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BEKKOUCHE Nabila

1. 33 2 19 AlM NTAON ESS ee ARS nn tra us 33 3 1 4 Bilan alimentaire annuel 35 3 1 5 Abreuvement 722832 tan ni Penn Nan nie 36 3 1 67 POP AMIE Sen ra nr retiens ear a ioa 36 Conclusion 36 Chapitre III La production animale en Alg rie I Situation de l levage en Alone session transe des 38 P CS secteurs de l leva senie n e E E A E EE Re RAE 38 L LES OVID Sessien eese ee Ea nt EU TAKET DeK Ce 39 12216 BOVINS et rai ea a E O I EE EEES 40 EE ER a b E E E et eee eds 42 LEA QUENS aon A Ne EN EEA AA E CECE DEENA ERAS 42 5 L s camen Surai e n a EA EE EE E R 43 Il Les productions animales tonte dise 43 Pa Her ki E EEA A A AEAT 43 2 La friere Viande ses Ses EEE OEE EE R M a A eee 45 2 1 Viandes TOUB S unis area editer etant er etes ons dise 45 2 2 L Aviculture en AIRES secs senlal date cc a EE Rise 46 3 Production d eiea oee eaei iae ASE R OSEERE E E D TR Reset eR 48 4 Fih reaApicol en ESS Te TRE RO rs D En een 49 4 1 R gions potentiels et production 49 4 2 LES CRAND S sara da nt enr see aa ts nan Are nie 50 4 3 Les principales entreprises 51 C ncl sioi aseeni aan e a E E a E EEA ET E T R Eei 52 Chapitre IV Pr sentation de la r gion d tude I Pr sentation de la r gion d tudes mis in ies dede des ne dde sens tee 54 l
2. 68 3 1 Historique de l levage bovin dans la r gion de Ouargla 68 4 Situation d levage des ovins et caprins dans la r gion de Ouargla 70 Chapitre II R sultats et discussion I Information sur le propri taires siens tad sermedis tds mere iasr ms niondrine ns ni 73 ERE EE ne nt cafe ne nee ee ne ss sit 73 2 1 PEOIESSION Eu Sheet di net pese ner set S at et be Un Ten et 74 3 Niveau d instruction soosse re PRE Tes RE ET 75 de LCesstag Suerio eies an a e a tt a a aE ea Eia 76 Je EXPErENCE re a r a A ERE A E An Ce A E E A E a 76 II Information sur P PIOHANOMs dre Non dr nes des nn Re een nn ae 77 l Environnement de l exploitation ssusesnnunuenesesressserrerrerereeressssssssssene 11 2 Age exploitation sns ccssar aneneen KEENE EREE ESE EEEE Neue 41 Se MAIDS KON DY E A E ni et nn Tes 78 4 Les mat riels utilis s au niveau de l exploitation 81 S MOUVAUON EE ni ennen airo nat uns ete ee en nes LU Abe Rat 82 6 Source de financement ssir inii e eens i eiei 82 III L tude des conduites d l vages isisers esse ones fui 82 Palimentationn s eesi ren roe i a EERE EE nt en 82 Les b timents d l VASS rees saoto roere PE EE E E a EN 82 Reproduction deeree ose te en read nee OR nid 82 Hygi ne et sant sssini e eaaa ea E A E aE e aT AAE REAO 83 l Conduite du cheptel bovin ssssssssssss
3. Chapitre d finitions et cadre conceptuel Chapitre I D finitions et cadre conceptuel CHAPITRE I DEFINITIONS ET CADRE CONCEPTUEL I D finitions 1 L exploitation agricole Est une unit de production dont l activit principale est de produire des productions de nature v g tale ou animale destin e l alimentation humaine ou du b tail Elle est consid r e comme un syst me qui varie en fonction de sa dimension et des types de relation ce syst me est soumis des influences ext rieures LAROUSSE AGRICOLE 1981 2 Le syst me agraire Est souvent d finie l chelle r gionale comme l association dans l espace des productions et des techniques mises en ouvres par une soci t en vue de satisfaire ses besoins Il exprime en particulier l interaction entre un syst me socioculturel travers des pratiques issues notamment de l acquis technique PHILIPPE 1999 3 Syst me de production Au niveau d une exploitation agricole un syst me de production peut se d finir comme une combinaison coh rente dans l espace et dans le temps de certaines quantit s de force de travail familiale salari e etc et de divers moyens de production terre b timents machines instruments cheptels semences etc en vue d obtenir ses productions agricoles v g tales ou animales Pour JOUVE 1986 c est un ensemble structur des moyens de production force de travail terre quipements et
4. 14 1 1 Hygi ne des b timents 1 4 1 2 Hygi ne de l alimentation 1 4 1 3 Hygi ne de l abreuvement 1 4 1 4 Hygi ne de l animal 525 seen 1 4 1 5 Hygi ne de la traite 1 4 2 Sant 1 4 2 1 Mammite 1 4 2 2 La gale 1 4 2 3 La teigne 1A2ATa diarrh e natera ar ess ennemie LUS 1 422 5S Arthrite z i E a T E mans E a RS nee 2 Conduites du cheptel ovin et caprin 2 1 B timent d levage sn ee e e AE Sense a E R a r aiaa 2 2 Alimentation 2 3 Reproduction 2 a DA A a ES LR ARS ent M RER nt em see 2 4 1 Hygi ne des b timents 2 4 2Hygi ne de l alimentation 2 4 3 Hygi ne de l abreuvement 2 4 4 Hygi ne de l animal 2 4 5 Hygi ne de la traite 2 4 6 Sant 3 Conduite d levage avicole 3 1 B timent d levage avicole 3 1 1 Orientation du b timent 83 84 85 85 86 86 87 87 87 88 88 89 89 89 90 90 90 90 90 90 91 91 92 93 93 93 93 93 93 93 94 94 94 94 94 94 95 95 95 96 96 97 97 97 97 97 97 98 98 98 3 1 2 Mat riels utilis s dans les b timents 3 1 2 1 les 3 1 2 2 les MANSCOITOS Le hero don ne Vente nn L RER PRET AT RE ee
5. Des probl mes qui entravent et qui sont d ordre essentiellement technique conomique et organisationnel Pour l levage bovin dans la r gion de Ouargla il n est pas r ussi cause de plusieurs probl mes qui constituent un obstacle pour le d veloppement de cet levage dans cette r gion Cette exp rience n a pas apport les r sultats escompt s et les leveurs ayant des animaux n ont pas investi pour d velopper leurs levages Parmi les principaux probl mes on cite L approvisionnement des leveurs et ils ne savent pas conduire ces levages le manque d organisation des groupements de vulgarisation ainsi que l inexistence d une institut de l levage dans la r gion Le probl me de l alimentation qui est crucial et qui constitue un obstacle Ce probl me est repr sent par la faible existence des cultures fourrag res et si elles existent elles sont vendues trop cher ce qui oblige les leveurs utiliser le concentr avec une grande quantit ou on aura par la suite un gaspillage des aliments L autre probl me qui se pose est la mauvaise conduite de la reproduction celui est essentiellement sur l intervalle v lage v lage qui est long ainsi que la mauvaise pr paration de la mise bas o la vache mourir D une autre part les conditions climatiques causent des probl mes c est dire on live polir cette r gion mie chaleur estivale qui est lev e avec la mauvaise ma trise des r gles hygi ne
6. Eleveurs Agriculteur Commer ant Autres Tel que la premi re qui a la grande part avec pourcentage de 66 67 puis on a l agriculture par 33 33 et en fin les commer ant avec 10 Cette variable l peut ne pas avoir aucune incidence sur l levage d une fa on directe et apparente On ne trouve que pas des sp cialisation selon l activit principale de l leveur E Agricluture Em Commercants O Autres Figure 21 Profession d leveurs Chapitre I UUl R sultats et discussion 3 Niveau d instruction Ce param tre est divis en cinq types Analphab te Coranique Primaire Universitaire Autres Donc le coranique prend la premi re place avec 33 33 Puis on a autres avec 26 66 le primaire avec 20 l analphab te avec 13 33 et l universitaire avec 6 66 Ce param tre a un effet plus ou moins remarquable car le niveau d instruction peut influer directement sur le d veloppement et l am lioration des techniques d levage et augmente le taux de responsabilit chez les leveurs Pour cela on trouve une difficult au niveau de la vulgarisation agricole et l application des nouvelles techniques B Coranique E Analphabete O Primaire O Universitaire E Autres 26 66 6 66 20 13 33 Figure 22 Niveau d instruction d leveurs Chapitre I UUl R sultats et discussion 4 Le stage La totalit des leveurs
7. Figure 19 Les ovins 2004 2005 Figure 20 Age des leveurs Figure 21 Profession des leveurs Figure 22 Niveau d instruction des leveurs Figure 23 Exp rience des leveurs Figure 24 Environnement de l exploitation Figure 25 Age de l exploitation Figure 26 Main d ouvre Figure 27 les mat riels utilis s au niveau de l exploitation Figure 28 types d levage avicoles chez les leveurs de la r gion Figure 29 les produits de l levage ovin Liste des annexes N Titre Annexe 1 Guide d enqu te N I Bovin Ovin Caprin Annexe 2 Guide d enqu te N II Avicole Annexe 3 Les normes alimentaires et exemple de rationnement Annexe 4 Le calendrier fourrager Annexe 5 Evolution des effectifs des cheptels nationale 1997 2003 Annexe 6 Les nombres des t tes des bovins Ouargla 1985 2005 annexe 7 Les quantit s des aliments distribu s chez les bovins Annexe 8 Estimation des production de lait dans Ouargla Introduction Introduction INTRODUCTION Au cours de leurs volutions les tres humains en sont venus d pendre d un apport continu des substances exog nes pour leur croissance leur d veloppement et le maintien de leur vie Ces substances sont requises dans le r gime alimentaire fournissant normalement tous les aliments Pour fournir l organisme une satis
8. ceux dont les besoins sont momentan ment tr s importants brebis en d but de lactation avec 3 agneaux ou plus b liers en lutte avec plus de 15 brebis Les concentr s peuvent galement tre distribu s en remplacement de fourrages grossiers mais 1l est conseill dans ce cas d augmenter la ration de paille pour relever la quantit de mati res s ches Les fourrages verts ont une mati re s che pauvre par rapport des fourrages secs mais leur teneur en eau tr s importante 80 du poids les emp che de couvrir Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques int gralement les besoins des animaux les plus exigeant brebis en lactation et de ceux dont le d veloppement du rumen est encore trop faible agneaux jusqu 6 mois D autre part les fourrages verts provoquent des diarrh es chez les jeunes agneaux qui consomment d j le lait de leur m re et pr disposent aux avortements s ils sont en trop grande abondance dans la ration des brebis gestantes II est absolument indispensable que les animaux aient constamment leur disposition des blocs de sel 2 3 1 Bilan alimentaire annuel pour une brebis produisant 2 port es de 2 agneaux Nous pr sentons ci dessous le bilan alimentaire annuel en UF et en quantit d aliments Il est possible partir de ce bilan de calculer les superficies fourrag res n cessaires pour un b lier 1 186 kg de foin correspondent 4 744 kg de fourrages ver
9. pompage Sidi in D ue es Figure 12 Carte de pr sentation de la r gions d tude Chapitre TV m Pr sentation de la r gion d tude 2 Les l ments statiques 2 1 Le milieu physique 2 1 1 Le relief Les reliefs de la wilaya est sous un en semble de composants g ographiques dont les principaux sont les suivants Le grand erg oriental v ritable mer de sable o les dunes pouvant atteindre une hauteur de 200 m il s tend sur les 2 3 du territoire de la wilaya Hamadas qui est un plateaux caillouteuse elle se situe en grande partie l ouest Sud Les vall es sont repr sent es par la vall e fossile d Oued Mya et la vall e de Oued Righ Les plaines assez r duites sont rencontr es aux limites occidentales de la wilaya ces plaines s tendent du Nord au sud Les d pressions sont quant elles peu nombreuse elles se trouvent essentiellement dans la r gion de Oued Rig D P A T 2005 2 1 2 Les donn es climatiques La wilaya de Ouargla est caract ris e par un climat saharien avec une pluviom trie tr s r duite des temp ratures lev es et une forte vaporation et par une faiblesse de vie biologique D P A T 2005 2 1 2 1 Les temp ratures La temp rature moyenne annuelle est de 22 92 c avec une temp rature moyenne mensuel au mois plus chaud Juillet de 37 4 c alors que celles du mois le plus froids Janvier 9 6 c Les maxima enregistrer d passe sauvant 45 c
10. 3 Autofinancement 4 Autres 6 Autres questions questions libres 1 Pourquoi vous avez fait l levage 2 La concurrence de Nord Fort Moyenne Faible 3 Quels est votre opinion sur l activit de l levage et leur devenir 4 Quels sont vos vrais probl mes Annexe n 03 Normes alimentaires exemple de rationnement Valeur de la ration UF Exemple de rationnement kg Total Fourrage Concentr Foin Vert Paille Concentr Brebis lactation 1 et 2 mois agneaux sas 1 20 1 20 2 0 2 5 0 2 2 agneaux seen 1 55 1 55 2 0 5 5 0 2 3 agneaux nonne 1 75 1 55 0 20 2 0 5 5 0 2 0 2 4 agneaux 1 95 1 55 0 40 2 0 5 5 0 2 0 4 Brebis lactation 3 mois agneaux ses sue 0 90 0 90 1 5 2 0 0 2 2 agneaux n os 1 00 1 00 1 5 2 5 0 2 3 agneaux ns 1 15 1 15 1 5 4 0 0 2 4 agneaux 1 30 1 30 1 5 5 0 0 2 Agneaux non sevr s l 2 MOIS 2 s reuue 0 35 0 15 0 20 0 4 0 2 2 3 MOIS RE ere 0 60 0 40 0 20 1 0 0 2 Agneaux sevr s 3 6 mois MASSE AM eue 0 85 0 85 1 5 2 0 0 1 Femelles 0 75 0 75 1 0 2 5 0 1 Brebis entretien antenaises 0 70 0 70 1 6 2 0 0 2 Brebis fin de gestation 0 75 0 75 1 5 1 0 0 2 B liers entretien ou antenais 0 85 0 85 1 5 1 5 0 2 B liers lutte 1 05 0 85 0 20 1 5 1 5 0 2 0 2 Bi
11. etc Parce que l levage est facile et b n fique L levage est une passion C est un h ritage des parents et une activit convenable avec le milieu 6 Source de financement Les r sultats des enqu tes d montrent que La majorit ou la totalit des leveurs ont r alis leur levage par l autofinancement et ils ont pris une fausse id e sur les cr dits bancaires II L tude des conduites d levages gt Les conduites d levages sont des facteurs tr s importants car il participe l tat de l animal et au niveau de la production Dans notre tude on bas es sur les param tres suivants L alimentation L alimentation est le facteur de base l levage parce qu il influe sur le niveau de production quelque soit viande ou lait Les b timents d levage Les b timents d levage c est le lieu o est lev l animal c est un facteur tr s important parce qu il peut influer sur le niveau du production peut diminuer la production jusqu 30 40 Reproduction C est l un des facteurs de base pour n importe quel levage parce qu il influe directement sur la continuit du troupeau Dans la reproduction rentre plusieurs param tres Chapitre II 1 a R sultats et discussion la fertilit la pubert la f condit la prolificit l intervalle entre deux mis bas l ge de premi re mis bas la d tection de chaleurs le diagnostic de gestion le taux d
12. l une des causes de ces mutations est le pillage organis e de certaine races tr s pr cises telle que la race Oueled djellel vers les pays voisins o elle sont c d es des prix d risoires ABDEL GUERFI et LAOUAR 1999 1 2 Les Bovins Chapitre T 7 4 production animale en Alg rie L levage bovin reste cantonn dans le Nord du pays avec quelques incursions dans les autres r gions E centre E Ouest O Est O Sud Figure 04 R partition g ographique de cheptel Bovin Le nombres total des bovins enregistr en 2003 est gale 1613027 t tes dont 1008142 vaches La race principale bovine locale est la race brune de l Atlas qui est subdivis e en 4 races secondaires MINISTERE DE L AGRICULTURE 2006 La Guelmoise pelage gris fonc vivant en zones foresti res la Cheurfa robe blanch tre o elle est rencontr e en zone pr forresti re la Chelifienne pelage fauve la Settefienne pelage noir tre adapt es des conditions plus rustiques Les races bovines am lior es sont repr sent es par la frisonne Hollandais Pie Noire tr s bonne laiti re elle est tr s r pandue dans les r gions littorales et constitue 66 de l effectif des races am lior es la Frisonne fran aise Pie noire galement tr s r pandue et bonne laiti re la Pie rouge de l Est et la Pie rouge Montb liarde dont l effectif est plus r duit C
13. on prend quelque remarque Une ignorance des param tres de reproduction tel que Age de premi res mis bas Age de sevrage etc Pas de d tection des la chaleurs Le m le est toujours avec les femelles Le nombre de m le est insuffisant par rapport au nombre de femelles Pas de bon choix des reproducteurs L absence de l utilisation des techniques modernes de reproduction L absence des allotements engendre des accidents et provoque les avortements Le non respect des normes de reproduction engendre des pertes d ordre conomique en prend comme exemple le cas de taux de productivit num rique qui gale le nombres des nouveaux n es vendus sur le nombre des femelles mise a la lutte Apr s les calcules de ce param tres chez les ovins en d duire qui est inf rieur les normes 2 4 Hygi ne Dans notre r gion l hygi ne est presque inexistante Selon l tat des b timents on trouve que l tat sanitaire de l animal n est pas en protection On trouve aussi qu il n y pas une application des r gles d hygi nes Le manque des vaccinations La visite des services v t rinaires se fait seulement en cas de l apparition d une maladie Chapitre II D R sultats et discussion 2 4 1 Hygi ne des b timents Les logements des animaux chez la plus part des leveurs ne r pondent pas aux conditions d hygi ne id ale Ils ne sont pas d sinfect s les murs ne sont pas peints les
14. ratives apicoles les apiculteurs les associations apicoles l institut technique des levages le Minist re de l agriculture MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 Chapitre 7 4 production animale en Alg rie Conclusion D apr s l analyse des donn s qui concerne les productions animales en Alg rie ou trouve que il y une carence ou insuffisance au niveau des diff rents secteurs des productions tel que lait viande Cette insuffisance est tr s visibles dans les chiffres qui d montre les quantit s des productions et il est due ou raison de contraints au niveau des facteurs du productions Chapitre IV Pr sentation de la r gion d tude Chapitre TV m Pr sentation de la r gion d tude IV PRESENTATION DE LA REGION D ETUDE 1 Situation g ographique La r gion de Ouargla se situe au fond d une large cuvette de la vall e de l Oued Mya et une altitude de 165 m tres avec une longitude de 5 24 Est et 31 54 Nord La wilaya de Ouargla est situ e au Sud Est du pays 790 km de la capitale Alger couvrant une superficie de 163 233 km2 Elle demeure une des collectivit s administratives les plus tendues du pays elle est limit e par Au Nord par les wilaya de Djellfa et Eloued Al Est par la Tunisie Au Sud par les wilayas de Tamenrasset et Illizi Al Ouest par la wilaya de Gharda a Chapitre Iy Pr sentation de la r gion d tude L gt MAROC 77 e aaoh de
15. 000 13026731 13129400 IV EQUINS 366680 1345500 320 540 278 300 265 134 255119 V CAMELINS 1126350 1136000 1150870 154310 234170 245484 Annexe n 06 Les nombre des t tes des bovins 1985 2005 2006 Annexe n 07 Les quantit s des aliments qui donnent a un t t bovine chez les leveurs des r gions Automne Printemps Hiver Et Eleveur 1 10kg 12kg 12kg 14kg Eleveur 2 Tkg 10kg 9kg 11kg Eleveur 3 9kg 14kg 11kg 15kg Eleveur 4 6kg 9kg 8kg 12kg Eleveur 5 8kg 11kg 10kg 13kg Source enqu te Annexe n 08 Estimation des productions de lait de la wilaya de Ouargla milliers litres par an Esp ce bovins ovins caprins camelins total Production 1191 9110 35440 10107 55848 Source Enqu te national levage BENDER Table de mati re IH FOQUCHON ER de ets eee td eat 02 M thodologie du travail 07 yyy a Premi re partie Etude bibliographique e RRe Chapitre I d finitions et cadre conceptuel JEXploitati ON ei R a o e RA Ee Ee AA R a OA Rea een ne 13 2 SyStEME ETATS renard essentiel E E a E A E ts RS 13 3 systeme de la production sers ientanerienenntennee siennes 13 AF cteurs de productions sosser a de RD A a A EE Ta RE T SARE En 14 S Thecnigues de production oscense En Re RSS AEE EEA S de rique 14 6 Exploitant agricole 4 4 n
16. A OUARGLA 2005 Le zonage Pour atteindre le but de ce travail et bien laborer l enqu te on a choisi des communes qui nous paraissent repr sentative de l ensemble en tenant compte des crit res suivants l L h t rog n it du milieu naturel 2 La structure de la population et des productions Les zones d tudes sont Tableau 01 la r partition des zones d enqu te Zone Nombre d enqu te N eoussa 10 avicole Ain Elb aida 10 Ovins Rouissat 8 Caprins Ovins Ouargla 12 Caprins Hassi ben abdellah 5 Bovins Ovins Sidi khouiled 5 Bovins Ovins Les camelins Malgr l importance de cheptels camelin dans la r gion nous ne travaillons pas sur cette esp ce cause plusieurs raisons le syst me d levage de cette esp ce syst me extensif la difficult de travail de cette esp ce car il est lev e dans les parcours saharien Mat riels et m thodes L chantillonnage Apr s avoir fait un questionnaire voir annexel 2 sp cifique pour l objectif de cette enqu te on a pris contact avec les leveurs dans leurs exploitations ou bien dans leurs habitations Pour chaque leveur on a rel ve les principales informations sur les techniques appliqu es les productions et les contraintes M thodologie 1 tape La m thode utilis e consid re l levage comme un but final L enqu te doit d tecter les dif
