5.1 M - Chambres d`agriculture
Contents
1. a i J i F hA m Fi Ta f i A D ii M f pr eN i ER i Aa Ga a TA MAT X FLSA T amp ADS j IN 16 ai AL r veS AN T Ma x y l KE CET ES i 3 Ef A F R i o E E o mL TETN Fr j Le s M 6 CCHANGER n 45 janvier 2015 F Fe J Bi 5 i kh 5 aA i Pi vue f m a me a Si Bins aai a z i E i ka L mn a Dominique Proyart pr sident de Somea et Yves Hautefeuille maire de Cahon Gouy C tait l apocalypse du jamais vu se souvient Yves Haute feuille maire de Cahon Gouy l vocation des coul es de boues qui ont envahi trois rues du village la Toussaint 2013 M me si les habitations ont cette fois t pargn es Yves Hautefeuille a voulu r agir rapidement sensibilis depuis longtemps aux probl mes d rosion En tant que vice pr sident de la Communaut de communes du Vimeu Vert il a en effet suivi la mise en uvre du plan de gestion de la rivi re Trie et de l am nagement du bassin versant avec notam ment la r alisation de diguettes et de retenues Les coul es de boues prove naient d une parcelle sur la quelle il n y avait jamais eu de probl me auparavant nous explique le maire de Cahon Gouy Des surfaces implant es en pommes de terre puis des semis de bl dans une terre tamis e un terrain accident et de fortes pluies 35 milli m tres en une heure c est la combinaison q2. Reconnue pour sa vigueur l orge de prin temps a ainsi atteint un niveau de produc tion int ressant de l ordre de 4 tMS ha Esp ce relativement nouvelle et issue d une famille v g tale absente dans la rotation le nyger pr sente une bonne productivit sur un laps de temps rela tivement court En 2013 les rendements atteignent plus de 4 tMS ha Cependant son taux de mati re s che particuli rement faible de l ordre de 12 contre 35 pour l orge ou 45 pour le moha et sa forte sensibilit au gel en font un can didat peu fiable Enfin deux couverts m ritent l attention le m lange avoine vesce et le moha Dif f rentes conduites culturales ont atteint des niveaux de rendements tr s encou rageants proches du seuil des 5 tMS ha graphique 2 Ainsi les avoine vesce se m es de 30 jours 10 jours avant moisson obtiennent elles un rendement stable laissant pr sager une p riode de semis Le camion d engazonnement des r sultats d cevants Une technique d implantation des cultures interm diaires valorisation nerg tique sous couvert de bl a t test e la lance eau Si ce syst me est prouv pour garantir l engazon nement des talus ou autres aires de repos il s av re en revanche inadapt nos conditions agricoles En plus d un taux de lev e tonnamment faible le camion n a pu garantir niune densit de semis ad quate ni une r partition homog ne des semences Si le r
3. pales l enjeu des cultures d rob es est de produire un maximum de mati re s che en un minimum de temps et avec un co t de production limit Les diff rents essais mis en place se sont attach s d finir les meilleurs itin raires pour y parvenir couverts et m langes dates et techniques d implantation fertilisation r colte etc Implanter au plus t t Les travaux men s en 2013 par la Chambre d agriculture ont d montr 8 CHANGER n 45 janvier 2015 qu une implantation pr coce des cultures d rob es est n cessaire pour atteindre des niveaux de rendements suffisants Ainsi les couverts sem s en post moisson le 20 ao t ont produit en moyenne trois tonnes de moins que ces m mes couverts sem s deux et trois semaines plus t t Dans un contexte de moissons tardives le semis sous couvert de bl devient donc incontournable Six couverts test s Six couverts ont t test s en 2013 Tous n ont pas atteint les r sultats esp r s Inspir e de la technique bio le semis du tr fle d Alexandrie sous couvert de bl au stade deux n uds s est sold par un chec Si la lev e a t une r ussite la forte biomasse du bl a touff les jeunes plantules Le sorgho fourrager a quant lui d montr qu une implantation la vol e lui tait r dhibitoire Heureusement les autres couverts ont donn des r sultats prometteurs de l ordre de 3 5 pr s de 5 tMS ha gra phique 1
4. 22 33 69 75 Optimiser le suivi annuel de son PDE Lundi 23 f vrier Amiens S approprier la fiche de suivi annuel mise en pratique et calcul de l EBE sp cifique partir de vos r sultats analyser votre situation conomique envisager vos marges de progr s avez vous besoin d un avenant Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Isabelle Aslah T l 03 22 33 69 87 Formations agr es par Vivea Toutes les formations sur www somme chambagri fr PUBLICATIONS A A avoir absolument Rep res Choix phyto 2015 ES GRICULTURI TERRITOIRES CHAMBRE D AGRIC YEME Le Choix phyto est dit chaque ann e par la Chambre d agriculture de la Somme Ce document de 96 pages regroupe les conseils de ses ing nieurs en productions v g tales en mati re de vari t s d sherbage fongicides et insecticides pour les cultures et fourrages du d partement bl orge bet terave ma s colza pomme de terre l gumes lin Une mine d informations pour la conduite des cultures Le Choix phyto est r serv aux agriculteurs ayant souscrit un suivi technique aupr s de la Chambre d agriculture Vous n tes pas encore client Contactez nous vite pour profiter du Choix phyto Il existe aussi une version bas volume m Contact Mathilde Lheureux T l 03 22 93 51 25 Catalogue des formations 2015 a Retrouvez dans ce guide l ensemble des formations propos es par la Chambre d
