui recueille le plus d adh sion est tre membre d un groupe d achats c est aussi r fl chir la construction d une autre consommation et d une autre soci t Les incitants li s l identit alternative sont plus importants en ville et particuli rement importants dans les groupes solidaires Pour eux tre membre d un GAA c est un syst me de valeurs une forme de militantisme En ville l id e de ne pas tre passif mais co acteur de son approvisionnement en nourriture est l g rement plus importante dans les groupes solidaires Elle touche plus les 79 ya ig a PES aA Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie familles nombreuses Les membres des groupes solidaires sont fort n gatifs quant au temps requis pour faire leurs courses dans un groupe et critiquent la proposition permet de ne pas se demander quoi cuisiner facilite la vie Toutefois ils sont fortement contre la proposition si les magasins traditionnels ne vendaient que des produits locaux et de saison les groupes d achats perdraient leur raison d tre Q30 m me si la variance est importante Tableau 4 Motivations individuelles Motivation Moyenne GAC Communes Villes rurales Etre membre d un group
231. ment participatif Monnaies compl mentaires Les syst mes d changes locaux comme les monnaies compl mentaires permettent de localiser les changes dynamiser les transactions changer les pratiques et les repr sentations de l change fid liser les clients et parfois faire du cr dit gratuit Certaines sont convertibles d autres non Les SELs par exemple sont inconvertibles voir lexique Au contraire le toreke permet aux habitants d un quartier populaire de Gand d tre r mun r s pour le travail en faveur de l am lioration du quartier nettoyage de parc entretien d un potager collectif Ils peuvent ensuite changer ces torekes dans des magasins bio ou commerces de seconde main par exemple Alter Echos 2011 Dans le cadre de ce travail sur les circuits courts la contrepartie mon taire des Epis Lorrains achet s ont t convertis en parts de coop rateur chez Cr dal Ces parts sont d di es au soutien de projets Gaumais Le m me mode de fonctionnement t propos au Talent la future monnaie compl mentaire braban onne Enfin une tude de la faisabilit de l introduction d une monnaie compl mentaire chez Cr dal a t r alis par Edouard Jacquin stagiaire de Cr dal encadr par les acteurs des circuits courts de l agence Conseil 31 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL A
232. menus locaux la carte Ainsi les Bistrots de terroir sont tous non li s De plus les quotas trop lev s induisent de v ritables drames humains les g rants de caf s tiendraient en moyenne neuf mois Les contrats de brasserie devraient donc tre retravaill s selon le mod le franchis franchiseur 0310 Grande distribution La grande distribution repr sente une opportunit pour le d veloppement quantitatif des achats en circuits courts Groupe One 2011 L exemple des produits biologiques montre que de la vente en supermarch a permis d atteindre un plus large public non ou moins sensibilis Certaines id es sous jacentes se sont diffus es En outre la grande distribution dispose de grandes forces en termes de gestion et de logistique Cependant le risque de perdre la valeur du circuit court en terme d identit tout comme en terme de marge alimente une peur importante de se faire bouffer r cup rer L exemple des rayons local chez Auchan montre que cette peur n est pas injustifi e En outre il n est pas vident que les producteurs puissent suivre au niveau de l offre voir le point production Pour faire un appel d air destination des petits producteurs et transformateurs il faut pr parer une r gulation de march avec la grande distribution 0320 Cette r gulation obligerait la grande distribution apporter sa pierre au renforcement de l agriculture durable Des m tres de rayonna
233. mis Toutefois la l gislation existante ouvre des marges de man uvre afin d inclure des crit res de localit et ou de durabilit dans des appels d offre Il est tout d abord possible de jouer sur les incitants Un titre vert les caract ristiques pr cises du produit demand telles que le taux en sucre les souhaits exprim s saisonnalit tra abilit et le choix de races et de vari t s produites localement vont par exemple inciter certains offreurs r agir plut t que d autres En outre la description des caract ristiques du produit fini mais pas de ses intrants peut d crire les qualit s quantit s et fiabilit s d sir es et demander une description des processus utilis pour atteindre ces crit res Elle peut inclure des sp cifications techniques mesurables du produit ou service mais pas de l op rateur et peut se r f rer des normes europ ennes ou nationales par 14 http www restaurationcollectivedurable be fr Outils Pour plus d information le RAWAD m ne le projet pilote App tits Champs Les circuits courts un avenir pour les circuits courts en condroz Fammenne UCL 2009 Guide de la restauration collective responsable 2011 Favoriser une restauration collective de proximit et de qualit 2011 16 Crit res de green public procurement GPP et Eco labels d une part restrictions de substances dangereuses RoHs Reach CLP d autre part Le CEN le Cenelec et l ETSI d
234. modalit s FD CA budget max an etc y gt Emprunt o Cr dit solidaire A voir fonction budget investissements suppl mentaires http www credal be node 15 o Aucun emprunt n tant pr vu actuellement la page bilan du PF indique DIV 0 Soit compl ter la page financement Soit supprimer la formule CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE Dexia 795 5886987 46 DE LA R GION DE BRUXELLES www credal be Num ro d entreprise 0434 986 305 CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W 211 CONSEIL EN Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 V gt SCRLFS et Impulcera O 000201102010 Pour financer accompagnement Phase 1 formulaire enregistrement Phase 2 formulaire faisabilit Soit pour mi avril soit pour d but octobre Important si volution activit commerciale en route dans les 2 ans Voir avec le GT picerie Pr senter le PF l AG le 23 mars O Afin de mieux communiquer lors de l AG et de pouvoir utiliser efficacement l outil dans le futur il serait int ressant d crire les hypoth ses qui ont t prises dans le
235. n alimentaire l industrie lourde en passant par les services et la finance A premi re vue fort avantageux ce syst me a profond ment boulevers nos modes de production nos circuits de distribution et nos mani res de consommer Ce mod le mondialis permettant de produire l o les co ts sont les plus bas il a une cons quence directe sur le portefeuille du consommateur Avantageux de premier abord il comporte n anmoins de nombreux risques et co ts soci taux L crasement des prix p se sur la qualit des produits La volatilit des prix et la sp culation sont sources de crises conomiques et alimentaires Par ailleurs la mondialisation a des cons quences sociales importantes Ce mod le induit des pertes d emplois dans les pays industrialis s principalement pour les personnes peu qualifi es la d structuration de tissus conomiques historiques notamment ruraux et provoque la perte de savoirs locaux De plus ce mod le conomique a des cons quences n gatives sur l environnement avec une forte d pendance nerg tique et une surexploitation des ressources Face la conjoncture des crises nerg tique conomique sociale environnementale des citoyens consommateurs ne veulent plus uniquement consommer sur une logique de prix mais souhaitent donner un sens leur consommation en y int grant les dimensions environnementales et sociales En parall le E Ostrom prix Nobel d conomie 2009 a d mon
236. n d uvre qui varie fortement selon les pays titre d exemple 60 70 du prix des pommes En circuit court les mara chers peuvent plus facilement valoriser la sp cificit de leur produit Ainsi les producteurs d Agricovert tablissent au sein de leur coop rative deux prix d achats variant selon l chelle de production les co ts sont relativement plus importants sur des petites surfaces de production 10 C Barry bureau des statistiques des industries agricoles et alimentaires 2010 63 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie jis H Wallonie 3 Co ts fixes et co ts marginaux Bien qu une partie cons quente des marges en fili re longue soient accapar s par les interm diaires se charger des activit s qu ils prennent habituellement en charge implique des co ts sp cifiques Ma triser lenti ret de la chaine de production et de commercialisation implique de nombreux co ts suppl mentaires li s aux normes d hygi ne la conservation la logistique et la commercialisation voir le point 2 3 Ces co ts sont d duire du chiffre d affaire pour obtenir le b n fice Pourtant certains co ts ne sont souvent pas pris en compte par les producteurs Exemple 2 Vendre ses produits en circuit court repr sente des co ts marginaux le nettoyage les emballages l essence pour livrer des commandes domicile etc et des co ts fixes une camionnette une chambre froide un ma
237. n de probl mes de sant tels que l ob sit ou les probl mes cardiovasculaires soit une diminution des d penses tatiques En outre la dynamisation conomique et territoriale accro t le revenu des individus et cr e de la valeur ajout e locale Elle augmente les recettes publiques cotisation sociales personnelles cotisations sociales patronales imp ts directs personnes physiques 71 p Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie SD Wallonie cotisation sp ciale de la s curit sociale et imp ts indirects TVA accises Elle diminue des d penses publiques revenu de remplacement remise lemploi etc Box 5 Circuits courts et coh sion sociale La coh sion sociale est un processus qui fait appel un sentiment d appartenance et une volont ou une capacit de vivre ensemble dans une certaine harmonie et repose sur des valeurs communes Elle offre un moyen d examiner les interd pendances entre la restructuration conomique le changement social et l intervention politique Elle s est d finie d abord par des tendances en mati re de craintes de division et en m me temps permet d innover sur la fa on de trouver des solutions La dimension thique est au c ur du processus et servira de rep re lors des difficult s rencontr es La coh sion sociale appara t aussi dans un contexte id ologique particulier qui privil gie le march pour assurer la r partition des ressources et d
238. n de contrats sur du moyen ou long terme r duit l incertitude sur les quantit s vendues De plus les groupements d achats Voir lexique sont souvent flexibles ils absorbent certains surplus acceptent les baisses de production Minet 2003 Ils permettent de lisser quelque peu l effet de la variabilit de la production Toutefois dans d autres fili res les quantit s vendues sont plus incertaines Ainsi l affluence sur un march d pend du climat Il arrive que le risque agricole risque de production climatique maladies soit enti rement partag par les consommateurs C est le cas dans les AMAP Le prix du panier est calcul l avance en fonction des co ts requis et non pas de la production effective Ce partage du risque est particuli rement int ressant pour les nouveaux producteurs n ayant pas encore accumul une longue exp rience Toutefois cette r gle n est pas toujours appliqu e Elle suppose une totale confiance des consommateurs envers le producteur En th orie le producteur n est pas incit l effort son revenu tant garanti quelle que soit la production effective Des contrats inspir s des mod les de share cropping pourraient tre alors des solutions de partage de risque interm diaires Celles ci seraient plus rationnelles conomiquement bien qu en contradiction avec les motivations solidaires des circuits courts Cependant dans les faits les producteurs concern s ach te
239. nce des investissements de d part e Normes sanitaires tr s strictes e Contrats de brasserie touffants Tr s faibles p rennit des nouveaux projets de petit Horeca Probl mes de tr sorerie Zapping des consommateurs prix final en concurrence internationale Un lieu de transformation requiert un travail d animation besoin de ressources humaines Propositions d actions Faciliter la mise aux normes sanitaires politiques e D velopper les marges de man uvre locales face aux r glementations europ ennes sanitaire et d tiquetage crit res plus souples pour les petites structures demander au niveau Europ en sur exemple de la France de l Italie etc Proposer aux transformateurs plus d informations et conseils de terrain sur la mise aux normes sanitaires avant les investissements et les contr les e Permettre l chelonnement de la mise aux normes sanitaires 160 Envisager des syst mes de garanties pour cr dits afin de pouvoir valoriser aupr s de banques la valeur transform e des produits etc Soutenir la cr ation en lien avec les halls relais de structures coop ratives fa ti res pour activit de transformation pour aide au lancement et tester activit s sans num ro d agr ment AFSCA sp cifique Exemple fromagers autour des locaux de l OPA Ciney Soutenir la cr ation de lieux mixtes cuisines collectives conserveries accessibles aux producteurs transformateurs groupes de citoyens Soutenir la cr at
240. nces AFSCA Restreinte Peu de produits transform s Produire denr es normalis es calibre Peu d organisation de l offre Charge de travail chronophage Faire reposer les terres plusieurs ann es avant de passer au bio Bail ferme probl matique Investissements cons quents AFSCA Pas de couveuse pour les transformateurs AFSCA AFSCA met en danger des pratiques traditionnelles de transformation lait cru 62 F1 a Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ir gt Wallonie 2 R cup ration des marges La r cup ration des marges incite les producteurs vouloir ma triser l enti ret de la chaine de production Les marges pratiqu es vont de 20 pain livr 100 du prix d achat l gumes fais tr s p rissables dans le cas d un seul interm diaire Saveurs Paysannes En circuit long Selon l Observatoire des Prix Fran ais seul un tiers du prix de vente du lait revient au producteur 2011 L leveur gagne lui 16 4 du prix d achat du jambon cuit vendu en grande surface Saveurs Paysannes La part des producteurs diminue depuis la crise de 2009 Dans la m me logique couler des produits transform s permet aux producteurs de gagner une marge plus importante au prix de travail et d investissements cons quents Cela peut permettre de fournir un revenu compl mentaire pour un membre de la famille typiquement les conjoints des producteurs Cela s observe notamment
241. nduit une augmentation de prix mondiale source de crises alimentaires le prix des c r ales tant dict par la sp culation sur 15 de la production Mazoyer 2002 Des cons quences internationales sont initi es par des changements locaux effet papillon et des v nements impr visibles et improbables cygnes noirs Chiffres du SPF conomie 2011 47 lt T E CES ss Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 2 Wallonie 2 D finition Les circuits courts rapprochent producteurs et consommateurs autour de produits de modes de production et de commercialisation sp cifiques Les d finitions envisag es varient selon les acteurs concern s Le cadre de cette recherche action est restreint d une part aux circuits de proximit et d autre part aux circuits durables Commercialiser en circuit court local des fraises produites grand renfort d engrais chimiques en Wallonie est local mais n est pas durable Similairement commercialiser en circuit court des bananes biologiques Br siliennes ou des pommes biologiques N o Z landaises n est pas local Nous basant sur le travail du Groupe One ainsi que d APES et du p le INPACT nous d finissons les circuits courts durables de proximit par le respect des caract ristiques suivantes Box 1 D finition gt Coh sion conomique de la production la commercialisation o Les parties prenantes sont constitu es par le producteur un interm di
242. nge de savoir faire Exemple 5 La mutualisation permet alors galement la compl mentarit des plans de productions et limite le stress de fournir temps et en volume En outre l attrait du circuit court n est pas menac par la perte de l identit et des objectifs de d part ou du lien in direct Cr er une coop rative n est pas une d marche qui est habituelle dans nos contr es Pour fonctionner ce travail de longue haleine doit venir d une volont de s associer qui soit ind pendante de celle de remporter le march dans un timing serr La cr ation demande du temps et de l nergie L aide d un m diateur est un plus important En outre les activit s r unies doivent tre compl mentaires sans tre h t roclites Ainsi Agricovert SCRL FS propose une vari t de fruits l gumes viandes farines boissons et produits laitiers qui font appel aux m mes incitants et valeurs Exemple 4 Hartenboer de kortste weg van land naar klant Le r seau Hartenboer est n afin de mettre en commun des d placements producteurs consommateurs Il regroupe aujourd hui 37 producteurs et organisations de producteurs du Brabant Flamand et du Limbourg Les commandes sont r alis es notamment par les Voedselteams via le site www hartenboer be En 2009 12 000 paniers ont t labor s et distribu s dans 70 points de d p t Le r seau permet aux producteurs de multiplier leurs d bouch s La comptabilit est r gl