17. N 312091Y Paris 1700 P 5 CHELLIG R 1969 La steppe le pays de mouton rapporte 1 et MARA production animale 9P 6 CHELLIG R 1992 Les races ovines Alg riennes OPU Alger 80 P 7 D S A 2006 Rapport de situation de l agriculteur travers la wilaya de Ouargla 8 DICTIONNAIRE ECONOMIQUE ET SOCIAL 1975 Edit SOUALES 756 p 9 DIDIE GHINZI 1997 Production animale hors sol porc volaille lapin Edit Synth se agricole ISBN P 267 10 DIRECTION DE PLANIFICATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DE OUARGLA 2005 Le guide statistique de la Wilaya de Ouargla 214 P 11 GORDON R 1979 Pathologie des volailles E Maloine S Paris 1979 P 267 12 HILILAT MT 1993 Etude de la fertilisation azotique et potassique sur le bl dure vari t aldura en zones sahariennes r gion de Ouargla th se magist re Univ Batna 130 p R f rences bibliographiques 13 INSTITUE TECHNIQUE DES PETITS ELEVAGES 1995 Guide d levage du poulet de chair 20p 14 KACI S 2005 contribution l tude des potentialit de l apiculture en milieu oasien cas de la wilaya de Gardaia M m D ing Agro INFS AS Ouargla 140p 15 KRIM M L 1995 Diagnostique de l levage bovin dans la wilaya de Ouargla m moire DUEA ITAS P 36 16 LAOUER H 1981 Analyse des pertes du poulet de chair au centre avicole de lazoulte Th se d ing INESA Batna 1987 P105 17 LAROUSSE AGRICOLE 1984 Edit LARO
18. aliall oda Aibidil abail s ia sl y ohi g gaai Aala ia ai ebi cu jai il aiy y aai Jai alisa 43 il Aal tal alasi al sl Lu ll gas y ll FAPI cliall cin yill Sommaire Introduction 1 M thodologie du travail 5 Premi re partie Etude bibliographique Chapitre I d finitions et cadre conceptuel 11 Chapitre II Les conduites d levage des animaux domestiques 12 Chapitre III La production animale en Alg rie 35 Chapitre IV Pr sentation de la r gion d tude 50 Deuxi me partie Situation amp r sultats et discussion Chapitre I Situation de l levage dans la r gion d tude 59 Chapitre Il R sultats et discussion 66 Conclusion g n rale 99 R f rences bibliographiques 101 Annexes Liste des abr viations A N R H Agence national des ressources hydriques D A P T Direction de Planification et de l Am nagement du territoire D S A Direction des Services Agricoles F A 0 Food and Agricultural Organization G M Q Gain Moyen Quotidien LT P E Institut Technique des Petits Elevages M A T Mati re azot e digestible O N A B Office Nationale des Aliments du B tail O N M Office Nationale M t orologie O N A P S A Office Nationale des Approvisionnements des Services Agricoles O R A C Office R gional avicole centre Liste des tableaux N Titre Page Tableau 01 R partition
19. alis par l ensemble des unit s publiques laiti res varie entre 5 et 15 entre 50 et 150 millions de litres Le taux d int gration industrielle est de 4 10 Les contraintes li es la production laiti re sont nombreuses et sont li es au d veloppement de l levage bovin Faible production de l levage bovin laitier Prix de revient la production trop important et syst me de prix appliqu la consommation du lait consid r comme un produit de premi re n cessit peu incitatifs l am lioration de la production le co t de production moyen est de 25 DA Ressources fourrag res insuffisantes et co t d alimentation du b tail trop lev le taux d approvisionnement des levages en fourrages se situe 27 de leurs besoins Infrastructure insuffisante et d sorganisation des r seaux de collecte Chapitre 7 4 production animale en Alg rie 2 La fili re viande Tonnes 350000 300000 250000 200000 viandes rouges 8 viandes blanches T 150000 100000 50000 Ann es 1999 2000 2001 2002 2003 Figure 07 Production des viandes 2 1 Viandes rouges La production des viandes rouges provient essentiellement des levages extensifs ovins 56 et bovins 34 La production de viande provenant de l levage caprins 8 et camelins 2 reste tr s marginale cette viande n tant consomm e que dans le Sud
20. avortement les techniques ins mination synchronisation le bon g niteur choix des reproductrices les facteurs des variabilit s des param tres de reproduction l ge de sevrage Hygi ne et sant facteur tr s important car il est d fini comme tant l ensemble des r gles qui ont pour but de conserver une bonne sant aux animaux 1 Conduite du cheptel bovin Les principales contraintes r sident dans la non ma trise des techniques d levage de la presque totalit des leveurs 1 1 Conduite de l alimentation L alimentation est un facteur tr s important dans l levage bovin parce que les besoins de ces animaux sont tr s grands du point de vue quantitatif ou qualitatif Ils ont besoin beaucoup plus des fourrages verts disponibles volante et la cour de l ann e et des quantit s des aliments concentr s Les bovins ont besoin des aliments grossiers et fourrages verts et des aliments concentr s Pour la production du lait on besoin d un aliment plus grossiers que nerg tique le son les dattes etc Pour cela on trouve que la ration alimentaire est compos e essentiellement par le fourrage vert et des dattes s ches Il y a des leveurs qui utilisent le VL 15 l orge et le son Chapitre II D R sultats et discussion L levage de la r gion ne prend pas en consid ration les besoins de l animal en alimentation et on donne aux animaux un aliment d s quilibre cause d
21. ce est tr s adapt e aux conditions de la r gion et contribue la satisfaction des besoins en lait de la population locale D S A 2003 En deuxi me position le cheptel ovin avec un effectif de 116769 t tes qui repr sente 38 66 du cheptel total Nombre dest tes 90000 80000 70000 60000 50000 40000 30000 20000 10000 0 Cat gories Ch veres Boucs Chevreaux de6 mois chevrettesde mois des animaux Figure 18 Les Caprins 2004 2005 DSA 2006 Nombre dest tes 60000 Bellers Antenaises Antenais 6 12 Angeaux de 6 moisAgnelles de 6 mois Cat gorie mois des animaux Figure 19 Les ovins 2004 2005 DSA 2006 Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude La production de viande ovine est estim e 150 tonnes La production de viande caprine est de l ordre de 45 tonnes 73 g pers semaine L levage des ovins et des caprins dans la r gion est de type familial nombre d animaux lev s dans la maison pour couvrir les besoins du m nage les animaux sont suivis par les individus de la famille et leur alimentation est bas e essentiellement sur les cultures de l exploitation et les d chets de cuisine Pour les ovins la plus part ne sont pas de vrais leveurs ce sont des vendeurs ils ach tent un groupe animaux dans les saisons des f tes religieuses sacrifice ou mouloud pour la vente La situation des ovins et des caprins est moins gr
22. chez les m les par suite de la consommation d une ration trop riche en phosphore exc s de grains ou de son Les rares animaux atteints sont g n ralement sauv s par un traitement nergique de plus ou moins longue dur e 1 jour 1 semaine au Lispanol Specia Ces probl mes pathologiques qui restent la plupart du temps localis s et g n ralement faciles r soudre peuvent devenir tr s graves si l on ne dispose pas de moyens d intervention n cessaires C est le cas des agriculteurs de la palmeraie en raison d un niveau de vulgarisation et d intervention v t rinaires encore trop timide malgr certains efforts encourageants TOUTAIN 1979 3 Les param tres zootechniques des bovins L levage bovin est un levage 2 fins production de viande et de lait Si la production de viande n a pas craindre de d t riorations s rieuses du march la production de lait pr sente l avantage d assurer les besoins de l autoconsommation familiale Cependant les bovins ont l inconv nient de demander une alimentation par t te souvent sup rieure aux ressources fourrag res de l exploitation moyenne 3 1 Conduite de l levage 3 1 1 L levage des jeunes veaux Le jeune veau doit consommer volont le colostrum c est dire qu on ne doit pas commencer la traite avant les 48 h suivant le v lage Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Ce d lai coul la m thode traditionnelle q
23. d allo toment les murs sont construits par des mat riaux locaux les toits sont fabriques en bois les liti res constitu es de sable absence des salles sp cifiques une traite de la maternit des nouveaux n s Pas accessoires N est pas des mat riels modernes tel que les mangeoires et les abreuvoirs 2 2 Alimentation L alimentation est d sorganis e et anarchique ne prend pas en consid ration les normes de rationnements ou les besoins de animaux et leurs tat physiologique Les animaux sont aliment s ensemble Pas des accessoires appropri s aux alimentations N est pas d hygi ne d alimentation L am nagement des b timents est tr s sommaire sans quipements appropri s L hygi ne les mauvaises hygi nes chez la plus part des leveurs L alimentation est bas e essentiellement sur les fourrages verts comme la luzerne l orge comme concentr e et aussi les d chets du la cuisine Mais les quantit s sont g n ralement insuffisantes L absence des allotements provoque des probl mes au niveau de l alimentation COMME Les animaux sont aliment s ensembles quelque soit leurs ges et leurs tat physiologique ou corporelle Chapitre II D R sultats et discussion L animal fort mange une quantit d aliment plus que l animal ch tif absence des apports compl mentaire comme le flusching et steaming 2 3 Reproduction L tat de reproduction n est pas satisfaisant
24. d une exploitation ou d une r gion LAROUSSE AGRICOLE 1981 Chapitre Il Tes conduites d levage des animaux domestiques Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques CHAPITRE II LES CONDUITES D ELEVAGE DES ANIMAUX DOMESTIQUES I D finitions 1 Conduites d levages La conduite d levage consiste l int gration de l alimentation la s lection les soins de sant les b timents d levage et d utilisation des animaux domestiques pour optimiser la productivit L leveur poss de une connaissance et un savoir faire pour agir dans les limites impos es par les ressources du sol de la main d uvre et du capital dont il dispose Www Canada recherche Le bon gestionnaire est celui qui met en vidence des pratiques sur son exploitation conomiquement rentable techniquement faisable et socialement acceptable SENOUSSI 2000 4 La reproduction C est l un des facteurs de base pour n importe quel levage parce qu il influe directement sur la continuit du troupeau Dans la reproduction rentrent plusieurs param tres 4 1 Les param tres de la reproduction et leur enregistrement a f condit fertilit prolificit de quoi s agit il Len denses Nombre de femelles mettant bas x 100 Nombre de femelles soumise la reproduction La fertilit d un troupeau est l aptitude de ce troupeau tre f cond en un minimum de saillies ou d ins minations On peut i
25. de boisson ou n bulisation Source DIDIE CHINZI 1997 Ajouter a cela un anticoccidien dans l aliment pour un traitement antiparasitaire Cet anticoccidien doit tre retir de l aliment 15 jours avant la date d abattage Limiter le contact avec les animaux aux strict minimum D sinfecter tout mat riel d acc s aux b timents d levage botte brouette v hicule 2 Les param tres zootechniques des ovins La production de viande ovine est une production s re le march tant largement ouvert m me dans les secteurs les plus recul s de la palmeraie Le mouton doit donc constituer en r gle g n rale la base du cheptel familial 2 1 Mode de conduite Contrairement la conduite traditionnelle qui consiste en principe lever ensemble tous les animaux du troupeau il est conseill Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques De sevrer les agneaux 3 mois ou un peu plus tard si leur d veloppement est nettement insuffisant afin de ne pas puiser les m res et compromettre leur production future Ce ph nom ne se trouve d ailleurs souvent aggrav par la traite des m res De s parer d s le sevrage les m les des femelles sevr es ou adultes afin de ne laisser reproduire que le meilleur b lier et de retarder la f condation des agnelles jusqu un ge minimum de 7 mois Un premier agnelage trop pr coce entra ne des cons quences n fastes sur la qualit des agneaux et la
26. de production ex le manque des aliments et les prix lev s La chert et la raret la main d uvre exp riment e qui dispose d un savoir faire et une bonne technicit Ex manque de technicit et d exp rience Le non respect des normes des conduites d levage Des contraintes technico conomiques le manque de qualification de la force du travail qui n cessite une technicit beaucoup des savoir faire et une bonne gestion VI Les am liorations et les perspectives de d veloppement la formation la vulgarisation et l am lioration des techniques d levage par des stages l encouragement des leveurs par les aides financi res et techniques l am lioration du circuit d approvisionnement en facteurs de production l insertion des nouveaux ing nieurs et zootechniciens dans des projets d levage Les leveurs de la r gion voir que les solutions des leurs probl mes est une responsabilit de l tat par les aides financi re et r glages des marches et des prix Les structures administratives de la r gion voir que le probl me est la mentalit des leveurs qui sont ne suivent pas les conseilles des gants sp cialistes et techniciens Conclusion g n ral Conclusion g n rale Conclusion g n rale Notre tude r alis e en milieu oasien r gion de Ouargla traite la situation et l identification des contraintes de l levage dont elle nous permet de constater que
27. de technicit l levage moderne bas sur des op rations et techniques nouvelles besoins en mat riels savoir et savoir faire 2 Les contraintes conomiques 1 Les prix lev s des facteurs des productions pour cela le co t de production des produits d origine animale reste de ce fait lev 2 L loignement de ces r gions par rapport aux usines de fabrication d aliments de b tail 3 La concurrence des wilayates du Nord et l arr t forc durant la p riode estivale car les temp ratures sont tr s lev s 4 Les probl mes d alimentation l indisponibilit fourrag re qui cause l l vation des prix et le manque de subvention tatique Hypoth ses 5 Les habitudes culinaires de la population autochtone qui limite l introduction des nouveaux levages tel que l aquaculture les piscicultures et les autres volailles comme les dindes Pour confirmer ou infirmer ces hypoth ses nous avons adopt une d marche m thodologique qui traite la situation et la caract risation des productions animales dans la r gion de Ouargla Mais avant d aborder cette d marche nous pr sentons une synth se bibliographique de certains concepts la conduite d levage et la situation et les performances de productions en Alg rie Mat riels et m thodes MATERIELS ET METHODES 1 M thodologie de travail Ce travail a pour but de conna tre l tat actuel de l levage dans la r gion de Ouargla de pr c
28. des jeunes veaux est d environ 20 Ce taux lev est g n ralement du la non administration du colostrum et le changement brusque de l alimentation 1 3 Logement des animaux Il faut respecter plusieurs normes dans les b timents d levage des bovins tel que 1 l emplacement de b timent et leur forme surface a ration clairage la disponibilit d eau la facilit de nettoyage Il faut utiliser des mat riaux pr cis la construction des b timents Il faut avoir des diff rents accessoires dans le b timent tel que les mangeoires les abreuvoirs etc Mais dans notre r gion on trouve qu il y a une n gligence des diff rentes normes On a remarqu que la plus part des leveurs utilisent des b timents en parpaing avec des fen tres pour l a ration un plafond en ternit et l acc s ces locaux est souvent difficile petites portes des s parations des aires par des grillages en fer blessant par fois accidentellement les animaux Les rigoles d vacuation ne se pr sentent que chez quelques grandes exploitations ce qui provoque des maladies la liti re existante est constitu de sable fin la paille est plut t utilis e comme fourrage grossier Les stabulations sont g n ralement entrav e avec l inexistence des salles de traite pour la plus part des leveurs sauf chez certains leveurs ayant des grandes exploitations ce qui provoque des maladies de la mamelle et par la suite une d
29. e que les agents contaminants se disparaissent on perd de leur vigilance s ils ne trouvent pas des nouveaux contaminer car les agents pathog nes sont souvent tr s r sistants C est seulement apr s cette premi re d sinfection que commence le vide sanitaire proprement dit Pendant cette p riode le d sinfectant prolonge son action qui renforc e par un bon ass chement du sol et du b timent L humidit r siduelle dans le b timent est un facteur de d veloppement des microbes accentu par la chaleur La dur e moyenne d un bon vide sanitaire est de 15 21 jour temps de s chage complet du b timent Pendant ce laps de temps il faut viter une r contamination du poulailler qui d truirait tout le travail effectu Il est donc n cessaire de mettre en place des p diluves et de pr voir des bottes et des v tements propres r serv s aux employ s et servant uniquement an travail effectu dans les poulaillers Il faut aussi pense amener Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques une lutte contre les rongeurs Ce n est pas parce que le b timent est vide qu il ne faut pas en prot ger l acc s ALARY et LHOSTEP 2000 1 1 4 3 Prophylaxie La prophylaxie r pond la fois aux mesures de pr vention sanitaire et aux imp ratifs de rentabilit conomique DIDIE CHEVZI 1997 Tableau 04 Les vaccination utilises chez le poulet de chair 1 jour Bronchite infectieuse Maladie New castel Eau
30. exc s des concentr es qui est la source d nergie pour les animaux En effet on remarque que les rations distribu es diff rent entre les grandes et les petites exploitations Les rations distribu es contiennent un exc s d nergie influe sur la production surtout laiti re La distribution excessive de fourrage vert qui est la luzerne est riche en azote cause un exc s des MAD dans la ration L exc s d azote est un gaspillage D apr s l enqu te on a remarqu que dans les grandes exploitations les leveurs utilisent les foins de vesce avoine alors que dans les petites exploitations ils utilisent soit de la paille soit du sorgho et des grandes quantit s d carts de tri Hchef Ainsi on a remarqu que les fourrages verts tel que la luzerne sont r colt s apr s floraison En plus les leveurs font un mauvais stockage du foin par son exposition aux al as climatiques qui causent une diminution de la valeur alimentaire des aliments qui est d j faible On a encore constat que les leveurs ne sont pas capables de juger la quantit des foins c est pour cette raison qu ils distribuent de la paille dans l id e qu ils sont Chapitre II a R sultats et discussion entrain de distribuer le bon foin Cette id e cause des changements brusques du r gime alimentaire qui sont tr s fr quent Apr s la premi re semaine jusqu 1 mois le veau t te partir de 2 trayons Le nombre de t tes est 2 par jour ou
31. nombre de sujet mort jusqu la fin de cycle est de 225 sujets Le nombre de sujet vendu 2500 225 2275 sujets Les charges totales 537589 99 le prix de revient Hon 236 17DA sujet Prix de revient 236 17DA sujet Chapitre II EEE R sultats et discussion Tableau N 09 d pense de chaque charge en poulet vif D Importance en au tout total me poussin Aliment 54 94 23 25 151 82 64 24 frais v t rinaire d sinfection Charge Eau lectricit gaz Main d uvre Amortissement Autres Source Enqu te 3 2 Elevage ovin Les leveurs vendent leurs produits Les animaux sont vendus vifs animal complet dans le march chez Revendeurs priv s Consommateurs 3 3 Elevage de bovin Dans la r gion le principal produit des bovins est le lait La viande est en deuxi me place l engraissement des animaux de r forme Le lait est vendu aux clients Revendeurs priv s Consommateurs Chapitre II u m R sultats et discussion V Etudes des probl mes Notre tude d montre que quelque soit le type d levage dans la r gion d tude les probl mes toujours pr sents mais avec des degr s diff r s d un levage un autre et d une exploitation une autre Les probl mes des leveurs sont tr s vari es mais nous avons essayons de globaliser ou grouper ces probl mes Des contraintes conomiques la faiblesse du revenu la chert et la raret des moyens
