LFE – Un NON peut écarter le danger – Journal Franz Weber
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1. des co ts induits de plus en plus lev s La majorit de la population s appauvrit au profit d une petite minorit elle devient d pendante des grands groupes industriels Le prix de la libert et de la prosp rit sont la vigilance et la responsabilit individuelle En disant Non le 25 novem bre nous faisons en sorte de rester des citoyens souve rains et non des sujets t l guid s dans le domaine de l levage et de la sant ani male Plus d infos tsg referendum ch Un d pliant faire soi m me Pour soutenir le r f rendum du 25 novembre contre la LFE r vis e cha que voix compte le soutien de tous est crucial II faut que nous provo quions une avalanche de soutiens Voici un bref mode d emploi pour diffuser un d pliant informatif Sur le site tsg referendum ch flyers vous pouvez t l charger le d pli ant imprimez la premi re page sur une feuille A4 et la deuxi me sur le verso de la m me feuille I suffit de la plier et votre d pliant est pr t Vous pouvez en faire et en distribuer autant que vous voulez Ensuite envoyez l adresse du site tsg referendum ch flyers par courriel et par le biais des r seaux sociaux tous vos amis et connaissances en les enjoignant de faire de m me sb2. de vaccins d clencha it tout fait inutilement le niveau d alerte pand mique le plus lev Dans le monde entier les autorit s ont d pens des milliards de la poche du contribuable pour l achat de vaccins qui en grande partie ont d tre d truits par la suite Les grands groupes en pro fitent De nombreux agriculteurs suisses se souviennent dou loureusement d une autre vague d hyst rie la m me poque la lutte contre la ma ladie de la langue bleue d cr t e par les autorit s f d rales Conform ment une tude allemande sur la mala die de la langue bleue seuls 1 96 des bovins montraient des sympt mes de cette ma ladie Le taux de mortalit ne concernait que deux animaux sur 1000 Malgr tout l OVF l Office v t rinaire f d ral d cr ta la vaccination forc e de tout le cheptel bovin rap pelle Roger Burkhardt M me les vaches en fin de gestation ne furent pas par gn es Ces mesures dispro portionn es ont surtout enri chi les producteurs de vac cins UTTTETTETEN EEE ENETTT D tail curieux Au pr alable le Conseil f d ral avait par d cret retir discr tement l article 32 b de la LFE sous couvert de l tat d ur gence Cet article aurait ga rantides indemnit s finan ci res aux agriculteurs dans le cas de dommages sanitaires la suite de ces mesures Une as tuce juridique car sans l exis tence d une base l gale pr co nisant desind
3. tieusement pass en revue le texte de la r vision de la LFE et a d couvert le pot aux roses premi re lecture les modi fications de fond sont tr s dis cr tes Mais en tudiant le texte en profondeur notam ment certains passages modi fi s en catimini on s aper oit quel point la responsabilit la libert de d cision la com p tence et l exp rience du propri taire des animaux vont tre tronqu es Certes la LFE pr conisait d j l obli gation de vacciner Or les moyens pour d cr ter et met tre en uvre des mesures obligatoires ont t massive ment tendus avertit Bur khardt cause de la concen tration antid mocratique du pouvoir Berne et au niveau des organisations internatio nales toute personne qui pour des raisons l gitimes ne souha terait pas vacciner ses Suite la page 21 Vaccination g n re pid mie La vaccination contre la fi vre aphteuse bien connue des agriculteurs est interdite dans la plupart des pays car des tudes scientifiques Strohmaier amp Straub ont d montr que ce sont justement ces vaccins qui ont le plus souvent t la cause du d but d une pizootie de fi vre aphteuse Les animaux vaccin s r pandent l pid mie En comparant diff rents pays on constate clairement que ceux qui ne lancent pas de campagne de vaccination sont plus longtemps exempts de maladie Source tsg referendum ch sb No 102 octobre novemb
