Dossier de presse - parcours West 20 mars 2010
Contents
1. Versailles Uelizy S vres Paris Parcours West Parcours des lieux dart de Quest parisien Samedi 20 flars 2010 Parcours West est une collaboration entre diff rents lieux d art de l Ouest parisien et de sa banlieue Pendant une apr s midi une navette au d part de Paris emm ne visiter les diff rentes expositions Parcours 14h00 D part Place de la Concorde Rendez vous c t de l Orangerie 15h00 La Mar chalerie Visite de l exposition Nu es rencontre avec l artiste Perrine Lievens 16h00 Micro Onde Finissage des expositions ET IN ARCADIA EGO d Anne Laure Sacriste et CINQ ANS DE FLAQUES D EAU de Simon Qu heillard Rencontre avec Anne Laure Sacriste et lancement de sa monographie Paradis Artificiels 17h30 La G n rale en Manufacture Visite de l exposition Subtitles rencontre avec l artiste Romain M tivier Plus guests 19h00 22h00 Glassbox SOIREE EVENEMENT Foehn yrelease film documentaire de Guy Grand 1939 1950 ponctu d interventions d artistes ayant particip aux expositions de Glassbox 2007 2010 Liste des artistes non exhaustive Retour par le m tro Porte d Orl ans ou RER B Cit Universitaire Tramway T3 4 Nu es Perrine Lievens Exposition du 27 janvier au 7 avril 2010 Rencontre avec l artiste Perrine Lievens est la baie vitr e de La Mar chalerie qui a retenu l attention de Perrine Lievens dans la conception de Nu es Et plus particuli r2. Val rie Knochel Laetitia Tura pour La Mar chalerie Sophie Auger et Peggy Pequenard pour le Micro Onde Fran ois Fleury pour La G n rale en Manufacture en partenariat avec B ton Salon Sabrina Issa pour Glassbox Conception graphique et dossier de presse Francois Fleury Site internet Sloan Leblanc Le parcours West est une initiative de la Generale en Manufacture financ par les lieux repr sent s Visuels et dossier de presse http parcours west free fr centre d art contemporain LA GENERALE EFRASSEUX la mar chalerie EN MANUFACTURE Onde espace culturel Velizy Villacoublay
3. revenir sur ses pas Seuls deux oeilletons lui offrent un point de vue sur l ext rieur et sur le triptyque Sainte Victoire aux 2 projecteurs oeuvre qui repr sente un fragment de paysage comme saisi par le viseur d une cam ra Salle argent C est au coeur de la salle argent que les tableaux entrent en sc ne A l oppos du cabinet de la nuit ou ils se confondent avec les murs les deux tableaux issus de la s rie Crying Landscape ou Paradis Artificiels Souche Rose et Grande Tubercule la mousse chartreuse et Sainte Victoire aux 2 projecteurs emergent du noir Leur surface renvoie la lumi re comme celle d un cran de cin ma Suspendus dans l espace les tableaux livrent des fragments de paysages humides ou l mergence de la couleur est r v l e par le reflet d une mati re nacr e appliqu e sur le fond qui donne aux tableaux une nature changeante suivant les points de vue La mise en sc ne peupl e de projecteurs ancestraux permet au visiteur de comprendre qu il est impliqu dans un dispositif sensible dont il est lui m me l acteur C est aussi lui qui agit sur l apparition et la disparition des elements Feminite Au large tranges objets extraits du monde aquatique deux oursins roses et une fleur des mers mais aussi un gant de cuir se pr sentent comme des natures mortes prisonni res de cloches en verre Avec l oeuvre Hermaphrodite constitu e du lit Barcelona et d un foulard de soie la pr sen
4. artiste entend mat rialiser les arcanes de la pens e Vestibule rouge D s les premiers pas dans le vestibule rouge deux portraits de femme voil e Femme _ tatou e interpellent par leur ressemblance trange Leur identit secr te se joue de la g mellit et pr sage d un parcours nigmatique Salle noire AU franchissement du rideau noir quatre tableaux de la s rie Mystery sont plong s dans l obscurit de la salle noire Les peintures r alis es sur m dium ont perdu toute mati re Celles ci semblent se dissoudre dans le support Seuls persistent des l ments nocturnes solitaires filets d eau branches laiss s en suspens et happ s par les profondeurs de l eau Ils voquent un au del qui n est pas sans rappeler l Univers du peintre symboliste allemand Arnold B cklin Cabinet de la nuit l eau fluide mati re du lac ou de la cascade trouve sa source sonore dans la grotte bleue ou est projet un film en super 8 diffus sur une musique planante compos e sp cialement par Nicolas Comment Diffus s en boucle les rushs de la cascade du bois de Boulogne sont ponctu s de flashs qui fragmentent la vid o l image de la reminiscence fugitive d un souvenir Les deux h liogravures Je t aime je ne t aime plus nous introduisent au coeur de la grotte symbole choisi par l artiste pour voquer int riorit de l tre Confin et sans echappatoire le Cabinet de la nuit contraint le visiteur