243. nnes 110 3 CIRCUITS COMPL MENTAIRES POUVANT PROPOSER DES PRODUITS AGRICOLES EN CIRCUITS COURTS 114 4 SECTEURS OU LE CONCEPT DE CIRCUITS COURTS PEUT S APPLIQUER DE FA ON PERTINENTE 120 e Tableau 11 Pertinence de la d finition dans le cadre du r emploi e Tableau 12 Finance les circuits courts de l argent e Tableau 13 Consommons l lectricit que nous produisons selon un circuit court 5 UNE CONOMIE AUX P RIPH RIES DES CIRCUITS COURTS DURABLES ET DE PROXIMIT ssssssssssrsrerrrerrrererererrreres 137 6 PERTINENCE DES CRIT RES DE D FINITION HORS DU SECTEUR AGRICOLE ses sesersreseerreereerrsensnnrs 139 Box 11 Restrictions e Box 12 Exclusions CONCLUSION aana a a a a ce 141 S CONSEIL Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie 44 BPa g a es Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Sf S CONSEIL Wallonie ETAT DES LIEUX 45 g Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 1 INTRODUCTION 1 Contexte L volution du progr s technique la maximisation des avantages comparatifs et des conomies d chelle et la diminution des co ts de transports ont profond ment modifi le mod le conomique Ces changements ont affect le mod le agricole box 1 ainsi que l ensemble des secteurs textile ameublement artisanat Toute l conomie s est mondialis e de la productio
244. nsemble des activit s li es la production la transformation et la distribution de ces produits Son action est peu connue et semble se concentrer en ce qui concerne les transformateurs sur le renseignement de producteurs partenaires potentiels Son action pourrait tre tendue et mieux communiqu e Le plan d action fran ais propose en outre de diffuser aupr s des agriculteurs l ensemble des informations relatives aux march s de d tail et aux march s publics ainsi qu aux normes li es l accueil du public voir le point consommation augmenter la demande 070 Formation Selon SAWB 2010 il est n cessaire d adapter les programmes des formations scolaires professionnelles agricoles afin de prendre en compte la diversit des m tiers que doit remplir le producteur coulant ses produits dans ces circuits de commercialisation sp cifiques 080 Il nous semble que c est surtout vrai en ce qui concerne les formations pour adultes Des objectifs et mesures concr tes ont t tablis par le plan d action fran ais pour les formations agricoles Ils peuvent tre une source importante d inspiration Cette analyse devrait galement tre effectu e pour les autres m tiers CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7
245. nt bien souvent des produits leurs frais pour compl ter les paniers quand ils subissent des pertes importantes 5 Co ts de transactions et asym tries d information Travailler sans interm diaires augmente les co ts de transaction pour les producteurs La r p tition la confiance et la vente group e permettent de r partir ces co ts Outre les co ts mon taires se charger du travail de commerce habituellement d volu aux interm diaires requiert du temps de l nergie et une organisation suppl mentaires S informer acqu rir les comp tences n cessaires trouver les partenaires commerciaux n gocier les termes de l change et en contr ler le respect sont des co ts de transaction Ces actions ont un co t d opportunit en termes d nergie de temps et d argent De plus la commercialisation et la production requi rent une charge de travail particuli re au m me moment Ces co ts de transaction sont peu souvent quantifi s et encore moins anticip s par les producteurs voir chapitre 2 3 Pourtant le nombre de transactions commerciales est beaucoup plus important quand on travaille en circuits courts 1 Contrats de location de terrains agricoles o le prix est en partie fixe en partie fonction du rendement La partie variable permet de r partir le risque de production entre le locataire et le propri taire La partie fixe peut tre comprise comme une incitation l effort diminuant l int r t de contr le pour le
246. nt parfois de b n ficier d un prix plus bas et vitent chacun de se d placer jusqu la ferme Le producteur b n ficie d une client le assur e et peut planifier ses r coltes La n gociation des prix l avance r duit l incertitude et le pr paiement partiel constitue un fond de tr sorerie Le producteur peut donc limiter ses emprunts La diversification des canaux de commercialisation lui permet de multiplier son nombre de clients ce qui diminue le risque de d faut de payement et accroit son autonomie Les risques m t orologiques et phytosanitaires sont partag s Le lien entre les groupes et le producteur permet d viter le co t d un label bio est source de flexibilit et permet d changer de l information par exemple le souhait de haricots En outre les circuits courts sont source de dynamisme conomique et territorial de coh sion sociale de diminution des d penses publiques et souvent d effets environnementaux positifs Inconv nients Se lancer n est pas anodin La prise en charge par les producteurs ou les consommateurs de chacune des tapes habituellement d volues aux interm diaires requiert des informations des comp tences du temps et des capitaux sp cifiques Il faut trouver des groupes ou des producteurs int ress s g rer les p riodes de vacances et les creux de production matching offre demande organiser le transport la logistique s occuper de la comptabilit diver
247. ntrat d engagement solidaire gage du partenariat o chaque consom acteur s engage pour un an Les consom acteurs s engagent donc aupr s du producteur avant le d but de la saison de production et lui assurent ainsi des revenus stables pour toute l ann e qui suit Un GASAP c est un lieu de r flexion de responsabilisation et d ducation permanente ainsi qu un fonctionnement autog r par les membres en articulation avec le R seau qui regroupe les membres des diff rents GASAPs extraits de http www gasap be Qu est ce qu un Gasap 384 Les potagers collectifs peuvent prendre plusieurs formes Ils rassemblent les jardins potagers ouvriers collectifs partag s d insertion sociale p dagogiques ou encore de formation professionnelle Les objectifs des potagers collectifs sont nombreux et diff rent selon les jardiniers conomie d argent production de l gumes sains savoureux et bios autonomie alimentaire pratique d une activit de plein air rencontre avec ses voisins sans oublier le plaisir de travailler la terre Le mode d organisation va du potager collectif sensus stricto o tout le monde s me entretien et r colte une parcelle commune au potager parcellis o chacun jardine son petit coin de terre Dans les deux cas les potagers collectifs permettent un change de savoirs et de pratiques extraits de http www asblrcr be Jardin partage Les syst mes d change locaux SEL permettent
248. ociation sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Pour la suite V C line Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Frais g n raux 4 437 4 319 4 449 Revenus 3 226 63 Autres frais d investissement d fraiement b n voles etc gt pas suffisant pour en vivre et engager quelqu un 4 534 57 4 925 30 o int gre l ments discut s au PF Activit s hors piceries Cotisations Ca cv mois o Soccupe de la page tr sorerie Que reste t il faire V Le texte en italique dans ce rapport indique des d cisions qui restent prendre et des t ches qu il reste ex cuter V gt R mun rations travail o 5 sc narios ont t envisag s Ind pendant B n vole B n vole salari Ind pendant facture s associ location devient administrateur d l gu Asbl Personne o Choisir formule o Faire une convention qui en d finit les
249. oir les membres qui sont devenus des amis Ils commencent voquer l change d information et de recettes ainsi que l entraide pour la prise en charge des paniers entre certains membres Les GAA les plus anciens parlent galement de membres tr s li s entre eux de r unions plaisir et mentionnent l change de bons plans de tuyaux d avis ainsi que de solidarit en cas de couac dans les livraisons Cependant certains groupes estiment que les membres ne s attardent pas beaucoup finalement sauf pour un noyau de personnes actives et assez impliqu es b Personne ressource Les initiatives d achats group s sont g n ralement centr es sur le dynamisme et l enthousiasme d un petit noyau b n vole voire d une seule personne ressource La coexistence au sein d un groupe de personnes engag es et de personnes qui profitent d un service est complexe La charge de travail puise m me si certains groupes organisent la r partition et la rotation des t ches Des conflits de personnes surgissent parfois Le passage de t moin est particuli rement probl matique dans les groupements de fait L opinion qu un groupe d achats ne peut fonctionner que s il y a une rotation des t ches est bien plus r pandue parmi les groupes solidaires principalement des GASAP soit justement des groupes qui l organisent Q17 Elle augmente tr s fortement avec les ann es de participation A nouveau l a
250. ois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 M AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W VS ENI N Wallonie Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Rapport final D cembre 2013 CONSEIL Agir localement Habitat co construction et construction durable Freins Principaux Contexte l gislatif Propositions d actions politiques CREDAL ASBL Association sans but lucratif Manque de production locale d co mat riaux donc co ts de transports et prix plus lev s Pas de label concernant les mat riaux cologiques qualit nergie grise etc Formation importante donc peu rentable au d but Petites entreprises donc acc s limit de gros march s Image bobo information incompl te de la client le et des fabricants de mat riaux Prix lev des assurances pour certaines techniques voir Reddi Acc s au capital Positif R glementation PEB Plan pluriannuel de l Alliance Emploi Environnement APE m tiers verts etc N gatif R glements d urbanisme restrictifs obligation brique orientation par rapport aux rues plut t que soleil etc Existence de primes trop faibles existence de clause environnementales dans les march s publics encore minoritaires Soutenir mise en r seau
251. olitique d installation sur les terres communales 049 Enfin les normes AFSCA sont lourdes administrativement certains de nos partneaires jugent les investissements disproportionn es les contr les tr s stricts et les sanctions normes Ces contraintes poussent de nombreux agriculteurs arr ter la vente directe Cette tendance est renforc e par des peurs de perdre les aides de la PAC en cas de non respect des normes AFSCA Cependant il serait possible de garantir hygi ne qualit et tra abilit tout en tant plus flexible 050 Les directives au niveau europ en proposent de demander des d rogations pour adapter les normes aux petites exploitations Cela n a pas t fait en Belgique Des syst mes de garantie participative ont t invent s au Br sil Les syndicats agricoles FUJEA et MAP souhaitent faire voluer les normes pour les petites exploitations et travaillent sur des propositions concr tes En Flandre des cahiers des charges ont t labor s pour les denr es non sensibles et peuvent tre source d inspiration Information Les producteurs ne disposent souvent pas d information ad quate sur les circuits de distribution en circuits courts L ASBL Saveurs paysannes informe les producteurs et promeut les circuits courts agricoles Un accompagnement pour les autres m tiers pourrait s en inspirer 069 Le conseil de fili re productions horticoles comestibles a pour mission d assurer le d veloppement de l e
252. ompte d un particulier notamment dans le cadre de parcelles communales ou provinciales Possibilit s Cr ation de plateformes bois 4 5 communes d actions citoyennes Faire appel aux entreprises d conomie sociale pour effectuer des travaux de taille de bois de chauffe Ressources Utilisation de ressources locales en bois Cr dal et Floreco 2009 Projets pilotes en Wallonie PBEDR http www frw be index php id 78 113 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 3 Circuits compl mentaires pouvant proposer des produits agricoles en circuits courts a Cuisines de collectivit s Afin de susciter une offre plus importante en circuit court de nombreuses politiques r gionales et locales ont choisis de soutenir la demande des collectivit s En France des quotas de produits biologiques pour les collectivit s publiques sont mis en place En Italie les produits locaux ont trouv leur place dans les cantines scolaires italiennes gr ce au travail de sensibilisation au lien entre alimentation et sant men par le gouvernement Plus proche de nous Bioforum a d velopp un guide m thodologique et un guide technique afin de faciliter le tournant vers une restauration collective durable Bruxelles Bruxelles environnement r fl chit la mise en place d un syst me de reconnaissance alimentation durable destination de la restauration collective et d veloppe des
253. on convaincus La v rit est certainement un m lange de ces trois explications i Elargissement du public au cours du temps Les groupes d achats voluent ils comme l ont fait les produits biologiques depuis une base plus engag e vers un public plus large Les crit res qui poussent la participation sont dans l air du temps et le public de plus en plus conscientis aux crises conomiques sociales et environnementales L importance croissante du choix de vari t s indig nes pourrait en tre un signe En outre la multiplication m me des groupes d achat diminue leur caract re marginal La diffusion de ces id es est source de l gitimit La fr quence de livraison est l g rement plus basse pour les groupes cr s durant l ann e pr c dant l enqu te Il est possible que les groupes tendent augmenter leur vitesse de croisi re au cours de leur premi re ann e tout comme il est possible que cela refl te d un choix organis d un changement de public ii Apprentissage progressif des participants Le groupe est un lieu de sensibilisation on y fait des rencontres on y change des informations L augmentation des incitants identitaires dans la dur e pourrait tre expliqu e par un largissement progressif du public mais cela n explique pas tout En effet cette conscientisation est plus marqu e au sein des groupes solidaires L importance d tre co acteur de son alimentation par
254. p rative Une visibilit du projet s lectionn par le biais d un article sur notre site web et un article dans notre revue Cr dialogue 2500 ex envoy aux coop rateurs de Cr dal Nous y avons remis le prix Cr dal Impact 2 porteurs de projets Owilcraft Li ge et Bruxelles et La Microbrasserie coop rative et participative du Renard Grez Doiceau 32 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 CONSEIL A 4 Analyse historique sociologique g ographique des circuits courts alimentaires et leur transf rabilit dans d autres secteurs conomiques Objectif de d part Etudier le ph nom ne des groupes d achat collectif qui se revendiquent quelques ann es plus tard solidaires L agriculture est la base historique des changes et du commerce Aujourd hui encore les produits agricoles red finissent de nouveaux changes et relations humaines qui se veulent plus solidaires et conviviaux qu hier Ils sont bas s sur la confiance et le respect Comment transposer ces nouveaux changes au reste de l conomie L analyse a t termin e et transmise au minist re le 28 septembre 2013 Les circuits courts durables et de proximit sont l intersection des logiques sociale conomique environnementale et locale Nous avons analys l origine des circuits courts agricoles leurs modes de fonctionnement actuel ain
255. ponctuelles ont montr que le b n fice environnemental n est pas si vident Si on prend en compte le taux de remplissage du mode de transport les trajets de retours vide les circuits courts peuvent se r v ler plus consommateurs en nergie qu une fili re longue b n ficiant d conomies d chelle et d une logistique optimalis e Langhade 2010 Ainsi l impact environnemental de l importation d agneau n o z landais serait plus que compens par l extensivit de l levage Saunders et al 2006 L impact environnemental des circuits courts de proximit est positif quand la logique durable est mise en avant dans le cas d entretien de zone ouverte peu productive orient e vers l levage extensif de diversit agricole de mosa que de milieu de r seau cologique d une agriculture soucieuse de son environnement de gestion maitris e des intrants des d chets etc Les agriculteurs en circuit court respectent plus souvent les principes agro En int grant des facteurs comme l utilisation d eau et d engrais les techniques de r colte l utilisation d nergie les modes de transports et le type de carburant utilis la quantit de dioxyde de carbone absorb lors de la photosynth se les proc dures d emballage de stockage etc cette quipe de l universit de Lincoln a estim l importation d agneau N o Z landais par bateau en Angleterre requiert quatre fois moins d nergie que l levage