5. Agriculture pour son activit de conseil ind pendant l utilisation des produits phytopharmaceutiques sous le num ro P100740 ESD Tiii OHSAS 18001 BUREAU VERITAS Cartlicntien 2 CHANGER n 45 janvier 2015 Editorial POS A TTE Etre res aa AS vocabulaire s enrichit cette occasion de nouvelles entree hrs leMmenro esse emena e ebt ensortesl eee nee E Sub devine eme een eEtesSSUNE Dassetes ads diecies Mao lee tioltons d romMlESaue Jamais s appuyer sur leurs performances techniques et saisir toutes les SHportniesdede eossenente La r forme de la PAC c est aussi l disparition des quotas betteraviers et des quotas laitiers Les organisations agricoles de la Somme conduites par Fran oise Cr t nont pas attendu pour mettre Sur pied un plan CON EME a tm MANS TO NS AE CIMee to Er le monde pour garder Un nombre suffisant d leveurs et surtout Un volume suffisant de production pour garder une fili re forte R EL tee mes At enremebdIencenrA E programmation et leur gestion sont pr sent d volues aux Conseils r gionaux Les Chambres d agriculture de Picardie veillent tout D ce oneneN elles ebies lb AE E A mobilisables utilement par les agriculteurs picards sur la p riode 207TS5 2020 ele ne Sono GEO tas ae els tEMous brosser ei Cols Ce the tee here nMrne creme bthu etes l accompagnement individuel d d veloppement des fili res et des territoires Sur TOUS Ces Sujets la
6. D gt Estr es Mons Pi el P PI EA E v collachef somme chambagri fr En ER PT OURS dd Re T l 03 22 85 32 10 h Ge i Si Tee id oi maat GES SERRER UE u a ai
7. Preudhomme T l 03 22 85 32 12 Graphique 2 Effet moyen d un apport d azote tous couverts confondus rendement exprim au 30 10 couverts sem s 10 jours avant moisson Graphique 1 Production de biomasse des couverts test s en 2013 rendement exprim au 30 10 couvers sem s 10 jours avant moisson apport de 40uN ha BCE 322 ai mE UM ST ra T HS 5 i5 2 5 025 orh r nera 4 T Miha Ix MS nf 15 MIs M CE i L 45 E fr rys 0A rer M 25 4 0 35 41 3 f i 3 poe Wz a G n 1 5 5 ei F j 0 13 i i 0 1 A ET ET Jh G J i Svoreience Aa Dire ess CRE RTE age ds Timan appin ale dagr ada jzu dents Ferra mps rar tarnils Duha SOL FL E n 45 janvier 2015 CHANGER 9 A INSTALLATION Installation 2015 la Region et l Etat joignent leurs forces Un seul parcours d accompagnement pour les deux financeurs Conseil r gional de Picardie et Etat une vraie simplification en 2015 pour les candidats l installation arall lement au dispositif national Die l installation la R gion Picar die accompagne depuis 2008 les ins tallations agricoles Sont ainsi favoris es les cr ations hors cadre familial ou hors cadre agricole sur de petites surfaces 70ha UTH maximum en circuit courts levage her bivore ou d veloppant la valeur ajout e gner et v rifier son ligibilit aux deux dis positifs d aide Ensuite l accompagnement se met en place pour aider et
8. face une surcharge de travail Tarif de 140 net pour les contributeurs Vivea Contact Antoine Roisin T l 03 22 33 69 26 Rallye b timents pour les veaux laitiers Jeudi 22 janvier secteur de Oisemont Les diff rents types de logements les crit res de choix de chaque dispositif d tails de r alisation et visites d levages Gratuit pour les agriculteurs Contact Nicolas Correur T l 03 22 33 69 72 Fertilisation azot e conjuguer technique et r glementaire Vendredi 23 janvier Estr es Mons Les facteurs de risques de lessivage des nitrates et les leviers d action la m thode de calcul du bilan azot le plan de fumure pr visionnel azot et le cahier d pandage optimiser la gestion de l interculture les autres exigences en zones vuln rables Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Aur lie Albaut T l 03 22 85 32 11 Circuits courts construire une strat gie commerciale gagnante Mardi 27 janvier Amiens Les diff rentes tapes d une strat gie commerciale r ussie analyser ses pratiques et d finir des actions concr tes adapt es son entreprise Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Marie Guilbert T l 03 22 33 69 75 14 CHANGER n 45 janvier 2015 Pr parer la certification Globalgap pour la culture de pommes de terre Jeudi 29 janvier Estr es Mons Les diff rents points du r f rentiel Globalg
9. ment r vis la baisse 250 euros par UGB permettant ainsi aux leveurs de s engager plus facilement Cette baisse a t rendue possible notamment par l implication des organisations agricoles pr tes soutenir le projet Une cinquantaine d le veurs s inscrivent aujourd hui dans la d marche Mais pourquoi ce seuil de 300 tonnes engag es II permet tra de conna tre plus pr cis ment les types d animaux les volumes et les besoins des le veurs en termes d abattage de d coupe et de transformation afin de cr er l outil adapt explique Marie Guilbert Car l atelier s adresse aussi bien aux leveurs pratiquant la vente di recte ou en circuits courts qu Apport du capital de 250 UGB De gauche droite Hubert et Luc Marest leveurs de bovins Romain Six Chambre d agriculture Fran ois Paoli cabinel S fial St phane H nocque et R gis Dupays leveurs de moutons Olivier Morel Chambre d agriculture et Damien Devienne leveurs de bovins en visite Rambervilliers ceux qui souhaitent autocon sommer D ailleurs Bourgueil 80 des leveurs n assurent que 20 du volume Une fois le seuil des 300 tonnes atteint les tapes suivantes pourront tre enclench es la cr ation de la coop rative l avant projet d finitif puis la construction Contact Marie Guilbert T l 03 22 33 69 75 Les avantages du micro abattoir Comme les visites des abat toirs de Bo
