An 2000, ère nouvelle = produits nouveaux
Contents
1. l quipe de r ponse de la MC L quipe de r ponse servira en tant que consultant dans l implantation des politiques de pr cautions contre la MCJ pour les cas suspect s et confirm s de MC Administration des soins Service central Administration de l h pital ou du groupe m dical Laboratoire obtenir imm diatement 1N d hydroxyde de sodium du Lab r gional Contr le d infection Services Environnementaux SEV A S curit 2 Manutention des items jetables potentiellement contamin s Les mat riaux infectieux inclus ne se limitent pas Tissus du cerveau tissus de la corn e fluide c r bral spinal FCS et le sang Utiliser de l quipement personnel protecteur EPP gants lunettes masque sarrau pour manier les mat riaux infectieux ou les items contamin s avec les mat riaux infectieux Suivre une technique stricte du brossage des mains Placer les ITEMS J ETABLES contamin s avec les mat riaux infectieux dans un sac de plastique herm tique obtenu au Service Central et tiqueter POUR INCINERATION Les Services environnementaux placeront le sac dans une bo te clairement identifi e POUR INCINERATION et en disposeront Si la lingerie ou la jaquette du patient devient contamin e avec des mat riaux infectieux les placer dans un sac de plastique et tiqueter POUR INCINERATION 3 D sinfection des surfaces contamin es D sinfecter les surfaces contamin es par le2. An 2000 re nouvelle produits nouveaux Par ohanne Dionne A I C B au Service de st rilisation du C H U M H tel Dieu et directrice I A G S Avec la venue de l an 2000 de nouveaux produits serontemploy s Suite la nouvelle l gislation sur l emploi du glutarald hyde nous devons nous tourner vers d autres avenues Un nouveau produit a vu le jour ces derniers temps il s agit de l ortho phthalald hyde commun ment appel OPA Il est pr sentement fabriqu par la compagnie J ohnson amp J ohnson et est vendu sous le nom de CIDEX OPA L OPA est une solution d sign e la promotion d une d sinfection haut niveau pour les instruments m dicaux sensibles la chaleur Voici ses principales caract ristiques Odeur minime D sinfection haut niveau DHN 10 minutes 20 C St rilisation 32 heures 20 C on doit utiliser une solution nouvelle pour la st rilisation Utilisation simple Aucune activation Aucune dilution Aucun m lange Date de p remption indiqu e sur le contenant 2 ans sile contenant n a pas t ouvert 90 jours si le contenant a t ouvert Stabilit de la solution 14 jours maximum ou moins selon l indication de la concentration minimale efficace CME qui est de 0 3 Con u pour une utilisation manuelle trempage ou automatis e laveur de scopes Compatible avec les d tergents enzymatiques Pres du pH neutre 7 4 Peu de mousse Rin age faci
3. sugg r que les instruments contamin s par la MC pouvaient tre d contamin s en les lavant avant la rest rilisation Les laveuses d instruments sont pratiques pour les instruments contamin s avec les micro organismes conventionnels car leurs proc dures peuvent selon la charge inactiver compl tement ou substantiellement les virus du VIH ou de l h patite B Ce n est cependant pas le cas pour les agents de la MCJ et on a d montr une inqui tude envers la contamination interne et la dispersion de l infection qui pourrait se produire en utilisant ces techniques de lavage avec des instruments contamin s de la MC La quantit de tissus adh rant aux lames de bistouri apr s avoir coup dans les tissus du cerveau est d environ 5mg Cette quantit est probablement plus lev e sur les instruments dents de scie M me si le nombre de ID intra c r bral humain par gramme de cerveaux humains infect s de MC estinconnu il est raisonnable de pr sumer qu il se situerait dans l chelle de valeurs 105 10 1D g calcul de la transmission entre esp ces d agents ESB ettremblante Ainsi la quantit d agents infectieux sur divers types d instruments et d appareils chirurgicaux apr s un contact avec des tissus c r braux infect s de MC devrait exc der 10 d ID intra c r bral humain ll n y a pas que les m thodes de lavage qui sont concern es M me si des tudes pr c dantes ont indiqu que la st rilisation la vapeur de c
4. tats Unis Les patients qui sont morts de la MC entre 1991 et 1995 sontidentifi s dans les cing centres de surveillance Ces r visions n ont pas d tect aucune vidence d apparition de la nouvelle forme de variance de MC d crite aux tats Unis et la port e annuelle de la MC demeure inchang e Une adh rence stricte aux pr cautions sp ciales est n cessaire pour pr venir l exposition aux tissus ou au sang infectieux des patients de MC Des guides de d sinfection des proc dures de st rilisation la manutention de d chets contamin s et de sp cimens de laboratoire sont rapport s dans la litt rature Une approche en quipe multidisciplinaire est n cessaire due la complexit des pr cautions et la diversit des d partements de l h pital qui sont impliqu s dans l implantation des pr cautions Avoir une politique qui souligne les derni res normes pour manier les mat riaux utilis s dans la MCJ est une approche pro active pour une maladie rare et complexe Le Guide de r f rence rapide pour les pr cautions de la MCJ a t d velopp selon nos politiques existantes et mis jour avec l information r cente disponible dans la litt rature II inclut le continuum complet de soins de sant de l admission l h pital aux soins long terme ou la maison Guide de r f rence rapide Pr cautions contre la maladie de Creutzfeldt akob 1 Activer l quipe de r ponse des soins Le nursing coordonne l avis
