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Dossier BU, LA RELÈVE

1. MARIE DOMINIQUE HEUSSE Pr sidente de l ADBU Directrice du SICD Toulouse Essai d ies larx Dans un environnement profond ment modifi o la transversalit Mingt ans ont pass depuis le des syst mes int gr s de gestion de biblioth que l explosion 10 des services a pris le ont d s adapter pour assurer la permanence qui les a rapproch es D cret du 4 juillet 1985 organisant les Services communs de docu pas sur l organisation mentation des universit s Avec le en sections les BU recul il est permis de dire que ce texte et celui de 1991 qui l a com pl t pour les acad mies de Paris Cr teil et Versailles ne se sont pas de leurs missions C est traduits par une r volution au sein une v ritable mutation des biblioth ques universitaires Tout d abord parce qu ils ne mar quaient pas une v ritable rupture du mod le de la par rapport la p riode pr c biblioth que hybride dente l int gration des BU dans leur universit tait l ordre du jour depuis des ann es et le d cret de 1971 d j avait pour le moins pr par le terrain Ensuite parce que l application du d cret de 1985 dans les universit s n a pas t homog ne ni rapide au point que l on peut encore trouver en 2006 quel ques universit s o le SCD a peu de prise sur le fonctionne ment des biblioth ques d UFR VOLUTION R VOLUTION Et pourtant les BU
2. 31 10 28 01 BPI Livre 08 11 22 01 BHVP Regard d un parisien sur la Commune 8 11 4 02 P Bilipo Gangsters de Paris Une histoire du milieu 1920 1970 13 10 31 01 Biblioth que Forney L Ambassadeur extravagant Alexandre Vattemare 1796 1864 ou le partage des savoirs 31 01 14 04 Biblioth que de l INHA La revue La Plume 1889 1899 pour l art 15 02 14 04 78 Versailles BM Marie Antoinette femme r elle femme mythique 07 12 24 01 83 Cavalaire M diath que Vin Po sie Cuisine et Traditions 05 12 13 01 86 Poitiers BMVR Soleil de minuit la bande dessin e finlandaise 11 01 17 02 Exposition en vente Images en biblioth ques BPI Regards documentaires une exposition en 12 affiches destin e aider les biblioth caires faire conna tre et mettre en valeur leurs collections de films documentaires Rens expo iti bpi fr itin rante C catalogue P publication 87 le s d diteur Pages de PUB Des diteurs comme les autres L exemple des Presses universitaires de Bordeaux voqu par leur responsable Antoine Poli et l clairage donn par Olivier Tacheau sur celles d Angers nous aident mieux saisir ce qui distingue ces enseignes un peu particuli res dans le paysage ditorial fran ais Antoine Poli Fond es en 5 1983 par a JM Lacroix gt e o EJ angliciste 5 o A sp ci
3. l tage est en effet r guli rement lou pour des colloques manifestations et BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td L espace de lecture des p riodiques r unions diverses pas toujours sur linitiative de la m diath que Les agents doivent tout de m me tout remettre en place le lendemain matin Une grande partie du personnel est issue du r seau de lecture publi que de l agglom ration anversoise Les agents ont t recrut s sur la base du volontariat et ne sont pas d volus un secteur d fini ils partagent les t ches et se d placent dans tout l quipement Dans une m diath que de proximit la sp cia lisation s efface ainsi devant le devoir d orienter l usager quelle que soit sa demande De m me si la notion de r seau ne s tend pas totalement au public les documents sont en effet li s un seul site et ne peuvent voyager entre les biblioth ques m me pour de simples retours elle joue pleinement son r le dans l organisation interne Les acquisitions sont ainsi centralis es de fr quentes r unions regroupent les acqu reurs de chaque biblioth que autour d une politique documentaire partag e On proc de galement au catalogage et l quipement dans une centrale avant que le document ne rejoi gne son site d finitif Le temps de travail est ainsi consacr au service public aux animations et aux t ches i
4. ta blissement avec l tat Mais l application du nouveau texte a raviv des tensions entre elles au sujet des reversements de droits de biblioth que aux BIU L application ces BIU des nouveaux statuts de Service inter tablissements de coop ration documentaire SICD a t laborieuse Les universit s gestionnaires des SICD les ont davantage per us comme une charge que comme une richesse patrimoniale au moment o elles soutenaient plus activement leur propre SCD Les SICD ont aussi des missions nationales et sont encore de ce fait la recherche d un statut qui leur convienne Le d cret de 1991 ouvre la possibilit de constituer des grou pements d int r t public pour les BIU ce statut a t adopt provisoirement pour la Biblioth que universitaire des langues et civilisations Bulac Depuis la Biblioth que d art et d ar ch ologie n est plus une BIU mais un d partement au sein d un tablissement public commun la Culture et l duca tion l Institut national d histoire de l art et un nouveau SICD a t cr la biblioth que Sainte Barbe 5 Envisag un temps pour la BDIC LE CENTRE TECHNIQUE DU LIVRE DE L ENSEIGNEMENT SUP RIEUR CTLes Les relations entre SCD et SICD ont donc t red finies au cours de la derni re d cennie mais les universit s ont toujours des difficult s articuler au mieux des politiques documen taires d tablissement avec une politique d
5. tudiants et retrait s sont accueillis dans les m diath ques Les patients sont en outre desservis dans les chambres des services une fois par semaine par un chariot pilot par les biblioth caires e Les collections 350000 documents sont disponibles dans le r seau livres p riodiques CD DVD CD Rom jeux En fonction des tablis sements Les fonds varient de 6000 17000 documents 25 000 nouveaux documents sont acquis chaque ann e sur les budgets hospitaliers pour renouveler Les collections Gr ce aux postes connect s Internet les collections s largissent tous les documents accessibles sur Le r seau Elles sont informatis es et un catalogue partag est en cours de r alisation avec le logiciel Cadic Int grale 500 000 documents sont emprunt s en moyenne chaque ann e 50 en moyenne des agents d un h pital sont utilisateurs assi dus de la m diath que de leur tablissement e Les rendez vous culturels Plus de 300 rendez vous culturels rassemblent tout au long de l ann e plusieurs milliers de patients et personnels les accom pagnant autour de contes au chevet lectures voix haute con certs lectures expositions ateliers graphiques rencontres avec des auteurs et illustrateurs Tous les intervenants sont des artistes professionnels Le r seau participe aux manifestations le Printemps des po tes et Lire en f te L ensemble des activit s b n ficie du soutien du minist re de la Cul
6. REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE EME ER LL 1 B n dicte Dupr Paturel Cotrsorataur ot responsable m ornmaique La ibtoli de Gien W Nous sommes pass s des CD Rom electre electre com depuis maintenant 6 mois Il tait en effet R i ESA indispensable que tous les biblioth caires aient un acces 4 r Ce en igne ia cheche bibliographique pout mener bien note gt anm nouvelle politique d acquisition Cefeci concerne la fos la r CS ma Cr 3 bibliotheque centrale de Caen T biblioth ques de quartiers et celles Pa du seau de la communaut d agglom ration de Caan La Mer qui a a de 4 g regroupe Caen H rouvile t fe Nous avons travaill ensemble sur le VA nombre d acc s afin d optimiser la t partition du co t X L investissement fait a permis de servir beaucoup plus de gens et AU ON beaucoup plus de senc qu avec les CD Rom Aujourd hui nous avons mutualis 9 acc s qui gr ce des codes communs ou r serv s certaines biblioth ques servent quotidiennement une trentaine de personnes dans de nombreux aspects de leur vie de electre Linformation bibliographique profes biblioth caire et pas sadlement pour les acoubitions videmment 3 PIERRE CARBONE Paris 12 Val de Marne Directeur du SCD de l universit Les biblioth ques universitaires slleeFrance L extension et
7. S oul r union des biblioth ques m tropolitaines Paris situation des biblioth ques au Liban rubriques hors les murs et constructions se compl tent pour offrir une image la plus diversifi e possible de notre pr sent Mais l avenir n est pas oubli arr t sur image pour la loi DADVSI synth se des enqu tes en cours sur les publics des biblioth ques pr paration du congr s de Nantes Les perspec tives restent ouvertes et travailler la publication de nos nouveaux statuts rendus officiels depuis le 27 septembre dernier avec les lections toutes proches et le lancement annonc des nouveaux groupes de travail et commissions nous y incite plus que jamais GILLES BOLI Au sommaire des prochains num ros de BIBLIOth que s e n 31 L Inde 28 f vrier 2007 e n 32 Pays de Loire 30 mai 2007 e n 33 Photographie 31 juillet 2007 e n 34 35 Les sciences 15 octobre 2007 e n 36 Dom Tom 31 d cembre 2007 BIB D CEMBRE 2006 4 10 14 20 23 26 29 34 39 40 45 50 52 53 55 57 59 61 64 68 30 Sommaire Biblio br ves Dossier BU LA REL VE Essai d tat des lieux par MARIE DOMINIQUE HEUSSE Les biblioth ques universitaires d le de France par PIERRE CARBONE L int gration des biblioth ques d UFR par les SCD par CAROLINE GAYRAL Des biblioth ques d localis es par ANNE MARIE MOULIS Un exemple de Cadist la biblioth que de Dauph
8. quatre ans le conseil munici pal sur un mandat de six ans Le statut de la fonction publique r glemente les emplois d un c t de l autre il n existe pas de statut Il s agit donc de trouver l axe qui permettra de r aliser des syner gies Jean Yves Abiven d cline les coop rations des CE avec les municipalit s en Loire Atlantique facilit es par l existence d associations inter CE Le d bat s engagea sur le travail de recen sement r aliser pour conna tre l exis tence des m diath ques de CE quelque peu invisibles dans le paysage de la lec ture publique continua sur les difficult s communiquer entre les deux instances puisque les syndicats sont pr occup s par la lutte quotidienne et les biblioth caires attel s leur t ches imm diates Cependant on reconna t qu il serait important de travailler ensemble comme cela se fait dans le milieu rural o les biblioth caires territoriaux s appuient sur le mouvement associatif local La journ e se termina par la visite de la m diath que Jean Baptiste Cl ment du CE Thales Avionics o fut servi le pot de l amiti Philippe Pineau 3 PIEDS 6 POUCES C est le joli nom que Florence Leclerc et Elsa Lopez jeunes plasticiennes r sidant Bordeaux ont choisi pour identifier lasso ciation qu elles ont cr e avec l id e originale d inventer un bel environnement r unissant l enfant le livre et la mise en jeu des imaginaires
9. 5 You might be an Academic Librarian If et A great Career Your Library L IMPACT DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION SUR LES SERVICES DE BIBLIOTH QUE Les nouvelles technologies modifient la cr ation le stockage et l valuation de l information Le d fi est donc lanc de red finir l information que les biblioth ques peuvent fournir aux administrateurs aux enseignants et aux tudiants L ALA a pris une part active dans les d bats nationaux sur ce qui peut affecter le fonctionnement des biblioth ques universitaires et de recherche et a cr avec d autres associations voisines la Library Copyright Alliance LCA pour assurer aux biblio th ques le droit de fournir de l information Aux tats Unis le Digital Millenium Copyright Act DCMA a un effet significatif sur les biblioth ques et les institutions d enseignement qui font un usage honn te des documents num riques Les biblioth ques ont t d ues de voir que la loi continue d emp cher l utilisation l gitime et habituelle des documents num riques L ALA et la LCA travaillent donc introduire des modifications cette loi LALA collabore galement avec d autres institutions ainsi qu avec le Congr s des tats Unis pour soutenir Net Neutrality initiative qui signifie qu aucun autre syst me ne devrait pouvoir b n ficier d une priorit sur la bande passante de l Internet Les biblioth ques risquaient en effet de se voir attribuer une faible
10. La dimension des enjeux et la complexit du contexte ins pistes s offrent nous pour faire voluer le sch ma national des O DS a _ titutionnel montrent les difficult s auxquelles les tablisse n gociations qui pr vaut actuellement fond sur la collecte des Te Don o ments et Couperin sont confront s aujourd hui Il y a un risque besoins des tablissements membres et sur l administration Lo r el pour que le terrain documentaire devienne un champ de globale de la n gociation voire de la gestion de l achat Ce qui s _ bataille chaotique et brutal r sultat de la complexification devra nous guider dans ce domaine ce sont les objectifs de KA S D o oa croissante d une situation d j trop embrouill e Pourtant la politique documentaire et les int r ts conomiques globaux o F E j on Sa situation est aussi riche d opportunit s et de d veloppements adapt s aux int r ts territoriaux On peut penser que la dimen o nouveaux La concertation entam e entre la CPU 5 les EPST sion nationale continuera vraisemblablement s imposer pour pt C ET EO le minist re et Couperin pour l administration commune d une les tractations conduites avec les grands diteurs pluridiscipli oo NEON plate forme nationale d archives ouvertes constitue incontes naires et impliquant un tr s grand nombre d tablissements o Lo o tablement une voie utile
11. Pour d autres l int gration est plus r cente elle marque la volont de coo p ration professionnelle et de mutualisation des ressources entre entit s institutionnelles ayant une m me vocation la formation et l enseignement L int gration dans le r seau accentue le rapprochement des biblioth ques d localis es avec la BU Centrale et le SCD qui assure la coordination du r seau La participation aux r unions de coordination et aux sessions de formation rompt l isolement des biblioth caires elle agit comme un l ment de formation continue tout en cr ant un sentiment d appartenance une communaut de travail fond e sur des pr occupations et des objectifs professionnels communs Cette proximit favorise la cr ation de politiques de coop ra tion inter biblioth ques d UFR3 Le r seau Archipel participe 2 R seau Archipel sous le logiciel Horizon 3 Comme c est le cas pour le projet de constitution collecte et traitement documentaire d un fonds num rique des m moires tudiants masters pour l essentiel BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE au Sudoc et permet la BU d localis e d int grer sa collec tion dans cette base de donn es satisfaisant ainsi sa volont de visibilit et de rayonnement national tout en valorisant une collection sp cifique Pour le lecteur l acc s au catalogue commun des BU cons titue une ressource compl mentaire en o
12. Recherche 10 centres de recherche dont 4 associ s au CNRS et 2 instituts 4 coles doctorales dans les disci plines de la gestion de l conomie des sciences sociales de l informatique et des math matiques 630 tudiants inscrits en th ses Ouverture internationale 23 d tudiants trangers repr sentant 126 nationalit s 158 conventions inter nationales avec 32 pays 6 doubles dipl mes avec des universit s europ ennes blissement est fond sur une offre de cursus s lective et professionnalis e selon 5 axes e La pluridisciplinarit dans son champ les sciences des organisations et de la d cision gestion conomie math matiques informatique droit sociologie sciences politi ques et langues e l adossement syst matique des formations la recher che assur e dans des laboratoires reconnus e la professionnalisation des cursus menant aux m tiers de la prise de d cision et du management dans les organi sations publiques associatives et priv es e a p dagogie en petits groupes d s la premi re ann e universitaire e Le positionnement au niveau europ en et international o Dauphine se veut universit de r f rence dans tous ses champs Dans le cadre du mouvement de cr ation des Pres P les de recherche et d enseignement sup rieur Dauphine est membre fondateur de l Alliance Paris Universitas qui r u nit Paris 3 Paris 6 Paris Dauphine l EHESS et PENS Ulm b
13. d une ad quation trouv e entre la ges tion des droits et cette offre musicale La biblioth que deviendrait plut t un centre de ressources multim dia sur la musique et le biblioth caire plut t un documentaliste Jacques Larrieu professeur la facult de Droit Toulouse a pr sent la l gis lation sur le droit d auteur et ses excep tions ainsi que les diff rentes pistes qui se dessinent avec le projet de loi DADVSI suite au rejet de la proposition de licence globale Avec p dagogie il a eu l art de transformer ce sujet aride sur le droit d auteur et ses exceptions en un expos plein d humour le ren dant vivant et accessible la mi journ e visite de la Biblioth que municipale d Auch et de sa musicoth que par Jean Gulli responsable musi que Cette biblioth que municipale est une belle r ussite de restauration d un b timent historique la chapelle des Carm lites t 1 Cf BIBLIOth que s n 23 24 p 68 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td Dans l apr s midi s est tenue une table ronde Face aux r alit s du march et des publics quel r le pour le biblioth caire musical anim e et introduite par Dominique Lahary BDP du Val d Oise avec Andr Nicolas Observatoire de la musique Louis Burle BM de Troyes et Nicolas Bordes Les musicophages Toulouse Comment r agir devant l mergence de l id e que
14. dit e par l Association des biblioth caires de France 31 rue de Chabrol 75010 Paris T l phone 0155 33 10 30 T l copie 0155 33 10 31 abf abf asso fr www abf asso fr Directeur de la publication Gilles boli R dacteur en chef Philippe Levreaud A collabor ce num ro Jean Mallet Comit de r daction Genevi ve Boulbet Danielle Chantereau Gilles boli Brigitte vano Jean Mallet Caroline Rives Responsable de rubrique Les biblioth ques exposent Nicole Picot Publicit Josiane Stern T l phone 01 47 88 19 99 josiane_stern wanadoo fr Diffusion ABIS Danielle Chantereau T l phone 0155 33 10 33 T l copie 0155 33 10 31 dchantereau abf asso fr Maquette M C Carini et Pictorus Mise en pages ditions de l Analogie Abonnements 2006 Individuel 50 Collectivit s 90 France 90 tranger 95 Commission paritaire n 1109G82347 ISSN 1632 9201 D pot l gal d cembre 2006 Impression Jouve Paris BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE est analys e dans la base Pascal produite par l Inist et dans la base Lisa Couverture BU de Saint Quentin en Yvelines fa ade situ e 45 bd Vauban Guyancourt Jan Hodac UVSQ w Em TD LL sp t les biblioth ques universitaires l heure o Claude Joly apr s de longues ann es de bons et loyaux services passe le flambeau
15. info demco fr NOUS paranan sp cialiste des ou consultez notre site internet www demco fr biblioth ques 26 ISABELLE SABATIER Directrice de la BU Paris 9 Dauphine Un exemple de Apr s de longs travaux les portes de la BU Paris Dauphine se sont rouvertes cet automne Cadis surun tablissement L biblioth que de Dauphine dont la m tamorphose fait suite au changement de statut de l universit M E cr ant par d cret le m me jour Son r le au c ur des de 1968 l universit de Vincennes r seaux a pris forme et celle de Dauphine Edgar Faure dans ses murs Ministre de l ducation nationale a voulu lancer en parall le deux tablissements caract re exp rimental auxquels il a d em bl e assur une large autonomie en mati re d innovation p dagogique Aujourd hui ces deux universit s ont su cha cune affirmer leur identit Dauphine est devenue grand tablissement en f vrier 2004 Ce nouveau statut la conforte dans ses missions essentielles d veloppement et valorisation de la recherche formation initiale et formation continue Son projet d ta DAUPHINE EN CHIFFRES tudiants et encadrement 9000 tudiants 4200 dipl mes d livr s 1300 stagiaires en formation continue 400 professeurs et chercheurs 570 intervenants profession nels 400 agents administratifs 40 personnes en charge du service commun de La documentation
16. pitaux a t l g rement oubli par le reste des r seaux de lecture Paris vous avez la chance d avoir un r seau autonome et important qui marche bien mais vous n avez pas pour autant La lecture l h pital tat stationnaire critique ou convalescent Fr d ric Duton pr f de Guy Cobolet Presses de l Enssib 2005 114 p 24 cm ISBN 2 910227 63 4 Ce m moire offre un panorama de la situation des biblioth ques d h pitaux en France Rappelant l volution d une institution qui a transform les hospices en tablissements de soins l auteur note que sous l impul sion de b n voles sont cr es dans les ann es 1930 quelques petites biblioth ques pendant que l ABF et l Ifla font progresser l id e de lecture publique aupr s des publics sp cifiques Malgr une circulaire minist rielle de 1947 insistant sur le r le p dagogique de la biblioth que sa mission vise essentiellement humaniser le service sanitaire Il faut attendre les ann es 1980 pour que la r flexion s approfondisse et 1999 apr s la publication de la charte du Conseil sup rieur des biblioth ques et des rapports annuels du pr sident pour que se concr tisent les efforts conjoints des minist res des biblioth ques sp cialis es des tination du personnel Collaborez vous avec les autres structures de biblio th ques publiques parisiennes ou les BU C est vrai que nos fonds sont quand m
17. pour mettre en place cette politique Dans le vocabulaire on continua de dire Je vais chercher un livre la biblioth que de facult X ou Y et les enseignants continu rent de piloter les acquisitions sans lien avec les ressources documentaires de la BU d o au fil du temps un nombre impressionnant de doublons triplons voire mieux et le constat de l impossible ma trise d une politique documentaire rationnelle malgr des commissions d acquisition r unissant les diff rents acteurs Le mod le de biblioth que int gr e mais n anmoins ind pendante fut m me reproduit puisque l on cr a en 1997 la demande des enseignants et sans moyens suppl mentaires en personnels et financements une nouvelle biblioth que de proximit pour le droit et l AES sur le campus de Bron En avril 2003 le changement de direction du SCD et la com mande explicite de l universit de rassembler et de rationa liser la documentation autour d entit s identifiables pr cipita les choses 2003 fut une ann e de bilan tat des ressources documentaires calcul des financements n cessaires pour maintenir flot la BU existante et les ex BUFR int gr es sur CAROLINE GAYRAL DOSSIER L int gration des biblioth ques d UFR par les SCD 21 DOSSIER BU de Chevreul Lyon 2 l un des campus perspective de l ouverture proche d une nou velle BU destin e rassembler les collections des ex BUFR sur l
18. revue de Ll association des biblioth caires de france el le BIBLIOth que s ce D CEMBRE 2006 BU LA REL VE les boli maire 2 Bibliobr ves Essai d tat des lieux par Mar Les biblioth ques universitaires d le de France ierre Carbone 14 L int gration des biblioth ques d UFR par les SCD Des biblioth ques d localis es par Anne Marie Moulis 23 Un exemple de Cadist la biblioth que de Dauphine Du catalogue l acc s aux ressources lectroniques r Raymond B rard E r Fran oi Les CFCB par Christophe Pavlid USA l American D Association la rescousse par Michael Dowlin Congo avant D La BU de l Universit de Kinshasa roth e hi Ambe Pee de l ABF Les ge M cozzi Les biblioth ques apr i DADVSI par Dominique Lahar Reportages L les moteurs dynamiques pour i t du savoir et d information par Christiane Baryla Regards crois s Les biblioth ques publiques des grandes villes du monde par Aline Girard Billon 64 Espaces et architecture 3 ns e L esth tique fonctionnelle de Pierre Ribou r Jean Claude Annezer E Biblioth a Robert de Sorbon par Carine El Bekri Dinoird Hors les murs ioth ques de la sant entretien ave R flexions jille Bibliomonde ygi Li Parole s d diteur Pages de PUB ien avec Antoine 3 Notes de lecture Fe aa Ae Sid Aelen Aanes at BibT eade muc EAn R L dition litt rair rd hui PES Biblioth ques universitaires SCD UFR et Centres de
19. une pr conisation du sch ma directeur informa tique du r seau des biblioth ques universitaires 1992 Ce projet embl matique a mobilis toutes les nergies de l Abes de 1994 jusqu aux d ploiements initiaux de 2001 et 2002 LE SUDOC ET APR S Le catalogue Sudoc3 Syst me universitaire de documenta tion est issu d outils de plusieurs origines catalogues BN Opale Sibil OCLC CCNPS Catalogue collectif national des publications en s rie T l th ses tous fondus au sein d un catalogue unique Utilisant le logiciel de la soci t OCLC 1 http www abes fr 2 D cret n 94 921 du 24 octobre 1994 3 http www sudoc abes fr Ce projet ambitieux et souvent d cri ses d buts est aujourd hui une r ussite clatante avec 1000 biblioth ques d ploy es 6 2 millions de notices bibliographiques 19 mil lions d interrogations publiques en 2005 et 20 millions de documents localis s le Sudoc occupe une place minente dans le dispositif documentaire fran ais ce noyau de 1000 biblioth ques viennent s ajouter les 2000 publiques ou pri v es du r seau Sudoc PS structur en 34 centres r gionaux qui signalent uniquement leurs publications en s rie Alors que le catalogue produit de l information secondaire les usagers sont le plus souvent aujourd hui en attente de documents primaires C est pour faciliter l acc s ces docu ments que l Abes a d velopp un portail
20. une trentaine de bases ont fait l objet d une analyse suivie le cas ch ant d une n gociation tarifaire pour Couperin Devant la concurrence entre les fournisseurs sur certains cr neaux int ressant un nombre important d tablissements comme la presse ou les revues acad miques elle est ame n e alors proc der un appel d offres avec le concours de l Abes en vue de la cr ation d un groupement de commande au profit des adh rents de Couperin BU de Paris Dauphine la biblioth que d tude LE SCD DANS L UNIVERSIT Dauphine le SCD se confond avec la BU car il concentre l essentiel de la documentation les ressources documentai res tant inexistantes dans les UFR et relativement limit es dans les centres de recherche Il propose un fonds scientifi que et professionnel de qualit en libre acc s pour l essen tiel ainsi qu un ensemble important de bases de donn es sp cialis es en ligne donn es conomiques financi res statistiques juridiques informations sur les entreprises revues acad miques et professionnelles Les collections se trouvent r parties entre la biblioth que d tude princi pal espace de travail et de consultation des tudiants et la biblioth que de recherche cr e en 1994 dans l aile nouvel lement construite et proximit des centres de recherche Con ue pour r pondre aux attentes des chercheurs tout en mettant en valeur les collections Cadist la bibliot
21. Il est conseill aux ab nn s de renouveler 2 abonnements possibles lour abonnement au cours du premier trimestre de l ann e Les collectivit s soci t s et organismes Le r glement peut Il st possible d acqu rir certaine anciens num ros l unit s effectuer sur facture Joindre ators un bon de commande dans li limite des stocks disponibles ce formulaire Les personnes individuelles La livraison des revues se fera us 7 4 l adresse du domicile t la r glement par ch que joint c Tran ee L Ve Ms Mois l vire er MAN PR PUCES ES UN EA a ne lemme Bruha ts formulaire Fordre de ABIS Meter mi tarte pimi nne CURE DIU LE US milles ms rapotss di l rmulsire aF iphis L abonnement est valable pour uns ann e civile bingo aa mage uo wer ia wha wewa ail me fa Nouveau R glement en ligne possible sur www abf asso fr Remplissez le bulletin d abonnement en ligne et r glez l abonnement par carte bancaire ABIS 31 rue de chabrol 75010 parie 0155331030 1 016533 1031 abf abfasso fr www abl a850 fr Courants porteurs Entre deux congr s et au terme d une ann e qui a vu se multiplier les tudes s aiguiser la r flexion sur la fr quentation des biblioth ques l tat de la lecture publique et celui des BU il convient de prendre le recul n cessaire afin d orienter l action des temps venir pour aborder au mieux le grand tournant de la biblioth que hybride Le prochain congr s de l ABF qui se
22. LG RIE Areh ebrfliaret mij Kitab Tabulae Dans le cadre du projet Manumed financ par l Union europ enne l auteur ma tre de conf rences l Institut de biblioth conomie d Alger nous fait d couvrir les manuscrits conserv s en Alg rie et les lieux traditionnels publics et priv s qui les abritent Il les d crit Les r seaux du livre islamique parcours parisiens Soraya el Alaoui Paris CNRS CNRS sociologie 2006 232 p 24 cm ISBN 2 271 06392 2 Ce livre nous fait voyager travers un travail de terrain dans le monde des librairies islamiques Introduit par un aper u historique de l implantation de nouvelles librairies dans Paris librairie El Houda librairie al Badr al muqaddas et la r gion parisienne cr es au d but des ann es 1980 elles se sont d velopp es la fin des ann es 1990 en rapport avec l actualit politique dans le monde arabo musulman On les trouve dans les quartiers populaires d ouvriers immigr s de confession musulmane o L dition litt raire aujourd hui ss la dir d Olivier Bessard Banquy pr f de Pascal Fouch PUB Les cahiers du livre 2006 242 p 14 8 X 21 cm ISBN 2 86781 359 X dition litt raire aulourd Nul Premier d une collection cr e par le P le des m tiers du livre de l IUT Michel de Montaigne universit de Bordeaux 3 et r alis e par les tudiants ce volume entend c l brer l dition l
23. La gamme de propositions des artistes se d cline en conception de sc nographies d objets design et d ateliers d arts plastiques Les sc nographies organis es partir d expositions installent enfant texte et conteur dans des paysages chatoyants Chaque exposition est adapt e in situ et inversement chaque lieu conna t un nouvel clairage L objectif avou est de soumettre aux enfants une sensibilit un regard et un rapport au monde qui Les tonnent et suscitent leurs capacit s d invention Deux expo sitions sont actuellement disponibles Raconte encore structure ouverte l accueil d histoires de tous les temps et de tous les pays dont Le champ th matique s av re illimit et Le cochon rose s expose qui offre de multiples passerelles pour l exploration narrative et vivante d un animal embl matique de l univers fabuleux litt raire mais aussi culinaire Deux projets sont en cours de r alisation Une cabane d ext rieur qui recevra bient t un nom de r ve elle ob ira la conception originale des fabrications 3 pieds 6 pouces pour susciter une approche progressive de l environnement ext rieur de La biblio th que Les habitacles nomades nom provisoire seront eux des igloos d tourn s invitant au voyage dans Les coins froids et chauds en divers points du globe Le T trodon est la fois un espace et un objet Espace de Lecture modulable pour les nourrissons il
24. Michel Marian qui l on souhaite dans ces nouvelles fonctions autant de r ussite qu au CNL au moment o de nouvelles constructions comme de nouvelles pratiques biblioth conomiques renouvellent la donne documentaire l annonce enfin de nouveaux cours dans la structuration m me des universit s un dossier s imposait Un premier dossier devrait on dire tant la mati re s est av r e riche et difficile contenir dans le cadre n cessairement contraint de notre pagination m me tendue Cette premi re approche toutefois souligne bien notre sens les enjeux actuels des BU et les contributions ici propos es montrent s il en tait besoin qu au del des probl matiques propres la nature particuli re des tablissements notre m tier en biblioth que universitaire comme en biblioth que sp cialis e ou en lecture publique est confront aujourd hui aux m mes d fis aux m mes difficult s mais aussi aux m mes lans une dynamique commune il revenait bien l ABF de mettre jour nouveau cette unicit du m tier de biblioth caire son mouvement tout en rendant hommage au travail de nos amis de l ADBU indispensable dans sa sp cificit et sa compl mentarit la richesse du dossier r pond pour ce num ro l abondance de la partie magazine o vitalit de l activit des groupes r gionaux journ es d tude voyages profes sionnels coups de projecteurs port s sur l international congr s de l Ifla
25. Pays Bas N 7 f vrier 2003 Francophonie N 8 avril 2003 Provence Alpes C te d Azur N 9 juin 2003 l cole La cit N 11 12 d cembre 2003 Chine N 13 f vrier 2004 Midi Pyr n es N 14 mai 2004 Rock n bib N 15 juillet 2004 Seniors sexas etc N 16 octobre 2004 Dans la presse N 17 18 d cembre 2004 Russie N 19 f vrier 2005 Alter s gaux N 21 juillet 2005 Europe N 22 octobre 2005 Architecture N 23 24 d cembre 2005 le de France N 26 27 juin 2006 Sp cial centenaire N 28 juin 2006 Parcours Jeunesse N 29 octobre 2006 BU la rel ve N 30 d cembre 2006 Collection M diath mes Emplois publics des biblioth ques concours et formations 11 dition mise jour avril 2005 Cataloguer mode d emploi Initiation aux techniques de catalogage Livret p dagogique 3 dition augment e 2006 Les services de la biblioth que publique principes directeurs de l IFLA UNESCO Les actes du congr s de Troyes Biblioth caire volution r volution Juin 2002 Renseignements aux usagers Livret p dagogique D cembre 2004 Pluralit culturelle en actes D cembre 2004 Les m diath ques de comit s d entreprise Octobre 2005 M mento du biblioth caire guide pratique juillet 2006 TOTAL COMMANDE Je joins mon r glement par ch que l ordre de l ABIS Je d sire une facture libell e QUANTIT HoNNnnON QUANTIT JUDNLUL TT D x
26. Toutefois la grande majorit du public se sert des automates avec une grande familiarit Le traitement des retours est remarqua ble l usager d pose ses documents un par un dans une fente un tapis rou Actualit s de LIA BF lo Anne Verneuil Anne Verneuil 5 gJ T LS Q D lt 1 M diath que de Permeke Anvers Belgique 2 Le Grand caf Permeke 3 De markt le march 4 M diath que de Permeke le 1 tage lant les entra ne les trie et les r partit gr ce leur puce RFID dans de grands chariots au plateau mont sur v rins pour viter les trop grosses chutes correspondants aux diff rents secteurs de l tablissement Des agents viennent ensuite r cup rer ces chariots pour en ranger le contenu D ici peu l op ration devrait tre tendue aux retours ext rieurs au b timent lorsque celui ci est ferm au public Le r glement des 55 IA BF D aeran paiements se fait aussi par caisse automatique le personnel n ayant plus g rer directement l argent L espace consacr aux enfants est loin de faire l unanimit surtout parmi les agents de Permeke L am nagement r alis par l architecte n est gu re adapt aux plus jeunes mobilier beaucoup trop haut ambiance aust re collections tr s mal mises en valeur La biblioth que attend un nouveau budget pour rem dier ces probl mes L acc s au premier tage se
27. au tourisme Celui ci s organise il aura son minist re jusqu donner un contenu au temps libre Mais parall lement l image colonise le regard soutenue par des moyens techniques renouvel s lithographie offset L opold S dar Senghor le po te et les peintres BHVP Paris biblioth ques 2006 68 p 15 8 X 24 cm ISBN 2 84331 157 8 Ce catalogue publi l occasion de l exposition consacr e au po te SEN nr i La pissi ia gains S n galais et ses illustrateurs pour le centenaire de sa naissance Biblioth que historique de la Ville de Paris 21 09 22 10 2006 recense 99 pi ces dont un quart environ sont ici reproduites en une quarantaine de planches Son approche pluriculturelle et replace adroitement l homme dans son temps et les claire sans forcer l un par l autre il manque toutefois un profil son adh sion la franc ma onnerie plusieurs fois voqu e passim n est nulle part d velopp e Cette collection qui a fait l objet de vingt ann es de soins s est prolong e en fonds d affiches contemporaines et a rebondi en un festival suscite maintenant le projet d un Centre international d art d di au graphisme Il tait donc opportun de la documenter Philippe Levreaud photographie Le texte d introduction d Andr Rauch ressaisit avec pr cision l ensemble de ce mouvement que Claudine Chevrel et B atrice Cornet d tailleront dans leurs l gendes et com
28. caract re industriel et commercial 9 EPST tablissement public caract re scientifique et technologique de nombreux organismes de recherche EPSCP tablissement public caract re scientifique culturel et professionnel les universit s 10 Unit mixte de recherche De nombreux laboratoires sont des unit s mixtes de recherche associant personnels et cr dits d origine diff rente universit grande cole un ou plusieurs organismes de recherche F E T n O EE ex 10 Q per A COQ pa Une salle de lecture de la biblioth que Universit du Maine Le Mans tardera pas s interroger bient t sur le nombre de biblioth caires et de documentalistes qui ordonnent et g rent cette documentation sur les multiples portails Cette situation sou ligne l absurde complication du syst me fran ais de recher che et plaide pour la mise en uvre d une politique nationale de l information scientifique et technique La documentation peut elle tre le champ pacifi de cette politique La r ponse n appartient pas aux biblioth caires ou aux documentalistes aptes trouver des solutions collaboratives sur le terrain mais non d cider des r formes n cessaires pour cet objectif LES POLITIQUES DE SITE La question du p rim tre des n gociations se complique aujourd hui d une dimension locale nouvelle introduite par la cr ation des Pres 14 qui t moigne d
29. d environ 3 millions de documents il a notamment pour mission d offrir aux BU aux biblioth ques des ta blissements de recherche et des grandes coles de stocker les documents les moins communiqu s Travaillant essentiellement avec les tablissements de Paris et d le de France il propose un partage des magasins ou des collections Dans le premier cas les collections restent la propri t des biblioth ques d posantes et peuvent tre compl tes ou non Elles sont aussi souvent redondantes Dans le second les documents devenus propri t du CTLes subissent un d doublonnage syst matique Les collections d poussi r es inventori es conditionn es sont conser v es selon les normes de conservation long terme Leur communication dans le cadre du PEB s effectue aussi bien aux tablissements versants qu l ensemble des biblioth ques qui en font la demande en France et l tranger S il est ind niable que les cessions permettent d conomiser de la place dans les magasins du CTLes on ne peut tou tefois envisager la transformation de tous les d p ts en cessions Contrairement aux tablissements comparables en Europe du nord Estonie Finlande Norv ge le CTLes n est pas seulement une repositary library ayant pour vocation la constitution d un fonds propre Il est avant tout un outil de conservation partag e qui r pond aux besoins court et moyen terme des tablissements versants en jouant aussi un r le
30. dant la guerre civile financ depuis 2003 par l Union europ enne s est achev en juillet 2006 la phase sui vante construction du b timent et acquisition des collections financ e par le Qatar a t retard e laissant 30 salari s au ch mage Un collectif de biblioth caires liba nais et fran ais a cr un blog bibli ban over blog com pour informer les biblioth caires du monde entier et solliciter leur soutien pour la r habili tation des biblioth ques Le pr sident de l Ifla et plusieurs associations de biblioth caires ont propos leur aide France Danemark Espagne ainsi que l OIF et des collectivit s territo riales fran aises L objectif du minis t re de la Culture est de permettre une r ouverture tr s rapide de ces qui 85 D Lancement de la campagne sur la lecture des o 3 ans par M Tarek Mitri ministre de la Culture pements et la reprise du projet de la Biblioth que nationale gt Le soutien de la France C est dans ce nouveau contexte que le Fonds de solidarit publique FSP Lecture publique et dition jeunesse sollicit aupr s de la France depuis 2002 par le gouvernement libanais a t sign le 20 septembre 2006 Ce projet vient en soutien au minist re de la Culture pour favoriser l acc s au livre et la lecture pour la population libanaise et pour la jeunesse en parti culier Cr en 2000 ce minist re est tout r cent et le
31. e de communication au SCD Lyon 2 Christophe P rales est le nouveau directeur du SCD de l Universit de Versailles Saint Quentin en Yvelines partir du 9 f vrier Marie Jeanne Poisson a quitt le CUS de Strasbourg pour prendre les fonctions de directrice adjointe en charge de la M diath que de Nancy partir du 1 d cembre 2006 Andr Pierre Syren a quitt la direction de la BM de Dijon pour prendre celle de la Biblioth que M diath que de Metz Le 1 janvier 2007 En bref E L ABF CHANGE DE NOM Par arr t du ministre d tat ministre de l Int rieur et de l am nagement du territoire en date du 14 septembre 2006 sont approuv es les modifications apport es aux statuts 1 et au titre de l association reconnue d utilit publique dite Association des biblioth caires fran ais dont le si ge est Paris qui s intitulera d sormais Association des biblioth caires de France JO 224 du 27 09 2006 E CONGR S ABF NANTES 2007 Le comit de pilotage qui assure la conception et l organisation des ateliers du Congr s de l ABF et des v nements associ s ainsi que la pr paration des visites est constitu de Val rie d Amico m diath que Benjamin Rabier La Roche sur Yon Bruno Dartiguenave BDP du Maine et Loire Elisabeth Fabart BDP de Loire Atlantique Fr d ric Gu guen BDP de la Sarthe Michelle Guiot SCD U
32. es d tudes avec les hommes politiques actions aupr s des parle mentaires et des partenaires conomi ques ou des responsables l ducation nationale et la Culture mais aussi au minist re de la Sant par exemple gt Au del de S oul Si les congressistes taient nombreux ils venaient principalement d Asie 2045 dont 1367 cor ens 56 Fran ais figuraient parmi les 477 Europ ens Certes nous tions moins nombreux que d ordinaire mais cela n a pas emp ch le Caucus francophone de remporter un joli succ s sous la houlette du belge Jacques Hellemans Nous y avons salu la cr ation de l Association internatio nale francophone des biblioth caires et documentalistes AIFBD dont R jean Savard assure la pr sidence et Pascal Sanz la vice pr sidence Comme pour anticiper sur 2008 ann e du Congr s de l Ifla Qu bec Jean No l Jeanneney BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td pr sident de la BnF et Lise Bissonnette pr sidente directrice g n rale de la Biblioth que et des archives nationales du Qu bec Montr al ont sign de nou veaux accords de coop ration franco qu b cois Il faudrait dire encore l motion par tag e par tous les congressistes lors de la magnifique soir e de ballets au S jong Center les d lires musicaux de la soir e de gala o les congressistes se sont d cha n s au son d un orchestre disco
33. j d pass e fait l objet d une pro c dure de r vision par la Commission europ enne En attendant l Interasso ciation travaille sur un texte de nature d ontologique pr cisant les bons usages recommander en mati re de num rique Dominique Lahary porte parole de l Interassociation archives biblioth ques documentation u iis IL E z nr hs RAT i ar Ye Bi ES lp TOUT SUR CLEA Une base de donn es juridiques tablie par l Organisation mon diale de la propri t intellectuelle OMPI permet d acc der ais ment aux trait s et lois nationales sur la propri t intellectuelle Clea Collection de lois accessible en ligne est mise disposition gra tuitement l attention de toute personne int ress e chercheurs tudiants administrateurs On peut effectuer sa recherche par pays date type de document ou sujet Clea fournit galement les coordonn es des offices de pro pri t intellectuelle http www wipo int directory fr urls jsp 63 EH rtages Les biblioth ques des moteurs dynamiques pour la soci t du savoir et de l information Congr s de l Ifla S oul 2006 C est en Cor e du Sud que s est d roul du 20 au 24 ao t dernier le 72 Congr s mondial des biblioth ques et de l information de l Ifla Face pr s de 400 interventions chacun choisit sa perspective Cette ann e Christiane Baryla nous donne sa version d un sommet
34. la BM de Lyon Part Dieu se poursuivra par un examen de la fr quentation des biblioth ques d apr s le rapport du CREDOC par Christophe Evans D partement tudes et recherche de la BPI 51 EE de IABF m 9 L Groupe M idi Pyr n es L avenir du document sonore en biblioth que Journ e d tude ABF CRL du 22 juin 2006 Auch L volution de l offre musicale de la consommation des techniques et du droit appellent repenser les collections le statut des d partements et jusqu au m tier de biblioth caire La biblioth que de l avenir frappe la porte du pr sent En Midi Pyr n es un regroupement de professionnels de la documentation musicale BM BDP CNR a vu le jour en mars 2005 Il r sulte d une volont com mune de confrontation et de partage d exp riences et de moyens C est sa demande que le CRL a organis cette journ e en partenariat avec le groupe ABF de Midi Pyr n es Son th me d battu un peu partout en France int resse de fa on cruciale la profession des biblioth caires musicaux Yves Alix r dacteur en chef du BBP a pr sent sa r flexion sur l volution de l offre musicale et la d mat rialisa tion des supports Depuis les ann es 1970 l volution de cette offre ainsi que sa consommation n a cess de cro tre Ceci s explique par l augmentation de l quipement des m nages de l duca tion musicale de la diffusion plus
35. la fois la lecture publique et Les BU Leur d coupage est g ographique chacun couvrant une ou plusieurs r gions partir de 1994 leur activit s est compl tement recentr e sur la formation continue et particuli rement au profit des biblio th ques de l enseignement sup rieur pour la lecture publique leur r le est plus subsidiaire c t des pr parations de concours se sont ainsi d velopp s les stages de perfectionnement les journ es d tude quelquefois des formations longues dipl mantes ou non C t enseignement sup rieur la tutelle a mis en place un dispositif de formation continue impliquant la fois les SCD Les CFCB et l Enssib e au sein des tablissements sont d sign s des correspondants formation interface entre leur tablissement et Les centres char g s notamment de l laboration d un plan annuel de formation ils font en g n ral partie de l quipe de direction de la BU e au lieu de saupoudrer les moyens de la formation continue sur l ensemble des biblioth ques la tutelle subventionne direc tement l Enssib et les CFCB pour r pondre la demande exprim e dans les plans de formation charge pour l Enssib et les CFCB d offrir gratuitement leurs formations aux personnels de ces biblioth ques Afin de garder au syst me une certaine souplesse la tutelle r serve toutefois une partie de l enveloppe budg taire pour des op rations sp cifiques hors CFCB et hors Enssi
36. les biblioth ques du XXIe si cle peuvent aider combattre la pauvret et r duire l cart entre riches et pauvres Les biblioth ques doivent tre des forces de paix et des lieux de formation pour les citoyens Dae Jung Kim a beaucoup insist et sur la frac ture nord sud et sur la possible guerre des civilisations contre lesquelles les biblioth ques pourraient jouer un r le La session du programme FAIFE Comit Ifla pour le libre acc s l information et la libert d expression tait consacr e entre autre l affaire des caricatures de Mahomet des congressistes musul mans offens s tout autant que des partisans de la libert d expression se sont exprim s sans bien entendu pui ser le sujet Par rapport ce cinqui me v u de Dae Jung Kim je voudrais mettre l ac cent sur le programme propos par Claudia Lux dans sa session dite de la pr sidente lue Elle a intitul son programme Biblioth ques l ordre du jour Le Sommet mondial de l In formation et les suites qui en seront donn es Ce programme que Claudia a choisi de d velopper pendant sa pr sidence 2007 2009 consiste inscrire les biblioth ques l ordre du jour de tous les d cideurs politiques et cono miques En France par exemple il me para t tr s souhaitable de travailler dans le cadre de l inter association avec l Ifla pour lancer des initiatives en ce sens journ
37. ou d un professeur de langue par exemple Il importe que chacun ne soit pas enferm dans sa discipline Enfin les directeurs de collections eux m mes ont souvent des id es membres de jury de th ses ils rep rent des manuscrits Bien entendu nous pouvons nous faire l cho des axes de la recherche Bordeaux mais nous avons malgr tout deux collections dirig es par des professeurs qui enseignent Saint Denis et Nice L dition n est pas la recherche mais la valorisation de cette recherche Ainsi dans la collection Grappes et mill simes l objet est la vigne et le vin sur le vignoble nantais nous publions un professeur de Paris sur celui du Jura Parole s d diteur lo Les vicissitudes des Presses universitaires d Angers Cr es en 1980 par le directeur de la BU et Georges Cesbron les Presses de l universit d Angers PUA au catalogue riche en 2002 d une soixantaine de titres plut t orient s vers la litt rature et l histoire locale connaissaient alors de r elles difficult s conomiques tout d abord Les derni res nouveaut s n tant plus tir es qu une dizaine d exemplaires vendus en direct par la BU cette diffusion rendait invisible la production des PUA et inapte g n rer des recettes suffisantes ditoriales ensuite depuis la fin des colloques angevins sur l cole de Rochefort qui avaient t le v ritable moteur des PUA la politique ditorial
