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SYNTHESE ACADEMIQUE CONSULTATION EP NICE

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1. Dans la classe citoyennet respect d autrui politesse hygi ne r gles de vie r glement de l cole Coop ration entraide coute avec les parents gagner la confiance des parents afin d instaurer un dialogue dispositif la semaine des parents l ve acteur de ses apprentissages quoi de neuf ateliers philo autre regard sur soi P dagogie du projet parlement d enfants d l gu s de classe journal radio scolaire classe transplant e ducation l environnement Les valeurs de la r publique duquer la la cit face aux replis identitaires respect des diff rentes cultures galit homme femme ducation l environnement espace public diff rent de l espace priv ducation en direction des familles sommeil alimentation ponctualit r duction de l absent isme hygi ne sant on remarque que les parents sollicitent de plus en plus l aide des enseignants Il faut renforcer la m decine scolaire pr vention dentaire par exemple L ducation comme toile de fond de tout acte p dagogique En EP il est essentiel d entretenir un climat de classe serein propice au travail le respect des autres l ves de l adulte la s curit psychologique de l l ve dans l espace classe pas de moqueries respect etc Il faut rechercher l l vation du socle culturel R affirmer l importance des RASED dont le r le est bien celui d harmon
2. Retour des postes fl ch s et des postes profil pour enseigner en RAR D velopper la formation continue des professeurs en coll ge Cr er les conditions d un climat de travail apaisant bienveillant et efficace effectifs de classe inf rieurs 20 possibilit de travailler en petits groupes avec des enseignants suppl mentaires RASED complet et non dispers encadrement des primo arrivants plus soutenu professeurs FLS et CRI 40 P renniser et institutionnaliser les postes et les missions d assistants p dagogiques EVS AVS Donner les moyens d un pilotage fort local autonome et d une contractualisation des moyens court terme Favoriser les d cloisonnements pour exploiter au mieux les comp tences de chacun repenser l organisation du travail D velopper l accueil des enfants de moins de 3 ans en maternelle D velopper l accueil de tous les enfants en maternelle en adaptant les structures si n cessaire en renfor ant le lien cole famille associations exemple des jeunes enfants de la communaut Tsigane qui ne sont pas toujours scolaris s avant 6 ans Mettre en place des quipes m dico sociales dans les coles Mutualiser davantage les outils techniques TBI salle mobile et p dagogiques afin de gagner en efficacit Mieux connaitre les structures locales biblioth ques th tre pour utiliser les ressources disposition Mieux cibler les priorit s d
3. La FOAD oblige chaque enseignant se former individuellement seul devant un ordinateur et n est pas adapt e aux probl matiques de l EP Formation sur la posture face l l ve ou aux parents agressifs geste parole langage Une formation initiale plus pointue en didactique exemple apprendre lire Une formation initiale et recyclage en secourisme pour les enseignants SST PSC1 Gestion de la tr s grande difficult scolaire pr vention de d crochage Gestion des conflits avec les parents Prise en charge des enfants en situation de handicap Les nouvelles technologies les nouveaux outils Gestion des DYS identification et prise en charge Les enseignants devraient pouvoir b n ficier de formations psychologiques pour faire face des situations difficiles parents et l ves Les formations devraient se faire sur la base du volontariat Les th mes devraient tre largis et adapt s sur des th matiques propres au r seau et accessibles tous Des formations interprofessionnelles sont souhaitables orthophonie psy personnel m dical Les enseignants ont voqu le fait que les formations 1 secours devraient tre obligatoires et actualis es Tous s accordent sur le fait qu il est souhaitable de favoriser les changes de pratiques et surtout la formation par les pairs mais qu il est primordial de pr voir ce temps de mani re institutionnelle Dans le 1 et le
4. Ne pas oublier de mettre en avant les points positifs Le lien cr avec les parents en maternelle se d t riore en primaire mais surtout au coll ge pour diff rentes raisons parents qui ont t eux m mes en chec scolaire parents qui ne ma trisent pas la langue fran aise difficult technique d tre parents d l ves Certains parents passent difficilement la porte de l cole ils n osent pas pourtant ils font confiance l cole D autres se m fient de ceux qui repr sentent le savoir D autres encore n ont aucune attente Peu de parents accompagnateurs alors que beaucoup sont inactifs Est ce parce que notre coll ge est excentr Cr er une structure un espace d di aux parents dans lesquels seraient propos s des ateliers Comment accompagner son enfant au quotidien Encadrement Orientation de l enfant anim s par des m diateurs de l ducation nationale form s dont les contrats seraient p rennes et qui auraient ainsi une bonne connaissance des familles S curiser le lien cole famille Etre parent d l ve s apprend rappeler que l enseignant n est pas un juge et qu ils sont acteurs de la situation scolaire de leur enfant N cessit de d gager un temps institutionnel dans l emploi du temps des enseignants pour am liorer cette relation Rencontres Animations Appels t l phoniques 1 2heure par semaine r mun r e Reconna tre l volution des fonctions de l enseignant accomp
5. ceux qui font consensus Favoriser l tablissement par des actions d ouverture culturelle une mixit sociale D velopper les changes externes dans un sens comme dans l autre 19 Renforcer les liaisons notamment cole coll ge changes de services suivi du parcours scolaire Une culture commune s acquiert d s la maternelle Cela passe tout d abord par l tude de la langue orale et crite Celle ci doit tre travaill e dans toutes les disciplines lecture de contes histoire des arts sciences histoire g ographie informatique Un travail transdisciplinaire est mettre en place pour y parvenir et donner du sens aux apprentissages Permettre la fr quentation r guli re des auteurs du patrimoine culturel fran ais et europ en prescrits par les programmes contes traditionnels mythologie Permettre de partager les valeurs de la R publique gr ce des actions innovantes impliquant les l ves Ouverture sur le monde ext rieur voyage parcours culturel de la maternelle au lyc e R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Implication des chaines TV en partenariat avec l Education nationale pour une r flexion autour des programmes diffus s durant le temps libre des l ves Quelle place faut il donner aux parents d l ves pour viter qu ils ne se sentent ou soient disqualifi s Comment faire alliance Comment
6. cole est favorable au d veloppement langage principalement et doit tre soutenu Baisse significative des effectifs dans les classes id al 14 l ves Postes plus de ma tres que de classe g n raliser aussi la maternelle D doublement des classes au coll ge g n raliser en math matiques et en fran ais Proposer des outils de soutien en ligne encadr s type Khan acad mie Renforcer le statut des assistants d ducation afin qu ils puissent intervenir seuls avec des l ves D velopper le r seau de proximit associations d aide parentale d aides aux l ves Poursuivre les dispositifs type coup de pouce accompagnement ducatif Les moyens humains permettant l am lioration du travail collectif apparaissent incontournables postes sp cifiques de coordonnateur r f rent pr fet des tudes Ils doivent tre d velopp s et surtout confi s des personnels motiv s et form s Des moyens horaires permettant la mise en uvre du projet de r seau et le travail en quipes pluri professionnelles compl tes seraient b n fiques quant la r ussite des l ves Ceci ne peut se faire qu avec un temps lib r dans le service des personnels Le manque de professionnels comp tents et donc form s en charge d valuer et de rem dier aux difficult s sp cifiques et multiples des l ves se fait clairement ressentir Des postes de psychologues assistantes sociales disposit
7. de renforcer le lien entre les tablissements scolaires et les partenaires sur le terrain associations services sociaux municipalit s m tropoles gt Travail en quipes multi professionnelles mais pour cela il faut d gager du temps pour les enseignants Des outils de pilotages mieux d finis et adapt s aux particularit s locales Une valuation permettant de mieux d finir les actions de les r ajuster de les faire voluer Des directives et des crit res d valuation clairs et synth tiques L harmonisation des calendriers scolaire civil faciliterait la gestion pour les actions communes Le pilotage pour les participants cet atelier reste formel Le r seau est une belle id e mais ils d plorent qu il n y ait pas v ritablement de rencontre entre les pilotes et les enseignants 38 pour faire le point r ajuster n1 entre les enseignants entre eux mutualisation des pratiques localement L appel au projet est chronophage loigne les enseignants des fondamentaux le pilotage ce niveau doit tre plus collaboratif Il faut favoriser les changes pratiques il faut envisager des formations par les pairs et pr voir institutionnellement les temps d change comme tant des temps de formation Les acteurs doivent tre associ s au choix des indicateurs afin qu ils soient partag s Multiplication des instances de la paperasse toujours de nouveaux dossiers Le r seau
8. contournent Ceci a pour cons quence de concentrer les difficult s au m me endroit Modifier la carte scolaire et ou sortir les tablissements du quartier afin de favoriser la mixit sociale R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat En voulant favoriser la mixit sociale il a t cr des sections sp ciales bi langue sport pour attirer des l ves aux CSP favoris es il serait donc souhaitable de quantifier les CSP des l ves du secteur s par ment des CSP des l ves des sections sp ciales Pourcentage d enfants en famille d accueil Pourcentage suivi SESSAD Ad quation entre les moyens et les actions mises en uvre Stabilit des quipes N cessit de remodeler la carte scolaire pour rechercher plus de mixit Le nombre d enfants non lecteurs Evaluation nationale fin de CM2 d but de 6 Trouver et mettre en place un indicateur sur l environnement familial parler la langue etc Le dispositif des valuations primaires nationales obligatoires une autre fa on d valuer les r sultats scolaires est rechercher La violence et les situations sociales critiques du quartier semblent difficiles valuer La grande mobilit des habitants fuite du quartier de certaines familles d s qu elles en ont la possibilit aussit t remplac es par des foyers encore plus pr caires 46
9. de mettre en place des formations inter degr s plus fr quentes On voque m me une formation aux premiers secours pour tous les personnels La formation et l accueil des enseignants nouveaux arrivants sur les r seaux sont per us comme des priorit s 1l s agit bien de fournir des outils mais aussi de rassurer Les activit s en lien avec la politique de la ville doivent tre encourag es et d velopp es R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Certains mettent en doute l efficacit de la formation initiale et continue telle qu elle est v cue et voquent le manque de moyens et parfois de pertinence des formations actuelles De plus il est difficile d valuer l impact d une formation sur la qualit de l enseignement LE PILOTAGE R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Beaucoup de r seaux ont point la difficult de disposer d outils fiables et de r f rence pour l valuation qu il s agisse d valuation de dispositifs ou d valuation des comp tences des l ves Concernant l valuation des actions on cite le manque de r f rences nationales et de retour d valuation et on d plore la difficult d valuer l efficacit du travail moyen ou long terme On confirme que les objectifs assign s ont t divers impr cis et poursuivis de mani re inconstante Concernant
10. la valorisation des l ves la r gulation des difficult s le go t de l effort Mais elle peut tre pr judiciable pour des l ves en chec Le socle commun n est pas effectu par tous et le degr de validation des comp tences est remis en cause Comment tre strict et rester la port e des l ves Etre la port e des l ves entraine une certaine souplesse mais quand on est trop proche des enfants on n est plus une figure d autorit On ne peut pas parler de l estime de l l ve sans parler de sa propre estime La premi re estime vient du regard de l autre s accomplir se d passer soi m me De quelles exigences parle t on Est ce que l valuation d s la petite section peut contribuer am liorer ou au contraire d grader l estime de l l ve Ce n est pas baisser le seuil d exigence qui permet de rester la port e des enfants c est plut t tayer diff remment les exigences La place de l affectif dans la d marche Il faut r duire au maximum l effort de l l ve en adaptant sa p dagogie mais sans exclure la notion d effort Se mettre la port e de l enfant pour l amener plus loin exigence dans le choix des supports D calage entre ce qui est compris de la part des familles au niveau de l exigence de l cole et ce que demande l cole Qu est ce qui pourrait permettre que le malentendu soit lev 14 Comment am lior
