TEST DE SECURITE ET PUISSANCE DES VACCINS STAGE FAO
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1. inoculation vaccinale et qui se traduisent par des chocs anaphylactiques mortels le plus souvent par oed me aigue du poumon des chocs anaphylactiques g n raux graves avec mani festations respira toires digestives dlverses oed me au ni veau des nasaux vulve Iarmol ement des manifestations locales oed me urticaire semble d autre part que les r actlons type retard p us s v re soient induites par la prot ine virale et d autres prot ines h t rologues dont les cellules BHK et les s rums La sensibilisation la prot ine virale appara t graduel lement En premier lieu les prot i nos h t rologues non virales induisent un tat d hypersensiBiilit sp cifique qui apr s des sensi bi i sations r p t es augmente l effet inducteur d autres prot ines telles que la prot ine virale et autres m dicaments L hypersensibilit retard e r v lateur d un tat ant rieur de sensibi lisation s exprime entre le 1 et 216 jour Les r actions apparaissent graduel ement et peuvent se imiter un ecz ma loca ou g n ral i s ou bien devenir une r action f brile g n rale avec un ecz ma oed me ou bien tre une enc phalite al lergique dans le cas de vaccin pr par 3 partir de tissu nerveux riche en my l i ne Contrairement aux mani festations non mortel les d hypersensibi it imm diate qui r troc dent rapidement volution de l ecz ma est lente persistance de plusieurs2. ci sont la r colte m ang e obtenue apr s inoculation d un mat riel biologique par un ou plusieurs flacons de lot de semence Cette r col te de production ndustri el e r parti e en f acons permettra de pro duire une s rie de lots de vaccins voir production des vaccins contre la peste bovine et la clavel e le lot de vaccins tant le contenu du ou des flacons de r colte de la production industrielle m lang avec le tampon n cessaire lyophilis le m me jour dans le m me lyophilisateur b Contr le de la souche vaccinala avant la fabrication du vaccin en ND ir FR QUO UP VM UP UN Gos PER UE 90 99 QUI apa 00 QU VD wan AP UP VD VD wna wn was P D UE ER FU BAR wa wa Exemples Vaccin contre la rage carte des d tfermi nants ant ig ni ques tablie par l tude des anticorps monoclonaux Vaccin contre la fi vre anhteuso tude s rologique crois e des sous types de virus aphteux Ces tudes entrent en cause dans la formulation des vscci ns L tude des anticorps monoclonaux a justifi post riori addition de souches indig nes la souche fixe dans certains vaccins sud am ricains L tude des sous types A de virus aphteux isol s en Ethiopie diff rents de ceux employ s dans es vaccins europ ens nous a conduit produire localement un v
3. qu il y ait des diff rences entre les diff rent amp lign es de cel lules BHK dans leur possibi 1146 d induire urr tat d hypersensibi 146 d o l int r t du contr le de ces lign es du point de vue hypersensibilit f ai re dos tests d hypersens i b i t exempte 1 e vaecin ant i rab i que recherche du pouvoi enc pha 1 tog ne Svet Mol davski et Col nocu lation d un culot de vaccin centrifug avec de l adjuvant de Freund rage techniques de aboratoi re OMS Exemple contr le de la saponi ne pouvo i r i f lammat i re local exemple charbon bact r i d i pouvoi toxique g n ral recherch sur cobayes MALKOVCI E et col laborateurs Pr paration du vaccin anti aphteux DET 4 Contr le des souches vaccina es a Contr le des passages Les souches vaccina les risquent de perdre de leurs qua 11855 par des passages trop nombreux Le nombre dos passages doit donc tre contr l A partir de la souche d origine venue d un autre laboratoire on peut pr parer apr s un ou usi eurs passages une r col te importante cette r colte apr s m lange sera r partie dans des flacons scel s on pourra consid rer ce lot comme le futur ott de semence Certains aboratoi res consid rent ce lot comme souche initiale et font ensuite des lots de semence A parti r des lots de semence fait des lots de production indus trielle Ceux