38. priorit d acc s et le monde universitaire de perdre l acc s au secteur priv qui paie cher pour tre prioritaire Pour aider les BU et leurs personnels se tenir au courant sur ces questions et bien d autres concernant les politiques publiques le service d alerte par messagerie lectronique Legislative Update de l ACRL leur fournit des informations courantes pertinentes CR ATION CONTR LE ET PR SERVATION DES RESSOURCES NUM RIQUES La cr ation le contr le et la pr servation des ressources num riques sont aussi des sujets majeurs auxquels sont con front s les BU L encore l ALA a travaill sur le front l gislatif en faisant pression contre les l gislations propos es sur la protection des bases de donn es et sur la gestion des droits du num rique qui peuvent menacer la libre circulation de l information et le domaine public En 2001 l ALA a r vis sa politique de conservation pour y inclure la pr servation des ressources num riques Elle indique que les diteurs et les dif fuseurs de contenus num riques doivent prendre en compte l exploitation et la long vit de leurs uvres lectroniques et que l ALA travaillera avec les diteurs l laboration de direc tives sur la pr servation de l information num rique 42 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE CU LE OMCIRTEU DE SOLUTIONA gt Biblioth ques amp M diath ques pub
39. que g ante jusqu 3 heures du matin Les conditions de pr t sont tr s arran geantes un marin en haute mer emprunte pendant un an une malle de livres les baigneurs profitent d une biblioth que de plage gratuite Tout est fait pour favoriser l acc s le plus pratique pour le lecteur Cette volont de placer l usager au centre des missions de la biblioth que se traduit par un souci constant d va luation des services et par un syst me de sondages et d enqu tes Le taux de satisfaction est de 85 Cette biblioth que tire sa force d une large ouverture sur la ville et sur tous les habitants Elle r ussit int grer des pratiques culturelles qui ne font pas partie de l univers du livre instruments de musique chiquiers g ants et d veloppe un lieu de sociabilit incon tournable au c ur de la ville Ces r sul tats ont de quoi nous laisser admiratifs m me si l organisation compartiment e du travail et l externalisation suscitent des questions que le manque de temps ne nous a pas permis de poser Marie C cile Bailloud Marie Lissart tienne Rouzi s Richard Roy Groupe Picardie Actualit s de IA BF lo Les biblioth caires picards en R publique tch que 23 biblioth caires picards se sont envol s le vendredi 8 septembre 2006 pour la R publique tch que pour un s jour de quatre jours dans la ville aux cent clochers Un emploi du temps tr s serr concoct par nos co
40. r mais c est n anmoins comme a et pas autrement que les architectes et les urbanistes nous voient vivre ou veulent que nous vivions D m nager Vider les lieux D camper Faire place nette D barrasser le plancher s e s z Espaces et architecture lo LA BIBLIOTH QUE D TUDE FERME POUR TRAVAUX LES SERVICES DOCUMENTAIRES CONTINUENT Tel est le d fi qu il fallut relever Dauphine pour surmonter le quasi scandale que repr sentait le lancement en pleine ann e universitaire du chantier de restructuration de la biblioth que d tude pr vu pour durer dix mois En obtenant de l universit avec le soutien des repr sentants des personnels la mise disposition des locaux d un restaurant du personnel de 320m il fut possible d envisager d y installer une biblioth que temporaire r unissant l essentiel des services documentaires dont Les tudiants ont besoin e des manuels emprunter 11 000 livres s lectionn s parmi Les plus demand s e Les revues indispensables les 90 titres Les plus consult s n ayant pas de version lectronique e 15 micro ordinateurs offrant l acc s aux 6 000 revues lectroniques en ligne la trentaine de bases de donn es statistiques financi res et sur Les entreprises L installation d un bureau d information bibliographique et d une banque de pr t a permis d assurer la continuit du service public Rayonnages photo
41. rennit pour tendre cette fois la r flexion aux biblioth ques publiques du mod le de la m diath que Et le doyen de l Ins pection de s interroger son tour les embellies constat es par le CREDOC ren dent elles compte du mouvement actuel des tablissements et du m tier Ne renvoient elles pas au succ s tardif d un mod le d sormais r volu en tout cas mis en face d un d fi celui d un Internet dont le train aurait t manqu par ce mod le et que le nouveau mod le de la biblioth que hybride peinerait lui aussi prendre en raison d un d ficit flagrant de formation des usagers la recherche documentaire num ris e Ces ques tions pos es un appel est lanc une meilleure observation de ces ph nom nes pour une meilleure prise de d cision travers le projet d un observatoire des pratiques et des usages rassemblant les parties prenantes gt Encore un effort Mais revenons au CREDOC pour quel ques vues compl mentaires et une s rie d interrogations Des vues compl mentaires tout d abord pour souligner la dimension familiale des usages et surtout la place majori taire des femmes Ces derni res repr sentent d sormais 64 des emprun teurs et 55 des non emprunteurs Quelques donn es ensuite sur les CSP depuis 1997 la r partition sociologi que de la fr quentation est rest e sta ble les cat gories sociales modestes et moyennes sont majoritaires puisq
42. seau e 34 documents pr t s par abonn par an e Taux de rotation 3 5 e 3 4 millions de visiteurs par an e 23 biblioth ques de quartier et un bibliobus e 400 employ s B timent e Construit en 1983 e R nov en 2002 2003 24000 m e 7 niveaux e 45 ordinateurs au Centre d tude l quipement C est une centrale d achat nationale qui effectue ces deux op ra tions en tenant compte des sp cificit s de la biblioth que Les animations sont organis es de fa on th matique et renouvel es chaque mois Le service Animations g re galement un th tre situ dans les locaux de la biblio th que ainsi qu une revue mensuelle qui r sume la programmation Tous les ans la F te des lecteurs transforme la biblio BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td en plus des catalogues informatis s dispers s dans tout le b timent Conditions d acc s et services e 27 par an pour 10 documents durant 3 semaines e Gratuit pour les 18 ans 65 ans 22 par an e Pr t payant pour les nouveaut s 0 55 par jour au del de la premi re semaine de pr t e Top Ten liste des documents les plus emprunt s e Retard 0 50 par document et par jour de retard e 62 heures d ouverture hebdomadaire du lundi au samedi en t e Ouverture Le dimanche apr s midi pendant l hiver e Site www bibliotheek rotterdam nl th que en discoth
43. sign le 20 septembre 2006 1500000 Euros de cr dit sur 3 ans attribu s par le minist re fran ais des Affaires trang res 1100 000 euros de par ticipation de l tat et des collectivi t s territoriales libanaises Les principales composantes e Appui institutionnel au minist re de la Culture e Appui au r seau de lecture publi que par la formation et la dotation de documents en langue arabe et fran aise e Cr ation de huit biblioth ques r gionales e Appui l dition jeunesse Une assistante technique fran aise est mise la disposition du minis t re de la Culture depuis avril 2005 www culture gov lb m h bastianelli culture gov lb premi re fois au pays Les festivals dont le prestigieux festival international de Baalbek affichaient complet L t mar que aussi un temps fort dans l activit des biblioth ques publiques des villa ges les familles vivant Beyrouth esti vent au village pendant trois mois Et puis une fois de plus la guerre Le bombardement massif du pays par Isra l un million de bombes largu les deux derniers jours avant le cessez le feu la destruction des infrastructu res des usines des villages La fuite des habitants du sud et du nord que l on appelle les d plac s pour bien les diff rencier des r fugi s ceux de Palestine qui vivent dans des camps depuis pr s de soixante ans La vie reprend difficilement son cours normal L
44. tutelle Les biblioth ques de quartier toutes tr s diff rentes refl tent l am biance et les besoins de sa population L ensemble du r seau fonctionne gr ce 520 employ s Il existe une tr s bonne coop ration entre les biblioth ques du r seau mais aussi entre les autres BN BU et biblioth ques sp cialis es Il en est de m me avec les autres services culturels de la ville cin ma th tre musique 60 des lecteurs sont des tudiants Tous les espaces sont acces sibles quel que soit l ge des usagers En 1990 de nombreux b timents ont t reconstruits sous la surveillance de la Protection des monuments qui a d inclure le syst me informatique et marier les aspects culturels et techni ques Pour permettre l acc s direct la BM il a fallu construire un nouveau b timent reli l ancien par une cour abrit e utilis e par les usagers pour lire m me par temps froid ou pluvieux Un nouveau syst me informatique cr par la biblioth que continue aujourd hui de se d velopper et corres pond aux besoins du service Pour les usagers le r glement et le service sont les m mes pour toutes les biblioth ques du r seau qu elles soient informatis es ou non L inscription annuelle s l ve 60 couronnes 2 mais l objectif est de proposer tr s vite la gratuit L usager peut emprunter 60 documents dans toutes les biblio th ques du r seau L acc s Internet est gra
45. www u bourgogne fr bibliest Rennes 2 http www uhb fr cfch e Grenoble et Lyon Mediat Rh ne Alpes Pierre Mend s France e Saint Cloud M diadix Paris 10 Nanterre Grenoble 2 http www upmf grenoble fr mediat http www u paris1o fr mediadix e Lille M diaLille Lille 3 Charles de Gaulle e Toulouse CFCB Midi Pyr n es Languedoc Roussillon Toulouse 2 http medialille formation univ lilles fr Le Mirail htttp www univ tlse2 fr form co CFCB CHRISTOPHE PAVLID S Les CFCB 39 40 MICHAEL DOWLING Directeur du bureau des relations internationales de PALA Aux Am riques USA l American Library Association PALA a identifi les probl mes majeurs auxquels les BU sont confront es et engage ses ressources collectives pour multiplier ses actions formation plaidoirie lobbying coop ration mise en r seau diction de normes sont autant d efforts pour s attaquer ces difficult s la I American Library Association ALA fond e en 1876 compte parmi ses missions celle de four nir la direction n cessaire au d ve loppement la promotion et am lioration des biblioth ques et des services d information ainsi qu au d veloppement de la profes sion de biblioth caire de fa on tendre et assurer l acc s l in formation pour tous L adh sion ALA est ouverte aux individus aux organisations et aux institutions Bien que la grande majo
46. Biblioth que Robert de Sorbon Reims L esth tique fonctionnelle de Pierre Riboulet Penser la construction d une biblioth que dans l universit c est l occasion de r aliser des concepts longtemps envisag s de rassembler des principes de concr tiser des ambitions profondes C est d finir le lieu biblioth que comme le lieu fondamental de l universit Lieu o les tudiants vont apprendre apprendre lieu d acc s la connaissance et d organisation des savoirs de discussion et de d veloppement de l esprit critique de confrontation des disciplines de m tissage et aussi de r duction des in galit s La d cision de construire lib re de grands espoirs tout devient possible t Dans le cadre du sch ma Universit 2000 l universit Toulouse 2 Le Mirail a d cid la construction d une nouvelle biblioth que centrale le b timent di fi partir de 1970 d une surface utile de 4 200 m est jug peu fonctionnel et mal distribu Son expression est diffi cilement lisible son grand hall d entr e gu re utilisable comme espace d accueil et de circulation ses magasins satur s Nous sommes loin du minimum indis pensable avec 0 26 m par tudiant Le partage des collections squeletti ques avec la biblioth que d origine au centre ville Droit Lettres a t mal r alis et tr s mal v cu Les tudiants se contentent de ce qu ils trouvent Les enseignant
47. Ci contre BM de Prague la pyramide de livres Actualit s de IA BF lo Les biblioth ques apr s la loi DADVSI En r sum le sc nario d une s rie rebondissements qui a tenu en haleine mais point jusqu en perdre le souffle l ensemble de l Interassociation Le 3 ao t est parue au Journal offi ciel de la R publique fran aise la loi n 2006 961 du 1 ao t 2006 relative au droit d auteur et aux droits voisins dans la soci t de linformationt Ainsi tait clos un pisode qui aura d fray la chronique nationale et internatio nale durant plus de six mois et connu une gestation de plus de quatre ans Personne n aurait pu croire qu un sujet apparemment aussi technique allait ce point enflammer les esprits ni que les biblioth caires archivistes et docu mentalistes allaient y jouer un r le cer tes marginal mais leurs yeux d cisif pour l avenir de leurs missions gt La directive europ enne Une directive sur l harmonisation de certains aspects du droit d auteur et des droits voisins dans la soci t de l information a t adopt e par la Commission et le Parlement europ ens le 22 mai 2001 Elle a essentiellement 1 Journal officiel n 178 du 3 ao t 2006 p 11529 et sur Internet http www legifrance gouv fr WAspad UnTe xteDeJorf numjo MCCXo300082L pour objectif de favoriser la croissance et une comp titivit accrue de l industrie europ enne dans l
48. La multiplication des sites universitaires ont marqu l apr s guerre puis lapr s 1968 L re de l informatique ouvre maintenant l ge du regroupement et du partage missions espaces fonctions se redistribuent tandis qu avec U3M la modernisation des b timents s efforcera de rattraper celle des services L enjeu est d sormais international UVSQ Service Comnnications La BU de Saint Quentin en Yvelines Dans la seconde moiti du XX si cle les BU franciliennest se sont d velopp es par tapes suivant l expansion de la population tu diante et l ouverture de nouveaux sites universitaires en rayonnant par cercles concentriques de plus en plus larges autour du Quartier latin Paris et en p riph rie puis en grande banlieue pour aboutir une desserte r partie sur l ensem ble du territoire de l le de France Le premier cercle r unit les actuelles biblioth ques interuniver sitaires BIU l origine biblioth ques des anciennes facult s pres que toutes sises au Quartier latin pour la plupart d tentrices de fonds cr s avant ou pendant la R volution ou constitu s depuis le XIXe si cle Cette cat gorie rassemble de gran des biblioth ques de recherche de notori t mondiale et dot es de fonds patrimoniaux importants Le deuxi me cercle appara t avec l essaimage des facult s dans de nouveaux centres universitaires Paris m me o
49. RADJA Les r seaux du livre islamique parcours parisiens par AHMED RADJA L dition litt raire aujourd hui par PHILIPPE LEVREAUD Les opinions exprim es dans BIBLIOth que s n engagent que la responsabilit de leurs auteurs http www fulbi org journee2007 programme2007 htm inscriptions fulbi org http perso orange fr amisdulivre http pull xmr3 com p 12154 97322 40FA 51158797 A www simesitem fr htm mmesnier cnbdi fr www bdangouleme com suite p 6 _En bref E VOIR ENSEMBLE Dans le cadre de ses Ateliers du forum la m diath que douard Glissant Le Blanc Mesnil 93 accueille Marie Jos Mondzain philosophe qui s int resse au rapport que nous entretenons avec les images 17 01 l image peut elle tuer 20 01 Rendez vous Cin Fil la poursuite au cin ma Vid oth que Catherine Bareau T l 01 48 14 22 08 chareau ville blanc mesnil fr E SLAM Les textes de l atelier de slam po sie qui s est tenu la BM Carnegie de Reims en 2005 2006 viennent d tre publi s en un livret gratuit premier d une s rie car cet atelier qui permet une v ritable mixit des publics va se poursuivre cette ann e E FIN DE PARTIES Les ditions Al Dante ont d pos leur bilan Nous ne supportons pas la fin d un diteur un go t de mort remonte sur les livres que nous avons de cet diteur dans notre biblioth que et nous rejoi
50. Un seul eut le temps d tre d fendu le 21 d cembre 2005 par un d put UMP et repouss avant que l adoption de la licence globale ne jette son coup de tonnerre C est alors que le jeu s ouvrit Re ues au cabinet du minist re de la Culture et non plus seulement la Direction du livre puis au cabinet du Premier ministre l Interassociation et la FNCC purent enfin aborder la question des exceptions Et c est le gouvernement lui m me qui lorsque les d bats reprirent le 7 mars au Palais Bourbon proposa une exception de reproduc tion assortie de restrictions qui furent lev es par l adoption d un amende ment socialiste Le S nat dont la commission des affai res culturelles avait auditionn l Inte rassociation approfondit la question Il pr cisa les finalit s de la reproduc tion la conservation et la communi cation sur place Il institua un coll ge des m diateurs pouvant tre saisi notamment en cas d emp chement de l exercice des exceptions par les DRM Il introduisit enfin l exception p dago gique dont furent finalement malheu reusement exclues par la commission mixte paritaire des deux assembl es les partitions et les uvres r ali s es pour une dition num rique de l crit gt Et maintenant La mobilisation des archivistes biblio th caires et documentalistes sur la loi DADVSI a repr sent un moment exceptionnel plusieurs gards Elle a permis d o
51. Verifier le Gencod de ses fournisseurs de livres depuis le 1 ao t 2003 Salsir en ligne les montants globaux des factures sans le d tail des Litres ni d s prix des livres achet s SOICIETE TH CAE OES TSTONETS DES AUTEURS DE L CRIT Comment d clarer En ligne sur le site g n ral de Sofia www la Sofis org rubrique droit de pr t ou directement sur www la sofiablbliotheque org En EDI chang s de Donn es Informatis es en vous rapprochant de Sofia qui vous communiquera le cahier des Charges vous permettant de d velopper vos propres automates de transmission La solution EDI est de loin la moins contraignante et la plus fable Possibilit de formulaire papier Vous renseigner par telephone ou par courrier sur les conditions remplir Quand et jusqu quand d clarer D s r ception du courrier nominatif qui vous y a invit comporte votre Gencod el votre num ro de pr inscription Date limite de d clarations D clarations 2003 2004 2005 effectuer dans les plus brefs d lais Pour accomplir ces op rations vous disposez d un guide d utilisation qui vous a t adresse par Sofia sous forme de brochure et que vous pouvez consulter en ligne el imprimer www la sofia org D MUR PERNAN MAUGLRTENS 7600 Das CEEA 0 510 034 034 PL APOT LOC ifco 0 4 07 37 di Crni drottieprentha sottal ory v i a e 02 Publication paraissant depuis 1907
52. abrite encore de fa on temporaire les collections du mus e Stendhal iconographie et objets ferm depuis deux ans pour d importants travaux Le contexte tait donc favorable une grande exposition d un an mars 2006 mars 2007 et une publication dont le faste rend justice l crivain longtemps boud par sa ville natale La mise en page fait la part belle de somptueuses reproductions qui tirent tout le parti de la vie tiroirs de M Beyle Le jeune soldat le touriste le diplomate le t moin de l histoire l amoureux l esth te pris de peinture et d Italie Stendhal ou le bonheur de l iconographe Mais ce bel ouvrage o chaque aspect de la personnalit de Stendhal fait l objet d un article est aussi un livre th se qui contribue tayer la modernit d un Stendhal crivain du Gustave Dutailly Les plaisirs d un collectionneur d affiches collectif coord Jo l Moris Le Pythagore 2006 184 p 20 x 26 cm ISBN 2 908456 56 7 Publi pour le centenaire de la disparition de G Dutailly personnalit haut marnaise 1846 1906 ce bel ouvrage accompagne et prolonge l exposition aux Silos M diath que et Maison du livre et de l affiche et au Foyer des jeunes de Clefmont du legs qu il fit la ville de Chaumont La BM a ainsi rendu hommage au collectionneur certes mais aussi au scientifique de renom l homme politique et au journaliste qu il fut re
53. autre campus du centre ville Le constat fut sans ambigu t le SCD n avait tout simple ment plus les moyens d entretenir seul et int gralement les ex biblioth ques de facult s ou de proximit diss min es sur les deux campus avec des horaires peu stables une masse impres sionnante de vacataires r tribuer sur fonds propres 250000 en 2003 une politique documentaire peu rationalis e qui auto risait des p riodiques en double triple voire quadruple exem plaire Probl mes politiques et sociaux tait acquis en 7 exem plaires dans le SCD sans parler des monographies acquises sans concertation pr alable Les ratios d pens s par tudiant dans certaines facult s n atteignaient m me pas le montant des droits de biblioth que alors que dans le m me temps le SCD accordait des subventions substantielles des biblioth ques relevant du CNRS Il tait devenu urgent de resserrer et d aug menter l offre de contenus sur les p les de r f rence documen taire du SCD en accord avec la carte documentaire sign e par les tablissements SHS l chelon lyonnais Le calendrier des op rations s imposa de lui m me si le but recherch tait bien d avoir l horizon 2006 deux grands ensembles documentaires fonctionnant en miroir un par cam pus il fallait sans attendre commencer par restructurer la BU existante avant l ouverture de la nouvelle 2003 fut gale ment une ann e de d marrage de pr
54. beaut na t de la proportion et de la sym trie La gr ce s engendre de l harmonie des mouvements int rieurs ordinaire d termin seulement par son utilit imm diate Il doit dire autre chose de plus permanent gt Une beaut sage et intime une esth tique m ditative Ici tous les livres sont en vue comme dans une sorte de corps mental transpa rent un quelque chose qui fait penser un sanctuaire spatial Si une biblio th que devait un jour servir le lecteur et non le livre tel est l id al qu il faut garder en m moire3 Rien ici n est enferm dans la seule fonc tionnalit Le b timent d une grande ma trise technique est reconnaissable avant tout par l esprit qui s en d gage plut t que par son style m me si l on peut trouver des connivences avec la BFM de Limoges et la BU de Paris 8 Il y a l une exigence qui nous impr gne et nous prend en charge avant que nous puissions nous approprier l espace est ce une transformation du regard une lente impr gnation une subtile int rio risation de l esprit du lieu Soudain nous voil pris dans un r seau de pos sibilit s sans lignes de fuite ni points de fracture La beaut na t de la proportion 2 Pierre Riboulet Note de pr sentation du projet avril 1997 3 Umberto Eco in l Espresso 13 11 1983 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT Ed et de
55. biblioth ques facultaires fonctionnent donc en auto nomie Chacune d elle enregistre et traite sa mani re la documentation qu elle acquiert La biblioth que centrale ne conna t plus le nombre d ouvrages que poss de l universit Celle ci n est plus qu un mus e de livres au fichier obsol te et inutilis On ne conna t plus ni le volume ni la qualit du fonds son magasin ni clair ni entretenu est devenu le repaire des souris des serpents et autres bestioles la docu mentation s y trouve livr e la poussi re la vermine l humidit et la destruction Toutefois cette situation catastrophique est en train de chan ger gr ce la reprise de la coop ration Le projet KIN 14 inaugur le 6 avril 2006 est un projet institutionnel d informati sation de la BU mis en route avec la CUD Belgique Depuis mars 2004 il a permis la restauration compl te de la biblioth que centrale et son informatisation Le logiciel de gestion choisi est Koha le module catalogue d j param tr est fonctionnel et permet l encodage de la documentation les autres le seront bient t La BU a re u 352 ouvrages r cents pour ses biblioth ques un don important du gouvernement wallon sur l histoire et la politique du Congo 25 000 euros sont annonc s pour la documentation en 2006 En ce qui concerne le mat riel la BUC b n ficie gr ce ce projet de 12 ordinateurs dont 4 pour l Opac des usagers 11 aut
56. coles coraniques dans la r gion la constitution des fonds manuscrits origine et modalit s d entretien et de conservation et l organisation des biblioth ques biblioth ques priv es de cadis de mosqu es de confr ries et de zaou as avec un r pertoire index sommaire des diff rentes biblioth ques dans la r gion L avant dernier chapitre est consacr la situation des tablissements et aux conditions dans lesquelles sont entrepos s les manuscrits dans la r gion d Adrar leur tat d abandon et de d gradation va l encontre de la conservation de la m moire collective de la nation alg rienne D o le fait que la continuit historique ait t rompue par la perte du patrimoine de l crit L ouvrage s ach ve sur le projet Manumed pour la r gion d Adrar Manuscrits de la M diterran e financ par l Union europ enne Coordonn par le Centre de conservation du livre d Arles il se fixe comme objectifs la sauvegarde et la conservation pr ventive des manuscrits du Proche Orient m diterran en Ce livre s adresse des universitaires des chercheurs et des sp cialistes dans ce domaine Ahmed Radija Q otes de lecture Manuscrits et biblioth ques musulmanes en Alg rie Arab Abdelhamid M olans Revel Alpes de Haute Provence Ateliers Perrousseaux Kitab tabulae n 2 2005 157 p 23 X 16 cm ISBN 2 911220 15 3 MANUSCRITS amp BIBLIOTHE QUES MUSULMANES EN
57. d Alger l auteur explique en d tail la situation des manuscrits arabes conserv s dans les diff rents lieux et biblioth ques du Touat et dans toute la r gion d Adrar le Sud alg rien Il commence par dresser l historique de la situation du patrimoine crit avant et apr s l ind pendance de l Alg rie 1962 conserv dans certaines biblioth ques qui ont chapp au pillage et la destruction coloniale Il indique le r le jou par les Orientalistes dans la collecte des manuscrits durant la p riode coloniale et notamment par Edmond Fagnan auteur en 1893 du Catalogue g n ral des manuscrits il renseigne sommairement sur la nature et l tendue des collections manuscrites conserv es la BN d Alg rie en cette p riode En compl ment il aborde la politique de conservation depuis l ind pendance dans les diff rentes biblioth ques alg riennes d t rioration des fonds documentaires et faiblesse du niveau de prise de conscience des instances de tutelle du patrimoine documentaire alg rien le r le jou par le service de restauration et de reprographie de la nouvelle BN d Alg rie cr e en 1996 et livre enfin une br ve Kitab Tabula Notes de lecture E arabe allemand italien turc russe c est aussi un outil r v pour familiariser tous les enfants d s le plus jeune ge une ou plusieurs des langues propos es L imagier proprement dit est pr c d d un texte bref dans ses dix v
58. de depository library avec des collections qu il stocke et qui ne lui appartiennent pas D une capacit de 80 kml le CTLes a re u ce jour 36 477 m lin aires de documents 54 en cession 46 en d p t Les collections de p riodiques repr sentent 55 de l ensemble des fonds Les transferts qui ont lieu raison de 100 m lin aires en moyenne par semaine sont programm s sur des p riodes de deux ans dans le cadre d un march avec un transporteur Le nouveau march d marrera en 2008 ann e qui devrait se traduire par un accroissement sensible des flux d accueil des documents pendant quelques mois le centre devrait alors accueillir provisoirement Les collections de La Sorbonne environ 20 kml le temps de sa fermeture pour r habilitation et mise aux normes Cette masse serait 1 Documents rotation lente dont la communication est inf rieure 1 m lin aire an PIERRE CARBONE Entr e du CTLes vue int rieure lier Vudi r scale E Le magasin de grande imei documents en depon Les magasins traditionnels documents en cession Les biblioth ques universitaires d le de France 15 DOSSIER stock e la fois dans des magasins traditionnels dans des magasins de grande hauteur et sur une plateforme am nag e en 2006 La communication des collections serait alors assur e par des navettes journali res Le plan de conservation partag e r partie des p riodiques de
59. de l enseignement et de la recherche 1 Sous l appellation Universit Lovanium DOROTH E MAKWANZA MBISHI AMBELE dis que certaines ann es acad miques ont couvert deux ann es civiles 1999 2000 Aujourd hui la plupart des BU congo laises notamment celles du secteur d tat font figure de parent pauvre D p ts de C tait l accueil par les parasites dans la p nombre livres plut t que biblioth ques elles ne sont plus subventionn es Les rares publi cations r centes que l on y trouve de temps en temps sont des dons d organismes internationaux de missions de coop ration des pays amis et autres ou de quelques rares auteurs nationaux Leur gestion est souvent confi e un personnel non qualifi d motiv et partant incapable de les animer comme il se doit Ceci n a pu avoir qu une incidence n gative sur leur image En d pit de cette situation lamentable elles continuent d tre exploit es tant bien que mal par leur lectorat institutionnel professeurs chercheurs et tudiants L Universit de Kinshasa con ue initialement pour accueillir 5 000 tudiants a vu sa population estudiantine s accro tre m me apr s que la r forme de 1971 vit partir Congo avant apr s La Bu de l Universit de Kinshasa 45 DOSSIER Hier acc s anonyme et d grad aujourd hui embelli et s curis Lubumbashi ou Kisangani certaines de ses facult s Cet ac
60. de r flexion pour que l enfant seul se r approprie le texte en feuilletant le livre la maison ou l cole les enjeux sont les m mes susciter le d sir pour favoriser l apprentissage La ritualisation de ces moments de lecture partag e aupr s d une personne protectrice rassure les enfants qui ne la ma trisent pas et per oivent cette activit nouvelle comme une menace Parents et enseignants se retrouveront dans ces contributions m me si l on peut regretter que la lecture soit moins d velopp e l cole qu la maison Ana s Mauriceau plasticiens se signale dans l dition par ses collections originales et superbement r alis es livres en accord on frises en linogravure colorier d Anne Leloup Passage pi tons a d velopp l image la typographie le graphisme en s adressant principalement aux enfants Tous deux partagent cette id e qu diter bien beau riche et contemporain requiert un regard frais d adulte ou d enfant n tant tout bien consid r que secondaire R gimes de lectures multipli s vastes images bords perdus associations libres et m taphores fil es tout ne tient qu un fil mais il est solide Du fil quelque surprenant que ce choix puisse para tre tait ce titre une formidable entr e en mati re fil tisser fil suivre fil perdre Chemins cheminements ne fait qu enfoncer le clou Utile est une revue suivre Reste imagin
61. des documents est inspir de la classifica tion Dewey Pour les romans les genres sont signalis s au dos des ouvrages par des logos La biblioth que est organis e en qua tre services accueil du public acqui sitions et traitement intellectuel des collections informatique et prospec tive animations dont un th tre Ces services sont ind pendants les uns des autres mais des r unions mensuelles permettent l change et la transmission d informations Le personnel est enti rement munici pal et se divise en deux cat gories le personnel scientifique et le person nel d accueil Le premier s occupe des acquisitions et du d veloppement des collections de l informatique et des ani mations Le second est pr sent dans les salles 2 x 2h30 par jour Il n est pas situ derri re des banques mais dans des points d accueil ouverts sur le plateau afin de favoriser l change avec les lec teurs Pour les questions les plus poin tues les usagers s adressent au service national de questions r ponses dis tance Aladin dont les bornes d interro gation sont disponibles dans la biblio th que Le traitement des documents est externalis pour le catalogage et d L a l a F Tag L a amp 4 P k tt m bas A nn s T ji Un lecteur l aise R seau e 600 000 hab e Taux de fr quentation 46 de la population e 3 9 millions de documents dans le r
62. des clauses r gissant l acc s l usage et le droit d archive est n anmoins essentielle pour le client et pour la communaut des usagers qu il repr sente Des points de droit comme le choix de la langue de la licence la version de r f rence la localisation du tribunal comp tent les usages permis tol r s ou proscrits les moyens techniques r gissant l acc s les collections acquises au titre des archives et le transfert des donn es d archives pour ne donner que quelques aspects de l ampleur des questions traiter engagent lavenir des collections des tablissements souscrivant l accord commercial cette occasion nous avons pu mesurer les carts de comp tences requises tant de notre c t parfois que de celui des fournisseurs Concernant ces derniers leur strat gie con siste souvent faire adopter une licence g n rique con ue dans le cadre du droit am ricain en limitant au maximum les adaptations Cette attitude n est pas le fait des seuls grands groupes internationaux affirmant leur puissance en nivelant l chelle internationale les clauses contractuelles qu ils souhaitent imposer L exemple des produits JSTOR organisation non com merciale en t moigne apr s des d buts positifs la n gocia tion s est crisp e avec l intervention des juristes du fournisseur sur les modifications souhait es par le consortium Seule la t nacit opini tre des n gociateurs Couperin a per
63. des professionnels de la cha ne du livre l actualisation et le r quilibrage des collections des CLAC Bint Jbeil aujourd hui en partie d truit biblioth ques de lecture publique exis tante le soutien l dition jeunesse en concertation avec les municipalit s les associations et les professionnels du livre Il permettra aussi de mener bien les projets en cours de cr ation notamment dans les r gions les plus d favoris es qui ont subi la guerre Des financements ext rieurs au pays sont recherch s pour chaque projet L OIF examine la possibilit de com pl ter ce soutien de la France par la cr ation de nouveaux CLAC d s 2007 Plusieurs collectivit s territoriales ont d cid d apporter leur concours finan cier dans le cadre de la coop ration d centralis e notamment sur l acqui sition du mobilier non pris en charge par le FSP Quelques exemples le territoire de Belfort avec la ville de Qab Elias le Conseil r gional Provence Alpes C te d Azur avec le sud du Liban et la biblioth que de Tyr D autres pays comme l Allemagne soutiennent aussi le secteur du livre L objectif recherch est de favoriser la compl mentarit entre les diff rentes institutions Le FSP devrait permettre au Liban de faire un bond quantitatif et qualitatif dans l acc s au livre et la lecture pour tous les Libanais notam ment pour les plus jeunes Il contri Biblio monde suivre Une nou
64. et de 6 livraisons du SSE durant les trois derni res ann es Aujourd hui les PUA ditent chaque ann e 6 titres en diffusion nationale 2 en diffusion directe ainsi que 2 num ros du JSSE qui devrait bient t rejoindre le site revues org Leur budget annuel de fonctionnement hors salaires s l ve 20 000 il est autofinanc gr ce la participation des centres de recherche pour un nombre d exemplaires vendus avoisinant Les 1000 unit s auxquels s ajoutent Les droits de reproduction d articles dans les bibliographies annuelles dit es par les presses anglo saxonnes et les 120 abonnements la revue principalement institutionnels Ces activit s ditoriales demeur es dans le p rim tre du SCD sont toujours dirig es par Le directeur de la BU qui s occupe des relations avec les auteurs et Les partenaires de la cha ne ditoriale ainsi que de la r alisation des couvertures et des relectures heureusement second par une assistante d dition temps plein assurant la mise en page la gestion des contrats et des droits la facturation et les envois V ritable outil de communication et de valorisation scientifique pour les centres de recherche et pour les fonds sp cialis s de la BU les presses universitaires sont aussi un partenaire p dagogique qui accueille certains tudiants du Master dition et multim dia de l universit d Angers Elles positionnent et l gitiment le SCD d j producteur de contenus co
65. fage Elle n est pas accessible au public La BN contient 6 millions de volu mes et remplit les fonctions de d p t l gal de pr t interbiblio th ques et autres fonctions identi ques toutes les BN en Europe Son d parte ment de musique tr s impres a sionnant ses Emn 3 collections sla ves sa collection C M cozzi BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT LE sp ciale destin e aux biblioth caires et tudiants en biblioth conomie sont particuli rement remarquables Sur le plan touristique nous avons arpent pendant de longues mais riches heures de nombreux quartiers de Prague Jarmila Burgetova et Anna Machova nos correspondantes tch ques du SKIP nous avaient programm de belles visites guid es de la ville Ainsi nous avons pu d couvrir le ch teau Hradcany le quartier du Ch teau la maison de Kafka la cath drale Saint Guy l ancien quartier de Mala Strana la vieille ville le quartier juif et bien s r le pont Charles ainsi que les nombreuses boutiques de marionnettes Une sortie au Th tre National nous a permis de re voir l op ra comique de Georges Bizet Carmen dans ce lieu prestigieux et d admirer les belles peintures du th tre Un tr s beau s jour Christiane M cozzi C M cozz W En haut Mala Strana la maison de Kafka Ci dessus le groupe Picardie la BM de Prague
66. fait par la cyber rampe qu empruntaient autre fois les automobiles et o se d ploie aujourd hui une dizaine d ordinateurs avec connexion Internet en acc s libre Tous les usages l gaux y sont permis chat messagerie jeux en ligne et autres forums C est bien s r un endroit tr s fr quent par les jeunes on y trouve galement un agent de la m diath que pour tout besoin d accompagnement tr s vivant mais son emplacement vite les nuisances sonores et s int gre har monieusement dans le b timent L tage sup rieur ressemble beaucoup plus une biblioth que traditionnelle Le tri des retours AnneV rneuil Anne Verneuil longues trav es de documentaires salle d tude ferm e sans nourriture ni por tables cette fois ci nombreuses con nexions informatiques pour des travaux plus studieux Le long des baies vitr es on peut consulter la presse sur de con fortables banquettes rouges Le classe ment des ouvrages a enti rement t revu avec des regroupements par cen tres d int r t selon un syst me appel ZIZO Zoeken Zonder Inspanningen c est dire rechercher sans effort Des pictogrammes tr s clairs repren nent les diff rentes th matiques Signe des temps Les rayonnages sont ici aussi mont s sur roulettes mobiles donc bien que tr s lourds Mais la raison en est moins la pr voyance biblioth co nomique que le souci de rentabilit
67. fran aises se sont en vingt ans trans form es d une fa on radicale Mais ces transformations sont autant sinon plus fonctionnelles qu institutionnelles En se risquant une classification un peu inhabituelle des circons tances et des effets de ces changements on pourrait distin guer deux cat gories e Les volutions professionnelles c est dire pens es pr par es impuls es par les personnels des BU dans une recherche permanente d am lioration du fonctionnement de leurs biblioth ques Si les missions fondamentales des BU sont rest es les m mes s lectionner acqu rir signaler mettre disposition du public conserver les changements techniques ont transform les pratiques la g n ralisation de la documentation lectronique et le d veloppement des outils collectifs nationaux ont boulevers les modes d acc s l information les constructions d cid es dans le cadre des plans U2000 et U3M mais aussi les tr s nombreuses op rations de mise en s curit des b timents de BU ont permis de r aliser certaines adaptations d difices devenus peu fonctionnels aux exigences d une biblioth que moderne la recherche de formules d assistance aux lecteurs adapt es la diversit du public tudiant a conduit d velopper des modu les d initiation ou de formation la m thodologie de la recher che documentaire Les limites principales ce d veloppement sont celles des moyens en
68. histoire colloques de Bordeaux 2 En 2006 un accord est sign avec Bordeaux 4 pour la cr ation et la diffusion de deux grandes s ries Depuis six ans nous travaillons avec Bordeaux 1 sur une collection d exobiologie d velopp e avec l Observatoire de Bordeaux Autre sp cificit des PUB une collection d tudes occitanes avec deux branches dont Saber constitu e d essais et de manuels Nous sommes les seuls parmi les presses d universit proposer une collection aussi structur e Nous imprimons aussi des livres num riques la demande D ici mars avril 2007 nous aurons d j deux livres en ligne en langue trang re dont l un en espagnol On nous disait que nous toucherions ainsi plus facilement l Am rique latine et la p ninsule Ib rique en BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT Ed l absence d un r seau et des moyens pour faire le tour des librairies trang res Valoriser la recherche et regarder ailleurs Pour les textes qui nous sont envoy s directement si l avis du comit ditorial est positif le lecteur sp cialiste tablit des fiches de lecture Nous serons plus ouverts pour ce qui viendra des directeurs de collection mais le comit veille l quilibre des contenus C est un lieu d change entre diff rentes approches sur une m me question celle d un linguiste d un philosophe d un historien d un litt raire
69. il donne acc s Deux op rations sont programm es e La constitution d un catalogue qui recensera les fonds num ris s ou en projet de num risation de l enseignement sup rieur Cet outil fait pendant au projet homologue du minist re de la Culture avec lequel il sera inter op rable de m me qu avec le portail europ en Michael 7 e La cr ation d une base mutualis e des signets partag e par toutes les BU Ce projet repose sur un partenariat entre l Abes et le Cerimes Centre des ressources et d information 6 EAD Encoded Archival Description 7 http www michael culture org index_f html 30 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE uide ER LL 1 sur les multim dias pour l enseignement sup rieur l outil technique sera celui d velopp voil plusieurs ann es par le Cerimes l Abes se chargeant d organiser le r seau d ali mentation et de validation des signets qui reposera sur des biblioth ques expertes Les Cadist trouveront logiquement la place qui leur revient dans ce nouveau r seau cr er Le d veloppement des ressources lectroniques Le projet phare est bien s r Star Signalement des th ses archivage et recherche outil destin permettre le d p t le signalement et l archivage des th ses en format num rique Pourquoi ce nouvel outil alors que nombre d universit s disposent d j d une plate forme de diffusion des th ses Star qui
70. imprim s Mais nous savons aujourd hui que eBooks com propose 70000 titres en vente 7 US au lieu de 25 pour un livre papier que Project Gutenberg offre gratuitement 19 000 titres qui font l objet de 2 4 millions de t l char gements par mois que World eBook library biblioth que semi commerciale propose 400 000 titres lire en ligne ou t l chargeables en PDF pour un forfait annuel de 9 payables distance Et il est probable que les fournisseurs de contenus offriront sous peu pour 1 symbolique l quipement de lecture comme cela a t le cas pour les t l phones mobiles La question du copyright est tellement cruciale qu il n y aura jamais d accord des diteurs pour la publication en ligne de livres r cents Or depuis quinze ans les diteurs disposent des fichiers num riques correspondant aux mil lions de titres publi s N attendent ils 17 Des milliers de pages lire dans le creux de la main par Michel Alberganti et Alain Beuve M ry Le Monde 15 10 2006 Reportages lo OT eh k la Biblioth que administrative de la Ville de Paris BAVP pas que le march s ouvre eux dans de bonnes conditions pour lancer leurs nouveaut s lectroniques et boulever ser d finitivement la donne Entre l diteur et le lecteur Internet fait aujourd hui le lien O est donc la place des biblioth ques et des librairies l heure de l interneti
71. jouent souvent ce r le de lieu d m dicalis pour les patients N est ce pas l quelque chose d important qui d finit l offre de lecture l h pital Le travail n est pas tout fait le m me dans un h pital de court de moyen ou de long s jour Ma coll gue de l h pital Raymond Poincar de Garches re oit des patients qui sont l pour des s jours tr s longs voire toute la vie pour certains Elle n effectue pas du tout le m me tra vail que moi l HEGP o les patients s journent 4 ou 5 jours en moyenne Leur emploi du temps est tr s charg pour limiter les d penses m dicales et hospitali res le passage la biblioth que n est donc pas vident Il y a des exceptions puisque certains restent malheureusement plus longtemps que pr vu d autres sont habitu s d autres encore et a c est nouveau passent la biblioth que pour s inscrire lors de leur pr hospitalisation apr s avoir vu l anesth siste et nous demandent Je viens dans quinze jours qu est ce qu il faut faire Hors les murs lo La m diath que de l H pital Europ en Georges Pompidou O AP HP Communication B U La m diath que des patients et du personnel du groupe hospitalier Bichat Claude Bernard e Vous couvrez donc tout l ensemble de la population de la p diatrie jusqu la g riatrie l HEGP il n y a pas de p diatrie mais nous recevons les enfa
72. le d licieux buffet traditionnel le shopping Cheonggyecheong tous ces moments qui semblent partag s avec la plan te biblioth que toute enti re Nous avons aim S oul alors nous serons tous en Afrique du Sud l ann e prochaine Le 73 Congr s mondial des biblioth ques et de l information se d roulera Durban du 19 au 23 ao t 2007 avec pour th me Biblioth ques du futur progr s d veloppement et partenariats Ellen Tise pr sidente du Comit d organisation nous a invit s sous les bravos lors de la c r monie de cl ture inscrivez vous Comme l a r p t la pr sidente ce sera tr s dif f rent et tout aussi formidable Apr s Durban les congr s auront lieu en 2008 Qu bec et en 2009 Milan Christiane Baryla Conservateur g n ral la BnF D l gation aux relations internationales Directeur du programme fondamental PAC Conservation amp pr servation de l Ifla Le 73 Congr s de l Ifla aura lieu Durban Afrique du Sud du 19 au 23 ao t 2007 sur le th me Biblioth ques du futur progr s d veloppement et partenariats Les publications de la h F Bon de Commande retourner ABIS commandes om 2 Pr nom y w BIBLIOth que s La revue de l Association des biblioth caires de France S associer N 2 avril 2002 Champagne Ardenne N 3 juin 2002 L intercommunalit N 4 octobre 2002 Usages usagers N 5 6 d cembre 2002 Flandres
73. le laboratoire de l volution des biblioth ques L isolement de la communaut universitaire de tutelle et partant de la communaut professionnelle l insuffisance de ressources documentaires et par dessus tout la volont d offrir aux lecteurs des acc s pertinents et multiples lin formation sont l origine d exp riences cr atrices souvent t tonnantes parfois d sesp rantes rarement mod lisables mais toujours mobilisatrices Ainsi entre tradition et avant garde utopie et pragmatisme souverainet et compromis mais surtout militantisme documentaire et parfois alphab tisation documentaire ces biblioth ques participent pleine ment de la d mocratisation universitaire voulue par l tat et les collectivit s locales D 4 Syst me universitaire de documentation national Decouvrez 1 F i E r Et j l nu t De m E T R i E l EE millers z Elne e de produits e K i ADE Specialise E iia N Un gt rtis 6 de plus de 100 HISE i z E ang serv FIG 5 Ti ami paai Je 116 Te et rap del 908 382 100 ans d expertise au service des biblioth ques E Des milliers de produits innovants et sp cialis s i Tout ce dont vous avez besoin pour votre biblioth que E Un service client le de S duait EU pr t a VOUS aider Pour en savoir plus contactez nous par t l phone au 0800 908 382 par fax au 0800 908 376 par e mail
74. listings par th mes les 2 ordinateurs disposition sont encore peu utilis s Les agents de biblioth que vont chercher les livres dans les magasins au sous sol Le pr t est manuel d une dur e d une semaine Les salles de travail l tage ouvertes sur le hall sont tr s bruyantes En revanche Les enseignants et chercheurs partir de la 5 ann e b n ficient de conditions privil gi es autoris s se servir directement en magasin ils jouissent d un pr t d un mois et d une salle de travail r serv e Les collections se composent de livres de th ses et travaux de recherche Les p riodiques sont presque absents quelques changes quelques num ros isol s quelques dons en raison des co ts et des difficult s d acheminement Les ressources lectroniques sont galement trop ch res Les livres environ 55 000 sont class s par disciplines selon la classification Dewey aussi utilis e pour l indexation mati re r partis entre les fonds en langue arabe ou fran aise Ce dernier appara t plut t dat et d pass La majorit des documents quelques exceptions pr s ne sont pas recouverts de film plastique Il semble que les budgets des facult s permettent l acquisition d environ 300 1 000 livres par an chacune Syngeb est le nom du SIGB d velopp pour toutes les BU alg riennes il permet de constituer la base bibliographique au moyen d une interface en arabe et en fran ais Le catalogage se fa