5. ce bulletin Nous vous invitons visiter le site Internet de l association www sterilisation com qui a fait l objet d une r vision Vous y retrouvez les conf rences du colloque de septembre octobre 1999 dont le contenu n apparaissait pas dans le cahier du participant le formulaire d adh sion a l association le d pliant de la journ e scientifique du 29 septembre 2000 avec son formulaire d inscription le contenu du centre de documentation de l association et bien d autres sujets Au nom des membres du Comit ex cutif je tiens a remercier Madame Suzanne Molleur directeure de l association et Monsieur Yanai Elbaz vice pr sident de l association qui ont mis fin a leur mandat au sein du comit pour leur implication et leur dynamisme dans l association au cours des derni res ann es Diane Simard Pr sidente J ourn e scientifique L e theme responsabilit versus st rilisation 07h30 08h30 09h00 09h45 10h15 11h00 11h45 13h00 14h30 15h00 P rogramme Inscription Assembl e g n rale annuelle L Implantation de la st rilit par v nement Mmes osette Forest et Myrance Mailhot Pause caf R le de l infirmi re en st rilisation Mme J ohanne Dionne Demystification des bact ries multir sistantes en milieu hospitalier E R V S A M R etc Dr Richard Marchand Diner Atelier Responsabilit du service de st rilisation sur le mat riel st riliser Muri
6. ASSOCIATION DES GESTIONNAIRES EN STERILISATION INFO AGS A l int rieur Pr cautions prendre contre la maladie creutzfeld jakob U ne perspective du R oyaume U ni dans letraitement des instruments contamin s par la mci An2000 re nouvelle produits nouveaux p j E bs ASSOCIATION Mot de la pr sidente DES GESTIONNAIRES EN STERILISATION Pr cautions a prendre contre la maladie creutzfeld jakob Une perspective du Royaume Uni dans le traitement des instruments contamin s par la MC An 2000 re nouvelle produits nouveaux 13 Formation continue Juin 2000 Volume 2 no 1 UNE PUBLICATION POUR LES GESTIONNAIRES EN ST RILISATION M ot dela presidente Cher e s collegues C est avec grand plaisir que nous vous faisons parvenir notre bulletin d information Suite une d cision du Comite ex cutif nous tenons vous aviser que le bulletin d information para tra deux fois par ann e Vous tes invit s nous soumettre vos suggestions et commentaires sur les sujets trait s ceux que vous aimeriez voir et ou tre l auteur d un article L ann e 2000 apporte du renouveau l Association des gestionnaires en st rilisation Pour enrichir nos connaissances une journ e scientifique se d roulera le 29 septembre 2000 Auditorium Rousselot de l H pital Notre Dame du CHUM Vous trouverez les informations concernant cette journ e avec l envoi de
7. accidentelle au mat riel infectieux Nettoyer les lieux expos s avec de l hydroxyde de sodium 1N pour 30 secondes suivi par un rin age rigoureux avec de l eau NE PAS utiliser de l hydroxyde de sodium 1N dans les yeux Contacter le d partement d ophtalmologie imm diatement pour une contamination aux yeux Contacter le Service de sant professionnel en cas d exposition Planification et contr le d un transfert Le contr le des infections sera avis de la planification de transfert d un patient de MC suspect avant le transfert ou l admission dans un autre h pital Le contr le d infection supervisera la planification du transfert des cas de MC suspect s afin que les soins soient bien planifi s Pur les patients qui seronttransf r s dans d autres institutions la maison ou en maison de convalescence U ne perspective du royaume uni dans le traitement des Instruments contamines par la mc Par David M Taylor FIBS FISCT CBIOL MI Biol PhD La nature pr cise des agents non conventionnels qui causent des enc phalopathies d g n ratives transmissibles EDT comme la maladie de Creutzfeldt akob CJ D chez l homme l enc phalopathie spongieuse chez les bovins ESB et la tremblante chez le mouton etla ch vre est toujours ind finie N anmoins nous savons que les agents de EDT sont remarquablement r sistants l inactivation avec les proc dures utilis es pour les micro organismes convention
8. aire d entreposage Les planchers les murs et les plafonds doivent tre constitu s de mat riaux non poreux qui peuvent tre nettoy s facilement et souvent On doit aussi porter attention la s lection du mat riel qui sert l entreposage comme les chariots les tablettes et les bo tes Ces articles doivent tre construits de mat riaux imperm ables qui peuvent tre facilement d sinfect s Des viers pour le lavage des mains des aires de r partition du mat riel et un contr le d entr e et de sortie avec signatures appropri es doivent aussi tre pr vus F ormation Chacun de ces crit res de contr le augmente les chances de garder la st rilit des articles entrepos s Cependant seules ces pr cautions n assurent pas la protection que ces articles st riles ont besoin Leur plus gros danger est le personnel qui les manipule Il est donc tr s important que tout ceux qui ont acces aux aires d entreposage st riles aient une formation de base quant la maintenance de la st rilit et a la dur e de conservation Tout le personnel doit comprendre les proc dures pour la manipulation et la manutention des articles st riles Ceci implique que toutes les personnes qui ont acc s ces aires d entreposage st riles comme les ouvriers des services environnementaux les employ s de soutien etles tudiants doivent comprendre l importance d entretenir et de respecter les normes de ces endroits Trop souvent l emphase est mise