256. port final D cembre 2013 5 Accompagnement des premiers projets pilotes Objectif de d part Accompagner 15 projets pilotes du business plan la r alisation soit Accompagnement coaching du porteur de projet d finir le projet d terminer le couple produit march confronter le projet la r alit locale D velopper un Business Plan Instruire le dossier selon les crit res de cr dit de Cr dal ventuellement le financer si accord des parties Accompagner la post cr ation valuation de la m thode en vue d alimenter l expertise en circuit court A Projets Nous avons contribu la cr ation de cinq projets collectifs une picerie locale participative Epi vert une ASBL qui agit pour le maintien et le d veloppement d une alimentation durable Ekikrok une SPRL de production et de vente de produits agricoles La Finca une SCRLFS de distribution de produits locaux La Grelinette ainsi qu un projet qui allie r sidence service et maraichage dans le cadre d un centre de jour Jardin ges Apr s avoir accompagn deux projets individuels et un projet collectif une patisserie une picerie locale un projet dans le domaine du tourisme nous avons estim qu ils n taient pas viables sous la forme envisag e par les porteurs de projet Ces projets ont t r orient s En outre nous avons apport du conseil financier conomique juridique et organisationel au d veloppemen
257. pousse des groupes en milieu ouvrier avec un avantage clair au niveau du prix c est du solide 40 des groupes cr s entre 2005 et 2010 sont livr s toutes les semaines les autres toutes les deux semaines Les groupes existants depuis plus de 10 ans ont des fr quences de livraison plus faibles minimum de 4 fois par an Cela pourrait refl ter un des changements dans les caract ristiques des groupes travers le temps Toutefois il semble qu une fr quence de livraisons hebdomadaire plus contraignante est trop lourde pour une partie du public potentiel Selon Minet le groupe a tendance copier le magasin en tendant la gamme des produits et en distribuant le plus souvent possible Hors la force du groupe d achats ce sont les achats de produits de base en grande quantit prix de gros Un apprentissage des anciennes m thodes de conservation serait envisager Pour les producteurs les GAA peuvent galement tre chronophages Si le volume des achats n est pas cons quent une livraison hebdomadaire repr sente beaucoup d efforts pour peu de revenus Il en va de m me pour les commandes peu organis es ratur es et le manque d accommodation face aux erreurs in vitables Les producteurs qui cessent la 85 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie S livraison aux Voedselteams invoquent le surcro t de travail Minet 2003 Quand j ai fini de
258. principaux sont indiqu s en gras Les avantages et inconv nients varient selon les fili res de vente La vente la ferme par exemple implique de fortes marges mais une consommation de temps et d nergie importante Les diff rentes fili res sont plus ou moins adapt es aux conditions locales Elles sont parfois compl mentaires Les avantages voqu s concernent principalement la qualit la transparence la convivialit surtout pour les consommateurs et la diversification Le choix et le sens attribu s la d marche sont essentiels On peut parler de la mission Toutefois quand ils commercialisent leurs produits en circuits courts les producteurs internalisent le travail des interm diaires habituels Afin de r cup rer les marges correspondantes outre la production ils doivent galement se charger du travail de 1 Information identifier les partenaires commerciaux les produits leurs prix et leur qualit 2 N gociation d terminer les termes des contrats 3 Transformation 4 Pr sentation des produits terre sur les carottes packaging 5 Marketing et vente 6 Logistique et acheminement 7 Enforcement assurer le respect des contrats 8 Gestion administrative comptable 9 Planification strat gie moyen et long terme Les producteurs doivent r unir l ensemble des informations des comp tences ainsi que des capitaux n cessaires chacune de ces tapes co ts fixes et co ts variable
259. r es par le porteur de projet En attente difficult s personnelles rencontr es par le porteur de projet En attente difficult s personnelles rencontr es par le porteur de projet En attente Lien entre de nombreux GAC et GASAP Localisation Province de Namur Comblain au Pont Province de Li ge R gion Wallonne R gion de Bruxelles Capitale Rochefort Province de Namur Meix devant Virton Province du Luxembourg Louvain la Neuve Brabant wallon Bruxelles producteurs wallons Jandrain Est du Brabant Wallon Travail r alis par Cr dal Accompagnement structurant Conseil juridique Madame a galemment suivi la formation AFFA Rencontre de sporteurs de projet et partenaires Recherche de solutions de financement Travail sur le mod le Recherche de financments Communiaction sur le projet Rencontre du porteur avec le BEP Mise en perspective Rencontre des porteurs Collaboration entre Cr dal et la monnaie compl mentaire l Epi D veloppement d un fond d dicac Accompagnement structurant Demande Impulcera Rencontre des porteurs et mise en lien avec d autres acteurs Demande Impulcera Faisabilit conomique du projet B Exemple de plan d action et des t ches r aliser Objectif Conception du projet Mise en place du projet D marrage de la fili re P riode et dur e Mod le conomique Cl
260. r autonomes Nous travaillons dans ce sens avec le GAL de l Entre Sambre Et Meuse voir le point valeur ajout e 0480 Collectivit s Afin de susciter une offre plus importante de nombreuses politiques r gionales et locales ont choisis de soutenir la demande des collectivit s Ces exemples de politiques contraignantes de sensibilisation d accompagnement et de mise disposition d outils pourraient tre adapt s au cadre des circuits courts en Wallonie La France est en train de mettre en place une politique contraignante d augmentation de la demande par la mise en place progressive de quotas de produits biologiques pour les collectivit s publiques 0490 L accompagnement financier et commercial de l agriculture biologique dans les zones de captages des eaux autour de Munich a donn des r sultats consid rables et peut tre source d enseignements 0500 Les produits locaux ont trouv leur place dans les cantines scolaires italiennes gr ce au travail de sensibilisation au lien entre alimentation et sant men par le gouvernement 0510 12 Voir le Grenelle de l environnement 13 Cerdd 2011 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 98
261. r la comparaison des groupes travers le temps les nouveaux groupes ne fonctionnant pas bien n ayant pas encore eu le temps de disparaitre Toutefois il n existe pas de donn es plus compl tes La seule solution pour affiner l analyse quantitative hors de la port e de cette recherche action consisterait disposer de donn es en panel suivi des m mes groupes travers le temps ce qui demande une recherche sp cifique b Cr ation des groupes Box 7 Vers des initiatives individuelles Tous les groupes les plus anciens sont issus d associations Cette part diminue au cours du temps Seul un groupe sur huit cr s en 2010 revendique cette origine Un tiers des groupes cr s l initiative d une association sont galement h berg s par une association Entre 2005 et 2010 22 des groupes ont t cr s autour d un groupe existant parfois suite une s ance de sensibilisation ou une s ance d information de producteurs 30 ont t cr s l initiative d un voisinage Le d marrage d un groupe sur base de personnes proches participant des activit s communes au sein du village est cit par un des groupes r pondant comme une manifestation de convivialit 7 des groupes ont t cr s afin de r pondre au manque de possibilit d approvisionnement local Par ailleurs la proportion de groupes cr s l initiative d un individu augmente consid rablement au cours du temps C e
262. r le d veloppement de son activit un accord particulier a t conclu Monsieur Jadoul ne remboursera le capital qu la fin de son cr dit Structure du financement Montant total n cessaire Apport propre en esp ces 13 000 Cr dit Cr dal investissement 17 900 Cr dit Cr dal achat de terres 55 000 cr dit bullet 29 Le cr dit pour l achat de terre n a pas encore t d caiss Julie Antoine 6941 Heyd Boulangerie artisanale biologique Activit en d marrage Structure du financement Montant total n cessaire Apport propre en esp ces 3 000 Apport propre en nature 1 750 Cr dit Cr dal investissement 18 323 Cr dit Cr dal tr sorerie 6 677 Autres pr ts 5 500 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 EN CONSEIL La FINCA SPRL Sarah Potvin et J r my Verhelst 1970 Wezembeek Oppem Production mara ch re Vente en comptoir des l gumes produits et produits d picerie fine Petite restauration Sensibilisation par des activit s ducatives et p dagogiques pour enfants Partenaires et fournisseurs wallons Structure du financement Montant total n cessaire Jesoo Apport propre en esp ces 40 000 Cr dit d investissement 45 000 Cr dal Pr ts priv s 78 000 ALVEUS SCRLFS C
263. rassembler la commande du groupe sept bottes de radis par ici cinq choux et dix salades par l si a tombe j ai d retourner au potager pour la dixi me salade qui manquait j y ai pass tellement de temps que cela ne me rapporte rien a Convivialit Selon les participants le c t convivial est n cessaire la p rennit du groupe Rencontrer des gens n est pas un objectif important de la participation aux GAA Q38 Cependant l importance accord e la convivialit par les r pondants augmente fortement avec leur dur e de participation mettre la main la p te se r unir go ter des produits ensemble s changer des recettes Q13 La fr quence des r unions hors livraisons est fortement corr l e avec la convivialit estim e par les groupes Toutefois avoir des livraisons toutes les semaines ou toutes les deux semaines n a pas d influence significative sur le niveau de convivialit estim au sein du groupe En fonction de leur dur e de participation les r pondants estiment qu un groupe d achats a fait un r seau dans le quartier les gens se connaissent il y a des liens qui se cr ent Q38 Les groupes dans leur premi re ann e d existence voquent le plaisir de se revoir lors des livraisons des discussions au gr des all es et venues autour d une bi re bio d une ambiance agr able et de chouettes contacts Les groupes existants depuis deux ans parlent de v
264. re Habitat et Participation Ressources Mouvements citoyens Habitats partag s Community Land Trust villes en transition co quartiers Exemples wallons Entreprise de formation par le travail Chanvre ballots paille r emploi vente de mat riaux durables et formations etc Positif R glementation PEB Plan pluriannuel de l Alliance Emploi Environnement APE m tiers verts etc N gatif R glements d urbanisme restrictifs obligation brique orientation par rapport aux rues plut t que soleil etc Existence de primes trop faibles existence de clause environnementales dans les march s publics encore minoritaires Soutenir mise en r seau partages d exp riences r alisation de chantiers de grande taille en commun etc Soutien aux partenariats public conomie classique conomie sociale Soutenir la recherche et d veloppement Proposer des formations techniques sp cialis es et formation des architectes D velopper centrale d achats en co mat riaux Envisager d adapter le syst me de pr t vert social bruxellois en Wallonie Envisager une d rogation aux l gislations en mati re de TVA et de ch mage pour les d marches d auto construction 130 w lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Soutien et promotion de la fili re bois certification incitant etc Possibilit s Auto construction via chantiers participatifs d actions citoy
265. re ville et 750 m en p riph rie Cette loi est modifi e en 1994 loi anti Lidl et en 2005 loi Ikea 53 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Le manque de r activit des coop ratives face cette concurrence s explique par leur manque de ressources humaines de capitaux par leur attachement aux implantations locales et la vie associative qui y est li e par le fonctionnement d mocratique rendant les processus d cisionnels longs et par un attachement la ristourne coop rative qui pesa sur la gestion Bosmans et al 2002 De plus des augmentations de taille furent parfois faites au d pend de la perte de l esprit coop ratif ainsi que de la qualit du service la client le Le public ne diff renciait plus les coop ratives qui apparaissent petit petit comme des magasins chers et mal achaland s Nejszaten 1987 En outre les coop ratives reprises suite des faillites arrivent sur le march concurrentiel en position de faiblesse Les checs de celles ci s expliquent par des difficult s de tr sorerie mauvais rapports avec les banques mauvaise comptabilit journali re manque de formation de gestion conflits d int r ts essoufflement des enthousiasmes manque de contr le social et d innovation difficult s laborer une strat gie commerciale long terme ainsi qu r aliser des investissements lourds c Depuis 1980 Le
266. recyclage et le r emploi Exemple 15 Ressourcerie de la Dyle l coconstruction Exemple 16 Quelque Chose Faire etc 138 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie i Wallonie S Box 12 Restrictions Box 13 Exclusions Par ailleurs l organisation interne d mocratique verticale ou horizontale d une organisation la mani re dont l information circule ou encore la fr quence de rotation du personnel ne sont pas d termin s par la taille d une entreprise ou son secteur Les entreprises ont apprendre de l association producteurs consommateurs de la gestion des risques et des modes de gouvernance d velopp s dans les circuits courts ainsi que des crit res de choix qui les gouvernent et commencent percoler le march La soci t et le secteur public ont gagner s inspirer de la vision syst mique et de long terme de l approche participative et des syst mes de valorisation collectifs de l appropriation de la transversalit et de l articulation entre les diff rents secteurs et comp tences concern s d velopp s dans les circuits courts Pourquoi ne pas imaginer une politique globale de l alimentation durable qui mobilise tous les acteurs les comp tences f d rales sant s curit alimentaire r gionales agriculture d veloppement durable et communautaires ducation ou chacun parte des besoins qu il rencontre dans son environnement et ou les r ponses leur financem
267. ringues Stylistes Magasins de seconde main Exc dents fruits et Epiceries sociales et aide l gumes alimentaire D chets verts Compost Chaleur d chets verts Energie Mat riaux de construction D construction travaux Construction Chutes industrielles et Donneries Artisans cr ation objets appareils Ressourceries r paration lectrom nagers mat riel professionnelle informatique meubles Repair caf s r paration d co v los jouets livres personnelle etc Au niveau europ en les actions dans le domaine des d chets doivent respecter la hi rarchie suivante 1 Pr vention des d chets sensibilisation d mat rialisation etc 2 R emploi ou R utilisation don change d p t vente etc 3 Pr paration au r emploi nettoyage r paration reconditionnement transformation 4 Recyclage mati re le ou l un des mat riau x du d chet apr s transformation devient la mati re premi re d un nouveau produit 5 Valorisation nerg tique 6 D chets ultimes Le r emploi la pr paration au r emploi et le recyclage mati re permettent d viter les gaspillages en ressources gain environnemental et retrouver des mati res premi res secondaires Le d veloppement de ces activit s permet d augmenter la consommation de mat riaux issus de fili res locales et de d velopper l emploi local de personnes loign es du march de l emploi gain conomique et social En effet la plupart des entrep
268. rises de d mant lement sont g n ralement actives sur des zones g ographiques restreintes et disposent de leur propre surface de vente g n ralement fr quent es par des clients issus de la r gion Les mati res premi res primaires et les producteurs des objets r utilis s ne sont pas forc ment locaux Cependant les intrants et les fournisseurs le sont La d finition des circuits courts durables et de proximit doit tre lue avec souplesse 121 amp lt Ky ER Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S9 Wallonie Tableau 11 Pertinence de la d finition des circuits courts durables et locaux dans le Crit re Coh sion conomique de la production la commercialisation o Les parties prenantes sont constitu es par le producteur un interm diaire maximum et les consommateurs Viabilit conomique tout au long de la fili re Processus de production de transformation et de commercialisation transparents Des produits r pondant aux attentes des citoyens et de la soci t en termes d environnement et de sant publique o Qualit des produits go t fra cheur saisonnalit durabilit hygi ne Modes de production respectueux de l environnement Transparence de l origine Des circuits de proximit g ographique Ancrage local de l ensemble des acteurs de la fili re Origine territoriale des mati res produites en Wallonie Priorit aux changes les plu
269. riverains fournisseurs et des contributeurs associations collectivit s b n voles etc Observatoire transfrontalier de l ESS 2012 Les acteurs sont r partis en minimum trois coll ges Chaque coll ge a entre 10 et 50 du total des droits de vote Les SCIC permettent un dialogue in dit une d mocratie dialogique alternative la d l gation des d cisions relatives la vie collectives et aux biens communs aux repr sentants politiques et la d l gation des entreprises lucratives aux gestionnaires professionnels SAWB 2012 En outre l existence des SCIC permet la reconnaissance du caract re d utilit sociale ainsi qu un crit re pour l attribution de subventions ou de march s publics justifi s au niveau europ en 3 Pour plus d informations http www les scic coop sites fr les scic questions reponses categories associes obligations 101 4 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie lt Wallonie S 4 Le ferment d un nouveau mouvement social Les circuits courts durables et de proximit participent un changement de paradigme qui consiste privil gier la qualit de vie la possession de bien mat riels int grer de nouveaux imp ratifs moraux par rapport la nature avancer en direction de la gestion durable des biens communs Ils remettent en question le principe productif produire en quantit en mettant en avant la qualit