75. mise en place des universit s num riques en r gion terme l ensemble des BU et BIU franciliennes devrait donc constituer un v ritable r seau documentaire Ce r seau devra trouver sa place au sein des P les de recherche et d enseignement sup rieur Pres cr s par la nou velle loi de programme pour la recherche 5 La constitution de vastes ensembles de niveau international autour de th ma tiques de recherche et de la mise en commun de mast res va conduire les universit s d l guer des comp tences aux Pres l image de l intercommunalit Ces Pres s inscriront dans des p les de comp titivit avec des centres de recher che publics et priv s pour d velopper des applications tech nologiques Plusieurs Pres sont envisag s en le de France ce qui modifiera la carte documentaire Avec l volution des r les respectifs de l tat des universit s des collectivit s territoriales et des autres partenaires publics et priv s qui est esquiss e dans les Pres les BU d le de France vont tre amen es se situer dans le cadre europ en Sauront elles relever ce d fi E 15 Loi de programme n 2006 450 du 18 04 2006 PIERRE CARBONE D Les biblioth ques universitaires d le de France 19 CAROLINE GAYRAL Directrice du SCD de Lyon 2 des biblioth ques d U FR Au del du principe qui vise rationaliser la gestion des fonds documentaires et mettre en place une politique documenta
76. nieurs techniciens administratifs de recherche et de formation LMD Licence master doctorat Pres P le de recherche et d enseignement sup rieur SCD Service commun de documentation SHS Sciences humaines et sociales SICD Service inter tablissement de coop ration docu mentaire SIGB Syst me int gr de gestion de biblioth que Sudoc Syst me universitaire de documentation UFR Unit de formation et de recherche ainsi que la classification Dewey est en train de vivre une deuxi me vie dans les projets d environnement num rique de travail des universit s Vingt ans plus tard les BU ont donc peu pr s partout r ussi une double mutation celle de la modernisation et de la diversification des services et celle de l int gration l universit D sormais le mod le qui pr vaut est celui de la biblioth que hybride c est dire la coexistence de la biblio th que physique b timents collections papier services au contact du public et de la biblioth que num rique dont les documents et les services sont distribu s sur l ensemble de l universit et bient t gr ce aux ENT accessibles de n im porte o pour les tudiants et les personnels de l tablisse ment M me si aujourd hui la documentation en ligne est majoritairement destin e aux chercheurs il serait r ducteur de faire correspondre la biblioth que physique aux besoins des tudiants d butants niveau lice
77. pandue Dans le domaine de l enseignement et de la culture le gouvernement les citoyens et les entreprises priv es se doivent de favoriser la trans formation de l cole du primaire au sup rieur en institution de qualit car Le d veloppement du pays est directement li au niveau de scolarisation de la population L enseignement sup rieur au Br sil Le pays compte 57 universit s publiques f d rales sous la responsa bilit du gouvernement de l Union 87 universit s publiques coordonn es par chaque tat 82 universit s publiques municipales et 1401 universit s priv es enqu te de 2004 Sur un total de 340 millions de r aux annuels 127 113 000 euros consacr s l ducation 70 sont Biblioth que des sciences de La sant Jardin botanique Curitiba Paran Br sil Le b timent principal destin s l enseignement sup rieur Afin d am liorer l infrastructure nationale de cet enseignement le minist re de l ducation et de la Culture a mis en place en f vrier 2006 le projet Universit pour Le XxI si cle qui favorise la r forme universitaire en augmentant le budget des universit s publiques et en consacrant d autre part de grands moyens la cr ation de dix nouvelles universit s Les BU Les biblioth ques des institutions de l enseignement sup rieur ont pour mission de dynami ser Les activit s universitaires Mais outre ce r le traditionnel elles doivent s adapt
78. parler de biblio th que hybride de mouvement du m tier vers les publics de biblioth que comme forum dans la cit c est sans doute une question de conviction professionnelle encore faut il disposer des outils n ces saires sa mise en uvre L ABF ne man quera pas pour sa part de poursuivre son travail de p dagogie entam avec le cycle de journ es d tude sur les biblio th ques dans la soci t de l information et un centenaire ax sur les biblioth ques de l avenir Mais la probl matique nous am ne ici encore la premi re des conditions pos es par le CREDOC la poursuite de l effort des collectivit s Nul doute que ces derni res r pondant une impul sion tr s volontariste de l tat ont port les d veloppements des ann es 1980 1990 s duites sans doute par le mod le de la m diath que qui a bien r pondu aux attentes politiques de l poque Qu en est il aujourd hui d s lors que ce mod le est mis en question Est ce que le mod le de la biblioth que hybride compl t par la formation des usagers la volont d largissement des publics et l affirmation des tablis sements comme des centres culturels faisant vivre et animant leurs ressources documentaires au c ur de la cit r pond aux attentes actuelles des lus Quid du r le de l tat en termes d impulsion d initiative et d accompagnement bref de volont et de moyens Les questions s accumulent t
79. particuli rement attendu Soir e de gala L Ifla en fran ais FIAB F d ration inter nationale des associations de biblioth caires et des biblioth ques a t cr e en 1927 Rappelons que son objectif principal est de favoriser un d veloppe ment mondial des biblioth ques et des services de documentation de haute qualit Organisation non gouverne mentale et non politique l Ifla rassem ble 1 700 membres de 150 pays soit des associations de biblioth caires des biblioth ques des services docu mentaires de diff rents secteurs mais aussi des membres individuels qui sou tiennent ses objectifs et participent son travail L Ifla publie une revue des manuels des rapports et des monogra phies sur de nombreux sujets Elle orga nise aussi des s minaires et des ateliers dans le monde entier pour am liorer la pratique professionnelle et surtout faire prendre conscience du r le crois sant que les biblioth ques sont ame n es jouer dans un monde devenu num rique L ensemble de ses activit s sont pr sent es sur www ifla org gt Un v ritable sommet mondial Chaque ann e au mois d ao t dans une r gion du monde diff rente a lieu ce que Fr d ric Saby a appel dans une analyse tr s pertinente le rituel de l Ifla ou son bras s culier la Conf rence annuelle D j en 1989 ann e du Congr s de Paris qui rassem 1 Bulletin des Biblioth ques de Fran
80. pour objectif de faire augmenter l acc s l information universitaire en favorisant des moyens conomiques alternatifs de publi cation particuli rement les moyens qui profitent des tech nologies de l information lectronique et en encourageant les chercheurs accro tre le contr le sur leur communication scientifique Une bo te outils du chercheur et des instituts de communication scientifique ont t cr s pour permettre aux biblioth caires d tre l aise sur les sujets et les tendances de la communication scientifique et pour aider d velopper des programmes d information pour leurs campus Nous avons d j obtenu satisfaction quant l acc s assur l information financ e par le gouvernement L ALA travaille depuis plus de 60 ans avec une coalition nationale de groupes de plaidoyer infatigables et sans but lucratif b n voles pour r clamer que les chercheurs financ s par le National Institute of Health soient oblig s de d poser leurs articles publi s sur la base accessible gratuitement PubMed Central six mois apr s la publication initiale Avec le soutien d autres associations elle fait actuellement pression pour l adoption du Federal Research Public Access Act qui devrait exiger qu il en soit fait de m me pour toute la recherche publi e et financ e par l tat f d ral LALA n a pas limit ses efforts aux seuls tats Unis Avec PARL et d autres elle a c
81. pour entamer la n cessaire r flexion Le client sera alors le Pres et non plus un seul tablissement a l PEI o S autour d une politique nationale de la communication scien Pour d autres transactions le principe de subsidiarit pourra e LL o tifique A cet gard les int r ts des chercheurs et des biblio s appliquer au profit d accords locaux Toutefois il ne faudra Pu th caires sont nettement convergents et le dialogue entre pas perdre de vue qu une politique documentaire n est jamais 0 ces communaut s doit tre renforc La voie est troite et les purement locale et qu elle s inscrit dans un maillage national biblioth caires plus que jamais devront faire preuve de sens Le local n y trouve son sens que dans le r seau politique de comp tence et de p dagogie I 12 Biblioth que Rh ne Alpes d information num rique 13 Conf rence des pr sidents d universit 38 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ulge ER LL DOSSIER LES CENTRES DE FORMATION AUX CARRI RES DES BIBLIOTH QUES CFCB UNE FORMATION CONTINUE DE PROXIMIT POUR LES BU ET LEURS PERSONNELS Les 12 Centres r gionaux de formation aux carri res des biblioth ques du livre et de la documentation CFCB ont t cr s par conventions en 1987 et 1988 dans le cadre des universit s avec une double mission de formation initiale et continue visant
82. pr t retour et les automates de pr t La plus grande discoth que d Europe ouvre aussi sur ce hall Cette structure priv e cr e par un particulier Rob Maes pr te plus de 300 ooo vinyles et CD Un grand escalator central dessert les diff rents niveaux th matiques reconnaissables leur couleur Le mobilier sur roulettes notamment les rayonnages et de faible hauteur permet d avoir une vue d gag e sur l espace et un acc s favoris pour tous Chaque tage a son caract re associ une cou leur de moquette et de signal tique une disposition particu li re des rayonna ges et des fauteuils un mobilier adapt la th matique du niveau des fau E B teuils club en litt rature une table et un lustre XVIIIe si cle en musique On a pu voir des usagers jouer aux checs un philat liste classer ses timbres un lec teur d chiffrer une partition pour piano dans un box du centre d tude Dans re _ fformatle T Es i pu iT LE LE hide es aji Si r rE e HS A Li E Lenen retour multimedia 3 a Bi p a me TA 1a am j 1 La banque de renseignements 2 L espace musique 3 La banque d accueil 4 La banque du pr t retour 57 EE de IABF l espace musique on trouve plus de 40 000 partitions et sur cran g ant des documentaires musicaux sont program m s chaque jour Le classement
83. re u le soutien du minist re de l ducation nationale celui de la R gion le de France et de la Ville de Paris Le programme de r am nagement des espaces publics 2 350 m d veloppe les objectifs suivants e am liorer les conditions g n rales d accueil du public en veillant au confort acoustique thermique et visuel notamment l clairage naturel Une attention particuli re est port e au public handicap accessibilit niveau des mobiliers guichets d accueil e porter 620 le nombre de places de consultation tout en les faisant b n ficier de l acc s aux nouvelles technolo gies de l information gr ce une syst matisation du c blage ou de l acc s sans fil Wifi e r aliser c t des salles de consultation silen cieuse une salle de formation quip e de 15 postes et 17 espaces de travail en groupe pour 4 10 requis par la p da gogie de l universit e largir la mise dis position en acc s libre des collections de livres et revues dans les espaces de lecture avec 40 de L Douin m trage lin aire suppl mentaire les tudiants disposeront en salle de plus de 60 ooo livres et de 220 revues sur cinq ans dont le choix a t articul avec les ressources lec troniques consultables sur cran dans les m mes espaces Le r am nagement de plus de 1000 m de BU de Paris Dauphine la biblioth que d tude magasins situ s dans des 28 BI
84. recherches comment vous mettre en r gle avec les obligations du droit de pr t La loi du 16 Juin 2003 compl t e par les d crets du 31 ao t 2004 fait obligation aux organismes de pr t de d clarer leurs achats de livres aupr s de la soci t de perception et de r partition de droits agr e par le ministre de la Culture Sofia re u l agr ment pour la gestion du droit de pr t par arr t du 7 mars 2005 Quels sont les organismes de pr t biblioth ques de collectivit s territoriales municipales t d partementales biblioth ques des universit s Services Communs de Documentation UFR Centres de recherches biblioth ques de comit s d entreprise toute autre biblioth que dont la moiti des ouvrag s achet s dans l ann e sont destin s au pr t et qui ont une activit organis e de pr t avec des listes d inscrits Individuels ou collectifs Quels sont les achats d clarer La d claration des achats est obligatoire pour tous les livres acquis depuis le 1 ao t 2003 Le livre doit tre entendu dans sa d finition fiscale est consid r comme livre tout document imprim soumis au taux r duit de TVA de 5 5 en France m tropolitaine L instruction fiscale n 82 du 12 mai 2005 BOI 3C 4 05 englobe d sormais dans cette d finition les guides annuaires et r pertoires mais aussi les Cartes g ographiques livres de coloriage Que doit on faire S inscrire a
85. regroupe les institutions parmi les plus prestigieuses Harvard MIT Berkeley En 1981 l universit Paris Dauphine a t choisie pour accueillir le Cadist de sciences conomiques et de gestion Cette mission nationale d acquisition et de diffusion de lin formation scientifique et technique l a mise en situation d en gager un d veloppement suivi et raisonn de ses collections dans une perspective d exhaustivit au profit de la commu naut des chercheurs fran ais Depuis 1996 une convention de p le associ lie galement Dauphine la BnF avec un objectif d acquisitions coordonn es Enfin en application des nouvelles dispositions du d cret du 13 juin 2006 relatif au d p t l gal l universit Paris Dauphine est associ e la con servation du d p t l gal diteur dont elle re oit un exemplaire dans les disciplines de l conomie et de la gestion En tant que p le de r f rence documentaire la biblioth que de Dauphine a tout naturellement largi son expertise aux bases de donn es en ligne et a consid r qu il relevait de sa mission de Cadist d en faire b n ficier le r seau des BU Elle participe ainsi depuis sa cr ation au groupe de veille scientifique initi par la SDBD pour le suivi et l valuation des nouvelles bases de donn es et a rejoint le bureau pro fessionnel de Couperin pour animer le p le de n gociations des ressources lectroniques en conomie et gestion plus d
86. rit des 66 ooo membres de l ALA soit compos e d individus ses travaux se concentrent non seulement sur les aspects professionnels mais aussi sur l am lioration des services de biblioth que garantissant l acc s l information Ceci est vrai pour tous les types de biblioth ques y compris les BU La plupart des actions de l ALA pour aider celles ci passe par une de ses branches l Association of College and Research Libraries ACRL dont l objectif principal est de mener les biblioth caires et les biblioth ques universitaires et de recher che un savoir pratique et th orique sup rieur ACRL est aid e par la maison m re d autres branches de l ALA et trouve un renfort dans la collaboration avec des associations et des groupes tels que l Association of Research Libraries ARL dont le but est d am liorer les BU En 2001 l ACRL a cr le groupe de travail sur la vision de lavenir pour identifier les d fis les plus pressants auxquels 1 www ala org acrl 2 Focus on the Future Task Force elles sont confront es On y a relev comme sujets les plus importants e Le recrutement la formation et la fid lisation des biblio th caires e Le r le des biblioth ques dans l entreprise universit e L impact des technologies de l information sur les servi ces de biblioth que e La cr ation le contr le et la conservation des ressources num riques e Le chaos dans la co
87. seul prestataire dans l enseignement sup rieur et la recherche mais plusieurs portails existent dor navant desservant des populations largement communes On ne peut r ellement parler de double ou m me de multi ple paiement de la m me ressource puisque le mod le cono mique implique des chiffres d affaire propres chaque institu tion mais ce mod le bas sur le papier en donne le sentiment d une part parce que venant apr s les accords Couperin les contrats pass s par les EPST reprennent la totalit du chiffre d affaire r alis par ceux ci aupr s de chaque fournisseur pour desservir des populations sp cifiques restreintes celles des unit s propres chaque EPST UPR Unit propre de recher che comme bien souvent c est la progression vers les marges qui est la plus co teuse D autre part les collections de p riodi ques qui servent de base pour la d finition du chiffre d affaire de r f rence taient souscrites sur les cr dits des diff ren tes institutions associ es dans une unit mixte pour toffer et compl ter le fonds documentaire alors qu aujourd hui les ressources en ligne d livr es par les diff rents portails forment un contenu uniforme et assez largement redondant Au lieu de s ajouter ces ressources se r pliquent souvent Et que dire des ressources humaines mobilis es dans la constitution et l entretien des portails documentaires On ne 8 tablissement public
88. sort quand les assistantes sociales ont obtenu leur statut particulier Elles ont rejoint la Direction g n rale De 1976 1992 plus pr cis ment vers 1985 les biblioth cai res ont r ussi faire valoir leur qualit de professionnels Ils taient alors embauch s avec le CAFB et un statut d adjoint des cadres hospitaliers ACH charge eux de passer le concours qui leur offrait davantage de s curit Mais l employeur restait l AP HP Ensuite nous avons assist la d centralisation des h pitaux qui a donn aux directeurs d tablissement plus de latitude dans les recrutements Il est devenu beau coup plus difficile de faire valoir nos qualit s professionnelles les direc teurs d tablissement avaient parfois des choix corn liens faire entre une infirmi re et une biblioth caire Vous imaginez bien quelle tait la priorit Le r seau a compt au plus fort de ses effectifs une petite quarantaine de LE R SEAU DES M DIATH QUES DE L ASSISTANCE PUBLIQUE H PITAUX DE PARIS Dans le cadre de la qualit d accueil des patients et de la poli tique sociale en direction des personnels l AP HP s est dot e d une organisation performante et unique en France et des moyens financiers n cessaires cette exigence de qualit 22 m diath ques g r es par 40 biblioth caires et aides biblio th caires dipl m s e Les publics Les patients et leurs proches les personnels et leurs enfants
89. symbole collectif fort de partage des savoirs et un enjeu politique majeur Saura t elle se vivre comme un lieu de responsabilit intellectuelle Saura t elle s inscrire dans une conomie de service public performant Saura t elle porter les valeurs collectives et remplir sa mission ducative cultu relle et citoyenne Tels sont parmi d autres les souhaits et les d sirs exprim s par la communaut universi taire au moment du concours A La Biblioth que centrale universitaire con ue par Pierre Riboulet fa ade Nord L implantation de ce nouveau b ti ment entre la Maison de la Recherche et l Arche devrait permettre une plus grande synergie entre documentation recherche et documentation d appui l enseignement L appel candidature a t publi le 24 octobre 1996 Les candidats ont t invit s envoyer leurs dossiers d ici au 25 novembre L objet du concours concernait terme la r alisation d un b timent de 15 ooo m2 en deux tranches Apr s ouverture des plis le 26 novembre la commission technique a examin les 85 dossiers de candida ture Le jury du concours de ma trise d uvre s est r uni le 6 d cembre sous la pr sidence du recteur de l acad mie Cinq quipes ont t retenues pour E et architecture concourir sur esquisse Almudever et Lefevre Toulouse Atelier 13 Jean Philippe et Nicole Loupiac Toulouse Bizouard et Pin Paris Dubes
90. technologique et une con currence chevel e la placent dans une situation p rilleuse Maija Berndtson d Helsinki et Tom eh k de Prague ont exprim leur sentiment sur l enjeu fondamental pour les biblioth ques aujourd hui la survie de l institution 11 http www nypl org branch T eh k la Cin math que fran aise La premi re s est interrog e sur la place des biblio th ques dans la soci t vir tuelle ubiquitous society 12 Apr s avoir mis sur la biblioth que hybride dans le plan d action 2000 2004 les biblioth ques d Helsinki 3 veulent d velopper aujourd hui la biblioth que sans fron ti re tout en assignant un nouveau r le aux biblioth ques physiques qui doivent imp rativement devenir des lieux attractifs cibler leur offre et leur public avec par exemple le nouveau concept de Library 10 ouverte en avril 2005 combi naison d une offre de musique et de tech nologies de l information avec pr t de documents musicaux mais aussi d ap pareils et de p riph riques 14 stations d coute sur place studios de r p tition et d enregistrement audio et vid o pos tes informatiques d dition musicale et vid o concerts et performances Un lieu pour consommer cr er et mettre en valeur la culture Elles doivent aussi se d localiser pour toucher d autres publics et comme tout alien qui se respecte Maija Berndtso
91. tiendra Nantes traitera des publics Ce choix s inscrit dans la logique du con gr s de Paris au cours duquel diverses enqu tes avaient t pr sent es concer nant les publics enqu tes suffisamment stimulantes quant aux r sultats et aux interrogations ouvertes pour n cessiter un approfondissement Parmi ces enqu tes celle men e sur la fr quentation des biblioth ques publiques dont Bruno Marescat a rendu compte Paris au nom du CREDOC constitue un excellent point de d part pour la r flexion compl t e par celles concernant les biblioth ques universitaires qu Paris encore le doyen de l Inspection g n rale Daniel Renoult a voqu es Sans doute est il utile d en donner ici une synth se pour lancer le d bat devant nous conduire Nantes gt Nouvelle donne Command e par la DLL et pilot e par la BPI l enqu te du CREDOC men e l automne 2005 a concern 2001 person nes g es de 15 ans et plus elle ne con cerne donc pas les enfants r parties en 352 communes du territoire m tropolitain Corse exclue interrog es face face leur domicile L ensemble des r sultats repose donc sur des d clarations et non pas sur les statistiques que la DLL la bore partir des rapports annuels des biblioth ques nous ne d velopperons pas ici cet aspect Pour aller l essentiel ces r sultats fort riches mettent en avant la progression de la fr quentation des biblioth ques publ
92. une biblio th que 2700 personnes non m dicales et peu pr s 800 m decins quivalents temps plein plus les tudiants en m de cine et tous les l ves d coles param dicales en stage r guli rement dans la maison Rien que sur ce site a fait d j pas mal de monde e cette premi re sp cificit s ajoute celle du public lui m me vous desser vez les patients d un c t et de l autre les agents hospitaliers et Les tudiants de l agglom ration parisienne L encore ce r seau est unique C est la demande grandissante des personnels eux m mes du type On passe un concours o peut on trouver des livres pour le pr parer que nous nous sommes pench s sur le sujet Peu de BM ou autres s int ressaient la question Il y a quelques ann es on trouvait tr s peu de publications Ce cr neau a t largement exploit depuis La biblioth que offre aussi la seule occa sion de doter l h pital d un lieu neutre o se croisent patients personnels et m de cins abattant ainsi les barri res sociales L h pital est un milieu tr s sectoris tr s hi rarchique Ceci est d autant plus vrai dans les gros tablissements qui comp tent 700 lits ou plus on perd en qualit humaine les gens passent d un secteur l autre d une fili re l autre et la biblioth que est parfois le seul lieu o ils se rencontrent e IL est vrai que les biblioth ques
93. vent pour que le Sudoc s ouvre la francophonie Dans une premi re tape un rapprochement est en cours avec nos homologues de Rero le r seau de la Suisse romande e L enrichissement de son contenu par la num risation du Catalogue g n ral des manuscrits CGM men e conjointe ment avec la BnF Pour cette op ration ce n est pas le format Unimarc qui a t retenu mais le sch ma XML EAD 6 L Abes a t charg e de r aliser un outil de consultation et de pro duction du CGM pour les enrichissements du catalogue des manuscrits D velopp en interne il reposera sur des outils g n riques et inter op rables qui lui permettront notamment de dialoguer avec l outil mis en place par la BnF e L am lioration de la qualit l implantation du format Unicode pour le signalement des documents en caract res non latins a constitu un chantier majeur dont l ampleur n avait sans doute pas t per ue lors de son lancement Il reste aujourd hui l achever en mettant au point le traitement des notices en critures bi directionnelles La qualit c est d abord celle de la base avec plusieurs millions de notices les seules ressources humaines de l Abes n y suffisent pas C est le r seau tout entier qui doit se mobi liser tous les jours sur cette t che L enrichissement du portail d acc s aux ressources lec troniques Le portail doit continuer largir et diversifier les ressources auxquelles
94. visibilit des th ses fran aises le succ s de Star passe par son appropriation par les tablissements habilit s d livrer les doctorats En test aupr s de 6 SCD Star a t d ploy aupr s d un premier noyau d une trentaine d tablissements volontaires depuis octobre 2006 Si les SCD demeurent ses interlocuteurs natu rels l Abes doit en l esp ce constituer un nouveau r seau 8 Les m tadonn es descriptives et de gestion sont structur es selon le sch ma TEF Th ses lectroniques fran aises publi par PAFNOR 9 Centre pour la communication scientifique directe CNRS La biblioth caire Sophie Avon Arl a 2005 168 p 20 5 X 12 5 cm ISBN 2 86959 732 0 BIBLIOTHE En mai dernier un colloque inter national et pluridisciplinaire P le m tiers du livre de Saint Cloud s est pench sur La biblioth que dans la litt rature contemporaine 1980 2005 A Mauriceau rapporte qu on y d gagea une image duelle de la biblio th que lieu symbolique de col lection et de diffusion du savoir mais inhospitalier effrayant et imposant le silence Labyrinthe temple lieu de m moire ou d aventures mais toujours poussi reux Les biblioth caires elles car les femmes y sont majoritairement repr sent es sont tant t gardien nes h tesses d tectives ou missionnaires Qu une BU soit le cadre de ce roman r g n re le st r o type mais elle demeure un lieu vide et hos
95. 52 5332791 1404222 1542044 8279047 34 52 28 15 Pr ts et 2 542 334 713 803 1006 968 4 263 105 33 22 26 66 communications 2953701 482 985 761 416 4198075 52 49 37 19 Collections 6 160 608 890 703 1854982 8 906 293 60 17 32 13 Livres volumes 5351798 444 383 1155 702 6951883 74 58 39 10 ANT 117 397 18 887 55 709 191 993 71 94 40 42 P riodiques titres i 97 829 5 506 48 608 151 943 82 55 43 79 Acquisitions et dons 174 276 56 021 73 133 303 430 33 26 28 46 Livres volumes 118 361 28 355 44 744 191 460 43 57 33 85 ER 30 760 5 077 9 898 45 735 54 26 31 16 P riodiques titres A 36 460 2 913 9 520 48 893 71 46 39 57 D penses 14 141 2 972 4 541 21 654 43 07 28 89 documentaires en K 6 522 990 1 960 9 472 52 28 31 54 1 Minist re de l ducation nationale de l enseignement sup rieur et de la recherche Direction de l enseignement sup rieur Annuaire des biblioth ques univer sitaires 2003 La Documentation fran aise 2005 18 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ule ER LL 1 et du plan U3M33 les surfaces nouvelles ou r nov es par acad mie sont de 17 536 m pour Versailles 25 301 m pour Cr teil dont 12 500 m Paris 8 et 6 420 m au CTLes et de 8 200 m pour Paris L HEURE EUROP ENNE On constate en m me temps l urgence de moderniser les biblio th ques de Paris centre qui ne pe
96. BLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE Fonds documentaire 158 000 vol dont 72 500 en libre acc s 3 600 p riodiques Acquisitions 2004 6 115 vol dont 1 432 de niveau recher che 936 vol issus du d p t l gal 2 043 abonnements de p riodiques papier dont 714 de niveau recherche 7 102 revues en ligne 10 252 rapports et livres lectroniques 45 bases de donn es bibliographiques financi res sta tistiques D penses documentaires 853 701 soit 104 par ins crit au pr t dont 51 d abonnements aux p riodiques sur papier la moiti pour la recherche 35 des d penses sont financ es par le Cadist et la subvention BnF Pr t de livres 98 071 et communications des magasins 30 562 soit 128 633 transactions Pr t entre biblioth ques 6 820 demandes re ues satis faites 86 Consultation des bases en ligne 301 370 requ tes 173341 documents t l charg s multipli par 2 77 en 1 an Fr quentation ouvert 59 h semaine du lundi au samedi le SCD a connu pr s de 470 000 entr es avec 10 400 ins crits en 2004 Tr s largement fr quent par les tudiants de Dauphine inscrits 88 il re oit galement un impor tant public ext rieur 24 de ses lecteurs inscrits e tudiants des universit s de Paris et de l le de France plus de 50 du public ext rieur Dauphine ensei gnants chercheurs et tudiants venus galement de province e
97. Biblioth que publique et universitaire fa on de renforcer sa mission acad mique la Biblioth que de Gen ve dont Jean Jacques Rousseau refusa la direction en 1757 d voile ses tr sors depuis le 23 novembre 2006 dans l exposition Arts savoirs m moire Tr sors de la Biblioth que de Gen ve au mus e Rath Ils resteront visibles jusqu au 18 f vrier cartes rares papyrus et incunables manuscrits m di vaux enlumin s collection musulmane reliures manuscrits de Rousseau mais aussi Th odore de B ze Mme de Sta l Rodolphe T pffer Amiel ou Saussure archives de cr ateurs livres dit s Gen ve affiches Art nouveau tableaux dont les fameux portrait de Liotard etc Ceci s accompagne de nombre de conf rences rencontres et entretiens tous les mercredis Biblioth que de Gen ve Mais dans le m me temps et jusqu au 14 avril la Biblioth que d art et d arch ologie se livre une r trospective Journaux de mode sous toutes les coutures exposition de p riodiques de mode depuis le XIXe s Pour tous les d tails consulter www ville ge ch bpu expos f rath 2006 htm Contact BPU Catherine Jotterand Tel 41 0 22 418 28 14 catherine jotterand ville ge ch DOSSIER BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE gt 41 gt 48 D 75 BU la rel ve D un rapport l autre Vingt ans apr s ou presque apr s
98. C gt S A Z JD m N U 2 gt lt a JD m 31 rue de Chabrol 75010 PARIS PRIX TOTAL PRIX TOTAL JUUNLUL A dA dA db db dA d db db d dd Ab db db Ad Ab db db Ad A d EH rtages Regards crois s les biblioth ques publiques des grandes villes du monde Patronn e par la section des biblioth ques m tropolitaines de l IFLA et co organis e par la Mairie de Paris et l ABF la conf rence annuelle des directeurs des biblioth ques publiques des grandes villes du monde tenue Paris du 24 au 29 septembre a r uni une cinquantaine de d l gu s trangers venus d Europe et d Am rique du Nord mais aussi de Chine Singapour Australie Afrique du Sud et Colombie autour du th me La valeur ajout e des biblioth ques publiques dans le monde de l information xX Nu w Das Au Pavillon de l Arsenal Depuis 1968 cette conf rence associe pr sentations du syst me de lecture publique de la ville h te visites de biblioth ques remarquables et contri butions scientifiques pour des regards crois s sur les pratiques les exp rien ces et les perspectives des biblioth ques m tropolitaines gt Points de vues sur Paris et la France Des pr sentations l auditorium de l H tel de Ville Jacques Van Dem Borghe et Aline Girard Billon3 Jean 1 Pour en savoir plus sur la section des biblioth ques m tropolitaines de l IFLA Metlib plus connue
99. E FRANCE LME TE CT EE td mations Beno t Yvert directeur du livre et de la lecture a quant lui dress un tableau des biblioth ques fran aises insistant sur l volution spectaculaire de la lecture publique en France depuis vingt ans et pr cisant les champs d in tervention de l tat dans le domaine du livre et de la lecture Une matin e pass e au Pavillon de l Arsenal cen tre d information de documentation et d exposition d urbanisme et d ar chitecture de la Ville de Paris permit aux architectes Michel Sebban Agence Babel et Anouk Legendre Agence X TU ainsi qu aux chefs de projet des futures M diath que Marguerite Yourcenar et Biblioth que du cin ma Fran ois Truffaut d exposer deux des nouveaux projets de la Ville de Paris Selon le t moignage de quelques par ticipants les pr sentations et visites leur ont permis de saisir ce qu tait la conception fran aise de la culture ainsi que l importance et l urgence qu il y avait pour tous lutter contre l uni formisation culturelle par la d fense de diff rentes formes de pens e et d expression linguistique cet gard les discours de Jean No l Jeanneney pr sident de la BnF et de Christophe Girard adjoint au Maire de Paris charg de la culture ont t pour eux particu li rement clairants Deux jours pas s s en r gion aux BMVR de Marseille et Montpellier leur ont donn en outre un aper u des polit
100. Espaces et architecture Espaces pens e 1 L esth tique fonctionnelle de Pierre Riboulet par JEAN CLAUDE ANNEZER 2 Esp ces d espaces la Biblioth que Robert de Sorbon par CARINE EL BEKRI DINOIRD Hors les murs Les biblioth ques de la sant entretien avec SOPHIE MARCHAUD R flexions Courants porteurs par GILLES BOLI B ibio mond e Liban un programme l preuve du feu par MARIE H L NE BASTIANELLI Parole SG d diteur Pages de PUB entretien avec ANTOINE POLI Notes de lecture Les biblioth ques ditent Stendhal la r volte et les r ves par PHILIPPE LEVREAUD Gustave Dutailly Les plaisirs d un collectionneur d affiches par PHILIPPE LEVREAUD e Les vacances un si cle d images des milliers de r ves 1860 1960 par PHILIPPE LEVREAUD L opold S dar Senghor le po te et les peintres par PHILIPPE LEVREAUD Bo te id es bo te outils Tumulte par PHILIPPE LEVREAUD La biblioth caire jeunesse une intervenante culturelle 60 animations pour les enfants de 18 mois 11 ans par GENEVI VE BOULBET Passeurs de lecture lire ensemble la maison et l cole par ANA S MAURICEAU Premiers pas Revue Utile par PHILIPPE LEVREAUD ditions Migrilude Bon app tit Suzy et Joyeux No l par PHILIPPE LEVREAUD Histoire de livres livres d histoire Les manuscrits du Touat le Sud alg rien par AHMED RADJA e Manuscrits et biblioth ques musulmanes en Alg rie par AHMED
101. IOTH CAIRES DE FRANCE uide ER IAE Plus r cemment les comp tences des personnels des SCD en mati re de document num rique ont conduit les universit s les associer des actions telles que le d veloppement des environnements num riques de travail ENT voire leur en confier la responsabilit comme dans le cas de projets d ar chives institutionnelles ouvertes c est dire les portails de publication en ligne des th ses articles et documents de recherche Si la mission fondamentale reste la m me les actions les outils et les comp tences des SCD se sont on le voit fortement tendus entra nant un certain nombre de cons quences En mati re d organisation interne des SCD le mod le s est largement transform en une vingtaine d ann es on est en effet pass d une organisation o l essentiel de l activit tait concentr e au sein des sections les services de la direc tion tant principalement administratifs un autre mod le qui fait une place tr s large aux services vocation trans versale l informatisation la documentation lectronique la coordination de la politique documentaire la formation des utilisateurs la formation continue des personnels et m me parfois des t ches internes comme le traitement des docu ments sont assur es par des services rattach s la direction du SCD uvrant pour l ensemble de l universit Les sections c est dire les biblioth qu
102. Jean Jacques Aillagon le projet de loi sur le droit d auteur et les droits voisins dans la soci t de l information qu on allait d signer sous le sigle DADVSI Il s agissait d une transposition parti culi rement restrictive de la directive La r pression du contournement des mesures de protection technique tait s v re jusqu 300000 d amende et trois ans de prison Mais le projet pr voyait galement il faut s en r jouir l institution d un d p t l gal d Internet par pr l vement Deux rapporteurs ont t d sign s dans chacune des assembl es Christian L INTERASSOCIATION ARCHIVES BIBLIOTH QUES DOCUMENTATION AAF Association des archivistes fran ais ABF Association des biblioth caires de France ACB Association des conservateurs de biblioth ques ACIM Association de coop ration des professionnels de l information musicale ADBDP Association des directeurs de biblioth ques d partementales de pr t ADBGV Association des directeurs des biblioth ques municipales et intercommunales des grandes villes de France ADBS Association des professionnels de l information et de la documentation ADBU Association des directeurs et des personnels de direction des biblioth ques universitaires et de la documentation ADDNB Association pour le d veloppement des documents num riques en biblioth que AIBM France Association internationale des biblioth ques archive
103. M lant enfin avec aplomb l observation directe les propos rapport s et les emprunts litt raires ce que G the avait magistralement pingl l auteur de Rome Naples et Florence et des M moires d un touriste m rite tout fait le label d cern par Suar s d Europ en de France J J Labia Un dernier chapitre consacr aux manuscrits rend en passant hommage aux conservateurs de l une des premi res biblioth ques publiques de France les plus anciens quoi qu un peu r serv s Am d e Ducoin nomm en 1847 et son successeur Hyacinthe Gariel 1861 puis Louis Royer et enfin Pierre Vaillant surtout cf BIBLIOth que s n 25 p 61 comme aux chercheurs qu ils ont su s attacher Victor del Litto au premier chef qui a efficacement pouss aux acquisitions et signale le projet de num risation men par le Centre d tudes stendhaliennes l universit de Grenoble III et la BM La difficile reconnaissance de Stendhal par sa ville natale r capitul e elle trouve en cet album un brillant pilogue Philippe Levreaud et l h ritage des Lumi res en sa traduction positiviste Ille R publique ach vent de faire de lui un socialiste radical fid le au programme de Belleville et Gambetta autant dire un de ces extr mistes de gauche que l chec de la Commune plia au r formisme Jeune maire plume alerte au temps o la presse florissante multipliait les feuilles satiriques il sait s en
104. N DES RESSOURCES EN LIGNE L achat group est le mode op ratoire du consortium La mont e en puissance des groupements de commande est une donn e majeure de ces deux derni res ann es l Abes est porteur de 6 groupements les universit s de 4 groupements Lyon 1 Wiley ACS5 Nancy 1 Springer Nice IOP 6 et le CNRS du groupement de commandes Thomson Web of science En 2007 10 nouveaux groupe ments devraient voir le jour qui seront majoritairement port s par l Abes affirmant ainsi son r le croissant dans le soutien logisti que de Couperin Cette formule d achat fonctionne plut t bien malgr ses limites li es son r gime r glemen taire la diff rence du GIP Groupement d int r t public le groupement de commandes ne permet pas de nouveaux membres d adh rer celui ci pendant la dur e du march et de b n ficier du contrat pass avec le fournisseur Par ailleurs le soutien financier direct des groupements de commande par la DGES 7 constitue un avantage conomique tr s incitatif pour les tablissements qui rajoute encore l in t r t du dispositif Cette augmentation du nombre des groupements de commandes nous invite aussi r fl chir sur l organisation logistique de Couperin afin de la renforcer Aujourd hui seules trois universit s r pondant des surd terminations videntes ont accept de prendre le risque de se lancer dans le portage d achats group s
105. NSEIGNEMENT SUP RIEUR Tout est une question de budget L ALA aide diversement les biblioth ques et les biblioth caires n gocier des financements pour l enseignement sup rieur et les biblioth ques Son bureau Washington suit de pr s la l gislation f d rale fait pression pour augmenter les sommes allou es et alerte la communaut des BU quand une action de d fense est n cessaire Elle fournit des argumentaires pour les requ tes aux admi nistrateurs ou aux l gislateurs des astuces sur la fa on de communiquer d utiliser des exemples et de devenir le cham pion de sa biblioth que Ce travail de toute une ann e culmine au Library Legislative Day chaque mois de mai Washington D C lorsque les biblio th caires vont sur Capitol Hill entretenir directement leurs l gislateurs de la n cessit de soutenir le financement de l en seignement sup rieur Ce labeur est r p t au niveau des 50 tats lors de chaque l gislature En 2005 ces efforts furent r compens s quand le plus grand dispositif de financement des biblioth ques le Library Services and Technology Act fut financ hauteur de 210 millions de dollars repr sentant un accroissement de 5 millions de dollars alors qu taient ampu t s la plupart des autres programmes imput s sur le budget f d ral 6 ALA Presidential Committee on information Literacy Final report publi le 10 janvier 1989 Washington D C http www ala or
106. RANCE DU PRINCIPE Cr en 1989 le SCD de l universit Lumi re Lyon 2 tait au d part compos d une BU dans sa totalit celle de Bron campus Porte des Alpes et de la moiti d une autre BU indi vise entre Lyon 2 et Lyon 3 en centre ville elle subit les rava ges du feu en 1999 c t des biblioth ques de facult dites aussi de composantes avaient t cr es au fil du temps pour satisfaire un besoin de proximit imm diate Les raisons invo qu es pour l gitimer des cr ations de biblioth ques redon dantes dans le cadre d une politique documentaire d tablis sement et au regard des collections de la BU taient bien s r la proximit de la documentation pour les tudiants juste c t du secr tariat de l UFR et des bureaux des enseignants avec souvent une importante confusion des r les de biblioth caire et de secr taire d UFR gestion de planning distribution de polycopi s des enseignants stockage d archives de tou tes sortes En clair la BU tait toujours trop loin du bureau des enseignants pas toujours ouverte et il fallait patienter comme les tudiants pour obtenir satisfaction entre autres raisons pas toutes ill gitimes dans un contexte de p nurie de personnel o il n tait pas facile de mettre en place une politique de services aux usagers En 1992 l universit qui souhaitait se rapprocher de l es prit du d cret de 1985 et augmenter la visibi
107. a fracture int rieure s est agrandie Il y a ceux qui n ont plus rien ni mai son ni champ cultiver ceux qui plus fortun s ont repris leurs activit s ou migr une guerre de trop accepter Il y a ceux qui restent soit parce qu ils veulent encore construire leur pays soit parce qu ils n ont pas d autres choix Certains libraires comme la C d th que ou El Bourj ont r sist en demeurant ouverts Les diteurs une trentaine d entre eux ont perdu une grande partie de leur stock dans la des truction de la banlieue sud de Beyrouth tentent de surmonter cette crise Si certaines biblioth ques ont d fer mer cause des bombardements d autres ont effectu un travail remar quable en tendant leur activit habi tuelle des actions d animation aupr s des enfants d plac s gt Un bilan provisoire IL est encore trop t t pour tablir le bilan d finitif des effets de cette guerre sur la cha ne du livre Le minist re de la Projet de Biblioth que de Tyr ouverture d but 2007 Culture et les associations ont dress un premier tat des lieux cinq biblio th ques publiques et de nombreuses biblioth ques scolaires ont t particu li rement affect es par les bombarde ments deux biblioth ques de lecture publique ont t totalement d truites Seul le r seau des BU a t pargn Si le projet de r habilitation de la Biblioth que nationale d truite pen
108. a quatre ans jusqu sa rencontre avec Jacques Maujean qui l emmena dans son petit pays l le Maurice Quoique en disponibilit elle porta un regard bienveillant sur le travail des biblioth caires de Curepipe Beau Bassin Rose Hill Quatre Bornes Vacoazs quelques anciens se souviennent encore d elle C est en 1982 que la famille Maujean s tablit la R union o Marie Colette prit en mains les destin es de la Biblioth que centrale de pr t qui deviendra quelques ann es plus tard Biblioth que d partementale Marie Colette tait un conservateur passionn exigeant enthousiaste et en m me temps bienveillant Elle aimait son m tier et voulait faire partager son amour des livres mais plus g n ralement elle croyait sa mission ducatrice et culturelle et voulait contribuer ce que le plus grand nombre puisse acc der la connaissance Cela la conduisit favoriser la r insertion des prisonniers par la lecture se battre pour faire circuler les livres dans la prison mais aussi faire des d p ts de livres par h licopt re dans les flets perdus dans les cirques inaccessibles autrement partager les actions d ATD Quart monde Bien que prise par ses innombrables t ches professionnelles qui lui valurent notamment une m daille pour son engagement aupr s des personnes incarc r es elle s effor a de ne jamais n gliger la vie de famille Mais toute son uvre n aurait pu tre accomplie sans la p
109. a r gion Centre et son CRL a lanc la premi re de Mille lectures d hiver depuis le 6 12 2006 mais jusqu fin mars 2007 100 jours raison de 10 lectures par jour Cette initiative vise favoriser la d couverte par l coute de textes d auteurs vivants fran ais et trangers tout en soutenant les com diens lecteurs de la r gion ou d ailleurs et en impliquant le public qui est appel accueillir lui m me ces lectures chez soi Biblioth ques h pitaux classes caf s librairies seront aussi de la partie Rens au CRL Centre frederique breuil crlcentre org T l 02 54 72 24 89 Fax 02 54 73 13 12 Site www crlicentre org M LITT RATURE EUROP ENNE Les 2 Rencontres de litt rature europ enne de Strasbourg 16 17 mars organis es par l ACEL Association capitale europ enne des litt ratures rendront hommage Guillevic et aux laur ats de trois prix qui seront tous pr sents le po te finlandais de langue su doise Bo Carpelan prix Europ en de Litt rature Marcel Moreau prix de Litt rature Nathan Katz et Alfred Kern prix du Patrimoine Nathan Katz Leurs traducteurs Pierre Grouix et Jean Fran ois Eynard sont galement l honneur La BnU est associ e la Ville et la Communaut de Strasbourg la R gion la DRAC Alsace l universit Marc Bloch et l Office pour la langue et la culture d Alsace dans cette manifestation aux choi
110. able r f rence sur les fili res d tudes les m tiers et les secteurs professionnels Ces ouvrages th matiques complets sont destin s tre le socle de votre documentation DERNIERS TITRES Etudier et travailler l tranger La fonction publique et ses m tiers Les coles d ing nieurs Apr s le bac 2007 Prix unitaire 9 Une collection compl te sur les fili res d tudes universitaires et les d bouch s destin e tout tudiant en qu te d une information riche et exhaustive DERNIERS TITRES STAPS La psychologie l universit L informatique l universit Prix unitaire 4 90 Cette collection s adresse aux jeunes parents professionnels du monde ducatif Chaque titre est un guide complet d informations sur les m tiers leur environnement et les formations qui y conduisent Pour construire un projet professionnel solide DERNIERS TITRES s T l coms et r seaux Langues et international a Radio et T l Montagne Prix unitaire 12 n couv ii J dai minor CT parmak dei e Bad 414 Abonnement 10 Numeros La revue mensuelle sur les handicaps et les personnes handicap es destin e aux professionnels de la r adaptation aux m decins aux personnes handicap es et leurs familles Dans chaque titre une interview d une personnalit une partie magazine sur l actualit de la r adaptation un
111. accueillies dans les biblioth ques de facult s et la biblio th que centrale Tlemcen capitale de la r gion nord ouest de l Alg rie est une agglom ration de 300 000 hab L universit Abou Bekr Belkaid cr e en 1974 comptait 28 000 tudiants pour 930 enseignants en 2004 2005 Elle comprend 6 facult s sciences m decine sciences de l ing nieur droit sciences conomiques et de gestion lettres sciences humaines et sociales et dispose de 30 laboratoires de recherche Les disciplines litt raires sont enseign es en arabe les disciplines scientifiques en fran ais Le niveau de fran ais n tant pas tr s bon au baccalaur at Les tudiants s orientent majoritairement vers les disciplines litt raires Au total l universit dispose de 250 000 documents r partis entre les diff rentes biblioth ques La biblioth que centrale a ouvert en 2001 ce qui frappe le visiteur europ en c est Le contraste entre l aspect luxueux du b timent rev tement ext rieur hall immense au sol de marbre grande salle de conf rence aux fauteuils confortables et l absence de livres visibles En effet Le parti pris a t l acc s indirect aux documents comme dans les autres BU en Alg rie Le livre est une denr e rare et ch re qu il serait trop risqu de mettre en libre acc s Le fonctionnement est donc celui d une biblioth que l ancienne Les tudiants doivent remplir un bulletin apr s avoir consult les