9. andelettes tests que l on doit tremper dans notre solution une fr quence pr alablement tablie Les r sultats de nos lectures doivent tre enregistr s ainsi que les dates d ouverture des contenants d OPA et des bandelettes tests La maintenance de ces registres nous assure un contr le de qualit ad quat II faut galement entreposer les bandelettes et les contenants de solution d OPA selon les recommandations du fabricant L OPA tant une solution chimique quelques r gles de s curit doivent tre prises M anipulation s curitaire le OP A Equipement de protection pour le personnel utilisant 1 OP A Lunettes ou visi re Blouse de chirurgie imperm able ou tablier imperm able avec manches longues Gaine protectrice pour le bas des jambes afin d viter les claboussures sur le bas des pantalons Gants de nitrile si l utilisation de gants st riles estn cessaire on doitutiliser les gants de N opr ne Ventilation des locaux Une ventilation ad quate implique Des changes d air climatis de l ordre de 8 10 changes heure ou Une hotte de ventilation avec vacuation l ext rieur ou Une hotte portative avec syst me de filtration Surfaces de travail La solution d OPA tache de fa on permanente certains mat riaux L acier inoxydable et le Plexiglas sont les mat riaux les plus recommand s Changement de solution doit tre document dans le registre Jeter la veille
10. ant jusqu a 4 heures caract ristique in gal e dans l industrie apr s son application m me apr s le lavage de mains r p t Cette pr paration renferme un agent antibacterien l additif B Microban approuv par Sant Canada la FDA et l EPA qui s est montr efficace contre un large spectre de micro organismes Ce produit ne renferme aucun ingr dient qui pourrait favoriser la prolif ration des bact ries CHASSE ODEURS Produit organique a base d enzymes non toxique Elimine toutes les odeurs organiques au contact A utiliser partout ot les odeurs organiques peuvent poser probleme DM DISTRIBUTECH syst L 1557 Alexandre Legrand Boisbriand Qu bec J7G 3C6 T l 514 992 7282 Fax 514 992 7281 Les propri t s de l OPA sontint ressantes car il esta la fois bact ricide fongicide virucide et tuberculocide La technique de d sinfection haut niveau demeure sensiblement la m me qu avec le glutarald hyde si ce n est qu une d sinfection ad quate haut niveau estobtenue apres 10 minutes de trempage seulement ce qui est un avantage sachant que le manque de mat riel ralentit souvent la productivit des diff rents services hospitaliers La surveillance du bact ricide demeure l outil essentiel nous permettant de mesurer la concentration minimale efficace CME de la solution de trempage Cette surveillance s effectue de la m me fa on que pour le glutarald hyde i e l aide de b
11. des articles Le laps de temps et m thodes d entrainement Introduction L importance de maintenir un environnement st rile d entreposage Le formateur devrait nommer l impact d un contr le environnemental pauvre pour le patient Controle de l ing nierie Le formateur devrait pr voir une discussion sur les contr les sp cifiques d ing nierie pour le d partement Ceci pourrait tre l occasion d inviter un membre de l quipe d ing nierie pour expliquer comment l aire d entreposage st rile devrait tre con u pour travailler ducation ou formation Le formateur devrait mettre l accent sur l impact que chaque employ a sur l environnement physique C est un moment propice pour r viser les pratiques courantes et r pondre aux questions sur les bris au protocole Renforcement Le formateur devrait planifier une r vision des proc dures sp cifiques et devrait inviter le groupe discuter des probl mes qu il pourrait avoir not ou rencontr Dur e totale 60 minutes Contr le La troisi me partie de ce programme porte sur le contr le L environnement et la formation devraient tre suffisants mais comme avec tant d autres probl mes de s curit il y a un besoin de contr le Un exemple classique est la ceinture de s curit des automobiles Les ceintures sont fournies environnement la plupart des conducteurs comprennent leur importance formation mais plusieurs tats ont des lois sur le port des ceintu
12. die de Creutzfeldt akob MCJ est une affection neurologique contagieuse avec une incubation longue et progressive qui fait partie du spectre des maladies neuro d g n ratives connues comme enc phalopathies spongieuses graves Les caract ristiques cliniques de la MCJ incluent la d mence progression rapide l ataxie des anomalies de la d marche et de la parole et des mouvements involontaires La MCJ est invariablement fatale Un diagnostic d finitif est effectu par une biopsie chirurgicale du cerveau ou par examen post mortem mais plusieurs cas sont diagnostiqu s par pr somption selon l historique et la progression rapide des sympt mes Parmi les cas de la MCJ 10 15 sonth r ditaires et familiaux avec une base g n tique identifi e Des cas ont t associ s lors de transplantation de la corn e d implants d lectrode de greffes de dure m re et d utilisation d hormones de croissance humaines cadav riques infect es Cette maladie rare se produit mondialement un rythme d environ un cas par million de population par ann e Le Centre de contr le des infections a tudi le cas de la MC aux tats Unis par une r vision de l information sur la mortalit nationale depuis 1979 Suite au r sultat de la nouvelle variante reconnue de la MCJ d crite au Royaume Uni le CDC a mis jour en 1996 sa r vision pr c dente sur la mortalit nationale par MC eta commenc une surveillance active de la MC dans cing sites aux