11. seau EP le constat est d cevant au regard de la mixit sociale source aggravante d in galit s sociales Il faut red finir les savoirs savoirs contemporains culture commune en accord avec la soci t avanc es technologiques ducation aux nouvelles technologies m dia Il faut construire la relation avec les parents renforcer la relation de confiance avec les familles Il faut harmoniser les r gles au sein de la communaut ducative d un tablissement Il faut augmenter les moyens La r duction des effectifs des classes permettrait de mieux g rer l h t rog n it et prendre en compte des l ves allophones plus nombreux Cr ation de temps pour la concertation des quipes le travail interdisciplinaire et interprofessionnel services sociaux ducateurs Cr ation des emplois d enseignants mieux form s la gestion de la difficult d apprentissage r duction d emplois pr caires 22 R novation des b timents de leur quipement R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Poser un cadre commun et des routines Il serait plus int ressant de parler d espace ou de r seau de progr s Les devoirs la maison N cessit d harmonisation Les rythmes scolaires augmentation du temps global de la matin e au coll ge ou augmentation de la dur e d une s ance quelles conditions l cole peut elle assu
12. ves et les enseignants Recherche d une culture commune primaire secondaire afin d viter les diff rences de langage valoriser la coop ration R duire les effectifs dans les classes multi ges R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Eparpillement des RASED et des structures m dico sociales infirmi re et psychologue dans l cole Manque d effet des proc dures de signalement Valorisation des l ves pour une valuation par comp tences questionnement dans le secondaire des classes sans notes Repenser le maintien sans baisser les exigences Formation initiale plus sp cifique et formation continue accessible aux petits bar mes revoir l ordre de priorit Faut il revenir aux fondamentaux Sur quels types de besoins privil gier l accompagnement et l aide apport s aux l ves et comment L ESSENTIEL Proposer des apprentissages qui correspondent au niveau de l l ve et non au niveau de la classe Mieux identifier les besoins de chaque l ve pour fournir une r ponse adapt e D velopper l accompagnement personnalis le travail en petit groupes en co animation D velopper les exp rimentations classes coop ratives session de classe en modules classe humaniste D gager des moyens pour mettre en uvre ponctuellement des groupes de besoin Favoriser l acc s la culture de l cole et d
13. connaissance des troubles cognitifs La formation au premier secours Les modalit s de formation Proposer des stages communs primaire secondaire Ne pas n gliger les stages r seau s appuyant pour l animation sur les ressources locales Chaque professeur devrait b n ficier d une d charge sp cifique destin e la formation Il faut donner aux enseignants la possibilit d aller voir ailleurs observation et rencontre d autres enseignants experts pour changes et analyses de pratiques Les stages fil s sont privil gier pour favoriser le va et vient action recul Des formations interprofessionnelles sont souhaitables orthophoniste psychologue personnel m dical Dans le 2nd degr il faudrait mettre en place l quivalent des conseillers p dagogiques du ler degr CE QUI FAIT DEBAT Faut il une formation sp cifique pour l Education Prioritaire La p dagogie diff renci e dans le premier comme dans le second degr est elle une utopie 28 R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus La formation commune au 1 et 2 degr sur la diff renciation p dagogique sur la difficult scolaire sur la gestion de l h t rog n it la psychologie de l enfant les sciences de l ducation Une r flexion sur la formation des parents aux outils utilis s au coll ge ENT La formation initiale actuelle est
14. e d quipe ducative avec la pr sence de plus de personnels de sant au sein des tablissements pour un meilleur suivi des l ves orthophonistes psychologues La stabilit des quipes doit tre recherch e Le profilage des postes en EP est n cessaire car la motivation fait la dynamique d une quipe Les directeurs l inspecteur les chefs d tablissement et la secr taire de r seau ont un r le essentiel dans l impulsion et la gestion des quipes Le temps d enseignement doit tre dissoci du temps d changes qui devrait tre comptabilis comme un temps de travail Il est n cessaire de multiplier les rencontres pour ouvrir des portes et des potentialit s de travail en quipe r seau ou partenariat Ces temps pouvant tre hors temps scolaire doivent b n ficier d une reconnaissance financi re Profiter de la refonte des rythmes scolaires pour d gager des plages horaires d volues la formation des PE et la concertation Primaire Coll ge Il devient difficile de concilier les valeurs de l cole et du travail avec l volution de la soci t et de la pr carit La valeur du travail pose aujourd hui probl me car elle n est pas toujours comprise ni reconnue Le travail en quipe semble PRIORITAIRE et tre un facteur essentiel de REUSSITE Stabilit des quipes en ECLAIR engagement dans le temps avec objectifs d marches et projets communs participation des form
15. il y a des r sistances parce que c est d j difficile en quipe s il faut ouvrir cela devient impossible Pour favoriser la stabilit postes fl ch s ou profil Soumis entretien Pilotage et encadrement des ma tres suppl mentaires Dans la relation avec les parents d l ves l application de la loi sur la la cit peut entrainer parfois des situations difficiles et constitue ainsi un frein la mise en uvre de leviers Cette loi doit tre appliqu e syst matiquement avec fermet 35 La dur e et la syst matisation du temps de concertation font d bat L orientation relevant de l enseignement sp cialis est confront la r alit du terrain manque de place en IME refus des familles Une autonomie renforc e des EPLE contribuerait elle un meilleur travail d quipe Pour votre r seau sur quelles probl matiques et selon quelles modalit s l Ecole doit elle prioritairement d velopper le travail en partenariat L ESSENTIEL Les probl matiques L absent isme et la lutte contre la violence Les actions culturelles L ouverture sur l ext rieur La relation avec les parents Les modalit s Mieux r partir les r les et mieux communiquer entre associations et quipes enseignantes qui fait quoi qui est qui Pr voir des temps de concertation avec les partenaires P renniser les emplois D velopper les actions qui ont
16. indigente sur la question de la gestion des groupes d l ves ainsi que sur la connaissance de la psychologie de l enfant et de l adolescent Souhait d une mutualisation des exp riences entre coll gues observation des s ances de cours de coll gues tutorat analyse de situations professionnelles mais coupler avec des apports ext rieurs pour plus d efficacit Les stages du PAF ne sont pas suffisamment en ad quation avec les besoins des enseignants Manque d accompagnement des enseignants sur le terrain notamment pour la mise en uvre des nouvelles r formes elles se succ dent sans v ritable accompagnement des professeurs qui doivent g rer par eux m mes sentiment d avoir se d brouiller seuls Pas assez de temps consacrer de l autoformation qui semble n cessaire compte tenu du manque de propositions de formation Le lien avec la recherche p dagogique n existe quasiment pas Une formation de qualit doit s appuyer sur des intervenants venant de tous horizons y compris hors ducation nationale Gestion des crises des situations conflictuelles Connaissance des troubles cognitifs Il faut proposer des formations communes primaire secondaire Besoin de plus de temps de concertation et d change au sein du r seau notamment pour les bilans et la liaison cm2 6eme sur le temps de travail probl me de disponibilit des ZIL Formation sp cifique aux RRS inscrite au PA
17. leur donner toute leur place et pour faire quoi L ESSENTIEL Ouvrir davantage l cole aux parents et les impliquer dans les projets Avec l aide des partenaires cr er dans les coles des ateliers de soutien la parentalit un espace d di aux parents comment accompagner son enfant au quotidien D gager un temps institutionnel dans l emploi du temps des enseignants pour am liorer cette relation Certains parents passent difficilement la porte de l cole ils n osent pas am liorer les espaces et les temps de rencontre parents professeurs Reconna tre l volution des fonctions de l enseignant accompagnement des familles aspects sociaux et psychologiques prendre en compte r unions de concertation etc CE QUI FAIT DEBAT Multiplier les r unions de parents d l ves ne donne pas de r sultats L ENT est un outil pertinent mais n est pas un lien satisfaisant ing rence de certains parents non consultation de beaucoup R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Cr er des espaces et des temps de rencontre parents professeurs 20 Ouvrir davantage l cole aux parents et les impliquer dans les projets Avec l aide des partenaires cr er des ateliers dans les coles de soutien la parentalit ducation des enfants hygi ne alimentation Prendre le temps de recevoir les parents dans un lieu calme
18. rapport aux valuations nationales la ma trise de la langue Prendre en consid ration la r alit du terrain souvent diff rente de celle fournie par les indicateurs officiels Tenir compte des sp cificit s des quartiers concern s dont les probl matiques sont diff rentes de celles du reste de la ville Utiliser les m mes indicateurs pour la politique de la ville le bassin ducation prioritaire et Zone Franche pour obtenir davantage de coh rence Tenir compte du pourcentage des cat gories socioprofessionnelles ch mage bourse d favoris es Tenir compte du taux de pr sence des parents lors des r unions parents enseignants Tenir compte du nombre de signalements absent isme informations pr occupantes Tenir compte des actes de violence l int rieur et l ext rieur de l cole Tenir compte des indicateurs des partenaires associatifs et institutionnels police justice collectivit s territoriales Tenir compte des indicateurs statistiques de la m decine scolaire Tenir compte de la mixit socioculturelle communautarisme Tenir compte des indicateurs ci dessus d s la maternelle 45 Ma trise de la langue orale puis crit Niveau scolaire tests Implication des familles pr sence des parents aux r unions parents d l gu s nombre absent isme respect du calendrier scolaire Remettre en place la carte scolaire car les l ves qui ont les meilleurs r sultats la
19. tous les l ves quel que soit leur profil 1 Disposer de s ances de 60 minutes au lieu de 50 minutes m Accepter que les objectifs ne soient pas tous atteints par les l ves en m me temps n Diff rencier en d cloisonnant en faisant des groupes de comp tences Exemple anglais au coll ge o Emploi du temps les disciplines sont r partir en fonction des besoins des l ves au coll ge R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Lourdeur des programmes Les rythmes scolaires Comment am liorer les conditions d accueil des enfants en situation de handicap et des enfants de moins de 3 ans Manque de personnels sp cialis s infirmi res docteurs assistante sociale etc RASED incomplet Formation initiale et continue les gestes professionnels exemple module sur comment g rer les situations de crises avec les l ves les parents d l ves La bienveillance ne doit pas emp cher le respect des lois des r gles de l cole et la courtoisie dans les relations enseignants parents 12 Comment tre exigeant en restant la port e des l ves et d velopper l estime qu ils ont d eux m mes L ESSENTIEL Une p dagogie exigeante et respectueuse N cessit de recentrer les priorit s sur le go t d apprendre La diff renciation permet d am liorer l estime de soi La prise en charge de l erreur
20. 2 degr la formation doit tre impos e tous les enseignants formation obligatoire formation au choix Dans le 2 degr il faudrait mettre en place l quivalent des conseillers p dagogiques du 1 degr N cessit d une formation continue sur la communication la psychologie de l enfant la gestion de la classe et la gestion des conflits Proposer une formation sp cifique pour les professeurs ECLAIR en alternance pour les stagiaires D gager du temps de concertation au sein des quipes mais aussi avec les partenaires Formation sur la diversit culturelle et sociologique Formation sur les rencontre changes avec les parents en cours de formation initiale Pr voir des stages en EP durant leur formation initiale 30 R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat La formation devrait toucher uniform ment tous les enseignants ou faut il une formation sp cifique pour l Education Prioritaire Il faudrait donner aux enseignants de l EP la possibilit d aller voir ailleurs observation et rencontre d autres enseignants experts pour changes et analyse de pratique Au niveau p dagogique beaucoup se questionnent sur la faisabilit d une p dagogie diff renci e dans le premier comme dans le second degr Quelles modalit s d accueil des nouveaux enseignants vous semblent devoir tre d velopp es dans le r seau et d une fa on plu