112. agne Ardenne consacrent avec pour objectif le futur libre acc s qui exige de traiter 143 606 ouvrages En f vrier 2005 la recotation physique des ouvrages d marre et se poursuit jusqu en janvier 2006 la vitesse moyenne de 40 livres recot s heure et 7 couleurs pour 7 p les th matiques Les lecteurs studieux lisent dans les biblioth ques Les professeurs font leurs cours Les tudiants prennent des notes L enjeu principal reste d am liorer l ac cueil et le service apport aux publics En amont les services internes r or ganis s ont fusionn pour confronter leurs m thodes de travail La politique documentaire s crit aussi par le biais d un plan de d veloppement qui d crit pr cis ment les objectifs des collections et les usages la fusion a r v l lacunes et doublons Habiter un lieu est ce se l approprier partir de quand un lieu devient il vraiment v tre Parcours et espaces documentaires clai rement identifi s se liront d s l entr e dans la biblioth que Les architectes et les biblioth caires ont travaill offrir nos lecteurs des lieux de travail coh rents capables de pr server le silence tout en permettant des r unions de travail Espaces d di s la formation lieux de rencontre d expositions et de manifestations culturelles autant de BU de l Universit de Reims Champagne Ardenne E et architecture no
113. alis en A civilisation A nord am ricaine les Presses universitaires de Bordeaux PUB font partie de cette deuxi me vague de presses d universit s lanc e apr s celle de 1968 par des professeurs de langues et marqu e par leur connaissance de l tranger En cette p riode o les th ses sont d sormais diffus es sur micro fiches on publie encore quelques th ses d tat telles quelles en accord avec l atelier de reproduction des th ses de Lille et des colloques de Bordeaux Je suis arriv en 1985 avec une mission de diffusion malgr une quipe tr s r duite deux personnes et un directeur un universitaire Bordeaux et en r gion et un objectif faire entrer des liquidit s Le catalogue va s toffer peu peu avec l apparition d une collection de manuels sur des questions du CAPES Agr gation Nous tions plut t tourn s vers le monde anglo saxon Jean No l Salomon va apporter la g ographie En 1989 premier virage Le CID structure publique qui d pend de la Maison des sciences de l Homme de Paris prend en charge la diffusion distribution cette poque la loi Lang permettait ces livres d tre accept s en librairie Cela veut dire se restructurer s quiper pr parer les nouveaut s les programmes ditoriaux Ce n est qu en 1995 que nous franchissons l tape essentielle du d veloppement des collections Les PUB prennent
114. aliser avec le mus e Plantin d Anvers celui de Bruxelles permet d approcher concr tement le travail des typogra phes graveurs compositeurs et lino typistes Une entreprise p dagogique soutenue par une association qu il con vient de saluer Dans les sous sols de la Biblioth que royale nous poursuivons la visite par la d couverte de la chalcographie Ce d partement collectionne et reproduit la demande des estampes anciennes et contemporaines Apr s la salle des catalogues pr sentant les gravures disponibles la reproduction sur de grandes banques en bois nous avons assist par petits groupes des d monstrations d encrage et de mise sous presse dans l atelier Parvenus bon port dans la banlieue de Rotterdam nous d cidons de gagner le centre ville apr s un repas l heure nordique et finissons par d nicher le centre historique de cette ville ras e pendant la guerre gr ce un francophile d vou Le lendemain frais et dispos nous nous dirigeons vers la Biblioth que centrale de Rotterdam La plus grande des Pays Bas sa silhouette en forme de paque bot est embl matique de cette ville de marins Elle s ouvre sur une place ani m e ce jour l par un march Au centre du vaste hall se trouvent des jeux d checs g ants des vitrines d ex position les livres d sherb s propos s la vente et des toilettes payantes Sur les c t s les banques d information de
115. amme d un vid ogramme ou d un programme effectu e des fins de conservation ou destin e pr server les conditions de sa consultation sur place par des biblioth ques accessibles au public par des mus es ou par des services d archives sous r serve que ceux ci ne recherchent aucun avantage conomique ou commercial On peut penser que ces dispositions permettent notamment la reproduction e de documents lectroniques qui seraient conserv s sur des supports ou dans des formats obsol tes afin de garantir la con servation du contenu et l acc s celui ci e de documents fragiles ou pr cieux afin que l acc s leur contenu ne porte pas atteinte l int grit du document original e de documents qui ne font plus l objet d une exploitation commerciale e de documents audiovisuels Elles devraient galement permettre la communication sur place au moyen d ordinateurs des documents ainsi reproduits Mais la formulation destin e pr server les conditions de sa consultation sur place introduite par un amendement s natorial visant viter des reproductions substitutives lachat introduit une restriction dont la port e sera appr cier L exception de reproduction destin es aux personnes handicap es Sont libres la reproduction et la repr sentation en vue d une consultation strictement personnelle de l uvre par des personnes atteintes de l alt ration d une ou plusieu
116. analytique qui se rapproche de celle du priv C est la demande de la LOLF Loi organique relative l organisation des finances Mais nous recevons des aides de la R gion dans le cadre de programmes de recherche des centres de recherches via le minist re dans le cadre du contrat quadriennal et occasionnellement d une soci t priv e d une municipalit d un conseil g n ral Les livres publi s avec Bordeaux 4 sont tous subventionn s Le priv est plus en retrait parce qu il demande souvent un retour d images en change En revanche le CNL a d cid depuis deux ans de ne plus financer aucun diteur public BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT td Concurrence et crise de l dition Les presses d universit s publient 700 titres tout casser Je ne crois pas que nous repr sentions une concurrence pour le priv mais au contraire une compl mentarit par exemple la th se de Le Roy Ladurie sur les paysans de Languedoc publi e aux ditions de l EHESS a t reprise par Flammarion Mais c est plut t rare Et a veut dire que nous avons fait notre m tier Par exemple nous avions publi une tude de Pierre Letamendia sur le mouvement nationaliste basque Il a t rep r par des diteurs priv s qui lui ont demand des essais Pour la carri re des universitaires en revanche c est presque plus important de pub
117. ant il est vrai qu un sondage ne fait pas le prin temps Sans doute annonce t il au mieux sa possibilit c est d j beau coup ce ne peut tre suffisant et il est clair que beaucoup reste faire sans m me qu il soit besoin de parler d An gleterre de Finlande ou de Scandinavie L ABF pour sa part s attelle la t che dans la perspective du congr s de Nantes Gilles boli Pr sident de l ABF Biblio monde lo Liban un programme l preuve du feu Le plan engag par FSP Lecture publique et dition jeunesse au Liban a r sist la guerre qui n a pas entam la politique volontaire de d veloppement de la lecture publique Une mani re de h ter la paix Au Liban un des premiers producteurs de livres dans le monde arabe le r seau des librairies tr s dense Beyrouth demeure assez peu d velopp dans le reste du pays Depuis la derni re guerre de 1975 celui des biblioth ques a t en partie reconstruit et renforc biblioth ques universitaires scolaires et de lecture publique r parties in galement sur l ensemble du territoire priv es et publiques L t 2006 s annon ait festif et joyeux le pays s appr tait accueillir 1300000 touristes amateurs de sites arch olo giques et de nature tr s grand nombre de familles d migr s en visite pour la Le FSP Lecture publique et dition jeunesse Projet de coop ration entre la France et le Liban
118. ar la Loi de programme n 2006 450 du 18 avril 2006 pour la recherche les P les de recherche et d enseignement sup rieur Pres regroupent des partenaires de l enseignement sup rieur et de la recherche autour d objectifs op rationnels communs Des partenaires ext rieurs collectivit s locales industriels et entrepreneurs peuvent participer la vie d un Pres et lui apporter le concours de leurs moyens et de leurs comp tences La loi pr voit trois formes d association possibles e Fondation de coop ration scientifique FCS alliant acteurs de l enseignement sup rieur et partenaires priv s susceptibles d apporter des moyens financiers l image du mod le am ricain e Groupement d int r t public GIP entre partenaires publics dont le pilotage s av re difficile compte tenu des rigidit s statutaires qui lui sont impos es e Nouvel tablissement public de coop ration scientifique EPCS entre partenaires publics auxquels chacun d l gue tout ou partie de leurs comp tences Cette forme d abandon de souverainet au profit d un tablissement public de rang sup rieur peut laisser envisager la reconstitution terme d universit s uniques dans la plupart des grandes villes de province marquant ainsi une forme de retour la situation ant rieure 1968 Les contours des Pres n tant pas d finis par la loi beaucoup se sont choisi des bases territoriales permettant l mergence ou la renaissance d
119. ation de sp cialistes L auteur est parfaitement fond e limiter son tude aux 18 mois 11ans mais on ne peut ignorer que les premi res ann es de coll ge repr sentent un moment fort d accroche des pratiques de lecture par ailleurs l affirmation de la n cessit de l intervention de sp cialistes apr s 11 ans est quelque peu contradictoire avec la th se de l auteur qui veut d montrer que les biblioth caires sont les meilleures sp cialistes de l animation lecture La seconde partie constitu e de fiches p dagogiques ressemble une succession de recettes souvent st rilisantes quand elles ne frisent pas le ridicule Elles nous interpellent Ce ne sont pas v ritablement des comptes rendus d exp riences mais des recettes utiliser la lettre On nous explique au mot pr s ce que l on doit dire aux enfants on se croirait revenu aux patronages d il y a cinquante ans Quant au contenu ou aux th mes abord s d autres surprises nous attendent Darwin pour les 11 ans Les Mis rables qu il faudrait faire d couvrir 93 R otes de lecture partir de 7 ans en r duisant l uvre une peinture de la mis re au XIXe s Il nous est difficile de souscrire cette id e que la valeur d une uvre litt raire r side dans la seule histoire qu elle relate L unique int r t de ces fiches est leur apport bibliographique qui peut aider la conception d animations vivantes et cr ati
120. ation du Patrimoine et h berg la BnF depuis 1992 je suis bien entendu arriv e S oul avec la liste des conf rences d di es la conservation De fait en suivant librement ce fil conducteur j ai assist des d bats concernant des continents et des pays tr s diff rents par leur conomie leur climat leurs richesses et leurs traditions culturelles Le terrain de la conservation concerne tous les supports de la communication du livre jusqu au num rique Mener une r flexion sur la conservation du patri moine conduit imm diatement envi sager comme corollaire la s lection et l acc s aux documents C est ainsi qu appartenant une tr s grande biblioth que nationale euro p enne BnF qui d veloppe chaque jour l acc s ses collections num ris es j ai d couvert la c r monie de remise du Prix de la Fondation Bill et Melinda Gates que sur les chemins de Katmandou Internet et Digital sont aussi l ordre du jour L association n pa laise READ se bat pour fournir un acc s public gratuit Internet et promouvoir ainsi l al phab tisation et l in formation aupr s des habitants d une des r gions les plus pau vres du monde gt Mati res discussions Cette ann e le Congr s s intitulait Les biblioth ques des moteurs dynamiques pour la soci t du savoir et de l information notre soci t a chang transform e par l arriv e du num r
121. atut priv En revanche on a publi un dictionnaire gascon fran ais avec le Conseil r gional d Aquitaine et le Conseil g n ral des Landes L des accords ont t sign s et les autorit s inform es de nos publications parce qu elles visent le contrat mais c est plus administratif que politique Nous n avons pas vraiment d autre rapport avec les autorit s de l universit que de simple information Nos limites sont d abord financi res m me si dans le priv nous n existerions pas Seules ma connaissance Oxford et Cambridge sont des entreprises b n ficiaires L autre limite est linguistique le fran ais est de moins en moins langue universitaire L anglais est h g monique Nous reposons sur la trentaine de BU tourn es vers les sciences humaines comparer aux 200 250 en langue anglaise Parall lement le r seau de libraires est l objet de pressions normes des distributeurs Si la rentabilit n est pas un objectif nous sommes oblig s de travailler co t complet impression mise en page Le m diateur du livre qui d pend du Premier ministre v rifie le fonctionnement comptable et la non concurrence au priv Il s assure que les prix sont calcul s et se renseigne sur nos tirages nos ventes le co t d un livre les subventions Nous devons leur donner le point mort la valorisation des stocks Enfin on est entr dans une comptabilit de plus en plus
122. aux diff rents postes de travail interne et en service public faciliter la lisibilit des espaces et des circulations minimiser les contraintes induites optimiser l adaptation des quipements mobiliers et techniques Mais dynamique amorc e intentions pr cis es compl mentarit s claircies il a fallu revoir toute l organisation la qualit attendue de ce nouveau b timent et de son am nagement doit donner une image vraiment nouvelle bien au del de la simple adaptation fonctionnelle gt Le programme du concours la mi juillet 1996 l universit en con certation avec le Service acad mique des constructions immobili res SACIM a proc d au choix d un cabinet de program mation C est DA amp DU D finition archi tecturale D finition urbaine qui s est vu confier l laboration du programme D s la rentr e de septembre le groupe de travail a repris son rythme hebdomadaire pour apporter aux programmistes toutes les pr cisions requises Le 2 d cembre le programme tait bou cl et valid pour permettre aux concep teurs de bien appr hender les objectifs du ma tre d ouvrage et des utilisateurs ainsi que les contraintes du site Il s agit avant tout de donner une r elle coh rence organisationnelle la fonction documentaire cr ation du SCD dans l accompagnement de l enseignement et de la recherche Le projet de construction en est l expres sion la plus vive pu
123. b e la r partition des r les entre les CFCB et l Enssib laisse naturellement celle ci les formations plus directement li es l en cadrement les formations a priori plus destin es aux cat gories B et C font partie de l offre prioritaire des CFCB Rappelons que l Enssib a renforc l importance de la formation continue dans ses missions gr ce au rapprochement puis la fusion de l Institut de formation des biblioth caires IFB qui avait une double mission de formation continue et de formation initiale du corps des biblioth caires L action des CFCB a donc accompagn des volutions majeures de la profession depuis plusieurs ann es e La professionnalisation des concours sp cialement tous les concours B et C de l tat apr s 1995 personnel de magasinage biblioth caire adjoint sp cialis et depuis 2001 assistant des biblioth ques La formation post recrutement des assistants a offi ciellement t confi e une partie des CFCB pour Les pr parations distance les 12 Centres travaillent d sormais en r seau e l exigence technique accrue dans un contexte de mise en r seau Les CFCB ont jou un r le fondamental d accompagnement dans la mise en place du Sudoc Encore aujourd hui les formations li es au traitement du document p sent lourd dans leur offre Unimarc Rameau etc e plus g n ralement la modernisation des biblioth ques mergence des technologies de l Internet affirmation de
124. btenir des r sultats incontestables alors que la situation paraissait au d part d sesp r e Elle a t l occasion d une alliance troite et d termin e avec les associations d lus locaux et s est traduite par une reconnaissance officielle allant bien au del du traditionnel dialogue avec les directions minist rielles sp ciali s es puisque c est avec les cabinets jusqu celui du Premier ministre que le dossier fut examin ainsi qu avec des parlementaires des deux assem bl es La mobilisation professionnelle a t d autant plus remarquable que la compr hension des enjeux n tait pas ais e Le num rique a ceci de particulier qu il nourrit juste raison des espoirs ou des craintes contraires Il peut c est vrai signifier la copie facile parfaite rapide Mais il peut galement tre le contraire la limitation et le con tr le des usages en particulier gr ce aux DRM Dans certains milieux de l dition on craignait que l objectif des biblioth caires ne f t de se livrer une diffu Actualit s de IA BF lo sion incontr l e sur Internet d u vres num ris es par elles Il s agissait tout bonnement de garantir que dans lunivers num rique les missions reconnues des biblioth ques que sont la conservation et la communication pourraient continuer d tre assur es Il faut savoir que la directive de 2001 dont beaucoup pensent qu elle est d
125. c tions de livres et aux revues les plus utilis es les ressources en ligne assurant un largissement documentaire tr s appr ci C est l absence de salles de biblioth que qui p nalisa le plus les tudiants La patience des tudiants fut remarquable et la curiosit pour cette biblioth que enti rement repens e n a pas t d ue la r ouverture d but septembre Les nouveaux locaux et Les diff rents types d installation pr vus notamment les salles de travail en groupe ont d enbl e rencontr un franc succ s Inventorier ranger classer trier liminer jeter fourguer L impatience grandit Les quipes s activent autour des plans d implan tations Les d m nageurs sont choi sis une page se tourne Le b timent est presque pr t recevoir personnes et collections La vieille biblioth que est ferm e au public fait les derniers honneurs la t l vision locale qui s inqui te de sa fermeture Travail de fourmi trier et encore trier tiqueter tablettes et mobiliers enfermer les premiers dossiers dans les cartons et enfin distribuer les cl s Emm nager Nettoyer v rifier essayer changer Am nager signer attendre imaginer Inventer investir S installer habiter vivre Le 23 juin 2006 les personnels se sont install s dans la biblioth que Il leur reste prendre possession de leur bureau tiqueter de nouveau tablet tes et rayonnages tester le mat
126. cas des web masters ainsi que des biblioth caires Quatre postes ont donc t ouverts et nous attendons beaucoup de ce nou veau statut Propos recueillis par Fr d ric Duton 81 si le FE Biblioth que s des Biblioth caires de France Abonnement 2007 Abonnement individuel Cet abonnement sers adress domicile et r gl par un paiement personnel Nom Prenom AGEE permunneln Code postal Ville T t phane ne Er Courriel Jde souacrni un abonnement pour l ann e 2007 5 num ros dont un doubl au prix de 50 TTC Je joins un ch que bancaire o postal l ordre de l ABIS Abonnement collectivit Cet abonnement est souscrit par Les collectivit s soci t s et organismes i nr 5 m tabiissement Collectivit AITRSER Code postal i T i et je ji Ville T l phone uoo ET Adresse de facturation si diff rente l Souscrt un abonnement pour l ann e 2007 6 num ros dont un doubl i o a LI Premier sbonnement Renouvellement Ne abonn amp ABO Pour Mg eap ji n Te dit m TE Te Meier CNET Te L R glement sur facture joindre un bon de commande _ R glement par ch que joint l ordre de l ABIS France 88 18 HT TVA 210 90 TTC Etranger 93 08 HT 95 TTC frais d envoi compris Ce bulletin est renvoyer LABIS J1 rue de Chabrol 75010 Paris SIRET 434 071 610 00010 APE 221A Conditions g n saes d abonnement Le tirage tant limit
127. ce tome 4 n 5 1989 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE IAL LE bla plus de 3500 personnes celui ci s tonnait Comment est il possible qu un congr s annuel attire autant de professionnels Cette ann e ce sont plus de 3000 d l gu s qui ont arpent les espaces ultramodernes du COEX le Palais des Congr s de S oul Juste en face de l autre c t de la rue cern par des crans g ants l immense Bouddha de pierre du temple Bongeunsa sem blait observer avec bienveillance toute cette effervescence Et il tait d licieux de pouvoir s chapper du Congr s pour remonter le temps dans les all es ombrag es et parfum es des temples l o le pavillon du sutra abrite une tablette de bois sign e par le c l bre calligraphe Chusa L importance du Congr s le poids sym bolique de son installation en Cor e nous furent d embl e signifi s par lin sistance avec laquelle les autorit s du pays ont souhait l accueillir S oul Et la communication tait r ussie D s l a roport des drapeaux aux couleurs de l Ifla balisaient la route jusqu au cen tre de la ville La c r monie d ouverture somptueuse s honorait de la pr sence de Mme Yang Suk Kwon Premi re Dame de la R publique de Cor e Auparavant c est Dae Jung Kim 15 Pr sident de la R publique et Prix Nobel de la Paix en 2000 pour sa longue lutte pour la d mocratie et
128. confort de lecture d un livre physique avance t on Mais cette certitude tien dra t elle longtemps face des argu ments offensifs e le co t pourquoi refuser d acheter un livre au quart de son prix actuel consti tu de 60 80 par l impression et la diffusion e Le stockage une carte m moire de la taille d un timbre poste peut stocker 8 000 volumes i T eh k 16 Hybride entre Professionnel et Consommateur En anglais prosumer profesionnal and consumer e la disponibilit de lof fre un ordinateur de poche permet de lire tout et nimporte o en toutes circonstances Imaginons un passager en transit coinc une nuit dans un a roport il sort son PC de poche t l charge les e books de son choix paye par Internet Pratique facile et bon march e La qualit et le confort de lecture l cran noir et blanc du nouveau livre lectronique 17 5 X 12 4 cm mis au point par Sony se passe de r tro clairage la page lue n est pas lumineuse et se rapproche donc d un effet papier Un bouton permet de tour ner les pages et les caract res peuvent tre grossis jusqu trois fois 17 e le march dans les aires linguis tiques limit es o un livre s imprime moins de 1000 ex r sistera t il cono miquement au livre num rique L ampleur et la qualit de l offre de livres lectroniques n quivaudront jamais celles de livres
129. cophone et le multilinguisme N oublions pas non plus la question provocatrice et d rangeante pos e par Alan Danskin de la British Library lors de la session ICABS Demain sait on jamais la fin du catalogage En troisi me lieu Dae Jung Kim nous a propos le concept de biblioth ques omnipr sentes dou es d ubiquit accessibles tous partout num ri ques en ligne sur nos t l phones por tables et nos ordinateurs de poche L encore l exemple n palais et les actions de READ sont aussi suggestifs que les recherches men es sur les encres lec troniques ou encore les actions pr sen t es dans la session des Biblioth ques d agriculture On y d couvrait des cen tres d information sp cialis s mis en place en Afrique et au Sri Lanka pour aider les fermiers g rer leurs produc tions agricoles Quatri mement les biblioth ques ont le devoir d aider les habitants des pays les plus pauvres acc der au savoir et Quelques chiffres 2900 participants dont e Cor e 1367 e Europe 477 e USA 366 e Afrique 241 e Chine 233 e Russie amp CIS 90 215 r unions 382 communications Exposition 150 exposants 522 visiteurs 65 Le Palais des Congr s des contenus intellectuels de tr s haut niveau Et c est dans les sessions des Biblioth ques de recherche que toutes les possibilit s de l enseignement en ligne ont t voqu es Cinqui mement
130. copieurs et 42 postes de travail r serv s la consultation rapide y ont trouv place Par ailleurs les magasins faisant galement l objet de travaux l ensemble des collections La notable exception de celles de la biblioth que de recherche maintenue ouverte a pu tre transf r dans d anciens magasins en sous sol r cemment quitt s par la FNSP 150 000 volumes et 3 500 revues soit pr s de 6 000 m lin aires furent ainsi regroup s et la communication organis e dans un local en rez de chauss e dit guichet de la r serve Seuls Les p riodiques sont demeur s incommunicables l exception des unica de niveau recherche Pour accompagner cette op ration une importante campagne d information a t organis e avec l aide des repr sentants tudiants large affichage dans l universit faisant conna tre ces services documentaires provisoires nouvel accueil sur Le portail de la biblioth que pour informer de l volution du chantier orienter et r orienter Les tudiants vers d autres biblioth ques acceptant de les accueillir R servant les places assises en priorit aux tudiants de Dauphine un accueil limit la biblioth que de recherche a t maintenu pour le public ext rieur justifiant de recherches n cessitant la consultation des collections Cadist Durant les quinze mois de travaux cette organisation a permis d assurer dans les locaux m mes de Dauphine l acc s aux colle
131. croissement des effectifs se renforce encore aujourd hui avec la r ouverture des nouvelles facult s autrefois transf r es l int rieur 12 cycle en m decine philosophie et lettres sciences sociales administratives et politiques psychologie et p dagogie agronomie d parte ments de g ologie et g ographie la facult des sciences l Uni kin compte aujourd hui pr s de 26000 tudiants Hier un catalogue sur fiches obsol te et inexact Aujourd hui une base de donn es collective actualis e ORGANISATION ACTUELLE DES BIBLIOTH QUES L UNIKIN Selon l organigramme de l univer sit et en conformit avec le statut qui la r git et ceci dans les trois universit s et instituts sup rieurs publics de la R publique d mocra tique du Congo la BU regroupe la biblioth que centrale et les biblio th ques des diff rentes facult s La biblioth que centrale cens e tre la t te et la plaque tournante du service documentaire de l universit n assure gu re sa mission bien qu elle soit anim e par 38 agents dont 19 biblioth caires scientifiques et 19 administratifs Ils travaillent dans une biblioth que en tat de d labrement mat riel et documentaire qui fonctionne en autarcie par rap port aux biblioth ques facultaires qu elle est cens e coor donner alors qu elle devrait jouer un r le moteur pour leur mise en r seau en particulier en mati re de NTIC Les
132. d de pair pair peer to peer ou P2P moyennant la perception d une taxe forfaitaire desti n e r mun rer les ayants droit C tait un v ritable coup de tonnerre Les trois jours pr vus ne suffirent vi demment pas puiser les d bats d autant que le gouvernement grave ment d savou ne souhaitait pas en rester l L Assembl e nationale finit par adopter le 23 mars un texte sans licence globale mais avec des excep tions nouvelles notamment en faveur des biblioth ques La r pression du d chargement illicite tait adoucie puisqu elle ne devait le plus souvent se traduire que par une contravention Et le S nat apporta lui m me des modifi cations substantielles BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE EN CL Ed L opposition et PUDF ayant saisi le Conseil constitutionnel ce dernier censura la simple contravention pr vue en cas de t l chargement ill gal par le proc d de pair pair qui fina lement pourra bien valoir ses auteurs jusqu 300000 d amende et trois ans de prison gt L Interassociation l action Entre 2002 et 2004 s tait progressi vement constitu e une Interassociation archives biblioth ques documentation regroupant 13 associations profes sionnelles voir encadr p 61 Celle ci mobilisa les professionnels gr ce un site web et une p tition en ligne qui recueillit plus de 7 ooo signatures Elle r dig
133. de CE Corinne Bigot et Laurence Guienne pour Aker Yards Saint Nazaire ont soulign la convivialit tr s forte qui impr gne l activit de leur tablissement ouvert aux 3000 salari s des chantiers navals et le choix d un engagement soutenu dans les animations en partenariat souvent avec des associations inter CE PACENER et le Centre de culture popu laire tout en d plorant le manque de temps consacr au traitement intellec tuel des documents Aline Dubos dirige la biblioth que du CER SNCF de Bordeaux qui coordonne l activit des 12 biblioth ques des r gions Aquitaine et Poitou Charentes Deux relais mobiles desservent aussi les gares sans biblioth que Ce r seau r gional concerne 10 000 cheminots Le service de proximit reste la force de la biblioth que m me si la r cente initiative des lus de nommer les aires sociales et culturelles espaces CE r duit la visibilit de la structure Comme les acquisitions sont trait es Paris au Service du livre et des biblio th ques les biblioth caires b n ficient ainsi du temps n cessaire pour les ani mations qui sur certaines op rations se font en partenariat avec la SNCF Prix du Polar En train de lire d autres biblioth ques de CE et certaines BM Martine Bodereau parla de la m diath que d Air France Industrie Toulouse En 2004 le site historique de Montaudran li l histoire de l a rospatiale est abandonn pou
134. documentaire 4 Mis en service en mars 2005 il permet la recherche f d r e et 4 http www portail sudoc abes fr RAYMOND B RARD Du catalogue l acc s aux ressources lectroniques 29 DOSSIER simultan e sur une grande vari t de ressources et plus sp cifiquement sur les ressources en ligne outre une dizaine de catalogues de biblioth ques il donne acc s aux travaux de la recherche avec moissonnage de plusieurs archives ouver tes selon le protocole OAI5 aux articles de p riodiques aux th ses fran aises et trang res ainsi qu une s lection de fonds patrimoniaux num ris s dont Gallica La recherche dans tous ces corpus est pos abes sible en texte int gral Merle G hiep de Piati srl Le portail g re plusieurs types de connections ouvert www abes fr tous ilr serve toutefois l ac E Le portail documentaire Sdot a Le r seau Sudot 3000 biblioth ques a L Agence bibliographique de l enseignement sup rieur c s certains types de docu ments g n ralement payants aux usagers identifi s des ta blissements d enseignement sup rieur et de recherche Bas sur les principes de valorisation de la production scientifique de facilitation de mutualisation et de subsi diarit le portail a t con u comme un compl ment aux syst mes d information des universit s Une veille cons tante est exerc e sur les fonds num ris s les archiv
135. dossier th matique complet i TE i 5 m E 1 i ia 4 LL l La d marche pr coce d insertion Les personnes porteuses de trisomie 21 Les CMPP dans la cit Une collection destin e aux jeunes qui souhaitent se diriger apr s la classe de 3 vers l apprentissage d un m tier Voie Pro met en avant les m tiers phares et les formations professionnelles conduisant aux dipl mes recherch s par les employeurs DERNIERS TITRES Les m tiers de la mati re au produit Les m tiers de l horticulture et du paysage Les m tiers du transport et de la logistique Courrier Onisep 12 mail Barth lemy Thimonnier Lognes 77437 Marne la Vall e Cedex 2 Sur papier libre accompagn de votre r glement par ch aus l ordre de l agent comptable de l Oniseb Frais de port 4 j Dom Tom st Strange Internet Rubrique a brairie R grement par ch gue ou carte Hangale Mets c nsunar Un m tier une fiche La collection Fiches M tiers est disponible en 4 volumes reli s Des index pratiques et d taill s un glossaire une pr sentation claire par secteur d activit un classement qui s appuie sur les groupes formation emploi Tout pour faciliter la recherche Une information un renseignement 01 64 80 35 00 41 30 Librairie de l ducation 13 rue du Four 756006 Paris IMMablllon Ou dans les librairies Onisep de votre r gion et toutes les lib
136. e manquait de lisibilit Politiques enfin puisque l universit d Angers venait juste de passer un accord avec les Presses universi taires de Rennes PUR moyennant une participation substantielle pour La publication annuelle de cinq ouvrages produits par les enseignants chercheurs angevins ce qui rendait de facto caduque l existence m me des PUA Cependant on pouvait supposer que les ouvrages tr s sp cialis s ne trouveraient pas place dans le catalogue des PUR ce que reconnaissait d ailleurs leur directeur en particulier les actes des colloques et plus encore les travaux en anglais ainsi que la revue semestrielle Journal of the Short Story in English JSSE Parall lement les propositions des enseignants chercheurs angevins dont certains taient peu enclins publier aux PUR continuaient affluer et incitaient les PUA trouver un mod le conomique pour poursuivre l aventure en recherchant une ligne ditoriale non concurrente celle des PUR Finalement on privil gia les seuls travaux collectifs en lien avec les activit s des centres de recherche angevins ou avec les fonds sp cialis s de la BU Un accord conclu avec Les PUR pour la commercialisation des nouveaut s des PUA en contrepartie du reversement de 55 du total des recettes des ventes permit une large distribution en librairie des titres publi s Angers Cette red finition des contenus et de leur diffusion favorisa la publication d une quinzaine de titres
137. e coop ration docu mentaire C est pourtant une n cessit car les publics ignorent les fronti res institutionnelles et s ils ont recours la biblio th que de leur universit ils en fr quentent d autres les SICD de Paris centre pour les doctorants et chercheurs des biblioth ques d UFR la BnF la BPI etc Le Comit de la docu mentation des universit s des acad mies de Paris Cr teil et Versailles cr par arr t en 1991 sur une recommandation du rapport Miquel n a pu jouer ce r le de coordination que sur une br ve p riode de 1993 1996 avant de s teindre Plus r cemment au cours de la d cennie pass e les ins titutions concern es par la lecture publique et universitaire Paris Ville de Paris BnF BPI Cit des sciences et de l indus trie de la Villette DES DLL ont tent de se coordonner au 6 L acc s des tudiants certaines BIU dominante recherche a t limit en 1994 aux 3 cycles 7 Andr Miquel Les Biblioth ques universitaires rapport au ministre d tat ministre de l ducation nationale de la Jeunesse et des Sports La Documentation fran aise coll des rapports officiels 1989 DOSSIER Cr par le d cret n 94 922 du 24 10 1994 et implant Bussy Saint Georges sur le m me site que le CTL de La BnF le CTLes a f t ses dix ans d activit cet automne tablissement public national caract re administratif dot d une capacit
138. e domaine culturel gr ce un niveau lev de protection de la propri t intellectuelle Le c ur de la directive c est la protec tion juridique des mesures de protec tions techniques le plus souvent d si gn es sous le sigle DRM Digital Right Management Tout fichier lectronique peut a priori tre facilement copi On a donc vu se d velopper des logiciels qui brident l utilisation selon diverses moda lit s impossibilit de copier sauf sur certains mat riels chronod gradabilit etc La directive europ enne vise inter dire le contournement de ces mesures de protection technique Mais elle admet galement quoiqu titre facultatif un certain nombre d exceptions au droit exclusif de reproduction et de commu nication voir encadr notamment en faveur des biblioth ques accessibles au public des tablissements d ensei gnement ou des mus es ou par des archives qui ne recherchent aucun avan tage commercial ou conomique direct ou indirect gt Les aventures du projet de loi fran ais Comme tous les tats membres de l Union europ enne la France avait obligation de transcrire dans son droit national la directive Elle aura t l avant derni re le faire apr s avoir t plusieurs fois rappel e l ordre Le 12 novembre 2003 le Conseil des ministres du gouvernement Raffarin a adopt sur proposition du ministre de la Culture et de la Communication
139. e p les universitaires r gionaux forts pour une meilleure identification au plan national et international Certains peu nombreux ont pris la forme d un r seau th matique C est bien la visibilit internationale de La recherche fran aise qui est aujourd hui en jeu dans un contexte de mondialisation croissante et de baisse des effectifs d tudiants fran ais dans les tablissements de l hexagone La connaissance et la recherche d sormais soumis la comp tition internationale et appel s r pondre aux appels d offre lanc s par les pays la croissance rapide Inde et Chine notamment c est cette nouvelle donne que le l gislateur a souhait r pondre en favorisant le regroupement des forces universitaires dans le pays Les biblioth cai res qui ont fait des efforts sans pr c dent depuis 2000 pour assister la recherche nationale en offrant des acc s largement ouverts sur le monde num rique sont toutefois singuli rement absents des pr occupations de la plupart des Pres en cours de constitution Nos regards se tournent toutefois vers le site de Strasbourg qui compte fusionner au plus vite ses trois universit s et ses trois BU Cette mission aura sans doute valeur de test national Herv Colinmaire directeur du SCD de l universit Paul Verlaine Metz le cas de Brain 2 manifeste cette dialectique depuis l origine PERSPECTIVES de l achat group de documentation lectronique Plusieurs D D
140. ea de nombreux communi qu s des textes de r f rence et fina lement des amendements et s effor a de toucher la presse Elle fut re ue au minist re de la Culture et par les deux rapporteurs parlementaires du projet de loi Elle se groupa avec deux importantes associations pluralistes d lus locaux la F d ration nationale des collectivi t s territoriales pour la culture FNCC et l Association des maires de France AMF avec lesquelles elle tint une conf rence de presse et signa plu sieurs communiqu s communs Cette alliance allait se r v ler d cisive dans les contacts avec les parlementaires Elle entreprit galement des d mar ches conjointes avec la Conf rence des pr sidents d universit CPU Les amendements r dig s par l Inte rassociation s inspiraient directement d exceptions autoris es par la directive europ enne droit de reproduction et droit de communication pour les biblio th ques et services d archive et excep tion p dagogique L Interassociation souhaitait galement que l exception en faveur des handicap s concerne explicitement les tablissements ouverts au public tels que biblioth ques archives et centres de documen tation ce qui n tait pas le cas dans la r daction initiale la veille de l ouverture des d bats une vingtaine d amendements repre nant ceux de l Interassociation avaient t d pos s par des d put s de tous bords
141. ec j Sainte Barbe les travaux tableau ci dessous tions il l est moins pour les capacit s d accueil les acqui e e3 I A E Re un pas ab a a Q N un e LL Su e La part des SICD en le de France sitions et l activit la province s est renforc e dans l en reste importante mais elle diminue sur semble la suite du rattrapage engag dans la cadre de la l ensemble des crit res Elle demeure contractualisation toutefois majoritaire pour les collections ainsi que pour les Cer quilibrage de la carte documentaire francilienne depuis abonnements de p riodiques Le poids de leurs fonds est 1990 r sulte aussi des investissements d Universit 2000 LES BU D LE DE FRANCE DONN ES DE BASE EN 2003 ET VOLUTION DEPUIS 1991 Donn es 1991 entre parenth ses et en italique 1 Paris Cr teil Versailles Total BIU le de France du total du total le de France France tudiants inscrits 189 653 82 895 90 149 362 697 25 89 l universit 206 107 58 030 64 782 328 919 26 61 100 164 45 297 72 657 218 118 35 60 23 25 Surfaces en m2 92 879 19 151 51 656 163 686 49 48 25 67 11763 5351 7256 24 370 19 86 22 53 Places assises 11714 2 426 5 750 19 890 32 05 30 22 934 250 404 1 588 39 17 30 47 Personnel 763 126 235 1124 51 16 35 04 Entree 6 852 138 3 061 318 2 766 182 12 679 638 15 92 23
142. ent ouvrent au public Jean Claude Annezer Directeur du SCD de Toulouse 2 Le Mirail 4 Pierre Riboulet La biblioth que n est pas une usine lire in Livres Hebdo n 303 4 09 1998 p 82 Espaces et architecture lo Esp ces d espaces la Biblioth que Robert de Sorbon En hommage Georges P rec Le probl me n est pas tellement de savoir comment on en est arriv l mais simplement de reconna tre qu on est arriv l qu on en est l 1997 Reims Universit de Reims Champagne Ardenne BU du Campus Croix Rouge Premiers r sultats d expertises sur le b timent cons truit en 1970 arch Dubard de Gaillarbois corrosion foisonnante sur les poutrelles des planchers cons quence d m nagement d une partie des collections vers des magasins dis tants et fermeture provisoire 1999 dans le cadre du contrat de plan tat r gion 2000 2006 la construc tion dune nouvelle biblioth que est d cid e c est la R gion qui obtient la ma trise d ouvrage le cabinet Caf pro grammation est charg de r diger le programme En juin 2002 le concours d architectes lit les Ateliers Chabanne associ s au cabinet BLP L espace commence ainsi avec seulement des mots des signes trac s sur la page blanche L ann e 1999 est consacr e la r dac tion du programme Avant d tre cons truite la biblioth que a t imagin e et son fonctionneme
143. er aux nouvelles technologies et aux documents num riques C est ainsi que suite des programmes de num risation men s par leurs universit s les BU br siliennes offrent de plus en plus souvent l acc s en ligne aux th ses et aux m moires Les collections et Leur utilisation Dans l ensemble des BU 3 259 implantations sont entrepo s s 32 2 millions de titres qui correspondent 68 2 millions d exemplaires Si Les livres et z les p riodiques demeurent les documents les plus consult s les chiffres restent tr s faibles 3 259 FA z ai a 32 2 par rapport aux donn es internationales compte tenu de la dur e d une ann e universitaire 200 jours Les 6 8 millions de pr ts correspondent 0 089 livre pr t par jour et par tudiant Mais 5 1 ceci est en train de se transformer en incluant de plus en plus les ressources de l Internet En ce qui concerne l acc s la documentation lectronique la moyenne sur l ensemble des universit s mGibiolirques ai m Livres disponibles en millions s l ve 9 5 tudiants par ordinateur connect au r seau 367813 ordinateurs en service Ce rapport tu diant ordinateur quivaut peu pr s une moyenne quotidienne d une heure d utilisation par tudiant Les biblioth ques des universit s du Br sil par r gion ce qui est notoirement insuffisant pour r pondre aux besoins de la recherche scientifique et pour permettre la production de docu
144. er comment s en emparer un beau d fi offert au m diateur qu est le biblioth caire http users swing be esperluete Philippe Levreaud BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE DE ME R E a gt Bon app tit Suzy et Fo pitit Su Joyeux No l ditions D Migrilude L imagier multilingue 2006 15 5 X 14 5 CM l italienne 40 et 36 p ISBN 2 0700537 1 3 et 2 9700537 0 5 Apr s de longs mois de gestation les ditions Migrilude voient le jour et pr sentent un nouveau concept L imagier multilingue et deux titres in dits L imagier multilingue a t con u par Virginie Picardat Kremp en collaboration avec Nguyen Thi Chi Lan biblioth caire jeunesse et illustratrice de Joyeux No l en s appuyant sur l expertise d enseignants et de travailleurs sociaux pour proposer de jeunes publics multiculturels des outils correspondant leurs besoins le vocabulaire de base de la vie quotidienne en France ou dans un pays francophone europ en Parce que chaque imagier est en dix langues fran ais anglais chinois espagnol portugais ivr histoir E Les manuscrits du Touat le Sud alg rien Sa d Bouterfa M olans Revel Alpes de Haute Provence Ateliers Perrousseaux Kitab tabulae n 1 2005 102 p ill coul 23 cm ISBN 2 911220 14 5 LES MANUSCRAITS DU TOUAT il fuira Enseignant l Institut de biblioth conomie
145. ersions qui pr sente chaque mot en situation dans la phrase On peut toutefois regretter que certaines illustrations pr tent confusion Anne Lefebvre Bon app tit Suzy voit une cafeti re un peu comme une poup e de fer manchote v tue d une jupe pliss e et sur cette m me page le texte la baptise abusivement machine caf quant la page assiette l objet illustr s imposera moins aux yeux des enfants que le poisson rouge et les haricots verts qui la recouvrent Mais signalons une astuce d diteur particuli rement bien pens e mont s sur spirale ces livrets sont assembl s de telle sorte que chaque imagier peut inclure d autres langues sur commande partir d un certain nombre d exemplaires Il suffisait d y penser Une suggestion l esp ranto trouverait id alement sa place parmi les langues de base Philippe Levreaud ditions Migrilude rue Trouillat 18 CH 2900 Porrentruy migrilude yahoo fr comparaison entre les exp riences marocaine et alg rienne en mati re de politique de conservation Suit une pr sentation de la r gion d Adrar histoire cadre g ographique peuplement et premiers occupants de cette r gion du grand Sud berb res et juifs commerce caravanier entre le Maghreb arabe et le Soudan et r le des commer ants maghr bins au Moyen ge avec l expansion de l Islam en Afrique L auteur aborde alors l introduction de l crit et la fondation des zaou as
146. es contrats passant le cas ch ant par le remboursement des titres sortis du catalogue et le refus de nouveaux titres non demand s et de contribuer construire des mod les conomiques in dits Couperin a un r le impor tant jouer pour faire merger ces nouveaux mod les qui devront s affranchir de la r f rence au papier dont il faudra d s lors organiser la conservation au niveau national Ces mod les conomiques devront tre assouplis pour mieux se conformer aux besoins r els des usagers Entre big deal et pay per view s ouvre l espace de n gociation du biblioth caire sous la r f rence matricielle de la collection N GOCIER LES LICENCES L attention port e la n gociation des termes de la licence est devenue un point central de l activit des n gociateurs durant ces derni res ann es Si le consortium a privil gi son ori gine la discussion autour des tarifs son souci d am liorer les conditions d acc s d usage ainsi que les droits d archivage est une pr occupation ancienne La mise en place des grou pements de commandes a t l occasion d aborder ces ques tions de mani re approfondie avec l assistance de juristes La n gociation de la licence Science Direct s est prolong e trois mois apr s la n gociation tarifaire et a t aussi d licate et serr e qu elle Moins visible et captant moins l int r t des tablissements d sireux d acqu rir la ressource la fixation
147. es la possibilit d ap r le des biblioth caires en universit et les satisfactions que prendre ce qu il faut savoir sur le recrutement pendant leur temps de loisir L ACRL en collaboration avec l ARL a donc 4 Faces of a profession MICHAEL DOWLING gt USA l American Library Association la rescousse 41 DOSSIER l on peut retirer de l exercice de cette profession L ACRL a aussi fourni aux biblioth ques des brochures intitul es Vous pourriez tre biblioth caire l Universit si et Une grande carri re la biblioth ques Malgr son spectrum initiative octroi de bourses aux coles de biblioth conomie pour tudiants de populations sous repr sent es afro am ricains hispano am ricains populations d origine asiatique et indienne PALA s est ga lement engag e des recrutements plus divers en tous types de biblioth ques LE R LE DE LA BIBLIOTH QUE DANS L ENTREPRISE UNIVERSIT Quel est l avenir des BU et de leurs quipes Les mutations technologiques et l acc s l information hors de leurs murs rendent n cessaires la valorisation de leur utilit en souli gnant leur caract re central dans l universit Les biblioth caires ne peuvent aucunement se contenter de discuter de leurs missions en vase clos Pour accro tre leur influence PALA et l ACRL s efforcent en particulier d encou rager la collaboration de leurs repr sentants avec d autres organisat
148. es logiques territoriales fortes dans lesquelles sont pris les tablissements d enseigne ment sup rieur et de recherche Ces dynamiques territoriales ne sont pas exemptes de contradictions ou d approximations et l articulation des acteurs est loin d tre stabilis e en termes de politique documentaire qu est ce qui rel ve de l chelon de la R gion programmes de financement r gionaux du type Sch ma r gional pour l enseignement sup rieur et la recher che en Rh ne Alpes initiatives de la R gion Alsace et du site Pres Comment s articulent les politiques documentaires des tablissements des actuels p les universitaires et futurs Pres qui d bordent la dimension inter universitaire en associant co les et instituts souvent ramifi s vers le secteur priv Quelle sera la nature des n gociations adapt es ce nouveau format L articulation avec l activit globale du consortium Toutes ces questions sont cruciales pour les tablissements impliqu s dans ces transformations et contraignent Couperin s adapter cette nouvelle donne L histoire du consortium Couperin contemporaine d initiatives locales vocation natio nale et disciplinaire conduites par des Cadist ou r gionale dans 11 P le de recherche et d enseignement sup rieur FRAN OIS CAVALIER DOSSIER Couperin la crois e des chemins r flexions pour l avenir 37 DOSSIER DES BIBLIOTH CAIRES SOUS PRES Institu s p