13. e D contamination La chambre de compte utilis e pour le compte des cellules sur le sang ou FSC sera d contamin e par immersion dans l hydroxyde de sodium 1N pendant une heure avant de nettoyer Le cryostat et la lame utilis s pour couper les sections congel es seront immerg s dans une solution d hydroxyde de sodium 1N pendant une heure Les blocs de tissus seront envoy s au laboratoire d histologie r gionale tiquet s MCJ SUSPECTEE Les organes et les tissus taill s qui seront utilis s pour pr parer les blocs de tissus seront m ticuleusement plac s dans un contenant et incin r s La d contamination chimique avec une solution d hydroxyde de sodium 1N estid ale pour de grandes surfaces fixes comme les tables de travail et les planchers telle que d crite dans l tape 3 Le drain de la table d autopsie devrait tre bouch et l eau collect e dans un contenant avec bouchon En disposer et tiqueter POUR INCINERATION SEULEMENT 9 Neurologie 10 11 12 Les aiguilles des lectrodes utilis es en lectromyographie devraient tre jetables etincin r es apres utilisation Aviser le Controle des infections des cas suspect s Ophtalmologie Utiliser de l quipement jetable autant que possible et incin rer apr s utilisation L quipement chirurgical non jetable sera incin r ou d sinfect suivant les proc dures d crites plus haut Management de l exposition
14. elle Collette ohanne Dionne et Andr e Pelletier Pause caf Protection du personnel en st rilisation Mme Caroline Bouchard le 29 septembre 2000 C onf renciers Mme J osette Forest Infirmiere chef Service st rilisation centrale CHUQ Mme Myrance Mailhot Conseill re en pr vention des infections CHUQ Mme J ohanne Dionne Assistante infirmi re chef bacheli re CHUM H tel Dieu Dr Richard Marchand Microbiologiste Institut de cardiologie de Montr al Mme Caroline Bouchard M Sc A Conseill re en pr vention Sant amp s curit Direction des ressources humaines CHUM F iche d inscription pour la journ e scientifique 2000 de l A GS S V P remplir la fiche d inscription et nous la retourner par la poste avec votre paiement l adresse L Association des Gestionnaires en St rilisation H pital Sainte J ustine Centrale de st rilisation l attention de suivante Madame Andr e Pelletier 3175 Chemin de la C te Sainte Catherine Montr al Qu bec H3T 1C5 Nom Pr nom Titre d emploi Employeur Adresse T l phone Po a Po Co t d inscription pour la journ e scientifique repas inclus Membres 80 00 Non membres 100 00 _ A pr voir a votre agenda La journ e scientifique et Assembl e g n rale annuelle de l AGS qui se tiendra au C H U M H pital Notre Dame Montr al Le 29 septembre 2000 Le th me Responsabilit versus ste
15. entreposage st rile ils n adh rent peut tre pas toujours toutes les proc dures de contr le d infection Puisqu il n y a pas de police de contr le des infections la responsabilit repose sur tous Chaque employ qui travaille dans ces endroits se doit d tre en alerte et de reconna tre les br ches dans le protocole autantles leurs que celles de leurs coll gues Le c t le plus dangereux de la contamination est qu elle ne peut tre vue Ces gens qui travaillent avec des articles st riles ont besoin d tre conscientis s sur leur environnement et ce qui s y passe L emphase est souvent mise sur l obtention de la st rilit Beaucoup d informatioMs ont t crites sur le processus de st rilisation Mais l importance de maintenir cette st rilit ne peut tre clips e Pour garder les articles st riles jusqu leur utilisation cela demande une aire d entreposage st rile bien entretenue Une aire d entreposage st rile bien maintenue demande de la diligence de tous les employ s 5
16. estune soc L OPA forte concentration peut tre un etree que ate iratoire de conseil et de formation sp cialis e dans P i P le r seau de la sant Elle met votre disposition une gamme complete de Mais la concentration de la solution utilis e tant tres diluee 0 55 le danger services diversifi s tels que esttres minime Canc rig ne gt NON Embryotoxique gt NON techniques de st rilisation T ratog ne gt NON contr le de qualit L OPA n met pas de toxine reproductive etil n y a aucune limite d exposition occupationnelle 7 gestion des op rations analyses financi res formation du personnel contr le et pr vention des infections bloc op ratoire Premiers soins Contact avec la peau et ou les yeux Nettoyer a grande eau durant 15 minutes Notre engagementest d agir en partenariat avec nosclients dans la planification et dans Inhalation des vapeurs l implantation de solutions adapt es aux Si T een objectifs sp cifiques de leur organisation Transporter l air administrer de l oxyg ne au besoin Ingestion de la solution N h sitez pas nous contacter il nous fera l 7 un plaisir de r pondre toutes vos Ne pas faire vomir questions Faire boire de l eau abondamment ST RILE CONSEIL 2000 11195 Cr Gilles Villeneuve Mirabel Qu bec J 7 1V1 T l phone 450 430 7552 T l copieur 450 730 5633 e mail Sterile supernet ca F ormation cont
17. eulement march 2 miles C est dire 14 miles pour lui R appa A ux membres de A ssociation des gestionnaires en sterilisation Objet Adh sion a l A ssociation Madame Monsieur Si vous n avez pas encore envoy votre demande d adh sion il serait temps de le faire dans le but de permettre a notre secr taire de completer ses dossiers Et si vous n avez pas re u le formulaire pour l ann e 2000 vous devriez le recevoir sous peu sinon n h sitez pas communiquer avec nous il nous fera plaisir de vous en faire parvenir un D autant plus que ceci vous permet de b n ficier du rabais pour les membres lors de l inscription la journ e scientifique de cette ann e et de minimiser les appels pour la secr taire du comit qui doit t l phoner chacun des membres qui s est inscrit tarif r duit et dont l adh sion n est pas pay e Nous vous remercions de l int r t que vous porterez ce rappel et qui permettra votre comit de mieux vous servir J ohanne Dionne Directrice A G S 7 Neurochirurgie chirurgie anesth sie Consulter l quipe de r ponse avant d inscrire une proc dure chirurgicale l horaire pour ces patients afin de coordonner les services De l quipement jetable devrait tre utilis Les laryngoscopes et l quipement chirurgical non jetables seront incin r s ou d sinfect s suivant les proc dures d crites plus haut 8 Laboratoire pathologie autopsi