21. 2o acad mie 2 Libert Egalit Fraternit N l E e R PUBLIQUE FRAN AISE MINIST RE DE L DUCATION NATIONALE MINIST RE DE L ENSEIGNEMENT SUP RIEUR ET DE LA RECHERCHE ACADEMIE DE NICE ASSISES DE L EDUCATION PRIORITAIRE NOVEMBRE 2013 SYNTHESE ACADEMIQUE DES DEMI JOURNEES DE CONSULTATION INTRODUCTION L acad mie de Nice comprend 6 r seaux ECLAIR et 5 r seaux RRS qui ont tous programm une demi journ e de consultation dans la premi re quinzaine du mois d octobre L ensemble des personnels de l ducation prioritaire ainsi que les partenaires ou parents invit s ont pris part la consultation Pour l essentiel la consultation a t mise en uvre comme le sugg rait le kit d organisation fourni par la DGESCO L ensemble des participants a t invit prendre pr alablement connaissance du rapport de diagnostic au moins dans sa forme r sum e ainsi que du diaporama qui pr sente les points essentiels Les principaux l ments de ce diagnostic ont t pr sent s en assembl e g n rale selon des proc dures diverses adapt es aux particularit s locales r unir parfois plus de 200 personnes dans un m me lieu n a pas toujours t facile Selon les cas les interventions des deux pilotes et de l IA IPR r f rents se sont appuy es sur le diaporama parfois all g ou compl t de donn es locales volution d indicateurs sur les derni res ann es taux de
22. F anim e en partie par des coll gues exp riment s faisant partie du r seau Int grer la formation initiale la th matique EP avec explicitation des r les de chaque acteur Accompagner les projets et les quipes en plus des livrets d j existants travers des temps de r unions fix s dans un cadre commun Formation sp cifique au travail en quipe et pour cela se donner les moyens de cr er des quipes en p rennisant les personnels pour co construire co laborer des projets avec les acteurs du quartier les associations comme institutions pour faire vivre un r seau En d but de carri re dans l ducation prioritaire co formation avec les personnes ressources et les partenaires locaux pour conna tre les dispositifs du r seau En primaire il faut s parer les temps de l l ve et le temps de l enseignant 21h semaine devant l ves et 3h de d charge par exemple pour observer des projets efficaces dans d autres secteurs prioritaires et ou dans des coles projets innovants co animer dans sa classe et ou d autres classes En coll ge r duire le temps devant l ves 15h semaine devant l ves et 3h pour observer des projets efficaces dans d autres secteurs prioritaires et ou dans des coll ges projets innovants co animer dans sa classe et ou d autres classes Accompagnement l aide l innovation en formation continue Groupes de parole institutionnalis s et analyse de pratiqu
23. La communication avec les familles limiter le d calage entre ce qui est compris par les familles au niveau de l exigence de l cole et ce que demande effectivement l cole L valuation L valuation est source de stress contre productif d s la maternelle Il faut d velopper l valuation autour du travail par comp tences car il permet aux l ves en difficult de mieux r ussir Le livret de comp tences manque de clart pour les enseignants et les familles La premi re estime vient du regard de l autre CE QUI FAIT DEBAT La notation au coll ge permet l exigence la valorisation des l ves la r gulation des difficult s le go t de l effort Mais elle peut tre pr judiciable pour des l ves en chec Le socle commun n est pas effectu par tous et le degr de validation des comp tences est remis en cause Quand on est trop proche des enfants on n est plus une figure d autorit La place de l affectif dans la d marche La notion d effort R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus L obligation de r sultats et d valuations entraine la peur de ne pas savoir et ou savoir faire Elle est une source de stress d s la maternelle N cessit de recentrer les priorit s sur le go t d apprendre D velopper l valuation autour du travail par comp tences Le livret de comp tences tel qu il est utilis aujourd hui
24. a proximit des personnels de surveillance coll ge Les enseignants doivent aussi savoir reconna tre leurs erreurs Le r glement doit s adapter tous m me aux l ves ayant un comportement difficile d Permettre aux enfants d oser demander de l aide en cas d chec e Prendre en compte les enfants en chec de mani re diff rente Importance du contact avec les parents f Trouver d autres mani res de faire rentrer les parents dans l cole g Encourager les enfants Importance des petits mots d encouragement ex dans le cahier de liaison au coll ge Y compris pour les enfants qui ne posent pas de probl me h R le des valuations L valuation des comp tences renforcer Pour permettre aux enfants de ne pas r duire leur travail scolaire une note Note de vie scolaire coll ge Aider les enfants s valuer eux m mes sans se d valuer 1 Donner aux enfants les outils pour construire leur personnalit Avoir le temps pour dialoguer avec les enfants Exemple en SEGPA le PIFO Projet Individuel de Formation et d Orientation Classeur conserv de la 6 me la 3 me Le professeur r f rent travaille avec les l ves sur la construction de ce document Savoir se pr senter qualit s d fauts Remise d attestation de comp tences aux l ves au fur et mesure de leurs apprentissages j Difficult de changer l image de l enfant k S occuper de
25. agnement des familles aspects sociaux et psychologiques prendre en compte r unions de concertation entre les membres de l quipe infirmi re COPsy PPRE passerelle etc par une augmentation financi re Continuer limiter le nombre d l ves par classe Red finir les missions de l cole aupr s des parents lieu du savoir et du d veloppement de l autonomie Co ducation n cessaire pour permettre l enfant de s adapter chacun ayant un r le particulier R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Pour les quipes ducatives les parents ne s int ressent pas toujours la scolarit de leur enfant mais les familles font confiance au syst me ducatif L cole de la R publique est trop souvent consid r e comme un d par les parents Adh sions aux associations des parents d l ves plus importantes au coll ge qu au primaire au lyc e qu au coll ge Multiplier les r unions de parents d l ves ne fonctionne pas L ENT est un outil pertinent mais n est pas un lien satisfaisant ing rence de certains parents non consultation de beaucoup 21 Comment construire une cole qui permette aux l ves et aux personnels de travailler dans un climat serein et apais L ESSENTIEL L accueil des l ves Limiter la taille des tablissements Limiter les effectifs des classes R nover les b timents leur quipement Renfor
26. ans des dispositifs comme l accompagnement ducatif pour r pondre aux besoins des l ves Permette la concertation des quipes et institutionnels Favoriser le travail avec les partenaires pour aboutir davantage de coh rence entre temps scolaire et p riscolaire Favoriser une plus grande mixit sociale en veillant la r partition des logements la construction et au respect de la carte scolaire Les effectifs doivent tre inf rieurs 20 par classe cole et coll ge La r duction des effectifs est essentielle une bonne conduite de classe et une r gularisation efficace des comportements Une harmonisation des moyens humains et des dispositifs entre l cole et le coll ge est n cessaire membres des RASED AED professeurs r f rents plus de ma tres que de classes co animations de classe assistante sociale nomination de surveillants l cole adultes relais m decin scolaire l cole Une harmonisation salariale des primes cole et coll ge est n cessaire ainsi qu une meilleure r tribution des heures suppl mentaires l cole Les postes annexes AVS AE AED sont indispensables et ces personnels doivent b n ficier d une formation solide Il faut disposer de rempla ants pour rendre possible les temps d changes de pratiques et d observations r ciproques Besoin d assistante sociale et infirmi re dans les coles L EP n cessite une plus grande lib
27. ans les classes Il faudrait mettre en place des outils adapt s pour les accueillir Pratiques langagi res courantes orales et crites des l ves oppos es la langue l gitim e vis e par l cole prise en compte des pratiques des l ves 18 Place des parents dans le processus d apprentissage de la langue l gitim e Pourquoi scolariser les moins de 3 ans Est ce efficace Probl me du passage de l oral l crit Certains pensent que les l ves tant valu s l crit Brevet bac il faut privil gier l crit D autres pensent qu il serait int ressant de passer par l oral lorsque l objectif n est pas purement en lien avec l crit afin de ne pas multiplier les obstacles N cessit d harmoniser les exigences sur la production d crits dans les diff rentes mati res enseign es au coll ge orthographe grammaticale par exemple Les comp tences travaill es en production d crits manuelle ou informatis e sont sensiblement diff rentes et se compl tent La rigueur du geste et de la posture dans la production d crits accompagne le d veloppement d attitudes respectueuses et responsables La demande syst matique de devoirs r aliser la maison permet d impliquer les parents la scolarit de leurs enfants et par cons quence les l ves leurs tudes Mais le danger c est que les devoirs faits la maison creusent l cart au lieu de le r duire Est on r elleme
28. arge des l ves en grandes difficult s scolaires sociales et les l ves relevant d un handicap La stabilit des quipes est aussi cit e comme un l ment n cessaire la continuit p dagogique Concernant le travail sp cifique avec les partenaires on met en avant le r le fondamental de collaboration avec les associations qui engendre une meilleure coh rence des nergies d ploy es La question de la continuit entre l cole et ses partenaires est soulign e On confirme parfois que la mise en place des pr fets et l apparition des programmes de r ussite ducative n ont pas suffisamment d bouch sur un mode d emploi de collaboration entre les institutions L implication faible des parents est une difficult pr sente dans les r seaux On pense que les travaux concernant la parentalit doivent tre poursuivis et qu un renforcement des liens avec les familles est mettre en uvre L accompagnement et la formation des personnels sont unanimement cit s comme des facteurs essentiels de r ussite mais qu il conviendrait de d velopper certains sugg rent une formation sp cifique obligatoire pour tout personnel exer ant en ducation prioritaire Le besoin de formations sp cifiques individuelles mais aussi collectives qui doivent int grer en lien avec la recherche les difficult s en ducation prioritaire fait consensus On insiste sur la n cessit de d velopper une culture commune
29. ateliers ceux qui font consensus Recentrer les apprentissages sur les fondamentaux lire crire compter Il convient de privil gier l oral enjeu primordial de la maternelle et dans une moindre mesure de l l mentaire Le travail de groupe favorise l coute le respect et l entraide mais il est difficile mettre en place en classe enti re Des moments de classes doivent tre consacr s la m thodologie L accompagnement ducatif doit tre poursuivi pour aider les l ves mieux comprendre les attentes de l cole Le cahier de liaison doit tre un outil pour travailler le lien avec les familles cf Cahier de vie avec les maternelles Pourtant il devient de plus en plus outil de r pression au fur et mesure que l enfant grandit au coll ge le cahier de liaison n est plus qu un concentr de mots d excuses et de convocations Un discours explicitement ducatif vis vis des enfants et des familles parait indispensable Les moyens en termes de sant scolaire doivent tre d velopp s Le rythme de la journ e des coll giens doit tre repens pour ne pas tre source de fatigue et de d motivation 15 Une cons quence majeure de l assouplissement de la carte scolaire est le d part des bons l ves et l absence de mixit sociale Sur le plan de la formation et de la gestion des conflits des carences demeurent Les enseignants ne sont pas form s pas accompa
30. ations sp cifiques Temps de concertation et d changes sur les pratiques depuis la maternelle jusqu la 3 me par niveau et sur les champs disciplinaires Temps institutionnalis pour l observation des pratiques des autres coll gues Travail des coll gues suppl mentaires co animations ou d cloisonnement profitable avec concertation et temps institutionnalis hebdomadaire pour faire voluer les pratiques p dagogiques et construire les comp tences dans la continuit Le r le des ma tres surnum raires ou professeurs suppl mentaires doit tre soulign Temps de concertation suppl mentaire 3H Semaine et inscrit dans emploi du temps Formation initiale et formation continue vis vis de la sp cificit travail en quipe des coles ECLAIR de la formation des directeurs encadrer induire d velopper des nouveaux outils num riques de tous les acteurs p dagogiques Donner plus de temps pour les quipes ducatives Un r el travail en r seau Ecole coll ge voire lyc e pour tablir un projet d tablissement qui doit tre d fini par le r seau lui m me 34 Le travail d quipe doit permettre de d cloisonner en constituant des groupes d l ves effectifs modulables selon les besoins et les apprentissages Un temps de concertation sans l ves intra cycle et inter cycle pris sur le temps de travail qui soit obligatoire afin de permettre ce travail en quipe cons
31. cer l encadrement plus de ma tres que de classes RASED Mieux former les enseignants la prise en charge de la difficult Un enseignement adapt Le syst me d valuation est s rement revoir Il faut red finir les savoirs savoirs contemporains culture commune en accord avec la soci t Renforcer la relation de confiance avec les familles D gager du temps pour la concertation des quipes le travail interdisciplinaire et interprofessionnel services sociaux ducateurs CE QUI FAIT DEBAT Les rythmes scolaires La n cessit d harmonisation R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Limiter la taille des tablissements et groupes scolaires pour favoriser la coh sion des quipes et la coh rence des actions R duire les effectifs ou d velopper la co intervention et le d doublement D velopper le dispositif plus de ma tres que de classes Remettre en place des RASED complets et des quipes m dico sociales Accompagner et former les enseignants tout au long de l ann e Proposer un espace d coute et de parole Effectifs trop charg s et cours doubles inadapt s l ducation prioritaire Le syst me d valuation est s rement revoir Comment valuer des l ves en grandes difficult s scolaire et sociales sur les bases d une norme telle que le LPC Du syst me de zone EP on est pass au r