270. rlocuteur qui repr sente accompagne et conseille les petits transformateurs Les pompiers devraient par exemple tre invit s venir inspecter les lieux avant que des travaux ne soient r alis s Produits artisanaux Il est int ressant d envisager la cr ation d une structure de commercialisation de produits artisanaux Wallons c ramiques v tements accessoires II nous semble il y avoir une demande importante Plus de 600 artisans repr sentant 50 m tiers ont par exemple particip la journ e de l artisan 2012 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W d E 173 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Une premi re possibilit serait d allier une plateforme de vente en ligne li e avec un march artisanal itin rant dans toute la Wallonie selon un agenda r gulier et des campagnes publicitaires des moments cl s f te des m res afin d augmenter la connaissance et la valorisation de ces produits aupr s du grand public
271. rossistes r alisent presque un quart 24 du chiffre d affaire du secteur priv hors secteur financier agriculture et p che Par contre ils emploient relativement peu de travailleurs et cr ent proportionnellement leur chiffre d affaire peu de valeur ajout e Le commerce de 16 Cette unit quivaut au travail d une personne travaillant temps plein sur une exploitation agricole pendant une ann e Selon Eurostat la notion de temps plein renvoie au nombre minimal d heures requis par les dispositions nationales r gissant les contrats de travail Le travail par an est r put tre de 1 800 heures soit 225 journ es de travail de huit heures chacune 17 R ponse du Ministre P Henry aux questions des D put s Desgain Crucke Kilic et des d put es Cremasco et Salvi pos es lors de la s ance publique du Parlement wallon du 24 f vrier 2010 18 Comment les syst mes alimentaires locaux peuvent survivre l assaut des supermarch s 69 lt FA rP Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie gros se caract rise par une intensivit en capital plus lev e Le commerce de d tail intensif en travail est quant lui le plus important en termes d emploi Cornille 2011 De plus les circuits courts permettent la multiplication des acteurs ce qui favorise la concurrence dans un contexte de concentration Dans le sous secteur des produits alimentaires emball s la par
272. roximit par ces deux projets de finance citoyenne est analys dans le tableau 12 Ainsi Les cus baladeurs est un groupe d pargne et de pr t de proximit dont les membres r unis en ASBL pr tent une partie de leur pargne des projets locaux et soucieux de promotion humaine Ils ont par exemple rassembl les tous petits montants mis disposition par des membres d un GAA afin de financer l achat par leur producteur d une cueilleuse de haricots D autre part Cr dal propose aux citoyens de placer leur argent de mani re thique et solidaire en parts de coop rateurs Avec ces fonds la coop rative octroie des cr dits au secteur associatif des microcr dits aux entrepreneurs exclus bancaires et aux particuliers ayant des revenus modestes en Wallonie et Bruxelles Cr dal par exemple octroy un cr dit d investissement la Brasserie de la Lesse Exemple 8 Enfin les syst mes d changes locaux comme les monnaies compl mentaires permettent de localiser les changes dynamiser les transactions changer les pratiques et les repr sentations de l change fid liser les clients et parfois faire du cr dit gratuit Certaines sont convertibles d autres non Les SELS par exemple sont inconvertibles voir lexique Au contraire le toreke permet aux habitants d un quartier populaire de Gand d tre r mun r s pour le travail en faveur de l am lioration du quartier nettoyage de parc 125
273. rs franchis s 0230 Monnaies compl mentaires 0130 A investiguer Pour augmenter l offre garantir l coulement 0140 Accompagnement financier et commercial 0500 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE Soutenir les magasins locaux 0290 Contrats de brasserie 0310 Points de d p ts dans des coles et gares 0360 Points de vente locaux le long des axes routiers 0370 Informer sur et faciliter la mise aux normes sanitaires 050 0170 0460 Accompagnement la structuration 0100 0480 Investissement et subsides Groupe One 2011 0540 A 5 Emplois d animation 0550 Produits phare 0530 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 Les difficult s concr tes rencontr es sur le terrain par les acteurs que nous accompagnons et nos associations partenaires d une part Le plan d action fran ais pour d velopper les circuits courts d autre part alimentent notre r flexion et nous permettent d ores et d j d esquisser quelq
274. rter sa pierre l difice Partir des situations sp cifiques locales puis se connecter combiner une organisation la fois participative bottom up et en r seau permet de d allier efficacement le capital conomique social et culturel des consommateurs et producteurs Bourdieu Cette organisation conomiquement viable permet la diversit et favorise la r silience Elle r pond aux conceptions top down de l conomie bas es sur les conomies d chelles et donc l uniformisation des produits et services Ces fonctionnements ouvrent de nouvelles pistes d organisation d mocratiques et durables Face aux crises ils montrent que les changements de comportement individuels peuvent prendre de l ampleur Ils sont un moyen de passer d un probl me individuel je n ai plus confiance en une r ponse collective Ils sont source d implication citoyenne et d appropriation de politiques publiques Ces niches n ont pas vocation grandir Elles essaiment Progressivement ces alternatives percolent et contaminent le march 98 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 3 Forme juridique Les soci t s coop ratives permettent de r unir diff rents acteurs producteurs consommateurs etc autour d une soci t commerciale dont ils ont la ma trise gestion d mocratique Elles se composent d associ s dont le nombre et les apports sont variables Les associ s minimum 3 p
275. s Les circuits courts n cessitent donc une approche transversale et plurisectorielle Les inconv nients concernent avant tout le matching offre demande manque d information organisation la p rennit rotation structuration et pour les producteurs la diversit des m tiers ainsi que l acc s aux ressources capital travail comp tences Ces difficult s sont concr tes Elles sont rencontr es dans le court terme Elles rel vent de l op rationnalisation Leur multiplicit souligne qu un travail important est faire pour renforcer l offre Cette synth se est bas e sur une revue de la litt rature voir bibliographie 60 Ressources Economique Financier Informatio Offre Choix Autonomie Contact Sant Qualit Environnement CREDAL Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ee Wallonie Tableau 1 Avantages des circuits courts durables et locaux Consommateur Sp cificit produits non disponibles dans circuits traditionnels qualit gustative et nutritive Red couverte produits de terroir l gumes oubli s vari t s de go ts Transparence gt s curit produits modes de production de commercialisation tra abilit Am lioration connaissances Convivialit de proximit aspect loisir Lien avec le producteur Qualit du service Choix r partition VA soutien au producteur Organisation d centralis e l g re Positif car souci d au
276. s authenticit valorisant Implication Responsabilisation levier pour ement citoyen Alternative ou militance revendication Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Pertinen ce Faible Oui Possible Non Oui Oui Possible Possible 5 P Wallonie Remarques Cr ation d entreprises et d emploi valorisation des savoir faire locaux etc Mise en r seau localement interd pendances inscription dans un r seau conomique local et chez Cr dal formations l entreprenariat 1 euro de subside Cr dal 5 euros de d penses en moins de rentr es pour les pouvoirs publics Chez Cr dal les microcr dits professionnels sont destin s des exclus bancaires Pour les pargnants le risque est collectivis Les consommateurs peuvent retirer leurs parts tout moment Cependant le dividende est d cid par l assembl e g n rale en fonction des r sultats Les pr teurs des Ecus baladeurs se partagent le risque proportionnellement au montant mis disposition Les deux projets recherchent des garanties Les banques classiques refusent de pr ter aux projets accompagn s car elles estiment que la recherche d information la n gociation des pr ts le suivit des remboursements etc sont trop co teux en argent et en temps par rapport aux retours esp r s petits projets risqu s absence de garanties Toutefois certaines associations qui font appel au Cr dit Soli
277. s Nesjatzen 2003 Cependant certaines initiatives telles que le r seau des GASAP Bruxelles ou le r seau AMAP en France se sont structur es ne font pas machine arri re et y voient un atout Le r seau permet de collectiviser certaines ressources et informations et g re une liste d attente de participants Il est source de l gitimit II permet de s organiser au niveau du secteur pour avoir des portes parole porter des revendications au politique Enfin et surtout l aide la 87 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie S cr ation et l organisation des groupes d s leur conception et la sensibilisation des participants favorisent la p rennit des groupes et diminuent les abandons En outre les circuits courts collectifs sont une r ponse bottom up aux probl mes globaux La collaboration entre groupements participatifs les coop ratives et le secteur associatif est essentielle afin d acqu rir une l gitimit repr sentative qui puisse se poser en contrepoids face aux acteurs institu s qui n ont pas int r t au changement et leurs lobbys qui poussent l instauration de r gles top down Afin de favoriser le d veloppement et la mise en r seau des GAA le politique doit donc assurer le cadre de leur existence autorisation officielle de participation pour les ch meurs cadre fiscal et sanitaire etc il Professionnalisation Les valeurs port es par les circui
278. s locaux possibles et relationnelle Entreprises taille humaine Reconnaissance du savoir faire des producteurs Liens de confiance de toutes les parties prenantes cadre du r emploi Pertinence Remarques Dans le cas d une ressourcerie les employ s sont la fois les producteurs transformateurs et vendeurs avec parfois des r les tournants Les consommateurs sont galement les fournisseurs de mati res premi res secondaires Cr ation d entreprises et d emploi valorisation des savoir faire locaux etc Comprend l impact sur le d veloppement conomique local emploi compl mentarit avec autres commerces inscription dans un r seau local r flexion long terme etc Notions sous jacentes importantes d quit et de solidarit fRessourceries ASBL et SCRL FS modes de d cision d mocratiques utilisation de labels du type Recup sensibilisation de la client le b n volat Le travail sur la valeur ajout e et l intensivit en main d uvre permettent d atteindre une qualit et une durabilit des produits plus importante que celle atteinte par la simple revente Troc etc Durabilit environnementale pour tout le cycle de vie des produits ressources consommables recyclage etc Et respectueux de l homme Origine syst matiquement locale des mati res premi res Les intrants et consommables le sont Voir ccl rapport mati res premi res secondaires Oui Formation ins
279. s ont d pass le stade de niche et ont contamin le march global Les valeurs et crit res int gr s par le march sont moins pouss s que ceux qui taient soutenus par les militants La critique de l volution en bio industriel et bio fric a amen de nouvelles innovations La campagne mes aliments ont un visage port e par Nature et Progr s est fortement li aux circuits courts Les circuits courts deviennent aujourd hui une appellation fourre tout Leur incorporation au march global permettra d y multiplier les ventes de produits locaux Pourtant les circuits courts durables et de proximit ne se r sument pas aux produits wallons Les 26 Saveurs Paysannes a pour mission de structurer la demande en circuits courts cadastre des GACS aide la mise en place chapitre du Vad m cum L ASBL R seau des Consommateurs Responsables RCR propose galement une aide la cr ation de nouveaux groupes 88 i Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie T S Wallonie consommateurs en ont marre des caddies et cherchent plus de simplicit et de vari t Il y a donc galement de la place pour des modes de fonctionnements innovants D autres alternatives de consommation peuvent maintenir le lien producteur consommateurs et toucher un public plus large tout en tant viables et compl mentaires aux GAA Figure 10 Evolutions possibles des GAA Mutliplication essaimage i 3 l
280. s plus autonomes respectueux confiants et solidaires qu hier 141 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Quel int r t En circuit court les capitaux de base sont moins importants la plus value l hectare est plus important et les marges sont r cup r es par les producteurs Certaines fili res permettent galement de partager le risque d changer de l information d adapter la production l avance et ou de d gager de la tr sorerie Les avantages des consommateurs concernent avant tout le sens mission transparence qualit choix autonomie convivialit etc Tableau 1 La diversification des fili res de commercialisation diminue le risque de d faut et accroit l autonomie des producteurs Les inconv nients de la commercialisation en circuit court se concentrent sur l op rationnalisation diversit des m tiers acc s aux ressources matching offre demande p rennit etc Tableau 2 L internalisation de chacune des tapes habituellement d volues aux interm diaires requiert des informations des comp tences et des capitaux sp cifiques Les co ts suppl mentaires sont souvent mal anticip s et donc les futurs revenus sur valu s L absence d interm diaire augmente les co ts de transaction support s par les producteurs bien que la r p tition des changes la vente group e et la confiance qui se d veloppe permettent de les r partir Chaque fili re in
281. s s le 6 juin 2012 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y mt Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 A CONSEIL Accompagnement dans le processus de validation de la pertinence et de la viabilit du projet d entreprise Nous nous sommes rencontr s le 2 juillet 2012 pour valuer la pertinence de rendre un projet dans le cadre de l appel projet conomie sociale f d ral organis par le SPP Int gration Sociale Pr sents Fr d rique Claire Ekikrok Fabrice Cr dal Nous avons eu des changes par mail et par t l phone nous nous sommes rencontr s le 14 septembre Des documents de r f rence ont t transmis PV de Cr dal du 14 09 12 Pr sents Fr d rique Isabelle Annick Ekikrok C line Cr dal Liste des activit s 204 1 Ateliers et formations a Cours de cuisine v g tarienne b Ballade nature et cours de cuisine plantes sauvages conservation c Ateliers pour enfants d Mobi presse e Conf rences
282. s Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE wW d m 177 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 les l gislations europ ennes et nationales sont voqu es ci dessous au point consommation augmenter la demande Structures logistiques Des structures logistiques sous r gionales sont n cessaires L appel projet hall relais a t lanc en 2010 Depuis les b n ficiaires s lectionn s sont dans lattente Il faut d velopper et populariser le projet hall relais 0339 De plus nous pensons que certains projets devraient tre investigu s plus en avant Nous pointons ainsi Les espaces de stockage et plateformes logistiques 0340 D velopper des centrales d achats pour restaurateurs permettrait la vente de produits locaux ainsi que leur promotion aupr s d un public non sensibilis 0350 II faudrait tudier la compl mentarit de la centrale d achats pour collectivit s que le ministre Di Antonio veut mettre en place Les points de d p ts dans les coles et gares 0360 Hart en boer en propose quelques points de d p t dabs les coles Le GAL Entre Sambre et Meuse avec qui nous travaillons y a d j r fl chi
283. s au revenu e Transmission e Comp tences pour pluralit des m tiers Et parfois e Acc s des locaux aux march s locaux e Dans certaines r gions Ardennes faible densit de population donc peu de client le Concurrence prix avec des produits issus de la production industrielle ou d importation Manque de visibilit du projet Mauvaise image chez une partie de la population des produits locaux terroir Contexte l gislatif Incertain r vision de la PAC Incomplet pas de statut pour installation nouveaux agriculteurs hors cadre familial pas de statut d installation transmission etc Tr s trop strict normes sanitaires bail agricole etc et manque de conseil de terrain en amont des contr les 158 Propositions d actions Adapter le Contexte l gislatif politiques e Demander les adaptations pour petites structures au niveau europ en D velopper un statut d installation transmission hors cadre familial e R server inciter emplacements de march s pour locaux e Certifications labels etc e Acc s la terre e R forme du bail agricole exemple du bail environnemental fran ais e Elaborer une politique d installation sur les terres communales R serve fonci re R gion Wallonne Cartographie Luxembourgeois etc e Formations e Adapter formations pour adultes la pluralit des m tiers e Augmenter formations pratiques au maraichage biologique e Elaborer outils pour estimation des co ts e Distribution