5. el ef les associations inusit es La Marechalerie Nu es Perrine Lievens Perrine mati re Lievens met au jour certaines qualit s entre forme et intrinseques de ces elements ou de ces instants Elle brouille le sens commun du r el et invite le regardeur s inventer un nouveau monde bien souvent sensible et po tique lyrique et onirique Les objets et situations semblent fragiles comme en suspens Nee en 1981 Perrine Lievens vit et travaille Paris Dipl m e en 2007 de l cole des Beaux Arts de Paris avec les f licitations du jury elle a re u le Prix International Takefuji le Prix LVMH et le Prix Hiscox Start d cern s des jeunes artistes Son travail a t montr la Biennale d Istambul Off plus r cemment au centre d art contemporain de Chelles l Espace Paul Ricard et La Maison Rouge Paris Informations pratiques 01 39 07 41 12 lamarechalerie versailles archi fr La Mar chalerie centre d art contemporain cole nationale sup rieure d architecture de Versailles 5 avenue de Sceaux 78 000 Versailles Horaires d ouverture du lundi au samedi de 14h 18h et le matin sur rdv Ferm les jours f ri s Entr e libre Acc s par la place des Man ges face a la gare Versailles Rive Gauche RER C Site internet www versailles archi fr centre art php ET IN ARCADIA EGO Anne Laure Sacriste Exposition 16 janvier au 20 mars 2010 Rencontre avec l artiste A
6. pr ciser ce propos C est pourquoi les traces de ce travail restent souvent apparentes sur mes sculptures Celles ci donnent alors impression d un inachev ou d un incomplet Elles sont fig es dans le temps Un moment pr cis de leur fabrication ou de leur usage Ceci vient alimenter cette id e de narration Mes sculptures apparaissent soit en attente d un avenir plus ou moins proche soit elles sont le vestige d un temps r volu Chaque piece n ayant pas syst matiquement de lien ou une origine commune aux autres j envisage mon travail long terme ou en tout cas dans une vision globale comme le thedtre ou tous ces univers convergent La juxtaposition de celles ci formant alors la trame d une histoire sans d but ni milieu ni fin Romain M tivier La Generale En Manufacture Romain M tivier Icare Informations pratiques vernissage le 19 mars 2010 18h30 Horaires d ouverture samedi 20 dimanche 21 de 12h 19h lundi 22 mardi 23 mercredi 24 sur rendez vous tel 06 21 48 59 26 atelier pier LA GENERALE EN MANUFACTURE 6 Grande rue 92310 S vres metro Pont de S vres ligne 9 Site internet www la g org www atelierpier com Il Foehn y release Liste des artistes non exhaustive SOIREE EVENEMENT de 19 22 heures film documentaire de Guy Grand 1939 1950 ponctu d interventions d artistes ayant particip aux expositions de Glassbox 2007 2010 F 1939 La cit Intern
7. ationale de manda au r alisateur Guy Grand de concevoir un documentaire sur son histoire Glassbox se l est appropri et a engage un travail de post produc tion venant l augmenter d images fixes de s quences film es de sons interventions pens es avec les artistes de l exposition Foehn y pour un pre mier opus du 10 novembre au 9 d cembre 2007 Ce film est pr sent en regard de la collaboration de Glass box et du Th tre de la cit Internatio nale et des projets qui restent engag s dans ces lieux Ce film parcours les en gagements de Glassbox Sans les murs et de Glassbox Hors Sol travers une collection d v nements d interven tions et d apparitions furtives r flexives aux expositions residences ef accom pagnemenis de projets Foehn y 30 minutes Production Glassbox 2007 2010 Edition progressive Glassbox Foehn y 30 minutes Production Glassbox 2007 2010 Edition progressive Informations pratiques Dans le cadre du parcours West l accueil Glassbox Salon Gulbenkian Maison internationale Cit Internationale Universitaire de Paris 17 boulevard Jourdan 75014 Paris Site internet www glassbox fr 3 Samedi 20 Mars Parcours des lieux d art de l Ouest Parisien PARCOURS WEST Micro Onde centre d art contemporain de Onde La Mar chalerie centre d art contemporain La G n rale en Manufacture Glassbox ORGANISATION WEST 7 Coordination g n rale