18. harges poreuses 136 C pendant quatre minutes tait une m thode s curitaire pour inactiver les agents de EDT cette conclusion est mise au d fi par l information suivante Des tudes r centes sur la st rilisation la vapeur de charges poreuses ont d montr que le degr d inactivation d agents de ESB de lign e de rongeurs de transition et de tremblante diminuait quand la temp rature est augment e de 134 138 C et que l infection peut toujours tre d tect e apr s une exposition d une heure Parce que ces informations proviennent d exp riences dans lesquelles des tissus c r braux mac r s et infect s taient plac s sur des surfaces de vitre avec frottis et s chage avant de st riliser la survie de l infection peut tre expliqu e sur une base d information pr existante qui d montre que la stabilit d agent de la tremblante la chaleur dans les tissus c r braux infect s peut tre accrue en s chant les frottis de tissus sur des surfaces de vitre ou de m tal Il esta consid rer que la rapidit et ou l efficacit de fixation PrPSc par la chaleur ou par des produits chimiques comme le formol et l thanol affecte la capacit d inactiver les agents de la tremblante du mouton Ainsi il y a un doute que les ratios de temp rature temps utilis s dans les types de st rilisation la vapeur pour st riliser les instruments chirurgicaux puissent tre fiables pour inactiver les agents de MC et autres EDT m
19. he qualitative dont les groupes de discussion et les entrevues individuelles en profondeur est souvent utilis e lors d une phase initiale afin de d velopper des outils adapt s pour la recherche quantitative NOS OUTILS L utilisation de techniques sophistiqu es d analyse est souvent la cl de succ s pour maximiser l utilit des r sultats de la recherche La connaissance et l exp rience en mati re d analyses statistiques permet de fournir des indications plus pr cises pour les strat gies marketing Dans cette perspective SAVO IR ce que le client d sire c est se donner le POUVOIR de le satisfaire La r ussite de la firme Ultime Recherche provient de cette capacit de r unir ceux qui savent la po pul ation ceux qui veulent le client et ceux qui peuvent Ultime Recherche Vouloir r ussir c est s offrir le POUVOIR DE SAVO IR 781 rue William bureau 204 Montr al Qu bec H3C 1N8 T l phone 514 871 4711 T l copieur 514 871 8282 E MAIL ultime ultime qc ca www ultime qc ca lt gt Microban PROTECTION ANTIMICROBIENNE Lotion hydratante antibacterienne pour les mains Tue les germes grace a sa formule contenant des ingredients antibact riens prouv s l additif B Microban a base de Triclosan et prot ge votre peau l aide de protecteurs et d hydratants La pr paration pour les mains Microban qui limine efficacement 99 9 de bact rie sp cifique pendant une periode all
20. instruments utilis s dans les proc dures ophtalmologiques ou neurochirurgicales parce que nous en savons peu pr sentement propos de la distribution de l infection dans les tissus d individus avec la nvMC 7 S aviez VOUS que Le Comite permanent sur la st rilisation a remis le rapport sur la maladie de Creutzfeldt acob MCJ et la gestion de l instrumentation m dicale l automne dernier aux autorit s du minist re de la Sant et des Services sociaux Madame Pauline Marois a transmis ce rapport aux r gies r gionales et certaines associations professionnelles Vous pouvez vous le procurer aupr s de vos r gies r gionales Le parcours record est de 19 3 Fa ll y a vidence que la forme sp cifique de la maladie de prot ine PrP PrPSc peut tre d tect e avant la mort dans les tissus des amygdales des cas de nvMC et l infection a t d tect e apr s la mort dans des tissus non neurologiques de cas de MC sporadique En cons quence les instruments utilis s dans des amygdalectomies de routine ou m me de chirurgie g n rale pour des individus sans maladie neurologique au R U peuvent devenir suspects M me avec un total de 26 cas de nvMC l incertitude et le manque de connaissances sur la distribution de l infection dans les divers tissus de ces individus ont men la d cision de ne pas utiliser de produits th rapeutiques d riv s de plasma humain au R U D contamination ll a t
21. inue De Nathalie Lind ACE Commandite en partie par 3M Health Care Traduit par France Moran E ntretenir un environnement d entreposage st rile La plupart des professionnels de soins de sant comprennent l importance de leur environnement de travail et l impact qu il peut avoir sur les patients Ce qu ils ne comprennent peut tre pas enti rement est l tendue de l impact qu ils ont sur cet environnement En d autres mots les aires d entreposage st riles ne s entretiennent pas d eux m me Beaucoup de planification et de pr paration entrent dans la conception de tout endroit d entreposage st rile La plupart des syst mes sont con us pour fournir le plus de protection possible Cependant m me les syst mes con us avec le plus de pr cautions peuvent chouer si les gens qui y travaillent ne suivent pas rigoureusement les protocoles de contr le d infection sp cifiques C est pourquoi pour r ussir les aires d entreposage st riles doivent tre cr es et maintenues en utilisant le principe de EFC environnement formation et contr le Environnement Un bon endroit d entreposage st rile commence par une bonne ing nierie P our cr er un environnement qui supporterait les th ories de la dur e de conservation des pr cautions doivent tre prises pour r gulariser la temp rature l humidit la circulation de l air et le trafic Ces facteurs doivent tre consid r s pendant les tapes de planification initiale de l
