Journal 65 - URPS des médecins libéraux
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1. Le cabinet expert Habitat Sant Environne ment choisi par lARS est le m me que celui que nous avions pr c demment retenu lURMLA Deux scientifiques y travaillent Ragnar Weissmann docteur en phytopathologie en Su de DEA de biologie phyto protection en Grande Bretagne et Isabelle Farbos docteur en g n tique et en biologie mol culaire de l Universit de Bordeaux Cest cette derni re qui a anim la premi re conf rence organis e le 9 avril Bordeaux destin e aux m decins de la petite enfance p diatres obst triciens et g n ralistes La seconde rencontre se d roulera dans un autre d partement de la r gion date encore non pr cis e Quelle pr vention pour les patients Mais que peuvent faire les m decins pour pr venir le risque d exposition aux perturba teurs endocriniens chez les femmes enceintes et les jeunes enfants Informer et donner des conseils a rer les habitations trois fois 4 minutes en courant d air dans la journ e privil gier une alimentation saine et l exer cice physique pr f rer les lingettes micro fibre et le vinaigre blanc pour l entretien de la maison ne pas avoir recours des produits m nagers inutiles privil gier la moustiquaire non trait e en t et non les plaquettes ou autres diffuseurs lire aussi en page 9 Il faudra aussi communiquer sur les logos qui valorisent des produits sans perturbateur en docrinien comme ECOCERT pour les produits d entr2. mocratie Sanitaire s puise faute de partenaires En pleine effervescence m diatique et po litique la deuxi me s ance pl ni re avait bien anticip son sujet tiers payant tat des lieux et devenir Les pr sentations successives des positions des usagers des m decins des pharmaciens des caisses et des mutuelles montrent bien que l tape de la concertation et de la recherche du com promis a t oubli e L outil lectronique promis ne semble pas encore au point ne vaudrait il pas mieux attendre un peu plu t t que de multiplier les effets d annonce Des professionnels s inqui tent n enten dons nous pas dans nos villes et nos cam pagnes sonner le glas de l exercice lib ral des professionnels de sant Rien n est parfait tout est en route qu ils disaient Quand on dit tout esp rons que ce soit le meilleur Quant au reste charge pour les usagers le pire est venir Jacques Faucher Espace Bio thique Aquitain O C EST EN AQUITAINE Ville Hop num ros directs Un acc s t l phonique direct et sp cifique ville entre les m decins lib raux et les m decins HO hospitaliers a communication ville h pital est importante pour garantir une continuit des soins et une prise en charge coordonn e des patients Mais quels sont les leviers permettant d optimi ser les relations entre m decine de ville et h pital Cette question a t au c ur d changes r
3. ou remis en mains propres la Mairie de Bordeaux qui se chargera de la diffusion des exemplaires destin s la Pr fecture Est ce que cette organisation est la m me pour toute l Aquitaine Les 4 exemplaires qui concernent le cas un seul ERP sur une seule p riode de 3 ans sont d poser la mairie d implantation de l ERP Etablissement Recevant du Public selon le m me mode que pour la commune de Bordeaux savoir par courrier avec RAR ou d pos directement aupr s de la mairie contre remise d un r c piss e Vous avez indiqu que lorsque le cabinet m dical se situait dans l habitation du m de cin il n tait pas n cessaire de faire la mise aux normes d accessibilit Dans quel article de loi ou d cret pouvons nous trouver cette information crite Ce dernier article indique donc que les locaux des professionnels utilis s au moins partiel lement pour la vie familiale sont juridiquement consid r s comme des b timents d habita tion sauf si ces locaux sont d j class s en ERP par le Service D partemental d Incendie et de Secours SDIS r f article R 123 2 l article R 111 1 1 du CCH e Vous avez indiqu que les d rogations ne portaient plus sur la personne du m decin mais sur le b timent O pouvons nous trouver cette information crite l article L 111 7 3 pr cise que des d rogations peuvent tre accord es aux tablissements Recevant du Public situ s dans un cadre b ti exi
4. CHU de Bordeaux Num ros d di s les cliniques aussi de ses relations avec les m decins lib raux a donc d cid de mettre leur L e Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux dans le souci de l am lioration disposition un num ro de t l phone d di pour faciliter le contact avec leurs homologues hospitaliers Dans le syst me lib ral les relations entre m decins traitants et m decins sp cialistes sont depuis toujours faciles Il est d usage de pouvoir joindre son correspondant sans difficult Les m decins g n ralistes disposent la plupart du temps du num ro de t l phone personnel de leurs confr res sp cialistes N anmoins l heure des regroupements de structures et face l mergence d impor tants p les d hospitalisation priv e il faut anticiper Une grande structure comme la clinique Bordeaux Nord a d cid de mettre des num ros d di s disposition des corres pondants g n ralistes Ce service n est pas encore op rationnel Souhaitons que cet exemple avec la coop ration de la F d ration Hospitali re Priv e s duise d autres tablissements Dr Dany Gu rin Mesvaccins net compte gratuit Vous tes m decin lib ral b n ficiez d un abonnement financ par l URPS ML Aquitaine et recommand par l ARS Aquitaine Allez sur www mesvaccins net Cliquez sur Vous tes professionnel de sant Puis sur Cr er un compte Abonnez vous l aide du code BD07013522
5. Hemoccult nous a fait jeter les anciens tests qui n taient pas p rim s nous emp che de d livrer les nouvelles pla quettes aux patients demandeurs invit s par les structures de gestion faire leur d pistage Nous esp rons qu il sera f licit par les au torit s Suite aux recours des fournisseurs du nouveau test l affaire est port e en justice Pendant plusieurs mois nous n avons eu au cune information pr cise sur le nouveau test immunologique de d pistage Nous esp rons qu avec le nouveau test plus simple utiliser un seul pr l vement nous arriverons atteindre les objectifs de sant publique pr conis s savoir 50 de parti cipation Cela risque d tre difficile car il va falloir se remotiver et remotiver les patients D ici peu nous vous adresserons une informa tion sur l utilisation du nouveau test consul ter sur le net Soyons pr ts recommencer la distribution m Dr Jean Luc Hervouet Pr sident de Conseil Scientifique JOURNAL DE EUNION N 65 Pratique m dicale Protocoles de coop ration entre professionnels de sant En f vrier 2015 l ARS a autoris 30 protocoles en Aquitaine Cela ne veut pas dire que ces protocoles de coop ration seront tous exp riment s Certains sont r serv s des structures publiques de par leur nature d autres au secteur lib ral Voici la liste ce jour deux protocoles concernent la m de c