8. ce f minine n est plus seulement sugg r e Contrairement la sculpture historique repr sent e ci dessous laquelle l artiste fait r f rence la femme repr sent e sur le foulard est allong e sur le dos ef exhibe son sexe Mies van der Rohe designer du sofa choisi ici par Anne Laure Sacriste s est inspir quant lui du matelas sculpt par Le Bernin pour V Hermaphrodite En empruntant ce sofa elle continue le jeu ef rend ainsi un double hommage Hermaphrodite endormi Boudoir secret Sous des traits sombres jouant de brillance et de matit c est le reflet de Madame Devaucay au gu ridon que nous surprenons dans le boudoir secret grace la console et au miroir install s face au tableau On y reconnait la r plique du portrait ponyme r alis par le peintre Jean Auguste Dominique Ingres Mais mieux y regarder il s agit en fait d une r plique invers e du tableau original comme le reflet du miroir c t duquel le peintre aimait faire poser ses mod les Dans Un jeu savamment orchestr Anne Laure Sacriste r tablit cette inversion en jouant avec le miroir expos face nous et nous livre le secret de la derni re entr e du pentagone Celle qui d voilait sous le rideau rouge la reproduction d un autre portrait f minin par excellence celui de Madame de Senones Ente tradition romantique de la mise en scene de la peinture et sa pratique distanci e contemporaine Anne Laure Sacriste re
9. donne penser une histoire de l art toute personnelle et nous rappelle ainsi les paroles de Goethe Tout regard se transforme en une observation toute observation en une r flexion toute r flexion en une appr hension et ainsi nous pouvons dire qu chaque regard attentif nous th orisons d j le monde 1 Friedrich livrait ses peintures avec des recommandations sur les conditions dans lesquelles elles devaient tre pr sent es Ces tableaux ne peuvent tre contempl s que gr ce un dispositif particulier dans une pi ce o la lumi re p n tre par une petite ouverture tout le reste de la pi ce tant sombre II ne s agit pas cependant de vues de bo te optique Friedrich C D Carus C G De la peinture de paysage Paris Klincksieck coll L esprit et les formes 1988 p 162 2 Goethe J W von Trait des couleurs Laboissi re en Thelle Triades 2000 p 80 Micro Onde Hermaphrodite endormi matelas sculpt par Le Bernin Madame Devaucay Ingres IHJOUBY uas0qes IHSUBY USIISOQSS m Micro Onde La boite Simon Qu heillard 19 f vrier 20 mars Cinq ans de flaques d eau L artiste Simon Qu heillard travaille les perceptions II fabrique au sol des flaques d eau l aide d une bouteille au travers de dispositifs tr s simples qui interrogent l apparition des images De cette s rie des flaques d eau il pr sente une s lection de photographies ainsi qu une v
10. ement tranget du point de vue qui est donn voir lorsque Von arrive depuis la ville sur le lieu d exposition Une ambigu t ef un malaise que l artiste a ressentis et souhait s d tourner Le point d ancrage de l uvre in situ la grande baie frontale est contourn au profit d un glissement lat ral de l espace d ondulations des formes et de l clatement des directions Llattes d un plancher sont install es en diagonales parrapport l axe central Le regard s enfonce et suit les lignes de la perspective paradoxalement d tourn es par des n uds du bois jusqu un point de fuite unique qui culmine dans un lointain brumeux Des tuyaux de cuivre construisent un autre espace mental Leurs lignes d terminent un tableau comme une fen tre vers un ailleurs et invitent a chercher son point de fuite travers le filtre d un nuage de vapeur A l image d un jardin japonais l agencement des plans ne s appr hende pas dans sa totalit en une seule repr sentation Le visiteur est associ la composition En une invitation contemplative et reflexive par des jeux d chelles et de perspectives Perrine Lievens appelle prouver le lieu pour embrasser la multiplicit de ses paysages Perrine Lievens d place le sens commun d objets ou de situations usuels des pieds en peau de poisson un balcon en n on un nuage en sucre un arc en ciel projet sur un rideau d eau A travers sa r appropriation du r