32. de l ambition dans les pratiques Faire preuve de rigueur toute preuve gestes paroles comportement etc Personnaliser l acte p dagogique Travail en quipe f d rer les quipes projets pour am liorer l ensemble classes coop ratives Ne pas tre seul Avoir confiance dans les capacit s des l ves L valuation par comp tence pour mettre en avant ce que l l ve sait faire avec une coh rence p dagogique indispensable pour que ce soit clair pour les l ves L quit vis vis des l ves Le cadre doit tre explicite et identique pour tous les l ves Dans l acte d enseignement pr voir l auto valuation pour travailler l estime de soi Autre contribution pour une d finition de l cole bienveillante a P dagogie par projet Faire les projets pour que l enfant participe ait sa place ait envie d apprendre Avoir une reconnaissance individuelle tre cout avoir le sentiment d exister Exemple au coll ge projet interdisciplinaire En salle en sortie par groupe classe ou restreint b L enfant doit se sentir reconnu Avoir un mot individuel pour chaque enfant chaque jour Les saluer individuellement coll ge Avoir un petit mot de l enseignant primaire 11 c Importance de l encadrement Savoir quel adulte s adresser en coll ge et sentir une quit dans le traitement des probl mes R le essentiel de l
33. en RRS quand ils le souhaitent Etablir une relation de confiance avec les parents accueil dans la classe et en lieu neutre Coh rence des moyens et des discours institutionnels Formation des diff rents acteurs AVS etc p rennit et stabilit des quipes P dagogie diff renci e avec des groupes de comp tences men s par plusieurs enseignants sur un m me cr neau horaire Implication des l ves dans les diff rentes instances des tablissements Recentrer les enseignements sur les fondamentaux et la transdisciplinarit avec des moyens attribu s la concertation Donner plus d autonomie l l ve Permettre aux quipes du r seau de se rencontrer nouveau au moins 1 fois an Egalit des chances m me programme et exigences que hors EP Donner du sens aux apprentissages comp tences motivation plaisir travers la notion de projet interdisciplinarit L cole place l l ve au centre de toute activit d finir les crit res d valuation et d exigence Valorisation de l l ve qui d veloppe l autonomie et la cr ativit dans son milieu scolaire Donner un sens la pr sence de l l ve au sein de l Ecole pour qu ils se saisissent pleinement des enseignements Accentuer la concertation des quipes la coh rence ducative et le travail compl mentaire avec les parents Demander avec exigence un niveau de r f rences communes tous 26
34. entre les pr occupations locales et la probl matique nationale Les synth ses de r seaux traduisent souvent cette volont de rapporter une question g n rale une exp rience de terrain Le cadre fix pour les changes tait peu contraignant c est probablement un l ment de richesse mais qui n a pas facilit la r daction de la synth se acad mique Pierre MARI IA IPR de math matiques Correspondant Acad mique pour l Education Prioritaire Partie 1 constats face au diagnostic Recueil des commentaires et compl ments des quipes des r seaux Les synth ses de r seaux montrent qu une part importante de la r flexion s est port e au del des points d accord ou de d saccord sur les remarques ou compl ments que les personnels et partenaires ont souhait faire remonter La synth se acad mique s est donn e comme objectif d en rendre compte le plus largement possible m me si parfois les contributions portent davantage sur des propositions qui pourraient trouver leur place dans la seconde partie Les commentaires du diagnostic ont port sur les points suivants LES MOYENS LES EQUIPES ET LE PARTENARIAT LE PILOTAGE LES RESULTATS UNE ECOLE BIENVEILLANTE LES RESSOURCES HUMAINES LES MOYENS R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Un large consensus se d gage sur l analyse de la Cour des comptes et de l OCDE jugeant insuffisa
35. er la compr hension par les l ves des attentes de l cole et enseigner explicitement les comp tences qui permettent de comprendre et de r ussir L ESSENTIEL Recentrer les apprentissages sur les fondamentaux Assiduit ponctualit autonomie comp tences et connaissances disciplinaires L oral doit tre privil gi en particulier au primaire La place des parents Souvent eux m mes ne connaissent pas les attentes de l cole Il faudrait leur apporter des cl s lors des rencontres parents professeurs Le cahier de liaison doit tre un outil repenser pour travailler le lien avec les familles Un besoin de clarification La concertation doit permettre d am liorer la continuit des apprentissages Des moments de classes doivent tre consacr s aux m thodes L l ve doit pouvoir faire le lien entre ses acquis et les situations o il en a besoin Il faut rendre l enseignement plus explicite en clarifiant les objectifs notamment dans le domaine de l valuation Le rythme de la journ e des coll giens doit tre repens pour ne pas tre source de fatigue et de d motivation CE QUI FAIT DEBAT Le socle commun consensus sur le principe et d saccord sur sa formulation et sa mise en place La disparition des notes au profit de la mesure des comp tences est discutable car moins lisible par les parents R sum des points essentiels voqu s dans les
36. ernats d excellence Th me 6 Perspectives relatives la carte de l ducation prioritaire 43 Quels sont les indicateurs qui vous semblent devoir tre pris en compte pour qu une cole un coll ge puisse b n ficier de la politique d EP y entrer en sortir L ESSENTIEL Des indicateurs de contexte Le pourcentage de CSP d favoris s Le nombre d l ves boursiers Le logement quartier difficile ins curit d lits logements pr caires Le niveau d tude moyen des parents Le nombre de familles non francophones Le nombre de familles monoparentales Tenir compte des indicateurs des partenaires associatifs et institutionnels police justice collectivit s territoriales la m decine scolaire Des indicateurs ducatifs ou de performance scolaire Ma trise de la langue orale puis crit Taux de r ussite au DNB validation du LPC Le niveau langagier l entr e au CP ma trise de la langue orale puis crite l entr e en sixi me Nombre de signalements absent isme informations pr occupantes Nombre d actes de violence l int rieur de l cole Nombre de PPRE nombre de prise en charge RASED Orientation en fin de troisi me en seconde CE QUI FAIT DEBAT Comment tenir compte des l ves aux CSP favoris es quand ceux ci se retrouvent en majorit dans des sections sp ciales bi langue sport Les i
37. ert p dagogique et donc l achat de mat riel p dagogique La baisse des effectifs Travail en petits groupes avec le dispositif plus de ma tres que de classes Mettre les m mes moyens tout au long du parcours de l l ve maternelle l mentaire et coll ge AED d charges compl te de direction des rempla ants prioritaires des RASED complets une quipe pluri professionnelle renforc e m decin infirmi re scolaire assistante sociale intervention des professeurs r f rents au coll ge tout au long du parcours de l l ve Du temps pour travailler en quipe faire les liaisons entre les cycles recevoir les familles travailler avec les partenaires sociaux par exemple Indemnit s un seul label pour l ducation prioritaire avec une prime sans mission suppl mentaire Formation initiale un module ducation prioritaire Une formation continue en lien avec la recherche pour faire voluer les pratiques Des postes d application plus nombreux en Education prioritaire 41 La scolarisation des enfants de moins de 3 ans dans des conditions adapt es classe passerelle Maintien de l accompagnement ducatif avec une aide aux devoirs Cr dits de fonctionnement sp cifiques pour une ouverture culturelle politique de la ville et investissement en mat riel fonctionnel tablettes TBI ordinateurs r seau L accueil des enfants de moins de 3 ans structure interm diaire
38. ertation et le travail en quipe D velopper l interdisciplinarit Rechercher une p dagogie explicite et personnalis e Limiter les effectifs des classes Ce qui fait d bat Le manque de personnels sp cialis s La lourdeur des programmes La bienveillance ne doit pas emp cher le respect des r gles R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Participation active de l l ve la vie de l cole conseil des enfants des d l gu s de classe d bat hebdomadaire sur la vie de la classe de l cole Rendre l l ve acteur de ses apprentissages crit res d valuations connus proposer des parcours de diff rents niveaux tutorat et coop ration Le recrutement sur la base du volontariat est un gage de bonne adaptation et d implication La prime ZEP sous la forme d une NBI est n cessaire pour maintenir les quipes en place et leur coh sion 10 Harmonisation des outils et des pratiques qui permettent l enfant de garder ses rep res durant sa scolarit Favoriser la relation cole famille r union d bat parents professeurs Mallette des parents La stabilit et la formation des quipes favorisent la bienveillance au quotidien la connaissance et l attente des familles Il est n cessaire d avoir des RASED complets et pr sents afin d am liorer la prise en compte des difficult s des l ves Des te
39. es Travail de groupe apprendre travailler en quipe Gestion de conflits Gestion de la diversit des populations aussi bien sur le plan culturel que sociologique Connaissance du public des partenaires associatifs locaux p dagogie de d tour relations avec les parents gestion de conflits humains 29 Des temps de rencontres annuels avec bilans prospectifs positionn s en fin d ann e scolaire actions r guler ou reconduire mise au point bilan d tapes tats des lieux Lieux d exp rimentation p dagogique avec accompagnement Apports th oriques avec la mise en place de conf rences anim es par des chercheurs impliqu s sur des probl matiques de l ducation prioritaire Importance de la formation initiale temps de formation professeur cons quent formation l enseignement en ECLAIR Les stages fil s privil gier pour favoriser va et vient action recul l cole comme au coll ge fortes disparit s entre le ler degr et le 2 me degr aujourd hui formateurs dans la classe en accompagnement Temps de synth se dans l accompagnement avec partenaires au sein de l cole sociaux m dicaux p dagogiques psychologiques Mise en uvre de modules sp cifiques des l ves ayant un probl me sp cifique autisme dys ou formation premiers secours Actuellement les offres de formation et d accompagnement qui nous sont propos es sont souvent inadapt es
40. es hygi ne et sant rappel des valeurs de la R publique Cela rel ve t 1l du r le et de la comp tence des enseignants L implication des enseignants au niveau du quartier et en dehors de l cole est elle possible R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Face au d sint r t constat des parents les enseignants conviennent qu il est important de cr er et ou de renforcer le lien avec les familles par le biais de diff rentes passerelles Maison des parents liens avec les associations cours d alphab tisation afin d int grer une dimension ducative lacte d enseignement L homog n it des r gles de vie entre l cole et le coll ge montre galement une am lioration du climat scolaire et ouvre la voie une harmonisation des pratiques charte du r seau travaux des professeurs ECLAIR Donner du sens pratique aux apprentissages suscite l int r t des l ves il faut d velopper cet aspect de l enseignement dans les classes La r duction et la mauvaise utilisation de certains moyens sont pr judiciables aux l ves qui en ont le plus besoin Par exemple l accompagnement ducatif dont les heures ont t r duites apporte une aide concr te au niveau du travail scolaire L ducation est l un des piliers pr alable tout apprentissage N cessit de cibler les profils et de maintenir les personnels dans les tablissements
41. es apprentissages V ritable formation plus allong e pour les nouveaux professeurs Les primes et les points de bonification ne semblent pas toujours attirer les nouveaux enseignants mais permettent de favoriser la stabilisation des quipes 32 Th me 3 Perspectives relatives au travail en quipe en r seau et en partenariat Quels sont les modalit s outils organisations dispositions capables de d velopper le travail en quipe de le rendre indispensable en cole au coll ge au niveau du r seau Comment d velopper un travail collectif r flexif L ESSENTIEL Pr voir des temps et des espaces pour la concertation Pr voir un temps de travail en quipes multi professionnelles pour que les partenaires travaillant autour de l enfant se connaissent par exemple la pr rentr e Obtenir une meilleure coh rence de tous les dispositifs pour un meilleur suivi des enfants D velopper des liaisons maternelle l mentaire et cole coll ge Mettre en place un conseil cole coll ge pour la mise en coh rence de certains dispositifs F d rer les quipes autour d un projet de r seau Pr voir un temps institutionnalis pour l observation des pratiques de coll gues Favoriser le travail en quipe Elargissement de l quipe ducative aux personnels de sant D velopper des liens avec des chercheurs des sp cialistes D velopper le partenariat avec les associatio