22. ires disponibles PARTIR DE NOTRE VASTE BASE DE DONN ES tiquettes et publipostage PARTIR DU SITE INTERNET Commerce lectronique Conception et boutique virtuelle PARTIR DE NOTRE EXP RIENCE Conception et impression de r pertoires Associations et corporations professionnelles tablissements de sant et de services sociaux institutions d enseignement etc Conception et impression de publications corporativ es Journal d institution magazine de corporation etc Pr cautions prendre contre la maladie de creutzfeldt jakob De Teresa Canola RN BSN CIC Traduit par France Moran Linda Becker RN BSN MPH Sally Padilla RN BS CIC Abstract Comme une variante nouvellement reconnue la maladie de Creutzfeldt akob est tudi e au Royaume Uni et l attention porte encore sur les difficult s de pr venir l exposition aux tissus et au sang infectieux DU aux pr cautions extraordinaires n cessaires avec la MCJ et l incertitude de la pr dominance de la nouvelle variante le Dr David M Taylor offre une perspective du Royaume Uni sur le traitement des instruments contamin s avec la MC En Californie une quipe de contr le de l infection a r pondu au besoin d une approche multidisciplinaire au traitement des mat riaux utilis s dans les cas de MCJ eta d velopp un Guide de R f rence Rapide qui peut tre utilis pour le traitement des patients de la MC La mala
23. iser la vapeur a 121 C2 en gravit standard pour 1 heure 5 Manutention des sp cimens de laboratoire Placer les sp cimens dans un sac herm tique tiquet MCJ SUSPECTEE ensuite les d poser dans un contenant secondaire aussi tiquet MCJ SUSPECT E Les sp cimens ne devraient pas tre plac s dans de la formald hyde Le pr fixage ne rendra pas les sp cimens non infectieux m me apr s st rilisation Aviser le laboratoire avant d y transporter les sp cimens 6 Soins post mortem Suivre les normes de pr cautions universelles standards Les soins infirmiers documenteront la MCJ ou MCJ SUSPECTEE sur les formulaires de transfert la morgue La direction d sign e avise la famille et ou la pathologie Inscrire la cause de la mort au dossier U rgence jetable r utilis L Association des gestionnaires en st rilisation en collaboration avec l Association de la Pr vention des infections de Montr al P I CHICA ont fait parvenir une lettre la ministre d tat la sant et aux Services sociaux Madame Pauline Marois concernant le mat riel jetable r utilis dans les h pitaux Jusqu maintenant nous avons re u un accus de r ception de Monsieur Jules Fournier Directeur de cabinet adjoint Le dossier est suivre S As J COX LX SX Y H HA AIN NA KA A et Ni L OE FO ay AXINI D r Ray Yo 3 AS Nous avons s
24. le Non compatible avec les d tergents mousseux et hautement acides ou alcalins Bonne compatibilit avec diff rents mat riaux Endoscopes flexibles Pentax Circon ACMI Karl Storz Olympus Acier ou carbone aluminium anodis cuivre et laiton etc Caoutchouc plastique adh sifs Tache les prot ines de fa on tr s visible Couleur grise Visible sur les surfaces noires des endoscopes Tache la peau les v tements et les surfaces Utile dans la d tection d un nettoyage inad quat et dans l indication de pratiques m diocres de manipulation et de traitement C Recherche inc Des services conseils en marketing adapt s selon vos besoins NOTRE MISSION Offrir des services personnalis s r pondant aux besoins strat giques de notre client le et ce des taux concurrentiels NO TRE APPRO CHE Les conseillers de la firme Ultime Recherche travaillent en troite collaboration avec ses clients afin de d finir l approche qui apportera v ritablement une r ponse leurs objectifs strat giques NO S SERVICES Ultime Recherche dispose d une gamme complete de techniques d entrevues quantitatives et qualitatives pour des tudes qui portent tant sur le Qu bec sur le Canada que sur l ensemble du march international Ultime Recherche poss de une vaste exp rience au niveau des diverses approches en recherche Nous choisissons l approche la plus appropri e chaque probl me sp cifique La recherc
25. mat riel infectieux avec de l hydroxyde de sodium 1N obtenu en contactant le laboratoire d sign avant le nettoyage routinier Laisser la solution en contact pendant une 1 heure Garder la surface mouill e pendant l heure enti re Rincer 3 fois avec de l eau et ensuite proc der au nettoyage routinier Porter les quipements personnels protecteurs EPP appropri s Note L hydroxyde de sodium 1N est tres caustique MANIER AVEC SOINS R viser les fiches signal tiques avant la manutention Le surplus de solution sera dispos comme les d chets dangereux 4 Le nettoyage et la sterilisation de l quipement et fournitures r utilisables DES ARTICLES J ETABLES DEVRAIENT ETRE UTILIS S AUTANT QUE POSSIBLE NE PAS PRE NETTOYER Placer les ARTICLES NON ETABLES incluantles r cipients contamin s avec du mat riel infectieux dans un sac de plastique herm tique et tiqueter MCJ SUSPECTEE Envoyer au Service central Service central essuyer l instrument ne pas pr nettoyer ni laver ou brosser avant st rilisation Apr s la st rilisation initiale la vapeur laver brosser les instruments ou les articles et les st riliser nouveau Les articles qui ne peuvent pas tre trait s doivent tre incin r s Suivre les guides de st rilisation la vapeur A 132 C pour au moins une heure ou B 134 C2 en pr vacuum pour 18 minutes ou C Tremper dans de l hydroxyde de sodium 1N pour 60 minutes ensuite st ril