284. s circuits courts solidaires et durables en Wallonie ST Wallonie 1 LES GROUPEMENTS D ACHATS ALIMENTAIRES 1 Introduction Les groupements d achats sont des initiatives citoyennes Ces groupes organisent p riodiquement l achat en gros de produits principalement alimentaires et les r partissent entre leurs membres de dix trente parfois plus L activit repose sur le b n volat et poursuit des buts non commerciaux rendre accessible une nourriture de qualit soutenir les producteurs de cette nourriture nouer des liens ville campagne Minet 2003 En Wallonie le GAC le plus ancien est n en 1978 Mouscron Entre 1983 et 2003 une trentaine de groupes disparaissent Les disparitions sont plus nombreuses que les cr ations Minet 2003 L Minet ne d nombre que 14 groupes d achats et 4 ou 5 d p ts de paniers en fonctionnement en Wallonie en 2003 Cependant depuis 2005 le mouvement prend de lessor En Wallonie le nombre de groupes double tous les deux ans Selon Saveurs Paysannes des GAA existent dans un quart des communes Wallonnes Figure 9 Cette proportion est inf rieure en Province de Li ge 17 et en Province du Luxembourg 18 En Brabant Wallon 56 des communes comprennent au moins un GAA Toutefois cette volution est moins importante que dans les autres r gions A Bruxelles les d p ts de paniers sont d velopp s depuis les ann es 1990 Trois GASAP voir lexique se d veloppent Bruxell
285. s et entreprises Les plaquettes consomment moins d nergie grise que les pellets et elles co tent moins chers Toutefois elles requi rent des surfaces de stockage importantes Elles sont int ressantes pour des r seaux collectifs des coles des h pitaux etc Les communes tant propri taires de massifs forestiers il est donc int ressant qu elles investissent dans ce secteur Les pellets sont plus condens s ne produisent pas de poussi re sont stables et normalisables En 5 ans la Wallonie est devenue un des plus importantes fabricants de granul s de bois en Europe avec une production d environ 500 000 tonnes par an La plupart 3 En bois nergie 4 5 emplois cr s pour 1 000 tonne quivalent p trole consomm es pour 1 4 en p trole et 1 2 en gaz PBEDR Voir http www frw be index php id 78 pour des fiches descriptives de projets fonctionnels en Wallonie 111 w lt mx d ES Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie des unit s de production valorisent leur propres sous produits en leur apportant une tr s forte plus value FRW 2011 Les r seaux de chaleur en circuits courts permettent d aller plus loin Un r seau de chaleur est un ensemble de canalisations enterr es et isol es organis en boucle ou en diverses branches destin alimenter en chaleur un ensemble de b timents partir d une unit de production centralis e ou de la r cup ration de c
286. s id aux ouvriers et liens avec les groupes chr tiens de gauche MOC et la facilit d approvisionnement se sont progressivement effac s au profit d une conjonction de liens avec des activit s de quartier des organisations et mouvements environnementaux des id aux altermondialistes et dans une moindre mesure autogestionnaires Ainsi bien que le nombre de coop ratives progressivement diminu une nouvelle g n ration de coop ratives a vu le jour Outre les coop ratives traditionnelles notamment dans le secteur bancaire de l assurance ou encore dans le secteur laitier de nombreuses coop ratives sont apparues et se sont d velopp es dans le champ de la r cup ration et du recyclage de l agriculture biologique et la mise en commun de mat riel agricole dans la construction les services informatiques la finance thique les services aux personnes etc Dupont 2010 Cependant si l esprit coop ratif est bien pr sent la forme juridique choisie est fr quemment celle de l ASBL entre autres pour cause d absence totale de capitaux de d part Bosmans et al 2002 Cette volution conomique s est galement traduite dans les r gles de droit et depuis 1995 le l gislateur a cr c t des statuts classiques adopt s par les soci t s commerciales SA SPRL etc un nouveau statut de soci t finalit sociale Dupont 2010 Les groupes d achat ont connu une volution parall le
287. s le point sur l tat d avancement e Calendrier pr visionnel mai 2012 MODULE 3 R alisation d un plan financier a M thode Sur base du projet d fini nous r aliserons ensemble un plan financier compos d un bilan pr visionnel un compte de r sultat pr visionnel des tableaux de simulations salariales et d investissement Nous d finirons le seuil de rentabilit point d quilibre Nous envisagerons plusieurs sc narios Nous nous baserons sur ce qui sera r alis par les porteurs de projet b Implication attendue Nous ferons au minimum une r union Nous aurons besoin d l ments chiffr s co t du personnel etc c Livrable Un plan financier complet d Reporting lors de chaque r union nous ferons le point sur l tat d avancement e Calendrier pr visionnel juin juillet ao t 2012 Le calendrier pr visionnel a t revu le 7 ao t la demande de Fr d rique Dehaye 203 Dur e MODULE 1 0 5 jours MODULE 2 1 5 jours MODULE 3 3 jours Total 5 jours Conseils pour la faisabilit juridique du projet Nous nous sommes rencontr s le 11 mai autour d un projet de statuts de l ASBL Fr d rique Isabelle Annick C line Une version amend e a alors t propos e par Cr dal Des compl ments d informations ont t transmis par mail les 11 16 21 et 24 mai Une relecture a t effectu e par un juriste sp cialis en droit des ASBL Les statuts d Ekikrok ont t d po
288. s solidaires et durables ont t identifi s tant dans les secteurs agricoles que non agricoles Certains projets agricoles ont r ussi se sont professionnaliser tout en gardant leur essence en utilisant des formes de gouvernance participative Toutefois les circuits courts solidaires et durables restent g n ralement des circuits de niche marginaux Tout l enjeu est maintenant de soutenir leur structuration de la marginalit alternative conomique innovante Figure 10 Afin d y parvenir des pistes pour l action politique ont t soulev es dans chacun des secteurs consid r s La quantification de l int r t conomique et de l impact sur la sant des circuits courts durables et de proximit compl teraient utilement cette analyse Enfin le site www circuits courts be vise orienter les porteurs de projets citoyens et acteurs conomiques locaux qui souhaitent agir sur leur territoire 145 5 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie LEXIQUE Les groupements d achats alimentaires GAA sont des initiatives citoyennes Ces groupes organisent p riodiquement l achat en gros de produits principalement alimentaires et les r partissent entre leurs membres de dix trente parfois plus L activit repose sur le b n volat et poursuit des buts non commerciaux rendre accessible une nourriture de qualit soutenir les producteurs de cette nourriture nouer des liens ville campa
289. s types et d l ments pour les cahiers des charges bonnes pratiques tudes etc Administration f d rale D veloppement Durable Buying green 2011 Demeulenaere 2012 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie b Aide alimentaire L aide alimentaire a trois sources d approvisionnement principales La plus officielle les dons de l Union europ enne produits tels que beurre lait corn flakes plats pr par s conserves etc se compl te par la g n rosit des dons et des collectes de dons ainsi que par la r colte d invendus au sein de magasins march s aupr s du grand public etc Elle est propos e sous forme de restaurants sociaux de distribution de colis ou d piceries sociales ainsi que d autres formes moins r pandues caf t rias sociales coop ratives etc La poursuite des aides europ ennes par l interm diaire du BIRB est incertaine Les acteurs du secteur de l aide alimentaire risquent de devoir s adapter en cons quence au niveau national et r gional Initialement l aide alimentaire tait caritative La limitation des moyens fait que le m tier souvent dans l urgence se concentre sur la logistique Cependant quand c est possible l aide alimentaire devient de plus en plus un outil de travail social s inscrivant dans des parcours de r int gration Ainsi des projets de potagers collectifs ou communautaires poursuivent un double ob
290. s voiries communales Les deux coop ratives seront reli es par une convention stabilisant les prix Ainsi les habitants b n ficieront d un prix stable du kilowatt et les agriculteurs b n ficieront d une nouvelle source de revenu durable La premi re pierre a t pos e en octobre 2012 les travaux seront r alis s en m me temps que les travaux de voiries et le r seau devrait commencer fonctionner fin 2013 Dans un premier temps toutefois le r seau sera aliment par des plaquettes produites par des scieries de la commune A terme un projet d unit de bio m thanisation est galement pr vu afin d alimenter le r seau de chaleur Entretien avec Vincent S pult Agir localement Bois nergie Freins Principaux e Plaquettes surfaces de stockage importantes n cessaires mais moins ch res donc int ressantes pour les collectifs Investissement initial important Freins culturels D bat sur la valorisation prioritaire du bois fabrication de panneaux ou nergie Acteurs sp cifiques Accompagnement FRW Plan bois nergie et d veloppement rural PBEDR facilitateurs bois nergie secteur public secteur entreprise secteur domestique Association Valbiom Propositions Elargir la mesure 312 du PWDR aux produits de premi re d actions politiques transformation du bois Multiplier les partenariats publics citoyens Exemple 11 Faire appel aux IDESS pour effectuer des travaux de taille de bois de chauffe pour le c
291. sation marketing ou conomique rentabilit DiversiFerm Accueil Champ tre Saveurs Paysannes e Services techniques Aide la gestion agronomique analyses sols fourrages conseils en rapport conomique comptabilit non fiscale de gestion demandes d aides l investissement r seau d avertissements sanitaire maturit r colte CARAH OPA CER CRA Centre d Etude Bio CTA Centres Agricoles Provinciaux e Fili re Conseils de Fili res Wallons APAQ W OPW CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AP AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w VF EE Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 N e Syndicats FWA FUGEA MAP UNAB e Autres Service de Remplacement Agricole Agricall etc e Associations Bioforum Natagora Cuestas Faune et Biotope Nature et Progr s Mouvement Terre en Vue etc Alimentation boissons tourisme Trouver des producteurs et consommateurs locaux Des interfaces priv s publics ou associatifs facilitent la rencontre locale entre certains
292. si inconciliables avec le circuit court Les freins recens s sont Diversit des produits pr par s en 4 gamme D coupe selon un grammage tr s pr cis seul les industriels arrivent cela Flexibilit pour adapter les volumes aux exigences Logistique adapt e aux collectivit s la fois pour des petits et des grands volumes 34 Voire le Grenelle de l environnement Voire http www restaurationbio org pour une liste de projets existants 35 http www restaurationcollectivedurable be fr Outils 114 lt d Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie S Par facilit il y a un fournisseur par type de produit ce qui revient maximum dix fournisseurs pour l ensemble des besoins y compris produits d entretien ce qui est tr s contraignant S minaire Alimentation et territoire en R gion wallonne RWDR Halle de Han 2011 Agir localement Cuisines de collectivit s Freins Principaux e Les collectivit s traitent avec tr s peu d interlocuteurs e Demande des adaptations au niveau de la production investissement dans des unit s de transformation plus larges logistique adapt e flexibilit pour adapter les volumes aux exigences diversit des produits pr par s en 4 gamme etc Demande des adaptations au niveau des collectivit s variation des tailles grammages moins pr cis autres produits Acteurs sp cifiques e RAWAD etc Contexte l gisl
293. si que l apparition de nouvelles dynamiques solidaires Les conclusions de l accompagnement de projets concrets sont compl t es par une analyse quantitative Nous avons mis en vidence l int r t particulier des circuits courts collectifs participatifs voire coop ratifs solidaires et mixtes producteurs consommateurs ainsi que de la compl mentarit existant entre fonctionnement bottom up et en r seau Enfin nous avons explor les secteurs d activit s ou ce concept peut s appliquer et apporter une plus value Pour chacun de ces secteurs nous avons identifi les acteurs wallons principaux les possibilit s d action des citoyens et acteurs conomiques locaux et la mani re dont les politiques publiques peuvent favoriser leur d veloppement Afin de valider ce rapport une relecture a t effectu e par des acteurs cl s de chacun des secteurs analys s notamment Saveurs Paysannes OPA Ciney Groupe One la F d ration des Services Sociaux Ressources Concertes le laboratoire fran ais de l Economie Sociale et Solidaire etc Cette tude est disponible dans la deuxi me partie de ce rapport En outre Cr dal a contribu activement l criture d un plan d action pour favoriser les circuits courts dernier envoi le 21 ao t 2013 Un document de synth se est disponible dans la troisi me partie de ce rapport 33 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rap
294. sit des m tiers acqu rir des bacs frigorifiques une camionnette trouver des terres acc s aux ressources etc Pour que tout ceci reste un avantage pour le producteur les membres du groupes doivent veiller ne pas tre trop exigeants envers le producteur comprendre sa situation R seau des Consommateurs Responsables Les producteurs n ont pas le temps par exemple d enlever la terre des carottes avant la livraison Ceci dit l attrait des groupements d achat est tel qu en Wallonie leur nombre double tous les deux ans Un coup de main pour lancer un groupement d achat CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w y gt m 190 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie N Rapport final D cembre 2013 C Concr tement Agir au quotidien c est Consommer autrement Produire autrement Et pargner autrement tout autant d occasions de re trouver du sens de la transparence et de faire des rencontres g A T SES SES M NN RRA ARR
295. sommation locale etc 14 A titre d exemple le co t social de la pollution augmente avec l aversion au risque la pollution et le r chauffement climatiques tant li s une augmentation des ph nom nes climatiques extr mes et diminue avec l lasticit de substitution inter temporelle plus une personne s int resse la qualit de vie de ses descendants moins elle aura tendance polluer 67 ES p a PES A Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Wallonie Leur impact se joue sur le long terme Cela multiplie la difficult de la quantification de l impact positif potentiel du d veloppement des circuits courts durables et de proximit sur l conomie wallonne Box 4 4 types de valeur ajout e contribuent construire une conomie de proximit a Effets environnementaux L impact des circuits courts sur l environnement est priori consid r comme tr s positif pas d importation d agneau de Nouvelle Z lande par avion effet positif au niveau de la biodiversit diversit des vari t s saisonnalit L analyse des forces et faiblesses ne rel ve que des avantages dans le domaine de la durabilit La commercialisation en circuits courts a certainement un effet de conscientisation important pour les acteurs quant la saisonnalit et aux conditions de production des produits L existence de petits producteurs impacte galement le paysage Cependant des tudes
296. st 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w E 175 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 caract re permanent Afin de favoriser le d veloppement de groupes d achats collectifs il est n cessaire de d autoriser officiellement la participation b n vole des ch meurs au GAA et en expliciter les conditions 0250 Petite et moyenne distribution La f d ration des franchis s APLSIA a particip au s minaire Alimentation et territoire organis par le R seau Wallon de D veloppement Rural L APLSIA a fourni une information int ressante consid rable et soulign l int r t des petits commerces proposer des produits sp cifiques diff renci s Les informations sur concernant les attentes des commer ants et les mesures pouvant faciliter la commercialisation locale des produits devraient tre diffus es 0260 RWDR 2011 Les petits commerces tendent tre plus en lien avec leur territoire et les commerces franchis s disposent d une certaine latitude pour int grer des produits locaux Afin de favoriser ces dynamiques il serait int ressant de mettre en valeur les rayons produits locaux dans les piceries de proximit 0270 Les produits locaux seraient a