10. rim tre des aides calcul es englobe les aides d coupl es les aides coupl es l ICHN et la PHAE Les simulations sont r alis es syst me constant m me SAU et m mes productions qu aujourd hui m Rendez vous sur www chambres agriculture picardie fr economie calculette pac html Contact Maximilien Ladeuze 03 22 33 69 96 n 45 janvier 2015 CHANGER 15 simplifiez et optimisez le Suivi de votre exploitation gt D coupez votre parcellaire gt G rez les fertilisations N P K gt Enregistrez vos interventions gt Editez vos documents r glementaires gt Consultez vos indicateurs environnementaux gt Exportez vos donn es vers T l pac ou vos partenaires conomiques gt Suivez vos marges conomiques et stocks d intrants gt Saisissez et consultez vos interventions au champ g C PS sur votre smartphone avec l application otrcelles lait f a De la s curit la performance Contact gt Christine DOUCHET T l 03 22 33 69 77 c douchet dsomme chambagri fr dronimt ges Le drone le nouvel outil indisoensable une fertilisation optimale de vos cultures gt Contacts R gt i gt Villers Bocage s evainldsomme chambagri fr 4 Las T l 03 22 93 51 20 he RARE i Prot Tap a ji Fi pe gt Abbeville WILEY AAA NET RARE TRE E CE s bacon dsomme chambagri fr VA ATEN Dies Er E NAT Aer RER SS T l 03 22 20 67 30 KA Bed AT AEA E PAER A ATE i po a ER ET A I A
11. s curiser le futur entre preneur travers un entretien personna lis le PPP ou plan de professionnalisa tion personnalis des formations dont le 21h r nov et une tude conomique Cr dit photo CA Vend e financ par la r gion Picardie Il s agit de formations compl mentaires et de conseils individuels techniques et conomiques de fa on ce que la cr ation d entreprise ou la reprise se r alise en toute s r nit Apr s l installation un dispositif de suivi pendant trois ans permet de d tecter assez t t les ventuelles difficult s ou d accom approfondie le Plan d Entreprise pr sen tant plusieurs hypoth ses chiffr es Tous les candidats suivent le m me parcours et le public ligible aux aides de la R gion b n ficie d un accompagnement renforc Une trentaine de candidats sont ainsi aid s pagner vers de nouveaux projets en Picardie chaque ann e A partir de janvier 2015 le porteur de projet aura d sormais un seul contact le Point Accueil Installation pour le rensei Point accueil installation Contact Isabelle Aslah T l 03 22 33 69 87 Les caf s de l installation place au t moignage Mathieu et Damien Devienne accueillaient le dernier Caf de l installation sous sa forme actuelle dans la Somme le 4 novembre Surtout prenez le temps de r fl chir insiste Mathieu ne vous installez pas trop vite profitez des conseils et de l accompagnement propos L
12. 3 Par mail a catteau somme chambagri fr T l phone 03 22 33 69 83 DATE LIMITE DE REPONSE 20 janvier 2015 ee 12 CHANGER n 45 janvier 2015 Un site de P roduction 1 5 ha de terres agricoles et 2 500 M de serres dans l enceinte du lyc e paraclet ricole le 28 pouvant cottenchy P accueillir 2 3 candidats me d entraide Un mara cher cultivant proximit AC Me ATCOAUUE de projet M on exp rience et des ainsi que de de mat riels Un syste avoir faire l utilisation en commun Plein succ s pour les Les rencontres du BSV Picardie organis es pour les observateurs r gionaux par la Chambre d agri culture de Picardie se sont d roul es le vendredi 7 novembre au lyc e du Paraclet dans la Somme Les sujets choisis et pr sent s lors de cette journ e collaient parfaitement aux questionnements tech niques des derni res semaines Les 90 participants ont chang avec les sp cialistes nationaux Les pr sentations tr s compl tes et bien illustr es ont passionn l auditoire Les ravageurs souterrains le taupin par Phi lippe Larroude Arvalis Institut du v g tal Les maladies des c r ales la rouille jaune par Gilles Couleaud Arvalis Institut du v g tal Les limaces par Andr Chabert ACTA Les probl matiques adventices par Pascal Farcy INRA Dijon Nul doute que ce type de journ e sera reconduit dans les prochaines an
13. GRICULTURE amp TERRITOIRE APR S QUOTAS Un plan lait pour la Somme ESSAIS D ROB ES PRODUIRE DE LA BIOMASSE Agriculture 3 0 La coupure de tron on indispensable a Elevage Apr s quotas un plan lait pour les leveurs de la Somme 90 personnes la journ e viande bovine Environnement Lutte contre l rosion Cahon Gouvy un exemple suivre Exp rimentation Essais d rob es les r sultats S affinent a Installation 10 Installation 2015 la R gion et l Etat joignent leurs forces s Diversification 11 12 Micro abattoir 80 engagez vous d s maintenant Devenez mara cher en Picardie on vous aide a Retour sur 13 Formations 14 Publications 15 Echanger le magazine de la Chambre d agriculture de la Somme 19 bis rue Alexandre Dumas 80096 Amiens cedex 03 T l 03 22 33 69 00 Fax 03 22 33 69 29 www somme chambagri fr Directeur de la publication Daniel ROGUET R dacteur en chef Secr taire de r daction H l ne CREVEL t l 03 22 33 69 22 Maquette et mise en page Ren e TEURKI 03 22 33 69 02 Impression Imprimerie ACFM Margny les Compi gne T l 03 44 23 39 97 Fax 03 44 23 39 15 Cr dits photos Chambre d agriculture de la Somme ou comme pr cis sur les photos couverture CA Vend e ISSN 2103 4036 D p t l gal parution La Chambre d agriculture de la Somme est agr e par le Minist re de l