42. es dispositifs ou d calage par rapport l ann e scolaire N cessit de partenaires pour l accompagnement scolaire et l enrichissement culturel R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat La communication entre le coll ge et le primaire en raison des horaires Absence de lisibilit Qui fait quoi Qui est qui La multiplicit des partenaires parfois sur 1a m me th matique Mieux cerner les besoins pour mieux agir collectivement Distinguer ce qui est de l ordre des apprentissages et ce qui l est moins La multiplication des activit s p ri ducatives pour une m me classe Ne pas cumuler trop de dispositifs au sein d une m me classe sous pr texte de culturel Rationnaliser les dispositifs de la politique de la ville Th me 4 Perspectives relatives au pilotage et l valuation 37 Par quelles dispositions interventions le pilotage au niveau local acad mique national peut il vous aider dans votre action Comment peut il en particulier en faciliter l valuation L ESSENTIEL Le pilotage doit partir des r alit s du terrain Les acteurs doivent tre associ s au choix des indicateurs afin qu ils soient mieux partag s Il faut clarifier les objectifs viter la multiplication des instances et de la paperasse Beaucoup ne savent pas ce qui se d cide au niveau du Comit ex cutif il faut renforcer
43. essionnels dans les RASED orthophonistes et psychomotriciens et dans chaque groupe scolaire La scolarisation des moins de 3 ans n cessaire pour d velopper leur apprentissage de la langue orale Le langage oral toujours plus efficace avec un effectif r duit ou une co intervention Cr er des situations stimulant le langage oral par exemple sorties p dagogiques mais entrav es par le carcan administratif Enrichissement du vocabulaire cahier de vie Moindre sollicitation des enfants par les parents de ZEP Echange de pratiques autour du langage crit oral changes de service entre les degr s Couplage FLE parents cole enfants car langue fran aise factice Pour d velopper l crit donner du sens visites questions ouvertes jeux de r le journal scolaire Difficult s li es aux programmes libert p dagogique n cessaire D bloquer le passage l crit essai par la bande dessin e protocole de construction de figures g om trie R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Rendre les postes plus attractifs en EP afin de favoriser une stabilit de l quipe D velopper le travail d quipe et permettre plus de concertation Obtenir des postes suppl mentaires Donner de l autonomie et de la confiance aux quipes Donner plus d autonomie au Chef d tablissement et l IEN Int gration trop rapide des primo arrivants d
44. fait leurs preuves semaine des parents mallette des parents travail en co ducation CE QUI FAIT DEBAT La multiplicit des partenaires parfois sur 1a m me th matique La multiplication des activit s p ri ducatives pour une m me classe Le rep rage des besoins pour mieux agir collectivement R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Relation avec les parents semaine des parents mallette des parents travail en co ducation Absent isme et lutte contre la violence Les parents Police justice m decin infirmi re Elargir les actions culturelles Favoriser l ouverture sur l ext rieur Cr er des liens ler et 2nd degr par discipline et avec des partenaires ext rieurs Mieux r partir les r les et mieux communiquer entre associations et quipes enseignantes Organiser au niveau local des manifestations qui fonctionnent bien exemple la lutte contre Pillettrisme Manque de disponibilit parfois des partenaires car demande trop importante P renniser les emplois Au sein des r seaux beaucoup de partenaires travaillent autour de l enfant mais n ont pas le temps de se rencontrer Besoin de temps de concertation avec les partenaires N cessit absolue de renforcer le principal partenariat la famille 36 Probl me de l loignement g ographique des partenaires Probl me de l organisation d
45. formations pr occupantes Les r sultats scolaires en particulier e R sultats aux valuations nationales Taux de r ussite au DNB d l ves ma trisant les paliers du socle commun Un indicateur sur le niveau langagier l entr e au CP Nombre de PPRE Nombre de prise en charge RASED Orientation en fin de troisi me en seconde GT et pro Le pourcentage d l ves appartenant des cat gories socialement d favoris es semble demeurer l indicateur le plus pertinent mais aussi parents inactifs RSA CSP d favoris es familles monoparentales Il est important de prendre aussi en compte un indicateur d acquis la validation des paliers du socle commun mais avec quelle fiabilit R sultats aux valuations et au brevet math matiques et fran ais La pr sence d enfants et familles non francophones Nombre de demande de maintien dans les classes des coles primaires redoublement Il est tr s important de croiser un tr s grand nombre d indicateurs L absent isme Nombre des actes de violence dans les tablissements Il est important de prendre en compte les r sultats scolaires sur 5 ans au moins et le pourcentage d enfants allophones ou issus de parents allophones Prendre en consid ration la situation g ographique en p riph rie de la ville l absence de mixit sociale le ch mage important dans la population la pr carit le niveau socioculturel Les r sultats scolaires par
46. gn s alors que le contexte de travail est tr s particulier dans certains tablissements les quipes ne sont pas stables il est donc impossible par exemple de construire une progression commune ni de p renniser des projets L implication des parents est importante Souvent eux m mes ne connaissent pas les attentes de l cole Il faudrait leur apporter des cl s lors des rencontres parents professeurs Difficult s li es la pauvret du langage Au del de la constitution d un support p dagogique comme le lexique par exemple 1l appara t n cessaire d impliquer les familles pour une meilleure impr gnation Besoin de clarification des objectifs mise en place d un m me socle commun des valuations du syst me de notation Besoin de rendre l enseignement plus explicite Permettre l l ve de faire le lien entre ses acquis et les situations o il en a besoin Les attentes de l cole assiduit ponctualit autonomie comp tences et connaissances disciplinaires et transversales m thodes de travail Rendre explicites les attentes de l cole par des objectifs plus clairs par une mise en projet implication et responsabilisation des l ves l ve citoyen Mutualiser et construire en commun les attentes disciplinaires construire des documents pour les l ves qui permettent leur auto valuation la prise de conscience de ce qu ils savent faire et la restauration de l estime de
47. if RASED complet sont des besoins identifi s Un quipement informatique complet avec une n cessaire mise en r seau et donc un personnel d di cette gestion permettrait une am lioration significative de la diff renciation p dagogique La plus value d un ma tre surnum raire et de la co intervention des enseignants n est plus d montrer Maintenir des effectifs all g s en RRS Garder le taux d encadrement valoriser et p renniser le r le essentiel des auxiliaires de vie scolaire D velopper le partenariat avec les parents et leur permettre de comprendre les attentes de l cole Prise en consid ration de la sp cificit du travail en RRS par l institution Instituer des temps de r gulation en quipe Responsabiliser les l ves ex valoriser le r le des d l gu s Maintenir et d velopper les RASED et l largir au coll ge D charge compl te de directeur en EP D veloppement des personnels de vie scolaire CPE AED professionnaliser Meilleure prise en compte de la difficult d enseigner en Education prioritaire par une indemnit correspondante R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat N cessit de donner l cole les moyens d accomplir ses missions sans les d l guer des structures ext rieures hors structures conventionn es Ne pas confondre une stabilisation des r sultats avec une am liorati
48. iser p dagogie et ducation R affirmer l importance de la pr sence des ATSEM en maternelle R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers Ceux qui font d bat Quelles exigences dans l autorit Syst me d valuation de notation et de validation Certains pensent que les diff rences culturelles sont trop grandes entre les familles et le syst me ducatif et g n rent de fait des incompr hensions et des diff rences dans les attentes et les exigences Certains pensent que le r le de l enseignant est flou et s interrogent sur la place respective de l instruction et de l ducation Ils conviennent toutefois qu en EP la part ducative est pr sente rappel des r gles hygi ne et sant rappel des valeurs de la R publique Ils ne sont pas d accord pour estimer que c est leur r le et de leur comp tence La majorit surtout dans le second degr ne souhaite pas l implication en dehors de l Ecole des enseignants au niveau du quartier Les enseignants du 1 degr rencontrent davantage les familles mais constatent un loignement progressif de leur part vis vis des enseignants d s l entr e au coll ge d l ge des l ves m me si des mesures sont prises et des dispositifs mis en place mise en place de l ENT rencontres parents professeurs L in galit des moyens humains et mat riels entre le premier et le second degr Partenariat avec les a
49. l valuation des l ves le manque d l ments de r f rences exploitables la difficult de suivi des cohortes mais aussi la complexit du livret de comp tence sont fr quemment cit s comme autant d obstacles pour suivre et analyser l volution des r sultats Les r seaux ont confirm le manque de lisibilit des objectifs qui leur taient assign s et s interrogent sur la fiabilit des indicateurs qui ne rendraient pas toujours compte du travail engag On voque la discontinuit du pilotage tant au niveau national que local inconstant et impr cis changement d IEN d IPR r f rent principal du coll ge L utilit de accompagnement par les quipes de circonscription formateurs et personnes ressources et par les IA IPR r f rents est reconnue mais on souligne l insuffisance de moyens de remplacement n cessaires l organisation des formations Le r le fondamental des coordonnateurs de r seaux est soulign R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Beaucoup de r seaux s interrogent sur la fiabilit des analyses celles ci ne refl teraient pas la r alit du travail de terrain et ne prendraient pas assez en compte les sp cificit s des territoires on fait par exemple r f rence l assouplissement de la carte scolaire qui aurait souvent pour effet la fuite de bons l ves Certains s interrogent sur le bien fond d adopter u
50. latives l accompagnement et la formation Perspectives relatives au travail en quipe en r seau et en partenariat Perspectives relatives au pilotage et l valuation Perspectives relatives l usage des moyens disponibles Perspectives relatives la carte de l ducation prioritaire Th me 1 Perspectives p dagogiques et ducatives Que signifie concr tement construire ou conforter une cole bienveillante au quotidien et dans l acte d enseignement L ESSENTIEL Une cole qui valorise D velopper l estime de soi Valoriser le travail des l ves Privil gier une valuation positive une valuation par comp tences Une cole qui prend soin Prendre en compte les difficult s sp cifiques les RASED Rechercher les conditions d une atmosph re non stressante Permettre aux enfants d oser demander de l aide en cas d chec Renforcer le suivi m dical et psychologique Avoir un adulte r f rent Avoir du temps pour dialoguer Une cole qui donne des responsabilit s et qui fait confiance Organiser la participation active de l l ve la vie de l cole Le rendre acteur de ses apprentissages lui confier des responsabilit s Expliciter les attentes faire preuve d quit Expliquer la sanction quand elle est n cessaire Des outils et des pratiques adapt s Harmoniser les outils et les pratiques Faciliter la conc
51. les liens entre les diff rentes instances et les niveaux de hi rarchie L implication des IA IPR dans le travail d quipe au coll ge est d terminante L valuation doit permettre de mieux d finir les actions de les r ajuster de les faire voluer Le LPC souvent inutilis doit tre modifi notamment pour tre en coh rence avec le DNB Il faut renforcer la contractualisation CE QUI FAIT DEBAT La question de l autonomie quelles conditions Avec quels moyens La pertinence des indicateurs pour valuer les actions La cr ation d un statut particulier des enseignants de l EP notamment d un pr fet des tudes Les initiatives et projets sont souvent difficiles valuer notamment en termes de progr s des l ves R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Pour que le pilotage soit efficace il doit tre p renne et r actif Importance du projet qui doit tre commun tout le r seau coh rent et connu de tous Le pilotage doit partir des r alit s du terrain et doit concerner tous les acteurs du r seau Renforcer la contractualisation et le pilotage au niveau national changes transversaux entre les minist res acad mique et surtout local Donner des directives plus claires afin que les personnels puissent se rencontrer et proposer un travail plus coh rent et constructif Clarifier les objectifs N cessit