297. st le cas de 17 des groupes cr s entre 2005 et 2010 et un quart des groupes cr s en 2010 Ces derni res initiatives font souvent suite une s ance d information GAC voisin association 78 EE p ES Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie TT Wallonie Le nombre de groupes solidaires est en tr s forte augmentation Ils taient quasiment inexistants il y a quelques ann es La moiti des groupes r pondants cr s en 2006 2007 et 88 de ceux cr s en 2009 se nomment solidaires En 2010 35 des groupes r f renc s en Wallonie et Bruxelles taient des GASAP Tous les r pondants s appelant solidaires habitent en ville 90 sont Bruxellois et une large majorit participent au r seau des GASAP Les profils des r pondants sont d taill s dans le tableau 3 Depuis quelques ann es les projets commerciaux prolif rent galement The Peas Biosain Topino Efarmz Paniers Verts etc proposent de faire le lien entre consommateurs et producteurs locaux c Motivations Box 8 Motivations des GAA Au d part les groupements d achats et anciennement les groupes conomiques taient ancr s en milieu populaire et ax s avant tout sur le prix et la qualit des denr es Aujourd hui les GAA se concentrent dans les classes moyennes tr s duqu es et sont avant tout stimul s par des choix soci taux Les motivations des r pondants aux enqu tes touchent premi re
298. sur les groupes Enqu te sur les participants GAC GAS GASAP Centrale Total GAC GAS Autre Total d achat Nombre 11 1 27 47 37 9 93 r pondants Dur e D existence du groupe D appartenance du membre moyenne ann es 4 2 1 4 2 6 2 7 2 3 1 8 4 8 2 3 colonne lt 12 mois i 13 24 mois z Ts a 25 36 mois a 57 17 14 37 48 mois 49 60 mois 61 72 mois 73 108 mois plus inconnu 4 Les chantillons pr sentent certaines limites pour l analyse statistique de l volution temporelle des GAA La taille de l chantillon est relativement faible De plus les donn es ont t r colt es en un seul temps En cons quence les effets de cohorte changement de 2 Donn es r colt es par l Institut du D veloppement Durable dans le cadre d une recherche Consensus financ e par Belspo dans le cadre du programme Science for Sustainable Development voir la Box 6 77 EE p aA Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie T Wallonie contexte et des caract ristiques des nouveaux groupes au cours du temps et des effets d volution dur e d existence d un m me groupe se m langent sans que nous puissions les distinguer En outre nous n avons pas d information sur les groupes n existant plus ou les participants ayant abandonn Il est donc difficile de dissocier les causes et les cons quences de la p rennit des groupes analys s Cet effet d attrition pourrait par ailleurs biaise
299. t pour toute la Oui fili re Processus transparents Oui Assembl e g n rale bi annuelle Site internet assez d taill Durabilit Crit res environnementaux Qualit des produits Oui Durabilit Modes de production Oui respectueux de l environnement Transparence de l origine Oui Label Garantie Origine fonction des quantit s produites Ces garanties d origines permettent d assurer le suivi de l lectricit sur le march int rieur europ en depuis le producteur jusqu au client final et garantissent que le caract re renouvelable ou de cog n ration d un MWh produit ne peut tre vendu qu une seule fois Localit Proximit g ographique Ancrage local des Oui acteurs Origine Wallonne des Oui Les mat riaux composant les oliennes ne sont mati res premi res majoritairement pas locaux cependant ils peuvent tre vus comme un outil de travail fixe tout comme les composants d un abattoir pour un boucher etc L nergie olienne est locale Priorit aux changes les Oui Les pertes sur les lignes hautes tension induisent les plus locaux possibles op rateurs utiliser l lectricit le plus localement possible Proximit relationnelle Taille humaine Oui 2500 familles par olienne en moyenne Reconnaissance du Non Crit re non adapt savoir faire des producteurs Liens de confiance Oui http www cwape be dir 3 5 00 http www cw
300. t s applique de fa on pertinente des initiatives wallonnes existantes hors des secteurs agricoles et alimentaires Les Secteurs de lartisanat de l habillement du recyclage et du r emploi d chets mat riaux de construction nergie textiles etc de la finance de la construction ainsi que des nergies vertes olien photovolta que thermique ont t identifi s Certains de ces secteurs collectivit s nergie etc demandent une lecture souple de la d finition des circuits courts durable et de proximit Une grille des crit res ainsi que des incitants correspondants a donc t d velopp e Sur base d exemples wallons nous l avons test e dans les domaines de la finance et de l olien Cet exercice a permis d affiner la d finition des circuits courts durables de proximit hors du secteur agricole et d identifier ses crit res essentiels Tableau 14 Les circuits courts ne peuvent tre simplement associ s ou confondus avec les petits commerces ou aux productions wallonnes sans perdre leur essence et leur attrait Les produits faible valeur ajout e dont les ressources sont sp cifiques et la fr quence d achat faible ou requ rant une forte teneur technologique peuvent plus difficilement se commercialiser en circuit court Toutefois les entreprises ont apprendre de l association producteurs consommateurs de la gestion des risques et des modes de gouvernance d velopp s dans les circuits courts ainsi que d
301. t 2011 147 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie Hubert et al Recherche action concernant les possibilit s int grantes et activantes de l aide alimentaire Fcss 2012 Huybrechts B et al The challenges of diffusing socially innovative organizational models HEC Management School on going Laborde A circuits courts en vente en ligne en agriculture observatoire agriculture et TIC 2012 Langhade E circuits courts une relation de proximit Chambres d agriculture n 991 2010 Laureys T Changer le mod le agricole en Wallonie ditions de la chambre du commerce et de l industrie 2004 Lefin A Boulanger P Enqu te sur les syst mes alimentaires locaux aper u des r sultats Institut pour un d veloppement durable 2010 Mazoyer M histoire des agricultures du monde Editions du seuil 2002 Minet L La constellation des groupes d achats en Belgique 2003 Mortier Q Les nouvelles formes d entreprises sociales SAWB 2012 Nejszaten M Les coop ratives dites nouvelles 1987 Rapport du groupe de travail circuits courts et commercialisation minist re de l agriculture et de la p che France 2009 R seau wallon de D veloppement Rural Alimentation et territoire 2011 R seau wallon de D veloppement Rural fiche ressource num ro 11 visite de terrain en Flandres r seau Hartenboer 2010 Saunders C et a
302. t 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w o Ka 192 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Reprise par les travailleurs et transmission La reprise d une entreprise par les travailleurs est parfois une solution qui permet le maintien de l activit et de l emploi La transmission partielle ou compl te vers les salari s favorise la confiance le maintien de l ind pendance de gestion ainsi que l mulation d id es nouvelles REDDI transmission vous accompagne gratuitement Epargner autrement Que fait votre banque avec votre argent Votre banque sp cule t elle dans des placements financiers source d instabilit ou investit t elle dans des projets cr ateurs d emplois pour tous Investit elle dans l armement ou dans des projets solidaires humains et respectueux de l environnement Pour le savoir consultez P ch s bancaires et Farcin Alternatives Votre argent peut tre solidaire lutter contre l exclusion sociale et financi re et des personnes exclues bancaires Il existe des institutions qui veillent ce que le cr dit am liore la situation du client qui vous garantissent responsabilit pouvoir de d cision ettransparenceet qui 193 sont ind pend
303. t 2003 Les coop ratives de consommation et mutuelles sont n es de la structuration de ces germes Les 52 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie De Wallonie secteurs concern s furent d abord l alimentation puis les pharmacies suivis la fin du 19 si cle par les banques pargne et assurances mutuelles Par ailleurs beaucoup de coop ratives de travailleurs ont t cr es en temps de crise dans une logique de sauvegarde de la ma trise de m tiers et d emplois en r ponse aux soubresauts brutaux du capitalisme Defourny 2012 Ce fut le cas lors de la fin du 19 si cle et de l apr s 1973 Les coop ratives ont d velopp des modes d organisation moins hi rarchiques gouvernance collective et participative etc ainsi qu un meilleur service la client le que l entreprenariat traditionnel Partant d une base locale l organisation coop rative est pass e rapidement un fonctionnement r gional puis national Bosmans et al 2002 Une partie des b n fices a son tour aliment le d veloppement du monde ouvrier et sa structuration politique Cependant les coop ratives de production se sont moins d velopp es en Belgique que dans les pays voisins Les territoires forte identit comme le Pays Basque semblent davantage d velopper les structures conomiques solidaires La matrice territoriale qui les g n re repose sur une fort
304. t consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Six autres projets sont actuellement en attente suite des difficult s personnelles rencontr es par les porteurs de projets une miellerie deux plateformes logistiques un regroupement d artisans une boulangerie et un supermarch local 35 A CONSEIL 1 Epivert 2 Ekikrok 3 LaFinca 4 Jardin ges 5 La Grelinette 6 Grosses l gumes 7 LiCramignon 8 Atelier de d coupe de viande en CC 9 Point vert 10 Hall relais de Han 11 Dominique Stassart Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 Secteur picerie locale participative producteurs et consommateurs Animations autour de l alimentation durable Vers un regroupement de GACSs Production et vente directe Maraichage et r sidence service Regroupement de producteurs agricoles et transformateurs Distribution de produits locaux Regroupement de producteurs agricoles Distribution de produits agricoles et de produits secs Groupement de consommateurs et de producteurs D coupe et conditionnement de viande Espace test pour maraichers Hall relais agricole Epicerie locale SCRL FS ASBL SCRL future fondation SCRL FS Vers une SCRL FS A terme centre d conomie sociale Atelier partag Vers une SCRL FS Porteur individu
305. t de cinq projets collectifs un hall relais Han un espace test agricole Point Vert une coop rative de producteurs agricoles Grosses L gumes un regroupement de producteurs et de consommateurs Li Cramignon et un regroupement d leveurs autour d un projet d atelier de d coupe Ces projets sont encore en cours de d veloppement Certains sont actuellement h berg s par d autres structures Ils n ont pas encore d existence l gale propre Le projet de d coupe de viande a permis une rencontre d acteurs r gionaux avec l AFSCA dont le PV est disponible en pi ce jointe En outre des contacts sont en cours avec la commune de Gedinne qui a encore son propre abattoir Des discussions sont en cours afin de cr er un atelier de d coupe sous forme coop rative afin de compl ter l tape abattoir L objectif est de mettre a disposition un outils aux normes afin de conditionner sous vide de la viande pour la vente la ferme et en groupements d achat Ce travail a r v l l importance de consid rer l ensemble des parties prenantes d une cha ne en circuit court impossible de d velopper un circuit court pour la viande s il n y a pas des abattoir de proximit et des ateliers de d coupe adapt e Cette r flexion a amen Cr dal a coorganiser une rencontre sur le maintien d abattoirs de proximit dont le PV est disponible en troisi me partie de ce rapport 34 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs e
306. t de march des marques de distributeurs est pass e de 26 31 entre 2001 et 2009 Cornille 2011 En 2009 les supermarch s hypermarch s et hard discounters avaient une part de march de 70 du commerce de d tail alimentaire En 2010 les supermarch s et hypermarch s repr sentaient 94 2 des surfaces de vente Statbel En outre les fili res courtes r duisent la d pendance aux importations Les grandes enseignes ont progressivement r duit le nombre de leurs fournisseurs en s approvisionnant chez des producteurs de plus en plus grands et de l tranger Les petites enseignes de grands distributeurs se r implantent dans les centres urbains et concurrencent directement les petits ind pendants La grande majorit de ces petites enseignes sont des franchis s qui ont l obligation d acheter un pourcentage important des produits vendus dans la marque Le pourcentage de produits locaux est infime En Belgique il est inconnu en Angleterre il repr sente 1 2 des produits vendus Plunkett 2006 c Dynamisme rural et territorial Les fili res courtes sont causes et cons quences de l int r t croissant des consommateurs pour les produits de terroir Ils participent une certaine id e de relocalisation favoris e par les crises Ces circuits permettent aux syst mes conomiques et sociaux locaux d tre plus solides plus r actifs et de rebondir en cas de crise s ils sont source de r silience Ils
307. t r ar s Ro g 1 S Saint Gilles 7 a CO ii f G rompont www alter be Er 4 4 Court St tienne M E ET 4 i __ Ramillies i 1 Walhain asseiges Agence Alter F Genappe 1 h iaa Hesse Chastre l Agence de presse sp cialis e EA k P s N J Thomas Lemaigre 1060 224 s lt Fi v ghez e Burd Villers la Ville ED Fa gt Cortil Wodon REJ Avec le soutien de la Wallonie C Grille de crit res d auto valuation Les entrepreneurs souhaitant s ajouter sur la cartographie du http www circuits courts be peuvent valuer leur niveau de circuit court sur quatre axes local durable quitable participatif Une grille de crit res les aiguille dans cette valuation Cette grille de crit res t tablie sur base de La d finition des circuits courts du Gouvernement Wallon L analyse r alis e dans le cadre de ce travail axe 4 disponible dans la deuxi me partie de ce rapport Lagrille d analyse tablie pour les microcr dits durables axe 3 de ce travail disponible dans la premi re partie de ce rapport L exp rience de terrain accumul e par l accompagnement des projets pilotes Cette grille peut galemment servir de support lauto valuation dans une logique d am lioration continue Nous avons donc pr vu un espace de texte libre sur la carte d identit des projets g olocalis s pour que chaque acteur puisse par exemple d finir ses pistes de progr s
308. t un v ritable challenge La sant ne semble pas tre une motivation de longue dur e Au sein de chaque groupe l importance de manger mieux est n gativement corr l e la dur e de participation alors que la gamme des produits offerts croit avec l anciennet du groupe Les produits base de c r ales peu ou non p rissables les produits non alimentaires et les semences ne sont g n ralement propos s que par les GAA ayant au moins trois ans d existence Similairement Voedselteams parle de teams dioxine pour d finir le comportement d une s rie de locales r centes cr es dans le sillage de la crise de la dioxine mais dont les motivations sont trop ponctuelles et qui disparaissent apr s un an ou deux Minet 2003 La charge temps est une critique importante Il est donc int ressant de remarquer que la charge temps requis p se plus sur les membres des groupes solidaires que ceux des GAC durant leur premi re ann e qui correspond g n ralement la p riode de lancement alors que cette tendance s inverse par la suite Les GAC ne b n ficient pas de l encadrement propos par le r seau des GASAP Ce r seau est Bruxellois et il n y a pas d quivalent en Wallonie La r partition et la rotation des t ches tendent y tre moins organis es d s le d but du groupe Au contraire les groupes solidaires semblent conna tre une p riode de lancement plus lourde suivie d un rythme de croisi re plus l ger
309. tadins les groupes solidaires sont moins nombreux r aliser leurs commandes en face face avec le producteur En outre les premi res AMAP inspir es du mod le fran ais voient le jour Dans ce syst me le panier est pr financ hauteur des co ts de production estim s en incluant un revenu d cent pour le producteur Les consommateurs partagent donc le risque de la production avec l agriculteur Ils discutent ensemble des denr es produire et se mettent d accord sur les m thodes agronomiques employer Tableau 8 Solidarit s Skis oe d existence GAS Autre 3 ou 4 mi de groupes solidaires Fy 1 5 6 10 Charte mentionn e 34 45 38 43 i 40 60 Contrat avec les 31 producteurs 18 43 43 0 38 0 40 33 Payement colonne l avance 73 54 86 100 0 75 60 90 33 la livraison 8 18 0 0 0 0 40 0 ult rieur 11 18 0 0 100 13 0 10 33 n c 8 9 14 0 0 13 0 0 33 Donn es IDD enqu te groupes 28 http www reseau amap org amap php 94 5 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S A CONSEIL Wallonie Sr EE Exemple 6 Terre en vue L accaparement des terres leur utilisation sp culative les prix du march alimentaire globalis des cadres l gaux inadapt s la situation actuelle et d autres raisons font que le paysage agricole est en pleine transition Chaque semaine 41 fermes disparaissent en Belgique dont