4. semaines Ced a w En Ethiopie nous avons observ des cas tr s graves d hypersens i bi i t imm diate r action inoculation du vaccin lapi n chez les vaches iai ti res de race europ enne vacci n es tous les ans contre la peste bovi ne r action probab ement due aux prot i nes du lapin NT M nena te emi r action avec le vaccin TN 7 la pesteurellose de m me chez les vaches laiti res de race europ enne r actions si graves que nous avons arr t cette vacci nation r actions que nous attribuons lantic ne pasteur et ique ui m me Cette hypersensi bi t des vaches europ ennes est elle due une pr dispositlon g n tique o une augmentation non sp cifique du pouvoir inducteur de antig ne pasteurel ique par des vaccinations trop fr quentes contre la fi vre aphteuse 3 par an avec un vaccin pr par sur BHK ceci a t signal pour d autres hypersensibi E i t s ou enf i n une parent antig nique entre les lyoprot i nos des cel tules et de antig ne 2 En pratique dans toute production viter les prot i nes homologues eth t ro logues qui peuvent tre des 1 nducteurs sp cif iques ou non sp cifiques d hypersen sibilit changer si n cessai re de ign es ee Ilula res en cas de vacci nations r p t es Centrifuger et liminer les d bris cel lulaires semble d autre part
5. 2010060996 975 TEST DE SECURITE ET PUISSANCE DES VACCINS STAGE FAO SUR LA PRODUCTION DE VACCIN DAKAR DU 17 OCTOBRE AU 5 NOVEMBRE 1983 Par VIGIERM FIKRE Y et LEFORBAN Y REF N 81 VIRO OCTOBRE 1983 TES DE SECURITE ET PUISSANCE DES VACCINS Par VIGI ER M FIKRE et LEFORRAN Y NTRODUCT l ON Dans les diff rents expos s sur les diff rentes productions de vac cins les contr les sp ci f iques vous seront expos s Notre but est de rap peler es pri ncipes g n raux de contr le des vacci ns et de montrer leur volution avec les progr s scientifiques Nous allons insister aussi sur certai nes r gles observer durant la fabrication m me des vaccins r gles dont le respect i nf uera sur la qual i t future des vaccins puis nous envi sagerons successivement les tests d innocuit et les tests d immuni t R gles de fabrication respecter Test d innocui f Test de puissance PLAN INTRODUCTION REGLES DE FABRICAT ON w Contr le des cellules a Cel lules de premi re expiantai ion b Les lign es cel lulaires 2 Le contr le des oeufs sch ma FFA CREDO 3 Le contr le des mi ieux et des adjuvants a Milieux b Adjuvants n D TJ Dr est vos National Veterinaty Institute Debr Zeit Ethiopie MAISONS ALFORT France Mission v t rinai re fran aise en Ethiopie 34e Laboratoi re national de Elevage et de Recherch
6. OMYELITE annexe M 0 x x x x x x x x x x x x x x Pioufragan x ASV RAY x RSV RAVI x x x R x x x ADENOVIROSES IM DE GUMBORO DDEAMREK REOVIROSES M DE NEWCASTLE EDS 0 BRONCHITE INFECT MYCOPLASMOSE MYCOPLASMOSE S SALMONELLOSES P ur s rums LEUCOSES ENCEPHALOMYELITE DIVERS CFEP DIVERS CRP PARASITOSES SALMONELLOSES VARIOLE IHAEMOPHILUS Aa e Net pp EN ATE D s CONTROLE ATE Dew DH RD Cu MICROBIOLOGIE VIROLOGIE MALADIES CONTAGIEUSES X X X X X X X MOX TABLEAU N 1 CONTROLE DE L LEVAGE I DE POULES SPF A DATE DES CONTROLES 50 Toutes ins semaines semdines 8 aujets 5 Ser puer P semeine SOUCHE ataia CELO Phelps 52770 4M 19 5 1933 ia Sois Mass 56 troupes ABCO Ven Roeckel Microscopie Sact sie Clinique Clinique 5 Contr le des mi ieux et des adjuvants a Milieux Dans les mi ieux sont uti is es des mati res premi res pouvant tre responsab es de ph nom nes d hypersensibili t semble que les antibiotiques les s rums h t roloques les s rums homologues d natur s par le formol les anti mousses le carboxym thy l cel ulose uti is s dans les cultures en suspension soient responsables des r actions al leratques du type imm diat qui apparaissent entre 1 e t 8 h apr s