4. Burkhardt du comit r f rendaire Loi sur les pi zooties Non Cet informati cien en conomie et conseil ler communal sans tiquette a t un des architectes et pro moteurs de ce changement de strat gie Ce r sultat sensa tionnel s est produit sans l aide des grands partis et sans l appui de grandes organisa tions Loin du tapage m dia tique et sans le support des m dias quelques jours du d lai r f rendaire des di zaines de milliers de Suisses ont t inform s des risques de la nouvelle LFE Loi f d rale sur les pizooties r vis e Hans Muster Contre Goliath De nombreux petits Davids en l occurrence de simples citoyens amis des animaux et d fenseurs de la libert ont ainsi r ussi marquer un point contre Goliath Mainte nant au moins le peuple aura le dernier mot sur cet affli geant projet de loi antid mo cratique lors de la votation du 25 novembre Quels en sont les v ritables enjeux La l gislation suisse sur les pizooties pr conise la pr vention d pid mies po tentielles et lutte contre des pizooties existantes Elle en d finit le mode op ratoire Roger Burkhardt du comit r f rendaire Au premier abord cela para t tout fait raisonnable Mais le diable se cache dans les d tails Pen dant des semaines en colla boration avec une experte en soins animaliers et un agri culteur sp cialis en sant animale Burkhardt a minu
5. No 102 octobre novembre d cembre 2012 R vision de la Loi f d rale sur les pizooties Un non peut carter le danger z i eg pS LE 4 k a del j 4 Ea prat e a Ts nt ce 3 1 aj k iT aa is PE Lal 3 pa n ai 4 T LS pl 170_Bildlegende Le 25 novembre nous vo terons sur la Loi f d rale antid mocratique sur les pizooties Cela tient presque du miracle que le r f rendum contre la r vision ait pu voir le jour Le peuple va t il ratifier ce miracle par un Non Silvio Baumgartner Le combat semblait bel et bien perdu d avance pour les petits groupes de pression qui avaient lanc le r f rendum contre la r vision de la Loi f d rale sur les pizooties LFE Apr s le lancement la mi mars 2012 la collecte de signatures avait d marr tr s lentement Le 13 juin trois semaines avant la fin du d lai r f rendaire seules 10 200 des 50 000 signatures n ces saires avaient t rassem bl es C est alors qu un chan gement de strat gie r ussit changer la donne de mani re sensationnelle Ce fut un des succ s r f rendaires les plus spectaculaires des derni res ann es apr s un sprint final poustouflant pour r ussir gagner des signatures Le 5 juillet le compte y tait C est la toute derni re mi nute que nous avons pu d po ser le r f rendum Berne avec 51 216 signatures jubile Roger
6. emnit s ilne peut pas y avoir officiellement de dommages caus s Bur khardt Les agriculteurs les v t rinaires et la presse ont t mis SOUS pression par une vaste campagne de d stabilisation afin de passer sous silence les dommages g n ralis s caus s par lavaccination Les le veurs impuissants n ont pu qu assister au spectacle de leurs animaux en bonne sant tomber malades et mourir cause de ces substances toxiques Les dommages pour la sant des animaux ont t couverts ni s et jamais correc tement document s par l admi nistration ANT Zurich un exemple positif Il est donc tout fait logique que la r vision de la LFE bute sur la r sistance des agricul teurs et des leveurs Ils s in surgent contre la concentra tion de pouvoirs antid mo cratique des autorit s nationales et internationales et de l abus de pouvoir inh rent Le risque qu il y ait plus de vaccinations contraintes et d administration obligatoire de m dicaments est plus lev Roger Burkhardt en est persuad Sans rel che il travaille d arrache pied avec ses acolytes la prochaine tape gagner la votation Il pr f re d finir son travail de mani re positive En disant Non la r vision de la LFE le peuple s est d clar en faveur No 102 octobre novembre d cembre 2012 170_Bildlegende de la libert de d cision de la transparence du f d ralisme de la m decine compl me