6. anticiper L activit phy sique et intellectuelle est capitale Mais bien vieillir est souvent un luxe de personnes nan ties surtout quand il faut repenser son mode de vie ne pas s isoler et chercher s int grer De m me l information est un bien pr cieux pas assez d mocratiquement partag La premi re s ance pl ni re en fin de mati n e nous pla ait au c ur des enjeux de la d mocratie sanitaire la place des profes sionnels et des patients dans la politique r gionale de sant Pour l ARS la dyna mique est lanc e mise en place du cadre planification de l offre laboration de sch mas validation allocation des ressources mise en uvre des politiques r gionales organisation des parcours valuation des JOURNAL DE L UNION N 65 Verre 03 mars POS PRUG CET ai J ME JOURN E O ES PROFESSIONNELS SANTE ET JES ASSOCIATIONS DE PATIENTS E N AQUITAINE m E LI ra politiques La CRSA Commission R gionale de la Sant et de l Autonomie fonctionne bien en Aquitaine Mais les professionnels ne se sentent pas assez repr sent s et les conditions de travail de ces instances de participation convocation horaires ne leur sont pas tr s favorables Si les usagers se r jouissent de ce que leurs demandes sont de plus en plus prises en compte ils doivent se d multiplier pour r pondre aux tr s nom breuses sollicitations de repr sentation Il ne faudrait pas que la D
7. dont les missions sont autres que celles des syndicats aura un r le f d rateur et mobilisateur pour faire chec l application de certaines mesures anti lib rales Tous les syndicats sont repr sent s au sein de l URPS ML Aquitaine Il est probable qu ils se retrouveront tous repr sent s dans la grande r gion Aquitaine Limousin Poitou Charentes A partir de janvier 2016 nous serons la plus grande r gion de France quelle force en puissance L UNION M DECINS LIB RAUX gt Num ro 65 2 me Trimestre 2015 D AQUITAINE 105 rue Belleville e CS 71241 e 33074 Bordeaux cedex T l 05 56 56 57 10 Fax 05 56 56 57 19 e Web www URpsMLA org Courriel aquitaine AURpsMLA org gt Le Journal des M decins Lib raux dAquitaine Projet de loi Fin de vie fin de la m decine lib rale Non la m decine lib rale n est pas encore morte rofond ment atteinte dans sa P chair et dans son amour propre mais toujours combative la m decine lib rale unie se bat encore et tou Jours pour sa survie La loi Touraine en discussion ces derniers mois malgr la mobilisation des professionnels de sant constitue un lent poison Aux c t s de la m decine hospitali re la pratique lib rale sp cificit fran aise recueille tous les jours la preuve du soutien des populations Les m decins conscients des nombreux effets d l t res de cette loi sur la qualit des soins ne manquent pas d en i
8. e ville h pital a galement t mise l honneur Rappelons que l exp rimentation va du rer jusqu fin 2017 sur les 8 quartiers de Bordeaux ETP mise jour Pour faire suite l encart publi dans le Journal pr c dent vous trouverez sur le site de l Union une mise jour en temps r el des coordonn es des structures lib rales offrant des Programmes d Education Th rapeutique ETP Journal trimestriel dit par l Union R gionale des Professionnels de Sant M decins Lib raux Aquitaine Juin 2015 ISSN 16378989 D p t L gal 163 789 89 105 rue Belleville CS 71241 33074 Bordeaux cedex T l 05 56 56 57 10 Fax 05 56565719 Web www urpsmla org Courriel aquitaine urpsmla org Responsable de la publication Dany GUERIN Pr sidente de l URPS ML Aquitaine Comit de r daction Jean Luc DELABANT Dominique DISCAZEAUX Dany GUERIN Bruno SABOURET Bruno SARDA Chantal RENAUX Ont particip la r daction du Journal Fabrice BONNET Jean Luc DELABANT Dominique DISCAZEAUX Philippe CASTERA Philippe FAROUDIJA DEVEAUX Jacques FAUCHER Dany GU RIN V ronique GUIONNET Jean Luc HERVOUET Jean Philippe JOSEPH Siraz SACHENDRA Chantal RENAUX Philippe VIGOUROUX Coordination V ronique GUIONNET La titia PUBERT Dessins Philippe TASTET Design graphique www junglecactus fr Imprimeur Craphits Vous cherchez un rempla ant Vous cherchez un successeur Misez sur
9. fa on de les viter dans dif f rents produits les labels privil gier et les alternatives A t l charger www projetnesting fr IMG pdf guide_pe_web_201 5 pdf A commander aupr s de WECF France au 04 50 83 48 10 ou wecf france wecf eu gt Le co t de l inaction Le 10 avril le journal du CNRS a publi un article rappelant que les perturbateurs endocriniens provoquent de nombreuses pathologies et qu en dehors de quelques exceptions la Commission europ enne tra ne r glementer leur utilisation Dix huit chercheurs ont donc d cid de calculer le co t conomique de ces poli sons pour l Europe et sont arriv s au chiffre effarant de 157 milliards d euros par an soit 1 23 du PIB de l Union europ enne Avec ce travail nous avons souhait lan cer un avertissement assume Martine Bel langer professeur d conomie l Ecole des hautes tudes en sant publique avant que les perturbateurs endocriniens ne fassent plus de ravages et ne co tent encore plus cher la soci t gt Grossesse et allaitement Le site du CRAT Le CRAT Centre de R f rence sur les Agents T ratog nes anciennement Centre de Renseignements sur les Agents T ratog nes situ Paris l H pital Armand Trousseau existe depuis pr s de quarante ans Son site internet r unit de nombreuses in formations sur les risques des m dicaments vaccins radiations et d pendances patholo gies pendan