7. accin utilisant une souche A isol e en Ethiopie dr c Contr le de la souche vaccinale au cours de la fabrication Exemple Fi vre aphteuse Titrage des antig nes par la fixation du compl ment au cours de la culture 2 Utilisation de l ultracentrifugation zonale rappelons que les antig nes aphteux peuvent contenir essentiellement d une part des v i rus ou grandes parti cu tes ayant un diam tre de 22 mu et une cons tante de s dimentation de 140 S et d autre part des capsom res ou petites particules de 7 mu de diam tre et ayant une constante de s dimentation de 14 S Ces particules ont le pouvoir de fi xer le compl ment mais seules les premi res les 140 S qu elles soient infectieuses ou non poss dent le pouvoir immunog ne Cette ultracentrifugations parant les particules 1405 suivie d un titrage par la fixation du compl ment a permis une mei teure connaissance de la qualit immunog ne des antig nes aphteux I TEST D INNOCUITE L i nnocui t et activit sont es deux quai i t s Sondamenta les que tout vaccin doit poss der Nous ai lons tudier 1 les caract res d innocuit se rapportant aux vaccins inactiv s 2 les caract res di innocuit des vaccins vivants 19 Les caract res di innocuit se rapportant aux vaccins i nactiv s a Contr le de l inactivation Les vaccins bact riens Le contr le de cette inactivation est relativement facile en utilisa
8. e d inoculation peut avoir une influence sur les nui sances secondai res exemple par voie oculaire la souche B 19 n occasionne pas la formation d agglutinines 2 Le mode d conservation 20 4 Exemple un vaccin gel alumine ne peut tre congel 3 Les esp ces ci b es chien pour la souche Fl LEP Sinon danger de transmettrela maladie 4 Le moment de la vaccination Probl me des anticorps materrels Sant de animal etc lt Test d immunit sur les esp ces cibles La chose est simple quand affection est automatiquement provoqu e par l inoculation de l acent causal Ce n est pas toujours le cas Salm Salmonelloses aviaires P ripneumonie bovine Ainsi a Les conditions d preuve devront tre bien d finies Exemples Inoculation Intradermique Clavel Scus cutan e Charbon bact ridien Peste bovine ntramusculai re Rage Charbon symptomatique ntradermo i ngua e Fi vre aphteuse AU EAS Contact On infectera des animaux oralement avec des artifices Salmonellose par intubation endobronchiale broyats de poumons lymphe p ripneumonique bouillon P ri pneumoni e bov i ne Ces animaux seront mls en contact avec des animaux vaccin s b La dose d preuve doit tre aussi d finie Pour tous les vaccins les normes internationales n ont pas t d fi nies Exemples Charbon bact ridien n
9. e ta rage Pour les vaccins usage v t rinaire on utilise en dehors des ccl de premi re explantation d origine animale les lian es cellulaires diplofdes d origine animale exemple vaccin contre la rage nsti tut Pasteur les lign es cel ulaires non diploTdes d origine animale On peut se pro curer ces cet lules apr s que les contr les aient t faits dans des organismes sp c al 1566 de r f rence exemple cel lule Vero pour la Peste bovine Le nombre des passaces doit tre imit bd d Le service cultures cel lulaires devra donc constituer un stock de cellules en azote liquide pour viter les hassages trop nombreux L s tests principaux qui