32. ou pour les taurillons distincts pour la reproduction D apr s notre enqu te on a remarqu que les leveurs gardent toutes les femelles jusqu l ge de la reforme En ce qui concerne l ins mination artificielle la plus part des leveurs ne rappliquent pas pour la seul raison est le manque de technicit sp cialis es et qualifi es Chapitre II D R sultats et discussion Un ou deux leveurs ont appliqu l ins mination artificielle mais les r sultats sont mauvais et une mauvaise ma trise de la reproduction se traduit par une perte en animaux une compagnie de sensibilisation a t men e par l inspection v t rinaire de la Wilaya sur les bien faits de l ins mination artificielle mais tr s peu d leveurs taient convaincus la plus part consid raient cette technique prohib e 1 2 2 La d tection des chaleurs D apr s notre enqu te on a remarqu que les seuls signes sur les quels se basent les leveurs pour la d tection des chaleurs restent le beuglement et le chauvauchement Pour les leveurs qui ont le taureau la d tection des chaleurs se fait gr ce ce dernier puisqu il est en permanence avec le troupeau et pour ceux qui n ont pas de reproducteur et qui repr sentent la plus part ils doivent faire appel de temps en temps un taureau gratuitement c est la raison pour laquelle la majorit des leveurs enregistr un intervalle v lage v lage tr s long La premi re saillie des jeunes g n
33. plafonds sont sales et poussi reux Ce qui favorise le d veloppement des agents pathog nes l absence du syst me d vacuation du purin la liti re n existe pas et le mat riel de traite est sale 2 4 2 Hygi ne de l alimentation L alimentation est distribu e dans des bassins en plastiques chez la plus part des leveurs de la r gion Le manque des mangeoires est l origine d un gaspillage consid rable des aliments et surtout pour les fourrages grossiers 2 4 3 Hygi ne de l abreuvement L eau n est pas renouvel e r guli rement La quantit d eau qui d borde provoque des zones favorables au d veloppement des microbes 2 4 4 Hygi ne de l animal L tat de l animal est g n ralement mauvais par le manque de brossage des cro tes le mauvais tat des sabots et des boiteries et des infections des pieds qui sont caus es par le non pratique de la taille des anglons 2 4 5 Hygi ne de la traite Beaucoup d anomalies ont t observ es En d but de la traite les premiers jets de lait sont limines par terre ce qui peut provoque des contaminations L absence de salle de traite cause une mauvaise propret Des mamelles ne sont pas bien lav es en d but de traite La mauvaise conservation du lait 2 4 6 Sant Les maladies les plus courantes dans la r gion dont le cheptel ovin et caprin souffre sont Les mammites Les diarrh es Les maladies d origine alimentaires La gale Chapi
34. r es Une nappe phr atique de profondeur variant entre 1m et 8m Chapitre TV m Pr sentation de la r gion d tude Une nappe de mioplioc ne dite nappe de sable Une nappe de calcaire S nonien Une nappe de continent intercalaire Albien Selon l Agence Nationale des Ressources Hydriques A N R H de Ouargla la wilaya repr sente d importantes potentialit s en eaux souterraines estim es 238 5 Hm 3 an 2 1 4 Hydrographie Etant donn e la position g ographique et le relief de la wilaya le r seau hydrographique y est naturellement endor ique Malgr leur nombre assez lev les Oueds sont peu importants avec tr s peu des crues Les deux Oueds les plus importants sont l Oued Mya consid r aujourd hui comme fossile et l Oued Righ coulement permanent gr ce aux eaux de drainage principalement 2 1 5 Les sols Les sols de Ouargla sont des sols souvent squelettiques et d pourvus de mati res organiques ROUVILOIS 1975 Selon HLILAT 1993 les sols de Ouargla pr sentent une texture g n ralement sableuse La plupart des sols salins cause de la remont e capillaire des eaux de la nappe phr atique et le manque de r seau de drainage dont le fonctionnement est souvent d fectueux Les sols de la r gion de Ouargla peuvent tre group s en trois classes sont les suivants La classe des sols peu volu s avec des caract res de salinit et d exc s d eau se localise principalement d
35. rations externes vente les femmes et les enfants la traite distribution des aliments et l eau chez les animaux nettoyage de b timent la garde des animaux ramassage de laine Chapitre I UUl R sultats et discussion D apr s les r sultats des enqu tes on remarque que presque la totalit des exploitation est g r e par des hommes g es et la plus part des enfants scolaris e Cette situation donne une id e sur la devenir d exploitation c est dire le risque de l in continuit 4 Les mat riels utilis s au niveau de l exploitation La plupart des exploitations utilisent un mat riel ancien on trouve 80 des exploitations poss dent des mat riels anciens 20 des exploitations ont des mat riels modernes g Mat riels traditionnelle g Mat riels modernes Figure 27 les mat riels utilis s au niveau de l exploitation Tableau 08 L tat du mat riel d levage Type de mat riel L tat de mat riel Mat riel de collecte de production M diocre Mat riel d alimentation et abreuvement M diocre M diocre Mat riel d hygi ne Chapitre II D R sultats et discussion 5 Motivation Lorsque on pose la question de la motivation aux leveurs on recueille plusieurs r ponses L levage repr sente une autre source des revenus L levage connu par la diversit de ses produits lait viande oeufs et laine
36. s par le Dromadaire Les modes et les conditions d levage sont diff rents suivant les r gions g ographiques MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 II Les productions animales 1 La fili re lait 10 litres 2000 2001 2002 2003 Ann es Figure 06 la production laiti re La production laiti re moyenne annuelle de la derni re ann e est environ 1 milliard de litres dont 60 provient de l levage bovin 26 de lait de brebis et 13 de lait des ch vres La production laiti re cameline n est pas prise en compte cause de Chapitre T 7 4 production animale en Alg rie les quantit s produites des laits des chamelles ne sont pas tr s lev es pour les prendre en consid ration comme tant des produits de base pour couvrir des besoins r guli res en lait le syst me d levage de ces animaux est de type extensif qui engendre une difficult en collecte de produits lait la mentalit des leveurs camelins leurs habitudes est le refus de vente du lait Le taux de croissance de la production laiti re annuelle est tr s faible il couvre peine 40 de la consommation de lait en Alg rie qui est de 110 litres hab an le d ficit tant combl par l importation L enveloppe globale allou e l importation de lait et des produits laitiers est de 490 millions de Le taux de collecte de lait cru r
37. timent et son environnement sont des conditions parmi celles qui contribuent le plus la r ussite de la production avicole LAOUER 1981 dans le choix de l emplacement des b timents il faut tenir compte des conditions suivantes Un endroit sec perm able l eau bien a re mais abrite des vents froids Eviter absolument les lieux humides et les bas fonds qui sont chauds en t et tr s humides en hiver Pour permettre un bon drainage des eaux pluviales et des eaux de ruissellement il s imposera d effectuer une fosse suffisamment profonde autour du b timent afin d viter la mont e d eau par capillarite l int rieur du b timent l humidit des liti res tant pratiquement un facteur de d gradation sanitaire Orienter le b timent perpendiculaire ou parall le au Vent dominant pour permettre une meilleure ventilation M nager une certaine distance entre les b timents d exploitation Eviter le voisinage de certains animaux qui sont porteurs ou vecteurs de parasite Bien s parer chaque local de l ensemble de l elevage pour viter les risques de contamination en cas de maladies les dimensions du b timent de production sont en fonction des densit s et quipements retenus suivant que l elevage des animaux se fait au sol ou en batterie L alimentation en eau potable le r seau lectrique ainsi que les arbres ombrageux sont autant de facteurs essentiels la construction du b timent 1 1 2
38. 000 2000000 a 1998 1999 2000 2001 2002 2003 Ann es Figure 02 Evolution des effectifs des cheptels nationaux 1997 2003 Chapitre 7 4 production animale en Alg rie L levage en Alg rie concerne principalement les ovins les caprins les bovins et les camelins Les ovins pr dominant repr sentent 80 de l effectif global avec plus de 10 millions des brebis l levage caprin vient en seconde position 13 comprenant 50 des ch vres l effectif des bovins reste faible avec 1 6 1 7 millions de t tes 6 de l effectif global dont 58 sont des vaches laiti res En Alg rie il y a une sp cialisation des zones agro ecologiques en mati re d levage Les parcours steppiques sont le domaine de pr dilection de l levage ovin et caprin avec plus de 90 des effectifs qui y vivent entra nant une surexploitation de ces p turages CHELIG 1969 1 1 Les ovins Le cheptel ovin premier fournisseur en Alg rie de viande rouge est domin par trois races principales bien adapt es aux conditions du milieu ADEM 1986 CHELIG 1969 et 1992 E centre E Ouest O Est O Sud Figure 03 R partition g ographique de cheptel Ovin Chapitre T 7 4 production animale en Alg rie La race arabe blanche Ouled Djellal la plus importante environ 58 du cheptel national adapt e aux zones steppiques pr sente des qualit s exceptio
39. 27 Mars 17 78 5 23 46 174 72 3 5 265 09 Avril 21 82 1 13 37 45 238 63 4 55 298 18 Mai 27 6 1 62 33 255 45 4 6 302 27 Juin 30 97 0 31 27 09 349 45 4 6 319 45 Juillet 35 03 0 12 28 27 387 54 4 46 326 18 Ao t 35 0 24 37 9 278 27 4 06 306 Septembre 30 37 4 24 37 9 274 72 4 12 212 72 Octobre 23 9 6 53 50 211 27 3 6 225 54 Novembre 17 08 3 04 58 72 133 63 2 86 201 45 D cembre 12 43 2 03 63 27 124 72 2 9 181 36 32 33 44 21 2760 05 3 77 255 17 ONM 2005 Cumul annuel Moyenne annuelle Chapitre UE TS Pr sentation de la r gion d tude T C Pr cipitations mm P riode s che Figure 13 Diagramme ombrothermique de GAUSSEN 1994 2004 Le diagramme ombrothermique de la r gion d montre une p riode s che tr s longue qui s tale du mois d Avril jusqu au mois d Octobre qui influe sur le couvert v g tal les parcours Synth se climatique D apr s les donn e climatiques de la r gion du Ouargla on conclue que La r gion poss de une climatique sec aride Saharien caract ris par des temp rature lev s et humidit moindre avec des pr cipitations faibles et rare Tous ces param tres donnent un couvert v g tal clair pauvre compos par des plants adapt s ces conditions climatiques 2 1 3 Hydrog ologie Les eaux souterraines repr sentent la principale ressource hydrique de la wilaya elles sont constitu es de quatre nappes diff
40. Ambiance Le poulailler doit aussi mettre la disposition des animaux les conditions optimales pour assurer une production meilleure avec des co ts les moins on reux possibles Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques 1 1 2 1 Temp rature Le local doit tre pr t recevoir les poussins aux moins 24heures avant leur arriv e La temp rature dans le local doit tre parfaitement ma tris e surtout durant les premiers jours du poussin qui ne peut r gler sa temp rature lui m me qu a certain ge Dans le cas du poulet de chair la temp rature varie selon l ge L ITPE a dress un tableau n 02 des temp ratures optimales pour l levage du poulet de chair Tableau 02 Temp ratures optimales pour le poulet de chair Temperature Temp rature sous Temp rature optimale Age leveuse C du local C Source ITPE 1995 1 1 2 2 Ventilation IT faut proc der la ventilation naturelle statique ou artificielle dynamique afin d viter l accumulation des gaz nocifs le picage et la diminution de la production l efficacite de la ventilation statique doit remplir une condition la surface globale des fen tres doit tre gale 10 de la surface du b timent La ventilation dynamique n cessite l usage de ventilateurs lectrique Ces derniers vacuent l air vici constitu par des gaz nocifs NH CO et par la vapeur d eau issue de l activite physiologique des animaux et co
41. C est un levage introduit et vit beaucoup des difficult s cause des diff rents facteurs tels que les facteurs climatiques les animaux ne sont pas des animaux des r gions arides et chaudes Pour cela on trouve que les animaux perdent une grande partie de leur performance 3 1 Historique de l levage bovin dans la r gion du Ouargla Le syst me d levage dans le sud est bas essentiellement sur les camelins et les ovins Et pour couvrir les besoins en prot ines animales des habitants il fallait une autre source d approvisionnement ils ont introduits le syst me d levage bovin dans la wilaya le d part est par 24 vaches Mekhadma dans les ann es 1970 08 vaches Tarentaise 08 vaches Pie rouge 08 vaches Pie noire En 1970 la situation de cet levage est mauvaise car il y a un manque d exp rience et la mauvaise connaissance de la conduite d levage et aussi les d ficits climatiques mais en 1974 ils ont trouv que la race pie rouge s adapte bien avec le milieu Le nombre du cheptel reste stable en 1972 avec 114 t tes et il volue en 1986 car la pie rouge s adapte avec le milieu pour atteindre le maximum en 1991 1740 t tes apr s on voit une chute de nombre jusqu 530 t tes en 2005 Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude L levage bovin dans la r gion est une activit conomique pour deux fins Production de viande rouge Production de lait Les le
42. Les r gles de l hygi ne ont permettent _ D viter l apparition des maladies De conserver les animaux en bonne sant De la ma trise de l environnement dans lesquels les animaux doivent vivre Afin de contr ler efficacement les maladies chez les animaux il faut leur viter les situations de stress mettre les animaux malades ou les nouveaux arrivants en quarantaine les vacciner contre certains bact ries par ex celles du genre clostridies qui causent le t tanos la gangr ne gazeuse etc et st riliser les instruments comme les trayeuses De nombreux pathog nes potentiels par ex vers intestinaux coccidies vivent normalement parmi le cheptel fermier selon un quilibre h tes parasite Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Le parasite se multiple souvent tr s rapidement produisant des sympt mes de maladie chez l animal lorsque le stress ou un autre facteurs affaiblit celui ci ou le rend vuln rable Il faut donc pour minimiser le stress traiter les animaux avec calme et pr voir des installations plans inclin s r teliers cornadis etc qui faciliteront la fois la vie des emploies et celle du cheptel Www Canada recherche Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques II Les param tres zootechniques des animaux domestiques 1 Les param tres zootechniques du poulet de chair 1 1 B timent 1 1 1 Implantation du b timent avicole L implantation du b
43. RUE ANS ADT UNOIES Lu nr tt Nr eneisenden aRes 3 1 3 1 hygi ne du b timent eresi de eann i EE a EASE a O EAEE E T 3 3 la sant VI Etudes de production La viande Lelaitissisi us Le Fumier 1 Les produits d levage 11 Pour NA LEA Ea a S E Le D A mn ne mai 1 2 Pour l levage OMAN RC MT RS An ARE nds tien A Ne LS LI VASE CADRES Te E R E E Vi ete ice 2 Les productions d levag bovines 182pu rit min ete idese 2 1 La production 2 2 La production TE VIANAe ER er en Ann de nee TAIT TE ANS RUES A ee SA nf en nn 3 La destination des produits tion nins ed des MN nes 3 1 L aviculture 3 2 Elevage ovin 3 3 El y g de b vl scor eraron eere eno net ke Paaa akae Si V Etudes des probl mes VI les am liorations et les perspectives des d veloppements Conclusion g n rale R f rences bibliographiques Annexes 98 98 98 98 99 99 100 100 100 100 100 100 101 101 101 102 102 103 103 105 105 106 106 108 111 114
44. Situation L CSEADIQUE sn non nissan eue 4 2 Les l ments SATIQUE S 222 nine nm ie ee nee a Rent es 56 2 1 LE Mie physt EUR et Na SD MONS EER aa 56 DS ES ER AS OI SR Re 56 2 1 2 Les donn es climatiques esse rs ans masse 56 2 1 2 1 Les temp ratures 14 440 une ane li er didier ttes 56 2 1 2 2 Les pr cipitations seen cat Concert an the se 56 212 3 Des vents i iee enei nn ste Aer n TES 57 2 1 2 4 L humidit TONNES ir nt an nee tn 57 2 12 57 E insolation n e e a E E E E e E 57 2 1 3 Hydrog ologie osre eni opri e E EEE EEES AAEE EK 58 2 1 4 AUTO TAPIE 525 RE A No Tant 59 2e LES OS REA Rene Cm M RES Reset 59 3 Aspect socio conomique sise raesian er rean nn a emeendrer dents 60 3Jel Lapop lati on a RE rad CT net rase 60 7 2 empl a Rs te A le are ts er 60 4 L agriculture dans la WHayar annaba Min sautent One au 60 4 l Prod ction v g tal sed e e EE aE Fere Epai 60 4 2 Production nimale s ussssscsiissisiriisseri sioria re pnr anei ai EE 61 Deuxi me partie Situation amp r sultats et discussion Chapitre I Situation de l levage dans la r gion d tude Es DitrOdUetiON s ar ren Rene se met AS e ee Ne te ne Aa est 65 2 Situation de l levage avicole dans la r gion d tude 66 2 1 L volution des effectifs mis en place et de la production de la viande blanche 67 3 Situation de l levage bovin dans la r gion de Ouargla
45. TERE DE L AGRICULTURE 2003 Difficult d approvisionnent en poussins et aliments surtout en p riode de forte demande Les conditions d ambiance pendant l t fortes chaleurs entra nent souvent des ruptures de mise en place de poussins durant cette p riode Chapitre 7 4 production animale en Alg rie Les producteurs manquent de technicit le gain financier r alis est suffisant de tel sorte qu ils ne font pas d efforts pour am liorer l hygi ne et appliquer les normes d levage Pour les viandes blanches le cheptel aviculture chair concern 106 millions de sujets Le taux de couverture est de 100 dans les r gions potentielles et couvre un taux de consommation gale 6 7 kg hab an MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 3 Production d uf Ann es 2000 2001 2002 Figure 09 Production l ufs Les effectifs ponte mis en place sont de 9 millions de sujets La production est de l ordre de ufs an 240 unit s et avec un taux de couverture de 100 72 kg hab an MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 Chapitre 7 4 production animale en Alg rie 4 Fili re apicole Effectif 000 300000 250000 200000 150000 100000 50000 0 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 Ann es Figure 10 Evolution d effectif apicole 4 1 R gions potentielles L activit apicole est in
46. UNIVERSITE KASDI MERBAH OUARGLA FACULTE DES SCIENCES ET SCIENCES DE L INGENIEUR DEPARTEMENT DES SCIENCES AGRONOMIQUES M moire de fin d tudes En vue de l Obtention du Dipl me d Ing nieur d Etat en Sciences Agronomiques Fili re Agronomie Saharienne Option Production animale THEME Les contranes tchnco conomques des productions amas dans fa r mon de Ouurela Pr sent par BEKKOUCHE Nabila Composition du jury Pr sident Mr SENOUSSI A Charg de Cours Promoteur Mr ADAMOU A Charg de Cours Co promoteur Mr BOUZEGAG B Charg de Cours Examinateur Mr CHEHMEA A Ma tre de Conf rences Examinateur Mr ABABSAL Ma tre assistant Ann e universitaire 2005 2006 Remerciement Avant tout je remercie Dieu tout puissant de m avoir accord la foie le courage et les moyens a fin de pouvoir accomplir se modeste travail Je tiens remercier vivement mon promoteur Mr ADAMOU A non seulement pour avoir accept de diriger ce travail mais aussi pour son orientation et sa patience qu il trouve ici l expression de ma profonde gratitude Mes vifs et sinc res remerciements Dr SENOUSSI A pour l honneur qu il m a fait en acceptant de pr sider ce jury Mes vifs remerciements vont Mr BOUZGAG B pour leur aide et Dr CHEHMA A d avoir accept de juger ce travail Que tous mes enseignants trouvent ici l expression de mon profond respect et que tous les gents de institu