10. guliers entre la direction g n rale du CHU de Bordeaux et les responsables de l URPS ML Aquitaine qui ont mis en vidence le besoin d un acc s t l phonique direct et sp cifique entre les m decins lib raux et les m decins hospitaliers Ainsi la suite d une large concertation avec les responsables m dicaux le CHU de Bordeaux met votre disposition un nou veau service impliquant la majorit de ses sp cialit s cliniques le projet Ville Hop Il se concr tise par l dition d une plaquette jointe ce num ro qui vous propose une liste des services du CHU engag s dans la d marche ainsi que les jours et les plages horaires d acc s Aujourd hui Ville Hop vous permet donc de joindre personnellement et directement un m decin senior dans la majorit des ser vices du CHU De plus pour contacter les services du CHU non encore partenaires ou pour toute autre demande vous b n ficiez d un acc s r serv notre standard par un num ro de t l phone d di 05 57 821 821 Le D partement des soins et des relations avec les usagers du CHU coordonnera l information et la communication sur le d roulement du projet sur la base d une valuation trimestrielle Vous pouvez d s pr sent nous faire part de vos sugges tions ou remarques en adressant un mail villehop chu bordeaux fr Avec Ville Hop am liorons ensemble les services rendus aux patients m Philippe Vigouroux Directeur G n ral du
11. le anesth sie r animation au CHU de Bordeaux vous pro posent d aborder le sujet en 16 questions Pour plus d interactivit cette formation sera organis e sous forme de vid os Soyez nombreux partir de septembre sur www ambulatoire sano fr w Q O C EST EN AQUITAINE www addictoclic com Un nouveau site internet pour trouver une consultation d ad dictologie adapt e votre pa tient proximit AGIR 33 Aquitaine a mis en ligne le 1 janvier 2015 un site internet wwwaddictoclic com permettant aux professionnels de premier recours et aux patients de conna tre les res sources en addictologie pr s de chez eux D s la page d accueil des onglets permettent de choisir son territoire de proximit en Aqui taine le produit tabac alcool cannabis addic tions diverses points d change seringues le public tout public jeunes femmes enceintes ou directement les centres r f rents La validation permet d obtenir la liste des ressources r pondant au choix y compris les associations d auto support alcooliques anonymes vie libre Une carte positionne les ressources sur le territoire Une fois la ressource choisie il suffit de cli quer sur elle dans la liste ou sur la carte et vous obtenez une fiche d taill e avec les coordonn es les activit s les consultants et les jours et heures d ouverture Une dizaine de secondes en moyenne selon la phase test est n cessaire l obten
12. rempla aquitaine org URPS www rempla aquitaine org est un service SZ messcns offert par l URPS des M decins Lib raux Lib raux d Aquitaine QUITAINE Destin toutes les sp cialit s lib rales rempla aquitaine org GRATU est un site internet innovant et performant de mise en relation Se 2 m s s m A Sli r de m decins install s avec des m decins rempla ants collabora taie ix itaine teurs successeurs Rempla Facile G epanrmrrh SCC PNRERL OT FEEF AE FE Cawn mi ten CRE CE Cons Bienvenue sur votre outil d aide aux m decins lib raux imni peia EE of oe A Bot PURES de bibana Lire A CR mr DE TEE CFA UE pEr dE FR RE En relaie da ee LARGE RS CE TASER PT RER g COL EPA paH SSP i bnp Len a alerts mdr Lpi Ji DE pii ia the pya es Mare ar i A arh wr iyim d be ete prt auf Et Core E rT ca crabes de ec haorriars Des services utiles en un clic de souris iha jumi Cl i ES FUIECE FA i simple LE pratique uptet IET en un Clit f et Micace a s souris Bar a Fe Farpprures DADL Copie en er an pit pures H us ets 4 jej Mira mare lee EN EE 0j LR TEE
13. vera dans toutes les cellules issues de celle qui a t contamin e Cest le processus pathologique du DISTILB NE Les exposomes internes sont la cons quence de facteurs m taboliques du stress oxydatif et surtout des d s quilibres de la flore intestinale Il existe un test analysant les gaz expir s capable d valuer le microbiote intestinal Quels sont les exposomes externes les plus courants dangereux pour les femmes enceintes et les b b s e Dans les aliments les graisses satur es les modi cateurs de go t le Bisph nol etc e Dans les toxiques cutan s cosm tiques rouge l vres et vernis ongles teintures pour cheveux beaucoup de cosm tiques pour b b s v tements synth tiques ou trait s peluches et autres doudous e Dans l air inspir les toxiques sont les plus nombreux d sodorisants encens papier dArm nie parfums d ambiance insecticides en bombe ou plaquettes lectriques ou destin s aux animaux de compagnie et aux plantes d int rieur Mais aussi les herbicides du jardin et des espaces verts publics l eau des piscines Les produits de r novation de la maison sols PVC colle au Tolu ne meubles neufs et peintures L essentiel des produits m nagers pour l entretien de la maison mais aussi dans la voiture qui poss de s rement l air int rieur le plus pollu Pour l cole on peut trouver un cartable sans perturbateur endocrinien sur le site de Habitat Sant Envi
14. Ap pui aux Professionnels de Sant PAPS www aquitaine paps sante fr Les pro Jets de protocoles de c 120526 0 html en cliquant dans gestion d un protocole sur adh rer un protocole autoris en Aqui taine O C EST EN AQUITAINE Journ e des professionnels de sant et des associations La d mocratie sanitaire 9 ji 9 i l preuve de la r alite L URPS ML Aquitaine a organis le 13 mars 2015 la Maison des Associations de M rignac la 11 journ e des Professionnels de Sant et des Associations d usagers en Aquitaine a d mocratie sanitaire est en marche Oublions le pass Regar dons devant nous La perspective se veut positive et les critiques sont mal ve nues On h site tre pessimiste mais on n arrive pas tre sereinement euphorique Outil privil gi pour faire le lien entre les politiques r gionales de sant d finies par ARS et les projets port s par les collecti vit s territoriales les contrats locaux de sant atelier 1 souffrent du manque d as sociation des acteurs int ress s profession nels de sant et usagers aux d cisions des institutions locales et r gionales Certes des r ussites sont saluer Mont de Marsan Bordeaux mais la r gion est grande et les strat gies locales pr gnantes Rappelons ce mot d ordre thique imp rieux un parte naire oubli est un ennemi gagn Les d l gations de t ches et ou de com p tence