permettent de suivre l volution des lign es cel lu lai res sont l tude de la morpholoaie des cellules 7 l tude des antig nes cellulaires l tude du m t bol isme ex besoins en s rum pour a croi ssance l tude du profil prot inique de ces cellules l tude de leur sensibilit vis vis des diff rents virus A ces tudes s ajoutent ve N la recherche des copfaminants viraux danke Aucun effet cyfopathog ne en 10 jours de cul ture Aucun agent h mads rbant h mati s de poul et humai ns SR et C bayes Aucunes ndusions a emsa acri di ne orange Sur ze cellules primaires rein de veau cellules V ro cellules 3 pid R sultat w aucun effet cytopathog ne
10. es v t ri nai res B P 2057 e DAKAR HANN 4 Le contr le des souches vaccina les a Contr le des passages souche d ori gi ne lot de semence lot de production industriel le b Contr le des souches avant fabrication C Contr e de a souche en cours de fabrication TEST I NNOCUI TE Vaccin i nacti v a Contr le d inactivation b Contr le de st ri lit Contr le d absence de r action locale d Dispositions particuli res 2 Vaccins vivants a Pathog nicit r siduelle b Contr le de l identit et de la pur t du vaccin nnocui t proprement dii e TEST DE PUISSANCE DES VACCI NS A Test d immunit sur esp ce cible a Condi tions d preuve b Dose d preuve qua l i t de la souche d preuve d Date de l preuve apr s vaccination e Condi tion de lecture B Test d immunit sur esp ce autre que l esp ce cible C Titrage de antig ne Vacci ns vi vants 2 9 Vaccins jnactiv s 02 D Ti frage des ant i corps E Contr les di vers CONC LUSI ON REGLES DE FABRI CAT ON Dans a production des vaccins nous aurons uti iser des mati res premi res qui pourront influer sur la qualit future des vaccins en particulier sur leur toxicit Toxicit primaire transmission de maladies telles que les leuccses la maladie des muqueuses oncog nicit virus lents Si certaines toxi ci t s peuvent tre
11. in Souche Pasteur 11 17 JB C Tirage des antig nes 1 Vaccins vivants pour les vaccins vivants i est possible d avoir une bonne id e de leur valeur par titrage Sur cellules exemple peste bovine au moins 102 DCT 5Q par dose vaccinale Sur ceufs exemple Newcastle chaque dose vacci ra 6 doi t avoi r sur oeuf un titre de 107 01 50 Sur souris exemple titrage du vaccin Fl LEP par voie i ntrac r brale Sur mi lieux de culture Charbon bact ridien au moins 107 spores souche sterne par dose vaccinale bovinc P ri pneumonie bovi ne Souche T au moins 10 germes per dose vaccinale 2 Vacci ns i nacti v s Titrage de 1 antig ne vaccin contre le fi vre aphteuse au ccurs de la fabrication v Vaccin contre les pasteurel loses au moi ns 20 mg de bact ries s ches par dose vaccina le Titrage des anatoxines par f loculation Vaccin contre le t tanos T M D Titrage des anticorps m y parfois corr lation entre la pr sence de cerfai ns anticorps et le degr6 d immunit Exemple Peste bovine test de s roneutral isation de Plowright et Ferris Neucast le test d inhibition I h magglutination Rage s roneutra isation sur souris r duction du nombre de plages Actuellement on esp re que le test ELISA pourra rendre de grands services dans estimation du taux d immuni t des troupeaux en ce qui concerne la fi vre aphteuse e
12. les sviaires Bull Soc Sci V t et M d Comp 1979 81 3 183 187 STONE H D BURCH M et Col 1 Pr paration of Inactivateft emulsion vaccins with avian viral and mycoplasma antigens Avian diseases 1973 22 4 CESS D NARDELLI L Vaccination againt Newcastle disease efficacy of an oit emulsion vaccine Avian pathology 1974 3 4 247 258 TERRE J Essai de classification des incidents post vaccinaux 21 Congr s Mondial V t rinaire sw MOSCOU 1 7 juillet 1979 Vti Conf rence de la commission r gionale de l OIE pour l Europe HAMBOURG 4 w 7 jui Tiet 1978 Ani mal Rabies National Centre of studies ou Rabies Malzeville et Who 3 5 juin 1982 NANCY France 0 1 Fi vre aphteuse 14 17 juillet 1982 Rapport FAO CommissTon europ enne nour le contr le de la fi vre aphteuse 26 28 septembre 1969 22 w 24 octobre 1971 Tubingen 23 m 26 septembre 1975 w Brescia Italy