149. es ouver tes et toutes les ressources tant d un point de vue techni que formats protocoles que du point de vue de la disponi bilit ressources libres con tr l es gratuites payantes De m me les n gociations avec les diteurs dans le cadre du groupement de commandes sont mises profit pour r cup rer leurs m tadonn es et les int grer en acc s libre au portail TROIS DIRECTIONS L Abes oriente aujourd hui son action vers Le d veloppement du catalogue collectif de l enseigne ment sup rieur Si le projet du Sudoc a t men bien cela ne signifie pas pour autant que le chantier soit clos Ce d ve loppement passe par e L largissement de son p rim tre tous les SCD et SICD sont aujourd hui d ploy s dans le Sudoc mais ce n est pas 5 Open Access Initiative encore le cas de tous les services de documentation des ta blissements d enseignement sup rieur et de recherche Chaque ann e sont d ploy s de nouveaux tablissements souvent tr s sp cialis s Le Sudoc accueillera ainsi en 2007 l Universit catholique d Angers M t o France la Biblioth que centrale du Service de sant des arm es Val de Gr ce l IEP de Rennes la Biblioth que math matiques Jacques Hadamard unit mixte de service du CNRS et de l universit de Paris 11 co gestionnaire du Cadist de math matiques avec le SCD ainsi que les IUFM du Nord Pas de Calais et d Aquitaine Plusieurs voix s l
150. es physiques ont pour l essentiel dans nombre d universit s des fonctions d accueil et d orga nisation des services au public3 MUTATION Ces transformations ont galement des cons quences sur les m tiers et les comp tences des personnels Bien entendu l informatique a gagn la totalit des proc dures de travail et il n est pas possible aujourd hui de travailler en BU quelque niveau et dans quelque service que ce soit sans ma triser cet outil Le traitement du document papier pour beaucoup de coll gues ne constitue plus le c ur du m tier et il leur faut mettre en uvre des comp tences sp cifiques par exemple en gestion de bases de donn es en syst mes d information ou sur le document num rique 4 Mais cela n est pas toujours suffisant et la r alisation des missions des biblioth ques sup pose de plus en plus la coop ration d quipes aux m tiers distincts mais compl mentaires personnels de biblioth que ing nieurs et techniciens ITRF informaticiens sp cialistes 3 Cf le rapport sur l organisation fonctionnelle des Services communs de documentation des universit s r alis par Denis Pallier Inspection g n rale des biblioth ques 4 Cf Bibliofil le r f rentiel de la fili re biblioth que http www education gouv fr cid291 bibliofil le referentiel de la filiere bibliotheque html V ro nique Pr vet Extension de 1200 m la BU des sciences et philosophie de Re
151. es politiques conomiques et sociales produite par les services de documentation de l IEP de Lyon et diffus e en libre acc s Plus de 60000 r f rences d articles de p riodiques r parties en 2 bases Fripes83 1983 1999 et Fripes2000 depuis 2000 index s par mots cl s avec parfois lien sur l article http doc iep univ lyon2 fr Ressources Bases Rens Sophie Fotiadi T l 04 37 28 38 95 E DURA LEX Promulgu e en ao t 2006 la loi DADVSI a suscit une nouvelle fiche d information juridique mise en ligne sur le site de l ADBS http www adbs fr site publications droit_info droit_DADVSI php E SCIENCES EN LIGNE Un nouvel outil tr s compl mentaire des encyclop dies g n ralistes est propos aux m diath ques le Dictionnaire interactif des sciences et techniques R f rence de la culture scientifique r dig par de nombreux sp cialistes il s adresse un large public la recherche d un contenu accessible et valid d finitions claires traductions des termes en anglais d veloppements didactiques et encyclop diques rep res historiques et du multim dia Tarifs n goci s par le consortium Carel www bpi fr carel plus d informations sur www sciences en ligne com E DONT ACTES Histoire illustration aspects linguistiques conservation et restauration d herbiers conservatoires botaniques etc les actes du colloque Voyages en botanique B
152. esan on 16 et 17 juin 2005 organis par PACCOLAD sont lisibles sur www livre franchecomte com botanique botanique html E UN PLAN POUR L LE DE FRANCE Le Conseil R gional d Ile de France r uni le 15 11 2006 a d battu de la politique en faveur du livre et de la lecture et a vot la d lib ration cadre qui pr cise les axes d intervention et un ensemble de dispositifs nouveaux coh rent et financ d aide aux diff rents acteurs de la cha ne du livre Cette politique est le r sultat d une concertation en ateliers entre les professionnels du livre et de la lecture Dans cette perspective sont favoris s les partenariats et les collaborations avec l tat et BIBLIO br ves Jo les collectivit s territoriales notamment en accompagnant les investissements n cessaires la r alisation des biblioth ques et des m diath ques Seront par ailleurs d velopp s les axes suivants soutenir et encourager la constitution des r seaux et des regroupements la librairie et dition ind pendantes les revues promouvoir la cr ation r sidences d crivains manifestations et prix litt raires se doter d un centre d observation et de ressources r gional de l crit et du livre Des fiches sont consultables sur wwv iledefrance fr _international M GEN VE S EXPOSE N e au XVIe s plusieurs fois d plac e et install e aux Bastions depuis 1872 devenue depuis 1907 la BPU
153. et de produire les efforts n cessaires en ter mes d expertise d investissement en ressources humaines 5 American Chemical Society 6 Institute of Physics 7 Direction g n rale de l enseignement sup rieur et d avance de tr sorerie pour remplir cette nouvelle mission Il faudra que leur nombre augmente et nous pouvons d ores et d j envisager que Couperin mutualise ses comp tences dans ce domaine afin de faciliter le travail des nouveaux ta blissements volontaires notamment pour les aspects juridi ques et organisationnels Certes la gestion d un groupement de commandes n cessite de disposer d un peu de tr sorerie et d une infrastructure financi re op rationnelle au sein de son tablissement mais ces conditions ne sont pas hors de port e pour de nombreuses universit s Les documents techniques et juridiques de r f rence sont d s pr sent disponibles aupr s des universit s engag es dans la gestion de groupements existants Cette activit ne doit pas effrayer les SCD qui sont tout fait capables de la ma triser Il est n anmoins pr visi ble que les universit s ne suffiront pas r pondre aux besoins de cr ation de nouveaux groupements dans le court terme et d autres alternatives doivent tre recherch es Aupr s de l Abes en particulier qui comme nous le signalons plus haut devrait jouer un r le croissant L Abes a incontestablement un nouveau champ d action devant elle
154. facult des langues pour les biblioth ques de langues des deux campus la facult d conomie sur le campus du centre ville et ensemble les facult s qui avaient d j op r des regroupements de collections et de moyens par exem ple celles d histoire g ographie sociologie et psychologie avec la biblioth que dite inter facult s sur le campus de Bron enfin celles de lettres et d histoire pour la biblioth que arts et lettres sur le campus du centre ville En somme les conven tions types furent sign es avec la plupart des UFR qui avaient d velopp des biblioth ques cons quentes en 1992 Les biblioth ques de facult faisaient d sormais partie du SCD la chose tait acquise et la premi re tape franchie du moins en conseil d administration LA R ALIT Concr tement cependant le changement de statut occasionna peu de remise en question des attributions des uns et des autres les personnels en place au moment de l int gration rest rent affect s leur biblioth que d origine et il n y eut pas de rotation entre les personnels de la BU et les person nels auparavant rattach s aux facult s Au fil des cr ations de postes 4 magasiniers furent affect s dans les 7 BUFR au lieu d tre nomm s syst matiquement la BU Le SCD fit un effort financier pour largir les horaires d ouverture en recrutant du BREF RAPPEL DES DATES ET DU CONTEXTE INSTITUTIONNEL La loi sur l enseignement sup rieu
155. g ala acrl acrlpubs whi tepapers presidential htm 7 http www ala org ala acrl acrlstandards InfoLit French pdf 44 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE CL LE 1 DOROTH E MAKWANZA MBISHI AMBELE Biblioth caire en chef adjointe de la BU de l Universit de Kinshasa En Afrique Congo avant apres La BU de l Universit de Kinshasa En proie aux al as de l histoire le destin des BU du Congo pouse celui d un pays qui se construit difficilement Quand les rats de BREF HISTORIQUE C est dans ce contexte qu intervint la r forme universitaire de 1981 sanctionn e biblioth ques ne sont en ce qui concerne l Unikin par lordon plus m taphoriques nance loi n 81 142 du 3 octobre 1981 por L universit Lovanium de L opoldville institution de droit congolais fonctionna d abord sous forme d un Centre uni versitaire tablissement d utilit publique cr par l arr t l urgence ne se paie tant cr ation d un tablissement public l Universit de Kinshasa Cette r forme Plus de mots La n enraya pas la d cadence de l enseigne coop ration appara t ment et de la recherche cons quence royal du 21 f vrier 1940 Elle obtint le statut d universit part enti re en 19541 Les deux autres universit s con golaises l Universit officielle du Congo UOC actuelle Universit de Lubumbashi et l Univers
156. gestion empirique voire pas de gestion du tout il est int ressant pour le SCD de rep rer l existence de ces fonds et de les signaler dans le catalogue mais on peut faire le pari que l accroissement de la documentation en ligne fera disparat tre la n cessit de leur existence Les BU ont atteint aujourd hui une position d quilibre au sein de leur universit organisant l acc s tous les types de documents pour toutes les cat gories de publics et pour l ensemble de l tablissement Que va devenir cet quilibre dans le cadre de nouvelles formes d organisation universi taire annonc es depuis quelque temps Le rapprochement de certaines universit s les plus anciennes et ou celles o la part de la recherche est la plus importante au sein de Pres P les de recherche et d enseignement sup rieur qui exis teront c t d tablissements plus petits et vou s semble t il principalement l enseignement en premier cycle fait resurgir le spectre d un syst me deux vitesses La question fait aujourd hui l actualit et suscite quelques inqui tudes Restons optimistes cependant les BU ont d montr qu elles savaient s adapter pour remplir au mieux les missions qui leur sont confi es gageons qu l avenir encore elles pourront mettre en uvre la meilleure organisation et les meilleures r ponses possibles aux exigences du service public de len seignement sup rieur D 12 BIBLIOth que s
157. h que de recherche a eu d s sa cr ation un fort impact aupr s de la communaut des enseignants chercheurs La place du SCD s en est trouv e confort e au sein de l universit Des synergies se sont d velopp es avec les quipes de recherche comme avec les enseignants La mise en uvre d une politique documentaire pleine ment int gr e dans le projet d tablissement de l universit s est impos e au fil des contrats quadriennaux Le syst me d information documentaire et son enrichissement de res sources lectroniques en ligne ont permis au SCD d ouvrir ses services la communaut universitaire hors les murs de la biblioth que et bient t distance Tr s attentif aux attentes des quipes de recherche qui ne manquent pas de contribuer l valuation des bases de donn es le SCD assure la pleine responsabilit de la politique documentaire ISABELLE SABATIER DOSSIER Un exemple de Cadist La biblioth que de Dauphine 27 DOSSIER de l universit et d veloppe une v ritable veille sur les pro duits leur volution les nouveaut s gr ce ses collabo rations professionnelles en France et l tranger de fa on maintenir la qualit de son offre documentaire UN ACCUEIL REPENS Pour am liorer la qualit de l accueil du public tudiant l universit Paris Dauphine a engag en 2005 d importants travaux de restructuration de la biblioth que d tude qui ont
158. i ASKO la deuxi me g n ration de portail docu mentaire met les usagers en relation avec le monde entier et le nouvel qui pement informatique 350 postes dans 36 biblioth ques offre outre les clas siques acc s Internet des bases de donn es et plusieurs suites logicielles Microsoft Office Adobe etc des ter minaux web simplifi s d velopp s sp cialement pour ASKO avec acc s mul tilingues actuellement interfaces en 9 langues et claviers sp ciaux russe arabe etc ports USB et connexions pour cam ras num riques En dehors des sites eux m mes la biblio th que sans fronti re doit offrir l informa tion par tous les moyens d aujourd hui et de demain de nouveaux outils mais aussi de nouveaux modes d acc s pour une population non restreinte aux usagers Les principes moteurs sont 15 Library 10 et Meetingpoint lasipalatsi n ont pas ouvert dans des b timents neufs C est l offre de col lections et de services qui a t modifi e en fonction de ce que l on sait des nouvelles demandes du public Cette r affectation des quipements est la preuve d un dynamisme clair des politiques et des profes sionnels et d une capacit de r action exceptionnelle avec comme souci permanent un co t d investisse ment relativement faible Tom Reh k par lui m me Prague Connexion facile aux r seaux n importe quand n importe o par n importe qui et n i
159. ialis s en parall le selon la formule trenn e avec succ s dans les congr s de l ABF depuis plusieurs ann es e La subsidiarit rel ve du niveau national ce qui ne peut tre r alis au niveau local ou bien ce qui apporte une r elle plus value cette chelle C est l que la mutualisation prend tout son sens plut t que chacun fasse la m me chose dans son coin l Abes mutualise les forces et les nergies et les met en coh rence e La transparence l Abes s engage travailler dans un esprit totalement ouvert et transparent SUR LA BR CHE Riche de comp tences et de projets Abes revendique aussi un r le dans la recherche et le d veloppement de nouveaux outils et services L Agence m ne ainsi actuellement une exp rimentation pour faire voluer l interface publique du catalo gue Sudoc en prenant en compte la diversit des pratiques des utilisateurs la richesse des contenus et la souplesse des nouvelles technologies du web dont certaines caract risti ques mergent la richesse de la navigation rebonds tris la plus value de l ing nierie linguistique la personnalisation des interfaces et des modes de pr sentation de l information cartes ic nes graphes la possibilit de r utiliser les m mes donn es ou services dans diff rents contextes Le web est un cosyst me au sein duquel un catalogue bibliographique doit s int grer Dans le cas particulier du catalogue Sudoc il existe e
160. iblioth ques de Paris intra muros et des BU p riph riques Paris 8 9 10 11 12 et 13 L exc s de centralisation dans Paris intra muros fut ensuite corrig fin 1978 par la cr ation de BU dans chaque universit de Paris sauf Paris 2 alors desservie par la BIU Cujas ainsi que de 9 BIU et d une R union des biblioth ques universitaires de Paris3 Enfin en 1991 les services communs de la documen tation SCD 4 furent mis en place dans toutes les universit s franciliennes y compris Paris 2 Les universit s se sont enga g es dans la d finition de leur politique documentaire et y 2 D cret n 72 132 du 10 02 1972 appliquant la loi du 12 11 1968 et l arr t du 21 03 1970 constituant 13 universit s au lieu de l ancienne Universit de Paris d cret n 78 1122 du 16 11 1978 d cret n 91 321 du 27 03 1991 pris en application du d cret n 85 694 du 4 07 1985 sur les SCD des universit s 3 La RBUP tait charg e de missions communes et fut mise en extinction partir de 1985 4 Les SCD f d rent la BU et les autres biblioth ques d UFR de d partement d institut de laboratoire en un seul ensemble au sein de l universit et mettent en uvre la politique documentaire de leur universit 14 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE ACE ont t encourag es par la n gociation globale d objectifs et de moyens dans le cadre de contrats quadriennaux d
161. ient t rejointes par Paris 2 Des projets communs sont en cours d laboration touchant la gestion administrative la repr sentation au plan international et bient t la politique documentaire LA BIBLIOTH QUE CADIST Bien que cr ation r cente la biblioth que doit au position nement original de l universit d avoir constitu un ensemble documentaire centr sur la science des organisations et de la d cision gr ce auquel elle a pu rapidement faire figure de BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE uiae ER LL biblioth que de r f rence et se positionner dans des r seaux th matiques nationaux et internationaux D s sa cr ation en 1970 elle a t sollicit e pour par ticiper l EBSLG European Business Schools Librarians Group qui r unit les biblioth ques des 40 meilleures uni versit s et coles de gestion issues de 16 pays d Europe London Business School Universita Bocconi de Milan Copenhagen Business School l INSEAD HEC ESSEC Depuis lors elle est un membre actif de ce r seau cadre d une coop ration documentaire l chelle europ enne et d changes suivis portant notamment sur la documentation caract re professionnel ainsi que sur l volution induite par les technologies de l information Depuis 1998 l EBSLG a tiss des liens de coop ration avec l ABLD Academic Business Libraries Directory son quivalent aux tats Unis qui
162. ier Loz re 48 le Festival jeunesse contes et rencontres en Loz re fera escale dans les villages du d partement Rens FDFR de Loz re T l 04 66 49 23 93 ou 04 66 45 03 21 r alisent en sc ne les r ves sonores des h ros du cin Mais ils animent galement des ateliers Leur contenu est adapt au lieu qui le re oit Rens Pierre Henri Frappat phfrappat arfi org T l 04 72 98 22 04 ou Aline Valdenaire avaldenaire arfi org T l 04 72 98 22 03 Site www arfi org E TUER LE TEMPS LE CGEMPS Hors limites l initiative de l association Biblioth ques en Seine Saint Denis est un programme de rencontres th matiques qui se d cline le temps d une saison de ville en ville au c ur des biblioth ques Cette ann e Tuer le temps Programme complet sur www bibliotheque93 fr _ Internet WE AU PORTAIL Aboutissement d un projet coop ratif initi en 2000 dans le cadre d un contrat tat r gion et pilot par l Arald le site portail www lectura fr permet d acc der aux catalogues et aux bases de donn es des 8 biblioth ques des villes centres de la r gion Rh ne Alpes Annecy Bourg en Bresse Chamb ry Grenoble Lyon Roanne Saint tienne et Valence Lanc le 29 novembre dernier il entre dans sa derni re phase coop ration autour des technologies li es Internet et mutualisation des services offerts au public en vue d une offre comm
163. igne Face la concentration ditoriale plus que jamais l union fait la force pour des biblioth caires mu s en pres n gociateurs Quand Couperin guide leur formation en tortue L 3 mi lo uperin compte aujourd hui huit ann es d existence et un bref regard jet en arri re sur l activit de ce consortium atteste du che min parcouru par les biblioth ques d enseignement sup rieur et de recherche quant leur capacit s adapter la nouvelle donne de la fourniture documentaire en ligne Le changement du paysage s est Le s minaire HUMANE Copenhague 7 avril 2006 op r sur plusieurs fronts touchant l ensemble du champ de la communication scientifique Ancien responsable du D partement des n gociations de Couperin 34 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE Un bref aper u des mouvements initi s dans ce domaine permet de saisir les fractures et recompositions en cours L CONOMIE DES RESSOURCES EN LIGNE Le mouvement de rench rissement de la documentation en ligne s il s est ralenti ces derni res ann es ne s est toujours pas stabilis et les moyens budg taires mobiliser exc dent toujours d environ 6 10 suivant les ann es ceux allou s par les tutelles La structure des mod les conomiques n a pas vari de fa on importante m me si elle s est raffin e et le big deal demeure encore aujourd hui l h
164. illon Eric Echampard Benjamin de la Fuente Samuel Sighicelli 4 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ik TE AE Sevan Manoukian et Ara k Bartikian et Lionel Garcin saxophone solo Une approche de l intimit 28 02 02 03 m le fiction et documentaire en une s rie de films de compositeurs sur d autres compositeurs T l 04 96 20 60 10 Site www gmem org E MOTS MAUX Deux titres utiles pour en finir avec les uns et bien commencer avec les autres Michel Voirol Anglicismes et anglomanie Victoire ditions coll Le m tier de journaliste 3 d et Jacques Gualino Dictionnaire pratique informatique Internet et nouvelles technologies de l information et de la communication Gualino diteur 2006 E LAURIERS Le Prix Action innovation accessibilit 2006 a t d cern la Biblioth que num rique pour le Handicap BnH et remis par Philippe Bas ministre charg des personnes handicap es Jacques P lissard pr sident de l Association des maires de France et les pr sidents des huit associations repr sentatives des personnes handicap es l occasion du congr s de l Association des maires de France La BnH est actuellement une plate forme nationale de t l chargements de livres num riques et audio num riques destination des personnes handicap es http bnh numilog com M LECTURE AU CENTRE L
165. ine par ISABELLE SABATIER Du catalogue l acc s aux ressources lectroniques par RAYMOND B RARD Couperin la crois e des chemins par FRAN OIS CAVALIER Les CFCB par CHRISTOPHE PAVLIDES USA l American Library Association la rescousse par MICHAEL DOWLING Congo avant apr s La BU de l Universit de Kinshasa par DOROTH E MAKWANZA MBISHI AMBELE Actualites de VA BF Les gens En bref L avenir du document sonore en biblioth que par HUGUETTE SIR JOL Les m diath ques de comit s d entreprise partenaires du r seau institutionnel de la lecture publique par PHILIPPE PINEAU La m diath que est au garage par ANNE VERNEUIL La route des Flandres par TIENNE ROUZI S Les biblioth caires picards en R publique tch que par CHRISTIANE M COZZI Les biblioth ques apr s la loi DADVSI par DOMINIQUE LAHARY Reportages Les biblioth ques des moteurs dynamiques pour la soci t du savoir et de l information par CHRISTIANE BARYLA Regards crois s les biblioth ques publiques des grandes villes du monde par ALINE GIRARD BILLON Liste des annonceurs e Sofia 2 de couverture e Onisep 3 de couverture e Borgeaud Biblioth ques 4 de couverture e Electre p13 e Ebsco p17 e Demco p 25 e Materic p 33 e BRM p 43 e Le Robert p 49 2 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE FE TN CT LE 1 72 72 75 78 83 85 88 91 93 94 95
166. ions professionnelles Le conseil de liaison de l ACRL COL travaille donc attirer l attention des autorit s univer sitaires et des associations de l enseignement sup rieur sur la fa on dont les ressources et les services des biblioth ques peuvent participer leur mission et leurs objectifs Ce qui suppose de s introduire dans des groupes de l enseignement sup rieur y compris en faisant entrer des repr sentants de PALA dans les conseils de l Association am ricaine de len seignement sup rieur AAHE en pr sentant les programmes professionnels ces organisations et en invitant les dirigeants de ces groupes assister et participer aux r unions de l ALA et de l ACRL En 2001 l ALA a lanc la campagne de sensibilisation et de soutien aux biblioth ques am ricaines your library L ACRL a particip activement la campagne d annonces dans Chronicle of Higher Education le plus grand journal universi taire pour promouvoir l importance des biblioth caires dans l enseignement et la recherche Elle a galement cr une bo te outil p dagogique Toolkit for Academic and Research Libraries comprenant des strat gies ing nieuses et des id es pratiques pour que les biblioth ques se vendent elles m mes ainsi qu un prix des meilleures pratiques pour r compenser les biblio th ques des centres universitaires facult s et universit s qui se soucient le mieux de promouvoir leurs services
167. ique et le d veloppement des technologies de l information et des communications Les biblioth ques unies aux chercheurs en science de l information doivent travailler deve nir les moteurs dynamiques de la soci t du savoir et de l information Les propos g n reux de Dae Jung Kim dans son discours d ouverture s articu laient en six points qui se sont r v l s tre les sujets les plus analys s et dis cut s lors des sessions ou m me dans les couloirs Ce qui par la m me occa sion m a fait prendre conscience du fait que la conservation du patrimoine est au c ur de tous les sujets Pour le Prix Nobel de la Paix les biblioth ques doivent tre d abord les entrep ts du savoir et de l infor mation Une matin e enti re tait jus tement d di e aux entrep ts num ri ques et c est une r flexion qui a anim cette ann e en Europe bon nombre de journ es d tudes Deuxi mement les biblioth ques auront jouer un r le bien plus dynamique qu aujourd hui en changeant l infor mation un niveau plan taire et en s in terrogeant sur leurs syst mes de r f rence Le forum de l Unesco organis autour de la pr sentation des projets de Biblioth que num rique mondiale de Biblioth que num rique europ enne et africaine tait embl matique de ce sujet parce que l on yinsistait notamment sur les collections les crit res de s lection Reportages lo Le Caucus fran
168. ique organis en dix chapitres riches en informations techniques logiquement pr sen t es de la d finition de la biblioth que aux animations autour de celle ci en passant par l identification des types de documents leur circuit le catalogage le classement et les syst mes de pr t Il trace grands traits Le sens fondamental de la biblioth que valorise le m tier de biblioth caire et pr cise les missions du d tenu biblioth caire Celui ci a d sormais en main la possibilit de bien mener son travail de comprendre comment il s inscrit dans le r seau de la lecture publique et pourquoi son classement dans l conomie g n rale de la prison doit s analyser en terme de partenariat Le guide affirme plusieurs reprises la place des biblioth caires professionnels dans le processus d organisation de l tablisse ment de l accueil des lecteurs et de la formation des d tenus Mais la responsabilit accord e ce dernier qui est demand de mener un vrai travail de biblioth caire au quotidien sans que soient examin es concr tement les modalit s de sa formation les cons quences de son placement sous main de justice et le positionnement cat goriel d valu dans le service de La prison laisse le Lecteur averti perplexe Le guide aurait t complet s il avait envisag La question primordiale de la pr sence permanente de biblioth caires professionnels aux c t s du d tenu class dan
169. iques locales de lec ture publique et du partage des r les entre les collectivit s et l tat 6 Cf Aline Girard Billon Paris le futur s crit enfin au pr sent in BIBLIOth que s n 26 27 pp 22 32 Silvia Prada Forero Bogot gt Images du monde Les 12 interventions inter nationales7 traduisirent toutes un grand dynamisme face des enjeux divers Enjeu ducatif mais aussi politique et conomique pour Silvia Prada Forero directrice de Biblored 8 r seau des biblioth ques publiques de Bogot Avec pr s de 8 millions d habitants dont la moiti vit en dessous du seuil de pauvret la municipalit ne peut r pondre tous les besoins Elle a choisi d investir dans la lecture publique et de donner acc s tous des outils d ducation et de formation dans les nouveaux temples urbains que sont les biblioth ques selon les termes d Enrique Pe alosa maire de Bogot de 1998 2000 l origine du programme Ces les de civilisation au milieu de la violence et de l crasante pauvret sont un des l ments majeurs du plan de d velop pement de la capitale colombienne dont la cr ation a t rendue possible gr ce un important financement de Colsubsidio la CAF de Colombie Le programme s articule autour de la construction d un r seau hi rarchis de proximit aucun habitant de Bogot n aura parcourir plus d un km pour trouver une bibli
170. iques qui est pass e de 1989 2005 de 23 de la population soit 10 5 millions de personnes 43 21 4 millions soit un quasi doublement L analyse propos e par le CREDOC pour expliquer cette progression souligne les apports du mod le de la m diath que qui a diversifi l offre documentaire et de services et a permis de nouveaux usages largissant ainsi les publics Cette pro gression est mise en perspective dans le temps et dans l espace si cette progres sion se poursuit au m me rythme elle touchera en 2010 la moiti de la popula tion fran aise offrant alors notre pays des taux comparables ceux des bons l ves de la classe europ enne Grande Bretagne Finlande et pays scandinaves Des constatations concomitantes vien nent encore claircir le tableau l h morragie des gros lecteurs est stopp e et les lecteurs d au moins un livre par an plus nombreux 25 livres lus pan an 24 en 1989 14 en 97 15 en 2005 au moins un livre lu par an 75 en 1989 74 en 1997 78 en 2005 alors m me que les connexions Internet domicile explosent 6 des foyers en 1997 46 en 2005 S appuyant sur des chiffres tr s par lants le CREDOC insiste sur un balan cement essentiel la biblioth que est de moins en moins vue et v cue par le public comme lieu d emprunt de docu ments 16 des personnes interrog es alors que la notion d espace culturel o l on s journe est confort e da
171. ire commune l ensemble d une universit comment se traduit sur le terrain ce bouleversement d habitudes ancr es dans la sp cialisation THA e S Fij aB Le 10W j p D N w 2 7 BU de Bron Lyon 2 par les SC D Suggestion possibilit ou n cessit L exemple de Lyon 2 le signifie le mot int gration appliqu aux biblioth ques dans le contexte universitaire Ce terme renvoie bien des entit s docu mentaires distinctes certaines comme les BU plus importantes que d autres et d signe le ratta chement de leur ensemble un service qui le chapeaute Dans une universit le SCD g re les BU et pilote l int gration des biblioth ques de facult s en rassemblant et en organisant la documenta tion en un tout lisible et coh rent pour la communaut scientifique Via le catalogue dans un premier temps Int gration signifie gale ment valorisation d veloppement des collections selon une politique 20 documentaire commune et extension des services pr ts horaires d ouverture formation aux outils accessibilit aux ressources en r seau etc Tels sont les principes de base de l int gration des BUFR dans les SCD Leurs degr s d aboutis sement sont tr s fortement li s aux contextes universitaires et des implantations g ographiques parfois peu propices BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE F
172. isqu il amorce la reconstruction globale du campus P z 3 ni g gt 3 a Es b o Espaces et architecture lo 15 831 m2 SHON 53 x 86 m 3 niveaux publics 2 niveaux services internes e 2 salles de formation 3 salles de travail de groupes e 1 620 places de lecture 160 postes informatiques publics e 15 000 lecteurs actifs 70 emplois 65 ETP e 300 000 livres 4 500 titres de p riodiques dont 400 lectroniques 31 000 th ses 44 000 microformes 900 vid o cassettes et DVD Co t de la construction 21 200 000 tat 86 R gion 12 Ville de Toulouse 2 Ma trise d ouvrage Rectorat de l Acad mie de Toulouse Ma trise d oeuvre Pierre Riboulet assist de Fr d rique Keller et Kevan Esna Mobilier rayonnages Schulz Speyer Dubich tables Dyes Dubich rayonna ges mobiles Brunyzell chaises Sitec Dubich et Souvignet fauteuils et tables espaces p riodiques Artek vitrines et bureaux TBAm nagement banques tables filantes carrels dessins Fr d rique Keller syst me d information Archimed syst me int gr de gestion Horizon Dynix En d pit de ce que l on a coutume d ap peler la dislocation de la culture g n rale classique cette nouvelle biblio th que veut s affirmer comme un lieu d tude et d apprentissage de la pens e personnelle de l change intellectuel Elle constitue pour l universit un
173. it libre du Congo comme l ultime recours ULC actuelle Universit de Kisangani furent cr es res notamment des fermetures fr quentes de pectivement en 1956 et en 1963 l universit par l autorit politique en 1981 me l n 1991 nn es nches Les BU de ces trois universit s ont fonctionn norma et en 1991 et des ann es blanches lement conform ment aux normes biblioth conomiques 1994 1995 1997 1998 et 2000 2001 tan internationalement admises Riches et budg tis es tenues par un personnel qualifi comp tent et dynamique leurs collections taient r guli rement renouvel es L ge d or des BU congolaises en g n ral et de celle de l Unikin en particulier s est tendu sur dix sept ans de 1954 1971 ann e de la premi re r forme de l enseignement sup rieur et universitaire congolais qui a conduit la cr a tion de l Universit nationale du Za re Unaza M me sous Unaza les BU disposaient de budgets autonomes au sein des campus universitaires jusqu la r forme de 1981 partir de 1980 les conditions de vie et de travail se d t rior rent au Za re et le sort des universit s comme celui des biblioth ques alla de mal en pis arr t des nouvelles acquisi tions documents les plus importants ind ment r quisitionn s par les professeurs pour leurs biblioth ques priv es ou vol s par les usagers tudiants et autres ce qui entra na la baisse du niveau
174. it en format Unimarc en d rivant les notices Electre pour les livres en fran ais La base mise jour chaque mois est accessible distance au moyen d un Opac tr s rudimentaire Chaque facult dispose d une biblioth que plus ou moins bien fournie entre 2000 et 17000 documents organis e selon les m mes modalit s que la centrale acc s indirect magasins La saisie informatique des collections est en cours Les besoins exprim s par les doyens des facult s et les biblioth caires vis vis des BU fran aises concernent des dons de livres r cents avec une ouverture sur des collections de culture g n rale un acc s gratuit au pr t entre biblioth que un acc s aux p riodiques en ligne un acc s aux conf rences en ligne et une aide en formation Martine BIGOT e Regrouper le personnel des biblioth ques dans un cadre unique permettant une gestion plus efficace des comp tences Ressources financi res et actualisation des collec tions documentaires e Octroyer un budget de fonctionnement important aux biblioth ques en allouant des ressources budg taires suf fisantes pour les acquisitions de p riodiques et de mono DOROTH E MAKWANZA MBISHI AMBELE graphies en poursuivant ainsi le deuxi me volet du projet KIN 14 avec la cr ation des Cadist Si possible avoir recours aux partenaires ext rieurs pour l actualisation et l enrichisse ment des collections qui constituent une priorit absolue pour le
175. ition num rique un moteur de recherche puissant qui optimise la consultation du dictionnaire Disponible d s pr sent en CD ROM monoposte PC Mac Et d s mi octobre en version r seau intranet et en ligne O LERoberr c est dans l air c est dans leE robert Aline Girard Billon conservatrice g n rale quitte Le r seau des biblioth ques de la Ville de Paris o elle tait de 2000 2006 responsable du Service technique central Elle a rejoint la BnF le 2 janvier 2007 pour y prendre au sein de la Direction des publics et des r seaux la responsabilit du D partement de la coop ration p les associ s CCFr Gallica recherche suivi du projet de Biblioth que num rique europ enne Elle succ de Val rie Tesni re Thierry Grognet jusque l chef du D partement des biblioth ques publiques et du d veloppement de la lecture au minist re de la Culture et de la Communication DLL a t nomm directeur de la Biblioth que publique d information en remplacement de G rald Grunberg par d cret du Pr sident de la R publique en date du 16 novembre 2006 Fran oise Hecquard directrice de la BDP 78 prendra la direction de La BM de Rouen compter du 1 janvier 2007 Marie No lle Laroux a quitt l ENSSIB le 1 septembre 2006 o elle tait responsable des 4 cycles professionnels territoriaux en partenariat avec Le CNFPT pour prendre le nouveau poste de charg
176. itions de l Ancien r gime imprim es Paris Lyon et dans toutes les villes protestantes Cette collection comprend 12 ouvrages du XVI S 250 du XVIIe 500 du XVIIIe et presque autant du XIXe s Ceux ci viennent compl ter des collections d j riches en ouvrages religieux E GNU HIGH Le SCD Lyon2 a financ la traduction fran aise du site web de Gnuteca SIGB d velopp par le Centre universitaire br silien Univates r pandu au Br sil jug prometteur par les professionnels de la documentation Un partenariat a alors d but avec C sar Brod l un des d veloppeurs de Gnuteca afin de cr er une interface web en fran ais Il est distribu sous licence GNU GPL et peut tre copi modifi et distribu librement Pour plus de d tails le site web est disponible en fran ais www gnuteca org br Le financement de ce travail ne pr sage en aucun cas des orientations prises par le SCD sur ce projet il s agit pour l heure d une simple tude destin e contribuer louverture des logiciels m tiers libres en biblioth que Mais cela peut constituer un premier pas vers un travail de traduction du logiciel lui m me en fran ais ou d autres langues si certaines biblioth ques s av rent int ress es Rens Fran oise Barr francoise barre univ lyon2 fr ou Camille Espiau camille espiau univ lyon2 fr E FRIPES Fripes est une base de donn es bibliographiques en scienc
177. itt raire en recueillant la parole vivante de ceux qui la font aujourd hui tout en soulignant d entr e sa sp cificit ne r pondant par nature aucune demande elles est la seule devoir cr er son public Ce qui explique ses difficult s mais aussi le prestige dont elle jouit attirant sur elle toute l attention lorsqu elle ne repr sente qu un cinqui me environ de l dition globale O Bessard Banquy De M Tournier racontant avec quelque coquetterie comment il a renvers la coutume de l valoir son avantage Georges Monti Le Temps qu il fait retournant lui et de fa on salutaire les lieux communs sur la crise de l dition en mettant l accent sur la crise de la lecture ce sont huit entretiens croustillants qui rendent fort bien compte de la diversit des parcours personnels et des aspects d un m tier prot iforme diteur avec ou sans maison Pauvert Nadeau travers l histoire des origines la veille de l ind pendance de l Alg rie 1962 origines collecte constitution des fonds et r le jou par les Orientalistes en Alg rie durant la p riode coloniale La deuxi me grande partie de ce livre est consacr e aux biblioth ques o sont conserv s ces manuscrits biblioth ques de mosqu es de zaou as et biblioth ques priv es voire de particuliers Ce document est un outil pr cieux pour les chercheurs et les sp cialistes du sujet L auteur en plus des source
178. itt rature ce n est pas tant d tendre horizontalement ce qu on sait que de revenir diff remment aux massifs les plus arpent s les plus sus p 137 Pour qui a mani de concert et en conscience la plume et la fraiseuse la technologie bouleverse uniment le r el et l criture Sa strat gie tout au moins Du carnet l ordinateur seul varie le mode d inscription mais qu Internet entre en sc ne et le statut m me de l criture est affect une autre temporalit s ouvre comme un gouffre Ce revenir diff remment qui a hant nombre de ses livres trouve dans les arborescences infinies d Internet l occasion d une exp rience et d un d fi Une La Biblioth caire jeunesse une intervenante culturelle 60 animations pour les enfants de 18 mois 11 ans Dominique Alamichel Cercle de la librairie Biblioth ques 2006 302 p ISSN 0184 0886 ISBN 2 7654 0931 5 La Bihileifi q ire code tim ie im esani Cubud elt Rarement un ouvrage professionnel m aura autant d concert Au del du titre qui laisse supposer que seules des femmes peuvent exercer en section jeunesse il m est apparu comme une succession de maladresses et de na vet s D s l introduction l auteur explique que la fonction d intervenante culturelle en biblioth que est enti rement nouvelle et qu aucun article ni aucun livre n a t crit sur le sujet Cela t moigne d une tonnante m con
179. jusqu en 2003 sous le nom d INTAMEL International Association of Metropolitan Libraries http www ifla org VI1 s46 index htm 2 Responsabilit scientifique et coordination de la conf rence de Paris 2006 Aline Girard Billon BBLPM organisation logistique ABF Les biblio th ques de la Ville de Paris accueillaient pour la troi si me fois les directeurs des biblioth ques publiques des grandes villes du monde Les deux premiers con gr s parisiens ont eu lieu en 1976 et 1987 3 Bureau des biblioth ques de la lecture publique et du multim dia de la Ville de Paris Paul Brandela et Anne Marie Culerier 4 et un programme de visites dense et vari donn rent un coup de projecteur sur les biblioth ques parisiennes l in tention d une assembl e avide d infor 4 D l gation la modernisation de la Mairie de Paris 5 BM tout d abord avec la Biblioth que administra tive de la Ville de Paris la biblioth que Parmentier et la M diath que musicale de Paris mais aussi plu sieurs biblioth ques d pendant de l Etat ou subven tionn es par celui ci la BnF la BPI la M diath que de la Cit des Sciences et de l industrie de La Villette la Biblioth que du Film BiFi OT Reh k Accueil La BnF par J N Jeanneney aux c t s de Liv Saeteren pr sidente de la section des biblioth ques m tropolitaines de l Ifla BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES D
180. l acc s aux ressources lectroniques 31 DOSSIER une centrale d achat Cette volution appellera un renforce ment et une formalisation du partenariat avec Couperin Les dix premi res ann es de l Abes ont t marqu es par la mise au point du catalogue Sudoc Le d veloppement foison nant des initiatives dans le secteur de la documentation lec tronique ouvre de nouvelles voies explorer pour l Agence comme en t moignent les nombreux projets dans lesquels elle s investit TROIS PRINCIPES Ils guident l action de l Abes dont la vocation est de faciliter et de mutualiser l acc s aux ressources documentaires e l coute l action de l Abes doit r pondre aux besoins des tablissements et s articuler avec les projets et outils qu ils d veloppent Sans cette coute les produits de l Abes courent le risque de ne pas tre adapt s leurs attentes et d tre inuti lis s donc inutiles Cette coute est organis e au travers du dia logue avec l Aura Association des utilisateurs du r seau Abes compl t par de nombreux groupes de travail Le rendez vous privil gi avec les biblioth ques est constitu par les journ es r seau qui r unissent chaque printemps pr s de 300 person nes Montpellier Une r flexion est en cours pour faire voluer la formule de ces journ es afin d en accentuer l interactivit sans doute par l alternance de sessions pl ni res et d ateliers sp c
181. l professionnel seuls quelques projets importants ont pu voir Le jour comme Dijon N mes ou La Rochelle Se posent alors les questions du respect des publics emp ch s et de l galit de traitement que ce soit en m decine g n rale en psychiatrie en p diatrie ou en g riatrie Convaincu que les agences de coop ration restent des acteurs privil gi s du processus Fr d ric Duton appelle les r seaux de lecture publique se mobiliser pour que le maillage passe aussi par les biblioth ques d h pitaux BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TER Cul Ed Philippe Pineau Guide du d tenu biblioth caire F d ration fran aise pour la coop ration des biblioth ques des m tiers du livre et de la documentation Agence r gionale pour l crit et Le livre en Aquitaine 2006 40 p 24 cm ISBN 2 915327 20 3 Ce guide repara t en une 2 dition enti rement refondue r alis par la FFCBmld devenu FILL et l ARPEL sous l gide du minist re de la Culture et du minist re de la Justice avec Le concours du Conseil r gional Hors les murs lo F E Guide HU Aa LT du d tenu biblioth caire Te d Aquitaine Une plaquette d une quarantaine de pages avec de belles photographies des espaces de Las la biblioth que Landowski de Boulogne Billancourt illustrant les usages de la biblioth que dans ses composantes biblioth conomiques C est un outil prat
182. l remonte vers le niveau hall pour choisir un DVD et un CD audio avant d emprunter le p riodique dont il a besoin 8 50 Il se dirige vers l automate de pr t Ce dernier ne BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT td BU de l Universit de Reims Champagne Ardenne lui permet pas d emprunter son DVD il prendra donc place dans la file devant le bureau d emprunt De l autre c t du hall un autre chemi nement s est mis en place invisible au lecteur 8 15 Livraison des premiers colis dans l aire de livraison 8 17 Les colis sont achemin s vers le bureau de r ception niveau 1 des commandes par l ascenceur interne 8 45 Les bons de livraison et les factu res v rifi s les ouvrages sont achemi n s sur des chariots vers le bureau de stockage provisoire 8 50 Un biblioth caire poussant lui aussi un chariot vient chercher le tra vail du jour une dizaine de volumes arriv s de la veille rejoint son bureau r cup re les notices du Sudoc et une fois ce travail achev conduit son cha riot vers le bureau d quipement 9 00 Des magasiniers s activent aux diff rentes op rations d exemplarisa tion et d quipement puis conduisent des chariots vers l ascenceur public et r partissent les collections vers le niveau hall puis niveau jardin et enfin magasins sans croiser un lecteur Personne ne vit exactement comme a bien s
183. la cha ne du livre Beyrouth a mis en place un comit permanent du livre et de la lecture et a lanc une premi re cam pagne de sensibilisation la lecture des 0 3 ans avec le soutien financier de l Ambassade de France Les municipalit s ont galement com menc s impliquer dans la cr ation de biblioth ques Si le r seau tait majoritairement associatif avant 2002 la situation s est invers e Le partena riat s est aussi renforc entre les asso ciations et les municipalit s Quelques projets pr vus en 2007 gt Un exemple le r seau de Beyrouth La premi re biblioth que a t cr e par l association Assabil association pionni re dans le d veloppement de la lecture publique au Liban Aujourd hui la municipalit a sign une convention avec l association et la r gion le de France Une deuxi me biblioth que a t ouverte en 2006 et un plan de d ve loppement de dix autres a t officiel lement annonc La ville propose les locaux et subventionne les salaires du personnel L le de France r habi lite les locaux ach te le mobilier et la collection de d part L association g re les biblioth ques salari animation Le r seau de Beyrouth est partenaire du minist re de la Culture gt Grande volont petits moyens L effort financier n cessaire la recons truction du pays va encore accentuer la e Formation sp cialis e biblioth que pour la jeunes
184. la d fense des droits de l homme en Asie qui ouvrit le Congr s par un vibrant hommage aux biblioth ques et un appel voir leur r le s inten sifier et se transformer En ce qui me concerne une petite anec dote vous fera partager mon tonne ment devant la couverture m diatique de l v nement S oul depuis quel ques heures seulement abattu par le d calage horaire et la chaleur c est la veille de la c r monie d ouverture il est 7h du matin et vous vous appr tez bondir de votre lit pour assister aux premiers s minaires Vous zappez sur votre t l viseur et l dans le brouillard du r veil vous assistez sur la cha ne nationale un talk show tr s anim entre Alex Byrne pr sident de l Ifla Claudia Lux pr sidente lue notre h te le pr sident de l Association des biblioth caires cor ens et des journa listes apparemment tr s inform s sur le probl me des formats dans les biblio th ques Ce qui est passionnant avec la Conf rence annuelle cest son c t sommet mondial de la documenta tion le rassemblement de 3000 d l gu s venus de tous les pays du monde et les conf rences pr sent es par 48 sections illustrant peu pr s tous les champs de comp tence de notre pro fession Cela permet des changes uniques des rencontres tonnantes et des d couvertes Directeur d un pro gramme fondamental de l Ifla d di la Conservation et la pr serv