47. USSE France 1184p 18 LEBDI N 2001 Dynamique interne du milieu agricole saharien d clin ou renouveau des syst mes de production Cas de cinq zones de la vall e de l Oued Righ M m D ing Agro INFS AS Ouargla 119p 19 MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 Rapports statistiques national 20 OPTIONS MEDITERRANEENNES 1997 Aviculture en m diterran en S minaires m diterran ens N 07 Paris P314 21 Oriol A 1987 L levage rentable des poulet de rapport Edit De vecchi S Paris 1987 P 199 22 PHILIPPE P 1999 La base de l agriculture 2 Edit TEC et Doc 260p 23 ROUVILLOIS BRIGOL M 1975 Le pays de Ouargla Sahara alg rien variation et organisation d un espace rurale en milieu d sertique Edit Dep de g o Univ de Sorbonne paris p310 24 SENOUSSI A 2000 les illusions d une agriculture de type capitaliste applique en zones sahariennes pour quel mod le de d veloppement S minaire international de Sidi Bel Abb s de 20au 22 novembre 2000 25 SOLTNER D 1979 Alimentation des animaux domestiques Edit Paris 278p R f rences bibliographiques 26 TOUTAIN G 1979 El ment d agronomie saharien de la recherche au d veloppement Edit Jouve paris 272p 27 ZANOUN SE 1994 Diagnostique de l aviculture en Alg rie cas de la r gion centre Th se d ing 1994 R f rence lectronique 1 ENCARTA 2005 Encyclop die des mots CD Rom Microsoft Word 2 W
48. WW Min gri minist re de l agriculture 2003 3 www goopgle fr Annexe n 01 Le guide d enqu te I Bovin Ovin Caprin lieu d enqu te Date Zone Commune 1 Informations sur le propri taire Nom Age Activit principale Activit secondaire Niveau d instruction 1 Coranique 2 Analphabete 3 Primaire 4 Autres Fait un stage Nature Lieu Dur e Non Pourquoi R partition des taches Prise de d cision 2 Information sur l exploitation Environnement de l exploitation Centre urbain Exploitation isol e Distance de l exploitation Le chef lieu de la commune La route goudronn e Le march e Les services sanitaires Autres informations sur l exploitation Date de d but d activit Effectif initial Effectif actuel Autres activit s Agriculture Commerce Autres Les esp ces animales lev es dans l exploitation Bovins Caprins Ovins Camelines Autres La main d ouvre Familiale Permanente Saisonni re Mains d ouvre affect e l levage Le nombre 3 Ies animaux et conduites d levage Les esp ces lev es Le nombres total les m les les femelles Les jeunes les races Local Am lior es 1 Conduites de l alimentation Sources des aliments Le type des aliments Le prix Les charges de transport Le calendrier fourrager Aliments S
49. a 30 sujets m apr s elle sera de l ordre de 10 a 12 sujets m Une densit lev e risque d entra ner de gros ennuis et l apparition d un certain comportement tel le picage griffage et le d veloppement de certaines maladies tel la coccidiose LAOUER 1987 En effet tous les sujets doivent disposer d un espace suffisant pour se mouvoir librement se dresser se tourner et ouvrir leurs ailes GORDON 1979 Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Tableau 03 Normes d levage pour le poulet chair Rubriques D marrage Elevage Abreuvoirs 4 mini sipho des 100 1 abreuvoir 60 sujet poussins Mangeoires 2 plateaux ou alv oles 1 mangeoire 25 litres pou poussin 1l assiette 50 60 70 sujets 50m poussins d acc s 1000 sujets Lumi re 5 watts m 50 lux 0 7 watt m 5 lux Ventilation 3 5 a5 m h kg de poids vif suivant climat Hygrom trie lt 70 gt Densit 20 poussins au m Une charge de 25 a 30k au 2 m Source I T P E 1995 1 1 3 Alimentation et abreuvement La r ussite de la production de la viande blanche d pend beaucoup de l alimentation Trois types d aliments sont distribues au poulet de chair suivant leur ge yp p 8 Aliment d marrage du 1 au 10 jours Aliment croissance du 11 au 40 jours Aliment finition du 41 au 56 jours Ces aliments composes diff rents pour chaque p riode d levage par rapport au ni
50. abreuver qu partir de 10 h la distribution d eau est videmment particuli rement importance pour les vaches en lactation 3 5 Prophylaxie On peut consid rer que les probl mes sanitaires des bovins sont pratiquement inexistants condition de respecter un minimum d hygi ne de discipline alimentaire et de surveillance des animaux Conclusion ELEVEUR CONDUITE DE L ELE VAGE ambiance hygi ne prophylaxie ANIMAL HABITAT ALIMENT ET ABREUVEMENT BON SANTE ET NIVEAU ELEVE DE PRODUCTION Sch ma global des diff rents facteurs d levage Chapitre IlI La production animale en Alg rie Cha pi tr e T c LA production animale en Alg rie CHAPITRE I LA PRODUCTION ANIMALE EN ALGERIE I Situation de l levage en Alg rie Introduction L Alg rie couvre une superficie de 2 381 741km2 dont elle est le deuxi me pays en Afrique apr s le Soudan La population recens e est peu pr s de 30millions d habitants avec un taux de croissance de 2 028 La population active en agriculture repr sentent 25 de la population active total du pays Dont les leveurs repr sentent 125000 de chaque 1 million des agriculteurs CHELIG 1969 1 Les secteurs de l levage Nombre de t tes 20000000 18000000 12000000 D BOVINS 10000000 E I OVINS 8000000 o II CAPRINS o IV EQUINS m V CAMELINS 6000000 4000
51. acteurs D apr s les services v t rinaires de Ouargla D S A la chute du nombre des aviculteurs et le nombre des b timents est d essentiellement au changement d activit s cause des difficult s de production telles que Eloignement de la source d approvisionnement La lib ration des prix Augmentation des prix des facteurs de production tel que l alimentation Le manque de financement Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude La concurrence avec les r gions ayant un grand potentiel de production Les structures d abattage des volailles sont presque inexistantes dans la r gion Pour cela on trouve les produits passent par les circuits de commercialisation traditionnels vente aux march s Pour les points de vente ou encore sur les lieux de production les animaux sont soit vendus vivant ou abattus sur place dans des conditions d hygi ne lamentables Des unit s de fabrication d aliments de poulet de chair sont inexistantes dans la wilaya c est dire assur l aliment d une autre wilaya unit de fabrication et l ONB et d Oumach de Biskra 2 1 L volution des effectifs mis en place et de la production de la viande blanche f La production en qx i Les ffictifs mis en place x 10 if Les ffectifs mis en place et j production en qx Figure 16 Evolution des effectifs mis en place et la production en q
52. aia a EE EE EEE 22 112222 Ventilation ener ia neea S aE e E EAS AET 22 ES SR eE EE a E EEEE REA E EE 23 12 t 2 4 FEcl rement eres ipede erpe ae ondene e aS 23 L 15225 DENSE ai esin aTa PEE EEE EE 23 1 1 3 Alimentation et abreuvement 24 1 1 4 Hygi ne et prophylaxie eur semeninesnneemtannrenratis 25 LEA TE Hyg ENE sn sue ron desde ane SUN SR RUES 25 1 1 4 2 Vide sanitaire 2er ind etre et rentre 25 Le LS POP een Eine nes 26 2 Les param tres zootechniques des ovins 26 2 1 Mode de COURENT be dinde 26 2 2 B timents ne an Re A S E en eue 26 2 2 1 Construction et quipement 25 PS EN AT Ro US LE COL PR TT DR EE TA Te 28 2 3 1 Bilan alimentaire annuel pour une brebis produisant 2 port es de 2 29 ASE AUX ra PE le ns et nu oies 2 4 ADTEUVEITE TS UE n Nec St A en Le es E 29 2 5 Prophylaxie surveillance sanitaire 30 2 5 1 Maladies infectieuses ne Nie ans die tieis n e 30 2 2 LES parasitos S Rs A ent Eaa tn ai 30 2 5 3 Maladie d origine alimentaire 31 3 Les param tres zootechniques des bovins 32 3 l Conduite de P leyan s fees Dit tn ASS ASE 32 3 1 1 L levage d s jeunes veaux snsssesenrrsmimeden rtee tai era 32 3 1 2 B timents et quipements
53. anches 2781qx la production de lait est estim e par 9635930litres an Deuxi me parte Mfaton R s tr Chapitre Situation de l levage dans la r gion d tude Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude CHAPITRE I SITUATION DE L ELEVAGE DANS LA REGION D ETUDE 1 Introduction Le milieu oasien constitu par la culture du palmier dattier f t la base de la p rennit de vie des populations dans les r gions sahariennes du fait qu il offrait non seulement les dattes mais l habitat et la pratique d autres cultures Le milieu oasien a subit un d veloppement remarquable surtout le secteur agricole qui depuis 1989 par l apparition de la loi de l APFA nos jours ne cesse de s am liorer Plusieurs sp culations se sont d velopp es et plusieurs se sont introduites dans le sud dans le but d accro tre la satisfaction alimentaire en produits v g taux et animaux Ce syst me offre un microclimat favorable une polyculture vivri re c r ales fourrages mara chages cultures industrielles et condimentaires arboriculture viticulture en association avec un levage caprin et ovin de type familial en conduite traditionnelle Concernent l levage les oasiens se limitent aux petits ruminants ovin caprin mais avec la stimulation accord e par l Etat les agriculteurs n avaient pas h sit introduire d autres esp ces aviculture cunic
54. ans les chotts les bours et certaine zone irrigu e dans la wilaya Les classes des sols hydro morphes et halomorphe ces cat gories des sols se rencontre dans l ensemble des palmeraies irrigu es et quelques fois drain es La texture de ces sols est tr s grossi re et la structure est la plus souvent m diocre Chapitre TV m Pr sentation de la r gion d tude Les sols pr sentent galement une forte teneur en gypse et un faible taux de mati re organique 3 Aspect socio conomique Le facteur humain joue un r le pr pond rant dans l conomie de la r gion et l agriculture et l levage CHELIG 1969 La soci t saharienne contient trois groupes de population s dentaires nomades et semi nomades La situation socio conomique de la r gion de Ouargla pourrait se r sumer au lendemain de l ind pendance nationale par un ch mage dramatique et un sous emploi dans les palmeraies BAOUIA 1998 3 1 La population La population r sidant dans la r gion de Ouargla est estim e 206860 habitants repr sentent 41 20 du total de la wilaya an 2004 soit une densit de 11 31 habitants km2 DPAT 2005 3 2 L emploi Par le pass le travail de la terre avait toujours constitu pour les habitants de la r gion la principale source d activit et de revenu DPAT 2005 mais apr s la d couverte du p trole et le d veloppement de l industrie des administrations et des autres services le sec
55. ant avec la th orie car le cycle oestral de la vache dure 21 jours et si on n a pas une f condation on aura le corps jaune qui dispara t apr s le15 de jours 1 2 7 4 Intervalle v lage saillie Pour que la vache reprenne ses forces il faut que l intervalle v lage saillie soit entre 60 90 jours mais cette dur e n est par respect e chez la plupart des leveurs enqu tes Pour les leveurs qui ont un taureau elle est inf rieure de 60 jours mais pour ceux qui n ont pas de taureau elle est sup rieure 60 jours elle peut aller jusqu 3 mois 1 2 7 5 Intervalle v lage v lage D apr s notre tude c est normal d avoir un veau par ann e mais cette intervalle est plus long il peut aller jusqu 15 mois cette intervalle est longue parce qu il n y pas une d tection des chaleurs ce qui implique qu on aura des pertes dans la quantit Chapitre II a R sultats et discussion du lait et des veaux c est dire que chaque 4 ans on aura une perte d un veau par vache en consid rant le nombre total des vaches dans la r gion on trouve qu on a une perte d un nombre consid rable du nombre des veaux ce qui implique qu on a des pertes de production et par la suite on a des pertes conomiques 1 2 7 6 Taux de mortalit des jeunes Le taux de mortalit varie selon la taille et la conduite du troupeau selon notre enqu te et d apr s les observations avec les leveurs on a constat que le taux de mortalit
56. ar Importation des animaux la mauvaise conduite d levage Co t lev de l alimentation Concurrence commerciale entre la production laiti re et l engraissement Introduction 2 Concernant l levage ovin qui est pratiqu essentiellement en syst me extensif conna t lui m me des contraintes li es aux ressources alimentaires et reste cet effet soumis aux conditions climatiques et aux r gles de la commercialisation qui ne permettent pas une r gulation du march des ovins 3 Les productions avicoles qui sont essentiellement pratiqu es en hors sol sont tributaires d importation d aliment ainsi que le prix du revient d un kg de viande blanche qui n est pas un stimulant pour des investisseurs La situation dans les r gions oasiennes n est pas diff rente du cas g n ral en Alg rie Au contraire elle est plus s v re On trouve dans ces r gions que les prot ines animales sont produites en quantit r duite et des prix lev s et ne sont pas la port e de toutes les couches sociales car ces r gions sont caract ris es par des sp cificit s telle l eau qui reste encore un facteur limitant au d veloppement des levages et la disponibilit des fourrages aussi par les param tres climatiques tels que la temp rature etc Sans oublier le p le socio conomique raison pour laquelle les levages dans ces r gions restent limit s aux seules esp ces Cameline caprine et une degr moindr
57. armaceutiques en tant que m dicament 89 349 kg durant l ann e 2000 R alis es mais les quantit s taient tr s faibles 700 kg et 100 kg respectivement en 1995 et1997 La transformation vue les faibles quantit s de miel disponibles l industrie de transformation est inexistante et le miel naturel a t remplac par le sucre inverti par le transformateur ou l utilisateur p tisseries oriental pain d pice etc Les circuits de distribution il faut noter que les circuits de commercialisation sont peu organis s et la production est rarement achemin e vers les centres de consommation villes Chapitre T 7 4 production animale en Alg rie Pour le miel local une grande partie de la r colte des apiculteurs priv s est c d e aux coop ratives apicoles en vrac Ces derniers proc dent son conditionnement dans des pots de 1 kg ou 500g apr s sa d cantation et maturation avant sa mise en vente soit aux grossistes ou d taillants ou encore aux particuliers qui s approvisionnent directement de la coop rative Mais la plus grande part de la production soit autoconsomm e ou bien vendue par les apiculteurs leurs troupes client les fid les et assur e quant la provenance du miel et sa qualit Pour le miel import il est vendue aux grossistes puis aux d taillantes mais reste peu pris par rapport au miel local 4 3 Les principales entreprises les coop
58. ave par rapport aux autres esp ces parce que l levage de ces animaux n est pas nouveau et les gens ont une id e sur les conditions d levage Autre cot les ovins et les caprins n ont pas besoin pas beaucoup de technicit dans leur levage Chapitre II UUl R sultats et discussion Chapitre II R sultats et discussion Le nombre des leveurs ayant fait l objet d enqu te est de l ordre de 50 I Information sur le propri taire 1 Age Au cours de notre enqu te nous avons class trois cat gories d ge Moins de 30 ans Entre 30 60 ans Plus du 60 ans Les leveurs qui ont un ge plus du 60 ans ayant le grand pourcentage de l ordre de 60 suivis par la cat gorie d leveurs de l ge qui s tale entre 30 60 ans avec pourcentage gale 30 dans la derni re classe on a les leveurs de moins de 30 ans avec 10 Ces r sultats nous donnent une image plus ou moins r elle sur la situation de l levage dont on remarque que cette activit est occup e par des gens g s 60 ans Donc c est une ancienne activit qui reste g r e par des hommes g s et avec des m thodes traditionnelles et ne voit pas l introduction des nouvelles techniques d levage B gt 30ans E 30 du 10 o gt 60 30 60 Figure 20 Age d leveurs Chapitre I R sultats et discussion 2 Profession Notre chantillon est r parti sur trois cat gories
59. c combin s entre eux pour assurer une production animale ou v g tale pour satisfaire les objectifs des responsables de la production Il est le mode de gestion par l exploitant centre de d cision d une unit de production de ses productions et ses facteurs de production pour satisfaire ses propres objectifs et besoins compte tenu bien videment du syst me agraire dans lequel il s ins re LEBDI 2001 Un syst me de production serait donc une combinaison de syst me de culture et d levage conduit dans les limites autoris e par l appareil de production d une unit de Chapitre I D finitions et cadre conceptuel production facteur de travail savoir faire moyens m caniques chimiques biologiques et terres disponibles La connaissance de la diversit du syst me de production permet de mieux comprendre l activit agricole dans une r gion donn e et pour saisir les dynamiques locales de d veloppement indisponible de cette r gion ABABSA 1993 4 Facteurs de productions Un facteur de production est un l ment conomique qui concourt d terminer la production de valeur d usage et pouvant tre class en trois groupes La force de travail les capitaux les facteurs naturels Ces diff rents agents de l activit conomique se trouvant troitement combin s dans l unit conomique qui repr sente l entreprise de production de bien de consommation DICTIONNAIRE ECONOMIQUE ET SOCIAL 1975 5 T
60. croissance des produits Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques 2 3 Alimentation Les recommandations alimentaires constituent les l ments n cessaires pour faire du rationnement avec les valeurs des aliments et la capacit d ingestion des animaux L alimentation des ovins doit tre raisonn e en fonction d objectifs de production ALARY et LHOSTEP 2000 Dans annexe3 on essayer de grouper les rations alimentaires des ovins est donn e un exemple pratique de rationnement La valeur fourrag re des aliments retenus tant estim e comme suit paille 0 27 UF kg de mati re brute Fourrage ver 1 luzerne orge en vert sorgho 0 13 UF kg de mati re brute Foin luzerne sorgho 0 40 UF kg de mati re brute concentr dattes noyaux de dattes orge 1 00 UF kg de mati re brute Normes alimentaires avec exemple de rationnement Les rapports fourrage concentr et fourrage sec fourrage vert doivent videmment tre modifi s selon les ressources alimentaires disponibles condition de respecter la valeur fourrag re de la ration totale S1 l on doit op rer des substitutions d aliments certaines r gles doivent tre respect es Les concentr s sont utilis s pour enrichir la ration tout en limitant le poids total et le poids de mati res s ches de la ration Les concentr s sont donc n cessaires aux animaux dont la capacit d absorption est limit e jeunes agneaux sous la m re et
61. d hygi ne et la sant C est dire les hypoth ses techniques sont confirm Analyse de l aspect conomique de notre levage d montre que Les charges des diff rents facteurs du production tel que l alimentation main d uvre nergie eau lectricit gaz frais v t rinaires et autres sont un handicap pour le d veloppement des levages dans les r gions arides Lorsque on fait des comparaisons entre les prix de revient et les prix des ventes de n importe quel produit on trouve que celui ci est peu rentable par rapport aux leveurs du nord L levage dans la r gion d tude reste limit par des contraintes conomiques qui sont les principaux obstacles d levage dans la r gion d tude Les hypoth ses conomiques sont confirm es R f rences bibliographiques R f rences bibliographiques R f rences bibliographiques 1 ABABSA S 1993 Introduction au cours des socio conomique du d veloppement des r gions sahariennes Edit I N F S A S Ouargla 113p 2 ABDEL GURFTI A et LAOUAR M 1999 Les Ressources g n tique en Alg rie Un pr alable la s curit Alimentaire et au d veloppement durable Doc INESG 43P 3 ADEM L 1986 Connaissance des races ovines de le steppe alg rienne Sem Intern Sur la strat gie g n rale d am nagement et de d veloppement de la steppe et des zones arides 4 ALARY V et LHOSTEP 2000 M mento de l agronome