13. m aucun pouvoir h madsorbant aucune Inclusion om nn t arrive cependant que des ign es cel lulai res soient contamin es I la lign e 1BR S est porteuse d un virus att nu de la peste porcine ce virus se retrouve la fois dans les cel lules et dans les de culture Recherche d autres contami nants bact riens fongiques mycoplasmiques Par cultures sur milieux appropri s E EE iu b 1 btt N Recherche d un pouvo i r oncog ne Inoculation d extraits de cel lules ou de cel lules des souris ou jeunes hamsters d primes par la cortisone Observation 60 jours On ne doit pas observer de tumeurs noculat en m me temps de ce 1 es tumorales des t moi ns d prim s la cortisone Observation 60 jours 50 des t moins pr sentent une tumeur 2 Le contr le des oeufs Sch ma FFA CREDO voi r annexe Animaux arands parentaux lev s sous Isolateurs le b timent est en surpression les isolateurs sont en surpresslon d un fi I tre ces pr cau tions sont compl t es par une douche et un sas pour introduction du mat riel L aliment et l eau de boisson sont autoclav s Ani maux parentaux comme es pr c dents sont lev s dans un b ti ment dit de s curit et de d veloppement Le b timent est en surpression d alr fi tr i y a douche et sas de d contamination al iment a t pr alablement condi
14. ndre la pr sence de virus advent i ces les virus cytopathog nes sont rapidement mis en vidence preuve de s roneutral isation totale du vaccin les virus pathog nes bien connus non cytopathog nes tel les que certaines souches de In maladie des muqueuses peuvent tre mis en vidence assez faci lement coloration au glemsa acridi ne orange des cet ules t moins non i nocul es la souche vaccina le mais i n est pas interdi t de penser que certaines souches de vi rus peuvent ne pas tre d cel es par de tels tests Au loboratoi re de Debr Zeit nous avons ajout aux tests di innocuit normaux l injection I C des souris de 0 05 ml de la suspension virale r colt e pour les vaccins Peste bovine et Clavel e Dans le m me esprit nous n uti lisons pour la production des ce lules r nales que des veaux et des agneaux nouveau n s provenant d levaces contr l s De plus dans le cas des tests d innocuit pour les vaccins contre la Peste bovi ne nous uti 1 isons des veaux sans anticorps contre la Nucosa disease Toute apparition d anticorps contre cette ma tadie montrerait une contamination du vaccin b Les ign es cet ylailres Le probl me principal qui s est ros c est le pouvoi r oncog ne de ces cel lules Pour la production de certains vaccins usage humain on uti ise les lign es cel lulaires diplo des d origine humaine exemple vaccin contr
15. nt des mi ieux de cultures a robie ou ana robie appropri s Remarquons au passage que la quantit d inactivant utiliser varie avec les germes en cause 3 Ze de formol est une quantit suffisante pour inactiver les pasteure es les salmonel les Pour les pasteurel les cette quantit de formol ne peu t tre augment e au dbl de 4 sans nuire A l antig nicit du vaccin 5 Ze de formol est n cessaire pour inactivation d la culture de Cl chauvei Dans e cas du vacci n contre le charbon symptomatique on a signa l des accidents de vacci nati on par i nactivation i ncompl to de spores A L i nactivation des cultures 37 C et avec 5 de formol doit durer au