185. la recherche Aujourd hui la nouvelle direction a le sourire professeur Serufuri et Madame Makwanza pour cette r ouverture tant attendue e Utiliser des bases de donn es et recherche documen taire La BU de l Unikin devra faire appel aux sp cialistes des pays amis pour intervenir dans le cadre des cours orient s vers la recherche documentaire et bibliographique Les auto rit s de l universit doivent reconna tre l importance d une telle formation et doivent s efforcer d organiser les horaires des cours de fa on ce que chaque tudiant puisse b n fi cier obligatoirement d une telle formation Chaque respon sable de biblioth que verra avec son vice doyen charg de l enseignement comment tablir les volumes horaires et les contenus des cours d initiation aux nouvelles technologies de l information et de la recherche documentaire e Maintenir des sites internet cibl s sur les ressources documentaires concernant les sp cialit s de chaque facult des liens utiles vers des portails th matiques ou sp cialis s devront tre propos s sur les PC d di s la recherche sur Internet e Revoir la gestion administrative de la biblioth que il serait souhaitable d installer quelques appareils de clima tisation dans la salle des catalogues de la BUC dans celle de formation et partout o il y a des ordinateurs Il serait galement utile d acqu rir une imprimante centralis e pour les PC mis la disp
186. la sym trie des espaces La gr ce s engendre de l harmonie des mouve ments int rieurs Il y a l une cadence un accord juste ce quelque chose d im perceptible comme un clin d il un sourire une clairi re La lumi re natu relle cette belle lumi re du Nord vient nourrir les lumi res de la raison sans v h mence ni d figuration La pens e a toujours besoin de s r nit pour viser la plus grande perfection m me si elle doit souvent faire l preuve des turbulences et de la discontinuit irr fl chie Le b timent doit dire et t moigner de importance des choses dans le temps Il doit s ouvrir admettre ce qui va sui vre advenir La biblioth que a ce dou ble caract re tradition et modernit m me si cette formule est un peu vide de sens et a pour principe fondateur d exprimer le passage 4 x m a a F 1 Es j i aa j pe jar F a P n D pa r sf Guil ne PiBlst Une cadence un accord juste Un tel b timent est en processus cons tant d adaptation Il suscite un senti ment de pl nitude et d unit de calme et de concentration C est un lieu qui res pire et qui inspire Il d gage une nergie chaleureuse Il d ploie un territoire qui se d place au fur et mesure qu on s y d place On y retient son souffle pour couter le silence qui m rit entre les livres Novembre 2004 les deux tranches du b tim
187. laces de travail Paris pendant les travaux qui devraient d marrer en 2008 13 Cf Anne Marie Chaintreau Universit s du troisi me mill naire U3M Les biblioth ques universitaires in BIBLIOth que s n 23 24 Architecture PP 45 46 14 Minist re de l ducation nationale Rectorat de Paris Mission interacad mique Plan U3M Contrat de plan tat r gion 2000 2006 le de France Une strat gie pour les biblioth ques en le de France Comit strat gique pour les biblioth ques en le de France rapport d tape 28 12 2000 DOSSIER D z w v A wo p G Fossier Univers Le b timent des Grands Moulins de Paris accueillera la BU centrale de l universit de Paris 7 Diderot en 2007 sur le site de Tolbiac Cette modernisation des biblioth ques s accompagne aussi d un essor de l lectronique L abonnement un nombre important de revues en ligne et de grandes bases de don n es s est g n ralis dans le cadre du consortium Couperin et tous les SCD peuvent quelle que soit la taille de leurs collections imprim es donner acc s un ensemble de res sources important Les fonds anciens deviennent galement plus accessibles avec la r alisation de plans de num risation o les grandes BIU parisiennes ont un r le incontournable tel le site medic de la BIUM La coop ration en mati re de documentation lectronique et de num risation devrait se renforcer avec la
188. le rapport Miquel qui avait attir l attention au del du cercle des professionnels sur la grande mis re des BU au sein de l universit fran aise le dernier rapport de la Cour des comptes pour l ann e 2005 souligne que malgr les progr s enregistr s dans les ann es 1990 le d veloppement des biblioth ques d enseignement sup rieur est encore modeste au regard de celui de nombreux pays comparables sur le plan conomi que et scientifique Le pr sent tat des lieux enregistre avant tout une mutation dont les r novations et les constructions nouvelles nombreuses sont le signe Un double mouvement centrifuge d centralisation d localisations et centrip te regroupements mises en r seaux traduit le remodelage qui affecte ensemble la carte politi que et administrative et la distribution des savoirs des outils et des acc s la connaissance Les missions transversales voqu es dans ce dernier rapport seront peut tre notre meilleur guide pour saisir les coh rences nouvelles qui se font jour dans cet instantan n cessairement trembl De l Abes aux Cadist Couperin et au CTLes la politique de formation nous avons multipli les perspectives et les regards jusqu ouvrir une fen tre sur l tranger avec vue sur les paysages les plus con trast s d Am rique et d Afrique Nord et Sud S O S BU titra t on jadis Risquons nous maintenant penser qu on l aura entendu
189. le CTLes En effet au del d une red finition des profils et d une diminution du nombre d tablissements appel s recevoir Les documents dont seule la masse traiter devrait conna tre une l g re diminution pour atteindre environ 25 000 documents annuels titre d exemple la BIUM recevra Le deuxi me exemplaire de toutes les monographies en m decine psychiatrie et odontologie Toutefois il appara t n cessaire l occasion de cette r forme de renforcer les liens de partenariat privil gi entre le CTLes et les diff rents acteurs BnF BU afin de rendre ses redistributions plus visibles et de mieux r pondre aux attentes des tablis sements Jean Louis Baraggioli 2 Universit Ren Descartes Paris 5 universit Pierre et Marie Curie Paris 6 universit Denis Diderot Paris 7 universit Paris Sud Paris 11 universit Val de Marne Paris 12 universit Paris Nord Paris 13 universit Versailles Saint Quentin en Yvelines sein d un Observatoire permanent de la lecture publique Paris OPLPP Leur action n a pu aller au del d enqu tes de fr quentation aupr s des usagers des biblioth ques pari siennes 8 et de la publication d un plan guide des biblioth ques Paris L OPLPP entendait pourtant harmoniser leurs horaires d ouverture et r aliser une carte unique d acc s l ensemble des biblioth ques de Paris9 TAT R GION LES AVENTURES DE LA DIALECTIQUE En fait jusqu main
190. le P2P est la biblio th que de l avenir Le mythe de la biblioth que comme unit de savoir de supports et de publics est d pass Nous devons mettre en chantier des politiques documentaires diff rentes l instar des guichets du savoir Qui fait quoi Nous vivons le grand frisson d une p riode d exp rimenta tion d une r volution en marche qu il faut saisir Il faut agir aux niveaux local et global avec des services en ligne D Lahary a conclu sur une expression reprise d A Nicolas Si vous n tes pas dans un march de niches vous tes mort L avenir semble donc la sp cialisation Huguette Sir jol Service musique BDP31 Ces interventions ainsi que les comptes rendus sont consultables sur le site web des biblioth cai res musicaux de Midi Pyr n es www abiblio com bmmp wakka php wiki AccueiL admin Pierre Rebuffet M diath que Odysud Blagnac Groupe Poitou Charentes Limousin Les m diath ques de comit s d entreprise partenaires du r seau institutionnel de la lecture publique Journ e ABF du 2 octobre Ch tellerault Actualit s de IA BF lo Cette journ e est n e du d sir de mettre en relation deux r seaux qui ne se connaissent pas forc ment et de la volont de promouvoir une coop ration qui renforcerait l originalit et la vocation des unes et des autres La matin e fut consacr e la d cou verte de trois m diath ques
191. le aux normes anglaises et scandinaves poursuite de l effort des collectivit s locales accompagnement par les biblioth caires du mouvement rattrapage Internet gt Au milieu du gu Commen ons par le rattrapage Internet le b t blesse ici tr s fort Toutefois la plus grande mutation celle du livre d mat rialis reste venir D ores et d j devant les progr s d Internet les biblioth ques ont perdu du terrain dans leur r le de centre de ressources documentaires Quand ils ont cher cher des informations pratiques pour le bricolage la cuisine le jardinage les Fran ais citent d abord Internet 26 plut t que d aller en biblioth que 7 celle ci vient au 4 rang des lieux et modes de recherche apr s les grandes surfaces et le r seau relation nel Il en va de m me quand ils veulent aider leurs enfants dans leurs tudes 49 privil gient Internet 19 vont en biblioth que Une r ponse a d j t esquiss e ci dessus avec oui une biblioth que hybride mais aussi sur tout une formation des usagers BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td Accompagnement des biblioth caires le Congr s de Paris a suffisamment montr l adh sion de la profession au mouve ment Adh sion th orique que d men tiraient les r alit s quotidiennes du ter rain Ces r alit s sont bien souvent celles des moyens accord s
192. les auteurs l gers compensaient mieux que Zola et les poids lourds de l poque les soucis quotidiens du politique pris de justice sociale ce portrait vivant qui Les vacances un si cle d images des milliers de r ves 1860 1960 Claudine Chevrel et B atrice Cornet intr UN d Andr Rauch Paris Biblioth ques 2006 248 P 20 5 X 28 5 CM ISBN 2 84331 154 3 Les 70 ans de la loi sur les cong s pay s m ritaient bien un anniversaire en esp rant que son centenaire ne sera pas comm moratif La biblioth que Forney troisi me collection d affiches en France s est saisie de cette occasion pour remonter un peu en amont et se livrer une sorte de g n alogie des vacances par l image En trois grandes tapes nous sommes pass s de la culture du bien tre telle que l envisageaient les classes ais es du XIXe s temps des vill giatures et de l hygi nisme o le loisir est un privil ge au droit au repos pour tous comme acquis social du Front populaire lequel se mue dans l apr s guerre en droit au loisir et ce dernier en produit de consommation La multiplication des moyens de transport et l extension du r seau ferr puis routier l volution des m urs ont conduit la colonisation de nouveaux espaces la mer la montagne l exploitation in dite des l ments l eau le soleil la neige et des saisons l hiver abord s par un nouveau savoir vivre vacancier associ
193. leur autonomie par rapport l imprimerie de l universit tous les documents administratifs passaient avant un livre annonc pouvait sortir bien plus tard Peu peu nous passons d une quizaine de livres par an 21 et 32 aujourd hui Nous transmettons au diffuseur le programme ditorial les couvertures pr faces sommaires etc sous forme papier et lectronique ce qui lui permet de les mettre la disposition de librairies en ligne De son c t le CID envoie tous les quinze jours une liste de nouveaut s aux 80 150 libraires concern s visit s par des commerciaux Nous connaissons par exemple les villes universitaires o sont pr par s les concours sur des questions trait es par nos manuels Nous ne proc dons pas par office D charg s de la PAO nous nous sommes red ploy s sur ce qui fait mon avis le m tier de l dition le travail sur les textes tre vraiment inter universitaire 1995 naissance d un comit ditorial compos de professeurs de l universit de Bordeaux 3 auxquels se sont joints des professeurs des quatre universit s de Bordeaux toutes d sormais repr sent es Lorsqu un livre est accept il passe entre les mains de sp cialistes qui l valuent v rifient la bibliographie examinent les autres livres sur le sujet S ensuit un change entre l auteur et le service ditorial Les collections se diversifient philosophie
194. lier ici que chez des diteurs ind pendants Et l avenir Il faut d velopper le livre lectronique c est vident Est ce l l avenir Je l ignore Mais je pense que a va tre un outil de diffusion important pour les ditions en sciences humaines et sociales Cela implique un v ritable travail d diteur Qu un livre estampill PUB soit publi en ligne repr sente un gros travail ditorial Je suis persuad qu il faut traduire des livres de chercheurs trangers ce que des diteurs priv s ne feront pas Enfin continuer regrouper l ensemble des universit s s affirmer davantage inter universitaire Propos recueillis par Magali Escatafal Les bibliothe diten Stendhal la r volte et les r ves coll coord Marie Fran oise Bois Delatte Gl nat Biblioth que municipale de Grenoble 2006 146 p ill 24 5 X32 cm ISBN 2 7234 5259 X Nu n ignore plus comment la BM de Grenoble a acquis en juin dernier les cinq cahiers manquant son manuscrit du Journal de Stendhal cf Livres Hebdo n 653 7 07 2006 rejoignant le c ur d une collection stendhalienne des plus remarquables plus de 35000 pages manuscrites dont plus de 60 volumes reli s par les soins de l auteur en quoi Sylvie Truc distingue un souci minemment moderne un millier d estampes et 7 000 livres imprim s ditions originales ditions en langues trang res tudes th ses et biographies Mais la BM
195. liques gt Espaces publics multimedias LONCENTRATION DES INOUSTRIES DE L INFORMATION MOUVELLES TE DECENTRALISATION LA BIBLIOTHEQUE EST AMENEE A COMPLEMENTARME AVEC LE PARTI PRIS ARCHITECTURAL D AMENAGEMENT DEVRONT PRESENTER LES OLIALITES VOLONTE CE CONMCEVOINR UN ESPACE CHALEUREUX LL MAIS AUSSI UN LIEU DOTE O LINE AME LIN LEU MABITTE C est toute notre ambition gt SI GE SC CA Li i TAHNEICANHT Di AE EN UR E MAIl NTI gt INTERNET LMRL O E CHANGER DE FOSTURE EN LE MOBILIER ET LES CHOIX CORRESPONDANT A UNE HIHENA ET FOHGCTGNHEL z2 AR AW ICE LOMIMERC CIAl DOSSIER LE CHAOS DANS LA COMMUNICATION SCIENTIFIQUE La concentration dans l industrie de l information et l mer gence du web comme premier choix des enseignants et des jeunes chercheurs ont conduit s inqui ter de l acc s l infor mation de la hausse rapide des prix des revues et des bases de donn es et des changements dans le mod le traditionnel de communication de la recherche Les biblioth ques doivent tre en t te du plaidoyer pour des mod les quitables de com munication scientifique LALA et l ACRL ont pris l engagement de travailler la refonte du syst me actuel de communication scientifique en concentrant leur action sur la p dagogie le plaidoyer la cr a tion de coalitions et la recherche En janvier 2002 l ACRL a lanc son initiative sur la communication scientifique avec
196. lit et la surface documentaire de l tablissement d cida de rapatrier les biblioth ques de facult dans le giron du SCD et confia celui ci la r alisation d un catalogue informatis commun des ressources documentaires de l universit cette fin une convention cadre pour l int gration des biblioth ques de facult et d institut les BUFR fut r dig e Cette convention sorte d accord tripartite co sign par le pr sident de l univer sit le doyen de la facult concern e et la directrice du SCD avalisa dans les faits un transfert de fonctionnement destin pr venir les ventuelles r sistances des facult s et rendre attractif le processus d int gration Il tait donc pr vu que les facult s r troc daient leurs collections au SCD en l tat ainsi que les personnels affect s aux biblioth ques d UFR au moment de l int gration et qu en change de cet accroisse ment de collections et de personnel le SCD reprenait son compte toutes les d penses de fonctionnement compens es sur le papier mais sans concr tisation ult rieure par une dotation de l universit quivalente aux moyens pr c dem ment mis en uvre par les facult s Cette convention type dans la mesure o elle all geait les charges financi res des facult s sans rien changer la localisation des collections et des personnels rencontra on s en doute un vif succ s et fut ratifi e successivement par la
197. m decine La conservation partag e avec mise disposition d es paces de stockage de capacit s de traitement et de fourniture de documents se traduit diff remment en fonction des besoins des tablissements Mais La notion de gestion coop rative demeure une constante L exemple du plan de conservation partag e r partie des p riodiques de m decine en le de France en est une illustration suppl mentaire L Acad mie de m decine ainsi que 7 universit s de Paris et sa r gion participent ce plan pilot conjointement par la BIUM et Le CTLes et soutenu par la sous direc tion des biblioth ques et de la documentation Il vise constituer pour chaque titre de p riodique des p les de conservation d sign s parmi les participants Les premiers effets du plan savoir les transferts se sont concr tis s d s 2005 Le CTLes est la fois l un des animateurs et l un des participants de cette gestion des collections r trospectives Le d p t l gal Mais il est une autre mission tout aussi importante bien que moins connue Depuis 1997 le CTLes est charg de la collecte aupr s de la BnF de l un des exemplaires du d p t l gal monographies exclusivement et de sa distribution aupr s d une quarantaine de biblioth ques attributaires Le d cret 2006 696 qui modifie les r gles du d p t l gal en fixant notamment a 2 le nombre d exemplaires d pos s par les diteurs n apporte pas de changements majeurs au quotidien pour
198. mas sive de musique par les radios et de la pratique amateur Cette consommation est devenue de plus en plus individuelle et nomade car copiable et transportable l origine des discoth ques n existaient que des formes de copies d grad es cassettes Avec la num risation appa ra t pour le grand public la notion de clonage de copie exacte Avec Internet cette copie devient r p table linfini sans exiger de support en France 50 des personnes quip s d un acc s Internet ont l ADSL Et c est bien cette abondance qui selon Dominique Lahary constitue le n ud du probl me Cela a entra n la fragilisation du mod le b ti sur le support CD qu il ne faut toutefois pas encore enterrer car il b n ficie des avantages d un produit standard peu cher auquel le public reste attach Paradoxalement 35 seulement des biblioth ques en France proposent aujourd hui de la musique Ces ta blissements cumulent des atouts non n gligeables conservation des collec tions de la production locale valori sation des collections les plus rares ainsi que celles des ind pendants et des autoproduits diversit culturelle et lieu cr ateur de lien social Yves Alix a ensuite pr sent la biblio th que de l avenir qui pourrait propo ser un pr t de musique virtuelle une offre de consultation distance des collections des bouquets de contenus th matiques sous r serve bien s r
199. me tr s biblioth que publique nous sommes tout fait semblables aux BM parfois un peu meilleurs sur les professions param dicales les professions m dicales elles se retrou vent dans les biblioth ques d univer sit s Nous avons des relations assez privil gi es avec le r seau de la Ville de Paris On organise ensemble des formations ou des v nements comme Lire en f te ou des choses sur ce th me on a ainsi partag les frais d une plaquette sur la lecture en Afrique il y a quelques ann es On pratique aussi des chan ges avec ce r seau par exemple je participe une formation organis e par la Ville de Paris et en contrepartie un certain nombre de leurs personnels peut assister des formations orga nis es par l AP HP Avec les biblioth ques m dicales c est beaucoup plus compliqu parce que l universit est un monde part J ai travaill auparavant de la Culture et de La Sant Une convention sign e le 4 mai 1999 d finit un programme Culture l h pital incluant le livre et la lecture F Duton d couvre ensuite le paysage contrast des biblioth ques d h pitaux Les moyens en locaux en budgets en collec tions en personnels form s sont tr s souvent insuffisants pour des structures surtout g r es par des associations regroup es au sein de la FNABEH l exception des m diath ques de l AP HP tr s bien organis es dot es de personne
200. mentaires des 200 reproductions de cet album surprenant Ces documents divers affiches surtout mais aussi prospectus cartes postales et PLV en beau format souvent pleine page sont habilement r partis de fa on chronologique l int rieur de grandes sections L art du voyage la mer Thermalisme Montagne Sports d hiver Camping ce qui permet l il d appr cier cette volution dans sa traduction promotionnelle et fortement id ologique mais aussi par le jeu des juxtapositions son impens Rapports du corps la nature des hommes et des femmes rapports familiaux d contraction progressive et inversion des crit res de beaut s exposent en pleine lumi re Vecteur minent des st r otypes la publicit livre avec le recul du temps plus qu elle ne voudrait sans doute et du tableau l ch l image stylis e l volution de la ma trise du message se double d une immense r volution esth tique de Jules Ch ret et Fr d ric Hugo d Alessi Paul Colin Ren Gruau ou Bernard Villemot Si l ing nieux syst me des l gendes regroup es en commentaire d velopp permet la confrontation des images d pouill es de tout discours adventice il brouille un peu le rep rage Ce tr s beau travail de s lection et de pr sentation s exprime enfin dans une maquette coruscante du plus bel effet L exposition ponyme s est achev e le 30 d cembre dernier Philippe Lev
201. ments universitaires Un effort important devra tre consenti pour am liorer ces performances dans les ann es venir Accords et partenariats Les programmes de coop ration entre les biblioth ques br siliennes portent essen tiellement sur l change d informations le partage d articles de p riodiques surtout dans les secteurs des sciences et technologies et celui de la sant l change de donn es bibliographiques standard Mac 21 et l laboration de programmes interdisciplinaires concernant des sujets d int r t continental Les tablissements d enseignement sup rieur au Br sil sont sur la voie de profonds changements qui les am neront int grer de plus en plus l utilisation des nouvelles technologies De m me que l enseigne ment sup rieur est en pleine mutation quantitative et qualitative les BU en tant qu agents essentiels de ces volutions sont elles aussi la recherche de meilleures pratiques biblioth conomiques en d pit des Formation en recherche de bases i s qui un n voi v ment difficult s qui sont celles d un pays en voie de d veloppement Les tudiants S nia Mara Saldanha BACH en odontologie pharmacie et Biblioth caire au D partement de sciences de la sant nutrition Universit f d rale du Paran biblioth caires Par exemple un support diffus en flux audio cr un film vid o Visages d une profession qui souligne le et vid o sur le web donne aux membr
202. mis de pro gresser et d obtenir des am liorations sensibles Par ailleurs le conseil juridique du fournisseur m me quand il est fran ais est g n ralement sp cialiste du droit des affaires du secteur priv et souvent peu au fait des r ali t s juridiques du secteur public voire singuli rement ignorant de ses pratiques Du c t du consortium force est de cons tater qu au del de l expertise portant sur l administration du march d tenue par l Abes et les juristes de l enseignement sup rieur et des EPST 3 la r flexion juridique sur ces ques tions est assez peu labor e Le D partement des n gocia tions a pris acte de cette situation en constituant un groupe de travail dont la mission est d laborer une licence type inspir e des standards internationaux ICOLC 4 et adapt e la situa 3 tablissement public caract re industriel et commercial les organismes de recherche 4 International Coalition of Library Consortia FRAN OIS CAVALIER DOSSIER Couperin la crois e des chemins r flexions pour l avenir 35 DOSSIER Sam e U un d z BU Sant Rockefeller Lyon 1 EL tion fran aise Cette licence sera soumise la relecture de juristes Couperin devra aussi solliciter le MEN pour obtenir une assistance juridique permanente et non plus ponctuelle et limit e la cr ation des groupements de commandes LE MODE D ACQUISITIO
203. mme l interlocuteur et l op rateur naturel en mati re de diffusion des r sultats de la recherche et sur les questions de l Open Access ce qui est un atout consid rable Olivier Tacheau Directeur du SCD d Angers 1 Directeur du Centre de recherche en litt rature et linguistique de l Anjou et des bocages 2 Les PUR s tant cette occasion transform es en Service des activit s industrielles et commerciales ditions au service des 9 universit s du R seau des universit s de l Ouest atlantique RUOA un autre d Orl ans En l occurrence ce n est pas Bordeaux qui fournit mais l ensemble de la recherche en France parce que nous sommes les seuls sur le march De m me pour les tudes occitanes beaucoup viennent de Montpellier Pour avoir une surface nationale et internationale on a plus de force en allant ailleurs tout en tant Bordelais L ouverture des collections Nous nous sommes galement ouverts d autres disciplines avec la collection d exobiologie Bordeaux 1 par exemple nous sommes pionniers dans ce domaine parmi les presses universitaires Avec un tirage initial de 700 ex du premier titre vendu compl tement et retir on peut dire qu il y a une attente commerciale d un public sp cifique malgr la chert des livres due l iconographie et m me d un public plus large au del des seuls chercheurs en chimie en biologie ou en physique Ces livres
204. mmunication scientifique e l aide aux nouveaux utilisateurs e Le financement de l enseignement sup rieur3 Nous donnerons quelques exemples de la fa on dont PALA r pond certains de ces d fis en aidant les BU par de la for mation des plaidoyers du lobbying de la mise en r seau de la coop ration et des normes RECRUTEMENT DUCATION ET FID LISATION DES BIBLIOTH CAIRES Le recrutement de la prochaine g n ration de biblioth caires est l un des sujets les plus urgents auxquels la profession est confront e avec la mise en retraite imminente de la g n ra tion du baby boom L ACRL a fourni un livre blanc pour les administrateurs et les responsables des ressources humai nes des biblioth ques qui sont actuellement confront es au d ficit de force de travail Il met en vidence les sujets et les th mes qui lui sont li s et propose des strat gies pour r soudre les questions de recrutement et de fid lisation des 3 Les r sultats du groupe de travail ont t consign s par W Lee Hisle dans Top issues facing academic libraries a report of the Focus on the Future Task Force C amp RL News Vol 63 n 10 novembre 2002 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ule ER LL 1 DOSSIER BR SIL Le Br sil est confront au d fi de changer une image st r otyp e samba football carnaval et paysages et n gative probl mes conomiques et sociaux largement r
205. mporte quel moyen et Les usagers peuvent aussi tre des fournisseurs la puissance du r seau cr ant une force qui se compte en millions de prosom mateurs16 Pour r ussir et mettre l in formation disposition de tous il faut s appuyer sur les d veloppements les plus r cents techniques lecteurs MP3 iPod Podcasting r seaux locaux sans fil du type Wifi flux RSS t l phonie mobile GPRS t l phonie gratuite sur Internet Skype mais aussi de traitement et de contenus Web 2 0 web s mantique wikis comme l encyclop die collaborative Wikipedia folksonomies web blogs web mashups Le web communautaire a r volutionn la construction et la con sommation de l information Selon Maija Berndtson dans ce m lstrom technolo gique le r le des biblioth ques qui doi vent se transformer en c ur de r seau et d velopper de nouveaux partenariats y compris avec des entreprises commer ciales est d assurer les interconnexions et les relations entre diff rents groupes elles doivent donc r agir vite et virer de bord si n cessaire Mais cette conviction est elle r aliste Tom eh k s est livr un impressionnant exercice de style sur le th me de l avenir des biblioth ques l ge de la culture on line Les exemples avan c s par le directeur de la biblioth que de Prague sont percu tants La lecture d un livre lectroni que ne remplacera jamais le plaisir et le
206. mpos e d une mise en ligne quotidienne de ces textes crits sans sauvegarde Le projet est grisant mais Bon n est pas client du vertige Son compromis se donner une limite raisonnable mais une fin spectaculaire d truire le site en direct L aventure qu il d crit comme un transit vers le virtuel pour que j y habite en rappelant le mot de Blanchot crire est un verbe intransitif lui renvoie son image en perdu p 235 Le dernier cart est en fin de compte cette brique blanche lourde en main Livre singulier rescap chec d une certaine fa on mais d une autre chec l chec Livre oscillant donc polaris vertigineux en ce que sa r alit n est finalement rien d autre que l image de son tre virtuel Philippe Levreaud jeunesse en tant qu intervenante culturelle Il semble que ce soit plut t l le propos de l auteur mais ce d bat appara t totalement d pass cette frileuse autojustification de notre profession ne peut que conduire son affaiblissement S agit il enfin d un manuel p dagogique L aussi on ne peut que s interroger sur la premi re partie consacr e au cadre g n ral de l animation en section jeunesse truff e d affirmations discutables et de lieux communs D Alamichel y crit qu au del de 11 ans c est dire partir de l adolescence les animations en biblioth que int ressent moins les jeunes et n cessitent plus la particip
207. n Helsinki 12 Les visites virtuelles sont aujourd hui presque quivalentes aux visites physiques la biblioth que 13 http www lib hel fi 14 DVD et ZIP drives cl s USB c bles de connexion lecteurs de cartes m moires Bluetooth casques audio lecteurs de CD portables lecteurs de DVD BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT td prendre l apparence d un tre familier pour mieux envahir notre monde c est la mission assign e aux Information Gas Station des stations mobiles d in formation et de recherche documentaire dont un des mod les ressemble une pompe essence qui se d placent avec une quipe de biblioth caires dans les gares centres commerciaux maisons de retraite foires et attractions touristiques Elles doivent enfin se mettre au service de groupes de citoyens aux besoins sp cifiques comme le fait le centre Meeting point lasipalatsi ouvert en juin 20065 Meetingpoint offre un acc s libre des sessions en ligne de formation et de con seil ses installations sont propos es aux acteurs de diff rents secteurs pour des r unions et campagnes public priv recherche offre d emplois marketing etc les seniors s y livrent de multi ples activit s certains services munici paux y tiennent des permanences Et la biblioth que sans fronti re Que recouvre cette appellation Dans les biblioth ques d Helsink
208. n outre un environnement imm diat constitu par les appli cations et donn es g r es par l Abes th ses lectroniques portail CGM acc s aux p riodiques lectroniques 1 APE L enjeu pour l Abes n est pas d op rer un simple ravale ment de l interface publique du catalogue mais de se le r ap proprier et d exploiter elle m me la richesse des donn es contenues dans la base Concr tement il devient possible d afficher partir d une seule requ te non seulement les donn es bibliographiques en pouvant affiner les crit res de recherche sans revenir la grille de d part mais aussi la couverture et la table des mati res d un ouvrage de consulter des bases en texte int gral th ses p riodiques de rebondir sur d autres catalogues que le Sudoc de localiser un document sur une carte et m me une biblioth que partir de photos a riennes haute d finition et pas seulement sur un menu d roulant La liste des services est infinie et volue en fonction des ressources du web Une v rita ble r volution par rapport aux interfaces web de nos catalogues qui prennent un redoutable coup de vieux L Abes met la disposition de la communaut scientifique l expertise qu elle a d velopp e dans son secteur d activit Elle participe ainsi aux groupes d experts mis en place dans le cadre de la cr ation d une plate forme de d p t de la pro duction scientifique commune aux universit
209. naissance de l histoire des biblioth ques jeunesse depuis quarante ans que cette question a fait l objet de maints d bats et pol miques dans la profession D autre part l ouvrage ne fait r f rence qu L Heure joyeuse des ann es 1930 oubliant joyeusement la p riode 1960 1990 o la r flexion sur les biblioth ques pour enfants a t particuli rement riche et prolifique On ne peut que s interroger sur l objectif de Dominique Alamichel S agit il de autobiographie d une biblioth caire particuli rement dynamique Cette hypoth se ne r siste pas la lecture S agit il d un plaidoyer pour une reconnaissance de la biblioth caire Notes de lecture Jo nuit d insomnie il imagine une sorte de livre fait tout entier d histoires invent es et de souvenirs m l s ces instants de bascule dans l exp rience du jour et des villes criture sans pr m ditation et imm diatement disponible sur Internet M me ajoute t il je le voulais anonyme Tumulte est donc d abord un projet bien vite vorace capable de tout absorber de tout dig rer ll devient mon visage langue visage qui ne m est r v l que par l cart qu ajoute chaque r cit A priori jamais intotalisable Souvenirs pens es r ves choses vues tout conspire en Tumulte Des chemins se dessinent chemins cherch s chemins perdus transgressions puisque les censures s ouvrent devant la r gle qu il s est i
210. naviguer entre deux syst mes N anmoins le pire n est pas toujours s r Et m me si les quilibres sont souvent pr caires et la vigilance constante des coop rations ponctuelles et transversales se d veloppent sur site essentiellement autour des politiques d acquisition Les BU d localis es voqu es sont associ es pour la plupart des formations professionnelles aux besoins docu mentaires tr s sp cialis s c est pourquoi les exp riences de mutualisation des ressources et des catalogues entre BU et BM sont rarement possibles tant leurs besoins diff rent Mais dans ce contexte ci des modes de coop ration s instaurent de fa on ponctuelle accueil des tudiants pour les missions corres pondant celle de la lecture publique loisir culture g n rale mais aussi fonds de r f rence d p ts de documents dans les biblioth ques aux pauvres ressources documentaires organi sation de cycles de conf rences en concertation entre tablis sements ouverture des BU aux publics de la ville UN R SEAU F D RATEUR Aujourd hui l volution de ces biblioth ques tend l int gration dans le r seau des biblioth ques des universit s de Toulouse et Midi Pyr n es 2 Pour certaines c est une d cision ancienne qui participait d un engagement et d un affichage de la biblioth que dans sa dimension universitaire collection et outils documentaires et son appartenance au SCD de l universit
211. nce et la biblioth que num rique ceux des tudiants avanc s et des enseignants chercheurs dans certaines disciplines en SHS notamment la documentation papier pour la recherche a encore un bel avenir vu le retard des publications lectroniques l inverse l mergence d une offre convenable de manuels en ligne pour les tudiants de premier cycle interdit de consid rer que les ressources lectroniques sont r serv es aux seuls cher cheurs Le syst me d information documentaire mettre en place pour organiser les acc s et faciliter la recherche dans l ensemble des documents disponibles int gr dans l ENT est l ambition professionnelle majeure des BU d aujourd hui UN QUILIBRE MENAC Dans cette nouvelle logique la question longtemps sensi ble de la coexistence entre les biblioth ques int gr es au sens du d cret de 1985 c est dire les sections des BU et les biblioth ques d UFR int gr es aux SCD et associ es pour l essentiel aujourd hui les biblioth ques des cen tres de recherche a perdu de son importance ou bien il s agit de biblioth ques ayant un niveau de fonctionnement professionnel personnel permanent et form collections g r es dans le SIGB services au public clairement identifi s et alors quel que soit leur statut elles se trouvent de fait dans le domaine d intervention du SCD ou bien ce sont de simples collections de revues et de livres avec une
212. nde anim e par Philippe Pineau r unissait Jean Pierre Burdin responsable culturel conf d ral de la CGT Jean Yves Abiven pr sident de la commission culturelle au CE Aker Yards et Patrick Juin secr taire du comit central d entreprise Thales Avionics militant CFDT Comme il n existe aucune coop ration entre BCE et biblioth ques territoriales en Poitou Charentes Limousin aucune invitation d lus ter ritoriaux n avait t lanc e Trois temps forts structuraient le d bat e le sens culturel et social des BCE e a mise en uvre des moyens d exis tence des BCE e l engagement coop ratif BCE biblio th ques des collectivit s locales Ces 3 points furent abord s en profon deur par les intervenants Jean Pierre Burdin posa les l ments de r flexion en termes de droits culturels que tous ne poss dent pas galement Le travail est au c ur des processus sociaux et le travailleur est un tre social Ensemble ils ont vocation tre reconnus comme l expression dynami que d une culture que les BCE savent valoriser Jean Yves Abiven s appuie sur le d veloppement des BCE dans la r gion de Saint Nazaire Nantes pour affirmer que ce mouvement devient visible lorsque le budget engag est important Patrick Juin estime quant lui que la BCE exprime un choix social politique et culturel Il s agit d envisager l mancipation du citoyen du travailleur en l absence d une
213. ne dimension encore peu explor e 3 pieds 6 pouces ouvre cette possibilit pour le plus grand plaisir des enfants et des biblioth caires Philippe Pineau Site http www 3pieds pouces com BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE ER CL Ed 7 rd Groupe Nord Pas de Calais La m diath que est au garage Voyage d tude Anvers 12 mai 2006 En partenariat avec le CNFPT le groupe ABF a visit la nouvelle m diath que du quartier de Permeke Anvers ainsi que le mus e Plantin Moretus Avec le soleil en prime ce quine g chait rien La derni re d un r seau d agglom ration de 30 biblioth ques Anvers 4 millions d hab elle a t difi e dans les locaux d un ancien garage Ford des ann es 1930 dont elle a gard notamment la rampe d acc s des voitures l tage Construction r solument moderne et esth tiquement soign e dans un quar tier paup ris flanqu e d un b timent de services municipaux et pr c d e sur la rue d un caf restaurant fort sympa thique le b timent joue sur un design pur mais l gant et deux grands plateaux fonctionnels permettant une bonne visibilit des espaces Les services internes et l auditorium sont situ s au sous sol les deux niveaux sup rieurs tant consacr s aux espaces publics Au rez de chauss e on p n tre M DIATH QUE PERMEKE Date d ouverture 2005 Architecte Aat Vos Su
214. nges et cession de titres entre diteurs Leurs catalogues sont soumis un flux d en tr es sorties dont les causes sont multiples le propri taire du ou des titres soci t savante ou petit diteur peut vouloir obtenir de meilleures conditions du prestataire qui met ses revues en ligne et chercher un nouveau fournisseur ou bien il peut vouloir fuir un prestataire un peu trop dominant et peu l coute de ses attentes en termes de politique d open access Du c t du fournisseur de catalogues en ligne di teur lui m me et ou prestataire le souhait de rationaliser son catalogue et d occuper un cr neau disciplinaire l incite changer des titres avec ses concurrents et diminuer ainsi le niveau de concurrence dans des sous domaines et des sp cialit s o il est particuli rement pr sent Le big deal se r v le tre un habile syst me qui auto rise ainsi un certain flou sur la consistance de la collection moyennant un syst me empirique de compensation par le jeu des entr es sorties de titres dans le catalogue Le tra vail de s lection champ d intervention du biblioth caire et du chercheur est rendu doublement impossible il est ni non seulement dans la capacit op rer un choix mais aussi dans celle de p renniser une collection d termin e au b n fice d un groupe d usagers Il para t donc essentiel dans les mois et ann es venir de mettre en place des dispositifs plus contraignants dans l
215. niversit de Nantes Vincent Lecomte DDP de Vend e Agn s Marcetteau BM Nantes Jean Pierre Meyniel DRAC Pays de Loire Olivier Michaud BM Laval Mich le Nardi m diath que Louis Aragon Le Mans Jean Charles Niclas BM Toussaint Angers Fran oise Nicol IUT La Roche sur Yon Olivier Tacheau SCD Universit d Angers Pour VABF Annick Thomas Hervouet pr sidente du groupe Pays de la Loire Jacqueline Beaussant Lafleur tr sori re Elisabeth Cailleau secr taire Danielle Chantereau d l gu e g n rale Le comit scientifique charg de la pr paration des M MARIE COLETTE MAUJEAN NOUS A QUITT S Marie Colette Maujean n e Dotal nous a quitt s le 4 novembre dernier l issue d une vie particuli rement riche tant sur le plan professionnel que sur le plan humain Le mal implacable contre lequel elle a lutt pendant quelques mois a fini par avoir raison de son courage et a mis un terme une retraite dont elle n aura profit que quelques ann es N e en 1939 dans un petit village du Haut Doubs elle n avait que trois ans la mort de son p re Marie Colette fit ses tudes secondaires puis universitaires Besan on Re ue au concours d entr e de l cole nationale sup rieure des biblioth ques en 1965 elle fut affect e l ann e suivante l le de la R union o elle arriva en quelque sorte en m re fondatrice de ce qui deviendra plus tard la BU Elle y rest
216. nnes 1 r alis e de f vrier 2004 mai 2005 evet 2 V ronique Pr gt e A v kE C O pan Ka La salle de philosophie BU Rennes 1 multim dia enseignants etc l inverse on assiste de plus en plus fr quemment la d couverte par les univer sit s par exemple la faveur de projets de mise en ligne de cours qu il existe dans leur SCD des comp tences extr me ment pr cieuses en mati re de r f rencement c est dire la d finition et l laboration de m tadonn es normalis es en d autres termes l indexation de documents num riques ce qui n est tout prendre qu un avatar du catalogage C est DOSSIER MARIE DOMINIQUE HEUSSE D Essai d tat des lieux 11 DOSSIER QUELQUES SIGLES ET ACRONYMES BIU Biblioth que interuniversitaire Cadist Centre d acquisition et de diffusion de l informa tion scientifique et technique Cerimes Centre de ressources et d information sur les multim dias pour l enseignement sup rieur CGM Catalogue g n ral des manuscrits Cines Centre informatique national de l enseignement sup rieur Couperin Consortium universitaire de p riodiques num riques CTLes Centre technique du livre de l enseignement sup rieur ENT Environnement num rique de travail EPCSP tablissement public caract re scientifique cul turel et professionnel ITRF Ing
217. noir 18 11 13 01 13 Aix En Provence Cit du livre Textes avec vues Saint John Perse Giens 17 11 31 01 Marseille BDP Mati res du monde Nature du livre Le Livre d artiste contemporain nouveau territoire de cr ation 12 01 24 02 21 Dijon BM Ex libris Marques de possesseurs C 14 11 20 01 33 Bordeaux BM Nouvelles acquisitions et Ren Maran aujourd hui 30 01 17 03 38 Grenoble Artoth que La travers e des apparen ces et choses lointaines ch res et lumineuses Photographies de Bruno Boudijelal et Thierry Boulgakoff 08 12 28 02 BM Stendhal La r volte et les r ves 10 03 2006 21 03 2007 P 42 Roanne M diath que La Hulotte Invasion de la nature au c ur de la M diath que 18 11 13 01 51 Chalons en Champagne BMVR Cabu 60 ans de dessins 24 11 25 02 59 Lille BM La Gr ce des modernes C 20 01 22 04 67 Strasbourg BNU Le po te Alsacien Andr Weckmann 03 20 05 69 Lyon BM Donation Georges Baguet 02 12 17 03 75 Paris BnF site Arsenal Le si cle des saint simoniens du Nouveau Christianisme au Canal de Suez 28 11 25 02 site Fran ois Mitterrand Antonin Artaud 07 11 04 02 Hom re sur les traces d Ulysse 21 11 27 05 site Richelieu Rembrandt la lumi re de l ombre 11 10 07 01 P La photographie humaniste 1945 1968 Autour d Izis Boubat Brassa Ronis
218. nous ont d ailleurs fait voluer dans notre m tier en nous rapprochant en particulier des ateliers de mise en page qui travaillent avec des diteurs comme Gallimard De plus il fallait accompagner la rapidit des recherches un article crit en janvier peut se r v ler obsol te en juin Pour Bordeaux 4 ce fut d abord au coup par coup Il existait pas de v ritable collection et nous voulions tout prix suivre la recherche sans aller sur le terrain des grands diteurs de droit ou d conomie La tradition 89 fran aise d diteurs ind pendants comme Gallimard Le Seuil Albin Michel qui publient d j des sciences humaines et sociales fait que nous nous positionnons plut t sur la recherche dure que sur des essais qui vont toucher un public large Une convention a t sign e entre nos deux universit s et nous travaillons avec deux s ries droit et conomie Bordeaux 2 a d abord propos des colloques puis il leur a t sugg r de cr er des collections et nous sommes arriv s une collaboration qui remonte maintenant 1995 avec deux collections qui marchent bien Il mest pas si facile pour un universitaire de diriger une collection Parall lement ses propres recherches il lui faut se consacrer la lecture d crits de coll gues sur des sujets qui ne lui sont pas toujours tr s familiers et le contrat de directeur de collection n est pas r mun rate
219. nouveaux publics issus des entreprises pr sents luni versit dans le cadre des programmes de formation con tinue et de la VAE e tudiants trangers que l universit accueille toujours plus nombreux selon son objectif d internationalisation Le fonds documentaire papier et lectronique pour un tiers en langue trang re est adapt ces publics nou veaux sous sols reli s par un ascenseur direct assure un stockage rationnel et de qualit Apr s presque dix huit mois de travaux la biblioth que d tude a rouvert en septembre dernier Confort e par les potentialit s qu offrent ces quipements nouveaux et de grande qualit l quipe de la biblioth que a pour projet de repenser l accueil des lecteurs en s inspirant des pratiques efficientes des pays nordiques et anglo saxons en mati re de services documentaires Ouverture accueil confort et inno vation technologique sont les mots cl s de ce processus de transformation E RAYMOND B RARD Directeur de l Abes Du ctaoque l acc s aux E Dans la jungle des l Agence bibliographique de l enseignement sup rieur Abes catalogues dans le marais des syst mes tudiants et chercheurs avaient besoin d un guide qui fraye M agence bibliographique de l enseignement sup rieur PICA il permet d identifier les documents p efficacement un chemin de tous types de les localiser et d acc der au document lui m me par un s
220. ns la per ception 38 comme dans les usages lecture sur place 50 lieu d tude 76 des 15 25 ans lieu d animation culturelle expositions 28 lectures d bats 20 utilisation d Internet 14 Autres l ments prendre en compte alors que le nombre des visi teurs r guliers reste stable celui des irr guliers augmente De m me alors que les s jours inf rieurs 30 minu tes diminuent 47 en 1997 29 en 2005 les s jours sup rieurs cette dur e passent de 53 71 R flexions lo l image gagne donc en nettet rendre compte de l activit des biblioth ques aujourd hui ce n est plus seulement se focaliser sur le pr t d sormais sta ble mais prendre aussi en compte les usages libres de s jour permis par le mod le de la m diath que L il faut alors parler non plus de stabilit mais de progression forte et d largisse ment des publics gt Printemps tardif Bien entendu ces quelques vues r su m es appellent des commentaires mais tout d abord pour pr ciser l image mieux encore quelques donn es BU Pour l enseignement sup rieur Daniel Renoult a fait tat lui aussi au Congr s de Paris d un largissement global De 1991 2005 les biblioth ques de l enseignement sup rieur ont vu leurs surfaces augmenter de 400 000 m2 40 D les cr dits de fonctionnement cro tre de 178 l acc s direct passer de 25 35 les horaires de 40 heu
221. nt Al Dante n a pas fait d exc s qu on sache ni de locaux ni d valoirs ni de coups publicitaires Rien qu un travail de fond sur des livres exigeants On se dit qu en r gion Al Dante aurait b n fici de l appui d un CRL onne les aurait pas laiss s aller dans le mur lib ral Fran ois Bon lire sur http www lekti ecriture com contrefeux Alerte Al Dante html Inextenso structure de diffusion rassemblant une quarantaine de petits diteurs ind pendants a mis un terme ses activit s fin 2006 Entre les rat s de Volumen qui assurait la distribution les difficult s de certains diteurs repr sent s l ampleur de la t che Inextenso s est retrouv un croisement infernal entre la logique de distribution la logique de librairie et celle des diteurs constate Pierre Gaudin pr sident d Inextenso et directeur des ditions Cr aphis Cf livre amp lire mensuel de l Arald novembre 2006 M CARAVANS RAIL INTIME Deux temps forts du GMEM de Marseille Centre national de cr ation musicale changes narrations musicales et d couvertes entre musiques contemporaines crites et improvis es et musiques traditionnelles Caravans rail propose du 16 au 20 01 un campement avec quelques haltes en Arm nie avec Tigran Mansurian Barre Phillips et Claude Tchamitchian contrebasses l Ensemble Keram Caravaggio Bruno Chev