52. liant le primaire et le secondaire L exp rience d aujourd hui nous montre que c est possible mais que ce serait plus fructueux si plus r gulier Les programmes actuels ne sont pas adapt s aux comp tences de nos l ves notamment en fran ais et en histoire g ographie le travail de litt rature demand au coll ge s appuie sur une terminologie difficile acqu rir alors m me que nos l ves confront s trop jeunes la grammaire et la conjugaison n en ont pas encore compris le fonctionnement Comment comprendre les subtilit s de la langue et ses figures de style quand on n en ma trise pas les bases Nous pensons qu il faut revenir l cole primaire une Observation R fl chie de la Langue en y consacrant plus de temps Il pourrait tre d gag en all geant le programme d histoire et de g ographie qui serait abord d autant plus sereinement et plus efficacement au coll ge que les l ves ma ftriseraient mieux la langue Acquisition du vocabulaire dans un milieu ferm on observe une restriction du champ lexical il faut ouvrir le champ d exp riences des enfants le champ motionnel Il faut faciliter l acc s la culture les sorties scolaires hors RRS l organisation de groupes de parole et de d cloisonnement par la g n ralisation du dispositif plus de ma tres que de classes L obligation scolaire devrait tre tablie d s l ge de trois ans R introduire des prof
53. lit s d velopper l apprentissage de la langue orale pour les moins de trois ans et la pratique de la production d crits tous niveaux 16 L ESSENTIEL Une p dagogie volontariste Des projets interdisciplinaires Les usages du num rique les tablettes Des situations d apprentissage en lien avec l environnement de l enfant Harmonisation des attentes sur la production d crits dans les diff rentes mati res enseign es au coll ge Acquisition du vocabulaire ouvrir le champ motionnel Donner l acc s la culture Les dispositifs efficaces d velopper Le travail en groupes Le partenariat avec les associations Les projets communs et la liaison cole coll ge La recherche de situations stimulant l crit et l oral sorties p dagogiques journal scolaire L obligation scolaire devrait tre tablie d s l ge de trois ans Le FLS permet des progr s importants Des ateliers de langage vis e philosophique d s l cole primaire CE QUI FAIT DEBAT En coll ge un programme de litt rature trop ambitieux Au primaire un all gement des programmes d histoire et g ographie permettrait de d gager du temps pour une Observation R fl chie de la Langue La place dominante de l crit dans les valuations Int gration trop rapide des primo arrivants dans les classes Il faudrait mettre en place des outils adapt s pou
54. manque de clart pour les enseignants et les familles L approche par comp tences doit avoir un impact sur les pratiques p dagogiques Les l ves en difficult r ussissent mieux en travaillant par comp tences car cela est rassurant et constructif L importance du droit l erreur Les d terminismes sociaux impactent beaucoup l estime de soi Les valeurs comparatives peuvent tre un frein aux apprentissages pour certains enfants La maternelle doit renforcer et structurer le langage Elle doit tre l cole de la mise en mots L importance de la bienveillance et du respect des personnels renforce l estime de soi des l ves La n cessit d avoir moins d l ves par classe On est l pour donner les m mes chances tout le monde dans les classes L estime de soi est un moteur dans les apprentissages 13 La diff renciation permettrait d am liorer l estime de soi exigences diff rentes de la part de l enseignant L importance du regard que l on porte sur l enfant Il faut inviter les familles dans les classes pour qu elles se rendent compte de ce qui est demand leur enfant L estime de l enfant peut b n ficier des diff rentes actions qui sont mises en place en RRS cole des parents R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat La notation au coll ge est un rep re ne pas n gliger car elle permet l exigence
55. mps de concertation suppl mentaires sont indispensables concertation en quipe parler de ses difficult s trouver des solutions monter des projets concertation avec les partenaires de mani re institutionnalis e et r guli re concertation pour travailler les liens coles maternelles coles l mentaires coll ge lyc e Au del de 20 l ves par classe en l mentaire il devient difficile en termes d apprentissage et de socialisation d tre bienveillant La bienveillance c est l explication de la sanction parole dialogue c est la confiance confier des responsabilit s un l ve permet de changer l image qu il se fait de lui m me Les conseils d enfants devraient permettre de r guler les probl mes de violence et de vie scolaire Atmosph re non stressante bien tre de l enseignant et des l ves Ajustement des attentes aux enfants D velopper l interdisciplinarit D velopper l estime de soi des l ves Valoriser leur travail D velopper le relationnel avec les parents Renforcer le suivi m dical et psychologique Favoriser le d veloppement et la formation des enseignants Evaluation positive syst me des notes revoir D sacraliser l institution Pallier les manques par un travail du c ur investissement personnel affectif social R tablir un climat de confiance et de s curit Travailler sur le geste professionnel avoir de l exigence et
56. n existe pas vraiment sans pilotage mais cela n cessite plus de liens entre les diff rentes instances et les diff rents niveaux de hi rarchie beaucoup ne savent pas ce qui se d cide au niveau du Comit ex cutif Il faut plus de temps pour se concerter en vue du comit ex cutif Demande d outils homog nes tout au long de la scolarit de l enfant livret lectronique dossier qui permet de suivre tout le parcours de l l ve Le LPC inutilis doit tre retravaill N cessit d instaurer des politiques qui s inscrivent dans la dur e et de travailler en coh rence dans les pratiques Travailler sur l ad quation entre la validation du socle et le dipl me du brevet Comment travailler dans la dur e et faire de l ducation prioritaire un d fi d bouchant sur une v ritable chance La r daction des nombreux contrats et projets est un frein la prise d initiatives Renforcement de l implication des IA IPR dans le travail d quipe au coll ge R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat La question de l autonomie quelles conditions Avec quels moyens La pertinence du choix des indicateurs pour valuer les actions Mise en place des pr fets des tudes La cr ation d un statut particulier des enseignants de l EP fait d bat Le principe d une lettre de mission qui donnerait un cap chacun dans un cadrage nati
57. n consid ration leurs difficult s tre bienveillant Expliciter les attentes les objectifs de l cole en mati re d apprentissage et de respect des r gles afin de travailler dans un climat serein une cole s curis e et protectrice 23 Il est n cessaire pour la DGESCO de clarifier certaines circulaires aupr s des personnels et des usagers de l cole Parents et enfants qui sont souvent source de tension par exemple le principe de la cit Il est n cessaire de revaloriser la fili re professionnelle La valorisation des l ves Des classes adapt es en fonction du projet des l ves Des exigences lev es envers les l ves Le dispositif plus de ma tres que de classes La pr sence et l implication des parents Instaurer des r gles communes dans l tablissement Les progr s de l l ve vis vis de lui m me Restaurer le lieu m dico social l cole Les classes multi ges Probl matiques des orientations refus es Probl me de reconnaissance des comp tences des enseignements et des conditions d exercice Organiser du temps dans l emploi du temps des professeurs pour l orientation en 3 me Remettre en place l heure de vie de classe au coll ge plus de personnels et plus de stabilit Besoin de temps institutionnalis pour les familles il faut changer la fa on de les accueillir Demande de soutien psychologique pour les l
58. n et int gration des nouveaux enseignants dans les projets existants exemple projets autour de la liaison cole coll ge Alternance entre la formation pratique et apport th orique D couverte de l Education Prioritaire en formation initiale D cision d affectation pr coce d s juin pour laisser le temps de s informer sur place et prendre contact avec les quipes 31 Formation acad mique sp cifique avant la prise de fonction en EP Mise en place d un r f rent p dagogique pour la prise de fonction premi res semaines de rentr e Besoin d une formation d une connaissance du terrain avant d tre nomm Favoriser la titularisation sur poste des enseignants qui se sont investis une premi re ann e et qui souhaitent s investir dans l EP Livrer des t moignages d exp riences en EP aux nouveaux arrivants Un syst me de tutorat des nouveaux enseignants par un enseignant en poste ou un conseiller p dagogique Adapter les niveaux des classes la difficult de gestion des l ves pour les nouveaux enseignants Ne pas oublier de former les AED R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Ne pas envoyer des enseignants non volontaires en EP Mise en place de stages communs premier et second degr avec le PAF Proposition de sites minist riels plus structur s et simples d acc s R flexion sur les supports utiliser pour l
59. n syst me unique sur le plan national en raison du profil particulier de chaque zone Enfin la proposition de passer d une logique de prescription une logique de contractualisation suscite une certaine inqui tude Un r seau mentionne qu il ne se retrouve pas dans l affirmation que les objectifs fix s par le contrat de r ussite et le projet d tablissement ne seraient pas clairs et seraient poursuivis de mani re inconstante LES RESULTATS R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Les r seaux ne peuvent que constater l augmentation des carts entre tablissements en ducation prioritaire et hors ducation prioritaire mais on souligne que ces carts sont plus ou moins saillants suivant les secteurs R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Certains mettent en doute la pertinence des comparaisons internationales qui conduisent juger les r sultats du syst me ducatif fran ais pr occupant on ne peut pas comparer entre eux des syst mes ducatifs qui correspondent des soci t s diff rentes UNE ECOLE BIENVEILLANTE R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Plusieurs r seaux indiquent la n cessit de mettre en uvre l accueil des l ve d s l ge de deux ans l apprentissage du langage est per u comme b n fique pour la suite de la scolarit et u
60. ndicateurs suivants font d bat e Pourcentage de suivis SESSAD Pourcentage d enfants en famille d accueil Stabilit des quipes Le nombre d enfants non lecteur La grande mobilit des habitants Le nombre d enfants non lecteurs R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Les indicateurs devraient cibler le public et pas les r sultats L tat de sant ob sit soins dentaires lunettes devrait tre pris en compte Le pourcentage d aides ducatives AEMO AED Le pourcentage de CSP d favoris s Le niveau d tude moyen des parents La d linquance et la violence Le pourcentage de familles monoparentales Le nombre d l ves boursiers est un indicateur conserver 44 Le nombre de PPRE comme crit re prendre en compte Le crit re du logement quartier difficile ins curit d lits logements pr caires Si certains crit res retenus l entr e d un tablissement dans le RRS voluent positivement envisager sa sortie du r seau au bout de 5 ans de CSP favoris es de baisse des PPRE et d am lioration du crit re sanitaire Prendre en compte le nombre de familles non francophones qui ne parlent pas ou peu leurs enfants comme crit re d entr e dans le RRS Les difficult s sociales en particulier e PCS d favoris s affin s ch meur RSA e Taux d attractivit d vitement e Nombre d in
61. ne prise en charge d s la maternelle comme un facteur de r ussite des enfants issus de milieux d favoris s Le th me d une cole bienveillante associant les dimensions p dagogiques et ducatives exigeante qui montre de l ambition pour les l ves fait consensus R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat On note que des marges de progr s importantes demeurent dans la liaison coll ge lyc e On s interroge sur le chiffre de 2 de lyc ens concern s par l ducation prioritaire Un r seau souhaite souligner les d bats voire les d saccords sur la question des devoirs crits l cole Les effets de l all gement de la carte scolaire sur l h t rog n it des classes La n cessit d harmonisation des pratiques de classe Les difficult s li es une ma trise insuffisante du fran ais L utilit de ma tres surnum raires dans les RRS permettant un travail transdisciplinaire qui contribue donner du sens aux apprentissages Pourquoi tenter d sesp r ment de conduire un public d EP vers une norme commune valuations nationales livret de comp tences Plut t promouvoir une cole p dagogie innovante qui tout en transmettant les valeurs de la R publique sera capable de s adapter sur le fond et la forme ce public hors norme LES RESSOURCES HUMAINES R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font co
62. ns dans le cadre de la Politique de la ville pour consolider le discours et le suivi ducatif aupr s des familles D velopper l intervention l cole de professeurs du secondaire Faire mieux connaitre aupr s des enseignants les nombreux partenaires et associations qui existent La stabilit des quipes doit tre privil gi e La formation initiale et continue doit fournir des outils pour favoriser le travail en quipe et le travail en r seau Les directeurs les pilotes l inspecteur r f rent et la secr taire de r seau ont un r le essentiel dans l impulsion et la gestion des quipes L implication des ma tres surnum raires et des professeurs suppl mentaires doit tre soulign e La concertation justifie une reconnaissance financi re CE QUI FAIT DEBAT La confidentialit professionnelle pose parfois probl me Les enseignants doivent ils tre des ducateurs L implication des parents dans l Ecole est elle vraiment utile La dur e et la syst matisation du temps de concertation font d bat Peut on faire plus pour l inter degr sans s parpiller Une autonomie renforc e des r seaux contribuerait elle un meilleur travail d quipe R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Le partenariat la mutualisation sont essentiels en RRS Ils doivent tre consolid s sous forme de moyens et d espaces de concer