26. nels Entre 1977 et 1980 des exemples de transmissions iatrog nes de la MC ont t report s apr s utilisation d instruments neurochirurgicaux ou d appareils mal d contamin s qui avaient servi sur des tissus craniens d individus avec la MC Jusqu maintenant un cas de MCJ iatrog ne attribuable a une transplantation de la corn e a t rapport La destruction des instruments a t recommand e En cons quence la recommandation du Royaume Uni en 1981 tait de disposer des instruments chirurgicaux qui avaient t utilis s en chirurgie ophtalmologique et en neurochirurgie pour les cas connus ou suspects de MCJ Malgr l identification tardive de proc dures de st rilisation la vapeur de charge poreuse CP apparemment effectives pour les agents de EDT le conseil suivant du R U tait de continuer de disposer des instruments utilis s en chirurgie ophtalmologique ou en neurochirurgie pour les cas connus ou suspect s de MC Voyant les risques reconnus au d veloppement de maladies comme la MCJ la gamme d individus dont ces restrictions devaient s appliquer tait plus tard agrandie pour inclure a les receveurs d hormones d riv es de glande pituitaire de cadavres humains b les receveurs de greffe de dure m re d riv e de cadavres humains et c la parent d individus connus pour avoir une h r dit aux maladies comme la MC En voyant la r sistance extraordinaire la st rilisation la vapeur qui a
27. res contr le parce que les deux premi res tapes ne suffisent pas changer les comportements Test sur le maintien d un environnement d entreposage st rile Vrai ou Faux Dans un environnement d entreposage st rile le plus grand risque de contamination vient des gens qui y travaillent La responsabilit de maintenir un environnement d entreposage st rile appartient au d partement de contr le des infections La st rilit des articles peut tre compromis en tout temps pendant leur cycle de vie Les aires d entreposage st riles bien con ues sont l preuve de tout Les surfaces de l aire d entreposage st rile devraient tre non poreuses Tous ceux qui ont acc s aux endroits d entreposage st riles devraient avoir une formation sur les th ories de conservation Maintenir les portes ouvertes ou utiliser des ventilateurs peut endommager les syst mes environnementaux de l ing nierie Une fois que les proc dures pour maintenir un environnement d entreposage st rile auront t tablies le risque de contamination sera limin Une routine de nettoyage et de d sinfection est requise pour toute aire d entreposage st rile Pour pouvoir maintenir un environnement st rile les employ s doivent bien comprendre la transmission des bact ries et les limites des emballages st riles M me si la majorit des employ s sont conscients de leur r le dans le maintien d un environnement d
28. rilisation A tous nos membres n oubliez pas de vous inscrire ll y aura lection de 4 postes au comit administratif N h sitez pas nous faire parvenir vos mises en candidature l honneur F licitations a Monsieur Yanai Elbaz pour sa nomination a titre de Directeur des Services techniques de l H pital G n ral J uif Sir Mortiner B Davis Monsieur Elbaz met fin son mandat au sein du Comit ex cutif de l Association des gestionnaires en st rilisation o il a occup les postes de directeur de pr sident et de vice pr sident ll a marqu le Comit ex cutif par son implication son dynamisme et sa disponibilit Nous lui souhaitons bonne chance dans son nouveau poste Les membres du Comit ex cutif de l AGS CI CORPO S NTE 781 rue William Bureau 204 Montr al Qu bec H3C 1N8 514 871 8282 Icorpo_sante emd qc ca amp 514 871 0378 CORPO SANTE est une entreprise qui offre des produits etdes services dans le secteur de la sant et des services sociaux Le r pertoire d adresses Internet est un outil sp cialement d velopp pour les intervenants de la sant et des services sociaux tablissements et fournisseurs dans le but de faciliter les recherches l utilisation et l change d information sur l autoroute d information retenue par le Minist re de la sant et des services sociaux r seau RTSS Services compl menta
29. solution dans le lavabo s curitaire pour l environnement Nettoyer le drain du lavabo grande eau Proc der au nettoyage des laveurs ou des bacs trempage comme l habitude Ouvrir le nouveau contenant sur une surface stable Identifier le contenant avec la date laquelle il a t ouvert s il n est pas utilis compl tement et inscrire cette date dans le registre Utiliser un verseur pour vider la solution Garder le contenant bien ferm qu il y reste de la solution ou non Manipuler les contenants vides avec soin J eter les contenants vides ferm s dans les d chets r guliers Ne pas r utiliser les contenants vides Entreposage de la solution Dans un endroit bien ventil a circulation limit e Loin du soleil ou autres sources de chaleur intense des acides et des oxydants S curit au travail Eviter le contact avec les yeux la peau ou les v tements Porter des v tements protecteurs Eviter la contamination de la nourriture Eviter l exposition aux vapeurs qui peuvent tre une source d irritation pour le nez et la gorge Contrairement au glutarald hyde 0 2 ppm PEL aucun seuil limite n a t tabli pour l OPA par OSHA ou l ACGIH Toujours garder les bacs trempage ferm s et les couvercles des laveurs aussi ST RILE CONSEIL 2000 poss de une S idmut quipe de professionnels qualifi s l d exp rience etaccr dit s en st rilisation ee ee ee ST RILE CONSEIL 200