14. S avec une pr cision de 25 cm sont suffisantes pour ces applications Dans tous les cas c est toujours l agriculteur qui param tre son recouvrement en fonction de la nature de l intervention ou d une notion de risque par exemple recouvrement de 100 pour les traitements fongicides du mildiou de la pomme de terre Tr s utile dans les petites parcelles Lorsque la coupure est manuelle le chauffeur s curise sa coupure de tron on en assurant un large recouvrement estim par Arvalis environ 5 Mais avec une coupure automatique de tron on le Comment gagner en recouvrement Il est difficile pour l instant d imaginer un recouvrement de 0 Il existe trois solu tions pour le limiter Horsch propose un pulv risateur avec des buses tous les 25 cm alors que la plupart des autres pul v risateurs sur le march propose des buses avec un cartement de 50 cm Ainsi un pulv risateur en 27 m tres va disposer de 54 buses 50 cm Sur la m me rampe de 27 m tres on trouvera 108 buses si elles sont dispos es 25 cm Les m mes principes de coupure de tron on peuvent tre appliqu s sur un pandeur centrifuge mais le nombre de tron ons n est pas aussi diff renciable Un semoir engrais centrifuge se limite deux tron ons correspondant chaque table d pandage recouvrement est r duit moins de 2 de la surface Le gain est d autant plus important que la parcelle est petite Dans le cas
15. agriculture de la Somme aux exploitants et aux sala ri s agricoles Pas moins de 70 stages dont 30 nouveaux sont propos s pour actualiser ses connais sances renforcer ses com p tences et confronter son exp rience celle des autres Certification environnementale vente directe et circuits courts transformation la ferme agronomie levage bovin ou laitier activit s questres informatique une diversit de th mes et de formations tout au long de l ann e Formations financ es par Vivea m Contact Anne Hotte T l 03 22 33 69 27 A t l charger sur www somme chambagri fr i 25 _ Le broutard picard idoine qui convient La constitution de groupes techniques engraisseurs sp cialis s par les Chambres D _ d agriculture de Picardie ont r v l un besoin _ de connaissance sur l approvisionnement des but ateliers en broutards 21 engraisseurs picards CNE cree j i a pour 4 200 taurillons produits ont ainsi t enqu t s sur leurs attentes Les responsables d organisations de producteurs et des n gociants ont galement t sollicit s Retrou vez dans ce document la synth se des r sultats et le profil du brou tard id al recherch par les engraisseurs m Contact Daniel Platel 03 22 33 69 73 11 me s lection g n tique des reproducteurs disponibles la vente boucle rouge 118 reproducteurs ont t labellis s cette ann e boucle rouge La list
16. ap les documents justifi dB sa qualification dans le temps AZ Tarif de 70 net pour les contribu teurs Vivea Contact St phane Gr goire T l 03 22 85 32 14 Optimiser sa pulv risation pour gagner en efficacit Jeudi 29 janvier Estr es Mons Les fondamentaux de pulv risation et du bas volume les conditions optimales de pulv risation comment tenir compte de l tat v g tatif de la cible pour optimiser sa pulv risation am liorer les propri t s de l eau les adjuvants Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Aur lie Albaut T l 03 22 85 32 11 Manipuler et intervenir sur vos bovins viande en toute s curit Jeudi 29 janvier secteur d Hornoy le Bourg ou jeudi 12 f vrier Ponthieu La perception des bovins et le comportement des animaux les diff rents syst mes de contention r agir face au taureau choisir son mat riel et attacher un animal en s curit mise en pratique Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Daniel Platel T l 03 22 33 69 73 Bien d marrer sa vente directe de viande Mardi 3 f vrier Amiens Les cl s du succ s de la vente directe de viande la r glementa tion hygi ne tiquetage les outils pr sents sur le territoire abattoirs ateliers de d coupe marques t moignage d un cui sinier de restaurant collectif Tarif de 70 net pour les contri buteurs Vivea Contact Marie Guilbert T l 03
17. couvert de bl ont t tudi es C est le cas de la double culture sur une campagne m teil suivi de sorgho par exemple ou le semis traditionnel de d ro b e derri re la culture principale En 2014 une plateforme d essais de cou verts sem s en post moisson le 23 juil let a t implant e Licourt L opportu nit d une r colte pr coce de bl a permis d valuer et d affiner la conduite culturale du m lange avoine diplo de et vesce com mune mais aussi de tester des vari t s de ma s tr s pr coces destin es aux pays nor diques Avec des productions de l ordre de 6 tMS ha en avoine vesce et 5 tMS ha en ma s l ann e 2014 confirme que la pr co cit du semis est primordiale dans la r us site de la d rob e L t indien laissait pr sager des niveaux de production lev s Cependant le semis sous couvert m me le sol a profit aux campagnols qui prolif rent ces derni res D autres conduites possibles TE Couvert d avoine vesce et de ma s Licourt le 20 octobre 2014 ann es Malgr les pi geages la densit de couvert s est av r e trop faible pour garantir une production satisfaisante de l ordre de 1 3 5 tMS ha Malgr cela le semis sous couvert reste int ressant Les prochains essais devront donc s attacher poursuivre la mise au point de cette technique et trouver la parade aux contraintes qu elle subit azot d autre part Contact Matthieu
18. d veloppement tant pour les industriels que pour les ex ploitations C est ce qu a point Fran oise Cr t pr sidente du comit d orientation de l levage le 25 novembre dernier le paysage laitier est en train de changer a t elle expliqu Avec la sup pression des quotas en 2015 la strat gie des entreprises laiti res va n cessairement voluer et par cons quent im pliquer l adaptation de nos le vages laitiers A titre d exemple chez Sodiaal a ajout Olivier Gaffet 140 producteurs dans la Somme ont demand un volume de lait suppl mentaire La moiti d entre eux cherche un volume pour optimiser leur outil de production existant l autre moiti a des projets de d ve loppement Il y a une vraie dynamique apport e par la sortie des quotas Il est urgent d accompagner et d emmener les leveurs vers la r ussite a compl t Olivier Gaffet Accompagner les leveurs laitiers C est tout le sens de la d marche engag e par les acteurs de la fili re laiti re Chambre d agriculture organismes co nomiques organisations de producteurs coop ratives conseils en levage Jeunes agriculteurs Fdsea Cr dit agri cole CERFRANCE qui ont d fi ni plusieurs axes de travail Le premier volet concerne la professionnalisation des le veurs l accompagnement au d veloppement et l organisa tion du travail Pour que l le veur ne soit pas seul avec son projet un comit de proj