15. Delile e rep rage pr coce de la consom mation de cannabis est indispen sable et il faut l largir Un jeune sur deux commence consommer du cannabis avant 15 ans Le cannabis a un r le n faste sur l architec ture neuronale car il va remplacer sur les r cepteurs l amantadine endog ne essentielle la synaptisation l avanc e des connaissances sur la matura tion neuronale montre qu il existe un stock neuronal actif pendant l enfance A la pr coce adolescence la synaptisation re devient tr s intense rendant le cerveau tr s fragile aux intoxications En cons quence par ce m canisme plus la consommation est r guli re importante et surtout pr coce plus la d gradation psy cho cognitive sera pr sente durable et sou vent irr versible Chez le jeune et le tr s jeune Chez le tr s jeune on aura un abaissement des capacit s intellectuelles une perturba tion de la scolarit mais aussi une adynamie un repli et des difficult s relationnelles L effet toxique du cannabis semble tre aussi plus vident sur le plan purement psychia trique il existe bien un sur risque par rapport aux troubles psychiatriques Chez le jeune il est tabli depuis longtemps que s il existe une fragilit structurelle ant rieure la consommation de cannabis va tre l origine d une r v lation voire d une aggra vation d un trouble psychiatrique Ce qui semble plus nouveau souligne le Dr Jean M
16. Flashez ce code pour cr er votre Carnet de Vaccination lectronique n cessite l installation d un lecteur sur votre smartphone JOURNAL DE L UNION N 65 Pour la rentr e un e learning votre disposition sur la chirurgie ambulatoire Ec Parce que le m decin traitant doit tre impliqu en amont et aval de la prise en charge d un patient b n ficiant d une chirurgie ambulatoire et parce que cette modalit de prise en charge est de plus en plus fr quente Sanofi en partenariat avec l URPS M decins Lib raux dAquitaine proposera partir de la rentr e des modules e learning Ceux ci aborderont les g n ralit s de cette prise en charge les caract ristiques les avantages les inconv nients l ligibilit du patient les crit res sociaux et m dicaux les facteurs retardant la sortie du patient les responsabilit s professionnelles la communication entre ville et h pital et ses outils pour assurer l organisation de la continuit des soins les documents de sortie indispensables qui appeler quel moment Les cons quences pour les acteurs des soins du premier recours etc Le Dr Dany Gu rin pr sidente de l URPS M decins Lib raux dAquitaine Francoise Desclaux administrateur de l URPS Infir miers Lib raux dAquitaine le Dr Olivier Jour dain chirurgien gyn cologue et pr sident de la CME de la clinique Jean Villar et le Pr Francois Sztark chef du p
17. GURPS M decins Lib raux AQUITAINE g ditorial par Dany Gu rin Pr sidente de l URPS ML Aquitaine La GRANDE r gion Difficile de ne pas voquer dans cet ditorial le projet de loi de sant de Madame Touraine Ce projet adopt par l Assembl e Nationale ne sera pas vraisemblablement modifi par le S nat la fin de l t ou l automne Difficile de ne pas d plorer la vision dogmatique et administrative de la sant port e par cette loi Difficile de ne pas ressentir comme une attaque envers le principe m me de la m decine lib rale certaines dispositions contenues dans cette loi Rien ne s opposera l application de la mesure phare la g n ralisation du tiers payant mesure purement id ologique critiqu e car non justifi e et largement comment e comme dangereuse plusieurs gards Mais attendons les d crets d application et les phases exp rimentales qui retiendront toute notre attention Nul doute qu ce moment l les m decins s exprimeront nouveau et certainement au travers de nouveaux modes d action En tant attentif l actualit professionnelle on r alise que les confr res du secteur public ne sont pas finalement mieux consid r s On leur demande eux aussi de travailler toujours plus sans mieux prendre en compte la difficult et la p nibilit de leurs t ches En ce qui concerne la m decine lib rale l URPS ML Aquitaine
18. al d accueillir et de prendre en charge les personnes pr sentant des probl mes li s des usages de substances drogues alcool ou d autres pratiques addictives jeux Le Dr Jean Michel Delile est m decin psychiatre addictologue directeur du CEID et membre de la Commission Nationale des Stup f ants L tude SAGA Statines et Grand Age Les m decins g n ralistes sont invit s participer une tude sur la pertinence de la prescription des statines chez les plus de 75 ans sans ant c dent cardiovasculaire os patients g s prennent des sta N tines en pr vention primaire sans qu il soit d montr ce jour un b n fice certain Il est donc indispensable de disposer d tudes en m decine g n rale pour savoir si ces traitements ont un int r t pour ces patients SAGA Statines et Grand Age est une tude pragmatique randomis e men e en m de cine g n rale coordonn e par le D parte ment de M decine G n rale de l Universit et le CHU de Bordeaux Cette tude devrait enfin nous permettre de savoir s il existe un int r t la prescription de statines en pr vention primaire chez les pa tients de 75 ans et plus Cette tude de grande ampleur 2430 pa tients inclure partir de janvier 2016 est enti rement financ e par les pouvoirs publics Elle va pouvoir b n ficier de la par ticipation d investigateurs de nombreuses r gions mais il est indispensable que les m de
19. cins g n ralistes dAquitaine soient tr s nombreux y participer SAGA sera r alis e dans le cadre du suivi habituel de vos patients sans n cessit de consultations ou d examens suppl mentaires d di s la recherche Elle consiste inclure les patients de 75 ans et plus sous statines depuis au moins 6 mois n ayant jamais pr sent d infarctus du myocarde d accident vasculaire c r bral de coronaropathie d ar t riopathie qu ils soient diab tiques ou non Une randomisation vous demandera alors d arr ter ou non les statines et de suivre votre patient pendant 3 ans raison d une consul tation ou d une visite domicile 3 12 24 et 36 mois Une r mun ration de 300 euros par patient inclus est pr vue chaque m decin pouvant inclure 3 8 patients Pour participer ce travail de grande ampleur ou pour tout renseignement merci d crire l adresse suivante Jean philippe joseph u bordeaux fr tats g n raux de la personne g e en Nord Aquitaine Un pour tous et tous pour un Un public nombreux a particip aux derniers Etats G n raux de la Personne Ag e le 11 avril P rigueux anticipation des situations d ur gence passe in vitablement par le rep rage de la fragilit de la personne g e Ce rep rage est le r sul tat d une analyse individuelle id alement pluri professionnelle avec des regards crois s o l ensemble des acteurs de la prise en charge m dico socia