310. ternes libert syndicale charte Prise en compte de l galit des chances Discrimination impact direct ou indirect pour les clients imodulation du tarif accessibilit pour les travailleurs de la fili re de production charte Impact du projet produit sur la pauvret et l in galit sociale Pour les b n ficiaires clients Impact du projet produit sur la sant Des b n ficiaires clients et des travailleursitype de produits Impact du projet produit sur la sociaux mutualisation des achats du solidarit mat riel Impact du projet produits sur L ducation la culture le logement l acc s l am liora i nombre cotations exclusion cote Nb cotations Seuil d exclusion Cote Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 ps 3 Les crit res environnementaux Impact du projet produit sur les ressources naturelles iQualit de l air de l eau du sol Impact direct Qualit de l air de l eau du sol Prise en compte de la reg n ration iodiversit Impact du projet produit sur les habitats prot g s Energie grise consommation d nergie DE EE E Participation l am lioration de l efficacit nerg tique El ments relatifs la mobilit des Distance parcourue par les produits ourcentage de mati res recycl es l la production Nb cotations iseuil d exclusion Cote
311. tion GA A aurait acquis un accord politique pour que le contr le ante mortem soit effectu dans l abattoir et non dans l exploitation comme cela aurait pu tre le cas CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 l AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w d E Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie Rapport final D cembre 2013 N la FEBEV informe que la l gislation europ enne ne stipule pas une obligation de pr sence d un v t rinaire pour l expertise la l gislation europ enne est interpr t e diff remment selon les Etats membres Exp rience fran aise CNADA il existe un programme pilote comparant les r sultats microbiologiques des carcasses de volailles avec expertise v t rinaire et sans expertise mais avec formation de responsables en abattoirs Les r sultats d montrent une meilleure qualit quand les contr les sont effectu s par du personnel form Ces r sultats seront d fendus la Commission Europ enne avec l objectif d tre avalis s par le Parlement europ en Si une majorit
312. togestion S curit alimentaire Saveur Fraicheur Qualit nutritionnelle Alimentation saine co responsabilit Respect des saisons gt Moins de frigos Valeurs morales Authenticit Valorisant Et parfois Coh rence avec r flexion globale Revendication Producteur Economies sur les autres segments de la cha ne d ind pendance p r quotas et subsides EU Moins d investissements lourds Et parfois Payement imm diat l avance Emploi pour le conjoint Engagement sur la dur e des consommateurs Moins de co ts de transports Existe demande de produits diff rents Diversification des revenus donc diminution du risque Facilite transformation sur place gt valeur ajout e Am lioration connaissances des attentes Image Lien avec le consommateur Valorisation travail et savoir faire R appropriation des marges d autonomie par la diversification de la client le d autonomie d cisionnelle technique conomique choix de mod le de production Communication Refus de certains intrants Rythme Moins d emballage Respect des sols Valeurs morales Valorisant Et parfois Partenariats Soci t externalit s positives Dynamisation conomique Cr ation et maintien d emploi Cr ation de valeur sur des actifs immat riels Valorisation des savoir faire locaux Moins subsidi es Innovation Sensibilisation Coh sion sociale Dynamisme territoria
313. tr que la gestion collective de ressources naturelles renouvelables biens communs permet de mieux les p renniser que la privatisation ou la nationalisation Les circuits courts durables de proximit permettent aux consommateurs de r pondre par leurs actes quotidiens aux checs du march aux cons quences sociales et environnementales de la mondialisation Ils relocalisent l conomie et prot gent les producteurs et consommateurs des chocs syst miques li s qui y sont li s IIs permettent de red finir l espace de d cision en r ponse des risques per us Ces fili res commerciales permettent galement aux producteurs de valoriser leur savoir faire et d couler localement des produits sains un prix juste et stable Elles favorisent la diffusion d information sur les produits de qualit leurs conditions de production et le d veloppement d une consommation durable et responsable Elles am liorent ainsi la 1 Les biens communs sont des syst mes de ressource suffisamment importants pour qu il soit co teux mais pas impossible d exclure ses b n ficiaires potentiels de l acc s aux b n fices li s leur utilisation Ostrom gouvernance des biens communs Pour une nouvelle approche des ressources naturelles 2010 Servigne La gouvernance des biens communs 2012 46 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S A CONSEIL Wallonie EN GE proximit relationnelle et la solidar
314. tre Ainsi la viande est produite pr s des c tes Flandre Occidentale Bretagne Hollande Danemark etc afin de faciliter l acheminement d une alimentation animale produite dans des zones o les co ts de production sont faibles La diminution des co ts de transports a accentu le processus de mondialisation Les l gumes n cessitant une forte main d uvre leur production se d localise dans les zones main d uvre peu qualifi e les c r ales dans les plaines agricoles m canisables etc Certains latifundios agro exportateurs b n ficient par exemple d quipements m caniques de terres et de main d uvre peu co teux Le co t de la main d uvre est estim moins d un milli me de dollar par kilo de c r ales ce qui permet un prix du quintal 100 Kgs de c r ales exportables inf rieur 10 dollars A ce prix l nombre d agriculteurs europ ens auraient un revenu du travail nul ou n gatif Ils ne pourraient se maintenir en activit s ils ne b n ficiaient pas d aides publiques tr s importantes Mazoyer 2002 p 20 Du point de vue des consommateurs les prix agricoles r els ont t divis s de 2 4 selon les produits au cours de la seconde moiti du 20 si cle Cependant aujourd hui les risques climatiques agricoles ou autre accidents locaux ont des r percussions sur le march mondial La fermeture de l exportation russe de c r ales cons cutive aux incendies de 2010 par exemple a i
315. treprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w 151 FA Wallonie Rapport final D cembre 2013 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en avec les bouchers le prix de vente d pendant de l volution du prix des aliments les volumes abattus augmentent Aide de l AFSCA passer aux normes Eleveurs ind pendants en bio s ils veulent d velopper la vente directe Peu d abattoirs publics sont certifi s bio Obligation de moyens normes hygi nes de plus en plus lev es ind pendants Mutualisation des ressources mat rielles et humaines possible et en termes de formation et information Evolution du march concentration des abattoirs Ga a de normes bien tre animal Abattoirs priv s porcs Nouvel abattoir avec usage de nouvelles technologies cela paie Vise la qualit pas uniquement la rentabilit Esprit coop ratif de l entreprise Gestion tr s lourde porter Transport des porcs assur entre les levages et la coop rative D coupes r alis es pour les clients d veloppant une vente directe Livraison de viande fra che deux ou trois fois Les contr les hygi ne co tent chers 3 3 2 par porc 1 200
316. ts mergents de se cristalliser 0550 184 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 y AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE wW o E Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 ss Partie IV ANNEXES 185 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 w M AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE VF Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wallonie A Rapport final D cembre 2013 CONSEIL 1 Axe 1 Contenu de la plateforme internet de rencontre entre entrepreneurs durables et consom acteurs Le contenu du site a t collect tant par le travail d tude axe 4 que par le travail de t
317. ts courts durables et de proximit percolent le march Les produits durables locaux et de qualit artisanale deviennent aujourd hui une nouvelle niche commerciale La multiplication des points de vente notamment en grandes surfaces diminuera l attrait des GAA Delhaize ainsi a annonc en juillet 2012 vouloir proposer jusqu 40 produits locaux par magasin Cela permettra d largir fortement le public consommant des produits locaux Un interm diaire commercial qui capte l offre de tous les petits producteurs s occupe du packaging et revend les produits via son r seau de franchis s est un interm diaire suppl mentaire qui augmente les prix fait perdre la convivialit et le lien Dans la pass nombre de producteurs ont pourtant arr t de travailler avec de grandes enseignes en raison des aux conditions drastiques et aux faibles marges qui leurs taient impos es L incorporation des circuits courts au march classique aura ses d tracteurs Au del des labels elle appelle revenir aux valeurs essentielles l origine du bio Les alternatives marginales contaminent le march global Elles sont source d innovation et se professionnalisent tout en gardant leurs valeurs ou bien sont totalement incorpor es et perdent leur essence En cons quence les alternatives innovent nouveau et ainsi continuent de contaminer progressivement le march global Les produits biologiques qui taient des initiatives marginale
318. ts magasins ind pendants En Angleterre louverture de 93 hypermarch s a induit dans les deux ans une perte nette de 270 emplois dans le commerce de d tail alimentaire dans un rayon de 16 kms autour de chacun de ces hypermarch s NRPF 1998 En Belgique le projet Citta Verde de Farciennes a t refus au motif qu il ne contribuait pas renforcer l attractivit des centres et risquerait d avoir un impact n gatif sur les commerces de proximit des entit s voisines risquerait d avoir des effets n fastes sur la population locale en terme de coh sion sociale ne contribuait pas r ellement la cr ation de richesse Le risque de pertes d emplois tant d s lors aussi trop important par rapport aux emplois qui seraient cr s Exemple 3 How local foods can survive the supermarket onslaught Le refus d implantation de supermarch s dans l East Suffolk a permis le maintien des petits commerces existants Cette d cision eu pour cons quence ult rieure lexpansion et la multiplication des emplois des producteurs transformateurs fournisseurs et vendeurs locaux ainsi que de l augmentation du choix offert aux consommateurs du nombre de menus locaux dans les pubs et restaurants de l innovation de la coop ration entre producteurs de la coh sion et du sens de la communaut Source Plunkett 2006 Les circuits courts sont le pendant de la grande distribution En Belgique les g
319. ttage et d couragement des particuliers Renouvellement du permis d environnement l ch ance 2017 possibilit de concevoir un nouvel outil plus moderneaux normes europ ennes Valorise du personnel handicap et valide ou pour les autres abattoirs un personnel peu qualifi dans un m tier qu il appr cie Programme pilote fran ais CNADA Cr ation d emplois De plus en plus de contraintes en mati re d hygi ne Obligation de s paration entre client le particuliers et professionnels d couragement des clients bien tre animal Co t lev de l expertise v t rinaire pour une petite structure Pas de mouvement coop ratif autour de l abattoir Abattoirs publics porcs moutons bovins chevaux V ritable service la population Souplesse de l outil flexibilit au niveau du service proximit prix Recherche par les clients leveurs ind pendants d un outil de proximit offrant un v ritable service garantie de qualit relation d gal gal relation directe possible avec les bouchers pas besoin de label ni de certification transparence La m nag re ne se soucie pas de l abattoir mais bien de l leveur prix qualit de la viande l abattoir est un maillon obligatoire sans plus value Pour les leveurs ind pendants probl matique de la logistique du transport co ts importants les levages ne se rapprochent pas de la norme
320. ture Recherche de financements Animations sur la gouvernance entre les partenaires Conseil juridique structure conventions terres Conseil juridique pour la structure Travail sur la gouvernance entre les parties prenantes Challenge de l tude de faisabilit Plan financier sur 4 ans Analyse du projet de sa viabilit financi re et de son besoin de financement Renvoi vers d autres possibilit s de financements 12 Val rie Capoen 13 Ferme de Halleux Agricoop 14 Foire aux savoir faire 15 Miellerie de Rochefort 16 R seau des piceries de proximit 17 V Rey 18 Myam 19 Wagener Secteur Patisserie A d terminer Tourisme Artisanat Plateforme web de rencontre entre cr ateurs et acheteurs locaux R cup ration Transformation Vers une miel coop rative Distribution de A produits agricoles d terminer Plateforme logistique entre producteurs agricoles et piceries Distribution Scrl Asbl SCRL FS Distribution Boulangerie SCRL FS R orient Ce projet n tait pas viable sous la forme envisag e Se r oriente vers un projet collectif R orient Ce projet n tait pas viable sous la forme envisag e D autres porteurs ont depuis rejoint l quipe En attente Attente de subsides En attente difficult s personnelles rencontr es par le porteur de projet En attente difficult s personnelles rencont
321. u recyclage R cup ration Recyclage OOO Pourcentage de mati res recycl es la production pas applicable Potentiel de r utilisation recyclage pas applicable Commentaires ventuels Relations internes et implication des personnes dean le projet l entreprise Choix conomiques R flexion sur un co t accept choix de produit ou service R flexion sur un co t accept choix de type de charge ou consommables Choix sociaux qualit des emplois internes Contrats type pr carit etc Former des stagiaires Travail au noir volume travail conjoint aidant ch mage conomique etc Formation Former des stagiaires Salaires hommes femmes r partition des t ches adaptation des horaires Empowerment Conciliation vie priv e vie professionnelle Impact sur la sant et la s curit des travailleurs Conditions de travail horaires quipement etc Choix environnementaux Limitation de la consommation Choix des consommables Graisses et huiles biod gradables Gestion des d chets Pas dans les cours d eau Choix des moyens de d placement Incitants la mobilit douce Suivi DD Utilisation d outils de mesure des performances DD Les priorit s DD d finies sont elles relevantes Oui pour ce qui est de pour l activit l environne mental Mise en place d un processus d am lioration continue N 21 Mise en p
322. ucteurs locaux afin de faire conna tre leurs conditions de vie et de travail En lien avec le groupement de producteurs locaux des Grosses L gumes l Epicentre a initi un r seau des piceries de proximit afin de mettre en contact les commer ants agriculteurs et des artisans locaux d encourager les premier commercialiser les produits des seconds et de les aider sortir de la tutelle des grossistes des grandes enseignes de l agro alimentaire Le r seau aura pour objectif de fournir un prix r mun rateur pour les producteurs et de mutualiser certains services logistique stockage livraison transformation accompagnement technique Dans ce cadre un catalogue des producteurs locaux et de leurs produits d j t r alis 96 lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S S Wallonie Exemple 9 Brasserie de la Lesse Situ e au centre d prave un petit village de la commune de Rochefort la Brasserie de la Lesse est une coop rative finalit sociale cr e en 2011 par une bande de vieux copains du coin passionn s par la bi re soucieux de l avenir de leur terroir et d sabus s par le fonctionnement du syst me conomique dominant La Brasserie de la Lesse propose trois bi res biologiques et locales la Cambr e la Rouge Croix et la Chinette Ag e d peine 5 mois la Cambr e a t prim e meilleure bi re ambr e 2012 de Wallonie lors de la premi re dit
323. ues Selon Groupe One 2011 les bons exemples de dispositifs de distribution tels les paniers malins sont souvent soutenus par les pouvoirs publics En effet les productions en circuits courts intensives en main d uvre cr ent et maintiennent de l emploi Economie sociale de distribution 6 Groupe One 2011 SAWB 2010 CRIOC 2010 Think Thank europ en pour la solidarit 2009 UCL 2009 CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 Dexia 795 5886987 46 Num ro d entreprise 0434 986 305 W AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE W y gt m 174 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Afin de favoriser la multiplication et la diversification des circuits courts il faut favoriser le lancement et la p rennit de la distribution petite chelle Il faut inclure une orientation vers l conomie sociale de distribution lors de la r forme des Aides Publiques l Emploi 0220 En effet le Code NACE n accepte pas les commerces de d tail Les points APE pour la construction durable lanc s par le Gouvernement wallon dans le cadre de l al