moi ns 5 jours Le test innocui t sur ccbayes devra durer au moins 15 jours Les vaccins EUN aux gh gu wa mm G ee L inactivation du virus doit tre v rifi e avec des techniques fiables Exempl e la rage on admettait chez les anciens vaccins ph nol s une viru lence r siduel le que fon titrait sur souris Avec es vaccins i nactiv s par la propriciactone on limine toute virulence r siduel le Actu l lement la sensibi lit du test d inactivation est accrue par l emploi de la concentra tion du virus ou emploi de syst me sensible cellules DEAE pat exemple Fi vre aphteuse Des cas de fi vre aphteuse post vacci nale ont conduit la mise en oeuvre d une technique de contr le bas e sur luti
16. on et la concentration du virus suivies de son ensemencement sur cultures cel lulaires sensibles inoculation intradermolinguale des vaccins des bovins sensibles ne permettent pas de garantir coup s r une nech vation totale a Contr le de st ri 1136 ep LOL OL LOT LT LD LOL LT LL ET sur milieu a robie sur mi lieu ana robie sur mi lieu Sabouraud Rech un SS 000 EE mn D um CIS GE VA San UU Ceci est important pour les vaccins adjuvant hui leux e t saponin s c Pigpositions particuli re Exemple vaccin antibrucel lique non agglutinog ne V rifier cette qual i t TS PI Le contr le de la pathog nicit est toujours difficile et ne satisfait pas enti rement l esprit ne peut pas oublier la possibilit de l acqui sition d une nouvelle pathog niclt par s lection d un mutant plus pathog ne Cette acquisition a peut tre d montr e par passages sur esp ces non cibles une souche ERA par passage sur le rat musqu est devenue pathog ne pour un renard On a pu montrer aussi que la souche Flury HEP apr s passages sur une lign e de 21 regagn une pathog nicit pour les souris adultes de laboratoi re Cela implique comme pour l imnunog nicit un contr le tr s strict des passages un respect des conditions de cultu
17. orme d finie 1 000 DLM pour les ovins Charbon symptomatique norme non d finie Pour certains pays envi ron 10 DLM souche entretenue en h mocul ture Debr Zei t Peste bovine 10 000 doses infectieuses bovines c La qualit de la souche d preuve peut tre pr cis e Rage Vi rus d preuve standard CVS Newcastle avant d tre utilis e une souche d preuve doit tre titr e sur poulets pour d terminer la dose l thale 50 Toute souche d preuve doit avoir une dose thale 50 poulets dont le titre sur oeuf est inf rieur 10 d Date d l preuve apr s vaccinai ion Ceci permettra de d terminer la dur e et la pr cocit de l immunl T e Les conditions de lecture doivent tre pr cis es Survie 100 Pourcentage de survie Pourcentage de contamination Comparaison avec les t moins 77 Test d immunit sur les esp ces autres que l esp ce cible Les tests d immunit peuvent tre effectu s sur d autres esp ces que les esp cas cibles quand il a t possible de d co er une bonne corr lation entre es deux tests C est e cas de la rage test d immuni t effectu sur sauris cobayes Les conditions la date de vaccination la date de l preuve la dose de l preuve les vo esd inoculation les conditions de lecture sont pr cis s voir la rage technique de laboratoire OMS du charbon bect ridien test sur cobaye dose d nreuve 200 D