20. dicale de garde de Libourne est assur e par l Association Permanence Sant du Libournais APSL qui regroupe tous les m decins participant la permanence des soins dans les huit secteurs regroup s Elle a t inaugur e le 22 janvier 2015 en pr sence de Mi chel Laforcade directeur g n ral de ARS Aquitaine Cette maison m dicale de garde est situ e dans les locaux de l h pital de Libourne au plus proche des urgences afin d assurer une troite collaboration entre les g n ra listes et les urgentistes Elle est ouverte sur les horaires de garde c est dire de 20 heures 24 heures en se maine de 12 heures 24 heures le samedi et de 8 heures 24 heures les dimanches les ponts et les jours f ri s Trois m decins g n ralistes assureront sur ces plages horaires des consultations et des visites d urgences si cela s av re n cessaire Sa particularit un v hicule avec chauffeur est mis disposition du m decin devant effectuer les visites au domicile des patients Dr Siraz Sachendra DOSSIER gt Un guide conseil Le r seau Women in Europe for a common future WECF a publi un guide conseil Perturbateurs endocriniens dans les pro duits de consommation courante pour aider s y retrouver dans la jungle de ces substances pathog nes Un tableau permet de reconna tre les PE sur les tiquettes dans les aliments ou sur les emballages eux m mes et donne des conseils sur la
21. entes du m me patri moine g n tique Si on regarde dans le d tail des chromosomes la longue double h lice d ADN est pelotonn e sur une prot ine histone pour ne mesurer que quelques microns Il existe sur toute cette surface des groupes m thyles qui agissent comme autant de post it la surface du chromosome Ces groupes m thyles autorisent ou inter disent le codage par l ARN de s quences dADN et en cons quence la fabrication ou non des prot ines issues de la lecture de ces g nes Les modifications de l pig nome L tat et la position des groupes m thyles au tour du chromosome d finissent l pig nome Prenons le cas de deux vrais jumeaux ils ont les m mes g nes Si l on tudie leur pig nome celui ci reste tr s similaire jusqu l ge de trois ans car ils b n ficient a priori des m mes facteurs environnementaux nourri ture conditions de vie stress etc En revanche en avan ant en ge leurs modes de vie divergeront des facteurs environne mentaux diff rents agiront directement sur la m thylation de l ADN Ce qui explique qu l ge de 50 ans leur pig nome sera devenu tr s diff rent leur physique et leur tat de sant ne seront plus identiques Si les modifications g n tiques sont irr ver sibles les modifications de l pig nome l in verse peuvent se r parer en particulier en ap portant une nouvelle m thylation de l ADN Reconna tre les e
22. ernement peut d cider l occasion du vote au S nat d in troduire de nouveaux amendements Le document fait 236 pages et comprend de nombreux articles dont certains sont difficiles d crypter Les lignes qui suivent reprennent les mesures les plus embl matiques La loi comprend 5 grands chapitres Titre I Renforcer la pr vention et la promo tion de la sant Titre II Faciliter au quotidien le parcours de sant Titre III Innover pour garantir la p rennit de notre syst me de sant Titre IV Renforcer l efficacit des politiques publiques et la d mocratie sanitaire Titre V Mesures de simplification et d har monisation pour lesquelles l Etat a obtenu la possibilit d agir par ordonnance Sur le volet pr vention les d put s ont compl t les mesures lutte contre le tabagisme avec l interdiction de fumer dans une voiture en pr sence dun mineur le paquet de cigarette neutre l inter diction d ouvrir un d bit de tabac proximit des tablissements scolaires lutte contre le binge drinking lutte contre l incitation la maigreur cela concerne les mannequins utte contre la d nutrition en EHPAD Interdiction des fontaines soda signal tique sur les aliments Interdiction de la publicit pour les cabines de bronzage ouverture de salles de shoot Au titre Il on trouve la cr ation de Com munaut s territoriales de sant Ces struct
23. etien et A pour ceux du b timent Il en existe bien d autres LURPS MLA a d j propos dans le cadre du PRSE 3 de travailler un livret recensant toutes ces informations que les m decins pour raient donner aux patients Pour finir sur une note optimiste rappelons qu un microbiote quilibr et une alimentation riche en groupes m thyles choline vitamine B12 acide folique brocolis laitue pinards foie ufs crevettes poulet etc peuvent lutter contre les exposomes pathog nes Illustration Guide de la pollution de l air int rieur INPES ns et petite enfance JOURNAL DE L UNION N 65 Dossier r alis par Dr Jean Luc Delabant Dr Dominique Discazeaux Au fait l pig n tique c est quoi L exemple des abeilles et des vrais jumeaux a conf renci re Isabelle Farbos a commenc son propos en pr sentant l pig n tique notion essentielle pour comprendre o et comment agissent ces polluants Pour illustrer ce qu est l pig n tique Isabelle Farbos est partie d un exemple celui des abeilles Dans une ruche seule la reine pond et sa descendance poss de rigoureusement le m me patrimoine g n tique Pour autant la facon d lever les ufs et les larves chaleur hygrom trie nourriture conduit des individus aussi diff rents que les ouvri res les faux bourdons une nouvelle reine etc Ceci d montre que l environnement induit des expressions diff r
24. forme territoriale lections aux URPS ML le 12 octobre Dans le cadre de la r forme territoriale les URPS M decins Lib raux d Aquitaine du Limousin et de Poitou Charentes vont fusionner es lections r gionales avec la nou velle carte de France ont t fix es aux6 et 13 d cembre 2015 13 nouvelles r gions m tropolitaines viendront remplacer les 22 actuelles parmi lesquelles la grande nouvelle r gion Aquitaine Limousin 57 Maa Poitou Charentes 7 4 millions d habitants Le 22 avril le gouvernement a nomm 7 directeurs g n raux pr figurateurs des Agences r gionales de sant ARS parmi lesquels Michel Laforcade directeur g n ral de l ARS Aquitaine Les prochaines lections la grande URPS ML Aquitaine Limousin Poitou Charentes sont fix es au 12 octobre prochain Rappelons que ces lections professionnelles permettent aux m decins lib raux d lire d mocratiquement les confr res qui les repr sentent aupr s des institutions r gionales Nous reviendrons sur ces lections dans notre prochain num ro D pistage du cancer du c lon avril 2015 Le caca fouillage Ou comment planter une campagne de d pistage erci au haut responsable en charge M du dossier qui n a pas respect la r gle des appels d offres de march s publics pour le choix du fournisseur du nouveau test Hemoccult a fait fermer les centres de lecture des anciens tests