11. id o issues de ses exp riences Flaques contextes flaques m thode d observation flaque retardement flaque de augure flaques objets flaque barre flaques taches les flaques mesurent le monde Extrait du Texte des flaques ed MIX 2004 Simon Qu heillard Informations pratiques Micro Onde centre d art contemporain de l Onde 8 bis avenue Louis Breguet 78140 V lizy Villacoublay T l O1 34 58 19 92 microonde londe fr Horaires d ouverture du mardi au vendredi de 13h 19h le samedi de 10h 16h et les dimanches de spectacle de 15h 16h Site internet www londe fr rubrique Micro Onde 10 Subtitles Romain M ltivier Exposition du 20 au 24 mars 2010 Rencontre avec l artiste Romain M tivier plus guests e moteur de mon travail se trouve dans l objet et son pouvoir vocateur ou narratif Mes sculptures utilisent et ou repr sentent des objets r els avec une fonction Un usage Un mode d emploi Leur appartenance a une famille d usage formelle ou encore contextuelle ne constitue pas un vecteur dans le choix de m y arr ter Leur origine historique ou g ographique non plus C est ce potentiel narratif qui joue le r le de d nominateur commun Ces objets par leur simple apparition voquent un univers auquel ils sont li s Comme le fragment d une histoire ou d une image Lorsqu ils ne le sont pas mon travail consiste le leur apporter Je concois alors mon tra
12. nne Laure Sacriste et lancement de sa monographie Paradis Artificiels Pow sa premi re exposition monographique en Ile de France Anne Laure Sacriste emprunte au tableau de Poussin Les bergers d Arcadie 1637 38 la sentence latine Et in Arcadia ego Plac e sous le signe de l nigme l exposition propose une lecture des diff rentes s ries de peintures qu elle exp rimente depuis cing ans Les l ments tels que la cascade les lacs le sous bois la grotte t moignent d un travail de recherche sur la fragilit et la finesse de la mati re Anne Laure Sacriste a le go t de oxymore elle manie le noir et opague mais aussi son contraire la mati re translucide et la brillance Elle travaille par strates entre addition et soustraction de couche de peinture et aime jouer de sa m moire visuelle savante Observatrice des grands classiques de la peinture elle affirme ses r f rences au travers d indices gliss s dans une mise en sc ne dont l exposition devient crin Et in Arcadia Ego est aussi le nom qu elle a choisi pour sa pi ce ma tresse plac e au centre de l exposition Symbole de l entre deux ce dispositif a t con u pour impliquer le visiteur au coeur d un parcours perceptif Cet espace pentagonal habill de rideaux pais figure la crois e de diff rents mondes et propose de franchir cinq cabinets chromatiques qui sont autant d tats d me ressentir Dans cette installation nigmatique l
13. vail comme une fabrique histoires AU m me titre que des proc d s narratifs tels que le conte la l gende mais aussi la science fiction et anticipation mon travail prend pour point de d part le r el pour le projeter dans un Univers fictionnel Ces proc d s bien que tr s diff rents se retrouvent dans l emprunt d un contexte d une situation existante et dans sa distorsion son d placement vers d autres temps et d autres lieux Le r sultat obtenu agit alors comme une alternative notre Histoire ou notre avenir ef comme un miroir tendu vers notre pr sent En ces circonstances assimile mon travail de sculpture une pratique la crois e de l criture la magie et l artisanat Ce dernier serait le pendant palpable mat riel des deux autres plut t de l ordre de l imaginaire ef du fantastique L artisanat joue un double r le dans mon travail L image qui y est associ e est Une source d inspiration et les techniques qui sont issues de ses diff rents corps de m tiers sont tres souvent Un outil que j emploie ou que j adapte Gr ce lui mes sculptures donnent corps ces univers fictionnels qui acc dent ainsi une certaine forme de r alit Le temps de production tient une place importante dans le processus de cr ation des mes sculptures Le passage de l id e d une pi ce sa concr tisation participe au propos qui sera fenu par celle ci Le faire viendra confirmer infirmer OU en tout cas
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