62. de l alimentation Sources des aliments Le type des aliments Le prix Les charges de transport Les types d aliments et leurs quantit s par phases Stade de vie Genre d aliment nle 8 A ns moyenne journali re D marrage Croissance Finition Nombre de mangeoires et nombre d abreuvoirs par phase et les types Stade de vie Mangeoires type et nombre Abreuvoirs type et nombre D marrage Croissance Finition Approvisionnement en eau et en nergie L eau est disponible toujours Oui Non L lectricit disponible ou non Le co t les charges 3 Conduites d Hygi ne et sant Les visites des services v t rinaires Pratique de vide sanitaire Oui Dur e Non Pourquoi Les vaccinations et traitements Les phases le plus sensibles Les maladies fr quentes 4 les productions Les produits et leurs quantit s Viande L ufs Fumiers Destination Autoconsommation Vente 5 Commercialisation Les clients 1 Revendeurs priv es 2 Restaurants 3 Consommateur 4 Autres Comment ventes leurs productions Viande Vif Abat e Le prix moyen 1 Viande 2 Ouefs Le flux saisonni re le p riode qui voir une chute de production Printemps Automne Hiver Et Pourquoi 5S Invisstissements Source de financement 1 Cr dit bancaire 2 credit
63. de prophylaxie les leveurs qui ont des petites exploitations utilisent les huiles qui sont d j utilis es par les automobiles ou l huile de cade et les leveurs qui ont des grandes exploitations font appel au v t rinaire 1 4 2 3 La teigne C est une maladie qui influe sur l animal ainsi que sur la production de cuir et de viande de se dernier cause de cette maladie dangereuse les leveurs font appel au v t rinaire pour le traitement 1 4 2 4 La diarrh e Cette maladie influe en premier lieu sur l animal o on aura une chute de son poids et par la suite on aura une chute du rendement de sa carcasse puis un aura une influence n gative sur la production de viande Pour cela les leveurs font appel au v t rinaire pour lutter contre cette maladie 1 4 2 5 Arthrite C est une inflammation des genoux de veau ce qui implique qu on a une action n gative sur l animal et par la suite elle influe sur sa production Pour lutter contre cette maladie les leveurs appellent le v t rinaire Chapitre II D R sultats et discussion 2 Conduites du cheptel ovin et caprin 2 1 B timent d levage L levage de ces esp ces se fait de fa on traditionnelle on ne peut pas dire qu il y a des b timents d levage de ces animaux on trouve que il y a seulement des places pour grouper les animaux ensembles et rien plus que a Nous avons les remarques suivantes Tous les animaux du troupeau lever ensembles pas
64. des zones d enqu tes Tableau 02 Temp ratures optimales pour le poulet de chair Tableau 03 Normes d levage pour le poulet chair Tableau 04 Les vaccins utilis s chez le poulet de chair Tableau 05 Les donn es climatiques de Ouargla 1993 2003 Tableau 06 Les principales productions v g tales dans la wilaya DSA 2004 Tableau 07 R partition des taches Tableau 08 L tat du mat riel d levage Tableau 09 D pense de chaque charge en poulet vif Liste des figures N Titre Page Figure 01 D marche suivie Figure02 Evolution des effectifs du cheptel national 1997 2003 Figure 03 R partition g ographique du cheptel Ovin Figure 04 R partition g ographique du cheptel Bovin Figure 05 R partition g ographique du cheptel Caprin Figure 06 la production laiti re Figure 07 Production de viande Figure 08 L Evolution de la production de viande blanche en Alg rie 1972 2003 Figure 09 Production l ufs Figure 10 Evolution de l effectif apicole Figure 11 Production de miel Figure 12 Carte de pr sentation de la r gion d tude Figure 13 Diagramme ombrothermique de GAUSSEN 1993 2003 Figure 14 Cheptel animal Figure 15 Cheptel animal 2004 2005 Figure 16 Evolution des effectifs mis en place et la production en qx Figure 17 Le nombre de t tes des bovins 1985 2005 Figure 18 Les Caprins 2004 2005
65. du pays les bilans de production en rapport avec le niveau de consommation sont difficiles tablir en raison des abattages non contr l s Le taux de consommation est de 4 kg de viande ovine et 3 5 kg de viande bovine la croissance d mographique et la d gradation du pouvoir d achat ont donn lieu un baisse de la consommation de viandes rouges de 40 ces 10 derni res ann es notamment pour les cat gories sociales revenus fixes Cependant la forte demande g n r e par les cat gories sociales revenus lev s et qui ont am lior es leur mod le de consommation on augmente leur consommation en prot ines animales ont permis le maintien d un niveau lev des prix de la viande le prix de la consommation des viandes rouges ont t multipli s par 10 en 20ans CHELIG 1969 Chapitre T c LA production animale en Alg rie 2 2 L aviculture en Alg rie Si l activite avicole tait peu d velopp e pendant la p riode coloniale aujourd hui elle repr sente un apport en prot ines animales sup rieur celui de la viande rouge bovine et ovine principalement ZANOUN 1994 L explosion de l aviculture remonte au deuxi me plan quadriennal et peut s expliquer par plusieurs facteurs La mutation des mod les de consommation dans les zones urbaines qui se traduit par une demande accrue en produits animaux Le rabattement des consommateurs sur les produits avicoles suite la hausse des prix des via
66. e en 350 8 5 9 20 0 7 0 0 5 lactation 12 7 5 25 0 7 0 1 5 16 9 0 25 0 7 0 3 0 20 10 5 25 0 7 0 4 5 Taureau 600 7 0 20 0 7 0 1 5 Bilan alimentaire annuel pour 1 vache Exemple de rationnement Seg Etrectht 7 ERE Sons Vert Paille Conc ag FR Kg ke Vache entretien 1 30 87 450 45 45 Vache fin gestation 1 90 324 1350 340 45 Vache lactation 10kg de lait jour 1 240 1608 5400 1680 240 Veau 0 3 mois 1 70 63 35 140 3 6 MOIS ss runieedu 1 90 234 360 475 6 9 mois 1 90 261 675 385 45 9 12 mois 1 90 179 1080 315 45 12 18 mois 1 180 630 3060 460 180 Total a an 3486 12410 3830 360 240 Annexe n 04 Le calendrier fourrager Aliment Sep Oc Ne D c Jan Fev Mar Av Mai Jui Juil Ou Luzerne Sorgho L orge en vert Foin de vexe avoine L orge Hchaf Source enqu te P riode creuse Disponibilit des fourrages verts Disponibilit des concentr s Annexe n 05 Evolution des effectifs des cheptels nationale 1997 2003 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 I BOVINS 1266620 11227940 1255410 1317240 1650000 1595259 11613027 II OVINS 17301560 11765400 17387000 17948940 18200000 17615928 17298786 MI CAPRINS 2779790 2894770 3121 500 13256560 3400
67. e ou bronchite vermineuse est apparue plusieurs fois dans les troupeaux apr s des achats d animaux dans les souks elle a t stopp e radicalement apr s injection de N micide L strose ou faux tournis semble se d velopper dans les bergeries elle est combattue par drogage au Ranide Les c nurose cysticercose et echinococcose existent galement Nous sommes malheureusement d munis pour intervenir contre ces esp ces de t nias v hicul es par les chiens Le probl me des chiens errants reste entier et il ne peut tre r solu que par une action concert e entre les agriculteurs et les autorit s La gale et les poux ne font pas de gros d g ts mais ils justifient cependant un bain annuel dans une solution l H C H des traitements au Gamatox Nous pensons qu il serait facile d installer un bain parasiticide rudi menfaire constitu par une tranch e b tonn e avec rampe de sortie dans chaque ksar Retenir les dimensions suivantes longueur 3 m profondeur 2 m largeur 0 50 m 2 5 3 Maladie d origine alimentaire Les diarrh es constituent sans doute le probl me sanitaire le plus fr quent Elles frappent surtout les agneaux les plus faibles lors de changements de r gime trop brusques ou bien lorsque la quantit de fourrages verts de la ration augmente ou simplement sans raison apparente La consommation de pulpes de betteraves par les agneaux est galement une cause de diarrh es Les diar
68. e ovine Malgr l introduction d autres esp ces telles que l levage bovin l aviculture la cuniculture et l apiculture leurs r sultats sont loin de r pondre aux objectifs esp r s cause de plusieurs contraintes d ordre technique environnementale et organisationnelles Hypoth ses Hypoth ses La situation actuelle de l levage dans les r gions oasiennes est le r sultat d une combinaison entre plusieurs param tres et contraintes Lorsqu on parle d un levage quelque soit son type intensif ou extensif on y trouve trois p les importants savoir l Homme le territoire milieu et l animal Cette int gration des facteurs nous a men mettre les hypoth ses suivantes 1 Les contraintes techniques Le facteur humain est probablement le plus important car l homme est le gestionnaire ou le pilote de l levage La soci t se caract rise par ses habitudes et ses traditions qui dirigent la vie des gens Les gens de la r gion sont tr s attach s leurs pratiques culturelles et des levages sont introduits Pour cela on rel ve 1 Le ph nom ne des nouveaux agriculteurs ayant un manque de technicit se r percutant n gativement sur le r sultat d levage et aussi 1 a mentalit des gens de la r gion plus attach s l oasis palmier et les cultures plus qu l levage pr cis ment les nouveaux levages aviculture cuniculture et l apiculture 2 Le manque d exp rience et
69. eau et les produits de nettoyage eau de javel savon ect 60 des leveurs utilisent les tables pour la traite 40 utilisent des places sp ciales pour la traite L tat des b timents est mouvais m diocre et n est pas conforme aux normes 1 3 1 L emplacement des veaux et des velles Les veaux sont s par s du troupeau chez la majorit des leveurs chez ceux qui ont des grandes exploitations les veaux sont dispos s l extr mit de l table pour que les veaux disposent de chaleur Chapitre II D R sultats et discussion Chaque veau ou veille est attach dans sa logette mais le mode d attachement est dur pour les animaux a qui provoque des blessures 1 4 Hygi ne et sant 1 4 1 Hygi ne L ensemble des r gles qui ont pour but de conserver une bonne sant aux animaux mais malheureusement dans notre r gion l hygi ne est presque inexistant 1 4 1 1 Hygi ne des b timents Les logements des animaux chez le plus part des leveurs ne r pondent pas aux conditions d hygi ne id ales Ils ne sont pas d sinfect s les murs ne sont pas peints les plafonds sont sales et poussi reux Ce qui favorise le d veloppement des agents pathog nes l absence du syst me d vacuation du purin la liti re n existe pas et le mat riel de traite est sale 1 4 1 2 Hygi ne de l alimentation L alimentation concentr e est distribu e dans des bassins en plastiques surtout chez les petites exploita
70. echniques de production Ensemble des m thodes des proc d s n cessaires pour produire une valeur d usage donn e la production effectue on utilise certaines moyens certains m thodes certains proc d s appel s pr cis ment techniques Ces techniques traduisent l tat de la technique un moment donn font partie des forces productives La technique un aspect mat riel essentiel dans le sens plus g n ral la technique est consid r e comme une totalit et ce titre elle s oppose la science une totalit La technique portant les techniques de production volue en fonction du d veloppement des forces de productivit s LAROUSSE AGRICOLE 1981 6 Exploitant agricole L exploitant agricole est une personne dont l activit professionnelle non salari e consiste mettre en valeur une exploitation agricole Selon Larousse Agricole 1981 il existe deux types d exploitants 6 1 Exploitant temps plein C est l exploitant dont l activit agricole est la principale activit Chapitre I D finitions et cadre conceptuel 6 2 Exploitant temps partiel C est l exploitant qui exerce en plus de l activit agricole une autre activit artisanale ou salari e 7 Elevage action d lever les animaux ensemble des animaux de la m me esp ces dans exploitation et il baser sur des r gles techniques et scientifiques LAROUSSE AGRICOLE 1981 8 Cheptels ensemble des animaux ou du b tail
71. enfin on a la derni re classe gt Sans avec un pourcentage de 10 Chapitre I UUl R sultats et discussion Cette variable d montre que la plus part des exploitations sont g es et le mat riel utilis n est pas nouveau et moderne B lt 5 ans m 5 10 ans O Plus de 10ans Figure 25 Age d exploitation 3 Main d ouvre La main d uvre rencontr e au niveau de l exploitation Plus 56 7 est une main d ouvre familiale et le reste est constitu de salari s repr sent par 43 33 La main d ouvre familiale minimise les co ts et on trouve qu il y a une organisation du travail selon les cat gories d ges des individus de la famille r partition des t ches On trouve la prise de d cision chef de l exploitation g n ralement C est le chef du la famille le grand C est le responsable et il est qualifi la gestion de l exploitation et celui qui r partit les travaux En deuxi me classe on trouve les autres membres de la famille Les jeunes hommes sont r serv s des travaux lourds et externes tels que la vente l approvisionnement etc Chapitre I UUl R sultats et discussion Les femmes et les enfants sont responsables des travaux plus ou moins faciles tels que la traite la distribution des aliments et de l eau chez les animaux etc Au cours de l ann e on trouve deux types du main d ouvre Main d oeuvre permanente recrut e pour les travaux journaliers dan
72. ep Oc Ne D c Jan Fev Mar Av Mai Jui Juil 2 Conduites de la reproduction Nombre des femelles en reproduction Age de premier mis bas Nombre des femelles pour un m le Nombre des nouveaux n s par port e ntervalle entre 2 mise bas Age de sevrage Carri re de reproduction Age de sevrage Mortalit s Les avortements 3 Conduites d Hygi ne et sant La visite des services v t rinaires Les vaccinations et traitements Les maladies fr quentes 4 les b timents le type Le mat riel qui se trouve 4 les productions Les produits et leurs quantit s Viande Lait Fumiers Destination Autoconsommation Vente 5 Commercialisation Les clients 1 Revendeurs priv es 2 Restaurants 3 Consommateur 4 Autres Comment ventes leurs productions Viande Vif Abat e Le prix moyen 1 Viande 2 Lait Le flux saisonni re le p riode qui voir une chute de production Printemps Automne Hiver Et Pourquoi 5S Invisstissements Source de financement 1 Cr dit bancaire 2 Cr dit 3 Autofmancement 4 Autres 6 Autres questions questions libres 1 Pourquoi vous avez fait l levage 2 La concurrence de Nord Fort Moyenne Faible 3 Quels est votre opinion sur l activit de l levage et leur devenir 4 Quels est votre vrai probl me A
73. er une production cons quente m me de couvrir les besoins de la population en viande lait et laine En remarque que le cheptel caprin domine avec 157709 t tes qui repr sente 52 19 du cheptel animal total Cette esp ce est tr s adapt e aux conditions de la r gion pratiqu g n ralement en levage familial Elle contribue la satisfaction des besoins en lait de la population locale D S A 2003 En deuxi me position le cheptel ovin avec un effectifs de 116769 t tes qui repr sente 38 66 du cheptel total les leveurs trouvent des difficult s d approvisionnement en orge de consommation D S A 2003 Puis les camelins viennent en troisi me position avec 27005 t tes avec 8 94 du cheptel total Et on trouve en dernier les bovins avec 530 t tes qui repr sente un pourcentage de 0 17 du cheptel total de la wilaya constitue des animaux import s et localis s dans les zones mise en valeur au niveau des p rim tres c r aliers sous pivot n anmoins des contraintes d aliments concentr s n ont pas permis d atteindre une production acceptable D A P T Ouargla 2005 Les levages restent une activit conomique pour les investisseurs potentiels Chapitre IY Pr sentation de la r gion d tude 8 94 B camelin E caprin 38 66 n o ovin 0 17 52 19 Figure 14 Cheptel animale Pour la production des viandes rouges est de l ordre de 31532 qx et les viandes bl
74. es races introduites pour l am lioration de la production se trouvant confront es des conditions cologiques tout fait diff rentes de celles de leurs pays d origine Import es pour leur fort potentiel g n tique elles voient leur performances Chapitre T 7 4 production animale en Alg rie diminu es puisqu une grande partie de leur m tabolisme est utilis e pour leur adaptation aux facteurs environnementaux 1 3 les caprins L levage caprin vient en seconde position 13 comprenant 50 des ch vres Les effectifs du cheptel enregistr s en 2003 est de l ordre de 3129400 dont 1790374 sont des ch vres reparties comme suit MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 B centre E Ouest O Est O Sud Figure 05 R partition g ographique de cheptel Caprin 1 4 Les quins 168 000 t tes le cheptel quin est implant sur le territoire national La race Barbe pure pratiquement disparue au Magreb l tat pur sauf quelque sp cieusement en Alg rie La race pure sang arabe Des croisements Arabe Barbe Les asines sont constitu es par une race locale et par les baudets en croisement avec des juments mulassi res MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 Chapitre 7 4 production animale en Alg rie 1 5 Les camelins 155000 t tes dont 85 se trouvent dans les wilayas sahariennes et le reste dans la steppe Sont repr sent
75. et les minima descendent parfois en dessous de 0 c D P A T 2005 2 1 2 2 Les pr cipitations Sont rares et irr guli res et variant entre 50mm et 350mm an par ann e exceptionnelle les pr cipitations moyenne annuelle sont de 32 9 mm an Touggourt et de 14 9 mm an Ouargla D P A T 2005 Chapitre TV m Pr sentation de la r gion d tude 2 1 2 3 Les vents Les vents dominants dans cette r gion ceux de NNE et SSE avec une vitesse pouvant atteindre et parfois d passer 26 m s Le Sirocos vent chaud et sec peut tre observ toutes poque de l ann e D P A T 2005 2 1 2 4 L humidit relative L humidit relative enregistrait des taux tournant de 21 67 alors que l vaporation est tr s importantes 3382mm an 2 1 2 5 L insolation L ensoleillement est consid rable Ouargla avec 138jours en moyenne dans l ann e ROUVILOIL 1975 L insolation est importance durant la plus grand partie de l ann e Elle est plus lev e en juillet 348heures ce qui pour cons quence d accentuer l vaporation En l effet en juillet cette derni re atteinte son maximum 365 40mm Tableau N 05 Les donn es climatiques de Ouargla 1994 2004 Mois T C Pr cipitatio Humidit Evaporatio Vitesse de Insolation ns mm n mm vent m s H Janvier 11 51 5 73 64 18 103 18 2 74 198 54 F vrier 13 41 2 11 56 18 129 3 04 225
76. et pondeuse Figure N 28 types d levage avicoles chez les leveurs de la r gion Chapitre II EEE R sultats et discussion 1 2 Pour l levage ovin Le produit principal est la viande rouge suivie par le lait est apr s les fumiers et laine Viande 98 Lait 2 D Viande E Lait Figure N 29 les produits d levage ovin Il y des tude fait pour tablir une courbe de lactation chez la brebis ils ont trouve que un pic vers la quatri me semaine une bonne persistance pendant les deuxi me et troisi me mois puis une diminution assez rapide jusqu au cinqui me ou sixi me mois la production journali re peut d passer 1 5 kg en pic de lactation le lait de brebis est riche en mati re graisse il est transform e en beurre mais la transformation en fromage rare Il est souvent m lang e avec les laits des autres ruminants voir annexe 08 c L levage caprin Le produit essentiel est le lait mais g n ralement destin l autoconsommation On trouve la viande en seconde place 2 Les productions d levage bovines D apr s notre enqu te on a constat que la majorit des exploitations ont une orientation vers une production mixte lait viande domin e par la production de b tes de renouvellement Chapitre II D R sultats et discussion Chez les leveurs qui ont des exploitations de petites tailles le lait est destin l autoconsommation 2 1 La pr
77. f rentes informations sur les conduites d levages la production et les contraintes 2 tape L tude de chaque l ment issu de l enqu te par une description et analyse comparative entre les l ments et caract riser les diff rents r sultats Cependant quelques probl mes taient soulev s dans la collecte des informations qui se r sument comme suit L loignement et le manque de moyens de transport pour la majorit des exploitations Les leveurs sont souvent absents il faut r p ter les visites Les contradictions des r ponses donn es par les leveurs cause de la m fiance Les majorit s des leveurs ne tiennent pas une fiche d enregistrement pour qu ils nous donnent des informations sur les quantit s d aliment distribu es en chaque phase et la mortalit enregistr e pour pouvoir estimer les r sultats Mat riels et m thodes Probl matique M thodologie Objectifs Collecte des informations sur la r gion d tude L levage en Alg rie et au niveau de la r gion de Ouargla Observations sur terrain Echantillonnage Etablissement d un questionnaire Enqu te sur terrain D pouillement des r sultats Discussion et interpr tation de r sultats Conclusion Figure 01 Rapports Th ses Ouvrages Contacts avec les structures Contact avec les leveurs Premi re parte Etude bibliographique