25. fr Adresse Direction D partementale des Territoires et de la Mer de la Gironde Cit Administrative Rue Jules Ferry 33090 Bordeaux Landes Correspondant M Jean Marc VILLARET T l 05 58 51 31 00 Mail jean marc villaret landes gouvifr Adresse Direction D partementale des Territoires et de la Mer des Landes 351 boulevard St M dard BP 369 cedex r i 40012 Mont de Marsan Des tarifs n goci s pour vous prix TTC Lot et Garonne Surface du cabinet Diagnostic Option Correspondant M Jean Louis CAMPERGUE R daction du dossier Ad AP T l 05 53 69 33 54 Mail jean louiscampergue lot et garonne gouvifr 0 100 m 276 00 108 00 Adresse Direction D partementale 101 200 m2 342 00 108 00 des Territoires du Lot et Garonne 201 300 m 408 00 108 00 1722 avenue de Colmar 47916 Agen cedex 9 gt 300 m Sur devis Pyr n es Atlantiques Correspondant M Fabien JACOB nf m m Tel 03 59808682 Comment b n ficier de ces tarifs Mail fabien jacob pyr n es atlantiques gouvfr i i Adresse Direction D partementale Mode d emploi du site des Territoires et de la Mer 1 Connectez vous sur www pro bureauveritas fr actualites accessibilite URPSMLA des Pyr n es Atlantiques o Dans la zone de devis choisissez votre activit Cabinets m dicaux et votre situation Boulevard Tourasse Cit Administrative en activit Cliquez sur VALIDER Indiquez sur la page suivan
26. ichel Delile Directeur du CEID en lien avec des donn es pid miologiques Su de Nouvelle Z lande Pays Bas c est la corr lation vidente entre consommation de cannabis et apparition d une schizophr nie Plus le d but de la schizophr nie est pr coce plus grave en est l volution Il rappelle que la pr valence de la schizophr nie augmente chez l adolescent au niveau in ternational Elle serait aujourd hui multipli e par six chez les abuseurs ou les d pendants au cannabis D pistage pr coce Dernier point important la concentration en THC de toutes les formes de cannabis a aug ment elle est pass e de 2 de puret il y a 20 ans 8 10 de puret actuellement Or la gravit des troubles est directement proportionnelle la concentration en THC Le d pistage pr coce doit concerner nos confr res m decins g n ralistes p diatres et psychiatres On l aura compris rep rer les consommateurs tr s Jeunes l ge de l entr e au coll ge est un enjeu de sant publique tr s important et nous y avons notre place L URPS ML Aquitaine en collaboration avec le Dr Jean Michel Delile consacrera prochai nement un dossier complet sur le d pistage de la consommation pr coce du cannabis Dr Dominique Discazeaux CEID Comit d tude et d Information sur la Drogue et les addictions Le CEID Addictions est une association loi de 1901 fond e en 1972 Bordeaux Elle a pour but princip
27. ine g n rale Azal e soutien duca tif dans les maladies chroniques par des infirmi res d di es dans les MSP Maisons de Sant Pluridisciplinaires et d l gation du rep rage de la fragilit des IDE au domicile Les autres protocoles de coop ration concernent les sp cialit s un pour la nutrition en post chirurgie de l ob sit un en cho doppler vasculaire un en gastro ent rologie un en urodynamique deux en diab tologie cinq en ophtalmologie un en cardiologie trois en canc rologie un pour plaies ou retard de cicatrisation un en h matologie un en m decine nu cl aire Pour tre applicable en exp rimentation chaque protocole doit tre labor avec l accord du m decin qui bien s r d l gue une t che bien pr cise un autre profes sionnel de sant Le m decin garde la res ponsabilit l gale de cette d l gation et de l acte qui en d coule L URPS MLA accorde toute son atten tion l exp rimentation ventuelle de quatre protocoles en lib ral urodyna mique cho cardiologie ophtalmologie radiologie Des m decins sp cialistes en urologie cardiologie radiologie et ophtalmologie suivent ces dossiers pour l URPS MLA Le d tail des protocoles est en ligne sur le site de l ARS Attps coopps ars sante fr coopps init index sSp Des informations compl mentaires sur les modalit s d adh sion sont dispo nibles sur le site de la Plateforme d
28. lace une signalisation des marches d es caliers pour les d ficients visuels 2 600 installer une main courante prolong e des deux c t s de l escalier Il faudra aussi Loi accessibilit remplacer la porte d entr e de l immeuble 2 700 sans oublier de changer les avaloirs ou grilles de caniveaux pour les cannes et autres paillassons g nants pour la circula tion d un fauteuil roulant 500 l am nagement du second uvre co tera 30 000 On fait tomber les murs exis tants pour permettre une libre circulation avec possibilit de demi tour de 1 50 m de diam tre chaque endroit 16 000 II faut aussi remplacer tous les blocs portes 5 600 et am nager des sanitaires adap t s 6 000 On repositionne la sonnette trop haute et on change les paillassons trop souples Ce rapport de diagnostic d accessibilit doit obligatoirement tre pr sent en assembl e g n rale de copropri t avant l tablissement du dossier de l Agenda dAccessibilit Programm e AdAbp qui est d poser avant le 27 septembre 2015 Gageons que les frais engager feront peur aussi la copropri t Dr Dominique Discazeaux Questions r ponses L URPS MLA a fait pr ciser quelques l ments d information par la Direction D partementale des Territoires de la Gironde e Les 4 exemplaires CERFA doivent tre adress s par RAR courrier recommand avec ac cus de r ception
29. le a un r le d terminant Cest ce que s est efforc e de montrer cette Journ e constructive et productive en pr sence de Madame le Pr Rainfray et des inter venants de terrain de tous horizons autour des signes d alerte et de rep rage des signes de la fragilit Cette journ e a t marqu e par la ri chesse des changes dans une ambiance conviviale et ouverte accompagn e d une d monstration d outils coop ratifs fonc tionnels et actifs autour de la personne g e CASSIOPEA T l assistance PAACO MEMOcl T l m decine plaies et cicatri sation Allodocteurs fr Encore une fois il a t d montr que la coo p ration interprofessionnelle autour d un usager de sant est un atout et un v ritable outil pour une prise en charge globale de qualit cela quel que soit l ge du patient Des journ es p renniser auxquelles la participation de l ensemble des acteurs est d une richesse sans limite Dr Philippe Faroudja Deveaux JOURNAL DE L UNION N 65 Nous esp rons vous compter nombreux nos c t s pour r aliser cette tude ambitieuse et pour d velopper la recherche en soins pri maires dont nous avons besoin Au nom de l quipe de recherche de SAGA Pr Jean Philippe Joseph D partement de M decine G n rale Pr Fabrice Bonnet Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux Permanence des soins Une maison m dicale de garde Libourne La gestion de la maison m