63. nsensus Le besoin d tre soutenu voire valoris La n cessit d tre suivi y compris au niveau m dical Le cas des jeunes professeurs doit faire l objet d une attention particuli re R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Les questions relatives la carri re et l utilisation des primes ont souvent t l occasion de d bats anim s dans les ateliers Le montant de la prime est parfois jug insuffisant et celle ci ne peut tre ce titre une juste reconnaissance du travail Certains consid rent que les indemnit s doivent tre les m mes pour tous et sans distinction des missions suppl mentaires Un r seau RRS remarque cependant que depuis l attribution d une prime dans le primaire les difficult s de recrutement sur postes vacants ont disparu Les avis sont partag s sur l attractivit li e aux primes et les avantages sp cifiques accord s en ducation prioritaire D autres r seaux s accordent cependant pour dire que l attractivit des coles et des tablissements en ducation prioritaire n est pas suffisante elle seule pour stabiliser les personnels Partie 2 leviers d volution propos s Synth se des changes sur la mise en uvre des leviers d volution Th me 1 Th me 2 Th me 3 Th me 4 Th me 5 Th me 6 identifi s Perspectives p dagogiques et ducatives Perspectives re
64. nsion ducative de l cole dans l acte quotidien d enseignement Par quelles pratiques individuelles et collectives peut on rapprocher les approches ducatives et p dagogiques L ESSENTIEL Travailler autrement avec les l ves Susciter l int r t des l ves en donnant du sens pratique aux apprentissages dans l exercice ordinaire de la classe Donner plus d autonomie l l ve et favoriser la cr ativit Donner du sens aux apprentissages travers la notion de projet Impliquer les l ves dans les diff rentes instances des tablissements D velopper la p dagogie diff renci e avec des groupes de comp tences Piloter l accompagnement ducatif pour qu il apporte une aide concr te Enseigner les valeurs de la R publique l ducation l environnement Travailler autrement en quipe Harmoniser les pratiques et les r gles de vie entre l cole et le coll ge R affirmer l utilit des ATSEM en maternelle et des RASED dans le primaire Stabiliser les quipes Etablir une relation de confiance avec les parents et renforcer le dialogue avec eux 25 CE QUI FAIT DEBAT Certains enseignants pensent que leur r le est flou et s interrogent sur la place respective de l instruction et de l ducation dans leur mission En ducation prioritaire la part de l ducatif est tr s pr sente rappel des r gl
65. nt dans la r ussite pour tous La pratique de la philosophie devrait tre propos e d s le coll ge ateliers de langage vis e philosophique d s l cole primaire Constatant un d ficit de langage oral chez les enfants se pr sentant l cole trois ans familles trang res ne ma trisant pas la langue probl mes ducatifs enfants infantilis s ou laiss s devant la t l ou les jeux vid os des dispositifs devraient faciliter l acc s au langage Sur rep rage de la PMI mettre en place des accueils ponctuels dirig s et rendus obligatoires permettant un bain de langue pour les enfants et suscitant l int gration sine qua non des parents Enseignants surnum raires affect s sur une classe En quoi consiste donner des rep res essentiels pour une culture commune Comment y contribuent les diff rentes disciplines L ESSENTIEL Favoriser une culture commune d s la maternelle Donner du sens aux apprentissages par les d marches transdisciplinaires Permettre la fr quentation r guli re des auteurs du patrimoine culturel Partager les valeurs de la R publique gr ce des actions innovantes impliquant les l ves le conte la mythologie Rechercher la mixit sociale CE QUI FAIT DEBAT Mener une r flexion autour des programmes diffus s par la t l vision durant les temps libre des l ves R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers
66. nt le montant de 1 131 milliard d euros consacr s l ducation prioritaire Le budget semble inadapt au regard des enjeux et du nombre important d enfants concern s par l ducation prioritaire Ce sentiment est rapprocher pour certains du constat de d gradation des conditions sociales dans les quartiers les plus difficiles Beaucoup mettent en avant la n cessit d augmenter les moyens pour la mise en place de dispositifs sp cifiques pr fet des tudes coordonnateurs maitres surnum raires accueil des moins de 3 ans Les moyens mis en uvre financiers et humains paraissent insuffisants mais surtout ne semblent pas bien r partis proportionnellement aux difficult s rencontr es Certains r seaux voquent une diminution des moyens allou s lors du passage de ZEP en RRS notamment DGH au coll ge et s interrogent sur les cons quences que cela pourrait avoir sur la r ussite des l ves D autres d plorent une dispersion des t ches de l enseignant qui serait cons cutive la rar faction des personnels relais enseignants parents assistantes sociales m diateurs personnels d orientation personnels de sant L effet b n fique d une diminution importante du nombre d l ves par classe soutenu par la publication d un chercheur fait l unanimit et conforte le ressenti des professeurs La baisse significative du nombre d l ves par classe ou la possibilit de travailler en groupe
67. ntrer les moyens sur l cole primaire pour assurer aux l ves et leurs familles des bases scolaires plus solides pour aborder l enseignement secondaire Le creusement des carts scolaires entre coll ges en ducation prioritaire et hors ducation prioritaire semble tre la cons quence d une trop grande fragilit d acquisition des comp tences et attitudes motivation ambition Certains estiment que le diagnostic n est pas suffisamment en corr lation avec la situation conomique et sociale d grad e ghetto sation des quartiers L affirmation selon laquelle notre pays se caract rise non par l ampleur des in galit s de d part dans la situation des l ves mais par le constat qu il contribue les renforcer ne correspond pas la perception qu ont les professionnels de terrain Les r seaux RRS dans lesquels les indicateurs socio conomiques r v lent moins de difficult s expriment une inqui tude quant une ventuelle concentration des moyens les r sultats auraient t sans doute plus n gatifs sans la politique Education Prioritaire Selon notre exp rience nous pensons que les moyens concentr s sur l encadrement des l ves en RRS contribuent bien leur r ussite scolaire Beaucoup de r seaux insistent sur le fait qu une diminution l g re des effectifs n aurait aucun effet significatif L cart entre les effectifs de certaines classes de l ducati
68. nts de moins de trois ans en faveur de l acquisition du langage Pr voir des postes de rempla ants permettant les temps d changes de pratiques d observations r ciproques et de formation des enseignants Renforcer la pr sence de professionnels qualifi s pour la prise en charge de difficult s sp cifiques psychologue assistante sociale Des moyens mat riels ou logistiques D velopper la formation continue des professeurs Donner les moyens d un pilotage fort Optimiser les ressources existantes mutualiser les pratiques faire connaitre les structures locales pour mieux les utiliser Renouveler l quipement informatique tablettes TBI ordinateurs r seau pour une am lioration significative de la diff renciation p dagogique CE QUI FAIT DEBAT Faut il donner l cole tous les moyens d accomplir ses missions sans les d l guer des structures ext rieures hors structures conventionn es La scolarisation des moins de 3 ans est elle une priorit Certains dispositifs d aide exemple aide aux devoirs semblent peu efficaces faut il y consacrer davantage de moyens Faut il cr er des classes option classe informatique pour rechercher une plus grande diversit sociale en rendant l tablissement plus attractif R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Etendre l intervention des RASED au coll ge 6 et 5
69. on de la situation l cole et dans le quartier 42 Sans les moyens et les aides professeurs suppl mentaires AE attribu s les r sultats seraient inf rieurs La scolarisation des moins de 3 ans fait d bat Certains semblent y tre oppos s et consid rent que ce n est pas une priorit La mallette des parents appara t comme une bonne id e bien que certains d plorent que les th mes soient un peu r ducteurs Le co t d une telle initiative leur para t injustifi Les enseignants ne sont pas unanimes sur la question des projets ducatifs ils estiment qu ils sont trop sollicit s au d triment du travail concernant les acquisitions scolaires de base Les dispositifs d aide personnalis e et d aide aux devoirs ne semblent pas montrer leur efficacit cependant davantage de moyens consacr s permettraient certainement de les rendre plus productifs Le tutorat entre l ves semble un dispositif tester mais sa mise en place devra viter de nombreux cueils Des emplois du temps p dagogiques sont galement discut s notamment les horaires consacr s certains enseignements Un temps d change des pratiques p dagogiques peut galement appara tre comme une piste creuser Il faut cr er des classes option classe informatique tablette afin que les tablissements soient plus attractifs et qu il y ait une plus grande diversit sociale Il faut favoriser les int
70. on prioritaire et celles hors ducation prioritaire n est pas suffisant pour apporter un r el changement dans les pratiques et une diff rence dans l approche de apprentissages LES EQUIPES ET LE PARTENARIAT R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus La majorit des r seaux note l importance du travail d quipe et de la concertation tant au sein des quipes enseignantes qu avec les partenaires Les liens entre l cole et le tissu associatif des territoires concern s sont positifs et doivent tre renforc s Dans tous les cas il apparait pertinent d investir dans des moyens permettant l volution des pratiques co intervention accompagnement formation On regrette parfois l absence de r flexion sur la liaison cole maternelle cole primaire et la discontinuit p dagogique Donner du temps la concertation au travail d quipe maternelle primaire coll ge associations de quartier la formation l volution des pratiques avoir des temps d immersion afin d harmoniser nos pratiques et avoir une continuit dans nos actions change ler et 2d degr Dans le cadre des collaborations n cessaires les structures de type RASED sont per ues comme des l ments tr s positifs qu il conviendrait de d velopper d s la maternelle Le travail d quipe et de partenariat est per u comme un l ment extr mement important dans la prise en ch
71. onal est discut La diffusion des r sultats des l ves est discutable permet de mesurer les effets des actions mais induit un classement des coles Les initiatives et projets sont souvent difficiles valuer notamment en termes de progr s des l ves R le attributions du coordonateur de r seau pr ciser Comment rendre pertinente l exploitation des valuations pour d terminer des projets La question de l orientation en LP ou en apprentissage d valoris e Comment rendre le pilotage efficace En faisant vivre le Comit Ex cutif Beaucoup de demandes enqu tes statistiques mais trop peu de retours des r sultats Th me 5 Perspectives relatives l usage des moyens disponibles 39 Quels usages des moyens vous paraissent devoir tre privil gi s dans votre cas pour permettre en particulier de d velopper les perspectives p dagogiques et ducatives identifi es dans la partie 1 L ESSENTIEL Des moyens humains Assurer un taux d encadrement g n reux effectifs de classe limit s possibilit de travail en petits groupes pour faciliter une p dagogie adapt e la prise en charge de la difficult scolaire D gager du temps pour le travail en quipe et la concertation la formation Maintenir et d velopper les postes de professeurs suppl mentaires et de pr fets des tudes qui cr ent du lien au sein des r seaux D velopper l accueil des enfa
72. onc la maitrise des codes langage et vocabulaire sp cifique 24 R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Devenir des l ves m thodologie organisation motivation attitude et vivre ensemble D velopper l accompagnement personnalis le travail en petits groupes en co animation le travail individualis cibl sur les besoins sp cifiques observ s Diff rentes exp rimentations classes coop ratives session de classe en modules classe humaniste etc Associer les familles p renniser les actions inviter des familles pour travailler sur une coh rence cole maison Favoriser l acc s la culture de l cole et donc la maitrise des codes langage et vocabulaire de l cole D velopper les RASED et les maitres surnum raires Rendre obligatoire l aide aux devoirs pour des l ves cibl s afin qu elle profite ceux qui en auraient le plus besoin et en faire une aide m thodologique Chaque enseignant doit mieux pr ciser les attentes et les exigences li es la pratique de sa discipline Au lieu de diminuer le nombre d l ves par classe il faudrait un autre adulte afin de pouvoir mettre en uvre des groupes de besoin de fa on ponctuelle Proposer des apprentissages qui correspondent au niveau de l l ve et non au niveau de la classe dans laquelle il se trouve la question des cycles Comment mieux int grer la dime