19. d une parcelle longue et grande le nombre d allers retours diminue et l int r t du GPS et de la coupure galement En moyenne sur une parcelle de 10 ha le gain est de 2 5 pour une parcelle de 100 m tres et moins de 1 pour une parcelle de 300 m tres ou plus Contact Thibaud Leroy T l 03 22 93 51 22 2 Couper buse par buse La coupure de section la plus courte est la buse Donc en supposant pouvoir couper chaque buse individuellement on r duit au maximum la longueur de la section et ainsi le recouvrement Les coupures buse par buse peuvent se faire partir d une cou pure lectrique ou pneumatique La coupure pneumatique para t plus adapt e car plus r active que le syst me lectrique et beaucoup plus simple d utilisation et d entretien RETIRE Coupure de tron on pneumatique de Technoma technologie NCIS n 45 janvier 2015 CHANGER 3 A ELEVAGE Apres quotas un plan lait pour les leveurs de la Somme A l approche de la fin des quotas laitiers le plan d accompagnement des levages laitiers a LA rente ans apr s leur mise en place la Commission europ enne constatant que dans la grande majorit des tats membres les quotas ne sont plus d aucune utilit pour limiter la production a d cid d y mettre fin L augmentation de la produc tion sera d sormais possible faisant craindre une baisse des prix Mais la fin des quotas re pr sente aussi une opportunit de
20. e des reproducteurs disponibles la vente est dit e par les Chambres d agriculture de la Somme et de l Oise en partenariat avec Bovins Croissance Rappelons les multiples objectifs du dispositif boucle rouge assurer la promotion et la diffu sion de reproducteurs de monte naturelle avec un minimum de garanties g n s tiques garantir une s curit sanitaire De toucher tous les producteurs de viande am liorer le niveau g n tique des d partements de la Somme et de l Oise cr er une mulation entre s lectionneurs et attirer de nouveaux leveurs la s lection m Contact Daniel Platel 03 22 33 69 73 En ligne Simuler vos aides PAC Avec la r forme de la PAC toutes les exploitations picardes vont conna tre une volution de leurs aides Les DPU droits paiement unique sont remplac s par les DPB droits paiement de base l aide verte et la surprime Le DPB correspond une valeur initiale de r f rence historique de l exploitation et devra tendre vers une r f rence nationale l horizon 2019 convergence l aide verte est quant elle conditionn e par les SIE haies cipan et la surprime est attribu e aux 52 premiers hectares de l exploitation Les aides du second pilier viendront s y ajouter Pour valuer rapidement l volution de ces aides PAC sur votre exploitation jusqu en 2019 la Chambre d agriculture met votre disposition une calculette PAC Le p
21. es deux fr res cultivent 115 ha en conversion bio et commercialisent en direct de la viande de boeuf de porc et bient t de la volailles bio Nous avons revu nos investissements au d but on r ve un peu ensuite il faut pr voir que toutes les ann es ne seront pas identiques En fait nous ne regrettons pas d avoir moins investi car en effet les ann es d installation n ont pas t tr s bonnes au niveau des prix et des rendements en grande culture La petite dizaine de jeunes candidats l installation en mara chage ch vres et p pini re se laisse guider depuis le b timent de stockage flambant neuf vers le petit b timent pour la premi re bande de 250 poulets plein air puis dans le b timent de Blondes d Aquitaine et n en perd pas une miette Maintenant on pense optimiser le syst me les d bouch s sont l il est temps de passer un peu de temps calculer nos prix de revient En 2015 les candidats seront aussi invit s participer une r union d information mensuelle relative aux deux dispositifs d aide compl t e par un t moignage car on apprend toujours mieux de ses pairs 10 CHANGER n 45 janvier 2015 DIVERSIFICATION MIcro abattoir 80 engagez vous d s maintenant Le projet de micro abattoir dans le secteur de Flixecourt se pr cise Les leveurs peuvent s engager d s pr sent avec une participation au capital attractive de 250 par UGB ambervilliers dans les Vosges
22. et regroupera autour de lui l en semble des interlocuteurs de l exploitation conseillers tech nique financier de gestion laiterie Apr s la r alisation d un diagnostic sur la base de l outil CAPACILAIT le comit ainsi constitu aidera l leveur mettre en uvre son projet qu il vise l optimisation des moyens de production ou le d veloppement de la production A l instar des plans de d velop pement des ann es 80 cette d marche se veut f d ratrice pour l ensemble des acteurs de la fili re Mais avant tout et sur tout elle entend accompagner vers la r ussite les leveurs sur le plan technique conomique et social Au del de l accom pagnement des leveurs d autres pistes d action ont t abord es l acceptabilit des projets d levage par le terri toire l attractivit du m tier d leveur et le renouvellement des g n rations mais aussi la gestion et la p dagogie autour de la volatilit des prix cons cutive la suppression des quotas Enfin la cr ation d un fonds de caution pour l mer gence des projets a galement t voqu e Nous reviendrons prochaine ment plus en d tail sur cette dynamique d partementale port e et partag e par len semble des acteurs de la fili re Contact St phane Verscheure T l 03 22 33 69 76 4 CHANGER n 45 janvier 2015 t d voil lors de la session de la Chambre d agriculture du 25 novembre dernier U