30. nformer leurs patients Bless e et affaiblie mais toujours r active la m decine lib rale garde toute l nergie pour maintenir son identit garante d une m decine de proximit et de qualit A lire dans ce num ro gt Projet de loi sant p2 Loi Touraine loi fourre tout gt Elections aux URPS ML p3 Le 12 octobre 2015 gt La d mocratie sanitaire p 4 A l preuve de la r alit gt Perturbateurs p 8 9 endocriniens Et petite enfance gt Mise aux normes des cabinets Date butoir le 27 septembre p 10 11 X ACTUALIT l Aquitaine la manif de Paris JOURNAL DE L UNION N 65 50 000 professionnels de sant lib raux se sont retrouv s dans la rue le 15 mars Malgr une grande mobilisation des professionnels de sant lib raux pour une fois tous unis le gouvernement est rest sourd et le projet de loi de Marisol Touraine est pass H las la politique a prim devant l int r t d une profession et travers elle de celui des patients Loi Touraine loi fourre tout 14 avril 2015 les d put s ont vot le projet de loi de sant ebaptis e loi de modernisation du R syst me de sant ce texte a pris l allure d une proc dure d urgence avec une seule lecture par les deux assembl es Le S nat devrait examiner le texte en juillet Il est donc fort probable que le projet de loi vot le 14 avril 2015 constitue dans ses grandes lignes la version d finitive Le gouv
31. ronnement LR L UNION EN DIRECT JOURNAL DE L UNION N 65 Mise aux normes 27 septembre 2015 AN ORA a E Accessibilit des cabinets m dicaux Le dossier AdAP imprim CER pes l Me derni re ligne droite et doit tre d pos avant le 27 LT TUTO ESOTSOTESCES L URPS ML Aquitaine a sign une convention avec cabinets qui ne se sont pas d cla 4 dE PET OT ET Bureau Veritas pour aider les m decins lib raux dans le CENSURE ATETISEE dossier complexe de la mise aux normes de leur cabinet site www urpsmla org m dical EN a convention propose deux ni dicap es Si le diagnostic tablit que le Correspondants accessibilite veaux de prestations possibles cabinet est aux normes une attestation prix n goci s de conformit sera remise vos contacts Mission debase diagnosticde l accessibilit Mission optionnelle r daction du dossier Dordogne du cabinet m dical aux personnes han AdAP Agenda d accessibilit programm e Correspondant M Daniel SICRE T l 05 53 45 56 30 Mail daniel sicre dordogne gouv fr big Adresse Direction D partementale 7 des Territoires de la Dordogne _ Un l Cit Administrative n n CT 24024 P rigueux cedex a tai LC g Gironde ak wee 9 MANET nepca Correspondants M Luc ROBERT l S ayi T l 05 56 24 84 25 AUX Ap TES Mail luc robert gironde gouv fr M Pascal MEDAN T l 05 56 24 86 88 Mail pascal medan gironde gouv
32. s atelier 2 soul vent des ques tions de formation et de reconnaissance de ces comp tences de partage des donn es et de confidentialit de responsabilit et de r mun ration Les situations jusqu pr sent reconnues officiellement concernent surtout des techniques hospitali res Quant savoir si le m decin restera le mieux plac pour tre le chef d orchestre d une coop ra tion entre professionnels au service d un pa tient chronique dont les probl mes sont plus m dico sociaux que strictement m dicaux la question est ouverte Serpent de mer de la soci t fran aise la r ponse concr te au d fi Handicaps et ac cessibilit aux lieux de soins atelier 3 est sans cesse repouss e Outre la question des co ts qui pourrait acc l rer le d part la retraite de professionnels et la d sertifica tion des centres villes il est n cessaire de se demander s il n est pas disproportionn que chaque cabinet de soins doive s adapter tous les types de handicaps Une orientation des usagers en fonction de leur handicap et des quipements semblerait plus prag matique mais elle remettrait en cause le principe du libre choix du professionnel par l usager On en reparlera donc encore long temps L application stricte des principes peut nuire leur esprit Les jeunes sont les vieux de demain mais ils se pr occupent peu de Bien Vieillir atelier 4 Les moyens ne sont pas que m dicaux Pour cela il faut
33. stant Ce n est pas une d rogation donn e une personne exploitant l ERP mais l entit ERP qui tant qu elle reste ERP profite de la d rogation Source DDTM 33 Avril 2015 Cit municipale 4 rue Claude Bonnier 33077 Bordeaux JOURNAL DE L UNION N 65 De vous nous Lancement du PAERPA Bordeaux Le 11 mai en pr sence des partenaires et des membres du comit de pilotage PAERPA Alain Jupp maire de Bordeaux et Michel Laforcade Directeur g n ral de l Agence R gionale de Sant d Aquitaine ont sign la convention cadre lan ant ainsi officiellement le projet PAERPA Personnes Ag es en Risque de Perte d Autonomie Suite la pr sentation du PPS Plan Per sonnalis de Sant par le Dr Gu rin pour l URPS ML Aquitaine des services offerts par la plateforme autonomie seniors par le Dr Brug re pour le CCAS de Bordeaux l unit mobile de g riatrie par le Pr Salles pour le CHU l quipe urgence de nuit par Bagatelle les partenaires pr sents ont r pondu aux questions des journalistes La phase active vient de d marrer dans le quartier du Grand Parc et le premier cas clinique a t enregistr et voqu lors de cette pr sentation Le r le cl du m decin g n raliste dans la prise en charge des sujets g s fragiles fait l unanimit La coordination entre les diff rents professionnels lib raux du domicile a t salu e par le Directeur g n ral de l ARS La relation quilibr