18. rapidement di agnostiqu es par exempl e a pr sence de virus adventices tels que la maladie des muqueuses les contr les cou rants ne permettent pas de d tecter e pouvoi oncog ne de certai nes cel lules la pr sence de virus lents dans le cerveau d un mouton utilis pour la production d un vacci n contre la rage Toxi te secondal re cr ation d tat d hypersensibi li t imm diate ou retard e par l utilisation de milieux d Inactivant etc adaptes Ces tats d hypersensibi li t apparaissent souvent tardivement apr s a r p tition des vaccinations et c est au moment de la fabrication des vaccins que les con t r les peuvent tre les plus efficaces Nous lons donc rappeler quelques r gles ce qui concerne e contr le des cellules e contr lb des oeufs 1 2 3 le contr l des mil ieux adjuvants 4 a manipulation des souches vaccinales Le contr le de leur antig nicit avant et durant la fabrication des vaccins Le contr le des cellules Nous pensons qu un servi ce cultures cellulaires est n cessaire dans les laboratoires de production pour le contr le Les cellules de premi re explantetion Les cel lules de premi re explantation que nous uti isons sont le plus souvent d origi ne ovi ne ou bovi ne el les pr sentent moins de danger pour l homme que les cellules d origine simienne voir expos sur s curit au laboratoire mais on peut toujours crai
19. res un respect du mode d emploi uni quement esp ces ou races ci b les Exemples Charbon bact r i di en Souche C5 contr le de la vi rul ence sur cobayes et ap i ns vaccination unique des bovins ovins et capri ns Souche sterne culture en s rum et sous P ri pneumoni bovine Souche 1 44 me passage utiliser cette souche uniquement chez te z bu Inoculation la queue Souche 1 SR 47 me passage peut tre uti 1 chez le z bu en S C pas chez les taurins et les m tis dans certaines r gions Souche KH3J 92 me passage peut tre uti is e pour toutes les races bovi nes Signalons que la pathog nici t r siduel le peut n appara tre qu apr s un tr s grand nombre de vaccinations exemple les souches avianis es uti is es dans Est africain qui ont occasionn des formes pulmonaires de p ripneumonie bovine formes transmissibles d animal animal Cet UE NDS 13 Rage DEER Souche Flury LEP r serv e la vaccination du chien Newcast e Di sti ncti on entre es souches m sog nes et entog nes Pour certa i nes souches dont la souche LASOTA la d iffusion est admise Peste bovine H Souche semble t il fi x e apathog ne pour tous les bovi d s no dif fuse pas test de non diffusion n cessai re dans le contr le du vaccin Pourtant certai ns pays ont mis des objections importation des bovins vacci n
20. s avec la souche att nu e de PLOWRI GHT et FERRI S b Contr le de l identit et de la puret du vaccin LA LL LL LU LL 1 Comp l ter les tests pr c dents par S roneutra 1 1 sation comp absence de contaminants cultures identification de la souche vaccinale Recherche de contami nants ventue ls tude des marqueurs exemple streptomycine r sistance de la souche TI Innocuit proprement dite nnocui t pour les esp ces es Innocul 6 secondaire sur esp ces non sensibles la recherche des contaminants toxiques viraux bact r i ens recherche des effets secondaires formation d agglutinines exemple vaccin 9 R contre la typhose Pour les vacci ns vivants ou 1 nactiv s i est des effets toxi ques contre lesquels nous n avons gu re de possibilit de lutter mais que nous signalons Juss 14 Hypersensibi lii 6 de type imm diat provoqu par antig ne lui m me snt i g nes bact riens Brucel la Bordetel le Pasteurel la w antig nes vi raux Les accidents de gestation chez les truies vaccin es contamin es par le virus d Aujesky sont une manifestation d hypersensibilit imm diate Ph nom ne d Arthus la K ratite post vaccinale chez le chien contamin immunisi l aide du vaccin de maladie de Rubarth Ad novirus canin type Hypersens i b i li t retard e caus e par de