30. sur la formation des employ s qui comprennent bien les protocoles d entreposage et de manipulation d articles st riles pendant que ceux qui ont peu ou pas de connaissances sont laiss s de c t Chaque service devrait d velopper une proc dure pour aviser ces gens des exigences sp cifiques pour travailler dans un endroit d entreposage st rile M me l endroit le mieux con u ne peut compenser pour un manque de formation des employ s En plus de conna tre les exigences physiques de l entreposage et de la manipulation d articles st riles ils devraient aussi comprendre les raisons de celles ci L entrainement devrait inclure l information sur les transmissions des bact ries et les diff rents types d emballages protecteurs Puisque l ennemi de la st rilit est microscopique les employ s devraient tre entra n s voir les bact ries ou la contamination avec les yeux de leur esprit Plus l individu comprend le processus mieux il est quip pour prendre de bonnes d cisions et aider contr ler l environnement Avec une formation de base pour le maintien des aires d entreposage st rile les d partements devraient aussi prendre le temps d valuer p riodiquement leurs m thodes d op ration existantes pour voir s il y a des lacunes dans la technique Par exemple il est probable que personne n y apporterait une tasse de caf mais combien transportent de l argent et des effets personnels dans leurs poches d uniformes e
31. t d montr e pour l ESB des rongeurs et les agents de la tremblante la politique pr ventive de disposition des instruments chirurgicaux grand risque s est av r e comme appropri e En connaissant le peu d incidence de l EDT chez l homme incluant les cas iatrogenes la recommandation de jeter les instruments utilis s dans des situations a haut risque n a pas encouru traditionnellement des co ts excessifs Classique la MC sporadique affecte un cas sur un million de la population humaine dans le monde entier chaque ann e La MC familiale et autres maladies comme la MC le syndrome de Gerstmann Straussler S cheinker GSS et l insomnie fatale familiale IFF sont beaucoup moins communs Une nouvelle variante de la MCJ merge La situation pourrait changer cause d une r cente mergence d une nouvelle variante nv de la MCJ dans le R U qui est probablement le r sultat d une exposition alimentaire l agent ESB Malheureusement il est impossible de savoir si les 26 cas identifi s jusqu pr sent seront suivis par un nombre modeste de cas ou s ils annoncent le d but d une pid mie plus s rieuse Si le dernier sc nario est le vrai alors le co t de disposer des instruments hautrisque augmentera En effet s il y avait une indication qu une pid mie s rieuse se produise tous les instruments ophtalmologiques et neurochirurgicaux pourraient devenir suspects L inqui tude ne serait pas seulement restreinte aux
32. t vont y chercher par habitude un stylo ou autre objet tout en manipulant des articles st riles Quelle est la politique pour l utilisation de mouchoirs dans ces lieux Est ce que les mains sont lav es chaque fois que l on y entre et sort ou juste quelques fois Est ce que les v tements comme les sarraus et bonnets sont port s selon les normes Des questions comme celles ci peuvent aider identifier les secteurs probl matiques et augmenter la conscience des employ s face l importance d une bonne technique L emphase doit tre mise sur l importance de reconnaitre la contamination quand elle se produit et de corriger la situation imm diatement Tous ceux qui travaillent dans l aire d entreposage st rile doivent comprendre les limites des emballages protecteurs et le concept de conservation de st rilit en rapport aux v nements Les articles st riles sont vuln rables et la st rilit peut tre compromise n importe quand pendant leur cycle de vie chaque fois qu un paquet est utilis il devrait tre inspect pour tout signe visible de contamination comme des bris des trous des d chirures des taches de moisissure etc Les articles douteux ne devraient pas tre distribu s Chaque article st rile de l aire d entreposage est risque de contamination Il est donc imp ratif que chaque article soit inspect avant d tre lib r pour utilisation Ceci n est pas seulement une bonne id e mais une n cessit pour la s c
33. urit des patients Les employ s doivent aussi soutenir les plans de conception de leur aire de travail Par exemple les portes maintenues ouvertes et l utilisation de ventilateurs peuvent rendre le syst me d a ration inefficace Ils doivent aussi maintenir l int grit de l aire de travail en suivantles horaires de nettoyage et de d sinfection routiniers Ces corv es d entretien m nager ne sont pas les t ches favorites mais elles sont une partie tr s importante pour la maintenance de la propret de l endroit Formation sur la maintenance d un environnement d entreposage st rile Objectif la fin de cette session les participants pourront Identifier l impact que chaque employe a sur l environnement d un entreposage sterile Nommer les consid rations de l ing nierie pour la conception d un environnement d entreposage st rile Discuter de la responsabilit de chaque individu face au maintien de l int grit environnementale Nommer les r gles pour le maintien de l int grit environnementale Contenu 3 Formation des employ s 1 Le principe de EFC La base Environnement transmission des bact ries Formation st rilit reli e aux v nements Contr le Atteinte des param tres 2 Planification 4 Contr le L environnement physique Responsabilit de l employ Temp rature Humidit Circulation A ration Unit s d entreposage Planchers murs Etc Installation de lavage manuel Aire de r partition
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