23. et Bourgueil en Indre et Loire ce sont les deux destinations choisies par les membres de l association Micro Abattoir80 pour leurs voyages d tude Leur point commun la pr sence d une unit d abattage et de transfor mation De quoi alimenter la r flexion de l association sama rienne cr e en juin 2014 Les deux visites qui se sont d roul es en octobre et novembre derniers ont confort l id e de cr er une coop rative Cette structure s av re en effet adap t e au projet de micro abattoir dans la Somme Elle offre de nombreux avantages pour les leveurs dont notamment une participation au capital progres sive et en lien avec les quantit s trait es Mais avant la cr ation de la coop rative pr vue au premier trimestre 2015 il est n cessaire de r colter l engagement d un certain nombre d leveurs et de s assurer d un volume minimum de 300 tonnes Pour r colter ces engagements l association a organis deux r unions le 20 novembre Oisemont et le 4 Bovin sauf vache laiti re et veau Vache laiti re Veau Porc Ovin d cembre Rue Une centaine d leveurs y ont particip t moignage de l int r t port au projet Mathieu Devienne le pr sident de l association Marie Guilbert et Olivier Morel de la Chambre d agriculture ont pr sent le projet et fait part des r centes volutions au niveau du capital social Au d part pr vu 1 000 euros la tonne il a t finale
24. ies prenantes D autres communes qui ont connu galement des d g ts ont contact leur tour la com munaut de communes pour envisager des am nagements Je n aurai plus les dizaines de coups de fil pour signaler qu il y a de la boue sur la route conclut Yves Hautefeuille Contact T l 03 22 33 69 91 Pascal Quennehen V ronique Charlet et Christian Tellier les exploitants et propri taires concern s par les am nagements Une ravine importante s est form e dans la parcelle suite aux fortes pr cipitations Talus ventr 1 000 m tres de haies ont t implant es sur Cahon Gouy n 45 janvier 2015 CHANGER AEXPERIMENTATION Essais d rob es les r sultats s affinent Le 28 octobre la Chambre d agriculture organisait une visite des essais cultures interm diaires valorisation nerg tique Focus sur les principaux enseignements epuis deux ans la Chambre D rrciure a mis en place des essais dans l est du d partement afin de tester diff rentes modalit s d implantation et de conduite des cultures interm diaires valorisation nerg tique CIVE La couverture des sols en hiver tant obligatoire en zones vuln rables autant trouver une valorisation aux cultures implant es La production de biomasse pour la m thanisation mais aussi pourquoi pas pour des applications en chimie verte peut r pondre cet objectif Implant es entre deux cultures princi
25. la Somme et de l Oise s est d roul e le 11 d cembre Noyelles sur Mer T moignages d experts et t moignages d agriculteurs la recette a fait ses preuves aupr s des leveurs picards Le premier t moin c est Didier Gu rin directeur du GDS Groupement de D fense Sanitaire de la Creuse qui est intervenu sur Ja transmission de l immunit de la m re son veau Les seconds t moins ce sont Delphine et Christophe Depourca leveurs de charolaises qui ont d velopp et fait progresser leur atelier sa naissance le veau est sans d fense et son syst me immunitaire ne pourra le prot ger avant plusieurs semaines Sa seule source d immunit est le colostrum C est ce qu a rappel Didier Gu rin directeur du Groupement de d fense sanitaire de la Creuse d partement qui compte pas moins de 180 000 vaches allaitantes Or dans les 90 jours apr s la naissance 10 des veaux meurent dont deux tiers pour des raisons sanitaires Voil un constat peu r jouissant mais n cessaire qui pointe toute l importance de bien administrer le colostrum Outre son r le dans le transfert de l immunit le colostrum qui se forme dans les trois derni res semaines de gestation est aussi source d nergie pour le veau et un facteur de croissance Autant donc de bonnes raisons pour r ussir cette tape Earl des pr s sal s 6 leviers pour progresser L apr s midi tait consacr la visite de l Earl des pr s sal s N
26. motivation des lus et des collaborateurs de votre Chambre d agriculture reste intacte Tous se joignent moi pour vous ouate ler nn 20e empires serre ntele chbieessemaelereett ouCmene a O Daniel ROGUET PAo Cero a Chambre d agriculture de la Somme EM Des quipements connect s et intelligents au service de la triple performance Agriculture 3 0 La coupure de tron on indispensable La coupure de tron on est l une des nombreuses applications d riv es du guidage et du positionnement par GPS Ses avantages ind niables en font aujourd hui un investissement quasi indispensable quip d une antenne GPS le E muv riteu peut se situer dans la parcelle et ouvrir ou fermer ses tron ons de mani re autonome limitant ainsi les manques ou les recouvrements avec les zones d j trait es Mais la coupure de tron on pr sente aussi d autres int r ts elle facilite grandement les travaux de nuit et offre un confort de travail appr ciable lors de la pulv risation Une pr cision de 25 cm suffit La majorit des coupures de tron ons fonctionne partir de corrections dGPS gratuites de types Egnos SF1 de John Deere ou RTX Range Point de Trimble 1 Augmenter le nombre de tron ons En augmentant le nombre de tron ons on r duit la longueur de chacun et ainsi la sur face de recouvrement 3 R duire l cartement entre buses Buses 25 cm sur un pulv risateur Horsch Les corrections dGP