21. s prot i nes virales Singalons enfin des accidents comme clui ci qui mettent en cause l uti lisation des vaccins vivants C estainsi qu i a t dit qu un veau contamin in utero par le vi rus de la maladie des muqueuses est devenu immunotol rant ce vi rus vaccin ensuite lorsqu il a limin 1 immunit maternel le i ne pourra viter de pr senter une maladie des muqueuses pro voqu e par la souche vaccinale pouvoir pathog ne r siduel tr s faible TEST DE PUI SSANCE DES VACC NS Les contr les d activit seront Test d immunit sur l esp ce cible exemple vaccin Flury LEP sur le chien B Test d immuni t sur les esp ces non cibles dans le cas o i t possible de montrer une bonne corr lation entre les deux tests C Par titr oe des antig nes D Par contr le des anticorps sur les animaux vaccin s E Divers cohtr les Tous d abord signalons que lorsque l on fait les tests d activit il faut que le mode d emploi soit bien respect 15 19 Voie d inoculation du vaccin Scarification variole aviaire Intradermique certains vaccins contre le charbon bact ridien SouS cutan e la plupart des vaccins ntra muscu lai re Souche FI LEP Hasale Newcastle Orale Newcastle Souche 19 1 Le respect de la voie d inoculation est n cessaire pour que immunit s tabl isso d autre part la voi
22. t peut tre la peste bovine E Contr les divers rmi les contr le divers pouvant tre faits concernant l activit des vaccins on peut citer le pH l humidit r siduel le pour les vaccins is s le vide pour ces m mes vaccins si azote n a pas t uti lis pour le remp li ssage la stabilit des adjuvants Exemple vaccin huileux contre le Newcastle la fi vre aphteuse CONCLUS ION Nous avons nous montr a n cessi de vacci ns de mi eux en mieux d finis Nous limiterons ainsi les effets secondaires Nous pouvons esp rer pouvoir cr er des vaccins de plus en plus sp cifiques avec les sous uni t s antig niques pr par es peut tre au moyen du g nie g n tique Ainsi les pro l bines trang res l imin es on peut esp rer pouvoir i nstituer des associations antig niques plus nombreuses La seule difficult r sidera peut tre au niveau de adjuvant qui sera n cessai re pour ndui Le une bonne immunit ces sous uni tes antig niques tant plus sp cifiques mais peut tre moi ns i mmunog n i ques 19 BIBLIOGRAPHIE PLOMMET M Les vaccins principe contr le d activit apnlications aux infections abortives GTV 5003 14 lt 8 HOWARD L BACHRACH Ph D Recombinant DNA technology for the prepa ration of subunit vaccines 1982 JAVMA 8 10 992 998 MOREAU BOUQUET J F ERRE J Oeufs SPF et contr
23. tionn sous doub e enveloppe eau est d contami n e par un pr chauf fage 80 Ani maux producteurs d oeufs SPF Fi Is et fi les de la colonie pr c dente sont lev s dans des unit s plus grandes de 500 sujets Le b timent est en surpression d ai r fi tr y a aussi douche et sas Les sacs d aliments sont sous double enveloppe l eau est d contamin e comme pr c demment Les ani maux parentaux et grands parentaux subissent es contr les A les animaux de production les contr les B te rythme des confr les 16 nombre d animaux contr l s diff rent selon le type A ou Les agents recherch s par contre sont les m mes Ces di ff rences existent uniquement pour des raisons conomiques Dans un petit laboratoire on peut lever la premi re g n ration sous Isolateur dans une unit en surpression et effectuer es contr les de type A sur cette seule g n ration et passer la production des oeufs SPF la deuxi me g n ration en effectuant seule ment les contr les de type B projet de Debr Zeit dvi a D EE MALADIE ADENOVIROSES INFLUENZA A M DE GUMBORO M DE MAREK REOVIROSES M DE NEWCASTLE EDS 76 BRONCHITE INFECT LARYNGOTRACHEITE LEUCOSES A LEUCOSES B MYCOPLASMOSE G MYCCPLASMOSE s SALMONELLOSES P LEUCOSES PARASITOSES SALMONELLOSES VARIOLE HAEMOPHILUS G TABLEAU N 2 CONTROLE DE L ELEVAGE DE POULES SPF TYPE B ENCEPHAL
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