7. n taire et d une baisse des charges Dans le canton de Zurich un travail politique cibl a d j entra n une r vision posi tive de la LFE cantonale Une commission d experts ind pendante constitu e d agri culteurs de v t rinaires et de repr sentants de la protec tion des animaux supervise maintenant la mise en uvre de la LFE par le service v t rinaire cantonal En outre le canton indemnise mainte nant les dommages long terme caus s par les vaccina tions Cela nous permet d en tirer de pr cieuses exp riences pratiques elles au ront des r percussions posi tives au niveau national et tout le monde pourra en pro fiter souligne Roger Bur khardt Pr server notre libert Adversaire farouche du r f rendum il nous donne une s rie d arguments pour expli quer pourquoi il est si impor Wollen Sie die nderung vom 16 M rz 2012 des Tierseuchengesetzes TSG annehmen Hans Muster tant que le peuple vote non le 25 novembre contre la LFE r vis e Nous les Suisses et les Suissesses nous sommes encore les derniers vrais sou verains Nous vivons encore dans l un des Etats les plus li bres du monde Mais pour combien de temps encore Dans tous les domaines de notre vie on essaye de plus en plus de nous dire ce que nous avons faire en nous imposant toujours plus de nouvelles contraintes Ces nouvelles obligations entra nent dans tous les secteurs
8. produits laitiers Ce serait la fin annon c e du bio Des cons quences g n tiques et d g n ratives pour la totalit du cheptel suisse sont gale ment dans le domaine du pos sible Entmundigung ZwWangsimpfungen 170_Bildlegende Antid mocratique Dans sa forme actuelle la LFE r vis e ne peut qu c urer tous les leveurs et v t ri naires On pourra alors nous contraindre participer l ap mme Hans Muster plication de ces mesures coerci tives questionnables dans l in t r t par exemple des groupes industriels l aide de contra ventions non limit es de sanc tions sans peine plafond ainsi que d autres condamnations al lant jusqu l emprisonne ment pr vient Burkhardt en citant les articles correspon dants Et Des formulations vagues limitent notre potentiel de recours En outre de plus en plus de charges sont plac es sur les paules du contribuable et de l leveur Par le biais de programmes de pr vention et de contr le art 57 b contro vers s et on reux et de banques de vaccins art 42 9 une norme avalanche logis tique et financi re menace de nous tomber dessus On se souviendra en grin ant des dents de l hyst rie g n r e par la grippe porcine avec la destruction des vac cins stock s d s que leur date de p remption tait atteinte En 2009 l OMS avec ses conseillers subventionn s en partie par les producteurs
9. re d cembre 2012 animaux se verrait sanction n e massivement voire pri v e de sa base existentielle de revenu La fin du bio Question qu est ce qui est plus int ressant pour l indus trie pharmaceutique Des levages naturels et respec tueux des besoins sp cifiques des esp ces ou un levage de masse contraire la nature des b tes et pr disposant aux pid mies De quoi ont be soin les multinationales phar maceutiques pour vendre leurs produits D animaux sains ou malades de pr f rence dans des proportions pizootiques Pourquoi le lobby pharmaceutique ne pu blie t il pas des directives sim ples concernant la sant des animaux Pourquoi la LFE r vis e passe t elle compl te ment sous silence la possibi lit d utiliser et de promou voir la m decine com pl mentaire demande Ro ger Burkhardt Peut tre parce que les multinationales ne gagnent pratiquement rien quand il s agit de pro duits et de m thodes cura tives naturelles Notre politicien de proximit craint encore autre chose la LFE r vis e pourrait signifier la mort de tous les produits bio et Demeter D s que l on g n ralisera la vaccination des animaux avec sa kyrielle de produits nocifs comme les organismes g n tiquement modifi s les m taux lourds les nanoparticules ainsi que d autres substances probl matiques on en trouvera for c ment des reliquats dans les ufs la viande et les
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