27. n es afin de ne pas baisser la garde comme l a pr cis Christophe Buisset Pr sident de la Chambre d agriculture de Picardie en introduction de la journ e Bulletin de sant du v g tal Contact T l 03 22 93 51 21 Session de la Chambre d agriculture Les lus de la Chambre d agriculture se sont retrouv s le 25 novembre pour la derni re session de l ann e Ils ont rendu un avis d favorable au projet d exten sion des zones vuln rables dans les Bassins Artois Picardie et Seine Normandie et approuv le projet de r gionalisation des Chambres d agriculture de Picardie visant mutualiser notamment les services supports informatique comptabi lit communication Le plan lait a galement t pr sent Son objectif est d accompagner les le veurs dans leur d veloppement et leur adaptation suite la fin des quotas laitiers voir notre article page 4 Cr dit photo C Lemoine CRAP L occasion aussi de saluer Paul G rard directeur de la DDTM de la Somme qui a pris sa retraite Le Pr sident Roguet a soulign la qualit des changes qu il a eus avec la Profession ainsi que sa capacit d coute et son ouverture La Belgique Apr s la Chambre d agriculture de Haute Garonne en octobre sur les nouvelles technologies au service de l agriculture c est au tour du Centre de r f rence des circuits courts de Wallonie Belgique d emmener une quinzaine de personnes voir ce qui
28. ne d l gation repr sentant la fili re laiti re d partementale a t re ue au Conseil g n ral le 16 d cembre Daniel Roguet Fran oise Cr t Bernard Ducrocq Olivier Thibaud et Marc Hossart ont ainsi rencontr Christian Manable Pr sident du Conseil g n ral de la Somme St phane Brunel le nouveau vice pr sident en charge de l agriculture et une trentaine d lus Consult s sur la question des zones vuln rables les lus d partementaux souhaitaient en effet porter un regard plus global sur l avenir des productions animales dans la Somme et en particulier sur celle du lait Un panorama de la produc tion laiti re et les axes du plan lait leur ont t pr sent s Les changes tr s riches ont port sur de nombreuses th matiques installation questions soci tales et environnemen tales Les lus ont constat le poids tr s important de la fili re lait dans la Somme un leveur c est sept emplois induits et r affirm la n cessit de mettre en oeuvre des politiques pu bliques en faveur de l levage Partenaire de longue date de la Chambre d agriculture le Conseil g n ral est soucieux d inter venir pour un d veloppement agricole adapt aux sp cificit s de notre territoire Pour conclure Christian Manable a sou hait renouveler ces changes fructueux lors de rendez vous annuels ELEVAGE A 90 personnes a la journ e viande bovine La journ e viande bovine des Chambres d agriculture de
29. oyelles sur Mer Delphine et Christophe Depourq sont revenus sur l volution de leur exploitation au cours des six derni res ann es Le regroupement des v lages l augmentation progressive du nombre de vaches 43 v lages en 2004 71 en 2014 l investissement dans la g n tique ins mination l am lioration de la conduite sanitaire et du rationnement le contr le de la production suivi Bovins croissance depuis 2008 et le raisonnement des co ts alimentaires ont per mis d am liorer sensiblement les r sultats techniques et conomiques de l exploitation Une belle r ussite dans le milieu difficile qu est la Plaine Maritime Picarde Christophe et Delphine DEPOURC n 45 janvier 2015 CHANGER 5 A ENVIRONNEMENT Lutte contre l rosion Cahon Gouy un exemple suivre Le 10 d cembre une centaine de personnes s est rassembl e Cahon Gouy pour le deuxi me Carrefour de l rosion dans la Somme Organis par Somea Somme Espace Agronomie ce temps fort a pour objectif de dresser un panorama des actions de lutte contre l rosion entreprises diff rentes chelles Ce sont cette ann e les travaux effectu s sur le bassin versant de la Trie qui ont t mis en avant Les participants au carrefour ont ainsi d couvert les r cents am nagements r alis s Cahon Gouy suite aux coul es de boues survenues en 2013 Yves Hautefeuille le maire de la commune revient sur cette op ration exemplaire
30. se fait dans la Somme Chercheurs repr sentants de groupes de d veloppe ment et de la f d ration Horeca rassemblant h tels restaurants et caf s les visiteurs souhaitaient en apprendre davantage sur www somme produitsiocaux fr et plus globalement sur la d marche de d veloppement des fili res courtes entreprise dans la Somme Contact T l 03 22 33 69 75 n 45 janvier 2015 CHANGER 13 AFORMATION R ussir sonitin raire technique en betteraves sucri res Lundi 12 janvier Estr es Mons Choisir ses vari t s ajuster sa fertilisation reconna tre les diff rents ravageurs de la betterave r ussir son d sherbage identifier les diff rentes maladies foliaires et adapter son programme fongicide reconna tre les principales maladies et ravageurs visibles la fin de la campagne Tarif de 70 net pour les contributeurs Vivea Contact Aur lie Albaut T l 03 22 85 32 11 Encadrer son salari mode d emploi Mercredi 14 et jeudi 15 janvier Amiens Se conna tre et conna tre son salari les diff rentes cl s du bon manager savoir organiser le travail communiquer avec son salari les leviers de la motivation et la gestion des conflits Tarif de 140 net pour les contributeurs Vivea Contact Antoine Roisin T l 03 22 33 69 26 Bien g rer son stress et celui des autres Lundi 19 et mardi 20 janvier Amiens Les m canismes du stress les techniques de gestion du stress r agir