78. faction ces besoins quantitatifs et qualificatifs on deux sources d aliments une origine animale et une autre v g tale Pour l tude la source animale qui nous int resse dans la fourniture des prot ines d origine animale qui joue un r le tr s important dans la nutrition humaine dans tous les stades de la vie Les prot ines animales ont des caract res essentiels tels que les acides amin s indispensables et d autre part donnent une diversit des aliments a travers le lait et ses d riv es fromage yaourt beurre la viande rouge blanc Le poissons les ufs et d autres produits tel le miel qui est r put par ses utilisations th rapeutiques L Alg rie se caract rise par une insuffisance en produits animaux Aujourd hui la contribution nutritionnelle des produits animaux savoir le lait les viandes les miels et autres et la couverture des besoins en prot ines reste en dessous des normes La consommation des prot ines animales en Alg rie est de 8 g hab jour F A O 2000 alors que la ration alimentaire doit comprendre selon les standards recommand s par la FAO 60gde prot ines hab jour dont 20 g au moins d origine animale Cette insuffisance est le r sultat des contraintes li es la production animale nous citerons quelques remarques sur l levage 1 Le cas de levage bovin qui est loin de refl ter ses potentialit s dans les conditions alg riennes et se caract risant p
79. ff rents leveurs 3 3 La sant Les nombres des vaccination est reste inf rieures a la nombre avec l existence des aviculteurs qui ne pratique aucune vaccination L tat d grad de l envenimement de l levage donc le risque pour que les animaux attrapent des maladies est potentiellement grand Lors de nos visites sur les sites de production nous avons remarques l absence total de l op ration de d sinfection des locaux et des accessoires en plus de l accumulation des liti res d une bande sur une antres M me qu il y a une application de vide sanitaire mais avec une dur e insuffisance 3 6j ce qui cause un taux de mortalit toujours lev s Chapitre II UUl R sultats et discussion IV Etudes de production Les productions sont insuffisantes en quantit et insatisfaites en qualit cause des mauvaises techniques de conduite du cheptel La viande Elle demeure la premi re production pour les leveurs mais les rendements en carcasse reste tr s faibles Le lait Le contr le laitier n existe pas au niveau des leveurs priv s Le Fumier Il est utilisable surtout pour les leveurs ayant des terres agricoles 1 Les produits d levage 1 1 Pour l aviculture Le produit principal est la viande Blanche la totalit des leveurs ayant mis en place un cheptel du poulet du chaire Poulet de chaire 99 6 Poulet pondeuse 0 4 m Poulet de chaire m Poul
80. iels L aviculture n a alors cess de se d velopper travers les diff rents plans de d veloppement et les organisations de production qui interviennent en amon et en aval ZANOUN 1994 Ces derni res ann es la production nationale de viande blanche a connu des fluctuations d une ann e l autre pendant la p riode entre 1990 et 2003 La production nationale a diminu de 5037 64 tonnes moyenne annuelle une chute brutale de la production a t enregistr e en 1997 pour atteindre 105 000 T due au retrait du soutien accord par l Etat depuis 1986 notamment les prix des aliments et du poussin avec la diminution du niveau de consommation pour atteindre 3 5 kg hab La fili re avicole n a commenc a absorber le choc de la lib ralisation qu partir de 1999 avec une augmentation de la production de 200 000 tonnes et avec une consommation de 6 7 kg hab an et elle a chut en 2002 et 2003 avec une diminution de 50 000 ce qui a influ sur la consommation qui est de l ordre de 5 kg hab MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 L volution n a pas connu une stabilit sauf pour les ann es 1999 2000 et 2001 mais la production reste faible La production semble tributaire des facteurs de production tels que Les prix lev s des facteurs de production surtout l aliment pour ce dernier les mati res premi res qui le composent sont import s hauteur de 90 savoir le mais le soja et toute la farine de poisson MINIS
81. ies infectieuses La clavel e semble se d clarer tous les deux ou trois ans Les services v t rinaires organisent des campagnes de vaccination Les mammites apparaissent apr s sevrage si lu surveillance des mamelles est insuffisante On traite alors soit par injection d une association de Sultir ne et de Combiotic soit de Chlortetrasone L efficacit de ces traitements est certaine mais pas asse radicale notre avis Les infections post partum sont fr quentes d s qu il y a une difficult quelconque l agnelage agneaux mort n s mise bas trop longue d livrance difficile Dans ce cas l utilisation de comprim s d Aur omycine ou de cartouches ut rines de N omycinc Bacitracine introduites dans le vagin donne des r sultats totalement satisfaisants De rares cas de bronchite infectieuse on de broncho pneumonie surviennent en t surtout chez les m les On obtient de bons r sultats avec l injection de Terramycinc associ e ou non avec du Sultir ne 2 5 2 Les parasitoses Les strongyloses gastro intestinales semblent exister bien que nous n en poss dions pas la preuve formelle Cette lacune doit tre combl e tr s prochainement par des examens coprologiques L exp rience a cependant d montr qu il tait Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques indispensable de d parasiter deux fois par an Les drogages au Thibenzole donnent d excellents r sultats La strongylose pulmonair
82. iminution de la production laiti re Chapitre II D R sultats et discussion L aire d exercice est constitu e d une coure pour toutes les cat gories d animaux provoque un encombrement et d apr s notre enqu te on a constat que les logements ne b n ficient d aucune d sinfection On trouve que les leveurs utilisent des mat riaux non conseill s pour la construction des b timents le bois le fer etc et ne respectent pas les normes de surfaces et la distance On trouve que 60 des leveurs utilisent la paille hach e pour viter les maladies de la p riode hivernale Pour les murs il faut utiliser le ciment ou l argile pour l isolation contre le chaud et le froid Mais les l leveurs de la r gion utilisent le brique 80 et 20 utilisent l argile Il faut faire de grandes ouvertures dans des places convenables pour assurer une bonne a ration du b timent et respecter certaines normes de s curit Le box de maternit il est plac proximit l table ou dans un coin de stabulation libre Cet emplacement est facilement accessible par la vache gr ce une porte de service Il comporte une ange un abreuvoir et un syst me d clairage Mais les l leveurs de la r gion 80 qui ont utilis les tables m me pour le v lage et 20 utilisent place sp ciale pour le v lage Les salles de traite c est une salle du ciment avec des machines de traites il faut contient l
83. ions l orge en vert vient en soudure pendant la saison froide La vesce avoine constitue le seul fourrage grossier conserv en sec foin de vesce avoine distribu sur toute l ann e Chez les petites exploitations les leveurs utilisent soit de la paille soit du drin en remplacement du foin de vesce avoine car ils sont plus conomiques mais de valeur fourrag re m diocre Chapitre II D R sultats et discussion Comme concentr les grandes exploitations utilisent uniquement le V L 15 Pour les autres le V L 15 n est utilis qu a faible dose ce sont plut t les cart de tri Hchef qui constituent l alimentation concentr e Les quantit s distribu es aux animaux sont faibles o les leveurs ne tiennent pas compte ni du poids de l animal ni de son tat physiologique 1 1 2 L alimentation des adultes L alimentation des adultes est essentiellement bas e sur le concentr La majorit des leveurs distribuent leurs animaux une ration nerg tique constitu e principalement de son d orge des dattes Hchef et du V L 15 Pour ce qui concerne le fourrage sec les quantit s distribu es ne d pendant pas des besoins des animaux mais plut t de la r serve de fourrage dont dispose l leveur L affouragement en sec est g n ralement inexistant dans la r gion 1 1 3 Etude de rationnement Le calendrier fourrager de la r gion montre que la ration distribu e n est pas quilibr e Elle est constitu e par un
84. iser la situation des productions animales leur type leurs quantit s et essayer d identifier les contraintes existantes Le travail a t divis en deux grandes parties 1 Partie bibliographique Elle est bas e sur la mise profit d un ensemble d informations bibliographiques sur la r gion rapports monographie statistiques et ouvrages La recherche bibliographique a pour but Collecter des informations qui concernent la r gion d tude Des informations sur l levage en g n ral 2 Travail sur terrain Notre travail sur terrain est sous forme d enqu te Elaboration de guide d enqu te Premi rement on a tabli une pr enqu te pr questionnaire qui peut donner une id e globale par la suite le modifier sous forme d un guide d enqu te Le guide traite les informations suivantes 1 Le propri taire 2 Les informations sur l exploitation 3 Les conduites d levage 4 Les productions de l levage 5 Les probl mes et les contraintes Nous avons ensuite proc der des enqu tes au niveau des exploitations agricoles et ce dans le perspective de voir et d analyser la situation actuelle afin de relever les contraintes majeures et les recommandations Mat riels et m thodes Nous avons dans un premiers temps constitu un chantillon de 50 leveurs dans la r gion cuvette de Ouargla Le nombre total des leveurs dans la cuvette de Ouargla a t estim environ 1500 leveurs D S
85. isses n est pas contr l e d apr s notre enqu te puisque le taureau est en permanence avec elles ce qui implique qu on aura par la suite une difficult d ge ce qui influe n gativement sur la carri re de la femelle et de futur nouveau n Ce probl me de la reproduction est plus accentu chez les levages de petite taille qui car manque de taureaux de moyens de transport et d exp rience dans la d tection des chaleurs enregistrent des carts v lage v lage tr s long de 17 mois parfois d o des pertes consid rables veaux lait 1 2 3 La saillie La saillie se fait naturellement c est dire par mont e libre puisque la majorit des leveurs laissent leurs taureaux reproducteurs avec la vache Pour les leveurs n ayant pas de taureaux la premi re saillie est g n ralement non f condante et la plus part des leveurs n ont pas une explication en ce qui concerne cette saillie non f condante par contre la cause de cette chec est le mauvais choix du moment de la pr sentation du taureau l ovule mort cause d une pr sentation tardive Ce qui implique que les leveurs vendent leurs vaches apr s 3 ou 4 saillies non f condantes ce qui veut dire qu on aura une r forme pr coce Chapitre II D R sultats et discussion Cette technique de saillie est la plus pratiqu e mais il reste dire qu on aura beaucoup d inconv nients parmi lesquels on cite Le taureau peut avoir des pr f rences remua
86. lan alimentaire annuel Nombre Nombre Total apport d aliments kg Stade physiologique d animaux de jours UF Foin Vert Paille Concentr Brebis lactation 1 et 2 mois Avec 2 agneaux l 2x60 185 240 660 24 Brebis lactation 3 mois Avec 2 agneaux 1 2 x 30 60 90 150 12 Agneaux 1 2 mois 4 30 42 48 24 Agneaux 2 3 mois 4 30 72 120 24 M les 3 6 mois 2 90 153 270 360 18 Femelles 3 6 mois 2 90 135 180 450 18 Brebis entretien 1 2 x 60 84 120 240 24 Brebis fin de gestation 1 2 x 30 45 90 60 12 B liers entretien ou antenais 0 05 180 8 14 14 2 B liers lutte 32 4 0 05 180 9 14 14 2 2 793 1186 1948 112 50 Normes alimentaires 1 Jeunes Besoins Exemple de rationnement Sexe Age mois Poids Kg UF Vert kg Foin kg Paille Kg M les 0 3 70 1 1 0 5 2 5 3 6 130 3 0 5 0 6 0 6 9 190 3 3 9 0 5 0 0 5 9 12 250 3 6 14 0 4 0 0 5 12 18 320 4 0 19 0 3 0 1 0 18 24 400 4 4 25 0 2 0 1 0 Femelles 0 3 55 0 7 0 5 1 5 3 6 100 2 2 3 0 4 5 6 9 140 2 4 6 0 3 5 0 5 9 12 180 2 6 10 0 3 0 0 5 12 18 230 3 0 15 0 2 0 1 0 18 24 280 3 2 18 0 1 5 1 0 2 Adultes Exemple de rationnement Kg kg M les 350 2 9 15 0 1 5 1 5 350 3 3 3 9 15 0 3 0 4 5 0 5 4 4 4 20 0 4 0 0 5 6 5 2 20 0 6 5 Vach
87. mputer le manque de fertilit soit aux m les dans le cas de la saillie naturelle soit aux femelles Le taux de prolificit Nombre de petits n s x 100 Nombre des m res mettant bas La prolificit d un troupeau est son aptitude produire davantage des petits que le nombre de m res mettant bas Les chiffres d pendent videmment de l esp ce Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Nombre depetits x100 Nombre de femelles soumise la reproducton Taux de f condit Taux de fertilit x Taux de prolificit La f condit d un troupeau est son aptitude produire dans l ann e les maximums possibles de petits C est une aptitude globale qui tient compte de la ferti lit et de la prolificit et ram ne cette productivit en petits la ann e SOLTNER 1979 4 2 L enregistrement des param tres de reproduction chez les ovins et caprins aaie ments Nombre de mises bas X 100 Effectif de brebis et agnelles capables de mettre bas Nombre d agneaux n sx100 La prolificit moyenne F Nombre de mises bas Nombre d agneaux morts x100 La mortalit des agneaux Nombre d agneaux n s Re p Nombre d agneaux lev sx100 La productiv num rique Effectif des brebis et agnelles capables de mettre bas SOLTNER 1979 4 3 Le diagnostic de gestation Dans tous les levages conna tre pr cocement l tat ou non de gestation des animaux es
88. n a pas fait de stages et s est bas e sur le savoir faire personnel dans la gestion de leur levage 5 Exp rience Pour l exp rience on a seulement deux types Moins de 10 ans Plus de 10 ans Pour la premi re on a un pourcentage de 30 et la deuxi me 70 majorit Donc le nombre total des leveurs ayant une exp rience plus de 10 ans donne une id e qu il y a un suivi et qu on s int resse cet levage Cette variable peut influer sur l levage du c t positif car les leveurs ayant un savoir faire peuvent g rer leurs exploitations par l exp rience E lt 10 ans m gt 10ans Chapitre I UUl R sultats et discussion II Information sur l exploitation 1 Environnement de l exploitation Notre variable repr sente deux modalit s Exploitation en centre urbain Exploitation isol e Notre enqu te d montre que les exploitations isol es pr sentent le grand pourcentage avec 83 33 en deuxi me place les exploitations qui se trouvent en centre urbain avec 16 66 B Centre urbain E Exploitation isol e Figure 24 Environnement de exploitation 2 Age de l exploitation Repr sent e par trois niveaux Moins de 5 ans 5 10 ans Plus de 10 ans Donc les exploitations les plus g es prennent la premi re classe avec pourcentage de 70 puis on a la deuxi me classe qui indique les exploitation qui ont l ge entre 5 et 10 ans par 20 et
89. n nie rer reine d ee het den ns el 14 6 l Exploitant temps pleM 2ssssenenanneseee nement donnons dure 14 6 2 Exploitant a temps partiel RMS NOTE en A e ST RE ne ane 15 JaEleva ge UMR A A a E E RE A a A RAE E AEE EATS te 15 8 CH DIS re an A a RAT a a a a a Aa 15 Chapitre IT Les conduites d levage des animaux domestiques IDEM ONS sms tsen CEEE EENE nr anse eus A 17 l gt Conduites d levage as erener a a a a a raara ae 17 2 Batiments d levage Ssss sei sea ne nn EENE A E r E E E E nee 17 2 AMENTAUOP ae e e ae a E E A E eE R TAE Aa A RA EAE AEE EASA TENE ETRS 17 A Fa reprodUctOon s e erre a aa a a a A mortes tite 17 4 1 Les param tres de la reproduction et leur enregistrement 18 4 2 Les param tres de la reproduction et leur enregistrement chez les ovins et 18 CADRE een e SR a a a a a E A 4 3 Les diagnostics de gestation 19 4 4 La d tection des chaleurs nues ann sn nt s ites sien 19 45 CHOC du T DFOMNCI UE ESS rea ne Red tes 19 SPL ICE CR SAN T an ne ne Nc 19 II Les param tres zootechniques des animaux domestiques 21 l Les param tres zootechniques du poulet de chair 21 LE RO SETAn ei E E E E E 21 1 1 1 Implantation du b timent avicole 21 L 1 2 Ambiance einni cene is ii aa E ea E ETa EEEn E i 21 l 1 2 1 T emp ratUte nee
90. n quantit s relativement limit es et cela pour deux raisons Le d veloppement du rumen encore incomplet ne permet pas l animal d absorber une ration tr s volumineuse le d veloppement du rumen est favoris par la consommation maximale de fourrages secs la vache A partir de productions laiti res de l ordre de 6 8 kg par jour les vaches doivent recevoir un aliment plus grossiers que concentr s pour augmenter le niveau de productions laiti res jusqu a 10 12 kg par jour et aussi il faut prend en consid ration les besoins en concentr s non seulement pour couvrir les besoins nerg tiques mais Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques galement pour enrichir la ration en phosphore ce sujet la distribution d un ration alimentaire tr s riche en concentr en p riode de lactation est tout fait non recommand e S il y a p nurie de fourrages grossiers l agriculteur peut distribuer des pulpes s ches de betterave jusqu une limite de 1 kg par jour pour les adultes 0 8 kg pour les animaux de plus d un an et 0 6 kg pour les jeunes de plus de 6 mois Les pulpes de betterave doivent tre absolument proscrites des rations des jeunes de moins de 6 mois risques de diarrh es et de d min ralisation du squelette Si l on distribue des pulpes de betterave aux vaches laiti res il est tr s recommand de distribuer du son de bl 1 4 1 2 de ta quantit de pulpes da
91. ndes rouges J industrialisation et l urbanisation acc l r es d clench es au d but des ann es 70 L aviculture ne participant que faiblement la production en 1960 sa production s levant 1700 tonnes de viande blanche Options m diterran ennes 1990 cette faible production due essentiellement la colonisation qui n a pas permis aux agriculteurs d investir dans l aviculture Au lendemain de l independance de 1962 jusqu a 1970 l levage tait essentiellement fermier sans organisation particuli re les produits d origines animales et particuli rement avicoles occupaient une place tr s modeste dans la structure de la ration alimentaire de l Alg rien OPTIONS MEDITERRANEENNES 1990 300 000 n s _ 250 000 200 000 150000 Production 100 000 Production T 50 000 i ad aO 4 dd o 0 a A A D a SAI o 2 D D SE SD 9 CO AS PESTE SP PP PP SP PP PPS PS PS 4 4 Ann es Figure 08 L Evolution de la production de viande blanche en Alg rie 1972 2003 Chapitre 7 4 production animale en Alg rie A partir de 1972 voir figure 09 la production de viande blanche a augment rapidement jusqu 1989 pour atteindre 253 000 tonnes avec une consommation de l ordre de 9 18 kg hab an Cette augmentation due essentiellement a l interet accorde au d veloppement des infrastructures avicoles couvoirs b timents d levages industr
92. nnelles pour la production de viande et de laine La race Rumbi de djebels d atlas saharien t te et membres fauves repr sente environ 12 du cheptel La race rouge Beni Ighit dite hamra en rappel de sa couleur des hauts plateaux de l Ouest 21 du cheptel race berb re tr s r sistante au froid autochtone d Afrique de nord Des travaux de pr servation des potentialit s de cette race sont entrepris dans des fermes pilotes Quatre races secondaires ovines existant galement en Alg rie La race laine Zoulai de l Atlas Telllien adapt e aux parcours montagnards La race Dmen saharienne de l Erg Occidental tr s int ressante par sa prolificit lev e La race barbarine saharienne de l Erg oriental La race Targui Sidaou sans laine race peule lev e par les touaregs de Sahara central Quelques vari t s plus rares sont galement mentionn es telles que la Taddmit issue d un croisement entre Ouled djellel et les b liers M rinos Quelques troupeaux isol s du type Mirinos correspondant des tentatives d intensification de la production ovine La composition de troupeaux tendance changer On assiste aujourd hui au remplacement de la race Beni ighil tr s rustique et adapt e au p turage steppique par la race Ouled djellel tr s prolifique et d un apport plus rentable en viande En effet un broutard de 12 mois de la race Beni Ighil quivalant un agneau de 4 mois de Ouled djellel