34. t la grossesse et l allaitement R dig pour les professionnels de sant son financement est exclusivement public et ind pendant de l industrie pharmaceu tique pr cise le Centre Le CRAT propose deux moyens d information son site internet en acc s libre tout public un service hospitalier exclusivement r serv aux m decins pharmaciens et sages femmes joignable au t l phone fax 01 43 41 26 22 et par courrier crat secretariat trs aphp fr Le CRAT H pital Armand Trousseau 26 avenue du Dr Arnold Netter 75571 Paris cedex 12 www lecrat org JOURNAL DE L UNION N 65 Perturbateurs endocrini Quels risques comment s en pr munir LARS et la commission Sant Environnement de l URPS ML Aquitaine restent mobilis s sur la question des risques environnementaux Illustration Guide de la pollution de l air int rieur INPES j pr occup s par la toxicit poten D tielle de nombreux facteurs environ nementaux les membres de la com mission Sant Environnement de l Union avaient organis en 2009 Bordeaux un d bat sur l air int rieur du domicile C est donc dans une parfaite communaut d esprit qu ils ont r pondu favorablement la demande de ARS de co organiser cette ann e deux conf rences d bats sur le th me des perturbateurs endocriniens th me cette fois ci recentr sur la petite enfance p riode de fragilit absolue face ces polluants
35. te la superficie de 64032 Pau Cedex votre tablissement et saisissez notre code promotionnel URPSMLA1 5BVP Antenne de Pau secteur B arn et Soule Puis choisissez d obtenir un devis ou de commander directement en ligne T l 05 59 80 86 32 Antenne d Anglet secteur Pays Basque 2 Bureau Veritas vous contactera pour fixer un rendez vous votre cabinet T l 05 5915 1963 3 Le paiement se fera apr s intervention r ception de la facture en ligne ou par ch que x L UNION EN DIRECT T moignage Mon diagnostic ahea naiss au secours a loi exige donc que les cabinets m dicaux se mettent en confor mit pour tre accessibles aux per sonnes handicap es De nombreux cabinets ne sont pas aux normes dont le mien Gr ce l URPS ML Aquitaine qui a sign une convention avec Bureau Veritas pour accompagner les m decins lib raux dans leurs d marches j ai pu avoir une id e pr cise des travaux engager et de leur co t Contact par t l phone le Bureau Veritas a rapidement diligent un technicien tr s efficace sur mon lieu de travail au Bouscat Une semaine plus tard il m a remis le dia gnostic d accessibilit de mon cabinet Sa mise en conformit n cessitera un in vestissement de 54 000 dont 22 700 pour la copropri t et plus de 32 000 pour le propri taire Au titre du gros uvre il faudra modifier la rampe d acc s existante 20 000 mettre en p
36. tion de l information Ce site a t con u partir des recommanda tions de la Haute Autorit de Sant et de l US Department of Health and Human Services et en fonction des besoins des usagers deux focus groupes de patients et m decins Il est actualis au fur et mesure des infor mations qui lui sont transmises une mise Jour d taill e tant r alis e tous les 6 mois Il est r alis par T l sant Aquitaine et port de fa on ind pendante par AGIR 33 Aqui taine qui coordonne les actions en addictolo gie en soins primaires avec un financement de l Agence R gionale de la Sant dAquitaine Pour tout renseignement AGIR 33 Aquitaine 20 place Pey Berland 33000 Bordeaux T l phone 05 56 51 56 51 E mail contact agir33 fr Pr vention du risque suicidaire L association R novation organise Bor deaux le 17 septembre une soir e des tin e aux m decins g n ralistes sur le th me faire face la crise suicidaire La pr sentation autour du rep rage et de la pr vention du risque suicidaire sera anim e par le Dr Olivier Doumy psychiatre au CHS Charles Perrens Le lieu sera communiqu ult rieurement sur le site de l URPS MLA D pistage pr coce Vraies Fausses id es sur le cannabis JOURNAL DE L UNION N 65 La commission Sant mentale de l Union s int resse la consommation du cannabis chez les tr s jeunes Elle a recu le Dr Jean Michel
37. ures compos es d une ou plusieurs quipes de soins primaires peuvent s organi ser pour laborer un projet de sant n goci avec l ARS Elles peuvent recourir aux plate formes territoriales d appui personnels so ciaux et m dico sociaux pour la coordina tion des parcours de sant complexes Les m decins g n ralistes gardent la coordi nation des interventions C est dans ce cadre qu est voqu le futur infirmier clinicien La loi cr e le statut de m decin traitant pour les enfants de moins de 16 ans A partir du 1 janvier 2020 la permanence des soins ambulatoires disposera d un num ro d appel unique national En attendant les ARS choisiront entre ce num ro et le 15 Le tiers payant g n ralis est bien pr vu pour novembre 2017 sera d abord appliqu aux titulaires de ACS en juillet 2015 puis aux ALD janvier 2016 ensuite tous les assur s sociaux Pas de trace de sanction dans le texte de loi mais il faudra attendre le d cret d applica tion pour y voir un peu plus clair Sur le plan soci tal Suppression du d lai obligatoire de r flexion de 7 jours avant une IVG droit l oubli des patients gu ris d un cancer avec dans un premier temps les enfants de moins de 15 ans et les adultes consid r s comme gu ris depuis 15 ans L article concernant le testing d pister les refus de soins pour les CMU entre autres a t supprim KZ ACTUALIT R
38. xposomes b n fiques ou toxiques Tous les facteurs environnementaux capables de modifier l pig nome sont qualifi s d expo somes Ils peuvent avoir un effet pathog ne en em p chant la lecture d un g ne codant une pro t ine n cessaire la bonne sant Il existe aussi des exposomes b n fiques capables de rem thyler l ADN Ceci a t clairement d montr avec des souris Attention danger nourries avec du Bisph nol qui deviennent vite ob ses et perdent la couleur brune de leur pe lage Si on leur donne une alimentation riche en groupes m thyles elles reperdent du poids et retrouvent leur couleur originelle On distingue les exposomes internes des expo somes externes e Les exposomes externes sont les agents infectieux irradiations stress temp rature alimentation m dicaments mol cules inhal es nourriture activit physique Leurs voies de passage sont essentiellement la bouche la peau et les voies respiratoires Une enqu te faite sur des d put s europ ens volontaires a permis de mettre en vidence plus de 70 exposomes pathog nes dans leur sang Malheureusement les tudes montrent que ces exposomes passent sans aucune difficult la barri re placentaire et via le cordon ombilical envahissent le f tus Cest cette p riode comme dans la petite enfance o les cellules se multiplient que les exposomes toxiques font le plus de d g ts car l pig nome modifi se retrou
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