222. nt compl tement renouvel Adapt e aux nouvelles tech nologies elle est voulue comme un sou tien puissant la recherche l ensei gnement la culture et la p dagogie La transdisciplinarit h rit e des scien ces de l homme est consacr e dans ses th matiques de d veloppement elle a vocation servir tout le campus Cr er l espace c tait d abord le d cloisonner pour faire se rencontrer les hommes et Georges P rec Esp ces d espaces Paris Galil e 1985 Toutes les citations en gras sont tir es de cet ouvrage les id es D s 2001 la biblioth que existante est transform e en ateliers en groupes de travail et de r flexion Le groupe Dewey classification adopter est la pierre angulaire de tou tes les transformations Espace inventaire espace invent L espace commence avec cette carte mod le qui dans les anciennes ditions du Petit Larousse Illustr repr sentait sur 60 cm2 quelque chose comme 65 termes g ographiques miraculeusement rassembl s d lib r ment abstraits Premier chantier chantier de livres d indices de tables de correspondance Jusqu en 2004 la mise en uvre de ce projet a entra n la cr ation d une orga nisation transversale superpos e aux deux sections en place Quinze per sonnes toutes volontaires forment le groupe Dewey charg de la coordination du travail sur les collections r parties en 5 groupes th mati
223. ntellectuelles autour des collections Anne Verneuil Sans tre un tablissement d mesur la m diath que de Permeke joue bien ici son r le de forum toutes les collections pour tous les publics et tous les usages dans une structure compl tement int gr e la ville il est noter que malgr la mauvaise r putation du quartier le b timent n a jamais souffert de vanda lisme Les Anversois s en sont tout de suite empar s et le million de visiteurs a t atteint en un an peine Anne Verneuil Groupe Champagne Ardenne La route des Flandres Voyage d tude Rotterdam Actualit s de IA BF lo Le groupe Champagne Ardenne organisait les 18 et 19 septembre son premier voyage d tude depuis sa reconstitution en d cembre 2005 Rotterdam via Bruxelles Une trentaine d adh rents de toute la r gion de la biblioth que de Warnecourt Ardenne la toute nouvelle biblioth que Robert de Sorbon de l universit de Reims ont visit tour tour le mus e de l Imprimerie la chalcographie de la Biblioth que royale de Belgique et la Biblioth que centrale du r seau de Rotterdam H berg par la Biblioth que royale de Belgique en plein c ur de la ville le mus e de l Imprimerie abrite une col lection int ressante de mat riel typo graphique et de presses anciennes Ces objets permettent d effectuer une promenade travers l histoire des pro c d s d impression et de gravure Sans riv
224. nts des cr ches pour leur pr senter des livres les leur montrer dans une biblioth que et essayer de les ouvrir au monde de la lecture et de l image Cette d marche est la fois n cessaire et compliqu e car les cr ches hospitali res il y en a 3 l h pital o je travaille sont sou vent h las cantonn es au bien tre et au suivi des enfants qui ont d j des horaires terribles Quand ils viennent chez nous vers 10 heures du matin ils sont en tat d hypoglyc mie juste avant le repas car ils d jeunent tr s t t en fonction des horaires de leurs parents Comme dans beaucoup de biblioth ques nous recevons les enfants du moins les plus grands tous les mardis Nous essayons galement de mobiliser et de sensibiliser le personnel des cr ches la lecture aux enfants Dans le cadre du plan de formation ins titutionnel de l AP HP des formations 79 les murs 80 sont promues par les coll gues du Centre Inter M diath ques qui essayent d int grer davantage le livre aupr s des ducatrices de jeunes enfants aussi bien dans les cr ches qu aupr s des personnels des services de p diatrie e Quels types de supports proposez vous Livres CD DVD et CD roms dans cer taines biblioth ques Selon les quipe ments il peut y avoir aussi des postes Internet Nous avons un poste de t l vision que les patients peuvent venir regarder mais il n y a malheureusement pas la
225. ojets de r organisation et d am lioration de la lisibilit de l offre de contenus et de services concr tis e par la mise en place d un organigramme fonctionnel et transversal en phase avec les objectifs du nou veau contrat quadriennal d tablissement en particulier son volet documentaire 2003 2006 BRIDE ABATTUE Le manque de moyens constitue certainement une aide la d cision de piloter des changements et de b tir une politique documentaire argument e mais pas seulement car la r ha bilitation progressive des campus permit au SCD de rapatrier sans contestation possible les collections dans les BU tout en restituant d finitivement l universit plut t que provi soirement des espaces auparavant d di s aux facult s et leurs biblioth ques Faire passer le fait que l on va fermer progressivement tou tes les ex BUFR en rapatriant le personnel dans les BU au fur et mesure de l int gration physique des collections est possible si le mouvement est soutenu par la pr sidence de l universit et contrebalanc par une offre de qualit sup rieure dans les domaines d excellence de l universit Il faut dans les commissions consultatives sp cialis es et en con seil de la documentation voire en conseil d administration expliquer ce que l on fait pour qui et aussi parfois rappeler que l on ne peut pas faire tout pour tout le monde sauf si l on sait faire marcher la
226. ommage pour elle Pai obtenu qu elle suive un DU M tiers du livre Mais cela signifiait une formation deux jours par semaine durant toute une ann e scolaire Dans ces conditions tenir une biblioth que devient de plus en plus lourd e Vous recrutez des biblioth caires issus des concours Lorsqu il y a recrutement c est presque toujours sur d tachement Nous dispo sons d un Centre Inter M diath ques g r par Claudie Gu rin qui coor donne les biblioth ques et centres de documentation Pour remplacer une personne qui partait alors qu il fallait affronter le dossier complexe de la r informatisation des biblioth ques et centres de documentation nous avons recrut sur d tachement c tait le seul moyen d avoir quelqu un rapidement tant donn les contrain tes impos es par l AP HP qui souhaite avoir de moins en moins de personnes sous contrat e Le r seau des biblioth ques de l AP HP est unique en son genre 38 groupes hospitaliers 25 000 lits 996 000 hospitalisations par an L AP HP compte elle m me 89 000 agents et 11000 tudiants Je ne connais pas d quivalent en France En effet et nous essayons de le faire valoir Nous sommes un peu moins aujourd hui mais l AP HP reste une grosse maison qui garde cette particu larit juridique de n tre qu un seul ta blissement r parti sur plusieurs sites l H pital Europ en Georges Pompidou HEGP o je travaille il y a
227. orizon ind passable de beaucoup d accords nationaux comme nous avons pu le cons tater lors du s minaire HUMANE Copenhague qui r unissait plusieurs responsables d accords importants conduits pour le compte de consortiums locaux ou d envergure nationale La raison majeure en est simple ce mode de contrat est meilleur march pour le client et plus simple g rer pour le fournisseur Des int r ts contradictoires acqu rir une collection choisie un prix sup rieur n ont pas permis aux deux parties contrac tantes de sortir de ce mod le dominant jusqu ce jour Nous savons que ce type d accord est parfois le r sultat du souhait d obtenir la palette la plus large de ressources et qu un nombre important d tablissements regroup s dans le consortium pour en b n ficier milite objectivement contre la s lection Par ailleurs le ph nom ne de concen 1 Heads of University Management and Administration Network in Europe Association europ enne de secr taires g n raux et directeurs d administration universitaire en Europe 2 Cf F Cavalier Les acquisitions dans le contexte lectronique in BBF 2006 t 51 n 21 tration ditoriale s il semble marquer le pas n en continue pas moins et les effets de la fusion Springer Kluwer seront mesurer dans les ann es qui viennent La phase qui semble s initier et qui commence d j poser des probl mes aux biblioth caires est celle des cha
228. osition du public e Harmoniser le r glement et les conditions de pr t et d acc s e Contr ler de fa on qualificative le catalogage et les fichiers d autorit s e Se munir dans les ann es venir d quipements pour assurer la gestion des acquisitions et des pr ts I 48 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE CL LE Le Nouveau Perir Roberr 40 dirion 7 Bm ipm mn st mi si Fi a m m i e e e SR Er LE 2 p m SE p m FP 5i me r EF m pes Fe ra 22 me a nnan e Bmx e er E E E MI je reee e r re Eu mn en E Er nd i md F its m ee EER a a O e E mom ammm B A ES a SE M M H E i Re Re ns On a O a ee CR ST RE T www lerobert com Le NOUVEAU PerirhRoberr J Nouveau de A Z RE HN EEE y es le nouveau Perit RobERI de la langue fran aise 20 07 GWEDI ee r a 300 OOC ayi e NOUVELLE DITION a Plus de richesse et de modernit des milliers de nouveaux mots sens Citations des enrichissements sp cifiques e Plus de clart et d accessibilit une nouvelle interface une mise en page cran am lior e et des fonctionnalit s in dites au service de l utilisateur e la pointe de l d
229. oth que compos de trois grandes biblioth ques ouver tes en 2001 d une superficie totale de 30 000 m de six biblioth ques de sec teur et de dix biblioth ques de quartier proposant une offre Internet et multi m dia abondante un acc s enti re ment libre et gratuit des activit s cul turelles et des programmes intensifs de promotion de la lecture et de formation des usagers aux nouvelles technolo We 7 Voir l article de V ronique Heurtematte paru dans Livres hebdo N 663 27 10 2006 Changer ou dis para tre qui rend compte de quelques interventions particuli rement significatives 8 http www biblored org co 9 En 2002 la fondation Bill et Melinda Gates a d cern Biblored le prix Access to learning assorti d un financement d un million de dollars en reconnaissance du travail r alis pour offrir un acc s aux nouvelles technologies plus de 3 millions d habitants proches des zones d influence des biblioth ques du r seau de Bogot gies Biblored accueille chaque ann e 5 millions de personnes en moyenne majoritairement des enfants et ado lescents Un programme du m me type est mis en uvre depuis 2004 Medellin deuxi me centre urbain de la Colombie plus de 2 millions d hab plus connu jusqu aujourd hui par son taux de criminalit et ses narcotrafi quants que par l exemplarit de ses biblioth ques Enjeu soci tal pour Jose
230. particulier les moyens financiers la France en effet est en passe de se situer dans les derniers rangs des pays d Europe occidentale en mati re de moyens d volus aux biblioth ques universitaires e Les volutions qu on pourrait qualifier de politiques ce sont celles qui sont n es de la rencontre entre les initiatives de la BU et les projets de l universit Elles r alisent l esprit mais pas toujours la lettre du d cret de 1985 sur les SCD Ainsi de l int gration des fonds de biblioth ques d UFR d ins titut de centre de recherche au SIGB une fois le catalogue commun r alis on peut se poser la question de la mise en coh rence des acquisitions au sein des diff rents types de biblioth ques de l universit mise en coh rence qui prend par exemple la forme d une charte documentaire l chelle de l ensemble de l tablissement En mati re de formation des tudiants la conjonction entre le d veloppement de ces actions par le SCD et la mise en place des modules de m thodologie dans le cadre du LMD a abouti dans un tr s grand nombre d universit s une v ritable int gration des formations la m thodologie documentaire dans les cursus2 1 Voir l tude comparative des moyens et de l activit des BU europ ennes para tre 2 Cf l enqu te r alis e par l ADBU en ligne sur http www adbu fr article php3 id_article 157 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBL
231. perficie 3 500 m2 Nombre de documents 235000 150 000 livres adultes 35000 docu ments jeunesse et ados 50 000 docu ments audiovisuels 100 places assises 50 avec PC auditorium de 150 places et espace suppl mentaire de 300 places apr s d placement des rayonnages au 1 tage Heures d ouverture 41h30 dont samedi matin et dimanche matin Personnel 48 ETP 1 http permeke antwerpen be mida Anne Vermeul imm diatement dans de markt le march o des rayonnages bas et autres bacs proposent d embl e les documents les plus attractifs nou veaut s loisirs musique et cin ma BD adultes et enfants confondues romans tous supports m lang s et sur du mobilier roulettes Fauteuils confortables tabourets mobiles et OPAC s parpillent dans l espace pour l aisance de la consultation Ici tous les usages sont permis buti nage lecture plaisir rencontres et papotages m me les petits en cas et les t l phones portables sont tol r s ce niveau et sans g ne apparente Une immense banque de renseigne ments accueille d embl e l usager qui peut y poser toute question li e direc tement ou non aux activit s de la m dia th que Des points infos sont r partis dans tout le b timent Les fonctions de pr t et retour sont enti rement automa tis es mais un utilisateur peut toujours faire enregistrer ses transactions par un agent de la biblioth que
232. phine Bryant direc trice de la biblio th que publique de Toronto la plus grande biblioth que du Canada avec 99 annexes et plus de 11 millions de documents une des plus concern es par les services aux populations multiculturelles 1 La ville de Toronto 2 5 millions d hab accueille 75 000 nouveaux immigrants chaque ann e et la population n e l tranger est aujourd hui quivalente celle n e au Canada Dans les ann es 1960 plus de 90 des nouveaux arri vants venaient d Europe en 2002 60 viennent d Asie Plus de 100 langues trang res sont parl es Toronto et le taux d immigrants r cents utilisant une langue autre que l anglais et le fran ais y exc de 60 Dans ce contexte extr me la biblioth que publique au service des citoyens et de la com munaut a un r le fondamental jouer dans l aide l int gration Telles sont ses missions dans le plan strat gique 2004 2007 Urban stories the next chapter T eh k Josephine Bryant Toronto Quelles sont les cl s du succ s e Des collections 40 langues repr sent es d clin es sur tous medias des documents itin rants pour augmenter l offre locale selon la demande l an glais comme seconde langue ESL dans 95 annexes des ressources lectroni ques abondantes et vari es 500 maga sines chinois accessibles 10 http www tpl toronto on ca Reportages lo e Des se
233. planche billets Dans le m me temps des responsables d acquisitions transversaux pour les deux campus furent identifi s par grands domaines sous la houlette d un service centralis ce qui eut pour effet non n gligeable de limiter consid rable ment la r sistance des personnels au changement et de per mettre la r alisation d indicateurs fiables Les responsables d acquisitions eurent galement la charge de d sherber leurs collections sur les deux campus et de r aliser la recotation g n rale de leurs fonds en Dewey puisque la majorit des collections passait en libre acc s et en p les th matiques La masse de travail fut impressionnante pendant trois ans et le moral des troupes subit quelques fl chissements mais les r sultats furent unanimement appr ci s tudiants et ensei gnants confondus Tous les personnels furent impliqu s dans la d marche et l ensemble du SCD y gagna en reconnaissance et en valorisation Pour conclure il me para t important de souligner deux points essentiels pour r ussir l int gration des BUFR Le pre mier est d avoir le soutien actif de la pr sidence de l univer sit le second est de disposer de l appui du personnel pour mettre en uvre les changements n cessaires Lorsque ces deux facteurs sont r unis il faut savoir saisir l opportunit au vol et avancer sans trop se retourner E Quelques chiffres 2006 apr s la r organisation 2 BU au c ur de
234. possibilit de voir une vid o ou un DVD Il est vrai que les patients en s jour plus ou moins longs viennent avec des ordinateurs portables et peu vent ainsi utiliser des DVD On constate donc de plus en plus d emprunt de DVD dans les chambres e Une des sp cificit s du r seau de P AP HP c est aussi la collaboration entre professionnels et b n voles Consid rez vous cette collabora tion comme une chance C est un sujet qui gratte J ai effecti vement dans mon quipe une personne b n vole qui vient nous aider deux apr s midi par semaine Lorsqu elle tait en activit elle travaillait dans une biblioth que de CE elle avait donc d j une ma trise de la biblioth que Il est tr s important d avoir des aides efficaces et non des gens qui d barquent compl tement Mais le temp rament des uns et des autres est aussi pour beau coup dans la gestion quotidienne Je pense que les patients font bien la diff rence les directeurs un peu moins parce qu ils ont des contraintes finan ci res Nous sommes les danseuses de la direction Mais je crois aussi que si les biblioth caires arrivent rester en poste c est que tout le monde y trouve son compte par exemple parmi les arguments que les DRH utilisent pour garder les personnels il y a notamment la biblioth que les cr ches et toutes ces petites choses moins quantifia bles mais importantes e Le monde des biblioth ques d h
235. pper le libre acc s donner au personnel des conditions de travail plus satisfaisantes BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LME TE CT EE td at TL TELE bir iaar MEL TA ES jen TE RCE E f AT La Biblioth que centrale universitaire con ue par Pierre Riboulet angle Nord Ouest Le 11 avril 1996 peine lu le pr si dent Gaignard d cide de constituer un groupe de travail pour donner corps au projet R uni r guli rement du 2 mai au 2 juillet avec une exigence d ouverture et de participation il a pu construire une analyse fonctionnelle lucide et r aliste m me si les aspirations les besoins et les repr sentations de ses membres charg s de mission personnels de biblioth que enseignants chercheurs informaticiens ing nieurs du rectorat ont r v l bien des paradoxes et des contradictions Il s agissait avant tout de comprendre ensemble quelle devait tre la logique organique d un b timent adapt aux besoins du campus pour mieux appr hender son unit et sa coh rence Le groupe de travail a r ussi trouver un quilibre au fil des r unions une sorte de communaut de raison en particulier dans la d finition de quelques orienta tions fonctionnelles imp ratives pro poser un quilibre r el entre espaces publics et espaces internes pr ter une grande attention au trajet du lecteur au circuit du document aux d placements du personnel
236. ques Il est charg de pr parer les conditions scientifiques techniques et mat rielles de la fusion et de l organisation des collections dans la se k i A ea pe leu e 9000 Mm SHON sur trois niveaux e Budget 22 M e Co t des travaux 17 6 M e 1000 places assises dont 175 qui p es de postes multim dias e 2 salles de formation 1 salle d autoformation 1 salle pour les enseignants chercheurs 1 salle d exposition 5 salles de travail en groupe e 1 service d ficients visuels e 3 banques d accueil du public e Libre acc s 170 000 volumes 1050 p riodiques 3000 vid os 5000 CD audios e Magasins 362 838 volumes future biblioth que Une conservatrice et une biblioth caire adjointe sp cialis e ont t missionn es pour en assurer la coordination organisation des r unions contacts privil gi s avec les coordina teurs de groupe suivi des travaux et du calendrier Chacun est invit partici per aux d bats parfois houleux et la mise en uvre des projets inventaire et r colement d sherbage d finition des p les th matiques tablissement des tables de correspondance CDU Dewey organisation des magasins Le nouveau plan de classement est compos de 1548 indices Dewey une tranche de cote pour 20 200 exemplaires Au mois de mars 2004 l quivalent de quatre quivalents temps plein s y OAL M Lecomte de l Universit de Reims Champ
237. r sence attentive la compr hension g n reuse et le soutien sans faille de son poux Jacques Qu il veuille bien trouver ici le t moignage de notre chaleureuse sympathie Il y aurait d autres choses dire Que ses trois enfants et Jacques sachent combien nous avons tous t pein s par la disparition de cette femme de c ur qui fut une biblioth caire exemplaire et un grand serviteur de la lecture Elle restera vivante dans nos c urs Jean Claude Roda 50 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE CL Ed sessions pl ni res est compos de Gilles boli pr sident de l ABF Caroline Rives BnF secr taire g n rale de l ABF Jean Fran ois Jacques Bureau des biblioth ques de la Ville de Paris Daniel Renoult doyen de l Inspection g n rale Christophe Evans BPI service tudes et recherche Romuald Ripon BnF d l gation la strat gie Florence Schreiber directrice des M diath ques de Saint Denis Gil Fran ois Euvrard directeur du SCD de Paris 8 et Anne Marie Bertrand directrice de l ENSSIB E BOURGOGNE l Assembl e g n rale du Groupe Bourgogne le 29 janvier Chen ve 21 sera suivie d une visite des anciens pressoirs XVe si cle et d une d gustation mod r e M FRANCHE COMT Le groupe pr voit l envoi d un questionnaire aux laur ats de la formation ABF Franche Comt 2005 2006 pour savoir ce qu il
238. r solument cette nouvelle revue dans le champ de l esth tique Ces volumineux num ros semestriels con us comme espace pluridisciplinaire que le parti pris th matique transforme aussi bien en lieu de convergence le th me et de divergence son exploitation m taphorique en livr e luxueuse se destinent diff rents lectorats et notamment aux enfants et ceux qui en prennent soin Utile a de qui tenir Esperlu te associe crivains et livres par exemple n est cit e qu en notes de bas de page pour un ou deux articles comme si l auteur manifestait une forme d autisme par rapport la richesse de la r flexion sur ces questions depuis un demi si cle Mais peut tre est ce l le vrai d bat quelles sont les formations des biblioth caires jeunesse qui permettent actuellement de transmettre cette histoire et cette exp rience Genevi ve Boulbet se cantonneront moins aux contes classiques et lunivers Disney En revanche le st r otype de la r partition des lectures selon le sexe est confirm Les gar ons prisent l aventure le d passement de soi les filles les histoires plus intimistes sur les relations familiales ou amicales Mais quel que soit l ge ou le sexe le plaisir prime Pour l cole l enjeu est double enseigner la lecture aux enfants mais aussi lamour de la lecture Choisir le bon environnement le bon moment et le bon lieu est capital sans n gliger de m nager ensuite un temps
239. r celui de Blagnac o convergent de nombreuses entreprises a ronautiques Dans cette petite usine de maintenance industrielle comptant 530 Salari s la tr s belle m diath que a b n fici des conseils de la DRAC et des subventions du CNL Le travail essen tiel de la m diath caire est de l ordre du corps corps avec les lecteurs Elle fait l conomie de l quipement des docu ments et r cup re les notices Tout le temps est donc r serv aux usagers Le m tier de biblioth caire en entreprise est un travail de militant un combat permanent conclut elle car la m dia th que de CE est fragile Et d voquer la g n ration actuelle d lus qui sont de moins en moins des militants de la cul ture La politique culturelle est port e par les professionnels Le d bat qui suivit traita essentielle ment de la politique documentaire Il fut notamment question de la mani re de g rer le rapport aux usagers dans les r ponses leurs suggestions de l en gagement contre la consommation de la r sistance au ph nom ne des nou veaut s de la possibilit d tre victime du relationnel du changement dans les commissions culturelles o si gent maintenant plut t des techniciens et des cadres de la d gradation des con ditions de travail dans les entreprises et du peu de disponibilit des b n voles ce qui pose le probl me des relais au c ur m me de l entreprise L apr s midi une table ro
240. r du 26 01 1984 dite loi Savary codifi e en 2000 Code de l ducation d taillait les missions du service public de l enseigne ment sup rieur et mentionnait en bonne place la diffusion des connaissances et des r sultats de la recherche et de l information scientifique et technique Dans le cadre de la nouvelle loi toujours d actualit les EPCSP en tant que membres participant ce service public d finissent de mani re autonome leur politique de documentation Un d cret de 1985 consacr sp cifiquement aux SCD des universit s nouvellement cr s pr cisa leur statut leur p rim tre d intervention et consacra la notion de maillage documentaire dans les tablissements c t des BU int gr es d office dans les SCD il peut y avoir des BUFR et des biblioth ques de centres de recherche appartenant soit l universit soit des organismes li s contractuel lement le CNRS par exemple toutes les biblioth ques participant au SCD coordonnateur de la politique docu mentaire globale de l tablissement personnel vacataire suppl mentaire sans pour autant parvenir harmoniser les horaires sur l ensemble des ex BUFR Les per sonnels charg s des acquisitions dans les ex BUFR continu rent acqu rir de mani re isol e dans leur p rim tre d origine et m me si l id e d une politique documentaire f d ratrice l chelle du SCD fut parfois voqu e rien ne fut r ellement pro pos
241. rairies Talli ia informatique catalogue 2006 BORGEAUD BIBLIOTH QUES j n i a T a EIS D lun panin 199 re WHarnri Cinnury QO Eh 02GA Minnitroume anria ede social 122 avenue Henri Ginoux BP 350 92541 Monti GOUYE LE dex Fei SAN Mr sn mn ne SAN NA 7 A AA a i Iaia Ai haninn Ah aA hmn in aF Tel 33 01 41 17 4900 Fax 33 01 41 17 49 29 E mail info boraeaudbibliotheques com
242. reaud pluridisciplinaire a donn lieu une multitude de rencontres dont certaines semblent fatales reposant sur une convergence tout ensemble esth tique et politique Masson Picasso Avec Chagall chacun nourri des cr ations de l autre entreprit s par ment de travailler l un pour l autre Mais partir des ann es 1965 66 les artistes de l abstraction lyrique se sont empar s de son uvre pour une longue s rie de r ussites Hartung Manessier Soulages mais aussi Zao Wou Ki et Vieira da Silva Enfin Marc Pessin et une multitude d artistes aux univers les plus divers ont interpr t son legs po tique J G Bosio analyse le sens et la port e de ces collaborations Philippe Levreaud BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE RE TER ET EE td Bo te id fte outil Tumulte Fran ois Bon Fayard 2006 550 p 15 5 X 23 5 CM ISBN 2 213 62990 0 Trente L criture et le travail sont pour Fran ois Bon comme deux miroirs face face deux proc s renvoyant fatalement l un l autre jusqu s identifier que l criture accueille et refl te le monde du travail ou qu elle se cherche un chemin pour appr hender le r el d m ler l cheveau des relations par quoi nous y tenons interroger sa complexit par des moyens renouvel s un usinage du texte l universel reportage est pour lui litt rature Il en part elle y revient Le travail de l
243. refondant son activit au travers d un r le logistique de grande envergure avec une forte contribution la fourniture de ressources en ligne via les tablis sements sans parler du r le central qu elle pourrait aussi jouer dans l organisation de l archivage lectronique Elle dispose aussi de nombreux atouts pour prendre une position majeure sur tous ces terrains qu elle a d j commenc explorer LES FORMATS DE REGROUPEMENT P RIM TRE ET COMPOSANTES DU CONSORTIUM Un des probl mes de Couperin depuis son av nement est celui de son p rim tre passer en trois ans de 90 plus de 200 tablissements membres au del de l indice flatteur du succ s pour ce consortium pose le probl me de la pertinence et de la coh rence de l ensemble Cette pertinence ne s interroge pas tant et seulement en termes organisationnels mont e en charge de l activit fragilit du b n volat ressources humaines limit es jusqu ce jour bon an mal an Couperin a su g rer la difficult en se m nageant tant l appui de la DGES que celui de la CPU et bient t le soutien financier de ses membres Elle s analyse plut t en termes de r sultats et d implications quant l volution de la recherche et de la formation en France et en Europe et pose en retour la question de l adaptation n cessaire du r seau documentaire et de l acc s aux ressources Couperin est au carrefour des tensions qui traversent le s
244. rela tivement nouveau a permis une recon naissance de ces m tiers les biblio th caires d h pitaux n avaient pas de statut propre donc pas d volution de carri re possible Ceci a t il permis ga lement de reconna tre l existence d une fili re culturelle dans les biblioth ques hospitali res C est en effet une nouveaut qui me tient particuli rement c ur parce que depuis des ann es je fais du lobbying partout En 2004 est sortie une circu laire sur ce nouveau statut de technicien sup rieur L AP HP a donc organis juste avant l t 2005 une enqu te aupr s des diff rents tablissements pour ouvrir un concours Malheureusement les DRH Philippe Pineau n avaient pas pluch la circulaire jus qu au bout et pensaient que ce statut tait destin des personnels ouvriers On a quand m me obtenu l ouver ture d un certain nombre de postes au concours Les preuves crites ont t pass es en janvier Nous sommes dans l attente des r sultats j ai moi m me concouru Mais davantage pour la reconnaissance du fait que le travail de biblioth caire ou de documentaliste est un m tier consonance technique et surtout un m tier en soi En dehors des m tiers tr s techniques des ouvriers des chauffagistes des frigoristes des cuisiniers qui concouraient il y a d autres m tiers consonance techni que qui n entraient jusque l dans un aucun statut c tait le
245. res d ouverture 57 R sultat 3 tu diants sur 4 fr quentent aujourd hui les BU contre 2 sur 4 il y a quinze ans Ici encore il convient de porter un autre regard sur l offre en ne consid rant plus les seuls inscrits ni les seuls emprun teurs mais de constater d sormais galement des usages diversifi s un public largi l accroissement global du niveau d tude on passe en quinze ans de 30 62 de bacheliers il faut ajouter une nouvelle g ographie uni versitaire un v ritable essaimage qui a co ncid avec la dynamique nouvelle impuls e avec un l ger d calage par les collectivit s locales leur politique culturelle Toutefois Daniel Renoult d clare qu un sondage ne fait pas le printemps poin tant tout d abord des diversit s r gio nales rendant l analyse plus complexe qu il n y para t mais aussi des facteurs de stagnation voire de r gression et m me d inqui tude retard dans le libre acc s stagnation des acquisitions obso lescence des fonds offre peu diversifi e horaires inadapt s et manque de dyna misme culturel tous ces obstacles ne peuvent tre ray s d un trait de plume De m me la stagnation constat e du 83 E NS nombre de bacheliers on est encore loin des fameux 80 d une classe d ge lindividualisation grandissante des pratiques culturelles au d triment des pratiques collectives posent au moins question ainsi que la p
246. res re us dans les biblioth ques facultaires pour l encodage des th ses et des m moires SOLUTIONS PRATIQUES ET RECOMMANDATIONS Ressources humaines e Donner aux biblioth caires en place des formations biblioth conomiques et informatiques e Adjoindre aux responsables des biblioth ques facul taires des biblioth caires documentalis tes et informaticiens connaissant si possi Un lieu repeint un comptoir spacieux et r sistant une lumi re agr able soyez les bienvenus ble la discipline de la facult e Organiser un service des ressour ces humaines au sein de l administration centrale afin d en gager du personnel comp tent et exiger des formations biblio th conomiques pour De nouvelles chaises en bois plein ont remplac le mat riel ab m les agents en place Pour les personnels administratifs recruter au niveau du graduat et d ici cinq ans exiger une licence dans la sp cialit pour les biblioth cai res documentalistes des biblioth ques facultaires 46 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE AUCE DOSSIER ALG RIE LES BIBLIOTH QUES DE L UNIVERSIT DE TLEMCEN En raison du jumelage Tlemcen Nanterre une mission d aide la r ouverture du Centre culturel fran ais de Tlemcen a t confi e en novembre 2005 au SCD de Paris 10 Nanterre cette occasion deux biblioth caires ont t chaleureusement
247. riel informatique 175 postes pour le public dont 90 clients l gers et GTB SSI etc Le 11 septembre 13 heures s ouvrent les Isabelle Sabatier portes sur le premier lecteur Il lui reste S approprier chercher faire sienne cette nouvelle biblioth que J aimerais qu il existe des lieux stables immobiles intangibles intouch s et presque intouchables immuables enracin s des lieux qui seraient des r f rences des points de d part des sources Carine El Bekri Dinoird directrice du SCD de l Universit Reims Champagne Ardenne 77 les murs 78 Les biblioth ques de la sant l h pital la biblioth que est un lieu unique Paris elle prend place dans un r seau unique celui de l Assistance Publique H pitaux de Paris AP HP Si ce n est pas une sin cure c est peut tre un bon observatoire Sophie Marchaud biblioth caire l H pital Europ en Georges Pompidou en t moigne e Le r seau des biblioth ques d h pi taux de l AP HP compte 22 m diath ques et 17 points de lecture La pr sence de pro fessionnels dans ce r seau est relativement r cente Pouvez vous nous expliquer l volution de ce biblio th caire un peu particulier Sophie Marchaud Sophie Marchaud Les biblioth ques des h pitaux existent depuis longtemps d j Initialement rattach es au service social des h pitaux elles ont t aban donn es leur triste
248. rit la Commission europ enne et aux conseils de la recherche en Grande Bretagne et a com ment leurs documents et propositions L AIDE AUX NOUVEAUX UTILISATEURS Les tudiants d aujourd hui doivent tre initi s l information pour tre comp titifs dans ce monde de l conomie globale Il leur faut apprendre discerner quand l information est n ces saire et comment la localiser l valuer et l utiliser de mani re efficace ALA a abord ces besoins depuis 1989 6 en pionni re dans le monde de l ducation et a d velopp des normes pour l enseignement de l information des tudiants de l cole pri maire jusqu l universit L ACRL a cr des normes de comp tence en savoir informationnel pour l enseignement sup rieur auxquelles l American Association for Higher Education AAHE et le Council of Independant Colleges ont souscrit Une personne form e doit donc savoir entre autres e d terminer l ampleur de l information n cessaire e acc der l information n cessaire r ellement et effica cement e valuer de fa on critique l information et ses sources e incorporer l information s lectionn e dans sa base de connaissances e utiliser concr tement une information pour accomplir une action sp cifique Les normes donnent un cadre l valuation du savoir informationnel de chaque individu Elles ont d j t traduites en fran ais7 LE FINANCEMENT DE L E
249. rrespondants tch ques nous a permis de profiter pleinement de ces journ es alliant visites profession nelles et touristiques et d couverte des sp cialit s culinaires ou shopping Je retiendrai plus particuli rement notre rencontre avec les membres du SKIP ainsi que les visites de la BM de Prague de sa filiale du quartier Smichov et celle de la BN de la R publique tch que gt SKIP L Association des biblioth caires et des documentalistes de la R publique tch que Svaz knihovn k a informa n ch pracovn k est une organisation pro fessionnelle et corporative dont les 1366 membres r partis en 11 comit s r gionaux se r unissent selon leurs propres d cisions SKIP se donne pour objectif de promouvoir la qualit du travail des biblioth caires et documen talistes et le prestige de la profession Elle entend veiller aupr s des organis mes officiels l tat et les tutelles la cr ation de conditions favorables au meilleur exercice de leurs t ches et lessor des biblioth ques et des centres d information dans le pays gt La biblioth que municipale de Prague Cr e la fin du XIXe s la BM est une biblioth que publique de mission uni verselle La biblioth que est fr quen t e par 130 nationalit s Malgr les r gimes politiques diff rents elle a toujours t tr s respect e et a gard une image neutre La direction a de tr s bonnes relations avec les autorit s de
250. rs fonctions physiques sensorielles mentales cognitives ou psychiques d un polyhandicap ou d un trouble de sant invalidant et dont le niveau d incapacit est gal ou sup rieur un taux fix par d cret en Conseil d tat par les personnes morales et les tablis sements ouverts au public tels que biblioth ques archives centres de documentation et espaces culturels multim dia dont la liste est arr t e par l autorit administrative Ces dispositions pourraient permettre aux biblioth ques sous r serve qu elles figurent sur une liste tablie par le ministre de la Culture de proposer des modes de consultation ou d coute adapt s certains handicaps partir de fichiers d pos s aupr s d un organisme d sign par d cret qui les met Leur disposition dans un standard ouvert Vanneste l Assembl e nationale et Michel Thiolli re au S nat Mais l exa men du projet de loi n a cess de mois en mois d tre repouss Si bien que press par la commission europ enne le gouvernement Villepin a fini par la faire inscrire l ordre du jour de l As sembl e nationale en proc dure d ur gence les 20 21 et 22 d cembre 2006 pr voyant que l affaire serait r gl e avant la tr ve des confiseurs Il en a t tout autrement la surprise g n rale fut adopt un amendement instituant une licence glo bale qui l galisait le t l chargement de musique par le proc
251. rvices des informations multi lingues gr ce des personnels recrut s sur des bases linguistiques des cours d anglais pour adultes et enfants des groupes de conversation une pr paration l examen pour l obtention de la citoyennet canadienne des pages d di es sur le site web de TPL Connexions multiculturelles la recherche d un emploi L heure du conte par t l phone Dial a story ou plut t des contes 7 24 365 en huit lan gues diff rentes et pour deux tranches d ge distinctes e Des partenariats avec des tra vailleurs aidant l insertion dans 29 annexes des interpr tes des assis tants juridiques des associations eth noculturelles R sultats L emprunt de documents en langues trang res a augment de 40 depuis 1999 et repr sente aujourd hui 15 du total des pr ts l utilisation des ressources ESLa cr de 40 depuis 2001 Dial a story re oit 18 ooo appels mois soit 600 jour Deux langues suppl men taires vont tre introduites le somali et le tamoul Les travailleurs sociaux ont port assistance 4400 personnes en 2005 n y a pas meilleure fa on d voquer le succ s rencontr qu un t moignage Je suis un nouvel immigrant et ce ne serait pas facile pour nous de vivre ici si nous n avions pas une biblioth que comme celle l La plupart des gran des biblioth ques publiques du monde font aujourd hui des choix stra
252. s ins crit dans le contexte d une circulaire minist rielle d crivant le nouveau circuit national de gestion des th ses lectroniques a t con u en fonction des exigences suivantes que ne garan tissent pas forc ment les dispositifs existants e Le d p t lectronique de la version finale de la th se apr s corrections ventuelles demand es par le jury et vali dation de l universit e Le signalement dans le catalogue Sudoc e La diffusion la plus large et la plus rapide possible sur le web selon l autorisation donn e par l universit et dans le respect de la propri t intellectuelle de l auteur e L archivage p renne garantissant un acc s durable l in formation par del les volutions technologiques Outre ces exigences minimum Star permettra aussi de d mat rialiser le circuit de gestion et de diffusion des th ses d p t des fichiers de la th se en XML ou PDP saisie des m tadonn es 8 descriptives ou de gestion administration archivage droits Pour les tablissements d j dot s d un dispositif de ges tion des th ses l Abes d veloppera une version permettant d importer directement les m tadonn es dans Star pour vi ter les doubles saisies Quant la diffusion de la th se elle demeure du ressort de l universit qui est libre de la d poser dans les serveurs de son choix dans son propre serveur celui du CCSD9 etc Porteur d enjeux strat giques pour la
253. s bibliographiques utilis es a accompli un norme travail sur le terrain se d pla ant et enqu tant aupr s des biblioth ques de mosqu es et de zaou as Ahmed Radja cohabitent les lieux de commerce et de culte Pour monter ce projet l auteur a men des enqu tes sociologiques aupr s des lecteurs et interm diaires du livre islamique dans ses lieux de vente mais aussi dans les autres espaces de sociabilit qui provoquent la lecture religieuse et enfin dans le monde de la production diteurs imprimeurs de la distribution et de la diffusion plus particuli rement Paris Pour nous professionnels du livre comme pour le lectorat du livre religieux islamique ce livre est une source d information et de localisation des librairies sp cialis es On peut regretter que l auteur n ait pas eu le temps ou les moyens d aborder le chapitre des librairies ambulantes stands de livres religieux sur les march s publics Paris ou en banlieue qui se sont d velopp es ces derni res ann es en contrepoint des v nements du monde musulman et plus particuli rement en Alg rie Ahmed Radija ind pendant Ir ne Lindon G rard Bobillier ou pas Sorin obstin ou opportuniste autant de figures de l diteur cf BIBLIOth que s n 26 27 p 111 pour un pr cieux portrait cubiste Pr cieux car il s y trouve quelques jugements qui en peu de mots disent beaucoup et suffiraient qu on les m dite as
254. s biblioth ques de l Unikin et demander la participation des pays amis cette op ration e Rendre obligatoire l abonnement la biblioth que tout tudiant de l Unikin fixer un taux pour les frais de la Congo avant apr s La Bu de l Universit de Kinshasa 47 DOSSIER biblioth que payer d s l inscription l universit et r troc der ces frais la BU e Travailler institu tionnaliser les apports Donn es virtuelles D a pays amis quinquenna les ou d cennales comme avec la Belgique pour viter les coop rations ponctuelles qui favorisent le d tournement du mat riel et des ouvrages destin s aux biblioth ques Redynamiser les services des biblio th ques e Rendre les biblio th ques facultaires et sectorielles plus proches des usagers proximit O mises en bouche g ographique pour les distance les nouveaut s attisent l app tit des consultants fonds physiques et proxi mit disciplinaire du per sonnel adaptant leurs services aux sp cificit s locales et se perfectionnant dans les outils sp cialis s e Rajeunir le corps des biblioth caires n engager que ceux qui remplissent les conditions et exiger le recyclage obligatoire de ceux d j en place d faut les ramener l administration centrale e Former le personnel aux nouvelles technologies et sp cialement la formation au service au public la recherche et l aide
255. s campus 12 p les th matiques 6 p les dans chaque BU 265 000 ouvrages recot s en 3 ans 25000 ouvrages d sherb s 22 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE AUCE ANNE MARIE MOULIS Universit Toulouse Le Mirail Directrice du D partement archives et m diath que Des biblioth ques docdisess EF Midi Pyr n es les BU d localis es sont contemporaines de la cr ation d antennes universitaires dans les villes moyen nes de la r gion Blagnac Cahors Figeac Foix et Montauban Elles sont n es de la volont des collectivit s territoriales d ac cueillir des universit s soit pour s dentariser leur population jeune notamment pour les premiers cycles soit d accueillir des formations professionnelles vitrines de p les d excel lences technologiques susceptibles de cr er une synergie entre acteurs conomiques et universitaires Elles se sont conform es en cela aux plans Universit s 2000 et U3M et ont trouv leurs financements dans les contrats de plan tat r gion Les biblioth ques sont au c ur de ces dispositifs notam ment pour les formations qui se sont d plac es avec leurs ressources documentaires compl ments indispensables leurs enseignements Elles sont aussi au c ur d op rations de construction ou de r novation immobili re celles des anciennes coles normales d instituteurs en particulier o elles deviennent des b timents embl matiq
256. s des musiques imag es Bobines m lodies Les joueurs e 27 et 28 janvier P ronne 80 le 18 Salon du livre neuf et ancien de P ronne offre une occasion importante aux auteurs notamment picards de pr senter des uvres souvent m connues D dicaces expositions animations Espace Mac Orlan de 9h 19h Entr e gratuite T l 03 22 73 3100 e 28 janvier Tr voux 01 11 Salon du livre et du disque Salle des f tes bd des Combattants Tr voux 25 km de Lyon 20 exposants professionnels de Rh ne Alpes de 8h 18h Renseignements Le Tournesol T l 04 74 00 56 20 e 31 janvier Paris 75 journ e d tude valuation et validation de l information sur Internet organis e par le r seau des URFIST Amphith tre Poincar minist re de la Recherche Carr des sciences 1 rue Descartes e 31 janvier au 4 f vrier Saint Paul Trois Ch teaux 26 Les bruits sont l honneur de cette 23 f te du livre de jeunesse un th me tapageur pour entendre paroles envahissantes po sie sonore et tr pidante et bonnes rumeurs la source de toutes les histoires e 3 et 4 f vrier Chartres 28 1 Salon du livre ancien et moderne de Chartres aura lieu dans la salle Jehan de Beauce Mairie Renseignements et inscriptions Association Ici et L c o Librairie Les P tits Papiers 29 rue de la Clouterie 28000 Chartres t l 02 37 36 33 40 e 2 17 f vr
257. s et aux orga nismes de recherche dans le secteur des m tadonn es et de l archivage p renne L Agence collabore aussi activement aux travaux de normalisation dans pas moins de 9 groupes allant de l interop rabilit technique la terminologie Le succ s de l Abes repose sur un partenariat constant et attentif d abord avec les biblioth ques du r seau Sudoc mais aussi avec le Cines Centre informatique national de l enseignement sup rieur pour l h bergement des serveurs et son implication dans plusieurs projets dont Star et lar chivage des p riodiques commerciaux la BnF avec laquelle l Abes entretient un dialogue constant dans le souci d assu rer une meilleure visibilit des ressources documentaires fran aises via le Catalogue collectif de France et tous les autres partenaires qui lui permettent de rendre les servi ces qu attend d elle la communaut des universit s et de la recherche D 10 D velopp l initiative du consortium Couperin PAPE est un outil d ad ministration des collections de p riodiques lectroniques mis jour sur un mod le collaboratif 32 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ulge ER LL E je ant RE FRAN OIS CAVALIER SCD de l universit Claude Bernard Lyon 1 Couperin la crois e des chemins R flexions pour l avenir Les BU ont affront les premi res la tourmente de l dition en l
258. s et centres de documentation musicaux groupe fran ais APRONET Association des professionnels Internet des collectivit s publiques locales FILL F d ration interr gionale pour le livre et La lecture IB Images en biblioth ques Site http droitauteur levillage org Courriel contact droitauteur levillage org 61 EE de IABF LES EXCEPTIONS AU DROIT D AUTEUR ET AUX DROITS VOISINS Le Code de la propri t intellectuelle CPI reconna t aux auteurs d uvres de l esprit et aux titulaires de droits voisins artistes interpr tes producteurs de phonogrammes et de vid ogrammes entreprises de communication audiovisuelle un droit exclusif d autorisation de reproduction et de communication au public sous toutes ses formes et sur tout support Avant le vote de la loi DADVSI il pr voyait quelques exceptions ce droit exclusif comme Les repr sentations priv es et gratuites dans Le cercle de la famille les copies r serv es l usage priv du copiste ou les courtes citations Une exception dispense de La demande d autorisa tion mais peut tre compens e financi rement Les nouvelles exceptions dans Le CPI par la loi DADVSI et concernant directement les biblioth ques introduites sont les suivantes L exception de reproduction des fins de conservation et de communication sur place Est dispens e d autorisation la repro duction d une uvre ou d une interpr tation d un phonogr
259. s et les chercheurs se d brouillent comme ils peuvent par toutes sortes d artifices 1 Madeleine Jullien Une biblioth que dans son temps in Penser b tir la biblioth que de l Universit de Paris 8 1998 p 5 D 2 i s En 1990 devant l ac croissement specta culaire des effectifs l tat d cide d in vestir dans de nou veaux b timents L universit saisit cette opportunit Le concours finan cier des collectivit s locales est pr vu Mais d autres pro grammes jug s prioritaires sont servis les premiers De 1991 1996 ind ci sions et atermoiements retardent la mise en route du processus Le financement disponible en 1996 ne semble pas permettre la r alisation d un b timent important Pressentie au d part comme ma tre d ouvrage la R gion a une id e bien elle une sorte de BU vocation r gionale t moi gnant du savoir faire des collectivit s en mati re universitaire Le projet fait long feu Le dossier part aux oubliettes apr s ce conflit larv de conceptions Le projet est relanc sur de nouvelles bases l occasion d un changement d quipe la direction de l universit gt Le c ur battant de l universit La future biblioth que devrait offrir les fonctionnalit s d un service documen taire qui puisse accueillir plus d tu diants dans de meilleurs conditions leur offrir l acc s aux nouveaux supports de l information d velo