93. nnexe n 02 Le guide d enqu te IT Avicole lieu d enqu te Date Zone Commune 1 Information sur le propri taire Nom Age Activit principale Activit secondaire Niveau d instruction 1 Coranique 2 Analphab te 3 Primaire 4 Autres Fait un stage Nature Lieu Dur e Non Pourquoi R partition des taches Prise de d cision 2 Information sur l exploitation Environnement de l exploitation Centre urbain Exploitation isol e Distance de exploitation Le chef lieu de la commune La route goudronn e Le march e Les services sanitaires Autres informations sur l exploitation Date de d but d activit Production Poulet de chaire Poule pondeuse Autres Effectif initial Effectif actuel Autres activit s Agriculture Commerce Autres Existe ils d autres esp ces animales dans l exploitation Bovins Caprins Ovins Camelins Les mains d ouvr s Familiale Permanentes Saisonni res Mains d uvres affecte l levage Le nombre 3 Conduites d levage 1 Les b timents d levage Surface Le nombre des animaux par unit de surface Le type de chauffage Eclairage Les mat riaux utilis es Traditionnels Modernes Approvisionnement en poussins Lieu Prix Les charges de transports Mortalit s lors de transport Fr quent Moyen 2 Conduites
94. ns le but de r quilibrer l apport min ral de la ration en hiver il est conseill de pr f rence la luzerne au moins 24 h bien que les risques digestifs soient bien moindres que dans l esp ce ovine Autre recommandation importante tous les animaux doivent disposer en permanence de blocs de sel gemme 3 3 1 Bilan alimentaire annuel Le bilan montre que 1 levage d une vache et de ses produits dans des conditions convenables demande plus de 30 a de cultures fourrag res ce qui repr sente une tr s lourde charge pour une exploitation moyenne Normes alimentaires voir annexe n 03 Remarque em Augmenter progressivement la ration des vaches gestantes partir du 7 mois jusqu au v lage II faut en moyenne 4 kg de fourrage vert pour obtenir 1 kg de foin Pour obtenir 3830kg de foin il faut donc s cher 15320 kg de vert Les superficies n cessaires pour la production de l alimentation son Fourrages grossiers Luzerne 25 ha x1000 kg 25000 kg Sorgho 7 ha x 400 kg 2800 kg Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Concentr s Orge 8 ha x 30 kg 240 kg Les 8 ha d orge peuvent produire 360 kg de paille On peut remplacer partiellement l orge par de la datte TOUTAIN 1979 3 4 Abreuvement La r gle consiste laisser de l eau propre en permanente des animaux On peut conseiller tout au plus d viter de donner de l eau trop froide le matin en hiver et de n
95. ntes que sur la vache qu il pr f re Toutes les vaches risquent de ne pas tre saillies 1 2 4 La gestation La dur moyenne de gestation est de 9 mois Comme diagnostic de gestation les leveurs se basent sur le ballonnement du ventre ainsi que le d veloppement des mamelles Le retour en chaleur n est pas pris en consid ration par la plupart des leveurs On a remarqu que les leveurs laissent leurs vaches restantes avec le troupeau ce qui provoqu des accidents tel que les avortements 1 2 5 Le tarissement II n est pas pratiqu par les leveurs mais il se fait naturellement avant 2 mois de la mise bas la production du lait s arr te pour la constitution des r serves en veillant la production du colostrum 1 2 6 La mise bas On a remarqu que les leveurs n ont pas de connaissance concernant les signes pr curseurs du v lage ce qui implique qu il n y a aucune pr paration et les difficult s du v lage sont provoqu s par l alimentation non contr l e la mise bas se d roule naturellement puisque la plus part des leveurs ne pr parent pas la liti re pour le v lage on peut dire qu ils ne connaissent pas le r le et l utilit de la liti re pire encore ils la consid re comme chose suppl mentaire La vache s isole toute seule et on a par la suite des mortalit s avec des probl mes de d livrance D apr s notre enqu te on a remarqu qu il y a plusieurs cas d avortement ces cas surviennen
96. ntr ler l ambiance gr ce un syst me de d pression les ventilateurs se trouvent d un seul cote du b timent Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques 1 1 2 3 Humidit Le taux d humidit a respecter est variable selon les saisons Et automne hiver printemps Une humidit relative trop lev e entra ne un important d veloppement d agents pathog nes par opposition une humidit trop faible cause certaines complications respiratoires toute fois chez le poulet de chair l optimum varie entre 65 et 10 ORIOL 1987 1 1 2 4 Eclairement L clairement chez le poulet de chair permet surtout au poussin de voir les mangeoires et les abreuvoirs il ne doit pas tre d une intensit trop grande pour viter toute nervosit qui affecte l indice de consommation Une bonne ma trise favorisera et agira directement sur le taux de conversion des rations ORIOL 1987 L clairement doit tre de 24 heures les deux premiers jours avec une intensit assez forte par la suite cette dur e va r gresser jusqu a arriver a 6 heures de lumi re par jour 1 1 2 5 Densit La densit de peuplement en levage au sol en moyenne est de l ordre de 10 sujets m selon LAOUER 1987 la majorit des auteurs confirment que le nombre de sujets m ne doit pas d passer 10 sujets m pour les M S D la densit varie suivant l age du poussin durant les trois premi res semaines elle est de l ordre de 20
97. oduction de viande L alimentation qui contient beaucoup de concentr est lu raison pour la quelle la viande constitue la finalit premi re pour les leveurs de la r gion Les ventes de tourillons se font en fonction des besoins financiers du m nage surtout pour les exploitations de petites tailles La vente des femelles ne se fait que dans le cas de r forme Les taurillons sont vendus l ge de 12 15 mois avec un poids moyen de 210 kg pour les petites exploitations Tandis que pour les autres les ventes se font un ge de 18 mois avec un poids moyen de 380 Kg La consommation de la viande bovine dans la r gion est faible car d apr s nos missions avec les bouchers on a constat que les habitants de la r gion pr f rent la viande ovine ce qui a fait qu une seule carcasse de bovin reste stock e jusqu 3 jours chez le boucher En plus de a le prix qui est lev pour un simple fonctionnaire il pr f re avoir un kg de viande ovine en ajoutant quelques dinars que d avoir un Kg de viande bovine pour la bonne qualit de la viande ovine Et d un autre cot l habitant des habitudes concernant la consommation de la viande bovin que la disponibilit de la viande bovine qui est peu par rapport la viande ovine la majorit de la viande bovine de la r gion est destin e aux soci t s implant es dans la r gion 2 2 La production laiti re Pour l levage priv le contr le laitier syst mati
98. on trouve que la production r partie entre le veau et l leveur eme A partir du 3 mois le veau commence consomme un peu d herbe A l ge de 6 7 mois il est sevr s par de sa more avec un poids moyen de 100 Kg et un GMQ moyen de 400 g La plus part des leveurs pratiquent un sevrage l ge de 6 mois qui est tardif car ils ignoreront la conduite des jeunes et l importance du lait 1 1 4 Du 12 mois 24 mois Apr s le sevrage le veau est introduit dans le troupeau les m les sont s par s des femelles ils re oivent les m mes quantit s d aliments tr s nerg tiques base du concentr et une quantit tr s faible des fourrages grossiers Ces rations ne sont pas quilibr es et pour la plus par des leveurs elles sont en fonction de leurs disponibilit s L ge de vente varie selon la taille de l exploitation pour les petites exploitations il varie entre 11 et 12 mois avec un poids moyen de 210 Kg pour les taurillons alors que pour les g nisses vendues ont un poids de 180 Kg 1 1 5 De 12 mois 24 mois Apr s un ge de 12 mois les rations distribu es par la plus part des leveurs sont quilibr es Cette ration nerg tique distribu e aux taurillons est la m me pour les vaches Pour les grandes exploitations les taurillons sont vendues l ge de 18 24 mois avec un poids d environ 350 kg pour les g nisses le poids de vente est environ 300 kg chez la majorit les leveu
99. production future de la brebis De distribuer aux agneaux sous la m re une alimentation part gr ce l installation d un dispositif permettant le seul passage des agneaux par exemple une ouverture de 15 cm de largeur dans une murette de terre Les passages agneaux peuvent galement tre construits en bois voir sch ma plus loin De choisir les reproducteurs int ressants Pour le m le ne pas l utiliser plus de 1 an et demi et le remplacer par un agneau sans d fauts trop accus de conformation surtout dans les aplombs et aussi d velopp que possible Des changes de m les entre leveurs sont recommand s pour viter une trop grande augmentation du taux de consanguinit Pour les femelles liminer rapidement toutes brebis ayant eu une mammite ou ayant eu deux avortements Choisir les femelles de remplacement si possible parmi celles dont la m re a eu la production la plus r guli re TOUTAIN 1979 En ce qui concerne la conduite des levages faisant l objet d am lioration g n tique ajouter aux r gles de conduite pr conis es ci dessus les dispositions suivantes Identification de tous les animaux pour l tablissement des pedigrees Contr le de la paternit en ne faisant reproduire que le b lier retenu Contr le des performances pond rales Poids 30 jours pour estimer la valeur laiti re des brebis Poids 3 mois et 6 mois pour estimer par diff rence les potentiels de
100. que n existe pas et la quantit du lait consomm par le veau est variable c est la raison pour la quelle la d termination de la quantit du lait produit par vache et par jour est difficile Chapitre II a V R sultats et discussion G n ralement et d apr s l enqu te il ressort que la production laiti re par vache et par jour est environ de 8 10 L VLJJ c est un moyen est il est varie selon la courbe du lactation On a aussi constat que la variation du r gime alimentaire influe n gativement sur la production du lait Certains leveurs de la r gion ne prennent pas en consid ration le tarissement courbe de lactation et son importance pour la production du lait alors que la vache est en production plus de 12 mois cette dur e est plus grande si l intervalle v lage saillie f condante d passe 02 ans chez les leveurs qui n ont pas de taureau reproducteur L op ration de la traite chez la plus part des leveurs environ 80 se fait m caniquement 2 fois par jour La traite du matin et la traite du soir des heures r guli res La destination de celte production est la vente pour les leveurs ayant des grandes exploitations mais pour les autres c est plut t l autoconsommation Les leveurs vendent le litre 20 25 D A mais le lait arrive au consommateur au prix de 35 D A c est la raison pour la quelle les habitants de la r gion ont une consommation faible de ce produit Quelques leveurs venden
101. rh es entra nent les agneaux dans un cercle sans fin puisque affaiblis ils deviennent un terrain pr dispos l apparition de la maladie Une diarrh e qui se prolonge plusieurs jours peut compromettre de mani re d finitive le d veloppement du plus bel agneau Le traitement au Gan dan Spccia est efficace Les m t o ri sa lions surviennent en hiver lors de la distribution de luzerne verte insuffisamment pr fan e ou froide cl humide Si l on prend la pr caution de pr f rence au moins 24 heures ces accidents n apparaissent plus Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Dans le cas o la m t orisation se d clare on Intervient avec succ s en faisant boire du Silifuge Ist Si l animal se trouve l agonie il ne faut pas h siter trocarder l aide d un trocard sp cial pour ovins ou m me avec un simple couteau el faire en sorte que l incision reste b ante par l introduction d un tube creux Il faut trocarder sur le flanc gauche environ 10 cm de la pointe de la hanche Les moulons supportent mal le trocardage car il s ensuit la plupart du temps une infection g n ralis e avec cicatrisation difficile Des cas d ent rotox mie se sont d clar s chez des agneaux apr s absorption d eau trop froide Si l on n intervient pas vite l agneau tombe comme foudroy on peut le sauver en lui faisant boire de l H patozyl tst Des cas de r tention d urine peuvent se d clarer surtout
102. rs La distribution excessive du concentr dans une ration alimentaire cause un engraissement des vaches et par la suite on aura une diminution de la production du lait Chapitre II D R sultats et discussion 1 1 6 Le mode d abreuvement Les abreuvoirs sont g n ralement des moiti s de f t rong es par la rouille qui ne sont pas d sinfect s l eau n est pas renouvel e Ils d bordent par terre en cr ant un milieu favorable la prolif ration des microbes Seul un leveur utilise un abreuvoir qui est bien entretenu avec une eau r guli rement renouvel e Les animaux boivent volont durant la saison chaude par contre en hiver ils ont droit l abreuvement deux fois par jour 1 2 La conduite de la reproduction Les leveurs n ont pas des connaissances qui leurs permettent d effectuer un suivie de reproduction D tection des chaleurs Diagnostic de gestation Tarissement La mise bas La reproduction avec l alimentation reste les principaux probl mes qui entravent la bonne conduite de l levage 1 2 1 Choix du reproducteur Le gabarit est le seul crit re retenu par les leveurs et on a remarqu que les leveurs ne poss dant pas de taureaux ne prendront en consid ration ni l origine ni la race ni la qualit du taureau le seul objectif pour eux c est d assurer la f condation Les crit res de choix ne sont pas pris en consid ration par l leveur que se soit pour les g nisses
103. rs enqu t s ont d une grande n gligence de l hygi ne Cette n gligence appara tre par l inexistences des accessoires d hygi ne les p diluves les mat riels de nettoyage les bottes et les v tements etc L absence de pratique de vide sanitaire m me s il y une pratique de vide sanitaire d une fa on incorrecte Chapitre II D R sultats et discussion 3 2 Alimentation L aviculture souffre beaucoup de probl mes d alimentation bien que c est un levage du type hors sol mais l absence des unit s du fabrication des aliments des b tails volailles provoque beaucoup des obstacles comme Le co t tr s lev car les leveurs de la r gion ayant une charge suppl mentaire est la charge du transport L indisponibilit d aliment dans certains temps les leveurs ne trouvent pas des aliments dans les unit s de production Les quantit s des aliments sont insuffisantes Les leveurs ne respectent pas les normes des aliments appropri s chaque stade du vie de l animal ils ont donn es un aliment de d marrage en stade de finition et ainsi de suite Dans certains cas les leveurs donnent des quantit s d aliment juste pour la survie de l animal La dur e de chaque stade de vie de l animal d marrage croissance et finition n est pas standard chez tous les leveurs ce qui engendre des variations au niveau de la dur e de cycle de vie avicole entre les di
104. s mauvaise tat de l animal b timent etc provoquant des maladies Si on veut pas que cette exp rience soit vou e l chec et voir les nerver se convertir d autres levages ovin caprin il faut une vulgarisation des techniques surtout de l alimentation et ceci est surtout valable pour les grandes exploitations o les probl mes financier constituent par un handicap Pour le ovins et caprins leurs situation n est pas tr s diff re par rapport celle des bovins mais avec une moindre variation car ces esp ces sont mieux adapt es avec Conclusion g n rale le milieu oasien et non sont pas besoin beaucoup des techniques dans sont levage c est pour cela en trouve que les effectifs des animaux est plus importants et aussi les productions malgr que cette levages est de type familial Pour l levage avicole nous constater que ce dernier aussi confront au plusieurs contraintes tel que L alimentation constitue la premi re contrainte pour les leveurs car les prix est lev es l indisponibilit des aliment dans certains temps et aussi les charges de transports Sans technicit l levage ne peut pas r ussir L tude de la conduite d levage chez les leveurs d montre que les conduites sont males ma ftris es chez la majorit des leveurs et les normes sont non respect es savoir les b timents d levage l alimentation quantitatif et qualificatif la reproduction les r gles
105. s l exploitation Main d oeuvre saisonni re c est g n ralement une main d uvre recrut e pour les travaux difficiles r aliser La main d uvre permanente repr sente73 73 et la saisonni re26 7 La main d oeuvre permanente est g n ralement une main d ouvre familiale qui travaille toute l ann e dans l exploitation La main d ouvre saisonni re est une main d ouvre ne travaillent pas toute l ann e mais pendant les p riodes o il y a une charge du travail D Familiale m Salirais 43 4 o Permanante m Saisonniers 26 6 Figure 26 Mains d ouvres Chapitre II R sultats et discussion Tableau 07 R partition des taches Type d levage Membre de famille Des taches Avicole prise de d cision homme l approvisionnement en facteurs de production les op rations externes vente les femmes et les enfants distribution des aliments et l eau chez les animaux Collecte d oeufs nettoyage de b timent levage bovin prise de d cision homme l approvisionnement en facteurs de productions les op rations externes vente les femmes et les enfants la traite distribution des aliments et l eau chez les animaux nettoyage de b timent levage ovin et caprin prise de d cision homme l approvisionnement en facteurs de productions les op
106. ssrerrrrreererreressseseersessseseerrereeeeese 83 1 1 Conduite de l alimentation 1 1 1 Le calendrier fourrag r 35 anti 1 1 2 L alimentation des adultes 1 1 3 Etude de rationnement 1 1 4 Du 12 mois 24 mois 1 1 5 De 12 mois 24 mois 1 1 6 Le mode d abreuvement nnnsnnnsounnsennssonseeonsoesrrssesrereseerssee gt l 2 La conduite de la reproduction 5265 nn 1 2 1 Choix du reproducteur eseeseeesseesserrrrrerrerrrrrrrrerrrrerree 1 2 2 La d tection des chaleurs 22 12232 EET EEE E EE EEE scie 1 2 4 La gestation 1 2 5 Le tarissement 1 2 6 La mise bas 1 2 7 Les crit res technico conomiques 1 2 7 1 Age et pouls la premi re saillie 1 2 7 2 Age et poids au premier v lage 1 2 7 3 Intervalle saillie saillie f condante 1 2 7 4 Intervalle v lage saillie 1 2 7 5 Intervalle v lage v lage anne mens Mise 1 2 7 6 Taux de mortalit des jeunes 1 3 Logement des animaux 1 3 1 L emplacement des veaux et des velles 1 4 Hygi ne et sant 1 4 1 Hygi ne
107. t de l agronomie saharienne IT AS Je tiens galement exprimer mes remerciements qui apport une aide pr cieuse Mr CHAKHAR O et Mr HAEFSSI Les leveurs de la r gion de Ouargla surtout Mr ABDEESMAD Mr BEN MANSOUR H et Mr BOUAFIA L Je remercier chaleureusement mes amis et coll gue de 18 promotions d agronomie R sum L tude men e aupr s de 50 leveurs sur les contraintes des productions animales en milieu oasien r gion de Ouargla nous permis de constater que le milieu offre des possibilit s pour les levages Les levages sont confront s plusieurs contraintes diff rentes principalement techniques et conomiques chose qui s est r percut e sur le nombre des leveurs et le niveau de production qui enregistrer Les contraintes sont manque de technicit et l exp rience et aussi la chartes des aliments et les conditions climatiques de la r gion Les diff rents analyses sur l aspect technique et conomique d montre que il y des possibilit s de d veloppement Les mots cl s Elevage contraintes production technique conomique le milieu oasien Gt La ff gilas Luis oilali FU lie Jaa ie 50 ge Cu pal Oil ul all Gl Casa ail gi LUI Ge e sil gl CS 99 Lau gli la Ci ABS Ne je AE j 3 ihia ge ds dai dus post y Qi aille Cul liea bae ihilli Ul gall 35 al 55 Aibill 3 dadl rY 6 giua g Can all ane JS eV ee y es Si iga Ce 5 all Lil ALl adl ai 68 aali