324. ues pistes de leviers possibles pour l action politique l intention de la distribution des producteurs des transformateurs et des consommateurs Afin d avoir une vue d ensemble toutes les leviers envisag s sont pr sent s dans le tableau en annexe Les num ros 0X9 renvoient une explication d taill e dans le texte B Production Supprimer les interm diaires classiques permet de se r approprier leurs marges Cela implique en contrepartie de prendre en charge des m tiers suppl mentaires Un cadre des informations des formations et des incitants sp cifiques sont n cessaires L gislation l accessibilit des producteurs locaux aux march s de leur localit est parfois rendue impossible par la pr sence plus ancienne sur tous les emplacements disponibles d autres revendeurs Il serait int ressant de r server ou d inciter la mise disposition d emplacements destination des producteurs et groupements de producteurs implant s dans la zone 010 De plus il faudrait laborer avec ONEM un statut adapt aux n o agriculteurs qui souhaitent s installer 020 Un statut de transition professionnelle est propos au Crabe mais le cadre l gislatif est trop troit Il serait int ressant de se pencher plus particuli rement sur un statut permettant la transmission sur plusieurs ann es entre une personne arr tant son activit et un nouveau professionnel qui la reprend Le partage des b n fices devra tre pris en
325. uit court peut s appliquer de fa on 50 P4 EA Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie 39 Wallonie A pertinente chapitre 6 Tout au long de ce travail les fiches agir localement synth tiseront pour chacun des secteurs abord s les principaux freins rencontr s les acteurs locaux les difficult s sp cifiques pos es par le contexte l gislatif ainsi que des pistes d action politiques et citoyennes afin d inciter et de favoriser la production la transformation la distribution la consommation individuelle et la consommation collective en circuit court durable et de proximit En compl ment le site www circuitscourts be propose des moyens des outils d actions ainsi qu une carte dynamique destination des citoyens et acteurs conomiques locaux 51 D Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie 2 CIRCUITS COURTS EXISTANTS 1 Historique a La premi re forme d change Si l engouement m diatique dont ils font l objet peut laisser croire que le ph nom ne est nouveau les circuits courts alimentaires existent depuis toujours Langhade 2010 L autoconsommation est la premi re forme d alimentation et la vente directe est la premi re forme d change L agriculture est la base historique des changes et du commerce L approvisionnement direct de la ville par l agriculture de proximit a d clin au cours du 20 si cle avec
326. un mod le de contrat s inspirant des contrats franchis franchiseur Sensibiliser les GAA tendre leur gamme de produits achet s produits secs huile bi re miel ou autre b Hygi ne Similairement des produits cologiques et locaux d hygi ne et d entretien sont d j achet s en commun dans certains groupes Des langes lavables voire des cosm tiques pourraient l tre galement c Bois nergie Une demande existe galement au sein de groupes d achat pour l nergie achat group de bois de chauffage plaquettes pellets biomasse A Rochefort une initiative d achat group de mazout s est croul e victime de son succ s la personne ressource ayant t d pass e par la charge de travail ce qui n est pas sans rappeler les difficult s de p rennit des GAA Chapitre 4 3 Le bois nergie permet de valoriser les ressources locales renouvelables en bois bois de coupe gestion des voiries parcs et jardins Cr dal et Floreco 2009 En outre ce secteur permet de cr er des emplois locaux et est intensif en main d uvre Par rapport au mazout ou au gaz le bois nergie g n re 3 4 fois plus d emplois p rennes et non d localisables FRW 2011 Depuis 2001 le Plan Bois Energie amp D veloppement Rural accompagne des collectivit s locales dans la mise en uvre de projets bois nergie Il existe en outre trois facilitateurs bois nergie pour les secteurs publics domestique
327. une antenne du CPAS de Li ge soutient un potager collectif permettant de proposer des formations et la fois d approvisionner une petite picerie de quartier Les personnes pr caires y b n ficient de fortes r ductions sur les produits Hubert 2012 Le Guide fran ais circuits courts et coh sion sociale 2012 d veloppe d autres exemples pertinents 117 w lt 6 Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S9 Wallonie Agir localement Aide alimentaire Freins Principaux e Manque de coordination entre les initiatives CPAS et associatif etc manque de liens avec les secteurs de l insertion et de l conomie sociale Normes sanitaires rigides limitent l action produits non p rissables non p rim s mais date de vente pass e etc et impliquent des investissements importants pi ce frigorifiques pour distribution de colis etc Les appels projets existants ne permettent g n ralement pas la dynamique positive entrain e par la mixit des publics L exigence de preuves de pr carit en vue de cibler le public est stigmatisante Les projets subsidi s court terme ont du mal se p renniser ce qui entraine des frustrations et restreint les motivations Acteurs sp cifiques Niveau macro BIRB Niveau m so Banque alimentaire F d rations Resto du C ur Croix Rouge etc Associations caritatives saint Vincent de Paul etc R seau des piceries sociales REPIS FDSS concertation Aide
328. urable Contexte Le microcr dit D veloppement Durable MCDD a t con u afin de r pondre la difficult d acc s bancaire des petits mara chers bio En effet les banques ne soutiennent g n ralement pas ces projets qui ne rentrent pas dans les normes ISA dont le besoin d investissement est faible le risque lev les rentr es saisonni res et la commercialisation en circuit court na pas de garantie d coulement Le MCDD rencontre des besoins financiers jusqu 25 000 propose une p riode de franchise en capital une dur e de remboursement et un accompagnement adapt s au projet Les projets de circuits courts rencontrent bien souvent les m mes difficult s d acc s au capital que les petits maraichers Ainsi tout comme les circuits courts sont n s dans le secteur maraichers avant d tre reproduits dans d autres secteurs nous avons souhait tendre le produit MCDD d autres projets potentiellement DD et circuits courts Afin de s lectionner les projets b n ficiaires nous avons donc d fini une grille de lecture de crit res DD Le microcr dit d veloppement Durable b n ficie d un soutien de l Europe Fonds Europ en d investissement via un fonds de garantie Certains petits projets agricoles ne rentrant pas dans le cadre ISA ni dans le cadre du Fond de garantie ont ainsi pu b n ficier d une garantie 16 ES Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en Wal
329. urables en Wallonie ST Wallonie Les producteurs transformateurs et distributeurs locaux forment un r seau Les commerces alimentaires commencent petite chelle avec des vendeurs de petite taille Les magasins de d tails et les services de proximit banques postes sont leur tour interd pendants Ils sont sources d innovation de nouveaux produits et de nouvelles entreprises Le secteur de la petite vente au d tail est un facteur cl dans l esprit d entreprise l emploi les comp tences les conomies locales l innovation et le r seau professionnel sophistiqu ainsi que l accessibilit aux biens et services vitaux la diversit l inclusion sociale et les activit s communautaires House of Commons 2006 On peut remarquer que certaines dynamiques existantes en circuits courts sont ancr es dans territoires sous r gionaux C est le cas par exemple des Grosses L gumes en Gaume ou du groupe Colibri Famenne en Famenne Les territoires forte identit semblent davantage d velopper les structures conomiques solidaires ancr es localement Dans cette optique il serait int ressant d identifier une carte d identit s territoriales des sous r gions wallonnes La Gaume le pays de Herve le pays des Collines de Ath la Hesbaye la Famenne la Picardie etc d Coh sion sociale En supprimant les interm diaires les consommateurs et producteurs vont les uns vers les autres se rencontrent et changent d
330. urceries minimisent la quantit de d chets et maximisent le potentiel de r utilisation Elles visent cr er de l activit conomique socialement valorisante et durable dans une logique d insertion La Ressourcerie de la Dyle par exemple est une soci t coop rative finalit sociale fond e conjointement par des communes CPAS ASBL et particuliers Elle collecte des encombrants les trie les transforme les revend Genappe et Ottignies et forme des personnes ces diff rents m tiers Ressources est la f d ration des entreprises d conomie sociale actives dans la r duction des d chets par la r cup ration la r utilisation et la valorisation des ressources C est une plateforme supra locale sur laquelle peuvent venir se greffer des acteurs locaux publics villes CPAS agents de sensibilisation de pr vention etc associatifs ou priv s artistes ateliers de r paration boutique de seconde main etc Elle se compose de 67 entreprises membres dont 50 ont leur si ge social en Wallonie Ressources http www res sources be Shttp foiresavoirfaire org 124 CES Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S Wallonie Acteurs sp cifiques e Ressources e Ressourceries Propositions e R mun ration au tonnage des acteurs labellis s R cup d actions politiques e Y penser comme crit re pour les march s publics e Favoriser les collaborations entre les intercommunales de
331. urs et consommateurs en N Wallonie Rapport final D cembre 2013 Les groupes existants ont galement besoin d information claire et concise au sujet des exigences sanitaires applicables aux produits agricoles et transform s produits laitiers viandes ainsi que des assouplissements relatifs aux petites structures 0460 Dans certains cas la crainte de la responsabilit sanitaire fait que personne ne veut se charger des livraisons En outre les craintes autour de lAFSCA poussent les acteurs vouloir vivre heureux vivre cach s C est une des raisons principales restreignant la structuration et la mise en r seau des GAA De plus SAWB 2010 souligne que la plupart des GAA n existaient pas avant 2006 et qu il serait utile d organiser des discussions entre groupes actuels et groupes plus anciens afin d assurer un meilleur passage de t moin et d identifier les pratiques favorables ou non leur p rennit 0470 Cette analyse d autant plus vraie que de nombreux GACs semblent souffrir d un taux de renouv lement important voir imploser apr s leurs premi res ann es d existence Par ailleurs certains des projets souhaitent se formaliser ou r unir certaines activit s dans un souci de p rennit Ils ont besoin de conseil juridique et financier Nous travaillons en ce sens avec l ASBL Ekikrok voir le point valeur ajout e De m me certains projets port s par les GALs ont besoin d accompagnement pour deveni
332. urs sp cifiques F d ration Horeca Wallonie Wallonie des saveurs Bistrots de terroir OPW Etc Propositions Faciliter la mise aux normes sanitaires d actions politiques e D velopper les marges de man uvre locales face aux r glementations europ ennes sanitaire et d tiquetage crit res plus souples pour les petites structures demander au niveau Europ en sur exemple de la France de l Italie etc Proposer aux transformateurs plus d informations et conseils de terrain sur la mise aux normes sanitaires avant les investissements et les contr les e Permettre l chelonnement de la mise aux normes sanitaires Envisager des syst mes de garanties pour cr dits afin de pouvoir valoriser aupr s de banques la valeur transform e des produits etc Soutenir la cr ation en lien avec les halls relais de structures coop ratives fa ti res pour activit de transformation pour aide au lancement et tester activit s sans num ro d agr ment AFSCA lt Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie S A Wallonie sp cifique Exemple fromagers autour des locaux de OPA Ciney Soutenir la cr ation de lieux mixtes cuisines collectives conserveries accessibles aux producteurs transformateurs groupes de citoyens Soutenir la cr ation d abattoirs locaux et autres ateliers de transformation meuneries tueries fromageries mielleries D velopper une centrale d achat pour restaurateurs Proposer
333. us avons veill au d veloppement de partenariats sur la Wallonie avec perspective de d veloppement de nouveaux produits notamment avec la coop rative Agricovert Structure du financement Apport propre en esp ces 32 300 Cr dit Cr dal stock 15 000 Subside Bruxelles Export 7 500 Brustart 50 000 C dric Saccone 4530 Vaux et Borcet Mara chage biologique activit en d marrage Stagiaire de la caravane Alpi Structure du financement Apport propre en esp ces 1 281 Microcr dit Cr dal 12 478 Apport propre en nature 4 678 28 Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en A Wallonie al Rapport final D cembre 2013 Exemple de cr dit Impact le maraicher Fr d ric Jadoul 5310 Aische en Refail Monsieur Jadoul exploite 1 5 HA en visant exploiter le potentiel commercial r gional commerces locaux GAC et GASAP Pour d velopper son activit il souhaitait augmenter se surface cultivable environ 3 Ha au total Monsieur Jadoul a sollicit Cr dal pour Le financement d quipement en raison de l augmentation de la surface cultivable L achat de la parcelle de 2 5 Ha alors qu il louait pr c dement les terres Selon le rapport d expertise du notaire le prix de frais d acquisition s l ve 54 495 Il fallait compter 65 000 avec les frais d acquisition Afin de facilite
334. vail des producteurs De m me l id e n est pas de recr er des soci t s b n ficiant avant tout aux actionnaires non impliqu s Similairement des porteurs de projets en circuits courts craignant la r cup ration du projet qu ils ont fait murir sont frileux l id e d implication des autorit s publiques Il faut galement garder des processus de d cisions r actifs Diff rents types de parts peuvent coexister dans la m me structure D une part un type de part peut tre r serv des garants de la finalit sociale ventuellement apr s une p riode d essai Les statuts peuvent requ rir une majorit au sein de l ensemble des coop rateurs ainsi qu une majorit au sein des garants pour certaines d cisions Au sein de la coop rative Agricovert les parts producteurs et les parts consommateurs sont calqu es sur ce mod le Parfois ces parts sont sans dividende D autre part sur le mod le des SCIC fran aises Exemple 10 une coop rative peut laborer diff rents types de parts destination des producteurs ou travailleurs des consommateurs ou utilisateurs et des autorit s publiques Cela ne demande pas de toucher des comp tences f d rales et pourrait devenir une condition des participations r gionales Afin de r partir le pouvoir de d cision des pourcentages du total des droits de vote par type de parts peuvent tre d finis dans les statuts sur le mod le des coll ges des
335. ve en circuits court deux acteurs sont g n ralement tol r s pour des raisons d impossibilit pratique on voit mal une cole produire la viande mang e dans sa cantine Le nombre d interm diaires tout comme la taille humaine de l entreprise doivent tre compris comme des crit res objectifs indiquant des modes de fonctionnements d mocratiques horizontaux et participatifs Le cadre de l olien participatif 24 99 minimum aux mains des citoyens et implications des pouvoirs publics locaux est justement id al pour la mise en places de structures coop ratives communes finalit sociale Chapitre 5 5 En outre le nouveau cadre de r f rence wallon pour l olien ouvre la voie des participations publiques et citoyennes L initiative d Emissions z ro s inscrit donc clairement dans une r duction de la fili re de commercialisation de l nergie Elle nous pousse adopter un angle de vue plus large sur les circuits courts durables et de proximit Tableau 11 L nergie solaire photovolta que et thermique est galement le lieu de d marches citoyennes L ASBL Collectif Energie Gembloux a cr des groupements d achat d lectricit verte qui r alisaient un travail d information collective et de sensibilisation Par la suite cinq groupements d achats de panneaux solaires photovolta ques ont r unis plus de 120 m nages en cinq ans Ensemble ils ont choisi les installateurs et n goci des prix de gros En p
336. vironnementaux et sociaux maximiser Essaimage potentiel ked es Wallonie Rapport final D cembre 2013 A Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et consommateurs en CONSEIL M J LL Partie II ANALYSE CREDAL ASBL Association sans but lucratif Place de l Universit 16 B 1348 Louvain la Neuve T l 010 48 33 50 Fax 010 48 33 59 Mail credal credal be www credal be Si ge bruxellois Centre d Entreprises Dansaert Rue d Alost 7 B 1000 Bruxelles Triodos 523 0800650 87 m Dexia 795 5886987 46 m Num ro d entreprise 0434 986 305 AVEC LE SOUTIEN DE LA R GION WALLONNE DE LA R GION DE BRUXELLES CAPITALE ET DE L UNION EUROP ENNE w d IS 40 Avec le soutien de d NA A Wallonie Les circuits courts solidaires et durables en Wallonie Les circuits courts durables et de proximit sont l intersection des logiques sociale conomique environnementale et locale Nous avons analys l origine des circuits courts agricoles leurs modes de fonctionnement actuel ainsi que l apparition de nouvelles dynamiques solidaires Les conclusions de l accompagnement de projets concrets sont compl t es par une analyse quantitative Nous avons mis en vidence l int r t particulier des circuits courts collectifs participatifs voire coop ratifs solidaires et mixtes producteurs consommateurs ainsi que de la compl mentarit existant entre fonctionnement

Mise en place de circuits courts rapprochant producteurs et

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