260. s la documentation et c est quelque chose qui me choque de voir toutes ces ressources bloqu es sous pr texte que nous n avons pas le titre m dical ou tudiant en m decine Nous disposons sur l tablissement d une annexe de la biblioth que m dicale de la facult de M decine de Necker Avec les circons tances du regroupement de l h pital il y avait plusieurs universit s r par ties sur les trois tablissements il n y en a plus qu une Necker est devenu l universit de r f rence pour les tu diants en m decine qui travaillent chez nous l espace pr vu pour la biblioth que se trouvait sans documentaliste L h pital a donc engag une personne venue d une biblioth que m dicale de l H tel Dieu qui travaillait depuis dix huit ans dans ce domaine poss dant de bonnes connaissances du sujet et une solide ma trise des probl mes des bases de donn es m dicales et des revues lectroniques en ligne De son c t l universit a engag un adjoint administratif au rectorat d acad mie qui se trouve donc d muni voire perdu face aux probl mes de documentation m dicale L universit qui conna t aussi des difficult s financi res a embauch en plus un contrat aid CAE la biblioth que m dicale J ai aussi un contrat d avenir pour nous aider ici la biblioth que de l HEGP puisqu on a deux biblioth ques en plus e Le statut de technicien sup rieur
261. s politiques documentaires diversit accrue des publics et des services etc La souplesse de fonctionnement des CFCB leur permet d offrir toujours de nouveaux stages sur le droit la num risation etc et de proposer des journ es d tude et de d bat souvent avec des partenaires locaux agences de coop ration groupes ABF etc Les CFCB sont donc aujourd hui reconnus par les BU comme un partenaire naturel et un outil de leur d veloppement En retour les BU et Les plans de formation ont permis aux CFCB de construire annuellement une offre de formation au plus pr s des besoins du terrain et des volutions du m tier Christophe Pavlid s Directeur de M diadix universit Paris 10 Liste des Centres la carte de leur p rim tre g ographique est sur Le site de M diadix http netx u paris10 fr mediadix concours Carte htm e Bordeaux M diaquitaine Montesquieu Bordeaux 4 e Marseille CRFCB Provence Aix Marseille 1 http mediaquitaine u bordeaux4 fr http www up univ mrs fr e Caen CFCB Universit de Caen http www unicaen fr cfch e Nancy Medial Nancy 2 http www univ nancy2 fr MEDIAL e Clermont Ferrand CRFCB Blaise Pascal Clermont 2 e Poitiers M dia Centre Ouest universit de Poitiers http www univ bpclermont fr crfb http www univ poitiers fr univ mediacentreouest htm e Dijon Bibliest Universit de Bourgogne e Rennes CFCB Bretagne Pays de la Loire Haute Bretagne http
262. s sont devenus et en quoi leur dipl me ABF leur a t utile L AG du 22 janvier la M diath que d partementale du Doubs sera suivie d changes autour des exp riences et des projets et d une visite de la biblioth que du Centre r gional d enseignement et d ducation sp cialis s pour d ficients visuels CREESDEV aux Salins de Bregille sous r serve E LORRAINE Suite l AG de 2006 le groupe Lorraine de l ABF a cr une commission Animation Coordonn e par quelques membres du CA elle r unit tous les trimestres un groupe d une dizaine de biblioth caires travaillant en direction de tous les publics Elle se veut un lieu de r flexion et de ressources ses objectifs organiser des journ es d tude partager des animations premier projet le lancement d un r pertoire interactif de ressources pour les professionnels lorrains l Animath que lorraine visible dans les pages Lorraine du site de l ABF Les professionnels du livre de Lorraine peuvent y pr senter toute animation qu ils ont organis e dans une biblioth que de la r gion Les fiches descriptives sur les intervenants ou les animations sont consultables dans les COLLECTION MEDIATH MES Actualit s de IA BF lo rubriques de l Animath que Les informations collect es permettront des coll gues nous le souhaitons de mettre en place plus facilement les animations dans leurs tablis
263. s textes d finissant ses missions et son organisation sont toujours en cours d approbation par le parlement libanais Ce dernier doit aussi valider la cr ation d un tablis sement public pour la BN Gr ce au soutien de l Agence intergou vernementale de la francophonie AIF en 2002 le minist re de la Culture a mis en place un service de la lecture publique et cr 14 Centres de lec ture et d animation culturelle CLAC Depuis cette date il a poursuivi seul la cr ation de 4 nouveaux CLAC et mis en place une convention de partena riat avec les autres biblioth ques de lecture publique associatives priv es ou publiques d j existantes qui le souhaitaient La municipalit ou l as sociation qui signe avec lui la conven tion de partenariat s engage mettre en place un comit de gestion compos de repr sentants de la population et des usagers Celui ci soutient l action du biblioth caire souvent seul salari dans l quipement avec l objectif d im pliquer des habitants dans le d velop pement de la lecture La France a t aussi tr s pr sente en dotant les biblioth ques de lecture publique et les biblioth que scolai res de collections en fran ais et en proposant des formations et l accueil de biblioth caires sur son territoire En 2005 le minist re a organis le col loque Pour une politique du livre et de la lecture au Liban qui a r uni plus de 250 professionnels de
264. sainir consid rablement l cosyst me de la profession Que Pauvert insiste sur le go t nombre d diteurs ont le soin mais pas le go t Nadeau sur l articulation des diff rents temps de l dition savoir survivre au pr sent en b tissant un catalogue sur le long terme P Otchakowsky Laurens sur la fid lit aux auteurs Tournier sur le m tier de tueur qu est celui de lecteur ces le ons de m tier valent tous les cours de toutes les coles De m me lorsque Bobillier Verdier d finit l chelle et le sens de son travail raccourcir le temps de reconnaissance des crivains tre leur valet d dition Trois tudes compl tent le tableau sur le fonctionnement du comit de lecture et la politique ditoriale de Gallimard Bessard Banquy sur la gen se passionnante de la collection Fiction et Cie et la red finition des collections au Seuil Herv Serry et un tableau sans concession de la situation faite la librairie victime consentante de la politique de l office J P Ohl Laissons le dernier mot G Monti r solvant la perfection les tensions d un m tier cartel entre la cr ation et l conomie Notre travail a un co t mais il n a pas de prix Philippe Levreaud BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE SEE TE E ONISEP Etudes metiers re rmatie LI TCEL Chaque titre de cette collection est une v rit
265. saisir pour gravir tous les chelons jusqu la d putation avec le noble programme d instruire le peuple Dans le priv il se prend de passion pour l art encore frais des affichistes Dans la typologie des collectionneurs que M Melot s est attach tablir Dutailly fait figure singuli re croisant toutes les cat gories la fois t moin p dagogue et militant Son go t tourn vers les petits ma tres n est pas aventureux et si la convergence de l esprit de sa collection et de ses id es politiques n est pas tout fait attest e elle est pourtant avanc e par M Melot et N H Zmelty 65 reproductions dont une cinquantaine qui forment la section centrale de l ouvrage ne tentent pas de donner une id e repr sentative des 5000 pi ces de la collection mais forment plut t une sorte d hommage second Ch ret qui constitue lui seul un cinqui me de la collection le CRDP de Champagne Ardenne et la ville de Chaumont proposent en un CD rom La Belle poque dans les affiches 91 Q otes de lecture de la collection Dutailly un panorama largi de 450 affiches Les articles qui encadrent ce catalogue tant eux m mes g n reusement illustr s l ensemble forme un ouvrage fort attrayant et judicieusement con u qui s ach ve sur un aper u de sa biblioth que galement l gu e On comprend par son tude d taill e que l homme n tait pas insensible la frivolit du moment et que
266. sation de la culture Combien d ann es ont elles devant elles Dix Cinq Trois Si l on se limite leur r le de fournisseur d in formations et de collections la question aujourd hui selon Tom eh k n est plus de savoir si les biblioth ques sont destin es dispara tre mais quand moins qu elles ne se transforment en autre chose La richesse des interventions trang res a fait du congr s de Paris une tape majeure pour les directeurs des grandes biblioth ques publiques La Mairie de Paris consciente de la port e de l v nement avait apport tout son soutien l organisation de cette conf rence dont le succ s a t complet La prochaine aura lieu Seattle USA du 6 au 10 mai 2007 Sur le th me Les biblioth ques m tropolitaines face au changement s envoler vers l avenir tout en gardant le meilleur du pass Aline Girard Billon Conservateur g n ral Bureau des biblioth ques de la lecture publique et du multim dia Une s lection des interventions donn es dans le cadre de cette con f rence sera disponible en ligne sur les sites de l ABF et de l IFLA 71 E et architecture Espaces pens e De l id e la d cision de l engagement d un budget la commande puis la r alisation le film d une construction en acc l r et en st r oscopie celui de la BU de Toulouse 2 Le Mirail 1997 2004 et de la
267. se e Formation critique du livre jeunesse pour les journalistes e Soutien la cr ation de collections pour la jeunesse e Campagne nationale sur la lecture e Colloque Biblioth ques et coles e Traduction en arabe de documentation professionnelle e Soutien au premier festival du livre jeunesse itin rant Quelques unes des actions soutenues par le FSP en 2006 e Dotation documentaire des biblioth ques partenaires et de 2 biblioth ques r gionales en cours de cr ation Tyr et Saida e Formation politique documentaire et stage en France pour 13 biblioth caires e dition 2006 de la brochure Auteurs illustrateurs diteurs de livres de jeunesse au Liban en arabe et en fran ais e Soutien la revue Hamzet Wasl e Cr ation d un centre de documentation professionnelle au minist re Agenda ici et ailleurs 2006 espace du livre francophone au Salon du livre arabe de Beyrouth 2007 Liban invit des Belles trang res 2008 candidature de Beyrouth comme capitale mondiale du livre aupr s de l Unesco 2009 jeux de la francophonie BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE ER CL Ed Animation Biblioth que d Amioun faiblesse du budget du minist re de la Culture et des municipalit s Le projet de coop ration sign avec la France renforcera donc les capacit s d inter vention du minist re en particulier pour la formation
268. se pr sente comme un tapis de lecture molletonn d ployer comme on l imagine mais toujours sous l il blanc et noir complice vigilant et protecteur du poisson d pourvu de dents Le T trodon est donc aussi un objet Tout comme Mimoza Face cie Kazba C ph e objets design con us et prototyp s par les joyeuses inventrices de 3 pieds 6 pouces fabriqu s par des artisans ou r alis s par le Centre d aide par le travail de M rignac Ces quatre objets structures la plastique s duisante permettant d arpenter des lieux merveilleux ou fantastiques et de basculer dans les contes aux temps forts de la lecture La mise en uvre de chantiers d ateliers interactifs avec des plasticiens constituent un troisi me axe d intervention artistique pour stimuler chez Les enfants leur sens de l appropriation de la construction et de l investissement de l espace lib rant ainsi la puissance des images et la magie des mots rencontr s dans les livres Car l ambition des plasticiennes est bien de s inscrire dans un projet et une d marche de valorisation du livre Jeunesse 3 pieds 6 pouces dont les cr ations rencontrent l agr ment de la DRAC et du Conseil r gional d Aquitaine appara t comme un partenaire sympathique et dynamique des m diath ques elles m mes l occasion passeuses de commande Le champ d intervention qui voit la plastique des mots mirer la mise en espace des histoires reste u
269. sements Nous insistons sur l aspect qualitatif de notre r pertoire Il ne s agit pas d tre exhaustif mais de recommander aux coll gues tel intervenant ou de lui signaler telle forme d animation Nous travaillons galement la r alisation d un vademecum rassemblant toutes les informations administratives et des conseils pour une bonne organisation des animations Contacts commission Animation Julie Brau M diath que de Metz Isabelle Huber M diath que La prochaine publication de la s rie M diath mes sera consa cr e aux publics emp ch s En lien avec la th matique de notre prochain congr s rappelons notamment que Pluralit culturelle en actes Un nouvel enjeu pour les biblioth ques publiques est encore disponible 17 Au sommaire de ce M diath mes n 5 les actes de la journ e d tude ponyme de 2002 en PACA prolong s par la synth se d une autre JE sur le m me th me la BPI en mai 2003 le compte rendu du col loque de l Ifla Public libraries and multilingual collections Utrecht 2003 et des fiches pratiques sur les langues trang res en biblioth que les librairies sp cialis es la translitt ra tion et les directives sur les communaut s multiculturelles galement disponible Les services de la biblioth que publi que principes directeurs de l Ifla Unesco Un v ritable vade mecum du biblioth caire 15 Par aille
270. set et Lyon Paris avec Ambite et Isarague Toulouse Pierre Riboulet Paris D s le 13 d cembre ces cinq quipes ont re u le programme du concours avec les plans compl mentaires C est Pierre Riboulet qui a remport le concours l issue des entretiens avec le jury le 23 avril 1997 gt Une r ponse juste et chaleureuse aux attentes et aux besoins Dans sa note de pr sentation du projet l architecte prend la mesure de l enjeu Une biblioth que malgr la profu sion des supports immat riels qu elle accueille leur instantan it l trange rapport qu ils installent pouvant la limite faire douter de la r alit des cho ses rec le toujours certaines valeurs du temple d un lieu o l on per oit m me de fa on fugitive qu on pourrait avoir faire avec l infini avec le temps C est pourquoi il nous a paru n ces saire de donner un certain caract re ce b timent dans son int rieur mais aussi dans sa mani re de se manifester cet endroit Il est rev tu enti rement de bri ques Toulouse oblige bien que len vironnement imm diat semble l avoir oubli ce qui lui conf re cette chaleur irrempla able cette pl nitude et cette unit que l on sentira esp rons nous d s l entr e Il n est pas un b timent p un e pe A ap 10 U Cette belle lumi re du Nord med un e x ai d 10 amp La
271. stituant l homme sa pleine dimension exemplaire bien des gards Ce bon l ve a en effet fondu et transform divers h ritages familiaux en pousant pleinement les tendances fortes du si cle Retournant bient t son ducation catholique en anticl ricalisme r publicain il prolonge les observations d une enfance agreste par des tudes de botanique qui le conduisent professer l universit de Lyon o il s illustre surtout en restaurant le parc de la T te d Or Mais les sir nes de l action Notes de lecture Jo r el f ministe et europ en Sc nographe par le regard critique ironique de la platitude du pr sent interrogeant lavenir artiste de la d ception fustigeant le conformisme bourgeois dans lequel se liquident les feux enthousiastes de la R volution Stendhal a tabli son atelier d criture sur les pilotis de la presse G Rannaud et Y Ansel D gag des conventions dans ses relations aux femmes la ville comme dans ses crits De l amour il a reconnu pour tel le r le de l imaginaire en faisant sa part au r alisme cru C Mariette Clot Quant au milanese s il constate la d g n rescence de l art en Italie et d plore que l utile l ait fait fuir son pass couve comme une braise qui n attend qu un souffle pour flamber de nouveau ce qui manquera toujours au g nie fran ais trop intelligent pour sentir auquel certaine na vet fait d faut P Bertier
272. stitution nelles peu habitu es collaborer Dans le pire des cas la biblioth que devient l enjeu de conflits de pouvoir o chacun tente d installer sa souverainet institu tionnelle la collectivit ou p dagogique l uni versit expression du droit de propri t par l autoritarisme sur les personnels horaires cong s refus de d l guer la responsabilit de la biblioth que des personnels tran gers la collectivit Comment concilier multiplication des sites et diversit de l offre en r ponse l exigence de proximit avec la rationalisation des acquisitions de la gestion des fonds et des personnels Int gration politique documentaire mutualisation des ressources sont les outils de la d mocratisation du savoir Montauban m diath que du centre universitaire occupation de la biblioth que comme espace de repr senta tion d veloppement de collections inadapt es la vocation universitaire de la biblioth que introduction d ouvrages obsol tes pour occuper les rayonnages et marquer le terri toire refus d harmoniser les pratiques documentaires afin de pr server leur identit aux fonds souvent artificielle et ANNE MARIE MOULIS D Des biblioth ques d localis es DOSSIER source de disfonctionnements utilisation de logiciels docu mentaires diff rents avec bases et dispositifs d emprunts diff rents obligeant les personnels
273. t giques et parfois radicaux en mati re de col lections de servi ces de publics de partenariats Mais ce qui rapproche et unit beaucoup d entre elles c est une inqui tude sur leur devenir moyen terme on h site voquer le long terme Comment les biblioth ques publiques peuvent elles se cons truire un avenir interroge Susan Kent directrice des 85 annexes de T eh k Susan Kent New York City 69 E rtages la New York Public Library La biblio th que est devenue nolens volens un organisme en mutation permanente oblig de s adapter une soci t et un environnement eux aussi en inces sante volution C est la capacit des managers et des d cideurs transfor mer l institution qui peut faire la diff rence entre une biblioth que vivante et une biblioth que en coma d pass La conviction de Susan Kent de nou velles responsabilit s et un r le majeur pour les managers leaders dans la capacit d adaptation des biblioth ques est largement partag e par les professionnels am ricains Il est vrai que la responsabilit du directeur est lourde L un des d fis majeurs aux quels les managers de biblioth ques ont faire face aujourd hui est d ima giner et de d crire la biblioth que de l avenir gt Survivre La biblioth que publique a d j mu plu sieurs fois en quarante ans Aujourd hui l emballement
274. t en France le CTLes Les transferts au CTLes ont all g les magasins et permis d engager des actions de coop ration Le plan de conservation partag e des p riodiques du secteur m dical pourrait tre suivi d initiatives dans d autres secteurs disciplinaires cf encadr p 15 16 Plus r cemment la pr figuration de la biblioth que Sainte Barbe a conduit la Direction de l enseignement sup rieur lancer le projet d une carte documentaire du Quartier latin Apr s un tat des lieux engag en 2005 les SCD et SICD du Quartier latin devraient mettre en place une politique d acqui sition concert e pour chaque discipline 12 11 Dont deux biblioth ques de grands tablissements le Mus um et l Ob servatoire 12 Emmanuelle Gondrand Sordet La mise en uvre d une politique docu mentaire de site l exemple du Quartier latin Bulletin des biblioth ques de France t 51 n 1 p 74 80 16 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE ulge TER LL Et si vous passiez au livre lectronique Eliminez de nombreuses proc dures manuelles et physiques Cffrez un acc s optimis vos collections d ouvrages e Froposez une plus grande disponibilit du mat riel et de meilleures conditions d utilisation sagnez de ls place en rayonnage Supprimez les risques de d t rioration et de vol du mat riel EBSCC est fournisseur officiel des collections de livres lec
275. tenant la coordination l chelle r gio nale a rarement r sult de la coop ration entre universit s ou avec des partenaires locaux mais plus souvent de d cisions de l tat Cela tient surtout au r le national de certaines gran des biblioth ques et au poids de l le de France On compte des SICD parmi les biblioth ques Cadist10 la Sorbonne la 8 Cf l enqu te OPLPP SCP en 1997 dont les r sultats ont t publi s en 1998 Voir Aline Girard Billon Jean Fran ois Hersent Pratique des biblioth ques Paris aujourd hui r sultats d une enqu te de l Observatoire permanent de la lecture publique Paris BBF t 43 n 4 1998 p 13 22 9 La carte tudiant Paris lanc e en 2004 par la Ville de Paris avec les universit s volontaires pourrait terme jouer ce r le 10 Les Cadist constituent des r seaux disciplinaires nationaux pour la recher che et re oivent des cr dits pour d velopper des ressources fran aises et tran g res aussi exhaustives que possible BIUM la Pharmacie la BIC Jussieu Cujas mais aussi des SCD Paris 8 Dauphine Paris 11 L le de France r unit 11 des 26 biblioth ques Cadist 1 et joue un r le majeur dans ce r seau Certains de ces Cadist sont aussi des p les asso ci s th matiques de la BnF La coop ration dans le domaine de la conservation r sulte aussi d une impulsion nationale avec la cr ation de la pre mi re biblioth que de d p
276. tile ici livr aux ma tres chiens Quant la biblioth caire d butante victime fascin e d un universitaire pr dateur sa m ta morphose l emporte avec lui dans les vertiges d une passion d vorante Sophie Avon sur Les traces fumantes de Claire Denis Trouble every day fera certainement l objet de toutes les attentions des prochains colloques sur ce m me sujet Philippe LEVREAUD associant tous les acteurs du circuit de la th se doctorants services de scolarit coles doctorales Centres de ressources informatiques CRI L Abes apporte par ailleurs son soutien aux tablissements pour l acquisition de ressources lectroniques en troite colla boration avec Couperin Consortium universitaire de p riodli ques num riques Couperin s lectionne les ressources avec son r seau d experts l Abes associ e aux n gociations prend le relais pour passer les march s avec les diteurs payer une facture unique et refacturer individuellement leur contribution aux tablissements En 2005 l Abes a coordonn 6 march s de mise disposition de ressources lectroniques regroupant de 23 127 tablissements pour un montant glo bal de plus de 10 millions d euros Cette activit qui soulage les tablissements d un travail administratif important est appel e se d velopper avec la modification du statut de l Abes qui lui permettra de devenir RAYMOND B RARD DOSSIER Du catalogue
277. tous les avanta ges de la construction d origine D une superficie de 1 400 m2 elle poss de 24 ordinateurs 12 dans la biblioth que et 12 dans une salle s par e o sont don n s des cours pour le public mais aussi pour le personnel des biblioth ques Ouverte en 2003 elle va servir de mod le aux prochaines constructions de Prague gt Le Klementinum BN de la R publique tch que On y trouve plusieurs b timents spec taculaires la chapelle la tour astrono mique et la biblioth que des J suites Aujourd hui salle de concerts et d expo sitions dot e d une tr s bonne acous tique la chapelle d di e la Vierge appel e galement chapelle des miroirs a t construite entre la fin de la Renaissance et le d but du Baroque Miroirs toiles au plancher fresques et tableaux retracent l histoire de Marie La tour astronomique domine le Klementinum et offre de son sommet D gt N O lt lt N N O Nb 8 une vue compl te de Prague Aux dif f rents tages on d couvre avec curio sit des appareils de mesure sextants etc et la repr sentation du m ridien de Prague La biblioth que des J suites de style baroque tch que construite en 1727 prot ge 50 000 livres et conserve aujourd hui de nom breux globes terrestres et astro nomiques Le degr d hygrom trie tant correct cette salle ne n cessite ni lectricit ni chauf
278. troniques de grands noms de l dition internationale parmi lesquels Springer Taylor amp Francis Cambridge University Fress Wiley et Fan American Health Organisation Faites appel un expert pour la fourniture de vos collections de livres lectroniques et b n ficiez des m mes avantages qu avec les revues lectroniques facilit de gestion service clients personnalis int gration de vos collections aux interfaces Web EBSCO www ebsco fr CUSTOMERFOCUSEDCONTENTDRIVEN mens assise DOSSIER Le poids des grandes biblioth ques vident deux SICD rassemblent plus d un million de livres du Quartier latin et leur r le national Sorbonne et Sainte Genevi ve trois d entre eux plus de ne doivent cependant pas faire oublier 500000 Cujas Langues orientales et la BDIC tandis que le un des faits majeurs de ces quinze der seul SCD franchir ce seuil est Paris 10 ni res ann es le d veloppement des e Les acad mies de Cr teil et Versailles se renforcent SCD en particulier dans les universi on le voit pour les moyens capacit s d accueil personnel t s p riph riques et les universit s collections comme pour l activit entr es pr ts et commu nouvelles On peut tirer trois constats nications du tableau retra ant l volution des e Le poids de l le de France au plan national important BU d le de France de 1991 2003 cf varie selon les crit res particuli rement fort pour les coll
279. tuit Actuellement la biblioth que centrale est ouverte 5 jours dans la semaine Un projet est en cours pour proposer une ouverture 7 jours sur 7 Les usagers peuvent galement inter roger distance La centrale compte 58000 inscrits re oit 3000 4000 adh rents par jour et pr te en moyenne 160 180 documents par heure Avec les biblioth ques du r seau le pr t de documents s l ve sept millions par an On compte 150 000 livres dont 120 000 en libre acc s Un service de Biblioth que nationale de la R publique tch que Le Klementinum renseignements est mis disposition Une des particularit s de la centrale est la pr sence de 12 000 partitions en magasin et d un piano lectronique uti lisable avec un casque La pyramide de livres une particularit situ e l entr e de la biblioth que cen trale est l uvre d un auteur slovaque vivant Prague Les miroirs plac s l in t rieur et les jeux de lumi res donnent une impression d infini gt La biblioth que du Quartier Smichov Prague 5 Le responsable des dossiers techni ques de construction et reconstruction du r seau des biblioth ques de Prague nous pr sente la biblioth que du quar 59 EE de I2ABF La biblioth que du quartier Smichov tier Smichov le deuxi me plus gros quartier de Prague Construite dans un ancien local de stockage de supermarch cette biblio th que a su exploiter
280. ture Pour conna tre les services offerts par chaque m diath que et la programmation des rendez vous culturels www aphp fr rubrique Lire voir et se docu menter G r s par des b n voles 17 points lecture sont implant s dans les tablissements o il n y a pas de m diath ques e Le Centre Inter M diath ques Il est responsable de la politique de lecture publique l AP HP d velopp e au travers des m diath ques et les points lecture il propose des ressources sur la lecture et les m tiers du livre aux personnels de l institution il organise des formations insti tutionnelles autour du livre et de la lecture il intervient sur site pour l laboration de projets de cr ation de m diath ques pro jets lecture en services de soins cr ches et centres de loisirs il organise la promotion et la communication interne et externe e Renseignements D l gation la formation et au d veloppement des comp ten ces DDRH Centre Inter M diath ques Claudie Gu rin 10 rue des Foss s St Marcel 75005 Paris 01 40 27 50 00 claudie guerin sap aphp fr BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LEE Cul Ed biblioth caires dipl m s Au gr des ans les coll gues partent la retraite et ne sont pas remplac s La disparition du CAPB et des formations courtes a mul tipli les difficult s Lorsqu une de mes coll gues est partie sa rempla ante a t recrut e en cat gorie C D
281. u en p riph rie qui a conduit apr s mai 1968 la division de l Universit de Paris en treize universit s Cette cat gorie comprend des BU de tailles diff rentes avec des quipements de plus de 10 000 m Orsay Nanterre Saint Denis et d autres de moins 1 Cet article traite des biblioth ques des universit s et n aborde pas les biblio th ques des grands tablissements en raison de leurs sp cificit s de 5 000 m Tolbiac Censier Clignancourt On y trouve des biblioth ques pluridisciplinaires et d autres dominante disciplinaire Les sections sant y constituent un groupe par ticulier dont la carte pouse celle des CHU Le troisi me cercle est celui des nouveaux sites cr s dans les ann es 1980 1990 quatre universit s nouvelles dont une Marne la Vall e attend toujours la construction d une biblio th que De plus de nouvelles antennes universitaires ont t dot es de centres documentaires rattach s aux BU existan tes la plupart l exception de Melun centre juridique et conomique concernent des sites IUT ORDONNER COORDONNER Les r les et missions respectifs de ces biblioth ques ont vo lu depuis 1968 mesure du d veloppement universitaire ce qui a conduit trois changements statutaires en vingt ans L int gration des biblioth ques dans les universit s s est ren forc e chaque tape En 1972 furent cr es trois BIU g rant l ensemble des b
282. ue 58 des usagers appartiennent des foyers dont le revenu net mensuel est inf rieur 2300 euros Bien mais pr cisons si toutes les cat gories sociales fr quentent les biblioth ques municipales la proportion d usagers varie du simple au double selon les cat gories 20 des agriculteurs et des ouvriers se rendent en biblioth que 40 des employ s 44 des professions interm diaires 50 des cadres sup rieurs De plus au del de la stabilit sociologique la part des dipl m s du sup rieur est en augmenta tion cela s explique par l l vation des niveaux de dipl me dans la population et par le renforcement de la pr sence des tudiants dans les biblioth ques les dipl m s du sup rieur repr sentent 42 du public en 2005 contre 32 en 1997 Le niveau de dipl me reste le crit re le plus explicatif le taux de fr quentation dans les biblioth ques municipales varie entre 20 pour les Fran ais sans dipl me et 58 pour ceux qui ont un niveau gal ou sup rieur Bac 5 Enfin plus le niveau de dipl me augmente plus les usagers sont des emprunteurs actifs la proportion d ins crits varie de 11 pour les sans dipl me 42 pour les Bac 5 Les pistes de r flexion sont ouvertes Si l enqu te du CREDOC ne liste pas stagnations r gressions ou inqui tu des elle num re toutefois les condi tions d une poursuite positive vers un horizon 2010 sinon radieux du moins comparab
283. ues vitrines de l engagement de la collectivit territoriale et signe architec tural de la modernit du site universitaire MUTUALISER C est le mot cl magique porteur de toutes les utopies docu mentaires De fait les biblioth ques voqu es rassemblent sou vent plusieurs partenaires CDDP IUFM universit s associant formations initiales et formations professionnelles Il s agit sou vent de biblioth ques juxtapos es qui conservent leur identit mais donnent acc s leurs collections Parfois d cloisonn es elles sont alors r unies en une seule Parmi les moyens offerts par les collectivit s territoriales outre les b timents des personnels des biblioth ques terri 1 Et plus pr cis ment celles des sites d localis s de l universit Toulouse Le Mirail souvent associ es avec les biblioth ques d localis es des IUFM et CDDP toriales sont mis disposition C est ainsi qu en ces espaces cohabitent des per sonnels de statuts diff rents collectivit s territoriales et personnels d tat des col lections d origine budg taire et de nature diff rente fonds de r f rence fonds sp cialis s des lecteurs ayant des besoins dif f rents des pratiques biblioth conomiques et des syst mes informatiques diff rents Ce c toiement ne va pas de soi il impli que de g rer des int r ts contradictoires en respectant les sp cificit s de chacun et de composer avec des cultures in
284. une tous les usagers du r seau des villes centres E BLOG PART Pour mieux communiquer et mieux informer les usagers le SCD de l Universit de Bretagne occidentale Brest et Quimper a cr e un blog le Buboblog informations sur l actualit culturelle des BU sur la documentation lectronique et veille documentaire sur les nouveaux sites int ressant tudiants et chercheurs http bublog univ brest fr E POUR L EXEMPLE La BnF agence bibliographique nationale met en ligne son Guide pratique du catalogueur http guideducatalogueur bnf fr r gles de catalogage et d indexation pour la cr ation courante des notices bibliographiques et d autorit dans le catalogue BN Opale Plus Mis la disposition de toutes les biblioth ques il explicite les choix catalographiques de la BnF qui visent pr ciser ou compl ter les normes Afnor et faciliter l exploitation des notices r cup r es dans les catalogues locaux Pour 6 BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE FE EN TL Et en permettre une meilleure utilisation au niveau national des exemples en format Unimarc seront syst matiquement ajout s ceux en ISBD et en Intermarc M ESP RANCE ET CONSOLATION Un ensemble de psautiers recueils de psaumes et bibles 1250 environ a t acquis par la Biblioth que de Lyon aupr s d un collectionneur priv Il s agit majoritairement d d
285. ur Des traductions Cette d cision est r cente Nous nous sommes dits que la recherche fran aise ne serait int ressante que si elle publiait aussi des traductions Nous avons dit un philosophe canadien James Tully et bient t un anthropologue espagnol Carmelo Lis n Tolosana Et cela va continuer parce que des recherches sur la France sont faites m x lt se D 4e k a5 gs LL O ee pe a le s d diteur l tranger Mais il faut payer les traducteurs acheter les droits Aussi avons nous demand un financement pour la traduction lors du dernier PPF Plans pluriformation Inversement deux de nos titres qui traitent de immigration italienne dans le Sud Ouest ont t traduits en italien un autre La sc ne et la fabrique des corps dans la collection Le corps et l esprit sera traduit en espagnol et tir 200 ex un chiffre sup rieur au tirage initial Il sera vendu en Argentine au Chili et en Uruguay Les droits ont t achet s par un diteur argentin avec le soutien de l Ambassade fran aise Buenos Aires diter l universit G n ralement les co ditions avec d autres universit s ou d autres presses universitaires presses de Laval Qu bec presses d Exeter en Grande Bretagne se passent d diteur diteur Les universit s n interviennent pas d autant que ces deux diteurs sont de st
286. urs le prix public de l ensemble de la collection sera revu l g rement la hausse courant 2007 Compl tez vite vos collections en commandant vos M diath mes l ABIS 31 rue de Chabrol 75010 Paris Nouveau pour les particuliers et l tranger un service de paiement en ligne est votre disposition sur abf asso fr Val rie Tesni re a quitt la direction du D partement coop ration de la BnF pour rejoindre l Inspection g n rale des biblioth ques depuis le 1er septembre 2006 Emilie Thilliez a pris ses fonctions de responsable de la future M diath que de Jeumont 59 ouverture pr vue en 2008 pour sa mise en place et son inscription dans un r seau intercommunal construire de Nancy abf lorraine gmail com E NORD PAS DE CALAIS Le groupe Nord Pas de Calais organisera son AG le jeudi matin 25 janvier la m diath que de Marcq en Bar ul 59 Elle sera suivie l apr s midi d une intervention de Yves Alix sur les implications sur les m diath ques de la loi DADVSI telle qu elle a t vot e et se conclura par une visite de la toute nouvelle m diath que la Corderie E PARIS L Interassociation organise le jeudi 18 janvier une journ e d tude sur la DADVSI l ancien mus e des Arts et traditions populaires 6 avenue du Mahatma Gandhi Paris XVIe M RH NE ALPES L AG du groupe r gional Rh ne Alpes le lundi matin 22 janvier
287. uveaux lieux et de services propos s La R gion avait aussi souhait que ce b timent soit l une des premi res biblio th ques s inscrire dans la d marche de Haute Qualit Environnementale HQE Ce qui a permis de cibler le confort de nos usagers confort acoustique visuel et thermique Un cabinet de conseil en ameublement a concr tis ces exigences dans le choix des mobiliers Le public pourra s approprier les espaces en choi sissant des places diff rentes et toutes confortables Les personnels n ont pas t oubli s et les zones de travail interne sont particuli rement soign s Je ne sais pas je ne veux pas savoir o commence et o finit le fonctionnel Ce qui m appara t en tout cas c est que dans la partition mod le des appartements d aujourd hui le fonctionnel fonctionne selon une proc dure univoque s quentielle et nycth m rale En voici deux mod les dans la biblio th que 8 00 Le premier lecteur de la journ e p n tre dans le hall 8 10 Il s adresse au bureau d accueil pour demander o il peut trouver la revue Esprit 8 15 Il se dirige sur les conseils du biblioth caire vers l espace actualit s regroupant les revues et quotidiens d int r t g n ral 8 20 Il se dirige vers le rez de jardin pour approfondir sa recherche 8 25 Il remplit un bulletin de commu nication en maga sin et demande consulter les num ros de l ann e 8 35 I
288. uvent rendre un service la hauteur de leurs ressources Une am lioration devrait se pro duire avec les projets U3M en cours pr s de 45 ooo m de surfa ces nouvelles ou r nov es vont ouvrir dans l acad mie de Paris et 2 700 m dans l acad mie de Cr teil Le comit strat gique de la mission U3M pour les biblioth ques d le de France 14 sous la direction de Daniel Renoult a propos fin 2000 un sch ma r gional pour renforcer la coh rence du r seau documentaire Ce sch ma pr voit la r alisation d op rations urgentes et struc turantes Sainte Barbe la cr ation de la Bulac et le transfert de Paris 7 dans la ZAC Tolbiac la poursuite du d veloppement des universit s p riph riques et la r novation des biblioth ques de Paris intra muros Mais nombre de ces projets ne verront leur terme que dans le prochain contrat de projet 2007 2013 Li i r I E g m pii en 5 tes s nu 5 E q s 4 D Mi La BU de Saint Quentin en Yvelines Des op rations complexes de mise en s curit et de r no vation des locaux existants ont t r alis es ou sont en cours notamment la biblioth que Cujas Jussieu dans le cadre du d samiantage court terme la s curisation de la Sorbonne aura des cons quences pour l ensemble francilien car elle va entra ner un fonctionnement provisoire avec une salle de con sultation Sainte Barbe et une tension sur les p
289. uvrant sa recherche les fonds documentaires r gionaux et nationaux Et bien que l on observe que le pr t inter biblioth que est plus facile avec des biblioth ques loign es qu avec la biblioth que d locali s e le transport des documents souvent assur par l quipe p dagogique et administrative du d partement concern repose sur la bonne volont de chacun il s agit l d un ins trument irrempla able d acc s l information MUTUALISER ENCORE OU LE PARTAGE DES RESSOURCES NUM RIQUES Ce dispositif est aujourd hui compl t par l acc s en ligne aux ressources num ris es des biblioth ques centrales En effet depuis quelques ann es les BU centrales offrent dans l em prise de leurs biblioth ques et chacune dans leurs sph res disciplinaires l acc s de multiples bases de donn es en ligne Elles en font d sormais b n ficier les biblioth ques d localis es sans abonnement suppl mentaire Dans ce contexte de d mat rialisation de l information le partage des ressources documentaires devient plus ais et la volont d en faire b n ficier l ensemble de la communaut sans distinction institutionnelle l emporte sur le repli Ainsi une des biblioth ques d localis es a t elle choisi de cr er un portail de ces ressources afin de rendre visible l ensemble de l offre num rique accessible l heure du village plan taire les BU d localis es sont le reflet et
290. velle maison d dition en langue arabe pour la jeunesse Onboz 4 titres parus en 2006 pr sente au Salon du livre de Montreuil 2006 www daronboz com consulter Le livre et la ville Beyrouth et l dition arabe Actes Sud coll Sindbad Arles 2005 Hamzet Wasl revue critique du livre jeunesse dit e au Liban Beyrouth 2004 buera au d veloppement socio culturel du Liban dans un souci d galit des chances d acc s au savoir d aide la lutte contre l analphab tisme et l illet trisme Rendez vous est pris dans trois ans pour valuer les progr s r alis s dans un Liban reconstruit et vivant dans une paix durable Marie H l ne Bastianelli Chef de projet FSP Lecture publique et dition Jeunesse LES BIBLIOTH QUES EXPOSENT Cette nouvelle rubrique signalera r guli rement les expositions propos es en biblioth ques prochaines et en cours sur tous sujets et tous types de documents Elle t moignera de vos r alisations au niveau local et national Merci d envoyer vos informations 3 mois au moins avant leur inauguration Nicole Picot npicot abf asso fr N oubliez pas d envoyer vos catalogues et publications associ s ces expositions la r daction pour notre rubrique Les biblioth ques ditent dans Notes de lecture 04 Digne Biblioth que Fran ois Mitterrand Fr d rique Fau Jeux de femmes 14 12 13 01 06 Nice BMVR Avati une uvre au
291. ves pr par es avec des partenaires vari s et adapt es elles leur public La bibliographie g n rale en fin de volume est extr mement r duite la Joie par les Ceres VOLE Passeurs de lecture Passeurs de lecture lire ensemble la maison et l cole ss la dir de Catherine Frier Retz Forum ducation culture 2006 223 p ISBN 2 7256 2533 5 La lecture est ici abord e comme passage oralis du livre entre l adulte et l enfant non lecteur ou pr lecteur en deux parties dans la famille et l cole Les lectures partag es entre enfant s et adultes souvent l un des parents sont des moments privil gi s d appropriation de l crit et de prise de conscience de son importance o l acquisition des codes ne doit pas occulter la dimension avant tout intime et conviviale m me lorsqu il s agit de lire une classe enti re Des tudes quantitatives et qualitatives sur les modes de transmission du livre montrent que contrairement aux id es re ues les familles de milieu pauvre ou issues de l immigration lisent autant que les autres leurs enfants La diff rence est surtout dans le choix des ouvrages les familles plus ais es Utile n 1 Du fil d Passage Pi tons amp Esperluette mars 2006 200 p 22 X 30 cm NET AN ISBN 7 A7 MEL LA 2913413439 n 2 Chemins cheminements octobre 2006 K De linutile n cessaire ce sous titre place
292. vid o ou Internet R trospective Peter Watkins hommage au Newsreel de Robert Kramer carte blanche Vid ochroniques courts m trages r alis s pendant la guerre au Liban de l t 2006 int grale Guy Debord journal TV de Philippe Grandrieux etc Rens l cran 14 passage de l Aqueduc 93200 Saint Denis T l 01 49 33 66 88 Fax 01 49 33 64 32 lecran stdenis club internet fr www lecranstdenis org rebelles est ouvert tous les genres sous toutes les formes criture photographie peinture musique ou cin ma notamment documentaire Les axes th matiques Colombie Palestine Turquie prisons lutte contre le terrorisme et violation des libert s individuelles hommage Anna Politkovska a seront d clin s durant la semaine dans de nombreux lieux de rencontres et approfondis le week end Halle Martenot Partenaires Maison de la po sie de Rennes les Champs libres universit Rennes 2 Institut franco am ricain MIR lyc es et coll ges biblioth ques et maisons de quartier cin mas l Arvor et Cin TNB Programme complet www plumesrebelles org W FOU FOU FOU Deux collectifs d bordants d imagination sonore et visuelle l Effet vapeur manation de l Arfi lyonnaise association la recherche d un folklore imaginaire et les studios Folimage producteurs entre autres de La proph tie des grenouilles se sont associ s pour coller aux bobines anim e
293. volution sociale fondamentale Les comit s d entre prise se doivent d tre ouverts cette question Jean Pierre Burdin remarque qu il n existe pas de CE partout dans le monde du travail et que la Conf d ration est parfois en retard sur le r el Il sou 53 EE de IABF 54 haiterait que le syndicalisme s interroge sur ce que les gens ressentent Sur les moyens d existence des BCE Jean Pierre Burdin revendique une coh rence entre les choix qui sont politiques et les moyens Il insiste sur le fait que l on n est pas mancip mais que l on s mancipe il s agit de se construire avec d autres quoi Patrick Juin r pond que c est l envisager des actions communes avec des moyens effectifs Jean Yves Abiven voit dans les ressources humaines l essentiel des moyens mettre en uvre Sur l engagement coop ratif BCE biblio th ques des collectivit s locales Jean Pierre Burdin avance que la dimension sociale du travail est fondatrice mais g n re aussi une ouverture Il est n ces saire de r fl chir des institutions com munes pour sortir des mis res quotidien nes Lorsque par exemple une collectivit vote des subventions aux entreprises elle pourrait n gocier les quipements sociaux et culturels Patrick Juin observe que CE et collectivit s territoriales ont des objectifs communs mais des r f rentiels diff rents Le CE fonctionne sur un mandat de deux
294. x sans concessions qui se tiendra au Palais universitaire l H tel de Ville et au Palais du Conseil de l Europe E PLUMES REBELLES er f TFSALON OU LIVRE PLUMES REBELLES RENNES DU 29 JANVIER AU 4 FEVRIER 2007 nanni T F pi y P Al i i l Walla Na Msa Naila lia ii ii Hi Ti ii Hi i1 E i WI J pi d L NN Les leu be programme baies es inlos da rs phumesrotell s or 7 dition pour ce salon du livre Plumes rebelles organis Rennes par Amnesty International France qui consacre l criture comme acte d engagement du 29 01 au 4 02 Tables rondes d bats sur l actualit caf s litt raires lectures po tiques th trales rencontres graphiques et jeune public Plumes M MEDIA CRISIS La 7 dition des Journ es cin matographiques dionysiennes Est ce ainsi que les hommes vivent se tiendra du 7 au 13 f vrier au cin ma l cran Saint Denis 93 Elle invite r fl chir au r le et la place des m dias aujourd hui En empruntant son titre Peter Watkins elle se place sous le signe du cin aste politique anglais et son regard critique sur BIBLIO br ves Jo is CRISIS les mass media audiovisuels Avec 80 films sans barri re de dur e ni de genre et de nombreux d bats Media crisis permettra galement d imaginer les alternatives la communication officielle travers des r seaux ind pendants exploitant les films la
295. yst me La recherche est le lieu des collaborations multiples le feuilletage fran ais et la vari t des structures supports de la recherche associant diff rents acteurs du secteur public peu BIBLIOth que s REVUE DE L ASSOCIATION DES BIBLIOTH CAIRES DE FRANCE LE TE CU vent parfois poser probl me pour certaines n gociations les tarifs dits acad miques consentis aux tablissements d ensei gnement sup rieur ne sont pas cens s s appliquer aux EPICS par exemple La double structure de la recherche publique fran aise EPST EPSCP9 et de son syst me de formation universit s grandes coles instaure aussi un jeu de contraintes qui brouille la perception du syst me documentaire par les chercheurs d sireux de b n ficier de toutes les ressources obtenues via des contrats diff rents pass s par chaque institution associ e leur recherche au sein des UMR19 et qui ne comprennent pas pourquoi la partie commune de cette manne documentaire fait l objet de contrats et donc de paiements multiples La lisibilit des portails documentaires en est largement brouill e effectivement au sein d une UMR quel portail utiliser Celui de son universit SCD Celui des EPST CNRS INSERM INRA De l tablissement partenaire cole d ing nieur grande cole Couperin a toujours pass des accords int grant les populations des EPST travaillant dans les UMR afin d viter tout clivage et a longtemps t le
296. yst me de la recherche En pr t entre biblioth ques compl ment du Sudoc Abes tablissement public caract re administratif plac sous la tutelle du minist re charg de l Enseignement sup rieur a t cr e en 1994 Install e Montpellier elle emploie une cinquantaine de personnes outre une petite quipe Le Sudoc n est pas seulement un catalo Star rend ses r sultats administrative ses effectifs se r partissent presque galit gue c est aussi un outil de catalogage par visibles et constitue un entre personnels de biblioth ques et informaticiens tag pour les biblioth ques participant au r seau L objectif est de r duire la cr ation enjeu strat gique pour de notices 15 maximum afin d all ger le ta recherche fran aise travail de catalogage et de permettre aux Le d cret fondateur stipule que l Abes a pour mission de mettre en place et g rer les outils permettant de recenser et localiser les fonds documentaires des biblioth ques de l en abes age b legraphique de l enselqnement tipirin seignement sup rieur dans le but de faciliter l acc s aux cata personnels des biblioth ques de se con logues aux bases de donn es ainsi qu aux documents sacrer davantage aux collections et leur Le premier de ces outils c est le catalogue collectif des m diation aupr s des publics biblioth ques de l enseignement sup rieur dont la cr ation est issue d

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