108. t des jus demande un sol en l g re pente avec ventuellement une rigole conduisant vers un bidon enterr l ext rieur des b timents ou vers la fumi re L alimentation doit tre distribu e dans des auges en terre recouvertes d un bon enduit en ciment de 40 cm de profondeur et de 50 cm de largeur TOUTAIN 1979 3 3 Alimentation Les normes d alimentation propos es ci dessous correspondant un exemple de rationnement Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques Des substitutions d aliments peuvent tre op r es sur les bases des valeurs fourrag res suivantes Re Dale sens same 0 27 UF IREM yorit en ae ce 0 13 UF L Kede folni escicoisesiienea aas 0 40 UF 1 kg d orge pour les bovins orge doit tre concass e 1 00 UF I Kede ARS soso bre ds hs 1 00 UF 1 kg de pulpes de betteraves 00 000000 0 80 UF Ikg de son de bl rihanna 0 65 UF 1kg de mati re brute Ces substitutions sont toujours possibles dans la limite du respect de certains imp ratifs les veaux Les jeunes veaux jusqu 3 mois sevrage doivent recevoir volont du tr s bon foin de luzerne Il faut pratiquement exclure la distribution de fourrage vert qui peut provoquer des diarrh es sur ces animaux qui consomment d j du lait maternel Apr s le sevrage les jeunes doivent recevoir du vert apport de vitamine en particulier que le veau trouvait auparavant dans le lait maternel mais e
109. t directement aux consommateurs mais vu l loignement de la majorit des exploitations des centres urbains cela fait que la vente directe est tr s limit e 3 La destination des produits L levage dans la r gion est du type familial pour cela on trouve la majorit des produits d levages sont pour couvrir les besoins de la famille autoconsommation Les fumiers sont utilis s pour l exploitation agricole mais il y a des leveurs qui vendent ces produits 3 1 L aviculture 100 des leveurs vendent leurs produits Les ventes sont de deux types Vif Abattu Chapitre II I aaa R sultats et discussion Les clients sont Revendeurs priv s Restaurants Consommateurs Autres Calcul de prix de revient chez 1 aviculture L e prix de revient varie d une bande une autre il d pend de plusieurs param tres dont le plus important est la dur e d levage et la non ma trise des techniques d levage ce qui conduit un gaspillage d aliment ou l apparition des maladies du la mauvaise conduite d une part d autre parte 1 es prix des facteurs de production d une ann e une autre prix d alimentent doubl en quatre fois Charge totale i Le prix de revient Charge totale Nombre de poulet vendu Nombre de poulet vendu Nombre de sujet mise en place la mortalit La mortalit enregistr au niveau de cette bande est de 9 il est de pass les normes qui est de 8 Donc le
110. t g n ralement au cours du 6 et 7 mois de gestation d apr s l leveur il s agit de cause pathologiques mais notre avis c est la pr sence de la vache dans le troupeau Chapitre II D R sultats et discussion 1 2 7 Les crit res technico conomiques 1 2 7 1 Age et poids la premi re saillie La plupart des leveurs ne prennent en consid ration ni l ge ni le poids puisque les vaches sont en permanence avec le taureau Mais on a remarqu que certaines g nisses sont d ges la 1 re saillie entre 24 30 mois avec un poids d environ 200 Kg De pr f rence il faut que la g nisse ait un poids la lere saillie quivalent 60 de son poids adulte dans notre cas la g nisse doit avoir 300 Kg 1 2 7 2 Age et poids au premier v lage ere II d pend de l ge la 1 saillie f condante pour les leveurs qui ont des re reproducteurs l ge au l re v lage est tr s avanc puisque la 1 saillie il est aussi avanc par contre les leveurs qui n ont pas de taureaux l ge au l re v lage est tardif re puisque il est tardif la 1 saillie se qui implique qu on aura des pertes de veaux et par la suite on a une reforme pr coce de la vache 1 2 7 3 Intervalle saillie saillie f condante D apr s notre enqu te on remarque que les leveurs estiment que l intervalle saillie non fondante et saillie f condante est environ 21 jours Cette dur e est normale compar
111. t primordial soit pour mettre de nouveau la reproduction ces animaux soit pour les soigner en cas d inf condit pathologique soit pour les liminer sans tarder Les m thodes traditionnelles Les non retours en chaleur Le palper Les m thodes nouvelles L chographie Les dosages hormonaux Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques 4 4 La d tection des chaleurs C est la d tection du moment exact des vrais chaleurs chez la femelle pour assurer la r ussite de la saillie La d tection des chaleurs est souvent difficile n cessitant selon les esp ces une grande surveillance vache ou la pr sence d un m le jument truie brebis ch vre SOLTNER 1979 Il y a des chaleurs silencieuses chez certaines esp ces 4 5 Choix du reproducteur C est le choix du bon m le pour la saillie des femelles Il y a des conditions ou des normes du choix dont L origine du m le L ge du m le la pubert Le corps un bon tat corporel poids convenable et aussi un bon tat sanitaire 5 Hygi ne et sant Il est impossible de r ussir un levage sans l application rigoureuse des r gles d hygi ne Dans les unit s modernes qui rassemblent toujours un nombre lev des animaux syst me intensif Et toute erreur est imm diatement sanctionn e quelques fois par l apparition d une maladie toujours par des baisses de performance et une diminution de la productivit
112. teur agricole a subit une v ritable h morragie La plupart des jeunes ont quitt en masse les palmeraies pour les autres sources et ce secteur est limit une occupation de 16742 employ avec un taux de 16 54 de population occup e Le reste de la population est r partie comme suite industrie 14 05 b timent et travaux publiques 16 06 et administration53 35 4 L agriculture dans la Wilaya 4 1 Production v g tale Dans la wilaya d Ouargla le secteur agricole est domin par la pheoniciculture selon la D S A 2004 le nombre total de palmiers est 21760845 pieds La production est de 7784 t pour la campagne 2003 2004 et occupe une superficie de 19138 ha Pour les cultures pratiqu es au niveau de la r gion se sont la c r aliculture le mara chage les cultures fourrag res et l arboriculture Chapitre IV Les donn es qui concernent chaque grande sp culation culture se trouvent dans le tableau suivant Tableau 06 Les principales production v g tales dans la wilaya DSA Pr sentation de la r gion d tude 2004 Grande sp culation Superficies r colt es ha Production en qx C r ales 536 15420 Fourrages 1575 289041 Mara chages 2679 239314 Arboricole 33 07 0 4 2 Production animale La production animale occupe la seconde position par rapport la production v g tale L levage par l importance des ses effectifs constitue une richesse capable de g n r
113. timement d pendante des ressources mellif res qui sont tr s riches et vari es forets et maquis prairies naturelles et arbres fruitiers notamment les agrumes Ainsi son implantation est pr dominante dans les r gions suivantes Zone du littoral miel d agrumes miel d eucalyptus Zone de montagne Kabylie miel toutes fleurs Tlemcen miel de lavande Hauts plateaux miel de sainfoin et miel de romarin Le rendement dans les r gions potentiels est de l ordre de 2 10kg ruche La consommation de miel La disponibilit du miel sur le march reste tr s faible et de part sa raret son prix tr s lev entre 800 et 1700DA le kg Aussi les m nages ne peuvent avoir acc s ces produits nobles qu en cas de n cessiter son utilisation en tant que m dicament Chapitre 7 4 production animale en Alg rie La consommation reste tr s faible si non d risoire 60g hab an MINISTERE DE L AGRICULTURE 2003 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 Ann es Figure 11 Production du miel 4 2 Les changes Les importations En plus de l importation d intrants apicoles de faibles quantit s de miel sont galement import es mais elles ne sont pas concurrentes 46 232 tonnes pour l ann e 2000 Ces miels proviennent De France d Arabie saoudite et des Etats Unis et tant que produit fini destin la consommation directe La gel e royale est galement import e par les officines ph
114. tions Le manque des mangeoires est l origine d un gaspillage consid rable des aliments et surtout pour les fourrages grossiers 1 4 1 3 Hygi ne de l abreuvement L eau n est pas renouvel e r guli rement La quantit d eau qui d borde provoque des zones favorables au d veloppement des microbes 1 4 1 4 Hygi ne de l animal L tat de l animal est g n ralement mauvais par le manque de brossage des cro tes le mauvais tat des sabots et des boiteries et des infections des pieds qui sont caus es par la non pratique de la taille des anglons 1 4 1 5 Hygi ne de la traite Beaucoup d anomalies ont t observ es En d but do la traite les premiers jets de lait sont limines par terre ce qui peut provoquer des contaminations L absence de salle de traite cause une mauvaise propret Chapitre II D R sultats et discussion Des mamelles ne sont pas bien lav es en d but de traite La mauvaise conservation du lait 1 4 2 Sant Les maladies les plus courantes dans la r gion dont le cheptel bovin souffre sont 1 4 2 1 Les mammites Des inflammations au niveau de la mamelle influent sur l animal et par la suite la production du lait devient faible Pour traiter contre cette maladie les leveurs font appel au v t rinaire 1 4 2 2 La gale Cette maladie influe n gativement sur l tat de l animal et par la suite on aura une action sur la production de cuir et de viande Comme un moyen
115. tre II 1 aa R sultats et discussion 3 Conduite d levage avicole 3 1 B timent d levage avicole Globalement l tat des b timents d levage chez les aviculteurs de la r gion n est pas satisfaisant car il y a une n gligence des diff rentes normes d levage 3 1 1 Orientation du b timent Les aviculteurs accordent une moindre importance Plorientation et l emplacement des b timents n est pas un choix raisonnable qui prend en consid ration les conditions climatiques du la r gion tel que les temp ratures et les vents dominants 3 1 2 Mat riels utilis s dans les b timents Les r sultats d montrent que la totalit des leveurs ne prend pas en consid ration les normes th oriques qui concernes les types et le nombre des mat riels tel que mangeoires abreuvoirs et les accessoires de l hygi ne 3 1 2 1 les mangeoires Le nombre des mangeoires est insuffisant et aussi on observe que les aviculteurs utilisent des pots aux plateaux la place des mangeoires approprient 3 1 2 2 les abreuvoirs Les aviculteurs ne respectent pas les normes des abreuvoirs et ils ont utilis es des abreuvoirs non conseill es des bidons ou ils ont utilis es des abreuvoirs de deuxi me ge chez les animaux de premier ge 3 1 3 l hygi ne du b timent Malgr l importance d hygi ne pour l levage car il constitue la colonne vert brale de l levage on trouve que la grande majorit des aviculteu
116. ts dont la production totale doit tre de 6 792 kg Une telle production peut tre obtenue par 6 ha de luzerne 6 000 kg 2 ha de sorgho 800 kg Les 50 kg de concentr peuvent tre apport s par de l orge et des d chets de datte Il faut donc Iha d orge 25 kg D chets de datte 25 kg La paille provient des sols de bl s et d orge de l exploitation TOUTAIN 1979 2 4 Abreuvement En principe les animaux doivent disposer d eau propre en permanence surtout lorsque la ration contient beaucoup de fourrages secs Cependant il convient de faire tr s attention ne pas donner de l eau trop froide le matin en hiver En effet l eau glac e peut provoquer des avortements et des ent rotox mies et diarrh es chez les agneaux En hiver une sage pr caution est de Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques n apporter l eau que vers 10 h du matin et si possible dans un abreuvoir expos au soleil Par contre nous attirons l attention sur les besoins en eau tr s importants des brebis l agnelage 2 5 Prophylaxie surveillance sanitaire En palmeraie les probl mes sanitaires sont moindre degr et cela pour deux raisons principales L ensoleillement et la faible hygrom trie de l atmosph re L levage des animaux en petites unit s isol es Les probl mes rencontr s dans les troupeaux p pini res ou les troupeaux particuliers du Tafilalet sont 2 5 1 Malad
117. u manque d exp rience et du savoir faire chez les leveurs et leurs pouvoirs d achat le co t des aliments est tr s lev Les r sultats des enqu tes d montrent que L alimentation est anarchique n est pas bas es sur les r gles scientifiques Pas de calcul de rationnement les leveurs ne disposent d aucune information concernant le rationnement de ce fait ils utilisent des rations totalement d s quilibr es tr s co teuses occasionnant des gaspillages consid rables Le concentr est pr sent en grande quantit dans la ration L aliment donn aux animaux n est pas quilibr Les leveurs ne prennent pas en consid ration les besoins de l animal et son tat physiologique femelle gestante m le en reproduction etc Pas des apports compl mentaires lors du steaming et du fluching Le rapport aliment grossiers aliment concentr es n est pas respecte L alimentation constitue le principal probl me rencontr chez les leveurs enqu t s Les surfaces fourrag res sont faibles et cette faiblesse constitue le facteur limitant du d veloppement de l levage bovin voir annexe 07 1 1 1 Le calendrier fourrager Tous les leveurs disposent de la luzerne comme fourrage vert G n ralement elle est distribu e durant toute l ann e avec une p riode creuse en hiver le sorgho vient renforcer les aliments pendant 5 mois du mois de Septembre au f vrier Chez les aliments grandes exploitat
118. ui consiste favoriser la traite en laissant t ter le veau quelques instants puis traire 3 quartiers seulement pour en laisser un la disposition du jeune appara t tr s satisfaisante pourvu que la vache soit suffisamment laiti re Le veau devrait pouvoir tre totalement sevr 3 mois puisqu ecet ge il est devenu ruminant et que la consommation de lait constitue alors un gaspillage Jusqu au sevrage le jeune veau doit avoir sa disposition du loin de luzerne d excellente qualit ainsi que de l eau propre volont Apr s sevrage on provoque le rel chement du lait avant la traite par un nettoyage de la mamelle et des trayons l eau ti de l aide d un linge propre Un autre probl me est celui de l ge d entr e en reproduction des g nisses Les agriculteurs ont toujours tendance faire reproduire trop t t ce qui a pour cons quence de bloquer le d veloppement de l animal et de r duire sa production future Les g nisses ne devraient jamais tre saillies avant l ge de 18 mois 3 2 B timents et quipements Les constructions de type traditionnel sont les plus utilis es dans notre r gion pheonicicole Dans la plupart des cas cependant des am liorations seraient apporter dans les domaines suivants L a ration et la luminosit sont presque toujours insuffisantes Les ouvertures devraient correspondre au minimum au quart de la fa ade L coulemen
119. uliculture apiculture L levage avicole qui est introduit r cemment dans ces r gions n a pas donn les r sultats fix s et on assiste actuellement une r gression tr s prononc e due plusieurs contraintes Probl me d approvisionnement en poussins et aliments Mortalit s fr quentes Arr t forc durant la p riode estivale Concernant la cuniculiculture les rares tentatives d introduction taient caus es l chec le probl me pathologique tant la premi re cause Ajout cela le faible encouragement des autochtones pour cette viande Quant l apiculture il n existe pas d apiculture proprement dite KACI 2005 Chapitre I Situation de l levage dans la r gion d tude Le nombre des t tes 160000 140000 120000 100000 80000 60000 40000 20000 0 4 Equin Camelin Ovin Caprin Bovin Les esp ces animals Figure 15 Cheptel animal 2004 2005 DSA 2006 2 La situation d levage avicole dans la r gion du Ouargla L introduction de cet levage dans la r gion a vue sa commune volution jusqu en 1985 avec une capacit de 1000 000 poussins mis en place Cependant peu apr s la restructuration de 1987 1988 l levage avicole au niveau de la r gion commence enregistrer une r gression cet tat de fait est la cons quence de la combinaison de plusieurs f
120. veau nerg tique et le taux de prot ines et ceci en fonction des besoins de l animale Toute fois l alimentation l ment cl de la r ussite de l elevage en termes de production ne peut avoir un impact sur la rentabilit sans une ma trise hygi nique parfaite Pour l abreuvement il doit tre ad libitum avec une eau saine et l abri des souillures Chapitre IE Les conduites d levage des animaux domestiques 1 1 4 Hygi ne et prophylaxie 1 1 4 1 Hygi ne Le principe de la bande unique sera imp rativement respect ce qui implique de Mettre en place des poussins d un jour au m me moment en provenance d un seul couvoir Enlever les animaux de pr f rence le m me jour en fin de p riode de finition Enlever l ensemble du mat riel et le d sinfecter apr s lavage l eau chaude haute pression Nettoyer l ensemble du b timent l eau chaude haute pression puis raclage du sol b tonn de pr f rence Fermer toutes les ouvertures pour d sinfecter le b timent au formole gazeux maintenir le local totalement ferm durant au moins 3 jours Pratiquer un vide sanitaire de 15 jours 36heures avant la mise en place des poussins replacer le mat riel et taler une nouvelle liti re 1 1 4 2 Vide sanitaire Le vide sanitaire est la p riode qui s tale entre la d sinfection du poulailler et l arriv e de la nouvelle bande La notion du vide sanitaire s appuie sur l id
121. veurs pratiquent le syst me intensif dans les b timents d levage g n ralement pour l engraissement L levage bovin souffre de certains probl mes qui influent directement sur l volution de cet levage L un de ces principaux probl mes c est le co t lev des aliments on trouve que la plus part des leveurs souffrent de Prix tr s lev s des aliments et le manque aussi pendant des p riodes de l ann e Cette situation engendre une mauvaise nutrition des animaux l leveur donne l animal un aliment qui ne couvre pas ses besoins totaux Les petits leveurs ne peuvent pas acheter les aliments pour les animaux pr cis ment les aliments concentr s Pour cela ils ont diminu le nombre de ces animaux par la vente D autre part on trouve les probl mes techniques qui se r sument au Manque de main d uvre sp cialis es l levage Techniciens capables g rer l levage avec des bonnes connaissances Manque de la subvention tatique 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 Ann es Figure 17 Les nombre des t tes des bovins 1985 2005 Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude Situation des levages ovins et caprins dans la r gion Le cheptel caprin domine avec 157709 t tes qui repr sente 52 19 du cheptel animal total cette esp
122. x L effectif mis en place en 2004 tait de 2000 sujets et la production de viande blanche tait de 4472 5 qx D S A 2004 La production a diminu annuellement en moyenne de 601 qx entre 1988 et 2001 avec une diminution de l effectif mis en place le plus bas niveau a t atteint en 1999 avec une production de 900 qx correspondant un effectif mis en place de 73 600 poulets D apr s la figure 18 on constate que l optimum de la production a t enregistr en 1989 avec une production de 10411 87 qx et un effectif mis en place de 771 250 sujets Apr s une diminution au cours des ann es suivantes on constate une l g re reprise en 2004 mais la production reste faible La production a diminu cause des facteurs suivants Chapitre 1 Situation de l levage dans la r gion d tude Augmentation du prix de l aliment Manque de poussins d un jour localement Eloignement des lieux d approvisionnement Concurrence avec les r gions grand potentiel de production L effectif des poules pondeuses est de l ordre de 4800 sujets et la production est gale 960000 ufs avec une moyenne de 0 05 uf pers semaine Cette production est sous dimensionn e pour faire face aux besoins locaux 3 Situation de l levage bovin dans la r gion de Ouargla Ce type d levage est peu dans la r gion il est estim 530 t tes avec un pourcentage de 0 17 sur le nombre total de cheptel animal de la r gion

BEKKOUCHE Nabila

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