31. sultat est d cevant l tude de cette technique sera cependant approfondie avec l utilisation d outils plus conventionnels tel que les sys t mes d irrigation Semis au camion d engazonnement assez large La sur densit de semis asso ci e un niveau de fertilisation de 40 uni t s d azote a permis d atteindre les meil leurs rendements Concernant le moha les rendements sont plus faibles de l ordre de 3 5 tMS ha mais stables sur les cr neaux de semis compris entre la moisson et 10 jours avant Son int r t r side dans sa capacit produire des graines plus nerg tiques ainsi qu un taux de mati re s che lev synonyme de moindre co t de transport et de meilleure tenue la conservation R colter avant fin octobre Des estimations faites fin novembre n ont pas fait appara tre de perte de rendement dans les conditions 2013 Toutefois il est pr f rable de ne pas r colter les d rob es au del d octobre compte tenu du risque de gel et de la d gradation des conditions climatiques Les essais 2014 se sont recentr s sur ces deux couverts avoine vesce et moha L objectif de la plateforme mise en place Vraignes en Vermandois tait alors d affi ner et d optimiser leur conduite culturale au travers de l ajustement des cr neaux et densit s de semis d une part et des niveaux et p riodes d apport de l engrais EXPERIMENTATION A D autres conduites que les semis de d ro b es sous
32. ui a provoqu les coul es de boues Elles se sont ensuite reproduites au gr des pr cipitations particuli rement abondantes l an pass J ai saisi la communaut de communes qui a la comp tence en mati re d am nagement et tout s est alors encha n rapi dement Les quatre maillons ont t r unis la communaut de communes Somea qui a r alis le diagnostic et fait des propositions d am nagements l association fonci re qui a accept d tre le ma tre d ou vrage mais aussi les exploi tants et propri taires dont les parcelles taient concern es Les deux exploitants ont jou le jeu insiste Yves Hautefeuille Les am nagements ont une emprise totale de 2 000 m sur les 21 ha du bassin versant ce qui n est pas n gligeable et les agriculteurs ont m me accept de cloisonner les parcelles Les am nagements ont t pla c s aux endroits strat giques un kilom tre de haie 165 m de fascine et un model de terre constituent trois barri res suc cessives qui laisseront le temps l eau de s infiltrer et retien dront la terre 1 000 m de bandes enherb es seront ga lement implant es Ces am nagements r alis s d but d cembre 2014 ont t donc t cr s en un temps re cord Un an entre les d g ts et la fin des travaux c est excep tionnel Ce qui en fait un projet exemplaire en termes de r ac tivit d implication et de mobi lisation des diff rentes part
33. urgueil et de Ram bervillers l ont montr une petite structure d abattage pr sente de multiples int r ts Par rapport une unit importante le micro abattoir permet de traiter de petits volumes par leveur une seule b te et diff rentes esp ces avec une qualit adapt e la vente directe Ces abattoirs proposent aussi une gamme de services com pl te allant du transport la transformation Le projet de micro abattoir de la Somme Services propos s Transport abattage d coupe transformation chaude froide l gumerie Capacit s Abattage 600 tonnes au d marrage puis 800 tonnes D coupe 200 tonnes Utilisateurs Eleveurs organis s en coop rative Autres utilisateurs bouchers Indicateurs technico conomiques Investissement 3 6 M abattoir atelier de d coupe transformation cuisine chaude l gumerie 12 5 ETP Financement 18 autofinancement soit 648 k OPA 23 subventions 60 emprunt Un quilibre financier obtenu d s la deuxi me ann e n 45 janvier 2015 CHANGER 11 DIVERSIFICATION ON VOUS aide Avec le d veloppement des fili res de proximit dans la Somme la demande en produits locaux et par ticuli rement en l gumes est croissante De r elles opportunit s sont saisir pour ceux qui souhaitent s installer en mara chage Mais entre souhait et r alit de nombreuses tapes sont franchir Afin de permettre aux porte
34. urs de projet de se confronter au terrain la Chambre d agriculture de la Somme le lyc e du Paraclet et leurs partenaires le Conseil g n ral de la Somme le Conseil r gional de Picardie la couveuse d entreprises C2ER l association BGE Picardie Terre de liens cr ent un espace test en mara chage L espace test en mara chage permet aux candidats sur une dur e maximum de deux ans de tester en grandeur r elle leur projet dans un cadre juridique et mat riel s curis et d acqu rir les comp tences n cessaires pour une activit de mara chage Mettre en pratique et d velopper ses comp tences personnelles s Exp rimenter la faisabilit technique et conomique de son projet V rifier l ad quation entre projet motiva tions et capacit s personnelles Construire dans la dur e un projet d instal lation seul ou plusieurs ou envisager une conclusion autre que l installation agricole salariat agricole modification du projet report de l installation reconversion PRE SELECTION DES PROJETS Les candidats souhaitant r pondre l appel projet devront remplir et retourner les documents suivants e Fiche de renseignement t l chargeable sur www somme chambagri fr e Curriculum Vitae e Copie des dipl mes et attestation de formations professionnelles A renvoyer Anne CATTEAU Chambre d agriculture de la Somme Par courrier 19 bis rue Alexandre Dumas 80096 AMIENS cedex
Download Pdf Manuals
Related Search