73. r les accueillir Les devoirs la maison ils permettent d impliquer les parents la scolarit de leurs enfants mais est on r ellement dans la r ussite pour tous R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Un dispositif appropri travail en petits groupes permettant l acquisition d un langage oral et crit Une continuit hors temps scolaire s assurer du concours des structures externes et y associer les familles Des projets f d rateurs et transdisciplinaires d cloisonner les disciplines pour donner du sens et y int grer le support num rique cr ation de classes informatique tablette en ducation prioritaire N cessit de mettre en uvre des situations d apprentissage de communication sociale en lien avec l environnement de l enfant pour donner du sens et plus de motivation Concevoir des projets communs 1 et D degr visant une r flexion commune Avoir un enseignement explicite des attentes langagi res propres chaque discipline FLS permet des progr s importants 17 La bonne ma trise de la langue orale et crite est le point essentiel pour r ussir les tudes et l outil de socialisation indispensable Pour voquer la continuit des apprentissages en r seau nous avons besoin de moments institutionnels pour nous rencontrer tous Il est indispensable de pouvoir mettre en uvre une r elle progression
74. rer le bien tre des l ves et des personnels L ESSENTIEL Assurer le bien tre des l ves Valoriser les l ves et leur travail tre bienveillant renforcer l estime de soi Offrir aux l ves un lieu d coute et de parole Expliciter les attentes les r gles respecter les objectifs Rendre l cole s curis e et protectrice Assurer le bien tre des personnels D velopper le travail en quipe Demande de soutien psychologique pour les enseignants La reconnaissance des comp tences des enseignements et des conditions d exercice CE QUI FAIT DEBAT Eparpillement des RASED et des structures m dico sociales Manque d effet des proc dures de signalement Valorisation des l ves par une valuation par comp tences questionnement dans le secondaire des classes sans notes R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus Proposer des temps de concertation pour d battre des probl matiques des l ves de leur famille et du quartier Renforcer le lien tablissements scolaires partenaires par le biais institutionnel PRE ou d actions type parcours du citoyen Mettre en place un m diateur pour responsabiliser les l ves dans la gestion des conflits leur offrir un lieu d coute et de parole Renforcer l estime de soi valoriser les l ves et leur travail tre leur coute et prendre e
75. s g n rale L ESSENTIEL L accueil des nouveaux enseignants Tutorat entre enseignants exp riment s et nouveaux enseignants accompagnement par un r f rent p dagogique pour la prise de fonction Pr sentation et int gration des nouveaux enseignants dans les projets existants et mise en place d un dispositif facilitant la mutualisation et la diffusion de t moignages Leur proposer un service adapt La formation initiale des professeurs stagiaires Des stages dans des r seaux de l EP doivent tre syst matiquement propos s La psychologie de l enfant et de l adolescent doit tre enseign e de mani re plus approfondie Une formation didactique pointue sur l apprentissage de la lecture est n cessaire Privil gier une alternance entre une formation pratique et un apport th orique CE QUI FAIT DEBAT Ne pas envoyer d enseignants non volontaires en ducation prioritaire Les primes et les pointes de bonification ne semblent pas toujours attirer les nouveaux enseignants R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font consensus N cessit de stages d observation et de pratique accompagn e en EP dans la formation initiale des jeunes enseignants Tutorat entre enseignants exp riment s et nouveaux enseignants Int grer la formation initiale la th matique EP avec explicitation des r les de chaque acteur Pr sentatio
76. s restreints est unanimement identifi e comme une source de progr s condition d tre associ une am lioration de la qualit des locaux et la mise disposition de mat riel sp cifique notamment en informatique La majorit des r seaux se reconnait dans le besoin de faire voluer la carte scolaire pour l adapter aux nouvelles r alit s locales celles ci tant per ues comme une paup risation et une d gradation des conditions sociales dans les quartiers Certains notent un changement dans la probl matique des territoires par exemple dans un r seau on recense moins de probl mes de violence mais plus de difficult s li es aux conditions de vie L ducation prioritaire est justifi e par l impact de la concentration des difficult s sociales sur la r ussite scolaire et la n cessit d adapter les objectifs la diversit des situations rencontr es La mixit sociale devrait tre davantage recherch e comme un outil pour r duire les in galit s R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Un r seau se demande dans quelle mesure les moyens mis disposition et la multiplicit des dispositifs sont en corr lation avec les apprentissages fondamentaux La diff rence des moyens suppl mentaires entre le premier et le second degr l avantage du second degr n est pas toujours per ue par les acteurs de terrain Cependant certains proposent de conce
77. soi Impliquer les parents Le r le de la famille est pr pond rant pour comprendre les attentes de l cole Il faut favoriser la responsabilisation des enfants peut tre en prenant le temps de confronter l auto valuation l valuation de l enseignant Il faut annoncer autant que possible le contrat p dagogique les objectifs atteindre en les faisant verbaliser par les l ves avec leurs mots La prise en charge de la difficult passe plus par la formalisation administrative que par l action adapt e avec les moyens attenants Les enseignants se sentent isol s dans la d marche ducative qui est peu relay e par la soci t et peu prise en compte dans le temps d enseignement R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat Difficult se mettre d accord sur le sens de cette question d ordre g n ral attente de l cole former de futurs dipl m s ou particulier attente de tel ou tel enseignant en fonction de sa discipline Le socle commun consensus sur le principe et d saccord sur sa formulation et sa mise en place La disparition des notes au profit de la mesure des comp tences est discutable car moins lisible par les parents et les enfants Il permet cependant de restaurer l estime de soi Comment travailler la question du langage dans toutes les disciplines en r seau et dans la continuit En particulier par quelles moda
78. ssociations en dehors des heures de classe Les tables rondes avec les parents 27 Th me 2 Perspectives relatives l accompagnement et la formation Sur quels points et sous quelles formes souhaitez vous de l accompagnement et de la formation Une r flexion sur les priorit s th matiques est aussi bienvenue L ESSENTIEL L accompagnement des personnels Faciliter la mutualisation des exp riences entre coll gues observation r ciproque de s ances Renforcer l accompagnement des enseignants sur le terrain notamment pour la mise en uvre des nouvelles r formes les enseignants ont parfois le sentiment d avoir se d brouiller seuls Le lien avec la recherche p dagogique doit tre renforc Une formation de qualit doit s appuyer sur des intervenants venant de tous horizons y compris hors ducation nationale L accompagnement l innovation doit tre un axe majeur Les th matiques prioritaires dans le champ p dagogique La diff renciation p dagogique et la gestion de l h t rog n it Pr vention de d crochage La p dagogie de d tour Les nouvelles technologies les nouveaux outils La formation au travail en quipe dans le champ ducatif La gestion des crises des situations conflictuelles l ves ou parents La prise en charge des l ves en situation de handicap ou sp cifique dys La psychologie de l enfant et la
79. tation En particulier il faut e augmenter le temps consacr la concertation des quipes pour favoriser le travail en quipe qui doit tre inscrit dans la formation initiale 33 e d velopper le partenariat avec les associations dans le cadre de la Politique de la ville pour consolider le discours et le suivi ducatif aupr s des familles e d velopper des liens avec des chercheurs des sp cialistes pour enrichir notre regard sur nos propres pratiques e d velopper des liaisons maternelle l mentaire et cole coll ge e mettre en place un conseil cole coll ge pour la mise en coh rence de certains dispositifs tels que l Ecole Ouverte la journ e CM2 coll ge D velopper le travail fait par les associations de quartier pour que les familles non francophones puissent tre inform es D velopper la formation au travail en r seau au niveau de la formation initiale Faire mieux connaitre aupr s des enseignants les nombreux partenaires et associations qui existent Une demi journ e lors de la pr rentr e serait n cessaire pour se rencontrer PE professeurs du coll ge partenaires Le dispositif plus de maitres que de classes incite au travail en quipe La concertation n cessite l inscription l emploi du temps d heures r mun r es l intervention l cole de professeurs du secondaire en particulier de fran ais devrait tre d velopp e Elargissement de l id
80. titution de groupes de comp tences sans modifier le volume horaire des l ves en s appuyant sur le dispositif plus de maitres que de classes ou les professeurs suppl mentaires Un travail conjoint avec les associations de quartier associ des temps de concertation doit permettre d expliquer aux familles les tenants et les aboutissants des choix p dagogiques afin que ces familles adh rent et valorisent les dispositifs Des changes de services sur la base du volontariat entre les professeurs du primaire et ceux du secondaire devraient tre institutionnalis s De la m me mani re permettre des passerelles temporaires entre les enseignants de maternelle et ceux du primaire Afin de pouvoir d gager du temps de travail concertation la charge institutionnelle doit tre moins lourde notamment celle des directeurs d cole Les enseignants du secondaire intervenant en SEGPA devraient tre associ s aux choix d orientation en enseignement sp cialis Favoriser la concertation une heure hebdomadaire dans les Emplois du temps Au sein des r seaux beaucoup de partenaires travaillent autour de l enfant mais n ont pas le temps de se rencontrer Il est donc indispensable d instaurer un moment sur le temps de travail consacr aux r unions aux concertations au travail en quipes multi professionnelles Il est n cessaire d obtenir une meilleure coh rence de tous les dispositifs pour un meilleur s
81. uivi des enfants D velopper le dispositif plus d enseignants que de classe favoriser les d cloisonnements et le travail en projets au sein des tablissements et au niveau des liaisons maternelle l mentaire coll ge lyc e N cessit d une cole qui favorise l implication des familles R sum des points essentiels voqu s dans les ateliers ceux qui font d bat La confidentialit professionnelle pose parfois probl me les demandes d information sur l l ve sociale familiale m dicale restent trop souvent sans aucune r ponse Le travail devrait s attacher une meilleure compl mentarit et rechercher la mutualisation RASED associations param dical qui permet d aider au mieux l l ve en classe La stabilit des quipes fait d bat En EP comment maintenir les enseignants qui doivent faire face tant de probl matiques diff rentes Des questions diverses r v lent des diff rences d opinion et de positionnement entre les enseignants particuli rement entre le 1 et le 2 degr e Jes enseignants doivent ils tre des ducateurs e implication des parents dans l Ecole est elle vraiment utile e peut on faire plus pour l inter degr sans s parpiller e le tout projet fait d bat multiplication empilement des projets au d triment des objectifs des contenus et parfois du sens Conseils de cycle communs coles coll ges et inter cole par discipline
82. validation au socle commun ou sur le r sum du diagnostic en se r f rant parfois au discours de monsieur le DGESCO devant l assembl e nationale Dans tous les cas ces r unions pl ni res ont permis de rappeler les objectifs et les modalit s de la consultation partager le diagnostic tabli le commenter et le compl ter tudier les conditions de faisabilit des leviers d efficacit identifi s dans ce diagnostic recueillir les r flexions et suggestions Les ateliers ont t constitu s en recherchant un quilibre num rique ainsi que la mixit des participants les six th matiques ont ainsi pu tre examin es dans chacun des r seaux A chaque fois un rapporteur et un animateur avaient t d sign s Pour des raisons logistiques la mise en commun des travaux n a pas toujours pu se tenir en pl ni re Les synth ses de chaque r seau ont t r dig es par les pilotes avec l appui des inspecteurs r f rents et remis au correspondant acad mique Dans leur grande majorit les personnels ont manifest beaucoup d int r t pour cette consultation laquelle ils ont particip activement Beaucoup ont exprim leur satisfaction que l occasion leur soit donn e d changer avec des personnels ou partenaires d origines diverses et ont manifest leur souhait de renouveler ce type de rencontre L une des difficult s point e par les animateurs a d ailleurs t de maintenir un quilibre

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